Qui n’a pas son programme ? Demandez votre programme !

La World Company a l’honneur de vous présenter sa nouvelle super production diffusée sur Netflix « la variole du singe(([1] Toutes les affirmations citées sont sourcées.))» !

Nous vivons sur une planète où tout va de plus en plus vite.
Difficile de suivre toutes les nouvelles séries tant elles s’enchaînent :

  • Alors même que la saison 1 de « War in the Ukraine » bat son plein !
  • Alors même que nous terminons la saison 2 de la série comique « the Covid » et que nous attendons avec impatience la prochaine saison riche en rebondissements et en effets secondaires !

Le pilote de « Monkeypox, panic on the earth » a été diffusé il y a quelques jours.

Je vous fais le pitch rapide :

« Un homo(([2] « S’il y a une communauté qui doit faire attention à elle, c’est la communauté homosexuelle ». Eric Caumes
https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/sante/un-cas-suspect-de-variole-du-singe-en-france-il-faut-rester-tres-prudent-previent-eric-caumes_AV-202205200094.html)) a couché avec un singe en Afrique, singe qui avait une crise d’urticaire et le contamine. L’homme a ensuite transmis sa maladie à ses copains lors d’une petite fête.

Allons-nous assister à une nouvelle épidémie mondiale ? Le suspens est insoutenable ! »

Attention, ce document révèle des éléments de l’intrigue qui ne se sont pas encore produits et qui pourraient gâcher le plaisir des téléspectateurs.

Si vous désirez angoisser au fil des semaines je vous invite à ne pas lire ce qui suit et regarder la série en direct sur BFM.

Assez bavasser, je vous dis tout !

Tout commence avec l’OMS(([3] https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON381)) qui publie la bande-annonce de la série :

« On 7 May 2022, WHO was informed of a confirmed case of monkeypox in an individual who travelled from the United Kingdom to Nigeria and subsequently returned to the United Kingdom. »

« Le 7 mai 2022, l’OMS a été informée d’un cas confirmé de variole du singe chez une personne qui a voyagé du Royaume-Uni au Nigeria et est ensuite retournée au Royaume-Uni. »

Le 18 mai le Département de Santé Publique du Massachusetts(([4] https://www.mass.gov/news/massachusetts-public-health-officials-confirm-case-of-monkeypox)):

« … today confirmed a single case of monkeypox virus infection. This contact tracing approach is the most appropriate given the nature and transmission of the virus.
The confirmed case poses no risk to the general public »

« … a confirmé aujourd’hui un seul cas d’infection par le virus monkeypox.
L’approche basée sur le contact tracing est la plus appropriée compte tenu de la nature et de la transmission du virus.

Le cas confirmé ne présente aucun risque pour le grand public »

Je dois déjà les mauvaises langues et les esprits désabusés nous parler de « plagiat ».

C’est n’importe quoi !
Allez-vous dire que Top-chef et Master-chef sont les mêmes émissions ?
Le Covid et le Monkeypox n’ont rien à voir même si les producteurs sont les mêmes.

Pour le premier, nous avons un pangolin qui couche avec une chauve-souris et les deux qui s’enfuient de leur résidence P4 de Wuhan pour aller au marché, alors que là c’est un brave homme en Afrique qui a une idylle amoureuse avec un singe contaminé par une maladie éradiquée depuis 1980.
Vous voyez bien que cela n’a rien à voir !

Bon d’accord, pour les deux histoires on dit que « ce n’est pas grave », que « tout est sous contrôle »… mais vous voulez quoi ?
Que le pilote débute avec 50 millions de morts dès les premiers jours ?
Briseurs de bonheur !

Fort heureusement, tous les grands médias jouent le jeu de la promotion, super production oblige !

Sur TF1(([5] https://www.tf1info.fr/sante/qu-est-ce-que-la-variole-du-singe-dont-des-cas-ont-ete-detectes-en-espagne-et-au-portugal-2220176.html)) on a pu lire le 18 mai 2022 :

« La durée d’incubation — intervalle s’écoulant entre l’infection et l’apparition des symptômes — est en général de 6 à 16 jours, mais peut aller de 5 à 21 jours. Les symptômes durent de 14 à 21 jours et disparaissent, en général, spontanément. Néanmoins, ils peuvent parfois être fatals, le taux de létalité de la variole du singe étant de 1 à 10 %. Particularité notable, les cas graves touchent, généralement, des enfants. »

Je ne trahis pas le scénario en voyant qu’ils sont en train de nous amener vers les PCR et le confinement…

En cela, il ne s’agit nullement de plagiat, je le redis, mais d’une simple application du consensus scientifique du 21e siècle, plus précisément post 2020, qui a prouvé que des millénaires d’expérience n’étaient que de la merde ainsi que toutes les études précédentes.

Qui peut encore douter de l’efficacité des confinements hormis quelques crétins qui citent des pays qui ont fait différemment comme la Suède alors que « La suède, ce n’est pas comparable et ils regrettent bien leur stratégie ».

En Belgique c’est pareil, RTL(([6] https://www.rtl.be/info/belgique/societe/variole-du-singe-de-quels-traitements-dispose-t-on-deja-pour-traiter-la-maladie–1377856.aspx)) a publié le 21 mai de cette année :

« L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’attend à ce que le nombre de cas de variole du singe se multiplie notamment en Europe, mais aussi au Canada en Australie ou encore aux États-Unis “Alors que nous entrons dans la saison estivale (…) avec des rassemblements, des festivals et des soirées, je crains que la transmission s’accélère”, a affirmé le directeur de l’OMS pour l’Europe, Hans Kluge. Et de rajouter “Si vous êtes malade, il faut vous mettre en isolement pendant 21 jours : c’est la durée de la période d’incubation.” 

Emmanuel Bottieau, Chef de l’unité des maladies tropicales à l’institut de médecine tropicale d’Anvers : “On a une molécule qui a été développée pour la variole, mais pour la variole historique. Il y a eu à un moment donné, un risque de bioterrorisme et donc on a développé à ce moment-là un traitement qui est efficace et qui a déjà d’ailleurs été utilisé aussi pour la variole du singe.” 

La transmission se fait par contact direct. Il faut donc éviter de toucher une personne contaminée et bien se laver les mains pour s’en prémunir. »

Petit à petit nous entrons dans l’intrigue et voyons bien, une fois de plus, que la série « Covid » et la série « Monkeypox » n’ont rien en commun !

Alors que le Covid était un virus « naturel » échappé par « accident » d’un laboratoire où il était « naturellement » présent, la variole du singe serait peut-être une attaque bioterroriste !

L’histoire se présente bien, mais je trouve qu’il y a quelques petites failles dans le scénario, failles qui ne peuvent titiller qu’un complotiste comme moi.

Par exemple, au moment de l’écriture de ces lignes, l’histoire nous indique que les seuls pays où les premiers cas du virus ont été confirmés sont les USA, l’Europe, le Canada et l’Australie.
Je cherche la petite bête, mais bon, reconnaissez que ces pays sont relativement peu connus pour leurs colonies de singes et, par voie de conséquence, aucun cas n’est signalé dans les pays qui ont des singes !

Je me demande s’il n’y aurait pas une pointe de racisme que les IELs devraient soulever. On pille l’Afrique et les pays pauvres et on leur vole même leurs maladies !

Je reconnais qu’il y a une petite malhonnêteté de la part des scénaristes. Comme par hasard, l’épidémie démarre dans les pays où la série Covid a le mieux fonctionné… les pays qui ont connu les meilleures ventes de produits de merchandising comme les « vaccins ».

Je voudrais aussi dire aux médecins complotistes qu’ils ne vont pas nous gâcher le plaisir et refaire le coup du Covid en balançant des âneries monumentales comme le fait que « ce n’est pas dangereux et ça se traite ».

Autant TF1 a fait le job en parlant de « 1 % à 10 % de décès », ce qui est super chouette, car largement plus que pour le Covid, mais aussi en nous disant que les enfants étaient largement menacés, ce qui ne peut que nous réjouir et nous donner l’eau à la bouche.

Vivement des images d’enfants mourant dans les hôpitaux après d’horribles souffrances ou les alignements de petits cercueils blancs !

Car pour le Covid, ils avaient beau nous sortir des épisodes dans lesquels il était dit que le Covid était dangereux pour les enfants, on restait sur notre faim. Il y a bien eu quelques grands professeurs pour nous raconter qu’ils avaient des enfants qui mourraient dans leur service… mais la mayonnaise n’a pas pris. Soyons francs, le Sars-cov2 est un virus de merde en ne tuant que des vieux et des malades.

La série était condamnée sans l’idée géniale des scénaristes transformant les petits-enfants en tueurs de grands-parents. L’intrigue n’a été sauvée qu’en imposant confinement, distanciation, gel, masque et en forçant la vaccination des enfants pour nous tenir en haleine pendant des mois. Il faut dire qu’il fallait oser pour rendre moral le sacrifice des enfants pour rassurer des vieux cons qui ont peur de mourir malgré leur vie de merde.

Les premières images de la variole du singe sont pleines d’espoir :

« Ce n’est pas dangereux, mais il y a entre 1 % et 10 % de morts »

ou :

« Il y a des traitements, mais les enfants en meurent aussi ».

À ce titre je voudrais remercier chaleureusement le professeur Caumes qui, sur Cnews, nous a bien dit que les vieux étaient plus protégés parce qu’ils avaient bénéficié de la vaccination obligatoire contre la variole tandis que les jeunes enfants ne sont pas protégés du fait de la fin de cette vaccination obligatoire.

Hélas, j’ai pu lire sur Twitter les annonces « criminelles » du docteur Alain Brugerie(([7] https://twitter.com/brugerie/status/1527758501581398017))…

Entre parenthèses nous payons déjà les annonces d’achat par le complotiste Musk. À quand une implication sans faille du Ministère de la Vérité pour empêcher de pervertir « les cons qui gobent n’importe quoi ».

Ce médecin irresponsable (à moins que cela fasse partie du scénario pour faire du buzz) a écrit :

« La variole du singe est bien moins dangereuse que la varicelle, mais son appellation beaucoup plus » vendeuse » pour affoler les populations déjà terrorisées par l’inoffensif Omicron et c’est bien là le but.

La variole du singe c’est rare, peu contagieux et ça guérit tout seul. Le but de cette médiatisation débile étant évidemment d’entretenir un climat de trouille et de dépendance sanitaire chez les obsédés du Covid et autres hypocondriaques »

Nous ne pouvons qu’être glacés d’effroi face à de tels propos irresponsables incompatibles avec la dictature et l’ultralibéralisme.

Un peu d’histoire avec un petit ou un grand « H », c’est selon…

1820 Vaccination massive antivariolique à Londres.(([8] https://www.bbc.com/news/uk-england-leicestershire-50713991))

1853 Loi vaccination obligatoire avant 3 mois en Angleterre avec fortes sanctions en cas de désobéissance.

1869 Création de la « Leicester Anti-Vaccination League ».

Les parents ne voulaient plus vacciner leurs enfants à cause des effets secondaires graves et une efficacité toute relative. De moins en moins d’enfants sont vaccinés.

1885 Grande manifestation à Leicester suite aux milliers d’amendes pour non-vaccination.

La ville met en place un système de détection et isolement des malades.

« Leicester s’en est bien tiré, avec 370 cas — un taux de 20,5 cas pour 10 000 habitants — entraînant 21 décès. Il s’agissait d’un nombre de cas bien inférieur à celui de certaines villes bien vaccinées comme Warrington (125) et Sheffield (144). »

1898 — La loi sur la vaccination introduit une clause d’« objection de conscience ». Loi dont nous français ne pouvons pas bénéficier.

Selon le magazine Science(([9] https://www.science.org/doi/pdf/10.1126/science.357.6347.115?download=true)) du 17 juillet 2017 :

1900 à 1978

Entre 300 et 500 millions de morts de la variole dans le monde.

Le 21 décembre 1977, F. J. Tomiche, porte parole de l’OMS publiait un article fort « complotiste » dans Le Monde(([10] https://www.lemonde.fr/archives/article/1977/12/21/la-variole-vaincue_2855286_1819218.html)) (texte complet(([11] https://groups.google.com/g/atdlvq/c/O4pok84N22I))).

« Sur le plan stratégique, l’abandon de la vaccination de masse en faveur de l’approche dite de “surveillance-endiguement” revêtit une importance capitale. Elle résulta de deux observations. La première était que même dans des populations vaccinées à 90 % on pouvait assister à des flambées épidémiques. La seconde était qu’avec ce type d’approche, on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation faibles. La méthode consiste en la prompte détection de nouveaux cas, suivie de mesures d’endiguement immédiates, c’est-à-dire la recherche de tous les contacts possibles et leur isolement afin d’arrêter la transmission. »

1980

L’OMS déclare officiellement l’éradication de la variole « grâce au vaccin ».

1990

L’OMS déclare qu’il faut détruire les stocks de souches de variole, mais cela reste un effet d’annonce.

2016

Des chercheurs canadiens recréent le virus de la variole en utilisant des fragments d’ADN commandés en ligne. Leur travail soutiendrait la thèse visant à garder toutes les souches pour se prémunir d’attaques terroristes. Ainsi les chercheurs disposeraient du matériel génétique pour développer de nouveaux vaccins en cas de menace.

Je vous avais promis de vous faire des révélations sur la série et j’invite donc les personnes qui ne veulent pas gâcher le suspense à ne pas lire ce qui suit.

Le 24 septembre 2019, soit avant la sortie officielle de la série « Covid in your ass », la FDA(([12] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-approves-first-live-non-replicating-vaccine-prevent-smallpox-and-monkeypox)) (qui autorise les médicaments aux USA après pot-de-vin) a indiqué :

« The U.S. Food and Drug Administration announced today the approval of Jynneos Smallpox and Monkeypox Vaccine, Live, Non-Replicating, for the prevention of smallpox and monkeypox disease in adults 18 years of age and older determined to be at high risk for smallpox or monkeypox infection. Therefore, although naturally occurring smallpox disease is no longer a global threat, the intentional release of this highly contagious virus could have a devastating effect. »

« La Food et Drug Administration a annoncé aujourd’hui l’approbation du vaccin Jynneos contre la variole et le monkeypox, vivant, non réplicatif, pour la prévention de la variole et de la maladie du monkeypox chez les adultes de 18 ans et plus considérés comme étant à haut risque d’infection par la variole ou le monkeypox. Par conséquent, bien que la maladie naturelle de la variole ne soit plus une menace mondiale, la libération intentionnelle de ce virus hautement contagieux pourrait avoir un effet dévastateur. »

En septembre 2019 des chercheurs ont donc eu l’idée « géniale » de sortir un vaccin contre une maladie qui n’existe plus (je vous dis pas la dépense).
Juste au cas où, par un malheureux « hasard », un taré allait libérer un virus qui n’existe plus dans la nature.

Comment ne pas trouver ce scénario aussi ridicule qu’un Sars-cov2 manipulé par des humains dans un laboratoire connu pour faire des recherches sur le gain de fonction de virus pour ensuite le libérer dans la nature ? C’est là qu’on voit que je ne suis pas scénariste, il n’y a que la World Company pour imaginer un truc pareil.

Attendez, ce n’est pas tout !

Le 4 juin 2021, alors même que nous sommes en pleine saison 2 de « the anal Covid », la FDA(([13] https://www.fda.gov/drugs/news-events-human-drugs/fda-approves-drug-treat-smallpox)) en remet une couche !

« The U.S. Food and Drug Administration today approved Tembexa (brincidofovir) to treat smallpox. Although the World Health Organization declared smallpox, a contagious and sometimes fatal infectious disease, eradicated in 1980, there have been longstanding concerns that the virus that causes smallpox, the variola virus, could be used as a bioweapon.
Because smallpox is eradicated, the effectiveness of Tembexa was studied in animals infected with viruses that are closely related to the variola virus. Effectiveness was determined by measuring animals’ survival at the end of the studies. More animals treated with Tembexa survived compared to the animals treated with placebo »

« La Food and Drug Administration des États-Unis a approuvé aujourd’hui Tembexa (brincidofovir) pour traiter la variole. Bien que l’Organisation mondiale de la santé ait déclaré la variole, une maladie infectieuse contagieuse et parfois mortelle, éradiquée en 1980, on craint depuis longtemps que le virus qui cause la variole, le virus de la variole, puisse être utilisé comme arme biologique.
La variole étant éradiquée, l’efficacité de Tembexa a été étudiée chez des animaux infectés par des virus étroitement apparentés au virus variolique. L’efficacité a été déterminée en mesurant la survie des animaux à la fin des études. Plus d’animaux traités avec Tembexa ont survécu par rapport aux animaux traités avec un placebo »

Je vous sais un public averti, mais je ne résiste pas au plaisir de vous réécrire la phrase suivante :

« La variole étant éradiquée, l’efficacité de Tembexa a été étudiée chez des animaux infectés par des virus étroitement apparentés au virus variolique. »

Ce médicament a donc été autorisé sur des humains en ne testant son efficacité sur aucun homme étant donné que la maladie n’existe plus. Il a ainsi été uniquement testé sur des animaux avec un virus qui ressemble au virus humain. !!!
Dire qu’il existe des personnes qui se méfient de l’industrie pharmaceutique… On se demande bien pourquoi.

Ici encore on dépense des millions pour guérir d’une maladie qui n’existe plus. Quand on connaît cette industrie, sa soif de bénéfices, son désintérêt total pour des maladies orphelines dont le retour sur investissement est nul, son désintérêt total de l’humanité, pourquoi iraient-ils faire des dépenses délirantes pour une maladie sans malades ?

À ce stade de l’histoire, il n’est plus possible de douter de l’humour ravageur des auteurs.

Heureusement que tout ceci n’est que « fiction ».
Qui dans la vraie vie pourrait trouver le scénario crédible ?

C’est aussi délirant que d’imaginer des milliards de terriens demandant à se faire injecter une substance expérimentale à base d’ARN messager jamais commercialisée auparavant et en autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour espérer se protéger d’une maladie qui ne tue que des mourants à qui on a refusé le traitement efficace quasi gratuit.
Scénario tiré par les cheveux…

Quelle est la suite de la série ?

Vous me croirez si vous voulez, mais le scénario complet de la variole du singe a été publié sur le site du NTI(([14] https://www.nti.org/analysis/articles/strengthening-global-systems-to-prevent-and-respond-to-high-consequence-biological-threats/))
Le NTI est une association basée à Washington qui vise à augmenter, entre autres, la sécurité nucléaire.
Si vous allez voir, il n’y a que des gens bien et sérieux dans l’équipe, dormez tranquille.

Le 23 nov. 2021, le NTI publie un article intitulé :

« Renforcer les systèmes mondiaux pour prévenir et répondre aux menaces biologiques à fortes conséquences. »

En mars 2021, soit plus d’un an avant la diffusion de l’épisode pilote, « NTI s’est associée à la Conférence de Munich sur la sécurité pour mener un exercice sur table sur la réduction des menaces biologiques à conséquences élevées. »

« Les participants comprenaient 19 hauts dirigeants et experts de toute l’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Europe avec des décennies d’expérience combinée dans la santé publique, l’industrie de la biotechnologie, la sécurité internationale et la philanthropie. » (philanthropie, ça vous fait penser à qq ?)

Attention, scénario dévoilé !

« Développé en consultation avec des experts techniques et politiques, le scénario fictif de l’exercice dépeint une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle de virus de la variole du singe qui est apparue pour la première fois dans la nation fictive de Brinia (NB c’est “Brinia” et non “Britain” comme pour le premier cas “réel” indiqué par l’OMS) et s’est propagée à l’échelle mondiale pendant 18 mois.
En fin de compte, le scénario de l’exercice a révélé que l’épidémie initiale avait été causée par une attaque terroriste utilisant un agent pathogène conçu dans un laboratoire avec des dispositions de bio-sûreté et de biosécurité inadéquates et une surveillance faible. »

« Les discussions tout au long de l’exercice sur table ont généré une gamme d’idées précieuses et de conclusions clés. Plus important encore, les participants à l’exercice ont convenu que, malgré les améliorations apportées à la suite de la réponse mondiale à la COVID-19, le système international de prévention, de détection, d’analyse, d’alerte et d’intervention en cas de pandémie est terriblement inadéquat pour relever les défis actuels et futurs. Les lacunes dans l’architecture internationale de la biosécurité et de la préparation aux pandémies sont importantes et fondamentales, compromettant la capacité de la communauté internationale à prévenir et à mettre en place des réponses efficaces aux événements biologiques futurs, y compris ceux qui pourraient correspondre aux impacts de COVID-19 ou causer des dommages beaucoup plus graves. »

Il est montré que dans le cadre d’une pandémie il faut donc une réponse globale et non laisser chaque nation décider ce qui est bon ou pas.

Le document (scénario) complet(([15] https://www.nti.org/wp-content/uploads/2021/11/NTI_Paper_BIO-TTX_Final.pdf)) de la série donne plus de détails.

À la page 9 vous avez confirmation de la participation de certains « philanthropes ».

« Dr. Chris Elias
Président, Global Development Division
Bill & Melinda Gates Foundation »

La série doit s’articuler en 3 saisons comme cela est résumé en page 10.

Je vous rappelle que ce wargame a été préparé en mars 2021 en pleine pandémie Covid.
Le monde est en train de mourir, mais eux ont le temps de pondre un nouveau scénario.

La date fictive retenue pour le début de la super production « Monkeypox », ce qu’ils nomment « l’attaque », est le 15 mai 2022.

Nous voyons avec bonheur que les délais ont pu être respectés, le premier cas « réel » s’est déroulé il y a quelques jours le 7 mai 2022 alors que dans le scénario c’était le 15 mai.
Beau boulot quand même !

La saison 1 (premier mouvement, comme une symphonie) débuterait le 5 juin 2022.

À cette date il n’y aurait que 4 morts et comme les cas se produisent dans des pays qui n’ont pas de variole (coïncidence avec la « réalité »), les experts trouvent ça bizarre.

Le séquençage révélera que la souche contient des mutations qui la rendent résistante aux vaccins existants (Ben oui, sinon la série s’arrête là et il n’y a aucun intérêt, réfléchissez une peu).

« La discussion qui a suivi a porté sur la manière dont le système international est positionné pour analyser les indicateurs initiaux du risque de pandémie et de communiquer les avertissements appropriés. »

La saison 2 (deuxième mouvement de la symphonie) débuterait le 10 janvier 2023 soit six mois plus tard.

« À ce moment s’est propagé dans 83 pays avec 70 millions de positifs, causant plus de 1,3 million de décès.

En l’absence de thérapies efficaces connues ou vaccins, les pays ont dû s’appuyer principalement sur des Interventions Non Pharmaceutiques (NPI) pour contrôler la pandémie. »

Là ça devient intéressant et nous rappelle de si bons souvenirs.

On connaît la musique, confinements, gestes barrières, masques, passeports sanitaires, PCR…

« Soulignant des résultats nationaux très différents dans la gestion de la pandémie,
certains gouvernements, dont la République fictive de Dranma, ont rapidement adopté des mesures agressives pour ralentir la transmission du virus en fermant les rassemblements de masse, en imposant des mesures de distanciation sociale et mise en œuvre des obligations de masque.

Ces pays ont également mis en place des tests et une recherche des contacts à grande échelle et intensifié leurs systèmes de soins de santé pour prendre en charge le nombre croissant de cas prévus.

Par contraste, le scénario représente un autre groupe de pays, dont le Cardus fictif, qui ont donné la priorité pour garder leurs économies ouvertes, entreprendre peu ou pas de NPI et minimiser les répercussions. Ces pays ont connu des résultats bien pires en termes de maladie et de mortalité que ceux qui ont répondu tôt et énergiquement. Dranma a connu beaucoup moins de cas et de décès que Cardus. »

CQFD.

N. B. Toute ressemblance avec une série existante ne serait que pure coïncidence.

La saison 3 (3e et dernier mouvement) débuterait le 10 mai 2023 un an après les premiers cas.

Vous allez voir que là on est dans du grand spectacle avec effets spéciaux et tout et tout.. Si Kubrick était encore parmi nous, il pourrait nous refaire le coup et faire toutes les prises de vue, n’étant pas un bleu en la matière.

Au début de la saison 3, nous en serions à plus de 480 millions de cas et 27 millions de décès dans le monde. Là on fait moins les malins, on ne dit plus que « la variole du singe est une petite varicelle ». On ferme sa gueule et on ouvre en grand son trou du cul pour l’avoir bien profonde !

« À ce stade, les participants apprennent que la pandémie a été causée par un attentat bioterroriste régional qui a largement dépassé les objectifs des auteurs. »

Comme quoi on a appris des erreurs du Covid, virus trop gentil qui ne tue quasi personne… « là on n’est pas des pédés, on a mis le paquet » comme dirait Bigard !

Le scénario ne semble pas avoir tenu compte de la sortie d’un vaccin en 2019 et d’un médicament en 2021 ou alors il ne fonctionne pas du fait des mutations, le scénario est à préciser,

Gouverner c’est prévoir, mais là, ça touche au génie.
Pour le Covid ils ont fabriqué un « vaccin » en quelques heures, mais après le début de la maladie.
Pour la variole et pour ne pas être pris de court, ils les ont fabriqués alors même que la maladie n’existait pas.
Et grand bien leur a pris avec l’apparition de la maladie « réelle » en ce début mai 2022.

Ce sera donc durant la saison 3, dans un an, que l’on apprendra que le virus avait été dispersé « dans les gares bondées de Brinia pendant les grandes vacances, alors qu’une grande partie de la population voyageait au niveau national et international. »

C’est bien la preuve qu’il est irresponsable de laisser les gens libres de se déplacer et voyager et la preuve que « la liberté c’est l’interdit », car « il ne saurait y avoir de liberté sans sécurité ».

Les méchants que nous n’avons pas encore identifiés dans la vie réelle (si, si) « ont utilisé des publications scientifiques accessibles au public pour guider leur travail et modifié le virus monkeypox pour le rendre plus transmissible et résistant aux vaccins actuellement disponibles. »

Bref du gain de fonction que ce cher Dr Fauci a largement financé.

Les « gentils gars » du scéna ont discuté des solutions :

« Le système international et les gouvernements nationaux doivent être transformés pour mettre l’accent sur des actions d’anticipation prédéterminées “sans regret” »

Si vous voulez flipper, c’est donc bien le moment.

Pour eux il est évident qu’il serait « efficace » de mettre des enfants de 3 ans positifs dans des camps loin de leurs parents. Si c’est « efficace », alors faisons-le !

Nous sommes bien dans une philosophie sataniste où la fin justifie les moyens « no regret » et il est explicitement dit qu’il faut une gouvernance mondiale, certainement pas une démocratie, mais une dictature mondiale.

Ainsi le « principe de précaution » nécessite de mettre en place toutes mesures préventives nécessaires « sans regret ». Pour éviter le pire, nous sommes bien d’accord que nous devons annihiler toutes libertés.

Sinon l’histoire termine « bien » :

« À la fin de l’exercice, la pandémie fictive a entraîné plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès dans le monde. » 

Ce qui est extraordinaire est qu’ils n’ont pas peur d’affirmer qu’il faut mettre en place toutes les mesures dictatoriales possibles pour finir avec… 270 millions de morts (sur 2 ans ?).

270 millions c’est quand même du bon boulot si on pense que la variole aurait provoqué 400 millions de morts en 80 ans, soit 5 millions par an !

Les discours est désormais bien rodé « nous n’avons eu QUE 270 millions de victimes, mais sans nos mesures liberticides il y en aurait eu 10 fois plus ».

J’aime bien aussi le fait qu’ils écrivent « pandémie fictive »… au moins c’est dit !

Je vous ai transmis leur scénario tel qu’il est écrit noir sur blanc, mais pour l’instant seul le pilote a été diffusé afin de mettre en place les personnages.

Est-ce que la série va prendre ?
Est-ce qu’elle va avoir le même succès que « Covid, we fuck you » ?

Tout ceci est difficile à dire et nous ne sommes pas dans le secret des nouveaux Dieux commandés par Satan.
Les prochains jours ou semaines vont être probablement décisifs.

Les paniqués vont pouvoir avoir de sacrées sueurs froides.

Merci

Alain Tortosa
23 mai 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220523-variole-du-singe-blockbuster.pdf





Merck pousse le vaccin mortel Gardasil sur les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes — Vaccin connu pour causer l’infertilité

[Source : healthimpactnews.com]

[Photo :
Colton Berret et sa mère ont été interviewés lors de la visite en bus de Vaxxed I.
Colton a subi de graves blessures en raison du vaccin Gardasil qu’il a reçu à l’âge de 13 ans et a été paralysé du cou aux pieds.
Il est décédé peu de temps après cet entretien et il a été révélé plus tard qu’il s’était suicidé.]

Par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Après la chute des ventes de leur vaccin à succès contre le VPH, Gardasil, pendant la pandémie de COVID-19, les ventes rebondissent à nouveau, et Merck a maintenant lancé une nouvelle campagne publicitaire ciblant les enfants de 9 ans pour augmenter les ventes de leur vaccin mortel qui a tué et blessé tant de jeunes au fil des ans.

FiercePharma a rapporté cette semaine :

Il est peu probable que les parents d’enfants de 9 ans pensent beaucoup à la possibilité que leur enfant contracte le VPH. Mais une nouvelle publicité télévisée sans marque de Merck leur rappelle que c’est précisément l’âge auquel ils peuvent commencer à vacciner leurs enfants contre le virus du papillome humain pour prévenir de futurs cancers.

Alors que les précédentes publicités de sensibilisation au VPH du fabricant du vaccin Gardasil ciblaient les parents d’adolescents, celle-ci vise un public un peu plus jeune, en s’adressant aux mères et aux pères des enfants plus âgés de l’école primaire. Elle s’ouvre sur une mère qui prend dans ses bras son fils de 9 ans, quelque peu indifférent.

« C’est parti. Quelque part entre un câlin et une lutte : C’est le câlin de côté », dit-elle en voix off. Ce « cap de la préadolescence » peut commencer à 9 ans, ajoute-t-elle, tout comme la vaccination contre le VPH.

Ensuite, il y a un père qui dépose ses deux filles en âge d’aller à l’école. « En tant que « papa taxi », dit-il, c’est à moi d’aider à les protéger. » La publicité se termine par le slogan : « Acceptez cette phase. Aidez à les protéger dans la prochaine » et dirige les spectateurs vers un site web où ils peuvent en savoir plus sur la vaccination contre le VPH.

L’un des effets secondaires les plus dévastateurs du vaccin Gardasil est la ménopause prématurée chez les jeunes filles, les rendant stériles et incapables d’avoir des enfants.

Depuis que Gardasil a été approuvé par la FDA, 70 854 cas [d’effets indésirables] ont été déposés dans le VAERS ( Vaccin Adverse Events Reporting System ), entraînant 605 décès et 3 411 incapacités permanentes. ( Source .)

Cela représente probablement environ 1 % des cas réels. Près de 50 % de ces cas (33 997 cas) ont été signalés chez des enfants de moins de 17 ans, dans la tranche d’âge des 6-17 ans. ( Source .)

Lorsque nous le décomposons encore plus, il est facile de comprendre pourquoi Merck cible les enfants de 9 ans, l’âge le plus jeune pour lequel le vaccin est approuvé, car 33 594 des 33 997 cas pour ce groupe d’âge ont entre 10 et 17 ans. . ( Source .)

Il s’agit donc d’une pure stratégie marketing pour développer leur marché en ciblant les moins vaccinés, les 9 ans.

Je prédis que le Gardasil deviendra le plus grand scandale médical de tous les temps car, à un moment donné, les preuves s’additionneront pour prouver que ce vaccin… n’a absolument aucun effet sur le cancer du col de l’utérus et que les très nombreux effets indésirables qui détruisent des vies et même tuent, n’ont d’autre but que de générer des profits pour les fabricants.

Avant que le COVID-19 ne soit imposé au monde pour justifier les vaccins COVID-19, de nombreux médecins ont déclaré que Gardasil était le plus grand scandale médical de tous les temps, et il n’y a aucune preuve qu’un vaccin qui cible un prétendu « virus » puisse stopper un cancer.

Ayant couvert cette question depuis plus d’une décennie maintenant, je suis convaincu que l’un des principaux objectifs des vaccins chez les enfants est le contrôle de la population.

Le clip suivant de 22 minutes du film Vaxxed II met en lumière le vaccin contre le VPH et les nombreuses interviews de Polly Tommey lors de sa tournée en bus à travers les États-Unis de familles qui ont témoigné des effets néfastes du vaccin Gardasil.

N’oubliez pas que ces informations sur le Gardasil sont connues depuis des années, mais que la position officielle des médias gérés par les grandes entreprises et les grandes sociétés pharmaceutiques est que ce sont des « fake news », et que tous les médecins et tous les scientifiques qui se sont prononcés contre ce vaccin ont été censurés par eux, ou ont été qualifiés de « charlatans » si leurs voix devenaient trop populaires pour être étouffées.

Ils ne veulent pas que vous le sachiez.



Images de quelques-unes des femmes sur lesquelles nous avons rédigé des articles au fil des ans et dont la vie a été détruite par le vaccin contre le VPH. Ceci n’est qu’un échantillon :

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Gardasil a ruiné ma vie

Une fille active de 14 ans dans le Wisconsin souffre de plus de 300 crises après le vaccin Gardasil – Le médecin refuse de considérer la cause du Gardasil par peur de perdre le financement de la recherche

Un adolescent de l’Illinois meurt trois semaines après avoir reçu une injection de vaccin HPV Gardasil

Une infirmière californienne donne le vaccin Gardasil à sa propre fille qui développe une leucémie et meurt

Bébé accidentellement vacciné avec Gardasil – La mère est accusée des blessures causées par les vaccins et le bébé a été kidnappé médicalement

La fille heureuse que j’avais avant le vaccin contre le VPH est partie pour toujours

Iowa Girl Faces Death: La vie détruite par le vaccin Gardasil

Le vaccin Gardasil administré sans consentement et ruine la vie d’une fille de 14 ans

Après 3 ans de souffrance, une jeune fille de 19 ans meurt des suites d’une blessure causée par le vaccin Gardasil

Gardasil : la décision que nous regretterons toujours

La « descente aux enfers » d’une jeune française de 15 ans après le vaccin Gardasil – en fauteuil roulant et paralysée

L’après-vie du vaccin Gardasil : ma fille n’est plus que l’ombre d’elle-même

Gardasil : une expérience qu’aucun enfant ne devrait vivre

Je veux que la vie de ma fille redevienne comme avant Gardasil

Vaccin Gardasil : détruit et abandonné

Un jeune de 15 ans vacciné de force avec Gardasil souffre maintenant de paralysie et de douleur

Récupération de mon cauchemar avec le vaccin Gardasil

Gardasil : Nous avons pensé que c’était le bon choix

« Le vaccin contre le VPH a fait ça à mon enfant »

Un étudiant de 13 ans en championnat du monde de karaté forcé d’arrêter après le vaccin Gardasil

Si je pouvais remonter le temps, Korey n’aurait reçu aucune injection de Gardasil

Ce que les médecins ne vous disent pas : notre histoire d’horreur Gardasil

Une famille se bat contre le gouvernement américain au sujet de l’indemnisation des blessures causées par le vaccin Gardasil

Gardasil : Quand notre cauchemar prendra-t-il fin ?

Blessures causées par le vaccin contre le VPH : « Je ne peux pas commencer à décrire ce que c’est que de voir votre fille vivre dans une telle agonie »

Gardasil : Ne laissez pas votre enfant devenir « un de moins »

Le vaccin Gardasil a changé notre définition de « normal »

Gardasil : J’aurais dû faire des recherches en premier

« Ils ont été dépouillés de leur féminité » – Les médias locaux de Milwaukee couvrent les blessures causées par le vaccin Gardasil

Gardasil : le jour où la vie de notre fille a changé

Gardasil : la décision que je regretterai toujours

Vaccin Gardasil : une fille de plus morte

Gardasil : le pire cauchemar d’un parent

Après Gardasil : Je veux simplement que ma fille en bonne santé revienne

Gardasil : Ma famille souffre avec moi

Gardasil a changé ma santé, ma vie et la vie de ma famille pour toujours

Gardasil : l’expérience de mort imminente d’Ashlie

Gardasil : le pire cauchemar de ma fille

Mon combat personnel après le vaccin Gardasil

Gardasil : La pire chose qui me soit arrivée

Une vie ruinée de Gardasil

Vaccins contre le VPH : mon parcours à travers les blessures au Gardasil

Le côté obscur de Gardasil – Un cauchemar devenu réalité

Un tout-petit à qui on a injecté à tort le vaccin Gardasil développe une forme rare de leucémie

Nous avons publié des centaines d’histoires sur Gardasil au cours des dernières années, et pas seulement des histoires personnelles sur les effets du vaccin, mais aussi des articles révélant la corruption qui a permis à ce vaccin d’être commercialisé, et des études scientifiques publiées, toutes en dehors des États-Unis, montrant à quel point ce vaccin est vraiment dangereux. De nombreux pays, comme le Japon, ne recommandent plus ce vaccin.

Pour la nouvelle classe de médecins superstars qui sont pro-vaccin mais s’opposent aux vaccins tueurs COVID-19, je me demande quelle est leur position sur Gardasil, qui détruit la vie de nos jeunes aux États-Unis depuis plus d’une décennie maintenant.

En savoir plus sur Gardasil




Revue de Presse 22/05/2022

Par MF

REVUE DE PRESSE DU 15 Mai 2022

ÉDITO — « C’est un crime contre l’humanité ! »

S’écrie le Dr Paul Marik, numéro deux dans le monde des soins intensifs, la voix brisée par l’émotion. D’émotion, il n’est nullement question dans le monde des affaires qui s’obstine à promouvoir, fabriquer et vendre ces armes létales, au besoin en utilisant la peur depuis plus de deux ans, même si 17 000 médecins au sommet mondial sur le Covid-19 ont dénoncé ces manipulations. Les preuves s’accumulent de l’inefficacité et des effets nocifs, des mensonges et des fraudes, mais la machine à détruire la santé des populations, et particulièrement des enfants, avance inexorablement. L’immunité s’en ressent, et pourrait expliquer cette soudaine apparition de variole du singe de manière concomitante dans les pays largement vaccinés. Mais à un singe (lucide), on n’apprend pas à faire des grimaces.

IL FAUT IMMÉDIATEMENT RETIRER CES VACCINS DU MARCHÉ !

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La vaccination obligatoire signée Elisabeth Borne ?

L’invention des soignants suspendus sans aucune ressource, c’est elle.

Un flicage numérique pour préparer la vaccination obligatoire

Solution, refuser d’entrer dans le dispositif de « Mon espace santé » d’Ameli…

Brigitte Bourguignon, ministre de la Santé, le 5/01/2022 :

« Derrière les non-vaccinés, il y a un mouvement contestataire qui est violent, qui est très violent, qui est même menaçant avec tous ceux qui se vaccinent ».
« La liberté de ces 10 % s’arrête là où celle des 90 % commence ».

Véran en pire ??

La crise sanitaire a affecté la santé mentale de la population

Et la proposition de soins psychiatriques est dans un état lamentable.

Ces soignants toujours à l’arrêt

https://www.midilibre.fr/2022/05/09/covid-medecins-infirmiers-sages-femmes-ces-soignants-toujours-a-larret-faute-detre-vaccines-10284748.php

« On a perdu notre identité professionnelle, on est traité comme des criminels »

L’Union dentaire demande la réouverture des cabinets de dentistes non vaccinés

https://www.lindependant.fr/2022/05/17/covid-le-vaccin-nempeche-ni-la-transmission-du-virus-ni-de-le-contracter-rappelle-lunion-dentaire-qui-demande-a-macron-la-reouverture-des-cabinets-de-dentistes-non-vaccines-10300274.php

« Les patients ont besoin que ces cabinets dentaires rouvrent au plus vite »

Les urgences. en état d’urgence, dans TOUTE la France

https://www.liberation.fr/societe/sante/dans-toute-la-france-les-urgences-hospitalieres-en-etat-durgence-20220515_SVYKWCXCCVCDFF6VTO3PN4FS6U/

La pénurie de soignants vire à la catastrophe

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/alerte-rouge-aux-urgences-au-moins-120-services-en-difficultes-avant-lete

De mémoire d’urgentiste on n’a jamais connu une telle tension.

Soignants remplacés par des bénévoles au CHU de Bordeaux, tout un symbole

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-soignants-remplaces-par-des-benevoles-au-chu-de-bordeaux-tout-un-symbole/

Symbole d’une destruction programmée des soins hospitaliers et de ville.

Il va y avoir des morts, alerte dans les hôpitaux publics

Plan de bataille qui consiste à déshabiller l’un pour habiller l’autre.

148 millions de nouvelles doses commandées

Des vaccins connus (et inefficaces) et d’autres à venir/peut-être, comme Valneva..

La baisse de l’immunité, une menace plus grande que n’importe quel virus

https://www.epochtimes.fr/laffaiblissement-de-notre-systeme-immunitaire-une-menace-bien-plus-terrible-pour-la-sante-publique-quun-quelconque-virus-2024682.html

Entre vaccins, vieillissement et détérioration de la santé mentale, le système immunitaire est mis à rude épreuve.

ÉTRANGER

Le (second) sommet mondial de la peur

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/17/le-sommet-mondial-du-covid-nouveau-bilderberg-du-vaccin/

Manipulation et scénario du pire pour 3,2 milliards de dollars.

Et son pendant le Global Covid Summit, avec pas moins de 17 000 scientifiques et des révélations massives !



« nous sommes ici pour représenter l’humanité et l’éthique médicale » 

« LES INJECTIONS DE LA THÉRAPIE EXPÉRIMENTALE ANTI-COVID 19 DOIVENT CESSER ! »

Hydroxychloroquine et Ivermectine sont des traitements efficaces, en ambulatoire précoce et même à l’hôpital pour l’IVM, associés à des antibiotiques, du zinc, des vitamines D et C. « Nous devons rendre la confidentialité aux patients et aux citoyens ».

« Les masques de tout type sont inefficaces et potentiellement dangereux »

Nécessité de reconnaître les blessures dues aux vaccins, sous-déclarées, de réintégrer les soignants suspendus, et d’inculper pour fraudes les fabricants des vaccins anti-covid.

Les agences gouvernementales et médicales doivent être tenues responsables.

CHINE, grogne des étudiants contre le renforcement des mesures anti-Covid

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/rare-grogne-etudiante-pekin-contre-les-mesures-anti-covid

et la grogne est notable aussi à Shanghai.

CORÉE DU NORD, confinement national

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/coree-du-nord-larmee-deployee-pour-aider-lutter-contre-lepidemie-de-covid

Contexte de sous-nutrition et système sanitaire déplorable, mais la Corée refuse l’aide étrangère qui lui est proposée (traitements et vaccins).

POLOGNE, des chercheurs alertent sur le traité de l’OMS de prévention des pandémies

https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte

Porte ouverte à la perte de souveraineté des pays et de liberté des citoyens.

SUISSE, pourquoi autoriser un vaccin avec un composant non autorisé pour l’être humain ?

https://www.medias-presse.info/parlement-suisse-comment-se-fait-il-que-swissmedic-autorise-un-vaccin-contenant-un-composant-non-autorise-pour-letre-humain-demande-une-elue/156039/

« Quelles mesures le Conseil fédéral compte-t-il prendre maintenant qu’il en a connaissance ? »

UE, 100 millions de non vaccinés qu’il faudra convaincre sans les discriminer

https://www.businessbourse.com/2022/05/16/virginie-joron-deputee-en-commission-covi-la-commissaire-kyriakides-annonce-la-couleur-pour-la-rentree-priorite-100-millions-de-non-vaccines-en-ue-quil-faudra-convaincre-et-les-cibler/

OMS, le plan des pandémies sur 10 ans à partir de 2020, un film choc !

https://rumble.com/v13ghrb-the-plan-the-who-plans-for-10-years-of-pandemics-form-2020-to-2030.html

En 2017 et 2018, des centaines de millions de tests Covid ont été exportés dans le monde, avec prédiction d’une pandémie en Chine qui ferait des dizaines de millions de morts. En 2017 les Gates annoncés une attaque terroriste dans les prochaines années. Six mois AVANT la pandémie de Coivd le gouvernement australien publiait un guide en cas de pandémie de coronavirus et quatre mois AVANT Bill Gates a organisé un exercice en cas de pandémie de coronavirus, « Event 201 ». Cinq mois AVANT la pandémie l’OMS a donné des instructions aux nations pour se préparer à une pandémie. Le 12 septembre 2019, sommet à Bruxelles sur la vaccination de la population mondiale. Un an AVANT la pandémie, un forum de virologie a réuni des leaders pour expliquer les techniques d’information du public : comment créer la peur avec un faux nombre de décès, un seul discours d’une seule voix, partout, afin de manipuler les populations pour accepter une vaccination.

Quatre mois AVANT, Fauci et Moderna avaient un vaccin déjà prêt. Des scénarii de films ou de BD antérieurs à la pandémie la décrivaient déjà entièrement… Qui a pris le pouvoir pour créer ce mensonge ? D’après l’Australie, cela fait partie du Nouvel Ordre Mondial. Des associations de médecins enjoignent de revenir à la clinique et de ne pas céder à la panique avec des faux positifs, exemples du Mouvement mondial pour la liberté, regroupant médecins et juristes. L’Humanité se lève contre le crime. Espoir pour le futur où chacun doit faire sa part en informant son entourage. Le but de la pandémie est d’installer une dictature mondiale. Toutes ces informations sont révélées dans le « Grand Jury ».

USA, la responsable de la bioéthique veut mettre dans l’embarras les résistants aux vaccins

https://www.francemediasnumerique.net/2022/05/la-responsable-americaine-de-la-bioethique-qui-est-la-femme-de-fauci-a-publie-un-nouveau-document-indiquant-aux-entreprises-quelles-peuvent-ethiquement-faire-pression-sur-les-employes-pour-q/

Encore une qui a juste un « petit » conflit d’intérêt, c’est l’épouse du Dr Fauci !!

JUSTICE

Un employé suspendu réintégré par décision prud’hommale

https://www.nicematin.com/justice/un-veilleur-de-nuit-avait-refuse-la-2e-dose-de-vaccin-la-justice-ordonne-sa-reintegration-a-vence-767071

Une victime d’effets indésirables graves va assigner prochainement Pfizer devant la justice

https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/seine-et-marne/vaccin-anti-covid-la-descente-aux-enfers-d-eloise-2543656.html

Elle a été auditionnée au Sénat avec son avocat le 2 mai.

Mc Kinsey, suspicion de faux témoignage, le bureau du Sénat saisit le Parquet

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/mckinsey-le-bureau-du-senat-saisit-le-parquet-pour-suspicion-devant-la

« il appartiendra au parquet de déterminer les suites judiciaires à donner, dans le respect du principe de séparation des pouvoirs »

Allemagne, pour la Cour Suprême l’obligation vaccinale est constitutionnellement justifiée

https://euroweeklynews.com/2022/05/19/german-compulsory-covid-vaccine-justified/

« le droit à l’intégrité physique est moins important que la protection des personnes vulnérables ».

Glaçant !

COVID

Vérités dérangeantes sur la pandémie

https://reseauinternational.net/russell-blaylock-21-verites-derangeantes-sur-la-pandemie/

Exemple :

« Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des protocoles ont été formulés sur la base des recommandations d’individus et d’institutions qui n’ont jamais traité un seul patient. »

Prédictions évolutives

https://www.vidal.fr/actualites/29225-covid-19-que-nous-reserve-l-avenir.html?cid=eml_001747

Avec prudence, des auteurs plaident pour une évolution endémique

Covid-19, les mensonges dévoilés, un réquisitoire contre la gestion sanitaire US

Attaques sans précédent contre des médecins, fausses études, médias sous contrôle des géants pharmaceutiques, interdiction des traitements précoces et protocoles mortels de « soins » hospitaliers, fausse pandémie, mandats de vaccination, endoctrinement, refus d’autopsies post-injections, utilisation de médicaments toxiques, augmentation de troubles psychologiques graves. Il est temps de mettre fin à cette folie et de traduire ces personnes en justice.

INJECTIONS

Un vaccin à base de plantes ?

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-vaccin-anti-covid-19-prometteur-produit-plantes-96743/

Étude randomisée en cours, mais sur un échantillon bien petit.

Les promoteurs de la vaccination universelle sont coupables de crimes contre l’humanité

https://www.epochtimes.fr/selon-lancien-vice-president-de-pfizer-les-personnes-ayant-promu-la-vaccination-universelle-sont-coupables-de-crimes-contre-lhumanite-2026602.html

Michael Yeadon l’immunité naturelle est plus forte que toute protection conférée par les vaccins

Les mensonges éhontés du CDC relayés par le BMJ

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/bmj-gate-interpretation-manipulee-des-donnees-statistiques

Le CDC nie l’évidence mondiale de l’échec des pseudo-vaccinations.

Mensonge dans les essais Pfizer par un médecin de la Fondation Gates

Heureusement que les documents Pfizer n’ont pas attendu 75 ans pour être divulgués !

La fraude scientifique des tests de sécurité de Pfizer

https://www.covid-factuel.fr/2022/05/07/pfizer-et-les-tests-de-securite-fraude-scientifique/

L’absence de preuve de préjudice n’est pas une preuve d’absence de préjudice !

Libé ment en disant « vérifier »

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-verificateur-des-faits-de-liberation-pris-la-main-dans-le-sac-a-faknews-par-le-dr-g-delepine/

Quand on n’est ni médecin ni statisticien, il est dangereux de s’aventurer sur des terrains périlleux.

Il serait temps de réfléchir avant de vacciner aveuglément toute la population y compris les porteurs de maladies auto-immunes

https://www.aimsib.org/2022/05/15/les-porteurs-de-maladies-auto-immunes-sont-ils-si-rares-quon-peut-les-vacciner-sans-reflechir/

Qui représentent 1/5 de la population !

Vaccins et rappels de moins en moins efficaces et de plus en plus nocifs

https://infodujour.fr/sciences/57831-covid-19-les-vaccins-et-rappels-de-moins-en-moins-efficaces-et-de-plus-en-plus-nocifs

Les affections cardiovasculaires directement liées aux vaccins à ARNm sont en forte progression, ainsi que le syndrome d’immunodéficience acquise, catastrophe à venir.

EFFETS INDÉSIRABLES

Le vaccin anti-covid doit être immédiatement retiré du marché

https://nouveau-monde.ca/le-vaccin-anticovid-doit-etre-immediatement-retire-du-marche-dans-le-monde-entier/#identifier_5_36343

« Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur ». 

L’OPECST est au courant des effets indésirables des vaccins

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/emmanuelle-darles-vincent-pavan-rapport-opesct

et particulièrement pour les enfants, que 12 millions de doses attendent à l’automne !

Les injections favorisent l’augmentation des cancers

https://nouveau-monde.ca/refusons-la-poursuite-des-injections-anticovid-qui-favorisent-laugmentation-des-cancers/

« Le pseudo vaccin anticovid n’est pas un vaccin mais un modificateur des gènes »

ISRAËL, augmentation des pathologies cardiaques pendant le premier semestre 2021

https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-problemes-cardiaques-israel-vaccination

Augmentation chez les jeunes depuis la campagne de vaccination, qui ne peut plus être ignorée.


C’est un crime contre l’humanité, il n’est pas trop tard pour soigner les victimes.

Et si l’hépatite des bébés au Royaume-Uni était due à un virus mutant dérivé des vaccins ?

https://reseauinternational.net/les-hepatites-aigues-des-bebes-au-royaume-uni-premier-boomerang-des-vaccins-anti-covid/

Une alerte du Dr De Lorgeril à prendre au sérieux.

Les pays riches victimes de la politique sanitaire anti-Covid

https://nouveau-monde.ca/les-pays-riches-victimes-de-loms-et-de-la-politique-du-tout-vaccin/

Paradoxe : la corruption des pays riches les a condamnés, la pauvreté d’autres pays les a sauvés.

L’APRÈS COVID

Infected, la BD qui prévoyait une pandémie mondiale, en 2012 !

https://qactus.fr/2022/05/21/europe-saviez-vous-que-lue-prevoyait-deja-lepidemie-de-monkey-pox-oui-dans-une-bd-de-2012-tres-explicite/

No comment, tout y était...

Mars 2021, exercice de simulation d’une épidémie de Monkey-Pox

https://www.nti.org/analysis/articles/strengthening-global-systems-to-prevent-and-respond-to-high-consequence-biological-threats/

Le scénario fictif de l’exercice mettait en scène une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe. Depuis, un vaccin a été fabriqué. On prend les mêmes et on recommence ??

Ne pas confondre la variole du singe avec la variole humaine

https://www.lindependant.fr/2022/05/19/virus-monkeypox-fievre-douleurs-pustules-quels-sont-les-symptomes-de-la-variole-du-singe-10304716.php

La mécanique de la peur, bien huilée, est enclenchée.

RÉSISTANCES

OMERTAS

https://www.kairospresse.be/omertas-medicale-vaccinale-mediatique-politique/

Diane Protat avocate, Mélodie, fondatrice de Ouestmoncycle, Marco Pietteur, éditeur.

Laurence Kayser gynécologue-obstétricien.

Penser le totalitarisme, Ariane Bilheran et Slobodan Despot

Kit de survie psychologique en situation de crise

Mieux comprendre pour mieux réagir :






Revue de Presse 14/05/2022

Par MF

REVUE DE PRESSE DU 9 MAI 2022

ÉDITO — Moins ça marche, plus on continue !

Les preuves de l’inefficacité des vaccins anti-covid s’accumulent, qu’à cela ne tienne, on commande toujours des lots, y compris pour les enfants, on jette ceux qui sont périmés (en d’autres temps, on aurait appelé ça « jeter l’argent par les fenêtres »), on élargit le spectre des personnes habilitées à vacciner, y compris sans prescription médicale, et on accumule des données effrayantes sur les effets indésirables des injections, de l’hépatite auto-immune au syndrome d’immunodéficience acquise, du Creutzfeld-Jacob à la stérilité, n’en jetez plus il y en a 80 000 pages pour Pfizer et même l’ANSM détaille les effets de l’AstraZeneca !

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

L’OMS révèle ses techniques de manipulation de masse

Ce qui peut expliquer l’uniformité des stratégies européennes. Ça sent le McKinsey..

Le pire est à venir pour les enfants, la vaccination obligatoire

https://www.francesoir.fr/opinions-editos/allons-enfants-de-la-patrie-2

Jusqu’où iront-ils ?

Modalités de la vaccination des enfants et calendrier des directives

Au passage, on notera la disparition de l’avis médical…

La Réunion, dose de rappel obligatoire pour les soignants

https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/obligation-vaccinal-les-soignants-bientot-soumis-a-une-nouvelle-dose-de-rappel-pour-continuer-a-exercer-1283168.html

Interdits d’exercer et ne pouvant pas se faire remplacer, le bras de fer se poursuit entre autorités et soignants.

Une citoyenne blessée accuse les médias

https://www.francesoir.fr/politique-france/une-citoyenne-blessee-accuse-les-medias

et demande le retrait du titre « les non-vaccinés mettent en danger les vaccinés ».

Les preuves du crime dans le CSI du 12 mai 2022

Grand banditisme, et perversion des médias mainstream.

Un humain génétiquement modifié est-il brevetable ?

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/06/ladn-humain-modifie-est-brevetable-un-humain-genetiquement-modifie-lest-il-egalement/

Une marche de plus vers l’enfer sur terre ?

D’autres pandémies à venir ?

https://www.midilibre.fr/2022/05/07/apres-le-covid-des-virus-emergents-inquietent-depuis-peu-les-scientifiques-a-quoi-faut-il-sattendre-10281113.php

Toujours le même discours pour faire peur, et la solution proposée, des vaccins !

Constat de l’état de l’AP-HP

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-martin-hirsch-a-lap-hp-des-annees-de-mauvaises-decisions-1406015

Un gâchis !

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-martin-hirsch-a-lap-hp-des-annees-de-mauvaises-decisions-1406015

Et le cynisme en prime !

ÉTRANGER

ALGÉRIE, chantage de Pfizer

https://www.jeuneafrique.com/1171814/politique/coronavirus-lalgerie-accuse-pfizer-de-chantage/

Et les gagnants sont… les vaccins chinois et russes !

CHINE, le confinement de Shanghai n’est pas une mesure sanitaire

Paranoïa de contrôle et préparation de la réélection du président.. . à vie ?

Et

Baisse des cas mais renforcement des restrictions

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/11/nouveau-resserrement-du-confinement-a-shanghai/

Pénurie de nourriture, hausse des prix, difficultés d’accès aux soins...

Et

Des employés s’enfuient de l’usine où ils étaient confinés

https://www.francesoir.fr/politique-monde/confinement-centaines-chinois-ont-fui-lusine-de-quanta

dans des conditions de travail et de vie insoutenables, sans pouvoir rentrer chez eux...

ITALIE, le cri d’alarme d’une députée contre l’obligation vaccinale

https://nouveau-monde.ca/nouveau-cri-dalarme-de-la-deputee-italienne-sarah-cunial-contre-lobligation-vaccinale/

Elle s’adresse au Pape « Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »

ITALIE, moratoire sur la vaccination à l’initiative d’un avocat

https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-confederation-legale-pour-les-droits-de-lhomme-exige-moratoire-vaccination

Manifeste signé par plus de 167 000 citoyens.

UE, comment elle s’apprête à confisquer nos données de santé

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/06/comment-lue-sapprete-a-confisque-nos-donnees-de-sante/

Le transfert progressif de notre souveraineté sanitaire vers l’Union, puis un jour vers l’OMS, est en marche.

L’OMS affole la presse avec 15 millions de morts du Covid

https://www.francesoir.fr/societe-sante/oms-15-millions-morts-covid-surmortalite-presse

Surmortalité liée aux mesures anti-covid et aux statistiques biaisées.

USA, combien Pfizer a-t-il payé à la FDA pour que son vaccin soit approuvé ?

https://vaccineimpact.com/2022/just-released-documents-by-pfizer-show-biontech-paid-fda-2875842-00-drug-user-fee-for-covid-19-vaccine-approval/

2875 millions de dollars !! Qui peut croire que ce vaccin devait protéger la population ??

USA, nouveau scandale, paiements occultés à Fauci et membres du NIH

https://www.epochtimes.fr/nouveau-scandale-350-millions-de-dollars-de-paiements-occultes-destines-a-fauci-collins-et-dautres-membres-des-nih-2022660.html

« Nous pensons qu’il existe un énorme conflit d’intérêts inhérent aux NIH »

L’État profond travaillait contre Trump pour gérer l’épidémie de Covid

https://www.epochtimes.fr/letat-profond-travaillait-contre-trump-reponse-covid-19-ancien-conseiller-departement-de-sante-devoile-2021175.html

« 90 % des personnes en 2020 et 2021, qui ont été désignées comme positives au Covid avec des tests PCR étaient faussement positives ». « Nous aurions pu gérer cette pandémie simplement en protégeant correctement les personnes vulnérables et en permettant à tous les autres de vivre une vie normale, de s’exposer naturellement et sans danger en étant immunisés naturellement », poursuit le Dr Alexander.

Pourquoi lancer un mandat d’arrêt contre Fauci ?

https://nouveau-monde.ca/pourquoi-lancer-un-mandat-darret-contre-le-docteur-de-lamerique-anthony-fauci/

Exposé détaillé des individus et sociétés responsables des stratégies de la pandémie et de leurs mensonges, à lire absolument !

JUSTICE

Trois médecins devant le Conseil de l’Ordre pour avoir prescrit des antihistaminiques

https://www.francesoir.fr/societe-sante/medecins-haute-savoie-antihistaminiques-conseil-de-lordre

Où commence et s’arrête la liberté de prescrire ?

Afrique du Sud, McKinsey, encore lui !

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/05/05/afrique-du-sud-mckinsey-et-les-societes-de-conseil-bouscules-par-les-scandales-de-corruption-de-l-ere-zuma_6124911_3212.html

Rapport de la commission Zondo consacré au pillage des caisses de l’État dans les années 2010.

INDE, la Cour suprême juge la vaccination obligatoire anticonstitutionnelle

https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-cour-supreme-indienne-juge-la-vaccination-obligatoire-anti-constitutionnelle

Respect de l’intégrité physique et de l’autonomie personnelle… à quand dans le monde ?

USA, le Missouri et la Louisiane intentent un procès à Biden, Fauci, etc.. pour collusion avec les réseaux sociaux (censure sur le covid et les vaccins)

https://nypost.com/2022/05/05/biden-sued-for-colluding-with-big-tech-to-suppress-free-speech-on-hunter-laptop/

et l’Arizona délivre un mandat d’arrêt contre Fauci pour avoir caché des traitements

https://reseauinternational.net/larizona-delivre-un-mandat-darret-contre-fauci-pour-avoir-cache-des-medicaments-et-des-traitements-salvateurs-contre-le-covid-au-public/

COVID

Les sous-variants BA4 et BA5

https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/04/30/omicron-ce-que-lon-sait-des-sous-variants-ba-4-et-ba-5

Apparus en Afrique du Sud, leur pouvoir infectieux est élevé et leur devenir épidémiologique inconnu à ce jour.

TRAITEMENTS ET PRÉVENTION

Aucune incidence du port du masque chez les enfants sur le taux de contamination

https://reinfocovid.fr/science/aucune-correlation-entre-le-port-du-masque-et-le-taux-de-sars-cov2-chez-les-enfants/

Les plus jeunes ont des indicateurs de transmission inférieurs à ceux des plus âgés.

USA, les hôpitaux payés pour utiliser un traitement inefficace et dangereux

Remdesivir, Paxlovid, Molnupiravir, 10 fois plus chers que l’ivermectine, efficace et non toxique.

INJECTIONS

La DREES affiche une chute d’efficacité des vaccins

https://www.francesoir.fr/societe-sante/drees-efficacite-vaccins

Les vaccinés sont surreprésentés dans les hospitalisations et décès.

Moderna ira jusqu’au bout alors que son vaccin est déconseillé aux moins de 30 ans !

https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-lagence-europeenne-des-medicaments-examine-lutilisation-du-vaccin-de-moderna-chez-les-moins-de-5-ans-05-05-2022-SGV56EUKHJE77CBVF2KV35GUZ4.php

Les enfants n’ont rien à craindre du Covid, mais tout des vaccins, il faut le répéter !!

EFFETS INDÉSIRABLES

Le 24 mai le Dr Amine Umlil sera auditionné au Sénat sur les effets indésirables des vaccins

https://www.francesoir.fr/politique-france/amine-umlil-auditionne-au-senat-le-24-mai

Audition publique et retransmise sur internet.

Allemagne, une étude confirme l’hépatite auto-immune sévère induite par le vaccin

https://lesakerfrancophone.fr/une-nouvelle-etude-confirme-que-le-vaccin-covid-provoque-une-hepatite-auto-immune-severe

Arrêtons la vaccination des enfants !!

Allemagne, le sang est modifié chez TOUS les vaccinés

https://www.kla.tv/Interviews-fr/22503

Il est possible de faire la distinction selon le statut vaccinal, ce qui pose la question d’un délit.

Allemagne, des complications 40 fois plus importantes que celles du rapport Ehrlich

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-contre-le-sars-cov-2-une-etude-allemande-fait-etat-deffets-secondaires

Un demi-million d’effets secondaires graves !!

Royaume-Uni : Syndrome d’immunodéficience acquise après 3 doses

https://planetes360.fr/les-donnees-officielles-indiquent-que-les-personnes-triplement-vaccinees-developpent-le-syndrome-dimmunodeficience-acquise-a-un-rythme-alarmant/

Système immunitaire décimé, favorisant infections et cancers.

Déni concernant les effets très graves des injections chez les femmes enceintes

https://nouveau-monde.ca/pourquoi-un-tel-deni-des-effets-graves-des-vax-anticovid-chez-les-femmes-enceintes/

ANSM : AUCUN signal de sécurité n’existe à ce jour !!

Et

https://www.aimsib.org/2022/05/08/vacciner-les-femmes-enceintes-est-une-folie-absolue/

Ou comment clouer le bec d’un Conseiller Ordinal en manque d’informations valides !

80 000 pages d’effets indésirables décryptés (documents de Pfizer)



Alexandra Henrion-Caude les décode pour Radio Courtoisie.

Creutzfeld-Jacob, Pfizer dès 2020 avait signalé des contaminations du vaccin !!



mais envisagé seulement un risque théorique.

L’ANSM détaille tous les effets indésirables de l’AstraZeneca

https://www.lelibrepenseur.org/covid-19-lansm-detaille-tous-les-effets-indesirables-lies-au-vaccin-dastrazeneca/

Et la liste s’allonge…

Refuser l’obligation vaccinale prévue et informer, informer...

https://nouveau-monde.ca/refuser-lobligation-vaccinale-prevue-informons-chaque-jour/

Pour rappel, un accident indésirable sur 5 est un trouble cardiaque.

RÉSISTANCES

Conseil scientifique indépendant du 5 mai 2022

Hélène Banoun :

« La minute d’actu »

Claude Escarguel :

« “Les coopérations bactéries/virus et leurs implications thérapeutiques dans la prévention des formes graves et longue de Covid” »



HOLD-OUT, le film après Hold-up et Hold-on

https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/pierre-barnerias-hold-out

3e volet de ce documentaire avec des intervenants prestigieux.

Et

https://rumble.com/v134m5x-hold-out-film-complet-par-le-collectif-de-journalistes-indpendants-citizen-.html

et

https://dissidencetv.fr/19/04/2022/sante/covid-19/hold-out-film-complet/

12 min Base de données EMA, disparition des cas déclarés de décès d’enfants au fil du temps.

22 min, images impressionnantes de structures évoquant un champignon dans le vaccin Moderna, 24 min identification d’un ver de type helminthe, et structures non identifiées, organisées en ligne, le tout indique que les vaccins ont été conçus depuis longtemps.

47 min, des structures triangulaires (qui n’existent pas dans la nature)

Oxyde de graphène (totalement interdit !), transformant le corps humain en émetteur-récepteur ? Produits toxiques, comme le PEG induisant une réaction adverse du corps risque de maladies auto-immunes.

1 h 23, excipient du Janssen, formation d’une structure foliée, et de formes rondes se multipliant sous le microscope (phénomène microtubulaire soumis à une influence magnétique ??). Etc.




Le « vaccin » anticovid doit être immédiatement retiré du marché dans le monde entier

Par Nicole Delepine

Les politiques et singulièrement les futurs députés ne devraient pas détourner la tête.

Ils ne pourront pas plaider l’ignorance et l’absence d’informations fiables. Leur responsabilité tant éthique, morale que légale sera engagée s’ils votent, comme les précédents des lois conduisant à une obligation d’injection expérimentale pour pouvoir continuer à travailler.

Mme la Première Ministre E. Borne qui en tant que ministre du Travail à l’époque, porte une lourde responsabilité dans sa décision de DISCRIMINER les personnels de santé non vax et de plus de les suspendre sans rémunération, sans chômage, les réduisant à la mendicité de fait, et ce sans aucune justification scientifique.

Il serait souhaitable qu’elle-même et son directeur de cabinet se plongent dans les documents PFIZER afin de libérer MAINTENANT les suspendus et que surtout ils ne s’engagent pas dans la prolongation du tout vaccin et singulièrement chez les enfants. Ils ne pourront pas plaider l’ignorance.

Il serait indispensable que tous les citoyens s’informent eux-mêmes à travers ces rapports et surtout donnent ces éléments à toute personne désireuse de représenter le peuple. Lettres, appels téléphoniques, discussion en meetings électoraux, prise de rendez-vous avec les élus et/ou futurs élus potentiels sont des méthodes efficaces et légales que chacun peut tenter plutôt que désespérer dans son coin. À nous tous nous pouvons les informer, sachant qu’à l’assemblée, ils ne le sont essentiellement que par les lobbies de Big Pharma. Il en va de la santé de nos enfants et de la survie de l’humanité.

Les pseudovax anticovid sont dangereux : Pfizer l’avoue

Depuis son entrée fulgurante dans la vie des Terriens, conduisant à l’injection de milliards d’individus dans le monde, la vérité est criante pour tous ceux qui n’ont pas un masque sur les yeux… INEFFICACITÉ ET DANGEROSITÉ.

Des millions de morts rapidement après la piqûre — près de 70 000 en additionnant seulement les chiffres officiels d’EudraVigilance et du VAERS, et des millions de complications de gravité variable.

« 69 053 décès liés à l’injection de Covid-19 et 10 997 085 blessés pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni combinés pour une population de 830 millions de personnes (à la date d’avril 2022).

Basé sur les cas signalés. Seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le fastidieux processus de notification des décès et des événements indésirables liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales. Sur la base de données historiques (Electronic Support for Public Health—Vaccine Adverse Event Reporting System—ESP:VAERS, p. 6) »

Nous apprenons que Pfizer SAVAIT d’emblée au fil des nouvelles révélations dont la justice américaine a obtenu la publication. Ces documents déclarés « secrets » par la FDA et dont chaque livraison de pages supplémentaires apporte son poids de découvertes tragiques.(([1] En intégralité Pfizer’s Documents — Public Health and Medical Professionals for Transparency (phmpt.org)
Examiner le rapport de christine cotton
Evaluation des essais PFIZER — Christine COTTON (1ere-page.fr) Audition OPECST — Christine COTTON (1ere-page.fr)
Liste des effets secondaires à surveiller-Pfizer-avril 2021 (yetiblog.org) 9 pages serrées))

L’interview vidéo ci-dessous publiée par mondialisation.ca avec le professeur Michel Chossudovsky détaille ce rapport confidentiel de Pfizer dont la publication a été obtenue par une procédure d’accès à l’information (FOI)(([2] Vidéo : Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l’homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([3] HORIZON POLITIQUE — LE VACCIN COVID ET LE RAPPORT SECRET DE PFIZER (odysee.com) )) et les conclusions fondamentales qu’il en tire.

Dès février 2021, la FDA disposait déjà de données majeures qui confirmaient que le pseudo vaccin était suivi d’une mortalité quotidienne supérieure à celle de l’évolution naturelle prévue ; le vaccin Pfizer était plus dangereux que le virus. IL AURAIT DÛ ÊTRE RETIRÉ.

Regardez l’ensemble des courbes qui défilent au début de la vidéo du professeur Michel Chossudovsky sur de nombreux pays dont les données sont disponibles.

En Autriche la mortalité post vaccinale observée [en bleu] a été plus forte que celle attendue sans vaccin [en pointillés rouges] :

Mais aussi de manière plus marquée en Équateur :

Comme en Turquie :

Ou en Inde ou le début de la vaccination a été suivie d’une forte poussée de mortalité :

En juin 2021 nous ignorions tout de ce rapport, mais nous avions remarqué, sur les données de l’OMS, une aggravation nette de la mortalité durant environ deux mois suivant les campagnes de vaccination que nous avions qualifiée d’hécatombe post vaccinale(([4] G Delépine Nouveau Monde 6 9 2021
https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))(([5] G Delépine L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde.
https://www.mondialisation.ca/lhecatombe-post-vaccinale-setend-dans-le-monde/5656922.)).
Mais les dénégations mensongères des médias et de leurs professionnels de la désinformation(([6] https://www.lamontagne.fr/paris-75000/actualites/non-il-n-existe-pas-d-hecatombe-post-vaccinale_13955101/)) avaient réussi à dissimuler ces faits avérés à la population.

Pfizer a répertorié de très nombreux effets secondaires dans son rapport « confidentiel » bien détaillé. Au vu de ces données, Pfizer aurait dû retirer son vax à cette date et plaider l’homicide involontaire. En poursuivant cette commercialisation, il passe dans le registre du meurtre selon ce professeur.

Ce rapport disponible sur internet, dont les médias ne parlent pas et que les gouvernements veulent ignorer, prouve la responsabilité de Pfizer et de la FDA et démontre sans équivoque que le vax aurait dû être retiré dès février 2021.

« Le rapport est une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 déclarations de décès possiblement causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables, dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.

Ce rapport confidentiel de Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une très courte période [au plus deux mois et demi].

Ce qui est contenu dans le rapport “confidentiel” de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du “vaccin” sur la mortalité et la morbidité. Ce document confidentiel a été lu par la FDA.

Ces données qui peuvent maintenant être utilisées pour affronter et pour étayer des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias. »

Video : Le rapport « secret » de Pfizer avec Prof. Michel Chossudovsky

« Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel de Big Pharma [associées aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales de l’UE, du Royaume-Uni et des États-Unis] sont irréfutables : parce que ce sont leurs données et leurs estimations et pas les nôtres. ». 

« N’oubliez pas qu’il s’agit de données basées sur des cas signalés et enregistrés, qui constituent un petit pourcentage du nombre réel de décès et d’événements indésirables liés au vaccin. 

Il s’agit de facto d’une reconnaissance de la part de Pfizer. Oui c’est un vaccin tueur. »

Il n’y a pas de doute ni d’hésitation justifiée quand c’est un poison. Il faut retirer ce produit et ce n’est pas aux citoyens désinformés « de choisir » alors que l’on ne leur assène que des mensonges sur les ondes.

Selon ce professeur canadien :

« Pfizer était parfaitement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part de Big Pharma.

Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur. 

C’est aussi une reconnaissance et une trahison de la part des agences sanitaires [FDA,E MA] et des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont soudoyés par Big Pharma. »

Mr le PR Chossudovsky rappelle que de plus le labo Pfizer a un dossier criminel aux USA depuis 2009 :

Ce rapport ne peut pas être traité de fake news. C’est un rapport qui confirme la responsabilité criminelle sous-jacente basée sur les documents de Pfizer lui-même. C’est aux avocats de prendre les choses en main.

Le message aux avocats canadiens : ce rapport est un instrument à utiliser dans les procédures et c’est l’opportunité de mener une action en recours collectif pour les milliers de canadiens à l’endroit de Pfizer et des entités publiques collaborant avec Big Pharma.

Il nous semble que les avocats du monde entier pourraient également entendre ce conseil.

LES INJECTIONS ANTICOVID SONT DANGEREUSES

IL FAUT REFUSER TOUTE PIQÛRE OU BOOSTER [car la toxicité est cumulative].

PROTÉGEZ LES ENFANTS ET L’AVENIR EN INFORMANT ENCORE ET ENCORE POUR COMPENSER LA DÉSINFORMATION MÉDIATIQUE MASSIVE.

REGARDEZ SANS ŒILLÈRES LES ACCIDENTS QUI SE MULTIPLIENT AUTOUR DE VOUS.

J’ai publié hier soir un papier montrant la multiplication des rechutes brutales et des nouveaux cancers après vaccin anti-covid. En moins de 24 h j’ai reçu des dizaines de mails de témoignages. Ce n’est pas une hallucination.(([7] Refusons la poursuite des injections anticovid qui favorisent l’augmentation des cancers — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Les pilotes de ligne, les personnels navigants et des organisations commerciales de l’aviation appellent aussi à l’arrêt des vaccinations obligatoires et du déni des effets secondaires. Ils exigent le retour aux mesures de sécurité dans l’aviation.(([8] Global Coalition Statement: Commercial Aviation and Pilot Vaccine Injury 17/05/22 (substack.com) ))

REFUSONS ENSEMBLE CES INJECTIONS, LES PASS, LES DISCRIMINATIONS, ET LES CONTRÔLES NUMÉRIQUES. SI LA PEUR DU VIRUS EST REMPLACÉE PAR LA PEUR DU VAX, LE GOUVERNEMENT NE POURRA RIEN IMPOSER. LEUR FORCE NE VIENT QUE DE NOTRE SOUMISSION.




Appel aux professionnels du monde de l’aviation et aux passagers pour un retour à la sécurité des vols

Il est temps de stopper cette pseudovax mondiale qui démolit tous les secteurs. Lisez et diffusez cet appel à la raison.

LETTRE OUVERTE MONDIALE DE LA COALITION DE L’AVIATION CONTRE L’OBLIGATION VACCINALE ET LA SUPPRESSION DES NORMES MÉDICALES DE L’AVIATION

Dicton de l’aviation : « s’il y a un doute, il n’y a pas de doute »

APPEL URGENT À DIFFUSER LARGEMENT

Il en va de la sécurité de tous, professionnels et voyageurs. Pourquoi une telle indifférence, un tel déni ?

Au-delà des cris d’alerte de pilotes et personnels navigants depuis plusieurs mois à la suite des accidents et risques majeurs liés aux atteintes cardiaques survenues en vol ou dans les minutes qui ont suivi l’atterrissage, au désespoir des pilotes « qui ne pourront plus jamais voler » une coalition internationale de professionnels et d’organisations internationales de l’aviation lancent une nouvelle alerte majeure. Lisez et partagez. Il en va de notre santé, de notre sécurité, de l’humanité de notre monde. Ne le laissons pas détruire de toute part.

Déclaration de la Coalition mondiale : Accidents de l’aviation commerciale et des accidents liés aux vaccins chez les pilotes 17/05/22

Signataires du Canada, du Royaume-Uni, des États-Unis, de l’Australie, de la France, des Pays-Bas, de la Suisse et d’organismes internationaux de l’aviation, de la médecine, de la science et de l’éthique.(([1] https://gaacoalition.substack.com/p/global-coalition-statement-commercial?utm_campaign=post_embed&s=))

Téléchargez et lisez la « Déclaration de la Coalition mondiale sur l’aviation commerciale et les blessures causées par les vaccins covid chez les pilotes » ici (le texte intégral suit ci-dessous) [en anglais] :

(Déclaration de la Coalition mondiale sur les 220 517 pilotes sur les blessures causées par les vaccins
433 Ko ∙ Fichier PDF)

Texte de la lettre ouverte mondiale :

17/05/2022

« La sécurité au sein de l’aviation professionnelle s’est considérablement améliorée au cours des dernières décennies. Cela est dû en grande partie à une culture de “sécurité juste” fondée sur une communication ouverte et l’auto-divulgation des erreurs ou des tendances négatives en matière de sécurité. Cela nécessite la participation active de tous les équipages de conduite pour être efficace.

Les pilotes sont formés pour être des analystes prudents de leur environnement, reconnaître les risques et atténuer activement.

Pour beaucoup, leur formation et leur analyse différentielle des risques ont suscité des préoccupations et des conclusions négatives concernant la compatibilité de la vaccination contre la COVID-19 avec la santé et la sécurité des vols. Non seulement de nombreux pilotes n’étaient pas d’accord avec les exigences arbitraires incarnées dans les obligations de vaccination, mais ils ont également vu des risques dans les questions sans réponse et la rapidité et la pression injustifiées derrière les déploiements de vaccins.

Ils ont fait pression sur leurs compagnies aériennes et leurs politiciens, recommandant la prudence et s’opposant aux obligations.

De nombreux pilotes ont également demandé conseil aux organismes de réglementation de l’aviation civile. Ces organismes de réglementation sont ultimement responsables du transport sûr et sécurisé des citoyens, mais la plupart, sinon tous, ont activement ignoré leurs propres recommandations de sécurité contre la consommation de drogues non prouvée et non approuvée par les équipages de conduite

. Transports Canada, par exemple, a simplement supprimé cette directive en ligne la semaine suivante à la suite de nombreuses questions écrites et pointues à ce sujet.

Une fois que les compagnies aériennes ont rendu obligatoire la vaccination, de nombreux pilotes ont fermement refusé en raison du risque et ont ensuite été mis en congé sans solde ou carrément licenciés. Des professionnels de principe ont été forcés de quitter l’aviation et l’industrie a perdu des centaines de milliers d’heures d’expérience.

Aujourd’hui, l’industrie mondiale du transport aérien se dirige vers une grave crise de personnel. Des milliers d’autres pilotes ont été contraints de se faire vacciner pour subvenir aux besoins de leur famille. Cela a eu un impact négatif sur leur santé mentale.

Aussi terrible que tout cela puisse paraître, il ne fait que préparer le terrain pour ce à quoi nous assistons aujourd’hui : un paysage qui devrait grandement préoccuper les compagnies aériennes et le public voyageur. Les groupes de défense des pilotes soussignés, les scientifiques et les médecins entendent quotidiennement des pilotes de ligne blessés par la vaccination. Ces méfaits comprennent les problèmes cardiovasculaires, les caillots sanguins, les problèmes neurologiques et auditifs, pour n’en nommer que quelques-uns.

Beaucoup de nos pilotes ont perdu leur autorisation par certificat médical pour voler et pourraient ne pas le récupérer. D’autres continuent de piloter des avions tout en présentant des symptômes qui devraient être déclarés et étudiés, ce qui crée un risque lié aux facteurs humains d’une ampleur sans précédent.

Le fondement même de notre culture de sécurité juste — les rapports non punitifs — n’existe plus. Les pilotes ont souffert et souffrent de problèmes médicaux qui sont au moins corrélés à la vaccination contre la COVID-19. Leur spectre de symptômes est large, allant jusqu’à la mort.

Les pilotes qui signalent leurs effets secondaires risquent de perdre leur licence, leur revenu et leur carrière tout en recevant peu ou pas de soutien de leurs syndicats et une invective de poursuite de la part des compagnies aériennes. Beaucoup de ces compagnies aériennes croient qu’elles se sont indemnisées de leur responsabilité, affirmant cela dans les mêmes documents qui ont imposé des mandats “pas d’injection, pas de travail” à leurs employés.

Les preuves des risques pour la santé du vaccin contre la COVID-19, des irrégularités dans les essais cliniques, des mauvaises pratiques et de l’efficacité insignifiante continuent de s’accumuler. Les documents de Pfizer publiés en vertu de la FOIA, combinés à des organisations telles que la Food and Drug Administration (FDA, États-Unis), la Medicines Healthcare Regulatory Agency (MHRA, Royaume-Uni), Santé Canada et la documentation réglementaire de l’Agence européenne des médicaments (EMA) montrent que des informations essentielles sur l’innocuité et l’efficacité ont été cachées au public et que la portée de la surveillance réglementaire et des exigences en matière de tests est inadéquate.

Pire encore, il ne semble y avoir aucune preuve que les organismes de réglementation de l’aviation, les compagnies aériennes ou les syndicats aient manifesté leur propre diligence raisonnable à l’égard des vaccins contre la COVID-19 et de l’impact sur la santé ou le rendement des pilotes. Ceci est en totale contradiction avec les normes médicales existantes de l’aviation. Des questions existent autour de la compétence et de la négligence possible.

Si l’on ne s’attaque pas à ce tournant médical potentiel, les compagnies aériennes et les syndicats seront complices d’un changement de culture qui a ébranlé le mantra de l’aviation selon lequel “la sécurité d’abord, toujours. Les compagnies aériennes et les syndicats représentés ont été encouragés à aider et mis en garde contre les répercussions désastreuses, à plusieurs reprises, par de nombreux signataires ci-dessous. Jusqu’à présent, il y a eu peu d’actions significatives et, dans de nombreux cas, rien d’autre que des murs de pierre et le silence.

Il y a un dicton dans l’aviation : “S’il y a un doute, il n’y a pas de doute.” Il y a de plus en plus de doutes sur les vaccinations contre la COVID-19. Il ne devrait donc plus y avoir de doute dans le domaine de l’aviation. La sécurité doit revenir au premier plan.

Bien qu’il ne s’agisse pas d’une liste exhaustive, les compagnies aériennes ci-dessous ont des pilotes dans leur personnel qui sont blessés par la vaccination et avec lesquels nos groupes de défense des droits des pilotes sont en contact :

  • Jetstar Australie
  • Qantas Australie
  • Virgin Australie Australie
  • Air Canada Canada
  • Air Transat Canada
  • WestJet Canada
  • Air France France
  • EasyJet France
  • HOP France
  • Lufthansa Allemagne
  • TUI Pays-Bas
  • KLM Pays-Bas
  • États-Unis américains
  • Delta États-Unis
  • JetBlue États-Unis
  • Sud-ouest des États-Unis
  • États-Unis
  • Frontier États-Unis
  • Alaska États-Unis
  • Spirit États-Unis

APPEL À L’ACTION

Les autorités de l’aviation civile telles que la Federal Aviation Administration, Transports Canada, l’Autorité de l’aviation civile du Royaume-Uni, l’Agence de la sécurité aérienne de l’Union européenne et l’Autorité australienne de la sécurité de l’aviation civile doivent commencer à remplir leurs obligations réglementaires. La crise de la santé des pilotes doit être abordée publiquement par les compagnies aériennes et les syndicats afin de rétablir la sécurité des vols à ce que nous savions autrefois. L’alliance soussignée de professionnels de l’aviation et de la santé représente des milliers de pilotes dans plus de 30 compagnies aériennes mondiales, ainsi que plus de 17 000 médecins et scientifiques médicaux, dans le monde entier. Nous demandons ce qui suit :

  • Lorsqu’elle existe, la vaccination obligatoire contre la COVID-19 pour les travailleurs de l’aviation doit être interrompue.
  • Les organismes de réglementation et les compagnies aériennes doivent mettre l’accent sur un environnement permissif pour l’autodéclaration.
  • Des examens médicaux approfondis et objectifs des pilotes et du personnel de cabine doivent être une priorité absolue. Celles-ci doivent être soutenues par l’organisme de réglementation et devraient se concentrer sur les préjudices à forte prévalence qui se manifestent maintenant dans le grand public et dans nos équipages de conduite.
  • Les compagnies aériennes et les organismes de réglementation détiennent des données sur la maladie et la suspension des certificats médicaux, y compris les symptômes et les raisons causales. Ces données doivent être analysées par des tiers indépendants pour établir ou exclure la vaccination contre la COVID-19 en tant que cause possible. »

Lire aussi GAA Coalition Open Letter : Commercial Aviation and Pilot Vaccine Injury — The Expose (expose-news.com)




Variole du singe : le G7 lance une simulation mondiale, l’armée US fournit le vaccin

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Depuis hier, la variole du singe affole l’opinion publique, au point que les premiers articles sur les risques d’un nouvelle épidémie ont commencé à fleurir. De notre point de vue, il s’agit d’une fausse alerte comme, ces dernières semaines, nous en avons connu avec le virus de Marburg, la rougeole ou la méningite. Mais, s’agissant de la variole du singe, le processus est intéressant à décortiquer, car il montre comment s’est mis en place un processus bien rodé de diffusion de la peur.

[NDLR : cette fois pourrait cependant être la bonne, car une telle « épidémie » semble bien avoir été programmée.
Voir :
Un organisme financé par quelques milliardaires dont Bill Gates prévoyait une épidémie de variole du singe pour le 15 mai 2022
et
Un document de la Nuclear Threat Initiative datant de 2021 prévoyait une bio-attaque fictive de variole du singe le 15 mai 2022 – Aube Digitale]

Cameroun: des cas de variole du singe soulèvent un vent de panique dans le pays - Le360afrique.com

La variole du singe est devenue, en quelques heures, l’un des principaux sujets de préoccupation sur les réseaux sociaux. Et l’annonce, hier, de la découverte d’un cas suspect en France devrait assurer à la question une popularité durable. Mais, signe des temps, c’est autant le mode opératoire de cette diffusion que la maladie elle-même, qui se trouve au centre des préoccupations. Existe-t-il une machine épidémique qui manipule les peurs pour vendre des remèdes ?

[Voir :
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies]

La question est désormais sur toutes les lèvres.

La variole du singe, une épidémie inattendue ?

À la différence du COVID 19, la variole du singe n’est pas vraiment une maladie nouvelle. Elle est proche de la variole humaine, n’est que très rarement mortelle, et que très peu contagieuse entre humains.

Le ministère de la santé le rappelle dans une alerte diffusée hier :

A ce stade, les cas rapportés sont majoritairement bénins, et il n’y a pas de décès signalé.

Comme le rappelle également le ministère de la Santé, la maladie est endémique en Afrique.

Pour l’ensemble des cas confirmés, les analyses ont mis en évidence un virus appartenant au clade “Afrique de l’ouest” du virus MKP, suggérant un lien initial avec le Nigéria, pays dans lequel le virus circule régulièrement depuis 2017. Hormis le cas signalé au Royaume-Uni le 7 mai dernier importé du Nigéria, les nouveaux cas signalés ne rapportent pas de voyage en Afrique ou de lien avec une personne au retour d’Afrique.

Ce qui intrigue ici, c’est la diffusion quasi simultanée de la maladie dans plusieurs foyers de contaminations, sans lien apparent entre eux, notamment en Espagne, au Portugal, en Angleterre, en France. Manifestement, c’est une souche du Nigéria qui circule. Alors que la maladie est peu contagieuse, et qu’elle suppose une incubation de deux ou trois semaines, tout se passe comme si sa diffusion était fulgurante et sans explication rationnelle.

Une épidémie créée ?

Immédiatement a circulé l’idée que cette épidémie est tout sauf le fait du hasard.

Beaucoup d’internautes ont retrouvé un message diffusé il y a six mois par Bill Gates, selon lequel le monde pourrait souffrir d’un attaque bio-terroriste consistant à diffuser un virus de la variole dans 10 aéroports simultanément.

https://content.jwplatform.com/players/KLA20pmI-XLzx33eA.html

Tiens ! tiens !

Dans le même temps, Bill Gates annonçait investir des milliards dans la recherche contre cette maladie. On lira dans Newsweek le fact-checking embarrassé de cette nouvelle théorie complotiste. En réalité, Gates annonce l’épidémie de variole depuis 2017, et pousse l’OMS à mener des recherches en ce sens.

On ne sait pas trop ici si ce sont les avertissements de Bill Gates qui rendent l’opinion éruptive sur la question de la variole, ou si la possible épidémie est montée en épingle par la caste parce qu’elle est préparée de longue date.

L’étrange exercice de simulation du G7 sur… une épidémie de variole

L’information passe inaperçue en France, mais, le jour même où l’épidémie de variole commence à affoler les masses, les ministres de la Santé du G7 se retrouvent… pour annoncer la simulation entre eux d’une épidémie de variole du singe due à une morsure de léopard qui se répandrait dans le monde. Là encore, les anti-complotistes vont pouvoir faire leurs choux gras des déductions qui seront (trop hâtivement ?) tirées de cette coïncidence. Mais il est pour le moins difficile de ne pas se poser la question de l’influence exercée par Bill Gates sur les décisions ou les initiatives du G7.

On notera que le même G7 en a profité pour lancer une nouvelle ode au vaccin contre le COVID.

Le grand défi est ‘d’apporter le vaccin aux peuples’, a déclaré Schulze. De nombreux pays ne disposaient pas des infrastructures et du matériel nécessaires tels que des seringues ou des camions frigorifiques. Les États du G7 veulent ici davantage soutenir les pays du Sud.

De là à penser que l’épidémie soit l’habillage d’une grande opération destinée à vendre les vaccins de Bill Gates et consorts… il n’y a qu’un pas.

L’Espagne se lance dans l’achat de vaccins contre la variole

Sans surprise, l’Espagne a annoncé ses premières mesures de lutte contre la prétendue épidémie de variole : le pays achète des milliers de doses de vaccins contre la variole humaine.

D’après le quotidien El País, ce vaccin ne serait pas destiné à être administré à la population générale, mais uniquement aux malades dont l’infection est confirmée. “C’est un vaccin basé sur un type atténué d’un virus apparenté à la variole. Il est très sûr et peut également être administré aux personnes immunodéprimées, en plus d’avoir moins d’effets secondaires que les vaccins antivarioliques traditionnels”, explique Carlos Maluquer, professeur de virologie moléculaire à l’Université de Surrey (Royaume-Uni), à nos confrères espagnols.

On notera au passage que la FDA a validé le premier vaccin contre la variole du singe le 24 septembre 2019. Voilà qui tombe bien. Il s’agit du Jynneos, développé par l’armée américaine. De mieux en mieux !





Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma

[Source : RI]

par F. William Engdahl.

Sur une initiative de l’administration Biden, l’Organisation mondiale de la Santé imposera, sauf miracle, d’ici novembre 2022, c’est-à-dire au début de la prochaine saison de grippe dans l’hémisphère nord, un contrôle descendant sans précédent sur les réglementations et mesures sanitaires nationales de la planète entière. Dans ce qui s’apparente à un coup d’État furtif, l’OMS obtiendra de nouveaux pouvoirs draconiens lui permettant de passer outre la souveraineté nationale dans 194 pays membres des Nations unies et de dicter leurs mesures sanitaires avec la force du droit international. On en parle parfois comme du traité de l’OMS sur les pandémies, mais c’est bien plus que cela. Pire, la majeure partie du budget de l’OMS provient de fondations privées liées aux vaccins, comme la Fondation Gates, ou de Big Pharma, ce qui constitue un énorme conflit d’intérêts.

Nouveaux pouvoirs draconiens de l’OMS

Faire quelque chose de façon furtive signifie le faire de manière secrète ou dissimulée, afin d’éviter qu’il ne soit largement connu et éventuellement combattu. Cela s’applique à la proposition faite par l’administration Biden à l’OMS de Genève le 18 janvier 2022, selon les documents officiels de l’OMS. L’OMS a caché les détails des « amendements » américains pendant près de trois mois, jusqu’au 12 avril, un mois seulement avant que l’organe compétent de l’OMS ne se réunisse pour approuver ces mesures radicales. De plus, au lieu des 18 mois d’attente précédents pour devenir un traité en droit international, seuls 6 mois sont utilisés cette fois-ci. C’est une véritable fuite en avant. La proposition américaine est soutenue par tous les pays de l’UE et par 47 pays au total, ce qui garantit une adoption quasi certaine.

Les propositions, officiellement intitulées « Renforcer la préparation et la réponse de l’OMS aux urgences sanitaires : Proposition d’amendements au Règlement sanitaire international », ont été soumises par la secrétaire adjointe aux Affaires mondiales du département américain de la Santé et des Services sociaux, Loyce Pace, en tant qu’« amendements » à un traité de 2005 sur le Règlement sanitaire international de l’OMS déjà ratifié. L’OMS définit ce traité de 2005 ainsi : « Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI) constitue un cadre juridique général qui définit les droits et les obligations des pays dans la gestion des événements et des urgences de santé publique susceptibles de franchir les frontières. Le RSI est un instrument de droit international qui est juridiquement contraignant pour 196 pays, dont les 194 États membres de l’OMS ».

Pace a rejoint l’administration Biden après avoir dirigé le Conseil mondial de la santé, qui compte parmi ses membres les noms les plus corrompus de Big Pharma, dont Pfizer, Lilly, Merck, J&J, Abbott et AVAC, financée par Bill Gates, pour n’en citer que quelques-uns. Ses propositions de transformation radicale des pouvoirs de l’OMS en matière de « pandémies » et d’épidémies auraient facilement pu être rédigées par Gates et Big Pharma.

Avant d’examiner ce que les « amendements » de Loyce Pace feront pour permettre la transformation de l’OMS en une dictature mondiale de la santé dotée de pouvoirs sans précédent pour annuler les jugements de tout gouvernement national, il convient de noter un problème juridique furtif. En déguisant un changement complet des pouvoirs du traité de 2005 de l’OMS en simples « amendements » à un traité ratifié, l’OMS prétend, avec l’administration Biden, que l’approbation des amendements ne nécessite aucun nouveau débat de ratification par les gouvernements membres. C’est de la furtivité. Sans débat national par des représentants élus, l’OMS non élue deviendra à l’avenir une superpuissance mondiale sur la vie et la mort. Washington et l’OMS ont délibérément restreint le processus de participation du public pour faire passer ce projet en force.

Une nouvelle loi de facto

Comme il se doit, l’OMS a finalement publié les « amendements » américains. On y trouve les suppressions ainsi que les nouveaux ajouts. Les modifications apportées par l’administration Biden transforment le rôle consultatif de l’OMS auprès des gouvernements nationaux, non seulement sur les réponses aux pandémies mais aussi sur tout ce qui touche à la « santé » nationale, en un tout nouveau pouvoir de passer outre les agences sanitaires nationales si le directeur général de l’OMS, désormais Tedros Adhanom, le décide. L’administration américaine Biden et l’OMS se sont entendues pour créer un traité entièrement nouveau qui fera passer toutes les décisions en matière de santé du niveau national ou local à Genève, en Suisse, et à l’OMS.

L’article 9 est typique des modifications apportées par Washington au traité existant de l’OMS. La modification américaine consiste à insérer « pourra » et à supprimer « devrait » de l’OMS : « Si l’État partie n’accepte pas l’offre de collaboration dans les 48 heures, l’OMS pourra… ». Dans le même article, le mot « offre de collaboration par l’OMS, en tenant compte de l’avis de l’État partie concerné… » est supprimé. Le point de vue ou le jugement des autorités sanitaires de l’Allemagne, de l’Inde ou des États-Unis ne sont plus pertinents. L’OMS pourra passer outre les experts nationaux et dicter en tant que loi internationale ses mandats pour toutes les pandémies futures, ainsi que pour les épidémies ou même les problèmes de santé locaux.

De plus, dans le nouvel article 12 proposé sur la « Détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale, d’une urgence de santé publique de portée régionale ou d’une alerte sanitaire intermédiaire », le chef de l’OMS – maintenant Tedros dans son nouveau mandat de cinq ans – peut décider seul de déclarer une urgence, même sans l’accord de l’État membre. Le chef de l’OMS consultera alors le « comité d’urgence » de l’OMS concerné sur la polio, l’Ebola, la grippe aviaire, le COVID ou tout autre problème déclaré. En bref, il s’agit d’une dictature mondiale sur la santé des citoyens par l’un des organismes de santé les plus corrompus au monde. Les membres d’un comité d’urgence donné de l’OMS sont choisis selon des procédures opaques et généralement, comme dans le cas du comité actuel sur la polio, de nombreux membres sont liés aux différents fronts de la Fondation Gates comme GAVI ou CEPI. Pourtant, le processus de sélection est entièrement opaque et interne à l’OMS.

Entre autres pouvoirs, le nouveau traité sur les pandémies donnera à Tedros et à l’OMS le pouvoir de rendre obligatoires les passeports vaccinaux et les vaccins COVID dans le monde entier. Ils travaillent actuellement à la création d’un programme mondial de passeport vaccinal/identité numérique. En vertu du nouveau « traité sur la pandémie », lorsque des personnes sont lésées par les politiques de santé de l’OMS, il n’y a aucune responsabilité. L’OMS bénéficie de l’immunité diplomatique.

Astrid Stuckelberger, ancienne cadre supérieure de l’OMS et lanceuse d’alerte, aujourd’hui scientifique à l’Institut de santé mondiale de la Faculté de médecine de l’Université de Genève, a fait remarquer que « si le nouveau traité sur les pandémies est adopté par les États membres, cela signifie que la Constitution de l’OMS (conformément à l’article 9) primera sur la Constitution de chaque pays en cas de catastrophe naturelle ou de pandémie. En d’autres termes, l’OMS dictera aux autres pays et ne fera plus de recommandations. »

Qui est l’OMS ?

Selon les nouvelles règles, le directeur général de l’OMS aurait le pouvoir ultime de déterminer, par exemple, si le Brésil, l’Allemagne ou les États-Unis doivent imposer un confinement pandémique de type Shanghai ou toute autre mesure qu’il déciderait. Ce n’est pas une bonne chose. Surtout lorsque le chef de l’OMS, Tedros, originaire de la région du Tigré en Éthiopie, est un ancien membre du Politburo de l’organisation marxiste désignée comme terroriste (à l’époque par Washington), le Front de libération du peuple du Tigré. Il n’est pas titulaire d’un diplôme de médecine, le premier dans l’histoire des directeurs généraux de l’OMS à ne pas en avoir. Il est titulaire d’un doctorat en santé communautaire, un domaine assurément vague, qui ne constitue pas une qualification médicale pour un tsar de la santé mondiale. Parmi les articles scientifiques qu’il a publiés figurent des titres tels que « Les effets des barrages sur la transmission du paludisme dans la région du Tigré ». Il aurait obtenu son poste à l’OMS en 2017 grâce au soutien de Bill Gates, le plus grand donateur privé de l’OMS.

En tant que ministre éthiopien de la Santé sous la dictature dirigée par le Tigré, Tedros a été impliqué dans la dissimulation scandaleuse de trois grandes épidémies de choléra dans le pays en 2006, 2009 et 2011. Un rapport d’enquête publié par la Society for Disaster Medicine and Public Health a révélé que, lors d’une des principales épidémies de choléra, « malgré l’identification en laboratoire du V cholerae comme étant la cause de la diarrhée aqueuse aiguë (DLA), le gouvernement éthiopien (Tedros) a décidé de ne pas déclarer une « épidémie de choléra » par crainte des répercussions économiques résultant des embargos commerciaux et de la baisse du tourisme. En outre, le gouvernement, au mépris du Règlement sanitaire international (OMS), a continuellement refusé de déclarer une épidémie de choléra et a largement décliné l’aide internationale. »

En tant que ministre éthiopien de la Santé, puis des Affaires étrangères, Tedros a été accusé de nettoyage ethnique systématique contre les tribus rivales du pays, en particulier les Amharas, de refuser aux partisans de l’opposition l’aide alimentaire de la Banque mondiale et d’autres organismes, ainsi que de népotisme et de détournement de fonds internationaux destinés à la construction d’hôpitaux pour soutenir politiquement son parti minoritaire. Ironiquement, c’est le contraire de la nouvelle loi sur l’OMS que Tedros soutient aujourd’hui. Le 22 septembre 2021, l’Allemagne de Merkel a proposé Tedros pour un nouveau mandat sans opposition.

OMS, Gates, GERM

Le plus grand donateur de l’OMS (incluant GAVI), l’autoproclamé « tsar du tout mondialiste », Bill Gates, a donné un avant-goût de ce qui nous attend avec les nouvelles règles. Dans son billet de blog du 22 avril, Gates propose quelque chose d’amusant avec l’acronyme GERM – Global Epidemic Response and Mobilization-team (équipe de mobilisation et de réponse aux épidémies mondiales). Il s’agirait d’une « organisation permanente d’experts entièrement rémunérés et prêts à organiser une réponse coordonnée à une épidémie dangereuse à tout moment ». Il dit que son modèle est le film hollywoodien « Alerte ! ». « Les experts en surveillance des maladies de l’équipe rechercheraient les épidémies potentielles. Dès qu’elle en repère une, le GERM devrait avoir la capacité de déclarer une épidémie… » Elle serait coordonnée par, bien sûr, l’OMS de Tedros : « Le travail serait coordonné par l’OMS, le seul groupe qui puisse lui donner une crédibilité mondiale. »

Une notion dystopique de ce qui pourrait se produire est l’actuelle fausse épidémie de « grippe aviaire », H5N1, qui entraîne l’élimination de dizaines de millions de poulets dans le monde entier si un seul poussin est testé positif pour la maladie. Le test est le même test PCR frauduleux utilisé pour détecter le COVID-19. Récemment, le Dr Robert Redfield, le chef du CDC de Trump, a donné une interview dans laquelle il a « prédit » que la grippe aviaire se propagerait à l’homme et serait hautement fatale lors de la prochaine « grande pandémie », pour laquelle le COVID-19 n’était qu’un simple échauffement. Redfield a déclaré dans une interview de mars 2022 : « Je pense que nous devons reconnaître – j’ai toujours dit que je pense que la pandémie de COVID a été un signal d’alarme. Je ne crois pas que ce soit la grande pandémie. Je pense que la grande pandémie est encore dans le futur, et qu’il s’agira d’une pandémie de grippe aviaire pour l’homme. Elle aura une mortalité significative de l’ordre de 10 à 50%. Il y aura des problèmes ». En vertu des nouveaux pouvoirs dictatoriaux de l’OMS, celle-ci pourrait déclarer une urgence sanitaire sur une telle fraude, sans tenir compte des preuves contraires.

source : New Eastern Outlook

traduction Réseau International




La face cachée des réseaux sociaux (1)

[Source : libremedia.ca]

Par Laurie Michel

Les réseaux sociaux ont autant d’avantages que de désavantages. Dans cette chronique déconnexion signée par notre experte Laurie Michel, il sera d’abord question des effets négatifs de certaines de leurs fonctionnalités.

Une personne passe en moyenne 2 h 24 par jour sur les réseaux sociaux et il semble bien compliqué aujourd’hui de se séparer de ces plateformes populaires.

Il suffisait de prêter attention à la crise de panique générale survenue lors de la panne de Facebook, l’an passé, pour s’apercevoir que la vie n’est plus la même depuis leur arrivée parmi nous. 

Des débuts euphoriques  

Nous sommes dans les années 2000, le monde de l’informatique est en totale ébullition et les innovations sont fulgurantes. Parmi elles, les fameuses plateformes de réseaux sociaux qui vont provoquer un véritable changement sociétal.  Myspace ouvre le bal en 2003 aux côtés de Linkedin, qui est devenu depuis le plus grand réseau social professionnel au monde avec 774 millions de membres sur la planète. Un an plus tard, Facebook voit le jour, avant d’être suivi par Youtube en 2005 et Twitter en 2006. On tâtonne, à l’époque, sur cette maintenant devenue célèbre plateforme bleue se donnant pour mission de nous connecter avec le monde entier. 

On découvre tranquillement cette nouvelle façon de partager nos anecdotes de vie, parfois même les plus anodines, avec notre entourage et même des personnes que nous ne connaissons pas en dehors du web. 

La plateforme évolue rapidement et nous permet, dès 2007, de devenir «fan» de nos entreprises préférées. Les publicités numériques viennent ensuite s’afficher dans le fil d’actualité et avec elles se dessine la véritable mission de la plateforme: vendre de la publicité.

En parallèle de cette révolution, le premier iPhone voit le jour en 2007 et se positionne comme l’outil nouvelle génération à avoir dans les mains. Il ne permet pas seulement de téléphoner ou d’écrire un message texte! Grâce à lui, il est possible de prendre des photos, d’écouter de la musique, de naviguer sur Internet et de télécharger des applications, dont les fameux réseaux sociaux!  Terminé nos instants de calme et de réflexion personnelle, nous pouvons désormais être constamment occupés par le web, les messages et les urgences des autres. Et pour nous aider à ne jamais rien manquer, Apple introduit les notifications en 2009 afin que nous soyons informés immédiatement de ce qu’il se passe sur notre petit écran.

Le iPhone va ouvrir la porte à de nouvelles innovations dans le domaine des applications mobiles et c’est au tour d’Instagram et son concept de photo instantanée de voir le jour aux côtés de SnapChat avec son contenu qui expire. Avec elles de nouveaux métiers émergents, et nombreux sont ceux qui aspirent à devenir le futur youtubeur ou l’influenceuse populaire qui se prend en photo sur les plages mexicaines avec la dernière paire de lunettes de soleil sur le nez.

Pourquoi sont-ils si populaires?

Et voilà que nous sommes plus de 4,48 milliards d’utilisateurs de réseaux sociaux en 2021! 
La fonctionnalité qui va marquer le plus l’univers des réseaux sociaux, sera le bouton J’aime en 2009. Celui-ci va connaître son premier grand succès sur Facebook et va permettre aux utilisateurs de la plateforme de donner une opinion sur la publication.

D’autres plateformes vont reprendre ce principe, dont Youtube, qui va remplacer son système de notation pour intégrer ce fameux bouton et en ajouter même un autre: Je n’aime pas. Il est maintenant possible de juger la publication d’une personne en cliquant sur un simple bouton, et sans plus d’explication.  Au fur et à mesure les fonctionnalités s’étoffent avec l’envoi de notifications pour nous annoncer une demande d’amitié, une identification sur une photo ou un commentaire. Ces mécanismes sont pensés par des équipes composées notamment de neurologues, de psychologues pour penser des gestes qui vont ancrer des habitudes chez l’utilisateur. 

Ces mécanismes jouent avec le système de récompense de notre cerveau et mettent en place des fonctionnalités qui génèrent de la dopamine pour nous inciter à consommer sans fin. Les notifications nous invitent à revenir sur la plateforme et renforcent notre syndrome de FOMO (Fear Of Missing Out) et cette idée que nous manquons des choses à chacune de nos déconnexions.

La santé mentale de nombreuses personnes est mise à rude épreuve et de soudaines crises d’anxiété font surface. Un retour jugé insuffisant de commentaires ou de mentions j’aime à la suite du partage d’une publication peut générer de l’angoisse.

C’est un jeu d’enfants aujourd’hui de savoir ce que font nos amis et de se comparer aux autres à chacune de nos connexions. Cependant, il est important de rappeler que l’image en ligne ne correspond pas forcément à la véritable vie de la personne avec qui on se met en compétition. 

Pour comprendre cette obsession autour de la reconnaissance en ligne, il faut s’intéresser aux besoins fondamentaux humains et plus particulièrement à notre recherche d’approbation sociale. L’être humain a besoin d’être aimé et accepté par la communauté alors ne pas atteindre un certain nombre d’abonnés peut déclencher des troubles de l’estime de soi par exemple.

Peut-on se passer d’eux?

L’évolution des réseaux sociaux et leur multifonctionnalité en font aujourd’hui des outils indispensables pour beaucoup de leurs utilisateurs et il semble complexe pour de nombreux d’entre nous de s’imaginer vivre sans eux. 

Sachez qu’il est cependant possible de déprogrammer les gestes automatiques qu’ils nous ont inculqués au fil des ans. 

Interrogez-vous par exemple sur les autres alternatives que ces plateformes pour échanger avec votre famille et vos amis.  Si les confinements des derniers mois nous ont appris quelque chose, c’est que de serrer ses proches dans ses bras et vivre un moment avec eux en chair et en os ne pourra jamais être remplacé par aucun réseau social.  Il est important d’entretenir nos liens sociaux en dehors des écrans et de partager nos aventures de vive voix en plus de nos albums photos sur les réseaux sociaux!




L’OMS révèle enfin ses techniques de manipulation des masses pour faire accepter le vaccin

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Nous sommes nombreux à nous être demandé par quelles techniques de manipulation des masses la caste était parvenue à faire admettre la vaccination quasiment obligatoire contre le COVID. Progressivement, le voile se lève sur ce mystère, au fur et à mesure, notamment, des publications de l’OMS. Celle-ci, publiée par la direction régionale en Europe, intitulée « Recherche qualitative rapide pour améliorer le consentement à la vaccination contre le COVID-91 », en dit long sur les techniques de manipulation de masse, et sur la gestion du dispositif partout en Europe. Entre nous, voilà qui sent le Mc Kinsey.


WHO-EURO-2022-4724-44487-62944-eng.pdf from Société Tripalio

Il faut lire ce guide pratique de l’OMS Europe pour faire accepter la vaccination contre le COVID. On y découvre les fondements de manipulation que la caste utilise pour diffuser ses produits avec le moins de résistance possible. 

On peut d’ailleurs s’étonner, de prime abord, de voir que l’OMS ne s’occupe pas seulement de santé, mais aussi de communication sur la santé auprès des foules, et qu’elle s’occupe de développer, à l’intention des pouvoirs publics, des outils aussi “politiques”. 

L’OMS et la manipulation des masses

Ce document est donc présenté de la façon suivante (c’est la traduction de son résumé) : 

Cet outil qualitatif fournit des conseils étape par étape sur la façon de  concevoir et de mener une analyse qualitative rapide effectuer des recherches auprès de différents groupes cibles pour comprendre leurs obstacles et leurs moteurs à la vaccination contre la COVID-19. Ces informations peuvent ensuite être utilisées pour éclairer le développement d’interventions adaptées à la cible groupes pour une vaccination réussie contre la COVID-19. Alors que le document se concentre sur la vaccination COVID-19 l’approche rapide décrite peut être utilisée pour n’importe quel programme de vaccination.

On comprend que ce document sert aux “interventions adaptées à la cible groupes”, c’est-à-dire à la communication de masse auprès des gens qui ne veulent pas être vaccinés. 

Concrètement, le guide de l’OMS explique aux acteurs de la santé publique en Europe comment s’y prendre pour “traiter” la réticence à être vacciné. 

Et le chemin proposé ne manque pas d’intérêt. 

L’OMS et la fin de la souveraineté

Le guide de l’OMS commence par le commencement, et prend la main des gouvernants en leur expliquant le b.a.-ba du groupe de travail qu’ils doivent monter pour piloter leur opération de vaccination. 

Le guide précise la composition des groupes de travail :

Autrement dit, la lutte contre les sceptiques inclut forcément le ministère local de la Santé et l’OMS. Il serait intéressant de savoir si Olivier Véran a suivi ces préconisations dans l’orchestration de la statégie vaccinale française. 

Identifier les réticences

L’OMS préconise ensuite de définir des groupes cibles dont il faut choisir quelques échantillons “qualitatifs” pour comprendre leurs réticences à se faire vacciner. Sur ce point, l’OMS donne quelques exemples qui nous rappellent forcément quelque chose :

Voici des exemples “au hasard” présents par l’OMS : choisir des travailleurs de la santé qui vont subir la vaccination, ou des “civils” ordinaires pour comprendre ce qui les bloque dans la vaccination. 

L’OMS propose d’organiser, avec ces échantillons, des groupes de discussions pour identifier les réticences. Le guide détaille même le canevas des réunions, et quels thèmes, quelles questions aborder. 

Il faut comprendre qu’on a ici affaire avec un travail de consultant professionnel, qui ne laisse rien au hasard, et qui industrialise sa démarche de consultation. 

Tout est passé au crible, y compris cette question : “comment vos collègues perçoivent-ils les vaccins ?”, dont on comprend qu’ils sèment la graine de la délation et du flicage généralisé des services en mode endoctrinement à la chinoise. 

La mécanique est si effrayante que l’OMS recommande d’obtenir l’approbation d’un comité éthique indépendant. Là encore, on aimrait savoir comment la bureaucratie de la santé a mis ces préconisations en pratique en France. 

Petit traité de la manipulation des masses

Mais que faire de la masse d’informations recueillies à l’occasion de ces “enquêtes qualitatives” ? Une matrice de décisions à la Mc Kinsey, bien entendu. 

En l’espèce, voici à quoi elle ressemble :

Comme on le voit, l’OMS identifie les situations qui posent problèmes, les motifs de réticence, et propose des solutions “automatiques”. Il s’agit en quelque sorte d’un outil d’aide à la décision. 

On retiendra ici quelques clés qui permettent, me semble-t-il, de comprendre ce qui s’est passé en France avec l’arrivée du vaccin. 

Ainsi :

  • l’attitude de réticence peut se combattre par la persuasion (le gouvernement pousse à se faire vacciner en “induisant des sentiments positifs ou négatifs”), par l’incitation (en créant une récompense pour les vaccinés), par la restructuration environnementale (changer le contexte social ou physique, expression pudique qui signifie, à terme, une “mise en quarantaine”), par le remodelage (proposer des héros à imiter). 
  • la réticence due à un soutien collectif peut se combattre par la restriction (l’instauration de règles pour limiter ce refus, on reconnaît ici la passe sanitaire ou le passe vaccinal).

 Autrement dit, la matrice de l’OMS a d’ores et déjà théorisé toutes les mesures liberticides mises en oeuvre par le gouvernement, mais aussi celles qui nous pendent au nez comme le “changement de contexte physique” qui ressemble beaucoup à la mise à l’écart, voire à l’isolement, des non-vaccinés. 

Mc Kinsey en sous-main ?

L’intérêt de ce guide est de montrer que l’OMS n’est pas seulement une organisation supra-nationale qui coordonne les campagnes locales sans vraiment les connaître. L’OMS est beaucoup plus intrusive et beaucoup plus normative. Elle intervient directement sur le terrain, y compris en Europe, et encadre effectivement, localement, autoritairement, les campagnes de santé publique qu’elle promeut. 

On n’avait pas compris pour quelle raison tous les pays européens avaient décliné en même temps la même stratégie vaccinale. Le document que nous publions donne un premier élément de réponse : l’OMS est à la manoeuvre, avec des documents pratiques qui harmonisent la mise en oeuvre dans tous les pays. 

La question est de savoir si ces documents sont le fait de l’OMS elle-même, ou si cette organisation spécialisée de l’ONU bénéficie d’une aide extérieure, au hasard de l’aide de Mc Kinsey. 

De mon point de vue, l’utilisation de matrices, le mode opératoire, le jargon du document sont ceux d’un grand cabinet international de conseil. 

Je recommande à tous la lecture de la captivante enquête de Vox (en anglais) sur le recours de l’OMS à Mc Kinsey, notamment depuis que Bill Gates est devenu le premier contributeur au financement de l’OMS… 

Et, comme par sahrd, la Fondation Gates est aussi une cliente importante de Mc Kinsey.

Et si la vaccination obligatoire partout en Occident était le produit d’une volonté de Bill Gates et d’une stratégie de Mc Kinsey, qui ira, s’il le faut, jusqu’à “l’isolement”, c’est-à-dire l’emprisonnement ou la déportation des non-vaccinés ?




Côtoyer des personnes « vaxxo »… ou pas

[Source : lumiere-dans-la-matrice.org]

Par Pierre Lassalle

Nous souhaitons, au travers de cet article, réaliser une mise au point sur ce que nous connaissons et pensons, concernant les changements irréversibles qui se sont produits ces deux dernières années sur la planète entière.

(…) il est bon que vous sachiez que, de nos jours, et du point de vue de la Justice (cf. les décisions de la Cour Suprême des États-Unis)(([1] Vaccinés brevetés : Micheldogna.fr/de-la-confusion-a-la-logique)), que les « vaxxés » du monde entier (nous les appelons des « injectés », car les « faux-vaxxins » n’ont jamais eu pour but de protéger du Covid-19 !), sont considérés comme des « produits brevetés » appartenant aux Big Pharma qui les ont « injectés » (Moderna, Pfizer, etc.). En tant que tels, ces gens ne sont plus considérés comme des humains, et ils sont donc déchus de leurs droits d’êtres humains, disent-ils, et sont appelés dorénavant des « transhumains ». Ceci est, notamment, dû au fait que le produit expérimental qu’ils ont accepté de se faire inoculer a transformé, de manière irréversible, la totalité de l’ADN de leurs cellules, qui sont désormais « génétiquement modifiées », et ce jusqu’à la fin de leur vie (cela commence six heures après l’injection, comme des scientifiques suédois viennent de le prouver)(([2] ADN modifié et protéine spike : Resistance-mondiale.com/etude-les-injections-pourraient-modifier-ladn-humain-en-produisant-de-la-proteine-spike-sur-le-long-terme))(([3] ADN modifié : Anguillesousroche.com/sante/une-nouvelle-etude-retentissante-prouve-que-le-vaccin-arnm-de-pfizer-modifie-de-facon-permanente-ladn-humain)).

[NDLR : voir aussi L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?.
Dans le document de la Cour Suprême, la question posée est celle de la possibilité ou non de breveter une technique particulière de manipulation chimique de l’ADN. Ce n’est pas celle de breveter l’individu qui subirait l’application de cette technique. Le parallèle avec les semences OGM de Bayer-Monsanto ne pourrait pas non plus tenir, car le commerce des êtres humains n’a pas encore officiellement lieu, contrairement à celui de variétés végétales. Autrement dit, si une entreprise peut actuellement essayer de revendiquer la possession de plantes biologiques qui se voient polluées par du matériel génétique issu de plantes OGM, elle ne peut pas pour l’instant le faire pour ce qui serait d’êtres humains pollués par des vaccins. Nous n’en sommes pas là, même si une telle aberration n’est pas exclue pour un avenir relativement proche au train où vont les choses.]

Beaucoup de gens ayant refusé la vaxxination se comportent « bizarrement », comme s’ils regrettaient (presque !) de ne pas être vaxxinés, et laissant entendre à tous les nigauds qui le veulent bien, qu’il n’existe aucune différence entre eux et les « vaxxés » ! Maintenant, vous savez que c’est faux (voir plus haut : la Justice ne pense pas la même chose qu’eux !)

De plus, la Justice française a décidé de considérer les « vaxxés » qui en meurent comme des gens qui se sont suicidés, étant donné, disent-ils, que le produit injecté n’était même pas un vaccin, qu’il était expérimental(([4] Evaluation d’essais cliniques du vaccin contre le Covid : Par Christine-cotton.1ere-page.fr/audition-opecst-christine-cotton)) et de surcroît non obligatoire. (Demandez à votre assureur, il vous le confirmera : les assureurs ne veulent plus assurer les « vaxxés » !).

[Voir aussi :
Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid]

[Également], depuis que la vaxxination est devenue « populaire » (un peu d’humour noir ne fait pas de mal !), des scientifiques, médecins et chercheurs indépendants ont effectué des recherches sur les « vaxxés », afin de comprendre le fonctionnement des « faux vaxxins ».

Notamment, l’un d’entre eux a découvert le phénomène suivant : réalisant de nombreuses prises de sang, il a constaté que le sang des « vaxxés » était contaminé par une substance « étrange », un nano matériau, identifié comme étant du graphène, c’est-à-dire du carbone.

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Or, pour la petite histoire, il est bon de savoir que le carbone est la base du corps physique. Ainsi, injecter du carbone sous la forme du graphène (produit toxique pour l’être humain, notamment pour les voies respiratoires, et qui se trouve également dans les masques qui ne servent à rien !), amène l’être humain à se densifier davantage.

[NDLR : c’est sous forme d’oxyde que le graphène serait particulièrement toxique.]

La preuve ?

De nombreux chercheurs, ainsi que des infirmières et des tatoueurs, ont constaté que le sang des « vaxxés » s’épaississait de plus en plus, se coagulant et empêchant, notamment, les prises de sang ou les rendant très difficiles. Pour ces gens, ce fait démontre un « signe » de dégénérescence et de vieillesse prématurée !

[Voir aussi :
Témoignage d’un tatoueur sur le sang des vaccinés]

Pour en finir avec le carbone/graphène, sachez que sa composition atomique est : 6.6.6 !!! Eh oui, il comprend six électrons, six neutrons et six protons !

En résumé, le produit expérimental injecté transforme toutes les cellules, qui deviennent génétiquement modifiées de manière irréversible, et il densifie les gens, les faisant « descendre » lentement mais sûrement dans l’abîme ! Vive la Bête ! (Bon, encore de l’humour noir !).

Revenons à ce chercheur ayant effectué de nombreuses prises de sang, et qui a eu l’idée de comparer le sang des parents « vaxxés » à ceux de leurs enfants non vaxxés !

Résultat : Le sang des parents est contaminé, notamment par le graphène qui l’épaissit, mais celui des enfants également ! Il citait notamment le cas d’un enfant, dont le sang était « fichu », car contaminé au dernier degré, et qui devenait paralysé du bras droit et de la jambe droite, car il avait « absorbé » du graphène venant de ses parents ! Bravo les parents !

Eh oui, nous en arrivons au plus terrifiant de cette histoire : les gens « vaxxés », ces fameux « transhumains », projettent dans leur entourage une partie des « saletés » qui se trouvent dans le produit expérimental qu’on leur a injecté !(([5] Analyses sanguines : Changera3.blogspot.com/2022/03/trimission-du-graphene-entre-les-vaxxes par le Dr Philippe van Welbergen))

[NDLR : Pour établir scientifiquement hors de tout doute que cette apparente transmission de graphène (ou d’oxyde de graphène) aurait bien lieu, il faudrait s’assurer notamment que les enfants n’ont pas été injectés en douce par les parents ou des personnels de santé et qu’ils n’ont pas non plus été contaminés par des masques ou des écouvillons de tests PCR pouvant en contenir. Voir Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine.
Par ailleurs, le graphène est naturellement éliminé par le corps en quelques mois, ce qui fait que pour conserver ses effets nanotechnologiques potentiels, il est nécessaire d’en réinjecter régulièrement, au moins une fois tous les six mois, voire tous les trois mois pour mieux garantir le maintien de ses propriétés.
En absence de rappels d’injection, si les vaccins ne contenaient que du graphène ou de l’oxyde de graphène comme saletés, le retour à la santé serait toujours possible après moins d’un an.]

Et, d’après nos recherches, nous avons eu de multiples preuves de ces dangereuses projections des injectés. Nous connaissons environ cinquante personnes voire davantage, qui ont reçu des « saletés » provenant des injectés, simplement parce qu’ils n’ont pas été prudents et les ont côtoyés (parents, amis, compagnon/compagne, etc.).

Nous sommes certains pour l’avoir vérifié, que le fait de côtoyer des injectés durant quelques heures met votre vie en danger.

[NDLR : compte tenu de la remarque précédente sur la contamination possible par les masques et les écouvillons, on ne peut se montrer en toute rigueur aussi « certain » de l’existence d’une transmission de vaccinés à non-vaccinés.]

La projection la plus fréquente est un virus que ramassent les gens en contact avec un injecté. (Il suffit de quelques heures de proximité ou un bisou, voire se serrer la main). Or, ce virus « ramassé » n’est pas le Covid-19, mais un virus recombiné à l’intérieur des gens injectés par le produit qu’ils ont en eux. Et ce virus qu’ils projettent ensuite est beaucoup plus virulent que le Covid-19 ! Il vous laisse K.O. durant trois semaines environ avec des phases plus ou moins dangereuses selon votre état de santé. La cinquantaine de personnes que nous connaissons qui l’ont contracté étaient toutes des gens en pleine forme… Que se serait-il passé avec des gens faibles ou en mauvaise santé ?

[NDLR : il existe bien d’autres causes possibles à des états maladifs semblables à la grippe ou à la Covid-19, et notamment l’exposition à la 5G, alors que la théorie virale n’a jamais été validée scientifiquement et que la science véritable — pas le scientisme des virologues et autres microbiologistes — tend au contraire à démontrer la fausseté de cette théorie.
Voir :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies]

De plus en plus de chercheurs indépendants sont persuadés que les injectés projettent différents éléments du produit qu’ils ont reçu et qui peuvent être plus ou moins dangereux pour ceux qui les reçoivent. Bien sûr, cela dépend de l’état de santé des receveurs !

Selon certains témoignages de personnes que nous connaissons, et qui ont simplement été en contact de l’air ambiant où des injectés projettent leur propre air « mal habité », nous répertorions également des symptômes comme : maux de tête, problèmes respiratoires, extrême fatigue, étourdissements, orgelets, odeurs corporelles nauséabondes, envie de vomir ou vomissements, congestions nasales ou rhinites, toux anormale, déshydratation, dérèglements des menstruations, problèmes pour se connecter au monde spirituel, etc.

Une autre chose tout à fait étonnante : les injectés ont été transformés en antenne GPS !

En effet, ils émettent une adresse (informatique) MAC lisible sur n’importe quel smartphone. Pour le vérifier, télécharger sur votre smartphone l’application « Bluetooth scanner », puis ouvrez-la et activez le GPS du smartphone (acceptez la géolocalisation), enfin tapez sur recherche (ou « search ») : il apparaît alors des adresses MAC constituées de 12 chiffres/lettres ne correspondant à aucun appareil alentour… mais si vous cliquez sur chaque adresse, vous obtenez une estimation de la distance à laquelle se trouve la personne injectée « marquée » ! Cela signifie que les injectés sont marqués comme du bétail et qu’ils sont devenus des antennes GPS ambulantes !(([6] GPS : Micheldogna.fr/lindispensable-analyse-pour-tous-les-vaxxes/)) (trouvé sur www.micheldogna.fr). Serait-ce la « marque de la Bête », annoncée dans l’Apocalypse de Jean ?

[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés]

Rappelons-nous ce que Bill Gates avait dit l’an dernier (2021) : d’après lui, il suffisait qu’un tiers de la population mondiale soit « vaxxée » pour que tous les autres soient contaminés !

Or, ce ne sont pas des paroles en l’air, quand nous savons que le Professeur Didier Raoult, l’un des plus grands spécialistes européens des virus et vaccins, a révélé dans une entrevue que Bill Gates dirigeait la vaccination mondiale depuis une quinzaine d’années ! Et, d’autant plus, si nous savons que Bill Gates fait partie d’une secte dont le « commandement » N° 1 est : maintenir la population mondiale sous le seuil des 500 millions de personnes… par respect envers la Nature !

Ce soi-disant philanthrope, fervent partisan des transhumanistes, est convaincu que l’avenir de l’humanité passe par une dépopulation… qu’il dirige activement !

Et l’oligarchie dont il fait partie se positionne aussi pour la dépopulation, afin de soi-disant lutter contre le réchauffement climatique !(([7] L’ouvrage : Covidisme et Messianisme de Youssef Hindi))(([8] Dépopulation Bill Gates : Strategika.fr/2022/01/27/vaccination-sterilisation-urgence-climatique-oms-gates-rockefeller-great-reset-demographique))

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]

Alors, nous laissons le lecteur franchir le petit pas restant, afin de saisir l’horrible complot mis en place par les scientifiques et médecins transhumanistes, avec l’aide des médias de masse et des politiciens, concernant la dangerosité des « faux vaxxins »…

La plupart des gens non vaxxinés ne se rendent pas du tout compte de ce qui vient de se passer dans le monde… et ils ont intérêt à se réveiller rapidement, car ce n’est pas fini !

Ainsi, et avant d’aller un peu plus loin, il nous faut retenir ceci :

  • Les gens « vaxxés » (avec deux doses et plus) ont toutes leurs cellules génétiquement modifiées.
  • Ce ne sont plus des êtres humains naturels ! C’est la raison pour laquelle la Justice américaine les considère comme des êtres « brevetés » et « transhumains », perdant ainsi tous leurs droits d’humains, puisqu’ils n’en sont plus !
  • Ces êtres, que nous appelons « injectés », disposent d’un sang contaminé, notamment par le graphène, un nano matériau(([9] Hydroxyde de graphène (nanolames) : Odysee.com/par Andreas Noack)). Leur sang s’épaissit, ce qui entraîne nombre de problèmes de santé, faisant d’eux des vieillards prématurés… si tant est que cela ne les tue pas rapidement.
  • Des scientifiques indépendants ont détecté et filmé des symbiotes dans les produits à ARNmessager. Oui, vous avez bien lu : des symbiotes, c’est-à-dire de tout petits « êtres » ayant l’aspect d’un poulpe avec de longs tentacules qui, bien évidemment, grandissent à l’intérieur du corps, et notamment le système nerveux.(([10] Symbiote « La Chose » : Rumble.com/oeufs-avec-tentacules-colores par le Dr Franc Zalewski))(([11] Symbiote « Hydra Vulgaris » : Micheldogna.fr/la-bestiole-de-cauchemar-trouvee-dans-les-vaxx-covid par le Dr Carrie Madej)) Le but de ces êtres monstrueux est de se connecter, une fois adulte, au cerveau de l’injecté pour le « téléguider » (en lien avec la 5G !)(([12] Contrôle de l’humain par l’ADNm et les ondes : Guyboulianne.com/2021/04/26/conference-du-dr-charles-morgan-a-lacademie-militaire-de-west-point-controler-a-distance-le-cerveau-humain-via-des-vaccins-arnm)). Les injectés, dans un premier temps, peuvent souffrir de toutes sortes de problèmes et dysfonctionnements au cerveau, voire dans un deuxième temps, en mourir !
  • Les injections de ces produits démoniaques se développent : un scientifique de chez Moderna a déclaré l’an dernier (2021) que leur soi-disant « vaxxin » était une « bombe à retardement ». D’autres chercheurs ont confirmé que ce produit expérimental se révélerait sur une longue durée (entre trois et cinq ans). Ainsi, nous ne verrons les dégâts totaux de ces horribles expériences que dans trois-quatre ans environ (2025).
  • Les injectés projettent un virus non identifié (nous l’appelons Covid-21 !), qui est plus virulent que le Covid-19, et donc dangereux, selon votre état de santé préalable.
  • De nombreux chercheurs indépendants soupçonnent que les injectés ne projettent pas que ce virus, et qu’à l’avenir d’autres « éléments » pourraient s’y ajouter.

Le mauvais virus qu’ils projettent se transmet par voie aérienne : le simple fait de respirer dans le même endroit qu’un injecté, durant plusieurs heures, vous met en danger !(([13] Vaccins auto-diffusants : Nexus.fr/actualite/vaccin/self-spreading-vaccines))

  • Des recherches sont en cours : les enfants non « vaxxés » attrapent facilement les « saletés » des « vaxxins » de leurs parents et se retrouvent avec un sang contaminé, ce qui met leur jeune vie en danger de mort !
  • Prendre quelqu’un dans ses bras, lui donner des bisous, ou pire de vrais baisers, ou vivre un acte sexuel… voire le simple fait de serrer la main d’un injecté… met votre vie en danger… et pourrait faire de vous, un jour, un injecté qui pourtant n’est pas « vaxxé » !

Des gens très naïfs et ignorants croient encore que les politiciens, les médecins, les scientifiques transhumanistes ou les médias de masse disent la vérité, ou certaines de temps en temps… En réalité, ce n’est JAMAIS le cas !

Ces gens rêvent que beaucoup de vaxxinés se sont fait piquer pour poursuivre leur métier exemplaire afin de continuer à servir les autres, ou pour le moins « protéger » leur famille… Belle chanson, et grosse illusion ! Certains médecins ont dénoncé leurs confrères qui se laissaient « vaxxer » pour continuer à gagner de grosses sommes d’argent : ils préfèrent l’argent à la vérité !

Certains rêveurs se disent aussi que c’est juste un mauvais moment à passer et que tout s’arrangera ensuite ! NON ! Rien ne va s’arranger tout seul ! Plus les gens se soumettent et plus les forces obscures se trouvant derrière ces méfaits se renforcent et enfoncent le clou !

Certains hurluberlus croient, ou essaient de se persuader, que les « vaxxins » ne vont pas couper les gens du monde spirituel : arrêtez de rêver ! Vous avez des yeux pour voir et une sensibilité pour vous en rendre compte ! Face à des injectés, il est évident qu’ils sont coupés du monde spirituel, puisqu’ils ne sont plus humains. Et il n’y aura pas de procédé « magique » qui va tout annuler d’un coup ! … N’en déplaise à de nombreux charlatans-naturopathes et autres hypnotiseurs de bas étage, qui s’inventent soudainement un nouveau métier de « faux sauveurs », avec des baguettes facticement magiques, qui ne visent qu’à s’attirer une nouvelle clientèle aux abois… troublée pas leur erreur, leurs symptômes et la peur de la mort !

Et, pour continuer cette idée de « perceptions », nous avons remarqué de manière notoire ces dernières années, à quel point les gens ont une sensibilité dangereusement défaillante ou très faible !

C’est dans la vingtaine que nous développons naturellement notre sensibilité. Il est certain, et cela a été prouvé notamment par le scientifique de l’INSERM, Michel Desmurget(([14] L’ouvrage : La Fabrique du Crétin Digital de Michel Desmurget)) que l’éducation et l’omniprésence des écrans tuent la sensibilité !

Ainsi est-il totalement anormal que les jeunes de la vingtaine ne ressentent pas (notamment) les effets nocifs de leur smartphone chéri ! Si ce n’est à cause d’une très, très mauvaise sensibilité…

Aussi bien le smartphone, que le compteur Linky, le wifi, ou la 5G qui débarque plein pot, émettent des ondes très nuisibles à l’être humain (et tout le vivant dans la Nature) ! Plus de dix mille études scientifiques dans le monde expliquent la dangerosité du smartphone ! Or, c’est notre sensibilité qui nous renseigne sur ces nuisances. Comment se fait-il que la majorité ne ressente rien ?

De nos jours, c’est le monde à l’envers : les gens qui disposent d’une sensibilité normale passent pour des malades ou des « demi-fous », parce qu’ils ont une hypersensibilité aux technologies destructrices d’aujourd’hui !

Notez que l’hypersensibilité aux ondes n’est pas récente, puisque les Russes appellent ce phénomène la « maladie des ondes » depuis un siècle ! (Sur ce sujet, et sur le diabète induit par la technologie moderne(([15] L’ouvrage L’Arc-en-Ciel Invisible d’Arthur Firstenberg))).

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Ce sont justement ces gens-là qu’il est bon d’écouter : ils nous avertissent des dangers que la masse des gens conditionnés est incapable de ressentir à cause d’une sensibilité malheureusement trop défectueuse !

Certains grands naïfs considèrent que les « vaxxés » sont des victimes ! En aucun cas, puisque les « vaxxins » n’étaient pas obligatoires et qu’ils sont arrivés après la fin de la pandémie : il suffisait de se renseigner et de faire preuve de discernement. Mais, ces gens qui vont vous justifier par x ou y fausse raison : « Je ne pouvais pas faire autrement ! », sont toujours ceux qui refusent de penser par eux-mêmes et se comportent comme des gens soumis.

Nous pouvons TOUJOURS « faire autrement », c’est la raison pour laquelle nous avons une pensée, ainsi que le discernement et le jugement sain qui l’accompagnent ! Si ce n’est pas le cas, alors nous avons affaire à des gens qui se sont couchés, se sont soumis au mal, et ont un peu trop facilement renié leur humanité !

Comme le disait un philosophe français (dont j’ai malheureusement oublié le nom) : « Ils se sont agenouillés sous la menace d’une… grippe ! » Eh oui, à l’origine les coronavirus sont des cousins des virus grippaux !

Finalement, la létalité du Covid-19 est de 0,23 %, ce qui signifie que 99,77 % des gens qui l’ont attrapé s’en sont sortis ! C’est mieux que pour certaines grippes !

De formidables ignorants croient encore que nous sommes déjà à l’ère du Verseau ! Heureusement que l’ère du Verseau, ce n’est pas « ça » ! Ils devraient se renseigner un peu et ils découvriraient que des catastrophes doivent arriver (pandémies, famines, guerres, tremblements de terre, etc.) bien avant l’aube de l’ère du Verseau.

Pour l’instant, nous vivons les prémisses des « moments difficiles » qui doivent advenir avant l’établissement d’un Nouveau Monde, qui nous mènera vers l’ère du Verseau !

Ces gens si naïfs préfèrent être « fraternels » (savent-ils ce que ce mot signifie ?) avec les injectés qui ont renié leur humanité, plutôt qu’avec leurs frères et sœurs en esprit, qui veulent bâtir le futur…

Alors, nous leur demandons : voulez-vous véritablement bâtir un Nouveau Monde ?

Combien d’entre eux répondront « Oui ! » ? Sans doute très peu, car la réalité est que ces gens veulent demeurer bien au chaud de « papa-maman », ou de leurs « frères-sœurs », ou encore de leurs « zamis », même s’ils sont injectés, uniquement par affectif, par habitude, voire par sécurité financière, parce qu’ils refusent le changement qui nous est proposé dans le monde. Bâtir un Nouveau Monde impliquera d’énormes changements !

Réveillez-vous !

En effet, il ne reste plus vraiment le temps de tourner en rond et de faire semblant que « tout va bien » ! Bientôt, il sera trop tard pour vous aussi…

Nous vous signalons que cette période de séparation ou de division, que nous avions prédite depuis plusieurs années, a été annoncée par le Christ, notre Dieu Créateur…

« Lorsque le Fils de l’homme viendra dans l’éclat de sa gloire, avec tous ses Anges, alors il siégera sur le trône de sa gloire. Et tous les peuples seront rassemblés devant sa face, et il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs. Et il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. »

 (Matthieu 25, 31,33).

Le Fils de l’Homme venant dans l’éclat de sa gloire fait référence à la période actuelle de Sa Parousie.

La division ou séparation était inéluctable, car beaucoup trop de gens refusaient de penser par eux-mêmes et vivaient dans un tel état de soumission au mal qu’ils empêchaient l’humanité de progresser et la laissaient s’étouffer dans les griffes des forces ténébreuses.

Ce comportement inhumain ne peut demeurer sans conséquences. Elles se préparaient dans l’invisible depuis longtemps : maintenant, nous les avons sous le nez !

Nous vivons des temps apocalyptiques…

Une autre fois, peut-être, nous révélerons les arrière-plans spirituels de ce qui se passe actuellement…

Pour une Humanité épousée de l’Esprit de Vérité !

Pierre Lassalle




Les soignants remplacés par des bénévoles au CHU de Bordeaux : tout un symbole

Par Dr Nicole Delépine

[Illustration : © Fournis par franceinfo]

À quand le réveil des Français pour leur santé et leurs droits ? Les bénévoles, sûrement animés de bonnes intentions, mais en pratique collabos du pouvoir, se rendent-ils compte des responsabilités qu’ils prennent dans une gestion cynique dont ils ne mesurent pas la perversité ?

Contrairement aux apparences, nos dirigeants ne sont pas incompétents, mais déroulent un scénario sordide d’application rigoureuse (celui de l’organisation mondiale via les réseaux McKinsey.)

Tout change et rien ne change. On prend les mêmes pour la même politique, la misère des hôpitaux, la suspension des soignants(([1] « suspendu, ça veut dire, premièrement, que tu es suspendu sans aides sociales, ça veut dire pas de RSA, pas d’APL, ça veut dire pas de mutuelle, ça veut dire rien ».)) et la vax obligatoire prévue par l’UE en septembre. Il serait temps de protéger nos enfants.

MANIPULATION RÉUSSIE

La population et trop de médecins et politiques ont eu peur d’un virus d’une mauvaise grippe pour lequel des médicaments étaient disponibles. Pourtant ils le savaient d’emblée puisque notre plus grand infectiologue de notoriété mondiale, le PR Raoult, l’avait dit, écrit d’emblée et que chaque semaine, une vidéo postée de MARSEILLE faisait le point de la réalité de la pandémie.

Mais ils ne se sont pas inquiétés de la chute vertigineuse en deux décennies de la qualité de notre médecine. Ils ne voulaient pas voir et ils ne veulent toujours pas SAVOIR.

Bien sûr il reste encore quelques brillants médecins, chirurgiens, soignants, fidèles à leur sacerdoce, mais que peuvent-ils faire sans aucun moyen, avec des lits fermés et l’absence criante de personnels ?

Les Français ont préféré écouter les bonimenteurs des médias subventionnés(([2] En 2019, le montant des subventions versées par l’État à la presse a atteint 76 millions d’euros. Par ex plus de 5,6 millions pour Le Figaro dont le propriétaire n’est autre que la famille Dassault (fortune : 23,8 milliards d’euros en 2018). En 2020, en plein covid, le gouvernement a débloqué 2 milliards pour aider les médias . Afin de continuer à déverser le discours gouvernemental sans craindre l’approche de la fin du moisCNews, Europe 1, Le Monde, Le Figaro, Le Parisien… En France, 10 milliardaires (Niel, Dassault, Bolloré, Kretinsky & co) possèdent 90 % des quotidiens nationaux, 55 % des parts d’audiences TV et 40 % des audiences radio.)) et se laisser injecter encore et encore une substance expérimentale dont les essais ne se termineront qu’en 2023 et dont on connaît déjà l’inefficacité : un vaccin qu’on réinjecte tous les trois mois ? Même la foi en le mot magique de vaccin utilisé pour un médicament expérimental n’explique pas la passivité à cette aberration.

On en connait aussi les drames avecdes effets secondaires en nombre considérable dont la longue litanie des décès des grands sportifs sur les terrains(([3] Maintenant, une épidémie de morts chez les sportifs vaccinés ? – Agoravox TV)) et d’autres forcés d’abandonner leur profession, des malaises d’enfants dans la cour d’école, des fausses couches, des décès de nouveaux nés, des récidives de cancers et des néoplasies « bizarres » et rapidement fatales, jusqu’aux atteintes cérébrales, de la perte de mémoire rapide des vieillards injectés, à la maladie de Creutzfeld Jacob de l’épouse de Marc Doyer(([4] Voir Verity France))(([5] Pourquoi un tel déni des effets graves des vax anticovid chez les femmes enceintes ? | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([6] https://nouveau-monde.ca/bilan-catastrophique-des-injections-anticovid-et-manipulation-mediatique/))(([7] « L’OPESCT est au courant des effets indésirables des vaccins contre le Covid » E. Darles et V. Pavan | FranceSoir))

Et depuis ces derniers mois la mortalité bien supérieure des triple vax par rapport aux non vax : exemple du Canada pourtant covidiste

Diffusons la synthèse de Robert Malone inventeur de la technique ARNm et qui comme Einstein en son temps avec la bombe atomique, contemple avec effroi les méfaits de son invention. Bien sûr la science n’est pas coupable, mais seulement les hommes qui tentent de l’utiliser à des fins morbides.

AVERTISSEMENT DU SAVANT ROBERT MALONE AU MONDE ENTIER

Robert Malone affirme que si vous êtes vaccinés, vous avez été trompés par les laboratoires et leurs complices qui ont usurpé les fonctions régaliennes.

« Nous déclarons, et les données confirment, que les injections de la thérapie génique expérimentale Covid 19 doivent cesser. Ces produits ne préviennent pas l’infection, la réplication et la transmission… La majorité des infections se produit chez les vaccinés. Nous ne savons pas ce que l’ARN injecté va donner dans l’avenir… Il faut rétablir une période d’essai minimale de 5 ans… Nous demandons à la FDA de supprimer l’autorisation d’urgence… Nous devons reconnaître que les injections ont causé beaucoup plus de mal que de bien, n’apportant aucun avantage et ne réduisent pas l’infection… À long terme,les injections peuvent abîmer de façon irréversible, le cœur, le cerveau, les organes des enfants…de tous… »

Source : https://odysee.com/@Q…uestions:6/Dr.-Robert-Malone–Stop:a

TOUT CHANGE, MAIS RIEN NE CHANGE

Mais on met la poussière sous le tapis, on prend les mêmes et on recommence malgré les promesses d’un président nouveau, pour un peuple nouveau. Mme Borne a licencié au moins 15000 soignants sans état d’âme et 5000 pompiers et beaucoup d’autres vaccino prudents sont partis et manquent actuellement dans les services et les malades dits non urgents sont toujours forcés de présenter un pass pour être soignés, alors que toutes les autres mesures coercitives sont supprimées.

Le directeur de l’ARS Île de France, Mr Aurélien Rousseau est nommé directeur de cabinet d’Elisabeth Borne. Les exploits de l’APHP pendant la crise covid, les fermetures de lits, d’hôpitaux témoignent de son « expérience » médicale et surtout de ses choix et on peut être certain que conseillé par son épouse Marguerite Cazeneuve ex McKinsey, directrice de l’assurance maladie et chargée de la réforme des retraites, la saga familiale au pouvoir pourra se poursuivre en toute tranquillité(([8] Aurélien Rousseau devient le nouveau directeur de cabinet d’Elisabeth Borne. Aurélien Rousseau est l’ancien directeur général de l’agence régionale de santé Île-de-France (ARS), de 2018 à 2021 et responsable de la fermeture de milliers de lits y compris pendant le covid. Marguerite Cazeneuve est la femme de Aurélien Rousseau (ex McKinsey, directrice de l’assurance maladie et chargée de la réforme des retraites).))(([9] Sa belle-mère est un cadre important dans l’industrie pharmaceutique E Lily …)) pour le plus grand malheur des Français.

UN BREF ÉMOI À BORDEAUX

Alors, pourquoi s’étonner que la fermeture des urgences du CHU de Bordeaux, scoop de la soirée du 18 mai ait fait moins de bruit que la prestation de l’acteur Zelinsky au Festival de Cannes, applaudi par les présentsqui se fichent de la mise à la rue des soignants conscients et de la croix gammée tatouée sur le bras des soldats ukrainiens sortis de Marioupol ?…

Ont-ils perdu tout sens critique dans ce petit milieu protégé, ou bien se gavent-ils des derniers feux de la rampe, voulant oublier tout le reste ? On dit que Zelinsky va présider la coupe du monde de foot et le challenge de pétanque à Marseille ou le gala des Enfoirés selon certains internautes très choqués de sa présence incongrue à Cannes…

ON CONTINUE À FERMER LES URGENCES ET DE NOMBREUX SERVICES, ET ON REMPLACE LES SOIGNANTS PAR DES BÉNÉVOLES COMPLICES

Eh oui les urgences bordelaises ferment la nuit et l’accompagnement des patients se fera avec des BÉNÉVOLES. Stop ou encore ? Mais ça n’étonne plus personne et tout passe dans le silence assourdissant.

« À compter de ce mercredi, les urgences adultes du CHU de Bordeaux ne seront plus accessibles au public la nuit. Seuls les cas graves, orientés par le Samu, seront admis. On déporte le problème sur les autres services d’urgence », déplorent les syndicats.

La pandémie de Covid-19 a mis en lumière les nombreux problèmes présents dans les hôpitaux en France: manque de moyens humains et matériels, manque de considération, horaires intenables…(([10] Les urgences du CHU de Bordeaux, en crise, ferment la nuit et n’accueillent que les cas graves (msn.com) ))

Orwell hospitalisé ?

Ils ont bien appris Orwell, et du coup ils parlent de « gestion en mode dégradé » : Santé : le CHU de Bordeaux en « mode dégradé », les patients seront « accueillis par des bénévoles »(([11] https://www.capital.fr/economie-politique/faute-de-soignants-les-patients-sont-accueillis-par-des-benevoles-dans-ce-chu-1436792))

Face aux burn-out en cascade et manque de personnels, patients accueillis par des bénévoles aux urgences… G. Mouden, infirmier anesthésiste et représentant du personnel Sud Santé Sociaux de l’établissement bordelais, sur franceinfo explique(([12] Santé : le CHU de Bordeaux en « mode dégradé », les patients seront « accueillis par des bénévoles » (francetvinfo.fr) )):

« On a environ 40% des médecins urgentistes qui sont sur le départ ou en arrêt de travail en lien avec des burn-out »

Mais aussi à Orléans(([13] Anne-Laure Dagnet les urgences du CHR d’Orléans restent au bord du Burn out général radio France 16 5 2022
https://www.francetvinfo.fr/economie/greve/greve-aux-urgences/temoignage-hopital-une-triste-sensation-de-travailler-a-l-usine-les-urgences-du-chr-d-orleans-restent-au-bord-du-burn-out-general_5139967.html Une solution transitoire ?)): « Une triste sensation de travailler à l’usine », les urgences du CHR d’Orléans restent au bord du burn-out général

« On en arrive là parce qu’on a épuisé totalement un système d’urgence. Cela fait plus de 5 ans qu’on tire le signal d’alarme. On n’a pas entendu les alertes de l’ensemble des professionnels médecins, paramédicaux, infirmiers ou aides-soignants où il manque des effectifs dans les organisations de travail, où on fait travailler des gens à plein régime sur des gardes de 12 heures, voire de 24 heures pour certains médecins. On les amène à l’épuisement ou au départ. » Mon triste record, c’était 26 patients. On est très pessimiste sur la suite. Si, dans un ou deux mois, on revient dans les mêmes conditions, on partira. On protégera notre santé à nous ».

Idem aux urgences pédiatriques :

« J’ai eu des retours sur ce week-end. Il y avait de jeunes enfants qui sont restés plus de 12 heures à attendre parce qu’il n’y avait qu’un interne de chirurgie pour les prendre en charge.

Cet interne a sous sa responsabilité les urgences pédiatriques, il a sous sa responsabilité les enfants qui doivent aller au bloc opératoire. S’il est sur ces blocs opératoires, il n’est pas sur les urgences.Il y a des enfants en souffrance qui attendent plus de 12 heures et c’est encore le cas ce week-end. Et ça, c’est inadmissible. Un jeune interne a quitté son poste le samedi matin, les larmes aux yeux, après 24 heures de garde ».

«  Le personnel, qui était en arrêt maladie, est revenu et un accord a été trouvé avec les médecins grévistes. Il est temps, car la clinique privée qui a récupéré les urgences de l’hôpital est, elle aussi, sur le point de craquer. »

« D’habitude, on n’a pas ça chez nous », regrette le docteur Xavier Della Valle, le chef des urgences de cette clinique privée, qui vient d’enchaîner 36 heures de garde.

L’afflux de patients menace tout son service. « Les patients sont énervés parce qu’on les balade, ils sont agressifs… Notre personnel d’accueil subit fréquemment des agressions : verbales, tous les jours, et physiques, de temps en temps. Aujourd’hui, toutes les équipes sont à bout », décrit-il. 

Mais aussi à Grenoble : 

« Une étape nouvelle a été franchie à l’automne 2021 avec la fermeture de l’accueil des urgences de nuit adulte du CHU Grenoble Alpes(CHUGA) site Voiron plusieurs jours par semaine et la fermeture de l’accueil de nuit des urgences du Groupement Hospitalier Mutualiste à Grenoble. Depuis, aucune solution n’a permis de rétablir la permanence des soins urgents 24h/24 et 7 jours/7. »

(tract SNMHFO snmh.fo@fosps.com)

IDEM DANS DE NOMBREUSES VILLES DE FRANCE d’après le Tract de la CGT 56 : Tweet 17 mai

CGT chômeurs 56 : 

« Bravo aux trois derniers gouvernements qui ont bien démoli l’hôpital : Dégradation des conditions de travail, gel des salaires, diminution des effectifs, fermeture d’hôpitaux, de lits »…

PENDANT CE TEMPS LE SALON ANNUEL DE LA FÉDÉRATION HOSPITALIÈRE DE FRANCE

Évidemment les technocrates, bonimenteurs de soins n’ont à la bouche que de fausses solutions comme l’obligation de gardes pour les médecins libéraux et des primes pour les soignants qui reporteront leurs vacances d’été à l’automne comme ils l’ont fait en 2021.(([14] Huffingtonpost.fr/entry/covid-19-des-primes-pour-les-soignants-qui-renonceront-a-leur-vacances_fr_5f884f14c5b6c4bb54736800))

Comment ces technocrates loin du patient ne comprennent-ils pas qu’il est plus supportable de démissionner, de changer d’orientation, de métier ou de pays, que d’obéir à leurs ukases stupides qui oublient l’essentiel .

Pour travailler, le médecin doit être LIBRE.

« « L’heure est aux mesures rapides, ambitieuses, fortes et durables. » Voilà ce qu’a expliqué ce mardi le président de la Fédération hospitalière de France (FHF) en ouverture de son salon annuel. Alors que depuis lundi, les urgences de Bordeaux ferment la nuit aux adultes – sauf nécessité impérieuse envoyée par le Samu -, Frédéric Valletoux a dressé un tableau alarmant de la situation.

« Le taux d’absentéisme est plus élevé qu’avant la crise (du Covid), les difficultés à recruter sont fortes (…) et des tensions majeures existent sur les spécialités médicales assujetties aux gardes et astreintes »,a-t-il dit.

En octobre dernier, le président du conseil scientifique Jean-François Delfraissy estimait à 20 % le nombre de lits fermés pour manque de personnel, sur un parc de 387 000.

« Des lits sont fermés dans plus de trois quarts des établissements, y compris médico-sociaux, beaucoup de blocs tournent au ralenti et on note dans toutes les régions des fermetures de services d’urgence», a ajouté le président de la FHF, maire de Fontainebleau et candidat Horizons, bannière d’Édouard Philippe, aux législatives en Seine-et-Marne. »(([15] Tensions aux urgences : les hôpitaux réclament une obligation de garde pour les médecins libéraux – Le Parisien))

Et de nombreuses explications dominent dans ce désastre explicité en 2016 dans « soigner ou obéir »(([16] N Et G Delépine éditions fauves 2016 Cf Soigner ou Obéir ? | Blog.Psycho-Ressources – Psychologie « Ce document lève le voile sur les moyens utilisés par la dictature bureaucratique au service des lobbies, et propose quelques mesures indispensables comme la suppression des Agences régionales de santé (Ars), lourdes et coûteuses inquisitions sans contre-pouvoir. Il n’y aura pas de médecine de qualité, quel que soit le mode d’exercice, sans liberté de prescription ni liberté de choix du patient. Que cet ouvrage soit un outil pour poser les bonnes questions aux candidats sur leurs engagements en santé ! » Présentation vidéo sur TVL Mag Oxygène – Soigner ou obéir : La mort d’Hippocrate.
http://www.tvlibertes.com/2016/11/24/11518/oxygene-soigner-obeir-mort-dhippocrate)) 
malheureusement toujours d’actualité.

« Fermeture d’hôpitaux de proximité et services d’urgences indispensables, suppressions de postes, pour les remplacer par des services numériques dématérialisés privatisés qui ont tout dérégulé notre système de Santé, tout ça au nom de la rentabilité coûte que coûte ! »

16 mai 2022·Twitter

Un autre exemple à Strasbourg et les méfaits des ARS : Fermeture de lits, suppression de postes : ce que contient le « contrat d’avenir » des Hôpitaux de Strasbourg – Résistance (resistance-mondiale.com)

« Document confidentiel obtenu par notre partenaire Rue89 Strasbourg, le « contrat d’avenir » signé le 18 mars avec l’agence régionale de santé oblige les Hôpitaux universitaires de Strasbourg à augmenter leur activité tout en fermant des lits et en réduisant le nombre de postes. »
« Accord qui doit permettre à l’établissement hospitalier de retrouver une autonomie financière d’ici à 2026 »

« Les HUS pourront développer l’offre de soins, et sécuriser l’augmentation d’activité de 5 % (par rapport au niveau atteint avant la crise sanitaire) prévue sur la durée du contrat d’avenir ».

« Malgré les manifestations et appels à l’aide des soignants, la gestion de l’hôpital public garde la même philosophie : plus d’activité avec autant de moyens, voire moins.L’hôpital strasbourgeois doit réduire l’éparpillement de ses services sur différents sites pour parvenir à constituer des plateaux d’hospitalisation d’au moins 20 lits.

L’établissement doit aussi développer « des alternatives à l’hospitalisation complète » et « optimiser les durées moyennes de séjour à l’hôpital ».

Toujours le même discours depuis plus de vingt ans qui a partout abouti aux mêmes échecs, aux mêmes catastrophes tant dans les grandes villes qu’en Province.

« Fusionner des unités, c’est mettre fin « aux difficultés de fonctionnement en raison d’une dispersion des ressources médicales », stipule le contrat d’avenir avec toujours la même rengaine

Le projet aboutira à une baisse globale du nombre de places en hépato-gastro-entérologie : de 39 lits au total, le service fusionné passera à 32 lits. Et cette décroissance des capacités d’hospitalisation ne tient pas compte des 12 lits d’ores et déjà fermés au sein du service de Hautepierre depuis la crise du Covid… Au total, le service fusionné perdra donc 19 lits.

Il faut lire le détail dont la philosophie est toujours la même, fusionner des activités, réduire le nombre de lits et les personnels in fine(([17] https://www.reddit.com/r/france/comments/udwh6h/fermeture_de_lits_suppression_de_postes_ce_que 
https://www.rue89strasbourg.com/fermeture-lits-suppressions-postes-hopitaux-de-strasbourg-233152)). Sabordage organisé, technocratique.

ET PENDANT CE TEMPS-LÀ ON INJECTE

Et le plus grave est la politique du tout vaccin qui continue malgré l’amoncellement des effets toxiques et sa totale inefficacité contre une épidémie terminée par ailleurs. Si vous n’êtes pas tout à fait mort, vous devez défendre vos enfants contre les ardeurs de l’UE, ou plutôt de la commission NON ÉLUE, UE continent en péril, et qui veut achever son action destructrice, avant son plongeon définitif, tel le Titanic.

L’Union Européenne envisage la vaccination des enfants à la rentrée 2022/2023

En commission IMCO, la communication de la Commission européenne a transmis à Virginie Jordon des documents avec la volonté de mettre en place une stratégie vaccinale pour la rentrée scolaire 2022/2023 : stratégie pour augmenter la couverture vaccinale des jeunes enfants.(([18] Via : https://twitter.com/v_joron/status/1526498982968668168?t=nyJkwbCdxu7GrzPJIn_DeQ&s=19 https://t.me/LaVeritecensure))

Espérons que d’ici septembre les campagnes d’information, par chacun d’entre nous, aboutiront à un refus massif de ces poisons. Il semble que même dans nos pays occidentaux où la propagande provax est massive et accompagnée de pressions fortes, les doses ne trouvent plus preneurs(([19] Les vaccins de rappel Covid vont être jetés en Angleterre en raison de la baisse de la demande. 16/01/2022 On estime que des centaines de milliers de doses Pfizer et Moderna sont sur le point d’expirer après une forte baisse de la consommation DÉJÀ EN JANVIER 2022
Les vaccins de rappel Covid vont être jetés en Angleterre en raison de la baisse de la demande. – Résistance (resistance-mondiale.com) )) puisqu’actuellement moins de1/1000 des européens continuent à se faire injecter chaque jour.





Comment combattre en France les deux extrêmes (centre et gauche) ?

Par Lucien SA Oulahbib

Comme l’extrême droite n’existe pas en France, du moins de façon conséquente (sauf dans la tête de Mélenchon et ses Suivantes puisque tous ceux qui ne sont pas avec eux y sont classés tels), il y a par contre deux gros blocs d’extrémistes, très dangereux, mais qui ont pourtant pignon sur rue alors qu’ils veulent transformer la France et l’Europe en exécrables démocratures de fait, tout en affichant bien sûr les trompe-l’œil contraires pour continuer à « nous » tromper.

Il s’agit du bloc « d’extrême -centre » selon l’appellation même de son chef de file, l’actuel locataire de l’Élysée, nommé E. Macron, et du bloc d’extrême gauche soutenant le dénommé J. P. Mélenchon qui ne se reconnaît pas évidemment ainsi, mais dont le programme s’y apparente pourtant (spoliation à tous les étages). Ajoutons que ces deux blocs se soutiennent mutuellement (tout en vitupérant l’un contre l’autre officiellement), le second ayant par exemple appelé à voter — indirectement — pour le premier au second tour des dernières élections présidentielles françaises (avril 2022), et ce en le répétant à quatre reprises dans un message mémorable faussement ironique bien sûr.

Quels sont leurs points communs qui effacent de plus en plus leurs différences historiques ?

Le point commun le plus important semble bien être, à l’évidence, la volonté opiniâtre, méticuleuse, minutieuse, d’imposer — « quoi qu’il en coûte » pour l’un, « au nom de la planète » pour l’autre — un modèle de société basée sur la coercition multiforme, la restriction des libertés fondamentales, l’abolition de fait des frontières en mettant de plus en plus sur le même pied citoyens et non-citoyens.

Ainsi, qu’il s’agisse de contraintes pseudo-écologiques non fondées comme le tout éolien, la suppression plus ou moins directe du nucléaire, la hausse drastique de taxes et de « crit’air » sous prétexte de pollution (alors que 98 % des particules fines sont contrôlées par l’amélioration des pots d’échappement, les 2 % restants provenant pour une grande part des centrales à charbon réouvertes en Allemagne), qu’il s’agisse également d’obligations pseudo-sanitaires qui maintiennent encore plus de 15 000 soignants sans moyens de vivre tout bonnement (sans parler de ce qui va arriver en termes d’obligation vaccinale après les élections législatives), qu’il s’agisse enfin de suppression de fait des différences entre droits des citoyens et des non-citoyens depuis que le Conseil Constitutionnel a absous un « passeur » et que le Conseil d’État a dissous un groupe politique désireux de défendre les frontières nationales, il s’avère que ces deux blocs officiellement opposés ont précisément comme points communs ces trois axes-là se résumant en deux mots : contrainte et obligation (injustifiées, en vue de dissoudre la démocratie française au nom de la trans nationalité européenne mondialisée).

Mais alors que l’on aurait pu penser que le camp opposé à ces deux extrémismes — le camp somme tout modéré (au vu des points précédents), dit « souverainiste » — attaquerait ces trois points (climat/pollution, santé, citoyenneté) au même niveau, il s’est juste positionné sur le troisième. Sauf que, et justement, comme il ne parle pas des deux premiers, cela fait trop « disproportionné » et cela apparaît alors « extrême », en tout cas désastreux, au niveau de la communication politique. La preuve ultime est que ce camp peine à rassembler 40 %, alors qu’il est largement majoritaire dans le pays si l’on en croit certaines études qui soulignent par exemple la faillite de l’intégration et du multiculturalisme, la montée de l’insécurité contre les personnes, le matraquage fiscal toujours sur les mêmes, la restriction des libertés de pensée et d’expression (qui ont quasiment disparu sur les antennes dominantes, et sont réduites de plus en plus à la portion congrue dans les institutions scolaires et universitaires)…

Pire, c’est ce camp dit « souverainiste » qui est traité d’extrémiste, alors qu’il se trouve somme toute assez modéré puisqu’il ne prétend même pas (et ce dans sa majorité en tout cas) contraindre par exemple tout étranger à la politique de « la valise ou le cercueil » comme cela a été appliqué en Algérie par les partisans du FLN. Ceux-ci viennent aujourd’hui se réfugier en France, sachant qu’ils ont réduit à néant un pays en plein développement et qui aurait pu se réformer en profondeur si le temps lui avait été donné. Ils cherchent aujourd’hui à faire pareil en France par envie et haine (de soi).

Aussi, les deux blocs d’extrémistes réels, l’extrême centre et l’extrême gauche (par ailleurs alliés objectifs) sont également des alliés subjectifs sur de nombre de points — non seulement les trois cités précédemment, mais aussi d’autres encore tels que la parentalité, l’égalité homme-femme (récemment bafouée à Grenoble et dans le fait de masquer les viols culturels rituels sous le vocable de « féminicide »), mais aussi la démocratie réelle caviardée de plus en plus y compris en leur sein. Aucun de ces blocs ne connaît plus désormais ces fameux « congrès » dans lesquels des « tendances » pouvaient marquer leurs différences, non.

À cette respiration (plus ou moins) démocratique se sont substituées des pseudo consultations plébiscitaires avec aucun moyen en interne de pouvoir peser motion contre motion. Tout cela est bien fini ; et l’on assiste plutôt à la montée en puissance d’un culte du « Chef » qui, à d’autres époques, répondait à des classements bien précis, mais que mon refus de l’anachronisme interdit d’indiquer, même si j’ai tout de même un faible pour celui de néonazi (que j’ai employé bien avant que Poutine ne le fasse), puisque j’estime que lorsque l’on est pour des manipulations génétiques et génitales, pour la formation d’un nouveau peuple dont la couleur de peau et le genre de sexe est même indiqué (non-blanche et non-homme a minima), il s’agit bel et bien d’un néo-eugénisme racialiste avec comme objectif la construction d’une frange supérieure d’individus fonctionnant par ailleurs non plus seulement comme une caste, mais aussi une secte — la différence est que la première s’identifie principalement à son statut de puissance qui permet d’y entrer, mais aussi d’en sortir (pour former une autre caste), tandis la seconde empêche d’en sortir sous peine d’être excommunié par les vocables qui ont remplacé ceux d’hérétique et d’infidèle : « réactionnaire », et récemment « complotiste », « conspirationniste ».

Pourtant, ces deux blocs d’extrémismes sont eux les plus comploteurs et conspirateurs qui soit, surtout au vu de ce que l’on sait maintenant sur leurs passe-droits, leur degré, sinon de corruption et de mensonges, du moins d’omissions. Et malgré cela ce sont surtout eux qui crient au loup alors qu’ils l’ont depuis longtemps fait entrer par la porte de derrière et aujourd’hui carrément de devant, au vu et au su de tous, et ce dans l’indifférence quasi générale. Ou alors, à moins que cela ne soit le calme avant la tempête, celle qui, une fois non plus par siècle, mais par millénaire, balaie tout.

Pour y parvenir ou du moins y contribuer continuons à dénoncer ainsi leur collusion et leur extrémisme, tout en ne cédant pas d’un pouce sur ces trois points et non pas seulement sur un seul, car ils sont de plus en plus liés : les contraintes pseudo-écologiques impliquent le pseudo-sanitaire qui en serait la conséquence, justifiant les mesures antidémocratiques en interne (implosion des partis) comme en externe (implosion de la notion de citoyenneté).




Refusons la poursuite des injections anticovid qui favorisent l’augmentation des cancers

Par Nicole Delépine

Il est temps d’engager une grande campagne populaire contre la poursuite de la pseudo vaccination anti-covid dont l’inefficacité contre l’épidémie est devenue évidente alors que liste des complications dans la vraie vie, s’allonge. Les pétitions en cours n’ont pas suffi(([1] Pétition : Vaccins anti-covid : STOP aux RAPPELS systématiques ! (mesopinions.com)
Pétition : STOP au Pass sanitaire et à la « vaccination covid » obligatoire pour tous (mesopinions.com) entre autres.)). Chacun d’entre vous sait maintenant que les AVC, les morts brutales lors d’un effort, les infarctus et les myocardites, les régressions intellectuelles, les encéphalopathies se multiplient, et particulièrement chez les sujets jeunes et les adolescents qui ne risquaient pas de mourir du covid.

Le temps passant, de nouvelles complications apparaissent et singulièrement en cancérologie. Il a fallu quelques mois pour que la fameuse protéine spike agisse dans l’organisme et bloque la réparation de l’ADN et ainsi les défenses de l’organisme contre un cancer quiescent en place ou un pré cancer qui finalement se transforme en véritable néoplasie active.

Les cancers des organes sexuels (ovaires(([2] Well official UK data shows that cases of Ovarian cancer in 2021 were at an all time high, and the UK Medicine Regulator received over 40,000 reports relating to reproductive and menstrual disorders suspected as adverse reactions to the Covid-19 injections in 2021 alone.
Confidential Pfizer Docs. reveal the Covid-19 Vaccine accumulates in the Ovaries; & now Official UK Data shows cases of Ovarian Cancer are at an all time high — The Expose (expose-news.com) )), testicules) sont particulièrement concernés en raison de la propension de la protéine spike, pour cette localisation, attirance dont témoignent par ailleurs les nombreux effets secondaires chez la femme et en particulier les troubles des règles précocement après l’injection (arrêt des règles, hémorragies, saignements dont certains majeurs réglés seulement par l’ablation de l’utérus) et chez l’homme : raréfaction des spermatozoïdes constatés rapidement par les centres de donneurs…(([3] Effets toxiques des vax anticovid sur le cycle menstruel et la fonction érectile — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) Et Pfizer le savait d’emblée comme en témoignent les documents enfin publiés grâce à la justice américaine.

COÏNCIDENCE DE TEMPS ENTRE FLAMBÉE DU CANCER ET VACCINATION ANTICOVID RÉCENTE = TEMPORALITÉ

Concentrons-nous ce jour sur les cancers potentiellement liés aux injections ARNm, le critère de temporalité rendant les observations signalées plausibles et ainsi retenues par le site VAERS. Nous avions évoqué cette possibilité il y a plusieurs mois, alertés par des publications de grands scientifiques(([4] Covid “vaccine” spike proteins destroy DNA repair pathways, paving the way for CANCER to grow and spread (oncology.news) :
Ces flacons effrayants remplis de produits mystérieux qu’ils appellent « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) se sont avérés détruire la capacité du corps à protéger l’intégrité de l’ADN, qui au fil du temps peut causer le cancer. » « Une fois injectées dans le corps, explique l’étude, les protéines de pointe “détournent et désagrègent la machinerie cellulaire de l’hôte pour répliquer, assembler et propager les virus de la progéniture”. Dans le pire des cas, le résultat est une baisse drastique des lymphocytes T, des lymphocytes T auxiliaires et des lymphocytes T suppresseurs, qui sont tous nécessaires pour combattre les cellules malignes qui, si elles ne sont pas contrôlées, peuvent provoquer le développement de tumeurs.
« En tant que deux systèmes critiques de surveillance de l’hôte, les systèmes immunitaires et de réparation de l’ADN sont les principaux systèmes sur lesquels les organismes supérieurs comptent pour se défendre contre diverses menaces et l’homéostasie tissulaire », indique l’étude.
« Les preuves émergentes indiquent que ces deux systèmes sont interdépendants, “Si les dommages à l’ADN ne peuvent pas être correctement réparés, ils contribueront à l’amplification de la pathologie induite par l’infection virale”, prévient l’étude.))(([5] The Incidence of Cancer, Triggered by the Covid 19 “Vaccine” | peckford42 (wordpress.com) )). Malheureusement aujourd’hui le doute n’est plus permis(([6] Histoires de cancer partagées par des utilisateurs de Twitter en réponse à l’article sur des cas de cancer ou une croissance rapide du cancer après COVID vax (cf réf. 7) )). L’accumulation de témoignages et d’articles scientifiques(([7] Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs
Stephanie Seneff a,*, Greg Nigh b, Anthony M. Kyriakopoulos c, Peter A. McCullough.
A B S T R A C T(…)
In this paper, we present evidence that vaccination induces a profound impairment in type I
interferon signaling, which has diverse adverse consequences to human health. Immune cells that have taken up the vaccine nanoparticles release into circulation large Numbers of exosomes containing spike protein along with critical microRNAs that induce a signaling response in recipient cells at distant sites. We also identify potential profound disturbances in regulatory control of protein synthesis and cancer surveillance.
These disturbances potentially have a causal link to neurodegenerative disease, myocarditis, immune thrombocytopenia, Bell’s palsy, liver disease, impaired adaptive immunity, impaired DNA damage response and tumorigenesis.
We show evidence from the VAERS database supporting our hypothesis. We believe a comprehensive risk/benefit assessment of the mRNA vaccines questions them as positive contributors to public health.
seneff@csail.mit.edu (S. Seneff), drnigh@immersionhealthpdx.com (G. Nigh), antkyriak@gmail.com (A.M. Kyriakopoulos), peteramccullough@gmail.com (P.A. McCullough).
Food and Chemical Toxicology journal homepage: www.elsevier.com/locate/foodchemtox
https://doi.org/10.1016/j.fct.2022.113008
Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs—PubMed (nih.gov) )) rend indispensable l’information des patients ou des citoyens encore non injectés ou susceptibles de recevoir une nouvelle dose dite rappel ou booster. Il faut les refuser, car la toxicité est cumulative, et les risques d’autant plus importants que vous additionnez les doses.(([8] The more vaccines you take, the weaker your immune system becomes (chemicalviolence.com) ))

Le pseudo vaccin anticovid n’est pas un vaccin mais un modificateur des gènes :

  • il accélère la progression des cancers ;
  • il réveille les cancers en rémission même depuis longtemps ;
  • il s’accompagne de l’éclosion de nouveaux cancers d’évolution brutale.

Ces cancers sont dits « étranges », car peu ou pas sensibles aux traitements habituels.

Ils surviennent à des âges inhabituels.

IL FAUT REFUSER TOUTE NOUVELLE INJECTION.

IL FAUT REFUSER D’INJECTER LES ENFANTS.

IL FAUT STOPPER CES CAMPAGNES ET EXIGER PUBLICATION DES RÉSULTATS ET ACCIDENTS.

Comme l’avait démontré le Vaers en ce qui concerne la totalité des effets secondaires depuis trente ans pour les vax en général, les cancers flambent depuis le début de la vax anticovid.

TEMPORALITÉ COMPARABLE

Le graphique concernant les cancers et leurs multiplications depuis la vax covid démontre largement la temporalité qui permet d’attribuer au moins une part de responsabilité aux injections. Il a la même forme que ceux concernant les myocardites, les fausses couches et les décès pendant les années précédentes et celle de la vax. Ces constatations qui sont des FAITS devraient conduire à stopper cette injection dangereuse aux composants encore inconnus pour certains.

TÉMOIGNAGES CLINIQUES

Si les explications théoriques et statistiques sont convaincantes pour les savants et citoyens intéressés, les rapports cliniques accumulés devraient faire réfléchir avant d’injecter ses propres enfants ou bien de faire une nouvelle injection.

Exemples dans le VAERS(([9] Cancer — COVID Vaccine Dangers (wordpress.com) )) de témoignages vécus : rapports de cas VAERS sélectionnés

  • Nouveau diagnostic de tumeur solide après vax.
  • Nouveau diagnostic de cancer du sang après vax.
  • Croissance rapide/métastase d’un cancer stable précédemment diagnostiqué.
  • Tumeur solide diagnostiquée après vax
  • De nouveaux CANCERS agressifs tuent des gens peu de temps après le covid vax… y compris des ENFANTS.

Une jeune fille de 13 ans, 1 mois après vax, se plaint de vagues douleurs dans le haut du dos. Au cours des 6 semaines suivantes, fatigue, des douleurs thoraciques, des maux de gorge et de la toux. Huit semaines après le vax, elle a développé une accélération du rythme cardiaque et les symptômes se sont aggravés > liquide autour du cœur, drainé : contenait des cellules cancéreuses du muscle cardiaque. Au cours des 30 jours suivants, elle a développé une tumeur massive à l’intérieur de l’oreillette gauche de son cœur. Il a continué à croître rapidement malgré une chimiothérapie agressive : enfant décédée moins d’un mois plus tard. Vaers id 1913198

En bonne santé 53 ans. Mammographie de dépistage normale 2 mois après Moderna vax. 4 mois plus tard, on lui diagnostique « un cancer du sein inflammatoire très agressif ». A commencé la chimio. « Nous sommes une petite structure rurale desservant une population relativement fermée et de tels cas sont très rares mais j’en ai relevé plusieurs depuis le printemps. En signalera d’autres également. » VAERS ID 1684985

Un autre rapport du même centre de soins : 42 ans F. Mammographie normale 1,5 an avant. 4 mois après Pfizer vax, remarquez une masse mammaire près de l’aréole (même emplacement que le cas précédent). La biopsie du mois suivant a montré « un cancer du sein infiltrant triple + (nœud +) agressif ». ID VAERS 1685076

60 ans Monsieur décédé dans les 3 mois suivant la vax de plusieurs cancers. 3 jours après dose 1 : 2 bosses sur son cou. 2 semaines plus tard : anémie. 1 semaine plus tard : dose 2 : 2 semaines plus tard : Faiblesse, douleur. 2 semaines plus tard : légèrement plus anémique. Au cours des 4 semaines qui ont suivi, on lui a diagnostiqué un lymphome et 1 tumeur au cerveau, puis 3, puis 7 tumeurs au cerveau, de nombreuses tumeurs dans son corps, 1 tumeur dans son œil, d’origine adénocarcinome à cellules caliciformes. Ce cancer très rare : seulement 1 sur un million. Cancer spécial de l’appendice. L’appendicite est fréquemment observée au cours de la première semaine de vax, à tous les âges. Il se passe quelque chose à l’appendice à cause du vax. L’appendice fait partie du système immunitaire. VAERS ID 1697379

55 ans F. Mammographie normale 3 mois avant vax. 3 jours après vax, le sein a commencé à grossir. La biopsie a montré un cancer du sein inflammatoire. ID VAERS 1641095

69 ans F. 4 mois après la 2e dose, diagnostic de glioblastome « Son médecin a estimé que la tumeur avait 3 mois, ce qui coïncidait complètement avec la réception du vaccin Pfizer ». VAERS ID 1646951

74 ans M. 3 semaines après la dose de vax 2 « le patient a remarqué un gonflement des ganglions lymphatiques du côté droit de son cou. Lorsqu’il l’a interrogé, on lui a dit que le gonflement de la lymphe était un effet secondaire courant et qu’il devrait disparaître en 4 à 6 semaines.
Dans l’intervalle, plutôt que de s’affaisser, ils ont augmenté en nombre de nœuds et en taille. Lorsqu’il l’a signalé à son doc, il les a regardés et lui a assuré que ce n’était pas cancéreux, car ils étaient mobiles. Ils n’ont pas testé ou enquêté par précaution. [6 mois après la dose 2], le patient a reçu un diagnostic de cancer d’adénocarcinome pulmonaire avec propagation aux lymphatiques. » VAERS ID 1647308.

Femme de 86 ans, sans antécédent de cancer. 10 jours après la dose 2, « j’ai commencé à me sentir mal. Laboratoires au jour 17 : CRP 10,08, LDH, CK et proBNP élevés (51,4). Jour 24 : CRP 6,63, WBC 11k, LDH 60, KL-6 3406, ANA 1280. Le jour 30 a été diagnostiqué avec une polymyosite/dermatomyosite ». En cherchant la cause, un cancer de l’ovaire a été découvert et elle est décédée.

57 ans F. « Vaccinée en mars, j’ai passé une mammographie fin avril mais mes ganglions étaient enflés. Le médecin m’a demandé de revenir pour vérifier dans 3 mois et a dit que c’était probablement une réaction au vaccin. Quand je suis revenue trois mois plus tard, j’avais un cancer du sein métastatique. Je ne sais pas comment cela peut être si ma mammographie avait l’air correcte. » VAERS ID 1623680

1587116 – 43 ans F, en bonne santé, 31 jours après vax, diagnostic d’un cancer du sein métastatique (carcinome canalaire invasif, grade 3)

1647170 — 83 ans F « En 3 semaines, une tumeur a atteint la taille d’une balle molle. Elle a régulièrement décliné chaque jour après avoir reçu le vaccin… Avant le vaccin, elle marchait 2 miles par jour à la fin du mois de mars [quand elle a reçu un vax], elle ne pouvait pas sortir du lit sans aide. Elle est morte 60 jours après vax. »

Exemple de la présentation que vous pouvez trouver directement dans le VAERS

Pour de nombreux autres témoignages, ouvrir l’article en référence OU DIRECTEMENT LE SITE DU VAERS.

Exemples récents trouvés récemment sur tweeter : comme chaque jour de nouveaux !

Dukaandy @Dukaandy1‬

témoignage vaccin sur telegram : Je viens d’apprendre que la gérante du complexe où je vis, entièrement vax vient de décéder d’un cancer utérin fulgurant : il y a 3 semaines elle était en super forme, 1 semaine plus tard elle s’est sentie malade elle a été hospitalisée et décédée hier matin 11/05/2022 02:41

Et celui-ci qui traduit une remarque fréquente de collègues par téléphone ou mail le caractère étrange de ces cancers…

En conclusion, si vous n’êtes pas convaincu, allez visiter les nombreux canaux de Telegram sur les effets secondaires des pseudovaccins anticovid.

Après près de 18 mois d’injections, les observations cliniques mondiales d’explosion des cancers et de leur caractère intraitable et explosif concordent avec les publications scientifiques qui elles aussi s’accumulent, comme pour les autres complications graves comme les myocardites et encéphalopathies.

Il est grand temps d’exiger un ARRÊT TOTAL DE TOUTE INJECTION, QUEL QUE SOIT L’ÂGE !

En période de législatives, nous pensons qu’informer TOUS LES CANDIDATS AUX POSTES DE DÉPUTÉS DE TOUTES TENDANCES SERAIT L’OCCASION DES LES INFORMER VRAIMENT !

Prenons nos vies et surtout celles de nos enfants et petits-enfants en main sans attendre l’aide d’un sauveur.

Distribuez les informations à tous via tracts, petites réunions informelles entre amis et connaissances, etc.

Cela a bien marché pour Tupperware… C’est ici CAPITAL.





Selon Pierre Hillard, « La Russie va être le fléau de Dieu dans cette histoire »

[Source : Radio Lorraine Enragée]

Pierre Hillard, Docteur en sciences politiques et spécialiste de la question du mondialisme, revient sur l’actualité : Covid19, guerre Ukraine et autres manifestations du grand chambardement qui nous guette.



[Voir aussi :
Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Great Reset : la Bête est-elle là ?]




Démolition de l’escroquerie Covid par PERRONNE

[Source : profession-gendarme.com]

Extrait :

Les tests PCR ça faisait une dizaine d’années qu’on les utilisait à l’hôpital, mais on enfonçait un petit tuyau en plastique de deux à trois centimètres. On aspirait les sécrétions nasales. Je n’ai jamais vu entrer des tringles à rideaux pour défoncer la base du cerveau. Ça, c’est une invention. Je ne sais pas qui a inventé ça, mais c’est pour vous bousiller le nerf olfactif, la glande pinéale. Ça n’a aucun sens scientifique. Si le virus est là-haut, il est au bord des narines et même dans la salive.

Et ça, je crois que c’est volontaire, ce n’est pas par hasard. L’inventeur de la PCR [qui est Kary Mullis] (qui malheureusement est décédé l’été 2019 juste avant le Covid) avait toujours dit qu’on n’utilise jamais la PCR sur des gens qui n’ont pas de symptômes. Et en dépistage de masse, c’est une erreur scientifique puisqu’il y a toujours des faux positifs dans la PCR.

Pour affoler les gens il fallait que les vagues soient très grosses à chaque fois, donc on a fait des PCR à toute la population, à des millions de gens qui étaient en très bonne santé, et après le Gouvernement a dit « regardez, catastrophe, on a fermé 3000 classes en France ! ». On ne fait pas de PCR à des gens qui n’ont pas de symptômes, donc ça a fait des vagues artificielles, chaque fois qu’ils étaient positifs ils étaient « morts du covid » alors qu’ils étaient morts d’autre chose, le comble c’est qu’ils ont fait des tests jusqu’à 45 cycles d’amplification (normalement on amplifie à 25 fois, 35 fois maximum), on amplifie du vent, on vous crée comme ça des super épidémies totalement artificielles.

Quand les vaccins sont arrivés, et que leurs PCR exagérés rendaient tout le monde positif, ils ont été très ennuyés (CDC d’Atlanta), ils se sont dit « zut ! ça ne va pas dans notre logique », ils ont dit : « bon, pour les vaccinés on baisse le cycle à 20, pour les non-vaccinés on reste à 45 ». Tout est comme ça. Tout est pourri ! il n’y a pas de science. Tout le monde a gobé. La fraude partout.

Il y a aussi tous ces médecins des plateaux télé qui font de la désinformation permanente, même si quelques-uns ont déclaré leurs conflits d’intérêts. Comme répondit Göring au procès de Nuremberg, c’est très simple, il suffit de faire peur aux gens.

[Voir aussi :
Pr Christian Perronne : le but de la « pandémie » est de « prendre le contrôle mondial de la population »
Le Pr Perronne balance des chiffres sur les décès post injection
Audition du Pr Christian Perronne au Parlement du Luxembourg : toute la manipulation autour du covid révélée en 8 minutes
Pr Perronne : « Les pays où l’épidémie est repartie avec des morts ont vacciné massivement ! »
6 mois après la sortie du documentaire Hold-Up, interview du Pr Perronne sur la situation Covid-19
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !
Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?
Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs
Sur les masques :
Effets nocifs des masques
Les « experts » sanitaires admettent que les masques servent à contrôler les gens
La science est concluante : les masques et les respirateurs n’empêchent PAS la transmission des virus
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Sur les vaccins, les virus et la contagion :
Dossier vaccins et virus]




Les pays riches victimes de l’OMS et de la politique du tout vaccin

Par le Dr Gérard Delépine

La catastrophe sanitaire des pays riches

Récemment, le ministre de la Santé algérienne expliquait que son pays n’avait pas acheté davantage de vaccins parce qu’ils étaient trop chers. Il aurait pu préciser que plus de la moitié des doses néanmoins achetées avaient été gâchées, car la population algérienne n’en voulait pas(([1] Lassaad Ben Ahmed Algérie/Covid-19 : risque de perdre un stock de 13 millions de doses de vaccin — Dont la date de péremption est très proche. 07.11.2021)). Il aurait pu aussi se féliciter du bilan sanitaire Covid de son pays, qui comme les autres pays pauvres d’Afrique, s’en sort tellement mieux que les pays riches.

En effet, alors qu’au 10 mai 2022 les USA recensent 2997 morts covid par million d’habitants et l’Europe 2440/M, les pays à revenu moyen supérieur n’en comptent que 1000/M et les pays pauvres seulement 65/M !

C’est d’autant plus inattendu que tous les experts de l’OMS et des médias dominants avaient prophétisé une catastrophe sanitaire dans les pays pauvres(([2] MARI ELKA PANGESTU Crise du coronavirus : pour les pays les plus pauvres, le pire est à venir 08 AVRIL 2020
https://blogs.worldbank.org/fr/voices/crise-du-coronavirus-pour-les-pays-les-plus-pauvres-le-pire-est-venir)) parce que leurs systèmes de santé étaient insuffisants, leurs populations sous-alimentées, qu’ils manquaient d’hôpitaux, de médecins et de médicaments et de vaccins.

Ces mêmes experts demandaient aux pays riches de faire cadeau de leurs doses inutilisées aux pays qui ne pouvaient pas les acheter ou de payer l’achat de vaccins(([3] OMS communiqué Mécanisme pour un accès mondial aux vaccins contre la COVID-19 : 172 pays participants et plusieurs vaccins candidats
https://www.who.int/fr/news/item/24-08-2020-172-countries-and-multiple-candidate-vaccines-engaged-in-covid-19-vaccine-global-access-facility)), afin que ces pays ne risquent pas de pérenniser l’épidémie et de la propager au reste du monde.

Les pays pauvres épargnés de la catastrophe covid

Mais les pays pauvres n’en ont majoritairement pas voulu et la catastrophe sanitaire les a épargnés, se concentrant sur les pays riches et vaccinés.

La Zambie, qui compte un médecin pour 10 000 personnes, comptait au 15/5/22 douze fois moins de morts Covid que les USA. Le Mali qui dispose de seulement de trois respirateurs par million de personnes n’en recense que près de 100 fois moins que les USA (31/M versus 2997/M).

Certes l’âge plus jeune des populations des pays pauvres, avec une plus faible proportion de personnes à risques (les plus de 60 ans) peut expliquer une partie de la différence, mais après correction de ce facteur, les différences restent considérables (de 10 à 20 fois plus de décès dans les pays riches que dans les pays pauvres).

Comme quoi, à l’ère du Covid, l’argent ne fait pas toujours le bonheur !

La catastrophe sanitaire des pays riches est due à leur politique sanitaire

Ils ont majoritairement appliqué les directives de l’OMS, favorisant les confinements, interdisant les traitements précoces dans une stratégie autoritaire du tout vaccin, alors que les pays en voie de développement ont plutôt utilisé les traitements traditionnels bon marché.

D’ailleurs les pays pauvres qui ont reçu en cadeau des vaccins et les ont utilisés, ont souvent rapidement été victimes d’une poussée paradoxale de l’épidémie et de la mortalité ainsi que l’illustrent les quelques exemples suivants.

L’exemple des îles africaines de l’océan Indien comparant Madagascar et les Seychelles est très démonstratif.

Ces îles partagent le même climat et leurs populations sont très proches par l’âge et le mode de vie. Les Seychelles ont été longtemps citées par les médias comme les champions de la vaccination de la région par ses 85 % de la population injectée.

Avant la campagne d’injection, décidée pour sauver l’industrie touristique et commencée début janvier 2021, les Seychelles ne comptaient que 226 cas. Le 15 mai 2022, après 15 mois d’injection, ce chiffre a dépassé 43 000 et plus de 43 % de la population a été contaminée confirmant que les injections n’empêchent pas (ou favorisent ?) les contaminations.

Cette explosion des cas a été suivie par une augmentation considérable de la mortalité aux Seychelles. Pendant cette période, grâce à l’Artémisine, l’épidémie et la mortalité ont été totalement contenues sans vaccination à Madagascar.

L’exemple du Maghreb est tout aussi démonstratif. La Tunisie a suivi les instructions de l’OMS et une politique du tout vaccin comme ses voisins du sud de l’Europe, Espagne et Italie. À l’opposé, l’Algérie n’a pas suivi l’OMS et a généralisé l’application du protocole Raoult.

Au 14/5/2022, l’Algérie compte 17 fois moins de morts covid par millions d’habitants (135/M) que la Tunisie (2400/M), l’Espagne (2243/M) et l’Italie (2734/M) alors qu’elle recense davantage de personnes âgées de plus de 60 ans que la Tunisie (25 %(([4] Près de 11 millions, sur une population globale de plus de 40 millions d’Algériens, en 2019, d’après le représentant de l’Office national des Statistiques (ONS), Hamid Zidouni.)) vs 15 %) et autant que ses voisins du nord.

Là encore la politique du tout vaccin et l’absence de traitement précoce ont aggravé la mortalité des populations tunisiennes, italiennes et espagnoles.

La corruption des pays riches peut seule expliquer le scandale Covid

Comment l’Europe et la France qui dépensent autant pour la santé et disposent de très nombreux médecins ont-elles pu aboutir à une mortalité covid 20 à 100 fois supérieure à celle de pays pauvres ?

La corruption des pays riches les a condamnés et la pauvreté d’autres pays les a sauvés paradoxalement : les laboratoires pharmaceutiques n’ont pas voulu investir autant « d’argent » auprès des dirigeants de pays incapables financièrement d’acheter finalement leurs produits expérimentaux.

La politique sanitaire française (confinement(([5] NatureGate et la fable du confinement aveugle
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/naturegate-et-la-fable-du-confinement-aveugle)) et autres mesures autoritaires inutiles, rejet des médecins de famille, interdiction des traitements précoces et peu chers, chantage à la vaccination) ne reposait sur aucune expérience médicale, mais seulement sur une simulation mathématique fausse volontairement terrorisante créée par N. Ferguson (prophétisant 500 000 morts en France) et sur le modèle chinois et sur les conseils de McKinsey.

Elle était contraire à toute l’expérience médicale des épidémies précédentes ainsi que nous l’avons dénoncé dès mars 2020(([6] Delépine Confinement, mesure sanitaire ou politique ? Agoravox samedi 21 mars 2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478))(([7] Delépine Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27/3/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)) et contraire aux préconisations du rapport de la Cour des comptes(([8] https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/EzPublish/5_lutte_contre_la_grippe_A_H1N1.pdf)) et du Sénat sur l’épidémie H1N1.(([9] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-2706.html))(([10] https://www.senat.fr/notice-rapport/2009/r09-685-1-notice.html))(([11] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-2700.html))

Le comportement outrancièrement autoritaire de nos gouvernants, l’instauration d’une censure sévère dans les médias et sur internet, et la persécution sauvage des opposants allant jusqu’à l’exclusion de la profession et parfois la mise en garde à vue, ne peut résulter de la simple croyance aveugle à l’efficacité miraculeuse d’un traitement(([12] Ce ne sont pas des vaccins car ils ne contiennent aucun antigène anti-covid.)) expérimental(([13] Pour vérifier que les essais phase trois d’aucun pseudo vaccin n’est terminé il suffit de consulter le site clinical trials. gov)) issu d’une technologie jusqu’ici jamais utilisée en infectiologie.

Seule la corruption intense par les grandes firmes pharmaceutiques Big Pharma et au premier plan Pfizer a permis de tisser des liens d’intérêts intenses avec les revues médicales(([14] L’industrie pharmaceutique qui assure maintenant près de 80 % des ressources des revues médicales.)), les médias grand public, l’OMS(([15] L’industrie pharmaceutique et Bill Gates apportent plus de la moitié du budget de l’OMS.)), les agences sanitaires(([16] L’industrie pharmaceutique et Bill Gates apportent plus de la moitié du budget de la FDA et de l’EMA.)), les experts, les médecins leaders d’opinion et les décideurs administratifs(([17] un rapport officiel de la Chambre des Communes britannique, en 2005 : « Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques (Chambre des Communes du Royaume-Uni) )) et politiques.(([18] Aux États-Unis qui sont plus transparents que la France, les firmes pharmaceutiques sont les plus gros financeurs des campagnes électorales.))

Ces problèmes ne sont pas nouveaux puisqu’en 2005 un rapport de la Chambre des Communes du Royaume-Uni(([19] The influence of pharmaceutical industry
https://publications.parliament.uk/pa/cm200405/cmselect/cmhealth/42/42.pdf)) s’inquiétait :

« Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques ».

Mais cette mainmise de l’industrie avec « capture des agences de régulation » s’est fortement aggravée depuis lors, comme l’ont montré les affaires du médiator(([20] L’affaire du Mediator 2010-2020 Dix ans après Anne Danis-Fatôme, François-Xavier Roux-Demare
https://univ-droit.fr/recherche/actualites-de-la-recherche/parutions/37571-l-affaire-mediator-2010-2020)), du Vioxx(([21] Scandale du médicament Vioxx : une plainte relance le dossier en France 03/04/2016 à 15 h 2 —
https://www.francesoir.fr/societe-sante/scandale-du-medicament-vioxx-une-plainte-relance-le-dossier-en-france))(([22] Caroline Pintard Scandale du Vioxx : Merck s’apprête à payer le figaro 17/07/2008
https://www.lefigaro.fr/societes-etrangeres/2008/07/17/04011-20080717ARTFIG00432-scandale-du-vioxx-merck-s-apprete-a-payer-.php)) et plus récemment celle des opioïdes aux USA.

La vente des pseudo vaccins Pfizer est une manne colossale pour Pfizer qui a été de plus déchargée des risques de dédommagements pour accidents liés à ses produits. La présidente de la Commission européenne a négocié directement avec le laboratoire et aucun parlementaire, journaliste ni aucune association de malades n’a pu obtenir le détail des contrats qu’elle a signés en notre nom.

Le nombre de doses achetées ou précommandées par l’Union européenne depuis le début de la crise atteint 4,2 milliards (chiffre confirmé par la commission) pour une population de 447 millions d’habitants. C’est donc près de dix injections de cette substance expérimentale inefficace et dangereuse que ces dictateurs veulent imposer à chacun d’entre nous alors que grâce à Omicron nous avons presque tous été immunisés !

Battons-nous pour notre santé et celle de nos proches, en demandant un moratoire de toute injection anticovid et la transparence sur les résultats réels et les accidents de ce traitement expérimental.





BMJ Gate : interprétation manipulée des données statistiques au bénéfice des mensonges officiels

[Source : francesoir.fr]

 Par Gérard Delépine

« Le CDC patronne une nouvelle étude truquée, biaisée pour faire croire au succès vaccinal et le comité de lecture du British Medical Journal n’y voit pas malice.

TRIBUNE — Les Américains, à plus de 90 %, ne croient plus à la gravité du Covid-19 — merci Omicron — ni à l’intérêt des mesures coercitives, bien que l’éternel menteur Fauci tente d’alimenter la peur via les CDC, agences gouvernementales. Vainement, cette fois en mai 2022 : « Epidemy is over ».

Lire aussi : L’étrange docteur Fauci envisage désormais des traitements précoces

Ainsi, la plus grosse manipulation récente sur les vaccins Covid vient du CDC (Centers for disease control and prevention; voir les agences gouvernementales par État). Pour tenter de convaincre encore et de vendre encore et encore leurs injections dangereuses, l’article tente de faire croire à l’efficacité des pseudo-vaccins alors que l’épidémie régressait naturellement (en courbe en cloche comme toutes les épidémies).

[Notes relatives au CDC : Le président des États-Unis nomme les directeurs des agences de santé majeures à un niveau national, avec l’approbation du Sénat. Les gouverneurs jouent le même rôle pour les agences de santé des États. Le « U.S. Department of Health and Human Services » (HHS) est la principale agence de santé aux États-Unis. Cette agence reçoit ses instructions directement du Congrès et de la Maison-Blanche en ce qui concerne la gestion des finances, la coordination, la réglementation ou encore la fourniture de services de santé.]

Le Center for Disease Control and Prevention (CDC) est une agence du HHS et la principale agence de santé publique aux États-Unis. Le CDC travaille en collaboration avec des organisations partenaires (institutions académiques, agences gouvernementales, organisations privées…) pour assurer le suivi, la prévention et le contrôle de la santé humaine et environnementale.

Le CDC patronne une nouvelle étude truquée, biaisée pour faire croire au succès vaccinal et le comité de lecture du British Medical Journal n’y voit pas malice.

Comment transformer un bilan catastrophique réel en succès imaginaire

Cette étude de propagande marchande a été publiée dans le British Medical Journal (BMJ) le 27 avril 2022 (([1] Public health impact of Covid-19 vaccines in the US : observational study BMJ 202 04 27 2022;377:e069317)) et a été immédiatement reprise sans modération par les médias médicaux et grand public (voir les articles de VnExplorer et Femme actuelle.

Elle prétend que « l’augmentation de la couverture vaccinale pourrait influer sur la mortalité et l’incidence du Covid-19, car une couverture vaccinale plus élevée serait associée à des taux plus faibles de mortalité et d’incidence du covid-19 au niveau de la population aux États-Unis ».

Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple étude observationnelle dont les conclusions, soumises aux biais temporels, sont toujours incertaines.

En janvier et février 2021, aux États-Unis, le nombre quotidien de nouveaux cas a fortement régressé en même temps que la pseudo-vaccination progressait, mais rien n’indique qu’il puisse y avoir la moindre relation de cause à effet entre les deux.

Voir aussi : Pour le directeur de la FDA, la principale cause de décès aux États-Unis est la « désinformation »

En effet, les premières injections datent de la mi-décembre 2020 et fin février 2021 seulement 17 % des Américains avaient reçu une dose, et moins de 10 % deux doses depuis plus de deux semaines, délai couramment admis pour prétendre à une protection.

Or l’évolution naturelle des épidémies suit une évolution en cloche et celle du Covid n’échappe pas à la règle ainsi que l’a souligné dès avril 2020 le Pr Isaac Ben Israël alors que les vaccins n’existaient pas.

« Le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 joursCela est vrai dans n’importe quelle partie du monde – que les pays interrompent leurs activités économiques ou pas. »

D’ailleurs, en octobre 2021, alors que le pourcentage d’injectés atteignait ses chiffres les plus élevés (88 %), l’absence d’immunité contre l’infection s’affirmait clairement avec l’explosion des cas hebdomadaires culminant à six fois les pics atteints lors de la première vague d’avant les vaccins.

Curieusement, les auteurs du CDC n’ont tenté ni d’analyser, ni d’expliquer cette récidive explosive de l’épidémie, ni le dramatique échec global de la politique sanitaire américaine du « tout vaccin », sur la prévention des formes graves qui place le pays dans les pires bilans mondiaux de mortalité Covid.

La mortalité Covid globale des États-Unis, en mai 2022, culmine en effet à près de 3 000 par million, soit 20 fois plus que l’Algérie (pourcentage de plus de 60 ans égal à celui de la France) qui a utilisé le protocole Raoult et 200 fois plus que le Nigeria (qui a largement utilisé la nivaquine) et dont moins de 3 % de la population a été vaccinée.

Nier l’échec mondial des pseudo-vaccins, c’est nier l’évidence

Les chiffres de l’OMS et les courbes de l’Université John Hopkins sont sans appel ; les pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont ceux qui totalisent le plus d’infections.

Et, ces pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont aussi ceux qui souffrent des mortalités les plus élevées par rapport aux pays adeptes des traitements précoces (par chloroquine ou autres antipaludéens, Ivermectine, antibiotiques, zinc, vitamine D.)

En niant l’évidence mondiale de l’échec des pseudo-vaccinations, le CDC qui les a très largement promus n’améliorera pas sa réputation et prolongera la campagne vaccinale et tous ses effets secondaires parfois gravissimes.

Le comité de lecture du British Medical Journal, qui n’a pas émis les critiques que tout scientifique indépendant devait soulever, était-il aveuglé par la qualité des auteurs ou tenu d’accepter cet article par sa direction ? Après le Lancet Gate (voir les articles de FranceSoirDissentvoice et Agoravox) et le Nature Gate, un BMJ Gate.

Voir aussi : NatureGate et la fable du confinement aveugle
et : Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie !

La réputation des jadis grandes revues scientifiques se décrédibilise chaque jour un peu plus.

Rappelons le commentaire de Richard Horton (The Lancet) :

« Si cela continue, nous ne serons pas en mesure de publier d’autres données de recherche clinique parce que les sociétés pharmaceutiques sont si puissantes financièrement aujourd’hui, et sont capables d’utiliser des méthodologies telles que nous acceptons des articles qui sont apparemment méthodologiquement parfaits, mais qui, en réalité, parviennent à conclure ce qu’ils veulent conclure ».

« Quand il y a une épidémie comme le Covid, en réalité, il y a des gens comme nous – les médecins – qui voient la mortalité et la souffrance… et il y a des gens qui voient de l’argent. C’est tout »

Et malheureusement, si l’article du Lancet a été retiré, le ministre Véran n’a pas modifié sa position ni son ordonnance vis-à-vis des traitements précoces du covid, toujours peu utilisés en France et pour lesquels les médecins résistants, fidèles à Hippocrate sont poursuivis s’ils décident de soigner leurs patients. La position avouée du ministre est évidemment de contraindre de fait à l’injection de tous les dangers et inefficace de surcroit.

En toute impunité, M. Véran, mais jusqu’à quand ?




« Opération criminelle de grande envergure » : un dossier en béton

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Lors de la séance du Conseil scientifique indépendant du jeudi 12 mai, nous avons eu droit à deux interventions exceptionnelles : celles du Dr Pierre Kory et du sociologue Laurent Mucchielli.

Pierre Kory, médecin réanimateur, est président de la FLCCC (Front Line COVID-19 Critical Care Alliance), un collectif états-uniens de scientifiques et praticiens luttant contre la désinformation sévissant dans les milieux dits scientifiques et les autorités de santé.

Dans une présentation en français, Pierre a passé en revue les ignominies actuellement couvertes par ces milieux et la presse aux ordres : négation systématique de l’efficacité des traitements qui ne rapportent rien, mise en valeur par des études frauduleuses de remèdes inefficaces et toxiques (dont une certaine inoculation expérimentale…) corruption des chercheurs et revues médicales, attaques et intimidation contre les experts intègres, mépris pour la vie des patients – la dérive fortement lucrative à l’œuvre dans la gestion du Covid n’a décidément rien à envier aux agissements de Cosa Nostra ou d’Al-Capone.

Parmi les « perles » mises en lumière dans son exposé, une étude dont le titre conclut à l’inefficacité de l’ivermectine… alors que le données dans l’article montrent le contraire ! Voilà le degré de crapulerie auquel nous en sommes arrivés aujourd’hui.

Ou encore une démonstration que les traitements cortico-stéroïdes les plus efficaces (selon la recherche) ont été interdits au profit des moins efficaces ! Avec combien de morts à la clé ?..

Et en guise d’incontournable conclusion que nous faisons face à l’homicide intentionnel de millions de personnes pour permettre aux pharmas vaccinales de faire -littéralement- des centaines de milliards de dollars de bénéfices.

Le maître d’œuvre de cette opération ? Un certain milliardaire ne connaissant absolument rien à la santé publique, mais qui a acheté les gouvernements, la presse, les universités, les revues médicales et désormais l’OMS – tout ceci étant à nouveau parfaitement documenté dans la présentation du Dr Kory.

Pierre (comme Peter McCullough, Robert Malone ou Jay Bhattacharya) est un scientifique de haut vol, avec cette particularité désormais rare d’être honnête et intègre. Il  a eu l’occasion de s’exprimer récemment devant le Sénat américain et a publié accessoirement dans les revues les plus prestigieuses – hélas quant à elles aujourd’hui largement corrompues.

La doxa du grand banditisme

A cet exposé cinglant succéda celui de Laurent Mucchielli, directeur de recherches au CNRS, qui mène un travail d’investigation magistral depuis deux ans autour de la dérive en cours. Spécialiste dans ses travaux précédents de la délinquance, il est vrai qu’il reste en l’espèce dans son domaine…

En Sherlock Holmes des crimes covidiens, Mucchielli met en lumière chaque brique de la magouille : conflits d’intérêts, manipulations et trucages, procédés crapuleux, propagande, stigmatisation et ostracisation, police de la pensée et répression du débat scientifique, exploitation éhontée de la ficelle débile du « complotisme » par une presse achetée, le tout construisant un édifice totalitaire attentant aux fondamentaux de la démocratie et de la science.

  • Pour lire « Qui a vacciné les médias contre le débat démocratique? » de Xavier Bazin sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Je donne ici accès à l’entier de cette séance exceptionnelle ainsi qu’à chacune de ces interventions.

Mentionnons encore pour la petite histoire que la diffusion de cette séance réunissant deux experts de réputation mondiale a entraîné une censure rapide sur Facebook. Meta participant activement aux crimes en cours, le fait que ceux-ci soient nommés et démontrés, preuves à l’appui, ne pouvait que semer la terreur chez les sbires de Mark Z.,  grand ami de Bill G. et d’Anthony F. !

  • Pour lire « Robert Kennedy Jr: « résistez, résistez car une fois qu’ils ont le pouvoir ils ne le rendent jamais ! » sur France Soir : cliquer ici.

Comprendre les manipulations et les agissements pervers actuels des médias mainstream étant une œuvre de prophylaxie mentale – essentielle à notre immunité, individuelle et collective-, j’ajoute un décodage de haut vol offert par Idriss Aberkane sur les procédés du groupe de presse Altice et ses titres désormais lamentables (Libération, l’Express, BFMTV, RMC, etc.)–Les autres (en Suisse : Tamedia, Heidi / Le Temps, la RTS ou les titres Ringier, sans oublier Léman Bleu et autres tévélocales, ou en Belgique l’immonde RTBF) ne valant en l’espèce guère mieux. Et oui, cette dérive, comme le souligne Aberkane, constitue bel et bien une menace directe et sans précédents contre la démocratie et l’état de droit.Du très lourd, donc, qui a l’avantage de mettre les criminels et leurs agissements à nu. Si ceux-ci disposent d’une puissance plus qu’inquiétante, la « résistance »  ne manque dieu merci pas de valeureux combattants, ni surtout de preuves en béton !











Laurent Toubiana : « les mesures sanitaires se sont fondées sur la peur ! ». Mise à jour

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie]




[Source : TVlibertés]


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L’incroyable malhonnêteté des médias sur les questions de vaccination

[Source : xavier-bazin.fr]

Par Xavier Bazin, journaliste scientifique et écrivain

Février 2022. La scène se passe en direct, à la télévision, sur la chaîne info CNews.

Cela fait plus d’un an déjà que les vaccins anti-Covid ont été massivement injectés aux populations, avec la bénédiction des grands médias.

Mais ce matin-là, le professeur de médecine Michaël Peyromaure « se lâche » et stupéfie ses interlocuteurs :[1]

« Un peu plus de 130 000 effets indésirables ont été recensés, dont 24 % ont été considérés comme graves, soit 1 sur 4 000, sans parler des effets secondaires à moyen ou à long terme.

C’est pour ça que le rapport bénéfice-risque paraît défavorable chez les jeunes, chez les enfants, chez les personnes qui ont 30, 40, 50 ans qui n’ont pas de comorbidité.

Ce vaccin contre le Covid ne protège pas véritablement de la maladie, ou en tout cas très peu de temps. Il protège uniquement des formes graves, mais pas à 100 %. Et il ne protège pas, ou très peu, de la transmission. » 

Conclusion du Pr Peyromaure : 

« C’est quand même un drôle de vaccin ! »

Un peu sidérée, la présentatrice de l’émission Sonia Mabrouk s’interroge : 

« pourquoi ce n’est pas davantage médiatisé et au centre du débat ? » 

Et en effet, c’est bien la question essentielle.

Écoutez bien comment la journaliste Élisabeth Levy, présente sur le plateau, a réagi à la démonstration du Pr Peyromaure :

« Cela pose quand même une question politique. On nous a tellement dit que ce vaccin allait être merveilleux, qu’on regardait tous ces gens qui ne voulaient pas se vacciner comme des sortes d’hurluberlus, on se demandait vraiment s’ils n’étaient pas un peu complotistes, moyenâgeux, etc. Je ne comprenais pas pourquoi des gens ne voulaient pas se vacciner ».

Si Élisabeth Levy, pourtant rédactrice en chef d’un journal « non consensuel », a pu penser qu’il fallait être un « hurluberlu complotiste » pour ne pas se faire vacciner contre le Covid, c’est la preuve que les grands médias étaient unanimes.

Même au début de l’année 2022, les discours critiques comme celui du Pr Peyromaure étaient encore rarissimes dans les médias (Sonia Mabrouk fait partie des très rares journalistes à apprécier les invités « non-conformistes »).

Alors que se passe-t-il ? Pourquoi les médias sont-ils aussi biaisés en faveur de la vaccination ? Comment cela se manifeste-t-il ? Et avec quelles conséquences pour le débat public ?

C’est ce que nous allons voir.

Comment les médias construisent la réalité, avec les « bons » et les « mauvais » experts

L’immense pouvoir des médias vient d’abord de l’effet loupe.

L’actualité est remplie de milliers d’informations potentiellement intéressantes ou utiles. Mais les médias n’en sélectionnent qu’une infime proportion : quelques dizaines d’informations clés, rabâchées sur toutes les antennes. Voilà ce qui façonne la « réalité » des gens.

Imaginez qu’à l’automne 2021, les journaux de « 20h » se soient ouverts sur la souffrance des soignants non vaccinés, suspendus sans salaire et plongés dans la misère sociale. Imaginez que les journalistes aient fait preuve de pédagogie, en expliquant que ces soignants étaient prêts à faire un test PCR tous les jours pour travailler, ce qui les aurait rendus moins susceptibles de contaminer leurs patients que leurs collègues vaccinés qui risquaient de transmettre le virus à leur insu.

Si les médias avaient fait leur travail, le caractère absurde, discriminatoire et violent de cette mesure aurait créé une grande émotion dans les foyers français, et cela aurait certainement conduit le gouvernement à reculer et à réintégrer les soignants – surtout en pleine épidémie, alors que de nombreux lits d’hôpitaux étaient fermés faute de soignants[2].

Mais ce n’est pas ce qui s’est passé. Même lorsque plusieurs soignants ont entamé une grève de la faim de plus de 40 jours à Périgueux, il n’y a eu aucune dépêche AFP, ni même un reportage de France 3 Régions[3].

De façon générale, sur les vaccins anti-Covid, il n’y a eu globalement qu’un seul refrain, psalmodié dans les grands médias dès le début de l’année 2021 : ils étaient « salvateurs », sans risque, et allaient nous débarrasser de l’épidémie. 

Vous me direz peut-être que les médias se sont contentés de refléter le « consensus des experts » de l’époque, mais ce n’est pas vrai !

Un immense expert comme le Pr Raoult a prévenu dès le départ que ce vaccin ne serait pas une « baguette magique » contre l’épidémie. Le Pr Perronne, autre grand connaisseur des vaccins, jugeait dès l’été 2020 que ces vaccins contre le nouveau coronavirus étaient une « foutaise purement financière » sachant que l’on peut traiter les malades dès le début des symptômes.

Mais la parole de ces experts-là a été marginalisée médiatiquement, ou tout bonnement étouffée.

Le Pr Perronne a ainsi été banni de la plupart des antennes radio et télévision, comme l’a reconnu le journaliste Pascal Praud, en avril 2021 :

«Je vous ai invité, Pr Perronne, je vais vous dire pourquoi : vous ne serez invité nulle part, en fait.Le service public ne vous invitera pas. Vous êtes considéré comme complotiste, comme politiquement incorrect, comme mal pensant, etc. »[4]

Voilà comment on « fabrique » un pseudo consensus : en n’invitant à la télé et à la radio que les médecins qui sont dans la « ligne du parti ».

Autre exemple frappant : en janvier 2021, tout au début de la campagne vaccinale, 700 médecins et professionnels de santé suisses, menés par le Dr Philippe Saegesser, ont demandé un moratoire sur les vaccins ARN, avec des arguments parfaitement raisonnables :

« Comment peut-on affirmer que le rapport bénéfice/risque est favorable alors que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que des vaccins à ARN messager (ARNm) sont utilisés ?

Si ces vaccins sont si sûrs, pourquoi les laboratoires qui les fabriquent ont-ils demandé et obtenu qu’ils soient déchargés de toute responsabilité en cas de problème ?

N’oubliez pas qu’un vaccin est un traitement préventif contre une infection. La population qui y recourt n’est pas malade. Dès lors, nous pensons qu’eu égard aux questions que ces produits laissent encore ouvertes, il n’est pas licite ni éthique, de faire prendre des risques alors qu’il existe un potentiel de progrès important pour un traitement donné précocement »[5].

Avez-vous entendu parler de cette demande de moratoire ? Très probablement non, ou alors en termes péjoratifs.

Car le journal suisse Le Temps a immédiatement allumé un contre-feu contre la tribune de ces 700 professionnels de santé, avec ce titre accusateur : 

« En Suisse, les soignants anti-vaccins montent au créneau », et un intertitre qui parle de « tentative de désinformation».

Ainsi, les grands médias ne se contentent pas d’étouffer les voix critiques vis-à-vis des vaccins ; ils s’efforcent également de les diaboliser !

Quelques mois plus tard, en juin 2021, la diabolisation du Dr Philippe Saegesser est d’ailleurs montée d’un cran dans la presse suisse, avec notamment ce titre cinglant : «Les délires antivax d’un ponte de la médecine vaudoise»[6]. Vous le voyez : une critique raisonnable des vaccins est immédiatement assimilée à un « délire antivax »[7] !

Donc, les médias ne se contentent pas de taire les opinions « minoritaires » : ils concourent activement à les censurer en les diabolisant !

BFM TV : «Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques »

J’en ai moi-même fait les frais, en tant que journaliste indépendant.

En janvier 2021, j’écrivais à mes lecteurs une lettre détaillant les « 6 bonnes raisons de se méfier des vaccins ARN ».

C’était cette fameuse époque où la presse unanime criait au miracle et à la « baguette magique » contre l’épidémie (souvenez-vous des paroles d’Élisabeth Levy !). Mais de mon côté, après avoir évalué calmement la situation, j’en étais arrivé à la conclusion inverse :

«Il est certain que le vaccin n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale ».

La suite m’a donné raison, avec son cortège d’obligations « anormales » (masques), de restrictions des libertés fondamentales (pass sanitaires et vaccinaux, etc.), et bien sûr de contaminations et de décès Covid.

C’était parfaitement prévisible : « Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vaccin sera encore intéressant », écrivais-je. Pour une raison simple : les coronavirus mutent beaucoup… et tendent ainsi naturellement à échapper à l’immunité vaccinale recherchée.

Il n’était pas difficile de l’anticiper : à l’époque, le généticien Axel Kahn, pourtant un grand défenseur des vaccins anti-Covid, l’avait même avoué publiquement : « Ilest assez probable que lorsque les personnes seront vaccinées, cela créera une pression de sélection et que des virus qui résistent aux anticorps produits seront favorisés »[8] – rendant ainsi le vaccin initial inefficace.

Mais savez-vous comment j’ai été récompensé, pour avoir été plus lucide que ceux qui nous promettaient des miracles avec ces vaccins ?

Par l’ostracisme médiatique ! Au printemps, non seulement je n’ai été invité à peu près nulle part pour parler de mon livre (Big Pharma démasqué), mais la chaîne BFM TV est allée jusqu’à s’insurger que cet ouvrage puisse être mis en avant dans un magasin Fnac (un seul parmi des centaines !) :

«Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques, ont trouvé une place de choix, mis en avant sur un présentoir dans un magasin Fnac»[9].

Voilà la seule et unique mention de mon livre dans les grands médias français (si l’on excepte France Soir et Sud Radio) ! Alors qu’ils ont donné la parole, sur le Covid, à des dizaines de gens qui n’y connaissent rien et qui se sont trompés sur tout !

Et hors de France, c’est pareil : la seule mention de Big Pharma Démasqué dans un média étranger, la chaîne de radio publique « Ici Radio-Canada », était dans un article qui s’indignait que l’on puisse trouver mon livre dans des bibliothèques publiques canadiennes («Des discours antivax bannis de YouTube, mais disponibles à la bibliothèque»)[10].

Bref, les médias ne se contentent pas de refléter le consensus d’experts, ils contribuent activement à le façonner : en choisissant qui a le droit de s’exprimer, et qui au contraire doit être disqualifié comme « antivax ».

Et cela a des conséquences majeures sur l’opinion publique et les politiques vaccinales.

Comment les médias font l’opinion : l’exemple des 11 vaccins obligatoires

Ce n’est pas pour rien qu’on appelle les médias le « quatrième pouvoir ».

Ils sont même souvent le « premier pouvoir », dans nos démocraties modernes, car ils façonnent l’opinion publique – et donc, in fine, les élections et ce qui est voté.

Prenez le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons en France en 2017 : le texte est passé comme une lettre à la poste, grâce à la bienveillance des médias.

Car les médias ont tout fait pour atténuer ou étouffer les sujets qui fâchent, et en particulier les risques sanitaires liés à la présence d’aluminium dans 8 de ces 11 vaccins.

Prenez cet article très représentatif de France Info intitulé 

«Onze vaccins obligatoires au 1er janvier 2018 : ‘’L’aluminium dans les vaccins représente une goutte d’eau’’».

Cet argument de la « goutte d’eau » de l’aluminium vaccinal a été véhiculé à l’époque dans tous les médias. Ici, l’article donne la parole à une scientifique, membre de l’Académie de pharmacie, qui affirme sans rougir :

« Avec tous les vaccins obligatoires, un bébé reçoit entre 4 et 5 milligrammes au total d’aluminium. Ce n’est rien »[11].

Mais c’est de la désinformation pure et simple ! Car personne ne peut affirmer sérieusement que ce métal, même à faible dose, ne peut pas avoir de toxicité, sachant qu’aucun organisme vivant ne contient la moindre trace d’aluminium à l’état naturel.

Au contraire, une étude publiée par des chercheurs français[12], et présentée quelques mois plus tôt devant l’Agence du médicament[13], avait démontré que de faibles doses d’aluminium étaient plus toxiques pour le cerveau des souris que des doses plus élevées !

Toujours à propos de l’aluminium vaccinal, voici un autre exemple de désinformation véhiculée fréquemment par les médias à l’époque[14][15] – ici dans la bouche d’un médecin généraliste :

«Mais les quantités d’aluminium apportées par les vaccins sont faibles (jamais plus de 0,85 mg) par rapport aux apports quotidiens d’aluminium dans l’organisme. Nous en mettons 3 à 5 mg dans notre corps chaque jour en mangeant et en buvant»[16].

Cet argument est simplement ridicule, car on ne peut pas comparer l’aluminium ingéré et l’aluminium injecté, quand on sait que 99 % de l’aluminium alimentaire est éliminé dans les selles et les urines !

Tout média ou journaliste sérieux et objectif devrait donc se garder de relayer une propagande « rassuriste » aussi grossière – sa mission devrait au contraire consister à « fact-checker » cette comparaison avec l’aluminium alimentaire pour en démontrer l’inanité !

Mais ce n’est pas ce qui s’est passé : les médias laissent courir, sans contradiction, la propagande pro vaccinale, et s’acharnent à contredire ceux qui émettent des critiques nuancées.

Et c’est ainsi que l’opinion publique est faussée.

De plus, à l’époque du passage aux 11 vaccins obligatoires, il y avait déjà une stratégie de diabolisation des « antivax ».

C’est ainsi que le Parisien a publié en juillet 2017 un grand article sur «Les figures de proue du mouvement anti-vaccins en France», avec cet intertitre qui pointe un supposé « sectarisme » : « leur gourou, le professeur Henri Joyeux »[17].

Autre exemple frappant : à l’automne 2017, deux grands scientifiques, le Pr Joyeux et le Pr Montagnier (Prix Nobel de Médecine) organisent une conférence de presse sur le thème : «Oui aux vaccins, non aux 11 vaccinations du nourrisson dès la 6e semaine ».

Mais aucune radio ou télévision n’a retransmis cet événement, ce qui a empêché le grand public de se faire un avis sur la qualité des arguments de ce ceux qui s’opposaient aux vaccins obligatoires.

Pire : dans la presse écrite, on a assisté à un déchaînement d’articles assassins sur cette conférence de presse, notamment parce que le Pr Montagnier avait osé évoquer le sujet tabou (mais hélas terriblement plausible) du lien entre vaccins infantiles et mort subite du nourrisson :

« Du mauvais théâtre contre les vaccins » Libération, 7 novembre
« L’hallucinante soirée anti-vaccin », France Inter, 8 novembre
« Le lent naufrage scientifique du Professeur Luc Montagnier », Le Figaro, 17 novembre
« De l’outrance à la modération, la nébuleuse des anti-vaccins »L’Express, 30 novembre

Voilà comment les médias ont traité un sujet démocratique aussi fondamental que l’obligation vaccinale, qui touche à la fois à la santé de nos enfants et à nos libertés publiques !

Et depuis 2018, ce sujet a totalement disparu des radars médiatiques, comme si l’aluminium vaccinal n’était plus controversé et que l’obligation de ces 11 vaccins ne se discutait plus.

Voilà comment on façonne l’opinion publique.

Big Pharma le sait – et va jusqu’à utiliser les médias complaisants pour faire pression sur les autorités sanitaires.

Les campagnes médiatiques influencent aussi nos autorités de santé !

Vous vous souvenez peut-être comment un laboratoire a créé une campagne médiatique en faveur de son nouveau médicament, un soi-disant « viagra féminin » – qui était en réalité un médiocre antidépresseur repositionné – en accusant les critiques de vouloir « réprimer le désir féminin » et combattre l’égalité entre hommes et femmes.

Cette pression médiatique a bien fonctionné puisque la FDA, probablement pour ne pas être accusée d’être « machiste », a autorisé ce très mauvais médicament en 2015, sans motif scientifique sérieux[18].

Pour les vaccins Covid, un stratagème de même nature – mais de beaucoup plus grande ampleur – a été déployé.

Ce n’est pas un hasard si, à l’automne 2020, l’efficacité à 90-95 % des vaccins anti-Covid a été annoncée par communiqué de presse des labos pharmaceutiques, plutôt que par des publications scientifiques.

L’objectif était de former une immense vague médiatique autour de vaccins supposés « miraculeux », afin de forcer les régulateurs à les autoriser aussi rapidement que possible.

Ce n’est pas une théorie du complot.

Grâce à un pirate informatique, le journal Le Monde a dévoilé les incroyables pressions subies par l’Agence du médicament pour approuver rapidement ces vaccins[19].

Ainsi, Le Monde a découvert que l’Agence européenne formulait « trois objections majeures » vis-à-vis du vaccin de Pfizer :

« Certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ; il manquait encore des données sur les lots de vaccins commerciaux ; mais, surtout, les données disponibles révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques. C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent alors le plus préoccupés. »

L’Agence européenne était « préoccupée », car le vaccin Pfizer testé n’était pas exactement le même vaccin que celui qui a été mis sur le marché, avec des risques d’inefficacité et de dangerosité, notamment à cause de quantités d’ARN messager qui variaient selon les lots.

Mais finalement, l’Agence européenne s’est couchée et a rapidement autorisé ces vaccins. Pourquoi ? Car la pression politique et médiatique était trop grande !

Un échange d’emails entre scientifiques de l’Agence, révélé après coup, montre parfaitement à quel point il aurait été difficile, vis-à-vis de l’opinion publique, de ne pas approuver ces vaccins :

«Quoi que nous fassions, accélérer le processus pour s’aligner [sur les autres agences] ou prendre le temps nécessaire pour avoir une garantie robuste […], l’Agence du médicament européenne devra faire face aux questions et aux critiques de diverses parties (Commission européenne, États membres, Parlement européen, médias, grand public)».

Ici encore, plutôt que de favoriser le débat critique et nuancé sur la vaccination, les médias se sont contentés de relayer la propagande vaccinale des laboratoires.

Mais pourquoi ? Pourquoi les médias ne favorisent-ils pas la confrontation d’idées et d’arguments d’experts ayant des positions différentes ?

Pourquoi jouent-ils au contraire un rôle de « chien de garde pro-vax », en censurant toute critique et ne relayant que les arguments favorables ?

C’est ce que l’on verra au prochain épisode – restez connecté !

Sources

[1] CNews, émission Midi News, 15 février 2022.
https://www.cnews.fr/emission/2022-02-15/midi-news-du-15022022-1183054

[2] https://www.liberation.fr/societe/sante/hopital-public-20-de-lits-fermes-faute-de-soignants-20211026_VG7R2S3SXRGCRAPLRXCTYEVYAY/

[3] https://www.francebleu.fr/infos/societe/trois-personnes-en-greve-de-la-faim-a-perigueux-contre-le-pass-sanitaire-et-l-obligation-vaccinale-1633106501

[4] https://planetes360.fr/le-pr-christian-perronne-seul-contre-tous-chez-pascal-praud-tire-les-choses-au-clair-au-sujet-des-traitements-et-de-la-vaccination/

[5] https://www.illustre.ch/magazine/manquons-recul-face-aux-potentiels-effets-indesirables-vaccins

[6] https://www.blick.ch/fr/news/suisse/son-association-sen-fiche-les-delires-antivax-dun-ponte-de-la-medecine-vaudoise-id16778677.html

[7] Dans la foulée, les médias suisses nous informent que le Dr Saegesser passera devant une « commission de déontologie » et « risque une sanction de ses confrères » (alors que la liberté de parole des médecins en Suisse est infiniment plus respectée qu’en France).
https://www.24heures.ch/le-docteur-philippe-saegesser-risque-des-sanctions-de-ses-confreres-858231714856

[8] https://fr.sputniknews.com/sante/202012221044970445-quel-avenir-pour-la-vaccination-face-a-de-nouvelles-souches-de-coronavirus—video/

[9] https://www.bfmtv.com/tech/fnac-une-selection-d-ouvrages-sur-le-covid-19-fait-polemique-sur-les-reseaux-sociaux_AN-202108180251.html

[10] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1830295/discours-antivax-bibliotheques-youtube-liberte-expression-recherche

[11] https://www.francetvinfo.fr/sante/vaccins/onze-vaccins-obligatoires-au-1erjanvier2018-l-aluminium-dans-les-vaccins-represente-une-goutte-d-eau_2539435.html

[12] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0300483X16303043?via%3Dihub

[13] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/aluminium-dans-les-vaccins-des-effets-toxiques-caches-par-l-ansm_116650

[14] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/vaccins-aluminium-autisme-la-video-eclairante-d-un-medecin-contre-les-rumeurs_1927989.html

[15] https://www.sudouest.fr/sante/vaccins-mais-que-leur-reproche-t-on-exactement-3351247.php

[16] https://www.tf1info.fr/sante/aluminium-present-dans-les-vaccins-adjuvant-est-un-danger-pour-la-sante-2059587.html

[17] https://www.leparisien.fr/societe/les-figures-de-proue-du-mouvement-antivaccins-en-france-24-07-2017-7152822.php

[18] http://www.slate.fr/story/214536/viagra-femmes-sexualite-feminine-desir-libido-agence-americaine-etats-unis-etudes-industrie-pharmaceutique-marketing

[19]https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html




Russell Blaylock : 21 vérités dérangeantes sur la pandémie

[Source : RI]

Par Claudio Fabian Guevara.

Un éditorial publié dans la revue Surgical Neurology International, écrit par le Dr Russell Blaylock, aborde de manière opportune et percutante le scandale médico-politico-scientifique qui se cache derrière la pandémie de Covid-19.

Russell L. Blaylock (né le 15 novembre 1945) est un neurochirurgien américain à la retraite et un auteur. Il était professeur adjoint de neurochirurgie au centre médical de l’université du Mississippi. Il est l’auteur de plusieurs livres et articles, dont « Excitotoxines : Le goût qui tue » (1994), « Santé et nutrition : les secrets qui peuvent vous sauver la vie » (2002), et « Stratégies naturelles pour les patients atteints de cancer » (2003). Il rédige un bulletin mensuel, le Blaylock Wellness Report.

Les points les plus importants de l’article ont été résumés en espagnol par le Dr Karina Acevedo Whitehouse, qui a donné son avis sur l’ouvrage : « La vérité, comme l’eau des barrages, n’a besoin que d’atteindre le point où elle ne peut être contenue, et alors, elle déborde, atteignant des endroits insoupçonnés ».

Synthèse des principales affirmations de l’article :

1. La pandémie COVID-19 est l’un des événements les plus manipulés de l’histoire.

2. Comme jamais auparavant, il y a eu des intrusions dans la pratique médicale, et la censure des médecins qui osent entrer en dissidence.

3. Depuis la présidence, d’autres niveaux de gouvernement et l’administration des hôpitaux ont imposé des traitements et des pratiques médicales qui ne sont pas fondés sur des preuves scientifiques ou sur l’expérience médicale. Les administrateurs dictent désormais aux médecins la manière dont ils pratiquent la médecine et les médicaments qu’ils peuvent utiliser.

4. Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des protocoles ont été formulés sur la base des recommandations d’individus et d’institutions qui n’ont jamais traité un seul patient.

5. Les médias et les sociétés médicales se sont déclarés la seule source d’information valable concernant la pandémie et quiconque s’y oppose est soumis à la censure, à la suppression des comptes de plateforme et à l’étiquette de « menteur, désinformateur », même lorsqu’il s’agit de personnes ayant une expérience remarquable en virologie, immunologie, épidémiologie, etc.

6. Les revues scientifiques/médicales sont de plus en plus dépendantes des subventions des industries pharmaceutiques, ce qui élimine leur impartialité (indispensable à la démarche scientifique).

7. Il y a de plus en plus d’articles scientifiques qui parlent du COVID ou des vaccins avec un argument différent de l’argument officiel, mais ils sont retirés des revues après avoir été acceptés et publiés.

8. Il y a de plus en plus d’études scientifiques basées sur des données manipulées, falsifiées et inventées, écrites par des « fantômes » (c’est-à-dire des personnes qui écrivent au nom d’une entreprise pharmaceutique) pour promouvoir leurs produits, même dans des revues aussi prestigieuses que le JAMA (Magazine of American Medical Association) ou le New England Journal of Medicine, et qui n’ont pas été retirées malgré les preuves d’abus scientifique et de manipulation des données.

9. Des médias télévisés reçoivent la majorité de leur financement des entreprises pharmaceutiques, pour la publicité des médicaments. Cela crée un énorme conflit d’intérêts pour ce qui est de pouvoir s’exprimer de manière neutre ou contre les vaccins et autres traitements promus. Rien qu’en 2020, l’industrie pharmaceutique a dépensé 6 560 000 000 (6,56 milliards de dollars US) en publicités pour ses produits.

10. Aux États-Unis, la « loi fédérale sur les soins » a encouragé les fautes professionnelles en offrant à tous les hôpitaux du pays jusqu’à 12 000 dollars pour chaque patient admis en soins intensifs et 39 000 dollars pour chaque patient en soins intensifs sous respirateur, alors même que ce protocole était l’une des plus grandes causes de décès des patients du COVID.

11. Des milliers de médecins et d’infirmières ont été injustement licenciés pour avoir refusé de recevoir un vaccin alors qu’ils ont travaillé pendant près d’un an de pandémie, sans vaccins COVID-19, pour soigner les patients, et malgré le fait qu’il a déjà été démontré que les personnes vaccinées qui sont positives aux tests et présentent des symptômes cliniques légers, ont la même charge virale que les personnes positives non vaccinées présentant des signes cliniques légers.

12. Le CDC, qui n’a aucune autorité pour imposer des protocoles et des traitements, a ordonné aux hôpitaux de suivre des protocoles médicaux qui ont entraîné la mort de centaines de milliers de patients qui, au vu des preuves, se seraient probablement rétablis s’ils avaient reçu un traitement précoce avec des produits qui ont été diabolisés de manière injustifiée (ivermectine, hydroxychloroquine, et autres). En fait, on estime que sur les 800 000 personnes comptabilisées comme « morts du COVID-19 » (aux États-Unis), 640 000 se seraient rétablies et auraient retrouvé leur état de santé antérieur si d’autres protocoles avaient été appliqués.

13. Les mesures utilisées pour contenir la pandémie n’ont pas été couronnées de succès ; les preuves scientifiques disponibles à l’époque concernant la mise en place de mesures de confinement, l’utilisation de masques et la distance sociale, n’ont jamais démontré qu’elles empêchaient la transmission de virus de ce type.

14. Tout au long de la pandémie, et avant l’utilisation des vaccins COVID-19, les enfants n’ont jamais couru de risque réel (au-delà de quelques cas d’enfants prédisposés à l’inflammation systémique) de tomber malades du COVID-19 ou de transmettre le virus.

15. Pendant la pandémie, la logique, le raisonnement et le besoin de preuves scientifiques ont disparu : pour tous les autres médicaments et vaccins qui étaient en cours d’examen par la FDA, le décès de 50 personnes ou moins ayant utilisé ledit produit aurait justifié l’arrêt de l’utilisation et de la distribution du médicament, comme ce fut le cas pour le vaccin contre la grippe en 1976. Entre le 14 décembre 2020 et le 31 décembre 2021, plus de 18 000 décès ont été signalés dans le VAERS et 139 126 événements indésirables graves, mais il n’y a eu à ce jour aucune tentative d’arrêter ce programme de vaccination, ni aucun effort sérieux pour enquêter (par le gouvernement) sur les causes des décès et des maladies graves chez les personnes vaccinées.

16. Il y a de plus en plus de preuves, certaines publiées dans des revues indexées et d’autres non, des dangers de ces vaccins, qui n’ont été testés que pendant 2 mois avant d’être autorisés, et les résultats de ces tests de sécurité sont restés cachés jusqu’à récemment où ils commencent à sortir (après l’ordre de la Cour suprême de justice des États-Unis).

17. On a dit au public que l’ARNm des vaccins n’était pas distribué au-delà des ganglions lymphatiques proches du site d’inoculation, mais ce n’est que grâce à la ressource d’accès à l’information au Japon que le livre blanc de Pfizer montre que le vaccin est distribué dans tout le corps en moins de 48 heures, avec des concentrations élevées dans le cœur, le foie, la moelle osseuse, la rate et les ovaires.

18. On constate une augmentation inhabituelle des cas de cancers agressifs chez les personnes vaccinées, notamment des mélanomes, des cancers de l’utérus et du sein, ainsi que la réactivation de cancers déjà contrôlés. On dit à ces patients, sans preuve, et malgré cette tendance à l’augmentation du risque de développer plus de tumeurs, qu’ils ont besoin de plus de vaccins COVID-19 car ils sont plus sensibles.

19. Un expert en médecine materno-fœtale a montré que les vaccins COVID-19 – administrés pendant la grossesse – provoquent une incidence de fausses couches 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés, et que les malformations fœtales sont 144 fois plus fréquentes chez les personnes vaccinées avec ces vaccins qu’avec les autres, bien qu’ils continuent d’être déclarés sûrs par les académies et sociétés d’obstétrique et de gynécologie (qui reçoivent des financements de Pfizer et d’autres sociétés pharmaceutiques ; par exemple, l’American College of Obstetricians and Gynecologists a reçu, au cours du seul dernier trimestre 2010, 11 000 dollars de Pfizer, et le financement du NIH, qui est plus important, dépend du fait de ne pas critiquer les sociétés pharmaceutiques.

20. Tous les lots de vaccins n’ont pas la même létalité ou le même risque. Un lot sur 200 est manifestement mortel (50 fois plus) pour ceux qui le reçoivent. Il existe des preuves que cette disparité dans la létalité des lots n’est pas aléatoire, ce qui pourrait suggérer une intentionnalité (5% des lots sont responsables de plus de 90% des effets indésirables graves, ainsi que des décès).

21. Aucune autopsie n’est pratiquée sur les personnes décédées après avoir été vaccinées, ni sur celles décédées du COVID-19. À la fin du mois d’avril 2020, sur les 150 000 décès signalés comme « décès dus au COVID », seules 16 autopsies avaient été pratiquées, et parmi celles-ci, seules 7 étaient des autopsies complètes. La réticence à faire des autopsies ne venait pas des pathologistes, mais des autorités.

Source : Diaro de Vallarta

Traduction Réseau International




L’euthanasie bientôt légalisée comme mesure progressiste ? Dérive humaine et sociétale

Par Nicole Delépine

Comme un boomerang de lois et circulaires favorisant l’euthanasie appliquée chez les enfants cancéreux depuis 2000(([1] Nicole Delepine — Soins palliatifs et oncopédiatrie 2013 Conférence à l’institut Bull.)), puis les personnes âgées depuis 2020 revient la question : qui assassine qui ? Pourquoi ?

Depuis des lustres et comme pédiatre oncologue, et collègues, nous nous battons CONTRE cette nouvelle « théorie » qui consiste à éliminer les malades considérés comme incurables (par qui ?) et en particulier les enfants cancéreux qui furent probablement le terrain d’essai social de cette pratique immonde dès les années 2000. Les propositions d’essais thérapeutiques usées, les familles se voient expliquer que la compassion de ces médecins chercheurs pour votre enfant les conduit à les « endormir » puisqu’on ne peut plus rien pour eux. En tous cas, ces équipes-là…

Ce fut ma première révolte avec la publication de « neuf petits lits au fond du couloir »(([2] Editions Michalon 2000.))(([3] https://youtu.be/iVG70Pez8GQ les enfants du Dr Delepine France 3 Île-de-France.)) relatant quelques exemples d’enfants condamnés par les soi-disant sachants et auxquels la médecine classique individualisée avait pu donner quelques mois ou années de survie en bonnes conditions, voire la guérison et un avenir professionnel et familial pour d’autres. Mais ils avaient dû quitter (grâce à leurs familles) le chemin déjà consensuel de la « recherche clinique » prioritaire.

L’explication économique fut la première évoquée(([4] Nicole Delepine — L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé)). Nous écrivions en 2013 :

3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient, selon l’Ined.

Mais ne nous y trompons pas, l’explication financière était probablement naïve, vu l’évolution actuelle de la société occidentale, du Canada à la Belgique…

Elle doit être « progressiste » cette théorie qui consiste à « liquider des êtres embarrassants, inutiles et pesants, dirait Attali (toujours là, jamais suicidé malgré son âge avancé — ça ne vaut que pour les gueux), soit par leur grand âge, soit par leurs handicaps.

Le drame resurgit largement avec le scandale du Rivotril

Sont apparues les fameuses instructions aux médecins en mars 2020 puis le décret du 28 mars 2020 permettant aux médecins d’injecter du Rivotril aux patients susceptibles d’être atteints du covid.

La pseudo pandémie envoya ad patres de nombreux résidents parfois encore « jeunes » (dès 70 ans) ayant atterri dans des maisons pour personnes âgées dépendantes devenues des prisons sans autorisation de sortie, sans soins, sans jeux, etc.. Bref ! bien pire que la vraie prison qui autorise au moins une promenade journalière, des visites de la famille et même des sorties au zoo.(([5] Dr Delépine : « Au secours, retour de l’euthanasie en EPHAD ! » — Ciel Voilé (cielvoile.fr) ))

Le silence des familles sidérées et probablement convaincues un temps de la réalité du péril ne cessa de nous étonner et désespérer. Enfin depuis quelques mois, la révolte des parents privés d’au revoir à leurs ancêtres prend forme sous forme de plaintes.

L’euthanasie devenue une habitude pour certains

Nous avons vu en début de présentation que l’AP-HP (les hôpitaux de Paris) a mis en place des Groupes d’intervention rapide pour aller administrer du Rivotril dans toute l’Île-de-France. Or la fameuse “surmortalité” de mars-avril 2020 n’a quasiment eu lieu qu’en Île-de-France”.(([6] Le scandale du Rivotril (francesoir.fr) ))

« VOILÀ L’EUTHANASIE QUI, DANS LES MENTALITÉS, PREND SA PLACE DANS LES OUTILS DE GESTION DU GRAND ÂGE ! »(([7] « Nous avons ouvert la voie à une euthanasie qui virera sans le dire à la modalité de gestion du grand âge » — Gènéthique))

L’euthanasie comme moyen de réguler les retraites et le grand âge redevient un sujet d’intérêt médiatique dans la mesure où le président réélu parle d’une loi sur la fin de vie pour le début de ce nouveau quinquennat.

« L’euthanasie devient une « proposition sociale »

Une liste de « choses concrètes » qui débute par « l’évocation d’une prime à l’adaptation de l’habitat, alignée non pas sur la prime à la casse, mais c’est plus délicat sur Ma Prime Rénov, pour la rénovation énergétique », ironise Erwan Le Morhedec dans son article du figaro.

« Puis, après d’autres propositions aussi peu ambitieuses et inventives les unes que les autres, vient l’euthanasie, souligne-t-il. Pour être concrète, l’euthanasie sera concrète, pour qui la subira ».

Ainsi, « voilà l’euthanasie qui, dans les mentalités, prend sa place dans les outils de gestion du grand âge ! »
« Voilà que cette euthanasie — qui doit être demandée et que nul n’est jamais censé proposer — devient une proposition sociale. »

« C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts »

Alors on conditionne les gens âgés :

« Moi, ma vie est derrière moi, eux, ils sont l’avenir », « Je suis un poids pour ma famille », « C’est aux parents de s’occuper des enfants, pas l’inverse ». « Ayant demandé à une soignante de soins palliatifs si elle entendait ces phrases, elle m’avait simplement répondu : « si je l’entends ? Mais c’est tout le temps, c’est tous les jours ! », témoigne l’essayiste. « Et plus encore lorsqu’on laisse une personne âgée sans accompagnement, sans espoir, dans les situations d’abandon et de maltraitance qu’a pu décrire Victor Castanet dans Les Fossoyeurs »…

Et alors que ces euthanasies « poussées » par les familles (éventuellement aimantes qui pensent que c’est bien pour leur patient), mais discrètes, la plandémie « coronavirus » avec la grande peur induite par les discours médiatiques et politiques a permis de passer à la vitesse supérieure.

Conditionnement progressif, depuis des décennies

Et comme toujours, sous prétexte de bons sentiments. La mise en condition de la population ne date pas d’hier. Depuis plusieurs décennies, les associations pour la « mort dans la dignité » ont fait un lobbying important auprès des politiques pour ancrer dans la population la notion de suicide assisté, voire d’euthanasie.

Comme médecin cancérologue, pendant ces décennies on a vu les demandes des familles augmenter alors que celles des patients restaient proches de zéro comme l’avait bien expliqué le Pr Lucien Israël dans « la vie jusqu’au bout »(([8] « Le professeur Israël remet en question la médecine telle qu’elle est enseignée et pratiquée aujourd’hui. Alors que le devoir du médecin est de servir le malade, les modalités de sa sélection et de sa formation, les réglementations bureaucratiques à la recherche d’économies nécessaires, l’entraînent vers de graves dérives et compromettent à la fois l’homme et la profession. “J’appartiens à la cohorte des hommes de terrain que jamais aucun décideur n’a consultés, ni sur l’organisation des études, ni sur l’allocation des sommes consacrées à la santé, à la recherche, à l’enseignement, ni sur la distribution des soins, ni sur la moralisation de la profession, et je profite de l’occasion qui m’est offerte pour rappeler quelques valeurs. En particulier celle de la vie humaine et sa dangereuse mise en cause par la revendication d’une euthanasie médicale” en 1993 (commentaire librairie décitre) )) il y a plus de vingt ans.

Et rebelote, le nouveau quinquennat devrait à nouveau tenter de faire passer une loi pour l’euthanasie

Les esprits ont été, de longue date, préparés à cette évolution, puisqu’il est convenu désormais que « l’on meurt mal en France ». Un slogan, à la signification obscure, qui suggère qu’il faudrait mourir mieux. Pour finir par mourir quand même.

Au lendemain du premier tour des présidentielles, l’euthanasie est annoncée comme « la grande loi sociétale » du prochain quinquennat(([9] « Le glissement de la sédation profonde vers l’euthanasie est en marche, inéluctable » (la-croix.com) )). Avec « les outils des débats démocratiques dirigés » « dont les conclusions sont généralement acquises », estime Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune.

« Raison incontournable » du succès de cette future loi : « le continuum entre l’arrêt des soins et l’euthanasie ».(([10] « Étant entendu que le sujet s’avère délicat, une convention citoyenne fournira l’espace apaisé d’un échange, loin des idéologies, des raccourcis et des jugements hâtifs, et permettra de construire un consensus assuré. Ces préliminaires habituels sont les outils des débats démocratiques dirigés dont nous avons le secret, mais dont les conclusions sont généralement acquises ».))

« Un contexte juridique nouveau » et ils reviennent encore et encore et pourtant les Français n’en veulent pas

En 2005, la loi Leonetti a autorisé « l’arrêt des traitements qui n’ont pour seul effet que le maintien artificiel de la vie du patient ».

En 2016, la loi Claeys-Leonetti y associait « systématiquement » une sédation profonde et continue jusqu’au décès.(([11] La sédation, une aide pour accompagner fin de vie ou un instrument pour y mettre un terme ? — Gènéthique))

Ce fut déjà une terrible escroquerie, sédation continue dont on ne vous réveille pas !! Qu’est-ce d’autre qu’une euthanasie sans l’accord véritable du patient ou de sa famille, une fantastique hypocrisie !

Et quand l’on sait que certains patients dans le coma « pensent » au moins par moments, par bribes(([12] Des récits innombrables de malades sortis du coma qui racontent… tant personnels que dans la littérature médicale.)), combien d’entre eux se sont-ils sentis mourir, abandonner et pendant combien de jours ? Pire qu’une euthanasie « habituelle » en quelques heures maximum. Une torture sûrement parfois.

Ce « contexte juridique nouveau » « a permis au Conseil d’État de juger légale la décision médicale de provoquer la mort par arrêt de l’hydratation

et de l’alimentation artificielles d’un homme placé dans l’impossibilité d’exprimer ses volontés, et qui n’était pas en fin de vie », dénonce Jean-Marie Le Méné.(([13] dont l’hydratation, l’alimentation et la respiration artificielles.
Source : La Croix, Jean-Marie Le Méné (13/04/2022) ))

Ces lois Leonetti et Claeys-Leonetti de 2005 et 2016, relatives aux droits des malades et des personnes en fin de vie, ont créé une véritable rupture avec la loi du 9 juin 1999 visant à garantir le droit à l’accès aux soins palliatifs.

La loi Leonetti constitue le terreau qui permettra, demain, de légaliser le droit de se donner la mort, par injection/administration d’une substance létale avec l’assentiment du corps médical. Les pièges de cette loi sont multiples(([14] Emmanuel Hirsch : L’affaire Vincent Lambert, « un échouement éthique et politique dont nous devrions tirer quelques leçons » — Genethique)) comme le souligne Emmanuel Hirsch en octobre 2020.(([15] Vincent Lambert, une mort exemplaire ? publié aux éditions du Cerf, Emmanuel Hirsch, Professeur d’éthique médicale de l’Université Paris-Saclay, rassemble cinq années de chroniques (2014-2019) qui retracent les étapes d’une procédure qui a pris le pas sur l’humain, sur la rencontre de l’autre tel qu’il est, dans ses limites et sa fragilité. Il répond aux questions de Gènéthique.))

« Le parcours chaotique de M. Vincent Lambert dans les dédales médico-juridiques est exemplaire d’une déroute éthique et politique qui interroge nos valeurs de sollicitude et de solidarité ». « M. Vincent Lambert, dans sa mort même, nous interroge sur ce qu’est l’esprit de notre démocratie »

Au regard des souffrances provoquées par l’arrêt de la nutrition et l’hydratation, la loi Claeys-Leonetti, votée dix ans après la loi Leonetti, l’a associé systématiquement à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Cette pratique vise incontestablement à accélérer voire à provoquer la survenance de la mort du patient.

La transgression due au serment d’Hippocrate — « Je ne provoquerai jamais la mort délibérément » — est consommée. Il ne reste plus qu’à débattre de la méthode : une injection par le médecin ? Un comprimé à prendre soi-même ?

De surcroît, le médecin reste impliqué dans le processus, car il devra établir la recevabilité de la demande de suicide faite par son patient. Comment concilier cette perspective avec le délit de non-assistance à personne en danger, prévu et réprimé par l’article 223-6 du Code pénal ?

Rappelons-nous que « le médecin est fait pour se battre contre la mort. Il ne peut subitement changer de camp et se mettre du côté de la mort » (Dr Jérôme Lejeune).

Une « meilleure application de la loi Claeys-Leonetti » ?

Pour Jean-Marie Le Méné, « la seule manière efficace de combattre la légalisation de l’euthanasie est effectivement le développement des soins palliatifs, mais en excluant clairement de son contenu tout arrêt des soins ». Pour « rompre un continuum inexorable ». Et les hommes politiques n’ont pas à imposer aux soignants « la mise en œuvre de lois sociétales qui n’ont rien à voir avec l’exercice de leur art ».

La jurisprudence italienne

Mais “au nom de quoi refuser le suicide assisté à une personne éligible à un arrêt des soins ? 

La Cour constitutionnelle italienne a « établi un continuum » entre les deux pratiques. Un continuum « inéluctable », juge Jean-Marie Le Méné. Et le Parlement italien a dû « envisager une proposition de loi relative au suicide assisté qui reprend les conditions permettant l’arrêt des soins aux patients présentant une pathologie irréversible, une souffrance intolérable, bénéficiant d’un traitement de maintien en vie et capables de prendre une décision libre ».

La marche tragique vers la légalisation de l’euthanasie

complète la déshumanisation de notre société dite « progressiste », mais qui n’est que destructrice de notre civilisation humaniste, comme le wokisme.(([16] La marche inexorable vers la légalisation de l’euthanasie.
Publié le 7 Avr. 2022))

L’exemple italien, dont l’aboutissement est en cours, déroule le processus qui permet d’obtenir un glissement de la sédation profonde et continue vers une légalisation de l’euthanasie dite « active », par administration d’une substance létale.

(…) Par une ordonnance no 207 en 2018, la Cour constitutionnelle répond que si l’incrimination du suicide assisté n’est pas contraire à la Constitution, la décision du patient de mourir par arrêt des traitements entraîne tout de même des effets contraignants sur le médecin.

En effet, la Cour rappelle qu’elle a déjà affirmé le principe du consentement éclairé du patient à l’arrêt des traitements et à la sédation profonde et continue jusqu’à la mort, conformément à ce que reconnaît la loi italienne de 2017, équivalent de la loi française Leonetti-Claeys.

(…) Dans l’arrêt n° 242 de 2019, elle exclut donc la pénalisation de celui qui « facilite l’exécution d’une intention de se suicider formée de manière autonome et libre » dans le respect des conditions légales s’appliquant aux personnes qui pouvaient déjà choisir de mourir en renonçant à tout traitement.

À l’été 2021, le Parlement italien accepte finalement d’envisager une proposition de loi de compromis relative au suicide assisté qui reprend les conditions de dépénalisation dictées par la Cour constitutionnelle dans son arrêt de 2019 : patients présentant une pathologie irréversible, une souffrance intolérable, bénéficiant d’un traitement de maintien en vie, et capables de prendre une décision libre (…)(([17] https://www.genethique.org/le-debat-sur-leuthanasie-de-retour-en-italie/))

Malgré un attachement aux mêmes droits fondamentaux, le principe du respect de la vie et de la dignité humaine peut disparaître très rapidement.

« Ce qui prévaut en effet en Belgique,en Autriche, en Suisse, c’est la volonté du patient, la volonté de l’aidant au suicide, la liberté individuelle et l’autodétermination », nous dit-on.

Encore faudrait-il parler de cette « volonté » d’un patient fatigué, en état de faiblesse, manipulé consciemment ou inconsciemment par l’entourage soignant et familial qui a de plus en plus envie de décider ce qui est bien pour son malade, et ce qui n’est pas souhaitable, sous prétexte que celui-ci ne serait plus en état. Qui peut en juger, si ce n’est la personne elle-même qui n’est pas un « objet » et pourrait souhaiter encore exister…

Et le malade abandonne son libre arbitre, pour faire plaisir et/ou surtout parce que c’est « moins fatigant » quand on est épuisé par la maladie, mais aussi par les soins (tension artérielle à 6 h du matin quand vous commenciez à dormir…) bruits permanents des locaux infirmiers, visites imprévues, parfois non souhaitées, interférences multiples, conseils de psy, de bénévoles(([18] Beaucoup de vraies bonnes volontés, mais aussi de trop nombreux oiseaux de mauvais augure qui rôdent autour de la mort comme des aimants et sont très toxiques. Ils ne sont pas exceptionnels même en pédiatrie…)) et autres qui finalement ne vous connaissent pas. Alors oui beaucoup baissent les bras pour avoir « la paix, la paix » enfin. Mais parler de la volonté du patient est souvent bien abusif…

En Suisse, depuis 1942, le suicide assisté est autorisé. En Autriche, ensuite, c’est la récente loi du 16 décembre 2021 qui a légalisé le suicide assisté pour les personnes atteintes d’une maladie grave ou incurable. 

Ainsi, sous condition du consentement libre et éclairé du patient, et de la validation de deux médecins, « l’aide médicale à mourir » est proposée à tout patient gravement malade.

Et là aussi la notion de “consentement éclairé” par un malade en état de faiblesse mériterait longue discussion.

Sans légaliser l’euthanasie dite “active”, la Suisse et l’Autriche ont gravement entaillé le principe absolu de ne pas tuer, et le processus ne demande qu’à suivre celui qui a été enclenché en Belgique il y a déjà quelques années”

 La Belgique pionnière dans la légalisation du droit à l’euthanasie et au suicide assisté, « modèle » et avertissement pour les pays qui s’embarquent dans la remise en cause du droit à la vie et de la dignité des patients malades et en fin de vie.

Dans la mesure où le patient est conscient et capable d’exprimer sa volonté, quel que soit son âge, le médecin belge est autorisé à lui administrer un produit létal. Lorsque la personne est inconsciente, c’est aussi sa volonté qui prévaut, à travers ses « déclarations anticipées », qui sont valables à perpétuité, sans obligation de renouvellement.

Aucun contrôle n’est effectué avant (…) C’est donc la volonté du patient et son droit à l’autodétermination qui deviennent la norme, sans plus aucune considération du principe fondamental, absolu et universel, du respect de la vie et de la dignité humaine.

Sous couvert de liberté individuelle, de compassion et de consentement, les dérives

« Là où mon courroux est gigantesque, tient au système de contrôle a posteriori mis en place là-bas qui, au fur et à mesure, pour éviter les paperasseries inutiles, a fait que désormais la moitié des euthanasies là-bas sont non déclarées et que celles qui sont déclarées, le sont de manière à ne pas alerter l’attention des instances de contrôle. Ajoutons à cela la certitude que les procédures d’encadrement du consentement des malades sont elles aussi peu contrôlées, peu fiables, de sorte que, de toute évidence, on constate de nombreux abus de consentement. Des consentements partiels. Des consentements vite obtenus. Des consentements pas assez travaillés. On constate une démission des pouvoirs politiques, une démission du parlement, une démission morale des instances éthiques pour établir un système fiable d’information et des procédures de contrôle respectées. »(([19] « Nous avons ouvert la voie à une euthanasie qui virera sans le dire à la modalité de gestion du grand âge » — Genethique))

LA BELGIQUE EST DEVENUE LE VILLAGE POTEMKINE DE L’EUTHANASIE(([20] Ibid 15 entretien Damien Le Guay : Quand l’euthanasie sera là…, publié aux éditions Salvator. Entretien avec l’auteur.))

« Quand le professeur Sicard lui-même, grand médecin, grand éthicien, grand ponte de la bioéthique, grand commis du système hospitalier, ancien président du CCNE, dit, haut et fort, que les contrôles en Belgique n’existent pas et que la moitié des euthanasies pratiquées n’entrent pas dans les statistiques, non seulement personne ne réagit, mais, de plus, l’État belge, qui devrait être froissé par de telles accusations faites par un haut personnage français, ne dit rien, ne demande pas une enquête, ne modifie pas les systèmes d’information et de contrôle.

La Belgique porte et portera toujours, d’une manière indélébile, cette tâche morale, ce péché de mensonges, cette trahison par omission qui, par effet de contagion, a déteint sur les autres pays européens.

Elle porte une immense responsabilité d’aveuglement collectif.

Elle s’est crevé les yeux — comme dans une tragédie grecque et je pense en particulier à Œdipe qui se crève les yeux quand il comprend qu’il a tué son père. Elle a cassé les indicateurs, les baromètres, les cadrans de vitesse et de surveillance préférant laisser l’euthanasie en roue libre, livrée à ses promoteurs et surveillée par ses thuriféraires. »

Il est urgent de remettre en cause la constitutionnalité des lois Leonetti, qui sont contraires à la dignité humaine. Car aucune considération, tenant par exemple à la dégradation de l’état physique d’une personne, ne peut lui faire perdre de cette dignité.(([21] Voir aussi la tribune dans valeurs actuelles.))

UN CONSEIL : ne tombez pas dans le piège des DIRECTIVES ANTICIPÉES

Le bien portant que vous êtes ne peut en aucun cas imaginer le malade en fin de vie ou dans le coma prolongé que vous pourriez devenir.

La demande des « bien portants » qui donnent des directives anticipées ne correspond pas toujours au vécu du grand malade quand il arrive devant l’échéance. Ces directives anticipées sont aussi le plus souvent une manipulation psychique de celui auquel on fait signer « un papier » abstrait, administratif, sans lien avec la réalité qu’il aura à subir. Préparation aux documents qu’on signera bientôt aux assurances privées pour savoir si on veut la réa ou non comme aux USA (en cas de refus programmé de réa, vous bénéficiez d’une ristourne sur la prime d’assurance). Et le jour venu, on vous refusera l’entrée en réa ou la grosse opération, car votre prime d’assurance ne le prévoyait pas !

Damien Le Guay le résume très bien dans son Interview :

Les Directives Anticipées (D.A.) deviennent de plus en plus indispensables dans les dispositifs législatifs. Les politiques les demandent. Les lois aussi. La solution, disent-ils tous, viendra de cette expression par avance des volontés. Or, cette expression est tout à fait impossible face à une situation inimaginable par avance. Nous ne savons pas ce que nous réserve l’avenir. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie tant que nous n’y sommes pas. Penser est une chose, vivre en est une autre. Le sens de l’histoire, fait de ces D. A. des indications non contraignantes qui vont vite devenir contraignantes, qui restent encore à apprécier par les médecins et qui seront vite opposables au tiers. Or, les D. A. vont être, de plus en plus, la porte d’entrée de l’euthanasie. Et plus elles vont devenir contraignantes, plus elles vont mettre au grand jour leurs injonctions aussi contradictoires qu’impossibles. Plus elles vont solliciter des qualités morales qui auront été affaiblies par la “passion de l’égalité” et plus elles produiront des “volontés” qui seront soumises à l’opinion dominante.”

Il est réconfortant de lire les propositions de la société française de soins palliatifs qui tire de son expérience récente les conclusions suivantes :

« Une grande consultation des acteurs de soins palliatifs réalisée pendant l’été 2021 montre clairement leur refus de prendre la vie, ou donner la mort à leurs patients, même si ceux-ci le leur demandent. C’est un point de convergence pour l’immense majorité des soignants et des bénévoles intervenant en soins palliatifs », souligne la SFAP.

Rappelant qu’elle « porte dans le débat public la parole singulière de ceux dont l’expérience quotidienne est d’être aux côtés de ceux qui vivent à l’ombre de la mort et doivent être soulagés de leurs souffrances ».(([22] Présidentielles : la SFAP propose une « révolution palliative pour tous » — Genethique))

Espérons que la parole des soignants et bénévoles saura être entendue et faire le poids avec l’idéologie de certains loin du terrain, mais influents auprès des politiques.

L’expérience du Covid et du Rivotril largement administré aura peut-être finalement ce côté positif de la prise de conscience des soignants et de la population sur la réalité tragique de l’euthanasie et de la grande fragilité du concept de consentement éclairé d’un patient en souffrance en particulier lorsqu’il se sent abandonné.

Ne négligeons pas non plus la dérive marchande constatée dans les pays qui autorisent le suicide assisté dont le cout oscille « entre 7 000 € et 11 000 € », sans compter les frais liés au transport »(([23] https://www.lanouvellerepublique.fr/niort/entre-7-000-et-11-000-hors-transport)) ni la tentation de certains de bénéficier plus rapidement d’un héritage trop lent à se concrétiser.

À SITUATION EXCEPTIONNELLE SOLUTION PARTICULIÈRE, MAIS PAS DE LOI !

En conclusion, cet article n’est pas un papier souhaitant interdire de soulager un malade en fin de vie qui n’en peut vraiment plus et ne peut pas se suicider lui-même.

Ces situations exceptionnelles ont toujours, du temps où la vraie médecine existait, et n’était pas polluée par les dérives médicolégales, médiatiques et autres, été résolues dans le secret du cabinet en liaison avec le colloque singulier médecin-patient.

MAIS LÉGIFÉRER EST UNE ABERRATION QUI PERMET TOUTES LES DÉRIVES

Le professeur Léon Schwarzenberg qui avait promu l’euthanasie CHOISIE pour les cancéreux au bout du rouleau et que j’ai connu dans les années 80 dans le service du Pr Mathé à Villejuif insistait beaucoup sur ce danger. Il nous disait se mettre en avant sur ce sujet pour protéger les médecins anonymes qui auraient « aidé » leur patient des poursuites juridiques qui commençaient à apparaître.

Rien n’est simple, mais il faut se garder de la manipulation médiatique de sujets aussi graves, par des personnes même bien intentionnées, mais loin des patients et du tragique du vécu des derniers moments, utilisées par des idéologues de la vie et de la mort.(([24] N’oubliez pas que « l’avortement » d’un bébé viable de 9 mois est maintenant autorisé par la loi dite de bioéthique…))

L’expérience récente du scandale du Rivotril a démontré que, même sans loi, les dérives sont rapides.

NE JAMAIS LÉGIFÉRER





La permaculture dans le potager pour un retour à l’autonomie

[Source : en.acmeditions.com]

Par Myriam Marino

Pénuries, hyperinflation flambée des prix, contaminations bactériennes de nombreux produits industriels dont la liste ne cesse de s’agrandir, retour de la grippe aviaire et de l’abattage massif de poulets… Les événements économiques et sanitaires récents, qui plus est dans le contexte de guerre en Ukraine (ses atrocités et la hantise d’une troisième guerre mondiale), sont venus révéler notre extrême dépendance, notamment en termes alimentaires.

Il est devenu incontournable et urgent de changer radicalement de système pour un monde plus vivable pour tous, durable, et un retour à l’autonomie, en l’occurrence alimentaire :
la permaculture permet cela. Grâce à elle, il est à la portée de chacun d’entre nous, en l’appliquant au potager par exemple, de faire un grand pas vers l’autonomie alimentaire, avec des aliments sains et nutritifs, tout en respectant la nature – et en la régénérant même -, et ce sans beaucoup d’effort et avec un gain de temps non négligeable. 

Au supermarché

« Soit le changement que tu veux voir dans le monde »

Gandhi

La saison des plantations démarre, c’est le bon moment pour se prendre par la main et se lancer dans l’aventure de l’autosuffisance avec la création d’un potager en permaculture (ou la transformation d’un potager « classique » en potager en permaculture). Que l’on soit en ville, à la campagne, en maison ou en appartement : sur le balcon, sur la terrasse, dans la cour d’immeuble, la permaculture peut s’appliquer partout.

« Et elle est à portée de tous, si tant est qu’on le veuille et que l’on ait un peu d’imagination : tout le monde en est capable », comme le souligne Arthur, par exemple. Ce jeune Belge de 18 ans, pianiste amateur et amoureux des insectes, s’est lancé il y a trois ans dans la création d’un jardin potager de 15 m2 avec les techniques de la permaculture. Aujourd’hui, c’est une « jungle » regorgeant de dizaines de variétés (même des exotiques) de légumes, mais aussi de fleurs : un vrai petit paradis d’abondance sur un tout petit espace. Il a même fabriqué un hôtel à insectes et chassé les limaces de son potager. Il raconte tout cela et donne des astuces simples dans son livre Mon petit potager bio sur 15 m2 (Arthur Motté, Éditions Ulmer).

Enfants dans le jardin
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Qu’est-ce que la permaculture ?

La permaculture a été créée dans les années 1970 par deux Australiens,
Bill Mollison et David Holmgren, et se définit comme « une démarche de conception éthique visant à construire des habitats humains durables en imitant le fonctionnement de la nature » (Bill Mollison). 

Le terme est issu de la contraction des deux mots anglais Permanent Agriculture, c’est-à-dire agriculture permanente, l’agriculture étant son seul domaine d’application à l’origine. Elle s’étend aujourd’hui à tous les domaines de la vie quotidienne et désigne une méthode de conception des activités et espaces humains qui permet d’assurer leur résilience et leur durabilité d’un point de vue écologique, économique et social.(([1] Les 10 principes de permaculture, selon Bill Mollison :
https://permafforest.fr/blog/permaculture))

En ce sens, elle se révèle globalement un outil de résolution des problèmes particulièrement efficace pour assurer la nécessaire transition écologique, comme  le souligne l’équipe du bureau d’Etude Permaculture Design.(([2] Permaculture Design : https://permaculturedesign.fr))

Et chacun peut, à son échelle, apporter sa petite pierre à ce grand édifice.

La permaculture est basée sur l’observation de la nature (comment fonctionnent les écosystèmes sauvages, la diversité, la non-linéarité, densité horizontale et verticale), les savoirs traditionnels des anciens et les découvertes scientifiques récentes. 

Si le terme date en effet d’une cinquantaine d’années, la pratique, elle, est millénaire. Les principes, méthodes et techniques de la permaculture sont en effet appliqués par de nombreuses personnes et communautés de par le monde, et ce depuis des dizaines, des centaines et des milliers d’années pour certaines. La permaculture prend en effet modèle sur les savoirs et pratiques des peuples premiers et des sociétés soutenables. Par exemple, comme l’explique Éric Escoffier(([3] Éric Escoffier : La permaculture, prendre soin de la Terre, des personnes et reforester massivement, dans Enquêtes de santé N°29.
[Voir aussi : https://permaculture-sans-frontieres.org])), formateur en permaculture, les systèmes de « non culture » ou de « semi-culture » très productifs de certains peuples premiers, telles les forêts multi-étagées traditionnelles d’Indonésie. Autre exemple : les systèmes, très productifs aussi, particulièrement bien adaptés à certaines conditions géographiques particulières, comme les chinampas des zones marécageuses du Mexique, les systèmes « ahupua’a » des îles volcaniques du Pacifique (ou systèmes ohana). Troisième exemple : les limonias du Moyen-Orient. Et plus globalement les savoirs indigènes et traditions (connaissances traditionnelles) et les phytopratiques des sociétés anciennes, aux stratégies et techniques diversifiées, créativement et efficacement adaptées à leurs conditions géographiques.

Les principes de conception (design) de la permaculture

Les principes que se donne la permaculture sont dits universels dans le sens où ils sont applicables, ce de façon très efficace, partout sur la planète. Au nombre d’une vingtaine, ce sont des principes de design (conception).
Bill Mollison en a énoncé dix, David Holmgren, douze.

Selon Bill Mollison, il s’agit de prévoir l’efficacité énergétique, de Penser l’emplacement des éléments (ou chacun a sur les autres et sur l’ensemble du système des effets bénéfiques), d’entretenir les zones de bordure (riches en biodiversité), chaque élément remplit plusieurs fonctions (pour plus de performance sur une surface plus petite) et chaque fonction est assurée par plusieurs éléments (pour un système résilient face aux perturbations, climatiques ou autres).Il s’agit aussi de travailler avec la nature, et non contre elle (observation et collaboration), de penser chaque changement opéré en fonction de son effet, de faire circuler l’énergie (recyclage de l’énergie et de l’eau), le problème est la solution (ou plutôt : la solution est dans le problème (les problèmes n’étant que des erreurs de design), et enfin tout jardine : chaque action a une incidence sur l’environnement et le système.

Selon David Holmgren, il s’agit d’observer et d’interagir, de collecter et stocker l’énergie, de créer une production, d’appliquer l’auto-régulation et accepter le feedback, d’utiliser et valoriser les services et les ressources renouvelables, de ne produire aucun déchet, de concevoir/planifier en allant des forces générales vers les détails, d’intégrer plutôt que séparer, d’utiliser des solutions petites et lentes, d’utiliser et valoriser la diversité, d’utiliser les lisières et valoriser les marges et le marginal, et enfin d’utiliser le changement et y répondre de manière créative.

Femme, fonctionnement, jardin

Des principes et éthiques universels, une mise en œuvre contextuelle 

La permaculture repose sur des principes universels et des éthiques universelles : prendre soin de la terre, prendre soin des gens, redistribuer équitablement les surplus. Les stratégies, techniques et outils pour la mettre en œuvre sont quant à eux contextuels. 

Chaque contexte a ses particularités, votre potager – puisque vous allez le créer pour devenir enfin autonome – aussi. Si la permaculture dispose d’un ensemble de techniques de jardinage, ce sont tout sauf des recettes toutes faites applicables partout. Auquel cas, c’est le découragement et l’abandon de projet qui s’ensuit  quasi assuré. Il s’agit de les appliquer en regard du contexte particulier de notre potager (lui-même étant pensé comme un élément parmi d’autres dans le jardin et mis en synergie avec ses autres éléments) qui est fonction de la géographie, du climat, du type de sol ou encore de la configuration et du relief du terrain…, et bien sûr de nos objectifs, qui auront été définis auparavant.

L’un des principes de base de la permaculture est de partir de l’existant en commençant par observer. L’idée est de remplacer le travail par l’intelligence, qui passe aussi par le fait d’apprendre de nos erreurs, et le savoir, de faire travailler le système.

Pour mettre toutes les chances de son côté et générer l’abondance, il convient de  commencer petit, avant d’agrandir si nécessaire, et au pas de sa porte. Une économie d’énergie et de temps que l’on pourra mettre ailleurs, pour se reposer par exemple, regarder les légumes pousser, lire, jouer avec les enfants ou faire une balade en forêt, l’anti-stress par excellence.

Quelques techniques de base de la permaculture au potager(([4] Retrouver l’ensemble de ces techniques en détail dans l’article : Comment faire un jardin en permaculture ?, Permaculture Design, 3 juin 2020. Ici :
https://www.permaculturedesign.fr))

  • Un sol en permaculture n’est jamais nu. On le recouvre de « mulch » (ou paillage) pour garder l’humidité au sol. Cela peut être des espèces couvre sol, de la pierre ou ardoise, du paillis, du bois broyé, du miscanthus(([5] Le miscanthus est plante multi-fonctions ou multi-tâches » originaire d’Afrique et d’Asie du sud, issue des marais, pentes et flancs de collines. C’est une plante robuste qui n’est sujette ni aux maladies, ni aux attaques de rongeurs ou autres ravageurs. Herbacée vivace de la famille des Poaceae (Graminées), elle est appelée aussi « Herbe à éléphant », « Eulalie » ou « Roseau de Chine »)), du carton…
  •  Il faut recycler l’eau au maximum parce que le sol et les plantes en ont besoin, mais aussi parce qu’elle attire la faune. Classiquement, des barils de récupération d’eau de pluie sont placés au niveau des descentes de gouttières.
  • Il est essentiel aussi de choisir un bon support de culture (buttes ou pas buttes, etc.) adapté aux objectifs que l’on s’est fixé et au contexte, bien sûr, pour s’économiser de l’énergie et du temps. On peut, par exemple, cultiver serré pour un maximum de diversité dans un minimum d’espace sur une butte de permaculture ou des planches permanentes, prenant peu de place et facilement accessibles, ou encore à la verticale sur des treillis ou des paniers suspendus. 
  • Pratiquer des associations positives, en cultivant ensemble les légumes, les herbes, les fleurs comestibles, les petits arbres fruitiers et plantations d’ornement. Leur interaction permet la remontée d’eau, de nutriments, la création de microclimat… 
Légumes organiques

Les associations entre légumes …

Les associations entre légumes sont aussi légion. Jérôme Boisneau, permaraîcher(([6] Les associations de légumes dans un potager en permaculture, Jérôme Boisneau, 7 janvier 2022.)), nous en donne quelques exemples, selon l’orientation du potager et les saisons :

L’association radis/carottes/haricots grimpants : si les supports de cultures sont orientés Est-Ouest, on peut profiter du microclimat ombragé provoqué par les haricots grimpants pour cultiver des radis et des carottes au nord des haricots.

L’ association choux/carottes : sur une planche de 80 cm de large, une rangée de choux au milieu, et trois rangs de carottes de chaque côté. Les deux ont besoin de beaucoup d’eau au début : les carottes pour germer, les choux pour bien pousser, mais aussi pour lutter contre les altises (insectes parasitant de nombreuses plantes potagères à la fin de printemps).

L’ association choux/laitues : au printemps et en été, après avoir planté des laitues tous les 30 cm, on plante un chou tous les 90 cm sur la ligne centrale. Les choux sont lents à prendre de la place, et les laitues rapides à être récoltées. Après la récolte des laitues, on ajoute un gros paillage (avec le miscanthus par exemple) pour le reste de la croissance des choux.

Au pied des grandes plantes, telles que les tomates, les poivrons ou les aubergines, on occupe l’espace avec des plus petites comme les laitues, les betteraves, les raids, les carottes…

Et pour terminer, la grande classique des associations maïs/haricots grimpants/courges : la Milpa, pratiquée depuis très longtemps en Amérique centrale. Le maïs sert de tuteurs aux haricots. Les haricots (légumineuses) captent l’azote de l’air et le stockent dans des nodosités au niveau des racines. Les courges font couvre sol et limitent ainsi la prolifération des adventices. Et le couple haricots/maïs fait de l’ombre aux courges qui supportent mal le plein soleil en été. 

Après, on peut aussi créer ses propres associations, en faisant des essais, et en tenant compte de certains paramètres dont le principal est la taille de la plante ou l’étage où elle se trouve, explique Jérôme Boisneau, ou encore la vitesse de croissance. 

  • Parmi les techniques de base en permaculture, il faut favoriser l’effet de bordure, riche en biodiversité, en créant des jardins en forme de « trou de serrure », facilement accessibles avec au centre, selon ses envies ou ses besoins, un arbre, un arbuste ou encore un petit étang…
  •  La culture dite en « lasagne » est intéressante pour les plantations annuelles en particulier. Sur la future zone de culture, plutôt que de labourer, on utilise du papier journal ou du carton humide comme barrière contre les mauvaises herbes sur la future zone de culture. Cela permettra à l’eau et aux racines des plantes de pénétrer le sol et contribuera même à l’enrichir : les vers de terre adorent le carton. On met ensuite une autre couche de paille ou d’autres paillis organiques appropriés, puis une couche de compost et de terre pour les plantations. Enfin, on recouvre de mulch pour aider à maintenir l’humidité.
  •  Il faut attirer les vers de terre qui sont essentiels qui sont essentiels en  permaculture, aidant à garder le sol meuble et en bonne santé. Une bonne structure du sol se compose d’une grande population de vers de terre et d’insectes bénéfiques. Inutile de préciser qu’il faut totalement bannir les pesticides et autres fongicides chimiques qui détruiraient la vie du sol.
  • Enfin, faire son compost est bien sûr un élément important dans un jardin en permaculture où rien ne doit jamais être perdu (zéro déchet : tout est réutilisable). Tous les matériaux pour la fertilisation et le paillage sont produits dans le jardin en permaculture : les déchets du jardin sont utilisés pour le compostage qui à son tour est utilisé pour l’amendement du sol.

Quand on aura mis tout cela en place, c’est la nature qui travaillera à notre place, et pour longtemps puisque nous aurons mis en place un système durable, stable et résilient, qui profitera à nos enfants, petits-enfants…

Manger sainement en respectant la nature, en collaboration avec elle, la régénérant parfois, avec un minimum d’efforts. L’utile est joint à l’agréable. 

Le potager conçu et réalisé en permaculture prend soin de lui-même naturellement, comme l’explique l’équipe du bureau d’Etude Permaculture Design.  Il ne nous reste plus qu’à l’arroser de temps en temps, en récolter les fruits et remettre occasionnellement du mulch pour protéger le sol.

Cueillir des pommes dans un verger

[Formations en permaculture :
https://www.formations-permaculture.fr
dont Invitez la permaculture dans votre jardin
et Le potager perma]

Notes 




Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation

Par Antonin Campana

Yuval Noah Harari est un Jacques Attali version 2.0 ! Plus jeune (il est né en 1976), cet intellectuel homosexuel, de parents juifs séfarades, au physique de rat écorché, qui semble manquer des muscles nécessaires pour esquisser un sourire, est aussi introduit (sans jeu de mot) dans les élites oligarchiques que l’est le prescripteur d’opinion Français. Ce citoyen israélien “marié“ (avec un homme) enseigne à l’université hébraïque de Jérusalem et a commis quelques travaux qui ont immédiatement fait l’admiration claironnée de Mark Zuckerberg, de Barak Obama ou de Bill Gates, ce dernier s’étant tout spécialement fendu d’un article élogieux dans le New York Times.

Il ne faut pas prendre Harari à la légère. Pour Le Point, il est « le penseur le plus important du monde » ; pour The Economist, c’est le premier « vrai intellectuel global du XXIe siècle » (« global, traduisez « mondialiste ») ; pour la chaîne La Cinq (émission La Grande Librairie) « l’intellectuel le plus influent d’aujourd’hui » ; pour le quotidien 20 minutes, « les grands de ce monde ne parlent que de lui ». Harari a été reçu par Angela Merkel, Christine Lagarde, Emmanuel Macron, avec qui il a dîné. Mais, indubitablement, ce qui fait de lui un personnage important est l’influence de ses idées sur le Forum de Davos, et notamment sur Klaus Schwab, dont on dit qu’il est le conseiller principal.

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, l’architecte du plan
Yuval Noah Harari, le gourou liberticide qui chuchote à l’oreille de Klaus Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]

Justement, nous proposons ici un exposé de ses idées. Harari aime discourir et donner des entretiens. Il répète souvent les mêmes choses, dans ses écrits et dans ses interventions orales, et finalement sa pensée, assez pauvre, tourne autour de quelques obsessions (le piratage des humains, la surveillance de masse, le contrôle). Pour faire cet article nous nous sommes basé sur des entretiens (au Guardian en 2018, au Courrier de l’Unesco en 2020…), des discours (celui de Davos en 2020 par exemple) et des passages à des émissions télévisées (La Grande Librairie en 2017 par exemple). Le lecteur intéressé trouvera de nombreuses interventions filmées de Yuval Harari sur Internet (voir par exemple cette vidéo de Vivre sainement dont le travail est excellent).

La connaissance de la pensée de Yuval Harari est aujourd’hui indispensable. Ce personnage est au carrefour du dispositif oligarchique. Et il annonce que dans celui-ci peu de gens auront leur place ! Autant en être conscient.

Voici donc, à partir des propos de Yuval Noah Harari, rapportés fidèlement, l’architecture de cette pensée “nauséabonde“.

« Mon libre arbitre : c’est terminé ! » ou le piratage des humains

 La clé de voûte de la doctrine Harari tient en une phrase : le libre arbitre, qui sous-tend la liberté individuelle et donc la légitimité démocratique, est un « mythe » ! Par conséquent, rien ne s’oppose à ce qu’une intelligence artificielle prenne le contrôle du cerveau humain :

« Ce mythe a peu à voir avec ce que la science nous enseigne maintenant sur Homo sapiens et d’autres animaux. Les humains ont certainement une volonté – mais elle n’est pas gratuite. Vous ne pouvez pas décider quels désirs vous avez. Vous ne décidez pas d’être introverti ou extraverti, facile à vivre ou anxieux, gay ou hétérosexuel. Les humains font des choix – mais ce ne sont jamais des choix indépendants. Chaque choix dépend de beaucoup de conditions biologiques, sociales et personnelles que vous ne pouvez pas déterminer par vous-même. Je peux choisir quoi manger, qui épouser et pour qui voter, mais ces choix sont déterminés en partie par mes gènes, ma biochimie, mon sexe, mes antécédents familiaux, ma culture nationale, etc. – et je n’ai pas choisi quels gènes ou famille avoir ».

C’est pourquoi :

« Nous devons abandonner la vision naïve de l’homme en tant qu’individu libre »

En fait Harari réinvente l’eau chaude. Depuis longtemps (toujours ?) les hommes savent qu’ils sont le résultat d’une nature et d’une culture, voire selon certains de la volonté de Dieu. Martin Luther parlait déjà de « serf arbitre » en 1525, cinq siècles avant Harari ! On est ce qu’on est. Certes on aurait pu être différent, mais seul un tyran peut en tirer argument pour enlever à l’individu la liberté de choix et seul un pervers psychopathe peut proposer de substituer à cette liberté fondamentale le « piratage de l’humain » et le transfert de la volonté humaine à une Intelligence Artificielle :

« De même que votre ordinateur est doté d’un programme antivirus qui détecte les logiciels malveillants, nous avons peut-être besoin d’un antivirus pour le cerveau. Votre compagnon IA apprendra par expérience que vous avez une faiblesse particulière – que ce soit pour les vidéos amusantes de chats ou pour les exaspérantes histoires sur Trump – et les bloquera en votre nom »

Pas d’inquiétude, tout se passera bien, il suffit de suivre la science :

« Les humains sont maintenant des animaux piratables. Vous savez l’idée que les humains ont un libre arbitre, [que] quoi que je choisisse dans les élections ou les supermarchés c’est mon libre arbitre : c’est terminé ! Aujourd’hui nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle. Je veux dire tout est numérisé, tout est surveillé, en cette période de crise il faut suivre la science ! ».

Et ailleurs :

« Pour réussir à pirater les humains, vous avez besoin de deux choses: une bonne compréhension de la biologie et beaucoup de puissance de calcul. L’Inquisition et le KGB manquaient de cette connaissance et de ce pouvoir. Mais bientôt, les entreprises et les gouvernements pourraient avoir les deux, et une fois qu’ils peuvent vous pirater, ils peuvent non seulement prédire vos choix, mais aussi réorganiser vos sentiments. Pour ce faire, les entreprises et les gouvernements n’auront pas besoin de vous connaître parfaitement. C’est impossible. Ils devront juste vous connaître un peu mieux que vous ne vous connaissez vous-même. Et ce n’est pas impossible, car la plupart des gens ne se connaissent pas très bien ».

Ou encore :

« Dans le passé de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu le faire, mais personne ne comprenait assez bien la biologie. Et personne n’avait assez de puissance de calcul et de données pour pirater des millions de personnes. Ni la gestapo ni le KGB n’ont pu le faire. Mais bientôt, au moins certaines sociétés et gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement tout le monde. Nous les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses. Nous sommes maintenant des animaux piratables ».

Et de rêver :

« Si vous connaissez suffisamment la biologie et disposez d’une capacité de calcul et de données suffisantes, vous pouvez pirater mon corps, mon cerveau et ma vie, et vous pouvez me comprendre mieux que je ne me comprends moi-même. Vous pouvez connaître mon type de personnalité, mes opinions politiques, mes préférences sexuelles, mes faiblesses mentales, mes craintes et mes espoirs les plus profonds. Vous en savez plus sur moi que je n’en sais sur moi-même. Et si vous pouvez me faire cela, vous pouvez le faire à tout le monde. Un système qui nous comprend mieux que nous ne nous comprenons nous-mêmes peut prédire nos sentiments et nos décisions, les manipuler et, en fin de compte, faire des choix à notre place ».

Grâce au piratage des humains, des entreprises et des gouvernements peuvent désormais nous dicter leurs volontés :

« Comment fonctionne la démocratie libérale à une époque où les gouvernements et les entreprises peuvent pirater les humains ? Que reste-t-il des croyances selon lesquelles « l’électeur sait le mieux » et « le client a toujours raison » ? Comment vivez-vous lorsque vous réalisez que vous êtes un animal piratable, que votre cœur pourrait être un agent du gouvernement, que votre amygdale pourrait travailler pour Poutine, et que la prochaine pensée qui émerge dans votre esprit pourrait bien être le résultat d’un algorithme qui vous connaît mieux que vous ne vous connaissez vous-même? Ce sont les questions les plus intéressantes auxquelles l’humanité est maintenant confrontée ».

Car la technologie progresse :

« Et ce n’est que le début. À l’heure actuelle, les pirates s’appuient sur l’analyse des signaux et des actions dans le monde extérieur: les produits que vous achetez, les lieux que vous visitez, les mots que vous recherchez en ligne. Pourtant, en quelques années, les capteurs biométriques pourraient donner aux pirates un accès direct à votre monde intérieur, et ils pourraient observer ce qui se passe à l’intérieur de votre cœur » ; « Un algorithme peut déjà dire que vous avez un préjugé contre les immigrants, alors que votre voisin n’aime pas Trump (…) maintenant, ces méthodes sont utilisées pour vous vendre des politiciens et des idéologies aussi ».

L’humain piraté par une intelligence artificielle qui lui dictera les choix qu’il fera est l’avenir de l’humanité. Comment certains peuvent-ils refuser cette évolution merveilleuse ?, se demande Harari :

« Au lieu d’explorer ce qui nous attend au-delà de l’illusion du « libre arbitre », des gens du monde entier se retirent maintenant pour trouver refuge avec des illusions encore plus anciennes. Au lieu de relever le défi de l’IA et de la bio-ingénierie, beaucoup se tournent vers des fantasmes religieux et nationalistes… ».

Ici, il nous faut faire le lien avec un rapport du Forum de Davos, dont nous avons déjà parlé dans un article (Dormez tranquilles : Davos va « externaliser » votre libre arbitre). Ce rapport pointe comme Harari la méfiance de certaines personnes envers la technologie et préconise « l’externalisation » des décisions personnelles. La liberté de décider de nos choix personnels en matière de données numériques (données qui sont fondamentales dans le processus de piratage de l’humain selon Harari)  serait ainsi confiée à un « tiers de confiance » (une intelligence artificielle) qui prendrait des décisions en notre nom : « nous regardons vers l’avenir, vers l’agent artificiellement intelligent qui permet à un tiers autonome de prendre des décisions en notre nom », est-il écrit dans ce rapport.

Qui influence qui : Harari qui influence Davos ou Davos qui influence Harari ? Ou bien plutôt travaillent-ils ensemble ?

L’objectif du piratage de l’humain : la fin de la vie privée et le  contrôle de la population

Désormais, énonce Harari, pour la première fois dans l’histoire, il est possible d’annuler l’idée de « vie privée ». Et les gens, explique-t-il doctement, seront même volontaires pour sacrifier leur vie privée sur l’autel de leur sécurité :

«  Mais il y a quelque chose pour la première fois dans l’histoire, c’est qu’il est possible d’éliminer complètement la vie privée. Ça n’a jamais été possible avant et c’est possible maintenant. Quelque chose de fondamental a changé ! Quand les dictateurs ont toujours rêvé d’éliminer la vie privée, surveiller tout le monde, tout le temps et savoir tout ce que vous faites et pas seulement tout ce que vous faites mais aussi tout ce que vous pensez et tout ce que vous ressentez. Que ce soit un tyran de la Grèce antique,  ou que ce soit Staline, ils en ont toujours rêvé. Ils n’ont jamais pu le faire car c’était techniquement impossible. Maintenant ça l’est ! »

Ça l’est, et cela se fera :

« Les gens vont être volontaires pour abandonner leur vie intime, leur intimité, pour avoir les meilleurs soins, parce que finalement les données qui sont un développement important sont des données biométriques de l’intérieur de votre corps, c’est le point clé. La grande invention sera le capteur biométrique. Quand les gens vont commencer à porter des capteurs biométriques sur ou dans leur corps, tout le temps, cela va être vraiment le déclenchement de cette révolution. Et pourquoi les gens acceptaient de porter des capteurs biométriques sur leur corps et de donner ces données aux gouvernements ou aux entreprises ? En raison de la santé ! On va leur promettre, avec de bonnes raisons, que si vous acceptez ça nous pourrons identifier par exemple le cancer quand il n’est qu’au tout début. Nous pourrons immédiatement identifier à quel moment il y a une épidémie qui se répand et isoler les premiers qui sont atteints. Ce n’est pas un mensonge, ils vont être capables de fournir des soins de santé nettement meilleurs qu’auparavant et ça va convaincre la plupart des gens d’abandonner leur vie privée en échange ».

L’important ce sont les données sur les gens, toutes leurs données. Car les données conditionnent la surveillance de masse :

« Et nous commençons déjà à voir l’émergence de tels régimes de surveillance totale dans des endroits comme le Xinjiang. Dans des endroits comme mon propre pays, en Israël, nous avons ce grand laboratoire de surveillance appelé les Territoires occupés, où vous avez 2.5 millions de cobayes pour savoir comment surveiller et contrôler complètement une population avec très peu de soldats. Quand on regarde les chiffres, c’est incroyable le peu de soldats dont on a besoin pour contrôler des millions de personnes, si vous avez leurs données ».

Et à Davos (2020) : 

« Lorsque vous avez suffisamment de données, vous n’avez pas besoin d’envoyer de soldats pour contrôler un pays ».

Tout repose en fait sur la « sagesse de l’algorithme », religion du futur (le « dataisme »), car l’homme n’est qu’un algorithme :

« Les êtres humains ne sont finalement que des algorithmes biochimiques et si vous avez suffisamment de données et de puissance de calcul, vous pouvez hacker les algorithmes humains et à ce moment là vous pouvez contrôler et manipuler les gens »

La place du covidisme dans le piratage des êtres humains

Harari pose donc que la liberté individuelle est un mythe et que cela justifie un piratage des individus par notamment l’implantation de capteurs biométriques sous la peau. Ce piratage réorganisera de manière adéquate les pensées et les sentiments des individus, conformément à ce qu’attendent les entreprises et les gouvernements. Puisque le libre arbitre n’existe pas, autant le leur confier directement, n’est-ce pas ?. Ils en feront bon usage, n’en doutons pas. Harari nous explique que c’est au nom de leur santé que les gens accepteront de se faire implanter des capteurs biométriques dans le corps (après ce que nous avons vu des gens durant la « pandémie », nul doute qu’il ait raison). Aussi, pour arriver à ses fins, Harari compte bien profiter des « crises » et autres « catastrophes ». Jacques Attali et Klaus Schwab ne le contrediront pas. Et il précise :   

« On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser passer une bonne crise parce qu’une crise c’est aussi l’occasion aussi de faire de bonnes réformes qu’en temps normal les gens n’accepteraient jamais, mais en temps de crise, vous voyez, on a une chance, alors allons-y (…) Le vaccin nous aidera bien sûr, il rendra les choses, vous savez, plus gérables »

La fausse pandémie est ainsi l’occasion d’une rupture civilisationnelle qui verra s’installer un « régime de surveillance » :

« Les gens pourraient regarder en arrière dans 100 ans et identifier l’épidémie de coronavirus comme le moment où un nouveau régime de surveillance a pris le dessus, en particulier la surveillance sous la peau, qui, je pense, est peut-être le développement le plus important du 21 siècle. Cette capacité à pirater les êtres humains pour aller sous la peau, collecter des données biométriques, les analyser et comprendre les gens mieux qu’ils ne se comprennent eux-mêmes, je crois que c’est l’évènement le plus important du 21 siècle ».

Le moment covidien est donc un tournant qui accélère l’asservissement des populations :

« Nous assistons actuellement à la création de nouveaux systèmes de surveillance à travers le monde, aussi bien par des États que par des entreprises. La crise actuelle pourrait marquer un tournant majeur dans l’histoire de la surveillance. Tout d’abord parce qu’elle pourrait légitimer et normaliser le déploiement massif d’outils de surveillance dans des pays qui les ont rejetés jusque-là. La deuxième raison est encore plus importante : cette crise pourrait entraîner une transition radicale de la surveillance « sur la peau » à la surveillance « sous la peau ».

Après les injections, viendra le puçage des populations… :

« Le covid est capital parce que c’est ce qui convainc les gens d’accepter, c’est ce qui légitime la surveillance biométrique totale. Si on veut stopper cette épidémie, nous ne devons pas juste surveiller les gens, nous devons surveiller ce qui se passe à l’intérieur d’eux, sous leur peau »

Ce qui nous mènera directement vers une « gouvernance mondiale » :

« Une des options mentionnées par certaines personnes est que seule une catastrophe pourrait ébranler l’humanité et ouvrir la voie vers un véritable système de gouvernance mondiale. Ils disent qu’on ne peut pas le faire avant la catastrophe. Mais nous devons commencer à poser les fondations pour que nous puissions réagir rapidement  lorsque le désastre se produira»

Les élites vont bientôt avoir des capacités divines

Le piratage de l’humain, la surveillance de masse, la capacité de dicter aux gens leur conduite sans même qu’ils en aient conscience, donnent aux élites une puissance démiurgique dont Harari se félicite : 

« En piratant les organismes, les élites acquièrent le pouvoir de réorganiser l’avenir de la vie elle-même. Parce qu’une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi le concevoir ».

« Dans les décennies à venir, l’IA et la biotechnologie nous donneront des capacités divines pour réorganiser la vie et même créer des formes de vie complètement nouvelles. Nous sommes sur le point d’entrer dans une nouvelle ère de vie inorganique façonnée par le design intelligent, notre design intelligent ».

L’intelligence artificielle décidera de notre vie :

« Parce qu’à mesure que nous nous appuierons sur l’IA pour prendre des décisions à notre place, l’autorité passera des humains aux algorithmes. Et cela a déjà commencé. Dans un avenir proche, des algorithmes du même type pourraient nous dire où travailler et qui épouser, et aussi décider ou non de nous engager pour un travail, de nous accorder un prêt et de demander à la banque centrale d’augmenter notre taux d’intérêt ».

Nous sommes donc à l’aube d’une nouvelle révolution industrielle, plus importante que la première. Les élites sont maintenant capables de créer des « humains », ravalés par Harari au rang de « produits », et non plus seulement des biens matériels comme autrefois :

« Lors de la révolution industrielle du XIXe siècle, l’humanité a essentiellement appris à produire toute sorte de choses comme des tissus, des chaussures, des armes, et des véhicules. Cela a suffi à un petit nombre de pays qui ont mené cette révolution suffisamment vite pour subjuguer tous les autres. Ce dont il s’agit aujourd’hui c’est d’une seconde révolution industrielle mais cette fois le produit ne sera ni des tissus, ni des machines, ni des véhicules ou même des armes. Cette fois-ci le produit obtenu sera les humains eux-mêmes. Nous apprenons essentiellement à produire des corps et des esprits. Les corps et les esprits seront d’après moi les deux principaux  produits de la prochaine vague de tous ces changements… ».

Ceux qui refuseront de produire des corps augmentés et des esprits contrôlés, c’est-à-dire qui refuseront le transhumanisme, disparaîtront :

 « …et si un fossé se creusent entre ceux qui savent produire des corps et des esprits et ceux qui ne le savent pas, alors ce sera bien plus conséquent que tout ce que nous avons pu connaître dans l’histoire jusqu’à maintenant, sauf que, cette fois-ci, si vous ne faites pas partie de la révolution de façon suffisamment rapide, il y a des chances que vous disparaissiez ».

Pain, jeux et dépopulation

Si les élites savent produire à foison des corps augmentés et des esprits contrôlés, de véritable cyborg totalement dévoués, au contraire des masses humaines instables et toujours susceptibles de s’en prendre à leur personne, se pose alors la question de l’utilité de ces masses :

« Une fois que vous savez comment produire des corps, des cerveaux et des esprits alors la main d’œuvre bon marché en Afrique ou en Asie du Sud, et où qu’elle soit, ne vaudra tout simplement rien. Encore une fois, il me semble que la plus grande question qui se posera dans les prochaines décennies sur le plan économique et politique, sera quoi faire de toutes ces personnes inutiles ».

Les personnes inutiles (ou ailleurs les « humains inutiles ») formeront une « classe inutile » :

« Ceux qui échouent dans la lutte contre l’inutilité constitueraient une nouvelle « classe inutile » – non pas des gens inutiles du point de vue de leurs amis et de leur famille, mais du point de vue du système économique et politique. Et cette classe inutile sera séparée de l’élite toujours plus puissante par un fossé lui aussi en constante croissance ».

Donc que faire des ces inutiles ? Et de répondre :

« Je ne pense pas que nous ayons un modèle économique pour cela. Ma meilleure hypothèse, et cela reste une présomption, est que la nourriture ne sera pas un problème car avec ce genre de technologie nous serons en mesure de produire de la nourriture pour tout le monde. Le problème, en revanche, reste la problématique de l’ennui. Que faire avec ces gens, comment vont-ils trouver un sens à leur vie alors qu’ils sont insignifiants et n’ont aucune valeur ? A ce stade, ma meilleure suggestion serait d’avoir recours aux drogues et aux jeux vidéo ».

Harari se pose la question des humains inutiles, insignifiants et sans valeur, et y répond en s’englobant dans un « nous » qui montre bien qu’il ne parle pas seulement en son nom propre mais qu’il s’inscrit dans un projet collectif, probablement celui de Davos :

« Et la grande question politique et économique du XXIe siècle sera de savoir pour quelle raison avons-nous besoin des humains ? Ou du moins, pour quelle raisons avons-nous besoin de tant d’humains ? »

Voilà un homme qui s’interroge froidement et publiquement sur l’utilité de conserver toute la population terrestre, voire l’humanité elle-même ! Au journaliste qui lui demande s’il a la réponse à cette question, il répond :

« Actuellement, nous estimons que le mieux est de faire en sorte qu’ils soient heureux avec des médicaments et des jeux sur ordinateur »

« Actuellement, nous…. » : autrement dit, les choses pourraient  changer à l’avenir, tout dépendra des désirs de ce collectif (« nous ») et de l’utilité qu’il trouvera à conserver autant d’humains inutiles ! Quoi qu’il en soit, les propos d’Harari montrent bien que la mise en œuvre de la dépopulation est a minima objet de discussion dans certains cercles, et même sans doute que l’élimination des « personnes inutiles » a déjà commencée : « si vous ne faites pas partie de la révolution, il y a des chances que vous disparaissiez ».

 En conclusion…

Yuval Harari constate que la technologie rend possible, désormais, de contrôler les humains grâce à des capteurs biométriques et à des sortes d‘antivirus implantés dans le corps, dont la fonction sera de détecter les idées non conformes (les « faiblesses ») et de les bloquer. Il nous assure que cette révolution est en marche, que ceux qui la refuseront, se réfugiant dans le nationalisme ou un passéisme moyenâgeux, disparaîtront.

Cette révolution, fondée sur l’accumulation de données sur les personnes (« le pétrole de l’économie moderne », selon Boris Johnson) permettra une surveillance de masse avec très peu de personnel. Ce sera la fin de la vie privée, et cela sans contraintes excessives car les gens seront volontaires pour abandonner leur vie intime, croyant tirer des capteurs un bénéfice pour leur santé.

 De ce point de vue, le covid a été l’occasion de créer de nouveaux systèmes de surveillance et de préparer la population à l’idée de capteurs sous la peau. La capacité à pirater les êtres humains par des capteurs sous la peau, dit Harari, est le développement le plus important du XXIè siècle.

Cette révolution, qui en donnant aux élites la capacité de produire des humains augmentés et contrôlés qui, avec l’intelligence artificielle, se substitueront aux travailleurs humains traditionnels, pose un problème : que faire des humains devenus inutiles ? Harari propose que dans un premier temps on les laisse chez eux (avec une sorte de RSA ?) et qu’on les abreuve de drogues et de jeux vidéo pour qu’ils se tiennent tranquilles. Puis il pose la question, semblant annoncer un terrible processus de dépopulation : « pour quelle raison avons-nous besoin de tant d’humains ? », et que faire de ces gens « alors qu’ils sont insignifiants et n’ont aucune valeur ? ». Au fait, soit dit en passant, qui est ce « nous » ? On aimerait bien savoir ce qu’il recouvre exactement !

Quoi qu’il en soit, seul un psychopathe profond et dangereux peut poser froidement et à plusieurs reprises, dans des contextes différents, une telle question. Le problème pour nous, les humains inutiles, est qu’Harari n’est pas un simple professeur d’université. Il connaît tous les puissants de la planète, les Gates, les Obama, les Schwab, les Lagarde, les Macron, les Merckel… Tous l’accueillent comme l’un des leurs et l’encensent : « les grands de ce monde ne parlent que de lui ! ». Ni eux, ni les médias au service de ces gens ne s’interrogent sur les relents, un peu totalitaire et génocidaire quand même !, qui émanent des propos et des écrits de Yuval Harari. En désignant ce conseiller de Klaus Schwab comme le « penseur le plus important du monde », les élites consacrent ses écrits et ses pensées. Elles montrent, ces élites, qu’elles se sont ralliées au projet qu’il expose, qu’elles en sont partie prenante, et même, probablement, qu’elles en sont à l’origine.

Drogues, jeux vidéo et injections fatales : c’est ce qu’ils nous promettent, à nous les inutiles, les déplorables et les sans-dents. Nous voilà prévenus : préparons-nous !

Antonin Campana

Macron, Elkabbach et Harari
Macron, Elkabbach et Harari
Zuckerberg et Harari
Zuckerberg [Patron de Facebook] et Harari
Merckel et Harari
Merckel et Harari
Lagarde et Harari
Lagarde et Harari
Harari : le penseur le plus important du monde !
Harari : le penseur le plus important du monde !



Le scandale du Rivotril

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Pierre Lécot, pour FranceSoir

TRIBUNE — “L’état de crise permanent” que nous vivons depuis deux ans a jusqu’ici permis au pouvoir en place de continuer son rouleau compresseur sans permettre à quiconque de dresser un bilan. Nous avons détaillé beaucoup de points sur cette chaîne au fur et à mesure des remontées de données. Parmi tous les éléments utilisés depuis deux ans pour entretenir la psychose, le scandale du Rivotril est unique en son genre. Il ne s’agit pas d’une arnaque de comptage comme nous avons pu le voir sur les tests ou la surdéclaration dans les hôpitaux, mais bien de personnes qui sont décédées parce qu’on leur a injecté cette substance, sous prétexte d’une suspicion d’infection au Covid-19. Il y a donc une vraie hausse artificielle de mortalité, qui a pu être déclarée très commodément “causée” par la maladie.

https://www.youtube.com/embed/E2I6Q9wyWf0

L’audition à l’Assemblée nationale : le scandale aurait dû éclater en juillet 2020

Le 7 juin 2020 à partir de 17 h a eu lieu une session extraordinaire de l’Assemblée nationale qui a vu les auditions de Mme Astrid Petit, membre de la direction fédérale de la fédération Santé et action sociale de la Confédération générale du travail (CGT) ; M. Gilles Gadier, secrétaire fédéral de la fédération des personnels des services publics et des services de santé Force ouvrière (FO) ; M. Olivier Youinou, co-secrétaire du syndicat Solidaires, unitaires et démocratiques (SUD) santé sociaux solidaires de l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) ; Mme Clotilde Cornière, secrétaire nationale de la CFDT santé sociaux (CFDT) ; M. Maxime Sorin, conseiller technique pour l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) santé et sociaux public et privé. Le compte-rendu est disponible sur Internet. 

Le Rivotril est évoqué à partir de la déclaration de M. Olivier Youinou : “Je pense que des choix ont été faits, en particulier dans les Ehpad. »

Outre la note ministérielle qui a été évoquée, il y a eu le décret n° 2020-360 du 28 mars 2020, « complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire », dit décret Rivotril. Dans le contexte de la crise liée au Covid-19, on a jugé que des patients, essentiellement parce qu’ils étaient âgés, avaient une balance bénéfices-risques qui conduirait les réanimateurs à dire qu’ils auraient du mal à les sortir de la réanimation, mais cela reposait sur des données statistiques et non sur des données réelles, sur des études cliniques.

C’est particulièrement vrai au sujet de l’hospitalisation à domicile (HAD) – je pensais qu’Astrid Petit en parlerait. On a mis en place à l’Assistance publique des groupes d’intervention rapide (GIR). Vous imaginez, rien que sur le plan lexical ce que cela peut vouloir dire – on n’est pas tellement dans le champ hospitalier. Les équipes hospitalières intervenaient dans les Ehpad pour mettre en place un protocole préétabli, faisant notamment appel au Rivotril, pour des personnes âgées présentant une dépression respiratoire.”

M. Éric Ciotti, le rapporteur, a ajouté : “C’est un protocole de fin de vie.” M. Olivier Youinou a confirmé : “C’est ce qui a été appelé le « protocole palliatif covid ».”

On apprend à la lecture de ce texte que l’AP-HP a mis en place des groupes d’intervention rapide dont le but n’était pas de se déplacer pour soigner des patients en détresse, mais bien de leur injecter du Rivotril pour “accompagner” leur fin de vie. Pour mémoire, nous avons déjà montré dans deux vidéos réalisées grâce aux rapports de l’ATIH, que finalement les hôpitaux français n’ont jamais été saturés en 2020, et plus particulièrement, les services de réanimation non plus. Il est donc pour le moins choquant que l’AP-HP décide aussi promptement de mettre des moyens humains pour accompagner les décès, plutôt que pour s’occuper des malades. 

Ces groupes d’intervention rapide ont été mis en place à la suite du fameux “décret Rivotril”. L’article 12-3 du chapitre 7 du décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire qui décrète une dérogation au Code de la santé publique :

La spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention “ Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19

Le Rivotril est un médicament antiépileptique dont l’utilisation n’a habituellement rien à voir avec les infections respiratoires ou l’accompagnement palliatif par sédation. Dans la notice du Vidal, il est mentionné comme contre-indications :

« Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :
Insuffisance respiratoire grave,
Syndrome d’apnée du sommeil,
Insuffisance hépatique grave,
Myasthénie. »

Ainsi, la dérogation du décret ne propose pas l’utilisation d’un sédatif, mais d’un médicament déclenchant l’arrêt de la respiration du patient, et donc son décès anticipé. Il s’agit donc d’un protocole de fin de vie sans demander l’avis du patient, et pour lequel il suffit que le patient soit soupçonné d’être atteint du SARS-CoV-2, ce qui ouvre la voie à toutes les dérives possibles. 

Il est donc nécessaire de savoir combien de personnes âgées ont “bénéficié” de cette mesure, ainsi que son impact sur les statistiques de mortalité.

L’accélération des décès en EHPAD

Le décret Rivotril a eu cours du 28 mars au 11 mai 2020. Cette période est précisément celle avec le plus fort nombre de décès quotidiens depuis la canicule de 2003. 

L’analyse des ventes de Rivotril en pharmacie dans sa forme injectable, disponibles sur la base Médic’AM, reflète l’ampleur de l’utilisation de ce produit (Figure 1).

Figure 1 : Base remboursable mensuelle de Rivotril injectable distribué en pharmacie

Ainsi, contrairement aux antibiotiques, dont la vente a chuté suite aux directives du gouvernement, les ventes de boîtes Rivotril dans sa forme injectable ont augmenté de 59 % au mois de mars et de 227 % en avril, relativement à la moyenne observée entre 2017 et 2019. Cette augmentation sur mars-avril représente 1 700 boîtes du produit vendues en plus de l’habitude (Figure 2). 

Figure 2 : Nombre de boîtes de Rivotril injectable distribuées en pharmacie chaque mois

Précisons que chaque boîte contient six ampoules dont une à deux sont utilisées par patient dans le cadre d’une fin de vie. Ces statistiques ne reflètent que partiellement l’utilisation de cette molécule, car elles ne prennent en compte que les doses distribuées par les pharmacies de ville, et donc pas celles en provenance directe de l’hôpital. Depuis le début de la crise du Covid, soit entre mars 2020 et mars 2021, 8 200 boîtes supplémentaires à l’habitude ont été vendues, soit plus de 48 000 ampoules.

De la même manière, les ventes de Valium injectable, qui sert classiquement à accompagner la fin de vie, ont explosé en mars-avril 2020.

Au total, 5 000 boîtes de plus ont été vendues sur la période. Comme le Rivotril, cette habitude a visiblement perduré dans le temps. Plus de 22 000 boîtes supplémentaires à l’habitude ont été distribuées par les pharmacies entre mars 2020 et mars 2021.

Pour tenter de mesurer l’impact de cette décision de privilégier la fin de vie plutôt que le soin, nous pouvons comparer l’évolution des décès quotidiens en Ehpad toutes causes confondues depuis les données de l’INSEE à celles déclarées comme “Covid-19” sur le portail data.gouv.fr (sur lequel on remarque que désormais les données des Ehpad ont été masquées pour la période avant l’été 2020, mais que l’on peut retrouver en utilisant les archives du web).

Cette comparaison des décès déclarés Covid-19 et des décès toutes causes dans les Ehpad présente ainsi des incohérences massives (Figure 3). Par exemple, autour du 31 mars, la quasi-totalité des décès des Ehpad sont enregistrés dans les statistiques Covid-19 alors que moins de la moitié des départements français connaissent une surmortalité et sont considérés touchés par cette pathologie.

Figure 3 : Nombre de décès quotidiens en établissement médicalisé en France

On constate que les remontées de décès Covid-19 arrivent massivement au moment de la promulgation du décret dérogatoire concernant le Rivotril. De plus, même après la fin de la période de surmortalité française à partir du 1er mai, des décès Covid-19 ont bien été enregistrés dans les Ehpad jusqu’à la fin de la validité du décret.

Il est évident qu’une intervention médicamenteuse ayant pour conséquence d’accélérer le décès de patients en fin de vie a des répercussions sur les statistiques de décès. Dès lors, la “surmortalité” constatée sur courte période n’est pas le signe d’un plus grand nombre de décès à moyen terme, mais uniquement d’un regroupement artificiel de décès sur les mêmes dates.

Sur la période du 28 mars au 30 avril, la surmortalité en Ehpad comparativement à la moyenne 2017-2019 est d’environ 5 100 personnes. Pendant cette période, 1 700 boîtes de Rivotril ont été distribuées en plus de l’habitude. Chaque boîte contient six ampoules dont jusqu’à deux sont utilisées pour “accompagner” un décès. Il y a donc potentiellement trois décès par boîte, soit 5 100 décès anticipés.

Si l’on considère que l’utilisation du Rivotril a accéléré le décès des personnes qui ont bénéficié de ce “traitement”, alors la totalité de la surmortalité en Ehpad sur cette période peut s’expliquer par l’utilisation du Rivotril en lieu et place des traitements habituels.

Le non-soin à l’hôpital

Les hôpitaux ont commencé à remonter des décès Covid-19 à partir du 18 mars 2020 (Figure 4, courbe orange). On constate, en effet, à partir de cette date, une augmentation du nombre de décès dans la mortalité générale de l’hôpital (courbe grise).

Figure 4 : Nombre de décès quotidiens à l’hôpital en France

Le nombre de décès enregistrés à l’hôpital entre novembre 2019 et février 2020 est en moyenne de 931 par jour. Ce nombre a bien été franchi quotidiennement à partir du 18 mars 2020, date à laquelle les hôpitaux ont commencé à remonter des décès liés au Covid-19, et jusqu’au 18 avril 2020, avec un maximum à 1 345 le 31 mars 2020. Durant cette période, entre le 18 mars 2020 et le 18 avril 2020, le nombre de décès à l’hôpital est passé en moyenne à 1 150 par jour. Cela représente donc 200 décès de plus par jour par rapport à l’habitude. Pendant cette période, le nombre de décès identifiés Covid-19 a été de 370 par jour en moyenne. Ainsi, le nombre de décès remontés déclarés Covid-19 est deux fois plus élevé que l’augmentation du nombre de décès total constatée.

À partir du 18 mars, plus les hôpitaux remontent de décès liés à la Covid-19, moins ils remontent de décès liés à d’autres pathologies. On voit nettement la courbe bleue baisser lorsque la courbe orange augmente et inversement.

Au bilan, la surmortalité hospitalière représentant le surnombre de décès à l’hôpital sur la période du 18 mars au 30 avril 2020 est de 7 170 personnes. Ce nombre est deux fois plus petit que le nombre de décès attribués à la Covid-19 par l’hôpital sur cette période : 14 283. Il semble donc y avoir un sérieux problème de surévaluation statistique.

Du côté de la surévaluation statistique, le site géodes précise le changement de comptage opéré à partir du 31 mars 2020  : jusqu’au 31 mars, les instructions aux établissements de santé pour créer un dossier patient dans SI-VIC étaient un diagnostic de Covid-19 confirmé biologiquement.

Depuis le 31 mars, les établissements de santé doivent saisir systématiquement dans SI-VIC les patients hospitalisés présentant un diagnostic de Covid-19 confirmé biologiquement OU une TDM thoracique évocatrice de diagnostic de Covid-19. Toutefois, un établissement peut créer un dossier patient sur une base de forte suspicion clinique ou d’une imagerie évocatrice, puis effacer ultérieurement le dossier si le test s’avère négatif.

On observe que le nombre de décès Covid-19 remontés par les hôpitaux dans la semaine du 23 mars 2020 au 26 mars 2020 est de 282 en moyenne. Cette moyenne explose à partir de la semaine suivante pour passer à 469, puis 480, avant de commencer à redescendre avec l’arrivée des beaux jours. On ne peut pas écarter l’hypothèse que l’augmentation très forte visible fin mars vienne uniquement du changement de la stratégie de comptage, où toute personne qui tousse est comptabilisée Covid-19.

Il reste cependant une surmortalité de 7 000 personnes sur la période. Deux membres du Conseil scientifique, Arnaud Fontanet et Simon Cauchemez, ont publié un article dans Science utilisant les données hospitalières françaises et notamment le nombre de jours entre la prise en charge du patient et son décès. Les courbes les plus intéressantes ont été supprimées de l’article principal, mais sont toujours disponibles dans les données complémentaires. À la page 16 est détaillé le nombre de jours que mettent les patients arrivant à l’hôpital avant de décéder (Figure 5).

Figure 5 : Délai entre l’entrée à l’hôpital et le décès

Ainsi, 17 % des patients décèdent le jour même de leur arrivée à l’hôpital. On observe d’ailleurs une très forte différence entre le nombre de décès au jour 1 et le nombre de décès au jour 2, illustrant qu’une grosse partie des arrivées n’est plus “sauvable”. Ces 17 % de patients arrivés trop tard parmi les 17 000 de l’étude représentent 2 800 personnes. Si l’on considère qu’un décès dans les trois premiers jours d’hospitalisation révèle la prise en charge de ces personnes “non sauvables”, le total de décès concerné est alors de 6 000. Pour mémoire, nous avions vu que la surmortalité à l’hôpital sur cette période est de 7 000 personnes. Ainsi, la quasi-totalité de la surmortalité hospitalière s’explique par ces décès précoces.

Or, l’hôpital a également appliqué la directive “Rivotril” et a donc administré ce produit de manière importante pour accélérer le décès des patients suspectés de Covid-19. Cependant, il est impossible aujourd’hui de savoir combien de patients ont “bénéficié” du “traitement au Rivotril” sur cette période puisque les statistiques hospitalières ne sont pas diffusées.

Il serait très intéressant pourtant d’ouvrir une enquête pour savoir combien de médecins ont utilisé ce protocole et combien de fois.

L’euthanasie devenue une habitude pour certains

Nous avons vu en début de présentation que l’AP-HP (les hôpitaux de Paris) a mis en place des Groupes d’intervention rapide pour aller administrer du Rivotril dans toute l’Île-de-France. Or la fameuse “surmortalité” de mars-avril 2020 n’a quasiment eu lieu qu’en Île-de-France.

Pour s’en rendre compte, nous pouvons mettre à la même échelle les décès dans tous les départements français (nous avons centré par la moyenne et réduit au quartile les données des décès depuis 2018, chaque point représente le nombre de quartiles d’écarts par rapport à la moyenne).

Nous avons matérialisé en jaune les périodes de confinement français.

On observe bien des pics de décès impressionnants dans les huit départements d’Île-de-France sur la période de mars-avril 2020. Les pics sur cette période sont tous compris entre cinq et neuf fois le premier quartile de décès.

Ces pics de décès de mars-avril n’existent quasiment nulle part ailleurs. Par exemple, il n’y en a pas eu du tout en Bretagne.

Ni même dans aucun des 12 départements de Nouvelle-Aquitaine.

Ni dans aucun des 13 départements d’Occitanie.

En Auvergne Rhône-Alpes, seul le département du Rhône, dépendant des hôpitaux de la métropole lyonnaise, est concerné.

Au total, en dehors des huit départements franciliens, seuls cinq départements présentent au moins une journée dont l’écart à la moyenne est au moins supérieur à quatre quartiles (Rhône, Bas-Rhin, Haut-Rhin, Moselle et le Nord). Il est donc urgent de libérer les données de délivrance de Rivotril par les hôpitaux pour vérifier à quel point ces hausses de mortalité ne sont pas uniquement du fait de la stratégie choisie. Chacun comprendra que quand on ne soigne pas les gens, ils survivent moins bien, mais pire, quand on les euthanasie, ils ont tendance à mourir.

Nous avons remarqué que la vente de Rivotril n’est jamais redescendue à son niveau normal (Figure 2). De fait, un décret du 31 mai 2020 a repris à l’identique les dispositions du décret du 23 mars 2020, suivi encore par un décret du 16 octobre 2020. Entre mars 2020 et mars 2021, 8 200 boîtes supplémentaires à l’habitude ont été vendues par les pharmacies, soit plus de 48 000 ampoules. Elles représentent 24 000 décès anticipés, tout cela sans prendre en compte le nombre de doses délivrées directement par les hôpitaux.

Il est visible que les hausses de mortalité ont lieu dans des endroits très précis, et aux moments où sont délivrés en grand nombre des produits servant à euthanasier des patients. Il est donc plus qu’urgent d’ouvrir une enquête, en exigeant l’accès aux données des médicaments injectés à tous les patients, hospitalisés, en Ehpad ou à domicile depuis 2020. Il est nécessaire d’interroger le petit nombre de praticiens qui semble faire une forte utilisation du Rivotril. Cette substance n’a jamais été un médicament distribué à grande échelle pour soigner des gens, mais elle a bien été utilisée pour mettre un terme à la vie de patients sans leur consentement, dans des endroits très précis, et sous prétexte sanitaire. C’est un des plus gros scandales que nous vivons depuis deux ans. Non seulement ces gens n’ont jamais demandé à être euthanasiés de la sorte, loin de leurs proches, mais en plus ces morts ont servi à entretenir la panique en gonflant artificiellement la mortalité de 2020. Quand il n’y a pas assez de morts pour justifier la psychose, on trouve des serviteurs zélés pour y remédier.




LE VOTE MACRON , C’ETAIT CELUI POUR LA CINQUIÈME DOSE, aussi dangereuse et inutile que les précédentes

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Ils l’ont voulue, ils l’auront, leur cinquième dose… J’avoue personnellement avoir été submergé par le découragement , mais bon je m’y remets… Merci à ceux qui se sont désolés de mon silence

Il y a un mois j’ai vérifié personnellement l’extraordinaire efficacité de l’ivermectine et je suis plus que jamais convaincu de l’inutilité et de la dangerosité des injections

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est captureisrael11222.jpg.

@LMucchielli

Quelle sinistre plaisanterie. La gestion politique de la crise du covid a été un désastre, il n’y a eu aucun débat scientifique (imposition d’un pseudo « consensus » rhétorique), la démocratie a été piétinée allègrement et l’efficacité vaccinale est plus proche de 0 que de 100%.

@FCOUILBAULT1

Hier au parlement européen, #Macron s’est félicité de la gestion démocratique de la crise sanitaire, il confond démocratie et dictature quand on humilie les français en leur interdisant de prendre un café debout et encore pour les seuls vaccinés et qu’on suspend les soignants !

Le vaccin Covid à deux doses de Pfizer et BioNTech a fourni très peu de protection aux enfants âgés de 5 à 11 ans lors de la vague d’infection à l’omicron à New York, selon une étude publiée lundi.

Le Département de la santé de l’État de New York a constaté que l’efficacité du vaccin de Pfizer contre l’infection à Covid avait chuté de 68 % à 12 % pour les enfants de ce groupe d’âge lors de la poussée d’omicron du 13 décembre au 24 janvier. La protection contre l’hospitalisation est passée de 100 % à 48% au cours de la même période.

https://www.cnbc.com/2022/02/28/pfizer-covid-vaccine-was-just-12percent-effective-against-omicron-in-kids-5-to-11-study-finds.html




Le « traité pandémique » de l’OMS mettra fin à la liberté telle que nous la connaissons et remettra les « clés du pouvoir » à son plus grand bailleur de fonds privé, M. Bill Gates

[Source : mirastnews.net]

Ce qui suit concerne le nouveau traité pandémique proposé par l’Organisation mondiale de la santé qui peut potentiellement éradiquer la souveraineté nationale telle que nous la connaissons. Il s’agit aussi de la banalité du mal et de l’impact de nos choix quotidiens individuels sur les générations futures et l’histoire du monde.

Par Tessa Léna

Quel est l’accord avec le traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé ?

En décembre 2021, l’Organisation mondiale de la santé a annoncé son intention d’élaborer un nouveau traité sur la pandémie «renforçant» la coopération internationale lors de futures pandémies. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Le langage de l’annonce était vague, nous devons donc l’interpréter dans son contexte. Voici de la bouche du cheval : (décembre 2021) :

« Dans une décision consensuelle visant à protéger le monde contre les futures crises de maladies infectieuses, l’Assemblée mondiale de la santé a convenu aujourd’hui de lancer un processus mondial pour rédiger et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international en vertu de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé pour renforcer la pandémie prévention, préparation et réponse.

Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a déclaré que la décision de l’Assemblée mondiale de la santé était de nature historique, vitale dans sa mission, et représentait une occasion unique en son genre de renforcer l’architecture mondiale de la santé pour protéger et promouvoir la bien-être de tous. »

Plus de la bouche du cheval (avril 2022):

« Dans une décision consensuelle visant à protéger le monde contre les futures crises de maladies infectieuses, en décembre 2021, l’Assemblée mondiale de la santé a convenu de lancer un processus mondial en créant un organe intergouvernemental de négociation (INB) pour rédiger et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international. en vertu de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé pour renforcer la prévention, la préparation et la riposte aux pandémies…

Dans le cadre de cette décision historique, l’Assemblée mondiale de la Santé a demandé au Directeur général de tenir des auditions publiques, conformément à la pratique courante de l’OMS, pour soutenir le travail de l’INB. Selon le calendrier de l’INB, le premier tour de ces audiences a été fixé du 12 au 13 avril 2022, avec un second tour prévu du 16 au 17 juin. Ces informations sur les modalités du premier tour d’audience devraient également s’appliquer au second tour.

Mensonges, Mensonges, Mensonges

Commençons par la question du langage déformé. Dans un monde honnête sans agenda sombre, sans quatrième révolution industrielle et sans langage à l’envers, leur traité pourrait sembler une belle idée. Par exemple, qu’est-ce qui peut mal se passer avec une coopération internationale significative et bienveillante en temps de crise ? Un beau conte de fées, non ?

Malheureusement, ce n’est pas du tout un conte de fées, mais plutôt un film d’horreur, car nous vivons dans un monde de mensonges éhontés et de langage à l’envers – et les mots ne signifient plus ce qu’ils sont censés signifier.

A LIRE AUSSI : Pfizer et CDC ont commis une fraude en retenant des données critiques, causant des dommages et la mort de millions de personnes ! + Regardez Bill Gates tenter de vendre son équipe GERM et ses jeux GERM au monde

Pour nous tromper, les bureaucrates essaient de créer dans nos esprits le sentiment qu’ils se réunissent pour nous protéger, comme un conseil bienveillant de sages grand-mères indigènes — alors qu’en réalité, c’est plutôt comme s’ils cherchaient à nous piéger, étant une bande de loups avides et impitoyables déguisés en brebis qu’ils sont.

« Santé » ne signifie pas la santé réelle, mais plutôt la promotion de tout produit ou interférence souhaitable pour les actionnaires et les PDG des sociétés pharmaceutiques et technologiques.

Tout comme Fauci s’est récemment assimilé à la science, les porte-parole des entreprises assimilent tout ce qu’ils veulent nous vendre ou nous imposer à la «santé», puis disent qu’ils protègent notre «santé» alors qu’en fait, ils ne font que protéger leurs poches.

Nous vivons dans un monde où nos dirigeants (traduction : nos semblables qui n’ont aucun avantage intrinsèque sur nous mais qui ont pris de l’avance sur la base d’une extrême soif de pouvoir) profitent pleinement du fait que, pour faire des choses destructrices avec le moins de résistance, puis les appeler « des choses utiles qui sont bonnes pour le peuple », et s’en tirer pendant un certain temps. C’est l’astuce !

Et d’ailleurs, si les deux dernières années sont une indication, la « coopération internationale » signifie en pratique que tous les dirigeants affiliés au WEF vont de l’avant et jettent leurs gens sous le bus à l’unisson, au son de messages uniformes dans les médias.

La « coopération internationale » signifie que tous les pays font la même chose destructrice, entraînant des morts et des souffrances humaines inutiles, une perturbation des structures sociales et de l’économie mondiale, le tout pour ouvrir la voie à leur « nouvelle normalité » préférée. C’est de la coopération internationale !

Audiences publiques

Compte tenu de la nature historique autoproclamée de ce traité, l’Organisation mondiale de la santé a consacré les deux jours entiers au premier tour des audiences publiques (et ils n’en ont pas fait beaucoup de publicité). Le premier tour a eu lieu en avril 2022. Le deuxième tour aura lieu en juin de cette année.

Le Dr Tess Lawrie a écrit un article très émouvant sur le traité de pandémie de l’OMS et la soumission de commentaires vidéo par le Conseil mondial de la santé.

Voici les commentaires du Dr Lawrie sur le traité proposé, après avoir eu la chance de participer à un appel avec l’OMS (ainsi qu’avec l’ONUSIDA, la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies, le Programme des Nations Unies pour l’environnement et l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est) dans le cadre du processus de soumission.

• Appels à être « axés sur la sécurité humaine » et pas seulement « axés sur la sécurité sanitaire ». Apparemment, ils ne veulent pas seulement contrôler votre corps, mais tous les aspects de votre vie.

• Approbation rapide des diagnostics d’urgence – et enregistrement réglementaire unifié pour les diagnostics. En d’autres termes, plus de contrôle.

• Un accès équitable aux vaccins et « un mécanisme pour tenir les contrevenants responsables ». Donc, si une nation conclut qu’un vaccin n’est pas sûr – comme cela s’est produit lors de cette dernière pandémie – l’OMS aurait le pouvoir de passer outre cela et de piquer sa population de toute façon.

• Les vaccins doivent être développés dans les 100 jours. Ceci est absurde. Il faut dix ans pour que les médicaments sûrs soient correctement testés et déclarés sûrs. Il y a plus de 3,5 millions de personnes dans la base de données de l’OMS qui ont été blessées par les vaccins Covid et cela pourrait être la pointe de l’iceberg.

Je suis d’accord que ces puces sonnent comme s’il s’agissait de contrôle, donc pas surprenant que cela s’accompagne de plus de censure !  

Plus de censure

Alors que les commentaires publics étaient ouverts, la campagne #StopTheTreaty du Conseil mondial de la santé, où le Dr Tess Lawrie fait partie du comité directeur, a fait parler de lui dans la « communauté de la liberté ». Mais si vous le cherchiez sur Google, vous n’en sauriez rien ! Voici ce que j’ai écrit quelques heures seulement après la fin de la période de commentaires :

« Si vous recherchez l’expression « traité pandémique de l’OMS » sur DuckDuckGo, #StopTheTreaty  figure parmi les meilleurs résultats. Sur Google, rien de tel n’existe. Si vous recherchez réellement l’expression « arrêter le traité », sur DuckDuckGo #StoopTheTreaty est le résultat numéro un. Google, en revanche, vous dit tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le traité de Versailles de 1919 !) »

Pour l’Organisation mondiale de la santé, ce n’est pas le premier rodéo

Il est curieux que ce ne soit pas la première fois que l’OMS essaie de servir l’industrie pharmaceutique et divers actionnaires de l’industrie en utilisant la « préparation à une pandémie » comme outil juridique.

Par exemple, en 2009, ils ont annoncé une pandémie de grippe (H1N1) qui a activé les accords d’achat de vaccins et contraint les pays participants à de gros lots de doses dont ils n’avaient pas besoin. La sortie précipitée d’un produit médical de qualité inférieure a conduit, entre autres, à un «fiasco de la narcolepsie».

Selon le rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe :

« L’Assemblée parlementaire s’alarme de la manière dont la pandémie de grippe H1N1 a été gérée, non seulement par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), mais aussi par les autorités sanitaires compétentes au niveau de l’Union européenne et au niveau national.

Elle est particulièrement troublée par certaines des conséquences des décisions prises et des conseils donnés, qui conduisent à une distorsion des priorités des services de santé publique dans toute l’Europe, au gaspillage de sommes importantes d’argent public, ainsi qu’à des craintes et à des craintes injustifiées concernant les risques pour la santé auxquels est confronté le public européen à grande.

L’Assemblée note que de graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus décisionnels liés à la pandémie, ce qui a suscité des inquiétudes quant à l’influence possible de l’industrie pharmaceutique sur certaines des décisions majeures relatives à la pandémie.

L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité n’entraîne une chute de la confiance dans les conseils donnés par les grandes institutions de santé publique. Cela pourrait s’avérer désastreux dans le cas de la prochaine maladie à portée pandémique – qui pourrait s’avérer bien plus grave que la pandémie H1N1…

Le rapporteur considère que certains des résultats de la pandémie, tels qu’illustrés dans ce rapport, ont été dramatiques : distorsion des priorités des services de santé publique dans toute l’Europe, gaspillage d’énormes sommes d’argent public, provocation d’une peur injustifiée parmi les Européens, création de les risques pour la santé liés aux vaccins et aux médicaments qui n’ont peut-être pas été suffisamment testés avant d’être autorisés dans le cadre de procédures accélérées, sont tous des exemples de ces résultats.

Même Forbes a écrit en 2010 que « depuis le début, les actions de l’Organisation mondiale de la santé vont du douteux à l’incompétence flagrante ». Une citation poignante :

« Les décisions douteuses de l’OMS démontrent que ses responsables sont trop rigides ou trop incompétents (ou les deux) pour apporter les ajustements nécessaires au système d’alerte à la pandémie – des lacunes que nous attendons d’une organisation scientifiquement contestée, auto-importante et irresponsable.

L’OMS peut être en mesure d’effectuer et de signaler une surveillance mondiale – c’est-à-dire de compter le nombre de cas et de décès – mais son rôle politique devrait être considérablement limité.

Les bureaucrates de l’ONU se font passer pour des autorités sur toutes sortes de produits, de politiques publiques et d’activités humaines, de la désertification et de la biodiversité à la réglementation des produits chimiques, aux utilisations de l’océan et aux tests de plantes génétiquement modifiées.

Cependant, les politiques, exigences et normes réglementaires de l’ONU défient souvent le consensus scientifique et le bon sens. Ses responsables ne sont pas des amis du commerce, de la santé publique ou de la protection de l’environnement. Le résultat est un monde plus précaire, plus dangereux et moins résilient. En ce qui concerne la peste, l’ONU est peut-être le plus grand fléau de tous.

Qu’est-ce qu’une pandémie, de toute façon ?

Il est à noter que juste avant que l’OMS ne déclare une pandémie, elle a changé la définition du mot. Extrait du British Medical Journal :

« L’OMS avait défini pendant des années les pandémies comme des épidémies causant » un nombre énorme de décès et de maladies », mais début mai 2009, elle a supprimé cette expression – décrivant une mesure de gravité – de la définition.

Des scientifiques clés conseillant l’Organisation mondiale de la santé sur la planification d’une pandémie de grippe avaient effectué un travail rémunéré pour des sociétés pharmaceutiques qui avaient tout à gagner des conseils qu’elles préparaient. Ces conflits d’intérêts n’ont jamais été divulgués publiquement par l’OMS, et l’OMS a rejeté les enquêtes sur sa gestion de la pandémie A/H1N1 comme des « théories du complot ».

Une enquête conjointe du BMJ et du Bureau of Investigative Journalism a révélé des preuves qui soulèvent des questions troublantes sur la façon dont l’OMS a géré les conflits d’intérêts entre les scientifiques qui ont conseillé sa planification en cas de pandémie, et sur la transparence de la science sous-jacente à ses conseils aux gouvernements.

Était-il approprié que l’OMS prenne conseil auprès d’experts qui avaient des liens financiers et de recherche déclarables avec des sociétés pharmaceutiques produisant des antiviraux et des vaccins contre la grippe ? »

Se vanter des tours

En 2019, Marc Van Ranst, commissaire belge à la grippe, a donné une conférence lors de la conférence ESWI/Chatham House Influenza Pandemic Preparedness Stakeholders Conference. À environ 13 minutes, il s’est vanté d’avoir « abusé du fait que les meilleurs clubs de football… de football en Belgique étaient vaccinés de manière inappropriée et contre tous les accords… ils ont fait de leurs joueurs de football des personnes prioritaires ». Le public a répondu en riant.

“Trust WHO”

Afin de comprendre la corruption au sein de l’OMS, on peut vouloir regarder un documentaire pré-pandémique intitulé « Trust WHO« , produit par Lilian Franck. Entre autres choses, il examine divers conflits d’intérêts ainsi que des exemples de la façon dont l’organisation a été influencée par l’industrie du tabac et l’industrie nucléaire.

L’ONU a été détournée

L’année dernière, j’ai interviewé Mary Otto-Chang, une ancienne employée des Nations Unies, qui a parlé du détournement de l’ONU et de l’accord de 2019 entre l’ONU et le Forum économique mondial sur la quatrième révolution industrielle comme objectif de coopération.

Donc, ce que nous envisageons, c’est d’utiliser l’autorité de l’ONU en tant qu’organisation internationale soi-disant juste et merveilleuse qui protège les gens pour les objectifs commerciaux et philosophiques des personnes les plus riches du monde. Quel mensonge compliqué !

Banalité du mal

La plupart des choses horribles que les gens se font ne viennent pas de nulle part. Il y a généralement une période de « réchauffement » pendant laquelle les actions perverses sont banalisées et les sens des gens sont « recyclés ».

Parfois, en utilisant un langage à l’envers, les sens des gens sont rééduqués au point d’échanger complètement les significations, où la guerre devient la paix et le meurtre devient la compassion. Il faut du temps pour déshumaniser des données démographiques entières – sur la base d’une ethnie, d’une religion, d’un état de santé particulier, ou de toute autre affiliation arbitraire.

Par exemple, au début de l’Allemagne nazie, il y avait une campagne pour tuer les enfants handicapés mentaux (et aussi faire des expériences inhumaines sur eux), et on disait souvent aux parents que leurs enfants étaient emmenés pour de meilleurs soins. Les parents ne savaient pas que leurs enfants étaient assassinés – mais les infirmières qui ont tué les handicapés savaient exactement ce qu’elles faisaient, mais peut-être que certaines d’entre elles croyaient qu’elles accomplissaient des actes de miséricorde !

Il existe un documentaire puissant et incontournable à ce sujet, intitulé « Les infirmières tueuses du Troisième Reich ». J’avais écrit à ce sujet l’année dernière :

« La seule chose qui était nécessaire pour que les infirmières fassent la transition vers la zone d’horreur était de décider que les pauvres imbéciles souffrants n’avaient aucune agence. Dès que dans leur esprit, les infirmières ont dépouillé les enfants handicapés et les adultes malades mentaux de leur agence humaine et les ont transformés en créatures semblables à des animaux de compagnie souffrants, les tuer est devenu vertueux. Les infirmières tenaient les bébés handicapés avec amour, puis les tuaient.

Nos choix comptent

Une chose à laquelle j’ai beaucoup pensé au cours de ma vie, c’est à quel point nos choix ont des conséquences à long terme : pour nous-mêmes, pour les gens qui nous entourent, et même pour l’histoire du monde !

Par exemple, pour revenir au sujet de la préparation à une pandémie, une grande partie de ce qui s’est passé aux États-Unis en 2020 a été rendue possible grâce à la décision de Bush en 2005 de refaire le plan de préparation à une pandémie. Qui y a prêté attention en 2005 ? Qui pourrait imaginer que cela aurait un impact aussi profond sur nos vies ? Personne, probablement, sauf ceux qui l’ont planifié. Et pourtant nous y sommes…

Ou un autre exemple. Lorsque les gens acceptent la censure contre les groupes auxquels ils ne sont pas liés, ils ne pensent souvent pas que les censeurs viendront ensuite pour eux – et pourtant, le plus souvent, c’est exactement ce qui se passe.

Ou parfois, un choix que nous faisons à un très jeune âge nous revient des années plus tard, et tout ce à quoi nous avons essayé d’échapper nous regarde droit dans les yeux, et nous devons y faire face de toute façon.

C’est-à-dire que le courage et essayer de faire ce qu’il faut ne sont pas seulement louables, ils sont aussi très pratiques, surtout pendant les périodes difficiles.

Il n’y a certainement pas de formule, et pas de prescription universelle pour une période comme celle-ci, mais il est important de voir les escrocs dans des chaises hautes pour qui ils sont (y compris lorsqu’ils parlent de traités de préparation à une pandémie «pour notre propre bien»), et de voir à travers eux sans avoir peur. Lorsque nous sommes solidaires, avec de l’amour dans nos cœurs, nous sommes forts.

Pour en savoir plus sur le travail de Tessa Lena, assurez-vous de consulter sa biographie,
Tessa Fights Robots.https://dailyexpose.uk/2022/05/08/who-pandemic-treaty-power-a-warning/

Traduction : MIRASTNEWS




Rayonnements sans fil et ostéoporose

[Source : cellphonetaskforce.org]

Par Arthur Firstenberg

J’ai été étonné par le nombre de personnes qui m’ont contacté après m’être cassé le bras pour me dire qu’elles s’étaient aussi cassé le leur — certaines cette année, d’autres au cours des dernières années. Je me suis demandé s’il y avait eu une augmentation significative de l’ostéoporose et des fractures osseuses dans le monde et, si oui, s’il s’agissait d’un autre effet sur la santé causé par l’utilisation des téléphones portables et leur infrastructure qui irradie nos os et le reste de notre corps.

Je me suis souvenu avoir lu des faits fascinants sur les os dans le livre révolutionnaire de 1985, The Body Electric [Le corps électrique], écrit par le chirurgien orthopédique Robert O. Becker. Il a découvert que les os sont des semi-conducteurs et qu’ils doivent leurs propriétés électriques au fait d’être dopés avec de minuscules quantités de cuivre. Les atomes de cuivre, a-t-il découvert, se lient électriquement aux cristaux d’apatite et aux fibres de collagène — les deux principaux composants de l’os — et les maintiennent ensemble, « un peu comme des chevilles en bois fixent les pièces d’un meuble ancien les unes aux autres ».

« L’ostéoporose survient lorsque le cuivre est éliminé des os d’une manière ou d’une autre. Cela pourrait se produire non seulement par des processus chimiques/métaboliques, mais aussi par un changement de la force de liaison électromagnétique, permettant aux chevilles de “tomber”. Il est possible que cela résulte d’un changement des champs électriques globaux dans tout le corps ou d’un changement de ceux qui entourent le corps dans l’environnement. »

Becker

Je me suis également souvenu, à partir de l’ancienne littérature de l’Union soviétique, résumée dans mon livre de 1997, Microwaving Our Planet, que le rayonnement de radiofréquence redistribue les métaux dans tout le corps.

Avec ces faits à l’esprit, j’ai recherché dans la littérature médicale mondiale des études sur l’incidence de l’ostéoporose et des fractures, et les preuves semblent assez concluantes :

1)- Il y a eu une énorme augmentation de l’incidence de l’ostéoporose et des fractures osseuses de tous types dans le monde entier chez les enfants et les adultes depuis 1950 environ ;

2)- l’incidence de ces deux phénomènes continue d’augmenter dans le monde entier ;

3)- la plupart des études publiées au cours des deux dernières décennies ont montré que l’ostéoporose chez les enfants est corrélée au temps passé quotidiennement à regarder des écrans ;

4)- les taux d’ostéoporose ne sont pas corrélés au temps que les enfants passent assis mais sans regarder d’écrans ;

5)- et ces tendances sont indépendantes de la quantité d’exercice physique que les gens font.

Les auteurs de ces études ont été incapables d’expliquer leurs résultats, mais ils s’expliquent facilement si l’on se souvient des propriétés électriques des os et des effets que les écrans de téléphones portables et d’ordinateurs, qui émettent tous des rayonnements, sont susceptibles d’avoir sur les os et sur les atomes de cuivre qu’ils contiennent – et que l’exposition aux rayonnements de la radio, de la télévision, des radars et (plus récemment) des antennes des tours de téléphonie mobile a considérablement augmenté depuis la Seconde Guerre mondiale.

Voici un échantillon des études que j’ai recueillies :
 
1) – Louis V. Avioli a passé en revue la littérature [médicale] mondiale en 1991. Il a constaté qu’au cours de la seconde moitié du vingtième siècle, les taux d’ostéoporose et de fractures avaient augmenté de façon spectaculaire aux États-Unis, au Canada, en Norvège, en Suède, en Espagne, en Italie, au Royaume-Uni, en Belgique, en Australie et ailleurs. Le taux d’incidence des fractures de la hanche aux États-Unis a augmenté d’environ 40 % par décennie.

2) – M.L. Grundill et M.C. Burger, en 2021, ont constaté que le taux d’incidence des fractures de la hanche dans une population d’Afrique du Sud avait plus que doublé chez les hommes et presque sextuplé chez les femmes par rapport à ce qui avait été signalé en 1968.

3) – Emmanuel K. Dretakis et al. ont constaté que le nombre annuel de fractures de la hanche en Crète avait augmenté de 21 % en seulement quatre ans, de 1982 à 1986, alors que la population de plus de 50 ans était restée la même.

4) – Hiroshi Koga et al. ont examiné les dossiers d’enfants âgés de 6 à 14 ans à Niigata, au Japon. Le taux d’incidence de toutes les fractures a plus que doublé du début des années 1980 au début des années 2000, tant chez les filles que chez les garçons, et a presque triplé chez les filles du premier cycle du secondaire.

5) – P. Lüthje et al. ont constaté que le taux d’incidence des fractures de la hanche dans toute la Finlande a quadruplé entre 1968 et 1988.

6) – En 2012, Ambrish Mithal et Parjeet Kaur ont constaté que le taux de fracture de la hanche avait été multiplié par deux ou trois dans toute l’Asie au cours des 30 années précédentes.

7) – Hiroshi Hagino et al. ont constaté que les taux de fracture de la hanche dans la préfecture de Tottori, au Japon, avaient augmenté de près de 40 % entre 1986 et 1992, et de plus de 60 % chez les hommes et d’environ 50 % chez les femmes entre 1986 et 2001. L’augmentation des taux de fracture s’est produite non seulement chez les personnes âgées, mais aussi chez les personnes âgées de 30 et 40 ans.

8) – En 1989, Karl J. Obrant et al. ont analysé les tendances en matière de fractures à Malmö, en Suède, où toutes les radiographies ont été conservées depuis le début du XXe siècle. Ils ont constaté que le nombre annuel de fractures dans cette ville avait été multiplié par sept entre 1951 et 1985, et que le taux d’incidence des fractures chez les enfants avait doublé entre 1950 et 1979.  »Certains signes indiquent une détérioration de la qualité du squelette dans les générations successives », ont écrit les auteurs.  »Pour un traumatisme identique ou même diminué, nous subissons aujourd’hui des fractures plus graves et plus comminutives qu’auparavant ». Cette augmentation n’avait rien à voir avec l’évolution des niveaux d’œstrogènes, car les taux de fractures avaient encore plus augmenté chez les hommes que chez les femmes. La consommation quotidienne de calcium et de vitamine D avait augmenté pendant cette période. Mais l’incidence des fractures de la hanche était plus élevée dans les villes que dans les milieux ruraux où, nous le savons, il y avait moins de rayonnement.

9) – Haiyu Shao et al, en 2015, en examinant les heures par jour passées à jouer à des jeux vidéo par des adolescents chinois, ont constaté que les adolescents qui passaient plus de temps à jouer à des jeux vidéo étaient plus susceptibles d’avoir une densité de masse osseuse plus faible dans les jambes, le tronc, le bassin, la colonne vertébrale et le corps entier.
 
10) – Anne Winther et ses collaborateurs, qui ont étudié des jeunes de 15 à 18 ans à Tromsø, en Norvège, en 2010-2011, ont constaté qu’un temps d’écran plus long était associé à une densité de masse osseuse plus faible chez les garçons et les filles, indépendamment de la quantité d’activité physique quotidienne, de l’apport en calcium, de la vitamine D, de la consommation d’alcool, des habitudes tabagiques, de la taille ou du poids.
 
11) – Sébastien Chastin, qui a examiné des jeunes âgés de 8 à 22 ans aux États-Unis en 2005-2006, a constaté que la position assise devant un écran était associée à une densité de masse osseuse plus faible au niveau des hanches et de la colonne vertébrale. La position assise sans écran n’était pas associée à une plus faible densité de la masse osseuse.
 
12) – Natalie Lundin et al. ont constaté que les taux d’incidence annuels des fractures du bassin et de la hanche en Suède ont augmenté de 25 % entre 2001 et 2016, et que l’augmentation des taux d’incidence a été observée dans tous les groupes d’âge.
 
13) – Daniel Jerrhag et al. ont constaté que le taux d’incidence des fractures de l’avant-bras en Suède était 23 % plus élevé en 2010 qu’en 1999, et que l’augmentation était plus importante chez les hommes et les femmes âgés de 17 à 64 ans que chez les personnes âgées.
 
14) – Michiel Herteleer et al. ont constaté que le taux d’incidence des fractures du bassin et de la hanche en Belgique a doublé entre 1988 et 2006, et a encore augmenté de 26 % en 2018.
 
15) – Neeraj M. Patel a constaté que le taux d’incidence annuel des fractures chez les enfants âgés de 6 à 18 ans dans l’État de New York a presque quadruplé entre 2006 et 2015.




Les scientifiques ne sont pas plus crédibles que nos gouvernants !

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

1 – Les scientifiques qui se sont répandus dans les médias inféodés au système mondialiste, à l’occasion de la fausse pandémie  du SRAS Cov 2 – que personne n’a encore jamais été capable d’isoler – et à l’occasion de la campagne mensongère pour une fausse « vaccination » elle aussi, aujourd’hui largement remise en cause par ses résultats désastreux évidents, mais toujours niés par les fanatiques des injections à ARNm graphénisées et truffées de parasites inconnus, ont perdu toute crédibilité aux yeux de millions de personnes qui ne peuvent plus les voir en peinture !

https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-1er-avril-2021

Dans ce document de « Santé Publique France », mis en référence ci-dessus, il est clairement affirmé, sans ambiguïté, qu’il n’y a jamais eu ni « pandémie » ni même épidémie de Coronavirus !

Ces scientifiques ont perdu toute crédibilité parce que leurs « conflits d’intérêts » ont été plus importants à leurs yeux que « l’objectivité » scientifique elle-même et que la vérité ou l’honnêteté intellectuelle ! Pour l’argent, des scientifiques, des médecins, des patrons de services hospitaliers ont été capables de « vendre père et mère », de tuer vieillards, femmes et enfants, sans la moindre hésitation : des traitements qui marchaient très bien, comme cela a été largement démontré, (Cf., les références des nombreux documents publiés depuis deux ans et demi dans www.mondialisation.ca), étaient déclarés nocifs, dangereux, interdits à la vente, prohibés, pourchassés, censurés, simplement pour promotionner les produits hautement toxiques et inefficaces des laboratoires, comme le Remdesivir, brassant des milliards sur le dos des braves gens pris en otage dans ce chantage odieux pour lequel ces criminels en cols blancs devront rendre des comptes tôt ou tard, car le boomerang retourne sans faute à son envoyeur. 

2 – Parmi les experts virologues, épidémiologistes, vaccinologues et autres chercheurs liés à ce domaine de compétence, le grand nombre qui n’était pas concerné par « les conflits d’intérêts » s’est tu, car ces scientifiques-là ou ces médecins-là ont été directement menacés pour l’avenir de leur carrière, d’abord par les chancelleries des étatismes autoritaires, mobilisées contre les intérêts collectifs des États Nations, puis par les « ordres de médecins » complices ou par les « Conseils scientifiques » qui étaient plutôt des « Conseils pharmaceutiques » aux ordres d’une industrie génocidaire ne se sentant plus concernée par aucune limite, se vautrant dans le copinage explicite avec les décideurs politiques des Union Européenne et autres, organisées sans l’approbation des peuples priés de la fermer. 

Ces scientifiques et médecins muets ont encore été menacés par les grands patrons de laboratoires ou des organismes publics de la recherche. Les grands maîtres du mondialisme, ceux qui ont pris en otage le pouvoir et qui décident désormais librement, sans jamais rendre de comptes à personne, qui a le droit de vivre et qui doit mourir, ont directement menacé le grand nombre des scientifiques et médecins honnêtes de les suspendre, de briser leur carrière, de leur enlever leur gagne-pain, de les sanctionner ou de les censurer, de les réduire au silence par la coercition, par le mensonge omniprésent, par tous les moyens de pression détenus entre leurs seules mains devenues celles des ordures qui conduisent ce monde vers sa chute finale…

(Cf., covid 19 – Une autre vision de l’épidémie, Les vérités d’un épidémiologiste, Laurent Toubiana, éditions L’Artilleur, 20 avril 2022)

Ce livre est une remise à sa juste place de la vérité scientifique sur toutes ces questions concernant la Covid-19, ses variantes et les « vaccinations »…

Dans un document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech, nous pouvons lire en anglais un certain nombre de choses sidérantes comme par exemple ces deux extraits : 

« Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou des formulations spécifiques aux variantes pour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, dans l’Union Européenne ou dans d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence, ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché, conditionnelle. »

« Des événements indésirables importants peuvent survenir au cours de nos essais cliniques ou même après avoir reçu l’approbation réglementaire, ce qui pourrait retarder ou mettre fin aux essais cliniques, retarder ou empêcher l’approbation réglementaire ou l’acceptation par le marché de l’un de nos produits candidats. » 

https://www.sec.gov/Archives/edgar/data/1776985/000156459021016723/bntx-20f_20201231.htm

Et pourtant, les « Young Global Leaders » placés à la tête des États de l’Union Européenne, continuent leur mission génocidaire, tranquillement, avec des élections truquées, la manipulation du dressage ou fabrique du consentement, sur des peuples complétement désarmés, dépouillés de leur souveraineté… Pfizer BioNtech peut carrément dire que ses produits sont mortels et pas du tout prévus pour la finalité annoncée, cela laisse de glace les dirigeants qui sont les complices acharnés du seul plan qui les motive : celui du « Great Reset », du « piratage des animaux humains » et d’un passage obligé au transhumanisme. Bien entendu, ils ne tiennent aucun compte de toutes ces publications qui démentent, qui corrigent et qui rétablissent la vérité sur la question sanitaire, puisqu’ils savent pertinemment que toute cette histoire n’est qu’une « fenêtre d’opportunité » qui n’a été exploitée que pour le plan du « Great Reset » et en aucun cas pour résoudre un problème sanitaire inexistant, volontairement monté en épingle pour l’objectif recherché mais non avoué. 

Répétons-le : il n’y a aucune raison médicale dans cette histoire tombée entre les mains des laboratoires de l’industrie pharmaceutique et du financier propriétaire prioritaire de l’OMS ! Des scientifiques et des médecins ont été ravis de profiter de l’aubaine financière, et de leur côté, la gouvernance mondialiste a été ravis de pouvoir installer enfin sa domination à perpétuité sur des peuples « piratés » et enfermés dans l’impossibilité d’échapper à la soumission… Sarközy de Nagy-Bocsa avait bien prophétisé le 1er septembre 2021 : « On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial. Et personne, je dis bien, personne, ne pourra s’y opposer. »

La violence de ce propos menaçant est sidérante, car il veut dire que des individus non identifiés ont décidé de dominer les populations dans leur ensemble, sans leur demander leur avis : c’est quelque chose qui est imposé de force à tout le monde. Des « élites » ayant en mains tous les moyens coercitifs nécessaires, s’estiment en droit d’imposer leur loi au reste de l’humanité qui doit s’y soumettre, « personne ne pouvant s’y opposer » !

3 – Et puis, nous avons entendu, malgré le tumulte du mensonge qui s’en donnait à cœur joie, la voix des scientifiques, des médecins et des soignants sérieux, brillants, compétents, honnêtes, courageux, objectifs, libres, critiques, résistants. Ces médecins, ces chercheurs et ces soignants ont osé protester et se lever pour critiquer, remettre en cause les mensonges devenus la « vérité », en s’opposant frontalement à toutes cette vermine de l’humanité qui osait les traîner dans la boue en les humiliant, en les condamnant, en les poursuivant, en faisant de leur vie un cauchemar, en mobilisant tous les moyens que la perversion a pu imaginer pour les neutraliser enfin, car « personne ne pouvait s’opposer » à ce projet !

L’occident est tombé entre les mains des mondialistes, des Léo Straussiens, des idéologues du « Great Reset », des criminels génocidaires qui veulent ouvertement la mort de plusieurs milliards d’êtres humains, sans se cacher, sans avoir peur de le dire ou de l’écrire explicitement car ils sont tout-puissants ayant eu tout le temps de concocter une législation en leur seule faveur, comme l’exemplaire Traité de Lisbonne ! On en est là figurez-vous ! 

Ne prêtez plus attention aux hurlements hystériques des pantins qui s’agitent en criant au « complotisme », ceux-là, chaque fois qu’on les entend, on devrait s’inspirer de l’exemple du village gaulois qui ligote, bâillonne et suspend son barde à une branche de chêne, pour l’empêcher de lui casser les oreilles avec sa rengaine habituelle ! 

Dans la suite logique de ce délire collectif survenu en Occident désireux de garder la main sur la gouvernance mondiale, la pratique du mensonge est devenue habituelle. Il est devenu impossible de séparer l’ivraie du bon grain ; il est devenu inutile de chercher un seul endroit en occident qui ne serait pas corrompu par le mensonge ! L’occident et son empire totalitaire orwellien est le territoire du mensonge, il se caractérise par le mensonge : l’occident est menteur, en lui règne le mensonge. Cette perversion fait la pluie et le beau temps. Or, le mensonge n’est pas possible sans le « père du mensonge » qui le fait exister sur tous les plans ; il n’est pas possible sans celui qui est « menteur dès l’origine », sans la Bête qui l’inspire !

L’occident est décadent, perverti, menteur, dégénéré et il veut avec une violence inouïe, précipiter le monde entier dans son mensonge, dans sa perversion et dans sa pulsion de mort, car le mensonge est destructeur et la destruction en soi !

4 – Et voilà qu’une autre cohorte de scientifiques vient maintenant nous mettre à l’épreuve en tenant un discours déroutant. Les « experts » inter-gouvernementaux regroupés sous le nom de GIEC, exigent, dans leur dernier rapport sur les mesures climatiques, des initiatives surprenantes ! Au milieu de très bonnes choses utiles et peut-être même nécessaires, les scientifiques du GIEC ont également fait des propositions, comme celle qui consiste à « aspirer le dioxyde de carbone de l’atmosphère afin d’obscurcir le soleil par des nuages de poussière artificiels ! » On apprend dans ce dernier rapport, que la technologie permettant d’aspirer le dioxyde de carbone de l’atmosphère a été développée et qu’elle se nomme même la technique du « Captage et du Stockage du Carbone » le CSC.

On apprend également, comme ce fut le cas pour la promotion de la Covid-19 et des « vaccins » à l’OMS par Bill Gates, que ce même milliardaire misanthrope a financé ce projet du captage et du stockage du carbone ! 

https://www.thetimes.co.uk/article/bill-gates-invests-in-verdoxs-carbon-capture-technology-62z5jcw9z

Des scientifiques de l’Université de Harvard, ont créé de leur côté « l’expérience de perturbation stratosphérique contrôlée » (ScoPEx), grâce au financement encore assuré par Bill Gates. Cette expérience tente de réfléchir les rayons du soleil dans l’espace. C’est en imaginant de telles choses que les « scientifiques » prétendent contrôler le « réchauffement climatique ». Un journal allemand nous révèle que les chercheurs de Harvard désirent, quant à eux, répandre dans l’atmosphère, des particules de carbonate de calcium, ou plus précisément de l’acide carbonique et qu’ils se livrent déjà à ce genre d’expérimentation !

https://www.bbc.com/afrique/monde-61096472

Personne ne sait ce que deviendra la couche d’ozone dans ces conditions. Personne ne sait également les perturbations météorologiques extrêmes que cela va provoquer. En combinant les initiatives du GIEC et de Harvard, sans compter les expérimentations faites en grand secret par le Pentagone, et les opérations désormais abondamment documentées sur la pratique « discrète », mais non moins réelle, des « chemtrails », on peut logiquement s’attendre à de futurs désastres, puisque l’oxygène dont nous avons grand besoin se fabrique à partir de la photosynthèse notamment. En « obscurcissant le soleil », que peut-il se passer objectivement sur Terre ?

De plus, les plantes, des bactéries, des micro éléments du biotope utilisent la lumière et l’eau comme le dioxyde de carbone pour produire du glucose et de l’oxygène. En atténuant la lumière du soleil et en renvoyant le dioxyde de carbone dans la stratosphère, la production d’oxygène devrait forcément chuter sur Terre. Les scientifiques savent théoriquement tout cela et pourtant ils courent ce risque. Pourquoi ? 

Pourquoi Bill Gates se retrouve encore ici dans le financement de ces nouvelles initiatives, sachant que la Fondation Bill Gates n’est jamais déficitaire dans « l’aide » qu’elle accorde à tous ces milieux : santé, écologie, agriculture, alimentaire… Elle retire toujours des bénéfices importants de ses actions financières de grande pilleuse d’épaves dans ces domaines devenus les hauts-lieux de la flibuste…

https://www.ipcc.ch/sr15/

Peut-être pourrons-nous enfin comprendre ! De mémoire d’homme, jamais personne n’avait encore vu un phénomène de cette importance : un nuage de poussière du Sahara qui allait retomber sur toute l’Europe, imprégnant les pierres, les plantes sur des milliers de kilomètres et déposant un voile rouge sur tout objet statique…

Il était très normal que chacun se posât la question de bon sens : pourquoi ce phénomène dit « naturel » n’avait-il jamais existé avant maintenant ? Pourquoi maintenant et pas avant, s’il était naturel ? Pourquoi ce « naturel » ne s’était-il jamais manifesté auparavant ? « C’est normal, ce n’est que de la poussière du Sahara soulevée par les vents violents et qui retombe ensuite sur l’Europe » ! Oui, mais pourquoi avec cette importance, pourquoi dans de telles proportions, allant jusqu’à obscurcir le ciel empêchant le soleil de donner sa lumière ? Les vents n’avaient-ils jamais été violents auparavant ? Il n’y avait pas encore suffisamment de poussière dans le Sahara ? Dans le sud de l’Espagne, tout avait disparu pendant plusieurs jours dans le nuage de poussière rougeâtre et l’on ne voyait plus au-delà de 50 mètres ! En plein jour on se retrouvait comme si nous étions dans la nuit polaire ! 

Le « CSC » avec le « ScoPEx » plus les « chemtrails » et autres expérimentations « HAARP, mystérieux projet de la Force Aérienne Nord-américaine (HAARP, High Frequency Advanced Auroral Research Project), seraient-ils par hasard la bonne réponse à nos questions légitimes ?

https://www.tiempo.com/ram/2487/el-proyecto-haarp/

Jamais cela n’était encore arrivé et pourtant, des personnes théoriquement intelligentes, ne voyaient pas où était le problème et trouvaient assurément ce phénomène – tout à fait inhabituel et donc anormal – comme quelque chose de tout à fait normal ! Exactement comme elles trouvaient qu’une moyenne habituelle, au pic le plus fort de la grippe saisonnière, étant entre 500 et 600 malades pour 100.000 habitants par semaine, n’avait pas lieu d’alerter le monde entier en le traumatisant ! En revanche, la covid-19 qui a atteint, au pic le plus fort de sa manifestation, la moyenne de 142 malades pour 100.000 habitants par semaine, elle devait déclencher la déclaration de « pandémie » par l’OMS et provoquer une surenchère invraisemblable de mesures tout à fait injustifiées et clairement mensongères, n’ayant pour but que de faire peur et d’imposer des contraintes arbitraires et théâtrales aux populations, prises en otages dans un chantage odieux et parfaitement criminel, mais justifiant une finalité, encore non avouée à ce jour par les auteurs de ce génocide planétaire, pour un grand nombre, et un « piratage » pour les survivants ! (Cf., op.cit., Laurent Toubiana, Covid-19, une autre vision de l’épidémie…)

Conclusion

La servitude volontaire restera pour moi une question relevant d’une extrême naïveté ou retard mental ! La servitude volontaire serait ainsi la manifestation ou le symptôme d’une transgression des limites de la distinction entre le malheur d’une soumission imposée de l’extérieur et le vice d’un assujettissement volontaire, consenti dans le for intérieur à défaut de désirer la liberté. Selon La Boétie, les régimes politiques sont fondés sur la peur, laquelle sert à dissimuler l’absence de légitimité des gouvernants. Ainsi, le peuple s’auto-soumet aux pouvoirs en place, par simple habitude, par récurrence historique. 

Je pense qu’il y a plus à dire que ce que postule La Boétie : oser contester la légitimité des Gouvernants en les accusant de fomenter le génocide et l’esclavage des survivants, n’est pas soutenable, car dans la tête d’un occidental formaté à la théocratie, toute la légitimité des pouvoirs non démocratiques – comme c’est le cas de tous les pouvoirs politiques en occident – est basée sur l’innocence sacralisée de ces pouvoirs. Les gouvernants sont regroupés dans « l’État profond » ; celui-ci est le Pontife de la société laïque ne pouvant que vouloir le bien commun, il est impossible d’imaginer que les gouvernants puissent se tromper et la tromper ou avoir des intentions perverses, voire mauvaises et criminelles. La vérité et la vertu font partie de leurs attributs et ils sont gratifiés d’une sorte « d’infaillibilité pontificale » de par la fonction étatique reliée à la légitimité théocratique. Remettre cela en cause, c’est enlever toute légitimité au pouvoir légitimé par le divin et sombrer dans l’anarchie ! C’est cette arriération mentale qui explique, à mon sens, la soumission des personnes rendues, sourdes, aveugles et muettes, face à tout régime politique organisé hors des principes de la démocratie. En démocratie, c’est le peuple qui commande et c’est l’État qui obéit… En théocratie, c’est l’État qui représente dieu et qui commande le peuple prié de se soumettre à ses volontés, à ses lois, à ses décrets, à ses décisions. Il sait où est le bien des uns et des autres mieux que les uns et les autres ! Désobéir à un tel État est quasi blasphématoire et passible de répression, de sanctions, de punitions… C’est cela qui se passe chez nous et qui explique cette passivité grégaire de la majorité face au totalitarisme théocratique de nos sociétés archaïques et de leurs Gouvernants… Ainsi, chacun peut imaginer où se trouve le remède à une telle maladie de civilisation : dans la fin de cette civilisation, le plus tôt possible, ce que nous appelons de nos vœux…

Jean-Yves Jézéquel

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Ils ne veulent pas éliminer la pauvreté. Ils veulent éliminer les pauvres

[Source : olivierdemeulenaere]

Par Olivier Demeulenaere

Par ses fonctions sur le terrain, en Afrique notamment, Gabriel Tereso a découvert progressivement comment, sous couvert d’aide publique au développement et de « politique de santé reproductive », certains Occidentaux visent en fait une limitation de la croissance démographique et la déconstruction du modèle familial dans les pays pauvres ou émergents, parfois à l’insu de leurs populations. Éliminer les pauvres plutôt que la pauvreté, voilà leur objectif.

Les moyens : la manipulation des opinions publiques, les programmes officiels (échanges « nourriture contre contraception », campagnes de stérilisation…), mais aussi l’ajout secret d’antigènes hCG dans les vaccins antitétaniques. L’auteur détaille ces politiques, davantage connues depuis la première conférence de Pékin en 1995.

Enfin, il montre comment elles se rattachent à la pensée eugéniste du XIXe siècle : une vision malthusienne promue aujourd’hui encore par de grandes fondations privées « philanthropiques ». Adossées à de puissants groupes financiers et industriels, celles-ci financent les ONG et les grandes institutions internationales (ONU, FMI, OMS…), s’appropriant ainsi la gouvernance mondiale des politiques d’aide au développement, au mépris de la démocratie et du bien commun.
L’auteur :

Gabriel Tereso est docteur en santé publique et spécialiste des politiques de santé dans les pays en développement. Il intervient comme expert en Afrique, en Asie ou en Amérique latine pour des organisations internationales, des cabinets d’étude ou les Nations unies pour lesquelles il a travaillé plusieurs années.

Source : Les Editions du Bien Commun

Rappels :

PLANDEMIE – Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes

Rassurez-vous : Les « vaccins » Covid-19 ne stériliseront pas TOUTE la population !

[Voir aussi :
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Les valeurs familiales de Schwab
La grande conspiration criminelle du « zéro carbone »
Les mots de Christine Deviers Joncour sur Attali, le Covid et le plan de dépopulation]




Maladie, guerre et famine : le troisième cavalier du mondialisme approche au galop

[Source: strategika.fr]

Par Alexandre Keller de t.me/kompromatmedia

Aux Etats-Unis, le rationnement des ventes d’aliments pour bébés a débuté, rapporte USA Today. Dans un contexte de flambée des prix et de rupture de stock, certaines pharmacies et supermarchés limitent les achats à trois produits pour tout-petits en magasin et en ligne.

En France comme en Europe, les rayons de supermarchés se font toujours plus clairsemés. Il ne manquerait que le signal d’envoi des médias de masse, un gros titre sur BFM plutôt que des articles et entrefilets épars jusque-là pour déclencher un «panic buying».

2020 : Emmanuel Macron déclare la «guerre» au Covid et cite l’Apocalypse selon Jean : «La Bête de l’événement est là». Le service de fact-checking du Monde eut beau se démener pour expliquer que le président de la République, «amateur de références littéraires, religieuses ou intellectuelles», n’avait pas vraiment dit ce qu’il disait, l’annonce reste curieusement mystique.

Mars 2022 : en pleine campagne présidentielle, l’ex-banquier prévient qu’une «crise alimentaire sans précédent arrive». Au téléphone avec Vladimir Poutine, le président réélu s’inquiète de la «sécurité alimentaire mondiale». Devant les caméras, il en impute la responsabilité à la Russie, évidemment.

Or, comme souvent, c’est le contraire qu’il faut comprendre : l’Occident, par sa prédation économique et militaire, son messianisme impérial, a provoqué la crise alimentaire qui s’annonce.

L’UE organise sa propre pénurie alimentaire

Acteur irrationnel en apparence, l’Union européenne (UE) cherche à tout prix à couper ses relations commerciales avec la Russie. Irrationnel, car les Etats membres n’ont aucun intérêt, géopolitique comme économique, à se priver de l’énergie et du marché russes. L’Allemagne, dirigée par un gouvernement atlantiste, pourrait voir son puissant complexe industriel péricliter, alors que ses coûts de production ont bondi de près de 30%.

L’UE démontre la même absence de logique pour la sécurité alimentaire, alors que la Russie et l’Ukraine représentent 30% des exportations mondiales de céréales. En 2019, la Biélorussie, la Russie et la Chine, tous des adversaires de l’Empire américain et de ses vassaux européens, se classaient parmi les quatre premiers exportateurs de potasse (engrais) derrière le Canada…

Acteur rationnel, elle, la Russie a déjà imposé une interdiction d’exportation de sa production de céréales. Le 5 avril, Vladimir Poutine a pris des mesures pour augmenter la production de 3% par an. Le Kazakhstan, sixième exportateur mondial de blé et qui approvisionne plus de 70 pays, a également annoncé une restriction de ses exportations de céréales. Les sanctions européennes,décidées dès 2014 sur ordre américain, ont agi en réalité comme une mesure protectionniste en faveur de la Russie et dopé son agriculture…

Troisième exportateur mondial en 2005, la France s’est déclassée en sixième position. Un déclin qui s’accélère : en 10 ans, c’est le pays qui affiche le plus fort recul au monde. La politique agricole commune (PAC) de Bruxelles est passée par là.

La nourriture, c’est du pétrole

Dans un système économique où le pétrole est partout, des plastiques aux carburants, la sécurité alimentaire est étroitement dépendante de l’approvisionnement en hydrocarbures.

Dans le monde de la nourriture industrielle, l’or noir est un intrant vital de l’agriculture. Il est nécessaire pour faire tourner les machines agricoles ; à la pétrochimie pour fabriquer les produits phytosanitaires et les pesticides ; à la production des tourteaux de soja qui engraissent les bœufs ; à la transformation des produits par l’industrie agroalimentaire ; pour les emballages ; à la chaîne logistique qui alimente les supermarchés…

Tandis que les gouvernements des pays de l’Union expliquent à la population qu’il va falloir se priver de chauffage et s’habituer à une inflation record, l’UE tente, de façon absurde, d’imposer un sixième paquet de sanctions contre la Russie, notamment un embargo sur le pétrole d’ici à la fin de l’année 2022 malgré les réticences croissantes de certains pays.

Une dérogation était prévue pour amadouer la Hongrie, mais elle s’est avérée insuffisante pour le Premier ministre hongrois Viktor Orban qui a tapé du poing sur la table. «Un embargo «équivaudrait à une bombe nucléaire larguée sur l’économie hongroise», a-t-il rétorqué à la présidente de la Commission européenne, l’Allemande Ursula von der Leyen, rappelant le «droit souverain de chaque pays sur son mix énergétique». Et de rappeler : « Nous avons clairement signifié dès le début qu’il y avait une ligne rouge : l’embargo sur l’énergie ».

La presse mainstream et l’AFP ont tenté d’expliquer que la Hongrie était dans un cas particulier en raison de sa dépendance aux hydrocarbures russes, mais c’est en réalité la situation, peu ou prou de tous les vassaux de Bruxelles… et du monde entier.

L’OPEP, proche de la Russie, refuse d’ouvrir le robinet

S’exprimant lors du forum mondial de l’énergie de l’Atlantic Council, le 28 mars à Dubaï, le ministre de l’Energie des Emirats arabes unis, Suhail al-Mazrouei, a ironisé sur la position des Occidentaux : «Lors de la COP 26 [sur le climat], tous les pays producteurs se sont sentis indésirables […] Aujourd’hui, parce qu’ils veulent qu’on augmente notre production, on est à nouveau des super héros. Mais ça ne marche pas comme ça».

Les treize membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), menés par Ryad, et leurs dix partenaires conduits par Moscou (Opep+), devraient s’en tenir à une hausse de 400.000 barils par jour, insuffisante pour compenser le choc sur l’offre qu’entraînerait un embargo sur le pétrole russe décrété par Bruxelles. «A moins que quelqu’un ne soit prêt à fournir 10 millions de barils par jour, on ne peut pas remplacer les Russes», a souligné Suhail al-Mazrouei.

Pour rappel, la Russie était en 2019 le troisième pays producteur, avec 12,6% du pétrole mondial, devant le Canada et l’Irak (5,1%), un de ces pays que l’empire états-unien a détruits. La Libye, rasée par l’OTAN, est tombée au 21e rang…  Depuis 20 ans, la politique américaine d’élimination par la guerre de ses concurrents mène l’Europe à la pénurie.

Guerre de Washington contre l’Europe

Les Etats-Unis, grâce aux investissements dans le secteur des schistes, sont redevenus premier exportateur mondial de pétrole depuis 2015, situation inédite depuis 1975. En clair : depuis 2015, les Etats-Unis a de l’énergie à vendre, et non plus à acheter. L’Amérique du Nord et l’Europe n’ont plus les mêmes intérêts géopolitiques.

Reste donc l’Europe, presque sans pétrole local, et qui paie le prix de la soumission de ses élites au projet séculaire de la géopolitique anglo-saxonne : couper la péninsule européenne et son potentiel technologique et industriel du vaste hinterland russe.

En compromettant durablement la diversification de l’approvisionnement en énergie, l’Empire américain s’assure ainsi de la soumission de l’Europe. Dans le monde d’avant le coup d’Etat de l’«Euromaidan» de 2014, l’Ukraine se trouvait exactement sur le chemin des gazoducs acheminant l’énergie russe au complexe industriel européen…

La France, dont l’influence géopolitique s’effondre, n’a plus la maîtrise complète du gaz algérien comme du temps de son empire colonial. En Russie, l’éviction de Total a débuté avec la mort étrange de son PDG, Christophe de Margerie, en 2014. Le dirigeant avait dénoncé l’hégémonie du dollar dans le monde, notamment dans le secteur pétrolier et il évoquait les avantages souverainistes d’acheter le pétrole dans une autre devise que le billet vert.

Alors, où donc est la rationalité de l’Europe comme acteur géostratégique ?

Convergence des agendas de l’OTAN, de l’UE et de Davos

«Pour une raison quelconque [religieuse ?], les mondialistes aiment nous dire ce qu’ils sont sur le point de faire», relève Brandon Smith, dans un article traduit et publié par Strategika. Le journaliste indépendant note que les grandes crises – financières, économiques ou sanitaires – sont presque toujours annoncées par les organes globalistes que sont l’Organisation mondiale de la Santé, l’Organisation des Nations unies (ONU) ou le Fonds monétaire international. En 2020, bien avant la guerre en Ukraine, mais en pleine hsytérie pandémique, l’ONU s’alarmait déjà d’une future pénurie alimentaire.

A ces organismes trans- et supranationaux, il faut ajouter les organisations oligarchiques a-nationales. Parmi celles-ci, le Forum économique mondial ou encore l’Alliance du vaccin (Gavi), cher à Bill Gates, promeuvent le mélange des genres entre public et privé.

Le milliardaire non élu et von der Leyen ont lancé en novembre 2021, sans aucun contrôle de quelque parlement de quelque Etat européen que ce soit, le programme Catalyst, développé par Breakthrough Energy. Cette structure parapluie comprend plusieurs organisations fondées par Bill Gates en 2015, qui visent à accélérer l’innovation dans les énergies durables et dans d’autres technologies pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Breakthrough Energy est financé, entre autres, par BlackRock.

Dans ce monde post-démocratique, celui de la gouvernance privé/public et du néo-despotisme éclairé, une population affaiblie, appauvrie, en demande de sécurité sanitaire et alimentaire, et convaincue de la réalité du réchauffement climatique d’origine anthropique, serait prête à accepter sans discuter, après de longues années de fabrique du consentement, les solutions malthusiennes et transhumanistes du Forum de Davos.

D’après l’Evangile selon Jean, où figure une mention du «nombre de la Bête», chère à Emmanuel Macron, quatre cavaliers annoncent l’Apocalypse (aussi appelée Révélation de Jésus-Christ. Un premier cheval est monté par l’Antéchrist. Avec la maladie et la guerre, un troisième cavalier sur un cheval noir annonce la famine.

«Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par le glaive, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre», raconte la Bible.

Pour une élite aux prétentions eschatologiques et démiurgiques, cela peut faire aussi sens, quitte à l’inverser.

Alexandre Keller, pour Strategika





L’héritage de Marisol Touraine et de son cabinet, socle de la destruction continue du système de Santé

Une ancienne ministre de la Santé félicite le président lors de son investiture le 6 mai 2022 et lui dit « maintenant tu es libre. Maintenant tu as les mains libres. Tu peux faire tout ce que tu veux. Le pays, tu peux l’embarquer ».

Que voulait-elle dire exactement d’autant que durant sa longue présence au ministère de la Santé, elle n’a pas manqué de liberté pour démolir un peu plus notre système de Santé ? Il reste à le privatiser complètement au-delà des PPP (partenariat public privé) qui ont déjà bien entamé son indépendance et favorisé des liens incestueux avec l’industrie pharmaceutique.

Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et du Droit des femmes (France), 2012-2017 a rejoint Unitaid (([1] Le Conseil d’administration, organe directeur d’Unitaid, fixe les objectifs de l’organisation, assure le suivi des progrès réalisés et approuve les budgetsprend ses décisions, par consensus ; il est composé de 13 membres.)) qu’elle préside. Les buts de cette organisation sont « l’optimisation d’efficacité des actions en Santé mondiale et élargir l’accès équitable à de meilleurs produits de santé », selon leur site. Rêve-t-elle du poste de Premier ministre ?

QUEL EST L’HÉRITAGE DU MINISTÈRE TOURAINE ?(([2] Références dans « soigner ou obéir » aux éditions fauves 2016))

Rappelons d’abord qu’elle fut assistée dans cette tâche par les actuels détenteurs du pouvoir en Santé : Jérôme Salomon directeur général de la santé et homme en noir des quotidiens bulletins de santé lors du covid, Olivier Véran rapporteur de sa loi et actuel ministre et Gabriel Attal membre de son cabinet et porte-parole encore quelques jours.

Clairement nous sommes dans la continuité depuis 2012 et E. Macron était d’ailleurs dès cette même date de 2012 secrétaire général adjoint de l’Élysée.

LES CONSÉQUENCES DE LA LOI TOURAINE DE 2016 (AU J0 EN JANVIER 2017)

La loi Touraine a aggravé toutes les dérives éthiques et thérapeutiques et accéléré la destruction de notre système de Santé.

Grands principes de cette loi :

le premier principe majeur : soumettre les médecins aux désirs des gouvernants.(([3] Nous avons assisté depuis mars 2020 à l’illustration de ce principe contraire à Hippocrate.))

L’État s’impose comme décideur unique de la Santé.

L’article 1 est capital : il instaure dans la loi l’Étatisation de la Santé.

Auparavant, le ministère avait un rôle de contrôle, il prend celui de chef. Le texte de loi concerne non seulement la « Santé publique », mais bien l’ensemble du système de Santé, public et privé, placé dorénavant sous l’autorité absolue de l’État.

La médecine échappe au contrôle décisionnaire des médecins et autres professionnels de Santé, dont c’est pourtant la vocation et le métier.

La disparition de l’indépendance du médecin constitue la suppression d’une des valeurs fondamentales du rapport entre le patient et son docteur. Ces professionnels deviennent des exécutants purs et simples.

Dans la foulée, on liquide les médecins, trop indépendants au goût de nos gouvernants, ou plutôt leurs avatars, les PH, dits praticiens hospitaliers et les praticiens de ville.

On ne parle plus de médecins, mais de professionnels de Santé. Sur les 40 000 signes du projet de loi sur la Santé de 2014, le signifiant « médecin » figure seulement 40 fois. Symbole démonstratif ! L’archétype ancré dans l’inconscient collectif doit disparaître.

Le numerus clausus (réduction drastique du nombre de médecins admis à la formation chaque année depuis les années 80) n’est pas une erreur de prévision. C’est un choix politique délibéré pour réduire l’offre de soins. Même si on fait semblant de revenir sur ce sujet tabou, dans les faits les postes de cliniciens, véritables « docteurs » pour le patient n’augmentent pas.(([4] Au bénéfice des postes en Santé publique, épidémiologie, biologie, etc. tous loin du patient.))

La réforme du statut des médecins des hôpitaux publics, par la loi en 1984, avait sonné la mort du rôle médical spécifique dans l’indifférence générale, y compris des « PH — praticiens hospitaliers » dont tous ne sont pas médecins.(([5] Pharmaciens, psychologues, etc.. peuvent bénéficier de ce même statut.))

Début de la fin d’une destruction programmée des médecins bien formés

Nos gouvernants voulaient créer la pénurie pour diminuer les dépenses de santé peut-être, mais surtout se débarrasser de professionnels trop indépendants à leur goût et qu’ils rêvent depuis des décennies de remplacer par des machines supposées intelligentes.

Ils sont responsables des déserts médicaux qu’ils prétendent déplorer, mais sont en pratique très heureux d’utiliser ce prétexte pour substituer au contact direct médecin-malade des consultations par zoom ou des cabines d’examen. Ces contacts virtuels n’ont plus rien de la consultation médicale proprement dite avec son colloque singulier médecin malade permettant un interrogatoire intime qui nécessite proximité, et l’examen clinique pierre angulaire de l’examen.

Nos énarques voulaient remplacer les vrais médecins depuis longtemps et c’est bientôt chose avancée à travers la loi Touraine et les nombreux décrets d’application qui ont suivi. Dans la foulée, la vraie médecine a disparu comme le constatent les patients qui tentent d’obtenir des soins et n’obtiennent que des listes d’examens complémentaires (qui rapporteront à l’hôpital au passage).

Aujourd’hui, ils font semblant de combler le manque de médecins formés par des médecins étrangers rarement parfaitement bilingues.

Près de 80 % des gardes des hôpitaux de Paris sont assurées par ces médecins étrangers, plus soumis à la hiérarchie et sous-payés pour la plupart. Idem en province. Une population plus obéissante, sous la menace de retrait de visa pour eux ou leur famille, etc. Une forme d’esclavage moderne, et un harcèlement moral (et pas toujours seulement moral) comme mode de management organisé dans le quasi-silence des syndicats et des médias.

Pensée unique, crimes de pensée et d’expression libres. Soumission !

Les patients ont été trop longtemps indifférents à la liberté du médecin, qu’ils considéraient souvent comme des privilégiés, pensant qu’ils pouvaient tout de même être « bien » soignés dans le nouveau mode collectif.

Le mythe de l’amélioration des soins par les réunions multidisciplinaires imposées par le plan cancer (2003) ébauché en 2000 avait déjà bien conditionné les malades, leur faisant croire au miracle de la coopération productive, alors que le plus souvent c’est le « chef » ou le mâle dominant de l’espèce » qui se contente de faire appliquer les directives de l’institut national du cancer.

Les libertés du médecin et du patient de penser, de choisir, de soigner, et d’être soigné sont indispensables à un acte médical efficace

Le suicide du cardiologue, le professeur Mégnien en décembre 2015 à l’hôpital Pompidou a donné lieu à la création d’une association des amis du professeur Mégnien pour lutter contre le harcèlement des médecins et a ouvert la voie… Les témoignages plus terribles les uns que les autres s’accumulent et la période des deux ans de délire covid a donné lieu à de nombreuses démissions, tragiques ou non, en France comme à l’étranger, quand on a encore le sens du devoir, que l’on ne peut plus l’accomplir et qu’on se trouve dans l’impasse.

Comment peut survivre un médecin quand il sait que des antibiotiques vont guérir son vieux patient de sa « grippe » annuelle et qu’on lui interdit de les prescrire ? Et pire on lui conseille (injonction forte) de lui administrer du Rivotril au moindre signe compatible avec le covid.

Beaucoup ont été soumis. Dans quel état psychologique sont aujourd’hui ces médecins  et ces infirmiers qui ont dû affirmer aux malades l’intérêt des mesures coercitives inutiles et pire de l’injection génique, voire de leur injecter le poison.

LA MÉDECINE D’AUTREFOIS FIDÈLE À HIPPOCRATE

Jusqu’à la promulgation de la loi Touraine(([6] La loi de modernisation du système de Santé, aussi appelée loi Santé, est une loi française promulguée en janvier 2016, après avoir été portée par la ministre des Affaires sociales et de la SantéMarisol Touraine.
Au cours de son étude par le Parlement, entre octobre 2014 et décembre 2015, elle suscite de nombreuses critiques de la part des professionnels de la Santé. Cette période est marquée par plusieurs grèves et manifestations, à Paris et en province, notamment en mars1, en octobre2 et en novembre 2015)), le traitement du patient reposait sur ces principes fondamentaux rappelés dans le code de Santé publique :

1°) article L1111-1

« droit du malade au libre choix de son praticien et de son établissement de Santé »

. 2°) article R 4127-5 :

« le médecin ne peut aliéner son indépendance professionnelle sous quelque forme que ce soit ».

Ces principes fondamentaux ont été bafoués par la loi Touraine, et la qualité des soins en a immédiatement souffert, comme s’en sont aperçus de nombreux citoyens ayant eu besoin de soins et n’ayant pas imaginé la catastrophe avant d’être directement concernés.

La plandémie Covid a démontré le pourquoi de cette loi Touraine votée à l’assemblée en décembre 2015 avec vingt députés, les autres étant aux commémorations des attentats du 13 novembre… La manipulation comme d’habitude avait travesti les vrais objectifs à travers les promesses du tiers payant généralisé et/ou des soins ophtalmo ou auditifs gratuits…

Lorsqu’un médecin n’est pas indépendant, les décisions qu’il prend risquent d’être fortement influencées par l’organisme qui le contrôle.

Les médecins-conseils de la Sécurité sociale en ont fait l’expérience. S’ils prennent trop souvent des décisions jugées par leurs chefs administratifs trop favorables aux assurés, ils sont mal notés et leur carrière s’en ressent. Comme ils tiennent à leur carrière… ils se soumettent !

De la même manière, un médecin expert judiciaire qui donne un avis jugé contraire aux intérêts de l’État risque de ne plus figurer sur la liste des experts choisis par l’autorité judiciaire ou, s’il y reste de ne plus être choisi par les juges. Le pouvoir ne supporte pas l’indépendance et se débarrasse ainsi de ceux qui pourraient ne pas être assez obéissants. Soumission.

Un médecin traitant qui n’est pas libre est susceptible de faire passer vos intérêts après ceux de l’organisme qui le rémunère. Il risque donc d’être obligé de moins bien vous soigner, si cet organisme ne veut pas payer un traitement trop onéreux, rembourser une ambulance ou des séances de kinésithérapie.

Les exemples d’autocensure des prescriptions par les médecins américains affiliés à des assurances privées sont innombrables ; s’il veut rester accrédité par l’assurance qui lui fournit une clientèle captive il ne doit pas prescrire des traitements trop chers, ni même en parler avec le malade.

Vous allez le blâmer alors que personne — sauf les soignants — n’a protesté pendant que la ministre faisait croire au miracle du soin gratuit pour passer sa loi dans l’indifférence générale. Mirage efficace !

Devrions-nous dire que les Français ont les dirigeants qu’ils méritent ?

Les médecins hospitaliers ont longtemps été protégés par leur aura et leur statut. Depuis 30 ans, ce n’est plus le cas : leur statut a été brisé en 1984 (date symbolique s’il en est !)(([7] Décret de 1984 qui supprime les « médecins des Hôpitaux », titre autrefois envié obtenu sur concours et les remplacent par les futurs robots dits PH…)). Et manifestement la situation risque de s’aggraver. Martin Hirsch proche du président lui soufflerait un statut renouvelable tous les cinq ans…(([8] Dans une longue tribune dans les Echos, le directeur de l’AP-HP formule plusieurs pistes pour réformer en profondeur l’organisation de l’hôpital public. Martin Hirsch suggère notamment d’associer les paramédicaux à la gouvernance, d’affecter les médecins pour 5 ans (renouvelables) dans des établissements et de mettre fin à leur rémunération uniforme. Il souhaite également encourager la mobilité et faciliter les évolutions de carrières.)) Manifestement les médecins ne sont pas encore assez soumis, obéissants et silencieux et certains réagissent à ces propositions iniques et lui propose d’examiner et d’assumer son bilan.(([9] Opinion | AP-HP : le bilan désastreux de Martin Hirsch | Les Echos. Examinons plutôt le bilan de Martin Hirsch après plus de huit ans de mandat à la tête de l’AP-HP.
La situation budgétaire de l’institution s’est fortement dégradée. En 2021, le déficit sera de 290 millions d’euros, pour un budget de 7,8 milliards d’euros. L’endettement a augmenté de 47 %, passant de 2,1 milliards d’euros en 2014 à 3,1 milliards d’euros en 2021. La capacité nette d’autofinancement se réduit comme peau de chagrin, rendue positive uniquement par les cessions immobilières. Cela ne permet pas de financer les investissements nécessaires pour lutter contre la vétusté ou se doter des équipements innovants, sauf à recourir massivement à l’emprunt.))

Le médecin qui n’est pas assez obéissant est maintenant harcelé puis licencié, ainsi que les conditions scandaleuses de la fermeture de l’unité de cancérologie pédiatrique de l’hôpital de Garches et le licenciement « économique », deux ans plus tard, des médecins compétents qui l’animaient l’ont tristement démontré. Perte de liberté d’être soigné pour les petits patients, et perte irréversible du savoir-faire de collègues rodés depuis trois décennies à une cancérologie individualisée, humaine et très efficace…(([10] Lire Neuf petits lits sur le trottoir N Delépine 2014 éditions Fauves.))

VERS LA PRIVATISATION DE LA SÉCURITÉ SOCIALE

La loi Touraine prétendait vouloir sauver la Sécurité sociale. Discours à la Orwell ! Bien au contraire, le but réel et de plus en plus évident est d’accélérer sa privatisation.

La loi en a multiplié les mesures préparatoires : obligation d’une assurance Santé privée complémentaire, autorisation de réseau avec tarifs différenciés selon le prestataire, suppression du secret médical envers ces assurances… La loi complète un peu plus le dépeçage de la Sécurité sociale commencé dans les années 2000.

« Les jours heureux » programme du Conseil National de la Résistance.

Imaginé par les résistants dans le maquis, inclus par le Conseil National de la Résistance dans son programme « les jours heureux » et créé par ordonnances par le général de Gaulle il y a 70 ans, ce système d’accès aux soins solidaire était ouvert jusqu’à 2016 à tous sans discrimination ni différence de cotisations, quels que soient son âge, le nombre de ses enfants ou ses antécédents personnels et familiaux.

La Sécurité sociale est plébiscitée par la population, mais honnie (dès sa création) par la Bourse et les assurances privées qui estiment avoir été spoliées par la communauté d’une source inépuisable de bénéfices.

528 milliards d’euros de recettes ont été recouvrés en 2020 pour la Sécurité sociale

Sa privatisation constituerait une source colossale de revenus que les mutuelles devenues assurances ont hâte de se partager le plus rapidement possible.

Les gouvernants, au service de la finance, veulent nous imposer ces assurances privées qui prendront en charge les risques solvables en pratiquant des tarifs différents pour chacun (en doublant presque au passage le coût global pour les assurés) et en excluant les soins de qualité jugés trop chers.

Les Français qui ne pourront pas payer resteront couverts a minima par une sécu croupion. Ces craintes ne sont pas fantaisistes : elles rappellent ce qui se passe depuis toujours aux USA, pays des assurances santé privées et dont la population rêve d’un système comparable à notre vieille et moribonde Sécurité sociale que nos dirigeants s’acharnent à détruire petit à petit !

La préparation de l’opinion publique à la privatisation de la Sécurité sociale a commencé depuis plusieurs décennies et s’accélère. La première étape a consisté à augmenter progressivement le « reste à charge » (partie des frais non remboursée) des patients pour créer un besoin d’assurances complémentaires. (([11] Le chiffre d’affaires des Complémentaires Santé est passé de 17 milliards d’¤ en 2001 à 38 milliards en 2019 dont plus de7milliards de gestion.))

Progressivement, des pans de déremboursement apparaissent et aggravent les restrictions déjà imposées : en août 2003, est annoncé le déremboursement de 820 médicaments anciens affublé du qualificatif dévalorisant de « confort » (les coups fourrés se révèlent toujours en août.).

Puis est décidée la suppression du remboursement des chambres seules, y compris dans les situations médicales qui le justifient ; l’arrêt de prise en charge par la Sécurité Sociale a libéré le prix des chambres dites « solo » qui atteint maintenant des sommets, tant en prix qu’en présentation digne de l’hôtel de vacances, au mépris du contexte du patient. Avant la réforme, le prix d’une journée d’hospitalisation en clinique chirurgicale était d’environ 100 euros et pris en charge par la Sécu lorsque l’état du malade le justifiait. Actuellement, certaines cliniques de banlieue défavorisée (le 93 par exemple) facturent 250 euros le supplément quotidien pour chambre seule « confort » !

L’instauration du forfait hospitalier non remboursable sauf exception (18 € en septembre 2006, puis 20 € actuellement) complète le dispositif. Puis le tableau s’enrichit avec la création d’une franchise non remboursable pour chaque consultation médicale, mais également pour les examens radiologiques ou analyses biologiques.

En même temps, la diminution d’environ 50 % de la valeur réelle (en euros constants) des honoraires des chirurgiens et l’accroissement de près de 50 % de leurs charges les ont contraints à demander des dépassements d’honoraires, non pris en charge par l’Assurance Maladie.

En décembre 1982, la valeur du KC (cas chirurgical) était 11,75 francs. Selon la lourdeur de l’opération, elle valait X K. En 1982 les honoraires conventionnels du chirurgien pour une prothèse de hanche (KC220) s’élevaient ainsi à 2585 francs soit l’équivalent de 903 euros 2021 alors qu’en 2022 cette intervention n’est remboursée qu’à 459 euros ! Entre-temps le coût moyen des assurances professionnelles a été multiplié par 8, le pourcentage de reversions aux cliniques souvent par 2 et les charges de personnel par 1,5.

Le déremboursement de médicaments anciens bon marché déclarés peu efficaces complète le tableau, pour les remplacer par de nouveaux médicaments très chers…

À chaque nouveau déremboursement, les assurés sociaux inquiets se tournent vers les assurances complémentaires Santé, qui fleurissent de toute part et multiplient leurs publicités sur les grandes chaînes de télévision qui modèlent la pensée.

Progressivement, le ministère conditionne le citoyen à penser sécu insuffisante, complémentaires indispensables, cachant le fait que depuis des décennies, la Sécurité sociale n’est plus autonome, mais dirigée par le ministère lui-même qui la dépèce en douceur, le temps d’habituer les Français à sa suppression.

Certains refusaient obstinément de prendre une complémentaire, alors la ministre a rendu ces assurances santé complémentaires obligatoires, créant ainsi un nouveau prélèvement inévitable important (100 à 200 euros par mois !) et inégalitaire pour les classes moyennes.

Et ce pour, soi-disant, les protéger des frais !

Le parlement a autorisé la création de réseaux privés par ces assurances, par la loi Le Roux 2013, passée discrètement et peu médiatisée, les autorisant à lier le niveau de remboursement des prestations au choix des prestataires (intégration verticale pour augmenter les bénéfices, technique bien rodée dans la grande distribution et les assurances santé privées aux USA). Devant les réactions des médecins, ce système a d’abord été limité au dentaire et à l’optique, mais sera probablement très vite généralisé. Un simple décret à un moment propice suffira.

En d’autres termes, vous serez remboursé en fonction des choix que vous aurez faits au moment de signer le contrat avec la mutuelle, et donc le montant de la cotisation. Si vous avez limité les frais et n’avez pas coché la case « réanimation » par exemple, ce sera « soins palliatifs » et pourquoi pas seulement remboursement des frais d’assistance au suicide, dès que la loi Léonetti aura été élargie à ce choix.

LE LOBBY DE L’EUTHANASIE RECOMMENCE

Et vous entendez en ce moment revenir sur la table le sujet de l’euthanasie pourtant de multiples fois déjà débattues à l’assemblée et ayant conduit à la très avancée loi Leonetti.(([12] Loi qui en 2005 a formalisé le recours aux soins palliatifs, puis élargie en autorisant la « sédation continue irréversible ». On vous endort et on ne vous réveillera jamais (loi Léonetti — Clayes), en attendant une loi autorisant officiellement l’euthanasie.)) Mais ce n’est pas assez. Certes pendant la plandémie les euthanasies non avouées ont été pratiquées larga manu sur les personnes âgées isolées en état de faiblesse et sur au moins environ 10 000 personnes.(([13] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/rivotril-et-ehpad))(([14] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion-223015))(([15] Au secours, le droit d’euthanasier nos aînés en EHPAD revient dans le décret du 16 octobre 2020.
France soir 23/10/2020 5
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/au-secours-le-droit-deuthanasier-nos-aines-en-ehpad-revient-dans-le-decret-du-16))

Mais c’est insuffisant et dans l’atmosphère d’eugénisme et d’hygiénisme actuelle, les plus virulents veulent absolument généraliser l’euthanasie.

Attention, on n’a qu’une vie et la vente de vos données de Santé aux assurances la met en danger

Une étape supplémentaire a été franchie par la loi de modernisation de la Santé, parue au journal officiel en janvier 2016 (article 47), avec la suppression du secret professionnel envers les assurances privées, le gouvernement étant maintenant autorisé à leur vendre nos données santé. Il ne s’en est pas gêné et on a appris récemment que celles-ci avaient atterri aux USA au moins pour un certain nombre.

La connaissance du dossier médical est en effet très utile pour les assurances pour leur permettre le risque particulier de chaque client, et fixer un tarif personnalisé. L’appétit des assureurs pour ces informations est d’ailleurs illustré par l’offre que certains d’entre eux font à leurs affiliés d’un bilan génétique gratuit, sous prétexte de prévention.

De tels bilans n’ont aucune utilité pour les sujets bien portants, car il n’existe actuellement aucune mesure préventive spécifique qui ait fait la preuve de son utilité médicale. Elles sont supposées permettre d’estimer le risque de contracter certaines maladies à long terme, et donc de prévoir le coût potentiel des frais médicaux futurs.

En Californie, une patiente éligible à la chimiothérapie par son assurance, s’est vue retirée cette option le jour où le suicide assisté a été légalisé. La mutuelle lui ne rembourse plus que cette dernière option !(([16] www.genethique.org octobre 2016))

Un seul conseil aux bien portants : ne vous laissez pas tenter par ces bilans génétiques. Ils ne peuvent que vous nuire, d’autant que les assureurs Santé sont peut-être aussi ceux qui vous assureront pour l’achat de la maison. Ils vous proposent également votre assurance chômage, votre assurance vie, votre assurance invalidité et les cotisations ne manqueront pas d’intégrer votre pronostic vital supposé, en toute opacité probablement.

Si les citoyens ne réagissent pas activement, l’étape finale qui nous menace à court terme est d’autoriser ces assurances santé à gérer le risque général et de permettre alors à chacun de choisir son assurance Santé pour le régime général.

Alors le système solidaire aura vécu, chacun paiera en fonction de ses risques propres supposés, le niveau des remboursements dépendra des primes d’assurance payées et les actionnaires pourront engranger de très confortables dividendes.

Non, la Sécurité sociale ne revenait pas plus chère que les assurances privées !
La vieille dame sécu a 75 ans, elle reverse aux assurés près de 97 % de son budget, alors que les assurances santé n’en rendent en moyenne qu’à peu près 60 %. Il faut payer bien la publicité, la gestion dispendieuse, les salaires considérables des dirigeants, les impôts et les dividendes des actionnaires et les courses de bateaux ou de formule 1 du sponsoring.

Pour permettre aux assurances de se développer, il faut euthanasier la Sécurité sociale puisqu’elle ne veut pas mourir, après des décennies de résistance héroïque de ses enfants aux assauts répétés du pouvoir (depuis les ordonnances Juppé 96 et la suite).

Conséquences de cette loi sur la pratique des médecins ?

La perte de la liberté de vous soigner librement en fonction de votre état particulier et des données acquises de la science. Ce n’est plus vous-même qui serez soigné, mais votre maladie résumée en quelques chiffres et lettres (diagnostic, stade, anomalies génétiques…), une abstraction au lieu de la personne en chair et en os que vous êtes.

L’État décide et impose, via les ARS, quels médecins et établissements ont désormais le droit ou non de soigner des cancéreux et quels traitements ils doivent administrer. Le système s’étendra vite aux autres spécialités.

Qui peut ouvrir une unité d’autisme et quels moyens thérapeutiques a-t-il le droit de procurer au malade ? L’ARS, organisme bureaucratique non médical, a les prérogatives de décider si tel établissement doit fermer, si tels service ou unité peut rester ouvert et pour quelle activité. C’est une structure soi-disant indépendante, mais financée par l’État censé la contrôler.

Nos gouvernants successifs ont donné à cette agence les pouvoirs de l’inquisition, puisque ses décisions sont appliquées, sans que le médecin ou le professionnel de Santé (kinésithérapeute, infirmier libéral, etc.) ou le chef de service concernés soient entendus.

Pas d’avocat, pas de défense contradictoire, pas d’appel possible. Une lettre recommandée vous informe par exemple de l’interdiction d’opérer des moins de 18 ans et c’est fini. Ailleurs, le directeur de l’établissement reçoit le même genre de missive interdisant la pratique de la chimiothérapie pour tel type de malade. Une lettre signée par un sous-directeur X qui n’assumera jamais les conséquences de sa décision (responsable, mais jamais coupable).

La toute-puissance des ARS créées à la suite des ARH par la loi Bachelot en 2008 a été renforcée largement par le pouvoir actuel qui avait pourtant promis de les supprimer. Mais, quand un pouvoir à tendance totalitaire dispose d’une telle force de frappe, il ne la dissout pas. Les clones des fonctionnaires soviétiques sont actifs. Pendant le confinement et le plan Blanc ce sont les ARS qui décidaient de l’urgence ou non d’opérer tel malade et non le patient ou le chirurgien.

En conséquence, le médecin hospitalier ou libéral est amené à violer le serment d’Hippocrate qui lui demande de conserver son indépendance professionnelle, le choix des traitements étant imposé via les ARS et les « mutu-assurances complémentaires » qui imposent l’utilisation de tel ou tel médicament, ou de tel « protocole » en fonction de leurs intérêts et bientôt du niveau des cotisations de l’assuré.

Quid du médecin de ville, professionnel libéral ?

Votre généraliste a été abandonné par ses patients pendant ces années de gestation de la loi Touraine, malgré les efforts de certains résistants. Mais les citoyens ont fait l’autruche, préférant croire BFMTV et le pouvoir. Le résultat est désastreux, mais la résistance continue, bien faible et cachée néanmoins.

Nous sommes médecins, nous savons qu’il faut soigner chaque malade… Avec la loi Touraine, votre médecin « libéral » ne conserve que l’adjectif, les impôts et les charges sociales, mais aucune liberté. Vous en avez tous fait l’expérience depuis l’affaire covid.

Sans liberté de décider du traitement, il n’existe plus d’exercice proprement libéral.

L’exemple des réseaux de soins privés américains est très démonstratif : les médecins qui font partie d’un réseau ne peuvent prescrire que les traitements qui ont été validés par celui-ci et choisis avant tout en fonction de leur moindre coût.

Cerise sur le gâteau, pour bénéficier de la clientèle que l’appartenance au réseau lui assure, le médecin est tenu à une clause de confidentialité qui l’engage à ne jamais informer le malade des autres traitements possibles, s’ils sont plus onéreux !

L’omerta officialisée par contrat !

Ces règles de fonctionnement des réseaux ne sont pas particulières à la médecine ; elles sont exactement celles qui s’appliquent lorsque votre assurance automobile vous dispense de l’avance des frais de réparations, à condition que vous ameniez votre véhicule dans un garage qu’elle a agréé. La dispense d’avance du ticket modérateur, mesure phare de la loi Touraine, présentée partout comme un progrès social, n’en constitue pas un, et ceci en aucune manière, car elle ne diminue pas le reste à charge du patient. Le ticket modérateur reste le même et est prélevé directement sur votre compte bancaire.

Cette apparente simplification de formalité pour le malade est uniquement destinée à assujettir totalement le médecin à l’organisme payeur, aujourd’hui principalement la Sécurité sociale et demain, selon les directives européennes et les projets de nos gouvernants, les assurances privées.

Quid du secret médical ?

Les violations du secret médical se multiplient depuis vingt ans, et la récente loi les a rendues plus systématiques. Une des premières atteintes directes au secret médical fut l’obligation faite aux médecins de porter en clair, sur les certificats d’arrêts de travail, le diagnostic de la maladie causale.

Cette rupture flagrante du secret médical n’a pas suscité beaucoup de réactions. Pourtant, l’intérêt pour la collectivité de cette atteinte au secret était nul. Probablement parvenait-on déjà une mise en condition progressive. Les contrôles de tarification par les médecins-conseils des caisses étaient possibles avant cet ukase. Vous communiquez vos données de santé, mais aussi votre numéro de compte bancaire. Ils sauront tout !

L’étape suivante d’attaque du secret médical fut la mise en place de la Codification Commune des Actes Médicaux. Au lieu des « KC », qui ne correspondaient pas à une intervention chirurgicale précise, mais à une échelle de valeur monétaire, la nouvelle codification attribue un code, en trois lettres et quatre chiffres, à chaque acte et pathologie.

Cette codification, utilisée pour calculer le taux des honoraires médicaux et le prix des soins payés aux cliniques et aux hôpitaux, est extrêmement détaillée et comporte près de 40 000 entrées. En traduisant le code marqué sur le bordereau, vous pouvez apprendre que telle malade a bénéficié d’une reconstruction d’hymen, que tel autre a fait transformer ses organes génitaux mâles en vagin. Qu’untel souffre du sida. Or cette codification, disponible sur internet, circule avec l’identité du malade dans de multiples services, dont certains non tenus au secret médical. Outre les organismes de Sécurité sociale qui les détaillent, les agences et assurances santé complémentaires, les personnels des établissements hospitaliers y ont accès.

De plus, comme cette codification constitue la base des remboursements des organismes payeurs aux établissements, la plupart de ces derniers sous-traitent celle-ci à des professionnels privés pour optimiser les remboursements, et ce en violation du secret. Et l’on fait taire les quelques donneurs d’alerte qui dénoncent ces faits illégaux !

Ainsi, un médecin de Saint-Malo s’est fait admonester et menacer, puis a été sanctionné et déplacé, pour avoir dénoncé ces pratiques illégales. Une courte étude nous a montré que, pour une hospitalisation standard, près de 30 personnes différentes avaient accès à ces informations médicales personnelles détaillées (plus de soixante à l’APHP, grosse administration à strates multiples) ! Là encore, l’intérêt pour la collectivité est nul. On a créé une bureaucratie supplémentaire, abondante et coûteuse, détourné un peu plus le personnel soignant de sa mission, suscité des frais importants pour les établissements sans aucun gain, ni pour la Sécurité sociale, ni pour les malades, ni pour la Santé publique.

Mais c’est probablement le « désir » du pouvoir de tout contrôler. Le phénomène bureaucratique kafkaïen bien connu du pouvoir totalitaire.

La loi Touraine aggrave encore la rupture déontologique avec Hippocrate en faisant obligation aux médecins de transmettre les données de santé à la Sécurité sociale, mais aussi aux assurances privées. Porter atteinte au secret médical, c’est attenter à l’un des droits fondamentaux des individus. C’est affaiblir la confiance des malades en leur médecin et les inciter à lui cacher des informations qui seraient importantes pour le diagnostic et le traitement.

Mais pour les assurances privées qui remplaceront la Sécurité sociale, c’est la base de données qui leur permettra d’adapter les primes d’assurance à chacun et de justifier les augmentations : « vous présentez un sur-risque, votre état impose un malus ». Comme votre voiture après un accident ! Et oui, vous n’êtes ni plus ni moins qu’un objet pour ces bureaucrates et assureurs.

Vous comprenez le désarroi du médecin qui tente de prendre en charge l’humain que vous êtes. Un autre monde ! La disparition du secret médical est une des pires conséquences de cette loi. Le secret médical est un vieux souvenir que les citoyens n’ont guère défendu. Ils ont eu tort, particulièrement vous, les malades atteints de cancer, pour lequel le secret est vital, tant psychologiquement que physiquement

. Même si vous mettez de votre propre chef des photos sur FB (argument donné à la TV par des défenseurs de ce système pervers), cela n’a rien à voir avec le fait que d’autres mettent votre vie et vos maladies à nu sur internet.

Votre liberté, votre choix ! Quant à la sécurité des serveurs en particulier de ceux qui géreront votre dossier médical de votre espace client créé par la sécu (sauf si vous vous y opposez), je ne sais pas si même un enfant y croirait, en tous cas pas les ados capables de pirater jusqu’à la NASA. Seul le ministère, qui nous prend pour des débiles, tente de faire croire à la sécurité des données.

ON RETROUVE MARISOL À L’INVESTITURE. QUEL POSTE ESPÈRE-T-ELLE ?

Les internautes n’ont pas apprécié ses minauderies cachant des décisions gravissimes :

@Akira9744 @Carene1984

« Elle est loin d’être une courtisane de second rôle. C’est elle qui a fait des administratifs les chefs de services des hôpitaux à la place des professeurs de médecine émérites. C’est aussi elle qui a enlevé le terme patient pour qu’on utilise le terme client dans la Santé »

Et un souvenir de Wuhan ça vous parle ?

ET l’humour sarcastique :

Johan Faerber @JFaerber

« On espère pour Marisol Touraine qu’elle va avoir ce poste de 1er ministre que tout le monde refuse. Celle qui a contribué à détruire l’hôpital public doit continuer son travail et supprimer les derniers lits. Ce serait dommage d’avoir si peu de dignité pour ne pas être récompensée ».

La loi Touraine comporte bien d’autres aspects néfastes, mais l’essentiel est la perte de la liberté de soigner et la perte de choix du patient pour se faire soigner. Vous trouverez une analyse plus détaillée sur notre site et le PDF dédié :
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/05/1704-ANTIBES-CONSEQUENCES-LOI-TOURAINE.pdf
ou la vidéo de ma conférence au Cercle Aristote en mai 2016 :

Voir aussi :





A l’ONU, la Russie démontre les crimes de guerre ukrainiens et les falsifications des médias occidentaux

[Source : lecridespeuples.fr]

Remarques du Représentant permanent de la Russie Vassily Nebenzia et de son Premier Représentant permanent adjoint Dmitry Polyanskiy à la réunion « Arria-formula » des membres du Conseil de Sécurité de l’ONU sur les violations du Droit International Humanitaire et autres crimes commis par l’armée et les milices ukrainiennes, le 6 mai 2022.

Sources : Mission permanente de la Russie à l’ONU et Conseil de Sécurité de l’ONU

Traduction : lecridespeuples.fr

Note du Cri des Peuples : Nous n’avons pas eu le temps de sous-titrer en français les vidéos 4, 5, 8 et 9, mais elles sont sous-titrées en anglais.

Vassily Nebenzia : Chers collègues,

Nous vous souhaitons la bienvenue à notre réunion « Arria-formula » consacrée aux crimes commis par l’armée et les milices ukrainiennes dans le cadre de l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine. Aujourd’hui, nous allons essayer de parler le moins possible par nous-mêmes et de partager avec vous les récits des habitants de l’Est et du Sud de l’Ukraine et de donner la parole aux journalistes étrangers qui ont travaillé dans ces régions.

Si vous lisez les grands médias occidentaux et écoutez les politiciens occidentaux et ukrainiens, vous aurez dans votre esprit plus ou moins l’image suivante de ce qui se passe en Ukraine. « La Russie, jalouse de la réussite de son voisin et de ses perspectives de devenir membre de l’UE et de faire partie d’un monde libre et civilisé, a lancé une invasion à grande échelle contre ce pays. Les forces russes ont commis et continuent de commettre des atrocités [contre les civils], et les courageux militaires et défenseurs ukrainiens tentent de les mettre à l’abri des terribles bombardements russes aveugles. »

La réalité, cependant, est étonnamment différente, et les autorités ukrainiennes et leurs soutiens occidentaux ne sont pas intéressés à faire la lumière sur celle-ci. Je n’évoquerai pas ici la question des provocations flagrantes et odieuses de l’Ukraine et de ses parrains comme Boutcha, Kramatorsk et Irpin. Ces fabrications sont si évidentes que la présidence britannique du Conseil de sécurité a même décidé, en violation totale du règlement intérieur du Conseil, de nous refuser notre droit de demander une réunion d’urgence sur la provocation de Boutcha.

Je vais simplement essayer de réfuter certains des mythes promus par l’Ukraine en passant le micro à des concitoyens ukrainiens qui ont été confrontés à la terrible réalité sur le terrain.

Comme vous le savez tous, même les activités militaires ont leurs lois. Il s’agit du droit international humanitaire, qui se résume en gros, entre autres, aux principes suivants : pas d’utilisation d’infrastructures civiles à des fins militaires, pas de placement d’armes lourdes dans des zones résidentielles, pas d’utilisation de la population civile comme « bouclier humain » et traitement digne des prisonniers de guerre. Nous avons des raisons de croire que tous ces principes sont systématiquement violés par l’armée et les milices ukrainiennes.

De nombreux témoins affirment que l’armée ukrainienne utilise les civils comme otages et « boucliers humains ». Voici à quoi ressemblent, par exemple, les tactiques de défense du bataillon Azov dans les grandes villes, notamment Marioupol.

Vidéo 1 (original)

Vous pouvez voir à l’écran qu’ils se placent normalement au premier étage et aux étages supérieurs des immeubles résidentiels tandis que la population civile est prise en otage au milieu du bâtiment. Les chars sont placés sous les arches, s’il y en a. L’ensemble de l’édifice se transforme en position d’artillerie.

Il existe de nombreux témoignages attestant que les militaires ukrainiens placent des chars, des pièces d’artillerie et des systèmes de lancement de roquettes dans des zones résidentielles, souvent en dépit des protestations manifestes des habitants de ces quartiers, transformant ainsi ces bâtiments en une sorte de sandwich. Et c’est ainsi que les habitants des villes ukrainiennes décrivent la situation. Nous aimerions attirer votre attention sur les propos concernant le théâtre de Marioupol, qui aurait été détruit par les forces armées russes.

Vidéo 2 (original)

Nous avons de nombreux témoignages de personnes à qui l’on a interdit de sortir des villes assiégées par les couloirs humanitaires ouverts par la Russie et qui ignorent même l’existence de ces couloirs. Je m’excuse par avance auprès du public russophone. La vidéo suivante contient quelques obscénités, mais nous avons jugé nécessaire de conserver le discours tel quel.

Vidéo 3 (original)

Un grand nombre de ces crimes sont attribués aux soi-disant unités de défense territoriale qui ont été imprudemment armées par les autorités ukrainiennes malgré le fait qu’il y ait dans leurs rangs beaucoup de criminels condamnés et de détenus libérés de prison. Cela a entraîné l’anarchie et des pillages à grande échelle dans un certain nombre de villes. Il y a beaucoup de témoins d’attaques délibérées sur des blocs résidentiels, des maisons et des infrastructures civiles par des détachements d’Azov et de l’armée ukrainienne pour présenter cela comme le résultat d’une opération militaire russe, et ainsi compromettre nos affirmations selon lesquelles nous n’utilisons que des armes de haute précision et ne ciblons pas les infrastructures civiles.

VIDEO 4

La situation concernant l’évacuation des civils de Marioupol est largement couverte par les médias en ce moment, mais les informations pertinentes sont fortement déformées par les médias ukrainiens et occidentaux. Écoutons certains des témoins. Mon collègue, le premier Représentant permanent adjoint, Dmitry Polyanskiy, va maintenant prendre la parole pour vous présenter une interview intéressante.

VIDEO 5

Dmitry Polyanskiy : Le mérite de cette séquence émouvante revient à Patrick Lancaster, qui devait être avec nous aujourd’hui, mais qui n’a pas pu. Il s’agit de sa couverture de ce qui se passe actuellement à Marioupol.

Je veux faire référence au fait que les grands médias occidentaux couvrent le sujet des personnes évacuées de Marioupol. C’est déroutant, car ils disposent des mêmes matériaux que leurs collègues russes, des mêmes décors et des mêmes témoins. Il est extrêmement décevant de constater que, dans la plupart des cas, les journalistes occidentaux pratiquent la censure et dissimulent les informations gênantes au public occidental. C’est ainsi que l’on crée un nouveau rideau de fer. Je ne vous donnerai qu’un exemple très récent.

Le 2 mai, un groupe de journalistes de nombreux pays a interviewé un groupe de personnes évacuées de l’aciérie Azovstal. L’une d’entre elles, Natalia Usmanova, s’est montrée très loquace et émotive. C’est pourquoi elle est apparue dans de nombreuses séquences. Elle s’est entretenue avec Reuters, qui a publié un court article accompagné d’une séquence vidéo sur son site Internet.

Voici l’article de Reuters en question en intégralité :

BEZIMENNE, Ukraine, 1er mai (Reuters) – Recroquevillée dans le labyrinthe de bunkers datant de l’ère soviétique, profondément enfouie sous l’immense aciérie Azovstal, Natalia Usmanova a eu l’impression que son cœur allait s’arrêter tant elle était terrifiée par les bombes russes qui s’abattaient sur Marioupol, la saupoudrant de poussière de béton.

Usmanova, 37 ans, a parlé à Reuters dimanche après avoir été évacuée de l’usine, un complexe tentaculaire fondé sous Josef Staline et conçu avec un réseau souterrain de bunkers et de tunnels pour résister à une attaque.

« Je craignais que le bunker ne résiste pas, j’avais une peur terrible », a déclaré Usmanova, décrivant le temps passé à s’abriter sous terre.

« Lorsque le bunker a commencé à trembler, j’étais hystérique, mon mari peut en témoigner : j’avais tellement peur que le bunker s’effondre. »

« Nous n’avons pas vu le soleil pendant si longtemps », a-t-elle déclaré, s’exprimant dans le village de Bezimenne, dans une zone de Donetsk sous le contrôle des séparatistes soutenus par la Russie, à environ 30 km (20 miles) à l’est de Marioupol.

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Natalia Usmanova, 37 ans, employée de l’aciérie Azovstal, évacuée de Mariupol, réagit à son arrivée dans un centre d’hébergement temporaire pendant le conflit Ukraine-Russie dans le village de Bezimenne, dans la région de Donetsk, en Ukraine, le 1er mai 2022.
REUTERS/Alexander Ermochenko

Elle a remémoré le manque d’oxygène dans les abris et la peur qui s’est emparée des personnes qui s’y étaient entassées.

Mme Usmanova faisait partie des dizaines de civils évacués de l’usine de Marioupol, une ville portuaire du sud du pays assiégée par les forces russes depuis des semaines et laissée à l’abandon.

Usmanova dit avoir plaisanté avec son mari pendant le trajet en bus, dans un convoi agréé par les Nations unies et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), en disant qu’ils n’auraient plus à se rendre aux toilettes avec une torche.

« Vous ne pouvez tout simplement pas imaginer ce que nous avons vécu : la terreur », a déclaré Usmanova. « J’ai vécu là-bas, j’y ai travaillé toute ma vie, mais ce que nous avons vu là-bas était tout simplement terrible. »

Quelle est l’impression que vous donne ce reportage ? Natalia est terrifiée, effrayée par les frappes russes, elle doit détester la Russie pour ce qu’elle a fait à l’Ukraine. Dieu merci, elle est en sécurité et peut se rendre en Ukraine : c’est l’impression que l’on a en regardant cette vidéo et en lisant le reportage sur le site de Reuters.

Mais en fait, Reuters a fortement censuré ce qu’elle a réellement dit. Regardons le reste du récit de Natalia, qui a été diffusé dans son intégralité à la télévision russe.

VIDÉO 6

Journaliste : Maintenant, où préfèreriez-vous aller, en Ukraine ou en Russie ?

Natalia Usmanova : En Russie, pas en Ukraine. En fait je ne sais même pas si je peux le dire. Franchement, on a peur. On ne sait pas ce qu’on peut dire ou pas.

Journaliste : Vous pouvez dire tout ce que vous voulez.

Natalia Usmanova : Franchement, je ne veux pas aller en Ukraine. Je ne veux pas aller en Ukraine. Notre famille a décidé à l’unanimité qu’on ne veut pas aller en Ukraine. Mais si on décide de revenir, alors ce sera seulement à Marioupol, c’est-à-dire en République populaire de Donetsk, pas en Ukraine.

En tant que citoyenne de l’Ukraine, je dois dire que ce pays en tant qu’Etat est mort à mes yeux. L’Etat et les politiciens et touts ceux qui nous ont infligé tout cela. Ils n’ont pas résolu ce conflit de manière pacifique dès le début.

Et j’ai une question : pourquoi les gens ont-ils été retenus de force dans la ville ? Dès que les tirs ont commencé, le maire a été le premier à quitter la ville. Il a évacué la ville alors que les citoyens étaient coincés. L’armée ukrainienne a tout simplement interdit aux civils de partir, même les enfants, les personnes âgées et les malades. Je veux demander pourquoi, dans quel but ils ont fait ça ?

Cette vidéo montre clairement quelle était l’humeur réelle de Natalia Usmanova. Il est vraiment difficile de commenter cette manipulation éhontée. Comment les téléspectateurs occidentaux apprendront-ils la vérité alors que les chaînes de télévision russes, comme nous le savons tous, sont interdites dans les pays occidentaux ? Qui diffuse de la propagande ici ? Jugez-en par vous-même. Et ma remarque personnelle : honte à vous, Reuters. Au lieu de promouvoir le journalisme, la liberté d’expression et l’accès à l’information, vous choisissez la voie qui consiste à devenir les soldats d’une guerre de l’information contre la Russie. Au fait, le journal allemand Der Spiegel a publié une version plus longue de l’interview de Natalia Usmanova et l’a supprimée après quelques heures. Nous ne doutons pas de la raison de cette censure.

Note du Cri des Peuples — Voici la brève réaction de Reuters à l’accusation russe de censure, qui évite courageusement de parler du fond :

L’ambassadeur adjoint de la Russie auprès de l’ONU, Dmitry Polyanskiy, a déclaré qu’un rapport de Reuters du 1er mai n’incluait pas un commentaire fait par une personne évacuée de l’aciérie. Dans son récit aux médias de l’Ukraine sous contrôle russe [il s’agit de la même interview donnée à plusieurs médias, dont Reuters], Natalia Usmanova a déclaré que les troupes ukrainiennes l’avaient maintenue, elle et d’autres civils, dans l’aciérie contre leur gré.

Un porte-parole de Reuters a déclaré que l’organisation s’en tenait à son reportage.

« Nous cherchons encore à vérifier des aspects essentiels du récit de Natalia Usmanova. Nous nous engageons à rendre compte du conflit en Ukraine de manière impartiale et indépendante, comme nous le faisons dans le monde entier. »

Le ministère de la Défense et l’état-major ukrainien n’ont pas immédiatement répondu aux demandes écrites de commentaires sur la remarque d’Usmanova.

« Reuters, en fait, a fortement censuré ce qu’elle a dit en réalité », a déclaré Polyanskiy lors d’une session informelle du Conseil de sécurité de l’ONU. Les réseaux de télévision russes ont diffusé le commentaire d’Usmanova.

Vassily Nebenzia : Après avoir visionné toutes ces vidéos, on peut se poser une question : pourquoi les combattants ukrainiens traitent-ils leurs concitoyens de manière aussi méprisante, dénigrante et inhumaine ? Pourquoi détruiraient-ils les villes ukrainiennes sans se soucier du sort des civils ? La réponse est très simple et pourtant difficile à digérer : les bataillons Azov et autres nationalistes ne traitent tout simplement pas la population russophone comme leurs égaux, comme des concitoyens de leur pays.

Une autre question importante que nous ne pouvons éviter d’aborder est la cruauté animale de la milice ukrainienne envers les détenus militaires russes. Nous n’allons volontairement pas montrer aujourd’hui les vidéos pertinentes, mais elles sont nombreuses sur les réseaux sociaux. Des soldats russes, les bras attachés dans le dos, reçoivent des balles dans les jambes, sont égorgés, battus de manière très violente et leurs os sont brisés de manière sadique. Et toutes ces tortures sont filmées par de « fiers » miliciens ukrainiens. Pour vous éviter de vous lancer dans une nouvelle série d’accusations inutiles de propagande russe, nous vous invitons simplement à regarder ce qui suit.

https://youtu.be/AB6GAQU2hjA
Vidéo 7 (original)

Chers collègues, nous avons essayé de vous montrer seulement quelques-uns des récits des victimes des crimes et des traitements dénigrants de l’armée ukrainienne et des nationalistes. Nous en avons beaucoup plus, ceci n’en est qu’une petite partie. Nous les documentons afin de garantir que ceux qui ont commis ces crimes rendent des comptes pour leurs actes. Mais en raison des limites de temps, nous allons nous arrêter là et donner la parole à nos distingués informateurs. Ils viennent de différents pays mais ont une chose en commun. Ils ont tous une expérience de première main du travail dans les zones de nos opérations militaires spéciales. Beaucoup d’entre eux ont également couvert la guerre de huit ans menée par l’Ukraine contre les habitants de Donetsk et de Lugansk.

Notre premier intervenant n’a pas besoin d’être présenté. Nous avons le plaisir d’accueillir Anne-Laure Bonnel, journaliste française, qui a déjà fait un travail inestimable pour faire la lumière sur la vie de la population civile de Donbass, qui a été simplement « annulée » dans l’Occident humaniste.

Intervention d’Anne-Laure Bonnel : « L’offensive russe de 2022 est une tragédie pour l’Ukraine, mais gardons à l’esprit que l’Est de l’Ukraine souffre depuis 2014. Le passé jette la lumière sur le présent. Mai 2014 : des hélicoptères ukrainiens tirant sur des civils tués instantanément ou pire, toujours vivants et parlant encore alors que leurs corps étaient coupés en deux. Ces images hanteront à jamais les gens de l’Est. Avec le massacre d’Odessa, ces crimes sont restés impunis.

Donc, oui, j’espère que les négociations en vue d’un accord de paix seront encore possibles.

De plus, nous sommes les rares journalistes français qui ont été témoins oculaires des derniers développements. Mon témoignage est en phase avec ceux de mes collègues. Liseron Boudoul de TF1, la première chaîne française, documente les tirs et bombardements sur Donetsk. De plus, la formation américaine des volontaires a été rapportée par le journaliste Régis Le Sommier pendant son séjour à Odessa.

La paix ne se fait pas seulement par des accords écrits. La paix est faite et maintenue par les peuples. Comment l’apaisement peut-il être garanti après un conflit si les communautés ont été retournées les unes contre les autres, armées encore et encore, et ont appris à se haïr et à se détester les unes les autres ?

En envoyant des armes de plus en plus lourdes et meurtrières en Ukraine, les dirigeants des pays non impliqués dans le conflit ne font que contribuer à une nouvelle escalade entraînant de plus en plus de victimes, de larmes et de ressentiment pendant des années et des décennies à venir.

Inonder un pays d’armes est loin d’unir les nations. N’oubliez pas votre rôle principal. Le monde entier doit immédiatement demander le dialogue et la médiation dans le but de rétablir la paix.

Pousser l’Allemagne vers la remilitarisation met en danger l’Europe. Le continent est au bord de l’effondrement. Une guerre mondiale dont l’épicentre serait en Europe devient de plus en plus plausible. Le danger nucléaire doit être pris au sérieux.

Le conflit dure depuis 8 ans. Est-ce le manque de dialogue et le non-respect des engagements précédents qui ont abouti à l’invasion tragique que nous regrettons maintenant ? Je me le demanderai à jamais.

La solution, le cas échéant, est entre vos mains.

L’humanité compte sur vous et sur les vertus de réunions comme celle de M. Guterres le 26 avril 2022 à Moscou. Chaque vie perdue est un échec. Chaque vie sauvée est une victoire.

Aujourd’hui, dans ce sanctuaire des Nations unies, c’est vous qui gardez les idéaux et la conscience. Cette lourde responsabilité et cet immense honneur qui vous sont accordés devraient vous encourager à donner la priorité au désarmement pacifique.

J’aimerais conclure par une citation. « L’humanité est maudite, si elle est condamnée à tuer pour toujours au nom du courage ». Le courage consiste plutôt à ne pas recourir à la force dans un conflit qui peut être résolu par la raison.

Merci.

J’aimerais vous montrer quelques-uns de mes témoignages sur la guerre du Donbass. 

Merci.

VIDEO 8

Merci Mme Bonnel.

Notre deuxième intervenant est Giorgio Bianchi, photojournaliste, réalisateur, cinéaste et écrivain italien. Il a largement couvert le conflit armé en Syrie et la crise ukrainienne à partir de l’ « EuroMaïdan ». Dans son travail, Giorgio accorde toujours une attention particulière aux questions humanitaires et anthropologiques. Il a également réalisé une interview de la jeune femme Marianna, dont les photos se sont répandues à la vitesse d’une fusée dans les médias occidentaux en tant que victimes de la prétendue attaque d’artillerie russe contre une maternité à Marioupol. Combien de fois avons-nous entendu ces mensonges flagrants au Conseil de sécurité de la part de nos collègues occidentaux ?

Bonsoir, c’est vraiment un honneur pour moi d’être ici.

Je suis récemment rentré du Donbass, où j’ai documenté le conflit pendant environ deux mois.

Je dois dire que je m’attendais à trouver une différence entre la réalité sur le terrain et dans les médias, mais pas à ce niveau.

Je peux comprendre la propagande russe, je peux comprendre la propagande ukrainienne. Ce qui reste incompréhensible pour moi, c’est la propagande européenne.

Avec les médias russes censurés, et avec tous les autres médias supposés officiels alignés sur la propagande ukrainienne, pour le public européen – je suis européen – il est pratiquement impossible de se faire une opinion objective sur la réalité sur le terrain. C’est pourquoi de plus en plus de personnes se tournent vers le web pour recevoir des informations équilibrées.

Les gouvernements et les plateformes numériques, au lieu de se questionner sur ce phénomène, tentent de limiter l’accès à l’information en ligne. Il semble que leur objectif soit de soutenir un seul récit des faits.

La guerre est traumatisante en soi, et j’en sais quelque chose. Il n’est pas nécessaire de la rendre encore plus horrible en inondant l’éther et le papier de fausses nouvelles. Je pense qu’il n’est pas utile d’alimenter le conflit ou de l’élargir, en nourrissant la haine.

Il me semble qu’il existe une sorte d’intérêt à ce que le conflit dure longtemps et s’étende.

J’ai personnellement dénoncé plusieurs fake news diffusées dans les médias européens : la honteuse une de La Stampa qui attribuait de manière mensongère le massacre de Donetsk du 14 mars aux Russes ; le fait que Marianna, la fille qui a symbolisé le bombardement de l’hôpital de Mariupol, n’avait pas été enlevée par les Russes ; le fait que les Russes n’expulsent pas les civils de Marioupol (ils n’ont pas pu évacuer tous les civils qui voulaient partir ; ils n’ont certainement pas emmené ceux qui voulaient rester).

Au contraire, j’ai montré que les soldats et miliciens ukrainiens ont largement utilisé les civils comme boucliers humains. Les témoignages que j’ai recueillis se comptent par dizaines et la grande majorité le confirme. Il n’y a aucune trace de ce travail de vérification des faits dans la presse grand public.

A quel jeu jouons-nous ? Voulons-nous une troisième guerre mondiale ? Voulons-nous réduire les populations européennes à la misère à force de sanctions ?

Je suis un journaliste indépendant. Mon travail a été reconnu internationalement. Mais je ne peux pas travailler en Ukraine car je figure sur une liste noire, Myrotvorets, dans laquelle je suis défini comme un « criminel », simplement pour avoir fait mon travail et pour avoir partagé mon point de vue avec le public, un point de vue documenté par huit années de travail sur le terrain.

Aujourd’hui, on m’accuse d’être un professionnel infiltré. Mais je ne peux pas travailler de l’autre côté car je risque d’être arrêté.

Pensez-vous que cela soit normal ?

Une autre fois : à quel jeu jouons-nous ?

Pour sûr, c’est un jeu très dangereux.

Merci beaucoup.

Merci M. Bianchi.

Nous sommes heureux de saluer aujourd’hui Salem Abdel-Munem, plus connu sous le nom de Salam Al-Obaidi. Il est le chef du bureau de Moscou et de l’Europe du Nord du réseau de télécommunications panarabe indépendant « Al-Mayadeen ». Il a commencé sa carrière journalistique à la fin des années 1980 du 20e siècle, en travaillant comme traducteur dans un certain nombre de publications soviétiques de radiodiffusion étrangère. Plus tard, il a travaillé comme correspondant pour un certain nombre de médias arabes à Moscou. Journaliste universel, il a couvert divers domaines de la vie en Russie, dans la CEI (Communauté des États indépendants), dans les États baltes et en Europe du Nord. Il a une grande expérience du travail dans les points chauds tels que l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, la Syrie, etc.

Al-Obaidi : Merci beaucoup, M. Nebenzia, et bonjour mesdames et messieurs. C’est un grand honneur pour moi de participer aujourd’hui à cet événement organisé par la Mission russe auprès des Nations Unies.

Tout d’abord, j’espère que mon humble participation nous rapprochera au moins un peu plus de la vérité sur ce qui se passe au Donbass, peut-être que cela vous aidera à prendre la bonne décision et à contribuer à mettre fin à l’effusion de sang en Ukraine. Pour cela, il est tout d’abord nécessaire, je pense, d’arrêter l’approvisionnement en armes au régime de Kiev.

Mesdames et Messieurs, je suis heureux d’avoir l’occasion de partager mes impressions avec vous. Après avoir visité un certain nombre de villes et villages du Donbass, la première chose que je veux dire est que je me suis concentré dans mes rapports sur les déclarations des habitants eux-mêmes, leurs humeurs et ces faits qui parlent d’eux-mêmes, où que je me trouve, que ce soit dans chaque maison détruite, dans la salle d’urgence d’un hôpital, devant une fenêtre brisée ou dans un terrain de sport à l’écol, et bien sûr il est impossible de passer outre le drame du théâtre de Marioupol.

C’est probablement la chose la plus importante que je veux souligner : malgré les excès des radicaux et nationalistes, les gens n’ont pas n’ont pas perdu leur humanité et leur soif de paix. J’étais dans le Donbass, dans les Républiques populaires de Donetsk et Lougansk début avril, et la ville de Marioupol était en grande partie libérée des radicaux alors. Nous avons aussi visité d’autres villes libérées. Dans les sept histoires que j’ai filmées là-bas, j’ai essayé de refléter l’image réelle de ce que j’ai vu et entendu. J’ai vu la destruction tout le temps, j’ai entendu les histoires de personnes courageuses qui veulent tourner cette page tragique dans le destin de leur terre et commencer une nouvelle vie en tant que peuple libre. Je vais vous présenter un extrait de mes sept histoires. S’il vous plait, lancez le film.

VIDEO 9

Vassily Nebenzia : Monsieur Al-Obaidi, voulez-vous ajouter quelque chose ?

Al-Obaidi : Oui. Je pense que la pire des choses, la pire des choses est d’avoir des yeux et de ne pas voir, ou de ne pas vouloir voir la vérité. C’est très facile de parler de la guerre assis sur votre chaise, que ce soit au bureau, dans un studio ou à la maison, mais c’est tout autre chose de la voir de vos propres yeux, à travers les yeux d’enfants qui ont vu toutes les horreurs de la guerre. J’ai vécu en Russie pendant de nombreuses années et je peux dire en toute confiance que les Russes ne veulent pas la guerre. Les résidents du Donbass ne veulent pas la guerre. La célèbre chanson [pacifiste soviétique] le dit bien : « Les Russes veulent-ils la guerre ? ».

Merci.

Merci M. Al-Obeidi. J’attire l’attention de l’audience sur le fait que nous n’éditons ni ne censurons aucun de nos briefings.

Bienvenue à Sonja van den Ende, des Pays-Bas, dont les témoignages sur les tragédies des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk sont également inestimables.

Sonja van den Ende : Bonjour. Tout d’abord, je vous remercie beaucoup M. l’ambassadeur et les membres de l’ONU de me donner l’occasion de m’exprimer aujourd’hui.

La semaine dernière, j’ai visité les républiques de luhansk et de donetsk, je me suis rendu tout d’abord dans la ville de Meliteopol. Nous y avons entendu une déclaration du nouveau maire, et elle nous a dit que l’ancien maire avait été kidnappé, et il est maintenant libre et il est en tournée en Europe. Il est en tournée sans que les gens sachent qu’il fait partie du bataillon Azov et du Secteur droit, qui est un parti populiste de droite. Il est accueilli par l’Europe démocratique. C‘est ce que je ne comprends pas : que l’Europe, l’Europe démocratique que je connais, surtout le pays d’où je viens c’est-à-dire les Pays-Bas, donnent la parole à des gens qui sont d’extrême droite, qui sont clairement avec le bataillon Azov, dont on peut voir l’emblème sur leurs costumes, leurs tenues, leurs drapeaux, vous pouvez le voir partout.

Et nous, journalistes occidentaux comme mon collègue d’Italie, sommes sur une liste (noire), nous sommes censurés en Europe, nous ne pouvons pas dire la vérité alors que nous étions là et que nous avons vu des choses horribles. J’étais par exemple aussi à Marioupol, j’ai vu la guerre, j’ai vu ce qu’elle fait aux enfants, j’ai entendu les bombardements. Je sais qu’il y avait des combats dans l’usine d’acier Azovstal. Mais il n’y a qu’un côté de l’histoire qui est présenté en Europe, l’autre côté n’est pas présenté car ils ne permettent pas aux journalistes européens d’aller en Russie, ou du moins du côté russe en Ukraine.

Aujourd’hui, M. Scholz, le chancelier allemand, a dû aller s’excuser parce que les Ukrainiens l’ont traité de « saucisse de foie », ce qui est une insulte terrible. Donc si les politiciens ne peuvent même pas aller en Russie ou parler avec la Russie, que veut l’Europe, que veut-elle ? La troisième guerre mondiale ? On dirait bien. Parce que les gens en Ukraine ne veulent pas de troisième guerre mondiale. J’ai vu la guerre dans leurs yeux, j’ai vu ce qui s’est passé. Et je veux aussi souligner la tragédie au théâtre de Marioupol. J’ai parlé là-bas avec un militaire russe qui m’a expliqué que ça n’a pas pu arriver à cause d’une bombe parce que le bâtiment a implosé de l’intérieur, donc sans aucun doute, il devait y avoir des armes stockées sous le théâtre. Et beaucoup de gens à qui j’ai parlé, des résidents, m’ont tous dit que la nuit ou le jour où c’est arrivé, il n’y a pas eu de bombardements Russes, alors pourquoi nous n’entendons pas cette histoire ? Pourquoi n’entendons-nous les histoires que du côté ukrainien ? Où est la presse libre ? Pourquoi Russia Today est-elle bannie en Europe ?

Pouvez-vous me dire que c’est l’Europe libre et démocratique où la liberté de la presse est au plus haut, comme on le prétend toujours ?  Ce n’est pas le cas, tout est censuré. Alors s’il vous plaît, membres de l’ONU, essayez de faire respecter la liberté de la presse, donnez aussi la parole à l’autre côté parce que dans une guerre, il y a toujours des choses qui arrivent, mais je suis 100% sûr que les Russes ne veulent pas la guerre, tout comme les Européens ne veulent pas la guerre, nous le voyons bien. On l’a vu à Marioupol, on l’a vu à Mélitopol, les gens ne veulent pas la guerre. Et le plus terrible aussi c’est qu’il y avait beaucoup de personnes âgées restant à Marioupol, cachées dans les caves, et beaucoup de gens m’ont dit qu’ils ont tous été utilisés comme boucliers humains, donc c’est très très terrible.

Pour conclure, s’il vous plaît, pensez à permettre la liberté de la presse, en nous donnant à nous les journalistes de guerre qui allons dans ces dans ces endroits pour vous rapporter ce qui se passe. Et au moins, assurez-vous que cette guerre ne va pas s’aggraver en une troisième guerre mondiale.

Merci beaucoup.

Vassily Nebenzia : Merci Mme van den Ende.

Et notre dernière invitée, mais non la moindre, est Asya Zuan, rédactrice en chef de l’édition bulgare de l’agence « News Front », qui connaît également très bien le contexte ukrainien, en particulier le Donbass.

Nous ne doutons pas que leurs exposés contribueront à diluer l’approche médiatique unilatérale des événements dans les régions orientales de l’Ukraine et permettront de voir et d’entendre d’autres témoignages de graves violations du droit international humanitaire et de crimes de guerre par les forces armées ukrainiennes et les bataillons nationalistes. Asya Zuan :

Asya Zuan : Merci beaucoup. Bonjour M. l’ambassadeur. Distingués délégués et chers collègues, je veux remercier tout d’abord mes collègues qui commencent à parler et à montrer la vérité. Si vous me le permettez, je voudrais commencer par une citation qui est vraiment très pertinente pour la situation actuelle : « La dernière guerre entre les peuples sera une guerre pour la vérité. Cette guerre sera dans chaque personne, la guerre contre sa propre ignorance, sa propre agression, sa propre irritation, et seule une transformation radicale de chaque individu peut devenir le début d’une vie paisible pour tous les peuples. »

Avant que je commence avec ma présentation, intitulée « Donbass : la vie sous le feu et le silence criminel du monde civilisé », je dois vous dire qu’avant notre réunion aujourd’hui, j’ai été informée et prévenue que je ne pourrai jamais revenir dans mon pays natal, la Bulgarie, si je participais à cette réunion. Mais j’ai quand même pris la décision de faire ce discours aujourd’hui parce que je crois que cette réunion est extrêmement importante pour la société mondiale et la sécurité globale.

Je suis une journaliste bulgare. J’ai visité le Donbass plusieurs fois. J’ai vu les yeux des gens. J’ai vu comment les armes ukrainiennes tirent sur leurs maisons, et j’ai commencé à montrer cela dans mon pays. Après ma première visite, j’ai uploadé [inaudible]. Je crois que c’est aussi une grande violation du droit international humanitaire, parce qu’aujourd’hui nous parlons tous de violations systématiques et massives, de graves violations du droit international humanitaire ainsi que d’autres crimes de guerre commis par les militaires et milices ukrainiens découverts au cours de l’opération militaire spéciale en cours.

Je veux prêter attention à plusieurs moments liés à la guerre de l’information, notamment les marins capturés, dont un bulgare, par les nationalistes d’Azov, et la situation sur le fait que les armes ukrainiennes sont fournies en quantité énorme par les Etats-unis.

Je voudrais poser une simple question : nous savons tous ce qu’est une arme : une arme est une chose que l’on utilise pour tuer des gens. Alors je crois qu’aujourd’hui il y a des représentants des États-Unis et laissez-moi vous poser quelques questions à ce sujet.

Je veux demander pourquoi cet argent que les États-Unis allouent pour les armes et la soi-disant assistance militaire n’est pas dirigée vers l’aide humanitaire, parce que je crois que les ukrainiens n’ont pas besoin d’armes. Je crois que les ukrainiens ont besoin de nourriture, d’éducation, d’aide psychologique et généralement d’une vie sans l’ « aide » des États-Unis. Je crois que si les Etats-Unis ne fournissent pas d’armes à l’Ukraine (et ne forcent pas les autres pays à le faire), il n’y aura pas de dette et pas de guerre. Si les états-unis ne dépensaient pas tant d’argent pour des activités militaires biologiques en Ukraine en particulier et globalement dans tout le monde et l’espace post-soviétique, il n’y aurait pas d’épidémies de maladies infectieuses inconnues et de morts. Parce que moi et ma collègue bulgare Esther Dilena Gatenzeva nous avons fait quelques enquêtes sur ce sujet.

J’aimerais vous poser une question : vous développez des armes biologiques en Ukraine. Pourquoi avez-vous besoin de tant de laboratoires là-bas ? Et n’est-ce pas une grande violation du droit international humanitaire ? Aussi je suppose que tout le monde a entendu parler de la situation à Marioupol où les nationalistes ont capturé plusieurs navires étrangers, dont le navire bulgare Tsarevna. Pourquoi les autorités bulgares ont-elles nié que les marins ont été secourus par la DPR et les forces armées de la Fédération russe ? Pourquoi ont-elles nié qu’Azov a a tiré depuis le navire ?

Les nationalistes d’Azov ont capturé deux navires bulgares, Sarena et Lady Augusta, et ont pris l’équipage en otage. L’information a été connue en avril, le 10 avril selon l’information de l’armée du peuple de la DPR. Le 8 avril, le chef du ministère des affaires étrangères en de la DPR, Natalia Nicanorovo, a signalé que l’armée ukrainienne avait bloqué au moins six navires étrangers dans le port de Marioupol. Ils ne pouvaient pas quitter le port en raison du risque d’utilisation d’armes ou en raison du risque potentiel que la la zone d’eau du port pourrait être minée. Sur le navire bloqué en particulier, il y avait des citoyens de Bulgarie, Syrie, Azerbaïdjan, Turquie, Libéria et Egypte. Je veux faire quelques citations de nos marins bulgares qui ont été sauvés par la DPR et les soldats russes. Nos marins ont dit : « Tout d’abord, je tiens à remercier la DPR du fond du coeur pour nous avoir sauvés, pour l’évacuation. C’est très touchant que des gens qui sont en première ligne essayent de nous calmer. Ils nous ont donné de la nourriture, de l’eau, des conserves. » Et quelque chose de très touchant, le deuxième ingénieur à bord a expliqué que le gouvernement de Bulgarie restait silencieux pour des raisons politiques.

Je voudrais demander : n’est-ce pas une violation du droit international humanitaire ? Aussi, une autre citation : « Il n’y a eu que la DPR pour nous sauver, il n’y avait personne d’autre pour nous sortir de là. Seulement la DPR et la Fédération de Russie. Je remercie la DPR et la Russie de nous avoir évacués, de nous avoir bien traités de nous avoir donné de la nourriture et de l’eau », a ajouté un autre marin, Radoslav Stryanov.

Cette situation a montré que les nationalistes d’Azov ont un tel sentiment d’impunité qu’ils se sont permis de traiter les gens d’autres pays ainsi en sachant ou en croyant que rien ne leur arrivera. N’est-ce pas une violation du droit humanitaire international ? Pourquoi la communauté internationale ferme-t-elle les yeux sur de telles choses ?

Egalement au sujet de cette guerre internationale d’information, je pense que tout le monde connaît cette incroyable femme, Angelina Jolie, que j’admire depuis mes années d’école. Cette femme incroyable, une grande mère et une actrice extrêmement talentueuse, a fait les titres quand elle est venue en Ukraine soutenir le peuple ukrainien. J’aimerais demander à Angelina Jolie pourquoi vous n’êtes jamais venue au Donbass pendant ces huit ans ? Quelle est la différence entre les gens du Donbass et les gens en Ukraine ? Pourquoi une telle différence de traitement entre les gens ?

Et si vous me permettez, depuis cette tribune, je veux dire aux autorités bulgares, parce que je suis bulgare et que mon pays fournit des armes à l’Ukraine, parce que je crois que ces armes sont utilisées pour tuer des gens et tuer les enfants dans le Donbass. Nous ne devons pas participer à de tels crimes de guerre. Et je pense qu’il est temps que les gens dans le monde entier disent la vérité pour arrêter cette guerre.

La situation est simple : les Etats-Unis et les autres pays occidentaux doivent cesser de fournir des armes à l’Ukraine et il n’y aura pas de guerre. Maintenant, je crois que la Russie fait de son mieux pour arrêter cette maladie nationaliste qui frappe toute l’Europe. Je crois que l’opération spéciale russe vise à l’arrêter, parce que quelqu’un doit arrêter les Etats-Unis qui utilisent l’Ukraine pour cette terrible guerre.

S’il n’y avait pas de fourniture d’armes, il n’y aurait pas eu de crimes aussi terribles. Comme d’autres journalistes, j’ai regardé des vidéos (des crimes ukrainiens dans le Donbass), et je n’ai pas dormi, j’ai pleuré.

Je crois que cette réunion maintenant est vraiment importante parce que si mes collègues d’autres pays commencent à parler de ça, nous pourrions tous ensemble arrêter cette guerre. Nous devons clairement identifier les coupables dans cette situation. Je ne veux pas que notre pays, la Bulgarie, fournisse des armes. Permettez-moi de m’adresser dans ma langue à mes autorités : [déclaration en bulgare].

Et maintenant je veux vous vous montrer une vidéo.

Vidéo 10

Avant de terminer, je voudrais partager quelques chiffres. Selon les données officielles du centre conjoint de contrôle et de coordination de la DPR, du 17 février au 6 mai 2022, pendant les 79 jours de l’escalade, 105 civils du Donbass ont été tués, dont 3 enfants. 460 civils dont 39 enfants ont été blessés.

Je vous remercie.

[Tour de table des membres du Conseil de Sécurité. La France, qui était courageusement absente durant la présentation, a fait une déclaration abjecte de servilité atlantiste, de négationnisme face aux crimes UkroNazis et de russophobie.]

Remarques finales de Vassily Nebenzia : Je pense que nous arrivons à la fin de notre réunion. Je remercie une fois de plus les informateurs, et pas seulement eux, mais aussi ceux qui ont été interviewés. Ces personnes ne sont pas assises à cette table. Elles se trouvent souvent dans des conditions terribles. Mais elles ont expliqué pourquoi ces conditions sont devenues possibles. Contrairement à ce que nous entendons dans les grands médias aujourd’hui, ils disent clairement qui est à blâmer pour ce qui leur est arrivé et ce qui leur arrive.

Chers collègues,

Nous espérons que cette réunion a été utile, pour présenter non pas une alternative, mais les véritables récits de ces témoins, quelle que soit leur opinion. Mais si vos yeux et vos oreilles sont fermés à la vérité, et que vous vous contentez de lire vos déclarations nationales dans vos journaux, nous ne pouvons rien y faire d’autre que d’essayer de revenir avec les véritables récits des personnes qui ont témoigné. Peut-être que certains d’entre vous se complaisent dans leur engourdissement confortable, mais cela ne changera rien à la vérité. Et cette vérité, vous l’avez entendue aujourd’hui de la part d’habitants de l’est et du sud de l’Ukraine et de journalistes qui y travaillent. Alors ouvrez les yeux et accueillez la vérité, même si elle est cruelle ou inconfortable.

Merci.

Voir notre dossier sur la situation en Ukraine.