Le grand écart du pouvoir et l’indifférence citoyenne

Par Nicole Delépine

Pourtant c’est leur peau, votre peau qui sera en jeu, en cas d’occlusion, de fracture, d’avc, d’infarctus… Et là, brutalement, après des heures aux urgences vous comprendrez la gravité de l’arnaque. Ce ne sont pas simplement des chiffres ces lits fermés, ces accidents post vaccinaux, ces suicides de désespoir de soignants, pompiers ou jeunes perdus après le confinement, etc.. Ce sont des gens, votre voisin, votre papa, votre enfant demain… Mais les soignants ne sont qu’une centaine devant le ministère de la Santé pour alerter. Comment est-ce possible ?

Où sont passés les citoyens ? Manifs vides, mais aussi marchés vides et commerçants désespérés, rues désertes… Où sont passés les gens ?

Améliorer les conditions d’exercice pour les soignants ? 45 000 démissions après le 1er confinement 15 000 suspensions par E. Borne en septembre 2021. Exils des soignants en Suisse, en Belgique où les salaires sont nettement supérieurs.

Pénurie de soignants à l’approche de l’été

Alors que la pénurie de soignants oblige les établissements à fermer des lits — à l’hôpital gériatrique La Collégiale à Paris, aux CHU de Rennes et Bordeaux ou encore au sein des services des urgences de quatre centres hospitaliers en Sarthe, les syndicats tirent la sonnette d’alarme.

INDIFFÉRENCE, MAIS AUSSI IRRESPONSABILITÉ GÉNÉRALE

Et pourtant si on réagissait, les soignants, les citoyens et pas seulement quelques-uns… Ils sont quelques milliers ; nous sommes des millions, mais si nous nous soumettons, quel avenir pour nos petits ?

@agnesunivers

voilà ce qui se passe en Belgique : « Sinon, je ne suis pas suspendue, ils ont fait pression, mais comme très peu de soignants ont suivi par peur, ils ont laissé tomber, le nombre de soignants non vax est trop élevé. Ils menacent toujours, mais rien ne bouge 8 h 42 · 7 juin 2022·Twitter

Être informé du risque de manque cruel de personnel soignant dans les hôpitaux, avouer à la population qu’on le sait en inventant une nième MISSION et EN MÊME TEMPS suspendre encore et encore des soignants pourtant injectés, mais non à jour… en d’autres termes pour x raisons ils ont dû refuser la troisième injection.

Si le gouvernement impose la quatrième dose (si E.Macron obtient sa chambre obéissante) combien de personnel restera-t-il dans les hôpitaux et in fine quel est le but de ce délire vaccinatoire ?

Si on peut admettre (et encore) qu’en juillet 2021 quelques-uns pouvaient encore avoir des illusions sur l’efficacité du pseudovaccin, le mythe de l’efficacité et de la protection des contaminations ne tient plus et la liste des effets secondaires graves s’allonge chaque jour. Qui peut l’ignorer ?

Mais la réponse d’E.M. est sidérante : 31 mai “Depuis 5 ans, nous agissons pour améliorer l’accès aux soins et les conditions d’exercice de nos soignants à qui nous devons tant. Il faut aller plus loin, notre système de santé a aujourd’hui besoin d’une révolution. Elle sera collective”.

Et ce soir la ministre annonce qu’elle pourrait donner autorisation de soigner plus vite à des élèves infirmières…. Ça vous inspire et pour les malades et pour elles ! quelles responsabilités !

COMBIEN DE LITS FERMES EN CINQ ANS ? 17 000 Lits

Et ça continue

Une manifestation contre la suspension de 60 agents “pour schéma vaccinal incomplet” prévue mardi à l’hôpital de Montauban | FranceSoir

Mais le plus étonnant n’est pas l’attitude claire des dirigeants aux ordres de Bruxelles et de Big Pharma, mais bien la passivité des citoyens qui permet toutes ces horreurs.

Les soignants de Montauban protestent contre la suspension de collègues injectés mais pas à jour… Peu importe les effets secondaires qu’ils ont subis, peu importe l’inefficacité démontrée et les dangers majeurs de ces pseudovaccins, il faut foncer dans le mur. Les directions qui appliquent sans état d’âme (avoué en tous cas) l’obligation vaccinale imaginent-elles la responsabilité pénale qu’ils prennent aujourd’hui ? Se cacher sous les “ordres d’en haut” ne les protégera pas toujours…

Mais combien de citoyens dans la rue pour soutenir ces nouvelles victimes de l’arbitraire au service de Big Pharma ? Combien de candidats députés hurlent-ils au scandale ?

Regardez la manifestation parisienne : quelques personnes, mais il devrait être des milliers…

De même les collègues qui interdisent d’autres médecins pour avoir soigné, guéri, informé supporteront-ils le poids de leur trahison d’Hippocrate quand un jour ou l’autre ils ouvriront les yeux ?

Luxembourg

Aujourd’hui à la sortie du du conseil supérieur de discipline du collège médical au Luxembourg Dr Benoit Ochs condamné à 1 AN d’interdiction d’exercice de la médecine on lui reproche d’avoir soigné des patients pendant la crise de covid et avoir dénoncé les effets sec. du vax ⬇️

Belgique

La gynécologue Docteur Laurence Kayser dénonce les effets secondaires du vaccin Covid haut et fort devant l’Ordre des médecins à Mons ! (Belgique) — PLANETES360

France




ENFANTS EN DANGER ! STOP À L’INDIFFÉRENCE !

Par Nicole Delépine

Les regards se détournent, « Parlez-moi d’autre chose », « Encore un article sur les complications des vax », etc.. « Oui on a compris » et ils sont de moins en moins lus  ! Eh bien non ! Le danger encore plus important guette à court terme si nous laissons faire la Commission européenne et nos dirigeants aux ordres qui veulent injecter dès la rentrée scolaire tous les enfants qui y ont échappé pour l’instant.

Et la phrase terrifiante du chef de l’état en ce début juin : « Il faut vacciner tout ce qui peut être vacciné, parce qu’on évite les virus, on va continuer d’agir sur ce volet ».

Au-delà du mensonge arrogant de ce président qui paraît ignorer que les pseudo vaccins sont incapables de nous faire éviter le virus et du mépris intrinsèque à la formulation « ce qui peut être vacciné », les humains, les poulets, les vaches, ou les hamsters (posons-lui la question), l’intention est clairement avouée = on ne réintégrera pas les soignants, car on veut vacciner tout ce qui traîne…

Il fallait oser quelques jours avant des élections.

Et pourtant l’absence d’obligation pour les députés et sénateurs et plus encore la révélation de ce qu’on soupçonnait depuis longtemps : « Les faux certificats de vaccination pour l’Élite, à eux seuls sont un aveu que ce vaccin est un poison » et qu’ils le savent.
https://www.elmundo.es/madrid/2022/05/25/628df993e4d4d8b1038b456e.html

L’AVENIR INCONNU DES ENFANTS VACCINÉS

Nombre d’enfants de moins de 12 ans vaccinés contre le Covid-19 en France, par classe d’âge, au 18 novembre 2021 :

Et en plus des effets secondaires graves, mais encore rares à court terme, leurs complications d’ici quelques années et le suspense de leur fertilité est évidemment mis en cause. La clique de Davos ne s’en cache pas, elle veut diminuer la population mondiale et se débarrasser des riens, des inutiles, des râleurs, grévistes et autres « déchets » de l’humanité selon eux. Et nous rêvons à un monde nouveau pendant qu’ils injectent… comme nous avons détourné les yeux des scandales de la pédophilie dénoncés par Serge Garde et Laurence Beneux(([1] Au printemps 2000, Serge Garde dans L’Humanité, puis Laurence Beneux dans Le Figaro, révèlent l’existence du CD-Rom de Zandvoort contenant 8 500 documents pédosexuels, et d’un fichier établi par la police hollandaise à partir du CD-Rom, avec 472 photos de mineurs. Qui sont ces enfants en danger ? Des journalistes, des parents, des associations et des professionnels de l’enfance, faute d’obtenir des enquêtes adaptées, vont rechercher et identifier une vingtaine des enfants du fichier. Du côté des institutions, police et justice, c’est la gêne, le dénigrement et parfois la désinformation pour masquer une dépénalisation de fait de la pédosexualité dans de nombreux dossiers. Le Livre de la honte : Les réseaux pédophiles — 12 octobre 2001)), et Carl Zéro(([2] Karl Zéro balance tout 12 décembre 2019 de Karl ZÉRO, Éditions Télémaque/Plon)). Que sont devenus des enfants dont nous n’avons pas voulu connaître le martyr ? Plus de 20 ans déjà.

La majorité de la population y compris les « militants pour un monde meilleur » et de « il faut sauver la planète » se taisent, ignorent ou veulent ignorer le danger majeur des injections à répétition, qui guette nos enfants et petits-enfants. En même temps pourrait-on dire, qu’elle ignore l’euthanasie des vieux, et des malades déclarés incurables (pour leur bien évidemment). Et en même temps la population ignore le sacrifice des nouveau-nés, des fœtus, largement facilité par les modifications de la loi bioéthique.(([3] L’infanticide au cœur de l’eugénisme de la Nouvelle Société. — Pro Fide Catholica
(https://profidecatholica.com/2022/06/06/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/?amp=1)
On impose masques et vaccins de la manière la plus intrusive possible et simultanément, on défend le droit d’euthanasier des bébés dans la période périnatale au nom des droits de disposer de son c…))

Avant même d’imposer à tous cette piqûre toxique(([4] http://videos.senat.fr/video.2908931_628cbfd4c67cf.declaration-analyse-et-communication-autour-des-effets-indesirables-des-vaccins-contre-la-covid-19)) (et comment l’ignorer après les enquêtes au Sénat, etc.),(([5] REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) ils ont osé piquer des enfants depuis des mois avant toute autorisation.(([6] Les enfants vaccinés ont-ils été recrutés à travers cette plateforme dès juillet 2021 ?
https://www.covireivac.fr/actualites/actualites-de-la-plateforme-covireivac/lancement-de-la-plateforme-covireivac-enfant-et-adolescent/))

ENFANTS COBAYES ILLÉGAUX EN TOUTE IMPUNITÉ ?

Le courrier des stratèges détaille ici le scandale de 22 500 enfants « vaccinés » en France avant toute autorisation des autorités.(([7] Véran a-t-il couvert des milliers de vaccinations illégales de jeunes enfants ? Par Isabelle Hock — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) O. Véran et A. Fischer ont-ils couvert la vaccination illégale de plusieurs milliers de jeunes enfants, l’an dernier, en dehors de tout protocole médical et toute autorisation scientifique en bonne et due forme ? Ces vaccinations illégales et sans aucun encadrement posologique sont-elles à l’origine des hépatites aiguës qui frappent mystérieusement des enfants ? Ce sont les questions qu’Isabelle Hock pose au vu des informations récentes qui ont commencé à percer… dans le silence des autorités sanitaires françaises.))

En décembre 2021, alors que PFIZER BIONTECH ne disposait encore d’aucun vaccin pour les enfants de moins de 5 ans, 4 512 enfants de cette tranche d’âge avaient déjà reçu une première dose de vaccin à ARNm !

Et selon le journal « le Monde » dans un article publié le 23 novembre 2021, au moins de 22 490 enfants français âgés de 0 à 11 ans avaient déjà été injectés avec l’ARNm.(([8] « Au 18 novembre, ils sont 17 199 à être complètement vaccinés et 110 à avoir bénéficié d’un rappel. Le fichier “Vaccin Covid”, qui permet de suivre la progression de la vaccination, recense deux premières injections sur des tout-petits dès le 27 décembre 2020. »))

Or la vaccination pour ces enfants n’a été proposée par la Haute Autorité de Santé (HAS), et ce sans aucune obligation, qu’à partir… du 20 décembre 2021.

Autrement dit, ces enfants ont été vaccinés en dehors de toute proposition de la HAS et sans aucune procédure d’essai scientifique déclarée. Et bien entendu ni les ARS ni l’état ne se sont saisis de cette violation des lois alors que des professeurs célèbres et compétents, mais mal vus du pouvoir (dont D Raoult et H Joyeux) sont arbitrairement accusés sous ce motif. Au royaume républicain de France, peu a changé depuis La Fontaine « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ».

DES ENFANTS FRANÇAIS ONT DONC BEL ET BIEN SERVI DE COBAYE À UNE EXPÉRIMENTATION DU VACCIN ARNM À GRANDE ÉCHELLE.

Le chiffre de 17 199 enfants complètement vaccinés et de 22 490 enfants ayant reçu une première dose doit être comparé aux 1 250 enfants de 5 à 11 ans ayant participé aux essais cliniques de PFIZER dans le courant de la même année 2021, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, et ce depuis le mois d’avril 2021, reprises dans l’article du « Monde ».(([9] Vaccination contre le Covid-19 : qui sont les 17 000 enfants de moins de 12 ans déjà vaccinés en France ? (lemonde.fr) ))

Le journal avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des tout-petits.

D’où sont sortis ces petits, avec quel accord de familles nécessairement non informées en l’absence de tout dossier d’essai autorisé ?

Une internaute commente :

« Ces vaccinations d’enfants avant autorisation du vaccin en pédiatrie n’ont pourtant jamais été cachées, les médias classiques en ont parlé ouvertement : il s’agit pour un petit nombre des enfants ayant une pathologie, et pour le plus grand nombre il s’agit d’enfants dont les parents ont une pathologie les rendant “à risque” de formes graves du covid. Il me semble que la HAS ou une autre instance avait validé ces vaccinations pour protéger les adultes, ce qui avait fait hurler dans le désert un certain nombre de personnes encore attachées aux valeurs morales. une civilisation qui sacrifie ses enfants pour éviter un risque à des vieillards et des malades ne mérite plus le nom de civilisation ».

Il me semble que cela était même présenté à l’époque comme une faveur faite à ces enfants handicapés ou immunodéprimés… !(([10] « Les sociétés savantes de pédiatrie se sont concertées pour identifier les patients à protéger en priorité. Parmi eux, des enfants souffrant de pathologies sous-jacentes très sévères, des déficits immunitaires primitifs, mais aussi des transplantés comme les greffés cardiaques, ou encore des patients en dialyse » écrit le Monde. concertation sans aucune preuve scientifique évidemment.)) Comme le Rivotril injecté aux vieillards simplement suspects de Covid comme « une faveur pour leur éviter de souffrir » sans même les informer ni leur famille.

Cependant en mai 2021, A Fischer avait déclaré que vacciner des enfants de moins de 12 ans n’était pas envisageable avant le début de 2022.

Le 21 juin 2021, le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE), présidé par le Professeur DELFRAISSY déclarait « inacceptable de vacciner des enfants de moins de 12 ans avec ces produits. »

Le courrier des stratèges fait remarquer l’absence de suivi de ces enfants, ce que finalement on ne sait pas (numéros de lots décelables par Pfizer BioNTech ?)(([11] http://echelledejacob.blogspot.com/2021/11/vaccination-et-affichage-sur-les.html?m=1)). En tous cas, tous les vaccinés en France n’ont été l’objet d’aucun suivi particulier connu, cela évitant d’enregistrer les effets indésirables officiellement.

Les effets toxiques ont commencé à apparaître doucement sur Eudravigilance avant le début officiel des injections et se multiplient depuis l’été. Jusqu’à quand les familles laisseront-elles faire ?

AU 29 MAI 22 :

ET AVANT DE LAISSER INJECTER VOTRE ENFANT, PARCOUREZ LES DOCUMENTS SECRETS PFIZER

Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DÉCÈS PARMI LES VACCINÉS que les non injectés | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

https://pgibertie.com/2022/06/03/les-documents-secrets-des-essais-pfizer-revelent-deux-fois-plus-de-deces-parmi-les-vaccines-que-les-non-injectes/

COMMENT AGITER LA PEUR POUR DUPER LES PARENTS

Enfin, rappelons les craintes pour la future campagne de vaccination. Depuis quelques mois déjà les Anglais d’abord ont publié des observations d’hépatite grave d’enfants très jeunes dont environ 10 % des patients ont dû être transplantés. Des observations similaires ont aussi été notifiées dans plusieurs pays européens, aux États-Unis, en Israël et au Japon(([12] https://www.vidal.fr/actualites/29175-augmentation-des-hepatites-graves-de-l-enfant-d-origine-indeterminee-enquete-en-cours.html)). En France, plusieurs cas ont été signalés. La polémique a vite surgi, car ces cas sont survenus uniquement dans les pays vaccinés et après que les injections aient commencé chez les enfants. Le statut vaccinal des enfants touchés était peu ou pas précisé, car il ne fallait surtout pas accuser le vax. De toute façon rien n’empêcherait de penser qu’ils auraient récupéré la protéine spike des bisous de leur maman vaccinée.
Mais l’occasion était trop belle. Bien qu’il n’y ait pas eu de covid infantiles et encore moins mortels, on les voit venir avec des séquelles à long terme de covid passé inaperçu…

Leurs décisions : « plus de 12 millions de doses pédiatriques du PFIZER-BIONTECH ont été livrées à la France, pays qui compte moins de 6 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans. »

Par ailleurs, dans un document officiel de la Commission UE, on peut lire qu’« avant le début de l’année scolaire 2022-2023, il y a lieu de “considérer des stratégies pour accroître le taux de couverture vaccinale chez les jeunes enfants, par exemple en se coordonnant avec les pédiatres et d’autres professionnels de santé qui sont des sources d’information fiables pour les parents”.

La protéine spike est toxique pour le foie

Pour le “Journal of Hepatology”, la protéine spike est susceptible d’engendrer de graves lésions au foie.(([13] « Our case demonstrates conclusive evidence of vaccine-induced immune-mediated hepatitis with a rapid onset of liver injury after the first Moderna dose, which on re-exposure led to acute severe autoimmune hepatitis »
[« Notre cas démontre de manière concluante l’existence d’une hépatite à médiation immunitaire induite par un vaccin, avec une apparition rapide de lésions hépatiques après la première dose de Moderna, qui, lors d’une nouvelle exposition, a entraîné une hépatite auto-immune aiguë sévère. »]))

Jean-Marc Sabatier, Directeur de Recherches au CNRS, a expliqué que la protéine Spike du coronavirus peut engendrer ces effets toxiques hépatiques : « ces hépatites aiguës correspondent à une maladie de la Covid-19 et sont induites par un variant ou sous-variant émergent du SARS-CoV-2 (Omicron, XD, XE ou autres) ».

Ceci suggère ‘qu’il existe un risque qu’avec les nouveaux vaccins basés sur la protéine Spike d’Omicron, le même phénomène inflammatoire du foie puisse survenir chez les jeunes enfants vaccinés avec les nouveaux vaccins’.

Depuis plusieurs semaines, le narratif selon lequel la vaccination des enfants les protégerait contre l’Hépatite infantile se répand dans la presse aux ordres (subventionnée par nos impôts et Bill Gates).

On ne cherche pas du côté du vaccin vu que les enfants ne sont pas censés être vaccinés. C’est sans compter les 22 490 enfants vaccinés, certains selon un schéma complet, depuis 2021…

En mars 2021, la Société française de Pédiatrie affirmait que le COVID n’était pas une maladie pédiatrique, tout en autorisant l’injection d’un vaccin ARNm sur des enfants de 6 à 11 ans…’

Il est reconnu dans toute la littérature internationale que le COVID n’affecte les enfants que de manière très mineure. En deux ans d’épidémie Santé Publique France n’a recensé que 13 enfants de moins de 15 ans morts avec un test Covid positif, dont un seul d’entre eux ne souffrait pas d’autre maladie mortelle tandis que la grippe saisonnière tue en moyenne chaque année entre 7 et 10 enfants de cet âge. Le COVID perd en virulence au fil de ses mutations. Omicron s’est révélé plus contagieux, mais beaucoup moins virulent que les souches précédentes. Le prochain variant, s’il en émerge un, sera certainement encore moins toxique.

Il faut refuser ces vax qui n’ont aucune justification médicale chez l’enfant, car ils sont dangereux à court terme (myocardite, hépatite, etc.) et parce qu’on en ignore l’ensemble des effets à moyen et long terme.





Dogma #19. Printemps

[Source : dogma.lu]

Par Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

LA MAÎTRISE DU RÉEL IMAGINAIRE COMME ENJEU HUMAIN ET CITOYEN

« Les secrets des phénomènes sociaux ne sont pas dissimulés dans des caves improbables de l’édifice social ou dans les coulisses de la scène politique, mais sont directement observables dans les manifestations les plus immédiates de la vie quotidienne. Si les observateurs ne les voient pas, c’est essentiellement parce qu’ils ne veulent pas les reconnaître. » (Alexandre Zinoviev. L’occidentisme, essai sur le triomphe d’une idéologie. Paris, éditions Plon, 1995, p. 12.)

Il semble bien que contrairement aux apparences (et comme il avait déjà été vu bien sûr par certains) l’action conjointe de l’image fixe et animée, aujourd’hui surmultipliée par sa modélisation numérique, peut appauvrir « notre » réel imaginaire de telle sorte que sa trame rétrécisse tel un bas résille effilé.

Il ne s’agit cependant pas de réitérer la querelle (permanente) entre idolâtres de l’image et ses ennemis, mais de se demander si notre actuelle « soumission volontaire » ne va pas acquiescer à « l’effacement » de la distance entre divers sortes de « réels ». Ainsi l’intimité de plus en plus « ciblée » se verra à nouveau habitée par des séries d’éléments fantomatiques qui, parce qu’ils pourront partager ainsi notre « secret », nous feront seulement croire que nous les avons vécus et de façon réciproque.

Mais il y a aussi un autre danger. Le fait de se voir dicter en plus « la » perception « corrigée » par exemple en amour et en politique, sa santé, ses voyages, en un mot sa liberté qu’il faudra à chaque fois justifier puisqu’elle serait, livrée à elle-même, « liberticide » paraît-il. Ou le paradoxe du Menteur, constamment renouvelé comme il sera vu ici en divers textes et dessins…

INFORMATION : dorénavant (depuis le numéro 16, été 21…) et suite à de nombreuses demandes, DOGMA est enfin disponible en version papier, mais, pour le moment, uniquement sur le site d’Amazon.

CONTENU :

LA MAÎTRISE DU RÉEL IMAGINAIRE COMME ENJEU HUMAIN ET CITOYEN
Dr. Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

RELATION ENTRE L’ART ET LA CONSCIENCE
Par Monique Gelly

HINDU NONDUAL PHILOSOPHY, SPINOZA, AND THE MIND-BODY PROBLEM
by James H. Cumming

LA FABRICATION DES PERCEPTIONS
Par Joseph Stroberg

HOW DID THE WORLD’S MOST PROMINENT PUBLICATIONS TURN
INTO “TABLOID PRESS”?
by Dr. Oleg Maltsev

SUR QUELQUES FONDEMENTS DOCTRINAUX DES DESTRUCTEURS
Par Lucien Samir Oulahbib

LA PENSÉE COMPLEXE : SON ORIGINE ET SA FONCTION DE PIVOT UNIQUE
D’UNE MULTIPLICITÉ
Par Abdelkader Bachta

POURQUOI UN TEL DÉNI DES EFFETS GRAVES DES « VAX » ANTICOVID CHEZ
LES FEMMES ENCEINTES ?
Par le docteur Nicole Delépine 

LA DISPARITION
Par Rachel Viviane

LE  « PRÉCIS DE FOUTRIQUET » DE PIERRE BOUTANG
Par Lucien Samir Oulahbib

UN ENTRETIEN AVEC MARCEL LEROUX
L’ÉCHEC AVÉRÉ DES VACCINS COVID
Par le docteur Gérard Delépine

LE CHANT DE LA KUNDALINI (WILLIAM NÉRIA)
Par Lucien Samir Oulahbib

FLEEING EVIL: FRANCESCA, ULYSSES, MOHAMMED AND OTHER RIDDLES IN DANTE’S COMEDY
By Marco Antonio Andreacchio and Irena Elster

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Le rapport qui démontre la corruption des institutions supra-gouvernementales. Droits de l’homme dévoyés

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam



Je vous invite à prendre connaissance du discours prononcé par le Dr Grégor Puppinck, Directeur de l’ECLJ [Centre Européen pour la Loi et la Justice] au 4e Sommet transatlantique de Budapest le 27 mai 2022. Vous y découvrirez comment la corruption est la sève des institutions supranationales et sert l’agenda des eugénistes et autres défenseurs de programmes inavoués. Le problème soulevé par le Dr Puppinck est que finalement le principe des Droits de l’homme a été dévoyé de sa mission première pour servir les philanthropes qui détiennent Planète finance.

La transcription en français de la vidéo :

https://eclj.org/geopolitics/un/stop-au-financement-opaque-des-experts-de-lonu-

Discours prononcé par le Dr Grégor Puppinck, Directeur de l’ECLJ au 4e Sommet transatlantique de Budapest le 27 mai 2022.

Chers membres de gouvernements,

Chers membres de parlements,

Chers amis, collègues,

Mesdames et Messieurs,

Nous devons le reconnaître : les droits de l’homme posent de nombreux problèmes. Bien plus que ne le croyaient les générations précédentes de chrétiens-démocrates.

La plupart de ces problèmes ont une racine théorique, mais aujourd’hui je veux en dénoncer une très pratique.

Aujourd’hui, le but principal des droits de l’homme n’est plus de protéger la liberté de mener une vie décente, mais de servir d’instrument pour imposer la révolution gauchiste aux pays qui la refusent. Malheureusement, elle est devenue un instrument de domination idéologique – plutôt que de protection – sur des pays comme la Hongrie et la Pologne, ainsi que sur de nombreux autres pays du Sud.

Et pourquoi en est-il ainsi ? Que s’est-il passé ?

L’une des raisons est la corruption. Pas seulement la corruption des concepts, mais la corruption du système des droits de l’homme par des militants de la gauche radicale qui ont infiltré les institutions, et par des acteurs privés mondiaux tels que les fondations Gates, Soros ou Ford.

C’est ce que le Centre européen pour le droit et la justice a révélé dans ses récents rapports.

Entrons dans les détails.

Quelques fondations et entreprises privées exercent un contrôle croissant sur les institutions internationales. Par exemple, rien qu’en 2020, elles ont versé près d’un milliard et demi de dollars à l’UNICEF, plus d’un milliard de dollars à l’OMS, un demi-milliard de dollars au Haut-Commissariat aux réfugiés, etc. Même la Cour pénale internationale a reçu des financements de l’Open Society, tout comme le Conseil de l’Europe ou la Commission interaméricaine des droits de l’homme.

Simultanément à ces financements, ces fondations privées contribuent à définir les politiques des organisations internationales qu’elles financent. Il y a une raison à cela : Les institutions internationales ont un pouvoir mondial, mais cherchent de l’argent, tandis que les grandes fondations ont de l’argent mais cherchent un pouvoir mondial.

Je vais maintenant vous montrer comment fonctionne cette corruption à l’aide de quelques exemples.

À la Cour européenne des droits de l’homme, à Strasbourg, nous avons révélé qu’au cours des dix dernières années, au moins 22 des 100 juges étaient d’anciens employés ou responsables de sept ONG et fondations de gauche qui sont également actives devant la Cour en tant que requérants ou tierces parties, comme l’Open Society, Human Rights Watch, Amnesty International ou la Commission internationale des juristes. Parmi ces 22 juges, 12 sont d’anciens employés ou membres du conseil d’administration de l’Open Society de George Soros. De plus, les six autres ONG sont également financées par l’Open Society. Ceci démontre l’emprise de l’Open Society de George Soros sur la Cour.

Mais ce n’est pas tout !

Au moins 88 fois au cours de ces dix années, ces juges ont jugé des affaires introduites ou soutenues par leur propre ancienne fondation ou ONG, agissant à la fois comme juge et partie. Il s’agit de conflits d’intérêts flagrants.

Vous pouvez trouver tous les détails, et bien plus encore, dans notre rapport : Les ONG et les juges de la CEDH. À la suite de notre rapport, nous avons bien sûr subi de nombreuses attaques, mais la CEDH a fini par modifier ses règles éthiques et, pour la première fois, un membre du conseil d’administration de l’Open Society n’a pas été nommé juge.

La situation n’est pas meilleure à l’ONU, comme nous l’avons montré dans un autre rapport publié l’année dernière.

Nous avons révélé qu’une grande partie des rapporteurs spéciaux des Nations unies sont d’anciens salariés et dirigeants de fondations et d’ONG gauchistes, et qu’ils acceptent même des millions de dollars de ces fondations – notamment des fondations Ford et Open Society -, en dehors de tout contrôle des États et de l’ONU et en violation des règles éthiques de l’ONU.

Les rapporteurs spéciaux de l’ONU sont censés être des « experts indépendants », ayant une compétence mondiale sur des questions spécifiques. Ils sont au sommet de la machine des droits de l’homme et ont une influence considérable sur le droit mou des droits de l’homme.

Nous avons exploré tous les dossiers financiers disponibles et interviewé 27 rapporteurs spéciaux. Certains d’entre eux ont qualifié la situation de « corruption ». Dans notre rapport, nous avons décrit en détail comment les fondations paient et influencent l’agenda des experts de l’ONU. Mais pour être complet, je dois ajouter que plusieurs États – principalement des États occidentaux – ne se comportent pas mieux que les fondations et tentent également d' »acheter » des rapporteurs par des financements directs.

Je vais vous donner un exemple.

La fondation Open Society a versé 100 000 dollars en 2017 à un groupe féministe radical du New Jersey, dans le but explicite de, je cite « influencer un rapporteur spécial de l’ONU » pour qu’il écrive un rapport spécifique. Et c’est ce qu’il a fait. L’année suivante, Mme Fionnuala Ní Aoláin, la responsable de l’Open Society Women’s Program qui a donné l’argent est devenue elle-même Rapporteuse spéciale. Pendant ce temps, la directrice du lobbying du groupe féministe qui a reçu l’argent, Mme Melissa Upreti, est également devenue une experte des Nations Unies. Aujourd’hui, Mme Upreti est à la fois la présidente du groupe de travail des Nations Unies sur les droits des femmes et une lobbyiste privée qui cherche à influencer les Nations Unies sur les droits des femmes et l’avortement. Une fois de plus, il s’agit d’un conflit d’intérêts flagrant.

Le problème n’est pas seulement la corruption financière, mais aussi la corruption intellectuelle. Un autre exemple est l’actuel rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à la santé, Mme Mofokeng. En tant que médecin, elle a elle-même pratiqué des avortements, qu’elle a présentés comme « un acte radical d’amour de soi ». En plus de promouvoir l’avortement, elle milite également pour la légalisation de la prostitution, qu’elle décrit comme une forme ultime de féminisme.

Ce n’est pas seulement stupide, c’est diabolique. Parce que de telles personnes ruinent le système des droits de l’homme. C’est une honte.

Vous pouvez trouver les détails sur notre site web, dans le rapport intitulé Le financement des experts de l’ONU.

Mais l’Organisation mondiale de la santé est encore pire

Vous avez peut-être entendu parler de ses récentes lignes directrices sur l’avortement. Et devinez quoi ? Lorsque nous avons vérifié ses auteurs et son financement, une fois de plus, nous avons trouvé les mêmes groupes radicaux. Ces lignes directrices sur l’avortement ont été principalement rédigées par le lobby de l’avortement : par l’IPPF, le Center for Reproductive Rights et le Population Council. Et sans surprise, ces directives recommandent de légaliser l’avortement à la demande jusqu’à la naissance, et d’affaiblir les droits des parents et la liberté de conscience des médecins. Ces lignes directrices sont publiées en tant que document officiel de l’OMS, mais elles n’ont été approuvées par aucun État, mais seulement par un comité de soi-disant « experts indépendants » rempli d’activistes. Et devinez quoi ? Ce processus a été largement financé par la fondation de Warren Buffet qui a donné des millions de dollars au département de l’OMS qui a publié ces directives.

Ce n’est pas surprenant quand on sait que le directeur de ce département à l’OMS est Ian Askew, qui était auparavant directeur pour les questions d’avortement au Population Council, une organisation privée dont le but est de promouvoir l’eugénisme et le contrôle de la population dans le monde entier.

Ce n’est qu’un aperçu de la façon dont le système des droits de l’homme est corrompu.

Le système des droits de l’homme a été capturé par la gauche radicale et mondiale ; il est devenu leur instrument de domination. Nous devons le dénoncer et nous en libérer.

Nous ne devons pas accepter pas de nous soumettre à ces idéologues. Ils abusent de leurs mandats et des droits de l’homme.

Nous, chers conservateurs, sommes les seuls à pouvoir sauver les droits de l’homme de l’autodestruction. Parce que nous acceptons que Dieu existe, et qu’il a établi une loi naturelle en nous et au-dessus de nous qui est véritablement universelle et bonne.

Alors, s’il vous plaît, rejoignez-nous dans ce combat pour la justice.

Je vous remercie.

Pétition en faveur de l’arrêt du financement opaque de l’ONU :

https://eclj.org/philosophy/eu/the-corruption-of-human-rights—transatlantic-summit-iv-puppincks-speech

À l’attention de la Présidente du Haut-Commissariat aux droits de l’homme, Mme Michèle Bachelet.

Madame la Présidente,

Après une année de recherches, l’ECLJ a publié un rapport sur « Le financement des experts de l’ONU au titre des Procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme ».

Au terme de cette enquête, qui couvre la période 2015-2019, il apparaît que :

  • de nombreux titulaires de mandats se plaignent de ne pas recevoir un soutien suffisant de la part du Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH) ;
  • 40 % de leur budget provient de financements extrabudgétaires précaires ;
  • les financements extra-budgétaires affectés à un mandat spécifique ont presque doublé depuis 2015 ;
  • 37 experts ont reçu directement près de 11 millions de dollars, en dehors de tout contrôle des Nations unies, principalement de la part des fondations Ford et Open Society, et de sources anonymes ;
  • Ces financements directs ne font l’objet d’aucun contrôle du HCDH ;
  • Ces financements ne sont pas systématiquement déclarés ou le sont parfois de façon incomplète par les titulaires de mandats ;
  • Certains titulaires de mandat s’avèrent être en situation de conflit d’intérêts, étant rémunérés par des institutions privées ayant un agenda spécifique lié à leur mandat.

Il est urgent d’accroître la transparence financière des Procédures spéciales, afin de préserver leur indépendance et l’intégrité du système.

Sur la base de 28 entretiens tenus avec des experts, et au regard des problèmes causés par les financements extrabudgétaires spécifiques et par les financements directs du système des Procédures spéciales, il paraît raisonnable et utile de recommander :

  • L’obligation pour le HCDH de rendre compte annuellement aux titulaires de mandat de sa gestion du budget affecté à chaque Procédure spéciale ;
  • L’obligation de verser au HCDH tout financement extrabudgétaire des Procédures spéciales, et l’interdiction corrélative de tout financement direct des titulaires de mandat ;
  • L’obligation de publier les accords de financements ;
  • L’obligation de déclarer, dans chaque rapport, les soutiens et financements reçus pour sa réalisation ;
  • L’attribution d’une indemnité aux titulaires de mandats ;
  • L’augmentation du budget des Procédures spéciales.

Madame la Présidente, les signataires de cette lettre vous invitent instamment à consulter le rapport de l’ECLJ et à mettre à l’ordre du jour une réforme des financements des procédures spéciales, afin de garantir pleinement leur indépendance et de les préserver de toute influence illégitime.

Nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, l’expression de nos respectueuses salutations.

Le rapport auquel se réfère l’intervenant :

Corrompus jusqu’au cou, certains responsables de l’ONU, mais surtout de l’OMS, acceptent de mettre en place les exigences eugénistes en tant que thèmes prioritaires. Or, des dirigeants d’Etat, notamment les Occidentaux. sont favorables au transfert de leur souveraineté nationale en matière sanitaire vers cet organisme qui cache de moins en moins bien ses tireurs de ficelles. Chemin faisant, l’autorité de l’OMS bénéficierait alors d’un pouvoir souverain global, total et parfait sur la vie de l’humanité. Au nom bien sûr de l’égalité et des droits de l’homme.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/05/31/monkeypox-le-vaccin-rien-que-le-vaccin-retour-des-mesures-antisociales-a-prevoir/

Cet eugénisme qui tenaille les tripes des détenteurs de la puissance de feu monétaire et financière. Le rêve de bricoler ces 80% qui sucent les 20%…

Récemment, nous présentions l’infanticide comme outil formidable de l’eugénisme et éventuellement de la récupération de tissus humains utilisables dans le cadre des « travaux scientifiques » de Planète finance.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/31/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/06/06/voyage-au-bout-de-lenfer-des-vaccins-et-de-lusage-de-foetus-vendus-lhk/comment-page-1/

L’intérêt pour l’eugénisme est une vieille histoire

Eugénisme. Un mot qui représente le mal absolu qui a accompagné l’histoire de l’humanité depuis des milliers d’années. Cependant, grâce à la montée en puissance de la technologie (bio, nano, etc.), l’eugénisme a gagné en puissance au 19ème siècle où il fut porté par un certain Charles Darwin… Plus tard, son cousin Galton va structurer le mouvement et le faire gagner en ampleur des deux côtés de l’Atlantique.

Grâce à sa popularité au sein de l’élite anglo-saxonne, l’eugénisme va particulièrement obnubiler les dirigeants de toutes disciplines de deux régimes qui ont brillé par leur haine de l’humain: le nazisme et le soviétisme.

Ces deux systèmes que l’on voit renaître de leurs cendres, en ce 21ème siècle, étaient obsédés par la création d’un Homme nouveau, fruit d’une sélection génétique. Mais il faut aussi dire que les eugénistes cherchent à se débarrasser de tout groupe qui ne leur convient pas. Trop vieux, trop pauvres, trop malades, trop blancs, trop noirs, trop croyants, trop chrétiens, trop juifs, etc.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/02/22/leugenisme-linavouable-projet-scientiste-des-philanthropes-de-la-finance-la-wellcome-trust-foundation/

Il est très important de préciser que cette doctrine de l’Homme nouveau n’a été développée ni par les nazis, ni par l’URSS qui n’ont fait que la mettre en pratique. Elle vient en ligne droite de la célèbre Eugenics Education Society, fondée en 1907, puis développée par Francis Galton, cousin direct de Charles Darwin. Elle deviendra par la suite Eugenics Society en 1924, puis Galton Institute. Regardez qui en étaient les membres.

Vous y voyez des noms d’éminents influenceurs des décisions de la Communauté internationale de l’époque (Keynes un des architectes de Bretton Woods et du Bancor). Se trouve aussi en bonne position Margaret Sanger dont les oeuvres sont défendues par des générations de la famille Gates. L’argent de cette famille coule à flot depuis de nombreuses décennies en direction de Planned Parenthood de Margaret Sanger. Regardez ce qu’elle avait osé écrire:

https://lilianeheldkhawam.com/2020/09/17/une-pierre-angulaire-de-larchitecture-du-nouveau-monde-a-ete-retiree-lempire-gates-a-perdu-son-capitaine-lhk/

Arrive par la suite la création de l’American Eugenics Society. voici quelques-uns de ses fondateurs:

https://eugenicsarchive.ca/discover/tree/5233e53d5c2ec500000000e2

On retrouve dans la société américaine certains membres fondateurs de la grande soeur britannique. Sans surprise, apparaît le nom de JP Morgan, la banque qui tient les pays de la planète par la création monétaire contre dettes publiques.

A noter la présence de l’économiste Irving Fisher, le père du revenu universel… Vous comprenez immédiatement les liens entre eugénisme, monnaie, dettes, revenu universel et crédit social…

https://lilianeheldkhawam.com/2018/04/13/monnaie-pleine-qui-est-le-pere-de-ce-concept-lhk/

Le musée et les archives de ces sociétés sont soigneusement gardés par la Wellcome Trust, alliée indéfectible de Gates dans leur croisade vaccinale planétaire. Oui, ces philanthropes de BigPharma s’intéressent à la santé de l’humanité.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/02/22/leugenisme-linavouable-projet-scientiste-des-philanthropes-de-la-finance-la-wellcome-trust-foundation/

Au vu de ce qui précède et au vu de la monstruosité du projet qui nous est imposé au quotidien, je me permets de rappeler ici 2 anciennes publications:

https://lilianeheldkhawam.com/2021/10/23/le-chef-de-loms-a-t-il-ete-un-des-acteurs-cles-qui-se-seraient-livres-a-des-meurtres-et-auraient-autorise-la-detention-arbitraire-et-la-torture-dethiopiens/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/20/onu-oms-une-education-sexuelle-explosive-pour-revolutionner-lhumain-dossier-vincent-held/

Je finirai avec deux réflexion:

  • l’opinion publique est essentielle dans le Nouveau Monde. Votre opinion compte.
  • que vous soyez dans ou hors du système, vos enfants/petits-enfants ont besoin de votre intervention dès aujourd’hui.

Un grand merci au Dr Grégor Puppinck qui porte à bout de bras les dérives des Droits de l’homme.

LHK

Les parlementaires pointaient du doigt un risque de conflits d’intérêts parmi les juges de la Cour européenne des droits de l’homme, reprenant à leur compte
 les conclusions d’un rapport du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ) montrant que sur la centaine de juges qui ont siégé à la CEDH depuis dix ans, vingt-deux d’entre eux émanaient directement d’une même ONG ou d’associations financées par cette ONG, l’Open Society. Ce rapport recensait surtout 88 affaires dans lesquelles l’une des ONG affiliées à l’Open Society était impliquée, et où l’un au moins des juges saisis émanait de la même association. Depuis 2009, «on observe seulement douze cas de déports dans lesquels un juge s’est retiré d’une affaire en raison, semble-t-il, d’un lien avec une ONG impliquée dans l’affaire» notait encore l’ECLJ.
 https://www.lefigaro.fr/international/le-conseil-de-l-europe-se-penche-sur-l-independance-de-la-cour-europeenne-des-droits-de-l-homme-20210422



Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité

[Source : anguillesousroche.com]

Dans le passé, si vous osiez suggérer que le monde était contrôlé par des « élites » psychopathes maléfiques, déterminées à asservir la race humaine, vous étiez considéré comme un « théoricien du complot » portant un chapeau en aluminium et on vous disait probablement que vous deviez sortir davantage. Comme les temps changent. Avance rapide jusqu’en 2022 et les élites psychopathes maléfiques n’essaient même pas de prétendre qu’elles ne sont pas déterminées à détruire nos vies.

Par le biais de ses sommets annuels de Davos, le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab tente de légitimer et de normaliser son influence sur le monde en faisant en sorte qu’un panel de leaders mondiaux participent et s’expriment lors de l’événement.

Un rapide coup d’œil à la liste des participants à ces réunions révèle l’incroyable portée et influence de l’organisation. Les plus grands noms des médias, de la politique, des affaires, de la science, de la technologie et de la finance sont représentés au FEM.

Selon les médias grand public, les réunions de Davos rassemblent les grands et les petits pour discuter de questions telles que « l’inégalité, le changement climatique et la coopération internationale ». Cette description simpliste semble faite sur mesure pour provoquer un bâillement d’ennui chez le citoyen moyen. Mais les sujets abordés au FEM sont bien plus profonds et plus sombres que les « inégalités ».

Rapport de Vigilant Citizen : Au fil des ans, les participants au FEM ont tenu des propos très inquiétants, qui n’ont jamais retenu l’attention des médias. En fait, lorsque l’on rassemble les sujets défendus par le FEM, un thème dominant émerge : Le contrôle total de l’humanité en utilisant les médias, la science et la technologie, tout en remodelant les démocraties pour former un gouvernement mondial.

Lorsque l’on parle de « l’élite mondiale », on fait généralement référence à un petit groupe d’individus riches et puissants qui opèrent au-delà des frontières nationales. Par le biais de diverses organisations, ces personnes non élues se réunissent dans le plus grand secret pour décider des politiques qu’elles souhaitent voir appliquées au niveau mondial.

Le Forum économique mondial (FEM) se trouve en plein milieu de tout cela. En effet, par le biais de ses réunions annuelles de Davos, le FEM tente de légitimer et de normaliser son influence sur les nations démocratiques du monde en invitant un panel de leaders mondiaux à participer et à s’exprimer lors de l’événement.

Un simple coup d’œil à la liste des participants à ces réunions révèle l’incroyable portée et influence de l’organisation. Les plus grands noms des médias, de la politique, des affaires, de la science, de la technologie et de la finance sont représentés au FEM.

Page 34 (sur 58) de la liste des participants à la réunion de Davos de 2022. Grands noms, grandes entreprises, grande influence.

Selon les médias, les réunions de Davos rassemblent des personnes pour discuter de questions telles que « l’inégalité, le changement climatique et la coopération internationale ». Cette description simpliste semble faite sur mesure pour provoquer un bâillement d’ennui chez le citoyen moyen. Mais les sujets abordés au FEM vont bien au-delà des « inégalités ».

Au fil des ans, les participants au FEM ont tenu des propos très dérangeants, qui n’ont pas suscité l’attention des médias. En fait, lorsque l’on rassemble les sujets défendus par le FEM, un thème primordial émerge : Le contrôle total de l’humanité en utilisant les médias, la science et la technologie, tout en remodelant les démocraties pour former un gouvernement mondial.

Si cela ressemble à une théorie du complot tirée par les cheveux, continuez à lire. Voici les 10 choses les plus dystopiques qui sont poussées par le FEM en ce moment. Cette liste triée n’est pas dans un ordre particulier. Parce qu’elles sont toutes aussi folles les unes que les autres.

[Voir aussi :
Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Tous surhumains demain?
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Great Reset : le « monde d’après » est un cauchemar
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend
Great reset : c’est pour bientôt !
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux]

#10 Infiltrer les gouvernements

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Klaus Schwab, le fondateur et le chef du FEM, n’est pas un fan de la démocratie. En fait, il la perçoit comme un obstacle à un monde entièrement globalisé.

Dans le rapport 2010 du FEM intitulé « Global Redesign », Schwab postule qu’un monde globalisé est mieux géré par une « coalition auto-sélectionnée de sociétés multinationales, de gouvernements (y compris par le biais du système des Nations unies) et d’organisations de la société civile (OSC) sélectionnées ». C’est exactement le contraire d’une démocratie.

Il a fait valoir que les gouvernements ne sont plus « les acteurs dominants sur la scène mondiale » et que « le temps est venu d’un nouveau paradigme de gouvernance internationale ». Pour cette raison, le Transnational Institute (TNI) a décrit le FEM comme « un coup d’État mondial silencieux » pour s’emparer de la gouvernance.

En 2017, à la John F. Kennedy School of Government de Harvard, Schwab a admis sans ambages ce qui est continuellement rejeté comme une « théorie du complot » par les médias de masse : Le FEM « infiltre » les gouvernements du monde entier.

Head of the World Economic Forum Klaus Schwab at Harvard’s John F. Kennedy School of Government in 2017:

“What we are very proud of, is that we penetrate the global cabinets of countries with our WEF Young Global Leaders… like Trudeau”pic.twitter.com/D6odR5mqI6

— Maajid أبو عمّار (@MaajidNawaz) January 25, 2022

Schwab a déclaré :

« Je dois dire que lorsque je cite des noms, comme celui de Mme (Angela) Merkel et même celui de Vladimir Poutine, etc., ils ont tous été des jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes très fiers aujourd’hui, c’est de la jeune génération, comme le premier ministre [Justin] Trudeau, le président de l’Argentine, etc.

Nous infiltrons les cabinets. Ainsi, hier, j’étais à une réception pour le Premier ministre Trudeau et je sais que la moitié de son cabinet, ou même plus de la moitié de son cabinet, sont en fait des Young Global Leaders du Forum économique mondial. (…) C’est vrai en Argentine et c’est vrai en France, avec le président – un Young Global Leader. »

Dans cet exposé exceptionnel, Schwab a déclaré sans ambages qu’Angela Merkel d’Allemagne, Vladimir Poutine de Russie, Justin Trudeau du Canada et Emmanuel Macron de France ont été « préparés » par le FEM. Il ajoute même qu’au moins la moitié du cabinet canadien est composée de représentants vendus à l’agenda du FEM. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot. C’est la vérité absolue, confirmée par le chef du FEM lui-même.

#9 Contrôler les esprits à l’aide d’ondes sonores

En 2018, l’un des sujets de discussion du FEM était « Le contrôle des esprits à l’aide d’ondes sonores » (lisez mon article complet à ce sujet ici). Je n’ai pas modifié ce titre pour faire du sensationnalisme, ce sont exactement les mots utilisés par le FEM.

C’est le titre d’un article réel publié sur le site officiel du FEM. Il a été supprimé pour des raisons obscures, mais il est toujours consultable dans les archives du site.

Dans cet article, la technologie est présentée comme un traitement possible des maladies de Parkinson et d’Alzheimer. Toutefois, l’article indique également qu’« elle peut vous guérir, vous rendre dépendant et vous tuer ». Elle peut également être utilisée pour contrôler complètement l’esprit d’une personne, à distance. L’article précise :

« Je vois venir le jour où un scientifique sera capable de contrôler ce qu’une personne voit dans son esprit, en envoyant les bonnes ondes au bon endroit dans son cerveau. Je pense que la plupart des objections seront semblables à celles que nous entendons aujourd’hui à propos des messages subliminaux dans les publicités, mais beaucoup plus véhémentes.

Cette technologie n’est pas sans risque de mauvaise utilisation. Il pourrait s’agir d’une technologie de soins de santé révolutionnaire pour les malades, ou d’un outil de contrôle parfait permettant aux impitoyables de contrôler les faibles. Mais cette fois, le contrôle serait littéral. »

La conclusion de l’article : Personne ne peut empêcher les scientifiques de développer cette technologie. Pour éviter toute utilisation abusive, elle devrait être réglementée par des organisations telles que … le FEM. C’est pratique car certaines entreprises développant cette technologie font partie du FEM. Vous voyez où cela nous mène ?

#8 Des pilules qui contiennent des micro-puces

Une fois de plus, ce titre ressemble à une théorie du complot farfelue, habilement formulée pour faire du sensationnel. Ce n’est pas le cas. Voici une vidéo de la réunion 2018 du FEM où Albert Bourla, le PDG de Pfizer, parle de pilules contenant des micropuces.

https://www.youtube.com/embed/1NR1b2NmD4A

Bourla a dit :

« La FDA a approuvé la première ‘pilule électronique’, si je peux l’appeler ainsi. Il s’agit essentiellement d’une puce biologique qui se trouve dans le comprimé et, une fois que vous avez pris le comprimé et qu’il s’est dissous dans votre estomac, elle envoie un signal indiquant que vous avez pris le comprimé. Imaginez donc les applications de ce système, la conformité. Les compagnies d’assurance sauraient que les médicaments que les patients doivent prendre, ils les prennent effectivement. C’est fascinant ce qui se passe dans ce domaine. »

Ce domaine est-il vraiment fascinant ? Ou tout à fait dystopique ? Comme l’a dit Bourla lui-même : Imaginez la conformité. Ce type de technologie pourrait facilement ouvrir la porte à toutes sortes d’applications néfastes. Depuis lors, COVID a placé Pfizer dans une position de pouvoir jamais vue pour une entreprise pharmaceutique.

Tout comme Pfizer, le FEM utilise le COVID pour faire avancer son agenda.

#7 Faire l’éloge des confinements brutaux

En 2020 et 2021, des villes du monde entier ont été soumises à des confinements massifs et drastiques, provoquant des pertes d’emplois, des suicides, des overdoses de drogues, l’isolement, des problèmes de santé mentale, des violences domestiques, des faillites et des sans-abris. Pendant cette période horrible, les enfants n’ont pas pu aller à l’école pendant des mois et n’ont pas pu interagir avec d’autres enfants. Un grand nombre de petites et moyennes entreprises ont été détruites alors que les grandes sociétés se démenaient.

Malgré tout cela, le FEM n’a pas pu cacher son amour pour les fermetures drastiques et destructrices de vies. En fait, il a publié une vidéo intitulée de façon surréaliste « Les confinements améliorent tranquillement les villes du monde entier ». Voici ce morceau de folie totale.

https://www.youtube.com/embed/fb6U8xkn8jM

La vidéo indique que « Les confinements ont considérablement réduit l’activité humaine … conduisant à la période la plus calme de la Terre depuis des décennies », tout en montrant des images dystopiques de villes vides et d’avions bloqués au sol.

Ignorant complètement l’immense souffrance humaine causée par ces confinements, le FEM a considéré que tout cela en valait la peine car « les émissions de carbone ont diminué de 7% en 2020 ».

Lorsque cette vidéo a été publiée pour la première fois, elle a suscité de vives réactions. Le FEM a donc supprimé la vidéo ci-dessus et posté ce tweet.

Comme vous pouvez le voir, malgré la suppression de la vidéo, le FEM a continué à faire l’éloge des confinements. C’est parce que le FEM aimerait voir la vie « covidienne » devenir permanente.

#6 « Jetez un coup d’œil à l’avenir »

À en juger par les commentaires sur YouTube et les médias sociaux, les gens détestent absolument les vidéos créées par le FEM. Mais ils continuent à venir. Parce qu’ils ne se soucient pas de ce que vous pensez. Ils veulent juste planter leur graine d’insanité dans votre esprit. Dans une vidéo intitulée « How our lives could soon look » (lisez mon article complet à ce sujet ici), le FEM invite les spectateurs à « jeter un coup d’œil au futur ». Et il est BRUTAL. Il s’agit de rendre la vie du COVID permanente.

La vidéo est remplie de personnes masquées, de distributeurs de gel et de QR codes. C’est le futur qu’ils veulent. Ensuite, il y a cette pépite de folie.

Non. Allez-vous en.

La vidéo dit fièrement :

« La NASA a inventé un système qui peut vous identifier à partir des battements de votre cœur en utilisant un laser. »

Comme si cela ne suffisait pas, la vidéo montre des enfants coincés à la maison et scolarisés à travers des écrans. La vidéo se termine en montrant des personnes portant des masques à l’extérieur, comme des fous.

AUCUN. Allez-vous en.

#5 Pousser à une Grande Réinitialisation

Comme indiqué ci-dessus, le FEM perçoit la pandémie comme une « opportunité ». Il ne s’agit pas seulement d’une opportunité de remodeler notre existence personnelle mais de restructurer la structure mondiale entière selon ses principes. Le FEM l’appelle « la Grande Réinitialisation ». Pour promouvoir cette réinitialisation (dont absolument personne ne veut), le FEM a publié une vidéo de propagande (elle correspond vraiment à la définition de « propagande »). La voici dans toute sa folie.

https://www.youtube.com/embed/uPYx12xJFUQ

Cette courte vidéo parvient à contenir une quantité incroyable de messages subversifs. Elle ridiculise même les « théories du complot » tout en les confirmant, de manière stupéfiante.

Une capture d’écran de la vidéo. Vous êtes sérieux ?

La vidéo annonce également la « mort du capitalisme ».

Une autre capture d’écran surréaliste de la vidéo.

Alors que le capitalisme est basé sur un système d’autorégulation de l’offre et de la demande, le Great Reset cherche à redéfinir la manière dont les entreprises sont évaluées à travers de nouveaux paramètres. Le principal d’entre eux : La conformité avec les agendas sociaux et politiques de l’élite.

Vers la fin, le narrateur prononce cette phrase énigmatique :

« Et il s’agit de mettre les bonnes personnes au bon endroit au bon moment. »

Bien que la vidéo n’explique pas vraiment ce que cette phrase signifie dans des situations réelles, ses implications sont plutôt effrayantes. Au lieu de permettre aux individus et aux entreprises qui réussissent de se développer organiquement, le système de l’élite s’ingénierait à « mettre les bonnes personnes au bon endroit au bon moment », conformément à son programme. En d’autres termes, le système serait truqué et la conformité à un agenda plus large serait obligatoire dans une nouvelle économie.

La vidéo se termine par un appel aux téléspectateurs à s’impliquer. Cependant, bien sûr, vous n’êtes pas réellement invité au FEM. En fait, ils cherchent à « recalibrer » votre liberté d’expression.

#4 « Recalibrer » la liberté d’expression

Un moyen facile d’identifier les leaders mondiaux qui sont préparés par le FEM est de les voir s’élever sans cesse contre la liberté d’expression. Ils la détestent absolument et demandent constamment qu’Internet soit censuré et fortement réglementé. Lors de la réunion de Davos en 2022, la « commissaire à l’e-sécurité » australienne Julie Inman Grant a déclaré que nous avions besoin d’un « recalibrage de la liberté d’expression ».

Grant a déclaré :

« Nous nous trouvons dans une situation où la polarisation augmente partout et où tout semble binaire alors que ce n’est pas nécessaire. Je pense donc que nous allons devoir réfléchir à un recalibrage de toute une série de droits de l’homme qui se jouent en ligne. Vous savez, de la liberté d’expression à la liberté d’être libre de la violence en ligne. »

Ici, Grant appelle essentiellement à la censure. Elle croit même que la liberté d’expression en tant que droit de l’homme devrait être « recalibrée » en utilisant la « violence en ligne » comme excuse. La « violence en ligne » n’existe pas. Ils adorent assimiler la parole à la violence. C’est une façon extrêmement manipulatrice de justifier la censure à la chinoise.

La liberté d’expression est, en fait, binaire. Soit elle existe, soit elle n’existe pas. Et ils ne veulent clairement pas qu’elle existe.

#3 Le suivi de vos vêtements

Le FEM veut contrôler vos vêtements. Et ils ont fait une vidéo à ce sujet. Ai-je mentionné que les gens détestent absolument les vidéos du FEM ? En voici une autre qui a fait bouillir le sang des gens.

https://www.youtube.com/embed/h8SWY6_b67A

Utilisant l’environnement comme excuse (comme d’habitude), le FEM a annoncé l’arrivée de vêtements dotés de « passeports numériques » pouvant être tracés à tout moment. Soutenus par Microsoft (bien sûr), ces vêtements vont apparemment inonder le marché d’ici 2025.

Ils veulent vraiment des puces RFID et des QR codes partout.

Selon le FEM, ces puces permettront aux marques de mode de revendre leurs vêtements. Je n’ai aucune idée de comment cela pourrait fonctionner. La vidéo s’assure de ne PAS mentionner que cette technologie serait un excellent moyen de suivre ceux qui ont abandonné leurs smartphones.

Mais se débarrasser de son smartphone pourrait devenir… impossible.

#2 « Les smartphones seront dans votre corps d’ici 2030 »

Lors de la réunion de Davos 2022, la PDG de Nokia, Pekka Lundmark, a affirmé que, d’ici 2030, « les smartphones seront implantés directement dans le corps ». Cela coïnciderait avec l’arrivée de la technologie 6G, qui devrait être lancée à la fin de la décennie.

https://www.youtube.com/embed/LJpBJAHqY0M

Depuis des années, ce site documente la poussée incessante de l’élite vers le transhumanisme, qui consiste à fusionner les humains avec les machines. Ils cherchent à accélérer cette transition en rendant les choses dont les gens ne peuvent se passer (comme les smartphones) disponibles sous une forme transhumaniste.

Avez-vous remarqué leur empressement effrayant à insérer des objets dans nos corps ?

#1 « Vous ne posséderez rien. Et vous serez heureux. »

C’est probablement le moment le plus dystopique de l’histoire du FEM. En 2016, Ida Auken, membre du Parlement danois, a déclaré :

« Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n’ai aucune vie privée, et la vie n’a jamais été aussi belle. »

Le FEM a tellement aimé cette citation qu’il l’a reprise sur Twitter.

Le FEM a également créé une vidéo (que tout le monde a absolument détestée) intitulée « 8 prédictions pour le monde en 2030 ». Voici une capture d’écran.

Le FEM adore formuler ses « prédictions » sous une forme inconditionnelle, comme si elles étaient inévitables. Mais regardez ce type souriant. Il est clairement heureux. Merci au FEM !

Un article sur le site du FEM explique :

« Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil électroménager ni aucun vêtement », écrit la députée danoise Ida Auken. Le shopping est un lointain souvenir dans la ville de 2030, dont les habitants ont craqué l’énergie propre et empruntent ce dont ils ont besoin à la demande. Tout cela semble utopique, jusqu’à ce qu’elle mentionne que le moindre de ses mouvements est suivi et qu’à l’extérieur de la ville vivent des nuées de mécontents, vision ultime d’une société coupée en deux.

Dans ce futur dystopique, il n’y a pas de produits que l’on peut posséder. Seulement des « services » qui sont loués et livrés par des drones. Ce système rendrait tous les humains complètement dépendants des entreprises contrôlées par le FEM pour chaque besoin fondamental. Il n’y aurait absolument aucune autonomie, aucune liberté, et aucune vie privée. Et vous serez heureux.

Mention honorable : Suivi individuel de l’empreinte carbone

Lors de la réunion de Davos 2022, le président d’Alibaba Group, J. Michael Evans, a annoncé le développement d’un « tracker individuel de carbone ».

Une fois de plus, le FEM utilise l’environnement pour promouvoir la micro-gestion du comportement humain. Evans affirme que le tracker peut surveiller « où ils voyagent, comment ils voyagent, ce qu’ils mangent et ce qu’ils consomment sur la plateforme ».

Notez qu’il a utilisé le pronom « ils » et non « nous » parce qu’il n’y a aucune chance qu’il utilise cette chose. Moi non plus.

En conclusion

En examinant cette liste, deux thèmes communs deviennent évidents. Le premier thème est « l’infiltration ». Le FEM veut infiltrer les gouvernements en utilisant les « Global Leaders » (alias les candidats mandchous). Il veut également infiltrer nos corps par le biais de pilules, de micropuces et de vaccins. Il veut aussi infiltrer nos esprits en utilisant les ondes sonores, la censure et la propagande.

L’autre thème est le « contrôle ». Ils veulent contrôler ce que nous pensons, où nous allons, ce que nous disons, ce que nous mangeons et ce que nous portons.

Savez-vous qui est d’accord avec le FEM ? La Chine. La censure est répandue, un système de crédit social contrôle les comportements des gens et le COVID est toujours utilisé comme excuse pour des confinements massifs et un contrôle total de la population. Sans parler des camps de concentration au sens propre. Malgré tout cela, les officiels chinois sont constamment présents aux réunions du FEM. Pourquoi ? Parce que la Chine est en fait un laboratoire pour les politiques du FEM.

Tout cela étant dit, comment pouvons-nous contrer la folie du FEM ? Comment pouvons-nous les chasser s’ils n’ont jamais été élus ? Une première étape serait d’élire – à tous les niveaux du gouvernement – des représentants qui ne veulent rien avoir à faire avec le FEM. Si nos élus traitaient le FEM comme l’organisation illégitime et voyou qu’il est, son influence serait grandement réduite.

Deuxièmement, nous pouvons boycotter toutes les entreprises qui font partie du FEM. Je réalise que c’est plus facile à dire qu’à faire car beaucoup de ces entreprises sont des monopoles virtuels. Cependant, si nous cessons de leur donner notre argent, elles cesseront d’utiliser notre argent pour empoisonner nos vies.

Alors, elles ne posséderont plus rien. Et nous serons tous heureux.




Sans soignants ni médecins, pas de soins

Par Nicole Delépine

Exigeons la réintégration IMMÉDIATE ET DÉFINITIVE des soignants et l’arrêt de l’injection dangereuse

En déplacement le 29 avril dernier dans les Hautes-Pyrénées, Emmanuel Macron avait été interpellé. « Si ça continue de baisser dans les prochaines semaines, on ira dans cette direction ». Ce mardi : « J’attendrai que le Conseil scientifique dise que l’on est rentré dans une phase qui permet sans difficulté ce retour. Mais plus largement, moi je veux que dans notre pays, on aille au bout de cette logique par la pédagogie et la conviction du rapport à la vaccination chez les soignants ».

Ça deviendrait drôle si ce n’était pas si tragique !! Comment pourrait-on convaincre qui que ce soit de l’intérêt d’une injection qui ne protège pas des contaminations ni des formes graves.

Les données officielles de l’OMS montrent en effet que la généralisation des injections n’a pas du tout ralenti l’épidémie, bien au contraire :

De plus l’aggravation du nombre des contaminations a touché surtout les pays les plus vaccinés :

Cette augmentation des contaminations dans les pays les plus vaccinés a entraîné une surmortalité Covid dans les pays adeptes des injections, montrant qu’elles ne protègent pas des formes graves :

De plus, contrairement à ce qu’affirment en chœur médias et gouvernements, les complications post vaccinales sont nombreuses et graves. Elles ont déjà entraîné plus de 70 000 morts directs dans le monde et des centaines de milliers d’accidents dont certains graves et avec handicaps définitifs ? Certain qu’avec la matraque et la privation de tous revenus (même du RSA !) dans une société qui prône quotidiennement la non-discrimination et l’égalité il est plus facile d’accepter l’injection même quand on est vaccino prudent.

“Alors que, depuis la suspension des soignants non vaccinés, l’hôpital public implose, Macron vient de proférer une nouvelle cascade de mensonges sur la question des soignants non vaccinés, affirmant péremptoirement que 95 % des soignants sont vaccinés et qu’une « infime minorité » a un problème de déontologie. C’est une façon bien curieuse de passer sous silence les méthodes comminatoires utilisées par le pouvoir pour convaincre les 40 % de réticents, à l’été 2021, de subir une injection dangereuse [et inefficace].”

Pourquoi Macron ne peut pas réintégrer les soignants non vaccinés suspendus (Par Éric Verhaeghe 1er juin 2022)

Il est bien évident que la majorité des soignants, des pompiers et bien d’autres a cédé à la pression pour la vaccination pour différentes raisons, mais certainement pas pour des raisons déontologiques. Ce sont des « malgré nous » comme les Français nés en Alsace-Lorraine avant 1939 et qui étaient enrôlés de force dans la Wehrmacht s’ils ne parvenaient pas à rejoindre le maquis.

Tous connaissent le serment d’Hippocrate, la déclaration d’Helsinki à la suite du code de Nuremberg et la convention d’Oviedo que la France a signés et qui stipulent  : un médicament, un essai ne peuvent être imposés et nécessitent le CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ DU PATIENT. C’EST UN IMPÉRATIF CATÉGORIQUE DE NOTRE EXERCICE.

Les soignants ont rapidement découvert les effets secondaires des injections chez leurs patients même si la censure a été imposée à tous pour éviter les ennuis professionnels. Et comme progressivement la découverte de l’inefficacité sur les contaminations et maintenant sur les formes graves en décourage beaucoup à accepter la troisième ou quatrième dose.

Il est probable que le président va tout faire pour imposer une vaccination obligatoire y compris aux enfants en septembre, mais il est douteux qu’il y parvienne. En attendant il est évident que réintégrer les soignants suspendus ne lui faciliterait pas la tâche assignée par l’ordre mondial et l’UE, vacciner, vacciner encore et encore, tenter d’injecter les doses avant leur péremption et surtout de rendre encore plus soumis le peuple déjà injecté.

Déclarations de la commissaire européenne :

Une fiche d’information intitulée « COVID-19 — Sustaining EU Preparedness and Response: Looking ahead », qui a été publiée par la Commission européenne le même jour, le 27 avril, réitère le point de vue de Mme von der Leyen. La première section s’intitule “Accroître le recours à la vaccination contre le COVID-19” et le premier point se lit comme suit :

Les États membres doivent augmenter le taux de vaccination et l’administration des rappels et des quatrièmes doses pour ceux qui sont éligibles. Ils devraient également augmenter la vaccination des enfants.

L’accent est mis ici sur l’original. Le deuxième point continue :

Les États membres devraient préparer des stratégies de vaccination contre le COVID-19 pour les mois à venir en tenant compte de la circulation simultanée de la grippe saisonnière et intégrer la vaccination contre le COVID-19 dans les programmes de vaccination nationaux.

Le 12 mai, la commission spéciale du Parlement européen sur la pandémie de COVID-19 (COVI), récemment créée, a organisé une séance de questions-réponses avec la commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides.”

Il est difficile envers soi-même de s’avouer une erreur potentielle sans se mettre en dissonance cognitive et aussi de s’opposer à la logique de groupe. Dans les deux cas, il est plus facile de suivre le courant apparemment majoritaire.

SAUVER L’HÔPITAL N’EST PAS L’OBJECTIF DU GOUVERNEMENT

Personne ne peut penser que ce gouvernement voudrait régler la crise des urgences et de l’Hôpital public, alors qu’il a continué à fermer des lits depuis cinq ans et qu’il ne desserre pas le carcan bureaucratique qui l’étouffe ? Durant son premier mandat il n’a pas réévalué les salaires des soignants, il n’a pas supprimé pas le harcèlement administratif qu’ils subissent des cadres de soins et des directions.

La crise des urgences n’est que la partie émergée de l’iceberg même si elle touche plus de 120 services et que la catastrophe s’approche avec les vacances. C’est l’ensemble du système de santé qui est en passe de disparaître, public comme privé, car globalement sous le joug de l’État via les agences régionales de santé et les nombreux observatoires, et chacun impose ses directives souvent contradictoires et toujours autoritaires. La partie privée du système n’est pas épargnée : les normes, les structures imposées, comme comité du médicament, de la douleur, des maladies nosocomiales, etc. relèvent de l’administration imposée, et consomment temps et argent inutilement.

LE VRAI PRIVÉ INDÉPENDANT N’EXISTE PLUS

L’exemple qui sera démonstratif pour tous est l’interdiction faite aux cliniques privées de recevoir les patients covid dans les lits libérés pour les malades covid (à l’exception de quelques cliniques de la région parisienne), alors que les hôpitaux publics étaient soi-disant débordés et que le pouvoir mettait en scène des transferts lourds et coûteux à des centaines de Kms du lieu de résidence du patient, et ce malgré des lits vides à proximité.

Les lits privés avaient été fermés par les ARS par un décret signé par le Premier ministre Édouard Philippe dans le cadre du Plan Blanc en mars 2020. Les chirurgiens ne pouvaient opérer que les urgences considérées comme telles par l’ARS locale, le patient comme le chirurgien ne pouvant décider du degré d’urgence. Nous avons atteint des sommets de délire pendant cette période qui démontre bien l’absence de liberté de soigner et d’être soigné en France en public comme en pseudo privé.

Les services privés comme publics doivent remplir les critères décidés par la haute autorité de santé et les ars pour obtenir leur accréditation : en cancérologie par exemple, il faut entrer un grand nombre de patients dans les essais thérapeutiques pour continuer à avoir l’autorisation de soigner les patients relevant de la spécialité. En chirurgie, il existe des quotas : un nombre d’opérés dans l’année pour cancer de la prostate par exemple, etc.. En hématologie, il faut démontrer que l’on reçoit un nombre suffisant de patients pour rester ouverts.

Il ne faut pas entrer dans le combat privé-public, tel que présenté. Le pouvoir veut effectivement fermer toutes les petites structures privées, au bénéfice des grands groupes dans lesquels comme dans les hôpitaux publics, les médecins n’ont plus rien à voir dans l’organisation des soins, ni des choix thérapeutiques. L’évolution des EHPAD offerts à Orpea ou Korian a démontré et présagé l’avenir des établissements hospitaliers si on laisse faire le mondialisme.

Les défenseurs de l’hôpital public devraient envisager la globalité du problème pour reconstruire sans se faire manipuler par des mesurettes censées nous calmer.

DIVISER POUR RÉGNER ?

DES MILLIERS D’EUROS DE TROP-PERÇUS ET LAISSÉS EN CADEAU PAR LA CPAM AUX CHANCEUX « Vous l’avez bien mérité ». Le scandale des soignants surpayés pendant la campagne de vaccination relève-t-il de la mauvaise gestion ou bien de la manipulation. Rappelons les faits.(([1] https://actu.fr/societe/vaccin-contre-le-covid-19-ces-soignants-revelent-avoir-ete-surpayes-par-l-assurance-maladie_50509574.html ))

Ces soignants révèlent avoir été surpayés par l’Assurance Maladie.

Des soignants libéraux auraient touché des milliers d’eurosde trop-perçu durant la crise du Covid-19 pour leur participation aux campagnes de vaccination. « J’ai reçu plus de 6 500 euros de la CPAM(([2] Caisse primaire d’assurance maladie)) en un an, et rien de tout cela ne m’est dû », révèle à actu.fr Éric*, infirmier libéral.

Il dénonce un vide administratif sur lequel la CPAM aurait fermé les yeux. Un vide qui participerait à la dette de l’Assurance Maladie. Éric ne souhaite pas conserver cet argent, mais il indique se heurter à l’inaction de l’administration. La faille : l’enregistrement des patients dans les centres de vaccination contre le Covid-19”.

En août 2021, Éric voit apparaître sur son compte la somme de 3 000 euros, versée par la CPAM. « Je les ai appelés, et on m’a dit que c’était lié aux actes d’enregistrement dans les centres », raconte l’infirmier. Pendant un an, Éric a prêté sa carte professionnelle de santé (CPS) à des bénévoles, qui s’occupaient d’enregistrer les patients sur l’ordinateur.

L’acte d’enregistrement d’un patient est rémunéré automatiquement, à raison de 5,40 euros. Les infirmiers libéraux sont généralement payés à l’acte. Or, en centre de vaccination, ils étaient salariés. Les deux modes de rémunération n’auraient pas dû se cumuler. 

La Caisse Nationale d’Assurance Maladie affirme que cette rémunération était voulue !

« Cette rémunération forfaitaire de 5,40 euros, pour chaque patient renseigné, a été établie dans le souci de valoriser ce travail essentiel tant sur le plan administratif que médical. »

« 6 500 euros, ce n’est rien comparé à d’autres », indique cette source de la CPAM. D’après elle, certains libéraux dans la même situation qu’Éric auraient reçu plus de 10 000 euros par mois.

« Cette rémunération forfaitaire était toutefois plafonnée, qu’il s’agisse des sommes perçues par mois (3 000 euros) ou par jour (270 euros) ». Il ne précise toutefois pas à partir de quand ces plafonds ont été mis en place. »

Des trop-perçus difficiles à évaluer

Avec le défenseur des droits de son département, Éric a calculé les trop-perçus versés par l’Assurance Maladie. Dans son centre de vaccination, jusqu’à 1000 injections par jour étaient réalisées. Multiplié par le nombre de centres en France, le montant pourrait atteindre des millions d’euros. Mais ce calcul n’est qu’une ébauche, car tous les centres de vaccination n’avaient pas le même fonctionnement.

Dans celui où travaillait Valérie*, une infirmière retraitée, des jeunes en recherche d’emploi s’occupaient des tâches administratives — et non des bénévoles. L’argent touché pour les actes d’enregistrement par les détenteurs de carte CPS était reversé directement à ces jeunes, à raison de 40 euros par jour. “Les infirmières libérales laissaient un chèque chaque jour aux jeunes, pour leur reverser cet argent”, précise-t-elle.

« Dans mon centre, c’était considéré comme une prime, comme un gain supplémentaire. Le poste d’enregistrement était très prisé ! Je n’ai d’ailleurs réussi à passer ma carte CPS qu’une seule fois. Les gens venaient tôt le matin pour être sûrs d’être au poste d’administrateur.

Quand il a vu les premières sommes versées sur son compte, Éric a appelé la CPAM.

Quand j’ai dit que cette somme ne m’était pas due, mon interlocuteur m’a répondu qu’ils me la devaient bien, que c’était le robot qui faisait ça. On m’a dit que si c’était lié à ma carte, c’était ma responsabilité ».

Par la suite, voyant les versements se poursuivre, Éric a envoyé deux mails à l’Assurance Maladie et rappelé leur standard. Il a alors parlé à une cheffe comptable qui lui a conseillé « de le signaler autrement, par d’autres moyens ».

Éric ne sait que faire de l’argent qu’il a reçu. Il n’ose pas y toucher, de peur que la CPAM le lui réclame un jour (…).

L’infirmier s’apprête à travailler dans un centre de vaccination ponctuel, en Occitanie. Sa responsable lui a confirmé qu’il continuerait à être rémunéré à la fois à l’heure et à l’acte.

Actu.fr a tenté de contacter les autres acteurs concernés. Jusqu’ici, l’ARS, l’Ordre National des médecins et des infirmiers n’ont pas donné suite à nos sollicitations ».

Santé | Marseille : suspendus, car non vaccinés, ils vont manifester devant les locaux de l’ARS | La Provence

@CTM_Martinique

#PlénièreCTM La Plénière s’est terminée par le vote à l’unanimité d’une motion demandant la réintégration des personnels soignants & médico-sociaux non vaccinés suspendus. L’Assemblée de Martinique appelle à la mise en œuvre immédiate d’une procédure de leur réintégration.

Pour sauver l’hôpital et réduire le nombre des déserts médicaux, il faut libérer la médecine

Il faut redonner aux médecins le plaisir d’exercer la médecine, la liberté de prescriptions qui a été détruite à l’occasion du Covid. Ce n’est pas au gouvernement d’écrire les ordonnances de nos malades. Il faut supprimer toutes les tâches administratives qui consomment souvent la moitié du temps de travail des soignants et qui ne servent à rien pour nos malades.

La tentation est grande pour des politiques qui ignorent souvent ce qu’est un acte médical d’imposer des fausses solutions. Certains veulent imposer des gardes à des confrères qui travaillent déjà trop. D’autres veulent les obliger à s’installer dans un village que la poste, les impôts, le tribunal et l’école ont déserté sur ordre de ces mêmes politiques !

L’obligation vaccinale des soignants est la goutte d’eau qui a fait déborder le ras-le-bol. Les soignants non vaccinés ne sont pas des antivax comme le répètent en permanence le gouvernement et les médias. Avant le covid, ils étaient tous vaccinés et conseillaient et administraient les vaccins à leurs patients. Ce sont des vaccino prudents qui attendent les vrais résultats des essais en cours avant de se décider et qui ont été échaudés par les nombreuses complications qu’ils ont observées après les pseudo-vaccinations de leurs collègues et de leurs patients et de l’inefficacité maintenant évidente des injections. Ce sont des personnes respectables et honnêtes, car comme soignant il leur était particulièrement facile d’imiter de nombreux politiques et journalistes, stars et de vacciner le mur pour avoir leur pass vaccinal.(([3] Scandale espagnol récent))

La poursuite de la tyrannie vaccinale empêchera de résoudre le manque de personnel soignant et le problème des hôpitaux comme des déserts médicaux. Sans réintégration des soignants vaccino prudents, il n’y a aucune chance de sauver notre système de soins jadis l’un des meilleurs du monde. Les démissions des soignants encore en poste se multiplieront comme c’est le cas actuel à l’APHP de Paris.

E. Macron et son gouvernement devraient méditer la sage remarque de Charles Maurice de Talleyrand « On peut tout faire avec les baïonnettes sauf s’asseoir dessus » explicitée quelques années plus tard par le futur Napoléon III : « on peut tout faire avec le despotisme, excepter le faire durer. »

Sauvons nos enfants, sauvons nos soignants vaccino prudents




Halte aux mensonges de l’AFP et des médias subventionnés à propos des vaccins expérimentaux Covid19

Par le DR G Delépine

Comme encore aux USA, les médias français continuent de désinformer. Mais les Américains commencent à faire leur mea culpa.

9 exemples de désinformation des autorités de la santé sur la COVID | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

« Le chef de la santé publique aux États-Unis, Dr Vivek Murthy, a lancé une campagne au mois de mars pour récolter des exemples de désinformation sur la santé et de leur impact sur le système de santé étasunien : #HealthMisinformation.

L’initiative un eu un effet boomerang.

Le ministre de la Justice de l’Indiana, Todd Rokita, et le Dr Jay Bhattacharya, co-auteur de la déclaration de Great Barrington et témoin expert dans la demande de jugement déclaratoire d’Entrepreneurs en action du Québec, lui ont transmis une liste de 9 exemples de désinformation du Centres for Disease Control (CDC) tout en exprimant leur accord sur les dommages causés par la désinformation :

Nous sommes d’accord sur le fait que la désinformation a été un problème majeur pendant la pandémie. La propagation d’information scientifique inexacte a compliqué les prises de décision du public [et] entraîné des conséquences graves sur la vie et les moyens de subsistance des Américains. Nous vous soumettons les exemples suivants de désinformation de la part du CDC et d’autres organismes de santé qui ont ébranlé la confiance du public dans la science et la santé publique, et prendront des décennies à réparer.”

Dr Jay Bhattacharya

Les 9 exemples de désinformation sont :

  1. Sur dénombrement de la COVID-19
  2. Remise en question de l’immunité naturelle
  3. Les vaccins contre la COVID-19 préviennent la transmission
  4. Les fermetures d’école ont été efficaces et n’ont rien coûté
  5. Tout le monde court le même risque d’être hospitalisé et de mourir d’une infection à la COVID-19
  6. Il n’y avait pas d’alternative raisonnable au confinement
  7. Les politiques de masque obligatoire sont efficaces pour réduire la propagation des maladies infectieuses virales
  8. Le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs sont efficaces pour réduire la propagation de la maladie
  9. L’éradication de la COVID-19 est un objectif réalisable

Nos autorités ont elles aussi véhiculé une grande partie de cette désinformation. Voilà pourquoi l’auteure considère utile de partager ces informations qui seront probablement utiles à la défense des nombreux contrevenants pro-science qui ont osé défier les mesures antiscientifiques de la CAQ ».

Des médias allemands et anglais ont également fait mea culpa sur la désinformation des deux dernières années, et ce depuis plusieurs mois déjà.

« MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande(([1] https://lesbelgessereveillent.be » mea-culpa-du-journal-bild-a-la
MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande | Les Belges se réveillent (lesbelgessereveillent.be) ))

28/05/2021 — “Bild” affirme avoir indirectement collaboré au terrorisme sanitaire

Julian Reichelt, rédacteur en chef de la presse numéro 1 en Allemagne, le journal BILD, a présenté officiellement ses excuses à la population allemande et ses enfants, pour avoir infligé des violences, des négligences, de la solitude, de l’isolement et qu’à travers les médias, on leur a inculqué le sentiment qu’ils représentaient un danger pour la société.

Je voudrais dire à des millions d’enfants de ce pays, dont nous sommes tous responsables en tant que société, ce que notre gouvernement fédéral et notre chancelier n’ont pas encore osé dire : nous vous demandons de nous pardonner. Nous vous demandons pardon pour un an et demi de politiques qui ont fait de vous des victimes.–Victimes de violence, de négligence, d’isolement, de solitude émotionnelle. Pour une politique et une couverture médiatique qui, aujourd’hui encore, comme un poison, vous donnent le sentiment d’être un danger mortel pour notre société.”–Version originale : Corona — BILD entschuldigt sich bei Kindern

À quel moment nos journaux et médias vont-ils enfin cesser ce jeu morbide qui de plus les dévalorise ?

À quand une AFP objective ?

En France, ceux qui prétendent corriger les fausses nouvelles propagées sur les réseaux sociaux en sont très souvent les pires propagateurs. L’AFP et Juliette Mansour sont particulièrement actives dans la diffusion de fausses nouvelles pour la propagande vaccinale en dépit des multiples informations qui circulent sur les effets secondaires des injections basées sur les agences officielles de santé (VAERS, EMA Eudravigilance MHRA, etc.).(([2] Le « vaccin » anti-covid doit être immédiatement retiré du marché dans le monde entier | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

En voici malheureusement un nouvel exemple.

Dans un “désinfox” du 27 avril 2022 l’AFP et Juliette Mansour prétendent ainsi : “les vaccins ne sont plus en phase expérimentale”, “les vaccins mis sur le marché ont été testés correctement” et citent à l’appui de leurs dires l’Agence nationale du médicament prétendant que “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients”.

Leurs affirmations, comme celles de l’ANSM sont tout simplement mensongères.

N’ont-ils pas comme nombre de leurs confrères étrangers consulter les documents Pfizer finalement publiés sur injonction d’un tribunal américain(([3] Welcome to Daily Clout! What’s our story?)). Lourd, mais très instructif travail :

Les WarRoom/DailyClout Pfizer Documents Research Volunteers, un groupe de 3 000 médecins, infirmières, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs scientifiques hautement qualifiés, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce que contiennent les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans.

Par décision de justice, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts rendent service à l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des volontaires sur DailyClout.io.

Les mensonges révélés sont stupéfiants.

Les Volontaires du WarRoom/DailyClout ont confirmé :

que Pfizer (et donc la FDA) savait dès décembre 2020 que les vaccins ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils” perdaient de leur efficacité » et présentaient un » échec vaccinal « . L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le lancement massif de 2020, était la « COVID ».

Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 jeunes avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même lancé la vaccination pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques avant août 2021, après que des milliers d’adolescents aient été vaccinés. [[Voir ceci]

Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents portent la mention « FDA: CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole grassement payés et les médecins achetés assuraient aux gens, les nanoparticules d’ARNm, de protéine de pointe et de lipide ne restaient pas dans le site d’injection dans le deltoïde, mais passaient, dans les 48 heures, dans la circulation sanguine, pour se loger dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires.»

(([4] Chers amis, désolée d’annoncer un génocide. Naomi Wolf sur le « rapport confidentiel » de Pfizer | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation ou Chers amis, désolée d’annoncer un génocide))

Mais aussi entre autres découvertes :

“Les bénévoles ont examiné en profondeur les rapports des documents de Pfizer concernant la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude portant sur 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont mené l’étude sont des actionnaires ou des employés de BioNTech).

Les volontaires ont découvert que, bien que les femmes enceintes avaient été exclues des études internes, et donc de l’EUA [Emergency Use Authorization: Autorisation d’utilisation en cas d’urgence] sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes ont été assurées que le vaccin était “sûr et efficace”, environ 270 femmes sont néanmoins tombées enceintes pendant l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été oubliées dans cette étude. Mais sur les 36 femmes enceintes dont l’évolution a été suivie, 28 ont perdu leur bébé.

Les volontaires ont découvert qu’un bébé est mort après avoir été allaité par une mère vaccinée, et qu’il souffrait d’une inflammation du foie.” “etc.

Prenez le temps de lire, pour vous-même, pour les autres, pour vos lecteurs.

Madame Mansour, les pseudo vaccins sont toujours expérimentaux !

Un médicament ou un vaccin n’est plus expérimental lorsque son essai phase 3 est terminé et a été examiné par les agences du médicament. Or actuellement aucun essai de ces pseudo vaccins n’a atteint ce stade. La preuve indiscutable est apportée par le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais en cours et précise leur niveau d’avancement. Si Juliette Mansour avait pris le temps de le consulter, elle aurait pu vérifier qu’aucune étude phase 3 n’a été terminée au 1/6/2022. Chacun peut vérifier facilement.

Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous avions observé pour l’essai Pfizer.

Il est vraiment triste de constater que l’AFP et une de ses journalistes ne respectent pas l’éthique de leurs métiers et ne prennent pas le temps, ni de consulter le site officiel des essais, ni d’interroger les médecins qu’elles critiquent, pour se comporter comme des propagandistes niant les faits établis même lorsqu’ils sont facilement vérifiables.

Non, MadameMansour, les pseudo vaccins actuels n’ont pas été testés correctement !

Avant le Covid, la mise au point et les essais des vaccins utilisant des techniques pourtant parfaitement rodées de stérilisation ou d’atténuation de virus pathogène nécessitait en moyenne 10 à 15 ans dont la majeure partie consistait dans les essais destinés à vérifier leur efficacité et leur tolérance. Il a fallu 16 ans pour les vaccins contre les HPV ou les rotavirus(([5] https://www.ledevoir.com/societe/science/579612/combien-de-temps-faudra-t-il-pour-elaborer-un-vaccin-contre-la-covid-19)), 20 ans de recherche pour le Dengvaxia, plus de 30 ans pour le vaccin Mosquirix contre le paludisme, peut-être 50 ans pour le vaccin contre le sida. Le vaccin développé le plus rapidement dans l’histoire des vaccinations, celui contre l’Ebola, a exigé cinq ans d’efforts et paraît moins efficace que les vaccins antivarioliques ou anti-fièvre jaune aux dires des praticiens africains qui insistent sur la nécessité de poursuivre les mesures d’hygiène qui avaient été utilisées avec succès lors des épidémies précédentes.

Entre chacune des phases des essais nécessaires pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché (animaux, phase 1, phase 2, phase 3), on marquait habituellement une pause pour permettre aux scientifiques d’analyser leurs résultats avant de passer à la phase suivante.

Comment peut-on croire qu’un vaccin autorisé seulement 10 mois après l’apparition d’une maladie nouvelle au lieu des 10 à 20 ans habituels ait suivi le protocole normal et complet de mise au point et de vérification ? Ce médicament qui n’est pas un vaccin selon la définition de Pasteur (car il ne contient aucun antigène) n’a absolument pas suivi le processus normal de validation.

Lorsqu’on analyse le calendrier du développement, on remarque les considérables manquements au processus habituel des essais. Il n’y a pas eu d’extraction d’antigène à partir du virus, ni de tentative d’atténuation de celui-ci. Les essais de toxicité sur les animaux(([6] Particulièrement important ici, car les précédents vaccins contre les autres coronavirus ont été abandonnés après des essais sur l’animal montrant qu’ils aggravaient la maladie avec de nombreux décès.)) ont été abandonnés ou tronqués sous prétexte qu’on ne disposait pas assez d’animaux adaptés à l’étude, alors que c’est à ce stade que les candidats vaccins anti-coronavirus précédents ont été abandonnés, car ils augmentaient la gravité de la maladie !

Les phases 1, 2, 3 des essais ont été entremêlées au lieu de se succéder, empêchant toute analyse détaillée qui aurait permis d’utiliser les données de la phase 1 pour concevoir la phase 2, et celle de la phase 2, pour planifier la phase 3.

Les sujets sélectionnés pour l’essai phase 3 ne représentaient pas ceux auxquels les produits ont ensuite été administrés avec, en particulier, très peu de personnes très âgées, ou souffrant de comorbidité, elles qui ont ensuite été vaccinées en priorité. L’essai ne comportait ni femmes enceintes, ni enfants. Ces biais visaient à minimiser au maximum la toxicité apparente des injections.

Les critères de jugement de l’essai ne sont pas pertinents. Ce qui importe pour juger de l’efficacité d’un vaccin est de mesurer la protection qu’il apporte au vacciné contre le risque de contracter la maladie, d’en mourir et sa capacité d’empêcher définitivement la transmission de la maladie aux autres. Or ces critères ont été totalement abandonnés au profit de la mesure du taux des anticorps et du pourcentage de “cas” définis par un test diagnostique non spécifique.

Ces essais trop brefs ont été conçus uniquement pour dissimuler les effets secondaires possibles et surestimer l’efficacité des injections et les agences chargées de notre sécurité sanitaire ont été complices de cette manipulation qui a exposé la population à des complications multiples et continue de l’exposer.

Il est étonnant que les médias ne se soient toujours pas intéressés à la somme faramineuse de documents sur les essais que la justice américaine a forcé Pfizer à publier

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti sur l’efficacité des vaccins.

Ils ont prétendu que le vaccin était efficace à 97 %(([7] https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-le-vaccin-pfizer-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques-20210311))(([8] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/03/11/covid-19-dans-le-monde-le-vaccin-de-pfizer-biontech-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques_6072790_3244.html))(([9] https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-le-vaccin-pfizer-biontech-serait-efficace-a-97-pour-les-cas-symptomatiques-11-03-2021-2417384_40.php)) sur la foi d’essais biaisés et répétés en boucle “tous vaccinés tous protégés”, alors que dès le mois de mai 2021 de nombreuses observations prouvaient que c’était faux comme l’épidémie apparue sur le porte-avions Queen Elizabeth dont tous les marins avaient été complètement vaccinés. L’examen des chiffres officiels de l’OMS retraçant évolution de la maladie montre qu’il n’y a pas eu de ralentissement de l’épidémie après les injections, mais au contraire un accroissement comme en Grande-Bretagne champion européen des injections.

Ou plus globalement dans le monde où les pays peu vaccinés ont été presque épargnés par la vague Omicron alors que cette vague a été particulièrement virulente dans les pays adeptes du tout vaccin.

La comparaison de l’évolution épidémique des deux pays frères ennemis, Israël champion de Pfizer et Palestine peu injectée montre que les injections ne diminuent pas le nombre de contaminations et paraissent même susceptibles de favoriser Omicron

Une constatation semblable peut être tirée de la comparaison entre les 2 îles africaines de l’océan Indien (Seychelles vaccinées à plus de 90 % et Madagascar et ses 2 % de vaccinés) pourtant semblables par les facteurs de risques de leurs populations et leur mode de vie.

Dans le monde réel, les injections anti-covid ne protègent donc pas des contaminations et paraissent même parfois les favoriser ! Le slogan gouvernemental “tous vaccinés tous protégés” est une contrevérité flagrante !

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont également menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves

Ne pouvant plus dire que les injections protégeaient de l’infection, leurs propagandistes ont enclenché une propagande massive pour faire croire qu’elles pourraient diminuer le risque de faire des formes graves. Tous les médias ont été mobilisés pour diffuser les communiqués fallacieux de la Drees(([10] https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/)) qui a toujours refusé de fournir des chiffres bruts vérifiables par des statisticiens indépendants.

Mais les chiffres de l’OMS et les exemples de pays étrangers plus transparents démontrent que les pseudo vaccins ne protègent pas plus des formes graves que des Covids ordinaires.

Les formes graves sont susceptibles d’entraîner la mort. Pour évaluer la fréquence des formes graves, il suffit de mesurer la mortalité. Pour apprécier l’effet des injections sur la fréquence des formes graves, on compare la mortalité avant et après les campagnes massives de vaccination.

Les courbes de l’OMS sont très démonstratives : au niveau mondial les campagnes de vaccination ont été suivies d’une augmentation franche de la mortalité qui a globalement plus que triplé !

L’incapacité des injections Pfizer à protéger des formes graves est évidente en Israël qui comptait 3000 décès covid avant les campagnes d’injections et qui, après l’injection de 15 018 677 doses de vaccin, en recense trois fois plus (10 860 au 2 juin 2022). De plus, la comparaison des mortalités en Israël championne des injections Pfizer et en Palestine très peu vaccinée confirme que les pseudo vaccins ne diminuent pas la fréquence des formes graves.

Même constatation dans les îles africaines de l’océan Indien :

Plus globalement, dans le monde, les pays champions des vaccins sont ceux qui présentent les plus hauts taux de mortalité :

Comment pourrait-on croire à un miracle français qui permettrait aux vaccins de nous protéger des formes graves et de la mort alors qu’ils en sont incapables partout ailleurs dans le monde ?

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves. Cette désinformation systématique par l’appareil d’état est responsable de la crise de confiance croissante de la population.

Il est grand temps que ceux qui se présentent comme journalistes retrouvent leur éthique (enquête à charge et à décharge) ; analysent les faits avérés publiés par des sources fiables (OMS, université John Hopkins) et cessent de se comporter en propagandistes permanents des mensonges d’état.




Si le covid n’est pas un complot… — 2e volet

[Source : dondevamos]

Après avoir posé la question de la répétition des fausses alertes pandémiques et des traitements et vaccins toxiques développés par Bill Gates, fauci et leurs amis depuis 20 ans, en fait depuis 2001 et la création de la fondation Gates, la crise de l’anthrax et le 11 septembre, la question qui se pose forcément est : pourquoi retrouve-t-on les mêmes protagonistes ?

Nous allons en citer quelques-uns, d’abord en France, puis en Angleterre et aux USA, épicentres de la recherche sur les modélisations et les traitements à toutes les épidémies / pandémies.

3. Pourquoi les mêmes protagonistes d’une pandémie à l’autre ?

Si on voit arriver de nouvelles têtes, on compte un certain nombre de protagonistes du covid, parmi les plus acharnés à imposer la doxa covidiste, qui étaient déjà à la manoeuvre pour le H1N1 voire pour les autres « épidémies ». Cette persistance à la fois dans l’erreur et sur les écrans de télé est incohérente: normalement quand on fait des erreurs professionnelles, surtout si elles entraînent des gaspillages massifs d’argent public, on est sanctionné. 

Dans ces cas, on observe qu’il n’y a pas de sanctions, et on assiste à des évolutions de carrière vers les sommets.

Antoine Flahault :

Flahault

Référent grippe dans les années 2000, spécialiste des « modélisations mathématiques » des épidémies, il a été membre du Conseil d’Administration  du LEEM Recherche mais selon lui aucun « conflit d’intérêt » [1]

Il a officié comme télétoubib pendant le H1N1 puis le covid et a fondé à Rennes l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) qu’il a dirigée de 2007 à 2012, avant de devenir prof de santé publique à l’école de médecine de Genève où il a créé l’ « Institue of Global Health ».

Il a publié 12 articles sur le covid en 2021, et fait divers « scénarios » d’épidémies.

H1N1 grippe porcine de 2009 :

Flahault disait le 5 mai 2009 que « nous sommes en situation de pandémie ». À ce moment, selon le rapport de la commission du Sénat sur la gestion du H1N1, il « affirmait dans la presse que près de 35 % de la population française pourrait être touchée par le virus H1N1, ce qui pourrait entraîner 30 000 morts lors d’un pic intervenant après l’été ».

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Il a indiqué à la commission d’enquête « qu’il n’entretenait pas de liens d’intérêts directs avec l’industrie pharmaceutique et qu’il n’appartenait plus au conseil d’administration du syndicat des entreprises du médicament, le « LEEM recherche ». Néanmoins, son nom apparaît parmi les membres de cette structure au titre de ses fonctions de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique, ce qui « ne constitue pas à ses yeux un lien d’intérêt ». En août 2009 Flahaut déclarait encore que « la grippe A cause 100 fois plus de morts directs que la grippe classique ».

Il déclarait dans Le Monde alors que seulement 1000 « cas » et 27 morts dans le monde étaient recensés :

« De fait, nous sommes en situation de pandémie. Tous les ingrédients sont déjà présents. Un virus grippal, nouveau du point de vue génétique et de ses propriétés immunologiques, se transmet de personne à personne et circule à travers le monde. L’épidémie n’est pas restée confinée dans le pays où elle a émergé et s’est diffusée via les connexions aériennes ».

Il présentait plusieurs scénarios dont un « soft » qu’il dit « proche de la pandémie de 1968 » soit « l’équivalent d’une grosse grippe saisonnière » avec « 20 à 30.000 décès« , qui  « serait susceptible d’entraîner une désorganisation du système de santé, de l’absentéisme et fragiliserait notre société, comme pourrait le faire un ouragan puissant ». On a eu une vingtaine de décès attribués au H1N1 au final. Son chiffre de 30.000 morts a été repris en boucle dans les médias.

Il recommandait d’utiliser le Tamiflu même s’il n’était pas super efficace car il servait seulement à « diminuer la pression virale ». En août 2009 il disait que le Tamiflu n’était « pas dangereux pour les enfants » après la parution d’une étude anglaise pointant les effets indésirables. Il misait sur le « vaccin » (pas encore créé) pour éviter la saturation des hôpitaux.

Quand tout le monde a compris que le H5N1 était passé tranquillement, il a Le déclaré le 18 février 2010 dans Le Figaro que le H1N1 « reviendra sans doute l’an prochain » et que les vaccins anti grippe devaient intégrer des souches du virus de 2009 et envisageait une vaccination de toute la population.

Flahault a tout de même admis en avril 2010 avoir exagéré ses prévisions du nombre de morts et que « le Tamiflu est très modérément efficace« , tout en recommandant de l’utiliser contre le H1N1.

Covid :

2022-05-29 15_24_47-_Dans cette crise, le masque est le préservatif du coronavirus_ _ Corse Matin -

Ce tenant du « zéro mort du covid » a appelé :

  • À « prendre des mesures fortes tout de suite, et jusqu’à l’été » type « confinement » dès le 13 mars 2020, soit 3 jours avant l’annonce de jupicrétin. Il voulait aussi que l’OMS « guide l’action des Etats ».
  • À porter des muselières.
  • À maintenir un état d’alerte permanent : « l’important aujourd’hui n’est pas tant de prédire que de se préparer à un scénario plausible et redoutable. Ma crainte aujourd’hui, c’est que la situation actuelle nous entraîne vers une augmentation très conséquente du nombre de malades et une poussée épidémique incontrôlable, à l’instar de ce que les Etats-Unis ont connu l’été dernier » disait-il en février 2021. De fait, il n’a cessé d’alerter sur les prochaines « vagues », comme ici en avril 2021 où il parlait déjà d’une « vague » à l’automne : « Pour cet expert, l’enthousiasme suscité par la vaccination ne doit pas nous exonérer d’une certaine vigilance vis-à-vis du virus, et du maintien de mesures de contrôle ».
  • À « vacciner » tout le monde régulièrement.
  • À ne pas utiliser la chloroquine car les essais n’avaient pas été menés selon les protocoles, qui pourtant n’ont pas été respectés pour le développement accéléré des « vaccins ». 

En février 2022 il est encore en train de dire qu’il ne faut pas de « relâchement » des « restrictions » pseudo sanitaires et garder le « pass vaccinal » jusqu’à la mi mars 2022 :

« La circulation du virus demeure très intense. En allégeant prématurément, les pays voisins risquent un ralentissement de la décrue et la mise en danger des populations vaccinées mais immunodéprimées, âgées, ou encore non vaccinées, comme les enfants ayant des facteurs de risque ».

Il est partisan des mesures les plus restrictives et ne se cache même pas de prendre l’Asie (comprendre : la Chine) comme exemple : « Préférons-nous revivre une année comme 2020, ou plutôt nous inspirer des pays d’Asie et du Pacifique ? ».

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Début février 2022 il voulait imposer la « 3e dose », « Et les politiques peuvent traduire une telle recommandation par l’instauration d’un usage étendu du pass vaccinal » disait-il à Libération,

« Les hospitalisations pédiatriques atteignent aussi des niveaux records. Ne risque-t-on pas d’augmenter la circulation du virus en ôtant le masque trop tôt dans les écoles ? Le télétravail réduisait les interactions sociales sans trop peser sur l’économie générale. N’aurait-on pas pu attendre davantage avant d’en lever l’obligation ? Le vent d’optimisme qui souffle un peu rapidement en Europe risque d’inviter la population à baisser trop rapidement la garde et à renoncer aux gestes barrières, à la distanciation sociale qui la protégeaient contre la transmission du coronavirus. Cela pourrait retarder la décrue épidémique, voire relancer les transmissions et son cortège d’hospitalisations et de décès ».

Le 6 mai 2022, Flahault alertait sur le risque d’une énième « vague » de covid durant l’été et appelait les gouvernements à prendre « des mesures préventives »: « Si tous les indicateurs sanitaires repassent actuellement dans le vert en France comme dans toute l’Europe de l’Ouest, deux nouveaux sous-variants d’omicron, BA.4 et BA.5 pourraient dès la mi-juin relancer les contaminations, selon le professeur Antoine Flahault. L’épidémiologiste et enseignant de santé publique à l’université de Genève invite les pouvoirs publics à prendre des mesures préventives« . Et bien-sûr on le retrouve sur la variole du singe, qui selon lui pouvait évoluer en « pandémie ».

Jean-François Delfraissy

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Cet expert du SIDA avait déjà 70 ans au début du covid. Quelques dates de sa carrière :

  • 1982-1986 : membre de la commission scientifique spécialisée en infection et immunité de l’Inserm.
  • 1984-1987 : Secrétariat général de la Société française d’immunologie.
  • 1990-1994 : conseiller médical auprès de la mission sida à la Direction des hôpitaux et membre du conseil d’administration Ensemble contre le sida
  • 2001-2005 : Dirige l’unité de recherche clinique Paris-Sud.
  • 2005-2017 : Directeur de l’Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS)
  • 2008 : Directeur de l’I3M à l’Inserm et membre de la fondation de GSK
  • 2014 : Chargé par Valls du plan Ebola
  • 2016 : président du Comité consultatif national d’éthique
  • Mars 2020 : Président du « conseil scientifique covid » du micron.

H1N1 :

H1N1

Lors de son audition au Sénat en 2010 il a admis des liens avec l’industrie :

« Je suis directeur de l’Institut de microbiologie et des maladies infectieuses, professeur de médecine à Bicêtre et je dirige également l’Agence nationale de recherche sur le Sida et les hépatites virales. Je n’étais pas, jusqu’à mai 2009, expert de la grippe. Je n’avais donc pas de lien particulier avec les laboratoires de vaccins, ni avec les produits antigrippaux. 

Par ailleurs, dans le cadre du Sida, je suis expert international pour le compte d’un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques.Lorsque j’ai pris mes fonctions de directeur, j’ai annoncé à mon conseil d’administration que j’arrêterai toute relation au niveau national mais que je garderai pour certaines formes d’expertises les boards internationaux de l’industrie, que je revendique comme nécessaires pour participer à la collaboration internationale. Il s’agit de Merck, Gilead et Tibotec ».

À ce moment il est toujours membre du conseil scientifique de GlaxoSmithKline, et a fait partie de la fondation Roche. Il dirigeit l’IMMI (Institut de Microbiologie et de Maladies Infectieuses) à qui la recherche sur le H1N1 a été confiée :

« Dès l’annonce de l’émergence du virus A(H1N1) et du risque pandémique qu’il représentait, les ministères chargés de la Recherche et de la Santé ont confié à l’IMMI, au nom d’AVIESAN, la coordination des recherches H1N1″.

Quand le président Autain lui demande « A partir de quel moment était-il scientifiquement établi que la grippe H1N1 serait majoritairement bénigne ? Dès lors que la virulence du virus était similaire à celle de la grippe saisonnière, pourquoi une double vaccination sur le modèle du vaccin H5N1 a-t-elle été jugée nécessaire ? » il répond qu’il n’a « pas tous les éléments de réponse » et que 15 à 20 millions de français ont « développé des formes asymptomatiques ».

Il appelait à se faire « vacciner », disant que c‘était sûr, mais devant la commission il a dit qu’il n’est pas spécialiste des vaccins.

Covid :

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Dès le début mars 2020 il tourne en boucle à la télé en tant que président du comité consultatif d’éthique (ex le 11 mars 2020 sur France Info ou le 3 mars 2020 sur Radio Classique  où il appelait déjà à « des mesures encore plus restrictives »  et disait que « La vision collective doit dépasser le droit individuel, à condition que cela soit clair, annoncé, transparent et transitoire« !). Cependant il admettait à ce moment-là que la « létalité du covid » était « faible ».

Le 24 mars il déclarait : « Nous n’avons pas de traitement » et évoquait l’absence problématique de « vaccin« .

7 avril 2020 Delfraissy déclare que ne pas obéir au « confinement » était un « suicide collectif » et appelait à maintenir la rétention de masse : « Selon le médecin, l’isolation que nous vivons depuis plusieurs semaines devrait se poursuivre encore plusieurs autres. Au moins jusqu’au mois de mai. « Je pense qu’il vaut mieux le dire d’emblée maintenant. Il est trop tôt pour prévoir une date de sortie« . Selon lui l’afflux de « malades » saturait les zopitaux et il y avait des effets positifs au « confinement ».

Au milieu du 1er « confinement » en avril 2020 il déclare que le covid aura « un rebond » à l’automne. Delfraissy est un adepte des « rebonds », qu’il annonce tous les 3 ou 4 mois (juin 2021novembre 2021mars 2022…). Il nie tout le temps avoir le moindre conflit d’intérêts mais annonce sa présence bénévole à plusieurs conseils consultatifs de labos ces dernières années dont Gilead.

Il a été nommé par le micron dès le début du « confinement » dans le nouveau conseil « scientifique » spécial covid, opaque, dont aucun compte rendu réunion n’existe, et dont le micron ne suivait l’avis que si ça l’arrangeait. Ses positions :

  • Pour le « confinement » qu’il regrette de ne pas avoir réclamé plus tôt, et qu’il voulait continuer
  • Contre l’hydroxychloroquine (HCQ) dès le départ (3 mars 2020)
  • Pour les tests PCR à fond dès le 20 mars 2020, dès la fin du « confinement ».
  • Pour les muselières partout quand on en a eu (avant il ne les trouvait pas utiles)
  • A parlé à longueur de temps de « saturation des zopitaux » à cause du covid même si on sait que c’est faux. Il n’a jamais fait aucun mea culpa ni là-dessus ni sur rien.

Didier HOUSSIN

Houssin
  • 2005-2011 : Directeur général de la Santé et délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire.
  • 2013 : président du conseil d’administration de l’Anses
  • Janvier 2020 : président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé (nommé à 70 ans)

H5N1 :

Moins connu car moins médatique, il est aujourd’hui à l’OMS à plus de 70 ans. Dès le début de l’alerte de l’OMS en mai 2009 en tant que directeur général de la santé (même poste que Salomon) il a enclenché la machine épidémique en France : campagne de propagande, recherche des cas potentiels, délcarations intempestives sur les injections de masse déjà prévues en mai 2009… L’ « épidémie » n’a démarré officiellement qu’en septembre 2009 en France. À ce moment il prévenait déjà qu’il faudra sûrement 2 injections au moins pour les jeunes.

En tant que DGS il a poussé les gens à se faire injecter, signant même des conventions avec diverses multinationales pour qu’elles incitent leurs salariés (BNP, Air France, IBM, Micghelin, PSA,Renault, Sanofi, SNCF). Il a aussi préconisé le traitement « systématique » avec le Tamiflu de Roche et sinon avec le Relenzea de GSK. Et alors que les mutations du virus étaient connues, il disait que les « vaccins » basés sur la première souche de virus étaient toujours « sûrs » et efficaces.

Il était aussi très favorable à l’utilisation à tout va du Tamiflu; disponible gratuitement en France pour toutes formes de grippe, bien que la seule étude dont on disposait était celle du frabriquant et que les données brutes étaient secrètes.

2022-05-29 21_14_05-Alerte 6 dans le monde, alerte 5 en France - L'Express - Opera

Devant la commission d’enquête du Sénat sur la préparation de la pandémié H1N1, Houssin a expliqué l’échec de les injections de masse en France parce que « nous n’étions pas suffisamment armés pour battre en brèche les argumentaires et les rumeurs qui se sont développés sur le réseau« , contrairement aux Américains, où le CDC d’Atlanta et la FDA avaient des « équipes qui ont pour seule tâche de suivre Facebook ou Twitter et de réagir dès l’apparition de signaux inquiétants » c’est-à-dire des gens qui posent des questions ou donnent des informations n’allant pas dans le sens de la propagande épidémico-vaccinale.

« Nous aurions aimé avoir une couverture vaccinale semblable à celles obtenues en Suède, en Norvège ou au Canada, mais il se trouve que la population française ne s’est pas montrée assez inquiète, craignant peut-être davantage le vaccin« , ajoutait-il. Là encore, la question de la dangerosité du H1N1 n’entre même pas en ligne de compte.

Il était très satisfait de sa gestion du H1N1 et trouvait que l’alerte de l‘OMS avait été super. En 2020, il expliquait avoir fortement renforcé la gestion « pandémique » au cours de l’épisode de la grippe porcine, bien que la H1N1 n’ait pas du tout eu l’ampleur espérée :

« le plan pandémie grippale avait été élaboré entre 2005 et 2009, dans le cadre de la menace H5N1, puis il a été amélioré en 2010 avec des fiches précises, notamment sur la réduction des déplacements en période épidémique (fiche C9) et celle des rassemblements (fiche C10). Nous avions beaucoup travaillé sur les plans de continuité d’activité dans de nombreux secteurs, avec le recours au télétravail. Nous avions aussi créé le Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires sociales (CORRUSS) au ministère de la Santé, ainsi que l’Établissement pour la réponse aux urgences sanitaire (EPRUS), ce dont j’étais le plus fier.

Dans la gestion de ces crises, on avait également tiré les leçons avec la nécessité d’une dimension interministérielle des plans. Nous avons aussi travaillé dans l’interdisciplinarité, en mixant les données issues de l’épidémiologie, des sciences de la communication, du droit et des sciences politiques et économiques« .

Bref, l’artillerille lourde était prête à être déployée un peu plus, peu importe qu’on tue les mouches au bazooka.

Covid :

2022-05-29 21_42_38-Confinement_ l'ancien directeur général de la Santé Didier Houssin affirme que _

Président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé et membre de l’académie de « médecine » en France. Dès avril 2020 il disait que tout le monde devait mettre un tissu facial y compris dans la rue, pour « se protéger mutuellement » y compris après la fin de la rétention de masse, mais comme ces machins ont une efficacité très limitée (on savait déjà qu’ils ne servent à rien) il trouvait que le « confinement » était tout à fait justifié. Bien-sûr, selon lui, le mieux était d’avoir un « vaccin ».

Il prenait exemple sur la gestion de crise à Wuhan pour expliquer qu’il « y aura une phase de transitioon, de réapprentissage de la vie normale« . C’est lui qui a lancé l’équipe d’enquête sur l’origine du virus qui n‘a rien donné, et considérait l’origine naturelle du virus comme la plus probable.

Selon lui il était « très peu probable » que le SARS Cov 2 vienne d’un laboratoire. Il défend une gestion préventive des maladies en mode guerrier face à un risque qu’il qualifie de « permanent »:

« On se prépare aux guerres, on a une armée, on l’entraine, on l’équipe, parce qu’on sait que les guerres peuvent survenir. C’est la même chose pour les épidémies. On n’est plus au temps de la peste et du choléra où il faut seulement subir, on peut aussi se préparer. Il faut intégrer dans les grands risques celui là »

Houssin livre

Le « comité d’urgence » covid de l’OMS basé à Genève qu’il préside, a maintenu la pression épidémique, par exemple fin octobre 2021 il annonçait que la « pandémie » était loin de finir et demandait aux Etats de « reconnaître tous les vaccins qui ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence » de l’OMS.

En avril 2022 alors plus rien ne se passait nulle part au niveau du covid, il considérait toujours que la « pandémie » était « une urgence de santé publique » et le comité de l’OMS déclarait -encore- que « la situation est loin d’être terminée«  et qu’il fallait continuer les tests. La situation était donc encore à l' »urgence », comme depuis 2 ans.

Il a poussé au développement des pouvoirs de l’OMS et à l’extension du règlement sanitaire international. Il disait « Et tout en continuant à faire face à la pandémie actuelle, l’OMS se prépare à la prochaine », et justement un mois plus tard, nouvelle alerte sur la variole du singe, dont Bill Gates avait parlé aussi.

Michel Cymes (télé)

H5N1:

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Ce télétoubib par excellence a fait peur à tout le monde sur la gravité de la grippe A, puis a incité tout le monde à se « faire vacciner ». Le H1N1 lui avait déjà permis de faire « exploser l’audience de France 5 », annonçait un média télé le 2 décembre 2009, il a manifestement conservé la recette pour le covid.

En novembre 2009 il déclarait :

« À ceux qui prétendent que le vaccin contre la grippe A est dangereux ou qui m’accusent d’être à la botte des laboratoires pharmaceutiques, je réponds que c’est le devoir du service public d’inciter les gens à se faire vacciner. Il y aura probablement dans l’hiver plusieurs vagues de grippe. Et, si les corps politiques et médicaux ne sont pas clairs, moi, je prends position. C’est tout ».

Covid :

Pour le covid, il a d’abord été raisonnable en disant que c’était « une forme de grippe » et qu’il n’était « absolument pas inquiet« , puis a été critiqué, puis pris position en faveur des mesures les plus restrictives et des injections. Il a d’ailleurs fait deux doses puis a attrapé le covid.

Il traitait les critiques de « quelques centaines ou quelques milliers » de « complotistes complètement malades » et en août 2021 il traitait les « zantivax », « anti pass » et les manifestantspro libertés d’ « égoïstes » :

« L’énorme majorité des Français est pour la vaccination, l’énorme majorité des Français est pour le pass sanitaire. Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui. Et ces personnes égoïstes se baladent dans les rues en criant des slogans« .

En octobre 2021 il s’en prenait aussi aux soignants non injectés :

« Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner pour des raisons qui leur sont probablement personnelles. Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner. C’est leur choix, c’est leur problème« .

Il a fini par prendre sa retraite des plateaux télé pour tourner des séries.

Simon Cauchemez

Ce spécialiste non pas de la médecine mais des modélisations informatiques était déjà présent pour le H5N1 en 2005 puis en 2009 pour le H1N1, pas vraiment dans les médias à l’époque mais avec des modélisations sur la transmission du virus qui ont fait la une de la presse. 

H1N1 :

ferguson cauchemez

Pendant le H1N1 il était un collègue de Neil Ferguson, autre modélisateur star des médias, au département d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres. C’est là qu’ont été réalisés les « modèles » alermistes qui ont servi à orienter les politiques publiques.

En 2008, il publiait avec Flahault et Ferguson notamment une étude sur l’impact de la fermeture des écoles sur la transmission de la grippe dont la conclusion était que fermer les écoles durant une période prolongée réduisait le nombre de « cas », mais que si les enfants avaient quand-même des contacts sociaux l’impact de cette mesure était réduit.

Tous ces travaux ont été repris dans la presse, et le Guardian demandait en juillet 2009 s’il fallait fermer les écoles pour limiter l’ « épidémie » de HN1, puisque « les enfants sont plus contagieux et plus vulnérables au H1N1 » : « Le gouvernement devrait repenser sa politique actuelle de laisser les écoles ouvertes pendant la pandémie avant que les 30.000 écoles primaires et secondaires de Grande Bretagne ne terminent les vacances d’été, avertissent Cauchemetz et Ferguson ».

Covid : 

2022-05-28 19_15_01-Simon Cauchemez_ «Vaccins et météo ne seront pas suffisants pour tout relâcher l

Au moment du covid il avait rejoint l’unité de Modélisation Mathématique des Maladies Infectieuses de l’Institut Pasteur[2], qui « développe des outils de pointe pour l’étude des épidémies, qui aident à mettre en lumière leurs facteurs de risque ainsi que les ressorts et les profils de leur transmission, en vue d’améliorer les mesures prédictives et les campagnes de prévention« .

On a donc encore eu droit à ses modélisations sur la propagation du covid. France Info nous expliquait en décembre 2020 que « ce sont ses calculs qui orientent les choix du gouvernement face au covid« , et aussi ceux du Conseil « Scientifique » dont il est membre. Ils ont servi à justifier les « confinements », les « couvre-feu », la « vaccination » forcée par exemple.

Beaucoup d’observateurs tels que le statisticien Vincent Pavan reprochent à ces « modèles » leurs incertitudes, en particulier pour de nouveaux virus, puisqu’on manque de données à mouliner pour faire des prédictions fiables et que sur le plan purement mathématiques ces modèles n’ont pas plus de sens que la lecture de l’avenir dans les entrailles de poulet.

Même Cauchemez l’a admis devant France Info, expliquant que « Dans les premiers mois, les données restaient très limitées et nous devions donc travailler dans un contexte de grande incertitude. Aujourd’hui, nous commençons à avoir plus de recul (…) En général, au démarrage d’une épidémie, les données sont très limitées et de mauvaise qualité. Il y a beaucoup de biais potentiels. Par exemple, au début, nous n’allons voir que les cas les plus graves avec un risque de surestimer la mortalité. C’est ce qui s’était passé avec le virus H1N1 en 2009« . Il aurait été intéressant de le préciser à l’époque: nous aurions peut-être évité de détruire nos économies et la vie sociale.

Toutefois, pas moins d’une trentaine de « modèles » différents, réalisés avec des données différentes par des équipes différentes, ont été utilisés pendant le longépisode du covid.

cauchemez 2

Cauchemetz est aussi membre d’un groupe modestement appelé « Midas Network » créé par le National Institute of General Medical Sciences (USA), et dont l’objectif est de « faire avancer la science pour améliorer la préparation et la réponse globale contre les menaces des maladies infectieuses, par la recherche, l’entrainement, la communication et les services« .

Sur la base de ses « modèles », il a poussé à des mesures ultra restritives : rétentions de masse, injections de masse censées réduire les hospitalisations, y compris bien-sûr les enfants (sans ça l’ « épidémie » ne pouvait pas être stoppée selon lui en avril 2021), ne voulait jamais « relâcher les efforts » (même en avril 2021) et a soutenu les politiques les plus liberticides au nom de cette grippe, se justifiant en agitant ses modélisations hasardeuses.

Cependant, cet oracle du covid qui n’a cessé de voir des « pics » et des « vagues » arriver a rapidement dit que même avec les injections de 90% de la population, la « vie normale » n’allait pas revenir. 

Ce sont encore des modélisations, auxquelles il a pu participer, qui ont affirmé que les mixtures anti covid étaient « efficaces ». Mais aucune modélisation n’a été faite sur les effets graves de ces produits expérimentaux.

Bruno Lina

Virologue au HCL (Lyon) et au CNRS déjà en 2009

Président du conseil scientifique que GEIG et conseiller de la directrice générale de l’OMS dans un comité technique sur l’évolution de la « pandémie « pendant le H1N1. Il était aussi membre du « comité de lutte contre la grippe » mis en place par Bachelot.

2020 : membre du conseil « scientifique » de macron et directeur du Centre national de référence de la grippe – Centre International de Recherche en Infectiologie – CIRI  à Lyon et coordonnateur au Centre national de référence enterovirus et parechovirus – Hospices Civils de Lyon.

Il collabore aussi centre de modélisation Covid de l’Institut Pasteur, pilotée par Simon Cauchemez.

H1N1:

2022-05-30 19_17_52-La-verite-sur-la-grippe-A-H1N1

Président du Conseil Scientifique du GEIG déjà au moment du H1N1 et encore au moment du covid. Le GIEG, financé à 100% par 5 grands labos[3], a été mis en cause pour avoir incité le gouvernement au tout vaccinal lors du H1N1.

Il a fait la promotion du test PCR développé par l’Institut Pasteur puis du Tamiflu de Gilead dont les effets favorables n’ont jamais été démontrés, et qui par contre a rapidement montré des effets toxique. Il répondait ainsi aux détracteurs en novembre 2011 qu’il  « n’existe pas d’essai clinique réalisé dans les règles qui permet de prouver l’efficacité du Tamiflu contre les cas de grippes sévères« , mais que « de nombreuses conclusions observationnelles montraient qu’il semblait réduire le nombre de morts dans les pays qui l’ont utilisé. En 2009, le Japon, qui a utilisé massivement le Tamiflu est aussi celui qui a eu le taux de mortalité le plus faible à cause de la grippe A« .

Dans les médias il a pris position en faveur des « vaccins », même développés de manière accélérée. Selon le Parisien du 29 octobre 2009, « le 20 octobre, à l’occasion du lancement officiel de la campagne de vaccination de la grippe A au ministère de la Santé, le professeur Lina était invité à s’exprimer, assis à la gauche de Roselyne Bachelot. Il a notamment répété qu’il était « très important de se faire vacciner » contre ce virus ».

2022-05-30 19_29_31-Grippe _ le Tamiflu accusé d'être inefficace - Opera

Il était parmi les alarmistes, déclarant par exemple (décembre 2009) que « tout est possible avec le virus de la grippe A« , même s’il devait admettre que rien n’était vraiment alarmant à ce moment.

Il a été défendu par Bachelot qui le trouvait très compétent et ne trouvait rien à redire sur ses conflits d’intérêts :

« En matière de grippe, je suis entourée d’un panel d’experts très large : Comité de lutte contre la grippe, Comité technique des vaccinations et Haut Conseil de la santé publique. Sans compter les réunions de travail avec des infectiologues, des pédiatres ou des urgentistes, ce qui fait au total plus d’une centaine de personnes.(…) Beaucoup des scientifiques remarquables que je consulte sont également sollicités par les laboratoires pharmaceutiques pour valider leurs produits et leurs procédures. Ces experts, qui font dans l’immense majorité des cas preuve d’une grande indépendance d’esprit, sont tenus de faire des déclarations d’intérêt public consultables par tous. Le professeur Bruno Lina, qui est l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de la grippe, a été mis en cause de façon injuste.« 

En septembre 2009 il a publié avec Jérome Salomon un bouquin au titre prometteur : « La vérité sur la GRIPPE A H1N1« . Mui aussi oubliait de mentionner ses nombreux liens d’intérêts, à la télé et ailleurs.

En 2010, il a mené des travaux sur le croisement de H5N1 (grippe aviaire, assez violent mais peu contagieux) et H1N1 (grippe porcine, contagieux et peu virulent), au labo P4 de Lyon : « L’expérience, qui va coûter provisoirement 200 000 euros — après cette gabegie nous ne sommes plus à quelques euros près — a officiellement pour but d’anticiper une éventuelle mutation des deux virus« , expliquait la journaliste Pryska Ducoeurjoly.

Covid :

2022-05-30 20_04_49-Covid-19 _ « L’épidémie n’est pas finie », selon Bruno Lina, virologue et membre

SI en janvier 2020 il afirmait que « nous ne sommes pas face à un virus extrêmement dangereux (…) Ce virus a affecté 400 personnes et fait 9 décès. Au même stade, le SRAS, lui, avait déjà causé 200 décès pour 400 cas. « , il a rapidement changé d’avis.

Bruno Lina a incité tout le monde à se faire tester, puis à appliquer les fameux « gestes barrières » et compagnie. En juillet 2020 il a contribué à une étude avec François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah et d’autres qui annonçait l’efficacité du Remdesivir combiné à une autre moldécule.

Dès octobre 2021 il lançait la propagande sur les injections pour les 5 – 11 ans au nom du fameux « covid long »: « À partir du moment où le vaccin est disponible et que des enfants font des infections au coronavirus, la question se pose »

Il a soutenu l’essai Discovery auquel il a participé avec des patients à Lyon. Il a été stoppé avant la fin, après avoir traîné en longueur, et dit qu’on n’avait pas de preuve de l’efficacité de la chloroquine. En novembre 2021 il appelait à s’injecter la 3e dose appelée « dose de rappel » pour « retrouver une protection de très haut niveau« . Selon lui la 3e dose « remet les compteurs à zéro«  en termes de protection.

Au bout de la 4e dose il a dit qu’il fallait « changer la composition » des mixtures et s’est même interrogé sur l’intérêt d’une 4e dose tout en prévoyant des rappels sur « des années ».

Il disait aussi sur BFM qu’il n’y a aucun problème à s’injecter la mixture anti-covid en même temps que l’injection anti grippe saisonnière. Mais pour la chloroquine, il réclamait tout le temps des « preuves solides » ou davantage de patients pour les essais Discovery (inculant la chloroquine).

En janvier 2022 il admettait que tout le monde allait être immunisé : « il est probable que nous ayons tous acquis une forme d’immunité, par la vaccination, l’infection ou les deux » mais en mars 2022 ils déclarait que « l’épidémie n’est pas finie« .

Il déroulait dans le jargon covidiste l’argumentaire habituel fondé sur les « cas positifs » identifiés avec des PCR inappropriés:

« Certes Omicron est moins agressif que Delta ou Alpha mais il ne faudrait pas en tirer la conclusion erronée que c’est un virus banal et peu dangereux. L’épidémie n’est pas finie ; la vague BA.2 est le prolongement de la cinquième vague car nous ne sommes jamais retombés sous le seuil de 500 nouveaux cas positifs par jour pour 100 000 habitants en moyenne sur sept jours comme dans la période de calme de juin 2020 ou du début de l’été 2021« .

Roselyne Bachelot

H1N1;

2022-05-29 14_03_22-Grippe H1N1 _ quand la France s’était (trop) préparée à une pandémie _ Public Se

Ministre de la Santé après avoir travaillé plus 10 ans dans l’industrie pharma[4], elle a volontairement effrayé la population en annonçant la pandémie des mois avant que des cas ne surviennent en France. Par exemple, le 19 août 2009 -1 mois avant la déclaration de l’épidémie en France- elle disait qu’il fallait se préparer « au pire » et comptait sur le plan pandémies.

Elle a commandé 94 millions de doses de « vaccins » (alors qu’officiellement elle pensait qu’une seule dose surffirait) auprès de Sanofi, Novartis, Baxter, GlaxoSmithKline. Ces labos ont mis « la pression » sur les gouvernements pour passer très vite commande de bien plus de doses que nécessaire, avant même que les produits soient disponibles. 

Déjà, les labos étaient préservés de toute responsabilité, quoi qu’il y ait dans les produits injectés. Les clauses mentionnaient ainsi que « les opérations de vaccination de la population seront décidées par la seule administration et seront placées sous la seule responsabilité de l’Etat.

En conséquence, l’administration s’engage à garantir le titulaire [les labos] contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire qui pourraient être élevées à l’encontre de ce dernier dans le cadre de ces opérations de vaccination, sauf en cas de faute établie du titulaire« . Un avenant a prévu qu’en cas de faute manifeste sur la conformité des produits, les labos pouvaient être poursuivis, mais sauf à démontrer cette « faute » c’était donc déjà au contribuable de tout assumer.

Les contrats, a juré Roselyne, ont été négocié par ses soins et pas du tout à l’Elysée.

Une fois ses commandes passées, Bachelot a très lourdement insisté pour que « toute la population » se fasse « vacciner », d’autant qu’en 2009 la France était le premier producteur de vaccins au monde. Le 16 septembre 2009 c’est elle qui a déclaré l’épidémie en France. Elle affirmait alors : « Nous avons décidé d’acquérir une quantité de vaccins suffisante pour nous permettre de proposer la vaccination à l’ensemble de nos concitoyens qui souhaiteront se faire vacciner. Les tout premiers vaccins nous ont été livrés début septembre.

Mais ces vaccins ne seront utilisés que dans le cadre d’autorisations de mise sur le marché (AMM) dûment délivrées par les autorités sanitaires européennes qui garantiront leur efficacité et leur sécurité (…) Je rappellerai simplement que, au-delà de la protection individuelle qu’elle procure, la vaccination est aussi un acte altruiste, en ce sens qu’elle contribue à protéger son entourage, ses proches, ses collègues.

vaccin-grippe-aviaire-bachelot_1

C’est particulièrement important lorsque ces derniers présentent des facteurs de risque qui les rendent plus vulnérables ou qu’ils ne peuvent pas être vaccinés eux-mêmes, du fait de contre-indications médicales« .

Elle a mis en place un « comité de lutte contre la grippe » dont elle a nommé les experts, tous liés à l’industrie pharma. Le H1N1 a été la première maladie pour laquelle des « vaccins » ont été développés si rapidement, sans avoir de recul avant d’être injectés à la population[5].

En août 2009, alors en  visite à La Réunion, en bonne VRP des laboratoires qu’elle fut pendant une vingtaine d’années, elle déclarait que « le pic épidémiologique sera certes dépassé à La Réunion à la mi-octobre mais la grippe n’aura pas disparu. Il faudra donc continuer à protéger le public et en particulier les populations les plus fragiles. Le vaccin restera utile et servira aussi à nous prémunir pour 2010 et 2011« .

C’est aussi la première fois qu’on utilisait un adjuvant à base de squalène et de polysorbate. Et bien que ce soit un bide, elle déclarait le 24 novembre 2009 que la campagne de « vaccination » était « un grand succès ».

En juin 2010 lors d’une audition au Sénat elle a déclaré : « En prévision des prochaines alertes, c’est bien notre capacité de préparation et d’adaptation que nous devons renforcer afin de choisir, le moment venu, la réponse la plus appropriée enrichie de l’expérience acquise.

Bachelot H1N1

Le virus grippal, vous l’avez bien compris, est un sujet de choix, puisque, dès juin 2009, vous avez initié un travail sur les mutations virales. L’émergence du virus pandémique H1N1 constitue un cas emblématique. Il s’agit bien d’un virus pandémique, mais nous avons su très vite qu’il n’était pas celui que nous attendions.

Je me réjouis qu’à travers vos travaux le Parlement ait pu produire sa propre expertise et, surtout, organisé un espace de dialogue fécond et serein entre le scientifique et le politique. Ainsi, pour la première fois, face à une alerte sanitaire, nous avons mis en œuvre une gestion pro-active, et non plus seulement réactive, en particulier grâce à la préparation et à la vaccination« . Cette campagne d’injections aurait selon elle coûté 500 millions d’euros, exactement le montant du déficit des hôpitaux publics cette année-là.

Les contrats passés avec les labos étaient déjà particulièrement opaques et favorables aux industriels, comme le fait de passer des commandes fermes, la confidentialité absolue des contrats, ou l’absence de toute responsabilité de la part des fabricants de « vaccins ». En janvier 2010 Bachelot a tout de même réussi à résilier une commande de 50 millions de doses tout en déclarant à la presse que « Cette grippe a tué 18 personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque« .

Covid :

Roselyne-Bachelot-une-insubmersible-au-ministere-de-la-Culture

Devenue ministre de la Culture, elle n’a pas hésité à sacrifier tout le secteur, qui a subi les « confinements » et autres « couvres-feu » avant d’être définitivement mis à terre par les laissez-passer « sanitaires » puis « vaccinaux ».

Aux artistes qui lui demandaient des sous ou des actions concrètes fin 2021, elle répondait contre toute évidence que « la culture n’est pas sacrifiée » et même qu’elle « continue« , se croyant obligée de souligner que « ce qui menace la culture, c’est la pandémie pas les mesures gouvernementales« . CQFD.

En tout cas, aujourd’hui en Europe la fréquentation des cinémas a chuté de 60% depuis la « crise sanitaire » et sa gestion lamentable.

En Février 2022, la fréquentation en France dans les salles de cinéma et de spectacle vivant (concerts, théâtres…) avait baissé d’environ 25 % par rapport à la même période avant la crise « sanitaire », selon les chiffres annoncés par le ministère de Roselyne Bachelot..

Neil Ferguson »

Ferguson cartoon

Cet informaticien hollandais financé par les labos et par Bill Gates était déjà à l’origine de modélisations dantesques qui ont littéralement créé la crise de la vache folle puis de la grippe dite  « aviaire » pour laquelle il avait pronostiqué jusqu’à 150 millions de morts alors qu’il y en a eu moins de 300 dans le monde.

« Comme le rapportait à l’époque le Daily Telegraph, c’était « la première fois que des épidémiologistes modélisaient une épidémie majeure au fur et à mesure qu’elle se déroulait, puis intervenaient pour changer son cours« . »C’est vraiment la pensée innovante de Neil sur le plan informatique qui a rendu cela possible », déclare Deirdre Hollingsworth, épidémiologiste de l’université d’Oxford qui a travaillé avec le professeur Ferguson à l’Imperial » (Financial Time, 20 mars 2020).

H1N1:

2022-05-30 21_25_58-First analysis of swine flu spread supports pandemic plan _ New Scientist - Oper

C’est encore à cause de ses modélisations pour le H1N1 que le tout début d’ « épidémie » a été repéré dans l’oeuf, et qu’en France l’Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu’à 96.000 morts dans le pays (alors qu’on en a finalement dénombré 312). 

En 2009, celui qui est aujourd’hui surnommé « Dr Confinement » par les anglais était professeur de médecine à l’Imperial College et avait récemment travaillé de manière rémunérée pour Baxter, GSK et Roche.

Il était aussi membre du comité vaccination grippe A de l’OMS (créé en avril 2009), qui conseillait la directrice générale Margaret Chan, du groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI), et ses liens d’intérêts avec les fabricants de « vaccins » posaient déjà question.

Une étude qu’il a publiée en mai 2009 affirmait que le H1N1 était aussi grave que la grippe de 1957 qui aurait fait 2 millions de morts. Et alors que l’ « épidémie » régressait déjà au Mexique, l’OMS augmentait le niveau d’alerte mondial de 4 à 5. Un article de Futura Sciences expliquait : « Selon les auteurs, comme pour beaucoup d’autres, le nombre de cas réels ne peut qu’être sous-estimé car la maladie reste parfois bénigne chez des sujets qui, néanmoins, sont porteurs, et même colporteurs, du virus ». Au final il envisageait 65.000 morts en Grande-Bretagne en l’absence de mesures spectaculaires.

Le taux de létalité du virus était évalué entre 0,3% et 1,5%, ce qui change la donne, mais plus probablement à 0,4%. Ferguson et son équipe annonçaient donc qu’un tiers de la planète pourrait être infecté (The Guardian, 12/05/2009).

Comme Ferguson conseillait le comité d’urgence de l’OMS[6], son étude y a été prise très au sérieux. Quand il a fait ses modélisations en 2009 pour la grippe porcine, il n’y avait pas d’épidémie et l’OMS avait seulement détecté quelques cas avec des symptômes légers.

« Néanmoins, [l’OMS] décida, à l’issue de réunions secrètes, de déclarer une pandémie mondiale« , explique Kennedy dans son livre[7], et « fit pression sur divers pays africains et européens pour qu’ils passent des contrats avec GlaxoSmithKline et d’autres sociétés pharmaceutiques. Ces accords confidentiels obligeaient les nations signataires, dont l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France, à acheter pour 18 milliards de dollars de divers vaccins contre la grippe H1N1 expérimentaux, non testés, adoptés en procédure accélérée et sans responsabilité pour les entreprises productrices ».

Covid :

Ferguson covid 1

Dès janvier 2020 l’équipe de Ferguson alertait sur la menace mortelle du SARS-Cov-2 qui était actif en Chine. En mars, une nouvelle modélisation annonçait 250 à 510.000 morts en Grande-Bretagne et 2,2 millions aux Etats-Unis. Elle a été diffusée auprès des gouvernements très rapidement début mars 2020, sans être publique ce qui empêchait de vérifier les calculs, qui de toute manière ne pouvaient à ce stade qu’être de la spéculation.

Le pire est que cette étude formulait des recommandations -baées sur les modélisations- pour enrayer ladite « épidémie », à savoir les mesures aussi liberticides qu’inutiles imposées dans les pays alignés : enfermement des populations pendant des mois d’affilée, traçage, injections de masse, sanctions, censure.

C’est cette étude qui a servi à justifier les mesures prises soudain par l’OMS comme par la plupart des gouvernements occidentaux. Elle était publiée le 16 mars, et le 17 le micron plaçait tout le pays en rétention à domicile. Même la fondation Héritage, dans un article de Kevin Dayaratna de mai 2020, soulignait l’opacité et les défauts des modèles de Ferguson :

« J’ai demandé à Ferguson et à ses collègues leur modèle à plusieurs reprises pour voir comment ils avaient obtenu leurs chiffres, mais ils n’ont jamais répondu à mes e-mails« . 

lockdwn london

En refaisant les calculs avec un collègue à partir de données récupérées à droite à gauche (comme Ferguson), « constaté que la mortalité prévue due à la maladie pourrait aller de près de 78 000 décès à 810 000 décès aux États-Unis au 1er août« . Un sacré écart, qui rend difficile un décision politique rationnelle en se basant sur de tels résultats. 

Concernant l’opacité des modèles de Ferguson, l’auteur de l’article ajoute :

« Après que nous ayons publié notre travail, la nouvelle a fait surface que Microsoft avait en fait fait des progrès dans la mise à disposition du modèle de l’équipe de l’Imperial College. Mais les codes qu’il a publiés sont une version hautement modifiée de ce que l’équipe impériale a réellement utilisé. Et, il s’avère que le modèle présente de graves défauts, dont un ancien ingénieur logiciel de Google discute longuement dans son blog« .

L’étude, dont les grandes lignes ont été largement reprises dans les médias, préconisait carrément de faire disparaître le virus. Sans aucune vérification, ni même temps de débat, l’OMS a repris ces chiffres alarmistes et fantaisistes pour effrayer les gouvernements et les populations, et les gouvernements occidentaux ont mis en application les mesures de Ferguson.

Ferguson ne conseillait pas seulement l’OMS, mais aussi le 1er ministre anglais qui l’a viré le 6 mai 2020 au prétexte [8] qu’il avait vu sa copine à plusieurs reprises en plein confinement qu’il avait lui-même inspiré. 

Pas plus tard qu’en mars 2022 il s’autocongratulait lors d’une conférence sur la pertinence de ses modèles, si utiles pour appuyer la décision politique.

ferguson model

Il contribue pourtant encore à diverses études, comme celle de janvier 2020 parue dans le Lancet (encore), pour assurer en se basant sur des modélisations que les injections avaient un intérêt vis-à-vis d’une dizaine de virus (papillomavirus, rotavirus, rubéole, fièvre jaune, encéphalite japonaise notamment). Celle-ci conclut que « la vaccination des dix agents pathogènes sélectionnés aura évité 69 millions de décès (intervalle de crédibilité à 95 % 52-88) entre 2000 et 2030, dont 37 millions ont été évités entre 2000 et 2019. De 2000 à 2019, cela représente une réduction de 45 % des décès par rapport au scénario contrefactuel sans vaccination » et surtout les meilleurs résultats concerneraient les enfants de moins de 5 ans.

Il est membre de la direction du Vaccine Impact Modelling Consortium créé et financé par la Fondation Gates et le GAVI, dont le président est José Manuel Barroso de Goldman Sachs, et qui lui-même est créé et financé par la fondation Gates, qui a pondu cette étude. L’objectif du Vaccine Impact Modelling Consortium est de « coordonner plusieurs groupes de recherche » pour modéliser l’impact des programmes de vaccination à travers le monde.

On retrouve comme « partenaire » de ce « consortium » avec le GAVI et la fondation Gates l’Imperial College de Londres où bosse Ferguson[9] et qui bénéficie de dons de la fondation Gates ainsi que de l’OMS, qui elle aussi reçoit d’importants financements de la fondation Gates.

En effet, Bill Gates se targue de modéliser les « pandémies » et finance les deux structures qui ont réalisé des modélisations du covid : l’institut de Ferguson à l’Imperial College de Londres qui a reçu plus de 184 millions de $ tout de même entre 2006 et 2018 de la fondation Gates, et l’institut de modélisation de l’université de l’Etat de Washington.

Anthony Fauci

Fauci H1N1

Avec Gates, Fauci, directeur de l’institut des maladies infectieuses du NIH, le NIAID depuis 1984, il est LE pilier de l’organisation de la gestion de crise « covid ». 

Durant son interminable mandat il a renforcé les liens du NIH et du NIAID avec l’industrie pharmaceutique au cours de la vague du SIDA –largement amplifiée par l’AZT dont Fauci a fait une promotion intensive. Sa femme Christine Grady est médecin et directrice du département de bioéthique du NIH depuis 2012, en charge des essais cliniques.

Il a commencé à collaborer avec Bill Gates dans le domaine de la santé dès 1998, deux ans avant la création de la fondation Gates en commençant par « vacciner » les populations d’Afrique et d’Amérique latine, avec une grande campagne contre la polio lancée en 2000, et en 2003 le lancement d’une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

H1N1:

Fauci 2022 - 1

À l’époque, comme il l’avait déjà fait pour l’anthrax, l’hépatite B ou le Zika par exemple, Fauci s’est montré très loquace dans les médias et très alarmiste, tenant absolument à parler de « pandémie » quand tous les signaux restaient au vert. Il expliquait qu’un tiers de la population américaine risquait d’être contaminée, si bien que le gouvernement US a commandé 195 millions de doses de « vaccins » (notamment en spray nasal) développés en express et à peine testés, livrables à partir d’octobre 2009.

Le développement desdits « vaccins » a été largement financé par le NIAID, dirigé par FAUCI. C’est le NIAID qui organisait les essais avec des médecins relais dans les hôpitaux depuis le mois d’août 2009, et l’OMS a recommandé d’y ajouter des adjuvants (comme le squalène qui se sont avérés toxiques) pour augmenter l’impact des mixtures et donc avoir plus de doses avec la même quantité de produit.

On doit noter que ces médecins relais touchent, comme les agents du NIAID, des royalties sur les produits développés, versées par les industriels. Il était questions de deux doses pour tout le monde même les enfants de moins de 10 ans, sauf pour les femmes enceintes qui étaient protégées avec une seule dose.

L’échec du H1N1, des « vaccins » et du Tamiflu n’a pas empêché Fauci de continuer à prêcher pour les vaccins à sa sauce, notamment un « vaccin universel contre la grippe ».

Covid :

Fauci Trump

Fauci n’est pas impliqué dans l’affaire du covid que par sa gestion de crise : il est aussi impliqué dans les recherches sur les gains de fonction qui permettent à des virus d’animaux de contaminer les humains, notamment sur des coronavirus de chauve-souris, et notamment au laboratoire de Wuhan. En effet, le NIAID finance depuis 2014 les recherches menées par une société appelée EcoHealth Alliance, qui pilote ce type de recherche à Wuhan[10].

En 2017 Fauci a encore filé 6 millions à EcoHealth Alliance pour tester le Remdesivir comme remède contre le SARS-Cov-2, toujours au labo de Wuhan.

En 2018, l’OMS a créé le Global Preparedness Monitoring Board pour préparer le monde aux futures « pandémies », dont Fauci a été co-président, et quand Trump a créé sa task-force covid le 29 janvier 2020 il mis Fauci à sa tête. Il y avait aussi plusieurs affidés de Fauci dans cette task force, comme Deborah Birx, ex médecin militaire et spécialiste des recherches sur le SIDA, ou Robert Redfield, directeur du CDC depuis 2018, ex médecin militaire spécialiste du SIDA également.

Durant l’été 2021, Fauci a contribué à l’organisation par Trump d’un grand exercice de simulation d’une pandémie appelé Crimson Contagion, qui impliquait des dizaines d’établissements de santé et d’institutions dans le pays. Le scénario était celui de touristes venus de Chine avec une « nouvelle forme de grippe ».

Fauci 2020

Avant le début de l’ « épidémie » à l’automne 2019, ce fanatique de ce qu’il qualifie de « vaccins » mais qui s’en éloigne de plus en plus en appelait à la création d’un « vaccin universel contre la grippe ».

Fauci était alerté depuis le 31 janvier 2020 par des scientifiques que le virus du covid avait l’air fabriqué et que son génome ne correspondait pas aux critères de l’évolution du virus. Kristian Andersen sous-entendait même qu’il pouvait avoir été développé dans le cadre de travaux financés par le NIAID. Le lendemain lors d’une conférence en visio deux virologues ont dit que le covid venait très probablement du labo de Wuhan.

Pourtant Fauci s’est empressé de qualifier de « théories du complot » toutes les interrogations sur l’origine non naturelle dudit virus. Comme c’est vers lui que les spécialistes occidentaux, comme chez nous Delfraissy, se sont tournés dès la fin 2020 et surtout en janvier et février 2021 pour prendre les informations sur la « pandémie », cette bonne parole s’est propagée sans difficulté à travers le monde occidental.

Fauci a vu dans le covid une nouvelle opportunité pour faire des affaires, et a créé dès le début de l’épidémie son « réseau de prévention covid » avec ses inspecteurs principaux les plus fidèles, pour obtenir l’approbation la plus rapide possible pour les « vaccins » qu’ils étaient déjà en train de développer pour le SIDA. Kenny explique : 

« Fauci a accompli cette mission redoutable en transformant ses essais de VIH existants, pratiquement du jour au lendemain, en essais de phase III sur le vaccin covid-19″.

En tous les cas, le 22 février 2020, Fauci a annoncé sur CNN : « on est au bord d’une pandémie« , et trois jours plus tard alors que seulement 14 cas de covid étaient déclarés aux USA, il lançait avec l’argent public du NIAID un essai de Remdesivir de Gildead à l’université du Nebraska. D’autres essais avaient lieu depuis février à Wuhan[11].

Deux mois plus tôt le Remdesivir n’avait donné aucun résultat contre le Zika, mais le 29 avril Fauci déclarait qu’il devenait aux Etats-Unis la « nouvelle norme de soins », donc le traitement de base donné aux gens contre le covid[12]. Certains pensent que c’est la raison du taux de décès hallucinant aux Etats-Unis. Et le 1er mai il était autorisé sans que les études n’aient été publiées[13].

FAuci CNN

En parallèle, il a tout fait pour dénigrer et bannir les traitements qui avaient déjà commencé à montrer leur efficacité, en premier lieu l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, si elles avaient été autorisées, auraient empêché l’autorisation du Remdesivir. Le 29 août 2021 alors qu’on avait déjà des dizaines d’études disant le contraire, il déclarant « Il n’y a pas la moindre preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement présenter une toxicité » et qu’il « n’y a aucune preuve clinique que cela fonctionne ».

Le NIAID et le CDC ont dépensé 79 millions de dollars d’argent public pour développer le Remdesivir. Lors des essais, un faux placebo toxique (le sulfobutyl) a été donné au groupe témoin, dont les résultats étaient forcément moins bons. Kennedy explique que Fauci a commencé à utiliser cette technique il y a déjà 40 ans pour bidonner les essais et dissimuler les effets indésirables de produits toxiques qu’il cherchait à développer.

Malgré ça les résultats n’ont pas été favorables. Fauci a donc changé les critères pour que les hospitalisations apparaissent plus courtes, mais une partie des cobayes ont du se faire réhospitaliser, ce qui montre qu’ils étaient sortis trop tôt. 

Et Fauci dictait les mesures à prendre, aussi bien au gouvernement US qu’au monde entier. En avril 2021, il expliquait sur France 24 que « une pandémie implique une réponse mondiale » pour dépasser les « divisions politiques ». Selon lui « Il y a eu beaucoup de divisions politiques qui ont rendu très difficile la tâche de faire face à la situation« .

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Ce qu’il qualifie de « politique » est ensuite précisé, et on comprend qu’en fait il s’agit de toutes les critiques par rapport à la doxa pseudo « sanitaire » qu’il a imposée :

« certaines questions liées à la pandémie ont acquis une connotation politique par exemple une réticence à porter le masque en raison d’une idéologie politique ou une réticence à éviter les attroupements ».

Selon lui « LA science a été très bonne parce que nous avons mettre au point des vaccins en un temps record« . On sait aujourd’hui par des dizaines d’études que ces « vaccins » sont complètement inutiles contre le covid. 

Selon une étude du Dr Michael Yeadon sur les effets des différents lots de vaccins, 5% des lots sont responsables de 90% des effets graves dont les décès.

« Si vous pensez que c’est par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants« , explique Russell L. Blylock, qui raconte un de ces scandales, étouffé : des lots pourris d’un « vaccin » se sont retrouvés dans le même Etat US et les dégâts sont donc devenus très vite évidents.

fauci vaccin

Du coup, pour éviter que ça ne se voie trop, le fabricant n’a pas retiré les lots mais les a dispatchés dans le pays pour diluer les effets graves.

Parmi les nombreux travaux sur les effets toxiques des « vaccins », Steve Kirsch qui a créé le Covid 19 Early Treatment Fund en mars 2020 a fait une étude de données basée sur huit méthodes différentes. Celle-ci attribue 150.000 décès aux « vaccins » aux USA depuis janvier 2020 jusqu’en octobre 2021. Il a été violemment attaqué dans des médias de masse et scientifiques.

« Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement« , analysait en avril 2022 le neurologue Russell L. Blaylock.

Il détaillait le rôle de chef d’orchestre joué par Fauci, à travers une série d’actions qui avaient pour objectifs :

  • Réduire de 3 ans à 6 mois les essais cliniques, puis injecter le groupe témoin de manière à ne plus pouvoir comparer les « vaccinés » aux non « vaccinés ». L’essai Pfizer devait initialement durer jusqu’au 2 mai 2023.
  • Refuser d’améliorer le système de suivi VAERS « conçu pour échouer » selon Kennedy, et « qui supprime systématiquement la déclaration de la plupart des dommages liés aux vaccins » et ne détecte au mieux qu’1% des problèmes liés aux « vaccins »[14].
  • Rallier les médias de masse et les fournisseurs de réseaux sociaux pour soutenir sa propagande et censurer les paroles dissidentes.
  • Amener le CDC à refuser les autopsies de personnes décédées après l’injection.
  • Placer dans les instances comme la FDA et le CDC des financiers et des fidèles du NIAID, du NIH et de la fondation Gates, pour s’assurer que les mixtures seraient directement approuvées sans qu’il n’y ait d’études sur les effets à long terme : « Plus de la moitié du comité VRBPAC de la FDA qui a approuvé les EUEA de Moderna, Johnson et Johnson et Pfizer, a accordé l’homologation finale du du vaccin Pfizer, était composé de bénéficiaires de subventions du NIH, du NIAID, de la BMGF et de sociétés pharmaceutiques. Plus de la moitié des participants au comité ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) du CDC étaient aussi en situation de conflits d’intérêts« 
  • Vacciner l’ensemble de la population sans que cela soit justifié (d’ailleurs il a monté le taux de couverture immunitaire collective en cours de route), il s’est assuré qu’il n’y aurait plus de groupe contrôle. Et alors qu’il se disait contre la vaccination obligatoire, il a clairement changé d’avis quand tous les volontaires ont été piqués.

On sait parfaitement que les labos, notamment Pfizer, ont dissimulé les résultats des essais et menti dans les communiqués de presse qui étaient les seuls documents disponibles au moment où les premières décisions ont été prises.

Toujours à fond avec ses « vaccins », et après 40 ans de recherches infructueuses, le NIH lançait en mars 2022 de nouveaux essais cliniques pour tester 3 « vaccins » ARNm contre le SIDA. « Avec le succès de sécurité et de haute efficacité des vaccins contre le covid, nous avons une opportunité fantastique d’apprendre comme la technologie ARNm peut remplir les mêmes objectifs contre l’infection au HIV« avait déclaré Fauci.

Bill Gates

bill gates book

Bill Gates est bien connu, ce qui l’est moins ce sont ses liens avec le gouvernement et la sécurité US et la philosophie eugéniste de sa famille.

Son père Bill Gates Sr, avocat d’affaires, a été président du barreau de Washington et a créé le cabinet de lobbying Preston Gates & Ellis présent aussi en Chine. Il était aussi élu de la région de Seattle, était eugéniste et militait en faveur d’un « contrôle de la population », notamment en siégeant au conseil d’administration national du Planning Familial créé par l’eugéniste et raciste Margaret Sanger et de United Way, une ONG axée sur l’éducation.

Gates a pu bosser pour IBM grâce à sa mère qui était au conseil d‘administration et connaissait le PDG John OPEL. En 1982 il a éjecté son copain Paul Allen de Microsoft pendant qu’il a eu un cancer. En 1998 plusieurs procédures sont lancées contre lui pour abus de position dominante (trust) envers les consommateurs qui ne pouvaient pas télécharger d’autres logiciels que Microsoft sur leurs ordis équipés de Windows. Mais il a réussi à conserver sa branche « logiciels » et les ordinateurs et à n’avoir qu’une amende de 800.000$.

2022-05-31 21_49_50-Microsoft Co-founder Bill Gates Holding a CD-ROM Photo d'actualité - Getty Image

Bref, Gates se lance dans la philanthrope au milieu des années 90, avec la William H Gates foundation en 1995 déjà orientée sur la santé et sur l’éducation, l’International AIDS Vaccine Initiative (IAVI, lancé au forum de Davos sur le SIDA) en 1996, la Gates Learning Foundation en 1997, le Children’s Vaccine Program doté de 100 millions $ en 1998 année où il rencontre Fauci, puis le GAVI son alliance mondiale (argent) public- (bénéfice) privé pour les « vaccins » en 2000 année de création de la fondation Bill & Melinda Gates[15], devenue en quelques années la plus grosse fondation au monde par son budget.

Il a choisi le créneau des vaccins, expliquait un article du New York Times en novembre 2020, parce que les effets en termes de vies sauvées étaient facilement visibles et quantifiables, ce qui lui permettait de se refaire une image. C’est même lui a relancé l’industrie vaccinale, moribonde car ces produits, à la fin des années, n’étaient pas considérés comme « rentables » par l’industrie. 

De plus, il s’agissait de haute technologie, et il était à l’aise dans ce domaine. Au final, « Par ses dons, M. Gates a contribué à la création d’un nouveau modèle économique, qui mêle subventions, engagement anticipé sur des marchés et garantie d’un certain volume de commandes. Sa dimension incitative a attiré davantage de fabricants, dont certains issus de pays en développement, permettant ainsi de démultiplier la production de vaccins salutaires » s’enthousiasmait la journaliste du NYT.

D’aucuns ont même reconnu son « expertise technocratique », et on comprend que Gates est l’égérie de l’industrie phramaceutique et de se sactionnaires.

En 2003, il a lancé son Grand Challenge for Global Health (GCGH) destiné à orienter les financements du NIH vers des « vaccins » et autres traitements –mais surtout des « vaccins »- contre des maladies qui touchent d’autres continents ou n’existent pas encore[16]. Il a aussi lancé l’ère de la « santé globale », que certains qualifient de colonialisme sanitaire.

Gates 2

Depuis, il finance à tour de bras, via sa fondation, des programmes de recherche, des entreprises privées, d’autres fondations comme la Johns Hopkins University, des médias et même l’OMS, dans de nombreux domaines liés de près ou de loin à la santé. Cela lui a permis de créer un réseau mondial tourné vers ses propres objectifs.

En mai 2005 Gates a ouvert la 58e assemblée de l’ONU pour faire sa propagande sur les « vaccins ».

« Il a annoncé que sa fondation augmentait de 250 millions de dollars sa contribution au projet «Grands défis pour la santé globale». Cette initiative lancée en 2003, avec une première dotation de 200 millions de dollars, vise à pallier le manque d’argent dont pâtirent la recherche et le développement de médicaments pour les maladies spécifiques aux pays pauvres, comme la malaria. Elle financera, dès cet été, des projets sélectionnés parmi plus de 1500 idées provenant de 75 pays, par exemple des vaccins qui n’ont pas besoin d’être conservés au frais ».

C’est aussi en 2005 que l’OMS a lancé son « Règlement sanitaire international », qui risque de s’imposer en Europe à l’initiative du micron.

En 2007 il créé le H8 qui réunit pour des rencontres discrètes OMS, UNICEF, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), l’UNAIDS, la banque mondiale, la fondation Gates, GAVI et le Global Fund[20].

H1N1 :

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Une petite sauterie discrète de 14 milliardaires « philanthropes » et eugénistes a eu lieu le 5 mai 2009 quelques jours après que l’OMS déclare la « pandémie » H1N1. Cette réunion de ce qu’on a appelé le « Good Club » a été organisée à l’Université Rockefeller à l’instigation de la fondation Gates, de David Rockefeller et de Warren Buffet (qui avait transféré la plupart de sa fortune dans la fondation Gates, qu’il copilotait avec le couple).

Il y avait aussi George Soros, Michael Bloomberg, le fils Rockefeller qui s’appelle aussi David, des milliardaires dirigeants de multinationales, ou encore Oprah Winfrey.

Dans l’invitation il était question de faire face à la récession et de préparer le futur en développant leur « philanthropie » (qualifiée par le Guardian de « philanthro-capitalisme) et disant aux gouvernements ce qu’ils doivent faire.

Un des problèmes à régler, selon les dires d’un invité, était celui de la croissance de la population mondiale qui engendre « une menace environnementale, sociale et industrielle » (en rapport probablement avec les matières premières). C’est là que Gates a annoncé qu’il consacrerait la plus grande partie de sa fortune à « améliorer le monde ».

2022-05-31 22_05_50-Bill Gates and his father Bill Gates, Sr

Les membres de ce club se targuaient d’avoir donné plus de 70 milliards en bonnes œuvres les 12 dernières années.

Pour H1N1, Gates a évidemment promu ses « vaccins », car ils sont aussi un moyen de réduire la population « Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait la réduire de, peut-être, 10 ou 15 pour cent » a-t-il expliqué lors d’une conférence TED en février 2010.

C’est l’OMS qui a lancé la « pandémie » de H1N1 en avril 2009 avec moult alertes graduelles[17] et le changement de la définition de la pandémie pour enlever le critère de mortalité. En 2009, l’OMS était déjà largement sous le contrôle du geek timbré qui en était déjà le principal donateur[18].

L’année précédente, la fondation Gates avait donné 39 millions de $ au PATH (Programme for Appropriate Technology in Health) pour « soutenir le développement rapide de vaccins pour se protéger contre une future pandémie de grippe » vec des partenaires publics et privés. 

Il y avait 4 axes de recherches: 

  • les vaccins antigrippaux vivants atténués ;
  • la technologie des vaccins recombinants ;
  • les vaccins à base de peptides ;
  • de nouveaux adjuvants, des ingrédients vaccinaux qui aident à stimuler la réponse immunitaire, permettant potentiellement d’étendre davantage l’approvisionnement en vaccins. Car de « nouvelles technologies » de « vaccins » seraient selon eux apyes à fournir les 14 mlliards de doses nécessaires en cas de « pandémie », au lieu des 400 millions produites chaque année pour la grippe saisonnière.
Gates agenda 2030

En 2008 également, la fondation Gates, le Wellcome Trust anglais et l’Institut pasteur ont entamé une collaboration pour lancer des projets afin d’ « améliorer l’effort de recherche et réduire le risque issu des menaces d’épidémies de grippe durant les prochaines décennies« , comme l’expliquait Yamada, un affidé de la fondation Gates:

« Au cours des 18 prochains mois, nous développerons, maintiendrons et diffuserons un inventaire central des activités de recherche financées qui sont pertinentes pour la grippe humaine afin de nous assurer que les intervenants sont bien informés. Nous coordonnerons également des exercices de feuille de route pour identifier les lacunes dans les connaissances. Ceux-ci aideront les bailleurs de fonds et les chercheurs à établir des priorités de financement de la recherche, en mettant l’accent sur les vaccins, les pharmacothérapies et l’épidémiologie/la science de la population (par exemple, le diagnostic, la surveillance, la transmission et la modélisation) ».

Gates a aussi financé les modélisations flippantes de la « pandémie », qui déjà se sont avérées fausses et inutilement alarmistes[19]. Au tout début de l’épidémie, une étude financée par la fondation Gates et le National Institute of General Medical Sciences faisait remonter le H1N1 à la grippe espagnole et pôuvait donc se transmettre à l’homme et entre humains, ce qui a alimenté les titres de la presse.

Selon Kennedy, « En 2020 de nombreux essais de vaccins contre le VIH menés par Gates / Fauci en Afrique sont soudainement devenus des essais de vaccins contre le covid-19« .

En janvier 2010, vers la fin de l’ « épidémie », Gates a appelé à lancer la « décennie du vaccin ». 

Covid : 

gates fauci

La préparation du covid ou de la « pandémie » de covid, c’est selon, s’est accélérée avec la création en janvier 2017 au forum de Davos de la Coalition do Epidemic Preparadness and Innovations (CEPI) pour une gestion mondiale des épidémies et financer la recherche sur le développement de « vaccins » pour les « nouvelles épidémies« .

Financement : la Fondation Bill Gates, le Wellcome Trust, le forum de Davos au départ. Puis par des gouvernements (Belgique, Autriche, Australie, Canada, Danemark, Ethiopie, Grèce, Allemagne, Suisse, Arabie Saoudite, Luxembourg, Indonésie, Angleterre…) + USAID, Commission européenne + secteur privé (pas en 2021) + ONU via la fondation « Covid 19 solidarity reponse fund ».

Gates a toujours été très actif dans les « vaccins », jusque’à présent principalement en Afrique, et a redoublé d’efforts à l’approche du covid. En septembre 2017, quelques mois plus tard, c’est le 1er don du département de la Défense à EcoHealth Alliance pour des recherches sur les virus de chauve-souris dans l’ouest de l’Asie, puis en octobre a lieu un exercice pandémique organisé par Gates et Johns Hopkins sur une épidémie de coronavirus entre 2025 et 2028.

Bill gates 4

Cet exercice SPARS a eu lieu avec la participation de Luciana Borio vice-présidente d’In-Q-Tel une société d’investissement dans les technologies très proche de la CIA, Joseph Buccina d’In-Q-Tel et directeur de l’Intelligence Community Support, Walter Orenstein ex haut fonctionnaire de la Santé passé à la fondation Gates.

Dans cette simulation, les médias et les réseaux sociaux sont mobilisés pour diffuser en boucle les messages officiels de peur, rassurer sur les « vaccins » et occulter les vraies infos sur leurs effets toxiques, pour attaquer les voix dissidentes.

En mai 2018 après avoir financé trois exercices organisés par le John Hopkins Center for Public Health, Gates a mis en place le Global Preparadness Monitoring Board, créé officiellement par Tedros de l’OMS et par le président de la Banque Mondiale. Un de ses objectifs est de renforcer les pouvoirs de l’OMS et de mettre au pays défavorisés. 

On trouve au conseil d’administration qui est présidé par l’ancien secrétaire général de la Croix Rouge internationale, un représentant de la fondation Gates, Jeremy Farrar du Wellcome Trust, le directeur général du CDC chinois, et Anthony Fauci y siégeait encore récemment.

2022-05-31 19_08_57-Bill Gates, Emmanuel Macron, _Big Pharma_

Le 4 septembre 2019, la fondation Gates nouait un partenariat avec BionTech qui travaillait sur des vaccins ARNm, avec un investissement de 55 millions $ pouvant aller jusqu’à 100 millions sur la recherche autour de vaccins contre les « maladies infectieuses ». 2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ et préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul produit sur le marché.

En octobre 2019 c’est l’Event 201 organisé par la fondation Johns Hopkins, le forum de Davos et la fondation Gates pour préparer une pandémie mondiale.

Un focus important était fait sur le contrôle de l’information, notamment sur les réseaux, sociaux, ce qui est amusant quand on relève qu’en octobre 2019, justement, Zuckerberg devait s’expliquer devant le sénat US pour la censure intempestive d’informations, principalement au sujet de la dangerosité des « vaccins ».

2022-05-31 22_03_31-Bill Gates , co-founder and co-chair of the Bill & Melinda Gates

En janvier 2020, Bill Gates et le Wellcome Trust annoncent mettre 150 millions de dollars chacun à la Coalition for Epidemic Preparadness Innovations (Cepi) pour développer des « vaccins » covid (en réalité un remixage de « vaccins » contre le VIH qui ne donnaient rien).

Gates dit vouloir lever 3,5 milliards et organiser une grande conférence des donateurs le 8 mars à Londres. Et le 23 janvier l’OMS alerte d’une « flambée » de SARS Cov2 et prévient les Etats qu’il faut agir :

« Les pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts multisectoriels de communication et de collaboration et une participation active à l’amélioration des connaissances sur le virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les voyages« .

Le même jour, l’OMS déclarait les tests RT-PCR valables pour le covid, en s’appuyant sur les recommandations d’un groupe de recherche en virologie basé à l’hôpital universitaire La Charité à Berlin, financé par la fondation Gates.

2022-05-31 20_20_21-Advancing research into accessible coronavirus treatments - COVID-19 Therapeutic

Juste avant le grand déclenchement des mesures « sanitaires » dans les pays alignés, le 10 mars 2020, la fondation Gates, le Wellcome Trust et Mastercard ont lancé le « COVID-19 Therapeutics Accelerator » (accélérateur thérapeutique COVID)  doté de 125 millions $ (+150 rajoutés peu après par Gates avec son argent personnel) pour « accélérer la réponse au covid ».

La fondation Gates expliquait alors que « L’accélérateur poursuivra plusieurs aspects du cycle de développement afin de rationaliser le cheminement du produit candidat à l‘évaluation clinique, à l’utilisation et à la fabrication« . 

L’initiative, qui pour l’instant n’a financé que des projets US et anglais, a été rejointe par d’autres organismes comme le GLOPID-R une structure destinée à nous « préparer aux épidémies de maladies infectieuses », et on trouve à sa direction Jeremy Farrar proche des renseignements US et dirigeant du Wellcome Trust, ou Barbara Kerstiens, en charge de ce sujet à la commission européenne et le désormais incontournable Yazdanpanah.

Parmi les grands donateurs de plus d’un million de $, il y a Zuckerberg de Facebook, Madonna, l’entrepreneur du net chinois Zhang Yiming qui a été désigné par le ministère américain de la Justice en septembre 2020 comme une tête de pont du parti communiste chinois (il a démissionné en mai 2021).

Quand Trump a lancé officiellement la procédure de retrait du financement US à l’OMS, en juillet 2020 (moins 400 millions de $ par anpour l’OMS) il a maintenu le financement de 1,16 milliard de $ au GAVI (via l’USAID) ce qui renforçait mécaniquement le poids de Bill Gates dans l’OMS. En juin 2020 les US ont aussi donné 8,8 milliards au GAVI sur 5 ans lors du « Global Vaccine Summit ».

En août 2020, pour accélérer la finalisation des candidats « vaccins » d’AstraZeneca, Johnson & Johnson, et Novavax, Gates a encore organisé la levée de 350 millions de $. 

La première « pandémie moderne »

2022-05-31 20_02_29-Bill Gates_ «Nous n’allons pas revenir à la normale avant un à deux ans» - Opera

Avant même que l’OMS déclence le scénario « pandémique », Gates a mobilisé les gouvernements occidentaux pour financer des recherches et la fourniture de mixtures partout dans le monde, sans que les pays défavorisés soient consultés. Ils devaient pourtant payer 1, 2 $ voir davantage, sans savoir ce qui allait leur être livré ni quand.

Des masses incroyables d’argent ont été draînées vers l’industrie pharma grâce à l’activisme pro « vaccins » et pro Big Pharma de Gates.

Le tout, en faisant sa propagande médiatique, car étrangement ce geek timbré est considéré par les médias et politiques mainstream comme le référent santé mondial. Il était pour un « confinement total » fin mars 2020 pour faire face au « genre de scénario cauchemardesque » (le covid) qui selon lui survenait, affirmant que si on confinait bien on n’aurait à le faire qu’une seule fois. Alors qu’il savait que comme ses mixtures n’arriveraient pas sur le marché immédiatement, le cirque allait forcément continuer.

Il va sans dire qu’il a soutenu les 2e, 3e (censée combattre les nouveaux variants avaec une ancienne souche de virus), 4e doses de mixtures. Finalement il a dit (janvier 2022) qu’on devra avoir une « dose annielle » de mixture anti-covid pendant plusieurs années.

Dès le 7 avril 2020, il annonçait qu’il allait financer pas moins de 7 vaccins en développement et les usines pour les fabriquer. Tout en déclarant quelques mois plus tard (en août) que « le vaccin initial ne sera pas idéal en termes d’efficacité contre la maladie et la transmission. Il n’aura peut-être pas une longue durée et sera principalement utilisé dans les pays riches comme mesure palliative » mais comptait déjà sur les « vaccins » suivants qui selon lui seraient plus efficaces.

Irlande du Nord 2

On a vu qu’en effet ils n’ont pas été efficaces, mais les suivants ne l’ont pas été davantage.

C’est encore lui qui donnait le tempo des « confinements » « déconfinements », du degré de mesures liberticides et de traçage qu’il convenait d’instaurer, etc.

Fin avril 2020 il annonçait que le fameux « retour à la normale » qui était en fait la carrotte pour que les citoyens crédules se montrent obéissants, ne reviendrait pas avaant un ou deux ans.

Il considérait que « Les gens seront très préoccupés par l’idée d’être infectés et changeront drastiquement leurs comportements, (…) tant qu’il ne sera pas prouvé que les thérapies ou un vaccin rendent le risque de mort résiduel ».  Il posait déjà ses conditions, et tout le monde avait compris que le plan était bien d »injecter massivement de nouveaux produits à un maximum de population mondiale.

Les pays occidentaux sortaient à peine de la première grande rétention de masse d’une population ahurie par la propagande, que Gates faisait ses petites prescriptions car évidemment la vie ne pouvait pas reprendre comme avant: pas de rassemblements avant le printemps 2021 (et c’est ce qu’il s’est passé en plus!), des distances « sanitaires » entre les gens, et surtout le « produit miracle » qu’il fallait attendre comme le messie :

« Si au printemps 2021, les gens pourront aller à de grands événements publics – comme un match ou un concert dans un stade – ce sera parce que nous aurons un traitement miraculeux qui a donne aux gens la confiance nécessaire pour sortir à nouveau« .

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En décembre 2020, quand ses produits « miracle » commençaient à être injectés à la population occidentale, il annonçait que « les 4 à 6 prochains mois pourraient être le pire de la pandémie » aux USA. 

En février 2021 il disait qu’on ne sortirait pas du covid avant 2022, date qu’il a toujours annoncée. On peut maintenant se demander si ce n’est pas parce que d’autres épidémies devaient arriver.

Quant à la chloroquine, Gates lui a réglé son compte en finançant une « grande étude » à l’université de Washington, qui a conclu que l’hydroxycholorquine n’empêchait pas d’attraper le covid et ne réduisait pas les symptomes. On notera que les essais sur l’hydroxychloquine menés par l’OMS, par les Etats-Unis, par la France et certainement ailleurs ont été stoppés d’un coup. On nous a dit qu’aucune efficacité n’était apparue, mais comme rien n’a été publié on est obligés de les croire sur parole.

Il y a été si fort avec sa propagande que 28% des Américains considéraient qu’il s’agitait ainsi dans le but d’implanter des micropuces aux gens par le biais des mixtures.

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Une des dernières inventions de Bill Gates dans l’affaire du covid, avant de passer à celle du monkeypox, est la création de la GERM Team (Global Epidemic Response and Mobilization) : une équipe internationale de 3000 experts pour intervenir partout dans le monde et prendre en main la gestion des « épidémies » à la place des gouvernements.

Il l’a lancée avec l’OMS, avec un budget estimé à 1 milliard de $ par an. Objectif affiché : casser les foyers de maladie avant qu’elles ne deviennent des « épidémies » [21]. De la santé globale préventive, en somme.

Il veut aussi « améliorer les systèmes de santé« , qui ont été détruits et doivent être reconstruits, à sa manière. Mais il faut dire que ce volet-là n’est pas prioritaire actuellement, Gates étant concerntré sur les nouvelles technologies de « vaccins ».

Investissements et conflits d’intérêts

2022-05-31 20_45_28-Bill Gates, médecin du monde - Opera

La fondation Gates a des liens d’intérêts et même des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Et contrairement à ce qu’ont dit certains « débunkers », sa fondation gagne bien de l’argent grâce à ses « investissements » dans des grandes et petites entreprises, notamment les biotechnologies.

Elle a ainsi des liens anciens avec Gilead, qui vend le Remdesivir. Il y a quelques années, elle a investi ainsi que le NIAID dans le développement de produits anti SIDA que Gilead a récupérés. Les deux ont collaboré pour essayer le Remdesivir en Afrique contre Enola et le Zika, sans succès.

En fait, la fondation Gates –tout comme le GAVI- subventionne depuis des années de nombreux travaux de développement de divers produits médicaux menés par d’obscures start-ups comme par des multinationales telles que Pfizer, GSK, Sanofi, Roche ou même des hôpitaux comme le Birmingham Hospital and Women Health (BWH) de Boston… Et elle « investit » comme le Wellcome Trust par exemple, en prenant des partis du capital de start-ups, touchant parfois le gros lot en cas de rachat.

Au titre des retours sur investissement, en 2016 la fondation Gates a touché 80 millions de $ de la part de Pfizer lors de la revente d’une start-up de biotechnologies, Anaacor Pharmaceuticalls dans laquelle la fondation avait pris des parts, à Pfizer.

En 2019 elle a investi 55 millions de $ (pouvant monter à 100 millions) dans BioNtech, qui développait justement un des « vaccins » anti covid mis sur le marché. 

2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ auprès d’investisseurs internationaux et elle préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul traitement sur le marché.

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D’un autre côté, le NIH a donné des centaines de millions de dollars aux programmes de recherche de la fondation Gates, notamment pour des « vaccins » contre le SIDA. En 2003 Fauci et Gates ont lancé une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

Avec Gilead, il était notamment question de traitements expérimentaux en Afrique contre le SIDA comme le Tenofovir[22], et Gilead Sciences est d’ailleurs le premier donateur pour les programmes anti-SIDA depuis au moins 2016, devant la fondation Gates sauf en 2020.

Il a financé dans les années 2000, via la fondation Gates, des travaux de Gilead -qui produisait le Tamiflu présenté comme le remède miracle contre le H1N1, sur le SIDA par exemple. À ce moment il y avait du beau linge au conseil d’administration de cette boîte qui démarrait seulement, comme Donald Rumsfeld (ex ministre de la Défense de Bush 2) qui en détenait aussi un paquet d’actions vendues avant que l’opinion ne se pose trop de questions sur l’inocuité ou l’efficacité de ce produit et George Schulz (ex ministre de l’Intérieur de Bush 2). En 2005 Bush 2 a mis 7 milliards pour la préparation d’urhence à une « pandémie » de grippe.

Angleterre

La fondation Gates collabore aussi avec Moderna  qui a reçu 125 millions de $ du HHS ainsi que des fonds de Gates pour un « vaccin » à ARN messager anti Zika en 2017 [23], et a subventionné Moderna pour  des « vaccins » à ARN messager contre le VIH. Elle a versé 20 millions de $ la première année en 2016 et les financements pouvaient monter jusqu’à 100 millions[24].

Moderna passait alors pour avoir « une approche disruptive » de la médecine avec ses « vaccins » à ARNm, qu’elle avait testé pour la première fois sur l’humain en 2010 avec un vaccin anti grippe. Et alors que toutes les grosses boîtes et start-ups qui avaient tenté de développer des « vaccins » à ARNm s’y étaient cassé les dents, il a été dit que les essais avaient été concluants et que ce produit était sûr.

En 2018 Moderna a encore levé plus de 500 millions de $ dont 230 millions de diverses fondations mais surtout celle de Gates, et valait 7 milliards. L’objectif était de « découvrir de nouveaux candidats-médicaments contre les maladies rares, tout en restant déterminé à faire progresser de nouveaux candidats au développement de vaccins pour répondre à de graves besoins non satisfaits ».

Forbes notait au moment de cette levée de fonds importante :

« Moderna affirme disposer de 1,4 milliard de dollars en espèces, en plus de la possibilité d’accéder à 250 millions de dollars supplémentaires en subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates et de plusieurs agences gouvernementales, notamment la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) et la Defense Advanced Research Projects. Agence (DARPA) ».

Avec tout cet argent, qui finit par faire la pluie et le beau temps dans de nombreux domaines de la recherche médicale à commencer par les biotechnologies et les « vaccins », Bill Gates est craint et l’autocensure à son sujet est la norme depuis bien longtemps aux USA. Il y a même une expression, explique le New York Times: le « Bill Chill« , comme un courant qui refroidit les ardeurs critiques dès qu’il est question de sa personne.

La commission européenne, soumise aux lobbys industriels et financiers, a aussi lancé son programme de financement de la « recherche » sur de nouvelles mixtures. En avril 2020, elle lance la « riposte mondiale au coronavirus », qui consiste à financer des recherches privées pour « développer et déployer des vaccins, des tests et des traitements contre le coronavirus » puis acheter des millions de doses de « vaccins » pour l’Europe et les pays défavorisés.

2022-06-01 22_12_33-(2) Commission européenne 🇪🇺 sur Twitter _ _

En décembre 2020 elle avait levé 16 milliards via une campagne de collecte menée avec l’ONG mondialiste Global Citizen. Un grand concert co-présenté par von der Leyen avec plein de stars made in USA (Shakira, Coldplay, Usher, Jennifer Hudson, Miley Cyrus, Justin Bieber…) a été organisé.

Le communiqué de la commission précise :

« Financée par Bloomberg Philanthropies, la Bill & Melinda Gates Foundation et le Wellcome Trust, cette campagne est axée sur les aspects suivants: remédier aux conséquences de la pandémie sur les communautés les plus vulnérables, garantir un accès équitable à des technologies abordables permettant de lutter contre le coronavirus et renforcer les systèmes de santé partout dans le monde« .

L’argent collecté devait être reversé à une série d’organismes bien connus :

Gates est en train de faire en Europe ce qu’il a fait aux Etats-Unis : réorienter l’argent public destiné à la santé des citoyens du pays vers la « santé globale », avec des canaux de financements mondiaux qui, on l’a vu, profitent toujours d’abord aux industries anglo-saxonnes.

4. Pourquoi une telle impunité, toujours renforcée ?

2022-06-02 20_46_47-Une gestion déplorable - ladepeche

La question qui vient logiquement ensuite est : Pourquoi des individus responsables de tant de désastres sont-ils toujours actifs lors de l’épidémie suivante ? On le voit avec la « variole du singe » : ce sont encore les mêmes protagonistes qui tournent en boucle à la télé, les mêmes qui sont aux postes de décision.

Par exemple, Delfraisssy, Flahault, Lina et Bachelot se sont retrouvés devant la commission d’enquête du Sénat « sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) », mais sont encore là, à des postes clés. Il est vrai que cette commission ne cherchait pas à comprendre pourquoi on a misé sur des « vaccins » expérimentaux, mais pourquoi la vaccination avait raté.

Du coup les conclusions ont été qu’il fallait mieux « communiquer » :

« le message sanitaire délivré par les pouvoirs publics a été opacifié par un véritable brouillard médiatique, tandis que la communication institutionnelle, utilisant des instruments traditionnels, n’a pas su prendre la mesure de l’état d’esprit de la population et réagir correctement pour susciter son adhésion ».

En effet, la « menace » n’était pas perçue comme assez importante par les citoyens pour prendre le risque de se faire injecter, et au fil du temps la motivation déjà faible a littéralement chuté. Du coup, les sénateurs disaient qu’il fallait davantage « susciter l’adhésion » ce qui veut simplement dire qu’on allait devoir manipuler le consentement des citoyens par la propagande.

« Ce qui est regrettable, c’est certes que la communication n’ait pas été ajustée en conséquence, mais aussi que les décisions prises concernant l’organisation de la campagne n’aient pas mieux intégré la faible perception du risque par la population et la nécessité de susciter son adhésion et celle des professionnels de santé, notamment libéraux, à une campagne de vaccination que l’on souhaitait massive mais qui reposait sur la liberté de choix ».

2022-06-02 20_41_32-Covid-19 - Retrouvez toutes les campagnes de communication de l'ARS Auvergne-Rhô

On se souciait aussi déjà beaucoup d’ « internet », qui diffusait des informations contraires à la propagande officielle, et où les « messages institutionnels » n’étaient pas assez présents : on l’a vu, ça a été corrigé avec le covid où on a connu à la fois une propagande massive sur tous les canaux, et une censure jamais vue de toute opinion contraire à la doxa.

On nous parlait d’un « échec » de la « vaccination » sans jamais se demander si elle était justifiée au vu du nombre incroyablement bas de décès (323). L’utilité de cette campagne d’injections expérimentales n’a même pas été un sujet.

Au lieu de se féliciter qu’on ait évité de nombreuses victimes d’effets indésirables, la commission disait que « Les résultats de la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1) sont indéniablement insatisfaisants : seule une très faible partie de la population a adhéré à la vaccination, alors même que les moyens, logistiques et financiers, déployés pour organiser la campagne, ont été particulièrement importants. Toutefois, la France n’est pas le seul pays à accuser un tel échec : celui-ci est très largement partagé« . Le seul objectif des sénateurs était-il de piquer tout le monde, peu importe la dangerosité du H1N1? On dirait.

Une des propositions de la commission pour régler le problème de l’influence des labos sur les décisions était de renforcer le rôle de l’Europe dans les achats de mixtures. Le rapport demande ainsi de « Promouvoir, au niveau communautaire, une meilleure coordination entre les États membres en matière de gestion de crise sanitaire et la mise en place d’une stratégie mutualisée d’achats de vaccins« .

carte H1N1

Le député François Autain, président de cette commission, avait beau jeu de dénoncer « la pression des laboratoires«  et le « chantage de l’industrie pharmaceutique » si sa commission réclame en parallèle une centralisation accrue des décisions, rendant encore plus facile le contrôle de la décision par l’industrie.

Il n’y a pas eu à ma connaissance de procédure judiciaire contre les responsables de ce gaspillage, ni de sanctions disciplinaires puisque tous ceux qui ont été impliqués ont poursuivi leurs carrières sans problème. Même les indemnisations des victimes des injections se font encore attendre pour la plupart des victimes.

D’ailleurs, l’Etat a été condamné par des tribunaux à en indemniser certaines, par exemple en 2020 quand le tribunal de Nanterre a obligé l’Etat à verser 558.000€ à une jeune femme atteinte de narcolepsie suite à l’injection anti H1N. Mais seulement une cinquantaine de dossiers auraient été définitivement indemnisés en 2021, certains sont en cours et beaucoup n’ontpas été reconnus.

En évitant de faire un bilan, voire même de régler les comptes après le H5N1, le H1N1, ainsi que sur toutes les mixtures injectées par Bill Gates et Fauci depuis 20 ans, on s’assure que le scénario sera encore pire la fois d’après. 

Le Sénat réclamait aussi que les préfets renforcent les « zones de défense » au niveau territorial : il fallait « Instituer dans chaque zone de défense un conseil zonal de préparation aux crises sanitaires présidé par le préfet de zone et composé de représentants de l’ensemble des acteurs de la gestion de crise sur le terrain« .

L’impunité organisée

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Pharmacovigilance, négociation des contrats, absence de débat contradictoire et scientifique, précipitation: une bonne partie des ingérdients qyi ont réaillé pour le H1N1 ont été reproduits et amplifiés avec le covid.

Par contre certaines choses intéressantes ont été dites par cette commission, comme le fait que les professionnels de santé ont été laissés complètement hors des réflexions et du dispositif, problèmes qui a été encore plus marqué dans le cas du covid avec une véritable éviction des médecins de ville de tout le dispositif, avec le résultat qu’on connait (pour les explications je renvoie notamment vers les travaux des membres du Conseil Scientifique Indépendant). 

La commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le gouverne-ment de la grippe A (H1N1), créée par le groupe Communiste, a été un peu plus loin.

Mais les parlementaires continuaient à faire comme si le H1N1 avait été grave (bien qu’ils reconnaissent que la « pandémie » annoncée n’était jamais arrivée) et recommandaient d’ « Elargir les plans de lutte antipandémiques à l’ensemble des maladies infectieuses » ou encore de renforcer les pouvoirs de l’Europe pour « une action concertée » même si on voit mal en quoi déconnecter davantage la décision du terrain et concentrer les pouvoirs entre les mains de quelques individus pourrait avoir un effet bénéfique. L’affaire du covid, notamment les magouilles de Von der Leyen pour les contrats des « vaccins », l’a d’ailleurs violemment montré.

11 vaccins

On a l’impression d’un système qui tourne tout seul, quelle que soit la dangerosité du virus. C’est comme si chaque acteur jouait sa partition, celle pour laquelle il est payé, celle à laquelle il a été préparé, c’est-à-dire une menace grave justifiant des actions mondiales, même si on est face à une épidémie de faible intensité. 

Peu importe la réalité: on plaque dessus un scénario établi d’avance au cours d’exercices, de conférences, d’études et rapports diffusés à grand renfort médiatique.

C’est un processus en deux temps : d’abord on injecte de l’argent dans des travaux de recherche ou des ONG sur tel ou tel sujet, par exemple les maladies infectieuses émergentes, puis cet argent diffuse, corrompt, fait oublier l’éthique partout où il passe, et la « pandémie » qui n’existe pas encore devient un sujet.

« Cette préparation collective, notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’une pandémie s’est auto-alimentée, comme le soulignait M. Jérôme Sclafer, avec l’accroissement de l’activité éditoriale autour de ce sujet : selon la base de données américaine Medline qui répertorie les principales revues médicales, si deux publications seulement en moyenne par an, dans les années 1980, portaient un titre contenant l’expression « grippe pandémique », en 1997, dix-huit publications avec un tel titre ont accompagné l’alerte sur la grippe de Hong Kong.

L’intérêt pour ce concept a encore augmenté à partir de 2003 puisque cinquante et une publications ont titré sur la grippe pandémique en 2004, cent vingt-quatre en 2005, puis plus de deux cents par an à partir de 2006″ notait le rapport sur le rôle de l’industrie pharmaceutique.

On imagine où on en est aujourd’hui.

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Concernant le H1N1, l’opinion publique a dû se contenter de ces deux enquêtes parlementaires pour comprendre comment une telle gabegie a été possible, pourquoi on a insisté pour refiler du Tamiflu et des « vaccins » à une population désinformée par les autorités, pourquoi on a effrayé la population alors que rien ne l’a jamais justifié. Aucun des problèmes n’a été réglé, la seule chose qui a avancé depuis est la gestion disproportionnée des « épidémies »qu’elles soient réelles ou purement hypothétiques.

En avril 2010, l’OMS a admis des erreurs dans sa communication sur les « incertitudes » de la « pandémie ». Le quotidien Le Monde notait alors que « Face aux recommandations de l’agence onusienne, les Etats ont accumulé des doses de vaccins qui n’ont finalement été d’aucune utilité. D’aucuns se sont interrogés sur les liens de l’OMS avec l’industrie pharmaceutique, notamment des laboratoires comme GlaxoSmithKline ».

Il n’y a évidemment pas eu d’enquêtes à ce sujet, au contraire les décisions suivantes ont montré que l’OMS a renforcé son processus d’alerte et de gestion « pandémiques », mais on y reviendra.

Définition Pandémie - rapport Sénat H1N1

D’ailleurs, l’OMS a expliqué que si la « vaccination » a été un bide, ce n’est pas du tout parce que le virus était bénin, mais à cause des « nouveaux médias » : les réseaux sociaux ! Le Monde relatait : « Les nouveaux médias – Twitter, blogs, email… – ont en outre perturbé la communication autour de la grippe, ont souligné les experts de l’OMS. Il y a eu « des informations, des rumeurs, beaucoup de spéculations et des critiques dans de nombreux supports » médiatiques, a rappelé Keiji Fukuda », spécialiste de la communication pandémique à l’OMS[25].

L’impunité vient de plusieurs facteurs, dont l’un des principaux est que beaucoup d’acteurs de la gestion « pandémique » baignent dans la propagande de l’industrie pharmaceutique qui les transforme progressivement en VRP de cette même industrie. Elle vient aussi du fait que personne n’ose remettre en question la « doxa » car les carrières sont souvent liées aux financements privés qui ont un intérêt à vendre toujours plus de produits, toujours plus chers. $

Beaucoup ont travaillé sur ces liens d’intérêt, comme Laurent Mucchielli dans plusieurs articles et dans ses livres « La doxa du covid« .

Est-ce que cela a changé depuis le H1N1 ? Au contraire, l’industrie pharma a encore grossi (1200 milliards de chiffre d’affaires en 2019) et l’étau s’est refermé davantage : les liens d’intérêt se sont renforcés, les membres des plus hautes instances n’ont aucune indépendance par rapport aux industries avec lesquelles ils collaborent de plus en plus étroitement [26].

On a même passé un cap assez hallucinant avec le conseil de « défense » du micron, dont les décisions sont secrètes pour 70 ans. Du jamais vu en matière « sanitaire ». Et comme le micron est irresponsable, on ne peut pas le poursuivre pour ce qu’il fait sauf à prouver la corruption active. Ce qui est impossible vu l’opacité complète sur l’ensemble de ses décisions.

Big Pharma 2021

Des médecins et des politiques au service de Big Pharma

En 2019, le Corporate Europe Observatory a souligné l’augmentation importante des dépenses de lobbying de l’industrie pharma en Europe. Un article du Point expliquait ainsi que les dix groupes pharmaceutiques les plus actifs en lobbying « disposent de 60 laissez-passer pour le Parlement européen et ils ont organisé 112 réunions avec des membres haut placés de la Commission européenne. Le budget annuel de lobbying de la seule Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) atteint 5,5 millions d’euros, et même 6 millions si l’on ajoute ses deux sous-groupes, l’European Biopharmaceutical Enterprises et Vaccines Europe.

Au total, les 3 organismes ont obtenu 42 réunions avec des commissaires, leurs cabinets ou leurs directeurs généraux, et disposent de 10 laissez-passer au Parlement européen. L’EFPIA siège également dans 8 groupes de conseil à la Commission, qui fournissent aux législateurs leur expertise sur des questions politiques« . 

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Ce lobbying poursuit deux objectifs principaux (mais pas exclusifs): diffuser des messages alarmistes sur les maladies pour lesquelles de nouveaux traitements viennent d’être repositionnés ou développés par les labos, et augmenter les prix. En 2020 et 2021, les investissements de Big Pharma en lobbying avaient encore explosé, aussi bien aux USA qu’en Europe où on a atteint la somme de 50 millions de dollars -déclarés (mais la transparence en la matière n’est qu’un leurre).

« Outre l’omniprésence des lobbyistes pharmaceutiques, les statistiques des réunions permettent d’identifier les cinq visiteurs les plus fréquents lors des réunions sur la production et la distribution de vaccins et de médicaments. Elles se répartissent en trois catégories : les organisations internationales, les fondations philanthropiques et une organisation de la société civile.

Avec respectivement 5 et 7 réunions, le CEPI et Gavi sont deux des quatre groupes à l’origine de l’initiative internationale COVAX (les autres étant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF), et ont été très actifs pour des raisons évidentes. Ils ont certainement besoin d’un soutien européen, financier et politique. Alors que leur objectif déclaré est de fournir au monde des médicaments et des vaccins contre le COVID-19, il y a un hic : ni le CEPI ni GAVI ne sont enclins à ouvrir une discussion sur les droits de propriété intellectuelle« , notait le Corporate Europe Observatory dans un autre rapport en mai 2021.

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On a vu avec le cas Bill Gates qu’un des moyens par lesquels l’industrie pharmaceutique diffuse l’argent est la rémunération d’études cliniques. Celles-ci peuvent aussi bénéficier d’argent public, mais ce sont bien les labos qui les mènent. Les médecins hospitaliers qui recutent des cobayes sont rémunérés par l’industrie, et cette rémunération peut mettre du beurre dans les épinards.

Ces médecins hopitaliers qui collaborent avec l’industrie pour des essais ou des travaux de recherche de molécules sont couvés par Big Pharma qui s’en sert comme « influenceurs », ou « Key Opinion Leaders », c’est-à-dire qu’ils sont en position de s’exprimer auprès des décieurs, des autres médecins ou du grand public.

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Du coup, ils touchent en moyenne 3.700€ annuels de cadeaux (davantage que la moyenne des médecins) pour faire la promotion de de tel ou tel produit, et surtout 41.000 € en moyenne pour des interventions à des congrès, des expertises spécifiques etc. Et cette rémunération augmente… en fonction du prix des traitements prescrits par le « médecin »: plus il prescrit de médocs chers, plus il touchera de l’industrie.

Des sommes qui sont dix fois plus importantes aux USA.

Evidemment, le top de l’influenceur est celui qui est présent dans des autorités décisionnaires en matière médicale. Il va être recruté comme « conseiller », ou carrément dans des conseils scientifiques et conseils d’administration des entreprises pharmaceutiques, ou même dans des organisations satellites. 

L’industrie pharma a aussi mis la main sur la presse médicale, en premier lieu les médias de référence comme le BMJ ou le Lancet[27]. Ce qui amène Laurent Mucchielli à parler de « trafic d’influence organisé par les industries pharmaceutiques, que l’on peut également qualifier de « corruption systémique » de la recherche médicale« . L’industrie ne rémunère pas tous les médecins, et cible des « influenceurs » (les télétoubibs qui oublient systématiquement de préciser leurs liens d’intérêts), qui ont reçu 3,5 milliards en France entre 2012 et 2018.

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Une étude française parue en 2021 dans le British Medical Journal a identifié 548 médecins « influenceurs » en France, qui interviennent dans des congrès, sont membres d’associations professionnelles, ont publié des recommandations entre 2014 et 2019. Durant cette période, les industriels ont versé 6 milliards d’euros pour les médecins dont 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature, et ces influenceurs ont une plus grosse part du grisbi.

Depuis 2016 une loi oblige pourtant ces gens à préciser leurs liens d’intérêt à chaque intervention publique. Mais cette loi n’est jamais appliquée et le CSA s’en tape.

Ces « influenceurs » n’hésitent pas à faire la promotion de la nouvelle pharmacopée. Par exemple en novembre 2019, donc quelques mois avant le début officiel du covid, 86 médecins regroupés dans un « collectif ACCèS+ » (dont Karine Lacombe) signaient une tribune dans l’Opinion pour accélérer la mise sur le marché des nouveaux médocs. À eux tous ils cumulaient 16 millions d’euros de liens d’intérêts avec l’industrie depuis 2013, soit une moyenne de 31.000€. Médiapart a ensuite montré que ladite tribune a été coordonnée par Agipharm, une association qui réunit 14 labos US.

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En 2020, Pfizer a annoncé un investissement de plus de 500 millions d’euros au macronistan. Objectif :

« travailler avec les établissements de santé en France pour augmenter de manière significative le nombre de patients inscrits dans ses essais cliniques au cours des cinq prochaines années. Cette démarche est soutenue par l’engagement continu du pays à vouloir simplifier les programmes d’accès précoce aux médicaments innovants, et permettre ainsi l’accès plus rapide aux patients en France dont les besoins médicaux ne sont pas couverts aujourd’hui« .

On ne reviendra pas sur la fameuse étude du Lancet contre l’hydroxychloroquine débunkée en 24h, qui est un cas emblématique du ridicule dans lequel s’est enfoncée une certaine « science ». Mais on notera que véran s’en est servi pour renforcer l’interdiction de l’HCQ dès le lendemain et qu’il n’est jamais revenu sur cette décision criminelle puisqu’elle a entraîné des décès qui auraient pu être évités. À ce moment, tous les « influençeurs » étaient vent debout contre l’hydroxychloroquine et contre Raoult, plus facile à attaquer que la chloroquine.

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Par ailleurs, il est devenu quasiment impossible de faire de la recherche dans le domaine médical sans recourir à l’argent du privé, grâce à la privatisation de la recherche universitaire introduite au début des années 2000 sur injonction européenne.

On notera aussi que l’industrie du « vaccin » est tenue par quatre géants : GSK, Merck, Pfizer et Sanofi dont les chiffres d’affaires de ce secteur en 2019 allaient respectivement de 9,2 milliards à 6,4.

Les manigances de big pharma sont connues depuis des lustres, il y a même parfois des condamnations (Pfizer les cumule, avec plus de 6 milliards versés en dédommagements aux USA), mais le système perdure et se renforce. La mainmise est aussi de plus en plus prégnante aux plus hauts niveaux politiques : on n’a pas fini d’étudier les liens de la micronie avec les labos, du micron avec Pfizer notamment[28], que ce soit ou non via McKinsey.

Avec le covid, des milliers de plaintes ont été envoyées à diverses institutions censées appliquer les lois, et aussitôt classées sans suite. Quand un tribunal décidait de faire sauter des mesures liberticides locales type couvre-feu, muselières obligatoires, déplacements limités etc. on a vu les préfets passer outre systématiquement.

L’impunité aujourd’hui est totale, et est facilitée par l’opacité totale dans laquelle sont prises les décisions : opacité du conseil de « défense » du micron où se décidait par exemple l’ouverture du Puy-du-Fou pendant une rétention de masse stricte, opacité des essais des labos, opacité des contrats, opacité sur les traitements efficaces, opacité sur les effets indésirables des « vaccins », censure systématique, en tous lieux et places, des contradictions.

2022-06-03 22_46_58-Emer Cooke, directrice de l'EMA et _apothicaire de l'Europe_, donne le feu vert

L’industrie aime aussi recruter les anciens décideurs politiques, ou envoyer ses dirigeants dans les instances de décision. Par exemple plusieurs membres de l’Agence Européenne du médicament ont aussi travaillé pour l’industrie pharma (comme sa directrice actuelle Emer Cooke qui a commencé sa carrière dans l’industrie et a notamment passé 7 ans à l’EFPIA, le lobby de Big Pharma auprès des instances européennes), ou bien y sont allés dès la fin de leurs fonctions, comme son Directeur exécutif, Thomas Lönngren, qui dès le lendemain de son départ en 2011 avait rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’influenceur de premier plan. Il avait de nombreux autres liens d’intérêt avec diverses boîtes du secteur.

C’est cette agence européenne du médicament qui autorise les médicaments en Europe (Rmedesivir, vaccins etc.), qui assure l’opacité sur les essais cliniques et empêche le développement de médicaments génériques, par exemple.

L’infiltration est la même au niveau européen et international, notamment à l’OMS[29].

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Pourquoi cette corruption ne fait-elle que se renforcer ? Tout simplement parce qu’elle n’est pas exceptionnelle mais systémique et que l’argent est le nerf de la guerre. Et pour qu’elle soit systémique il faut bien que les conditions favorables soient réunies sur le long terme et cela n’est pas dû au hasard. Il n’y a qu’à considérer l’ampleur du phénomène dans le temps et dans l’espace, mais on va voir progressivement quels processus sont en cours.

On peut déjà être certains d’une chose : cette impunité ne va pas s’arrêter, au contraire elle va continuer à prendre de l’ampleur, probablement jusqu’à ce que l’industrie pharma et les instances de décision nationales et surtout internationales se confondent complètement.

Ne négligeons pas non plus la corruption, phénomène mal perçu aux plus hauts niveaux de l’Etat et des institutions internationales, mais qui pourtant est réel. Je ne donnerais qu’un chiffre à ce sujet: un rapport d’Interpol estimait qu’au bas mot 12,5 % des marchés publics passés en Europe sont des dessous de table. C’est-à-dire que si on paie 100 millions pour des « vaccins », 12,5 millions sont renvoyés aux politiques qui ont pris la décision et organisé le contrat des deux côtés. Selon l’OCDE, plus de la moitié des cas de corruption transnationale avaient pour objectif de remporter un marché public.

Selon le type de marché, les commissions et rétrocommissions peuvent représenter 10 à 25 % du montant des contrats selon Transparency International, 10 à 30 % pour l’OCDE. Au niveau européen, ça pourrait représenter 6,3% du PIB.


On sait qui a commis des erreurs mais on ne cherche pas à identifier les responsabilités sur le plan pénal. Il n’est donc pas question de protéger les citoyens mais les donneurs d’ordre. La corruption des différents niveaux de décision par l’argent de Big Pharma n’est pas un scoop; on le sait depuis des années. Mais rien n’est fait pour lutter contre, à part des règlements ineptes de fausse « transparence ». Ce qu’il faudrait, c’est cloisonner la décision politique ou sanitaire et l’industrie, empêcher l’infiltration. 

Au lieu de cela, l’influence de l’industrie pharma et de ses sbires ne cesse de se renforcer malgré les scandales. À ce stade la question à se poser est : à qui tout cela profite, et qui a les moyens d’empêcher que les citoyens ne se mêlent de leur prore santé?


[1] Dans son audition au Sénat le 28 avril 2010 devant la commission d’enquête il a déclaré : « J’ai été membre du LEEM Recherche, aux côtés d’ailleurs de la présidente de l’Institut Pasteur, du directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), du directeur général de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), au titre de ma fonction de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique ». Le 26 février le LEEM Recherche est devenu l’Alliance pour la recherche et l’innovation des industries de santé (ARIIS) et Flahaut était mentionné sur leur site mais niait encore faire partie de la structure.

[2] Apparemment c’est l’Institut Pasteur qui est allé le chercher en 2013 pour « disposer d’outils d’aide à la décision en cas de nouvelle pandémie« .

[3] Le GEIG organise des congrès financés par l’industrie pharma.

[4] Elle fut déléguée à l’information médicale des laboratoires ICI Pharma de 1969 à 1976, et chargée des Relations Publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989, en gros elle gérait la com de ces labos. Entre les deux missions dans le privé elle a fait ses premiers pas en politique comme conseillère générale dans le fief de son père.

[5] Même l’OMS admettait en août 2009 que « par manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe pandémique. Les tests d’innocuité et d’efficacité devront donc se poursuivre après avoir commencé à les administrer« .

[6] Un comité dont quasiment tous les experts avaient des liens d’intérêts de longue date avec l’industrie pharma.

[7] « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », paru en mars 2022.

[8] Ferguson était membre du Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) qui conseille le gouvernement anglais.

[9] Plus précisément au MRC Centre for Global Infectious Disease College créé pour modéliser les pandémies.

[10] Ce projet destiné à « comprendre le risque d’émergence d’un coronavirus de chauve-souris » devait initialement être financé par le NIAID jusqu’en juin 2024 mais il a été stoppé prématurément après que la DARPA ait compris qu’il y avait quelques problèmes de sécurité au laboratoire de Wuhan. On était alors en juin 2020.

[11] Les résultats de l’étude chinoise n’ont pas été favorables au Remdesivir, pointant ses dangers et son inutilité face au covid.

[12] La FDA l’a autorisé dans les jours suivants, ce qui a entraîné son remboursement à 100%, à un prix de plus de 2000$ le traitement.

[13] Une étude parue dans le Lancet en mai 2020 a montré que 12% des patients traités au Remdesivir avaient eu des effets graves et ont dû arrêter le traitement, contre 5% des patients non traités.

[14] En 2010 l’Agence fédérale pour la qualité des soins de santé (AHRQ) a évalué un système bien plus performant qui a été jeté aux oubliettes par le CDC car il a révélé que les « vaccins » causaient des dommages graves chez 1 personne sur 40. 

[15] La fondation Bill & Melinda Gates est née de la fusion de la Fondation William H. Gates et de la Gates Learning Foundation. En 2006 elle avait environ 30 milliards de $ de budget, quand Warren Buffet lui a donné une bonne partie de sa fortune, soit encore 30 milliards de $.

[16] Cf. « The grand impact of the Gates Foundation » de Kirstin RW Matthews et Vivian Ho. https://doi.org/10.1038/embor.2008.52

[17] Selon le rapport du Sénat sur le rôle de Big Pharma dans la « pandémie » H1N1, « l’OMS avait déjà, selon M. Ulrich Keil, directeur de l’Institut d’épidémiologie à l’Université de Munster, lancé plusieurs « fausses alertes » avant le déclenchement de la pandémie grippale de 2009. M. Ulrich Keil cite les exemples de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et de la grippe aviaire. Toutefois, à la différence des cas précédents, la grippe A (H1N1)v a donné lieu à l’engagement, pour la première fois dans de telles proportions, de mesures de production de vaccins, et à l’engagement de campagnes de vaccination de masse ».

[18] Gates finançait –et finance toujours- l’OMS via plusieurs canaux : sa fondation qui en 2008-2009 a donné 338 millions de $ (le gouvernement US, 1er donateur a donné 424,5 millions $), mais le GAVI qui reçoit des financements de sa fondation, a donné 85 millions à l’OMS, et le Programme for Appropriate Technology in Health (PATH) lui aussi principalement financé par la fondation Gates, a donné 9 millions $. De plus, la fondation Gates finançait déjà diverses structures qui donnaient aussi à l’OMS (par exemple la Johns Hopkins University, le International Development Research Centre, le Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria).

[19] Le centre de modélisation de l’Imperial College de Londres est financé par Bill Gates et c’est là que travaillait Neil Ferguson.

[20] Le « Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme », créé par l’OMS en 2001 avec l’appui du G8 et bien-sûr des financements de la fondation Gates (2,74 milliards $ tout de même depuis sa création, et 760 millions rien que pour 2020-2022).

[21] La GERM team a été présentée par Gates en avril 2022 dans une conf TED, en version intervention hollywoodienne : « Ce serait une équipe à temps plein dont la seule et unique priorité serait la prévention des pandémies. Elle serait constituée de divers spécialistes couvrant des domaines très variés : des épidémiologistes, des spécialistes des données, des logisticiens. Il faut davantage qu’un savoir-faire médical et scientifique, il faut aussi des compétences en communication et en diplomatie…« .

Il dit aussi que l’Australie a très bien géré la crise covid, mais il n’y a jamais eu de morts là-bas et a parlé d’un « médicament à inhaler ». Mais les « vaccins » doivent « être plus faciles à inoculer ».

[22] Que Gates compte apparemment donner en priorité aux « jeunes filles des bidonvilles« . 

[23] Le PDG de Moderna Stéphane Bancel déclarait que « Nous avons défini Moderna pour imiter la biologie en donnant à votre corps les instructions pour que vos cellules fabriquent les protéines dont vous avez besoin pour vous protéger« . À l’occasion de ce partenariat, CNBC notait : « En cas de succès, les méthodes de Moderna pourraient conduire à la production rapide de médicaments thérapeutiques et d’une myriade de vaccins à moindre coût. C’est un argumentaire qui a fait de Moderna Therapeutics, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, actuellement évaluée à près de 5 milliards de $, la société de biotechnologie privée la plus valorisée des États-Unis. Sa réserve de 1,9 milliard $ en espèces a été levée auprès de financeurs et partenaires tels que les géants pharmaceutiques Merck et AstraZeneca et la Fondation Bill et Melinda Gates« .

[24] Les recherches étaient principalement menées par une filiale de Moderna spécialisée dans la recherche de « vaccins » contre les maladies infectieuses, Valera.

[25] On notera qu’il était toujours actif pour le covid, et n’a pris sa retraite aux Etats-Unis qu’en novembre 2021. Fukada a milité pour un renforcement du Règlement Sanitaire International pour que l’OMS puisse décider au niveau mondial des mesures à prendre en cas de « pandémie ».

[26] Les labos ont augmenté leurs actions de lobbying et les rémunérations diverses et variées auprès des médecins hospitaliers. Par exemple en 2020 Didier Raoult dénonçait l’entrisme de Gilead au sein du Collège des universitaires des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) : 97 des 114 médecins de ce comité avaient eu une rémunération ou un avantage de la part de Gilead depuis 2012.

[27] « En 2009, le docteur Marcia Angell, ancienne éditrice en chef du très célèbre New England Journal of Medicine déclarait qu’« il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du NEJM » rappelle par exemple Mucchielli.

[28] Plusieurs éléments interrogent quant à la relation de jupicrétin avec Pfizer, comme l’argent qu’il a réellement touché du contrat Pfizer – Nestlé qu’il a négocié chez Rothschild pour 12 milliards de dollars (rachat par Nestlé de la branche nutrition infantile Pfizer Nutrition), la rpésence de VRP de Pfizer dans le cabinet de véran, comme le médecin de l’AP-HP François-Xavier Lescure conseiller covid de véran tout en étant rémunéré par Pfizer, ou le soutien actif de l’industrie pharmaceutique à sa campagne, en attente d’un retour sur investissement.

[29] Après le H1N1 déjà un rapport du conseil de l’Europe cité par Le Monde dénonçait « de graves lacunes (…) en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer à l’égard des principales décisions relatives à la pandémie ».




L’agenda de la réunion du Groupe Bilderberg 2022 : Désinformation, démondialisation et perturbation du système financier mondial

[Source : aubedigitale.com]

[Illustration : source ici]

Chaque année, les dirigeants d’entreprise, les banquiers, les responsables des médias, les universitaires et les politiciens les plus riches et les plus puissants du monde se réunissent à huis clos pour discuter de la manière de façonner le monde tout en perpétuant un statu quo qui a été très bénéfique pour une poignée de personnes. Nous parlons, bien sûr, de la réunion annuelle, et toujours très secrète, du Groupe Bilderberg.

La 68e réunion Bilderberg est déjà en cours à Washington, D.C., et a débuté jeudi pour se poursuivre jusqu’à dimanche.

Albert Bourla, PDG de Pfizer, Eric Schmidt, ancien PDG de Google, Henry Kissinger et William J. Burns, directeur de la CIA, figurent parmi les 120 invités (cliquez ici pour la liste complète) de cette année, originaires de 21 pays… mais rares sont les Russes.

Le Groupe Bilderberg est fier d’appliquer la règle de Chatham House, selon laquelle les participants sont libres d’utiliser toutes les précieuses informations qu’ils souhaitent, car ceux qui assistent à ces réunions sont tenus de ne pas divulguer la source d’une quelconque information sensible ni ce qui a été dit exactement. Cette règle contribue à garantir le secret légendaire du groupe Bilderberg, à l’origine d’une myriade de théories du complot. Mais, comme le fait remarquer Pepe Escobarcela ne signifie pas que le secret le plus étrange ne sera pas révélé.

Selon le groupe, voici la liste des sujets qui seront abordés :

  1. Les réalignements géopolitiques
  2. Les défis de l’OTAN
  3. La Chine
  4. Le réalignement indo-pacifique
  5. La compétition technologique sino-américaine
  6. La Russie
  7. La continuité du gouvernement et de l’économie
  8. La perturbation du système financier mondial
  9. La désinformation
  10. La sécurité énergétique et le développement durable
  11. La santé post-pandémique
  12. La fragmentation des sociétés démocratiques
  13. Le commerce et la démondialisation
  14. L’Ukraine

Comme on peut le constater, les membres (deux tiers des participants sont originaires d’Europe et le reste d’Amérique du Nord) discuteront (comploteront ?) des moyens de gérer l’émergence d’un monde bipolaire. L’ordre du jour semble également s’éloigner de la liberté puisque le groupe discutera de plans pour combattre la « désinformation », c’est-à-dire le fait que les élites réduisent au silence leurs opposants.

Le thème principal du week-end sera « Les réalignements géopolitiques » suite à l’invasion russe en Ukraine. Le deuxième est « Les défis de l’OTAN » et la manière dont les membres européens vont probablement dissuader l’agression russe. Et le troisième est la Chine, alors que Pékin menace d’envahir Taïwan.

En fin de compte, les décisions prises ne verront jamais la lumière du jour, mais elles deviendront des politiques officielles au service de l’élite des Bilderberg. Et si l’histoire est un indicateur, cela ne fera qu’empirer la situation mondiale actuelle.

« Si le groupe Bilderberg n’est pas une conspiration quelconque, il est dirigé de manière à en donner une imitation remarquablement bonne ».

– C. Gordon Tether, un écrivain du Financial Times, a déclaré en mai 1975.

Et voici comment le groupe Bilderberg contrôle le monde.

En attendant…

Le PDG de Pfizer, le chef de la CIA, le directeur du NSC, le vice-président de Facebook, le roi de Hollande et le secrétaire général de l’OTAN se réunissent en ce moment même à huis clos à Washington.

Cela s’appelle le Groupe Bilderberg, et pas un seul grand média n’en a fait état.

Comme ce groupe d’élites se réunit régulièrement depuis des décennies, nous sommes sûrs que les événements de ces dernières années n’ont rien à voir avec eux.

Enfin, nous notons la conviction d’Alastair Crooke que le début de la fin de la vision Bilderberg/Soros est en vue.

Le Vieil Ordre tiendra bon, même jusqu’au bout de ses ongles. La vision du Groupe Bilderberg est la notion d’un cosmopolitisme multiculturel et international qui surpasse le nationalisme d’antan, annonçant la fin des frontières et menant à une gouvernance économique et politique mondiale « technocratique » dirigée par les États-Unis.

Ses origines remontent à des personnalités telles que James Burnham, un anti-stalinien, ancien trotskiste, qui, dès 1941, a plaidé pour que les leviers du pouvoir financier et économique soient placés entre les mains d’une classe dirigeante : une élite – qui seule serait capable de diriger l’État contemporain – grâce à son savoir-faire technique en matière de marché et de finance. Il s’agit, en clair, d’un appel à une oligarchie experte et technocratique.

Burnham a renoncé à son allégeance à Trotsky et au marxisme, sous toutes ses formes, en 1940, mais il a emporté avec lui les tactiques et les stratégies d’infiltration et de subversion (apprises en tant que membre du cercle intime de Léon Trotsky), et a élevé la gestion trotskiste de la « politique identitaire » au rang de « dispositif » de fragmentation prêt à faire exploser la culture nationale sur une nouvelle scène, dans la sphère occidentale. Son livre de 1941, « The Managerial Revolution », a attiré l’attention de Frank Wisner, devenu par la suite une figure légendaire de la CIA, qui a vu dans les travaux de Burnham et de son collègue trotskyste, Sidney Hook, la perspective de forger une alliance efficace d’anciens trotskistes contre le stalinisme.

Mais, en outre, Wisner a perçu ses mérites comme le plan d’un ordre mondial pseudo-libéral, dirigé par la CIA et les États-Unis. (« Pseudo », parce que, comme Burnham l’a clairement exprimé, dans The Machiavellians, Defenders of Freedom, sa version de la liberté signifiait tout sauf la liberté intellectuelle ou les libertés définies par la Constitution américaine. « Ce que cela signifiait vraiment, c’était la conformité et la soumission »).

En bref, (comme l’ont noté Paul Fitzgerald et Elizabeth Gould), « en 1947, la transformation de James Burnham de radical communiste à conservateur américain du Nouvel Ordre Mondial était complète. Son Struggle for the World [converti en un mémo pour l’Office of Strategic Services (OSS, l’ancêtre de la CIA)], avait fait un « tour Français » sur la révolution communiste permanente de Trotsky, et l’avait transformée en un plan de bataille permanent pour un empire américain mondial. Tout ce qui était nécessaire pour compléter la dialectique de Burnham était un ennemi permanent, et cela nécessiterait une campagne psychologique sophistiquée pour maintenir la haine de la Russie vivante, « pour des générations ».

Pourtant, comme Charlie Skelton l’a écrit précédemment, la plus grande question éthique à laquelle est confronté le sommet n’est pas de savoir s’il faut exploiter la folie de la guerre à des fins lucratives. Bombarder et reconstruire des pays, des missiles et de la dette, c’est très bien : c’est ainsi que fonctionne le néolibéralisme. Ce qui est plus difficile à justifier, dans un cadre démocratique, c’est le processus pratique par lequel les conflits sont débattus, à huis clos, par des décideurs politiques de haut rang, de concert avec des industriels milliardaires et des profiteurs du secteur privé. Le premier ministre des Pays-Bas discute des points chauds mondiaux dans une luxueuse intimité avec le PDG de Royal Dutch Shell et le président de Goldman Sachs International. C’est optique horrible horrible.




Programme santé et réintégration des soignants au cœur des préoccupations des Français

Par Nicole Delépine

Qu’en est-il des candidats aux législatives ?

La non-réintégration des #SoignantsSuspendus dans un système hospitalier à l’agonie est au-delà de la faute politique. En l’état de la science sur les vaccins Covid et de leur incapacité à protéger de la maladie, il s’agit d’un crime organisé !

11:57 PM · 31 mai 2022·Twitter @medicalfollower

Questionnaire aux candidats. Les mettre au pied du mur pour savoir de quel côté ils seront : soignants-soignés ou gouvernement ?

La santé dont on nous rebat les oreilles pour dire que l’été sera chaud dans les hôpitaux publics en l’absence d’un nombre suffisant de soignants et de médecins est cruellement absente des législatives. L’exigence de réintégration des soignants abusivement suspendus sans justification scientifique devrait être au premier plan de tous les programmes.

Notons que la Martinique a voté à l’unanimité la réintégration des soignants.

Un candidat en Essonne aux législatives nous informe que sur douze candidats il serait le seul à mettre la santé au cœur de son programme dans sa circonscription.

www.listecitoyenne-essonne.fr

Malheureusement nous craignons que ce soit le cas général

Nous vous proposons donc sur suggestion d’un correspondant motivé J H. des questions à poser à vos candidats dont certaines sont capitales comme la réintégration des soignants. Une réponse à chaque question par oui ou non est intéressante, mais libre à vous de demander en direct à l’occasion d’une rencontre un développement justifiant leurs réponses.

Voici les questions proposées :

12 questions aux candidats aux élections législatives sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé.
Merci d’y répondre et de renvoyer les réponses à
nicole.delepine1@gmail.com OU AU SITE DE PUBLICATION DE L’ARTICLE à votre choix ou de publier un article vous-même sur ce sujet

Si les réponses sont suffisamment nombreuses, nous vous en ferons un compte-rendu.

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?

OUI — NON

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? 

OUI — NON

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? 

OUI — NON

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? 

OUI — NON

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?

OUI — NON

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ? 

OUI — NON

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? 

OUI — NON

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? 

OUI — NON

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? 

OUI — NON

Question n° 10

Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? 

OUI — NON

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ? 

OUI — NON

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? 

OUI — NON

IL EST URGENT D’INFORMER NOTRE NOUVELLE MINISTRE DE LA SANTÉ SUR LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE DU SYSTÈME DE SANTÉ

Nous réinsistons sur les points principaux déjà évoqués :

Appel aux candidats députés sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé

Par Nicole Delépine

« À partir d’une certaine masse critique, une bureaucratie tend à croître de façon automatique, sans rapport avec le réel, échappant à toute autorité. »[1]

Mmes, Mrs, vous prenez la décision de devenir nos représentants si les citoyens vous élisent.

Nous voulons attirer votre attention sur la tragique situation du système de santé français détruit en moins de 20 ans par la bureaucratie galopante ayant évincé les professionnels de santé dans l’organisation, et sur les décisions à rendre rapidement pour le sortir du gouffre.

Il est impossible en quelques lignes de tout détailler, mais quelques points sont fondamentaux à expliquer aux Français que vous rencontrerez qui n’ont pas toujours compris ce qui se passe et mettent la cause sur « l’argent ».

L’argent existe : 11,2 % du PIB utilisé pour la santé

Il faut rediriger l’argent vers les soins en dégraissant la bureaucratie énergivore, coûteuse, et paralysante : trop d’agences de santé doublons, 18 ARS dictatoriales et doublant le rôle des directions hospitalières, trop d’observatoires et autres. Tout cela est connu, détaillé dans rapports sénatoriaux, articles, livres multiples depuis deux décennies.[2]

Il faut le courage politique coupant ces structures inutiles et toxiques et répartir le personnel administratif dans d’autres secteurs (juridique par exemple) et remettre les nombreux soignants égarés dans les agences[3][4][5] auprès des patients.

Rendre la liberté de soigner

Pour les médecins la liberté de prescription est capitale.

2020. C’est la première fois dans l’Histoire qu’un politique se permet d’interdire une ordonnance d’un médicament (en plus connu depuis 70 ans) et en même temps d’imposer un pseudo vaccin en essai thérapeutique sans recul. Tout laisse penser que les documents PFIZER (enfin disponibles) étaient connus d’emblée par la FDA, l’EMA et probablement l’ANSM et donc par nos chefs d’État. Ces documents établissaient dès 2020 qu’ils étaient trop peu efficaces et dangereux.

Ils savaient d’emblée que le vax était toxique (1200 morts dans les premiers mois de l’essai initial) et inefficace.[6][7]

La vraie médecine a été violée par nos gouvernants suivant les directives de l’OMS contraires à la science.[8][9]

Pour les soignants en général et les infirmières en particulier il faut supprimer la persécution des cadres qui empêchent de se consacrer aux malades. Ces cadres qui gèrent les plannings de façon insupportable, etc., perdent leur temps utile en multiples réunions sans intérêt, et les contrôles permanents des « traceurs » qui conduisent les infirmiers par ex à passer 4 h par jour sur l’écran. Cocher un médicament sur un tableau ne prouve pas qu’on l’a donné et n’a donc aucun intérêt sinon de perdre du temps de soin au lit du malade et d’humilier le soignant.

En ville, il faut de même supprimer la persécution des contrôles permanents par les ARS et la CNAM qui désorganisent le travail du médecin, kiné, psychologue ou autre.

Il faut bien sûr compléter cette liberté retrouvée par des salaires décents qu’il suffit d’aligner sur les moyennes des pays de l’ouest de l’UE qui les attirent, et ne pas compter sur de petites augmentations ou primes à la suite d’un scénario Ségur répétitif[10][11] qui n’a rien résolu.

Pour embaucher, il faut des volontaires !

Les politiques qui croient pouvoir embaucher X soignants n’ont pas compris qu’ils ne les trouveront pas sans leur rendre leur liberté de soigner et de s’organiser tant en ville qu’à l’hôpital : les postes vacants se multiplient de jour en jour et les mesures discriminatoires récentes contre les non-vaccinés n’ont fait qu’aggraver largement la situation.

Il n’existe plus de médecine libérale en France, les ukases, accréditations, normes sont les mêmes dans tous les secteurs, public comme privé. Croire, comme l’a dit le président de la FHF, qu’obliger les médecins libéraux à prendre des gardes de nuit pourrait être efficace montre qu’ils n’ont rien compris à l’état d’épuisement et d’exaspération de tous les soignants.

Démission ou expatriation sont des solutions déjà utilisées par de nombreux soignants exclus du système sans revenu par la honteuse « pseudo vax obligatoire » en essai thérapeutique, en violation de tous les traités signés par la France[12]. De plus, ils sont beaucoup mieux rémunérés en Suisse, Allemagne, Canada ou Belgique qui les ont accueillis avec joie.

Médecins étrangers esclaves, combien de volontaires peut-on espérer, Mme la ministre ?

Les espoirs du gouvernement sur l’embauche de médecins étrangers pour faire fonctionner les hôpitaux cet été laissent pantois. À la recherche d’esclaves modernes qui accepteraient les ukases des ARS, cadres de santé, sécurité sociale, etc.. Ils ne restent jamais longtemps en France que ce soit dans les hôpitaux ou les maisons de santé que bien des maires tentent de remplir en promettant logement, prime, etc..

L’exercice médical en France est devenu insupportable par son manque de liberté chèrement acquis après dix ans d’études et les médecins étrangers trompés s’en rendent vite compte. La solution n’est pas là, mais à la liberté de soigner.

Réintégrer les soignants injustement mis à l’écart et sans rémunération, pour refus d’injection d’un produit expérimental en phase 3 et dont les accidents s’accumulent.[13]

15 000 à 30 000 soignants ont été écartés par une décision politique injustifiée (le vax ne protège ni le soignant, ni ses contacts des contaminations, ni des formes graves). Un bon nombre ne reviendra pas, parti à l’étranger, ou reconverti. Si on veut récupérer les autres, il faut faire vite, reconnaître qu’on s’est trompé (le vax ne protège pas) et leur rendre leurs salaires gelés depuis le 15 septembre 2021.

Sans ces mesures et un minimum de mea-culpa, il est peu probable qu’ils reviennent et que les écoles d’infirmiers se remplissent à nouveau. Qui voudrait entrer dans ce noble métier défiguré et dans l’impossibilité de l’exercer ?

Supprimer le pass et le masque à l’entrée des hôpitaux[14]

Pour ceux qui pourraient revenir, il faut absolument supprimer toute mesure discriminatoire à l’entrée de l’hôpital tant pour eux que pour les patients qu’ils refusent de discriminer !

Il faut supprimer les contrôles de pass sanitaires : 60 millions € par mois de contrôle par des vigiles, pass qui sont abandonnés par la majorité des pays qui les ont utilisés ! il faut supprimer le masque, mesure autoritaire inutile qui empêche les rapports humains normaux, en particulier entre malade et soignant. Manifestement les autorités qui ont imposé ce port du masque n’avaient aucune idée des conséquences multiples engendrées physiques, psychologiques, etc. Ce masque est un symbole d’autorité sans utilité médicale, sauf pour les malades aigus récents et les soignants à leur contact.[15]

Dans les hôpitaux publics et privés, cesser la gestion entrepreneuriale d’économies

Une organisation basée sur le taylorisme !

Ce mode de gestion a tout cassé depuis les années 80, transformé nos hôpitaux publics puis privés, nos cabinets de ville (transformés en “maisons de santé”), en usines, organisées sur le mode de la fabrication des voitures du début du XXe siècle. Procédures, checklists, protocoles, audits externes et internes, réunionnites aiguës et chroniques, contrôles ARS et décisions unilatérales, le tout sorti d’ordinateurs coûteux, ont remplacé les relations humaines.

Cesser la suppression de lits et de services, imposée par les ARS au lieu de laisser les hôpitaux se réorganiser librement.

L’hôpital est brisé dit le Pr Peyromaure.[16]

Un manque de soignants devenu dramatique

Même à Cochin le célèbre service d’urologie parisien qui a vu passer Mitterand ferme encore actuellement 30 % de ses blocs opératoires, faute de personnels.

Plus de 120 servies d’urgence limitent actuellement leur activité faute de personnel et beaucoup trop risquent d’être contraints de fermer durant les vacances.[17]

Le nombre des déserts médicaux tant en campagne et même en certaines villes, qui progressait régulièrement depuis plusieurs années a fortement augmenté depuis l’obligation vaccinale imposée aux soignants ; beaucoup de vaccino prudents ont préféré prendre leur retraite ou se reconvertir plutôt que de se laisser injecter des médicaments dont ils avaient observé les complications chez leurs patients.

Les obligations supplémentaires proposées par certains bureaucrates et politiques, qu’il s’agisse d’obligation de garde ou de restriction à la liberté d’installation, seront contre-productives à terme, car elles dissuaderont encore plus de médecins à s’installer.

Pour retrouver des soignants, il faut leur rendre la liberté de prescrire, leur éviter de perdre leur temps en tâches administratives, leur garantir le choix de leur lieu installation et de respecter leur non-consentement éventuel au pseudo vaccin.

Cette dernière mesure remettrait immédiatement en activité plusieurs dizaines de milliers qui manquent si cruellement.

  1. [1] ARS, syndrome de l’étatisation sanitaire (francesoir.fr)
  2. [2] Une liste non exhaustive vous sera fournie à votre demande nicole.delepine@bbox.fr
  3. [3] Soigner ou obéir N et G Delépine, Fauves Éditions 2016
  4. [4] Blouses blanches colère noire par B Kron : « Paniqués par les déficits, nos gouvernants ont essayé de légiférer pour freiner cette descente aux enfers du système de santé depuis plus de 20 ans. Le retour de J.Castex aux affaires en est le symbole le plus prégnant. Le Premier Ministre est en effet l’un des principaux responsable de cette situation qui a transformé l’hôpital en entreprise à flux tendu, le rendant incapable d’assurer et de combattre les crises sanitaires. Les médecins, et plus largement les soignants n’ont plus aucun pouvoir dans le système de santé en France. Dans cet essai, l’auteur analyse ainsi ce combat depuis cinquante ans pour contrôler les médecins dans les hôpitaux publics, les cliniques privées, et les médecins libéraux. Il reprend les principales réformes qui ont mené à la catastrophe. » Blouses blanches colère noire — Bernard Kron — Babelio
  5. [5] La bureaucratie étouffe le système de santé. Dégraissons le mammouth pour vaincre ce fléau — AgoraVox le média citoyen.
  6. [6] Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
  7. [7] BioNTech Pfizer : Nouveau « silence des MédiA-agneaux » Français ? | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Le « vaccin » conçu avec Pfizer ne serait pas concluant :
    • Le produit a été conçu pour œuvrer dans l’urgence.
    • Le produit n’est qu’expérimental, et les citoyens ont été des cobayes.
    • « des » évènements indésirables peuvent mettre fin aux essais et mettre un terme à une utilisation pérenne et définitive. Lire document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech
  8. [8] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr) 
  9. [9] Ce pouvoir devrait être renforcé si les pays votent le nouveau traité. Stopthetreaty
    Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) 
  10. [10] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? (francesoir.fr) 
  11. [11] SEGUR DE LA SANTÉ, un funeste conte, fallait-il en attendre autre chose ? (francesoir.fr) 
  12. [12] Convention d’Oviedo opposable à tous les pays signataires dont le nôtre et foulée au pied.
  13. [13] Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube
    Disponible sur fabien moine exuvie. Fr en participation libre et consciente
    Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube
  14. [14] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube
  15. [15] Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Afin de produire une double réaction interdépendante : l’automutilation du moi et le rejet de l’autre, le masque fait disparaître le sujet parlant.
  16. [16] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube
  17. [17] LES SOIGNANTS REMPLACÉS PAR DES BÉNÉVOLES AU CHU DE BORDEAUX : TOUT UN SYMBOLE —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) 

Exigeons la réintégration des soignants !!! La rumeur monte !

https://exuvie.fr/livre/suspendus_des_soignants_entre_deux_mondes/

Le 12 juillet 2021, sans concertation, les soignants du pays ont été confrontés à un choix : conserver leur emploi en ayant recours à une série d’injections médicales ou être suspendus de leurs fonctions au 15 septembre. A cette date des dizaines de milliers d’entre eux se sont retrouvés sans travail, sans revenu et sans aide. Dans l’indifférence populaire mais aussi celle de leur institution et des médias.

Ils demeurent suspendus, entre deux mondes… Celui d’un passé technocratique en plein effondrement, sans considération ni moyen, basé sur le rendement et la technologie. Et un autre où tout est à construire, libérés du chantage et de la pression des autorités de tutelle, avec une vision résolument humaine et intégrative de la santé.

Ce documentaire revient sur deux années de crise et décortique un système dans lequel les soignants auront été utilisés et manipulés. Tantôt en sous effectifs, en étant exposés à un virus inconnu en étant parfois contaminés, vêtus de sacs poubelle avec des masques et des gants de fortune. Ou applaudis le soir aux fenêtre.  Avant de subir un chantage pour accepter un traitement encore en phase expérimentale en étant traités de lâches, des traîtres et d’égoïstes. Comment ont-ils vécus cela ? Quels ont été leurs doutes, leurs peurs et les réactions de leur institution et de leurs collègues ? Quelle est leur vision de la médecine, de la santé ? Se considèrent-ils toujours comme soignants ? Comment vivent-ils aujourd’hui et comment se projettent-ils dans l’avenir dans un système en déroute ?

Plus que des témoignages c’est un regard profond sur notre système, nos institutions, la passion de l’autre et l’engagement vers un monde meilleur, collectif.

Caroline Blondel, Gregory Pamart, Carole Fouché, Louis Fouché, Judith Rémy, Éric Loridan et Aurélie Colin nous racontent leur vécu de cette crise et leurs espoirs. Le tout porté avec poésie sur une musique originale de Cécile Petit et des chorégraphies d’Aurore Borgo. Car danser avec la crise et sourire à demain est un des nombreux messages portés par ce film.

Nicole Delépine




Les dernières révélations sur les laboratoires en Ukraine

[Source : #LigneDroite]

Avec Christian Perronne. Stanislas Berton (spécialiste des Risques systémiques) et Bertrand Scholler (ingénieur des mines) révèlent l’existence de laboratoires dans le chaos ukrainien.




Après l’été, l’Europe va-t-elle cibler les personnes non vaccinées ?

[Source : exoconscience.com]

Par FLORENT DAVID

Quiconque s’imagine que la suspension des mesures liées au Covid dans une grande partie de l’Europe signifie que ces mesures, et donc la campagne de vaccination contre le C-19, appartiennent au passé devrait jeter un coup d’œil aux récentes déclarations de la Commission européenne sur le sujet, à commencer par la déclaration du 27 avril de la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, sur la « prochaine phase pandémique ».

Tout en reconnaissant que la phase « d’urgence » de la pandémie est terminée — mais apparemment pas, selon elle, la pandémie en tant que telle — Mme von der Leyen avertit que « nous devons rester vigilants. Les taux d’infection sont encore élevés dans l’UE et de nombreuses personnes meurent encore du COVID-19 dans le monde. De plus, de nouvelles variantes peuvent apparaître et se propager rapidement. » « Mais nous connaissons la voie à suivre », conclut-elle, « nous devons encore intensifier la vaccination et le renforcement, ainsi que les tests ciblés ». C’est moi qui souligne.

Notez que Mme von der Leyen ne se contente pas de dire que la vaccination et le renforcement des capacités doivent se poursuivre — par exemple pour les groupes particulièrement vulnérables — elle dit plutôt qu’ils doivent être « encore renforcés » ! Et ce, dans une UE où, selon le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, près de 85 % de la population adulte a déjà été entièrement vaccinée !

Dans le communiqué de presse de la Commission, l’appel de Mme von der Leyen en faveur d’un « renforcement » de la vaccination et du renforcement des capacités est la première d’une série de mesures que les États membres sont invités à prendre « avant l’automne ».

Une fiche d’information intitulée « COVID-19 — Sustaining EU Preparedness and Response: Looking ahead », qui a été publiée par la Commission européenne le même jour, le 27 avril, réitère le point de vue de Mme von der Leyen. La première section s’intitule « Accroître le recours à la vaccination contre le COVID-19 » et le premier point se lit comme suit :

  • Les États membres doivent augmenter le taux de vaccination et l’administration des rappels et des quatrièmes doses pour ceux qui sont éligibles. Ils devraient également augmenter la vaccination des enfants.

L’accent est mis ici sur l’original. Le deuxième point continue :

  • Les États membres devraient préparer des stratégies de vaccination contre le COVID-19 pour les mois à venir en tenant compte de la circulation simultanée de la grippe saisonnière et intégrer la vaccination contre le COVID-19 dans les programmes de vaccination nationaux.

Le 12 mai, la commission spéciale du Parlement européen sur la pandémie de COVID-19 (COVI), récemment créée, a organisé une séance de questions-réponses avec la commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides. (Vidéo complète ici.) Dans un tweet, la députée française Virginie Joron a résumé l’essentiel des propos de Mme Kyriakides comme suit (traduction de l’auteur) :

PRIORITÉ : 100 millions de non-vaccinés dans l’UE qu’il faudra convaincre et cibler sans les discriminer. lutte contre la désinformation
prochaine pandémie avec de nouvelles variantes cet hiver

Comme Kyriakides, d’ailleurs, le communiqué de presse de la Commission identifie également « l’intensification de la collaboration contre la désinformation et les fausses informations sur les vaccins COVID-19 » comme l’une des actions prioritaires pour l’automne.

Enfin, dans un tweet plus récent du 17 mai, Virginie Joron a partagé la photo ci-dessous d’un document de la Commission qui a été distribué à la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs du Parlement européen et qui comprend, en fait, une  » stratégie de vaccination » pour l’automne. Ce document » cible » également les personnes non vaccinées, son premier point appelant les États membres de l’UE à : « Renforcer les efforts visant à accroître l’adoption ou l’achèvement du cours primaire chez les personnes non vaccinées ou partiellement vaccinées, notamment en surveillant et en analysant en permanence l’hésitation à se faire vacciner afin de la surmonter. »

L’accent mis sur le « ciblage » des personnes non vaccinées est particulièrement déroutant étant donné la rapidité avec laquelle la protection induite par le vaccin contre le Covid-19 s’estompe. En termes immunologiques, une fois qu’elle a disparu, il n’y a plus de distinction significative à faire entre les vaccinés et les non-vaccinés. Certaines études et données suggèrent même que les vaccinés sont à ce stade plus enclins à l’infection. Seules les personnes très récemment vaccinées peuvent peut-être bénéficier d’une protection supplémentaire.

De nombreuses études d’observation ont démontré la rapidité avec laquelle l’efficacité des vaccins Covid-19 diminue, en particulier celle du vaccin BioNTech-Pfizer, qui est de loin le vaccin le plus utilisé dans l’UE. Mais il n’est pas nécessaire de citer ces études ici, puisque le point suivant du document de la Commission reconnaît tacitement la diminution rapide de l’efficacité des vaccins, en appelant les États membres à : « Accroître les efforts sur la prise de doses de rappel par tous les adultes éligibles, à partir de trois mois après le cours primaire. » L’accentuation ici est à nouveau la mienne.

Le troisième et dernier point relatif aux vaccins concerne spécifiquement la vaccination des enfants. Il est tronqué dans le document photographié par Joron, mais la version complète se trouve dans la déclaration la plus complète de la Commission sur sa stratégie Covid-19 pour l’automne : une communication au Parlement et aux autres institutions européennes qui date également du 27 avril. La version complète de la recommandation se lit comme suit : « Avant le début de l’année scolaire 2022-2023, envisager des stratégies pour augmenter les taux de couverture vaccinale chez les plus jeunes enfants, par exemple en travaillant avec les pédiatres et d’autres professionnels de la santé qui sont des sources d’information de confiance pour de nombreux parents. »

Il était prévenant de la part de Kyriakides d’insister sur le fait que les non-vaccinés ne devraient pas être discriminés, même s’ils doivent être « ciblés ». Mais il convient de noter que la communication du 27 avril, telle que reflétée par la photo de Joron, souligne également la nécessité de « [e]ntretenir l’adoption de la proposition de la Commission visant à étendre l’application du règlement sur le certificat numérique COVID de l’UE. » Le principal effet et objectif du certificat numérique COVID de l’UE, qui a également servi de cadre et d’infrastructure pour les certificats de « santé » ou de « vaccin » dans les États membres de l’UE, est, bien sûr, précisément de récompenser les vaccinés et de discriminer les non-vaccinés.

Les documents du 27 avril de la Commission européenne invoquent donc clairement un nouveau déploiement de la campagne de vaccination Covid-19 à l’automne, ciblant spécifiquement les personnes jusqu’ici non vaccinées et également les enfants. De plus, si la Commission obtient ce qu’elle veut — et on peut s’attendre à ce qu’elle le fasse — et que le certificat numérique Covid de l’UE est effectivement prolongé, les documents évoquent également le spectre d’une combinaison de ce nouveau déploiement avec exactement les mêmes mesures coercitives et discriminatoires qui ont fait des non-vaccinés européens des parias sociaux pendant une grande partie de l’année dernière.

Source : https://thepulse.one/2022/05/30/after-summer-europe-to-target-the-unvaccinated/

Traduction : https://exoconscience.com




Les médias restent silencieux alors qu’une étude des NIH révèle que le COVID long pourrait ne pas exister

[Source : aubedigitale.com]

Par JADE

Une nouvelle étude des National Institutes of Health (NIH) soulève des questions sur le « Covid long », suggérant que les personnes qui prétendent souffrir du « Covid long » des mois, voire des années après l’infection par Covid, souffrent probablement d’anxiété.

L’étude des NIH a révélé qu’il n’y avait aucune preuve d’une infection à long terme par le COVID-19 chez les patients qui se trouvaient à six semaines ou plus de l’apparition des symptômes, même si ces patients déclaraient souffrir d’un « Covid long ». En outre, l’étude a révélé que les personnes qui ont déclaré souffrir d’une infection à COVID-19 de longue durée étaient de manière disproportionnée des femmes et des personnes ayant des antécédents de troubles de l’anxiété.

« Les études exploratoires n’ont trouvé aucune preuve d’infection virale persistante, d’auto-immunité ou d’activation immunitaire anormale chez les participants atteints de Covid long », ont conclu les auteurs. « Les résultats anormaux à l’examen physique et aux tests de diagnostic étaient rares ».

Le Daily Caller rapporte : L’étude a recruté 189 personnes présentant des cas de COVID-19 documentés en laboratoire, qui se trouvaient à au moins six semaines de l’apparition des symptômes, et 120 participants témoins qui ont été testés négatifs pour les anticorps COVID-19. Cinquante-cinq pour cent des personnes qui avaient été infectées ont signalé des symptômes correspondant au PASC (COVID long), tandis que 13 % du groupe témoin ont signalé des symptômes de PASC. Les personnes qui présentaient des symptômes de Covid long ont fait état d’une qualité de vie inférieure lors de tests standardisés.

Les participants ont subi un examen physique, des tests de laboratoire et des questionnaires, des tests cognitifs et une évaluation cardio-pulmonaire. Les chercheurs ont conclu qu’il n’y avait pas de cause identifiable des symptômes du Covid long dans la plupart des cas. Les auteurs ont noté certaines limites, notamment le fait que la plupart des participants ne présentaient que des cas légers de COVID-19 et que le taux de symptômes de Covid long pourrait être augmenté du fait que les personnes présentant des symptômes étaient plus motivées pour s’inscrire à l’étude.

La publication de ces résultats a relancé le débat sur la question de savoir si le COVID-19 est une affection physique légitime, ou plus souvent un trouble psychologique qui persiste après la guérison du virus. La recherche clinique sur le sujet est mitigée. Certains alarmistes ont invoqué le Covid long pour justifier l’imposition de politiques telles que l’obligation de porter un masque ou de se faire vacciner.

[NDLR : cependant, les symptômes attribués à ce soi-disant « Covid long » recoupent certains des effets des ondes électromagnétiques sur la santé et celles-ci peuvent aussi produire de l’anxiété.
Voir notamment :
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972]




Davos, nid de vipères

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Klaus Schwab, un ingénieur et économiste allemand né le 30 mars 1938 à Ravensbourg en Allemagne, fonde avec l’aide d’un puissant réseau en 1971 le Symposium Européen du Management à Davos en Suisse, qui devient en 1987 le Forum Économique Mondial (World Economic Forum) ou Forum de Davos, fondation « à but non lucratif » dont le siège est à Genève (info tirée en partie de Wikipédia).

Pendant des années, le Forum a poursuivi un agenda global de libération de l’économie doublé d’un travail de sape afin de modifier à son avantage les règles du commerce mondial. Il a été aidé en cela par de très nombreux organismes, groupements, associations, groupes d’influences, « philanthropes »… qui aspirent au même objectif. Ils seraient fastidieux de les citer tous, car de plus, des personnes faisant partie de ces réseaux ont infiltré (on dirait chez les trotskistes, ils ont fait de l’entrisme) un grand nombre d’organismes de premier plan pour les orienter de l’intérieur en les colonisant. Nous citerons quand même un organisme où cela est flagrant, l’OMS dont son principal donateur est Bill Gates par l’intermédiaire de sa Fondation. Bill Gates qui à de très gros intérêts dans le domaine des vaccins était présent cette année à Davos. Profitons de l’occasion pour faire remarquer qu’Ursula Von Der Leyen, la présidente de la Commission Européenne dont son époux travaille pour Pfizer y était aussi, à notre sens c’est très révélateur… et devinez où était Albert Boula le PDG de Pfizer, l’homme dont la société a le record du monde, et de loin, des amendes pour fraudes et magouilles des entreprises pharmaceutiques ? 
https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/historique-judiciaire-pfizer/

Le Forum de Davos réunit en principe en janvier de hauts dirigeants d’entreprises, des responsables politiques, comme de soi-disant intellectuels ou des personnalités influentes des médias. Cette année après le Forum virtuel de 2021 la réunion a eu lieu fin mai sans la Russie et la Chine. Selon les médias dominants, l’absence de la Russie est due au fait que la Russie a attaqué l’Ukraine et qu’elle a été exclue pour cette raison. Ce panel élitiste, composé de nantis, assiste à des interventions sur des sujets divers allant de l’économie, à la finance, « à la santé »… comme à l’intelligence artificielle ou IA. Ce sujet tenant particulièrement à cœur à son fondateur Klaus Schwab, comme à un de ses principaux collaborateurs le dénommé Yuval Harari. Ce dernier étant l’auteur du livre Homo Deus encensé par tous les psychopathes de la planète. Voyez le bonhomme présentant son œuvre à l’Élysée avec un Macron ravi.

L’hebdomadaire Le Point à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage 21 leçons pour le XXI siècle en en fait « Le penseur du siècle. »

Mais lissez les commentaires des lecteurs sur ses bouquins et vous comprendrez rapidement que l’on a affaire à une escroquerie de bas étage. Tant que vous y êtes, jetez aussi un œil sur le livre qu’a commis en 2020 Klaus Schwab avec un collaborateur The Great Reset, La Grande Réinitialisation. Les commentaires des lecteurs sont là aussi très instructifs sur le niveau intellectuel des auteurs.

Parallèlement aux réunions, le forum publie un certain nombre de rapports économiques et implique ses membres dans différentes initiatives liées à des secteurs pour lui prioritaires. La fondation consacre une grande partie de son budget à l’organisation de différentes rencontres qui cherchent entre autres à influencer les décisions des politiques à travers le monde. Elle n’a en fait qu’un seul but : prendre par le haut le contrôle de la planète en court-circuitant la démocratie et la population.

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/27/klaus-schwab-en-plein-delire-megalomaniaque-lavenir-est-construit-par-nous-une-puissante-communaute-ici-dans-cette-salle/

Liste des participants 2022 :

https://www.aubedigitale.com/decouvrez-les-mondialistes-voici-la-liste-complete-des-participants-a-davos-2022/

La véritable raison de l’absence de la Russie

Comme les médias grands publics et les journalistes complices, ou ceux qui ne font pas leur travail, ne vous le diront pas, en fait, l’absence de la Russie trouve son origine dans le gigantesque clash, que l’on peut qualifier dès maintenant d’historique, qui a opposé deux conceptions du monde antinomiques lors du Forum virtuel de la fin janvier 2021.

Le président Schwab en compagnie de notre Macron national ayant eu la bonne idée de donner ensemble leurs conclusions sur les leçons qu’ils tiraient de l’épidémie de coronavirus et sur la façon dont ils envisageaient l’avenir.

Ci-dessous le duo dans ses œuvres.

Remarquez que le site officiel de l’Élysée précise bien que l’intervention de Macron est faite dans le cadre de l’agenda de Davos organisé par le World Economic Forum. Cet aveu montre d’une façon irréfutable la perfidie de ce traître à la république.

Réponse cinglante de Vladimir Poutine. Vidéo provenant d’une salle Lumineuse du Kremlin. (Pour ceux qui savent voir.)

http://kremlin.ru/misc/64938/videos/4711

Conclusion

Nous sommes dans une guerre de l’information et les médias comme les journalistes collabos ou qui ne font pas leur métier participent à une gigantesque manipulation. Le peuple est berné par des gens sans foi ni loi ou des ignorants. Les conséquences sont énormes, les dégâts considérables. Nous ne leur pardonnerons jamais.

Bonus : infos de dernière minute

Exclusif : Klaus Schwab contre la Russie




Chers amis, désolée d’annoncer un génocide

[Source : naomiwolf.substack.com]

Par Dr Naomi Wolf

C’est réellement vrai : ils savent qu’ils tuent les bébés

Je suis resté silencieuse pendant quelques semaines. Pardonnez-moi.

La vérité, c’est que je suis restée presque sans voix (ou l’équivalent littéraire de cela) parce que récemment j’ai eu la tâche peu enviable d’essayer d’annoncer au monde qu’en effet, un génocide — ou ce que j’ai appelé maladroitement mais de toute urgence une « mortalité de bébés » — est en cours.

Les volontaires de recherche WarRoom/DailyClout Pfizer Documents, un groupe de 3000 médecins hautement qualifiés, IA, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce qui se trouve dans les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans. Sur ordonnance du tribunal, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts servent l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des Volontaires sur DailyClout.io.

Les mensonges révélés sont stupéfiants.

Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que Pfizer (et donc la FDA) savait en décembre 2020 que les vaccins à ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils « perdaient en efficacité » et présentaient « un échec vaccinal ». L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le déploiement massif de 2020, était le « COVID ».

Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 mineurs avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même déployé l’EUA pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques jusqu’à ce que août 2021, après que des milliers d’adolescents ont été vaccinés. [https://dailyclout.io/pfizer-vaccine-fda-fails-to-mention-risk-of-heart-damage-in-teens/]

Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents indiquent « FDA : CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole hautement rémunérés et les médecins achetés assuraient aux gens, l’ARNm, les protéines de pointe et les nanoparticules lipidiques ne restaient pas sur le site d’injection dans le deltoïde, mais se propageaient plutôt dans les 48 heures dans la circulation sanguine, puis de là se logeaient dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires. [https://dailyclout.io/internal-pfizer-documents-prove-knowledge-that-lipid-nanoparticles-in-mice-subjects-do-not-remain-in-muscle-but-were-shown-to-be-rapidly-distributed-in-the-blood-to-the-liver/]

Pfizer (et donc la FDA) savait que le vaccin Moderna contenait 100 mcg d’ARNM, de nanoparticules lipidiques et de protéines de pointe, soit plus de trois fois les 30 mcg de la dose adulte de Pfizer. Les documents internes de l’entreprise montrent un taux plus élevé d’événements indésirables avec la dose de 100 mcg. Ils ont donc cessé d’expérimenter cette quantité en interne en raison de sa « réactogénicité » — les mots de Pfizer — mais personne ne l’a dit à tous les millions d’Américains qui ont eu les première et deuxième doses de 100 mcg de Moderna, et les rappels .

Pfizer a faussé les sujets de l’essai de sorte que près des trois quarts étaient des femmes — sexe moins sujet aux lésions cardiaques. Pfizer a perdu les archives de ce qu’il est advenu de centaines de leurs sujets d’essai.

Dans les essais internes, il y a eu plus de 42 000 événements indésirables et plus de 1 200 personnes sont décédées. Quatre des personnes décédées sont décédées le jour où elles ont été injectées.

Les événements indésirables répertoriés dans les documents internes de Pfizer sont complètement différents de ceux signalés sur le site Web du CDC ou annoncés par des médecins, des organisations médicales et des hôpitaux corrompus. Ceux-ci comprennent de vastes colonnes de douleurs articulaires, des douleurs musculaires (myalgies), des masses d’effets neurologiques comme la sclérose en plaques, la paralysie de Guillain Barre et de Bell, l’encéphalie, toutes les itérations possibles de coagulation sanguine, la thrombocytopénie à grande échelle, les accidents vasculaires cérébraux, les hémorragies et de nombreux types de ruptures de membranes dans tout le corps humain. Les effets secondaires dont Pfizer et la FDA étaient au courant, mais pas vous, comprennent des problèmes de cloques, des éruptions cutanées, des bardeaux et des conditions herpétiques (en fait, une gamme de conditions de cloques annonçant étrangement les symptômes du monkeypox [la variole du singe]).

Les documents internes montrent que Pfizer (et donc la FDA) savait que les zébrures rouges ou l’urticaire étaient une réaction courante au PEG, un allergène dérivé du pétrole contenu dans les ingrédients du vaccin — un allergène que vous n’êtes certainement pas censé ingérer. En effet, le PEG est un allergène si sévère que de nombreuses personnes peuvent faire un choc anaphylactique si elles y sont exposées. Mais les personnes allergiques au PEG n’ont pas été mises en garde contre les vaccins ni même surveillées attentivement par leurs médecins, EpiPen à la main. Ils ont été laissés à leur choc.

Pfizer savait que « l’exposition » au vaccin était définie — selon ses propres termes — comme un contact sexuel (en particulier au moment de la conception), un contact cutané, une inhalation ou une lactation. [https://dailyclout.io/vaccine-shedding-can-this-be-real-after-all/]. Les « vérificateurs de faits » peuvent nier tout ce qu’ils veulent. Les documents parlent d’eux-mêmes.

Bien sûr, les personnes qui ont tenté de soulever l’un de ces problèmes ont été dépréciées, réprimandées par le président, traitées de fous et sévèrement punies.

Les athlètes, les étudiants et les adolescents s’effondrent sur les terrains de football et de soccer. Les médecins se tordent les mains et expriment leur mystification. Mais le dossier SEC de BioNTech montre un fait dont le CDC et l’AMA ne soufflent pas un mot : s’évanouir si violemment que vous pourriez vous blesser est l’un des effets secondaires suffisamment importants pour que BioNTech le souligne auprès de la SEC, mais pas pour le souligner à vous et moi.

J’ai pu traiter tout cela et continuer simplement à faire des rapports. Mais ces dernières semaines, l’horreur m’a submergé. Parce que maintenant, les volontaires, sous l’excellente direction de la responsable du programme Amy Kelly, ont confirmé qu’un génocide est en cours, intentionnellement ou non. Et la journaliste israélienne Etana Hecht a ajouté sa propre superbe analyse. Voici le résumé de Mme Hecht des conclusions des Volontaires :

Clown World – Honk
Femmes vaccinées
Le sujet des mères enceintes et allaitantes qui se font vacciner sous l’encouragement et la coercition est douloureux. C’est douloureux de faire des recherches, douloureux d’écrire et douloureux d’apprendre à quel point les plus précieux d’entre nous sont traités avec insouciance. L’essence même de la vie et de la nature vit chez les femmes enceintes et allaitantes. En réfléchissant au peu d’attention accordée à…
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Il semble qu’il puisse effectivement y avoir un génocide fortuit. La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins à ARNm. Et si vous savez que la reproduction est altérée, et que les bébés et les fœtus sont altérés, et que vous savez que c’est à grande échelle, ce que tout le monde chez Pfizer et à la FDA qui a lu ces documents savait — et si vous n’arrêtez pas — alors est-ce que ça ne peut finalement pas devenir un génocide ?

Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que les nanoparticules lipidiques (les minuscules enveloppes grasses dures qui contiennent l’ARNm) traversent la membrane amniotique. Cela signifie qu’ils pénètrent dans l’environnement fœtal, bien sûr. (Ils traversent également la barrière hémato-encéphalique, ce qui peut aider à expliquer les accidents vasculaires cérébraux post-ARNm et les problèmes cognitifs que nous observons). Les volontaires ont approfondi les rapports de Pfizer sur la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude de 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont dirigé l’étude sont actionnaires ou employés de BioNTech). [https://dailyclout.io/covid-19-vaccines-pregnancy-risky-business/]

Les Volontaires ont constaté que si les femmes enceintes étaient exclues des études internes, et donc de l’EUA sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes étaient assurées que le vaccin était « sûr et efficace », néanmoins environ 270 femmes sont tombées enceintes au cours de l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été perdues d’une manière ou d’une autre en cours de route. Mais sur les 36 femmes enceintes dont les résultats ont été suivis, 28 ont perdu leur bébé.

Les volontaires ont découvert qu’un bébé était mort après avoir été allaité par une mère allaitante vaccinée et qu’il avait eu une inflammation du foie. De nombreux bébés allaités de mères vaccinées ont montré de l’agitation, des troubles gastro-intestinaux et un retard de croissance et étaient inconsolables.

J’entends maintenant des rapports anecdotiques de ces symptômes chez les bébés allaités par des mères vaccinées de partout au pays.

Les documents de Pfizer montrent également que certaines mères vaccinées avaient supprimé la lactation ou ne pouvaient produire aucun lait.

Les médecins, bien sûr, sont perplexes face à tout cela. Perplexes.

La base de données du NIH contient une étude préimprimée démontrant qu’il existe des quantités négligeables de PEG dans le lait maternel des femmes vaccinées. 
[https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8351783/]

Mais qu’est-ce qu’une quantité négligeable d’un produit pétrolier dans le lait maternel, quand on est un tout petit, nouveau-né sans immunité, qui vient d’arriver au monde ? La préimpression du NIH elle-même a signalé des niveaux plus élevés de détresse gastro-intestinale et d’insomnie chez les nourrissons étudiés, et une mère avait des niveaux élevés de PEG dans le lait maternel, et les petits caractères concluent qu’une étude plus approfondie est nécessaire :

« Des études plus importantes sont nécessaires pour accroître notre compréhension du transfert du PEG dans le lait maternel et des effets potentiels après ingestion par le nourrisson. Bien que le consensus des experts indique que le risque potentiel de la vaccination maternelle contre le COVID-19 est minime ou inexistant pour le nourrisson ( 20 , 21 ). Les symptômes mineurs qui ont été signalés (modifications du sommeil et symptômes gastro-intestinaux) pourraient être étudiés plus en détail dans de futures études pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. »

Étant donné qu’aucun bébé n’est mort dans le bref laps de temps de la petite étude, celle-ci a conclu que les bébés allaités ne souffraient d’aucun effet néfaste réel de la part des mères vaccinées. Mais l’étude n’a pas suivi ces pauvres bébés, avec leur insomnie reconnue et leur détresse gastro-intestinale confirmée, pour voir s’ils « prospéraient » réellement — prenaient du poids et se développaient normalement.

Sur une telle science erronée, les femmes ont assuré que les vaccins étaient « sûrs et efficaces » pour elles et leurs bébés allaités.

Mais — quatre des femmes allaitantes vaccinées dans les documents de Pfizer ont signalé du lait maternel « bleu-vert ». Je ne l’invente pas. Et le bébé allaité qui est mort, avec une inflammation du foie — le cas a été enterré ; n’a pas fait la une des journaux.

Par coïncidence – ou non – la MÊME FDA qui a fermé les yeux sur les vastes méfaits causés aux humains et à la sous-catégorie des mères et des bébés, dans les documents de Pfizer, a déclaré qu’Abbot, un important producteur de lait maternisé aux États-Unis, devait fermer son usine. 
[https://www.cnbc.com/2022/05/16/abbott-reaches-agreement-with-fda-to-reopen-baby-formula-plant-to-ease-nationwide-shortage.html]

Par coïncidence, avec peu de préparations disponibles et avec certaines ou plusieurs (nous ne savons pas) mères vaccinées ayant un lait maternel compromis, il s’avère que Bill Gates, Jeff Bezos, Richard Branson et Mark Zuckerberg ont tous investi dans une startup appelée « BioMilq  » — qui produit du lait maternel cultivé en laboratoire à partir de cellules mammaires.
[https://www.cnbc.com/2020/06/16/biomilq-raises-3point5-million-from-bill-gates-investment-firm.html].
Les rapports de cette startup incluent ce langage à la Frankenstein comme si c’était normal :

« L’équipe BIOMILQ crée son produit à partir de cellules prélevées sur du tissu mammaire humain et du lait, données par des femmes de la communauté locale, qui reçoivent en retour une carte-cadeau Target. »

 [https://www.cnn.com/2022/05/03/business/lab-grown-human-milk-biomilq-health-climate-hnk-spc-intl/index.html]

Comme si tout cela n’était pas assez horrible, Mme Hecht a tiré des études de trois pays — le Canada, l’Écosse et maintenant Israël — pour montrer que les bébés meurent de manière disproportionnée, pendant et après 2021, dans les pays hautement vaccinés, et que les nouveau-nés meurent de manière disproportionnée s’ils ont des mères vaccinées versus des mères non vaccinées.

Dans une Écosse hautement vaccinée, près du double du nombre de bébés décédés en 2021 par rapport aux chiffres de référence. 
[https://www.heraldscotland.com/news/19726487.investigation-launched-abnormal-spike-newborn-baby-deaths-scotland/]. 
En Ontario, au Canada, 86 bébés sont décédés en 2021, contre une base de référence de quatre ou cinq ; il s’agissait d’une mortalité infantile si grave qu’un parlementaire courageux a porté la question au Parlement. 
[https://nonvenipacem.com/2021/12/10/explosive-rise-in-ontario-stillbirths-triggers-parliamentary-questions/].

En Israël, à l’hôpital RamBam de Haïfa, il y a eu 34 % d’avortements spontanés et de mortinaissances en plus chez les femmes vaccinées que chez les femmes non vaccinées.

Jonction Jackanapes
Mortinaissances, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées
Les données de l’hôpital Rambam à Haïfa révèlent un taux de mortinatalité, de fausse couche et d’avortement (SBMA) de 6 % chez les femmes qui n’ont jamais reçu de vaccin COVID-19, contre 8 % chez les femmes qui ont été vaccinées avec au moins une dose (et n’ont jamais eu de vaccin). Infection par le SRAS-Cov-2…
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Mme Hecht note également que le dérèglement menstruel chez les femmes vaccinées est maintenant pleinement confirmé par de nombreuses études, avec une moyenne d’un jour supplémentaire de saignement par mois (un effet secondaire à propos duquel j’avais mis en garde en mars 2021, qui à son tour m’a fait être traitée de tous les noms par un commentateur de CNN et définitivement virer de Twitter).

Vous n’avez pas besoin de connaître plus que la biologie de la huitième année [de scolarité] pour savoir qu’un cycle menstruel dérégulé, sans parler de l’accumulation de protéines de pointe dans les ovaires, sans parler de la traversée des membranes du corps, y compris le sac amniotique, par de minuscules graisses dures (les nanoparticules lipidiques), sans parler du PEG dans le lait maternel, vont toutes affecter la fertilité, la santé fœtale, l’accouchement et le bien-être ou la détresse gastro-intestinale des bébés, et donc leur capacité ou leur incapacité à se développer (et encore moins à créer des liens).

Et maintenant, les bébés meurent. Maintenant, étendez les données du Canada, de l’Écosse et d’Israël à toutes les nations vaccinées du monde.

Que fait-on de tout cela ?

Sachant comme je le sais maintenant, que Pfizer et la FDA savaient que les bébés mouraient et que le lait des mères se décolorait en regardant simplement leurs propres dossiers internes, sachant comme moi qu’ils n’ont alerté personne et encore moins arrêté ce qu’ils faisaient, et qu’à ce jour, Pfizer, la FDA et d’autres entités démoniaques de « Santé publique » poussent à vacciner de plus en plus de femmes enceintes, maintenant qu’ils sont sur le point d’imposer cela aux femmes d’Afrique et d’autres pays à faible revenu qui ne recherchent pas les vaccins à ARNm, selon le PDG de Pfizer, Bourla, la semaine dernière au WEF, et sachant que Pfizer fait pression et pourrait même recevoir un EUA américain pour des bébés aux enfants de cinq ans, je dois conclure que nous nous penchons sur un abîme du mal jamais vu depuis 1945.

Alors, je ne sais pas pour vous, mais moi, je dois changer de vitesse avec ce genre de savoir indicible pour tenir un autre genre de discours.

Je ne dis pas que c’est exactement comme trouver des preuves des expériences du Dr Mengele, mais je dis, avec ces résultats, que maintenant la comparaison n’est peut-être pas si excessive. Ces anti-humains chez Pfizer, parlant au WEF, ces anti-humains à la FDA sachant ce qu’ils savent ciblent le corps féminin miraculeux, avec sa capacité à concevoir, engendrer, donner naissance et nourrir la vie. Ils ciblent la capacité du corps féminin à soutenir un être humain nouveau-né avec rien d’autre que lui-même. Ils ciblent la membrane amniotique, les ovaires qui libèrent l’ovule, ils ciblent la lymphe et le sang qui aident à soutenir la formation du lait maternel, ils ciblent le fœtus in utero, impuissant.

Ils visent l’environnement même du fœtus humain, l’un des espaces les plus sacrés sur cette terre, sinon le plus sacré.

Et ils le savent.

Je ne sais pas pour vous, et je ne fais pas de prosélytisme, mais comme vous le savez peut-être si vous me lisez ici, en ces jours apocalyptiques, je me tourne vers la prière. J’ai commencé à dire en public, une fois que j’ai dû faire face au fait de la mort des bébés, que c’est un temps biblique, et je veux dire biblique de l’Ancien Testament.

C’est une époque comme celle de la construction de la tour de Babel — d’une arrogance massive contre les plans divins. Des hommes comme Bill Gates trafiquent et cherchent à surpasser les meilleures œuvres de Dieu, laboratoire après laboratoire, et Tech Bros « perturbe » la concurrence humaine pour leurs biens et services non recherchés, en ciblant les processus humains et en ruinant les corps créés à l’image de Dieu.

C’est un moment comme celui où les dix plaies ont assailli les Égyptiens dans Exode 11:4-6 :

« 4  Alors Moïse dit : « Voici ce que dit l’Éternel : « Vers minuit, j’irai dans toute l’Égypte. 
 Tout fils premier-né en Égypte mourra, depuis le fils premier-né de Pharaon, qui est assis sur le trône, jusqu’au fils premier-né de la servante, qui est à son moulin, et tous les premiers-nés du bétail. 
 Il y aura de grands gémissements dans toute l’Égypte, pires qu’il n’y en a jamais eu et qu’il n’y en aura jamais. »

Ce fut le pire fléau de tous, le meurtre du premier-né.

C’est un temps où ha-Satan — Satan — « va et vient sur la terre, et […] y marche de long en large », comme le décrit Job 2.

C’est une époque où les démons se promènent dans les espaces humains, bien qu’ils aient l’air assez humains eux-mêmes, suffisants dans leurs costumes italiens sur les panneaux du Forum économique mondial.

Ha-Satan – et ses armées : ruiner la conception, le lait, les règles, le toucher, bercer l’enfant par sa mère, ruiner l’alimentation de l’enfant, ruiner les bébés eux-mêmes.

Je lis beaucoup les prophètes ces temps-ci — car comment pourrais-je ne pas le faire ? Je cherche ce que l’écrivaine Annie Lamott a appelé « Mode d’emploi ». Que faites-vous lorsque l’humanité elle-même est menacée ? Quand il y a des bataillons professionnels et des départements bureaucratiques de personnes qui agissent avec anathème envers la race humaine ?

Il doit sûrement y avoir un indice.

Alors j’ai beaucoup relu l’histoire de Noé, et le livre d’Esther ces temps-ci. J’ai relu Jérémie.

Nous avons déjà connu ça. C’est souvent embarrassant, quand il s’agit de cela.

L’histoire est toujours la même, du moins dans la Bible hébraïque (dans le Nouveau Testament, bien sûr, Dieu saute à la fin et renverse l’intrigue).

Au moins dans la Bible hébraïque, Dieu essaie toujours d’attirer notre attention, toujours, semble-t-il, nous demandant simplement de marcher à ses côtés ; nous demandant simplement de garder ses commandements pas trop difficiles ; Ce n’est pas, en effet, demander beaucoup.

Jérémie 1:13 :

« Et l’Eternel me dit: Tu as bien vu; car je veille sur ma parole, pour l’exécuter. 
13 La parole de l’Eternel me fut adressée une seconde fois, en ces mots: Que vois-tu? Je répondis: Je vois une chaudière bouillante, du côté du septentrion. 
14 Et l’Eternel me dit: C’est du septentrion que la calamité se répandra sur tous les habitants du pays.
15 Car voici, je vais appeler tous les peuples des royaumes du septentrion, dit l’Eternel; ils viendront, et placeront chacun leur siège à l’entrée des portes de Jérusalem, contre ses murailles tout alentour, et contre toutes les villes de Juda. 
16 Je prononcerai mes jugements contre eux, à cause de toute leur méchanceté, parce qu’ils m’ont abandonné et ont offert de l’encens à d’autres dieux, et parce qu’ils se sont prosternés devant l’ouvrage de leurs mains. »

Dans la Bible hébraïque, en tout cas, le calcul est simple. Nous nous tournons, nous écoutons, et nous sommes sauvés ; ou bien nous continuons sans réfléchir, adorant ce que nos propres mains ont fait, salopes d’autres dieux — de la « science », des mensonges des médias, du narcissisme des conventions, pourrait-on dire aujourd’hui — et nous sommes perdus.

Nous avons été presque perdus, maintes et maintes fois.

Cette fois pourrait vraiment être la dernière fois. Ces monstres dans les labos, sur les panels transnationaux, sont tellement habiles, et si puissant, et leur travail sombre est si vaste.

Si Dieu est là — de nouveau — après toutes les fois où nous avons éprouvé sa patience (et qui le sait en effet ?) allons-nous lui tendre la main en retour, allons-nous sortir de cet abîme au dernier moment et trouver simplement un moyen de marcher à ses côtés ?

Ou allons-nous cette fois, en perdant les bébés, et en continuant malgré tout insouciant, être vraiment nous-mêmes perdus ?




La vérité sur la variole

[Source : Jérémie Mercier]

[Voir aussi le dossier
Vaccins et virus]






Entretien de Robert F. Kennedy Jr avec le Dr Theresa Deisher sur l’utilisation de l’ADN fœtal avorté dans les vaccins

[Source : margueriterothe.com]

Dans un monde (réellement) normal, l’information aurait déflagré comme une bombe atomique, et fait le tour du monde en quelques minutes. Des enquêtes auraient été ouvertes, et les labos pharmaceutiques auraient été mis sur la sellette. Et tous leurs dirigeants et complices condamnés. Dans mon article Que cache la promotion des matrices artificielles en même temps que celle de l’avortement ?, j’avais oublié « la recherche ». Cette sacro-sainte recherche, qui autorise tout. Même l’abominable. Ce monde est gravement malade.

15 juin 2020, Robert F. Kennedy Jr. a interviewé la fondatrice et présidente du Sound Choice Pharmaceutical Institute, le Dr Theresa Deisher, sur l’utilisation de l’ADN de fœtus avortés dans les vaccins. M. Kennedy et le Dr Deisher ont abordé un large éventail de sujets, notamment les vaccins qui contiennent de l’ADN de fœtus humain, ce que les recherches actuelles nous apprennent en termes de risques pour la santé, et les solutions de rechange qui pourraient être utilisées à la place de l’ADN humain dans les vaccins.

Un énième témoignage. Qui se perd dans les limbes de l’Internet, évacué par un quelconque algorithme qui va l’empêcher à tout jamais de parvenir jusqu’à la connaissance du grand public. Jusqu’à sa conscience transcendante. Car si ce n’était pas le cas, les peuples feraient un carnage ; et comme un seul homme, ils iraient chercher jusque dans les chiottes ces suppôts de Satan. 

Alors, inlassablement, il faut relayer, même si on a l’impression que cela ne sert à rien. Il faut se battre, coûte que coûte. Pour la Vie. Pour la Beauté, pour le Bien, pour le Vrai. Refuser la barbarie de toutes ses forces. 

Pour les non-anglophones, j’ai déniché une transcription de la vidéo en anglais que j’ai traduite en français (avec DeepL). Je vous la relaie juste après la vidéo, sous la forme d’un PDF à télécharger.

Marguerite Rothe






L’épidémie cachée : Les erreurs médicales sont la 3e cause de décès au Canada, pas la covid

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Lévesque

28 000 morts par an.

C’était le bilan alarmant des erreurs médicales au Canada en 2019.

C’est presque deux fois plus que la covid avec ses 15 000 morts en 2020.

La 9 janvier 2021, Radio-Canada publiait pourtant l’article La COVID-19 a été la 3e cause de décès au pays en 2020, article illustré sur la photo qui coiffe ce texte :

« La COVID-19 est venue ajouter plus de 15 000 décès au Canada, dont environ 8000 au Québec, en 2020Ce qui fait de cette nouvelle maladie la troisième cause de décès l’an dernier, confirment des experts.

Au Canada, ces dernières années, on a dénombré annuellement près de 80 000 décès attribuables aux cancers et 50 000 décès dus aux maladies cardiovasculaires. Il s’agit là des deux premières causes de mort au pays.

Se retrouvent ensuite les accidents, les maladies cérébrovasculaires et les maladies chroniques des voies respiratoires, avec environ 13 000 décès annuellement dans chaque catégorie. »

Les erreurs médicales brillent par leur absence dans cet article de Radio-Canada, qui a pourtant écrit au moins deux articles sur le sujet : un en 2004, Erreurs médicales: jusqu’à 24 000 morts par année, et plus récemment, le 28 octobre 2019, Thousands die from medical errors yearly, notes advocacy group (Des milliers de morts dues au erreurs médicales chaque année, note un groupe de défense).

Article de 2004
Article de 2019

Nous sommes donc passés de 24 000 à 28 000 décès par année. Visiblement, la situation ne s’améliore pas.

Radio-Canada International écrit :

« Au Canada, les erreurs médicales sont responsables de 28 000 décès par an, selon l’Institut canadien pour la sécurité des patients qui milite pour réduire ce nombre. Les erreurs seraient la troisième cause de décès au Canada après le cancer et les maladies cardiaques, et toutes les minutes et 18 secondes, une personne est blessée par accident. » (Soulignements ajoutés)

On trouve dans l’article de 2019 une entrevue avec une infirmière de formation, Chris Power, à l’époque PDG de l’Institut canadien pour la sécurité des patients (ICSP). Elle y affirme que les erreurs médicales sont la 3e cause de décès au Canada.

L’erreur la plus courante selon Mme Powers? La médication :

Chris Power

« Vous pouvez recevoir la mauvaise médication ou le mauvais dosage, vous pourriez être allergique à certains médicaments, par exemple, et cette information est enregistrée quelque part, mais on ne la voit pas », explique Mme Powers.

Les infections nosocomiales sont un autre problème : « Il s’agit des infections que vous n’aviez pas avant d’entrer dans le système de santé, et les causes sont diverses, par exemple des mains mal lavées ou de l’équipement mal stérilisé etc., ce qui mène à des infections. »

Les mauvais diagnostics et l’absence de diagnostics sont également problématiques, ainsi que les chutes chez les personnes soignées à la maison, note Mme Powers.

« [Les erreurs médicales] sont un problème mondial de grande envergure […] Au Canada particulièrement, il s’agit de la 3e cause de décèsUne personne meurt de blessures non intentionnelles à toutes les 13 minutes 14 secondes dans ce pays et à chaque minute 18 secondes quelqu’un est blessé. Ces statistiques sont alarmantes, et si nous regardons ailleurs dans le monde, nous observons des taux de blessures similaires. Il s’agit donc d’une épidémie mondiale et nous essayons de la faire connaître, pas seulement dans notre pays, mais dans tous les pays. » (Soulignements ajoutés)

Mme Powers souligne que les personnes le moins au courant de ce problème sont les citoyens.

Ce n’est pas étonnant lorsqu’on lit des articles de Radio-Canada affirmant que la covid est la 3e cause de décès au pays et que l’on omet d’inclure les erreurs médicales, comme on peut le constater dans ce tableau de janvier 2021, lequel utilise incidemment 2019 comme année de référence :

Il est impossible que le nombre d’erreurs médicales aient chuté au point de ne pas figurer sur ce tableau.

Selon les sondages effectués par l’ICSP sur la sécurité des patients, les citoyens savent très peu de choses au sujet des erreurs médicales.

L’une des raisons pour lesquelles ce sujet est méconnu repose sur « la véritable déférence à l’égard de l’autorité » selon Mme Powers :

« Les patients ont peur de parler et craignent de ne pas recevoir de soins adéquats s’ils critiquent [les soignants]. Il est très important que chacun de nous fasse entendre sa voix ».

Vous trouverez des ressources et outils pour ce faire sur le site de l’ICSP.

Il est fort probable qu’une autre raison principale du manque de connaissance des citoyens au sujet des erreurs médicales soit la désinformation des grands médias.

Les injections covid, une erreur de médication monumentale?

L’épidémie mondiale des erreurs médicales a sans aucun doute augmenté depuis 2020 en raison du bannissement des traitements précoces contre la covid, comme l’ivermectinel’hydroxychloroquine et autres, ainsi que des effets secondaires liés aux injections anticovid, incluant la mort.

En date du 20 mai, la base de données étasunienne VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) comptait plus de 28 000 décès et près de 53 000 handicaps permanents :

En 2011, le rapport Lazarus sur le VAERS, visant à améliorer les décisions prises en matière de soins de santé, estimait que « moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont rapportés ».

« Les faibles taux de déclaration empêchent ou ralentissent l’identification des médicaments et vaccins “problématiques” mettant en danger la santé publique. De nouvelles méthodes de surveillance des effets indésirables des médicaments et des vaccins sont nécessaires. Les obstacles à la déclaration comprennent le manque de sensibilisation des cliniciensl’incertitude quant au moment de la déclaration et aux sujets à déclarer, ainsi que le fardeau de la déclaration […] » (Soulignements ajoutés)

Cela signifie que les effets secondaires des vaccins sont bien plus nombreux que ce que l’on trouve dans le VAERS.

De nombreuses personnes victimes d’effets secondaires des injections anticovid au Québec ont témoigné que leurs soignants nient les liens entre les injections et leurs problèmes de santé, même lorsqu’il s’agit d’effets secondaires reconnus, comme la paralysie de Bell et les problèmes cardiaques.

À la lumière de ces informations, on peut constater que la méfiance de certains citoyens envers le système de santé n’a rien à voir avec les théories du complot. Cette méfiance provient souvent des connaissance des nombreuses failles du système et des réels dangers de certains produits pharmaceutiques, qu’il s’agisse de vaccins ou d’autres produits comme le Vioxx.

Selon un article de 2017 de Union of Concerned Scientists :

« Les scientifiques du géant pharmaceutique Merck ont biaisé les résultats des essais cliniques en faveur du médicament contre l’arthrite, le Vioxx, pour cacher des preuves que le médicament augmentait le risque de crise cardiaque chez les patients. »

La récente publication des documents internes de la Food and Drug Administration (FDA) concernant les injections covid semblent démontrer que Pfizer a elle aussi « biaisé les résultats des essais cliniques en faveur » de ses injections anticovid.

En date du 28 février 2021, soit un peu plus de deux mois après le début de la campagne d’injection, 1223 personnes étaient décédées après avoir reçu l’élixir selon les documents de Pfizer ci-dessus, portant sur l’innocuité des injections après autorisation. Pfizer reconnait par ailleurs comme risques potentiels importants les « maladies induites par la vaccination, incluant l’augmentation des maladies respiratoires liée à la vaccination ».

L’auteure a demandé en vain au ministère de la Santé du Québec les statistiques réelles des non-injectés par rapport aux personnes injectées avec une première dose depuis moins de 14 jours, en évoquant précisément ce problème des anticorps facilitants induits par les injections.

Vous trouverez les échanges ici ainsi qu’un tableau de la Santé publique ontarienne démontrant que le nombre d’hospitalisation pour la covid chez les personnes injectées est le plus élevé dans les 14 premiers jours suivant l’injection :

Il est donc clair que le fait de regrouper les personnes non injectées et les personnes injectées depuis moins de 14 jours dans une seule catégorie fausse dramatiquement les données en faveur des injections.

L’argument servi par les « experts » est que dans les premiers 14 jours, l’injection n’a pas eu le temps de faire effet.

Ce tableau semble toutefois indiquer que l’injection a exactement l’effet contraire de celui souhaité, soit faciliter la maladie.

De nombreux scientifiques et professionnels de la santé de renom avertissent des dangers de ces injections depuis 2020, mais se font traiter de « coucous » dans les grands médias.

Comme on disait dans le bon vieux temps : celui qui le dit c’est lui qui l’est!

***

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La fabrique des faux souvenirs et le dossier MK-Ultra

[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

Souvenir de Satan

Paul Ingram était un officier de gendarmerie respecté dans sa petite ville proche de Washington. Il vivait paisiblement avec sa femme et ses cinq enfants, et toute la famille fréquentait une église évangélique. Vers 1980, ses deux filles, Ericka et Julie, se mirent à fréquenter les retraites organisées par l’Église. C’est dans cette atmosphère charismatique de quête compétitive de l’Esprit saint et de combat contre le démon qu’Ericka eut son premier « flashback » d’abus sexuel.

Quelque temps après, d’autres « souvenirs » ayant émergé, Ericka raconta à sa mère, Sandy Ingram, qu’elle avait été régulièrement violée par son père et par ses deux frères aînés. Les viols avaient cessé, dit-elle, en 1975, lorsqu’elle avait eu neuf ans. Confronté par sa femme, Paul Ingram nia tout.

Puis c’est Julie qui commença à avoir des « souvenirs ». À son tour, elle confessa à sa mère qu’elle avait été molestée par son père et son frère aîné, jusqu’à l’âge de treize ans. Les deux filles firent des déclarations à la police : elles parlèrent alors d’avoir eu des relations sexuelles vaginales, orales et anales avec leur père, sous la contrainte, et ce, jusqu’à leur adolescence.

Paul Ingram fut arrêté. Il nia les faits et dit qu’il ne comprenait pas pourquoi ses filles l’accusaient. Mais il ajouta une phrase curieuse : « Je ne crois pas que j’ai une face obscure (a dark side). » Cette phrase lui était inspirée par la mythologie de son église, qui enseignait que le diable peut manipuler notre « face obscure » et nous faire accomplir des choses que nous oublions ensuite. C’est cette phrase qui perdit Ingram, d’autant plus qu’il la répéta plusieurs fois. Paul Ingram fut interrogé par des inspecteurs persuadés de sa culpabilité.

C’est alors qu’une chose extraordinaire se passa : Paul Ingram n’était plus très sûr de son innocence. Il commença à prier pour demander à Dieu de lui révéler ce qu’il avait fait. Et il obtint des visions dans lesquelles il se vit violer ses filles. Durant les interrogatoires, il arrivait à Ingram de partir dans une sorte de transe légère, et d’en rapporter des visions qu’il interprétait comme des « souvenirs » et qui étaient consignées comme des aveux.

Entre temps, les deux filles continuaient de « se rappeler » : elles racontèrent d’abord que d’autres hommes de la ville, notamment deux amis de leur père, les avaient violées et torturées en groupe. Ensuite, elles parlèrent d’avoir été forcées de participer à des rituels sataniques nocturnes, qui réunissaient des dizaines de personnes et où leur père jouait un rôle de prêtre ; entre autres horreurs, des bébés étaient rituellement tués et mangés. Au fur et à mesure qu’il était interrogé sur ces horreurs, Paul Ingram priait pour « se rappeler » … et confessait.

Il fut seul sur le banc des accusés, car aucun indice ou aveu ne permit d’inculper d’autres personnes. Et, maintenant convaincu de sa « face obscure », il plaida coupable du viol de ses filles. Vers la fin du procès, cependant, il se rétracta ; soudainement, il venait de réaliser que ses visions n’étaient pas de vrais souvenirs, que les viols, les tortures et les rituels sataniques n’avaient jamais eu lieu ailleurs que dans la tête de ses filles et dans la sienne. Mais ses aveux antérieurs pesaient trop lourd : en avril 1990, il fut condamné à vingt ans de réclusion.

Si le procès avait eu lieu deux ou trois ans plus tard, Paul Ingram n’aurait peut-être pas été condamné, car il aurait entendu parler des « faux souvenirs ». Ce phénomène étant maintenant mieux connu, les bavures judiciaires se font plus rares.

L’histoire de la famille Ingram a été largement suivi par les médias américains et a fait l’objet d’un excellent livre, Remembering Satan, de Lawrence Wright, et plus récemment d’un remarquable film de 33 minutes par Nick Nerburn, PAUL : The Secret Story of Olympia’s Satanic Sheriffvisible sur Vimeo.

La famille Ingram dans les jours heureux

Histoires vraies de faux souvenirs

Les faux souvenirs sont un phénomène qui a pris une dimension vertigineuse aux États-Unis avec la vogue des psychothérapies régressives (Recovered Memory Therapies), qui ont en commun de chercher la clé des problèmes psychologiques présents dans les souvenirs traumatiques refoulés de l’enfance, et d’utiliser pour cela l’hypnose ou des techniques approchantes, qui provoquent un état de conscience modifiée, hautement suggestible. Le phénomène touche très majoritairement des femmes.

Voici l’histoire typique d’Olivia McKillop. Dans les années 1970 Olivia avait toujours été une enfant heureuse et épanouie. Pourtant, durant sa dernière année de lycée, elle sombra dans une dépression et entama une thérapie avec Tricia Green. Dès la fin de la première séance, sans qu’Olivia ait évoqué le moindre abus de la part de ses parents (elle se plaignait plutôt d’avoir été trop protégée et choyée), la psychothérapeute Tricia Green lui confia un livre destiné aux adultes qui ont subi des abus sexuels durant leur enfance mais l’ont oublié. Ce livre était The Courage to Heal, de Ellen Bass et Laura Davis, paru en 1988 et vendu à plus de deux millions d’exemplaires.

Sous l’influence de cette lecture et des questions orientées de sa psy aux séances suivantes, Olivia se sentie entraînée dans un autre monde. « Progressivement, j’ai commencé à voir ma famille comme vraiment abusive et dysfonctionnelle. » Puis Tricia Green la conduisit à travers des séances de visualisation guidée, pour « faire remonter le passé ». Elle se concentra sur une scène banale de son enfance : un jour à la garderie, un réparateur était venu s’occuper du piano. « Et soudainement, j’ai visualisé qu’il se couchait sur moi. J’imaginais cet homme en train d’enlever mon pantalon et mon pull et se mettre à me lécher et à m’embrasser partout. »

Ce « flashback », comme l’appela sans hésitation Tricia Green, bouleversa Olivia. Après cette séance, Olivia acheta d’autres livres sur les abus sexuels, le refoulement et les souvenirs « récupérés ». Elle en fut profondément affectée. « Lorsque je me rendis à mon rendez-vous suivant, j’avais endossé l’identité d’une “rescapée de l’inceste” [incest survivor], et il n’y avait plus de retour possible. »

Au fil des séances, de nouveaux « flashbacks » l’assaillirent. « Finalement, je me suis mise à croire que j’avais été molestée par six hommes en tout, y compris mon grand-père, mon père et mon frère Jerry. » Olivia passa ainsi deux ans en thérapie. Elle quitta ses études et déménagea loin de ses parents. Toute sa vie et l’image qu’elle se faisait d’elle-même étaient maintenant dominées par la certitude d’avoir subi d’atroces sévices sexuels de la part de sa propre famille.

Un premier doute sérieux la frappa lorsqu’un enfant se confia à elle (elle était, cet été-là, animatrice dans un camp d’enfant) : « Mademoiselle, mon Papa fait quelque chose de mal avec moi, parce qu’il dort avec moi dans mon lit. » En regardant cet enfant, Olivia réalisa que, dans son enfance, elle n’avait jamais éprouvé la souffrance et la confusion qu’elle lisait maintenant dans ce visage. Grâce au soutien de quelques amis qui, la connaissant depuis longtemps, ne croyaient pas une seconde à ses histoires d’abus sexuel, Olivia parvint à retrouver sa raison et prit conscience d’avoir été manipulée par sa thérapeute. Lorsqu’elle entendit parler du phénomène des « faux souvenirs », ce fut une révélation. Aujourd’hui, elle a renoué avec ses parents et son frère, qui lui ont pardonné ses accusations.

Son cas est tout sauf rare. Des dizaines d’autres sont rapportés dans le livre de Mark Pendergrast, Victims of Memory, le plus complet des livres publiés sur le phénomène des « faux souvenirs » [1]. D’autres cas sont rapportés dans Le Syndrome des faux souvenirs, écrit par Elizabeth Loftus, spécialiste de la mémoire et présidente de l’American Psychological Association avec l’aide de Katherine Ketcham [2].

Aucun des auteurs qui ont exploré et dénoncé le phénomène des faux souvenirs induits par régression hypnotique ne remet en question l’ensemble des témoignages de victimes d’inceste, ni même le fait que des souvenirs d’abus sexuels dans l’enfance puissent être réellement enfouis pour surgir brutalement à la conscience à l’âge adulte. Le phénomène a été documenté et théorisé par Pierre Janet entre 1885 à 1887. Il est bien illustré par l’histoire de Marilyn Van Derbur, Miss America 1958, qui, à l’âge de 24 ans, a retrouvé spontanément (sans hypnose) les souvenirs des abus sexuels de son père depuis l’âge de 5 ans. Son histoire, qu’elle révéla publiquement en 1991, fit les premières pages de journaux et encouragea nombre de victimes d’inceste à rompre le silence. Voici comment elle explique sa dissociation dans son autobiographie Miss America By Day :

« Le matin, j’étais la jeune fille joyeuse, pétillante, respectée, disciplinée, hautement morale. C’était la réalité pour moi, l’enfant du jour. L’enfant heureux était réel. Mon esprit avait trouvé un moyen de prendre les souvenirs et les sentiments de terreur, d’humiliation, de rage, d’impuissance et de désespoir et de les compartimenter dans une autre partie de mon cerveau, de mon corps et de mon âme. La seule façon de survivre face à une autre nuit était de ne pas me souvenir de ce qu’il s’était passé. Comment pourrais-je passer une journée à l’école en jouant avec mes amis, en répondant aux questions posées par le professeur, en rentrant à vélo à la maison ? Comment pourrais-je survivre à une routine quotidienne si je me souvenais de ce qui m’attendait la nuit ? […] Sans m’en rendre compte, je me suis battu pour garder mes deux mondes séparés. Sans jamais savoir pourquoi, je faisais en sorte, dans la mesure du possible, que rien ne passe entre le cloisonnement que j’avais créé entre l’enfant du jour et l’enfant de la nuit. »

Ce n’est qu’à l’âge de 24 ans que les souvenirs de « l’enfant de la nuit » lui sont revenus. il fait peu de doute que cette histoire est véridique (voir les vidéos sur son site www.missamericabyday.com). Mais il faut noter que Marilyn Van Derbur n’a pas eu besoin de l’hypnose pour se souvenir. Les souvenirs sont remontés naturellement, lorsqu’elle a en quelque sorte décidé qu’elle était mûre pour les affronter.

Il faut se garder de généraliser, mais ce qui est en cause dans la controverse sur les faux souvenirs, ce sont les visions obtenues par des techniques de « régression » relevant de l’hypnose, généralement accompagnées de suggestions de la part de thérapeutes. Ce qui est également en cause est une conception quasi informatique de la mémoire humaine, très éloignée du modèle développé par Janet. Selon Janet, la « dissociation » ne s’apparente pas à l’enregistrement de souvenirs préservés de façon fidèle dans l’inconscient ; il s’agit plutôt de contenus psychiques chargés d’émotions négatives, qui prennent une vie autonome sous le seuil de la conscience ordinaire. Par ailleurs, Janet n’a jamais utilisé ni recommandé l’hypnose pour retrouver des souvenirs, car l’on s’avait déjà à son époque que l’hypnose pouvait générer de faux souvenirs.

Le scénario classique en question est le suivant. Une jeune femme consulte un psychothérapeute pour un problème relativement bénin (crise conjugale, problème de poids, dépression, etc.). Le psy, adepte de la théorie selon laquelle l’inceste explique tout, influence sa cliente dans ce sens et l’encourage à retrouver des « souvenirs refoulés », la soumettant pour cela à des conditionnements émotionnels divers, et souvent à des séances d’hypnose. La patiente finit par produire des « souvenirs » d’inceste. Au fil des séances, de nouveaux souvenirs apparaissent, de plus en plus atroces, allant éventuellement jusqu’à des scènes de viols collectifs, de meurtres rituels, de cannibalisme. Les thérapeutes qui accompagnent les patientes dans cette descente aux enfers soutiennent que les scènes visualisées correspondent à des événements réels de la vie de la patiente, dont le souvenir aurait été massivement « refoulé » (repressed). Mais loin d’avoir résolu son problème initial, la patiente se transforme en victime paranoïaque, et il n’est pas rare qu’elle finisse à l’hôpital psychiatrique, après avoir traîné ses proches au tribunal sous les accusations les plus horribles.

Certaines de ces patientes, de plus en plus nombreuses à mesure que le phénomène des faux souvenirs a été mieux connu, finissent par remettre en doute leurs « souvenirs » et parfois se retournent en justice contre leurs thérapeutes. Comme Olivia McKillop, elles passent du camp des incest survivors à celui des retractors. Selon leurs psychothérapeutes, elles ont cédé à la pression sociale et à la honte. Fuyant devant leur réalité intérieure et familiale, elles préfèrent retourner dans le « déni », sorte de refoulement bis.

Mais les « rétracteurs », eux, ne voient pas les choses ainsi : elles pensent avoir été victimes de manipulation mentale de la part de leurs psychothérapeutes. Les « flashbacks » qu’elles ont pris un temps pour des souvenirs réels n’étaient en fait que des productions de leur esprit, déclenchées par suggestion hypnotique, mais aussi par leur propre désir de satisfaire leur thérapeute et de trouver une explication à leur problème. Nombre des ces ex-patientes (ce sont très majoritairement des femmes) se sont regroupées en association et publient une lettre d’information, The Retractor.

Le débat est loin d’être clos. Peu de psychothérapeutes ont fait amende honorable. La plupart crient au complot, et s’efforcent de convaincre leurs patientes que les gens qui parlent de « faux souvenirs » sont motivés par une idéologie réactionnaire et veulent perpétuer le déni de l’inceste. La False Memory Syndrome Foundation est accusée d’être une couverture pour les pédophiles. Tout au long des années 1990, le sujet a secoué et divisé la profession des psychiatres et psychothérapeutes, qui restent encore incapables, d’un côté comme de l’autre, de donner une explication pleinement satisfaisante des phénomènes.

Depuis 1994, plusieurs livres ont commencé à répercuter l’opinion des sceptiques, à explorer l’hypothèse des « faux souvenirs ». Il ne s’agit pas, pour leurs auteurs (comme Elizabeth Loftus ou Mark Pendergrast), de nier la réalité des abus sexuels d’enfants. Cette réalité est courante et effrayante, et personne ne cherche à la minimiser. Précisément, soulignent ces auteurs, la mascarade des faux souvenirs d’inceste nuit fortement au combat légitime des vraies victimes d’inceste. Il ne s’agit pas non plus d’affirmer que tous les souvenirs obtenus sous hypnose sont faux, mais d’aborder le phénomène avec beaucoup plus de prudence.

Mon mensonge. Une histoire vraie de faux souvenir, de Meredith Maran (2010)

Souvenirs programmés

Voici un autre récit de « rétracteur », tiré comme celui d’Olivia McKillop du livre de Mark Pendergrast.

« Laura Pasley est l’une des premières à avoir gagné son procès contre son thérapeute, Steve. Elle était allée le consulter pour tenter de résoudre sa boulimie et son obésité. “Dès ma première séance, en 1985, Steve me demanda si j’avais jamais été abusée sexuellement. Je lui ai dit que c’était le cas. Lorsque j’avais neuf ans, à la piscine, un garçon que je ne connaissais pas avait mis son doigt dans mon vagin, à travers mon maillot de bain, sous l’eau.” Mais cet incident, qui avait fortement marqué Laura et dont elle se rappelait parfaitement, n’intéressait guère Steve. “Il m’a dit que je devais découvrir des choses enfouies plus profondément. Il m’a dit que, puisque j’avais un trouble alimentaire, cela signifiait automatiquement que j’avais été sérieusement molestée. Nous sommes donc partis à la recherche de souvenirs enfouis.” »

De relaxations en visualisations, les « souvenirs » ont effectivement commencé à émerger. Laura fit bientôt apparaître dans son esprit des visions de sa mère pénétrant ses organes sexuels avec ses doigts, puis avec un cintre. Son thérapeute lui conseilla de participer à une thérapie de groupe qu’il dirigeait. L’effet de groupe est propice aux flashbacks. Il s’y produit une forme de transe collective, où les « souvenirs » et les ressentiments de chacun stimulent les autres. « J’avais ces flashbacks horribles de recevoir des lavements froids et des objets divers insérés dans mon vagin. Une autre fois, je vis mon frère et ses amis me pendre par les pieds. […] Finalement, je vis des scènes de viol collectif et de viol par des animaux. » L’état de santé de Laura ne s’arrangeait pas. Mais Steve la rassurait : il fallait que son état empire avant de s’améliorer.

Comme bien d’autres, Laura commença à s’éveiller de ce cauchemar lorsqu’elle entendit parler des « faux souvenirs ». « C’était comme si une lumière s’était allumée dans ma tête. Lorsque j’ai réalisé ce qui s’était passé, j’ai appelé un bon psychologue. Je lui ai dit : “Ces flashbacks semblaient si réels ; ils étaient vraiment réels.” Elle me répondit : “Ils étaient réels, mais pas la réalité.” Je n’ai jamais oublié ces paroles. » Laura passa le mot aux autres femmes du groupe. « Maintenant, nous avons toutes arrêté, sauf une fille, qui est vraiment un cas tragique. Elle a accusé sa mère de rituel satanique, et d’avoir assassiné sa sœur jumelle à la naissance. Peu importe qu’il n’y eût qu’une seule naissance enregistrée sur le certificat : elle pense que la secte satanique a trafiqué le certificat. »

Aussi incroyable que cela paraisse, des cas comme ceux d’Olivia McKillop et de Laura Pasley se comptent par dizaines de milliers aux États-Unis. Beaucoup ont d’abord accusé leurs parents, encouragés par leurs psychothérapeutes qui considèrent cette démarche comme libératrice. Et bon nombre sont allés jusqu’à les attaquer en justice. Il y a dix ans à peine, plusieurs de ces procès ont abouti à des condamnations de parents, sur la base exclusive de « souvenirs » déclenchés sous hypnose vingt ou trente ans après les faits supposés.

L’un des cas les plus célèbres trouve son origine dans des souvenirs « retrouvés » par Eileen Franklin en 1988, concernant le meurtre de son amie Susan Nason en 1969. Eileen et Susan avaient alors 8 ans ; elles habitaient dans le même quartier et jouaient souvent ensemble. Susan fut retrouvée assassinée, le crâne défoncé par une pierre. On ne retrouva jamais le meurtrier… jusqu’à ce qu’Eileen, 20 ans plus tard, eut un flashback soudain dans lequel elle vit son propre père, George Franklin, violer et assassiner son amie Susan. Son témoignage, basé exclusivement sur des « souvenirs retrouvés » en thérapies, et jamais corroboré par le moindre indice, a suffi à faire condamner son père.

Dans certains de ces procès, le jury a été impressionné par le fait que les accusations émanaient de plusieurs personnes. Ce fut le cas de la famille Souza, qui aboutit à l’emprisonnement pour 9 et 15 ans d’un couple de 61 ans. Tout commença par les accusations d’une de leurs filles, Shirley Ann, qui se « souvint » en thérapie avoir été sexuellement molestée par eux durant son enfance. Suspectant que ses parents avaient peut-être, par la suite, aussi molesté ses deux enfants (leur petits-enfants), Shirley Ann traîna ces derniers chez un psychothérapeute pour enfants. Celui-ci conclut simplement que les enfants étaient victimes d’une pression anormale de la part de leur mère. Dépitée, Shirley Ann les emmena alors chez un autre psy, qui lui donna le diagnostic qu’elle cherchait : ses enfants montraient les symptômes d’abus sexuels. Après quelques séances, les enfants commencèrent à avoir des cauchemars à connotation sexuelle. Bientôt, ils étaient mûrs pour témoigner au procès. Nancy, 4 ans, déclara que ses grands-parents mettaient « toute leur main » dans son vagin, et même « leur tête ». Elle décrivit une machine grande comme une pièce entière, avec des mains qui « faisaient mal », que ses grands-parents actionnaient en appuyant sur un bouton. Cindy, sa sœur de 5 ans, raconta d’autres horreurs du même genre. Aucune trace physique d’abus ne fut relevée sur ces enfants. Pourtant, le jury déclara les Souza coupables.

Aujourd’hui, les condamnations de ce type sont plus rares. Le travail d’information de la False Memory Syndrome Foundation a porté ses fruits, et presque tous les États d’Amérique se sont dotés de lois interdisant à une Cour de prendre en compte des souvenirs obtenus sous hypnose. Cela ne règle que partiellement le problème, parce qu’il suffit à une plaignante de ne pas évoquer l’origine hypnotique de ses « souvenirs » pour que ceux-ci soient recevables, et parce que le pouvoir de suggestion ne se limite pas à l’hypnose au sens strict, comme on peut le voir dans l’histoire des Ingram, où ce sont plutôt les pratiques de l’évangélisme charismatique qui sont en cause.

Souvenirs d’abus rituels sataniques

Dans les années 90, le thème des rituels sataniques est apparu de plus en plus fréquemment dans les « souvenirs retrouvés ». Dans leurs « flashbacks », des centaines de patients ont vu des scènes d’une obscénité et d’une violence inouïes, se passant dans un cadre diabolique. Sous hypnose, ils se « remémoraient » avoir subi, dans leur enfance ou leur adolescence, des sévices et des tortures atroces au cours de rituels sataniques impliquant de nombreuses personnes de leur famille ou de leur entourage.

Sur la base de tels témoignages, la rumeur s’est répandue qu’un vaste réseau sataniste sévissait en Amérique ; leurs rituels comportaient notamment des tortures horribles, des viols collectifs et la consommation de chair humaine, notamment celle de bébés qu’ils assassinaient devant leur mère. Ils possédaient des techniques de manipulation mentale leur permettant de faire oublier à leurs victimes tout ce qu’elles subissaient dans ces rituels nocturnes, de sorte que celles-ci menaient une vie d’apparence normale durant le jour.

La rumeur, relayée par les grands médias, prit une ampleur telle que le FBI fut mis sur l’affaire. Aucune trace n’a pu être trouvé des dizaines de milliers de fœtus et de bébés que les satanistes étaient réputés avoir massacrés. Mais, bien sûr, cela ne fit qu’agrémenter la rumeur du soupçon de la complicité du FBI.

La touche satanique des souvenirs récupérés avait été introduite en 1980 par un livre retentissant, Michelle Remembers. Michelle Smith, une femme de vingt-sept ans, souffrait d’une dépression consécutive à trois fausses-couches, lorsqu’elle consulta le psychiatre Lawrence Pazder. Au bout de quatre ans de thérapie, Michelle commença à « se rappeler », dans une forme de transe hypnotique, des scènes dignes d’un film d’horreur. Encouragée par l’écoute attentive, fascinée et crédule de son psychiatre, elle finit par se convaincre qu’elle avait subi, lorsqu’elle avait cinq ans et durant plus d’une année, des sévices sexuels et des tortures entre les mains d’une secte satanique, menée par le diable en personne, et dont sa mère (décédée à l’époque de la thérapie) aurait été membre. « Ses souvenirs profondément enfouis, restés virtuellement intacts durant vingt-deux ans, ont fait surface avec une pureté qui est un phénomène en soi », commente le docteur Pazder. Entre autres choses, Michelle aurait été enfermée nue dans une cage pleine de serpents, ou encore enterrée vivante dans une tombe ; elle aurait été témoin du massacre de plusieurs bébés et de fœtus humains, et elle aurait été forcée de commettre des actes sexuels d’une rare obscénité. Après chaque événement, un mécanisme de refoulement programmé par la secte serait entré en action, si bien que Michelle aurait continué une vie d’apparence normale et aurait tout oublié jusqu’à sa vingt-septième année (tandis que ses deux sœurs, elles, n’ont jamais rien remarqué). Michelle Remembers fut un immense succès de librairie, et fut largement responsable de la satanic panic des années 90. C’est le livre qui convainquit Ericka Ingram des pratiques sataniques de son père.

Certaines églises évangéliques américaines, obsédées par le démon, ont fait grand usage des souvenirs récupérés de SRA (Satanic Ritual Abuse). Plusieurs psychothérapeutes qui ont aidé des patients à produire des faux souvenirs de satanisme étaient des pasteurs évangéliques, ou pratiquaient dans un cadre religieux. Parmi la littérature chrétienne, on retiendra Dance With the Devil, un témoignage par Audrey Harper, une chrétienne born-again qui se « rappelle » avoir été plusieurs fois fécondée pour mettre au monde des bébés destinés à être consommés lors de rituels sataniques.

Souvenirs de vies passées … et futures

La vogue des régressions hypnotiques a produit d’autres phénomènes que des faux souvenirs d’inceste. Aux États-Unis, un vaste courant psychothérapeutique pratique les régressions dans les « vies antérieures ». L’Association of Past-Life Therapists (Association des thérapeutes de vies antérieures) compte plus de mille adhérents, mais les thérapeutes qui pratiquent occasionnellement les régressions dans les vies antérieures se comptent pas dizaines de milliers. Ces techniques de régression arriveraient, selon certaines sources, au troisième rang des thérapies alternatives [3].

La vogue a pénétré massivement en France dans les années quatre-vingt. Patrick Drouot, son importateur le plus connu, estime avoir fait effectuer des « retours » à environ 2 500 personnes, parmi lesquelles quelques célébrités comme Sheila, qui en tira un livre. Drouot aurait formé plus de 400 personnes à ce métier d’avenir. Bien entendu, il connaît ses propres vies antérieures. « À une époque où le temps existait hors du temps », il a volé sur un cheval ailé, à la rencontre de démons et autres êtres fantastiques. Il a parlé avec la déesse de la Lune à la peau bleu. Il a été aigle (« Comment vous faire part de ce sentiment de liberté que j’ai éprouvé quand le vent a caressé mes plumes ? »). Plus récemment, il y a 9 000 ans, il fut Rwhall, le valeureux guerrier [4]. Dans Nous sommes tous immortels, un livre qui s’est vendu à 350 000 exemplaires et lui a valu 60 000 lettres, il se présente sous les traits de la druidesse Govenka, expertes en cristaux magiques.

La version réincarnationniste des régressions mémorielles est un sous-produit de la vogue des psychothérapies dynamiques. Typique est le parcours du Dr Brian L. Weiss, psychiatre de Miami et auteur du livre à succès De nombreuses vies, de nombreux maîtres. Au départ, Weiss s’intéressait à l’utilisation de l’hypnose pour retrouver des souvenirs d’enfance refoulés. Une de ses patientes, Catherine, souffrait de diverses phobies : « Elle avait peur de l’eau, peur de s’étouffer en prenant des pilules, peur des avions, peur du noir, et enfin la mort l’épouvantait. » [5] Elle avait aussi des cauchemars. Le Dr Weiss tenta l’hypnose, dans l’espoir de déceler des souvenirs d’enfance refoulés qui pourraient expliquer ses troubles. Quelques épisodes traumatiques émergèrent dans un premier temps, mais sans effet thérapeutique notable. Il tenta donc de remonter plus loin dans la petite enfance. « Petit à petit, je ramenais donc Catherine à l’âge de deux ans, mais aucun souvenir significatif ne lui revint. Lorsque je lui ai ordonné, avec clarté et fermeté, de “retourner à l’époque où ses troubles avaient débuté”, j’étais bien loin de me douter de ce qui allait suivre. » En effet, Catherine visualise alors une scène qu’elle situe en 1863 av. J.-C. Puis défilent des « souvenirs » d’autres vies.

Enthousiaste, Weiss profite de l’occasion pour se renseigner sur ses propres vies antérieures : « Puisque Catherine avait reconnu sa nièce dans une vie antérieure, je ne pus résister à la tentation de lui demander si j’avais déjà fait partie de son entourage. J’étais curieux de connaître le rôle que je jouais dans ses souvenirs. » Docile, comme tout sujet sous hypnose, Catherine lui invente aussitôt un rôle : « Vous êtes mon professeur. Assis sur un rocher, vous commentez un livre. Vous êtes vieux et vous avez des cheveux gris. Vous portez une tunique blanche – une toge – à bande dorée. […] Nous sommes en 1568 avant J.-C. » [6]

La « thérapie des vies antérieures » a donné naissance à un curieux développement, consistant à projeter les patients, non pas dans leurs vies passées, mais dans leurs vies futures. Le Dr Helen Wambach, pionnière de la réincarnothérapie dans les années 70, se livra dans les dernières années de sa carrière à quelque 2 730 « progressions » dans l’avenir, fascinée par le fait que tous les sujets « progressés« dans une vie future entre les années 2100 et 2300 rapportaient des visions similaires, d’ « un monde effrayant dévasté par un holocauste nucléaire et par la pollution, et vide de végétation », la moitié d’entre eux se retrouvant « dans des colonies spatiales en orbite autour de la terre  » [7]. Récemment, c’est Bruce Goldberg qui s’est spécialisé dans les « progressions », guérissant ses patients en décelant les causes futures de leurs présentes maladies. Depuis 1977, il « aide des patients à surmonter des habitudes, des phobies et d’autres séquences auto-destructrices qui ont commencé dans une vie future ». Dans son livre Past Lives, Future Lives, reconnaissant qu’il est plus difficile de faire « progresser » des patients que de les faire « régresser », il explique cela par le fait que nous avons tous été « programmés pour croire que le futur n’est pas encore arrivé ». Luttant contre ce préjugé, Goldberg parvient à projeter un jeune homme en 2542. Il est alors Zeku, fils d’un savant du nom de Lus-Lus qui avait pour mission de construire une ville sous la mer. Comme on s’en doute, à cette époque, des changements notables ont eu lieu dans les domaines des transports : selon Zeku, « on pouvait être téléportés d’un endroit à un autre, ce qui consistait à désassembler les molécules de votre corps et à les réassembler au centre de transfert de votre destination ». À l’occasion, Goldberg réussit le tour de force de changer le futur. Ainsi, un de ses patients, Pete, a commis en 2088 une erreur gravissime dans l’usine nucléaire où il travaillait alors, causant un véritable désastre écologique. Mais, grâce à cette « progression », non seulement Pete va mieux mais, lorsqu’il sera ingénieur nucléaire en 2088, il fera plus attention, « s’accordant à une fréquence différente » pour éviter la désastreuse boulette [8].

Souvenirs d’abductions extraterrestres

Cette visite guidée dans la foire grotesque des faux souvenirs n’est pas terminée. Il nous faut encore mentionner une dernière variante de cette vaste mouvance des psychothérapies régressives : les souvenirs de rapts extraterrestres.

De quoi s’agit-il ? De souvenirs, là encore. Et d’un phénomène bien plus proche des faux souvenirs d’inceste qu’il n’y paraît au premier abord. Des Américains par dizaines de milliers se sont rappelé, généralement lors d’un traitement par hypnose, avoir été « enlevés » (ou « kidnappés », ou « ravis », trois traductions possibles du mot anglais abducted) par des extraterrestres. Ils rapportent avoir été aspirés dans leurs engins spatiaux pour y subir des expériences bizarres, qui comportent généralement des manipulations chirurgicales ou sexuelles. Bien souvent, ces souvenirs font irruption sans qu’on puisse les mettre sur le compte d’une suggestion de la part du psy hypnotiseur, ou d’une croyance prédisposante du sujet hypnotisé. John Mack, professeur de psychiatrie à Harvard, est l’un des principaux vulgarisateurs de ce phénomène. Il raconte dans Dossier extraterrestre le cas typique d’une femme qui était allée consulter un thérapeute dans l’espoir de retrouver des souvenirs d’inceste ou d’abus sexuel. Après plusieurs séances d’hypnose, aucun souvenir de ce type n’était « remonté » [9]. Au lieu de cela, elle se rappela avoir été enlevée par des extraterrestres lorsqu’elle avait six ans. Le phénomène est donc en tous points similaire aux premières apparitions de souvenirs de vies antérieures, apparus sur les divans de psy qui cherchaient des souvenirs de traumatismes enfantins. D’ailleurs, John Mack croit tout aussi fermement en la vérité des « souvenirs récupérés sous hypnose » : il a lui-même retrouvé les souvenirs d’une de ses vies antérieures en Russie au XVIe siècle, au cours de laquelle son fils fut décapité par les Mongols [10].

Dans de nombreux cas de souvenirs de rapts extraterrestres s’ajoute toutefois une composante particulière, absente des souvenirs de vies antérieures : l’entrée en thérapie et l’émergence des souvenirs sont précédées de disjonctions étranges de la mémoire. Le scénario typique est le suivant : une personne, en train de conduire sa voiture ou de vaquer à une autre occupation, aperçoit soudain une soucoupe volante dans le ciel, ou bien un extraterrestre assis à ses côtés, ou encore entend un bruit assourdissant, tandis que le paysage se modifie mystérieusement. Après cela, elle ne se souvient plus de rien. Elle revient à la conscience plusieurs heures après (quelquefois, mais plus rarement, plusieurs jours après), à des kilomètres de l’endroit où elle a disjoncté, avec une amnésie totale de ce qui s’est passé entre-temps (phénomène du missing time). Il arrive même qu’elle ne se rende compte que plus tard qu’il y a un trou béant de plusieurs heures dans sa mémoire (par exemple, qu’elle a mis deux heures de trop pour rentrer chez elle). En outre, elle souffre de troubles psychologiques divers. C’est alors qu’elle fait appel à un psychothérapeute. Elle parvient alors, à l’aide de l’hypnose, à combler ce trou de mémoire : elle se « rappelle » son enlèvement par des extraterrestres.

Voici par exemple un cas rapporté en 1989 au Kansas. Deux femmes étaient en voiture lorsqu’elles aperçurent un OVNI, qui semblait stationnaire par rapport à elles, même lorsque la voiture tournait (elles notèrent que la Lune, en revanche, se déplaçait normalement dans leur champ de vision). Elles observèrent l’OVNI pendant une heure environ. Soudain, une boule de lumière descendit, en émettant un cône de lumière. Les deux femmes se parlèrent pour vérifier qu’elles voyaient la même chose. La seule chose dont elles se souviennent ensuite, c’est de s’être garées, très troublées et épuisées, réalisant qu’elles avaient mystérieusement « perdu » deux heures. Elles souffrirent ensuite d’insomnie, d’anxiété et d’irritabilité. Elles croyaient n’être pas sorties de leur voiture et n’avoir rien vu d’autre que l’OVNI, jusqu’à ce qu’elles se soumettent chacune à une régression hypnotique. Celle-ci fit émerger un scénario d’abduction avec au moins 40 corrélations directes entre leurs « souvenirs » respectifs. Elles avaient d’abord été contactées télépathiquement par deux êtres, qui les rassurèrent. Puis elles étaient sorties en flottant hors de leur voiture, en position assise, avant de se retrouver mystérieusement dans un vaisseau circulaire qui ne comportait pas de porte. Elles furent attachées et examinées.

Généralement, de tels « souvenirs » produisent un profond malaise, car les extraterrestres de ces « rencontres du quatrième type » sont pour le moins ambivalents. Sur la base des témoignages hypnotiques de ses patients abductees, John Mack, tout comme Budd Hopkins et David Jacobs, considère que « le phénomène des abductions est lié, d’une manière essentielle, à un programme de croisement génétique visant à produire des enfants hybrides aliens/humains » [11]. Beaucoup d’abductees ont vu, dans les vaisseaux spatiaux, des bocaux contenant des fœtus humains ou hybrides flottant dans du liquide. La plupart des abductees ont en même temps compris que le but de ces expérimentations est lié à l’échec de l’espèce humaine actuelle.

Il faut insister sur le fait que, dans la majorité des cas, les témoignages d’enlèvements par des extraterrestres ne sont que des « souvenirs » retrouvés après une période d’amnésie et que, dans 75 % des cas, ces « souvenirs » sont produits sous hypnose. Dans les 25 % de cas de souvenirs spontanés, ils sont très vagues et flous et ne comportent pas de scénarios complexes comme les souvenirs produits sous hypnose. Un abductee résume bien la chose :

« Pour la plupart d’entre nous, cela a commencé par les souvenirs. Bien que certains se rappelaient des bribes de leurs expériences, plus généralement il nous fallait aller les chercher là où elles étaient, enfouies dans une forme d’amnésie. Et quels sentiments ambivalents nous avons éprouvé en découvrant ces souvenirs ! Presque sans exception, nous avons été terrifiés en revivant ces événements, comme submergés par leur impact. Mais il y avait aussi de l’incrédulité. Cela ne peut pas être vrai. Je dois rêver, ça ne peut pas arriver. Alors commencèrent les alternances de doute et de certitude, tandis que nous essayions d’incorporer ces souvenirs dans le sens que nous avons de qui nous sommes et de ce que nous savons. »

Le postulat nécessaire pour expliquer les souvenirs d’abduction refoulés puis retrouvés est que les extraterrestres provoqueraient chez leurs cobayes une amnésie partielle de façon à leur faire oublier l’épisode. Mais une autre hypothèse mérite considération : celle selon laquelle les « souvenirs » seraient des « faux », des fabrications, des produits de l’hypnose. Pour nombre de cas, cette deuxième hypothèse est la seule possible, car des éléments essentiels du témoignage sont matériellement impossibles : par exemple, une personne se rappelle que des extraterrestres lui ont enfoncé des appareils dans le ventre, ou lui ont découpé le crâne, ou encore lui ont enlevé un œil pour le remplacer, mais les examens médicaux ultérieurs contredisent tout cela. Les comportements loufoques de ces extraterrestres sont, de plus, en décalage avec leur niveau technologique supposé ; les examens médicaux consistent le plus souvent à tâter et gratter la surface du corps, enfoncer des aiguilles et placer des implants (jamais détectés ensuite) à l’aide d’un long tube. Ajoutons que, lorsque les séances d’hypnose sont répétées, les « souvenirs » de l’enlèvement se complexifient indéfiniment et finissent généralement par se contredire.

Il faut enfin verser au dossier les explications saugrenues et souvent contradictoires que fournissent aux abductees les êtres étranges qui les kidnappent et les tripotent, et qui ont, selon les « souvenirs », des aspects divers (les spécialistes distinguent plusieurs types d’extraterrestres, parmi lesquels les « petits gris », petits avec une grosse tête, les « scandinaves », longilignes aux cheveux blonds, les « reptiliens », avec leur peau écaillée, et, plus rarement, les « gnomes » ou trolls, sortes de nains barbus ; on a vu également des extraterrestres poilus avec des pieds de boucs et, plus rarement encore, des sortes de bonhommes Michelin). La plupart ne font que répéter des clichés qui semblent tout droit sortis de mauvais livres [12].

Tous les problèmes qui rendent douteuse l’origine extraterrestre des entités apparaissant dans les « souvenirs » retrouvés d’abduction ne doivent pas nous masquer le fait que ces « souvenirs » présentent des aspects paranormaux, et que le mystère de leur nature véritable reste à élucider [13]. En premier lieu, le fait que les souvenirs présentent des thèmes récurrents, même chez les abductees n’ayant au préalable aucune culture ufologique, pose problème. La même remarque vaut pour les « souvenirs » de rituels sataniques ; c’est d’ailleurs cette forte impression de recoupements entre les « souvenirs » qui a convaincu beaucoup de gens de l’existence d’un réseau satanique pratiquant les rituels en question.

Il y a aussi le fait, déjà signalé, que les abductions sont souvent liées à des apparitions d’OVNI, parfois attestées par plusieurs témoins indépendants. C’est le cas, par exemple, dans la fameuse histoire du pont de Brooklyn, traitée par Budd Hopkins dans son livre Witnessed, traduit en français sous le titre Enlèvements extraterrestres. Les témoins parlent [14]. Plusieurs témoins, dont un diplomate et ses deux agents de sécurité, ont vu Linda Cortile sortir par la fenêtre d’un appartement au douzième étage, en flottant dans un rayon de lumière. Linda et ses kidnappeurs, décrits comme trois hommes de petite taille, furent soulevés dans une soucoupe volante orange, qui s’éloigna ensuite. La voiture du diplomate, ainsi que celle d’un autre témoin, s’étaient brusquement arrêtées lorsqu’était apparu l’OVNI.

Mentionnons encore un élément récurrent des abductions, le syndrome de l’embryon ou du fœtus manquant (Missing Embryo/Fetus Syndrome, ou ME/FS) : la femme abductée ressent, après son expérience, tous les symptômes de la grossesse. Cela peut la perturber considérablement, notamment si elle n’a pas eu de rapports sexuels pouvant expliquer une grossesse. Un test sanguin confirme la grossesse. Puis, soudain, dans un délai de moins de trois mois, la grossesse apparente disparaît, sans qu’il y ait de fausse couche. Ou bien, si la femme décide d’avoir un avortement, le médecin qui pratique l’avortement est ébahi de constater qu’il n’y a pas de fœtus. « Le Missing Fetus Syndrome est arrivé si souvent à des abductees qu’il est maintenant considéré comme l’un des effets les plus communs de l’expérience d’abduction », commente John Miller, médecin par ailleurs hostile à l’hypothèse extraterrestre.

MK-Ultra selon Alexandre Breton

Résumons. Nous avons mis en évidence trois phénomènes dans lesquels sont produits, par hypnose dite « régressive », de prétendus « souvenirs » : 1) d’abus traumatiques durant l’enfance ; 2) de vies antérieures ; 3) d’enlèvements par des extraterrestres. De nombreux points communs existent entre ces phénomènes. Un spécialiste a relevé quarante-quatre éléments parallèles entre les souvenirs d’abus sexuels et les souvenirs d’abduction (il en a déduit que ces derniers ne sont que des souvenirs d’abus sexuels déguisés).

Ces trois types de pseudo-souvenirs doivent être confrontés si l’on veut qu’une lumière puisse être apportée sur leur nature véritable. Je n’ai fait ici que jeter les bases d’une telle étude comparative. Il est évident qu’on est là à la frontière de la parapsychologie, un domaine qui relève de ce qu’on nommait, à l’époque où de grands savants s’y intéressaient, la métapsychique (psychical research pour les Anglais).

Mais je voudrais surtout insister maintenant sur une importante leçon pratique à tirer de ce dossier : le scepticisme s’impose lorsque des phénomènes de « souvenirs retrouvés » sont invoqués dans le dossier MK-Ultra, comme c’est le cas dans le livre d’Alexandre Lebreton, MK – Abus rituels et contrôle mental, un livre qui produit plus de confusion que d’éclaircissement par son manque de discernement.

Lebreton fait une grande place aux souvenirs d’abus sexuels retrouvés lors de séance de thérapie hypnotique. Il n’est pas troublé par le fait que, dans la plupart des cas de ce type, les « souvenirs retrouvés » vont s’élaborer au fil des séances. La patiente va d’abord se persuader qu’elle a vécu « des trucs incestueux », et après s’être documentée, finit par se souvenir de programmation Monarch. Ainsi Lebreton rapporte au sujet de Brice Taylor, traitée par la thérapeute Catherine Gould, « qui l’a beaucoup aidée. Ce sont d’abord les abus sexuels dans l’enfance qui sont remontés, puis les souvenirs d’abus rituels sataniques et enfin les mémoires concernant la programmation MK ».

Jamais Lebreton ne considère la possibilité que de tels « souvenirs » soient au contraire le produit d’un trouble de la personnalité, aggravé par des pratiques dangereuses d’hypnothérapies. N’est-ce pas pourtant une hypothèse à prendre en compte ? On admet facilement que certaines de ces patientes qui élaborent des scénarios complexes d’abus durant leur petite enfance ont réellement été abusées d’une manière plus classique, et qu’un traumatisme ait causé une fragilité. Parfois, le traumatisme ne se situe pas dans l’enfance. Ainsi en est-il de Claudia Mullen, mentionnée par Lebreton : j’apprends, en quelques clics, que ses « souvenirs » d’enfance sont « remontés » après que, ayant subi un viol à l’âge adulte, elle entra en thérapie en 1992 avec Valérie Wolf. Cette dernière estima qu’elle avait les symptômes du survivant d’inceste, la mit sous hypnose, et l’aida à produire les « souvenirs » souhaités. Dans certaines conditions, un traumatisme physique avec hospitalisation peut déclencher des troubles mentaux, qui vont s’aggraver en thérapie : « En 1985 et en 1987 Brice Taylor, écrit Lebreton, a eu deux graves accidents. Ce sont les chocs provoqués par ces accidents qui ont commencé à faire remonter les souvenirs de son passé… beaucoup de souvenirs. »

Loin de moi l’idée que tous les « souvenirs » produits sous hypnose s’expliquent facilement. Chaque cas est particulier, et certains sont extrêmement troublants, démontrant des facultés et des fragilités de l’âme humaine qui sont hors du commun. Mais ce qui frappe, c’est au contraire l’empressement des auteurs de littérature à succès à faire rentrer tous les cas dans un grand sac unique auquel ils attachent l’étiquette qui leur plaît – l’étiquette MK-Ultra dans le cas de Lebreton. Lebreton s’inscrit dans une école lancée par un livre paru en 1995, dont le titre français est L’Amérique en pleine transe-formation, et dont le sous-titre anglais est The true life story of a CIA mind control slave. Dans ce livre, Mark Phillips raconte comment il arracha Cathy O’Brien et sa fille d’un réseau gouvernemental qui avait fait d’elles des esclaves sexuelles. Sur la page Amazon du livre on lit que « C. O’Brien est une ancienne victime des expériences gouvernementales américaines de contrôle de l’esprit et a pu recouvrir ses « mémoires » grâce aux travail et soutien de son compagnon Mark Phillips. » Les « expériences gouvernementales » pratiquées sur Cathy depuis son plus jeune âge aurait fractionné son esprit en personnalités multiples, de sorte que, écrit-elle : « J’avais une personnalité pour la pornographie, une personnalité pour la bestialité, une personnalité pour l’inceste, une personnalité pour résister aux horribles abus psychologiques de ma mère, une personnalité pour la prostitution, et le reste de « moi » fonctionnait un peu « normalement » à l’école. » Cathy, donc, fonctionnait à peu près normalement à l’école, c’est pourquoi ni ses proches ni elle-même n’avaient rien remarqué. La manière dont Phillips aida Cathy à « récupérer » ses souvenirs est sans surprise :

« Mon plus grand défi était d’apprendre à contrôler l’état de transe constant de Cathy pendant qu’elle mettait ses souvenirs par écrit. […] grâce à mes propres recherches intensives en hypnothérapie, j’ai appris à contrôler les états de transe de Cathy. Je considérais cela comme une façon de la déshypnotiser. J’en vins à être considéré par les médecins de santé mentale comme un « expert » dans l’application de cet outil clinique peu utilisé pour récupérer la mémoire. »

Phillips est souvent décrit comme « un familier de la CIA », mais rien n’étaye cette prétention, et son récit me fait l’impression d’un tissu d’affabulations de la part d’un personnage trouble, qui ne cache d’ailleurs pas ses fréquentations criminelles. Il me semble probable que c’est Phillips, et non la CIA, qui a fait de Cathy O’Brien son esclave par l’hypnose, dans un but à la fois narcissique et mercantile.

Le manque de recul critique de Lebreton par rapport à ce cas et tant d’autres provient en partie de sa conception de la mémoire humaine sur le modèle du disque dur d’ordinateur, programmable et compartimentable :

« Nous pouvons ainsi comprendre que l’esprit d’un individu est potentiellement programmable tel un ordinateur avec des fichiers et des codes d’accès. Ce phénomène de fracturation de la personnalité est la pierre angulaire des abus rituels car il « déverrouille » la psyché qui devient alors accessible pour y intégrer une programmation. »

Mais les limites de Lebreton viennent surtout du paradigme religieux qui domine sa vision du monde, et que résume bien cette phrase : « La puissance spirituelle ne peut venir que de deux sources : Jésus-Christ ou Satan… ». Mon expérience me dit qu’on ne peut attendre aucune rationalité sérieuse de la part de quelqu’un qui pense ainsi. C’est le problème que j’ai évoqué dans ma critique du film Out of Shadow [15]. Le paradigme de Lebreton, emprunté à un traditionalisme d’inspiration évangélique, détermine son regard sur les religions non chrétiennes. Son chapitre 2 est un bric-à-brac informe de clichés assimilant toutes les religions antiques au satanisme, « sans oublier le druidisme celtique », et la gnose, bien sûr, et ainsi de conclure que MK-Ultra n’a rien inventé. Ainsi, « le Livre des morts égyptien est un des premiers écrits faisant référence à l’utilisation de l’occultisme pour de la manipulation mentale ». Ou encore : « Le culte à Mystères d’Éleusis utilisait dans ses rituels une potion sacrée appelée Kukeon qui contenait de l’ergot de seigle et qui se rapprochait beaucoup du LSD actuel (puissant hallucinogène). » Et ce grotesque contresens : « Dans le texte Gnostique intitulé Gospel of Phillip (sic), il est mentionné que « Dieu est un mangeur d’homme. C’est pour cette raison que les hommes sont (sacrifiés) à lui ». » Avec une telle méthode, on pourrait facilement démontrer que les chrétiens mangent des bébés. Comme tous les chrétiens arque-boutés sur « la parole de Dieu », Lebreton a intériorisé la jalousie du dieu des Juifs : « Le polythéisme des Mésopotamiens, des Sumériens, des Assyriens, des Perses et des Babyloniens était complètement lié aux entités démoniaques. » Il assimile tout ça à la « religion sans nom », autrement dit le satanisme. C’est en effet Satan qui gouverne le monde, par les Illuminati :

« Satan aurait donc un plan établi pour régner sur terre et il utiliserait certains humains (lui vouant un culte) comme catalyseurs pour mettre en place son projet terrestre, des humains passés par la contre-initiation, une inversion de la sanctification aboutissant à des pouvoirs et des connexions d’ordre surnaturel… Il est intéressant de noter ici que la franc-maçonnerie se réfère également à de mystérieuses entités d’une autre dimension qui inspirent (pour ne pas dire qu’elles dictent) ses propres actions pour la mise en place de l’Ordre mondial. / Les Illuminati, ou encore ceux qui composent « l’élite dirigeante » de la planète, semblent eux aussi avoir très vite compris l’avantage qu’ils pouvaient retirer de ces techniques pour dominer le monde. En fait, les Chrétiens auront reconnu que derrière ces techniques et ces tortures abominables, se cache la main de Satan, qui veut réduire l’humanité en esclavage, et se faire adorer comme Dieu, sous la forme de l’Antichrist (sic) annoncé par la Bible. »

Remarquons que, si Lebreton déteste toutes les religions sauf le christianisme, le judaïsme ne semble pas lui poser de problème. Il fait l’impasse sur les rituels juifs sataniques, qui ont pourtant fait l’objet de travaux historiques, notamment par Ariel Toaff dans The Bloody Satanic Sacrifice Rituals of the Jewish Race (lire cet article de Ron Unz). Rien non plus, évidemment, sur la circoncision au huitième jour, véritable rite traumatique.

Par un autre réflexe qui ne surprend pas, Lebreton projette son prisme satanique sur les nazis. Comme dans Out of Shadows, on a droit à l’amalgame entre Paperclip et MK-Ultra. L’ayant lu dans toutes ses sources, Lebreton est convaincu que MK-Ultra est peuplé de nazis, et ignore qu’à sa tête se trouvait un fils d’immigrants juifs hongrois (Sidney Gottlieb, Joseph Scheider de son vrai nom), et que parmi ses collaborateurs figuraient des gens comme John Gittinger, Harris Isbell, James Keehner, Lauretta Bender, Albert Kligman, Eugene Saenger, Chester Southam, Robert Lashbrook, Harold Abramson, Charles Geschickter et Ray Treichler – tous juifs [16]. Voici un échantillon des méthodes de raisonnement de Lebreton. Ils nous informe que les nazis mettaient du fluor dans l’eau des camps de concentration. « Les nazis n’utilisaient évidemment pas ce produit pour améliorer la santé dentaire de leurs prisonniers, bien sûr que non, cette médication massive des réserves d’eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s’assurer de leur docilité. » Lebreton ne réalise même pas qu’il se contredit avec la phrase qui suit immédiatement : « Le chimiste Charles Perkins fut un des premiers à dénoncer les effets nocifs de la fluoraison de l’eau potable dans un essai qu’il publia en 1952. »

Les arguments de Lebreton sont souvent de ce niveau, et rendent son livre inutilisable. Encore un exemple : dans son premier chapitre, portant sur l’Institut Tavistock, Lebreton se base sur des auteurs comme John Coleman et Jim Keith, adeptes des théories les plus délirantes. Il reprend au premier l’idée que le succès des Beatles est un complot Illuminati, ou que Jimmy Carter était un « candidat Mandchou » programmé par son psychiatre de Tavistock. Lorsqu’il cite (de seconde main) des savants impliqués dans la recherche sur la psyché humaine, Lebreton leur fait des procès d’intention, comme si toute recherche sur la manipulation mentale était ouvertement ou secrètement au service de la manipulation mentale. Par exemple, il cite William Sargant, qui explique les principes du lavage de cerveau dans The Battle for the Mind : A Physiology of Conversion and Brain-Washing (1957), en laissant entendre que ce professeur recommande ou expérimente le lavage de cerveaux, ce qui est totalement faux, comme il est facile de le vérifier. Avec de telles méthodes, on pourrait facilement « démontrer » que Lebreton fait lui aussi l’apologie de la manipulation mentale. Et d’ailleurs, il me semble bien que, comme toute la sous-culture américaine qu’il recycle, son livre a un côté manipulatoire et donc contreproductif par rapport à son objectif affiché. Certes, tout n’est pas à jeter dans ce livre, et il aurait pu faire une synthèse utile s’il était deux fois moins épais et se limitait aux informations puisées dans des sources crédibles.

Laurent Guyénot

Notes

[1] Mark Pendergrast, Victims of Memory, Harper Collins, 1996.

[2] Elizabeth Loftus et Ketcham, Katherine, Le Syndrome des faux souvenirs, Éditions Exergue, 1997.

[3] Érik Pigani, Psi. Enquête sur les phénomènes paranormaux, Presses du Châtelet, 1999.

[4] Cité par Djénane Kareh Tager dans L’Actualité Religieuse, n° 143, 15 avril 1996, p. 20.

[5] Brian L. Weiss, De nombreuses vies, de nombreux maîtres, J’ai lu, 2015, pp. 12-13.

[6] Weiss, De nombreuses vies, de nombreux maîtres, pp. 29-30.

[7] National Enquirer, mai 1982, cité dans Paul Edwards, Reincarnation : A Critical Examination, Prometheus Books, 1996, p. 90.

[8] Chet B. Snow, Mass Dreams of the Future, McGraw-Hill, 1993, pp. 92-96.

[9] John Mack, Dossier extraterrestres, Presses de la Cité, 1995.

[10] Reincarnation International, juillet 1994, cité dans Paul Edwards, Reincarnation : A Critical Examination, Prometheus Books, 1996.

[11] Sauf mention contraire, les informations qui suivent sont tirées de C.D.B. Bryan, Close Encounters of the Fourth Kind, Knopf, 1995, volumineux rapport journalistique d’un colloque américain organisé par la prestigieuse université de M.I.T. en 1992.

[12] Bien entendu, le fait qu’une partie au moins des « souvenirs » d’enlèvements par des extraterrestres ne soit pas matériellement crédible ne prouve pas que la vie extraterrestre n’existe pas, ni même que les extraterrestres ne soient pas parmi nous (d’une manière générale, la non-existence de quelque chose ne peut jamais être prouvée, qu’il s’agisse des extraterrestres, de la réincarnation ou des licornes, mais la charge de la preuve revient aux tenants de l’existence). Simplement, il faudrait trouver d’autres preuves. Les apparitions d’Ovnis ne font guère l’affaire, puisque rien ne prouve non plus qu’elles soient d’origine extraterrestre.

[13] Pour une analyse objective et documentée du phénomène, aucun auteur ne vaut Jacques Vallée. Lire par exemple : Autres dimensions, Robert Laffont, 1989, J’ai lu, 1991.

[14] Budd Hopkins, Enlèvements extraterrestres. Les témoins parlent, Rocher, 1998.

[15https://www.egaliteetreconciliation…

[16] Larry Romanoff, “CIA Project MK-Ultra,” https://www.unz.com/lromanoff/cia-p…




La « variole du singe » comme possible effet secondaire de « vaccins » anti-Covid ?

[Source : planetes360.fr]

Miles Guo lanceur d’alerte chinois :

« La variole du singe n’est qu’une excuse ! C’est le désastre des vaccins Covid, Il a été causé à 100 % par les vaccins Covid ! Les éruptions cutanées sont les conséquences des vaccins Covid ! »


[Source : cosmopolitan.fr]

Vaccin contre le Covid-19 : un nouvel effet secondaire dangereux pour la peau ?

Par ELISE POIRET 09/02/2022

Une étude menée par des scientifiques turcs atteste que sept personnes ont développé une pathologie rare de la peau après la vaccination contre le Covid-19.

Plus d’une personne sur dix fait état d’effets secondaires liés à la vaccination contre le Covid-19, selon l’Agence européenne des médicaments. Si beaucoup souffrent de maux de tête, de fièvre ou encore de douleurs à l’endroit de l’injection, certains auraient aussi développé des symptômes cutanés.

Vaccin contre le Covid-19 : une maladie rare de la peau chez certains patients

Une récente étude publiée dans l’International Journal of Dermatology a mis en lumière ce qui semblerait être un nouvel effet indésirable lié à la vaccination contre le Covid-19. En effet, selon les recherches menées par des scientifiques turcs, plusieurs patients vaccinés auraient développé une maladie rare de la peau, appelée pemphigoïde bulleuse.

Qu’est-ce que la pemphigoïde bulleuse ?

La pemphigoïde bulleuse est une maladie bulleuse de la peau, qui se caractérise par des bulles (ou cloques), en général de grande taille, se développant sur une peau rouge (cela ressemble de l’urticaire ou à de l’eczéma), informe la société française de dermatologie. Le nombre de bulles présentes sur la peau est variable d’un individu à l’autre. Parfois, il peut même ne pas y en avoir, ce qui rend le diagnostic plus compliqué. Les patients atteints de cette maladie souffrent aussi de démangeaisons.

La pemphigoïde bulleuse est une maladie auto-immune, ce qui signifie qu’elle est, comme toutes les pathologies auto-immunes, liée « à la fabrication anormale par l’organisme d’anticorps dirigés contre soi-même », explique la SFD. Ce phénomène touche essentiellement la peau et notamment le corps et les membres, plus rarement le visage. La maladie peut aussi toucher les muqueuses (buccales et génitales) mais cela concerne moins de 10% des cas. Elle n’est ni contagieuse, ni héréditaire.

Cette pathologie affecte majoritairement les personnes âgées de plus de 70 ans.

Quel lien entre la pemphigoïde bulleuse et le vaccin contre le covid-19 ?

Les recherches dirigées par les scientifiques turcs mettent en avant les cas de sept personnes ayant développé la maladie bulleuse, quatre à six semaines après avoir reçu leur première, deuxième ou troisième injection de vaccin contre le Covid-19. À noter qu’il s’agit de personnes âgées.

Parmi les sept patients, quatre d’entre eux ont développé l’affection pour la première fois. Tandis que les trois autres ont eu un épisode récurrent après leur vaccination. « Dans deux des quatre cas d’apparition de la maladie, la pemphigoïde bulleuse a été observée après la deuxième dose de CoronaVac à virus inactivé. Pour les deux autres, cela s’est produit après leur troisième dose, pour laquelle ils ont reçu une première dose du vaccin Pfizer-BioNTech », indiquent les chercheurs. Avant d’ajouter : « La période de latence de la nouvelle pemphigoïde bulleuse variait de 2 semaines à 1 mois après la vaccination, alors qu’elle était aussi courte qu’une semaine après la première dose chez un patient présentant une exacerbation post-vaccinale. » Selon l’étude, l’état de la peau des patients s’est amélioré grâce à un traitement.

Les scientifiques sont tout de même prudents. À ce jour, ils ne peuvent établir un lien définitif entre la maladie et les vaccins contre le Covid-19. Ils estiment que d’autres recherches sur le sujet doivent encore être menées.


Par Joseph Stroberg

D’après les expérimentations et démonstrations de chercheurs qui suivent réellement la démarche scientifique (mais pas la mauvaise cuisine des virologues et autres microbiologistes), comme Stefan Lanka, les virus ne sont pas la cause des maladies, mais sont produits naturellement par les cellules qui subissent une agression (par des toxines chimiques ou d’autres facteurs agressifs ou stressants) ou une déficience plus ou moins grave en nutriments. Voir :

La théorie des exosomes contre celle des virus
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
VIRUS TUEUR ??
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Alors pourquoi les militaires s’acharnent-ils à modifier des virus (en fait « exosomes ») pour en faire des armes biologiques ?

Parce qu’ils se fient aux croyances de virologues et autres prétendus experts des germes, des virus ou des épidémies (qui pourtant n’adoptent jamais intégralement les méthodes rigoureuses de la science, mais se contentent de reproduire ce que Big Pharma leur a enseigné lors de leurs études universitaires).
Et peut-être parce qu’accessoirement les récipients contenant les exosomes modifiés pour espérer en faire des armes bactériologiques contiennent au moins une partie des toxines qui sont à l’origine de la production de ces derniers et que ces toxines continuent à produire des effets néfastes sur la santé si elles entrent en contact avec des organismes vivants.




McKinsey, symbole de l’ère Macron

Par Francis Bergeron

Mardi, sur les Champs-Elysées, à la hauteur du numéro 90, entre Zara et Sephora, de nombreux policiers filtraient les badauds. 

Ce n’était pas les Gilets jaunes qui étaient visés, mais le personnel de McKinsey. Une perquisition était en cours au siège de ce cabinet de conseil, installé à cette adresse prestigieuse. 

Les policiers portaient des brassards « douane » car une enquête est ouverte sur une présomption de fraude fiscale mondiale.

Tout a commencé en mars 2022, lorsque le Sénat, sous la direction d’Arnaud Bazin, sénateur LR, a publié le fruit d’une enquête sur les cabinets de conseil. Ce rapport a mis en avant le fait que, pour la seule année 2021, l’État a dépensé plus d’un milliard d’euros pour des travaux menés par de tels cabinets, dont McKinsey (18 000 consultants dans le monde, et parmi eux 720 basés en France, ces derniers générant un chiffre d’affaires annuel de 320 millions d’euros). L’enquête du Sénat a révélé ou confirmé un certain nombre d’anomalies concernant en particulier ce prestataire américain.

Le rapport sénatorial confirme par exemple que McKinsey, malgré ses 720 consultants et des clients aussi prestigieux que le gouvernement français, ne paye pas d’impôts en France : tout remonte aux États-Unis. Le rapport soutient que le directeur associé, qui a la charge des prestations en direction du secteur public, le dénommé Karim Tadjeddine, aurait fait un faux témoignage devant le Sénat, le 18 janvier dernier, alors qu’il était entendu sous serment…

Mais le premier scandale, c’est le fait que l’État, les ministères, très largement en sureffectif par rapport aux pratiques dans des pays équivalents, se croient obligés de confier à des sociétés privées des études pour lesquels ils sont censés avoir les compétences suffisantes au sein des équipes de hauts fonctionnaires.

Le deuxième scandale, c’est que de telles études soient confiées à des entreprises étrangères comme McKinsey plutôt qu’à des prestataires français ou au moins européens. Le fait que Victor Fabius, le fils de l’ancien Premier ministre Laurent Fabius, soit directeur associé de McKinsey France paraît un motif assez léger pour privilégier ce cabinet, qui a notamment piloté le déploiement du passe sanitaire pour le compte du ministère de la Santé, avec la pertinence que l’on sait.

Le troisième scandale tient au fait que les pratiques fiscales de McKinsey semblent aller au-delà d’une légitime « optimisation fiscale », mais pourraient relever tout simplement de la fraude fiscale. À en croire le Sénat, McKinsey aurait organisé une véritable filière d’évasion fiscale vers le Delaware, qui est un État américain considéré comme un paradis fiscal. S’agit-il simplement d’optimisation fiscale quand on apprend que, dans la ville de Wilmington (comté de New Castle, État du Delaware), McKinsey ne disposerait que d’une simple boîte postale ? Pour en faire le siège de McKinsey France, il faut oser.

C’est d’abord un scandale d’État

Ultime scandale : le patron de McKinsey qui ment sous serment aux sénateurs. Si cette affirmation de la commission sénatoriale est confirmée, les sanctions à l’encontre de McKinsey devraient être radicales. Même Macron s’est dit « choqué » après la lecture du rapport. Il ne pouvait dire moins.

La perquisition de mardi est menée à l’initiative du parquet national financier (le même qui a enfoncé Fillon et Sarkozy). L’enquête ne vise donc que le statut fiscal de McKinsey France.

Mais c’est aussi une affaire d’État, par cette pratique consistant à mettre entre les mains d’entreprises américaines aux pratiques douteuses (et à la compétence contestée) les intérêts de notre pays. De ce point de vue, il est vraiment regrettable que, lors de son face-à-face du second tour avec Macron, le 20 avril dernier, Marine Le Pen ne soit pas montée au créneau sur un dossier qui est loin d’avoir encore livré tous ses secrets.

Francis Bergeron

Article paru dans Présent daté du 25 mai 2022




Appel aux candidats députés sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé

Par Nicole Delépine

« À partir d’une certaine masse critique, une bureaucratie tend à croître de façon automatique, sans rapport avec le réel, échappant à toute autorité. »(([1] ARS, syndrome de l’étatisation sanitaire (francesoir.fr) ))

Mmes, Mrs, vous prenez la décision de devenir nos représentants si les citoyens vous élisent.

Nous voulons attirer votre attention sur la tragique situation du système de santé français détruit en moins de 20 ans par la bureaucratie galopante ayant évincé les professionnels de santé dans l’organisation, et sur les décisions à rendre rapidement pour le sortir du gouffre.

Il est impossible en quelques lignes de tout détailler, mais quelques points sont fondamentaux à expliquer aux Français que vous rencontrerez qui n’ont pas toujours compris ce qui se passe et mettent la cause sur « l’argent ».

L’argent existe : 11,2 % du PIB utilisé pour la santé

Il faut rediriger l’argent vers les soins en dégraissant la bureaucratie énergivore, coûteuse, et paralysante : trop d’agences de santé doublons, 18 ARS dictatoriales et doublant le rôle des directions hospitalières, trop d’observatoires et autres. Tout cela est connu, détaillé dans rapports sénatoriaux, articles, livres multiples depuis deux décennies.(([2] Une liste non exhaustive vous sera fournie à votre demande nicole.delepine@bbox.fr))

Il faut le courage politique coupant ces structures inutiles et toxiques et répartir le personnel administratif dans d’autres secteurs (juridique par exemple) et remettre les nombreux soignants égarés dans les agences(([3] Soigner ou obéir N et G Delépine, Fauves Éditions 2016))(([4] Blouses blanches colère noire par B Kron : « Paniqués par les déficits, nos gouvernants ont essayé de légiférer pour freiner cette descente aux enfers du système de santé depuis plus de 20 ans. Le retour de J.Castex aux affaires en est le symbole le plus prégnant. Le Premier Ministre est en effet l’un des principaux responsable de cette situation qui a transformé l’hôpital en entreprise à flux tendu, le rendant incapable d’assurer et de combattre les crises sanitaires. Les médecins, et plus largement les soignants n’ont plus aucun pouvoir dans le système de santé en France. Dans cet essai, l’auteur analyse ainsi ce combat depuis cinquante ans pour contrôler les médecins dans les hôpitaux publics, les cliniques privées, et les médecins libéraux. Il reprend les principales réformes qui ont mené à la catastrophe. » Blouses blanches colère noire — Bernard Kron — Babelio))(([5] La bureaucratie étouffe le système de santé. Dégraissons le mammouth pour vaincre ce fléau — AgoraVox le média citoyen.)) auprès des patients.

Rendre la liberté de soigner

Pour les médecins la liberté de prescription est capitale.

2020. C’est la première fois dans l’Histoire qu’un politique se permet d’interdire une ordonnance d’un médicament (en plus connu depuis 70 ans) et en même temps d’imposer un pseudo vaccin en essai thérapeutique sans recul. Tout laisse penser que les documents PFIZER (enfin disponibles) étaient connus d’emblée par la FDA, l’EMA et probablement l’ANSM et donc par nos chefs d’État. Ces documents établissaient dès 2020 qu’ils étaient trop peu efficaces et dangereux.

Ils savaient d’emblée que le vax était toxique (1200 morts dans les premiers mois de l’essai initial) et inefficace.(([6] Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([7] BioNTech Pfizer : Nouveau « silence des MédiA-agneaux » Français ? | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Le « vaccin » conçu avec Pfizer ne serait pas concluant :
• Le produit a été conçu pour œuvrer dans l’urgence.
• Le produit n’est qu’expérimental, et les citoyens ont été des cobayes.
• « des » évènements indésirables peuvent mettre fin aux essais et mettre un terme à une utilisation pérenne et définitive. Lire document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech))

La vraie médecine a été violée par nos gouvernants suivant les directives de l’OMS contraires à la science.(([8] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr) ))(([9] Ce pouvoir devrait être renforcé si les pays votent le nouveau traité. Stopthetreaty
Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Pour les soignants en général et les infirmières en particulier il faut supprimer la persécution des cadres qui empêchent de se consacrer aux malades. Ces cadres qui gèrent les plannings de façon insupportable, etc., perdent leur temps utile en multiples réunions sans intérêt, et les contrôles permanents des « traceurs » qui conduisent les infirmiers par ex à passer 4 h par jour sur l’écran. Cocher un médicament sur un tableau ne prouve pas qu’on l’a donné et n’a donc aucun intérêt sinon de perdre du temps de soin au lit du malade et d’humilier le soignant.

En ville, il faut de même supprimer la persécution des contrôles permanents par les ARS et la CNAM qui désorganisent le travail du médecin, kiné, psychologue ou autre.

Il faut bien sûr compléter cette liberté retrouvée par des salaires décents qu’il suffit d’aligner sur les moyennes des pays de l’ouest de l’UE qui les attirent, et ne pas compter sur de petites augmentations ou primes à la suite d’un scénario Ségur répétitif(([10] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? (francesoir.fr) ))(([11] SEGUR DE LA SANTÉ, un funeste conte, fallait-il en attendre autre chose ? (francesoir.fr) )) qui n’a rien résolu.

Pour embaucher, il faut des volontaires !

Les politiques qui croient pouvoir embaucher X soignants n’ont pas compris qu’ils ne les trouveront pas sans leur rendre leur liberté de soigner et de s’organiser tant en ville qu’à l’hôpital : les postes vacants se multiplient de jour en jour et les mesures discriminatoires récentes contre les non-vaccinés n’ont fait qu’aggraver largement la situation.

Il n’existe plus de médecine libérale en France, les ukases, accréditations, normes sont les mêmes dans tous les secteurs, public comme privé. Croire, comme l’a dit le président de la FHF, qu’obliger les médecins libéraux à prendre des gardes de nuit pourrait être efficace montre qu’ils n’ont rien compris à l’état d’épuisement et d’exaspération de tous les soignants.

Démission ou expatriation sont des solutions déjà utilisées par de nombreux soignants exclus du système sans revenu par la honteuse « pseudo vax obligatoire » en essai thérapeutique, en violation de tous les traités signés par la France(([12] Convention d’Oviedo opposable à tous les pays signataires dont le nôtre et foulée au pied.)). De plus, ils sont beaucoup mieux rémunérés en Suisse, Allemagne, Canada ou Belgique qui les ont accueillis avec joie.

Médecins étrangers esclaves, combien de volontaires peut-on espérer, Mme la ministre ?

Les espoirs du gouvernement sur l’embauche de médecins étrangers pour faire fonctionner les hôpitaux cet été laissent pantois. À la recherche d’esclaves modernes qui accepteraient les ukases des ARS, cadres de santé, sécurité sociale, etc.. Ils ne restent jamais longtemps en France que ce soit dans les hôpitaux ou les maisons de santé que bien des maires tentent de remplir en promettant logement, prime, etc..

L’exercice médical en France est devenu insupportable par son manque de liberté chèrement acquis après dix ans d’études et les médecins étrangers trompés s’en rendent vite compte. La solution n’est pas là, mais à la liberté de soigner.

Réintégrer les soignants injustement mis à l’écart et sans rémunération, pour refus d’injection d’un produit expérimental en phase 3 et dont les accidents s’accumulent.(([13] Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube
Disponible sur fabien moine exuvie. Fr en participation libre et consciente
Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube))

15 000 à 30 000 soignants ont été écartés par une décision politique injustifiée (le vax ne protège ni le soignant, ni ses contacts des contaminations, ni des formes graves). Un bon nombre ne reviendra pas, parti à l’étranger, ou reconverti. Si on veut récupérer les autres, il faut faire vite, reconnaître qu’on s’est trompé (le vax ne protège pas) et leur rendre leurs salaires gelés depuis le 15 septembre 2021.

Sans ces mesures et un minimum de mea-culpa, il est peu probable qu’ils reviennent et que les écoles d’infirmiers se remplissent à nouveau. Qui voudrait entrer dans ce noble métier défiguré et dans l’impossibilité de l’exercer ?

Supprimer le pass et le masque à l’entrée des hôpitaux(([14] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube))

Pour ceux qui pourraient revenir, il faut absolument supprimer toute mesure discriminatoire à l’entrée de l’hôpital tant pour eux que pour les patients qu’ils refusent de discriminer !

Il faut supprimer les contrôles de pass sanitaires : 60 millions € par mois de contrôle par des vigiles, pass qui sont abandonnés par la majorité des pays qui les ont utilisés ! il faut supprimer le masque, mesure autoritaire inutile qui empêche les rapports humains normaux, en particulier entre malade et soignant. Manifestement les autorités qui ont imposé ce port du masque n’avaient aucune idée des conséquences multiples engendrées physiques, psychologiques, etc. Ce masque est un symbole d’autorité sans utilité médicale, sauf pour les malades aigus récents et les soignants à leur contact.(([15] Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Afin de produire une double réaction interdépendante : l’automutilation du moi et le rejet de l’autre, le masque fait disparaître le sujet parlant.))

Dans les hôpitaux publics et privés, cesser la gestion entrepreneuriale d’économies

Une organisation basée sur le taylorisme !

Ce mode de gestion a tout cassé depuis les années 80, transformé nos hôpitaux publics puis privés, nos cabinets de ville (transformés en “maisons de santé”), en usines, organisées sur le mode de la fabrication des voitures du début du XXe siècle. Procédures, checklists, protocoles, audits externes et internes, réunionnites aiguës et chroniques, contrôles ARS et décisions unilatérales, le tout sorti d’ordinateurs coûteux, ont remplacé les relations humaines.

Cesser la suppression de lits et de services, imposée par les ARS au lieu de laisser les hôpitaux se réorganiser librement.

L’hôpital est brisé dit le Pr Peyromaure.(([16] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube))

Un manque de soignants devenu dramatique

Même à Cochin le célèbre service d’urologie parisien qui a vu passer Mitterand ferme encore actuellement 30 % de ses blocs opératoires, faute de personnels.

Plus de 120 servies d’urgence limitent actuellement leur activité faute de personnel et beaucoup trop risquent d’être contraints de fermer durant les vacances.(([17] LES SOIGNANTS REMPLACÉS PAR DES BÉNÉVOLES AU CHU DE BORDEAUX : TOUT UN SYMBOLE —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Le nombre des déserts médicaux tant en campagne et même en certaines villes, qui progressait régulièrement depuis plusieurs années a fortement augmenté depuis l’obligation vaccinale imposée aux soignants ; beaucoup de vaccino prudents ont préféré prendre leur retraite ou se reconvertir plutôt que de se laisser injecter des médicaments dont ils avaient observé les complications chez leurs patients.

Les obligations supplémentaires proposées par certains bureaucrates et politiques, qu’il s’agisse d’obligation de garde ou de restriction à la liberté d’installation, seront contre-productives à terme, car elles dissuaderont encore plus de médecins à s’installer.

Pour retrouver des soignants, il faut leur rendre la liberté de prescrire, leur éviter de perdre leur temps en tâches administratives, leur garantir le choix de leur lieu installation et de respecter leur non-consentement éventuel au pseudo vaccin.

Cette dernière mesure remettrait immédiatement en activité plusieurs dizaines de milliers qui manquent si cruellement.




Pr Peyromaure : « Les médecins auraient du s’opposer au pass sanitaire »

Interview complète :


Le reportage choc sur les soignants suspendus : « Ils nous ont soignés, on les a méprisés »




Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972

[Source : maisonsaine.ca]

Par Magda Havas

Bibliographie des phénomènes biologiques (‘effets’) et des manifestations cliniques attribués aux micro-ondes et aux radiofréquences.  
Glaser, Z.R. Institut de recherche médicale de la marine, 1972. MF12.54.015-004B, rapport n° 2, révisé. 106 pages.
[NOTE : ce document a été raccourci à 25 pages pour que nous puissions l’afficher ici et ne contient pas toutes les 2 311 références].

Traduction de : https://magdahavas.com/from-zorys-archive/pick-of-the-week-1-more-than-2000-documents-prior-to-1972-on-bioeffects-of-radio-frequency-radiation/

[Voir aussi le dossier
5G et ondes pulsées]

RÉSUMÉ

Cette bibliographie comprend plus de 2 000 références sur les réponses biologiques aux rayonnements de radiofréquence et de micro-ondes, publiées jusqu’en juin 1971.* Une attention particulière a été accordée aux effets sur l’homme des rayonnements non ionisants à ces fréquences. Les citations sont classées par ordre alphabétique d’auteur et contiennent autant d’informations que possible afin de permettre une recherche efficace des documents originaux. Un aperçu des effets qui ont été attribués aux radiofréquences et aux micro-ondes fait également partie du rapport.

*Trois listes supplémentaires portent le nombre de citations à plus de 2 300.
Note : Ce document est « non classifié » et « a été approuvé pour une diffusion et une vente publiques ; sa distribution est illimitée ».

SIGNIFICATION

L’intérêt du document de Glaser de 1972 est de contrer les déclarations selon lesquelles il n’existe pas de recherches « crédibles » montrant les effets non thermiques. Il s’agit d’une fausse déclaration promue par ceux qui, soit ne connaissent pas la littérature, soit ne veulent pas admettre que ce rayonnement, aux niveaux auxquels nous sommes actuellement exposés, peut être nocif.

Des recherches crédibles existent, elles existent depuis des décennies et elles ont été largement ignorées par les responsables de la santé publique et professionnelle.

COMMENTAIRES

Il s’agit de l’une des premières revues à grande échelle de la littérature sur les effets biologiques des micro-ondes et des radiofréquences, publiée pour la première fois en 1971. L’auteur a classé les effets biologiques en 17 catégories (voir ci-dessous). Ces catégories comprennent l’échauffement (effets thermiques), les modifications des fonctions physiologiques, les altérations des systèmes nerveux central, autonome et périphérique, les troubles psychologiques, les modifications du comportement (études sur les animaux), les troubles sanguins et vasculaires, les modifications enzymatiques et autres modifications biochimiques, les troubles métaboliques, gastro-intestinaux et hormonaux, les modifications histologiques, les effets génétiques et chromosomiques, l’effet de changement de couleur des perles (lié à l’orientation chez les bactéries et les animaux) et un groupe divers de symptômes qui n’entrent pas dans les catégories ci-dessus.

S’il est clair que les rayonnements qui provoquent un échauffement peuvent également provoquer des effets secondaires, tous les effets énumérés ci-dessus ne sont pas liés à la chaleur. En effet, une grande partie de la littérature aux niveaux d’exposition inférieurs n’est pas liée à l’échauffement. C’est ce type de recherche qui a aidé les régulateurs à formuler leurs directives sur les micro-ondes. Les études non thermiques ont été ignorées par l’Organisation mondiale de la santé, sur laquelle de nombreux pays s’appuient pour obtenir des conseils, et c’est pourquoi les lignes directrices diffèrent par ordre de grandeur, de la plus faible à Salzbourg, en Autriche (0,1 microW/cm2) à la plus élevée (5 000 microW/cm2 pour l’exposition professionnelle) établie par l’ICNIRP (Commission internationale des rayonnements non ionisants). Il s’agit d’une différence de 50 000 fois !
Une façon d’interpréter cela est que nous avons deux directives, l’une pour prévenir l’échauffement et, une directive plus restrictive, pour prévenir les effets biologiques, dont certains peuvent avoir de graves conséquences sur la santé.

Ce qui est frappant, c’est que ce que nous appelions autrefois le mal des micro-ondes (groupe de symptômes associés aux travailleurs du radar) a été appelé neuroasthénie (sensation de malaise) et est maintenant appelé électrohypersensibilité. Dans tous les cas, les symptômes sont associés à l’exposition aux rayonnements de radiofréquence : d’abord les radars, puis les thermoscelleuses RF et les ordinateurs, et plus récemment diverses sources de technologie sans fil, notamment les antennes de téléphonie mobile, de radiodiffusion, de WiFi ou de WiMax, les routeurs sans fil, les compteurs intelligents, etc.

EFFETS SPÉCIFIQUES

Les effets biologiques et sanitaires spécifiques, fournis par Glaser en 1972, sont énumérés ci-dessous :

A. Échauffement des organes*

(Applications : Diathermie, électrochirurgie, électrocoagulation, électrodessiccation, électrotomie)
Cela comprend l’échauffement du corps entier ou d’une partie du corps comme la peau, les os et la moelle osseuse, le cristallin de l’œil avec des cataractes et des dommages à la cornée ; les organes génitaux causant une dégénérescence tubulaire des testicules ; le cerveau et les sinus ; les implants métalliques causant des brûlures près des broches de la hanche etc. Ces effets sont réversibles, à l’exception des dommages causés à l’œil.

B. Changements dans la fonction physiologique

Cela comprend la contraction des muscles striés, la modification du diamètre des vaisseaux sanguins (augmentation de l’élasticité vasculaire), la dilatation, les modifications des processus d’oxydation dans les tissus et les organes, l’augmentation du volume du foie, l’altération de la sensibilité aux médicaments, la diminution de la spermatogenèse entraînant une diminution de la fertilité et la stérilité ; modification du rapport des naissances en faveur des filles ; modification de l’activité menstruelle ; modification du développement du fœtus ; diminution de la lactation chez les mères qui allaitent ; réduction de la diurèse entraînant l’excrétion de sodium par le débit urinaire ; modification de la fonction rénale ; modification des réflexes conditionnés ; diminution de la résistance électrique de la peau ; modifications de la structure des récepteurs cutanés ; modification du débit sanguin ; modification des biocourants dans le cortex cérébral des animaux ; modification de la vitesse d’élimination des ions marqués des tissus ; modifications structurelles réversibles du cortex cérébral et du diencéphale ; modifications des électrocardiogrammes ; altération de la sensibilité à la lumière, au son et aux stimuli olfactifs ; modifications fonctionnelles et pathologiques des yeux ; nécrose du myocarde ; hémorragie dans les poumons, le foie, l’intestin et le cerveau et dégénérescence généralisée des tissus corporels à des niveaux de rayonnement mortels ; perte de parties anatomiques ; mort ; déshydratation ; altération du taux de calcification des tissus.

C. Effets sur le système nerveux central

Cela comprend les maux de tête, l’insomnie, l’agitation (pendant le jour et le sommeil), les changements dans l’activité des ondes cérébrales (EEG), les troubles des nerfs crâniens, les lésions du tractus pyramidal, les troubles des réflexes conditionnés, l’action vagomimétique et sympathomimétique du coeur, les crises et les convulsions.

D. Effets sur le système nerveux autonome

Modification du rythme cardiaque ; fatigue, altérations structurelles des synapses du nerf vague ; stimulation du système nerveux parasympathique entraînant une bradycardie et inhibition du système nerveux sympathique.

E. Effets sur le système nerveux périphérique

Effets sur les nerfs locomoteurs.

F. Troubles psychologiques

Les symptômes comprennent la neurasthénie (mauvais sentiment général), la dépression, l’impuissance, l’anxiété, le manque de concentration, l’hypocondrie, les étourdissements, les hallucinations, la somnolence ou l’insomnie, l’irritabilité, la diminution de l’appétit, la perte de mémoire, les sensations au niveau du cuir chevelu, la fatigue, les douleurs thoraciques, les tremblements.

G. Changements comportementaux dans les études sur les animaux

Les effets comprennent des changements dans les comportements réflexes, opérants, d’évitement et de discrimination.

H. Troubles sanguins

Les effets comprennent des changements dans le sang et la moelle osseuse ; une augmentation des fonctions phagocytaires et bactéricides ; une augmentation du taux d’hémolyse (durée de vie plus courte des cellules) ; une augmentation de la vitesse de sédimentation du sang ; une diminution des érythrocytes ; une augmentation des concentrations de glucose dans le sang ; une modification de la teneur en histamine du sang ; des changements dans les lipides et le cholestérol ; modifications de la concentration en gammaglobuline et en protéines totales ; modifications du nombre d’éosinophiles ; diminution du rapport albumine/globuline ; altération de l’hémopoïèse (taux de formation des globules sanguins) ; leucopénie (augmentation du nombre de globules blancs et leucocytose) ; réticulocytose (augmentation des globules rouges immatures).

I. Troubles vasculaires

Cela comprend la thrombose et l’hypertension.

J. Modifications enzymatiques et autres modifications biochimiques (in vitro)

Modifications de l’activité de la cholinestérase (également in vivo), de la phosphatase, de la transaminase, de l’amylase, de la carboxydismutase ; dénaturation des protéines ; inactivation des champignons, des virus et des bactéries ; mort des cultures de tissus ; modification du taux de division cellulaire ; augmentation de la concentration d’ARN dans les lymphocytes et diminution de la concentration d’ARN dans le cerveau, le foie et la rate ; modification des excrétions d’acide pyruvique, d’acide lactique et de créatinine ; modification de la concentration de glycogène dans le foie (hyperglycémie) ; modification des concentrations de 17-cétostéroïdes dans l’urine.

K. Troubles du métabolisme

Les effets comprennent la glycosurie (sucre dans l’urine) ; l’augmentation des phénols urinaires ; l’altération du traitement des enzymes métaboliques ; l’altération du métabolisme des glucides.

L. Troubles gastro-intestinaux

Les effets comprennent l’anorexie ; la panique épigastrique ; la constipation ; l’altération de la sécrétion des sucs digestifs de l’estomac.

M. Modifications des glandes endocrines

Les effets comprennent une altération du fonctionnement de l’hypophyse, de la glande thyroïde (hyperthyroïdie et hypertrophie de la thyroïde, augmentation de l’absorption d’iode radioactif) et du cortex surrénalien ; diminution des corticostéroïdes dans le sang ; diminution de l’activité glucocorticoïde ; hypogonadisme (avec diminution de la production de testostérone).

N. Modifications histologiques

Modifications de l’épithélium tubulaire des testicules et modifications macroscopiques.

O. Modifications génétiques et chromosomiques

Les effets comprennent les aberrations chromosomiques (raccourcissement, pseudochiasme, structures diploïdes, divisions amitotiques, pontage, « collage » ; irrégularités dans l’enveloppe chromosomique) ; mutations ; mongolisme ; altérations somatiques (n’impliquant pas le noyau ou les chromosomes) ; maladies néoplasiques (tumeurs).

P. Effet de chaîne de perles

Il s’agit de l’orientation intracellulaire des particules subcellulaires et de l’orientation des particules cellulaires et autres (particules non biologiques, c’est-à-dire mini-magnétiques) affectant l’orientation des animaux, des oiseaux et des poissons dans les champs électromagnétiques.

Q. Effets divers

Ces effets comprennent la formation d’étincelles entre les plombages dentaires, un goût métallique dans la bouche, des changements dans l’activité optique des solutions colloïdales, le traitement de la syphilis, de la poliomyélite, des maladies de la peau, la perte et la fragilité des cheveux, des sensations de bourdonnement, de vibrations, de pulsations et de chatouillement au niveau de la tête et des oreilles, une transpiration abondante, la salivation et la protrusion de la langue, des changements dans le fonctionnement des stimulateurs cardiaques implantés, des changements dans les rythmes circadiens.

Magda Havas

Magda Havas

Magda Havas est biologiste et titulaire d’un doctorat en toxicologie environnementale à l’Université Trent, en Ontario. À partir de 1975, elle a d’abord étudié l’impact des pluies acides et des métaux sur l’environnement des lacs, en particulier. Ses recherches ont démystifié plusieurs faussetés dans ce domaine et contribué à l’instauration d’une législation sur la qualité de l’air (Programme des pluies acides dans l’est du Canada) qui a réduit de 30 % les émissions industrielles de dioxyde de soufre.

Depuis les années 1990, ses recherches portent sur les effets biologiques de la pollution électromagnétique, notamment les rayonnements radioélectriques, les champs électromagnétiques 60 hertz, l’électricité « sale » et les courants telluriques. Elle travaille aussi bien avec les diabétiques que les personnes atteintes de sclérose en plaques, d’acouphènes, de fatigue chronique, de fibromyalgie et d’hypersensibilité électrique. Elle mène également des recherches sur le syndrome des bâtiments malsains en ce qui concerne la qualité de l’énergie dans les écoles.
Depuis le milieu des années 1990, à l’Université Trent, elle a enseigné l’un des rares cours universitaires nord-américains sur la pollution électromagnétique et supervisé plusieurs projets de thèse dans ce domaine.
Dre Havas a participé à la rédaction de la résolution 15 sur les antennes de téléphonie cellulaire adoptée par l’Association internationale des pompiers, en août 2004 à Boston. Elle a également participé à la rédaction du projet de loi 143 sur la pollution causée par les courants de sol, qui a été adopté à l’unanimité en deuxième lecture à l’Assemblée législative de l’Ontario. Cela a conduit à des modifications du code de réseau de distribution introduites par la Commission de l’énergie de l’Ontario afin d’atténuer les problèmes de courants telluriques dans les régions rurales de l’Ontario.

Elle a effectué plus de 360 ​​présentations dans plus de 30 pays et dans plus de 24 universités et collèges, notamment dans le cadre de conférences médicales et environnementales. Elle a souvent été témoin expert devant divers tribunaux dans des causes impliquant les effets sanitaires de la pollution électromagnétique.
La Dre Havas a été conseillère scientifique en la matière auprès de plusieurs groupes d’intérêt public dans divers pays. Elle a coédité trois livres et signé plus de 180 publications révisées par des pairs portant sur les effets de la pollution électromagnétique.




Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie !

Appel de R FJ Kennedy et son association CHD Children Health Defense(([1] Children’s Health Defense • Help Children’s Health Defense and RFK, Jr. end the epidemic of poor health plaguing our children. (childrenshealthdefense.org) )): nous devons stopper l’accord !

« Pensez-vous qu’il n’y a pas pire que le Great Reset ? Eh bien si !

Il y a le Great Reset associé au traité que l’OMS veut imposer partout et à tout prix…

La raison effrayante pour laquelle ils ne déclareront pas la fin de la pandémie. »

Alerte d’action : C’est maintenant ou jamais. Nous devons STOPPER L’OMS

#StopTheTreaty.(([2] Action Alert: It’s Now or Never. We Must #StopTheTreaty. • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) )) World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund

Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund(([3] Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund))

La souveraineté des nations individuelles et les droits fondamentaux des citoyens garantis par la constitution sont en jeu.

Le 28 mai 22, l’organe directeur de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), se réunit pour discuter des modifications proposées au Règlement sanitaire international (RSI) existant à partir de 2005.(([4] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr) ))

Où en était-on en 2020 :

« Monsieur Perronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart “des gens normaux” qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzyn et son Comité scientifique “se sont retrouvés dépassés”.

En réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce qu’ils voudraient bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial par le biais de l’OMS sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockefeller ».

Les évènements nous ont montré que l’auteur de l’article du Saker(([5] Tribune : Inspiré du « Décryptage de la Pandémie de Covid-19 : un exercice d’ingénierie sociale machiavélique » d’après Amar − Septembre 2020 sur Saker francophone)) que nous citions dans France soir avait complètement raison et que ce dont on parle aujourd’hui n’est que la continuité de ce qui est en marche depuis 2005.

Le conseil mondial de l’OMS : 194 états dans le monde ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Ce règlement prévoyait déjà :

« en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états ».

Et il semble bien que ce soit exactement ce qui s’est passé et continue plus ou moins à se passer car quelques états ont néanmoins résisté comme la Suède, les Pays-Bas et la Biélorussie.

Règlement Sanitaire International :

Nous écrivions : cet instrument contraignant de droit international est entré en vigueur le 15 juin 2007.

Actuellement les gouvernements mondialistes réunis à Davos veulent renforcer le pouvoir de l’OMS en cas de pandémie… et vous savez que déclarer une pandémie dépend de leur bon vouloir et que les critères changent au gré de leurs désirs.

Ces règlements sont destinés à servir de fondement à un traité sur la pandémie qui favoriserait un « gouvernement mondial unique » au nom de la santé publique.

Les représentants de 194 pays, dont les États-Unis, décideront bientôt s’il convient d’accorder à l’OMS le pouvoir de gérer les futures pandémies à l’échelle mondiale, y compris le pouvoir de sanctionner les pays qui ne s’y conforment pas. Malheureusement, l’administration Biden est sur le point de céder le contrôle ultime du système de santé américain et de s’exonérer de toute responsabilité.(([6] https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf))

Il faut néanmoins noter que plusieurs états dont la Floride aux USA refusent cet ukase des quelques milliers de puissants milliardaires et chefs d’État réunis à Davos.

Docteur Hamelin Md sur tweeter le 25 mai 2022

« Déjà la Russie, le Brésil, la Floride rejettent le Projet de souveraineté supra nationale de l’OMS Et 12/13 amendements requis par l’OMS sont retirés du Projet sous pression de pays adhérents Fox News alerte les sur le risque d’une perte de souveraineté sanitaire. Et les Media ? »

Plusieurs nouveaux amendements proposés par l’administration Biden élargiraient l’autorité et les ressources de l’OMS aux dépens des contribuables américains. Les modifications apportées aux articles 2, 3 et 5 de l’article 12 de l’IRH, qui traitent de la « détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale, d’une urgence de santé publique de portée régionale ou d’une alerte sanitaire intermédiaire, sont particulièrement préoccupantes. »

Ces modifications permettraient à l’OMS de déclarer unilatéralement une urgence de santé publique.

Pour les citoyens américains, cela signifie qu’une urgence de santé publique pourrait être déclarée par un responsable non élu, permettant aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) de détenir, d’examiner et potentiellement de soigner les Américains soupçonnés d’être malades.

L’OMS aurait le pouvoir d’introduire des systèmes de surveillance, des mesures de conformité et la mise en œuvre de la réponse médicale dans le monde entier.

C’est une violation à la fois des droits inaliénables des individus et de la souveraineté des nations. Cela supprimerait également la transparence et la responsabilité, car l’OMS est à l’abri de toute forme de procédure judiciaire.

Tedros et ses successeurs (donc leur propriétaire B. Gates, Fauci et le WEF) auront tous les pouvoirs sur les peuples en s’affranchissant de l’accord des États pour déclarer les états d’urgence pandémiques et nous savons ce que cela veut dire depuis la crise Covid-19.

15 mai 2022·Twitter

@SoloBucketpond 15 mai L’article 12 donnerait pouvoir TOTAL au directeur de l’OMS (Tedros) de déclarer une pandémie SANS l’accord des chefs d’État des pays membres, ce qui est encore le cas à présent. Tedros s’arrogerait le droit de déclarer un état d’urgence mondial même si les critères n’étaient pas réunis et que les États membres n’étaient pas d’accord !

Les points 6 et 7 n’existent pas et sont rajoutés pour accroître encore plus leur pouvoir sur nous !

Article 59 : l’OMS retire le droit d’amender ce texte, donc à accepter tel quel ou à rejeter, ce qui est inédit ! Ils ne veulent pas que des modifications y soient apportées. Le totalitarisme sans aucune limite.

Et le délai de rétractation/rejet passe de 18 mois à 6 mois… (mare seau sur twitter 15 mai)

Normalement le texte proposé en mai 2022 aurait dû être proposé aux états quatre mois plutôt, mais ce n’était pas le vœu de Tedros ni du WEF [Forum Économique Mondial]

Le traité de l’OMS induirait la création d’un identifiant, un QR code numérique mondial. Le contrat a été passé par l’OMS à T-Systems, filiale de Deutsche Telekom. Voici la preuve qu’ils veulent nous surveiller comme du bétail. (philippe Murer sur twitter) :

NOUS NE POUVONS PAS PERMETTRE CET ABUS DE POUVOIR, VÉRITABLE COUP D’ÉTAT CONTRE LES DÉMOCRATIES

L’OMS triche

En redéfinissant une pandémie, l’OMS a affirmé que la grippe porcine était une grave crise de santé publique et a fait pression sur les gouvernements pour qu’ils acceptent un vaccin qui causait la narcolepsie et d’autres effets secondaires graves.

Pendant la pandémie de COVID, l’OMS a supprimé le traitement précoce et a encouragé l’utilisation d’interventions médicales qui n’étaient ni sûres ni efficaces.

« L’OMS a également lancé une campagne agressive et globale de “désinformation” qui a abouti à une censure flagrante, imposant le silence de la dissidence. Cette suppression du discours a bloqué des solutions potentielles qui auraient pu sauver d’innombrables vies ».

S’il était adopté, le Traité sur la pandémie proposé par l’OMS sera la fin pour l’autonomie corporelle et la souveraineté nationale. Nous devons agir maintenant pour #StopTheTreaty en exprimant notre opposition aux modifications du Règlement sanitaire international.

Remplissez le formulaire ci-dessous pour contacter vos élus au niveau des États et au niveau fédéral

et leur faire savoir que nous sommes dans ce schéma mondial corrompu et que nous ne resterons pas les bras croisés ou ne nous conformerons pas.

Signez la « Déclaration mondiale de la liberté » créée par nos amis du Health Freedom Defense Fund.

La Déclaration stipule :

« en tant que citoyens du monde, nous défendons les droits, les libertés et la vie privée de tous les membres de la communauté mondiale en appelant au rejet des amendements du RSI et à la tentative de l’OMS d’usurper le pouvoir et l’autorité de la politique de santé de sa place légitime — chez elle parmi les peuples ».

Nous ne pouvons pas nous permettre de centraliser le pouvoir sous l’égide d’une organisation mondiale de santé publique qui ne reconnaît pas les avantages de l’immunité naturelle, suggère que les vaccins sont le seul moyen de mobiliser l’immunité et s’est éloignée de la science, de la transparence et de la responsabilité. La santé publique est maintenant utilisée comme un moyen d’enchâsser des mesures tyranniques qui ne protégeront pas notre santé et réussiront à nous enlever notre autonomie. C’est un moment de liberté « utilisez-le ou perdez-le ».

Il y a urgence, agissez maintenant.

Inscrivez-vous pour recevoir gratuitement des nouvelles et des mises à jour de Robert F. Kennedy, Jr. et de la Children’s Health Defense. CHD met en œuvre de nombreuses stratégies, y compris juridiques, dans le but de défendre la santé de nos enfants et d’obtenir justice pour ceux qui ont déjà subi des complications. Votre soutien est essentiel à la réussite de la mission de CHD.

NOUS DEVONS STOPPER L’ACCORD

Déclaration pour la Liberté Mondiale

Nous, soussignés, nous opposons aux amendements proposés au Règlement sanitaire international (RSI), une tentative de mettre en œuvre l’équivalent en matière de santé publique d’un « gouvernement mondial unique », en violation des droits inaliénables et de la souveraineté des nations et des citoyens.

Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international

Les amendements au RSI doivent être votés lors de la 75e Assemblée mondiale de la santé, qui débutera le 22 mai 2022. S’ils sont acceptés, les amendements au Règlement sanitaire international entreront en vigueur dans les six mois pour tous les États membres qui les auront ratifiés et seront juridiquement contraignants pour ces États membres.

Adoptés en 2005, les RSI existants respectent la souveraineté de toutes les nations membres. Les amendements proposés, cependant, élargiraient et codifieraient l’autorité de l’OMS pour mettre en œuvre des mandats de santé mondiale en violation directe de la souveraineté nationale et des droits des citoyens.

Ces propositions tentent d’éliminer l’autonomie législative d’une nation, en cas d’urgence de santé publique réelle ou supposée, en accordant à l’OMS un pouvoir unilatéral d’évaluation et de détermination d’une urgence sanitaire et en donnant à l’OMS le pouvoir de dicter les politiques et les réponses.

Tout cela fait suite à la crise du COVID-19, au cours de laquelle l’OMS a grossièrement mal géré toutes les facettes de la réponse sanitaire mondiale en encourageant les blocages destructeurs de l’économie, en supprimant les traitements préventifs précoces et en recommandant des interventions sur les produits qui ne se sont révélées ni sûres ni efficaces.

Sous le couvert de règlements sanitaires, ces amendements permettraient à l’OMS de s’emparer des pouvoirs de gouvernance exécutifs sur les États membres, accordant des pouvoirs de direction à des bureaucrates non élus et non responsables.

Vous trouverez ci-dessous quelques-unes des nombreuses dispositions ambiguës et préoccupantes des amendements proposés par le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (US Department of Health & Human Services) le 18 janvier 2022.

Le nouveau texte proposé est affiché en gras et souligné, et les suppressions proposées du texte existant sont affichées en barré, exactement comme elles sont écrites dans la proposition. Tous les autres textes restent inchangés.

Article 5 : Surveillance

NOUVEAU 5 : L’OMS élabore des critères d’alerte rapide pour évaluer et mettre à jour progressivement le risque national, régional ou mondial que représente un événement de causes ou de sources inconnues…

Dans la pratique, cela donnerait à l’OMS l’autorité unilatérale de mettre en place un système universel de surveillance de la santé sans examen public ni transparence, laissant ouverte la possibilité de sources fabriquées.

Article 9, section 1

L’OMS peut prendre en compte des rapports provenant de sources autres que des notifications ou des consultations ; elle évalue ces rapports selon les principes épidémiologiques établis et communique ensuite des informations sur l’événement à l’État Partie sur le territoire duquel l’événement est censé se produire. Avant de prendre toute mesure fondée sur ces rapports, l’OMS consulte l’État Partie sur le territoire duquel l’événement est censé se produire et tente d’obtenir une vérification de sa part conformément à la procédure énoncée à l’article 10.

Cette suppression de l’article 9 élimine les consultations avec l’État membre lors d’une « prétendue » urgence sanitaire tout en plaçant l’OMS en position de dicter la manière dont un État Partie doit procéder à l’intérieur de ses propres frontières territoriales. Cela constitue une menace pour la souveraineté nationale et l’autodétermination.

Article 10, section 4

Si l’État Partie n’accepte pas l’offre de collaboration dans les 48 heures, l’OMS peut, lorsque l’ampleur du risque pour la santé publique le justifie, partager immédiatement avec d’autres États Parties les informations dont elle dispose, tout en encourageant l’État Partie à accepter l’offre de collaboration de l’OMS.

Toute nation qui rejette la déclaration de l’OMS n’aura que 48 heures pour reconsidérer sa position et se conformer à celle-ci, ou faire l’objet de pressions de la part d’autres nations et/ou de pénalités telles que des sanctions économiques. L’avis de la nation concernée ne sera plus pris en compte.

Article 12, section 2

Si le Directeur général estime, sur la base d’une évaluation effectuée en vertu du présent Règlement, qu’il se produit une urgence de santé publique de portée internationale, potentielle ou réelle, il en informe tous les États Parties et cherche à consulter l’État Partie… Si le Directeur général détermine et si l’État Partie est d’accord sur cette détermination que l’événement constitue une urgence de santé publique de portée internationale, le Directeur général, conformément à la procédure énoncée à l’article 49, demande l’avis du Comité établi en vertu de l’article (« Comité d’urgence ») sur les recommandations temporaires appropriées.

L’article 12 crée une nouvelle sous-classe d’urgence sanitaire habilitant le directeur général de l’OMS à déclencher unilatéralement les protocoles de pandémie sur la base de la simple supposition d’une menace « potentielle ». La stipulation selon laquelle une nation doit être d’accord avec l’évaluation du secrétaire général est éliminée. Des bureaucrates distants seraient habilités à promulguer une politique de santé non seulement sur des nations entières, mais aussi, par extension, sur des individus, sans tenir compte des souhaits de la nation ou du peuple.

Nouveau chapitre IV (article 53 bis-quater) : Le Comité de conformité

1. Les États Parties établissent un comité d’observation qui est chargé de : (a) Examiner les informations qui lui sont soumises par l’OMS et les États Parties concernant le respect des obligations découlant du présent Règlement ; (b) Contrôler, prodiguer des conseils et/ou faciliter l’assistance sur les questions relatives au respect des règles en vue d’aider les États Parties à se conformer aux obligations découlant du présent Règlement.

L’un des changements les plus insidieux des amendements au RSI est la création d’un « comité de conformité » qui servira de mécanisme administratif et d’application pour garantir que les États se conforment aux directives d’urgence de l’OMS concernant les infrastructures, les dépenses d’investissement, la collecte d’informations et la mise en œuvre de mesures d’urgence.

  • En résumé, les amendements au RSI permettraient, entre autres changements : Intensifier la surveillance de tous les pays et de leurs citoyens.
  • Donner à l’OMS le pouvoir de dire aux autres États membres quand un État membre ne fait pas de déclaration et de lancer des actions punitives.
  • Accorder au directeur général de l’OMS le pouvoir de déclarer quand et où une pandémie ou une « prétendue » urgence se produit en utilisant des sources non divulguées.
  • Conférer au directeur général des pouvoirs illimités pour définir et mettre en œuvre des interventions.
  • Donner à l’OMS la possibilité d’accéder à des capitaux et de les mobiliser en cas de pandémie.

Cette prise de pouvoir de l’OMS, de ses donateurs et des parties prenantes représente une attaque directe contre la souveraineté politique et économique de toutes les nations et de leurs citoyens.

En manquant de façon répétée à ses obligations envers les populations du monde entier par la promotion de politiques qui ont causé des dommages économiques, sociaux, physiques, émotionnels et mentaux catastrophiques dans le monde entier, l’OMS a failli à sa mission d’intendant mondial de la santé publique et ne peut plus être chargée de définir des politiques pour les citoyens du monde.

Pour ces raisons, l’OMS ne devrait pas se voir attribuer plus d’argent, de pouvoir ou d’autorité, ni être autorisée à contrôler l’agenda sanitaire mondial, ni à mettre en œuvre des mesures de biosécurité qui ne répondent pas aux besoins des populations.

Les accords mondiaux négociés par des bureaucrates non élus et non responsables ne doivent jamais être autorisés à gouverner une nation.

Il est impératif que chaque nation et territoire conserve sa souveraineté, surtout en période de crise, afin que l’ensemble de la communauté mondiale puisse être protégée des politiques dirigées au niveau mondial qui profitent aux grands acteurs financiers et idéologiques.

Les soussignés demandent respectueusement que toutes les nations et leurs représentants répudient de tels accords.

Nous nous opposons fermement aux amendements actuels du RSI qui exigeraient des nations et de leurs citoyens qu’ils adhèrent aux diktats d’un organisme mondial non responsable.

Nous nous opposons à toute participation à un traité, un accord ou tout autre document mondial juridiquement contraignant qui entraverait la souveraineté d’une nation dans le domaine de la santé publique.

Nous affirmons que les nations et leurs habitants sont les mieux placés et les mieux équipés pour prendre des décisions appropriées en matière de santé.

Nous demandons que les peuples de chaque nation soient chargés de déterminer leur réponse aux crises sanitaires.

En tant que citoyens du monde, nous exigeons le respect des droits, des libertés et de la vie privée de tous les membres de la communauté mondiale en rejetant les amendements au RSI et la tentative de l’OMS d’usurper le pouvoir et l’autorité de la politique de santé de la place qui lui revient, chez elle, parmi les gens.

Agissez dès maintenant en envoyant un courriel ou en téléphonant à votre président, Premier ministre, députés, sénateurs, représentants et autres fonctionnaires pour leur demander respectueusement de rejeter les amendements au RSI. Vous pouvez trouver des numéros de téléphone et des adresses électroniques en effectuant une recherche sur Internet. Veuillez partager cette information avec toutes les personnes que vous connaissez !

Le 18 mai 2022, cette déclaration a été rédigée et signée par,

Leslie Manookian
Health Freedom Defense Fund





Audition choc du Dr Amine Umlil devant le Sénat — « Il y a un principe d’inviolabilité du corps humain »

[Source : Sud Radio]




Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène

Par Samuel Eckert

Traduction : P. et E. Merkel

[Texte source en allemand :]

20 janvier 2022 16:53

Ce que vous allez lire dans la série d’articles « La confirmation par écrit — Les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène » semble presque inconcevable. Cette série se composera de plusieurs articles, qui seront publiés au fur et à mesure, exclusivement sur Corona_Fakten [1]

La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.

Cet article devrait faire taire tous ceux qui nous reprochaient de créer un nuage de fumée pour ridiculiser les critiques. Car ce n’est pas nous qui soutenons encore et toujours ce narratif, ce sont ceux qui se refusent encore aujourd’hui à remettre l’existence des virus en question.

Mais il semble plutôt que la triste réalité soit que la plupart des critiques, qui considèrent que la question de l’existence des virus est ridicule ou qui l’ignorent intentionnellement, sont tout simplement poussés par la peur d’être mis à l’écart ou d’être catalogués comme des hurluberlus, et peut-être de perdre des « suiveurs ».

Petit conseil pour ces personnes : vous pouvez oublier vos craintes. Nous avions et nous avons les connaissances requises pour traiter ce sujet, pour le proclamer à la face du monde et même pour offrir 1,5 million d’euros [2] à qui pourra citer une publication conforme aux règles scientifiques.

Il ne peut y avoir qu’une seule raison pour laquelle cet argent n’a pas encore été réclamé — ce montant est d’ailleurs supérieur à celui du prix Nobel : personne ne connaît de publication conforme aux règles prescrites par la science !

Des compagnons de lutte et nous, de Corona_Fakten, avons écrit à différents chercheurs, virologues, biologistes moléculaires, avocats, médias et à d’autres personnes en les priant de nous citer la ou les publications apportant les preuves scientifiques de l’existence d’un coronavirus, y compris les essais de contrôle documentés de toutes les étapes réalisées pour cette démonstration.

Mais jusqu’ici personne n’a manifestement été en mesure de nous répondre, ce qui en dit très long. Et, a contrario, cela signifie que les responsables se reposent aveuglément sur les déclarations de tiers, sans vérifier eux-mêmes ces affirmations et en les acceptant sans la moindre critique comme des faits parfaitement établis.

Ceci est malheureusement notre triste réalité quotidienne !

Pour moi, les raisons de ce dilettantisme sont claires :

Ou bien :

  • ceux qui étaient censés rédiger les publications nécessaires sont simplement trop paresseux ;
  • ceux qui étaient censés lire ces publications étaient trop « occupés » ;
  • ils ont été si pressés par le temps du fait de la panique provoquée par les médias qu’ils n’ont pas pris le temps d’éliminer l’énorme quantité d’erreurs de leurs publications ;
  • ils n’étaient pas en mesure de comprendre la teneur des publications les plus importantes ;

Ou bien :

  • ils ont agi de manière délibérée, intentionnellement — ce qui serait la pire de toutes les variantes !

Pourquoi doutons-nous de l’existence du SARS-CoV-2 et de tous les autres prétendus virus pathogènes ?

Nous allons essayer de vous expliquer brièvement, chers lecteurs, pourquoi l’existence même des prétendus virus pathogènes est mise en doute, et pourquoi ce fait est le point le plus important de tous ceux qui circulent actuellement parmi les personnes qui doutent des virus.

La raison certainement la plus déterminante est qu’avec la réfutation de l’affirmation de la découverte d’un nouveau virus pathogène, toutes — et réellement toutes — les mesures et restrictions, ainsi que toutes les vaccinations seraient immédiatement balayées d’un revers de la main et ne constitueraient rien d’autre qu’un danger pour la santé et la vie des personnes !

Une autre approche pourrait être que la reconnaissance du fait que cette idée de virus dangereux flottant dans l’air n’est qu’un fantasme permettrait d’ouvrir une nouvelle voie pour une médecine raisonnable pensée pour l’homme, dans laquelle les causes de la « maladie » et les « symptômes » seraient clairs et compréhensibles — ce qui retirerait leurs moyens d’existence à de nombreux secteurs de l’industrie pharmaceutique.

Les discussions sur les tests, les statistiques (nombre de morts, de personnes réellement « malades »), les mesures et autres permettent toujours de dévier sur des argumentations qui à leur tour débouchent sur de nouvelles discussions sans fin…

En d’autres mots : tous ceux qui ne posent pas la question de l’existence des virus soutiennent automatiquement le narratif des virus pathogènes, qui n’a JAMAIS été prouvé de manière scientifique. Ces personnes critiques contribuent ainsi, peut-être inconsciemment, à alimenter en permanence la pandémie.

Pourquoi sommes-nous si sûrs qu’il n’existe aucune preuve scientifique d’un virus pathogène ?

La réponse à cette question est presque trop simple, même si cela semble inconcevable.

En 1998 [3], du fait de falsifications nombreuses, systématiques et importantes dans la recherche sur les infections et le cancer, des « propositions pour la garantie de bonnes pratiques scientifiques » ont été rassemblées et publiées dans un système réglementaire. Elles ont été rédigées en 1997 par une commission internationale à la demande de la Deutsche Forschungsgesellschaft (DFG) et précisées par les universités et la Conférence des Recteurs allemands, publiées en version papier et sur l’Internet, et rendues obligatoires en Allemagne pour toutes les institutions scientifiques d’État et tous les scientifiques. Ces règles et prescriptions font partie du contrat de travail de chaque chercheur.

La science doit être compréhensible par chacun et réfutable.

Malheureusement, ces règles sont ignorées en permanence dans la virologie, ce qui conduit à des comportements anti-scientifiques.

L’autre point est la découverte même d’un virus pathogène.

Différentes étapes sont nécessaires pour permettre une telle affirmation. Si ces étapes ne sont pas réalisées, il n’est pas possible de parler d’une preuve scientifique irréfutable, mais tout au plus d’une spéculation — et il y a un gouffre d’une spéculation à une preuve !

Pour affirmer qu’une structure bien spécifique est responsable de l’apparition de symptômes bien spécifiques, il faut qu’au moins trois étapes aient été réalisées et documentées en intégralité :

Isolation de la prétendue structure

La structure doit être isolée à partir des prélèvements d’un patient malade. Elle doit être isolée au sens propre de ce terme, c’est-à-dire séparée de tous les autres constituants du prélèvement. Déjà Luc Montagnier savait cela et l’a confirmé pour le HIV [4]. Cette étape est obligatoire car, dans le cas contraire, il n’est pas possible d’affirmer que les fragments de gènes séquencés qui ont été obtenus font partie d’une seule structure.

Si l’échantillon « isolé » comporte encore un autre matériel génétique, il n’est pas possible d’attribuer les séquences génétiques obtenues. L’affirmation qu’il s’agit ici d’une procédure standard dans la virologie n’améliore en rien cette situation. Au contraire, elle démontre l’aveuglement de la virologie.

Ce genre de séquençage produit de nombreuses séquences génétiques courtes à partir d’un mélange de toutes les possibilités. Il est donc impossible de déterminer le vrai responsable.

Le brin de génome du prétendu virus obtenu doit être unique.

Les séquences génétiques séquencées, ou l’assemblage de celles-ci (alignement de séquences) en une longue séquence génétique présentée ensuite comme le génome viral ne doivent pas :

  • être trouvées dans l’ARN humain/microbien obtenu par lavage pulmonaire d’une personne en bonne santé,
  • être trouvées chez une personne souffrant d’une autre affection pulmonaire,
  • être trouvées chez une personne ayant été testée négative au SARS-CoV-2,
  • être trouvées dans de l’ARN issu d’échantillons de contrôle datant de l’époque où le virus du SARS-CoV-2 n’était pas encore connu.

Toutes les étapes des expériences de contrôle doivent être réalisées et documentées.

La première expérience de contrôle serait, comme décrit ci-dessus, la construction du génome sur la base d’échantillons d’origines diverses.

La deuxième expérience de contrôle résultant de la logique scientifique est de contrôler de manière approfondie, au moyen de la technique PCR (real-time RT-PCR) développée, si des échantillons cliniques de personnes souffrant d’autres maladies que celles attribuées au virus et des échantillons de personnes, d’animaux et de plantes en bonne santé ne s’avèrent pas eux aussi « positifs » à ce test.

La troisième expérience de contrôle concerne l’effet cytopathique provoqué en laboratoire, dont il est affirmé qu’il est dû à un virus. Ici non plus, aucun groupe de contrôle n’est disponible.

[Voir aussi :
Démontage de la théorie virale
VIRUS TUEUR ??
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
►et les autres articles du dossier Vaccins et virus
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Graphène et 5G
►et les autres articles du dossier 5G et ondes pulsées.]

Nous avons questionné aussi bien des virologues et des épidémiologistes critiques que des défenseurs des mesures contre le coronavirus, aucun n’a été en mesure de citer une seule publication qui aurait respecté les règles du travail scientifique.

Prof. Sucharit Bhakdi & Prof. Karina Reiss

Commençons par deux scientifiques respectés opposés aux mesures, dont l’un n’a ensuite plus été sûr si le « premier » SARS-CoV-2 en Chine n’a jamais été isolé… [5]

Après que le Prof. Bhakdi et son épouse, le Prof. Karina Reiss ont clairement répondu oui à la question du public [6]

« si le SARS-CoV-2 avait vraiment été isolé » et prétendaient même s’appuyer sur des expérimentations animales réussies, nous leur avons demandé de manière ciblée s’ils pouvaient nous citer la ou les publications scientifiques, documentant la preuve, c’est-à-dire l’isolation, d’un nouveau coronavirus, avec les expérimentations animales correspondantes.

La première réponse du Prof. Bhakdi a été :

« Merci de télécharger notre article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag (éditions Goldegg). L’information se trouve dans la citation 5. Les souches du SARS-CoV-2 peuvent être obtenues auprès de l’European Virus Archive Global. »

Malheureusement, son message renvoyait simplement à une étude de synthèse et pas à des publications directes, ce qui n’avait que peu d’utilité et renforçait le soupçon qu’aucun des deux ne pouvait citer de publication.

Nous avons alors posé des questions plus concrètes, de manière à éviter toute possibilité d’échappatoire :

Question :

« Pouvez-vous me citer une publication concrète affirmant l’existence d’un SARS-CoV-2 avec des preuves scientifiques et pouvez-vous nous indiquer les passages dans cette publication qui documentent la démonstration ET les expériences de contrôle prouvant que ce sont bien des séquences nucléotidiques virales et non cellulaires qui ont été alignées en un long génome viral. »

Et c’est ici que les choses deviennent intéressantes.

Le Prof. Bhakdi & le Prof. Reiss nous ont cité la publication suivante comme preuve de la démonstration de l’isolation d’un SARS-CoV-2, avec ses expériences de contrôle :

Publication : « Virus Isolation from the First Patient with SARS-CoV-2 in Korea » [7]

Nous avons demandé à l’auteur de la publication lui-même si les prises de vue au microscope électronique réalisées dans ses expériences in vitro représentaient des virus purifiés, ce que celui-ci a confirmé par écrit [8]

Auteur ayant répondu : Wan Beom Park
Date : 19 mars 2020

Réponse : « We did not obtain an electron micrograph showing the degree of purification. »

Traduction :

« Nous n’avons pas obtenu de prise de vue au microscope électronique montrant le degré de purification. »

[8]

Toute personne examinant les images constate immédiatement qu’il n’y a pas de structures sous forme isolée.

[7]

Il est affirmé ici qu’une structure virale a été photographiée à l’intérieur de cellules (et non isolée, comme l’auteur de l’étude l’a confirmé en personne). L’affirmation que cette étude démontre un virus sous forme isolée n’est à aucun moment corroborée.

L’attribution d’une pathogénicité à une structure sans avoir isolé celle-ci au préalable, ni réalisé les expérimentations de contrôle nécessaires, ne doit et ne peut pas être qualifiée de scientifique !

Par ailleurs, aucune expérimentation de contrôle n’a été réalisée dans le cadre de cette étude, ce que nous avions cependant mentionné et demandé explicitement, et ce qui constitue une obligation pour tout scientifique.

La question se pose ici de savoir pourquoi le Prof. Bhakdi et le Prof. Karina Reiss ne sont pas, ou ne veulent pas être au courant de ce fait, et pourquoi ils ont malgré tout voulu nous faire accepter cette étude comme preuve.

Ce fait doit être clair pour tout le monde maintenant : aucun des deux n’a fait de vérifications, ou ils ignorent ce fait pour d’autres motifs. Tous deux bafouent ainsi les règles et les obligations de tout scientifique.

Ce qui nous offusque personnellement, c’est que tous deux continuent d’affirmer publiquement que le virus existe, que cela a été prouvé depuis longtemps, qu’ils évitent toute discussion avec nous à ce sujet, mais qu’eux-mêmes ne sont pas en mesure de citer une seule publication.

Après avoir fait remarquer cela au Prof. Reiss et au Prof. Bhakdi, ils nous ont à nouveau renvoyés à leur article sur l’immunité et la vaccination du site Internet du Goldegg-Verlag « citation 5 », avec l’ajout :

« Voici ce que nous pouvons vous proposer. »

En d’autres mots, ils ne peuvent rien proposer, ils n’ont aucune preuve, mais ils persistent à affirmer, comme de rien, que le virus existe.

Et c’est exactement là que se situe le problème de la grande majorité d’entre eux. Ils n’ont rien vérifié, mais ils refusent toujours toute discussion.

Si nous nous résumons concrètement :

La répétition de quelque chose de faux et de mensonger ne rend pas soudain cette chose juste et vraie !
Monsieur Bhakdi, ce que vous proposez est tout à fait non scientifique !

Il est évident et vérifiable par tout un chacun que les auteurs n’ont fait qu’additionner de courtes séquences cellulaires pour obtenir quelque chose de plus long, qu’ils ont alors fait passer pour le génome du virus.

Les expériences de contrôle obligatoires imposées par la science pour exclure tout artefact issu de la cellule n’ont pas été réalisées !

Ce seul fait devrait déjà vous faire comprendre que « votre proposition » est sans valeur.

Cher lecteur, lisez vous-même l’intégralité de la correspondance par courriel [9]

Prof. Marcel Tanner

Épidémiologiste, chercheur dans le domaine de la malaria et spécialiste de santé publique suisse. Il est Président de la Fondation R. Geigy, Président des Académies des Sciences suisses et Directeur émérite de l’Institut Tropical et de Santé Publique Suisse (Swiss TPH) et ancien chef de la task-force Corona.

Après une interview réalisée en commun (Samuel Eckert et l’équipe de Corona_Fakten) du Prof. Tanner (Président des Sciences Académiques), celui-ci a confirmé plusieurs points élémentaires : [10]

  • que le test du Prof. Drosten n’est pas conforme aux normes scientifiques requises et qu’il génère de nombreux résultats faussement positifs, qui ont mené à cette panique du corona. Le Prof. Tanner a apaisé les choses en déclarant qu’il fallait laisser le passé — c’est-à-dire le déclencheur — en paix, car il n’est pas possible de revenir en arrière. (min. 21:05 à min. 23:00).
  • le Prof. Tanner a également confirmé (à la min. 53:15) qu’il ne suffit pas de réaliser un alignement pour prouver l’existence d’un virus pathogène. (Exactement ce qui a été fait en Chine)
  • La conversation a entre autres porté sur l’existence actuelle d’une publication présentant une isolation du virus du SARS-CoV-2. Le Prof. Tanner nous a renvoyés au Prof. Volker Thiel de l’Institut de Virologie et d’Immunologie de l’Université de Berne. Notre communication par courriel a montré (voir plus bas) qu’ici non plus aucune preuve de cette isolation n’a pu être présentée. Nous pouvons prouver cette déclaration finale par notre correspondance par courriel. Nous sommes ainsi exactement dans la situation que le die Prof. Tanner a décrite de manière étonnamment honnête lors de notre entretien :

« Et si l’on arrive alors à la conclusion qu’il n’existe vraiment aucun isolat… Dans ce cas, nous avons un problème ! »

(min. 56:14 à min. 56:27)

Ce que nous apprécions grandement chez le Prof. Tanner, c’est qu’il n’a jamais hésité à entamer une discussion avec nous.

IVI Suisse — Prof. Thiel, Prof. Schweizer

Je résume les points principaux de la correspondance :
Notre demande initiale au Prof. Thiel comprenait cinq questions simples :

  1. Qu’entendez-vous par un isolat pour le SARS-CoV-2 ?
  2. Avez-vous publié un article à ce sujet et sinon à quelles publications vous référez-vous ?
  3. Où dans la ou les publications déterminantes est-il décrit qu’une structure ou des molécules attribuées au virus ont été isolées au sens du terme « isolation » ?
  4. Où les expériences de contrôle prouvant que les acides nucléiques utilisés pour l’alignement du génome du virus sont effectivement de nature virale et non propres aux tissus sont-elles documentées ?
    Dans le cas où les expériences de contrôle mentionnées à la question 4 n’ont pas encore été réalisées, permettez-nous la question suivante :
  5. Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?

  • Ni Volker Thiel ni personne d’autre de son institut n’a pu présenter de publication propre dans laquelle l’existence d’un nouveau virus pathogène a pu être prouvée conformément aux règles scientifiques.
  • Ils ont confirmé que les virologues n’isolent pas réellement, et ils admettent ainsi que l’origine des séquences génétiques séquencées ne peut pas être attribuée !
  • Nous avons reçu dans un premier temps seulement des liens Wikipédia et des fiches internes sur les bases de l’isolation des virus.
  • L’IVI a confirmé en complément qu’une simple « isolation » a été réalisée dans un mélange de prélèvements de patients et de cultures cellulaires.
  • L’IVI affirme simplement, sans apporter un seul argument approprié dans ce sens, que ce serait une absurdité de prétendre qu’il n’existe pas de virus du simple fait que l’on ne l’aurait pas purifié…
  • Nous n’avons reçu de réponse à aucune de nos cinq questions. Par exemple :

Votre réponse à la question 2 nous renvoie à une fiche de travail qui décrit la procédure pour les profanes. Nous demandions des publications scientifiques auxquelles vous vous référez.

Pour la preuve de l’existence d’un SARS-CoV-2, nous avons demandé une publication de l’Institut même, le Prof. Tanner ayant déclaré que l’IVI avait une publication propre, malheureusement l’IVI nous a renvoyé vers une publication de Munich. Travail de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/)

Nous avions à l’origine écrit au Prof. Thiel et pas à M. Schweizer et, comme M. Schweizer ne semblait apparemment pas en mesure ou pas disposé à répondre à nos questions, nous avons posé des questions plus concrètes et nous avons insisté de manière explicite pour obtenir une réponse du Prof. Thiel.

Ci-dessous le libellé de notre courriel :

« Monsieur le Professeur Thiel,

Je vous prie de répondre personnellement à nos questions, votre collaborateur Marin Schweizer semblant ne pas être disposé ou en mesure d’y répondre (cf. son courriel précédent).

Nous vous avons contacté vous, et non Mr. Schweizer, au nom du Prof. Tanner, en vous demandant clairement de répondre à cinq questions concrètes issues d’un entretien que nous avons eu avec le Prof. Tanner.

  1. Qu’entendez-vous par un isolat pour le SARS-CoV-2 ?
  2. Avez-vous publié un article à ce sujet et, sinon, à quelles publications vous référez-vous ?
  3. Où dans la ou les publications déterminantes est-il décrit qu’une structure ou des molécules attribuées au virus ont été isolées au sens du terme “isolation” ?
  4. Où les expériences de contrôle prouvant que les acides nucléiques utilisés pour l’alignement du génome du virus sont effectivement de nature virale et non propres aux tissus sont-elles documentées ?
  5. Dans le cas où les expériences de contrôle mentionnées à la question 4 n’ont pas encore été réalisées, permettez-nous la question suivante : Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?

Votre collaborateur Mr. Schweizer prétend dans son deuxième courriel du 17.9.2020, 15h .22, voir ci-dessous, qu’il aurait répondu aux questions 1à 3 en citant les travaux de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/).

La première question vous est adressée à vous, Prof. Thiel, et non à votre collaborateur — qui ne travaille pas sur le SARS-CoV-2 — en vous demandant ce que vous entendez par un isolat pour le SARS-CoV-2.

La seconde question vous demande si vous, Prof. Thiel, avez publié à ce sujet et, que vous ayez publié oui ou non, à quelles publications contenant la preuve scientifique de l’existence du SARS-CoV-2 vous vous référez.

La troisième question demande également une réponse concrète, car Mr. Schweizer a oublié d’indiquer le passage dans lequel l’intégralité du génome du virus a été isolé, représenté et séquencé dans le travail cité par lui de Roman Wölfel et. al. du 1.4.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32235945/), avec lequel il pense avoir répondu aux questions 1 à 3.

Nous avons étudié cette publication et nous arrivons à la conclusion suivante :

Bien que l’abrégé de ce travail soit le suivant : “Infectious virus was readily isolated from samples derived from the throat or lung»  (Un virus infectieux aisément été isolé à partir d’échantillons obtenus dans la gorge ou les poumons), il n’y a dans tout le texte aucune preuve de l’isolation d’un virus et de la représentation de son génome.

Si 7,11×10 puissance 8 copies du virus sont effectivement présentes dans un “throat swab” (écouvillon de gorge) et 2,35×10 puissance 9 copies sont présentes par ml de liquide, la représentation directe de l’intégralité du génome viral par électrophorèse sur gel ou par séquençage Nanopore ou au moyen de la technique de la coloration négative en microscopie électronique à l’aide de marqueurs de longueur ne doit pas poser de problèmes, mais cela n’a pas été réalisé.

Le point déterminant de cette publication est que les auteurs, à la page 466, colonne de droite, 5ligne à partir du bas, affirment avoir séquencé les génomes viraux entiers de tous les patients, mais ne prouvent pas cette affirmation : ni dans le texte, ni dans la section méthodologie, ni dans le supplément.

[Remarque : une analyse un peu plus détaillée de cette étude se trouve dans la source [11]]

Nous vous prions de nous faire parvenir par courriel une publication rédigée par vous ou de m’indiquer celle d’un autre groupe de travail, dans laquelle l’isolation et le séquençage d’un génome du SARS-CoV-2 sont décrits, et qui ne se contente pas d’affirmations.

Au sujet de la question 4 :

Aucune des publications décrivant l’alignement du SARS-CoV-2 dont nous disposons ne mentionne d’expériences de contrôle, qui sont obligatoires dans la recherche scientifique, prouvant que ce sont effectivement de courtes séquences de nucléotides viraux, et non cellulaires, qui ont été additionnées de manière théorique lors de l’alignement pour obtenir un génome viral complet et long.

Nous vous prions de nous citer une publication, de vous ou de quelqu’un d’autre, qui documenterait ces expériences de contrôle essentielles.

L’importance de cette question est corroborée par le fait suivant :

Dans la publication de Fan Wu et al, dans Nature, vol 579 du 3.2.2020 (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32015508/), dans laquelle le génome du SARS-CoV-2 est présenté pour la première fois et qui est devenue le modèle de tous les alignements ultérieurs, il a clairement été fait appel à l’intégralité de l’ARN d’un lavage broncho-alvéolaire (BALF) d’un patient, sans qu’il y ait eu au préalable une isolation ou un enrichissement des structures virales ou des acides nucléiques.

Cet ARN a été converti en cDNA et des morceaux d’une longueur de 150 nucléotides ont été séquencés, pour calculer sur cette base le génome d’une longueur d’environ 30 000 nucléotides. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée pour prouver que l’ARN d’un BALF de personnes saines, de personnes souffrant d’autres maladies, d’ARN d’échantillons de réserve datant d’une époque où le SARS-CoV-2 n’existait pas encore ou d’ADN de cultures cellulaires destinées à des expériences de contrôle ne permet pas de calculer le même génome « viral » lors de l’alignement.

L’affirmation de votre collaborateur Monsieur Schweizer, que la question 4 a reçu une réponse indirecte par le fait que le génome calculé dans l’alignement ne se trouvait pas dans le génome humain, n’est pas défendable pour deux raisons :

  1. Si des séquences de nucléotides très courtes, d’une longueur de jusqu’à 10 nucléotides, sont utilisées pour calculer un génome de 29 803 nucléotides, il est évident que les presque 30 000 nucléotides du génome viral ne pourront jamais être trouvés, que ce soit en intégralité ou l’un de ses 10 gènes d’une longueur moyenne de 3 000 nucléotides.
  2. Le métabolisme de l’ARN génère, du fait de plusieurs mécanismes connus, beaucoup plus de séquences qu’il en existe dans l’ADN chromosomique d’une personne. Votre Monsieur Schweizer ne mentionne pas ces faits. Mais ce sont ces faits qui expliquent qu’il est possible, à partir de courts fragments d’ARN, de calculer un soi-disant génome viral, qui en réalité n’existe pas.

Comme cette possibilité existe, que nous n’avons pu trouver jusqu’ici aucune expérience de contrôle pour le SARS-Cov-2, que nous supposons de ce fait que ces expériences n’ont pas été réalisées jusqu’ici et que le doute est le devoir le plus important de tout scientifique, la question 5 que nous vous avons posée prend toute son importance :

Si une telle expérience de contrôle était réalisée à nos frais (isolation d’ARN de cultures cellulaires non infectées, séquençage et alignement pour le génome du SARS-CoV-2), accepteriez-vous de publier ces données conjointement avec nous ?

Nous vous remercions d’avance pour votre réponse personnelle.

Recevez nos meilleures salutations,

With best regards, »

Après avoir remarqué que cette étude présente exactement les mêmes faiblesses que toutes les autres, on nous a demandé si nous accepterions comme preuve pour le SARS-CoV-2 un clone d’un génome présenté comme suggestion par les Chinois. Savourez cette demande :

Les virologues chinois ont établi le génome du virus rebaptisé ensuite SARS-CoV-2 simplement par un pur calcul, en additionnant des fragments très courts de séquences.

Ils n’ont trouvé ni le génome entier, ni même de grandes parties de celui-ci ! [12]

Encore mieux : ils ne disposent d’aucun virus ou structure virale, dont ils auraient isolé les acides nucléiques viraux, ils ont simplement tout l’ARN obtenu par un lavage broncho-alvéolaire. Donc, accepteriez-vous un clone d’un modèle informatique comme preuve pour un virus qui aurait prétendument déjà existé de nombreux mois auparavant ?

Ils n’ont fourni aucune expérience de contrôle, mais ils ont affirmé que celles-ci auraient été réalisées indirectement du fait que le génome calculé par l’alignement ne se trouve pas dans le génome humain.

Ceci n’est pas défendable pour deux raisons :

a.) Si des séquences de nucléotides très courtes, d’une longueur de jusqu’à 10 nucléotides, sont utilisées pour calculer un génome de 29 803 nucléotides, il est évident que les presque 30 000 nucléotides du génome viral ne pourront jamais être trouvés dans la réalité, que ce soit en intégralité ou l’un de ses 10 gènes d’une longueur moyenne de 3 000 nucléotides.

b.) Le métabolisme de l’ARN génère, du fait de plusieurs mécanismes connus, beaucoup plus de séquences qu’il en existe dans l’ADN chromosomique d’une personne. Les virologues responsables de l’Institut Suisse de Virologie et d’Immunologie ne mentionnent pas ces faits. Mais ce sont ces faits qui expliquent qu’il est possible, à partir de courts fragments d’ARN, de calculer un soi-disant génome viral,qui en réalité n’existe pas.

Ci-dessous le libellé de notre courriel :

« Monsieur le Professeur Thiel,

Je comprends votre étonnement devant une telle situation qui émerge soudain du néant et remet en cause votre propre travail.

Le fait que vous répondiez néanmoins en me laissant entrevoir la preuve de l’existence du virus du SARS-CoV-2 vous honore et prouve votre sérieux scientifique.

Je vous prie de respecter aussi mon étonnement, lorsque j’ai lu de mes yeux que le Prof. Christian Drosten de la Charité à Berlin a fait synthétiser les réactifs (Primer) pour le test PCR du virus du SARS-CoV-2 par la société Tib Molbiol avant même que les scientifiques chinois, autour de Fan Wu ont publié en ligne le10.1.2020 leurs suggestions provisoires de séquences pour le virus.

J’ai alors examiné leur publication et j’ai constaté avec horreur que les virologues chinois n’ont établi le génome du virus rebaptisé ensuite SARS-CoV-2 que par calcul, en additionnant des fragments de séquences très courts. Ils n’ont pas trouvé l’intégralité du génome, ni même des parties plus grandes de celui-ci.

Encore mieux : ils ne disposent d’aucun virus ou structure virale, dont ils auraient isolé les acides nucléiques viraux, ils ont simplement tout l’ARN obtenu par un lavage broncho-alvéolaire.

Point déterminant : les virologues chinois n’ont réalisé aucune expérience de contrôle pour exclure la même addition d’un génome viral à partir de courts fragments d’ARN humain/microbien obtenu par lavage broncho-alvéolaire d’une personne saine, d’une personne souffrant d’une autre maladie pulmonaire, d’une personne textée négative au SARS-CoV-2 ou d’ARN d’échantillons de réserve datant d’une époque où le SARS-CoV-2 n’existait pas encore.

Votre indication qu’il existe de nombreuses études de transcription dans lesquelles aucun gène du SARS-CoV-2 n’est trouvé ne peut pas remplacer les expériences de contrôle logiquement impératives, car l’addition artificielle de quelque chose qui en réalité ne peut pas être trouvé ne peut naturellement pas se trouver ailleurs ni dans aucune étude de transcription.

Pour cette raison, votre référence aux travaux publiés par votre collègue Marco Binder sur Twitter est sans fondement scientifique.

Comme il serait naturellement possible que je me trompe, et que je m’excuserais publiquement en cas de réfutation de ma position, je vous prie — également au sens des critères scientifiques du DFG — de clarifier cette situation de manière univoque. À ce jour, nous ne disposons pas de publications de ce genre.

Et c’est ici que se pose la question la plus importante :

À laquelle des premières publications des affirmations de l’existence du virus du SARS-CoV-2 vous référez-vous personnellement pour admettre l’existence scientifiquement prouvée du virus du SARS-CoV-2 ?

Si le génome publié du SARS-CoV-2 ou les courtes séquences génétiques qui ont été additionnées pour former le génome sont effectivement issus d’un virus, moi et tous les autres reconnaîtrons naturellement la preuve que vous nous offrez d’une “expérience au cours de laquelle le génome (sous la forme d’ARN avec 30 000 nucléotides) aura été fabriqué artificiellement, et d’où résulte le SARS-Cov-2” comme une preuve de l’existence du virus.

Si la démonstration que vous nous proposez n’est pas univoque ou échoue, je suis sûr que vous serez d’accord pour réaliser les expériences de contrôle afin d’essayer d’obtenir le génome du virus du SARS-CoV-2 à partir de l’ARN de personnes saines, de personnes testées négatives au SARS-CoV-2 et de l’ARN de cultures cellulaires non infectées exactement de la même manière que le font vos collègues ?

Ceci serait un tournant majeur, qui respecterait les prescriptions d’un travail scientifique, car je n’arrive pas à trouver ces expériences de contrôle, qui sont pourtant prescrites, dans l’ensemble de la littérature scientifique relative au virus du SARS-CoV-2. Ici aussi, je vous serais reconnaissant de m’indiquer un lien vers votre publication de référence.

Je vous souhaite une bonne journée et vous remercie beaucoup pour le temps que vous m’avez consacré

Recevez mes meilleures salutations

Nous n’avons obtenu une réaction à notre courriel que deux semaines plus tard, après deux rappels, bien que le Prof. Tanner eut demandé cette discussion et avait été mis en copie de l’ensemble de la correspondance. La première réaction est venue après deux semaines :

« Cher Monsieur XXX,

Je vous répondrai dès que j’en aurai le temps.

Cordialement,

Volker Thiel »

Après encore plus que deux semaines, nous avons finalement reçu la réponse, par laquelle le Prof. Thiel confirmait exactement ce que nous soupçonnions depuis le début.

L’IVI n’a pas d’isolat propre et s’appuie sur une source qui n’a jamais démontré l’existence d’un virus. Mais lisez vous-même :

Réponse du Prof. Thiel de l’IVI :

Notre réponse ci-dessous montre les erreurs flagrantes présentes dans les hypothèses de l’IVI et, selon toute probabilité, les erreurs des hypothèses de la plupart des autres virologues :

“Cher Prof. Thiel,

Nous vous remercions de votre réponse, qui clarifie les choses.

Je suis maintenant sûr de savoir où se trouve l’erreur centrale de votre hypothèse, et je peux le justifier avec toute la rigueur requise.

Vous écrivez dans votre publication (https://www.nature.com/articles/s41586-020-2294-9) :

‘The detection of a new coronavirus in China at the end of 2019 prompted us to test the applicability of our synthetic genomics platform to reconstruct the virus based on the genome sequences released on 10–11 January 2020 (Fig. 2)’

(La détection d’un nouveau coronavirus fin 2019 nous a incités à tester l’applicabilité de notre plateforme génomique synthétique pour reconstruire le virus sur la base des séquences génétiques publiées le 10-11 janvier 2020)

Vous indiquez ainsi clairement la source que nous vous demandions, sur laquelle vous vous basez et à laquelle le monde entier fait confiance en croyant qu’elle donne la preuve scientifique de l’existence du nouveau virus du SARS-CoV-2.

Il s’agit de la publication du Prof. Yong-Zhen Zhang (Fan Wu et al.), à laquelle le Prof. Drosten se réfère également :

Le Prof. Zhang décrit en détail comment il a calculé par juxtaposition de très courtes séquences génétiques le génome du virus désigné aujourd’hui sous le terme « SARS-CoV-2 ».

Il décrit clairement qu’il a prélevé pour cela ces courtes séquences génétiques non sur un virus, mais directement sur le liquide pulmonaire issu d’un lavage broncho-alvéolaire (= BALF) d’une personne souffrant de pneumonie.

Il ne décrit pas d’expériences de contrôle, qui sont exigées par la science pour qu’une affirmation puisse être qualifiée de scientifique. Ces expériences de contrôle, qui résultent également des règles de la logique scientifique — afin d’exclure l’évidence, c’est-à-dire qu’il pourrait être obtenu à partir de courtes séquences génétiques propres à l’organisme humain et aux nombreux microbes connus et surtout inconnus qui colonisent l’homme — n’ont à ce jour pas été réalisées.

Une méthode, comme dans notre cas l’alignement, pour calculer une longue séquence génétique théorique à partir de séquences très courtes, qui n’est pas corroborée par des expériences de contrôle, ne peut pas être qualifiée de scientifique. Le caractère scientifique revendiqué ici n’est ni évident, ni reproductible, ni vérifiable par chacun.

*Le fait que vous vous référiez toujours, pour ces expériences de contrôle, sur des entrées Twitter de Marco Binder, n’est pas scientifique, mais révoltant, car, si quelque chose, qui en réalité n’existe pas, est construit par une procédure d’« alignement » à plusieurs étapes, cette chose ne peut naturellement être trouvée dans aucune base de données publiant des séquences génétiques humaines.

En utilisant cet argument que les expériences de contrôle sont réalisées par le fait que cette séquence virale n’est pas trouvée dans les bases de données génétiques humaines, vous vous référez à une littérature de troisième classe trouvée dans les média sociaux, en oubliant de nombreux points :

  1. Personne n’a jusqu’ici vérifié, pour cette procédure d’alignement, si les séquences génétiques utilisées pour calculer le génome du virus du SARS-CoV-2 ne viennent pas de séquences génétiques générées par le métabolisme de microbes qui colonisent l’homme et les cultures cellulaires.
  2. Le génome de seulement environ 5 % des microbes existants a été séquencé. Ce fait impose la réalisation immédiate d’expériences de contrôle, car il est manifeste que le génome du virus a été calculé intégralement ou en partie par plusieurs étapes d’« alignement » à partir des séquences inconnues de ces microbes.
  3. Il est connu depuis longtemps que les enzymes qui fabriquent les séquences génétiques génèrent en permanence de nouvelles séquences génétiques entre autres par le mécanisme du « Template-Switching », qui ne peuvent être enregistrées dans aucune base de données, et que les enzymes qui fabriquent les séquences génétiques de l’ARN le font aussi sans modèle génétique. Ceci signifie que de nouvelles séquences génétiques, qui n’ont pas été enregistrées par les méthodes utilisées jusqu’ici, apparaissent constamment. Ce seul fait impose l’obligation de réaliser immédiatement des expériences de contrôle, car il est évident que le génome du SARS-CoV-2 a été construit par calcul, intégralement ou en partie, au moyen de telles séquences non spécifiques.
  4. Vous ne pouvez pas, dans cette situation spécifique, apporter la preuve de l’existence du virus par le fait que vous ayez fabriqué de manière synthétique le génome du virus à partir de la séquence présentée par le Prof. Zhang et que vous l’utilisiez pour vos expériences. Il s’agit ici d’un raisonnement circulaire scientifiquement inadmissible.

Le Prof. Zhang mentionne expressément dans cette publication qu’il n’a pas respecté les postulats de Koch, les règles pour la preuve de l’existence d’un virus. Pas même le premier postulat, l’isolation du virus.

Le Prof. Zhang indique expressément qu’il n’existe qu’une corrélation entre la « preuve » par calcul de ce virus et une pneumonie réelle, mais pas de preuve que sa « découverte » soit à l’origine de cette maladie.

Pour votre information, si cela devait vous avoir échappé :

Il est prouvé que le Prof. Drosten a — déjà avant de disposer de la séquence du Prof. Zhang — fait synthétiser les séquences amorces pour le virus du « SARS-CoV-2 » et les a fait envoyer, le jour même de la publication des données, dans la nuit du « 10-11 January 2020 », aux endroits où des voyageurs de retour de Wuhan ont été testés pour le virus du « SARS-CoV-2 » au moyen de son test. Il a ainsi apparemment été prouvé que le supposé virus était à présent quand même transmissible d’homme à homme.

Jusqu’au 20.1.2020, les autorités de santé et le gouvernement chinois avaient démontré qu’il n’y avait manifestement pas transmission d’homme à homme. Tous les parents et l’ensemble du personnel hospitalier qui était et est en contact avec les personnes souffrant de pneumonie atypique — que, du fait de la définition « atypique », l’on attribuait à un virus inconnu — sont restés en bonne santé. De ce fait, le gouvernement pouvait, en toute honnêteté, renoncer aux mesures de confinement.

Le 20.1.2020, le célèbre médecin du « SRAS », le Dr Zhong Nanshan, âgé de 84 ans, est arrivé à Wuhan. Il avait voyagé depuis la Chine du Sud de sa propre initiative et à ses propres frais. Il a répandu à Wuhan la nouvelle du résultat « positif » de la procédure de test PCR Drosten, qui selon lui permettait et imposait d’affirmer que la transmission d’homme à homme du supposé nouveau virus était prouvée.

Cette information a d’abord semé la panique à Wuhan, et le soir même dans toute la Chine, lorsqu’il annonça aux informations du soir que la transmission d’homme à homme avait été confirmée. Comme nous le savons, la panique a rapidement gagné population mondiale.

Dans cette affaire, en tant qu’homme, et notamment en tant que scientifique, avec votre fonction centrale de Directeur de l’IVI, vous avez le devoir et la responsabilité, vis-à-vis du peuple suisse et de la population mondiale, de communiquer IMMÉDIATEMENT ces contradictions et ces réfutations au public.

Afin d’éviter que principalement des enfants, des personnes âgées, des malades et l’économie n’étouffent au sens propre du terme et ne meurent du fait de conclusions non justifiables scientifiquement et qui ont été réfutées, et des mesures qui en résultent, je vous prie d’agir immédiatement.

Le Prof. Tanner vous a chargé par mon intermédiaire de clarifier si un virus a effectivement été isolé au sens du terme « Isolation ».

Vous avouez maintenant par votre référence centrale et exclusive à la publication du Prof. Zhang qu’aucun virus n’a été isolé, mais que, manifestement et sans aucun doute, des séquences génétiques très courtes de l’homme, de microbes connus et inconnus et probablement de séquences génétiques créées par la biochimie ont été réunies uniquement par calcul, c’est-à-dire purement théoriquement, pour créer un génome viral qui en réalité n’existe pas.

Vous ne pourrez pas non plus à l’avenir faire valoir — pour continuer à vous dérober à votre responsabilité centrale et globale — que l’alignement théorique des courtes séquences génétique en un génome viral « complet » a été réalisé sur la base d’un autre coronavirus. Ce prétendu modèle de séquence virale a lui aussi été obtenu par calcul à partir de très courtes séquences virales, dont il est certain qu’elles n’ont pas été isolées à partir d’un virus, mais qu’elles sont issues de courtes séquences génétiques de l’homme, d’animaux, de microbes et possiblement synthétisées par la biochimie.

Le Prof. Tanner vous a chargé par mon intermédiaire (et il y veille) à la réalisation des expériences de contrôle, qui sont la condition pour considérer l’affirmation de l’existence d’un virus comme scientifique.

Votre argument que ces expériences de contrôle sont réalisées indirectement par le fait que des tiers, et pas vous, prétendent sur Twitter qu’ils ne trouvent pas le génome calculé du virus dans les bases de données génétiques humaines, est réfuté par le fait que quelque chose de calculé (laborieusement) ne pourra logiquement ni être trouvé dans une base de données ni démontré en laboratoire.

C’est pourquoi je vous prie à nouveau de réaliser et de documenter conjointement avec moi les expériences de contrôle qui confirmeront ou infirmeront le fait que les très courtes séquences génétiques disposées en un long génome par calcul, c’est-à-dire théoriquement, lors de l’« alignement », au moyen de différents programmes de retraitement, ne viennent pas de l’homme lui-même ou des nombreux microbes et phages qui colonisent l’homme, tout particulièrement en cas de maladie ou de pneumonie. Ou si celles-ci sont issues en partie de séquences génétiques purement créées par la biochimie, ou si elles ont été en partie inventées par les programmes utilisés pour l’alignement pour combler les lacunes (gaps) du génome qui ne pouvaient pas se combler au moyen des courtes séquences génétiques disponibles. Ces programmes sont mentionnés dans la section méthodologique du Prof. Zhang, mais celle-ci n’indique pas quelle est la proportion du « génome viral » complet qui a été « comblée » par ces programmes de « Gap filling ».

Nous vous offrons à nouveau de financer ces essais de contrôle. Le Prof. Tanner ne vous a demandé de présenter et de documenter ces essais de contrôle que pour des raisons scientifiques et humaines. Il n’y a aucune raison de ne pas réaliser ces essais ou de continuer à les repousser.

La détresse due à la crise du corona est immense et n’admet aucune raison de protéger par exemple votre profession ou sa réputation. Cette détresse augmente de jour en jour, et il existe le risque que notre société, dans une hystérie collective sans aucune justification scientifique, s’inflige des dommages toujours plus graves. J’ai également demandé à d’autres virologues de réaliser avec moi les expérimentations de contrôle. Aucun n’a répondu à ce jour.

Vous avez la possibilité de clarifier ce problème, le Prof. Tanner m’ayant renvoyé à vous pour la clarification de cette question essentielle.

Je vous prie de vous décider et d’agir sur le champ, et de ne pas laisser passer à nouveau plus de deux semaines avant de me répondre.

Recevez mes meilleures salutations,




Quatre remèdes à la variole-phobie

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Quel exploit ! En une semaine, la variole du singe a réussi à chasser de la une des journaux la guerre en Ukraine, la grippe covid et l’effondrement économique en cours. Parce que l’alerte est sérieuse et qu’il faut s’inquiéter de cette nouvelle menace infectieuse ? Je suis évidemment d’un avis contraire : comme tous ses prédécesseurs, ce nouveau péril viral est une baudruche appelée à se dégonfler quand les virocrates paniquards et les médias de grand chemin auront fini de se faire mousser. Voici quatre raisons de roupiller sur ses deux oreilles et d’observer tranquillement ce numéro de singeries du coin de l’œil.

1. C’était prévu, donc prévisible

Je présume que vous êtes au parfum : ce nouvel épisode de la série « Apocalypse virale » était déjà scénarisé et une première répétition des acteurs a eu lieu l’année dernière. En mars 2021, le Nuclear Threat Initiative (NTI), en partenariat avec la Conférence sur la sécurité de Munich, a en effet procédé à une simulation de pandémie de variole du singe. L’exercice prenait comme base qu’un pays africain fictif était le théâtre d’une flambée de « monkeypox » d’origine terroriste et que celle-ci s’étendait aux pays voisins avant de déferler dans le monde entier en faisant 270 millions de morts. Une variole fabriquée en laboratoire et utilisée comme arme, c’est aussi le scénario d’épouvante que Bill Gates redoute depuis des années et qui a été pris au sérieux aux États-Unis puisque ce pays a constitué un stock de 100 millions de vaccins antivarioliques. Et bien avant encore, en 2012, la Commission Européenne a financé l’édition de la bande dessinée « Infected » qui préfigurait la « crise sanitaire » de 2020, mais dont l’intrigue démarrait avec l’apparition d’un redoutable virus simien infectant les humains. Comble de tous ces hasards, l’exercice du NTI prévoyait que l’attaque bioterroriste commencerait le 15 mai 2022 et se mondialiserait avant début juin. Or justement, il y a maintenant plus de 100 cas de variole du singe rapportés par l’OMS dans une douzaine de pays occidentaux, où la maladie n’est pourtant pas endémique. Il n’en fallait évidemment pas plus pour mettre le feu à la complosphère et enflammer des lanceurs d’alerte hurlant que les « élites globalistes » sont passées à la deuxième étape d’un programme génocidaire, avec comme instrument de ce crime de masse une particule virale tripatouillée dans des labos militaires. Fantasme ou réalité ? Vous connaissez ma réticence à souscrire à ce genre d’hypothèse. Pour moi, ce qui est prévu et planifié n’est pas forcément provoqué. Les plandémistes mondialistes guettent le moindre départ de feu pour en tirer les marrons et faire avancer leur agenda de « great reset », mais ce ne sont pas nécessairement eux qui allument les incendies. Et jusqu’à preuve certaine du contraire, aucun virus artificiel n’a jamais pu être créé ni utilisé à des fins bioterroristes ailleurs que dans des films ou des BD de science-fiction. Ce qui me paraît plus probable, c’est que les tireurs de ficelle ont accès à des outils de prévision et d’anticipation que nous ignorons. Ainsi, fin 2019, ils ont pu lancer la « psy op’ » covidienne en tablant que la saison grippale serait légèrement atypique et que l’hystérie médiatique suffirait à déclencher la panique. Et en 2022, ils pouvaient s’attendre à ce que le monkeypox s’évade d’Afrique pour s’aventurer plus au Nord. Comment font-ils pour deviner ? Je ne sais pas, moi : les éruptions solaires ? Une conjonction astrale particulière ? L’effet connu et attendu d’une pollution chimique ou de l’adjonction d’un adjuvant dans les vaccins ? Comme vous le savez aussi, Néosanté privilégie cette dernière explication possible. L’émergence de la grippe covid est clairement liée à la commercialisation de nouveaux vaccins antigrippaux et celle de la variole du singe pourrait fort bien découler de la vaccination anticovid. Sur le net, on peut trouver des images d’effets secondaires cutanés des injections expérimentales qui font furieusement penser aux pustules varioliques. Et leur surgissement dans les pays les plus vaccinés mériterait à mon sens qu’on s’interroge sur cette étrange coïncidence. Quand une prophétie épidémique se réalise, il faudrait toujours suivre la piste toxique au lieu de s’emballer pour des machinations diaboliques et des manipulations biologiques hypothétiques.

2. L’épouvantail n’a rien d’épouvantable

Y a-t-il spectre plus effrayant que la variole ? Rien qu’au siècle dernier, cette maladie horrible a fait 300 millions de victimes, son taux de létalité étant estimé à 30 %. Un cadavre pour trois cas avérés, c’est autre chose que le gros rhume qui a fauché mille fois moins. Certes, la version supposément transmise par le singe est moins agressive que la forme humaine. Son pouvoir létal culminerait néanmoins à 10 % et avoisinerait 1 % pour la variante africaine qui semble avoir pris souche en Occident. Mais ça, cette mortalité-là, c’est en Afrique ! Ici, à l’image d’Ebola, ce poxvirus n’a jamais tué personne et d’après les premiers échos, il n’est pas près de le faire. Contrairement à ce qu’a tweeté le virocrate belge Emmanuel André, il existe un traitement efficace et même sans traitement, l’affection évolue naturellement vers la guérison. Les symptômes ? Fièvre, fatigue, maux de tête et douleurs articulaires, rien de bien grave s’il n’y avait ces éruptions de boutons qui disparaissent aussi spontanément. Il n’empêche : les images de pustules purulentes impressionnent et font croire que nous avons affaire au fléau d’antan qui tuait massivement et grêlait la peau des survivants. L’épouvantail va encore effrayer les pigeons qui seront prêts à obéir à tout pour se protéger du nouvel ennemi invisible. En guise d’antidote à l’hystérie potentielle, je préconise la lecture de deux livres récemment parus en français. Dans « Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ? », le chapitre consacré à la variole raconte notamment comment deux villes anglaises ont vaincu le mal au XIXe siècle, en assainissant les quartiers les plus miséreux et en supprimant… la vaccination. Alors que la maladie tuait de moins en moins en moins, ce sont en effet les campagnes d’inoculations qui ont réveillé l’épidémie et suscité des vagues dévastatrices. Je vous conseille surtout de vous procurer « Vaccination, la grande désillusion », ouvrage dans lequel le Dr Suzanne Humphries révèle que l’incidence de la variole a toujours épousé celle de la scarlatine, cette dernière étant même plus meurtrière que sa jumelle synchronique. Les courbes épidémiques sont identiques, or il n’y a jamais eu de vaccin pour la scarlatine qui a pourtant disparu sans être médicalement éradiquée. Ce simple fait historique devrait faire prendre conscience que les vaccins ne servent à rien et que les grands fléaux de jadis se sont évaporés dès que les conditions de vie et d’hygiène se sont améliorées. En Europe et en Amérique contemporaines, la variole du singe n’aura certainement pas le même impact qu’en Afrique.

3. Le terrain est très étroit

Encore plus spectaculairement que le covid, le monkeypox « occidental » démontre d’ailleurs le monopole pathogène du terrain. Il s’avère qu’une grande majorité, si pas la totalité des personnes contaminées, sont des homosexuels de sexe masculin. Ici en Belgique, c’est même une sous-catégorie très particulière d’homos qui est touchée : les 4 infectés avaient participé au festival fétichiste Darklands qui a eu lieu du 4 au 9 mai à Anvers. Si vous avez plus de 18 ans et que vous n’êtes pas vite choqué, je vous invite à visiter le site de cet événement hallucinant. Parmi les activités proposées, il y avait notamment une excursion en car à travers la cité portuaire, non pour en admirer les sites culturels, mais pour assister au spectacle d’un homme déguisé en chien et urinant sur des murs ou des réverbères. Authentique ! Ce n’est bien sûr pas l’orientation sexuelle des festivaliers que je soupçonne d’être causale, ni même leurs outrances pornographiques témoignant d’une grande souffrance intérieure. Les fantasmes pervers sont des fantômes cruels forgeant leurs chaînes dans la prime enfance et les traumatismes transgénérationnels. Mais je suis ahuri par ce que l’OMS a écrit sur son site et qui a été dupliqué dans le journal Le Soir : pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui met en garde contre la discrimination et la stigmatisation, le tropisme de la variole « pour les communautés d’hommes ayant des rapports avec des hommes » serait seulement dû « au comportement positif de recherche de santé dans ce groupe démographique ». Autrement dit, il n’y a pas de cas dans la population générale parce que les homos mâles, eux, se soignent et se dépistent mieux ! Plus délirant que ça, je ne vois pas. Et bien sûr, l’organisme onusien nous prévient que les clusters gay vont s’égayer dans la nature et que tout hétéro en contact étroit avec un autre, même les enfants, sont à risque de contracter le virus baladeur. Manifestement, ils nous refont le coup du sida et leur prisme idéologique les empêche de voir que la maladie est manifestement le lot des homophiles s’adonnant à une sexualité hors-norme. Est-ce vraiment un hasard si, paraît-il, les cloques varioliques fleurissent sur les zones génitales ? Selon les experts, cette localisation est fort peu ordinaire. Le sexe débridé n’est cependant qu’un cofacteur tandis que la vraie cause se cache ailleurs. Concernant le syndrome d’immunodéficience acquise, l’hypothèse toxique du Pr Duesberg penche pour le recours aux poppers et autres drogues « récréatives » par des individus qui sont aussi des noctambules invétérés et de gros consommateurs d’antibiotiques. Et pour la variole du singe ? Les mêmes causes pouvant donner des effets différents, l’anamnèse donnerait probablement des résultats semblables. Mais il doit forcément y avoir une influence comportementale ou environnementale qui passe encore inaperçue. Et si c’était le vaccin covid ? Je serais très curieux de voir s’il y a un seul non-vaxxé parmi les variolés. Si tous ont reçu la piqûre, on tiendrait là la pièce qui manque au puzzle. Ce qui est sûr, c’est que la pathologie n’émerge visiblement pas sur n’importe quel terrain et que celui-ci est très étroit, c’est-à-dire peu fréquent et certainement pas arpenté par le tout-venant. Ce dernier peut aimer, masser et caresser en toute insouciance.

4. Le confinement, ça va marcher

L’arrivée de la variole permet aux mêmes marioles de revenir sur les plateaux télé. En Belgique, c’est l’inénarrable Marc van Ranst qui tient le premier rôle. Vous savez, c’est ce virologue qui a involontairement fait le buzz avec une vidéo où on le voit expliquer comment manipuler les médias et terroriser les gens en début d’épidémie. Il avait réussi son coup en 2009 avec la grippe H1N1, il a récidivé avec succès avec la grippe covid, et il met encore la presse dans sa poche avec la même recette ! Cette fois, toutefois, il ne préconise plus de masquer et de confiner tout le monde et se contente de conseiller un isolement hospitalier des malades et de leurs contacts, pendant 21 jours, car c’est la durée d’incubation du virus. C’est une très bonne chose, la quarantaine des seuls infectés et de leurs proches, car la méthode a déjà fait ses preuves… contre la variole ! Si vous l’ignorez, la légende selon laquelle cette maladie a été éradiquée par la vaccination de masse est erronée. Comme c’est écrit en toutes lettres dans le rapport final de l’OMS et comme le raconte le biologiste Michel Georget dans son livre « L’apport des vaccinations à la santé publique : la réalité derrière le mythe », c’est en effet la stratégie de « surveillance-endiguement » qui a permis de mettre fin au fléau alors que les campagnes vaccinales échouaient lamentablement. Les instances sanitaires ont aussi « vacciné en anneau » l’entourage des contaminés, mais il est notoire que celui-ci était rarement atteint. C’est donc bien la quarantaine systématique des malades qui a donné le coup de grâce à la variole humaine dans les années 60-70. Dans la vision pasteurienne, la victoire provient bien sûr du confinement du virus et de ses porteurs. La maladie « extrêmement contagieuse » se serait éteinte parce que l’agent infectieux ne circulait plus. Dans une autre perspective, il est beaucoup plus évident qu’un feu s’éteint quand on ne l’alimente plus en combustible. La variole s’est fait la malle parce que les derniers malades ont été coupés de leurs lieux de vie misérables et pris en charge médicalement, la médecine ne se résumant heureusement pas à l’administration de médicaments. À terrain qui progresse, épidémie qui régresse. Et à mon avis, c’est ce qui va se passer avec le monkeypox : les homos déjantés vont être plongés dans un contexte bien plus favorable à la santé et seront nécessairement sevrés de leurs assuétudes malsaines, ce qui va coïncider avec le recul des « infections ». En plaidoyer pour ma chapelle antipasteurienne, je signale ce que j’ai maintes fois souligné dans le dossier covid : il n’y a pas non plus de « patients zéro » trouvés et de chaînes de transmission identifiées pour la variole du singe, et ce dans aucun pays, ce qui est une faille colossale dans la théorie virale et une illustration claire qu’il n’y a pas de contagion, du moins pas au sens classique du terme. Quelle que soit la bonne explication, il est en tout cas très probable que la technique de « surveillance-endiguement » soit suffisante pour étouffer dans l’œuf l’épidémie. Maintenant, il ne faudrait pas que les injecteurs fous entrent dans la danse. Aux États-Unis et en France, les autorités songent déjà à vacciner à tour de bras. L’Espagne et la Grande-Bretagne ont déjà commandé leurs doses. Or même des disciples de Pasteur décommandent formellement de vacciner lors des flambées épidémiques, et contre la variole en particulier. Si vous lisez cet article récemment publié par le Dr Vincent Reliquet, vous aurez froid dans le dos et penserez sans doute, comme moi, qu’un nouveau désastre vaccinal n’est pas exclu. Ce qui est peut-être le but…




Démontage de la théorie virale

[Source : drrobertyoung.com]

Par Robert O Young DSc, PhD, Praticien naturopathe

L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus [SRAS-CoV-2] a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?

Le premier isolement d’un virus a été réalisé en 1892 par le chasseur de bactéries russe Dimitri Iwanowski, qui a recueilli du liquide provenant de plants de tabac malades. Il a fait passer ce liquide à travers un filtre suffisamment fin pour retenir les bactéries. Pourtant, à la surprise d’Iwanowski, le filtrat exempt de bactéries rendait facilement malades les plantes saines. En 1898, un botaniste néerlandais, Martinus Willem Beijerinck, répétant l’expérience, a également reconnu l’existence d’une cause invisible et a nommé l’agent infectieux « virus de la mosaïque du tabac ». La même année que le rapport de Beijerinck, deux scientifiques allemands purifiaient un liquide contenant des virus filtrables qui provoquaient la fièvre aphteuse chez les bovins (les virus étaient à une époque appelés « virus filtrables », mais le terme « filtrable » a fini par s’appliquer uniquement aux virus et a été abandonné). Walter Reed a suivi en 1901 avec un filtrat responsable de la fièvre jaune, et bientôt des dizaines d’autres virus pathogènes ont été découverts.

En 1935, un autre Américain, Wendell M. Stanley, est revenu au point de départ et a créé des cristaux purs du virus de la mosaïque du tabac à partir d’une solution liquide filtrée. Il a affirmé que ces cristaux pouvaient facilement infecter les plantes, et a conclu qu’un virus n’était pas un organisme vivant, puisqu’il pouvait être cristallisé comme du sel tout en restant infectieux. Par la suite, les bactériologistes du monde entier ont commencé à filtrer les virus, et un nouveau domaine de la biologie est né : la virologie.

Historiquement, la science médicale a hésité sur la question de savoir si un virus est vivant. À l’origine, il était décrit comme non vivant, mais on dit actuellement qu’il s’agit d’une molécule extrêmement complexe ou d’un micro-organisme extrêmement simple, et on le qualifie généralement de parasite ayant un cycle de vie. (Le terme « tué » est appliqué à certains vaccins viraux, ce qui implique une conviction officielle que les virus vivent). Généralement composés de noyaux d’ADN ou d’ARN recouverts de protéines [ou d’une membrane lipidique], et n’ayant aucune capacité de reproduction intrinsèque, les virus dépendent de l’hôte pour leur réplication. Ils doivent utiliser les acides nucléiques des cellules vivantes qu’ils infectent pour reproduire leurs protéines (c’est-à-dire inciter l’hôte à les produire), qui sont ensuite assemblées en de nouveaux virus comme des voitures sur une chaîne de montage. Théoriquement, c’est leur seul moyen de survivre et d’infecter de nouvelles cellules ou de nouveaux hôtes.

La théorie du virus qui se réplique

On a ensuite découvert que, lorsque les bactéries commencent à mourir lentement, elles créent de minuscules formes de survie, apparemment sans vie, appelées spores. On a alors soupçonné que ces spores étaient toxiques et qu’il s’agissait de ce qu’on appelle des poisons pathogènes. Cela a ensuite été réfuté, car les spores se transforment rapidement en bactéries lorsque leurs ressources vitales sont restaurées. Lorsque les scientifiques ont observé en laboratoire que les bactéries faibles et très consanguines périssaient très rapidement en se transformant en structures beaucoup plus petites que les spores, on a d’abord cru que les bactéries étaient tuées par les prétendus poisons pathogènes, appelés virus, et que les virus se répliquaient ainsi.

La micrographie ci-dessus a été réalisée à l’aide de la microscopie à fond noir et montre les globules rouges et l’évolution des phages bactériens et des spores bactériennes (les taches blanches de la transformation biologique des globules rouges).

L’invention des virus bactériens

Comme on croyait que ces structures — encore invisibles à l’époque de leur découverte — tuaient les bactéries, on les a appelées phages/bactériophages, « mangeurs de bactéries ». Ce n’est que plus tard que l’on a découvert qu’il était possible de transformer en phages des bactéries hautement consanguines et donc presque non viables, ou des bactéries qui sont détruites si rapidement qu’elles n’ont pas le temps de former des spores.

L’introduction de la microscopie électronique a permis de découvrir les structures résultant de la transformation biologique ou du pléomorphisme des bactéries lorsque celles-ci mouraient soudainement ou lorsque le métabolisme des germes hautement consanguins était dépassé par des processus déclenchés par l’ajout de « phages ». On a également découvert qu’il existe des centaines de types de « phages » d’apparence différente. La découverte des phages, les « virus » bactériens, a renforcé l’hypothèse erronée et la croyance qu’il existait des virus humains et animaux qui se ressemblaient et avaient la même structure. Ce n’est pas et ne peut pas être le cas, pour plusieurs raisons différentes.

Après avoir introduit les techniques d’examen chimique en biologie, on a découvert qu’il existe des milliers de types de phages et que les phages d’un même type ont toujours la même structure. Ils sont constitués d’une molécule particulière, faite d’acide nucléique, qui est recouverte d’une enveloppe de protéines d’un nombre et d’une composition donnés. Ce n’est que plus tard que l’on a découvert que seules les bactéries qui avaient été fortement consanguines dans le tube à essai pouvaient se transformer en phages elles-mêmes, par contact avec des phages, mais que cela ne s’appliquait jamais aux bactéries naturelles ou aux bactéries qui venaient d’être isolées de leur environnement naturel. Au cours de ce processus, on a découvert que ces « virus bactériens » servent en fait à fournir à d’autres bactéries des molécules et des protéines importantes, et que les bactéries elles-mêmes ont émergé de ces structures.

Avant que l’on puisse établir que les « virus bactériens » ne peuvent pas tuer les bactéries naturelles, mais qu’ils les aident au contraire à vivre et que les bactéries elles-mêmes émergent de ces structures, ces « phages » étaient déjà utilisés comme modèles pour les prétendus virus humains et animaux. On supposait que les virus humains et animaux ressemblaient aux « phages », qu’ils tuaient prétendument les cellules et provoquaient ainsi des maladies, tout en produisant de nouveaux poisons pathogènes et en transmettant ainsi les maladies. À ce jour, de nombreuses maladies nouvelles ou apparemment nouvelles ont été attribuées à des virus dont l’origine est inconnue ou non reconnue.

Ce réflexe a trouvé une confirmation apparente dans la découverte des « virus bactériens ».

Il est important de noter que les théories de la lutte et de l’infection n’étaient acceptées et louées par une majorité de spécialistes que si et quand les pays ou régions où ils vivaient souffraient également de la guerre et de l’adversité. En temps de paix, d’autres concepts dominaient le monde de la science [272].

Il est très important de noter que la théorie de l’infection — partant de l’Allemagne — n’a été mondialisée que par le troisième Reich, lorsque les chercheurs juifs, dont la plupart s’étaient opposé et avaient réfuté les théories de l’infection exploitées politiquement, ont été démis de leurs fonctions [273].

La détection des phages et la transformation biologique —L’existence des phages peut être prouvée rapidement.

Phage bactérien naissant d’une cellule du sang et/ou du corps. Un processus biologique connu sous le nom de pléomorphisme

Première étape : leur présence est confirmée par un effet, à savoir la transformation des bactéries en phages, et aussi par une micrographie électronique de ces phages. Les expériences de contrôle montrent que les phages n’apparaissent pas si les bactéries ne se transforment pas ou si les bactéries commencent aléatoirement à se décomposer en raison d’une annihilation soudaine extrinsèque, sans former de phages.

Les micrographies (micrographies n° 1 à n° 6) ci-dessus montrent la transformation cellulaire des globules rouges, par microscopie à contraste de phase, en bactéries à bâtonnets, en bactéries à paroi cellulaire déficiente, en levure de forme Y, puis en bactéries phages.

Deuxième étape : le liquide contenant les phages est concentré et appliqué sur un autre liquide, qui a une forte concentration au fond du tube à essai et une faible concentration en haut du tube à essai. Le tube à essai contenant les phages est alors puissamment centrifugé et toutes les particules se rassemblent en fonction de leur masse et de leur poids à l’endroit de leur propre densité. La densité est le rapport du poids (masse) par unité de volume, exprimé respectivement en kg/l ou g/mg. C’est pourquoi cette étape de concentration et de purification des particules ayant la même densité est appelée centrifugation à gradient de densité.

La couche où se rassemblent de nombreuses particules de même densité devient « trouble », on l’appelle une « bande ». Cette étape est documentée, puis les particules concentrées, purifiées et sédimentées dans une « bande » sont extraites à l’aide d’une aiguille de seringue. La quantité concentrée de particules extraite est appelée un isolat. Une micrographie électronique simple et rapide confirmera la présence de phages dans l’isolat, ce qui est en même temps une indication de la pureté de l’isolat, si la micrographie ne montre aucune autre particule que les phages. L’apparence et le diamètre des phages seront également établis à l’aide de cette micrographie.

L’expérience témoin réalisée pour cette étape consiste à traiter et à centrifuger le liquide des bactéries qui n’ont pas formé de phages, où aucun phage n’apparaît à la fin de la procédure.

Après l’étape d’isolement réussi des phages vient la caractérisation biochimique décisive des phages. La caractérisation biochimique de leur composition est essentielle pour identifier le type spécifique de phage, car différents types de phages semblent souvent similaires. L’isolat obtenu par centrifugation en gradient de densité est maintenant divisé en deux parties. Une partie est utilisée pour déterminer la taille, le type et la composition de l’acide nucléique ; dans une procédure distincte, l’autre partie est utilisée pour déterminer la quantité, la taille et la morphologie des protéines des phages. Depuis les années 1970, ces tests sont des techniques standard simples que tout étudiant en biologie apprend au cours de son premier semestre.

Ces tests représentent la caractérisation biochimique des phages. Dans presque tous les cas, ces résultats ont été et sont publiés dans une seule publication, car un phage a une structure très simple qui est très facile à analyser. Les expériences de contrôle pour ces tests utilisent du liquide provenant de bactéries qui ne forment pas de phages et ne peuvent donc présenter aucune preuve biochimique. L’existence d’environ deux mille types différents de phages a été scientifiquement démontrée de cette manière.

Les virus dits pathogènes

https://www.drrobertyoung.com/post/there-is-no-evidence-of-the-existence-for-any-virus-isolated-by-anyone-anywhere-in-the-world

Les « bactériophages », définis à juste titre comme des mini-spores et des éléments constitutifs incomplets des bactéries, ont été isolés scientifiquement, tandis que les virus dits pathogènes n’ont jamais été observés chez l’homme ou l’animal ou dans leurs fluides corporels et n’ont jamais été isolés et ensuite analysés biochimiquement. À ce jour, aucun des chercheurs impliqués dans la recherche en virologie [à part Stefan Lanka] ne semble avoir réalisé ce point très important.

L’utilisation de la microscopie électronique et la biochimie revenaient très lentement à la normale après 1945 et personne ne s’était rendu compte qu’aucun virus pathogène n’avait jamais été isolé chez l’homme ou l’animal. Ainsi, à partir de 1949, les chercheurs ont commencé à appliquer la même idée que celle utilisée pour les phages (bactériophages), afin de répliquer les « virus » humains et animaux. John Franklin Enders, né en 1897 dans la famille d’un riche financier, a été actif dans diverses fraternités après avoir terminé ses études, puis il a travaillé comme agent immobilier et a étudié les langues étrangères pendant quatre ans avant de se tourner vers la virologie bactérienne, qui le fascinait. Il a ensuite simplement transposé les idées et les concepts qu’il avait appris dans ce domaine de recherche aux virus supposés pathogènes chez l’homme.

Des expériences et des interprétations non scientifiques ont donné naissance à la virologie

Avec ses expériences non scientifiques et ses interprétations qu’il n’a jamais confirmées par des contrôles négatifs, Enders a mené toute la médecine infectieuse « virale » dans une impasse. Il est important de noter à ce stade qu’Enders, comme de nombreux spécialistes des maladies infectieuses, travaillait pour l’armée américaine, qui a toujours été et reste à ce jour une grande victime de la peur des contagions. C’est principalement l’armée américaine qui a répandu sa croyance erronée selon laquelle, outre les armes chimiques, il existait également des armes biologiques sous la forme de bactéries et de virus.

En 1949, Enders annonça qu’il avait réussi à cultiver et à faire croître le prétendu virus de la polio in vitro sur différents tissus. L’expertise américaine a tout cru immédiatement. Ce qu’Enders a fait, c’est ajouter des fluides provenant de patients atteints de poliomyélite à des cultures de tissus qu’il prétendait avoir fait stériliser, puis il a prétendu que les cellules mouraient à cause du virus, que le virus se répliquait de cette manière et qu’un vaccin pouvait être récolté à partir de la culture respective. À cette époque, les épidémies de polio (polio = paralysie flasque) étaient très fréquentes en été et on pensait qu’elles étaient causées par le virus de la polio.

Un vaccin devait permettre d’éradiquer le prétendu virus. Après l’introduction du vaccin contre la polio, les symptômes ont été rediagnostiqués, entre autres, comme étant la sclérose en plaques, la paralysie flasque aiguë, la méningite aseptique, etc., et plus tard, on a prétendu que la polio avait été éradiquée. Au cours de ses expériences, Enders et coll. ont stérilisé les cultures de tissus afin d’exclure la possibilité que des bactéries tuent les cellules. Ce qu’il n’a pas pris en considération, c’est que la stérilisation et le traitement de la culture cellulaire lors de la préparation à l’infection présumée étaient exactement ce qui détruisait et tuait les cellules. Au lieu de cela, il a interprété les effets cytopathiques comme l’existence et l’action d’un soi-disant virus de la polio, sans jamais avoir isolé un seul virus et décrit sa biochimie.

Les expériences de contrôle négatif nécessaires, qui auraient montré que la stérilisation et le traitement des cellules avant l’« infection » dans le tube à essai tuaient les cellules, n’ont jamais été réalisées. Cependant, pour cette « performance », Enders a reçu le prix Nobel en 1954.

[Voir aussi :
VIRUS TUEUR ??
►Dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
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Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
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Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
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Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Graphène et 5G]
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L’invention du virus de la polio et « OUI » aussi du virus de la rougeole ! MAINTENANT, nous avons l’invention du coronavirus !

Le virus de la rougeole, un phage bactérien ou de simples débris cellulaires ?

1954 est également l’année où Enders a appliqué et introduit la même technique afin de répliquer prétendument le virus de la rougeole. Comme il avait reçu le prix Nobel pour le prétendu virus de la polio la même année, tous les chercheurs ont cru que sa technique était scientifiquement valable. Ainsi, jusqu’à présent, tout le concept de la polio et de la rougeole a été fondé sur cette technique non scientifique et sur cette fraude.

Ainsi, les vaccins contre la polio et la rougeole ne contiennent pas de virus, mais des particules de tissu rénal de singe mort ou de cellules cancéreuses humaines. À ce jour, aucune expérience de contrôle négatif n’a été réalisée sur les soi-disant virus de la polio et de la rougeole, ce qui aurait montré que ce sont les procédures de laboratoire qui ont entraîné les effets cytopathiques sur les cellules.

En outre, toutes les affirmations et expériences faites par Enders et coll. et les chercheurs ultérieurs conduisent à la seule conclusion objective, à savoir qu’ils observaient et analysaient en fait les particules ou fragments cellulaires et leur activité dans le tube à essai, les interprétant à tort comme des particules et des caractéristiques des prétendus virus de la polio et/ou de la rougeole.

Débris cellulaires PAS de soi-disant virus

TOUS les virus, qu’il s’agisse du VIH, de l’EBV, du CMV, de l’hépatite C, du virus du Nil occidental, de l’Ebola, de la rougeole, du Zika et maintenant du coronavirus, sont tous des virus fantômes — l’existence virale n’a JAMAIS été démontrée scientifiquement et jamais prouvée !

Un dessin 3D des soi-disant coronaviurs fantômes – https://www.drrobertyoung.com/post/there-is-no-evidence-of-the-existence-for-any-virus-isolated-by-anyone-anywhere-in-the-world

Les explications suivantes s’appliquent à tous les « virus pathogènes » (humains ou animaux). Les six articles fournis par le Dr Bardens au cours du « procès de la rougeole » comme preuve de l’existence du virus de la rougeole décrivaient de manière didactiquement idéale les différentes étapes de la chaîne d’interprétations erronées jusqu’à la croyance en l’existence d’un virus de la rougeole.

Le premier article a été publié en 1954 par Enders et coll. : « Propagation dans des cultures de tissus d’agents cytopathogènes provenant de patients atteints de rougeole » (Proc Soc Exp Biol Med. 1954 Jun ; 86 (2) : 277-286).

Cette publication peut être trouvée sur Internet, comme toutes les autres publications présentées lors du procès de la rougeole. Dans cette expérience, Enders et coll. ont considérablement réduit la quantité de solution nutritive et ont ajouté des antibiotiques destructeurs de cellules à la culture cellulaire avant d’introduire le liquide prétendument infecté. La mort subséquente des cellules a ensuite été interprétée à tort comme la présence et l’isolement du virus de la rougeole. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée pour exclure la possibilité que ce soit la privation de nutriments ainsi que les antibiotiques qui aient provoqué les effets cytopathiques.

L’aveuglement d’Enders et de ses collègues peut s’expliquer par le fait qu’il voulait vraiment aider les gens, alors que l’« hystérie virale » s’intensifiait après la guerre et pendant la guerre froide. Elle peut également s’expliquer par le fait qu’Enders et nombre de ses collègues n’avaient aucune idée de la médecine ou de la biochimie et qu’ils étaient en concurrence avec l’Union soviétique pour le développement du premier vaccin contre la rougeole. Une telle pression pour le succès peut également expliquer pourquoi Enders et ses collègues ont ignoré leurs propres réserves et mises en garde exprimées en 1954, lorsqu’ils avaient observé et noté que de nombreuses cellules mouraient également après avoir été traitées normalement (c’est-à-dire sans être « infectées »), ce qu’ils pensaient être causé par des virus inconnus et d’autres facteurs. Tous ces faits et mises en garde n’ont pas été pris en compte par la suite.

Le deuxième article présenté par le demandeur dans le « procès de la rougeole » a été publié en 1959 [274] et, pour les raisons présentées ci-dessus, les auteurs ont conclu que la technique introduite par Enders n’était pas appropriée pour l’isolement de TOUT virus. Non seulement cette réfutation n’est PAS discutée par TOUS les autres chercheurs, mais elle est complètement ignorée !

Le « dogme viral » des virus pathogènes est encore promu aujourd’hui !

Dans un troisième article [275], les auteurs ont photographié des particules cellulaires typiques à l’intérieur des cellules et les ont interprétées à tort comme étant le virus de la rougeole. Ils n’ont isolé aucun virus. Pour des raisons inexpliquées, ils n’ont pas réussi à déterminer et à décrire la structure biochimique de ce qu’ils présentaient comme un virus dans une expérience distincte. Dans la brève description des méthodes utilisées, on peut lire que les auteurs n’ont pas appliqué la technique standard d’isolement des virus, à savoir la centrifugation en gradient de densité. Ils ont simplement centrifugé des fragments de cellules mortes au fond d’un tube à essai et ensuite, sans décrire leur structure biochimique, ils ont interprété à tort les débris cellulaires comme des virus.

Débris cellulaires PAS de soi-disant virus

De la manière dont les expériences ont été réalisées, on ne peut que conclure que des particules cellulaires ont été interprétées à tort comme des virus. Nous retrouvons la même situation dans la quatrième [276] et la sixième [277] publication avancée par le demandeur comme preuve de l’existence d’un virus de la rougeole. La cinquième publication [278] est une revue décrivant le processus de consensus quant aux molécules d’acide nucléique provenant des cellules mortes qui représenteraient le soi-disant génome du virus de la polio ou de la rougeole. Le résultat est que des dizaines d’équipes de recherche travaillent avec de courts morceaux de molécules spécifiques aux cellules, après quoi — suivant un modèle donné — elles assemblent toutes les pièces sur papier. Cependant, ce puzzle composé de tant de pièces n’a jamais été scientifiquement prouvé comme un tout et n’a jamais été isolé d’un virus, car les virus de la polio, de la rougeole, du VIH ou de l’hépatite C, d’Ebola ou de Zika n’ont jamais été vus, ni chez l’homme ni dans un tube à essai. Se référant à cette publication, l’expert désigné par le tribunal a déclaré qu’elle décrivait l’étalon-or, c’est-à-dire le génome entier du virus. Il est évident que l’expert n’a pas lu cet article, dont les auteurs ont déclaré que la composition moléculaire et les fonctions exactes du génome du virus de la rougeole devront faire l’objet de recherches ultérieures, raison pour laquelle ils ont dû s’appuyer sur d’autres modèles de virus afin de parvenir à un consensus sur la structure et les fonctions de TOUT génome de virus. La chose la plus facile à remarquer pour quiconque est que dans toutes ces publications, ainsi que dans toutes les autres publications sur le « virus de la rougeole » et d’autres virus pathogènes, y compris le VIH, l’EBV, le CMV, Ebola et Zika, aucune expérience de contrôle n’a jamais été réalisée [NDLR : ceci avant les travaux assez récents de Stefan Lanka]. Aucun chercheur n’a utilisé la technique de centrifugation en gradient de densité. Au lieu de cela, ils se sont contentés de centrifuger les débris cellulaires au fond d’un tube à essai. Cette technique, utilisée pour recueillir toutes les particules d’un fluide, s’appelle la granulation. D’un point de vue logique et scientifique, on peut dire que dans toutes les publications sur les soi-disant « virus pathogènes », les chercheurs n’ont en fait démontré que des particules et des caractéristiques de cellules. Je voudrais également souligner que les virus dits géants [279], c’est-à-dire un acide nucléique enveloppé, peuvent être trouvés partout dans la mer et dans les organismes de base. Comme tous les phages bactériens, non seulement ils sont inoffensifs, mais ils ont des fonctions bénéfiques. On peut également les isoler en utilisant la centrifugation en gradient de densité, ce qui prouve leur existence (voir le graphique ci-dessus).

Micrographie d’une agrégation de globules rouges infectés par le Coronavirus fantôme. Ces cellules dites infectées ne sont rien d’autre que des globules rouges en cours de transformation biologique qui subissent des changements pléomorphiques dus à une acidité accrue et à un pH en baisse — <7,2. La transformation biologique des cellules du sang ou du corps est un processus naturel qui se déroule dans un environnement acide des fluides interstitiels des compartiments de l’interstitium et qui se déverse ensuite dans le plasma sanguin via une pression hydrostatique causée par l’accumulation de déchets acides alimentaires et métaboliques qui n’ont pas été correctement éliminés par le système lymphatique via les quatre voies d’élimination — urination, défécation, transpiration et/ou respiration…
https://www.drrobertyoung.com/post/dismantling-the-viral-theory.

Je recommande également la revue pertinente du professeur Lüdtke (1999) [280]. Il note qu’aux débuts de la virologie, la majorité des virologues ont toujours conclu que les structures qu’ils avaient prises pour des virus s’avéraient être des composants des cellules et qu’elles n’étaient donc que le résultat de l’expérience et non la cause des changements observés.

Après la découverte et la caractérisation des phages et après l’introduction du dogme selon lequel l’acide nucléique était le génome de toutes les cellules et de tous les virus, le consensus est né, selon lequel ces virus doivent exister aussi chez les humains et les animaux. En 1992, le dogme affirmant que l’acide nucléique est le génome de toutes les cellules a été rétracté dans la communauté scientifique. Cependant, le « dogme viral » des virus pathogènes est encore promu aujourd’hui, au détriment de milliards de personnes. — Pour quoi faire ?

Conclusion concernant les virus fantômes et les virus de la polio et de la rougeole

Micrographie électronique du soi-disant virus de la polio, dont il n’a jamais été démontré scientifiquement qu’il provoque les symptômes de la paralysie. L’illustration a été colorisée pour l’effet.

Ma conclusion est toujours la même : le terrain ou l’environnement interne est tout et le germe ou le soi-disant virus n’est RIEN ! Le germe ou le soi-disant virus ne peut être qu’un symptôme d’une dégradation cellulaire due à un déséquilibre de l’équilibre délicat du pH alcalin des fluides corporels et NON la cause de cette dégradation. C’est pourquoi, il y a des années, j’ai offert à n’importe quel scientifique dans le monde une prime de découverte de 5 millions de dollars américains s’il pouvait prouver l’existence du virus VIH en utilisant les postulats de Koch. Cela fait maintenant plus de 20 ans et j’attends toujours, même si actuellement je n’ai plus les fonds nécessaires pour payer le prix en raison d’un assassinat politique ! Il est regrettable qu’un ancien prix de 5 millions de dollars US offert il y a 20 ans n’ait pas été suffisant pour changer le dogme médical viral actuel qui verse actuellement des milliers de milliards de dollars à devinez qui [281] ?

Cliquez ici pour en savoir plus : http://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-02-00032.php

Pour commander votre exemplaire de Second Thoughts About Viruses, Vaccines and the HIV/AIDS Hypothesis [Secondes réflexions sur les virus, les vaccins et l’hypothèse du VIH/SIDA], rendez-vous sur le site : https://www.amazon.com/…/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p…

Conférence à Dubaï —La deuxième conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses

http://www.drrobertyoung.com/events.html

Conférence principale à la 3e conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses, juin.

Rejoignez Robert O Young PhD et Galina Migalko MD à Dubaï les 18 et 19 juin 2019 pour la conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses. Ils seront les principaux orateurs et animeront un atelier sur la nouvelle biologie.

Deux conférences principales à la 3e conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses, les 18 et 19 juin 2020.

Titre

La genèse de la maladie (syndrome) respiratoire aiguë sévère ou SRAS (Coronavirus — COVID — 2 et COVID — 19) se trouve dans les fluides interstitiels de l’Intestium

Résumé

La pneumopathie interstitielle (IFLD), ou pneumopathie parenchymateuse diffuse (DPLD), [3] est un groupe de maladies pulmonaires affectant l’interstitium (les fluides ou l’espace interstitiels autour des alvéoles (sacs d’air des poumons). [4] Elle concerne l’épithélium alvéolaire, l’endothélium capillaire pulmonaire, la membrane basale et les tissus périvasculaires et périlymphatiques. Elle se produit lorsque des acides métaboliques, alimentaires, respiratoires et environnementaux blessent les tissus pulmonaires, ce qui déclenche une réaction anormale de guérison. Normalement, l’organisme produit la quantité de tissu nécessaire pour réparer les dommages causés par les acides, mais dans le cas de la pneumopathie interstitielle, le processus de réparation se dérègle en raison du pH acide (la guérison idéale se produit à un pH de 7,365)[5]) des fluides interstitiels, qui affecte la guérison normale du tissu entourant les sacs d’air (alvéoles), qui devient alors cicatriciel et épaissi. Micrographie de la pneumonie interstitielle habituelle (PIE). L’UIP est le modèle le plus courant de pneumonie interstitielle (un type de pneumopathie interstitielle) et représente généralement une fibrose pulmonaire causée par une acidose décompensée des fluides interstitiels du plus grand organe du corps humain — l’Interstitium. Coloration H&E. Spécimen d’autopsie. Cela rend plus difficile le passage de l’oxygène dans la circulation sanguine. Le terme ILD est utilisé pour distinguer ces maladies des maladies obstructives des voies respiratoires, mais la cause de toutes les maladies pulmonaires est due à une acidose décompensée des fluides interstitiels (le pH est inférieur à 7,2) qui est systémique bien que touchant la zone la plus faible des poumons. Ces faiblesses peuvent être attribuées au mode de vie et aux choix alimentaires. Il existe des types spécifiques de pneumopathie interstitielle chez les enfants. L’acronyme chILD est utilisé pour ce groupe de maladies et est dérivé du nom anglais, Children’s Interstitial Lung Diseases — chILD.[6] Une pneumopathie interstitielle prolongée peut entraîner une fibrose pulmonaire, mais ce n’est pas toujours le cas. La fibrose pulmonaire est spécifiquement causée par l’augmentation des acides dans les fluides interstitiels du poumon en raison d’une manière inversée de vivre, de manger, de boire, de respirer, de penser, de sentir et de croire. La pneumopathie interstitielle est associée à des résultats typiques tant radiographiques (fibrose basale et pleurale avec alvéoles) que pathologiques (fibrose hétérogène dans le temps et dans l’espace, alvéoles histopathologiques et foyers fibroblastiques). Nos résultats utilisent des technologies avancées avec un Bio-Electro Scanning 3D non invasif et non radioactif des fluides interstitiels du plus grand organe du corps, l’Interstitium, pour déterminer une chimie complète, y compris le pH. Ce test a montré dans tous les cas de maladie pulmonaire du liquide interstitiel, y compris les maladies virales, et les tumeurs malignes avec une précision de 98 % pour l’acidose métabolique décompensée, du DFCI, des niveaux élevés d’acide lactique et des niveaux élevés de calcium. Étant donné que les fluides interstitiels traversent chaque organe, chaque glande et chaque tissu, nous disposons désormais d’une image complète de la fonctionnalité et de la chimie de chaque organe, chaque glande et chaque tissu, y compris tous les os et les muscles.

Titre

Qu’est-ce que des virus comme le VIH et Corona ont en commun avec les exosomes ?

Résumé

Il n’existe qu’une seule maladie, une seule affection et un seul traitement. Cette maladie est l’acidification excessive du sang et des liquides interstitiels due à un mode de vie, d’alimentation, de boisson, de respiration, de pensée, de sentiment et de croyance inversé. Six facteurs majeurs contribuent à la baisse du pH acide des fluides corporels. Lorsque le pH des fluides corporels est compensé par ces six facteurs et que les membranes cellulaires et le matériel génétique commencent à se dégrader, les cellules libèrent des exosomes comme moyen de défense pour activer et soutenir les lymphocytes afin qu’ils libèrent des espèces d’oxygène ou des antioxydants pour réduire les charges acides stockées dans les fluides interstitiels de l’Interstium. Le seul traitement consiste à soutenir le système immunitaire en augmentant les quantités d’oxygène (O — ) et d’hydrogène (H —) réduits afin de restaurer la conception alcaline des fluides corporels, d’ouvrir les canaux d’élimination afin d’éliminer les déchets acides toxiques alimentaires, métaboliques, respiratoires et environnementaux retenus dans les fluides interstitiels de l’Interstium et de restaurer ainsi la santé, l’énergie et la vitalité du corps.

Pour plus d’informations et pour vous inscrire, rendez-vous sur le site : https://bacterialdiseases.infectiousconferences.com/organiz…

Voici le résumé de la conférence du Dr Young :

The Dismantling of the Viral Theory (Le démantèlement de la théorie virale)

Robert O Young CPT, MSc, DSc, PhD, Praticien naturopathe.

Résumé

Il y a maintenant plus de 100 ans d’histoire et de recherches documentées sur le virus de la polio et sur le fait que son traitement par inoculation a réussi ou non à éradiquer la polio. Je suggère dans cet article et dans ma conférence qu’il y a des résultats significatifs basés sur des recherches historiques, passées et actuelles, y compris les miennes, que la théorie virale de la polio et peut-être d’autres maladies modernes, telles que le syndrome post-polio, la paralysie induite par le vaccin de la polio, la légionellose, les maladies du SNC, le cancer, le VIH/SIDA et maintenant Zika peuvent être causées par un empoisonnement chimique acide dû au DDT (dichloro-diphényl-trichloroéthane) et à d’autres pesticides DDT, à des vaccinations acides et à d’autres facteurs, notamment le mode de vie et l’alimentation, plutôt que par un virus infectieux isolé. Je présenterai dix graphiques historiques décrivant l’histoire de la polio, la production de DDT, de BHC, de plomb, d’arsenic, les vaccinations contre la polio et la théorie de l’auteur selon laquelle l’empoisonnement chimique, la vaccination, le mode de vie et les choix alimentaires sont des causes plus probables des symptômes de la polio, des maladies neurologiques, du cancer, du VIH/SIDA et maintenant de Zika.

https://www.linkedin.com/…/lecture-dubai-annual-conference…/ https://bacterialdiseases.infectiousconferences.com/organiz…

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  • [279] Siehe WissenschafftPlus Nr. 1/2014.
  • [280] Zur Geschichte der frühen Virusforschung. Übersichtsarbeit von Prof. Karlheinz Lüdtke. Reprint 125 des MAX-PLANCK-INSTITUT FÜR WISSENSCHAFTSGESCHICHTE, 89 Seiten, 1999.
  • [281) The government of the United States of America holds patents on the following viruses: Ebola, Patent number #CA2741523A1, Swine Flu, Patent number 8124101, HIV, Patent number #5676977, the cure for cancer, Patent number #6630507.




VIRUS TUEUR ??

[Source : santeglobale.world]

Dans l’antre du mystérieux virus : Remise en question totale

Par Makia Freeman

https://m.alterinfo.net/Dans-l-antre-du-mysterieux-virus-Remise-en-question-totale_a156680.html [NDLR : le lien ne dirige pas vers un article particulier et semble défectueux.]

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.

Gare ! Voilà le virus tueur !

Enfin… peut-être pas. Derrière toute pandémie, il y a toujours une flopée d’hypothèses sous-tendant les rapports médicaux et les décisions politiques et juridiques ultérieures. Le public ne sait pas qu’il s’agit d’hypothèses, puisqu’on les fait passer systématiquement pour des faits. Ainsi, pour bien justifier tout ce qui se trame dans le monde en ce moment — « distanciation » sociale, surveillance, censure, confinement, quarantaine, loi martiale médicale, crashs économiques, nouvelles monnaies numériques, pouvoirs exorbitants des gouvernements, avec leurs prévisions de vaccins obligatoires et de micropuces — les fonctionnaires du ministère de la Propagande doivent vous convaincre que ces hypothèses sont des faits. C’est pourquoi nous allons nous attaquer au mystère afin de poser quelques questions fondamentales, non seulement sur le coronavirus, mais aussi sur ce qu’est la mystérieuse entité virus dont on nous parle. Qu’est-ce qu’un virus ? Un virus peut-il passer de l’animal à l’humain ou d’un homme à l’autre ? Saviez-vous que le CDC a admis que son précieux test PCR est par essence inutile, puisqu’il n’indique pas si le virus est la cause de la maladie ? De toute façon, a-t-on prouvé à 100 % que les virus rendent malades les humains ? Comment les théories en contredisant la théorie des germes et la théorie du terrain interviennent-elles ici ? Bon, bouclez votre ceinture, ouvrez votre esprit et préparez-vous à la balade dans l’antre du virus.

Qu’est-ce qu’un virus ?

La médecine grand public occidentale (allopathie) s’est développée grâce à l’influence des Rockefeller. Ils l’ont imaginée pour vendre leurs potions à base de pétrole, qui est devenu la base des médicaments actuels de Big Pharma. Les Rockefeller et les autres familles des banques centrales du Nouvel Ordre Mondial, ont pris le contrôle des facultés de médecine et de la formation médicale, et grâce au rapport Flexner, ils ont pris le pas sur les médecines concurrentes, comme l’homéopathie. Ils se sont assurés que l’allopathie se focalise uniquement sur les produits pharmaceutiques et ont bloqué les précieuses connaissances nutritionnelles des médecins. En premier lieu, comme ce même système médical grand public définit ce que sont les monstres du genre virus, vous comprendrez que tout ce binz suscite de raisonnables soupçons. C’est aussi cette même famille Rockefeller qui a financé l’ONU (et a fait don de terres pour son siège à New York), coopté l’enseignement et publié en 2010 un document analysant la manière dont devront se comporter les gouvernements face à un scénario de pandémie.

Si l’on se fie à science allopathique, les virus sont des entités constituées de fragments d’ADN ou d’ARN (matériel génétique) enveloppés d’une membrane protéique et/ou lipidique. Dans les faits, n’étant pas vivants, les virus ont besoin d’une cellule hôte pour se répliquer. Ils sont minuscules — bien plus petits que les bactéries. Le virus serait à la frontière du vivant et de l’inanimé.

On trouve pourtant une autre vision du virus. Le défunt promoteur du régime primitif à base de viande crue, Aajonus Vonderplanitz (décédé en 2013), a donné une interview fascinante lors du canular de la grippe porcine de 2009, au moment où tout le monde paniquait (un peu moins qu’avec le coronavirus, mais dans les mêmes tons que lors des épidémies battues en neige par la presse, d’Ebola et de Zika). Voici ce qu’il a dit :

  • les virus sont créés par l’organisme pour se nettoyer quand les bactéries ne peuvent pas décomposer tous les déchets ;
  • tous les virus étant des réactions cellulaires nécessaires, ils ont un rôle bénéfique ;
  • semblables à du solvant ou du savon, les virus sont créés par les cellules pour aider à dissoudre et éliminer les toxines (le solvant transforme les déchets en soluté, en solution liquide facile à éliminer) ;
  • les virus sont spécifiques à la cellule qui les crée ;
  • les virus ne peuvent pas voyager au sein des espèces ;
  • il n’y a pas de virus en dehors des organismes ; et
  • pour qu’un virus traverse les espèces, il faudrait qu’il soit fabriqué et injecté, c’est-à-dire extrait, gardé en laboratoire, altéré et modifié génétiquement, transformé en arme, puis mis dans des vaccins et des armes biologiques.

On peut trouver à tout moment des virus dormants et latents dans notre organisme sans qu’ils ne provoquent de maladie. La seule présence d’un virus n’indique rien sur sa santé. Il est fort possible que du fait de la toxicité de notre monde (malbouffe, OGM, eau chlorée et fluorée, ciel empoisonné, rayonnements électromagnétiques), l’organisme doive fabriquer des solvants pour aider à évacuer les poisons.

Et si l’organisme produisait des virus pour réagir à sa propre toxicité ? Et si la propagation et la réplication apparentes de virus résultaient du fait que le corps en crée beaucoup pour se nettoyer ?

Comprend-on mal le virus ?

Grâce à ses expériences, le scientifique français Antoine Bechamp découvrit de minuscules particules qu’il appela microzymas. Par la suite, d’autres chercheurs qui les découvrirent, les appelèrent protides, somatides ou exosomes. Étant pléiomorphes (elles prennent de nombreuses formes), ces minuscules particules peuvent traverser un cycle de vie qu’elles entament sous forme de « bourgeons » (commencent à germer) ou de rejetons, puis se développent en prenant la forme de virus ou de bactéries. Il est très important de comprendre que les micro-organismes sont pléomorphes.
Bechamp émit l’hypothèse que les germes étaient en réalité des sous-produits chimiques de tissus morts et des caractéristiques dégénératives de l’état déséquilibré du corps. Il déclara que ces entités vivantes appelées microzymas (minuscules enzymes) bâtissaient des bactéries pour réagir à des facteurs de l’hôte et de l’environnement.

« Affirmant avoir découvert que les “granulations moléculaires” [mouvement brownien, NdT] au sein des fluides biologiques étaient en réalité des unités élémentaires de la vie, il les appela microzymas — c’est-à-dire minuscules enzymes — et leur attribua le rôle de producteurs d’enzymes et de bâtisseuses de cellules, capables d’évoluer dans des conditions favorables sous forme de bactéries. Démentant que des bactéries puissent envahir un animal en bonne santé et le rendre malade, Béchamp affirma plutôt que l’état malsain de l’hôte et de l’environnement déstabilisent les microzymas natifs de l’hôte, et les amène à décomposer les tissus de l’hôte en produisant des bactéries pathogènes. »

Selon James Hildreth, docteur en médecine de l’université Johns Hopkins : « Le virus est un exosome à part entière, à tous les sens du terme. »

Dans son article Dismantling The Viral Theory, le Dr Robert O. Young écrit :

« TOUS les virus, VIH, virus d’Epstein-Barr, cytomégalovirus, virus de l’hépatite C, virus du Nil occidental, virus d’Ebola, virus de la rougeole, virus Zika et maintenant coronavirus, TOUS sont des virus fantômes — leur existence n’a JAMAIS été démontrée scientifiquement et n’a jamais été prouvée !… De ce fait, les vaccins contre la polio et la rougeole ne contiennent pas de virus, mais des particules de tissu rénal de singe mort ou de cellules humaines cancéreuses. Jusqu’ici, aucune expérience n’a non plus été réalisée pour vérifier l’existence soit du virus dit de la polio, soit celui dit de la rougeole, ce qui aurait montré que ce sont les procédures de laboratoire qui induisent les effets cytopathogènes sur les cellules… la seule conclusion objective… est qu’en observant et en analysant les particules ou fragments cellulaires et leur activité dans un tube à essai, ils les ont pris pour des particules et des caractéristiques des supposés virus de la poliomyélite et/ou de la rougeole. »

Voici ce qu’a aussi écrit Robert Young sur le « coronavirus » :

« Les micrographies suivantes, faites à l’aide de la microscopie en contraste de phase, montrent ce que j’observe. Dans la première on voit des globules rouges sains, riches en oxygène ; dans la deuxième micrographie, manquant d’oxygène, les globules rouges sont malades. On peut aussi voir la dégénérescence des membranes cellulaires, avec les pointes ou les bosses indiquant “l’effet corona”, un symptôme dû au mode de vie “acide” et à l’empoisonnement par les rayonnements. »

Globules rouges oxygénés. Crédit Robert Young
Effet corona : Globules rouges en manque d’oxygène. Crédit Robert Young

L’équipe de réparateurs piézoélectriques

Cette vidéo, qui met en évidence des aspects de la fausse pandémie de coronavirus, dit aussi que les virus sont des entités créées par l’organisme. Ils ne font aucun mal et sont conçus pour évacuer les déchets. L’auteur de la vidéo décrit les virus comme une « équipe de réparateurs piézoélectriques, » dotés d’un revêtement de polysaccharide sur la tête, capables de se mouvoir vers les cellules endommagées et de faciliter la glycolyse (conversion de sucre en énergie). En d’autres termes, les virus se rendent auprès des cellules qui doivent être réparées et leur apportent de l’énergie (sucre) et de l’électricité (un genre de recharge de batterie). Selon ce point de vue, faire porter le chapeau des maladies au virus, revient à accuser un secouriste innocent sur la scène du crime ; ce n’est pas parce que quelqu’un a vu un crime et est venu aider qu’il est l’auteur du crime. La situation est semblable à celle de la diabolisation du cholestérol dont j’ai parlé ailleurs ; il s’avère que le cholestérol est un nutriment essentiel et qu’il est là pour réparer les dommages corporels, et non pas parce qu’il les a provoqués. À propos, il y a environ 8 ans, des scientifiques de Berkeley ont transformé d’inoffensifs virus en générateurs piézoélectriques.

Test PCR vicieux. Il est possible d’avoir le virus — et après ? Ça n’a rien à voir avec la maladie

Est-il prouvé à 100 % que les virus fourguent des maladies à l’homme ?

Même si vous croyez mordicus à la théorie des germes, il y a de sérieux problèmes avec la méthode de test acceptée en général pour dépister les virus. Cette méthode s’appelle test PCR (amplification en chaîne par polymérase). Le test PCR amplifie une partie précise du brin d’ADN ciblé. Il est qualitatif et non quantitatif ; en d’autres termes, il peut dire si un virus est présent ou non, mais il ne peut pas dire en quel nombre, et il ne peut pas évaluer avec précision si la présence du virus suffit ou non à rendre malade. Comme je l’ai relevé dans mon article 6 Solid, Scientific Reasons to Assuage Your Coronavirus Panic [Six raisons scientifiques de poids pour calmer votre panique du coronavirus], le CDC (US Center for Disease Controladmet lui-même que le test Covid19 positif au coronavirus (avec la méthode PCR) ne veut pas dire que le virus est à l’origine de la maladie ou des symptômes dont vous pourriez souffrir ! Voici ce qu’a dit précisément le CDC :

« Le résultat positif [du test] indique l’infection active du 2019-nCoV, mais n’exclut pas l’infection bactérienne ou l’infection conjointe d’autres virus. Il est possible que l’agent détecté ne soit pas la cause certaine de la maladie. »

Chose étonnante, ce n’est pas du tout le cas. La théorie des germes n’est qu’une théorie. Pour ceux qui aimeraient avoir une explication plus technique de la nouvelle compréhension des virus, voyez le Dr Thomas Cowan, le Dr Andrew Kaufman et en particulier, le Dr Stefan Lanka. Kaufman a eu plusieurs interviews récentes avec Crrow777 et Richie de Boston, dans lesquelles il développe l’idée qu’il n’a jamais été prouvé que les virus sont cause de maladies. Cowan et Kaufman parlent des expériences faites après la grippe espagnole de 1918 (il s’est avéré que l’épidémie avait été provoquée par les champs électromagnétiques, l’électrification et/ou les vaccins). À l’époque, ils essayèrent de contaminer des gens en bonne santé avec des gens malades, mais les gens en bonne santé ne tombèrent jamais malades. Ils firent aussi éternuer des chevaux malades et leur firent expectorer du mucus, des liquides, des gouttelettes… dans un sac, mirent du fourrage dans ce sac, puis le donnèrent à manger à des chevaux en bonne santé. Ils ne purent jamais rendre malades les chevaux sains.

Le Dr Stefan Lanka est le roi du domaine viral. Ce biologiste et virologue allemand en est arrivé à comprendre qu’on nous ment à grande échelle sur la nature des virus. Il a offert une récompense de 100 000 euros à celui qui pourrait prouver scientifiquement que la rougeole est l’œuvre d’un virus. Cette affaire est allée jusqu’à la Cour suprême allemande où il a gagné. Paul Fassa rapporte :

« Au début, il semblait qu’il avait perdu. Mais le Dr Lanka a porté son affaire devant la haute cour, avec d’autres experts et le soutien de deux laboratoires indépendants. Il a fini par ne pas devoir payer. Il s’est avéré que la “preuve” fournie était une photo composite de diverses images de microscopie électronique. La photo composite mêlait divers composants de cellules endommagées. La photo composite n’a pas pu être dupliquée. La Cour suprême fédérale allemande a confirmé qu’il n’y avait pas assez de preuves montrant l’existence du virus de la rougeole. »

Dans l’article Biologist Proves Measles Isn’t A Virus, Wins Supreme Court Case Against Doctor [Prouvant devant la Cour suprême que la rougeole n’est pas un virus, le virologue gagne le procès qui l’opposait au médecin], voici ce qu’écrit Dave Mihalovic :

« Par décision ultime, les juges de la Cour suprême fédérale allemande ont confirmé que le virus de la rougeole n’existe pas. De plus, d’après la littérature scientifique, pas une seule étude scientifique dans le monde n’a pu prouver l’existence du virus. Cela soulève la question de ce qui a été vraiment injecté à des millions de gens au cours des dernières décennies. Pas un seul scientifique, immunologue, spécialiste des maladies infectieuses ou médecin, n’a jamais pu établir la base scientifique, non seulement de la vaccination contre la rougeole, mais aussi de la vaccination des nourrissons, des femmes enceintes, des personnes âgées et même de nombreux sous-groupes d’adultes. »

Le Dr Lanka a dit ce qu’il pensait des épidémies ou pandémies virales similaires, comme la grippe aviaire H5N1 (qui était battue en neige par la presse en 2005). En définitive, on trouve même d’autres virologues éminents, le professeur Peter Duesberg par exemple, qui affirment, preuves solides à l’appui, que le VIH n’est pas à l’origine du SIDA. Voici quelques autres citations du Dr Lanka (traduites de l’allemand) :

« Quels virus trouve-t-on, et puis à quoi servent-ils ?

On trouve des structures que l’on peut décrire comme des virus chez de nombreuses espèces de bactéries et formes de vie simples, similaires aux bactéries. Ce sont des éléments qui cohabitent avec différentes cellules d’un type commun qui sont restées indépendantes. C’est ce qu’on appelle une symbiose, une endosymbiose. Elle est apparue au cours du processus de combinaison de différents types de cellules et structures ; une endosymbiose qui a donné naissance au type de cellule actuel, au type de cellules dont sont faits les humains, les animaux et les plantes… Très important : Les virus sont des éléments constitutifs d’organismes très simples, par exemple d’algues du type confervacé, une espèce particulière de chlorella, une algue unicellulaire, et de très nombreuses bactéries. Comme on les trouve là, ces composants viraux sont dits bactériophages. Quoi qu’il en soit, dans les organismes complexes, en particulier chez les humains, les animaux ou les plantes, on n’a jamais vu de structures du genre que l’on pourrait appeler virus.

Contrairement aux bactéries dans nos cellules, aux mitochondries ou aux bactéries se trouvant dans chaque plante, aux chloroplastes qui ne peuvent pas quitter la cellule commune puisqu’ils dépendent de son métabolisme, les virus peuvent sortir de la cellule puisqu’ils n’ont aucune tâche vitale de survie à l’intérieur de la cellule.

Les virus sont donc des éléments constitutifs de la cellule qui ont remis entièrement leur métabolisme à la cellule commune et peuvent donc la quitter. En dehors de la cellule commune, ils aident d’autres cellules, en transférant des substances de construction et énergétiques. Aucune autre fonction n’a jamais été observée chez eux.

Ces vrais virus, dont l’existence a été scientifiquement démontrée, remplissent, dans les processus très complexes d’interactions entre différentes cellules, une fonction d’aide, de soutien et ne sont en aucun cas malfaisants.

De même, dans les cas des maladies, que ce soit dans l’organisme malade ou dans les liquides corporels, on n’a jamais vu ou isolé de structure pouvant être décrite comme des virus. Avancer qu’il existe un virus quelconque qui rend malade est une escroquerie évidente, un fatidique mensonge aux conséquences dramatiques. »

Lanka a aussi lâché cette bombe :

« Pourquoi donc l’existence de virus pathogènes est-elle toujours perpétuée ?

Pour justifier leur existence, les protagonistes et les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante, stupide et destructrice du virus fantôme cause de maladies.

En premier lieu, avec les vaccins, cela leur sert à faire du mal aux nombreuses populations, dans le but de se constituer une clientèle de malades chroniques et de gens souffreteux qui accepteront tout ce qu’on leur fait.

Deuxièmement, afin de ne pas avoir à admettre que leurs traitements des maladies chroniques ne marchent pas et ont massacré et tuent toujours plus de gens que toutes les guerres ont pu le rendre possible jusqu’ici. Tous les praticiens de la faculté de médecine en sont conscients, mais très peu osent en parler. Il n’est donc pas étonnant non plus que parmi les groupes professionnels, ce sont les praticiens de la faculté de médecine qui ont le plus grand taux de suicide, loin devant les autres groupes professionnels.

Troisièmement, les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante et stupide du virus diabolique pour dissimuler leur origine historique en tant qu’instrument d’oppression et de meurtre du Vatican s’étant développé à partir de l’armée romaine occidentale, à l’époque où il luttait pour s’élever dans le monde. »

Pour comprendre tout cela, il nous faut revoir la théorie des germes et la théorie du terrain.

Théorie des germes contre Théorie du terrain

Théorie des germes, vacciner le poisson dans l’eau sale – Théorie du terrain, nettoyer l’eau de l’aquarium

Selon l’article susmentionné, Inner Terrain vs. Outer Terrain : Which Do You Emphasize for Good Health ?, les deux théories concurrentes ont influencé la pensée dans de nombreux domaines (médecine, biologie et bien d’autres). Cela commença dans les années 1800 en France, à l’époque où Louis Pasteur défendait la théorie des germes (le monde est plein de germes pathogènes, de microbes, de bactéries… capables de vous infecter si vous avez la malchance d’être du genre malchanceux), tandis qu’Antoine Béchamp et Claude Bernard défendaient la théorie du terrain (les microbes se métamorphosent en fonction de la qualité du sang ou des tissus dans lesquels ils résident). Une citation attribuée à Claude Bernard dit que « le germe n’est rien, le terrain est tout. »

Pasteur l’emporta et la théorie des germes devint la doctrine dominante. Cela eut l’effet malheureux de rendre les gens effrayés par leur environnement et vulnérables à la propagande de Big Pharma (nous sommes là pour vous protéger ; prenez juste vos médicaments et faites-vous piquer, et tout ira bien). Cela poussa aussi les gens à prendre moins soin de leur hygiène de vie — mauvais choix alimentaires et style de vie —, ce qui implique la dégradation du terrain et l’affaiblissement du système immunitaire qui rendent plus sensibles à la maladie. Mais, et si on se mettait le doigt dans l’œil avec la théorie des germes ? Que se passe-t-il s’il est bien plus important de se soucier de ses propres forces, santé et hygiène de vie, que d’éventuels germes capables de tuer et flottant partout ? Et si cette crise de coronavirus rendait tout le monde maniaque, effrayé et obsédé par l’environnement, par les contacts humains élémentaires et naturels, et faisait oublier la force interne et le pouvoir du microbiome intestinal et du système immunitaire ?

Un virus peut-il passer de l’animal à l’homme ou d’un homme à un autre ?

Selon les scientifiques citées ci-dessus, la réponse est non. Le virus est formé spécifiquement par l’organisme dans le but de se guérir en nettoyant son terrain (en évacuant les déchets toxiques). Selon cette nouvelle façon de voir, les virus sont spécialement conçus pour une cellule, un groupe de cellules ou un organe, de sorte qu’ils ne vont pas se balader d’un organe à un autre, et encore moins d’un organisme humain à un autre.

Où trouve-t-on la photo du coronavirus ?

Dans un monde où tout — littéralement tout — est photographié et enregistré sur vidéo, pourquoi n’y a-t-il pas de vraies images du virus, du véritable coronavirus censé être à l’origine du souk ambiant ? Il ne doit pas être très difficile de se procurer un microscope électronique et de le photographier. Pourquoi a-t-on seulement des images de synthèse (générées par ordinateur) ? [Les plus fréquentes photos montrent des ouvrages de laine tricotés au crochet par la grand-mère de célèbres virologues, NdT]

Importance de l’iode et de l’oxygène dans la crise du coronavirus

Sur une autre note, étant donné la panique autour du Covid19, il est important de revoir tout de suite certains fondamentaux de la santé et en particulier l’iode et l’oxygène.

Minéral très important, l’iode est le seul halogène nécessaire à l’organisme. Or, en cas de manque, l’organisme se tourne vers d’autres halogènes, fluor, chlore et brome, qui sont tous toxiques. S’il y en a trop, la maladie se déclare. Il faut se méfier de l’eau de Javel servant à éliminer de supposés virus tueurs, car cela expose au chlore. En outre, la fréquence de 6 GHz (utilisée dans de nombreux téléphones sans fil, routeurs et autres appareils) affecte l’absorption de l’iode. Parmi les symptômes du manque d’iode, il y a la détresse respiratoire (un symptôme du Covid19). La carence en iode est aussi impliquée dans le cancer.

La 5G est indéniablement liée au coronavirus, mais nous ne comprenons toujours pas précisément comment. La 5G a été déployée pour la première fois à Wuhan, en Chine, à l’épicentre de l’épidémie. Pourtant, tout le monde ne tombe pas malade en présence de la 5G. L’une des causes possibles est la nouvelle bande de fréquences qu’il utilisera (60 GHz ou WiGig, nouveau nom du Wi-Fi 60 GHz). Tout comme la fréquence de 6 GHz affecte l’absorption de l’iode, la fréquence de 60 GHz affecte l’absorption de l’oxygène. En fait, la fréquence 60 GHz a une action sur la molécule d’oxygène. Elle a la capacité d’empêcher les molécules O2 de se lier facilement à l’hémoglobine, ce qui signifie moins d’absorption d’oxygène. Cela entraîne la sous-oxygénation ou l’hypoxie, précurseur de la maladie. De nouveau, comme dans le cas de l’iode, le symptôme de manque d’oxygène est la détresse respiratoire (symptôme du Covid19).

Dans cette affaire, le virus fournit l’excuse parfaite en servant de bouc émissaire aux produits chimiques toxiques et aux rayonnements électromagnétiques qui nous rendent malades…

Si les virus ne voyagent pas entre les organismes, que se passe-t-il quand quelqu’un « attrape » la grippe ?

C’est la question clé. Si les virus ne sont pas du tout ce qu’on raconte, comment expliquer ce qui ressemble à la contagion virale ou à l’infection virale ? N’est-ce pas réel ? Eh bien, il est certain que nombre de gens tombent malades après avoir côtoyé un malade, mais la vraie question est comment cela se fait-il. Une réponse possible serait que le terrain du receveur était dégradé au point de s’infecter, que ce soit parce qu’il s’inquiétait ou avait peur de tomber malade (la peur affaiblit le système immunitaire) ; il a pensé qu’il allait tomber malade (et cette pensée a eu la force de se concrétiser inconsciemment) ou il a développé une sorte d’élan émotionnel accordant sa fréquence sur celle de la personne malade. Dans la vie, nous avons tous des moments de vitalité et de déprime ; au cours des moments de déprime, nous devenons plus sensibles aux maladies. Le grand génie Nikola Tesla a déclaré : « Le jour où la science commencera à étudier les phénomènes non physiques, elle fera plus de progrès en une décennie qu’au cours de tous les siècles précédents de son existence. » Il a dit aussi que « si vous voulez découvrir les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence et de vibration. »

Parmi les possibilités de tomber malades, il y a l’exposition à des poisons, les raisons mentales, les raisons émotionnelles, la régénération ou la désintoxication et les chocs émotionnels. Le Dr Ryke Geerd Hamer (fondateur de la Nouvelle médecine germanique) a établi que « chaque maladie est provoquée par un choc qui prend l’individu complètement au dépourvu, » et c’est devenu sa première loi biologique.

Ainsi, attraper une maladie n’a rien à voir avec « des germes malfaisants qui nous infectent, » mais dépend plutôt de l’état mental et émotionnel, du système immunitaire, du microbiome et de la réceptivité.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Graphène et 5G]

Conclusion : Cette crise doit être une opportunité pour voir les virus de manière différente

Il serait sage, au milieu de toute la peur du coronavirus, de se rappeler que la théorie des germes n’est qu’une théorie, et que chacun peut prendre en charge sa santé. Le système immunitaire peut être renforcé grâce aux choix alimentaires sains, à suffisamment de soleil (vitamine D3), d’exercice et de sommeil. On peut réduire ou éliminer l’exposition aux poisons que sont par exemple le fluorure, le chlore, l’aluminium, le mercure et les rayonnements électromagnétiques du sans-fil. On peut prendre des compléments alimentaires qui renforcent l’immunité, comme la vitamine C, les antioxydants, l’iode et l’oxygène, ainsi que des remèdes naturels, comme l’extrait de feuille d’olivier, les champignons médicinaux et l’huile d’origan.

[NdT : il est bien connu aussi que la prise régulière de chlorure de magnésium renforce considérablement l’organisme. C’est grâce à lui qu’a été éliminée l’épidémie de chikungunya dans les îles françaises de l’océan Indien. L’information selon laquelle il guérit même le terrifiant Ebola a aussi réussi à être propagée malgré la censure de la presse. En fait il renforce tellement l’organisme, qu’il ne laisse prise à aucune épouvantable maladie dite virale et même parasitaire.]

Il existe une maxime capitale disant que le savoir chasse la peur. Et si la vraie conspiration était l’exploitation de l’ignorance des masses de la vraie nature des virus ? Et s’il n’existait aucun virus tueur ? Et si le vrai virus était la peur, peur du virus, peur de l’inconnu et peur de mourir ? Il est difficile de dire que les contrôleurs du Nouvel ordre mondial sont des maîtres manipulateurs qui savent parfaitement exploiter la psychologie humaine. Le moment est venu pour chacun de foncer bille en tête et de remettre en question tout ce qu’il croyait savoir. Voici l’occasion de passer à un nouveau niveau de compréhension, de compréhension et de connaissance, afin que chacun puisse garder sa liberté.

Après tout, comment être libres en restant ignorant, puisque l’ignorance donnera toujours prise à l’exploitation.

The Freedom Articles, Makia Freeman

Deep Down the Virus Rabbit Hole — Question Everything




Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial

[Source : medias-presse.info]

Dans les prochains jours, les États adhérents à l’Organisation Mondiale de la Santé voteront les résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS, avec lesquelles la souveraineté regardant la santé des citoyens est transférée à un organisme supranational, financé en grande partie par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. Si ces résolutions sont approuvées à la majorité, l’OMS aura le pouvoir d’imposer exclusivement toutes les règles en cas de pandémie, y compris les quarantaines, les confinements, les vaccinations obligatoires et les passeports de vaccination. Il convient également de garder à l’esprit que cette organisation jouit de l’immunité et que ses membres ne peuvent être jugés ou condamnés en cas de crimes. Des technocrates non élus auront paradoxalement plus de pouvoir que les citoyens n’accordent à leurs représentants par un vote démocratique.

Etant donné que le transfert de souveraineté configure un crime de haute trahison dans toutes les législations nationales, et que les Parlements ne peuvent légiférer contre les intérêts de la Nation, encore moins violer les libertés naturelles et les droits fondamentaux de leurs citoyens, je crois qu’il n’échappe à personne que cette tentative de l’OMS de s’approprier un pouvoir qui appartient à chaque État sert à empêcher toute forme d’opposition à l’Agenda 2030, qui dans le secteur de la santé vise aussi substantiellement la réduction drastique des services médicaux et hospitaliers, la privatisation des systèmes de santé et la prévention des maladies par les vaccins.

La psychopandémie a montré l’asservissement des dirigeants, des politiques, des médias, des magistrats, de toute la classe médicale et du Saint-Siège lui-même aux diktats d’un groupe de fonctionnaires d’un organe supranational en conflit d’intérêts évident. Les désastreux effets indésirables du sérum à l’ARNm expérimental ne sont reconnus que maintenant, alors que nombreux sont ceux qui attendent à juste titre que les responsables de ces décisions soient tenus responsables devant un tribunal indépendant.

Il semble donc pour le moins absurde que l’on veuille en ce moment donner à l’OMS des pouvoirs de décision contraignants, alors que dans la gestion de la récente urgence pandémique et de la campagne de vaccination de masse, il y a eu les plus grands effets néfastes en termes de dommages permanents aux patients et de décès. En plus de l’impunité des crimes commis dans le silence des grands médias, il y a un choix discrétionnaire total sur les urgences à venir, largement planifiées par le lobby pharmaceutique. La marginalisation des personnels de santé qui font appel au Serment d’Hippocrate risque de devenir la norme pour éliminer toutes les voix dissidentes.

À cet égard, il est significatif que les nations qui s’opposent au Nouvel Ordre Mondial – comme la Russie et le Brésil – soient conscientes des conséquences très graves qu’entraînera la ratification éventuelle des résolutions, et que pour cette raison, elles s’opposent à leur approbation. Même le président Trump, pendant son mandat, a voulu envoyer un signal sans équivoque en coupant les fonds du Trésor américain aux bureaucrates de l’OMS : c’est aussi pour cette raison que l’État profond a empêché sa réélection lors des dernières élections présidentielles, soutenant un personnage compromis et corrompu, dont le fils Hunter est impliqué dans le financement de biolabs américains en Ukraine.

J’exprime donc tout mon soutien aux citoyens, et notamment aux scientifiques, médecins et juristes qui dénoncent cette menace à la souveraineté nationale des pays adhérents, et qui demandent que la lumière soit faite sur les événements passés et sur les conséquences que les décisions de l’OMS ont causé à la santé de la population mondiale. J’exhorte les chefs d’État et de gouvernement, qui seront appelés à s’exprimer sur la ratification de ces résolutions, à les rejeter et à les repousser, car elles sont contraires au bien commun et visent à réaliser ce coup d’État mondial que l’ONU et le Forum Économique Mondial planifient depuis des années sous le nom d’Agenda 2030 ou Great Reset. La gouvernance mondiale de la santé, telle que soulignée par des experts hautement autorisés qui ne sont pas compromis avec le système, représente l’un des éléments fondamentaux du NWO (Nouvel Ordre Mondial) et, en tant que telle, doit être rejetée et combattue. La logique de contrôle, de profit et de pathologisation de masse doit être remplacée par la santé publique qui a pour finalité première la santé des citoyens et la protection de leurs droits inaliénables.

Le Saint-Siège – qui est Observateur Permanent auprès des Nations Unies et depuis un an également auprès de l’OMS – a le devoir de réaffirmer le droit des individus à la liberté d’accepter ou de refuser un traitement médical, en particulier face au danger concret d’effets indésirables, en partie encore inconnus, de cette thérapie génique expérimentale. Et si jusqu’à présent Bergoglio et sa cabale ont soutenu les délires de Gates, Schwab et Soros, le moment est venu pour l’Église catholique de prendre la défense des plus faibles, des enfants à naître sans défense, des enfants et des personnes âgées, ainsi que de ceux qui ont fait l’objet d’un chantage par le cynisme d’hommes d’affaires et de conspirateurs, pour les forcer à s’inoculer un sérum contaminé par des lignes cellulaires fœtales avortées. Le silence du Vatican, après des déclarations hâtives au début de la pandémie et des approbations honteuses à BigPharma, marquera la condamnation du Sanhédrin romain, complice d’un crime contre Dieu et contre l’homme. Jamais au cours de l’histoire la Hiérarchie ne s’était prostituée au pouvoir temporel d’une manière aussi servile et abjecte. Prions pour que quelques évêques trouvent le courage de prendre leurs distances avec la ligne collaborationniste de Bergoglio et sachent trouver les mots pour ouvrir les yeux des bons jusqu’ici trompés par la propagande mondialiste.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

21 mai 2022

(©Traduction pour MPI de F. de Villasmundo relue et corrigée par Mgr Viganò)

[Voir aussi :
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




La variole du singe ? Du lard ou du cochon ?

Par Nicole Delépine

C’est quoi la variole du singe ? Dr Malone : « C’est un Jeu de détournement d’attention. »

Vanilla 🇫🇷⭐️⭐️@Azulbleue :

« La VARIOLE DU SINGE existe depuis TOUJOURS et est complètement BÉNIGNE dans l’immense majorité des cas, ne nécessite aucun traitement et se guérit toute seule !!! RENSEIGNEZ-VOUS ET PAR PITIÉ NE VOUS LAISSEZ PAS AVOIR CETTE FOIS-CI. »

L’ORTHOPOXVIRUS SIMIEN : RAPPEL CLINIQUE selon l’OMS

« L’infection des cas initiaux résulte d’un contact direct avec du sang, des liquides biologiques ou des lésions cutanées ou muqueuses d’animaux infectés. En Afrique, on a documenté des infections humaines à la suite de la manipulation de singes, de rats géants de Gambie et d’écureuils infectés, les rongeurs étant vraisemblablement le principal réservoir du virus. La consommation de viande d’animaux infectés et insuffisamment cuite est un facteur de contamination possible.

La transmission secondaire, c’est-à-dire interhumaine, peut résulter de contacts étroits avec des sécrétions infectées des voies respiratoires, des lésions cutanées d’un sujet infecté ou d’objets récemment contaminés par des liquides biologiques ou des matières provenant des lésions d’un patient. La transmission se produit principalement par les particules des gouttelettes respiratoires et nécessite en général un contact face à face prolongé, ce qui expose les membres de la famille des cas évolutifs à un risque infectieux plus grand. Elle peut également survenir par inoculation ou par voie placentaire (orthopoxvirose simienne congénitale). Rien ne permet à ce jour d’affirmer que la seule transmission interhumaine permette de maintenir l’orthopoxvirose simienne dans la population humaine ».

La durée d’incubation (intervalle s’écoulant entre l’infection et l’apparition des symptômes) : en général de 6 à 16 jours, peut aller de 5 à 21 jours.

La période symptomatique se divise en deux phases : la première caractérisée par de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et une certaine fatigue, mais aussi par la présence de ganglions enflés et volumineux sous la mâchoire et au niveau du cou.

Dans la seconde phase, qui survient dans les 1 à 3 jours (voire plus) suivant l’apparition de la fièvre, c’est la fameuse éruption cutanée. Elle émerge en une seule poussée.

La période d’éruption cutanée (dans les 1 à 3 jours suivant l’apparition de la fièvre) avec les différents stades du rash, commençant souvent par le visage puis s’étendant sur les autres parties du corps. Le visage (dans 95 % des cas), les paumes des mains et les plantes des pieds (dans 75 % des cas) sont les plus touchés.

Le rash évolue en une dizaine de jours à partir des maculo-papules (lésions à base aplaties) vers les vésicules (petites ampoules remplies de liquide), puis les pustules et enfin les croûtes. La disparition complète de ces dernières peut prendre jusqu’à trois semaines.

Le nombre des lésions varie de quelques-unes à plusieurs milliers, touchant la muqueuse buccale (dans 70 % des cas), les organes génitaux (30 %), les conjonctives (paupières) (20 %), ainsi que la cornée (globe oculaire).

L’orthopoxvirose simienne guérit en général spontanément et les symptômes durent donc de 14 à 21 jours. Les cas graves se produisent plus fréquemment chez les enfants et sont liés à l’ampleur de l’exposition au virus, au mauvais état de santé du patient et à la gravité des complications.

ATTENTION SOURCE DE CONFUSION (déjà le premier cas grec était une varicelle, cf. infra)

Diagnostics cliniques différentiels à envisager : autres maladies à éruption cutanée, comme la variole, éradiquée officiellement de la planète des laboratoires militaires en conservent vraisemblablement) la varicelle, la rougeole, les infections bactériennes cutanées, la gale, la syphilis et les allergies médicamenteuses. L’adénopathie au stade prodromique peut être un signe clinique permettant de distinguer l’orthopoxvirose simienne de la variole.(([1] Principaux repères sur l’orthopoxvirose simienne (who.int) ))

UNE ÉTUDE SÉRIEUSE DE L AIMSIB(([2] Les Espagnols risquent de mourir en masse du monkeypox — AIMSIB))

Non spécialiste sur ce sujet, je ne peux que vous livrer quelques réflexions tirées de l’article de l’AIMSIB dans lequel nos collègues le dr Reliquet et Bernard Guennebaud mettent en garde sur les erreurs à ne pas commettre.

En fait, pas d’affolement contrairement au titre qui pourrait le laisser penser, c’est seulement s’ils décidaient de vacciner larga manu les sujets contacts avec le vaccin antivariolique humain (inefficace sur la variole du singe). Ils vous expliquent les erreurs à éviter et vous conseillent d’avertir vos amis espagnols.

« Résumé : Bill Gates l’a promis depuis des mois, quelqu’un l’a peut-être fait, voilà que le virus MKP de la variole du singe, version ouest-africain, est apparu concomitamment dans de nombreux pays européens dont la France, les USA, le Canada et ailleurs, touchant particulièrement une population d’homosexuels masculins ce qui n’est à ce jour expliqué par personne.

Comment des sujets qui n’ont pas voyagé peuvent avoir contracté cette maladie spécifiquement nigériane, extrêmement peu contagieuse et sur tous les continents en même temps ? Un gain de fonction bricolé en laboratoire hissera-t-il ce virus au-dessus de ses 2 % de mortalité habituelle ce qui le rendrait cent fois plus mortel que CoV-2 et corroborerait les prédictions de Gates ?

Ce qui est sûr, c’est que l’exploitation médiatique à visée de propagande thérapeutique a déjà commencé et que surtout, horreur de toutes les horreurs, les épidémiologistes les plus nuls du monde (ou les plus corrompus, mais ce sont souvent les mêmes) nous préparent une vaccination dangereuse, celle des sujets déjà mis en contact avec les malades.

Tout est démontré depuis le XIXe siècle, cette vaccination, si elle est mise en œuvre, tuera… Vincent Reliquet et Bernard Guennebaud coopèrent ici pour un éclairage urgent. Prévenez vos amis Espagnols, une nouvelle folie commence, probablement orchestrée depuis mars 2021 et vous verrez comment. »

LA PEUR BAISSAIT. IL FAUT LA RAVIVER, MAIS LES PEUPLES SERONT MOINS DUPES (espoir…)

La variole humaine est éradiquée depuis les années 80, mais il existe des souches dans un labo US et un Russe à ce que l’on sait. Quid des labos secrets, par exemple ceux d’Ukraine ?

 Il existe d’autres poxvirus comme celui du chameau ou celui du singe, le monkeypox. 

Ces virus peuvent, le cas échéant, contaminer des humains comme cela s’était produit à plusieurs reprises depuis 1980.

Selon Nice-Matinl’Espagne envisagerait de vacciner les contacts avec le vaccin utilisé contre la variole humaine (citée par AIMSIB). Et c’est là que le bât blesse et inquiète nos collègues qui ont travaillé cette histoire de la médecine depuis des années.

« Aucun vaccin n’a pour le moment été approuvé en Europe, mais face à la montée des cas de variole du singe sur le territoire espagnol, le ministère de la Santé a décidé de commander des milliers de doses de vaccin contre la variole classique. Le vaccin devrait être injecté aux personnes cas contacts. »

« Vacciner les sujets-contacts de la variole, la mauvaise idée de toujours

Cette vaccination des contacts fut utilisée de façon de plus en plus systématique et contraignante au cours de la campagne d’éradication de la variole humaine.

Il n’y a guère de doutes à avoir aujourd’hui pour pouvoir attribuer à cette vaccination des contacts les flambées épidémiques qui suivaient ces vaccinations et qui furent qualifiées “d’explosives et d’inattendues” par l’OMS.

Mais comme cette vaccination des contacts était pratiquée conjointement à l’isolement (mise en quarantaine le plus souvent) des malades et des contacts, la transmission du virus fut interrompue et ce succès fut largement attribué à tort à cette vaccination des contacts.

Cette mesure, qui aggravait la maladie et amplifiait les épidémies, fut ainsi introduite dans les plans variole des États et même rendue obligatoire en France pour les contacts de haut niveau par un décret de février 2003. » (…)

L’éradication de la variole fut une aventure dont l’issue favorable ne fut obtenue que de justesse. Il y avait beaucoup d’obstacles sur le terrain pour pouvoir appliquer partout où la variole était présente, l’isolement des cas qu’il fallait d’abord découvrir puis celui de leurs contacts.

Le succès de ces interventions, rendues parfois périlleuses par un réseau précaire de communications, fut malheureusement compromis par la vaccination de plus en plus systématique des contacts en raison de ce que j’ai proposé d’appeler les effets Buchwald :

Premier effet Buchwald : chez une personne non immunisée, la vaccination pendant la période d’incubation ou quelques jours auparavant aggravera la maladie. Collectivement, cet effet se manifestera par un accroissement des formes graves et de la mortalité chez les malades (létalité).– Second effet Buchwald : chez une personne immunisée (par une ancienne vaccination ou une ancienne variole), la même vaccination déclenchera la maladie qu’elle aurait sinon évitée. Collectivement, cet effet se manifestera par une amplification des épidémies. » et aggravera la maladie par une amplification des épidémies.

Suit une longue démonstration sur les errements officiels et les rapports cachés sur l’éradication de la variole humaine dans laquelle B. Guennebaud grand spécialiste et historien du sujet tente de démontrer le rôle aggravant de la vaccination des cas contacts et le flou des données accessibles, ce qui après l’expérience du covid n’étonnera personne et encore moins les dossiers classés « secret défense ».

Conclusions à en tirer au stade actuel sur la variole du singe : Prudence !

« L’irruption de cas de variole du singe frappant concomitamment une population plutôt homosexuelle masculine à la fois en France, au Royaume-Uni, au Portugal, en Espagne, en Suède, aux USA et au Canada(([3] bilan d’extension au 22/05/2022 :
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2022-dgs-urgent_55_monkeypox.pdf)), chez des sujets qui n’ont aucunement voyagé en Afrique de manière récente, laisse pantois. Il apparaît évidemment comme 
hautement improbable que cette dissémination soit le fait du hasard d’autant plus qu’une simulation de mars 2021 nous en donnait déjà une glaçante prédiction ».(([4] https://www.nti.org/wp-content/uploads/2021/11/NTI_Paper_BIO-TTX_Final.pdf))

Il est trop tôt à ce jour pour confirmer la suite de la simulation imaginée il y a plus d’un an, on ne peut que rester stupéfait par la date de démarrage de « l’épidémie » collant absolument à la réalité actuellement vécue en Europe est un peu tôt à ce jour pour confirmer la suite de la simulation imaginée il y a plus d’un an, on ne peut que rester stupéfait par la date de démarrage.

On rappelle que Bill Gates est devenu le maître incontesté de toutes les décisions de l’OMS, car il en a pris le contrôle en même temps que toutes les décisions sanitaires des pays membres, en mars 2020(([5] à 24 minutes, https://www.aimsib.org/2022/01/30/dou-viens-tu-sars-cov-2/)). Cette simulation a eu lieu au plus haut niveau comme en atteste la liste des membres présents (voir l’article de l’AIMSIB), faut-il s’étonner ou pas d’y retrouver un salarié de la Bill et Melinda Gates Fundation, Chris Elias, ainsi d’ailleurs qu’un membre du board de chez Merck ?

Qu’en est-il dans la réalité ? Ce virus de la variole du singe est-il augmenté pour résister à la vaccination existante, comme dans la simulation du MSC ou s’agit-il d’un largage de virus sauvage non modifié ? (Dans des valises oubliées dans des aéroports comme nous le prédisait le sulfureux Bill Gates, informaticien qui se voudrait grand chef de la médecine mondiale !)

@Noiregoutte 19 mai :

il y a les pseudo élites toutes puissantes réunies à Davos, mais aussi LES PEUPLES DES MILLIARDS D’INDIVIDUS

Quoiqu’il en soit nos Satan modernes ne font pas nécessairement ce qu’ils veulent et la prise de conscience des peuples sur la manipulation que nous subissons depuis plusieurs décennies et singulièrement depuis deux ans et demi, est une donnée non prise en compte par nos pseudo tout puissants.

Restons calmes pour ne pas dire zen.

Ne cédons pas à la peur que nos élites et médias souhaiteraient utiliser pour remplacer la peur du covid et de la guerre en Ukraine qui s’effritent.

MAIS ATTENTION AUX FAKE ET AUX DÉSIRS DE DAVOS :

« les médias mensongers vont-ils relater ses propos ? Klaus Schwab aux participants du Forum de Davos pour le WEF : “L’avenir est construit par nous, une communauté puissante ici dans cette salle”. »

Eh bien non MR IL EXISTE AUSSI LES PEUPLES ET SURTOUT LES PEUPLES.

LE PREMIER CAS GREC / VARIOLE DU SINGE : LE PREMIER CAS SUSPECT EN GRÈCE ÉTAIT EN FAIT UNE VARICELLE !

« Alors qu’il existe des symptômes proches entre les deux maladies, un premier cas suspect de variole du singe avait été détecté chez un touriste anglais en Grèce. La varicelle lui a finalement été détectée par suite de deux examens successifs ».(([6] https://www.leparisien.fr/societe/sante/variole-du-singe-le-premier-cas-suspect-en-grece-etait-en-fait-une-varicelle-23-05-2022-BVKQ637WPBABVP5GX2QUQFSL24.php#xtor=AD-14814))

ET LA RÉACTION DU PR PERRONNE(([7] Réaction du Professeur Perronne à l’annonce de la variole du singe — Enfant de la Société — Sott.net))

« Maintenant que vous savez comment ça marche, on crée la peur et on impose un vaccin jamais validé, expérimental, dont on ne connaît pas le contenu, et que la compagnie va jusqu’à payer université, hôpitaux et médecins pour vous extorquer un consentement non éclairé, tout en ne payant pas les dommages et décès de vos proches…Vous savez cette fois, ce sera plus facile de choisir de dire “non”…

Le monkeypox a une létalité faible de 2 à 3 %. Rien à voir avec celle de la variole humaine qui dépasse 30%.sauf s’ils y ont introduit des gènes pour gain de fonction.

Bizarre, Bill Gates avait annoncé qu’il y allait avoir une épidémie d’un virus dérivé de la variole et a investi sur un nouveau vaccin. Il est fort !
Bizarre que ça touche surtout les homosexuels masculins. Dans le communiqué DGS, il est dit que ça atteint surtout les homosexuels masculins et que la transmission se fait surtout par voie respiratoire. Il y a quelque chose qui m’échappe.C’est aussi très bizarre que les cas arrivent simultanément dans plusieurs pays éloignés. Il y a peu de chance pour une extension rapide et large, car les personnes symptomatiques sont couvertes de grosses vésicules, y compris sur le visage et se repèrent donc de loin. Ces malades ont de la fièvre et une grande fatigue. Ils ne sont pas en état de courir partout dans les transports ou au travail. Facile de les isoler (sauf si on leur dit de rentrer chez eux pour contaminer tout le monde). Le monkeypox est peu transmissible d’homme à homme. Il faut un contact étroit et prolongé.

Ça semble impossible qu’il y ait émergence spontanée, en quelques jours, de cas isolés au Canada, aux USA et dans plusieurs pays d’Europe. Surtout que les malades n’avaient pas voyagé avant. La ficelle est trop grosse ! »

t.me/unis_vers/14385

MAIS RÉSISTONS, REFUSONS ET LE VACCIN ANTIVARIOLIQUE ET UN ÉVENTUEL VACCIN ANTI-VARIOLE DU SINGE !

N’oublions pas que pour la Variole du singe : les plus de 45 ans sont immunisés à 85 % par leur vaccination antivariolique des premiers jours. Ils ne pourront pas nous faire le coup de protéger les vieux !!!

MANIPULATION AGAIN !

Attention aux manipulations, même des archives : UK : ils sont en train de retirer des sites officiels les cas de variole du singe apparus en 2018, 2019, 2020… etc.

Au moment même des annonces, ils modifiaient déjà les sites qui parlaient de cette maladie. Tous ont été modifiés en mai 2022. Le 1er truc, de 1 % de mortalité, ils sont passés de 1 à 10 %, bientôt le « 1 % » va disparaître. Il faut chercher dans les livres d’avant 2000….

9:01 AM · 23 mai 2022· https://t.me/unis_vers/14457 :



Et révisons le diagnostic de varicelle, ça peut servir !

On les a vaccinés 4 fois avec un vaccin à ARN messager expérimental.
Et quand ça les a rendus malades, on leur a dit que c’était la variole du singe. Du coup on va les revacciner pour ça aussi.
(NDLR : C’est vrai que vous êtes un peu cons quand même)

Par Alain Brugerie sur twitter #vaiolodellescimmie :

«  La variole du singe c’est rare, peu contagieux et ça guérit tout seul. Le but de cette médiatisation débile étant évidemment d’entretenir un climat de trouille et de dépendance sanitaire chez les obsédés du Covid et autres hypocondriaques #cnews #BFM #LCI »

SANS OUBLIER LES FAKE NEWS : MERCI AUX TWITTOS à Jeanne d’Arc la bien nommée ! Allez faites tourner les fakes news sur la variole ! Regardez comme ils nous enfument ces enfoirés, articles à l’appui ! #FakeNews #VarioleDuSinge

Dr Malone : « C’est un Jeu de détournement d’attention. »

Le Dr Robert Malone explique qui finance réellement ces programmes : « C’est quoi la variole du singe ? »

« … Ils ont déjà stocké des vaccins contre la variole. Ce qu’ils ont acheté, c’est plus de vaccins contre la variole… Le nom du produit s’appelle JYNNEOS… Il est commercialisé par Bavarian Nordic et tout ce que vous avez à faire, c’est de chercher la notice du produit JYNNEOS et vous trouverez la notice du produit et vous découvrirez que ce n’est absolument pas un produit bénin, tout comme l’ancien produit Dr. X, qui est un peu plus sûr que ce que j’ai connu avec ce produit lorsque je travaillais pour le DOD. Ce produit a comme l’un des principaux effets indésirables graves et rares. Attendez un peu, myocardite cardiotoxique. »

Et Bavarian Nordic c’est Fauci




Avalanche de « Fake news » pour promouvoir le Gardasil chez les garçons

Par le Docteur Gérard Delépine, chirurgien cancérologue et statisticien

Tout récemment les médias, mais aussi la ligue contre le cancer et certaines ARS ont publié des tribunes, appels et/ou des tracts mensongers utilisant la peur du cancerpour promouvoir la vaccination anti HPV (papillomavirus) chez les garçons.

Le but réel de cette propagande n’est certainement pas d’éviter quelques décès d’hommes atteints de cancer de l’anus, mais plus vraisemblablement de doubler le marché du vaccin jusqu’ici centré sur les filles et de préparer la population à une nouvelle obligation qui serait évidemment pour le bien de tous mais surtout pour les actionnaires de Merckx…

Notre tribune rappelle les données acquises de la science en 2022 en citant leurs sources, afin que chacun puisse les vérifier afin d’acquérir une vision factuelle de ce cancer. La foi aveugle de nos dirigeants en un vaccin ne justifie pas la manipulation des faits avérés.

Contrairement à ce que prétendent les avocats du vaccin anti HPV pour les garçons, le cancer anal, comme les autres cancers qu’ils attribuent exclusivement au HPV, reste rare et ne constitue pas un problème de santé publique, car ils ne menacent qu’une petite minorité de la population. Il peut être traité de manière efficace dans la très grande majorité des cas. Il ne justifie donc pas une vaccination généralisée d’autant qu’après 16 ans de mise sur le marché cette vaccination hors de prix n’a toujours pas fait la preuve de la moindre efficacité réelle contre aucun cancer.

Le cancer anal est très rare

Certes dans les dernières décennies sa fréquence a augmenté dans certains pays (USA, Norvège(([1] B T Hansen, S Campbell, M Nygård Long-term incidence trends of HPV related cancers, and cases preventable by HPV vaccination: a registry-based study in Norway BMJ Open 2018; 8:e019005. doi:10.1136/ bmjopen-2017-019005)), Grande-Bretagne, Danemark(([2] Nielsen, Munk C, Kjaer SK Trends in incidence of anal cancer and high-grade anal intraepithelial neoplasia in Denmark, 1978-2008. Int J Cancer. 2012 Mar1; 130(5):1168-73. doi: 10.1002/ijc.26115. Epub 2011 May 30)), Australie(([3] Cancer in Australia 2017,page 81 can be downloaded for free from the AIHW website http://www.aihw.gov.au/cancer-publications)), Pays-Bas, France(([4] Bouvier AM1, Belot A, Manfredi S, Jooste V, Uhry Z, Faivre J, Duport N, Grabar S ; French network of cancer registries FRANCIM. Trends of incidence and survival in squamous-cell carcinoma of the anal canal in France: a population-based study. Eur J Cancer Prev. 2016 May; 25(3):182-7. doi: 10.1097/CEJ.0000000000000163.))…) dans lesquels l’augmentation de ce cancer suit celles de ses facteurs favorisants : séropositivité au VIH, traitements immuno- suppresseurs (chimiothérapie des cancers, ou après greffes d’organes), pratique plus fréquente du sexe anal passif. Dans de nombreux autres pays (Inde, Israël, Japon, Singapour, Espagne), on n’observe pas de progression significative.

Sa faible fréquence le place au-delà du 12e rang des cancers des différents pays. Ilregroupe environ 0,5 % des cancers. En 2020, moins de 10 000 cas sur 2 millions de cancers aux USA(([5] https://seer.cancer.gov/statfacts/html/anus.html)), 1500 cas sur 370 000 en Grande-Bretagne(([6] Incidence of anal cancer Cancer Research UK 2021
https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/anal-cancer/incidence)). En France en 2018 seulement 479 cancers de l’anus touchant des hommes ont été recensés parmi les 382 000 nouveaux cancers observés.(([7] Robaszkiewicz Michel, Cariou Mélanie, Bouvier Anne-Marie, Bouvier Véronique, Lecoffre Camille, Lafay Lionel, Coureau Gaëlle, Mounier Morgane, Trétarre Brigitte Survie des personnes atteintes de cancer en France métropolitaine 1989-2018 ANUS Année de publication : 2021
https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/cancers/cancer-du-colon-rectum/documents/enquetes-etudes/survie-des-personnes-atteintes-de-cancer-en-france-metropolitaine-1989-2018-anus))

Le cancer anal ne menace que de petits groupes à risque

Les malades prenant des traitements immunodépresseurs souffrent d’une incidence du cancer anal 5 fois plus élevée que la population non immuno- déprimée.(([8] Grulich AE, van Leeuwen MT, Falster MO, et al. Incidence of cancers in people with HIV/AIDS compared with immunosuppressed transplant recipients: a meta-analysis. Lancet 2007; 370(9581):59-67.)) Ce surrisque est proche de celui des mâles hétérosexuels infectés par le virus du sida.(([9] Nyitray MS Anal cancer and human papillomaviruses in heterosexual men CURRENT ONCOLOGY—VOLUME 15, NUMBER 5 3 UPDATES AND DEVELOPMENTS IN ONCOLOGY 2008 Multimed))(([10] Grabar S, Le Moing V, Goujard C, et al. Clinical outcome of patients with HIV-1 infection according to immunologic and virologic response after 6 months of highly active antiretroviral therapy. Ann Intern Med 2000; 133:401-10.))

La pratique du sexe anal passif constitue le facteur causal le plus important(([11] Daling JR,Weiss NS, Hislop TG, Maden C, Coates RJ, Sherman KJ, et al. Sexual practices, sexually transmitted diseases, and the incidence of anal cancer. N Engl J Med 1987; 317(16): 973–7.doi:10.1056/NEJM198710153171601))(([12] Holly EA, Whittemore AS, Aston DA, Ahn DK, Nickoloff BJ, Kristiansen JJ. Anal cancer incidence : genital warts, anal fissure or fistula, hemorrhoids, and smoking. J Natl Cancer Inst 1989; 81(22): 1726–31. doi:10.1093/jnci/81.22.1726))(([13] Frisch M, Glimelius B, van den Brule AJ, Wohlfahrt J, Meijer CJ, Walboomers JM, et al. Sexually transmitted infection as a cause of anal cancer. N Engl J Med 1997; 337(19): 1350–8. doi:10.1056/ NEJM199711063371904))(([14] Tseng HF, Morgenstern H, Mack TM, Peters RK. Risk factors for anal cancer: results of a population-based case–control study. Cancer Causes Control 2003; 14(9): 837–46. doi:10.1023/B:CACO. 0000003837.10664.7))(([15] Daling JR, Madeleine MM, Johnson LG, et al Human papillomavirus, smoking, and sexual practices in the etiology of anal cancer. Cancer. 2004 Jul 15; 101(2):270-80.)) et explique en partie le surrisque des femmes par rapport aux hommes hétérosexuels (risque multiplié par 1,5 à 3). Ce risque est 60 à 90 fois plus élevé chez les homosexuels masculins passifs avec une incidence du cancer anal de 95/100000 culminant même à 130/100000 chez ceux d’entre eux qui sont en plus porteurs du virus HIV.(([16] Silverberg MJ, Lau B, Justice AC, Engels E, Gill MJ, Goedert JJ, et al. Risk of anal cancer in HIV-infected and HIV-uninfected individuals in North America. Clin Infect Dis 2012 ; 54(7) : 1026–34. doi:10.1093 cid/cir1012))

En dehors de ces groupes à risque, le cancer du canal anal ne constitue pas un problème de santé publique chez l’homme. En France il représente moins de deux millièmes des cancers de l’homme, avec moins de 500 cas et moins de 250 morts annuels à comparer aux fardeaux d’autres cancers de l’homme : poumons (23 000 morts), colorectal (9000 morts) et prostate (8000 décès).

Le cancer anal fait partie des cancers à assez bon pronostic

La chimiothérapie et la radiothérapie sont la base du traitement, la chirurgie étant réservée soit aux petites tumeurs de la marge anale, soit à la thérapie de sauvetage. Des essais récents ont permis de préciser la place optimale des chimiothérapies disponibles. La survie nette standardisée atteint 66 %.

Infection n’est pas cancer 

Pour promouvoir la vaccination, les défenseurs du Gardasil focalisent l’attention sur l’association statistique réelle entre cette infection et le cancer et en extrapolent un possible lien de causalité. Mais comme ils rappellent après chaque complication post vaccinale, une association statistique ne prouve pas un lien de causalité.

De nombreux cofacteurs sont en effet statistiquement liés à la survenue d’un cancer anal. Outre la séropositivité HIV, les traitements immuno- suppresseurs et les rapports sexuels anaux passifs déjà cités, il faut mentionner : infections sexuellement transmissibles (gonorrhée, chlamydia, herpès) tabagisme(([17] Daling JR, Sherman KJ, Hislop TG, Maden C, Mandelson MT, Beckmann AM, Weiss NS.
Cigarette smoking and the risk of anogenital cancer.
Am J Epidemiol. 1992 Jan 15; 135(2):180-9.))(([18] Nordenvall C, Nilsson PJ, Ye W, Nyrén O. Smoking, snus use and risk of right- and left-sided colon, rectal and anal cancer: a 37-year follow-up study. Int J Cancer. 2011 Jan 1; 128(1):157-65. doi: 10.1002/ijc.25305.))(([19] Holly EA, Whittemore AS, Aston DA, et al Anal cancer incidence: genital warts, anal fissure or fistula, hemorrhoids, and smoking. J Natl Cancer Inst. 1989 Nov 15; 81(22):1726-31)), nombre des partenaires et l’âge des premiers rapports sexuels
(([20] Coffey K, Beral V, Green j, Reeves G, Barnes I; Million Women Study Collaborators. Lifestyle and reproductive risk factors associated with anal cancer in women aged over 50 years Br J Cancer. 2015 Apr 28; 112(9):1568-74. doi: 10.1038/bjc.2015.89. Epub 2015 Mar 12.))… L’origine du cancer anal est multifactorielle ; agir sur un seul d’entre eux a peu de chance d’être efficace.

Les infections HPV sont extrêmement fréquentes chez les personnes sexuellement actives et leur guérison spontanée très habituelle chez les sujets non immuno- déprimés. Elles pourraient ne représenter qu’un marqueur d’activité sexuelle importante, susceptible comme les microtraumatismes répétés et les autres infections sexuellement transmissibles de maintenir une inflammation locale chronique dont le rôle cancérigène est connu depuis longtemps.

Le rappel de tous les facteurs de risque est nécessaire pour fonder les bases d’une prévention qui ne peut pas se limiter à promouvoir des vaccins, d’autant que 16 ans après leur mise sur le marché, ils n’ont toujours pas apporté la preuve de leur efficacité dans la prévention des cancers invasifs.

Les vaccins anti HPV n’ont pas prouvé qu’ils pouvaient prévenir le cancer

Et en 2020, Rees C. exprimait ses doutes devant la Société Royale de Médecine britannique(([21] Rees C Brhlikova P Pollock A Will HPV vaccination prevent cervical cancer? Journal of the Royal Society of Medicine
https://doi.org/10.1177/0141076819899308)) en ces termes :

« …L’administration de vaccins tels que Cervarix ou Gardasil, à des femmes séropositives pour le HPV n’est pas complètement sans risque, car cela pourrait potentiellement induire des résultats iatrogènes imprévus et cela implique que l’efficacité observée de Gardasil chez les femmes HPV-négatives à l’inclusion est inférieure à ce qui aurait été anticipé

Nous avons procédé à une évaluation critique des essais d’efficacité de phase 2 et 3 publiés concernant la prévention du cancer du col de l’utérus chez la femme. Notre analyse montre que les essais eux-mêmes ont généré des incertitudes significatives qui sapent les allégations d’efficacité dans ces données. Il y avait 12 essais contrôlés randomisés (ECR) de Cervarix et Gardasil. Les populations des essais ne reflétaient pas les groupes cibles de la vaccination en raison des différences d’âge et des critères d’inclusion restrictifs des essais. L’utilisation de résultats de substitution composites et distants rend impossible la détermination des effets sur les résultats cliniquement significatifs. On ne sait toujours pas si la vaccination contre le papillomavirus humain (VPH) prévient le cancer du col de l’utérus, car les essais n’ont pas été conçus pour cela ».

Pire, des articles récents alertent sur la constatation d’une augmentation de l’incidence des cancers du col de l’utérus en Suède depuis la vaccination anti HPV(([22] LARS ANDERSSON Increased incidence of cervical cancer in Sweden: Possible link with HPV vaccination Indian Journal of Medical Ethics Online First Published April 30, 2018))(([23] Wang J, Andrae B, Strander B, Sparén P, Dillner J. Increase of cervical cancer incidence in Sweden in relation to screening history: population cohort study. Acta Oncol. 2020 Aug;59(8):988-993. doi: 10.1080/0284186X.2020.1764095. Epub 2020 May 18. PMID : 32 421 420.))(([24] Edvardsson H, Wang J, Andrae B, Sparén P, Strander B, Dillner J. Nationwide Rereview of Normal Cervical Cytologies before High-Grade Cervical Lesions or before Invasive Cervical Cancer. Acta Cytol. 2021;65(5):377-384. doi: 10.1159/000515912. Epub 2021 Jun 2. PMID : 34 077 926 ; PMCID : PMC8491487))

Et aussi dans d’autre pays (Australie, Grande-Bretagne) rappelant les multiples incertitudes qui grèvent les études initiales bâclées et une autorisation de mise sur le marché précipité…

Dans l’étude pivot qui a permis d’obtenir l’AMM (autorisation de mise sur le marché), la vaccination s’est révélée susceptible d’augmenter le risque de cancers chez les femmes préalablement infectées par le virus HPV ou d’en précipiter l’évolution(([25] VRBPAC Background Document Gardasil™ HPV Quadrivalent Vaccine May 18, 2006 VRBPAC Meeting page 25)). Ce mécanisme explique peut-être qu’actuellement, dans les pays à forte couverture vaccinale anti HPV, les incidences standardisées du cancer invasif du col de l’utérus soient supérieures à celle de la France peu vaccinée (France 6/100000 en 2018, Australie : 6,8/100 000 en 2021, Grande-Bretagne : 9,7/100 000 en 2018 et Suède : 10,4/100 000 en 2020).

Ce vaccin mal étudié est potentiellement dangereux 

On ne peut actuellement pas évaluer les risques des vaccins HPV chez les garçons, mais l’usage du Gardasil chez les jeunes filles a été suivi par des complications dont certaines très graves, en particulier neurologiques sont rappelées dans l’appel des 15(([26] Projet de vaccination universelle contre le papillomavirus (HPV) Nous, médecins et pharmaciens indépendants de l’industrie pharmaceutique dénonçons l’« appel des 50 » au nom de l’intégrité et de la raison.)) et la revue indépendante Prescrire.(([27] Vaccins papillomavirus et syndromes de Guillain-Barré : gérer les incertitude s©Prescrire 1er juin 2016
https://prescrire.org/fr/3/31/52058/0/NewsDetails.aspx
« Vaccins papillomavirus et syndromes de Guillain-Barré : gérer les incertitudes » Rev Prescrire 2016 ; 36 (392) : 427-432. (pdf, réservé aux abonnés) ))

« Dans l’étude française, le vaccin a été associé à un surcroît d’environ 1 à 2 cas pour 100 000 filles vaccinées. Autrement dit, dans l’hypothèse où chaque année les 400 000 jeunes filles concernées par la vaccination choisiraient d’être vaccinées, il y aurait de ce fait chaque année 4 jeunes filles de plus atteintes de syndrome de Guillain-Barré du fait du vaccin, avec une mort tous les 2 ans à 3 ans. Chaque année, 1 ou 2 femmes resteraient handicapées de façon durable ».

En France la réalité de ce type de complications a été illustrée par le procès intenté par les parents de Marie Océane paralysée et contrainte au fauteuil roulant après Gardasil(([28] https://www.lepoint.fr/societe/exclusif-gardasil-marie-oceane-je-ne-pouvais-plus-marcher-25-11-2013-1761448_23.php))(([29] GARDASIL : LA « VIE GÂCHÉE » DE MARIE-OCÉANE ET SON COMBAT « POUR LES PLUS JEUNES »
https://www.charentelibre.fr/region-aquitaine/gardasil-la-vie-gachee-de-marie-oceane-et-son-combat-pour-les-plus-jeunes-6261671.php)). Ce procès a conclu au lien de causalité probable entre vaccin et sclérose en plaques dont l’ANSM reconnaissait 113 cas de en 2013.

Au Japon, les autorités sanitaires ont arrêté de conseiller le Gardasil après que des associations de victimes aient porté plainte.

Manifestation contre la vaccination Gardasil en Colombie

Réunion de victimes du Gardasil au Danemark

Rappelons les moyens de prévention classiques et reconnus

Il est par ailleurs incompréhensible que cette propagande pour la prévention du cancer anal n’en ait pas rappelé les recommandations classiques unanimement admises : utilisation du préservatif pour tous rapports qu’ils soient d’ordre vaginal, buccal ou anal. Ne pas fumer et éviter de s’exposer à la fumée de tabac. Et si l’on se drogue en intraveineuse, toujours utiliser des seringues à usage unique.

En évitant la contamination par le HIV et les autres maladies sexuellement transmissibles, on diminue à coup sûr le risque de développer un cancer anal.

Lorsque la vaccination aura prouvé qu’elle est efficace contre le cancer, elle pourra être proposée sélectivement aux personnes à risques : receveurs de greffe d’organes traités par immuno- suppresseurs, cancéreux en chimiothérapie, malades du sida, adeptes de la sodomie passive.

Une disproportion totale entre le but affiché et les moyens nécessaires

En France, la mortalité par cancer du canal anal est extrêmement faible. Vacciner tous les garçons en espérant ainsi protéger une infime minorité représente un pari trop risqué et trop coûteux.

Même si le vaccin était réellement efficace contre le cancer, combien pourrait-il sauver des 250 hommes qui meurent chaque année de cancer anal ? Avec quels effets secondaires sur des millions de Français ? À un coût prohibitif (180 millions d’euros par an pour vacciner les 370 000 garçons d’une classe d’âge) pour une société qui n’a aujourd’hui plus les moyens d’assurer la continuité aux urgences de 120 hôpitaux ni une prise en charge décente dans les EHPAD ?

Et pour un bénéfice médical très incertain et possiblement négatif ! Le Gardasil pour les garçons ? Non merci !





Livres sur la vaccination

[Transmis par Alain Go]

  • À l’ombre de Pasteur. Souvenirs personnels. Dr. Adrien Loir (neveu de Pasteur). Ed le mouvement sanitaire. 1938. Paris
  • Analyse scientifique de la toxicité des vaccins. Livre 2. Dr Michel de Lorgeryl. 2019
  • Au cœur du vivant. Jacqueline Bousquet. Ed. Saint Michel. 1992
  • Autisme et vaccination : Responsable mais non coupable, Sylvie Simon. Ed Trédaniel 2007
  • Autiste depuis le vaccin : des parents témoignent. Martin Walker. Ed. Ambre 2017
  • Béchamp contre Pasteur. Julio Ximenes. 1960. Livre publié au Brésil puis traduit en Français.
  • Béchamp ou Pasteur. Un chapitre perdu de l’histoire de la biologie. Ethel Douglas Hume 1948 pour la version française (première édition en Anglais : 1923)
  • Big pharma démasqué ! Xavier Bazin. Guy Trédaniel Editions. 2021
  • Ce qu’on nous cache sur les vaccins, Sylvie Simon. Editions Delville. 2006
  • Comme la boutonnière et le bouton. Sylvie Renault. www.unlivreouvert.fr
  • Comment échapper aux épidémies ? Michel Dogna Editions Infos Michel Dogna
  • Considérations sur l’origine des maladies infectieuses. Pr Rappin. 1933
  • Conditions de création et de conservation de la vie. Louis-Claude Vincent. Nature et Progrès. 1979
  • Danse avec le diable. G. Schwab, Ed. Courrier du livre 2010
  • Des enfants sains même sans médecin. Dr R. Mendelshon, Ed. Soleil 1987
  • Des lobbies contre la santé. Roger Lenglet/Bernard Topuz, Ed. Syros 1998
  • Déjà vacciné ? Comment s’en sortir ? Dr. A. Banos-Sylvie Simon. Ed Déjà. 2003
  • Dossier noir des médicaments de synthèse. Dr Louis de Brouwer . Ed. Arys. 1996
  • Dossiers sur le gouvernement mondial. A. Meurois-Givaudan, Ed. Amrita
  • 12 balles pour un veto, Dr Quiquandon, Ed. Agriculture et Vie, tome1 : 1974 tome 2 :1978
  • Essai sur la guérison. Dr René Allendy. Editions Denoël. 1938
  • Exercice illégal de la guérison. Sylvie Simon. Ed. Marco Pietteur. 2002
  • Hépatites : les vaccins catastrophe. Françoise Joët et Claude Bernard. Ed. ALIS
  • Hystérie vaccinale- Vaccin Gardasil et cancer. Drs Nicole et Gérard Delépine. Ed. Fauves. 2018
  • Immunologie et vaccinations. Carnet immunitaire D. Jacques Kalmar. Ed. Les Bardes.
  • Industrie vaccinale. Dr Marc Vercoutère. Editions Morphéus. + E-book. 2018
  • Introduction générale à la médecine des vaccins. Livre 1. Dr Michel de Lorgeril
  • L’apport des vaccinations à la santé publique ? La réalité derrière le mythe. Michel Georget. Editions Dangles. 2014
  • L’aventure de la vaccination. Anne-Marie Moulin. Editions Fayard, 1996
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments. Dr Bruno Donatini, Ed. MIF. 2017
  • L’intoxication vaccinale. Fernand Delarue, Ed. Le Seuil, 1977
  • Introduction à la médecine des vaccins. Livre 1 Dr Michel de Lorgeril. Ed Chariot d’or. 2018
  • L’OMS, bateau ivre de la santé publique. Bertrand Deveaud-Bertrand Lemenicier. L’harmattan 2000
  • La bonne santé des enfants non vaccinés. Dr Françoise Berthoud. Jouvence. Extraits de l’étude de l’Institut Robert Koch (D), portant sur 18000 enfants.
  • La catastrophe des vaccins obligatoires. Pr. Jules Tissot, Ed. de l’Ouest, 1950
  • Le Complexe médico-industriel de ATTAC. JC Salomon. Ed. Mille et une nuits 2003
  • Les chemins de la souveraineté individuelle. René Bickel. 1979
  • Les dessous des vaccinations. Dr Alain Scohy. Ed. Des clefs pour vivre
  • La dictature des laboratoires chimiques et pharmaceutiques. Dr Louis Bon de Brouwer
  • La dictature médico-scientifique, Sylvie Simon, Ed. Filipacchi 1997
  • La faillite du BCG Dr Marcel Ferru, Pr honoraire de clinique médicale infantile, Ed. Princeps 1977
  • La guerre microbienne est commencée (L’imposture du BCG) Dr Paul Chavanon Ed. Dangles 1950
  • La guerre des virus. Léonard Horowitz, Ed. Félix 2000
  • La lumière médicale. Dr Norbert Bensaïd, Ed. le Seuil 1982 et Ebook en 2019
  • La mafia médicale. Dr Ghislaine Lanctot, Ed. Voici la clé. 2002
  • La médecine retrouvée. Dr Jean Elminger, Ed. Léa. 1985
  • Le nouveau dossier noir du vaccin Hépatite B. Lucienne Foucras. Ed. Résurgence. 2009
  • La nouvelle dictature médico-scientifique : L’emprise des lobbies sur notre santé. Sylvie Simon. Ed Dangles 2006
  • La peste de la corruption. Dr. Judy Mikovits. Le Jardin des livres. 2021
  • La piqûre de trop. Riva Catherine, Dr. JP Spinosa. Xenia Editions 2010
  • La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ? Dr Jean PILETTE, Ed. de l’Aronde, 1997
  • La rançon des vaccinations. Simone DELARUE, Ed. LNPLV, 1988
  • La santé assassinée. Isabelle Robard. Ed. de l’ancre.
  • La santé confisquée. Mirko et Monique Beljansky, Ed. Compagnie
  • La santé hors la loi. Isabelle Robard. Ed. de l’ancre. 1994
  • La Santé Publique en otage. Eric Giacometti, Ed. Albin Michel. 2001
  • La théorie VIH du SIDA, incohérence scientifique. Rebecca Culshaw. Ed. Marco Pietteur. 2009
  • Le grand secret de l’industrie pharmaceutique. Philippe Pignarre. Ed. La Découverte. 2004
  • Le malade déchaîné. R. BICKEL, auto édité
  • La mort subite du nourrisson. Colette Leick-Welter. Ph.D, AEGIS
  • Le procès de la mafia médicale. Joachim Schafer. Ed. Voici la clef. 1997
  • Le racket des laboratoires pharmaceutiques. M.Rivasi, S.Rader, M.O. Berthella-Geffroy. Ed. Les petits matins. 2015
  • Le tabou des vaccinations. Danger vaccins, thérapies naturelles de prévention… M Schär Manzoli. Editions ATRA. 1999
  • Les 10 plus gros mensonges sur … les vaccins. Sylvie Simon. Ed. Dangles. 2005
  • Les chemins de la souveraineté individuelle. R. Bickel, auto édité
  • Les dégâts des métaux lourds. Dr Jean-Pierre Willem. Ed. trédaniel. 2014
  • Les dessous des vaccinations. Dr Alain Scohy, Ed. Cheminements. 2000
  • Les inventeurs de maladies : Manœuvres et manipulations de l’industrie pharm. Jörg Blech. Ed. Actes Sud 2005 et 2008
  • Les vaccins à l’ère de la Covid 19. Dr Michel de Lorgeril. Kiwi. 2021
  • Les vaccins contre la grippe. Livre 7. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2021
  • Les vaccins contre les cancers Livre 8. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2021
  • Les vaccinations dans la vie quotidienne. Simone Delarue. LNPLV. 1986
  • Les vaccinations, prévention ou agression ? Marie-Thérèse Quentin. Ed. Vivez soleil. 1995
  • Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies, Fernand et Simone Delarue, LNPLV. 1985
  • Les vaccins, racket et poison ? Dr Paul Emily
  • Les vaccins – Ce qu’on nous cache sur leurs effets indésirables Sylvie Simon. Ed. Grancher. 2014
  • Les vaccins du nourrisson Livre 3. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2019
  • Les vaccins du nourrisson Livre 4. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2019
  • Les vaccins du nourrisson Livre 5. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2019
  • Les vaccins du nourrisson Livre 6. Dr Michel de Lorgeril. Ed. Chariot d’or. 2021
  • Les vaccins en question. Pamela Acker. Ed. Le cep. 2021- 400 références scientifiques
  • Les vaccins sont-ils une illusion ? Tetyana Obukhanich Immunologiste. Macro Editions 2018
  • Les Vérités indésirables, Le cas Pasteur. Dr Philippe Decourt, Ed. La Vieille Taupe, 1989
  • Lettre ouverte à Mr Pasteur Louis. Dr Yves Robin. France Europe Edition. 2002
  • Majeur et vacciné, ou … le droit de vivre ? Giorgio Tremante
  • Maladies auto-immunes. Dr. J. Elminger. Biosophie.
  • Mémento vaccins CHAT 10-A11. José Mulenda Zangela. Edilivre-Aparis. 2020
  • Mon enfant et les vaccins. Dr Françoise Berthoud, Ed. Soleil
  • Médecine, religions et peurs. Olivier Clerc. Ed. Jouvence. 1999
  • Mort subite du nourrisson. Dr Archie Kalokerinos. IFC. 1997
  • Nos droits face à la dictature vaccinale, Ed. Harmonie et Santé
  • Nous te protègerons ! La poliomyélite. Dr Jean PILETTE, Ed. Daxhelt
  • On peut tuer ton enfant. Dr Paul Chavanon. Ed. Médicis. 1946
  • Pandora, livre 1. Philippe A Jandrok. 2016
  • Pandora, livre 2. Philippe A Jandrok Plusieurs autres livres à suivre, à compléter.
  • Parasitisme normal et microbisme. Dr V. Galippe. Masson et Cie. 1917
  • Pasteur, l’imposteur. Dr Auguste Lutaud : M. Pasteur et la rage. 1887. Talma Ed. Réédition 2020.
  • Patients, si vous saviez : Confessions d’un médecin généraliste. Christian Lehmann. Ed. Robert Laffont 2003
  • Phobie des microbes et Manie vaccinale. Dr Yves Couzigou. Vie et action. 1989
  • Piqûre de rappel. Bouchra Jaber. Edilivre. 2016
  • Pour en finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifiq. Dr Eric Ancelet, Ed. M Pietteur 1999
  • Pour en finir avec nos peurs. Dr Eric Ancelet. Ed. Medicatrix 2021
  • Pourquoi vacciner ? La fin de la vaccination. Pierre-Jean Arduin. Auto-édité. 2016
  • Prenez en main votre santé : Tomes 1, 2 et 3. Michel Dogna. Ed. Guy Trédaniel. 2017
  • Qui aime bien, vaccine peu ! Groupe Médical de réflexion Ed. Jouvence. 2018 + E-book
  • Raspail et Pasteur, 30 ans de critiques méd. et scientifiques, 1884-1914, Xavier Raspail. Ed. Vigot Frères, première édition 1916 réédité en 2021 Hachette
  • Santé, mensonges et propagande. Isabelle Robard-Thierry Souccar Ed. Seuil. 2004
  • Sarah ne veut pas être vaccinée. Dr Andreas Bachmair – Madlen Maker 2015
  • Tétanos, le mirage de la vaccination. Françoise Joët, Ed. Alis et Fiat Lux Ed. 2019
  • Toxic Story, Pr Romain Gherardi. Editions Actes Sud 2019
  • Un bon Pasteur ? Marc Aveyrous. Louise Courteau Editions. 2007
  • Vaccin, assassin ! Bouchra Jabber Editions Résurgence Ed.Marco Pietteur 2021
  • Vaccins, oui ou non ? Stefano Montanari, Antonietta M. Gatti, Serge Rader, Editions Talma. 2017
  • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale. S Simon – Dr M Vercoutère, Ed. Marco Pietteur 2001
  • Vaccination, la grande désillusion. Dr S. Humpries et R Bystrianyk. Résurgence. 2021
  • Vaccination : la grande illusion. René Bickel. Autoédité. 2008
  • Vaccination l’overdose – Désinformation, scandales financiers, imposture. S. SIMON Ed. Déjà 1999
  • Vaccinations : erreur médicale du siècle. Dr Louis de Brouwer, Ed. Louise Courteau, 1999
  • Vaccinations : je ne serai plus complice ! Dr. Jean Meric. Ed. Marco Pietteur 2004
  • Vaccinations : le droit de choisir. Dr François Choffat, Ed. Jouvence 2017 + E-book
  • Vaccinations : le marché de l’angoisse. Dr. Gerharg Buchwald.
  • Vaccinations : prévention ou agression ? M. Th. Quentin, Ed. Vivez Soleil. 1995
  • Vaccinations, les vérités indésirables. Pr Michel Georget, Ed. Dangles, préface du Pr Cornillot. 2007. L’auteur s’appuie sur 800 références scientifiques.
  • Vaccinations, quelles alternatives ? Dr Zoltan Rona. Utovie. 2020
  • Vaccination/protection : mythe ou réalité ? Simone Delarue. LNPLV. 1992
  • Vacciner nos enfants : le point de vue de 3 médecins. Dr Françoise Berthoud. Ed. Vivez soleil. 1985
  • Vaccins, Abus de confiance. Dr Alain Perrier. Editions Marco Pietteur. 2011
  • Vaccins, comment s’y retrouver ? Pr Henri Joyeux. Editions du Rocher. 2015
  • Vaccins : l’avis d’un avocat : On nous aurait menti ? Me Jean-Pierre Joseph. Editions Testez. 1995
  • Vaccins : l’avis d’un médecin holistique. Dr Christian Tal Schaller. Editions Testez. 2006
  • Vaccins, un génocide planétaire ? Dr Christian Schaller. Testez Editions. 2009
  • Vivre sans vaccins. Dr Andreas Bachmair. CISPP. 2013

Ebooks :

  • Faut-il avoir peur des vaccinations ? Sylvie Simon avec 20 médecins. Ed. Déjà. 2016
  • La fabrique de malades. Dr Sauveur Boukris. Le cherche midi. 2013
  • Le pass sanitaire, c’est la liberté ? Stéphane Polsky. Ed. Yves Michel 2021
  • Le grand reset et la guerre du vaccin. Nicolas Bonnal. Autoédité. 2021 www.francelibs.com
  • Vaccins, bienfaiteurs ou assassins ? la faillite de l’empire vaccinal. Dr Tal Schaller. https://boutique.santeglobale.world/
  • Le mythe de la contagion Thomas Cowan 2020 :
    https://www.bonnes-habitudes.fr/2021/12/26/le-mythe-de-la-contagion/
  • Vaccinations et politiques vaccinables. Editions Morpheus

Livres associés :

  • Création d’une épidémie ou comment on abuse l’opinion, Ed. Harmonie et Santé
  • Hépatite B et vaccination, Ed. Harmonie et Santé
  • Les 10 plus gros mensonges sur … les médicaments. Sylvie Simon
  • Les 10 plus gros mensonges sur…la sclérose en plaques. Dr J.P. Maschi
  • Les radis de la colère. J.-P. Joseph, Avocat à Grenoble, Ed. Louise Courteau. 1999
  • Dossiers sur le gouvernement mondial, A. Meurois-Givaudan, Ed. Amrita,
  • L’affaire Schaller : mon combat contre la rumeur : Encore un médecin victime des mafias pharma
  • Le mythe du « trou de la Sécu ». Julien Duval 2007
  • La guerre secrète contre les peuples. Claire Séverac. Ed. Kontre culture. 2015
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments. Dr. Bruno Donatini. Ed. MIF
  • Savants maudits, chercheurs exclus. Pierre Lance (4 volumes parus chez Guy Trédaniel Editeur)
  • Virus mania. 4 auteurs. Ed. Résurgence. 2021
  • Un monde de menteurs. Pat Jauland- Jacky Cassou. Auto-édité. 2021
  • Faux virus, fausse pandémie, vrais coupables. Pat Jauland- Jacky Cassou. Auto-édité. 2021
  • Enquête sur un virus Covid 19. Manipulations, vols, meurtres, influences et guerres médiatiques. Philippe Aimar. Le jardin des livres. 2021.
  • L’épidémie du mensonge. Jean Pernin. JMG Editions. 2021. Tomes 1 et 2
  • L’autisme n’est pas irréversible. Evelyne Claessens. Groupéditions. 2009

Livres à vérifier ou à retrouver :

  • Regard malin sur les vaccins…
  • Pasteur, l’imposteur ? Dr Serge Rader
  • Tuberculose et vaccin B.C.G. Pr GRIGORAKI
  • Vacciner ou ne pas vacciner votre enfant, Ed. Harmonie et Santé
  • Vaccinez-vous, sans vaccin. Dr Pierre Bressy (non édité ?)

Quelques livres en Anglais :

  • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines. Washington DC National Academy Press. 1991
  • A shot in the dark, Dr Harris and B Loe Fisher. Avery Publishing Group. 1991
  • Immunisation, theory versus reality. New Atlantic Press. 1996
  • Live viral vaccine, biological pollution Pr. R Delong. Cartlon Press Corp. New York. 1996
  • Pasteur, plagiarist, imposter by R. B. Pearson. 1942
  • Vaccination, social violence and criminality. Harris Coulter. North Atlantic Books. Berkley. 1990
  • Vaccination: 100 years of orthodox research shows that vaccines represent an assault on the immune system Viera Scheibner. 1993
  • Callous Disregard: Autism and Vaccines: The Truth Behind a Tragedy. Andrew Wakefield. Skyhorse Publishing. 2010

DVD :

Liens :

Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus