Le Covid, une crise spirituelle ?

[Source : jdmichel.com]

Par Jean-Dominique Michel

La dérive en cours continue de révéler peu à peu son vrai visage, lequel n’a rien à voir en réalité avec la santé publique.

Comment et pourquoi notre société devient-elle ainsi folle et malfaisante ? Et en quoi cela implique-t-il notre relation au sacré ? Voilà les thèmes que j’ai été invité à développer par le collectif Réinfocovid-Genevois (74) le 13 juin 2022.

J’y visite également les fascinants territoires du rétablissement en santé mentale, des pratiques de soins traditionnelles et des processus de guérison inexpliquée.

Avant de revenir au transhumaniste qui est, littéralement, un nouveau fascisme à caractère démoniaque, au sens où l’entend la tradition judéo-chrétienne : menteur, haineux et ennemi du genre humain…




Défendre la France

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La Russie se bat pour la préservation de l’Humanité

[Source : russtrat.ru]

[Traduction automatique révisée, à partir de deux moteurs logiciels traducteurs différents.]

L’Occident d’aujourd’hui n’a aucune image de l’avenir. Le puçage universel, l’intelligence artificielle et la déshumanisation, les LGBT, la destruction de la famille, la cessation de toutes les formes d’identité humaine, c’est une image de la mort, pas du futur.

MOSCOU, 16 juin 2022, Institut RUSSTRAT.

L’Institut RUSSTRAT présente la retranscription du discours du membre du Conseil d’administration (ministre) chargé de l’Intégration et de la Macroéconomie de la CEE, Sergey Glazyev, lors de la table ronde « Russie : quelle image du futur répond aux objectifs de développement national ? Le 1er juin 2022 dans l’agence de presse REGNUM, organisé par l’Institut RUSSTRAT et l’agence de presse REGNUM.


Par Sergey Glazyev

Passons maintenant aux questions fondamentales de notre être. Et une opération militaire spéciale est un catalyseur pour ce processus de compréhension de notre place dans le monde et bien sûr, nous avons besoin d’une image de l’avenir. Je voudrais attirer votre attention sur le fait que l’opération militaire spéciale, initialement annoncée comme une dénazification, une démilitarisation — nous comprenons ce que cela signifie pour l’Ukraine — a maintenant commencé à augmenter progressivement les enjeux sur ce front.

Tout le monde dit déjà qu’il s’agit d’une guerre hybride mondiale, même s’il était clair dès le début que l’opération spéciale devait être considérée dans un contexte beaucoup plus large. Beaucoup pensent maintenant qu’il s’agit d’une guerre de civilisation, où différents systèmes idéologiques sont confrontés. Il est clair qu’il s’agit d’une guerre du bien contre le mal et d’une guerre pour la survie de l’humanité à long terme.

Avant de parler de l’image de notre avenir, je voudrais attirer votre attention sur les modèles de développement socio-économique et politique à long terme. Nous — je veux dire un groupe de scientifiques de l’Académie des sciences qui travaillent dans des cycles longs de développement économique et social — avons d’abord réussi à prévoir cette guerre particulière de 2022. En 2014, il était clair que le défi auquel nous étions confrontés et dont le résultat était la réunification avec la Crimée affecterait certainement l’ensemble du monde russe, y compris le territoire de l’Ukraine. J’ai même eu un livre intitulé The Last World War : The US Starts and Loses [La dernière guerre mondiale : les États-Unis la commencent et la perdent].

Quelque part, ce que nous voyons aujourd’hui a été formulé de manière presque absolument précise, y compris le nombre des forces armées ukrainiennes et le rôle des Américains et des Britanniques dans cette occupation de l’Ukraine, ainsi que la culture du nazisme ukrainien. Tout cela a été prédit presque dans les moindres détails — nous poursuivons nos recherches, selon lesquelles le pic de confrontation tombe en 2024. C’est la prévision que mon collègue donnait il y a 10 ans, avant même l’opération militaire actuelle, et même avant 2014. Et puis il n’y avait pas nos nouveaux cycles politiques de sept ans.

Pourquoi 2024 et pourquoi sommes-nous dans cette situation de guerre hybride ? Le fait est que la période moderne est caractérisée par deux événements révolutionnaires simultanés. Le premier est la révolution technologique, dont on parlait beaucoup autrefois. On l’appelle différemment, on dit qu’il s’agit d’un changement dans les structures technologiques. Et ce changement de modèles technologiques se produit toujours à travers une dépression économique, qui dans ce cycle a commencé dans le monde depuis 2008 — depuis le début de la crise financière mondiale.

Et au cours de cette phase de transition, un nouvel ordre technologique s’est déjà formé, un complexe bien connu de technologies de l’information et de la communication de nano-ingénierie, qui évolue non seulement dans l’économie, mais aussi dans les méthodes de guerre. Nous voyons en fait que nous ne sommes pas seulement confrontés à un ennemi basé au Pentagone et au Mi-6. Nos troupes sont confrontées à l’intelligence artificielle. C’est déjà la guerre d’un nouveau paradigme technologique.

Mais un point plus important est le changement des structures économiques mondiales dans le contexte de notre sujet d’aujourd’hui. Le changement des structures économiques est un processus qui se produit une fois par siècle et au cours duquel le système de gestion change. Auparavant, nous l’aurions appelé un processus de révolution sociopolitique, mais, en termes modernes, il s’agit d’un changement radical des institutions des relations économiques mondiales, des relations de production et de tout le système de gestion du développement socio-économique, qui s’accompagne d’un changement des centres de l’économie mondiale.

L’économie mondiale se déplace rapidement vers l’Asie du Sud-Est, qui représente déjà plus de la moitié de la croissance du produit intérieur brut. Et dans ce nouveau centre de l’économie mondiale, un système de gouvernance complètement différent s’est formé par rapport à celui dans lequel nous vivons aujourd’hui. Je dois dire que le changement des structures économiques mondiales, vous le voyez dans cette image ci-dessus. Ce sont des structures économiques mondiales avec un cycle de changement d’une fois par siècle. Et en dessous se trouve le stade technologique, dont le cycle de changement est d’environ 50 ans.

Les stades technologiques sont bien connus dans la littérature sous le nom d’ondes longues de Kondratiev ou, plus précisément, les cycles de vie des stades technologiques et leur phase de croissance sont une longue « onde de Kondratiev ». La phase de croissance de la structure économique mondiale est un cycle d’accumulation de capital qui dure un siècle.

Une fois par siècle, une résonance dangereuse se produit lorsque nous sommes confrontés simultanément à une révolution technologique, une révolution socio-économique et une révolution sociopolitique. Au cours de ce processus, non seulement la technologie change, mais aussi l’état d’esprit change. L’idéologie change, si vous voulez.

À titre d’exemple, citons la phase précédente du changement des structures économiques mondiales. C’est un processus qui, malheureusement, se déroule toujours à travers les guerres mondiales. Les guerres mondiales dans ce cas sont dues au fait que l’élite dirigeante de l’ancien centre de l’économie mondiale ne veut pas se séparer de son hégémonie et tente de toutes ses forces de la conserver, jusqu’au déclenchement d’une guerre mondiale. Il y a 100 ans, lors du passage de l’économie mondiale coloniale au monde impérial, elle a traversé deux guerres, la Première et la Seconde Guerre mondiale, entre lesquelles il y a eu une grande dépression.

L’économie mondiale coloniale est un système de relations industrielles fondé sur une entreprise familiale privée. En termes politiques, l’Empire britannique avait la plus grande marge de manœuvre pour cette économie mondiale. La combinaison des institutions de l’administration d’État, dont le noyau était la domination monarchique de la Grande-Bretagne, avec l’entreprise capitaliste privée a donné naissance à l’oligarchie bourgeoise anglaise qui a réussi à organiser de grands monopoles de type commercial et manufacturier. Ceci a assuré la domination de la Grande-Bretagne sur les mers et les océans.

Il s’agit de la structure économique mondiale des colonies, où l’Empire russe a également joué un rôle important. Ce mode de vie avait épuisé ses possibilités de développement à la fin du XIXe siècle. Cela était dû au fait que les possibilités d’utiliser la main-d’œuvre esclave étaient épuisées. Le modèle est bien décrit par Marx. Lorsque les gens ont été échangés en tant qu’êtres humains à grande échelle — non seulement dans les colonies, mais aussi dans les métropoles. Les gens étaient exploités 12 heures par jour sans jours de repos. Le capital privé a utilisé ce travail comme principale source d’enrichissement. Il n’y avait pas de droit du travail, pas de syndicats, pas d’État-providence. Tout cela est apparu avec la structure économique mondiale impériale.

Mais ici, il est important de comprendre que la Grande-Bretagne a atteint les limites du développement et que des pays dotés de systèmes de gouvernement plus progressistes ont commencé à marcher sur ses talons. Y compris l’Empire russe, l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie, les États-Unis. Les services secrets britanniques sont à l’origine de la Première Guerre mondiale qui a permis à la Grande-Bretagne de devenir le leader mondial. Elle s’est renforcée autant que possible, mais seulement 20 ans plus tard, elle a été entraînée dans la Grande Dépression. Aucune mesure pour sauver l’Empire britannique n’a aidé. Ils ont alors — comme aujourd’hui les États-Unis contre la Chine — mené une guerre commerciale contre les États-Unis, imposé un embargo sur l’importation de marchandises américaines.

Il s’est avéré que pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Empire britannique, bien qu’il soit resté parmi les vainqueurs, n’a pas pu profiter de la victoire en raison du caractère archaïque de son système de gestion. Il n’était plus utile. Il n’apportait plus aucun progrès économique. La croissance économique basée sur l’exploitation de la main-d’œuvre esclave a cessé de produire des surplus. L’Empire britannique s’est effondré à peine 2 ans après la Seconde Guerre mondiale. Ceci est important pour nous maintenant du point de vue de l’analogie historique.

Un nouvel ordre économique mondial. Nous l’avons appelé impérial, car pour la première fois au monde, il couvrait la quasi-totalité de la planète, les deux tiers du monde. L’autre tiers était l’Union soviétique. Son ordre économique mondial reposait sur un État-providence, sur de grandes structures de production intégrées verticalement. Sur la question de la monnaie et de l’utilisation de la monnaie non pas tant comme capital, mais comme instrument de financement de la croissance économique.

En général, l’ordre économique mondial se composait de trois variétés idéologiques. Les deux premiers nous sont bien connus :

  • le système soviétique avec des associations de recherche et de production dirigées par le Parti communiste, qui a construit le socialisme en se réclamant du communisme ;
  • le système américain, qui était basé sur les sociétés transnationales et l’émission sans fin du dollar, qui leur a permis de mener l’expansion mondiale.

Et le troisième système, qui est tombé dans l’oubli grâce à l’exploit du peuple soviétique, est le système du fascisme européen, dans lequel le national-socialisme allemand, l’État corporatif italien et les nazis de tous bords de divers autres pays européens ont essayé d’imposer au monde leur version nazie de cet ordre économique mondial.

Je note que la structure économique du monde colonial s’est avérée en réalité absolument non compétitive. La Grande-Bretagne a perdu la guerre en Europe face au fascisme allemand en seulement deux ans, et seules la puissance de l’Union soviétique et l’aide des États-Unis, un pays qui avait déjà un nouveau système de gouvernement, ont réussi à écraser ce scénario fasciste. Et puis le système colonial britannique est mort.

En d’autres termes, cette expérience historique montre que le changement des structures économiques mondiales passe par la conscience sociale, bien sûr. Et l’émergence d’un nouveau système de gestion qui concerne avant tout les relations entre les personnes ne peut qu’être combinée avec un nouveau système d’idées, de vues et de principes.

Nous avons maintenant un processus similaire en cours. Nous nous éloignons de l’économie mondiale impériale, où seuls les États-Unis subsistaient. Là, cette transition a commencé avec l’effondrement de l’Union soviétique. Tout comme il y a 100 ans, cela dure depuis 30 ans. Tout comme la transition précédente a duré pratiquement de l’an 1914 à 1947. Ainsi la transition actuelle dure depuis un tiers de siècle.

Après l’effondrement de l’Union soviétique, qui fut la première à ne pas répondre aux exigences du progrès scientifique et technologique, nous assistons maintenant à l’effondrement des États-Unis. Les États-Unis ne sont plus le leader mondial. Dans une tentative de surmonter la crise financière mondiale en pompant de l’argent, les États-Unis ont finalement conduit la situation à l’effondrement de l’ensemble du système financier et à une inflation croissante, qui atteint déjà 30 % dans les prix des entreprises.

Nous avons vu l’autodiscrédit du système américain lors de la dernière élection présidentielle qui a été truquée. L’Amérique n’est pas une voie plus attrayante. De plus, comparés à la Chine et à l’Inde, qui ont brillé ces 15 dernières années, les États-Unis et l’UE, malgré une base monétaire multipliée par quatre, n’ont pas été en mesure de s’engager dans un développement économique durable. Si nous considérons le système de gestion occidental en termes d’efficacité, l’émission monétaire est de 20 à 25 %. Seul un euro émis sur quatre ou cinq va se retrouve dans le secteur manufacturier [ou productif].

En Chine et en Inde, un système de gouvernance fondamentalement différent a émergé qui combine la planification centrale stratégique avec la concurrence du marché, où l’État joue un rôle dominant dans l’organisation de la circulation de l’argent et offre aux entreprises privées un accès illimité à l’argent si cela conduit à la croissance du bien-être public.

Toutes les prévisions montrent qu’à la fin de cette décennie, l’ancien ordre économique mondial aura plus que diminué de moitié, et le cœur du cycle d’accumulation asiatique — la Chine, l’Inde, les pays d’Indochine, le Japon, la Corée — sera devenu absolument dominant dans tous les indicateurs macroéconomiques.

Ce processus est irréversible, mais plus cette transition, qui est évidente pour tout le monde, est proche, moins il reste de pouvoir au cœur de l’ancien ordre économique mondial, plus ils [ceux qui le défendent] deviennent agressifs. Et ici, le même mécanisme de guerre hybride est à l’œuvre, que les Britanniques ont utilisé pendant la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre mondiale. Nous les appelions hybrides parce que les guerres concernaient le territoire.

Dans le cadre du nouvel ordre économique mondial, des guerres se déroulent maintenant pour la conscience, pour l’esprit des citoyens de différents pays, et, contrairement à la guerre du siècle dernier, la guerre actuelle est une guerre, avant tout, pour la domination dans la conscience publique. Par conséquent, le front principal est le front informationnel-cognitif. Ici les questions d’idéologie sont primordiales.

Le deuxième front le plus important est le front monétaire et financier, où dominent encore les États-Unis et l’Union européenne. Et ce n’est qu’en troisième lieu que sont utilisés des chars, des missiles et des avions qui, en fait, dans le cadre de cette guerre mondiale hybride, sont appelés à punir les vaincus. C’est-à-dire intimider, détruire tout désir de résistance, etc.

Tout comme la Grande-Bretagne a déclenché la Première Guerre mondiale, lorsqu’elle a déjà compris que la puissance combinée de l’Allemagne, de la Russie, de l’Autriche-Hongrie dépassait les Britanniques et qu’il restait quelques années pour un tournant dans le leadership mondial, l’élite dirigeante américaine a lancé une guerre hybride mondiale. Dans le même temps, une guerre commerciale américaine se déroule, comme on peut le voir, contre la Chine. La guerre des sanctions contre nous dure déjà depuis plus de 8 ans — et cette aggravation des tensions géopolitiques se déverse aujourd’hui dans des événements dramatiques dans lesquels nous sommes aujourd’hui pleinement impliqués.

En quoi le nouvel ordre économique mondial diffère-t-il du précédent, impérial ? Veuillez noter que l’État qui se forme aujourd’hui en Chine et en Inde intègre toutes les réalisations de l’édification de l’État des époques précédentes. Il s’agit d’un État-providence. C’est un État de droit démocratique, mais en même temps souverain. C’est-à-dire que la particularité du nouvel ordre économique mondial est que l’État leader ne cherche pas à imposer ses modèles à tous les autres pays.

S’il y avait trois modèles dans la structure économique mondiale impériale, dont deux ont eu lieu — le soviétique et l’américain, et le troisième, qui n’a pas eu lieu — le fasciste allemand, ceux-ci ont essayé de refaire le monde entier à leur image et à leur ressemblance. Pour créer partout les mêmes fractales qu’au centre.

La souveraineté économique mondiale est restaurée dans le nouvel ordre économique mondial. C’est un point fondamental. L’État dans ce nouvel ordre économique mondial restaure les valeurs morales. C’est un État humain, juste, intellectuel, responsable et, pour le dire brièvement, idéologiquement, c’est un État socialiste.

Mais en Chine, nous voyons l’image familière du Parti communiste à la tête de cet État. L’Inde a la plus grande démocratie du monde, mais ne négligeons pas le socialisme de Gandhi. Toutes ces traditions sont vivantes et les modèles de gestion — j’attire votre attention — en Chine et en Inde sont assez proches : contrôle de l’État sur le système bancaire, prêts illimités pour la croissance de la production, utilisation du marché à des fins d’efficacité économique de la concurrence.

L’État stimule l’entrepreneuriat privé, et le stimule sans limites s’il génère des revenus. D’où l’augmentation du bien-être des gens. Si l’entrepreneuriat privé est destructeur, s’engage dans la spéculation, tente de profiter de la déstabilisation de l’économie, cet entrepreneuriat est sévèrement bloqué. La Chine et l’Inde ont des contrôles de change stricts et l’exportation de capitaux n’est pas autorisée. L’argent est prêté à des taux allant de 0 % à 4-6 %, en fonction de la priorité accordée aux prêts. L’émission ciblée de crédits est largement utilisée comme outil de planification stratégique.

Nous l’avons appelé intégral parce que l’État y rassemble la société. Il rassemble différents groupes sociaux autour du critère principal qui est l’augmentation du bien-être public. Dès lors, toute la politique économique repose sur ce critère. Comparons l’essence de la politique économique menée dans le nouvel ordre économique mondial [à l’ancien qui s’écroule].

Ici, en comparant aux modèles existants du Consensus de Washington, j’attirerai l’attention sur la principale différence. Premièrement, le but de l’économie n’est en aucun cas de faire de l’argent. Le but de l’économie est d’augmenter le bien-être social.

D’où la planification stratégique, d’où l’utilisation de l’argent comme outil. D’où une fiscalité progressive et des mesures concrètes de justice sociale. Toutes les exigences d’un État-providence concernent l’éducation et la santé qui devraient être libres et assurer la reproduction du capital humain de la manière la plus complète possible. Le système fiscal du budget fiscal est axé sur le développement, et pas seulement sur les soi-disant « fonctions d’un État bureaucratique policier ». Les prix sont réglementés en fonction des proportions souhaitées de la reproduction de l’économie.

Les relations de travail sont dominées par la coopération et l’antagonisme entre le travail et le capital disparaît définitivement. La forme dominante de propriété privée est, selon notre conception, l’entreprise du peuple. Une entreprise dans laquelle les travailleurs sont aussi les propriétaires.

C’est ainsi que se développent Huawei, Xiaomi et d’autres issus de coopératives. C’est-à-dire qu’il s’agit d’une économie de partenariat social, où l’argent profite [à tous] et tout ce qui tourmente notre économie, comme l’exportation de capitaux, est limité dans le système de régulation économique pour que les revenus des gens augmentent. Et l’entrepreneur grandit en proportion de sa contribution à l’essor du bien-être public.

Et il ne fait aucun doute ici qu’une politique industrielle, agricole, scientifique et technique est nécessaire. Ce sont toutes des politiques publiques clés évidentes qui gèrent le mécanisme du marché de la manière nécessaire pour augmenter le bien-être public.

Passons maintenant aux versions idéologiques de ce nouvel ordre économique mondial. La construction du socialisme se poursuit en Chine, bien qu’avec des caractéristiques chinoises, mais il faut le comprendre de cette manière. Si le socialisme soviétique cherchait à rendre le monde entier heureux, nous voulions réaliser un système socialiste partout dans le monde en dépensant beaucoup d’argent pour cela, alors que le socialisme à la chinoise signifie que l’idée socialiste et l’idée nationale vont de pair.

Et en Chine, nous voyons les slogans suivants : voici une société de prospérité universelle, voici la grande renaissance de la nation chinoise. C’est-à-dire qu’ici l’idée du socialisme et du nationalisme positif, qui ne prétend pas être une exclusivité nationale, mais place le bien-être de son propre pays au premier plan, est une caractéristique essentielle.

Nous voyons la même chose en Inde : combinaison du socialisme, de l’économie de marché et de l’idée nationale, même si cette dernière est appliquée en termes de prospérité croissante. C’est compréhensible pour un pays qui a une population gigantesque qui a vécu dans la pauvreté pendant des siècles. Pour eux, la montée de la prospérité est un point déterminant, pas une idée nationale. De plus, contrairement au socialisme soviétique, qui a grandi dans un environnement de « forteresse assiégée » et avait en même temps inévitablement des caractéristiques de mobilisation et de suppression de la liberté individuelle afin de sauver la société et l’État, il n’y a pas de tels risques ici. Ni en Chine ni en Inde.

[Ndlr : au vu des systèmes de crédit social et de surveillance, il semble pourtant bien au contraire que la liberté individuelle soit en train de passer par-dessus bord.]

Mais il est évident que la poursuite du développement du monde dans un avenir prévisible se déroulera de la même manière qu’au XXe siècle, où il y avait une concurrence entre l’Union soviétique communiste et l’Amérique démocratique. Maintenant, la confrontation va se dérouler entre « l’Occident démocratique », la Chine communiste et l’Inde démocratique. La question est de savoir où nous serons.

Il existe une troisième version de cette idéologie du nouvel ordre économique mondial. Il est en fait une continuation du vecteur de vision du monde occidental nazi, pour ainsi dire. Le racisme a dominé l’Empire anglais au XIXe siècle, le nazisme a longtemps dominé l’Europe pendant la Seconde Guerre mondiale.

Et maintenant, les récepteurs de cette forme misanthropique la remplissent du contenu du postshumanisme : un camp de concentration électronique, tout le monde doit marcher en formation et obéir aux exigences de l’Organisation Mondiale de la Santé ou d’autres analogues d’un gouvernement mondial.

[Ndlr : l’idéologie transhumaniste promue par Klaus Schwab et qui a effectivement de nettes racines nazies. Voir notamment Les valeurs familiales de Schwab]

Autrement dit, c’est l’idée d’une transition vers un état post-humaniste, post-humain, où les gens sont considérés comme un outil de manipulation. Plus précisément, l’objet de manipulation — et l’idéologie se construit pour atomiser la société.

Autrement dit, le principal vecteur idéologique est la privation des personnes de toute identité collective, identité nationale, identité de genre. En général, même l’identité humaine. Les gens commencent à se percevoir comme n’importe quoi : des cyborgs, des animaux, des plantes.

Il y a une inhumanisation en cours, et ce type de matériel posthumain est incorporé dans une intelligence artificielle et facilement manipulable, remplaçant les idéologues qui, en général, imposent déjà leurs modèles de comportement à cette posthumanité et font en sorte que les gens se comportent de la manière dont le contrôle oligarchique artificiel mondial a besoin.

En même temps, on voit se développer des méthodes qui permettent d’amener cette société posthumaine à n’importe quel état, jusqu’à l’autodestruction collective. Je suis sûr que s’ils commencent à injecter un vaccin avec une sorte de poison, il y a déjà des mécanismes en place : la plupart des gens vont se bousculer pour prendre le vaccin.

[Ndlr : c’est déjà ce à quoi nous avons assisté depuis 2020.]

Nous sommes dans cet État mondial en transition, à la périphérie, pour dire les choses crûment. Après l’effondrement de l’Union soviétique, nous nous sommes retrouvés à la périphérie économique des États-Unis. Notre pays était utilisé comme un pays périphérique typique, à partir duquel des milliards de tonnes de ressources ont été pompées, des capitaux ont été pompés. La fuite des cerveaux de chez nous vers là-bas est le but réel du système de Bologne.

Ceux qui ont poussé le système de Bologne étaient trop timides pour dire directement qu’il était nécessaire pour faciliter la fuite des cerveaux. Si nous formions ici gratuitement du personnel qualifié, il pouvait facilement et naturellement se déplacer, obtenir une maîtrise à l’étranger et y rester. Ils ont fait de nous un pays périphérique avec toutes ses caractéristiques.

Aujourd’hui, après que l’Occident nous a fait la guerre et a érigé des barrières dans presque toutes les directions, nous parlons d’un changement de paradigme dans la gouvernance. Mais nous devons comprendre que jusqu’à présent, ce changement dans notre système de gestion ne nous a pas du tout affectés. C’est de l’autre côté que des barrières ont été érigées qui ont effiloché notre système de gouvernance. Ils ont rendu plus difficile l’exportation de capitaux, mais je constate que dès que la situation s’est un peu stabilisée, nos autorités monétaires ont recommencé à exporter des capitaux.

Elles recommencent à stimuler l’exportation des capitaux ! Prenez-le en roubles, prenez-le de nous comme vous voulez ! C’est-à-dire que notre « pouvoir monétaire » fonctionne de la même manière qu’avant. Ils n’ont pas la possibilité de créer les conditions d’une sortie de capitaux. Ils ont en fait annulé la possibilité d’appliquer la règle budgétaire, mais tout cela demeure et la règle budgétaire n’a pas encore disparu. Elle ne peut tout simplement pas être appliquée dans une situation où les réserves de change sont saisies.

Ils ont introduit la vente obligatoire des gains en devises étrangères afin de stabiliser le taux de change. Ils veulent maintenant laisser les recettes en devises à l’étranger et voir si elles sont confisquées de la même manière que les réserves en devises de l’État. Autrement dit, notre politique monétaire reste profondément périphérique, elle suit toujours les règles du FMI et du consensus de Washington.

À cause des sanctions, la société s’est soudain rendu compte que nous étions un pays très riche, que nous pouvions vivre deux fois mieux que nous ne vivions, parce que la sortie de capitaux s’est arrêtée. Dès que la sortie de capitaux s’est arrêtée, le rouble a immédiatement augmenté, le pouvoir d’achat a été multiplié par 1,5 et le rouble s’est encore renforcé. Autrement dit, jusqu’à présent, la principale fonction cible des « autorités monétaires » était l’enrichissement des spéculateurs de devises.

C’est pour cela que la Banque centrale a travaillé. Le ciblage de l’inflation est ridicule, car le principal facteur d’inflation est la dévaluation du rouble dans une situation où la formation du taux de change du rouble est réalisée par des spéculateurs, principalement des spéculateurs internationaux. Et seulement 5 % des transactions sur la Bourse de Moscou sont des transactions pour les exportateurs et les importateurs.

Il est évident que le taux de change du rouble a été manipulé pendant toutes ces 8 années. Sur ce, des dizaines de milliards de dollars ont été retirés de la Russie. Ce sont les spéculateurs monétaires, où les spéculateurs américains ont joué le rôle principal, qui ont été les principaux bénéficiaires de la politique monétaire menée. Maintenant, à cause des sanctions politiques, cela est devenu impossible. Nous sommes obligés, contraints de passer à un nouveau système de gouvernance.

Quel devrait être le système de contrôle ? Il n’est pas nécessaire de deviner ici. Nous voyons des exemples d’un nouveau système de gouvernance réussi en Chine et en Inde. Il s’agit, bien sûr, d’un système mixte de gouvernement, où le cadre principal travaille dans le but d’augmenter le bien-être public. L’État est engagé dans la planification stratégique.

Voici Elena Vladimirovna Panina est l’une des auteures de la loi sur la planification stratégique, et elle s’est beaucoup investie dans sa promotion. Nous avons cette loi depuis de nombreuses années. Mais au début, son introduction a été retardée. Maintenant elle se retrouve dans la rédaction de dizaines de milliers de documents de planification stratégique, mais il n’existe aucun mécanisme pour sa mise en œuvre.

Bien que si vous regardez, nous avons tout séparément : le mécanisme de partenariat privé et étatique, les contrats spéciaux, les accords multilatéraux d’investissement, les outils de refinancement spéciaux que la Banque centrale pourrait utiliser pour apporter des prêts bon marché afin d’augmenter les investissements. Individuellement, tout cela est là, mais dans son ensemble le système ne fonctionne pas.

Depuis de nombreuses années, nous proposons de passer à un système de développement avancé, où l’accent serait mis sur la stratégie et la modernisation du développement économique fondé sur un nouvel ordre technologique. Selon nos estimations, nous pourrions atteindre une croissance d’au moins 8 % par an, en utilisant des installations de production inutilisées, en saturant l’économie d’argent et en permettant aux entreprises de recevoir des prêts à un maximum de 2-3 % pour l’emprunteur final, pour financer des investissements, pour augmenter la production.

C’est l’utilisation la plus complète possible de notre potentiel scientifique et technique, c’est le traitement en profondeur des matières premières. Nous n’avons aucune restriction à la croissance économique, à l’exception du coût artificiellement élevé du crédit créé par les « autorités monétaires ». Les entreprises ne peuvent pas contracter d’emprunt à 18 %, pas à 11 %. Elles devraient contracter un emprunt à 1-3 % par an, comme cela se fait en Chine et en Inde.

Ici, dans l’Union eurasienne, nous luttons contre l’exportation de bois rond, nous avons introduit un embargo, mais pour une raison quelconque, le bois est acheminé vers la Chine. Parce qu’en Chine, l’État a alloué autant d’argent que nécessaire, à raison de 0,2 % par an pendant 10 ans, pour que les entreprises créent une infrastructure de transformation, d’emballage et de récolte du bois sibérien.

Ils ont créé l’infrastructure, ils ont commencé à fournir des prêts saisonniers sans intérêt à nos bûcherons, et lorsque ceux-ci ne peuvent pas obtenir un prêt de notre part, ils vont en Chine et prennent des prêts là-bas. Et ils y apportent le bois, volontairement et sans aucune contrainte. Chez nous, ils n’ont pas la possibilité de contracter des emprunts pour récolter du bois pendant la saison, puis les rembourser après avoir vendu les produits.

En d’autres termes, nous pouvons réellement envisager la possibilité de taux de croissance élevés, pas moins de 8 % par an, et je ne peux donc pas être d’accord avec les prévisions de nos organismes officiels, qui (à la suite de Washington) nous indiquent moins 8 % cette année. D’où vient le moins 8 % ? De la Banque mondiale et du Fonds monétaire international.

De Washington, ils essaient de nous imposer une prévision si pessimiste que « vous aurez moins 10 parce que vous avez lancé une opération militaire ». D’où vient le chiffre moins 10 % ? L’UE coupe les exportations vers la Russie et les importations en provenance de Russie également. Ensuite, à l’aide d’un modèle économétrique, ils émettent l’hypothèse que le commerce extérieur russe se contractera de 30 %. Et selon ce modèle, qui, en fait, est une extrapolation des relations existantes dans l’économie, ils disent que dans ce cas, vous aurez moins 10 % du PIB. Bien que le président nous dise que nous devons utiliser les opportunités.

Lors du dernier Forum économique eurasien, il a déclaré que les entreprises étrangères partaient, et qu’il valait peut-être mieux les laisser partir et créer ces produits manufacturés nous-mêmes. Faisons une substitution des importations. Remplissons le quota sortant de l’Union européenne avec notre propre production. Nous allons développer la coopération au sein de l’Union eurasienne et développer les relations avec nos partenaires asiatiques.

Autrement dit, si nous traitons du développement de l’économie, où l’argent n’est pas une fin en soi, mais un outil de prêt à la production, alors nous pouvons complètement nous passer de récession cette année. Au contraire, nous pouvons faire de la crise, du retrait des concurrents européens, un boom économique, un boom entrepreneurial. Pour ce faire, vous devez accorder des prêts.

Il est nécessaire de réaliser les objectifs d’amélioration du bien-être public. Et pas par de simples injections d’argent pour soutenir la vie des gens, mais en créant de nouvelles industries, de nouveaux emplois. Le président en a parlé à de nombreuses reprises, mais du coup, ce que nous avons aujourd’hui en termes de mesures pour stimuler le développement économique est, en fait, une continuation de petits assouplissements covid en termes de réglementation. En termes de réduction de la pression bureaucratique, malheureusement, il n’y a pas de réelles opportunités d’augmenter les investissements de substitution des importations et de mettre en œuvre des programmes de développement à long terme.

En conclusion de mon discours, je dirai que l’image du futur, me semble-t-il, est assez évidente, si nous comprenons qu’avant la fin de ce siècle, très probablement, la guerre hybride américaine se terminera par un échec pour eux. Eux, dans leur russophobie, qui est dans leur sous-cortex, peuvent ne pas encore s’en rendre compte. C’est pourquoi, ayant pourtant la Chine comme principal adversaire, ils nous ont attaqués, car la russophobie est ancrée dans la géopolitique anglo-saxonne.

La géopolitique enseignée aux politiciens américains et britanniques est basée sur des livres des XIXe et XXe siècles — de Halford Mackinder à Zbigniew Brzezinski, et partout leur idée principale est « comment détruire la Russie ». La géopolitique est une pseudoscience classique sur le thème « comment détruire la Russie sous n’importe laquelle de ses formes historiques ».

Ils ont été victimes de leur orientation génétique russophobe. Ils ont perdu face à la Chine dans la guerre commerciale et maintenant ils se liguent contre nous. Lorsque la Crimée nous a été rendue, j’ai dit et répété qu’il y aurait eu des sanctions de toute façon. Que nous ayons annexé la Crimée, ou que nous nous soyons déshonorés en y renonçant, il y aurait eu des sanctions. Et la guerre d’aujourd’hui, nous le comprenons aussi, était inévitable. Il y a à peine 8 ans, il était possible de se passer d’une guerre et de prendre tout le sud-est de l’Ukraine sans tirer un coup de feu, les gens eux-mêmes étaient venus vers nous.

Il nous faut maintenant corriger ce retard au prix de grands efforts et de sacrifices.

Mais ce conflit était inévitable précisément à cause de la russophobie génétique de l’élite dirigeante américano-britannique, qui est essentiellement le noyau idéologique et économique du monde occidental. Et ils cherchent à nous effacer, comme ils disent, sans aucun scrupule, je dirais.

Ne sous-estimez pas cela. Lorsque le Premier ministre polonais dit « effacer », cela signifie naturellement effacer, comme c’était le cas en 1717 lorsque l’Empire russe a été effacé. Comme après le Temps des Troubles, lorsque le royaume moscovite a été effacé. C’est-à-dire qu’il y a eu des précédents lorsque la Russie a été anéantie, idéologiquement, culturellement, jusqu’à la destruction de tous les monuments, aussi loin qu’ils pouvaient atteindre, jusqu’à l’incendie des chroniques et ainsi de suite.

Ils ont un plan. Ils pensent que la Russie est la clé de la domination mondiale. Dans leur esprit délirant, c’est ainsi. Dans les fondements de leur géopolitique anglo-saxonne, depuis Mackinder, ils enseignent que pour contrôler le monde, il faut contrôler l’Eurasie, ils appellent ça une grande île. En Eurasie, le principal pays qui détient le contrôle, c’est la Russie.

Par conséquent, pour contrôler le monde, la Russie doit être capturée, écrasée, détruite. Ensuite, le prochain objectif est la destruction de l’Iran, c’est absolument évident. Et puis ils pensent qu’en encerclant la Chine de toutes parts et en l’isolant du reste du monde, ils conserveront la domination, l’hégémonie.

C’est un projet absolument utopique. Ils perdront la guerre. Ils sont déjà en train de perdre un avantage clé sous nos yeux. Les fameuses sanctions qui nous ont fait perdre nos réserves de devises et notre activité offshore ne savent pas aujourd’hui comment procéder.

En fait, du point de vue des perspectives futures d’une guerre hybride, il s’agit d’un atout majeur, car leur principal avantage était d’émettre une monnaie mondiale. Et puis ils ont joué leur as d’atout. Ils n’ont plus de monnaie mondiale, plus personne ne leur fait confiance, ni politiquement, ni idéologiquement, ni économiquement. Un exode du dollar a commencé.

Les Chinois vendent des réserves en dollars. Leurs satellites ont encore peur de le faire, mais ici, celui qui vendra des dollars plus vite perdra moins. C’est absolument évident. N’oublions pas que la moitié des dollars que les Américains impriment à grande échelle se trouvent en dehors des États-Unis. Cette vague de dollars revient en Amérique aujourd’hui. Si auparavant on considérait, disent-ils, qu’il était bon que des capitaux soient attirés dans le pays, maintenant l’avalanche acquiert clairement des conséquences inflationnistes et l’effondrement des bulles financières géantes qui composent le système financier et économique occidental n’est pas loin.

Nous réfléchissons aujourd’hui à la création d’une nouvelle monnaie comptable qui serait liée à l’échange des matières premières. Nous construisons une alliance avec la Chine « Un train, une route. » Nous essayons de rétablir le droit international dans l’intégration eurasienne et d’adhérer strictement aux principes de volontariat et de respect de la souveraineté, des avantages mutuels et de la transparence. Autrement dit, nous créons une image attrayante du Nouvel Ordre Mondial, un Nouvel ordre économique mondial.

Le problème, c’est que sans une croissance économique plus rapide, notre vision de l’avenir ne sera pas convaincante. Veuillez noter que nos idéologues eurasiens, par exemple, Trubetskoy, ont parfaitement prévu l’effondrement de l’Union soviétique à la fin des années 20 du siècle dernier qui venait alors de se relever.

Trubetskoy a dit qu’après l’épuisement de l’état des ouvriers et des paysans, une nouvelle communauté, au-dessus des classes, se formerait. L’Union soviétique perdrait son noyau idéologique et s’effondrerait. Ce qui vient ensuite est une ère de nationalisme. Des fragments de l’Union soviétique seront séduits par des idées nationalistes afin de rassembler à nouveau notre grand pays. Et puis, bien sûr, il faut vaincre le nationalisme et éradiquer le nazisme.

Aucune exclusivité nationale ou autre ne devrait être autorisée ! Et la base d’une nouvelle alliance ne peut être que la compréhension des points communs de l’histoire de chacun. Remarquez comment les Chinois reprennent les slogans des Eurasiens. La Chine appelle à l’unification de tous les peuples pour le destin commun de l’humanité. Que sont les « peuples d’un même destin » ? Ce sont les peuples d’un même pays. Cette compréhension du destin commun de l’humanité est, en fait, la base idéologique du grand partenariat eurasien dont parle notre président.

Mais pour être un leader dans ce partenariat, et non une périphérie, il est nécessaire d’assurer des taux de développement économique avancés. Cela nécessite l’idéologie de la cause commune, du bien commun.

En conclusion de mon discours, je dirai brièvement que cette idéologie devrait absorber les acquis du socialisme. Ce n’est pas un hasard si l’idéologie socialiste domine à la fois en Chine et en Inde, et sous différentes constructions politiques. Le socialisme comme idée du bien commun, où le sens principal de l’État est le service à la société. L’État ne sert pas certains groupes sociaux, comme notre oligarchie ou notre bureaucratie, ou qui que ce soit d’autre. L’État s’est sérieusement et véritablement engagé dans l’amélioration du bien-être public.

[Note de Joseph : pourtant l’Histoire tend à démontrer que la restriction des libertés individuelles et collectives est proportionnelle à l’interventionnisme étatique ou gouvernemental. Et particulièrement dans les États à base socialiste ou communiste, la bureaucratie devient rapidement étouffante. Une humanité avancée, qui s’appuierait notamment sur la notion de responsabilité individuelle et collective ainsi que sur la gratuité et la Conscience, pourrait très bien se passer de gouvernements et d’institutions étatiques, à condition que les individus prédisposés veillent, d’un commun accord, au respect de la souveraineté individuelle et collective ainsi que des formes socioculturelles et des communautés existantes.]

Par conséquent, bien sûr, l’idée socialiste doit être présente. Sans elle, un nouveau mode de vie est impossible, d’ailleurs, il a déjà pris forme. Le socialisme doit redevenir l’idéologie dominante, le noyau du système économique mondial de l’Asie du Sud-Est. Si nous regardons le modèle japonais ou coréen, nous verrons également les traits familiers de l’idéologie socialiste. C’est un État qui planifie, un État qui vise au développement.

Quant à la question des valeurs éthiques, le nouvel ordre technologique défie vraiment l’humanité dans le sens où il est technologiquement possible de passer à un état post-humain : l’émergence des cyborgs, la manipulation de la conscience, l’intelligence artificielle. Ce sont tous des signes d’une transition vers une civilisation post-humaine, et si nous perdons nos normes éthiques traditionnelles, si nous laissons dominer ce nouveau gouvernement mondial oligarchique, ne vous attendez pas à de bonnes choses. Dans ce cas, l’humanité est finie.

Et, puisque nous sommes à la pointe de la guerre hybride, on peut en effet considérer que la guerre avec l’Occident est pour le sort de l’humanité. Et l’Occident d’aujourd’hui n’a aucune image de l’avenir. Le puçage universel, l’intelligence artificielle et la déshumanisation, les LGBT, la destruction de la famille, la cessation de toutes les formes d’identité humaine, c’est une image de la mort, pas du futur. C’est ce que l’Occident nous apporte. Puisque nous sommes en confrontation directe avec lui, nous pouvons supposer que nous nous battons vraiment pour la préservation de l’Humanité.

La question est de savoir quelle devrait être l’idéologie ici. Évidemment, elle devrait être basée sur des valeurs traditionnelles. Pour résumer, cela devrait être une image du socialisme chrétien, déjà largement vulgarisée en Europe. Avec la compréhension que nous avons non seulement le socialisme chrétien, mais aussi le socialisme islamique, le socialisme bouddhiste. J’appellerais cette idéologie une synthèse sociale conservatrice. Une combinaison de valeurs morales traditionnelles issues des grandes religions, avec les exigences de justice sociale, d’un État-providence et d’un État pro développement.

Merci pour votre attention.




La catastrophe des opioïdes aux USA, prescription sous influence de McKinsey

Par le Dr Gérard Delépine

La crise des opioïdes représente une catastrophe médicamenteuse trop peu connue en France.

Une catastrophe hors norme

Par son ampleur, la crise dépasse de très loin les catastrophes médicamenteuses précédentes.

Depuis 20 ans, aux USA le nombre de décès par surdose ne fait qu’augmenter. En 2002 on recensait 2 surdoses mortelles pour 100 000 habitants. En 2012, ce chiffre avait quadruplé (8/100000) et en 2021 il atteint 31/100000. Quinze fois plus qu’il y a 20 ans !

Depuis 2017, les opioïdes font chaque année plus de victimes que les accidents de la route.

Fin 2017, le président Trump a déclaré l’état d’urgence sanitaire et alloué un budget de six milliards de dollars pour améliorer l’éducation des patients et des professionnels et favoriser l’accès aux traitements sans que cela ait stoppé la croissance de la mortalité.

Selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies(([1] CDC offices gouvernementaux)), près d’un demi-million d’Américains sont morts de surdoses entre 1999 et 2018

Morts par surdose impliquant des opioïdes aux États-Unis (2000-2016). Morts par 100 000 habitants.

Lors de la pandémie de COVID-19, une nouvelle augmentation importante du nombre de décès consécutifs à une surdose d’opioïdes de synthèse a été observée(([2] CDC Emergency Preparedness and Response: Increase in Fatal Drug Overdoses Across the United States Driven by Synthetic Opioids Before and During the COVID-19 Pandemic, 17 décembre 2020 – lien : https://emergency.cdc.gov/han/2020/han00438.asp)) avec pour la seule année 2021 plus de 107 000 morts (33/100000 soit autant que le diabète et la maladie d’Alzheimer réunis) et presque le double du nombre de soldats américains tombés durant les 20 ans de guerre du Vietnam !

Les salles d’urgence et les ressources de nombreux états sont mises à rude épreuve pour tenter de répondre à l’épidémie. Le Massachusetts, le Vermont et d’autres États ont décrété un « état d’urgence » ou créé des groupes de travail spéciaux pour faire face à la crise qui leur coûte chaque année des milliards de dollars, sans, non plus, d’amélioration visible.

Une catastrophe qui affecte même l’espérance de vie des Américains !

Le nombre de morts par surdose d’opioïdes est tel qu’il diminue l’espérance de vie des Américains. L’espérance moyenne de vie des Américains progressait depuis plus de 50 ans et atteignait 78,9 ans en 2012. Depuis, elle stagne ou diminue : 77 ans en 2020 et 76,6 ans en 2021.

Espérance de vie à la naissance en années (1980-2020).

La catastrophe des opioïdes ne touche pas seulement les États-Unis

Avec moins de 5 % de la population mondiale, les États-Unis représentent 80 % de la consommation mondiale d’opioïdes et concentrent la grande majorité des morts par surdose.

Toutefois, l’usage abusif des opioïdes se répand dans d’autres pays notamment en Grande-Bretagne, phénomène favorisé par la hausse des prescriptions médicales laxistes et à un trafic croissant de drogues illicites.

Selon l’OCDE, hors États-Unis, les pays les plus touchés par les morts par surdoses d’opioïdes étaient le Canada (85 morts par million d’habitants, en 2015), l’Estonie (81), la Suède (55), la Norvège (49), l’Irlande (44) et le Royaume-Uni (41).

À l’origine de la catastrophe, un scandale médical

Il s’agit d’un problème de société qui a été initié par un scandale sanitaire : l’utilisation abusive d’opiacés de synthèse dans la prise en charge des douleurs chroniques non cancéreuses.

Ces prescriptions qui ont créé la dépendance de toute une partie de la population sont la conséquence d’une mise sur le marché trop laxiste (non accompagnée de mises en garde adéquates) puis mal surveillée par la FDA, de recommandations discutables de sociétés médicales et de campagnes de promotion intenses et mensongères des laboratoires pharmaceutiques.

La FDA a approuvé le fentanyl en 1968, puis les fentanyls à libération immédiate transmucosale (TIRF) conçus pour pénétrer dans la circulation sanguine en quelques secondes. Ils sont plus dangereux que la plupart des opioïdes en raison de leur très grande puissance et de leur délai d’action rapide.

Ils n’ont été approuvés par la FDA que pour les patients cancéreux adultes « qui reçoivent déjà et qui tolèrent un traitement aux opioïdes pour leur douleur cancéreuse persistante ».

L’origine de la crise actuelle date du début des années 1990, quand des campagnes d’information organisées par des sociétés savantes et des associations de patients (parfois sponsorisées par l’industrie pharmaceutique) ont sensibilisé l’opinion et le corps médical sur la prise en compte parfois insuffisante du traitement de la douleur.

Des sociétés savantes trop proches de Big Pharma ont émis des recommandations incitant les médecins à prescrire des opiacés pour des douleurs chroniques « même non-cancéreuses. »

Des campagnes de marketing agressives ont été répétées par les industriels, dont Purdue Pharma, suivant les conseils de cabinet spécialisés, dont McKinsey. Elles ont instrumentalisé des études mensongères du début des années 1980 prétendant que ces nouveaux opioïdes ne produisaient pas de risque d’addiction.

Ces manipulations des médecins ont été efficaces. Les prescriptions d’opioïdes ont augmenté de 350 % entre 1999 et 2015. Pendant vingt ans, laboratoires et distributeurs ont ainsi bénéficié d’un marché de 8 milliards de dollars par an.

Mais rapidement de nombreux malades traités par ces opioïdes ont développé une forte addiction aux opiacés les poussant à rechercher leurs drogues auprès des trafiquants lorsque les prescriptions médicales ne leur suffisaient plus. Les hospitalisations et les morts liées aux surdoses d’opioïdes ont alors fortement augmenté.

La FDA, agence captive, n’a pas rempli sa fonction de protection de la population

Lorsque le problème est devenu évident, la FDA n’a pas imposé de mesures strictes pour empêcher une utilisation inappropriée de TIRF. Elle n’a réalisé aucune enquête indépendante, mais s’est contentée des rapports lénifiants que lui adressait l’industrie du médicament.

Cette incapacité de la FDA de protéger la population de l’utilisation de médicaments dangereux n’est pas accidentelle, mais témoigne de sa « capture » par les laboratoires pharmaceutiques qu’elle est censée réguler.

La capture réglementaire (ou captation de la réglementation) est une corruption de l’autorité qui se produit lorsqu’un organisme de réglementation privilégie les intérêts commerciaux d’une industrie, ou d’une profession au lieu de défendre l’intérêt général pour lequel elle a été créée.

Cette capture réglementaire est une conséquence de la défaillance de l’État qui, depuis plusieurs décennies, n’assure plus un financement suffisant pour garantir l’indépendance de l’agence et lui demande de compléter son financement par les entreprises qu’elle doit réguler. Ainsi aux USA près de la moitié du budget de la FDA est assurée par les entreprises du médicament qui en ont ainsi effectivement pris le contrôle. Depuis lors, les décisions de la FDA privilégient presque toujours l’intérêt de l’industrie sur celui de la sécurité médicamenteuse.(([3] Lire à ce sujet le livre de R F Kennedy :
« Dès mon entrée à reculons dans le débat sur les vaccins en 2005, je fus stupéfait de constater que le réseau tentaculaire des profonds enchevêtrements financiers entre l’industrie pharmaceutique et les agences gouvernementales de santé avait permis une capture réglementaire musclée. Par exemple, les CDC possèdent 57 brevets de vaccins et consacrent 4,9 % de leur budget annuel de 12 milliards de dollars (en 2019) à l’achat et à la distribution de vaccins. Les NIH sont propriétaires de centaines de brevets de vaccins et tirent souvent profit de la vente des produits qu’ils sont censés réglementer. Des fonctionnaires haut placés, dont le Dr Fauci, reçoivent des émoluments annuels allant jusqu’à 150 000 $ en redevances sur des produits qu’ils contribuent à développer puis à faire homologuer. La FDA reçoit 45 % de son budget de l’industrie pharmaceutique, par le biais de ce qu’on appelle, par euphémisme, les “frais d’utilisation” »
KENNEDY-Fauci-Gates-BigPharma-640pages 27 26/01/22 09:01 28 ANTHONY FAUCI, BILL GATES ET BIG PHARMA))

L’industrie s’était plainte de la lenteur des procédures de mise sur le marché qui l’empêchait de bénéficier pleinement de la période d’exclusivité octroyée par ses brevets. La FDA a considérablement réduit les procédures classiques et inventé différents motifs d’examens très allégés au détriment de la sécurité des malades, dont les injections anti-covid constituent un exemple démonstratif.

Mais cet allègement des procédures s’est fait au détriment de la sécurité médicamenteuse.

En témoigne la multiplication des scandales médicamenteux depuis plus de 20 ans.

Rappelons celui des antidépresseurs tels que le Prozac (susceptible de favoriser le passage à l’acte et en particulier suicide et tuerie de masse), resté sur le marché alors que Lilly savait depuis les années 1980 que la fluoxétine — principe actif du Prozac — pouvait altérer le comportement des malades, et l’a soigneusement caché ou minimisé.(([4] https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2005/01/04/la-pilule-ne-passe-plus-aux-etats-unis))

Pfizer a également été obligé de faire savoir que son médicament vedette, le Celebrex, pouvait entraîner des infarctus.

Et depuis trois ans, Bayer a dû cesser de vendre son Baycol à cause des graves troubles musculaires qu’il peut occasionner, pouvant conduire au décès des patients.

En 2004, devant une commission sénatoriale enquêtant sur le scandale du Vioxx(([5] Voir la Face cachée du médicament, N Delépine, éditions Michalon, 2011)) (responsable d’au moins 100 000 victimes, dont 40 000 morts aux USA sans que la FDA intervienne), David Graham, un des cadres supérieurs de la FDA, a déclaré devant la commission d’enquête du sénat(([6] https://www.finance.senate.gov/imo/media/doc/111804dgtest.pdf)):

« d’autres scandales sont à venir, et le pays est pratiquement sans défense contre les médicaments à risque, qui entrent si facilement dans les foyers américains. La FDA est aujourd’hui incapable d’empêcher cela ».

Dès 2005, le Journal of American Medical Association (JAMA) constatait : « la FDA est dépassée et ne remplit plus du tout son rôle. Et nous ne sommes certainement pas les seuls à le penser ».

Le Wall Street Journal précise :

« sur les 327 millions de dollars que l’agence dépense pour les médicaments, seulement 27 sont consacrés à la recherche d’effets secondaires de ceux présents sur le marché. »

Cette incapacité de la FDA à s’opposer aux intérêts des firmes pharmaceutiques a permis à la corruption et aux campagnes mensongères de propagande médicamenteuse organisées par des cabinets de conseil de prospérer.

Les menées de McKinsey contre la Santé publique

Ce cabinet de conseil a fortement contribué à la crise des opioïdes en vendant pendant une décennie des schémas marketing et des services de conseil aux fabricants d’opioïdes, notamment Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson ou Mallinckrodt Pharmaceuticals.

Durant la même période, McKinsey a omis de divulguer ses conflits d’intérêts graves et de longue date à la FDA, violant potentiellement les exigences contractuelles et la loi fédérale.

Lors d’un communiqué du 13 avril 2022, Maloney Carolyn B présidente de la commission d’enquête sénatoriale a déclaré(([7] United States. Congress. The Firm and the FDA:: McKinsey & Company’s conflicts of interest at the heart of the opioid epidemic : interim majority staff report / Committee on Oversight and Reform, U.S. House of Representatives.
https://permanent.fdlp.gov/gpo182429/2022-04-13.McKinsey%20Opioid%20Conflicts%20Majority%20Staff%20Report%20FINAL.pdf)):

« l’enquête du Comité de surveillance met en lumière le monde non réglementé et secret des cabinets de conseil privés comme McKinsey qui créent des conflits d’intérêts en travaillant à la fois pour le gouvernement fédéral et les industries réglementées. »

Le rapport d’aujourd’hui montre qu’en même temps que la FDA s’appuyait sur les conseils de McKinsey pour garantir la sécurité des médicaments et protéger les vies américaines, la société était également payée par les entreprises mêmes qui alimentent l’épidémie mortelle d’opioïdes pour les aider à éviter une réglementation plus stricte de ces médicaments dangereux.

« McKinsey a employé au moins 22 consultants à la fois à la FDA et chez les fabricants d’opioïdes sur des sujets connexes, y compris en même temps. Dans les coulisses, les consultants de McKinsey ont tiré parti de leurs relations fédérales pour obtenir encore plus d’affaires dans le secteur privé et ont tenté d’influencer les principaux responsables de la santé publique au nom de clients comme Purdue Pharma. Les consultants de McKinsey ont discuté de la suppression de documents liés à leur travail pour Purdue :

les documents obtenus par le Comité révèlent que dès mai 2017, les partenaires de McKinsey ont discuté des moyens d’empêcher que les documents de McKinsey ne soient découverts dans les poursuites en cours de Purdue. »

Une cinquantaine de procureurs généraux, dont Maura Healey, la procureure générale du Massachusetts, tête de pont dans ce dossier, ont mis en accusation McKinsey.(([8] https://gunandsurvival.com/2022/04/28/maura-healey-blasts-mckinseys-opioid-schemes-in-house-hearing/))(([9] En France le scandale McKinsey a pour l’instant été étouffé à l’approche des élections. Néanmoins il ne saurait disparaître définitivement. «  Quelles missions McKinsey a-t-il effectuées pour l’État ? »
« Sous le mandat d’Emmanuel Macron, le cabinet McKinsey a été chargé de plusieurs missions. Il a notamment, pendant deux ans et avec le cabinet Accenture, été chargé d’évaluer la stratégie nationale de santé (coût : 1,2 million d’euros). C’est lui qui a également été missionné pour contrôler la viabilité des solutions informatiques de la CAF dans le cadre de la réforme des APL (3,88 millions d’euros). Surtout, de novembre 2020 à février 2022, McKinsey a été chargé de la campagne vaccinale avec l’organisation logistique, la mise en place d’indicateurs et d’outils de suivi ou encore l’établissement d’un plan d’action pour la campagne de rappel pour la 3e dose de vaccin anti-Covid ».
McKinsey : où en est l’enquête ? Le résumé de l’affaire (linternaute.com) ))

« Notre travail nous a permis de mettre en lumière des schémas marketing qui allaient bien au-delà des premières entreprises que nous avions ciblées dans notre enquête. Au terme de notre travail, il est devenu très clair où nombre de ces schémas marketing trouvaient leur origine : de consultants de McKinsey […]. Pendant ce temps-là, des millions d’Américains sont devenus accrocs, ont fait des overdoses et sont décédés », a-t-elle déclaré.

Il est reproché à McKinsey d’avoir contribué à la crise des opioïdes aux États-Unis en vendant pendant une décennie des schémas marketing et des services de conseil aux fabricants d’opioïdes, notamment Purdue Pharma, Endo Pharmaceuticals, Johnson & Johnson ou Mallinckrodt Pharmaceuticals, d’avoir poussé à l’augmentation du nombre de visites de représentants commerciaux auprès des plus importants prescripteurs d’opioïdes, d’avoir ciblé des médecins avec des messages spécifiques pour les convaincre de prescrire plus d’OxyContin (le médicament produit par Purdue Pharma), d’avoir encouragé plusieurs producteurs d’opioïdes à s’unir pour résister aux régulations de la FDA qui cherchait à limiter les prescriptions et d’avoir tenté d’influencer des représentants du gouvernement, y compris le secrétaire de l’administration Trump à la santé et aux services sociaux (HHS) Alex Azar, pour faire avancer les intérêts de ses clients du secteur privé. .

Le 4 février 2022, pour éviter un procès public qui aurait possiblement révélé d’autres violations de la loi, McKinsey a proposé de payer 573,9 millions de dollars(([10] Dyer O. McKinsey agrees to pay $574m to US states to settle opioid claims BMJ 2021; 372 : n360 doi:10.1136/bmj.n360)) (5 % de son chiffre d’affaires) en réparation aux états. McKinsey paiera environ 80 % de l’argent immédiatement pour renforcer les programmes de traitement et renforcer les budgets de la police mis à rude épreuve par l’abus accru des opioïdes.

Un scandale médicamenteux aggravé par la corruption du corps médical

Les laboratoires offrent volontiers des cadeaux aux médecins qui prescrivent leurs produits vedettes en prétextant souvent qu’il s’agit de faciliter l’enseignement ou la recherche. Pfizer a ainsi déclaré avoir versé ces quatre dernières années 631 millions de dollars (465 millions d’euros) à environ 300 000 professionnels, dont 173 millions pour 2012 (pour un chiffre d’affaires américain de 23 milliards de dollars).

Fabricant et distributeurs d’opioïdes condamnés

Purdue, basée à Stanford, dans le Connecticut premier fabricant d’opioïdes, a demandé la protection contre la faillite en 2019 après avoir été engloutie dans un tsunami de poursuites (plus de 3000) déposées par les gouvernements des États et locaux.(([11] The Family That Built an Empire of Pain | The New Yorker))

Il a accepté de régler 8,3 milliards de dollars après avoir plaidé coupable de trois crimes pour sa commercialisation d’OxyContin.

C’était la deuxième fois en 13 ans que la société plaidait coupable à des accusations criminelles pour ses tactiques de vente d’opioïdes.

En juillet 2021, Johnson & Johnson accepte de payer 5 milliards sur neuf ans et les distributeurs McKesson, Cardinal Health et AmerisourceBergen — fournisseurs de quelque 90 % des médicaments américains 21 milliards sur 18 ans. Ces sociétés espèrent ainsi mettre fin à près de 4 000 actions intentées au civil par des dizaines d’États américains et collectivités locales, dans le cadre d’une proposition d’accord à l’amiable « historique ».

Danger des opioïdes en France

D’après les données de l’assurance maladie, environ 10 millions de Français ont consommé des opioïdes en 2015. En une dizaine d’années, la consommation de ces médicaments a fortement augmenté. Entre 2006 et 2017 la prescription d’opioïdes forts, dominée par l’Oxycodone, a cru de près de 150 %, et leurs mésusages ont plus que doublé entre. Le nombre d’hospitalisations liées à la consommation d’antalgiques opioïdes obtenus sur prescription médicale a augmenté de 15 à 40 hospitalisations pour un million d’habitants. Entre 2000 et 2015, le nombre de décès liés à la consommation d’opioïdes a augmenté de 1,3 à 3,2 par million d’habitants, avec au moins 4 décès par semaine.

Le Tramadol serait le premier médicament responsable de ces mésusages, et le premier responsable des décès observés suivi de la morphine, l’Oxycodone puis le fentanyl transdermique à action rapide.

Les modalités de prise en charge et de surveillance par les prescripteurs, ainsi que l’accès restreint à ces médicaments, ont pour l’instant permis d’éviter le pire. Rappelons les recommandations de la ANSM :

« UNE PRESCRIPTION D’ANTALGIQUE OPIOÏDE DOIT SYSTÉMATIQUEMENT S’ACCOMPAGNER D’UNE INFORMATION AU PATIENT SUR LE TRAITEMENT ET SUR SON ARRÊT, ET D’UNE SURVEILLANCE DE CES RISQUES MÊME LORSQU’IL EST INITIALEMENT PRESCRIT DANS LE RESPECT DES CONDITIONS DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ ».






REVUE DE PRESSE DU 13 JUIN 2022

Par MF

ÉDITO
Le mur de mensonges se lézarde, mais le discours ne change pas

Les témoignages et les articles concernant les effets indésirables se multiplient et des citoyens de par le monde en prennent conscience et diffusent l’information, tandis qu’en France on est encore à « vacciner tout CE qui peut l’être » (selon le discours chosifiant de Cherbourg) qu’on commence à oser parler de fuite de laboratoire, que la politique du « zéro Covid » est un échec, que 12 millions de doses attendent les petits Français qui ne risquent rien du Covid, et que le lien est établi entre la nouvelle forme de MCJ et l’injection anti-covid.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Restrictions Covid, nouveau projet de loi le 22 juin !

https://lemediaen442.fr/restrictions-covid-19-nouveau-projet-de-loi-le-22-juin-2022-juste-apres-les-legislatives/

Et derrière, un but mondial « Avec plus de 1,2 milliard de codes QR générés et 60 pays connectés au système, le certificat COVID numérique de l’UE est devenu une norme mondiale. »

Halte aux mensonges de l’AFP et des médias subventionnés

Il est temps que ceux qui se présentent comme journalistes retrouvent leur éthique.

Seule la liberté des soignants peut sauver la médecine, pour les patients

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/seule-la-liberte-des-medecins-et-soignants-peut-sauver-la-medecine-pour-les-malades/

La liberté est nécessaire pour une médecine qualitative.

Sans soignants ni médecins, pas de soins

Il est plus qu’urgent d’exiger la réintégration IMMÉDIATE ET DÉFINITIVE des soignants et l’arrêt de l’injection dangereuse.

Vacciner peut rapporter gros !

https://actu.fr/societe/vaccin-contre-le-covid-19-ces-soignants-revelent-avoir-ete-surpayes-par-l-assurance-maladie_50509574.html

Des trop perçus, jusqu’à 10 000 euros par mois.

ÉTRANGER

La politique du zéro Covid est un échec, en Australie (et ailleurs)

et les dégâts sur l’ensemble de la santé publique sont considérables.

Espagne, suppression du passeport sanitaire pour les pays européens

https://www.expansion.com/economia/2022/06/02/62986b41e5fdeac23b8b4648.html

UE, la commission européenne prolonge le passe sanitaire sans débat parlementaire

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/07/la-commission-europeenne-prolonge-le-passe-sanitaire-sans-debat-parlementaire/

« la Commission a commis l’erreur d’écrire noir sur blanc que le passe sanitaire vise à inciter à la vaccination, et non à prévenir la propagation de l’épidémie ».

OMS, le traité sur les pandémies, liberticide et anti-démocratique

https://www.francesoir.fr/politique-monde/le-traite-de-l-oms-sur-les-pandemies-un-projet-liberticide-et-anti-democratique

Objet de concertations entre les états membres, aux mois de juin et suivants.

USA. Missouri, une loi pour protéger les médecins prescrivant HCQ et IVM

https://www.francesoir.fr/politique-monde/etats-unis-missouri-loi-protection-prescription-medecin-ivermectine-chloroquine

« Certains pharmaciens voulaient endosser le rôle de médecins et refusaient de délivrer ces ordonnances. Cela rétablit l’équilibre professionnel entre médecins et pharmaciens ».

USA. Louisiane, les écoles qui exigeront un certificat de vaccination Covid pourraient bientôt faire face à des poursuites judiciaires

https://lailluminator.com/briefs/louisiana-schools-that-require-covid-vaccine-could-soon-face-lawsuits/

« Ce projet de loi est vraiment conçu pour permettre le libre choix et aussi (protéger) contre la discrimination à l’égard de ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner », a déclaré le sénateur Barry Milligan, R-Shreveport, qui a présenté le projet de loi au Sénat. 

JUSTICE

Les témoignages interdits au Sénat

Trois enseignants-chercheurs écartés, auditions non publiques 

« Durant ces auditions, nous avons alerté sur l’augmentation historique et inédite de certaines pathologies durant 2021, notamment : de 1788 % sur les troubles du cycle menstruel ; de 732 % des AVC ; Autant de cécité durant 8 mois que durant 30 ans tous vaccins confondus ».

Me MARIAN demande au gouvernement d’abroger l’obligation vaccinale des soignants

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/11/lavocate-marian-demande-officiellement-au-gouvernement-dabroger-lobligation-vaccinale-pour-les-soignants/

En cas de rejet l’avocate prépare un contentieux dit de l’erreur manifeste d’appréciation devant le juge administratif.

Recours devant la Cour européenne des Droits de l’Homme, par Bon Sens et l’AIMSIB

À lasuite de la décision de rejet (non susceptible de recours interne) rendue par la Commission des requêtes de la Cour de Justice de la République, qui concernait une plainte déposée contre le Premier ministre, le Ministre des solidarités et de la santé et le Ministre de l’éducation de la jeunesse et des sports, en vue de contester l’ensemble des mesures sanitaires auxquelles sont confrontés les citoyens français depuis mars 2020 et notamment les membres des associations requérantes, qui comptent bon nombre de soignants et d’experts censurés.

COVID

Fuite d’un laboratoire, ou quand TF1 vire au « complotisme »

https://www.tf1info.fr/sante/le-covid-une-fuite-de-laboratoire-ce-que-l-on-sait-vraiment-apres-plus-de-deux-ans-de-speculations-2187224.html

Certes l’article ne tranche pas, mais la question n’est plus tabou !

TRAITEMENTS et autres STRATÉGIES

Détoxifier son corps des protéines Spike

https://www.epochtimes.fr/detoxifier-son-corps-des-proteines-spike-les-6-principaux-medicaments-et-composes-naturels-2034836.html

La gravité de la maladie tient plus au terrain qu’au virus, et il existe des moyens de renforcer les capacités de guérison du corps (médicaments, compléments alimentaires et plantes).

Quand les masques tuent

https://www.francesoir.fr/societe-sante/les-masques-sont-responsables-d-un-plus-grand-nombre-de-deces-covid-selon-une-etude

Effet inverse de celui recherché en raison de « l’effet Foegen », « les virions du Covid-19 se propagent plus profondément dans les voies respiratoires en raison de leur petite taille ».

INJECTIONS

L’ADN fœtal avorté dans les vaccins (en général)

Entretien de Robert F. Kennedy Jr avec le Dr Theresa Deisher sur l’utilisation de l’ADN fœtal avorté dans les vaccins —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Même en mettant de côté la morale (ce qui est difficile quand on sait comment sont extraits les tissus de ces fœtus vivants), l’aspect scientifique n’est pas rassurant avec un risque de maladies auto-immunes ou d’autisme.

EFFETS INDÉSIRABLES

Vu à Houston, Texas. « Arrêtez les “vaccins” contre le COVID qui ont tué et blessé des milliers de personnes aux États-Unis. Sauvez nos enfants ».

Un nouveau syndrome, le PIDS (mortalité post-injection)

https://pgibertie.com/2022/06/11/une-nouvelle-maladie-le-syndrome-de-la-mortalite-post-injection-pids/

Augmentation de la mortalité toutes causes après les injections.

Liens établis entre vaccin et maladie de la vache folle (Creutzfeld-Jacob)

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/des-etudes-scientifiques-mettent-en-evidence-une-nouvelle-forme-de-maladie-de-la-vache-folle-post-vaccinale/

Bien que la variante Omicron de COVID-19 ne porte pas de région de prion dans sa protéine de pointela première variante de Wuhan COVID-19 a une région de prion sur sa protéine de pointe. Les injections sont construites sur le variant Wuhan… et cette zone prion est capable d’interagir avec les cellules humaines. Il s’agit d’une nouvelle forme de MCJ, d’apparition et d’évolution très rapide.

Plus de problèmes cardiaques avec Pfizer qu’avec le Covid

https://pgibertie.com/2022/06/04/le-pfizer-cause-plus-de-problemes-cardiaques-que-la-covid/

Novavax ne fait pas mieux que les autres, 5 cas de myocardites chez les vaccinés

https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/vaccin/covid-19-aux-etats-unis-inquietudes-sur-un-risque-potentiel-de-myocardite-avec-le-vaccin-de-novavax-11176480.amp.html

et comme toujours pas de lien de causalité reconnu par le laboratoire !

Les enfants en danger

https://nouveau-monde.ca/enfants-en-danger-stop-a-lindifference/

Risque à court terme de myocardite et hépatite, pour le long terme, on ne sait RIEN !

303 fois plus de risque de mourir du Covid chez les enfants injectés que non injectés

https://expose-news.com/2022/05/23/children-303x-likely-to-die-following-covid-vaccination/

Source : statistiques officielles du gouvernement anglais

Documents secrets de Pfizer : deux fois plus de décès chez les injectés que les non injectés

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-documents-secrets-des-essais-pfizer-revelent-deux-fois-plus-de-deces-parmi-les-vaccines-que-les-non-injectes/

Le mur de mensonges se lézarde.

Chaque jour de nouvelles victimes rejoignent Verity France

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/chaque-jour-des-nouvelles-victimes-des-vaccins-rejoignent-verity-france/

Familles de victimes décédées, ou personnes injectées vivant un calvaire depuis leur vaccin.

APRÈS COVID

Variole du singe, un virus fabriqué en laboratoire et peut-être libéré intentionnellement

https://resistance-mondiale.com/une-etude-revele-que-la-derniere-epidemie-de-variole-du-singe-est-le-resultat-dun-virus-manipule-par-un-laboratoire-biologique-et-probablement-libere-intentionnellement

Le houleux mariage à trois autour du Monkeypox

https://www.aimsib.org/2022/06/05/houleux-mariage-a-trois-autour-de-monkeypox/

ou comment les instances de santé se contredisent au détriment des citoyens.

RÉSISTANCES

CSI n° 58



Pr Jean-Paul BOURDINEAU, Jean-Paul Bourdineaud : Professeur de biochimie et toxicologie environnementales. Exposé très clair du rôle de la protéine S et de ses effets délétères.

Réinfocovid, la revue de presse du 6 juin

Une actualité très riche !




Discours de Vladimir Poutine lors du Forum Économique International de Saint-Pétersbourg (SPIEF) 2022

[Source : donbass-insider.com]

Le Forum Économique International de Saint-Pétersbourg (SPIEF) a lieu cette année du 15 au 18 juin 2022. Vladimir Poutine a participé à la session plénière du 17 juin, et y a prononcé un discours partagé entre explications sur la situation mondiale actuelle, le développement d’un monde multipolaire, mais aussi les défis de politique intérieure auxquels la Russie doit faire face.


Je souhaite la bienvenue aux participants et aux invités du 25e Forum économique international de Saint-Pétersbourg.

Il a lieu à un moment difficile pour la communauté mondiale, où l’économie, les marchés et les principes mêmes du système économique mondial sont attaqués. Un grand nombre de liens commerciaux, de production et de logistique précédemment perturbés par la pandémie sont à nouveau mis à l’épreuve. En outre, des concepts clés pour les affaires tels que la réputation des entreprises, le respect de la propriété et la confiance dans les devises mondiales ont été complètement sapés – sapés, malheureusement, par nos partenaires occidentaux, et cela a été fait délibérément, par ambition, au nom du maintien d’illusions géopolitiques dépassées.

Aujourd’hui, je vais donner notre – quand je dis « notre », je veux dire les dirigeants russes – vision de la situation dans laquelle se trouve l’économie mondiale. J’expliquerai comment la Russie agit dans cet environnement et comment elle planifie son développement dans un environnement qui évolue de manière dynamique.

Il y a un an et demi, lors d’un discours au Forum de Davos, j’ai souligné une fois de plus que l’ère de l’ordre mondial unipolaire est terminée – je veux commencer par cela, il n’y a pas d’échappatoire – elle est terminée, malgré toutes les tentatives de la préserver, de la maintenir en place par tous les moyens. Le changement est le cours naturel de l’histoire, parce que la diversité civilisationnelle de la planète, la richesse des cultures est difficile à combiner avec des schémas politiques, économiques et autres, des schémas qui ne fonctionnent pas ici, des schémas qui sont grossièrement, sans alternative, imposés depuis un seul centre.

Le défaut réside dans l’idée même qu’il existe une seule puissance, bien qu’elle soit forte, avec un nombre limité d’États qui lui sont proches ou, comme on dit, qui y sont admis, et toutes les règles du commerce et des relations internationales, lorsque cela devient nécessaire, sont interprétées exclusivement dans l’intérêt de cette puissance, comme on dit, travaillent dans une seule direction, le jeu est à sens unique. Un monde fondé sur de tels dogmes n’est absolument pas viable.

Les États-Unis, en s’attribuant la victoire dans la guerre froide, se sont déclarés les ambassadeurs de Dieu sur terre, qui n’ont pas d’obligations, mais seulement des intérêts, et ces intérêts sont déclarés sacrés. C’est comme s’ils ne remarquaient pas qu’au cours des dernières décennies, de nouveaux centres de force ont émergé sur la planète et deviennent de plus en plus puissants. Chacun d’entre eux développe ses propres systèmes politiques et institutions sociales, met en œuvre ses propres modèles de croissance économique et, bien sûr, a le droit de les protéger, de garantir sa souveraineté nationale.

Nous parlons de processus objectifs, de changements véritablement révolutionnaires et tectoniques dans la géopolitique, dans l’économie mondiale, dans la technologie, dans l’ensemble du système des relations internationales, où le rôle des États et des régions dynamiques et prometteurs, dont les intérêts ne peuvent plus être ignorés, s’accroît considérablement.

Je le répète : ces changements sont fondamentaux, cruciaux et inexorables. Et c’est une erreur de croire qu’une période de changements turbulents peut, pour ainsi dire, s’asseoir et attendre, que tout va prétendument revenir à la normale, que tout sera comme avant. Cela n’arrivera pas.

Cependant, il semble que les élites dirigeantes de certains États occidentaux se bercent de ce genre d’illusions. Ils ne veulent pas voir les choses évidentes, mais s’accrochent obstinément aux ombres du passé. Par exemple, ils pensent que la domination de l’Occident sur la politique et l’économie mondiales est une valeur constante et éternelle. Rien n’est éternel.

Et nos collègues ne se contentent pas de nier la réalité. Ils essaient de contrecarrer le cours de l’histoire. Ils pensent en termes du siècle passé. Ils sont prisonniers de leurs propres illusions sur les pays situés en dehors de ce que l’on appelle le milliard d’or, ils considèrent tout le reste comme périphérique, leur arrière-cour, ils les considèrent toujours comme une colonie, et les gens qui y vivent comme des citoyens de seconde zone parce qu’ils se considèrent comme exceptionnels. S’ils sont exceptionnels, alors tous les autres sont de second rang.

Cela conduit à un désir irrépressible de punir, d’écraser économiquement ceux qui sortent du rang, qui ne veulent pas obéir aveuglément. De plus, ils imposent grossièrement et sans scrupules leur éthique, leur vision de la culture et de l’histoire, et remettent parfois en question la souveraineté et l’intégrité des États et menacent leur existence. Il suffit de rappeler le sort de la Yougoslavie, de la Syrie, de la Libye et de l’Irak.

Si un rebelle ne parvient pas à être piégé et pacifié, ils tentent de l’isoler ou, comme on dit aujourd’hui, de « l’effacer ». Tout est permis, même les sports, le mouvement olympique, les interdictions culturelles, les chefs-d’œuvre artistiques – simplement parce que leurs auteurs sont de la « mauvaise » origine.

C’est également la nature de l’actuelle crise de russophobie en Occident et des sanctions folles contre la Russie. Folles et, je dirais, insensées. Leur nombre, ainsi que la vitesse à laquelle elles sont validées, sont sans précédent.

Le calcul était clair : écraser l’économie russe dans la précipitation, détruire les filières commerciales, rappeler de force les entreprises occidentales du marché russe, geler les avoirs nationaux, frapper l’industrie, la finance et le niveau de vie de la population.

Cela n’a pas fonctionné. Évidemment, ça n’a pas marché, ça n’a pas eu lieu. Les entrepreneurs russes et les autorités ont travaillé ensemble de manière professionnelle, et les citoyens ont fait preuve de solidarité et de responsabilité.

Petit à petit, nous avons normalisé la situation économique. Tout d’abord, nous avons stabilisé les marchés financiers, le système bancaire et le réseau commercial. Puis nous avons commencé à saturer l’économie de liquidités et de fonds de roulement pour maintenir la pérennité des entreprises et des sociétés, de l’emploi et des postes.

Les sombres prévisions sur les perspectives de l’économie russe, entendues au début du printemps, ne se sont pas réalisées. Dans le même temps, on comprend pourquoi cette campagne de propagande a été montée en épingle, où toutes ces formules sur le dollar à 200 roubles et sur l’effondrement de notre économie dans son ensemble – tout cela était et reste un outil de lutte informationnelle, un facteur d’impact psychologique sur la société russe, sur les milieux d’affaires nationaux.

D’ailleurs, certains de nos experts ont succombé à cette pression extérieure et ont également annoncé dans leurs prévisions l’effondrement imminent de l’économie russe et l’affaiblissement critique de la monnaie nationale, le rouble.

La vie a déjoué ces prédictions. Toutefois, je tiens à souligner que pour continuer à réussir, nous devons être très honnêtes et réalistes dans notre évaluation de la situation, être indépendants dans nos conclusions et, bien sûr, croire en notre propre force – c’est très important. Nous sommes des personnes fortes et nous pouvons relever tous les défis. Comme nos ancêtres, nous pouvons relever tous les défis. Les millénaires entiers de l’histoire de notre pays en témoignent.

Trois mois seulement après l’adoption d’un ensemble de sanctions massives, nous avons supprimé la poussée inflationniste. Après le pic de 17,8 pour cent, comme vous le savez, l’inflation est maintenant de 16,7 pour cent et continue de baisser. La dynamique économique se stabilise et les finances publiques sont saines. Je le comparerai avec d’autres régions. Oui, c’est beaucoup pour nous aussi, bien sûr. 16,7%, c’est beaucoup d’inflation. Nous devons travailler là-dessus et nous le ferons, et je suis sûr que nous parviendrons à un résultat positif.

Au cours des cinq premiers mois de cette année, le budget fédéral a été élaboré avec un excédent de 1,5 billion de roubles, et le budget consolidé avec un excédent de 3,3 billions de roubles. Pour le seul mois de mai, l’excédent budgétaire fédéral a atteint près d’un demi-billion de roubles, soit plus de quatre fois plus qu’en mai de l’année dernière.

Notre tâche aujourd’hui est de créer les conditions pour relancer la production, augmenter l’offre sur le marché intérieur et, en équilibre avec la croissance de l’offre, rétablir la demande finale et les prêts bancaires dans l’économie.

Je l’ai déjà dit : nous avons pris des mesures spéciales pour reconstituer le fonds de roulement des entreprises. En particulier, les entreprises de presque tous les secteurs ont obtenu le droit de différer les paiements d’assurance pour le deuxième trimestre de cette année. En même temps, les entreprises manufacturières ont des possibilités plus larges : elles pourront profiter du report au troisième trimestre également. En fait, il s’agit d’un prêt sans intérêt de l’État.

Par la suite, les cotisations différées ne devront pas être payées, pour ainsi dire, en une seule fois. Cela peut se faire en versements égaux sur 12 mois à partir du mois de juin de l’année suivante.

Ensuite. Le taux des hypothèques préférentielles a été abaissé en mai. Il est maintenant de neuf pour cent. Le programme de prêts hypothécaires subventionnés a été prolongé jusqu’à la fin de l’année.

Comme je l’ai dit précédemment, l’objectif de cette mesure est d’aider les citoyens à résoudre leurs problèmes de logement, de soutenir le secteur de la construction et les industries connexes, qui emploient des millions de personnes.

Après la flambée du printemps, les taux d’intérêt de l’économie russe baissent progressivement et la Banque centrale abaisse son taux directeur. À cet égard, je pense qu’il est possible de réduire une nouvelle fois le taux hypothécaire préférentiel, désormais à sept pour cent.

Mais que voudrais-je souligner ? La durée du programme reste la même – jusqu’à la fin de cette année. Cela signifie que ceux de nos concitoyens qui veulent améliorer leurs conditions de logement grâce à cet avantage doivent en profiter avant la fin de cette année.

Les montants maximaux des prêts resteront également inchangés : 12 millions de roubles pour Moscou et Saint-Pétersbourg et 6 millions de roubles pour le reste des sujets fédéraux.

J’ajouterais qu’il est important pour nous en général d’augmenter la disponibilité des ressources financières à long terme, du crédit pour l’économie. Dans un avenir proche, l’accent mis sur le soutien de l’activité économique devrait passer des mesures de relance budgétaire aux mécanismes de prêts bancaires basés sur le marché.

Ce processus devrait assurément être soutenu. Par exemple, nous allons allouer 120 milliards de roubles du Fonds national de protection sociale pour augmenter la capacité du mécanisme de financement de projets de la VEB (Banque de développement de la fédération de Russie). Cette mesure permettra d’accorder des crédits supplémentaires aux initiatives et projets en demande pour un montant d’environ un demi-billion de roubles.

Chers collègues !

J’ai déjà dit que la guerre économique éclair contre la Russie n’avait aucune chance de succès dès le départ. En même temps, l’arme des sanctions est, comme vous le savez, et la pratique de ces dernières années le montre bien, une arme à double tranchant. Elle inflige des dommages comparables, voire plus importants, aux idéologues et aux concepteurs eux-mêmes.

Et il ne s’agit pas seulement des conséquences actuelles évidentes. Nous savons qu’une perspective très inquiétante est discutée entre les dirigeants européens au niveau des conversations informelles, comme on dit, à savoir que des sanctions pourraient être imposées non seulement contre la Russie, mais aussi contre tout État indésirable, affectant tôt ou tard tout le monde, y compris les membres de l’UE et les entreprises européennes elles-mêmes.

Jusqu’à présent, nous n’en sommes pas là, mais les politiciens européens ont déjà porté un coup sérieux à leur économie – ils l’ont fait eux-mêmes, de leurs propres mains. Nous pouvons voir comment les problèmes sociaux et économiques se sont aggravés en Europe et aux États-Unis également, comment le coût des marchandises, de la nourriture, de l’électricité et du carburant pour les voitures augmente, comment la qualité de vie des Européens diminue et comment les entreprises perdent leur compétitivité.

Les experts estiment que les pertes directes, “calculables” de l’UE, venant de la fièvre des sanctions, pourraient à elles seules dépasser 400 milliards de dollars au cours de l’année à venir. C’est le coût des décisions qui sont coupées de la réalité et prises au mépris du bon sens.

Ces coûts sont directement supportés par les citoyens et les entreprises de l’Union européenne. Dans certains pays de la zone euro, l’inflation a déjà dépassé les 20 %. Je parlais de notre inflation, mais les pays de la zone euro ne mènent pas d’opérations militaires spéciales et l’inflation y a augmenté – jusqu’à 20 % pour certains d’entre eux. Les États-Unis connaissent également une inflation insoutenable, la plus élevée depuis 40 ans.

Oui, bien sûr, l’inflation en Russie est aussi toujours à deux chiffres. Cependant, nous avons déjà indexé les paiements sociaux et les pensions, augmenté le salaire minimum et le coût de la vie, protégeant ainsi les citoyens les plus pauvres. Et, en retour, les taux d’intérêt élevés ont permis aux gens de conserver leurs économies dans le système bancaire russe.

Bien sûr, pour les représentants des entreprises, c’est compréhensible : un taux directeur élevé bride l’économie – normal. Pour les citoyens, cependant, dans la plupart des cas, c’est un plus : ils ont rendu aux banques une somme importante d’argent à des taux d’intérêt élevés.

C’est la principale différence avec les pays de l’UE, où la hausse de l’inflation diminue directement les revenus réels et ronge l’épargne, et où la crise actuelle pèse essentiellement sur les personnes à faible revenu.

Il y a également eu de graves conséquences à long terme pour les entreprises européennes en termes d’augmentation des coûts et de perte du marché russe. Le résultat est évident : la perte de compétitivité mondiale et une baisse systémique du taux de croissance de l’économie européenne pour les années à venir.

Tout cela conduit à l’aggravation des problèmes sous-jacents des sociétés occidentales. Bien sûr, nous avons aussi nos propres problèmes, mais je dois en parler maintenant, car ils ne cessent de nous montrer du doigt, alors qu’ils ont eux-mêmes suffisamment de problèmes. J’en parlais aussi à Davos. La conséquence directe des actions des politiciens européens et des événements de cette année sera une nouvelle aggravation de l’inégalité dans ces pays, qui, à son tour, divisera davantage leurs sociétés, et la question ne concerne pas seulement le niveau de bien-être mais aussi les valeurs des différents groupes de cette société.

Oui, ces contradictions sont supprimées et balayées sous le tapis. Les procédures démocratiques, les élections en Europe, pour être honnête, parfois vous regardez ce qui s’y passe, quelles forces arrivent au pouvoir – tout cela ressemble à un écran, car des partis politiques qui ressemblent à des jumeaux se remplacent au pouvoir. Mais l’essence ne change pas. Les véritables intérêts des citoyens et des entreprises nationales sont repoussés de plus en plus loin à la périphérie.

Une telle rupture avec la réalité, avec les besoins de la société, conduira inévitablement à une poussée de populisme et à la croissance de courants extrêmes et radicaux, à de graves changements socio-économiques, à des dégradations et, dans un avenir proche, à un changement des élites. Les partis traditionnels, comme vous pouvez le constater, ne cessent de perdre. De nouveaux mouvements apparaissent, mais s’ils ne diffèrent pas beaucoup des mouvements traditionnels, ils n’ont pas non plus beaucoup de chance de survivre.

Toutes les tentatives pour jouer franc jeu, tous les discours sur les coûts prétendument acceptables au nom de la pseudo-unité ne peuvent dissimuler l’essentiel : l’UE a finalement perdu sa souveraineté politique, et ses élites bureaucratiques dansent au rythme imposé par d’autres, acceptant tout ce qu’on leur dit d’en haut, nuisant à leur propre population et à leur propre économie, à leurs propres entreprises.

Qu’y a-t-il d’autre de crucial ici ? La détérioration de la situation de l’économie mondiale n’est pas le fait de ces derniers mois – je vais maintenant me concentrer sur des choses qui me semblent extrêmement importantes – ce qui se passe n’est pas le résultat de ces derniers mois, bien sûr que non. Surtout pas le résultat de l’opération militaire spéciale que la Russie mène dans le Donbass. De telles affirmations constituent une déformation flagrante et délibérée des faits.

La forte hausse de l’inflation sur les matières premières et les marchés des produits de base était une réalité bien avant les événements de cette année. Le monde a été poussé dans cette situation par de nombreuses années de politiques macroéconomiques irresponsables de la part des pays dits du G7, notamment des émissions incontrôlées de monnaie et l’accumulation de dettes non garanties. Et ces processus n’ont fait que s’accélérer, s’intensifiant avec le déclenchement de la pandémie de coronavirus en 2020, alors que l’offre et la demande de biens et de services ont été considérablement réduites à l’échelle mondiale.

La question est la suivante : quel est le rapport avec notre opération militaire dans le Donbass ? Cela n’a rien à voir du tout.

Ne pouvant ou ne voulant pas utiliser une autre recette, les autorités des principales économies occidentales ont tout simplement lancé la presse à imprimer. De cette manière peu sophistiquée, ils ont commencé à couvrir des déficits budgétaires jusque-là invisibles.

J’ai déjà mentionné le chiffre : au cours des deux dernières années, la masse monétaire aux États-Unis a augmenté de plus de 38 %. Auparavant, il y avait eu une telle augmentation sur des décennies, mais là, 38 % en deux ans, c’est 5,9 billions de dollars. En comparaison, seuls quelques pays dans le monde ont un produit intérieur brut plus important.

La masse monétaire de l’Union européenne, pour sa part, a également fortement augmenté au cours de cette période. Son volume a augmenté d’environ 20 %, soit 2,5 billions d’euros.

Ces derniers temps, j’entends de plus en plus parler de la soi-disant – veuillez m’excuser, je n’aime pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais je ne peux m’empêcher de le dire – nous entendons tous parler de la soi-disant inflation poutinienne en Occident. Quand je vois ça, je me dis : à qui s’adressent ces bêtises, à ceux qui ne savent ni lire ni écrire, c’est tout. Les personnes qui savent au moins lire comprennent ce qui se passe réellement.

La Russie, et nos actions pour libérer le Donbass n’ont absolument rien à voir avec ça. La hausse actuelle des prix, l’inflation, les problèmes de nourriture et de carburant, d’essence et d’énergie en général sont le résultat d’erreurs systémiques dans les politiques économiques de l’administration américaine actuelle et de la bureaucratie européenne. C’est là que se trouvent les causes, et seulement là.

Je dirai également à propos de notre opération : oui, elle a fait une petite différence, mais la racine est précisément cela – leur politique économique erronée. Pour eux, le début de notre opération dans le Donbass est une bouée de sauvetage qui leur permet de rejeter leurs propres erreurs de calcul sur les autres, en l’occurrence la Russie. Mais toute personne ayant au moins une éducation scolaire de base comprend les véritables raisons de la situation actuelle.

D’énormes quantités d’argent ont été imprimées, mais ensuite quoi ? Où est passé tout cet argent ? Évidemment : pour l’achat de biens et de services en dehors des pays occidentaux – c’est là qu’il a circulé, cet argent imprimé. Ils ont littéralement commencé à “aspirer”, à s’emparer des marchés mondiaux. Naturellement, personne n’a pensé aux intérêts des autres nations, y compris les plus pauvres. Ils se sont retrouvés avec ce que l’on appelle les rebuts, à des prix astronomiques.

Ainsi, alors que fin 2019, les importations aux États-Unis avoisinaient les 250 milliards de dollars par mois, elles sont désormais passées à 350 milliards de dollars. Fait remarquable, l’augmentation a été de 40 % – proportionnellement au pompage non garanti de la masse monétaire en dollars de ces dernières années. Ils ont imprimé de l’argent, l’ont distribué et avec cet argent, ils ont pris tous les biens sur les marchés des pays tiers.

Je vais ajouter une autre chose : Les États-Unis sont depuis longtemps un important fournisseur de denrées alimentaires sur le marché mondial, et ils sont, à juste titre, fiers de leur agriculture, de leur tradition agricole, un exemple pour beaucoup, et pour nous aussi, d’ailleurs. Mais aujourd’hui, le rôle de l’Amérique a radicalement changé. Elle est passée du statut d’exportateur net de denrées alimentaires à celui d’importateur net. En gros, elle imprime de l’argent et attire les flux de matières premières, achetant de la nourriture dans le monde entier.

Un taux d’augmentation encore plus élevé des importations de marchandises peut être observé dans l’Union européenne. Il est compréhensible que cette poussée de la demande, qui ne correspond pas à l’offre de matières premières, ait déclenché une vague de déficits et d’inflation mondiale. C’est de là que vient cette inflation mondiale. Au cours des deux dernières années, le prix de presque tout ce qui existe dans le monde a augmenté : les matières premières, les biens de consommation et surtout les denrées alimentaires.

Oui, bien sûr, ces pays, y compris les États-Unis, continuent à exporter, mais la balance entre les exportations et les importations est déjà dans l’autre sens : il y a déjà, je pense, 17 milliards d’importations de plus que d’exportations. C’est de cela qu’il s’agit.

Selon l’ONU, en février de cette année, l’indice mondial de la valeur des aliments était de 50 % supérieur à celui de mai 2020, et l’indice composite des produits de base a doublé sur la même période.

Dans la tempête inflationniste, de nombreux pays en développement se posent une question raisonnable : pourquoi échanger des produits de base contre des dollars et des euros, qui perdent leur valeur sous leurs yeux ? La conclusion est qu’une économie constituée d’entités imaginaires est inévitablement remplacée par une économie de valeurs et d’actifs réels.

Selon le FMI, les réserves de change mondiales s’élèvent actuellement à 7 100 billions de dollars et 2 500 billions d’euros, et cet argent se déprécie à un rythme d’environ 8 % par an. Mais ils peuvent être confisqués et volés à tout moment, si les États-Unis n’apprécient pas la politique de l’un ou l’autre pays. C’est devenu très réaliste pour de nombreux pays qui conservent leurs réserves en devises dans ces monnaies.

Les experts estiment que dans les prochaines années, c’est une analyse objective, il y aura un processus de conversion des réserves mondiales – il n’y a tout simplement nulle part où les placer face à de telles pénuries – de monnaies qui perdent leur valeur en ressources réelles – d’autres pays le feront, bien sûr, comme la nourriture, l’énergie, d’autres matières premières. Il est évident que ce processus alimentera davantage l’inflation mondiale du dollar.

Quant à l’Europe, l’échec de la politique énergétique, la dépendance aveugle à l’égard des sources renouvelables et les approvisionnements ponctuels en gaz naturel ont apporté une contribution négative supplémentaire au dérapage des prix, qui a conduit à la forte hausse des coûts énergétiques que nous observons depuis le troisième trimestre de l’année dernière – là encore, bien avant le début de notre opération dans le Donbass. Nous n’avons absolument rien à voir avec cela. Ils ont tout gâché eux-mêmes, les prix ont grimpé en flèche, et ils cherchent à nouveau des coupables.

Les erreurs de calcul de l’Occident ont non seulement augmenté le coût de nombreux biens et services, mais ont également entraîné une baisse de la production d’engrais, en particulier des engrais azotés produits à partir de gaz naturel. Globalement, rien que du milieu de l’année dernière au mois de février de cette année, les prix mondiaux des engrais ont augmenté de plus de 70 %.

Malheureusement, il n’y a aucun signe d’inversion de ces tendances de prix pour le moment. Au contraire, dans ce contexte, le travail des entreprises et la logistique des fournitures d’engrais en provenance de Russie et de Biélorussie sont bloqués. La situation est donc encore plus critique.

Il n’est pas difficile de prévoir l’évolution de la situation. La pénurie d’engrais signifie des rendements plus faibles et donc le risque de pénurie de nourriture sur le marché mondial augmentera encore plus les prix, ce qui menace de famine les pays les plus pauvres en particulier, ce qui est entièrement sur la conscience de l’administration américaine et de la bureaucratie européenne.

Permettez-moi d’insister une fois de plus : ce problème n’est pas apparu aujourd’hui, ni au cours des trois ou quatre derniers mois, et ce n’est absolument pas la faute de la Russie, comme certains démagogues tentent aujourd’hui de rejeter sur notre pays la responsabilité de tout ce qui se passe dans l’économie mondiale.

Bien sûr, nous pourrions être heureux d’apprendre que nous sommes si puissants et tout-puissants : l’inflation est galopante en Occident, aux États-Unis, en Europe, et nous faisons encore autre chose qui rend tout le monde fébrile. Il serait peut-être agréable pour nous de nous sentir si puissants, mais cela ne correspond pas à la réalité. La situation couve depuis des années, alimentée par les actions à courte vue de ceux qui ont l’habitude de résoudre leurs problèmes aux dépens des autres, qui ont compté et comptent encore sur le mécanisme des émissions de capitaux pour acheter à outrance, tirer sur les flux commerciaux et ainsi exacerber les déficits et provoquer des catastrophes humanitaires dans certaines parties du monde. Je voudrais ajouter : il s’agit essentiellement de la même politique de brigandage-colonial, mais bien sûr sous une nouvelle forme, dans une nouvelle édition, beaucoup plus subtile et sophistiquée. Ce qui se passe n’est pas immédiatement évident.

Aujourd’hui, la tâche la plus importante pour l’ensemble de la communauté mondiale est d’accroître l’offre de denrées alimentaires sur le marché mondial, notamment en répondant aux besoins des pays qui souffrent particulièrement d’insécurité alimentaire.

La Russie, en assurant sa sécurité alimentaire intérieure, son marché intérieur, peut augmenter considérablement ses exportations de denrées alimentaires et d’engrais. Par exemple, le volume de nos approvisionnements en céréales la saison prochaine pourrait atteindre 50 millions de tonnes.

En priorité, nous dirigerons nos livraisons vers les pays où les besoins alimentaires sont les plus importants et où il existe un risque d’augmentation de la famine. Tout d’abord, nous parlons de pays africains et du Moyen-Orient.

Cependant, il y a des difficultés ici, qui ne sont pas non plus de notre fait. Oui, officiellement les céréales, les aliments et les engrais russes… D’ailleurs, les Américains ont imposé des sanctions sur nos engrais, suivis par les Européens. Puis les Américains les ont levées. Ils ont compris dans quoi ils s’étaient embarqués. Mais les Européens ne le font pas. Leur bureaucratie fonctionne comme les meules d’un moulin du XVIIIe siècle. C’est pourquoi tout le monde comprend qu’il a fait une bêtise, mais il est difficile de revenir en arrière en raison de considérations bureaucratiques.

Ainsi, je le répète, la Russie est prête à contribuer à l’équilibre des marchés agricoles mondiaux et nous nous félicitons certainement de l’ouverture au dialogue sur cette question de la part de nos collègues des Nations unies qui comprennent l’urgence du problème alimentaire mondial. Le sujet d’une telle conversation pourrait être la création de conditions normales – logistiques, financières, de transport – pour accroître les exportations russes de produits alimentaires et d’engrais.

En ce qui concerne – je ne peux m’empêcher de le mentionner aussi, il y a malheureusement beaucoup de spéculations à ce sujet – l’approvisionnement des marchés mondiaux en produits alimentaires ukrainiens : nous n’intervenons pas. Pour l’amour de Dieu. Ce n’est pas nous qui avons miné les ports de la mer Noire de l’Ukraine. Laissez-les les déminer et les enlever. Nous assurerons la sécurité du pilotage de ces navires civils. Il n’y a aucun doute.

Mais de quoi parle-t-on ? L’USDA estime à six millions de tonnes de blé ; nous estimons à environ cinq. Et sept autres millions de tonnes de maïs. C’est tout. Et si vous gardez à l’esprit que le monde produit 800 millions de tonnes de blé, alors cinq millions de tonnes pour le marché mondial, comme vous le comprenez, ne font aucune différence.

Néanmoins, il y a des possibilités d’exportation, et pas seulement via les ports de la mer Noire. S’il vous plaît, exportez via la Biélorussie – le moyen le moins cher, d’ailleurs. Par la Pologne, la Roumanie – autant que vous le souhaitez. Il existe cinq ou six options d’exportation.

Le problème ne vient pas de nous, mais de l’adéquation des personnes qui sont au pouvoir à Kiev. Laissez-les décider de ce qu’ils veulent faire, et dans ce cas au moins, ils ne sont pas guidés par leurs maîtres de l’étranger, de l’outre-mer, de l’autre côté de l’océan.

Mais il y a aussi le danger que ces céréales servent à payer les armes fournies. Ce serait bien malheureux alors.

Chers amis !

Comme je l’ai dit, le monde moderne traverse une période de changements spectaculaires. Les institutions internationales s’effondrent, elles sont défaillantes. Les garanties de sécurité sont dévaluées. L’Occident a fondamentalement refusé d’honorer ses engagements antérieurs. Il s’est avéré impossible de conclure de nouveaux accords avec l’Occident.

Dans cette situation, dans un contexte de risques et de menaces croissants pour nous, la décision de la Russie de mener une opération militaire spéciale a été forcée. Difficile, bien sûr, mais nécessaire et indispensable.

Il s’agit de la décision d’un pays souverain, qui a le droit inconditionnel, fondé d’ailleurs sur la Charte des Nations unies, de défendre sa sécurité. Une décision qui vise à protéger nos citoyens, les habitants des républiques populaires du Donbass, qui subissent depuis huit ans un génocide de la part du régime de Kiev et des néo-nazis, qui ont reçu le plein patronage de l’Occident.

L’Occident a non seulement cherché à mettre en œuvre le scénario “anti-Russie”, mais s’est également engagé activement dans le développement militaire du territoire ukrainien, inondant littéralement l’Ukraine d’armes et de conseillers militaires. Il continue à le faire même aujourd’hui. Pour être honnête, personne ne prête la moindre attention au développement de l’économie ou au bien-être des personnes qui y vivent ; ils s’en moquent éperdument, de quelque manière que ce soit, mais ils n’ont pas épargné et n’épargnent pas l’argent pour créer une tête de pont de l’OTAN à l’est dirigée contre la Russie, pour nourrir l’agression, la haine et la russophobie.

Aujourd’hui, nos soldats et nos officiers, et la milice du Donbass, se battent pour protéger leur peuple. Ils défendent le droit de la Russie à se développer librement et en toute sécurité en tant que grand pays multiethnique qui prend ses propres décisions, décide de son propre avenir, s’appuie sur sa propre histoire, sa culture et ses traditions et rejette toute tentative d’imposer de l’extérieur les pseudo-valeurs de la déshumanisation et de la dégradation morale.

Toutes les tâches de l’opération militaire spéciale seront incontestablement accomplies. La clé de cette réussite est le courage et l’héroïsme de nos soldats, la consolidation de la société russe, dont le soutien donne force et confiance à l’armée et à la marine de Russie, et la compréhension profonde de la justesse et de la justice historique de notre cause – construire et renforcer un État souverain fort, la Russie.

Qu’est-ce que je veux souligner ? La souveraineté au XXIe siècle ne peut être partielle, fragmentaire. Tous ses éléments sont d’égale importance, ils se renforcent et se complètent mutuellement.

C’est pourquoi il est important pour nous non seulement de défendre notre souveraineté politique, notre identité nationale, mais aussi de renforcer tout ce qui détermine l’indépendance économique du pays, son autosuffisance et son indépendance financière, personnelle et technologique.

La conception même des sanctions occidentales repose sur la thèse erronée selon laquelle la Russie n’est pas économiquement souveraine, qu’elle est extrêmement vulnérable. Ils étaient tellement occupés à propager des mythes sur l’arriération de la Russie, sa faible position dans l’économie et le commerce mondiaux, qu’ils semblaient y croire eux-mêmes.

En planifiant leur blitzkrieg économique, ils n’ont pas remarqué, ils ont simplement ignoré les faits réels, la façon dont notre pays a changé ces dernières années.

Et ces changements sont le résultat de notre travail planifié pour créer une structure macroéconomique durable, pour assurer la sécurité alimentaire, pour mettre en œuvre des programmes de substitution des importations, pour construire notre propre système de paiement, etc.

Bien sûr, les sanctions ont placé le pays face à de nombreux défis de taille. Certaines entreprises rencontrent encore des problèmes avec les composants. Toute une série de solutions technologiques sont devenues inaccessibles à nos entreprises. La logistique a été perturbée.

Mais, d’un autre côté, tout cela nous ouvre de nouvelles possibilités – nous en parlons souvent, mais c’est vraiment vrai. Tout cela incite à construire une économie dotée d’un potentiel et d’une souveraineté technologiques, manufacturiers, humains et scientifiques complets, plutôt que partiels.

Bien entendu, une tâche aussi complexe ne peut être résolue en une seule fois. Il est nécessaire de poursuivre un travail systématique, dans une perspective d’avenir. C’est exactement comme cela que fonctionne la Russie, qui met en œuvre des plans à long terme pour le développement des secteurs économiques et le renforcement de la sphère sociale. Et les défis actuels ne font qu’apporter des ajustements et des retouches à ces plans, mais ne modifient pas leur orientation stratégique.

Aujourd’hui, je voudrais me concentrer sur les principes clés qui guideront le développement de notre pays et de notre économie.

La première est l’ouverture. Les nations véritablement souveraines sont toujours prêtes à travailler en partenariat sur un pied d’égalité, afin d’apporter leur propre contribution au développement mondial. Au contraire, ceux qui sont faibles et dépendants ont tendance à se chercher des ennemis, à répandre la xénophobie ou à perdre complètement leur identité et leur indépendance, en suivant aveuglément leur suzerain.

La Russie – bien que nos amis occidentaux, pour ainsi dire, en rêvent littéralement – ne prendra jamais la voie de l’auto-isolement et de l’autarcie. En outre, nous étendons et continuerons d’étendre la coopération avec tous ceux qui sont intéressés par cela, qui veulent travailler avec nous. Ces personnes sont nombreuses, je ne les citerai pas toutes. Ils constituent la grande majorité des habitants de la Terre. Je ne vais pas énumérer tous ces pays maintenant, tout le monde le sait.

Je ne dirai rien de nouveau si je rappelle que tous ceux qui veulent continuer à travailler et à collaborer avec la Russie sont soumis à des pressions non dissimulées de la part des États-Unis et de l’Europe, parfois même à des menaces directes. Toutefois, un tel chantage ne signifie pas grand-chose lorsque nous parlons de pays dirigés par de vrais leaders qui comprennent clairement où se trouvent les intérêts des autres et où se trouvent les intérêts nationaux, leurs propres intérêts et ceux de leur peuple.

La Russie renforcera la coopération économique avec ces États et promouvra des projets communs. En même temps, bien sûr, nous coopérerons avec les entreprises occidentales qui, malgré un “bras de fer” sans précédent, continuent à travailler avec succès sur le marché russe.

Nous considérons le développement d’une infrastructure de paiement pratique et indépendante dans les monnaies nationales comme une base solide et prévisible pour approfondir la coopération internationale. Et pour aider les entreprises de nos pays à établir des liens logistiques et de coopération, nous développons des corridors de transport, augmentons la capacité des chemins de fer et la capacité de transbordement des ports dans l’Arctique, l’Est, le Sud et d’autres directions. En particulier, dans les bassins de la mer d’Azov et de la mer Noire et de la mer Caspienne, ils deviendront la partie la plus importante du corridor Nord-Sud, qui fournira des voies de communication durables avec le Moyen-Orient et l’Asie du Sud. Nous pensons que le trafic de marchandises le long de cette route commencera à croître régulièrement dans un avenir proche.

Mais il n’y a pas que le commerce international qui est important. La Russie entend accroître la coopération scientifique, technologique, culturelle, humanitaire et sportive sur la base des principes d’égalité et de respect des partenaires. Dans le même temps, notre pays s’efforcera d’être un leader responsable dans tous ces domaines.

Le deuxième principe de notre développement à long terme est le soutien des libertés entrepreneuriales. Toute initiative privée visant à profiter à la Russie doit bénéficier d’un soutien maximal et d’un espace pour sa mise en œuvre.

La pandémie et les événements actuels ont confirmé l’importance de la flexibilité et de la liberté dans l’économie. C’est l’entreprise privée – dans un environnement difficile, face à des tentatives d’étouffer notre développement par tous les moyens – qui a prouvé qu’elle était capable de rivaliser sur les marchés mondiaux. L’adaptation à l’évolution rapide de l’environnement extérieur se fait également au détriment des entreprises privées. Il est nécessaire d’assurer le développement dynamique de l’économie, bien sûr, avec le soutien des entreprises privées.

Nous continuerons à réduire la charge administrative. Par exemple, de 2016 à 2018, nous avons eu un moratoire sur les inspections planifiées des petites entreprises. Par la suite, il a été prolongé, jusqu’à la fin de 2022 au total. En 2020, ce moratoire concernera également les entreprises de taille moyenne. En outre, le nombre d’inspections non programmées a presque quadruplé.

Mais nous sommes allés encore plus loin et, en mars de cette année, nous avons renoncé aux inspections prévues pour tous les entrepreneurs, quelle que soit la taille de leur entreprise, à une seule condition : si leurs activités ne sont pas associées à un risque élevé de préjudice pour les citoyens et l’environnement. En conséquence, le nombre d’inspections prévues a été divisé par six par rapport à l’année dernière.

Pourquoi est-ce que j’en parle maintenant de manière aussi détaillée ? Le fait est qu’après l’introduction du moratoire sur les inspections, le nombre d’infractions commises par les entrepreneurs – c’est le résultat – n’a pas augmenté, mais a diminué, le nombre d’infractions a baissé. Cela montre la maturité et la responsabilité des entreprises russes. Elles doivent doit être motivées, et non, bien sûr, contraintes de se conformer aux normes et aux exigences.

Cela signifie qu’il y a toutes les raisons de faire un autre pas en avant, radical : abandonner définitivement la plupart des inspections de toutes les entreprises russes dont les activités ne sont pas associées à des risques élevés de préjudice. Tout le monde l’a compris depuis longtemps : il n’est pas nécessaire d’inspecter tout le monde. Une approche axée sur le risque devrait fonctionner. Je demande au gouvernement de définir les paramètres spécifiques de cette réforme dans les mois à venir.

Voici une autre question très sensible pour les entreprises, et aujourd’hui, c’est aussi une question de sécurité nationale et de durabilité économique. Afin de réduire et de minimiser toutes sortes d’abus et d’échappatoires permettant de faire pression sur les entrepreneurs, nous supprimons systématiquement les dispositions pénales vagues en matière de délits dits économiques.

En mars, une loi a été promulguée selon laquelle des poursuites pénales contre des hommes d’affaires pour des infractions fiscales ne peuvent être engagées que sur présentation des autorités fiscales – et d’aucune autre manière. Un projet de loi visant à raccourcir le délai de prescription des infractions fiscales et à refuser d’engager des poursuites pénales après le paiement intégral des arriérés d’impôts devrait être adopté prochainement.

Dans l’ensemble, une approche prudente mais approfondie est nécessaire pour décriminaliser un certain nombre d’infractions dites économiques. Par exemple, celles liées au fait de travailler sans licence ou accréditation. Cette question est aujourd’hui très délicate en raison du comportement illégitime de nos partenaires occidentaux, par exemple, qui refusent d’accorder de telles licences.

Dans des cas comme celui-ci, nos organes d’État ne devraient pas, comme on dit, accuser le business russe de leurs propres mains, alors que nos entrepreneurs ne sont pas vraiment à blâmer ici. Vous savez ce que je veux dire. Ceux qui travaillent dans une petite entreprise le comprennent très bien. La licence a expiré, nos partenaires occidentaux ne la prolongent pas, que peuvent-ils faire ? Devraient-ils faire faillite ? Les choses ne devraient pas fonctionner ainsi. Il est nécessaire, bien sûr, de tout garder sous le contrôle de l’État, mais pas de les empêcher de travailler.

Nous devrions également penser à relever le seuil de responsabilité pour le non-paiement des droits de douane et autres paiements obligatoires. De plus, nous n’avons pas modifié les paramètres de la définition des dommages majeurs et surtout importants depuis longtemps, malgré l’inflation accumulée. Cette incohérence de la loi avec les réalités de la vie doit certainement être corrigée. De 2016 à aujourd’hui, l’inflation s’est accumulée autour de 50 % et ces paramètres n’ont pas été modifiés – il est nécessaire de les modifier, bien sûr.

Enfin, les motifs de mise en détention provisoire des hommes d’affaires et de prolongation des enquêtes préalables au procès doivent être revus. Ce n’est un secret pour personne que ces règles sont très souvent appliquées alors qu’il n’y a aucune nécessité objective.

En conséquence, des entreprises sont contraintes de suspendre leurs activités ou de fermer purement et simplement leurs portes alors qu’elles font encore l’objet d’une enquête. Dans ce cas, outre les pertes directes et la perte de positions sur le marché et d’emplois, la réputation des entreprises et de leurs dirigeants est affectée.

Je voudrais attirer l’attention des forces de l’ordre sur la nécessité de mettre un terme à cette pratique. Je demande au gouvernement, en collaboration avec la Cour suprême, de préparer les amendements appropriés à la loi. Je demande que ces travaux soient réalisés avant le 1er octobre de cette année.

En outre, le Conseil de sécurité a chargé une mission spéciale d’analyser les situations dans lesquelles des affaires pénales sont engagées mais ne sont pas portées devant les tribunaux. Le nombre de ces cas a considérablement augmenté ces dernières années. Il est clair pour tout le monde ce qui se cache derrière. Souvent, les procédures sont engagées sans motifs suffisants ou sont utilisées pour faire pression sur des entreprises ou des particuliers. Nous discuterons de ce sujet séparément à l’automne et prendrons des décisions supplémentaires en termes de législation et d’organisation du travail des services répressifs.

Bien entendu, les équipes de gestion régionales jouent un rôle majeur dans la création d’un environnement commercial moderne. Traditionnellement, lors du Forum de Saint-Pétersbourg, je signale les régions qui ont fait des progrès significatifs dans le cadre du classement national du climat d’investissement géré par l’Agence des initiatives stratégiques.

Ici, nous avons des changements dans le trio de tête. Moscou et le Tatarstan, qui restent en tête, ont été rejoints cette année par la région de Moscou. Au cours de l’année, elle est passée de la huitième à la troisième place. Les régions de Toula, de Nijni Novgorod, de Tioumen, de Novgorod, de Sakhaline, de Saint-Pétersbourg et du Bachkortostan figurent également en tête du classement.

Je voudrais distinguer les régions qui ont le plus progressé : la région de Kourgan, avec une augmentation de 36 places, les territoires de Perm et d’Altaï, avec une augmentation de 26 places, l’Ingouchie, avec 24 places, et la région d’Ivanovo, qui a gagné 17 places. Je tiens à remercier et à féliciter nos collègues des régions pour ce travail.

Et bien sûr, le gouvernement fédéral et les équipes régionales et municipales doivent accorder une attention particulière au soutien des initiatives commerciales des citoyens des petites villes et des communautés éloignées. Nous avons également des exemples de réussite. Il s’agit, entre autres, de créer des logiciels demandés, de vendre des produits respectueux de l’environnement et des biens de notre propre production dans tout le pays via des plateformes internet nationales.

Il est important de créer de nouvelles opportunités ici, d’introduire des formats commerciaux modernes, notamment des plates-formes électroniques, comme je l’ai dit, de réduire la logistique, le transport et les autres coûts, notamment en utilisant des bureaux de poste russes modernisés.

Nous devons également aider les employés des petites entreprises, les auto-entrepreneurs et les jeunes entrepreneurs à acquérir des qualifications et des compétences supplémentaires. Je demande que ces mesures, qui visent spécifiquement les petites villes, les zones rurales et les régions éloignées, fassent l’objet d’un point particulier dans le projet national de développement des petites et moyennes entreprises.

Je voudrais également m’adresser à nos dirigeants et propriétaires de grandes entreprises, à nos grands entrepreneurs et gestionnaires.

Chers collègues, chers amis !

Un succès réel et durable, un sentiment de dignité et de respect de soi ne sont possibles que lorsque vous associez votre avenir, l’avenir de vos enfants à votre patrie. Nous sommes en contact avec de nombreuses personnes depuis longtemps, et je connais les sentiments de beaucoup de nos chefs d’entreprise et propriétaires. Vous m’avez dit à plusieurs reprises que les affaires ne se résument pas à la réalisation de bénéfices, et c’est vrai, mais changer la vie autour de soi, contribuer au développement de sa ville, de sa région et de son pays dans son ensemble est une chose extrêmement importante pour la réalisation de soi, servir les gens et la société ne peut être remplacé par rien. C’est le but de la vie, le but du travail.

Les événements récents n’ont fait que confirmer ce que je disais depuis le début : il est plus fiable d’être à la maison. Ceux qui n’ont pas voulu entendre ce message évident ont perdu des centaines de millions, voire des milliards de dollars en Occident – c’est ainsi que s’est révélé le refuge supposé des capitaux.

Une fois de plus, je voudrais dire à mes collègues, y compris à ceux qui sont dans le public et à ceux qui ne sont pas ici aujourd’hui : s’il vous plaît, ne marchez pas sur les vieux râteaux. Notre pays a un potentiel énorme, et les tâches à accomplir ne manquent pas. Investissez ici, investissez dans la création de nouvelles entreprises et d’emplois, développez les infrastructures touristiques, soutenez les écoles, les universités, les soins de santé et la sphère sociale, la culture et les sports. Je sais que beaucoup le font, je sais – je veux juste insister sur ce point une fois de plus.

C’est exactement ainsi que les Bakhruchine et Morozov, les Chtchoukine et Riabouchinski, les Aktchourine et Galeyev, les Apanayev et Matsiev, Mamontov, Tretiakov, Arsanov, Dadachev et Hajiyev ont compris leur mission. De nombreuses familles de commerçants et d’entrepreneurs russes, tatars, bouriates, tchétchènes, daguestanaises, yakoutes, ossètes, juives, arméniennes et autres n’ont pas laissé d’héritiers et ont inscrit leur nom à jamais dans l’histoire de notre pays.

Par ailleurs, je voudrais souligner une autre chose. Pour les héritiers, les possibles héritiers du capital, personne ne sait ce qui est le plus important : l’argent et les biens dont ils ont hérité, ou la bonne réputation de leurs ancêtres et les services rendus à leur pays. Personne ne va le gaspiller, excusez mon ironie, personne ne va le boire.

Et ce qui restera aux futures générations d’héritiers, c’est leur bonne réputation qui restera avec eux pour toujours. Et elle les accompagnera sûrement tout au long de leur vie, de génération en génération, les aidera, les soutiendra dans la vie, les rendra plus forts que tout l’argent ou les biens dont ils pourront hériter.

Chers collègues !

Le troisième principe de notre développement à long terme est une politique macroéconomique responsable et équilibrée. À bien des égards, c’est précisément cette politique qui nous a permis de résister à la pression sans précédent des sanctions. Mais je le répète, pour nous, cette politique est importante non seulement pour répondre aux défis actuels, mais aussi à long terme. Nous ne répéterons pas l’expérience malheureuse de nos collègues occidentaux, qui ont déclenché une spirale inflationniste et déséquilibré leurs finances.

Notre objectif est de développer l’économie de manière régulière pour les années à venir, de réduire la charge inflationniste pesant sur les citoyens et les entreprises, et d’atteindre notre objectif d’inflation de quatre pour cent à moyen et long terme. J’ai failli commencer par l’inflation et je voulais maintenant dire ceci : quatre pour cent – nous avons toujours cet objectif.

J’ai déjà chargé le gouvernement de préparer des propositions de nouvelles règles budgétaires. Ils doivent assurer la prévisibilité de la politique budgétaire et créer les conditions permettant de tirer le meilleur parti de la situation économique extérieure. Tout cela est nécessaire pour renforcer les bases de la croissance économique, résoudre les problèmes d’infrastructure et de technologie, ce qui est la base de l’amélioration du bien-être des citoyens.

Oui, certaines des monnaies de réserve du monde sont suicidaires aujourd’hui, c’est clair, en tout cas leurs tendances suicidaires sont évidentes. Bien sûr, cela n’a aucun sens de “stériliser” notre masse monétaire avec elles aujourd’hui. Mais le principe fondamental – dépenser en fonction de ce que l’on a gagné – demeure, et personne ne l’a aboli. Nous le comprenons.

Le quatrième principe de notre développement est la justice sociale. La croissance de l’économie et de l’initiative des entreprises, des capacités industrielles et du potentiel scientifique et technologique du pays doit avoir une forte dimension sociale. Ce développement devrait conduire à une réduction des inégalités, et non à leur exacerbation, comme c’est le cas dans certains autres pays. Et franchement, nous ne sommes pas non plus les champions en la matière, nous avons encore beaucoup de questions et de problèmes ici.

La réduction de la pauvreté et des inégalités se traduit par une demande de produits nationaux, et ce dans tout le pays, ce qui signifie qu’il faut réduire l’écart entre les potentiels des régions, créer de nouveaux emplois exactement là où ils sont le plus nécessaires, et déterminer de manière générale les conditions de la poursuite du développement économique.

Je tiens à souligner que la dynamique positive des revenus réels des citoyens et la réduction de la pauvreté sont les principaux indicateurs de l’efficacité des autorités et du gouvernement dans son ensemble. Malgré toutes les difficultés objectives, il est nécessaire d’obtenir des résultats tangibles cette année, et le gouvernement s’est fixé cet objectif.

Je le répète, nous soutenons spécifiquement les groupes de citoyens les plus vulnérables : les retraités, les familles avec enfants, ainsi que ceux qui se trouvent dans des situations difficiles.

Chaque année, les retraites sont augmentées à un taux supérieur à l’inflation. Cette année, ils ont été augmentés deux fois, y compris de dix pour cent supplémentaires à partir du 1er juin.

Outre les retraites, le salaire minimum a également été augmenté de dix pour cent, de même que le niveau de subsistance, sur lequel reposent de nombreuses autres prestations et allocations sociales, qui doivent donc également être augmentées, ce qui affecte directement le revenu d’environ 15 millions de personnes.

Ces dernières années, nous avons développé un système de soutien complet pour les familles avec des enfants dans le besoin. Une femme peut recevoir une aide de l’État dès les premiers stades de la grossesse jusqu’à ce que son enfant atteigne l’âge de 17 ans.

Le bien-être et la prospérité des personnes sont les facteurs les plus importants du développement démographique, et la situation est ici extrêmement difficile, compte tenu des vagues démographiques négatives. En avril, moins de cent mille enfants sont nés en Russie, soit près de 13% de moins qu’en avril 2020.

Je demande au gouvernement de suivre en permanence le développement de mesures de soutien supplémentaires pour les familles avec enfants. Elles doivent être de nature cardinale, à la mesure de l’ampleur du défi démographique extrême auquel nous sommes confrontés.

L’avenir de la Russie est une famille avec deux, trois enfants ou plus. Par conséquent, nous ne devons pas seulement parler de soutien financier direct – nous devons cibler, adapter aux besoins des familles avec enfants le système de santé, l’éducation, toutes les sphères qui déterminent la qualité de vie des gens.

L’initiative sociale nationale, que les équipes régionales et l’ASI mettent en œuvre ensemble, vise à résoudre ce problème. À l’automne, nous évaluerons les résultats de ce travail et résumerons le classement de la qualité de vie dans les régions, afin que les meilleures pratiques et expériences puissent être utilisées aussi largement que possible dans tout le pays.

Un autre cinquième principe sur lequel la Russie fonde sa politique économique est le développement rapide des infrastructures.

Nous avons déjà augmenté les dépenses budgétaires directes pour renforcer les artères de transport. L’année prochaine, un plan à grande échelle sera lancé pour construire et réparer le réseau routier fédéral et régional. En cinq ans, au moins 85 % de sa longueur doit être mise aux normes.

Nous utilisons activement un nouvel outil tel que les prêts budgétaires pour les infrastructures. Ces prêts sont disponibles pour 15 ans à un taux d’intérêt de trois pour cent. J’ai déjà dit que la demande pour ces produits s’est avérée beaucoup plus importante que ce que nous avions prévu à l’origine. Les régions ont beaucoup de projets bien établis et prometteurs – nous ne pouvons pas retarder leur lancement. Nous allons encore réfléchir à ce que nous allons faire de cette mesure de soutien. On en discutait encore hier soir. En tout cas, tout ce que je peux dire maintenant, c’est que cet outil fonctionne de manière fiable.

La modernisation du secteur du logement et des services publics est une question distincte. De nombreux problèmes se sont accumulés ici. Le secteur souffre d’un sous-investissement chronique, estimé à 4,5 billions de roubles. Plus de 40 % des réseaux doivent être remplacés. Il en résulte une faible efficacité et des pertes élevées. Dans le même temps, chaque année, environ 3 % des réseaux se détériorent et tombent en ruine, tandis que 2 % au maximum sont remplacés par de nouveaux réseaux, ce qui signifie que le problème s’aggrave d’année en année.

Je propose de consolider les ressources et de lancer un programme complet de modernisation du secteur du logement et des services publics et de le synchroniser avec d’autres plans de développement des infrastructures et de réparation du parc immobilier. L’objectif est de changer fondamentalement la situation et de réduire systématiquement la part des réseaux obsolètes, tout comme nous le faisons en réhabilitant les logements délabrés et en réparant les routes. Nous discuterons en détail des questions relatives au secteur du logement et de la construction avec les gouverneurs lors de la réunion du présidium du Conseil d’État la semaine prochaine.

En outre, je propose spécifiquement d’augmenter les ressources pour les projets visant à créer un environnement urbain confortable dans les petites villes et les établissements historiques. Ce programme fonctionne bien pour nous. Je propose d’allouer dix milliards de roubles supplémentaires par an à ces fins en 2023-2024.

Nous allouerons des fonds supplémentaires pour la rénovation urbaine en Extrême-Orient. Je demande au gouvernement de réserver des enveloppes spéciales à ces fins dans le cadre des prêts budgétaires pour les infrastructures et la modernisation du secteur du logement et des services publics, ainsi que d’autres programmes de développement.

Une priorité inconditionnelle pour nous est le développement global des zones rurales. Les personnes qui travaillent dans les campagnes, qui nourrissent le pays et, comme nous le voyons maintenant, une partie considérable du monde, doivent vivre dans des conditions confortables et décentes. À cet égard, je demande au gouvernement d’allouer des fonds supplémentaires au programme de base. Les droits d’exportation provenant de la vente de produits agricoles peuvent devenir une source de financement ici. Il s’agit d’une source permanente. Bien sûr, elle peut fluctuer, mais elle sera permanente.

En même temps, je propose spécifiquement d’étendre les programmes de rénovation et de modernisation des maisons de la culture rurales, ainsi que des théâtres et des musées régionaux et municipaux, en allouant six milliards de roubles chacun à ces fins en 2023 et 2024.

Ce que je viens de dire dans le domaine de la culture est une tâche extrêmement exigeante et importante pour les gens. Permettez-moi de donner un exemple très récent : lors de la remise des médailles de héros du travail, l’un des lauréats de Yakoutie, Vladimir Afrikanovich Mikhaïlov, a demandé directement, dans une partie privée, de l’aide pour la construction d’un centre culturel dans son village natal. Bien sûr, nous le ferons. Mais le fait que les gens en parlent à tous les niveaux montre qu’il y a une forte demande.

Je ferai également une petite digression, qui est appropriée maintenant, avec le début de l’été – la saison traditionnelle des vacances en Russie.

Chaque année, de plus en plus de touristes cherchent à visiter les plus beaux sites naturels de notre pays : parcs nationaux, réserves naturelles et réserves de faune. On estime que cette année, le flux de touristes dépassera les 12 millions de personnes. Il est important que les agences gouvernementales, les entreprises et les touristes sachent ce qui est autorisé et ce qui ne doit pas être fait dans ces zones, où les installations touristiques peuvent être construites et où cela est strictement interdit, où cela crée des risques pour les écosystèmes uniques et vulnérables.

La Douma d’État examine déjà un projet de loi visant à réglementer l’organisation du tourisme dans les zones spécialement protégées et à créer une base civilisée pour ces activités.

À cet égard, je voudrais attirer l’attention sur ce qui suit : toutes les décisions prises ici doivent être réfléchies et soupesées, il est nécessaire de les prendre au sérieux.

Je voudrais mentionner en particulier la tâche de sauver et de préserver le lac Baïkal. Il s’agit notamment d’un projet unique de développement du complexe urbain de Baikalsk, qui doit devenir un modèle de gestion réfléchie et écologique.

L’objectif n’est pas seulement d’éliminer les dommages accumulés sur la nature par les activités de l’usine de pâte à papier de Baïkal, mais aussi d’amener la ville à un niveau de vie fondamentalement différent, pour en faire un symbole de l’écotourisme russe. Le projet doit être mis en œuvre en utilisant les technologies les plus avancées, des sources d’énergie respectueuses de l’environnement.

De manière générale, nous développerons des technologies propres pour atteindre nos objectifs de modernisation écologique de nos entreprises et réduire les émissions nocives dans l’atmosphère, notamment dans les grands centres industriels. Nous continuerons également à travailler sur des projets d’économie en circuit fermé, des projets verts et la préservation du climat, comme je l’ai détaillé ici au forum de l’année dernière.

À cet égard, le sixième principe de développement transversal, à mon avis, qui unit nos travaux, est de parvenir à une véritable souveraineté technologique, en créant un système holistique de développement économique indépendant des institutions étrangères en termes de composants critiques. Nous devons développer tous les domaines de la vie à un niveau technologique qualitativement nouveau et, en même temps, ne pas nous contenter d’être les utilisateurs des solutions de quelqu’un d’autre, mais disposer des clés technologiques pour créer des biens et des services pour les générations suivantes.

Ces dernières années, nous avons accordé beaucoup d’attention à la substitution des importations, nous avons fait des progrès dans un certain nombre de domaines : dans le secteur agricole, dans la production de médicaments, d’équipements médicaux, dans l’industrie de la défense et dans un certain nombre d’autres domaines.

Mais, et je tiens à le souligner, nous avons beaucoup de discussions dans la société à ce sujet : la substitution des importations n’est pas une panacée, ce n’est pas une solution définitive. Si nous ne faisons que répéter les autres, si nous essayons de remplacer les produits des autres, même s’il s’agit de copies de la plus haute qualité, nous risquons d’être rattrapés, alors que nous devons avoir une longueur d’avance, pour créer nos propres technologies, produits et services compétitifs qui peuvent devenir de nouvelles normes mondiales.

Permettez-moi de vous rappeler que Sergueï Pavlovitch Korolev n’a pas suivi la voie de la copie et de l’amélioration partielle du matériel de fusée, mais qu’il a regardé vers l’avenir et a proposé un schéma unique pour créer la fusée R-7, ouvrant à l’humanité la voie vers l’espace, en fait il a établi une norme pour le monde entier, et pour les décennies à venir.

C’est exactement comme cela que les fondateurs de nombreux programmes scientifiques soviétiques ont travaillé en leur temps, et aujourd’hui, en s’appuyant sur un tel travail de base, nos concepteurs avancent dignement. Grâce à eux, la Russie dispose d’armes hypersoniques qui n’ont pas d’analogues dans le monde. Rosatom occupe une position de premier plan dans la technologie nucléaire et développe une flotte de brise-glace nucléaires. De nombreuses solutions russes en matière d’intelligence artificielle et de traitement des big data sont les meilleures au monde.

Une fois encore, le développement technologique est une tendance transversale qui définira non seulement la décennie actuelle, mais aussi l’ensemble du 21e siècle. Nous discuterons en détail du thème de la construction d’une nouvelle économie technologique – la techno-économie – lors du prochain Conseil de développement stratégique. Il y a beaucoup de sujets de discussion et, surtout, de décisions de gestion. Je pense au développement de la formation d’ingénieur et au transfert des développements scientifiques vers l’économie réelle, en fournissant des ressources financières aux entreprises de haute technologie à croissance rapide. Nous aborderons également le développement des technologies de bout en bout et l’avancement des projets de transformation numérique dans certaines industries.

Permettez-moi d’insister sur le fait qu’il est bien sûr impossible de produire tout et n’importe quoi, et que ce n’est pas nécessaire. Cependant, nous devons disposer de toutes les technologies essentielles afin de mettre en place notre propre production de n’importe quel produit, si nécessaire, dans un court laps de temps. C’est ce que nous avons fait lorsque nous avons rapidement produit des vaccins contre le coronavirus et nous avons maintenant de nombreux autres produits et services.

Par exemple, après le départ des partenaires peu scrupuleux de KAMAZ du marché russe, leur niche est désormais occupée par des entreprises nationales. Et nous parlons de fournir des composants non seulement pour les modèles traditionnels de l’usine, mais aussi pour la série prometteuse de véhicules long-courriers, de transport et lourds.

Je voudrais également mentionner le système de paiement par carte Mir, qui a remplacé avec succès Visa et MasterCard sur le marché national et qui est en train d’étendre sa portée géographique, gagnant peu à peu une reconnaissance internationale.

Un autre exemple est celui de l’usine de tracteurs de Saint-Pétersbourg. Son ancien partenaire étranger a refusé de vendre des moteurs et de fournir un service de garantie. Qui a aidé ? Les constructeurs de moteurs de Iaroslavl et Toutayev : ils ont commencé à fournir leurs propres moteurs. En conséquence, la production de machines agricoles à l’usine de tracteurs de Saint-Pétersbourg en mars-avril de cette année a été un record pour l’entreprise – pas une baisse, mais une augmentation record.

Je suis sûr que ces pratiques positives et ces exemples de réussite seront de plus en plus nombreux.

Je le répète, la Russie a les capacités humaines, scientifiques et technologiques pour maîtriser les produits qui sont particulièrement demandés aujourd’hui, notamment les équipements ménagers et de construction, les équipements industriels et de service.

Le défi aujourd’hui est d’augmenter la capacité et de mettre en place les lignes de production nécessaires en peu de temps. Et l’une des questions clés est un environnement confortable pour les entreprises, ainsi que la disponibilité de sites de production préparés.

Je demande au gouvernement de présenter les paramètres clés du nouveau mode de fonctionnement des pôles industriels d’ici l’automne. Qu’est-ce qui est important ici ?

Le premier est le financement. Les projets lancés dans ces pôles doivent bénéficier de crédits à long terme, abordables, d’une durée maximale de dix ans et à un taux d’intérêt annuel ne dépassant pas sept pour cent en roubles. Nous avons discuté de toutes ces questions, y compris avec notre bloc économique. Tout le monde est d’accord, nous allons le faire.

Le second est la fiscalité. Dans les pôles, il est nécessaire de garantir un faible niveau de taxes forfaitaires, y compris les primes d’assurance.

Le troisième point consiste à soutenir la production au stade initial et précoce, en formant un ensemble de commandes, y compris l’octroi de subventions pour l’achat de produits finis de ces entreprises. La question n’est pas simple, mais je pense que des subventions seront nécessaires. Ils sont nécessaires pour assurer le marché. Nous devrions juste y travailler calmement.

Quatrièmement, nous avons besoin d’une administration simplifiée, comprenant des inspections minimales ou inexistantes, et d’un suivi fiscal et douanier confortable pour les entreprises.

Cinquièmement, et c’est peut-être le plus important, nous devons créer des mécanismes pour garantir une demande à long terme pour les nouveaux produits innovants qui viennent d’arriver sur le marché. J’aimerais attirer l’attention du gouvernement sur le fait que ce traitement préférentiel et les pôles industriels correspondants devraient être mis en place dès le 1er janvier 2023.

Ce que je veux dire à cet égard. Les pôles de croissance industrielle, qu’ils soient nouveaux ou existants, doivent attirer les petites entreprises et les mettre dans leur orbite. En même temps, il est important pour l’entrepreneur, pour les petites organisations de voir l’horizon, de comprendre les perspectives.

À cet égard, je demande bien sûr au gouvernement, en collaboration avec la SME [Société fédérale pour le développement des petites et moyennes entreprises] et nos grandes entreprises, de lancer un outil pour les accords à long terme entre les entreprises à participation publique et les petites et moyennes entreprises. De cette façon, la demande pour les produits de ces entreprises sera garantie pour les années à venir, et les fournisseurs pourront s’engager en toute confiance à créer une nouvelle production ou à étendre la production existante pour répondre à cette commande.

Je voudrais ajouter que nous avons déjà sérieusement réduit le temps nécessaire à la construction d’installations industrielles et supprimé les procédures lourdes et inutiles, mais il y a encore beaucoup de lacunes, il y a des choses à travailler et il est possible d’aller de l’avant. Par exemple, il faut encore un an et demi à trois ans pour construire des installations de production à partir de rien, et les taux d’emprunt élevés freinent encore l’achat d’espaces prêts à l’emploi.

À cet égard, je suggère de lancer un outil fondamentalement nouveau – les prêts hypothécaires industriels – pour permettre aux entreprises nationales de déployer rapidement les produits nécessaires. Je parle de prêts préférentiels à long terme avec un taux d’intérêt annuel de cinq pour cent. Les entreprises qui prévoient d’acheter des surfaces prêtes à l’emploi pour la production pourront bénéficier de ces prêts. Je demande au gouvernement de régler sans tarder tous les détails avec le secteur bancaire en Russie, afin que, dans un avenir proche, les prêts hypothécaires industriels soient pleinement opérationnels.

Chers amis !

La vitesse et l’ampleur des changements dans l’économie, la finance et les relations internationales mondiales augmentent. Le rejet de la mondialisation au profit d’un modèle de croissance multipolaire est de plus en plus clair. Bien sûr, la formation, la naissance d’un nouvel ordre mondial est un processus difficile. Nous serons encore confrontés à de nombreux défis, risques et facteurs qu’il est aujourd’hui difficile de prévoir et d’anticiper.

Mais il est évident que les règles de fond du nouvel ordre mondial seront fixées par des États forts et souverains – ceux qui ne suivent pas la trajectoire déjà fixée par quelqu’un d’autre. Seuls les États forts et souverains ont leur mot à dire dans cet ordre mondial qui émerge à nouveau, ou sont condamnés à devenir ou à rester une colonie impuissante.

Il est nécessaire de s’efforcer d’aller de l’avant, de changer, de sentir le souffle de l’époque, et de faire preuve de volonté et de détermination nationales pour y parvenir. La Russie entre dans l’ère à venir en tant que puissant pays souverain. Nous sommes certains de tirer le meilleur parti des nouvelles opportunités colossales que le temps nous a ouvertes, et nous deviendrons encore plus forts.

Merci de votre attention.

Vladimir Poutine

Source : Site officiel du Kremlin

Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider




REVUE DE PRESSE DU 19 JUIN 2022

Par MF

ÉDITO : Il n’y a plus d’épidémie, et pourtant…

L’UE prolonge le passe sanitaire, l’OMS veut renforcer ses pouvoirs, le déni est de mise en Espagne et au Portugal, on a engrangé 12 millions de doses en France pour vacciner des enfants qui ne risquent rien du Covid, tandis que les anticorps facilitants et le piégeage du système immunitaire révèlent les dangers des injections, et que la résistance au dogme vaccinal se poursuit avec appels, rassemblements et films.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Qui veut encore être soignant ?

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-temps-du-debat/qui-veut-encore-etre-soignant-e-5521906

Il faut que les experts soient plus près de ce qu’il se passe dans la réalité et un peu moins de ce qu’il se passe dans les grandes organisations. Il faut absolument adapter les effectifs.

Pénurie catastrophique de poches de sang par manque de personnel soignant préleveur

Maintenir la suspension du personnel soignant est une décision criminelle aux conséquences dramatiques.

On a frôlé la catastrophe

https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/deux-sevres/deux-sevres-un-enfant-de-4-ans-gravement-blesse-attend-5-heures-pour-etre-opere-2562472.html

À une heure près cet enfant perdait son pied. Le système s’effondre.

Un nouveau projet de loi opaque

https://www.francesoir.fr/politique-france/restrictions-sanitaires-nouveau-projet-de-loi-opaque

Nouvelles restrictions ? Quatrième dose ?

Émergence du néo-fascisme en santé publique

https://reseauinternational.net/lemergence-du-neofascisme-en-sante-publique/

« la santé publique doit être au service du peuple et non de ceux qui cherchent à le contrôler »

ÉTRANGER

Le renforcement du pouvoir de l’OMS reste une menace majeure

https://www.epochtimes.fr/suite-a-son-echec-loms-soriente-vers-de-plus-grandes-modifications-des-regles-mondiales-2045630.html

« but ultime : imposer une « tyrannie médicale » à l’humanité, et non protéger la santé. »

L’UE prolongera le passe sanitaire jusqu’en juin 2023

https://www.francesoir.fr/politique-monde/covid-19-l-union-europeenne-prolongera-le-passe-sanitaire-europeen-jusqu-en-juin

Et pourtant l’outil numérique a démontré son inefficacité sur la transmission du virus.

ESPAGNE, une quatrième dose pour toute la population ?

https://www.lindependant.fr/2022/06/16/covid-il-y-aura-une-quatrieme-dose-pour-toute-la-population-annonce-le-gouvernement-espagnol-10369907.php

La date de lancement sera fixée lors de la livraison de vaccins plus adaptés auxvariants actuels

JAPON, manipulation des résultats entre vaccinés et non vaccinés



Les personnes ayant oublié la date de leur vaccination étaient comptées parmi les non-vaccinés !

PORTUGAL, un déni national et mondial

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/16/au-portugal-le-covid-fera-plus-de-morts-en-2022-quen-2020-avec-94-de-la-population-vaccinee/

La Faculté des Sciences de Lisbonne prévoit plus de morts du Covid en 2022 qu’en 2020, mais ne remet pas en cause la vaccination (94% de la population)

JUSTICE

USA, le NIH admet que le Covid était le plus grand canular de l’Histoire

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9062939/

« des mensonges officiels dans un flot incessant mené par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales »

USA, la FDA assignée en justice par des médecins suspendus pour avoir prescrit de l’ivermectine

https://www.francesoir.fr/politique-monde/etats-unis-la-fda-assignee-en-justice-par-des-medecins-suspendus-apres-avoir

« La FDA a fait des déclarations publiques sur l’ivermectine qui ont été trompeuses et qui ont soulevé des inquiétudes injustifiées concernant un médicament pourtant essentiel dans la prévention et le traitement du Covid-19 »

COVID

Pourquoi maintenir l’hypothèse d’une zoonose ?

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/14/origines-du-covid-pourquoi-la-these-de-la-zoonose-continue-t-elle-de-persister/

Alors qu’ une insertion entre les fragments S1 et S2 de la protéine spike a créé un site de clivage protéolytique sensible à la furine. Cette insertion est récente, puisqu’aucun virus connu proche de Sars-CoV-2 ne la contient. Sars-Cov-2 est l’unique coronavirus à coder cette particularité… et c’est Moderna qui détient ce brevet depuis 2016.

La pandémie, un génocide qui ne dit pas son nom ?

Lincoln National, 5e plus grand assureur-vie aux États-Unis, a signalé une augmentation de 163% des prestations de décès versées dans le cadre de ses contrats d’assurance-vie collective en 2021. Ces chiffres montrent à nouveau une augmentation des décès et des maladies en 2021 en lien avec la mise en place de la campagne de vaccination. Les relevés annuels de la compagnie montrent que la société a versé un peu plus de 500 millions de dollars en 2019, 548 millions de dollars en 2020 et un superbe 1,4 milliard de dollars en 2021.

Il est rare que le Covid soit sévère chez les personnes non vaccinées

https://www.epochtimes.fr/enquete-revele-quil-rare-covid-soit-severe-chez-personnes-nont-ete-vaccinees-2049149.html

Une enquête internationale révèle que de ne pas avoir reçu de vaccin entraîne une diminution des hospitalisations

TRAITEMENTS

Ivermectine et Together, vers un nouveau Lancetgate ?

https://www.covid-factuel.fr/2022/06/14/ivermectine-et-together-vers-un-nouveau-lancetgate/

Cette étude qui concerne l’ivermectine vient d’être publiée dans le New England Journal of Medecine. Et elle pose problème, avec nombre d’anomalies.

INJECTIONS

International. La vaccination, réponse arbitraire des dirigeants mondiaux à la pandémie de Covid 19

https://qactus.fr/2022/06/19/covid-la-reponse-vaccinale-au-covid-etait-planifiee-a-lavance-les-auteurs-dun-livre-sur-le-sujet-decryptent-les-differentes-etapes/

« Tout a été complètement annoncé depuis le début (dès 2010) »

La vidéo du 14 juin du Pr Didier Raoult



Depuis le début de l’épidémie il y a eu 5 décès d’enfants alors que TOUS LES ANS, 20 enfants meurent de varicelle et qu’on ne préconise pas le vaccin contre cette maladie en France.

Efficacité réelle des vaccins

https://www.covid-factuel.fr/2022/06/11/encore-efficaces-les-vaccins/

« Anticorps facilitants, piégeage du système immunitaire par les injections répétées ? Ces questions vitales mériteraient d’être abordées et examinées de toute urgence, plutôt que d’être ignorées et niées par les autorités. » « Les soignants suspendus devraient être réhabilités et réintégrés ».

Une cinquième dose pour les personnes à risque ????

https://www.midilibre.fr/2022/06/15/covid-une-cinquieme-dose-de-vaccin-peut-elle-etre-ouverte-a-lautonome-pour-les-personnes-a-risque-10367864.php

Les personnes à risque ET les professionnels de santé ! On voit venir le retour des restrictions.

USA. Floride, pas de précommande de vaccins pour les enfants de moins de 5 ans

https://www.theepochtimes.com/florida-opts-not-to-preorder-covid-19-vaccines-for-toddlers-babies_4538377.html

« Il n’y a pas assez de données montrant des bénéfices sur les risques »

EFFETS INDÉSIRABLES

Le Lancet confirme le risque de myocardites par les vaccins Pfizer et Moderna

Version française du risque de décès chez les enfants (303 PLUS !)

Témoignage bouleversant d’une maman de 32 ans

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/effets-secondaires-des-vaccins-temoignage-bouleversant-deloise-jeune-maman-de-32-ans/

Destins tragiques de deux stars mondiales après vaccination

https ://www.mondialisation.ca/les-destins-tragiques-de-stars-mondiales-comme-celine-dion-et-justin-bieber-vont-ils-ouvrir-les-yeux-de-leurs-fans/5668895

Ils avaient exigé que leur public soit lui-même injecté.

58 bébés injectés, en danger de mort

https://rtmag.co.il/english/breaking-58-babies-who-received-mrna-covid-19-vaccines-suffered-life-threatening-adverse-events

On ne sait pas pourquoi ces nourrissons ont été vaccinés, ni s’ils ont participé aux essais cliniques, ni s’ils ont survécu. Toutefois, lors de la prochaine réunion de la FDA mercredi, celle-ci ne pourra pas faire valoir qu’elle n’était pas au courant.

Les effets indésirables graves les plus fréquents étaient les suivants : hémorragie potentiellement mortelle, choc anaphylactique, syndrome anticholinergique, encéphalite, hypoglycémie et syndrome neuroleptique. Dans la plupart des cas rapportés, il s’agit de lésions multisystèmes. »

Protégeons les enfants, et faites-le savoir !

https://protegeonslesenfants.org/

Sur 4000 injections, un effet indésirable grave. et si votre enfant tire le n° 4000 ??

APRÈS COVID

Dr Martin ZIZI, la variole du singe est un faux problème

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-variole-du-singe-est-un-faux-probleme-dr-martin-zizi

Urgence internationale, selon l’OMS !!

https://www.lefigaro.fr/sciences/variole-du-singe-l-oms-envisage-de-declarer-une-urgence-de-sante-publique-internationale-20220614

Surtout une aubaine pour les fabricants de médicaments (nouveaux) et autres « vaccins »

RÉSISTANCES

Appel aux familles, enseignants, soignants, protégeons les enfants !

https://nouveau-monde.ca/appel-aux-familles-enseignants-educateurs-professionnels-de-sante-etc-protegeons-nos-enfants/

Informons avant qu’il ne soit trop tard, on retire des pizzas qui ont tué deux personnes, les vaccins en ont tué des milliers, on continue.

Rassemblement du 18 juin à Paris

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/retour-sur-le-rassemblement-a-la-bastille-a-paris-appel-du-18-juin-organise-par-marc-doyer-nombreux-extraits-videos-ambiance-extraordinaire-fraternite-soutien-verite-liberte/

Fraternité, soutien, vérité, liberté !

Entretien avec Marc Doyer, dont l’épouse est morte de la MCJ le 24 mai dernier

https://www.francesoir.fr/videos-entretien-essentiel/marc-doyer

Dans cet Entretien essentiel, Marc Doyer répond sans concession sur divers sujets, allant de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et des symptômes à la relation construite avec le Pr Montagnier, en passant par les problèmes rencontrés avec la pharmacovigilance.

Le Grand Appel du 15 juin 2022

https://www.facebook.com/1079899003/videos/428795059061135

l’association qui vient en aide aux soignants suspendus en Ile de France

https://lemediaen442.fr/momotchi-interviewe-florence-de-lassociation-porteurs-desperance-qui-vient-en-aide-aux-professionnels-suspendus/

Film « des soignants entre deux mondes », avec des soignants suspendus

https://exuvie.fr/livre/suspendus_des_soignants_entre_deux_mondes/

« je ne peux pas soutenir la malhonnêté intellectuelle. » témoignage d’un médecin

CSI 59, du 16 juin 2022



Codification des actes hospitaliers ou la corruption par les chiffres.

Réinfocovid, revue de presse du 13 juin 2022

https://reinfocovid.ca/revue-de-presse-de-la-semaine-du-13-juin/

Extrait : y aurait-il une relation entre la création des vaccins..et celle du virus ?




Le néonazisme pour les nuls

Par Lucien SA Oulahbib

C’est bien sûr contre-intuitif, mais la supériorité du néonazisme venant de la gauche néo-léniniste sur le néonazisme venant de la droite ethno-différentialiste consiste à agir sans le dire. C’était déjà le cas pour le léninisme à la différence du fascisme et du nazisme canal historique : le léninisme et encore moins le stalinisme n’annonçaient pas sur tous les toits qu’il fallait éliminer physiquement tous les ennemis du « prolétariat » ; ils prenaient des gants en parlant de rhétorique musclée (même Engels le faisait pour justifier la notion de dictature du prolétariat dans son « Anti-Dühring »). Et quand ils tuaient quand même pour de vrai, c’était indexé au fait de supprimer des « ennemis de classe » et non pas de « race », ou au nom d’un « hygiénisme » ou d’un « scientisme » comme le fit surtout le nazisme « classique » et aujourd’hui le néonazisme de la Secte S.H.A (scientiste, hygiéniste, affairiste).

D’où la confusion qui court depuis Raymond Aron et malgré la tentative d’Hannah Arendt de « subsumer » ces trois idéocraties dans la notion de « totalitarisme ». Aron l’admettait, mais insistait sur le fait qu’il y a une différence de nature entre les camps de la mort et les camps de travail. Or, il s’agit d’une différence de degré, par ailleurs hypocrite, puisque si en effet l’on ne mourait pas tout de suite au Goulag (et il y avait des camps de travail sous le nazisme classique), le froid, la famine, les coups faisaient le reste à moyen terme. Les nazis classiques sélectionnaient en amont ceux qui pouvaient encore servir comme forçats, éliminant d’entrée de jeu vieillards, malades, enfants, femmes (mais pas toutes…) puis assassinant les autres lorsqu’ils ne servaient plus à rien ou étaient en surnombre vers la fin.

Sous le léninisme, en particulier stalinien, l’économie soviétique a tenu principalement pendant des années grâce aux camps de travail. Sans eux, elle se serait effondrée encore plus vite. Ainsi pendant près de vingt ans, des millions de gens membres de l’Empire soviétique sont passés dans les camps et des millions en sont morts. Ne parlons pas des régimes maoïste, polpotien, etc..

La différence, peut-être tout de même, consiste en ce que les manipulations médicales n’existaient pas en URSS, sans doute parce qu’ils n’y croyaient pas considérant que seules la manipulation du milieu et la destruction des dégénérés bourgeois suffisaient.

Aujourd’hui, le léninisme s’est refait en France une « santé » à partir des années 68 et grâce à Althusser/Derrida (et à BHL, leur fils spirituel). La fascination qu’a toujours eue la gauche pour la force et la contrainte a pu être absorbée comme énergie additionnelle (à la façon des Immortels) tout en la condamnant politiquement officiellement lorsqu’elle vient de la droite, mais en la justifiant lorsqu’elle vient de la gauche (Bataille, Badiou), en la glorifiant artistiquement et sexuellement (([1] L’apologie de Sade par Foucault défendant par ailleurs la Terreur, ou celle de Masoch par Deleuze soutenant les Brigades rouges, la fascination de Sartre pour Genet défendant le terrorisme palestiniste par virilité homo, Le bleu du ciel de Bataille, l’instant de ma mort de Blanchot — étudiés iciTropique du Cancer de Miller — ayant sans doute inspiré Nabe… — Portier de nuitSalô, Les nuits fauves, Nettoyage à sec… comme témoignages)), mais la condamnant aujourd’hui lorsqu’elle provient de petits « blancs », tout en étant pardonnée juridiquement quand ce sont ses alliés islamophiles qui la créent aujourd’hui, car ils n’auraient pas les « codes » sauf qu’ils ne peuvent pas les avoir puisque cela se trouve interdit par les leurs… Cherchez l’erreur !…

Et à cette violence politique acceptée et justifiée lorsqu’elle vient de la « gauche » s’ajoute maintenant la violence génitale qui force certains jeunes (adultes) sous influence à manipuler leur « genre » et les autres à renier leur unisexualité (y compris les « gays » sous pression des « queers », le tout au nom du « progrès »). Elle est doublée d’une violence hygiéniste qui insiste de plus en plus pour que l’injection expérimentale contre la C19 devienne obligatoire (alors qu’il s’agit d’une maladie aisément soignable par des méthodes classiques). Mélenchon attend par exemple le feu vert de l’OMS (corrompue pourtant jusqu’à l’os) pour agir, et ce sur un ton péremptoire (qui passe pour du talent oratoire).

Puis en final et alors que la gauche « classique » voulait jusqu’à supprimer le mot « race » de la Constitution française, la gauche issue du néo-léninisme ayant également aujourd’hui absorbée l’hygiénisme, le scientisme et l’esthétique libidinale fasciste et nazie a franchi le Rubicon après des années d’apologie du tiers-mondisme et de diabolisation de la colonisation occidentale (restant silencieuse sur celles provenant de ses alliés arabo-musulmans et maoïstes) pour glorifier tout ce qui serait « non blanc », allant jusqu’à justifier un nouveau type de ségrégation (y compris chez les LGBTQIA+) les « intersectionnés » ayant plus de points que les autres pour prendre du galon (comme il a été vu à Lyon dernièrement).

C’est justement la force de ce néonazisme principalement venu de la gauche néo-léniniste que de masquer ce processus, d’agir sans le dire, sélectionnant, cooptant au sein de la Secte tout adepte désireux de ne pas mourir socialement dans certains secteurs de la production intellectuelle universitaire culturelle, de faire carrière au sein des appareils d’État et des ONG, et ce de plus en plus facilement puisque cette Secte a été désormais choisie par l’affairisme globaliste transcourants, comme Image institutionnelle (Disney, Coca…) afin d’accélérer la destruction des différences civilisationnelles, sexuelles, nationales, maintenues sous forme de folklores cependant jusqu’à en restaurer les décors par ailleurs très prisés par les touristes et les nostalgiques, ou comment faire d’une pierre trois coups.

Pendant ce temps, le néonazisme venu « d’extrême droite » reste lui marginal, malgré quelques effets suprémacistes ici et là, déjà parce qu’il ne vient pas de la « droite libérale », mais de sous-courants antirépublicains post-monarchistes façon Drumont et Maurras s’étant recyclés dans l’hypernationalisme ethno-différentialiste. Ce flambeau fut repris dans les années 60 par ladite « Nouvelle droite » en France (à ne pas confondre avec « Ordre Nouveau » bien plus anticommuniste qu’antisémite/antisioniste) et d’ailleurs toujours à la manœuvre y compris dans le « zemmourisme ». Il plombe dans ce cas, et malgré leur nombre infime, toute recomposition des droites, puisque le néonazisme néo-léniniste, dominant partout, et surfant sur la culpabilité de la droite non gaulliste (ayant préféré en 1936 « Hitler au Front Populaire ») aura beau jeu de montrer cette poutre (plus qu’une paille) plantée dans l’œil de la « droite nationale » (incarnée ensuite dans les lois antijuives pétainistes concernant les juifs… français…) tout en soulignant, comme l’a fait Macron dans son débat avec Marine Le Pen, qu’il n’y a pas de désaccord de fond pour la contrainte scientiste, hygiéniste, affairiste (avec Mélenchon aussi).

Le tout permet ainsi au néonazisme venu de la gauche de continuer à parader, malgré ses millions de cadavres qui s’accumulent lorsque l’on voit encore aujourd’hui le nombre d’assassinats effectués par ses alliés islamophiles en Afrique, comme au Nigeria ces temps-ci, sans oublier ses alliés pourtant issus du nazisme classique en Ukraine (Azov et compagnie), sans oublier également ceux du bolivarisme mafieux comme au Venezuela, ou au Nicaragua obligé d’en appeler à la Russie et aux USA pour juguler les gangs. ces derniers ne sont par ailleurs guère critiqués par la gauche, en particulier léniniste (Clémentine Autain polémiquant récemment avec le président du RN), qui a toujours vu chez eux une « révolte antibourgeoise », ce qui est bien sûr archifaux à voir la fascination pour le clinquant et l’arrivisme nourri de blanchissement multiforme de plus en plus visibles dans les quartiers dits difficiles laissés de plus en plus culturellement à l’abandon par « l’élite » dite « républicaine et laïque ».

Aussi, l’intérêt d’adopter une telle étiquette — celle du néonazisme — pour qualifier l’alliance, de plus en plus subjective, du néo-léninisme fasciné par les manips scientistes (comme la Ropa), de l’islamophilie, et de l’affairisme scientiste, hygiéniste, trans-courant et globaliste, consiste non pas à atteindre plus rapidement le « point Godwin », mais à renouveler et clarifier les actuelles classifications politiques qui datent de l’après Seconde Guerre mondiale. Il s’agit en particulier d’assainir cet épais marais de nuages conceptuels qui laisse croire que lorsque certains veulent enfermer, injecter, confiner, ils le feraient pour notre « bien » alors qu’il s’agit d’appliquer le scénario scientiste, hygiéniste, affairiste (le Grand Reset) sous prétexte de santé et de préservation de la Terre. En réalité de destruction de l’une et de l’autre malgré l’apparence du contraire (le fait d’éliminer tout CO2 aurait des répercussions dommageables pour l’agriculture, le confondant exprès à la lutte contre les pollutions). Le tout précisément sans le dire. Sans explicitement avouer que l’on agit aux antipodes de ce qui est énoncé (pour s’en protéger, il faut renverser dans la négation tout propos officiel comme le conseillaient autrefois les soviétologues).

Cette prudence communicationnelle du néo-léninisme (masquant sa conversion hygiéniste, scientiste et affairiste dans une virulence exacerbée contre « l’extrême droite », le « racisme », le « complotisme », alors qu’il s’énonce en réalité lui-même) est bien la preuve d’une suprématie pérenne présente du néo-léninisme sur l’ethno-différentialisme de plus en plus aujourd’hui dans l’impasse malgré quelques succès électoraux et médiatiques ici et là, le premier allant jusqu’à faire croire qu’il est l’opposant fondamental du globalisme hygiéniste, scientiste, affairiste, alors qu’il en est seulement l’assistance sociale.




Pourquoi des gouvernements sont aussi malfaisants

[Source : contrepoints.orgs]

Par Patrick de Casanove

La France était présentée il n’y a pas si longtemps comme une Union soviétique qui aurait réussi. Le point de départ est, à la Libération, le programme du CNR en particulier « Les jours heureux », et les ordonnances de 1945 qui ont créé la Sécurité sociale. La spoliation légale généralisée devenait le mode de fonctionnement du pays.

Néfaste par routine

À cause de cela les gouvernements successifs ont glissé vers un étatisme de plus en plus étouffant. Le vol légal, baptisé « solidarité » pour la « justice sociale » et « l’égalité », s’est développé, sans que la majorité des Français n’y trouvent à redire.

Les gouvernements étaient malfaisants à « l’insu de leur plein gré ». Ils avaient une politique néfaste de routine. Ils volaient les uns pour acheter les voix de autres. Ils asphyxiaient lentement le pays mais leur volonté de nuire à toute la population ne transparaissait pas.

Une partie de la population était persuadée qu’elle y gagnait. Une autre partie payait le prix. Cette autre partie trouvait qu’elle ne perdait pas trop, que c’était pour le bien de tous, pour le « modèle social français ». Le marché libre était encore important, le poids de la réglementation supportable et l’économie tournait. Les effets nocifs étaient les dégâts collatéraux, le prix à payer pour une politique qui dégoulinait de bonnes intentions.

En vérité la France était une Union soviétique qui n’avait pas terminé son évolution totalitaire.

Aujourd’hui le marché libre est en voie de disparition. La liberté économique est systématiquement battue en brèche. En France il existe 483 impôts, 78 codes, et presque chaque jour voit arriver une nouvelle couche de lois et règlements. Les effets délétères, chômage de masse structurel, mal logés et sans logis, nouveaux pauvres et pauvres permanents, abandons de souveraineté, fonctions régaliennes à vau-l’eau, sont de plus en plus patents. La liberté agonise et le libéralisme, ou ce qu’il en reste, meurt assassiné.

Néfaste par volonté

Le gouvernement est passé « d’arrêter d’emmerder les Français » à « j’ai très envie de les emmerder ». Cela concernait une catégorie de gens, mais le précédent étant créé, cela peut dorénavant s’appliquer à n’importe qui. Dès lors la volonté destructrice est patente. C’est un changement de paradigme et témoigne d’une volonté délibérée de nuire.

La destruction culturelle, sociale, économique du pays n’est plus accidentelle. Elle correspond à une volonté profonde et réfléchie de nos dirigeants.

Le gouvernement a rapidement saisi l’opportunité d’extension rapide, brutale, que lui offraient le covid et la guerre en Ukraine.

En ce qui concerne le covid, sa gestion constitue l’apothéose de la confiscation du soin par les administratifs, les politiques, aux dépens et au mépris des soignants. La gravité de l’épidémie prévue par des modélisations farfelues a été le prétexte à des mesures dont l’autoritarisme était sensé témoigner de la pertinence.

Ces mesures se justifiaient l’une l’autre sans tenir compte de la réalité. Les gouvernements rivalisaient de coercition pour « faire quelque chose », n’importe quoi, mais « quelque chose ».

Or l’épidémie est rapidement apparue comme peu grave, avec une population de personnes à risque parfaitement identifiée, et des possibilités thérapeutiques existantes bien que jamais validées par l’autorité centrale.

Pour le gouvernement la covid devait être grave pour justifier sa politique coercitive, sauver sa peau en « transformant un abominable fiasco en réussite formidable », et étendre son contrôle sur les populations. D’où chaque soir un flot continu d’images et de déclarations anxiogènes, la messe des morts attribués au coronavirus, puis la litanie des tests positifs présentés mal intentionnellement comme des cas. Grâce à ce subterfuge, quand il n’y a eu plus assez de malades pour jeter l’effroi, l’autorité centrale a fait passer des bien-portants pour des malades. La liberté d’expression a été mise à mal et la censure mise à l’honneur.

Le résultat est que les dégâts sont incommensurablement supérieurs à ceux de la covid elle-même. Le confinement et les mesures de coercition sociale, aussi inutiles que dangereux, ont volontairement détruit le pays, socialement, économiquement et sanitairement. Des gens qui n’auraient jamais dû mourir sont morts, d’autres qui n’auraient jamais dû être malades le sont devenus.

Cerise sur le gâteau étatiste, le poids des mesures de coercition a été essentiellement supporté par le secteur dit privé. Il est devenu quelque temps entièrement dépendant de l’État qui en a profité pour imposer sa volonté en échange de son « aide ». État que ledit privé, atteint du syndrome de Stockholm, remercie.

Avec la guerre en Ukraine, les sanctions économiques prises contre la France par son gouvernement, et prises contre l’Europe par l’Union européenne et son Politburo qu’est la Commission, ont ajouté une seconde couche de destructions économiques et sociales ;  et bientôt sanitaires car sans énergie abondante et bon marché il n’y a pas de prospérité, ni de système de santé performant. La liberté d’expression a été encore restreinte et la censure aggravée.

Covid et Ukraine ont dopé un troisième larron qui peinait à effrayer les gens : la « panique climatique« . Il repose sur les même fondations : la manipulation, la censure de ce qui n’est pas la doxa et la peur. Il provoque les mêmes dégâts.

Les intentions malveillantes sont de plus en plus patentes. Les décisions sont de plus en plus arbitraires, autoritaires. En plus du suicide culturel, économique et social, s’amorce une catastrophe géostratégique pour l’Occident, l’Europe, et la France en particulier.

Il apparaît dès lors qu’avec le gouvernement qu’elle a, la France n’a pas besoin d’ennemis.

Un précédent terrible

Avec la gestion politique de la covid un précédent terrible d’anéantissement soudain des droits humains dans une société dite libre, par un gouvernement prétendument démocratique, a été créé. Sans aucun motif valable, (si tant est qu’il en existe un), la population entière du pays, des dizaines de millions de personnes qui n’avaient rien fait de mal ont été enfermées, brisées, soumises, chosifiées, vaccinées en masse comme du bétail.

Aucun principe, aucune éthique, n’ont été respectés. Le bon sens a disparu, l’irrationnel règne, l’impensable a été décidé, l’inacceptable accepté… voire souhaité et désiré. La personne qui fait la spécificité de la civilisation européenne fut anéantie.

Ce fut une abomination.

Paradoxalement, bien des gens appellent l’État au secours. C’est oublier que l’État est le premier maltraitant. Certains réclament à cor et à cris le retour du politique. Mais c’est le politique qui est malfaisant.

Il décide seul de briser la vie des gens, de les contraindre, de les enfermer.

Il décide de la seule obsolescence programmée réelle, en ordonnant la fin de telle ou telle filière, la modification de telle ou telle norme.

Il a le monopole de la violence légale, fut elle injuste. Il ne faut pas la confondre avec l’usage légitime de la force pour défendre ses droits naturels. Usage légitime qui appartient à chaque individu.

Le politique pratique la fuite en avant dans une spirale infernale vers la catastrophe. À une mesure toxique s’ajoute une autre mesure toxique. Le malheur s’ajoute au malheur.

Tous les domaines de la vie sont concernés. Rien n’échappe à la malfaisance des politiciens. Cela ne finit jamais. Quelques exemples : la vaccination des enfants que l’Europe veut rendre obligatoire, la fin du moteur thermique en 2035, la fin du cash, sans oublier le woke, la cancel culture, la repentance, l’acculturation, etc.

Dans une descente aux enfers il y a des diables ! Par ordre alphabétique : la covid (les complotistes et les antivax), le libéralisme, (comme le dahu, personne en France ne l’a vu, mais il porte sur ses épaules tous les malheurs du pays), la Russie (Poutine). L’existence de diables a l’avantage de définir le camp du mal et celui du bien, ainsi que de fournir des boucs émissaires à l’incurie des politiciens. Le dogme veut que le gouvernement, ses thuriféraires et affidés soient le camp du bien. Le débat devient donc inutile et fait place à l’anathème.

Pourquoi cette malfaisance

La question se pose de la finalité d’une telle ténacité destructrice et des motivations des politiciens. Tous sont occidentaux, de culture occidentale et ils démolissent avec ardeur leur civilisation.

C’est une erreur de croire qu’ils ne se rendent pas compte des effets délétères de leurs décisions, ou qu’ils sont fous ou incompétents. Ils sont intelligents, compétents mais ils servent un dessein, un intérêt personnel.

Ils contrôlent l’État. Le propre de l’État est sa propension à s’étendre indéfiniment. C’est son objectif compulsif. Le plus probable est qu’ils aient saisi les opportunités qui s’offraient à eux pour atteindre ce but, justifier leur existence, étendre leur pouvoir, détruire les structures, les fondements de la société et… survivre à leurs conneries, « quoi qu’il en coûte ».

Ils induisent un changement civilisationnel qui s’inscrit dans l’idéologie de la création de l’Homme nouveau dans un « monde nouveau », et pour cela « du passé faisons table rase ». Ils signent les fondamentaux socialistes des gouvernements français depuis des dizaines d’années et de l’UE depuis le Traité de Maastricht, qui fait de l’Europe la future Union soviétique.

La fin ne justifie pas les moyens. Il y a des comportements qui sont interdits envers les êtres humains, même pour l’État.

« Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme […] Ce n’est pas parce que les hommes ont édicté des Lois que la Personnalité, la Liberté et la Propriété existent. Au contraire, c’est parce que la Personnalité, la Liberté et la Propriété préexistent que les hommes font des Lois. » Frédéric Bastiat, La Loi (1850) 

La Liberté chez soi est une arme très efficace en cas de problème économique, social, sanitaire et international. Malheureusement la France et l’Europe ont choisi l’expansion de l’État.




Appel aux familles, enseignants, éducateurs, professionnels de santé, etc. : protégeons nos enfants !

Par Nicole Delépine

INFORMONS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE

« Myocardites, péricardites, etc.

La résistance à l’obligation vaccinale Covid relève désormais de la légitime défense ».

@TvlCampagnol

On nous demande constamment de protéger la planète. Quelle planète laisserons-nous à nos enfants ? La question actuelle serait plutôt : quels enfants laisserons-nous à la planète bleue ?

Chacun d’entre nous (— en dehors des quelques milliers de milliardaires et affidés anaffectifs qui nous dirigent) — est concerné par le sort des enfants, des siens, mais aussi de ceux que nous côtoyons et/ou qui nous sont confiés comme enseignants, éducateurs, infirmiers, médecins, kiné, entraîneurs, coachs, etc.

Nous avons donc une responsabilité directe, morale, voire juridique dans certains cas si nous leur imposons, par notre position d’autorité et notre influence, une injection morbide.

Nous ne pouvons plus faire confiance à nos gouvernants qui nous ont constamment menti (sur les masques, sur l’interdiction de la chloroquine et des antibiotiques, sur l’efficacité des confinements, sur l’utilité des pass sanitaires, puis vaccinaux, sur l’efficacité des vaccins…) et faire comme si nous ne savions pas.

Aujourd’hui, s’il accepte d’ouvrir les yeux CHACUN SAIT, à moins de nier les signaux quotidiens comme les décès brutaux de trop de grands sportifs, sains et en bonne santé avant l’injection, mais tombés sur le sol en plein match ou les accidents post vaccinaux d’artistes célèbres comme Céline Dion ou Bieber incapables de poursuivre leurs activités.

Nous aimons les enfants et voulons leur bien. Ils sont notre avenir et celui de la planète.

Trop d’entre nous ont été instrumentalisés par la manipulation médiatique et gouvernementale durant ces deux années, et appliqué des mesures coercitives nocives, mais nous n’avons pas à les juger. Nous sommes tous dans le même bateau, vaccinés ou non, masqués encore ou non. Selon les circonstances, ses expériences antérieures, le temps libre pour s’informer, la propagande gouvernementale au service de Big Pharma et de Davos a été plus ou moins efficace. Gardons-nous de sermons, de leçons de morale, de jugements de valeur. Mais informons-les et agissons.

L’important est d’en sortir, ENSEMBLE. MAINTENANT.

Ensemble, nous devons protéger nos enfants de l’injection dont on connaît maintenant l’absence d’efficacité contre les contaminations, mais aussi contre les formes graves et la mort,

et la toxicité révélée à court terme pour certains effets déjà, et largement inconnue à moyen et long terme.

Les nombreux effets toxiques sur les organes reproducteurs bien explicités par le site « où est mon cycle » font craindre des troubles de la fertilité des bébés contaminés in utero chez les mamans injectées et les plus grands, vaccinés à tout âge.

Les myocardites dont la fréquence a été rapidement dépistée par les Israéliens ont de quoi nous choquer.

L’inutilité de l’injection chez les enfants avait été soulignée d’emblée par toutes les sociétés de pédiatrie, rappelant que les enfants ne risquent rien du covid et que cela avait été démontré dans de nombreuses études internationales résumées dans « les enfants sacrifiés du covid ».(([1] N et D Delépine éditions Fauves, janvier 2022))

L’inefficacité globale couplée à ses dangers a également été démontrée chez l’adulte.(([2] Delepine, G. Les vaccins Covid-19 conduisent à de nouvelles infections et à la mortalité : les preuves sont accablantes.
https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccines-lead-to-new-infections-and-mortality-the-evidence/5746393))

Les effets secondaires déclarés se sont multipliés, colligés par les banques de données internationales(([3] Vogel, G. (2021). Israël signale un lien entre de rares cas d’inflammation cardiaque et la vaccination contre la COVID-19 chez les jeunes hommes. Science.
https://www.sciencemag.org/news/2021/06/israel-reports-link-between-rare-cases-heart-inflammation-and-covid-19-vaccination)). Même si les déclarations sont sous-estimées, le nombre effrayant de toxicités doit imposer le retrait de cette injection et l’interdire tout particulièrement chez les enfants.(([4] Le ridicule ne tue pas, mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([5] Classen, JB. Il a été prouvé que les vaccins américains contre la COVID-19 causent plus de mal que de bien sur la base des données d’essais cliniques pivots analysées à l’aide du critère d’évaluation scientifique approprié, « Tous causent une morbidité grave ». Trends Int Med. 2021 ; 1 (1) : 1-6))(([6] Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections .
Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org))

Ces myocardites, même apparemment guéries après quelques semaines ou mois, ne sont pas anodines et sont à risque de séquelles tardives. Les cicatrices dans le cœur provoquent au fil des ans un « remodelage » pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des arythmies et une mort subite.

Déjà en septembre 2021, le Pr Claverie criait au secours dans le désert…

Ainsi :

« Les enfants font face à un risque substantiel de myocardite à partir d’une injection anticovid19. VAERS = 48 500 rapports d’événements indésirables chez les enfants, dont 112 décès (au 20 mai 2022) et # de rapports d’encéphalopathies, de problèmes de coagulation, de diabète et de problèmes neurologiques chez les enfants après des injections de C19. Arrêtez la pression de la FDA »

14 juin 2022 @jammingem

Et quelques jours plus tard, à la date du 17 juin 2022 on note

« Il y a maintenant 49 283 rapports VAERS d’événements indésirables chez les enfants par suite d’injections Anti-Covid, dont 114 décès, 457 rapports d’invalidité permanente et 1 326 rapports de myocardite. Ces rapports sous-estiment probablement les méfaits par un facteur de 41 à 100. »

6 h 19 · 17 juin 2022· @mhstangarone

« Allez regarder sur Eudravigilance, rien que pour l’Europe ! Pour 2 décès d’enfants par suite d’une contamination de pizza Buitoni, on arrête tout, on enquête et on retire du marché le produit ! Là on continue à injecter les gens ! Dans des essais normaux cliniques, tout serait arrêté ! »

@Arletty32083869

Le bon sens évidemment, mais quelles sont les raisons profondes de la poursuite de ce massacre que personne ne peut plus ignorer, rien qu’en regardant autour de soi, fatigues, troubles menstruels, AVC jeune (faute à pas de chance, mais à force…). Cette fameuse dépopulation programmée à laquelle nous refusions de croire ? En tous cas, le massacre continue.

ET GLOBALEMENT POUR L’UE 27 pays

RISQUE D’UNE CAMPAGNE DE VACCINATION À LA RENTRÉE.
NOUS DEVONS NOUS PRÉPARER, NOUS UNIR ET REFUSER TOUS ENSEMBLE

Devant la pression gouvernementale et des instances européennes et internationales, on peut craindre une grande campagne pour la vax des enfants dès la rentrée. Trois événements couplés — projet de loi du 22 juin au conseil des ministres en France pour prolongation de l’état d’urgence, réunion de l’OMS(([7] L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) a annoncé qu’elle convoquait une réunion de son comité d’urgence le 23 juin pour évaluer si la #VarioleDuSinge représente une « urgence de santé publique de portée internationale » #AFP ! Quelle coïncidence ! ATTENTION à l’élargissement de la vax anticovid couplée à un vax antivariole du singe. Soyons vigilants.)) et prolongation du certificat européen(([8] Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire Par Parlement Européen, le 15 juin 2022.
Le dispositif actuel expire le 30 juin 2022.
Les négociateurs du PE et des États membres ont trouvé un accord pour conserver le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE durant une année supplémentaire, jusqu’en juin 2023.))— prouvent bien la volonté de l’oligarchie mondialiste au pouvoir de poursuivre le narratif de la peur alternant virus, guerre, famine ou autre chose.(([9] Une majorité Macron serait la pérennisation de l’état d’urgence ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il est temps que la volonté des peuples s’oppose à ce mauvais théâtre mondial, et refuse en particulier l’injection prévue des enfants par ces produits toxiques.

Pourtant malgré les mises en garde d’instances médicales et scientifiques internationales telles le conseil mondial de la santé(([10] Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), l’appel de scientifiques japonais, canadiens ou américains, etc., la FDA vient d’autoriser le pseudovax chez les enfants. On peut craindre que l’EMA suive et donc la France.

18/06/2022 16 h 52(([11] La FDA américaine autorise les vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer pour les enfants dès 6 mois — Le Courrier du VietNam))

L’Administration américaine des aliments et des médicaments (FDA) a autorisé vendredi 17 juin l’utilisation d’urgence des vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer-BioNTech pour les enfants dès 6 mois.

Pour le vaccin Moderna, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure son utilisation chez les individus âgés de 6 mois à 17 ans. Le vaccin avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les adultes de 18 ans et plus.
Pour le vaccin Pfizer-BioNTech, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure l’utilisation du vaccin chez les individus âgés de 6 mois à 4 ans. Il avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les personnes de 5 ans et plus.

« Et pourtant Moderna a été retiré du marché dans les pays scandinaves il y a déjà plusieurs mois à cause des nombreuses myocardites chez les moins de 30 ans, ce sont carrément des rituels de sacrifices d’enfants, ils ne peuvent pas faire ça, c’est criminel. »(([12] Belzil Sylvio sur twitter))

Un élément positif, le peuple français n’est pas prêt à l’injection des enfants selon le Pr Delfraissy.

Il s’était exprimé ainsi en mars 2022 lors d’une conférence à Science Po Lille(([13] Ibid ref 3)) en réponse à un étudiant.

« Bonsoir Mr Delfraissy. 3,3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA ; 36 000 morts dans l’UE,

Imputables au vaccin. Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike. Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes.

Ma question

Mr Delfraissy : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament, pourquoi ces vaccins continuent-ils de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse.

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« (…) là où vous pouvez m’argumenter, c’est en population plus générale, c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolue dans ma tête qu’on vaccine, pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

Vidéo 2/2 :

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinés. Et je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes. »

(…)

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon, mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions. Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

EN RÉSUMÉ :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE !

Il est capital que chacun se sente responsable y compris juridiquement des enfants qu’il pourrait influencer.

Les directeurs d’école, les journalistes, les chroniqueurs, etc. ne peuvent pas impunément répandre de fausses informations comme une soi-disant efficacité sur les formes graves et la rareté et bénignité des effets secondaires.

Les parents doivent imposer la neutralité aux enseignants et dénoncer les brochures de propagande destinées à conditionner les élèves à la vaccination.

L’injection n’est pas un vaccin (ils ne contiennent pas d’antigène), ce sont des médicaments expérimentaux. Il faut via les associations, les avocats, etc. faire supprimer cette propagande mensongère prévue y compris dans les petites classes. Les enseignants ne sont pas là pour désinformer et conditionner les élèves.

COURAGE À TOUS !
SAUVONS LES ENFANTS !




Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Lévesque

Vous trouvez le ciel et la météo étranges ces temps-ci ? Vous vous demandez si c’est naturel et on vous répond « Ben voyons donc! C’est les changements climatiques! »

Vous osez mentionner la géo-ingénierie et on vous répond « Ben voyons donc ! Tu crois aux théories du complot ? »

Ah, ces théories du complot ! Cette réponse intellectuellement paresseuse à toute remise en question du discours dominant sur tous les sujets est un véritable fléau.

La géo-ingénierie est bien réelle, comme vous pouvez le constater dans cet article de Radio-Canada de 2006 sur l’ensemencement de nuages et les « machines à pluie » :

« Le Saguenay-Lac-Saint-Jean a fait l’objet d’ensemencement des nuages pendant plusieurs années. Au début des années 60, la population régionale s’était même mobilisée pour protester contre le mauvais temps, un mouvement appelé l’Opération parapluie. Des mères de famille avaient entre autres réclamé au gouvernement du Québec, par voie de pétition, des vitamines pour leurs enfants, à cause du manque de soleil.

Le gouvernement a toutefois nié l’existence des machines à pluie jusqu’en 1965, date à laquelle le ministre des Ressources naturelles du Québec de l’époque, René Lévesque, ordonne de cesser toute activité de production artificielle de pluie dans la province. Puis en 1970, le Québec adopte une loi accordant, sous certaines conditions, des certificats qui permettent la provocation artificielle de la pluie. »

Si ce sujet vous intéresse, je vous conseille fortement deux documentaires :  L’incroyable histoire des machines à pluie de Claude Bérubé et The Dimming de Geoengineeringwatch.org.

L’incroyable histoire des machines à pluie

Dans L’incroyable histoire des machines à pluie, un documentaire de l’ONF, on peut entendre plusieurs anciens opérateurs et opératrices de machines à pluie et leurs enfants expliquer comment ils arrivaient à percer les nuages, dans quelles conditions ils pouvaient utiliser ces machines et de quoi elles étaient faites.

Au départ, ces machines utilisant de l’iodure ou du nitrate d’argent s’opéraient à partir du sol, mais elles ont ensuite été utilisées par avion « parce qu’elles pouvaient changer le nuage plus vite, parce qu’il lâchait son nitrate d’argent d’un coup sec, ça fait que le nuage se chargeait », explique un opérateur.

Mais dans quel but fabriquait-on de la pluie?

« Pour ramasser de l’eau. C’était de l’or en gazoline », répond une ancienne opératrice, qui prenait soin d’appeler ses amies pour leur dire de ramasser leur linge sur la corde parce qu’il allait pleuvoir.

« C’était tu secret c’t’affaire-là », lui demande le documentariste.

« Oui. »

Lors d’une discussion chez un barbier, un homme dit croire que l’on fabrique de la pluie encore aujourd’hui et raconte que ce sont « les Américains qui sont venus l’expérimenter à Amos en Abitibi ».

« Mon père était cultivateur, raconte une coiffeuse, et je me rappelle qu’il était allé manifester avec l’UPA contre les machines à pluie. Il disait que ça affectait les récoltes. »

Article du Soleil de juin 1965 sur l’opération Para-pluie et les « machines à fabriquer de la pluie ».

On peut même voir des archives de Radio-Canada, où Joseph Bouchard, de l’Union catholique des cultivateurs, demande au gouvernement de « contrôler ces machines-là ».

Ce documentaire fascinant révèle une partie méconnue de notre histoire qui mérite d’être revisitée à l’ère du discours omniprésent sur les changements climatiques.

The Dimming

Le second documentaire, The Dimming (en anglais), est l’œuvre récente de Geoengineeringwatch.org, LA référence sur la géo-ingénierie. On y trouve de nombreux experts, incluant de nombreux militaires, dont un expert en reconnaissance météorologique tactique, des anciens membres des gouvernements des États-Unis et du Canada, comme l’ancien premier ministre de Colombie-Britannique, Bill Vander Zalm, des PhD en sciences, mais aussi des individus qui prônent la géo-ingénierie… comme Bill Gates.

Ce documentaire est extrêmement bien fait et, outre les témoignages d’experts, contient beaucoup de faits vérifiables et vérifiés et de documents déclassifiés, comme cette présentation secrète d’Environnement Canada de 2012 : Geoengineering : Science and Governance.



Dans ce document obtenu grâce à une demande d’accès à l’information, il est question d’un rapport de la Société royale de 2009 où l’on traite des « techniques de gestion des rayonnements solaires », la plus prometteuse étant les « aérosols stratosphériques ».

Dans ce rapport intitulé Geoengineering the climate – Science, governance and uncertainty (La géo-ingénierie du climat – Science, gouvernance et incertitude), on explique que cette technique consiste à libérer « un large éventail de particules dans la stratosphère dans le but de renvoyer la lumière du soleil dans l’espace ».

Si elle est considérée comme très efficace, très abordable et très opportune, elle n’est pas vue comme sécuritaire puisqu’elle pourrait avoir des effets sur les cycles de l’eau, la couche d’ozone, les nuages troposphériques et la productivité biologique (la « quantité de matière vivante produite par un écosystème aquatique » selon le Grand Dictionnaire terminologique).

La Société royale estime que les plus grands défis de la géo-ingénierie ne sont ni scientifiques ni techniques, mais plutôt « sociaux, éthiques, légaux et politiques ».

The Dimming démontre hors de tout doute que certaines techniques de gestion du rayonnement solaire sont utilisées actuellement de manière clandestine, sans doute en raison de ces défis. 

Voici la description du documentaire :

« Les opérations mondiales de géo-ingénierie sont une réalité. Les tests de particules atmosphériques menés par GeoengineeringWatch.org ont prouvé que les traces d’avions à réaction qui s’allongent et s’étendent, si souvent visibles dans notre ciel, ne sont pas seulement de la condensation, comme on nous l’a affirmé officiellement.

Il y a plus de 75 ans, les puissances mondiales ont engagé la planète et les populations dans une expérience de géo-ingénierie pour laquelle il n’y a pas de retour en arrière. L’atténuation intentionnelle de la lumière directe du soleil par les particules dispersées des aéronefs, une forme d’atténuation du réchauffement planétaire connue sous le nom de « gestion du rayonnement solaire », a causé et cause toujours des dommages catastrophiques aux systèmes de survie de la planète.

Les retombées hautement toxiques des opérations de géo-ingénierie en cours causent également des dommages non quantifiables à la santé humaine. Pourquoi les scientifiques ou les sources officielles ne divulguent-ils pas les opérations de géo-ingénierie en cours? Qui est responsable de l’exécution de ces programmes? Quelles seront les conséquences si les activités de géo-ingénierie et de gestion du rayonnement solaire se poursuivent? Le documentaire The Dimming répond à ces questions et à bien d’autres. »

Pour plus de détails sur ce genre d’opérations menées depuis les années 1950, voici un article de 2019 au sujet des chemtrails et du programme lui aussi méconnu de guerre biologique canado-américain :




Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Par Nicole Delépine

[Photo : © iStock]

Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Ne l’oubliez pas, le vax tue. Il faut obtenir son interdiction mondiale comme le réclament les membres du conseil mondial de la santé après leur analyse rigoureuse de toutes les banques de données internationales officielles :

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le dernier tableau de l’article ci-dessus montre que jusqu’au temps délirant (depuis 2020) on retirait du marché un médicament ou vaccin qui tuait quelques personnes

« Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit. »

LA FOLIE PROGRESSE : PLUTÔT QUE D’ADMETTRE QUE L’INJECTION GÉNIQUE TUE, ILS INVENTENT UN » NOUVEAU SYNDROME D’ORIGINE INCONNUE ».

ON EN EST À INVENTER UN « NOUVEAU SYNDROME : LE SYNDROME DE LA MORT SOUDAINE DE L’ADULTE ».

Bravo ! On n’arrête pas le progrès ou bien sa nouvelle définition wok, la bêtise sans limite, la déconstruction de ce qui est beau, instructif, apaisant, pour aller vers quoi ? Le néant ?

Les candidats au bac ne sauraient pas ce que veut dire « ludique », mais on leur donnera le bac quand même. Il ne faut s’étonner de rien et surtout comme l’avait souhaité le patron de télé Patrick le Lay dans les années 2000, la capture du cerveau humain via les temps d’antenne a révélé sa grande efficacité.

Et comme dit l’auteur de la fabrique des crétins, Brighelli, « on les a voulus, on les a créés, maintenant il va falloir les supporter et leur payer un salaire. » Le but ultime atteint, le crédit social.

LA RÉALITÉ : L’EXPLOSION DE MORTS SUBITES EST LIÉE AUX INJECTIONS ARNM

Très tôt dans l’histoire des pseudovaccins ARNm, les médecins israéliens témoins les premiers de l’injection en masse de la population ont signalé ces morts subites, brutales qui les ont particulièrement choqués lorsqu’ils les observaient chez les jeunes qui ne risquaient rien du covid.(([1] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([2] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21))

Alors aujourd’hui devant ce déni de réalité, n’hésitant pas à inventer une « maladie inconnue » pour innocenter les pseudo vaccins, on croit à un cauchemar.

Avant le Covid étaient décrites d’exceptionnelles « morts subites » (et encore plus rarissimes chez les jeunes) correspondant le plus souvent après les explorations post mortem biologiques et autopsiques à des troubles cardiaques congénitaux et/ou infarctus, AVC, ruptures d’anévrisme, sur des terrains à risque familiaux ou personnels, etc.. L’autopsie et les examens ne revenaient pas négatifs comme ce pseudo nouveau syndrome australien les décrit. On ne trouve rien !(([3] https://www.health.com/condition/genetic-disorders/sudden-death-syndrome)) On ne trouve aucune allusion au statut vaccinal des sujets concernés dans l’article.

Une augmentation forte d’incidence depuis la vaccination devrait leur mettre la puce à l’oreille si le déni et l’omerta sur les inconvénients de cette injection génique ne les empêchaient pas d’ouvrir les yeux.

Le Dr Cole (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/5822) affirme que les décès « soudains » chez les jeunes sont causés par les injections covid(([4] [Transféré de ChrisInfos:Traductions,Trump & co] [Vidéo] 07/06/22)).

Extrait de sa vidéo :

Dr Ryan Cole :

« Ces “morts soudaines” ? Quelle blague.

Il y a des gens qui sont venus avec un nouvel article l’autre jour et un nouveau syndrome : le syndrome de la mort soudaine de l’adulte (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6742).(([5] 08/06/22
Australie (https://www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp)
Des médecins tentent de déterminer pourquoi de nombreux jeunes meurent soudainement :
« Les personnes âgées de moins de 40 ans sont invitées à faire vérifier leur cœur car elles peuvent potentiellement être à risque de syndrome de mort subite de l’adulte. »
(https://en.m.wikipedia.org/wiki/Sudden_arrhythmic_death_syndrome) (Syndrome de mort subite par arythmie) a été mortel pour toutes sortes de personnes, qu’elles maintiennent ou non un mode de vie sain et en forme.
Le SADS “terme générique pour décrire les décès inattendus chez les jeunes”, a déclaré le Royal Australian College of General Practitioners, survenant le plus souvent chez les personnes de moins de 40 ans.
La Fondation SADS basée aux États-Unis a déclaré que plus de la moitié des 4 000 décès annuels SADS d’enfants, d’adolescents ou de jeunes adultes présentent l’un des deux principaux signes avant-coureurs.
Ces signes incluent des antécédents familiaux de diagnostic de SADS ou de mort subite inexpliquée d’un membre de la famille, et des évanouissements ou des convulsions pendant l’exercice, ou lorsqu’ils sont excités ou surpris, a rapporté news.com.au. (…)
Il y a environ 750 cas par an de personnes âgées de moins de 50 ans à Victoria dont le cœur s’arrête soudainement (arrêt cardiaque) “, a déclaré un porte-parole.
Parmi ceux-ci, environ 100 jeunes par an n’auront aucune cause trouvée même après des investigations approfondies telles qu’une autopsie complète (phénomène SADS).”
La cardiologue E. Paratz, a déclaré : “le registre de Baker était le premier du pays et l’un des rares au monde à combiner des informations sur les ambulances, les hôpitaux et la médecine légale.”
“Cela vous permet de voir) que des personnes ont eu un arrêt cardiaque et qu’aucune cause n’a été trouvée à l’arrière”, a déclaré le Dr Paratz. Elle pense que le manque potentiel de sensibilisation peut être dû au fait que “beaucoup se déroulent en dehors des contextes médicaux traditionnels”
(N.B: Sinon hormis le “SADS” il y a les injections Covid qui ont fait près de 30 000 morts officiels, plus d’un million d’effets secondaires et entraîné les décès de plus de 700 athlètes en 16 mois : source (https://openvaers.com/covid-data) et Source2 (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6700)
www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp))

Ce syndrome SADS arrive parce que des personnes reçoivent une injection d’une toxine qui enflamme leur cœur.

Il y a eu des études précoces avec ces injections d’ARNm qui montrent qu’elles font gonfler le cœur, entraînant un manque de circulation, il n’y a plus assez d’oxygène dans le sang et donc cela entraîne une insuffisance cardiaque et la mort. (…)

Et maintenant on voit des centaines d’athlètes mourir alors qu’ils sont à leur top physique.

Nous mettons une nanoparticule lipidique toxique et un ARN modifié dans le corps qui ne s’éteint pas.

(…)C’EST DE LA FOLIE DE CONTINUER À POUSSER LE PRODUIT MÉDICAL LE PLUS DANGEREUX ET MORTEL JAMAIS AUTORISÉ À PERSISTER DANS L’HUMANITÉ. » (([6] Source (https://www.bitchute.com/video/3tMs1qBTBvRi/) ))

« Nous devons nous lever contre cette injection avant que notre nouveau gouvernement n’impose la vax obligatoire y compris aux jeunes enfants ! »

Même le Lancet reconnaît le risque de cette injection pour les cœurs des jeunes personnes : — 11 juin Lancet : « le risque de myocardite/péricardite lié au vaccin est plus élevé chez les moins de 25 ans »

Rappelons que ces jeunes sont à risque ZÉRO DU COVID !

COMMENT ADMETTRE LA COÏNCIDENCE —15 juin TIMES : « la FDA recommande l’autorisation d’urgence du vaccin #COVID19 de #Moderna pour les enfants âgés de 6 à 17 ans » si ce n’est une volonté claire de dépopulation ?

LE LANCET A ENFIN AVOUÉ LA DANGEROSITÉ DU PSEUDO VAX(([7] La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))(([8] https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-la-revue-scientifique-the-lancet-confirme-le-risque-eleve-de-myocardite-du-vaccin-pfizer-et-moderna/))

La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna juin 2015, 2022 :

une étude a conclu que le vaccin ARN anti-Covid de Pfizer et de Moderna présente un risque élevé de myocardite et de péricardite. On peut lire :

« un risque accru de myocardite et de péricardite a été noté après la vaccination contre la Covid et a été plus fort chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après la prise de la seconde dose. Cependant, l’incident était rare ».

D’après The Lancet, sur 15 148 369 de personnes ayant reçu le vaccin, 411 cas de myocardite et de péricardite ont été notés.

Une étude similaire, menée en France a abouti aux mêmes conclusions. En effet, dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu consulter l’étude menée par l’institut EPI-PHARE (épidémie des produits de santé) dans sa version originale. Elle confirme que les vaccins Pfizer et Moderna présentent des risques de myocardite et de péricardite tout en précisant toutefois que le risque est peu fréquent.

« un total de 919 cas de myocardites (âge médian de 26 ans, 21 % de femmes) et 917 cas de péricardites (âge médian de 34 ans, 38 % de femmes) sont survenus parmi des personnes âgées de 12 à 50 ans en France pendant la période d’étude. Ces cas ont été appariés respectivement à 9190 témoins (pour la myocardite) et 9170 témoins (pour la péricardite). »

L’étude souligne que les jeunes hommes âgés de moins de 30 ans ont été les plus exposés :

« Globalement, la vaccination par les vaccins Pfizer BioNTech et Moderna était associée à une augmentation des risques d’hospitalisation pour myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant la vaccination.

L’association avec le risque de myocardite apparaît particulièrement marquée chez les jeunes hommes de moins de 30 ans, en particulier au décours de la deuxième dose du vaccin Moderna conduisant à un excès de cas atteignant de l’ordre de 132 par un million de doses dans cette tranche de la population », révèle EPI-PHARE.

Un chirurgien cardiovasculaire japonais : Arrêtez dès maintenant les rappels de vaccins en raison des risques graves qu’ils présentent (anguillesousroche.com)

« Tout d’abord, le chirurgien cardiovasculaire rappelle à tous la nature décroissante de l’efficacité des vaccins. Au huitième mois, après l’administration de deux doses du vaccin COVID-19, l’immunité “était inférieure à celle des personnes non vaccinées”. L’Agence européenne des médicaments (EMA) suggère d’éviter les rappels fréquents, car ils pourraient “avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et ne sont pas forcément réalisables.” Kenji Yamamoto a écrit un article de commentaire dans le Virology Journal, une revue en libre accès et évaluée par des pairs. Il est chirurgien au département de chirurgie cardiovasculaire de l’Okamura Memorial Hospital, au centre des varices de Shizouka, sur la côte centrale du Pacifique de Honshu et près du mont Fuji. Dans une lettre à la rédaction, le Dr Yamamoto déclare : “Par mesure de sécurité, il convient d’interrompre les vaccinations de rappel et de prendre plusieurs autres mesures pour les patients vulnérables.” Ce chirurgien cardiovasculaire respecté reconnaît que les médias censurent les blessures liées au vaccin COVID-19, y compris les décès. »

ET le débat s’invite ENFIN sur cnews 17/06/22 A QUAND BFM TV ?

Marie-Estelle Dupont psychologue (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/4510) lit une déclaration de pédiatres sur les effets secondaires des injections Covid sur les enfants

« Étant donné ce qu’on a rencontré comme effets secondaires rapportés par les centres de contrôle des maladies, il n’y aurait pas de bénéfice à vacciner les enfants.

Nous sommes d’accord avec la vaccination en principe, et nous avons confiance aux garanties réglementaires. Toutefois nous comprenons que les injections Covid-19 ne sont pas des vaccins traditionnels… Pas assez de recul.

Nous pensons que la confiance des fournisseurs de soins médicaux et du public a été violée.

Il y a clairement un débat à poser. »

(…)

Le CDC révèle qu’au moins 49 878 enfants de 0-17 ans ont subi un effet indésirable dû à la vaccination contre la Covid. »(([9] https://mobile.twitter.com/MyriamHebuterne/status/1537513159665278979))

MÊME LE PR. DELFRAISSY, GRAND CHEF DES MANŒUVRES ANTICOVID ET DE LA GUERRE AU VIRUS, A RECONNU LE LIEN :

ET ON SAIT POURQUOI La protéine Spike provoque une réponse de l’interleukine 1B chez les enfants (pas autant chez les adultes), comme le prouvent des études chinoises.

L’IL-1B est associée à l’amyloïde A sérique entraînant une myocardite pouvant entraîner une mort subite.(([10] ncbi.nlm.nih.gov Myocarditis: An Interleukin-1-Mediated Disease?))

On peut être étonné par le surprenant dialogue du Pr Delfraissy et un étudiant de science à Sciences Po Lille, le 15 03 2022

Vidéo 1/2 : https://twitter.com/i/status/1534955758382718976 (reproduction de l’échange de la vidéo par un aimable correspondant vigilant

L’étudiant :

« Bonsoir Mr Delfraissy

3.3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA

36 000 morts dans l’UE

Imputables au vaccin

Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike

Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes

Ma question

Mr Delfraissy c’est : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament pourquoi ces vaccins continuent de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« Euh… … je crois qu’honnêtement vous n’êtes pas très chaud pour les vaccins ! Si je vous entends.

Bien sûr qu’il y a des effets secondaires… mais dans la balance bénéfices/risques au niveau individuel chez en particulier les patients les plus âgés les plus fragiles ayant un déficit immunitaire oui je vous dis ce soir je suis très à l’aise pour vous dire que le rapport bénéfices/risques il reste en faveur d’un vaccin

Ça, c’est un premier point

Cependant, là où vous pouvez m’argumenter c’est en population plus générale c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolu dans ma tête qu’on vaccine pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

…………………

Vidéo 2/2 : https://twitter.com/i/status/1534957878884323334

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement avec en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinés. Et je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes.

La Guadeloupe est finalement le seul vrai moment en France avec un tout petit peu au début sur l’est de la France lors de la première vague où on a vraiment trié du malade en réanimation. Le reste on est à peu près passé sur du vrai triage.

Bien sûr, les personnes âgées, les plus âgées ont été moins prises en charge.

Mais il n’y a pas eu de vrai triage.

Sauf dans 2 zones — l’Alsace et la partie est de la France — lors de la première vague et la Guadeloupe au mois d’août 2021.

Donc ça montre bien vaccination plus, vaccination moins…

Bon après si vous ne voulezpas y croire…

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions.

Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

J’imagine que l’on va garder cette vidéo au cas où il prendrait à nos dirigeants la triste idée d’imposer l’injection et singulièrement aux enfants.

Alors pour conclure ces drames des dirigeants qui osent conclure qu’ils s’en foutent après avoir interdit d’exercice les soignants non vaccinés, ruinés, suicidaires pour un bon nombre, je vous propose un autre témoignage.(([11] Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA–World Tribune: U.S. Politics and Culture, Geopolitics, East Asia Intelligence, China, Geostrategy, Military, National security, Corporate Watch, Media Watch, North Korea, Iran, Columnists: Dennis Prager, Michelle Malkin, John Metzler, Jeffrey Kuhner, John McNabb, Joe Schaeffer, Bill Juneau, Alexander Maistrovoy, Donald Kirk (www-worldtribune-com.translate.goog) ))

Le père d’un fils tué par le vaccin Covid signale une incitation à la fraude par la FEMA(([12] FEMA for Disasters assistance An official website of the United States Government. Agence fédérale de gestion des urgences))

par WorldTribune Staff, 9 juin 2022

« Non seulement Ernest Ramirez a perdu son fils de 16 ans à la suite d’une crise cardiaque quelques jours après avoir reçu le vaccin Pfizer Covid, mais lorsqu’il a commencé à en parler publiquement, la FEMA lui a offert des dizaines de milliers de dollars en prestations de décès s’il falsifiait le certificat de décès du gouvernement, a-t-il dit dans une interview.

Cinq jours après avoir reçu le vaccin Pfizer, Ernest Ramirez, Jr., un athlète du secondaire et membre du ROTC, s’est effondré en courant sur le terrain lors d’un match de basket-ball dans un parc. Il a été déclaré mort à l’hôpital. »

Ernest Ramirez et son fils Ernest Ramirez Jr.

L’hôpital ne voulait pas lui dire la cause du décès. « Il m’a fallu trois mois pour obtenir son autopsie », a déclaré Ramirez dans une interview avec John Davidson de Broken Truth. « Ils ne voulaient pas me le donner. »

Ce n’est qu’après avoir engagé un avocat que les autorités médicales ont rendu les résultats de l’autopsie : Ernest Ramirez, Jr., est décédé d’une crise cardiaque due à une myocardite attribuable au vaccin.

Connexe : Ernest Ramirez, Jr. : L’histoire d’un père au cœur brisé, 3 juin 2022

« L’autopsie a été envoyée au cardiologue Dr Peter McCullough, MD, qui a vérifié que la cause du décès était due au vaccin, rapporte Ramirez. “Son cœur faisait plus du double de la taille normale, qu’il aurait dû être”, a déclaré Ramirez, “et il était recouvert de certains produits chimiques du vaccin. Dr John Witcher, MD,. . . l’a également vérifié”, tout comme le Dr Paul Marik, MD.

« Je veux dire que nous avons tous ces médecins qui le vérifient. Pourtant, ce n’est pas comme si cela faisait vraiment du bien », a déclaré Ramirez. « Maintenant, il y a tellement de centaines d’enfants qui souffrent de la même chose. S’ils ne meurent pas de myocardite ou de problèmes cardiaques, ils souffrent maintenant. Ils sont sous médication. Ils ne vont pas pouvoir trop s’exercer. Cela signifie : pas de baseball, pas de football, rien, parce qu’ils pourraient avoir une crise cardiaque. Où est-ce réellement sûr ? »

Ramirez avait élevé son fils, un joueur de baseball qui avait hâte de rejoindre l’armée de l’air, en tant que père célibataire. N’ayant pas d’assurance obsèques pour un enfant de cet âge, il a contacté le programme de prestations de la FEMA pour les décès de Covid-19. La FEMA a rejeté la demande. Un décès lié au vaccin Covid n’a pas été considéré comme un décès Covid. La FEMA n’a pas répondu à un WorldTribune. com demande de commentaire.

À cette époque, Ramirez a commencé à s’exprimer publiquement, gagnant une audience nationale en avertissant les parents des dangers du vaccin.

Dans une tournure inhabituelle des événements, rapporte Ramirez, la FEMA l’a ensuite recontacté avec une offre qui semble viser à la fois le piège criminel et un effort pour discréditer son message.

« En décembre, la FEMA m’appelle, me demandant plus de paperasse », a raconté Ramirez. » J’ai dit : « Regarde, tu as tous ses papiers. Tu m’as refusé. Alors, détruisez simplement cette application. Elle m’a mis en attente pendant 45 minutes et m’a demandé de changer le certificat de décès de mon fils pour qu’il indique Covid, et cela m’aiderait financièrement.

« J’ai dit : Non, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. Et comme je l’ai dit, elle a juste fait des allers-retours. Je ne sais pas si elle parlait à quelqu’un d’autre, et elle n’arrêtait pas de me demander de changer le certificat de décès de mon fils », a déclaré Ramirez.

« J’ai dit, Madame, je vous l’ai déjà dit, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. J’ai dit : Je ne falsifierai pas les documents du gouvernement à des fins financières », a-t-il raconté. Après une discussion plus approfondie, « elle a en fait baissé la voix jusqu’à un murmure et m’a dit : » Je suis vraiment désolée, Ramirez « et elle a raccroché. »

En janvier 2022, Ramirez rapporte qu’il a ensuite reçu un e-mail de la FEMA avec des documents similaires, qu’il a transmis publiquement à Steve Kirsch et à d’autres, « pour s’assurer qu’ils voient ce qui se passe ».

Puis, dans la troisième semaine de mai 2022, plus d’un an après la mort d’Ernest Jr., « Je reçois un appel téléphonique et c’est la FEMA », a poursuivi Ramirez. « Ils m’appelaient pour me faire changer à nouveau le certificat de décès. La première fois qu’ils m’ont appelé, ils m’offraient 10 000 $ à 35 000 $ si je le changeais.

Ernest Ramirez Jr., Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA, WorldTribune.com

COMBIEN DE TEMPS LA POPULATION VA-T-ELLE ACCEPTER DE JOUER À L’APPRENTI SORCIER OU À LA ROULETTE RUSSE ?

EST-CE LUDIQUE ????





Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé

Par Nicole Delépine

Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections

Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org)(([1] Ce rapport a été rédigé par Adele Paul et finalisé et approuvé par le Comité de la santé et de l’humanité du WCH.))

Nous rapportons ici le travail du Conseil Mondial de la Santé qui s’est constitué en 2021 pour combattre la censure et le manque d’informations des citoyens concernant les injections géniques.

QUE REPRÉSENTE LE CONSEIL MONDIAL DE LA SANTÉ ?

C’est une organisation à but non lucratif pour le peuple, informée et financée par le peuple, coalition mondiale d’organisations axées sur la santé et de groupes de la société civile, plus de 130 organisations dans 40 pays, qui cherche à élargir les connaissances en santé publique et la création de sens grâce à la science et à la sagesse partagée.

Ils s’engagent à protéger les droits de l’homme et le libre arbitre tout en donnant aux gens les moyens de prendre le contrôle de leur santé et de leur bien-être. Fondé en 2021, le Conseil mondial de la santé est une initiative à but non lucratif soutenue par EbMCsquared CiC, organisation d’intérêt communautaire.(([2] « Nous croyons en un monde sain, où chacun bénéficie de la transparence de l’information, de l’accès à des médicaments éprouvés et d’une action réelle face à la maladie — tout en respectant les décisions personnelles de chaque individu en matière de santé, sans crainte de discrimination ou de persécution. Nous croyons en un monde où nous gardons notre eau et notre air propres, la nourriture non contaminée et les familles ensemble ».))

« La liberté est le droit de dire, de penser et de faire ce que vous voulez faire sans être limité. Tout le monde a ce droit humain inné. Il est de notre responsabilité de l’utiliser à bon escient ».(([3] La force du Conseil mondial de la santé réside dans son approche de la collaboration. Nous sommes presque entièrement alimentés par des bénévoles dans notre nombre croissant de comités composés de scientifiques, de médecins, d’avocats, d’activistes et de patients. Nous travaillons au-delà des frontières à éliminer les obstacles grâce à des partenariats de coalition internationale unis pour la protection de l’humanité.))

RECHERCHE DE PREUVES SUR LA SÉCURITÉ OU NON DES VAX ANTICOVID

Ce rapport a été conçu pour voir s’il existe ou non suffisamment de preuves sur les bases de données de l’OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellowcard pour établir un signal de sécurité sur les vaccins Covid-19.

« Dans des circonstances ordinaires, les essais de phase 3 et 4 établiraient l’innocuité et l’efficacité d’un produit pharmaceutique. Cependant, ces essais ne sont pas terminés pour les produits Covid-19. Les produits ont été administrés à une large population qui n’est pas surveillée par les essais cliniques. Il est donc nécessaire d’examiner toutes les preuves disponibles pour établir l’innocuité de ces produits et leur impact sur ceux qui ont pris le produit, mais qui ne sont pas surveillés par les essais cliniques. »

Le développement d’un vaccin contre le Covid-19 dans le cadre de l’opération Warp Speed a été précipité. Traditionnellement, la mise au point d’un vaccin prend 10 ans ou plus avant la production et la distribution à grande échelle à une large population. Avec les vaccins contre le Covid-19, le produit est passé d’essais précliniques exploratoires à une fabrication à grande échelle en seulement 10 mois. Les données sur leur sécurité sont incomplètes. Ce rapport tend à combler le vide sur les informations post injection.

Il s’agit d’un rapport d’information créé par le Conseil mondial de la santé pour aider les professionnels de la santé, les scientifiques et les citoyens à prendre des décisions éclairées sur les vaccins contre le Covid-19. La sécurité des produits Covid-19 n’a pas été établie à l’issue des essais cliniques de phase 3 et de phase 4. Les produits Covid-19 n’ont pas l’efficacité des vaccins utilisés jusqu’ici. (ils n’empêchent pas une personne de contracter le virus, ni de tomber malade, ni de propager la maladie)

Les produits Covid-19 sont utilisés sur des milliards de personnes, y compris des enfants, alors que la phase d’essai clinique n’est pas terminée. La grande majorité de ces personnes injectées ne sont pas surveillées.

« Les données d’essai de 6 mois de Pfizer (qui faisaient suite aux données préliminaires d’essai originales sur lesquelles les produits ont été autorisés) n’ont pas montré de réduction de la mortalité toutes causes confondues dans le groupe vacciné. Cela pourrait indiquer que tout bénéfice obtenu grâce à la vaccination peut être annulé par des événements indésirables, y compris le décès ».

Les vaccins contre le Covid-19 font l’objet d’essais de phase 3 et leur innocuité et leur efficacité n’ont pas encore été établies.

ABSENCE DE SUIVI DES INJECTÉS, AU MOINS OFFICIELLEMENT

La majorité de ceux qui ont reçu l’injection (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas surveillés par les vaccinateurs, (du moins à leur connaissance). Quid du suivi via les codes-barres injectés ? Mystère.

Dans ce rapport, le WCH vise à utiliser les bases de données de pharmacovigilance établies pour détecter s’il existe un signal de sécurité préoccupant chez les « vaccinés ». Ce rapport rassemble les données sur les événements indésirables sur les vaccins contre la COVID-19 à partir des bases de données de pharmacovigilance internationales.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 recueillies dans chaque base de données de pharmacovigilance sont comparées aux données sur les événements indésirables de produits pharmacologiques similaires (autres vaccins courants) dans les mêmes bases de données, dans la mesure du possible. Ce rapport examine les paramètres par lesquels d’autres vaccins et médicaments ont été rappelés dans le passé.

Méthode

Les auteurs ont examiné chaque base de données — OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card Scheme — et documenté combien d’événements indésirables étaient liés aux vaccins Covid-19.

Rapports d’événements indésirables

Les données de pharmacovigilance sont généralement recueillies par le biais de la déclaration des événements indésirables. En règle générale, les rapports d’événements indésirables sont établis par :

  • Une personne qui a subi un événement indésirable
  • Un professionnel de la santé qui soupçonne un événement indésirable chez un patient
  • Organisations qui créent des rapports à partir de programmes de soutien aux patients
  • Sociétés pharmaceutiques sous forme d’études cliniques ou post-commercialisation
  • Revues de littérature
  • Reportages dans les médias
  • Études
  • Les données de pharmacovigilance peuvent également être recueillies dans le cadre d’autres études, notamment :
    • Études rétrospectives
    • Études de cohorte
    • Études cliniques
    • Études post-commercialisation
    • Revues de littérature

Les données de pharmacovigilance établissent des signaux

Les rapports établis sur les bases de données de pharmacovigilance n’établissent pas le lien de causalité. Une relation causale possible établie par ce processus est connue sous le nom de « signal ». Si un signal est détecté, une enquête plus approfondie est nécessaire.

Bases de données sur la déclaration des effets indésirables ou des réactions vaccinales

Les vaccins contre le Covid-19 sont un nouveau type de thérapie. Il est particulièrement important de signaler les effets secondaires graves. Selon l’endroit où vous vous trouvez dans le monde, il existe différentes bases de données mises en place pour enregistrer les réactions indésirables aux médicaments.(([4] Royaume-Uni le Medicines and Healthcare products Regulatory Advisory (MHRA) utilise le système de carton jaune pour surveiller les rapports, et toute personne qui soupçonne un effet indésirable peut le signaler directement sur son site Web : https://coronavirus-yellowcard.mhra.gov.uk

ÉTATS-UNIS Système de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) Aux États-Unis, les Centres for Disease Control (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) gèrent la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), qui permet aux individus d’envoyer des rapports via le site Web :
https://vaers.hhs.gov/reportevent.html

Canada vous pouvez signaler un événement indésirable sur le site Web du gouvernement du Canada :
https://www.canada.ca/en/health-canada/services/drugs-health-products/medeffect-canada/adverse-reaction-reporting.html. Il existe également la Base de données en ligne sur les effets indésirables de Vigilance Canada :
https://cvp-pcv.hc-sc.gc.ca/arq-rei/index-eng.jsp

Australie la Therapeutic Goods Administration (TGA) surveille les événements indésirables et un rapport peut être déposé ici :
https://aems.tga.gov.au

France Signalement-sante.gouv.fr
https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/signalement-sante-gouv-fr/

Afrique du Sud https://thj-africa.org.za/ a un lien avec le VAERS sud-africain.
Nouvelle-Zélande les professionnels de la santé, le public et les « autres » peuvent signaler les effets indésirables ici —
https://report.vaccine.covid19.govt.nz/s/

Amérique centrale Système de reporting Noti-FACEDRA
http://www.notificacentroamerica.net/n/Pages/mapa.aspx#no-back-button

Les Philippines VARR-PH
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSezImFX8-euM35Oc_UsSuhv6nql0J0iWRT0NM9Syyf4FAZrlA/viewform?fbclid=IwAR2zQ-CPYb4bnnvd713w1ICwECHm_UA8cRB8z8rmFApkpHmtqIPSzcWGKEQ))

OMS VigiAccess

Lancé en 2015 par l’OMS, VigiAccess base de données internationales des événements indésirables potentiels signalés liés aux médicaments, pour « analyser les rapports de dommages présumés causés par les médicaments, trouver des “signaux” de réactions indésirables potentielles aux médicaments ». Créés en 1968, 170 pays collaborent pour surveiller et identifier les dommages causés par les médicaments. Cette collaboration couvre environ 99 % de la population mondiale.

Les rapports sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 sur VigiAccess englobent tous les vaccins Covid-19

Vaccin Nombre d’effets indésirables Pourcentage d’enfants de 1 an qui ont été vaccinés dans le monde depuis
Vaccin contre la tuberculose 37 335 88 % 1968
Vaccin contre la poliomyélite 123 732 86 % 1968
Vaccin contre la diphtérie 1914 85 % 1979
Vaccin contre le tétanos 15 381 85 % 1968
Vaccin contre la coqueluche 2259 85 % 1972
Vaccin contre l’hépatite B 106 761 85 % 1984
H. Vaccin contre la grippe B 90 044 72 % 1986
Vaccin contre la rougeole 6231 71 % 1968
Vaccin contre la rubéole 2640 71 % 1971
Vaccin Contre le Covid-19 3 777 652 65,7 %*** 2020

Pour les vaccins courants qui ont été distribués à la grande majorité de la population mondiale, gamme de rapports d’événements indésirables au nombre de 2000 à 100 000 sur VigiAccess.

Pour les vaccins Covid-19, qui ont actuellement été administrés à environ 65 % de la population mondiale, il y a plus de 3,7 millions de rapports d’événements indésirables sur VigiAccess.

VigiAccess montre un nombre d’événements indésirables sans précédent dans la base de données de tout autre produit pharmaceutique ou vaccin.

Dans le tableau suivant, 37 335 événements indésirables sont rapportés après environ 4 milliards de vaccins contre la tuberculose (moins de 1/100000) et plus de 3,7 millions de rapports provenant d’environ 5,1 milliards de personnes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 (environ 72/100000).

En corrigeant la différence dans le nombre de personnes qui ont reçu les deux vaccins, on constate une augmentation de 77 fois du nombre d’événements indésirables signalés à VigiAccess pour le vaccin Covid-19 par rapport à celui contre la tuberculose

Compte tenu de l’objectif déclaré de VigiAccess — analyser les rapports de dommages présumés causés par des médicaments, trouver des « signaux » d’effets indésirables potentiels des médicaments — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part de l’Organisation mondiale de la santé.

CDC VAERS

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a été créé en 1990 et cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des USA et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis : système conçu pour être un système d’alerte précoce pour les problèmes de sécurité liés aux vaccins homologués aux États-Unis. VAERS saisit et analyse les rapports d’événements indésirables qui se produisent après une vaccination.

Toute personne qui a subi un événement indésirable à la suite d’un vaccin peut le signaler au VAERS. En outre, les professionnels de la santé sont tenus de signaler les événements prescrits qui se produisent chez leurs patients après la vaccination, et les fabricants de vaccins sont tenus de signaler tous les événements indésirables qui sont portés à leur attention. Il s’agit d’un système de déclaration qui repose sur les individus pour s’auto-déclarer ou sur les fournisseurs de soins de santé pour faire rapport en leur nom. C’est une infraction fédérale aux États-Unis de soumettre un faux rapport VAERS

Les rapports VAERS recensent les événements indésirables de 1990 à nos jours. Les données sur les vaccins Covid-19 sur VAERS englobent les vaccins Moderna, Pfizer et Jansen depuis leur autorisation de mise sur le marché.

Données VAERS : Pourcentage du nombre total de déclarations d’événements indésirables par type de vaccin(([5] https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=CB19840534D33730BADDAAEB1AE0)).Plus de 50 % du total des rapports d’événements indésirables faits sur VAERS, c’est-à-dire les rapports faits pour TOUS les vaccins depuis 1990, sont attribués aux vaccins COVID-19.

À partir de 2020 et jusqu’en 2022, nous assistons à une augmentation spectaculaire et sans précédent des décès signalés au VAERS. Actuellement, sur les plus de 37 000 décès signalés au VAERS depuis 1990, 27 968 sont liés aux produits Covid-19. Un décès à proximité d’un vaccin indique une relation causale plus probable. Or la grande majorité des rapports sont faits dans les 3 jours suivant l’administration du vaccin.

Rapports VAERS Covid-19 par âge

https://worldcouncilforhealth.org/wp-content/uploads/2022/06/2022-05-25-3.png

https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=F9E61FE2A2B457AD46D5FC21F667

ALERTE CONCERNANT LES ENFANTS

Il y a 209 rapports d’événements indésirables sur VAERS pour les enfants de moins de 2 ans.

Ces vaccins n’ont pas été autorisés pour ces groupes d’âge. Il y a 1499 rapports supplémentaires dans le groupe des 2 à 5 ans, dont beaucoup concernent probablement des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé. Celles-ci peuvent être liées à une exposition au produit in utero, par l’allaitement ou à l’administration à des enfants pour lesquels le produit n’est pas autorisé.

Les données du VAERS montrent une proportion écrasante d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19, plus de 50 % du total des rapports depuis 1990 étant attribués au vaccin.

Nous constatons une différence de 10 fois dans le nombre de rapports d’événements indésirables pour le vaccin ROR et le vaccin Covid-19. En outre, il y a une augmentation de 169 fois des décès signalés au VAERS après la vaccination contre le Covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe et une augmentation de 56 fois des rapports d’événements indésirables sur le VAERS après la vaccination covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe.

La plupart des décès et des événements indésirables sont survenus quelques jours après la vaccination, ce qui rend une relation de cause à effet plus probable. Étant donné que les vaccins contre le Covid-19 sont nouveaux et sont encore en cours d’essais cliniques, les données VAERS sont suffisantes pour établir un signal de sécurité préoccupant.

Les rapports sur les VAERS qui se sont produits chez les enfants de groupes d’âge qui n’ont pas été autorisés à recevoir le vaccin sont extrêmement préoccupants. Cela indique la possibilité d’événements indésirables obtenus in utero, de l’allaitement ou de l’administration du vaccin à des groupes d’âge pour lesquels il n’a pas été autorisé.

Compte tenu des objectifs énoncés par le VAERS — détecter les événements indésirables nouveaux, inhabituels ou rares, évaluer l’innocuité des vaccins nouvellement homologués et fournir un système national de surveillance de l’innocuité qui s’étend à l’ensemble de la population pour répondre aux urgences de santé publique, telles que les programmes de vaccination contre la grippe pandémique à grande échelle une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part du CDC et de la FDA.

EudraVigilance

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés dans EudraVigilance est le suivant :

  • Vaccin Moderna – 294 772 ;
  • Vaccin Pfizer-BioNTech (Tozinameran) – 956 913 ;
  • Vaccin Astrazeneca – 488 769 ;
  • Vaccin Janssen – 59 751 ;
  • Vaccin Novavax — 756.

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés pour tous les vaccins Covid-19 sur EudraVigilance est supérieur à 1,8 million.

Comme dans le VAERS, plus d’un millier de cas ont été signalés dans la catégorie des 0 à 2 ans, un groupe d’âge pour lequel les vaccins ne sont pas autorisés. Cela indique potentiellement que les nourrissons et les enfants subissent des événements indésirables liés à l’exposition in utero, à l’allaitement maternel et/ou administrés à des personnes pour lesquelles les produits ne sont pas autorisés.

Le nombre total de personnes vaccinées dans les pays de l’UE/EEE est de 341 628 772, soit environ 75,4 % de la population.

En 2018, environ 90 % des enfants européens ont été vaccinés contre la rougeole dans le cadre du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Environ 90 % des Européens ont été vaccinés contre la rougeole. Sur les quelque 673,2 millions de personnes qui ont reçu le vaccin contre la rougeole en Europe, EudraVigilance a reçu un total de 48 913 rapports d’événements indésirables sur EudraVigilance.

Environ 341 millions d’Européens ont été vaccinés contre le Covid-19. Parmi ceux-ci, 1,8 million de rapports d’événements indésirables ont été effectués sur EudraVigilance.

Il y a une augmentation de plus de 70 fois du nombre d’événements indésirables individuels signalés à EudraVigilance pour le vaccin Covid-19.

Étant donné que les vaccins Covid-19 sont en cours d’essais cliniques, les données d’EudraVigilance sont suffisantes pour établir un signal de sécurité alarmant pour ces produits.

Les plus de 1000 rapports d’événements indésirables survenus chez des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé indiquent la nécessité d’une action immédiate et urgente.

SYSTÈME DE CARTON JAUNE DU ROYAUME-UNI

Les rapports sont faits au programme de carton jaune volontairement par les patients, les parents ou les soignants et par les professionnels de la santé. Les fabricants sont légalement tenus de signaler les problèmes liés aux produits de santé à la MHRA.

Au Royaume-Uni, plus de 53 millions de personnes ont reçu au moins une dose du vaccin contre le Covid-19. Le système britannique de carton jaune documente actuellement plus de 450 000 rapports d’effets indésirables.

Les données sur les cartes jaunes pour d’autres vaccins ne sont actuellement pas disponibles sur le site Web de la carte jaune. Cependant, le paracétamol est l’un des médicaments les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Des millions de personnes au Royaume-Uni ont pris ce médicament pendant plusieurs décennies. Le rapport ci-dessus montre 25 158 réactions et 585 décès associés à son utilisation depuis 1964. Le programme de carton jaune affiche plus de 450 000 rapports de carton jaune liés aux vaccins Covid-19 — une action immédiate et urgente est nécessaire.

SYNTHÈSE

Nombre et types d’événements indésirables signalés sur l’ensemble des bases de données(([6] Source : wonder.cdc.gov/))

Leur gravité varie de mineure telle que la douleur au site d’injection à des événements majeurs comme l’arrêt cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite et la mort.

Dans VigiAccess, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 1 500 000
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif — ~ 1 000 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 691 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 477 000
  • Troubles vasculaires — ~193 000

Dans EudraVigilance

  • Troubles du système nerveux — ~ 746 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 543 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 344 000
  • Infections et infestations — ~ 220 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 213 000

Dans le système de carton jaune du Royaume-Uni, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 285 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 175 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 135 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 101 000
  • Troubles du système reproducteur et du sein — ~ 57 000

Résultats courants des effets indésirables du vaccin contre le Covid-19 : VAERS

Source : wonder.cdc.gov/

Nombre de rapports sur les VAERS(([7] Source : vaersanalysis.info/2022/05/14/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-6-2022/))

  • Myocardite/péricardite 22 000
  • Crises cardiaques 6 400
  • Guillain-Barre 2 600
  • Thrombocytopénie 6 000
  • Convulsions/Convulsions 16 000
  • Anaphylaxie 49 000
  • Paralysie de Bell 15 000
  • Thromboembolie veineuse 25 000
  • Arthrite et arthralgie/lésion articulaire 78 000
  • Mort 28 000

Plus de 54 % des événements indésirables signalés au VAERS sont attribués au vaccin Covid-19, y compris le décès, les blessures potentiellement mortelles, l’invalidité permanente, les anomalies congénitales/malformations congénitales, les hospitalisations, les visites aux urgences, les visites chez le médecin et autres.

Il y a plus de 28 000 décès, soit plus de 75 % de tous les décès signalés au VAERS depuis 1990, associés au vaccin Covid-19.

Les événements indésirables dans les bases de données de pharmacovigilance sont sous-déclarés.

Dans une étude comparant la surveillance active et passive des événements indésirables, 8,8 % des personnes sous surveillance active ont signalé un événement indésirable, tandis que seulement 0,1 % de ceux sous surveillance passive.

C’est une différence de 88 fois dans le nombre de rapports pour cette étude particulière. L’OMS note également que la surveillance passive « rend difficile l’exhaustivité et l’actualité de la collecte des données ». Le nombre réel d’événements indésirables survenus dans le temps en relation avec les vaccins Covid-19 serait beaucoup plus élevé que ce qui est révélé par les données de ces bases de données de pharmacovigilance.

Un rapport d’événement indésirable n’indique pas que le vaccin a causé un événement, mais simplement qu’il était lié. Les données VAERS révèlent une relation temporelle étroite entre l’administration du vaccin Covid-19 et l’événement indésirable ultérieur, la majorité des événements indésirables se produisant dans les 2 jours suivant la réception du vaccin. Cela indique une relation causale plus probable.

Le cas unique des vaccins contre le Covid-19 Opération Warp Speed

Lorsque le Covid-19 est apparu comme un nouveau virus en 2019, on savait peu de choses sur sa virulence et sur ses impacts sur la population en général. Les premiers modèles ont surestimé la morbidité et la mortalité de la maladie et, par conséquent, l’opération Warp Speed a été introduite pour accélérer le développement d’un vaccin et d’autres traitements contre le nouveau virus.

TOUS les vaccins contre le Covid-19 sont en phase 3 d’essai. Aucun n’a terminé ses essais phase 3.

L’efficacité et l’innocuité des vaccins contre le Covid-19 n’ont donc pas été établies. Les taux d’efficacité (95-97 % !) et de tolérance allégués par les gouvernements et les agences sanitaires diffusent sans aucune vérification les chiffres fournis par les services de communication des laboratoires pharmaceutiques.

La grippe porcine de 1967 : un cas de campagne de vaccination de masse précipitée

En février 1967, une enquête a été lancée sur la mort mystérieuse d’un soldat américain décédé lors d’un exercice d’entraînement de base. Les tests du CDC ont révélé que le soldat David Lewis avait contracté une souche de grippe porcine. Par la suite, 11 autres soldats ont été testés positifs pour le virus tandis que des centaines d’autres ont été testés positifs pour les anticorps.

Le CDC et le président de l’époque, Gerald Ford, ont adopté une approche « mieux vaut prévenir que guérir » et ont lancé une campagne de vaccination de masse contre la grippe porcine. Des rapports ont fait état d’effets indésirables présumés, notamment de crises cardiaques, du syndrome de Guillain-Barré et de 53 décès signalés. La pandémie ne s’est pas matérialisée, le gouvernement a interrompu le programme de vaccination de masse le 16 décembre.

Une approche « mieux vaut prévenir que guérir » est injustifiée et dangereuse car les preuves n’existent pas pour affirmer qu’une vaccination précipitée est plus sûre que l’exposition à un virus dont on sait peu de choses.

Les rapports faisant état de seulement 50 décès liés à la vaccination contre la grippe porcine ont suffi à mettre définitivement fin au programme.

Les réponses à toute pandémie présumée doivent s’aligner sur les meilleures preuves disponibles sur la nature de la menace et ne pas être guidées par la politique, les médias, leurs liens d’intérêts avec l’industrie ou les émotions du grand public soumis à une intense propagande de terreur.

Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit.

Source : vaersanalysis.info/2022/05/14/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-6-2022/

Le vaccin contre la poliomyélite a été rappelé en moins d’un an après 10 décès signalés, le vaccin contre la grippe porcine a été rappelé en moins de 1 an après 53 décès signalés. Le vaccin contre le Covid-19, avec plus de 28 000 rapports de décès associés, n’a pas été rappelé.

Il existe un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19 détectés dans toutes les bases de données examinées dans ce rapport.

Conclusion

Ce rapport visait à examiner les données de pharmacovigilance de VigiAcess, VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card pour les vaccins Covid-19. L’objectif était de déterminer si les données de ces bases de données étaient suffisantes pour établir un signal de sécurité sur ces produits.

Toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport révèlent un nombre de rapports d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 qui sont entre 10 et 169 fois plus que ce qui est observé dans d’autres produits couramment administrés

Il y a plusieurs milliers de rapports d’événements indésirables chez les enfants pour lesquels le produit Covid-19 n’a pas été approuvé

Il existe suffisamment de preuves sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport pour établir un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19.

Les bases de données sur la pharmacovigilance, telles que celles examinées dans le présent rapport, reposent sur la surveillance passive. Les événements indésirables sont sous-déclarés.

Les produits Covid-19 sont uniques en ce sens qu’ils ont été développés rapidement et administrés à de grandes populations alors qu’ils étaient encore en phase 3 d’essais cliniques.

Il existe suffisamment de preuves d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 pour indiquer qu’un rappel de produit est immédiatement nécessaire.

Références

AstraZeneca. (May 2022). Case Series Drug Analysis Print: Covid-19 AstraZeneca Vaccine
Analysis Print. Gov.uk.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1080309/COVID-19_AstraZeneca_Vaccine_Analysis_Print_DLP_25.05.2022.pdf

Connor Stewart. (May 2022). COVID-19 vaccination rate in European countries. Statista.
https://www.statista.com/statistics/1196071/covid-19-vaccination-rate-in-europe-by-country/

Elflein, John. (May 2022). Vaccinations in the U.S.—Statistics & Facts. Statista.
https://www.statista.com/topics/3283/vaccinations-in-the-us/#topicHeader__wrapper

EudraVigilance. (May 2022). European database of suspected adverse drug reaction reports.

European Medicines Agency.
https://www.adrreports.eu/en/eudravigilance.html#

European Centre for Disease Prevention and Control. (May 2022). COVID-19 Vaccine Tracker.

European Centre for Disease Prevention and Control.
https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/covid-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

European Medicines Agency. (May 2022). Human regulatory: EudraVigilance. European Medicines Agency.




Accouchement non assisté à Vitré : « On est dans notre droit ! », clame la mère des deux enfants placés en service d’accueil

[Source : france3-regions.francetvinfo.fr]

[Ndlr : l’illustration ne représente pas la mère dont il est question dans l’article]

L’histoire enflamme les réseaux sociaux. Après avoir donné naissance sans assistance médicale à leur deuxième enfant dans leur maison de Vitré, des parents se sont vus retirer leurs deux filles. Le service de Protection maternelle et infantile (PMI) considère qu’un risque de danger sur leur santé a été identifié. En attendant qu’un juge statue, les enfants ont été placés provisoirement en service d’accueil d’urgence.

« Quand j’ai vu la gendarmerie se garer devant chez nous, je me suis dit : “C’est pas possible !” J’étais complètement sidérée. Il y avait au moins huit policiers dans notre salon. Certains devant les entrées, probablement pour ne pas qu’on se sauve. Et l’un d’eux nous a dit : “Bonjour, on vient retirer vos filles, il y a suspicion de maltraitance.” »

Quatre jours après les faits, la jeune maman a encore la gorge serrée et les larmes aux yeux. Ses deux filles, âgées pour l’aînée de 23 mois et pour la deuxième de 10 jours, lui ont été retirées vendredi soir, dans sa maison de Vitré.

« J’ai préparé leurs affaires rapidement et je les ai emmenées à la voiture en expliquant à la grande que ce serait comme des vacances, que les dames allaient être gentilles. Moi je croyais que j’allais la revoir lundi, que ce n’était que pour le week-end, qu’on allait vite se revoir. »

Sous le choc, la maman a publié une vidéo devenue virale sur Instagram. Parmi les raisons invoquées, elle raconte que la « précarité » de l’accouchement a été pointée du doigt.

Quid de l’accouchement non assisté

La jeune Vitréenne a fait ce qu’on appelle un ANA, un accouchement non assisté. C’est-à-dire qu’elle a donné naissance à sa deuxième fille, née le 3 juin dernier, sans médecin ni sage-femme, à son domicile. Un choix qu’elle assume :

« Je ne suis absolument pas contre les naissances médicalisées. Et je trouve ça très bien que les femmes qui ont besoin d’être rassurées par rapport à la position de leur bébé, son évolution, etc. puissent le faire. Mais ça reste un choix qu’on peut faire ou pas. Moi, je n’ai pas eu besoin d’être rassurée, parce que je savais pertinemment que ça allait. Et si j’avais senti que ça n’allait pas, je serais allée sans problème à la maternité », raconte la jeune femme de 22 ans.

Déjà maman d’une autre fille de bientôt deux ans, elle poursuit :

« D’ailleurs, pour ma première fille, le jour du terme, comme elle n’était pas arrivée, je suis allée à l’hôpital. Je me suis fait suivre tous les deux jours, jusqu’à ce que j’accouche parce que j’avais besoin d’être rassurée, je n’avais pas envie de prendre de risques. J’ai la liberté de choisir comment je me fais accompagner ou pas. Et c’est mon droit, j’écoute ce que je ressens. »

Les ANA également appelés « freebirth » par les Anglo-saxons (ndlr : accouchement libre ») représentent une infime partie des accouchements : 0,1 % des naissances en France en 2016, selon l’INSEE.

Faute de certificat médical d’accouchement

Des naissances qui doivent, comme toutes les autres, être déclarées en mairie dans les cinq jours qui suivent l’accouchement. C’est précisément quand le père est allé faire ces démarches auprès du service de l’état civil de la mairie de Vitré, quatre jours après la naissance, qu’un certificat médical d’accouchement lui a été demandé. Ce qu’il n’avait pas.

« Les agents ont alors demandé si l’enfant et la maman avaient été vus par un médecin, le père a répondu que non », explique la mairie de Vitré qui a tenu à se défendre suite aux nombreuses réactions sur les réseaux sociaux

Faute de certificat médical, le père a alors rédigé une déclaration sur l’honneur. La naissance a bien été enregistrée et le certificat transmis à la PMI : « Chaque naissance est transmise à la Protection maternelle et infantile (PMI) » justifie la mairie de Vitré dont l’agent a rappelé à la famille l’importance de faire une visite médicale.

« La PMI est une compétence du Département, chargée d’assurer la protection des femmes enceintes, des mères et des enfants jusqu’à l’âge de l’obligation scolaire. »

« Les filles ne sont pas très en forme »

Après contact pris avec la PMI, un rendez-vous est fixé avec un pédiatre de l’hôpital de Vitré qui ausculte le nouveau-né :

« Le premier truc qu’il m’a dit c’est que j’étais courageuse et que lui aussi était né à la maison, que personne ici ne me jugeait. Il nous a dit que tout allait bien : le cœur, les poumons, tout ! Tout allait bien », raconte la mère, compte-rendu médical à l’appui.

Dans ce document que la rédaction s’est procuré, le médecin emploie le conditionnel concernant l’accouchement qui « se serait déroulé sans complication » et constate dans son examen clinique que la tonicité du bébé est « adaptée à l’âge », que les bruits du cœur sont réguliers, etc. 

« Au moment de partir, il nous a dit qu’un médecin de la PMI allait passer nous voir dans l’après-midi. Je me suis dit : super ! Elle va venir chez nous, elle va voir qu’on a une grande maison, un jardin, elle va rencontrer les filles, qui ont chacune leur chambre. Je vais pouvoir lui expliquer de vive voix, tout va être réglé », s’enthousiasme la mère de famille.

L’arrivée de la gendarmerie en fin de journée est aux yeux de la maman d’autant plus surprenante que parmi les raisons invoquées, on lui dit que « le médecin trouve que les filles ne sont pas très en forme ». Une phrase que le couple ne s’explique toujours pas :

« À aucun moment, notre aînée n’a été auscultée et cela ne correspond pas du tout à ce que le pédiatre de Vitré nous a dit. » 

« Risque de danger sur la santé et le suivi médical »

Du côté du centre départemental d’action sociale (CDAS), on explique que « le service PMI a identifié des éléments de risque de danger sur la santé et le suivi médical de deux enfants. »

Un rapport de signalement a été adressé au procureur de la République de Rennes qui a ordonné le placement de ces deux enfants auprès des services de l’Aide sociale à l’enfance (ASE).

« Sans révéler le fond du dossier, je pense qu’à un moment donné, est apparu qu’il n’y avait pas de garantie suffisante pour la sécurité de cet enfant né quelques jours auparavant, précise ce mardi Philippe Astruc. Mon travail, c’est de protéger les enfants, mais je comprends parfaitement l’émotion des parents. Je me mets évidemment aussi à leur place et je ne doute pas que le juge des enfants les entendra, mais je pense qu’il y a besoin d’offrir un certain nombre de garanties autour de la sécurité qui n’étaient pas réunies au moment où la décision a été prise. »

Placées en pouponnière, la fillette et sa petite sœur n’ont pour l’instant pas le droit de voir leurs parents : « On y va quand même tous les jours pour déposer mon lait maternel et des affaires », soupire la mère entre deux sanglots.
Un juge pour enfants devrait statuer d’ici trois semaines sur le maintien ou la mainlevée de l’ordonnance de placement provisoire, prise par le parquet.

« Je constate que cette décision de placement provisoire suscite beaucoup d’émotions, mais je m’inscris en faux, contre l’insertion consistant à dire que l’on a placé ces enfants parce qu’ils étaient nés à domicile », précise le procureur de la République. « Je le répète : les motifs de ce placement sont sans lien avec le fait que l’accouchement ait eu lieu à domicile », insiste Philippe Astruc, qui assure s’être appuyé sur le certificat médical et l’analyse des services sociaux pour ordonner ce placement.

Ce dont doutent beaucoup les parents ainsi que le collectif La Révolte des mères qui les soutient dans leurs démarches.

« Faire avancer la cause »

« Il y a beaucoup de réactions de panique chez les médecins, comme chez les gens de nos familles quand on parle d’accouchement non assisté, parce que c’est quelque chose qu’on ne connaît pas. C’est extrêmement compliqué pour les gens de comprendre que n’importe quelle femme puisse faire ce choix d’accoucher sans assistance médicale », regrette la jeune mère de famille.

Et de reconnaître qu’elle se doutait que cela allait peut-être être compliqué :

« Dans les groupes privés, sur l’accouchement non assisté, le premier message qui circule c’est : “Attention, c’est dangereux d’assumer que vous avez fait une ANA !” Nous, on s’est posé la question : est-ce qu’on assume que c’était volontaire ou est-ce que l’on dit que c’est parce que nous n’avons pas eu le temps d’aller à l’hôpital ? Être transparent, c’est faire avancer la cause, mais c’était risqué. » 

Et la maman de conclure :

« Je ne regrette pas, je ne regrette rien. Mon accouchement était magnifique. »


[Note de Joseph : en Occident au moins, les gens s’imaginent être libres alors que leur seule liberté est de se comporter en consommateurs de biens matériels et de services autorisés, mais surtout pas de fonctionner ou de vivre hors du Système de contrôle du moindre aspect de leur existence. Voir La bureaucratie contre la liberté. La liberté est de plus en plus retirée, sous prétexte de sécurité (sanitaire, alimentaire, civile, etc.). Ces deux concepts sont pourtant antinomiques, voire antagonistes. Restreindre la prise de risques est diminuer du même coup la liberté de mouvements et d’actions].




Une majorité Macron serait la pérennisation de l’état d’urgence !

Par Nicole Delépine

EXIGEONS DE CONNAÎTRE LE CONTENU COMPLET DE CE PROJET DE LOI ET INFORMONS LES ÉLECTEURS LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE.

Pétition flash pour connaître le contenu du projet de loi covid du 22/06 avant les législatives – Les Patriotes (les-patriotes.fr)

Olivia Grégoire, la porte-parole du gouvernement, a annoncé le 8 juin un nouveau projet de loi portant sur la gestion de l’épidémie de Covid-19. Celui-ci sera présenté en Conseil des ministres le 22 juin, avant une première lecture au Sénat annoncée dans la semaine du 11 juillet. Avec ce texte présenté en Conseil des ministres le 22 juin, le gouvernement veut « être en mesure d’intervenir si nécessaire, avec la mise en place de mesures de freinage si la situation ».

Pourquoi passer une loi qui prévoit d’autoriser de nouveaux confinements ou d’autres mesures liberticides et inefficaces alors que rien ne le justifie, car depuis qu’Omicron a immunisé une grande partie de la population le nombre de malades est infinitésimal ?

Qu’y a-t-il dans ce projet de loi Covid 6/22 qui nous attend trois jours après le deuxième tour ?

Relayez, partagez la pétition, car Florian Philippot a raison, moins les députés Macron seront nombreux, plus le gouvernement aura du mal à imposer la poursuite et le renouvellement des mesures liberticides de l’état d’urgence.

Voici ce que dit le site des Patriotes à ce propos :

« À la surprise générale, le 8 juin dernier, la porte-parole du gouvernement Olivia Grégoire a annoncé l’arrivée en Conseil des ministres le 22 juin prochain d’un nouveau projet de loi Covid.
Ce projet de loi, dont le contenu reste largement mystérieux, vise dans sa philosophie à pérenniser l’état d’urgence sanitaire qui doit s’arrêter le 31 juillet prochain.

Il est inadmissible que les électeurs français ne connaissent pas précisément le contenu de ce projet de loi qui va toucher leur vie quotidienne et leurs libertés avant le 19 juin, c’est-à-dire avant la date du second tour des élections législatives, qui vont être déterminantes ! »

Ce projet sera sur la table des conseils des ministres, annoncé par la porte-parole le 8 juin 2022, le but du projet de loi est clairement la pérennisation par la loi des mesures de l’état d’urgence.

Dans ce but Olivia Grégoire fait croire à un léger retour du virus :

« nous en profitons et nous profiterons pour rappeler la quatrième dose et les mesures coercitives, et éventuellement légiférer à nouveau. »

Alors que tout cela est mensonger. Il n’y a pas de quatrième, septième ou vingt-cinquième vague ! Et de toute façon nous savons que les injections de rappel sont inefficaces (on ne compte plus les quadri-injectés malades comme tout récemment la reine Elizabeth) et dangereux (voyez l’état de Céline Dion ou Bieber)(([1] Le destin post-injection de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber va-t-il ouvrir les yeux de leurs fans ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) les traitements précoces multiples pour traiter les patients éventuels.

La propagande de la presse aux ordres :

« un léger retournement de tendance »

« hausse de l’incidence »

« nous en profiterons pour rappeler la 4e dose (sic !), les gestes barrière que nous ne devons pas oublier… »

Contenu : « portant l’ensemble des mesures qui ont vocation à tomber naturellement au 31 juillet (loi du 11/11/2021) » C’est donc bien la pérennisation de l’état d’urgence que Macron veut nous imposer !

Les médias aux ordres ont traduit :

« retour en force possible des restrictions covid » « le covid 19 refait surface en France »(([2] Covid-19 : comment expliquer le rebond épidémique en France ? (europe1.fr) ))

« Après deux mois de baisse, le nombre de cas positifs au Covid-19 semble bien repartir en France. Selon Santé publique France, l’épidémie a commencé ces derniers jours à rebondir avec une reprise des contaminations. En moyenne 23 000 personnes ont été testées positives au Covid par jour cette semaine. La moyenne était de 18 000 il y a tout juste 10 jours. Certaines régions sont plus touchées. Par exemple la Corrèze où l’on recense 283 cas pour 100 000 personnes ». 1.850 cas pour 100 000 habitants en Martinique.

Cela reste bien loin du taux d’incidence dans les outre-mer. En Martinique il y a 1 850 cas pour 100 000 habitants. Pour l’instant, on ne ressent pas d’impact dans les hôpitaux, puisqu’il y a toujours un décalage de deux à trois semaines entre la hausse des contaminations et les entrées à l’hôpital ». Via Europe n° 1.

Donc, ils font tout pour relancer l’inquiétude ; c’est la phase de terreur décrite par Laurent Toubiana et qui doit succéder à la phase de sidération normale devant une épidémie qui a eu lieu et qui est maintenant terminée.

Ils recommencent à mentir, car il n’y a aucun rebond de l’incidence !

Laurent Toubiana donne chaque semaine les vrais chiffres de la maladie cette semaine sur https://covid.irsan.eu

Cette semaine : 10 « malades »/100 000 habitants !

Les chiffres de « contamination » brandis par la propagande médiatique sont totalement trompeurs, car ils sont fabriqués à partir du test PCR qui, lorsqu’il est positif chez un asymptomatique, ne prouve ni qu’il est porteur du virus, ni qu’il est, ni qu’il sera malade, ni qu’il peut contaminer quiconque.

Ce fait scientifique a été formellement reconnu par le tribunal de la chambre d’appel de Lisbonne qui a exigé la libération immédiate de touristes mis en quarantaine sur la foi en ce seul test. (PROCESSO N.º 1783/20.7T8PDL.L1-3 covid Tribunal da Relação de Lisboa Data11 de novembro de 2020)(([3] https://crlisboa.org/wp/juris/processo-n-o1783-20-7t8pdl-l1-3/))

La fréquence des faux positifs lors du dépistage d’asymptomatique atteint en effet 97 %.(([4] Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Van Hoang T, Colson P, Raoult D, La Scola B. Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction-Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates. Clin Infect Dis. 2021 Jun 1;72(11):e921. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Erratum in : Clin Infect Dis. 2021 Nov 2;73(9):1745. PMID : 32 986 798 ; PMCID : PMC7543373.))

La FDA elle-même a demandé qu’un test plus spécifique le remplace et le 20 janvier 2021, l’OMS l’a reconnu(([5] https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users)) en pesant soigneusement les termes de ses recommandations.

Seul compte le nombre de « malades » effectifs, ceux qui souffrent de symptômes (fièvre, toux, difficultés respiratoires…) Cette semaine : 10 « malades »/100 000 habitants !

DANS LE MÊME TEMPS, L’OMS CONVOQUE UNE RÉUNION POUR STATUER SUR L’« ÉPIDÉMIE VARIOLE DU SINGE »

L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) a annoncé qu’elle convoquait une réunion de son comité d’urgence le 23 juin pour évaluer si la #VarioleDuSinge représente une « urgence de santé publique de portée internationale » #AFP ! quelle coïncidence !

Et même temps, l’UE a prévu une pérennisation du certificat européen(([6] Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire (occitanie-tribune.com) ))

Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire

Par Parlement Européen, le 15 juin 2022

Le dispositif actuel expire le 30 juin 2022

Les négociateurs du PE et des États membres ont trouvé un accord pour conserver le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE durant une année supplémentaire, jusqu’en juin 2023.

Lundi soir, les équipes de négociation du Parlement et du Conseil ont conclu un accord visant à prolonger le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE — dont la validité arrive à expiration le 30 juin — d’une année supplémentaire.

Avec cette prolongation, les législateurs de l’UE souhaitent garantir la liberté de circulation(([7] Humour de rigueur ? et non malheureusement.)) des citoyens de l’UE en cas d’apparition d’un nouveau variant inquiétant.

Les négociateurs ont convenu que les États membres devraient s’abstenir d’imposer des restrictions supplémentaires à la libre circulation des titulaires du certificat. Les États membres ne seront autorisés à le faire que si ces restrictions sont nécessaires, proportionnées et non discriminatoires, dans le but de préserver la santé publique.

Les députés ont tenu à ce qu’une clause soit ajoutée, demandant à la Commission d’évaluer si le dispositif est toujours nécessaire au bout de six mois (fin 2022), en se fondant sur l’avis scientifique du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et du comité de sécurité sanitaire (CSS). La Commission devra alors également publier un bilan décrivant toutes les évolutions du certificat au niveau national et international. Le dispositif devrait ensuite être abrogé dès que la situation épidémiologique le permettra.

Prochaines étapes

L’accord informel devra désormais être officiellement approuvé par le Parlement et le Conseil afin d’entrer en vigueur le 30 juin, date à laquelle le dispositif actuel prend fin. Le vote en plénière est prévu lors de la session des 22 et 23 juin à Bruxelles. »

Parlement Européen (15-06-22)

#actualites #Europe

Là encore les députés européens mentent ce n’est pas pour« garantir la liberté de circulation des citoyens de l’UE en cas d’apparition d’un nouveau variant inquiétant » qu’ils veulent prolonger leur Certificat COVID, mais au contraire pour interdire aux non injectés de circuler !

Alors qu’en aucun pays du monde les pass n’ont montré qu’ils pouvaient limiter les contaminations

Ces trois évènements couplés, projet de loi du 22 juin au conseil des ministres en France, réunion de l’OMS et prolongation du certificat européen prouvent bien la volonté de l’oligarchie mondialiste au pouvoir de poursuivre le narratif de la peur, alternant virus, guerre, famine ou autre chose.

Il est temps que la volonté des peuples s’oppose à ce théâtre mondial, refusent en particulier l’injection prévue des enfants par ces produits toxiques.

Dans l’immédiat, pour sauver nos libertés faisons tout pour que Macron n’ait pas de majorité.




Restrictions Covid-19 : nouveau projet de loi le 22 juin 2022, juste après les législatives !

[Source : lemediaen442.fr]

À quelle sauce allons-nous être dévorés ? Olivia Grégoire, porte-parole d’Emmanuel Macron, a annoncé au conseil des ministres du 8 juin qu’un projet de loi lui sera présenté le 22 juin. Et d’ici là, nous dit-elle, le gouvernement est vigilant, surveille, observe et rappelle [NDLR : comme Big Brother] à nos compatriotes que les gestes barrières et la quatrième dose demeurent, à cette heure, les axes les plus solides pour se protéger du Covid.

La pause des élections est éphémère. Le fameux taux d’incidence revient sur le devant de la scène, particulièrement en Guyane et en Martinique, tel que nous le décrit, le 8 juin, la porte-parole du président au dernier conseil des ministres. Le deuxième tour des élections législatives est le 19 juin. Le gouvernement a-t-il quoi que ce soit à craindre pour le vote du pass sanitaire à l’Assemblée, s’il écope d’un mauvais résultat ? Rien du tout car, à part les Patriotes de Florian Philippot, les professions de foi des divers partis observent un silence assourdissant sur le pass sanitaire.

« D’ici quelques semaines, nous allons présenter un nouveau projet de loi. Ce sera au Conseil des ministres du 22 juin prochain. Le gouvernement est vigilant, surveille, observe et rappelle à nos compatriotes que les gestes barrières et la quatrième dose demeurent à cette heure, les axes les plus solides pour se protéger du Covid. »

(Voir la vidéo dans sa totalité)

Parallèlement, la commission européenne, le 3 février 2022, a prorogé le pass sanitaire du 23 juin 2022 au 30 juin 2023, et cela sans débat parlementaire. Ce pass aurait dû être mis au vote le 7 juin, mais les parlementaires avaient eu l’outrecuidance de demander des études d’impact, des justifications médicales… Qu’importent d’éventuelles raisons médicales : la Commission a très simplement avoué que le pass sanitaire a pour objectif d’inciter à la vaccination et non de freiner la contamination. L’objectif commercial prime donc tout objectif médical. La vaccination — obligatoire dans les faits — transforme les Européens en clientèle captive des laboratoires. C’est pour cela qu’en toute confiance, les commandes de vaccins sont poursuivies jusqu’à la fin de l’année. Le dossier sur le pass sanitaire va être proposé et voté par les 705 députés sans débat ni prise en compte de la consultation publique.

Mme Stella Kyriakides, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, en rajoute :

« Le certificat covid numérique de l’UE a facilité la libre circulation et les déplacements en toute sécurité en période de grande incertitude. Nos citoyens l’ont adopté et il leur a rendu la vie plus facile. »

Traduction : Vous ne pourrez plus vous déplacer sans avoir été injecté par un produit expérimental, vous ne pourrez plus vous déplacer sans que Big Brother sache où vous allez, vous ne serez nulle part libre et en sécurité car la police vous contrôlera où que vous soyez. Et, comme dit la vieille publicité, transposée au certificat covid numérique, l’essayer c’est l’adopter (« nos citoyens l’ont adopté ») et ce qui complique votre vie, vous « a rendu la vie plus facile ».

Le but est mondial. M. Thierry Breton, commissaire au marché intérieur, a quant à lui déclaré :

« Avec plus de 1,2 milliard de codes QR générés et 60 pays connectés au système, le certificat COVID numérique de l’UE est devenu une norme mondiale. »

Le certificat covid numérique : l’essayer, c’est l’adopter !



L’émergence du néofascisme en santé publique

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Je republie ici un texte paru sur le site du Brownstone Institute, une des sources où paraissent des contenus pertinents et non assujettis à la propagande crapuleuse qui a colonisé l’entier des médias « mainstream ».

Ceux-ci sont parvenus, avec une idéologie et des moyens totalitaires faits de désinformation, de calomnie et de harcèlement (comme nous l’avons développé précédemment), à imposer une pensée unique fallacieuse et criminelle. Ils ont intoxiqué les populations avec un narratif soigneusement ciselé mais qui est une insulte à la réalité et à l’intelligence.

Alors que les meilleurs experts au monde (par milliers) n’ont cessé de dénoncer les décisions destructrices et absurdes qui ont été prises, quand en avons-nous lu quoi que ce soit dans ces médias ?

Martin Kulldorf, épidémiologiste et professeur émérite de santé publique de l’Université de Harvard, a bien résumé la situation aux États-Unis, la même chose devant être dite ici :

Après avoir supervisé le pire fiasco de l’histoire en matière de santé publique, poussé à la fermeture des écoles, ignoré les dommages collatéraux et l’immunité naturelle, mal protégé les personnes âgées, etc., il est troublant que  Fauci soit toujours à la tête du NIAID (organisme responsable de la gestion des épidémies, NdT).

Quand avez-vous lu dans les colonnes de Heidi News du Temps, de Libé ou du Monde, ou entendu sur les plateaux de la RTS, de BFM ou de la RTBF que la plupart des meilleurs spécialistes en santé publique s’opposaient avec fermeté aux mesures débiles qui nous été imposées comme les confinements, le port du masque ou l’imposition d’injections géniques hasardeuses et expérimentales à la population tout entière ?!

Nulle part et jamais, tant ces organes de « presse » ne sont plus que des propagandistes sans scrupules d’un agenda fasciste et qui n’a accessoirement jamais rien eu à voir avec la santé publique. Voici par exemple ce que rappelle le Dr Gemma Aherane maintenant qu’aux États-Unis, un début de reconnaissance commence à se manifester quant à la nocivité des confinements :

Maintenant que les médias mainstream commencent à reconnaître les dommages complexes produits par les confinements, pouvons-nous s’il vous plaît nous souvenir que les experts qui ont été exprimé des réticences ont été harcelés et ont vu leurs conditions d’existence menacées. Ils ont été ostracisés, salis et ridiculisés. Ne l’oublions pas.

N’oublions en effet pas qu’ici, ce sont des gens comme Bertrand Kiefer, Serge Michel, Stéphane Benoît Godet, Claude Ansermoz, Alexis Favre et bien d’autres ainsi que des émissions comme Mise au Point et Temps Présent qui se sont chargés de manière zélée de cette sale besogne, en collusion avec les « experts » véreux de nos hôpitaux universitaires.

C’est donc avec conviction que je publie ici cette tribune du Dr David Bell, médecin en santé publique ayant travaillé pour l’OMS, portant sur l’abjection littéralement fasciste qui s’est emparée des politiques de santé publique sous l’action conjuguée des politiciens, des autorités médicales, des fonctionnaires (comme les lamentables « médecins cantonaux ») et des médias.

À bon entendeur…


L’émergence du néofascisme dans la santé publique

Par David Bell

Le fascisme est l’art de cacher la vérité derrière une façade de vertu saine. Il est, vraisemblablement, aussi vieux que l’humanité. Mussolini lui a simplement donné un nom – en cachant ses idées autoritaires derrière l’assèchement des marécages, la rénovation des villages, les enfants à l’école et les trains à l’heure. L’image du nazisme dans les années 1930 n’était pas celle de vitres brisées et de vieillards battus dans la rue, mais celle de jeunes souriants et heureux travaillant ensemble en plein air pour reconstruire le pays.

[Ndlr : le fascisme repose techniquement sur une alliance de l’État et des corporations privées, comme ce que l’on voit de plus en plus de nos jours avec le « PPP » ou « partenariat public-privé ».]

Il est dangereux de coller de telles étiquettes à l’époque actuelle, car elles sont porteuses d’un lourd bagage, mais cela permet aussi de déterminer si le bagage actuel que nous avions cru progressiste est en réalité régressif. Ces jeunes gens souriants et heureux des années 1930 étaient en fait formés aux arts de l’autosatisfaction, du dénigrement des idées fausses et de l’obéissance collective. Ils savaient qu’ils avaient raison et que le problème venait de l’autre camp. Cela vous est-il familier ?

Les changements sociétaux de ces deux dernières années ont été définis et dirigés par la « santé publique ». Il est donc juste de chercher des analogies avec la santé publique dans le passé pour aider à comprendre ce qui se passe, quels en sont les moteurs et où ils pourraient mener. Nous avons vu nos professions de santé publique et les associations qui les représentent appeler à la discrimination active et à la coercition sur le choix médical. Ils ont plaidé en faveur de politiques qui appauvrissent les autres, tout en maintenant leurs propres salaires, en contrôlant la vie familiale normale et même en dictant la façon dont ls gens peuvent faire le deuil de leurs morts.

Des hôpitaux ont refusé des transplantations à des personnes qui avaient fait des choix médicaux sans rapport avec l’hôpital et que celui-ci n’appréciait pas. Je les ai vus refuser à une famille l’accès à un proche mourant jusqu’à ce qu’il accepte des injections qu’il ne voulait pas, puis autoriser un accès immédiat, confirmant ainsi que ce n’était pas l’immunité, mais la conformité, qui était recherchée.

Nous avons tous vu d’éminents professionnels de la santé vilipender et dénigrer publiquement des collègues qui cherchaient à réaffirmer des principes sur lesquels nous avons tous été formés : absence de coercition, consentement éclairé et non-discrimination. Plutôt que de faire passer les gens en premier, un collègue professionnel m’a informé, lors d’une discussion sur les preuves et l’éthique, que le rôle des médecins de santé publique était d’appliquer les instructions du gouvernement. Obéissance collective.

Ces mesures ont été justifiées par le « plus grand bien » – un terme indéfini car aucun gouvernement défendant ce discours n’a, en deux ans, publié de données claires sur les coûts et les avantages démontrant que le « bien » est plus grand que le mal. Cependant, le décompte réel, bien qu’important, n’est pas la question. Le « plus grand bien » est devenu une raison pour les professions de santé publique d’annuler le concept de la primauté des droits individuels.

Ils ont décidé que la discrimination, la stigmatisation et la suppression des minorités étaient acceptables pour « protéger » une majorité. C’est ce qu’était, et est toujours, le fascisme. Et ceux qui ont promu des slogans tels que « la pandémie des non-vaccinés » ou « personne n’est en sécurité tant que tous ne le sont pas » connaissent l’intention et les résultats potentiels de la désignation de boucs émissaires pour les minorités.

Ils savent aussi, grâce à l’histoire, que la nature fallacieuse de ces déclarations n’empêche pas leur impact. Le fascisme est l’ennemi de la vérité, et jamais son serviteur.

Le but de cet article est de suggérer que nous appelions un chat un chat. Que nous disions les choses telles qu’elles sont, que nous disions la vérité. Les vaccins sont des produits pharmaceutiques dont les avantages et les risques varient, tout comme les arbres sont des objets en bois avec des feuilles. Ce sont les personnes qui ont des droits sur leur propre corps, et non les médecins ou les gouvernements, dans toute société qui considère que toutes les personnes ont une valeur égale et intrinsèque.

La stigmatisation, la discrimination et l’exclusion sur la base de choix de soins de santé, que ce soit pour le VIH, le cancer ou le COVID-19, est une erreur. Exclure et vilipender des collègues pour des opinions divergentes sur l’utilisation de médicaments sûrs est arrogant. Dénoncer ceux qui refusent de suivre des ordres contraires à l’éthique et à la morale est dangereux.

Suivre aveuglément les diktats des gouvernements et des entreprises simplement pour se conformer au « groupe » n’a rien à voir avec la santé publique éthique. Tout cela a plus en commun avec les idéologies fascistes du siècle dernier qu’avec ce qui était enseigné dans les cours de santé publique que j’ai suivis. Si c’est la société que nous souhaitons développer aujourd’hui, nous devons le dire ouvertement et ne pas nous cacher derrière des façades de fausse vertu comme « l’équité vaccinale » ou « tous dans le même bateau ».

Ne nous laissons pas enfermer dans les subtilités politiques de la « gauche » et de la « droite ». Les dirigeants des deux principaux régimes fascistes d’Europe des années 30 étaient issus de la « gauche ». Ils s’appuyaient fortement sur les concepts de santé publique du « plus grand bien » pour éliminer les penseurs inférieurs et les non-conformistes.

Notre situation actuelle appelle à l’introspection, pas à la partisanerie. En tant que profession, nous nous sommes conformés aux directives visant à discriminer, stigmatiser et exclure, tout en brouillant les exigences en matière de consentement éclairé. Nous avons contribué à supprimer les droits humains fondamentaux – à l’autonomie corporelle, à l’éducation, au travail, à la vie familiale, à la circulation et aux déplacements. Nous avons suivi les autoritaires des entreprises, en ignorant leurs conflits d’intérêts et en les enrichissant alors que notre public s’appauvrissait. La santé publique n’a pas réussi à mettre les gens aux commandes et est devenue le porte-parole d’une petite minorité riche et puissante.

Nous pouvons continuer sur cette voie, et cela finira probablement comme la dernière fois, sauf peut-être sans les armées des autres pour renverser la monstruosité que nous avons soutenue.

Ou nous pouvons trouver l’humilité, nous rappeler que la santé publique doit être au service du peuple et non l’instrument de ceux qui cherchent à le contrôler, et éliminer le monstre de notre milieu. Si nous ne soutenons pas le fascisme, nous pouvons cesser d’être son instrument. Nous pourrions y parvenir simplement en suivant l’éthique et les principes fondamentaux sur lesquels reposent nos professions.

David Bell, chercheur senior du Brownstone Institute, est un médecin de santé publique basé aux États-Unis. Après avoir travaillé en médecine interne et en santé publique en Australie et au Royaume-Uni, il a travaillé à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en tant que chef de programme pour le paludisme et les maladies fébriles à la Foundation for Innovative New Diagnostics (FIND) à Genève, et en tant que directeur des technologies de santé mondiale à Intellectual Ventures Global Good Fund à Bellevue, aux États-Unis. Il est consultant en biotechnologie et en santé mondiale. MBBS, MTH, PhD, FAFPHM, FRCP

  • Pour lire l’article original en anglais : cliquer ici.



Législatives françaises : domination néonazie encore pire que prévu

Par Lucien SA Oulahbib

Les graves incidents du Stade de France qui auraient dû invalider les deux tendances néonazies venues de l’extrême gauche (racialisme scientiste, étatiste, islamophile, anti-progrès de la « Nupes ») et de l’extrême centre (hygiéniste et affairiste anti-progrès de « Renaissance ») les ont au contraire affermis : comme si au sein de l’effondrement actuel de ce que fut la France, ce fleuron de l’intelligence humaine ayant bravé les siècles, les maigres électeurs ayant tout de même choisi ces sbires, et sans doute du fait de la fascination que cela engendre (le lapin pris dans les phares) avaient voulu accélérer la tombée de plus en plus fracassante de l’édifice France dans le précipice du « puits sans fond de l’Histoire ».

La France était (tout) au bord de celui-ci (elle y glissait déjà à vrai dire) et les électeurs ont décidé de donner un grand coup (un râle final) par « un grand bond en avant ». Merci Mao ! Et Maduro ! Où l’on voit que soit ces électeurs se sont construits une mémoire de poisson rouge et refusent d’observer la catastrophe (ils accélèrent même, pensant que le mur serait seulement celui d’un jeu vidéo), soit ils adhèrent complètement à l’idée qu’il faut précipiter encore plus la faillite absolue de ce qui restait encore d’industrie automobile, d’agroalimentaire, de productions artistiques et intellectuelles non encore passées sous Les Fourches caudines de l’effacement orwellien, tout en croyant que « les riches payeront » pour les uns, « Bruxelles payera » pour les autres, alors qu’à la différence de la Russie, les reins ont été détruits et que nous sommes sous dialyse depuis des lustres. Où l’on voit d’ailleurs en passant en ce qui concerne la Russie qu’il ne s’agit pas d’une affaire de « sanctions » et « d’embargo » pour faire plier une nation, ce qui invalide définitivement maintenant le discours vulgaire expliquant la destruction du Venezuela, de Cuba, du Zimbabwe par les « sanctions » américaines et britanniques.

Du masochisme, donc, de la cécité à l’évidence, au profit de ce sadisme cathodique (désormais numérique) à l’état chimiquement pur, bref, du néonazisme version 69 (année érotique). Huilé de libido catho-numérique (dégoulinant de moraline pixelisée), surtout à les voir parader sur tous les écrans alors qu’ils suintent de suffisances maquillées de chiffres et de lettres, de mensonges, toutes ces dresseuses de mouches et leurs courbes achalandées.

Comment expliquer cette soumission autrement ? Comment comprendre que l’ancien ministre de la Santé ait atteint un tel score alors qu’il a menti comme un arracheur de dents ?… Pourquoi celles et ceux qui se sont battus contre cette dictature sanitaire ont autant perdu sinon par l’envoûtement et le matraquage mental opérés par tous ces faux mages au visage d’ange (et au corps SPA savamment entretenu) s’étant mis au service du néonazisme libidinal ayant pu par exemple faire croire qu’il suffisait d’être bien fait de sa personne pour avoir la peau d’un vrai expert en agitant soit quelques chiffres qui se sont avérés faux et archifaux (létalité, saturation, efficacité), soit en prononçant les mots donneurs de sort (racisme, extrême droite, complotisme, poutinisme) alors qu’ils sont eux-mêmes ce qu’ils dénoncent.

Face à ce néonazisme au visage innocent, les amoureux de la France d’autrefois ont donc perdu. La France fière d’elle, lorsque la maxime « mieux qu’une race, une nation » pouvait laisser envisager que les origines et la couleur de peau étant mises de côté, chacun avait sa chance de progresser dans une société exigeante, profondément spirituelle, soucieuse de préservation et d’affinement.

Hélas, ces amoureux, malgré les entailles de plus en plus profondes, sont encore tenus dans les entrailles par tout un ensemble de courants passéistes revanchards n’ayant pas encore compris 1789, pas plus que les débâcles de 1940, 1954, 1962… Or tant que ces amoureux de la France ne se libéreront pas de cette redoutable hypnose doublée d’une amnésie, ce qui est appelé le « camp national » fera de plus en plus office de Vieille Garde… Et, c’est tout.

Quelques bouquinistes peut-être en garderont le souvenir, dont la BNF bien sûr… La France Terre d’Archives. Et, surtout, surtout, d’asiles. Places encore fortes ici et là. Bien plus que d’archipels.




Les Français sont atteints du syndrome de Stockholm. Informons-les !

Par Dr Nicole Delépine

La France n’est pas sortie de la sidération de la peur (du virus, de la guerre, puis d’un autre virus). Elle est donc toujours sous emprise et dénigre ceux qui tentent de la sortir du gouffre comme Mme la Dr Wonner, une des seules députées à avoir défendu le peuple à l’assemblée et qui en est exclue.

Le premier tour des législatives a cruellement démontré que la France est encore hors sol, loin des problèmes concrets qui perturbent son quotidien. Elle est toujours dans sa bulle organisée par la clique de Davos et les médias aux ordres des milliardaires comme Bill Gates.

Les pseudo campagnes électorales pré-présidentielle et pré-législatives avaient déjà démontré la capacité du pouvoir en place de jouer le scénario « gare aux extrêmes ». Ce serait drôle si ce n’était pas si tragique. Transformer Marine maintenant normalisée(([1] Elle ne parle plus de Frexit, de sortie de l’euro ni de sortie du commandement intégré de l’Otan.)), et devenue opposante ( ?) contrôlée comme son débat avec E. M l’a démontré (pas une question qui pourrait fâcher) en épouvantail fasciste, ça relève de l’exploit.

Et cette semaine, diaboliser à son tour la NUPES qui a fait élire E.M. (en le préférant à Marine) relève du cynisme politique bien compris. Chapeau l’artiste.

Bref nous sommes loin d’une vraie campagne, de choix politiques, de débat d’idées, de projets pour la France. Marie-Estelle Dupont commentant cet épouvantable crime commis par un enfant de 14 ans explique que la raréfaction du langage (via les écrans depuis au moins deux décennies et aggravée par le confinement de fait depuis deux ans), ne permet plus aux émotions de s’exprimer et d’évacuer les sentiments ni en particulier la violence. Et cette violence peut alors s’exprimer de la façon la plus épouvantable.

Les Français sont inquiets et frustrés comme rarement auparavant. En l’absence de toute expression dans les urnes dont témoigne l’abstention toujours plus importante, on peut craindre aussi des explosions de violence.

En matière de campagne électorale, le langage paraît perdu aussi, et les débatteurs ne discutent que d’un même problème de soir en soir, avec les mêmes mots et très peu de réflexions (par exemple Damien Abad, en passe d’ailleurs d’être réélu, puis les mensonges de Darmanin, etc.).

Nous avons arrêté de penser, sur ordre – via la pensée unique, la censure, puis l’autocensure, par crainte d’être sanctionné si on se permet une phrase hérétique y compris dans les familles. Pour éviter les ruptures, pour éviter d’être exclu du groupe. Mais existe-t-il encore des relations humaines authentiques dans le non-dit permanent ?

ET L’OBLIGATION VACCINALE ?

En dehors du pouvoir d’achat que les politiques et journalistes voudraient imposer comme seul sujet, ceux de l’obligation vaccinale, de la suspension des soignants et des pompiers vaccino prudents , de la persistance du pass qui empêche les familles d’accompagner leurs malades, du vide hospitalier et des déserts médicaux, de la solitude et de l’abandon des résidents d’EHPAD en sont d’autres qui impactent lourdement la vie quotidienne, mais qui ont été complètement abandonnés, censurés, oubliés, cachés.

Combien de Français craignent une obligation de l’injection expérimentale chez les enfants y compris les plus petits à la rentrée ? Même s’ils tentent de faire l’autruche, de penser aux vacances, d’oublier « tout ça », ils savent et connaissent déjà un minimum de risques, les problèmes menstruels étant les plus évidents, ainsi que la perte de mémoire du grand-père (… mais il est vieux …). Les crises cardiaques des sportifs et des pilotes, les accidents post injections de Céline Dion et de Bieber en ont bien inquiété quelques-uns, mais on passe vite à autre chose. Quant aux AVC ou infarctus chez des amis, ce n’est vraiment pas de chance.

LA SANTÉ OUBLIÉE

On s’était désolé que ce sujet ne soit pas apparu au premier plan des programmes des candidats à l’heure où la crainte de fermeture des urgences en été se renforce. Mais il faut avouer qu’aucun parti (de l’extrême droite à l’extrême gauche comme dirait E.M, pourtant tous jumeaux ) n’en a fait un sujet prioritaire, et c’est désolant.

Moralité, nous sommes dévastés, choqués de découvrir l’élimination au premier tour des seuls défenseurs de votre santé, de votre patrimoine génétique, de la fertilité de la jeunesse, etc. et de leurs scores très faibles (Martine Wonner, Nicolas Dupont Aignan, Florian Philippot par exemple).

Et pendant ce temps-là, O. Véran – celui qui a interdit de soigner par les traitements précoces, celui qui a en permanence dédaigné les avis des médecins et chercheurs compétents, celui qui a en mars 2020 signé avec Édouard Philippe alors Premier ministre le décret favorisant l’élimination des anciens par injection létale de Rivotril, etc. – est en position favorable, de même que Mme Borne qui a signé le décret de suspension sans rémunération ni RSA des soignants et pompiers soucieux de leur intégrité de leur corps, de même que Mme Bourguignon son obéissante adjointe qui se contentait de fermer le micro lors d’auditions au Sénat.

Les Français sont-ils devenus masochistes et aimeraient-ils ceux qui leur font mal ? Ils étaient prêts pour ce totalitarisme qui avance à grands pas, nous explique Ariane Bilheran.

Car sinon pourquoi voter pour tous ceux qui ont imposé un enfermement si toxique pendant des semaines, ceux qui nous ont demandé de nous autoriser nous-mêmes à sortir une heure, ceux qui ont, pendant des mois, asséné des ordres contradictoires et obligatoires, ceux qui ont gâché une génération de bébés qui ne savent pas ce qu’est un visage, ceux qui ont abîmé une génération d’adolescents en imposant encore plus d’écrans et en les privant de relations humaines si capitales à cet âge… ? Et maintenant ils tuent … Et on nous prédit qu’ils tueront de plus en plus jeunes.

Le syndrome de Stockholm se développe de manière inconsciente et involontaire. Il s’agit de l’instinct de survie. En sommes-nous globalement atteints ?

Le concept de « syndrome de Stockholm »(([2] Syndrome de Stockholm : définition, symptômes, causes et traitement (sante-sur-le-net.com) )) est apparu il y a une quarantaine d’années à l’occasion d’une prise d’otages à Stockholm en Suède. Fin août 1973, 6 malfaiteurs braquent une banque suédoise et prennent en otage ses quatre employés pendant 6 jours. Après une longue attente très médiatisée, et à l’issue des négociations, tous les otages sont libérés sains et saufs. Mais les otages ont refusé de témoigner contre leurs agresseurs. Certains sont allés les voir en prison, et l’une d’entre elles a entretenu une relation amoureuse avec l’un des malfaiteurs.

Le syndrome de Stockholm survient en cas de situation de stress psychologique extrême.

Selon la description individuelle :

« la victime se retrouve d’abord dans un état de sidération rendant impossible toute prise de décision. Après le choc, une réorganisation psychologique s’opère. En effet, la victime s’adapte à la situation et trouve de nouveaux repères. La victime n’a plus aucune autonomie et dépend totalement de son bourreau pour satisfaire ses besoins. Finalement, c’est « grâce » à lui s’il peut manger, dormir, bouger, aller aux toilettes, etc. Lorsque l’agresseur n’abuse pas de la situation, sa victime le voit comme quelqu’un de bien. Certaines victimes peuvent ressentir un sentiment de gratitude envers leur agresseur, et adopter petit à petit la pensée et le code moral du bourreau ».

Ainsi on peut complètement transposer ce vécu à celui des populations confinées (qui supportent x fois dans la journée les informations et les ordres de nos « bourreaux » et même les messages subliminaux permanents sur les écrans de TV).

« Plus la situation s’éternise, plus cette nouvelle personnalité a de risques de s’implanter profondément dans l’individu, à tel point que certaines victimes se rangent parfois du côté de l’agresseur et s’opposent aux forces de l’ordre. »

Le fait de vivre sans contact avec le monde extérieur peut également induire le syndrome de Stockholm, mécanisme d’adaptation permettant aux victimes de survivre. En effet, cet ajustement permettrait de diminuer l’anxiété engendrée par une menace de mort imminente.

Parallèle entre les otages d’un braquage et une population confinée et menacée

Ainsi si on examine les caractéristiques du syndrome de Stockholm, on peut faire quelques analogies instructives avec la situation qu’on subit des milliards d’individus.

Un syndrome de Stockholm est caractérisé par la présence d’un lien d’attachement et d’empathie entre la victime et « l’agresseur », lien conscient ou inconscient. L’agresseur – ici le pouvoir politique – peut être vu par sa victime comme en souffrance, sincère et bienveillant.

Et c’est bien ce qui s’est passé avec nos gouvernements qui affirmaient « protéger les vieillards » (soumis au Rivotril par ailleurs) par les mesures de confinement contre le « virus ». Il a été bien démontré depuis lors la totale inefficacité sanitaire(([3] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown?
https://arxiv.org/abs/2005.02090v2))(([4] John Gibson AIER Staff Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence December 19, 2020))(([5] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.))(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins Nov 1, 2020))(([7] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no évident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([8] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)) et les graves conséquences sociales, éducatives, économiques, etc. de telles mesures. Le pouvoir se présentait aussi comme en souffrance lui-même vis-à-vis de la situation qu’il présentait (de façon mensongère). Syndrome du pompier pyromane.

Un sentiment d’impuissance exacerbé engendre une mise de côté de soi afin de survivre et ce fut bien le vécu des Français en proie à la peur du virus, de la mort rapide, et de plus dans la crainte de souffrances de détresse respiratoire mises en exergue dans les journaux TV. La PEUR que MACHIAVEL a bien décrite comme levier de gouvernement a été bien utilisée jusqu’à ce jour.(([9] Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Deux autres caractéristiques complètent ce parallèle :

  • dépendance totale qui engendre la perte d’autonomie de la victime (l’agresseur – ici le pouvoir – s’arrange pour être le seul à pouvoir répondre au besoin de sa victime pour obtenir sa soumission);
  • et une diminution, voire suppression des contacts avec l’extérieur  (critère réalisé par la pression pour les mesures coercitives pour absence de contact physique avec les autres, distanciation sociale épouvantable, etc..)

Rappelez-vous les cours d’école avec les carrés absurdes par enfant. Comment avons-nous pu accepter tout cela alors qu’on savait depuis le début que les enfants ne risquent rien du covid et qu’ils ne sont pas facteurs de transmission?

Effectivement, nous sommes atteints en partie ou complètement de ce syndrome qui explique pourquoi les électeurs ont chassé Martine Wonner du parlement et vont peut-être y réélire O Véran !

COMMENT EN SORTIR ?

Habituellement, la prise en chargeest un suivi psychologique ou psychiatrique très régulier. Mais alors que la TV continue de faire passer ses spots angoissants, que le pouvoir tente de remplacer la peur du covid par celle de la guerre en Ukraine, puis celle du virus du singe, comment diminuer la pression ?

« Le travail de reconstruction psychologique des victimes est très long et éprouvant. Parfois, le traumatisme est si important que la personnalité de la victime est profondément affectée. Le temps nécessaire à la reconstruction et au déconditionnement est variable selon la durée la période de violence et son contexte ». On peut imaginer que cela sera très difficile et que de longues années de souffrances diverses nous attendent.

L’ÉCRITURE THÉRAPEUTIQUE

Est, semble-t-il, un excellent moyen d’extérioriser les souffrances et de prendre de la distance vis-à-vis du traumatisme. Alors poussons tous nos concitoyens à écrire encore et encore, à titre de témoignages pour l’Histoire et d’évacuation de la douleur pour le présent, comme… les poilus de la guerre de 14 enfermés dans leurs tranchées qui nous ont légué de si poignantes lettres.

COMMENT SOMMES-NOUS ENCORE DANS CETTE PHASE DE SIDÉRATION ?(([10] https://nouveau-monde.ca/ariane-bilheran-lideologie-sanitaire-est-un-pretexte-a-une-gouvernance-totalitaire))

Selon A Bilheran, en 2020, « on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé, une politique de précarisation dans de nombreux pays du monde.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du Doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie ».(([11] Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) Mise en avant d’une idéologie, d’une croyance fausse, d’un récit… qui se substitue à la réalité.
Dans le cas de la plandémie Covid, on observe donc :
• La prétention à sacrifier l’individu pour sauver le groupe ;
• La mise en place de l’agenda transhumaniste ;
• La tricherie permanente sur les morts, les cas, le prétendu bienfait des vaccins ; les incohérences temporelles et spatiales des mesures sanitaires ; la ségrégation des non-vaccinés ; etc. ;
• Le recours aux masques muselières, à la distanciation sociale, au confinement, au discours de peur… ;
• La mise en avant de l’ennemi viral et de théories délirantes jamais scientifiquement démontrées, telles que l’immunité de groupe, la contagion virale, le bienfait de poisons injectés sous forme de « vaccins », etc.))

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela ? (…)

«  C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens.

Cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. Ou bien on se réfugie dans le déni : le réel est tellement insupportable que je refuse de me le représenter.

Moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien» et bien c’est très tentant d’y entrer ».

« La majorité des gens ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non. S’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou. »

Le psychisme protège, jusqu’à un certain point de ce basculement et de cette désintégration psychique.

Et ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation .

« D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens ».

Certains scientifiques, universitaires, chercheurs, médecins ont payé fort cher de livrer leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non. On devient un Kapo.

LA COLLABORATION DES INTELLECTUELS AVEC LES RÉGIMES TOTALITAIRES N’EST PAS NOUVELLE :

«  Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’il se passait ».

LA CRISE SANITAIRE, ABOUTISSEMENT D’UN LONG PROCESSUS DE DESTRUCTION SOCIALE

« Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger ».

Le totalitarisme est la proposition inverse.

Il est clair que la qualité de la médecine a effroyablement chuté depuis la fin du XXe siècle, lorsque sous prétexte de rationalisation « scientifique », mais en réalité financière, et idéologique, on nous a imposé des « protocoles uniformes pour tous » ( même si trompeusement appelés « personnalisés »). Les bureaucrates ont alors pu faire leurs ravages en contrôlant si les docteurs appliquaient bien les consignes des recommandations devenues rapidement obligatoires. La médecine agonisa… Homogénéiser les traitements a toujours été le contraire de la médecine d’Hippocrate, mais à grands coups de pub étatiques, de « plan cancer » de beaux bâtiments, de cellules d’organisation… on a acheté tout ce beau monde souvent inconscient du mal qu’ils allaient faire, et les citoyens manipulés comme à l’habitude ont applaudi.

Au sein du totalitarisme, l’individu n’est plus sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Cette mutation est en cours depuis très longtemps : perte de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. C’est la profanation de tous les individus.

« Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire : l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie. »

A. Bilheran pense que cette évolution est détectable depuis longtemps dans l’évolution du management au travail, la prolifération des écrans pour les enfants, le succès de Facebook et autres réseaux sociaux.
L’enfant n’est plus qu’ un objet destiné à devenir pour un bon consommateur, un instrument de production, qu’on jette lorsqu’il ne sert plus à rien. Et la clique de Davos a l’impression qu’ils n’ont plus besoin que de quelques esclaves. Ils se trompent…

A. Bilheran explique qu’il y a conjonction de plusieurs facteurs dont :

« le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort.

L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. »

Par ailleurs le développement technologique a été trop rapide par rapport à nos facultés affectives d’en dominer les effets. Comme un enfant précoce a parfois beaucoup de difficultés à assumer ses trois ans d’avance. Il est encore petit…

« L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre ». Repensons à Einstein et son désespoir d’avoir engendré la bombe atomique, un tel outil de mort. Il y a aussi une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants.

La seule question qu’on aurait dû se poser près la Deuxième Guerre mondiale, c’est : comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction ?

Du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing, etc., un encouragement à la dérégulation a fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans.

Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. Le monde de Huxley. C’est bien aussi ce qu’expliquait Patrick Le Lay parlant de la télévision au début des années 2000.

Écoutez :

« Cette crise est essentiellement psychologique, morale et spirituelle » – Ariane Bilheran | crise sanitaire | totalitarisme | Epoch Times.

Poursuivons l’analyse de la crise du Covid étape du totalitarisme montant, par notre philosophe.(([12] Psychopathologie du totalitarisme 3/3, par Ariane Bilheran))

Qui sont les résistants et que doivent-ils faire pour aider à en sortir ?

« Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure ».

« Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence ».

Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion. Tous les totalitarismes de l’Histoire se sont effondrés, plus ou moins rapidement… C’est la question qui nous taraude évidemment.

« Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux ».

La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses. DONC NE NOUS DÉCOURAGEONS PAS, poursuivons notre labeur, notre mission…Chacun à sa façon, selon ses compétences, ses affinités…

« Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi. L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique ».

« Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance.

Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance ».

Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »

Une fois qu’on a pris le temps de se plonger dans tous ces écrits de Hannah Arendt, Ariane Bilheran et tous ceux à travers lesquels elles ont compris les mécanismes, il ne nous reste plus humblement qu’à poursuivre ce qui est dans nos cordes, informer encore et encore et par tous les canaux possibles, directement bien sûr via des rapports humains, des rencontres autour d’un goûter, un apéro, un repas citoyen, une manifestation, mais aussi la diffusion des vidéos, articles, témoignages, etc. sans sous-estimer chaque petite tâche. Une conversation avec la voisine ou avec la boulangère. Tout ce qui fait sens de l’Humain oublié pendant deux ans et demi.

Une plage de sable n’est jamais qu’une accumulation de grains de sable. Soyons ces grains..
Alors oui finalement il faut aller voter pour mettre les futurs élus au pied du mur.

INFORMONS ET DEMANDONS AUX FUTURS CANDIDATS UN ENGAGEMENT FORMEL CONTRE L’OBLIGATION VACCINALE ET POUR LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS ET POMPIERS

UTILISONS NOTRE BULLETIN DE VOTE POUR SAUVER LA SANTÉ DES ENFANTS

En conclusion, continuons notre travail d’information sans désespoir, sans dépression, ni découragement. En ce qui concerne les élections, et en tant que médecin très attaché à la liberté de penser, de prescrire, en tant que citoyen attaché à la liberté d’être soigné, il me semble que chaque citoyen dans sa circonscription doit interroger les candidats députés, quelle que soit l’étiquette de la personne et obtenir un engagement formel à voter contre la vaccination des enfants, et le pass vaccinal.

Chacun doit rappeler les engagements pris par la France en signant la convention d’Oviedo et notre fidélité au code de Nuremberg.(([13] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? – AgoraVox le média citoyen))

Il est capital qu’un maximum de députés élus s’engage contre l’obligation vaccinale que l’UE veut imposer en prolongeant le pass vaccinal qui doit être voté courant juin 2022 pour un an. Les candidats et même les ex-députés n’ont souvent pas bénéficié de toutes les informations sur le caractère expérimental des pseudovaccins, sur l’importance des effets secondaires dont beaucoup sont létaux dans le monde, sur la tromperie de Pfizer sur les essais (maintenant publiée grâce aux juges américains).

Ne sous-estimez pas votre poids auprès de ces personnes. Nous en avons rencontré plusieurs qui nous ont avoué ne pas avoir été informés. INFORMEZ-LES !(([14] REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022 – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([15] L’échec du zéro covid en Australie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([16] Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))





Santé publique : malgré leur toxicité, les nanoparticules sont partout y compris dans les vaccins et… dans la modification du climat !

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Roger Lenglet, est un philosophe français et un journaliste d’investigation.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Lenglet

Roger Lenglet parle des nanotechnologies et de leur présence massive sans que les informations n’aient été communiquées au grand public par peur probablement de son opposition. Je vous remets ce documentaire fondamental sur les nanos :

Si la révolution nanotechnologique est un formidable progrès industriel, il en va autrement de la santé publique. Et Roger Lenglet de comparer la toxicité des nanos à celle de l’amiante. Sujet qu’il maîtrise.

À l’heure actuelle, industriels, financiers et lobbyistes tiennent le couteau par le manche et mettent ces particules un peu partout….

https://www.60millions-mag.com/2017/08/24/des-nanoparticules-cachees-dans-nos-assiettes-11318

…Y compris dans les vaccins !

https://lilianeheldkhawam.com/2021/09/26/de-la-nanotechnologie-dans-les-vaccins-un-journal-grand-public-en-parle-on-progresse/

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccin]

L’autre sujet majeur et vital dans lequel s’invite la nanotechnologie dans la modification du climat. Il ne s’agit de rien d’autre que du sprayage de notre planète avec minuscules particules dont l’issue peut être fatale pour la vie sur terre. On parle là de la géo-ingénierie.

Pour limiter le réchauffement planétaire, la commission étudie différentes possibilités. Parmi celles-ci, la capture et le stockage du carbone dans le sol. Mais aussi la possibilité d’utiliser la géo-ingénierie solaire pour contrôler le climat terrestre. Cette technologie s’inspire des grandes éruptions volcaniques qui créent une sorte de voile dans l’atmosphère, limitant ainsi le rayonnement solaire reçu à la surface de la Terre. “On parle d’injecter des milliers de millions de tonnes de particules dans la stratosphère chaque année, via des ballons ou de très grandes flottes d’avions porteurs qui feraient des rotations en permanence”, précise Stéphane Foucart. Cette technologie présente cependant de nombreux risques : perturbation du cycle de l’eau et des courants marins, l’acidification des pluies, entre autres. « Le seul avantage de la géo-ingénierie, affirme le journaliste spécialiste des sciences environnementales, serait de maintenir les températures à un niveau acceptable.” Mais si du jour au lendemain, on ne pouvait plus continuer à injecter ces particules dans l’atmosphère, à cause d’une catastrophe par exemple, la température pourrait augmenter spectaculairement et rendrait illusoire l’idée de pouvoir s’adapter au changement climatique.
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-interview/l-interview-de-secrets-d-info-du-samedi-04-juin-2022-3748138

Cependant les enjeux du contrôle du climat vont de pair avec ceux d’un business vorace qui veut redéfinir la vie de l’ensemble de la biosphère et même de l’atmosphère.

Voici au hasard un brevet qui mêle géo-ingénierie, nanotechnologie et business. On ne peut faire mieux pour sortir du déni ceux qui sont prompts à parler de complotisme.

1 .
Procédé commercial pour fournir une valeur commerciale à une entreprise de refroidissement global de géo-ingénierie d’une première partie, comprenant les étapes consistant à :
(a) fabriquer ou avoir fabriqué un dispositif ou un agent conçu pour réduire l’énergie incidente sur la Terre ou incidente sur ses océans, ses masses terrestres ou son atmosphère ;
(b) déployer ou faire déployer ledit dispositif ou agent ;
et,
(c) recevoir une compensation sous la forme d’un crédit négociable, ledit crédit étant délivré en tant que compensation par une seconde partie à la première partie en échange de ladite réduction de ladite énergie incidente ;
et,
(d) monétiser ledit crédit en vendant ledit crédit ou en l’échangeant contre d’autres instruments de valeur au second ou à un tiers, ces instruments comprenant des espèces, des billets, des prêts, des matériaux, des devises ou d’autres instruments négociables.

Juste avec cet extrait, vous voyez le business que ces gens peuvent déployer à l’heure où nous les humains n’aurons plus le droit de nous déplacer sans raison valable. Il suffit de voir toutes les compagnies d’aviation qui suppriment des vols juste au moment où les gens veulent partir en vacances. Pour les plus motivés, voici l’entier du brevet :

Dernier point, quand on parle de refroidir le climat, il faut avoir en tête que l’ensemble des composants de la planète est touché.

Rapport Réagir (100 Mo ) : ici

Une pure folie à laquelle l’ONU, la Commission européenne, les Etats occidentaux, bref tous ceux qui sont sous l’influence des lobbies, ont dit oui!

L’Agenda 21 voté à l’unanimité des Etats

LHK

D’autres vidéos de Roger Lenglet




Le destin post-injection de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber va-t-il ouvrir les yeux de leurs fans ?

[Voir aussi sur mondialisation.ca]

Par Nicole Delépine

CÉLINE DION

Vu le nombre d’abonnés de Céline Dion (924 200 abonnés sur Twitter, plus d’un million sur FB, etc.), on peut espérer que les malheurs de cette fabuleuse chanteuse toucheront plus de monde que les sites officiels d’EudraVigilance ou du Vaers (plus difficiles à consulter) et en alerteront quelques-uns. Ne serait-ce que pour instiller le doute fertile…

Que lui est-il arrivé ? Pour l’instant, sa famille et/ou ses agents alimentent son compte par des rappels de ses disques ou concerts, etc.. Mais pourquoi ce silence, ces éternelles annulations de concerts pour l’instant reportés à sept 2023. Qui y croit encore ? 

 @jjdenoual 2 nov. 2021

« À la suite de sa seconde injection du vaccin contre le coronavirus, Céline DION serait paralysée et aurait annulé tous ses concerts ! Mais silence radio dans les médias, car ce serait la panique chez tous les vaccinés ! »

@Rideaubleu 31 oct. 2021

« Donc on récapitule le délire : un pompier vaccine une fillette de 12 ans, pour fêter la 100000e dose. Ils offrent à l’enfant des places pour le concert de Céline Dion, concert qui a été annulé, car la chanteuse qui appelait à la vaccination est paralysée. Non, ce n’est pas une blague ».

Céline Dion, sa mystérieuse maladie liée au vaccin contre le Covid, révélation CHOC de Bob Kennedy Jr (ilestencoretemps.fr)  

Nos confrères du magazine Public ont récemment publié que la chanteuse de 53 ans serait frappée par une maladie singulière appelée neuropathie à petites fibres, une pathologie que Céline Dion aurait contractée il y a un an, « peu après s’être fait vacciner contre le Covid sans que le lien soit fait » ouvertement. Pourtant elle n’est pas connue pour présenter les facteurs favorisants décrits pour cette maladie (mutations dans les gènes SCN9A et SCN10A, syndrome métabolique, VIH, maladie cœliaque, syndrome de Sjögren, amyloïdose, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, maladies infectieuses, hépatite C, maladie de Lyme, hypothyroïdie, troubles du système immunitaire).

Une coïncidence de plus ?

Si cette piste vaccin devait se confirmer, Céline serait, à l’instar des millions de personnes, victime d’un « complot » mondial, comme le soutient Bob Kennedy Jr qui a dédié un ouvrage à ce sujet.

En mai 2021, Céline déclarait :

« J’encourage tout le monde à se faire vacciner parce que je pense qu’en ce moment, c’est la seule façon de rebâtir une immunité à travers le monde. ».

Qu’en savait-elle ? Comment oser affirmer une telle aberration ? Aurait-elle aimé que je la remplace pour chanter sur scène ? Chacun son travail, ses compétences.

 Ce mélange des genres via manipulation des lobbies et des médias doit cesser. 

Le 19 mai 2022, Céline Dion confirme ce que tout le monde redoutait sur son état de santé : « Je suis tellement désolée d’avoir à changer les dates de la tournée en Europe une nouvelle fois ; la première fois, ce fut à cause de la pandémie, maintenant, c’est en raison de ma santé », précisait la chanteuse, âgée aujourd’hui de 54 ans.

« Pour être honnête, j’ai hâte, mais je ne suis pas encore tout à fait prête… ». « Il y a quelque chose de majeur. Ces fameux spasmes commencent à devenir extrêmement inquiétants ».

« On se demande si elle ne lit pas un message, on la sent extrêmement triste, comme robotique » commentait la chroniqueuse canadienne Sophie Durocher après avoir visionné le court extrait.

« Si une artiste de la trempe de Céline Dion reporte, ce n’est pas parce qu’elle a un petit mal de tête, il y a quelque chose de majeur. Ces fameux spasmes commencent à devenir extrêmement inquiétants » poursuivait-elle au micro d’une radio locale.

« Des millions de dollars sont en jeu ! Il va falloir se poser la question. Est-ce que Céline Dion va remonter sur scène ? » se demande-t-elle.

D’après le tabloïd britannique « The Express », Céline Dion souffrirait de dystonie. Une pathologie qui se caractériserait par des contractions musculaires, survenues de façon involontaire et prolongée.

Bref, tous ces commentaires confirment la grande probabilité d’une maladie neurologique post vaccinale, évoquant le cas de Mauricette atteinte de Creutzfeld Jacob ou d’une maladie apparentée. Ce qui a d’autant plus choqué et nié un temps, c’est que Céline Dion s’était faite l’avocate tenace de l’injection expérimentale jusqu’à imposer le vax à ses spectateurs en concert. Elle y croyait vraiment et a été victime de sa croyance ! Vaccination » devenue religion.
 
Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes qui sont loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?

La corruption ne se limite pas à la corruption financière, mais touche toutes les facettes de l’âme humaine, désir de plaire, de conseiller, de jouer les sauveurs, etc.. Tragique histoire qui se répète à l’envi au fur et à mesure que les jours passent et que l’effet toxique de ces produits expérimentaux s’incruste dans le corps. 

Après Céline, Justin Bieber

Un deuxième exemple est venu cette nuit du 10 Juin 2022

Agence France-Presse :

« Justin Bieber avait animé un concert en faveur des pseudo vaccins covid le 27 juin 2020 organisé par Global Citizen Ursula avec l’appui de von der Leyen, présidente de la Commission européenne, Melinda Gates, présidente de l’Alliance mondiale pour les vaccins et vaccinations (Gavi), Ngozi Okonjo-Iweala, ou Derrick Johnson (président de la NAACP). »

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination anticovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal.

Espérons que ses jeunes fans se poseront quelques questions à cette occasion et hésiteront à aller se faire injecter une nouvelle fois. 

Par quel mécanisme de pensée tortueuse s’était-il transformé en marchand d’injection, dont il ne connaissait rien, d’autant que tous les éléments étaient cachés ? La seule certitude vérifiable était que ces substances étaient expérimentales comme le démontrait d’emblée le site clinicaltrials.gov. 

Elles le sont toujours et il faudra attendre 2023 pour obtenir les données officielles des essais. Mais actuellement nous disposons grâce à la justice américaine d’une partie des documents cachés de Pfizer qui dévoilent la tricherie qui devrait faire interdire toute poursuite des injections. Et les données anglaises données par l’ONS anglais démontrent aussi le danger létal pour la population des injections.

Ainsi le 10 juin 2022 on apprend via Twitter :

« Après sa compagne, Justin Bieber est à son tour gravement malade et contraint d’interrompre sa tournée. Triplement vacciné, il avait demandé à ses fans des schémas de vaccinations complètes pour assister à ses concerts. »

Ou via @vl_plus :

Après sa femme Hailey hospitalisée pour un caillot sanguin dans le cerveau marieclaire.fr/hailey-bieber — …

c’est Justin Bieber lui-même qui souffre d’une maladie mystérieuse « qui s’aggrave » et le force même à suspendre ses concerts…. mirror.co.uk/3am/celebrity -— …

@AldoSterone111     

Justin Bieber annule ses concerts. Il est très malade. Son visage est paralysé… On dirait un vaccident. dailymail.co.uk/tvshowbiz/arti…11/06/2022 0 h 48

@NaraShi138767941/3) 08/06/22

Justin Bieber 28 ans reporte ses spectacles

Il a écrit sur Instagram : « Je n’arrive pas à croire que je dis ça. J’ai tout fait pour aller mieux, mais ma maladie s’aggrave ».   La star de 28 ans n’a donné aucun détail sur sa mystérieuse maladie.

www-uol-com-br.translate.goog/splash/noticia… pic.twitter.com/w3YBHqOeyg 09/06/2022 

Bref notre célèbre et beau chanteur est défiguré par une paralysie faciale bien décrite dans les complications de la vaccination anticovid sous le nom de paralysie de Bell. Le présenter sous le nom de syndrome de Ramsay fait peut-être savant, mais ne change rien au fait.

Quel malheur d’avoir rendu malades ces beaux jeunes gens qui avaient l’avenir devant eux et qui de plus ont cru utile de conseiller aux autres ce délire absolu.

© Instagram/Justin

Selon un infectiologue, le zona de Justin Bieber est apparu le long des deux nerfs du visage, le facial et l’auditif, voilà pourquoi le chanteur a du mal à parler et sûrement à entendre. Instagram/Justin Bieber

Il faut exiger des instances mondiales un arrêt complet de ces injections dangereuses dont on commence à connaître les drames à court et moyen terme (myocardites, mort subite de sportifs en course, etc., maladie proche de la vache folle) et inconnus à long terme.

L’évolution rapidement fatale de cancers guéris depuis de nombreuses années ou de cancers récents se constate de plus en plus après les injections, particulièrement la troisième.Rappelons que dans la première phase de la vaccination, seulement 5 % des lots ont été concernés par les accidents vaccinaux. Placebos, dosages et ingrédients différents. On ne le sait pas. Ce qui est certain est que depuis la troisième dose dite « booster », les accidents paraissent plus fréquents, et plus rapides même si on peut aussi distinguer des variétés géographiques, ce qui laisse supposer des différences dans les lots.   Roulette russe… Ça vous dit vraiment ? 



« Mon cœur se brise de devoir reporter ces prochains spectacles (ordres des médecins). À tout mon peuple, je vous aime tellement et je vais me reposer et aller mieux ». 

Dans le clip publié vendredi, Justin a montré les effets dévastateurs de son diagnostic en montrant que son œil ne clignait pas, ne pouvait pas sourire et que la narine ne bougeait pas du côté droit de son visage.

Il a expliqué :

« Il y a donc une paralysie complète de ce côté de mon visage. Alors pour ceux qui sont frustrés par mes annulations des prochains shows, je suis juste physiquement évidemment pas capable de les faire. C’est assez grave comme vous pouvez le voir. »

Conclusion

En conclusion, souhaitons à ces artistes et aux nombreuses autres victimes des injections la meilleure récupération possible. Néanmoins, espérons qu’à l’avenir, les artistes, les sportifs, les politiques, des associations, etc. éviteront de se lancer dans des campagnes de pub pour des vaccins et/ou des médicaments (supposés miracles), et/ou de dépistages, etc. dont ils ne disposent pas du fond des données (bien souvent cachées). À chacun son métier.




Verser du poison et planter des graines de dépendance. La grande agriculture détruit l’agriculture biologique

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Par Colin Todhunter pour Global- Research

Vous souvenez-vous de l’image emblématique d’Union Carbide des années 1950 ou du début des années 1960 ? Celui avec la main géante venue du ciel, déversant des pesticides sur le sol indien.       

Le texte de présentation sous l’image comprend les éléments suivants :

« La science aide à construire une nouvelle Inde – L’Inde a élaboré de nouveaux plans audacieux pour développer son économie et apporter la promesse d’un avenir radieux à ses plus de 400 millions d’habitants. Mais l’Inde a besoin des connaissances techniques du monde occidental. Par exemple, en travaillant avec des ingénieurs et des techniciens indiens, Union Carbide a récemment mis à disposition sa ressource scientifique rapide pour aider à construire une usine de produits chimiques et plastiques près de Bombay. Partout dans le monde libre, Union Carbide s’est activement engagée dans la construction d’usines pour la fabrication de produits chimiques, de plastiques, de carbone, de gaz et de métaux.

Dans le coin inférieur se trouvent le logo Union Carbide et la déclaration « A HAND IN THINGS TO COME ».

Cette image de la « main de Dieu » est devenue tristement célèbre. La « main dans les choses à venir » d’Union Carbide inclut la fuite de gaz dans son usine de pesticides à Bhopal en 1984. Elle a fait environ 560 000 blessés (problèmes respiratoires, irritation des yeux, etc.), 4 000 handicapés graves et 20 000 morts.

Quant à l’agriculture intensive en produits chimiques qu’elle a encouragée, nous pouvons maintenant voir les impacts : sols dégradés, eau polluée, maladies, endettement des agriculteurs et suicides (en buvant des pesticides !), cultures/variétés riches en nutriments étant mises de côté, une gamme plus étroite des cultures, aucune augmentation de la production alimentaire par habitant (du  moins en Inde ), la marchandisation des connaissances et des semences par les entreprises, l’érosion de l’apprentissage environnemental des agriculteurs, l’affaiblissement des systèmes de connaissances traditionnels et la dépendance des agriculteurs à l’égard des entreprises.

Qu’il s’agisse du type de dévastation écologique que l’activiste-agriculteur  Bhaskar Save  a décrit aux décideurs politiques dans sa lettre ouverte de 2006 ou du bouleversement social documenté par  Vandana Shiva  dans le livre La violence de la révolution verte, les conséquences ont été considérables.

Et pourtant, qu’il s’agisse de nouvelles techniques de génie génétique ou de plus de pesticides, les conglomérats agrotechnologiques s’efforcent sans relâche d’enraciner davantage leur modèle d’agriculture en détruisant les pratiques agricoles traditionnelles dans le but de placer davantage d’agriculteurs sur les semences des entreprises et les tapis roulants chimiques.

Ces sociétés ont fait pression pour que la Commission européenne supprime tout étiquetage et contrôle de sécurité pour les nouvelles techniques génomiques. La Cour de justice européenne a statué en 2018 que les organismes obtenus avec de nouvelles techniques de modification génétique doivent être réglementés en vertu des lois existantes de l’UE sur les OGM. Cependant, il y a eu un lobbying intense de la part de l’industrie de la biotechnologie agricole pour affaiblir la législation,  aidée financièrement par la Fondation Gates .

Depuis 2018, les plus grandes entreprises agroalimentaires et biotechnologiques ont dépensé près de 37 millions d’euros pour faire pression sur l’Union européenne. Ils ont eu 182 réunions avec les commissaires européens, leurs cabinets et directeurs généraux. Plus d’une réunion par semaine.

Au cours des dernières semaines, le PDG de Syngenta (une filiale de ChemChina), Erik Fyrwald, est venu au premier plan pour faire pression cyniquement pour ces techniques.

Mais avant de parler de Fyrwald, tournons-nous vers une autre figure clé de l’agro-industrie qui a fait l’actualité. L’ancien président-directeur général de Monsanto, Hugh Grant, a récemment comparu devant le tribunal pour être interrogé par des avocats au nom d’un patient atteint d’un cancer dans l’affaire Allan Shelton contre Monsanto.

Shelton souffre d’un lymphome non hodgkinien et fait partie des plus de 100 000 personnes aux États-Unis qui prétendent dans des poursuites judiciaires que l’exposition au désherbant Roundup de Monsanto et à ses autres marques contenant le glyphosate chimique a causé leur cancer.

Ses avocats ont fait valoir que Grant était un participant actif et un décideur dans l’activité Roundup de la société et qu’il devrait être amené à témoigner lors du procès.

Pourquoi pas? Après tout, il a fait une tuerie financière en colportant du poison.

Bayer a acquis Monsanto en 2018 et Grant a reçu un   gain après-vente estimé à 77 millions de dollars . Bloomberg a rapporté en 2017 que Monsanto avait augmenté le salaire de Grant à 19,5 millions de dollars.

En 2009, les produits liés au Roundup, qui comprennent des semences génétiquement modifiées développées pour résister aux applications à base de glyphosate, représentaient environ  la moitié de la marge brute de Monsanto .

Roundup faisait partie intégrante du modèle commercial de Monsanto et des énormes revenus et gains finaux de Grant.

Considérez la citation suivante d’un  article  paru sur le site Web de Bloomberg en 2014 :

« Le président et chef de la direction, Hugh Grant, se concentre sur la vente de plus de semences génétiquement modifiées en Amérique latine pour stimuler la croissance des bénéfices en dehors du marché américain principal. Les ventes de graines de soja et de licences génétiques ont augmenté de 16 %, et les revenus de l’unité qui fabrique le désherbant à base de glyphosate, vendu sous le nom de Roundup, ont augmenté de 24 %.

Dans le même article, Chris Shaw, un analyste basé à New York chez Monness Crespi Hardt & Co, aurait déclaré que « le glyphosate l’a vraiment écrasé » – ce qui signifie que les ventes de glyphosate ont été un coup de pouce majeur.

Tout va bien pour Grant et Monsanto. Mais cela a eu des effets dévastateurs sur la santé humaine. ‘Le coût humain des agrotoxines. Comment le glyphosate tue l’Argentine », qui est apparu sur le site Web de Lifegate en novembre 2015, constitue une condamnation accablante de la volonté de « croissance des bénéfices » de Monsanto. De plus, la même année, quelque 30 000 médecins de ce pays  ont exigé l’interdiction  du glyphosate.

L’essentiel pour Grant était la maximisation des ventes et des bénéfices et la défense inébranlable du glyphosate, peu importe à quel point il est cancérigène pour l’homme et, plus précisément, à quel point  Monsanto en savait .

Noam Chomsky  souligne l’impératif commercial :

« … le PDG d’une société a en fait l’obligation légale de maximiser ses profits et sa part de marché. Au-delà de cette obligation légale, si le PDG ne le fait pas et, disons, décide de faire quelque chose qui, disons, profitera à la population et n’augmentera pas les bénéfices, il ne sera pas PDG très longtemps – ils ‘ Je serai remplacé par quelqu’un qui le fera.

Le PDG de Syngenta est taillé dans le même tissu que Grant. Alors que les crimes de Monsanto sont bien documentés, les transgressions de Syngenta sont moins médiatisées.

En 2006 , l’écrivain et militant Dr Brian John a déclaré :

« GM Free Cymru a découvert que Syngenta, dans sa promotion des cultures et des aliments GM, a été impliquée dans un réseau de mensonges, de tromperies et de comportements d’entreprise obstructifs qui auraient fait honneur à son concurrent Monsanto. »

Il y a quelques semaines, Fyrwald a  appelé  à l’abandon de l’agriculture biologique. Compte tenu de la crise alimentaire provoquée par la guerre en Ukraine, il a affirmé que les pays riches devaient augmenter leur production agricole – mais l’agriculture biologique a entraîné une baisse des rendements. Fyrwald a également appelé à ce que l’édition de gènes soit au cœur de l’agenda alimentaire afin d’augmenter la production alimentaire.

Il a déclaré:

« La conséquence indirecte est que les gens meurent de faim en Afrique parce que nous mangeons de plus en plus de produits bio. »

En réponse, Kilian Baumann, agriculteur bio bernois et président de l’Association suisse des petits agriculteurs, a qualifié les arguments de Fyrwald de « grotesques ». Il a affirmé que Fyrwald « se battait pour les ventes ».

Écrivant sur le  site Web de GMWatch , Jonathan Matthews dit que l’invasion russe de l’Ukraine semble avoir enhardi l’alarmisme de Fyrwald.

Matthews déclare :

« Les commentaires de Fyrwald reflètent la détermination de l’industrie à saper la stratégie de l’Union européenne de la ferme à la fourchette, qui vise d’ici 2030 non seulement à réduire l’utilisation de pesticides de 50 % et l’utilisation d’engrais de 20 %, mais à plus que tripler le pourcentage de terres agricoles de l’UE sous gestion biologique ( de 8,1 % à 25 %), dans le cadre de la  transition  vers un « système alimentaire plus durable » dans le cadre du Green Deal de l’UE. »

Il ajoute:

« Syngenta considère ces objectifs comme une menace quasi existentielle. Cela a conduit à une attaque soigneusement orchestrée contre la stratégie de l’UE.

Les détails de cette offensive de relations publiques ont été exposés dans un rapport du groupe de surveillance du lobby basé à Bruxelles Corporate Europe Observatory (CEO) :  Un lobby bruyant pour un printemps silencieux : les tactiques de lobbying toxiques de l’industrie des pesticides contre la ferme à la fourchette .

Mathews cite des recherches qui montrent que les cultures GM n’ont aucun avantage en termes de rendement. Il fait également référence à un rapport récemment publié   qui rassemble des recherches montrant clairement que les cultures GM ont entraîné des augmentations substantielles – et non des diminutions – de l’utilisation des pesticides. Les cultures génétiquement modifiées plus récentes et très médiatisées semblent prêtes à faire de même.

Syngenta fait partie des entreprises critiquées par un  rapport  de l’ONU pour « déni systématique des préjudices » et « tactiques de marketing contraires à l’éthique ». Matthews note que la vente de pesticides hautement dangereux est en fait au cœur du modèle commercial de Syngenta.

Selon Matthews, même avec les perturbations logistiques des cultures de maïs et de blé causées par la guerre en Ukraine, il y a encore suffisamment de céréales disponibles sur le marché mondial pour répondre aux besoins existants. Il dit que la crise actuelle des prix (et non la crise alimentaire) est le produit de la peur et de  la spéculation .

Mathieu conclut :

« Si Erik Fyrwald est vraiment si préoccupé par la faim, pourquoi ne s’attaque-t-il pas au  gâchis des  biocarburants, plutôt que de s’attaquer à l’agriculture biologique ? La réponse évidente est que les agriculteurs subventionnés pour cultiver des biocarburants sont de gros consommateurs de produits agrochimiques et, dans le cas américain, de semences OGM – contrairement aux agriculteurs biologiques, qui n’achètent ni l’un ni l’autre.

Fyrwald a un impératif financier pour faire pression pour des stratégies et des technologies particulières. Il est loin d’être un observateur objectif. Et il est loin d’être honnête dans son évaluation – utilisant la peur d’une crise alimentaire pour faire avancer son programme.

Pendant ce temps, les attaques soutenues contre l’agriculture biologique sont devenues un pilier de l’industrie, malgré  de nombreux rapports  et projets de haut niveau indiquant qu’elle pourrait nourrir le monde, atténuer le changement climatique, améliorer la situation des agriculteurs, conduire à de meilleurs sols, créer des emplois et fournir des produits plus sains et plus sains. diètes diverses.

Il y a une crise alimentaire, mais pas celle à laquelle Fyrwald fait allusion –   des  aliments dénutris et  des régimes alimentaires malsains  qui sont au centre d’une crise majeure de santé publique, une perte de  biodiversité  qui menace la sécurité alimentaire,  des  sols  dégradés , des  sources d’eau  polluées  et  épuisées et des petits exploitants les agriculteurs , si vitaux pour la production alimentaire mondiale (en particulier dans les pays du Sud),  évincés de leurs terres  et de l’agriculture.

L’agro-industrie transnationale a fait pression pour, dirigé et profité des politiques qui ont causé une grande partie de ce qui précède. Et ce que nous voyons maintenant, ce sont ces entreprises et leurs lobbyistes épousant une (fausse) préoccupation (une tactique de lobbying cynique) pour le sort des pauvres et des affamés tout en essayant d’acheter la démocratie européenne à hauteur de 37 millions d’euros. Bon marché au prix compte tenu de la manne financière que ses nouvelles technologies et graines de génie génétique brevetées pourraient récolter.

Diverses publications scientifiques montrent que ces nouvelles techniques permettent aux développeurs d’effectuer des modifications génétiques importantes, qui peuvent être très différentes de celles qui se produisent dans la nature. Ces nouveaux  OGM présentent des risques similaires ou supérieurs à ceux des OGM plus anciens .

En tentant d’esquiver la réglementation et d’éviter les évaluations d’impact économique, social, environnemental et sanitaire, il est clair que se situent les priorités de l’industrie.

Malheureusement, Fyrwald, Bill Gates, Hugh Grant et leurs semblables ne veulent pas et sont trop souvent incapables de voir le monde au-delà de leurs mentalités réductionnistes qui considèrent simplement les ventes de semences/produits chimiques, le rendement et les bénéfices des entreprises comme l’étalon de la réussite.

Ce qu’il faut, c’est une approche qui soutient les connaissances autochtones, la sécurité alimentaire locale, une meilleure nutrition par acre, des nappes phréatiques propres et stables et une bonne structure du sol. Une approche qui place la souveraineté alimentaire, la propriété locale, les communautés rurales et les économies rurales au centre de la politique et qui nourrit la biodiversité, améliore la santé humaine et travaille avec la nature plutôt que de la détruire.

L’alarmisme de Fyrwald est normal – le monde mourra de faim sans les produits chimiques et les semences (GM) des entreprises, surtout si les produits biologiques s’installent. Ce type de choses a été le tarif standard de l’industrie et de ses lobbyistes et a acheté des scientifiques de carrière pendant de nombreuses années.

Cela va à l’encontre de la réalité, notamment de la façon dont certaines préoccupations de l’agro-industrie ont fait partie d’une stratégie géopolitique américaine qui sape la sécurité alimentaire dans des régions du monde entier. Ces préoccupations ont prospéré grâce à la  création de dépendances et ont profité des conflits . De plus, il y a le succès des approches agroécologiques de l’agriculture qui n’ont pas besoin de ce que Fyrwald colporte.

Au lieu de cela, l’industrie continue de se présenter comme le sauveur de l’humanité – une main de Dieu alimentée par un nouveau monde techno-utopique courageux de science d’entreprise, versant du poison et semant les graines de la dépendance des entreprises avec le zèle missionnaire du sauveurisme occidental.


Lisez le livre électronique de Colin Todhunter intitulé

Nourriture, dépossession et dépendance. Résister au Nouvel Ordre Mondial

Nous assistons actuellement à une accélération de la consolidation des entreprises sur l’ensemble de la chaîne agroalimentaire mondiale. Les conglomérats de haute technologie/big data, dont Amazon, Microsoft, Facebook et Google,  ont rejoint les géants traditionnels de l’agro-industrie , tels que Corteva, Bayer, Cargill et Syngenta, dans une quête pour imposer leur modèle d’alimentation et d’agriculture au monde.

La Fondation Bill et Melinda Gates est également impliquée (documentée dans ‘ Gates to a Global Empire ‘ par Navdanya International), que ce soit en  achetant d’immenses étendues de terres agricoles , en promouvant une ‘ révolution verte ‘ tant annoncée  (mais ratée) pour l’Afrique , en poussant  technologies alimentaires biosynthétiques  et  de génie génétique  ou plus généralement  facilitant les objectifs des méga-entreprises agroalimentaires .

Cliquez ici pour lire .

La source originale de cet article est Global Research

Copyright © Colin Todhunter , Recherche mondiale, 2022




Profs, médecins : deux métiers sous influence. Mise à jour

Par Karen Brandin

[Mise à jour : ajouts dans le texte.]

On se souvient tous en octobre 2021 des propos polémiques d’Emmanuelle Wargon, alors ministre du Logement, qui avait déclaré sans ambages que « les maisons individuelles étaient un non-sens écologique, économique et social » ; bref, une prétention absurde, d’un autre âge en quelque sorte. Depuis, nous sommes chaque jour encouragés à devenir des « locataires universels », qu’il s’agisse de voitures, d’électroménager ou de vêtements, comme un retour en grâce du collectivisme.

En plus de cette invitation pressante aux relents de culpabilité d’une expropriation matérielle, ne nous pousse-t-on pas en plus à une expropriation intellectuelle ? Avons-nous encore le droit d’avoir des idées, des convictions, de revendiquer des compétences ? La vocation, qu’il s’agisse de la médecine ou de l’enseignement, est-elle devenue une passion honteuse, marginale ? Ces professions sont-elles condamnées à être sous l’influence d’une hiérarchie toujours plus envahissante, toujours plus castratrice ?

Comme les médecins sont désormais sans cesse contrariés, entravés dans leur liberté de prescrire quand bien même leurs ordonnances sont consécutives à un examen clinique qu’eux seuls sont à même de pratiquer et d’interpréter, on voit ces dernières années se multiplier dans l’enseignement secondaire notamment, des plateformes d’assistance pédagogique destinées elles-aussi à encadrer la pratique d’un métier pourtant fait de compétences durement acquises. La plus célèbre d’entre elles (en maths puisque c’est mon domaine d’intervention) s’appelle Kwyk. Elle est bien connue des enseignants. Je ne fais pas là le procès d’intention de ce type d’outils, car il est possible d’en faire un usage modéré et équilibré, mais il est légitime de s’interroger sur les promesses qui sont mises en avant pour susciter l’adhésion ou l’intérêt. Je cite ce message « promotionnel » adressé au personnel de l’éducation (en réalité, de l’instruction) :

  • 1— Je crée un devoir en 1 min (« Quick » donc)… Un gain de temps incontestable pour le prof, sans doute, mais que fait-on de ce temps libéré ? Profite-t-il à terme aux élèves ?)
     
  • 2— Je l’envoie et reçois le bilan par mail (le système s’invite et en fait « s’intercale » dans la relation prof-élève qui s’en trouve corrompue. Il faut en outre préciser que ce système fait la part belle aux réponses ; l’argumentation n’est quant à elle pas évaluée, pas plus que la rédaction d’ailleurs, deux piliers pourtant fondamentaux de la démarche mathématique.)
     
  • 3— J’active les révisions personnalisées (??? alors qu’il s’agit d’une banque de données dans laquelle on vient se servir, sorte de « buffet » d’exercices ; on est donc très loin d’un quelconque enseignement « sur-mesure ». On retrouve là le mythe de la médecine numérique présentée comme ultra-personnalisée à grand renfort d’espace santé.)

Un effet pervers de ce type de système est qu’il conduit à un désengagement des acteurs de la profession concernée, ruine leur créativité ainsi que tout espoir de satisfaction durable et donc, à terme, d’épanouissement. En les plébiscitant, on devient rapidement, insidieusement, l’artisan de la perte de sens de nos métiers. Cette assistance présentée comme « pratique, » voire sécurisante, est en réalité « débilitante ».

Le mécanisme est désormais bien rodé et la logique toujours la même. Sous un prétexte fallacieux d’efficacité, de simplification des tâches assimilée de fait à « un progrès », à une innovation (on confond trop souvent ces deux notions malheureusement), on crée une dépendance avec comme corollaire naturel, l’acceptation d’une surveillance. De cette dépendance naît une fébrilité, une faille dans laquelle il est alors facile de s’engouffrer.

Annuler doucement, mais sûrement toute autonomie, semer non plus un doute « raisonnable », une prudence légitime, mais bien plus sûrement une incertitude délétère qui, à terme, paralyse. C’est ce qui guette ces corps de métiers soumis à de trop fortes contentions.

Apparemment, il faut cacher ces esprits libres que nous ne saurions voir.

Comme chaque année, en cette période de correction des épreuves du bac (ou plutôt de ce qu’il en reste après la tornade de la réforme Blanquer), les témoignages d’enseignants légitimement consternés se multiplient. Ceux-ci constatent que les notes qu’ils ont attribuées aux copies (dûment numérisées !) dont ils avaient la charge, ont été allègrement modifiées suite à une obscure commission dite d’harmonisation, et ce bien entendu à l’avantage des élèves, car il s’agit de battre les records d’admission à cet examen désormais fantoche. Ce processus, profondément humiliant, dégradant en plus d’être déstabilisant, vient anéantir et remettre en question sans pudeur aucune, la légitimité de prof ainsi que son autorité.

Il est donc urgent de redoubler de vigilance et de garder bien présent à l’esprit que c’est en le pratiquant en conditions réelles que le geste d’enseignement, que le geste médical s’affirme, se perfectionne. Il ne faut jamais perdre de vue que lorsque l’on délègue à ces assistants virtuels censés nous soulager, on se dépouille et l’on finit par régresser, car ce sont autant de compétences que l’on ne retrouvera jamais dans leur intégrité et leur densité premières.

Si l’homme n’est pas infaillible dans sa mission de transmettre ou encore dans son diagnostic, la machine (notamment administrative) ne l’est pas davantage, fût-elle équipée d’une IA. Elle doit rester un outil et ne jamais devenir une excroissance, encore moins une donneuse d’ordres. Il faut retrouver une autonomie de réflexion qui permette de gérer la peur de l’erreur et refuser que l’on vienne s’immiscer dans ces professions à visée humaine avec en ligne de mire, le célèbre adage : « diviser pour mieux régner. »

Car en réalité ce qui semble inquiéter au plus point la hiérarchie d’où qu’elle vienne (hôpital, école, et même université) et que j’avais nettement perçu lors de mes vacations en lycées, c’est la complicité qui peut se créer entre l’enseignant et sa classe, le médecin et son patient (on parle alors de « colloque singulier »). Un contrat de confiance réciproque. On pourrait naïvement imaginer que c’est pourtant là le saint Graal, le but ultime. Or c’est très mal vécu par les autorités qui ne souhaitent perdre ni leur possibilité de contrôle ni leur emprise. Cet état de fait, cet état de grâce, est presque toujours perçu comme une provocation, une menace absurde d’une mutinerie à venir. La complicité que l’on perçoit spontanément comme « facilitante », comme un facteur d’adhésion (qu’il s’agisse d’un cours ou d’un soin), est finalement présentée comme un vecteur d’un désordre et provoque la suspicion. Et si par malheur vos élèves venaient à progresser et vos patients à guérir, vous vous exposeriez à un procès pour sorcellerie ou charlatanisme.

Toute initiative, qu’elle soit pédagogique ou médicale, est de fait présumée coupable. Nous en avons eu un dramatique exemple à l’occasion de la crise du covid avec des praticiens, les médecins de ville comme l’on dit parfois, lourdement et impitoyablement sanctionnés pour avoir revendiqué une prise en charge de leurs malades alors que c’est là justement le cœur de leur métier et de leur engagement. S’appuyer en première intention sur des traitements sûrs, car largement éprouvés, encourager le repositionnement de molécules anciennes est assimilé à rien de moins que de l’obscurantisme.

L’éducation n’est pas davantage épargnée par ce diktat, cette obsession du modernisme. Ainsi les méthodes dites anciennes d’apprentissage de la lecture (la méthode syllabique : le b-a-ba), comme celles des opérations de base ont beau avoir fait leurs preuves, elles sont plus que jamais caricaturées et leurs défenseurs avec elles, balayées par le vent de la nouveauté, le blizzard des neurosciences. Pourtant la méthode globale, en n’offrant aucune structure, aucun repère, a largement contribué à l’effondrement du niveau des élèves en français, mais aussi en mathématiques.

Ce qui peut, ce qui doit retenir les Ulysses des temps modernes (que nous sommes tous en puissance) de succomber aux appels répétés des sirènes des protocoles et de développer une addiction à une liberté surveillée qui nous déresponsabilise au profit d’une tribu protectrice fantasmée, c’est peut-être la prise de conscience que nous ne sommes plus jamais que le dernier maillon d’une chaîne de décisions trop longue pour nous donner le courage de la briser et trop courte pour nous garantir la liberté de penser, d’instruire ou encore de soigner.

Ce sursaut est nécessaire pour les générations à venir déjà terriblement embrigadées, dépendantes de toutes sortes d’assistants qu’ils soient orthographiques, vocaux ou encore mathématiques (je pense à la redoutable application « photomath »), mais aussi victimes si l’on pense à l’insondable ParcourSup…

Je donne souvent cet exemple parmi tant d’autres. En donnant dès le plus jeune âge accès à une calculatrice aux élèves, on compromet leur indépendance dans leur rapport aux nombres, au calcul, aux ordres de grandeur. Et cet outil, clairement indispensable dans des cas difficiles, devient une béquille sur laquelle ils s’appuieront par la suite pour tout et n’importe quoi. Quand j’emprunte par hasard ce matériel à l’un de mes terminales et que par curiosité je parcours l’historique, je suis à chaque fois effarée de ne voir figurer que des calculs décourageants de facilité : 2×3, 12-7, etc. qu’ils savent parfaitement réaliser bien sûr, mais qu’ils « préfèrent vérifier » comme ils disent. Et si, suite à une manipulation défectueuse, la « machine répond 2×3=5 », il y a un moment de flottement. L’élève n’a plus son libre arbitre, il l’a délégué à la machine toute puissante. Il est définitivement en demande (et donc souvent en manque) d’un GPS de la pensée dont il est prêt à suivre les instructions, les directives comme un somnambule.

À l’opposé, nous avons tous la chance, le privilège d’avoir dans notre entourage comme autant de phares dans ce crépuscule de l’intelligence et des idées, des médecins, des profs entrés en fonction dans les années 70/80 et devant lesquels on est invariablement admiratifs tant ils font preuve d’une vivacité d’esprit (critique notamment), d’une dextérité, d’une curiosité et surtout d’une capacité d’adaptation dont nous nous sentons, nous pourtant plus jeunes, désormais incapables. Ce n’est pas seulement la conséquence légitime de l’expérience, mais aussi le fruit d’une formation initiale de qualité, exigeante, où l’on apprenait à comprendre, où l’on apprenait à évaluer le bénéfice comme le risque, à l’assumer aussi alors qu’aujourd’hui, nous sommes tout au plus conditionnés pour mémoriser des schémas préétablis, découpés en séquences, systématiquement dictés par d’autres plus haut dans la pyramide et dont nous sommes les exécutants maladroits et inquiets, car sans cesse inquiétés. Diviser pour mieux régner donc, mais aussi « insécuriser » pour mieux régner.

Il est plus que temps de se réveiller et de se réconcilier avec notre condition d’être humain. C’est à ce prix que l’on pourra espérer lutter efficacement contre cette hémorragie du sens qui menace nos professions respectives et retrouver la satisfaction et la fierté d’un travail original, soigné et motivé. À l’instar des gilets jaunes, défendons chèrement nos valeurs, notre indépendance et donnons-nous rendez-vous au rond-point d’une éthique revendiquée.

Karen Brandin

« Mais dis-moi tout
Marionnettiste
J’ai des ficelles à mon destin
Tu me fais faire un tour de piste
Mais où je vais je n’en sais rien
Mais dis-moi tout
Marionnettiste
Mon cœur de bois soudain s’arrête
Que feras-tu de tes artistes
Après la fête ? »

(P. Bachelet — extrait)

NB : Je remercie chaleureusement la pédiatre-oncologue Nicole Delépine de m’avoir suggéré la possibilité de ce début de réflexion que d’autres poursuivront j’espère.

Quelques pistes de lecture :

  • 1— Oraison funèbre de la classe de philosophie (Harold Bernat — éditions Atlantiques déchaînés)
  • 2— http://images.math.cnrs.fr/Lycee-les-maths-en-soins-palliatifs.html
  • 3— Souffrir d’enseigner. Faut-il rester ou partir ? (Rémi Boyer — J.M. Horenstein — éditions de la Mémoire)
  • 4— J’avais honte d’être prof (Paul Dandelot — éditions Fabert)
  • 5— Ma liberté de soigner (Nicole Delépine — éditions Michalon)
  • 6— Soigner ou Obéir ? (Nicole et Gérard Delépine — éditions Fauves)
  • 7— https://la-verite-vous-rendra-libres.org/seule-la-liberte-des-medecins-et-soignants-peut-sauver-la-medecine-pour-les-malades/
  • 8— Je ne pouvais pas les laisser mourir ! (J.J. Erbstein -éditions JDH)
  • 9— Délires et tendances dans l’éducation nationale (Dany-Jack Mercier — éditions EPU)
  • 10— L’enseignement de l’ignorance (J.C Michéa — éditions climats)
  • 11— L’école fantôme (Robert Redeker — éditions Desclée de Brouwer)
  • 12 — Santé publique, Année zéro (Barbara Stiegler-François Alla — éditions Gallimard)



L’échec du zéro covid en Australie

Par le Dr Gérard Delépine

Au début de la crise covid, les Chinois, l’OMS et N. Ferguson ont inventé la stratégie du zéro covid.

Cette politique sanitaire, jusqu’ici jamais utilisée en médecine moderne, consiste à enfermer l’ensemble des populations (malades et personnes saines) à domicile (confinement) jusqu’à l’invention d’un vaccin ou d’un médicament miracle qui sauverait le monde.

En contradiction totale avec les connaissances médicales traditionnelles, cette politique n’avait pour seul argument que des simulations mathématiques basées sur des hypothèses fausses. Elle a néanmoins séduit de nombreux dirigeants autoritaires qui ont pu y voir le moyen de faire taire toute opposition politique par une propagande terrorisante, des lois d’urgence, la censure, l’interdiction des rassemblements…

Après deux ans d’épidémie, il est maintenant possible d’en tirer un bilan factuel qui en démontre la vanité, l’absence d’efficacité, et ses conséquences tragiques.

L’Australie a subi les pires restrictions de liberté après la Chine

Lors de cette crise, l’Australie a renié ses traditions démocratiques.

Dès le mois de mars 2020 : fermeture des frontières. Les ressortissants australiens n’ont été autorisés à sortir du territoire que pour un motif impérieux/urgent ; ils ne pouvaient revenir sur le territoire national qu’après obtention d’une autorisation préalable par les autorités douanières et quarantaines sévères et à leurs frais comme pour les autres voyageurs.

Confinement strict, distanciation sociale avec interdiction de se déplacer à plus de 5 km de son domicile, port du masque généralisé, couvre-feux. Et dans cet état fédéral fermeture des frontières intérieures des États et territoires, action qui n’avait été utilisée que lors de la grippe espagnole, en 1919.

Ces mesures interrompues par de courtes périodes ont été réactivées à la moindre apparition de nouveaux cas. Le 31 janvier 2021, un seul cas dans la province occidentale a conduit à un confinement de cinq jours pour ses 2 millions d’habitants !

La répression policière des opposants à ces mesures liberticides a été systématique. Le 23 août 2021, la police australienne a investi une église de Sydney qui célébrait une messe et a imposé des amendes de 5000 à 1000 dollars australiens (3000 à 600 euros) à une trentaine de fidèles.

Le 13 septembre 2021 déclaré « Jour de la Liberté », pour protester contre la réponse excessive du gouvernement face à la pandémie, la police a arrêté 74 manifestants opposés aux restrictions et en a verbalisé 176 autres. Et quelques jours plus tard, des centaines de militaires ont même été appelés en renfort pour veiller au strict respect du confinement.

L’attitude du gouvernement ne respectait pas l’avis de la majorité de la population puisque 57 % des Australiens préféraient que l’économie reste ouverte avec certaines mesures de contrôle, contre 43 % partisans de politiques censées réduire les décès évitables.(([1] Manipis K, Street D, Cronin P, Viney R, Goodall S. Exploring the Trade-Off Between Economic and Health Outcomes During a Pandemic: A Discrete Choice Experiment of Lockdown Policies in Australia. Patient. 2021;14(3):359-371. doi:10.1007/s40271-021-00503-5))

En octobre 2021 Melbourne avait déjà subi six confinements d’une durée totale de 260 jours.

Et les médias chantaient les louanges des confinements(([2] Australie : comment Melbourne a gagné contre le coronavirus après un confinement marathon tout l’hiver https://www.rtbf.be/article/australie-)) et des vaccins comme le Premier ministre Scott Morrison promettant très imprudemment :

« quand 70 % à 80 % de la population âgée de 16 ans et plus auront été vaccinés. Le nombre de cas ne sera plus le problème ».

Il aurait mieux fait d’être prudent, car ses croyances ont été totalement démenties par l’explosion récente de l’épidémie malgré un pourcentage de vaccinés dépassant largement son chiffre d’or.

Le mirage de la vaccination

Pour imposer les pseudo vaccins à la population, la propagande mensongère et le chantage aux libertés ont constitué les moyens les plus utilisés.

Les mensonges ont instrumentalisé la pseudoscience utilisant encore des simulations biaisées comme celle de Zachreson C(([3] Zachreson C, Chang SL, Cliff OM, Prokopenko M. How will mass-vaccination change COVID-19 lockdown requirements in Australia?. Lancet Reg Health West Pac. 2021;14:100224. doi:10.1016/j.lanwpc.2021.100224)):

« la stratégie de vaccination de l’Australie peut raisonnablement réduire l’intensité de confinement requise et le taux de croissance initial de l’épidémie de 43 % et 52 %, respectivement. »

Les partisans de cette politique zéro covid n’ont pas tenu compte de ses coûts médicaux, scolaires, politiques, économiques désastreux.

Pourtant les études récentes, basées non plus sur des simulations, mais sur les faits constatés suggèrent(([4] David K. Miles1 Stay at Home, Protect the National Health Service, Save Lives: A cost benefit analysis of the lockdown in the United Kingdom Int J Clin Pract. 2021;75:e13674. | 1 of 14
https://doi.org/10.1111/ijcp.13674 « the lowest estimate for lockdown costs incurred was 40% higher than highest benefits from avoiding the worst mortality case scenario at full life expectancy tariff and in more realistic estimations they were over 5 times high ».)):

« les plus faibles estimations du coût du confinement les placent 40 % haut dessus que les meilleurs bénéfices espérés en vie humaine ; les estimations plus vraisemblables situent les conséquences néfastes cinq fois pires »

Le coût humain caché de cette politique zéro covid

Les troubles psychologiques liés aux confinements

« Les adolescents sont plus préoccupés par les restrictions gouvernementales conçues pour contenir la propagation du virus que par le virus lui-même, et que ces préoccupations sont associées à une augmentation de l’anxiété et des symptômes dépressifs et à une diminution de la satisfaction de vivre. »(([5] Magson NR, Freeman JYA, Rapee RM, Richardson CE, Oar EL, Fardouly J. Risk and Protective Factors for Prospective Changes in Adolescent Mental Health during the COVID-19 Pandemic. J Youth Adolesc. 2021;50(1):44-57. doi:10.1007/s10964-020-01332-9))

« Nos résultats fournissent des preuves de pires trajectoires des symptômes de santé mentale des parents et des enfants à un moment coïncidant avec une deuxième épidémie de COVID-19 impliquant un confinement strict à Victoria, par rapport aux États non confinés en Australie. »(([6] Elizabeth M Westrupp Parent and child mental health trajectories April 2020 to May 2021: Strict lockdown versus no lockdown in Australia Australian and NZ J of psychiatry 21/12/21
https://doi.org/10.1177/00048674211065365))

« Une augmentation des pratiques d’alcool à risque… L’anxiété, le pessimisme et la dépression ont entraîné un comportement de stockage chez les femmes britanniques et australiennes. »(([7] Miller ER, Olver IN, Wilson CJ, et al. COVID-19, Alcohol Consumption and Stockpiling Practises in Midlife Women: Repeat Surveys During Lockdown in Australia and the United Kingdom. Front Public Health. 2021;9:642950. Published 2021 Jun 30. doi:10.3389/fpubh.2021.642950))

« 39 à 54 % des participants ont signalé une détérioration de leur santé mentale, de leur santé physique, de leur situation financière et de leur productivité au travail. »(([8] Rogers SL, Cruickshank T. Change in mental health, physical health, and social relationships during highly restrictive lockdown in the COVID-19 pandemic: evidence from Australia. PeerJ. 2021;9: e11767. Published 2021 Jul 22. doi:10.7717/peerj.11767))

« Parmi 1157 Victoriens, un tiers ont signalé des symptômes d’anxiété ou de trouble dépressif, un cinquième ont signalé des idées suicidaires et un dixième ont déclaré avoir sérieusement envisagé le suicide au cours des 30 jours précédents. »(([9] Czeisler MÉ, Wiley JF, Facer-Childs ER, et al. Mental health, substance use, and suicidal ideation during a prolonged COVID-19-related lockdown in a region with low SARS-CoV-2 prevalence. J Psychiatr Res. 2021;140:533-544. doi:10.1016/j.jpsychires.2021.05.080))

Au point que Holly Lawford Smith s’interroge :

« la vie en confinement valait-elle la peine d’être vécue ? »(([10] Lawford-Smith H. Was lockdown life worth living? Monash Bioeth Rev. 2022 Mar 20:1–22. doi: 10.1007/s40592-022-00155-7. Epub ahead of print. PMID : 35 306 628 ; PMCID : PMC8934538.))

« Le confinement de la communauté victorienne a eu des conséquences néfastes sur la santé, qui se sont inversées à la sortie du confinement. »(([11] Griffiths D, Sheehan L, Petrie D, van Vreden C, Whiteford P, Collie A. The health impacts of a 4-month long community-wide COVID-19 lockdown: Findings from a prospective longitudinal study in the state of Victoria, Australia. PLoS One. 2022 Apr 7;17(4):e0266650. doi :))

« Les confinements n’étaient donc pas justifiés… L’examen des informations dont disposait le gouvernement australien en mars 2020 donnait un ratio similaire et soutenait donc fortement l’adoption d’une stratégie d’atténuation à ce moment-là. »(([12] Martin Lally1A cost–benefit analysis of COVID‑19 lockdowns in Australia Monash Bioethics Review
https://doi.org/10.1007/s40592-021-00148-y))

Les victimes collatérales du confinement

Le dépistage et le traitement des cancers ont été fortement impactés par les confinements.

L’Australie a littéralement mis fin à ses programmes de dépistage du cancer pendant les confinements et l’impact délétère de ces arrêts va apparaître dans les prochaines années. Une estimation actuelle(([13] Yong JH, Mainprize JG, Yaffe MJ, et al. The impact of episodic screening interruption: COVID-19 and population-based cancer screening in Canada. J Med Screen. 2021;28(2):100-107. doi:10.1177/0969141320974711)) estime que pour le dépistage du cancer du sein :

« une interruption de trois mois pourrait augmenter de 310 les cas diagnostiqués à des stades avancés et de 110 les décès par cancer en 2020-2029. Une interruption de six mois pourrait entraîner 670 cancers plus avancés et 250 décès supplémentaires par cancer. »

Une étude italienne(([14] Vanni G, Pellicciaro M, Materazzo M, Pedini D, Portarena I, Buonomo C, Perretta T, Rizza S, Pistolese CA, Buonomo OC. Advanced Stages and Increased Need for Adjuvant Treatments in Breast Cancer Patients: The Effect of the One-year COVID-19 Pandemic. Anticancer Res. 2021 May;41(5):2689-2696. doi:)) confirme cet impact négatif du confinement :

« les diamètres des tumeurs étaient plus grands dans le groupe du confinement. Le type de chirurgie et le stade N étaient statistiquement significativement différents. L’incidence extrême de la maladie avancée était significativement différente entre les groupes (2,7 % du groupe confinement contre 0 groupe pré-COVID-19, p = 0,011). L’incidence de la radiothérapie post-chirurgicale était plus élevée dans le groupe COVID-19. »

« Pour les cancers colorectaux, une suspension de six mois du dépistage primaire pourrait augmenter l’incidence du cancer de 2 200 cas et entraîner 960 décès supplémentaires par cancer au cours de la vie. »

L’arrêt du dépistage des cancers du poumon a été évalué aux USA(([15] Robert M Van Haren Impact of the COVID-19 Pandemic on Lung Cancer Screening Program and Subsequent Lung Cancer J Am Coll Surg 2021 avril ;232(4):600-605
https://doi.org/10.1016/j.jamcollsurg.2020.12.002 ISSN 1072-7515/20)). Durant les confinements, le taux d’absence au dépistage a augmenté de manière significative (40 % contre 15 % ; p < 0,04). Le pourcentage de patients présentant des nodules pulmonaires suspects de malignité a augmenté de manière significative après la reprise des opérations de dépistage (29 % contre 8 % ; p < 0,01).

Tous les malades chroniques ont vu leur traitement impacté

L’impact du confinement sur le traitement des autres maladies chroniques a été également considérable. Le Dr Bente Mikkelsen, directeur de la Division des maladies non transmissibles (MNT) de l’OMS a ainsi déclaré(([16] https://news.un.org/en/story/2020/09/1071732)): « l’étude la plus récente montre qu’il y a une interruption des services de santé, y compris le diagnostic et les traitements des MNT dans 69 % des cas ».

L’échec avéré de cette stratégie zéro covid sur l’épidémie

Si l’insularité et l’isolement de l’Australie ont permis à la fermeture des frontières d’être efficace plus d’un an, l’apparition de souches plus contagieuses a renversé la situation.

L’inefficacité de la vaccination pourtant massive n’a pas conféré l’immunité nécessaire à la protection de la population. L’apparition de Delta puis surtout d’Omicron a révélé l’échec total de cette stratégie zéro covid avec une explosion des cas journaliers.

Échec reconnu enfin clairement(([17] Bennett CM. Learning to live with COVID-19: time for a new approach. Public Heath Res Pract. 2021;31(3):e3132110.)):

« l’émergence de la variante Delta du SRAS-CoV-2 a rendu la stratégie australienne “COVID-zéro” non viable. »

Cet échec contre les contaminations se double maintenant d’une mortalité croissante

« On ne peut pas vivre confinés pour toujours », a reconnu le Premier ministre Scott Morrison dans un entretien diffusé sur ABC le dimanche 22 août 2021. Melbourne a suivi l’exemple de Sydney qui a abandonné la stratégie zéro Covid. L’Australie a mis fin aux confinements à grande échelle et à la fermeture de ses frontières, intérieures et extérieures. Reste à panser les plaies que cette stratégie folle a infligé inutilement à la population.

Tous les autres pays adeptes du zéro covid ont reconnu l’échec et la vanité de cette approche zéro Covid.

Avec l’Australie, la Nouvelle-Zélande(([18] https://www.huffingtonpost.fr/entry/la-nouvelle-zelande-abandonne-sa-politique-zero-covid_fr_619b4393e4b07fe2010dbd9b)), Singapour(([19] https://www.7sur7.be/monde/singapour-dit-adieu-a-la-strategie-zero-covid-nous-ne-pouvons-pas-eradiquer-le-virus-mais-nous-pouvons-vivre-avec~a8d276af/)), Taiwan(([20] https://www.20minutes.fr/monde/3279619-20220428-taiwan-abandonne-strategie-zero-covid-plus-10000-cas-24-h)), le Vietnam(([21] https://www.ft.com/content/37f7f400-20aa-4e52-8f3b-f9359fa73fe8)), la Corée du Sud(([22] https://www.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20211031-fin-de-la-strat%C3%A9gie-z%C3%A9ro-covid-en-cor%C3%A9e-du-sud-le-pays-entend-vivre-avec-le-virus)) ont également abandonné cette stratégie scientifiquement infondée du zéro covid en constatant qu’elle était inefficace dans la durée et beaucoup trop dommageable pour leurs habitants.

Combien de temps faudra-t-il attendre pour que notre gouvernement prenne acte de ces échecs de l’autoritarisme et reconnaisse qu’on ne peut gagner une guerre contre le covid avec des lois d’exception, des mesures autoritaires ubuesques et des faux vaccins ?

Seuls la Chine et Hong Kong persistent dans cette politique autoritaire et il est maintenant évident qu’ils ne le font plus que pour des raisons politiques pour contrôler leurs populations.





De l’uni, vers le multipolaire… concrètement.

[Source : serenite-patrimoniale.com]

Introduction

Chers lecteurs, nous vivons actuellement l’apocalypse, c’est-à-dire, le temps du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que les masques tombent et la Vérité se fait jour. Cette excellente nouvelle est la révélation que notre destin NOUS appartient pleinement.

Pour contribuer activement au futur de l’humanité, reprenons confiance en l’Être que nous sommes vraiment et agissons individuellement pour construire collectivement le merveilleux monde de demain. Ce blog, qui traite de « l’écume des choses », a pour ambition de vous y aider.

Si vous désirez être pleinement acteur de « l’ardente obligation » de changer vraiment ce monde, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques, ce sera votre manière de m’aider très concrètement à poursuivre mon travail et améliorer sa qualité.


Sujet du jour : Un monde s’écroule… un autre nait.

Je ne reviendrais pas dans ce billet sur le début de la guerre « de haute intensité » contre la Russie, déclenchée en 2014 par les USA sur le territoire ukrainien ni sur la réaction « Poutinesque » en déclenchant « l’opération militaire spéciale ». Les numéros du 14 avril et du 21 avril 2022 des « Rendez-vous d’Hubert » y sont largement consacrés.

Ces actions militaires russes ont engendré des sanctions d’ordre financier, infligées par les États-Unis d’Amérique et leurs affidés (dont la France). En réaction, les Russes… aidés par les Chinois, ont accéléré la mise en place d’un nouveau système financier, au niveau mondial. Dans le numéro du 21 mai 2022 des « Rendez-vous d’Hubert », j’ai décrit tout cela et surtout, ce qu’il était nécessaire de faire rapidement, au niveau de votre patrimoine, pour atténuer les conséquences de ce véritable tsunami financier.

Ce qui se passe en Ukraine ne doit pas nous faire oublier la partie du « plan », qui consiste à contrôler les masses par tous les moyens, y compris par l’injection de produits modifiant notre structure cellulaire ☹!!! Dis donc, Hubert, te voilà à nouveau atteint de « fièvre complotiste » ? Que nenni, chers lecteurs, que nenni. Souvenez-vous de ce que j’écrivais il y a plusieurs années, à propos de notre système financier. À l’époque, j’étais aussi traité de complotiste ☺. Jamais découragé, je reprends mon « bâton de pèlerin » de lanceur d’alerte.

La priorité des « marionnettistes » est bien d’injecter les produits « qui vont bien » à un maximum de personnes par le monde, afin de pouvoir les contrôler. C’est dans ce but que les gouvernements sont aimablement conviés à transférer leur pouvoir en matière de gestion de crise sanitaire, à une organisation supranationale… contrôlée par un certain… Bill … je ne me rappelle plus son nom. Buffalo Bill ? Non, ce n’est pas lui. Bill COSBY ? Non plus… Billy le kid ? Toujours pas… je vous laisse chercher, ma mémoire m’abandonne. Je crois qu’il a travaillé dans l’informatique dans sa jeunesse, mais je n’en suis plus sur ☺.

Vous l’avez compris, « l’entité supranationale » c’est l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le 3 mars 2022, le Conseil européen a adopté une décision autorisant l’ouverture de négociations en vue d’un accord international sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies. L’idée est que l’OMS coordonne l’action des états s’approprie le pouvoir des états, pour décider seule, des conduites à tenir pour les prochaines pandémies.

Toujours prompt à « faire le maximum » pour emmerder les français la santé des français, notre cher « Jupiter 1er » a donné son accord enthousiaste à ce projet :

« je suis favorable à l’adoption, sous l’égide de l’OMS, d’un accord international juridiquement contraignant ».

Cela tranche avec l’avis du président d’un « petit pays émergeant membre des BRICS »… le Brésil. Avec plus de 200 millions d’habitants, la population brésilienne se situe au 5e rang mondial. Sa position est claire :

« Le Brésil est autonome et n’entrera pas là-dedans, vous pouvez l’oublier. J’ai déjà parlé à notre cabinet des relations extérieures et si cette proposition va de l’avant, ce ne sera pas avec le Brésil ».

Plus fort, le Botswana a déclaré au nom des 47 membres de l’AFRO qu’il n’apporterait pas son soutien à ces « réformes ».

Encore plus fort, tenez-vous bien : le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud… vous vous souvenez ? Les BRICS… auxquels se joignent maintenant l’Iran et la Malaisie !!! Tout ce « petit monde » qui n’est pas vraiment « fana » pour le projet de l’OMS. Ça fait beaucoup de monde☺.

Le « monde occidental » autrement dit, les USA et ses « alliés », encore autrement dit, le monde unipolaire… c’est la fin !!! La montée en puissance des « pays émergents » et de l’Afrique… voilà que se dessine le monde multipolaire de demain. Et si nous tendions l’oreille à l’est ? Et si nous portions un autre regard sur la Chine ?

Et si nous échappions à « la piquouse pour tous » grâce à ce Nouveau Monde qui émerge ? Voilà une perspective réjouissante, ne pensez-vous pas ?

« Tout au long de l’histoire de l’humanité, il y a eu des meurtriers et des tyrans.
Bien qu’il puisse sembler momentanément qu’ils aient le dessus, ils sont toujours tombés ».

(Mahatma Gandhi)

Chers lecteurs, il est des raisons d’espérer. Je vous aime et vous salue.




La Pelote de Laine

[Source : Sott.net]

« La Pelote de Laine » de Matthieu Biasotto

Par Jacques Paquin

Je suis souvent confronté à un problème qui n’est pas vraiment un problème mais qui à chaque fois me laisse avec un choix difficile et je dois bien avouer que pour l’instant je n’avais pas encore vraiment trouvé de réponse appropriée. Pour résumer, on me demande régulièrement, soit verbalement, soit par courriel, si je connais une bonne source d’information qui résumerait bien tous les secrets cachés dans les coulisses du monde, et qui permettrait facilement de dévoiler les marionnettistes camouflés pour mieux nous manipuler, mais il faudrait que tout soit résumé en quelques articles, ou encore mieux, un simple livre facile à lire pour quelqu’un s’éveillant à la réalité.

la pelote de laine

Ceux qui savent (du moins en partie) ce qui se trame en arrière-plan ont commencé leurs recherches très souvent depuis de nombreuses années et ont lu « des tonnes et des tonnes » d’articles et de livres, et ont visionné de nombreuses vidéos. Relever ce défi et trouver juste quelques articles ou même un livre qui pourraient permettre d’y répondre n’a pas été facile. Très souvent, je noyais la personne avec beaucoup trop d’informations et suivre le fil conducteur devenait trop compliqué et trop laborieux pour la personne en question.

Mais, tout récemment, je suis « tombé par hasard » sur un article qui parlait « en bien » d’un nouveau livre. Après avoir lu cet article, j’ai décidé de me procurer le livre sur le site de l’auteur. Comme vous l’avez surement deviné à partir de la photo introductive, il s’agit de La Pelote de Laine, de Mattieu Biasotto.

L’auteur est connu pour ses livres de style « romance à suspense ou thriller psychologique ». Mais dans son prologue il explique que son nouveau livre s’inscrit dans un registre différent de ce qu’il écrit habituellement :

À la base, je devais concocter une fiction, une romance à suspense ou un thriller psychologique, entre les deux, mon cœur balance toujours un peu. Mais il faut se rendre à l’évidence, je n’ai aucune envie d’inventer en ce moment, et face au sentiment d’urgence qui me dévore, je dois sacrifier mon 28e livre sous peine de devenir dingue et de finir interné. Depuis 8 ans, dans la peau d’un auteur, je me suis évadé à 27 reprises en espérant rendre, à mon modeste niveau, le monde un tout petit peu plus beau.

Peu intéressé par les événements qui ont lieu en coulisses, il suivait bien paisiblement son train-train quotidien :

Il n’y a pas si longtemps, j’étais comme l’immense majorité des gens : dans ma petite bulle familiale, occupé à tracer mon sillon, à travailler sur mon prochain roman pour payer mes factures, histoire que mon banquier me foute la paix entre deux bouquins. J’ai grandi avec les premiers ordinateurs qui m’ont tout de suite fasciné, j’ai passé un nombre d’heures incalculable avec une manette de console à la main, je n’ai pas un, mais deux casques de réalité virtuelle, j’ai une vie très connectée même en habitant en rase campagne, c’est dire à quel point je suis imbibé de technologie, finalement dans la peau de monsieur tout le monde. Fidèle client Amazon depuis des années, adepte du Prime, abonné Netflix de la première heure et Disney+ pour mes trois petits garçons, je me suis peu à peu installé dans une routine confortable. J’étais en mode pilote automatique du haut de mes 38 ans, un peu dans du coton, je vivais ma vie machinalement sans me poser plus de questions que ça. En tout cas, sans me poser les bonnes questions ni sans t’en faire part. En somme, j’étais dans une forme de coma.

Se demander ce qui a pu le motiver à changer de genre littéraire de façon si drastique est légitime. Voici sa réponse publiée sur son site :

Pourquoi vouloir divertir mes lecteurs alors qu’il est plus que temps d’informer un maximum de monde ? Pourquoi m’évader dans un univers fictif tandis qu’il est vital d’ouvrir les yeux sur le réel ? Je me sentais de moins en moins aligné avec mes valeurs, du coup, quand ma femme a deviné le malaise qui me rongeait, elle m’a adressé un clin d’œil qui a tout changé.

Ma plume s’aventure donc dans un autre registre pour tenter de mener une enquête largement documentée, servie par des faits que j’ai pris soin de connecter le long d’un fil rouge tissant une toile d’araignée. Je voulais que la Pelote s’adresse à tout le monde quitte à partir de loin et enfoncer une ou deux portes ouvertes, mais je voulais que cette boule de laine apporte aussi sont lots d’informations judicieuses aux lecteurs les mieux informés. Aussi, je démarre de choses à la portée de tous avant de me risquer dans des détails beaucoup plus pointus.

Mattieu Biasotto est par ailleurs bien conscient de prendre de gros risques et il l’évoque dans sa 4e de couverture :

Je peux tout perdre sur ce livre, l’existence que je menais, ma carrière et même la vie. La censure me guette car je suis de ceux « qui ne sont rien », de ceux qui se posent des questions qui dérangent, je suis surtout de ceux qui voient l’avenir de nos enfants menacé et je suis prêt à tout sacrifier pour tenter de les sauver.

J’en appelle à ton intuition, à tes instincts de parent. J’en appelle à ton bon sens, à ta capacité d’écrire une page de l’Histoire. J’en appelle à chaque citoyen, irresponsable ou emmerdé, curieux ou réfractaire, à tous les grands perdants d’une gigantesque toile.

Car la réalité est sous nos yeux, volontairement éparse et fragmentée. De Wuhan, jusqu’à l’Ukraine, en passant par Biden ou encore notre gouvernement (et bien plus encore), j’ai découvert que tout était connecté à travers 1 359 sources et références. La vérité est donc reliée le long d’un seul et unique fil rouge, c’est la raison pour laquelle je t’invite à dérouler la pelote de laine afin d’ouvrir les yeux.

Tout bien considéré, il s’agit d’un livre écrit par un nouvel éveillé pour les nouveaux éveillés. Maintenant, ce livre nous dévoile-t-il vraiment ce qui se cache dans les coulisses du monde ?

Quid du livre ?

Voici le « Teaser », disponible sur le site de l’auteur :

https://matthieubiasotto.com/wp-content/uploads/2022/05/TEASER_FINAL2.mp4?_=1

L’auteur a choisi une approche progressive et s’adresse à son lecteur comme à un ami curieux de connaître « le fonctionnement de la Matrice ». Il commence doucement par nous révéler les grands marionnettistes du jeu, à savoir les groupes BlackRock et Vanguard. Puis il nous parle de George Soros, des Rockefeller et des Rothschild, de Bill Gates, de Jeffrey Epstein, de Klaus Schwab, d’Henry Kissinger, d’Ursula von der Leyenparmi d’autres personnages impliqués dans ce grand échiquier. Son exploration se poursuit avec les médias, le Covid-19 et les nouveaux vaccins, l’Ukraine, le Dolder Club, le Nouvel Ordre Mondial, le Grand Reset, etc. Il aborde également les techniques utilisées par les élites pour atteindre leurs objectifs.

Bref, sans vouloir trop en dire, il brosse un tableau général sommaire très complet, mais il le fait de manière explicite en présentant de nombreux liens pour soutenir ses propos, afin d’expliquer d’une façon simple et limpide ce qui échappe à la majorité des gens, mais qui néanmoins nous affecte tous.

Ce livre de 430 pages avec 1 359 sources et références offre un très bon résumé de ce qu’est notre réalité et permet par conséquent d’en comprendre les rouages, que ce soit pour une personne qui s’éveille ou pour celle qui a déjà commencé à cheminer dans la quête de la vérité.

Je ne peux que remercier Mattieu Biasotto pour l’excellent travail qu’il a fait « en si peu de temps » et pour son courage en nous offrant ce livre.

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Jacques P. 

Jacques Paquin est originaire de Québec, Canada. Il a étudié les sciences actuarielles à l’Université Laval et a gradué en 1976. Il a travaillé plus de 30 ans pour le Gouvernement du Québec et est maintenant retraité. Sa quête pour la vérité l’a conduit à devenir un éditeur pour SOTT en 2007. Quand Jacques ne travaille pas comme éditeur pour SOTT, il oeuvre dans un groupe de traduction, lit des livres sur la psychologie, la santé, la spiritualité, la science. Il est passionné de plein air et aime faire des randonnées pédestres et du vélo.




Envoyer les imposteurs politico-sanitaires au tapis pour le compte

[Source : yetiblog.org]

La guerre de l’information fait rage entre les propagateurs de peur sanitaire et le carré des résistants à l’empoisonnement vaccinal. Mais le moins qu’on puisse dire est que l’avantage est sérieusement en train de pencher du côté des seconds.

La balance bénéfice/risque catastrophique des vaccins ARN

La balance bénéfice/risque des vaccins ARN est en effet catastrophique et cela commence à se savoir :

  • 3,3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé)
  • 25 000 morts aux états-Unis, 36 000 dans l’Union européenne imputables aux vaccins
  • Très haute toxicité de protéine spike injectée par les vaccins
  • Des effets secondaires de plus en plus nombreux, de plus en plus flagrants : thromboses, myocardites, AVC, rechutes de cancers, maladies neurodégénératives (maladie de Creutzfeldt-Jakob), réveil de maladies auto-immunes…
  • Des conséquences dramatiques pour les plus jeunes et les enfants, pourtant peu sensibles aux différents coronavirus, mais que les fous veulent absolument vacciner.

Les faux-fuyants de plus en plus piteux des imposteurs

Face à cette offensive de la réalité conforté par des expériences et des statistiques de plus en plus implacable, les propagateurs de peur sanitaire n’ont que des contre-études si foireuses, si grossièrement trafiquées qu’elles sont aussitôt démontées. Et la clique des imposteurs genre Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, n’a plus que les faux-fuyants de plus en plus piteux et les procès en complotisme pour sauver la face de leur propagande.

Mettre les imposteurs KO

Ce n’est pas quand ton adversaire… que dis-je, ton ennemi chancelle qu’il faut faire du sentiment. Tu cognes et tu l’envoies au tapis pour le compte, me disait jadis mon entraîneur de boxe. Nous en sommes-là, cogner du plus fort que nous pouvons pour mettre KO ceux qui nous pourrissent la vie depuis maintenant plus de deux ans. Certains s’y emploient avec vaillance.


Philippe Poindron, virologue et professeur honoraire de virologie, remet à sa place un chroniqueur de plateau-télé


Sandrine, veuve d’un homme mort d’un cancer foudroyant trois mois après sa troisième injection, interpelle Jean-Michel Blanquer à propos de la vaccination des enfants « avec un poison ».


Le Dr Ryan Cole témoigne : les cas de cancer, surtout chez les jeunes, explosent dans le monde entier après le vaccin covid19.




MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?

[Source : surgicalneurologyint.com]

Par Russel L. Blaylock
Neurochirurgien retraité, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

Adresse de correspondance :
Russell L. Blaylock, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

DOI : 10.25259/SNI_150_2022Copyright : © 2022 Surgical Neurology International Cet article en libre accès est distribué sous les termes de la licence Creative Commons Attribution-Non Commercial-Share Alike 4.0, qui permet à d’autres de remixer, transformer et s’appuyer sur le travail à des fins non commerciales, comme tant que l’auteur est crédité et que les nouvelles créations sont sous licence aux mêmes conditions.

Comment citer cet article : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22-Apr-2022;13:167

Comment citer cette URL : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22 avril 2022;13:167. Disponible sur :
https://surgicalneurologyint.com/surgicalint-articles/covid-update-what-is-the-truth/

La pandémie de COVID-19 est l’un des événements de maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flux sans fin dirigé par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales. 3 , 6 , 57 ] Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre des experts médicaux, la destruction de carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des personnes non qualifiées disposant d’une richesse énorme , pouvoir et influence.

Pour la première fois dans l’histoire américaine, un président, des gouverneurs, des maires, des administrateurs d’hôpitaux et des bureaucrates fédéraux déterminent les traitements médicaux non pas sur la base d’informations scientifiques précises ou même sur l’expérience, mais plutôt pour forcer l’acceptation de formes spéciales de soins et de « prévention » – y compris le remdesivir, l’utilisation de respirateurs et finalement une série de vaccins à ARN messager essentiellement non testés. Pour la première fois dans l’histoire du traitement médical, les protocoles ne sont pas formulés sur la base de l’expérience des médecins traitant avec succès le plus grand nombre de patients, mais plutôt d’individus et de bureaucraties qui n’ont jamais traité un seul patient, notamment Anthony Fauci, Bill Gates, EcoHealth Alliance, le CDC, l’OMS, les agents de santé publique des États et les administrateurs d’hôpitaux. 23 , 38 ]

Les médias (télévision, journaux, magazines, etc.), les sociétés médicales, les conseils médicaux des États et les propriétaires des médias sociaux se sont désignés comme la seule source d’information concernant cette soi-disant « pandémie ». Des sites Web ont été supprimés, des médecins cliniciens hautement qualifiés et expérimentés et des experts scientifiques dans le domaine des maladies infectieuses ont été diabolisés, des carrières ont été détruites et toutes les informations dissidentes ont été qualifiées de « désinformation » et de « mensonges dangereux », même lorsqu’elles proviennent des meilleurs experts. dans les domaines de la virologie, des maladies infectieuses, des soins intensifs pulmonaires et de l’épidémiologie. Ces obscurcissements de la vérité se produisent même lorsque ces informations sont étayées par de nombreuses citations scientifiques de certains des spécialistes médicaux les plus qualifiés au monde.23 ] Incroyablement, même des individus, comme le Dr Michael Yeadon, un ancien scientifique en chef à la retraite et vice-président de la division scientifique de la société pharmaceutique Pfizer au Royaume-Uni, qui a accusé la société de fabriquer un vaccin extrêmement dangereux, sont ignorés et diabolisé. De plus, lui, ainsi que d’autres scientifiques hautement qualifiés, ont déclaré que personne ne devrait prendre ce vaccin.

Le Dr Peter McCullough, l’un des experts les plus cités dans son domaine, qui a traité avec succès plus de 2000 patients COVID en utilisant un protocole de traitement précoce (que les soi-disant experts ont complètement ignoré), a été victime d’un assaut particulièrement vicieux par ceux qui bénéficient financièrement des vaccins. Il a publié ses résultats dans des revues à comité de lecture, signalant une réduction de 80 % des hospitalisations et une réduction de 75 % des décès grâce à un traitement précoce. 44 ] Malgré cela, il subit une série d’attaques incessantes de la part des contrôleurs de l’information, dont aucun n’a traité un seul patient.

Ni Anthony Fauci, le CDC, l’OMS ni aucun établissement médical gouvernemental n’ont jamais proposé de traitement précoce autre que le Tylenol, l’hydratation et appeler une ambulance une fois que vous avez des difficultés à respirer. C’est sans précédent dans toute l’histoire des soins médicaux, car le traitement précoce des infections est essentiel pour sauver des vies et prévenir les complications graves. Non seulement ces organisations médicales et ces chiens de garde fédéraux n’ont même pas suggéré un traitement précoce, mais ils ont attaqué quiconque tentait d’initier un tel traitement avec toutes les armes à leur disposition – perte de licence, retrait des privilèges hospitaliers, honte, destruction de réputation et même arrestation. 2 ]

Un bon exemple de cet outrage à la liberté d’expression et à la fourniture d’informations sur le consentement éclairé est la récente suspension par le conseil médical du Maine de la licence médicale du Dr Meryl Nass et l’ordre de se soumettre à une évaluation psychiatrique pour avoir prescrit de l’ivermectine et partagé son expertise. dans ce champ.9 , 65 ] Je connais personnellement le Dr Nass et je peux témoigner de son intégrité, de son intelligence et de son dévouement à la vérité. Ses références scientifiques sont impeccables. Ce comportement d’une commission des licences médicales rappelle la méthodologie du KGB soviétique à l’époque où les dissidents étaient incarcérés dans des goulags psychiatriques pour faire taire leur dissidence.

D’AUTRES ATTAQUES SANS PRÉCÉDENT

Une autre tactique sans précédent consiste à retirer les médecins dissidents de leurs postes de rédacteurs en chef, de réviseurs et à retirer leurs articles scientifiques des revues, même après la publication de ces articles. Jusqu’à cet événement pandémique, je n’ai jamais vu autant d’articles de revues retirés – la grande majorité faisant la promotion d’alternatives au dogme officiel, surtout si les articles remettent en question la sécurité des vaccins. Normalement, un article ou une étude soumis est examiné par des experts dans le domaine, appelé examen par les pairs. Ces critiques peuvent être assez intenses et minutieuses, insistant pour que toutes les erreurs dans le document soient corrigées avant la publication. Ainsi, à moins qu’une fraude ou un autre problème caché majeur ne soit découvert après la publication de l’article, l’article reste dans la littérature scientifique.

Nous assistons maintenant à un nombre croissant d’excellents articles scientifiques, rédigés par les meilleurs experts dans le domaine, qui sont retirés des principales revues médicales et scientifiques des semaines, des mois, voire des années après leur publication. Un examen attentif indique que dans de trop nombreux cas, les auteurs ont osé remettre en question les dogmes acceptés par les contrôleurs des publications scientifiques, notamment en ce qui concerne la sécurité, les traitements alternatifs ou l’efficacité des vaccins. 12 , 63 ] Ces revues s’appuient sur la publicité abondante des sociétés pharmaceutiques pour leurs revenus. Plusieurs cas se sont produits où de puissantes sociétés pharmaceutiques ont exercé leur influence sur les propriétaires de ces revues pour supprimer des articles qui remettaient en question les produits de ces sociétés. 13 , 34 , 35 ]

Pire encore est la conception réelle d’articles médicaux pour la promotion de médicaments et de produits pharmaceutiques qui impliquent de fausses études, des soi-disant articles écrits par des fantômes. 49 , 64 ] Richard Horton est cité par le Guardian comme ayant déclaré que « les journaux se sont transformés en opérations de blanchiment d’informations pour l’industrie pharmaceutique. »13 , 63 ] Des articles frauduleux avérés « écrits par des fantômes » parrainés par des géants pharmaceutiques sont régulièrement publiés dans des revues cliniques de premier plan, telles que JAMA et New England Journal of Medicine, qui ne seront jamais supprimés malgré des abus scientifiques et une manipulation des données prouvés.49 , 63 ]

Les articles écrits par des fantômes impliquent l’utilisation de sociétés de planification dont le travail consiste à concevoir des articles contenant des données manipulées pour soutenir un produit pharmaceutique, puis à faire accepter ces articles par des revues cliniques à fort impact, c’est-à-dire les revues les plus susceptibles d’affecter la prise de décision clinique des médecins. De plus, ils fournissent aux médecins en pratique clinique des réimpressions gratuites de ces articles manipulés. The Guardian a trouvé 250 entreprises engagées dans cette activité d’écriture fantôme. L’étape finale dans la conception de ces articles pour publication dans les revues les plus prestigieuses est de recruter des experts médicaux reconnus dans des institutions prestigieuses, pour ajouter leur nom à ces articles. 11 ]

D’une importance vitale est l’observation par des experts dans le domaine de l’édition médicale que rien n’a été fait pour arrêter ces abus. Les éthiciens médicaux ont déploré qu’en raison de cette pratique répandue, « on ne puisse faire confiance à rien ». Alors que certaines revues insistent sur la divulgation d’informations, la plupart des médecins qui lisent ces articles ignorent ces informations ou les excusent et plusieurs revues rendent la divulgation plus difficile en demandant au lecteur de trouver les déclarations de divulgation à un autre endroit. De nombreuses revues ne contrôlent pas ces déclarations et les omissions des auteurs sont courantes et sans sanction.

En ce qui concerne les informations mises à la disposition du public, la quasi-totalité des médias est sous le contrôle de ces géants pharmaceutiques ou autres qui profitent de cette « pandémie ». Leurs histoires sont toutes les mêmes, à la fois dans le contenu et même dans la formulation. Des dissimulations orchestrées se produisent quotidiennement et des données massives exposant les mensonges générés par ces contrôleurs de l’information sont cachées au public. Toutes les données provenant des médias nationaux (télévision, journaux et magazines), ainsi que les nouvelles locales que vous regardez tous les jours, proviennent uniquement de sources « officielles » – dont la plupart sont des mensonges, des distorsions ou complètement fabriquées à partir de tissu entier – toutes visant à tromper le public.

Les médias télévisés reçoivent la majorité de leur budget publicitaire des sociétés pharmaceutiques internationales, ce qui crée une influence irrésistible pour rapporter toutes les études concoctées soutenant leurs vaccins et autres soi-disant traitements. 14 ] Rien qu’en 2020, les industries pharmaceutiques ont dépensé 6,56 milliards de dollars pour ce type de publicité.13 , 14 ] La publicité Pharma TV s’élevait à 4,58 milliards, un incroyable 75% de leur budget. Cela achète beaucoup d’influence et de contrôle sur les médias. Des experts de renommée mondiale dans tous les domaines des maladies infectieuses sont exclus de l’exposition médiatique et des médias sociaux s’ils s’écartent de quelque manière que ce soit des mensonges et des distorsions concoctés par les fabricants de ces vaccins. De plus, ces sociétés pharmaceutiques dépensent des dizaines de millions en publicité sur les réseaux sociaux, Pfizer étant en tête du peloton avec 55 millions de dollars en 2020.14 ]

Bien que ces attaques contre la liberté d’expression soient suffisamment terrifiantes, pire encore est le contrôle quasi universel que les administrateurs d’hôpitaux ont exercé sur les détails des soins médicaux dans les hôpitaux. Ces mercenaires indiquent maintenant aux médecins les protocoles de traitement auxquels ils adhéreront et les traitements qu’ils n’utiliseront pas, peu importe à quel point les traitements « approuvés » sont nocifs ou à quel point les traitements « non approuvés » sont bénéfiques. 33 , 57 ]

Jamais dans l’histoire de la médecine américaine les administrateurs d’hôpitaux n’ont dicté à leurs médecins comment ils pratiqueront la médecine et quels médicaments ils peuvent utiliser. Le CDC n’a pas le pouvoir de dicter aux hôpitaux ou aux médecins concernant les traitements médicaux. Pourtant, la plupart des médecins s’exécutèrent sans la moindre résistance.

La loi fédérale sur les soins a encouragé cette catastrophe humaine en offrant à tous les hôpitaux américains jusqu’à 39 000 dollars pour chaque patient des soins intensifs qu’ils mettent sous respirateur, malgré le fait qu’au début, il était évident que les respirateurs étaient une cause majeure de décès parmi ces patients confiants et sans méfiance. . De plus, les hôpitaux ont reçu 12 000 dollars pour chaque patient admis aux soins intensifs, ce qui explique, à mon avis et à d’autres, pourquoi toutes les bureaucraties médicales fédérales (CDC, FDA, NIAID, NIH, etc.) ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher la vie. – économiser les traitements précoces.46 ] Laisser les patients se détériorer au point d’avoir besoin d’être hospitalisés signifiait beaucoup d’argent pour tous les hôpitaux. Un nombre croissant d’hôpitaux sont menacés de faillite, et beaucoup ont fermé leurs portes, avant même cette « pandémie ».50 ] La plupart de ces hôpitaux appartiennent désormais à des sociétés nationales ou internationales, y compris des hôpitaux universitaires.dix ]

Il est également intéressant de noter qu’avec l’arrivée de cette « pandémie », nous avons assisté à une augmentation du nombre de chaînes d’entreprises hospitalières rachetant un certain nombre de ces hôpitaux financièrement à risque.1 , 54 ] Il a été noté que des milliards d’aide fédérale Covid sont utilisés par ces géants hospitaliers pour acquérir ces hôpitaux financièrement menacés, augmentant encore le pouvoir de la médecine d’entreprise sur l’indépendance des médecins. Les médecins expulsés de leurs hôpitaux ont du mal à trouver d’autres membres du personnel hospitalier à rejoindre, car eux aussi peuvent appartenir au même géant. En conséquence, les politiques de mandat de vaccination incluent un nombre beaucoup plus important d’employés hospitaliers. Par exemple, la Mayo Clinic a licencié 700 employés pour avoir exercé leur droit de refuser un vaccin expérimental dangereux, essentiellement non testé. 51 , 57 ] La Mayo Clinic l’a fait malgré le fait que bon nombre de ces employés ont travaillé pendant le pire de l’épidémie et sont licenciés lorsque la variante Omicron est la souche dominante du virus, a la pathogénicité d’un rhume pour la plupart et les vaccins sont inefficaces dans la prévention de l’infection.

De plus, il a été prouvé que la personne vaccinée asymptomatique a un titre nasopharyngé du virus aussi élevé qu’une personne infectée non vaccinée. Si le mandat du vaccin vise à prévenir la propagation du virus parmi le personnel hospitalier et les patients, ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non vaccinés. La différence est qu’une personne malade non vaccinée n’irait pas travailler, l’épandeur vacciné asymptomatique le fera.

Ce que nous savons, c’est que les principaux centres médicaux, tels que la Mayo Clinic, reçoivent chaque année des dizaines de millions de dollars en subventions des NIH ainsi que des fonds des fabricants pharmaceutiques de ces «vaccins» expérimentaux. À mon avis, c’est la véritable considération qui motive ces politiques. Si cela pouvait être prouvé devant un tribunal, les administrateurs faisant ces mandats devraient être poursuivis dans toute la mesure de la loi et poursuivis par toutes les parties lésées.

Le problème de la faillite des hôpitaux est devenu de plus en plus aigu en raison des mandats de vaccination des hôpitaux et du grand nombre de membres du personnel hospitalier, en particulier des infirmières, qui refusent d’être vaccinés de force. 17 , 51 ] Tout cela est sans précédent dans l’histoire des soins médicaux. Les médecins des hôpitaux sont responsables du traitement de leurs patients individuels et travaillent directement avec ces patients et leurs familles pour initier ces traitements. Des organisations extérieures, telles que le CDC, n’ont aucune autorité pour intervenir dans ces traitements et le faire expose les patients à de graves erreurs de la part d’une organisation qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19.

Lorsque cette pandémie a commencé, les hôpitaux ont reçu l’ordre du CDC de suivre un protocole de traitement qui a entraîné la mort de centaines de milliers de patients, dont la plupart se seraient rétablis si des traitements appropriés avaient été autorisés. 43 , 44 ] La majorité de ces décès auraient pu être évités si les médecins avaient été autorisés à utiliser un traitement précoce avec des produits tels que l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine et un certain nombre d’autres médicaments sûrs et composés naturels. Il a été estimé, sur la base des résultats de médecins traitant avec succès les patients les plus covid, que sur les 800 000 personnes dont on nous dit qu’elles sont mortes de Covid, 640 000 auraient non seulement pu être sauvées, mais auraient pu, dans de nombreux cas, retourner à leur pré -l’état de santé de l’infection avait exigé un traitement précoce avec ces méthodes éprouvées. Cette négligence du traitement précoce constitue un meurtre de masse. Cela signifie que 160 000 seraient en fait décédés, bien moins que le nombre de morts aux mains des bureaucraties, des associations médicales et des conseils médicaux qui ont refusé de défendre leurs patients. 43 , 44 ]

Incroyablement, ces médecins compétents ont été empêchés de sauver ces personnes infectées par le Covid-19. Ce devrait être un embarras pour la profession médicale que tant de médecins suivent sans réfléchir les protocoles mortels établis par les contrôleurs de la médecine.

Il faut aussi garder à l’esprit que cet événement n’a jamais rempli les critères d’une pandémie. L’Organisation mondiale de la santé a modifié les critères pour en faire une pandémie. Pour se qualifier pour un statut pandémique, le virus doit avoir un taux de mortalité élevé pour la grande majorité des gens, ce qu’il n’a pas fait (avec un taux de survie de 99,98 %), et il ne doit avoir aucun traitement existant connu – que ce virus avait – dans fait, un nombre croissant de traitements très efficaces.

Les mesures draconiennes mises en place pour contenir cette « pandémie » artificielle ne se sont jamais avérées efficaces, comme le masquage du public, les confinements et la distanciation sociale. Un certain nombre d’études soigneusement menées au cours des saisons grippales précédentes ont démontré que les masques, quels qu’ils soient, n’avaient jamais empêché la propagation du virus parmi le public. 60 ]

En fait, de très bonnes études ont suggéré que les masques propageaient en fait le virus en donnant aux gens un faux sentiment de sécurité et d’autres facteurs, tels que l’observation que les gens brisaient constamment la technique stérile en touchant leur masque, en l’enlevant de manière inappropriée et en laissant échapper des agents infectieux. aérosols autour des bords du masque. De plus, des masques étaient jetés dans les parkings, les sentiers pédestres, posés sur les tables des restaurants et placés dans les poches et les sacs à main.

Quelques minutes après la mise en place du masque, un certain nombre de bactéries pathogènes peuvent être cultivées à partir des masques, ce qui expose la personne immunodéprimée à un risque élevé de pneumonie bactérienne et les enfants à un risque plus élevé de méningite. 16 ] Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Floride a mis en culture plus de 11 bactéries pathogènes de l’intérieur du masque porté par les enfants dans les écoles.[ 40 ]

On savait également que les enfants ne couraient pratiquement aucun risque de tomber malades du virus ou de le transmettre.

De plus, il était également connu que le port du masque pendant plus de 4 heures (comme cela se produit dans toutes les écoles) entraînait une hypoxie (faible taux d’oxygène dans le sang) et une hypercapnie (taux de CO2 élevés) importantes, qui ont de nombreux effets délétères sur la santé, y compris entraver le développement du cerveau de l’enfant.4 , 72 , 52 ]

Nous savons que le développement du cerveau se poursuit longtemps après les années d’école primaire. Une étude récente a révélé que les enfants nés pendant la « pandémie » ont un QI nettement inférieur, mais les conseils scolaires, les directeurs d’école et les autres bureaucrates de l’éducation ne sont évidemment pas concernés.18 ]

LES OUTILS DU MÉTIER D’ENDOCTRINATION

Les concepteurs de cette pandémie anticipaient un refoulement du public et que de grandes questions embarrassantes seraient posées. Pour éviter cela, les contrôleurs ont nourri les médias d’un certain nombre de tactiques, l’une des plus couramment utilisées était et reste l’escroquerie de «vérification des faits». À chaque confrontation avec des preuves soigneusement documentées, les «vérificateurs des faits» des médias ont répliqué avec l’accusation de «désinformation» et une accusation infondée de «théorie du complot» qui a été, dans leur lexique, «démystifiée». On ne nous a jamais dit qui étaient les vérificateurs de faits ou la source de leurs informations de «démystification» – nous devions simplement croire les «vérificateurs de faits». Une récente affaire judiciaire a établi sous serment que les « vérificateurs de faits » de Facebook ont ​​utilisé l’opinion de leur propre personnel et non de vrais experts pour vérifier les « faits ».59 ] Lorsque des sources sont en fait révélées, il s’agit invariablement du CDC corrompu, de l’OMS ou d’Anthony Fauci ou simplement de leur opinion. Voici une liste de choses qui ont été qualifiées de « mythes » et de « désinformation » qui se sont avérées plus tard vraies.

  • Les vaccinés asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les infectés symptomatiques non vaccinés.
  • Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouvelles variantes, telles que Delta et Omicron.
  • L’immunité naturelle est de loin supérieure à l’immunité vaccinale et dure très probablement toute la vie.
  • Non seulement l’immunité vaccinale diminue après plusieurs mois, mais toutes les cellules immunitaires sont altérées pendant de longues périodes, ce qui expose les vaccinés à un risque élevé d’infections et de cancer.
  • Les vaccins COVID peuvent provoquer une incidence significative de caillots sanguins et d’autres effets secondaires graves
  • Les partisans du vaccin exigeront de nombreux rappels à mesure que chaque variante apparaîtra sur la scène.
  • Fauci insistera sur le vaccin covid pour les petits enfants et même les bébés.
  • Des passeports de vaccination seront nécessaires pour entrer dans une entreprise, voler dans un avion et utiliser les transports en commun
  • Il y aura des camps d’internement pour les non vaccinés (comme en Australie, en Autriche et au Canada)
  • Les non-vaccinés se verront refuser un emploi.
  • Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions élitistes et les fabricants de vaccins
  • De nombreux hôpitaux étaient soit vides, soit peu occupés pendant la pandémie.
  • La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau de la cellule, altérant la fonction de réparation de l’ADN cellulaire.
  • Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins et beaucoup plus ont été endommagées de façon permanente.
  • Un traitement précoce aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes décédées.
  • La myocardite induite par le vaccin (qui a été niée initialement) est un problème important et disparaît en peu de temps.
  • Des lots mortels spéciaux (lots) de ces vaccins sont mélangés à la masse d’autres vaccins Covid-19

Plusieurs de ces affirmations de ceux qui s’opposent à ces vaccins apparaissent maintenant sur le site Web du CDC, la plupart encore identifiées comme des «mythes». Aujourd’hui, de nombreuses preuves ont confirmé que chacun de ces soi-disant «mythes» était en fait vrai. Beaucoup sont même admis par le « saint des vaccins », Anthony Fauci. Par exemple, on nous a dit, même par notre président déficient cognitif, qu’une fois le vaccin sorti, toutes les personnes vaccinées pourraient enlever leur masque. Oops! On nous a dit peu de temps après que les vaccinés ont des concentrations élevées (titres) du virus dans le nez et la bouche (nasopharynx) et peuvent transmettre le virus à d’autres personnes avec lesquelles ils entrent en contact, en particulier les membres de leur propre famille. Reprenez les masques – en fait, le double masquage est recommandé. 27 , 42 , 45 ]

Une autre tactique des partisans du vaccin consiste à diaboliser ceux qui refusent de se faire vacciner pour diverses raisons. Les médias qualifient ces personnes à l’esprit critique d' »anti-vaccins », de « négationnistes des vaccins », de « résistants aux vaccins », de « meurtres », d' »ennemis du plus grand bien » et de ceux qui prolongent la pandémie. J’ai été consterné par les attaques vicieuses, souvent sans cœur, de certaines personnes sur les réseaux sociaux lorsqu’un parent ou un être cher raconte l’histoire de la terrible souffrance et de la mort éventuelle qu’eux-mêmes ou leur proche ont subies à cause des vaccins. Certains psychopathes tweetent qu’ils sont heureux que l’être cher soit décédé ou que la personne vaccinée décédée soit un ennemi du bien pour avoir raconté l’événement et devrait être interdite. C’est difficile à conceptualiser. Ce niveau de cruauté est terrifiant et signifie l’effondrement d’une morale, décente,

C’est déjà assez grave pour le public de tomber aussi bas, mais les médias, les dirigeants politiques, les administrateurs d’hôpitaux, les associations médicales et les conseils d’administration des licences médicales agissent de la même manière moralement dysfonctionnelle et cruelle.

LA LOGIQUE, LE RAISONNEMENT ET LES PREUVES SCIENTIFIQUES ONT DISPARU DANS CET ÉVÉNEMENT

Les preuves scientifiques, les études soigneusement menées, l’expérience clinique et la logique médicale ont-elles eu un effet sur l’arrêt de ces vaccins inefficaces et dangereux ? Absolument pas! Les efforts draconiens pour vacciner tout le monde sur la planète se poursuivent (sauf l’élite, les postiers, les membres du Congrès et autres initiés).31 , 62 ]

Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs examinés par la FDA, les décès autrement inexpliqués de 50 personnes ou moins entraîneraient un arrêt de la distribution du produit, comme cela s’est produit en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021 ainsi que 139 126 blessures graves (y compris les décès) pour la même période, il n’y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccination mortelle. 61 ] Pire encore, aucune agence gouvernementale n’a mené d’enquête sérieuse pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et sont gravement et définitivement blessées par ces vaccins.15 , 67 ] Ce que nous voyons est une série continue de dissimulations et d’évasions par les fabricants de vaccins et leurs promoteurs.

La guerre contre les médicaments et les composés naturels efficaces, bon marché et très sûrs, qui ont prouvé sans aucun doute qu’ils ont sauvé des millions de vies partout dans le monde, s’est non seulement poursuivie, mais s’est intensifiée. 32 , 34 , 43 ]

Les médecins sont informés qu’ils ne peuvent pas fournir ces composés vitaux à leurs patients et s’ils le font, ils seront retirés de l’hôpital, verront leur licence médicale retirée ou seront punis de nombreuses autres manières. Un grand nombre de pharmacies ont refusé de remplir les ordonnances d’lvermectine ou d’hydroxychloroquine, alors que des millions de personnes ont pris ces médicaments en toute sécurité pendant plus de 60 ans dans le cas de l’hydroxychloroquine et des décennies pour l’ivermectine.33 , 36 ] Ce refus de remplir les ordonnances est sans précédent et a été conçu par ceux qui veulent empêcher les méthodes alternatives de traitement, toutes basées sur la protection de l’expansion du vaccin pour tous. Plusieurs entreprises qui fabriquent de l’hydroxychloroquine ont accepté de vider leurs stocks de médicament en les faisant don au Stock national stratégique, ce qui rend ce médicament beaucoup plus difficile à obtenir. 33 ] Pourquoi le gouvernement ferait-il cela alors que plus de 30 études bien faites ont montré que ce médicament réduisait les décès de 66% à 92% dans d’autres pays, comme l’Inde, l’Égypte, l’Argentine, la France, le Nigeria, l’Espagne, le Pérou, le Mexique, et d’autres?23 ]

Les détracteurs de ces deux médicaments qui sauvent des vies sont le plus souvent financés par Bill Gates et Anthony Fauci, qui gagnent tous deux des millions grâce à ces vaccins.48 , 15 ]

Pour arrêter davantage l’utilisation de ces médicaments, l’industrie pharmaceutique et Bill Gates/Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour prouver que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur. 34 ] Pour rendre ce cas frauduleux, les chercheurs ont administré au plus malade des patients covid une dose presque mortelle du médicament, à une dose bien supérieure à celle utilisée sur n’importe quel patient covid par le Dr Kory, McCullough et d’autres médecins, médecins « réels » et compatissants qui traitaient réellement des patients covid.23 ]

Bien sûr, les médias contrôlés et tout-petits ont martelé le public avec des histoires sur l’effet mortel de l’hydroxychloroquine, le tout avec un air terrifié de fausse panique. Toutes ces histoires de dangers de l’ivermectine se sont avérées fausses et certaines d’entre elles étaient incroyablement absurdes. 37 , 43 ]

L’attaque contre l’ivermectine a été encore plus vicieuse que contre l’hydroxy-chloroquine. Tout cela, et bien plus encore, est méticuleusement relaté dans l’excellent nouveau livre de Robert Kennedy, Jr. Le vrai Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique .32 ] Si vous êtes vraiment concerné par la vérité et par tout ce qui s’est passé depuis que cette atrocité a commencé, vous devez non seulement lire, mais étudier attentivement ce livre. Il est entièrement référencé et couvre tous les sujets de manière très détaillée. Il s’agit d’une tragédie humaine aux proportions bibliques conçue par certains des psychopathes les plus vils et sans cœur de l’histoire.

Des millions de personnes ont été délibérément tuées et paralysées, non seulement par ce virus artificiel, mais par le vaccin lui-même et par les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour « contrôler la propagation de la pandémie ». Il ne faut pas ignorer les « morts par désespoir » causées par ces mesures draconiennes, qui peuvent dépasser des centaines de milliers. En conséquence, des millions de personnes sont mortes de faim dans les pays du tiers monde. Rien qu’aux États-Unis, sur les 800 000 morts, revendiqués par les bureaucraties médicales, bien plus de 600 000 de ces décès étaient le résultat de la négligence délibérée d’un traitement précoce, bloquant l’utilisation de médicaments réutilisés hautement efficaces et sûrs, tels que l’hydroxy- la chloroquine et l’ivermectine, et l’utilisation forcée de traitements mortels tels que le remdesivir et l’utilisation de ventilateurs.

Pour aggraver tout cela, en raison des mandats de vaccination parmi tout le personnel hospitalier, des milliers d’infirmières et d’autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés. 17 , 30 , 51 ] Cela a entraîné des pénuries critiques de ces travailleurs de la santé vitaux et des réductions dangereuses de lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. En outre, comme cela s’est produit dans le système de santé du comté de Lewis, un système hospitalier spécialisé à Lowville, NY, a fermé son unité de maternité à la suite de la démission de 30 membres du personnel hospitalier suite aux commandes de vaccins désastreuses de l’État. L’ironie dans tous ces cas de démissions est que les administrateurs ont accepté sans hésiter ces pertes massives d’effectifs malgré les élucubrations sur le manque d’effectifs en période de « crise ». Cela est particulièrement déroutant lorsque nous avons appris que les vaccins n’empêchaient pas la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est d’une pathogénicité extrêmement faible.

LES DANGERS DES VACCINS SONT DE PLUS EN PLUS RÉVÉLÉS PAR LA SCIENCE

Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés au silence, un nombre croissant de personnes hautement intègres et dotées d’une expertise considérable se sont manifestées pour dire la vérité, c’est-à-dire queces vaccins sont mortels.

La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d’être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests minutieux et un suivi approfondi. Ces nouveaux soi-disant vaccins ont été « testés » pendant seulement 2 mois, puis les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d’être tenus secrets. Le témoignage devant le sénateur Ron Johnson de plusieurs personnes qui ont participé à l’étude de 2 mois indique que pratiquement aucun suivi des participants à l’étude préalable à la libération n’a jamais été effectué.67 ] Les plaintes de complications ont été ignorées et malgré les promesses de Pfizer que toutes les dépenses médicales causées par les « vaccins » seraient payées par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu’aucune n’avait été payée.66 ] Certaines dépenses médicales dépassent 100 000 dollars.

À titre d’exemple de la tromperie de Pfizer et des autres fabricants de vaccins à ARNm, citons le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l’étude de sécurité préalable à la commercialisation du vaccin Pfizer. Lors de la présentation de la sénatrice Johnson aux familles des victimes du vaccin, sa mère a raconté les crises récurrentes de son enfant, qu’elle est maintenant confinée dans un fauteuil roulant, qu’elle doit être alimentée par sonde et qu’elle souffre de lésions cérébrales permanentes. Sur l’évaluation de la sécurité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est répertorié comme ayant un « mal de ventre ». Chaque personne a soumis des histoires horribles similaires.

Les Japonais ont eu recours à un procès FOIA (Freedom of Information Act) pour forcer Pfizer à publier son étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cela reste secret est qu’il a démontré que Pfizer avait menti au public et aux organismes de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (le support nano-lipidique enfermé dans l’ARNm). Ils ont affirmé qu’il restait au site de l’injection (l’épaule), alors qu’en fait leur propre étude a révélé qu’il se propageait rapidement dans tout le corps par la circulation sanguine dans les 48 heures.

L’étude a également révélé que ces transporteurs de nano-lipides mortels s’accumulaient à des concentrations très élevées dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des hommes et des femmes, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire majeur). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces transporteurs de nano-lipides ont également été déposés dans le cerveau.

Le Dr Ryan Cole, un pathologiste de l’Idaho, a signalé un pic spectaculaire de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté dans les médias). Il a découvert une incidence effroyablement élevée de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier de mélanomes très invasifs chez les jeunes et de cancers de l’utérus chez les femmes.26 ] D’autres rapports d’activation de cancers précédemment contrôlés apparaissent également chez les patients cancéreux vaccinés. 47 ] Jusqu’à présent, aucune étude n’a été réalisée pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins des études financées par des subventions du NIH.

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l’étude de biodistribution pourrait très bien altérer la fertilité chez les jeunes femmes, modifier les menstruations et les exposer à un risque accru de cancer de l’ovaire. La concentration élevée dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très inquiétant maintenant qu’ils ont commencé à vacciner les enfants dès l’âge de 5 ans. Aucune étude à long terme n’a été menée par aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19, notamment en ce qui concerne le risque d’induction de cancers. L’inflammation chronique est intimement liée à l’induction, à la croissance et à l’invasion du cancer et les vaccins stimulent l’inflammation.

On dit aux patients cancéreux qu’ils devraient se faire vacciner avec ces vaccins mortels. Ceci, à mon avis, est fou. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine de pointe dans le noyau des cellules immunitaires (et très probablement de nombreux types de cellules) et une fois là, inhibe deux enzymes de réparation de l’ADN très importantes, BRCA1 et 53BP1, dont le devoir est de réparer dommages à l’ADN de la cellule.29 ] Les dommages à l’ADN non réparés jouent un rôle majeur dans le cancer.

Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l’ADN sont défectueuses. Ces personnes malheureuses développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers d’organes en conséquence. Ici, nous avons un vaccin qui fait la même chose, mais à un degré moins étendu.

L’une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, qui est associée à une incidence significativement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes.

  • Il convient de noter qu’aucune étude n’a jamais été réalisée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.
  • Ils n’ont jamais été testés pour les effets à long terme
  • Ils n’ont jamais été testés pour l’induction de l’auto-immunité
  • Ils n’ont jamais été correctement testés pour leur sécurité à n’importe quel stade de la grossesse
  • Aucune étude de suivi n’a été réalisée sur les bébés de femmes vaccinées
  • Il n’y a pas d’études à long terme sur les enfants de femmes enceintes vaccinées après leur naissance (surtout lorsque des étapes neurodéveloppementales se produisent).
  • Il n’a jamais été testé pour ses effets sur une longue liste de conditions médicales :
  • Diabète
  • Cardiopathie
  • Athérosclérose
  • Maladies neurodégénératives
  • Effets neuropsychiatriques
  • Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie
  • Fonction immunitaire à long terme
  • Transmission verticale des défauts et désordres
  • Cancer
  • Maladies auto-immunes

L’expérience antérieure avec les vaccins contre la grippe démontre clairement que les études de sécurité réalisées par les chercheurs et les médecins cliniciens liés aux sociétés pharmaceutiques étaient essentiellement toutes soit mal faites, soit délibérément conçues pour montrer à tort la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Cela a été démontré de façon spectaculaire avec les fausses études mentionnées précédemment, conçues pour indiquer que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser. 34 , 36 , 37 ] Ces fausses études ont entraîné des millions de décès et de graves catastrophes sanitaires dans le monde. Comme indiqué, 80 % de tous les décès n’étaient pas nécessaires et auraient pu être évités avec des médicaments réutilisés, sûrs et peu coûteux, avec un très long historique de sécurité parmi des millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie. 43 , 44 ]

Il est au-delà de l’ironie que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé un ensemble de vaccins mal testés qui a entraîné plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins combinés administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse lorsqu’ils ont été confrontés était – « nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce que c’était une pandémie mortelle ».28 , 46 ]

En 1986, le président Reagan a signé la National Childhood Vaccine Injury Act, qui accordait une protection générale aux fabricants pharmaceutiques de vaccins contre les litiges pour blessures intentés par les familles des personnes blessées par le vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s’est prononcée en faveur des sociétés de vaccins, permettant effectivement aux fabricants de vaccins de fabriquer et de distribuer des vaccins dangereux, souvent inefficaces à la population sans crainte de conséquences juridiques. Le tribunal a insisté sur un système d’indemnisation des blessures causées par les vaccins qui n’a versé qu’un très petit nombre de récompenses à un grand nombre de personnes gravement blessées. On sait qu’il est très difficile de recevoir ces récompenses. Selon la Health Resources and Services Administration, depuis 1988, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a accepté de payer 3 597 indemnités parmi 19, 098 personnes blessées par le vaccin ont fait une demande pour un montant total de 3,8 milliards de dollars. C’était avant l’introduction des vaccins Covid-19, dont les décès à eux seuls dépassent tous les décès liés à tous les vaccins confondus sur une période de trente ans.

En 2018, le président Trump a promulgué la loi sur le «droit d’essayer» qui autorisait l’utilisation de médicaments expérimentaux et de tous les traitements non conventionnels en cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l’avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même le refus général des États d’autoriser l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine ou toute autre méthode «officielle» non approuvée pour traiter même les cas terminaux de Covid-19, ces individus infâmes ont ignoré cette loi.

Étrangement, ils n’ont pas utilisé cette même logique ou la même loi en ce qui concerne l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, qui ont toutes deux subi des tests de sécurité approfondis par plus de 30 études cliniques de haute qualité et ont donné des rapports élogieux sur l’efficacité et la sécurité dans de nombreux pays. . De plus, nous avions un dossier d’utilisation allant jusqu’à 60 ans par des millions de personnes, utilisant ces médicaments dans le monde entier, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement. Le livre de Kennedy présente ce cas en utilisant de nombreuses preuves et citations. 14 , 32 ]

Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins covoid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausse couche 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés. 28 ] Lorsque nous examinons son graphique sur les malformations fœtales, il y avait une incidence 144 fois plus élevée de malformations fœtales avec les vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse par rapport à tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l’American Academy of Obstetrics and Gynecology et l’American College of Obstetrics and Gynecology approuvent l’innocuité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.

Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu un financement important de la société pharmaceutique Pfizer. L’American College of Obstetrics and Gynecology, juste au 4ème trimestre de 2010, a reçu un total de 11 000 $ de la seule société pharmaceutique Pfizer.70 ] Le financement des subventions du NIH est beaucoup plus élevé.20 ] La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou programmes pour animaux de compagnie. Peter Duesberg, en raison de son audace à remettre en question la théorie favorite de Fauci sur le sida causé par le virus du VIH, n’a plus reçu aucune des 30 demandes de subvention qu’il a soumises après avoir été rendues publiques. Avant cet épisode, en tant que principale autorité sur les rétrovirus dans le monde, il n’avait jamais été refusé pour une subvention du NIH. 39 ] C’est ainsi que fonctionne le système « corrompu », même si une grande partie de l’argent des subventions provient de nos impôts.

LOTS CHAUDS — LOTS MORTELS DE VACCINS

Une nouvelle étude a maintenant fait surface, dont les résultats sont terrifiants.25 ] Un chercheur de l’Université de Kingston à Londres, a réalisé une analyse approfondie des données des VAER (un sous-département du CDC qui recueille des données volontaires sur les complications des vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés à la suite des vaccins en fonction des numéros de lot du fabricant des vaccins. . Les vaccins sont fabriqués en grandes quantités appelées lots. Ce qu’il a découvert, c’est que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots et qu’un sur 200 de ces lots (lots) est manifestement mortel pour quiconque reçoit un vaccin de ce lot, qui comprend des milliers de doses de vaccin.

Il a examiné tous les vaccins fabriqués – Pfizer, Moderna, Johnson et Johnson (Janssen), etc. Il a découvert que sur 200 lots de vaccins de Pfizer et d’autres fabricants, un lot sur 200 s’est avéré plus de 50 fois plus mortel que les vaccins. lots provenant d’autres lots. Les autres lots de vaccins (lots) provoquaient également des décès et des incapacités, mais loin d’être à ce point. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les « vaccins » s’il s’agissait d’un événement non intentionnel. Cependant, il a constaté que 5% des vaccins étaient responsables de 90% des événements indésirables graves, y compris des décès. L’incidence des décès et des complications graves parmi ces « lots chauds » variait de plus de 1 000 % à plusieurs milliers de pour cent de plus que les lots comparables plus sûrs. Si vous pensez que c’était par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants. Dans l’un de ces scandales, des «lots chauds» d’un vaccin se sont tous retrouvés dans le même état et les dégâts sont immédiatement devenus évidents. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n’était pas pour retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de disperser les lots chauds à travers le pays afin que les autorités ne voient pas l’effet mortel évident.

Tous les lots d’un vaccin sont numérotés, par exemple Modera les étiquette avec des codes tels que 013M20A. Il a été noté que les numéros de lot se terminaient par 20A ou 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A ont eu environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines à vingt ou trente événements pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes ont eu peu ou pas d’effets indésirables après avoir pris le vaccin tandis que d’autres sont soit tuées, soit gravement et définitivement blessées. Pour voir l’explication du chercheur, rendez-vous surhttps://www.bitchute.com/video/6xIYPZBkydsu/À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du « vaccin » pour inclure des lots mortels.

J’ai rencontré et travaillé avec un certain nombre de personnes concernées par la sécurité des vaccins et je peux vous dire qu’elles ne sont pas les méchants anti-vaccins qu’on vous dit qu’elles sont. Ce sont des personnes morales, pleines de principes et compatissantes, dont beaucoup sont des chercheurs de haut niveau et des personnes qui ont étudié la question de manière approfondie. Robert Kennedy, Jr, Barbara Lou Fisher, Dr Meryl Nass, Professeur Christopher Shaw, Megan Redshaw, Dr Sherri Tenpenny, Dr Joseph Mercola, Neil Z. Miller, Dr Lucija Tomjinovic, Dr Stephanie Seneff, Dr Steve Kirsch et le Dr Peter McCullough pour n’en nommer que quelques-uns. Ces gens n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre. Ils sont violemment attaqués par les médias, les agences gouvernementales et les milliardaires d’élite qui pensent qu’ils devraient contrôler le monde et tous ses habitants.

POURQUOI FAUCI NE VOULAIT-IL AUCUNE AUTOPSIE DE CEUX QUI SONT DÉCÉDÉS APRÈS LA VACCINATION ?

Il y a beaucoup de choses à propos de cette « pandémie » qui sont sans précédent dans l’histoire médicale. L’un des plus surprenants est qu’au plus fort de la pandémie, si peu d’autopsies, en particulier d’autopsies totales, étaient pratiquées. Un virus mystérieux se propageait rapidement dans le monde, un groupe sélectionné de personnes dont le système immunitaire était affaibli tombaient gravement malades et beaucoup mouraient et la seule façon dont nous pouvions rapidement acquérir le plus de connaissances sur ce virus – une autopsie, était découragée.

Guerriero a noté qu’à la fin avril 2020, environ 150 000 personnes étaient décédées, mais il n’y avait que 16 autopsies réalisées et rapportées dans la littérature médicale. 24 ] Parmi celles-ci, seules sept étaient des autopsies complètes, les 9 restantes étant partielles ou par biopsie à l’aiguille ou biopsie incisionnelle. Ce n’est qu’après 170 000 décès par Covid-19 et quatre mois après le début de la pandémie que la première série d’autopsies a été effectivement réalisée, soit plus de dix. Et ce n’est qu’après 280 000 décès et un mois de plus que la première grande série d’autopsies a été réalisée, au nombre d’environ 80.22 ] Sperhake, dans un appel pour que les autopsies soient faites sans poser de questions, a noté que la première autopsie complète rapportée dans la littérature avec des photomicrographies est apparue dans une revue médico-légale de Chine en février 2020.41 , 68 ] Sperhake a exprimé sa confusion quant à la raison pour laquelle il y avait une réticence à effectuer des autopsies pendant la crise, mais il savait que cela ne venait pas des pathologistes. La littérature médicale était jonchée d’appels de pathologistes pour que davantage d’autopsies soient effectuées. 58 ] Sperhake a en outre noté que l’Institut Robert Koch (le système allemand de surveillance de la santé) a au moins initialement déconseillé de faire des autopsies. Il savait également qu’à l’époque, 200 institutions d’autopsie participantes aux États-Unis avaient pratiqué au moins 225 autopsies dans 14 États.

Certains ont affirmé que cette pénurie d’autopsies était basée sur la peur d’infection du gouvernement parmi les pathologistes, mais une étude de 225 autopsies sur des cas de Covid-19 a démontré un seul cas d’infection parmi le pathologiste et il a été conclu qu’il s’agissait d’une infection contractée. autre part.19 ] Guerriero termine son article appelant à davantage d’autopsies par cette observation : « Au coude à coude, les médecins légistes et cliniciens ont surmonté les obstacles des études d’autopsie chez les victimes de Covid-19 et ont ainsi généré des connaissances précieuses sur la physiopathologie de l’interaction entre le SARS-CoV- 2 et le corps humain, contribuant ainsi à notre compréhension de la maladie. »24 ]

Les soupçons concernant la réticence mondiale des nations à autoriser des études post mortem complètes des victimes de Covid-19 peuvent être basés sur l’idée que c’était plus que par hasard. Il y a au moins deux possibilités qui se démarquent. Premièrement, ceux qui ont mené la progression de cet événement « non pandémique » vers une « pandémie mortelle » mondiale perçue, cachaient un secret important que les autopsies pourraient documenter. À savoir, combien de décès ont été réellement causés par le virus ? Pour mettre en œuvre des mesures draconiennes, telles que le port obligatoire de masques, les fermetures, la destruction d’entreprises et finalement la vaccination forcée obligatoire, ils avaient besoin d’un très grand nombre de morts infectés par le covid-19. La peur serait le moteur de tous ces programmes destructeurs de lutte contre la pandémie.

  • Elder et al dans son étude ont classé les résultats de l’autopsie en quatre groupes. 22 ]
  • Mort certaine du Covid-19
  • Probablement la mort du Covid-19
  • Mort probable du Covid-19
  • Non associé au Covid-19, malgré le test positif.

Ce qui a peut-être inquiété ou même terrifié les ingénieurs de cette pandémie, c’est que les autopsies pourraient bien montrer, et ont montré, qu’un certain nombre de ces soi-disant décès de Covid-19 sont en réalité morts de leurs maladies comorbides. Dans la grande majorité des études d’autopsie rapportées, les pathologistes ont noté de multiples conditions comorbides, dont la plupart aux extrêmes de la vie pourraient à elles seules être mortelles. Auparavant, on savait que les virus du rhume avaient une mortalité de 8 % dans les maisons de retraite.

En outre, des preuves précieuses pourraient être obtenues à partir des autopsies qui amélioreraient les traitements cliniques et pourraient éventuellement démontrer l’effet mortel des protocoles mandatés par le CDC que tous les hôpitaux étaient tenus de suivre, tels que l’utilisation de respirateurs et le remdesivir, un médicament mortel qui détruit les reins. . Les autopsies ont également démontré une accumulation d’erreurs médicales et de soins de mauvaise qualité, car le fait de protéger les médecins des unités de soins intensifs des yeux des membres de la famille conduit inévitablement à des soins de moindre qualité, comme l’ont rapporté plusieurs infirmières travaillant dans ces domaines. 53 – 55 ]

Aussi mauvais que tout cela ait été, la même chose est faite dans le cas des décès dus au vaccin Covid – très peu d’autopsies complètes ont été effectuées pour comprendre pourquoi ces personnes sont mortes, c’est-à-dire jusqu’à récemment. Deux chercheurs hautement qualifiés, le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et expert hautement qualifié en maladies infectieuses, et le Dr Arne Burkhardt, pathologiste faisant autorité et ayant été professeur de pathologie dans plusieurs institutions prestigieuses, ont récemment pratiqué des autopsies sur 15 personnes ayant mort après vaccination. Ce qu’ils ont trouvé explique pourquoi tant de personnes meurent et subissent des dommages aux organes et des caillots sanguins mortels. 5 ]

Ils ont déterminé que 14 des quinze personnes sont décédées des suites des vaccins et non d’autres causes. Le Dr Burkhardt, le pathologiste, a observé de nombreuses preuves d’une attaque immunitaire sur les organes et les tissus des individus autopsiés, en particulier leur cœur. Cette preuve comprenait une invasion étendue de petits vaisseaux sanguins avec un nombre massif de lymphocytes, qui provoquent une destruction cellulaire importante lorsqu’ils sont libérés. D’autres organes, tels que les poumons et le foie, ont également été gravement endommagés. Ces découvertes indiquent que les vaccins amenaient le corps à s’attaquer avec des conséquences mortelles. On peut facilement voir pourquoi Anthony Fauci, ainsi que les agents de santé publique et tous ceux qui font la promotion de ces vaccins, ont publiquement découragé les autopsies sur les vaccinés décédés par la suite. On peut aussi voir que dans le cas des vaccins, qui étaient essentiellement non testés avant d’être approuvés pour le grand public, au moins les organismes de réglementation auraient dû être tenus de surveiller et d’analyser attentivement toutes les complications graves, et certainement les décès, liés à ces vaccins. La meilleure façon de le faire est d’effectuer des autopsies complètes.

Bien que nous ayons appris des informations importantes de ces autopsies, ce qui est vraiment nécessaire, ce sont des études spéciales des tissus de ceux qui sont décédés après la vaccination pour la présence d’infiltration de protéines de pointe dans les organes et les tissus. Ce serait une information critique, car une telle infiltration entraînerait de graves dommages à tous les tissus et organes impliqués, en particulier le cœur, le cerveau et le système immunitaire. Des études animales l’ont démontré. Chez ces individus vaccinés, la source de ces protéines de pointe serait les porteurs nanolipidiques injectés de l’ARNm produisant la protéine de pointe.

CONCLUSION

Nous vivons tous l’un des changements les plus drastiques de notre culture, de notre système économique et de notre système politique de l’histoire de notre nation ainsi que du reste du monde. On nous a dit que nous ne reviendrions jamais à la « normale » et qu’une grande réinitialisation a été conçue pour créer un « nouvel ordre mondial ». Tout cela a été décrit par Klaus Schwab, chef du Forum économique mondial, dans son livre sur la « grande réinitialisation ».66 ] Ce livre donne beaucoup d’informations sur la pensée des utopistes qui sont fiers de revendiquer cette «crise» pandémique comme leur moyen d’inaugurer un nouveau monde. Ce nouvel ordre mondial est sur les planches à dessin des manipulateurs d’élite depuis plus d’un siècle.73 , 74 ] Dans cet article, je me suis concentré sur les effets dévastateurs que cela a eu sur le système de soins médicaux aux États-Unis, mais aussi sur une grande partie du monde occidental. Dans des articles antérieurs, j’ai discuté de la lente érosion des soins médicaux traditionnels aux États-Unis et de la façon dont ce système est devenu de plus en plus bureaucratisé et enrégimenté. sept , 8 ] Ce processus s’accélérait rapidement, mais l’apparition de cette « pandémie » fabriquée, à mon avis, a transformé notre système de santé du jour au lendemain.

Comme vous l’avez vu, une série d’événements sans précédent s’est produite au sein de ce système. Les administrateurs d’hôpitaux, par exemple, ont assumé la position de dictateurs médicaux, ordonnant aux médecins de suivre des protocoles dérivés non pas de ceux qui ont une vaste expérience dans le traitement de ce virus, mais plutôt d’une bureaucratie médicale qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19. L’utilisation obligatoire de respirateurs sur les patients des soins intensifs Covid-19, par exemple, a été imposée dans tous les systèmes médicaux et les médecins dissidents ont été rapidement démis de leurs fonctions de soignants, malgré leur démonstration de méthodes de traitement nettement améliorées. De plus, les médecins ont été invités à utiliser le médicament remdesivir malgré sa toxicité avérée, son manque d’efficacité et son taux de complications élevé. On leur a dit d’utiliser des médicaments qui nuisent à la respiration et de masquer chaque patient, malgré les difficultés respiratoires du patient. Dans chaque cas, ceux qui ont refusé d’abuser de leurs patients ont été renvoyés de l’hôpital et ont même fait face à une perte de licence ou pire.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine moderne, le traitement médical précoce de ces patients infectés a été ignoré à l’échelle nationale. Des études ont montré qu’un traitement médical précoce permettait d’économiser 80 % du nombre plus élevé de ces personnes infectées lorsqu’il était initié par des médecins indépendants.43 , 44 ] Un traitement précoce aurait pu sauver plus de 640 000 vies au cours de cette « pandémie ». Malgré la démonstration de la puissance de ces premiers traitements, les forces de contrôle des soins médicaux ont poursuivi cette politique destructrice.

Les familles n’étaient pas autorisées à voir leurs proches, obligeant ces personnes très malades hospitalisées à affronter seules leur mort. Pour ajouter l’insulte à l’injure, les funérailles étaient limitées à quelques membres de la famille en deuil, qui n’étaient même pas autorisés à s’asseoir ensemble. Pendant tout ce temps, les grands magasins, tels que Walmart et Cosco, étaient autorisés à fonctionner avec des restrictions minimales. Les patients des maisons de soins infirmiers n’étaient pas non plus autorisés à recevoir des visites familiales, étant à nouveau forcés de mourir seuls. Pendant tout ce temps, dans un certain nombre d’États, le plus transparent étant celui de New York, des personnes âgées infectées ont été délibérément transférées des hôpitaux vers des maisons de retraite, ce qui a entraîné un taux de mortalité très élevé chez ces résidents de maisons de retraite. Au début de cette « pandémie », plus de 50 % de tous les décès survenaient dans des maisons de retraite.

Tout au long de cette « pandémie », nous avons été nourris d’une série interminable de mensonges, de distorsions et de désinformation de la part des médias, des responsables de la santé publique, des bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et des associations médicales. Des médecins, des scientifiques et des experts en traitements infectieux qui ont formé des associations visant à développer des traitements plus efficaces et plus sûrs, ont été régulièrement diabolisés, harcelés, honteux, humiliés et subissent une perte de licence, une perte de privilèges hospitaliers et, dans au moins un cas, ordonné de subir un examen psychiatrique.2 , 65 , 71 ]

Anthony Fauci a reçu le contrôle essentiellement absolu de toutes les formes de soins médicaux lors de cet événement, notamment en insistant pour que les médicaments dont il a bénéficié soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l’utilisation de masques, bien qu’il se soit d’abord moqué de l’utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans poser de questions.

Les mesures draconiennes utilisées, le masquage, les verrouillages, les tests des personnes non infectées, l’utilisation du test PCR inexact, la distanciation sociale et la recherche des contacts s’étaient auparavant avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives de rejeter ces méthodes n’ont servi à rien. Certains États ont ignoré ces ordonnances draconiennes et ont enregistré le même nombre de cas ou moins, ainsi que des décès, que les États avec les mesures les plus strictement appliquées. Encore une fois, aucune preuve ou démonstration évidente dans ce sens n’a eu d’effet sur la fin de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, comme la Suède, qui ont évité toutes ces mesures, ont démontré des taux d’infections et d’hospitalisation égaux à ceux des nations avec les mesures les plus strictes et les plus draconiennes, aucun changement de politique de la part des institutions de contrôle n’a eu lieu.

Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont démontré que les mesures draconiennes s’accompagnent d’un coût énorme sous la forme de « morts de désespoir » et d’une augmentation spectaculaire des troubles psychologiques graves. Les effets de ces mesures pandémiques sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et en grande partie irréversibles.

Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir à la suite de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé à apparaître, les contrôleurs de cette « pandémie » ont continué à toute vapeur. Augmentation drastique des suicides, augmentation de l’obésité, augmentation de la consommation de drogue et d’alcool, aggravation de nombreuses mesures sanitaires et augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, notamment la dépression et l’anxiété, ont été ignorés par les responsables contrôlant cet événement.

Nous avons finalement appris que de nombreux décès étaient le résultat de négligence médicale. Les personnes atteintes de maladies chroniques, de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et de maladies neurologiques n’étaient plus suivies correctement dans leurs cliniques et cabinets médicaux. Les opérations non urgentes ont été suspendues. Beaucoup de ces patients ont choisi de mourir chez eux plutôt que de risquer d’aller à l’hôpital et beaucoup ont considéré les hôpitaux comme des « maisons de la mort ».

Les registres des décès ont montré qu’il y avait une augmentation des décès chez les personnes âgées de 75 ans et plus, principalement expliquée par les infections à Covid-19, mais pour les personnes âgées de 65 à 74 ans, les décès avaient augmenté bien avant le début de la pandémie. 69 ] Entre 18 ans et 65 ans, les dossiers démontrent une hausse choquante des décès non-Covid-19. Certains de ces décès s’expliquent par une augmentation spectaculaire des décès liés à la drogue, quelque 20 000 de plus qu’en 2019. Les décès liés à l’alcool ont également augmenté de manière substantielle et les homicides ont augmenté de près de 30 % dans le groupe des 18 à 65 ans.

Le chef de la compagnie d’assurance OneAmerica a déclaré que leurs données indiquaient que le taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 64 ans avait augmenté de 40 % au cours de la période pré-pandémique.21 ] Scott Davidson, PDG de la société, a déclaré que cela représentait le taux de mortalité le plus élevé de l’histoire des dossiers d’assurance, qui collecte chaque année de nombreuses données sur les taux de mortalité. Davidson a également noté que cette augmentation du taux de mortalité n’avait jamais été observée dans l’histoire de la collecte de données sur les décès. Les catastrophes précédentes d’une ampleur monumentale n’ont augmenté les taux de mortalité que de 10%, 40% est sans précédent.

Le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l’Indiana, a déclaré que les hospitalisations dans l’Indiana sont plus élevées qu’à tout moment au cours des cinq dernières années. Ceci est d’une importance cruciale puisque les vaccins étaient censés réduire considérablement les décès, mais c’est l’inverse qui s’est produit. Les hôpitaux sont inondés de complications liées aux vaccins et de personnes dans un état critique à cause de la négligence médicale causée par les fermetures et d’autres mesures pandémiques. 46 , 56 ]

Un nombre dramatique de ces personnes meurent maintenant, le pic se produisant après l’introduction des vaccins. Les mensonges de ceux qui se sont nommés dictateurs médicaux sont sans fin. D’abord, on nous a dit que le confinement ne durerait que deux semaines, ils ont duré plus d’un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et n’avaient pas besoin d’être portés. Cela s’est vite inversé. Ensuite, on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, maintenant ce n’est plus le cas et tout le monde devrait porter un masque N95 et avant cela, ils devraient porter un double masque. On nous a dit qu’il y avait une grave pénurie de respirateurs, puis nous découvrons qu’ils sont inutilisés dans les entrepôts et dans les dépotoirs de la ville, toujours dans leurs caisses d’emballage. Nous avons été informés que les hôpitaux étaient principalement remplis de personnes non vaccinées et nous avons découvert plus tard que c’était exactement le contraire dans le monde entier.

Lors de la sortie des vaccins, les femmes ont été informées que les vaccins étaient sûrs pendant tous les stades de la grossesse, seulement pour découvrir qu’aucune étude n’avait été réalisée sur la sécurité pendant la grossesse lors des «tests de sécurité» avant la sortie du vaccin. On nous a dit que des tests minutieux sur des volontaires avant l’approbation de l’EUA pour un usage public ont démontré l’extrême sécurité des vaccins, seulement pour apprendre que ces malheureux sujets n’étaient pas suivis, que les complications médicales causées par les vaccins n’étaient pas payées et que les médias couvraient tout cela .67 ] Nous avons également appris que les fabricants pharmaceutiques des vaccins avaient été informés par la FDA que d’autres tests sur les animaux n’étaient pas nécessaires (le grand public serait les cobayes.) Incroyablement, on nous a dit que les nouveaux vaccins à ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA. , qui était une tromperie de couperet, en ce qu’un autre vaccin avait l’approbation (comirnaty) et non celui utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin communautaire approuvé n’était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont déclaré au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n’était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps d’arrêter cette folie et de traduire ces personnes en justice.

Clause de non-responsabilité

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de la Revue ou de sa direction.

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Enjeux sanitaires : le rôle de l’OMS et de l’UE

[Source : EFVV]

Discussions sur le rôle de l’OMS et de l’UE, crise sanitaire, enjeux et objectifs.

Sommaire de la vidéo :
00:09 – Introduction
18:36 – L’évolution de la mission de l’OMS
37:29 – OMS : nouveau traité ou amendement ?
57:28 – Conclusion et ouverture


Ouvrages et enquêtes sur le système onusien, de Jean-Loup IZAMBERT :
– ONU violations humaines ( éd. Carnot, 2003)
– Faut-il brûler l’ONU? ( éd. du Rocher, 2004)
– Trump face à l’Europe – Peut-on éviter une nouvelle guerre mondiale? ( éd. IS Edition, 2017)

Enquêtes parues en deux tomes sur les protections et le soutien de l’Etat français à des groupes terroristes :
56 tome 1, l’Etat français complice de groupes criminels (IS Edition, 2015)
56, tome 2, Mensonges et crimes d’ Etat ( IS Edition, 2017)


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Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich

Voici l’interview récente faite par l’équipe de Reiner Fuellmich de l’archevêque Viganò. Ce dernier est le seul membre éminent de l’Église catholique (les autres églises ont également collaboré à fond à l’escroquerie Covid-19) à avoir eu la lucidité et le courage pour s’opposer au narratif de l’OMS, des laboratoires pharmaceutiques et des médias mainstream corrompus.

Jean Bitterlin

Interview partie I du 27 mai 2022

Comité Corona : Votre Excellence, de nombreuses personnes vous connaissent et vous apprécient beaucoup pour avoir été un homme sincère dans un environnement souvent malhonnête, même pendant votre service au Vatican. Vous avez servi comme diplomate de haut niveau, en particulier comme nonce du Vatican aux États-Unis, représentant le pape auprès des Églises locales aux États-Unis.

C’est pour nous un grand honneur et une grande joie de pouvoir vous parler aujourd’hui. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet et de vous demander votre avis sur la situation politique mondiale, notamment en ce qui concerne la crise dite de Corona, veuillez nous parler un peu de votre histoire personnelle, afin que les spectateurs qui ne vous connaissent pas encore sachent qui vous êtes.

Mgr Viganò : Tout d’abord, je voudrais vous adresser mes salutations les plus cordiales, Monsieur l’Avocat Reiner Füllmich, ainsi qu’à tous vos collaborateurs et collègues, et vous rendre hommage pour avoir développé l’idée de la Commission Corona. Vos recherches sur la gestion de l’urgence Covid-19 et des essais de masse contribuent largement à rassembler des preuves afin de traduire les responsables en justice et de les punir. C’est une contribution importante en vue de la création d’une alliance antimondialiste, car les auteurs de la farce de la pandémie sont les mêmes personnes qui veulent aujourd’hui pousser le monde vers une guerre totale et une crise énergétique permanente.

En ce qui concerne ma « carrière », il n’y a pas grand-chose à dire : je suis un archevêque catholique qui a occupé différents postes à responsabilité au Vatican, aussi bien à la Secrétairerie d’État du Saint-Siège qu’au gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican et en tant que nonce apostolique au Nigeria et enfin, par la volonté de Benoît XVI, aux États-Unis. Ma notoriété — totalement involontaire — résulte de ma position sur le scandale sexuel de l’ancien cardinal américain Theodore McCarrick et d’autres affaires, non moins graves, impliquant des membres haut placés de la hiérarchie. En tant que successeur des apôtres, je ne pouvais pas rester silencieux face aux tentatives de dissimulation de ces faits honteux par la soi-disant mafia de la lavande, qui bénéficie du soutien et de la protection de Bergoglio.

Comité Corona : vous avez un CV impressionnant — mais si l’on cherche votre nom dans les anciens médias (mainstream), on trouve des articles diffamatoires qui vous accusent, entre autres, de diffuser de la propagande du Kremlin et de faire des déclarations confuses. En y regardant de plus près, il nous semble que ce n’est pas du tout le cas, bien au contraire, vous restez plutôt fidèle à votre réputation d’homme sincère même dans un environnement peu sincère, même si cela vous porte préjudice personnellement. Où voyez-vous la « césure » ou la « rupture » dans votre parcours, où cette vertu a été transformée en tare par les anciens médias ? Quelle ligne rouge avez-vous franchie ; sur quel sujet votre franchise est-elle devenue un danger pour le récit public ?

Mgr Vigano : Les fausses accusations sont l’un des moyens utilisés par ceux qui veulent éliminer un adversaire qu’ils craignent et ne peuvent pas combattre loyalement. En l’occurrence, je suis considéré comme inconfortable tant par les représentants de l’Église profonde que par la cabale bergoglienne, dont je dénonce les scandales et les dissimulations depuis l’affaire McCarrick. Et je suis tout aussi inconfortable pour l’État profond, qui a pu compter sur la complicité du Saint-Siège ainsi que de la quasi-totalité de l’épiscopat mondial dans les événements de ces dernières années. La voix dissonante d’un évêque, en particulier lorsqu’il formule des plaintes fondées sur des faits irréfutables, risque de remettre en question le récit officiel, tant en ce qui concerne le prétendu renouveau de l’Église sous ce « pontificat » que la farce de la pandémie et la « vaccination » de masse. Même dans la récente crise entre la Russie et l’Ukraine, l’élite mondialiste, l’OTAN, l’État profond américain, l’Union européenne, le Forum économique mondial, toute la machinerie médiatique et le Vatican sont du même côté. L’intervention de Poutine en Ukraine est considérée comme une menace pour le Nouvel Ordre Mondial, qui doit être neutralisée, même au prix d’un conflit mondial.

Si je dois donc identifier un « point de rupture » sur le front ecclésial, il a définitivement coïncidé avec ma dénonciation du réseau de complicités et des scandales de clercs et de prélats corrompus que Bergoglio a délibérément et obstinément tenté d’étouffer. Sur le front civil, la ligne rouge me semble avoir été franchie avec mon Appel pour l’Église et le monde d’il y a deux ans [en mai 2020], dans lequel je dénonçais la menace que représentait le coup d’État silencieux mené à l’aide de l’état d’urgence sanitaire. L’urgence énergétique et l’urgence alimentaire font toujours partie, avec l’urgence guerrière, des « scénarios » inquiétants que le Forum économique mondial et les Nations unies ont décrits de manière très détaillée longtemps à l’avance. Lorsqu’un jour, pas si lointain, un tribunal jugera ces criminels et leurs complices dans les institutions de presque toutes les nations occidentales, ces documents constitueront la preuve de la préparation du plus grand coup d’État de tous les temps. Et la même chose se produira en ce qui concerne les affaires ecclésiastiques, montrant que la déviation doctrinale et morale qui a commencé avec le Concile Vatican II a créé les conditions nécessaires à la corruption doctrinale et morale du clergé et à la délégitimation simultanée de l’autorité des pasteurs. N’oublions pas que les processus révolutionnaires se sont toujours appuyés sur les vices et les faiblesses de leurs représentants, aussi bien pour détruire l’État que pour affaiblir l’Église.

Comité Corona : Votre Excellence, la crise Corona et Measures entre dans sa troisième année ; entre-temps, la conduite de la guerre à l’Est et surtout l’incitation massive à la guerre par la politique et les médias sont venues s’y ajouter. Comment jugez-vous cette évolution ?

Mgr Vigano : Clarifions un point fondamental : La crise ukrainienne a été sciemment provoquée par l’État profond afin de contraindre le monde à mettre en œuvre les réformes du Great Reset, notamment ce que l’on appelle la « transition technologique » et le « tournant vert ». C’est la deuxième étape du coup d’État technocratique mondialiste après la farce de la pandémie.

La psychopandémie était la première étape d’une véritable attaque visant à prendre le contrôle des gouvernements. En réalité, ils ne cherchent aujourd’hui qu’à contourner le pouvoir politique, qui n’était jusqu’à présent qu’un simple exécutant d’ordres. Sous prétexte de pandémie, ils ont mis en place des systèmes de contrôle détaillé de la population, y compris des systèmes de traçabilité des citoyens individuels inoculés avec le sérum génétique expérimental.

Pas plus tard que ces derniers jours, le PDG de Pfizer Albert Burla a déclaré au Forum de Davos : « Imaginez une puce biologique contenue dans une pilule qui, lorsqu’elle est avalée, passe dans l’estomac et envoie un signal. […] Imaginez les applications, la possibilité de rendre les gens dociles. […] Ce qui se passe dans ce domaine est fascinant » (ici). Et Albert Bourla dit « ce qui se passe » parce qu’il parle de technologies existantes et non de projets imaginaires. L’existence du graphène et des nanocircuits auto-assemblés est désormais admise même par ceux qui, il y a un an encore, traitaient de « conspirationnistes » ceux qui tiraient la sonnette d’alarme. Les populations des pays qui ont adhéré à l’Agenda 2030 sont désormais pour la plupart « vaccinées », ou plutôt génétiquement modifiées, et leur système immunitaire est désormais affaibli de manière irréversible. Et peut-être — comme le dénoncent maintenant certains juristes — découvrira-t-on qu’on leur a injecté, en même temps que le sérum génétique, des puces capables de contrôler même les réactions des gens, d’influencer leur comportement et de les rendre dociles en cas de troubles, ou violents s’il est nécessaire d’avoir un prétexte pour des interventions militaires. Nous sommes bien au-delà d’un coup d’État global : il s’agit de la plus grande, de la plus retentissante, de la plus inédite attaque contre la personne humaine : contre la liberté de l’homme, sa conscience et sa volonté.

On imagine bien le risque qu’il y a à confier à l’OMS le contrôle souverain des systèmes de santé de différents pays en cas de pandémie, alors que ceux qui doivent décider des campagnes de vaccination et des traitements, des mesures d’endiguement et de confinement, sont tous financés par les grands groupes pharmaceutiques et par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui théorise sur la pandémie éternelle et le vaccin de rappel éternel. Même la résolution qui devait être votée à l’OMS — et qui a été empêchée, du moins pour le moment — allait dans le sens d’un contrôle total par la synarchie mondialiste. Il ne faut donc pas s’étonner si l’OMS, dans une tentative lamentable de dissimuler les effets secondaires du sérum génétique expérimental, tire maintenant la sonnette d’alarme au sujet de la prétendue variole du singe, dont la symptomatologie ressemble étrangement à certains des effets secondaires du « vaccin » à ARNm (ici). Tant l’OMS que l’Agence européenne des médicaments (financée à 75 % par BigPharma) ont montré qu’elles se trouvent dans un conflit d’intérêts évident et qu’elles sont totalement dépendantes de l’industrie pharmaceutique.

En ce qui concerne la crise russo-ukrainienne, ce qui aurait dû être une opération de paix visant à mettre fin à la persécution ethnique de la minorité russophone d’Ukraine par des extrémistes néonazis s’est délibérément et coupablement transformé en guerre. Les appels répétés du président Poutine à la communauté internationale pour qu’elle respecte le protocole de Minsk sont tombés dans l’oreille d’un sourd.

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il s’agissait d’une excellente opportunité.

Tout d’abord, c’était l’occasion de créer artificiellement une crise énergétique mondiale afin de forcer la transition vers des sources d’énergie alternatives, avec tout le business que cela implique. Sans crise, comment imposer l’augmentation des prix du gaz et de l’essence comme instrument pour contraindre les entreprises et les individus à la fameuse « transition écologique » que personne n’a jamais choisie et qui a été imposée par des bureaucrates, eux-mêmes asservis par les élites ?

Deuxièmement, pour détruire de manière contrôlée et impitoyable toutes les entreprises considérées comme inutiles ou nuisibles à l’économie globale des multinationales. Des millions d’entreprises artisanales, de petites entreprises qui font l’originalité des nations d’Europe et de l’Italie en particulier, ont été contraintes à la fermeture parce que, après les catastrophes provoquées par les bouclages et les règles de la psychopandémie, on a provoqué une hausse des prix du gaz et du pétrole, avec des spéculations criminelles du « marché » et sans que la Fédération de Russie n’obtienne un centime de plus. Tout cela a été provoqué par l’Union européenne, sur ordre de l’OTAN, à l’aide de sanctions qui se répercutent sur ceux qui les ont imposées. L’effondrement de l’économie traditionnelle n’est pas la conséquence malheureuse d’un conflit inattendu, mais l’action criminelle délibérée d’une mafia mondiale, en comparaison de laquelle la mafia traditionnelle apparaît comme un partenariat avantageux. L’avantage de cette opération subversive profite aux multinationales, qui peuvent racheter des entreprises et des biens immobiliers à des prix défiant toute concurrence, ainsi qu’aux sociétés financières, qui bénéficient de crédits accordés à des millions de nouveaux pauvres. Là encore, les objectifs idéologiques — et diaboliques — de l’élite se servent de la complicité de potentats économiques dont l’objectif est tout simplement de faire du profit. Avec la guerre, l’industrie de l’armement et la non moins florissante industrie des technologies de l’information et des mercenaires ont désormais la possibilité de conclure des affaires lucratives qui leur permettent de récompenser généreusement les politiciens qui ont voté pour la livraison d’armes et de soutien à l’Ukraine.

Troisièmement, la guerre en Ukraine devait notamment servir à étouffer le scandale Hunter Biden qui, avec la société Metabiota, a financé des laboratoires biologiques dans lesquels sont fabriquées des armes bactériologiques de destruction massive. Le siège de l’aciérie d’Azovstal était justement justifié par la nécessité de cacher aussi bien les membres des troupes étrangères de l’OTAN avec les néonazis d’Azov et de Pravij Sektor que les laboratoires biologiques interdits par les conventions internationales et dans lesquels des expériences devaient être menées sur la population locale.

Quatrièmement, parce que le récit de la pandémie peudo, malgré la complicité des médias mainstream, n’a pas pu empêcher la vérité d’éclater au grand jour et de se répandre progressivement dans des cercles de plus en plus larges de l’opinion publique : la crise ukrainienne devait être une opération bien organisée visant à détourner l’attention des masses afin d’empêcher que les nouvelles de plus en plus incontrôlables sur les effets mortels du sérum expérimental et les conséquences catastrophiques des mesures prises par les nations pendant la pandémie d’urgence ne soient connues. La falsification des données est désormais évidente ; la dissimulation délibérée des résultats de la première phase de l’expérience est admise par les entreprises pharmaceutiques elles-mêmes ; l’inutilité des masques et du confinement est prouvée par plusieurs études ; les dommages causés à l’équilibre psychophysique de la population et en particulier aux enfants et aux personnes âgées sont incalculables, tout comme les dommages causés aux étudiants par l’enseignement à distance. Retenir les gens devant la télévision ou dans les médias sociaux avec de la propagande antirusse pour les empêcher de comprendre ce qui leur a été fait est le moins que puissent faire ces criminels fous, des criminels qui sont autant responsables de la pandémie que de la crise russo-ukrainienne.

Si nous examinons le scénario de ce drame planifié par l’élite mondialiste, nous constatons qu’en plus du scénario de la pandémie, il existe d’autres scènes planifiées qui ne sont pas moins inquiétantes et que nous pouvions déjà prévoir depuis l’année dernière dans les médias : la crise énergétique, qui n’est pas la conséquence regrettable d’une crise imprévisible en Ukraine, mais plutôt un moyen d’imposer d’une part l’« économie verte », justifiée par une urgence climatique inexistante, et d’autre part de détruire les économies nationales, en poussant les entreprises à la faillite au profit des multinationales, en créant du chômage et donc une main-d’œuvre sous-payée, en obligeant les nations à s’endetter parce qu’on les a dépossédées de leur souveraineté fiscale, ou en tout cas à s’endetter durablement à cause des prélèvements obligatoires.

L’urgence alimentaire est aussi dans le scénario de Klaus Schwab : elle a commencé pour certains produits aux États-Unis et en Europe, et plus généralement pour les céréales et les produits céréaliers dans de nombreux pays d’Afrique et d’Asie. Nous découvrons ensuite que Bill Gates est le plus grand propriétaire terrien des États-Unis lorsqu’il y a une pénurie de céréales et de produits agricoles ; et que Gates est le patron d’une start-up qui produit du « lait humain artificiel » lorsqu’il y a une pénurie de lait en poudre pour les bébés aux États-Unis. Et n’oublions pas que les multinationales de l’agroalimentaire parviennent à imposer l’utilisation de leurs semences stériles — qu’il faut racheter chaque année — et à interdire l’utilisation des semences traditionnelles, ce qui permettrait aux pays pauvres de ne pas être dépendants d’elles.

Celui qui a conçu la série de crises actuelles, dont les racines ont été posées au début des années 1990 avec la privatisation des entreprises publiques, a également veillé à ce que les personnes formées à cet effet par le Forum économique mondial siègent dans les gouvernements, les institutions et les agences internationales, à la tête des banques centrales et des grands actifs stratégiques, dans les médias et dans les principales religions du monde. Regardez les Premiers ministres des principaux pays européens, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande : ils ont tous été recrutés au sein du groupe des « Young Global Leaders for Tomorrow », et le fait qu’ils siègent aux plus hauts niveaux de direction de ces nations, de l’ONU et de la Banque mondiale devrait être plus que suffisant pour les traduire en justice pour subversion et trahison. Ceux qui ont juré d’appliquer les lois dans l’intérêt de leurs propres nations commettent un parjure au moment où ils doivent répondre de leurs propres actions non pas devant les citoyens de leurs nations, mais devant des technocrates sans visage que personne n’a élus.

Il est facile de rejeter tout cela comme une « théorie du complot », mais un tel rejet n’est plus tenable, pas plus que l’accusation de « complicité » à l’encontre de quiconque exprime sa perplexité face à la crise russo-ukrainienne et à sa gestion au niveau international.

Ceux qui ne veulent pas comprendre l’intrigue, parce qu’ils ont peur de ce qu’ils pourraient découvrir, s’obstinent à nier qu’il y ait un scénario et un metteur en scène, qu’il y ait des acteurs et des figurants, des décors et des costumes. Mais peut-on vraiment croire que les personnes les plus riches et les plus puissantes du monde ont accepté de lancer une telle attaque contre l’humanité pour réaliser leur rêve mondialiste délirant, en déployant une quantité énorme d’énergie et de ressources, sans avoir tout planifié au préalable dans les moindres détails et en laissant tout au hasard ? Si les personnes qui veulent acheter une maison ou créer une entreprise planifient tout avec soin, pourquoi s’agirait-il d’une « théorie du complot » lorsqu’elles réalisent que l’élite doit recourir au mensonge et à la tromperie pour obtenir des résultats inconcevables et criminels ?

Si vous me permettez une analogie, je dirais que notre attitude face aux faits actuels est comparable à quelqu’un qui doit assembler un puzzle composé de milliers de pièces sans avoir l’image finale devant lui. Ceux qui ont assemblé le « puzzle » mondialiste l’ont fait dans l’intention de rendre méconnaissable l’image finale de ce qu’ils veulent obtenir. Mais celui qui voit l’image complète, ou même une partie importante, commence à voir comment les pièces s’assemblent. Et celui qui a vu l’image finale sait aussi comment interpréter le silence et la connivence des fonctionnaires du gouvernement et même des partis d’opposition, comment expliquer la complicité des médecins et des ambulanciers dans les crimes commis dans les hôpitaux contre toutes les connaissances scientifiques, et la complicité des évêques et des prêtres qui sont allés jusqu’à refuser les sacrements aux personnes non vaccinées. Dès que de grandes pièces du puzzle seront visibles — et c’est ce qui se passe actuellement —, il sera beaucoup plus facile de mettre les autres pièces à leur place. Et alors, Klaus Schwab, George Soros, Bill Gates, les autres conspirateurs et ceux qui dirigent dans l’ombre cette conspiration mondiale criminelle seront en fuite pour ne pas être lynchés.

[Voir aussi :
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
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L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




L’Estocade ou L’escroquerie dévastatrice de l’agent états-unien Macron

[Source : profession-gendarme.com]

Par Alexandre Gerbi

L’Estocade ou L’escroquerie dévastatrice de l’agent états-unien Macron. Carnets covidiens (17 mars 2020 – 6 mai 2022)

Vient de paraître aux Editions du Plaqueminier, L’Estocade ou L’escroquerie dévastatrice de l’agent états-unien Macron. Corruption, haute trahison et crime contre l’humanité – Carnets covidiens (17 mars 2020 – 6 mai 2022). Ce recueil se compose de dix-sept articles qui furent publiés en leur temps sur AgoraVoxProfession Gendarme ou FranceSoir, à partir du premier jour du confinement général, le 17 mars 2020. Pour mettre l’eau à la bouche des lecteurs, en voici l’introduction. Bonne (re)lecture à tous  ! Et bon vote aux élections législatives dimanche…

Mai 2022. Il fait beau. Le temps des élections, une parenthèse enchantée. La plupart des contraintes, celles de la vie courante, ont fini par être levées. Le soleil brille sur nos libertés retrouvées.

Beaucoup s’interrogent : « Le Covid, ça va recommencer ? » Naïve question.

Tout indique (1) qu’à la rentrée, cet hiver, peut-être même dès l’été, au moindre virus, au moindre variant, à la moindre maladie nouvelle (2), la comédie sanitaire, covidienne ou pas, reprendra. Elle reprendra avec sa propagande gouvernementale, sa dramaturgie médiatique, son matraquage permanent, ses appels à « la responsabilité de chacune et de chacun », et surtout, pour finir, ses injections en série et ses QRCodes.

Suivant une conception de la vie où la Liberté, en principe valeur suprême, est reléguée loin, très loin derrière la santé. Suivant une définition de plus en plus « knockienne » de cette dernière, consistant à faire de chaque Français, quel que soit son âge, un malade en puissance, un malade imaginaire.

Dans les faits, ce théâtre lugubre, cette gigantesque manipulation tissée de mensonges, sert le sacrilège et la transgression politiques suprêmes : une attaque frontale, quoique de biais, contre les libertés publiques. Cette comédie ténébreuse est mise en scène par un homme ou un groupe d’hommes qui usent des moyens les plus cyniques, les plus retors, les plus criminels, les plus atroces, à la poursuite de finalités qui le sont davantage encore.

Mais le plus stupéfiant de cette dantesque affaire, c’est, même après deux ans de flagrante escroquerie, le grand nombre de ses dupes. En général, le recul du temps est fatal au mystificateur, toujours confondu à la fin. La seule question, pour lui, étant de savoir si le secret de son imposture tiendra jusqu’à sa mort (il y a de fameux précédents…). Mort dont le caractère naturel pourrait d’ailleurs aussi dépendre, en partie, de la réponse à cette brûlante question. Qu’il échappe aux poursuites pénales ou qu’il parvienne à se soustraire à la vindicte populaire, n’est-ce pas là l’essentiel pour l’escroc, traître et assassin ? Après lui, le déluge…

On peut résumer en une seule question l’opération Covid-19 (2020-2022) : comment une maladie provoquant une mortalité équivalente à celle d’une grosse grippe – réalité déjà clairement établie lorsque l’épidémie s’est déclarée en France, en février et mars 2020 (3) –, a-t-elle pu déclencher une panique générale et, surtout, autant de mesures scandaleuses, inappropriées, disproportionnées, absurdes, ruineuses, et surtout, pendant si longtemps : deux ans ?

Ces articles s’étalent du premier jour du confinement général, le 17 mars 2020, jusqu’au lendemain de la présidentielle, en mai 2022. Ils montrent que l’escroquerie était patente dès le premier jour, et que tous les éléments nécessaires pour s’en apercevoir étaient disponibles sur la Toile.

Or confinés, les Français ne manquaient pas de temps pour aller butiner sur les réseaux et se renseigner sur la cause de leur liberté confisquée. Pourtant, la plupart se contentèrent d’écouter sagement et de prendre pour argent comptant tout ce que racontaient le gouvernement et les gros médias subventionnés. (4)

Dès le début de cette affligeante affaire, l’absurdité du choix du confinement général, son coût financier et humain exorbitant, l’absence de motif objectivement valable pour le déclencher, la crédulité générale en dépit de l’énormité de la manipulation : tout laissait envisager le pire pour l’avenir.

Alors que l’opération reste manifestement d’actualité, puisse cette publication ouvrir les yeux de certains lecteurs ; de ces lecteurs qui, en toute bonne foi, ont cru au début que cette maladie était extraordinairement dangereuse pour tous et à tout âge, se sont peu à peu rendu compte que ce n’était pas le cas, mais n’ont pas encore compris que, plus globalement, le Covid-19 était une opération qui n’a, pour ainsi dire, aucun rapport avec le sanitaire. En réalité, nous avons affaire à un coup d’Etat gigantesque, d’envergure internationale habilement coordonné, contre les peuples. Notamment contre les peuples de l’Union européenne et en particulier contre le peuple français. Et contre la France elle-même.

Si Macron obtient la majorité à l’Assemblée nationale, il aura tous les pouvoirs. Il pourra alors pousser à son terme son entreprise de destruction, du démantèlement de la France à l’asservissement de son peuple. 

Ce recueil, avec ses articles publiés en leur temps et aujourd’hui mis bout à bout, s’ajoute aux livres et aux articles d’auteurs célèbres ou anonymes, aux innombrables vidéos, aux films sur la Toile, produits inlassablement depuis deux ans par des petites mains et de grands noms. Tous méprisés et neutralisés sous le vocable bien pratique de « complotistes ». On connaît la blague : « Un complotiste, c’est un gars qui raconte des absurdités qui se produisent un an plus tard. »

Si dans quelques années une France paupérisée, gravement déclassée, tiers-mondisée, clochardisée, n’est plus qu’un champ de misère, de ruines ou de chaos où l’on s’entre-tue, ou, peut-être pire encore, une société de contrôle entre 1984Le Meilleur des Monde et Ubu roi, les Français ne pourront pas dire qu’ils n’avaient pas été prévenus… et surtout qu’ils n’auraient pas pu savoir… depuis le premier jour…


Notes :

(1) A commencer par Macron lui-même, qui a déclaré le 31 mai 2022 : « Vacciner tout ce qui peut être vacciné, parce qu’on évite les virus. C’est ça la meilleure réponse pour alléger la charge du système de santé et avoir une population en bonne santé. Donc, aussi, on va continuer d’agir sur ce volet.  » On appréciera, au passage, la réification typiquement macronienne : « Vacciner tout ce qui peut être vacciné ».

(2) Voici qu’on nous bassine, alors que j’écris ces lignes, avec la « variole du singe », et que la nouvelle ministre de la Santé Brigitte Bourguignon nous explique que les « cas contacts » devront être « vaccinés  ».

(3) Dans une vidéo mise en ligne le 25 février 2020 sur le site du Journal International de Médecine (JIM), le Pr Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris, pouvait ainsi déclarer : « Le taux de létalité [du Covid-19] a tendance à baisser depuis le début de l’épidémie. Il a d’abord été estimé à 15%, puis à 2%, puis à 1%. Dans les études, actuellement, on dit 0,5 à 1%. Mais le problème c’est qu’on ne connaît pas le dénominateur, et plus notre connaissance progresse sur le nombre de patients infectés (…), plus on se rend compte qu’il y a énormément de gens qui sont infectés avec peu de symptômes voire pas de symptôme du tout. Et donc on estime que le taux de létalité est probablement moindre que celui qu’on a calculé jusqu’à maintenant. Et je pense qu’il va terminer autour de 0,1%, (…) donc on va se retrouver avec un taux de létalité globalement proche de celui de la grippe. (…) Le virus lui-même (…) n’est pas la peste du Moyen-Âge, clairement. [C’est un] virus émergent, pas très grave.  »

Dans une vidéo mise en ligne le 17 mars 2020, le Pr Didier Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée Infection, ne disait pas autre chose : « (…) Bien sûr, les maladies infectieuses sont des maladies d’écosystème, mais on ne trouve pas [avec le Covid-19] une catastrophe qui justifie des mesures dignes d’une catastrophe atomique. Par ailleurs, si on regarde ce qu’est la mortalité de cette maladie, c’est assez difficile à évaluer, mais il y a, au moins, un endroit dans lequel c’est facile d’évaluer une part de la transmission, et la part de la mortalité. C’est cette grande folie qu’ont fait les Japonais en coinçant tout le monde sur un bateau de croisière, avec des gens dont la moyenne d’âge était extrêmement élevée, comme les croisiéristes en général. Il y avait à peu près 3000 personnes [sur le bateau]. Là-dessus, il y en a 700 qui sont tombées malades et 7 qui sont mortes. Dans la population la plus à risque, la mortalité est de 1% ! Donc il faut arrêter de raconter des choses qui terrifient les gens. Bien entendu, si vous ne testez que les gens en réanimation (…) vous aurez une vision de la gravité de la maladie qui n’aura rien à voir avec la gravité de la maladie, [car] la gravité de la maladie des gens qui sont en réanimation généralement est très grave.(…) Moi je ne vois pas de signaux de mortalité qui soient spécifiquement redoutables [par rapport à une grosse grippe] (…) »

Alexandre Gerbi



Législatives : des candidats ont répondu FORMELLEMENT OUI à la réintégration des soignants

Trop peu de candidats dénoncent le martyre des soignants suspendus. Il nous semble possible, si chaque citoyen envoie ce questionnaire aux candidats de sa circonscription, de préciser quels sont les candidats susceptibles d’améliorer la situation de l’hôpital et d’embarrasser la majorité présidentielle et ses alliés félons responsables de son état catastrophique ! 

Ce questionnaire est tiré de l’article de Nicole Delépine :

https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juin-2022/020622-programme-sante-et-reintegration-des-soignants-au-coeur-des-preoccupations-des-francais-dr-nicole-delepine/

https://nouveau-monde.ca/appel-aux-candidats-deputes-sur-les-mesures-urgentes-a-prendre-en-matiere-de-sante/

Quelques candidats ont répondu positivement et méritent d’être soutenus :


Comme Karine DUBARRY Circonscription : 3E DE L’AIN

Karine Dubarry <karine.dubarry.01@orange.fr>

« Candidate sur la 3e circonscription de l’Ain je réponds à votre questionnaire ci-dessous : mes réponses les plus sincères (oui à chaque question).

J’ai rencontré des collectifs anti pass, anti vacc, solidarité et vendredi les infirmières en colères à bourg

Je suis très préoccupée par tous ces sujets, je suis contre l’obligation vaccinale, contre le pass sanitaire et vaccinal, je ne suis pas vaccinée moi-même et trouve intolérable la façon dont a été traité le personnel hospitalier. Des sacs poubelles quand ça arrange et dehors quand ça répond plus à leurs demandes

J’ai vu avec beaucoup d’inquiétudes passer la porte de mon agence de travail temporaire, des infirmières qui ne pouvaient plus exercer et qui me demandaient de travailler à l’usine. Une catastrophe la gestion de notre gouvernement et l’obligation de vacciner nos enfants.

Bref, mes réponses ci-dessous. Merci pour ce contact. Bien à vous

Karine DUBARRY Circonscription : 3E DE L’AIN

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ? OUI

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? OUI

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? OUI

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? OUI

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ? OUI

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire et l’obligation du test PCR à l’entrée des hôpitaux ? OUI INADMISSIBLE

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? OUI

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? OUI et avec une augmentation d’ailleurs

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? OUI

Question n° 10

Paierez-vous à la hauteur de leur investissement les médecins et les soignants en général ? OUI

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la santé ? OUI

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? OUI plus de moyens !!! plutôt que des économies


Naoual Hamzaoui

Envoyé le : mercredi 8 juin 2022 20:58
Objet : réponses Questions

« Reconquête vient de me faire parvenir votre mail. Je suis à 200 % pour le soutien du personnel soignant.

Malheureusement Madame Borne qui se présente dans ma circonscription 6, dans le Calvados va gagner pour laisser sa place à son suppléant. Bien évidemment je ferai tout pour l’hôpital. Cordialement » V Dupont 0683875815

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“Madame,

Je suis Naoual Hamzaoui, candidate pour le Mouvement de la Ruralité. LMR

Sur la 3ème circonscription du Val-de-Marne (94), nous avons le grand hôpital de Villeneuve-Saint-Georges. J’ai pu visiter les urgences de l’hôpital et en effet le constat est lourd de sens. L’hôpital est malade ! Nous manquons cruellement de soignants. Les services d’urgence sont saturés. Le personnel hospitalier est fatigué. Tout ça, au détriment des patients. 

Le Mouvement de la Ruralité vous soutient et sachez que nous sommes proches de vous et de la réalité du terrain. Je souhaite un aboutissement positif dans vos requêtes ! Le 12 juin prochain, je compte sur vous pour faire entendre nos voix”

Bien cordialement Naoual Hamzaoui

La réintégration des soignants au cœur des préoccupations des Français

2 juin 2022 Nicole Delépine DICTATURE SANITAIRE 4

02/06/2022 (2022-06-02)

Par Nicole Delépine

Qu’en est-il des candidats aux législatives ?

La non-réintégration des #SoignantsSuspendus dans un système hospitalier à l’agonie est au-delà de la faute politique. En l’état de la science sur les vaccins Covid et de leur incapacité à protéger de la maladie, il s’agit d’un crime organisé !

11:57 PM · 31 mai 2022·Twitter @medicalfollower

Questionnaire aux candidats. Les mettre au pied du mur pour savoir de quel côté ils seront : soignants-soignés ou gouvernement ?

La santé dont on nous rebat les oreilles pour dire que l’été sera chaud dans les hôpitaux publics en l’absence d’un nombre suffisant de soignants et de médecins est cruellement absente des législatives. L’exigence de réintégration des soignants abusivement suspendus sans justification scientifique devrait être au premier plan de tous les programmes.

Notons que la Martinique a voté à l’unanimité la réintégration des soignants.

Un candidat en Essonne aux législatives nous informe que sur douze candidats il serait le seul à mettre la santé au cœur de son programme dans sa circonscription.

www.listecitoyenne-essonne.fr

Malheureusement nous craignons que ce soit le cas général

Nous vous proposons donc sur suggestion d’un correspondant motivé J H. des questions à poser à vos candidats dont certaines sont capitales comme la réintégration des soignants. Une réponse à chaque question par oui ou non est intéressante, mais libre à vous de demander en direct à l’occasion d’une rencontre un développement justifiant leurs réponses.

Voici les questions proposées :

12 questions aux candidats aux élections législatives sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé.
Merci d’y répondre et de renvoyer les réponses à 
nicole.delepine1@gmail.com OU AU SITE DE PUBLICATION DE L’ARTICLE à votre choix ou de publier un article vous-même sur ce sujet

Si les réponses sont suffisamment nombreuses, nous vous en ferons un compte-rendu.

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?

OUI — NON

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? 

OUI — NON

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? 

OUI — NON

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? 

OUI — NON

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?

OUI — NON

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ? 

OUI — NON

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? 

OUI — NON

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? 

OUI — NON

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? 

OUI — NON

Question n° 10

Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? 

OUI — NON

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ? 

OUI — NON

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? 

OUI — NON

IL EST URGENT D’INFORMER NOTRE NOUVELLE MINISTRE DE LA SANTÉ SUR LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE DU SYSTÈME DE SANTÉ


Mickael Guettier, candidat dans le calvados et ses réponses


Nicolas Dupont-Aignan

Objet : Questionnaire législatives politique sanitaire — NDA

Chère Madame,  Veuillez trouver ci-joint les réponses de M. DUPONT-AIGNAN à votre questionnaire. Bien cordialement.

Questionnaire 

 Nom et prénom du candidat : DUPONT-AIGNAN Nicolas

Circonscription : 8ème de l’Essonne

 Question n° 1 Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ? OUI

 Question n° 2 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? OUI

 Question n° 3 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? OUI

 Question n° 4 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? OUI

 Question n° 5 Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ? OUI

 Question n° 6 Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire et l’obligation du test PCR à l’entrée des hôpitaux ? OUI

 Question n° 7 Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? OUI

 Question n° 8 Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? OUI 

Question n° 9 Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? OUI

 Question n° 10 Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? OUI

 Question n° 11 Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la santé ? OUI

 Question n° 12 Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? OUI


Je vous relaie l’initiative de Caroline Fiat de FI. C’est une option possible.

Quoi qu’il en soit, votez pour ceux-là ou d’autres pour empêcher la marche forcée qui nous attend si on les laisse rassembler une majorité. Force et courage. E.R.


Bonjour, 

ci-joint le questionnaire aux candidats 

Je suis directement concernée en tant que médecin « suspendue » ..cordialement  Dr Véronique Rogez  06 87 24 47 65 


Christine PASTOR

Bonjour Madame,

Je suis candidate pour Le Mouvement de la Ruralité dans la 3ème circonscription du Doubs et on m’a fait suivre votre article. Je réponds à la suite à vos questions et vous assure de tout mon soutien aux soignants suspendus (cf la première mesure de mon projet : https://www.christinepastor.fr/

Je suis par ailleurs signataire de la Charte de l’Élu ReCiProC (https://reciproc.org/).1

Je vous souhaite une excellente fin de journée. Bien à vous,

Christine PASTOR

Question n° 1 Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?OUI

Question n° 2 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ?OUI

Question n° 3 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ?OUI

Question n° 4  Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ?OUI

Question n° 5  Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?OUI

Question n° 6 Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ?OUI

Question n° 7 Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ?OUI

Question n° 8 Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ?OUI

Question n° 9  Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ?OUI

Question n° 10  Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ?OUI

Question n° 11 Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ?OUI

Question n° 12  Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ?OUI

CONCLUSION PROVISOIRE

Voici les réponses reçues à ce jour (omettant peut-être quelques spams ou blocages)

Ces réponses sont encourageantes, mais il faut en susciter davantage en informant directement les candidats et en leur faisant comprendre que les électeurs veulent des réponses claires et positives pour retrouver confiance dans les politiques.

Mais le mieux, le plus humain est de contacter vous-même vos candidats pour leur demander leur position, et le cas échéant les informer directement de la situation tragique dans laquelle nous sommes et tenter de faire sortir les citoyens et leurs futurs représentants de l’indifférence.

Sortons de la résignation, de l’impression que nous ne pouvons rien faire. LES SOLUTIONS SONT DANS NOS MAINS. Nous sommes des millions, les tyrans ne sont que quelques milliers.

Le grand écart du pouvoir et l’indifférence citoyenne — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice.

Georges Orwell

Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

1 Charte de l’élu — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Par ReCiProC

« Nous faisons aujourd’hui face à une profonde crise de la représentativité qui génère une défiance et met dangereusement en cause aussi bien notre démocratie que la cohésion de notre pays.

Afin d’éviter que cette crise de confiance ne s’aggrave, il est urgent de redonner confiance aux Français en leurs institutions et particulièrement en leurs députés. Pour y parvenir, les députés doivent impérativement retrouver leur indépendance et remplir trois rôles majeurs qui relèvent leur fonction, soit :

Contrôler l’action du gouvernement et non lui obéir de façon intolérable, comme nous l’avons vécu ces 5 dernières années,

S’assurer que les lois votées sont conformes à notre Constitution et aux engagements internationaux de la France en matière de droits de l’Homme et de protection de la personne et, notamment, la Convention d’Oviedo,

Voter des lois visant à améliorer la vie des Français et non à obéir aux ordres d’E. Macron et de cabinets de conseil mondialistes.

À cette fin, ReCiProC propose pour les élections législatives à venir une solution simple et pragmatique, sous la forme d’une démarche citoyenne et apartisane traduite dans une Charte intitulée “Charte pour la protection des citoyens et pour le respect de la Constitution” ou, plus simplement, “Charte de l’élu”.




Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades

[Voir aussi sur la-verite-vous-rendra-libres.org]

Par le Dr Gérard Delépine, le 8 juin 2022  

L’échec des politiques sanitaires des 20 dernières années

D’après l’OCDE la France est l’un des pays qui consacre le plus de richesse aux dépenses de santé en pourcentage du PIB avec 12,4 %(([1] https://www.vie-publique.fr/fiches/37910-depenses-de-sante-par-rapport-au-pib)) derrière les USA (17 %), avec la Suisse et l’Allemagne. Mais alors qu’en 2000 nous figurions à la première place du classement OMS(([2] https://www.universalis.fr/encyclopedie/sante-le-systeme-de-sante-francais/2-le-parcours-de-soins/)), celui de 2021 nous a rétrogradé en 16e position, juste avant l’Italie.(([3] https://international-leader.com/classement-2021-des-6-pays-ayant-le-meilleur-systeme-de-sante-au-monde/)) Ce déclassement hospitalier de la France a été abondamment illustré par des attentes devenues interminables aux urgences se terminant parfois par la mort. Les très nombreuses grèves et manifestations d’appel au secours de soignants pendant plusieurs mois ont a été méprisées par le gouvernement Macron et n’ont reçu comme réponse que gaz lacrymogène et flash balls.  

Le Ségur de la santé de juillet 2020 n’a été qu’une parodie de discussion sans aucune décision permettant de remotiver les personnels et deux organisations syndicales ont signalé :

« l’absence de mesures efficaces pour les médecins en début de carrière et plus largement pour tous ceux qui assurent des gardes. »  

La dictature sanitaire de ces deux dernières années

Lors de cette crise Covid, le gouvernement craignait que l’incapacité de l’hôpital de répondre aux besoins prévus de la population ne démontre à celle-ci la gravité des dégâts occasionnés par sa politique sanitaire passée.  

Au lieu de remettre en question celle-ci, le ministère en a profité pour imposer des mesures de coercition inefficaces et au total infiniment plus coûteuses qu’une remise en état du système sanitaire.  

La maltraitance accrue des médecins a atteint des sommets incroyables avec la négation gouvernementale du rôle de l’examen clinique par les médecins de ville (n’allez pas voir votre docteur !), l’interdiction de prescrire les médicaments qu’ils estimeraient utiles (tels que la chloroquine, les antibiotiques, l’Ivermectine, la vitamine D etc..), la recommandation du Doliprane, l’incitation au meurtre par le décret Rivotril, la propagande officielle pour le Remdesevir et ses invraisemblables achats par la Commission européenne et dans une moindre proportion par l’État français (achats liés apparemment aux conflits d’intérêts de certains membres du comité scientifique, et alors que ce remdesevir a été déclaré médicament inefficace et dangereux par l’OMS), l’établissement d’une censure généralisée dans les médias et Internet et le rétablissement du délit d’opinion pour les médecins(([4] Avec poursuites intentées par l’ordre des médecins contre les docteurs dont les propos s’opposent à la propagande officielle comme Raoult, Perrone et les autres lanceurs d ‘alerte.)), la propagande sans limite et les chantages permanents aux libertés élémentaires pour forcer la population à se faire injecter des médicaments expérimentaux mensongèrement qualifiés de vaccin, culminant avec l’obligation pour les soignants et de nombreux autres professionnels de se faire injecter ces produits incapables de protéger de la maladie ni de la transmission et potentiellement dangereux.  

Comme le souligne le rapport du Sénat(([5] http://www.senat.fr/seances/s202102/s20210210/s20210210005.html#Niv1_SOM4)):

« Doit être aussi questionné l’hyper-présidentialisme, qui voit se concentrer autour d’un seul un conseil de défense, un conseil scientifique, un comité d’analyse et de recherche, puis un autre conseil scientifique sur les vaccins épaulé par trois cabinets de conseil privés, …et dont le fonctionnement reste opaque, sans contrôle public du Parlement et des acteurs du territoire ».  

En période de pénurie avérée, exclure des soignants sous un prétexte fallacieux est criminel !  

Désormais incapables d’exercer leur métier en respectant le serment d’Hippocrate auquel ils sont viscéralement attachés, beaucoup de confrères ont préféré démissionner, se faire exclure de la profession ou prendre une retraite anticipée. Ils sont en réalité beaucoup plus nombreux que les 15000 exclus que reconnaît le ministre de la Santé qui fait semblant d’ignorer les démissions, les retraites anticipées et les changements de carrière vers les métiers non soignants (de la recherche, de la fonction publique ou des laboratoires pharmaceutiques) ou même étrangers au secteur médical.  

Ces soignants ne sont pas des antivax comme le gouvernement le répète en permanence car la plupart ont, au cours de leur carrière, largement conseillé et vacciné leurs patients et se sont fait injecter de vrais vaccins : ce sont des vaccino prudents. La prudence s’impose en effet devant une mise sur le marché totalement précipitée de ces substances en essai thérapeutique, en moins d’un an, avant la fin des essais phase 3 alors qu’il faut en moyenne 10 à 15 ans pour de vrais vaccins.  

Le bienfondé de cette prudence a été malheureusement rapidement confirmé par les complications (officiellement imprévues)(([6] Mais dont les documents Pfizer cachés ont démontré que les premières semaines d’essai avaient révélé toutes ces complications rapides et parfois mortelles. Le mur de mensonges se lézarde depuis que la justice américaine a rendu obligatoire la diffusion des documents secrets des essais.
Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DECES PARMI LES VACCINES que les non injectés | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)  ))(([7] Pfizer’s Documents – Public Health and Medical Professionals for Transparency (phmpt.org)  )) qu’ont subies les premiers soignants à se faire injecter, au point que la HAS pourtant très favorable à la pseudo-vaccination a dû recommander de « NE PAS « VACCINER » EN MEME TEMPS TOUS LES SOIGNANTS D’UN SERVICE » pour éviter les fermetures provisoires des dits services.  

La liste colossale des complications recensées en Europe par Eudravigilance, aux USA par le VAERS mais aussi en Grande-Bretagne, en Israël, et la divulgation grâce à la justice américaine du dossier Pfizer de la FDA montrent que ces injections ont été suivies en 16 mois de plus de morts et de séquelles graves que toutes les vaccinations depuis 30 ans.

De plus ces complications ont été imposées sans aucun bénéfice autre que celui des laboratoires pharmaceutiques qui avaient prétendu que leurs vaccins étaient efficaces à 97 %, alors que les données publiées par l’OMS montrent que depuis les grandes campagnes de « vaccination » le nombre des contaminations mondiales a été multiplié par 6,5 (de 83 millions le 31/12/2020 à 532 millions le 6/6/22) et celui des morts attribuées au Covid19 par 3,5 (de 1,8 million au 31/12/2020 à 6,28 au 6/6/2022).  

Eliminer des soignants pour des injections qu’ils refusent car elles ne les protègeraient pas plus que leurs contacts de la maladie tout en leur faisant courir des risques, est éthiquement et médicalement incompréhensible.  

Ces soignants exclus sont aussi victimes de leur honnêteté : du fait de leur profession il leur était particulièrement facile de faire semblant de se faire vacciner comme beaucoup de politiques et de journalistes, mais leur éthique leur a interdit de faire ou d’utiliser de faux certificats.(([8] Espagne : Vaccinés pour de faux : la liste de tous les chanteurs, sportifs et hommes d’affaires ayant fait l’objet d’une enquête dans le cadre de l’ »opération Jenner ». – Résistance (resistance-mondiale.com)  )) Mais ces mêmes politiques osent prétendre qu’ils manqueraient d’éthique !  

Pour l’urgentiste Christophe Prudhomme suspendre les soignants, « c’est catastrophique au niveau sanitaire ». Le Dr Patrick Pelloux, président de l’Association des Médecins Urgentistes de France (AMUF a lui, plaidé pour un retour des non-vaccinés dans les hôpitaux jugeant que la situation est « catastrophique ». « Il y a le feu au lac ! La crise que vit l’hôpital est historique. Dans ce contexte, on ne peut pas se passer des 15 000 personnes suspendues » mais manifestement le ministère de la santé les considère comme de simples médecins ignorants des réalités virtuelles dans lesquelles vit le gouvernement.  

Début juin 2022, au moins 120 services d’urgence sont incapables d’assurer une continuité de service avec des difficulté majeures à boucler les listes de garde, une pénurie permanente d’effectifs médicaux et paramédicaux, un absentéisme fortement augmenté…  

Même choses pour les services de psychiatrie et d’obstétrique et de nombreux autres services.  

Les blocs opératoires ont dû réduire leurs activités retardant d’autant des interventions urgentes et encore davantage les opérations courantes.  

En même temps, en médecine de ville, les déserts médicaux se multiplient et les revendications ont pris de l’ampleur.

Et l’été approche avec les absences dues aux vacances qui aggraveront la situation.  

La qualité de la médecine et son attractivité nécessitent la liberté.  

Ayant exercé la médecine puis la chirurgie pendant près de cinquante ans j’ai vécu une période heureuse où je pouvais prescrire et opérer librement sous ma responsabilité directe. Je pouvais respecter le serment d’Hippocrate et assurer les meilleurs soins aux malades selon l’état de la science, mon expérience et mon imagination.  

Certes je m’exposais aux foudres d’un Conseil de l’Ordre peu ouvert aux progrès(([9] Ainsi en 1986 on me reprocha de ne pas amputer les malades atteints de cancer des membres car il s’agissait «d’une  méthode non validée par la science » alors qu’elle s’est depuis imposée dans tous les pays riches. ))(([10] Plainte contre le Pr Raoult : moi aussi j’ai eu affaire au Conseil de l’Ordre…
https://ripostelaique.com/plainte-contre-le-pr-raoult-moi-aussi-jai-eu-affaire-au-conseil-de-lordre.html )), mais jamais l’administration ne s’immisçait dans mes indications. Et les malades témoignaient leur reconnaissance avec des sourires, des remerciements, des petits cadeaux souvenirs ; comme fromage ou vin de leur production familial. C’était le bonheur d’être utile, passionné et libre.  

Mais dans les années 1990 l’exercice médical est devenu plus difficile, car le coût à court terme est devenu la priorité absolue des gestionnaires hospitaliers.

Un jour, je n’ai obtenu la prise en charge d’une prothèse nécessaire pour éviter l’amputation d’un malade qu’en menaçant le directeur de l’hôpital (qui la refusait) d’organiser une quête nationale avec exposé des motifs dans les journaux !

Le malade a pu conserver sa jambe, mais mon dossier administratif en a fortement souffert.  

Quelques années plus tard, lors de la retraite de mon épouse, son service de Garches a été fermé alors qu’il pouvait parfaitement(([11] Durant son fonctionnement ce service n’a jamais été l’objet d’une plainte de malades ou de leur famille mais la bureaucratie et ceux que nous dérangions nous ont gratifié d’une dizaine d’audits. Les familles enchainaient manifestations devant le siège de l’aphp ou du ministère et ont même fait une grève de la faim en juin2014 ; la direction fit évacuer ces parents par des CRS…lire « neuf petits lits sur le trottoir » N Delepine ed fauves 2014. )) continuer à traiter les petits malades cancéreux grâce aux compétences reconnues de ses membres plus jeunes. Le directeur de l’APHP avait décidé de dédier ses établissements à la « Recherche », (celle des subsides de l’industrie pharmaceutique qui rémunère les établissements et les médecins) au lieu de se consacrer à remplir en premier lieu la mission de l’hôpital, les soins.  

Les dangers immédiats exigent un changement de méthode  !  

Deux ans après la pseudo concertation du Ségur de la santé(([12] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir  )), c’est la totalité des soignants – des étudiants aux médecins et autres soignants en exercice, des prestataires de santé à domicile aux EHPAD – qui se demandent s’ils pourront enfin traiter leurs malades dans des conditions décentes de liberté et de qualité.  

La « perte de repères » qu’ils vivent vient d’être illustrée par l’enquête Odoxa pour la MNH(([13] Perception des Français et des professionnels de santé sur l’hôpital, le système de santé et l’attractivité des métiers de la santé
http://www.odoxa.fr/wp-content/uploads/2022/05/CP-MNH.pdf  )), montrant aussi qu’une forte majorité d’hospitaliers subissent un niveau de stress « inacceptable »..  

Mais au lieu de traiter les vraies causes de cette désaffection croissance des médecins, les solutions autoritaires faciles que proposent les élus mal informés (telles que forcer les praticiens de ville qui restent et qui travaillent souvent 60 heures par semaine à prendre des gardes de nuit, ou obliger les nouveaux praticiens à s’installer dans les déserts médicaux) vont l’aggraver. En voulant rajouter des mesures contraignantes, ils risquent de faire fuir encore davantage les soignants. On n’attire pas les mouches avec du vinaigre !  

Emmanuel Macron a promis 50 000 nouveaux postes d’infirmières et d’aides-soignants sur cinq ans, une promesse qu’il sera bien en peine de réaliser même en titularisant les soignants et tous les médecins étrangers vivants en France alors que les candidats font défaut, à moins de supprimer l’inutile obligation d’injection des soignants et de supprimer le poids administratif qui pèse sur leur exercice quotidien via les cadres de santé, le temps passé sur l’écran pour rien d’efficace et les plannings délirants.  

D’autant que la préparation du projet de loi de financement de la Sécu (PLFSS 2023) se profile avec un parcours d’équilibriste très incertain : le redressement de la Sécu, exsangue (24,6 milliards d’euros de déficit l’an passé) alors que les revendications du secteur n’ont jamais été aussi fortes avec l’inflation approchant les 5 %.  

Dans ce contexte la réintégration immédiate des soignants ignominieusement démis et la suppression de toutes les mesures coercitives inutiles (masques, pass) qui persistent toujours à l’hôpital y compris pour les visiteurs (ce qui rend la vie des soignants encore plus difficile, par honte de cette maltraitance) et les EHPADs sont des mesures peu coûteuses qui pourraient faire immédiatement réapparaitre au moins 20000-30000 soignants et éviter de nombreuses démissions ou arrêts maladies supplémentaires.  

Élisabeth Borne affirme vouloir « des mesures efficaces pour l’été ».  

Mais ces mesures supposent que la ministre rompe définitivement avec son autoritarisme passé qui lui a fait supprimer le contrat de travail des salariés des entreprises recevant du public pour cause de non-vaccination, le tout sans droit au chômage ni au RSA, les transformant de fait en sdf en l’absence de gros soutiens des familles.  

Tout laisse craindre que le dogmatisme, l’autoritarisme et la corruption l’emporteront sur le pragmatisme et que l’été sanitaire sera chaud.  

Et la nouvelle ministre Mme Bourguignon a été formée par O. Véran, ce qui laisse craindre la suite.  

Espérons que nous nous trompons.  


Une injection acceptée, deux, des ennuis, combien en faudra-t-il ? d’autant qu’ils ne tiennent pas compte des « ennuis ». Une collègue injectée pour poursuivre son job a fait une myocardite sévère. On la force à se réinjecter. Comment survivre à une telle violence physique et morale ?

Et si le peuple ne se réveille pas pour soutenir les soignants … :  


Notes et références :  




Le combat pour l’humanité

[Source : Kla.tv]

« Le combat pour l’humanité » avec le Dr. Carrie Madej et David Sorensen

La bataille fait rage pour l’humanité. Le Dr Carrie Madej révèle comment Big Tech collabore avec Big Pharma pour introduire de nouvelles technologies dans les vaccins à venir qui vont modifier notre ADN et nous transformer en hybrides. Cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons et déclenchera le processus de transhumanisme : HUMAN 2.0. Les plans prévoient d’utiliser des vaccins pour injecter la nanotechnologie dans notre corps et nous connecter au cloud et à l’intelligence artificielle. Cela permettra aux gouvernements corrompus et aux géants de la technologie de nous contrôler sans que nous en soyons conscients. Cela peut paraître cool pour ceux qui ont vu trop de films de science-fiction, mais en réalité, cela mettrait fin à notre autonomie et nous rendrait esclaves d’entreprises technologiques mondialistes qui pourraient alors nous contrôler sans que nous nous en rendions compte.

[Voir aussi :
Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité
Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Tous surhumains demain?
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Great Reset : le « monde d’après » est un cauchemar
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend
Great reset : c’est pour bientôt !
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]



Transcription

David Sorensen : Pourquoi des milliers de médecins et de scientifiques sont-ils censurés dans le monde entier ? Pourquoi les experts médicaux ne sont-ils pas autorisés à s’exprimer sur le vaccin Covid-19, et sur les traitements efficaces contre le Covid-19 ? Nous sommes dans une ère de censure sans précédent. La liberté d’expression a complètement disparu de la planète Terre. Des milliers et des milliers de documentaires, d’interviews, d’émissions de médecins et de scientifiques sont retirés d’Internet, c’est une réalité. Leurs sites web sont fermés, sans aucun avertissement. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi y a-t-il une pression si agressive avec le vaccin Covid-19 ? Pourquoi tous les traitements qui réussissent contre le Covid-19 sont-ils littéralement bannis de tant de pays ? Il se passe quelque chose.

Bonjour, je suis David Sorensen. Aujourd’hui, j’accueille le Dr Carrie Madej dans notre studio. C’est une experte médicale qui fait des recherches depuis des décennies. Et elle a découvert des choses extrêmement inquiétantes sur le vaccin Covid-19.

Le Dr Carrie Madej a été la directrice médicale de deux grandes cliniques. Elle a une énorme expérience médicale et c’est un honneur pour nous de l’avoir parmi nous. Chers spectateurs, je vous encourage à regarder la vidéo jusqu’au bout et à l’écouter. Il s’agit peut-être de la vidéo la plus importante que vous verrez jamais dans votre vie.

Dr Carrie Madej : Je suis très heureuse d’être ici. Et je sens qu’il est très urgent que nous partagions cette information. J’ai commencé à faire des recherches sur les vaccins quand j’avais à peine une vingtaine d’années. Mais je n’avais jamais vu la technologie utilisée pour ce vaccin Covid-19 envisagée auparavant. Tout d’abord, ce vaccin utilisera un ARN modifié ou un ADN modifié dans le vaccin. Alors pourquoi est-ce important ? C’est important de le savoir parce que ça pourrait potentiellement modifier notre ADN, notre génome. Et pourquoi l’ADN ou l’ARN et notre génome sont-ils si importants ? Le génome est ce qui nous rend humains, ce qui nous distingue du reste des animaux et des plantes. C’est le plan de ce qui nous constitue, de la façon dont nous nous reproduisons, nous fonctionnons, nous nous réparons et nous développons. Une petite modification, une petite protéine qu’on ajoute ou qu’on enlève peut en fait créer un défaut congénital ou un trouble héréditaire. Donc quelque chose qui peut vraiment avoir un double effet sur nous, sur l’être humain. D’accord ? Ils proposent d’utiliser la technologie, et une partie de cette technologie s’appelle la transfection.

La transfection est la même technologie que celle utilisée pour produire un organisme génétiquement modifié, comme une tomate ou du maïs du supermarché. Et nous savons tous que Monsanto est assez connu pour produire des organismes génétiquement modifiés. Et ceux-ci ne sont pas aussi sains que le type organique et sauvage qu’on voit dehors dans la nature. Alors, si la même technologie est utilisée pour les plantes, que se passe-t-il pour nous, les humains ? Il est possible que nous ne soyons pas aussi sains. Et je voudrais rappeler à tout le monde que c’est la première fois que cette technologie est utilisée à grande échelle chez les humains. Nous serions l’expérience, nous serions les rats de laboratoire. Nous n’avons pas d’études à long terme, donc c’est très important de le savoir. Je vais vous montrer l’un des précurseurs de ce vaccin. Il s’agit de Moderna. Moderna a reçu environ un demi-milliard de dollars du gouvernement américain pour la recherche et le développement. Il est soutenu par la fondation Bill & Melinda Gates. Ils ont donc donné beaucoup d’argent pour ça. Je voudrais vous faire remarquer que chez Moderna, ils sont novices dans ce domaine. Ça ne fait pas si longtemps qu’ils sont là. Ils n’ont encore jamais développé de vaccin ou de médicament pour les humains. C’est leur première tentative. Et juste pour que vous le sachiez, ils ont des années-lumière d’avance sur un vaccin à fabrication rapide D’accord. Donc, ils sont passés de l’expérience en laboratoire à la phase 2 avec seulement 45 volontaires humains en 63 jours ! Deux mois ! C’est fou ! Ça aurait dû prendre des années.

Et je vous rappelle que c’est le délai le plus court jamais enregistré pour le développement d’un vaccin. Voici ce que leurs premières études ont montré, appliquées en phase 2, testées sur 45 personnes : 100% des personnes ayant reçu des doses élevées ont eu des effets secondaires systémiques après avoir eu ce vaccin à haute dose. Dans le groupe de vaccins Lotus, 80% des personnes ont eu des effets secondaires systémiques. Ici, nous voyons déjà les effets secondaires initiaux. À long terme, nous ne le savons pas du tout.

Donc, pour Moderna, une possibilité d’application pourrait être un patch, également appelé patch à micro-aiguilles. Vous pouvez donc obtenir des patchs à micro-aiguilles par la poste, Amazon ou UPS. L’avantage : vous pourriez vous-même l’appliquer sur votre peau. Vous retirez le film et voilà, vous êtes vacciné. Vous le faites vous-même. Alors, comment faites-vous ? Le patch a de minuscules micro-aiguilles dessus. Il est conçu à la manière d’une dent de serpent ou d’un museau de vipère. Donc, c’est comme la morsure d’un serpent, mais de plusieurs. Ils disent que vous ne le sentirez pas, mais ça va dans votre peau. Et les petites micro-aiguilles minuscules injectent la substance dans votre corps. Qu’est-ce qu’il y a dans une micro-aiguille ? Ce sera soit l’ADN, soit le vaccin ARN ! Numéro deux : ce sera quelque chose qui s’appelle la luciférase.

Eh bien, c’est très important à savoir. Ils ont breveté une enzyme qui s’appelle la luciférase. D’accord ? Lucifer, porteur de lumière, parce que c’est de la bioluminescence. Une lumière. Et c’est quelque chose que vous ne pouvez pas voir ou sentir. Si vous avez un appareil comme une application pour smartphone, vous pouvez le scanner et il s’allume. Cela montre un motif, un code numérique, un code-barres, un tatouage. Nous sommes marqués au fer rouge. Chaque personne a alors sa propre carte d’identité. Vous savez, cela me rappelle la Seconde Guerre mondiale. Vous devriez penser à être marqué comme un produit en magasin.

Ce sera donc là-dedans, comme preuve que vous avez été vacciné. Ils veulent pouvoir vous scanner pour vérifier que vous avez bien le vaccin. Donc, nous serons marqués. À quoi cela pourrait-il servir ? Il existe de nombreuses technologies, mais c’est quelque chose dont nous devons nous préoccuper.

Il y a donc deux choses : Nous avons un tout nouveau vaccin expérimental à base d’ADN, d’ARN, qui pourrait potentiellement modifier notre génome, et deuxièmement, nous serons tatoués ou marqués d’une ID. Et troisièmement, tout ça sera dans un hydrogel. Donc, l’hydrogel est une technologie développée par la DARPA, (agence du ministère de la Défense des États-Unis). C’est une petite partie du Pentagone, le ministère de la Défense. Ils font les inventions de science-fiction dont vous entendez peut-être parler. Il s’agit donc d’une de leurs inventions. Vous pouvez chercher sur YouTube « Hydrogel », la société « Profusa » et « DARPA » et regarder quelques clips, certaines de ces technologies. Il s’agit donc d’une technologie particulière. Elle s’insère sous la peau, à condition que le corps ne la rejette pas. Et c’est une nanotechnologie, des organismes robotiques microscopiques. Donc, ces organismes microscopiques, ces petits robots, seront dans votre corps. D’accord ? Ils peuvent se réunir, se séparer et se réunir à nouveau, et faire d’innombrables choses dans votre corps. L’idée est donc de recueillir des informations de votre corps. Vous pourriez mesurer votre tension artérielle, votre glycémie, votre rythme cardiaque, ce qui semble bien. Donc ils collectent ces informations. Mais ça peut aussi faire d’autres choses. Il peut compter le nombre de pas que vous avez faits, si vous tombez, si vous marchez, si vous avez vos règles et comment se déroule votre cycle menstruel, si vous avez des relations sexuelles ou si vous dormez. Il peut en fait détecter vos émotions. D’accord ? Toutes ces données, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, 365 jours par an, sont collectées. Et où cela va-t-il ? Eh bien, ils prétendent que ça va vers une application intelligente, vers le cloud ou vers tout autre appareil. Mais qui reçoit ces informations ? Qui les utilise ? Dans quel but les utilisent-ils ? Il n’y a pas de réponse à cette question. L’autre chose importante à savoir est donc ceci : où sont collectées toutes ces informations nous concernant ? Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle. Il faut le savoir : Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Vous devez le savoir: Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Donc, vous avez votre smartphone. Vous pouvez envoyer un SMS ou un e-mail, mais le téléphone ou quelqu’un d’autre peut aussi vous envoyer quelque chose, à votre appareil. Ça signifie que quelque chose peut renvoyer quelque chose à notre corps. Des messages et des informations. Que peut-il se passer ? J’imagine que votre humeur serait affectée, ou votre comportement, ou votre mémoire. Cela pourrait vraiment causer beaucoup de problèmes. Et qui est responsable de cela ? Le ministère de la Défense ? Bill et Melinda Gates ? Qui s’en occupe ? Nous n’avons pas encore de réponses, mais c’est quelque chose qu’il faut vraiment savoir, parce que c’est à l’ordre du jour !

Et je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler d’ID 2020. C’est l’idée que tout le monde doit avoir une identification unique ! Et avec cette identification, tout sera réglé. Plus besoin de carte de crédit, plus besoin d’argent liquide ! Ce tatouage, ce n’est que le début de l’identification univoque ! Cela signifie la fin de l’argent liquide, la fin des cartes de crédit et ce n’est que le début de tout ! D’accord ? La perte d’autonomie, la perte d’indépendance, la perte de la vie privée. Nous devons vraiment savoir ce que ces personnes ont l’intention de faire !

Parlons maintenant de l’hydrogel. Les entreprises prétendent que l’hydrogel a le potentiel d’être un « système d’administration immédiate de médicaments à la demande ». Et je ne dis pas qu’on le met dans ce vaccin, mais je dis que c’est la même technologie. Vous devez le savoir ! C’est donc une « administration immédiate de médicaments à la demande ». Ça signifie que par une application de lumière, un médicament serait délivré directement dans votre corps. C’est inquiétant, parce que normalement, quand je veux prendre un médicament, j’ai un emballage avec une étiquette, je vois le comprimé, il est marqué, et je le prends quand je veux. J’ai le contrôle ! Mais qu’en est-il lorsque quelque chose est livré par la lumière ? Et je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’ils sous-entendent par là mais c’est de cela qu’ils parlent. Est-ce que quelque chose dans votre corps peut être activé de l’extérieur ? Est-ce que vous saurez qu’il a été activé ? Et s’il y a un problème avec ça, alors quoi ? Je veux dire, pouvez-vous imaginer l’impact de cela ? Que se passerait-il si un groupe de personnes devenait incontrôlable ? Quelque chose en vous pourrait-il être stimulé pour vous calmer ? J’imagine que dans de mauvaises mains, ce serait très dangereux. Est-ce une des raisons pour lesquelles notre armée est impliquée ? Je vous donne juste quelques idées pour réfléchir de manière critique, pour faire vous-même des recherches sur ces choses, sur ce qui serait possible avec ces vaccins. Vous devez vraiment savoir qu’ils ne nous donnent pas seulement un vaccin ! Ils manipulent notre ADN, notre génome ! Et ils disent : Ce n’est que temporaire, mais je vous dis qu’il est possible de manipuler le génome de façon permanente avec la transfection, et nous ne le remarquerons pas tant qu’ils ne l’auront pas fait avec nous tous ! Voulez-vous prendre ce risque ?

David Sorensen : Un autre point qui est extrêmement préoccupant, c’est que c’est le numéro 1 des distributeurs de vaccins qui fait avancer le projet. Il s’agit de Bill Gates. C’est un homme qui n’a réellement aucune formation médicale.

J’aimerais vous poser une question. Quand vous êtes malade, vous allez voir un médecin. Vous allez voir quelqu’un qui a été formé pour bien vous soigner, quelqu’un qui peut poser un diagnostic précis et qui peut proposer les meilleurs traitements pour vous guérir. Iriez-vous chez une personne qui n’a absolument aucune formation médicale ? Aucun d’entre nous ne le ferait. Bill Gates, cependant, est le numéro 1 mondial. Il contrôle les gouvernements et les organisations de santé dans de nombreux pays. Il est le numéro 1, le financier de l’Organisation mondiale de la santé. Il dicte ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas. C’est un homme qui n’a littéralement aucune formation médicale, et pourtant il est la voix principale dans le monde, qui oriente l’humanité dans son ensemble vers des décisions médicales extrêmement dangereuses, une direction médicale. C’est lui qui finance les entreprises de vaccins. C’est lui qui a parlé au président Trump. Vous pouvez écouter ce clip, il ne s’agit que de quelques secondes, où il dit mot pour mot au président Trump : « Nous ne devrions pas étudier les risques et les dommages des vaccins ».

Bill Gates : La deuxième fois que je l’ai vu, c’était après, en mars 2017, à la Maison Blanche. Lors de ces deux rencontres, il m’a demandé si les vaccins n’étaient pas malgré tout une mauvaise idée. Il a envisagé de créer une commission chargée d’étudier les effets nocifs des vaccins. Robert F. Kennedy Junior a en effet déclaré que les vaccins étaient nocifs. Et j’ai dit : Non, c’est une impasse, ce n’est pas une bonne idée. Ne le fais pas.

David Sorensen : Bill Gates est connu pour les ravages qu’il a causés dans le monde entier avec ses vaccins. Robert F. Kennedy Junior est un proche parent de feu John F. Kennedy, qui a été assassiné parce qu’il enquêtait sur la corruption de la CIA. Robert Kennedy a la même passion pour la vérité et la lutte contre la corruption. Il a enquêté sur l’industrie des vaccins de Bill Gates et il a rédigé un rapport montrant comment il a rendu des millions de femmes stériles sans qu’elles le sachent. Il a provoqué la paralysie, l’autisme, la mort de centaines de milliers d’enfants. Il a été expulsé d’Inde pour cela. Il y a une pétition à la Maison Blanche avec plus de 600 000 signatures de personnes qui demandent une enquête sur Bill Gates pour crimes contre l’humanité. Voilà l’homme… zéro formation médicale. Il ne sait rien sur la manière de soigner les gens malades, et pourtant il est le numéro 1 des fabricants de vaccins. Pourquoi fait-il cela ?

Il a dit que son entrée dans le secteur de la vaccination était le meilleur investissement commercial qu’il ait fait. En faisant du commerce avec les vaccins il a multiplié sa fortune qui est passée de 15 milliards à 100 milliards de dollars.

Pour cela, il possède la plupart des médias ou les soudoie. Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte qui a été rédacteur pour l’un des plus grands journaux d’Europe, a fait des aveux choquants il y a quelques années,

Il a dit : « J’ai été journaliste pendant 25 ans. Pendant toutes ces années, on m’a appris à mentir, à tricher et à ne jamais dire la vérité au public ». Et il ajoute : « J’ai été corrompu par des milliardaires américains, par la CIA, par des sociétés secrètes et par les services secrets allemands. »

Udo Ulfkotte : Je suis journaliste depuis 25 ans. J’ai été éduqué à mentir et à tricher, à ne pas dire la vérité. C’est mal ce que j’ai fait dans le passé, manipuler les gens, faire de la propagande. Et ce n’est pas bien ce que nous avons fait, mes collègues et moi, parce que nous avons été soudoyés pour tromper les lecteurs, pas seulement en Allemagne, mais dans toute l’Europe. Nous vivons dans une république bananière, pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse et les droits de l’homme. J’ai été soutenu par le service central de renseignement, par la CIA. J’en ai assez, je ne veux plus de ça. Alors j’ai écrit un livre. Pas pour gagner de l’argent, non, je vais avoir beaucoup de problèmes. Je veux montrer aux gens en Allemagne, en Europe et dans le monde entier ce qui se passe derrière les portes fermées.

David Sorensen : Pourquoi est-ce important dans le contexte des vaccins ? Récemment, une réunion secrète des experts en sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé a eu lieu à Genève, en Suisse. La réunion était secrète. Elle ne devait pas être divulguée. Quelqu’un de consciencieux a fait fuiter les informations de la réunion, car ces experts de haut niveau en matière de sécurité des vaccins, venus du monde entier, ont reconnu mutuellement qu’il existait de graves problèmes de sécurité. Nous sommes profondément préoccupés par les nombreux problèmes de santé à long terme causés par les vaccins et les nombreux décès qu’ils entraînent. Un des principaux scientifiques de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré littéralement : « Dans de nombreux pays, nous n’avons pas de bons systèmes de sécurité et nous ne pouvons pas répondre aux questions des gens sur les décès dus aux vaccins. »

Dr Soumya Swaminathan, OMS : Nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus à cause d’un vaccin particulier.

Dr Stephen Evans, OMS : Et c’est pourquoi il ne me semble pas incorrect de dire qu’il y a de plus en plus d’incidents indésirables liés à l’antigène, mais qui n’ont peut-être pas été identifiés en raison du manque de statistiques dans les études initiales.

Dr Martin Friede, OMS : Vous avez raison : le plus grand souci de santé publique que nous voyons, ce sont les accusations d’effets à long terme.

Dr Heidi Larson, OMS : Nous avons des professionnels de la santé critiques qui commencent à remettre en question les vaccins et la sécurité des vaccins. Avec un peu de chance, on a une demi-journée consacrée aux vaccins pendant les études. Ensuite, il faut se tenir au courant soi-même.

David Sorensen : Il est bien connu que les vaccins classiques sont très dangereux et ont de graves effets secondaires. Les médias cachent cela à tout prix au public. Le gouvernement américain a récemment organisé une audition avec Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook. Un sénateur a attiré l’attention sur ce point : Le gouvernement amér-icain a récemment versé plus de 4 milliards de dollars à des personnes dont la vie a été détruite par des vaccins. Alors pourquoi Facebook cache-t-il à ses utilisateurs des informations sur les dommages causés par les vaccins ?

Bill Posey : En avril, je vous ai écrit que j’étais déçu que Facebook restreigne la liberté d’expression et que j’envisageais d’aborder le risque de vaccination. Reconnaissant les incertitudes et les risques des vaccins, le gouvernement fédéral a créé un fonds fiduciaire. Ce fonds a versé plus de quatre milliards de dollars pour indemniser les personnes qui ont subi des dommages suite à la vaccination. Il n’y a pas de message plus clair sur le risque vaccinal que l’existence et les paiements de ce fonds. De temps en temps, la recherche médicale a identifié des cas de risques spécifiques liés aux vaccins. Quelqu’un ne devrait-il pas avoir la possibilité d’exprimer une opinion différente de la vôtre ? Je veux dire, plus de quatre milliards de dollars ont été versés par le fonds, à plus de quatre mille personnes. Ne pensez-vous pas que les gens devraient avoir des informations pour pouvoir prendre une décision plus fondée ?

Mark Zuckerberg : Membres du Congrès, c’est ce que je fais, et c’est pourquoi nous n’empêchons pas les gens de publier sur leur page quelque chose qui est faux. Quelqu’un tape dans le champ de recherche quelque chose qui pourrait conduire à des contenus anti-vaccins… nous ne leur recommandons pas de résultats de recherche anti-vaccination.

Bill Posey : Les gens qui sont lésés par cette politique sont en effet des parents d’enfants handicapés, et je ne pense pas que nous devrions, ou que vous devriez, leur tourner le dos si vite, si vous regardez les statistiques terribles. Je pense que vous faites une grave erreur.

David Sorensen : Une forme sévère d’autisme fait que les gens ne sont plus capables de penser clairement, ils ne peuvent pas parler correctement, ils ne peuvent pas se comporter correctement, ils sont handicapés mentaux. Une étude a été menée par le CDC pour examiner le lien entre les vaccins et l’autisme sévère. Ils ont en effet découvert que les vaccins provoquent l’autisme. Cependant, ils ont jeté toutes les preuves dans une poubelle qu’ils ont placée au milieu de la pièce. Ils ont détruit les preuves et ils ont publié un document scientifique dans la prestigieuse revue PEDIATRICS en disant que non, les vaccins ne causent pas l’autisme. Le scientifique principal de cette enquête, de cette étude, William Thompson, est sorti et a dit « Je suis coupable, nous avons caché la vérité au public ».

Conversation téléphonique de William Thompson avec Brian Hooker :

Vous et moi nous nous connaissons à peine, mais vous avez un fils autiste et moi une grande honte.

Journaliste Del Bigtree : Il y a un lanceur d’alerte du CDC qui annonce que le CDC a commis une fraude dans l’étude ROR et qu’ils savaient que les vaccins provoquaient effectivement l’autisme.

Parents d’enfants handicapés dus à la vaccination :

  • Avant la vaccination, mon fils aîné pouvait marcher, mais plus après !
  • J’ai donc appelé la clinique et j’ai dit que je pensais que mon enfant avait un effet secondaire.
  • Et puis il a commencé à se cogner la tête sans arrêt, il tapait contre tout ce qu’il pouvait trouver.

Enregistrement de William Thompson : Je suis assis au bon endroit en ce moment pour vous donner plein d’informations :

(Insertion vidéo : Le risque relatif de recevoir un diagnostic d’autisme était gigantesque.)

Udo Ulfkotte : Wow ! Le CDC était au courant du risque d’autisme dû au vaccin ROR depuis le début !

Dr Coleen Boyle : Et le verdict du CDC : la meilleure politique publique est tout simplement de continuer à vacciner.

Dan Burton : Vous dirigez nos autorités sanitaires et vous avez l’obligation de veiller à ce que ces études soient complètes, afin que nous connaissions tous les faits.

Enregistrement de William Thompson : Oh mon Dieu ! Je ne peux pas le croire… nous l’avons fait !

Journaliste Del Bigtree : …détruit des données, induit le Congrès en erreur, causé de graves dommages à des enfants innocents

Jim Sears (pédiatre) : Tout ce que j’ai dit à mes patients au cours des dix dernières années est basé sur des mensonges et des dissimulations.

Bill Posey : Vous devriez pouvoir compter sur les autorités fédérales pour vous dire la vérité…

Doreen Granpeesheh : En 1978, la prévalence de l’autisme était d’un enfant sur 15 000.

Stephanie Seneff : Au rythme actuel, nous pouvons prédire que d’ici 2032, 80 % des garçons qui naîtront finiront dans le spectre de l’autisme. 80 % des garçons !

Doreen Granpeesheh : Ce nombre énorme d’enfants qui sont diagnostiqués autistes chaque jour…

Stephanie Seneff : … ce sera une catastrophe totale ! Vous laissez cela arriver.

David Sorensen : C’est un crime de l’organisation de la santé au plus haut niveau de nous cacher cette information. Les médias cachent cette information.

Le documentaire VAXX montre en effet l’immense destruction causée par les vaccins dans le monde entier. Les gens expriment l’indicible souffrance du cœur que les vaccins ont causée à leurs enfants, qui ne peuvent plus marcher, plus parler, plus penser. Ce documentaire a été interdit, réprimé et censuré de toutes les manières possibles. C’est pourquoi j’ai invité le Dr. Carrie Madej à parler des vaccins, car le vaccin Covid-19 présente tous les dangers des vaccins classiques, plus tous les risques inhérents aux nouvelles technologies introduites sans tests de sécurité.

Bill Gates dit littéralement dans une interview avec la BBC qu’ils sautent les tests de sécurité habituels parce qu’ils n’ont pas le temps. Comment ça, pas le temps ?

C’est absolument fou ! Et il a aussi dit qu’au moins sept cent mille personnes vont souffrir d’effets secondaires. Et ces effets secondaires incluent le cancer, les maladies auto-immunes, la paralysie, la mort, toutes sortes d’effets secondaires graves. Je vais passer le clip dans lequel vous pouvez entendre Bill Gates parler de l’omission des tests de sécurité.

Bill Gates : Et le moyen de nous ramener au monde d’avant le Covid consiste à vacciner les sept milliards de personnes. L’efficacité chez les personnes âgées, dont le système immunitaire est affaibli, est un grand défi. Pour y parvenir, si on utilise vraiment le vaccin, on risque de se heurter à des problèmes de sécurité. Il faudrait donc terminer en dix-huit mois quelque chose qui prend normalement cinq ou six ans. Mais il y aura un compromis : moins de tests de sécurité que ce que nous avons normalement.

Intervenant du studio : Si je comprends bien, il peut y avoir des compromis sur les mesures de sécurité auxquelles on s’attendrait normalement, parce que le temps est tellement compté ?

Bill Gates : Eh bien, si vous voulez attendre pour voir si un effet secondaire apparaît deux ans plus tard, cela prend deux ans.

David Sorensen : Dans le clip suivant, on entend Bill Gates dire qu’il injecte des organismes génétiquement modifiés, directement dans les veines de jeunes enfants.

Bill Gates : Les effets secondaires isolés sont un peu préoccupants. Avons-nous besoin de tests de sécurité ? Nous utilisons des organismes génétiquement modifiés, et nous les injectons dans les bras de petits enfants, nous les injectons directement dans la veine. On utilise des organismes génétiquement modifiés et on les injecte directement dans le bras. On les injecte directement dans la veine. Donc oui, je pense que nous devrions peut-être avoir un système de sécurité où nous ferions des essais et des tests.

David Sorensen : Regardez l’expression de son visage. Comme il aime ça, il regarde sur le côté et sourit … « des organismes génétiquement modifiés et on les injecte dans les petits bras des enfants, on les injecte directement dans la veine… »

Donc oui, peut-être qu’on devrait avoir des tests de sécurité, ce qui veut dire qu’ils ne l’avaient pas encore au moment où il l’a dit. Ça veut dire qu’ils ont injecté des organismes génétiquement modifiés à des millions de personnes depuis des décennies. Ça peut modifier leur ADN, ce qui provoque une énorme destruction de leur corps. Et il dit simplement : « Oui, peut-être que nous devrions avoir un système de sécurité » !

Extraits (citations) :

« … parce que nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus en raison d’un vaccin particulier. »

« De grandes préoccupations sanitaires que nous avons vues, accusations d’incidents à long terme et de longue durée. »

« Nous avons de très nombreux professionnels de la santé en première ligne qui commencent à remettre en question les vaccins et aussi la sécurité des vaccins. »

« Ce serait la catastrophe totale si ça continuait comme ça. »

David Sorensen : Il se passe autre chose, c’est extrêmement dangereux. Mike Adams de Natural News est un scientifique qui étudie cela depuis de nombreuses années. Il a fait une vidéo il y a des années dans laquelle il disait textuellement : ils vont créer une pandémie de Covid et ensuite introduire un vaccin qui va tuer des millions de personnes parce qu’ils veulent réduire la population mondiale.

Mike Adams : Ils sont appelés à participer à un programme d’inoculation-meurtrier. Ça pourrait se passer de la façon suivante : D’abord, il y a une épidémie planifiée, la libération d’armes biologiques manipulées. Nous avons vu le coup d’essai, l’épidémie de rougeole à Disney World, pour promouvoir le mandat de vaccination SPE 277 en Californie. Ça se fait au niveau global. Une arme biologique est libérée. Ça entraîne des appels au financement massif de l’industrie des vaccins par l’Etat. Et comme par miracle, le vaccin sera ensuite développé en un temps record. Tout le monde sera obligé de se faire vacciner, mais le vaccin sera tel qu’il tuera les gens. Le kill-switch pour l’humanité, la grande mort. De nouvelles lois exigeront que tout le monde se fasse vacciner. Les personnes non vaccinées ne pourront plus utiliser les transports en commun. Ils ne pourront pas prendre l’avion, ils se verront refuser un compte en banque.

Et dans ce vaccin, ils introduiront bien sûr d’autres armes fabriquées par biotechnologie. Il s’agira de souches virales à longue latence, qui ne seront peut-être actives que des mois plus tard. Dès que l’effet commencera à se faire sentir, ils verront des gens mourir dans les rues, dans toutes les villes, dans le monde entier. Lorsque cela commencera, les médias encourageront un deuxième tour de vaccination. Ce deuxième tour sera un kill-switch plus court, qui tuera les gens en quelques semaines, pas en quelques mois, peut-être en quelques jours dans certains cas.

Si tu fais la queue pour te faire vacciner, tu seras probablement mort en peu de temps. Et c’est le cas, les vaccins sont devenus une arme. Ils sont un facteur de mort pour l’humanité. Rappelle-toi que les mondialistes ne veulent pas des humains, du moins pas de la plupart d’entre nous. Ils veulent dépeupler la planète de 90%. Les vaccins sont devenus de plus en plus des armes biologiques.

David Sorensen : Mike Adams a-t-il perdu la tête, est-il fou ? Pourquoi dit-il cela ? Je reviens au Dr Carrie. Elle va expliquer quelques choses sur le passé de Bill Gates, sa mission et l’agenda général de dépopulation du monde.

Revenons à vous, Carrie.

Dr Carrie Madej : Alors, vous vous demandez peut-être pourquoi, pourquoi cela arrive avec ce nouveau vaccin ? Pourquoi ces nouvelles technologies ? Eh bien, chaque fois que je ne suis pas sûre de quelque chose, je me dis de suivre l’argent. Et si vous regardez le contexte, les bailleurs de fonds qui essaient d’être les précurseurs de la fabrication des vaccins, si vous regardez la recherche et le développement, si vous regardez ce qu’il y a derrière les grandes organisations de santé comme l’OMS, l’Institut national de la santé, le Centre de surveillance des maladies du CDC, vous trouvez les mêmes noms. L’un des plus grands donateurs est la Fondation Bill & Melinda Gates. Un autre que vous n’avez pas souvent remarqué, c’est notre armée, le ministère de la Défense et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), qui est une autre branche du Pentagone. Donc, vous voyez ça tout le temps. Ok, donc nous savons qu’il y a des entités, l’armée.

Mais regardons ces personnes, Bill et Melinda Gates, qui parlent si brutalement. Pourquoi s’intéressent-ils aux vaccins ? Parce qu’ils font partie de la technologie informatique. Ce sont des gens de la technologie. Ils n’ont pas de formation en santé, en science ou en épidémiologie. C’est eux qui mettent des millions et des millions de dollars dans ces entreprises et qui les financent, donc ils ont aussi un intérêt personnel à gagner de l’argent avec ça, parce qu’on peut gagner de l’argent avec les vaccins.

Et si on regarde l’histoire de la famille, on voit que la famille Gates a été très impliquée dans l’eugénisme. L’eugénisme, c’est le contrôle mondial de la population ! Tous deux pensent qu’il y a trop de gens dans le monde, et que pour créer un monde sain, il faut le dépeupler. Comment peut-il décider qui reste et qui part ? Dans la vidéo, il dit que grâce à la nouvelle technologie des vaccins, nous pouvons dépeupler la population. Il pense de 10 à 15 %.

Citation de Bill Gates :

« Il y a aujourd’hui 6,8 milliards d’êtres humains, il y en aura 9 milliards dans peu de temps. Si nous faisons vraiment un super boulot maintenant, avec de nouveaux vaccins et des soins de santé reproductive, nous pourrons peut-être réduire la population de 10 à 15%. »

Dr Carrie Madej : Qui est-il pour décider qui reste et qui part ? C’est quand même très inquiétant. Il faut regarder la motivation de celui qui nous pousse à le faire. Est-ce que c’est sa motivation ? Il y a encore une chose à savoir : La fondation Bill & Melinda Gates et le Pentagone DARPA ont effectivement financé quelque chose qui s’appelle Gene Drive Research ou technologie de modification des gènes. C’est exactement ce qu’ils pensent peut-être. Il s’agit d’extinction, d’extermination d’espèces. Ils proposent de l’utiliser et ont dépensé des millions de dollars pour éradiquer des espèces de la planète. Ils veulent le faire avec les moustiques et les plantes en Afrique. Encore une fois, est-ce que quelqu’un en a parlé ? Donc, s’ils parviennent à éradiquer une espèce sur la planète, ça pourrait s’appliquer à l’homme. Et s’il y a une espèce, une race qu’ils n’aiment pas ? Il y a là un potentiel. Et comment font-ils ? Ils le font par mutagenèse. Ils mutent un gène. Encore une fois, ce mot s’appelle transfection. C’est un moyen de manipuler l’ADN, de faire muter un gène. C’est la même technologie qu’ils utilisent dans ce nouveau vaccin contre le Covid-19. Mais nous devons voir la motivation derrière tout cela ! Pourquoi sont-ils si pressés ? Et vous savez, si le vaccin nous endommage, si des gens ont un cancer, sont paralysés, meurent, personne n’a de droits de recours. Nous ne pouvons pas porter plainte ! Nous n’avons pas de voix parce qu’aux États-Unis, ils ont voté deux mandats pour dégager les fabricants de vaccins et tous ceux qui les administrent, de toute responsabilité, de toute responsabilité ! D’abord en 1986 ! Si on regarde la loi sur les vaccins, on voit qu’ils sont déjà exonérés de toute responsabilité. Puis, pour vraiment brouiller les pistes, en février 2020, les États-Unis ont pris les devants en adoptant une loi de précaution d’urgence qui implique une responsabilité zéro complète pour tous les fabricants de vaccins. Encore une fois, il y a deux mandats, et même avec cette loi préventive d’urgence, ils peuvent imposer des vaccins à la population, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de traitement connu pour l’infection. Ça nous amène au point suivant. Il y a un traitement ! Des médecins nous ont contactés. Nous connaissons différents traitements, en effet. Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’hydroxychloroquine. Elle a été bannie de certains protocoles. Même dans mon État, la Géorgie, où je suis autorisé à exercer, les pharmacies peuvent désormais refuser à leur gré la prescription d’hydroxychloroquine. Nous n’avons jamais eu cela auparavant. Pourquoi empêche-t-on les médecins de prescrire un traitement dont nous savons qu’il est efficace contre ce virus – et même qu’il le prévient !? Je ne sais pas. Je pense que c’est peut-être l’argent, peut-être est-ce un programme pour les fabricants de vaccins ? Qu’est-ce que ça peut être d’autre ? Des médecins américains en première ligne parlent de leur expérience. Ils ont eu des expériences et des succès avec l’hydroxychloroquine. Ils ont eu une audience publique. Puis ils ont été réduits au silence. Leur site web est devenu introuvable, un médecin a été licencié, un autre calomnié. Voilà les conséquences de leur témoignage.

The Frontline Doctors des États-Unis :

« Hier, il y a eu plus de 20 millions de clics sur YouTube, Google, Facebook et Twitter. Puis ils nous ont supprimés. J’en ai assez de voir des gens mourir sous nos yeux. Nous étions encore plus consternés par ce filet de peur dans lequel les gens ont été enveloppés. Quand il y avait un traitement, ils étaient guéris. Il y a un traitement. Les gens ont peur de le dire. S’ils donnent le remède à temps, il stoppe le processus de la maladie ! La maladie s’arrête. Nous te suivons de près, Big Tech ! C’est ce que nous faisons ! Nous ne nous tairons pas ! La première demande n’est pas la dernière ! Bon, vous ne vous reposerez pas quand nous reviendrons. Nous viendrons. Nous sommes des milliers ! Et d’ailleurs, le flot de preuves concernant l’hydroxychloroquine est sauvegardé et c’est la solution pour l’Amérique. C’est un tsunami ! »

« Le produit était autrefois utilisé tout le temps. Il n’y a pas de Covid, presque zéro ! Le Dr Raoult est le n°1 mondial des infections et l’a approuvé. Il a traité 4 000 personnes avec ce produit. Avec un résultat formidable ! L’hydroxychloroquine est efficace ! Ne pas le donner aux malades, c’est honteux ! Nous vous apportons cette nouvelle : l’hydroxychloroquine fonctionne ! »

« Je suis le Dr Stella Immanuel. Je suis pédiatre et médecin urgentiste ici au Texas. Je suis originaire du Cameroun et j’ai étudié la médecine au Nigeria. Nous utilisons l’hydroxychloroquine et aussi la camoquine, la flavoquine et toutes ces substances actives. Je suis donc habituée à ces médicaments. Alors quand ils ont commencé à dire que ça ne marchait pas et que c’était dangereux, j’ai pensé : Quoi ? On en donne aux bébés, aux femmes enceintes, aux personnes âgées, tout le monde en prend. L’hydroxychloroquine est efficace ! J’ai traité plus de 350 patients : asthmatiques, diabétiques, personnes âgées, peu importe. Et pas un seul décès ! Républicains, n’ayez pas peur ! Le Covid a un remède, on peut aussi prévenir le Covid ! »

« Il est important de reconnaître qu’il y a un effort concerté pour tenir à l’écart du peuple l’innocuité et l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et nous devons tous nous faire entendre. Merci. »

« La seule façon d’obtenir cette ressource est la suivante : vous devez la réclamer ! Ecrivez aux membres du Congrès, aux gouverneurs, tweetez au président Trump. Si vous le réclamez, vous l’obtiendrez et vous pourrez sauver votre vie et celle de beaucoup d’autres. Faites-le ! »

« Je vous remercie beaucoup. Oui, faisons-le ! Exigeons tous de l’hydroxychloroquine ! Quel est notre hashtag ? #hydroxychloroquinewirkt. Directement au président ! »

David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a plus de 1 700 professionnels de la santé – imaginez ce chiffre un instant – soutenus par des dizaines de milliers de personnes ordinaires qui ont écrit une lettre au gouvernement avec deux messages.

Premièrement, ils disent :

« Il est extrêmement inquiétant que les médecins et les scientifiques soient réduits au silence, et blâmés lorsqu’ils s’expriment sur les traitements existants efficaces contre le Covid-19, sûrs, bon marché et largement disponibles. »

Et deuxièmement :

« Pourquoi les gouvernements interdisent-ils ces traitements efficaces, peu coûteux et sûrs, alors qu’ils mettent en avant un vaccin non testé et peu sûr ? »

Les gouvernements versent déjà des milliards de dollars à ces développeurs de vaccins. Ces montants sont fous. C’est votre argent ! Avec cela, vous êtes contrôlés, réprimés et même tués !!! En Espagne, 600 médecins se sont avancés et ont déclaré lors d’une conférence de presse nationale : La pandémie de Covid est un plan politique unique. Il a été élaboré dans un but politique. En Allemagne, plus de 1 500 médecins et scientifiques ont déclaré ce qui suit lors d’une conférence de presse nationale :

Dr Heiko Schoning : « Nous doutons de la véracité de l’histoire officielle de Covid ! Nous avons des tas de preuves, c’est une histoire fabriquée au niveau mondial. C’est évident ! Je parle à tous mes collègues médecins, car nous avons les preuves médicales : C’est une fraude !!! Ce n’est pas vrai ! Tout simplement pas vrai !

Nous devons nous demander : Pourquoi ? Pourquoi ? Ok, et nous devons nous demander : A qui cela profite-t-il ? Si vous regardez derrière les coulisses, vous voyez, cette histoire avec le Covid-19, nous avons les faits médicaux, c’est une fraude ! C’est faux ! Alors nous nous demandons : Qui en tire profit ? Et qui a le pouvoir de créer ces faits ? Et qui a le pouvoir de créer ces choses fausses ? Eh bien, la cible, c’est vous ! Les citoyens ! Vous et l’économie. C’est l’économie qui est visée ! Donc le Covid-19 semble n’être que la couverture.

48mn30 – David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a un médecin qui s’appelle Rob Elens, un médecin généraliste. Il a vu guérir en quatre jours tous ses patients traités avec de l’hydroxychloroquine combinée à du zinc. Il a dû arrêter de soigner sans délai, sinon il perdait sa licence. Il a ensuite réalisé une vidéo dans laquelle il a fait une liste de tous les traitements efficaces existants pour le Covid-19. Elle a été vue 10 000 fois en quelques heures seulement. YouTube l’a supprimée.

Ils ne veulent pas que tu saches que l’humanité sait qu’il existe en fait un traitement sûr et efficace pour le Covid-19.

Le Dr David Brouncen, du Michigan, a traité plus de 120 patients atteints du Covid. Certains étaient en train de mourir, d’autres étaient proches de la mort.

Dr David Brouncen : Un de nos patients ne pouvait pas respirer. Il était couché et ne pouvait pas tenir un verre d’eau, tellement il était faible. Dès qu’il a commencé à inhaler de l’hydroxychloroquine et de l’iode, il s’est rétabli de manière spectaculaire.

David Sorensen : Le Dr Richard Bradley, du Texas, a été responsable de la mise en place de soins de santé de haute qualité pour l’ensemble du Texas. En tant que professionnel de la santé, il est connu pour sa qualité. Depuis le début de la pandémie, il a traité plus de 500 patients atteints du Covid avec un médicament contre l’asthme très bon marché et très simple, qui existe depuis des décennies.

Dr Richard Bradley : Je vais vous dire ce que j’ai entendu de la part des patients lorsque j’ai commencé à utiliser cela. Ils m’ont dit : « Je me sens mieux dès le premier traitement. » Leur douleur thoracique, leur essoufflement disparaissent, leur fièvre baisse.

Je vais vous donner un exemple. J’ai une patiente qui a deux types de cancer. Elle m’appelle après être restée cinq jours à plat sur le dos, elle ne peut pas se lever. Elle a de la fièvre depuis cinq jours et me dit : « Je vous ai entendu à la radio, pourriez-vous m’aider ? » C’est un vendredi et elle me dit : « Ma petite-fille a été testée positive aujourd’hui et je pense que je l’ai aussi. »

Et j’étais sûre qu’elle l’avait avec tous les symptômes qu’elle décrivait. Elle se bat actuellement contre deux formes de lymphomes, elle fait de la chimiothérapie et a eu une radiothérapie pour son lymphome il y a un mois. Après tout ce qu’on entendait de la part du CDC et de l’OMS, elle aurait dû mourir, mais je lui ai donné le premier traitement dans la nuit. Le lundi, sa fièvre était tombée et elle a bien dormi pour la première fois. Pendant le week-end, elle se remet et le lundi, elle fait une journée de travail de huit heures. Elle ne présente plus de symptômes. Deux tests négatifs, c’est une guérison !!!

Présentatrice : Ok, pouvez-vous répéter le nom du produit ?

Dr Richard Bradley : Budésonide

Présentatrice : Il est inhalé ? Par inhalation ?

Dr Richard Bradley : Avec un inhalateur.

David Sorensen : Ce ne sont que quelques exemples. Il y a des traitements, il y a des guérisons, mais ils sont réprimés et ils vous sont cachés. Les médias travaillent ensemble comme un seul homme pour mentir à toute l’humanité, car ils ne veulent tous qu’une chose : vacciner toute l’humanité !!!

Ce sera catastrophique ! Il est impossible de l’exprimer avec des mots !

La Dr Carrie Madej a soulevé quelques points. À la fin de cette vidéo, elle dira un dernier mot d’avertissement. Je vous encourage à vous inscrire sur le site stopworldcontrol.com, parce que vous aurez beaucoup plus d’infos et de révélations, beaucoup plus de vérité fortifiante, plus de vie pour défendre votre famille, votre nation…

Nous nous trouvons à un moment critique de l’histoire. Ce qui se passe actuellement est sans précédent. Sur le site Stopworldcontrol, vous pouvez trouver un article avec des dizaines de faits qui montrent sans l’ombre d’un doute que cette pandémie a été planifiée. Elle a été organisée et orchestrée. Des événements ont été organisés pour la répéter. Des scénarios ont été mis en œuvre, c’est fou ! Vous pouvez le voir de vos propres yeux sur stopworldcontrol.com.

Je vous encourage à devenir une voix de la liberté, une voix de la vérité. Beaucoup de gens découvrent cette vérité, puis s’assoient simplement et se découragent, ou ont peur, ou sont en colère, ou choisissent de dénigrer.

Mais ça n’aide personne. Vous avez le pouvoir de changer votre monde. Si nous nous levons comme UN SEUL homme et commençons à arrêter le contrôle du monde et à partager cette vérité, cette vidéo et ces pages web, à partager toute source fiable qui peut réveiller l’humanité, alors nous deviendrons un rugissement furieux que rien ne pourra arrêter !!!

Et aucun milliardaire ne peut lutter contre l’humanité entière si elle s’élève dans la plénitude de ce qu’elle est vraiment.

Alors, je vous encourage : allez sur le site stopworldcontrol, il y a un lien de téléchargement où vous pouvez télécharger des flyers et des affiches pour que vous puissiez aider à partager ce site.

Dr Carrie Madej : Alors, s’il vous plaît, écoutez nos paroles et entendez le message. En ce moment même, nous sommes confrontés à quelque chose qui pourrait changer l’humanité. Nous passons de l’humanité 1.0 à l’humanité 2.0. Et cela peut paraître très sympathique de recevoir peut-être quelques capacités – des capacités surhumaines – si nous nous connectons à ce 2.0 – cette intelligence artificielle. Mais je suis ici pour vous dire que je ne pense pas que ce sera comme vous le voyez dans les films de science-fiction. Je pense que notre autonomie, nos libertés, nos capacités à être des âmes souveraines nous seront retirées.

Alors s’il vous plaît, réfléchissez et faites des recherches critiques avec votre propre pensée, et ensuite nous devons unir nos voix dans le monde entier. Et nous devons défendre nos droits, nos droits de l’homme. Ensemble, nous avons le pouvoir ! Les personnes qui sont actuellement responsables de notre santé n’agissent pas dans notre intérêt, n’agissent pas selon une méthodologie scientifique, une bonne science solide.

Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi introduisent-ils des technologies dont ils ne parlent pas dans les grands médias ? Qu’est-ce qu’ils cachent ? Nous devons donc nous unir et avoir une seule voix !