Pour résoudre le problème des urgences, François Braun veut les supprimer la nuit !

Enfin une solution définitive !

François Braun est le monsieur « mission flash » mandaté par le président Macron qui a mis beaucoup plus de 5 ans pour se rendre compte de l’état catastrophique de l’hôpital public et du système de santé globalement puisqu’il était au pouvoir depuis 2012, initialement comme secrétaire général adjoint de l’Élysée.

[Voir aussi :
François Braun, un parfait Playmobil sous contrôle au ministère de la Santé — Le courrier des stratèges]

La création des agences régionales de santé en 2008 par la loi Bachelot a aggravé la situation engendrée par les agences régionales d’hospitalisation qui datait de 1996 créée par A. Juppé. La mainmise de l’administration a été de plus en plus étouffante, transformant les médecins hospitaliers et libéraux en robots du management énarchique dont le but a été et est toujours de faire des économies(([1] Santé et argent magique. Le Hold up de la médecine par la bureaucratie au service de la finance. Le rôle des ARS — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([2] DÉGRADATION MAJEURE DE NOTRE SYSTÈME DE SANTÉ PUBLIC ET PRIVÉ : COMMENT ? POURQUOI ? QUE FAIRE ? — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([3] CRISE DE LA SANTÉ : SOIGNER OU OBÉIR ? — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )). Le pouvoir répondant ainsi au diktat répétitif de Bruxelles.

Donc, rentabiliser, limiter le nombre de personnels soignants et donc le nombre de lits.

La suppression de 17 500 lits durant le dernier quinquennat malgré les vives manifestations antérieures et la crise du covid n’a fait qu’aggraver la pénurie terrible établie depuis les années 2000.

Le privé a été sacrifié comme le public, puisque contrairement aux idées répandues, l’autorité de l’État — via son bras armé, les ARS — décide des ouvertures, fermetures de lits, voire d’établissements, et impose l’organisation liberticide de la médecine via les nombreux comités obligatoires dont le rôle est de diffuser et surveiller l’application des multiples normes et recommandations devenues rapidement injonctions. Cela concerne le choix des traitements qui, par exemple en cancérologie, vient d’en haut via l’institut national du cancer et la HAS (haute autorité de santé) qui imposent des protocoles. La surveillance du respect des ukases se fait grâce aux réunions multidisciplinaires obligatoires et aux audits réalisés par la HAS qui donne ou non l’autorisation d’exercice de la spécialité en accordant ou non « l’accréditation ». Bref ! méthodes bien connues des entreprises appliquées ici à un objet très particulier, l’humain. Et cela ne marche pas. Tant que la liberté de soigner et de prescrire (par le dialogue singulier médecin-patient) est bafouée, le métier médical s’effondrera.

Que ceux qui sont encore étonnés repensent à la période récente où l’on manquait soi-disant de lits pour les malades du covid, mais que les ARS interdisaient aux cliniques privées (sauf exception) de les recevoir. Et ce malgré le décret de mars 2020 d’Édouard Philippe qui imposait le plan blanc en privé et en public, interdisant de prendre en charge tout ce qui n’était pas covid, sauf grande urgence. Ainsi de nombreux personnels ont été licenciés ou mis au chômage faute de malades… Et pendant ce temps-là, les grands discours tragiques du croque-mort du soir.

À l’issue de la « mission flash », François Braun a affirmé qu’il « ne trouve pas opportun de réintégrer les 15 000 soignants suspendus » alors que l’hôpital manque dramatiquement de médecins et d’infirmières. Il faut savoir que ce chiffre de 15 000 soignants mis au chômage par cet ukase vaccinal est très largement sous-estimé en raison de la non-prise en compte des incessants arrêts de travail de soignants, des nombreuses démissions et des départs anticipés à la retraite depuis l’obligation vaccinale.

Selon Thierry Amouroux du Syndicat national des professionnels infirmiers(([4] Des départs massifs de soignants » : la commission d’enquête du Sénat face à la déliquescence de l’hôpital)):

« 7500 postes vacants d’infirmiers étaient recensés en juin 2020. En septembre 2020, ils étaient 34 000. Aujourd’hui, ce sont 60 000 postes qui manquent. Et l’enjeu va donc être de faire revenir au moins un tiers des 180 000 professionnels qui ont cessé d’exercer et qui ont changé de voie. »

Véronique Hentgen du Collectif Inter-Hôpitaux avait alerté(([5] https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/des-departs-massifs-de-soignants-la-commission-d-enquete-du-senat-face-a-la)) sur le fait que la sécurité même des patients est aujourd’hui mise en danger, ou du moins affectée par une perte de chances :

« Une étude scientifique a démontré que la mortalité des patients augmentait dès qu’une infirmière devait s’occuper de plus de 6 patients. Dans nos hôpitaux, il n’est pas rare qu’une infirmière doive s’occuper de 16 patients en journée, voire 24 la nuit »

Le nouveau ministre a inventé une solution miracle pour aider les soignants aux urgences : fermer les urgences la nuit ! Fallait y penser, François l’a fait !

« Le rapport Braun, commandé par le gouvernement, préconise tout bonnement de fermer partiellement les urgences la nuit. L’idée est géniale puisque, en fermant les urgences, les soignants vont enfin pouvoir se reposer et siroter un bon jus d’ananas en bronzant au bord de la piscine ».

Mais quand on ferme les urgences, on ne peut plus traiter les malades ; c’est mettre la poussière sous le tapis en niant son existence.

« Quand on sait qu’un enfant de 4 ans, grièvement blessé, a dû attendre trois heures qu’un CHU l’accepte, on sent que l’idée de génie de François n’est pas si géniale que ça… »

La prochaine fois il faudra qu’il patiente jusqu’à la réouverture du service au matin !

L’Association des médecins urgentistes de France (Amuf) dénonce « la fin du service public ouvert 24 heures sur 24 […] avec comme conséquence inévitable des morts qu’on aurait pu soigner ».

« Voilà, on sent que cette année va être mouvementée pour les soignants à qui on promet monts et merveilles, mais qui doivent toujours bosser 15 heures par jour, se faire vacciner à tour de bras et fermer leur gueule. Avec un peu de chance, les soignants verront peut-être arriver Brigitte Macron dans leurs hôpitaux pour inaugurer un canapé relaxant, afin de rêver de s’y asseoir un jour. On croise les doigts ! »

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.

La révolte de ses confrères urgentistes est unanime(([6] Remaniement : trois choses à savoir sur François Braun, le nouveau ministre de la Santé (msn.com) ))

« François Braun a toujours voulu faire marcher son service coûte que coûte, regrette Pascal Pannetier, ancien psychiatre aux urgences de Metz-Thionville, dans le même hebdomadaire. Il a répété partout dans les médias qu’il y avait un problème budgétaire à l’hôpital. Et en même temps, il a été le premier à faire fonctionner un service qui se désorganise, sans prendre en compte la souffrance de ses collègues, dont beaucoup ont été en arrêt maladie pour cause de surmenage, ou sont tout simplement partis. »

En tous cas il était bien présent dans le team du gouvernement souhaitant mettre en scène les transferts (inutiles et coûteux) de malades d’une région à l’autre selon les syndicats

fleur-Sandra @Sandra_Fleur_D 8 juillet.
En réponse à @alexandreDABAG2 et @PascalNocera

« Il n’était pas très présent sur le terrain », affirme Patricia Schneider, responsable locale du syndicat SUD-Santé, qui se souvient de l’avoir « surtout vu en période Covid, quand il a fallu organiser les transferts de malades et qu’il y avait les caméras ».

« Pour nous, cette nomination est une véritable provocation », a réagi Christophe Prudhomme(([7] Énorme coup de gueule de Christophe Prudhomme sur l’agonie de l’hôpital public et des urgences — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France (AMUF), sur France info :

« Comment pouvons-nous avoir confiance dans ce monsieur ? »

« Les propositions qui sont faites par François Braun sont catastrophiques. Il explique qu’on peut fermer les urgences la nuit. Il ne représente pas les urgentistes. »

Même son de cloche du côté de Patrick Pelloux. Le président de l’Association des médecins urgentistes de France est très opposé à la régulation d’accès aux urgences, une des conclusions de la « mission flash » de François Braun. Selon lui :

« en refusant l’accès aux urgences, on s’éloigne de notre mission de service public ».

On peut penser qu’il fait partie du projet du Great Reset, mais plus prosaïquement qu’il a subi l’influence de Big Pharma. Comme urgentiste, il a sûrement été plus exposé aux influences des grands labos plus que de l’énarchie.

Laurent Mucchielli sur twitter le 9 juillet 2022

Pour information, le nouveau ministre de la Santé, François Braun (RPPS : 10 002 361), a des liens d’intérêts (Pfizer, AstraZeneca, Novartis, Mundipharma) qui ne sont pas mentionnés dans sa DPI du 21 octobre 2021

https://transparence.sante.gouv.fr/pages/infosbeneficiaires/?refine.id_beneficiaire=137364

En réponse à

@LMucchielli et @odile_chardin Qui peut m’expliquer pourquoi certains montants versés au nouveau ministre de la Santé, François Braun (RPPS : 100 002 361) ne sont pas mentionnés : MUNDIPHARMA pages 2 à 5 + Novartis page 3
https://transparence.sante.gouv.fr/pages/infosben

Dans sa déclaration publique d’intérêts, on s’aperçoit que le nouveau ministre de la Santé François Braun est rémunéré depuis 2015 par… AstraZeneca en tant que board d’expert… Cela ressemble à un grave conflit d’intérêts, non ? Lui qui est pour la vaccination !!!

Alexandre DABAGHY @alexandreDABAG2

Quels sont ses rapports avec les laboratoires qui s’enrichissent à la vitesse grand V ?

Isidore Poireau
@Le_M_Poireau

Depuis 2014 et 2015, François Braun est rémunéré par Novartis et Astra Zeneca. Il vient d’être nommé ministre de la Santé malgré ce conflit d’intérêts. [Source https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dpi-dgs-dgs11-braun-francois-m-2015-06-01.pdf]

Mais il faut reconnaître que Mr Braun n’est pas le seul à être « soigné » par les labos : la quasi-totalité des médecins du conseil scientifique et ceux des experts mis en avant par les médias le sont aussi et parfois pour des montants dépassant des centaines de milliers d’euros :

Très peu de ces médecins-représentants de commerce des labos mentionnent ces liens d’intérêts comme le prévoit expressément la loi Transparence Santé. Et le Conseil de l’ordre, chargé par cette même loi de la faire respecter, n’entame presque jamais de procédures pour violation de la loi, alors qu’il poursuit immédiatement les médecins qui ont guéri leurs malades avec la chloroquine ou l’ivermectine ou qui expriment des doutes sur les mesures prétendument sanitaires ou les injections expérimentales.

François Braun pense-t-il comme l’une de ses prédécesseurs, A. Buzin, « Il faut expliquer que vouloir des experts sans aucun lien avec l’industrie pharmaceutique pose la question de la compétence des experts ». » ou comme B. Dautzenberg champion des substituts nicotiniques : « Un bon expert sans lien d’intérêts, ça n’existe pas ! » ?(([8] https://www.unairneuf.org/2012/02/dautzenberg-lien-conflit-interets-tabacologie-industrie-pharmaceutique-big-pharma/comments/))

Si François Braun cultive des liens d’intérêts, c’est certainement pour prouver ses compétences !





L’emploi frauduleux des mots : populisme, conspi, extrêmes…

Par Lucien SA Oulahbib

Les faux-monnayeurs d’aujourd’hui, installés confortablement au pouvoir par les boomers et les hypocondriaques, n’utilisent pas seulement la planche à billets pour financer le vide abyssal de leur politique économique, ils fabriquent aussi une inflation de définitions qui pervertissent les mots jusqu’à les salir, à l’identique de ce qu’Orwell avait décrit dans 1984.

Ainsi le terme « populiste » qui s’apparentait naguère, mais gentiment à « démagogie » au sens grec de « beau parleur » est aujourd’hui plutôt immédiatement accolé à « extrémisme » (beurk) par les mêmes qui promeuvent pourtant des politiques précisément très dangereuses, voire irresponsables pour le Souverain en l’occurrence le supposé Peuple du moins en régime républicain démocratique.

Ces politiques (très) dangereuses sont aisément repérables aujourd’hui : elles ont pour objet d’aggraver les conditions d’accès à la santé en la corsetant dans son seul aspect chimique, d’empêcher d’appréhender l’idée que l’air que l’on respire s’avère bien moins pollué que naguère, de flouter de plus en plus la sécurité intérieure et extérieure, de détruire le système des salaires et des prix, d’amoindrir les retraites en refusant un mixte avec toute capitalisation « populaire » (rimant avec « néo-libéral », « réactionnaire », « égoïste égoïste ») à l’ère de l’injection et de la muselière dite « altruistes » et « recommandées ».

Concernant par exemple la manière dont il est question d’indexer les prix de l’énergie sur les rémunérations à partir de la rentrée 2023, cela voudrait dire que l’on continuerait à faire encore payer à la classe moyenne l’impéritie d’une politique qui a refusé de renforcer le nucléaire, de réduire drastiquement en amont les impôts de production, d’associer capital et travail par une participation dynamique, et enfin d’augmenter des droits de douane pour des produits ne répondant aux normes sociales et écologiques imposées pourtant en interne.

Au fond, la classe moyenne comme on le sait n’est pas (encore) assez pauvre pour être assistée, mais de moins en moins aisée pour bénéficier de ces ristournes fiscales et autres placements « aisés » permis par « notre » planche à billets (puisqu’elle est « publique »). Cette connivence non dite renforce plutôt les plus hauts revenus en leur permettant la spéculation multiforme, d’où la montée (en dents de scie) des actions risquées et de l’immobilier. Et le tout sera effectué en sermonnant cette même classe moyenne pourtant hors jeu, surtout dans ses strates supérieures, avec sa dite « sur-épargne » sur laquelle ces vautours (publics et privés) lorgnent alors qu’en France celle-ci sert surtout à compenser le faible montant des retraites puisque celles par capitalisation sont surtout accessibles, à revenu moyen, plutôt en complémentaire et si l’on est fonctionnaire (la Préfon).

C’est de plus en plus un réel marché de dupes : les mots changent de plus en plus vite de sens jusqu’à ce que par exemple le terme de « réussite » signifie seulement « domination » (blanche), accentuant ainsi l’erreur marxiste qui stipule que la richesse proviendrait non pas de la qualité d’un produit rencontrant précisément son marché, mais principalement de la compression du coût de revient. Celle-ci pourtant à elle seule ne veut rien dire s’il n’y a pas la qualité en premier lieu du moins pour les produits finis (d’où d’ailleurs l’idée que certains préfèrent payer plus cher leur côte d’agneau abattu localement que provenant de lointaines contrées), qualité par ailleurs protectrice de l’air que l’on respire alors que la manière dont est aujourd’hui construit le commerce mondial va de plus en plus à l’encontre de cette pratique, tout en se servant de la voiture, de l’avion et du cheptel comme boucs émissaires, le tout au nom d’un « pouvoir d’achat des plus défavorisés » dont ils se moquent éperdument (car autrement la politique économique serait précisément édifiée différemment en faisant en sorte de ne pas faire peser le poids du « social » uniquement sur les salaires et le capital investi — cette épargne déjà imposée en amont). Mais ces gens qui gouvernent en « notre » nom ne sont pas à une contradiction près : ils surfent même dessus et en rient sous cape dans les Salons made in Bergé.

Et c’est précisément pourquoi leurs sbires semblent si pointilleux sur toute critique pointant tous ces grands écarts. Cela rend si nerveux leurs maîtres, d’où cette valse des étiquettes : celles des mots et des couleurs, ou ce véritable jeu de bonneteau devenu mondial. Alors que le roi est nu ; et cela se voit (de plus en plus).




L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie

Par Claude Janvier

« Un masque normalisé est un masque revendiquant la conformité à une norme. Il peut s’agir de la norme NF EN 14 683 pour un masque à usage médical ou bien la norme NF EN 149 pour un équipement de protection individuel respiratoire », indique le ministère des Solidarités et de la Santé.(([1] Covid-19. Le bilan en 40 questions. Retour sur deux ans d’infos et d’intox
https://www.is-edition.com/actualites/parution-de-covid-19-le-bilan-en-40-questions-de-jean-loup-izambert-et-claude-janvier/))

Le 29 juillet 2020, le ministère des Solidarités et de la Santé communique que « 50 millions de masques grand public […] sont ainsi envoyés par courrier postal »

En juillet 2022, que ce soit l’organisateur du Tour de France(([2] https://www.ouest-france.fr/tour-de-france/tour-de-france-les-coureurs-doivent-refuser-les-selfies-et-les-autographes-declare-prudhomme-cc207420-f89c-11ec-9ba9-7c7737bde7fe)), — qui s’est fait faire sur mesure un masque jaune —, les employés des pharmacies, certains ostéopathes, étiopathes, soignants, aides-soignants, médecins, l’inénarrable Brigitte Bourguignon qui en message d’adieu a incité tout le monde à porter le masque, ou encore Élisabeth Borne, tout ce beau monde persiste et signe sur le fait de vivre masqué.

Quelle est la vérité dans tout ce cirque ? Les masques ne protègent pas de l’infection et de la transmission des virus, contrairement à ce qu’affirme le ministère des Solidarités et de la Santé et les administrations qui en dépendent.

Le Groupe AFNOR — Association française de normalisation —, l’une des marques de confiance (NF, AFAQ, l’Écolabel européen) et de la certification de qualité (certifications ISO 9001, etc.), est intervenu dans la certification qualité des masques.

Ce spécialiste de la certification rappelle que « seuls les acteurs fabriquant en série (industriels ou artisans accompagnés) sont en mesure de prouver, en les faisant tester en bonne et due forme, que les modèles confectionnés filtrent correctement ». Or, le maillage des masques bleus chirurgicaux, les masques « maisons » et les masques en tissus est trop gros (trous de 0,3 micron) pour arrêter le coronavirus qui mesure entre 0,06 et 0,14 micron.

N’en déplaise à certains diffusant des théories fumeuses et scabreuses pour prouver le contraire, le port du masque est inutile à part pour s’attirer les faveurs de la doxa gouvernementale et des labos pharmaceutiques. Les fabricants du rectangle bleu s’en mettent plein les poches, tandis que l’abandon des masques dans la nature fait grimper la pollution en flèche dans le silence assourdissant des écolos politiques. Tout ce cirque est alimenté quotidiennement ou presque, dans sa grande majorité, par une haute caste médicale, ultra présente sur les chaînes d’informations et grassement rémunérée pour débiter leurs inepties.(([3] https://www.francesoir.fr/societe-sante/revenus-verses-par-big-pharma-partir-de-douze-un-foyer-epidemique-de-conflits)) Conflit d’intérêts oblige, le nouveau ministre de la Santé, François Braun à reçu quelques rétributions de Novartis et Astrazeneca.(([4] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/ce-que-vous-ne-savez-peut-etre-pas-sur-francois-braun-nouveau-ministre-de-la-sante))

Lors d’une audition au Sénat en septembre 2020, le ministre de la Santé, Olivier Véran, annonça que le masque ne protège pas de la grippe saisonnière. Or, les virus « grippaux » du genre Influenza virus A, B, C et D ont une taille similaire au virus SARS-CoV-2.

Comment un masque qui ne protégerait pas du virus de la grippe protégerait-il du SARS-CoV-2 ? Un grand mystère ! Allô, allô, Professeur Delfraissy ? Une réponse ?

L’OMS est en pleine hypoxie. Elle affirme en novembre 2020 que « l’utilisation prolongée de masques médicaux peut être inconfortable, mais elle n’entraîne ni intoxication au CO2, ni manque d’oxygène. »

L’OMS elle-même assurait tout le contraire quatre mois plus tôt, le 5 juin 2020, alors qu’elle recensait les « inconvénients potentiels » du port de masque « comme les lésions cutanées du visage, la dermite irritative, ou l’aggravation de l’acné, ou encore les difficultés respiratoires qu’ils peuvent provoquer, ces dernières étant plus fréquentes dans le cas des masques de protection respiratoire. »

Puis cinq jours plus tard, le 10 juin, que « l’efficacité du masque est, en effet, confirmée » et que « le port du masque est recommandé ».

Si vous souhaitez disparaître tranquillement, sachez que le port du masque peut provoquer « la mort heureuse ».

En effet, chez des gens malades, le port du masque peut amener une hypoxie discrète qui mènera, à des niveaux d’oxygène dangereusement faibles sans toutefois que l’augmentation de dioxyde de carbone alerte l’organisme comme elle le ferait normalement.

Dans pareil cas, le port du masque peut conduire à la mort, d’autant que le malade ne s’alertera pas de sa difficulté à respirer, pensant que c’est le masque qu’il porte qui en est la cause momentanée. En l’espèce, il ne fait qu’aggraver la maladie.

Obliger les gens à porter un masque est donc criminel.

Claude Janvier
Écrivain, essayiste.
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert des livres : « Le virus et le président » et « Covid-19 : le bilan en 40 questions, retour sur deux ans d’infos et d’intox ». IS Édition

Notes




Voyage au cœur des injections Covid — Jacques Bauer, pharmacien-clinicien

[Source : Réinfo Santé Suisse International
@reinfosante.ch]

Disposant d’un microscope extrêmement performant (VFF), Jacques Bauer, pharmacien-clinicien, et son équipe ont cherché à analyser le contenu des fioles de Pfizer, Moderna et Astra Zeneca entre autres.

Ce qu’il a découvert est stupéfiant !



[Voir aussi :
« Des organismes vivants qui s’assemblent de façon intelligente » : Jacques Bauer, pharmacien clinicien, examine au microscope une fiole du « vaccin » Covid
et les liens inclus.]




La surveillance biométrique médicale commence à faire son chemin dans les voitures

[Source : aubedigitale.com]

Suivi massif des données, non seulement sur la localisation et les déplacements des véhicules, mais aussi sur les conducteurs eux-mêmes.

Nombreux sont ceux qui commencent à considérer cette tendance comme préoccupante en raison de son impact sur la sécurité des individus et des pays – un véhicule fortement dépendant d’une puce peut être piraté, voire militarisé, préviennent certains – mais le développement et le déploiement de ces technologies ne semblent pas ralentir.

Au contraire, le secteur des capteurs biométriques utilisés dans les véhicules est en pleine croissance et devrait représenter plus de 1,1 milliard de dollars dans trois ans, selon un récent rapport de Market Research Future.

Le coréen Hyundai est aujourd’hui un pionnier de la surveillance des soins de santé basée sur les données biométriques avec son prochain système de capteurs biométriques, commercialisé comme le premier contrôleur d’habitacle au monde axé sur les soins de santé, « capable d’intégrer et d’analyser de multiples signes biologiques ».

Source : Hyundai Mobis

Il vise essentiellement à transformer votre voiture en un centre de soins mobile qui surveille votre posture, votre rythme cardiaque et vos ondes cérébrales. L’objectif de ce système élaboré et intrusif est de détecter les conducteurs ivres et somnolents, tandis que les données biométriques qui seront constituées grâce à son utilisation permettront d’améliorer « l’habitacle intelligent » et de l’équiper pour résoudre des problèmes tels que le stress et le mal des transports – et même de bloquer la conduite en état d’ivresse, selon les médias coréens.

Source : Hyundai Mobis

À cette fin, quatre capteurs sont installés dans les voitures : un capteur qui recueille des données sur la température, l’humidité et le dioxyde de carbone, un autre qui se concentre sur la zone de l’oreille du conducteur pour mesurer les ondes cérébrales, un électrocardiogramme dans le volant et, enfin, une caméra 3D qui prend des photos de la posture du conducteur.

Si le système analyse toutes ces données et constate que quelque chose ne va pas, des avertissements sont affichés dans l’affichage tête haute ou dans le système de navigation. Hyundai semble particulièrement actif dans le domaine de la surveillance biométrique, puisque l’annonce du « centre d’examen de santé mobile » est intervenue juste après l’octroi d’un brevet à la société pour la vérification biométrique des conducteurs.

Il semble que Hyundai souhaite également utiliser la surveillance biométrique liée à la santé pour contribuer à la convergence avec les systèmes de conduite autonome.

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale




Entretien avec le Professeur Christian Perronne

[Source : https://lecourrierdesstrateges.fr]

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

[Voir aussi :
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/ils-m-attaquent-car-ils-ont-peur-pr-christian-perronne
et : https://planetes360.fr/exclu-360-le-professeur-perronne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/]

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pr Christian Perronne

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2ème, la 3ème, la 4ème et la 5ème vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.




Vaccins Covid : la désillusion au grand jour

[Source : ]

D’après les derniers chiffres officiels, au 5 juin 2022[1] :

  • Les vaccinés (deux doses) avaient 50 % de plus de risques d’être positifs au Covid, par rapport aux non-vaccinés ;
  • Les vaccinés (trois doses) avaient 120 % de plus de risques d’être infectés par le Covid, par rapport aux non-vaccinés.

C’est écrit noir sur blanc sur le site covidtracker, qui s’appuie sur les chiffres officiels de la DREES (direction des statistiques) :

On nous avait pourtant promis une baguette magique !

Souvenez-vous ce qu’on nous a « vendu », au départ. En janvier 2021, au début de la vaccination de masse, le vaccin était considéré comme la seule solution pour nous sortir de l’épidémie !

Faites vos deux petites doses, et ce sera le retour à la vie normale[2] ! Il n’y avait même pas besoin que tout le monde se vaccine, vous disait-on. Avec 60 % de la population vaccinée, on devrait atteindre l’immunité collective[3].

En février-mars 2021, la grande illusion continue : on nous dit alors que le recul épidémique en Israël est la preuve que la «magie vaccinale» a commencé à opérer. «Coronavirus : en Israël, un ‘retour à la vie’ grâce à la vaccination» (Europe 1) – alors qu’il s’agissait simplement de la fin de la 3ème vague, et que le vaccin n’empêchera ni la 4ème, ni la 5ème vague[4].

«Une seule solution, la vaccination!»

Puis, en avril 2021, une première inflexion a lieu. « Il faudrait vacciner 90 % de la population pour espérer retrouver une vie normale en septembre en France », et non plus seulement 60 % à 70 %[5] ! La faute, officiellement au « variant britannique », plus contagieux.

Cela n’empêche pas le discours de la « baguette magique » de continuer à prospérer.

Fin avril 2021, l’Élysée publie un communiqué, au titre sans ambiguïté : « La vaccination : seule solution face à la Covid-19[6]. »

Et fin juin, le site officiel du gouvernement publie une interview de la Pr Brigitte Autran, qui explique que « le virus va moins circuler » grâce à la vaccination de masse. Elle ajoute que la vaccination va aussi « diminuer le risque de voir émerger des variants ». Quelle erreur !

Douche froide à l’été 2021

Dès l’été 2021, le variant Delta ruine ces pieux espoirs. Le 10 août, Andrew Pollard, directeur de l’Oxford Vaccine Group, est le premier spécialiste « officiel » à reconnaître le problème : 

« Avec ce variant [Delta], nous sommes dans une situation où l’immunité collective n’est pas possible à atteindre, car il infecte les individus vaccinés »[7].

C’est la douche froide : après nous avoir promis l’immunité collective avec 60 % de la population vaccinée, puis avec 90 %, on reconnaît à l’été que le vaccin ne pourra jamais empêcher le virus de circuler, car il infecte aussi les vaccinés !

Mais en France, le ministre Olivier Véran est encore dans le déni :

« comment une vague est-elle possible alors que 90 % d’entre nous âgés de 12 ans et plus sommes vaccinés ? Est-ce que cela signifierait que le vaccin serait finalement moins efficace que prévu ? Non »[8].

Omicron: la désillusion monte d’un cran

Puis, l’hiver arrive, avec la vague Omicron. On franchit un nouveau cran dans la désillusion. Tout le monde peut constater que le virus infecte au moins autant les vaccinés (2 ou 3 doses) que les non-vaccinés. Et surtout, il n’y a jamais eu autant d’infections au total dans la population ! Alors qu’on confine les non-vaccinés, et que la population adulte est presque intégralement vaccinée, c’est le moment où l’on enregistre des records de contaminations !

Fin janvier 2022, le Pr Delfraissy, président du Conseil scientifique, commence à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : ce « vaccin » serait plutôt un « médicament »[9] ! Il réduirait les formes graves de la maladie, mais son action sur la transmission serait « limitée dans le temps ».

Printemps 2022 : la catastrophe

Au printemps 2022, les chiffres des contaminations deviennent franchement catastrophiques pour les défenseurs de ces vaccins : les vaccinés ont désormais plus de risques d’être infectés que les non-vaccinés[10] !

Résultat : les Britanniques cessent brutalement de publier le taux d’infection selon le statut vaccinal. En France, on ne communique plus sur les chiffres officiels de la DREES.

En mai 2022, un Bill Gates abattu reconnaît, sur la scène du Forum économique mondial, que « ces vaccins ne sont pas bons pour bloquer l’infection »[11]. Il en tire même la conclusion que les passeports vaccinaux n’ont aucun sens, dès lors qu’on peut être vacciné et infecté[12] !

Israël: les formes graves et les décès explosent

Sur les formes graves, la désillusion commence aussi à apparaître dans les chiffres. Début 2022, Israël connaît sa vague épidémique la plus meurtrière depuis l’apparition du Covid… alors que la grande majorité de sa population est désormais vaccinée par 2 ou 3 doses !

Des épidémiologistes comme Michel de Lorgeril en tirent les conclusions qui s’imposent :

« Les données israéliennes montrent que les campagnes de vaccination successives n’ont pas diminué la fréquence des décès, c’est-à-dire les plus sévères des formes sévères »[13].

Et on observe le même échec aux États-Unis : la 5ème vague, de février à avril 2022, est l’une des plus meurtrières ! « Conclusion évidente, pour Michel de Lorgeril, la vaccination massive n’a eu aucun effet bénéfique sur la mortalité Covid-19 aux USA ; et de façon plus générale sur la pandémie »[14].

Tout cela apparaît clairement quand on regarde les courbes de mortalité liées au Covid. Force est de constater qu’on n’observe pas une différence spectaculaire avant et après la vaccination de masse, dans aucun pays.

Autrement dit, la protection tant vantée du vaccin contre les formes graves ne se voit pas dans les chiffres globaux de l’épidémie[15]. Bref, au début de l’été 2022, il est clair que la baguette magique vaccinale a fait pschitt.

Cette évolution fascinante, en moins de 18 mois, fait penser à cette affiche humoristique qui a circulé sur Internet :

«Le vaccin : – immunise à 95 %, – immunise à 75 %, – immunise à 50 %, – il n’immunise pas, mais réduit la transmission, – il ne réduit pas la transmission, mais empêche les formes graves, – vous finissez aux soins intensifs, mais vous ne mourrez pas, – vous mourrez, mais vous allez au paradis

Tout ceci pose une question capitale : que s’est-il passé ?

Et pourtant, certains vous l’avaient bien dit !

Cet échec était-il imprévisible ? Est-il lié à des évènements que les autorités sanitaires ne pouvaient pas anticiper ? Les fameux variants, qui contaminent les vaccinés, étaient-ils inattendus ? La réponse est trois fois NON.

Au contraire, cette grande désillusion était non seulement prévisible… mais parfaitement prévue par ceux qui avaient les yeux ouverts ! «Honnêtement, la chance qu’un vaccin pour une maladie émergente devienne un outil de santé publique est proche de zéro», avait prévenu le Pr Raoult, dès le début de la pandémie[16].

En janvier 2021, au moment où tout le monde chantait la gloire des nouveaux vaccins, je vous avais écrit ceci : « Il est certain que le vaccin n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale ». La suite m’a donné raison : la vie est devenue totalement « anormale » (passes sanitaires, vaccinaux, etc.), et le nombre de contaminations et de décès Covid n’a pas été stoppé.

Un échec 100% prévisible

C’était parfaitement prévisible : « Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vaccin sera encore intéressant », écrivais-je. Pour une raison simple : les coronavirus mutent beaucoup… et tendent ainsi naturellement à échapper à l’immunité vaccinale recherchée.

L’échec du vaccin était donc 100 % prévisible !

[Note de Joseph : cette explication de l’échec est donnée dans le cadre de la théorie virale dont certains pionniers se sont écartés en raison de ses lacunes scientifiques en termes de rigueur et de démonstration. La théorie alternative propose un tout nouveau paradigme et une approche scientifique cette fois valide qui tend à démontrer que les virus ne sont en réalité que des « exosomes » produits naturellement par nos cellules, avec un matériel spécifique à notre génétique, selon les diverses agressions subies (dont les divers poisons présents dans les vaccins). En conséquence et en cherchant bien, nous pourrons donc trouver finalement des milliards de prétendus « variants » et « sous-variants » étant donné les différences subtiles entre les codes génétiques individuels qui se traduiront en différences du code génétique des exosomes produits par nos cellules lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre (par le froid, par des toxines chimiques, par la malnutrition, par des champs électriques artificiels, par des ondes électromagnétiques pulsées, par des chocs physiques violents, etc.). Pour en savoir plus, voir le dossier Vaccins et virus ou pour résumer, l’article L’enterrement de la théorie virale.]

Je suis conscient que c’est difficile à croire, car cela voudrait dire qu’il y a eu une sorte d’hypnose de masse chez les experts, les médias et les politiques. Qu’il était malhonnête, scientifiquement, de nous présenter la vaccination comme la « seule solution » pour sortir de l’épidémie.

Mais les faits sont là – et ils valent la peine d’être exposés en détail, car ils montrent à quel point le prestige du «Saint vaccin» peut anéantir la science, le bon sens et la prudence élémentaire.

Sources

[1] https://covidtracker.fr/vaximpact/ Selon ces données de la DREES, il y avait : 1001 cas positifs non vaccinés pour 10 millions de non vaccinés, 1489 cas positifs vaccinés pour 10 millions de vaccinés, et 2211 cas positifs vaccinés(rappel) pour 10 millions de vaccinés (rappel)

[2] https://www.letelegramme.fr/dossiers/coronavirus-campagne-de-vaccination/pr-karine-lacombe-avec-la-vaccination-un-retour-a-la-vie-normale-est-possible-a-la-rentree-23-01-2021-12692338.php

[3] https://www.bfmtv.com/sante/50-a-60-des-francais-vaccines-un-chiffre-suffisant-pour-atteindre-l-immunite-collective_AN-202012230260.html

[4] https://www.europe1.fr/international/coronavirus-en-israel-un-retour-a-la-vie-grace-a-la-vaccination-4026830

[5] https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/coronavirus-il-faudrait-vacciner-90-des-adultes-pour-esperer-retrouver-une-vie-normale-en-france-1617790272

[6] https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/04/24/la-vaccination-seule-solution-face-a-la-covid-19

[7] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/08/21/sur-le-chemin-de-l-immunite-collective-l-obstacle-du-variant-delta_6091970_3244.html

[8] https://www.youtube.com/watch?v=Pg4fH1HRRrk

[9] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html

[10] C’est ce qu’on peut voir par exemple sur le site officiel « Vax Impact », pour les 60 à 79 ans : la proportion d’infection parmi les vaccinés (2 ou 3 doses) est systématiquement supérieure à celle observée chez les non-vaccinés, à partir du mois de mars 2022
 https://covidtracker.fr/vaximpact/

[11] https://www.youtube.com/watch?v=jEmy9PeuRLU

[12] https://www.clarkcountytoday.com/news/bill-gates-whats-the-point-of-mandates-if-the-vaccines-dont-work/

[13] https://michel.delorgeril.info/politique-de-sante/epidemiologie-de-la-covid-19-en-mars-2022-lexemple-disrael/

[14] https://michel.delorgeril.info/vaccins/covid-donnees-epidemiologiques-le-10-mai-2022/

[15] Cette déconnection entre les études statistiques sophistiquées et ce qu’on pouvait observer à l’œil nu existe depuis le début de la vaccination de masse :
 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-en-israel-des-chiffres-troublants

[16] https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Professeur-Didier-Raoult-Je-suis-un-renegat-1683722




Elisabeth Borne nominée pour la médaille d’or du Great Reset

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Eric Verhaeghe

Élisabeth Borne n’y est pas allée de main morte dans sa déclaration de politique générale. Elle a précisé les intentions de son gouvernement pour les cinq ans à venir. Le moins que l’on puisse dire, c’est que son programme n’a rien de très surprenant… puisqu’il est entièrement pompé dans le fameux Great Reset de Schwab. Depuis l’application scrupuleuse de la théorie monétaire moderne jusqu’à la subordination à l’Europe (qui, paraît-il, nous renforce), Élisabeth Borne a bien mérité du Great Reset.

Si l’on détache la déclaration de politique générale prononcée par Élisabeth Borne à l’Assemblée Nationale, hier, des polémiques superfétatoires qui l’entourent (la prétendue attaque antisémite de LFI, les maladresses de la Première Ministre devant les micros de LCI) pour se concentrer sur son contenu, on se rassure. On avait imaginé un temps que Macron changerait réellement de politique. Nous sommes désormais rassurés, les cinq ans qui viennent (si Macron parvient à finir son mandat) s’inscriront dans la continuité du précédent mandat. 

Pouvoir d’achat et Great Reset

L’ensemble des mesures proposées par Élisabeth Borne s’inspirent (sans le dire bien entendu) de la politique mondialisée prônée par le Great Reset, fondée sur la théorie monétaire moderne et une intervention exponentielle d’un État connivent avec les intérêts des plus puissants. 

Pour ceux qui sont effrayés par ces mots savants, voici une présentation plus pédagogique de ce que cela signifie :

  • en matière de logement, la ministre a bien pris garde à ne pas parler d’accession à la propriété. Elle s’est contentée de dire, vaguement : « Nous voulons qu’il soit abordable pour chacun. Nous avons décidé d’un plafonnement de la hausse des loyers. Et nous proposerons de nouvelles solutions pour que le logement soit accessible partout. » Traduction : nous allons encourager les gens à devenir locataires, et non propriétaires, et nous allons notamment favoriser leur installation en HLM… histoire de lutter contre l’artificialisation des sols et de tenir tout le monde en laisse dans des centres-ville pleins comme des œufs et faciles à confiner…
  • en matière d’alimentation (le seul fait que l’État s’occupe de cela est un indice sur le grand projet de domestication des populations), la Première Ministre n’a pas eu un mot pour l’encouragement à la production, mais a parlé de « chèque alimentation » qui serait fléché vers « une alimentation saine et de qualité ». L’État va donc commencer à dire aux citoyens ce qu’ils doivent manger ou non…
  • en matière d’emploi, Élisabeth Borne ne propose pas de réduire les contraintes grandissantes sur le recrutement, sur l’exécution du contrat de travail ou sur la création d’entreprise. Elle propose de nationaliser tous les dispositifs d’accompagnement des chômeurs dans un bidule appelé France Travail. Big is beautiful, comme dit Klaus Schwab. Étapes suivantes pour lutter contre le chômage : création d’une Europe travail, puis d’un Monde travail.
  • en matière de retraite, la Première Ministre a repris sans modification la recommandation de la Commission Européenne que nous avons déjà détaillée. Europe « Uber alles » pour une France plus forte !
  • en matière d’écologie, la Première Ministre a critiqué la décroissance et fait l’éloge de l’innovation (pile-poil ce que Schwab dit dans son livre…), en annonçant : « Nous engagerons des transformations radicales dans notre manière de produire, de nous loger, de nous déplacer, de consommer. » La mission de l’État serait donc d’assurer l’avénement d’un homme nouveau pour sauver la planète. Là encore, on a lu cela chez Schwab… Avec, comme toujours, le zéro carbone en 2050, à coups de plans d’action qui permettent de mobiliser l’impôt pour subventionner les entreprises dirigées par des copains amis de la planète, d’implantation d’éoliennes et autres primes en tous genres. 
  • en matière de politique industrielle, Borne confirme les dizaines de milliards d’investissements publics en faveur de l’écologie… exactement comme l’a proposé le Great Reset de Schwab ! On abandonne ici la thématique de la réindustrialisation pour défendre notre souveraineté.
  • en matière d’éducation, Borne confirme également la politique consistant à confier le plus possible les enfants à l’État en multipliant les places d’accueil dans les crèches et autres. 
  • en matière de santé, Borne annonce des investissements dans les équipements sanitaires, comme l’avait proposé Schwab. Là encore, face à la désorganisation du système du fait de sa bureaucratisation, la réponse consiste à continuer de forer droit pour que rien ne change, en mettant toujours plus d’argent public dans un système toujours plus centralisé et défaillant. 

On le voit, sur l’ensemble des politiques publiques, l’orientation est celle d’un étatisme et d’une dépense publique « en pluie » pour apaiser les tensions dans la société, rendre les gens dépendants financièrement et les encourager à consommer des biens qualifiés d’écologiques parce qu’ils constituent des marchés protégés pour engraisser la caste. Cette orientation est celle du Great Reset

La question de l’Europe et de l’OTAN : des marqueurs forts

Mais c’est surtout dans les orientations stratégiques internationales que le discours d’Élisabeth Borne trahit toute son orthodoxie Great-Resetienne. On notera deux phrases essentielles dans son discours. 

D’une part, Elisabeth Borne résume assez bien la doctrine officielle en matière d’Europe :

Une France plus forte dans une Europe plus indépendante, enfin, c’est notre souveraineté stratégique.

Nous restons ici dans la doctrine européiste habituelle, selon laquelle l’adhésion à l’Union nous renforce, surtout si l’Europe devient “plus indépendante”. Les mauvais esprits liront ici un aveu embarrassant sur la subordination de l’Europe aux États-Unis, qui pose problème pour notre “souveraineté stratégique”. 

Mais dans le même temps, Elisabeth Borne ajoute : 

Nous agirons en cohérence avec nos ambitions européennes et nos alliés de l’OTAN.

Comme d’habitude, on retrouve ici l’affichage d’une loyauté aux États-Unis et à tous les éléments de la mondialisation qui ont pourtant considérablement entamé la souveraineté française. D’une part, soumission à la logique multilatérale de l’Union et de la Commission européenne, d’autre part, intégration de l’armée française dans l’OTAN. 

Le programme qu’Elisabeth Borne a déroulé est donc bien celui du Great Reset, autant sur le plan des politiques publiques que sur celui de l’intégration de la France à la mondialisation. On reste toujours dans la doctrine fantasmée selon laquelle la France se renforce en disparaissant dans une grande entité multilatérale dominée par les Etats-Unis. 

Bref, rien de neuf sous le soleil. Le Great Reset continue. 




Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections

[Source : les7duquebec.net]

Par Khider Mesloub. 

De vague en vague – de dose en dose

Curieusement, depuis la réapparition de la pandémie de Covid-19, au lendemain de chaque levée des restrictions, de chaque déconfinement, après quelques semaines de « Liberté » recouvrée, certains scientifiques, des charlatans et/ou des experts, médecins stipendiés par la grande pharmacopée interviennent dans les médias pour préparer psychologiquement la populace à une énième vague de contamination provoquée par le surgissement d’un nouveau variant (sic) contre lequel les vaccins de Big Pharma ne peuvent rien… et allons-y d’une nouvelle dose coûteuse et inutile selon Michèle Rivasi :

Vaccins Covid-19 | Ce matin, en commission COVI (de l’Union européenne) j’ai interpellé la commissaire européenne à la transparence sur la demande d’un groupe de pays.

Depuis quelques semaines, selon les médias, les pays occidentaux, en particulier européens, dont 80 % de la population adulte sont pourtant vaccinés, enregistreraient une augmentation des « cas » de contamination, preuve irréfutable que les vaccins ARN ne marchent pas.

Selon ces organes de presse «gouvernementalement» informés et généreusement subventionnés, donc contaminés par l’idéologie sécuritaire et belliciste dominante, on assisterait à une nouvelle flambée de contaminations, observée notamment au Portugal. En Allemagne. Et depuis peu, en France. La majorité des personnes contaminées est pourtant totalement vaccinée (!!!)

Certains de ces pays européens, outre l’injection d’une quatrième dose de l’inopérant vaccin ARN-messager, envisageraient de rétablir les mesures restrictives de «distanciation sociale» (sic) pour soi-disant «juguler la propagation du virus»… mesures qui depuis deux ans n’ont pourtant pas fonctionné. D’aucuns, comme au temps du début de la pandémie bidon ou comme en Chine actuellement, préconisent l’instauration d’un nouveau confinement (dément), mesure moyenâgeuse par excellence, comme la définit le professeur Didier Raoult.

Par suite, devant le rebond des contaminations, statistiquement fabriqué, les gouvernants s’apprêteraient, suivant les conseils pécuniairement avisés de Pfizer et Astra à ordonner, dans une fuite en avant vaccinale, la généralisation de la quatrième injection (dose). Et, rebelote, ces gouvernants lancent, en l’espace de 18 mois, la quatrième campagne de vaccination… coûteuse et inutile.

Visiblement dans ces pays atlantistes, malgré une couverture «vaccinale» de plus de 80% de la population adulte, sévirait toujours une flambée de «cas» que Big Pharma prendrait pour prétexte pour fourguer sa drogue vaccinale sans se préoccuper le moins du monde des effets secondaires de ces concoctions meurtrières comme le souligne la docteure Nicole Delépine :
Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé (Nicole Delépine) — les 7 du Québec.

Pourtant, on se souvient qu’au début de la pandémie on nous affirmait que, pour être immunisé contre la Covid-19 et « reprendre une vie normale », il suffirait que la majorité de la population ait obtenu ses deux doses. Puis ce fut trois doses… et aujourd’hui ce sont les quatre doses… ce qu’Israël et l’Islande ont pourtant expérimenté sans succès(([1] Islande, l’effondrement du narratif du Covid :
Des nouvelles révolutionnaires venant d’Islande : L’effondrement du narratif du Covid ? | #Politique | Kla.TV 
En Islande on en revient aux principes de l’immunisation naturelle.))

La « protection » fugace

On se rappelle également que les marchands pharmaceutiques affirmaient qu’avec l’administration de ces deux doses de vaccin la protection serait assurée à plus de 90 % pour une très longue durée. Après seulement quelques mois, on découvrait que leur efficacité était d’à peine 39 %. Pire : les deux doses ne protégeraient de la maladie qu’une petite fraction des vaccinés, et pour seulement quatre mois au plus. Malgré cet échec vaccinal, sans s’appuyer sur aucune étude clinique réévaluée, les marchands des laboratoires pharmaceutiques avaient recommandé l’injection d’une troisième dose… sans se préoccuper des effets secondaires mortels.(([2] voir : 
Risques spécifiques à l’âge et au sexe de myocardite et de péricardite à la suite de vaccins à ARN messager Covid-19 | Nature Communications 
et Canada : Surmortalité observée au New Brunswick (Canada) en fin 2021 : la ministre de la Santé s’inquiète | FranceSoir))

Actuellement, avec la nouvelle vague épidémique médiatiquement prophétisée, les autorités sanitaires préconisent, pour garantir une meilleure protection selon la terminologie propagandiste usitée, l’injection d’une quatrième dose… avant la cinquième…

Comment croire que cette quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ? Pour quel motif les gouvernants des pays atlantistes, notamment la France et le Canada, incitent-ils à ce rappel vaccinal sans aucun argument scientifique ni aucun essai clinique à l’appui?

Une chose est sûre, exhibée comme le remède miracle contre la Covid-19, aujourd’hui la vaccination à base ARN-m peut être considérée comme un échec médical cuisant. En effet, la vaccination contre le coronavirus était présentée comme le «nouveau Graal» de la médecine moderne, en lieu et place de la thérapeutique médicale curative et des traitements médicamenteux prophylactiques, décriés, considérés désormais comme des méthodes moyenâgeuses en matière de soins.

Des « fatwas gouvernementales » avaient même été édictées contre des médecins désireux, dans le respect de leur serment d’Hippocrate, de soigner scientifiquement leurs patients ou prescrire quelque traitement médicamenteux antiviral. Seule la « potion magique vaccinale » ARNm était censée guérir le malade atteint du Covid-19. Voire redonner des forces à l’économie malmenée par le virus, selon les imposteurs gouvernementaux, et non pas par les mesures politiques destructrices décrétées par les gouvernements. L’injection de deux doses d’ARN-messenger allait permettre aux « citoyens » de recouvrer leur liberté longtemps confinée, mise sous cloche despotique, et à la société de renouer avec son fonctionnement normalisé.

Aujourd’hui, après deux années d’expérimentation, malgré l’injection de trois doses, la vaccination n’a pas tenu ses promesses. Ni concrétisé ses prometteuses prouesses. Elle a laissé place à la méfiance, la défiance. À la controverse. À la répugnance.

« Ce que l’on observe, c’est que les cas qui sont hospitalisés sont plutôt les plus de 60 ans, notamment avec des facteurs de comorbidité, et surtout les plus de 80 ans », a déclaré à BFMTV Bruno Lina, virologue et membre du Conseil scientifique. Autrement dit, c’est au sein de la population la plus vaccinée que l’on enregistre le grand nombre d’hospitalisations. En dépit de cette flambée d’hospitalisation des vaccinés, les tenants des injections vaccinales à répétition recommandent l’administration de la quatrième dose. Selon plusieurs sources, les publics les plus âgés, pourtant multi-injectés, ont actuellement un taux d’incidence deux fois plus élevé que les mineurs, absolument pas vaccinés. Ainsi, la vaccination n’évite aucunement la contamination. Ni la transmission. Ni l’hospitalisation. Ni la mort.

Les cobayes humains

Quand les dissidents pointent du doigt l’inefficacité des vaccins ARN-m, les partisans de la vaccination rétorquent qu’ils protègent de la forme grave. Cet argument est discutable, pour ne pas dire fallacieux. Si la mortalité a certes baissé, elle est imputable à l’amenuisement de la virulence des virus et non à la vaccination (comme il survient chaque fois en pandémie virale). Comme chacun le sait, tous les virus (bactéries et autres parasites), dans tous les contextes épidémiques, au fil du temps, par suite de leurs multiples mutations, perdent de leur virulence en s’adaptant à leurs hôtes, tout comme ils finissent par aboutir à une atténuation de leur contagiosité et, par conséquent, de leur létalité. Aussi, les nouveaux variants sont, automatiquement, moins dangereux et moins infectieux que le virus d’origine.

Donc, dans le cas du Covid-19, la diminution de la mortalité ne peut être imputée à la vaccination. D’autant plus que les nouveaux vaccins mis sur le marché, élaborés à la hâte, sont toujours au stade de l’essai clinique, c’est-à-dire en phase expérimentale. En médecine, un essai clinique est une recherche biomédicale menée chez l’humain, avec pour objectif d’améliorer les connaissances et le traitement des maladies. En d’autres termes, avec les vaccins ARN-m, nous en sommes encore à la phase d’évaluation de l’efficacité et de la tolérance du produit sauf que cette fois… les cobayes expérimentaux sont quelques milliards d’humains sacrifiés par les gouvernements stipendiés.

Ainsi, la vaccination de la majorité de ces populations occidentales n’a permis ni de diminuer le rythme de la propagation du virus ni de réduire les formes graves nécessitant la réanimation. Sans aucun doute, les vaccins ARN-m ne protègent ni de la contamination, ni de l’hospitalisation, ni du décès. Ni de la transmission du virus.

Les dangereux vaccins

Assurément, les vaccins ARN-m semblent avoir une médiocre efficacité contre la Covid-19. Pire : ces produits commerciaux accéléreraient, selon certains experts, les mutations du virus. Et pour cause. Les vaccins ARN-m semblent avoir la particularité de sélectionner des mutations résistantes du fait qu’ils ne décodent que la seule protéine Spike (donc un unique site de reconnaissance), contrairement à un vaccin de type inactivé entier (élaboré notamment par le laboratoire Sinovac) capable de coder une multitude. Autrement dit, les vaccins à ARN-m favoriseraient, selon les spécialistes, l’apparition de mutations résistantes, c’est-à-dire la multiplication de variants. Comme le reconnaissait, dès l’année dernière, le chercheur de l’Institut Pasteur, Frédéric Tangy, spécialiste des vaccins : « Vacciner plus en plus de monde, dans le contexte présent, va faire naître d’autres variants résistant aux réponses immunitaires naturelles ».

À cet égard, le choix des gouvernements occidentaux, à l’instigation des laboratoires pharmaceutiques, d’acquérir exclusivement les nouveaux vaccins ARN-m, réputés pour leur spécificité de favoriser la création de mutants, interpelle. Par ce choix stratégique vaccinal ARN-m à l’efficacité médiocre, les gouvernements occidentaux entretiendraient-ils délibérément la pandémie par sa pérennisation opérée par la réapparition de nouveaux variants, nécessitant ainsi, au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, des campagnes de rappel de vaccination quasi semestrielles pour une longue période, afin d’enrichir les Big Pharma, mais également pour justifier l’instauration de la dictature sanitaire-sécuritaire, bouclier du programme du Grand Reset actuellement mis en œuvre ?(([3] Voir L’impérialisme, la phase finale du capitalisme mondialisé — les 7 du Québec.))

À la vérité, selon les médecins, l’actuel variant Omicron (et ses dérivés, déclinés sous les noms successifs BA.1, BA.2, BA.3, BA.4, BA.5) ne provoquerait qu’un gros rhume. Une chose est sûre, depuis l’année dernière la diminution du nombre de décès a été relevée dans tous les pays. Tout comme le nombre de contaminations virulentes.(([4] Voir à cet effet le dernier rapport statistique que nous avons publié : 
Rapport mensuel de situation Covid planétaire/ 2 juillet 2022 (Dominique Delawarde) — les 7 du Québec.))

Pour preuve de l’inefficacité des vaccins contre le coronavirus, la publication d’une étude israélienne dans Science et Magazine. Selon Science Magazine parue le 26 août 2021, relayant une étude effectuée en Israël, être contaminé par le Covid-19 confère une immunité plus grande qu’un vaccin. En effet, la protection immunitaire naturelle développée après l’infection par le Covid est 13 fois plus efficace contre le virus que l’administration du vaccin Pfizer. Autrement dit, le système immunitaire humain est plus puissant pour résister au virus, selon cette étude israélienne. « Les données récemment publiées montrent que les personnes qui ont déjà eu une infection par le SRAS-CoV-2 étaient beaucoup moins susceptibles que les personnes vaccinées et jamais infectées d’attraper Delta, d’en développer des symptômes ou d’être hospitalisées avec un Covid-19 grave», rapportait Science Magazine.

Selon le magazine, « Il s’agit de la plus grande étude d’observation dans le monde réel à ce jour pour comparer l’immunité naturelle et induite par le vaccin au SRAS-CoV-2». « Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante Delta », avaient déclaré les chercheurs israéliens.

Néanmoins, il convient de souligner que l’étude avait également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l’infection naturelle diminue au fil du temps, tout comme la protection induite par les vaccins. Tout comme les virus, au fil du temps, perdent leur virulence, c’est-à-dire leur contagiosité et leur létalité diminuent considérablement. Comme chacun le sait, un virus est toujours en mutation. C’est sa nature. C’est une loi de l’évolution. Qui plus est, le virus n’a pas intérêt à tuer son hôte, car en le tuant il disparaît également. En tout état de cause, l’homme est porteur d’anticorps, qui sont la réponse immunitaire aux antigènes des différentes souches d’un virus.

[Note de Joseph :
Cependant la théorie virale n’a jamais été démontrée selon une démarche véritablement scientifique et lorsqu’on l’aborde sous un tel angle, elle apparaît en fait fallacieuse.
Voir en particulier les articles suivants extraits du dossier Vaccins et virus :
Le mythe de la contamination épidémique
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
L’invention du SARS-CoV-2 (article très technique)
L’enterrement de la théorie virale
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
Ebola : briser les mensonges et la supercherie.
Ces articles concourent à largement démontrer la fausseté de la théorie virale.
Si un nombre plus important de médecins se penchaient sérieusement sur de tels articles et acceptaient de remettre en question ce qu’on leur a enseigné à l’université sous la large influence de Big Pharma, après l’enterrement de la théorie virale, viendrait celui de la vaccination et d’une bonne partie de la médecine allopathique actuelle, puis l’effondrement des mesures sanitaires partout dans le monde, pierre angulaire de l’édification du Nouvel Ordre Mondial. Et sans cette pierre angulaire, celui-ci s’effondrerait à son tour.]

Les vaccins — les variants — la contamination

Selon les spécialistes honnêtes, ce sont bien les vaccins ARN-m qui favoriseraient ces mutations, contrairement au discours gouvernemental accusant, hier, les non-vaccinés d’être responsables de la propagation de la pandémie dans les pays pourtant massivement vaccinés, et, aujourd’hui, les vaccinés eux-mêmes du fait de leur supposé relâchement en matière de protection. Paradoxalement, à chaque échec des campagnes de vaccination, illustrée par la résurgence des cas, les autorités incriminent systématiquement les « citoyens », accusés de faire preuve de négligence en matière de protection sanitaire, mais ne remettent jamais en cause les vaccins. Elles n’appellent ni à reconsidérer la politique vaccinale ni à réexaminer la gestion sécuritaire de la crise sanitaire. Et pour cause. La première permet un enrichissement faramineux des Big Pharma, la seconde offre une opportunité d’infléchissement autoritaire des pouvoirs publics.

Pour autant, d’après une étude japonaise, les injections répétées de vaccins à ARN-m multiplieraient les anticorps facilitants, conduisant inéluctablement à des infections de formes sévères. En effet, avec chaque nouvelle injection, en raison de la multiplication des anticorps facilitants, les copies du virus augmenteraient la charge virale des vaccinés, contrairement aux non-vaccinés.

De fait, la vaccination à rappels multiples favoriserait, elle-même, l’émergence de l’infection. En effet, comme ne cessent de le soutenir, depuis le début de la pandémie, les docteurs Nicole et Gérard Delépine, la généticienne Alexandra Henrion-Claude, le professeur Christian Perronne et le professeur Didier Raoult (tous anathématisés, calomniés), pour ne citer que les scientifiques célèbres, les injections multiples des vaccins anti-Covid-19 ne favorisent pas que la production d’anticorps neutralisants contre la protéine spike du virus SARS-CoV-2. Certains anticorps dirigés contre cette protéine spike peuvent être facilitants, c’est-à-dire qu’ils peuvent au contraire faciliter l’infection des personnes injectées/vaccinées, selon un phénomène appelé ADE (« antibody-dependent enhancement » ou facilitation de l’infection dépendante des anticorps).(([5] Voir : Résultats de recherche pour « delepine » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « perronne » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « raoult » — les 7 du Québec.))

Par ailleurs, ces injections vaccinales multiples peuvent également provoquer une infection aggravée des personnes injectées/vaccinées (en cas d’infection ultérieure par un variant du SARS-CoV-2) via un phénomène plus large appelé ERD («enhanced respiratory diseases» ou facilitation des maladies respiratoires) qui ne dépend pas nécessairement de la production des anticorps facilitants.

Les récentes études montrent des signes cliniques plus marqués après infection que chez les personnes non vaccinées. La preuve par l’Allemagne. La revue « eugyppius » a publié une carte établie le 28 juin 2022 par l’Institut Robert-Koch (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) intitulée : «Omicron BA.5 préfère les Allemands de l’Ouest hyper vaccinés et masqués et évite l’ancienne RDA.» Dans cette carte, la revue dévoile l’existence, en matière de conduite politique et réceptivité psychologique, d’une démarcation prononcée entre l’ex-Allemagne de l’Est et l’ex-Allemagne de l’Ouest, héritage de la division territoriale, étatique et idéologique du pays entre 1945 et 1989 au cours de la guerre froide:  «Les Allemands de l’Est ont une expérience directe de la propagande gouvernementale et se sont montrés plus résistants à la campagne de vaccination que les Occidentaux. Leur récompense, après avoir été beaucoup dénigrés par les médias d’État, est maintenant un niveau plus élevé d’immunité naturelle et un taux plus faible d’infection par le BA.5, qui semble préférer les populations vaccinées.».

Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné. Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m serait devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire.

Au reste, du fait de la résistance des derniers variants (BA.4 et BA.5) aux anticorps neutralisants, et de l’émergence continue de nouveaux variants, la vaccination à rappels multiples engendrerait un risque sérieux d’atteinte à l’immunité naturelle des patients.

En effet, une vaccination contre la Covid-19 avec de nombreux rappels induirait, selon les scientifiques, notamment le défunt Luc Montagnier, un syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA (celui-ci est un syndrome immunitaire indépendant du VIH) chez les multi-injectés/ vaccinés. Par ailleurs, le dérèglement de l’immunité innée se traduirait également par un dérèglement de l’immunité adaptative/acquise, c’est-à-dire à un dérèglement généralisé du système immunitaire.(([6] Voir : Résultats de recherche pour « montagnier » — les 7 du Québec.))

En d’autres termes, les injections vaccinales répétées, dépassant le seuil critique, conduisent inévitablement à un dérèglement de l’immunité innée, et à l’apparition de potentiels troubles auto-immuns. Cette diminution des défenses immunitaires se traduit par une dangerosité accrue pour les vaccinés et un portage viral toujours plus fort.

De toute évidence, combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n’est pas une stratégie fiable ni viable. Aussi, comme le recommandent les experts honnêtes soucieux réellement de la santé publique, notamment japonais, dans l’attente de l’adaptation du vaccin au nouveau variant, autrement dit en attendant que la composition du vaccin soit mise à jour, pour éviter les mutations générées par les vaccinations à répétition, il serait plus prudent de favoriser une autre médication. Effectivement, comme le prouve l’expérience actuelle, la multiplication des injections avec des vaccins fondés sur la souche originelle du virus n’a aucune utilité médicale, sinon d’enrichir les laboratoires pharmaceutiques.(([7] Voir : Résultats de recherche pour « Izambert » — les 7 du Québec.))

Or, en dépit de l’échec de la vaccination et, surtout, des risques du dérèglement de l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques, au lieu d’adapter leur vaccin au variant Omicron (ou ses sous-variants), incitent les populations à l’injection d’une quatrième dose avec les mêmes vaccins élaborés pour la primitive souche du coronavirus apparue fin 2019. Car il faut écouler les stocks.

Le contexte pandémique sous le capitalisme

Quand la santé du capital prime celle de l’être humain, l’injection de manipulation scientifique, administrée à haute dose dans le corps social, devient la norme. Tel est le contexte pandémique actuel financièrement instrumentalisé par les multinationales du médicament. Alors que les vaccins ARN-m sont toujours en phase d’essai clinique, malgré leur l’échec patent à enrayer le virus, notamment contre le variant Omicron et ses dérivés, et les risques de dérèglement l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques persévèrent dans leur politique de préconisation de l’injection d’une quatrième (cinquième dans certains pays abonnés aux vaccins ARN-m de Pfizer) dose.

Les profits sont au rendez-vous

Une chose est sûre, à ce stade expérimental, avec ces vaccins ARN-m, le seul effet bénéfique concrètement observé est d’ordre financier. Le chiffre d’affaires de l’entreprise américaine Pfizer a bondi de 95 % en 2021, atteignant 81,3 milliards de dollars, et dégageant 22 milliards de bénéfices. BioNTech : 19 milliards de chiffres d’affaires et 10 milliards de bénéfices. Moderna : 20 milliards de chiffres d’affaires et 12 milliards de bénéfices. À eux trois, ces trois groupes pharmaceutiques ont réalisé 65 000 dollars de bénéfices par minute. Avec l’augmentation du prix de vente décidée, la quatrième injection est assurée de croître de 50% les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques.

Le tiers monde est protégé-immunisé par sa pauvreté

Pour conclure. Comment expliquer qu’en Asie et en Afrique, sans mesures de restrictions, ni de protection sanitaire (masques, solutions et gels hydroalcooliques pour se désinfecter les mains, gestes barrières, etc.), ni aucune injection vaccinale, pour l’Afrique, la faiblesse du nombre de contaminations et de décès dans ces deux continents (qui représentent les 2/3 de l’Humanité) ? Par l’innocuité du coronavirus ? Comment interpréter la surmortalité liée au Covid-19 officiellement enregistrée par les États occidentaux et leurs pays satellites (qui totalisent 70% des 6 millions de décès dans monde) ? Par la surestimation du nombre de décès attribués au Covid-19, surtout quand on apprend que plus de 99% des morts liés au virus étaient atteints d’une autre maladie grave, de comorbidité ? Comment analyser cette disparité de la mortalité devant ce virus à géographie variable ? À croire que ce virus mute en fonction des États, flambe au gré des orientations politiques et économiques des dirigeants, tue statistiquement selon la volonté des gouvernements, ressuscite invariablement au rythme de la multiplication des vaccinations imposées dans les pays atlantistes ! En complémentaire : les Big Pharma fourguent leurs vaccins aux pays africains : Michèle Rivasi – Vaccins Covid-19 | Quelle est la vision… | Facebook 

Khider MESLOUB




Lettre ouverte à Mr Le Député Fabien Roussel et à ses collègues : le pseudovaccin antiCovid est dangereux et inutile, il faut l’interdire

Par Dr Gérard Delépine

Non, Monsieur le Député, le pseudo vaccin ne réduit ni le risque de porter le virus (ce qui n’a aucune incidence), ni les contaminations, ni les formes graves. Il faut écouter les vrais scientifiques, ceux qui ne sont pas liés aux laboratoires pharmaceutiques et qui basent leurs conclusions sur les seuls faits établis au lieu de croire en des simulations biaisées.

Ce graphique publié par l’OMS sur https://Covid19.who.int/ montre que les vaccinations n’ont pas réduit les contaminations, mais ont au contraire été suivies par une accélération de l’épidémie :

D’ailleurs, comme nous, vous devez connaître parmi vos proches de nombreuses personnes totalement vaccinées et qui ont été malades du Covid parfois même à plusieurs reprises.

De plus, cette injection expérimentale est à l’origine de nombreux effets secondaires, dont des décès rapides, des maladies neurologiques comme certaines maladies de la vache folle, de perturbations hormonales majeures et de risque d’atteinte de la fertilité à plus ou moins long terme. La diminution de l’immunité personnelle qui s’aggrave avec les doses successives entraîne une fragilité des personnes sources d’infections répétées et d’augmentation du nombre de cancers.

Les collègues médecins du monde entier, dont de grands scientifiques et chercheurs, multiplient les appels pour un moratoire mondial auxquels vous ne pourrez rester indifférent, si comme nous le pensons, vous ne voulez que le bien de l’Humanité et singulièrement des électeurs qui vous ont fait confiance.

Votre tweet(([1] « @AvecRoussel
Le vaccin fonctionne. Le vaccin réduit le risque de porter le virus. Le vaccin permet de réduire la contagiosité. Il faut écouter les scientifiques ». sous réserve que ce tweet soit authentique.)) témoigne d’une désinformation dont vous avez été victime comme tant d’autres et que nous tentons de combattre comme beaucoup en publiant les FAITS AVÉRÉS, malgré la censure qui rend leur accès difficile et malgré la propagande permanente répétant les opinions de médecins trop liés aux laboratoires pharmaceutiques.

La réponse d’Antoine Léaument à votre tweet est justifiée. Espérons qu’il sera entendu :

« J’ai interpellé aujourd’hui le ministre de la Santé. Je lui ai dit qu’il FAUT réintégrer les soignants suspendus. Puisqu’être vacciné n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus, à quoi bon continuer avec cette absurdité ? »

@ALeaument · 5 juil.

Quelques rappels parmi les démonstrations quotidiennes de l’inefficacité des pseudo vaccins :

La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid

La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais à la lumière des chiffres de l’OMS, l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité Covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le plus vacciné d’Amérique du Sud le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).

À l’opposé, les pays africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts Covid. Leurs mortalités cumulées ne dépassent pas les 200 par million !

Mais le vax inutile est aussi dangereux

Il augmente les fausses couches de façon drastique tant en UE comme la dia en témoigne qu’aux USA :

Les cancers augmentent de façon spectaculaire, comme les médecins militaires américains l’ont signalé depuis des mois demandant eux aussi un arrêt de ces injections expérimentales :

Mr Le Député, ne prenez pas le risque d’envoyer vos concitoyens à l’injection de trop, car vous en supporteriez au moins la responsabilité morale. L’histoire tragique de Céline Dion et de Justin Bieber, entre autres vedettes qui avaient exigé la preuve des injections pour assister à leur concert, est terrible.(([2] Entretien avec le Pr Chossudovsky : les stars qui ont promu le vax et qui en sont victimes devraient aider à la campagne pour stopper cette injection dangereuse — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-Covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes, loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination antiCovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. » (…)

Dre Nicole Delépine
Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans ? Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

Et que direz-vous de la hausse de la mortalité globale constatée et publiée par l’Office National des Statistiques anglais beaucoup plus transparent que nous ?

Cette augmentation de la mortalité hors Covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)(([3] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html)), aux USA(([4] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines
https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html
Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021 :
https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/)) en Allemagne(([5] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/))(([6] L’expérience anglaise démontre l’augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés antiCovid — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et plus globalement en Europe(([7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/19/explosion-de-la-surmortalite-hors-Covid-19-en-europe/)).

Cette surmortalité des vaccinés, tant Covid que non Covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid.

La négation de ce paradoxe prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator, du Vioxx, ou du sang contaminé…

Lisez l’appel du conseil mondial de la santé :

Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





Énorme coup de gueule de Christophe Prudhomme sur l’agonie de l’hôpital public et des urgences

[Source : Sud Radio]

Avec Christophe Prudhomme, médecin urgentiste au SAMU-93, porte-parole de l’AMUF (Association des médecins urgentistes de France).




Mise en garde sur l’augmentation des cancers post-vaccinaux suite à l’analyse récente de 845 cas de leucémie liés aux vaccins Covid

[Source : epochtimes.fr]

Par Dr YUHONG DONG & HEALTH 1+1

Le Dr Ryan Cole, pathologiste américain et fondateur de Cole Diagnostics, a constaté une augmentation anormale de certains cancers suite à la campagne de vaccination contre le Covid. Parmi les tendances inquiétantes, on note une augmentation inhabituelle de certains cancers rares. Selon lui, les injections contre le Covid ont peut‑être nui au système immunitaire des vaccinés.

Le Dr Cole est pathologiste, son travail consiste à examiner un grand nombre de coupes histologiques et à fournir ses conclusions pathologiques aux cliniciens. Récemment, il a constaté une augmentation du nombre d’adultes avec des maladies infantiles ou des cancers rares. Ces pathologies rares se développent à un rythme anormal, dans des groupes d’âge atypiques. Il a également constaté une augmentation des décès, toutes causes confondues, chez les personnes vaccinées.

En tant que professionnel explorant ces phénomènes au niveau microscopique, le Dr Cole est très troublé.

Ce ne sont absolument pas des cas isolés.

Récemment, un grand nombre de leucémies ont été signalées en Chine de manière spontanée. Tous les patients avaient été vaccinés contre le Covid.

Il semble donc que nous ayons en Chine un phénomène similaire à celui signalé par le Dr Cole.

Nous souhaitons publier ici nos résultats et susciter une attention mondiale urgente sur les hémopathies malignes comme effets indésirables des vaccins Covid.

Dernière analyse portant sur 845 cas post‑vaccinaux de leucémie

En date du 4 juin 2022, nous avons reçu deux listes avec près de 1000 cas de leucémie rapportés comme événements indésirables post‑vaccinaux. Dans notre article précédent, faute de temps, nous n’avons analysé que 235 cas certifiés. Nous fournissons désormais une analyse de tous les cas.

Après vérification, nous avons supprimé les doublons (certains cas ont été signalés dans deux groupes différents afin d’augmenter les chances d’être remontés) et les cas dont les informations étaient incomplètes. Il restait 845 cas recevables.

Pour classer les informations, nous avons adopté une méthode rigoureuse et prudente, telle que pratiquée dans le milieu. Par exemple, si le moment de l’apparition de la maladie ne comportait pas de date précise, mais seulement le mois, nous avons remonté cette ambiguïté et le caractère approximatif du cas, moins propice à établir la causalité.

Voici notre analyse complète des 845 cas admis.

Analyse du genre

La moitié des patients étaient des hommes. La prédominance masculine est conforme à l’incidence généralement observée de la leucémie selon le genre.

Analyse de l’âge

Les patients étaient âgés de 1 à 80 ans, l’âge médian étant de 29 ans, et la moitié d’entre eux avaient entre 12 et 45 ans.

En examinant les cas, on constate que l’âge d’apparition de la leucémie myéloïde aiguë (LMA) et de la leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) ne semble pas correspondre à celui généralement observés pour ces maladies. Par exemple, l’âge médian d’apparition de la LMA pour les cas observés est de 37,5 ans et de 32 ans pour la LLA. On constate que cet âge est très inférieur aux âges d’apparition historique de ces maladies chez les adultes, qui sont de 68 ans pour la LMA et de 70 ans pour la LLA.

La distribution géographique

L’incidence de la leucémie est généralement associée à une source de pollution environnementale ou des radiations. Cependant, les cas rapportés en Chine touchaient 29 provinces et municipalités et ne présentaient pas de caractéristiques géographiques particulières. Le seul point commun était que les patients avaient reçu le vaccin Covid. Nous nous sommes donc focalisés sur ce facteur.

Les vaccins

Parmi les patients qui ont reçu les vaccins d’un seul laboratoire, 39 % ont reçu le vaccin de Sinovac Life Sciences Co. C’est la proportion la plus élevée. Ensuite, 12 % ont reçu le vaccin de Beijing Institute of Biological Products Co. Certains patients ont également reçu des vaccins d’autres laboratoires moins importants.

Types de leucémie

Parmi les cas de leucémie, 49% étaient des leucémies myéloïdes aiguës, et 32% étaient des leucémies lymphoblastiques aiguës.

Les patients atteints de leucémie aiguë totalisaient 81%.

Les autres types de tumeurs malignes du sang représentent 11% des cas : syndrome myélodysplasique (n=23) ; myélome multiple (n=7) ; leucémie myéloïde chronique (n=9) ; lymphome (n=24), y compris lymphome non hodgkinien ou lymphome hodgkinien ; lymphohistiocytose hémophagocytaire (n=2) ; myélofibrose secondaire (n=1) ; sarcome myéloïde (n=1).

Exemples de cas

Cas 1061 : Homme, 30 ans. Le 29 juin 2021, il a reçu une première dose de vaccin de Sinovac Biotech. Le 21 juillet 2021, il a reçu une deuxième dose de vaccin de Chengdu Biology. Le 6 septembre 2021, il a passé un examen physique destiné aux étudiants de première année d’université et des globules blancs anormaux ont été décelés. Une leucémie myéloïde aiguë M3 a ensuite été diagnostiquée. Cependant, lors de l’examen d’entrée à l’université, avant qu’il ne soit vacciné, tout était normal. Globalement, c’était une personne en bonne santé, il était rarement malade. Il n’était pratiquement jamais enrhumé et ne prenait pas de médicaments. Il avait une alimentation équilibrée. Les facteurs génétiques et environnementaux sont exclus dans son cas.

Cas 717 : Femme, 38 ans. Le 3 août 2021, elle a reçu une deuxième dose du vaccin Sinovac Biotech. Le jour suivant, des rougeurs sont apparues sur sa jambe droite. Le médecin de l’hôpital lui a prescrit un médicament. Après quelques jours, la situation s’est améliorée. Au début du mois de septembre 2021, elle a commencé à avoir la diarrhée. Le 10 septembre, elle s’est rendue dans un hôpital local. Le médecin a transféré la patiente dans un hôpital provincial. Le 15 septembre, elle a subi une ponction de la moelle osseuse. Le 18 septembre, on lui a diagnostiqué une leucémie myéloïde aiguë M2. Le soir du 21 septembre, elle a fait une hémorragie cérébrale et est décédée.

Cas 747 : Homme de 26 ans. Le 22 juillet 2021, il a reçu la première dose du vaccin de Sinovac Biotech. Le 18 août 2021, il a pris la deuxième dose du vaccin de Lanzhou Biotechnology. Le 9 novembre 2021, il était fiévreux et s’est rendu à l’hôpital. Le 13 novembre 2021, un taux élevé de globules blancs a été découvert. Le 16 novembre, il a été transféré au deuxième hôpital de Lanzhou. Le lendemain, on lui a diagnostiqué une leucémie myéloïde aiguë M5. Aucune amélioration n’a été observée en suivant une chimiothérapie pendant cinq mois. Il est décédé le 2 avril 2022.

Concordance chronologique entre vaccinations et leucémies

Combien de temps après la vaccination la leucémie a‑t‑elle été diagnostiquée chez ces patients ? Il s’agit d’une information primordiale.

Selon notre analyse détaillée, 51% des patients ont présenté des symptômes ou ont été diagnostiqués 102 jours (médiane) après avoir reçu leur deuxième dose, avec une fourchette globale de 2 à 5 mois. Cela correspond au temps d’apparition de la leucémie. La leucémie implique une mutation génétique assez longue, généralement calculée sur une base mensuelle.

Certaines personnes ont également développé des symptômes ou ont été diagnostiquées environ deux mois après avoir reçu leur troisième dose.

Conditions des patients

Au 4 juin 2022, date à laquelle nous avons reçu les rapports, 77% des patients atteints de leucémie étaient toujours traités, 7% étaient en attente d’une transplantation et 5% étaient décédés. Un petit nombre de patients avaient abandonné le traitement, généralement pour des raisons financières ou parce que la maladie était trop avancée.

Trois types de preuves pour expliquer la leucémie post-vaccinale

Comme nous le savons, la leucémie est généralement causée par une mutation de l’ADN dans les cellules hématopoïétiques.

Trois types de données scientifiques pourraient expliquer pourquoi la leucémie se développe après avoir été vacciné.

Tout d’abord, la protéine spike entrave le mécanisme d’autoréparation de l’ADN. Des scientifiques suédois ont découvert que les protéines spike du virus SRAS‑CoV‑2 entravent deux mécanismes majeurs d’autoréparation de l’ADN cellulaire humain : la jonction des extrémités non homologues (Non‑Homologous End Joining ou NHEJ) et la recombinaison homologue (Homologous Recombination ou HR).

Lorsque ces deux mécanismes sont entravés, la capacité de l’ADN à s’autoréparer est considérablement réduite, ce qui entraîne des mutations génétiques.

Deuxièmement, le SRAS‑CoV‑2 peut altérer l’ADN humain. Selon une étude publiée par le Massachusetts Institute of Technology, bien que le SRAS‑CoV‑2 ne soit pas un rétrovirus, il est en mesure de modifier l’ADN humain.

Un rapport de cas clinique a révélé une manifestation clinique de leucémie myéloïde aiguë après une ponction de la moelle osseuse suite à une infection par le Covid ‑19. Selon les auteurs, il s’agirait d’un cas inquiétant.

Troisièmement, en six heures seulement après la pénétration du vaccin Pfizer Covid ‑19 à ARNm dans des cellules hépatiques humaines cultivées in vitro, l’ARNm du vaccin peut achever sa « transcriptase inverse » dans les cellules et affecter les gènes humains. Cela constitue une preuve irréfutable que les vaccins à ARNm peuvent affecter le génome humain.

Si le virus d’un vaccin inactivé n’est pas complètement inactivé, son ARNm est toujours présent et peut s’insérer dans le génome humain et ainsi modifier les gènes.

« Cas de leucémie liés aux vaccins », un argument sans poids ?

Après la diffusion en ligne de notre analyse préliminaire, les lecteurs ont publié leurs commentaires.

Certains avaient eux aussi entendu parler de personnes atteintes de leucémie après avoir été vaccinées. D’autres en étaient eux‑mêmes atteints. D’autres encore avaient des proches qui l’étaient. Pour la plupart d’entre eux, ils avaient demandé de l’aide à leurs médecins, ils avaient demandé si cela pouvait être lié aux vaccins, mais n’avaient reçu aucune attention.

D’autres internautes ont déclaré qu’il n’était pas nécessaire d’accorder autant d’attention à ces cas, certains ont affirmé qu’il s’agissait d’une campagne visant à diffamer la Chine.

Un lecteur a écrit : « Avec un taux d’incidence normal de 30 sur un million par an, étant donné que 1,2 milliard de personnes ont été vaccinées en Chine, il n’y a rien d’anormal dans le fait que 36 000 personnes développent une leucémie. Nous ne pouvons pas exclure cette réalité, donc ce n’est pas convaincant. »

À l’époque où je travaillais dans une grande entreprise pharmaceutique internationale, si des événements indésirables graves apparaissaient après la mise sur le marché d’un nouveau médicament, nous devions envoyer notre personnel dans les hôpitaux et auprès des patients. La maladie n’était peut-être pas liée au médicament, mais il fallait faire acte de présence à partir du moment où un événement indésirable avait été signalé. Nous devions également soumettre un rapport d’enquête à l’autorité de réglementation pharmaceutique. Dans un cas, il m’est arrivé de me rendre auprès du patient en train et de veiller à son chevet pendant deux nuits pour en savoir plus sur sa situation.

Dans le milieu, on appelle cela la « diligence raisonnable ».

Il s’agit d’une question de conduite professionnelle, de minimum déontologique, peu importe les résultats de l’analyse finale. Il est avant tout question d’assumer ses responsabilités et de traiter les patients.

Si, au lieu d’augmenter, l’incidence de la leucémie avait diminué, cela n’aurait rien changé. Ces 800 patients sont toujours en vie et leur vie est en danger.

Peu importe que j’aie été médecin dans le passé ou plus tard spécialiste de la pharmacovigilance, dans une entreprise pharmaceutique, ce qui me préoccupe actuellement, c’est de déterminer s’il existe une relation de cause à effet entre ces plus de 800 cas de leucémie et leur vaccination. Et nous devrions tous nous en inquiéter par respect pour ces personnes et pour la vie.

Parmi ces patients atteints de leucémie, et c’est là que se trouve la solution, il y a un schéma cohérent. Aucun n’a d’antécédents d’exposition aux radiations, pas d’antécédents familiaux de maladies héréditaires et il n’y a aucune spécificité géographique. La seule chose qu’ils ont en commun, c’est d’avoir reçu des vaccins Covid‑19, et dans la plupart des cas, leurs symptômes sont apparus en moyenne trois mois après leur deuxième dose. Il s’agit d’un schéma très troublant, aussi déconcertant que celui observé par le Dr Cole.

Malheureusement, le problème est loin d’être résolu, car la vaccination obligatoire à grande échelle est toujours en cours. Si les vaccins sont effectivement liés à ces événements indésirables, des mesures doivent être prises, au minimum, la vaccination doit être suspendue pour certaines personnes. Il s’agit d’une démarche tout à fait sensée, acceptable. Il y a tout juste un an, au moins deux situations de ce type se sont produites.

En mars 2021, des caillots sanguins et des décès suite au vaccin AstraZeneca ont été signalés dans plusieurs pays européens. En une semaine, le Danemark, la Norvège, l’Islande et la Bulgarie ont suspendu la vaccination avec ce vaccin spécifique.

En octobre 2021, la vaccination des jeunes avec le vaccin Moderna en Europe du Nord a été suspendue en raison d’un risque accru de cardiopathie.

Il ne s’agit donc en aucun cas d’une préoccupation « politique » ni d’une « méfiance exagérée ». Il s’agit d’un acte approprié de réglementation et de surveillance de la santé et des soins médicaux. De plus, ce vaccin est le premier à avoir été administré obligatoirement à grande échelle dans le monde entier. Or, il a été mis sur le marché seulement un an après avoir été mis au point. L’industrie pharmaceutique et les laboratoires en charge de développer des vaccins n’avaient jamais pris un tel risque auparavant. Alors comment peut-on se permettre d’ignorer ses probables effets secondaires ?

Trois aliments naturels pour prévenir et traiter la leucémie

Si quelqu’un souffre malheureusement de leucémie, peut‑on la traiter ? Quels aliments naturels peuvent aider à prévenir la leucémie ?

La leucémie est généralement traitée par chimiothérapie ou transplantation. Comme nous le savons, les globules blancs du patient leucémique sont affectés par des facteurs externes nuisibles au cours de leur développement et subissent des mutations génétiques. En conséquence, ils échappent au cycle de vie cellulaire normal et se multiplient indéfiniment. Les gènes sont le code de la vie, et leur mutation est une attaque profonde pour l’organisme.

Afin de remédier à un état anormal des cellules, outre les médicaments, on peut mettre à profit des méthodes plus naturelles.

La médecine traditionnelle chinoise met l’accent sur le lien entre traitement et alimentation. Nous allons maintenant présenter quelques aliments efficaces face à la leucémie.

Mangoustan (xanthone)

Le mangoustan contient un principe actif appelé xanthone. Lors d’une étude publiée dans le Journal of Natural Products, l’Institut international de biotechnologie Gifu, au Japon, montre que les xanthones peuvent induire l’apoptose (mort cellulaire) dans les lignées cellulaires leucémiques.

Les chercheurs ont étudié six xanthones. Ils ont découvert qu’elles pouvaient toutes inhiber la croissance des cellules cancéreuses. Parmi celles-ci, l’α‑mangostine a montré une inhibition complète des cellules leucémiques à une concentration de 10 μM. De plus, elle n’est pas toxique pour les cellules saines.

La leucémie est une prolifération anormale de cellules du sang qui ne passent pas par une apoptose (mort cellulaire) normale et qui prolifèrent donc sans fin. D’autres études ont révélé que l’α‑mangostine peut induire l’apoptose des cellules leucémiques en trois heures seulement. Toutefois, il convient de noter que le mangoustan est de nature froide et qu’il ne doit pas être consommé par les personnes ayant une constitution « carence‑froid », [selon la typologie de la médecine traditionnelle chinoise, ndlr]. Il est également riche en sucre, les diabétiques doivent donc en tenir compte.

Champignon amande

Le champignon amande est également connu sous le nom d’Agaricus blazei Murill (AbM). Les Japonais ont découvert ses effets anticancéreux ainsi que sa capacité à renforcer l’immunité. Ils ont donc développé de nombreux aliments bons pour la santé à base de ce champignon.

En 2017, une étude publiée dans BioMed Research International a révélé que l’extrait d’Agaricus blazei (Andosan) a pour effet d’inhiber les cellules leucémiques humaines.

Il a été découvert que l’ajout de 5% et 10% d’Andosan inhibait la croissance des cellules cancéreuses de 17% et 23%, respectivement.

Dans une étude du cycle cellulaire, les chercheurs ont cultivé des cellules de différentes phases cellulaires (phases sub G1, G1, S et G2) dans un groupe expérimental ayant 10% d’Andosan et dans un groupe témoin, et ils ont observé les changements.

Comme nous le savons, la réplication cellulaire comporte des cycles de naissance, de vieillissement, de maladie et de mort. Il en va de même pour les cellules cancéreuses. On a découvert que le pourcentage de cellules en phase apoptotique (phase sub G1) [ou de mort cellulaire, ndlr] était plus élevé dans les cellules cultivées ayant l’ajout de 10 % d’Andosan, alors que le pourcentage de cellules en phase de croissance 1 (phase G1) était plus faible. Cela suggère que l’andosan peut induire l’apoptose des cellules cancéreuses.

Les composés contenus dans le champignon amande peuvent également renforcer l’effet thérapeutique de la chimiothérapie. Il sera donc plus efficace d’associer la chimiothérapie à une thérapie diététique.

Le thé vert

Le thé est une des boissons les plus populaires et c’est une boisson saine. Une étude publiée dans Nature Reviews Cancer, portant sur des recherches faites sur des animaux, montre que certains extraits de thé vert inhibent la formation et le développement de tumeurs dans différents organes.

Le thé vert contient une grande quantité de catéchines (dont l’EGCG), qui inhibent de nombreux cancers hématologiques. Les catéchines peuvent agir de plusieurs façons sur les cellules cancéreuses, inhiber la prolifération des cellules cancéreuses, renforcer l’apoptose des cellules cancéreuses et inhiber l’invasion cellulaire, l’angiogenèse et les métastases.

Une caractéristique de nombreux médicaments naturels est leur capacité à agir sur des « cibles multiples ». Les médicaments occidentaux n’agissent généralement que sur une « cible unique ». Cela fait une grande différence dans leur efficacité.

Une étude de cohorte prospective de 9 ans portant sur environ 42.000 participants a évalué l’association entre le thé vert et le risque de tumeurs hématologiques. Cette étude ne manque pas d’être très convaincante.

Elle a révélé que les personnes buvant une à cinq tasses de thé par jour présentaient des degrés variables de réduction du risque de leucémie, par rapport à celles qui ne buvaient pas de thé. Le risque de leucémie était significativement plus faible chez les personnes qui buvaient cinq tasses par jour.

Il faut faire attention à la température de l’eau lors de la préparation du thé vert. Elle ne doit pas dépasser 80℃, car une température trop élevée peut endommager les catéchines et autres substances contenues dans le thé.

Nous espérons que ces données de recherche sur les plantes naturelles pourront vous aider à prévenir et à traiter la leucémie. Par ailleurs, il faut éviter tout contact avec les substances cancérigènes et les radiations, et limiter son exposition aux appareils électroniques.

Références :




Les 4 niveaux de contrôle comportemental autoritaire et la valeur de votre esprit unique

[Source : anguillesousroche.com]

« Le véritable ennemi c’est l’esprit réduit à l’état de gramophone, et cela reste vrai que l’on soit d’accord ou non avec le disque qui passe à un certain moment. »

George Orwell

La modification et le contrôle du comportement sont essentiels au type de contrôle social recherché par la prise de contrôle technocratique fasciste de la planète Terre, actuellement en cours. Les contrôleurs ne peuvent absolument pas tolérer la protestation, la dissidence ou même l’abstention par rapport à leurs programmes insensés, et il est donc nécessaire pour eux de s’assurer que les individus sont incapables d’exprimer des points de vue contraires. Leurs plans ne peuvent tout simplement pas être mis en œuvre sans une obéissance massive, ou du moins la perception d’une telle obéissance.

Si vous ne vous contentez pas de suivre automatiquement les barrages autoritaires qui se dressent sur votre chemin, vous devez être isolé avant de créer une vague de dissension au sein de la ruche.

Et c’est ainsi que la cage destinée à vous contenir prend forme.

La publicité, les relations publiques, la propagande, Hollywood, la télévision, les médias grand public, la culture des célébrités et les influenceurs constituent le premier niveau de contrôle social. Ces entités servent à présenter de manière omniprésente un exemple de comportement, d’idées et de croyances nécessaires pour que vous puissiez vous fondre dans le troupeau. Elles façonnent votre comportement par la répétition, en vous informant constamment de ce qui est accepté et attendu, et votre subconscient reçoit le message haut et fort.

Le deuxième niveau est celui de la censure officielle, de la censure d’entreprise et de la culture d’annulation, qui visent toutes à réduire au silence les points de vue divergents. En prime, ce niveau a une efficacité multidimensionnelle. Il y a les personnes qui sont directement censurées et/ou expulsées des plates-formes d’expression, plus l’effet additionnel de l’autocensure, qui est l’autorégulation semi-consciente de son discours afin de se conformer aux normes et standards actuels perçus, et d’éviter les risques de le faire.

Le troisième niveau, qui émerge sous nos yeux, impliquera l’utilisation de technologies avancées, de l’IA, de l’apprentissage automatique et de la surveillance algorithmique de votre discours en public, et éventuellement en privé, afin de vous faire taire immédiatement et de vous punir instantanément pour avoir exprimé une pensée erronée. J’écris cet article en ce moment parce que j’ai remarqué un article récent de France 24 intitulé « Les clubs néerlandais vont déployer des ‘technologies intelligentes’ pour lutter contre le racisme des supporters », qui illustre clairement ce à quoi ressemblera le niveau 3.

Voici un extrait de cet article…

« Trois grands clubs de football néerlandais participent à des projets pilotes utilisant des technologies intelligentes, notamment l’intelligence artificielle, pour identifier et combattre les comportements racistes des supporters, a annoncé mercredi la fédération de football du pays…..

Au PSV, qui est étroitement associé au géant néerlandais de la technologie Philips, des caméras et des équipements sonores seront utilisés pour mesurer l’engagement des supporters lors des matchs « avec un retour d’information directement aux supporters pour les motiver et les faire chanter ».

Des programmes informatiques faisant appel à l’intelligence artificielle seront en mesure de détecter les cris répréhensibles et d’alerter les officiels humains qui pourront regarder une rediffusion, a déclaré la KNVB.

À Zwolle, dans l’est du pays, les visiteurs se rendront aux matchs avec leur billet sur leur téléphone, accessible via une application mobile, qui pourra notamment donner aux supporters des informations en temps réel sur les conditions de sécurité autour du stade. »

(Source)

Cela fait beaucoup d’ingéniosité et de ressources pour résoudre le malheureux problème des gens qui sont des connards, mais hélas, nous savons comment ces types de systèmes sont commercialisés et comment ils évoluent et se répandent dans la société une fois qu’ils ont été testés pour le prétendu avantage de rendre le monde plus sûr et plus inclusif.

Je suis certain que le niveau 4 impliquera un niveau transhumaniste de technologie de lecture des pensées, où les individus pourront être profilés et sélectionnés en fonction de leurs croyances sociales avant même qu’ils aient cristallisé ces idées dans leur propre esprit. En fait, j’avais déjà lu que l’un des rêves les plus fous de Klaus Schwab et de son équipe était de développer des outils permettant de lire dans l’esprit des gens lors de leurs voyages internationaux afin d’identifier leurs intentions.

L’œuvre de fiction prophétique d’Orwell, 1984, a créé une image de ce à quoi pourrait ressembler une société aussi rigidement contrôlée. Les gens ordinaires sont enfermés dans une réalité de conformité inflexible et abrutissante, tandis que ceux qui sont derrière le rideau sont libres de s’engager dans toute forme de dépravation qu’ils peuvent imaginer. Et bien sûr, cela se produit déjà dans notre monde… Epstein ne s’est pas tué, comme on dit.

Mais, mon but ici n’est vraiment pas de vous informer des nouvelles actuelles ou d’inviter au découragement sur la nature du monde qui évolue rapidement. Mon but est de vous faire prendre pleinement conscience de la valeur de votre propre esprit dans tout cela. C’est le prix à payer. Ce sont vos propres idées originales sur ce qui est possible pour vous dans cette boule de confusion qui peuvent vraiment faire évoluer les choses dans un sens positif.

Après tout, si le fait d’enrôler le monde entier dans une plantation d’esclaves homogénéisée, gérée de manière centralisée et monoculturelle était soumis à un vote, cela n’arriverait pas. Eh bien, en réalité, cela n’arrivera pas de toute façon, mais c’est une autre conversation.

J’ai parlé en détail du fait que la plupart des gens ne réalisent pas que la majeure partie de leur comportement n’est PAS organique pour eux-mêmes. C’est-à-dire que la plupart des choses que les gens font au quotidien sont le résultat de programmes qui fonctionnent à l’intérieur de votre esprit subconscient, et ne servent pas votre intérêt personnel d’être en bonne santé, riche et heureux, avec des relations fonctionnelles et épanouissantes.

Votre comportement est-il organique et original pour vous, ou quelque chose d’extérieur à vous vous programme-t-il ?

Le fait que tant d’énergie et d’efforts soient consacrés au contrôle de ce que vous pensez et de la façon dont vous vous exprimez devrait vous indiquer à quel point vous êtes vraiment puissant. Plus vous comprendrez cela, plus vous aurez de liberté dans votre vie pour devenir la personne que vous méritez d’être, et pour vivre la vie que vous méritez de vivre.




Mesures « sanitaires » : en 2015, Claire Séverac nous alertait de la guerre mondiale contre les peuples

[Source : lemediaen442.fr]

Après des études à Sciences Po, Claire Séverac a fait une carrière dans la musique aux États-Unis. Particulièrement sensible aux scandales liés à la santé et à l’environnement (vaccination, virus H1N1, pesticides, affaire du sang contaminé…), elle décide d’enquêter. Elle découvre que les maux dont nous souffrons ne sont pas dus au hasard ni à la fatalité, mais plutôt à un plan organisé par une poignée de « banksters » prêts à tout pour contrôler le monde.

Claire Séverac rassemble en 2011, dans Complot Mondial contre la santé, les preuves de tous les dommages causés à notre santé avec la nourriture, les médicaments, les pesticides, avec les noms des coupables, leurs méthodes. 
En 2012, elle écrit, avec Sylvie Simon, La coupe est pleine (nos enfants sont plus précieux que le CAC 40) sur la manipulation et la désobéissance civique.


Son dernier ouvrage, La guerre secrète contre les peuples (préface de Pierre Hillard, éditions Kontre Kulture), sort en 2015. Pendant trois ans, Claire Séverac a décrypté des centaines de documents, recoupé des discours, fouillé dans les archives et les sites d’organisations internationales, d’ONG ou encore d’institutions gouvernementales. Trois ans d’enquête qui prouvent l’existence des chemtrails, le danger des ondes, les mensonges du réchauffement climatique qui est une guerre climatique, le transhumanisme…

Extrait du livre « La Guerre secrète contre les peuples » de Claire Séverac

Plus ou moins tenus secrets, des projets mondiaux revêtent un alibi humanitaire : la faim dans le monde, le réchauffement climatique, la santé, l’écologie, la sécurité… Nul doute que tout ce qui se trame autour du covid-19 l’aurait intéressée au plus haut point, elle qui s’était scandalisée de l’attitude des grands laboratoires, leur reprochant de nous pourrir l’existence avec des médicaments loin d’être efficaces, dont les effets secondaires laissent toujours à désirer. Les ouvrages qu’elle a laissés témoignent de ses combats et aussi des oppositions qui se manifestaient autour d’elle. Pourtant Claire Séverac ne manquait pas de soutiens comme Pierre Hillard et la cancérologue Nicole Delepine, qui fut responsable de la pédiatrie à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches avant que le service soit fermé par la ministre Marisol Touraine. Déjà, en 2015, l’État décidait à notre place de notre santé (vidéo ci-dessous).

Claire Séverac est décédée le jour de Noël 2016, après trois mois de maladie. Elle gênait beaucoup trop de monde et son décès assez rapide est difficilement explicable. Elle était certaine d’avoir ingéré un poison à l’occasion des conférences qu’elle donnait dans toute la France depuis la sortie en septembre 2015 de son livre sur les chemtrails (abréviation de chemical trailers). Elle pensait au polonium, un poison indétectable même au compteur Geiger, et à un cancer digestif aussi fulgurant qui avait effectivement peu de chances d’être naturel. Sa mort a été aussi rapide que celle d’un autre gêneur, François-Xavier Verschave, qui, lui, contrariait les intérêts de la Françafrique dans ses livres-enquêtes Noir silenceNoir procès et Noir Chirac (éditions Les Arènes).




Comment agir dans la démesure (Ukraine, santé, sécurité…) ?…

Par Lucien SA Oulahbib

La gabegie bat donc son plein. L’ignorance crasse aussi. Malgré des mots ronflants et des airs savants, ceux de chiens du même nom. No comment, donc ?… Il n’y aurait en effet plus rien à dire sinon la redondance ne constatant rien d’autre qu’elle-même avec cet adage désormais célèbre : pourquoi n’y a-t-il rien plutôt que quelque chose ?… (Jean Baudrillard)

Mettons qu’il faille « les » prendre au sérieux : le moindre chiffre avancé sera nié, et s’il s’agit d’une source officielle son interprétation sera décriée, et si cela ne suffit pas il faudra s’en prendre à la source en scrutant si elle a bien toutes les appellations académiques, peu importe si ses vérificateurs n’en ont pas l’once du quart.

Ceci est là le comportement, non seulement de la mauvaise foi, mais aussi de l’obsessionnel à tendance paranoïde, ou comment voir par exemple des « conspirationnistes » partout jusqu’à faire croire que ces derniers fomenteraient quelque chose alors qu’ils tendent seulement de questionner, donc douter… Comme si les accusateurs voulaient voiler leur intolérance en la matière… Ou faire taire tout soupçon, jusqu’à laisser croire que les complots et les conspirations n’auraient jamais existé dans l’Histoire, sinon ceux issus de têtes dérangées provenant d’un univers parallèle aux confins de l’ère Covid-19…

De même, il n’y aurait jamais eu de sécheresses, de tornades, d’incendies. Tous ces mots auraient été inventés récemment par le fameux “GIERC” (sorte de dieu Baal reconstitué). Et si d’aucuns de ses prêtres ou redresseurs de torses veulent donner l’apparence d’une justification du haut de la pyramide médiatique, ils parleront alors d’une augmentation ou d’une baisse de la “fréquence”, la première étant climatique, la seconde sanitaire alors que ces variations sont toujours saisonnières et ne peuvent être calculées que sur des périodes significatives, mais peu importe pour ces Canada dry et leur double effet Kiss cool.

Le criminel accuse toujours la victime d’être la première fautive : trop femme, trop riche, pas assez homme, ceci ou cela, etc.

Dans les affaires actuelles il y a pléthore d’exemples : comment se fait-il que des zéros pointés osent tenir leurs propos non seulement fallacieux, mais honteux sur ce qui se passe « vraiment » dans la région du Donbass, alors que les civils y sont pilonnés H24 par les armes que leurs maîtres procurent à leurs sbires sur place ? Ont-ils perdu tout sens de la mesure en traitant l’armée russe de « génocidaire » alors que ceux qu’ils soutiennent pratiquent ce qu’il faut bien appeler des crimes de guerre en bombardant ainsi à l’aveugle (et ne parlez pas de Bucha, où en est l’enquête d’ailleurs ?) ?

Faut-il donc écraser toute tentative séparatiste par les bombes et les assassinats alors qu’il existait des accords en bonne et due forme depuis 2014, mais jamais respectés ? Si oui, bombardons la Corse et la Nouvelle-Calédonie, via l’OTAN qui plus est, pour aller plus vite.

Ne parlons pas de cette autre manipulation qui appelle « cas » des personnes non malades, mais testées positives pour quelque chose qui reste un gros rhume s’il est soigné de façon précoce pour les plus fragiles [ou qui n’ont pas le moindre symptôme d’une maladie]. Un « cas » était autrefois un malade, et non pas quelqu’un ayant pu croiser tel virus. Par conséquent, utiliser le même vocable est là aussi fallacieux, et surtout trompeur, jusqu’à faire dire que toute personne en bonne santé est un « asymptomatique » qui s’ignore alors qu’à l’instar des intempéries il y a des oscillations et des autorégulations qui se font à chaque instant au vu des milliards de virus que nous croisons [ou plutôt créons ?(([1] Voir L’enterrement de la théorie virale]))] en permanence ; tout en sachant que se masquer pour s’en protéger revient juste à réintroduire de la pensée magique dans une époque ayant prétendu avoir dépassé celle des talismans et des grigris (même en salle d’opération il a été démontré que le masque est inopérant). Et à l’heure actuelle personne ne sait comment la contamination(([2] [Voir Le mythe de la contamination épidémique])) s’effectue. Aucune étude sérieuse ne l’a démontré sinon par des modélisations hasardeuses extrapolant des « si » à l’infini…

Idem pour la “sécurité” : alors que les (faux) princes qui nous gouvernent n’arrivent plus à prononcer les mots femme, homme, père, mère, comment pourraient-ils le faire pour différencier des crimes, des vols et des viols, surtout lorsqu’ils proviennent d’espèces protégées comme les migrants et les politiciens ?…

La moindre critique vous taxe vite fait de “transphobe” et de “raciste” ce qui fait que par exemple les femmes se voient attaquées de tous les côtés : par des trans peu scrupuleux qui leur piquent leurs places dans les compétitions féminines, par les djihadistes qui les somment de ne pas moufter, tandis que les gens dits colorés se voient conspués par les islamophiles lorsqu’ils veulent s’insérer dans la société qui les accueillent, les instruisent, les soignent, les protègent au-delà des aléas puisqu’il n’est pas dit que venant ainsi de l’étranger l’on puisse ainsi sans coup férir lorgner les meilleures places alors que déjà lorsque l’on vient du village/bloc/clan d’à côté cela suscite des jalousies et autres aigreurs…

Il y a donc bien péril en la demeure. Et seulement énoncer jusqu’à plus soif, comme le fait Edgar Morin, que “là ou est le péril croit aussi ce qui sauve” (Hölderlin) ne peut pas réellement aider – surtout si tout est fait pour que rien ne puisse croître justement, comme une sorte de stratégie de la terre brûlée que l’on voit de plus en plus dans l’enseignement (bannissement du doute et du croisement des sources), dans les médias (haro sur la vérification et refus d’admettre la disputatio), dans la technologie de pointe comme le nucléaire…

Et toucher le fond en ces matières a pourtant bien été atteint… Aussi il semble bien qu’il faille passer à autre chose puisqu’il n’y a plus (que le) rien.




Dr Vernon Coleman : « il nous reste six mois de liberté »

[Source : ns2017]

[Sur la banderolle de l’illustration :
« Plus nous nous conformons, plus la situation s’aggrave ».]

[Ndlr : le docteur Coleman est-il particulièrement pessimiste ? Ou simplement réaliste ?]

Par Dr Vernon Coleman

En avril 2022, j’ai réalisé une vidéo dans laquelle je prédisais qu’il nous restait huit mois de liberté.

Je maintiens cette prévision.

Il nous reste maintenant six mois, ce qui nous amène à Noël 2022.

Je ne suis pas en train de suggérer que nous allons tous mourir d’ici Noël.

Ce que je suggère (et c’est d’une certaine manière plus effrayant), c’est que les choses vont maintenant si vite que si nous ne nous levons pas et ne nous défendons pas, nous serons trop loin sur la route vers une existence construite autour des principes du crédit social ; trop loin pour arrêter la progression vers la Grande Réinitialisation.

Partout où vous regardez, il y a des preuves qui montrent à quelle vitesse les conspirateurs progressent.

[Voir aussi :
Le revenu de base universel et les six autres théories qualifiées de « conspirations délirantes » jusqu’à ce que l’an 2020 arrive
et les articles du site relatifs à l’agenda 2030 de l’ONU,
au Great Reset (ou Réinitialisation),
à Klaus Schwab,
à Davos, etc.]

Tout d’abord, regardez l’économie mondiale.

Nous nous dirigeons tous non pas vers une simple récession mais vers une profonde et longue dépression qui rivalisera avec tout ce qui s’est passé dans les années 30.

[Voir aussi :
Pénuries alimentaires dans six mois – Les mondialistes nous disent ce qui va se passer ensuite
Prévisions 2022 – Un feu de poubelle à la frontière d’un âge sombre
Selon Bill Holter, l’effondrement économique est imminent
Derrière la collapsologie (ou étude de l’effondrement des civilisation)
Fit for 55 – Le Pacte vert européen et l’effondrement industriel de l’Europe
La guerre psychologique derrière l’effondrement économique
Que pouvons-nous apprendre sur l’effondrement en regardant le Moyen Âge ?]

La Barbade, le Liban et le Sri Lanka ont tous fait faillite. Tout comme, bien sûr, l’Argentine. La corruption gouvernementale (dont profitent les politiciens et les bureaucrates) en est largement responsable. Il suffit de regarder la corruption au Royaume-Uni, par exemple.

La situation est si mauvaise au Sri Lanka (longtemps indépendant pour l’approvisionnement en nourriture) que les agriculteurs n’ont plus les moyens d’acheter des semences. Le pays est en train de mendier de la nourriture.

En 2020, la dette mondiale était de 220 000 milliards de dollars. Elle est désormais de 300 000 milliards de dollars, soit trois fois et demie le PIB mondial.

[Note de Joseph : au début des années 1980, alors que j’étais jeune étudiant, la question de la dette était déjà présente et je trouvais bizarre que tous les pays du monde se trouvent (déjà à l’époque) endettés. Auprès de qui ? me disais-je. J’ignorais alors tout du système des banques centrales et surtout de ceux qui les avaient créées et sur ceux qui depuis lors les contrôlent d’une manière ou d’une d’autre.]

Partout, les gouvernements vont devoir augmenter les taux d’intérêt pour tenter de contenir l’inflation. Et lorsqu’ils le feront, le coût du service de toute cette dette entraînera la faillite de millions de personnes, détruira des milliers d’entreprises et mettra les nations en péril. Aucun pays sur terre n’est à l’abri. Le Royaume-Uni et les États-Unis pourraient se retrouver en défaut de paiement. Les services devront être réduits. Les retraites et autres paiements devront être interrompus.

Les dépenses de santé et d’éducation seront réduites alors que de plus en plus d’argent sera consacré à l’achat de bombes pour la guerre en Ukraine. Le coût de la reconstruction de l’Ukraine sera probablement proche de mille milliards de dollars. On attendra des contribuables qu’ils trouvent l’argent – qui sera sans doute en grande partie volé. Et, comme je l’ai prédit il y a plusieurs semaines, les gouvernements occidentaux se préparent à la guerre avec la Russie. L’OTAN se prépare à la guerre. Et le chef des forces armées britanniques dit que nous devons être prêts pour la guerre. Les seules personnes qui y gagneront seront les entreprises d’armement.

Partout où vous regardez, c’est le chaos économique.

En Chine, il est question de maintenir les politiques absurdes de zéro covide pendant cinq ans, tout en renforçant les règles de crédit social. Les tests de masse vont se poursuivre et les restrictions de voyage vont se durcir pour ceux dont le crédit social est faible.

Cela a été délibérément créé. Mais c’est toujours le chaos. Le Pakistan et l’Argentine ont emprunté d’énormes sommes d’argent au Fonds monétaire international. Ni l’un ni l’autre ne rembourseront jamais leurs dettes. Le FMI détient d’énormes dettes et contrôle effectivement de nombreux pays – en route vers un rôle dans le nouveau gouvernement mondial.

Les mêmes choses se produisent partout dans le monde. Est-ce une coïncidence ? Bien sûr que non. C’est délibéré.

Ce que personne ne mentionne, c’est que lorsque les économies s’effondrent, le nombre de personnes qui meurent augmente toujours. Les gens n’ont pas les moyens de se nourrir correctement, ni de se chauffer. Les entrepreneurs de pompes funèbres et les fleuristes sont les seules entreprises qui peuvent s’attendre à une période de prospérité.

Les conseils locaux se dirigent vers la faillite. Les services vont être supprimés – ou réduits pour protéger les pensions massives versées aux anciens directeurs généraux et autres employés surpayés. Votre bibliothèque locale pourrait fermer. Les piscines et les centres de loisirs vont être supprimés. Combien de temps les collectes de déchets continueront-elles ? Combien de temps les écoles resteront-elles ouvertes ? Des emplois devront être supprimés.

L’effondrement du marché boursier menace les retraites partout. Les marchés boursiers sont déjà à peu près au niveau où ils étaient dans les années 1990. Si les marchés s’effondrent encore davantage, la valeur des pensions chutera également. Très peu de gens sont conscients de la précarité de leur avenir.

L’envolée des prix des denrées alimentaires, du carburant et du chauffage entraînera de plus en plus de grèves. Les médecins veulent une augmentation de 30 %. Une grève ou une augmentation de salaire massive détruira ce qui reste du NHS [Ndlr : le Système de Santé au Royaume-Uni] en faillite.

Les soins de santé ne sont plus disponibles au Royaume-Uni.

Avant même que l’on parle de grève, les médecins démissionnaient en masse dans la cinquantaine. Pourquoi ? Parce qu’ils ne peuvent plus faire face aux réglementations et à la paperasserie introduites par le gouvernement et le General Medical Council. Le système de revalidation détesté du GMC est une véritable folie. Les médecins passent tellement de temps à remplir des formulaires qu’il leur reste peu ou pas de temps pour les patients. Ils ne trouvent aucune joie dans leur travail.

Les dentistes prennent également une retraite anticipée à cause de la paperasserie. Les dentistes travaillent toute la journée à arracher et à soigner des dents, puis doivent régulièrement passer deux ou trois heures de plus à remplir des formulaires pour satisfaire les bureaucrates.

Pendant ce temps, le Royaume-Uni est à la dérive, sans gouvernement, et tout s’écroule.

Quelqu’un nierait-il que nos systèmes de transport sont un désastre ?

Les libéraux du millénaire parlent constamment de la semaine de quatre jours et de l’importance de l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Mais il faut que quelqu’un soit prêt à travailler si l’on veut faire fonctionner le pays. Et la plupart des moins de 40 ans n’ont aucune idée de la distance qui nous sépare du bord de la falaise. Il y a près de 1,5 million d’emplois vacants au Royaume-Uni. Et plus de cinq millions de personnes qui vivent d’allocations que le pays ne peut se permettre.

Partout, les exploitations agricoles sont aux prises avec de nouvelles réglementations. Les jeunes ne veulent pas travailler dans les fermes car le travail est trop dur. Au Royaume-Uni, l’âge moyen des agriculteurs est de 59 ans. Le fermier moyen a gagné 15 000 £ l’an dernier. Ils auraient été mieux avec des allocations. Ces dernières années, quatre millions d’exploitations agricoles européennes ont fermé leurs portes, encouragées par les réglementations européennes visant à détruire l’agriculture et à faire place aux aliments de laboratoire.

Il n’est pas surprenant que les pénuries alimentaires arrivent très vite. Au sein de l’UE, on parle déjà de rationnement alimentaire. Le rationnement de la nourriture et du carburant est inévitable. Et ils seront contrôlés par une application. L’approvisionnement en électricité sera contrôlé par les compteurs intelligents que tant d’idiots ont chez eux.

L’argent liquide est diabolisé et de nombreux magasins refusent désormais de l’accepter. Les citoyens sont obligés de tout faire via une application. Les écoles introduisent des systèmes de points de crédit social pour contrôler les étudiants. Nous ne sommes qu’à quelques mois d’une société qui sera tout aussi oppressive que celle de la Chine.

Et les mensonges des médias et la suppression de la vérité continuent.

Cela fait maintenant deux ans et demi que je suis banni de tous les médias grand public. Comme je l’ai expliqué l’autre jour, j’ai même été réduit au silence lorsque j’ai essayé d’apparaître sur une radio Internet. J’ai un site web. Mais combien de temps avant qu’il ne soit retiré ?

Je ne peux rien voir de tout cela parce qu’il m’est interdit d’accéder à tous les médias sociaux, mais j’entends dire que les médias sociaux sont désormais remplis de fausses nouvelles (contrôlées par les gouvernements et les services secrets), de discours de haine (mis en place par les gouvernements et les services secrets), d’extrémisme (mis en place par les gouvernements et les services secrets), de trolls (organisés par les gouvernements et les services secrets) et d’intimidation (gérés par les gouvernements et les services secrets. Les grands moteurs de recherche et les sites Internet appartiennent aux conspirateurs tout autant que les médias grand public.

Trop de gens acceptent tout cela sans un murmure.

Le silence collectif causera notre perte.

Ils nous éliminent un par un.

J’estime qu’il nous reste six mois de liberté à moins que nous ne menions cette guerre avec plus de détermination.

Et si vous pensez que j’exagère, regardez les deux dernières années. J’ai prédit tout ce qui s’est passé. Mes anciennes vidéos sont encore disponibles (pour le moment) sur ce site.

Regardez quelques-unes de ces vidéos et vous comprendrez vite pourquoi je suis le médecin le plus banni au monde.

La vérité est la seule chose que les conspirateurs craignent. Pour eux, la vérité est aussi mortelle que le soleil et l’ail pour les vampires.

https://expose-news.com/2022/07/02/we-have-six-months-of-freedom-left/




Le mythe de la contamination épidémique

[Source : Décoder l’éco ou @decoderleco]

Cette vidéo est le cinquième épisode de la série réalisée avec le média Kairos.

Dans le premier épisode, nous avons vu qu’il n’y a eu aucune hécatombe nulle part en Europe, ni en 2020, ni en 2021.

Dans le deuxième épisode nous avons vu qu’il n’y a pas eu la saturation hospitalière annoncée.

Dans le troisième épisode nous avons vu qu’il n’y a pas non plus eu un “déferlement” de malades. Il y a eu bien moins de malades comptabilisés que pendant les épisodes dit “grippaux” du passé. Nous vivons une épidémie de “cas” entretenue par les fameux “tests” qui n’ont pas de rapport avec la moindre maladie.

Dans le quatrième épisode nous avons vu le moteur même de la fraude : l’utilisation de codes spécifiques par les hôpitaux de façon à produire les “bonnes” statistiques.

Dans ce cinquième épisode nous découvrons le socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination

[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]






Comment « réenchanter » un monde occidental à la dérive (G.7) ?

Par Lucien SA Oulahbib

À lire le dernier communiqué du G.7(([1] ou https://pm.gc.ca/fr/nouvelles/declarations/2022/06/28/communique-des-chefs-detat-et-de-gouvernement-du-g7)) et comme l’a remarquablement effectué le Courrier des Stratèges, l’on y repère bien, au-delà du vocabulaire dégoulinant de bons sentiments sur le climat, la santé et la protection/fabrication des LGBTI+, une stratégie sous-jacente qui consiste en fait et prosaïquement à contrebalancer, sur le moyen et long terme, la saturation du marché industriel « classique » comme l’automobile (moins de mille milliards de dollars) par cette croissance en (forte) hausse de l’industrie de la santé au sens large — prothèses d’assistanat mental et manips génitales comprises — (plus de mille deux cents milliards de dollars), loin devant le marché de la vidéo et des produits frais.

À lire, entre les lignes, encore une fois, ce « communiqué » apparaît bel et bien comme un programme d’action, pavé bien sûr de bonnes intentions en devanture pour justifier en filigrane ce tournant dangereux et irrationnel (ou « Grand Reset » made in Davos). Ainsi le tout, comble de l’hypocrisie, est bien plus habillé par « le changement climatique », « l’agression russe », que par la « pollution » et la « paix dans le monde ». Car autant en ce qui concerne la pollution les améliorations progressives en particulier en Occident l’ont réduite considérablement, autant s’agissant du climat il apparaît bien plutôt comme ce mirage mixte assemblant éthique dévoyée et alarmisme catastrophiste puisque les observations relevées infirment constamment les modélisations (qui confondent climat et météo).

Idem en matière infectieuse concernant la menace sanitaire en vogue, soit la Covid-19 : les « modèles » prédisaient des dizaines de millions de morts, et avançaient que les traitements précoces ne servaient à rien (quitte à falsifier les rapports sur ce point, façon LancetGate) surtout comparés à des injections préconisées par cette industrie de Santé en plein essor (supra), alors que jour après jour et pays après pays tout montre que non seulement cela ne marche pas mais aggrave la situation de santé en particulier désormais pour les multi-injectés, et ce au fur et à mesure que leur système immunitaire loin de se renforcer accroît son affaissement global puisque en certains cas non seulement d’autres maladies parfois anciennes (re) surgissent, mais s’aggravent…

Observons également que face aux infirmations répétées en matière climatique et virale (s’avérant être leurs deux armes fatales en plus de Goldstein Poutine), leur seule issue de secours reste cette idée (mantra, plutôt) — également de plus en plus battue en brèche — qui stipule que les « solutions » proposées « éviteraient les formes graves » (pénuries, catastrophes météo, infections longues, conflits divers), alors qu’il n’en est rien, bien au contraire. Il n’y a en effet pas plus de cataclysmes que naguère (la « canicule » 2022 a fait pschitt. Il y a bien plus d’énergies à disposition que prévu, surtout en intégrant le nucléaire). Il s’avère que les injections expérimentales, loin d’empêcher la maladie, précipitent nombre d’effets secondaires, tant et si bien que de plus en plus d’associations ont vu le jour, au moins pour en parler, et ce malgré tous les efforts acharnés et très pointilleux des redresseurs de torses, en particulier ceux de l’AFP et de Libération qui de toute évidence sont de plus en plus dos au mur, mais continuent à délivrer les bons et mauvais points, jusqu’à ce pointillisme de l’absurde, façon 1984, comme effacer des données, accuser les lanceurs d’alerte (autrefois les « hérétiques ») de « conspirationnisme » (équivalent de » déviationnisme »), nier les évidences de la balance bénéfices/risques (pour les moins de 65 ans), ce qui leur permet même de faire également rectifier des articles déjà parus et qui pourtant constatent et relatent seulement ce qui est.

Idem concernant « la paix dans le monde » avec un seul accusé, le Goldstein russe, dédoublé cependant en deux, voire en trois tout de même (le régime néo-maoïste ayant été quelque peu tancé pour le Tibet, Hong Kong… Le régime khomeyniste iranien idem concernant son désir de nucléaire militaire), sans que pour autant un réel débat (disputatio) puisse les faire progresser vers une plus grande compréhension de ce qui empêche que s’installe une réelle coopération civilisationnelle à commencer par la falsification de ce qui s’est réellement passé en 1947 en Israël, et le fait que Taïwan protège les réels fondateurs de la démocratie chinoise de 1911… Dommage qu’un organisme comme l’UNESCO n’organise pas au niveau mondial et de façon grand public ce genre de confrontations…

Au lieu de « réenchanter » ainsi le monde, le G.7 se transforme en Police Spéciale de la Pensée (PSP) alors que ses résultats en ces trois domaines, climat, santé, paix dans le monde, s’avèrent proches de zéro, surtout au regard des problèmes qui s’amoncellent et des lacunes et autres corruptions qui lézardent de plus en plus ce qui reste encore de « communauté internationale ».

Nous marchons en fait sur la tête ; et pourtant le courant de pensée prétendument « universaliste » dont tous ces numéros Un sont issus avait promis que cette « dialectique » de la « coopération internationale » marcherait (un jour) enfin sur ses pieds… (Promesse, promesse…).

D’ailleurs, si un « réenchantement » pouvait advenir ce serait précisément là, ou comment déjà donner la parole non seulement aux personnes réellement compétentes, mais à même également d’accepter de participer à des débats non biaisés, car c’est ainsi que les controverses (au sens de la disputatio) progressent au lieu de les annihiler dans de faux consensus. Mais pour cela il faudrait une réelle autonomie des centres de décision internationaux, un renouvellement de fond en comble de leurs paradigmes à la fois tiers-mondistes, scientistes, hygiénistes et affairistes, en faisant également attention à ce que ces organismes ne deviennent pas ces potentats autocentrés à la manière des ONG passées sous la houlette d’oligarques idéologues… Vaste programme…

Car s’agissant de « la paix dans le monde » à lire encore une fois ce « communiqué » dégoulinant de poncifs et de bonnes paroles façon dames patronnesses, pas une fois quelques mea-culpa apparaissent, ne serait-ce que sur l’Afghanistan où il semble bien qu’à force de ne pas avoir tenu compte du fait qu’il n’était pas possible de passer sans coup férir d’une société tribale à une société de « partis » (même problème en Afrique, au Proche-Orient et au Moyen-Orient). Les solutions transitoires ont été méprisées sous le double prétexte d’y voir un complexe d’infériorité (la tribu aurait été une résurgence » néocoloniale d’État faillis » alors qu’elle a toujours été là) ou matière à sécession au bénéfice de « seigneurs de guerre » alors que la prise en compte en l’état des structures politiques telles qu’elles sont et non pas telles qu’elles devraient être aurait dû être la boussole permanente d’une réelle Communauté mondiale cherchant à réenchanter les relations interétatiques et internationales.

Au lieu de cela ce G.7 montre une vision pathétique des relations internationales, croyant être exhaustif en donnant son mot sur tout alors qu’il n’a des réponses sur rien à part son programme intrusif qui cherche à faire ployer l’Humanité sous l’inanité d’un fardeau idéologique suranné ou la quête queer du R.0 hygiéniste et scientiste démultiplié partout, avec la Chine en miroir, cette boule de cristal déformante du retour vers l’avenir, soit le contrôle de « l’État total »… Ou le désenchantement abouti.




Bien comprendre ce que Schwab et la clique de Davos nous préparent

[Source : RL]

Par Alain Falento

Il est difficile de développer un argumentaire associant le Forum de Davos, l’U.E, la Covid et le pass sanitaire sans être taxé immédiatement de complotiste ou de conspirationniste d’extrême droite.
Et je dois admettre pour une fois qu’ils ont entièrement raison. En effet il n’y a aucun complot ou aucune conspiration dans cette affaire pour la bonne raison que rien n’est tenu secret. Toutes les informations concernant ces projets sont disponibles pour peu qu’on ait connaissance de leur existence et l’envie de se plonger dedans. Nous sommes devenus tellement insignifiants à leurs yeux qu’ils ne se donnent même plus la peine d’une discrétion minimale.

[Voir aussi les nombreux articles sur Klaus Schwab,
sur la Réinitialisation (ou Great Reset),
sur Davos,
sur l’Agenda 2030…]

Edgar Degas disait : « à partir de quarante ans, on a la gueule qu’on mérite ».
Si l’on applique cette maxime à Klaus Schwab, la sanction est terrible. Nous ne sombrerons pas dans la facilité en franchissant le point de Godwin, mais il faut bien avouer que la tentation est grande dans ce cas précis. Surtout quand il est de notoriété publique que Schwab a grandi au sein d’une famille dans laquelle, pour être poli, on n’était pas opposé à l’idéologie du Troisième Reich au-delà du raisonnable.
Klaus Schwab est un vieil allemand de 84 ans, qui arrive tout naturellement en fin de vie. Il est une sorte de caricature de riche retraité germanique, avec toute la morgue qui les caractérise, qui considère que le monde a commencé à sa naissance et se terminera sa mort.
Klaus Schwab n’est autre que le fondateur de Forum de Davos, cet événement international qui a lieu chaque année dans cette station de ski suisse éponyme.

Chaque année, pendant une semaine, l’hyper-classe mondiale (milliardaires, politiciens de haut rang, chefs d’états, représentants de l’U.E, CEO de banques et grands capitaines d’industrie) vient montrer les muscles et rappeler aux prolos qui tient le couteau dans le sens du manche.
Pendant une semaine, Davos est l’endroit où il faut être et surtout être vu. Sous les yeux d’employés tout contents d’avoir été sélectionnés pour assister à l’événement, les décideurs viennent se livrer à de la prospective économique et sociale.
Le forum de Davos est également à la prostitution ce que la période estivale est au vendeur de glace. Toutes les escorts du monde y accourent, trainant derrière elles un cortège de petits escrocs et de détrousseurs en tout genre.

Même si ce n’est pas l’objet de cet article, il convient de préciser que ce qui se dit au Forum de Davos est extrêmement intéressant car c’est là que se construisent les idéologies qui seront appliquées et détermineront notre avenir. Rappelons-nous que c’est dans les années soixante dix que les concepts de « mondialisation » et de « globalisation » furent initiés dans ce Forum de Davos, avec toutes les conséquences douloureuses que nous subissons aujourd’hui.

Depuis la pandémie de Covid 19, l’hyper-classe a pris conscience que le système qu’elle a mis en place, basé sur la dette et la mondialisation, court à sa perte. Mais bien loin de se remettre en question et de laisser la place à d’autres plus capables, ils nous expliquent sans sourciller qu’il est temps de passer à un nouveau paradigme (c’est comme cela que l’on dit « changer d’avis » dans les milieux autorisés).

Dans un livre d’une médiocrité inouïe, « La Grande réinitialisation », qui ressemble plus à une éructation de bout de comptoir au Narvalo qu’à un essai philosophico économique, Klaus Schwab se fait le porte-parole de cette hyper classe et nous décrit en détail le monde dystopique qu’il nous réserve.
Tout d’abord, M. Schwab propose d’enfermer tout le monde pendant trois années consécutives pour mettre fin à l’épidémie de Covid 19.

Ensuite il acte le fait que les dettes, publiques et privées, sont devenues insoutenables dans le monde occidental. Par conséquent il nous propose de supprimer les nations et de les remplacer par un Gouvernement Mondial dans lequel siègeraient bien entendu lui et ses amis de l’hyper-classe. Toute forme d’élection serait bien entendu supprimée. Il faut laisser les savants gérer la situation.

En ce qui nous concerne, Schwab et ses amis proposent ni plus ni moins que de supprimer la propriété privée ainsi que toute forme de liberté individuelle. Pour ce faire ils envisagent un contrôle social total via une numérisation complète de la société, jusqu’au moindre recoin de notre existence. Le slogan est d’ailleurs déjà prêt : « Vous ne posséderez plus rien, mais vous serez heureux ».

A ceux qui seraient tentés de considérer que ce ne sont que des élucubrations d’un vieillard égoïste et sénile, je me permettrais de conseiller de bien réfléchir à ce à quoi ressemble déjà notre réalité.
Pendant plusieurs années, nous avons vécu en Europe sous le joug d’un passe sanitaire. Tout individu refusant de s’y soumettre s’est vu ostracisé, exclus des transports, du système de santé et même parfois licencié.
Vous aurez tous remarqué que, bien que suspendu, ce passe vaccinal n’a cependant pas disparu. Il est même question de sa réactivation prochaine.

En réalité ce qui importe dans ce passe vaccinal, c’est plus sa technologie que son utilisation. Tous les passes vaccinaux, dans les différents pays de l’U.E, ont en effet été construits dans le sens d’une interopérabilité entre états.
Le développement de cette technologie s’inscrit dans la continuité d’une Directive Européenne qui décrète une digitalisation à marche forcée de tous les états européens, dans tous les domaines publics et privés. La création d’un porte-document numérique a donc été lancée.

D’ici 2024 il a été demandé à tous les pays de l’U.E de mettre en place une identité numérique (ce que la France s’est bien entendu empressée de faire). Il est précisé que, pour votre bien être et votre sécurité, pourront être ajoutés à ce porte document numérique toute forme de pièces relatives à son détenteur (dossier médical, permis de conduire, dossier fiscal, impôts, etc.).
Tout ceci n’est pas de la science-fiction, ni ne relève du complotisme. C’est écrit noir sur blanc dans le projet de Directive de la Commission Européenne. Et il faut se rappeler que de par les traités européens elle sera donc automatiquement transcrite en droit français. Il est impossible de s’y opposer.

Si cela en restait là, la situation serait déjà bien au-delà ce qui est supportable et constituerait une atteinte aux libertés individuelles d’une ampleur jamais observée dans notre pays. Mais c’est bien mal comprendre l’Hyper-classe et son excroissance l’U.E que de s’imaginer qu’ils allaient en rester là.
Une fois cette identité numérique complète mise en place, il vous resterait encore une liberté fondamentale : dépenser comme bon vous semble ce qu’il vous reste de revenu après impôts. Or Klaus Schwab vous l’a dit, c’est terminé la belle vie pour vous les gueux ! VOUS ne posséderez plus rien, mais vous serez heureux.

Vous ne le savez peut-être pas, mais depuis 2019, la BCE, à l’instar de presque toutes les autres banques centrales, s’est lancée dans le développement d’une Monnaie Numérique De Banque Centrale (MNBC) qui sera mise en circulation dans les plus brefs délais.
Que l’argent liquide soit appelé à disparaître, tout le monde a bien compris que cela arriverait. Mais pour quelle raison créer une monnaie numérique alors que nous avons des déjà des cartes de crédit et que l’argent déposé sur notre compte est déjà numérique dans les faits ?

Pour répondre à cette question il faut se pencher sur la nature exacte et les propriétés de cette MNBC. Un détail aurait dû alerter les observateurs avertis de ces technologies : il est prévu que le porte document d’identité numérique dont nous avons parlé précédemment puisse également être utilisé comme portefeuille numérique et moyen de payement !

Il semble que la BCE a simplement omis de préciser un petit détail qui à son importance quant à cette MNBC ; en effet, en plus d’être numérique, cette monnaie est aussi programmable.
C’est-à-dire que contrairement à une carte de crédit, l’utilisation de cette monnaie numérique pourra être conditionnée au profil du détenteur.

Vous êtes en retard sur le contrôle technique de votre véhicule ? Vous ne pourrez pas acheter de carburant à la station-service. Toutes les formes de restrictions administratives les plus vicieuses pourront vous être appliqués sous forme de restriction à la consommation, comme l’interdiction d’acheter une petite chopine pendant la période de Ramadan par exemple.

D’un point de vue économique c’est beaucoup plus grave. En réalité cette Monnaie numérique programmable ne peut plus être considérée comme une monnaie à part entière. Sans vous le dire, on aura ainsi converti vos euros en tickets de rationnement à la tête du client, suivant des critères qui vous échapperont totalement.
En réalité nous nous dirigeons tout droit vers une économie de rationnement qui ne dit pas son nom, où toutes les brimades et punitions possibles et imaginables pourront être appliquées à tout citoyen en un clic de souris.
Si vous pensez que tout ceci n’est que du complotisme ou du conspirationnisme, malheureusement la réalité va très bientôt dépasser la fiction. Le gouvernement commence déjà, tout doucement, à nous préparer un rationnement énergétique.

Quant à Klaus Schwab, il est très sensible à l’écologie et à la préservation de la Nature. Après avoir sillonné la planète en avion et dégusté les mets les plus délicats dans tous les palaces du monde pendant toute sa vie, il en a conclu que polluer ce n’est pas bien. Alors vous les crasseux, en attendant de déterminer comment seront recyclés les déchets humains que vous êtes, après vous avoir spolié de vos biens et de vos droits, on va commencer par vous empêcher de polluer davantage.

Il a donc annoncé cette semaine avoir conclu un accord avec Mastercard pour le développement d’une carte de crédit programmable qui tiendrait compte du bilan carbone du détenteur et pourrait ainsi l’empêcher d’acheter de la viande ou un billet d’avion en cas de dépassement du crédit alloué.

Alain Falento




En souvenir du Dr Valadimir Zelenko : médecin, scientifique, activiste

[Source : cielvoile.fr]

En souvenir du Dr Valadimir Zelenko : médecin, scientifique, activiste
À gauche : Serment d’Hippocrate pour Zelenko. À droite : Serment d’hypocrite pour Fauci

Conseil mondial de la santé – 1 juillet 2022

Le Dr Valadimir « Zev » Zelenko est décédé le 30 juin 2022, laissant derrière lui un héritage d’aide aux autres dans la lutte contre le Covid-19.

Le Dr Zelenko était médecin, scientifique et militant pour les droits médicaux. Il est surtout reconnu pour son application sûre et pratique d’une nouvelle combinaison de trois médicaments d’hydroxychloroquine, de sulfate de zinc et d’azithromycine pour lutter contre le Covid-19 dans les milieux préhospitaliers.

Le Dr Zelenko est titulaire d’un baccalauréat en chimie de l’Université Hofstra avec grande distinction. En mai 2000, il a obtenu son diplôme de médecin après avoir reçu une bourse universitaire pour fréquenter S.U.N.Y à la Buffalo School of Medicine. Le Dr Zelenko a terminé sa résidence en médecine familiale au South Nassau Communities Hospital à Oceanside, dans l’État de New York, en mai 2004. Depuis, le Dr Zelenko travaille dans la vallée de l’Hudson à New York en tant que médecin de famille.

En mars 2020, l’équipe du Dr Zelenko a été l’une des premières au pays à traiter avec succès des milliers de patients atteints de Covid-19 dans le cadre préhospitalier. Tout en luttant contre un sarcome récurrent et métastatique, en se remettant d’une chirurgie à cœur ouvert et en subissant une chimiothérapie agressive, le Dr Zelenko a développé son désormais célèbre « protocole Zelenko », qui a sauvé des vies partout dans le monde.

En décembre 2020, Zelenko et ses co-auteurs ont publié un article sur une étude de cas rétrospective de traitement ambulatoire avec du zinc, de l’hydroxychloroquine à faible dose et de l’azithromycine, dans l’International Journal of Antimicrobial Agents, qui indiquait une réduction significative de l’incidence des hospitalisations de patients COVID-19 traités avec le protocole, 2,8% traités contre 15,4% non traités.

Zelenko était également un défenseur courageux et un défenseur des principes fondamentaux de la médecine. Il a persévéré contre la diffamation incessante des médias et les menaces contre sa personne. Le Dr Zelenko était un juif orthodoxe pratiquant, marié et père de 8 enfants, et a écrit deux livres intitulés Metamorphosis et Essence à Essence.

Le Conseil mondial de la santé est attristé par la nouvelle du décès du Dr Zelenko, à la suite de sa longue bataille contre le cancer. C’était un médecin passionné et dévoué qui se battait sans relâche pour ses patients. Nous nous souviendrons de lui pour son courage et sa détermination face à l’adversité. Nos pensées vont à sa famille, à ses patients et à ses amis en cette période difficile.

« J’ai regardé la mort dans les yeux et j’ai été préparé à rencontrer Dieu. Je ne crains rien sur cette terre. » Dr Zelenko

[Voir aussi :
👉Dr Zelenko : « C’est l’heure du choix. »
👉Dr Vladimir Zelenko : « C’est un génocide »
👉Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
👉Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !
👉Dr Zelenko — l’interview qui révèle tout
👉Le Dr Zelenko qui a soigné 6000 patients de la Covid alerte sur les « vaccins »
👉Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?]




Un tour de France un peu spécial

Par Pierre Barbafieri

« Je consacre les mois de juillet et d’août à un tour de France, pour encourager franchement les gens à lâcher leur téléphone portable. Pourquoi cette idée qui paraît saugrenue ? »

Pierre Barbafieri

[Voir aussi le dossier 5G et ondes pulsées
dont :
👉Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972
👉5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
👉Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
👉PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
👉La technologie la plus dangereuse jamais inventée
👉L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

Tour de France

Vivre sans téléphone portable… aujourd’hui, cela peut sembler être une idée saugrenue, un handicap inutile ou encore un rêve utopiste ! Mais pour moi, il s’agit d’un acte de résistance majeur à la société que l’on nous impose actuellement.

Le smartphone devient indispensable, que ce soit pour entretenir des relations, organiser son temps, se rappeler ce que l’on a à faire, trouver son chemin, se sentir exister, se sentir aimer… En chine, il sert à rentrer dans son appartement, dans son entreprise, etc.. Le lâcher est déjà une tâche complexe à l’heure actuelle, il faut revoir tout son mode de vie. 

Mais si l’on attend encore, ce téléphone finira par nous être implanté dans le corps, et là, plus question de s’en débarrasser, nous serons devenus des transhumains… C’est donc maintenant qu’il faut prendre ce problème à bras le corps ! D’autant plus, qu’avec l’avènement de la 5G c’est la survie de toutes les espèces qui est en jeu

Pour couronner le tout, la vie sans portable est très agréable ! Je peux moi-même vous témoigner d’une vie joyeuse, pleine de surprises, d’aventures… Une vie dans laquelle je vis à mon rythme, où je suis présent dans mes actes, dans mes discussions… Une vie permettant de se reconnecter à soi, aux autres, à la nature, à Dieu…

Je pars donc en croisade pour aider les hommes à se libérer du joug de cette immorale technologie !

Croisade

Je pars au travers de la France, en passant par la Suisse durant l’été 2022.

Cette aventure prend la forme d’un mélange entre témoignage, conférence et débat. Lors de ces événements, je démasque l’ennemi, dévoilant ses noirs secrets. Je partage également toutes les solutions permettant de s’en affranchir totalement et finalement, j’encourage ce choix en témoignant des bienfaits d’une vie libérée du téléphone portable. Je propose également un outil de choix pour s’en débarrasser : le marteau.

Soyez les bienvenus, humains qui refusent d’être asservis par la technologie !

Pour vous inscrire : pierre@cellphone-hunter.fr

Étant conscient de la contagiosité des individus ayant reçu les injections expérimentales, je fais le choix de réserver ces événements à ceux qui les ont totalement refusées.

Juillet

Mardi 12 — Leschaux (74) — 19 h 30
 Mercredi 13 — Bassins (VD – Suisse) — 19 h 30
Jeudi 14 — Strasbourg — 19 h 30
Samedi 16 — Boulogne-sur-Mer — 19 h 30
17 ~31 — Bretagne

Août

Mardi 2 — Le Mans
Mercredi 3 — Le Mans
jeudi 4 — Orléans
vendredi 12 — Clamency (58)
Lundi 15 — Albi (81)
Vendredi 19 — L’Isle-sur-la-Sorgue (84)
20 ~ 31 — Forcalquier, Grenoble, Ardèche

Septembre

Samedi 3 — soirée — Montpellier
Vendredi 9 – 19 h 30 — Alès (30)

Si vous souhaitez accueillir cet événement, ce serait un plaisir pour moi de mener quelques batailles supplémentaires ! De même, si vous avez connaissance d’événements dont le public pourrait être intéressé par une vie sans portable, contactez-moi 🙂 !

Présentation

Je m’appelle Pierre. 

Je suis un chasseur de prime. 

Ma cible ? Les téléphones portables. 

Pourquoi ce gibier ? Parce qu’il est une menace pour la Vie, qu’il se fait passer pour indispensable alors que nous sommes bien plus heureux sans lui !

Ma prime ? Le sentiment du travail accompli.

Pour me découvrir davantage, vous pouvez lire ces
« Quelques astuces pour vous libérer de votre insup’portable »

Quelques références
Une heure d’informations exclusives venant d’une sommité mondiale en matière d’armes à ondes électromagnétiques. Barrie Trower met en garde face à la catastrophe qu’engendre la téléphonie mobile. 
« L’Arc en Ciel invisible » d’Arthur Firstenberg, un ouvrage scientifique, ultra-sourcé, dont le propos est de montrer les corrélations entre la mise en place de technologies électriques et l’arrivée de nouvelles maladies comme l’obésité, le diabète, le cancer…
Dans « Regards sur les Défis d’une Époque — tome 2 », Pierre Lassalle montre en quoi le smartphone engendre d’immoraux comportements. Comme la destruction de la nature ou la consommation à outrance.
« La fabrique du crétin digital » de Michel Desmurget. Un livre basé sur un millier d’études scientifiques, rédigé par un neurologue français. Il démontre en quoi l’intelligence de l’humanité décroît depuis l’arrivée des écrans dans la vie des enfants : irréfutable.

Quelques astuces pour s’affranchir du téléphone portable…

Introduction

Vous avez sûrement remarqué que le téléphone portable est devenu presque incontournable aujourd’hui. Communication, organisation, photos, musique, accès à internet, GPS, paiements, distractions… Ce ne sont pas les applications qui lui manquent ! Cet objet cumule les rôles et devient central dans nos vies… Sans lui, la plupart des gens se sentent déboussolés, perdus, il y a même une nouvelle phobie : la nomophobie, la peur de perdre son portable… Et une phobie n’est pas une simple peur, c’est une maladie mentale ! Il y a de quoi s’inquiéter…

Depuis trois ans, j’ai résilié mon abonnement et j’ai rangé mon smartphone à sa place : la déchetterie. Bon, je vous le concède, il n’était pas si smart que ça, mais ne le lui dites pas, il pourrait se vexer… 😉

Et quel soulagement ! J’ai l’impression d’avoir perdu 20 kg ! J’ai gagné un temps fou, j’ai une facture mensuelle de moins, je ne suis plus dérangé n’importe quand, je n’ai plus de coup de stress quand je ne trouve pas mon portable dans ma poche… Et je ne suis plus sensé être joignable 24 h sur 24 ! Ouf ! Et puis, je me suis rendu compte qu’il ne me servait à rien…

Lorsque je partage mon mode de vie, nombre de gens trouvent que c’est une superbe idée, mais que pour eux, c’est impossible… Malheureusement pour leur ego, il existe une solution à tout, et après la lecture de cet article aucun d’eux n’aura plus d’excuses ! (Et s’ils en ont encore, qu’ils les partagent et ils verront des solutions pousser comme des champignons, miam !)

Voici donc quelques astuces pour s’affranchir de ce cher nuisible.

Pourquoi s’en débarrasser ?

Tout d’abord, il faut bien choisir pourquoi vous voulez vous en débarrasser. Avec un Pourquoi fort, vous êtes sûr de réussir votre entreprise. Sans ce Pourquoi, vous risquez de retourner votre veste au moindre coup de vent ! Et au vu de tout l’air que l’on brasse sur Terre en ce moment, je vous le déconseille fortement.

Voici donc quelques pistes de Pourquoi

Au-delà de la dépendance phénoménale que cet objet engendre, atrophiant nombre de nos capacités, comme le sens de l’orientation ou la capacité d’entrer en relation. Il est aussi nocif pour notre santé, tant par les nuisances électromagnétiques qu’il génère que par la posture physique que son utilisation nous impose et crée une belle grosse brèche dans notre vie privée. Sans oublier que la production de smartphones est une plaie environnementale et sociale… De plus, le portable induit un rythme de vie inhumain, où l’on a la « tête dans le guidon » avant même d’être sorti du lit… Aussi, même si vous achetez des téléphones portables d’occasion, ou si vous l’utilisez seulement exceptionnellement, vous cautionnez la téléphonie mobile, vous faites partie de leurs clients, vous les financez, et la 5 G par la même occasion… (Rappelons-nous bien que sans nous, ils ne sont rien !) Car pour utiliser notre smartphone ne serait-ce qu’une fois par an, toute l’infrastructure de la téléphonie mobile est nécessaire. Donc, en payant votre facture chaque mois, c’est un bulletin de vote supplémentaire que vous octroyez à cette industrie génocidaire…

Bref, vous l’aurez compris, le téléphone portable n’est pas notre ami !

Son industrie nuit à la planète et à l’humanité1, son utilisation est en train d’abrutir toute notre civilisation2, la technologie qu’il utilise nous rend tous malades : diabète, cancer, grippes, etc., sont apparus avec les télécommunications3, il est même en train de déformer nos mains et nos bras4 et cause des troubles cervicaux5… et nous n’aurons bientôt plus à nous soucier de tout cela, car il nous aura tous tués6 ! Pour le vérifier, libre à vous d’étudier les sources en pied de cet article : le tableau dressé est irréfutable, études et preuves à l’appui, l’ennemi est démasqué, et votre Pourquoi sera bien nourri !

La banque — Paiements en ligne

Bon, on pourrait décider de boycotter les banques, mais c’est un autre ennemi, un autre combat et ce n’est pas mon propos ici. Cela dit, la banque est un des gros points noirs, car souvent, sans téléphone portable, l’accès au compte est impossible, tout comme les achats en ligne. Nous pourrions nous en passer me direz-vous, et je suis d’accord !

En attendant, pour ceux qui n’en sont pas encore à ce stade, il existe, à ma connaissance, au moins cinq banques dans lesquelles le téléphone portable n’est pas obligatoire : Crédit Lyonnais, Crédit Coopératif, Crédit Mutuel, CIC et Banque Populaire. Chez eux, les codes de confirmations (pour effectuer des opérations sur votre compte ou des achats en ligne) sont envoyés soit par mail, sur votre téléphone fixe, ou via un boîtier sécurisé dédié à cet effet.

Attention, les agents bancaires peuvent chercher à vous décourager en prétendant qu’il est impossible de vous débarrasser de cette sécurité, mais si vous creusez, si vous tenez bon, et si vous leur expliquez que de toute façon vous n’avez pas ou plus de téléphone portable, il faut bien qu’ils trouvent une solution : ils ne prendront pas le risque de perdre un client ! Et retenez aussi que vous n’êtes pas un cas isolé ! Et vous pourriez même les inspirer qui sait… ? Car ils en sont esclaves aussi, et au fond, c’est sûr qu’ils préféreraient être libérés de ce truc qui les contraint… En tout cas, des brèches sont possibles, alors humainement, c’est super.

À ce sujet, si vous connaissez d’autres enseignes qui permettent ce fait, vous pouvez les partager dans les commentaires.

Concernant les banques et les paiements en ligne, il existe un code-triche : c’est le numéro virtuel. Si votre banque rechigne à vous retirer la sécurité « identification par SMS », elle ne vous demande pas pour autant de posséder un téléphone portable. Elle a simplement besoin d’un numéro de téléphone pour vous envoyer des codes de sécurité bancaire. Vous noterez la nuance : elle a besoin d’un numéro, pas d’un téléphone ! Pour répondre à ce besoin, il est possible de se procurer un numéro virtuel chez OVH Télécom par exemple, ou autre fournisseur. Bon, il est aussi possible de boycotter tous les services qui rendent le téléphone portable indispensable, comme BlablaCar par exemple : c’est quand même louche et glauque de rendre obligatoire une technologie mortifère… ! Et puis, il existe toujours une alternative.

Les textos

Ah là, là ! C’est fou le vide que viennent remplir les textos… On s’ennuie, alors on écrit à untel « Salut ça va » ? Quelle blague, au fond, on s’en moque s’il va bien ou pas, on veut juste accaparer son attention… C’est moche, n’est-ce pas ? Je ne juge pas, je suis moi aussi passé par cet automatisme ridiculement affectif. Mais le texto sert aussi à transmettre des informations, comme annuler un rendez-vous au dernier moment (hum, même si ce n’est franchement pas très respectueux). Bon, mes exemples sont un tout petit peu orientés, toutefois, il est intéressant de vous exercer à prendre du recul sur votre manière d’utiliser les textos : je suis certain que vous serez nombreux à vous rendre compte qu’ils ne sont en aucun cas indispensables… et qu’en écrire est même souvent un acte plutôt immoral, oups !

Un exemple parmi tant d’autres : si votre coloc va faire les courses, vous pouvez prendre cinq minutes ensemble pour ajuster la liste avant son départ, et donc pas besoin de vous écrire de texto quand il est dans le magasin…

Si l’on considère que la fonction du texto est de transmettre des informations rapidement, on peut le remplacer par l’e-mail. À la différence que l’on ne se permettra pas d’annuler un rendez-vous par courriel au dernier moment… donc, cette solution va nous pousser à être plus engagés, mieux organisés, et un peu plus soucieux des autres : une pierre, trois coups !

« Au cas où… »

Beaucoup de gens se planquent derrière un « Au cas où »… Mais, au cas où quoi !?

Si votre enfant ou votre mamie doit aller en urgence à l’hôpital, que vous soyez au courant dans la seconde ou un peu plus tard, ne changera rien à sa santé.

Si votre travail semble nécessiter un portable, vous pouvez revoir votre manière de travailler, ou encore, changer de travail. (Je connais deux ex-commerciales qui travaillaient sans portable !)

Si vous tombez en panne, il y aura bien quelqu’un qui s’arrêtera pour vous aider, il pourra vous raccompagner chez vous, et vous vous occuperez de votre voiture plus tard. Votre rendez-vous attendra et la personne à rencontrer développera la patience, pour son plus grand plaisir J !

La vie est une aventure magique, alors pourquoi lui ôter toute sa magie avec nos insécurités ou notre quête de l’efficacité permanente, c’est moche et pas magique du tout !

Si vous êtes en retard ? Eh bien… vous êtes en retard ^^ Il n’y a rien de grave… En revanche, votre 5G aura bientôt achevé la biodiversité… et vous avec !

Si vous vous blessez, en pleine montagne, et si la nuit tombe… ? Un ours vous mangera et vous vous réincarnerez dans cinq ou six siècles, rien de grave finalement ! Bon, c’est une blague, les ours sont quand même peu nombreux, ce sera sûrement un loup qui vous mangera ! Bon, d’accord, j’arrête les blagues… Eh bien, si vous partez seul, en montagne, vous pouvez prévenir quelqu’un de votre itinéraire, et de l’heure à laquelle il faudrait s’inquiéter si vous n’êtes pas revenu ; et vous pouvez aussi emporter une balise de repérage, ou travailler sur votre insécurité et la transformer en sécurité intérieure ! Et puis, évitez le miel en montagne !

Enfin, vous voyez, il y a des milliers de solutions. Et le « Au cas où… » ne tient pas la route.

Diverses applications…

Whatsapp

Ensuite, il y a Whatsapp… là c’est autre chose… Envisager de quitter Whatsapp soulève la peur de perdre ses amis, sa famille, de ne plus être invité, ne plus « être au courant »… Mais ce n’est qu’un leurre ! Pensez-vous vraiment qu’un ami couperait court à votre relation simplement parce que vous joindre demande quelques efforts ?! À mon avis, un véritable ami se débrouillerait pour vous contacter, et vous aussi, vous feriez l’effort d’aller vers lui. Et si vos « amis » de promo, de travail, ou que sais-je, cessent de vous inviter, sous prétexte que vous n’avez pas Whatsapp, c’est simplement qu’ils se fichent bien de vous ! D’ailleurs, si vous preniez des nouvelles de l’un d’entre eux, vous seriez au courant de la prochaine « réuniondes anciens », et si ce n’est pas le cas, peut être que vous n’avez plus rien à voir avec ces « amis » et qu’un peu de tri vous fera le plus grand bien.

Waze, est remplaçable par un bon atlas ! (Ou, à la limite, un Tom-tom, mais vous êtes capable de trouver votre chemin seul !) D’ailleurs, vous pouvez vous entraîner avant, en expérimentant des trajets peu, ou pas du tout connus. Vous pouvez aussi vous aider de la streetview des sites de maps pour prévisualiser les points délicats du trajet ou identifier les lieux de rendez-vous, par exemple. Et puis, vous savez… il y a aussi vos congénères, ils peuvent vous aiguiller quand vous êtes désorientés : nous n’en avons plus l’habitude, mais ça fonctionne encore, je vous le promets ! Quand on se déplace sans GPS, c’est un peu comme un jeu ! Le but est de ne pas se perdre, d’arriver à l’heure, et sans tricher ! C’est très bon pour l’estime de soi.

Tinder et ses amis n’arrivent pas à la cheville d’un rassemblement populaire de gens qui portent les mêmes valeurs que vous (associations ou festivals par exemple). Si vous voulez rencontrer quelqu’un, sortez de chez vous ! Allez à la rencontre des gens qui s’intéressent aux mêmes sujets que vous ! Au lieu de jouer à plouf plouf et d’enchaîner les déceptions… et les MST.

Pour remplacer l’application Pinterest, vous pouvez vous abonner à un magazine par exemple, ou aller dans des expositions, faire connaissance avec des créateurs…

Pour Instagram, si vous aimez partager ou appréciez des photos, vous pouvez ouvrir un blog, ou consulter celui d’autrui. Vous pouvez même participer à des expositions… Vous rencontrerez de vrais humains avec la même passion que vous ! Une belle manière de trouver des amis et plus si affinités…

Pour tous les jeux, style Candy Crush… Je passe mon tour, vous avez sûrement un milliard de choses plus intéressantes à faire ! Oui, oui, même quand vous êtes aux toilettes… D’ailleurs, au pied de cet article, je vous conseille deux livres d’environ 800 pages chacun : à une page par jour vous en avez pour plus de quatre ans ;))

Pour Facebook, c’est un peu pareil… Vous avez bien mieux à faire qu’aller voir la vie des autres, ou raconter la vôtre… Vous pouvez les voir en vrai ! Quand on pense que certains publient leur demande en mariage et même leurs accouchements, on se rend compte de la perversité des habitudes que Facebook insinue dans nos vies, tout ça pour « avoir des like » ! Toute ces publications, plus déplacées les unes que les autres, montrent à quel point nous sommes devenus des mendiants d’amour, et que nous passons notre temps à « Liker » au lieu d’aimer (par des actes) nos proches ! Au lieu de « Liker » votre femme, votre mari, ou un ami, vous pouvez donner de votre temps pour lui écrire un joli poème J

Pour écouter de la musique, vous pouvez remplacer votre portable par un lecteur MP3/MP4, et en nature, je trouve que le chant des oiseaux est encore plus appréciable…

Si vous avez un rendez-vous et si vous ne pouvez ni l’honorer ni prévenir de votre indisponibilité, cela peut arriver, et ce n’est pas un drame. Vous vous excuserez, vous tirerez les leçons de cet échec et prendrez un nouveau rendez-vous.

Quand on pense qu’en moyenne, d’après 20 minutes, les Français utilisent leur téléphone durant 3 à 4 heures par jour, on ne peut qu’imaginer le temps perdu… Certes, c’est souvent lors de « temps morts », comme dans un bus, ou lors d’une pause, mais en réalité, ce « temps mort » n’existe pas. Car un temps de solitude intérieure fait toujours du bien, comme la lecture d’un bon livre, ou une séance d’automassage, toutes ces choses que l’on ne fait jamais, car l’on manque de temps… En fait, on l’a le temps, c’est juste qu’on le gaspille. Mais ce n’est pas irrévocable, pour l’instant le portable n’est pas inséré dans notre cerveau, nous pouvons encore choisir de nous en séparer, mais n’attendons pas trop ^^.

Mise en œuvre…

Bien sûr, mettre en place tout un mode de vie peut prendre un certain temps, et jeter votre téléphone sans être préparé pourrait vous desservir. Ce qui me semble le plus sage, c’est de se donner un défi : mettre votre téléphone en mode avion tant que vous n’en avez pas besoin, l’éteindre 1 jour, 2 jours, puis 5, 10, 30 jours, etc. ! Soyez créatif, vous allez bien vous amuser ! Et vous serez fier de chaque progrès !

Si vous vous débarrassez de votre téléphone sans préparation, il est fort probable qu’à la moindre difficulté, vous reveniez en arrière. L’entraînement est un gage de sûreté. Mais ne prenez pas trop votre temps non plus, ce truc veut votre mort ! C’est comme une drogue dure, si on regarde bien… c’est dingue, non ?

Cela vous demandera une certaine préparation, comme récupérer les numéros de vos contacts, vous procurer un réveil ainsi qu’une carte routière, etc. Ensuite, l’expérience pourra commencer et vous verrez très vite les lacunes que comble le téléphone portable. Il est possible que vous arriviez en retard une fois, alors la suivante vous verrez qu’il faut prendre un peu d’avance, car sans GPS, vous pouvez vous égarer et perdre un peu de temps… Vous verrez peut-être aussi qu’un bloc-notes est un super allié, etc. Et au bout d’un mois, vous aurez fait un bon tour des défis qui vous attendent, et vous vous sentirez de taille.

Encouragements…

Le gros point fort d’une séparation totale avec le téléphone portable est notre retour « dans le monde réel », la sortie du virtuel.

Imaginez-vous dans la nature avec votre portable, que faites-vous ? Comment vous comportez-vous ? À présent, imaginez-vous dans cette même Nature, mais sans portable, quelles sont les différences ? Pour mon cas, la différence est dans ma qualité de présence, dans la gratitude que j’éprouve face à la beauté des fleurs et des arbres, que je ne verrais même pas si mes yeux étaient rivés sur ma boîte à cancer… Et je m’ennuierais très vite. Alors que sans, je m’émerveille, je découvre… et c’est infini, je ne pourrai jamais me lasser d’un tel spectacle !

Avoir un téléphone nous maintient dans une posture d’enfant où « il y aura bien quelqu’un pour venir m’aider si j’ai un problème », ce qui engendre que l’on attire tout un tas de problèmes. Tandis que vivre sans cet objet stimule le bon sens, et le sens de l’orientation, mais aussi la concentration, la préparation et la responsabilité, car « on n’a pas le droit à l’erreur, personne ne viendra nous sauver », ce qui nous évite lesdits problèmes !

S’affranchir du téléphone va créer un grand vide dans votre vie, et ce vide, vous pourrez en faire quelque chose, d’ailleurs, mieux vaut être conscient de ce que vous ferez à la place d’utiliser votre téléphone, car une addiction est vite remplacée par une autre. Vous pourriez par exemple reprendre une pratique artistique que vous avez délaissée, ou un projet qui vous tient à cœur !

Pour finir, il y a aussi le sentiment d’être « connecté à la vie », d’être à l’écoute des signes, de « sentir » ce qui est bon pour soi, de quel restaurant nous avons envie, sans aller voir les notes que lui ont données les clients… Et puis, La Vie ne va pas vous mettre des bâtons dans les roues alors que vous faites des efforts pour Elle ! Dans ce registre, je voudrais vous partager deux exemples :

Depuis 3 ans, je ne me suis jamais retrouvé dans une situation insoluble et je me suis même senti aidé, protégé. Entre autres, je pense à mes deux derniers problèmes de voiture :

  • Le premier est survenu après un déménagement de 8 heures de route. Tout s’est bien passé, je suis arrivé à bon port. Quelques jours plus tard, je fais 20 km et les freins me lâchent, alors que je repartais pour 400 km. Cela aurait pu arriver au milieu du déménagement, ou au milieu de mon second trajet, mais non, ils ont attendu pile le bon moment, après mon déménagement, mais proche de la maison. Incroyable non ?
  • Le second a eu lieu lors des 500 derniers mètres d’un aller-retour de 400 km. Le pot s’est dessoudé engendrant un joli bruit de voiture de course. Encore une fois, j’ai pu faire l’important trajet dont j’avais besoin, et le problème est survenu une fois que j’étais arrivé…

On pourrait appeler ça « l’aide magique de l’humain libéré du portable » (et une invitation à changer de voiture ;))

Une telle aventure risque fort de vous donner envie de vous débarrasser à tout jamais de ce nuisible ! Vous risquez de vous sentir très libre, très relié aux autres, très résiliant face aux épreuves, joyeux, plus en sécurité, et ouvert à la magie de la vie… !

Je vous souhaite une belle aventure !

Pierre Barbafieri
27 ans
Membre de la Ligue des Artistes Sophianiques du Kaya Team Universe

Sources :
  1. « Les secrets inavouables de nos téléphones portables » de Cash Investigation. Un reportage mené par Élise Lucet qui sait enfoncer les bonnes portes pour découvrir les cachotteries des industriels.
  2. « La fabrique du crétin digital » de Michel Desmurget. Un livre basé sur un millier d’études scientifiques, rédigé par un neurologue français. Il démontre en quoi l’intelligence de l’humanité décroît depuis l’arrivée des écrans dans la vie des enfants : irréfutable.
  3. « L’Arc en Ciel invisible » d’Arthur Firstenberg, un second ouvrage scientifique, ultra-sourcé, dont le propos est de montrer les corrélations entre la mise en place de technologies électriques et l’arrivée de nouvelles maladies comme l’obésité, le diabète, le cancer…
  4. « Le smartphone déforme nos mains et nos bras » du site Slate.fr, un article complet basé sur les recherches d’une universitaire française.
  5. « Téléphone portable et cervicalgie : comment faire pour éviter de gros dégâts » un article du site un-dos-en-paix.fr, qui explique en quoi l’utilisation du portable peut nuire à votre colonne vertébrale.
  6. « Le hochet de la mort – téléphone portable, 5G » de Pierre Lassalle, un article dénonçant la technologie 5G, le consumérisme de manière générale et le futur vers lequel l’humanité se dirige…

Vivre sans portable c’est possible !

Cet article évoque un témoignage concernant la « libération portabolique » que j’ai vécue.

Vous y trouverez :

1. Les effets néfastes liés au téléphone portable, du moins ceux dont j’ai conscience.
2. Des effets bénéfiques (plein !) à l’arrêt de l’utilisation de cet objet.
3. Des astuces de sevrage.

Témoignage :

Avant toute chose il est bon de savoir que mon souhait de vivre sans portable date du mois de juin 2014. Ce fut tout un processus pour arriver à m’en libérer, alors que je n’ai jamais vraiment été addict au portable. Par contre je connais bien le phénomène de l’addiction, je l’évoquerai plus bas. J’ai eu peu de smartphones, et pas des plus récents (iPhone 3GS, Galaxy S2, Lumia) j’avais plus souvent ce qu’on appelle des « briques ». Je trouvais ça plus pratique et puis j’avais déjà cette envie de m’éloigner du portable. Prendre un smartphone me semblait donc incohérent.

Puis j’ai pris conscience du danger sanitaire que représente cet objet, au même titre que divers appareils utilisant des micro-ondes. J’en profite pour remercier Thierry Casasnovas*, qui fut le premier à me permettre de prendre conscience de l’étendue du danger. Je vous recommande également le reportage « Téléphonie mobile : Le danger dissimulé » **.

Durant ces 4 ans, j’ai également pris conscience du problème de vie privée qu’engendre la possession d’un téléphone portable, notamment à cause de la localisation permanente, de l’accès à distance à la caméra et au micro. Ceci n’est pas mon domaine, je vous renvoie vers l’ouvrage « Libre et Humain à l’ère d’internet »*** d’Amélie Delalain et Héloïse Pierre**.

Ça commençait à faire beaucoup… mais ce n’est pas fini ! La fabrication de ces objets demande certains matériaux, comme des minerais, dont l’extraction et le traitement cause divers problèmes, notamment sur le plan écologique, mais aussi social, avec le travail d’enfants en Chine qui fabriquent les écrans dans des conditions inhumaines.***

Ah, et je vous avais promis de parler d’addiction, puisque je connais bien ce domaine.

Voici quelques signes d’addiction :

  • L’isolement : L’Être, même en présence de ses semblables, se coupe d’eux pour se réfugier dans sa drogue. (Voyez ces couples et ces familles au restaurant, ces bandes de copains dans les arrêts de bus…, etc.)
  • La dépendance : « Mais j’en ai besoiiiiiin ! » (Faux, un coup de marteau sur le joujou et tu es toujours en vie !)
  • Agressivité : Je pense à une utilisatrice, si je lui pique son portable, c’est la crise !
  • Fuite de la Vie : Chaque fois que l’utilisateur « s’ennuie » hop ! Le joujou ! Pas le temps d’avoir une idée ou quoi que ce soit.
  • « En plus c’est mauvais pour lui… »

« Non non, je ne parle pas des symptômes de l’addiction à la cocaïne ! Mais bien de celle due au téléphone portable ! »

Finalement, j’ai appris que tout cela est bien connu, tant dans les sphères politiques qu’industrielles qui interdisent à leurs enfants d’utiliser les produits qu’ils fabriquent !

Ce fut un long cheminement, étape par étape. D’abord, éteindre le portable la nuit, ne pas le garder dans ses poches, ne pas l’emporter partout, l’allumer seulement quelques heures par jour, réduire le nombre d’heures… puis Ciao !

Cette transition douce m’a permis d’acquérir un téléphone fixe (filaire !), un lecteur MP3, de recommencer à m’organiser à l’avance pour mes trajets… etc., tout ce pour quoi j’utilisais mon téléphone portable. Il me semble pertinent d’être prêt lorsque l’on coupe la ligne. Comme ça on ne revient pas en arrière. Quand c’est fait, c’est fait. Bien sûr, ne pas attendre le moment « parfait », car ce sera toujours « plus tard » !

J’ai officiellement résilié mon abonnement le 28 décembre 2018. 1 an plus tard, je suis toujours vivant !

En fait, je me suis rendu compte que des tas de croyances me bloquaient, mais qu’elles étaient fausses.

Je vais être isolé, seul : Faux. Ma vie sociale n’a jamais été aussi riche !

Je ne pourrai plus covoiturer, les gens ne seront pas d’accord : Faux ! Les gens ont confiance que je serai là.

Les agences d’intérim ne m’accepteront pas : Faux ! Aucune justification ne m’a été demandée quand j’ai donné un numéro de fixe.

Si je suis perdu, je demande mon chemin ! Etc.. En fait, les gens vivaient avant ! Le téléphone portable n’a pas changé grand-chose, et vivre sans ne m’a aucunement bridé.

Mais fondamentalement, tout a changé !

Je fais preuve de plus d’organisation, de prévoyance. Oui, cela demande des efforts de pensée, mais bon, c’est comme un muscle ! Si on ne pense plus, à force, on ne saura plus penser ! (C’est peut-être le but en fait ?!) Imaginez la génération qui arrive, elle ne saura plus écrire (merci le correcteur), plus se repérer (merci le GPS), plus communiquer (merci les textos !), plus penser (merci internet !). Je ne pense pas qu’il faille tout abandonner, mais être hyper conscient lorsque l’on utilise ces technologies qui ne nous facilitent pas la vie, mais vivent à notre place !

Heu ! je me suis perdu, je reprends : Tout a changé !

Pourquoi est-ce génial de vivre sans téléphone portable ?

  • On gagne un temps précieux !
    Il paraît qu’une application existe pour quantifier le temps que l’on passe sur son smartphone… Je vous invite à prendre conscience du temps que vous gagneriez en mettant cet objet à sa place : 
    La poubelle !
  • On a de vraies conversations.
    Puisqu’on a moins de nouvelles d’autrui, lorsque l’on voit des gens, on a des tas de choses à se dire ! Et on ne se retrouve pas avec une conversation sur « le temps qu’il fait », ce qui donne envie de réitérer l’expérience « avoir une conversation réelle ».
  • On a davantage envie de voir les gens.
    Ayant moins de contacts avec nos proches, on a davantage envie de les voir… Ou pas !
  • Une facture en moins !
    C’est toujours ça de pris hein !
  • Santé
    Un micro-ondes en moins dans la poche ou près du cerveau ça ne peut qu’aller mieux 😉
  • Vie privée
    C’est agréable de savoir qu’aucune personne ne peut pirater notre smartphone pour accéder à notre micro ou notre caméra.
  • Environnement
    La Nature vous remerciera de faire un peu moins de trous dedans pour aller chercher des minerais. Elle sera également ravie de la baisse d’utilisation des produits chimiques servant dans la confection de ces appareils.
  • Les enfants qui creusent dans les mines seront ravis également !
  • Se sentir au clair avec ses valeurs et sa morale c’est chouette aussi !
  • On se sent moins préoccupé, moins sollicité. Avec toutes ces notifications, il est facile d’être sur le qui-vive pour… rien.
  • Place à l’ennui et la créativité qui peut en émerger !
  • Place aux rencontres imprévues, aux inconnus, à la nouveauté !
  • On voit que les humains sont serviables. Si on est perdu, on trouve quelqu’un pour nous indiquer le chemin. Même les Parisiens jouent le jeu ! (Je n’ai rien contre eux, ils ont simplement la réputation de ne pas être accessibles.)
  • Utiliser son cerveau plutôt qu’une machine permet de le muscler. Si on ne le muscle pas, il va devenir tout riquiqui.
    Et ta descendance, tu penses à ce que tu lui lègues ?!
  • Se sentir libre !
  • Retour à la réalité. Finie la fuite dans le virtuel. La vie est belle !
  • On est plus censé « être joignable », donc les gens s’inquiètent moins, je m’inquiète moins, tout va bien.
  • Je me sens digne, j’affirme mes valeurs et points de vue jusque dans mes actes.
  • Je passe moins de temps au téléphone, plus de temps « en direct » avec des gens. En fait, j’ai plus de relations qu’avant ! En tout cas, j’en ai. Je ne suis pas sûr que s’en étaient vraiment avant.

Et un point très important : Je ne manipule plus les gens avec des textos. Mais si, vous savez : «  Tiens, je m’ennuie, je vais écrire à untel (mon bouche-trou en fait.) ». C’est moche, hein ? Mais c’est vrai ! Et beaucoup de monde fait cela ! J’appelle ça du vampirisme. « Je me sens vide, remplis-moi ! Dis-moi que tu m’aimes, prends du temps pour que le mien passe plus vite ». Beurk, ça me dégoûte de l’écrire ! Bon, en même temps souvent l’interlocuteur fait pareil, alors qui vampirise qui… ? Bonne question.

D’ailleurs, un des effets secondaires lorsque l’on cesse d’utiliser un portable est un tri considérable sur le plan relationnel. Enfin, cela vire les faux-amis, car seuls ceux qui veulent vraiment vous joindre feront l’effort de vous appeler (youhou quel effort !) ou de vous envoyer un mail.

Un autre effet secondaire est que je ressens davantage les ondes. Je peux donc m’en protéger plus facilement. Avant, vivant en plein dedans, je ne percevais rien. Comme quelqu’un qui vit toujours au soleil : c’est sa norme. Si quelqu’un vient chez lui (quelqu’un qui habite sous la pluie), il remarquera davantage la présence du Soleil puisque c’est inhabituel pour lui.

Vous connaissiez l’histoire de la grenouille ? Vous savez, celle qu’on met à cuire tellement doucement et progressivement qu’elle ne s’en rend pas compte ? Eh bien nous sommes des grenouilles, nos maisons et nos villes sont des micro-ondes et on est en train de cuire.

Qui veut sortir de l’eau ?!

Si vous voulez vous débarrasser d’un smartphone, il va falloir vous libérer de chaque attache qu’il y a entre vous et lui, chaque fonction qu’il remplit dans votre vie.
Le fait d’être en contact avec le monde, le fait de vous repérer sur une carte, de vous réveiller le matin, d’accéder à internet…
Listez tout ce pour quoi vous avez tant besoin de votre smartphone, ensuite prenez les points un par un et trouvez des solutions :

  • GPS → carte, prévoir son itinéraire.
  • Contact → face à face, téléphone fixe, mails…
  • Réveil → réveil.

Ensuite, commencez à vous détacher du portable en appliquant les solutions alternatives précédemment trouvées et en cessant d’utiliser progressivement votre smartphone.
Faites des pauses d’utilisation de plus en plus longues…

Et… faites le grand saut !

L’auteur de cet article sera ravi de vous soutenir dans cette démarche ! N’hésitez pas à le contacter par mail : barbafip@protonmail.com

C’était Pierre Barbafieri, pour vous servir !

Sources et références : 

Témoignage publié avec l’accord du site des abeilles jeunesse




Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022

Par le Dr Gérard Delépine

Depuis deux ans, nous subissons une propagande permanente pour les « vaccins covid » qui a débuté avant même qu’ils n’existent et les agences sanitaires ont, pour la plupart, affirmé que leur balance avantage/risque était favorable bien avant que leurs essais ne soient terminés et qu’elles ne disposent de données publiées et vérifiables.

Cette revue factuelle, basée sur les données officielles de l’OMS avant et depuis les campagnes de vaccination, vise à vérifier la pertinence de leurs avis.

Au 28 juin 2022, plus de 12 milliards d’injections ont été réalisées sur près de la moitié de la population mondiale. En l’absence de résultats officiels des essais phase 3 qui ne se termineront qu’en 2023, on peut déjà évaluer l’efficacité des injections en analysant l’évolution de l’épidémie avant et depuis les grandes campagnes d’injections.

Critères objectifs d’efficacité d’un vaccin

L’efficacité réelle d’un vaccin se juge à la qualité et à la durée de protection individuelle qu’il confère aux vaccinés (impossibilité d’attraper la maladie) et à sa capacité de prévenir la diffusion virale dans la population (arrêt de propagation de la maladie). Les autres critères (taux d’anticorps, atténuation des symptômes) ne sont que de mauvais substituts parfois utilisés par les fabricants pour masquer le manque d’efficacité réelle.

La réelle efficacité de certains vaccins classiques a assuré leur bonne réputation. Ainsi une seule dose de vaccin contre la fièvre jaune suffit pour conférer une protection à vie contre la maladie à 99 % des sujets vaccinés. De même la vaccination antivariolique, alliée aux mesures d’isolement et d’endiguement classiques, a protégé les vaccinés de ce fléau mortifère, et permis l’éradication de la maladie pour laquelle il n’existait heureusement pas de réservoir animalier.

À l’opposé, certains vaccins sont peu efficaces comme celui contre la grippe dont le virus mute facilement et change chaque année obligeant les fabricants à parier sur la souche qui sévira l’hiver prochain. Lorsqu’ils perdent leur pari, le vaccin réalisé, inadapté à la souche dominante, est très peu efficace.

Les injections anti-covid protègent-elles les vaccinés ?

La folle propagande des fabricants reprise par l’OMS et la plupart des gouvernements et médias prétendait que l’efficacité atteignait 95-97 %(([1] https://www.20minutes.fr/sante/2996451-20210311-coronavirus-vaccin-pfizer-efficace-97-contre-cas-symptomatiques-selon-etude))(([2] https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-le-vaccin-pfizer-biontech-serait-efficace-a-97-pour-les-cas-symptomatiques-11-03-2021-2417384_40.php)) même si certains journalistes avertissaient(([3] https://www.huffingtonpost.fr/entry/covid-des-vaccins-a-90-efficaces-ce-que-ca-veut-direet-surtout-pas-dire_fr_5fb40691c5b6d891cd7b7bcd)):

« ces entreprises de biotechnologie ont besoin de s’affirmer, de montrer leur réussite quitte à donner des résultats enthousiasmants avant que les essais soient terminés. »

Les mensonges se sont poursuivis de nombreux mois avec un article de passeport santé(([4] Passeport santé Coronavirus : une personne vaccinée peut-elle transmettre le virus ? 1 avril 2021)) paru un premier avril 2021 et claironnant les propos de la directrice du CDC, Rochelle Walensky, osant prétendre :

« les personnes vaccinées ne sont pas porteuses du virus (et) ne tombent pas malades ».

Mais les faits ont rapidement démenti cette propagande publicitaire.

Dès juillet 2021, l’exemple du porte-avions Queen Elizabeth dont tous les marins avaient reçu les deux doses censées les protéger, et dont un grand nombre (plus de 100 sur 1300 marins) a souffert du covid dans la semaine qui a suivi une courte escale montre que les vaccinés ne sont pas protégés.

D’innombrables témoignages de malades du covid malgré une vaccination complète ont depuis fleuri dans les médias (([5] https://sante.journaldesfemmes.fr/maladies/2763989-temoignage-covid-malgre-vaccin/))(([6] https://www.marieclaire.fr/covid-19-vaccination-contamination,1374847.asp))(([7] https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/temoignages-contamines-malgre-le-vaccin-je-me-suis-dit-il-fallait-que-ca-tombe-sur-moi-e0f887f0-f098-11eb-b6b9-482c631f8039))(([8] https://www.dhnet.be/actu/sante/vaccines-mais-malgre-tout-infectes-par-le-covid-l-entre-deux-doses-la-periode-la-plus-risquee-608054059978e21698d3b97e)) et ont été observés dans l’entourage de chacun d’entre nous confirmant définitivement que les pseudo vaccins ne protègent pas de la maladie.

Fabricants et gouvernants ont été obligés de concéder que « les vaccins ne protègent pas à 100 % ». Mais curieusement, au lieu de reconnaître l’échec de leur stratégie purement vaccinale et d’en changer pour les traitements précoces qui ont fait leurs preuves en Inde(([9] https://nouveau-monde.ca/que-nous-a-appris-linde-sur-le-traitement-du-covid/)), Algérie(([10] Traitement du Covid-19 à la chloroquine en Algérie : Efficacité « quasi totale », assurent des spécialistes https://www.algerie-eco.com/2020/04/25/traitement-du-covid-19-a-la-chloroquine-en-algerie-efficacite-quasi-totale-assurent-des-specialistes/))(([11] https://ripostelaique.com/le-succes-de-lalgerie-face-au-covid-confirme-lefficacite-du-protocole-raoult.html)), Madagascar(([12] https://nouveau-monde.ca/pseudo-vaccins-ou-artemisine-les-seychelles-versus-madagascar/)) ou en Afrique(([13] https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/senegal/ces-pays-africains-qui-ont-decide-de-continuer-a-soigner-le-covid-19-avec-l-hydroxychloroquine_3983239.html))(([14] https://nouveau-monde.ca/lafrique-test-geant-pour-la-chloro quine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/)) ils ont conseillé de nouvelles injections promettant que ces dernières « seraient plus efficaces »(([15] https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-moderna-affirme-que-son-nouveau-candidat-vaccin-de-rappel-est-efficace-contre-les-sous-variants-d-omicron_AD-202206220738.html))(([16] https://www.capital.fr/economie-politique/covid-19-vers-un-troisieme-rappel-vaccinal-pour-les-plus-fragiles-1439620))(([17] https://www.marieclaire.fr/covid-19-efficacite-troisieme-dose,1417788.asp)). Mais depuis lors, on a pu observer des covid19 sévères après 4 injections(([18] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-pourquoi-peut-on-etre-infecte-malgre-4-doses-de-vaccin-et-le-respect-des-gestes-barrieres-b65194ea-ae68-11ec-9246-65b3a25ae7f9)). Tous vaccinés, mais pas protégés.

Les injections anti-covid évitent-elles la diffusion de la maladie ?

Un autre slogan publicitaire du gouvernement, diffusé par tous les médias et la sécurité sociale faisait appel à l’altruisme : « vaccinez-vous pour protéger les autres »(([19] https://www.ameli.fr/essonne/assure/actualites/la-vaccination-contre-le-covid-19-pour-se-proteger-et-proteger-les-autres))(([20] https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/coronavirus-se-faire-vacciner-protege-t-il-aussi-les-autres-du-virus-7800955136)). Il a aussi été propagé par le ministre Blanquer(([21] Sur France Info le 28 juillet 2021)). « Quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de continuer à contaminer les autres ». Mais cette affirmation est totalement démentie par l’expérience en vie réelle. Les vaccinés transmettent en effet la maladie autour d’eux. La pseudo vaccination s’est révélée totalement incapable de protéger les autres parce qu’elle ne stoppe pas les transmissions.

Les données de l’OMS du 21 juin 2022 montrent clairement que malgré plus de 12 milliards de doses injectées à plus de 45 % de l’humanité, le nombre de nouveaux cas a été multiplié par 6 depuis les pseudos vaccinations.

La presque totalité des agences sanitaires des pays qui ont obtenu les plus hauts pourcentages d’injectés ont d’ailleurs officiellement reconnu qu’atteindre l’immunité collective par la vaccination était illusoire.

Contrairement à ce que craignait l’OMS, ce ne sont pas les non-vaccinés qui sont responsables de cette envolée de l’épidémie, car elle s’observe avant tout dans les pays champions des injections, alors que les pays ou continents peu vaccinés comptent dix à cent fois moins de cas par million d’habitants.

En France, 84 % des personnes, âgées de 12 ans ou plus, auraient été entièrement vaccinés (solidarites-sante.gouv.fr) et à des taux très élevés pour certaines tranches d’âge : 92 % à 94 % des 60-69 ans, 100 % (?) des 70-74 ans. Les experts des plateaux télé, Olivier Veran, et plusieurs membres du Conseil scientifique dont A Fischer(([22] https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/coronavirus-l-immunite-a-90-possible-pour-le-debut-de-l-automne-selon-alain-fischer-7900058661)) ont promis qu’un tel niveau assurerait une immunisation collective. Ils se sont trompés (ou nous ont trompés ?). Même Simon Cauchemez, avocat infatigable des vaccinations, a reconnu :

« même si 100 % des Français recevaient les injections, le virus pourrait continuer à circuler à bas bruit ».

Prétendre que les injections anti-covid protègent les autres est tout simplement mensonger.

Les injections anti-covid protègent-elles des formes graves ?

Après avoir dû reconnaître que les pseudo vaccins n’évitaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre, les autorités et les médias ont prétendu qu’ils protégeraient des formes graves.

Or l’incidence des formes graves peut être facilement estimée en analysant les mortalités Covid publiées. Les données officielles de l’OMS montrent que la mortalité mondiale cumulée qui s’élevait à 1,7 million après dix mois d’épidémie sans vaccins a été multipliée par 3,5 depuis la généralisation des injections anti-covid, passant à 6,2 millions en 18 mois.

Les campagnes d’injection n’ont nulle part diminué la mortalité Covid et semblent même au contraire l’avoir favorisé dans certains pays !

Car ce ne sont pas les pays les moins vaccinés qui ont le plus souffert. La mortalité covid a surtout augmenté dans les pays les plus vaccinés !

Dans de nombreux pays ou territoires comme Gibraltar, les Seychelles ou la Mongolie, la vaccination paraît même avoir aggravé la mortalité !

Prétendre que les injections anti-covid protègent des formes graves et de la mort est tout simplement mensonger.

Globalement, on ne trouve donc aucun avantage à une pseudo vaccination incapable de protéger le vacciné de la maladie, incapable de prévenir les transmissions et incapable d’éviter les formes graves ni la mort par Covid.

Par des simulations mensongères, les coupables se glorifient de leurs erreurs.

L’OMS et l’équipe de modélisateur de l’Impérial College de N. Ferguson ont créé la panique en affirmant par une prophétie biaisée(([23] Imperial College COVID-19 Response Team Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020
DOI: https://doi.org/10.25561/77482)) que l’épidémie allait tuer en masse et que les hôpitaux allaient être submergés de malades, sauf si on confinait les populations pendant au moins 18 mois et si on vaccinait tout le monde.(([24] Les dessous du rapport classé secret défense de Ferguson et le confinement Economie Matin 28 avril 2020
http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Il est maintenant démontré et admis par tous les scientifiques indépendants des laboratoires pharmaceutiques et des gouvernants que les confinements n’ont sauvé personne(([25] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de la COVID-19
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1111/eci.13484)), mais ont causé un grand nombre de décès prématurés (victimes collatérales) par défaut de soins(([26] https://www.divulgation.fr/manipulations-gouvernance-mondiale/mortalite-et-confinements-ces-chiffres-quon-ne-veut-pas-voir/)), troubles psychiatriques, crise économique(([27] https://www.capital.fr/economie-politique/mortalite-elevee-et-effondrement-de-leconomie-la-double-peine-de-la-france-1370581))(([28] L’arrêt économique pourrait tuer plus que le coronavirus, avertissent les experts https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/economic-shutdown-could-kill-coronavirus-experts-warn/)), chômage, appauvrissement…

Quelques mois plus tard, les enfermistes ont prétendu, à l’aide d’une nouvelle modélisation autoglorificatrice(([29] Seth Flaxman, Swapnil Mishra, Axel Gandy Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature. (2020)
https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7)), que « le confinement aurait sauvé 3 millions d’Européens et en particulier 70 000 Suédois et plus de 400 000 Allemands » en ignorant que ces deux derniers pays n’avaient pas confiné !(([30] Delépine – Comment se gargariser d’avoir sauvé virtuellement plus de 3 000 000 d’européens. Toute honte bue !
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-se-gargariser-d-avoir-225132)) Pour se glorifier ainsi, ils ont comparé le nombre de décès covid observés dans le monde réel à celui de leur prédiction apocalyptique qui surestimait par 10 le risque réel. Ils ont ainsi transformé leur colossale erreur de prédiction en un gigantesque miracle de sauvés virtuels.

La même technique frauduleuse a été utilisée par les mêmes auteurs pour prétendre que la vaccination aurait sauvé 20 millions de personnes dans le monde en 2021(([31] Oliver Watson, COVID-19 vaccines are estimated to have prevented 20 million deaths worldwide in the first year of the vaccine program, modelling study finds
[https://www.eurekalert.org/news-releases/956782
ou https://www.healthcarehygienemagazine.com/covid-19-vaccines-estimated-to-have-prevented-20-million-deaths-worldwide-in-the-first-year-of-the-vaccine-program-study-finds/])). Article scandaleusement publié par le Lancet et utilisé sans modération par l’OMS, les médias et les gouvernements vaccinolâtres pour se glorifier de leur stratégie perdante.

Lorsqu’on se rappelle qu’en 2020 avant tout traitement, l’épidémie avait été accusée de 1,7 million de morts, on comprend mal comment elle aurait pu en 2021, en l’absence de vaccin, en tuer 22 millions au lieu des 3,7 millions réellement observés.

D’autant que l’Afrique et ses 1,3 milliard d’habitants très peu vaccinés (<5 %) ont très peu souffert de la maladie en 2021 (163 000 décès) tandis que l’Europe et les USA et leurs 778 millions d’habitants très vaccinés (>80 %) regroupaient l’essentiel des victimes (1 348 000 morts).

Treize fois moins de morts par million d’habitants en Afrique ! Si le ridicule tuait encore, les auteurs de cet article et ceux qui le diffusent, auraient du souci à se faire…

P.Gibertie a eu raison de qualifier ce mensonge éhonté de l’Imperial College de Fake news du siècle(([32] P Gibertie Fake du siècle : Non les vaccins n’ont pas évité 20 millions de décès 24 juin 2022
https://pgibertie.com/2022/06/24/fake-du-siecle-non-les-vaccs-nont-pas-evite-20millions-de-deces/))!

Inefficaces, les injections covid sont de plus dangereuses !

Depuis la mise sur le marché, les gouvernants et les agences prétendent que les vaccins sont sans danger niant ainsi leurs propres données de pharmacovigilance publiées par Eudra vigilance, et Vaers.

Ainsi au 23 avril 2022, EudraVigilance recensait 43 898 décès survenus après injections dans des circonstances qui rendent un lien de causalité possible et 45 316 au 4 juin 2022.

Dire qu’il avait suffi de 53 décès pour stopper la vaccination contre la grippe H1N1 !

Les fabricants de vaccins qui assuraient que leurs produits étaient sans risques ont exigé et obtenu des gouvernements qu’ils ne puissent pas être poursuivis pour les complications vaccinales. Après avoir payé les doses, nos impôts vont être mis à contribution pour indemniser les victimes des injections comme cela commence déjà en Australie : le « Sydney Morning Herald » rapporte qu’environ 10 000 Australiens réclament au gouvernement une indemnisation après avoir subi d’importants effets secondaires à cause du vaccin anticovid(([33] https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/covid-les-effets-secondaires-du-vaccin-vont-couter-cher-a-laustralie-1364543)) et la facture pourrait s’élever à plusieurs millions de dollars australiens.

Globalement la balance avantages/risques des injections Covid penche nettement en défaveur des injections.

Aucune efficacité réelle d’une durée utile et toxicité parfois mortelle ne font pencher la balance avantages/risques nettement du côté des risques.

Cette inefficacité des injections anticovid rappelle qu’elles ne sont pas des vaccins selon Pasteur (elles ne contiennent ni antigènes ni anatoxines), mais des médicaments génétiques, produits qui n’avaient jamais été utilisés jusqu’ici contre des maladies infectieuses et qui justifiaient donc une extrême prudence. Mais le principe de précaution a été bafoué pour le seul bénéfice des actionnaires des laboratoires pharmaceutiques.

Des bénéfices colossaux et des liens d’intérêts

Au prix moyen de 20 euros, les 12 milliards de doses déjà injectées ont représenté un gain de 240 milliards d’euros pour les fabricants et distributeurs des pseudo vaccins. En 2021 le chiffre d’affaires de Pfizer a bondi de 95 % atteignant 81,3 milliards de dollars, et son bénéfice net a plus que doublé, à 22 milliards de dollars(([34] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/pfizer-a-double-son-benefice-net-en-2021-a-22-milliards-de-dollars-1385415)). Pour 2022 la firme prévoit un chiffre d’affaires global compris entre 98 et 102 milliards de dollars.

Cette manne lui permet de financer d’innombrables lobbyistes, des cabinets de conseil qui orientent les décisions publiques, des sociétés savantes, des experts des agences sanitaires, de nombreux professeurs leaders d’opinion, des médecins de plateaux télé, des journalistes mainstream, et les décodeurs de prétendues fake news(([35] D’après libération qui est sorti du partenariat avec Facebook en mars 2021, a donné des chiffres : officiellement 236 000 dollars en 2019. Chaque article débunké était payé entre 800 à 1000 euros. Le Monde et l’AFP aux cellules de fact-checking beaucoup plus importantes ne pipent mot, mais nul doute que pour l’agence de presse qui se targue d’être le « principal réseau de fact-cheking dans le monde », cela se chiffre en millions.)) (c’est-à-dire toutes les informations qui pourraient nuire aux ventes) et même parfois peut-être de corrompre les décideurs politiques.

Laurent Mucchielli a bien montré(([36] « Derrière l’idéologie de la vaccination intégrale, trafics d’influence et phénomènes de cour
https://nouveau-monde.ca/derriere-lideologie-de-la-vaccination-integrale-trafics-dinfluence-et-phenomenes-de-cour/)) qu’en France les conflits d’intérêts, et leur rôle particulièrement important dans la gestion de l’épidémie de Covid, font l’objet d’un déni et même d’un tabou.

On peut donc craindre que le récit gouvernemental de la crise Covid ne soit pas prêt de changer malgré les évidences scientifiques actuelles. Mais la vérité est têtue et finira par triompher.

Pour terminer, nous citerons quelques extraits de l’enquête participative d’Agoravox(([37] https://www.agoravox.fr/enquete-agoravox-vaccinations.pdf)) sur l’obligation vaccinale réalisée en 2007, mais d’une grande pertinence actuelle :

« La vaccination pouvant induire des effets, la criminalisation de l’insoumission vaccinale, telle qu’elle est imposée en France, nous semble abusive — et contre-productive.

Elle serait peut-être acceptable si une totale transparence était apportée sur les ratios bénéfices/risques, si une communication authentique était menée sur les effets indésirables, si les autorités recherchaient systématiquement à recenser ces effets contraires et si elles acceptaient d’indemniser les victimes sur présomption raisonnable de lien (et non en présence de preuve) entre maladie et vaccin, du moins lorsque la vaccination est obligatoire (DTP et HB pour les professionnels de santé).

Il faudrait en effet inverser la charge de la preuve de l’innocuité de chaque acte vaccinal, charge qui devrait incomber totalement à celui qui l’impose. Le doute doit bénéficier à celui qui subit, non à celui qui impose comme c’est le cas aujourd’hui.

L’autorité, parce qu’elle ordonne le vaccin, ne doit pas se contenter de déclarer une absence de preuve entre la maladie d’une victime et un vaccin pour se dédouaner de sa responsabilité. Elle ne doit pas demander au malade de prouver le lien entre sa maladie et le vaccin pour prendre son cas en considération.

Ainsi, toute déclaration étayée de maladie associée à un vaccin devrait être présumée recevable. À charge pour le médecin et le laboratoire, s’ils le peuvent, de trouver l’autre cause de la maladie, seul moyen rationnel d’innocenter le vaccin.

Le bénéfice pour la collectivité (des vaccins obligatoires) n’est pas si certain. Un nouveau bilan comparé des risques et des bénéfices nous paraît donc indispensable à établir, avec des scientifiques indépendants et intégrant (pour les infirmer ou les confirmer) les arguments de tous y compris des contestataires. »





Djokovic résiste toujours à la vax anti-Covid

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Lalaina Andriamparany

L’ancien numéro un du tennis professionnel, Djokovic résiste toujours au vaccin. Censé prendre part à l’U.S. Open, le dernier tournoi du Grand Chelem qui aura lieu à New York à compter du 29 août, Novak Djokovic reste inflexible sur la vaccination contre le Covid-19. En effet, les règles sanitaires en vigueur aux États-Unis interdisent tout étranger non vacciné d’entrer dans le pays.

Dans un entretien exclusif accordé à la BBC au mois de février, Novak Djokovic s’est montré clair : il préfère manquer des tournois du Grand Chelem plutôt que d’être obligé de se faire injecter un vaccin contre le Covid-19, car ce qu’il sait des vaccins ne lui semble pas compatible avec son régime physique. Le serbe est de nouveau prêt à manquer un tournoi du Grand Chelem, l’US Open en septembre.

Djokovic inflexible concernant la vaccination contre le Covid-19

Novak Djokovic ne veut pas et n’a pas l’intention de se faire vacciner contre le Covid-19. Or, c’est une condition à respecter pour pouvoir entrer aux États-Unis, et pouvoir jouer à l’U.S. Open. C’est le dernier tournoi du Grand Chelem de l’année et il se déroulera dans le parc municipal de Flushing Meadows-Corona Park à New York à compter du 29 août 2022.

Djokovic reste inflexible, il ne veut pas se faire vacciner, car il ne veut pas mettre en danger sa santé et son métier. Même si cela le fait rater l’une des plus grandes compétitions de sa carrière, “c’est le prix que je veux bien payer”, avait-il affirmé lors de son interview à la BBC. Un journaliste lui a demandé « s’il avait complètement fermé son esprit » à la vaccination. Il a répondu sans hésiter « oui ».

Plusieurs tournois ratés

Suite à son refus de se faire vacciner, Novak Djokovic a déjà raté plusieurs tournois cette année. Expulsé d’Australie mi-janvier, le champion de tennis a également raté les tournois d’Indian Wells et de Miami en mars. En effet, à cause de son statut vaccinal, Djokovic n’était pas autorisé à pénétrer sur le territoire américain.

Actuellement, il est à Wimbledon (qui ne rapportera aucun point au classement ATP cette année). Djokovic, qui a remporté les trois derniers Wimbledon en 2018, 2019 et 2021 et possède 20 titres majeurs, espère remporter un 7e titre sur le gazon londonien cette année. Il y a un an, il a battu Matteo Berrettini en finale et a décroché le titre.

A noter qu’une participation à l’US Open en septembre, lui permettrait de gagner quelques points au classement ATP, en vue de regagner sa première place. Djokovic est actuellement troisième rang mondial.




Covid : Elisabeth Borne écarte pour le moment le retour des restrictions sanitaires

À l’issue d’une réunion avec les préfets et les directeurs des Agences régionales de santé, ce mardi, la Première ministre a opté pour des recommandations pour juguler la forte reprise de l’épidémie plutôt qu’un retour des mesures coercitives.

[Photo : FRED SCHEIBER/SIPA]

Par Grégoire Poussielgue

Pas un député ne portait de masque ce mardi après-midi, lors de la séance inaugurale de la XVIe législature à l’Assemblée nationale . Pourtant, avec des indicateurs qui repartent en nette hausse depuis le début du mois de juin, le Covid est bel et bien de retour. Lundi soir, la France a compté plus de 70.000 nouveaux cas quotidiens en moyenne sur sept jours.

Ce mardi après-midi, la Première ministre, Elisabeth Borne , a tenu une visioconférence avec les Agences régionales de santé (ARS) et les préfets. Pour l’instant, le retour de mesures contraignantes comme le port du masque (l’obligation dans les transports a été levée le 16 mai) n’est pas à l’ordre du jour. A l’issue de la réunion, Matignon en est resté au stade des recommandations – se laver les mains, aérer les lieux clos, etc. – pour lutter contre la résurgence de l’épidémie.

Une « reprise évidente » des contaminations

Lundi, la ministre de la Santé, Brigitte Bourguignon, avait toutefois appelé les Français à remettre le masque dans les lieux clos. « Je n’irai pas jusqu’à l’obligation, mais je demande en tout cas aux Français de remettre effectivement le masque dans les transports », a-t-elle indiqué sur RTL, devant ce qu’elle a appelé une « reprise évidente » des contaminations.

La semaine dernière, la ministre, appelée à cesser ses fonctions à la suite de sa défaite aux élections législatives, s’est fait inoculer une quatrième dose devant les médias pour relancer la campagne de vaccination. Pour l’instant, la deuxième dose de rappel n’est ouverte qu’aux plus de 60 ans.

Un projet de loi avant le 31 juillet

Le gouvernement a besoin de faire adopter un projet de loi avant le 31 juillet pour pouvoir prolonger certaines mesures. Le dispositif de veille sera ainsi maintenu jusqu’au 31 mars 2023, tout comme la possibilité d’organiser un contrôle sanitaire aux frontières si besoin.

La nouvelle configuration politique de l’Assemblée nationale va s’inviter dans les débats, même si les mesures sont moins polémiques qu’en janvier dernier, au moment de l’adoption du passe vaccinal. Elle s’était faite dans un climat de forte tension politique, en pleine campagne présidentielle, avec des débats houleux et des coups de théâtre au Palais-Bourbon.

La France Insoumise (LFI), qui ne comptait que 17 députés dans la précédente législature (contre 75 aujourd’hui) et le Rassemblement national (89 députés contre une poignée entre 2017 et 2022) s’étaient élevés contre le passe vaccinal, tandis que Les Républicains étaient très divisés sur la question.

Stock de masques : l’ État a commis une « faute »

Le gouvernement avance sur des œufs sur la gestion de cette crise. Il considère que l’opinion, très majoritairement, n’est pas favorable au retour des mesures contraignantes. Et les critiques formulées depuis le début de l’épidémie trouvent une traduction sur le terrain judiciaire.

Ce mardi, le tribunal administratif de Paris a rendu un jugement attendu. « L’État a commis une faute en s’abstenant de constituer un stock suffisant de masques permettant de lutter contre une pandémie liée à un agent respiratoire hautement pathogène », a-t-il affirmé. Il a cependant estimé que cette faute ne pouvait être jugée à l’origine de cas spécifiques de Covid.




L’Autriche a mis fin à la vaccination obligatoire : « Il faut désormais vivre avec le Covid »

Par Nicole Delépine

[Photo : Le ministre de la Santé autrichien Johannes Rauch, lors d’une conférence de presse à Vienne ce jeudi 23 juin.
AFP – Joe Klamar]

Le gouvernement autrichien a annoncé jeudi l’abandon total de sa politique de vaccination obligatoire contre le Covid-19, après l’avoir déjà suspendu en mars un mois à peine après son entrée en vigueur.(([1] https://www.lalibre.be/international/europe/2022/06/23/lautriche-va-mettre-fin-a-la-vaccination-obligatoire-il-faut-desormais-vivre-avec-le-covid
Coronavirus : l’Autriche abolit la vaccination obligatoire — Politique — SZ.de (sueddeutsche.de) ))

En Autriche, l’obligation corona a été annoncée fin 2021. Elle a été soutenue par tous les partis parlementaires, à l’exception du FPÖ de droite et est en vigueur depuis février, mais la loi a récemment été suspendue. Le débat sur la mesure controversée a ouvert de profondes divisions dans la société. Mais surtout en période d’instabilité, la société a besoin de plus de solidarité, a déclaré le ministre de la Santé Rauch (Verts). Qui a déclaré de toute façon. « La vaccination obligatoire n’incite personne à se faire vacciner », a déclaré Rauch.

L’Autriche avait donc été pionnière des restrictions et des obligations dans l’UE. Dans d’autres pays, il n’y avait que des règlements spécifiques à l’âge. Mais finalement les Autrichiens ont été capables de constater leur erreur stratégique avant même de l’appliquer et de l’avouer. Contraindre ne sert à rien.

À l’origine, il était prévu en Autriche de punir à partir du 15 mars tous ceux qui refusent la vaccination par une amende pouvant aller jusqu’à 3600 euros. Mais au début du mois de mars, des divergences sur l’obligation de vaccination étaient apparues. À l’époque, le gouvernement de l’ÖVP conservateur et les Verts avaient déclaré que les vaccins n’étaient pas adaptés à la variante dominante d’Omicron.

Coronavirus — Une loi qui a peu de conséquences médicales, mais de nombreuses conséquences sociales(([2] Par Michaela Schwinn et Patrick Wehner.))

Dans la pratique, les soignants non vaccinés sont toujours autorisés à travailler.

Le débat sur la vaccination obligatoire a ouvert de profondes fractures entre les familles, les associations et les entreprises, a déclaré Rauch.

Surtout à une époque marquée par de nombreuses inquiétudes, une inflation massive et la guerre en Ukraine, la société a besoin de solidarité. Dans la perspective d’éventuelles nouvelles vagues corona, la population doit être convaincue de l’utilité d’une vaccination de rappel. « Nous ne pouvons le faire que si la volonté de se faire vacciner est basée sur le volontariat », a déclaré Rauch.

Malgré la menace de la vaccination obligatoire, l’intérêt pour une injection avait considérablement diminué depuis le début de l’année et il y avait eu une forte accalmie observée dans les centres de vaccination.(([3] https://www.foxnews.com/world/austria-scraps-covid-19-vaccination-measure-suspended-march))

« Il faut vivre avec le Covid »

C’est ce que beaucoup ont préconisé DÈS LE DÉBUT…

On les a traités de criminels, parce qu’ils exposaient les humains au « virus » et faisaient confiance au système immunitaire inné et acquis de l’humanité, et à l’immunisation collective naturelle, au lieu de faire aveuglément confiance en des pseudo vaccins et la médecine occidentale corrompue par les conflits d’intérêts..

Communiqué AFP DU 23 06 2022

« le ministre de la Santé Johannes Rauch lors d’une conférence de presse à Vienne a déclaré :

La stratégie “avait été mise en place dans un contexte différent”, avec des unités hospitalières surchargées. Cette loi n’est pas jugée “nécessaire que ce soit d’un point de vue médical ou constitutionnel” par la commission d’experts, et a créé “une profonde division au sein de la société autrichienne” .»

L’obligation vaccinale entrée en vigueur le 5 février 2022 constituait une mesure rare dans l’Union européenne et avait suscité une forte opposition d’une partie de la population de 9 millions d’habitants.

L’ensemble des résidents de plus de 18 ans étaient concernés, à l’exception des femmes enceintes, de ceux qui ont contracté le virus il y a moins de 180 jours et enfin de ceux qui peuvent se faire exempter pour raisons médicales.

Les contrôles devaient débuter mi-mars, avec des sanctions variant de 600 à 3 600 euros. Mais la loi a échoué à convaincre les réticents. Actuellement, quelque 62 % de la population dispose d’un certificat de vaccination valide, un taux qui place l’Autriche en retrait de nombreux pays d’Europe de l’Ouest.

« Il y a actuellement beaucoup d’arguments pour dire que cette atteinte aux droits fondamentaux n’est pas justifiée », avait alors déclaré Karoline Edtstadler, chargée de la Constitution.

EN FRANCE, SERONS-NOUS LES DERNIERS À JOUER SUR LA PEUR DU COVID ?

Via des valets médiatiques du pouvoir qui veulent relancer la peur et imposer les masques complètement inutiles et toxiques, et — pourquoi pas ? — bientôt le pass, comme prévient notre président réélu…(([4] 230622 – Masques inutiles et dangereux – Mensonges médiatiques – Gérard Delépine
https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juin-2022/230622-masques-inutiles-et-dangereux-mensonges-mediatiques-gerard-delepine/
240622 — Stop aux pass chantages inefficaces sur la maladie — Gerard Delépine
https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juin-2022/240622-stop-aux-pass-chantages-inefficaces-sur-la-maladie-gerard-delepine/))

Les Pelloux et Cie veulent faire peur. Pour exister ? Pour de l’argent ? Pour continuer à être invités avec les puissants ? Peu importe, ils mentent

@AlexCine5 @CNEWS Pelloux :

« le Nostradamus de pacotille qui prédisait que tous les non-vaccinés mourraient cet hiver 🤡
CNews, arrêtez de ressortir de la naphtaline tous les charlatans que vous avez en stock, plus personne ne les croit. »

Et contrairement à ce que nos médecins de plateau incultes et/ou corrompus tentent de faire croire, les non-vaccinés sont moins à risque de formes graves (devenues exceptionnelles) que les vaccinés. Les multivaccinés étant les plus à risque au fur et à mesure des boosters. Le poison est la dose… c’est vrai aussi pour l’injection anticovid.

Selon le Pr Chabrière @EChabrière :

«  Les non-vaccinés sont moins contaminés et font moins de formes graves que les vaccinés. On peut discuter de tout sauf des chiffres.

Donnée https://covidtracker.fr/vaximpact/ à partir des données de la DREES (ministère de la Santé) »

Courbes issues des données officielles reprises dans Covidtracker, rubrique Vaximpact depuis un an il n’y a presque plus de malades covid en réanimation :

Et ne pas oublier la triche organisée pour affoler une nouvelle fois les populations et leur faire accepter une nouvelle injection.

@ErikLoridan 24 juin

Témoignage d’un ancien patient : ⬇️

— Ma fille, grippée, fait un auto-test : négatif.

Son médecin dit « on va faire un antigénique ». Négatif.

« pour être sûr, un PCR ». Négatif.

« On va quand même déclarer covid parce que ça y ressemble »

Tu m’étonnes, que ça remonte !

Le plus étonnant est que le peuple accepte de se faire piquer tous les trois ou quatre mois. Dans l’histoire des vaccinations s’il n’y a jamais eu de vaccin nécessitant une injection tous les 3-mois. Mais il est vrai que les injections covid, qui ne contiennent aucun antigène ni aucune anatoxine ne sont pas des vaccins au sens de Pasteur, mais des médicaments ainsi que l’a récemment reconnu le Pr Delfraissy.(([5] Covid-19 : le vaccin est « un peu un médicament »
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html))





La baisse de la fertilité chez les vaccinés est de plus en plus probable

L’excellente Interview d’Alexandra Henrion Caude, généticienne spécialisée dans la recherche sur l’ARNm, sur sud radio par André Bercoff précise les avancées sur les études en cours sur le risque sur la fertilité des injections anticovid. Elle évoque les risques pour les enfants vaccinés à long terme, impossibles à évaluer sans recul suffisant.

https://m.youtube.com/watch?v=dhXQQqUdqMM

Interview d’Alexandra Henrion Caude — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) avec tweets sur le sujet

On avait fini par admettre que la dépopulation était au programme des mondialistes sous influence de Bill Gates et de transhumanistes comme Laurent Alexandre. Mais au-delà des suspicions légitimes vu le mécanisme de l’injection ARNm qui a prédilection pour les organes reproducteurs, les preuves scientifiques commencent à tomber via Israël, précurseur des injections et donc des effets secondaires.

Déjà depuis plusieurs mois des articles scientifiques apparaissaient dans la base de données PUBMED sur le sujet, les premiers portant sur de très faibles nombres d’injectés et voulant innocenter l’injection, contrairement aux alertes déjà anciennes des banques de données officielles.

D’autres traduisent mieux notre inquiétude comme Les risques de la Covid-19 (et des vaccins) sur les organes sexuels et la fertilité (infodujour.fr) dans un entretien avec le Dr Jean-Marc Sabatier.(([1] Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, affilié à l’Institut de Neuro Physiopathologie (INP) à l’université d’Aix-Marseille.))

« Chez l’homme, le SARS-CoV-2 peut s’attaquer aux testicules, au pénis et à la prostate. Chez la femme, le virus peut s’attaquer à l’utérus (endomètre) et aux ovaires. Pourquoi ces attaques sont-elles possibles ? Parce que le SARS-CoV-2 reconnaît le récepteur cellulaire ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine-2) qui lui sert de site de fixation lui permettant d’infecter les cellules ; le récepteur ECA2 est très présent au niveau des cellules des organes reproducteurs masculin et féminin, ce qui les rendent très vulnérables au virus. Il est notable que le récepteur ECA2 — en parallèle des organes reproducteurs, dont les gonades (testicules et ovaire) — se retrouve également dans de nombreux autres organes et tissus de l’organisme (ceux-ci sont en conséquence ciblés par le virus), tels que le cœur, les poumons, les reins, le foie, le pancréas, la rate, le système vasculaire (vaisseaux sanguins), la peau, le cerveau, les intestins, les glandes surrénales, et autres. »

Un papier récent de juin 2022 démontre l’altération au moins temporaire de l’état du sperme et des spermatozoïdes.(([2] La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motifs chez les donneurs de sperme (nih.gov) Andrology. 2022 Jun 17. doi : 10.1111/andr.13209. étude israélienne par Itai Gat et al))

Extraits :

«  Ils ont étudié chez des donneurs de sperme l’effet du vaccin covid-19 BNT162b2 (Pfizer) sur les paramètres du sperme. 37 donneurs de trois banques de sperme ont fourni 220 échantillons, et ont été inclus dans cette étude de cohorte longitudinale multicentrique rétrospective. La vaccination BNT162b2 comprenait deux doses, et la vaccination était prévue 7 jours après la deuxième dose. L’étude comprenait : contrôle de base pré-vaccination, et évaluations à court, intermédiaire et long terme.

Chacun comprenait 1 à 3 échantillons de sperme par donneur fournis 15 à 45, 75 à 120 et plus de 150 jours après la fin de la vaccination, respectivement. Les critères d’évaluation principaux étaient les paramètres du sperme.

Résultats : Des mesures répétitives ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur le deuxième échantillon entraînant une réduction du nombre total de mobilité des spermatozoïdes de 22,1 % par rapport au prélèvement initial.

De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a montré des réductions de la concentration — baisse médiane de 12 millions/ml et 31 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement lors de la première évaluation de l’échantillon et déclin médian de 9,5×106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) sur l’examen moyen des échantillons.

L’évaluation à trois mois a démontré un rétablissement global. Le volume de sperme et la motilité des spermatozoïdes n’ont pas été altérés. Cette étude longitudinale axée sur les donneurs démontre une concentration sélective temporaire de spermatozoïdes et une détérioration trois mois après la vaccination, suivie d’un rétablissement ultérieur vérifié par diverses analyses statistiques ».

L’étude est limitée en nombre de donneurs et de paramètres du sperme, ce qui ne résume pas les conditions de la fertilité efficace, mais a le mérite de prouver déjà une action directe sur le sperme. D’autres études toujours basées également sur un faible nombre de donneurs se veulent rassurantes. Néanmoins le recul est toujours faible de deux à trois mois, après l’injection ne permettant en aucun cas de prévisions raisonnables pour l’avenir d’autant que la durée de fabrication de la protéine spike par l’organisme injecté reste inconnue et s’allonge au fur et à mesure des études (au moins trois mois actuellement).

Les alertes officielles cachées par les médias

Par ailleurs vu le nombre de fausses couches déclarées sur le VAERS ou sur EudraVigilance on peut s’étonner de l’absence d’articles référencés sur ce sujet sur PubMed. On peut supposer le refus des éditeurs soumis à Big Pharma.. Rappelons ces chiffres(([3] Voir la totalité du diaporama sur nicole.delepine.fr
Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 22 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )):

Trop de médias qui dépendent en partie de l’état pour équilibrer leur budget se sont transformés en organe de propagande du gouvernement et ont abandonné leur mission d’information objective de la population. Leur refus de publier les données rapportant les complications post injections en témoigne une fois de plus.

DÉPOPULATION VIA LES VACCINS STÉRILISANTS CONCEPTUALISÉE DEPUIS 1930

Depuis des décennies, les puissants ont décidé de réduire la population mondiale au lieu de regarder comment les nourrir. Par exemple cesser de leur interdire d’utiliser leurs semences paysannes et de favoriser les échanges locaux.

Ici, rappelons l’article de Jurriaan Maessen dans ExplosiveReports.Com qui démontre l’obsession des riches milliardaires de contrôler les naissances sans l’accord des personnes concernées.

La Fondation Rockefeller a admis un financement pour le développement de vaccins antifertilité destinés à une « distribution à grande échelle ». — Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)

Déjà dans les années 1930 une obsession des milliardaires était de stopper la natalité.

La Fondation Rockefeller a conceptualisé le vaccin « antihormonal » dans les années 1920 et 1930.

Le serviteur de la Fondation Rockefeller, Max Mason, agissant en tant que président au milieu des années 1930, a exprimé à plusieurs reprises le désir de son maître d’avoir une « antihormone » qui réduirait la fertilité dans le monde entier. La Fondation n’a néanmoins mentionné le financement de « vaccins antifertilité » dans les rapports annuels qu’à partir de 1969.

Extrait :

« Dans son examen de 1997 des vaccins antifertilité, le Centre international de génie génétique et de biotechnologie basé en Inde n’a pas oublié de reconnaître son principal bienfaiteur :

« Les travaux sur les vaccins LHRH et HCG ont été soutenus par des subventions de recherche de la Fondation Rockefeller (…) »

Dans les années 1990, les travaux sur les vaccins antifertilité ont pris de l’ampleur, en particulier dans les pays du tiers-monde, tout comme le financement octroyé par la Fondation Rockefeller. Dans le même temps, la population cible des mondialistes — les femmes — commençait à se sentir mal à l’aise avec tout ce discours ouvert sur la réduction de la population et des vaccins comme moyen d’y parvenir.

Betsy Hartman, directrice du programme Population et développement au Hampshire College, Massachusetts est « quelqu’un qui croit fermement au droit des femmes à une contraception et à un avortement volontaires et sûrs », n’est pas partisane du vaccin antifertilité, tel que créé par le Fondation Rockefeller. Elle explique dans son essai Population control in the new world order (le contrôle de la population dans le nouvel ordre mondial) :

« Bien qu’un vaccin n’ait été testé que sur 180 femmes en Inde, il y est présenté comme “sûr”, dépourvu d’effets secondaires et complètement réversible »

La communauté scientifique sait très bien que de telles affirmations sont fausses — par exemple, de nombreuses questions subsistent quant à l’impact à long terme du vaccin sur le système immunitaire et le cycle menstruel. Il existe également des preuves filmées de femmes se voyant refuser des informations sur le vaccin lors d’essais cliniques. Néanmoins, le vaccin est en cours de préparation pour une utilisation à grande échelle. »

Le Réseau mondial des femmes pour les droits reproductifs basé à Amsterdam, aux Pays-Bas, a cité un chercheur de premier plan en matière de contraception qui disait :

« Les méthodes de contrôle des naissances immunologiques seront une “arme antigénique” contre le processus de reproduction, qui, laissé sans contrôle, menace d’inonder le monde. »

Militante des droits des animaux Mademoiselle Sonya Ghosh a également fait part de ses préoccupations concernant le vaccin antifertilité financé par Rockefeller et sa mise en œuvre :

« Au lieu de donner aux femmes plus d’options pour prévenir la grossesse et se protéger contre le SIDA et les maladies sexuellement transmissibles, le vaccin antifertilité est conçu pour être facilement administré à un grand nombre de femmes en utilisant le moins de ressources. S’il est administré à des populations analphabètes, les problèmes de contrôle de l’utilisateur et de consentement éclairé sont une autre source de préoccupation. »

Pour éviter de tels débats, la Fondation a eu recours, au cours des deux dernières décennies, à ses méthodes appliquées depuis longtemps et très efficaces consistant soit à mentir effrontément, soit à utiliser un langage trompeur pour cacher le fait qu’elle continue à œuvrer sans relâche pour atteindre sa mission de longue date ».

Doit-on rappeler des tentatives de vaccin anti-conception au Kenya ?(([4] https://www.famillechretienne.fr/politique-societe/sante/vaccins-contraceptifs-le-boycott-de-l-eglise-d-afrique-181815))

En 2014 le vaccin contre le tétanos, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants a suscité une polémique entre les évêques et le gouvernement Kenyan.

En 2015 c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans obligés devant le refus du gouvernement de demander à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique — et elles sont nombreuses — de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé.

LE PSEUDOVACCIN ANTI COVID19 S’INSCRIT DANS LA CONTINUITÉ DE CES RECHERCHES CONTRE LA FERTILITÉ

Malheureusement remis dans le contexte de la volonté à tous crins de vax encore et encore contre le covid19, y compris les enfants, malgré l’indéniable accumulation des effets secondaires graves, cette Histoire des volontés eugénistes et transhumanistes, en marche depuis le début du XXe siècle et fin du XIXe) permet de comprendre le but ultime des vaccins : diminuer le nombre d’humains sur terre et de réserver à l’élite et ses élus la jouissance exclusive de la planète bleue.

Ces hommes imbus d’eux-mêmes semblent bien naïfs, car même s’ils se sont dispensés des injections morbides, il est infiniment peu probable qu’ils échappent aux conséquences toxiques des injections si les milliards de terriens sont vaccinés.

Un « rapport d’avancement » de février 1934 rédigé par Warren Weaver (directeur de la division des sciences naturelles de la Fondation Rockefeller) avait souligné le but ultime.

« L’homme peut-il acquérir un contrôle intelligent de son propre pouvoir ? Pouvons-nous développer une génétique si solide et étendue que nous pouvons espérer élever, à l’avenir, des hommes supérieurs ? Pouvons-nous obtenir une connaissance suffisante de la physiologie et de la psychobiologie du sexe pour que l’homme puisse contrôler rationnellement cet aspect omniprésent, très important et dangereux de la vie ? »

Écrit en 1934 !

On croirait entendre le Dr Laurent Alexandre dont beaucoup ont été étonnés de le voir parler à x reprises sur les chaînes officielles et à l’école Polytechnique, en toute liberté. Oui il ne fait que poursuivre cette politique eugéniste que l’application rigoureuse de l’injection met en musique.

Il est temps de dire les mots de la vérité : les injections anticovid sont une tentative de plus de réduire la population mondiale.

C’est d’ailleurs la seule explication crédible sur le fait que les morts accumulés ainsi que les accidents graves n’aient pas fait stopper cet essai thérapeutique de ce médicament sans AMM définitif et que, bien pire encore, la FDA vient d’autoriser l’injection des tout petits en ce 14 juin 2022.

Ainsi le modèle de stérilisation des vaccins a été conceptualisé pour la première fois dans les années 1920 et 1930 par des spécialistes des sciences sociales de la Fondation Rockefeller.

Plus tard le langage eugénique (« vaccin anti-fertilité ») a été peaufiné à l’aide d’une « chirurgie plastique linguistique » inventant le terme « contraceptif immunologique », le but ultime reste le même. Entre-temps, Orwell et les mensonges du langage ont été améliorés. « La paix, c’est la guerre », etc.

Une offensive sur les fœtus proches de la naissance

Il paraît difficile de conclure sans dénoncer la mystification qui envahit nos antennes sur la décision de la Cour suprême des USA qui remet à chaque État américain le droit de statuer sur l’avortement.

On se doit tout de même de rappeler que le droit à l’avortement institué en France par la loi Veil s’est progressivement élargi dans le délai d’application et même la suppression du délai de réflexion et l’attaque du droit des médecins à ne pas pratiquer cet acte. La décision la plus choquante est celle de la loi dite de bioéthique votée en août 2021 à l’Assemblée nationale qui autorise un soi-disant « avortement » jusqu’à la naissance en cas de souffrance maternelle…

ATTENTION ! À CETTE DATE DE LA GROSSESSE, CE N’EST PLUS UN AVORTEMENT, C’EST UN INFANTICIDE.

Au nom de « mon corps est mon choix », on peut tuer un bébé à terme, déjà une autre personne dont le choix importe peu. Un humain oublié qui sent, qui réagit, qui interfère, qui vit, qui bouge et réagit aux stimulations extérieures (musique, voix du papa, etc.) qui peut souffrir. C’est un infanticide.

Il me semble devoir exhorter nos concitoyens à ne pas tout mélanger, à ne pas tout confondre. Non l’avortement avant trois mois de grossesse ne doit pas être confondu avec l’infanticide à neuf mois.

Le droit à l’avortement n’a pas été interdit aux USA par la décision de la Cour suprême, ce droit à l’avortement relève maintenant de chaque État et de son gouverneur démocratiquement élu.

Et pourtant l’OMS insiste pour ce droit élargi. « L’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle les gouvernements à supprimer la limite de temps légale pour l’avortement, même après 24 semaines », comme le rapporte le Daily Mail. Elle déclare que les lois qui visent à empêcher l’interruption de grossesse à tout moment risquent de violer les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes ».

L’OMS propose donc l’avortement sans limitation de temps et sans obligation de justification médicale.

C’est un document de 210 pages que l’OMS publie. Il détaille de nouvelles consignes sur la prise en charge de l’avortement. Parmi la multitude de recommandations faites aux gouvernements, on peut notamment lire qu’elle préconise :

  • — d’autoriser l’avortement en toutes circonstances — en excluant les lois interdisant les interruptions de grossesse parce que le fœtus est du « mauvais » sexe.
  • — de cesser d’exiger que les femmes aient besoin de l’approbation d’un médecin ou d’une infirmière pour avoir une interruption de grossesse.
  • — d’établir des systèmes de « pilules par la poste » afin que les femmes puissent recevoir des médicaments abortifs après un appel téléphonique.
  • — de limiter le droit des professionnels de santé à refuser de participer à des avortements pour des raisons de conscience.

Les Nations unies, qui supervisent l’OMS, se sont félicitées de la suppression suggérée de ce qu’elles ont appelé « des obstacles politiques inutiles à l’avortement sans risque », notamment « des limites quant au moment où un avortement peut avoir lieu ».(([5] L’avortement sans condition jusqu’à neuf mois préconisé par l’OMS | FranceSoir))

ON EST LOIN DE LA LOI VEIL CITÉE COMME MANTRA

« Je le dis avectoute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »,

 déclarait Simone Veil en présentant la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse. 

Poursuivant son discours, elle ajoutait :

« Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire partager une conviction de femme — je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes ».

https://youtu.be/45MOc6PYoY8  

L’avortement reste un drame pour le plus grand nombre de celles qui l’ont subi. L’avortement n’est pas une méthode de contraception « normale » il n’est d’ailleurs pas sans danger pour la femme elle-même pour son risque éventuel de cancer hormonal, etc.. Le nier est malhonnête. Pour limiter le plus possible le recours à cet acte de désespoir, il faut davantage promouvoir l’information honnête et la contraception qui respecte davantage le corps des femmes.

Il ne faut pas s’étonner qu’à force de pousser l’avortement trop loin surtout dans l’avancement de la grossesse, il y ait des réactions boomerangs en retour.

NON À LA TRANSFORMATION DES HUMAINS EN OGM !

Nous serons heureux d’entendre toutes les bonnes âmes qui hurlent que « leur corps est leur choix », de le défendre aussi, et aussi fort pour toutes les femmes qui souhaitent refuser une injection génique sans aucun bénéfice possible pour elle et pour leurs proches et qui risque de les transformer en humain OGM. Comment oser accepter la mise au rancart des soignants libres pour refus de transformation de leur patrimoine génétique et « en même temps » demander l’inscription dans la Constitution de l’avortement (en général.) et bientôt de l’euthanasie.

Sommes-nous entrés dans une culture de la mort ? Est-ce bien ce que nous voulons ou est-ce une nouvelle soumission aux puissants qui nous manipulent ?

NON À LA CULTURE DE LA MORT !





« L’humanisme » ? Dans un « water-closet » grec (démocratie), euthanasié (avorté)

Par Lucien SA Oulahbib

« (…) Guerroyant toute sa vie contre le contransmagnificandyouditamtamtantialisme. Malchanceux hérésiarque. Dans un water-closet grec il a rendu son dernier souffle : euthanasie. (…) »

(James Joyce, Ulysse, (1929) Paris, Folio/Gallimard, 1980, T.1, p.58).

À quel « moment » devient-on « femme », « homme », ni « homme/femme » ou « I » (indifférencié) ? Mais quand vous voulez ! S’exclame-t-« on » aujourd’hui dans les « marches » dites de « fierté » (quoique bien organisées sectionnées, voir le tableau ci-dessous) :

Du moins, si vous êtes « né(e) », sinon rien, « vivant », peut-être, « humain », non, puisque l’OMS préconise un « avortement sans condition jusqu’à neuf mois » ; mais n’allons pas si loin ! 14 semaines en France sans être considéré comme « humain », juste « vivant » (peut-être), soit 16 semaines « après les premières règles ». Bref! pas moins de quatre mois… Or le squelette se constitue bien avant… Mais bon, ce n’est pas « humain », juste « vivant » puisque, nous clame un quotidien « néo-libéral » (sartrien) : 

« selon l’état actuel des connaissances, le fœtus n’est pas capable de ressentir la douleur avant 22 semaines ».

C’est ce que le « on » disait des bêtes autrefois, cataloguées comme « meubles » d’ailleurs selon le Droit (de « l’État de droit ») avant que cela ne change récemment pour être reconnues « doués de sensibilité », mais pas le « fœtus » de moins de 22 semaines (7 mois et quelques tout de même).

Deux réflexions :

  • 1)- il est curieux qu’un être tout de même « vivant », mais non « humain » avant sa naissance ne soit même pas considéré comme ayant le rang « d’animal »…
  • 2)- Pour les partisans invétérés d’une alimentation « végane », adeptes de respecter le « vivant », le fait de l’éliminer dans un ventre « humain » ne pose pas de problèmes puisque cela ne se mange pas sans doute…

CQFD.

Pendant ce temps, et comme l’indique Sophie Durand, nombre de couples en souffrance aimeraient adopter, mais ne trouvent guère de possibilités. Aussi, nous sommes confinés dans cette quadrature du cercle où la natalité en Occident chute dramatiquement tandis que l’immigration non désirée se trouve en hausse suite à la corruption des États et à la complicité mondiale des ONG et autres instances censées « aider au développement » (cette blague).

Qu’à cela ne tienne ! Vive le suicide collectif prôné par certaines micro-sectes : aujourd’hui l’euthanasie avant naissance se fait par un grand bond en avant dans le charcutage de la Constitution, le tout au nom « du droit à » alors que, comme l’avait indiqué Laurent Fidès dans son ouvrage sur « le discours intimidant », il n’est pas sûr que ce « vivant » à naître « humain » puisse ainsi passer de l’un à l’autre « état » sous le seul bon vouloir de l’un des deux acteurs et non point des deux. Sans oublier « la » société qui a tout de même son mot à dire : sinon cela s’appellerait un infanticide (mot guère usité ces temps-ci… D’autant que diverses « obligations » injectables pointent leur nez…).

Il est d’ailleurs paradoxal d’observer que le ne « touchez pas au corps des femmes » que d’aucuns veulent donc sacraliser (constitutionnaliser) soit battu en brèche en matière de « santé ». L’obligation injectable non seulement pour les « soignants », mais pour tout « corps » (de manière plus tartufienne, il est vrai) a été prônée sans vergogne pour un virus à la mortalité pas plus virulente que les infections respiratoires annuelles. Et il y en aurait bien plus si celles-ci ne pouvaient pas être soignées de façon conventionnelle à la différence de la Covid-19 pour laquelle cela reste toujours interdit hormis l’injection qui non seulement ne protège pas, mais répand la maladie, contrairement à ce que racontent les supposés vérificateurs éradicateurs de « vérité ». Ce mot est honni depuis des lustres alors qu’il existe bien une accumulation de connaissances désormais certaines(([1] Note de Joseph : en science véritable, rien n’est certain, même si l’on peut maintenant éliminer des hypothèses comme relevant de pure fiction tant elles sont contredites par l’observation et l’expérience. Tout est susceptible de remises en question à la lumière de nouvelles découvertes ou de nouvelles manières de voir les choses. Les théories scientifiques sont toutes par essence « constestables ». Et lorsque l’on y relève des contradictions internes, des incohérences ou une inadéquation avec des faits manifestes ou démontrables, on peut les considérer comme fausses. Si au contraire, elles collent à la réalité observée et sont prédictives, alors elles ont de bonnes chances d’être valables, vraies, exactes… au moins dans un certain cadre et à un certain niveau de perception. C’est ainsi par exemple qu’une table est un objet solide selon la perception humaine classique, mais un agencement d’atomes minuscules séparés par de grands vides à un autre niveau.)) et non pas seulement « non fausses », ceci non seulement en (astro) physique, mais aussi en sciences de la Société : sans liberté de penser et d’entreprendre les peuples périclitent, surtout sans institutions pour les protéger et les aider à se développer, ce qui suppose solidarité et fraternité au-delà du conflit permanent secrété par « l’envie » (Helmut Schoeck)

Plus précisément ici, cette diatribe visant à « protéger » le « corps des femmes » cherche plutôt à l’instrumentaliser, au même titre que le corps « vivant » en général qui ne devient ainsi « humain » que lorsque cela arrange certaines idéocraties issues (croient-elles) des « Lumières » cherchant à remodeler leurs offres de marché depuis que leurs vieilles utopies sont mortes (socialisme) ou sont sur le point de l’être (l’international socialisme du « demain on rase gratis », grâce au Q.E. de l’UE au vu de l’hyperinflation et de la récession déjà présentes…).

Joyce avait donc bien eu cette prémonition d’observer que l’avenir de l’humain, en particulier « Cisgenre », est le déchet potentiel finissant dans un Water-closet sanitaire, mais « grec » – ouf ! « L’union nationale » peut être donc mise en branle. Et la LFI suivra le pas (cadencé) en tout cas sur cette euthanasie avant naissance permettant alors de reléguer le RN au rang d’hérétiques trumpistes, la césure enfin émergente entre (faux) progressistes (vie et mort, buffet à volonté) et « réactionnaires » ou plutôt ici préservateurs/innovateurs (vie et mort selon sa destinée élaborée en un Noûs).




Interview d’Alexandra Henrion Caude

[Source : Alexandra Henrion Caude]





Stop aux pass, chantages inefficaces sur la maladie et sources de méfiance contre la vaccination

Par Gérard Delépine

Le gouvernement s’est félicité de l’efficacité des pass et rêve de les prolonger. Pourtant dans le monde réel, les pass sanitaires se sont révélés sanitairement contre-productifs et économiquement et sociologiquement désastreux. Les chiffres publiés par l’OMS montrent en effet que les pass favorisent les contaminations. Une quinzaine de pays ont instauré des pass. Partout leur installation a été suivie d’une augmentation des cas et d’une épidémie échappant à tout contrôle.

Israël a été le pionnier du pass et y a renoncé

Lors de la première vague, le pic de nouveaux cas journaliers atteignait 6000. Depuis la campagne massive d’injection et l’instauration du pass sanitaire, puis vaccinal, les contaminations ont été de plus en plus nombreuses. Fin janvier 2022 le nombre de contaminations quotidiennes a dépassé les 100000 et en juin 2022 le total des contaminations cumulées dépassait 4,2 millions six fois plus qu’avant l’instauration des pass.

La comparaison des nombres de cas cumulés par million en Israël et en Palestine suggère que la stratégie du tout vaccinal et des pass pourrait peut-être même favoriser les contaminations.

Nadav Davidovitch, expert conseillant le gouvernement israélien constate « maintenir le pass vert sous sa forme actuelle peut créer de fausses assurances ».. Constatant cet échec, le gouvernement israélien a mis fin au pass.(([1] https://www.rtbf.be/article/coronavirus-pionnier-du-pass-sanitaire-israel-annonce-son-abandon-10937556))

Le sévère échec du pass en Grande-Bretagne a justifié sa suppression

La Grande-Bretagne a suivi la même politique vaccinale et restrictive des libertés qu’Israël. Depuis Omicron, l’échec est patent.

Constatant l’échec sanitaire et les lourdes conséquences économiques et sociales des pass, le gouvernement britannique en a lui aussi décidé la suppression dès le 28 janvier 2022.

Partout en Europe le même constat d’inefficacité des pass s’est imposé. Le Danemark, l’Irlande, l’Islande, Malte, la Tchéquie, la Roumanie, la Hongrie, le Portugal, la Belgique, l’Autriche, l’Espagne, la Grèce, la Suisse, la Suède, la Finlande, L’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et l’Italie ont observé l’échec total du pass contre l’épidémie avec l’arrivée d’Omicron.

Et la quasi-totalité de ces pays (Suisse, Suède, Slovénie, Slovaquie, Royaume-Uni, Roumanie, République tchèque, Pologne, Pays-Bas, Norvège, Autriche) a abandonné cette mesure inefficace.

En France aussi les pass ont démontré leur totale inefficacité contre Omicron. Nous n’avons jamais été aussi « vaccinés », aussi soumis à autant de mesures sans justifications scientifiques (pass vaccinal dans les hôpitaux et obligation vaccinale pour les soignants et pompiers) et compté autant de contaminations !

Avant l’instauration des pass, en dix-sept mois d’épidémie, nous avions recensé un peu moins de 6 millions de contaminés. Depuis les pass en 12 mois ce chiffre est passé à plus de trente millions. Il faut être vraiment négationniste des faits établis pour croire encore que cette mesure puisse être bénéfique contre l’épidémie.

Tout dirigeant objectif reconnaîtrait l’échec de cette stratégie et abandonnerait toutes ses mesures inefficaces et mortifères qui démolissent notre jeunesse et notre économie. Mais comme toujours depuis le début de la crise nos dirigeants refusent de considérer les faits avérés et persistent dans leur autoritarisme religieux médicalement stupide et socialement tragique tant pour les professionnels concernés(([2] Rappelons le sort inhumain imposé aux pompiers et soignants vaccino prudents qui ont eu l’honnêteté (le tort ?) de ne pas se faire de faux certificat de vaccination alors qu’ils pouvaient probablement facilement les obtenir aussi facilement que les politiques, et qui se retrouvent sans travail, sans chômage, obligés de changer de profession pour ne pas devenir SDF. Une pareille brutalité n’avait jusqu’ici réservée qu’aux citoyens juifs par Hitler.)) que pour la population privée de leurs compétences avec plus de 20 % des lits fermés faute de soignants, des urgences incapables d’assurer leurs missions et des déserts médicaux qui se multiplient partout.

Même l’INSERM reconnaît la nocivité du pass qui aggrave la méfiance contre la vaccination

Le 25 janvier 2022 sur LCI après avoir réduit unilatéralement la validité de l’immunité « naturelle » de 6 à 4 mois, Olivier Véran annonçait avec gourmandise que des millions de Français allaient bientôt « perdre le bénéfice du pass vaccinal » confirmant ainsi qu’il ne s’agissait pour lui que d’un chantage brutal pour imposer la pseudo vaccination pourtant sans intérêt médical.

Mais même dans ce but les pass sont contre-productifs ainsi que vient de l’affirmer l’étude récente de l’INSERM parue dans Nature(([3] Jeremy K. Ward, Fatima Gauna, Amandine Gagneux-Brunon, Elisabeth Botelho-Nevers, Jean-Luc Cracowski, Charles Khouri, Odile Launay, Pierre Verger and Patrick Peretti-Wate The French health pass holds lessons for mandatory COVID-19 vaccination.)) :

« Le laissez-passer sanitaire a encouragé la vaccination de nombreuses personnes hésitantes ou réticentes, mais il n’a pas réduit l’hésitation elle-même. Une enquête de septembre 2021 a révélé que 42 % des personnes vaccinées étaient encore réticentes ou avaient des doutes sur le vaccin au moment de leur première dose(([4] Ward, J. K. et al. http://www.orspaca.org/sites/default/files/Note-SLAVACO-Vague2.pdf (2021) )). Plus important encore, la part des personnes vaccinées ayant des doutes sur le vaccin est passée de 44 % à 61 % après la mise en place du pass santé. Les leçons tirées du laissez-passer sanitaire COVID-19 en France suggèrent que des mesures coercitives telles que la vaccination obligatoire peuvent être efficaces pour augmenter les taux de vaccination, mais ne résolvent pas tous les problèmes qui affectent l’adoption. La vaccination obligatoire contre le COVID-19 risque de politiser davantage la vaccination et de renforcer la méfiance à l’égard des vaccins ».

« Rien ne laisse penser que le laissez-passer sanitaire a convaincu de nombreux sceptiques quant aux avantages de cette vaccination, et il reste une proportion faible, mais considérable (environ 5 à 10 % de la population) qui a décidé de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19. La vaccination des personnes hésitantes ou réticentes a des conséquences potentiellement négatives, qui peuvent renforcer la méfiance à l’égard des institutions et du système de santé ».

Ces constatations publiées dans Nature par l’INSERM sont d’autant plus remarquables que l’institut national de la santé et de la recherche en médecine, est un fervent partisan des vaccinations tous azimuts.

Pour sortir de cette situation ubuesque et retrouver la confiance de la population, il est nécessaire que l’état cesse de suivre les recommandations sanitaires de cabinets de conseils trop liés aux industriels du vaccin, qu’il supprime les censures, qu’il reconnaisse ses erreurs, qu’il pratique la transparence totale sur les données sanitaires réelles au lieu de publier des analyses de pure propagande et qu’il base enfin ses décisions sur l’examen des faits réels au lieu de croire en des simulations biaisées.

Dans l’immédiat, il faut supprimer toutes les mesures restrictives des libertés et en premier lieu le pass sanitaire dans les hôpitaux et réintégrer les pompiers et soignants injustement exclus. Mesures qui ne coûteraient pas grand-chose et qui permettraient au système de santé de souffler un peu.






La Secte S.H.A* néonazie s’active

Par Lucien SA Oulahbib

* S.H.A : scientiste, hygiéniste, affairiste.

Il n’est pas un jour, une heure, sans que ces sadiques (formés dans la Haute Couture) continuent leurs basses œuvres à vouloir d’abord bâcher tout le monde dans les transports, puis les piquouser — jusqu’aux bébés désormais — ou la folie pure au visage pourtant raisonnable et poupin, mais en réalité fermé, sans écoute ni écoutille. Rien ! Pas l’ombre d’un remords. Le chauffeur du train de la mort ne ralentit ni ne se pose de questions, pas plus que le bistouri du docteur Mengele : il fait son job.

Un jour peut-être (ou une nuit) le brouillard des effets secondaires finira par percer, tout comme le marché de dupes (nupes) du « demain on rase gratis », avec d’un côté la planche à billets et l’assistanat généralisé (de la banque à la barque aux migrants) et de l’autre retour à l’esclavage au double visage : soft ou l’auto-entrepreneuriat (mot pompeux pour la servitude volontaire) ; hard ou la soumission sexuelle (99 nuances de S.M. façon Haute Couture, supra) permettant d’avoir aussi bien des gens de ménage à l’œil que la soumission religieuse (dans les quartiers enclavés des zones grises) pour ensuite obtenir des votes sans coup férir.

Et tout en haut de la Pyramide S.H.A, les Affranchis de la Secte qui carburent à la « Transition énergétique », au « Grand Reset » (etc.). Puis, en dresseurs H.C (Haute Couture, supra), ces valets (petits-bourgeois) ayant récemment en France connu leur cérémonie nuptiale pour bien chasser le peuple d’en bas, les derniers spécimens « français » désireux, les bougres, de défendre leur patrimoine également culturel et ethnique (salops de racistes) sans pourtant s’en contenter (à la différence des ethno-différentialistes). Mais que nenni ! Cette volonté de préservation, voire d’affinement, n’est pas recevable si elle n’a pas été estampillée par la Commission Européenne et de ses diverses officines françaises.

Ce qui frappe alors encore plus (quoique…) c’est le sans gêne de tous ces trans/humanistes, un peu comme leurs ancêtres du nazisme et du léninisme originels qui pouvaient molester, insulter, battre à mort leurs opposants sans que la majorité des élites aux ordres (de toute façon) ne s’en émeuvent tant elles sont habituées dans le privé à ce genre de comportements H.C (Haute Couture, supra, et analysé ici, entre autres).

Bien sûr, comparaison ne serait pas raison, sauf que nous n’en sommes plus là, mais plutôt dans les sables mouvants du domaine de la force, de la décharge électrique, qui ne sont ni de droite ni de gauche : Elle EST ; elle électrocute sans façon, de même que le tsunami ou l’explosion de gaz ; nous sommes précisément à ce moment précis où de tels rapports de violence tentent de masquer celle de ces rapports sans consentement (santé, promiscuité, éducation, économie, écologie…) a contrario de la com ambiante déversée par sceaux estampillés « républicains » bien sûr.

« Nous » sommes dans le Métaverse de 1984 doublé de Soleil Vert. Et surtout 2012. Dix ans après…

Cela ne se voit pas encore puisque nous sommes anesthésiés, hypnotisés. Nous avons encore la sensation de marcher, parler, même lire, penser, écrire alors que le Sol s’est dérobé sous nos pieds et que gramme et gamme se sont évaporés.




Qui finance les laboratoires biologiques dans le monde ?

[Source : NIH]

Capture PDF de la page du site du NIH américain :

(Ndlr : BSL signifie « BioSafety Level » qui se traduit par « Pathogène de classe… », ainsi BSL-4 correspond aux Laboratoires de classe P4)

Traduction automatique non révisée du tableau :

Pays # de BSL-2/3/4a
Type de laboratoireb
Bailleur de fondsc
Statutd Aptitude
Afghanistan BSL-2, aucun BSAT connu CPHL Inconnue PCR, ELISA, microbiologie
Arménie BSL-2?, pas de BSAT connu MDC (gouvernement/militaire ?,
universitaire)
INTAS (Inde 2006), ISTC (2014) CRDF
(2011)
Opérationnel Recherche générale et appliquée,
maintient la collection de souches
Bengladesh (2) BSL-2, Travail modulaire avec
Nipah pour le CDC américain ; 
fonctionne avec les épidémies humaines de B. anthracis
Un construit localement) (Min Health)

IEDCR (un modulaire de TechComp—Chine

CDC américain Construit localement est opérationnel

Modulaire probablement utilisé mais dysfonctionnements BAS-HVAC

Microbiologie, sérologie, ELISA
BSL-2
Aucun BSAT connu
icddr,b (à but non lucratif, Santé) Gates Foundation, DFID (UK), DFATD
(CA), Sida (SWE), USAID, autres
BSL-2 opérationnel, BSL-3 mis hors
service en 2016 ; 
nouveau BSL-3 en construction
Microbiologie, sérologie, ELISA

PCR, séquençage (Nipah, CCHF) TB, grippe, NIPAH pour US CDC, V. cholera
BSL-2
possible BSAT
BLRI, Min Ag (laboratoire vétérinaire
de référence)
OIE Opérationnel ELISA, PCR, séquençage de l’ADN,
développement de vaccins, recherche fondamentale
BSL-2
Isolats BSAT- B. abortus, Brucella ssp
CDIL Min Ag (laboratoire vétérinaire
de référence)
USAID, OIE Opérationnel PCR, sérologie, histopathologie
ELISA, préparation HPAI
Burkina Faso Laboratoire de conteneurs BSL-3 Centre Muraz Plusieurs sources Opérationnel Recherche et diagnostic des arbovirus
(fièvre jaune, dengue, chikungunya, zika) et VHF (RVF, CCHF); 
sérologie/PCR ; 
capacité de séquençage limitée
Cambodge BSL-3

Travailler avec BSAT, XDR TB, grippe émergente

IP, C Min Santé Financements : INSERM, ANRS, IRD,
Fondation Mérieux et Institut Pasteur

WHO Global Influenza Surveillance Center

Opérationnel Recherche et diagnostic : virologie,
bactériologie, FACS, séquenceur de gènes, tests multiplex
BSL-2
BSAT inconnu
Laboratoire de référence vétérinaire 
NaVRI
OIE Opérationnel Diagnostics, HPAI, capacité inconnue
Cameroun BSL-3
Aucun BSAT connu
PC, C Min Santé, Institut Pasteur (?), Centre National
de Référence de l’OMS pour la Grippe Aviaire
Opérationnel Diagnostic, épidémiologie, recherche
sur la maladie locale
Congo (Rép. Dém.) BSL-3
BSAT comprend Ebola, Marburg
INRB Min Health, (WHO Natl Ref Lab
pour la rougeole et autres maladies)
Presidents Malaria Initiative
(États-Unis) 2016
Agence japonaise de coopération internationale (JICA) 2017
Opérationnel Diagnostic humain, ELISA, recherche
Côte d’Ivoire BSL-3
BSAT (virus de la fièvre de Lassa)
IP, Cd’I Commercial Inconnue Opérationnel Laboratoire régional de référence en
IA, tests de diagnostic humain
Djibouti BSL-3
Aucun BSAT connu
Natl TB Lab Min Santé, AFD (Agence Française de
Développement) 2010
Opérationnel Situé à l’Hôpital Paul
Faure—diagnostic de la tuberculose humaine
Egypte BSL ? 
2
BSAT
MIRCEN Le Caire, Académique l’UNESCO ; 
Université Aïn Shams
Opérationnel Collecte, identification et
conservation des souches microbiennes situées dans l’Ain
BSL-3
Aucun BSAT connu
Unité de recherche médicale de la
marine américaine-3 ; 
Gouvernement/MIL
Système mondial de surveillance et de
réponse aux infections émergentes du ministère de la Défense, 2006
Opérationnel (plus opérationnel ?) Université Shams. 
Tests d’échantillons de surveillance principalement sur la méthodologie
RT-PCR
Ethiopie BSL-3
Possède un BSAT agricole
Centre national de diagnostic et
d’investigation en santé animale ; 
Santé minimale
? Opérationnel Laboratoire national de référence,
coordonne les programmes nationaux de surveillance des maladies
animales transfrontalières
BSL-3 (mobile ?) Crossover et
BSAT animal
Centre panafricain de vaccins
vétérinaires de l’Union africaine ; 
Académique
? Opérationnel Produire et distribuer des vaccins
pour animaux
BSL-3
Pas de BSAT
Institut de recherche Armauer
Hansen ; 
Santé minimale
Agence suédoise de coopération
internationale au développement (actuel); 
Agence norvégienne pour la coopération au développement (en
cours) ; 
Gouvernement éthiopien (actuel)
Opérationnel Recherche biomédicale, recherche
fondamentale (immunologie et biologie moléculaire), épidémiologique et
translationnelle
BSL-3
Pas de BSAT
Institut éthiopien de santé publique

Santé minimale
Banque mondiale, 2015 (49 millions de
dollars)
Opérationnel De nombreuses collaborations avec les
États-Unis, des ONG et d’autres pays
BSL-3
Pas de BSAT
Laboratoire de référence de la
tuberculose
PEPFAR, Fonds mondial de lutte contre
le sida, la tuberculose et le paludisme, Programme d’assistance à la
lutte contre la tuberculose de l’USAID (?)
Opérationnel Au St. Peter’s Hospital – diagnostic
avancé de la tuberculose et du VTT
Géorgie Virus BSL-3
BSAT-ASF et virus CCHF

8 BSL-3 — aucune information

Laboratoire Central de Référence de
Santé Publique ; 
Min Santé, Min Ag
USG—100 millions de dollars en 2011 Opérationnel Surveillance et recherche sur les
maladies humaines et animales
Ghana BSL-3
BSAT – Virus Nipah
Centre de recherche collaborative en
médecine tropicale de Kumasi, universitaire
Inconnue Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures, recherche sur les maladies tropicales
BSL-3
Pas de BSAT
Département de virologie, Noguchi
Memorial Institute for Medical Research, Université
Plus de 25 sources de financement
répertoriées sans date ni informations de confirmation
Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures, recherche antivirale, épidémiologie moléculaire des
poliovirus, des entérovirus, du VIH et autres
3 autres BSL-3, 2 avec BSAT, B.
anthracis
Situé à Accra, Takoradi et Tamale Programme MPE d’Affaires mondiales
Canada
Opérationnel Laboratoires des services
vétérinaires gouvernementaux, surveillance des maladies humaines et
animales (B. anthracis et influenza aviaire)
Guatemala BSL-3
1 BSAT- B. abortus
Laboratoire National de Santé ; 
Santé minimale
? Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures
Guinée BSL-3
2BSAT- EBOV, Lassa
Laboratoire de virologie, Département
des maladies infectieuses et tropicales ; 
Académique
Institut médical Howard Hughes,
(?); 
Union européenne (?)
Opérationnel A l’hôpital Donka; 
recherche sur la fièvre hémorragique virale, nombreux collaborateurs
extérieurs répertoriés (pas de date)
BSL-3 Institut de Microbiologie, Université
de Conakry ; 
Académique
Plusieurs bailleurs de fonds de l’UE
et des entreprises répertoriés (pas de date/$)
Opérationnel Laboratoire le mieux équipé pour les
diagnostics VHF et YF dans cette partie de l’Afrique de l’Ouest
Haïti BSL-3
3 BSAT : Y. pestis, C. botulinum, B. anthracis
Laboratoire de lutte contre la
tuberculose, Centre de recherche en santé publique de l’Université de
Floride ; 
Haïti; 
Académique
Centre de surveillance de la santé
des forces armées (États-Unis); 
NIH (États-Unis)
Opérationnel Épidémiologie et diagnostic de la
tuberculose, du choléra et des maladies virales
BSL-3
Pas de BSAT
GHESKIO ; 
Min Health (2 campus avec un autre? BSL-3 complet 2010)
4 bailleurs de fonds répertoriés (pas
de données), dont USAID et UNITAID
Opérationnel Diagnostic, traitement et recherche
sur le VIH, les MST et la tuberculose
BSL-3
Pas de BSAT
Laboratoire National de Santé
Publique ; 
Santé minimale
Nombreux taquets ; 
Bailleurs de fonds : Fondation CDC des États-Unis ; 
Fondation GE (États-Unis) ; 
Kaiser Permanente; 
Fondation Robert Wood Johnson
Opérationnel Virologie, bactériologie,
immunologie, épidémiologie, a des CDC américains sur place
Inde 44 BSL-3 collectés – Beaucoup avec
BSAT
Mélange de fabricants privés de
vaccins/médicaments, MIL, universitaires, laboratoires hospitaliers,
humains et animaux
En général, aucune donnée sur les
bailleurs de fonds
Opérationnel Virologie, bactériologie, diagnostic,
production de vaccins, épidémiologie, etc.
BSL-4 Institut national de
virologie ; 
Pune (Min Health, possible MIL)
Centre collaborateur de l’OMS sur les
arbovirus
Opérationnel ‘Laboratoire de biodéfense’,
épidémiologie des virus (Influenza, Nipah, CCHF, KFD, SARS, etc.
Indonésie 22 répertoriés comme BSL-3 (3 vus –
confirmés) 7 avec BSAT, 10 autres inconnus, 8 RVDL non répertoriés
(BSL-2); 
2 RVDL ont BSL-3 donné par le Japon
MIL, universitaires, laboratoires
hospitaliers, Min Health, Min Ag
Financé par le gouvernement
indonésien ; 
Les laboratoires vétérinaires ont reçu des contributions importantes
d’équipements, de réactifs, d’EPI et, par exemple, de certification BSC
– réparation de l’OIE, de la FAO, de la JICA pour l’IAHP et de
certaines formations de l’USAID
22 laboratoires opérationnels
10 inconnus
8 laboratoires vétérinaires opérationnels à BSL-2 ; 
2 laboratoires de conteneurs BSL-3 donnés par le Japon à RVDL ne sont
pas fonctionnels (pas de financement pour l’électricité ; le flux
d’air ne fonctionne pas)
Diagnostiquer les virus humains et
animaux, les bactéries, les infections parasitaires (la rage est un
gros problème), l’épidémiologie, la recherche sur le VIH, etc.
Kenya 9 BSL-3
7 répertoriés comme possédant BSAT
Min Santé, Min Ag, MIL Généralement pas de discussion mais
mention de Wellcome Trust, US Army Medical Research Unit-Kenya
9 opérationnels, 3 en construction ou
planification
Diagnostic et recherche sur les virus
humains et animaux, les bactéries, les infections ; 
collecte et dépôt; 
production de vaccins et de médicaments
République du Kirghizistan BSL-3 (construction allemande
modulaire) Pas de BSAT
Laboratoire National de Référence

Santé minimale
Banque allemande de développement
(2013) ; 
Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme
(2003-2009)
Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures ; 
Traitement, diagnostic, prévention de la tuberculose
République démocratique populaire lao BSL-3
1 BSAT- B. pseudomallei
Centre National de Référence de la
Tuberculose ; 
Min Santé, MIL
Wellcome Trust, OMS Opérationnel À l’hôpital central
Mahosot ; 
Laboratoire de référence/Culture Collection et recherche sur
l’épidémiologie, le traitement du paludisme, de la typhoïde, du typhus
et d’autres agents pathogènes acquis par la communauté.
BSL-2
BSAT – Inconnu
Centre national de santé
animale ; 
Min Ag
Le personnel est affilié à Oxford
Univ & Wellcome Trust
Opérationnel – état de mise à niveau
inconnu
Diagnostic des maladies animales
Libéria BSL-2
BSAT – souches EBOV
Institut libérien de recherche
biomédicale ; 
Min Santé, MIL
Au cours de l’épidémie d’EBOV en
2014, nous avons reçu du personnel, des réactifs et de l’équipement du
CDC américain, de l’USMRIID, de l’USAID et du NIH américain.
Opérationnel Laboratoire national de diagnostic de
l’hépatite B, du paludisme, du choléra et en 2014 d’Ebola ; 
capacité limitée de PCR de la fièvre de Lassa
Madagascar BSL-3
2 BSAT- virus de la FVR et Y. Pestis
Institut Pasteur de Madagascar, Min
Santé, commercial
Institut Pastuer (Paris)—2017 mise à
disposition du personnel et du matériel RT-PCR – réactifs.
14 bailleurs de fonds (la plupart des ONG, certaines commerciales)
répertoriés sans $ ou année

Centre collaborateur de l’OMS pour la peste ; 
Laboratoire de référence de l’OMS pour la poliomyélite, la rougeole et
la grippe

Opérationnel laboratoire national de
référence; 
étudie l’entomologie du paludisme, la peste, les mycobactéries, la
bactériologie expérimentale, l’immunologie
Malawi BSL-3
Pas de BSAT
Laboratoire central de référence de
la tuberculose, USAID?, MIL/Gvt
USAID Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures, épidémiologie et diagnostic de la tuberculose et de la
tuberculose multirésistante
Mali BSL-3
Pas de BSAT
FMPOS ; 
Santé minimale
NIAID, 2002 et 2010 (infrastructure
pour BSL-3)
Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures
Moldavie BSL-3
Pas de BSAT
Centre national de santé publique,
Min Health
??? Opérationnel Développe la santé publique
législative et réglementaire, la promotion de la santé et la
surveillance des maladies non transmissibles
Maroc 6 BSL-3 listé avec BSAT (RVFV, AHS
virus) ; 
3 BSL-3 prévus.
Santé humaine et animale; 
Min Santé, Min Ag
Création de l’Institut Pasteur au
Maroc Casablanca, pas de financement récent
6 opérationnels Collecte, recherche, diagnostic de
maladies, production de vaccins vétérinaires
Mozambique BSL-3
2 BSAT- B. anthracis, virus de Newcastle
Institut de recherche agricole du
Mozambique, Min Ag
Aucun répertorié Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures
Birmanie BSL-3
Pas de BSAT
Laboratoire National de Référence de
la Tuberculose ; 
Min Santé, UNITAID
UNITAID 87,6 millions de dollars mais
pas de date
Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures ; 
Diagnostic de la tuberculose multirésistante
BSL-3
Pas de BSAT
Hôpital général du service de défense
n ° 2 ; 
Gouvernement/MIL ?
Pas d’information Opérationnel Hôpital/clinique avec capacité de
diagnostic complète
BSL-3
Pas de BSAT
Laboratoire régional NTRL, Min
Health, UNITAID, FIND
Liste plusieurs ONG mais pas de
date/montant
Opérationnel Laboratoire de référence pour la
tuberculose/Collection de cultures
BSL-2
BSAT inconnu
YNRL, Min Ag BSCs ont fait don 2008 et 2011 OIE et
JICA
Opérationnel Laboratoire de diagnostic en santé
animale
BSL-2
BSAT inconnu
MVDL, Min Ag Dons des BSC 2011 OIE et JICA Opérationnel Laboratoire de diagnostic en santé
animale, grippe aviaire, rage, etc.
Népal BSL-2
BSAT probable
Laboratoire vétérinaire central, Min
Ag
L’OIE a fait don de réactifs et
d’équipements HPAI (BSC, PCR, RT PCR), d’EPI et d’équipements de
laboratoire (env. 2010).
Opérationnel

Situé à Katmandou

Tests de laboratoire pour HPAI, rage,
Newcastle, peste des petites ruminants, Infectious bursar disease,
bactéries, etc.
Nicaragua BSL-3
Pas de BSAT
Laboratoire de diagnostic
vétérinaire, Min Ag
Sources des États-Unis, de l’UE et
d’El Salvador, mais pas de date/montant
Opérationnel Analyse et diagnostic de produits
vétérinaires et alimentaires
Nigeria 10 BSL-3 avec de nombreux BSAT
endémiques (par exemple, Ebola, Lassa)
Les instituts sont universitaires,
Min Ag, Lagos State Min Health, Mainland Hospital
Programme GPP d’Affaires mondiales
Canada et de nombreux autres engagements et bailleurs de fonds
possibles
Opérationnel, un vient de se terminer Centre national de la grippe de
l’OMS, centre de référence de l’OMS pour les arbovirus ; 
épidémiologie, surveillance, isolement, diagnostic, caractérisation et
recherche des virus humains et animaux. 
Capacité à gérer des agents pathogènes inconnus ; 
PCR, séquençage ; 
laboratoire de référence/collection de cultures (TB/VIH), biobanque
BSL-2 Min Ag, État de Lagos Min Health Programme MPE d’Affaires mondiales
Canada
Vient de terminer Surveillance et diagnostic des
maladies humaines et animales
Pakistan 5 BSL-3, 2 avec BSAT (B.
anthracis); 
6 BSL-3 inconnu
Académique, commercial, médical, Min
Ag, Min Health, MIL ?
Centre collaborateur de l’OMS pour la
recherche et la formation en diagnostic viral ; 
Aucune information sur le financement ou les engagements
5 opérationnel 6 inconnu, ou en
planification/construction
Recherche sur la résistance aux
antimicrobiens et les infections virales et bactériennes
émergentes ; 
collection culturelle; 
diagnostic clinique humain et animal; 
Laboratoire de référence de la tuberculose
Philippines 3 BSL-3, 1 avec BSAT (B. melitensis)
6 inconnu
Académique, Gouvernement/MIL, Min
Santé
Les informations de financement sont
en grande partie vides ; 
Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme
(Japon, 2011)
3 opérationnels 6 BSL inconnus, en
construction ou non collectés
Laboratoire de référence/Collection
de cultures, diagnostic de maladies humaines.
BSL-2 Centre de santé animale des
Philippines, Min Ag
Matériel PNUD/FAO fourni 2007-2009 Opérationnel Laboratoire de référence vétérinaire
Quezon City
Sénégal BSL-3
BSAT Inconnu
Institut Pasteur de Dakar, Min Santé Centre collaborateur de l’OMS pour
les arbovirus et les FHV ; 
Laboratoire national de l’OMS pour la grippe, la rougeole et la
poliomyélite. 
Financement du programme FEDER du gouvernement français et de
l’UE ; 
Financement inconnu de l’Institut Pasteur, OMS
Opérationnel (2016) Diagnostic, traitement et vaccination
des arbovirus, FHV et entérovirus ; 
Laboratoire de référence/Collection de cultures
Sierra Leone BSL-3
2 BSAT (EBOV spp, Lassa)
Hôpital gouvernemental de Kenema,
laboratoire de la fièvre hémorragique virale
Collaboration significative avec US
CDC, USAMRIID, universités et entreprises; 
Fondations britanniques. 
Financement récent inconnu
Opérationnel Diagnostic et traitement de la fièvre
de Lassa et d’autres maladies
BSL-3
Pas de BSAT
Laboratoire Central de Référence de
Santé Publique
Montant/année de financement inconnu Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures pour le VIH et autres
BSL-3
BSAT inconnu
Conteneur mobile chinois BSL-3 Lab (3
conteneurs)
??? Opérationnel Diagnostic VHF
Sri Lanka BSL-3
1 BSAT (Y. pestis)

3 autres entrées sans données

Institut de recherche médicale,
Colombo, Min Health
Aucun répertorié Le site Web peu clair indique à la
fois non opérationnel et opérationnel
Inconnue
Syrie BSL-3
1 BSAT (B. abortus)
Commission de l’énergie atomique de
Syrie ; 
Gouvernement/MIL
Montant/année de financement inconnu Opérationnel à Damas Travail sur la bactérie Brucella
Tadjikistan BSL-3
Pas de BSAT
Laboratoire National de Référence de
Santé Publique ; 
Santé minimale
Fonds mondial de lutte contre le
sida, la tuberculose et le paludisme (2013)
Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures Tests moléculaires et de culture pour les maladies virales
et bactériennes
BSL-3
Pas de BSAT
Laboratoire national de référence de
la tuberculose ; 
Santé minimale
Aucun financement décrit Opérationnel À l’hôpital Machiton ; 
Laboratoire de référence/Collection de cultures diagnostiques de la
tuberculose, du VIH, du paludisme, etc.
Tanzanie 8 BSL-3
2 avec BSAT (virus de la FVR, Y. pestis, B. anthracis, peste bovine)
Min Santé, Min Ag, Hôpital,
Commercial,
Montant/année de financement inconnu 7 opérationnels 1 prévu (a BSAT) Laboratoire de référence/Collection
de cultures ; 
Surveillance de la fièvre de la Vallée du Rift, du H1N1 et de la
dengue, diagnostic des maladies humaines et animales
Ouganda BSL-2 Institut des maladies infectieuses de
l’Université de Makerere, universitaire
Montant/année de financement inconnu Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures, diagnostic VIH/TB
BSL-3
Pas de BSAT
UVRI; 
Conseil de la recherche médicale
Montant/année de financement
inconnu ; 
CDC
Opérationnel Hôpital; 
VIH/SIDA; 
Programme VHF (sérologie, PCR, séquençage limité)
6 BSL-3
Pas de BSAT
Min Ag, Min Santé Certains bailleurs de fonds
répertoriés : USAID, Global Fund, UK Medical Research Council,
Gates Foundation
Inconnu, construction, non collecté Laboratoire de référence, hôpital,
collection de cultures
Ukraine 4 BSL-3
4 avec BSAT (B. anthracis, Y. pestis, F. tularensis, B. abortus, virus
Guanarito)
(Une partie du programme d’armement
FSU). 
Santé minimale
Aucun financement décrit Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures, recherche bactériologique et arbovirose, surveillance des
maladies « peste »
Viêt Nam BSL-3
Pas de BSAT
Institut National d’Hygiène et
d’Epidémiologie Min Santé
JICA (2008), OMS, Le Fonds mondial Opérationnel Laboratoire de référence/Collection
de cultures, prévention et contrôle des maladies humaines
BSL-3 et SAPO 4 Probablement BSAT Laboratoire de référence de
virologie, Min Health
Wellcome Trust, l’ASPC du Canada et
le HHS des États-Unis fournissent du personnel
Opérationnel À l’unité de recherche clinique de
l’Université d’Oxford ; 
diagnostic/recherche prévu sur la tuberculose, la grippe, la rage, la
fièvre aphteuse, le virus TBE, le CHIKV, les virus corona de la
chauve-souris
3 autres (1 BSL-3 avec BSAT- Y.
pestis)
Min Santé, Université, inconnu Inconnue Inconnue Inconnue
BSL-2
BSAT inconnu
Laboratoire central de recherche
vétérinaire, Min Ag
OIE Opérationnel À l’Université d’agriculture de
Hanoï ; 
laboratoire de référence et de diagnostic en santé animale
Cisjordanie alias Palestine BSL-3
Pas de BSAT
PCPHL ; 
Min Health (peut avoir des liens MIL, travailler sur Rad Protection)
Agence Française de Développement
(2011)
Opérationnel Diagnostic humain d’organismes
hautement pathogènes (c’est-à-dire la tuberculose)
Zambie 6 BSL-3
1 avec BSAT (B. anthracis, Y. pestis, C. burnetii, Ebola Zaïre)
Les instituts sont universitaires,
école vétérinaire et hôpital/clinique
Laboratoires de conteneurs « gérés »
par The Zambia AIDS Related Tuberculosis Project, affilié à l’École de
médecine de l’Université de Zambie et à la London School of Hygiene
& Tropical Medicine ; 
aucune mention de financement
Opérationnels 4 sur 6 sont des
laboratoires de conteneurs modulaires de 40 pieds (ZamLab)
Surveillance et diagnostic des virus
de la fièvre hémorragique, de la tuberculose, du bacille de la peste,
du trypanosome ; 
Laboratoire de référence/Collection de cultures
Zimbabwe 1 BSL-3
Pas de BSAT connu 3 BSL-3 possible (pas de détails)
Laboratoire national de référence de
la tuberculose, Min Health
Aucun financement décrit Opérationnel Laboratoire national de
référence/Collection de cultures, fonctionne avec la tuberculose
multirésistante/ultrarésistante, le VIH

a
BSL indique que BSL-2 est inclus s’il n’y a pas de BSL-3 connu.
b
Noms du ou des laboratoires et affiliation (universitaire, commercial,
agricole, militaire, hospitalier)
c
Donateur payant pour le laboratoire/opérations, dernière date de
versement des fonds ;
spécialités (centre OMS TB, Polio, grippe, etc.)
d
Statut : opérationnel, non opérationnel, inconnu.

REMARQUES : Bien que des informations soient disponibles sur les
programmes de laboratoire dans plusieurs autres pays qui ne sont pas
répertoriés comme pays à faible revenu ou à revenu faible à
intermédiaire par la Banque mondiale, tels que la Jordanie et
Trinité-et-Tobago, il a été décidé de limiter la portée des cette liste
indicative.

Abréviations :
BLRI,
Institut de recherche sur l’élevage du Bangladesh
BSAT,
Agents biologiques sélectionnés et toxines
CDIL,
Laboratoire central d’investigation des maladies, Dhaka Bangladesh
CPHL,
Laboratoires centraux de santé publique
FMPOS,
Faculté de médecine, de pharmacie et d’odonto-stomatologie
GHESKIO,
Institut des Maladies Infectieuses et de la Santé de la Reproduction,
Groupe Haïtien d’Etude du Sarcome de Kaposi et des Infections
Opportunistes
icddr,b,
Centre international de recherche sur les maladies diarrhéiques,
Bangladesh
IEDCR,
Institut d’épidémiologie, de contrôle des maladies et de recherche,
Bangladesh
INRB,
Institut national de recherche biomédicale
IP, C,
Institut Pasteur au Cambodge
IP, Cd’I,
Institut Pasteur de Côte d’Ivoire
MDC,
Centre de dépôt microbien
MIRCEN,
Collection égyptienne de cultures microbiennes, Centre de ressources
microbiologiques du Caire
MVDL,
Laboratoire de diagnostic vétérinaire de Mandalay
NaVRI,
Institut national de recherche vétérinaire
PC,C,
Centre Pasteur, Cameroun
PCPHL,
Laboratoire central palestinien de santé publique
UVRI,
Institut ougandais de recherche sur les virus
YNRL,
Laboratoire national de référence de Yangon.




Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques !

Par le Dr Gérard Delépine

Mise à jour de la bibliographie internationale sur les masques

Le spectacle affligeant du port de masques par des personnes seules en voiture, ou à vélo ou faisant seules leur jogging désole et témoigne de la persistance de la peur créée et entretenue par le gouvernement et les médias depuis deux ans, et de l’ignorance sur l’inefficacité anti-covid et sur les dangers propres du masque.

Mais le plus affligeant et éthiquement scandaleux est de constater que certains professionnels de santé refusent d’examiner des malades et de les traiter s’ils ne portent pas de masque et que certains n’hésitent pas à leur mentir en prétendant que c’est le gouvernement qui l’impose.

Rappelons les consignes officielles actuelles (18/6/2022) du gouvernement

consultable à Obligation de port du masque : quelles sont les règles ?

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F35351 :

« Depuis le 14 mars 2022, il n’y a plus d’obligation de port du masque en intérieur.

Néanmoins, il y a une exception pour les établissements de santé et établissement médico-sociaux.

En effet, le port du masque peut être imposé pour les personnes de plus 6 ans par les responsables des structures ou locaux professionnels lieux suivants :

  • Hôpitaux, cliniques, centres de santé
  • Cabinets des professionnels médicaux et des psychologues, ostéopathes, chiropraticiens et psychothérapeutes
  • Officines de pharmacie
  • Laboratoires d’analyses médicales
  • EHPAD
  • Domiciles des personnes âgées ou handicapées qui reçoivent des soins »

[Capture PDF de la page :]

Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine(([1] Xiao J, Shiu E, Gao H, Wong JY, Fong MW, Ryu S, et al. Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings—Personal Protective and Environmental Measures. Emerg Infect Dis. 2020;26(5):967-975. https://doi.org/10.3201/eid2605.190994)) et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité(([2] Organisation Mondiale de la Santé. Conseils sur l’utilisation des masques dans le contexte de la COVID-19 : Orientations provisoires 6 avril 2020. :
https://apps.who.int/iris/handle/10665/331693)), attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations(([3] https://www.un.org/fr/coronavirus/articles/recommandations-port-du-masque)) s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous prétexte (faux) qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq19(([4] Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. 2021 Mar;174(3):335-343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub 2020 Nov
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/)) ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Le port du masque est source de nombreuses complications

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients(([5] hu DK, Akl EA, Duda S, Solo K, Yaacoub S, Schünemann HJ; COVID-19 Systematic Urgent Review Group Effort (SURGE)s. Physical distancing, face masks, and eye protection to prevent person-to-person transmission of SARS-CoV-2 and COVID-19: a systematic review and meta-analysis. Lancet. 2020 Jun 27;395(10242):1973-1987. doi: 10.1016/S0140-6736(20)31142-9. Epub 2020 Jun 1. PMID : 32497510 ; PMCID : PMC7263814.)) : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque,(([6] Zhang R, Li Y, Zhang AL, Wang Y, Molina MJ. Identification de la transmission aérienne comme principale voie de propagation de la COVID-19. Proc Natl Acad Sci USA. (2020) 117 : 14857–63. 10.1073/pnas.2009637117)) a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society(([7] Yu J, Chen JK, Mowad CM, Reeder M, Hylwa S, Chisolm S, Dunnick CA, Goldminz AM, Jacob SE, Wu PA, Zippin J, Atwater AR. Occupational dermatitis to facial personal protective equipment in health care workers: A systematic review. J Am Acad Dermatol. 2021 Feb;84(2):486-494. doi: 10.1016/j.jaad.2020.09.074. Epub 2020 Oct 1. PMID : 33011325 ; PMCID : PMC7528888.)) met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente(([8] Rudd E, Walsh S. Mask related acne (“maskne”) and other facial dermatoses. BMJ. 2021 Jun 7;373:n1304. doi : 10.1136/bmj.n1304. PMID: 34099456.)). Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI.

L’étude coréenne de Choi SY(([9] Choi SY, Hong JY, Kim HJ, Lee GY, Cheong SH, Jung HJ, Bang CH, Lee DH, Jue MS, Kim HO, Park EJ, Ko JY, Son SW. Mask-induced dermatoses during the COVID-19 pandemic: a questionnaire-based study in 12 Korean hospitals. Clin Exp Dermatol. 2021 Dec;46(8):1504-1510. doi: 10.1111/ced.14776. Epub 2021 Aug 4. PMID: 34081799; PMCID: PMC8239570.)) précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.

Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.(([10] Echasatian L, Lebsing S, Uppala R, Thaowandee W, Chaiyarit J, Supakunpinyo C, Panombualert S, Mairiang D, Saengnipanthkul S, Wichajarn K, Kiatchoosakun P, Kosalaraksa P. The Effects of the Face Mask on the Skin Underneath: A Prospective Survey During the COVID-19 Pandemic. J Prim Care Community Health. 2020 Jan-Dec;11:2150132720966167. doi: 10.1177/2150132720966167. PMID: 33084483; PMCID: PMC7786409.))

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all(([11] Beder A, Büyükkoçak U, Sabuncuoğlu H, Keskil ZA, Keskil S. Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery. Neurocirugia (Astur). 2008 Apr;19(2):121-6. doi: 10.1016/s1130-1473(08)70235-5. PMID: 18500410.)) ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs(([12] Kisielinski K, Giboni P, Prescher A, Klosterhalfen B, Graessel D, Funken S, Kempski O, Hirsch O. Is a Mask That Covers the Mouth and Nose Free from Undesirable Side Effects in Everyday Use and Free of Potential Hazards? Int J Environ Res Public Health. 2021 Apr 20;18(8):4344. doi : 10.3390/ijerph18084344.)) montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs(([13] Tsantani M, Podgajecka V, Gray KLH, Cook R. Comment la présence d’un masque facial chirurgical altère-t-elle l’intensité perçue des émotions faciales ?. PLoS One. 2022;17(1):e0262344. Publié le 13 janvier 2022. doi : 10.1371/journal.pone.0262344)) montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise(([14] Marler H, Ditton A. « I’m smiling back at you » : Exploring the impact of mask wearing on communication in healthcare. Int J Lang Commun Disord. 2021 Jan;56(1):205-214. doi: 10.1111/1460-6984.12578. Epub 2020 Oct 10. PMID : 33038046 ; PMCID : PMC7675237.)), ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste a un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques(([15] Et les complications psychologiques, sociales, scolaires, physiques sont légion. Voir « les enfants sacrifiés du covid » par G et N Delépine, éditions Fauves, janvier 2022.))

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.(([16] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/confinement/il-ne-me-reconnaissait-plus-avec-le-masque-la-crise-du-covid-19-bouleverse-le-quotidien-des-services-pedopsychiatriques_4276445.html))(([17] Masques obligatoires, jeunesse et enseignement, des dangers sous-estimés — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Les troubles psychologiques et psychiatriques(([18] Le masque, baillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui19.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress d’abord constaté en Chine(([20] Cao W., Fang Z., Hou G., Han M., Xu X., Dong J. L’impact psychologique de l’épidémie de COVID-19 sur les étudiants en Chine. Psychiatrie Res. 2020 [112934))(([21] Wang C., Pan R., Wan X., Tan Y., Xu L., Ho C. Réponses psychologiques immédiates et facteurs associés au stade initial de l’épidémie de maladie à coronavirus de 2019 (COVID-19) dans la population générale en Chine. Int J Environ Res Public Health. 2020))(([22] Zhang S., Wang Y., Rauch A., Wei F. Perturbation sans précédent de la vie et du travail : santé, détresse et satisfaction de vivre des adultes qui travaillent en Chine un mois après le début de l’épidémie de COVID-19. Psychiatrie Res. 2020 [112958)) s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés(([23] Port du masque et troubles chez les enfants : le constat édifiant de Marie-Estelle Dupont
https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/sante/port-du-masque-et-troubles-chez-les-enfants-le-constat-edifiant-de-marie-estelle-dupont)) et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.(([24] Santepubliquefrance.fr/dossiers/coronavirus-covid-19/enjeux-de-sante-dans-le-contexte-de-la-covid-19/articles/sante-mentale-et-covid-19))

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française(([25] https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/devoirs-droits/serment-dhippocrate)):

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, denationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils ont encore peur qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine !





Si vous êtes envahi par les fourmis, plus besoin d’insecticide, un portable suffit !

.

[Voir aussi le dossier
5G et ondes pulsées]

.




Armageddon au Royaume de France — les Français ont voté

Par Alain Tortosa

À en croire les médias et la cour, et je veux bien les croire, la France a basculé dans la pénombre ce dimanche 19 juin de l’an VI après le sacre de notre bon Roi Emmanuel Le Vaillant.

Nous vivons des heures graves et nul ne sait si notre pays pourra s’en relever.

Je vous rappelle que les Français ont voté, oui, je ne plaisante pas, ils ont osé ! Bon il faut garder raison, la moitié d’entre eux étaient restés chez belle maman pour le gigot flageolet du dimanche, mais de toute évidence, pas les bons !

Les médias ne se sont pas trompés (après coup) et ont jaugé l’ampleur du drame. J’imagine la sidération des pauvres journalistes face à un tel séisme. Citons la une de Libé « La gifle » horrifié par l’élection de 130 députés dits « de gauche » dont l’homogénéité a contraint les iel-le-les-e-s-it-x à ajouter de nouvelles couleurs à l’arc-en-ciel.

Ceci ne peut que nous replonger dans les heures les plus noires de l’histoire de France, le vote de 2005. Rappelons que ce référendum sur la création d’une constitution s’est soldé par la victoire du non, plongeant tous les saints hommes de notre planète (Soros, Schwab…) dans une déprime profonde.

Mais gardons espoir mes frères, sœurs, neutres, amphibiens, zoophiles et indéterminés… l’avenir n’est pas forcément jonché de démocratie et d’autodétermination des peuples !

Les voies du saigneur(([1] Ce n’est pas une faute de frappe.)) sont impénétrables !

Comme les Français avaient mal voté, on a recommencé, et cette fois-ci en supprimant des textes toutes les avancées démocratiques pour ne laisser que les volets économiques.

Il n’est pas utopique de supposer que nos maîtres à dé-penser sont d’ores et déjà en train d’imaginer un dénouement heureux à ce drame.

Bien que la plaie soit encore purulente, je me dois de revenir sur l’événement. Des journalistes ont résumé la situation nous indiquant que le gouvernement devrait désormais « subir » un parlement.

Je ne suis pas certain que vous soyez tous conscients de l’horreur et du délire que nous vivons. Si nous n’agissons pas au plus vite le parlement pourrait décider des lois qui vont voir le jour !

Comment ne pas s’indigner avec force alors que les Français ont illégitimement décidé de choisir leurs représentants à la chambre des députés !

Notre grande PremièrE ministre ne s’est pas trompée. Il faut dire qu’elle ne se trompe jamais, toujours présente pour défendre les intérêts de la nation et de son peuple. Celle-ci a déclaré : « il y a un risque pour notre pays ».

Quelle clairvoyance, mais en même temps quelle banalité ! Évidemment si on permet aux électeurs de décider de l’avenir du pays !

Ce n’est pas pour rien que l’on a inventé la démocratie, les élections, les partis, les médias subventionnés, Hanouna et la Cinquième République, bordel de merde ! L’objectif était unique : empêcher le peuple irresponsable et débile de décider !

Mais dans notre cas de figure, nous sommes aussi face à de l’incompétence, de la faute professionnelle.

C’est quoi ces conneries si une partie du peuple vote et qu’en plus on ne truque pas (ou peu) les résultats ? Mais merde, à quoi bon avoir des Conseils d’État, des Conseils constitutionnels, des résultats stockés sur des serveurs aux USA, si c’est pour laisser les électeurs décider ?!

Typiquement le genre d’incompétence qui me fout les boules.

Bon pour le coup, notre grand Roi n’est pas tout propre…

Pendant que les sans-dents votaient, Mossieur le jeune premier flirtait à Kiev avec le beau Zelenski(([2] https://www.huffingtonpost.fr/entry/photo-macron-zelensky-a-kiev-vaut-detournement_fr_62ac7268e4b06594c1d555d0)) délaissant le pauvre Trudeau.(([3] https://www.publicsenat.fr/article/politique/macron-et-trudeau-pour-un-multilateralisme-fort-avant-un-g7-difficile-86692))

(La femme de Zelenski étant partie passer quelques jours dans une de ses villas de millionnaires en Italie(([4] https://www.lanazione.it/viareggio/cronaca/zelensky-forte-dei-marmi-1.7794120)), repos bien mérité avec toute la souffrance qu’elle endure, la pauvre, à cause de l’enculé de Poutine.)

Notre Président, notre guide suprême, notre lumière parmi les lumières vit une histoire d’amour et pendant ce temps là, les moutons font des conneries en son absence.

Il faut dire que certains Français ont du mal à faire le lien entre le prix du kilo de tomate, des sardines à l’huile et la guerre en Ukraine. Sans compter l’épisode pilote de la variole du singe qui a fait un flop… mauvais teaser, mauvaise reprise par les médias, scénario dévoilé avec sentiment de plagiat, etc.

J’espère que l’on va pouvoir se rattraper avec le réchauffement climatique et prions notre Dieu Chemtrail que la vague de chaleur ne soit pas suivie d’une vague de froid comme au Pérou(([5] https://www.courrierinternational.com/article/climat-le-perou-touche-par-une-vague-de-froid-exceptionnelle)) touché par un refroidissement exceptionnel.

Mais merde, que fait Lucifer ? On fait notre possible, on cherche à fabriquer des hommes enceintes, on légalise l’avortement jusqu’à la naissance, on vend des pièces détachées d’enfants, on les viole, peut-être même qu’on les tue et qu’on les bouffe… On fait notre possible et c’est comme ça que nous sommes récompensés ?!

Moi qui pensais que c’était Dieu l’enculé, j’en viendrais à douter et me demanderais si Lucifer est si sympa qu’il y paraît.

Bon, Macron cherche à rattraper le coup en invitant Jack Lang(([6] https://www.ouest-france.fr/festivals/fete-de-la-musique/fete-de-la-musique-emmanuel-macron-remercie-jack-lang-pour-avoir-cree-l-evenement-il-y-a-40-ans-4bdad352-f19c-11ec-87d0-35a1f71d923f)) à la fête païenne des Saturnales(([7] https://www.france24.com/fr/20160620-fete-musique-jack-lang-createur))(([8] https://www.cnrtl.fr/definition/saturnales)) et en le remerciant pour son œuvre, mais c’est un peu léger.

Notons que les Saturnales (ce que semble ignorer M. Lang) étaient des sortes d’orgies, de débauche où tout était permis. D’aucuns soulignent qu’elles se terminaient par le sacrifice humain(([9] https://www.decitre.fr/livres/rois-ephemeres-9782830915006.html)) du roi éphémère de la fête. Pour la petite histoire, Saturne est l’équivalent romain du Dieu grec Cronos(([10] https://fr.tipeee.com/raconte-moi-l-histoire/news/44079)) qui était cannibale et mangeait ses enfants. Comme quoi dans la vie, il y a de sacrées coïncidences…

Et en ce moment les conneries on les enchaîne. Bon je suis un peu injuste, mais pardonnez ma colère, j’angoisse pour l’avenir. Imaginez que l’on bascule dans un système démocratique, quelle horreur !

Il est vrai que tout n’est pas pourri, loin de là. Darmanin et Abad((]11] https://www.nouvelobs.com/elections-legislatives-2022/20220615.OBS59727/darmanin-abad-blein-ces-candidats-accuses-de-violences-sexuelles-et-sexistes-presents-au-second-tour-des-legislatives.html)), tous deux accusés de viol, mais présumés innocents, ont été réélus. Sans compter sur notre ancien ministre de la santé, M. Veran(([12] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-la-cjr-classe-sans-suite-pres-de-20-000-plaintes-contre-des-ministres-70814216-7d3b-11ec-94d8-f8316f0f985f)) pour laquelle la justice avait classé 20 000 plaintes injustes contre lui et Castex ! N’oubliant pas le petit Attal qui serait surnommé « the toy » qui a été plébiscité dans les Hauts de Seine.

Ne baissons pas les bras, un appel d’offre pour des postes de pute a été lancé pour recruter des députés de l’opposition et leur apprendre à « bien » voter. De nombreux républicains sont sur les rangs avec l’appel de Copé à un léchage de cul généralisé.

Sans compter que nous fêtons enfin l’autorisation tant attendue d’injecter les enfants à partir de 6 mois, « tous vaccinés, tous protégés ». Il ne faut pas l’oublier même si les enfants en bonne santé ne font JAMAIS de forme grave, que l’injection n’empêche PAS la transmission, que les vaccinés sont les PLUS contaminés et sans compter les effets secondaires bénins qui ne peuvent que conduire à la mort.

Alors, laissez les crétins se réjouir de leur « victoire », laissez les cigales chanter tout l’été, la fourmi vous montrera les résultats de son travail dès la rentrée.

Merci.

Alain Tortosa

22 juin 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220622-seisme-electoral.pdf