Les pleins pouvoirs donnés à la HAS par le nouveau parlement témoin de son incroyable inconscience

Par Nicole et Gérard Delépine

Faites-vous nommer présidente de la HAS vous serez payé 210 197 euros par an à condition de ne pas déplaire au président qui vous nomme.

Volet 2 suite de :
HONTE À LA HAS, ÉMANATION DU POUVOIR, DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) volet 1 par Gérard Delépine


À l’ouest, rien de nouveau. La libération totale viendra probablement de l’Italie ou de la Grande-Bretagne pendant que les Français continuent de se faire berner par les puissants et leurs experts pourris de conflits d’intérêts. Les concitoyens (occupés par les TV sur port de la cravate ou non) restent aveugles et sourds à la réalité du terrain, aux multiples raisons scientifiques réelles de refuser le pseudo vaccin et aux énormes raisons pragmatiques de laisser revenir sur le terrain sanitaire les soignants fidèles à Hippocrate, pour ceux qui voudront bien qui nous pardonner et ne sont pas encore partis à l’étranger ou dans des métiers extra sanitaires ou leurs qualités sont mieux reconnues.

Les RAISONS OBJECTIVES POUR LA RÉINTÉGRATION

L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le pseudovax n’a pas ralenti l’épidémie

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné depuis plus de cinq mois a été initialement observée au Royaume-Uni :

Mais elle a aussi été constatée en France :

Et pendant ce temps-là, ceux qui en ont besoin se plaignent de ne pas être reçus à l’hôpital ou en ville dans des délais qui les mettent en danger, et de la dégradation vertigineuse du système de soins et se voient encore obligés d’exhiber un pass et/ou un test (bidon)(([1] La mystification des tests PCR continue en France via le Sénat et ruine la sécurité sociale — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et même un masque.(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Personne ne manifeste devant les hôpitaux ou les cliniques ni les EHPAD refusant les malades ou les visiteurs sans pass jusqu’à aujourd’hui alors que chacun devrait savoir s’il regarde les faits avérés, que ce vax ne protège de rien et que des soignants positifs, même symptomatiques sont autorisés à travailler dans ces mêmes établissements de soins. Mais un polémiste(([3] Patrick Pelloux qui commence à mesurer les désastres de la politique qu’il soutient depuis de longues années.)) a avoué qu’il s’agissait de les « punir » !

Enfin, grâce à la nouvelle loi sanitaire nous sortirons Le 1er août prochain de l’état d’urgence sanitaire et le gouvernement devra prendre en compte l’avis du Parlement pour toute nouvelle mesure restrictive de nos libertés qu’il souhaiterait prétextant l’apparition de nouveaux variants viraux ou toute autre excuse (moneypox et non monkeypox, etc..).

Malheureusement, la propagande de la peur, voire de la panique, se poursuit, et le gouvernement — via les mensonges répétés du Premier ministre, Mme Borne, celle qui vapote à l’assemblée, ou du nouveau ministre urgentiste et d’autres — continue à répéter comme un mantra que « les vaccins mêmes peu efficaces sont ce qu’il y a de mieux. » Oubliant une nouvelle fois les traitements précoces efficaces.

Les mondialistes voudraient tous nous injecter pour réussir leur dépopulation. « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Titre de notre livre paru en janvier 2022 chez Fauves éditions.)) sont dans le collimateur des puissants. C’est à nous tous de répéter les évidences démontrées maintes fois, les enfants ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus. En revanche ils sont exposés aux effets secondaires des injections géniques, quelles qu’elles soient, y compris les nouveaux pseudovax dont on vous fera croire qu’ils sont sans danger. Comme les Pfizer ou Moderna, ils sont en expérimentation et sans recul. Vigilance !

COMME TROP D’ALLEMANDS DURANT LE RÉGIME NAZI et TROP DE FRANÇAIS PENDANT L’OCCUPATION, TROP DE NOS CONCITOYENS SONT À LA FOIS VICTIMES ET BOURREAUX (PAR LEUR TOLÉRANCE À L’INTOLÉRABLE).

Le gouvernement et les agences mentent quand ils prétendent que les pseudo vaccins protègent des formes graves alors que les chiffres officiels et l’OMS prouvent qu’ils sont suivis d’une surmortalité importante.

Mais ne comprennent-ils pas que derrière les soignants vaccino prudents suspendus de l’ordre de 15 000 (transformés en dix fois moins par nos menteurs permanents) se greffent ceux qui n’en pouvant plus de cette gouvernance dictatoriale qui nie leur vocation sont partis à la retraite plus tôt que prévu, souffrent d’arrêts maladie à rallonge, se sont mis en disponibilité ou ont démissionné. Le monde dit médical est devenu invivable et plutôt qu’applaudir les soignants sur injonction du gouvernement au printemps 2020 il vaudrait mieux les défendre aujourd’hui vraiment par tous moyens, manifestations, lettres aux élus, et rendez-vous, pétitions monstres, etc.. Et si nos concitoyens ne font rien, qu’ils ne viennent pas se plaindre de l’absence de soins par absence de soignants. Ces courageux qui ont mis leur carrière, leur maison et parfois leur famille en jeu pour vous avertir par un signal fort du danger des injections expérimentales deviennent des Héros.(([5] Ils auraient pu tricher comme cela a été démontré pour des puissants espagnols, stars, politiques, etc. Ils ont choisi d’informer et c’est probablement la principale crainte du pouvoir s’il les réintégrait… Qu’ils parlent du vrai monde.))(([6] https://odysee.com/@FabienMoineExuvieTV:9/soignants-suspendus-alexandra-henrion:9))

On laisse brûler nos forêts et des pompiers sont interdits de travail, pour ne pas contaminer les arbres ? La canicule bloque-t-elle le bon sens ou son expression ?

La France, pays des scandales passés inaperçus ou tolérés… depuis tant d’années : Alstom, EDF, Uberfiles, McKinsey, Cap Gemini, etc. Peu importe, on continue… Bah, voyons…

Le Sénat pour ne pas déplaire à la Macronie donne les pleins pouvoirs à la HAS, oubliant les avis désastreux de la HAS dans tous les scandales sanitaires récents : Médiator, Dépakine, Vioxx, Levothyrox…

Publié le 24 juillet 2022 par pgibertie

La HAS a été créée par la loi du 13 août 2004 relative à l’Assurance maladie. Le premier président de la HAS a été le PR Laurent Degos, grand dirigeant tout puissant de l’hématologie de Saint Louis dans une APHP encore florissante, entre 2005 et 2010, puis son alter ego nantais Jean-Luc Harousseau.

Depuis plus de deux décennies, les liens sont forts entre ces professeurs de faculté à la tête de gros laboratoires pratiquant les PPP (partenariat public privé en toute légalité) et l’industrie du médicament. Mme la Professeur Le Guludec connaît bien le monde de la recherche, puisqu’elle est la sponsor principale via l’INSERM (dont on a démontré l’absence d’indépendance), d’essais thérapeutiques en collaboration avec Oncology Clinical Trials | AAA (adacap.com).(([7] As part of the development process, our investigational radioligand products are evaluated in clinical trials to find new and better ways to image and treat disease. These studies are sponsored by Advanced Accelerator Applications (AAA).))(([8] Assessment of Radiolabeled rhAnnexin V-128 in Infective Endocarditis—Full Text View—ClinicalTrials.gov par exemple.)) Ses conventions affichées sur transparence santé, le site du gouvernement, sont aussi légales sans qu’on en connaisse les détails, mais montrent ses liens avec Pfizer ce qui aurait dû la disqualifier comme juge arbitre des problèmes covid19.

Tout ceci est légal, mais témoigne pour le moins de l’absence d’indépendance et ce type de profil à la tête des agences médicales devraient être interdit pour qu’elles soient dirigées par de véritables indépendants, perle rare tant l’organisation actuelle de la médecine mise en place à la fin du siècle dernier a rendu très difficile l’indépendance des chercheurs et médecins.

Le président de la République avait nommé le Pr Agnès Buzyn(([9] Recasée à l’OMS en Suisse et protégée des plaintes contre elle par son statut diplomatique.)), membre et présidente du collège, pour remplacer le Professeur nantais, par décret du 5 mars 2016. Elle avait été renouvelée dans ses fonctions pour un mandat de six ans par le décret du 7 avril 2017. À la suite de sa nomination comme ministre des Solidarités et de la Santé, elle a été remplacée par Dominique Le Guludec à compter du 4 décembre 2017, proposé par E. Macron. Mme Buzyn avait clairement suggéré à sa prise de fonction à l’institut du cancer quelques années plutôt que « les médecins qui n’ont pas de liens directs et forts avec l’industrie sont probablement incompétents ». En tous cas, ils sont peu nombreux, ignorés des médias et de nos politiques et jamais appelés aux responsabilités de l’état.

TOUS NOMMÉS PAR LE POUVOIR : ET PRÉTENDUS INDÉPENDANTS !

LA HAS, APPENDICE DU POUVOIR POLITIQUE, A FAIT PREUVE DE SES DANGEREUX LIENS AVEC L’INDUSTRIE DU MÉDICAMENT

« Avec du recul, nous nous apercevons que les leçons du passé concernant les scandales sanitaires n’ont pas servi et que la société répète les mêmes situations sans que la population en prenne conscience pour provoquer une réaction beaucoup plus rapide.

Normalement, les instituts de veille sanitaire, les comités de pharmacovigilance et d’autres structures de surveillance de santé devraient permettre de réagir rapidement.

Or, en réalité et en étudiant depuis un peu plus d’un siècle la longue histoire des scandales sanitaires, on s’aperçoit que les structures prévues pour réagir ne font rien pour anticiper et réagir rapidement à des situations préoccupantes ».(([10] Nous avons traité dans la face cachée du médicament (ND Éditions Michalon 2011) à la suite du procès mediator la longue suite de drames liés à l’aveuglement du pouvoir face aux intérêts des labos. À commencer par la thalidomide et les enfants sans membres ou le Distilbène dont les victimes se comptent encore à la quatrième génération, etc..
La face cachée des médicaments — L’influx (linflux.com) ))

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/220717/la-longue-histoire-des-scandales-sanitaires-en-france »

QUELQUES EXEMPLES :

HAS ET MÉDIATOR

La HAS a refusé de voir les dangers du Médiator : pas de dénonciation des effets secondaires mortels, simple refus de mieux le faire prendre en charge par la sécu, mais pas de déremboursement

HAS ET DEPAKINE et de nombreux handicapés à vie en laissant sur le marché le médicament pour les femmes enceintes alors qu’on savait depuis de nombreuses années sans que la HAS s’en préoccupe

HAS ET VIOXX

SCANDALE VIOXX CELEBREX/service médical rendu… Même aveuglement pour le Vioxx, une molécule anti-inflammatoire sur le marché entre 1999 et 2004 provoquant aux USA 27 785 décès impliquant le laboratoire Merck sans compter le monde entier ! Retiré du marché par le labo et jamais par nos instances chargées de notre sécurité sanitaire. D’ailleurs le Celebrex est toujours là en 2022 en France…

HAS ET CHANGEMENT DE LEVOTHYROX/AVIS FAVORABLE

Plusieurs milliers de patients traités avec la nouvelle formule du Levothyrox, indiqué pour troubles de la thyroïde, se sont plaints de lourds effets secondaires (maux de tête, vertiges, insomnies…) Ils ont porté plainte contre Merck en première instance, en mars 2019. Ils ont d’abord été diabolisés par les médecins incompétents ou complices, les habituels anticomplotistes qui les ont traités de tous les noms d’oiseaux… L’histoire se répète.

Nous avions cité dans le livre « La face cachée des médicaments »(([11] N Delepine 2011, Éd. Michalon.)) la thèse de doctorat de Louis-Adrien Delarue démontrant qu’au moins quatre recommandations de la HAS émises entre 2006 et 2008 sont erronées.

Il a étudié trois classes de médicaments utilisées pour soigner le diabète de type 2, la maladie d’Alzheimer et certains troubles articulaires. Ces pathologies fréquentes font l’objet de préconisations dans quatre guides de la HAS. « Les biais sont multiples », selon la thèse :

« Études scientifiques omises, présentations de données mal étayées ou connues pour être falsifiées, conclusions hâtives et mal argumentées. In fine, la HAS promeut des médicaments dont la balance bénéfice-risque est clairement défavorable et qui impactent les dépenses publiques à hauteur de centaines de millions d’euros par an. »

Et cerise sur le gâteau, c’est celui qui dénonce les conflits d’intérêt qui se fait rabrouer

« Symbole du tabou qui entoure ces conflits d’intérêts, le jury de thèse de Louis-Adrien Delarue lui a imposé d’occulter les noms des experts incriminés en les noircissant dans son texte ».

Quelques jours après la soutenance, la pharmacologue s’est inquiétée de voir la version originale de la thèse sur Internet. Dans un e-mail adressé à Louis-Adrien Delarue et copié à tous les centres de pharmacovigilance de France, elle a tenu à ne pas s’associer aux conclusions de la thèse devant ses confrères. Et a décrédibilisé la thèse sans préciser qu’elle avait obtenu la meilleure note et la mention « très honorable ».(([12] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20110923.RUE4315/les-revelations-qui-ebranlent-la-haute-autorite-de-sante.html))

Dans ce milieu la corruption est institutionnalisée et beaucoup d’experts sont pourris jusqu’à l’os,(([13] De nombreux livres dont ceux du PR Even et Debré ou sites comme celui du Formindep le démontrent.)) mais les Français ne veulent rien voir, avalent de « nouveaux » médicaments à 3000 euros le mois, inefficaces et toxiques, et ne bénéficient plus des traitements avérés qui guérissaient de nombreux cancéreux, entre autres. Ils se taisent, anesthésiés par la propagande. Le travail de sape de la cancérologie moderne par les ukases des plans cancer et des agences INCa, HAS et ARS qui imposent les traitements qui rapportent, est dénié par les patients qui ne font que regretter quelques années plus tard.(([14] Le cancer un fléau qui rapporte N Delépine Éditions Michalon 2013.))

Et les députés votent aveuglément la confiance à cette institution qui ne remplit pas sa mission envers la population, n’a donc aucune raison d’exister et coûte un « pognon de dingue ».

POUR FAIRE RÊVER LES SMICARDS ET LES AUTRES QUI DOIVENT CHOISIR ENTRE L’ESSENCE POUR ALLER AU TRAVAIL ET LEUR NOURRITURE, RAPPELONS LES SALAIRES À LA HAS :

Ces multiples agences, simples alibis scientifiques du pouvoir ruinent le budget santé pendant que beaucoup d’hôpitaux tombent en ruine.

Et consultez les salaires publiés par certains employés qui donnent de plus une idée du nombre de postes… alors qu’on manque de médecins, de secrétaires, de soignants dans les hôpitaux, les lieux qui soignent !

21 salaires chez Haute Autorité de Santé publiés par des employés | Glassdoor

HAS, ministère, CNOM… ce que gagnent les dirigeants des autorités de santé | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

210 197 euros pour le directeur de la HAS, 119 280 euros pour la ministre

À la tête de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui a laissé dire que le nuage de Tchernobyl s’arrêtait aux frontières, Bernard Doroszczuk touche 223 419 euros brut.

Dominique Le Guludec(([15] Dominique Le Guludec, 64 ans, est cardiologue et professeure de biophysique et médecine nucléaire, spécialiste en imagerie cardiovasculaire à l’APHP.
Elle était présidente du conseil d’administration de l’IRSN depuis 2013. IRSN institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) Créé par la loi du 9 mai 2001, il s’agit d’une agence française de sécurité sanitaire environnementale. Elle avait montré ses limites lors de la catastrophe de Tchernobyl en proclamant que la contamination avait épargné la France. …)), patronne de la HAS (Haute autorité de santé) 210 197 euros bruts.
Un beau chiffre qui justifie d’obéir aux injonctions du chef qui vous a mis en place !

Svoboda Vernut @SvobodaVernut 15 mai 2022 Entre l’has, l’ars et les salaires de l’assurance maladie, le peuple pourrait récupérer un pognon de dingue 👍

D’ITALIE VIENDRA LA RAISON


Comment les parlementaires ont-ils pu confier le sort des soignants vaccino prudents et des malades qui ont besoin de tous leurs docteurs à un organisme aussi peu indépendant du pouvoir, et autant lié aux scandales sanitaires récents et aux décisions covid, même les plus stupides du gouvernement ?





REVUE DE PRESSE DU 27 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Le plus grand canular jamais perpétré sur un public peu méfiant

Phrase choc extraite des premières conclusions de l’enquête menée sous la direction de Me Reiner Fuellmich, tandis qu’un autre article rappelle que le test PCR n’est qu’une mascarade, ou encore un autre qui prouve un lien entre la 5G et la gravité de la « pandémie » de Covid-19, tandis que de nouvelles preuves d’efficacité négative des vaccins sont mises en évidence aux USA, où Fauci et des hauts responsables sont cités à comparaître ou à produire des documents sous 30 jours, tandis que les « rats » quittent le navire dans les CDC, NIH et autre FDA, par exigence morale ou crainte de poursuites ??

En France un comité scientifique chasse l’autre, et lave plus propre (indépendance, transparence, on attend de voir), tandis que l’OMS met à jour sa stratégie vaccinale et recrute la plus intransigeante des défenseurs de restrictions du Royaume-Uni, et que la Chine commence à utiliser un médicament anti-VIH dans le traitement de la Covid.

Et tandis qu’un médecin italien est réintégré en Sardaigne, trois autres meurent mystérieusement après la 4e injection au Canada.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Fin des mesures d’exception au 31 juillet 2022

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/Covid-19-le-parlement-vote-la-fin-des-mesures-d-exception-dont-le-passe-sanitaire_2177637.html

« En cas de crise sanitaire à l’avenir, si le gouvernement a besoin de pouvoirs exceptionnels, il devra les négocier un par un avec le Parlement »

Nouveau comité scientifique « commando »

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/Covid-19-le-ministre-de-la-sante-annonce-la-mise-en-place-d-un-nouveau-comite-scientifique-commando-dans-les-10-jours-qui-viennent_5279884.html

« Mis en place dans les 10 jours qui viennent pour pouvoir alerter le gouvernement en cas de nouveau risque sanitaire, équipe commando de scientifiques de très haut niveau, indépendant, transparent dans ses avis et extrêmement réactif ». Pas facile de trouver des scientifiques réellement indépendants, sans conflit d’intérêts. Quant à la réactivité, elle risque d’être encore synonyme de précipitation.

Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent du Covid

Prise de conscience tardive, qui aboutit à ce que la commission donne plus d’importance aux tests qu’aux vaccins, ce qui montre qu’ils n’ont compris qu’une partie de la vérité (voir le chapitre « test » plus loin).

Deuxième dose de rappel pour les soignants et professionnels du médico-social

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/Covid-19-les-professionnels-de-sante-et-du-secteur-medico-social-peuvent-desormais-beneficier-de-la-deuxieme-dose-de-rappel_5278564.html

Mais pas obligatoire, pour l’instant !

Faut-il suivre encore les PU-PH ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/C97-7e-vague-faut-il-suivre-les-pu-ph

Une interview du Pr Gilles Pialoux contrée point par point, arguments à l’appui, et cerise sur le gâteau à la fin, les conflits d’intérêts de ce médecin.

ÉTRANGER

L’OMS met à jour sa stratégie de lutte contre le Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/27/loms-met-a-jour-sa-strategie-de-lutte-contre-le-Covid/

Une mise à jour basée uniquement sur la vaccination et en aucun cas sur les soins aux malades en particulier les traitements ambulatoires précoces. Consciente de l’inefficacité des vaccins actuels, l’OMS s’entête et attend des vaccins « actualisés » !

Et recrute une extrémiste des mesures restrictives

https://www.anguillesousroche.com/sante/un-professeur-du-parti-communiste-britannique-qui-a-soutenu-les-methodes-de-surveillance-pendant-la-periode-Covid-rejoint-loms/

Mme Susan Michie est en faveur du maintien « pour toujours » des masques et des mandats de distanciation sociale !!!

USA — Démissions massives des experts des CDC, NIH et FDA

https://www.francesoir.fr/politique-monde/Covid-19-demissions-en-cascade-des-experts-en-sante-des-nih-et-des-cdc-americains

« Ces démissions font suite à celles des deux principaux responsables de la réglementation des vaccins à la FDA, le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause en raison des pressions politiques visant à autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes. Peu à peu, il semble que l’exigence morale des scientifiques et médecins ait pris le pas sur la peur à mesure qu’ils prenaient conscience de la dangerosité de ces politiques sanitaires inefficaces et délétère »

JUSTICE

ITALIE — le premier médecin réintégré en Sardaigne du Nord

https://resistance-mondiale.com/italie-medecin-non-vaccine-reintegre-le-premier-cas-en-sardaigne-du-nord

Le juge a également ordonné que lui soient versés les salaires accumulés depuis le jour de la suspension

USA — Fauci et des hauts responsables du gouvernement cités à comparaître ou à produire des documents sous 30 jours

https://www.anguillesousroche.com/technologie/fauci-et-de-hauts-responsables-de-biden-sont-cites-a-comparaitre-dans-le-cadre-dune-action-en-justice-alleguant-quils-ont-collabore-avec-les-medias-sociaux-pour-supprimer-la-liberte-dexpression/

« La présidente de Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, a salué ce jugement. Maintenant, grâce au processus que le juge DOUGHTY a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mésinformation”. C’est un nouveau jour. »

COVID

USA — Lien entre Covid et 5G dans une étude gouvernementale

« le rayonnement de communication sans fil est devenue un facteur de stress environnemental omniprésent qui pourrait avoir contribué aux résultats négatifs sur la santé des patients infectés par le SRAS-CoV-2 et augmenté la gravité de la pandémie de Covid-19 »

Premières conclusions de l’enquête mondiale sur la crise sanitaire

L’essentiel est qu’il y a une hystérie publique totalement infondée, alimentée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux.

C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public peu méfiant.

Le [Covid-19] n’est rien de plus qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas Ebola. Ce n’est pas le SRAS. C’est la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. Des milliers de décès et d’effets secondaires graves sont rapportés à l’issue de la campagne en masse d’injection Covid. Il est presque certain que la vaccination de masse avec le Covid-19 est nuisible à la santé de la population générale. Les principes scientifiques dictent que la vaccination de masse avec les vaccins Covid-19 doit être arrêtée immédiatement, car nous sommes confrontés à une catastrophe de santé publique induite par les vaccins. Les quatre grandes entreprises qui ont mis au point ces vaccins génétiques (…) ont toutes décidé de choisir les parties les plus inappropriées du virus pour fabriquer un vaccin. Alors comment ces quatre sociétés ont-elles pu indépendamment, à moins d’être de connivence, faire exactement les mêmes erreurs ? Eh bien, non, elles n’ont pas pu. « Ce type de produit pharmaceutique n’était pas la spécialité de Pfizer mais “ILS” ont dit qu’il fallait le faire. Le code de Nuremberg stipule que “le consentement volontaire du sujet humain est absolument indispensable”. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques s’est fait l’écho de cette interdiction de l’expérimentation involontaire dans son texte de 1966, qui stipule : “Nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique ». Cette interdiction est désormais si universellement reconnue que certains tribunaux et universitaires ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier.

TESTS

Renonçons à la mascarade du test PCR

« Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les “cas” confirmés de Covid-19. »

TRAITEMENTS et STRATÉGIES

CHINE Traitement antiVIH contre le Covid

https://www.francesoir.fr/societe-sante/chine-approuve-un-traitement-anti-VIH-contre-Covid

« l’Histoire donne-t-elle raison au défunt professeur Montagnier ? »

INJECTIONS

Code de la Santé publique et cas des vaccins Covid

https://reinfocovid.fr/science/article-r4127-39-du-code-de-sante-publique-cas-des-vaccins-Covid/

« il est évident que la recommandation, de décembre 2020, des vaccins ARNm n’était aucunement scientifique et encore moins en accord avec l’article r4127-39 du CSP.

Il est difficile de comprendre que le ministre, le Directeur Général de la Santé, les Agence Régionales de Santé et autant de médecins aient décidé de ne pas respecter ce point du code de santé publique et de se mettre dans l’illégalité. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Vaccins anti-Covid, alerte rouge !

https://infodujour.fr/sante/59038-vaccins-anti-Covid-alerte-rouge

De nouvelles études mettent gravement en cause les vaccins anti-Covid, comme l’a révélé ici même Jean-Marc Sabatier, redoutant une « catastrophe sanitaire sans précédent ». La police néo-zélandaise envisage d’ouvrir une enquête sur les dégâts des vaccins.

Vaccin à ARNm, efficacité négative, selon le Pr Risch professeur d’épidémiologie à Yale

https://www.epochtimes.fr/face-aux-mutations-de-la-proteine-spike-les-anticorps-produits-par-les-vaccins-sont-davantage-interferents-que-neutralisants-explique-le-pr-risch-2077045.html

« Après la deuxième dose des vaccins à ARNm, il apparaît qu’ils offrent un intérêt contre l’infection symptomatique pour… la plupart des personnes pendant peut‑être 10 à 12 semaines. Après le premier rappel (la troisième dose), ce délai tombe à six ou huit semaines. Après la quatrième dose, il peut suffire de quatre semaines pour que l’efficacité s’estompe et commence à devenir négative. »

Les injections géniques inefficaces et dangereuses

https://docteur.nicoledelepine.fr/les-injections-geniques-sont-inefficaces-et-dangereuses-25-07-22/

Une image qui vaut mille mots, les décès liés à tous les vaccins en 33 ans, dans la base américaine des effets indésirables

Trois jeunes médecins meurent en trois jours dans le même hôpital, peu après la 4e injection

https://noqreport.com/2022/07/24/three-doctors-die-within-four-days-shortly-after-hospital-begins-injecting-staff-with-fourth-Covid-shots/

Quelle est la probabilité que ce soit une coïncidence dans cet hôpital canadien ?? « Cela s’ajoute à la montagne de preuves qu’il y a une véritable conspiration en jeu avec les piqûres de Covid. La vérité doit continuer à se frayer un chemin. »

RÉSISTANCES

Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années

https://lemediaen442.fr/le-producteur-de-cinema-del-bigtree-les-non-vaccines-sont-les-heros-de-ces-deux-dernieres-annees/

« Ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins Covid. Nous devrions tous essayer de trouver une certaine gratitude intérieure pour les non-vaccinés, car nous avons mordu à l’appât en les haïssant parce que leur persévérance et leur courage nous ont donné le temps de voir que nous avions tort. »




Soignants et pompiers non vaccinés suspendus : un précédent terrible pour les salariés

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING



Pour Me Fabrice Di Vizio, les soignants suspendus pour cause de refus d’injection  de vaccins expérimentaux contre le covid n’ont plus que le choix de se reconvertir professionnellement ou de s’exiler. Ce qui s’entend : avec licenciement, paiement des salaires, des indemnités légales et indemnisation des préjudices subis ; dixit le professionnel du droit, fondateur de l’association « Je ne suis pas un danger » créée en décembre 2021, qui a pour objet la défense des droits des personnes non vaccinées et vaccinées sous la contrainte.

À ce titre, il préconise aux personnes suspendues de s’inscrire pour un gigantesque recours collectif dont il trace les grands axes et les modalités. Il anticipe même le cas où, in fine, la Cour européenne des Droits de l’Homme (dont les critères actuels estiment illégales les suspensions de salaire) condamnerait la France. D’ores et déjà, il dit aux soignants : « vous serez alors à la ramasse et devrez faire vos propres actions individuelles pour réclamer réparation de vos préjudices, dans deux ans ou dans trois ans, alors que vous serez passés à autre chose. Alors, je vous propose premièrement de lancer un recours indemnitaire préalable au Premier ministre. Celle-ci refusera et nous saisirons alors le juge administratif d’un vaste recours…». Précision : « Je ne suis pas un danger » prendra en charge les frais de ses adhérents.

L’ombrageux avocat prévient aussi les personnels suspendus qu’ils n’ont rien à attendre de « l’opposition » RN et NUPES (bien qu’il ait voté pour ce dernier attelage !), mais Di Vizio n’en est pas à une loufoquerie près en politique.

« Le droit du Travail s’est écrit dans les larmes et le sang »

Dans une vidéo, intitulée « Personnel suspendu, mobilisons nous ! », le Divizionaire détaille le plan qu’il a mis au point pour « engager le plus grand combat terminal qui n’ait jamais été engagé dans cette crise ». 

Mais surtout, il alerte sur la dérive du droit du Travail qui permettra bientôt de suspendre sans indemnités telle ou telle catégorie de salariés jugés travailleurs non essentiels, sauf à s’astreindre à telles ou telles obligations. Il apporte la preuve de la réalité d’aujourd’hui sur ce que les soi-disant complotistes avaient prévu et dénoncé hier. 

Di Vizio : « le but n’est pas de licencier en appliquant le droit, mais de montrer qu’il y a des comportements qui sont inacceptables et qui peuvent vous conduire à la mort sociale. Il y a lieu de tuer socialement tous ceux qui auraient une doctrine dissidente. Et moi je dis aux syndicats qui ne s’en mêlent pas : vous êtes suicidaires et vous le paierez très cher parce que vous disparaîtrez ».

Passe sanitaire : grand procès contre l’État !

Info utile

De son côté et dans le même combat contre la dictature sanitaire, le non moins susceptible Me Carlo Alberto Brusa (président de Réaction19), a rédigé une plainte de 32 pages au pénal à télécharger, contre les agences du médicament et des produits de santé, de santé publique, les ordres des médecins et pharmaciens, pour mise en danger de la vie d’autrui et pratiques commerciales trompeuses.




Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G

[Source : Guy Boulianne]

[Voir l’article complet sur guyboulianne.com]

Le 29 septembre 2021, les deux scientifiques américains, Beverly Rubik et Robert R. Brown, ont publié une étude (7(5): 666–681) dans le très sérieux « Journal de recherche clinique et translationnelle » des Instituts américains de la santé (National Institutes of Health – NIH), intitulée : “Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G” (Preuve d’un lien entre la maladie à coronavirus-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G). Le déploiement de la cinquième génération des standards pour la téléphonie mobile fait l’objet de contestations concernant en particulier l’effet sanitaire des ondes électromagnétiques et l’impact environnemental de cette technologie.

[Voir aussi :
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Graphène : de micro à nanotechnologie
Les ondes électromagnétiques et la santé
Le Guide complet de la 5 G
et autres articles du dossier 5G et ondes pulsées]

[…]

La professeure Beverly Rubik a obtenu son doctorat en biophysique en 1979 à l’Université de Californie à Berkeley. En tant que scientifique de pointe, elle est reconnue internationalement pour son exploration de la science des champs biologiques et de la médecine énergétique. Son principal domaine d’intérêt est la recherche sur l’énergétique subtile des systèmes vivants, y compris la guérison spirituelle. Elle a publié plus de 60 articles et 2 livres. Le Dr Rubik siège aux comités de rédaction du “Journal of Alternative & Complementary Medicine” (JACPFP), du “Journal of Evidence-Based Integrative Medicine” (JEBIM) et de l’“Integrative Medicine Insights” (SAGE Journals). Elle a siégé aux conseils consultatifs de divers groupes, dont le programme de médecine intégrative sous la direction du Dr Andrew Weil. [Lire plus ici]

Pour sa part, la formation médicale officielle du Dr Robert R. Brown a commencé à l’École de médecine de l’Université de Miami, à Miami, en Floride. Après quoi, il a complété un programme de formation en résidence en radiologie diagnostique à Pittsburgh, en Pennsylvanie. Après une année expérientielle de voyage autour du monde, il a suivi une formation postdoctorale à l’Université de Californie à San Diego en radiologie musculo-squelettique. En tant que radiologue diagnostique, le Dr Brown a travaillé à la fois en cabinet privé et dans des centres universitaires, notamment le NYU Medical Center et la Cleveland Clinic Foundation. Au cours de sa carrière de plus de 25 ans, il a écrit de nombreux articles de revues dans des publications de radiologie à comité de lecture ainsi que plusieurs chapitres de livres dans la littérature de radiologie. Ayant participé à la formation de résidents en radiologie et d’étudiants en médecine pendant de nombreuses années, le Dr Brown a été en mesure de promouvoir l’importance du développement de l’intuition médicale ainsi que d’insister sur le principe « primum non nocere » qui signifie « d’abord ne pas nuire ». [Lire plus ici]

[…]


Preuve d’un lien entre la maladie à coronavirus-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G

Par Beverly Rubik, Ph.D. et Robert R. Brown, MD (29 septembre 2021)

La politique de santé publique concernant la maladie à coronavirus (COVID-19) s’est concentrée sur le virus du syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2 (SRAS-CoV-2) et ses effets sur la santé humaine, tandis que les facteurs environnementaux ont été largement ignorés. En considérant la triade épidémiologique (agent-hôte-environnement) applicable à toutes les maladies, nous avons étudié un facteur environnemental possible dans la pandémie de COVID-19 : le rayonnement radiofréquence ambiant des systèmes de communication sans fil, y compris les micro-ondes et les ondes millimétriques. Le SRAS-CoV-2, le virus qui a causé la pandémie de COVID-19, a fait surface à Wuhan, en Chine, peu de temps après la mise en œuvre du rayonnement des communications sans fil à l’échelle de la ville (cinquième génération [5G] [WCR(([1] WCR pour Wireless Communications Radiation (Rayonnement des communications sans fil) )), et s’est rapidement propagé à l’échelle mondiale, initialement démontrant une corrélation statistique avec les communautés internationales avec des réseaux 5G récemment établis.

Dans cette étude, nous avons examiné la littérature scientifique évaluée par des pairs sur les effets biologiques néfastes de la WCR et identifié plusieurs mécanismes par lesquels la WCR pourrait avoir contribué à la pandémie de COVID-19 en tant que cofacteur environnemental toxique. En franchissant les frontières entre les disciplines de la biophysique et de la physiopathologie, nous présentons des preuves que la WCR peut :

  1. provoquer des changements morphologiques dans les érythrocytes, y compris la formation d’échinocytes et de rouleaux qui peuvent contribuer à l’hypercoagulation ;
  2. altérer la microcirculation et réduire les taux d’érythrocytes et d’hémoglobine exacerbant l’hypoxie ;
  3. amplifier le dysfonctionnement du système immunitaire, y compris l’immunosuppression, l’auto-immunité et l’hyperinflammation ;
  4. augmenter le stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres entraînant des lésions vasculaires et des dommages aux organes ;
  5. augmenter le Ca2+ intracellulaire essentiel pour l’entrée, la réplication et la libération du virus, en plus de favoriser les voies pro-inflammatoires ; et
  6. aggraver les arythmies cardiaques et les troubles cardiaques.

Pertinence pour les patients :

En bref, la WCR est devenue un facteur de stress environnemental omniprésent qui, selon nous, pourrait avoir contribué à des effets néfastes sur la santé des patients infectés par le SRAS-CoV-2 et accru la gravité de la pandémie de COVID-19. Par conséquent, nous recommandons que toutes les personnes, en particulier celles qui souffrent d’une infection par le SRAS-CoV-2, réduisent leur exposition au WCR autant que raisonnablement possible jusqu’à ce que de nouvelles recherches clarifient mieux les effets systémiques sur la santé associés à l’exposition chronique au WCR.

Introduction et arrière plan

La maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) est au centre de la politique internationale de santé publique depuis 2020. Malgré des protocoles de santé publique sans précédent pour étouffer la pandémie, le nombre de cas de COVID-19 continue d’augmenter. Nous proposons une réévaluation de nos stratégies de santé publique.

Selon le Center for Disease Control and Prevention (CDC), le modèle le plus simple de causalité de la maladie est la triade épidémiologique composée de trois facteurs interactifs : l’agent (agent pathogène), l’environnement et l’état de santé de l’hôte. Des recherches approfondies sont en cours sur l’agent, le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2). Les facteurs de risque qui rendent un hôte plus susceptible de succomber à la maladie ont été élucidés. Cependant, les facteurs environnementaux n’ont pas été suffisamment explorés. Dans cet article, nous avons étudié le rôle du rayonnement des communications sans fil (WCR), un facteur de stress environnemental répandu.

Nous explorons les preuves scientifiques suggérant une relation possible entre le COVID-19 et le rayonnement radiofréquence lié à la technologie de communication sans fil, y compris la cinquième génération (5G) de technologie de communication sans fil, désormais appelée WCR. Le WCR a déjà été reconnu comme une forme de pollution de l’environnement et un facteur de stress physiologique. L’évaluation des effets potentiellement néfastes de la WCR sur la santé peut être cruciale pour développer une politique de santé publique efficace et rationnelle qui peut aider à accélérer l’éradication de la pandémie de COVID-19. De plus, comme nous sommes sur le point de déployer la 5G dans le monde entier, il est essentiel de prendre en compte les éventuels effets néfastes sur la santé du WCR avant que le public ne soit potentiellement lésé.

La 5G est un protocole qui utilisera des bandes hautes fréquences et des bandes passantes étendues du spectre électromagnétique dans la vaste gamme de radiofréquences de 600 MHz à près de 100 GHz, qui comprend les ondes millimétriques (> 20 GHz), en plus de la troisième génération actuellement utilisée (3G ) et les bandes hyperfréquences à évolution à long terme (LTE) de quatrième génération (4G). Les attributions de spectre de fréquences 5G diffèrent d’un pays à l’autre. Des faisceaux de rayonnement pulsés focalisés seront émis à partir de nouvelles stations de base et d’antennes à réseau phasé placées à proximité des bâtiments chaque fois que des personnes accéderont au réseau 5G. Ces hautes fréquences étant fortement absorbées par l’atmosphère et notamment en cas de pluie, la portée d’un émetteur est limitée à 300 mètres. Par conséquent, la 5G nécessite que les stations de base et les antennes soient beaucoup plus rapprochées que les générations précédentes. De plus, les satellites dans l’espace émettront des bandes 5G à l’échelle mondiale pour créer un Web mondial sans fil. Le nouveau système nécessite donc une densification importante des infrastructures 4G ainsi que de nouvelles antennes 5G susceptibles d’augmenter considérablement l’exposition de la population au BFR tant à l’intérieur des structures qu’à l’extérieur. Environ 100 000 satellites émetteurs devraient être lancés en orbite. Cette infrastructure modifiera considérablement l’environnement électromagnétique mondial à des niveaux sans précédent et pourrait avoir des conséquences inconnues sur l’ensemble de la biosphère, y compris les humains. La nouvelle infrastructure desservira les nouveaux appareils 5G, notamment les téléphones mobiles 5G, les routeurs, les ordinateurs, les tablettes, les véhicules autonomes, les communications de machine à machine et l’Internet des objets.

La norme mondiale de l’industrie pour la 5G est établie par le projet de partenariat 3G (3GPP), qui est un terme générique pour plusieurs organisations développant des protocoles standard pour les télécommunications mobiles. La norme 5G spécifie tous les aspects clés de la technologie, y compris l’attribution du spectre de fréquences, la formation de faisceaux, l’orientation de faisceaux, le multiplexage d’entrées multiples, les schémas de sorties multiples, ainsi que les schémas de modulation, entre autres. La 5G utilisera de 64 à 256 antennes sur de courtes distances pour desservir pratiquement simultanément un grand nombre d’appareils au sein d’une cellule. La dernière norme 5G finalisée, la version 16, est codifiée dans le rapport technique TR 21.916 publié par le 3GPP et peut être téléchargée à partir du serveur 3GPP. Les ingénieurs affirment que la 5G offrira des performances jusqu’à 10 fois supérieures à celles des réseaux 4G actuels.

Le COVID-19 a commencé à Wuhan, en Chine, en décembre 2019, peu de temps après que la 5G à l’échelle de la ville soit « mise en service », c’est-à-dire devenue un système opérationnel, le 31 octobre 2019. Des épidémies de COVID-19 ont rapidement suivi dans d’autres zones où la 5G avait également été au moins partiellement mis en œuvre, notamment en Corée du Sud, en Italie du Nord, à New York, à Seattle et en Californie du Sud. En mai 2020, Mordachev a signalé une corrélation statistiquement significative entre l’intensité du rayonnement radiofréquence et la mortalité due au SRAS-CoV-2 dans 31 pays à travers le monde. Au cours de la première vague pandémique aux États-Unis, les cas et les décès attribués au COVID-19 étaient statistiquement plus élevés dans les États et les grandes villes dotés d’une infrastructure 5G que dans les États et les villes qui ne disposaient pas encore de cette technologie.

Il existe un grand nombre de publications évaluées par des pairs, depuis avant la Seconde Guerre mondiale, sur les effets biologiques de la WCR qui ont un impact sur de nombreux aspects de notre santé. En examinant cette littérature, nous avons trouvé des intersections entre la physiopathologie du SRAS-CoV-2 et les effets biologiques néfastes de l’exposition au WCR. Ici, nous présentons les preuves suggérant que le WCR a été un facteur contributif possible exacerbant le COVID-19.

Méthodes :

Une étude bibliographique en cours sur le déroulement de la physiopathologie du SRAS-CoV-2 a été réalisée. Pour étudier un lien possible avec les effets biologiques de l’exposition au WCR, nous avons examiné plus de 250 rapports de recherche évalués par des pairs de 1969 à 2021, y compris des revues et des études sur les cellules, les animaux et les humains. Nous avons inclus la littérature mondiale en anglais et des rapports russes traduits en anglais, sur les fréquences radio de 600 MHz à 90 GHz, le spectre des ondes porteuses du WCR (2G à 5G inclus), avec un accent particulier sur les densités de puissance non thermiques et faibles (<1 mW /cm2), et les expositions à long terme. Les termes de recherche suivants ont été utilisés dans les requêtes de MEDLINE® et du Defense Technical Information Center pour trouver des rapports d’étude pertinents : rayonnement radiofréquence, micro-ondes, ondes millimétriques, radar, MHz, GHz, sang, globule rouge, érythrocyte, hémoglobine, hémodynamique, oxygène, hypoxie, vasculaire, inflammation, pro-inflammatoire, immunitaire, lymphocyte, lymphocyte T, cytokine, calcium intracellulaire, fonction sympathique, arythmie, cœur, cardiovasculaire, stress oxydatif, glutathion, oxygène réactif espèce (ROS), COVID-19, virus et SARS-CoV-2. Des études professionnelles sur des travailleurs exposés au WCR ont été incluses dans l’étude. Notre approche s’apparente à la découverte liée à la littérature, dans laquelle deux concepts qui n’ont jusqu’à présent pas été liés sont explorés dans les recherches documentaires pour rechercher des liens afin de produire des connaissances nouvelles, intéressantes, plausibles et intelligibles, c’est-à-dire une découverte potentielle. À partir de l’analyse de ces études en comparaison avec de nouvelles informations sur la physiopathologie du SRAS-CoV-2, nous avons identifié plusieurs façons dont les effets biologiques indésirables de l’exposition à la WCR se croisent avec les manifestations de la COVID-19 et avons organisé nos résultats en cinq catégories.

Conclusion :

Il existe un chevauchement substantiel en pathobiologie entre l’exposition au COVID-19 et à la WCR. Les preuves présentées ici indiquent que les mécanismes impliqués dans la progression clinique du COVID-19 pourraient également être générés, selon des données expérimentales, par l’exposition au WCR. Par conséquent, nous proposons un lien entre les effets biologiques indésirables de l’exposition au WCR des appareils sans fil et le COVID-19.

Plus précisément, les preuves présentées ici étayent l’hypothèse selon laquelle la WCR et, en particulier, la 5G, qui implique la densification de la 4G, pourraient avoir exacerbé la pandémie de COVID-19 en affaiblissant l’immunité de l’hôte et en augmentant la virulence du SRAS-CoV-2 en (1) provoquant des changements morphologiques dans les érythrocytes, y compris la formation d’échinocytes et de rouleaux qui peuvent contribuer à l’hypercoagulation ; (2) altérant la microcirculation et réduisant les niveaux d’érythrocytes et d’hémoglobine exacerbant l’hypoxie; (3) amplifier le dysfonctionnement immunitaire, y compris l’immunosuppression, l’auto-immunité et l’hyperinflammation ; (4) l’augmentation du stress oxydatif cellulaire et la production de radicaux libres exacerbant les lésions vasculaires et les dommages aux organes ; (5) augmenter le Ca2+ intracellulaire essentiel pour l’entrée, la réplication et la libération du virus, en plus de favoriser les voies pro-inflammatoires ; et (6) aggravation des arythmies cardiaques et des troubles cardiaques.

L’exposition au WCR est un facteur de stress environnemental répandu, mais souvent négligé, qui peut produire un large éventail d’effets biologiques indésirables. Pendant des décennies, des chercheurs indépendants du monde entier ont mis l’accent sur les risques pour la santé et les dommages cumulatifs causés par la WCR. Les preuves présentées ici sont cohérentes avec un grand nombre de recherches établies. Les travailleurs de la santé et les décideurs devraient considérer la WCR comme un facteur de stress environnemental potentiellement toxique. Des méthodes de réduction de l’exposition au WCR doivent être fournies à tous les patients et à la population générale.






Pour Bill Gates, la variole du singe c’est « Moneypox »

Urgence sanitaire mondiale due à la variole du singe. Pour Bill Gates, c’est « Moneypox » : Simulation d’une pandémie fictive du virus de la variole du singe en mars 2021, mise en service en mai 2022.

Par Prof Michel Chossudovsky

Note de l’auteur et mise à jour

L’OMS déclare une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC)

Dans les derniers développements, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, est allé à l’encontre du vote majoritaire du comité d’experts de l’OMS (9 contre 6 en faveur) : c’est-à-dire CONTRE la déclaration d’une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC).

« Nous avons une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde entier grâce à de nouveaux modes de transmission », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’un point de presse à Genève, samedi 22 juillet. « J’ai décidé que la flambée mondiale de variole du singe représente une urgence de santé publique de portée internationale. » 

Les preuves sont minces, la motivation est politique.

L’objectif non avoué est de soutenir la campagne de peur.

Selon Bloomberg, « la déclaration de Tedros… souligne les divisions au sein de l’organisation sur la gravité de la menace. L’agent pathogène provoque généralement des symptômes semblables à ceux de la grippe, suivis d’une éruption cutanée qui commence souvent sur le visage et se propage sur le ventre. » (Bloomberg)

Le Dr Tedros est-il en conflit d’intérêts, allant à l’encontre d’un comité de médecins et de scientifiques ? L’OMS est financée par la Fondation Gates. Et Bill Gates est au centre de l’attention. Il fait pression pour le scénario de la variole du singe depuis 2017. (voir l’analyse ci-dessous).

Et devinez quoi : c’est le test PCR en temps réel que les CDC ont déclaré invalide pour détecter le SRAS-CoV-2 (à compter du 31 décembre 2021) qui est maintenant utilisé pour « détecter l’agent pathogène de la variole du singe ».

L’avis du CDC de juillet 2021 relatif aux échecs du test RT-PCR se lit comme suit :

« Les CDC encouragent les laboratoires à envisager l’adoption d’une méthode multiplexée qui puisse faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et de la grippe ».

Et maintenant, le CDC a mis en avant une procédure « utilisée pour la détection de l’ADN du virus de la variole du singe dans les spécimens cliniques par PCR en temps réel » :

« Ce test [RT-PCR] détecte l’ADN à des concentrations variables, fournissant un résultat qualitatif soit positif, soit négatif, soit non concluant dans l’identification des infections par le virus Monkeypox. » (CDC)

Si votre test RT-PCR est positif pour le Covid-19, il peut être comptabilisé « par erreur » comme une infection « positive » au virus Monkeypox.

La polyvalence du test RT-PCR ! Tout est permis. SARS-CoV-2, grippe, MonkeyPox. Il est également appliqué pour détecter les « dangereux » variants omicron de Covid et les sous-variants BA 4 et 5.

Michel Chossudovsky


Cet article a été publié initialement le 25 mai 2022.

Un autre chapitre de la « fausse science » se déroule

Dites au revoir au SRAS-CoV-2, dites bonjour à l’agent pathogène de la variole du singe.

Bill Gates nous met en garde contre des attaques terroristes à la variole et invite les dirigeants à se préparer au moyen de « germ games » (jeux de germes).
Le fondateur de Microsoft a également appelé à la création d’un nouveau groupe de travail sur les pandémies de l’Organisation mondiale de la santé, doté d’un budget de plusieurs milliards de dollars.
Capture d’écran 4 novembre 2021 Article publié sur Evening Standard

En novembre 2021, Bill Gates annonce de possibles « attaques terroristes à la variole »

Dans une interview télévisée avec Jeremy Hunt début novembre 2021Bill Gates a averti les gouvernements de se préparer à des attaques terroristes simultanées à la variole dans 10 aéroports :

« Vous dites, OK, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies provoquées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui », a-t-il déclaré (c’est nous qui soulignons).

Dix pays, dix aéroports. (C’est là que se déroulent les tests)

Comparez cela au dernier bulletin d’information du 19 mai 2022, soit plus de six mois plus tard (c’est nous qui soulignons) :

Une épidémie sans précédent de virus de la variole du singe s’est officiellement propagée à 10 pays en dehors de l’Afrique, avec 107 cas confirmés ou suspects signalés à ce jour, au Royaume-Uni (9 cas), au Portugal (34), en Espagne (32), en France (1), en Belgique (2), en Suède (1), en Italie (3), au Canada (22), aux États-Unis (2) et en Australie (1). (WSWS, 19 mai 2022)

Pour regarder l’interview vidéo de Bill Gates, cliquez ici


 Video: Variole du singe et traité pandémie de l’OMS. Michel Chossudovsky




« Investir des milliards dans la recherche ». Pour Bill Gates, c’est « Moneypox »

Selon l’Evening Standard (4 novembre 2021), Bill Gates a mis en garde les gouvernements « pour qu’ils se préparent aux futures pandémies et aux attaques terroristes de la variole en investissant des milliards dans la recherche et le développement ».

M. Gates a lancé cet avertissement lors d’une interview accordée à Policy Exchange par le président de la commission d’enquête sur la santé, Jeremy Hunt.

Le fondateur de Microsoft a également appelé à la création d’un nouveau groupe de travail sur les pandémies de l’Organisation mondiale de la santé, doté d’un budget de plusieurs milliards de dollars.

Il a déclaré que des pays comme les États-Unis et le Royaume-Uni doivent dépenser des « dizaines de milliards » pour financer la recherche.

J’espère que dans cinq ans, je pourrai écrire un livre intitulé « Nous sommes prêts pour la prochaine pandémie, mais il faudra des dizaines de milliards en R&D – les États-Unis et le Royaume-Uni y participeront », a-t-il déclaré.

Il faudra probablement environ un milliard par an pour un groupe de travail sur les pandémies au niveau de l’OMS, qui se chargera de la surveillance et de ce que j’appelle des « jeux de germes » où l’on s’entraîne.
lEWvening SDtandrad cliquez ici pour lire l’article en entier.

Mais il y a plus dans cette saga de plusieurs milliards de dollars sur la variole du singe. Une nouvelle campagne de peur est-elle en préparation ?

L’agenda au sujet de la variole du singe e été planifié bien à l’avance. Cela a commencé en décembre 2020. La chronologie est la suivante :

  • Décembre 2020 : Réunion d’experts américains en matière de sécurité nationale sous les auspices de l’Initiative sur la menace nucléaire (NTI). Planification et formulation d’une simulation d’une pandémie de variole du singe.
  • Mars 2021 : Simulation sur table d’une pandémie fictive de variole du singe à la conférence sur la sécurité de Munich.
  • Novembre 2021. Bill Gates met en garde les gouvernements
  • Mai 2022. Vers une pandémie de variole du singe. Campagne « Unfolding Fear ».
  • Mai 2022. La commercialisation des vaccins antivarioliques, efficaces contre la variole du singe.

Décembre 2020 : La planification experte d’une simulation d’une pandémie de virus de la variole du singe

Dès décembre 2020, une simulation d’une pandémie de variole du singe avait été envisagée par la NTI.

L’ITN a réuni un groupe d’experts pour le conseiller sur le scénario de l’exercice de simulation. Parmi ces experts figuraient des hauts fonctionnaires, des scientifiques et des experts, entre autres, provenant exclusivement d’entités américaines, dont le ministère de la Sécurité intérieure, l’USAID, le département d’État, l’université de la Défense, John Hopkins, l’école de santé publique T.H. Chan de Harvard, le ministère de la Santé et des Services sociaux, etc.

« Ces experts ont participé à titre individuel – et non en tant que représentants de leurs organisations respectives – et ils n’approuvent pas nécessairement les recommandations de ce rapport. »
Voir le rapport page 27

Mars 2021 : Scénario d’exercice fictif d’une pandémie mortelle du virus de la variole du singe

Quelques mois plus tard, après les consultations de décembre 2020, une simulation sur table d’un : « scénario d’exercice fictif décrivant une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe » a été organisée par la NTI lors de la conférence sur la sécurité de Munich en mars 2021 :

Le rapport suivant du NTI intitulé :

Strengthening Global Systems to Prevent and Respond to High-Consequence Biological Threats: Results from the 2021 Tabletop Exercise Conducted in Partnership with the Munich Security Conference

parJaime M. Yassif, Ph.D., Kevin P. O’Prey, Ph.D., and Christopher R. Isaac, M.Sc.

a été réalisé par le Global Biological Policy and Programs, de la Nuclear Threat Initiative (NTI). Le rapport résume les principales conclusions de l’exercice qui a été généreusement financé par Open Philanthropy.

Note sur l’histoire des simulations de scénarios de pandémie

Les simulations de scénarios de pandémies ont été initiées par le « Lock Step Scenario » de Rockefeller en 2010, qui consistait à utiliser la « planification de scénarios » comme un moyen de réaliser la « gouvernance mondiale ». Dans le rapport Rockefeller de 2010 intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international », des scénarios de gouvernance mondiale et les mesures à prendre en cas de pandémie mondiale ont été envisagés.

Plus précisément, le rapport envisageait (p 18) la simulation d’un scénario Lock Step incluant une souche virulente de grippe mondiale. Le rapport Rockefeller de 2010 a été publié dans le sillage immédiat de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009.

Et puis, en 2018, la simulation Clade X (The Clade X Table Top Simulation) a été réalisée sous les auspices du John Hopkins Center for Health Security.

Clade X a été décrit par ses organisateurs comme un exercice de simulation de pandémie d’une journée dont le but « était d’illustrer des décisions stratégiques de haut niveau aux États-Unis et dans le monde … pour prévenir une pandémie ».

Il a été « joué par des personnes éminentes dans les domaines de la sécurité nationale ou de la réponse aux épidémies ».

Événement 201

Clade X a été suivie d’une autre simulation [pandemic tabletop exercise] intitulée Event 201 (également sous les auspices du Johns Hopkins Center for Health Security en octobre 2019). L’événement 201 concernait une épidémie de coronavirus intitulée 2019-nCoV.

Parmi les 201 « joueurs » du scénario de table John Hopkins figuraient des personnalités clés occupant des postes consultatifs et de direction dans un certain nombre d’organisations centrales. Moins de trois mois plus tard, ces 201 « joueurs » ont été activement impliqués dans la réponse politique à la pandémie de Covid-19.

Résumé de l’exercice du scénario du Monkeypox [variole du singe]

Vous trouverez ci-dessous le résumé de la simulation NTI de mars (c’est nous qui soulignons), suivi d’extraits pertinents ainsi que de la liste des participants.

Il convient de noter que si l’équipe de décembre 2020 qui a formulé le projet de simulation était exclusivement américaine et se concentrait sur les questions de sécurité nationale, les participants au scénario de table étaient issus de Big Pharma, de la Fondation Gates, du Wellcome Trust, de l’OMS, de l’ONU, ainsi que des représentants de l’UE, de la Chine et de l’Afrique. (Voir liste ci-dessous)

En mars 2021, l’Initiative sur la menace nucléaire (NTI) s’est associée à la Conférence sur la sécurité de Munich (CSM) pour réaliser un exercice sur table sur la réduction des menaces biologiques de haute gravité. Réalisé virtuellement, l’exercice a permis d’examiner les lacunes des architectures nationales et internationales de biosécurité et de préparation aux pandémies et d’explorer les possibilités d’améliorer les capacités de prévention et de réaction aux événements biologiques de haute gravité. Parmi les participants figuraient 19 hauts responsables et experts venus d’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Europe et possédant des décennies d’expérience combinée dans les domaines de la santé publique, de l’industrie biotechnologique, de la sécurité internationale et de la philanthropie.

Le scénario de l’exercice décrivait une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe, apparue dans la nation fictive de Brinia et qui s’est propagée dans le monde entier en 18 mois. En fin de compte, le scénario de l’exercice a révélé que l’épidémie initiale avait été causée par une attaque terroriste utilisant un agent pathogène fabriqué dans un laboratoire dont les dispositions en matière de biosécurité et de sûreté biologique étaient inadéquates et dont la surveillance était faible.

À la fin de l’exercice, la pandémie fictive a entraîné plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès dans le monde.

La nature de la simulation frise le ridicule : Les « terroristes de l’Arnica » attaquent le Brinia

Annexe B. Résumé du modèle épidémiologique

Développé par le Dr Ellie Graeden Trae Wallace, Talus Analytics

Les éléments épidémiologiques du scénario de l’exercice ont été développés à l’aide d’un modèle standard compartimenté Susceptible-Exposé-Infectieux-Récouvert (SEIR). Le modèle suppose l’absence de propagation asymptomatique. La structure du modèle est résumée à la figure B-1. Une version modifiée en laboratoire de la variole du singe a été intentionnellement diffusée par aérosols dans les gares du pays fictif de Brinia (250 millions d’habitants) par des agents d’un groupe terroriste opérant dans le pays voisin, Arnica (75 millions d’habitants). [L’arnica est un médicament homéopathique].

Grâce à des modifications intentionnelles effectuées par des scientifiques du laboratoire de virologie d’Arnica sympathisant avec les terroristes d’Arnica, cette souche de variole du singe est supposée être plus contagieuse que la variole du singe naturelle – avec un nombre de reproduction de base (R0) pour la souche modifiée de 3, contre 2,13 pour la souche sauvage11.

La souche modifiée en laboratoire est également conçue pour être résistante au vaccin antivariolique.

On suppose que la résistance au vaccin est due à l’introduction du gène de l’interleukine-4, comme cela a été démontré dans des études antérieures sur la variole des souris.12 Nous supposons un taux de létalité d’environ 10 %, ce qui correspond aux épidémies de variole des singes précédemment décrites.13

Pour répondre à ces conclusions fictives concernant les « attaques terroristes à l’Arnica », les joueurs ont élaboré une série de recommandations de grande portée :

  • L’OMS devrait mettre en place un système international d’alerte sanitaire gradué et transparent.
    Développer et instituer des déclencheurs au niveau national pour une réponse précoce et proactive à la pandémie.
  • Les gouvernements nationaux doivent adopter une approche « sans regrets » de la réponse à la pandémie, en prenant des mesures anticipées.
  • Créer une entité internationale chargée de réduire les risques biologiques émergents liés aux progrès technologiques rapides.
  • Créer un fonds catalytique pour la sécurité sanitaire mondiale afin d’accélérer le renforcement des capacités de préparation à la pandémie dans les pays du monde entier.
  • Ces recommandations vont dans le sens d’un soutien au traité de l’OMS sur les pandémies (couplé au QR Code) qui consiste à établir une banque de données numériques mondiale qui déroge aux droits des différents États membres.

Et actuellement, George Fu Gao joue un rôle clé dans la mise en œuvre de la stratégie chinoise « Zéro Covid », qui a conduit au verrouillage de Shanghai fin mars 2022, ainsi que de plusieurs autres grandes zones urbaines.

Remarques finales. Une nouvelle campagne de peur est-elle lancée ?

Les gouvernements ont déjà passé des commandes pour la livraison de vaccins contre la variole.

La préparation à la pandémie aux États-Unis

Aux États-Unis, selon un rapport de Forbes du 19 mai 2022, le gouvernement américain a déjà commandé « des millions de doses d’un vaccin qui protège contre le virus ».

Bavarian Nordic, la société de biotechnologie qui fabrique le vaccin, a annoncé une commande de 119 millions de dollars passée par les États-Unis, avec la possibilité d’acheter 180 millions de dollars supplémentaires s’ils le souhaitent. Si cette deuxième option était exercée, cela représenterait environ 13 millions de doses.

La commande permettra de convertir les vaccins antivarioliques existants, qui sont également efficaces contre la variole du singe, en versions lyophilisées, qui ont une durée de conservation plus longue. Les vaccins convertis seront fabriqués en 2023 et 2024, précise la société.

Selon un rapport de presse publié le 19 mai, seuls deux cas de variole du singe ont été confirmés aux États-Unis.

En Chine, les médias sociaux se sont emballés

According to a Daily Mail Report

Des théories du complot circulent en Chine, selon lesquelles les États-Unis auraient délibérément propagé le virus de la variole, suite à la désinformation généralisée sur le Covid-19.
Les utilisateurs des médias sociaux chinois se sont emparés du rapport d’une ONG qui a modélisé un scénario fictif d’épidémie de variole du singe pour prouver que les États-Unis ont propagé le virus.
La Nuclear Threat Initiative présente des scénarios sur la manière dont les pays peuvent se préparer aux retombées nucléaires, aux armes chimiques, aux cyberattaques et aux épidémies biologiques.
Dans le scénario hypothétique publié en novembre 2021, une souche modifiée de la variole du singe entraîne plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès.

Article original en anglais :

For Bill Gates, It’s “Moneypox”: Simulation of Fictitious Monkeypox Virus Pandemic in March 2021, Goes Live in May 2022

Traduit par Mondialisation.ca (traduction révisé par l’auteur)
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




La science infuse

[Source : FranceSoir]

Par Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir

[Illustration : Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans trois semaines, faudrait qu’ils achètent du sable ailleurs.
 Pixabay]

ÉDITO — Serait-ce devenu certain ? Politiciens, hauts fonctionnaires, et autres experts qui nous dirigent, décident de tout pour nous, tant à l’échelle de la vie publique du pays qu’au sein des foyers et des entreprises. Pour eux, c’est certain : le doute ne subsiste pas. Ces messieurs et dames de Science Po, l’ENA, Normal Sup, Polytechnique et Cie — que Coluche regroupait sous l’appellation unique commune de « technocrates » — nos « élites », ont la science infuse.

Pourtant, alors que le moins qualifié des citoyens lambda (les « sans-dents », pour l’ex-président socialiste François Hollande), n’aurait probablement jamais l’idée complètement saugrenue de s’endetter personnellement sur quatre générations, nos élites, elles, ont réussi cet exploit. Et ceci à hauteur de 3 000 milliards d’euros. Une dette publique gigantesque à propos de laquelle personne ne semble s’être dit à un moment : « Là, ça commence à faire un peu beaucoup, non ? Trop, même. » Non. À aucun moment. Ni à compter de cent milliards. Ni à compter de cinq cents milliards. Ni à compter de mille milliards, de deux mille… Jamais.

« Faisant » cela, ces « bons à tout et surtout mauvais à rien » ont donné pleine et entière substantialité à la plus célèbre des formules du Papa des Restos du Cœur les concernant :

« Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans trois semaines, faudrait qu’ils achètent du sable ailleurs. »(([1] comme depuis lors (la tirade est de 1977), ils ont passé la surmultipliée, je me suis donc permis de remplacer « cinq ans » par « trois semaines ».))

Et malheureusement pour nous, citoyens de base incapables de nous gérer par nous-mêmes (c’est ainsi ça que les technocrates nous perçoivent), ce n’est pas uniquement dans la gestion des deniers publics que nos « élites » savent se montrer totalement ridicules. Non. Il est de plus en plus apparent qu’elles s’emploient dans tous les domaines sans exception à marcher à l’opposé de la logique et du bon sens. Et ceci « avec une sérénité dans l’incompétence qui force le respect », pour citer cette fois Pierre Desproges.

Par exemple, vous autres chauffeurs de taxi, sages-femmes, instituteurs, infirmières, artisans, pères ou mères au foyer et autres, quels types de commerces auriez-vous décidé de fermer pour limiter la propagation du virus ? Auriez-vous fermé les petits commerces, ces lieux où très peu de personnes se côtoient ? Ou auriez-vous fermé les grandes surfaces, ces hauts lieux de promiscuité immédiate inévitables pour des milliers de personnes, des endroits clos encore plus bondés de monde dès lors qu’on y ajoute les clients habituels des petits commerces ?

Auriez-vous fermé les écoles, lieux où se trouvent pour l’essentiel des enfants, citoyens non ciblés par le virus ? Ou auriez-vous fermé les transports en commun, lieux où les adultes sont collés les uns aux autres deux fois par jour pendant des heures ?

Et d’après vous, pour lutter contre la propagation d’un virus, est-ce logique, normal, cartésien et davantage approprié, d’un côté, de fermer les boîtes de nuit (dancing), et de l’autre, de laisser ouvert les clubs libertins (spa) ?

Bon, évidemment, certaines mauvaises langues ne manqueront pas d’arguer à ce sujet que le virus en question n’est pas sexuellement transmissible, et que le slogan « tous vaccinés tous protégés », comme le dit la publicité émanant du ministère de la Santé, est forcément une vérité vraie. Cependant, la promiscuité paraît être bien plus à son maximum lors d’un coït que durant une simple danse, fût-ce la plus torride des lambadas.

Autre exemple : vous viendrait-il à l’idée de retirer de la vente un traitement (hydroxychloroquine) utilisé avec succès dans de nombreux pays (Inde, Chine, Sénégal), traitement ayant fait l’objet de nombreuses études scientifiques qui ont démontré son efficacité face au virus contre lequel, officiellement, vous êtes « en guerre » ?

Pareillement, vous serait-il apparu opportun d’autoriser un médicament toxique (Remdesivir), ainsi qu’un traitement comme le Rivotril, qui conduit immanquablement à la dégradation de la santé du patient ?

Et auriez-vous « questionné » les mérites de la vitamine D ?

Évidemment, non !

Eh bien nos « élites », elles, si !

Et c’est pareil dans les autres domaines.

Les médias, quant à eux, ne sont pas en reste. À défaut de questionner ces prises de position, ils les endossent, les cautionnent, et proposent un cadre pour les justifier.

Oui. C’est tout autant regrettable que triste, mais il en est ainsi.

Au lieu d’œuvrer pour un monde fonctionnel articulé autour du bon sens et de la raison, les technocrates nous imposent-ils un monde dysfonctionnel et antinomique du b.a.-ba de la logique la plus évidente ?

Sont-ils irresponsables ?

Si j’étais complotiste, je dirais qu’un tel degré de manque de bon sens (pour ne pas dire de bêtises) s’apparente à une volonté de nuire. Mais laissons à la justice la mission déterminer si cette volonté est délibérée ou pas.

Toutefois, ce constat apparaît manifeste.

Exactement comme si, bien qu’ayant vu au moins dix fois le film avant de prendre le commandement du navire, le capitaine du Titanic faisait tout son possible pour foncer droit sur l’iceberg (([2] ceci en nous expliquant qu’après avis pris auprès d’un comité d’experts en cocktails, il s’agit en fait d’une commande spéciale dont il doit absolument prendre livraison : le glaçon géant qui a été commandé par le barman en chef du navire, pour le carré V.I.P.)), les technocrates semblent s’employer à scier avec toujours plus de frénésie la branche sur laquelle nous sommes tous assis. C’est là ce que certains psychologues/psychiatres n’hésitent pas à qualifier, parfois à bas bruit, de « folie pathologique », « de folie collective. » Avant qu’ils ne se fassent eux-mêmes qualifier de complotistes.

Dès lors, le véritable problème ne serait-il pas l’irresponsabilité juridique des technocrates qui nous dirigent ?

La science ne s’occupe pas de la morale. La science, qui se fonde sur le doute et la recherche de la preuve, se régit elle-même, en corrigeant en temps utile ses erreurs. C’est pourquoi la morale doit s’occuper de la science. Le Petit Robert définit la Morale comme suit : « La science du bien et du mal, des principes de l’action humaine en tant qu’elle est soumise au devoir et a pour but le bien. » Pour nos « élites », se pose donc la question du relativisme moral, idée selon laquelle les valeurs morales seraient dépendantes du contexte historique et culturel. Pourquoi ? Parce que certains politiques n’hésitent pas à clamer « leur croyance dans la science ». Indépendamment du fait que science et croyance soient incompatibles puisque la méthodologie scientifique va de pair avec la remise en question, faire état de croyance dans la science dans une République qui prône la laïcité comme base de notre contrat social ne démontre-t-il pas un relativisme exacerbé ?

Pourtant, Voltaire, père des Lumières, le soulignait dans son Dictionnaire Philosophique : « Il n’y a qu’une morale comme il n’y a qu’une géométrie ». Une notion qui trouve son fondement dans le droit naturel. Dans son Traité sur la tolérance, le philosophe explique : « Le droit humain ne peut être fondé en aucun cas que sur ce droit de nature ; et le grand principe, le principe universel de l’un et de l’autre, est, dans toute la terre : “Ne fais pas ce que tu ne voudrais pas qu’on te fît.” Or on ne voit pas comment, suivant ce principe, un homme pourrait dire à un autre : “Crois ce que je crois, et ce que tu ne peux croire, ou tu périras”. » C’est pourtant ce que font nos technocrates : ils imposent leur croyance et règlent le droit qui régit la société civile sur la base de leur dogme subjectif. Un dogme qui, ne leur en déplaise, n’est pas une science, mais une science infuse, le propre de la personne qui croit détenir la science… sans avoir étudié. En bref, une science qui n’est que croyance. Une croyance affirmée sans juste démonstration n’est que superstition. Or, écrit Voltaire, « la morale n’est point dans la superstition ».

En conséquence, si le droit ne doit pas être l’expression de la volonté superstitieuse de ceux qui détiennent le pouvoir, mais doit, au contraire, se fonder sur le droit naturel, c’est-à-dire la recherche du juste, alors les technocrates sont irresponsables juridiquement.





COVID, VIH, VARIOLE, Monkeypox… Ces virus adorent qu’on les aide à muter

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Le scénario de la Covid recommence avec le Monkeypox et des vaccins dix fois plus dangereux que le Pfizer, autorisés sans essais…

Face à l’augmentation des cas de variole du singe en France, la vaccination préventive contre maladie a été élargie le 8 juillet, les télétoubibs annoncent la cata… Attendons la présentation des gestes barrières ??

Le MPX n’est pas un agent pathogène susceptible de devenir une MST dans la population hétérosexuelle. La raison en est que les personnes infectées peuvent la transmettre efficacement à d’autres pendant environ 4 semaines au maximum, puis l’éliminer et devenir essentiellement immunisées à vie.

~ 50 % symptomatiques et ne se livrant pas à des relations sexuelles ~50 % de taux d’attaque (transmission lors de l’exposition) — > MPX ne se propage que dans les réseaux où les gens ont > 1 partenaire sexuel/semaine.

Dans sa forme actuelle, il est très peu probable que MPX devienne une MST en dehors de certains cercles HSH. Les MST sont définies par leur principale voie de transmission (le sexe), mais plus encore, par leur capacité à provoquer des infections à long terme, l’hôte restant infectieux pour les autres pendant des décennies.

Vont-ils tous nous piquer contre la variole du singe ? Mêmes les anciens vaccinés avant82 ?

@NiusMarco

·Je rappelle qu’en raison des risques de myocardites des vaxcons covid et monkeypox il faut attendre 4 semaines entre les 2. ACAM 2000 c’est 5,7 myocardites pour 1000. C’est 10x plus de « chance » que d’avoir 2 bons numéros au loto 🤦(0,5 %) Des tarés

https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/71/wr/mm7122e1.htm

On autorise d’abord et on fait ensuite une étude observationnelle en population générale sans passer par des essais cliniques :

https://www.ema.europa.eu/en/news/ema-recommends-approval-imvanex-prevention-monkeypox-disease

Le bénéfice/risque ne résiste pas à l’analyse. Même le vieux vaccin antivariolique n’est pas miraculeux et les effets secondaires sont connus et nombreux. La piste des antiviraux est ancienne et si les molécules nouvelles sont coûteuses et inefficaces. D’autres pistes sont bien connues

Le monkeypox ne demande qu’à muter et les manipulations inquiètent…

https://www.science-et-vie.com/les-chroniques-de-science-et-vie-tv/on-a-recree-le-virus-de-la-variole-60600.html

Il aura fallu attendre des mois pour que la Haute Autorité de Santé (HAS) se décide enfin le 8 juillet à définir noir sur blanc les « groupes les plus exposés au virus » de la variole du singe. Soit « les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle ».

Au total, quatre poxvirus peuvent infecter l’homme : le monkeypox virus (MXV), le virus de la variole (VARV), le cowpoxvirus (CXV) ou variole de la vache et le virus de la vaccine (VACV) longtemps assimilé au précédent.

La première épidémie non africaine de variole du singe est survenue en 2003 aux USA où elle a été importée depuis le Ghana par plusieurs espèces de rongeurs sauvages, dont le rat de Gambie

Une transmission interhumaine est également possible. En Europe et Amérique du Nord, la maladie atteint surtout de jeunes adultes de sexe masculin et plus fréquemment les homosexuels et bisexuels. Ainsi, le cas d’un sauna du centre de Madrid (aujourd’hui fermé) où les utilisateurs avaient des relations sexuelles.

Ceux qui ont jadis été vaccinés contre la variole présentent pour certains encore des anticorps (immunité humorale) croisés efficaces contre la variole du singe de l’ordre de 10 ans plus tard.

La contagion peut se produire par contact étroit avec la peau ou les muqueuses (yeux, nez, bouche, organes génitaux…), rapports sexuels, face à face avec un positif et contact avec des sécrétions, du sang, des objets (p. ex. vêtements, literie, articles d’hygiène) contaminés par un patient.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, s’est dit « inquiet », jeudi 21 juillet, de l’augmentation du nombre de cas de variole du singe lors de l’ouverture de la réunion du Comité d’urgence, demandant conseil aux experts avant de trancher sur l’accession au plus haut niveau d’alerte de l’organisation.

https://twitter.com/Carterj37919661/status/1551521950014529537

1) LES MANIPULATEURS SE PRÉPARENT À RENDRE LA MONKEYPOX PLUS LÉTALE

Les médecins savent bien qu’on ne vaccine pas quelqu’un susceptible d’avoir déjà le virus en lui… Vont-ils à un moment se réveiller et réviser leurs classiques ? Faire autant d’études pour en arriver là ça devient grotesque ! Vacciner les cas contact (qui incubent la maladie) rend la maladie mortelle.

Hélène Banoun le rappelle avec justesse

@BanounHelene

La monkeypox, peu létale, va devenir sans doute + sévère si on vaccine les contacts comme le recommande la HAS https://has-sante.fr/jcms/p_3340378/fr/avis-n2022-0034/sespev-du-20-mai-2022-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-relatif-a-la-vaccination-contre-la-variole-du-singe-monkeypox-virus… Incubation 5 à 21 j Vacc entre 4 et 14 j après contact La vaccination des contacts pour la variole rendait la variole encore + mortelle

https://www.aimsib.org/2020/09/06/vaccinez-les-tous-confinez-les-ensemble-le-triste-exemple-de-1974/

idem avec la rougeole https://xiahepublishing.com/2472-0712/ERHM-2022-00018… Banoun H. Measles and Antibody-Dependent Enhancement (ADE): History and Mechanisms. Explor Res Hypothesis Med. Rougeole et facilitation dépendante des anticorps (ADE) : historique et mécanismes7

Bernard Guennebaud rappelle les heurts et malheurs du confinement et de la vaccination systématique des sujets contacts s’agissant non pas de l’entourage des malades atteints de la variole dans les années 1970. Cet article représente la suite logique des deux premiers de la série (*) (**) et vise à faire comprendre qu’en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ?

Éradication de la variole, la désastreuse vaccination des sujets contacts :

[

]

Deux nouveaux concepts, les « effets Buchwald »

Dr. Gerhardt Buchwald, 1920-2009

Une hypothèse va permettre d’en proposer une explication : le vaccin antivariolique utilisé au cours de la campagne d’éradication et avant posséderait ce que j’appelle « les effets Buchwald » du nom du médecin allemand Gerhard Buchwald qui l’affirma courageusement et sans ambages à la télévision allemande le 2 février 1970, en pleine épidémie d’importation dans l’hôpital de Meschede où il y eu 20 cas et alors que le gouvernement s’apprêtait à vacciner au moins 200 000 personnes ([6] p. 44) :

« Sur la première chaîne de télévision publique allemande, (ARD) à l’émission Report, j’ai lancé un avertissement contre ces vaccinations. À la fin du reportage, j’ai dit que l’élève infirmière Barbara Berndt, 17 ans, n’était pas décédée suite à la variole, mais suite à la vaccination antivariolique administrée peu de temps avant. »

Cette élève infirmière avait été vaccinée de façon obligatoire deux fois auparavant puis elle avait reçu une nouvelle vaccination le 16 ou 17 janvier après la déclaration d’un foyer de variole dans l’hôpital de Meschede. Elle décédera le 29 janvier 1970, d’une variole hémorragique 12 jours après cette vaccination. G. Buchwald décrit dans son livre les cas de quatre femmes qui moururent en Allemagne de variole hémorragique peu de temps après avoir reçu une vaccination à l’occasion d’une importation de variole.

Toutes avaient reçu deux vaccinations antivarioliques auparavant et les délais écoulés entre la dernière vaccination et les décès sont entre 10 et 14 jours. La détermination et la lucidité de ce médecin m’ont conduit à proposer de nommer « effets Buchwald » le phénomène qu’il avait bien identifié même si cela était déjà connu un siècle auparavant comme on le verra.

Premier effet Buchwald : chez une personne non immunisée, la vaccination pendant la période d’incubation ou quelques jours auparavant aggravera la maladie. Collectivement, cet effet se manifestera par un accroissement des formes graves et de la mortalité chez les malades (létalité).

Second effet Buchwald : chez une personne immunisée (par une ancienne vaccination ou une ancienne variole) la même vaccination déclenchera la maladie qu’elle aurait sinon évitée. Collectivement cet effet se manifestera par une amplification des épidémies.

Il devient alors possible d’énoncer le théorème de Buchwald :

Après l’importation d’un cas, la vaccination des vrais contacts avec un vaccin doté du second effet Buchwald déclenchera des épidémies dans des populations même immunisées à 100 %.

2) Depuis des milliers d’années, le virus de la variole n’a cessé de muter et de devenir plus méchant avant son éradication (?)

Il faut remonter loin dans le temps: tout commence par une étude sur le mouvement des populations vikings à la fin du premier millénaire. Un projet connexe voit alors le jour, dont l’objectif est d’évaluer la présence d’ADN de la variole sur les restes de 1867 individus. Les scientifiques identifient ainsi 11 personnes du nord de l’Europe, de l’ouest de la Russie et du Royaume-Uni, qui seraient mortes de la maladie entre l’an 603 et l’an 1050.

Avant cette étude, les traces génétiques les plus anciennes de la variole provenaient du corps partiellement momifié d’un jeune enfant lituanien décédé au 17siècle. La découverte de cet ADN sur des individus de l’époque viking prouve donc que la maladie faisait déjà des ravages 1000 ans plus tôt.

Par ailleurs, les résultats indiquent que le virus qui circulait chez les Vikings ne serait pas un ancêtre de la variole moderne, mais plutôt son petit frère. Ils partageraient en effet un parent commun, qui aurait circulé il y a au moins 1700 ans, c’est-à-dire avant la chute de l’Empire romain. Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous savons de l’histoire de la variole: des sources en décrivaient des cas en Inde au 7e siècle et en Asie Mineure au 10e siècle.

Mais depuis quand la variole s’attaque-t-elle à l’humain ? Un des auteurs de l’étude, interrogé par la revue Nature, a analysé les restes de plusieurs individus ayant vécu à l’âge de Bronze, c’est-à-dire il y a entre 10 000 et 13 000 ans. Il n’a trouvé aucune trace de variole.

Le chercheur estime que la maladie aurait commencé à circuler pour de bon il y a 3000 à 4000 ans. Des lésions semblables à celles occasionnées par la variole seraient d’ailleurs visibles sur des momies égyptiennes vieilles de 3000 ans, dont celles du pharaon Ramsès V.

La variole fait partie d’une grande famille, les poxvirus, qui ont pour origine un ancêtre commun qui pouvait apparemment infecter plusieurs hôtes différents. Avec le temps, ce virus se serait spécialisé pour s’attaquer seulement à certaines espèces. C’est ainsi que le virus de la variole en serait venu à préférer l’humain.

Étrangement, la variole ancienne et la variole moderne auraient inactivé des gènes différents. Les deux « frères » auraient donc trouvé chacun leur façon de se reproduire chez l’humain. Certains experts soulignent que ces variations entre les deux génomes signifient que la maladie était probablement différente à ses débuts: elle était peut-être plus répandue, mais moins sévère.

https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2020/08/20/retour-aux-origines-variole

La variole, responsable de 300 millions de morts au XXe siècle, a été déclarée éradiquée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le 8 mai 1980, au terme d’une campagne de vaccination massive.

3) UNE HISTOIRE COMPARABLE POUR LE VIH QUI A PU PROFITER DE LA VACCINATION DE MASSE CONTRE LA VARIOLE POUR MUTER ET DE L’ARRÊT DE CETTE VACCINATION POUR EXPLOSER

En 1987, on a envisagé la possibilité que « l’épidémie de SIDA ait été déclenchée par la campagne de vaccination de masse qui a éradiqué la variole ». Un article du Times l’a suggéré, citant un « conseiller de L’OMS » anonyme avec « je crois que la théorie du vaccin contre la variole est l’explication de l’explosion du SIDA ».,

On pense maintenant que le vaccin contre la variole provoque de graves complications chez les personnes qui ont déjà un système immunitaire altéré, et L’article du Times a décrit le cas d’une recrue militaire atteinte du « VIH dormant » qui est décédée dans les mois qui ont suivi sa réception. Mais aucune citation n’a été fournie concernant les personnes qui n’avaient pas auparavant le VIH.

Actuellement, le VIH est considéré comme une contre-indication au vaccin contre la variole à la fois pour une personne infectée et pour ses partenaires sexuels et les membres du ménage.

En revanche, un article de recherche a été publié en 2010 suggérant que c’était peut-être l’éradication réelle de la variole et la fin ultérieure de la campagne de vaccination de masse qui ont contribué à l’émergence soudaine du VIH. La théorie était la possibilité que la vaccination contre la variole « pourrait jouer un rôle en fournissant à une personne un certain degré de protection contre l’infection à VIH et/ou la progression de la maladie., »

En se basant sur l’histoire naturelle du VIH et son extension en Afrique, Raymond Weinstein et ses collègues ont proposé l’hypothèse que le déclin des réponses immunologiques à la variole, lié à une éradication de la maladie et à l’arrêt des vaccinations, pourrait être associé à l’explosion du VIH.

La phase épidémique commença à la fin des années 1970-début des années 1980. C’est en Afrique noire que l’on a relevé le plus grand nombre de sous-types du virus VIH-1, phénomène marquant l’ancienneté de la circulation des virus.

Pour vérifier cette hypothèse, les chercheurs ont pratiqué des analyses sanguines auprès de 10 participants vaccinés contre la variole et 10 non vaccinés, et ont exposé leurs cellules au VIH in vitro.

Malgré le petit nombre de participants, les auteurs ont décelé des différences entre les deux groupes quant à la résistance à l’infection au VIH. Les patients vaccinés seraient quatre fois plus résistants au VIH que les non-vaccinés.

Il semble que le VIH ne soit pas parvenu à se multiplier ou à un niveau très faible dans les cellules des patients vaccinés contre la variole. Ces résultats suggèrent que la vaccination antivariolique pourrait être adaptée pour conférer une protection significative contre l’infection au VIH.

Indépendamment des effets du vaccin contre la variole lui-même, son utilisation en pratique en Afrique fait partie des catégories d’injections non stériles qui ont pu contribuer à la propagation et à la mutation des virus de l’immunodéficience.

Et oui le VIH mute et deviendrait plus méchant comme en témoigne un variant détecté au Bénélux.

Le virus du VIH est en constante évolution, de telle sorte que chaque personne infectée en présente une version légèrement différente, ce qui n’a la plupart du temps pas d’importance. Mais le variant découvert comporte lui plus de 500 mutations. 

Ce variant répond en effet aux traitements existants, et est en déclin depuis 2010. « Il n’y a pas de raison de s’alarmer », a assuré à l’AFP Chris Wymant, chercheur en épidémiologie à l’Université d’Oxford et auteur principal de cette étude, publiée ce jeudi 3 février dans la revue Science.

Mais cette découverte pourrait aider à mieux comprendre comment le virus du VIH, à l’origine de la maladie du sida, attaque les cellules.

Ces travaux démontrent également qu’un virus peut bien évoluer pour devenir plus virulent :

Un article scientifique synthétise les mécanismes spécifiques qui conduisent à des maladies graves après des injections (cancer, thromboses, Guillain Barré, Alzheimer), mécanismes qui n’existent pas après une infection par le virus :
https://pgibertie.com/2022/07/25/un-article-scientifique-synthetise-les-mecanismes-specifiques-qui-conduisent-a-des-maladies-graves-apres-des-injections-cancer-thromboses-guillain-barre-alzheimer-mecanismes-qui-n/… 
via @giberpa




LE GRAND JURY révèle l’agenda pour la domination mondiale

NOTE DE COPYRIGHT

Ce document [PDF. Voir plus bas] contient une sélection des informations les plus importantes présentées au cours de la deuxième journée de la procédure modèle du Grand Jury, dirigée par le comité d’enquête Corona de l’avocat, le Dr Reiner Fuellmich.

Il n’y a aucun droit d’auteur sur ces informations et, en fait, chaque lecteur est encouragé à diffuser ces informations à grande échelle sous la stricte condition qu’elles ne soient pas vendues à des fins lucratives.

Des copies imprimées de ce document peuvent être obtenues sur le site Web suivant :
StopWorldControl.com/jury

Ce document fait partie de la première des cinq sessions du grand jury.

Les autres sessions seront également disponibles en format imprimable.

Traduction française par Dawid E.R. et google translate, pour cogiito.com

CONTENU

GRAND JURY
Présentation des preuves pour crimes contre l’humanité
PAGE 3

LA CITY DE LONDRES
L’élite Britannique et leur agenda pour la domination mondiale
PAGE 6

MANIPULATION PSYCHOLOGIQUE
Contrôler les esprits de la population pour changer leur comportement
PAGE 33

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ
L’OMS a été mis en place pour fonctionner comme un gouvernement mondial unique
PAGE 54

CONCLUSION
Entités privées s’emparent du monde
PAGE 81

RESOURCES
More information about the criminal elite
PAGE 86

[Traduction de la page 86 :

Assurez-vous de consulter les ressources critiques suivantes qui en révèlent beaucoup plus sur les entités criminelles qui prévoient de réduire l’humanité en esclavage. Ces ressources fournissent plus d’informations, ce qui vous permet de résister à leurs plans et d’aider à construire un monde meilleur de liberté, de bonté et de vérité.

MONOPOLY

Le documentaire MONOPOLY – Who Owns the World (MONOPOLY – Qui possède le monde ?) est un documentaire brillant et éblouissant que tout le monde devrait regarder dans ce contexte. Ce film montre toutes les preuves de la façon dont pratiquement tout ce qui existe dans notre monde est détenu par un très petit groupe de personnes super riches. Nombreux sont ceux qui ont fait l’éloge de ce documentaire, le qualifiant d’incontournable pour toute l’humanité et d’un des meilleurs documentaires de tous les temps. Monopoly peut être visionné ici :
StopWorldControl.com/monopoly
[Version française :
Qui possède le monde ?]

LA CHUTE DE LA CABALE

Il s’agit de la meilleure ressource au monde pour en savoir plus sur l’identité de ces oligarques criminels et sur le type de crimes qu’ils commettent depuis des siècles. Il existe deux séries : la série originale Fall of the Cabal [La chute de la Cabale], qui expose les horreurs indicibles infligées à l’humanité – et en particulier aux enfants. La suite continue avec plus d’informations sur qui ils sont, quel genre d’organisations ils dirigent, et ainsi de suite. Ces séries changent la vie et doivent être vues par tous ceux qui veulent aider à mettre fin à ces crimes cruels et à construire un monde d’espoir pour nos enfants. Regardez The Fall of the Cabal ici :
StopWorldControl.com/cabal

RONALD BERNARD

Le témoignage de ce courageux dénonciateur est l’un des plus choquants et des plus révélateurs de tous les temps. Une fois que Ronald a accédé aux plus hauts niveaux du monde financier, il a été invité à participer au sacrifice d’enfants. Il a découvert que la plupart de ceux qui opèrent aux plus hauts niveaux, sont impliqués dans une religion appelée Luciférianisme. Ronald n’a pas pu le faire et s’en est éloigné. En conséquence, il a été physiquement torturé pour s’assurer qu’il ne révélerait aucun de leurs noms au monde. Dans la vidéo suivante, il confirme une grande partie de ce qui est dit par les dénonciateurs dans le résumé du Grand Jury. À voir absolument pour tous ceux qui veulent construire un monde meilleur.

Regardez Ronald Bernard ici :
StopWorldControl.com/bernard

RAPPORT SUR LA MORT PAR LES VACCINS

Le Vaccine Death Report est le rapport le plus complet et le plus détaillé au monde sur les destructions innommables causées par la thérapie génique expérimentale, faussement commercialisée sous forme de vaccins. Des millions de personnes sont déjà mortes, et des centaines de millions sont handicapées à vie. Et ce n’est que la première vague de dévastation à court terme. À long terme, les effets dépasseront toute imagination. Il s’agit véritablement de la pire attaque contre la race humaine de tous les temps. Téléchargez le rapport sur les décès dus aux vaccins ici :
StopWorldControl.com/report
[Version française :
Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !]

L’ÂGE DES CYBORGS

L’une des réalités les plus inquiétantes révélées au cours de ce Grand Jury est la manière dont les oligarques prévoient de soumettre l’ensemble de l’humanité à un système sans précédent de contrôle total de nos esprits et de nos émotions. Nous préparons un documentaire qui montrera des dizaines de ces criminels parlant ouvertement de ce programme d’éradication complète du libre arbitre, de la libre pensée et de la libre émotion. Il s’agira du plus important cri d’alarme de l’humanité, de notre époque. Si ces psychopathes parviennent à réaliser leur projet fou, tout le monde sera un esclave contrôlé, dans son esprit, son âme et son corps. La 5G joue un rôle clé à cet égard, ainsi que l’oxyde de graphène, qui est ajouté aux vaccins, à l’eau potable, aux chemtrails, à la nourriture, aux compléments alimentaires, aux produits pour femmes, aux couches, etc. Une fois que le public sera suffisamment saturé d’oxyde de graphène, il pourra être contrôlé par la 5G. Inscrivez-vous à nos courriels gratuits pour rester informé de ce documentaire à venir, et pour recevoir d’autres informations critiques qui vous aideront à défendre votre vie.

Inscrivez-vous ici : StopWorldControl.com]

[Voir aussi les 8 vidéos du Grand Jury :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]




L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ?

Par le Dr Gérard Delépine

Jadis ces deux institutions analysaient les faits avérés et se comportaient souvent en scientifiques. Mais depuis le covid, leurs avis(([1] https://www.academie-medecine.fr/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-contre-la-covid-19-serait-une-faute/)) sont manifestement dictés par le souci de ne pas déplaire et de justifier le crédo politique gouvernemental. Elles se comportent en grands inquisiteurs du dogme officiel. La dernière manifestation de cette dérive antiscientifique est leur refus de réintégrer les soignants vaccino prudents.

Si les membres de ces deux institutions avaient voulu répondre objectivement à la pertinence de la réintégration des soignants, ils auraient dû évaluer :

  • 1°) Le risque de contamination que représentent les soignants non vaccinés
  • 2°) L’efficacité des vaccins à prévenir la transmission et à diminuer le risque de formes graves et de morts
  • 3°) Les conséquences de l’exclusion des soignants sur leur déficit dramatique

Or curieusement leurs communiqués ne présentent aucune analyse argumentée des faits établis sur ces trois points cruciaux. Nous le ferons donc à leur place.

Les soignants sont-ils des vecteurs notables de contamination covid ? Non !

Les soignants seraient plus fréquemment atteints par la maladie que le reste de la population, mais comme ils se surveillent plus efficacement que les autres, qu’ils prennent davantage de précautions et qu’ils s’arrêtent précocement de travailler lorsqu’ils se sentent en phase d’incubation, ils ne représentent pas forcément un vecteur significatif de transmission de la maladie.

Le 23 juillet 2022, la base de documentation PubMed recensait 1242 articles répondant à « nosocomial covid ». L’analyse des articles recherchant l’origine de ces infections survenues à l’hôpital(([2] Grimalt JO, Vílchez H, Fraile-Ribot PA, Marco E, Campins A, Orfila J, van Drooge BL, Fanjul F. Spread of SARS-CoV-2 in hospital areas. Environ Res. 2022 Mar;204(Pt B):112074. doi: 10.1016/j.envres.2021.112074. Epub 2021 Sep 20. PMID : 34 547 251 ; PMCID : PMC8450143.)) montre que les causes les plus souvent retrouvées sont le non-respect des règles d’hygiène (lavage des mains) et le mauvais environnement des services (tout particulièrement le système de ventilation). Aucune de ces études n’incrimine les soignants comme source d’infection notable dans le monde réel.

Le cas d’un chirurgien infecté(([3] Gallo O, Peris A, Trotta M, Orlando P, Maggiore G, Cilona M, Trovati M, Locatello LG. Epidemiological analysis of a COVID-19 outbreak associated with an infected surgeon. Epidemiol Infect. 2021 Mar 25;149:e77. doi : 10.1017/S0950268821000650. PMID: 33762038; PMCID: PMC804238)) qui n’a infecté aucun de ses contacts alors qu’il était porteur du virus comme d’ailleurs celui d’un ophtalmologiste(([4] Saban O, Levy J, Chowers I. Risk of SARS-CoV-2 transmission to medical staff and patients from an exposure to a COVID-19-positive ophthalmologist. Graefes Arch Clin Exp Ophthalmol. 2020 Oct;258(10):2271-2274. doi: 10.1007/s00417-020-04790-w. Epub 2020 Jun 21. PMID : 32 567 041 ; PMCID : PMC7306185)) est assez démonstratif.

L’examen des infections nosocomiales d’un hôpital indien conclut ainsi :

« Malgré l’admission d’un grand nombre de patients COVID-19 et une proportion relativement importante de membres du personnel hospitalier testés positifs pour la maladie, la proportion de COVID-19 nosocomiale dans notre centre est restée faible. »

D’ailleurs avant l’apparition des pseudo vaccins, la prévention des infections covid par ces moyens traditionnels d’hygiène s’est révélée efficace que ce soit en Espagne(([5] Caro-Martínez E, Abad-Collado S, Escrivá-Cerrudo B, García-Almarza S, García-Ródenas MDM, Gómez-Merino E, Serrano-Mateo MI, Ramos-Rincón JM. Nosocomial COVID-19 Infection in a Long-Term Hospital in Spain: Retrospective Observational Study. Medicina (Kaunas). 2022 Apr 21;58(5):566. doi: 10.3390/medicina58050566. PMID : 35 629 983 ; PMCID : PMC9143631.)) ou à Hong Kong(([6] KL, Yuen KY. Multipronged infection control strategy to achieve zero nosocomial coronavirus disease 2019 (COVID-19) cases among Hong Kong healthcare workers in the first 300 days of the pandemic. Infect Control Hosp Epidemiol. 2022 Mar;43(3):334-343. doi: 10.1017/ice.2021.119. Epub 2021 Mar 19. PMID: 33736729; PMCID: PMC8060541.ôle des infections Hosp Epidemiol)). Mais la croyance que les pseudo vaccins pourraient prévenir les transmissions risque d’inciter au relâchement de l’hygiène et d’augmenter les contaminations.

Accuser les soignants non vaccinés de constituer un vecteur de transmission significatif du covid ne repose sur aucun fait réel rapporté dans la littérature et repose sur un simple a priori quasi religieux.

Les députés pouvaient espérer mieux de ces institutions entretenues à grands frais par nos impôts !

Les pseudo vaccins sont-ils capables d’empêcher les transmissions ? Non !

Pour répondre à cette question, il suffit de consulter les données de l’OMS qui montrent que les grandes campagnes d’injection n’ont pas ralenti l’épidémie, mais au contraire l’ont plutôt stimulée. Au 19 juillet 2022 après un total de 12 219 375 500 doses administrées à près de 60 % de la population mondiale le rythme des contaminations a été multiplié par 3 passant de 8 millions par mois pendant les 10 premiers mois de l’épidémie (avant les vaccins) à 26,7 millions de nouveaux cas mensuels pendant les 18 mois de l’ère vaccinale.

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné a été initialement observée au Royaume-Uni. En 2021, entre les semaines 39 et 42, un total de 100 160 cas de COVID-19 ont été signalés parmi les citoyens de 60 ans ou plus. 89,7 % des contaminations sont survenues parmi les 89 821 Anglais complètement vaccinés contre seulement 3,4 % parmi les 3 395 non vaccinés.(([7] Agence britannique de sécurité sanitaire. Rapport de surveillance du vaccin COVID-19. Semaine 4328. Octobre 2021.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1029606/Vaccine-surveillance-report-week-43.))

Cette augmentation des contaminations après vaccination s’observe dans l’ensemble des 185 pays qui ont publié leurs taux de vaccination et de contamination et confirme que « plus on est vacciné moins on est protégé » !

En Israël, une épidémie nosocomiale a été signalée impliquant 16 travailleurs de la santé, 23 patients exposés et deux membres de la famille. La source était un patient COVID-19 entièrement vacciné. Le taux de vaccination était de 96,2 % chez l’ensemble des personnes exposées (151 soignants et 97 patients). Quatorze patients entièrement vaccinés sont tombés gravement malades ou sont décédés, les deux patients non vaccinés ont développé une maladie bénigne.(([8] Shitrit P, Zuckerman NS, Mor O, Gottesman BS, Chowers M. Épidémie nosocomiale causée par la variante SARS-CoV-2 Delta dans une population hautement vaccinée, Israël, juillet 2021. Euro Surveill. 2021 ; 26 (39) doi : 10.2807/1560-7917.ES.2021.26.39.2100822.))

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont identifié comme des « comtés à transmission élevée » quatre des cinq comtés présentant les pourcentages les plus élevés de population entièrement vaccinée (99,9–84,3 %)(([9] Subramanian SV, Kumar A. Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States. Eur J Epidemiol. 2021 Dec;36(12):1237-1240. doi: 10.1007/s10654-021-00808-7. Epub 2021 Sep 30. PMID: 34591202; PMCID: PMC8481107))

Cette aggravation paradoxale du risque de contamination après vaccination a été soulignée par d’autres auteurs dans des revues médicales à comité de lecture(([10] Kampf G. The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is decreasing after booster vaccination, as shown by incidence rate ratios-author’s reply. Lancet Reg Health Eur. 2022 Apr 4;16:100376. doi: 10.1016/j.lanepe.2022.100376. PMID: 35392451; PMCID: PMC8978700.
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2666-7762%2821%2900258-1))(([11] Bohnert JA, Ulm L, Hübner NO, Seifert U, Becker K, Kramer A. The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is decreasing after booster vaccination, as shown by incidence rate ratios. Lancet Reg Health Eur. 2022 May;16:100372. doi: 10.1016/j.lanepe.2022.100372. Epub 2022 Apr 11. PMID: 35434686; PMCID: PMC8995670.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35434686/))

En France on a observé aussi cette évolution paradoxale avec un nombre mensuel de contaminations multiplié par 6 depuis les injections :

L’obligation vaccinale des soignants est incapable de protéger les patients. Au lieu de diminuer le risque de contaminations des malades, l’obligation vaccinale des soignants paraît donc même susceptible de l’augmenter !

Les injections diminuent-elles le risque de forme grave et de mourir ? Non !

La consultation des données de l’OMS dément là encore totalement la propagande gouvernementale reprise par l’Académie de médecine et de la HAS qui prétendent, sans rapporter de faits avérés autres que les communiqués biaisés d’Epiphare que les injections protégeraient des formes graves.

Les formes graves sont celles susceptibles d’entraîner la mort et la mortalité observée en représente un témoin fiable. Or depuis les injections la mortalité globale n’a pas diminué dans les pays les plus vaccinés bien au contraire.

Cette courbe des mortalités au 23 juillet 2022 issue des données publiées par l’OMS les situe entre 2000 et 3000/million dans les pays champions des injections contre 183/million en Afrique très peu vaccinée, mais apôtre des traitements préventifs ou précoces par antipaludéens ou artémisine.

Cette aggravation de la mortalité Covid devient plus évidente quelques mois après l’injection. Initialement remarquée en Grande-Bretagne où, depuis avril 2022, d’après l’Office National des Statistiques plus de 90 % des morts covid touchent les multi vaccinés.

Elle s’observe maintenant aussi en France. Depuis juin 2022 la mortalité attribuée au Covid atteint 3/10 000 000 chez les non-vaccinés contre 4/10 000 000 chez les vaccinés.(([12] https://covidtracker.fr/vaximpact/))

Les soignants qui ont refusé les injections ne sont pas des antivax comme les qualifient mensongèrement le gouvernement et les médias. Avant la crise covid ils avaient tous accepté les vaccins prévus par leur fonction, les avaient conseillés et souvent injectés à leurs patients.

Mais mieux informés que la population, ils n’ont pas voulu se faire injecter un médicament expérimental de plus issu d’une technique jamais utilisée en pathologie infectieuse avant la publication complète des résultats des essais phase 3 (prévue pour février 2023). Leurs inquiétudes avaient d’ailleurs été ravivées par les complications post injections qu’ont subies leurs collègues vaccinés avant eux.

Ces soignants ont appliqué le principe de précaution : ce sont des vaccino prudents et les très mauvais résultats actuels des pseudo vaccins montrent qu’ils avaient malheureusement raison.

Sandra, infirmière anesthésiste suspendue(([13] https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/gard/nimes/violent-et-malveillant-des-soignants-non-vaccines-denoncent-la-maltraitance-institutionnelle-2475517.html)):

« Depuis le mois de septembre, nous sommes mis en marge de la société et précarisés pour avoir simplement fait un choix légitime qui est celui de préserver notre intégrité physique en refusant ces injections »

Les appels de certains à « punir les non injectés » sont donc médicalement stupides et éthiquement nauséabonds. Comme ils concernent des médicaments expérimentaux, il s’agit d’un essai non déclaré réalisé sans consentement libre et éclairé, ce qui réitère les pratiques des expériences vaccinales nazies qui ont justifié plusieurs condamnations à mort des médecins qui les ont pratiquées.(([14] https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe85002278/proces-des-medecins-nazis))

Dans cette propagande pseudo vaccinale scientifiquement infondée se disputent l’ignorance et la corruption qui mettent la vie de la population crédule en danger comme le rappelait récemment le Lancet

Les avis infondés de l’Académie de médecine
et de la HAS aggravent le manque dramatique de soignants
et mettent en danger la vie des Français.

Actuellement plus de 120 services d’urgence ne peuvent plus fonctionner normalement(([15] https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/sante/manque-de-personnel-16-des-services-d-urgence-en-grande-difficulte_AV-202205270139.html)) et de nombreuses interventions chirurgicales nécessaires sont retardées faute de personnel et les déserts médicaux se multiplient partout en France. Et la seule solution proposée par le ministre Braun est la fermeture des urgences la nuit !

Le manque chronique de soignants dû aux salaires insuffisants et à la gestion bureaucratique purement financière de plus en plus tatillonne n’est pas nouveau. Il a été dramatiquement aggravé par la gestion autoritaire de la crise Covid dévalorisant les médecins généralistes, leur interdisant de prescrire selon leur conscience, instaurant une censure sévère avec création d’un délit d’opinion.

La goutte d’eau responsable de la catastrophe actuelle est l’obligation « vaccinale » d’un médicament totalement expérimental issu d’une technique expérimentale en infectiologie. En plus des 15 000 soignants officiellement interdis d’exercer, de nombreux médecins ont préféré prendre une retraite anticipée, et certains soignants en formation ont interrompu leurs études aboutissant à un déficit réel proche de 50 000.

Il existe actuellement en France largement suffisamment de soignants diplômés (312 172 médecins), mais la densité des médecins en activité baisse et certains modes d’exercice sont boudés (urgentistes, anesthésistes, chirurgiens). La suppression de l’obligation « vaccinale » ne déciderait pas tous les soignants qui l’ont refusée à reprendre leur activité, car la discrimination ignoble dont ils sont encore victimes les a profondément marqués, mais le retour de même de seulement la moitié d’entre eux soulagerait le système sanitaire en rupture.

Le refus de l’Académie de médecine et de la HAS de réintégrer les soignants vaccino prudents pérennise le manque de soignants et mettent en danger la santé des Français. Cet été et à l’automne prochain, si vous trouvez les urgences de votre hôpital fermées et s’il n’y a plus de médecin dans votre région transformée en désert médical, vous pourrez en remercierles ayatollahs de l’Académie de médecine et de la Haute Autorité de Santé





Le producteur de cinéma Del Bigtree : « Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années »

[Source : lemediaen442.fr]

Del Bigtree, du média « The Highwire », lit la lettre d’une Australienne vaccinée qui admet qu’elle était gênée par le courage et les principes des non-vaccinés alors qu’ils tenaient bon face à la dictature sanitaire. 

Rappelons à nos lecteurs que le projet élyséen pour les non-vaccinés n’était pas un grand secret, puisque La Dépêche avait fait fuiter l’information : créer un système de QR-codes à scanner avant l’entrée dans les lieux publics pour identifier et suivre la personne. Le calcul politique est simple : les quelques récalcitrants, estimés à 20 % par la présidence, devront capituler de lassitude dans la guerre d’usure, sous peine d’être privés de restaurants, de vie culturelle, de vie sociale tout court.

« Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins covid. Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures de combat, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement. La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous en être très reconnaissants. »

Lettre en entier :

Si Covid était un champ de bataille, il serait encore chaud des corps des non-vaccinés. Heureusement, les contraintes se relâchent et les belligérants des eux côtés reviennent à une nouvelle normalité.

Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérimentation et de mettre en évidence la carence des vaccins Covid.

Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement, mais personne ne veut parler de ce que nous leur avons fait et de ce qu’ils ont obligé la science à dévoiler.

Nous savions que l’immunité décroissante des personnes entièrement vaccinées avait le même profil de risque que les autres membres de la société, comme la minorité des non-vaccinés, mais nous les avons ciblés pour une persécution spéciale.

Vous voyez, nous avons dit qu’ils n’avaient pas « fait ce qu’il fallait pour le bien de tous » en remettant leur corps et leur autonomie médicale à l’État.

De nombreux soi-disant experts de la santé et dirigeants politiques en Australie ont admis que l’objectif était de rendre la vie presque invivable aux non-vaccinés, ce qui a été multiplié plusieurs fois par la foule collective, avec un combat à mener dans les lieux de travail, les amitiés et les réunions de famille.

Aujourd’hui, la dure vérité est que rien de tout cela n’était justifié, alors que nous sommes passés rapidement de la droiture à la cruauté absolue. Nous pourrions rejeter la faute sur nos dirigeants et nos experts en santé pour cette incitation, mais chaque individu au sein de la société doit être tenu responsable d’être tombé dans le piège bien tendu.

Nous l’avons fait en sachant très bien que l’opposition de principe n’a pas de prix quand il s’agit de ce qui entre dans notre corps et nous nous sommes laissés tromper en croyant qu’entrer dans un autre verrouillage inefficace serait la faute des non-vaccinés et non la faute de la politique toxique de vaccins inefficaces.

Nous avons pris plaisir à faire des boucs émissaires des non-vaccinés parce qu’après des mois de confinements orchestrés par des dirigeants politiques aveuglés par le pouvoir, avoir quelqu’un à blâmer et à brûler sur le bûcher faisait du bien.

Nous pensions que nous avions la logique, l’amour et la vérité de notre côté, il était donc facile de souhaiter la mort aux non-vaccinés.

Ceux d’entre nous qui ont ridiculisé les non-conformistes et s’en sont moqués l’ont fait parce que nous étions gênés par leur courage et leurs principes et que nous ne pensions pas que les non-vaccinés s’en sortiraient indemnes et nous avons transformé les résistants en punching-balls. Bonnie Henry, Teresa Lam, Lori Wanamaker, Anthony Fauci, Trudeau et les autres centaines d’acteurs occupant des rôles de premier plan doivent être tenus responsables d’avoir vilipendé les non-vaccinés en public et d’avoir alimenté la colère des foules sur les réseaux sociaux.

Les foules, les nazis masqués et les disciples du vaccin ont été gênés de « parier contre » les non-vaccinés parce que les contraintes sanitaires n’avaient que le pouvoir que nous leur donnions.

Ce n’est pas le conformisme qui a mis fin à la domination des grandes sociétés pharmaceutiques, de Bill Gates et de ses nombreuses organisations, et du Forum économique mondial… C’est grâce aux personnes que nous avons essayé d’embarrasser, de ridiculiser, de moquer et de démolir.

Nous devrions tous essayer de trouver une certaine gratitude intérieure pour les non-vaccinés, car nous avons mordu à l’appât en les haïssant parce que leur persévérance et leur courage nous ont donné le temps de voir que nous avions tort.

Donc, si jamais les contraintes sanitaires réapparaissent lors du Covid ou de tout autre maladie ou virus, espérons-le, davantage d’entre nous seront éveillés et verront l’autoritarisme croissant qui ne se soucie pas de notre bien-être et est plus une question de pouvoir et de contrôle.

La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous en être très reconnaissants.




REVUE DE PRESSE DU 23 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Immunité biologique versus immunité juridique

Si un vaccin est approuvé aux USA pour les enfants, son fabricant ne peut être poursuivi pour les effets indésirables qu’il provoque, qu’il s’agisse d’adultes ou d’enfants, et même si ce produit n’assure pas la protection avancée, d’où la course à l’approbation pour les laboratoires déjà en selle, tandis que Valneva voit ses contrats annulés en Europe et au Royaume-Uni, pour cause de retard à l’AMM : deux poids deux mesures.

L’immunité acquise avec Omicron reste forte contre les sous-variants, et les masques une fois de plus se révèlent inutiles et dangereux, comme en témoigne le désastre de leur utilisation en Nouvelle-Zélande.

Les vaccinés affichent une surmortalité toutes causes, y compris avec une explosion de la mort subite de l’adulte. Mais les caciques de la HAS et de l’Académie de médecine aux conflits d’intérêts bien connus ont conforté le gouvernement dans son refus de réintégrer les soignants suspendus, malgré un été sous tension dans tous les services d’urgence.

Quant à l’OTAN s’il considère l’esprit humain comme un nouveau domaine de guerre, la manipulation est visible pour les esprits éveillés et selon le Pr Perronne, le mensonge ne durera pas éternellement. Exemple au Royaume-Uni où l’on a découvert les morts cachés sous le tapis du groupe non vacciné alors qu’ils sont décédés après la première dose de « vaccin ».

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS dit non à la réintégration des soignants suspendus

https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/le-gouvernement-suit-lavis-de-la-has-et-dit-non-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines

Hélas, sur des arguments dont on sait qu’ils sont faux (l’efficacité n’est pas au rendez-vous, ni contre la contamination, ni contre les formes graves et décès).

Pour comprendre cette décision, il faut en connaître les auteurs et leurs conflits d’intérêts

Exemple, le Pr Aubier, membre de l’Académie de médecine

https://www.transparence.sante.gouv.fr/pages/infosbeneficiaires/?refine.id_beneficiaire=45432

À ce niveau-là, tout s’explique.

France, le seul pays au monde, avec l’Italie, à maintenir la suspension des soignants et pompiers

https://pgibertie.com/2022/07/22/la-protection-vacxxxinale-a-disparu-meme-en-france-seul-pays-au-monde-avec-litalie-a-maintenir-lobligation-pour-soignants-et-pompiers/

Malgré l’absence de protection des injections contre les formes graves.

La forfaiture du gouvernement et de ses alliés

https://pgibertie.com/2022/07/23/non-reintegration-des-soignants-et-pompiers-non-vaccines-la-forfaiture-du-gouvernement-et-de-ses-allies-verifiez-vous-memes-les-stats-qui-le-prouvent/

Les non-vaccinés représentent le quart de la population française et « seulement » 15 % des cas et décès. « Affirmer, en juillet 2022 que les injections protègent les plus vulnérables, c’est du même ordre que présenter le Médiator comme l’invention médicale du siècle et le tabac comme un produit efficace contre le cancer ».

Les statistiques de la DREES parlent toutes seules

France — pour la première fois les statistiques officielles révèlent l’absence de protection vaccinale contre les formes graves

https://pgibertie.com/2022/07/22/pour-la-premiere-fois-en-france-les-statistiques-officielles-revelent-que-la-protection-vaccxxinale-contre-les-formes-graves-n-existe-pas/

et

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/rapport-vaccinesnon-vaccines

« 5 décès par 10 millions pour les vaccinés et 4 pour les non-vaccinés. » Pour autant on ne sait pas de quoi sont décédées ces personnes, dont le diagnostic est « avec Covid » et non « du Covid ».

Lettre d’une étudiante en médecine au Conseil de l’Ordre

On souhaite qu’un jour prochain quand le bon sens aura réintégré les institutions, hôpitaux et facultés de médecine, cette jeune étudiante puisse reprendre ses études interrompues avec un courage moral qui force le respect.

ÉTRANGER

Les actions de l’OTAN pour le contrôle de l’opinion publique

https://fr.sott.net/article/40404-Propagande-operations-psychologiques-et-guerre-cognitive-Les-actions-de-l-OTAN-pour-le-controle-de-l-opinion-publique

« Elle a mis en place dès avril 2020 une structure dédiée à l’étude de ce qu’ils appellent “l’infodémie”, et lancé dès avril 2020 l’Information Network for Epidemics (EPI-WIN) » ; « En mai 2020 elle fait passer la résolution WHA73.1 qui affirme que le contrôle des infos non conformes est un point essentiel dans la lutte “contre le Covid”, impose aux États de produire des contenus conformes et prendre des mesures contre les infos non conformes. »

« L’esprit humain est désormais considéré comme un nouveau domaine de guerre ». « Les armées développent déjà des armes neurologiques qui visent le système nerveux et les capacités cognitives. Des expérimentations dans ce sens sont très certainement menées actuellement en Amérique latine avec la DARPA. »

L’UE abandonne Valneva

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/lue-abandonne-valneva/

Annulation quasi totale de la commande, car l’AMM a tardé à venir (l’appréciation de l’urgence n’est pas la même selon le laboratoire concerné).

ROYAUME-UNI — les morts cachés sous le tapis

https://pgibertie.com/2022/07/16/en-soulevant-le-tapis-on-a-retrouve-planques-des-milliers-de-morts-victimes-de-la-premiere-dose/

Ces morts survenues après la première injection avaient été comptabilisées dans le groupe des non-vaccinés.

ROYAUME-UNI — près de 19 millions de citoyens non vaccinés

https://reseauinternational.net/un-rapport-du-gouvernement-britannique-admet-que-189-millions-de-personnes-ne-sont-toujours-pas-vaccinees-en-angleterre-et-que-50-du-pays-a-refuse-le-rappel/

Depuis avril 90 % des décès dus au Covid se trouvent chez les triple-vaccinés.

JUSTICE

Les sénateurs refusent la signification par huissier du courrier de l’association Bon Sens

Déni de considération des citoyens et refus d’entendre ce qu’ils ne veulent pas savoir.

ITALIE — décision historique contre la vaccination obligatoire

Décision largement argumentée autant juridiquement que scientifiquement.

USA — les familles s’unissent pour dénoncer les protocoles hospitaliers qui ont conduit à la mort de leurs proches

https://www.epochtimes.fr/nous-allons-obtenir-justice-les-familles-sunissent-pour-denoncer-les-protocoles-hospitaliers-douteux-qui-ont-conduit-a-la-mort-de-leurs-proches-2070225.html

« Les détails des récits présentés par les familles dont des proches sont décédés à l’hôpital en raison de ce qu’elles appellent les “protocoles mortels” sont étrangement similaires.Ils ont terrifié ces personnes en les maltraitant émotionnellement et psychologiquement” »

COVID

Immunité naturelle acquise avec Omicron forte contre les sous-variants

https://www.aubedigitale.com/limmunite-naturelle-acquise-avec-omicron-est-forte-contre-les-autres-sous-variants-etude/

« Des scientifiques du Qatar ont constaté que la protection conférée par la résistance au COVID-19 était forte contre les plus récents sous-variants du virus, y compris celui qui domine actuellement aux États-Unis. »

TRAITEMENTS ET MESURES

Les masques sont INUTILES et DANGEREUX, l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-masques-sont-inutiles-et-dangereux-lexperience-desastreuse-de-la-nouvelle-zelande/

Inutiles, car les virus sont 5000 fois plus petits que les trous des masques, dangereux, car ils augmentent la contamination au lieu de la diminuer et provoquent des troubles cutanés, respiratoires, psychologiques et neurodéveloppementaux chez les enfants.

INJECTIONS

La FDA approuve l’utilisation d’urgence de Novavax

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/19/la-fda-approuve-lutilisation-durgence-du-vaccin-de-novavax/

Pour les réticents aux vaccins à ARNmessager… mais pas de réelle étude de pharmacovigilance pour ce vaccin qui injecte la fameuse Spike, toxique.

Les vaccins anti-Covid sont inefficaces et toxiques pour les enfants

https://pgibertie.com/2022/07/18/la-biologiste-helene-banoun-accuseles-vaccins-covid-sont-inefficaces-et-toxiques-pour-les-enfants/

« L’efficacité a été mesurée uniquement selon la méthode de l’‘immunobridging », c’est-à-dire sur le taux d’anticorps observé après les injections et non sur la capacité du vaccin à empêcher une infection par le virus. Aucun enfant déjà naturellement immunisé par une infection antérieure n’a été infecté : ceci démontre l’efficacité à 100 % de l’immunité naturelle. »

Mais alors, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les enfants ?

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/que-cache-la-marche-forcee-de-la-vaccination-covid-des-enfants-par-laurent-aventin/

Selon l’avocat Robert Kennedy Jr, aux USA, “quand les ‘vaccins’ sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi”.

EFFETS INDÉSIRABLES

La mort subite de l’adulte, bien pratique pour cacher les effets indésirables des injections

https://www.lavieensante.com/2022-07-07-syndrome-de-la-mort-subite-de-adulte/

« Les chiffres sont si inquiétants qu’en Australie, par exemple, le Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute met en place un nouveau registre de MSA « pour obtenir davantage d’informations » sur ce phénomène. »

Surmortalité des personnes vaccinées contre le Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/18/lavocat-todd-callender-associe-a-la-direction-dun-groupe-dassurance-denonce-la-surmortalite-des-personnes-vaccinees-contre-covid-par-laure/

Toutes les formes de maladies parmi ceux qui ont reçu les injections contre Covid montent en flèche.”

En Angleterre et au Pays de Galles, près de 10 000 décès excédents non covid au cours des 2 derniers mois, en grande partie dus à des troubles vasculaires et cardiaques

https://dailysceptic.org/2022/07/19/excess-non-covid-deaths-approach-9500-in-last-11-weeks/

Les personnes vaccinées et contaminées contagieuses plus longtemps que les non-vaccinées

https://www.israelnationalnews.com/news/356245

les données du ministère israélien de la santé montrent que dans la population plus âgée (plus de 60 ans), le fait d’avoir reçu un plus grand nombre de vaccins COVID est souvent lié à une plus grande probabilité d’être infecté par le COVID.”

BELGIQUE — le risque d’être hospitalisé pour le Covid est plus important pour les vaccinés que les non-vaccinés

Autrement dit “efficacité négative” !!

La 4e dose est la pire de toutes !

https://pgibertie.com/2022/07/20/on-sait-maintenant-que-la-quatrieme-dose-est-la-pire-de-toutes-deux-plus-plus-de-risques-detre-contamine-pour-100-000-habitants/

Comme le montrent les données canadiennes, 20 fois plus de décès par million de personnes pour les 4 doses et plus que pour les 0 dose.

RÉSISTANCES

Touche pas à mon Doc !

https://www.aimsib.org/2022/07/23/touche-pas-a-mon-doc-et-plus-de-qr-code-pour-decider-de-qui-ils-soignent/

“Les services de la Sécurité Sociale épluchent les ordonnances des médecins (Ivermectine, Azythromycine) et des centaines de médecins sont convoqués par les Conseils de l’Ordre pour répondre de ces prescriptions. Et demain, est-ce que les médecins seront encore indépendants ?”

CSI n° 63, 21 juillet 2022, avec Marc Girardot



Un regard différent sur les contre-vérités Covid”

Faut s’réveiller, chanson de Xavier Domingue

… “les droits d’l’homme aujourd’hui sont bien bafoués
le crédit social est planifié
on est manipulés…”

Le mensonge ne durera pas éternellement

https://www.profession-gendarme.com/exclu-360-le-professeur-perr0nne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/

Le Pr Perronne revient sur toutes les mesures absurdes, inutiles et dangereuses prises dans l’épidémie de Covid-19 et croit en l’éveil des consciences pour que cette folie cesse.

Un témoignage du nord de l’Inde

https://reinfocovid.fr/temoignage/nouvelles-du-nord-de-linde/

Je pourrais allonger la liste de choses impensables dont je fus pourtant témoin. J’arrête là, car le peu de personnes à qui je me confie restent incrédules quant à mes propos ; celles et ceux qui me croient sont comme nous : non vaccinés, voire non testés.”

USA, la vérité en train d’éclater

Jean-Dominique Michel, interviewé par Pierre Barnérias



Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande

[Voir aussi sur : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Par Dr Nicole Delépine

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ». 

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Il est bien triste que la Première ministre néo-zélandaise(([1] femme d’État néo-zélandaisePremière ministre depuis le 26 octobre 2017. Membre de la Chambre des représentants depuis 2008, elle devient chef du Parti travailliste de Nouvelle-Zélande le 1er août 2017 et à ce titre, se trouve dès lors à la tête de l’opposition. Après les élections législatives du 23 septembre 2017 où son parti obtient 35,7 % des suffrages, elle parvient en octobre à un accord avec le parti Nouvelle-Zélande d’abord et avec le Parti vert pour former un gouvernement de coalition. Serait une des personnes les plus influentes au monde…)) ne soit pas informée de la littérature internationale sur le masque ou ne veuille pas en tenir compte.

Être plus royaliste que le roi ne mène qu’à des désastres, que Mr Ciotti se le dise ! Le populisme qui consiste à imposer ce qu’on croit être le vœu du peuple est toxique.

« Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque.. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

UNE MUSELIÈRE NÉGATION DU RAPPORT A L’AUTRE, NÉGATION DE L’ÊTRE

Qui peut s’en étonner. Des dizaines d’articles ont déjà démontré depuis le début de la folie covid que le masque n’est qu’une muselière fort symbolique des pouvoirs désireux de mater leur population et qu’il est parfaitement incapable de limiter les contaminations covid..

Nous avions écrit à ce sujet en octobre 21 une petite tribune inspirée de Jean-Claude Paye et Tülay Umay (Mondialisation.ca, 01 octobre 2021) (([2] Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Coronavirus.
https://reseauinternational.net/le-port-du-masque-un-mimetisme-sacrificiel/)):

« Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position “d’être un” avec l’intentionnalité du pouvoir. Il représente une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible. 

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune. 

Le covidisme impose l’obligation de se taire. Le langage doit être vidé de sa fonction. Ce qui doit gouverner relève d’une mécanique mimétique. Le port du masque est alors un refus de ce qui fait de nous des êtres humains, c’est une négation du rapport à l’Autre. »

Malgré la disparition du virus de la covid remplacé par des variants de moins en moins contagieux, les gouvernements mondialistes imaginent de réimposer le masque obligatoire dès que possible. Objet de contraintes psychologiques qui isolent les personnes, bloquent de fait les conversations et enferment la population dans la peur, l’angoisse l’isolement.

Il FAUT REFUSER LE PORT DU MASQUE INUTILE (les virus passent allègrement les pores (c’est écrit sur la boîte) et toxique sur différents plans comme cela a été démontré à de nombreuses reprises par des auteurs de tous pays. Il favorise les surinfections bactériennes, les mycoses et diminue l’apport correct d’oxygène tout en favorisant sa propre intoxication par son CO2 mal expulsé.

Summit.news rapporte : Le taux de mortalité par habitant du COVID en Nouvelle-Zélande a également dépassé celui de l’Australie en mars, en dépit de ses obligations strictes en matière de masques, et est resté plus élevé depuis.

« À Singapour, les taux de mortalité sont passés sous la barre de l’Australie en avril après avoir fait la course en tête entre octobre et Noël, mais ils font maintenant une folle remontée et sont prêts à dépasser à nouveau l’Australie », rapporte le Daily Mail.

« Bien sûr, ce n’est que le dernier exemple en date qui montre que les masques ne font rien ou presque pour empêcher la propagation des virus en suspension dans l’air, et peuvent même aggraver les choses », écrit Will Jones.

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes » .(([3] https://www.bbc.com/news/health-59895934))

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude menée au Danemark auprès de 6 000 participants(([4] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/)) a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

Malgré les données accablantes selon lesquelles les masques sont inutiles ou peuvent même exacerber le problème, certains pays se préparent déjà à les réintroduire. L’Allemagne est prête à réimposer son obligation de porter un masque en septembre, bien que la vague estivale de COVID ait déjà « perdu de son élan ». Ces règles seraient en passe de devenir permanentes si les citoyens ne s’y opposent pas de toutes leurs forces.

Rappelons notre revue récente de la littérature internationale(([5] Masques inutiles et dangereux : refusons cette nouvelle mascarade – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) (toutes les références des articles ci-dessous insérées). Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel: « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous le (faux) prétexte qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq19(([6] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim)) ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est près de deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Et pourquoi ce masque est-il dangereux : l’effet FOEGEN

L’étude observationnelle — « The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate » (([7] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/ ))
(L’effet Foegen : Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de mortalité des cas COVID-19) — a été publiée dans la revue Medicine en février 2022, sous la direction du médecin allemand Zacharias Fögen.(([8] L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) ))

Thenationalpulse.com rapporte : L’article a analysé « si le port obligatoire du masque a influencé le taux de mortalité par cas au Kansas » pendant la période allant du 1er août 2020 au 15 octobre. Le Kansas a été utilisé à des fins de comparaison parce que l’État a permis à chacun de ses 105 comtés de décider de mettre en œuvre ou non le port obligatoire du masque, 81 comtés ayant décidé de s’opposer à cette mesure.

« La conclusion la plus importante de cette étude est que, contrairement à la pensée admise selon laquelle moins de personnes meurent parce que les taux d’infection sont réduits par les masques, ce n’était pas le cas », résume l’article.

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que les obligations de masques ont en fait causé environ 1,5 fois le nombre de décès ou ∼50 % de décès supplémentaires par rapport aux mandats sans masque. »

“Une justification de l’augmentation du RR en rendant le masque obligatoire est probablement que les virions qui pénètrent ou ceux qui sont crachés dans les gouttelettes sont retenus dans le tissu du masque facial, et après une évaporation rapide des gouttelettes, les gouttelettes hypercondensées ou les virions purs (virions qui ne sont pas à l’intérieur d’une gouttelette) sont réinspirés à une très courte distance pendant l’inspiration.”

Baptisée « effet Foegen », cette théorie suggère que les virions du COVID-19 :

“se propagent (en raison de leur plus petite taille) plus profondément dans les voies respiratoires”. « Ils contournent les bronches et sont inhalés profondément dans les alvéoles, où ils peuvent provoquer une pneumonie au lieu d’une bronchite, ce qui serait typique d’une infection virale. »

Un autre article publié dans la revue Cureus(([9] Cureus | Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe avril 2022)) et intitulé « Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe » (Corrélation entre le respect du port du masque et les résultats du COVID-19 en Europe) est arrivé à la conclusion étonnante que plus le taux de respect du masque est élevé, plus le taux de cas de COVID-19 est élevé.

Pour ceux qui ne sont pas très au fait des statistiques, c’est exactement le contraire de ce que les chercheurs devraient trouver si les masques étaient effectivement « efficaces ».

“Le masquage a été l’intervention non pharmaceutique la plus courante au cours de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19)”, indique l’article.

« La plupart des pays ont mis en œuvre des recommandations ou des obligations concernant l’utilisation de masques dans les espaces publics. L’objectif de cette courte étude était d’analyser la corrélation entre le port du masque et les taux de morbidité et de mortalité au cours de l’hiver 2020-2021 en Europe. Les données de 35 pays européens sur la morbidité, la mortalité et l’utilisation de masques pendant une période de six mois ont été analysées et croisées. »

« Ces résultats indiquent que les pays ayant des niveaux élevés de respect des masques n’ont pas obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant une faible utilisation des masques », écrit l’auteur Beny Spira, professeur à Sao Paolo.

« Pour cette analyse, tous les pays européens, y compris l’Europe de l’Ouest et de l’Est, comptant plus d’un million d’habitants ont été sélectionnés, ce qui représente un total de 602 millions de personnes. Tous les pays analysés ont connu un pic d’infection au COVID-19 pendant ces six mois », écrit le professeur avant de fournir l’ensemble des données.

« De manière surprenante, de faibles corrélations positives ont été observées lorsque le respect du masque a été rapporté à la morbidité (cas/million) ou à la mortalité (décès/million) dans chaque pays », note l’étude.

Le professeur montre un diagramme de dispersion de la conformité des masques par rapport aux cas et aux décès par million, ainsi qu’une ligne de régression ajustée. Comme on peut le voir, la relation est positive (pas bonne).

« Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélations négatives entre l’utilisation de masques et les cas et décès de COVID-19 suggère que l’utilisation généralisée de masques à un moment où une intervention efficace était la plus nécessaire, c’est-à-dire pendant le fort pic automne-hiver 2020-2021, n’a pas permis de réduire la transmission de COVID-19 », conclut l’étude. « En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences néfastes involontaires. »

Les résultats de l’étude sur les masques sont similaires à ceux des chercheurs dirigés par Harvard lorsqu’ils ont constaté que plus les taux de vaccination d’une nation étaient élevés, plus les taux de cas étaient élevés. L’étude de Harvard, portant sur 68 nations et 2 947 comtés des États-Unis, a été publiée dans le European Journal of Epidemiology à la fin de 2021.

AUCUN GOUVERNEMENT JOURNALISTES ACADÉMIES OU AUTRES NE PEUVENT AFFIRMER UN EFFET BÉNÉFIQUE DU MASQUE

BIEN AU CONTRAIRE IL FAUT LES JETER (de surcroît ils polluent la planète qu’on oublie bizarrement !)(([10] Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Le port du masque est source de nombreuses complications(([11] Ibid réf 5 avec l’ensemble des références.))

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente. Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. (([12] L’étude coréenne de Choi SY précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.
Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.))

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise, ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste joue un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress, d’abord constatée en Chine s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.]

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française:

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils craignent encore qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine que de porter un masque! Il faut rester méfiant, car le pouvoir veut nous faire prescrire du Paxlovid à la rentrée inefficace toxique et cher.

Et AVEU DE FAUCI(([13] Vidéo : Fauci admet ouvertement que le mandat de Biden sur les masques vise à préserver son « autorité » (anguillesousroche.com) ))

« C’est plus une question de principe de savoir où se trouve l’autorité. »

Lors de son passage récent sur Fox News, Anthony Fauci a semblé admettre que les efforts de l’administration Biden pour rétablir l’obligation de porter un masque dans les avions et les trains visaient à préserver l’« autorité » sur les décisions de santé publique, et non à assurer la sécurité des personnes.

Notes et références :




Extrême dangerosité des tests PCR

[Source : LMDR]



[Voir aussi :
Le Dr Hodkinson est horrifié par ce spectacle des tests PCR bidon… le pire de l’histoire médicale!
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR]




France — Projet de loi sanitaire : les sénateurs et les députés tombent d’accord sur la version du Sénat

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Source : Public Sénat, le 21 juillet 2022

La version définitive du 13ème projet de loi de lutte contre le covid a été définie par les parlementaires en commission mixte paritaire. Elle reprend globalement la version adoptée ce mercredi au Sénat.

Après l’examen du projet de loi « veille et sécurité sanitaire » ce mercredi soir au Sénatles députés et les sénateurs sont tombés d’accord en commission mixte paritaire ce jeudi [21 juillet 2022]Les grandes orientations proposées par la commission des Lois et le rapporteur LR du texte, Philippe Bas, ont finalement été retenues : l’état d’urgence sanitaire a explicitement été abrogé, le passe sanitaire aux frontières réintroduit si de nouveaux variants « menaçants » venaient à apparaître et la réintégration des soignants non-vaccinés suspendus prévue quand la Haute Autorité de Santé estimera que l’obligation vaccinale n’est plus justifiée au niveau épidémiologique.

… Plus d’informations à venir


Mise à jour

[Source : https://www.dissidentofficiel.com]

Cette sénatrice LR enterre une fois pour toutes le pass sanitaire avec un argument formidable : «Soumettre la population à un pass pour la protéger, c’est lui mentir» (Vidéo complète)

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Loïc Hervé corrige un sénateur Renaissance sur le nombre réel de pompiers suspendus non-vaccinés : «Vous rigolez avec vos 140? Ils sont au moins 5000!» (Vidéo complète)

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Stéphane Ravier pourfend le projet de loi sanitaire du gouvernement et défend avec vigueur les soignants non-vaccinés au Sénat! (Vidéo complète)

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UNE VIDÉO FUITÉE : « Nous ne connaissons tout simplement pas les effets secondaires à long terme de la modification fondamentale de l’ADN et de l’ARN des gens. » — Mark Zuckerberg

[Source : Guy Boulianne]

En juillet 2020, Mark Zuckerberg a déclaré qu’il s’inquiétait de l’impact qu’un vaccin COVID-19 aurait sur l’ADN et l’ARN d’un individu. En effet, le PDG de Facebook, Zuckerberg, a été surpris en train de critiquer et de commenter les vaccins Covid-19 au sein de son entourage, décrivant les vaccins comme étant « expérimentaux » et avertissant son personnel d’être très prudent quant à la « technologie génétique » non éprouvée. Indépendamment de ce que vous pensez des vaccins, ces images divulguées du siège de Facebook sont très pertinentes. Toute personne disant sur Facebook ce que Zuckerberg dit dans cette vidéo serait immédiatement censurée et/ou bannie du réseau. Mark Zuckerberg a déclaré dans les images divulguées d’une réunion interne sur Facebook :

« Mais je veux juste m’assurer que je partage une certaine mise en garde sur ce [vaccin] parce que nous ne connaissons tout simplement pas les effets secondaires à long terme de la modification de l’ADN et de l’ARN des gens pour encoder directement l’ADN et l’ARN d’une personne, essentiellement le capacité à produire ces anticorps et si cela provoque d’autres mutations ou d’autres risques en aval. Il y a donc du travail sur les deux voies de développement de vaccins. »

Quelques mois plus tard, en novembre, Zuckerberg a organisé une diffusion publique en direct avec le Dr Anthony Fauci et a contredit la déclaration qu’il avait faite lors d’une réunion privée au cours de l’été :

Mark Zuckerberg :

« Juste pour clarifier un point, je crois comprendre que ces vaccins ne modifient pas votre ADN ou ARN. C’est donc juste un point important à clarifier, si je me trompe ici, bien sûr, corrigez-moi, mais juste pour que ce soit clair… »

Dr Anthony Fauci :

« Non, tout d’abord l’ADN est inhérent à votre propre cellule nucléaire. Coller quoi que ce soit d’étranger sera finalement autorisé. »

Zuckerberg :

« Bien, eh bien, je suis content que nous ayons clarifié cela. »

C’est encore un autre cas de « une règle pour toi et une autre pour moi » que l’élite utilise pour contrôler les masses. Facebook avait annoncé qu’ils « étendaient [leurs] efforts pour supprimer les fausses allégations sur Facebook et Instagram concernant le COVID-19, les vaccins COVID-19 et les vaccins en général pendant la pandémie ». Dans cette nouvelle politique, Facebook a spécifiquement déclaré que toute affirmation selon laquelle le vaccin modifie l’ADN d’un individu serait supprimée.

Facebook affirme que la plate-forme permet aux utilisateurs de « discuter, débattre et partager leurs expériences, opinions et points de vue personnels » en ce qui concerne la pandémie, mais supprimera les préoccupations concernant les vaccins qui avaient autrefois été exprimées par leur propre PDG. On ne sait pas si Facebook soutient toujours les préoccupations de Zuckerberg et si la société interdirait ou non cette vidéo de Zuckerberg de ses plateformes en raison de violations de la politique vaccinale.

Alors que Zuckerberg s’est senti obligé d’avertir ses proches des dangers potentiels de la thérapie génique expérimentale imposée à l’humanité par le gouvernement et Big Pharma à la suite de la pandémie, les gens ordinaires comme vous et moi n’ont pas été autorisés à exprimer le moindre doute sur les vaccins sur les réseaux sociaux sans en payer le prix.

La liberté d’expression a été étranglée sur Facebook et les autres principales plateformes de médias sociaux ces dernières années. Au plus fort de la campagne de vaccination, notre droit à la liberté d’expression a été piétiné par les médias grand public et les vérificateurs de faits agissant au nom de Big Pharma pour semer la peur dans les masses.

Simplement en s’exprimant et en soulevant de véritables préoccupations, les diseurs de vérité dans notre société ont été punis et déformés. Robert F. Kennedy Jr. est devenu l’une des voix les plus influentes au début de la pandémie, sensibilisant Bill Gates et Big Pharma. Kennedy Jr., qui se décrit comme un défenseur de la sécurité des vaccins, n’est pas impressionné par les antécédents du fondateur de Microsoft en matière de promotion des vaccins sur les populations vulnérables et, dans certains cas, de graves problèmes de santé.

Mais exposer Gates sur les réseaux sociaux était trop pour Zuckerberg et les gardiens de la liberté d’expression. Ils ont censuré Kennedy Jr. et l’ont finalement banni d’Instagram pour avoir parlé de la sécurité des vaccins, au grand plaisir des médias grand public.

Kennedy Jr. n’était pas le seul. Joe Rogan a enduré une année d’enfer — ou un annis horribilis, comme le dirait la reine Elizabeth. Les médias grand public et les vérificateurs de faits sont venus après lui, employant de nombreuses tactiques de diffamation, toutes plus cyniques les unes que les autres, dans le but de détruire sa carrière. Son délit ? Inviter simplement des experts de différents horizons sur son podcast et oser leur poser des questions honnêtes sur les vaccins.

Kennedy Jr. et Rogan ne sont que la pointe de l’iceberg. Des millions et des millions de gens ordinaires se sont vu retirer leur voix par la trinité impie de Big Tech, Big Pharma et des médias grand public.

SOURCES :




Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

[Source : reseauinternational.net]

Par F. William Engdalh

L’un des résultats du prétendu nouveau coronavirus qui a émergé publiquement en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à une stature presque divine dans les médias. Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son élévation à un rôle de premier plan dans la pratique de la médecine d’aujourd’hui. Pour cela, il faut se pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, aujourd’hui l’Université Rockefeller, et ses travaux sur ce qu’il prétendait être un virus de la polio.

[Voir aussi :
La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?]

En 1907, l’apparition d’une maladie dans la ville de New York a donné au directeur du Rockefeller Institute, Simon Flexner, une occasion en or de revendiquer la découverte d’un « virus » invisible causé par ce qui a été arbitrairement appelé poliomyélite. Le mot poliomyélite signifie simplement inflammation de la matière grise de la moelle épinière. Cette année-là, quelque 2500 New-Yorkais, pour la plupart des enfants, ont été désignés comme atteints d’une forme de poliomyélite, pouvant aller jusqu’à la paralysie et même la mort.

La fraude de Flexner

L’aspect le plus frappant de toute la saga de la polio aux États-Unis durant la première moitié du XXe siècle est le fait que chaque phase clé de l’entreprise était contrôlée par des personnes liées à ce qui est devenu la cabale médicale Rockefeller. Cette fraude a commencé avec les déclarations du directeur de l’Institut Rockefeller, Simon Flexner, selon lesquelles lui et son collègue, Paul A. Lewis, avaient « isolé » un agent pathogène, invisible à l’œil nu, plus petit encore qu’une bactérie, qui, selon eux, était à l’origine de la maladie paralysante dans une série d’épidémies aux États-Unis. Comment sont-ils parvenus à cette idée ?

Dans un article publié en 1909 dans le Journal of the American Medical Association, Flexner affirme que Lewis et lui ont isolé le virus de la poliomyélite responsable. Il indique qu’ils ont réussi à faire passer la poliomyélite chez plusieurs singes, de singe en singe. Ils ont commencé par injecter dans le cerveau de singes des tissus de moelle épinière humaine malades provenant d’un jeune garçon qui était mort, vraisemblablement à cause du virus. Lorsqu’un singe tombait malade, une suspension de son tissu médullaire malade était injectée dans le cerveau d’autres singes qui tombaient également malades.

Ils ont proclamé que les médecins de l’Institut Rockefeller avaient ainsi prouvé que le virus de la poliomyélite était responsable de la mystérieuse maladie. Ils n’avaient rien fait de tel. Flexner et Lewis l’ont même admis : « Nous n’avons absolument pas réussi à découvrir de bactéries qui pourraient expliquer la maladie ; et, puisque parmi notre longue série de propagations du virus chez les singes, aucun animal n’a montré, dans les lésions, les cocci décrits par certains chercheurs précédents, et que nous n’avons pas réussi à obtenir de telles bactéries à partir du matériel humain étudié par nous, nous avons estimé qu’elles pouvaient être exclues de la considération ». Ce qu’ils ont alors fait, c’est une supposition bizarre, un acte de foi, et non une affirmation scientifique. Ils ont pris leur hypothèse d’une agence virale exogène et en ont fait un fait, sans la moindre preuve. Ils ont affirmé : « Par conséquent, … l’agent infectieux de la poliomyélite épidémique appartient à la classe des virus minuscules et filtrables qui n’ont pas encore été démontrés avec certitude au microscope ». Donc ?

Simon Flexner a simplement affirmé qu’il « devait » s’agir d’un virus de la polio tuant les singes, parce qu’il ne pouvait trouver aucune autre explication. En fait, il n’a pas cherché d’autre source de maladie. Ce n’était pas de l’isolement scientifique. C’était de la spéculation sauvage : « …n’a pas encore été démontré avec certitude au microscope ». Ils l’ont admis dans un article de suivi publié le 18 décembre 1909 dans le JAMA, intitulé « La nature du virus de la poliomyélite épidémique ».

Le soi-disant « virus » qu’ils injectaient aux singes était loin d’être pur. Il contenait également une quantité indéterminée de contaminants. Il comprenait « de la moelle épinière en purée, du cerveau, de la matière fécale, et même des mouches broyées et injectées aux singes pour provoquer la paralysie ». Jusqu’à ce que Jonas Salk obtienne l’approbation du gouvernement américain en avril 1955 pour un vaccin contre la polio, aucune preuve scientifique de l’existence d’un virus causant la poliomyélite, ou paralysie infantile comme on l’appelait communément, n’avait été apportée. C’est encore le cas aujourd’hui. Tout le monde médical a cru Flexner sur parole en affirmant qu’il s’agissait « forcément » d’un virus.

L’Institut Rockefeller, Flexner et l’American Medical Association

L’Institut Rockefeller a été fondé en 1901 à partir de la fortune de John D. Rockefeller (Standard Oil), pour être le premier institut biomédical américain. Il a été conçu sur le modèle de l’Institut Pasteur en France (1888) et de l’Institut Robert Koch en Allemagne (1891). Son premier directeur, Simon Flexner, a joué un rôle pivot et des plus criminels dans l’évolution de ce qui est devenu la pratique médicale américaine approuvée. L’objectif des Rockefeller était de contrôler complètement la pratique médicale américaine et de la transformer en un instrument, du moins dans un premier temps, de promotion des médicaments approuvés par les intérêts des Rockefeller. À cette époque, ils cherchaient à monopoliser les médicaments issus du raffinage du pétrole, comme ils l’avaient fait pour le pétrole.

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Alors que le directeur du Rockefeller Institute, Simon Flexner, publiait ses études peu concluantes mais très appréciées sur la polio, il s’est arrangé pour que son frère, Abraham Flexner, un instituteur sans formation médicale, dirige une étude conjointe de l’American Medical Association (AMA), du Rockefeller General Education Board et de la Carnegie Foundation fondée par Andrew Carnegie, l’ami intime de Rockefeller.

L’étude de 1910, intitulée « Rapport Flexner », avait pour objectif apparent d’examiner la qualité de toutes les écoles de médecine américaines. Le résultat du rapport était toutefois prédéterminé. Les liens entre l’Institut Rockefeller bien doté et l’AMA passaient par le chef corrompu de l’AMA, George H. Simmons.

Simmons était également le rédacteur en chef de l’influent Journal of the American Medical Association, une publication distribuée à quelque 80 000 médecins américains. Il aurait exercé un pouvoir absolu sur l’association des médecins. Il contrôlait l’augmentation des revenus publicitaires des entreprises pharmaceutiques pour la promotion de leurs médicaments auprès des médecins de l’AMA dans son journal, une activité très lucrative. Il était un élément clé du coup d’État médical des Rockefeller qui devait redéfinir complètement les pratiques médicales acceptables, en abandonnant les traitements correctifs ou préventifs au profit de l’utilisation de médicaments souvent mortels et d’interventions chirurgicales coûteuses. En tant que directeur de l’AMA, Simmons s’est rendu compte que la concurrence d’une prolifération d’écoles de médecine, notamment la chiropractie, l’ostéopathie, l’homéopathie et la médecine naturelle, alors reconnues, diminuait les revenus de ses médecins, le nombre d’écoles de médecine étant passé d’environ 90 en 1880 à plus de 150 en 1903.

Abraham Flexner, ancien directeur d’une école privée, a fait le tour de plusieurs écoles de médecine américaines en 1909 et a recommandé la fermeture de la moitié des 165 écoles de médecine, qu’il définissait comme étant « de qualité inférieure ». Cela réduisait la concurrence d’autres approches de la guérison des maladies. Ils ont impitoyablement ciblé les écoles de médecine naturopathique, les écoles de chiropraxie, les ostéopathes ainsi que les écoles allopathiques indépendantes qui ne voulaient pas adhérer au régime de l’AMA. L’argent de Rockefeller est allé aux écoles sélectionnées à condition que les professeurs soient approuvés par l’Institut Rockefeller et que le programme d’études soit axé sur les médicaments et la chirurgie en tant que traitement, et non sur la prévention, la nutrition ou la toxicologie en tant que causes et solutions possibles. Ils devaient accepter la théorie des germes de Pasteur, qui revendique le réductionnisme « un germe pour une maladie ». Les médias contrôlés par Rockefeller ont lancé une chasse aux sorcières coordonnée contre toutes les formes de médecine alternative, les remèdes à base de plantes, les vitamines naturelles et la chiropractie – tout ce qui n’était pas contrôlé par les médicaments brevetés par Rockefeller.

En 1919, le Rockefeller General Education Board et la Rockefeller Foundation avaient versé plus de 5 millions de dollars aux écoles de médecine de Johns Hopkins, de Yale et de l’Université de Washington à Saint-Louis. En 1919, John D. Rockefeller a accordé un autre montant de 20 millions de dollars en titres, « pour l’avancement de l’éducation médicale aux États-Unis ». Ce montant serait comparable à environ 340 millions de dollars aujourd’hui, une somme énorme. En bref, les intérêts financiers des Rockefeller avaient pris le contrôle de l’enseignement et de la recherche médicale aux États-Unis dans les années 1920.

Création de la virologie

Cette prise de contrôle de la médecine, soutenue par l’organisation de médecins la plus influente, l’AMA, et son chef corrompu, Simmons, a permis à Simon Flexner de créer littéralement la virologie moderne sous les règles des Rockefeller. Le très controversé Thomas Milton Rivers, en tant que directeur du laboratoire de virologie de l’Institut Rockefeller, a fait de la virologie un domaine indépendant, distinct de la bactériologie, dans les années 1920. Ils ont réalisé qu’ils pouvaient manipuler beaucoup plus facilement lorsqu’ils pouvaient revendiquer des agents pathogènes mortels qui étaient des germes invisibles ou des « virus ». Ironiquement, « virus » vient du latin « poison ».

La virologie, une fraude médicale réductionniste, est une création de la cabale médicale Rockefeller. Ce fait très important est aujourd’hui enterré dans les annales de la médecine. Des maladies telles que la variole, la rougeole ou la poliomyélite ont été déclarées causées par des agents pathogènes invisibles appelés virus spécifiques. Si les scientifiques pouvaient « isoler » le virus invisible, ils pourraient théoriquement trouver des vaccins pour protéger les gens. Ainsi allait leur théorie. C’était une énorme aubaine pour le cartel Rockefeller des sociétés pharmaceutiques, qui comprenait à l’époque American Home Products, qui faisait la promotion mensongère de médicaments dont l’effet n’était pas prouvé, comme la préparation H pour les hémorroïdes ou l’Advil pour soulager la douleur ; Sterling Drug, qui a repris les actifs américains, notamment l’aspirine, de la société allemande Bayer AG après la Première Guerre mondiale ; Winthrop Chemical ; American Cyanamid et sa filiale Lederle Laboratories ; Squibb et Monsanto.

Bientôt, les chercheurs en virus de l’Institut Rockefeller, en plus de revendiquer la découverte du virus de la poliomyélite, prétendirent découvrir les virus qui causaient la variole, les oreillons, la rougeole et la fièvre jaune. Ils ont ensuite annoncé la « découverte » de vaccins préventifs contre la pneumonie et la fièvre jaune. Toutes ces « découvertes » annoncées par l’Institut se sont avérées fausses. Avec le contrôle de la recherche dans le nouveau domaine de la virologie, l’Institut Rockefeller, en collusion avec Simmons à l’AMA et son successeur tout aussi corrompu, Morris Fishbein, pouvait promouvoir de nouveaux vaccins brevetés ou des « remèdes » médicamenteux dans l’influent journal de l’AMA qui était envoyé à chaque médecin membre en Amérique. Les entreprises pharmaceutiques qui refusaient de payer pour des publicités dans le journal de l’AMA étaient blackboulées par l’AMA.

Contrôle de la recherche sur la polio

Simon Flexner et le très influent Institut Rockefeller ont réussi, en 1911, à faire inscrire dans la loi américaine sur la santé publique que les symptômes que l’on appelait la poliomyélite étaient une « maladie contagieuse et infectieuse causée par un virus transmis par l’air ». Pourtant, même eux ont admis qu’ils n’avaient pas prouvé comment la maladie pénètre dans le corps des humains. Comme le soulignait un médecin expérimenté dans une revue médicale en 1911, « Notre connaissance actuelle des méthodes possibles de contagion est basée presque entièrement sur le travail effectué dans cette ville à l’Institut Rockefeller ». En 1951, le Dr Ralph Scobey, qui critiquait la précipitation du jugement de Rockefeller sur la contagion de la polio, notait : « Cela a bien sûr placé la confiance dans les expériences sur les animaux plutôt que dans les enquêtes cliniques… ». Scobey a également souligné l’absence de preuve que la poliomyélite était contagieuse : « … les enfants atteints de la maladie étaient gardés dans les services généraux de l’hôpital et pas un seul des autres détenus des services de l’hôpital n’était atteint de la maladie ». L’attitude générale de l’époque est résumée en 1911 : « Il nous semble, malgré l’absence de preuves absolues, que les meilleurs intérêts de la communauté seraient préservés si nous considérions la maladie au point de vue de la contagion » (sic).

En classant les symptômes de la poliomyélite comme une maladie hautement contagieuse causée par un virus invisible, prétendument exogène ou externe, l’Institut Rockefeller et l’AMA ont pu couper court à toute recherche sérieuse d’explications alternatives, telles que l’exposition à des pesticides chimiques ou autres toxines, pour expliquer les épidémies saisonnières de maladie et de paralysie, voire de décès, principalement chez les très jeunes enfants. Cela a eu des conséquences fatales jusqu’à aujourd’hui.

L’arrivée du DDT

Dans la déclaration qu’il a faite en 1952 devant la Chambre des représentants des États-Unis, dans le cadre d’une enquête sur les dangers possibles des produits chimiques dans les produits alimentaires, le docteur Ralph R. Scobey a noté que « pendant près d’un demi-siècle, les recherches sur la poliomyélite ont été orientées vers un virus exogène supposé pénétrer dans le corps humain pour provoquer la maladie. La manière dont la loi sur la santé publique est maintenant énoncée impose uniquement ce type d’enquête. En revanche, aucune étude approfondie n’a été menée pour déterminer si le soi-disant virus de la poliomyélite n’est pas une substance chimique autochtone qui ne pénètre pas du tout dans le corps humain, mais résulte simplement d’un ou de plusieurs facteurs exogènes, par exemple un poison alimentaire ». Les toxines comme cause n’ont pas été étudiées.

Au cours des années 1930, marquées par la dépression économique puis la guerre, peu de nouvelles épidémies majeures de poliomyélite ont été constatées. Cependant, immédiatement après la fin de la Seconde Guerre mondiale, notamment, le drame de la polio a explosé en dimension. À partir de 1945, chaque été, de plus en plus d’enfants à travers les États-Unis ont été diagnostiqués avec la poliomyélite et hospitalisés. Moins de 1% des cas ont été réellement testés par des analyses de sang ou d’urine. Environ 99% ont été diagnostiqués par la simple présence de symptômes tels que des douleurs aiguës dans les extrémités, de la fièvre, des maux d’estomac, de la diarrhée.

En 1938, avec le soutien de Franklin D. Roosevelt, victime présumée de la polio, la Fondation nationale pour la paralysie infantile (March of Dimes) a été créée pour solliciter des dons exonérés d’impôts afin de financer la recherche sur la polio. Un médecin et chercheur allemand, le Dr Henry Kumm, est venu aux États-Unis et a rejoint l’Institut Rockefeller en 1928, où il est resté jusqu’à ce qu’il rejoigne la Fondation nationale en 1951 en tant que directeur de la recherche sur la polio. Le Dr Kumm a été rejoint à la Fondation nationale par un autre vétéran de l’Institut Rockefeller, le « père de la virologie », Thomas M. Rivers, qui a présidé le comité consultatif de recherche sur les vaccins de la Fondation, supervisant les recherches de Jonas Salk. Ces deux personnages clés de l’Institut Rockefeller contrôlaient ainsi les fonds destinés à la recherche sur la polio et le développement d’un vaccin.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors qu’il était encore à l’Institut Rockefeller, Henry Kumm a été consultant auprès de l’armée américaine où il a supervisé des études de terrain en Italie. Là, Kumm a dirigé des études de terrain pour l’utilisation du DDT contre le typhus et les moustiques porteurs de malaria dans les marais près de Rome et de Naples. Le DDT a été breveté comme insecticide par la société pharmaceutique suisse Geigy et sa filiale américaine en 1940, et son utilisation sur les soldats de l’armée américaine a été autorisée pour la première fois en 1943 comme désinfectant général contre les poux, les moustiques et de nombreux autres insectes. Jusqu’à la fin de la guerre, la quasi-totalité de la production de DDT aux États-Unis était destinée à l’armée. En 1945, les entreprises chimiques ont cherché avidement de nouveaux marchés. Elles les ont trouvés.

DDT Exposure During Early Life Associated with Increased Risk of Breast Cancer - Beyond Pesticides Daily News Blog

Au début de 1944, les journaux américains ont triomphalement annoncé que le typhus, « la redoutable peste qui a suivi toutes les grandes guerres de l’histoire », n’est plus une menace pour les troupes américaines et leurs alliés grâce à la nouvelle poudre « anti-poux » de l’armée, le DDT. Lors d’une expérience menée à Naples, les soldats américains ont saupoudré plus d’un million d’Italiens de DDT dissous dans du kérosène (!), tuant ainsi les poux qui propageaient le typhus. Henry Kumm, de l’Institut Rockefeller, et l’armée américaine savaient que, comme l’a dit un chercheur, « le DDT était un poison, mais il était suffisamment sûr pour la guerre ». Toute personne blessée par le DDT serait une victime acceptée du combat ». Le gouvernement américain a « restreint » un rapport sur les insecticides publié par l’Office of Scientific Research and Development en 1944 qui mettait en garde contre les effets toxiques cumulatifs du DDT chez les humains et les animaux. Le Dr Morris Biskind note dans un article de 1949 : « Le DDT étant un poison cumulatif, il est inévitable qu’une intoxication à grande échelle de la population américaine se produise ». En 1944, Smith et Stohlman, des National Institutes of Health, après une étude approfondie de la toxicité cumulative du DDT, ont souligné que « la toxicité du DDT, combinée à son action cumulative et à son absorption par la peau, place son utilisation dans une situation de risque sanitaire certain ». Leurs avertissements ont été ignorés par les hauts responsables.

Au lieu de cela, après 1945, dans toute l’Amérique, le DDT a été présenté comme le nouveau pesticide miracle et « sûr », un peu comme le Roundup de Monsanto avec le glyphosate trois décennies plus tard. On disait que le DDT était inoffensif pour les humains. Mais personne au gouvernement n’a sérieusement testé scientifiquement cette affirmation. Un an plus tard, en 1945, à la fin de la guerre, les journaux américains ont fait l’éloge du nouveau DDT en le qualifiant de substance « magique », de « miracle ». Le Time a appelé le DDT « l’une des grandes découvertes scientifiques de la Seconde Guerre mondiale ».

Malgré des avertissements isolés concernant des effets secondaires non testés, le fait qu’il s’agisse d’un produit chimique persistant et toxique qui s’accumule facilement dans la chaîne alimentaire, le gouvernement américain a approuvé l’utilisation générale du DDT en 1945. La Food and Drug Administration (FDA), contrôlée par les intérêts de Rockefeller-AMA, a établi comme « sûr » un contenu de DDT, bien que personne n’ait prouvé cela. Les entreprises de produits chimiques à base de DDT ont alimenté la presse en photos et en anecdotes. Les journaux rapportaient avec enthousiasme comment le nouveau produit chimique miracle, le DDT, était testé aux États-Unis contre les moustiques du Sud censés être porteurs de la malaria, ainsi que pour « préserver les vignobles de l’Arizona, les vergers de Virginie occidentale, les champs de pommes de terre de l’Oregon, les champs de maïs de l’Illinois et les laiteries de l’Iowa ». Le DDT était partout aux États-Unis à la fin des années 1940.

Le gouvernement américain prétendait que le DDT, contrairement à l’arsenic et à d’autres insecticides utilisés avant la guerre, était inoffensif pour les humains, même pour les nourrissons, et qu’il pouvait être utilisé à profusion. À partir de 1945, des villes comme Chicago ont pulvérisé les plages publiques, les parcs et les piscines. Les femmes au foyer ont acheté des aérosols de DDT pour pulvériser la cuisine et surtout les chambres des enfants, même leurs matelas. On a dit aux agriculteurs de pulvériser leurs cultures et leurs animaux, surtout les vaches laitières, avec du DDT. Aux États-Unis de l’après-guerre, le DDT a été promu, surtout par les sociétés pharmaceutiques Rockefeller comme American Home Products avec son aérosol de DDT Black Flag, et Monsanto. De 1945 à 1952, la production américaine de DDT a été multipliée par dix.

Alors que les cas présumés de polio ont littéralement explosé aux États-Unis après 1945, la théorie a été avancée, sans aucune preuve, que la maladie paralysante de la polio était transmise, non pas par des pesticides chimiques toxiques comme le DDT, mais par des moustiques ou des mouches à l’homme, plus particulièrement aux jeunes enfants ou aux nourrissons. Le message était que le DDT pouvait protéger votre famille en toute sécurité contre la polio. Les cas de polio officiellement recensés sont passés de quelque 25 000 en 1943, avant l’utilisation civile du DDT par les États-Unis, à plus de 280 000 cas en 1952, au plus fort de l’épidémie, soit plus de dix fois plus.

En octobre 1945, le DDT, qui avait été utilisé par l’armée américaine sous la supervision de Henry Kumm, de l’Institut Rockefeller, a été autorisé par le gouvernement américain pour une utilisation générale comme insecticide contre les moustiques et les mouches. Les scientifiques dissidents qui mettaient en garde contre les effets toxiques du DDT sur les humains et les animaux ont été réduits au silence. On a dit aux familles que le DDT pouvait sauver leurs enfants de la redoutable polio en tuant les insectes redoutés.

Le département américain de l’Agriculture conseillait aux agriculteurs de laver leurs vaches laitières avec une solution de DDT pour combattre les moustiques et les mouches. Les champs de maïs et les vergers étaient pulvérisés par avion avec du DDT. Cependant, le DDT était incroyablement persistant et son effet toxique sur les plantes et les légumes était tel qu’il ne pouvait être éliminé par lavage. De 1945 à 1952, la quantité de DDT pulvérisée sur le territoire américain a augmenté d’année en année. Le nombre de cas humains de poliomyélite a lui aussi nettement augmenté.

La pire épidémie de polio

Au début des années 1950, le Congrès américain et les agriculteurs se sont de plus en plus intéressés aux dangers possibles d’une telle utilisation de pesticides, non seulement le DDT, mais aussi le BHC (hexachlorure de benzène), encore plus toxique. En 1951, Morton Biskind, un médecin qui avait traité avec succès plusieurs centaines de patients empoisonnés par le DDT, a témoigné devant la Chambre des représentants des États-Unis sur le lien possible entre la polio paralytique et les toxines, en particulier le DDT et le BHC. Il a noté :

« L’introduction pour une utilisation générale incontrôlée par le public de l’insecticide « DDT » (chlorophénothane) et la série de substances encore plus mortelles qui a suivi, n’a pas d’équivalent dans l’histoire. Il ne fait aucun doute qu’aucune autre substance connue de l’homme n’a jamais été développée aussi rapidement et répandue sans discernement sur une si grande partie de la planète en si peu de temps. Ceci est d’autant plus surprenant qu’au moment où le DDT a été mis à la disposition du public, de nombreuses données étaient déjà disponibles dans la littérature médicale, montrant que cet agent était extrêmement toxique pour de nombreuses espèces animales différentes, qu’il était stocké de manière cumulative dans les graisses corporelles et qu’il apparaissait dans le lait. À cette époque, quelques cas d’empoisonnement au DDT chez l’homme avaient également été signalés. Ces observations ont été presque totalement ignorées ou mal interprétées ».

Biskind a encore témoigné devant le Congrès à la fin de 1950 : « Au début de l’année dernière, j’ai publié une série d’observations sur l’empoisonnement au DDT chez l’homme. Depuis peu de temps après la dernière guerre, un grand nombre de cas avaient été observés par des médecins dans tout le pays, dans lesquels un groupe de symptômes apparaissait, dont la caractéristique la plus importante était la gastro-entérite, des symptômes nerveux récurrents et persistants, et une faiblesse musculaire extrême… » Il a décrit plusieurs exemples de cas de patients dont les symptômes graves, notamment la paralysie, ont disparu lorsque l’exposition au DDT et aux toxines connexes a été éliminée : « L’expérience initiale sur plus de 200 cas que j’ai rapportée au début de l’année dernière a depuis été considérablement étendue. Mes observations ultérieures ont non seulement confirmé l’opinion selon laquelle le DDT est responsable d’un grand nombre de handicaps humains autrement inexplicables… » On a également noté le fait que les cas de polio étaient toujours plus nombreux pendant les mois d’été, lorsque les pulvérisations de DDT contre les insectes étaient maximales.

Les agents de l’Institut Rockefeller et l’AMA, par l’intermédiaire de leurs agents au sein du gouvernement américain, ont créé l’urgence sanitaire américaine de 1946-1952 appelée polio. Ils l’ont fait en promouvant sciemment le DDT hautement toxique comme un moyen sûr de contrôler les insectes mythiques qui propageaient la maladie redoutée. Leur campagne de propagande a convaincu la population américaine que le DDT était la clé pour arrêter la propagation de la poliomyélite.

La polio décline soudainement

Sous la direction des deux médecins de l’Institut Rockefeller, Henry Kumm et Thomas Rivers, la National Foundation for Infantile Paralysis (NFIP) a rejeté les critiques telles que celles de Biskind et Scobey. Les traitements curatifs naturels, comme l’utilisation de la vitamine C par voie intraveineuse pour la paralysie infantile, ont été rejetés d’emblée comme du « charlatanisme ». En avril 1953, l’éminent consultant en DDT de l’Institut Rockefeller, le Dr Henry Kumm, est devenu directeur de la recherche sur la polio pour la NFIP. Il a financé la recherche sur le vaccin contre la polio de Jonas Salk.

Un médecin courageux de Caroline du Nord, le Dr Fred R. Klenner, qui avait également étudié la chimie et la physiologie, a eu l’idée d’utiliser de fortes doses d’acide ascorbique – la vitamine C – par voie intraveineuse, en partant du principe que ses patients étaient victimes d’un empoisonnement aux toxines et que la vitamine C était un puissant détoxifiant. C’était bien avant les recherches du Dr Linus Pauling, lauréat du prix Nobel, sur la vitamine C. Klenner a obtenu des résultats remarquables en quelques jours pour plus de 200 patients lors des épidémies estivales de 1949 à 1951. L’Institut Rockefeller et l’AMA ne s’intéressaient pas aux perspectives de guérison. Eux et la National Foundation for Infantile Paralysis, contrôlée par les Rockefeller, finançaient uniquement le développement d’un vaccin contre la polio, sur la base de l’affirmation non prouvée de Flexner selon laquelle la polio était un virus contagieux et non le résultat d’un poison environnemental.

Puis, à partir de 1951-1952, alors que les cas de polio n’avaient jamais été aussi nombreux, quelque chose d’inattendu s’est produit. Le nombre de cas diagnostiqués de polio aux États-Unis a commencé à diminuer. Le déclin des victimes de la polio a été spectaculaire, année après année, jusqu’en 1955, bien avant que le vaccin contre la polio de la Fondation nationale de Jonas Salk ne soit approuvés pour un usage public et ne soient répandus.

Environ un an avant le déclin soudain des cas de polio, les agriculteurs, dont les vaches laitières souffraient des effets graves du DDT, ont été conseillés par le département américain de l’Agriculture de réduire l’utilisation du DDT. L’inquiétude croissante de l’opinion publique quant à l’innocuité du DDT pour les humains, et notamment les audiences publiques du Sénat américain sur le DDT et la polio en 1951, ont également entraîné une baisse significative de l’exposition au DDT jusqu’en 1955, même si le DDT n’a été officiellement interdit aux États-Unis qu’en 1972.

Les cas de polio ont diminué de deux tiers entre 1952 et 1956, parallèlement au déclin de l’utilisation du DDT. C’est bien après ce déclin, fin 1955 et 1956, que le vaccin antipoliomyélitique de Salk, mis au point par Rockefeller, a été administré pour la première fois à de larges populations. Salk et l’AMA ont attribué tout le mérite au vaccin. Les décès et les paralysies provoqués par le vaccin de Salk ont été passés sous silence. Le gouvernement a modifié la définition de la polio pour réduire encore plus les cas officiels. Simultanément, les cas de maladies nerveuses de la moelle épinière similaires à la polio – paralysie flasque aiguë, syndrome de fatigue chronique, encéphalite, méningite, syndrome de Guillain-Barré, sclérose musculaire – ont augmenté de façon notable.

Pourquoi cela est-il important ?

Il y a plus d’un siècle, l’homme le plus riche du monde, le baron du pétrole John D. Rockefeller, et son cercle de conseillers ont entrepris de réorganiser complètement la façon dont la médecine était pratiquée aux États-Unis et dans le reste du monde. Le rôle de l’Institut Rockefeller et de personnalités comme Simon Flexner a littéralement supervisé l’invention d’une fraude médicale colossale autour des affirmations selon lesquelles un germe étranger invisible et contagieux, le virus de la polio, provoquait une paralysie aiguë, voire la mort, chez les jeunes. Ils ont interdit politiquement tout effort visant à établir un lien entre la maladie et l’empoisonnement par des toxines, qu’il s’agisse de pesticides à base de DDT ou d’arsenic ou même de vaccins contaminés. Leur projet criminel comprenait une coopération intime avec les dirigeants de l’AMA et le contrôle de l’industrie pharmaceutique émergente, ainsi que de l’enseignement médical. Le même groupe Rockefeller a financé l’eugénisme nazi dans les instituts Kaiser Wilhelm en Allemagne dans les années 30, ainsi que la Société américaine d’eugénisme. Dans les années 1970, ils ont financé la création de semences OGM brevetées qui ont toutes été développées par le groupe de sociétés Rockefeller spécialisées dans les pesticides chimiques – Monsanto, DuPont, Dow.

Aujourd’hui, ce contrôle de la santé publique et du complexe médical industriel est exercé par le protégé de David Rockefeller et partisan de l’eugénisme, Bill Gates, autoproclamé tsar de l’OMS et des vaccins mondiaux. Le Dr Tony Fauci, chef du NIAID, dicte les mandats de vaccination sans preuves. La fraude à l’origine du scandale du virus de la polio après la Seconde Guerre mondiale a été affinée grâce à l’utilisation de modèles informatiques et d’autres ruses aujourd’hui, pour promouvoir un virus prétendument mortel après l’autre, du Covid-19 à la variole du singe en passant par le VIH. Comme pour la polio, aucun de ces virus n’a été isolé scientifiquement et il n’a pas été prouvé qu’ils causaient les maladies alléguées. Aucun. La même Fondation Rockefeller, exempte d’impôts, qui se présente aujourd’hui comme une organisation caritative philanthropique, est au cœur de la tyrannie médicale mondiale qui se cache derrière le Covid-19 et le programme eugénique du Forum économique mondial, la Grande Réinitialisation. Leur modèle de virus de la poliomyélite les a aidés à créer cette tyrannie médicale dystopique. « Faites confiance à la science », nous dit-on.

Source : New Eastern Outlook

Traduction : Réseau International




Une journaliste de NBC se lamente : « Les gens ne nous font pas confiance, ils ne nous croient pas »

[Source : anguillesousroche.com]

Un moment choquant de conscience de soi.

Une journaliste de NBC a connu un rare moment de conscience de soi en admettant que « les gens ne nous font pas confiance, ils ne nous croient pas ».

Les commentaires ont été faits par Katy Tur lors d’une interview avec The Hill pour promouvoir son nouveau livre.

« La confiance dans les médias, dans les journaux et la télévision, atteint un niveau historiquement bas », a déclaré Katy Tur en prenant un air désespéré.

« Les gens ne nous font pas confiance. Ils ne nous croient pas, et cela me fait me demander si ce travail – tel que je le fais actuellement – est efficace, mais s’il ne fait pas plus de mal que de bien », a-t-elle ajouté.

Wow, enfin une journaliste qui a accepté l’état horrible de son industrie.

Tur a fait ces commentaires en réponse à un nouveau sondage Gallup qui révèle que « seulement 16 % des adultes américains disent avoir ‘beaucoup’ ou ‘assez’ de confiance dans les journaux et 11% dans les informations télévisées ».

« Écoutez-moi une seconde : avez-vous envisagé de ne pas mentir ? » a remarqué Chris Menahan. C’est une question rhétorique – bien sûr, la réponse est non. La seule préoccupation des médias est de trouver le meilleur moyen de présenter les mensonges du régime de manière « efficace ».

Le public faisant preuve d’un manque total de confiance dans les médias, le relais a été passé aux soi-disant « vérificateurs de faits », qui ne sont que des ramifications des médias traditionnels, pour essayer de contrôler le récit en « démystifiant » les opinions dissidentes.

Cependant, ils perdent maintenant aussi leur crédibilité, ce qui les conduit à faire pression sur les Big Tech pour qu’elles interdisent leur concurrence, les vérificateurs de faits déclarant explicitement que leur raison d’agir ainsi est que personne n’est intéressé par le contenu des « vérificateurs de faits » sur des plateformes comme YouTube.

Comme nous l’avons souligné le mois dernier, l’audience de CNN continue de s’effondrer, avec une baisse de 63 % par rapport à l’année dernière, et CNN+ est un échec cuisant.

Le nouveau directeur de la chaîne ordonne désormais aux journalistes hyperpartisans d’arrêter de donner leurs opinions partiales sur tout et de se concentrer sur la diffusion de véritables informations.

https://www.youtube.com/embed/Iu4Q_Pjs4dI

[Voir aussi :
Comment les médias sont achetés et corrompus
Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Médias français : que devient l’objectivité ?
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La chute des grands médias et les plus gros mensonges qu’ils ont racontés en 2021
La confiance dans les médias « mainstream » est en chute libre
Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question : a-t-on raison de dire « Je ne crois plus les médias » ?
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Jordan Peterson prédit la mort des médias grand public]




Réenchanter le monde

Par Joseph Stroberg

[Illustration : ISTOCK]

En cette époque particulière traversée par l’Humanité, suite notamment à une crise covidienne de nature largement artificielle qui a augmenté l’angoisse existentielle, la névrose ou la déprime de nombreux êtres humains, certains envisagent ou proposent de réenchanter le monde, de lui faire retrouver une dimension merveilleuse, envoûtante, féerique, magique ou surnaturelle depuis longtemps perdue si jamais l’Humanité connut cela un jour, peut-être en des temps antédiluviens ou édéniques. Il paraît alors nécessaire de s’accorder sur la nature des enchantements à mettre en œuvre, ainsi que sur celle des enchanteurs potentiels, selon les moyens qu’ils utiliseraient et leur manière de le faire, car la frontière est floue et rapidement franchie entre un enchantement et un sortilège maléfique. L’Humanité et la planète pourraient-elles en effet et en particulier se trouver réenchantées sous la contrainte ?

Un des pièges sur le chemin de l’enchanteur et de ses œuvres est celui du pouvoir de faire ce que bon lui semble, alors même qu’il ne peut être certain de ce qui est effectivement bon pour les autres. Chacun perçoit et envisage la vie selon sa propre perspective et a rarement la capacité d’enfiler réellement les bottes de ses frères et de ses sœurs. Merlin le prétendu enchanteur a-t-il vraiment contribué à améliorer la condition humaine et terrestre ? Ou bien n’a-t-il pas seulement cherché à imposer sa propre vision des choses, de ce qu’il croyait bien et juste pour son roi comme pour le peuple de ce dernier, produisant davantage de conflits qu’il ne pouvait en résoudre, davantage de morts que de guérisons ?… Avant lui, il exista un bien plus grand magicien, pressenti par trois rois mages, celui qui sut non seulement transformer l’eau en vin, multiplier les poissons, marcher sur l’eau, guérir les aveugles et les lépreux, ressusciter des morts, mais aussi se sacrifier pour l’avenir du monde et incarner ainsi jusqu’au plus profond de sa chair son message d’amour inconditionnel pour les autres et pour l’Humanité. Il a finalement laissé sa marque sur un simple drap, un suaire qui porte encore la trace de ses dernières souffrances et de sa résurrection.

Si par la suite, le monde connut des guerres en son nom, ce ne fut nullement de son propre fait, mais à cause d’individus qui ont cherché à imposer leur interprétation de la vie de ce grand mage, de celui que certains ont élevé au rang de Dieu. Lui, de son vivant, a généralement prôné le pardon, la non-violence, la miséricorde, la charité et bien d’autres vertus, se posant lui-même par sa vie en exemple de telles pratiques. Du moins est-ce ainsi, semble-t-il, que le veut la légende.

La clef d’un enchantement futur et réussi du monde pourrait se révéler être le respect du libre arbitre et des perceptions de chacun, sans qu’aucun enchanteur n’impose de suivre son exemple ou son chemin. En astrologie, il est assez coutumier d’affirmer que les astres proposent et les êtres humains disposent. Un enchanteur devrait probablement s’en inspirer et se contenter de proposer une vision, ou simplement d’éclairer les divers chemins possibles par sa propre lumière. Libre alors aux individus et aux divers groupes de choisir quoi en faire, quoi suivre, quoi imiter, quoi dépasser !…

Un monde ne peut paraître à tous pleinement enchanteur si certains d’entre eux au moins n’y trouvent pas leur place. La trouver implique non seulement le lieu, mais aussi le rôle et bien sûr la liberté de choisir l’un et l’autre. Ceci nécessite l’absence de contraintes, et donc de règles, de lois, de règlements…, surtout gravés dans la pierre (fût-elle de marbre) ou inscrits sur le papier. Cependant, une telle absence universelle de limites pourrait facilement conduire au chaos, les diverses libertés individuelles s’entrechoquant plus ou moins violemment, jusqu’à éventuellement en faire un plasma brûlant ou un gaz explosif. Pour l’éviter, il convient alors de trouver un moyen de combiner liberté de choix (et notamment celui d’agir dans telle direction plutôt que telle autre) et nécessité de tenir compte des autres êtres et de la manière dont nos choix vont les impacter et potentiellement les faire réagir.

Anticiper les réactions d’autrui suite à nos propres actions ainsi que leurs effets sur l’environnement immédiat comme plus lointain dépend de notre degré de conscientisation en ce qui concerne la loi de causalité selon laquelle toute cause a des effets et tout effet est issu de causes. La conscience intime de son existence procure un sens proportionnel de notre responsabilité quant aux conséquences possibles de nos actions, paroles et choix. L’irresponsabilité représente au contraire l’incapacité à envisager sérieusement ces conséquences ou le fait de ne pas s’en préoccuper, ou encore d’en amoindrir l’importance.

Nous ne pouvons espérer voir se concrétiser un monde réenchanté sans manifestation suffisante du sens des responsabilités lors de nos choix individuels et collectifs. Et de ce point de vue, si certains individus n’ont cure des autres et se fichent de leur propre impact sur autrui, du fait par exemple de tendances psychopathes ou d’immaturité notable, la collectivité gagnera à leur retirer tout pouvoir de nuisance, ceci en ne leur reconnaissant plus la moindre autorité et en ne leur fournissant plus la moindre occasion de l’exercer abusivement sur les autres. Un tyran, par exemple, ne peut exercer sa tyrannie que parce qu’en face de lui existent des individus qui acceptent de se soumettre à son autorité ou à son pouvoir et de lui obéir sans discussion, même lorsque ce qu’il demande est contraire à leur intérêt ou s’oppose à leurs sens du bien, de la justice, de la beauté, de la vérité, etc..

Réenchanter le monde nécessitera probablement de n’offrir aucun poste et aucun rôle de responsabilité aux individus qui n’ont pas développé le sens correspondant ou qui ne l’utilisent pas parce qu’ils n’ont d’intérêt principal ou exclusif que pour eux-mêmes. En d’autres termes, il sera utile et pratiquement indispensable de retirer les psychopathes du pouvoir, des postes de direction, des positions qui les amènent à interagir avec un grand nombre d’individus, et de les cantonner tout au plus dans des rôles auxiliaires. Un monde enchanté existe quand chacun y trouve la place qui lui revient naturellement en fonction de sa capacité à y interagir avec les autres et avec l’environnement sans leur nuire. Il est incompatible avec la production intentionnelle de souffrances comme celles qui le sont généralement sous la prérogative des psychopathes et des sadiques.

La place et le rôle de chaque être souhaitant participer à la création d’un avenir enchanté dépendent de ses capacités, aptitudes et prédilections naturelles dans son interaction avec les choses et les êtres de ce monde. On peut regrouper ces dernières et ces derniers sous le terme générique de « formes » plus ou moins organisées, notion que l’on peut même étendre aux sphères émotionnelles et mentales dans la mesure où émotions et pensées font partie de ce que l’on crée et de ce avec quoi nous interagissons, certaines étant bien délimitées et structurées alors que d’autres sont bien davantage floues ou évanescentes, à l’image de gaz.

Une humanité réenchantée ne peut être que saine, équilibrée et harmonieuse, à l’image d’un corps en parfaite santé. Par analogie avec ce dernier, ses divers groupes et individus — qui représentent organes, tissus et cellules — assument avec maturité leurs fonctions librement choisies et respectent celles des autres. Certains jouent en quelque sorte le rôle du cerveau, d’autres du cœur, d’autres encore des poumons, ou du squelette, ou des mains, ou des jambes, ou des reins, etc. selon qu’ils guident ou dirigent, qu’ils distribuent, donnent et aiment, qu’ils stimulent la vie et le développement, qu’ils construisent, qu’ils se bougent ou encore qu’ils assainissent, pour ne donner que quelques exemples. Cependant, à la différence d’un corps, les rôles et fonctions peuvent varier au cours d’une vie, dépendant de l’évolution (notamment des goûts et des aptitudes) des individus (ou cellules) constituant le corps Humanité.

La civilisation actuelle a perdu tout enchantement pour se voir au contraire en quelque sorte maudite, envoûtée par des sortilèges mortifères, parce qu’elle s’est éloignée de la nature et de la Création, perdant de vue sa source divine au profit d’un attrait croissant pour l’artificiel, le monde des machines, de l’informatique et des robots… Elle s’est laissée corrompre par des marchands, aveuglée par des porteurs de fausse lumière, subjuguée par des joueurs de flûte ou de pipeau, dirigée par des chacals déguisés en bergers… On lui a fait miroiter le confort, la sécurité matérielle, puis sanitaire, pour mieux l’emprisonner. Pour se réenchanter, l’Humanité devra abandonner à la fois le confort et la sécurité matérielle au profit de l’inconnu et du risque. Elle devra retrouver sa source spirituelle de confiance, de force, de vie et de conscience. On ne peut pas à la fois vivre l’enchantement qui implique nécessairement une dimension paranormale ou métaphysique et une vie confortable et sécuritaire fournie par la pure matérialité déconnectée d’une telle dimension, mais connectée aux réseaux informatiques. Plus l’Humanité se relie aux machines, plus elle abandonne son potentiel enchanteur ainsi que les individus qui pourraient le raviver. Plus elle compte sur les premières, moins elle utilise son propre pouvoir.

La technologie moderne a beau avoir voulu en quelque sorte faire la compétition avec les mages d’antan, elle a beau avoir réalisé des miracles artificiels avec le vol d’avions plus lourd que l’air en guise de lévitation de saints, avec la réanimation cardiaque en guise de résurrection des morts, avec la transmutation permise par la fission nucléaire en guise de transformation de l’eau en vin, avec Internet en guise de communication télépathique, les Jedi de Star Wars et la baguette d’Harry Potter font toujours davantage rêver que la technologie de Star Treck. D’un côté nous avons la dépendance aux machines et aux structures complexes de pouvoir, d’industrie et de commerce. De l’autre, nous ouvrons la porte aux dimensions sacrées et divines de l’Homme et de l’Humanité. Toutefois, il reste un piège propice à ces dernières : celui de chercher le pouvoir sur les choses, sur la nature et sur les autres au lieu de l’harmonie avec eux. D’un côté nous avons Palpatine, Voldemor et Sauron (du Seigneur des anneaux). De l’autre Obi-Wan Kenobi (ou Skywalker, Yoda…), Dumbledore et Gandalf. Là où les premiers cherchent toujours plus d’emprise et de contrôle sur les foules (à l’image de ceux recherchés par les transhumanistes et les « élites » autoproclamées), les seconds se mettent à leur service. Les premiers accaparent les pouvoirs, alors que les seconds offrent leurs dons.

L’Humanité se trouve à la croisée des chemins. Elle devra choisir entre celui suivi depuis au moins quelques siècles et qui la conduit directement dans l’abîme de l’asservissement global à la matière, à la technologie et aux « élites » contrôlant cette dernière, et celui de traverse, qui mène à l’inconnu, mais comporte un grand potentiel de libération et d’épanouissement grâce au rêve, au réenchantement du monde, au retour vers les valeurs sacrées et éternelles… Ce chemin n’abandonnera probablement pas toute technologie, du moins dans un premier temps, mais elle n’en sera plus l’esclave. La technoscience se bornera peut-être simplement à faciliter le réenchantement du monde, ceci en diminuant la charge des corvées et la difficulté des défis sans pour autant diminuer la masse musculaire faute d’exercices physiques ni celle des neurones faute de stimulation mentale. De même, ce nouveau chemin ne produira probablement pas immédiatement de résultats spectaculaires ni même notables en ce qui concerne d’éventuelles capacités paranormales telles qu’on peut en voir dans les films évoqués plus haut ou d’autres moutures hollywoodiennes modernes. « À grand pouvoir, grandes responsabilités », évoquait fort justement l’une d’elles il y a quelques années. Et si l’on ne veut pas voir l’Humanité sombrer dans une nouvelle forme d’enfer, il lui vaudra mieux mûrir avant d’être dotée de dons parapsychiques extraordinaires.

Réenchanter le monde de manière suffisamment sage requiert certaines conditions préalables telles que le développement et la manifestation du sens des responsabilités, la découverte et l’acceptation de la place et du rôle de chacun dans un but d’harmonie et de symbiose, la stimulation de notre dimension spirituelle pour mieux nous engager sur un chemin collectif commun, mais aussi la reconnaissance de la psychopathie comme facteur largement perturbateur d’un tel engagement. Si certains êtres humains, en nombre croissant, tendent à considérer que nous vivons actuellement un cauchemar, ils détiennent pourtant le pouvoir de transformer ce dernier en rêve merveilleux. Cela commence généralement par un travail sur soi, sur sa manière de voir la vie, sur sa capacité à discerner le véridique du mensonge, la réalité de l’illusion… Pour réenchanter le monde, nous devons d’abord découvrir en nous-mêmes la source et la capacité de l’enchanteur.

[Voir aussi :
Il est temps de tout dévoiler !]




Il est temps de tout dévoiler !

LE FILM ÉVÈNEMENT DE STEMMER



[Note de Joseph : dans l’Apocalypse de Jean, il est question de la Bête de la Terre à deux cornes (ou pouvoirs, sur le plan symbolique). Elle peut représenter à la fois l’informatique basée sur le silicium, l’élément électropositif le plus abondant de la croûte terrestre, et le pays qui l’a fait naître et qui a créé Internet, les États-Unis.
Voir aussi :
Exorcisme et « vaccins » anti-Covid
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme
Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
L’épée, le bon grain et l’ivraie].




L’État en bien mauvais état

(aménagement, sécurité, santé, économie, diplomatie…)

Par Lucien SA Oulahbib

[Photo : AFP/Eric CABANIS]

En été 1911, les fortes chaleurs durèrent plus de deux mois et demi et il y eut plus de quarante-six mille morts rappelle Epoch Times  dans un article résumant plusieurs sources. Par ailleurs, le fait qu’en ces périodes le feu fasse son apparition apparaît chose commune, en particulier pour les pyromanes et les accidents électriques. Un débroussaillage intempestif ne le préviendrait pas nécessairement, tant il s’agit d’entretenir la forêt avec discernement, analysent certains spécialistes hors salons médiatiques. Ceci implique ni de refuser d’en faire ni de l’effectuer de façon systématique d’après eux, tout en reboisant perpétuellement afin d’oxygéner les paysages, villes comprises. Et il y a bien sûr plus (et dans nos cordes) : le manque de préparation flagrant avec déjà [seulement] neuf canadairs [fonctionnels] sur vingt-deux à disposition, montrant en quoi la dégradation systématique désormais des services publics est devenue reine…

Comme si, à l’instar de ce qui se passe dans le nucléaire (une centrale sur deux en arrêt), à l’hôpital, dans la police, l’armée, l’enseignement — n’en jetez plus ! —, l’abandon était devenu la règle et la rustine l’exception. Ou comment passer d’un État dit « régalien » et prévoyant à un État assemblé en un tas d’expédients surplombés par un état d’exception perpétuel. Amin Dada en mode white face.

Tandis que la maison France flambe de ses impérities, nos gouvernants regardent ailleurs (pour reprendre et adapter une autre formule chiraquienne bien plus seyante que celle employée récemment par celui qui se dit Président), un « ailleurs » qui permet d’aller déverser des milliards jugés sans doute inutiles en France tant cela inciterait les Français à réclamer plus de sécurité et de confort, ce qu’il ne faut surtout plus avoir en « économie de guerre » et en « politique de sobriété » (pour les gueux). Sus, donc contre LE virus, LE Poutine et LE réchauffement climatique ma bonne Brigitte !…

« Nous » sommes non seulement gouvernés par des ânes, mais en plus ceux-ci masquent qu’ils sont d’abord des monstres froids de type néronien sachant cependant parfaitement l’effacer par leur poker face. Visages chirurgicaux façon docteur Folamour (retour du masque à l’Assemblée) et chiens de faïence pour les servir dans les médias (les lyres néroniennes) déversant sans honte bue et hormis quelques exceptions (C.News encore un peu et uniquement désormais. Même Sud Radio a basculé du Côté Obscur) ainsi que les réseaux de réinformation qui gênent de plus en plus d’ailleurs les incompétents recyclés dans la vérification propagandiste au sens de repérer ce qui reste encore de « vraies » nouvelles pour en dénoncer les sources, une sorte de brouillage (l’AFP en tête) tel celui effectué par les camionnettes de la Gestapo lorsqu’elles passaient dans les rues conspirationnistes (soupçonnées d’écouter radio Londres).

Ces spadassins de l’immatériel s’offusqueront bien sûr de les avoir comparés ainsi, mais il faut bien quelques analogies auxquelles d’ailleurs l’on pourrait ajouter les actions du KGB et de la Stasi sans oublier celles du régime maoïste qui profite des tensions actuelles pour avancer ses pions vers Taïwan visant à effacer jusqu’à l’image de la révolution démocratique de 1911 (encore cette année…) qui a vu Sun Yat-Sen proclamer la République, ses descendants s’étant par la suite réfugiés à Taïwan (ex-Formose) du fait du coup d’État maoïste de 1949 ayant cependant été rendu possible par l’incompétence des dirigeants du camp nationaliste.

Aussi est-il dommageable de voir la Russie actuelle se rapprocher faute de mieux de ce régime honni, alors qu’il serait bien plus profitable pour elle comme pour la France et l’Europe de revenir à l’application des accords de Minsk2, afin de pousser à la négociation avec une Russie qui par ailleurs s’avère plus efficace dans ses soutiens que les USA comme on le voit aujourd’hui au Mali (hier en Syrie) et également bien sûr à l’encontre du régime mis à la tête de Kiev et tenu à bout de bras par une OTAN conquérante (et si pro LGBTQ+ qu’il en a fait de plus en plus en sourdine un autre casus belli).

C’est sans doute ce qui a manqué à Zemmour et à Marine Le Pen (à moins de se contenter d’être derrière la Nupes ou d’être hypnotisé par le chiffre 7) : afficher clairement une politique nationaliste idoine et ferme permettant de montrer que l’on ne s’en laisse pas compter, pas plus sur ce point que sur l’abandon des soignants, et de la sécurité publique comme privée ; rétorquer a contrario que c’était là la ligne des Patriotes et qu’ils ont fait encore moins que Reconquête, ce propos rate le coche, car il ne s’agit pas de viser la part de gâteau du voisin, mais d’agrandir celui-ci en l’occurrence par cette désormais marée et manne humaine d’abstentionnistes qui vraisemblablement attendent un discours maîtrisé surtous ces problèmes et non pas seulement une maîtrise du discours (une sophistique) pour paraphraser Roland Barthes.




ARRÊTEZ LES INJECTIONS !

« Un film d’horreur » selon les démissionnaires des agences de santé américaines(([1] U.S. Public Health Agencies Aren’t “Following the Science,” Officials Say (commonsense.news)
Marty Makary M.D., M.P.H. and Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Jul 14 22
Dr. Marty Makary is a Johns Hopkins professor and public policy researcher. He is a member of the National Academy of Medicine, writes for the WSJ and the Washington Post, and is author of the NYT bestselling book, The Price We Pay.
Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Consultant epidemiologist with Florida Department of Health, PM&R physician in Northern California, mom of four and Danish-American dual citizen.))

Par Nicole Delépine

« Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. »

Les agences de santé publique des États-Unis ne « suivent pas la science », disent des responsables démissionnaires. « Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire. »

Voici en résumé ce que racontent les fonctionnaires des agences de santé des USA qui n’en peuvent plus de tant de mensonges depuis deux ans mettant en péril la vie de leurs concitoyens.

« Les appels et les SMS sont implacables. À l’autre extrémité se trouvent des médecins et des scientifiques aux plus hauts niveaux des NIH(([2] https://www.nih.gov

Official website of the National Institutes of Health (NIH). NIH is one of the world’s foremost medical research centers. An agency of the U.S. Department of Health and Human Services, …)), de la FDA et du CDC. Ils sont diversement frustrés, exaspérés et alarmés par l’orientation des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière ».

Les hauts responsables conscients n’en peuvent plus ! « C’est comme un film d’horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux », a déploré un haut responsable de la FDA. »

Ils ont toléré longtemps, très longtemps, peut-être naïfs au début, mais vite conscients du rôle pervers qu’on leur faisait jouer. Mais pour comme nos pompiers suspendus sans salaire (alors que la France brûle, nos médecins et personnel soignant également écartés de leur fonction avec mépris, diffamation et sans salaire, ni RSA), démissionner est un acte difficile parfois quasiment impossible. Nos « malgré nous » injectés parce que devant continuer à payer la maison, nourrir les enfants et… de plus, faire cesser les drames avec le conjoint, la famille, d’un autre avis, pour ne pas divorcer, ne pas couper tout lien, comprennent bien ce qu’ont ressenti les fonctionnaires des agences américaines qui parlent aujourd’hui comme probablement voudraient le faire ceux des agences européennes qui se taisent encore par peur…

Ils ont tout toléré, mais l’attaque frontale des nourrissons en a fait exploser un certain nombre. Ces enfants et a fortiori nourrissons qui ne risquent RIEN du covid et qu’on voudrait nous forcer à injecter.

La goutte d’eau a fait craquer ce médecin de la FDA qui fait référence à deux développements récents au sein de l’agence :

— comment, en l’absence de données cliniques solides, l’agence a-t-elle autorisé les vaccins Covid pour les nourrissons et les tout-petits, y compris ceux qui avaient déjà le Covid ?

— deuxièmement, le fait que quelques mois auparavant, la FDA a contourné ses experts externes pour autoriser les injections de rappel pour les jeunes enfants.

« Ce médecin n’est pas seul. Au NIH, les médecins et les scientifiques se plaignent auprès de nous d’un moral bas et d’un manque de personnel : le Centre de recherche sur les vaccins des NIH a vu beaucoup de ses scientifiques principaux partir au cours de la dernière année, y compris le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef ».

Il semble bien que le bateau NIH n’ait plus de capitaine et que de très nombreux postes soient à pourvoir, y compris des emplois de haut niveau. Le CDC(([3] Center for disease control and prevention: officiel dans chaque état et un fédéral
Centers for Disease Control and Prevention (cdc.gov) )) a connu un exode similaire.

Bien que les bénéfices aient été élevés, « le moral est bas », selon un haut responsable du CDC. « Les choses sont devenues si politiques, pourquoi sommes-nous là ? » Un autre scientifique du CDC dit : « J’étais fier de dire aux gens que je travaille au CDC. Maintenant, je suis gêné. »

Pourquoi gênés ? Leur travail n’a plus rien à voir avec la science, la vraie, celle du doute légitime, celle des données non truquées au gré des ordres du ministère, etc.

Une réponse détaillée a été reçue par les auteurs. Les fonctionnaires ne supportent plus « que les dirigeants de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale ».

« Que de telles décisions sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l’administration Biden. Et qu’ils se concentrent comme des myopes sur un virus plutôt que sur la santé globale ».

LA LIMITE ENFIN DÉPASSÉE ?

Mais trop c’est trop et toucher aux enfants est peut-être enfin la limite qu’on ne peut franchir.

On l’a longtemps espéré en France comme aux USA devant le confinement invraisemblable d’enfants innocents du covid, devant le port du masque devant des nourrissons qui ne savent plus ce qu’est un nez une bouche après 18 mois d’adultes muselés devant eux, des petits en maternelle qui n’apprennent plus à parler, des enfants en élémentaire qui n’apprennent plus à lire, etc. On espérait que la population réagirait, enfin…

La politique officielle de santé publique concernant les enfants et le Covid a fait craquer les employés des agences. Voici ce qu’ils résument :

« Premièrement, ils ont exigé que les jeunes enfants soient masqués dans les écoles. Sur ce point, les agences se sont trompées. Des études convaincantes ont révélé plus tard que les écoles qui masquaient les enfants n’avaient pas de taux de transmission différents. Et pour le développement social et linguistique, les enfants ont besoin de voir les visages des autres.

Viennent ensuite les fermetures d’écoles. Les agences avaient tort — et de manière catastrophique. Les enfants pauvres et minoritaires ont subi une perte d’apprentissage avec une baisse de 11 points des scores en mathématiques et une baisse de 20 % des taux de réussite en mathématiques. Il existe des dizaines de statistiques de ce genre. »

« Ensuite, ils ont ignoré l’immunité naturelle. Encore une fois, c’est faux. La grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid, mais cela n’a fait aucune différence dans les obligations globales pour les injections infantiles.

« Et maintenant, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l’appui, ces agences ne font qu’éroder davantage la confiance du public ».

ET LA HONTE MONTA ENCORE ET ENCORE ET LE POUVOIR SE RETROUVA DE PLUS EN PLUS SEUL

Une scientifique du CDC :

« Le CDC n’a pas réussi à équilibrer les risques de Covid avec d’autres risques liés à la fermeture des écoles ». Les pertes d’apprentissage, les exacerbations de la santé mentale étaient évidentes dès le début et celles-ci se sont aggravées à mesure que les directives insistaient pour garder les écoles virtuelles. Les directives du CDC ont aggravé l’équité raciale pour les générations à venir. Il a SACRIFIE cette génération d’enfants. »

confirmant les données de notre livre « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Fauves éditions))

Un responsable de la FDA :

« Je ne peux pas vous dire combien de personnes à la FDA m’ont dit : “Je n’aime rien de tout cela, mais j’ai juste besoin de prendre ma retraite. »

LA POURSUITE DES MENSONGES POUR IMPOSER LE VAX AUX PETITS

Fin juin, le CDC a vigoureusement recommandé les vaccins Covid à ARNm pour 20 millions d’enfants de moins de cinq ans. Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a déclaré que les vaccins Covid à ARNm devraient être administrés à tous les patients de six mois ou plus « parce qu’ils sont sûrs et efficaces. »

TERRIBLES MENSONGES DONT ELLE POURRAIT ÊTRE UN JOUR OBLIGÉE DE RÉPONDRE DEVANT LES TRIBUNAUX.

Cette recommandation radicale était basée sur des données « extrêmement faibles et peu concluantes » fournies par Pfizer et Moderna.

LES NOUVEAUX MENSONGES DE PFIZER ET MODERNA ET LA SOUMISSION COUPABLE DES AGENCES

« Commencez par Pfizer. En utilisant un vaccin à trois doses chez 992 enfants âgés de six mois à cinq ans, Pfizer n’a trouvé aucune preuve statistiquement significative de l’efficacité du vaccin. Dans le sous-groupe d’enfants âgés de six mois à deux ans, l’essai a révélé que le vaccin pourrait entraîner une réduction de 99 % du risque d’infection, mais qu’ils pourraient également avoir un risque accru de 370 % d’être infectés. En d’autres termes, Pfizer a rapporté une gamme d’efficacité vaccinale si large qu’aucune conclusion n’a pu être déduite. Aucune revue médicale réputée n’accepterait des résultats aussi bâclés et incomplets avec un échantillon aussi petit. Plus précisément, ces résultats auraient dû faire réfléchir ceux qui sont en charge de la santé publique. »

Avis d’un haut responsable du CDC — expert dans l’évaluation des données cliniques — il a plaisanté : « Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. » parlant du vax Pfizer chez les jeunes enfants en bonne santé et de son efficacité supposée.

Pour Moderna — l’étude sur 6 388 enfants avec deux doses — n’étaient pas plus convaincante. Contre les infections asymptomatiques, ils ont revendiqué une très faible efficacité vaccinale de seulement 4 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans. Ils ont également affirmé une efficacité de 23 % chez les enfants âgés de deux à six ans, mais aucun des deux résultats n’était statistiquement significatif et aucun n’avait le moindre intérêt pour les enfants puisqu’ils ne souffraient de rien. Contre les infections symptomatiques, le vaccin de Moderna a montré une efficacité statistiquement significative, mais l’efficacité était faible : 50 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans et 42 % chez les enfants âgés de deux à six ans.

UNE GIFLE À LA SCIENCE

Durée de la protection ? Inconnue « Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation de donner des vaccins Covid à ARNm aux bébés sans bonnes données. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors, pourquoi le pousser si fort ? » selon un médecin du CDC.

Un haut responsable de la FDA a ressenti la même chose : « Le public n’a aucune idée de la gravité de ces données. Il ne passerait pas la barre pour toute autre autorisation ».

Et pourtant, la FDA et le CDC l’ont fait passer.

Le bon sens existe encore, ce qui explique pourquoi seulement 2 % des parents américains d’enfants de moins de cinq ans ont choisi de se faire vacciner contre le Covid, et 40 % des parents des zones rurales disent que leurs pédiatres n’ont pas recommandé le vaccin Covid pour leur enfant.

ESPÉRONS QUE LES EUROPÉENS ET EN PARTICULIER LES FRANÇAIS NE SACRIFIERONT PAS LEURS ENFANTS AUX SIRÈNES DU PRÉSIDENT ET DE LEURS AFFIDÉS MÉDIATIQUES MERCENAIRES DE PFIZER

La propagande terrorisante des médias reprend avec vigueur appliquant l’injonction présidentielle(([5] https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-quon-dramatise-un-peu-emmanuel-macron-et-ses-ministres-jouent-le-tout-pour-le-tout_474389)) répétitive « Il faut qu’on dramatise un peu pour que tout le monde se vaccine ». Et pourtant l’épidémie est de fait terminée. Il faut absolument joindre nos députés, sénateurs pour leur dire qu’on ne veut pas de mauvaise surprise à la rentrée comme une injonction de vacciner les enfants innocents du covid et à risque de l’injection expérimentale.(([6] Appel aux Sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Et sans hésiter informer aussi les médias dont le rôle est capital dans la manipulation des citoyens.(([7] https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juillet-2022/160722-lettre-ouverte-a-julien-dray-ex-elephant-socialiste-sur-les-dangers-et-linefficacite-des-injections-anticovid-dr-nicole-delepine/))

Les français commencent à comprendre, devant le nombre d’accidents vaccinaux graves, ou moins dramatiques, mais gênant la vie de tant de voisins, parents, amis ou collègues toujours absents, car fatigués infectés, sans endurance comme en témoignent les coureurs du Tour de France 22.

Les recommandations de vaccins Covid basées sur le peu de preuves transmises par ces agences.

En mai 2022, le manque de preuves cliniques pour les injections de rappel chez les jeunes a créé une tension à la FDA.

La Maison-Blanche l’a promu durement avant même que les régulateurs de la FDA n’aient vu des données. Une fois qu’ils ont vu les données, ils ont découvert qu’aucun bénéfice clair contre les maladies graves chez les personnes de moins de 40 ans n’a été démontré.

DES DÉMISSIONS OCCULTÉES EN FRANCE

Les deux principaux régulateurs des vaccins de la FDA — le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause — avaient quitté l’agence l’année dernière en raison de pressions politiques pour autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes.

Après leur départ, ils ont expliqué pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation de rappel, arguant dans le Washington Post que « la pression pour des boosters pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie », citant des préoccupations selon lesquelles le renforcement basé sur une variante obsolète pourrait être contre-productif.

Quel dommage que ces informations n’aient pas réussi à atteindre nos journaux télévisés !

« C’était comme si nous étions un outil politique » selon un scientifique du CDC. « Il y a un silence, une réticence pour les scientifiques de l’agence à dire quoi que ce soit. Même s’ils savent qu’une partie de ce qui est dit de l’agence est absurde. »

ON SE CROIRAIT EN URSS AU BON VIEUX TEMPS OU EN RDA SOUS LA STASI

Les gens avaient l’impression de ne pas pouvoir parler librement, même à l’interne au sein de leurs agences.

« Vous êtes étiqueté en fonction de ce que vous dites. Si vous en parlez, vous en souffrirez, j’en suis convaincu », selon un membre du personnel de la FDA. Une autre personne a ajouté : « Si vous parlez honnêtement, vous êtes traité différemment. »

Et ainsi ils restent silencieux, se parlant en privé ou en groupes de texte sur Signal.

Nos lecteurs français nous diront-ils combien d’entre eux dans leurs entreprises ne se parlent plus que par « signal » dont on voit chaque jour les correspondants augmenter….

L’IMMUNITÉ NATURELLE, GRAND SUJET TABOU AUX USA COMME EN EUROPE

Pourquoi vacciner les enfants déjà une certaine immunité contre la maladie en l’ayant rencontrée, et qui de toute façon sont innocents du covid, ne font pas de maladie grave et ne transmettent pas ?

En février 2022, 75 % des enfants aux États-Unis avaient déjà une immunité naturelle contre une infection antérieure. Cela pourrait représenter plus de 90 % des enfants aujourd’hui étant donné l’omniprésence d’Omicron depuis lors.

Les propres recherches du CDC montrent que l’immunité naturelle est meilleure que l’immunité vaccinée et une étude récente du New England Journal of Medicine en Israël a remis en question les avantages de la vaccination des personnes précédemment infectées.

La Suède n’a jamais offert la vaccination aux enfants de moins de 12 ans. La Finlande limite les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans à haut risque. L’Institut norvégien de santé publique a déclaré « l’infection antérieure offre une protection aussi bonne que le vaccin contre la réinfection ». Le Danemark a annoncé le 22 juin que sa recommandation de vacciner tous les enfants de moins de 16 ans était une erreur. « Les vaccinations n’étaient pas principalement recommandées pour le bien de l’enfant, mais pour assurer le contrôle de la pandémie », a déclaré Søren Brostrøm, chef du ministère danois de la Santé.

La réponse officielle de la santé publique au Covid a sapé la croyance du public dans la parole publique elle-même aux USA, mais aussi dans les pays européens dont la France.

Les dirigeants du CDC, de la FDA et des NIH et des agences européennes et mondiales devraient accueillir favorablement les discussions internes — voire les dissensions — basées sur les preuves. La science naît de la confrontation entre ce que l’on croit (les hypothèses) et les faits avérés. Nier les faits au profit d’une croyance érigée en dogme relève d’une attitude religieuse anti-scientifique.

Faire taire les médecins, ce n’est pas « suivre la science ».





Fermeture des urgences, casse de l’hôpital public : la mise en danger de la vie des patients par manque de services public conduit à des morts – entretien avec Christophe Prudhomme, porte parole de l’association des médecins urgentistes de France

[Source : initiative-communiste.fr]

Entretien avec Christophe Prudhomme. Médecin au Samu de Seine Saint-Denis c’est un fin connaisseur de la réalité du terrain et de l’hôpital. Syndicaliste, c’est un spécialiste du système de santé ; il est porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France (Amuf).

Initiative Communiste — Peux-tu nous présenter François Braun, le nouveau ministre de la Santé ? Se différencie-t-il de ses prédécesseurs, et notamment d’Olivier Véran ?

Christophe Prudhomme : Président du syndicat Samu-Urgences de France (de fait, un intérêt corporatiste), François Braun est le faire-valoir de la société civile dont se vante Macron. Mais en réalité, il a participé depuis 15 ans (donc, depuis Sarkozy) à toutes les négociations au sein des instances ministérielles. Sollicité pour préparer la prétendue loi dite d’accès aux soins pour tous, il a été le conseille Santé de Macron pendant la campagne présidentielle : connu de l’establishment, il représente le prototype du corps intermédiaire connaissant certes le terrain, mais servile et acceptant tout ordre ou décision de ses supérieurs.

Le choix de Braun est cependant un choix par défaut : d’abord pressenti, Philippe Juvin, chef des services d’urgence à l’hôpital Georges Pompidou à Paris et candidat LR à la primaire pour la présidentielle, avec une orientation clairement fascisante (quand il était vice-président des Hauts-de-Seine, il avait voulu attribuer le nom de Kléber Haedens, l’ancien secrétaire particulier de Charles Maurras, à un collège de la commune de La Garenne-Colombes, ville dont il est encore maire !), a refusé ; de même pour Frédéric Valletoux, président de la Fédération hospitalière de France, membre d’Agir (le mouvement de Pécresse), maire de Fontainebleau et député LREM. Je pensais alors que Nicolas Revel serait le mieux placé : directeur général de l’Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP), il a également été directeur de la Caisse nationale d’Assurance maladie (CNAM) et directeur de cabinet de Jean Castex à Matignon, et a même grenouillé à l’Élysée sous François Hollande ; mais il a lui aussi décliné.

Depuis qu’il est ministre, Braun ne cesse de multiplier les sorties contradictoires : alors qu’il défendait la réintégration des personnels soignants non-vaccinés il y a un an, il s’y oppose désormais farouchement. Ceci illustre une réalité plus profonde : le ministère de la Santé est un ministère sous la tutelle de la direction de la Sécurité sociale présente à Bercy, au sein du ministère de l’Économie. D’ailleurs, Braun conserve le même cabinet qu’Olivier Véran, cabinet mis en place directement par l’Élysée : de fait, le directeur de cabinet du ministère de la Santé est le vrai ministre.

Braun tente de s’appuyer sur les copains et les coquins : non pas les personnels soignants constamment sur le terrain, mais sur les médecins passant leur temps en réunion (et jamais au contact des malades et des soignants). Praticien hospitalier, Braun n’est respecté ni au niveau médical ni au niveau institutionnel : en réalité, les personnes qui impulsent réellement la ligne politique sont des médecins membres des LR, et notamment Pierre Carli, directeur du Samu de Paris.

La politique de long terme demeure la même depuis au moins Sarkozy, comme pour d’autres secteurs publics comme l’Éducation Nationale : appliquer les principes de l’école de Chicago en marchandisant tout, en prétextant des dysfonctionnements pour fermer des unités publiques et en transformant les hôpitaux en boîtes rentables – notamment en favorisant l’émergence des cliniques privées.

Initiative Communiste – Le nouveau ministre de la Santé vient de te répondre publiquement que, avec sa gestion hospitalière, aucun patient ne resterait à la porte des urgences. Qu’en est-il alors que la situation de l’hôpital public inquiète de nombreux malades en pleine remontée épidémique?

Christophe Prudhomme : Braun a lancé une Mission Flash, qui visait à empêcher que l’on parle de la situation des urgences pendant la campagne des élections législatives. Parmi les 41 mesures préconisées émerge l’idée que les urgences peuvent filtrer les patients la nuit : concrètement, cela signifie que les patients doivent appeler le 15 pour savoir s’ils ont le droit d’accéder aux urgences ! Et comme les citoyens et les travailleurs ont un vrai esprit civique, ils appliquent globalement cette préconisation en réalité mortifère, car elle aboutit tout simplement à la mise en danger de la vie des patients par manque de services publics. Récemment, à Manosque (Alpes-de-Haute-Provence), un enfant victime d’un accident de la route n’a pas été immédiatement transporté aux urgences, sa situation n’étant pas jugée grave ; or le lendemain, le pédiatre a remarqué un gros hématome au niveau du foie : cet enfant aurait pu mourir dans la nuit !

 La préconisation de filtrer les urgences la nuit est déjà appliquée dans des métropoles : à Bordeaux, la municipalité multiplie les affiches « publicitaires » incitant à limiter l’accès aux urgences la nuit ; la situation est même pire à Grenoble, où cette préconisation vise aussi bien les hôpitaux publics que les cliniques privées ! En outre, plusieurs dizaines de services d’urgence ont déjà fermé la nuit, y compris dans des villes de taille importante comme Manosque, Draguignan (Var) ou Laval (Mayenne). Il en résulte une surmortalité, notamment pour les patients souffrant de maladies graves nécessitant une prise en charge immédiate, mais qui n’osent plus se rendre aux urgences ; à quoi s’ajoute un terrible manque de lits.

La situation est tellement grave que même Les Échos, à qui j’ai accordé un entretien, a titré « Il va y avoir des morts », du fait d’une véritable mise en danger de la population. Un autre élément illustrant la dramatique dégradation des services d’urgence tient au fait que ce ne sont plus des médecins qui organisent le protocole au Samu, mais des infirmières, souvent débordées et qui n’ont pas toujours les compétences nécessaires face à certaines situations urgentes et spécifiques.

Aujourd’hui, il n’y a plus de « dialogue social » de la part du ministre qui refuse d’aborder les problèmes de fond concernant les urgences. Il n’a d’ailleurs voulu rencontrer ni la CGT-Santé ni l’Association des médecins urgentistes de France (AMUF), les deux organisations les plus représentatives des personnels soignants en souffrance, et ce alors que les démissions sont massives. C’est d’autant plus inquiétant face à la remontée des cas de Covid.

Initiative Communiste – Quelles sont les mesures d’urgence et de plus long terme qu’il faut prendre pour empêcher l’écroulement du service public de la Santé ?

Christophe Prudhomme :  Au-delà du fait qu’il est impossible d’échanger avec le ministre, ce dernier a proposé, dans le cadre de la Mission Flash, de faire appel aux médecins retraités pour suppléer au manque de personnel et de majorer les heures supplémentaires. Or ce que veulent les personnels soignants, ce sont des vacances (au moins pour se reposer) et de vraies augmentations de salaire !

Dans l’immédiat, deux mesures d’urgence peuvent être appliquées face à la situation catastrophique :

  1. Le rétablissement de l’obligation de garde pour tous les médecins, aussi bien généralistes que spécialistes (sauf pour des spécialistes aux caractéristiques très spécifiques) en ville, en clinique ou à l’hôpital. Cela permettrait de répartir la charge de travail afin que tout patient puisse accéder aux urgences de jour comme de nuit ; et c’est d’autant plus possible qu’il y a assez de médecins pour faire appliquer cette mesure.
  2. L’augmentation des moyens pour que les médecins effectuent des visites à domicile, car ces dernières, mal payées, se sont effondrées. Aujourd’hui, on stigmatise les patients qui viendraient aux urgences « pour pas grand-chose », moyen fourbe de faire silence sur le fait que 20 à 25 % des personnes hospitalisées aux urgences n’ont pas de lit ! Aussi, les visites des médecins, accompagnés d’une infirmière, au domicile propre du patient ou dans les EHPAD (où l’absence de médecins et d’infirmières est criante — et nous voyons le résultat avec le scandale Orpéa), peuvent permettre de résoudre en partie les problèmes des urgences. Et si les médecins estiment que cela leur revient cher, car il faut se déplacer, des solutions existent : à Libourne (Gironde), les médecins bénéficient d’une voiture avec chauffeur.

Au-delà de ces mesures d’urgence non mises en place par crainte du lobby médical désireux de démanteler la Sécurité sociale, nous portons trois grandes revendications depuis au moins 2019 – qui auraient d’ailleurs pu déboucher sur de premiers résultats assez rapidement si elles avaient été appliquées :

  1. Un grand plan de formation et d’embauche de personnel (100 000 à l’hôpital et 200 000 dans les EHPAD). La fin de non-recevoir arguait le fait qu’il faut une année pour former un(e) aide-soignant(e) et trois années pour une infirmière/un infirmier ; mais si cette mesure avait été adoptée dès 2019, nous aurions eu les premiers aides-soignants dès 2020 et une première cohorte d’infirmières en cette année 2022 !
  2. Une hausse des salaires, non par majoration des heures supplémentaires, mais par volonté politique. Cela est d’autant plus urgent qu’à l’heure actuelle, en parité de pouvoir d’achat, une infirmière française gagne moins qu’une infirmière mexicaine ! Et ce, alors que les cadences de travail ont explosé — et l’épuisement avec.
  3. L’arrêt des fermetures de lits d’hôpitaux et des « restructurations » qui débouchent sur la fermeture d’hôpitaux. Ainsi, en Île-de-France, Aurélien Rousseau, ancien directeur de l’Agence régionale de santé (ARS) et désormais directeur de cabinet d’Élisabeth Borne, a fermé les hôpitaux Bichat (Paris 18e) et Beaujon (Clichy, Hauts-de-Seine) pour un projet d’hôpital Grand Paris Nord, entraînant la perte de 300 lits et 800 emplois ; parallèlement, il a autorisé une « restructuration » à Neuilly, à savoir le regroupement de trois cliniques privées en une seule unité comprenant 420 lits et 30 blocs opératoires — le tout, évidemment, avec un reste à charge aux patients croissant et de plus en plus inaccessible. Pendant ce temps, en Seine–Saint-Denis, le nombre de médecins traitants s’est effondré et les patients se rendent aux urgences saturées en cas d’évolution de la pathologie…

Il faut ajouter qu’il est fondamental de rétablir un principe constitutionnel : celui d’assurer des soins à tous les patients sur l’ensemble du territoire national au nom du principe d’égalité républicaine. Or ce principe nécessite de réguler l’installation des médecins, donc de mettre fin à la liberté d’installation pour officier là où il y a des besoins (et ainsi, mettre fin aux déserts médicaux) ; parallèlement, il est nécessaire de trouver un autre mode de rémunération pour les jeunes personnels soignants qui arrivent. C’est pourquoi nous appelons à la création de Pôles santé publics et collectifs au sein desquels travaillent des salariés : ce ne seraient pas forcément des fonctionnaires, car ils pourraient dépendre de l’Économie sociale et solidaire (ESS), des mutualités et des collectivités territoriales ; il est même possible d’élargir un système coopératif existant déjà depuis la loi Hamon de 2014.

L’enjeu de la Santé est aussi un enjeu politique : comme dans d’autres domaines comme l’Éducation nationale, Macron — véritable VRP d’Uber quand il était ministre de l’Économie sous Hollande — souhaite importer le modèle états-unien en France, alors que l’espérance de vie diminue depuis 2014 aux États-Unis, car les jeunes ne peuvent plus se faire soigner correctement. Pire : le combat des symptômes (et non de la maladie en tant que telle) par des antidouleurs provoque actuellement la mort de 60.000 personnes par an par overdose de produits morphiniques, soit deux fois plus de morts que par les armes à feu !

Le combat des urgences, c’est aussi un combat politique urgent !




La canicule de l’été 1911, cette terrible vague de chaleur oubliée qui a fait plus de 40.000 morts en France

[Source : epochtimes.fr]

Par NATHALIE DIEUL

Alors que les épisodes de fortes chaleurs se succèdent en cet été 2022, on se souvient des canicules précédentes, dont celle de 2003 qui a fait 15 000 morts en France. Mais qui se souvient encore de celle de l’été 1911, qui avait frappé toute l’Europe de juillet à septembre ? Elle avait été tellement dramatique qu’elle avait causé plus de 40 000 décès rien que dans l’Hexagone.

La canicule de 1911 a duré 70 jours, du 4 juillet au 13 septembre. Elle a touché toute l’Europe, dont la France. Non seulement les températures ont été très élevées pendant toute cette période, avec de courtes interruptions, mais il y a eu une absence totale de pluie, rapporte Ouest‑France. Dès le mois de juillet, certains quartiers de Paris n’avaient plus d’eau.

Certaines données parlent de plus de 40.000 victimes, mais selon Patrick Zylberman, professeur émérite d’histoire de la santé à l’École des hautes études en santé publique (EHESP), le bilan est encore plus lourd. « Au total 46.719 personnes meurent pendant cette période de fortes chaleurs », explique‑t‑il.

Chaleur et manque de pluie pendant une longue période

« Ce sont plus de deux mois d’extrême sécheresse et de températures élevées qu’ont connus les habitants de la France en 1911 », résume Catherine Rollet, auteur de La canicule de 1911 : observations démographiques et médicales et réactions politiques.

Cette historienne et démographe, décédée en 2016, détaille dans un article cité par La Croix : « La caractéristique de cette canicule, c’est que ces températures très élevées, associées à une insolation importante, sans pluie, ont duré très longtemps. »

La totalité du pays est touchée, mais « plus durement peut‑être le nord de la France », remarque Patrick Zylberman.

Les principales victimes : « les tout‑petits élevés au biberon »

« Il faudra marquer cette année 1911 d’une croix noire », écrivait un médecin du département de la Seine inférieure, notant que « pendant la longue période de chaleur, la mort n’a cessé de faucher les tout‑petits élevés au biberon ».

En effet, parmi les victimes, près de 30.000 sont des bébés de moins d’un an, la majorité des autres décès étant des personnes âgées. Les bébés les plus touchés sont les enfants assistés (ceux qui ont été abandonnés) et les enfants protégés (ceux qui sont placés en nourrice). Il s’agit en fait des bébés nourris au biberon.

Cela s’explique entre autres par le fait qu’en plus de la vague de chaleur, une épidémie de fièvre aphteuse sévissait dans une bonne partie de la France, ce qui a eu un impact sur la quantité et la qualité du lait donné aux nourrissons.

Après une température maximale de 29,7 °C en moyenne à Paris pendant le mois d’août 1911 (soit 5,3 °C de plus qu’entre 1971 et 2000) et quatorze jours avec des maximales supérieures à 30 °C, c’est finalement mi‑septembre que les températures finissent par baisser, au grand soulagement de tous.

D’autres canicules historiques

En plus de cet épisode de forte chaleur au début du 20siècle il y a eu une autre canicule en 1947 en France, mais celle‑ci n’a pas fait beaucoup de victimes, indique Le Parisien.

Avant le 20e siècle, on dispose de peu de données pour évaluer les précédentes canicules, mais les travaux d’Emmanuel Le Roy‑Ladurie révèlent que l’été 1636 a connu un tel coup de chaleur que 500.000 personnes y auraient perdu la vie. Quant aux étés 1718 — 19, ils auraient eu une canicule qui a fait 700.000 victimes enregistrées. À ces époques, les épisodes de fortes chaleurs étaient liés à des épidémies de dysenterie à cause du manque d’eau.




Du chaos des aéroports à la sécurité des vols. La santé des pilotes au centre des questions

[Source : LHK]

Le chaos généré par le sous-effectif de manutentionnaires de bagages est qualifié de Armageddon par l’intervenante.

Vous prenez l’avion pour partir ou revenir de vacances ? Méfiez-vous des annulations de vols qui frappent le secteur de l’aviation au niveau mondial, mais aussi de la possibilité de perdre vos bagages dans les aéroports ! Une pandémie semble paralyser à un niveau ou un autre les processus d’activités de l’industrie aéroportuaire, ainsi que ceux des compagnies aériennes. Le chaos qui en résulte paralyse les déplacements par avion.

À qui la faute ? Au Covid-19 bien sûr, le point 0 du Nouveau Monde dont le narratif qui tourne en boucle est :

Le Covid a généré une crise économique dans le secteur de l’aviation suite à la chute drastique du nombre de passagers, à la suite de quoi les compagnies concernées ont dû licencier et mettre à la retraite anticipée passablement de monde. Alors quand la demande des passagers augmente, les prestations ne peuvent suivre par manque de personnel.

Mais voilà que ces arguments connus de tous occultent un problème de fond sévère qui concerne la santé des pilotes. Il y a ceux qui refusent la vaccination et se font virer, et ceux qui se font vacciner qui ont et qui posent des problèmes en termes de sécurité. Une audition au sein du Parlement européen est relayée ci-dessous.

Le problème de base, une pénurie de personnel

Certains médias francophones nous ont alertés il y a quelques semaines au sujet d’une suppression massive de vols. Swissinfo titrait récemment : Lufthansa supprime 900 vols cet été faute de personnel. CNBC l’avait annoncé plus tôt en mai : Une grave pénurie de pilotes aux États-Unis oblige les compagnies aériennes à chercher des solutions. Encore plus tôt en avril, c’est la compagnie Swiss qui avait anticipé la pénurie : Swiss supprime des vols cet été en raison d’un manque de personnel.

https://www.swissinfo.ch/fre/lufthansa-supprime-900-vols-cet-%C3%A9t%C3%A9-faute-de-personnel/47661332
https://www.rts.ch/info/economie/13041255-swiss-supprime-des-vols-cet-ete-en-raison-dun-manque-de-personnel.html

Les retards en tous genres et la désorganisation généralisée rendent de plus en plus de passagers nerveux, voire agressifs. Le média de Swisscom fait état de chaos à l’aéroport de Zurich.

Si vous voyagez en avion, vous avez besoin de patience. De nombreux aéroports en Europe sont en difficulté au milieu de la haute saison des voyages. (…) A l’aéroport de Zurich, la police doit désormais intervenir tous les jours. Swissport le confirme au « Tages-Anzeiger ». À titre de comparaison : Avant la pandémie, il y avait en moyenne une opération de police par mois.

https://www.bluewin.ch/de/services/bluewin-session-lost.html

Au cas où vous seriez concerné par ce genre de difficultés, voici une lettre type mise à disposition par Que choisir. Il s’agit de vous faire rembourser vos billets d’avion en argent et non en avoir comme pourrait l’imposer la compagnie :

https://www.quechoisir.org/lettre-type-vol-annule-par-la-compagnie-aerienne-coronavirus-demande-de-remboursement-en-argent-et-non-en-avoir-n78891/

ou à télécharger directement ici:

demande-de-remboursement-en-argent-et-non-en-avoir1Source Que Choisir

Le problème est donc réel, sérieux, et d’ampleur inédite.

Les bagages des passages jetés en vrac à Heathrow, le plus grand aéroport européen, et le 7e mondial.

L’aspect économique ne tient pas la route. Des paquets de milliards d’argent public évaporés

L’excuse des difficultés économiques ne tient pas la route (en tout cas à court terme). Des sauvetages massifs ont eu lieu dès le printemps 2020 grâce au robinet financier public que les gouvernements ont bien voulu ouvrir.

Ce sont des dizaines et des dizaines et encore des dizaines de milliards qui ont été versés aux compagnies aériennes européennes et américaines justement pour anticiper d’abord puis faire face à la baisse de clientèle en période de confinement et autres barrières posées aux voyageurs. Cet argent aurait dû normalement permettre de maintenir suffisamment de personnel pour relancer les processus le moment venu.

https://www.theguardian.com/business/2020/apr/14/us-government-coronavirus-bailout-airlines-industry
https://www.euronews.com/my-europe/2021/04/16/as-europe-s-airlines-get-billions-in-covid-bailouts-is-rail-being-left-behind

Avec autant d’argent dépensé, l’explication de la crise économique devient trop courte, ce qui n’a pas échappé au Congress américain. Ainsi, celui-ci a demandé des explications à fin 2021 déjà à cette industrie face aux vagues d’annulations de vols par les compagnies aériennes qui clouent au sol des milliers d’avions. A quoi a servi l’argent du sauvetage versé précisément pour faciliter la prise en charge des passagers à la sortie de la crise Covid?

Cela a également provoqué la colère des législateurs qui avaient donné à l’industrie du transport aérien plus de 50 milliards de dollars en fonds de secours contre la pandémie au cours de la dernière année et demie — sur la base de la promesse des transporteurs que l’argent les aiderait à être prêts pour le retour des voyageurs dans le ciel. Maintenant, le Congrès demande des réponses sur les raisons pour lesquelles les compagnies aériennes ont été si mal préparées à l’augmentation inévitable de la demande de passagers (…)

https://www.politico.com/news/2021/11/20/airlines-pandemic-bailout-cancellations-523100

Et voilà qu’en 2022, c’est l’association des pilotes américains qui monte au créneau et qui accuse l’industrie de l’aviation pour incompétence. Elle leur demande des comptes quant aux 63 milliards de dollars versés pour rien!

Selon l’ALPA, « actuellement, de nombreuses compagnies aériennes américaines affirment qu’elles ne peuvent pas embaucher de pilotes assez rapidement alors que l’industrie aéronautique se remet de la pandémie de COVID-19 et que la demande de voyages aériens rebondit. Ironiquement, l’argent des contribuables pris par les compagnies aériennes était expressément destiné à garder les travailleurs sur la liste de paie afin que les entreprises puissent répondre à la demande croissante de voyages que l’industrie connaît aujourd’hui ».

https://www.alpa.org/news-and-events/news-room/2022-05-06-airlines-mismanaging-taxpayer-bailout-funds

Nous abordons ici deux familles de causes: celles admises et donc relayées par les médias officiels et celles censurées, car elles remettraient en question la vaccination anti-Covid.

A- Une alerte sur la pénurie actuelle de personnel volant lancée en 2016

L’affaire est d’ampleur, et se justifie par un départ à la retraite des pilotes, voire leur licenciement pour des raisons économiques. Selon le narratif officiel, il y aurait pénurie de pilotes. Ainsi on aurait réduit l’effectif des pilotes, alors que les compagnies d’aviation recevaient des subsides dès 2020?

https://www.cnbc.com/2022/05/15/us-pilot-shortage-forces-airlines-to-cut-flights-scramble-for-solutions.html

Quel manager sensé se sépare de ceux qui portent l’activité principale génératrice des revenus de l’entreprise? L’acte devient franchement stupide lorsque la formation de ceux-ci est longue et coûteuse. Cette présentation des évènements repose sur une grande aberration à moins qu’il n’y ait volonté de liquidation du secteur d’activité concerné.

Cela vous rappelle-t-il d’autres secteurs vitaux sabotés par des mesures politiques et qui sont en crise aiguë à l’heure actuelle?

https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/entretien-fermetures-de-services-d-urgences-a-l-hopital-le-cri-d-alarme-de-patrick-pelloux-46920464-d69f-11ec-9b2d-786031940fdf
https://www.midilibre.fr/2021/11/26/grogne-des-sapeurs-pompiers-qui-se-disent-en-sous-effectif-9951645.php

Une pénurie attendue bien avant le Covid.

La National Aviation Academy commentait en 2018 un rapport émis par Boeing:

Boeing’s Pilot and Technician Outlook est une étude respectée de l’industrie compilée chaque année pour prévoir la croissance projetée dans l’industrie aéronautique. Depuis plus de 55 ans, Boeing étudie les données économiques, aériennes, de voyage et de flotte pour projeter la demande sur une période de 20 ans. Les études de Boeing continuent d’être la norme de l’industrie pour comprendre la croissance de l’aviation commerciale.

« À tous points de vue, le secteur de l’aviation commerciale est en plein essor. Plus de gens prennent l’air que jamais auparavant… », a déterminé Boeing. Les perspectives de cette année suggèrent que 754 000 nouveaux techniciens de maintenance seront nécessaires pour entretenir la flotte mondiale au cours des 20 prochaines années. (…)

(…)De plus, à mesure que la demande de personnel augmentera au cours des deux prochaines décennies, il sera impératif que l’industrie aéronautique trouve des solutions innovantes pour suivre le rythme des besoins de formation. (…)

https://www.naa.edu/boeing-pilot-technician-outlook-2018-2037/

Voici un autre commentaire fait du même rapport fait en juillet 2019. Toujours avant la crise Covid.

L’industrie aéronautique est confrontée depuis longtemps à une grave pénurie de professionnels qualifiés, mais ce n’est que depuis quelques années que le problème a atteint des niveaux inquiétants et sans précédent.

Qu’ils soient en grève en raison de bas salaires, découragés par des formations de plus en plus difficiles ou attirés par des marchés plus concurrentiels, les travailleurs des aéroports et des avions sont de moins en moins nombreux, ce qui entraîne souvent des perturbations des vols et un service limité à travers le monde.

Les chiffres du Pilot and Technician Outlook 2018-2037 de Boeing suggèrent que la situation pourrait même s’aggraver si elle n’est pas traitée de toute urgence. Selon les estimations de l’entreprise, l’industrie aura besoin de deux millions de nouveaux pilotes de lignes commerciales, de techniciens de maintenance et de membres d’équipage de cabine au cours des 20 prochaines années.

https://www.airport-technology.com/analysis/aviation-staff-shortages/

Et le site de Boeing de préciser:

Au cours des 20 prochaines années, la région Asie-Pacifique sera en tête de la croissance mondiale de la demande de pilotes, avec un besoin de 253 000 nouveaux pilotes. L’Amérique du Nord en nécessitera 117 000, l’Europe 106 000, le Moyen-Orient 63 000, l’Amérique latine 52 000, l’Afrique 24 000 et la CEI/Russie 22 000.

https://web.archive.org/web/20180704002734/http://www.boeing.com/commercial/market/pilot-technician-outlook/2017-pilot-outlook/

https://web.archive.org/web/20180704002734/http://www.boeing.com/commercial/market/pilot-technician-outlook/2017-pilot-outlook/
Plus de pilotes en 2022 qu’en 2019 selon l’association des pilotes américains, l’ALPA

L’argument de la baisse de l’effectif de pilotes est battu en brèche par divers sites. L’ALPA va jusqu’à dire qu’il y aurait plus de pilotes au sein des grands groupes qu’en 2019. On peut les croire, je suppose, non?

Contrairement à ce que les compagnies aériennes tentent de dépeindre, cinq des sept plus grands transporteurs aériens de passagers ont actuellement plus de pilotes qu’ils n’en avaient en 2019 avant la pandémie.

https://www.alpa.org/news-and-events/news-room/2022-05-06-airlines-mismanaging-taxpayer-bailout-funds

B- L’autre explication de la pénurie passée sous silence par les médias

Mais voilà qu’en creusant la problématique extraordinaire de la pénurie de pilotes, on découvre un autre problème de taille et particulièrement inquiétant. Dans les faits, le chaos aéroportuaire cache un volet bien plus problématique que celui des retards, annulation et autres bagages perdus, car il a de potentielles conséquences sur la sécurité même des vols. il s’agit de la santé du personnel et plus particulièrement de celle des pilotes, conséquence de la vaccination des pilotes contre le Covid.

Le personnel non-vacciné exclu

Comme pour les médecins hospitaliers, les pompiers et autres membres de la vie économique et sociale, les pilotes ont reçu une injonction pour se faire vacciner contre le covid, faute de quoi ils ont été licenciés. Le principe mondialisé est de mettre sous pression l’ensemble des agents économiques afin de les forcer à recevoir les injections expérimentales. Les récalcitrants ont été mis au ban de la société, grâce à des politiciens complaisants qui ont légalisé la chose.

https://www.tdg.ch/licencie-pour-refus-de-vaccin-legal-a-titre-exceptionnel-359176965969

En fait, il y aurait passablement de pilotes désireux de travailler, mais dont on ne veut pas. Leur tort? Ils ne sont pas vaccinés contre le Covid. La compagnie-fille de Lufthansa, Swiss, empêche ses employés non vaccinés de travailler.

À cause du manque de personnel, près de 100 vols de Swiss ont été annulés. Or, le personnel désireux de travailler ne manque pas. Le problème: ces employés ne sont pas vaccinés, et la compagnie aérienne ne démord pas sur l’obligation vaccinale de ses travailleurs.

https://www.blick.ch/fr/news/suisse/malgre-le-manque-de-personnel-swiss-empeche-ses-employes-non-vaccines-de-travailler-id17570813.html

Alors, sont-ils si nombreux que cela les non-vaccinés? Peut-être, mais cela n’explique pas tout.

La multiplication d’incidents en plein vol.

Les risques post-vaccination dus aux effets secondaires ont évolué en risques de sécurité des voyageurs. Voici la preuve du propos. Cela se passe au Parlement européen où une audition s’est tenue le 5 juillet 2022. Il y est question d’inquiétudes qui entachent l’aviation commerciale, la situation de celle-ci ayant radicalement changé depuis le début de la pandémie.

En plus des vols suspendus, des exigences multiples et variées plus ou moins contraignantes, voire absurdes, de l’obligation de porter un masque y compris pour des enfants de 2 ans, des évènements extrêmes de l’aviation sont apparus depuis le début des vaccinations contre le Covid.

Voir l’audition ici. Traduction en français.
https://www.europarl.europa.eu/streaming/fr.html?event=20220705-1930-SPECIAL-OTHER&rampActive=true&language=fr&fbclid=IwAR1yXmophcDxS8YMqq8hRXXRzrI3S2A1MqIsyILCUo4JXg6MO7N6pjtoJZk

Or, en plus du chaos aéroportuaire, des évènements -tus par les médias — mettent en danger la sécurité des vols.

Seuls les pilotes non vaccinés ne génèrent pas de risques en vol

Dans le numéro actuel 2022/02 de la revue allemande ZLW pour le droit de l’aviation et de l’espace du 2 juin 2022, l’article « Sur l’exigence de vaccination des pilotes dans la tension entre la sécurité des vols et les besoins opérationnels des compagnies aériennes » a été publié.

Lien vers ZLW — Journal de droit aérien et spatial :
https://shop.wolterskluwer-online.de/rechtsgebiete/verwaltungsrecht/verkehrsplanung-verkehrswesen/56054202-zlw-zeitschrift-fuer-luft-und-weltraumrecht-heft-2-2022.html

Et voilà ce que nous pouvons y lire:

« L’état de santé d’un pilote (…) Leur existence ne peut être considérée comme certaine que s’ils ne sont pas vaccinés. (…) Si les fabricants BioNTech et Moderna, en consultation avec l’Agence européenne des médicaments et le Paul-Ehrlich-Institut, estiment que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques, alors cette évaluation inclut l’affirmation qu’il existe encore des risques (inexplorés). Considérer un pilote vacciné comme apte à voler dans cette situation serait donc un niveau inacceptable de sécurité des vols (…) En tout état de cause, cela doit s’appliquer tant que la complète neutralité des vaccins en termes de navigabilité n’a pas été positivement prouvée. » 

https://www.aerzteklaerenauf.de/luftfahrt/

L’association internationale « Global Aviation Advocacy Coalition » a réalisé une vidéo très instructive sur le sujet. La vidéo, intitulée « Fit to Fly ? », peut être visionnée sur le site Web suivant de la GAA Coalition :
https://gaacoalition.substack.com/p/global-aviation-fit-to-fly

Quelques incidents qui ont eu lieu en plein vol
http://www.aerzteklaerenauf.de/luftfahrt/

15/06/2022

Le 8 juin 2022, un Jazz Embraer ERJ-175, immatriculé C-FRQW, effectuait le vol QK-8944 de Montréal, QC (Canada) à Newark, NJ (USA). Il y avait 44 personnes à bord. Lors de la montée au départ de Montréal, à plus de 16 000 pieds d’altitude, un des pilotes a été victime d’hypoxie. Par mesure de précaution, les pilotes enfilent leurs masques à oxygène, descendent l’avion à 9 000 pieds et rentrent à Montréal. L’avion a ensuite atterri en toute sécurité sur la piste 24L environ 15 minutes plus tard.
Le BST canadien a signalé que l’équipage n’avait pas lancé d’appel de détresse ni demandé la priorité. Lors de l’inspection ultérieure de la machine, les mécaniciens ont pu ne pas découvrir d’erreur ou de défaut technique pouvant expliquer l’incident.
Sur le graphique du trekking, on peut aussi voir (marque rouge) que l’engin a dû remonter d’une altitude très basse avant d’atterrir et a dû refaire une approche d’atterrissage.

06/12/2022

Un Airbus A320-200 d’Easyjet immatriculé G-EZTK effectuait le vol U2-6938 d’Héraklion (Grèce) à Édimbourg, SC (Grande-Bretagne) la nuit dernière (11/12 juin 2022). Peu avant l’approche d’Édimbourg, le commandant de bord quitte le cockpit pour aller aux toilettes. Cependant, il n’est pas revenu dans le cockpit. Lors de la descente au FL160, le copilote a déclaré l’urgence et a fait atterrir l’avion en toute sécurité sur la piste 24.
La compagnie aérienne a déclaré que le copilote avait demandé un atterrissage immédiat en raison de la mauvaise santé du commandant de bord lors de l’approche d’Édimbourg. Les ambulanciers ont pris en charge le capitaine malade après l’atterrissage.

04/11/2022

Situation du trafic aérien 14
Un Airbus A320-200N d’Easyjet, immatriculé G-UZHA, effectuait hier le vol U2-2213 de Londres Luton, DE (Royaume-Uni) à destination d’Agadir (Maroc) au FL370 à environ 60 nm au nord de Faro (Portugal), lorsqu’un des pilotes déclare l’état d’urgence et signale que son collègue est tombé subitement malade et qu’il est dans l’incapacité d’agir. L’avion a atterri en toute sécurité sur la piste 10 de Faro environ 18 minutes après le départ du FL370.
Les autorités de Faro ont signalé que l’avion avait été détourné en raison de la maladie soudaine de l’un des pilotes. Après l’atterrissage, le pilote a été soigné et transporté à l’hôpital.
L’avion est toujours au sol à Faro environ 26 heures après l’atterrissage.
Les passagers ont été emmenés dans des hôtels. Le vol retour U2-2214 a été annulé.
(Addendum : Le 14 avril 2022, on a appris que le pilote avait abandonné en raison d’une luxation de l’épaule et de la douleur associée. Mais il est très étrange qu’un pilote attaché dans son siège de pilote se soit disloqué l’épaule.)

19/02/2022

Situation du trafic aérien 13
Hier, un Boeing 737-800 immatriculé PH-HXN de la compagnie aérienne Transavia effectuait le vol HV-5662 de Las Palmas (Espagne) à Amsterdam (Pays-Bas). Alors que l’engin se trouvait sur la route à environ 140 milles marins au sud-ouest de Faro (Portugal), le copilote est soudainement tombé malade. L’engin atterrit donc inopinément environ 25 minutes plus tard sur la piste 28 de Faro. Le pilote est immédiatement remis en charge médicale.

28/01/2022

Situation du trafic aérien 12
Le 17 janvier 2022, un Airbus A330-900 Corsair, immatriculé F-HHUG, effectuait le vol SS-925 de Fort-de-France (Martinique) à destination de Paris Orly (France). L’engin se trouvait au FL370 au-dessus de l’Atlantique, à environ 150 nm à l’ouest-sud-ouest de Lajes aux Açores (Portugal) lorsque le commandant de bord tomba subitement malade. Le premier officier a pris le contrôle de l’avion, a appelé mayday et a détourné le vol vers Lajes, où il a atterri en toute sécurité sur la piste 15 environ 30 minutes plus tard.
L’avion s’est immobilisé pendant environ 13 heures, puis a repris le vol et a atteint Paris avec un retard d’environ 13,5 heures.
Le BEA a qualifié l’incident d’incident grave et a ouvert une enquête.

26/01/2022

Situation du trafic aérien 11
Le 23 janvier 2022, un Boeing 787-9 Dreamliner d’All Nippon Airways immatriculé JA888A effectuait le vol NH-801 de Tokyo à Singapour. Il y avait 30 passagers et 11 membres d’équipage à bord lorsque le capitaine a soudainement développé des problèmes de santé au-dessus de l’océan Pacifique, à environ 480 milles marins au sud de Tokyo. L’avion a ensuite fait marche arrière et a atterri à Tokyo environ 2,5 heures après le décollage. Le commandant de bord a été immédiatement pris en charge médicalement et le vol a été annulé.

01/01/2022

Situation du trafic aérien 10
Hier, l’autorité canadienne de contrôle du trafic aérien TSB a publié un autre incident. Lundi dernier (27.12.2021), un Boeing 737-800 de WestJet immatriculé C-FUSM effectuait le vol WS-656 de Calgary à Toronto (Canada) à environ 70 nm au nord-est de la ville de Winnipeg lorsque l’un des pilotes est soudainement tombé malade et son ne pouvait pas continuer le service. Un commandant de bord de la compagnie aérienne voyageant en tant que passager a pris la relève du copilote malade. Les pilotes ont immédiatement fait demi-tour et ont atterri à Winnipeg environ 40 minutes plus tard, où des secouristes ont attendu le pilote malade et l’ont transporté à l’hôpital.

09.12.2021

Lundi dernier (12/06/2021), un Boeing 737-8 MAX de Westjet, immatriculé C-GXAX, sur le vol WS-1590 de Calgary (Canada) à Atlanta (États-Unis) se trouvait à environ 150 nm au sud-est de Calgary, alors qu’un du pilote a perdu connaissance. Alors que les agents de bord et un médecin et une infirmière de bord s’occupaient du pilote malade, l’autre pilote a atterri en toute sécurité à Calgary environ 35 minutes plus tard. Ici, le pilote malade a été immédiatement pris en charge par une équipe médicale.

06.12.2021

Un Airbus A321-200 d’Asiana Airlines, immatriculé HL8071, effectuait le vol OZ-717 de Séoul (Corée du Sud) à Kaohsiung (Taiwan) le 29 novembre 2021 lorsque le premier officier a soudainement perdu connaissance environ 30 minutes avant l’atterrissage. Le commandant de bord, qui dirigeait l’engin avec 145 passagers et 9 membres d’équipage, a tenté en vain de réveiller son collègue en lui parlant et en le touchant. Le pilote inconscient a ensuite été sorti du cockpit, une recherche de professionnels de la santé a été effectuée dans la cabine et le commandant de bord a envoyé un message d’urgence à l’aéroport de destination, où des médecins attendaient le patient après l’atterrissage.
Le copilote a repris connaissance avant d’atterrir.

01.12.2021

Situation du trafic aérien 7
Le 29 novembre 2021, un Airbus A330-300 de Brussels Airlines a décollé de Brussels Airport avec 285 personnes à bord. L’engin immatriculé OO-SFF se trouvait sur le vol SN-277 de Bruxelles à Accra (Ghana) lorsque l’équipage a interrompu la montée au FL 250 après le décollage car le commandant de bord est soudainement tombé malade. Le premier officier a pris les commandes et a fait atterrir l’avion en toute sécurité à Brussels Airport après un temps de vol de près de 50 minutes.
Deux heures plus tard, l’avion a décollé avec un commandant de bord remplaçant et a atterri à Accra avec 3 heures de retard. La compagnie aérienne a déclaré que la maladie du capitaine n’était pas liée au COVID-19.

Des pilotes malades

Les conséquences dévastatrices des effets secondaires des injections expérimentales anti-Covid font l’objet de diverses vidéos et articles. En voici un qui vous permettrait de creuser le sujet en cas d’intérêt.

https://childrenshealthdefense-org.translate.goog/defender/pilots-injured-covid-vaccines-speak/?_x_tr_sl=de&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp

Des pilotes décèdent

Et la chose dépasse les « simples » effets secondaires handicapants. On constatait fin 2021 une explosion du nombre de pilotes décédés. Et ce sont les fact checkers de Reuters qui rapportent lest chiffres. Et s’ils critiquent le manque de contexte, ils confirment la progression du nombre de décès. La page « in memoriam » d’Air Line Pilot Magazine, une publication mensuelle de l’Air Line Pilot Association (ALPA), répertorie les noms des pilotes décédés, ainsi que le mois et l’année du décès.

Dans l’édition d’octobre à novembre, les utilisateurs des médias sociaux ont noté que la page avait répertorié 111 noms de pilotes décédés durant les 9 premiers mois de 2021, contre six pour toute l’année 2020 et un seul en 2019.

https://www.reuters.com/article/factcheck-coronavirus-pilots-idUSL1N2T21YR?fbclid=IwAR2-g-NzukTvYZQ9G6vhIhO7dP6YUmt6B2ahxzLHLCzycoWMjq0RhT7CU3E

Je finirai ce papier en rendant hommage à cette jeune femme apprentie-pilote qui serait décédée suite à une piqûre de moustique. Ça vaut l’incident précédemment rapporté du commandant qui se luxe l’épaule alors qu’il est sagement assis sur son siège… Comme quoi l’imagination des médias narrateurs n’a plus de limites…

https://www.blick.ch/fr/news/monde/infection-au-cerveau-une-jeune-pilote-meurt-apres-une-piq-re-de-moustique-id17642022.html?fbclid=IwAR0Ff6JNqPz87NuNOkh4n46NeYY1a_YRB_R2xpCY_pM1vXraAWvEyKPPXFQ



Toronto – Des cercueils pour enfants commandés en gros, « la première fois depuis plus de 30 ans »

[Source : anguillesousroche.com]

Un fabricant de cercueils de la région de Toronto a enregistré une hausse spectaculaire des commandes de cercueils de petite taille depuis le lancement des vaccins COVID-19. Des enfants meurent.

En fin de compte, tout dans la vie se résume à la mort.

Nous sommes élevés dans la croyance qu’il y a un temps pour vivre et un temps pour mourir. Le temps de la mort vient avec la maladie, les accidents et la vieillesse. Sauf que ce n’est plus le cas.

Dans une interview exclusive avec RAIR Foundation USA, Mick Haddock, fabricant de cercueils dans le nord de Toronto, affirme que les choses ont nettement changé dans l’industrie au cours des neuf derniers mois. « Les gens décèdent de plus en plus », dit-il. 

« C’est perceptible dans notre industrie. Pour la première fois depuis plus de 30 ans, nous recevons des commandes en gros pour des cercueils de plus petite taille. »


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En général, l’industrie des cercueils reste assez stable, et une commande de cercueils inhabituellement importante indique généralement un événement traumatisant, mais les ventes récentes indiquent que cela a changé. 

« Non seulement toutes les ventes sont en hausse, mais dans le passé, pour cinq cercueils de taille normale que nous vendions, nous vendions une taille jeune. Maintenant, pour cinq, c’est deux tailles jeunes. »

Selon M. Haddock, lui et ses collègues de l’industrie pensaient qu’ils verraient une hausse en 2020, lorsqu’on nous disait que le covid était mortel et qu’il tuait des gens sans discernement, par milliers. Mais cela ne s’est pas produit. 

« Ce n’est pas avant la fin de 2020 et le début de 2021 que nous avons vu les ventes augmenter. Nous n’avons pas vu d’augmentation des ventes avant que les vaccins ne soient introduits, et que les gens recommencent à voyager », dit Haddock. « Et je ne veux pas blâmer les voyages qui ont tué tout le monde parce que, en vérité, la plupart de ces endroits dans le monde sont encore légers sur ce que les voyageurs peuvent faire. Même les décès accidentels sont encore limités. »

En fait, en 2020, Haddock a constaté une baisse de 60 % des ventes. 

« Ce n’est qu’une fois que les vaccins ont été poussés vers des groupes démographiques de plus en plus jeunes que nous avons commencé à voir la hausse », dit-il. « Au début, il ne s’agissait que des personnes âgées et des personnes très fragiles. Deux mois après l’approbation du vaccin pour les 11-15 ans, nous avons constaté une augmentation de la demande pour les petites unités. »

Les ventes globales ont augmenté de 30 et 40 % par rapport à 2019. « C’est stupéfiant de voir à quel point il y en a plus », dit Haddock. « Cela a commencé à grimper à la mi-2021 ; en 2022, la croissance était mesurable. »

L’expérience d’Haddock reflète celle du directeur funéraire britannique John O’Looney de Milton Keynes Family Funeral Services, qui est devenu public en septembre 2021 pour expliquer un schéma similaire de décès. M. O’Looney a fait remarquer qu’il n’y a pas eu de recrudescence des décès pendant la vague initiale de covid, mais plutôt une diminution du nombre de décès. Mais après l’introduction du vaccin en janvier 2021, O’Looney a déclaré que les appels sont montés en flèche, augmentant de 300 pour cent. « Je n’ai jamais vu un tel taux de mortalité en 15 ans », a-t-il déclaré. « Au départ, [les décès étaient] tous exclusivement des foyers de soins », a déclaré O’Looney. Mais après le déploiement de l’injection d’ARNm, les décès ne provenaient plus exclusivement des maisons de soins, et l’âge des morts variait considérablement.

M. O’Looney a décrit une femme d’une cinquantaine d’années, en forme, adepte de la course à pied et sans problème de santé, qui a reçu une injection de rappel et est décédée d’une insuffisance hépatique la semaine suivante. M. Haddock confirme que cette augmentation mesurable s’est produite au Canada au cours des six ou sept derniers mois : « Au départ, le rythme n’était pas aussi élevé qu’aujourd’hui, mais c’est lorsque nous avons commencé à recevoir des rappels que nous avons commencé à recevoir plusieurs appels par semaine des mêmes distributeurs (de cercueils). Toutes les ventes de cercueils ont augmenté de façon spectaculaire », dit-il. C’est juste que les ventes de cercueils pour jeunes ont augmenté plus que toute autre catégorie.

Bien que M. Haddock et ses collègues aient constaté la plus forte augmentation des ventes dans la catégorie des produits de taille moyenne :

« Tout le monde est à risque avec ces vaccins », dit-il. « Il est difficile de le nier. À quoi peut-on le reprocher ? Qu’est-ce qui a changé ? Pourquoi le taux de mortalité dépasse-t-il celui d’avant la vaccination ? »

Les enfants âgés de six à douze ans sont des êtres humains robustes. « Maintenant, ce sont les tailles que nous vendons », dit Haddock. « Les enfants ne meurent pas comme ça. Cela ne se produit pas. Jamais dans l’histoire. »

Source : RAIR Foundation – Traduit par Anguille sous roche




Lettre ouverte pour Sénateurs non fermés et non corrompus

Par Nicole et Gérard Delépine

Le 15 07 2022

Lettre ouverte à Mesdames les Sénatrices et Messieurs les Sénateurs

Objet

Loi Santé

Mesdames les Sénatrices,
Messieurs les Sénateurs,

Médecins cancérologues depuis plus de quarante ans, nous venons une nouvelle fois solliciter votre attention, quant au nouveau vote prévu sur la loi anticovid, et en particulier le pass sanitaire et la gravité d’une incitation directe ou indirecte à la vaccination des plus jeunes.

Nous avons été heureux que des députés de différentes mouvances s’unissent pour traduire les remontées du terrain, le vécu de leurs administrés terriblement marqués par l’échec évident du pseudo vaccin et des passes dont ils refusent la prolongation. De nombreux citoyens avaient cédé aux espoirs d’une solution efficace et durable, pour demeurer hors du groupe des complotistes tant vilipendés et continuer à gagner leur vie (beaucoup malgré eux…).

Ils sont déçus par l’inefficacité des vaccins, prouvée par la demande répétée de rappels.

Avant ces injections ARNm, aucun vaccin n’avait nécessité une telle fréquence d’injections. Les vaccinés sont de plus en plus nombreux à s’inquiéter des conséquences néfastes constatées par eux-mêmes et chez leurs proches : grande asthénie, cardiopathies, troubles neurologiques, cutanés, rhumatologiques, reviviscence de maladies chroniques et apparition de cancers rapidement évolutifs et intraitables entre autres. Beaucoup de sites en témoignent et nos anciens patients cancéreux inquiets nous demandent directement par téléphone ou mails de transmettre leurs angoisses à qui de droit, donc à vous tous, nos représentants.

En ce qui concerne les enfants, rappelons qu’ils ne risquent rien du covid et innocents de toute transmission en dépit des assertions inexactes que nous regrettons de Mme La présidente de l’Assemblée nationale et du nouveau ministre de la Santé. Cette bénignité du covid infantile, affirmée depuis 2020 par toutes les revues internationales est confirmée par toutes les sociétés de pédiatrie du monde. Alors, pourquoi leur faire courir un risque par une injection ARNm qui mettrait en péril leur avenir médical et leur fertilité pour un risque zéro du covid et sans apporter aucune protection des autres humains puisque l’injection n’empêche pas les transmissions ?

En résumé, le covid infantile est une sorte de grippe curable par les traitements précoces (qui ont protégé les pays pauvres non vaccinés), mais qui ont été interdits ici par le pouvoir sans aucun élément scientifique réel à l’appui.

Les tests PCR répétés qui grèvent le budget de la sécurité sociale ne servent à rien, car non spécifiques comme la FDA l’a récemment avoué, et ne permettent en aucun cas de dire si un cas positif est réellement porteur du virus et contagieux ou non.

Les masques ont démontré leur inefficacité dans le seul essai randomisé publié et par l’analyse de la cinétique de l’épidémie, mais augmentent le risque d’infection bactérienne, donc à proscrire.

Les vaccins eux-mêmes ne protègent pas du covid, ni de la transmission, ni des formes graves.

Ils fragilisent les sujets qui les reçoivent par une baisse de leur immunité naturelle particulièrement marquée après les rappels, rendant les vaccinés beaucoup plus à risque d’infections opportunistes y compris un nouveau covid (comme les patients le constatent trop souvent) responsable d’un important absentéisme au travail qui handicape les entreprises.

Ils sont la source de très nombreux effets dits indésirables à tous les âges de la vie, de la multiplication des fausses couches, des problèmes menstruels (médiatisés par « où est mon cycle »), des myocardites et péricardites particulièrement chez les plus jeunes, sources d’arrêt cardiaque à l’effort chez trop de grands sportifs. Les régressions intellectuelles sont plus décrites chez les sujets âgés qui perdent leurs repères. Les sites officiels EudraVigilance pour l’EMA, VAERS pour la FDA et les CDC américains, MHRA pour les Anglo-saxons permettent à chacun de vérifier que le nombre de morts rapportées après vaccination atteint plusieurs milliers. Rappelons que tout essai conduisant à quelques dizaines de décès était stoppé avant cette triste violation des règles sécuritaires de base : le vaccin contre la grippe aviaire a été stoppé après 53 décès. Le conseil mondial de la santé qui regroupe médecins et scientifiques de différents pays supplie les dirigeants de stopper ces injections encore expérimentales inutiles et toxiques. L’entendrez-vous ?

Dans ces conditions, le pass sanitaire n’a évidemment aucune justification médicale.

Chaque point de ce court résumé est étayé par une lourde bibliographie que nous tenons à votre disposition1. Ce cri d’alerte n’est là que pour relayer auprès de vous les faits établis et le vécu de nos concitoyens. Notre plus grande inquiétude à tous est la protection des enfants et des sujets jeunes à risque zéro du covid, mais que les injections exposent à des complications précoces parfois graves et des risques tardifs inconnus.

Nous vous remercions de votre attention et restons à votre disposition. Avec nos sentiments reconnaissants et dévoués.

Drs Nicole Delépine pédiatre et cancérologue et Gérard Delépine chirurgien cancérologue




Appel aux Sénateurs

Par Karen Brandin

Mesdames, Messieurs les Sénateurs,

Le jeudi 14 juillet 2022, les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui sont le terreau de la démocratie ont de nouveau été bafouées, vidées de leur substance suite aux déclarations d’un président au ton invariablement autoritaire, chef d’État au regard d’acier et au sourire carnassier qui n’a que légèrement voilé l’avertissement qu’il entendait bien donner aux parlementaires, vous rappelant à votre esprit de responsabilité et laissant par là même deviner qu’il s’agissait de vous encourager fortement, non pas tant à statuer ou voter en conscience, mais bien plutôt en cohérence avec les exigences d’un gouvernement désormais affaibli.

L’an passé, le Sénat a eu l’occasion de nous prouver son indépendance et sa vigilance. Il y a de cela quelques jours, ce fut au tour de l’Assemblée Nationale, depuis trop longtemps réduite à une simple chambre d’enregistrement, de nous offrir enfin un débat éclairé ponctué d’interventions documentées qui se sont soldées par un rejet légitime de l’article 2 de cette nouvelle proposition de loi dite « sanitaire. » 

Ce retour tant attendu de la vie parlementaire a été balayé d’un revers de main par E. Macron qui a souhaité n’y voir qu’un « coup de chaud » nocturne, une contre-réaction bien légitime sans doute aux sueurs froides qui l’attendent décidément. 

Nous, simples citoyens, électeurs en puissance devons pouvoir compter sur vous Mesdames, Messieurs les sénateurs pour porter haut dans les jours à venir, pas tant nos convictions que la simple réalité.

À cet effet, deux points sur lesquels aucune négociation, aucun compromis ne sauraient être envisagés nous tiennent particulièrement à cœur. Nous serons, lors de la séance publique programmée, très attentifs à leur défense systématique.

Le cas des mineurs tout d’abord qui doivent désormais, et ce en toutes circonstances (variant centaure compris), être dispensés de toutes mesures liberticides. Ces jeunes, innocents du covid doivent être assurés de la liberté de paraître (avec l’arrêt définitif du port du masque) et de celle de circuler avec la garantie de la fin pour cette population en construction d’un pass, qu’il soit présenté comme « sanitaire » ou « frontière ». Bref, la fin du… pass partout.

On rappelle que les enfants, en plus de contribuer de manière anecdotique à la propagation du virus, ne font pas — sauf très rares exceptions du fait d’un terrain défavorable (lourdes comorbidités) — de formes graves, immunités croisées obligent, et constituent au contraire un rempart précieux en participant activement à l’immunité collective.

L’idée éthiquement inacceptable et scientifiquement aberrante d’une vaccination altruiste à partir d’une injection génique non immunisante dont le processus accéléré de mise sur le marché n’offre aucune garantie de sécurité doit être abandonnée au plus vite.

On déplore d’ores et déjà de très nombreux, et parfois de très graves, effets secondaires qui vont jusqu’à engager lourdement et durablement la qualité de vie de ces jeunes gens. En dehors de toute déontologie puisque la balance bénéfice/risque est largement en défaveur de la vaccination, on est venu corrompre une immunité naturelle et ce faisant, un parfait état initial de santé.

Cette hypothèque mise sur l’état de santé de vos enfants est inacceptable. Elle doit cesser.

Est-il utile de rappeler qu’en l’état, alors que la pratique d’un tatouage est interdite sur un mineur sans le consentement écrit d’une personne chargée de l’autorité parentale (parent ou tuteur), il est en revanche possible pour un adolescent à partir de 16 ans, d’accéder sans l’accord de ses parents, donc sans que l’on puisse s’assurer d’un quelconque consentement libre et éclairé, à un acte médical majeur tel qu’une vaccination.

De nombreux médecins de renom et d’expérience, dont la pédiatre/oncologue Nicole Delépine, nous alertent sur l’émergence de cancers fulgurants, agressifs et atypiques à de nombreux égards tant ils frappent une population jusqu’alors épargnée (éventuellement jeune) et réagissent mal aux thérapeutiques classiques.

Refusons la poursuite des injections anticovid qui favorisent l’augmentation des cancers | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Il est urgent d’invoquer le principe de précaution en stoppant cette vaccination de masse digne d’une médecine vétérinaire et d’exiger une étude objective, rigoureuse et indépendante des effets iatrogènes consécutifs à ces injections répétées.

Deuxième point sur lequel il est impératif d’avancer en obtenant des assurances datées : la réintégration des soignants (notamment, mais cela vaut pour l’ensemble des personnels injustement mis à pied).

Ces soignants « suspendus », car le mot n’a jamais été plus lucide en même temps que plus terrifiant.

La vie de ces femmes, de ces hommes de conviction a en effet été « suspendue » à un fil, à une décision butée, idéologique. L’argumentaire avéré et désormais trans-partisan selon lequel la vaccination ne protège ni de l’infection ni de la transmission a été largement diffusé. Il est donc désormais impossible de trouver une justification scientifique, objective à cette situation inhumaine qui dure depuis plus de 10 mois.

Nous avons accepté par lâchetés successives de plonger nos semblables, des familles entières dans une précarité sociale comme morale ; cette honte, nous la portons donc collectivement. Il est urgent de rendre à ce personnel sa vie simplement. Ce n’est pas à nous de « passer l’éponge » comme on l’entend ces derniers jours, mais bien à eux d’essayer de nous excuser d’avoir tenté de porter atteinte à leur intégrité et de les avoir soumis à un chantage indigne d’une société éclairée. Nous ne leur serons jamais assez reconnaissants d’avoir su bien souvent conserver intacte leur vocation, leur goût de l’Autre et celui du soin. De manière plus prosaïque, il y a parmi ces personnes empêchées de travailler, des personnels de haute technicité engagés dans des domaines pointus (chirurgie, anesthésie) qui, en plus d’être indispensables puisque coutumiers des gestes qui sauvent, doivent avoir la possibilité de pratiquer pour assurer leur art et affirmer leurs techniques de prise en charge. 

Souvenons-nous ; c’était hier seulement :

« France, c’est le F révolté de la Fraternité ; c’est le R, espérance de toutes les Résistances. C’est le A pour sceller les plus fortes Amitiés ; c’est le N, infini, d’une Nation unie. C’est le C qui présage de la force du Courage, c’est le E engagé de notre Égalité. »

Nous avons tous été émus d’entendre résonner la voix pour clore le défilé du 14 Juillet de Candice Parise dans son interprétation de la chanson originale F.R.A.N.C.E. Il ne tient qu’à vous que ces mots deviennent des actes.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes sentiments les plus respectueux.

K. Brandin
Enseignante/Docteure en Théorie algébrique des nombres

Quelques outils (non exhaustifs) pour aider à bâtir un argumentaire de qualité :

L’injection expérimentale doit être stoppée dans le monde entier selon le conseil mondial de la santé — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 2022 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation




Lettre ouverte à Julien Dray le « baron noir », éditorialiste à Cnews, ex-éléphant socialiste, sur les dangers et l’inefficacité des injections antiCovid

Par Nicole et Gérard Delépine

Julien Dray(([1] Toujours dans le combat il vient de créer un nouveau mouvement « réinventez » :
Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr)
INFLUENCEUR
L’ancien député socialiste souhaite « réécrire un projet de société » dont les idées pourront être utilisées par les autres partis.)) à Paris en 2016.
— JULIEN DE FONTENAY/JDD

Cher Julien Dray(([2] Selon WIKIPEDIA Julien Dray — Wikipédia (wikipedia.org) Julien Dray, né le 5 mars 1955 à Oran (Algérie française), est un homme politique français. D’abord militant trotskiste, à la Ligue communiste révolutionnaire, il rejoint en 1981 le Parti socialiste. Il est l’un des fondateurs de SOS Racisme. Député de la dixième circonscription de l’Essonne de 1988 à 2012, il a été conseiller régional d’Île-de-France de 1998 à 2021.)), homme politique, éditorialiste omniprésent sur Cnews, es-tu conscient de l’inefficacité et des risques du vaccin et du pass ? Le 14 juillet 2022, tu morigénais les quelques députés socialistes qui ont refusé prolonger la tyrannie sanitaire et les pass, car « tout de même le vaccin a été efficace contre les formes graves ».

Or tu aurais dû te féliciter qu’enfin des députés élus par le peuple aient le courage de les représenter et de faire jaillir dans l’hémicycle la réalité du terrain : l’inutilité du vax et des mesures liberticides qu’il a justifiées et surtout ses innombrables toxicités que les politiques de terrain constatent de plus en plus. Bravo à leur union bigarrée comme les Français ! Et que celle-ci résiste aux pressions sans nom qu’ils subissent sûrement (([3] Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) depuis quelques jours !(([4] Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du pass vaccinal ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Aide-les au lieu de les accabler !

L’importance des médias pour façonner l’opinion et singulièrement les personnes âgées privées des informations d’internet et scotchées à BFM ou CNews (qui comme par hasard auraient fait réélire E. Macron)nous conduit à revenir sur tes propos réitérés pour favoriser le pass et les vax, et à tenter d’attirer ton attention sur les faits réels : les dangers des passes couplés à l’inefficacité et à la toxicité du vaccin antiCovid.(([5] La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Si tu veux reconstruire une nouvelle génération, il ne faut pas l’emmener dans le mur via la perte d’esprit critique et des libertés et plus encore de la santé, vu les conséquences dramatiques des injections.

« J’ai assez fait pour les autres en croyant à chaque fois que j’allais les influencer. Je n’y crois plus et personne ne me donne plus envie de l’influencer », explique l’ex-député socialiste qui a inspiré la série Baron noir. « J’ai décidé de ne plus perdre mon temps dans les batailles internes du Parti socialiste, dans les refondations, dans les combinaisons », précise-t-il.

« J’ai passé l’âge de jouer aux Lego »(([6] Gauche : Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr) ))

Alors cher Julien, si tu ne joues plus aux Lego, résiste aux manipulations du pouvoir et des affidés de Big Pharma. Aide la population à sortir ceux qui le peuvent encore des mesures liberticides inutiles et des effets toxiques des injections qui ne protègent de rien et même pas des formes graves ni de la mort.

NON LE VAX NE PROTÈGE PAS DES FORMES GRAVES

Mantra des éditorialistes depuis plusieurs mois sur toutes les chaînes progouvernementales et même les autres qui font semblant d’être indépendantes (…), la fausse idée de la prévention des formes graves par l’injection génique a pourtant été démentie régulièrement par les FAITS AVÉRÉS. Mais il est vrai que les OPINIONS PERSONNELLES ont depuis bien longtemps remplacé la réalité qui déplairait au pouvoir.

Non, les vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort et fragilisent les triple injectés

Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections. Un bilan. — Strategika

« Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné.

Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m était devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire. »

Alors que Le tiers monde est protégé — par sa pauvreté et sa résistance du dogme vaccinal immunisé par ses expériences passées. Ils ont déjà beaucoup donné !

Que penses-tu, Julien Dray des appels répétés du conseil mondial de la santé ?(([7] Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé))

Une injection génique qui ne protège de rien et entraîne beaucoup de désastres : un nouveau témoignage, au hasard des milliers qui s’accumulent sur internet de tous pays :

Un guitariste a perdu huit de ses doigts(([8] https://childrenshealthdefense.org/defender/guitarist-jeff-diamond-jj-vaccine-rfk-jr-podcast/)) Il veut le faire savoir pour que cela cesse, enfin !

Un guitariste qui a perdu 8 doigts après le vaccin de J & J dit à RFK, Jr. : Les gens doivent être tenus responsables. Sur un épisode récent de « RFK Jr. The Defender Podcast », a décrit le guitariste Jeff Diamond qui a été amputé de huit doigts et qui a perdu sa voix chantante après avoir développé des caillots sanguins environ une semaine après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson contre la Covid-19.

Julien Dray, tu rappelais que le parti socialiste aurait décidé que « la seule solution au Covid était le vaccin ». Mais sur quelle planète vit-il et à qui se fit-il quand tant de grands professeurs dont D Raoult, C Perronne qui n’étaient pas des antivax ont donné tant d’informations sur les faits réels comme aussi les Prs Laurent Toubiana, Laurent Muchielli et tant d’autres ? Ton cher PS que tu as pourtant quitté regarde-t-il parfois les données de l’OMS ? INFORME-LES au lieu de leur faire confiance !

Nous rappelons ci-après les faits établis et publiés sur ce qui s’est vraiment passé dans le monde réel et sommes à ton entière disposition pour en discuter, camarade de longues décennies au cours desquels nos chemins ont dû se rencontrer, ne serait-ce qu’à l’UNEF(([9] Nos coordonnées sur notre site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer.
https://t.me/DrDelepine sur Telegram.)). Nous parions sur ton honnêteté.

Les chiffres de l’OMS montrent que les pass n’ont nulle part permis de ralentir l’épidémie

Que ce soit en France :

Ou en Roumanie :

Ou en Israël :

Ou dans l’ensemble des pays d’Europe dont la plupart (25/27) constatant cette inefficacité ont supprimé les pass nationaux :

Il n’y a guère que Malte et la France qui font encore semblant d’y croire et demandent encore le certificat numérique européen. Et bien sûr E. Macron pour « emmerder les Français », Braun, Olivier Veran et malheureusement toi-même, Julien Dray.

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de ralentir l’épidémie

Cela a d’abord été constaté en Israël champion des injections Pfizer :

Puis en Grande-Bretagne, championne des injections AstraZeneca :

Mais aussi en France :

Et dans le reste du monde :

Car ce sont les pays les plus vaccinés qui souffrent des recrudescences les plus vives de l’épidémie et des chiffres les plus élevés de contaminations cumulés :

Comment Julien, peux-tu encore publiquement prétendre que les pseudo vaccins seraient la solution au Covid ? Informe-toi aux sources indiscutables et ne répète pas la propagande du gouvernement dont les objectifs, contrairement à toi ne sont pas l’Homme, mais bien les bénéfices de Big Pharma et les ukases de Davos et Cie ?

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de diminuer la mortalité

Ce sont les pays les plus vaccinés qui totalisent les plus fortes mortalités par million :

Les chiffres montrent aussi que l’interdiction des traitements précoces a été catastrophique

En 2020 d’après l’OCDE (https://data.oecd.org/fr/pop/population-agee.htm), les pourcentages de population à risque (plus de 65 ans) du Japon, de l’Italie, du Portugal et de la France s’élevaient respectivement à 29 %, 23 % 22 % et 20 % et celle des Algériens de plus de 60 ans à 26 %

(https://www.algerie-eco.com/2020/03/12/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/). L’âge ne représente donc pas un facteur de pronostic plus favorable du Japon ou de l’Algérie.

L’Italie, le Portugal et la France ont interdit les traitements précoces et imposé les vaccins ; le Japon a autorisé les traitements précoces et l’Algérie a utilisé le protocole Raoult. L’interdiction des traitements précoces a abouti à une mortalité 10 à 15 fois plus élevée soit en France à un excès de mortalité d’environ 120 000.

L’interdiction des traitements précoces pour imposer les pseudo vaccins et les prescriptions de Rivotril nous ont coûté 120 000 morts de trop !

Julien Dray, tu es un homme intelligent et cultivé, expérimenté. Alors pourquoi nies-tu les faits avérés que chacun peut vérifier par internet sur le site de l’OMS à https://Covid19.who.int/ ou celui de l’université John Hopkins https://OurWorldinData. Org/coronavirus ?

Quelles qu’en soient les raisons, tes « certitudes » et déclarations actuelles sont dignes d’un inquisiteur du moyen âge défendant la religion des pseudo vaccins et ressemblent trop à celles des services de communication de Pfizer. Comme tu n’es pas médecin, je n’ose pas croire que tu puisses avoir des liens avec l’industrie pharmaceutique contrairement à notre nouveau ministre de la Santé, F. Braun.(([10] François Braun, un parfait Playmobil sous contrôle au ministère de la Santé, par Éric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))(([11] Pour résoudre le problème des urgences, François Braun veut les supprimer la nuit ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

S’il te plaît, Julien Dray, réveille-toi, ouvre les yeux et considère les faits, rien que les faits. Rester négationniste, c’est faire injure à ton intelligence et à tes combats passés et tenaces, même si parfois erronés, mais toujours pour ce que tu pensais être le mieux pour l’avenir de l’Humanité.





Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

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Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Vaccinées, elles témoignent des effets secondaires du vaccin Covid-19

[Source : The Link Fwi]

Rappel : Les personnes qui témoignent dans cette vidéo ne sont pas des antivaccins ou des complotistes. Elles se sont vaccinées, car elles souhaitaient se protéger contre le virus du Covid-19. The Link Fwi est un média qui donne la parole à ceux et celles qui veulent parler.

Lili, Séverine et Coralie sont trois femmes que tout opposait. Retraitée pour l’une, infirmières pour les deux autres, jusqu’à très récemment, elles ne se connaissaient pas. Pourtant, un point commun les unit : la vaccination contre la covid-19, mais plus particulièrement les effets secondaires qui se sont déclarés après. Loin d’être des antivaccins ou des complotistes, comme ont été dépeints, celles et ceux qui se sont opposés à la politique vaccinale. Lili, Séverine et Coralie se sont vaccinées par choix soit pour assouvir leur envie de voyager ou par simple nécessité : la peur de perdre leurs emplois. Depuis, ces trois femmes, jadis en très bonne santé doivent vivre avec les effets secondaires dus à la vaccination : rougeurs, malaises, œdèmes, jambes enflées, fatigue extrême, migraines, cycle menstruel perturbé, douleurs articulaires, myocardites sont le lot de souffrances qui les affectent. Voici leurs témoignages.




Pass-sanitaire : la première déculottée de Macron

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

À la Une de cette édition, retour sur la macronie en déroute. Pour le premier texte de la législature, les députés ont su montrer au pouvoir qu’ils avaient changé de monde. Le projet de loi de gestion sanitaire a été lavé de plusieurs mesures notamment relatives au pass sanitaire.

Crise sanitaire toujours, nous reviendrons ensuite sur les effets désastreux des mesures sécuritaires de confinement notamment en matière de santé mentale des jeunes.

Et enfin, une page britannique avec les candidats à la succession de Boris Johnson qui pointent le bout de leur nez.




Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du pass vaccinal !

[Source : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Nicole Delépine

Bravo aux députés qui ont empêché Macron de continuer à « emmerder les Français » !

Le bien-fondé d’une mesure sanitaire se mesure à son efficacité ; le pass sanitaire s’est révélé partout inefficace contre la maladie(([1] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-absurdite-du-passe-vaccinal-242118)) et ne constituait qu’un moyen de chantage et de division. Il a d’ailleurs été presque partout abandonné par ceux qui l’ont essayé. Grâce aux oppositions, la France reprend un peu le chemin de la raison.

Le 12 juillet 2022, le projet de loi a entériné l’expiration au 1er août 2022 de l’état d’urgence sanitaire et du régime de gestion de la crise mis en place fin mai 2021, et a rejeté une disposition permettant d’exiger ce pass pour les voyageurs mineurs. Puis, grâce à une alliance de votes du RN, de LR et d’une majorité de Nupes, l’article 2 du projet de loi a été rejeté en fin de soirée par 219 voix contre 195.

Le gouvernement a ainsi perdu en première lecture la possibilité de continuer « à emmerder les Français », en rétablissant le pass sanitaire pour les voyages « extra-hexagonaux », depuis ou vers l’étranger, la Corse et les départements d’outre-mer. Pan sur le bec du gouvernement Macron ! Et encore bravo aux députés de l’opposition qui ont enfin reconnu qu’en pratique, pour les Français, leur opposition à Macron dépassait leurs divergences.

Le ministre de la Santé, François Braun, compte désormais sur le Sénat pour rétablir ce texte dans son intégralité. Le calcul est très optimiste, car les membres de la chambre haute jadis partiellement paralysés par la peur de la maladie ont réalisé pour la plupart l’arnaque de la crise Covid et l’absence de toute justification scientifique aux mesures. Ils devraient eux aussi faire entendre leur bon sens et leur « indépendance » proclamée à plusieurs reprises par son président Gérard Larcher. On pourrait même rêver que les sénateurs empêchent le gouvernement de continuer à collecter des données de santé sur les tests de dépistage et qu’ils exigent la destruction de ces fichiers qui n’ont pas non plus montré leur efficacité à contrer l épidémie, mais seulement à préparer une surveillance globale de la population à la chinoise.

Encore bravo aux députés de l’opposition et non seulement pour leur clairvoyance, mais aussi pour le climat fraternel qui a hier prévalu entre eux et qui s’est exprimé par leurs applaudissements respectifs.




Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales

[Source : mondialisation.ca]

Par Dr Gérard Delépine

Depuis le début de la crise covid, les gouvernements n’ont cessé de restreindre, par tous les moyens, la liberté de parole et de diffusion susceptible de démentir leurs propagandes omniprésentes.

La liberté d’expression

Fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrés depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« c’est la liberté la plus fondamentale car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».

Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. 

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

Les médias et leurs prétendus « anti-fake news » 

Depuis le début de la crise covid, les médias subventionnés par le gouvernement se sont transformés en agences de diffusion de la vérité gouvernementale en répétant sans cesse les mensonges d’état, en donnant sans limites la parole aux médecins les plus liés aux laboratoires pharmaceutiques,  en n’invitant jamais les spécialistes d’opinion divergente qu’ils discréditent systématiquement. Ils ont en permanence adopté une attitude sectaire anti-scientifique tout en prétendant se référer à la science !

Elles ont créé des cellules pompeusement intitulées de « vérification de l’information » dans lesquelles des non-médecins, et non-chercheurs, visiblement incapables de comprendre les articles scientifiques en anglais se sont arrogé le droit de décider si une information médicale était juste (= confortant le discours officiel) ou fausse (= complotiste). 

Dans cette activité de propagande mensongère l’agence France presse (le blog Making Of), France info (L’instant Détox), le Monde, Libération (Desintox) et le Parisien se sont particulièrement illustrés. La technique de base est presque toujours la même : après avoir qualifié une information de fausse ou trompeuse, l’auteur discrédite l’auteur de l’information en le qualifiant de « controversé, complotiste, antisémite », n’examine pas les faits avérés concernés, mais cite les opinions de prétendus experts qui confortent le message officiel. Les mercenaires qui se livrent à cette activité recevraient entre 800 et 1000 euros pour chaque pige (passe ?) et le média qui le publie un financement annuel de nos impôts(aide gouvernementale directe au Monde en 2016 : plus de 5M€) et de fonds privés dont ceux de Bill Gates. La confusion entre opinions et faits avérés se répand comme une traînée de poudre, y compris à l’Éducation nationale. 

La censure des Gafas, Tweeter, Facebook, Linkedin, Instagram,  Google

Tweeter a été l’un des premiers à limiter la liberté de parole en supprimant les comptes de ceux qui ne confortaient pas la doxa officielle. Nous en avons été victimes alors que nous ne faisions que diffuser des faits que nous avions nous-même soigneusement vérifiés. 

Facebook limite la diffusion des contenus prétendument « haineux ou contenant des fausses informations » sur le réseau en supprimant les ressources financières des sites qui les diffusent, en incitant les marques à retirer leurs publicités. Des organisations tierces autoproclamées détentrices de « La Vérité » vérifient les informations de nombreux sites et indiquent si celles-ci sont crédibles ou douteuses. Les prétendues « fake news » sont signalées à Facebook, qui bloque alors les publicités réalisées et les posts supposés déviants.

Facebook n’hésite pas à agir comme un intégriste religieux en proclamant fièrement ses injonctions :

et prétendent que l’hydroxy chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces sans même prendre en compte les excellents résultats avérés des pays qui les utilisent (en Afrique, en Algérie ou en Inde) :

Ou en Inde :

Google a structuré un partenariat avec de nombreux médias dans le monde afin de promouvoir un outil collaboratif de “fact-cheking”: “CrossCheck” et a étendu son dispositif aux recherches réalisées sur son propre moteur de recherche. Lors de l’affichage des résultats d’une requête, le moteur de recherche indiquera si les articles ont été vérifiés et à quel point ils « sont fiables ». Pour le moment, le système de fact-checking de Google repose sur l’opinion de sites américains spécialisés comme Politifact, Snopes, ou sur les équipes de fact-checking opérant dans des médias comme le Washington Post qui représentent un des pires créateurs de fausses nouvelles. 

Une des techniques utilisées pour empêcher les internautes de consulter les sites hétérodoxes consiste à leur faire peur en déclarant ces sites dangereux ou « peu surs ». Google a aussi désindexé plus de 55 000 articles, donc pratiquement en a interdit l’accès Internet, ce qui montre incontestablement cette volonté de détruire tout ce qui pourrait s’apparenter à une contestation des pouvoirs en place et de leurs décisions.

Les procès du Conseil de l’Ordre contre la liberté de parole des médecins

Les plaintes contre les professeurs Raoult et Perronne(([1] Covid-19 : le conseil de l’Ordre des médecins porte plainte contre les professeurs Perronne et Raoult (lefigaro.fr)  le CNOM a décidé le 10 décembre de porter plainte contre six médecins, dont plusieurs ont été très présents dans les médias depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Il s’agit des professeurs Raoult, Perronne et Joyeux, ainsi que des docteurs Delépine, Zeller et Rezeau-Frantz. )), les docteurs Nicole Delepine, Denis Agret(([2] INFO MIDI LIBRE Montpellier : trois ans d’interdiction d’exercer pour le médecin antivax Denis Agret – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) )) et de nombreux autres, ont été portées, non pas par des malades qui se seraient plaints de leurs traitements, bien au contraire, mais par les conseils régionaux ou le Conseil National de l’Ordre pour l’expression de vérités médicales démontrées par les faits avérés qui lui déplaisaient, telles que l’efficacité des traitements précoces ou l’inefficacité du port généralisé du masque, la nocivité des confinements…

Il est invraisemblable que ce Conseil s’arroge le droit de poursuivre des médecins pour des opinions de plus scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion(([3] https://nouveau-monde.ca/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion/ )) qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée Unique.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression des médecins

Une modification de l’Article R. 4127-19-1 du code de la santé publique décrétée par Jean Castex le 24 décembre 2020 (soit quelques jours après la plainte contre Raoult et Cie) interdit aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle(([4] https://www.francesoir.fr/amp/article/opinions-tribunes/delit-de-blaspheme-medical-sous-controle-inquisiteur-du-conseil-de-lordre-des?__twitter_impression=true )) rappelée par le conseil de l’ordre . Il stipule que le médecin qui s’exprime :

« formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées. III. – Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le Conseil national de l’ordre. »

Depuis lors, le médecin, ne devrait s’exprimer que s’il conforte les affirmations, même mensongères de l’Etat !

La création d’une commission de certification en juillet 2021

Apparemment inquiet des scrupules que pourraient avoir certains membres du Conseil de l’Ordre de sanctionner des praticiens pour s’être simplement exprimés, le gouvernement a créé par l’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 un nouvel organisme, « la commission de certification » ayant le pouvoir d’évaluer chaque médecin à tout moment de sa carrière, et de l’empêcher d’exercer s’il n’aligne pas ses propos et ses actes avec ceux que décidera le pouvoir politique. Cette mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance du pouvoir politique dans l’exercice de son art témoigne une fois de plus de la tyrannie qui s’installe. Ces décisions ne devraient pas faciliter l’attrait pour la profession de médecin ni résoudre le casse-tête des déserts médicaux,  car conduisant à de nombreuses démissions hospitalières et dépôt de plaques des libéraux.

La censure ultime : l’exclusion du travail des soignants vaccino prudents

L’exclusion des soignants non vaccinés n’a jamais eu pour but de protéger les malades ni l’hôpital puisqu’elle a été imposée alors qu’il était déjà parfaitement établi que les pseudo vaccins n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre. Actuellement des soignants testés positifs et même avec de légers symptômes sont autorisés à travailler dans certains services particulièrement déficitaires. Mais les non injectés restent conduits à la misère et pour certains au suicide.

Cette insupportable atteinte à la liberté de travailler traduit en réalité la volonté d’empêcher les soignants vaccino prudents d’exprimer leurs doutes et leurs craintes auprès de leurs patients. Initialement très favorables au vaccin dans l’ensemble contre ce « fléau » qu’on leur avait vendu, ils ont été les premiers injectés et victimes rapidement des effets secondaires. Cela en a évidemment refroidi beaucoup et l’interdiction d’en parler les a achevés dans la démoralisation. La plupart des soignants vaccinés (comme les pompiers ou militaires) sont des « malgré nous » contraints d’accepter l’ukase pour continuer à payer leur maison et nourrir leurs enfants. Les suspendus vivent des restaurants du cœur et des aides de l’entourage depuis dix mois.

Le manque de soignants ainsi créé a aggravé considérablement le naufrage de l’hôpital, en particulier celui des urgences et a augmenté le nombre des déserts médicaux. La surcharge de l’hôpital et le dégoût du management ont conduit à de nombreuses démissions et multiples arrêts de travail prolongés par burn-out, aggravant l’effet des suspensions imposées. De nombreux médecins de ville ont cessé leurs activités.

Mais pour les gouvernants, le contrôle de l’opinion vaut bien ces sacrifices.

Il n’y a plus que les médecins retraités qui peuvent dire des vérités et ne pas se soumettre. Dans un monde tyrannique où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de ceux qui se considèrent comme des élites.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression de ses citoyens

La création d’un ministère de la vérité (la commission Gérald Bronner).

En 2015, Gérald Bronner dans le numéro 449 de la revue Pour la science précisait sa définition du complotisme: «Par théorie du complot, il faut entendre simplement une interprétation des faits qui conteste la version officielle. » En nommant l’auteur d’une telle phrase à la tête d’une commission chargée de «formuler des propositions dans les champs de la prévention et de la judiciarisation des entrepreneurs de haine», l’Élysée a fait un choix révélateur. 

Comme l’est aussi la participation à cette commission du chirurgien Guy Valencien dont la probité est mise en doute par sa condamnation le 11 juin 2021 par l’Ordre des médecins pour usage de faux certificats médicaux(([5] https://www.marianne.net/societe/sante/le-pr-guy-vallancien-lurologue-des-stars-sanctionne-par-lordre-des-medecins )), l’accusation par Irène Frachon d’avoir été l’un des « fers de lance d’une nébuleuse composée de médecins, de professeurs et d’académiciens, qui, depuis des années tentent de minimiser, voire de nier la gravité du drame humain causé par le Mediator » et son rôle de directeur du Centre du don des corps de l’université Descartes, de 2004 à 2014, structure devenue un véritable charnier qui défraye actuellement la chronique(([6] Charnier de Descartes, révélations sur le business de l’innommable 7 juillet 2022
https://fr.news.yahoo.com/charnier-descartes-r%C3%A9v%C3%A9lations-business-linnommable-155237167.html ))».

La commission propose d’engager la responsabilité civile des internautes qui rediffuseraient de mauvaise foi une nouvelle déclarée fausse selon son avis.

Censure des citoyens européens à la demande de la commission

Suivant à la lettre la proposition d’Ursula Van der Leyen, la Présidente de la Commission européenne (contestée -entre autres- pour son rôle dans la commande de 1,3 milliard de doses de Pfizer et dans le scandale du Remdesivir de Gilead), le gouvernement français a décidé le 27 février 2022 de fermer les télévisions et radios russes RT France et Sputnik sans plus d’explication, ni de procès. Les médias qui ne s’autocensurent pas sont fermés par le gouvernement.

Mais Ursula Van der Leyen vient d’annoncer une nouvelle loi imposant des conditions plus dures aux plateformes numériques, sommées de priver les prétendues sources d» infox » de revenus publicitaires.

Le code précédent (de 2007) reposant sur l’autorégulation aurait donné des résultats insuffisants selon la Commission. L’adhésion au code reste volontaire, mais pour les « très grandes plateformes » (atteignant 45 millions d’utilisateurs dans l’UE), il permet de répondre aux obligations fixées par le règlement sur les services numériques (Digital Services Act, DSA).

La directive européenne, en voie d’adoption, contraint ces plateformes à déployer des efforts pour « réduire les risques » de désinformation et prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires mondial.

Plutôt que d’ouvrir un débat démocratique avec les opposants, la Commission européenne préfère leur interdire de s’exprimer « pour le bien de la démocratie ». Quand vont-ils brûler les livres déclarés conspirationnistes ?

Les menaces contre la démocratie

C’est la marque des régimes autoritaires d’imposer une pensée unique qu’il est interdit de commenter et encore plus de critiquer. Et les réactions comme celles de Twitter ou Facebook, qui ont osé suspendre le président des États-Unis et lui interdire toute expression sur leurs réseaux, montrent l’orientation que nos sociétés sont dangereusement en train de prendre, bien que tous nos gouvernants et les médias aux ordres nous répètent tous les jours que nous sommes encore en démocratie.

En instaurant la panique, la peur de la maladie, la peur de sortir, la peur de la guerre, la peur du réchauffement climatique, en favorisant la suppression des liens sociaux, en interdisant les échanges de point de vue, les critiques, les discussions, tout débat scientifique et en décrédibilisant ceux qui osent tenter de faire baisser cette peur, le gouvernement a mis quasiment les Français en état d’hypnose permettant leur soumission aux injonctions gouvernementales même manifestement ridicules (ne pas sortir seul en forêt ou sur la plage, ne pas faire du bateau en solitaire). Ils ont permis des violations injustifiées des droits des citoyens en limitant leurs libertés fondamentales, dont celles de circuler, de se réunir, de travailler, de s’exprimer, d’exercer son culte, de manifester, de voir sa famille, d’enterrer dignement ses morts.

Les libertés, la démocratie ne persistent que tant que nous les défendons. La crise du Covid révèle la fragilité de notre démocratie mise à bas sous le prétexte d’une menace sanitaire supposée sans qu’une opposition politique se soit clairement exprimée en France à l’exception de Florian Philippot et plus récemment de Nicolas Dupont Aignan et Francois Asselineau.

Pourtant dès le 21 avril 2020 l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde: « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir.

Rajat Khosla, d’Amnesty International a déclaré :

« Au fil de la pandémie, les gouvernements ont lancé une offensive sans précédent contre la liberté d’expression, restreignant fortement les droits des populations. Les moyens de communication sont pris pour cibles, les réseaux sociaux censurés et des médias fermés, ce qui a de graves répercussions sur la capacité des citoyens à accéder à des informations vitales sur la manière de réagir face au COVID-19. »

« Il est clair que les restrictions liées à la liberté d’expression ne sont pas seulement des mesures extraordinaires circonscrites dans le temps pour faire face à une crise ponctuelle. Elles s’inscrivent dans le cadre de l’offensive contre les droits humains que l’on voit à l’œuvre dans le monde depuis quelques années – les gouvernements ayant trouvé une nouvelle excuse pour intensifier leur attaque contre la société civile ».

Le 16 mars 2020 même l’ONU s’est inquiétée des menaces contre la démocratie dans un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme exhortant les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur a rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.  

« Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains ».

Des évêques nous donnent de l’espoir :

Nous sommes tous appelés à évaluer les faits actuels conformément à l’enseignement de l’Évangile. Cela implique de choisir son camp : avec le Christ, ou contre le Christ. Ne soyons pas intimidés ou effrayés par ceux qui nous font croire que nous sommes une minorité : le Bien est beaucoup plus répandu et puissant que ce que le monde veut nous faire croire. Nous nous trouvons en train de lutter contre un ennemi invisible, qui sépare les citoyens entre eux, les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, les fidèles de leurs pasteurs, les étudiants des enseignants, les clients des vendeurs. Ne permettons pas que des siècles de civilisation chrétienne soient anéantis sous le prétexte d’un virus, en laissant s’établir une tyrannie technologique haineuse dans laquelle des personnes anonymes et sans visage peuvent décider du sort du monde en nous confinant dans une réalité virtuelle. « Les portes des Enfers ne prévaudront pas »

(Mt 16, 18)

« Le ventre est encore fécond d’où naît la bête immonde » (Bertolt Brecht)

Cette idéologie totalitaire, qui limite drastiquement le droit d’expression et sépare les citoyens selon leur volonté de faire respecter l’intégrité de leur corps, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron et de l’UE avec les pass et les obligations vaccinales.

À la mi-juin 2022, alors que l’épidémie ne pose plus de problème sanitaire réel avec seulement 72 malades Covid pour 100000 habitants. 

7 944 patients hospitalisés avec Covid-19, 1027 personnes sont en réanimation ( le pic du 8 avril 2020 atteignait 7.019 )et un nombre de décès au plus bas.  Mais les médias recommencent  après les élections, avec le gouvernement et le nouveau ministre de la Santé à affoler la population sans diffuser l’information majeure : les traitements précoces sont efficaces et vos médecins habilités à les prescrire. 

Le nouveau projet de loi qui sera examiné à l’Assemblée nationale, puis au Sénat vise pourtant à prolonger la suppression de droits élémentaires des citoyens. « Réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules », ainsi que « l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage » avec le port du masque conseillé alors qu’aucune preuve scientifique de son utilité n’existe.

Et le fichage de la population qui n’a jamais permis de limiter l’épidémie risque de continuer si la loi est adoptée, avec le maintien des fichiers informatiques Si-DEP (les résultats des tests de dépistage) et Si-VAC (le schéma vaccinal) jusqu’au 31 mars 2023.

Un deuxième article donne la possibilité au gouvernement sans consulter le parlement (via un décret du Premier ministre Mme Borne ) de rétablir un pass sanitaire aux frontières, pour les déplacements entre l’hexagone, la Corse et les territoires d’outre-mer. Ce pass sanitaire concernerait tous les voyageurs de 12 ans et plus, ainsi que les personnels des services de transport concernés.

Or en France comme ailleurs les pass ont partout échoué à limiter l’infection

Les oppositions doivent jouer leur rôle de contrôle permanent de l’action gouvernementale en refusant cette loi qui les dépossède de leur rôle constitutionnel. Ne pas le faire serait trahir leurs électeurs.

Dr Gérard Delépine

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2022

Notes :




Lettre d’une étudiante en médecine au Conseil de l’Ordre

Par Zoé B.

Zoé B.

Au Président et aux membres du
Conseil de l’Ordre des Médecins de l’Isère
Bât A, 1 BD de la Chantourne
38700 La Tronche

Objet

Demande d’un RDV pour échanger sur les raisons qui me font arrêter mes études de médecine.

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les conseillers ordinaux,
Chers Professeurs, Chers Docteurs, Chers Maîtres,

Étudiante en 4e année de médecine à la rentrée 2021/2022, j’ai reçu récemment un courrier de la scolarité de la Faculté de Médecine de Grenoble relatif à la fin de ma période de césure (sollicitée suite à la promulgation de la Loi du 5 août 2021).

J’ai répondu au Doyen de la Faculté en le remerciant très sincèrement de m’avoir accordé ce temps de réflexion et pour la bienveillance dont il avait fait preuve à mon égard ; puis en lui annonçant, avec un profond regret, ma décision de ne pas poursuivre mes études de médecine, après ces 3 années et quelques mois, passés au sein de sa Faculté. Voici l’essentiel de mes propos.

C’est vraiment à contrecœur que je prends cette décision, mais en pleine conscience, et je l’espère avec bon sens, sagesse et rationalité :

Je m’étais en effet engagée en médecine avec pour ambition de soigner mon prochain, d’agir toujours en conscience, avec probité et honnêteté vis-à-vis de lui, sans jamais déroger au code d’honneur du serment d’Hippocrate, un serment sur lequel tout le monde jure sans toutefois, j’en ai le sentiment, en mesurer l’importance, les conséquences, et sans être prêt à en respecter tous les engagements, en toutes circonstances, et quoi qu’il en coûte.

J’aime profondément étudier, j’aime apprendre comment fonctionnent le corps et l’esprit humain, comprendre les pathologies, et aller chercher quelles sont les récentes avancées médicales, scientifiques et technologiques pour trouver celles qui vont pouvoir profiter à mon patient. J’aime me réjouir avec les patients qui guérissent, et écouter, accompagner tous ceux qui en ont besoin. J’étais prête à faire face aux difficultés qui jalonnent le parcours d’un médecin.

Malheureusement, aujourd’hui je ressens que soigner comme on me demandera de le faire ne sera pas en accord avec mes convictions, et que je ne serai pas en mesure de respecter le serment d’Hippocrate qu’on me demandera de prêter à l’issue de mes études.

Je croyais que la médecine avait avant tout pour ambition suprême de soigner toutes les personnes, coûte que coûte, et qu’en tant que médecin je serais libre d’agir dans le seul intérêt de mon patient, dans le respect du recueil de son consentement libre et éclairé, et guidée par mes connaissances, la sagesse acquise lors de mes formations et de mes expériences, et ma capacité de discernement.

Les deux ans qui viennent de s’écouler m’ont montré que la médecine telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui (et le sera de plus en plus) n’est pas en phase avec l’idée que je m’en faisais.

J’ai toujours pensé pouvoir exercer ma vocation, sans pression d’aucune sorte et surtout en toute indépendance des lobbies financiers, croyant naïvement que la mission de soigner résistait à l’appât de l’argent, à l’appel du pouvoir et à la satisfaction de l’ego tel que le souligne notre serment : « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. »

Nous devons également jurer : « Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. » Comment comprendre alors le refus de soin imposé pendant ces deuxannées ? En effet, comment a-t-on pu déconseiller voire interdire à des gens qui avaient besoin de soins de se rendre chez leur médecin ? Comment a-t-on pu leur dire, sans prendre le temps de les ausculter, de rester ou de retourner chez eux juste avec du Doliprane ? Comment accepter tout cela lorsque l’on sait que le simple fait d’accueillir, écouter et accompagner avec compassion le patient participe significativement à sa guérison et à son mieux-être ?

Nous devons aussi prononcer « Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. » Mais commentconcilier cette promesse avec l’obligation faite aux patients de disposer d’un Pass sanitaire ou de s’être administré au préalable une molécule sur laquelle il y a peu de recul pour avoir le droit de se faire soigner ?

Dans l’état actuel des données scientifiques, est-il raisonnable d’exiger ce geste des patients, des professionnels de santé, a fortiori des étudiants des filières santé, dont le jeune âge aurait mérité que s’applique un élémentaire principe de précaution ?

J’ai aussi très mal vécu de voir en septembre 2021 des collègues soignants suspendus, sans aucune considération ni égard pour leurs états de service antérieurs, leur dévouement aux patients et leur loyauté à leur institution. Pouvons-nous supporter de les voir toujours sans aucun revenu pour avoir refusé d’aller à l’encontre de leurs convictions ou de leurs arguments médicaux ? Ces soignants étaient pourtant prêts à d’autres mesures de protection au contact des malades. De voir tous ces professionnels, qui se sont dévouées pendant tant d’années pour le bien de leurs prochains, perdre leur travail, leur statut social, parfois ne plus pouvoir subvenir aux besoins de leur famille voire manger à leur faim a été pour moi d’une grande violence. (J’ai personnellement vu des soignants se servir de la nourriture issue des poubelles.)

Comment proclamer encore « J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. » et, dans le mêmetemps, précipiter de force, sous l’influence de la peur, vers une thérapie expérimentale des millions de personnes, en abusant de la confiance aveugle qu’ils ont dans la médecine et la science représentée par certains experts. Quelle folie s’est emparée de la communauté médicale pour accepter tout ça sans sourciller, au mépris de tous les principes qui faisaient consensus avant 2020 ?

Comment prononcer les mots suivants « Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. » ou encore « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. », alors que nous avons tous pu constater durant ces deux années à quel point le milieu politique et médical est parfois corrompu, et ce au plus haut niveau, par les laboratoires pharmaceutiques et les cabinets de conseil privés ?

Qu’il n’y ait pas de méprise : je ne doute pas de la probité et de l’honnêteté de la majorité des médecins et des soignants en France. En revanche, je doute désormais de la capacité du plus grand nombre à prendre du recul et à assumer avec courage le serment qu’ils ont prononcé dès lors que la situation devient un peu compliquée et que leurs intérêts personnels soient en jeu. Je crains, malheureusement, qu’une petite poignée de gens bien placés suffise à corrompre l’ensemble d’un système.

Comment a-t-il été rendu possible d’en venir à expliquer à nos patients que nous pouvions leur imposer des soins inutiles pour eux-mêmes (comme l’est le vaccin contre la covid pour les personnes non à risque de formes graves, notamment les enfants, les adolescents et les jeunes adultes) et inutiles pour protéger les autres (puisqu’avec ou sans vaccins il n’y a pas de différence dans la transmission), tout en laissant l’industrie qui les produit engranger 36,8 milliards d’euros sur ce seul et unique produit ?

Enfin comment pourrai-je oser jurer « Je ne provoquerai jamais la mort délibérément » et accepter de laisser des gens sans soins, des personnes âgées mourir loin de leurs proches et dans la solitude la plus abjecte ?

Non, décidément, cette médecine qu’on nous propose d’exercer n’est vraiment pas celle que j’avais envisagée.

Des lits ferment, des services d’urgence ferment, des collègues souffrent, des patients meurent, de maladie ou d’abandon…
Ce n’est pas ma définition de la médecine.
Je n’ai pas signé pour cela.
Pas pour abandonner, tromper ou laisser mourir.
Pas pour être le bouc émissaire de décisions qui ne sont plus motivées par notre mission de soins et le respect de notre serment, mais on dirait bien par la seule ambition dévorante ou la folie de certains individus.

Alors ma décision je la prends avec regret, car j’aime profondément la médecine, c’est ma vocation, mais je la prends avec la sagesse que m’inspire l’Ecclésiaste :

« Mieux vaut pour toi ne point faire de vœu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir ».

Je reste reconnaissante pour tous les enseignements reçus pendant ces trois belles années. Ils ont été intellectuellement riches et demeureront un bagage de connaissances et de principes utiles qui continueront de m’accompagner.

En vous remerciant de votre attention, et en espérant que ma lettre saura susciter en vous des interrogations ou des éclairages à m’apporter, je suis pour ma part à votre entière disposition pour un échange constructif et vous prie d’agréer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les conseillers ordinaux, mes sincères et respectueuses salutations.

Zoé Bruder
Étudiante en 4e année à la Faculté de Médecine de Grenoble

Le 6 juin 2022