Ce sont les enfants qui supportent le poids de la barbarie israélienne à Gaza

[Source : investigaction.net]

Par TAMARA NASSAR

Bilan de cette nouvelle agression militaire israélienne : 44 Palestiniens ont été tués, dont 15 enfants ; plus de 300 Palestiniens ont été blessés, dont près d’un tiers étaient des enfants.


Un cessez-le-feu entre Israël et l’organisation de résistance du Djihad islamique a pris effet dimanche avant minuit, mettant fin de la sorte à une offensive meurtrière d’Israël contre Gaza.

Durant les heures qui ont précédé la trêve négociée par l’Égypte, Israël a encore intensifié sa vague de tueries et d’assassinats pour la troisième journée consécutive.

Dimanche, en fin de soirée, le ministère de la Santé de Gaza a déclaré que 44 Palestiniens avaient été tués sur le territoire, dont 15 enfants, depuis qu’Israël avait entamé le bain de sang en assassinant un important dirigeant du Djihad islamique vendredi soir.

Plus de 300 Palestiniens ont été blessés, dont près d’un tiers étaient des enfants.

Personne n’a été tué en Israël et il n’y a pas eu non plus de rapports de blessures graves.



Al-Haq, une organisation palestinienne de défense des droits humains, a déclaré dimanche qu’Israël « avait sans discrimination ciblé des civils et des structures non militaires » et que cette attaque constituait « une grave infraction aux lois humanitaires internationales et pouvait équivaloir à des crimes de guerre et à des crimes contre l’humanité ».

Pendant six journées consécutives, Israël a fermé le seul passage commercial de Gaza ainsi que le seul passage pour les personnes entre Gaza et Israël.

Des négociations difficiles

Le cessez-le-feu de dimanche soir est venu après des négociations tendues arbitrées par Le Caire et qui ont calé à plusieurs reprises, attisant ainsi les craintes d’une escalade encore plus violente.

La pierre d’achoppement, explique le réseau Al Jazeera, résidait dans la demande adressée par le Djihad islamique à Israël afin qu’il relâche Bassam al-Saadi, l’un de ses chefs en Cisjordanie occupée, ainsi qu’un autre membre de l’organisation, Khalil Awawdeh.

Awawdeh est gravement malade, puisqu’il est en grève de la faim depuis mars afin de protester contre son arrestation par Israël sans accusation ni procès.

L’arrestation violente d’al-Saadi à son domicile de la ville cisjordanienne de Jénine, lundi dernier, a marqué le début de l’actuelle escalade.

Bien qu’Israël ait initialement rejeté les demandes du Djihad islamique, un accord a finalement été dégagé après que Tel-Aviv a concédé qu’il allait « discuter » de la libération des deux hommes à la suite d’un cessez-le-feu.

L’Égypte elle-même s’est engagée à assurer la libération des hommes le plus rapidement possible. Ziyad al-Nakhala, le secrétaire général du Djihad islamique, a annoncé dimanche soir qu’Awawdeh serait transféré — libre — à l’hôpital lundi et qu’il pourrait ensuite rentrer chez lui.

Israël n’a pas immédiatement confirmé la chose.

Un avion de combat d’origine américaine

Alors que le cessez-le-feu sera perçu comme un soulagement pas les Palestiniens de Gaza terrorisés par les assauts répétés d’Israël, la toute dernière agression de Tel-Aviv, finalement, aura prélevé un lourd tribut, surtout chez les enfants, qui constituent la moitié des 2,1 millions d’habitants de l’enclave.



Samedi soir, sans le moindre avertissement, un avion de combat fourni par les États-Unis a ciblé une habitation de trois étages dans un quartier densément peuple de Rafah, dans le sud de Gaza.

Au moins six missiles ont été tirés par des avions de combat israéliens au cours de cette attaque, tuant sept personnes et détruisant huit habitations, selon Defense for Children International — Palestine, qui mène des enquêtes sur le terrain.

Quelque 35 personnes ont été blessées, dont 18 enfants.

L’attaque ciblait apparemment un important dirigeant du Djihad islamique, Khalid Said Shehadeh Mansour, 46 ans. Six autres personnes, dont un enfant, ont été tuées dans cet assassinat collectif.

Elles ont été identifiées comme étant Raafat Saleh Ibrahim Sheikh al-Eid, 41 ans, Ziad Ahmad Khalil al-Mudallal, 35 ans, Alaa Saleh Abdulhamid al-Malahi, 30 ans, Ismail Abdulhamid Muhammad Salameh, 30 ans, et la mère de ce dernier, Hana Ismail Ali Dweik, 50 ans.

L’attaque a également coûté la vie à Muhammad Iyad Muhammad Hassoun, un adolescent de 13 ans. Muhammad « a subi de graves lacérations sur tout le corps, surtout sur la partie droite du tronc », a expliqué DCI-P.

Les EU, qui ont régulièrement soutenu la campagne meurtrière d’Israël contre Gaza ces trois derniers jours, fournissent à Tel-Aviv des milliards de dollars en armes chaque année, armes qui sont très fréquemment utilisées pour attaquer les civils palestiniens.

« Les États-Unis fournissent tous les avions de combat, les bombes et les armes nécessaires aux forces israéliennes afin de continuer systématiquement de tuer des Palestiniens »,

a déclaré Ayed Abu Eqtaish, directeur du programme de responsabilisation de DCI-P.

L’explosion de Jabaliya

Samedi soir, une explosion qui s’est produite à proximité d’une épicerie dans le camp de réfugiés de Jabaliya a tué sept Palestiniens, dont quatre enfants.

L’attaque a également blessé plus de 40 autres personnes, dont 26 enfants.

Al-Mezan, une organisation de défense des droits humains installée à Gaza, a déclaré que l’explosion avait été causée par une grenade propulsée par une fusée, mais n’en a pas précisé la source.

« Au moment de l’explosion, les avions de combat israéliens étaient visibles dans le ciel et les organisations armées palestiniennes étaient en train de tirer des roquettes »,

a déclaré DCI-P.

L’organisation a ajouté qu’elle était toujours en train d’enquêter sur la source de l’explosion, qui a eu lieu dans une zone où des gens étaient assis à l’extérieur en raison des coupures de courant à Gaza.

L’armée israélienne a dit que l’explosion avait été provoquée par une roquette du Djihad islamique défaillante. Mais, étant donné le palmarès de l’armée israélienne dans le mensonge et le ciblage des civils, ses affirmations ne peuvent en aucun cas être prises pour argent comptant.

Parmi les personnes tuées figurent : Hazim Muhammad Ali Salem, 9 ans, Ahmad Walid Ahmad al-Farram, 16 ans, Ahmad Muhammad Ahmad al-Nairab, 11 ans, et son petit frère de 5 ans, Mumin Muhammad Ahmad al-Nairab, comme l’ont confirmé les deux organisations de défense des droits humains.



L’explosion a également tué Khalil Iyad Mustafa Abu Hamada, 18 ans, Muhammad Muhammad Ibrahim Zaqout, 19 ans, et Nafid Muhammad Misbah Juma al-Khatib, 50 ans.

Samedi, dans le nord de Gaza, les avions de combat israéliens ont tiré sur un groupe de Palestiniens, blessant Nour al-Din Hussein Ali al-Zuwaidi, 18 ans.

Samedi, un missile israélien a frappé un groupe de Palestiniens à Jabaliya, blessant Abdulrahman Ali Hussein Ibrahim, 22 ans, qui est décédé de ses blessures quelques heures plus tard.

Une grenade propulsée par une fusée a touché une maison du camp de réfugiés de Jabaliya dimanche matin, tuant Dia Zuheir Ahmad al-Buri, 32 ans, et blessant d’autres personnes. Israël a nié la responsabilité de cette attaque.

Dimanche, au cours d’une attaque contre le camp de réfugiés d’al-Bureij, dans le centre de Gaza, Yaser Nimr Mahmoud al-Nabahin, 49 ans, membre des Brigades Qassam, l’aile armée du Hamas, a été tué en même temps que trois de ses enfants.

La fin des bombardements de Gaza par Israël — pour l’instant — signifie que la situation critique des Palestiniens va très rapidement quitter les gros titres. Mais ils ne retrouveront rien qui puisse ressembler à une existence normale.



Leur situation reste des plus pénibles et intolérable, suite au siège israélien en cours, une forme de violence silencieuse qui cible tout le monde — hommes, femmes et enfants — sur tout le territoire, et ce, 24 heures sur 24.

Israël est en mesure de perpétrer cette violence contre les Palestiniens grâce à son impunité au niveau international et au soutien dont il continue à profiter, spécialement de la part des États-Unis, du Canada et de l’Union européenne — les mêmes pays qui ne cessent jamais de débiter leurs sermons sur « les droits humains » et « les lois internationales ».

Source originale : The Electronic Intifada

Traduit de l’anglais par Jean-Marie Flémal, Charleroi pour la Palesine

Ali Abunimah a contribué au reportage et à l’analyse.

Photo : Ashraf Amra / APA images




Mr Delfraissy, nous nous reverrons bientôt !

[Source : DIVIZIONAIR]




Le langage secret des arbres


[Source : www.kla.tv/13743]

Dans une conférence passionnante, l’ingénieur Erwin Thoma, en tant que forestier, montre à quel point nous, les humains, sommes semblables aux arbres. Cela s’applique à la fois à l’individu et à la communauté. Découvrez quels principes de vie des arbres sont également à la base de notre coexistence. En répondant à cela, les multiples problèmes de l’humanité pourraient probablement être résolus – mais voyez par vous-même !

[Voir aussi :
La vie sociale des plantes
et
« Les plantes sont extraordinaires : c’est un modèle décentralisé dont tous les membres participent à la décision »]

Transcription

Ivo Sasek: « Nous arrivons maintenant au dernier orateur et j’ai voulu le placer là pour atterrir en douceur. C’est un homme qui m’impressionne beaucoup, beaucoup. Quand je l’ai entendu – je ne sais même plus dans quel contexte, on me recommande toujours beaucoup de personnes – j’ai été tellement fasciné par ce qu’il disait que j’ai tout de suite essayé de le gagner, mais ça n’a pas été si facile. Parce qu’aujourd’hui chez lui il aurait dû sortir le bois. C’était un peu dur, mais il a finalement laissé son travail pour être ici avec nous aujourd’hui. »
« Et tout ce que je peux dire de cet homme qui est assis là en bas… C’est un homme, quand il parle, alors après tu entends parler les arbres. Qui est cet homme ? On parle du Dr Erwin Thoma. Il nous en dira plus. S’il vous plaît, le voici. On verra à l’écran qui il est et je le prie de monter ensuite. »

Erwin Thoma, ingénieur
Un pionnier et expert très demandé dans le domaine de la connaissance des arbres et de la recherche sur le bois.
Né en 1962, a grandi en Autriche
Il est marié, a 3 enfants adultes

Formation
Formation de garde forestier
En 1985, il est devenu le plus jeune garde forestier autrichien en prenant en charge une région montagneuse isolée du Tyrol.
Plusieurs années d’apprentissage ont suivi, qui l’ont conduit dans l’industrie forestière et l’industrie du bois en Europe.

Activité
1990 Fondation de sa propre entreprise de transformation du bois, une entreprise pionnière qui fabrique des bâtiments en bois massif.
1998 Fondation de son centre de recherche et de développement pour la transformation de bois naturel.
La même année, dépôt d’un brevet international pour une méthode spéciale de construction en bois. Cette évolution a fondamentalement fait progresser la technique de la construction en bois.
Différents développements ont fait de lui un spécialiste reconnu du bois naturel dans toute l’Europe. Plusieurs universités européennes s’intéressent à ses développements.
Il a reçu de nombreux prix pour les maisons qu’il a construites, dont le prix de l’Innovation à Salzburg et la seule certification classe Or « Cradle to Cradle » à ce jour pour un matériau de construction.
Erwin Thoma transmet ses connaissances dans des émissions de télévision, des conférences et neuf livres, dont cinq sont des best-sellers. Ses livres ont été traduits en dix langues avec un tirage total d’environ 500 000 exemplaires.
Des reportages au Japon, aux Etats-Unis et dans toute l’Europe l’aident à établir un réseau international avec des architectes, des experts en construction et des représentants de la science et de l’économie.

Son thème aujourd’hui : « Le langage secret des arbres »

Ivo Sasek : Bienvenue !
Je ne sais pas ce qui va venir aujourd’hui, mais je ne souhaite qu’une chose : la petite histoire avec la résine, le papa avec la canette… c’était si mignon ! On peut apprendre tellement de choses de lui, j’en ai fait l’expérience, c’est vraiment impressionnant ! Bonne chance, bonne chance !

Erwin Thoma : Merci, cher Ivo, pour cette invitation et bonjour à tous, mesdames et messieurs.
Je suis si heureux de pouvoir faire pour finir un voyage avec vous dans un monde complètement différent. Aujourd’hui nous avons tant entendu parler des intérêts, du pouvoir, de la manipulation, des stratégies… dont on a besoin – de toute sorte de choses. Et j’aimerais maintenant voir avec vous comment y faire face dans un monde complètement différent du nôtre.

De quelle manière cela se manifeste dans la création, dans la nature ? Que faites-vous avec les participants les plus faibles du jeu, de la vie ? Que faites-vous pour assurer l’avenir de plusieurs générations ? Et ce voyage, je voudrais l’effectuer avec vous auprès des arbres et dans la forêt.
Maintenant, vous pourriez penser : Il a une tête de bois, car qu’est-ce que la forêt et les arbres ont à voir avec de tels sujets, avec des stratégies sur la façon dont nous, les humains, devrions rendre la terre juste et bonne ? Mais vous verrez bientôt que quand on s’intéresse aux arbres, alors on peut faire ce qu’on veut, on atterrit inévitablement dans les secrets profonds de la vie. C’est toujours comme ça quand on va dans la création.

Et regardez ceci : Qu’est-ce qu’un arbre ? Chacun d’entre vous a déjà vu un arbre et l’a touché, l’a étreint ou autre chose. Un arbre est une masse lourde. C’est quelque chose d’impressionnant. Les arbres font partie des êtres vivants les plus anciens de la terre, ils sont là depuis cent fois plus longtemps que les humains. On parle de 500 millions d’années. Et hier, nous avons vu de si beaux arbres, des épicéas et des sapins d’un diamètre de trois quarts de mètre et peut-être 30 à 40 mètres de haut. Un tel arbre, avec ses branches et ses aiguilles, peut peser jusqu’à dix tonnes. D’où viennent ces dix tonnes ?
Après tout, ça a été autrefois une graine de la taille d’une tête d’épingle qui est tombée au sol et aujourd’hui ce sont dix tonnes qui se tiennent là. D’où vient cette matière ? C’est quoi, ce bois, ce personnage ?
En cours de biologie, quand j’allais au lycée, le professeur nous a dit que les arbres poussent en puisant des nutriments dans le sol. Et nous pensions que le bois était du sol transformé. Mais ça ne colle pas. Si les 10 tonnes venaient de la terre, il devrait y avoir un gros trou, et ce n’est pas le cas. Mais je peux vous expliquer exactement ce qu’il en est : Un tel sapin… il y a exactement 0,5 % de la masse du sapin qui provient du sol. Le reste est de l’air et un peu d’eau transformée. Chaque arbre est un miracle. Et c’est là que toutes les explications scientifiques s’arrêtent déjà ! Chaque arbre est de l’air, qui se matérialise devant nos yeux, qui devient matière.

Quand un petit arbre commence à pousser, alors il fait exactement ce que nous avons tous fait en premier. En tout premier… Quelle est la première chose quand la vie commence ? Respirer ! C’est la bonne réponse. La mauvaise réponse que j’entends souvent est : crier. Mais la première est de respirer, de respirer, aahhhh. Et cet air est la nourriture de l’arbre.

Car les arbres ont réalisé la plus grande invention de la vie sur terre, la couleur verte. Ils ne sont pas verts par hasard. Ce vert est capable de filtrer l’énergie solaire, la lumière du soleil, de telle sorte qu’un mélange de rayonnement très spécial prédomine à l’intérieur de la feuille et dans l’aiguille ; et si le CO², le gaz de l’air circule là-dedans, alors il se décompose et l’arbre a gagné du carbone, carbone à partir duquel il peut construire son corps. Et il fait la même chose avec l’H²O, avec l’eau. Il se décompose aussi et l’arbre a de l’hydrogène. Et un arbre est une composition chimique d’hydrocarbures, avec très peu d’oligo-éléments et les oligo-éléments ont une fonction importante ; ils ne sont pas importants pour la masse, mais ils ont la fonction importante de donner aux molécules leur détermination. Ils en font des cellules spécifiques. Ils déterminent si elles deviennent une partie de l’écorce, un morceau de bois ou un morceau de feuille ou quelque chose d’autre. C’est jusque là que l’explication scientifique au niveau moléculaire est connue sous sa forme la plus brève.

Quand même, comme je l’ai dit, si on continue à se demander et à dire : qui contrôle ça ? Qui a eu cette idée ? Comment est-ce possible ? – Il n’y a plus de réponse en science. Vous devez chercher dans la religion ou dans la philosophie, mais je ne veux pas aller plus loin aujourd’hui, tout le monde peut chercher cette réponse lui-même. Bien sûr, en fin de compte, il doit y avoir une explication par rapport à la création.

Mais ce qui est passionnant pour moi, c’est de comparer l’arbre avec l’humain. Et j’aimerais d’abord faire la comparaison matérielle. Mesdames et messieurs, lorsque je prends le microscope électronique et que je prélève un tout petit morceau de votre corps, une cellule, puis que je la décompose et l’examine, c’est très surprenant : les blocs de construction qui composent notre corps sont exactement les mêmes que ceux qui composent l’arbre. Ils sont juste composés un peu différemment. Les oligo-éléments sont positionnés différemment.

Alors quand quelqu’un me dit : « Tu as une tête de bois », ce n’est pas du tout une insulte, il faut alors lui répondre : Bien sûr que c’est une tête de bois, mais Dieu merci – S’il vous plaît, oui, je suis content de l’applaudissement. Mais comme ça, ça n’ira pas, Parce qu’Ivo a pu apporter son message en une minute et si vous applaudissez toujours, je n’aurai jamais fini en une heure. Faisons donc ainsi, applaudissons à la fin si c’est possible. Mais si ce n’est pas possible… bon… faites comme vous pouvez. Donc, il ne s’agit pas de moi ici. Je suis un outil qui a un message à délivrer. Il ne s’agit vraiment pas de moi.

Retournons à la tête de bois. La différence, c’est que certains très petits atomes sont placés différemment. Je voudrais vous donner un exemple impressionnant de la façon dont nous sommes reliés, inséparablement reliés avec la nature, avec la création. Je vous ai dit que cette substance miracle qui fait la forêt, qui fait que tout cela prospère et se développe, c’est la chlorophylle, le colorant vert. Quand vous regardez une molécule de chlorophylle au microscope, vous voyez une structure magnifique. La meilleure comparaison c’est peut-être avec les cristaux de neige. Une merveilleuse structure géométrique avec carbone-hydrogène, carbone-hydrogène, arrangés de façon géométrique. Proche du centre il y a un anneau d’atomes d’azote et tout au milieu, assez étrangement, un seul atome de magnésium. Ce magnésium, c’est si peu par rapport à la masse totale, comme si je mettais un grain de sel sur une table. Ce n’est pas important pour la masse. C’est très peu. Pourtant, c’est au milieu. Ça a donc sûrement un sens.

Si nous faisons une expérience maintenant… et la chlorophylle est très importante, parce que sans la chlorophylle, les humains ne pourraient pas exister. Toute vie organique s’est développée grâce à ça. C’est très proche du secret de la création d’un point de vue scientifique. Si je retire maintenant ce magnésium au milieu et le remplace par un atome de fer, je n’ai rien changé à la masse de la structure globale. C’est si peu que ça n’a pas d’importance, c’est insignifiant. Mais une fois que j’ai mis le fer à la place du magnésium, toute la structure devient rouge, et je n’ai plus de chlorophylle, j’ai de l’hémoglobine, notre sang. Nous sommes si semblables, si voisins, si proches des arbres. Et je peux maintenant vous apporter plein d’exemples de ce genre dans les domaines de la chimie, de la physique et de la biologie.

Donc si quelqu’un dit : Je vis ici comme le seul et l’unique, et mon égo s’enfle et c’est moi qui façonne tout, c’est une grande erreur ! Vous pouvez faire ce que vous voulez. Nous sommes reliés à la Terre ! Nous sommes un organisme ! Nous, les humains… et les humains sont un organisme relié à la terre.
Et même si je vois de tels fantasmes de pouvoir. Oubliez ça. Bien sûr que cela existe. Mais il s’agit là de développements indésirables qui s’effondrent naturellement à nouveau. Je n’en doute pas. Biologiquement. Voila ! Il est important que nous le sachions.

Et je voudrais donner encore quelques exemples au sujet de l’arbre et l’homme. Peut-être une autre différence importante. Quand je vois un arbre tout petit dans la forêt, ou quand j’en plante un – j’en ai personnellement planté des milliers – alors il se passe quelque chose de vraiment passionnant : Un petit arbre qui commence sa vie sait dès le premier jour ce qu’il veut dans ce monde, et il le sait durant toute sa vie. C’est à mes yeux la plus grande différence avec nous, les humains.

Un arbre sait : « Je dois grandir vers le haut et je dois étendre mes bras, mes branches, ma couronne, mes feuilles pour que le soleil brille sur moi. Alors je peux accomplir toutes mes tâches. J’ai besoin de la lumière du soleil. L’air est là, l’eau est là, tout est déjà là. » Et c’est ce qu’ils veulent d’abord.

Ainsi, au début de leur vie, ils participent à une compétition, parce qu’il y en a toujours beaucoup dans la forêt. La nature est toujours gaspilleuse. Il y a toujours beaucoup de graines. Et puis elles poussent vers le haut. Et puis il y a ces théoriciens de l’économie de marché libérale qui disent : la concurrence règle tout, parce que dans la nature aussi tout est basé sur la concurrence. C’est une erreur tellement fatale qui nous conduit à de faux développements dans l’économie.

Parce que, dans les bois, il y a une compétition, mais seulement très, très brièvement. Il y a une petite course. Et quand les arbres sont en haut, plus un ne pense à étendre son pouvoir. Le point où toute compétition prend fin est celui où la vie de l’individu est assurée. Dès qu’un arbre est grand, il le sait dans sa cellule la plus profonde : nous allons tous mieux si nous fraternisons totalement.

La forêt sait : les tempêtes arrivent, il y aura la sécheresse, il y aura la foudre, il y aura le feu de forêt, il pourra y avoir le bostryche. Il y aura tant de défis à relever. Nous ne pouvons les surmonter que si nous sommes fraternels, aussi fraternels que possible. Cela signifie que la concurrence, l’illusion que la nature nous met en concurrence… c’est-à-dire – si quelqu’un dit une telle chose – soit il n’a aucune idée de la vie, soit il poursuit certains intérêts. De toute façon, ce n’est pas vrai. Biologiquement ce n’est pas plausible. Et Gerhard Wisnewski a dit une belle phrase. Il a dit : « La vie, c’est de l’organisation. » C’est vrai. La vie, un corps organique vivant a besoin d’organisation à l’intérieur et à l’extérieur.

L’organisation ne fonctionne que s’il y a une transmission de l’information. S’il y a communication. Dans notre cas des arbres, s’il y a le langage des arbres. C’est la très grande erreur suivante : nous, les humains, nous allons dans la forêt et nous disons souvent : Nous allons dans la forêt parce que c’est silencieux. Mais c’est seulement parce qu’on ne comprend pas ce qui se passe, que c’est si silencieux. Il se passe plus de choses dans les bois qu’entre nous les humains.

Commençons par la croissance du petit arbre. Un petit arbre est planté ou tombe au sol sous forme de graine et commence à pousser. Nous avons déjà entendu dire qu’il a besoin d’eau et d’air, mais il a besoin de ces 0,5 % d’oligo-éléments. Ces substances régulatrices, c’est ce dont il a besoin. Comment les obtient-il ? Ils sont dans le complexe de l’humus. Et un arbre est… c’est aussi une idée fausse très répandue… une racine n’est pas un travailleur de la mine. La racine ne peut rien prendre du sol. Rien, rien, rien, pas un seul atome. Rien ! La racine a besoin de quelqu’un qui reçoit une commande, et qui extrait du sol et apporte à la racine exactement le matériel dont l’arbre a besoin à ce moment-là. Elle a besoin de quelqu’un pour faire ce travail. Et ce « quelqu’un » ce sont les micro-organismes.

Juste pour avoir une image : En moyenne, dix à onze millions de micro-organismes vivent dans une cuillère à café de sol forestier. Ce n’est même pas concevable pour notre bon sens. Il y en a tellement. Ces micro-organismes ne font rien d’autre de toute leur vie, avec ces oligoéléments : ils savent qu’aujourd’hui il a besoin de fer, demain de magnésium parce qu’il fait de la chlorophylle, après-demain du calcium, du potassium, du manganèse, toutes sortes de choses ; ces oligo-éléments, ils les obtiennent de la terre et les portent à la pointe des racines les plus proches. Je vous pose la question : « Sont-ils stupides ? » Travailler toute la vie pour rien ? Vous feriez ça, vous ?

Mais ne vous inquiétez pas. Ils ne le font pas pour rien non plus. Les micro-organismes sont payés royalement. Ce sont tous des drogués et ils reçoivent de l’arbre quelque chose qui n’existe nulle part ailleurs. Là-bas, dans le monde obscur. Cela n’existe nulle part. Et c’est – je vais commencer par la formule chimique – pour ceux qui travaillent dans ce domaine… C’est C6 (du carbone), H12 (de l’hydrogène), 06 (de l’oxygène). C’est exactement ce qu’a cet arbre là-haut. Et pour qui s’y connaît en chimie, c’est du sucre. Alors dans la photosynthèse là-haut il ne fabrique pas que des cellules de bois, mais il produit aussi beaucoup de sucre en été, lorsque le soleil brille et que la sève coule. Et il transporte du sucre vers le bas et le distribue aux micro-organismes. Chaque fois qu’ils fournissent quelque chose, ils reçoivent une goutte de sucre pour ça. Et c’est pour ça qu’ils travaillent. C’est une symbiose. C’est une grande coopération. Et ils savent aussi qu’un seul n’y arrivera jamais. Nous devons travailler ensemble et communiquer. Ils ont besoin de savoir ce dont l’arbre a besoin. Il y a beaucoup de grandes recherches formidables en biologie à ce sujet.

Si quelqu’un va dans la forêt… si je vais dans la forêt et que je prends une hache, ce que je fais souvent comme forestier et… je marque un arbre. Parce que je dis que l’arbre doit disparaître, parce qu’il est déjà si gros et pourrait s’effondrer. Puis je fais un trou dans le tronc pour que le forestier puisse le trouver et le couper. C’est une blessure, un trou comme ça, et l’arbre le sent tout de suite. Et dans ce cas-là, quelque chose de très étrange arrive. En quelques minutes, en plein été pendant la période de croissance – si ça se passe en été – il arrête complètement sa croissance. Il a reçu le message : « Il y a une blessure. C’est dangereux. Les spores fongiques, les virus, les bactéries peuvent pénétrer, ils pourraient mettre ma vie en danger par la pourriture et des choses semblables. » Ainsi, il arrête immédiatement de pousser vers haut. Il arrête de fabriquer des cellules et utilise toute sa force pour guérir cette blessure. Et le plus étonnant, c’est qu’après dix minutes des milliards de créatures du sol savent qu’il y a une blessure là-haut, qu’il y a maintenant besoin de quelque chose d’autre et ils amènent d’autres substances depuis le complexe d’humus à l’extrémité des racines. Chers auditeurs, plus vous regardez profondément dans la nature, plus vous vous agenouillez devant les miracles de la création de la vie. C’est tellement génial. Il n’y a rien de plus fantastique. ça, c’était sur le sujet de la communication. Ou, quand il fait très chaud en été, un orage souffle dans une vallée montagneuse et la foudre frappe un arbre – c’est désastreux – c’est des forces incroyables. J’en ai fait l’expérience. Cela paraît incroyable mais je me suis tenu moi-même une fois sous un tel arbre et j’ai heureusement survécu. A ce moment-là, je me suis levé et j’ai dit : « Seigneur, tu as encore quelque chose à faire avec moi », – car en temps normal tu serais mort. Ça déchire l’arbre complètement, à l’intérieur, et des lambeaux s’envolent. C’est une force prodigieuse. Si ça arrive et que tu reviens le lendemain au même endroit, c’est étrange. Le lendemain, des milliers et des milliers de bostryches tournent autour de cet arbre voué à la mort, parce qu’il n’a plus de forces. Je me suis souvent demandé… Je n’ai jamais vu là-bas un tel insecte et là soudain, un de ces arbres est faible et malade, et alors ils sont là. C’est la police sanitaire de la forêt. Leur devoir est d’enlever le malade pour que ça n’aille pas plus loin. Ils sont là le lendemain, puis ils s’introduisent dans les arbres qui ont tous un pouvoir défensif incroyable. Les premiers qui s’introduisent, ils reçoivent dans la figure plein de résine, ça les englue et ils étouffent. De cette façon la nature maintient l’équilibre écologique. Mais ils savent qu’il est faible, qu’il ne peut pas le supporter. Nous sacrifions les mille premiers et les autres peuvent se multiplier et nous en avons un million de plus. C’est comme ça que ça marche.

Et dès que le premier arbre de la forêt est attaqué par le bostryche, il se passe quelque chose de passionnant. Tout l’entourage reçoit le message : « Ici il y a une attaque de bostryches » et bien qu’on prétende qu’ils sont en concurrence et qu’ils passent leur vie à jouer des coudes, comme nous le faisons dans l’économie, les arbres environnants arrêtent de pousser immédiatement. Ils ne disent pas : « Hourra ! Maintenant il y en a un de moins, nous avons plus d’espace ! » Ils arrêtent de pousser, ils cessent la concurrence et ensemble, ils produisent exclusivement des substances de défense contre les bostryches. Incroyable !

Quand le premier arbre sur un flanc de montagne signale : « Je manque d’eau, ça devient sec » – c’est un grave danger de mort. S’il constate que ses réserves d’eau s’épuisent, il le signale à tous les autres et dès qu’ils reçoivent le message, ils disent ensemble sur tout le flanc de montagne concernée : « Freinons la croissance de 20, 25 ou 30 %, et rétrécissons dans cette même proportion nos pores et ensemble ralentissons tout ensemble. »

Et puis il y a la surveillance. Ils s’observent l’un l’autre, et si le lendemain déjà dix arbres disent : « Nos réserves deviennent rares également », alors ils descendent encore plus bas jusqu’à la croissance zéro. Il y a sûrement des arbres qui dans cette situation se tiennent encore debout dans un creux humide et qui pourraient dire « Je peux en profiter, maintenant je pousse vers le haut », mais ils ne le font pas. Ils veillent à s’en sortir ensemble. Cette attitude n’a pas besoin d’explications. Je n’ai pas besoin de philosopher là-dessus, c’est évident. Tu regardes seulement. C’est fantastique, je vous dis.

Et puis il y a une autre question passionnante, pour que je puisse répondre à la fin à la question d’Ivo. Si ces cellules des arbres – je viens de l’industrie de la recherche sur le bois – je suis un entrepreneur et j’ai réalisé plus de 1 000 projets de construction en bois dans plus de 30 pays au cours des dix dernières années. Et je suis à l’aise dans le monde de la technologie, mais je m’intéresse toujours autant à tout ce qui se cache encore derrière. Et je me suis toujours demandé, cette cellule de l’arbre, c’est un tel miracle, la communication, le langage des arbres. Avant je dois dire comment ça marche, cette communication dans la sécheresse et tout ça. Vous ne savez probablement pas comment ils communiquent : Eh bien, par Internet, c’est clair. Vous riez. Internet est une invention de la forêt. Chaque arbre possède plusieurs souches de champignons souterrains et on estime que chaque arbre possède environ 30, 40 ou 50 kilomètres du meilleur système de mycélium de champignons du sol forestier. Le sol forestier est ultra réticulé avec des filaments de champignons qui nous sont invisibles. Et tout comme notre corps peut envoyer des impulsions électriques à travers le système nerveux, les arbres peuvent envoyer des impulsions biochimiques d’arbre en arbre le long des filaments fongiques. Exactement le même système. Il ne fonctionne pas aussi vite que l’électrique, mais s’il prend quelques minutes au lieu de quelques millisecondes, cela n’a pas d’importance dans la forêt.

C’est assez rapide. C’est l’Internet de la forêt. C’est comme ça qu’ils communiquent. Ils communiquent donc de façon biochimique par le biais du système fongique. Les champignons que nous cueillons pour manger ne sont qu’un petit phénomène de ce vaste monde souterrain de champignons. Et ils communiquent par l’intermédiaire de molécules odorantes qu’ils envoient dans le vent et que le suivant prend ensuite en charge. Et ils parlent aussi par des molécules odorantes aux autres animaux. Quand le coléoptère arrive, ils envoient immédiatement des molécules odorantes à tous les oiseaux qui aiment manger des coléoptères. Pour que les oiseaux sachent : « Il s’est concentré ici, vous n’avez pas à faire d’efforts, ici vous pouvez avoir le ventre plein et moi je serai libéré. » C’est ce qu’on appelle l’équilibre écologique.

Alors vous voyez (… je pourrais parler jusqu’à la nuit. Il faut vraiment que j’arrête maintenant).
Mais je veux vous montrer : la nature est si géniale. Nous n’avons rien besoin de changer. Au contraire, nous devons nous efforcer de préserver ces merveilleux systèmes, et tout ira bien. Nous n’avons pas besoin d’intervenir comme le Créateur, nous ne sommes pas le Créateur. On n’est pas assis sur la cabine du carrosse de la nature, nous en sommes les bénéficiaires autorisés à récolter et à conserver. Nous le sommes vraiment. Voilà pour le langage des arbres. J’ai écrit tout un livre. Il se trouve à la table de littérature, il s’appelle « Le langage secret des arbres ». Et vous pouvez tout lire à ce sujet, comment ça marche.

Mais les analogies avec la vie humaine sont fantastiques. Et j’ai aussi travaillé avec des scientifiques là-dessus. Et je me suis toujours posé la question qui m’a tant fasciné : « Si une cellule de l’arbre est si incroyablement semblable à notre cellule humaine, pourquoi la cellule de notre corps, si ça se passe très, très bien fonctionne 100 ans, et ensuite c’est fini ? » Quand je sais qu’il existe des arbres qui vont durer des milliers d’années. Le plus vieil arbre connu de la science a 9 600 ans. Quelle sagesse ces êtres ont-ils acquise pour faire fonctionner des cellules de la même substance de base pendant des millénaires ? Imaginez si nous pouvions élucider le mystère aujourd’hui et ensuite préparer une grosse marmite d’élixir miracle, et que tout le monde en ramène une canette à la maison ! Et tu appliques ça sur le visage et demain tu te regardes dans le miroir et tu as l’air d’avoir 17 ans. J’ose douter que ce soit bon pour notre psychisme. Mais au moins, ce serait fascinant. Mais comme vous pouvez le constater, il y a une quantité incroyable de sagesse, de connaissance et d’expérience dans la forêt qui peut être bénéfique pour nous, les humains. Il y a une quantité incroyable là-dedans.

C’était juste une petite introduction philosophique. Je veux être aussi concret que possible et ne pas me contenter de rester dans la théorie, parce que tout cela a beaucoup à voir avec notre vie, avec ma vie, avec la vôtre, avec la vie de vos enfants et de nos descendants. Cela a énormément à voir avec nous. La vie, le devenir, le va-et-vient des arbres. Cela a beaucoup à voir avec nous. Parce que nous, les humains, comme nous l’avons si bien entendu aujourd’hui – Hagen, tu l’as si bien présenté – nous sommes dans une impasse dans plusieurs domaines. Toutes ces tentatives de s’accaparer le pouvoir sont en fin de compte un acte de désespoir. Je suis plein de pitié pour les gens qui consacrent leur vie à de telles choses, c’est une action désespérée. Et quand je regarde l’économie en tant qu’entrepreneur, je secoue la tête.

Comme vous l’avez entendu, ma première profession, ma première formation, c’était forestier. Et je disais : « C’est le travail de mes rêves, d’être forestier. » Et j’ai eu la chance d’être le plus jeune garde forestier d’Autriche. A un peu plus de 20 ans, j’étais déjà garde forestier. J’étais le seul à l’époque. Mais c’était une coïncidence qui n’avait rien à voir avec mon efficacité, mais avec des circonstances complètement autres. C’est une coïncidence si j’étais jeune… et j’ai commencé comme garde forestier… Pour la première fois, ils n’avaient trouvé personne pour une fonction pour laquelle d’habitude de nombreuses personnes se bousculent, personne pour ce poste dans la région montagneuse du Karwendel au Tyrol. Et la raison pour laquelle ils n’en ont pas trouvé, c’est que le chalet du forestier se trouvait à 80 km du bureau régional et qu’en hiver, vous étiez ensevelis sous la neige pendant des semaines. Il n’y avait pas encore de paravalanches. Quand l’avalanche arrivait, ils fermaient simplement la vallée et il fallait subsister seul.
Et j’ai eu beaucoup de chance… je suis marié depuis presque 40 ans… et j’ai eu beaucoup de chance que ma femme, juste avant cela, au moment où elle était amoureuse de moi (les jeunes filles doivent être très attentives maintenant, il faut être très prudent) – elle m’a dit à ce moment-là : « J’irai partout avec toi. » Imaginez un peu ça. Et dès qu’elle l’a dit, j’ai entendu dire qu’il y avait un poste de garde forestier pour lequel ils ne trouvaient pas de fou. Et j’ai postulé et j’ai été transféré là-bas.

Et nous voilà tous les deux devant la maison du forestier au milieu de la forêt et il n’y avait pas d’électricité. C’était une situation d’autarcie, et c’était merveilleux ! Pour moi, c’était un rêve parce que je passais toute la journée dans la forêt et j’ai pu me réaliser loin de la bureaucratie. En hiver, il faisait sombre, nous avions un enfant chaque année – c’était un temps merveilleux.

Et dans le chalet forestier, en plus d’expériences pleines d’humour, j’ai pu faire des expériences très profondes. J’étais un jeune technicien, un ingénieur et j’étais convaincu de la technologie. J’ai vu comment en utilisant les méthodes moyenâgeuses des travailleurs forestiers sont morts au travail. J’ai vu des accidents de travail quand ils descendaient le bois de la montagne avec un traîneau. C’était très, très difficile et laborieux. Et puis il y a eu les machines – un vrai soulagement. Et au début, nous avons trouvé que ces machines étaient une bénédiction. Et j’ai essayé de mettre la technologie là-dedans. Et c’était un peu comme si cette vision du monde devait être ébranlée seulement par la technologie, il fallait toujours que je fasse des expériences.

Par exemple, un jour, deux hommes sont venus me voir et m’ont dit : « Nous sommes deux luthiers et nous avons entendu dire qu’au Moyen Age les grands maîtres de la lutherie ont trouvé leur bois dans les hautes vallées du Karwendel. » Ils m’ont demandé si j’étais prêt à chercher de tels arbres avec eux. Alors je me suis dit : « Ça a l’air intéressant, je ne connais cela que par ouï-dire, alors j’y vais et je regarde ». Et quand nous sommes allés là-haut dans une de ces vallées, ils m’ont expliqué qu’il faut un arbre à violon qui a poussé très tranquillement, très bien et donc dans les montagnes. Et les meilleurs arbres qui ont telles mutations génétiques, qui n’ont pas de ligne droite, qui ont telles fibres ondulées, c’est extrêmement difficile et rare à trouver.
Je me suis dit « Bon, on va bien voir ce que ça va donner ! »

Puis ils ont commencé à cogner sur les arbres là-haut dans la forêt et à écouter. Pour moi, c’était toujours le même « toc, toc ». Je n’ai pas entendu de différence. Et puis je me suis ennuyé. Je suis ensuite allé ailleurs et après quelques heures je suis revenu, ils étaient tout excités et ils m’ont dit : « Nous avons trouvé un arbre qui pourrait être bon. » Alors j’ai dit : « Eh bien, je vais jeter un coup d’œil. » Je suis descendu sur la route où était ma vieille VW coccinelle et j’ai sorti la tronçonneuse, j’ai pris une hache et des cales, je suis remonté et j’ai coupé dans le tronc de l’arbre. J’ai fait une entaille. Comme l’arbre était très ancien, il s’est écroulé.

De toute façon je devais faire des coupes à cet endroit, et ça n’avait pas d’importance, ça allait. J’ai fait l’entaille d’abattage, j’ai fait la coupe d’abattage, je l’ai coincé et à un moment donné, la cime a commencé à trembler. Puis l’arbre se penche, il se tient à la fin seulement sur un petit morceau de bois… Et il bascule. Et dans ces moments-là, quand toi, un petit bonhomme avec une scie bruyante, tu abats un être vivant, c’est toujours – pour moi – un moment où je rentre en moi. J’étais très calme et j’ai essuyé la sueur de mon front et j’ai regardé : Waow. Et tous les deux se sont agenouillés immédiatement et ont regardé la coupe, les anneaux de croissance de l’arbre. Parce que les anneaux annuels de croissance sont son journal intime. C’est là qu’il écrit toute sa vie.

Vous pouvez voir ce qu’il a vécu. Vous voyez, par exemple, s’il n’a pas eu de lumière quand il était petit parce que le père était trop puissant et n’a pas laissé le garçon grandir. Alors… les couronnes… puis ils végètent et n’ont aucune chance. C’est pourquoi il est si important que les vieux arbres de la forêt s’en aillent. Ce n’est que lorsque les grands arbres sont enlevés que les jeunes arbres ont une chance – c’est un processus naturel. Ou… vous voyez, s’il y a eu la famine, la sécheresse, vous voyez, si le sol a commencé à glisser, parce que tout cela se reflète. Il doit fabriquer du bois de réaction, subvenir à ses besoins, etc. Et tous ces processus sont mauvais parce qu’ils créent une tension dans le bois. Il n’y avait rien de cela avec cet arbre – c’était parfait ! Et la fibre était si ondulée – je n’arrivais pas à y croire, je me suis dit : « Comment peuvent-ils entendre ça ? » Mais c’était comme ça. Et ils l’ont regardé, ils étaient plus qu’heureux, et je leur ai vendu un morceau de bois. Ils sont repartis en voiture, ravis, et puis je n’y ai plus pensé. Ma tâche était de vendre le bois par 1 000 mètres cubes à la grande industrie. Et pas de si petites sections. C’était juste un hobby pour moi.

Un an plus tard, on frappe à nouveau à la porte… les deux mêmes personnes se tiennent de nouveau devant ma porte d’entrée. Je les ai reconnues et je leur ai dit : « Si vous voulez encore chercher du bois de violon cette année, alors partez seul et je viendrai plus tard… » Ils ont dit « Non ». « Nous ne sommes pas ici pour chercher du bois, nous sommes venus vous remercier. Parce que le tronc, c’était parfait. » Et ils m’ont expliqué que normalement il faut stocker le bois pendant dix ans avant qu’on puisse vraiment fabriquer des violons.

Mais ils ont pu tirer un grand nombre d’ébauches et ils ont déjà fait un violon d’une seule pièce. Et le violon était finalement si merveilleux qu’ils n’arrivaient pas à le croire. J’étais un peu débordé parce que je pensais… (à l’époque, il n’y avait ni e-mail ni fax) – j’ai dit : « Vous auriez pu écrire une carte postale et pas venir si loin. »
Mais ils ont dit : « Non. Nous avons décidé de vous remercier par un concert. » Ils ont sorti le violon de la voiture et un deuxième. Je suis entré dans la maison, je suis allé chercher ma femme, les enfants et le chien – ils se tenaient tous là – et puis ils ont commencé à jouer tous les deux.

Et je me suis dit : « Waow » – J’étais toujours seul dans la forêt, en été, en hiver, on y entend tant de voix. Chaque jour est différent dans la forêt. C’est pas seulement l’humidité de l’air qui change, le vent, la pluie, la neige, le gel, le dégel, c’est toujours différent ! Mais je me suis dit : « Cette voix de l’arbre que j’ai moi-même – moi-même – abattu, je ne me serais jamais attendu à cela. » Et ils jouaient du violon, au milieu de la forêt, et je me suis dit : « C’est un autre monde. » Et puis nous les avons invités à manger. Et ils m’ont expliqué : « Un violon c’est rien de plus qu’un demi kilo de bois, mais mis dans la meilleure forme. Avec tout l’amour, avec toute l’expérience, avec toute la maîtrise, que les gens ont acquis au fil des siècles. »

Puis je me suis dit : « S’ils n’étaient pas venus, j’aurais amené cet arbre – cet arbre merveilleux – dans une grande scierie et ils l’auraient coupé en planches et ils l’auraient mis quelque part. » Aucune valeur ajoutée ! Aucune valorisation ! Je leur ai dit ça, ils ont ri et ils ont dit : « Oui, la valeur ajoutée dans notre secteur c’est énorme ! » Si vous considérez un violon de Stradivarius ou de Guarnerius, de ces grands maîtres, il a aujourd’hui du poids, il vaut cent fois plus en or qu’un demi kilo de bois. Alors je me suis dit : « Oh mon Dieu, j’envoie des arbres à l’usine de panneaux d’aggloméré, ils transforment les arbres en déchets dangereux ! » Et moi qui pensais vivre à l’époque moderne où tout s’était amélioré. Et j’ai commencé à douter de ce que nous faisions.

Et puis il y avait grand-père dans notre famille. C’était un charpentier de 80 ans. Et à cinq ans, Florian (qui se tient maintenant à la table de littérature) a commencé l’école. Puis j’ai dit – bien que ça aurait été inimaginable il y a quelques années… J’ai quitté mon poste d’Etat sûr et j’ai pris cette décision avec mon grand-père : Nous deux – il avait plus de 80 ans, j’en avais 26 ou 27 – nous allons fonder une entreprise. Je voulais découvrir le secret des arbres. Dans mon cœur, il y avait simplement cet appel : je dois aller dans la nature ! Et contre tout bon sens, j’ai suivi cet appel du cœur.

Ce n’était pas si drôle. Si tu es père de jeunes enfants et responsable de nourrir la famille et que tu dis : « Je lance une action à hauts risques » et je n’ai ni plan d’affaires, ni…, rien du tout, seulement grand-père comme conseiller d’entreprise. Alors grand-père a dit : « Attention ! si nous deux on travaille ensemble, il faut que tu prennes le bois dans sa meilleure forme. » C’est là que j’ai pensé : « Oui, oui, oui, dans la meilleure forme, c’est logique, il faut prendre un bon arbre ». Il a dit « Non, non. Il faut récolter le bois de lune au bon moment. »

Je n’étais pas à l’aise avec ça. Parce que j’ai étudié la sylviculture, lui, non. Et ils ne m’ont pas dit que c’était important. J’ai eu de la chance, lui, il n’a pas eu de chance. J’ai pu faire la formation que je voulais. Il était orphelin quand il avait 7 ans. Après la fin de la Première Guerre mondiale, il a appris le métier de charpentier avec grande difficulté. Et puis il s’est retrouvé en Russie, sur le front de l’Est. C’était sa vie, pas de formation. L’année dernière, en Crimée, j’ai visité les endroits où il avait dû passer, où tous ses camarades sont morts. Terrible ! Quelle chance nous avons, de vivre dans une telle paix.

Et j’étais un peu arrogant à l’époque et je me suis dit : « Grand-père et le bois de lune. Oublie ça, ésotérisme, ça ne va pas du tout. » Mais il a été têtu (je résume) jusqu’à ce qu’il me force à récolter mon premier lot de bois de lune. En hiver, nous coupons les arbres en janvier dans la neige profonde. J’étais là, j’ai écrit le « T » pour Thoma sur chaque arbre, pour qu’il puisse être envoyé à notre petite scierie. Alors nous avons déjà commencé à construire une petite scierie. Et à la nouvelle lune, j’ai dit : « Ça y est. Les quelques centaines de mètres que nous avons coupés sont stockés dans l’alpage. Parce que, maintenant, la lune change. » Et grand-père a dit : « Je ne peux plus rien faire d’autre. » Et certains bûcherons disaient : « Oui, oui, oui, les vieux ont raison. C’est un bon point. » Et les autres souriaient. Et c’est comme ça qu’on a fait.

Au printemps, en mai, le bois se trouvait encore sur l’alpage. J’ai vérifié. Les bûcherons ont continué à travailler après que moi, j’avais arrêté. Mais un voisin a coupé le bois par la suite. Et il l’a aussi stocké sur l’alpage – 50 m plus loin. Au printemps, les bostryches sont venus et ils sont allés sans exception dans le bois voisin. Et le mien a été épargné. Puis je me suis retrouvé dans l’alpage et je me suis dit : « Je suis une personne lucide et le coléoptère n’a pas de placebo. Le bostryche aurait dû envahir les deux piles de bois, s’il était là. » Mais il ne l’a pas fait. Alors je me suis dit : « Grand-père, tu sais des choses dont je n’ai aucune idée.» Et je me suis humilié et je lui ai dit : « Grand-père, je n’y croyais pas. » Puis il m’a dit : « Tu seras surpris, tu verras que le champignon n’entrera pas là-dedans. »

Nous sommes donc arrivés à la conclusion que ce bois dure des années, des décennies, des siècles plus longtemps quand il est intégré dans une construction, et qu’on n’a pas besoin d’une goutte de ce produit toxique pour préserver le bois, si on travaille comme ça. Et puis j’ai réalisé quel trésor le vieil homme m’a donné. Et puis là seulement, j’ai réalisé qu’il n’y a bien sûr aucun intérêt à enseigner aux jeunes techniciens dans les écoles comment l’industrie chimique ne fait pas d’affaires, c’est logique. Il y avait des dons de cette industrie précisément dans toutes les salles de classe, pour que ça puisse être enseigné. Waow !

Et puis j’ai commencé à écrire des choses et je les ai écrites parce que j’ai dit : « Pour les enfants, les petits enfants, ils seront grands un jour, peut-être que ça les intéressera. » Et j’ai écrit un journal intime.

Un jour, un éditeur est venu me voir. Il voulait acheter un plancher. Pas une maison à l’époque, un petit plancher. Et nous avons entamé la conversation et nous avons également abordé le sujet du « bois de lune ». Et alors je lui ai expliqué et je lui ai raconté comme je vous le raconte maintenant. Et j’ai feuilleté mes notes parce que je voulais lui montrer exactement d’où venait le bois pour son plancher. Alors il regarde, écoute, écoute et dit : « M. Thoma, vous devez écrire un livre. C’est très intéressant. » Et j’ai ri et j’ai dit à l’époque : « Je suis une tête de bois. Je ne sais pas écrire un livre. » Alors il dit : « Vous avez écrit un livre. Le manuscrit, il est posé là. » « Ce n’est pas un manuscrit, c’est mon journal pour les enfants, mais pas pour un livre. » Alors il dit : « Mais il suffit de le formuler pour pouvoir le lire comme un texte en continu, alors vous avez un livre merveilleusement intéressant. » Je me suis dit : « Ce n’est peut-être pas une mauvaise idée, puisque moi aussi, je l’ai eue en cadeau de mon grand-père. » J’y ai réfléchi et j’ai dit : « Pourquoi pas ? Je vais y réfléchir. »

Quelques jours plus tard, je vais voir mon comptable pour clarifier certaines questions comptables et après, nous avons pris un café et il me dit : « Comment ça va ? » On a parlé et j’ai dit : « Tu sais, c’est drôle, je crois que je vais écrire un livre. » Alors il rit et dit : « Mais qu’est-ce que tu veux écrire, comme livre ? » Alors je lui ai raconté l’histoire, il a écouté en silence, puis il a dit : « Écoute, maintenant je te dis quelque chose : je t’ai accompagné dans les années fondatrices les plus difficiles. Peu de jeunes entrepreneurs survivent à un tel risque. Et tu as de la chance que ton grand-père t’ait donnée des connaissances si spéciales. C’est un avantage de savoir-faire, c’est une longueur d’avance. Il faut le protéger, le défendre, il faut mettre ça dans un coffre-fort, pas dans un livre. Tu veux écrire un livre pour que tout le monde t’imite ? Tu es fou ? » Alors je me suis dit : « Il a raison aussi. » « Qu’est-ce que je dois faire maintenant ? » J’étais complètement déstabilisé et je suis rentré chez moi. Et je me suis dit : « Qu’est-ce que je dois faire ? »

Si vous ne savez plus, mes chers amis, s’il vous plaît, s’il vous plaît, si vous ne savez plus comment avancer, allez dans le silence ! Peu importe comment, que vous alliez dans la prière ou non, peu importe. Mais allez dans le silence. Et c’est ce que j’ai fait. J’en ai parlé à ma femme et j’y ai réfléchi. Et en étant assis sous un arbre, je me suis dit : « Que fais-tu, arbre, pour réussir comme ça ? » Je me suis dit : « Oui, c’est ça ! » Savez-vous quel est l’arbre qui a le plus de succès ? L’arbre qui a le plus de succès, c’est celui qui donne le plus de son savoir, de ses plus grandes richesses ! Et le perdant, c’est celui qui accumule ses richesses. Toujours, toujours, toujours, toujours !

Vous vous souvenez de l’histoire avec le sucre ? Le sucre, c’est l’or de la forêt ; avec le sucre on peut tout obtenir dans le monde des plantes. Tout, tout le sol travaille pour toi si tu as du sucre. Et l’arbre qui donne le plus, donne le plus, donne le plus, il reçoit le plus en retour. C’est vraiment comme ça. Et quand je l’ai fait… plus tard, quand ma fille a commencé à étudier la gestion d’entreprise, j’ai participé à temps partiel et j’ai étudié l’économie. Et là, c’est le contraire, que j’ai appris. Tu y apprends plein de choses, mais exactement le contraire. Mais à l’époque, je n’ai fait qu’en rire parce que je savais déjà mieux. Je vais être bref, j’ai décidé d’écrire le livre parce que je me suis dit : « A quoi bon ? Qu’est-ce que je suis censé amasser maintenant ? Ces connaissances, c’est grand-père qui m’en a fait cadeau ; moi aussi, j’en fais cadeau. » Si je ne l’avais pas fait, je ne serais pas là. Je ne serais pas là. Vous n’avez aucune idée de ce qui s’est passé.

La première chose, c’est ceci : le livre est sorti, c’était complètement non-professionnel. Je n’avais aucune idée de ce que c’est, l’écriture, je n’en avais vraiment aucune idée. Le livre est sorti et ça a été un best-seller ; nous avons tout de suite vendu les 100 000 premiers exemplaires. Un nombre incroyable, incroyable. Et j’ai reçu une avalanche, une avalanche de lettres, de retours, venant de forestiers, de bûcherons, de menuisiers, de vieux maîtres charpentiers, d’ébénistes, qui ont écrit : « Nous sommes si heureux que quelqu’un transmette cette expérience et maintenant nous vous écrivons ce que nous avons vécu. » J’ai reçu une bibliothèque de connaissances qu’on ne peut acheter nulle part dans le monde. C’était le premier remerciement. C’est incroyable.

En même temps, j’ai été attaqué dans les termes les plus forts. L’industrie chimique et la grande industrie des panneaux d’aggloméré sont arrivées et ont dit : « Bois de lune, si tu vends cinq mille livres, ça nous est égal, mais si tu vends cent mille livres, les clients commencent à nous en demander. Ça, ça ne nous plaît pas. » Alors ils ont donné un ordre de commande pour des études qui proclament que le bois de lune c’est n’importe quoi. Ça, c’est du lourd ! Si tu veux survivre en tant qu’entrepreneur et qu’il y a une étude officielle selon laquelle c’est de la fumisterie et que tu trompes les gens, ça tu dois d’abord y survivre. C’était une épreuve amère, mais vous le savez que si on survit à une épreuve, c’est qu’elle était bonne. Et savez-vous comment nous avons survécu à cela ? C’est ce qui a été le plus drôle. Après des nombreuses lettres positives, on nous a demandé si nous voulions recevoir une délégation du Japon. Alors je me suis dit : « Je ne connais le Japon que par la géographie, mais qu’ils viennent s’ils veulent. » Alors les gens sont venus du Japon et le chef de la délégation était un moine bouddhiste, un petit homme, enveloppé dans un tissu orange et ils avaient des interprètes avec eux, ils étaient très bien préparés et ils ont posé beaucoup de questions sur ce que nous faisons. Alors j’ai dit : « S’il vous plaît, je dois vous demander pourquoi vous êtes venus ». Alors l’homme me dit qu’il est le directeur du monastère, qui est le plus ancien bâtiment en bois sur terre. Il s’agit d’un bâtiment en bois vieux de 1 650 ans, de pagodes (un temple en forme de tour de quatre à cinq étages) et de bâtiments de ce genre. Et dans le monastère il y a des documents exacts sur la façon dont le bois a été récolté, à quel moment il a été récolté, comment il a été séché et traité. Et c’est 100 % cohérent avec ce que j’ai décrit dans le livre. Et ils ont été tellement surpris que quelqu’un en Europe ait écrit quelque chose comme ça, qu’ils ont décidé de rencontrer cette personne. C’est là que j’ai été stupéfait. J’étais assis là et j’ai dit : « La seule chose que je peux dire à ce sujet, c’est que le grand-père, il n’était sûrement jamais allé au Japon. »

Oui, oui… ça fait rire, mais en même temps j’ai été catégoriquement exclu de tous les appels d’offre dans mon pays d’origine, l’Autriche. Nous n’avons pas eu la chance de trouver du travail et le moine me dit au moment de l’adieu : « Ce que vous faites est bien. » J’ai dit : « Pourquoi ? » Alors il a dit : « Parce que vous travaillez d`une façon qui ne laisse aucune trace sur Terre. » Cela m’a beaucoup touché, parce que notre grande préoccupation était de batir une maison de manière à ce qu’elle soit encore bonne pour les générations à venir. En d’autres termes : qu’elle soit complètement exempte de déchets et d’ordures, qu’elle ne dégage aucun gaz chimique. Les colles utilisées dans l’industrie du bois sont toutes hautement toxiques. Il faut que ça dégage. Nous avons tout remplacé par des fixations en bois. Et nous avons tellement souffert de ce que ce travail, qui nous a menés à la limite de nos forces, ne soit pas apprécié. Et puis les Japonais arrivent et l’apprécient. Eh bien, ça a fait chaud au cœur. Puis il m’a dit : « A cause de cela, je vais vous soutenir. » Je l’ai remercié mais il y avait encore le Thomas incrédule en moi qui s’est dit : « C’est joliment dit… Mais tu ne me soutiendras pas du tout, parce que je ne te reverrai plus jamais. » Mais je ne l’ai pas dit, bien sûr.

Deux semaines plus tard, j’ai reçu un appel d’un éditeur de Tokyo – ce n’est pas qu’il voulait, il devait traduire mon livre en japonais et le mettre sur le marché, si j’étais d`accord. Bien sûr que je l’étais. La traduction en japonais a été la toute première traduction de mes livres. Et deux ans plus tard, j’avais plus de maisons dans le lointain Japon que dans mon pays natal, l’Autriche. Et tous les clients japonais, tous sans exception, avant que nous prenions une planche entre nos mains, avaient transféré d’avance en toute confiance 100 % de l’argent et pas une seule fois ils n’ont négocié une remise. C’était incroyable. Et avec cet élan, qui est venu de la générosité, nous avons pu développer l’ensemble de l’entreprise et j’ai construit mon centre de recherche.

Et là j’ai su, là je l’ai vécu moi-même, là Thomas l’incrédule s’est converti, là j’ai su que ça marche ! La création fonctionne quand tu fais de l’hygiène de l’âme. Si tu fais en sorte de garder dehors toutes ces bêtises. Et si tu te tournes du côté où il y a la vie, ça fonctionne. Là tu seras porté. Je n’ai pas grand-chose… Ivo, je connais si peu de ta vie. Mais quand je regarde ce qu’il y a ici, tu ne l’aurais pas imaginé au début. Tu es porté. Mais il faut avoir le courage de faire le pas et de dire : « Je m’engage. » Alors tu seras porté.

Oui, le bois de lune ! Mais là, bien sûr, c’était juste le début. C’est à ce moment-là que nous avons réalisé… alors pour moi, ces attaques étaient extrêmement précieuses ! J’ai pardonné à tous les agresseurs du fond du cœur et je leur en suis reconnaissant aujourd’hui. Ils sont des outils, sans le savoir. Parce qu’ils m’ont appris que la science et les connaissances anciennes doivent être réunies. Qu’il n’y a pas d’opposition, qu’il s’agit de laisser entrer la nature dans la vie. Et de ne pas dire : « Je suis membre du parti de la nature ou du parti… ». Il n’y a rien de tel ! Nous sommes une unité !

Et j’ai réalisé ceci : Nous devons faire de la recherche, de la recherche, de la recherche.
Puis nous avons dit : tous les produits chimiques dehors ! En premier nous avons développé des murs en bois massif assemblés mécaniquement.

Puis j’ai fait les premiers tests de résistance au feu. Au début des années 90, les meilleures constructions en bois les plus résistantes du monde pouvaient résister 30 minutes aux flammes expérimentales dans les laboratoires d’essai – elles ont obtenu la certification F 30 (= résistance au feu pendant 30 minutes). Mais avec nos murs et nos plafonds épais le mazout dans le brûleur s’est épuisé après deux heures pendant le premier essai au feu en laboratoire. Ensuite, ils ont dû répéter le test et nous avons été les premiers au monde à recevoir la certification F 180 : trois heures de sécurité incendie. Après trois heures, tout est déjà évacué depuis longtemps ! On ne peut pas faire ça avec du béton armé. Parce que quand il brûle à 1 000 degrés, après une demi-heure à une heure, le fer dans le béton armé est recuit et il s’effondre. Et ça, nous y sommes arrivés avec du bois !

Puis dans les années 90 et surtout après le tournant du millénaire, il y a eu cette campagne d’isolation. C’est toujours le même truc ! Le but est juste, bien sûr ! C’est juste, bien sûr, que nous ne devons pas piller du pétrole quelque part pour le transporter, avec tous les risques, dans le monde entier – et ensuite le brûler, seulement pour chauffer nos maisons. C’est bien trop précieux. Mais expliquer aux gens que pour économiser de l’énergie, ils doivent envelopper toutes les maisons avec des polystyrènes toxiques, dans lequel les maisons moisissent et dont personne ne peut plus se débarrasser… une vraie saleté, c’est de la folie ! C’est de la folie !

Etant de vrais marginaux, nous avons toujours dit : nous ne faisons jamais de publication, jamais ! D’abord construire, parce qu’alors personne ne peut dire « Ça ne marche pas ! » En parler seulement après. En tant que vrais marginaux, soutenus par des gens formidables, l’EPF Zurich (Ecole polytechnique fédérale de Zurich), nous avons toujours très bien travaillé avec les universités suisses (ici il y a encore un peu plus d’indépendance qu’ailleurs, il faut le dire) – nous avons construit les premières maisons autonomes en énergie ! Je construis une maison pour tous ceux qui le veulent, une maison qui se chauffe et se refroidit toute l’année ! Jamais plus froid que 18 degrés et jamais plus chaud que 24 degrés ! Sans que tu aies besoin d’un poêle ! Seulement avec le soleil qui brille sur le toit et avec la chaleur accumulée dans l’épaisseur du bois. Le bois isole plus d’un mois ! C’est ce que nous avons développé ! C’est ce que la nature nous offre, ça marche !

Tout comme l’a dit Barbara (l’oratrice précédente) : « Je n’ai pas besoin de Ritaline, je peux m’en sortir différemment ». Mesdames et messieurs, je n’ai pas besoin d’isolation ! La crise énergétique n’est pas un problème pour moi. Nous n’avons pas de crise énergétique. Pas du tout ! Nous avons des mauvais concepts ! C’est tout !

J’ai dû et j’ai pu construire cinq usines dans ma vie ! Et je me souviens quand nous avons construit la première usine, je me suis dit : Maintenant, nous devons la faire très grande, parce que si nous construisons des hôtels ou… Au début, nous avons construit des maisons individuelles, ensuite des bâtiments de 4 étages, puis nous avons construit la première maison du centre-ville à Hambourg, bâtiment classe 5, uniquement avec du bois, seulement avec du bois. Et on a apporté tous les certificats de sécurité incendie et on a fait les hôtels en bois les plus silencieux du monde. Puis nous avons eu la merveilleuse commande de construire une université à Moscou… nous avons fait de grandes choses. Et puis ça a pris de l’ampleur. Alors je me suis dit : « C’est comment maintenant ? Maintenant, nous avons besoin de grandes usines, de grands halls, beaucoup plus grands qu’ici, et il y a de grosses machines à l’intérieur – est-ce que je dois aussi puiser dans le réseau et l’énergie nucléaire ? Si je fais ça, j’atterris dans l’impasse de la dépendance ». Ma plus grande usine, où nous construisons le plus grand nombre de maisons, c’est au nord de Bâle en Allemagne, donc près de Fribourg/Lahr dans la Forêt-Noire. Là tout fonctionne à l’énergie solaire ! Avec le soleil qui brille sur le toit ! Tout fonctionne, toutes les machines fonctionnent ! N’importe quoi ! Chaque maison qui sort d’une telle usine si elle doit être enlevée, peut être démontée,… elles durent 500 ans, elles durent aussi longtemps que ça… Et si elle doit être enlevée rien n’est jeté, ce sera à nouveau une maison ! On peut dévisser les murs, ça retourne à l’usine, le robot perce les goujons qui maintiennent tout ensemble – il prend planche par planche – et il construit la maison suivante avec.

Les matières premières ne manquent pas, Mesdames et Messieurs ! Pour moi c’est scandaleux – SCANDALEUX – qu’on fasse peur en prétendant que la pénurie règne sur terre ! C’est le mauvais tour le plus méchant qui soit. La terre, la terre, la création, la création de Dieu est un lieu d’abondance et de joie ! Sortez au printemps et regardez un cerisier. Le cerisier a la tâche de porter disons 1 000 cerises. S’il avait été chez McKinsey [consultant en gestion] et s’il avait appris, il aurait fait pousser exactement 1 020 fleurs. Parce que tout le reste, c’est du gaspillage. Mais il a 100 000 fleurs s’il veut 1 000 cerises. Ou plus encore ! Il y en a en abondance ! Assez pour tout le monde !

Et c’est comme ça que ça marche ! Maintenant, je vais vous dire quelque chose. On nous dit par exemple : « Oui, maintenant nous avons trop peu de bois ou trop peu de manganèse ou trop peu de ressources minières, car tout le monde aimerait avoir un téléphone portable ». Passons à un autre exemple. Vous savez ce que c’est avec les déchets électroniques ! Vous savez ce qu’on va faire avec ça ? Dans une tonne de déchets électroniques, la proportion en poids de ressources minières est environ dix fois plus élevée que dans le minerai du Congo, où il est extrait comme matière première. Mais on ne récupère rien ! Nous déversons les déchets électroniques quelque part à Rotterdam ou à Bremerhaven sur un vieux cargo, nous les expédions sur la côte de l’Afrique de l’Ouest ou ailleurs, là où les gens sont sans défense et nous jetons tous les déchets toxiques sur un tas. Et les plus pauvres des pauvres en tirent peut-être encore un câble de cuivre, mais tout le reste est perdu ! Nous avons atterri dans l’impasse de l’économie du gaspillage et du jetable. Dans mes études d’économie, j’ai appris ceci : « Quand on commence un nouveau produit, il faut commencer au tout début, tout d’abord faire une étude de marché ». Disons que je fais un rasoir électrique. (Je vais consciemment quitter ma branche maintenant.) Je vais devoir faire une étude de marché : Qui achète ce rasoir, qui l’achètera ? Et qu’en est-il de sa mémoire ? Quand le rasoir électrique peut-il être hors service pour que le consommateur en achète un nouveau sans se fâcher ? Ensuite, dans le cas du rasoir, vous arrivez à la conclusion que s’il tombe en panne après deux ans, le consommateur n’achète plus la marque, s’il tombe en panne après cinq ans, il l’achètera à nouveau. Et donc il faut faire construire le rasoir électrique par les techniciens de façon à ce qu’il soit hors service après cinq ans. C’est ce qu’on appelle l’obsolescence programmée, l’usure planifiée. C’est un scandale ! Pas de stratégie marketing, c’est scandaleux ! C’est voler l’avenir des enfants ! C’est ainsi que nous fonctionnons dans l’économie.

Mais quand je regarde dans les bois – là, c’est tout à fait différent ! Chaque fourmi construit sa maison de telle sorte que, lorsqu’elle s’en va, tout est réutilisé par la colonie suivante. Il n’y a pas d’ordures, pas d’ordures !
On nous dit que nous sommes trop nombreux sur cette terre. Que nous allons arriver au point où les matières premières ne vont plus suffire. C’est un calcul très simple :

Nous sommes actuellement sept milliards de personnes, avec un poids moyen de disons… 70 kg, moins en Asie et un peu plus ici. 7 x 7 = 49. Il y a donc 500 millions de tonnes de personnes vivantes qui se promènent sur terre. Pour l’instant, tout va bien.
Les biologistes peuvent calculer le poids de toutes les fourmis et termites qui se promènent. C’est incroyable. Le monde des insectes est toujours sous-estimé, ils pèsent 6 à 7 fois plus que nous, les humains. Incroyable !

Avez-vous déjà entendu quelqu’un dire : « Les fourmis, ces sales bêtes, elles mangent tout, c’est beaucoup trop, maintenant les ressources s’épuisent. » Non, bien sûr que non, parce que ces animaux vivent une économie circulaire. Ils conçoivent chaque produit de manière à ce que tout puisse être réutilisé.

Et si nous avions construit des villes il y a cent ou cinq cents ans à partir de maisons où tout pouvait être démonté et réutilisé, alors je n’aurais plus besoin d’une forêt comme fournisseur de matières premières. Alors je ne courrais jamais le risque que la forêt soit pillée.

Mais quand je vais dans les bois à la manière d’Ikea, que je transforme tout en panneaux agglomérés, que je conçois les meubles pour qu’ils puissent être cassés au premier déménagement, pour que le client doive en acheter de nouveaux et que les déchets soient un fardeau pour ceux qui doivent les éliminer… mais de toute façon le public paie… alors, la question des ressources se pose.

Je vous l’ai expliqué en détail parce que je vous le dis : Dans ce monde, il n’y a aucune raison d’avoir peur, aucune.
Et il y a une autre loi très importante, et maintenant j’en viens à mon dernier chapitre :

Une loi très importante dans la nature à l’extérieur, près des arbres, il n’y a rien de tel que l’idéologie ou la morale, il n’y a rien de tel. Tout est aussi décentralisé que possible. Et là dehors, toute expérience est permise. Il n’y a personne qui dise : « Horreur, ne fais pas ça, parce que c’est mauvais quand tu baisses ton pantalon ou que tu fais autre chose ». Il n’y a rien de tel. Mais inversement, pour que tout soit permis, la responsabilité incombe toujours à celui qui le fait.
Un manager qui expérimente quelque chose et qui dit que c’est les autres qui payeront les pots cassés, ça n’existe pas. Tout le monde peut tout essayer, mais c’est chacun qui en porte la responsabilité. Et quelque chose d’étrange en est sorti, c’est du moins ce que j’ai observé : Le mieux, c’est toujours ce qui sert la vie de tous. Ce qui sert la vie de tous, c’est ce qui va réussir – et ça, c’est incroyable.

Et maintenant, j’en viens au sujet de la « santé », parce que la santé c’est évidemment quelque chose d’important pour les gens. Le matériau bois a une influence très pertinente et impressionnante sur notre santé, car il a été créé ainsi.

L’arbre a énormément à voir avec notre santé.

J’ai écrit le livre : « Le langage secret des arbres » et j’ai ensuite rencontré par hasard un des chercheurs en médecine les plus renommés et les plus respectés d’Autriche, un certain professeur Maximilian Moser, qui avait sa chaire à la faculté de médecine de Graz. Et pendant ce temps – nous étions impliqués là-dedans – il y a eu des expériences pour voir sur le plan physiologique ce qui arrive à un être humain s’il vit, travaille ou dort dans une maison en bois – ou dans une maison construite commercialement à partir de plaques de plâtre et de matériaux synthétiques comme nous les connaissons. Les résultats ont été impressionnants !

Au début, nous avons fait deux chambres à coucher : l’une en bois et l’autre en imitation bois, en stratifié, c’est-à-dire en plastique qui ressemble au bois.
Toute personne qui dort dans du bois pur économise le travail du cœur d’une heure entière en une nuit. Les habitants de Graz étaient des spécialistes de la mesure du système nerveux végétatif. Ils avaient également mis au point une nouvelle procédure. Toute personne qui dort ou travaille dans une pièce en bois a de meilleures chances de guérison quand il est malade, il a un système nerveux végétatif renforcé, une meilleure concentration, et ainsi de suite. Incroyable !

J’ai été fasciné par ces expériences et au passage j’ai parlé de cela à mon éditeur de l’époque du livre « Le langage des arbres ». Ensuite rien ne pouvait plus l’arrêter. Il a dit : « Erwin, j’ai besoin que tu m’écrives un livre sur le bois et la santé. »

J’étais très réticent parce que je disais : « Hannes, je ne suis pas médecin. Je ne me sens pas appelé à écrire sérieusement sur le sujet de la santé. On ne peut pas faire ça si on n’est pas médecin. Je n’ai pas assez de connaissances de base. »

Bien sûr, il n’était pas satisfait de cela. Un jour, il m’a dit : « Maintenant, tu vas m’écrire ce livre. » « Pourquoi ? » « J’ai reçu l’accord du professeur Moser, il fera pour toi la rédaction sur tout ce qui est médical. Et ainsi tu as derrière toi toute l’Université de Graz – la faculté de médecine la plus renommée. » J’ai dit : « Waow, c’est génial ! C’est une grande opportunité. Si ça tient, je le ferai. »

Puis nous nous sommes rencontrés à la rédaction de Salzbourg. J’ai posé une condition : « Cher Professeur Moser, si c’est ainsi que cela doit être, alors vous devez répondre aux questions les plus stupides que je puisse poser en tant que profane. J’ai besoin, pour ainsi dire, que tout ce qui est dans le livre soit prouvé médicalement et scientifiquement. » Il a dit oui.

Et une nouvelle aventure a commencé.

J’ai grandi de façon très rustique quand j’étais enfant. Je ne veux pas comparer cette époque avec celle d’aujourd’hui, c’est impensable. Nous avons grandi très différemment des enfants d’aujourd’hui. Imaginez : si aujourd’hui un instituteur de maternelle disait aux enfants : « Chers enfants, aujourd’hui nous allons jouer toute la journée sur le tas de fumier. » On ne peut pas faire ça. Les conditions d’hygiène étaient complètement différentes.
Nous étions à la ferme, nous avons dû beaucoup travailler, tout était complètement différent. Mais de cette enfance, j’ai ramené des souvenirs et je les ai emportés avec moi. Je m’en suis souvenu… nous avons toujours une petite ferme à la maison aujourd’hui. Et quand j’étais enfant, je devais souvent travailler avec des chevaux, il n’y avait pas de tracteur chez le voisin. Et j’aimais aller avec les chevaux et regarder comment deux chevaux qui ne s’aimaient pas s’approchaient trop. Une jument a pris son élan et l’autre en a vraiment reçu une. Elle était ferrée, et ça a fait une plaie béante à l’épaule avec de la chair qui pendait.

Sérieusement, si un cheval comme celui-là a une septicémie, il meurt rapidement. Malgré tout, personne n’a appelé le vétérinaire, ça aurait été beaucoup trop cher. A la place, la grand-mère est allée dans l’étable, a pris une boîte sale en fer blanc, qui se trouvait toujours dans l’étable. Elle l’a ouverte et il y avait à l’intérieur une pommade faite maison avec de la résine. Ils l’ont appliquée sur la plaie et une semaine plus tard, le cheval était de nouveau prêt à travailler. La terrible blessure a été guérie sans problème.

Peu de temps avant mon entrée à l’école, le chien de la cour m’a profondément mordu le mollet. Mais avant, moi, j’avais essayé quelque chose avec le chien. Et il y a eu la même procédure. Bon s’il te plaît, ne le prends pas mal. Si je vois une telle blessure chez un enfant aujourd’hui, je vais chez le médecin. Mais personne ne m’amenait chez le médecin à l’époque. Ils ont étalé la pommade sur moi, elle m’a guéri. Cette pommade de résine, elle était omniprésente.

Le point culminant a été lorsque grand-père, âgé de plus de 80 ans, s’est blessé. C’était toujours notre coutume, le samedi nous avions chez notre grand-mère café et gâteaux. C’est là qu’ils se réunissaient. Ce samedi-là, grand-père était encore dans l’atelier comme si souvent et il finissait quelque chose ; et nous nous sommes déjà assis dans la cuisine avec le café. Soudain la porte s’ouvre, grand-père sort de l’atelier, il a glissé, sa main dans la raboteuse, dans la tête de fraisage. Il ne s’est pas coupé les doigts comme ça arrive normalement, mais il s’est taillé tout le muscle à la base du pouce. C’était une entaille énorme, ça saignait terriblement.

Il apparaît dans la cuisine et dit à grand-mère : « Muatta, hiaz brauch i a Soim. » [Mère, maintenant, j’ai besoin de la pommade.] Il saignait tellement et nous étions choqués, bien sûr, et on s’est levé d’un bond : « Tout de suite ! Le médecin d’urgence. » Un autre a dit : « Pas le médecin d’urgence, emmène-le à l’hôpital, il doit être recousu. » et grand-père n’a pas paniqué, il est resté calme. Il m’a dit : « Non, non ! Vous n’avez pas besoin d’appeler qui que ce soit, parce que moi, je ne monterai pas dans la voiture. » Et à ce moment là, grand-mère est arrivée ; vous savez ce qu’elle avait dans les mains ? Et je pensais que je devais l’empêcher, parce que c’était clair pour les chevaux, mais pour les humains ?

Je pensais que s’il avait une septicémie, un empoisonnement du sang, il était mort. Un vieil homme comme ça ne peut pas faire ça. Mais on ne pouvait pas l’en empêcher. Il a mis la pommade sur la blessure et après 14 jours, la plaie avait guéri sans complications. Je n’en reviens pas !

Et c’est ce que j’ai dit au professeur. J’ai dit : « Max, qu’est-ce que tu en dis ? Est-ce que les gens avaient un meilleur système immunitaire et que nous sommes affaiblis aujourd’hui ? Comment c’est possible ? Il n’y avait pas d’hygiène dans le soin de ces plaies. » Alors il m’a dit : « Tu as la recette ? » Moi : « Bien sûr que j’ai la recette, parce que ma femme est pharmacienne et aussi du côté de la naturopathie. Elle avait l’habitude de préparer des pommades et de faire toutes ces choses. Elle l’a appris. »

J’ai toujours été Thomas l’incrédule. Quand je me blessais, je courais à la pharmacie. J’utilisais la pommade pour les animaux, mais j’ai acheté de la Bétadine et du Merfen à la pharmacie quand je me faisais mal.
Je lui ai dit ça pour qu’il ne me soupçonne pas d’être sur une mauvaise voie. Je lui ai aussi donné la recette, au grand professeur.

Lors de la réunion suivante, il dit : « Erwin, c’est quelque chose de spécial avec la résine. » « Pourquoi ? » « Imagine, on a examiné la résine de mélèze dont tu parles. Et cette substance tue les bactéries, les champignons et les virus dans une plus grande mesure (c’est-à-dire qu’elle tue tous les agents pathogènes) que tout autre médicament disponible dans l’industrie pharmaceutique. »

J’ai dit : « Quoi ? ? ! Max, toi, tu es le grand spécialiste de médecine traditionnelle. Tu formes des médecins et tu dis ça ? »
Il dit : « Erwin, c’est comme ça. Et je vais te dire autre chose : cette recette que la nature a trouvée est si complexe qu’on ne peut pas la recréer synthétiquement. Ce n’est pas un truc pour faire des affaires. Ça ne marche pas. Mais c’est très efficace ! » Moi : « Max, dans ma scierie – notre entreprise a grandi pendant ce temps-là et parce que personne ne fait plus le bois de lune, nous avons construit notre propre scierie – il y a assez de résine de mélèze. En une heure, j’en ai déjà un seau plein. Je le fais comme Panoramix dans Astérix et Obélix – je la mets dans un seau et tout le monde reçoit la pommade – c’est super. On peut aider les gens ainsi ! » Il m’a écouté et m’a dit : « Écoute, tu vas rester sagement avec tes maisons en bois. » « Pourquoi ? » il répond : « Si tu penses que tu vas entrer dans une stratégie d’affaires de l’industrie pharmaceutique, tu ne seras pas heureux. Ne t’y aventure pas ! »

J’ai compris ce bon conseil tout de suite et je me suis dit : « J’ai déjà eu un tel combat derrière moi. » Et j’ai demandé : « Et qu’est-ce qu’on fait alors ? » Il m’a dit : « Tu m’as raconté l’histoire des Japonais : Le savoir peut être transmis. »
Puis nous avons écrit la recette de la pommade de mélèze dans le livre « La médecine douce des arbres ».
Vous ne pouvez pas imaginer – il est arrivé exactement la même chose qu’avec le bois de lune à l’époque. J’ai mon propre dossier à la maison – et il faut le dire pour sauver l’honneur des médecins – des médecins praticiens de tous bords, qui m’ont envoyé des rapports sur leurs expériences avec la pommade :

Une ORL de Munich m’a écrit : Elle a un grand cabinet à Munich et pour la première fois, elle a pu guérir complètement une mycose d’oreille tenace.
J’ai reçu une lettre d’un chirurgien. Il opère tous les jours et plus de 90 % de ses patients ont une cicatrisation satisfaisante. Près de 10 % ont des problèmes. Il peut les résoudre presque tous avec cette pommade. Imaginez-vous ça !
Et c’est de ça qu’il s’agit ! Il ne s’agit pas d’aller au combat maintenant et de combattre quelque chose. Il suffit d’accepter ce qui nous est donné jour après jour.
Je vous souhaite tout cela de tout mon cœur. Merci beaucoup ! Je vous souhaite le meilleur !

Applaudissement

Thoma : Merci

Applaudissement

Ivo : Merveilleux. On rattrape maintenant tout ce qu’on a dû supprimer.

Ivo : OK, pour résumer, on pourrait t’écouter pendant des heures. L’enseignement de l’école autant que de l’église nous dit qu’on peut discourir sur tout mais jamais plus de 20 minutes. La philosophie ou, que sais-je, la psychologie dit qu’on ne peut pas être attentif plus de 20 minutes. Tu es le dernier conférencier, ça fait au moins une heure et demie que tu parles, et c’est la fin d’une journée incroyablement dense en information. On a absorbé chaque mot, tu l’as vu à notre réaction. Je te souhaite énormément de succès pour ton avenir, afin que beaucoup puissent en profiter. Merci beaucoup pour ces secrets.

Thoma : Merci. On va se revoir

Ivo : Nous nous reverrons. Merci beaucoup !




Le grand mensonge écolo que presque tout le monde prétend croire

[Source : Aube digitale]

Presque tous les membres du Congrès, démocrates ou républicains, rendent hommage au Grand mensonge écolo. C’est également le cas de tous les candidats conservateurs passés et actuels en lice pour le poste de premier ministre du Royaume-Uni et de tous les candidats actuellement en lice pour la direction du Parti conservateur du Canada. Il en va de même pour la quasi-totalité de la presse grand public. Le Grand mensonge écolo – à savoir que le dioxyde de carbone est un polluant – est si répandu que même ceux qui sont considérés comme sceptiques – y compris les ONG et les experts de la droite – adhèrent généralement à l’orthodoxie, ne se distinguant pas par leur conviction déclarée que le CO2 est un polluant, mais seulement par la gravité de ce polluant.

Parce que tout le monde participe désormais au mensonge des émissions de CO2, le débat sur la politique climatique ne porte plus sur l’existence d’un problème de CO2, mais sur l’urgence et la manière de s’y attaquer. Nous reste-t-il huit ans ou des décennies avant que l’Armageddon ne devienne inévitable ? Devons-nous nous passer des combustibles fossiles en construisant des centrales nucléaires ou des éoliennes ? Devons-nous changer nos modes de vie pour avoir besoin de moins de tout ? Ou devrions-nous atténuer ce mal – le point de vue de ceux qui sont considérés comme minimalistes en matière de climat – en protégeant nos continents de la montée des océans en les enfermant derrière des digues ?

La quasi-totalité de l’échiquier politique s’accordant publiquement à dire que la réduction du CO2 est une bonne chose, le débat s’est déroulé entre ceux qui veulent faire le bien rapidement en atteignant le niveau zéro en 2040 et ceux qui veulent ralentir la réalisation d’une bonne chose. Avec un discours qui s’enfonce dans des trous de lapin, presque tout le monde se perd en cherchant des solutions à des illusions d’Alice au pays des merveilles – et en gaspillant des milliards de dollars dans le processus.

Jusqu’aux années 2000, lorsque le changement climatique était encore appelé réchauffement de la planète et que les médias grand public remarquaient encore qu’aucune des innombrables prédictions de catastrophe climatique ne se vérifiait – les calottes polaires ne fondaient pas, Manhattan n’était pas sur le point d’être submergée, la malaria n’infectait pas l’hémisphère nord – beaucoup ont dénoncé le changement climatique d’origine humaine comme un canular. La fuite des courriels du Climategate a révélé comment les scientifiques avaient conspiré pour « cacher la baisse » des températures qui n’était pas conforme à leurs modèles. L’affirmation selon laquelle 97 % des scientifiques soutenaient la théorie du réchauffement climatique a été démasquée comme une fraude, tout comme l’affirmation selon laquelle les 4 000 scientifiques associés au GIEC avaient approuvé son rapport – ces 4 000 scientifiques ne l’avaient pas approuvé, et la plupart ne l’avaient même pas lu, mais avaient simplement examiné certaines parties du rapport et étaient souvent en désaccord avec ce qu’ils avaient lu.

L’affirmation selon laquelle la « science était établie » sur le changement climatique n’a jamais résisté à tout examen. Des scientifiques du monde entier ont signé une série de pétitions pour contester cette affirmation. La pétition de l’Oregon de 2008, lancée par un ancien président de l’Académie nationale des sciences et défendue par Freeman Dyson, successeur d’Albert Einstein à Princeton et l’un des scientifiques les plus éminents au monde, a été signée par plus de 31 000 scientifiques et experts qui ont convenu que « les limites proposées pour les gaz à effet de serre nuiraient à l’environnement, entraveraient les progrès de la science et de la technologie et porteraient atteinte à la santé et au bien-être de l’humanité. … En outre, il existe des preuves scientifiques substantielles que l’augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique produit de nombreux effets bénéfiques sur les environnements naturels végétaux et animaux de la Terre. »

[Voir aussi le dossier Climat]

Le président de la COP26, Alok Sharma (au centre), prend la parole lors de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique COP26 à Glasgow, en Écosse, le 13 novembre 2021.
(Jeff J Mitchell/Getty Images)

Ce qui est réglé, c’est l’échec lamentable de la tentative faite depuis trois décennies par les bureaucraties des 195 pays du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU de convaincre qui que ce soit d’autre qu’eux-mêmes, des médias crédules et un nombre relativement restreint de personnes crédules que le changement climatique représente une menace existentielle. Les sondages qui se succèdent depuis des décennies montrent que le public n’accorde que peu d’importance au changement climatique lorsqu’on lui demande d’en évaluer l’importance.

Un sondage Gallup publié cette semaine, qui demandait aux Américains : « Quel est, selon vous, le problème le plus important auquel le pays est confronté aujourd’hui ? », a révélé que le changement climatique ne répondait pas à ses critères parmi les nombreux problèmes à énumérer. Comme l’a noté Gallup, « de nombreuses régions du pays ont subi des chaleurs record ces dernières semaines, et d’autres régions ont connu des inondations record. Mais à peine 3 % des Américains mentionnent la météo, l’environnement ou le changement climatique comme le principal problème du pays. » De même, le mois dernier, « seulement 1 % des électeurs interrogés dans le cadre d’un récent sondage New York Times/Siena College ont désigné le changement climatique comme le problème le plus important auquel le pays est confronté …. ». Même parmi les électeurs de moins de 30 ans, le groupe que l’on pense être le plus motivé par la question, ce chiffre était de 3 % ».

Bien que la plupart des élites continuent de reconnaître du bout des lèvres l’urgence de réduire le dioxyde de carbone, leurs actes démentent leurs paroles, que l’on en juge par leur penchant pour les voyages en jet privé ou leur engagement peu sincère en faveur des politiques liées au climat. Selon une annonce faite par l’Agence internationale de l’énergie (AIE) la semaine dernière, le charbon est à nouveau roi : La demande mondiale de charbon cette année « égalera le record annuel établi en 2013, et la demande de charbon devrait encore augmenter l’année prochaine pour atteindre un nouveau record historique. » L’évaluation de l’AIE va dans le sens d’une adhésion mondiale au charbon, y compris de la part de l’Union européenne, jusqu’à récemment la plus zélée des grondeuses du monde en matière de climat. L’Union européenne revient aujourd’hui sur ses engagements en faveur du « Net Zero ».

Dans certains pays, les gouvernements ne reviennent pas tant sur leurs politiques climatiques qu’ils ne les mettent carrément à la porte. Qualifiant les éoliennes de « ventilateurs » qui nuisent à l’environnement et provoquent une « pollution visuelle » sans fournir beaucoup d’énergie, le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador a déclaré que le gouvernement allait mettre fin aux subventions et cesser de délivrer des permis pour les nouveaux projets éoliens. Israël s’apprête également à mettre fin à l’industrie éolienne du pays, son ministre de la protection de l’environnement affirmant que l’éolien apporte une « contribution négligeable » au système électrique du pays « par rapport au potentiel de nuisance pour la nature, qui est élevé ».

Reconnaître que les énergies renouvelables sont des gâchis économiques et environnementaux, comme l’ont fait le Mexique et Israël, est un pas vers la destruction du mensonge selon lequel un carburant qui émet du dioxyde de carbone peut être raisonnablement remplacé. L’autre chaussure à faire tomber est le mensonge selon lequel les carburants émettant du dioxyde de carbone doivent être remplacés.

L’affirmation fantaisiste selon laquelle le CO2 est un polluant a été inventée de toutes pièces. La déclaration faite en 2008 par les 31 000 experts, selon laquelle « il n’existe aucune preuve scientifique convaincante que les rejets de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre par l’homme provoquent ou provoqueront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère terrestre et une perturbation du climat de la Terre », est aussi vraie aujourd’hui qu’elle l’était alors, et qu’elle l’a toujours été. Aucun scientifique, où qu’il soit et à n’importe quel moment, n’a démontré que les émissions de CO2 produites par l’homme – c’est-à-dire les engrais de la nature – causent un quelconque dommage à quoi que ce soit.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale


Coût de démantèlement des parcs éoliens

[Voir aussi :
« L’arnaque des éoliennes » : témoignage d’une agricultrice bio d’Auvergne
Éoliennes : du rêve aux réalités]




La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire

[Source : cv19]

Ce documentaire aborde en détail les différents mythes et procédures sur lesquels repose la théorie scientifique des germes pathogènes, prétendument à l’origine de phénomènes de contagion, aussi appelée théorie des germes ou théorie microbienne.

L’histoire des épidémies telle que la poliomyélite, la variole et la grippe espagnole est retracée et le jargon des virologues et leurs techniques comme la PCR, le séquençage, l’effet cytopathique, le microscope électronique, les cultures cellulaires, l’isolement, la purification ou encore le concept d’anticorps sont analysés pour mieux comprendre sur quoi repose la virologie moderne et la théorie des germes dans son ensemble.

[Voir aussi les nombreux articles,
notamment ceux de Stefan Lanka
(Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
etc.),
dans le dossier Vaccins et virus]






Faut-il se méfier de la 5G ?

[Source : Investigations et Enquêtes]

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]




Le mépris néoléniniste et macroniste pour la souveraineté populaire

Par Lucien SA Oulahbib


En France comme en Chine, à Gaza, en Algérie, à Cuba, au Venezuela et ailleurs, la frange néoléniniste de la Secte SHA (scientiste, hygiéniste, affairiste) n’a que mépris pour la liberté, la justice, l’égalité des sexes, sinon elle ne soutiendrait pas des groupes factieux et des régimes fantoches qui au sein de ces pays non seulement les nient, mais les combattent.

Sa gesticulation actuelle de plus en plus centrale sur le changement de sexe ou le plus de droits « sociaux » ne sont (faute de mieux — son plan « pouvoir d’achat » n’étant qu’une galéjade hypocrite) que des paravents à la fois scientistes et technicistes. En effet, d’une part opter pour la manipulation génitale c’est renforcer l’emprise des Folamour et leur « blocage de puberté » ; d’autre part agiter le paravent de « l’égalité sociale » pour les sexes n’est qu’un cache-sexe existant depuis des lustres (les femmes russes soviétisées conduisaient des tracteurs dans les années 20), alors qu’en France même l’on soutient l’inégalité de fait entre les sexes en soutenant l’islam dans ses courants les plus rétrogrades qui textuellement (et le texte, sacralisé, fait office de loi-cadre constitutionnelle) refusent dans « l’intime » des foyers que s’applique dans les faits la loi française.

Quant à la frange macroniste de la Secte, elle ne fait comme d’habitude qu’accentuer l’agenda de plus en plus crapuleux et bien sûr mensonger manipulant santé et météo pour faire croire que nous vivons à l’époque de la peste et d’une fin de monde inéluctable si nous ne nous repentons pas alors qu’il fait moins chaud qu’en 1911 (la chaleur y était en continu et non pas en dents de scie) et que les morts actuels en santé — hors vieillesse et accidents — tiennent bien plus du refus d’observer qu’ils résultent surtout d’une syndémie aux causes et principes volontairement ignorés par les Autorités de plus en plus à la solde sordide de cette Secte cynique et sanguinaire.

Et plus les effets de la matière historique mise en mouvement accéléré par des apprentis sorciers ayant ainsi ouvert sa boîte de Pandore broient de plus en plus tout sur leur passage, plus l’incompétence, l’ignorance, la bêtise, l’avidité, mais aussi la malignité maléfique qui fait office d’intelligence (ainsi l’hypocrisie du “passe sanitaire” bientôt “climatique” en est le sommet), se dévoilent dans toute leur horreur.

Et pourtant le peuple, happé par ses phares idéologiques multiformes, accepte quoique passivement son joug, du moins la frange qui vote, une minorité en fait (38,5 % à la dernière élection présidentielle française) imposant au reste de la population une régression morale intellectuelle technique jamais vue.

En effet, la mise à l’écart d’une technologie comme le nucléaire dans sa forme la plus aboutie (les surgénérateurs), le refus d’admettre la complexité synergique du corps humain en symbiose avec son environnement, au profit d’une vision datée de la physique humaine (à l’exception des progrès faits en matière chirurgicale orthopédique et d’imagerie), et le refus également d’analyser la complexité des relations humaines sédimentés par des circuits claniques et culturels ancestraux en décalage conflictuel avec ceux d’aujourd’hui, ayant émergé dans les mégalopoles modernes, montrent déjà l’inanité fondamentale d’une pseudo-élite qui ne mérite même plus d’être nommée telle tant elle n’en est plus que l’ombre vorace.

Il est dommage que “nous” perdions encore du temps à les entendre débiter leur ineptie sur le sexe des anges (avec ambassadeur) alors que tout s’effondre, comme si la fascination animale pour la soumission était maintenant la valeur centrale de l’humain domestiqué. Mais la puissance brute fait jouir, y compris au moment même où on l’a dénonce – oxymore favori de la gauche qui dénonce le viol, mais le promeut lorsqu’il est fait par les “libérateurs” non blancs que l’on s’empressera d’ailleurs de protéger de mesures politiques “disproportionnées” mettant en danger “leur vie privée et familiale”, preuve du mépris incommensurable qu’ont ces gens se sachant intouchables au sens non pas hindou, mais sacral du terme.

Retour à la Barbarie.




Révolution sanitaire au Costa Rica ?

[Source : arianebilheran.com]

Interview de Marco au Costa Rica

Par Ariane Bilheran

Témoignage de Marco Albertazzi

Le nouveau gouvernement du Costa Rica vient de supprimer le caractère obligatoire des injections expérimentales contre le COVID, et d’exiger des investigations juridiques sur les contrats passés par le gouvernement antérieur avec les multinationales des vaccins.

Dans ce contexte, j’ai souhaité recueillir le témoignage de Marco Albertazzi, qui est une figure clé de la résistance costaricaine, un homme pugnace et inspirant, qui par sa foi soulève des montagnes.

Marco est administrateur d’entreprise.

Il termine son master en Business et Administration.

Il fut le premier à s’exposer publiquement, allant marcher devant la Maison Présidentielle, pour informer la population sur les mensonges, la corruption et les manipulations de masse. Muni de sa pancarte, il interpellait les passants : « Quelle pandémie ? Quelle pandémie ? Où avez-vous vu une pandémie ? ».

Tout le monde le prenait alors pour un Diogène fou…

En ce jour historique du 3 août 2022, la résistance qu’il a levée à lui tout seul au Costa Rica a emporté sa première grande victoire.

Propos recueillis par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, docteur en psychopathologie
https://www.arianebilheran.com


Pouvez-vous me décrire comment s’est formée la résistance au Costa Rica, avec quelles ambitions ? Je suppose qu’au début vous n’étiez pas nombreux à avoir le courage d’affronter la politique sur la « pandémie » ? Quels obstacles avez-vous rencontrés ? Vous m’aviez parlé de répression, comment cela s’est-il passé ?

Après des abus, des restrictions et des impositions de la part du gouvernement, des décisions absolument incongrues par rapport à ce que nous vivions, et face à l’inaction des dirigeants politiques pour protéger les personnes bafouées, le 13 juillet 2020, je suis sorti seul dans la rue pour dénoncer cette pandémie devant la Maison Présidentielle, en me fondant sur des données biostatistiques et épidémiologiques qui n’étaient tout simplement pas en accord avec le message donné par le gouvernement de la République.

Ensuite, j’ai cherché des gens qui avaient des pages Facebook, Twitter, Instagram, et qui manifestaient leur désaccord avec la politique menée. J’ai contacté des médecins, des avocats, des psychologues, des infirmiers, des biologistes, et d’autres professions pour organiser le Mouvement pour la Santé et la Liberté. Je m’y consacre sans pause depuis 2020.

Nous nous sommes réunis et nous avons organisé des actions, des manifestations, différentes modalités de protestation. Nous avons subi des représailles inouïes. Dès le 13 juillet 2020, les attaques commencèrent contre moi, puis contre ceux qui me rejoignaient : selon la presse et les fonctionnaires du gouvernement, nous étions des négationnistes, les théoriciens du complot, etc. Quant à eux, ils continuaient d’exiger les fermetures et les confinements, des mesures restreignant la liberté, et de violer les droits de l’homme tels que la dignité et la liberté des êtres humains, la liberté de parole, le travail, la vie, la sécurité, le droit de ne pas être traités comme des esclaves, cruellement ou de manière dégradante, entre autres. Nous avons subi des répressions policières très violentes.

Lorsque les substances expérimentales sont sorties, nous avons été informés des risques qu’elles pouvaient produire. Nous avons alors commencé à alerter la population, ce qui nous a valu le titre « d’antivaccins » auprès des médias alignés sur la politique du gouvernement. Cependant, nous n’avons jamais cessé de parler des bons traitements qui pourraient aider les gens à surmonter le COVID, et de mettre en garde contre les risques des injections.

Pour avoir dénoncé ces abus, j’ai même été assigné à résidence (en arrestation à mon domicile) durant trois mois après que nous nous fûmes rendus dans un hôpital exiger des explications, puisqu’un enfant était retenu en otage pour être vacciné, ce que le personnel de l’hôpital a fait par la force, en frappant même sa mère enceinte lorsqu’elle essaya de le protéger des infirmières de l’hôpital. Le jour où nous sommes allés à l’hôpital pour défendre cet enfant et soutenir sa mère, la répression policière a été terrible : les policiers ont frappé des enfants, des personnes âgées, des femmes, à des médecins, dont la docteur Jimena Campos. Le but était d’intimider et d’attaquer le mouvement.

Qu’est-ce qui vous a donné le désir et la force de résister ?

Mon indignation devant la violation des droits humains, les gens écrasés, piétinés par le gouvernement, la police, l’abus de pouvoir, les gens arrêtés pour réclamer le droit d’aller travailler et alimenter leur famille. Je suis chrétien, et la Bible nous enseigne que, comme fils de Dieu, je dois défendre la vérité et la justice, et simplement je ne pouvais pas me taire. J’ai pensé que si David avait vaincu Goliath, et si Moïse avait vaincu Pharaon, je pouvais moi aussi, avec l’aide de Dieu, vaincre ces fous qui ont causé tant de torts à la population du Costa Rica. Il fallait de la vaillance et de la bravoure, lever la voix pour réveiller les consciences, et ne pas se taire. Face aux attaques, il ne fallait pas non plus se laisser faire.

Désormais au Costa Rica, vous avez remporté une victoire : la vaccination n’est plus obligatoire. Pouvez-vous me dire comment vous avez obtenu ce grand succès, qui l’est non seulement pour le Costa Rica, mais aussi pour le monde entier ? Vous donnez un sacré exemple.

Le Président actuel a tenté de supprimer l’inoculation obligatoire, mais les membres de la Commission nationale de vaccination et d’épidémiologie ont refusé. Après enquête, nous avons découvert que les nominations de cette Commission avaient expiré et que, par conséquent, tous les accords conclus par elle depuis 2020 étaient illégaux ! De même, conformément à la loi, nous avons demandé une copie certifiée des procès-verbaux de la Commission, et nous avons vu les insanités qui avaient été décidées alors que les membres savaient pleinement qu’ils faisaient le mauvais choix. Ils ont agi avec malice contre le peuple. Cela a conduit à une plainte pénale déposée hier (le 3 août) contre tous les membres de la Commission.

Quel est votre conseil pour les défenseurs des libertés dans les autres pays, qui essaient d’obtenir le même résultat que vous au Costa Rica ?

Battez-vous ! Exposez personnellement les décideurs et les promoteurs corrompus de ces politiques liberticides (photo, numéro d’identification, poste qu’ils occupent, etc.) afin que les gens puissent les identifier… qu’ils ressentent la pression (cela a fait démissionner un membre de la Commission). Déposez des plaintes pénales avec des preuves ! Examinez les procès-verbaux des Commissions qui ont pris les décisions des enfermements, des inoculations obligatoires, et de toutes les mesures contre les droits de l’homme et les libertés fondamentales, afin de pouvoir engager des actions en justice sur la base de ces preuves.

Frappez à toutes les portes.

N’abandonnez surtout pas.

Ne cédez pas à la fatigue.

Quel est votre prochain objectif ?

Continuer maintenant à exposer au public les effets néfastes de ces inoculations, poursuivre en justice les personnes qui ont obligé les citoyens à recevoir ces substances, mais aussi les employeurs (entreprises) qui ont harcelé, contraint, discriminé, suspendu et licencié leurs employés parce qu’ils ne voulaient pas subir ces injections, afin que cela ne se reproduise plus jamais, et m’attaquer aux mensonges de la variole du singe.

Pour contacter Marco :

Marco Albertazzi
Coordinateur général
Movimiento Por La Salud Y La Libertad (Mouvement pour la santé et la liberté)

direccion@movlibertadcr.com |+ (506) 6050-9992

Rencontre entre Marco Albertazzi et Ariane Bilheran le 30 juin 2022 :




Journal des bonnes nouvelles (au 4 août 2022) : le monde se réveille

Par Nicole et Gérard Delépine

Le combat paye, mais lentement. Contre la dictature des milliardaires, on ne livre pas une guerre éclair, mais une longue guerre d’usure pendant laquelle il ne faut pas se décourager. Ce petit journal rappelle les petits pas en avant que nous avons obtenus avec quelques références pour vous convaincre que la situation s’améliore doucement, mais sûrement. Pour remonter le moral de ceux qui commençaient à craquer.

Mais attention ce sont des signes du début de la fin, mais pas la fin. Il ne faut surtout pas baisser la garde ! Le Nouvel ordre mondial est richissime et a plus d’un tour dans son sac. Poursuivons à tous niveaux en particulier sur le plan juridique : plainte pour accidents de vax, plainte pour défendre les soignants suspendus, plainte contre abus de pouvoir des hôpitaux qui continuent à exiger le pass contre la loi, etc.. Nous commençons à marquer des points qui doivent nous encourager à poursuivre, mais ne surtout pas nous endormir. Comme l’a dit B. B. (Bertold Brecht) à propos du fascisme du dernier siècle : « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde ».

Les oppositions ont réussi à s’unir contre le renouvellement éternel de la loi d’urgence

France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
Avouez que l’on n’y croyait pas ou peu. Loi d’Urgence, encore un mot dévoyé pour nous voler nos libertés

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut le poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe qui est une maladie généralement bénigne (même si son aspect cutané n’est pas ragoûtant) en témoigne. Nous ne laisserons pas faire ce terroriste des épidémies et y reviendrons.

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître devant des juges

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice alléguant qu’ils ont collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice les accusant d’avoir incité et collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression

Les hauts responsables de l’administration Biden — dont le Dr Anthony Fauci — et cinq géants des médias sociaux ont 30 jours pour répondre aux citations à comparaître et aux demandes de communication de pièces dans le cadre d’une plainte accusant le gouvernement Biden d’entente avec les sociétés de médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression « sous couvert de lutte contre la désinformation. »

La présidente de la Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, qui est également l’avocate générale de la CHD, a salué la décision juridique d’instruire la plainte :

« La CHD salue l’annonce de cette décision révolutionnaire du juge Doughty du district occidental de la Louisiane, qui découvre si l’administration Biden a violé le premier amendement par la censure.

« Pendant deux ans, la CHD et de nombreux autres médias n’ont pas été en mesure de comprendre les mécanismes par lesquels nos principales plateformes médiatiques ont impitoyablement censuré, supprimé et déformé nos informations.

« Maintenant, grâce au processus de découverte que le juge a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mauvaise information”. C’est un nouveau jour. »

Fauci, les CDC, le secrétaire de presse de la Maison-Blanche et d’autres doivent remettre les documents demandés par les juges.

NorthShore University HealthSystem va indemniser les soignants vaccino prudents discriminés

Un règlement de 10,3 millions de dollars a été conclu dans le cadre du premier recours collectif contre le vaccin obligatoire COVID impliquant des travailleurs de la santé. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Pour clore le premier procès collectif intenté par des travailleurs de la santé discriminés pour leur refus de l’obligation vaccinale COVID, Liberty Counsel a accepté de régler, pour plus de 10,3 millions de dollars d’indemnisation.

Le règlement de l’action collective contre NorthShore University HealthSystem est au nom de plus de 500 travailleurs de la santé actuels et anciens qui ont été illégalement discriminés et se sont vus refuser des exemptions religieuses du mandat de vaccination COVID.

Le règlement convenu a été déposé aujourd’hui devant le tribunal fédéral du district nord de l’Illinois.

À la suite du règlement, NorthShore paiera 10 337 500 $ pour indemniser les 500 soignants (en moyenne 20 000 dollars par soignant) qui ont été punis pour leurs croyances religieuses contre la prise d’une injection associée à des cellules de fœtus avortés.

Il s’agit d’un règlement de recours collectif historique, le premier du genre, contre un employeur privé qui a illégalement refusé des centaines de demandes d’exemption religieuse pour les vaccins COVID-19. Le règlement doit être approuvé par le tribunal fédéral du district.

Espérons qu’il fera jurisprudence et qu’il sera suivi de beaucoup d’autres contre les employeurs américains abusifs

En Espagne : la justice donne 10 jours à l’État pour dévoiler tous les contrats signés avec Pfizer

Par Cheikh Dieng – 2 août 2022

La justice baléare a accordé à l’État espagnol un délai de dix (10) jours pour lui fournir tous les contrats signés avec Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca dont les vaccins anti-Covid ont été déployés sur le territoire espagnol durant la pandémie à Coronavirus. Une nouvelle qui déclenche l’immense joie de l’Association espagnole Liberum, laquelle n’a cessé d’exiger que ces contrats soient rendus publics par respect aux citoyens

« Un malheur ne vient jamais seul », dit l’adage. Et Pfizer semble l’avoir bien compris.

En tout cas, moins d’un mois seulement après la décision de la justice uruguayenne du 8 juillet 2022 d’obtenir des informations sur le contenu chimique du vaccin du labo américain,

mais Pfizer préfère ne pas distribuer son injection plutôt que de faire ce que la justice lui demande.

VOUS N’AVEZ PAS À PRÉSENTER DE TEST À L’ENTRÉE D’UN HÔPITAL OU D’UNE CLINIQUE

Fabrice Di Vizio alerte : « Ne faites plus de tests Covid-19 ! Cette histoire aussi c’est terminé ! » (Vidéo complète) — Dissident Officiel tweet du 2 aout 2022 Les hôpitaux n’ont plus le droit de demander de test Négatif ! C’est au surplus confirmé par une circulaire DGS 2022-69 que je mets sur le nouveau site de l’association qui sort demain matin dit Fabrice di Vizio

Voici le lien vers la circulaire (à imprimer et à présenter le cas échéant) :
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dgs-urgent_n2022_69_evolution_esms_fin_eus.pdf

Si difficultés ET ABUS DE POUVOIR faire acter le refus et le communiquer à l’association de Fabrice Di Vizio

juriste@jenesuispasundanger.com adresse correcte vérifiée

Les victimes des complications des vaccin COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier

COVID Vaccine Injuries Quietly Being Compensated Around the World, Are You Eligible? + More • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

Les morts, myocardites, accidents vasculaires et les autres complications causées par le vaccin contre la COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier, y êtes-vous admissible ?

En Australie plus de 10 000 victimes des vaccins vont être indemnisées selon le « COVID-19 Vaccine Claims Scheme »(([1] https://www.health.gov.au/initiatives-and-programs/covid-19-vaccine-claims-scheme)) pour les effets secondaires, rapporte le Sydney Morning Herald. Si chacune de ces demandes est approuvée par les autorités, le gouvernement se retrouverait ainsi avec une facture à payer de 50 millions de dollars australiens, soit environ 32 millions d’euros.(([2] https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-11-16/australia-faces-compensation-bill-for-vaccine-side-effects-smh))

La Nouvelle-Zélande vient de créer un schéma d’indemnisation semblable(([3] https://catalogue.data.govt.nz/dataset/vaccine-injury-compensation)) et un collectif de médecins — nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) — s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police.(([4] https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccin-contre-la-covid-19-des-medecins-neozelandais-sonnent-alerte))

Mais aussi l’Argentine.(([5] https://www.francesoir.fr/politique-monde/vaccination-covid-largentine-indemnise-victimes-effets-indesirables))

Mais aussi le Canada.(([6] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1887847/vaccin-covid-19-astra-zeneca-compensation-indemnisation-syndrome-guillain-barre))(([7] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1813105/compensations-reaction-vaccination-coronavirus))

Et en France ? Lorsque les victimes du vaccin Covid réaliseront, malgré le déni de nombreux médecins, la responsabilité des injections dans la genèse de leurs troubles, la note risque d’être élevée. Après avoir payé les vaccins, nos impôts devront indemniser les victimes, car Pfizer a obtenu par la Commission européenne de ne pas payer d’indemnisation aux victimes !

Une vraie bonne nouvelle : le nouveau livre de Robert F. Kennedy traduit en français — « Une lettre aux libéraux » possible en téléchargement.

L’ordre se réveille enfin et condamne des médecins de plateau qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts avec l’industrie

Par deux décisions rendues le 18 juillet 2022, la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins rappelle que le Code de Santé Publique doit être respecté, et notamment ses articles L 4113-13 et R 4113-110, le premier disposant que « les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et des établissements produisant ou exploitant des produits de santé (…) sont tenus de faire connaître ces liens au public lorsqu’ils s’expriment sur lesdits produits (…) dans la presse écrite ou audiovisuelle. »

Il sanctionne d’un avertissement le Professeur Robert COHEN et le Professeur Bruno LINA pour ne pas avoir fait état, lors d’interventions dans les médias sur les vaccins, de leurs liens d’intérêts avec certaines entreprises pharmaceutiques fabriquant ces produits.

L’association E3M a constaté 200 liens d’intérêts entre l’industrie et le Pr Cohen de 2012 à 2018 pour un montant total de 57 730 €, ainsi que 60 contrats sans montants déclarés. À cela, il convient d’ajouter l’existence de 58 déclarations de liens entre l’industrie et l’association ACTIV (association créée et dirigée par le Pr Cohen ayant pour objet la formation des professionnels de santé et la recherche, avec le soutien des laboratoires MSD, GSK, Pfizer, Sanofi, CGM) pour un montant total de 748 520 € (dont 601 920 € par Sanofi et 126 600 € par GSK) ainsi que 14 contrats sans montants déclarés.

Le Pr Lina, chef du laboratoire de virologie du CHU de Lyon, est quant à lui intervenu pour défendre le vaccin Gardasil, mis en cause dans la survenue de graves effets indésirables. Lui non plus n’a pas déclaré ses liens avec l’industrie pharmaceutique alors qu’il est depuis de nombreuses années Président du Conseil Scientifique du GEIG (Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe), « financé par les 4 laboratoires qui distribuent des vaccins contre la grippe sur le territoire français (Abbott Products SAS, GSK, Novartis Vaccines et Sanofi Pasteur MSD) ».

Comme l’Ordre ne se saisit pas spontanément de ces faits délictueux (alors qu’il pourrait parfaitement le faire), il faut espérer que de nouvelles plaintes portées contre d’autres « experts » des médias vont obliger l’ordre à condamner ces leaders d’opinion qui agissent dans les médias comme avocat de l’industrie pharmaceutique sans mentionner leurs liens d’intérêts comme ceux qui nous ont abreuvés depuis plus de deux ans d’une propagande provax covid sans limites. Si l’ordre faisait enfin respecter la loi « transparence santé », le public saurait qui est réellement l’expert qui s’exprime et quels sont ses liens avec le monde économique et notamment les fabricants des produits dont il fait la promotion.

Le retournement de veste en série des « officiels pivots de la stratégie tout vaccin :

https://pgibertie.com/2022/07/30/delfraissy-veut-laver-son-honneur-et-annonce-lechec-des-futures-injections-qui-dereglent-le-systeme-immunitaire/

Le bal des “morts de trouille” ouvert par Delfraissy — Riposte Laique

IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI” dit J F. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique

UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains. Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnable, les Français l’ont compris”.

@UPR_Asselineau

“LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure.” et aussi sur la variole du singe, etc..

Fischer Alain s’y met aussi : “le vaccin à la rigueur pour les vieux”. Alors qu’en juin 2022 il voulait vacciner tous les enfants…

En retournant leur veste, ils espèrent probablement se faire pardonner de leurs méfaits ou alléger leur conscience pour ne pas finir par se suicider comme l’a fait le docteur autrichien Lisa-Maria Kellermayr, avocate zélée des pseudo vaccins contre le coronavirus, qui n’a pas assumé la responsabilité des dégâts et des morts que sa propagande mensongère a occasionnés.

Et les soignants suspendus : le gouvernement va devoir craquer

L’obligation vaccinale comme condition d’engagement des soignants aux Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) a été supprimée depuis le début du mois de mai.

Pourquoi le gouvernement, l’académie de médecine et la HAS s’obstinent contre l’évidence scientifique que cette mesure ne sert à rien contre l’épidémie ?

Le 20 juillet 2022, Antoine Flahault, épidémiologiste très provax dans les médias depuis mars 2020, a appelé sur Twitter à la réintégration des soignants non vaccinés arguant que leur suspension n’est plus fondée scientifiquement,(([8] https://www.tf1info.fr/sante/coronavirus-7e-vague-de-covid-19-l-obligation-vaccinale-des-soignants-n-a-plus-grand-sens-estime-le-pr-antoine-flahault-2227)) car le vaccin ne réduit pas suffisamment les contaminations.

Le professeur Y. Freund, urgentiste à l’AP-HP s’est prononcé lui aussi pour la réintégration des soignants non vaccinés, car on ne peut pas poser de conditions éthiques à l’embauche d’un soignant.

À l’heure où les urgences ferment les unes après les autres par manque de soignants, où de nombreuses interventions chirurgicales sont reportées faute de chirurgiens, d’anesthésistes ou d’infirmières de bloc et où on ne parle même plus des autres services (comme le service de greffes à Caen) en voie de fermeture ou déjà fermés, la population et les décideurs politiques doivent bien se rappeler que 15 000 soignants au moins sont suspendus sans salaire, que 150 000 infirmiers formés ne travaillent plus comme soignant en raison de la maltraitance managériale depuis trente ans et que beaucoup de soignants en poste et injectés sont en burn-out, démissionnaires et/ou en arrêt de travail.

Il faut abolir cette obligation infondée d’injection expérimentale, réintégrer les soignants injustement suspendus, mais aussi modifier le management pour qu’il retrouve son but ultime le soin, payer correctement les professionnels du soin et cesser le cirque des missions flash ou autre grenelle de la santé. Quant aux contes de Ségur, on a déjà donné.(([9] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir))

Il serait bien que l’ensemble des soignants, médecins, infirmiers aide-soignant, secrétaires, etc. décident enfin de sauver l’honneur de la profession soignante au sens large, en décrétant une grève illimitée de tous les acteurs des hôpitaux privés comme publics, maisons de soin, dispensaires, etc. tant que les suspendus ne seront pas réengagés.

Ce serait le minimum pour faire un peu oublier leur silence coupable depuis de longs mois. En septembre 2021, lors de leur suspension tout le monde savait déjà que le vaccin ne protégeait ni de la maladie ni de la transmission. Les médias mensongers surfaient encore sur les formes graves pour faire piquer la totalité de la population, mais cela ne justifiait en rien d’injecter de force les soignants ou les pompiers et d’interdire aux autres de soigner. Aucune excuse, même pas la peur ! Alors c’est le moment de se racheter.

NE FAIBLISSEZ PAS ! BATTONS-NOUS POUR QUE LA VÉRITÉ TRIOMPHE ENFIN ET POUR RÉTABLIR L’INTÉGRALITÉ DE NOS LIBERTÉS CONFISQUÉES POUR LE SEUL BIEN d’UNE POIGNÉE DE MILLIARDAIRES.

Et ajoutons progressivement d’autres bonnes nouvelles à cette liste non exhaustive.





Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation

[Source : mondialisation.ca]

Par Prof Michel Chossudovsky

« Nous sommes maintenant confrontés à une situation où un nombre énorme d’organisations et d’élites très puissantes aux niveaux international et national appellent à des politiques qui sont fondamentalement un pacte de suicide. Fondamentalement, un souhait de mort en quelque sorte. »

(Patrick Moore, ancien président de Greenpeace)

« Trois médecins de l’Ontario sont morts après que l’hôpital où ils travaillaient ait commencé à administrer la quatrième dose de rappel à son personnel. Où sont les autopsies ? S’agit-il d’une coïncidence ou sont-ils victimes de cette diabolique campagne de vaccination mondiale ? » .

(Mark Taliano, auteur renommé, associé de recherche du CRG)

« Cette campagne de vaccination restera comme le plus grand scandale de l’histoire de la médecine, … De plus, elle sera connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. »

(MP Christine Anderson, membre du Parlement européen, juillet 2022)

Tous ces décès peuvent être attribués à une « piqûre de poison » qui pousse implacablement la mortalité toutes causes confondues à la hausse tout en tuant des personnes de plus en plus jeunes.

(Mike Whitney, auteur renommé et chercheur associé du CRG, novembre 2021)

Introduction

Les deux piliers stratégiques de l’agenda Covid-19 sont :

  • Le verrouillage [confinement] : un acte de guerre économique et sociale qui a déclenché un processus mondial d’appauvrissement, de marginalisation sociale et de désespoir ;
  • Le « vaccin » ARNm Covid qui a entraîné une tendance mondiale à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Sans précédent dans l’histoire du monde, ces deux piliers stratégiques ont contribué à déclencher un processus de dépopulation qui témoigne de manière indéniable de crimes de grande ampleur contre l’humanité. Au moment où nous écrivons ces lignes, la quatrième injection du « vaccin » Covid-19 est en cours d’administration, entraînant une augmentation spectaculaire du nombre de victimes.

L’application du programme de dépopulation nécessite une structure de « gouvernance mondiale » socialement répressive et contrôlée par l’establishment financier.

Elle nécessite également un appareil de propagande cohésif en vue d’imposer l’acceptation sociale dans le monde entier. À son tour, ce processus exige la disparition des institutions de gouvernement représentatif et la criminalisation du système judiciaire.

La première partie de cet article se concentre sur la « tyrannie numérique », à savoir les structures de la « gouvernance mondiale ».

La deuxième partie de l’article se concentre sur le programme de dépopulation eugéniste, ses racines historiques et sa mise en œuvre mondiale par les mondialistes.

Vers un État policier mondial numérisé

Le projet de code de vérification QR mondial jette les bases de l’instauration d’un « État policier mondial numérisé » contrôlé par l’establishment financier. Il fait partie de ce que David Rockefeller (1915-2017) a intitulé « La marche vers un gouvernement mondial », basé sur une alliance de banquiers et d’intellectuels (voir Michel Chossudovsky, chapitre XII). Peter Kœnig décrit le Code QR comme :

« un identifiant entièrement électronique — reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

Vers un système mondial de monnaie numérique (CBDC)

Des consultations sont également en cours entre le Forum économique mondial (WEF) et les banques centrales en vue de mettre en place un réseau dit de monnaie numérique de banque centrale (CBDC). Selon David Scripac

« Un système mondial d’identification numérique est en cours d’élaboration. … L’objectif du FEM [Forum économique mondial] et de toutes les banques centrales est de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC). »

Le logiciel de vérification du code QR

Début 2022, l’OMS a signé un contrat majeur avec Deutsche Telekom T Systems pour développer une application et un logiciel de vérification QR qui seront utilisés dans le monde entier.

La solution logicielle basée sur le code QR devrait être adoptée :

« pour d’autres vaccinations également, comme la polio ou la fièvre jaune, a déclaré T-Systems dans un communiqué… ajoutant que l’OMS aiderait ses 194 États membres à mettre en place une technologie de vérification nationale et régionale. » (c’est nous qui soulignons)

Selon un communiqué de Deutsche Telekom I-T Systems, « le service de passerelle de l’OMS sert également un pont entre les systèmes régionaux » ce qui implique essentiellement une structure mondiale coordonnée de surveillance QR, qui supervise l’ensemble de la population de la planète Terre.

Et une fois établie : elle surveillera « tous les aspects de notre vie », où que nous soyons. « Il pourra également être utilisé dans le cadre des futures campagnes de vaccination et des enregistrements à domicile. »

Selon le PDG de Deutsche Telecom T Systems :

« Le Coronavirus a une emprise sur le monde. La numérisation fait que le monde est en perpétuel mouvement ».

Bill Gates a entretenu une relation de longue date avec l’ancien PDG de Deutsche Telekom, Ron Sommer, qui remonte à la fin des années 1990.

Traçage et suivi

T-Systems avait auparavant mis en place le European Federation Gateway Service (EFGS). Ce service veille à ce que les applications de traçage Corona des États membres fonctionnent au-delà des frontières.

L’application Telekom est considérée comme « l’une des applications de traçage les plus performantes au monde ».

Qui a l’emprise sur le monde ? Une gigantesque banque de données concernant les quelque 8 milliards d’habitants de la planète est contrôlée par « Big Money ».

Les gens sont marqués et étiquetés, leurs courriels, leurs téléphones portables sont surveillés, des données personnelles détaillées sont saisies dans une banque de données géante de « Big Brother ».

La « tyrannie numérique » consiste à réprimer toute forme de résistance politique et sociale.

Les êtres humains (individus) sont catégorisés comme des « numéros ». Une fois ces « numéros » insérés dans une banque de données numérique mondiale, l’humanité dans son ensemble est sous le contrôle des mondialistes, à savoir l’Establishment financier.

L’histoire, la culture et l’identité des États-nations sont verrouillées. Les personnes deviennent des numéros insérés dans une banque de données mondiale. A son tour, la formulation de projets de société aux niveaux national, local et communautaire est effacée.

Social-démocratie, socialisme, « libertarianisme » : Sous la gouvernance mondiale, toutes les formes de démocratie représentative et de lutte des classes sont précipitées dans les oubliettes de l’Histoire.

Les progressistes doivent comprendre qui est derrière ce projet hégémonique, il fait partie d’un agenda néolibéral, c’est une fin de partie qui détruit l’identité des personnes, elle détruit l’humanité.

Il est important d’organiser un vaste mouvement de résistance menant au démantèlement pur et simple de ce programme diabolique, qui est inscrit dans le traité de l’OMS sur la pandémie, parrainé par le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Gates.

Le scandaleux traité de l’OMS sur la pandémie

En mars 2022, l’OMS a lancé un organisme intergouvernemental de négociation (INB) ayant pour mandat de créer « Un traité sur la pandémie », c’est-à-dire une entité de gouvernance mondiale de la santé qui passerait outre l’autorité des États membres de l’OMS.

« Le traité mondial sur la préparation à la pandémie accorderait à l’OMS un pouvoir absolu sur la biosécurité mondiale, comme le pouvoir de mettre en œuvre des identités numériques/passeports vaccinaux, des vaccinations obligatoires, des restrictions de voyage, des verrouillages, des soins médicaux standardisés et plus encore.

Ce traité sur la pandémie, s’il est mis en œuvre, modifiera le paysage mondial et nous privera, vous et moi, de certains de nos droits et libertés les plus fondamentaux.

Ne vous trompez pas, le traité de pandémie de l’OMS est une attaque directe contre la souveraineté de ses États membres, ainsi qu’une attaque directe contre votre autonomie corporelle. » (Peter Kœnig, juin 2022)

Le traité contre la pandémie est lié au projet de code de vérification QR de l’OMS et au vaccin à ARNm Covid-19.

La légitimité du Traité sur la pandémie et du Code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie Covid-19 est réelle » et que le vaccin à ARNm constitue une SOLUTION pour enrayer la propagation du virus.

Quelle est la légitimité ainsi que la science derrière ce projet diabolique ? AUCUNE. Amplement confirmé : IL N’Y A PAS DE PANDÉMIE. La prétendue pandémie Covid-19 est basée sur une « fausse science » (voir Michel Chossudovsky, chapitre III).

[Voir aussi :
Le plus gros mensonge de l’histoire : La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.
VIRUS TUEUR ??
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le mythe de la contamination épidémique
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale
Démontage de la théorie virale
L’enterrement de la théorie virale
Épidémies et contagions
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
L’invention du SARS-CoV-2
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
et d’autres articles dans le dossier Vaccins et virus]

Le cadre du certificat numérique COVID de l’UE et le code de vérification QR de l’OMS reposent tous deux sur des mensonges et des fabrications purs et simples.

Le traité sur la pandémie est la « porte arrière » vers la « gouvernance mondiale » et la tyrannie numérique. Il consiste à construire un réseau mondial de régimes mandataires contrôlés par une « souveraineté supranationale » (gouvernement mondial) composée d’institutions financières de premier plan, de milliardaires et de leurs fondations philanthropiques.

Le scénario de la gouvernance mondiale tente d’imposer un programme d’ingénierie sociale et de conformité économique.

Le gouvernement mondial envisagé par les mondialistes est fondé sur l’obéissance et l’acceptation. L’un de ses principaux objectifs est de mettre en œuvre un programme de dépopulation mondial.

La dépopulation et l’histoire de l’eugénisme

Le mouvement eugénique contemporain, parrainé par le Forum économique mondial (WEF) et les philanthropes milliardaires, repose sur deux piliers stratégiques : le verrouillage Covid et le vaccin ARNm, qui sont des instruments de réduction de la population mondiale.

Les guerres menées par les États-Unis et l’OTAN sont également des instruments de dépopulation.

Ce que nous vivons actuellement est sans précédent. L’agenda de la dépopulation d’aujourd’hui n’est en aucun cas comparable au mouvement eugéniste qui s’est développé aux États-Unis à partir du début du 20e siècle. Au départ, l’eugénisme reposait sur une législation dirigée contre des groupes de population spécifiques présentant ce que l’on appelle des « difficultés d’apprentissage ou des handicaps physiques » :

« La loi de 1907 interdisait l’entrée à toute personne jugée “mentalement ou physiquement déficiente, ces déficiences mentales ou physiques étant d’une nature susceptible d’affecter la capacité de cet étranger à gagner sa vie”. Elle a ajouté à cette liste les “imbéciles” et les “personnes faibles d’esprit”. »…

En 1938, 33 États américains autorisaient la stérilisation forcée des femmes souffrant de troubles de l’apprentissage et 29 États américains avaient adopté des lois de stérilisation obligatoire pour les personnes supposées souffrir de maladies génétiques. Les lois américaines restreignent également le droit de certaines personnes handicapées à se marier. Plus de 36 000 Américains ont subi une stérilisation obligatoire avant que cette législation ne soit finalement abrogée dans les années 1940. » (Victoria Brignell)

La dépopulation dirigée contre les pays du tiers monde

Inspirée par l’idéologie eugéniste, la dépopulation est devenue, après la Seconde Guerre mondiale, une partie intégrante de l’agenda néocolonial. Elle a été soigneusement intégrée dans les principes de la politique étrangère américaine, en grande partie dirigée contre les « pays en développement ».

Nous nous souvenons du mémorandum d’étude 200 sur la sécurité nationale du secrétaire d’État américain Henry Kissinger, intitulé « Implications of Worldwide Population Growth For U.S. Security and Overseas Interests« .

Selon Kissinger (NSSM 200, 1974) :

« Le dépeuplement devrait être la priorité absolue de la politique étrangère à l’égard du tiers monde, car l’économie américaine aura besoin de quantités importantes et croissantes de minerais provenant de l’étranger, en particulier des pays moins développés. »

La campagne de vaccination dirigée contre les pays du tiers monde

En ce qui concerne les pays du tiers monde, la dépopulation a été soigneusement instrumentée par le biais des vaccins. Le projet de « vaccins antitétaniques » mis en œuvre sous les auspices de l’OMS et de l’UNICEF était destiné à « stériliser secrètement les femmes des pays pauvres de la planète ».

« Les évêques catholiques du Kenya accusent deux organisations des Nations Unies d’avoir stérilisé des millions de jeunes filles et de femmes sous couvert d’un programme de vaccination antitétanique parrainé par le gouvernement kenyan. »

Bill Gates, qui est maintenant à l’avant-garde du programme de « vaccin » à ARNm des mondialistes, était étroitement impliqué. « La Fondation Gates a été poursuivie par des gouvernements du monde entier, le Kenya, l’Inde, les Philippines — et plus encore » (Peter Kœnig, avril 2020)

Le programme de dépopulation des mondialistes : « Que faire de tous ces gens inutiles ? »

Suivant les traces du Mémorandum national 200 de 1974 d’Henry Kissinger, les mondialistes du FEM considèrent que la planète Terre est surpeuplée. Ils ne reconnaissent pas formellement que les mandats Covid-19, y compris le « vaccin » à ARNm, constituent le moyen de réduire la population mondiale.

Le « vaccin » est présenté avec désinvolture comme un moyen de « sauver des vies ».

Le protégé de Klaus Schwab, le professeur Yuval Noah Harari, pose néanmoins la question suivante : « Que faire de toutes ces personnes inutiles?“.

Harari est un membre influent du Forum économique mondial (FEM) qui soutient l’idée de créer une société dystopique gérée par une poignée de mondialistes qui régneront sur tous les êtres humains dès le premier jour de leur naissance. (Timothy Alexander Guzman, juillet 2022)

Réunion secrète de 2009 du « The Good Club ». « Les milliardaires essaient de réduire la population mondiale ».

Flashback au 25 avril 2009 : l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dirigée par Margaret Chan a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) concernant la pandémie de grippe porcine H1N1, qui, à bien des égards, était une « répétition générale » de la pandémie de Covid. (Voir Michel Chossudovsky, chapitre IX). À peine deux semaines plus tard, début mai 2009, au plus fort de la « pandémie » de grippe H1N1, les milliardaires philanthropes se sont réunis à huis clos au domicile du président de l’Université Rockefeller à Manhattan.

Ce rassemblement secret était parrainé par Bill Gates. Ils se sont baptisés « The Good Club ». Parmi les participants figuraient le défunt David Rockefeller, Warren Buffett, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner, Oprah Winfrey et bien d’autres :

« Certains des principaux milliardaires américains se sont réunis secrètement pour réfléchir à la manière dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les améliorations en matière de santé et d’éducation. » (Sunday Times, mai 2009)

L’accent n’est pas mis sur la croissance démographique (c’est-à-dire le planning familial), mais sur la « dépopulation », c’est-à-dire la réduction de la taille absolue de la population mondiale.

Pour lire l’article complet du WSJ, cliquez ici.

Selon le rapport du Sunday Times :

Les philanthropes qui ont participé à un sommet organisé à l’initiative de Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, ont discuté de la possibilité d’unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.

(…)

Stacy Palmer, rédactrice en chef de la Chronicle of Philanthropy, a déclaré que ce sommet était sans précédent. « Nous n’en avons appris l’existence qu’après coup, par accident. Normalement, ces personnes sont heureuses de parler de bonnes causes, mais c’est différent — peut-être parce qu’elles ne veulent pas être perçues comme une cabale mondiale », a-t-il déclaré.

Un autre invité a déclaré qu’il n’y avait « rien d’aussi grossier qu’un vote », mais qu’un consensus s’était dégagé pour soutenir une stratégie dans laquelle la croissance démographique serait abordée comme une menace environnementale, sociale et industrielle potentiellement désastreuse.

« C’est quelque chose de tellement cauchemardes que que tout le monde dans ce groupe a convenu qu’il fallait y apporter des réponses à gros cerveau [big-brain answers] », a déclaré l’invité. …

Pourquoi tant de secret ? « Ils voulaient parler entre riches sans s’inquiéter que tout ce qu’ils disaient finisse dans les journaux, les dépeignant comme un gouvernement mondial alternatif », a-t-il déclaré. (Sunday Times)

La prise de décision est complexe et compliquée. Les rapports de cette réunion secrète de mai 2009 révèlent largement le projet de dépopulation. Il s’agissait d’une réunion parmi de nombreuses autres semblables (qui font rarement l’objet d’une couverture médiatique).

Ce qui est significatif, c’est l’intention criminelle de ces « philanthropes » milliardaires de dépeupler la planète Terre.

Déclaration de Bill Gates sur la dépopulation en 2010. Le rôle des « nouveaux vaccins ».

Une « réduction » absolue de la population mondiale était-elle envisagée lors de cette réunion secrète de mai 2009 ? Quelques mois plus tard, Bill Gates, dans sa présentation TED (février 2010) relative à la vaccination, a déclaré ce qui suit :

« Et si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous pourrions réduire cela [la population mondiale] de 10 ou 15 % ».

(Voir la citation dans la vidéo à partir de 04:21. Voir également la capture d’écran de la transcription de la citation ci-dessous).

TED Talk à 04:21 :



La « réduction absolue » de la population mondiale selon Bill Gates

La population mondiale en 2022 est de l’ordre de 8,0 milliards d’habitants.

La proposition de Bill Gates de mettre en œuvre une « réduction absolue » de la population mondiale sur la base des données de 2022 en utilisant de « nouveaux vaccins » est la suivante :

  • Une réduction absolue de 10 % en 2022 serait de l’ordre de 800 millions.
  • Une réduction absolue de 15 % de la population mondiale en 2022 serait de l’ordre de 1,2 milliard.

Le même groupe de milliardaires, qui s’est réuni au « lieu secret » de mai 2009, a participé activement, dès le début de la crise du COVID, à la conception des politiques de confinement appliquées dans le monde entier, du vaccin à ARNm et de la « Grande réinitialisation », dont le but ultime est la dépopulation.

Les crimes contre l’humanité sont indescriptibles.

Nous avons affaire à une cabale criminelle qui doit être affrontée.

Michel Chossudovsky


La source originale de cet article est Global Research :

The COVID-19 Endgame: Global Governance, “Digital Tyranny” and the Depopulation Agenda

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca 




Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »

[Source : profidecatholica.com]

« Nous sommes gouvernés par les membres d’un lobby mondial de conspirateurs criminels qui nous disent directement que leur plan est de nous éliminer, et pendant tout ce temps, nous sommes assis ici à nous demander pourquoi nous devons porter des masques dans les bus et pas dans les restaurants ».

Monseigneur Carlo Maria Vigano.

(LifeSiteNews) – Note de l’éditeur : Ce qui suit est la transcription d’une interview vidéo que l’archevêque Carlo Maria Viganò a donnée à Armando Manocchia de Byoblu TV.

Armando Manocchia : Votre Excellence, [ici en Italie] nous sommes maintenant en faillite économique et financière, où la dette publique dépasse maintenant 2,7 milliards d’euros. À mon avis, le problème est la faillite morale et éthique non seulement de la classe dirigeante, mais aussi d’une partie importante de la population. Que pouvons-nous faire pour reconstruire un tissu social qui inclut un sens éthique et moral ?

Mgr Viganò : La faillite est le résultat inévitable de multiples facteurs. Le premier est le transfert de la souveraineté monétaire des nations individuelles à un organisme supranational tel que l’Union européenne. La Banque centrale européenne est une banque privée qui prête de l’argent à des taux d’intérêt aux États membres, les forçant à s’endetter perpétuellement. Je rappelle, en passant, que la Banque centrale européenne est officiellement détenue par les banques centrales des nations qui en font partie ; par conséquent, puisque les banques centrales sont contrôlées par des sociétés privées, la BCE elle-même est essentiellement une société privée, et agit comme telle.

Le deuxième facteur est le seigneuriage, c’est-à-dire le revenu que la Banque centrale tire de l’émission de monnaie pour le compte de l’État, qui emprunte auprès d’elle non pas pour le coût matériel de l’impression des billets, mais pour leur valeur nominale : un vol au détriment de la communauté, car l’argent appartient aux citoyens et non à un sujet privé composé de banques privées.

Le troisième facteur réside dans la politique économique et financière de l’Union européenne, qui impose des prêts à intérêt en octroyant les fonds que les différentes nations ont préalablement versés. L’Italie, qui est un contributeur net, se retrouve donc à devoir anticiper des milliards sur lesquels non seulement elle ne perçoit pas d’intérêts, mais qui lui sont rendus à usure comme s’ils n’étaient pas les siens.

Le quatrième facteur est dû aux politiques fiscales misérables des récentes administrations [italiennes], sur ordre péremptoire de la Troïka, à savoir le Fonds monétaire international, la Commission européenne et la Banque centrale européenne, qui sont les créanciers officiels des pays membres. L’importante exonération fiscale des grands groupes financiers et commerciaux et le harcèlement des petites entreprises sont à la base de l’appauvrissement progressif du pays et de l’échec de nombreuses activités, avec pour conséquence l’augmentation du chômage et la création d’une main-d’œuvre bon marché. Et n’oublions pas que c’est toujours l’Union européenne qui impose les soi-disant réformes, basées sur un faux récit — pensez au réchauffement climatique ou à la surpopulation — avec le chantage des prêts qu’elle a consentis aux pays membres : l’égalité des sexes et d’autres horreurs ont été introduites dans les législations nationales sans aucune consultation des citoyens, sachant même très bien qu’ils étaient contre.

Enfin, l’action subversive de l’Agenda 2030 de l’ONU — c’est-à-dire la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial — a pour objectif déclaré le transfert de la richesse des nations et des individus vers de grands fonds d’investissement gérés par la mafia mondialiste. Cette opération subversive doit être dénoncée et poursuivie par les magistrats, car elle constitue un véritable coup d’État silencieux contre la collectivité.

Je tiens cependant à préciser que l’aspect économique n’est qu’un moyen pour atteindre des objectifs bien plus inquiétants, comme le contrôle total de la population mondiale et son asservissement : si les citoyens sont privés de l’accès à la propriété ; si on les empêche d’avoir la liberté d’entreprendre ; si le chômage endémique est causé et augmenté par l’immigration incontrôlée et les urgences sanitaires, réduisant le coût du travail ; si les Italiens sont harcelés par des impôts exorbitants ; si on pénalise la famille traditionnelle en rendant pratiquement impossible à deux jeunes de se marier et d’avoir des enfants ; si l’on détruit l’éducation dès l’école primaire et que l’on crée un vide culturel en frustrant le talent des individus ; si l’on annule l’histoire de notre terre natale et que l’on nie le glorieux héritage qui a fait la grandeur de l’Italie au nom de l’inclusion et du renoncement à notre identité nationale, à quoi peut-on s’attendre, sinon à une société sans avenir, sans espoir, sans envie de se battre et de s’engager ?

Pour reconstruire le tissu social, il est d’abord essentiel d’avoir conscience du coup d’État en cours, réalisé avec la complicité des gouvernants et de toute la classe politique. Comprendre que nous avons été spoliés de nos droits inaliénables par une organisation criminelle internationale est le premier pas indispensable à faire. Une fois que cela sera compris, surtout par le côté sain des institutions et du pouvoir judiciaire, il sera possible de juger les traîtres qui ont rendu possible ce coup d’État silencieux, en les bannissant à jamais de la scène politique. Évidemment, l’Italie devra retrouver sa souveraineté, d’abord en quittant l’Union européenne.

A. Manocchia : Dans cette œuvre de reconstruction, dans laquelle l’Alliance antimondialiste que vous avez initiée jouera un rôle décisif, quelles seront les premières initiatives à lancer ?

Mgr Viganò : Il faudra mettre en œuvre un projet clairvoyant et de grande envergure, qui a pour but la formation intellectuelle, scientifique, culturelle, politique et même religieuse de la future classe dirigeante, en la dotant de la capacité de jugement critique et de solides références morales. Il faudra créer des écoles et des fondations d’où émergera une classe dirigeante de citoyens vertueux, de gouvernants honnêtes, d’entrepreneurs qui sauront concilier les exigences légitimes du profit avec les droits des travailleurs et la protection des consommateurs.

Ceux qui occupent des fonctions publiques, comme tout citoyen honnête, doivent être conscients qu’ils sont responsables devant Dieu de ce qu’ils font, et qu’ils doivent faire passer le bien commun avant l’intérêt personnel, s’ils veulent se sanctifier dans le rôle que le Seigneur leur a assigné et mériter le paradis. Nous devons éduquer les enfants et les jeunes à l’honnêteté, au sens du devoir et de la discipline, à la pratique des vertus cardinales comme conséquence cohérente des vertus théologales ; à la responsabilité de savoir que le bien et le mal existent, et que notre liberté consiste à nous mouvoir dans la sphère du Bien, parce que c’est ce que Dieu a voulu pour nous. Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande, a dit Notre Seigneur (Jn 15,14). Et cela vaut également pour les affaires publiques, où la moralité a été remplacée par la corruption, la recherche du profit personnel, l’abus des lois, la trahison des citoyens et le lâche asservissement à des puissances hostiles. Prenons un exemple de l’allégorie du bon gouvernement, représentée par Ambrogio Lorenzetti dans les salles du Palazzo Comunale de Sienne : nous y retrouverons cette simplicité de principes qui inspirait et guidait les pouvoirs publics dans les communes italiennes [Comuni] du XVe siècle.

A. Manocchia : En Italie, la culture apolitique des 50 dernières années a produit une classe dirigeante corrompue, et maintenant, peut-être précisément à cause de cela, nous avons un régime totalitaire. Notre cher et merveilleux pays subit les effets les plus négatifs de son histoire. Il ne semble plus faire partie de l’Europe ou de l’Occident. Les citoyens, les personnes individuelles, ne comptent plus pour rien. Les politiciens d’abord, puis les gouvernements, et maintenant des nations entières sont soumis aux diktats de l’agenda mondialiste du Nouvel Ordre Mondial. En plus de la corruption mentionnée ci-dessus, y a-t-il une corrélation avec le fait que l’Italie a été historiquement le berceau du christianisme et le centre de l’Église catholique ?

Mgr Viganò : Mais c’est évident ! La fureur mondialiste frappe surtout, de manière impitoyable et cruelle, les nations catholiques, contre lesquelles elle continue de sévir depuis des siècles pour effacer leur Foi, leur identité, leur culture et leurs traditions. Ce sont précisément les pays catholiques — l’Italie, l’Espagne, le Portugal, l’Irlande — qui ont le plus souffert de l’attaque de l’élite maçonnique, qui favorise en revanche les nations protestantes dans lesquelles la franc-maçonnerie a régné sans partage pendant des siècles. Avec la Révolution française, la monarchie capétienne a été détruite ; avec la Première Guerre mondiale, l’Empire austro-hongrois, également catholique, a été détruit, ainsi que l’Empire russe orthodoxe. La Seconde Guerre mondiale a détruit la monarchie de Savoie, qui a d’abord été complice du « Risorgimento », puis sa victime. Le changement de régime n’est pas une innovation récente, bien au contraire !

Il y a des pays qui ne tolèrent pas que des nations catholiques soient prospères et compétitives, indépendantes et en paix, parce que ce serait la preuve qu’il est possible d’être de bons chrétiens, d’avoir des lois bonnes et justes, des impôts équitables, des politiques pro-famille, la prospérité et la paix. Il ne doit y avoir aucun terme de comparaison. C’est pourquoi ils veulent non seulement la misère de la population, mais aussi sa corruption, la laideur des vices, l’égoïsme cynique du profit, l’asservissement aux passions les plus basses. Un peuple sain d’esprit et de corps, libre, indépendant et fier de son identité est redoutable, car il ne renonce pas facilement à ce qu’il est et ne se laisse pas subjuguer sans réagir. Un peuple qui honore le Christ comme son Roi sait que ses gouvernants se considèrent comme ses vicaires, et non comme des despotes obéissant à ceux qui les enrichissent ou leur donnent du pouvoir.

N’oublions pas que la Révolution française a arraché la couronne royale à Jésus-Christ, opposant les prétendus « droits de l’homme et du citoyen » aux droits souverains de Dieu. Des droits qui, libérés du respect de la loi morale naturelle, incluent aujourd’hui l’avortement, l’euthanasie (même des pauvres, comme c’est le cas aujourd’hui au Canada), le « mariage » avec des personnes du même sexe, le « mariage » avec des animaux, et même le « mariage » avec des choses inanimées (vous avez bien compris : il y a des propositions de lois approuvant ces choses faites par les 5 Stelle [parti politique italien]), la théorie du genre, l’idéologie LGBTQ et tout le pire qu’une société sans principes et sans foi peut revendiquer. La laïcité de l’État n’est pas une conquête de la civilisation, mais plutôt un choix délibéré de barbarisation du corps social, auquel on impose la prétendue neutralité du gouvernement par rapport à la religion, qui est en fait un choix religieux d’athéisme militant et anticatholique. Et lorsque la manipulation des masses ne parvient pas à les forcer à faire certaines « réformes », le chantage des fonds européens prend le relais : [fonds] accordés uniquement à ceux qui obéissent aux diktats de l’UE. En substance, ils détruisent d’abord l’économie et suppriment la souveraineté monétaire nationale et l’autonomie de décision en matière fiscale et économique, puis lient l’aide à l’acceptation d’un modèle de société corrompu et égoïste dans lequel aucune personne honnête ne voudrait vivre. « L’Europe nous demande de le faire ! » – c’est-à-dire un lobby de technocrates qui n’est élu par personne et qui s’inspire de principes totalement inconciliables avec le droit naturel et avec la foi catholique.

Mais si l’État profond a entrepris d’effacer la religion catholique de la vie publique des nations et de la vie privée des citoyens, il faut reconnaître que l’Église profonde a également apporté sa propre contribution à cette sécularisation, depuis le Concile Vatican II, au point de cautionner le sécularisme pourtant condamné par le Bienheureux Pie IX et de reléguer la doctrine de la royauté sociale du Christ à une dimension symbolique et eschatologique. Après soixante ans de dialogue avec la mentalité du monde, Jésus-Christ n’est plus Roi même de l’Église catholique, tandis que Bergoglio renonce également au titre de son Vicaire et préfère passer son temps à jouer avec la Pachamama à Saint-Pierre.

A. Manocchia : La psychopandémie créée avec art a produit des psychoses, des paniques, des terreurs et des souffrances physiques et mentales qui ont laissé une trace indélébile, de graves troubles sociaux, ce qui ne s’était jamais produit de cette manière dans l’histoire de l’humanité. Ils ont réduit l’homme à l’état de zombie. Quel est le message que l’on peut transmettre face à cette conformation et ce formatage imposés de la population ?

Mgr Viganò : Vous avez utilisé à juste titre le terme de « formatage » qui, dans un certain sens, rappelle précisément la Grande Réinitialisation inaugurée par la psycho-pandémie et qui se poursuit aujourd’hui avec la guerre et l’urgence énergétique. Nous devons nous demander ce qui a pu conduire des nations entières à apostasier leur Foi, à effacer leur identité sans remords, à oublier leurs traditions, en se laissant façonner sur le modèle de l’idée anglo-saxonne du melting pot. Cette question s’applique tout particulièrement à notre chère Italie, défigurée par des décennies de subordination idéologique, d’une part à la gauche française ou au communisme soviétique, d’autre part au libéralisme américain « néo-con ». Aujourd’hui, nous constatons que le communisme chinois et le libéralisme mondialiste ont fusionné au Forum économique mondial de Davos, menaçant le monde entier et notre pays en particulier.

Bien sûr, la Seconde Guerre mondiale a créé les conditions de la colonisation de l’Italie, selon un modèle consolidé que nous voyons encore aujourd’hui adopté par l’OTAN : détruire, bombarder et raser les dictatures réelles ou présumées, afin de les remplacer par des régimes fantoches au service d’intérêts étrangers. Redécouvrir la fierté d’affirmer son identité et sa souveraineté est une étape essentielle pour la rédemption de l’Italie et la reconstruction de tout ce qui a été détruit. C’est pourquoi je considère que le modèle de la multipolarité est une perspective intéressante pour combattre le Léviathan mondialiste qui nous menace aujourd’hui dans tous les aspects de la vie quotidienne.

La défaite de l’État profond par les forces saines au sein des États-Unis d’Amérique sera la prémisse d’une coexistence pacifique des nations, sans qu’il y ait une nation qui se considère supérieure et légitimée à soumettre les autres. C’est pourquoi Donald Trump a été évincé par fraude électorale de la présidence des États-Unis, en le remplaçant – encore un changement de régime – par un personnage si corrompu qu’il est incapable de gouverner sans être manœuvré.

A. Manocchia : Peut-on dire que l’Occident est en crise parce qu’il rejette Dieu et la loi naturelle, et surtout parce qu’il sous-estime la valeur de la vie et a commis une énorme erreur d’un point de vue moral, économique et social qui a conduit à la dérive éthique actuelle et au déclin moral ?

Mgr Viganò : Je ne pense pas que l’on puisse parler d’une « erreur » ; il s’agit plutôt d’une fraude, d’une trahison réalisée par ceux qui, en position de pouvoir, ont décidé, par culpabilité, de transformer l’Italie en une colonie en partie de l’Allemagne (en ce qui concerne l’économie), en partie de la France (en ce qui concerne la culture), en partie des États-Unis (en ce qui concerne la politique internationale) et en partie de toute l’Union européenne (en ce qui concerne la politique fiscale et les soi-disant réformes). Nous sommes toujours soumis à quelqu’un, alors que notre pays a montré à plusieurs reprises dans l’histoire – dans des périodes beaucoup plus difficiles et troublées – qu’il pouvait très bien rivaliser avec les grandes puissances étrangères.

Le problème fondamental est que les gouvernements que nous avons eus – depuis la monarchie savoyarde – ont été entièrement manœuvrés par la franc-maçonnerie, décidant des réformes, déclarant les guerres, traçant les frontières et stipulant les traités toujours et uniquement sur les ordres des Loges. Des parlementaires maçonniques notoires, des ministres francs-maçons, des professeurs d’université maçonniques, des francs-maçons primaires, des officiers supérieurs maçonniques, des éditeurs francs-maçons et des évêques francs-maçons ont obéi au serment d’allégeance à la Grande Loge et trahi les intérêts de la Nation italienne. Aujourd’hui, la franc-maçonnerie se sert de son « bras séculier », le Forum de Davos, qui établit l’ordre du jour des Nations unies, de l’Organisation mondiale de la santé, de l’Union européenne, des diverses fondations « philanthropiques », des partis politiques et de l’église bergoglienne.

Mais le fait que ce coup d’État soit si vaste et ramifié n’implique pas qu’il soit moins réel ; en effet, la situation actuelle est très grave précisément parce qu’elle implique des centaines de nations qui sont en fait gouvernées par une seule élite de conspirateurs criminels. D’autre part, il n’est pas nécessaire de parler de « théories de la conspiration » : il suffit d’écouter ce que le principal architecte du Grand Reset, Klaus Schwab, a déclaré le 23 mai alors qu’il s’exprimait au Forum de Davos : « L’avenir ne se construit pas tout seul : c’est nous [du Forum économique mondial] qui allons construire l’avenir. Nous avons les moyens d’imposer le monde que nous voulons. Et nous pouvons le faire en agissant comme une “partie prenante” dans les communautés et en collaborant les uns avec les autres ».

La crise ukrainienne fait également partie de ce plan : « Avec le bon récit, nous utiliserons la guerre pour vous rendre vert ». Le conseiller de Schwab, Yuval Noah Harari – qui résume tous les « talents » de l’intellectuel woke en tant qu’Israélien, homosexuel, militant végétalien des droits des animaux, anti-Poutine et anti-Russie, ainsi que farouchement contre Trump – est allé jusqu’à déclarer sans vergogne : « Dans dix ans, tout le monde aura un implant cérébral et une vie éternelle dans le domaine numérique… Google et Microsoft décideront quel livre nous devons lire, qui épouser, où travailler et pour qui voter… ». Harari est l’auteur de divers essais, dont « Sapiens », « Des animaux aux dieux », « Une brève histoire de l’humanité (2011) « Homo Deus », « Une brève histoire du futur » (2015). C’est le délire absurde de l’homme transhumain qui pense pouvoir vaincre la mort et se transformer en dieu.

L’escroquerie réalisée contre le peuple italien a été celle de lui faire croire, à partir du XIXe siècle, que c’était sa volonté de se libérer du joug de la tyrannie des différents États italiens pré-unification, sous l’égide des souverains piémontais obéissant à la franc-maçonnerie ; que c’était sa volonté de se rebeller contre l’autorité des Souverains légitimes au nom de la  » liberté « sans comprendre qu’il serait soumis à des corrompus bien pires ; que c’était leur volonté de se débarrasser de la monarchie savoyarde dans l’immédiat après-guerre pour mettre en place à sa place la République italienne ; que c’était leur volonté d’adhérer à l’Union européenne avec le mirage de l’Eldorado [qu’elle conduirait à la richesse et à la prospérité], pour découvrir ensuite quelle supercherie tout cela représentait. Et qui se cachait derrière ces revendications de liberté, de démocratie, de progrès ? Toujours et uniquement la franc-maçonnerie, avec ses serviteurs infiltrés partout.

Le moment est peut-être venu pour les Italiens de commencer à décider de leur avenir sans qu’il soit dicté par de véritables traîtres, et pour que les traîtres soient jugés pour ce qu’ils sont – des conspirateurs criminels – en les excluant à jamais de la politique et de toute possibilité d’interférer dans la vie du pays. Que les magistrats et les policiers se souviennent que très bientôt ceux qui ont soutenu ce régime dictatorial seront considérés comme des collaborateurs et condamnés comme tels. Un sursaut de dignité et d’honneur de leur part dès maintenant serait encore crédible.

A. Manocchia : Pourquoi l’Occident, si riche en histoire et en culture, ne considère-t-il pas les effets de cette attitude qui contredit et nie la loi naturelle ? Comment est-il possible à l’homme rationnel de la nier ?

Mgr Viganò : L’homme est rationnel, oui. Mais il est aussi soumis aux passions, à la concupiscence, aux séductions du monde. Ce n’est que dans la vie de la grâce surnaturelle que l’homme est aidé par Dieu pour se conserver dans l’amitié avec Dieu et être capable d’agir dans le bien. Mais que nous a appris le mouvement tant célébré du romantisme, sinon que la raison doit céder au sentiment et que la volonté ne peut pas gouverner les passions, que « le cœur ne se commande pas », alors que c’est le contraire qui est vrai ? Là aussi, nous voyons comment, avec les opérations de manipulation des masses relativement banales – à partir de Giuseppe Verdi, de tous les opéras et romans – la perception du devoir moral dans le peuple et dans la bourgeoisie a été effacée, pour la remplacer par l’asservissement à l’irrationnel et à la passion momentanée, avec tous les dégâts qui en ont découlé.

À l’origine de la négation de la loi naturelle, il y a le relativisme, considérant toutes les idées comme acceptables et légitimes, niant l’existence d’un principe transcendant inscrit dans l’homme par le Créateur. L’histoire, la culture et l’art deviennent alors des phénomènes à analyser dans une clé sociologique ou psychologique et ne sont plus ce qui constitue une civilisation. Mais attention : ceux qui nient Dieu comme Créateur et Rédempteur ne le font pas pour permettre à ceux qui ne sont pas chrétiens de pratiquer leur religion, mais plutôt pour empêcher ceux qui sont chrétiens de façonner la société selon les principes de la doctrine sociale et du bien commun. Derrière tout cela, il y a des gens qui détestent Notre Seigneur.

La question que vous me posez, Dr Manocchia, devrait alors être : « Pourquoi les serviteurs de Satan devraient-ils cesser de détester tout ce qui ressemble de près ou de loin au Christ, puisqu’ils l’ont toujours fait ? ». Penser que nous pouvons dialoguer avec un ennemi qui veut nous détruire est soit irresponsable, soit criminel : il y a des ennemis qui doivent être vaincus sans aucun scrupule puisqu’ils sont dévoués au mal.

La faute de l’Occident est d’avoir cru les mensonges de la Révolution – qui était aussi une Grande Réinitialisation – de s’être laissé entraîner dans un tourbillon de rébellion et d’apostasie, de violence et de mort. Mais n’est-ce pas finalement ce qui est arrivé à Adam et Eve lorsqu’ils se sont laissés tenter par le Serpent ? Déjà à l’époque, la promesse de Satan était manifestement fausse et mensongère, mais Adam et Eve ont succombé aux paroles du tentateur – Vous serez comme des dieux ! – et ils ont découvert qu’ils avaient été trompés.

Qu’est-ce que nous, Occidentaux, pensions pouvoir obtenir en coupant la tête des rois, des nobles et des prélats ? Que pensions-nous pouvoir améliorer, avec des personnages comme Fouchet, Danton, Robespierre et tout le fatras d’assassins corrompus qui était censé remplacer ceux qui étaient guillotinés ? L’un d’entre nous a-t-il vraiment pensé qu’autoriser le divorce était un progrès ? Ou que donner à la mère le droit de tuer l’enfant qu’elle porte dans son ventre était une conquête de la liberté ? Ou que le fait d’empoisonner les personnes âgées dans leur sommeil ou les malades ou les pauvres est un signe de civilisation ? Y a-t-il quelqu’un qui soit honnêtement convaincu que l’ostentation des vices les plus abominables est un droit fondamental, ou qu’une personne peut changer de sexe, modifiant de façon grotesque ce que la Nature a déjà décidé ? Ceux qui acceptent ces horreurs le font uniquement parce que ces horreurs sont imposées comme un modèle de « civilisation » et de « progrès », et ceux qui les acceptent veulent suivre la masse sans se distinguer.

Le problème est que l’homme contemporain est le fils de la Révolution, inconsciemment endoctriné au « politiquement correct », au relativisme, à l’idée qu’il n’y a pas de vérité objective et que toutes les idées sont également acceptables. Cette maladie de la pensée est la première cause du succès des adversaires, car beaucoup de gens s’allient à l’acceptation de leurs principes sans comprendre que ce sont précisément ces idées qui ont permis de transformer notre société [de manière si destructrice].

L’asservissement à l’Union européenne — et à son idéologie infernale — n’a été qu’une des dernières étapes par lesquelles l’Italie a reçu le coup de grâce. C’est pourquoi, lorsque j’entends des éloges de la Révolution, de la Déclaration des droits de l’homme, des Lumières, du Risorgimento et de l’Expédition des Mille [un moment patriotique légendaire dans l’histoire de la réunification italienne en 1860], je frémis : le mondialisme est la métastase de toutes les erreurs modernes, que seule l’Église — depuis ses débuts — a su condamner avec clairvoyance. Et en effet, si le mondialisme a connu une accélération, nous le devons précisément au fait que, depuis Vatican II, la hiérarchie s’est transformée d’ennemi juré de la conspiration maçonnique en son allié zélé.

A. Manocchia : L’Occident subit un déclin démographique constant et irrépressible, avec toutes les conséquences que cela implique. La « Vulgate » actuelle soutient qu’il s’agit d’un phénomène inquiétant pour l’Humanité, car il entraînera une plus grande pauvreté. Le déclin démographique serait-il la principale cause du déclin économique ? Ce phénomène ne semble pas préoccuper les gouvernements des pays occidentaux. Pourquoi en est-il ainsi, à votre avis ?

Mgr Viganò : Nous savons, de l’aveu explicite des mondialistes, que leur objectif principal est de réduire de façon drastique la population mondiale. Le ministre italien de la transition écologique Roberto Cingolani — qui, par coïncidence, vient de la société Leonardo [aérospatiale, défense et sécurité] — affirme que la planète est « conçue » pour pas plus de trois milliards de personnes. Qu’il ait la bonté de nous expliquer comment il propose d’éliminer la différence, et surtout qui ne l’a jamais autorisé — avec son gouvernement, l’Union européenne, l’ONU, l’OMS et toute la mafia mondialiste — à décider motu proprio de procéder dans cette direction avec l’avortement, l’euthanasie, les pandémies, les sérums expérimentaux, les guerres, les famines et l’homosexualité de masse. Qui les a nommés « cavaliers de l’Apocalypse » ? Qui a approuvé leur projet par un vote populaire, en supposant qu’un tel projet puisse jamais être proposé à l’approbation des citoyens d’une nation ?

Je ne suis donc pas surpris que les dirigeants occidentaux ne s’inquiètent pas de la baisse de la natalité, dont les données pour notre pays sont largement compensées par la présence de nombreux citoyens extracommunautaires, beaucoup plus prolifiques que les Italiens. La diminution de la population est le résultat des prémisses qui ont été fixées précisément dans ce but, tout comme les confinements ont servi à détruire l’économie déjà prostrée par la concurrence des multinationales et la fiscalité injuste. En bref, nous sommes gouvernés par les membres d’un lobby mondial de conspirateurs criminels qui nous disent directement que leur plan est de nous éliminer, et pendant tout ce temps nous sommes assis ici à nous demander pourquoi nous devons porter des masques dans les bus et pas dans les restaurants.

A. Manocchia : Ceux qui n’acceptent pas les théories nihilistes et néo-malthusiennes, peut-être parce qu’ils sont fidèles aux principes du christianisme, risquent-ils d’être écartés des postes de pouvoir ?

Mgr Viganò : Mais c’est évident : ceux qui ne soutiennent pas le récit psychopandémique, la théorie du genre, l’idéologie LGBTQ, le libéralisme collectiviste du Forum économique mondial, le Nouvel Ordre Mondial et la grande religion universelle sont ostracisés, délégitimés et passés pour des fous ou des criminels. Toute voix discordante est inconfortable lorsque le pouvoir est basé sur la violence psychologique et la manipulation de masse. Cela arrive au médecin qui n’accepte pas les protocoles de Speranza, à l’enseignant qui ne discrimine pas les non-vaccinés, au journaliste qui rapporte la vérité sur les néonazis ukrainiens, au curé qui ne veut pas se faire vacciner, au cardinal qui dénonce l’asservissement du Vatican à la dictature chinoise.

A. Manocchia : Parler de la vie et de la loi naturelle signifie aussi parler de la colonne vertébrale de la société, la famille. Outre la baisse de la natalité, quelles sont les conséquences de la crise économique sur la famille ?

Mgr Viganò : La famille est certainement au centre de l’attaque des mondialistes. La famille, c’est la tradition, l’identité, la foi, l’aide et le soutien mutuels, la transmission des principes et des valeurs. Famille signifie père et mère, chacun avec son rôle spécifique, irremplaçable et non interchangeable, aussi bien dans la relation mutuelle entre les époux que dans l’éducation des enfants, ainsi qu’envers la communauté. Famille signifie religion vécue, religion qui se communique à travers les petits gestes, les bonnes habitudes, la formation de la conscience et du sens moral.

Vous comprenez bien que frapper la famille conduit indéfectiblement à la dissolution du corps social, qui par nature est incapable de remplacer le rôle de la famille. C’est ainsi que nous avons : le divorce, l’avortement, le « mariage » homosexuel, l’adoption d’enfants par des célibataires ou des couples irréguliers, la déchéance de l’autorité parentale pour des raisons idéologiques, l’élimination des grands-parents et de la parenté de la vie domestique, les conditions de travail des mères qui ne leur permettent pas d’accomplir les tâches familiales, la pénalisation des femmes mariées ou ayant des enfants lorsqu’elles cherchent un emploi, l’endoctrinement des enfants dès l’école primaire. Dans ce domaine aussi, une action courageuse et déterminée est nécessaire pour la défense de la famille naturelle et pour la protection des droits des parents dans l’éducation de leurs enfants, qui ne sont pas la propriété de l’État.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque.

[Voir aussi :
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Life Site News : https://www.lifesitenews.com/opinion/abp-vigano-freemasonry-is-using-the-who-and-the-bergoglian-church-to-advance-its-global-coup/




Réaction19 déclenche une énorme plainte pour crime en bande organisée

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING

Ministres de la Santé, membres du gouvernement, président de la République… tous de concert, ont extorqué le consentement de la majorité de la population française conduisant à des atteintes à son intégrité physique.

D’emblée, le président fondateur de Réaction19, Me Brusa plante le décor : 

« chaque acte est un coup de poing dans la gueule de ces ordures », avant d’annoncer une plainte avec constitution de partie civile avec les chefs de :

  • – crime d’empoisonnement aggravé Article 221-5 du Code pénal
  • – homicide involontaire Article 221-6 du Code pénal
  • – violences involontaires 

Articles 222-19 et suivants du Code pénal

  • – mise en danger délibérée de la vie d’autrui Article 223-1 du Code pénal
  • – tromperie aggravée

Articles L213-1 et L213-2 du Code de la consommation

  • – abus de faiblesse

Article 223-15-2 du Code pénal

  • – extorsion aggravée Article 312-2 du Code pénal

à l’encontre de X, toute personne dénommée que l’enquête permettra de révéler.

Extraits des 63 pages de la procédure à télécharger sur
https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2022/07/290722-PCPC-version-definitive-anonymisee-r19.pdf

« les laboratoires se sont engagés à fournir un « vaccin » contre la covid-19 dans les 12 à 18 mois à venir, et ce alors même que « l’élaboration d’un « vaccin » s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans »

« il est avéré que ces « vaccins » ne sont pas efficaces, voire nocifs pour les personnes saines et les personnes malades.

Bien au contraire, les spécialistes ne cessent de rappeler que l’efficacité et les effets indésirables de ces « vaccins » ne peuvent s’analyser que sur le long terme.

En outre, l’émergence des variants a probablement rendu encore plus inefficace lesdits « vaccins », l’apparition de ces nouvelles formes étant elle-même la conséquence de l’administration de ce produit »

« Le prétendu « vaccin » contre la covid-19 constitue une thérapie génique

Le terme de « vaccin » employé par les laboratoires pharmaceutiques ainsi que par les membres du Gouvernement constitue un abus de langage.

En effet, ce que les laboratoires proposent est en réalité une thérapie génique »

« La généticienne Alexandra Henrion-Caude appuie également cette analyse :

« [il existe] un risque de développer un emballement du système immunitaire au niveau de la production des anticorps » 14

Les thérapies géniques peuvent également être à l’origine du développement de cancers »

« l’infraction résulte du concours du ministère de Santé, des membres du gouvernement, du président de la République, qui de manière parfaitement organisée et concertée, ont extorqué le consentement de la majorité de la population française conduisant à des atteintes à leur intégrité physique.

Il est indéniable que l’opération de communication et de contrainte litigieuse a été réalisée de façon préméditée afin de garantir le plus haut taux de « vaccination ».

En conséquence, la circonstance aggravante de bande organisée sera retenue pour les infractions de tromperie et d’extorsion ».

Dans sa dernière vidéo, intitulée « Des questions et la liberté d’y répondre » en ligne sur https://reaction19.fr/ Carlo Alberto Brusa, explique:

« À partir du 1er août, vous n’avez plus à fournir un passe sanitaire pour entrer à l’hôpital » idem pour les Ehpad « à partir du 1er août, plus aucun passe ne peut être demandé ».

Delfraissy dans le collimateur de Brusa

C’est à partir de 25’. « Monsieur Delfraissy a peut-être maintenant peur des poursuites pénales, évidemment criminelles, parce que je demanderai qu’il soit auditionné. 

Moi je ne fais pas partie d’une opposition contrôlée, je veux que ceux qui ont commis des infractions soient punis par des juridictions de l’État. Je veux rappeler à tout le monde que le juge rend la justice au nom du peuple français. Au nom de la nation. Et je veux rappeler aux juges qu’ils ne sont pas là pour soutenir le gouvernement. Qu’ils ne sont pas là pour servir Dupond-Moretti ; ils sont là pour servir le peuple français ! ».

« Vous trouverez aujourd’hui même sur notre site, la plainte criminelle que nous avons déposée à Paris devant le doyen des juges d’instruction. Vous voulez des actions, nous les faisons et ensuite nous serons là et vous pourrez intervenir quand elle sera enrôlée. Ces affaires-là sont criminelles et demanderont des expertises pour être instruites (Brusa fait état d’une plainte rédigée conjointement pour l’Italie, avec un confrère italien). Des Allemands et des Américains vont emboîter le pas. »

« Vous imaginez que le « vaccin » contre la variole du singe est aussi couvert par le Secret Défense ! ». Comme pour la gestion du Covid, tout est fait pour étouffer toute la vérité pendant 75 ans.

Brusa donne aussi l’information que Agnès Buzyn ( la sinistre que l’on ne présente plus) est nommée juge à la Cour des comptes pour cinq ans (détails à partir de 20’ de la vidéo).

Des nouvelles de l’autre plainte : 

105 juridictions à ce jour sont saisies par 353 personnes de la plainte :
https://ripostelaique.com/100-tribunaux-saisis-au-penal-par-reaction19-contre-la-vaccination-covid.html 

Ces plaintes émanent désormais de la quasi-totalité des départements. Pour l’instant, il manque le 2, 3, 8, 10, 11, 16, 20, 23, 28, 41, 42, 43, 24, 52, 55, 60, 63, 80, 88 et 96. 




Dangers des ondes : des médecins témoignent

[Source : maisonsaine.ca]

Par André Fauteux

L’antenne de Ripon filmée par CBS News.
https://www.cbsnews.com/news/cell-tower-shut-down-some-california-parents-link-to-several-cases-of-childhood-cancer/

Il a fallu que quatre écoliers et trois enseignants reçoivent un diagnostic de cancer dans un délai de trois ans, et les protestations de parents en colère, pour qu’en 2019 l’entreprise Sprint démantèle une tour de téléphonie cellulaire installée sur le terrain d’une école primaire de Ripon, en Californie. La chirurgienne plastique Cindy Russell, dont la fille fréquentait l’école au nom peu romantique de K-8, s’est intéressée au dossier dès l’annonce du projet d’antenne, en 2010.

« Bien qu’il soit extrêmement difficile de cerner la cause d’un agrégat de cancer, les parents et les élèves de l’école du comté de San Joaquin sont convaincus qu’il y en a une et qu’elle provient de la tour cellulaire du campus », écrivait-elle sur le site mdsafetech.org de l’organisme Physicians for Safe Technology (Médecins pour une technologie sécuritaire).

Plusieurs parents ont retiré leur enfant de l’école K-8 après que des élèves ont développé quatre cancers rares – deux tumeurs cérébrales, un cancer du rein et un cancer du foie. « Des enquêtes non seulement sur le rayonnement des tours cellulaires, mais aussi sur la qualité de l’eau ont été lancées. Après que 200 parents ont pris d’assaut la réunion du conseil scolaire, les responsables de l’école ont été invités à demander que la tour de téléphonie cellulaire soit enlevée à l’école K-8. Sprint a accepté de le faire. » Tout cela peut être évité si les commissions scolaires interdisent l’érection d’antennes sur leurs terrains, comme celle de Los Angeles l’a fait en 2000.

Une deuxième conférence médicale américaine sur les dangers des ondes

Dre Cindy Russell

Ancienne vice-présidente de l’Association médicale californienne, la Dre Russell est à l’origine d’une résolution de cet organisme qui prône la précaution en matière d’exposition aux champs électromagnétiques (CEM) de radiofréquences (RF). « Aussitôt que la tour fut démantelée, les symptômes de ma fille ont disparu », a-t-elle raconté en prononçant l’allocution d’ouverture de l’EMF Conference 2021, conférence médicale virtuelle sur la prévention, le diagnostic et le traitement des problèmes de santé associés aux CEM, tenue à la fin janvier. Une experte des reconstructions mammaires, cette plasticienne est horrifiée par le nombre croissant de jeunes femmes, souvent dans la vingtaine, qui développent des tumeurs du sein après avoir souvent porté leur cellulaire allumé dans leur soutien-gorge.

En fouillant la littérature scientifique, la Dre Russell a vite découvert que les effets nocifs de l’exposition chronique au rayonnement de RF étaient abondamment décrits depuis les années 1960, mais en particulier depuis 20 ans.

« Le rayonnement RF des technologies sans fil comme le Wi-Fi agit comme un agent toxique causant des dommages cumulatifs et silencieux, comme le font les produits chimiques. Il agit d’ailleurs en synergie avec les autres expositions toxiques, a-t-elle expliqué lors de son allocution. Ça affecte tous les organes, on sait qu’il y a des populations plus vulnérables, comme les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées, et que la nutrition et notre génétique ont indéniablement un impact sur notre réponse aux expositions toxiques causant des maladies. La science est abondante et robuste : elle montre que les RF causent notamment des dommages neurologiques, reproducteurs, immunitaires et le cancer. »

La Suisse reconnaît que les ondes oxydent le corps

À l’origine de ces dommages, le rayonnement de RF, y compris les micro-ondes polarisées qui sont constamment pulsées par les appareils sans fil, cause un stress oxydatif, ce que les membres du groupe d’experts BERENIS qui conseille le gouvernement suisse viennent de confirmer en janvier. « Les fours à micro-ondes qui utilisent des radiofréquences similaires à une puissance plus élevée cuisent par la chaleur; cependant, à une puissance inférieure, des effets biologiques néfastes ont été démontrés dans des études scientifiques sans chauffer ni brûler les tissus, explique-t-elle. Un mécanisme de toxicité clairement démontré est le dommage oxydatif, observé dans 93 des 100 études scientifiques (Yakymenko 2016). L’oxydation est un mécanisme commun de toxicité présent dans les polluants tels que les pesticides, les produits chimiques industriels, la fumée de cigarette et les métaux lourds. Ces polluants peuvent déclencher une inflammation et endommager les structures cellulaires telles que l’ADN, dont les mutations peuvent être un précurseur du cancer. Les dommages aux spermatozoïdes, l’affaiblissement des membranes cellulaires, la création d’espèces réactives de l’oxygène [comme les radicaux libres] et l’ouverture des canaux calciques par le voltage ont tous été confirmés dans les plus récentes études. Le rapport du groupe BERENIS est immensément important, c’est une analyse très puissante faite par certains des toxicologues les plus talentueux du monde. » Comme l’oxydation est une usure prématurée des cellules vivantes, la toxicologue ontarienne affirme que la perte de tolérance aux ondes devrait s’appeler syndrome du vieillissement accéléré (rapid aging syndrome).

Heureusement, les antioxydants, telles les vitamines A, C et E ainsi que la mélatonine, peuvent prévenir ou atténuer les dommages causés par les ondes, dont l’inflammation chronique menant aux maladies, ajoute Dre Russell. Mais le premier traitement est la réduction de l’exposition à l’agresseur.

Les enfants doivent particulièrement être protégés du rayonnement électromagnétique, non seulement parce que leurs organes en pleine croissance sont plus vulnérables face aux polluants, mais aussi parce que leur exposition aux ondes est plus élevée. « Leur crâne est plus mince que celui d’un adulte, ce qui augmente la pénétration des ondes, leur corps les absorbe davantage car il contient proportionnellement plus d’eau, et ils seront exposés toute leur vie durant », explique Cindy Russell.

En 1994, le neurochirurgien suédois Leif Salford découvrait que les ondes peuvent ouvrir la barrière hématoencéphalique censée empêcher la migration de microbes et de produits chimiques nocifs du sang vers le cerveau. « Il suffit d’une exposition de deux heures pour que cette barrière demeure ouverte pendant plusieurs semaines », précise la Dre Russell.

D’ailleurs, des études ont démontré que les antennes cellulaires placées près des écoles sont liées à un déclin des fonctions cognitives. Par exemple, des professeurs de médecine d’Arabie saoudite ont suivi 217 adolescents pendant deux ans. Dans leur étude publiée en 2018 dans l’American Journal of Men’s Health, ils ont remarqué que les ados les plus exposés aux ondes des antennes présentaient plus de problèmes sur le plan de la motricité, de la mémoire et de l’attention que les moins exposés.

La Dre Russell affirme que découvrir l’immense littérature sur les méfaits des ondes est devenu presque envahissant pour elle, « comme boire d’un boyau de pompier ». Elle utilise cette analogie pour rappeler que des scanographies du cerveau faites par le Dr Gunnar Heuser confirmaient la présence de modifications ne pouvant être expliquées par l’inhalation de fumée et pouvant expliquer les problèmes de sommeil, de dépression, de tremblements, de temps de réaction ralenti, de concentration et de maux de tête sévères vécus par six pompiers sujets d’une étude. Cette étude a incité l’Association internationale des pompiers à adopter une résolution contre l’érection d’antennes sur leurs casernes, résolution qui a été honorée par certaines villes américaines.

« Pourtant, déplore Dre Russell, les enfants d’école n’ont aucun mot à dire » quand on leur impose des antennes dans le voisinage ou du Wi-Fi dans leur classe.

Dr Scott Eberle

Quel est le diagnostic, docteur?

Le patient était un professionnel très performant de 56 ans qui a soudainement connu un déclin de ses capacités mentales, des maux de tête violents et de l’insomnie. Il avait subi un empoisonnement chronique au monoxyde de carbone (CO) émis par un système de chauffage au gaz défectueux. Ses symptômes se sont grandement atténués après qu’il eut trouvé et retiré l’appareil fautif. Mais son rétablissement était lent et trois ans plus tard il a rechuté, vivant alors des épisodes de confusion sévères en plus de terribles maux de tête.

« Le patient, c’était moi, et au début de 2013 je ne fonctionnais plus bien du tout », raconte le médecin Scott Eberle dans un article paru à l’automne 2014 dans le magazine Sonoma Medicine, publié par l’association médicale du comté californien du même nom. Ce spécialiste des soins palliatifs a d’abord soupçonné les émissions chimiques d’un nouveau tapis installé dans ses bureaux, puis les champs électromagnétiques (CEM) émis notamment par les routeurs Wi-Fi. Son intuition fut confirmée après s’être soumis à une petite expérience scientifique chez lui avec l’aide d’un ami. Alors que le Dr Eberle avait les yeux fermés pendant 30 minutes, son ami devait activer la fonction Wi-Fi de son routeur sans l’aviser du moment exact. Lorsque le Dr Eberle s’est plaint d’un mal de tête perçant, son ami lui confirma que l’appareil était allumé depuis seulement une minute.

Ceci incita le médecin à se procurer un lecteur de radiofréquences (RF) pour mesurer les émissions des technologies sans fil dans son environnement, puis à embaucher un expert en baubiologie (biologie du bâtiment) afin de trouver et corriger les principales sources de CEM dans ses espaces de vie.

Il a découvert que réduire ou éliminer son exposition aux ondes avait un impact majeur sur sa santé qui périclitait à chaque exposition. « Il me faut 24 heures pour aller mieux et 48-72 heures pour revenir à la normale », a-t-il écrit en expliquant que la lecture de la littérature scientifique lui a fait comprendre que l’empoisonnement au CO avait probablement rendu perméable sa barrière hématoencéphalique censée protéger son cerveau des microbes et des polluants environnementaux. Ayant répété son expérience les yeux fermés près de 80 fois en un an, la preuve de cause-à-effet n’était plus à faire.


[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]


André Fauteux

André Fauteux

Journaliste de profession, André Fauteux fut reporter à The Gazette (1988) puis chez Habitabec (1989-1994) où il s’est spécialisé en maisons saines et écologiques. En 1994, il fondait La Maison du 21e siècle, plus ancien magazine canadien en la matière, dont il est toujours l’éditeur et le rédacteur en chef. Il a également été collaborateur à La Presse et au magazine Guide Ressources pendant 15 ans. Il est aussi un conseiller, formateur et conférencier recherché pour tout ce qui touche à l’habitat sain et durable.




REVUE DE PRESSE DU 1ER AOÛT 2022

ÉDITO
Inconscience, indemnisation, et peur du châtiment

Selon le pays où l’on vit, les soignants restent suspendus, dans le déni de l’inefficacité des vaccins, tandis qu’ailleurs la justice se penche sur la composition des « vaccins », les contrats signés avec les laboratoires, ou l’indemnisation des victimes des injections. Mais la biologie est têtue, l’immunité naturelle reste supérieure à l’immunité « vaccinale », et l’Afrique démontre que trop d’hygiène tue l’immunité, de quoi méditer sur ce vers de La Fontaine « on a toujours besoin d’un plus petit que soi ». Pendant ce temps le Pr Delfraissy confesse ses « erreurs », mais qui croira qu’il n’était qu’un « lampiste », tandis qu’un autre professeur en Israël, est censuré par twitter pour avoir écrit que la variole du singe est liée aux vaccins à ARNm.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Fin du passe sanitaire et bilan

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/01/fin-du-passe-sanitaire-la-resistance-et-son-bilan-pour-le-meilleur-comme-pour-le-pire/

« Le cartel de la presse subventionnée a enfermé tous les Résistants dans un ghetto dont ils n’ont plus pu sortir. » 

Nuances sur la fin du passe sanitaire

https://www.francesoir.fr/politique-france/fin-passe-sanitaire

Suspensions maintenues et passe toujours obligatoire pour les personnes venant de l’étranger ou celles désirant se rendre dans les régions françaises d’outre-mer.

Les pleins pouvoirs à la HAS, ou l’inconscience du Parlement

« Si nos concitoyens ne font rien, qu’ils ne viennent pas se plaindre de l’absence de soins par absence de soignants. »

Un précédent terrible pour les salariés

« L’avocat Me DI Vizio alerte sur la dérive du droit du Travail qui permettra bientôt de suspendre sans indemnités des salariés jugés travailleurs non essentiels. » 

Réalité des soignants suspendus, conférence de presse

Manque de soignants :

« Il suffit de considérer qu’il y a une réintégration possible. »

Alexandra Henrion-Caude

Les aveux du Professeur Delfraissy

« Ce sont les politiques qui nous ont nommés, on a pu être instrumentalisés ». Argument difficilement recevable , on ne saurait imaginer qu’un professeur de médecine se soit laissé berner à ce point..

Vaccination des bébés, droit de réponse à un factchecker

https://www.aimsib.org/2022/07/31/droit-de-reponse-a-un-factchecker-vaccins-covid-pour-les-bebes/

« TOUS les enfants qui ont fait une Covid multiple ont été vaccinés, même ceux du groupe placebo (ils ont été injectés avec le produit actif dans un 2e temps). »

ÉTRANGER

ARGENTINE indemnisation des victimes des injections anti-covid

https://www.francesoir.fr/politique-monde/vaccination-covid-largentine-indemnise-victimes-effets-indesirables

« C’est le premier pays au monde où le responsable politique d’une atteinte à la santé humaine instaure un mécanisme de réparation et admet officiellement l’existence des effets indésirables. »

ROYAUME-UNI —100 médecins appellent à la suspension des vaccins pour les enfants

« Ils demandent au prochain gouvernement de mettre une pause le temps qu’une étude approfondie et indépendante soit entreprise sur la sécurité des vaccins ; ils émettent de sérieux doutes quant à la sécurité et la nécessité de vacciner les enfants. »

USA — le jackpot pour Pfizer

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/01/jackpot-financier-en-cours-pour-pfizer/

« Le chiffre d’affaires de l’entreprise en 2021 aurait dépassé les 80 milliards de dollars, et pourrait atteindre plus de 100 milliards de dollars cette année 2022 avec la pilule Paxlovid. »

USA – fin de l’obligation vaccinale pour les basketteurs

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/01/la-nba-abandonne-le-vaccin-obligatoire/

« Mais les joueurs non vaccinés ne pourront toujours pas jouer contre les Raptors au Canada. »

JUSTICE

ITALIE – un tribunal ordonne l’analyse des vaccins à ARNm

https://guyboulianne.com/2022/07/31/italie-centrale-le-tribunal-de-pesaro-a-ordonne-lanalyse-en-laboratoire-du-contenu-des-vaccins-a-arn-messager-qui-sera-realisee-en-septembre/

« Selon l’avocate, c’est une première en Italie, et peut-être en Europe ». L’examen du vaccin est prévu pour septembre prochain.

ESPAGNE, la justice baléare donne dix jours à l’État pour divulguer les contrats avec Pfizer et trois autres laboratoires

https://www.francesoir.fr/politique-monde/espagne-baleares-divulgation-contrats-pfizer

USA – dix millions de dollars pour les soignants vaccinoréfractaires

Coup de tonnerre aux USA : la justice ordonne à l’hôpital NorthShore dans l’Illinois de payer plus de 10 millions de dollars à ses soignants anti-vax, 437 sont concernés.

COVID

Réseau sentinelles, nette baisse en semaine 30 à 40/100 000

84 % des patients âgés de 12 ans ou plus étaient vaccinés contre le Covid-19. Chiffre en forte augmentation, de personnes vaccinées et qui pourtant tombent malades, une très large majorité avec seulement 0,7 % d’hospitalisations.

Persistance de l’immunité naturelle versus/vaccinale

https://www.aimsib.org/2022/07/28/persistance-de-limmunite-naturelle-versus-vaccinale-le-choc/

« La part de la population mondiale qui est naturellement et durablement protégée contre la Covid grave est considérable et croissante. »

Transmission Covid, que dit la Science ?

https://infodujour.fr/sante/59091-non-vaccines-et-transmission-covid-que-dit-la-science

« Stigmatiser en 2022 les personnes non vaccinées qui ont majoritairement rencontré le virus est éthiquement inacceptable, et faire travailler des soignants positifs infectés est préoccupant. »

Les vaccins enfin reconnus dangereux !

https://infodujour.fr/sante/59176-les-vaccins-anti-covid-enfin-reconnus-dangereux

« L’histoire tourmentée de la Covid-19 et de ses vaccins qui n’en sont pas, resteront dans les annales des mensonges de l’Histoire. »

La revanche des vers en Afrique

https://www.wikistrike.com/2022/08/l-avantage-de-l-afrique-les-vraies-raisons-pour-lesquelles-les-pays-sous-developpes-ne-sont-pas-touches-par-le-covid.html

Un microbiome plus diversifié chez les Africains, conséquence d’une hygiène différente de l’Occident, peut expliquer le faible impact du Covid sur ce continent, en particulier grâce aux helminthes, ces vers bénéfiques pour l’immunité.

TRAITEMENTS ET STRATÉGIES

Effets des mesures anti-covid sur l’activité physique des enfants

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/02/leffet-de-la-pandemie-sur-lactivite-physique-des-enfants/

20 % d’activité physique en moins, et augmentation des gestes suicidaires chez les jeunes.

Encore les masques, quelle dépendance !

https://nouveau-monde.ca/laffligeante-dependance-de-certains-humains-au-masque-outil-denfermement-urgent-de-demasquer-et-limposture-et-le-peuple/

« Le masque, cette technique d’enfermement, n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme, outil de la perversité consciente des dirigeants qui nous persécutent. »

INJECTIONS

Le rapport bénéfices/risques des vaccins est incertain

https://brownstone.org/articles/are-the-covid-mrna-vaccines-safe/

Pr Martin Kulldorff :

« Il est de la responsabilité des fabricants et de la FDA de s’assurer que les avantages l’emportent sur les inconvénients. Ils n’ont pas réussi à le faire. »

VARIOLE DU SINGE

L’épidémie de variole du singe est liée aux effets des vaccins à ARNm

https://lesdeqodeurs.fr/twitter-censure-le-directeur-du-vaccin-israelien-covid-victime-de-pfizer

Pr Shmuel Shapira : effet paradoxal des vaccins , qui augmentent le risque d’infections à chaque nouvelle injection.

RÉSISTANCE

CSI n° 65 du 4 août 2022

https://crowdbunker.com/v/UFrMGQuF

Live à 21 h 15 Laurent MUCCHIELLI :

« Les libertés et les contre-pouvoirs qui fondent la démocratie sont-ils solubles dans la lutte contre une épidémie… »

Libertad, 3 août 2022 : psychologie, perception, libertés

https://crowdbunker.com/v/cEDHsgWL

Yoanna MICOUD, psychologue Bernard, du collectif Libertad Catherine, du collectif Libertad Myriam, du collectif Libertad, animé par Pierrick THEVENON, animateur de lives pour le collectif Libertad Monts du Lyonnais.




Lettre ouverte au député Sacha Houlié : les injections anticovid sont expérimentales et ne sont pas réellement des vaccins

Par le Dr Gerard Delépine, chirurgien orthopédiste et cancérologue et statisticien

Non, Monsieur le Député Sacha Houlié, président de la Commission des lois et avocat, les pseudo vaccins covid ne sauvent pas de vie !

Le 11 juillet dernier, vous hurliez dans l’hémicycle : « Il y en a marre des populistes contre les vaccins ! Non au mensonge ! Les vaccins sauvent des vies ! ». Certes, en démocratie, il est bon que toutes les opinions puissent s’exprimer, mais il est dommage qu’un député aussi expérimenté que vous se trompe aussi grossièrement deux fois en une seule courte phrase, car les injections expérimentales ne sont pas des vaccins et elles n’ont pas sauvé de vies ! Il ne s’agit pas d’opinions, mais de faits avérés.

Comme il n’est pas imaginable que vous puissiez mentir volontairement, je suppose que vos erreurs proviennent du fait que, n’étant pas médecin, vous ne savez pas ce qu’est vraiment un vaccin et n’avez pas l’habitude de consulter les bases de données médicales (comme PubMed), le site gouvernemental américain des essais thérapeutiques (clinicalTrials.Gov) ou le site officiel de l’OMS sur lequel elle publie les statistiques de l’épidémie (WHO Covid dashboard). Voici donc des faits indiscutables que vous paraissez ignorer.

Les injections anti-covid ne sont pas des vaccins, mais des médicaments expérimentaux

Un vaccin se définit par sa composition, dont les principes actifs sont un virus atténué ou inactivé, des antigènes obtenus à partir du germe pathogène (atténué, inactivé ou tué, des fragments de protéines de membrane bactérienne) ou d’une anatoxine. Les injections anti-covid n’en contiennent aucun, mais un ARN messager censé faire produire la toxine par les cellules de la personne injectée et ainsi susciter des anticorps. Il ne s’agit donc pas d’un vaccin, mais d’un médicament comme l’a d’ailleurs reconnu récemment le Pr Delfraissy : « c’est une forme, un peu, de vaccin médicament »(([1] Interview de J P Delfraissy France info 25/1/22
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html)).

De plus, cette technique de fabrication de médicament à ARN messager est utilisée dans d’autres pathologies, mais ne l’avait jamais été en pathologie infectieuse. En prévention d’infection, cette technique de création de médicament préventif à ARN messager est expérimentale.

Enfin, les essais phase 3 des injections covid ne sont pas terminés, ainsi que l’atteste la consultation du site gouvernemental US de référence.

Tant que leurs essais phase 3 ne sont pas terminés, ces pseudo vaccins restent expérimentaux et n’obtiennent que des autorisations conditionnelles des agences de santé FDA, EMA, etc.

Non, Monsieur Sacha Houlié, les pseudo vaccins covid ne sauvent pas de vie

La consultation du site officiel des statistiques covid de l’OMS est démonstrative : les USA et l’Europe, pour des populations très vaccinées, équivalentes à celle de l’Afrique très peu vaccinée, comptent 25 fois plus de morts (4,8 millions contre 0,178).

L’évolution des mortalités montre que celles-ci n’ont pas diminué avec l’apparition des pseudo vaccins

De plus, ce ne sont pas les pays non vaccinés qui ont subi une augmentation des morts Covid19. L’évolution des mortalités montre que celles-ci ont fortement augmenté dans les pays « vaccinés » après le début des campagnes de « vaccination ».

En Grande-Bretagne, championne européenne des injections, les chiffres officiels sont publiés selon le statut vaccinal par l’Office National des Statistiques (ONS). Depuis avril 2022 ce sont les triples injectés qui sont le plus à risque de formes graves et de mort attribuée au Covid.

Durant les deux derniers mois publiés (avril et mai 2022) 4935 décès dus au Covid-19 ont été enregistrés, dont 4 647 pour la population vaccinée (dont 4 216 chez les triplement vaccinées) et seulement 288 décès parmi la population non vaccinée.

Le graphique suivant montre le pourcentage de décès liés au Covid-19 par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er avril et le 31 mai 2022, selon les dernières données de l’ONS.

Non, les pseudo vaccins covid ne sauvent pas de vie

Ces faits objectifs sont publiés par des sources indiscutables qui démentent formellement les présentations trompeuses des agences françaises, dont vous êtes apparemment une des victimes.

Au lieu de croire sans vérification les propagandistes des marchands de pseudo vaccins, je vous conseille de consulter des sources objectives indiscutables ! Je reste à votre disposition pour toute présentation détaillée de l’ensemble des résultats des mesures anticovid 19 et particulièrement des pseudovaccins anticovid 19.(([2] Balance avantages/risques des injections anti-covid 19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Nous pourrions à cette occasion vous présenter également les conséquences dramatiques de ces injections expérimentales singulièrement chez les jeunes qui n’auraient jamais dû les recevoir, car ne risquant rien du covid et ne transmettant pas le virus. C’est une lourde histoire qui ne fait que commencer n’ayant aucun recul sur ces injections expérimentales.(([3] ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Je vous remercie de votre attention.

gerard.delepine@bbox.fr





Taïwan préserve le legs de la Chine légitime et non le maoïsme fantoche

Par Lucien SA Oulahbib

[Illustration à partir de ©Google Earth]

Il ne faut pas laisser aux faux démocrates de la Secte qui s’arrogent (encore) les rênes de l’Occident s’arroger le droit de distribuer les bons et mauvais points en matière de liberté alors qu’ils imposent un régime technonumérique de plus en plus immonde aux remugles scientistes, hygiénistes, affairistes répugnants qui régissent aussi la Chine maoïsée. Car au lieu de se contenter d’un voyage provocateur pour détourner l’attention alors que la guerre fait rage à l’est de l’Europe depuis 2014, et ce, de leur fait, les USA de Biden (prononcez à la française) feraient mieux de se souvenir que Taïwan a été le refuge depuis maintenant plus de 75 ans du seul régime démocratique authentique issue de la glorieuse révolution de 1911 menée par Sun Yan-sen et que le soutenir maintenant alors qu’il aurait fallu le faire bien avant s’avère être de la plate hypocrisie cherchant à se redorer le blason « démocrate » à bon compte.

Certes, certains patriotes nationalistes français, comme Xavier Moreau et Éric Zemmour, rappellent sans cesse qu’il vaut mieux en revenir strictement au principe westphalien de non-intervention dans les affaires intérieures de nations souveraines, mais, dans ce cas précis, il faut déjà préciser que le régime maoïste n’a aucune légitimité autre que celle donnée, hâtivement, par Nixon et De Gaulle. Ensuite, la realpolitik n’empêche pas d’opérer aussi par « containment » (endiguement) comme d’ailleurs le régime maoïste l’a fait pour Taïwan et veut l’accentuer par son actuel encerclement maritime en représailles ascendantes (sauf qu’une invasion sera très coûteuse tant Taïwan est bien préparé ; n’oublions pas le sévère revers qu’avaient subi en 1979 les maoïstes par un Vietnam aguerri).

Il ne faut tout de même pas également oublier que ce régime sanguinaire est partie prenante de la « dictature codiviste » (selon la formule forgée par Philippot des Patriotes) du fait de sa collaboration avec les États profonds anglo-saxons et UE via les laboratoires dont le P4 de Wuhan de l’industrie pharmaceutique mondiale. Son hygiénisme forcené est certes critiqué, du moins en surface (sa politique dite de « zéro Covid » façon Nouvelle-Zélande) par l’OMS, mais celle-ci s’avère désireuse en réalité de ne pas passer pour un instrument officiel de cette dictature hygiéniste et affairiste globale (sachant aussi que les maoïstes font en fait une guerre du zèle sous le prétexte codiviste en fermant brutalement des ports afin de ralentir les velléités occidentales de la contrer au sein de l’OMC et dans diverses sous-traitances). Aussi l’OMS préfère-t-elle — surtout depuis que l’injection a globalement échoué et que la mer se retirant, les dégâts du « progrès » (les effets secondaires) apparaissent massivement — se refaire une virginité tout en misant ailleurs (telle l’actuelle variole du singe ou la « santé mentale » qu’elle aura pourtant contribué à aggraver par son alarmisme en 2020 et surtout sa vision purement physicaliste qui mise sur la médecine lourde des antidépresseurs et des opiacés, médecine bien plus dévastatrice, alors que des médecines et thérapies alternatives et séculaires apparaissent bien plus efficaces pour combattre une syndémie aux racines multiformes, tant l’hyperconsommation et le basculement dans le Métaverse de l’hyperréalité des séries vidéo queer n’est pas, déjà psychiquement, tenable).

Ne nous leurrons donc pas : le fait que le régime maoïste « soutienne » la Russie provient surtout du fait qu’il a besoin de gaz et de pétrole, et non pas parce qu’il voudrait lui aussi combattre la Secte dont il fait en réalité partie, même s’il a son autonomie en son sein. Certes, il existe aussi un État profond russe qui n’y va pas de main morte vis-à-vis de ses opposants, mais, cela reste sans aucune commune mesure avec ce que le régime maoïste fait, non seulement avec ses opposants, ses minorités, mais aussi le peuple chinois, tels ces épargnants qui ont investi dans l’immobilier et qui voient, de nouveau, devant eux, alors qu’ils vocifèrent à la porte des voleurs, des chars prêts à tirer.

Il ne s’agit donc pas de s’ingérer à la façon des néo-léninistes tiers-mondistes type BHL et Kouchner convertis dans l’interventionnisme aveugle à la manière de certains néoconservateurs US. D’ailleurs, et pour être précis sur ce dernier point, lorsque j’ai soutenu l’intervention US en Irak il s’agissait seulement de profiter de cette occasion pour soutenir les Kurdes gazés et massacrés par le faux laïc Saddam et casser les djihadistes payés par lui pour faire des attentats en Israël (et prendre en charge la famille du « martyr ») ; sans oublier que le parti Baas et ses deux mouvances (irakienne et syrienne) ont été partie prenante dès 1954 (à l’instar du parti nassérien, de la fabrication du FLN arabo-islamique en Algérie — éliminant les messalistes, puis les démocrates de ladite « Algérie plurielle » pour construire l’État raciste et affairiste actuel) et que son aura et ses financements continuaient à paralyser les forces démocratiques dans ce pays jusqu’à peu.

Ce soutien de ma part a été réaliste et non pas idéaliste (les ennemis de mes ennemis sont mes « amis ») ce qui ne signifie pas acquiescer aux errances stratégiques US allant de la dissolution de l’armée irakienne à la mise à l’écart du général en chef David Petraeus qui avait réussi à juguler les djihadistes en Irak et ensuite en Afghanistan (suivant la tactique de la « contre-insurrection » d’un stratège français, David Galula, qui pourrait être aussi appliquée désormais dans certaines enclaves en France même…) avant qu’il ne soit écarté par les adeptes US d’un « mauvais » universalisme, façon Bertrand Badie en France, tous ces néo-tiersmondistes globalistes croyant que l’époque des « tribus » était dépassée et qu’il fallait les remplacer par des « partis » transversaux. Alors que la structure sociale en Asie comme en Afrique s’appuie toujours sur une stratification clanique qui aura survécu aux divers colonialismes et que c’était sur elle qu’il aurait fallu s’appuyer pour progressivement construire une « démocratisation », mais ce plutôt à la façon des réformes grecques de Dracon, de Solon et surtout de Clisthène : afin en effet d’associer clans et affranchis citadins, les « vilains » (à l’instar de ce qui se passa dans les villes franches européennes à partir du XIIe siècle comme l’expliquent bien Pirenne et Weber). Ceci aurait sans doute évité l’échec afghan et l’enlisement centre-africain, ce que n’a toujours pas compris un Macron, par exemple au Mali, alors que l’autonomie Touareg aurait été la clé d’un compromis, du moins si l’Algérie n’avait pas empêché ce processus ainsi que certains centralistes à Bamako formés à Paris et plaquant sur leur pays une structure jacobine invivable. Le processus actuel existant au Soudan devrait d’ailleurs être étudié de près pour forger des solutions alternatives, du moins s’il existait encore une diplomatie française digne de ce nom.

En définitive, il faut empêcher la Secte de parler en notre « nom » lorsqu’elle s’oppose aux maoïstes, tout en sachant distinguer ceux-ci du peuple chinois dont les représentants légitimes sont en exil à Taïwan (voilà la réalité). Ceci implique cependant de procéder avec doigté… Déjà au niveau diplomatique (soft et smart power) en poussant l’ONU et surtout l’UNESCO à promouvoir des débats mondiaux, retransmis en direct, sur le concept de « démocratie » et aussi, peu à peu, sur les divers différents propres aux conflits actuels afin que les protagonistes acceptent déjà de se parler en public (ce qui n’est pas gagné), qu’il s’agisse du Yémen, du Haut Karabach, du Mali, de ce qui se passe entre Israël et les palestinistes, etc., le tout en vue de réellement progresser vers des échanges moins belliqueux entre civilisations, tout en sachant que oui, en effet, l’Occident, depuis la Révélation issue de la philosophie grecque et de la théologie judéo-chrétienne, a aussi permis à ce que l’esprit laïc dont la Science est issue, d’édifier un « bon » universalisme, c’est-à-dire, et en suivant ici (mais seulement ici) Nietzsche, le fait de s’appuyer sur des critères objectifs solides pour le développement effectif du Soi humain et citoyen, car « aller au-delà du bien et du mal ne veut pas dire aller au-delà du bon et du mauvais » (Généalogie de la morale). Il y a là toute une réflexion qu’il s’agit d’accentuer en stipulant par exemple que la conservation de puissance n’est pas incompatible avec son affinement, ce que suggère d’ailleurs le Christ lorsqu’il suggère de distinguer César et Dieu (et non pas de les séparer systématiquement) ou encore Dieu lui-même lorsqu’il permet la confrontation entre Gabriel et Jacob, lorsqu’il concède à Moïse le fait de ne pas détruire à nouveau le peuple impie comme au temps du Déluge ou de Sodome et Gomorrhe, ou comment œuvrer dans la formation d’un esprit libre à son « image »…

Ceci, loin d’être un hors sujet, est de plus en plus la clé de voûte dans le débat à tenir avec l’islam, les maoïstes et les néo-léninistes tiers-mondistes occidentaux dominant les médias et les universités. Mais il ne faut pas se leurrer, ils ne voudront pas de ce débat, tant le côté obscur de la Force les tient et les fascine, d’où la nécessaire confrontation pour s’en libérer.




La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité

[Source : maisonsaine.ca]

Par Arthur Firstenberg

Au cours des années 1950, des cliniques ont été créées à Moscou, Leningrad et dans d’autres villes d’Union soviétique et d’Europe de l’Est pour étudier et traiter des milliers de travailleurs souffrant d’une nouvelle maladie professionnelle. Elle a été baptisée maladie des ondes radio. Ces patients fabriquaient, inspectaient, réparaient ou utilisaient des équipements à micro-ondes. Certains travaillaient dans des installations radar, d’autres pour des stations de radio ou de télévision, ou des compagnies de téléphone. D’autres encore faisaient fonctionner des appareils de chauffage et d’étanchéité à radiofréquence utilisés dans un nombre croissant d’industries à l’aide de la technologie mise au point pendant la Seconde Guerre mondiale.

Les patients de ces cliniques souffraient de maux de tête, de fatigue, de faiblesse, de troubles du sommeil, d’irritabilité, de vertiges, de troubles de la mémoire, de dysfonctionnements sexuels, d’éruptions cutanées, de perte de cheveux, de diminution de l’appétit, d’indigestion et parfois de sensibilité à la lumière du soleil. Certains ont eu des palpitations cardiaques, des douleurs lancinantes dans la région du cœur et un essoufflement après un effort. Beaucoup ont développé une instabilité émotionnelle, de l’anxiété ou de la dépression, et quelques-uns ont souffert de manie ou de paranoïa.

À l’examen physique, ils présentaient une acrocyanose (doigts et orteils bleus), une sensibilité réduite aux odeurs, des sueurs, des tremblements, des réflexes altérés, des pupilles de taille inégale, des arythmies cardiaques, un pouls et une tension artérielle instables. Ils présentaient des EEG et des ECG anormaux et, à un stade avancé, des signes de privation d’oxygène au niveau du cœur et du cerveau. Certains ont développé des cataractes. Les analyses de sang ont révélé une hyperactivité de la thyroïde, un taux élevé d’histamine, un taux élevé de sucre dans le sang, un taux élevé de cholestérol et de triglycérides, une augmentation des protéines sanguines, une diminution du rapport albumine-globuline, une diminution des plaquettes et des globules rouges et un nombre anormalement élevé ou faible de globules blancs.

Bien qu’environ 15 % seulement des travailleurs des micro-ondes se soient plaints de leur maladie, et que 2 % seulement aient cessé de travailler (Sadchikova 1960, Klimková-Deutschová 1973), les travaux de laboratoire ont révélé des anomalies chez la majorité des travailleurs. Le cholestérol sanguin était élevé chez 40 % des travailleurs des micro-ondes (Klimkova-Deutschova 1974), les triglycérides étaient élevés chez 63 % (Sadchikova et al. 1980), la glycémie à jeun était augmentée chez 74 % (Klimkova-Deutschova 1974) et 70 % présentaient une activité thyroïdienne anormale. Des modifications cardiaques objectives ont été constatées chez 18 à 35 % des travailleurs exposés aux micro-ondes, en fonction de la durée du travail.

Ces travailleurs n’étaient exposés au rayonnement micro-ondes que pendant les heures de travail. Et ils étaient exposés à des niveaux de rayonnement inférieurs à ceux auxquels le grand public est aujourd’hui exposé pendant des heures par jour, voire en permanence, par les téléphones portables et les technologies Internet sans fil.

En raison du grand nombre de publications sur la maladie des ondes radio en provenance d’Union soviétique et d’Europe de l’Est, un échange scientifique entre les États-Unis et l’URSS sur la recherche sur les micro-ondes a été lancé au milieu des années 1970. Le gouvernement américain a chargé le Dr Zorach Glaser de répertorier la littérature scientifique mondiale (articles de journaux, livres, actes de conférences) sur les effets biologiques et sanitaires des radiofréquences et des micro-ondes. À la fin des années 1970, la bibliographie de Glaser comprenait 5 083 documents (Glaser 1984). 

Toujours dans les années 1960 et 1970, l’ophtalmologue Milton Zaret, sous contrat avec l’armée et l’armée de l’air, a examiné les yeux de milliers de militaires et de civils travaillant dans des installations radar aux États-Unis et au Groenland. Il a constaté qu’un grand nombre d’entre eux développaient des cataractes. La plupart de ces cataractes étaient causées par l’exposition chronique de l’œil à des rayonnements d’une densité de puissance d’environ un milliwatt par centimètre carré – un niveau qui est régulièrement dépassé par chacun des huit milliards de téléphones cellulaires utilisés aujourd’hui (Birenbaum et al. 1969 ; Zaret 1973).

Au cours de ces années, le biologiste américain Allan Frey a découvert que le rayonnement micro-ondes endommageait la barrière hémato-encéphalique (Frey et al. 1975), et il a prouvé que les humains et les animaux pouvaient entendre les micro-ondes (Frey 1961). Frey, l’un des chercheurs américains les plus actifs des années 1960 et 1970, a rendu des rats dociles en les irradiant à une densité de puissance de 50 microwatts par centimètre carré (Frey et Spector 1976). Il a modifié des comportements spécifiques à 8 microwatts par centimètre carré (Frey et Wesler 1979). Il a modifié le rythme cardiaque de grenouilles vivantes à 3 microwatts par centimètre carré (Frey 1970). À seulement 0,6 microwatts par centimètre carré, soit 100 fois moins que les niveaux couramment rencontrés aujourd’hui à une distance normale de fonctionnement d’un ordinateur portable sans fil, il a provoqué des arythmies dans le cœur des grenouilles, et parfois l’arrêt des battements, en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque (Frey et Seifert 1968).

En 1977, Paul Brodeur, dans son livre The Zapping of America, a averti que la prolifération des tours à micro-ondes et des installations radar mettait en danger la santé publique. Mais comparé à aujourd’hui, les installations de micro-ondes et de radio étaient encore très rares.

Lorsqu’en 1977, Apple a vendu ses premiers ordinateurs personnels, l’exposition à des niveaux élevés de rayonnements électromagnétiques s’est étendue à la population générale, et les maladies électromagnétiques ont cessé d’être uniquement des maladies professionnelles. Cette année-là, les décès dus à l’asthme aux États-Unis, qui étaient en baisse constante depuis des décennies, ont commencé à augmenter pour la première fois. 

En 1981, le représentant Al Gore a présidé la première d’une série d’audiences du Congrès sur les effets sanitaires des terminaux à écran vidéo (TEV). Ces audiences ont été organisées parce que deux rédacteurs en chef du New York Times, de jeunes hommes âgés de 20 à 30 ans, avaient développé des cataractes ; la moitié de tous les employés de l’UPI et de l’AP interrogés se plaignaient de problèmes visuels ou de maux de tête ; un nombre inhabituel de bébés présentant des malformations congénitales étaient nés d’employés du Toronto Star ; et des groupes de fausses couches se produisaient parmi les opératrices de terminaux vidéo partout aux États-Unis et au Canada.

L’industrie de la presse a été la première industrie à être transformée par la technologie informatique. Au cours des auditions menées en 1981 par la Commission des sciences et de la technologie de la Chambre des représentants, Charles A. Perlik, Jr, président de la Newspaper Guild, a déclaré que si ses membres avaient su que les terminaux numériques étaient capables de produire des émissions dangereuses, « nous n’aurions pas tranquillement permis la transformation d’un lieu de travail essentiellement bénin en un lieu dangereux »(([1] Effets potentiels sur la santé des terminaux d’affichage vidéo et des appareils de chauffage et de scellement à radiofréquence.  Audiences devant le sous-comité des enquêtes et de la surveillance du comité de la science et de la technologie, Chambre des représentants des États-Unis, quatre-vingt-dix-septième Congrès, première session, 12 et 13 mai 1981.)) En 1985, l’auteur canadien Bob DeMatteo a publié un livre populaire intitulé Terminal Shock : The Health Hazards of Video Display Terminals.

Au milieu des années 80, Olle Johansson, un neuroscientifique de l’Institut Karolinska de Stockholm, a découvert une nouvelle maladie de peau. Comme elle ne touchait que les personnes travaillant devant des écrans d’ordinateur, il l’a baptisée « dermatite des écrans ». Ces patients se plaignaient souvent aussi de symptômes neurologiques tels que perte de mémoire, fatigue, insomnie, vertiges, nausées, maux de tête et palpitations cardiaques – les mêmes symptômes neurologiques que ceux décrits trois décennies plus tôt par les médecins soviétiques – mais comme la spécialité de Johansson était les maladies de la peau, il a étudié la peau des opérateurs informatiques. Ses sujets allaient de ceux qui ne présentaient que des rougeurs et des démangeaisons à ceux qui avaient des lésions cutanées graves et défigurantes. Une organisation appelée Foreningen for El- och Bildskärmsskadade (FEB) a été créée pour soutenir les Suédois souffrant de cette « nouvelle » maladie qu’ils ont appelée hypersensibilité électromagnétique (HSEM) – une maladie qui n’était pas nouvelle du tout, mais qui était une maladie professionnelle bien connue dans une autre partie du monde.

Au milieu des années 1990, l’industrie des télécommunications s’est lancée dans un projet qui devait aboutir à l’exposition du monde entier aux micro-ondes à une échelle inimaginable. Ils prévoyaient de placer un téléphone cellulaire et un ordinateur sans fil dans les mains de chaque homme, femme et enfant sur Terre – et de parsemer notre monde d’un si grand nombre d’antennes de diffusion que ces téléphones et ordinateurs fonctionneraient dans chaque maison et chaque bureau, dans chaque rue, dans chaque pays, sur la plus haute montagne et dans la vallée la plus profonde, sur chaque lac, dans chaque parc national, zone de nature sauvage et refuge pour la faune sauvage, sans exception. Ainsi, au cours de la décennie suivante, les niveaux de rayonnement micro-ondes ont été multipliés par mille en moyenne, partout sur Terre.

Ces dernières années, les chercheurs ont établi une corrélation entre des symptômes tels que les troubles du sommeil, la fatigue, les pertes de mémoire, les maux de tête, la dépression, les vertiges et les tremblements – les mêmes symptômes que ceux signalés par les médecins soviétiques il y a un demi-siècle – et l’intensité de l’utilisation des téléphones portables ou la proximité des habitations avec les tours de communication. 

Des équipes de scientifiques de 14 pays ont conclu que la santé de pas moins de trois quarts de la population de la Terre est considérablement altérée par la technologie sans fil (Haugsdal 1998, Hocking 1998, Cao 2000, Oftedahl 2000, Chia 2000, Sandström 2001, Santini 2002, Navarro 2003, Santini 2003, Zwamborn 2003, Wilén 2003, Oberfeld 2004, Bortkiewicz 2004, Al-Khlaiwi 2004, Salama 2004, Meo 2005, Preece 2005, Waldmann-Selsam 2005, Szykjowska 2005, Balikci 2005, Balik 2005, Hutter 2006, Abdel-Rassoul 2007). Mais le terme « hypersensibilité électromagnétique » persiste parce qu’aucune autorité sanitaire d’aucun pays occidental n’admet que les rayonnements électromagnétiques ont un quelconque effet sur la santé d’une personne normale. L’EHS désigne donc les personnes qui ont été le plus gravement blessées par les ondes radio, qui ont découvert par hasard la cause de leur maladie et qui ont cru à la fiction selon laquelle elles sont anormales et différentes de tout le monde.

Affronter / Survivre

Éviter les champs électriques, les champs magnétiques et les rayonnements électromagnétiques est le seul remède efficace contre les maladies qu’ils provoquent.  Dans le passé, on pouvait y parvenir en éliminant et/ou en protégeant les sources de cette exposition à la maison et au travail. Aujourd’hui, alors que l’exposition est omniprésente et hors de contrôle, il est devenu impossible de l’éviter, et la pollution électromagnétique (« électrosmog ») nuit à la santé de toute la population de la planète. 

Pour réduire les champs, ou « assainir » un bâtiment, il faut éliminer les lampes fluorescentes, les variateurs de lumière, les systèmes de sécurité électroniques, les chauffages électriques et toutes les technologies sans fil, y compris les téléphones cellulaires, les téléphones sans fil, les ordinateurs sans fil, les moniteurs pour bébé, les dispositifs Bluetooth, etc. Il peut être nécessaire d’éliminer ou de déplacer les systèmes de divertissement ou les équipements à affichage numérique ou les horloges numériques. Il peut être nécessaire d’éliminer ou de protéger les téléviseurs et les écrans d’ordinateur. Et il faut parfois recâbler entièrement un bâtiment et enterrer les lignes électriques. Il est recommandé de débrancher tous les appareils électriques de leurs prises lorsqu’ils ne sont pas utilisés, et il est parfois nécessaire de couper tous les disjoncteurs, ou l’alimentation secteur, la nuit. De nombreuses personnes qui essaient de recouvrer la santé conduisent de très vieilles voitures avec un minimum d’électronique, ou des voitures diesel, qui peuvent être conduites sans électricité.

Cependant, la propagation de la technologie sans fil a rendu impossible l’évitement des rayonnements électromagnétiques partout dans le monde. Il ne suffit plus de réduire à zéro les champs provenant d’un bâtiment. Les villes et les entreprises de services publics passent aux compteurs d’électricité, de gaz et d’eau sans fil, qui peuvent irradier tout un quartier. L’arrivée de la large bande sur les lignes électriques (BPL) peut signifier qu’il n’est plus possible d’empêcher les champs à haute fréquence d’entrer dans votre maison si vous voulez avoir de l’électricité.

Les rayonnements traversent également les murs en provenance des systèmes de téléphonie, d’informatique et de sécurité sans fil des voisins, des tours cellulaires du voisinage et, de plus en plus, des systèmes Internet sans fil (Wi-Fi) à grande échelle qui couvrent des villes entières, des comtés et même de petits pays comme Singapour et la Macédoine. C’est pourquoi de nombreuses personnes tentent de s’en sortir en vivant dans des structures métalliques ou en protégeant leurs murs et leurs fenêtres avec des tissus, des peintures et des plastiques conducteurs pour empêcher les micro-ondes d’entrer. Cette méthode n’est pas toujours efficace. Comme l’a souligné le Dr Felix Gad Sulman (Sulman 1980), la présence des champs électromagnétiques naturels de la Terre est nécessaire à la santé. Par conséquent, pour recouvrer la santé dans une pièce blindée, il faudrait que tous les champs naturels de la Terre soient reproduits à l’intérieur de la pièce, une tâche difficile, voire impossible.

Les personnes qui veulent être en bonne santé découvrent qu’il n’y a plus d’endroit où s’enfuir et que la seule solution, si nous voulons assurer un avenir à nous-mêmes, à nos enfants et petits-enfants, ainsi qu’aux oiseaux et à la faune, est de travailler ensemble pour faire connaître et reconnaître les effets des champs électromagnétiques sur la santé, jusqu’à ce que la société admette que la technologie sans fil était une terrible erreur et s’en débarrasse. Le temps presse.

Symptômes

  • Neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, pertes de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, tremblements, spasmes musculaires, engourdissements, picotements, altération des réflexes, douleurs musculaires et articulaires, douleurs aux jambes et aux pieds, symptômes de type « grippe », fièvre.  Les réactions plus graves peuvent inclure des convulsions, une paralysie, une psychose et un accident vasculaire cérébral.
  • Cardiaques : palpitations, arythmies, douleur ou pression dans la poitrine, pression sanguine basse ou élevée, rythme cardiaque lent ou rapide, essoufflement.
  • Respiratoires : sinusite, bronchite, pneumonie, asthme.
  • Dermatologiques : éruption cutanée, démangeaisons, brûlures, bouffées vasomotrices.
  • Ophtalmologiques : douleur ou sensation de brûlure dans les yeux, pression dans les yeux ou derrière les yeux, détérioration de la vision, flotteurs, cataractes.
  • Auditifs : Gazouillis, bourdonnements ou sifflements dans les oreilles ; perte d’audition.
  • Autres : problèmes digestifs ; douleurs abdominales ; hypertrophie de la thyroïde, douleurs testiculaires/ovariennes ; dysfonctionnement sexuel ; sécheresse des lèvres, de la langue, de la bouche, des yeux ; grande soif ; déshydratation ; saignements de nez ; hémorragie interne ; taux élevé de sucre dans le sang ; anomalies du système immunitaire ; redistribution des métaux dans l’organisme ; perte de cheveux ; douleurs dentaires ; détérioration des plombages ; altération de l’odorat ; sensibilité à la lumière.

Terminologie 

Comme la plupart des autorités sanitaires ne reconnaissent pas encore les maladies causées par les champs électromagnétiques, il n’existe pas de nom standard pour les désigner. Les termes suivants ont été utilisés :

  • Affecté par les champs électromagnétiques : Terme utilisé dans les pays hispanophones ; « afectados por campos electromagnéticos ».
  • Lésion électrique : Terme utilisé à l’origine par le groupe suédois FEB ; « El- (och Bildskärms)skadade ».
  • Sensibilité électrique ou hypersensibilité électromagnétique : Terme inexact inventé par les groupes de soutien aux patients et largement utilisé dans les pays anglophones.
  • Mal des micro-ondes : Synonyme de maladie des ondes radio. 
  • Maladie des ondes radio : Une maladie professionnelle, décrite pour la première fois après la Seconde Guerre mondiale en Union soviétique, causée par l’exposition aux ondes radio.
  • Dermatite d’écran : Affection cutanée causée par l’exposition à des champs électromagnétiques ; appelée ainsi parce qu’elle a été décrite pour la première fois chez les utilisateurs de téléviseurs.

Les termes suivants sont suggérés comme étant plus précis : 

  • Maladie électrique aiguë : Maladie aiguë, semblable à la grippe, causée par l’exposition à des champs électromagnétiques, caractérisée par une panne soudaine des systèmes électriques du corps.
  • Maladie électrique chronique : Une maladie chronique causée par l’exposition aux champs électromagnétiques. Identique à la maladie des ondes radio, sauf qu’elle peut être causée par n’importe quel type de champ électromagnétique, et pas seulement par les ondes radio.

[Voir aussi :
Articles d’Arthur Firstenberg
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »
Rayonnements sans fil et ostéoporose
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)
Autres articles sur les ondes électromagnétiques
Dossier 5G et ondes pulsées]


Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques. (CEM) De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison.
Il est l’auteur du livre The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life [L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie], par Arthur Firstenberg, AGP Press, 2017, 559 pages.
Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des CEM. Arthur est aussi webmestre de l’excellent site cellphonetaskforce.org


Références

[Note : Cet article a été écrit en 2008 et toutes les références sont des études antérieures à 2008. Aujourd’hui, il est impossible de reproduire ces études car il est impossible d’obtenir une population témoin aujourd’hui. Tout le monde dans le monde est aujourd’hui exposé, volontairement ou involontairement, à des niveaux très élevés de rayonnement électromagnétique provenant de la technologie sans fil omniprésente. Il n’existe plus de population « non exposée »].

  • Abdel-Rassoul G, El-Fateh OA, Salem MA, Michael A, Farahat F, El-Batanouny M, Salem E. Neurobehavioral effects among inhabitants around mobile phone base stations. NeuroToxicology 28(2): 434-40, 2007.
    https://www.researchgate.net/publication/6827277_Neurobehavioral_effects_among_inhabitants_around_mobile_phone_base_stationshttps://ecfsapi.fcc.gov/file/7520939755.pdf
  • Al-Khlaiwi T, Meo SA. Association of mobile phone radiation with fatigue, headache, dizziness, tension and sleep disturbance in Saudi population. Saudi Medical Journal 25(6): 732-736, 2004.
    https://europepmc.org/article/med/15195201
  • Balik HH, Turgut-Balik D, Balikci K, Ozcan IC. Some ocular symptoms and sensations experienced by long term users of mobile phones. Pathologie Biologie 53(2): 88-91, 2005.
    https://www.elettrosensibili.it/wp-content/uploads/2015/09/ocular.pdf
  • Balikci K, Ozcan IC, Turgut-Balik D, Balik HH. A survey study on some neurological symptoms and sensations experienced by long term users of mobile phones. Pathologie Biologie 53(1): 30-34, 2005.
    https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0369811403002773
  • Birenbaum L, Grosof GM, Rosenthal SW, Zaret MM. Effect of microwaves on the eye. IEEE Transactions on Biomedical Engineering 16(1):7-14, 1969.
    https://ieeexplore.ieee.org/abstract/document/4502597
  • Bortkiewicz A, Zmyslony M, Szyjkowska A, Gadzicka E. Subjective symptoms reported by people living in the vicinity of cellular phone base stations. Medycyna Pracy 55(4): 345-351, 2004, in Polish.
    https://europepmc.org/article/med/15620045
  • Cao Z, Zhao X, Tao Y, Wan C. Effects of electromagnetic radiation from cellular telephone handsets on symptoms of neurasthenia. Wei Sheng Yan Jiu 29(6): 366-368, 2000, in Chinese.
    https://europepmc.org/article/med/12520956
  • Chia S-I, Chia H-P, Tan J-S. Prevalence of headache among hand-held cellular telephone users in Singapore: a community study. Environmental Health Perspectives 108(11): 1059-1062, 2000.
  • Cox RA, Luxton LM. Cerebral symptoms from mobile telephones. Occupational and Environmental Medicine 57(6): 431, 2000.
    https://oem.bmj.com/content/oemed/57/6/431.1.full.pdf
  • Frey AH. Auditory system response to radio frequency energy. Aerospace Medicine 32: 1140-1142, 1961.
  • Frey AH. Cardiac and neural effects of modulated RF energy. Proceedings of the 23rd Annual Conference on Engineering in Medicine and Biology 12:175, 1970.
  • Frey AH, Feld S, Frey B. Neural function and behavior: defining the relationship. Annals of the New York Academy of Sciences 247:433-439, 1975.
    https://ehtrust.org/wp-content/uploads/2011/07/FreyPioneeringPapers.pdf
  • Frey AH, Seifert E. Pulse modulated UHF energy illumination of the heart associated with change in heart rate. Life Sciences 7 (Part II): 505-512, 1968. 
    https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/0024320568900684
  • Frey AH, Spector J. Irritability and aggression in mammals as affected by exposure to electromagnetic energy. Proceedings of the 1976 Annual Meeting of the International Union of Radio Science, October 15-19, 1976, Amherst, Mass.
  • Frey AH, Wesler L. Modification of tail pinch consummatory behavior in microwave energy exposure. Proceedings of the URSI Annual Meeting, June 18-22, Seattle, WA, 1979.
  • Glaser Z. Cumulated index to the Bibliography of reported biological phenomena (“effects”) and clinical manifestations attributed to microwave and radio-frequency radiation: report, supplements (no. 1-9), BEMS newsletter (B-1 through B-464), 1971-1981. Indexed by Julie Moore. Riverside, CA: Julie Moore & Associates, 1984.
  • Haugsdal B, Hauger E, Mild KH, Oftedal G, Sandstrom M, Wilen J, Tynes T.
    Comparison of symptoms experienced by users of analogue and digital mobile phones: a Swedish-Norwegian epidemiological study. Arbetslivsrapport 23, National Institute for Working Life, Umeå, Sweden, 1998.
  • Hocking B. Preliminary report: symptoms associated with mobile phone use. Occupational Medicine (London) 48(6): 357-360, 1998. 
    https://academic.oup.com/occmed/article/48/6/357/1443446
  • Hutter H-P, Moshammer H, Wallner P, Kundi M. Subjective symptoms, sleeping problems, and cognitive performance in subjects living near mobile phone base stations. Occupational and Environmental Medicine 63:307–13, 2006. 
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2092490/
  • Klimková-Deutschová, E. Neurologic findings in persons exposed to microwaves. In Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation: Proceedings of an International Symposium, Warsaw, 15-18 Oct., 1973, P. Czerski et al., eds., pp. 268-272.
  • Levallois P, Neutra R, Lee G, Hristova L. Study of self-reported hypersensitivity to electro­magnetic fields in California. Environmental Health Perspectives110(suppl 4): 619-23, 2002.
    https://ehp.niehs.nih.gov/doi/pdf/10.1289/ehp.02110s4619
  • Marin County Department of Health and Human Services. Prevalence of chemical sensitivity and electromagnetic sensitivity in Marin County.  Reported in No Place To Hide 3(3): 27, 2002.
  • Meo SA, Al-Drees, AM. Mobile phone related-hazards and subjective hearing and vision symptoms in the Saudi population. International Jouranl of Occupational Medicine and Environmental Health 18(1):53-57, 2005.
    https://europepmc.org/article/med/16052891
  • National Board of Health and Welfare (Socialstyrelsen). Environmental Health Report. Stockholm, Sweden, 2001, in Swedish.
  • Navarro AE, Segura J, Portoles M Gómez-Perretta C. The microwave syndrome: A preliminary study in Spain. Electromagnetic Biology and Medicine 22(2): 161–169, 2003.
    https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1081/JBC-120024625
  • Oberfeld G, Navarro AE, Portoles M, Maestu C, Gomez-Perretta C. The microwave syndrome: further aspects of a Spanish study. Proceedings of the 3rd International Workshop on Biological Effects of Electromagnetic Fields, Kos, Greece, October 4-8, 2004.
    https://www.buergerwelle.de/assets/files/proceedings_kos_2004.pdf
  • Oftedal G, Wilen J, Sandström M, Mild KH . Symptoms experienced in connection with mobile phone use. Occupational Medicine (London) 50:237-245, 2000.
    https://academic.oup.com/occmed/article/50/4/237/1394352
  • Preece AW, Dunn EJ, Farrow SJ, Georgiou AG. The Akrotiri Military Antennae Health Survey. Dept. Of Medical Physics and Oncology, University of Bristol, Final Report, June 2, 2005.
  • Sadchikova, M.N. State of the nervous system under the influence of UHF. In The Biological Action of Ultrahigh Frequencies, A.A. Letavet and Z.V. Gordon, eds., Academy of Medical Sciences, Moscow, 1960, pp. 25-29.
  • Salama OE, Abou El Naga RM. Cellular phones : Are they detrimental? Journal of the Egyptian Public Health Association 79(3-4): 197-223, 2004.
    https://europepmc.org/article/med/16918147
  • Sandström M, Wilén J, Oftedal G, Hansson-Mild K. Mobile phone use and subjective symptoms. Comparison of symptoms reported by users of analogue and digital mobile phones. Occuational Medicine (London) 51:25–35, 2001.
    https://academic.oup.com/occmed/article/51/1/25/1422253
  • Santini R, Seigne M, Bonhomme-Faivre L, Bouffet S, Defrasne M, Sage M. Symptoms experienced by users of digital cellular phones: A study of a French engineering school. Electromagnetic Biology and Medicine 21:81-88, 2002.
    https://www.buergerwelle.de/assets/files/symptoms_experienced_by_users_of%20_digital_cellular_phones-2.pdf
  • Santini, R., Santini, P., LeRuz, P., Danze, J. M., and Seigne, M.: Survey study of people living in the vicinity of cellular phone base stations. Electromagnetic Biology and Medicine 22: 41-49, 2003. Available online at buergerwelle.de.
    https://ecfsapi.fcc.gov/file/7020348143.pdf
  • Schreier N, Huss A, Röösli M. The prevalence of symptoms attributed to electromagnetic field exposure: a cross-sectional representative survey in Switzerland. Sozial- und Präventivmedizin/Social and Preventive Medicine51:202-209, 2006.
    https://doc.rero.ch/record/310885/files/38_2006_Article_5061.pdf
  • Schroeder E. Stakeholder perspectives on amending the 26th Federal Emission Control Ordinance. Results of the nationwide telephone survey ordered by the Federal Office of Radiation Protection. Schr/bba 04.02.26536.020, Munich, Germany, 2002, in German.
    https://www.yumpu.com/de/document/read/6986800/stakeholder-perspektiven-zur-novellierung-der-26-bimschv
  • Sulman FG. The Effect of Air Ionization, Electric Fields, Atmospherics and other Electric Phenomena on Man and Animal. Charles C. Thomas, Springfield, III, 1980, 400pp.
  • Szyjkowska A, Bortkiewicz A, Szymczak W, Makowiec-Dabrowska T. Subjective symptoms related to mobile phone use – a pilot study. Polski Merkuriusz Lekarski 19(112): 529-532, 2005, in Polish.
    https://europepmc.org/article/med/16379318
  • Waldmann-Selsam C. The Bamberg Report, 2005. 
    https://www.mast-victims.org/index.php?content=news&action=view&type=newsitem&id=216
  • Wilén J, Sandström M, Hansson-Mild K. Subjective symptoms among mobile phone users – A consequence of absorption of radiofrequency fields? Bioelectromagnetics 24(3): 152-159, 2003.
    https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/bem.10101
  • Zaret MM.  Microwave cataracts. Medical Trial Technique Quarterly 19(3):246-52, 1973.
  • Zwamborn APM, Vossen SHJA, van Leersum BJAM, et al. Effects of global communications system radiofrequency fields on well being and cognitive functions of human subjects with and without subjective complaints. TNO report, FEL-03-C148. The Hague, 2003.
    https://milieugezondheid.be/dossiers/gsm/TNO_rapport_Nederland_sept_2003.pdf



L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple !

Par Nicole Delépine

Pourquoi ne se débarrassent-ils pas de la muselière ?

Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente !(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.

Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.

Plus grave encore qu’en première analyse :

« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique. 

Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime ».(([3] Coronavirus. Ceci n’est pas un masque ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Par Jean-Claude Paye et Tülay Umay, 13 avril 2021))

« L’obligation devient alors une loi suprême conditionnant notre “liberté” et instituant un rapport négatif avec soi et avec l’autre. Elle nous enjointde renoncer à notre vie d’humain. Le réel de la mort n’étant plus canalisé par la culture, il recouvre la totalité de l’existence.

Ainsi, le masque corona n’est pas l’articulation du symbolique et du réel. Il n’est donc pas un masque, car il n’est pas voilement. »(([4] « La pulsion de mort est la structure même de la pandémie. Générique et universelle, elle se « fonde sur une détresse physiologique et sur la rage impuissante » de l’infans, de celui qui ne peut parler. Elle empêche tout libre arbitre et induit une acceptation généralisée du port du masque. Cette pulsion devient la revendication d’un idéal qui est d’échapper à la condition humaine et ainsi l’acceptation d’un passage vers le transhumanisme. » CQFD))

« Quelque chose du Réel est capturé : le désir de relation. Dès lors, les gens qui mettent le masque ne portent pas la parole, mais le cri de celui qui est devenu personne. Ils exhibent à la fois le rejet de l’autre et ce qui en résulte, leur propre anéantissement ».

« Le port du masque corona produit une perte de “l’appétence symbolique”, de ce désir de relation se manifestant en dehors de la satisfaction des besoins élémentaires de la survie. La “rencontre primordiale avec l’autre” est une poussée pulsionnelle, celle de la pulsion de vie, essentielle dans la mise en place d’un lien avec l’extérieur. »

Ce désir naturel, cette pulsion de vie, est aujourd’hui attaqué par le port du masque et sa pérennisation après la suppression de la loi d’urgence et de tout danger de ce petit virus témoigne clairement de son instrumentalisation par le pouvoir mondialiste, eugéniste et transhumaniste. L’homme normal doit disparaître à leurs yeux et ils en utilisent leurs moyens.

« Le port du masque corona entraîne une indifférenciation du moi et du non-moi, du sujet et de l’objet. (…).  De cette indifférenciation, résulte une fusion avec les choses elles-mêmes. Le masque corona permet ainsi l’installation d’une structure schizophrénique, où l’individu s’identifie avec les objets du discours. Il devient son masque ». 

Ainsi le pouvoir médiatique des milliardaires prend prise sur l’Humain via l’outil MASQUE.

LE MASQUE, UN OUTIL DE POUVOIR SANITAIREMENT NUISIBLE(([5] Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation mise à jour de la bibliographie internationale fin juin 2022))

La parution d’arrêtés (d’une légalité discutable, les juristes approfondissent) autorisant un pharmacien, médecin ou établissement de santé à l’imposer, dès le vote de la loi française supprimant l’état d’urgence le 26 juillet 22, le même jour, démontre la volonté certaine en tant qu’OUTIL du pouvoir pour poursuivre la mise en condition des populations.

Ne doutons pas que des prétextes tels que la pollution, l’ozone ou le monstre du Lockness serviront aux dirigeants pour ne pas lâcher son très efficace collaborateur, la muselière.

Ce ne serait que moyennement grave, si ce bout de tissu infecté et infectant de divers miasmes ne maintenait pas la population globale dans la peur et donc dans la soumission aux instances dirigeantes. Malgré les nombreuses preuves mondiales de l’inefficacité du masque contre les virus et son danger de diffusion des bactéries et champignons (en particulier chez les personnes fragiles, cancéreuses, immunodéprimées primaires ou secondaires aux injections géniques, etc.), l’attraction du chiffon perdure pour des raisons que les psychiatres éclaireront en nous aidant à comprendre le fonctionnement.

« Le monde à travers un masque n’est pas le même. Il est inconfortable, étrange et en décalage avec notre normalité. »(([6] Le monde à travers un masque : l’impact psychologique — Nos Pensées (nospensees.fr) ))

Il peut être amusant et terrible à la fois de lire des réflexions de psychanalyste pendant le covid19 à propos du masque :

« Il se joue ainsi un étrange jeu autour du masque dans les cabinets et nous le savons le langage est aussi non verbal. Ce corps nous parle beaucoup avec l’objet masque ! Il y a ceux qui le portent facilement, ceux qui l’oublient, ceux qui ne viendront pas aussi et qui peut être prendront l’option de la ligne comme espace de liberté crée, ceux qui en parlent avec de la colère de se sentir enfermé, étouffé et objectivé et ceux qui le tordent dans tous les sens comme s’il voulait se l’arracher du visage comme si cette double peau les dérangeait. D’autres qui ne le voient plus.

Il y a aussi ceux qui, “par hasard” au moment d’ouvrir la porte du cabinet, viennent juste de casser leur masque en le mettant. Bel acte manqué non ?

C’était le cas de cette patiente, qui dans la vie, ne supportait plus le masque du simulacre. Devant la porte, son masque avait craqué. C’était donc une bonne chose et nous en avons parlé.

Et de cette autre qui réalise devant ma porte qu’elle “est partie sans”, lâchant prise pour la première fois sur tant d’interdits surmoïques.

Bravo ! Devant la porte du cabinet oui, les masques tombent comme les actes manqués se multiplient depuis toujours. Masqué(e) et démasqué(e) à la fois. »(([7] Masque et acte manqué — Psychologue.net))

La peur est incrustée après ces mois de manipulation et il est difficile d’en sortir comme le navrant spectacle de conducteurs masqués seuls dans leur voiture, de jeunes gens qui courent sur une plage, masque collé par la sueur et la canicule, et pire encore : Pelosi qui affronte les avions chinois pour atterrir à Taiwan et sort masquée sur le tarmac de l’aéroport. De sa part peur ou manipulation ? Quelle tristesse !

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID SÉRIEUX, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité. Informons voisins et amis encore dans la peur du risque pour eux-mêmes de ce chiffon infectant et déshumanisant. Ne prenons pas à la légère sa prolongation au-delà des infections dont les antibiotiques viendront à bout, les troubles induits vers la schizophrénie et la psychose ne doivent pas être sous-estimés. Nous en voyons déjà les dégâts chez certaines personnes normales avant tout covid et devenues très « spéciales » et sourdes à tout raisonnement.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID(([8] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([9] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/
L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) ))

« Les inconvénients et risques comprennent qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; étant donné l’environnement chaud et humide et la source constante, où les tissus pour la maison sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes ».(([10] Face Masks, Lies, Damn Lies, and Public Health Officinals: “A Growing Body of Evidence” | PDF | Randomized Controlled Trial | Infection (scribd.com) Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique : « Un nombre croissant de preuves »
Un nouveau mantra vil est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et de tous les politiciens de la campagne mondiale pour imposer un masquage universel au grand public :
« il y a un nombre croissant de preuves ».
Cette phrase propagandiste est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :
• Donner la fausse impression qu’un bilan des preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19 ;
• Assimiler à tort les commentaires faits dans des lieux scientifiques avec des « preuves » ;
• Masquer le fait qu’une décennie de preuves de niveau politique prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales ;
• Masquer le fait qu’il existe désormais une preuve d’observation directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’exhalation de nuages ​​de particules d’aérosol en suspension (dessus, dessous et à travers les masques) ;
• Détourner l’attention des méfaits et risques connus considérables dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières.))

L’expérience mondiale a confirmé cette affirmation du Pr Rancourt de décembre 2020.

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Les pays non masqués sont moins infectés

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes ».(([11] https://www.bbc.com/news/health-59895934))

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude prospective randomisée menée au Danemark auprès de 6 000 participants(([12] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/)) a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

L’OMS A TRAHI LA SCIENCE

Un « faire voir »

C’est bien dans le cadre d’un « faire voir » que l’OMS recommande de porter le masque, alors qu’en même temps, il reconnaît que ce dispositif ne permet pas d’arrêter le virus et de protéger celui qui le porte. L’avantage que l’organisation voit dans cette incitation réside dans la modification des comportements des populations, qui sont encouragées à fabriquer elles-mêmes leur propre masque et de prendre ainsi activement part à leur destruction ».(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

L’OMS,(([13] Attention l’OMS veut manipuler à nouveau le monde via le moneypox (monkeypox) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) dont le rôle pervers et toxique dans cette crise Covid est bien démontré, a annulé le 5 juin 2020 plus d’une décennie de décisions d’organismes de santé publique à travers le monde qui ne recommandait pas de masques pour la population en général.

L’OMS a fait sa recommandation 2020 sur l’intervention médicale préventive des masques faciaux pour l’ensemble de la population mondiale en reconnaissant :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte ».

L’OMS et les responsables locaux de la santé publique entravent le progrès scientifique, en promouvant des « études observationnelles » sans essais contrôlés, plutôt qu’en protégeant la santé publique. Il devrait être très préoccupant pour tous que le prétexte de l’OMS « d’un recueil croissant de données d’observation sur l’utilisation des masques par le grand public dans plusieurs pays » s’est transformé dans le mantra « un nombre croissant de preuves », qui se retrouve sur les lèvres de pratiquement tous les agents de santé publique et les maires des villes du pays. »

Ce mantra d’« un nombre croissant de preuves » est avancé comme la fausse justification miracle des lois de masquage draconiennes, dans des circonstances réelles dans lesquelles :

  • Il n’y a eu AUCUNE nouvelle étude randomisée soutenant le masquage
  • Toutes les nombreuses études randomisées passées ne soutiennent pas le masquage

Aucun des dommages connus du masquage n’a été étudié (application sur l’ensemble de la population générale).

C’est le contraire de la politique fondée sur la science.

Les politiciens et les responsables de la santé publique mettent en œuvre le pire modèle décision qui puisse être appliqué dans une société qui se prétend rationnelle et démocratique : des mesures préventives forcées sans fondement scientifique, tout en ignorant imprudemment les conséquences.

Denis Rancourt prouve dès 2020 qu’il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir le masquage forcé sur la population générale, et que toutes les études médicales de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

Rappelons en synthèse détaillée dans de nombreux articles que les obligations de masque facial pour toute la population provoquent :

  • – inconfort généralisé,
  • – troubles de la respiration,
  • – troubles de la vision (p. ex. buée sur les lunettes),
  • – communication altérée,
  • – distanciation sociale psychologique,
  • – irritation cutanée et infections,
  • – expression de soi altérée,
  • – exposition prolongée à des cultures bactériennes à proximité des yeux, du nez et de la bouche,
  • – la collecte et l’administration possibles d’agents pathogènes viraux qui, autrement, ne seraient pas inhalés, et
  • – amplification possible de la fraction granulométrique de l’aérosol expiré des particules infectieuses.

Le mantra « de plus en plus de preuves » est totalement mensonger(([14] revue de la littérature scientifique par Denis Rancourt concernant l’(in)efficacité mesurée des masques pour réduire le risque de transmission des maladies respiratoires virales, article publié le 11 avril 2020 chez ResearchGate, intitulé « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science pertinente à la politique sociale de COVID-19 ». lu quelque 400 000 fois sur ResearchGate, publié dans plusieurs lieux et objet de nombreux articles de commentaires et d’interviews. Ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.))

Le port du masque est particulièrement nuisible chez l’enfant à risque de troubles d’apprentissage. Restons vigilants dans la crainte de mauvaises idées à la rentrée dans l’enseignement(([15] Cavadini, T., Fort, M., Pascalis, O., & Gentaz, É. (2022). Quels sont les effets du port du masque sur la reconnaissance des visages et des émotions chez les enfants et les adultes ? Apports des recherches. A.N.A.E., 176, 113-125.))(([16] Discussions autour des effets du port du masque — Psychologie du Développement Sensori-Moteur, Affectif et Social — UNIGE))(([17] Impact of lip-reading on speech perception in French-speaking children at risk for reading failure assessed from age 5 to 7 | Cairn.info)). Protégeons-les de l’injection génique inutile et toxique, mais aussi du port du masque que voudraient possiblement nous imposer les enfermistes à la rentrée de septembre 2022.

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! | FranceSoir rappel d’un article d’août 2020. Ils savaient ! Il est très illogique et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres. C’est totalement aberrant de réclamer des masques pour les enfants en classe alors que, contrairement aux épidémies de grippe, l’école ne constitue aucunement un lieu de propagation du Covid19 (9) et qu’en cas de grippe qui se transmet fréquemment par les enfants à l’école jamais ceux-ci n’ont été soumis à pareille obligation ni d’ailleurs aux vaccins antigrippal.

Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par PubMed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.(([18] • Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
• Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2
• Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
• Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. • JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
• Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.
• Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
• Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)
• LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9
• Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
• Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
• Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.
• Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
• Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com))

Ces articles confirment tous, sans exception, que le Covid 19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité. TOUS CES ARTICLES ONT ÉTÉ CONFIRMÉS PAR L’EXPÉRIENCE MONDIALE.

N’oublions jamais : le masque est une technique d’enfermement

« Le traitement réservé actuellement à notre corps fait immédiatement penser à la technique d’enfermement utilisée au bagne de Guantanamo. Ce camp inaugure une nouvelle exhibition, non du corps, comme dans l’ancien régime ou dans la mise au travail du début du capitalisme, mais de son image, plus précisément une négation de l’image du corps.

Non seulement les yeux des prisonniers étaient masqués par des lunettes opaques, mais leur nez et leur bouche étaient recouverts par un masque chirurgical. Le corps du prisonnier est confisqué, non pas pour le soumettre, mais pour qu’il reste enfermé en lui-même. Rien ne doit détourner l’esprit du prisonnier d’un enfermement, devant être perçu comme n’ayant ni début et surtout ni fin ».

Par rapport à la réception, sans condamnation explicite, des images de Guantanamo, l’embrigadement dans la « guerre contre le coronavirus » est une étape supplémentaire dans le renoncement de notre humanité. (…)

Dans la « guerre contre le coronavirus » bien nommée par le président macron en mars 2020 et entérinée par le terme « commando » que devrait créer le nouveau ministre de la Santé, le langage militaire est omniprésent, et il n’y a plus de distinction intérieur/extérieur. Cette fusion d’ordre psychotique existe, non seulement au niveau individuel, mais aussi sociétal.

La fabrication de la psychose est depuis longtemps une préoccupation de nos dirigeants. Les techniques de privation sensorielles appliquées à Guantanamo permettaient de fabriquer des individus psychotiques en deux jours. Ces techniques étaient une application directe des recherches de psychologues comportementalistes, dont Donald O. Hebb de l’université McGill au Québec.(([19] in « Un taxi pour l’enfer », fim documentaire américain réalisé par Alex Gibney, 2007))

Démasquer la pulsion de mort

Le principe d’identité se loge essentiellement sur le visage, le port du masque se présente comme une donnée originaire, porteur d’un trouble obsessionnel compulsif empêchant toute inscription de l’autre.

Si le visage rend possible le lien social, le masque corona est un dévoilement qui dérobe les traits de son porteur. Il « lève le verrou du moi et laisse libre cours au jaillissement de la pulsion ».

Le port du masque corona, comme support de l’appareillage pulsionnel, est au cœur du dispositif « sanitaire ». Il a pour fonction la décomposition du corps symbolique, l’annihilation de ce qui fait de nous des êtres humains.

Le port du masque empêche toute rupture avec le discours du pouvoir et permet l’éternel retour du traumatisme. Il est un fétiche se substituant à toute symbolisation.

Or symboliser, c’est déjà établir une distance avec l’injonction surmoïque et exister comme un « nous », c’est refuser d’être « pris un par un » dans cette guerre contre le genre humain et ainsi contrer une « attaque du collectif à travers les individus » par Jean-Claude PayeTülay Umay dont il faut lire l’article in extenso.

En conclusion, l’usage du masque, au-delà des multiples inconvénients physiques, sociétaux, éducatifs, etc., que nous avons rapidement perçus comme maltraitance tant chez les enfants que chez les adultes est bien plus que cela.

Il est l’outil de la perversité consciente des dirigeants qui nous persécutent, veulent nous déshumaniser et le font en pleine conscience.

L’arrêté autorisant sa poursuite dans les hôpitaux, publié le même jour que la suppression de la loi d’urgence covid le 26 juillet 2022 en est une tragique démonstration. Ils savaient, ils savent et devraient rapidement comprendre que nous savons aussi, et que leurs regrets, voire remords, récents tels ceux de JF Delfraissy et d’A Fischer ne suffiront pas à les absoudre de leurs gravissimes décisions qui ont ruiné de trop nombreuses vies et en gâcheront encore tant les effets délétères de toutes leurs décisions liberticides vont s’étaler sur des décennies, tant par leurs conséquences psychologiques que par les complications à long terme des injections géniques.





En Espagne, la justice donne 10 jours à l’État pour dévoiler tous les contrats signés avec Pfizer

[Source : lecourrier-du-soir.com]

La justice baléare a accordé à l’Etat espagnol un délai de dix (10) jours pour lui fournir tous les contrats signés avec Pfizer et trois autres laboratoires pharmaceutiques dont les vaccins anti-Covid ont été déployés sur le territoire espagnol durant la pandémie à Coronavirus. Une nouvelle qui déclenche l’immense joie de l’Association espagnole Liberum, laquelle n’a cessé d’exiger que ces contrats soient rendus publics par respect aux citoyens.

« Un malheur ne vient jamais seul », dit l’adage. Et Pfizer semble l’avoir bien compris. En tout cas, moins d’un mois seulement après la décision de la justice uruguayenne d’obtenir des informations sur le contenu chimique du vaccin du labo américain, c’est au tour de la justice baléare en Espagne d’exiger de l’Etat espagnol qu’il lui fournisse tous les contrats qui ont été signés avec Pfizer, Moderna, Johnson&Johnson et AstraZeneca.

C’est en tout cas l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue, ces dernières heures, du média espagnol UltimaHora.es. En effet, d’après cette source, la justice baléare a agi à la demande d’une association connue sous le nom de Asociacion Liberum qui ne cesse de dénoncer vigoureusement le fait que les contrats signés avec les labos soient tenus secrets. A en croire le média UltimaHora.es, l’association a obtenu le soutien de 549 habitants de l’île dans le bras de fer juridique qui l’oppose à l’Etat central. L’information a été confirmée par le média espagnol DiariodeMallorca.es.

En attendant la suite de cette affaire, l’association Liberum se réjouit déjà dans un communiqué publié ce 29 juillet sur son site internet et intégralement lu par Lecourrier-du-soir.com. Dans celui-ci, l’association nous apprend que le tribunal a fixé un délai de 10 jours au ministère espagnol de la Santé pour qu’il lui fournisse toutes les informations concernant les contrats signés entre l’Etat espagnol et les fabricants de vaccin.

L’association ne cache pas sa joie. “Depuis l’équipe juridique de Liberum, nous évaluons de manière positive l’avancée juridique sans précédent. Enfin, les citoyens pourront avoir accès à toutes ces clauses illégalement volées (cachées) à toute la société. Nous l’avons dit plus d’une fois. La Covid ne dicte pas tout”, réagit l’association. Liberum conclut son communiqué par ces trois devises : “nous vaincrons, nous sommes la résistance, vive la liberté”.

Il convient de rappeler que ce n’est pas la première fois qu’une justice exige de l’Etat qu’il lui fournisse toutes les informations sur les vaccins. Début juillet dernier, ce fut la justice uruguayenne de faire pression sur l’Etat pour que les composantes chimiques du vaccin de Pfizer soient rendues publiques.

Et ce 30 juillet, il a été révélé dans la presse qu’un tribunal italien, saisi par un enseignant anti-vax, a également demandé à ce que l’Etat italien publie les données concernant le contenu chimique du vaccin de Pfizer. L’enseignant en question a saisi la justice après avoir été sanctionné (par sa hiérarchie) pour refus de se faire vacciner.

Le gouvernement espagnol finira-t-il par céder? Le temps nous le dira. Notre média suit cette affaire de près et ne manquera pas de vous tenir informé de l’évolution de ce bras de fer judiciaire qui oppose désormais l’Etat espagnol à ses propres citoyens dans la lutte contre un virus invisible.




Allianz, l’assureur malveillant ?

Le communiqué de presse international très officiel publié il y a peu par ladite compagnie d’assurances m’a conforté dans le fait que nous subissons quotidiennement une propagande scandaleuse et spécieuse plus destinée à terroriser la population mondiale qu’à l’aider.

Voici leur prose (en italique et en vert) publiée à travers le monde. Mes remarques sont en caractères noirs. Je vous laisse juger :

« Johannesburg/Londres/Munich/New York/Paris/São Paulo/Singapour. Les entreprises doivent se préparer à une augmentation des troubles sociaux. Le potentiel déstabilisateur des chaînes d’approvisionnement perturbées et la hausse du coût de la vie due à l’inflation pourraient provoquer des troubles civils dans de nombreux pays du monde. »

Les médias nous assènent que les chaînes d’approvisionnement ont considérablement souffert au cours des deux dernières années en raison de la « pandémie » Covid-19. Une soi-disant pénurie de matériaux alors qu’en fait, des stocks, il y en a. Mais étant donné que les pays ont géré la crise Covid-19 de façon totalement frénétique et illogique, cela a affecté le prix des expéditions. Cette « crise » n’est pas prête de s’arrêter, car inflation et stagflation sont les maîtres mots du moment. Profits en hausse pour l’État français, car, plus les prix grimpent, plus la TVA récoltée est importante. Ajoutez à cela les bénéfices réalisés par les centrales d’achats et le commerce en général grâce à des prix majorés à tour de bras et à l’épée de damoclès que représente les menaces de restrictions, vous obtenez encore plus de soumissions de la population et encore plus de laisser pour comptes.

Concernant l’huile de tournesol, la moutarde et la farine, ce serait la faute du Président Poutine et des vilains Français qui ont surstocké les produits… J’ignorais que nous dépendions autant de l’Ukraine pour tout un tas de produits. Naïvement, je pensais que la moutarde était fabriquée dans la région de Dijon… Tout ce cirque est fort étrange, car, il y a peu, je me trouvais en Croatie et je n’ai pu que constater que les rayons des supermarchés regorgent de moutarde et d’huile de Tournesol.

Le FMI en rajoute une couche : « Les problèmes d’approvisionnement qui ont touché à peu près tous les secteurs depuis l’automne risquent de perdurer jusqu’en 2023 ». C’est ce qu’on peut lire dans un nouveau rapport du FMI. À la fin de l’année dernière, le FMI s’attendait encore à ce que les pénuries de voitures soient en grande partie résorbées d’ici à la mi 2022 et que les autres goulets d’étranglement aient disparu d’ici à la fin de cette année, mais le variant omicron est arrivé comme un cheveu dans la soupe.(([1] https://www.retaildetail.be/fr/news/general/problemes-dapprovisionnement-et-inflation-jusquen-2023/)) Quel bla-bla inutile et terrorisant.

Les dommages et les pertes causés par les manifestations précédentes en France, au Chili, aux États-Unis et en Afrique du Sud ont coûté des milliards de dollars.Le pouvoir des médias sociaux, combiné à la polarisation politique, alimente les mouvements de protestation.

Vous noterez au passage qu’Allianz pointe du doigt les réseaux sociaux et les médias libres. Cela vous étonne ?

Les entreprises devraient examiner et mettre à jour leurs plans d’urgence si nécessaire, en tenant compte des vulnérabilités de la chaîne d’approvisionnement.

La confiance dans les sources traditionnelles d’information et le leadership étant ébranlée, le rôle des plateformes de médias sociaux dans l’activation des troubles civils devient de plus en plus influent. Les grèves, les émeutes et les mouvements de protestations violentes présentent des risques pour les entreprises, car, en plus des bâtiments ou des actifs subissant des dommages matériels coûteux, les opérations commerciales peuvent également être gravement perturbées avec des locaux inaccessibles, entraînant une perte de revenu.

« Les troubles civils représentent de plus en plus une exposition plus critique pour de nombreuses entreprises que le terrorisme », déclare Srdjan Todorovic, actuellement responsable de la gestion de crise, Royaume-Uni et pays nordiques, chez AGCS (à compter du 1er juillet, Todorovic devient responsable de la violence politique mondiale et des solutions pour les environnements hostiles chez AGCS). « Il est peu probable que les troubles sociaux diminuent de sitôt, compte tenu des répliques du Covid-19, de la crise du coût de la vie et des changements idéologiques qui continuent de diviser les sociétés du monde entier. Les entreprises doivent être attentives à tout indicateur suspect et désigner des voies claires pour la désescalade et l’intervention, qui anticipent et évitent le risque de blessures du personnel et/ou de dommages aux biens commerciaux et personnels. »

Les mutations sans fin du SARS-CoV-2… Ce vilain virus qui arrête de se propager au début du conflit russo-ukrainien, pendant les élections présidentielles et législatives, mais qui repart de plus belle cet été… Alors que les « spécialistes » n’ont pas arrêté de nous bassiner que le virus mourrait avec le chaud et se propageait avec le froid… Ne pas oublier que la quasi-totalité des pays est sous contrôle de l’OMS… Cette dernière, largement financée par la fondation Gates, la Gavi Alliance, Baxter international Inc, l’UE…, est aussi complètement noyautée par les lobbies pharmaceutiques. Alice Desbiolles, épidémiologiste, le 5 janvier 2022, citait une déclaration de l’OMS à Europe 1 dans l’émission de Sonia Mabrouk : “Le coronavirus n’est qu’un « amuse-gueule » de ce que nous allons vivre ces prochaines années… Nous rentrons dans l’ère des pandémies, on peut parler d’épidémie de pandémie…”. La messe est dite ! Cerise sur le gâteau, en 2018, bien avant l’apparition du SARS-Cov-2 en janvier 2020, l’OMS déclarait : “… La maladie X est une maladie encore inconnue (diantre) mais qui un jour, très probablement, émergera, et sera potentiellement très grave avec un risque pandémique majeur…”.

L’OMS, « l’Organisation Morbide de la Santé », ose donc épouvanter la population avec une prospective terrifiante qu’une maladie inconnue déferlera sur la planète. Pareille déclaration non scientifiquement démontrée et totalement infondée, relève d’une grande perversité et d’une totale escroquerie. L’OMS est bel et bien une organisation corrompue, aux ordres de l’oligarchie financière mondiale apatride.

Les Nations unies ont mis en garde contre le potentiel déstabilisateur des chaînes d’approvisionnement perturbées et de la flambée des prix des denrées alimentaires, des carburants et des engrais, en particulier dans le contexte de la Russie et de l’Ukraine, qui représentent environ 30 % de l’approvisionnement mondial en blé. « Tout cela sème les graines de l’instabilité politique et des troubles dans le monde entier », a déclaré le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, en mars 2022. Dans le même temps, le cabinet de conseil en risques Verisk Maplecroft considère qu’une augmentation des troubles civils est « inévitable » dans les pays à revenu intermédiaire, qui ont pu offrir une protection sociale pendant la pandémie, mais qui auront maintenant du mal à maintenir ce niveau de dépenses à mesure que le coût de la vie augmentera. Selon les projections de l’indice Verisk Civil Unrest [1], 75 pays connaîtront probablement une augmentation des manifestations d’ici la fin de 2022, ce qui entraînera, par exemple, une fréquence plus élevée de troubles et davantage de dommages aux infrastructures et aux bâtiments. Les perspectives sont les plus sombres pour les 34 pays qui font face à une détérioration significative d’ici août 2022. Plus d’un tiers de ces États se trouvent en Europe et en Europe centrale (12), suivis des Amériques (10), de l’Afrique (6), du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (3) et de l’Asie (3).

Les pertes économiques et assurées des manifestations précédentes ont été importantes, créant des réclamations importantes pour les entreprises et leurs assureurs. En 2018, le mouvement des Gilets jaunes en France s’est mobilisé pour protester contre les prix du carburant et les inégalités économiques, avec des pertes évaluées à 1,1 milliard de dollars [2] en chiffre d’affaires en quelques semaines seulement. Un an plus tard, au Chili, des manifestations à grande échelle ont été déclenchées par une augmentation des tarifs du métro, ce qui a conduit à des pertes de 3 milliards de dollars [3]. Aux États-Unis, on estime que les manifestations de 2020 contre la mort de George Floyd en garde à vue ont entraîné plus de 2 milliards de dollars de pertes assurées [4], alors que les émeutes sud-africaines de juillet 2021, qui ont suivi l’arrestation de l’ancien président, Jacob Zuma, et ont été alimentées par des licenciements et des inégalités économiques ont causé des dommages d’une valeur de 1,7 milliard de dollars [5]. Plus tôt, cette année au Canada, en France et en Nouvelle-Zélande, les manifestations contre les restrictions liées au Covid-19 comprenaient des convois de véhicules créant des perturbations dans les grandes villes.

La désinformation médiatique et politique s’en donne à cœur joie. L’article du New York Times cité en note de leur communiqué donne une vision cauchemardesque de la situation en France en 2018 à l’époque des manifestations des Gilets Jaunes. Alors qu’en fait, les magasins de luxe ont subi pendant cinq semaines une petite baisse de CA, vite rattrapée les années suivantes. Car malgré les confinements, les couvre-feux et la « crise sanitaire », le marché de luxe se porte à merveille. Difficile est la vie du secteur des produits de luxe… Vite un mouchoir ! Extrait de « Ouest France du 28 juillet 2021 » :

« malgré la crise sanitaire, pourquoi le marché du luxe, dominé par la France, se porte-t-il si bien ? Le leader mondial du luxe, le groupe LVMH, vient d’annoncer des ventes record avec des profits qui ont augmenté de 44 %. D’excellents résultats à l’image du marché du luxe qui reprend des couleurs, malgré le contexte difficile et la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19. »(([2] https://www.ouest-france.fr/economie/commerce/luxe/pourquoi-le-marche-du-luxe-se-porte-t-il-si-bien-4fa98d74-eeec-11eb-8fb3-44cfaeb2c880))

Vous noterez que toutes les manifestations pointées par Allianz ne sont pas l’œuvre du hasard, mais bien de l’incurie de certains gouvernements qui, au lieu de résoudre les situations, ne cessent de les envenimer. Bienvenue dans le monde fantastique des marchands de chaos. Une société dystopique nous attend. En gros, on ne peut rien solutionner, il faut s’attendre au pire et donc assurez-vous chez nous de préférence, nous vous ferons des contrats aux petits oignons. Quel altruisme !

Un réseau de disruptions

L’influence des réseaux sociaux joue un rôle croissant dans la mobilisation des manifestants et l’intensification des troubles sociaux. « L’effet unificateur et galvanisant des médias sociaux sur ces manifestations n’est pas un phénomène particulièrement récent, mais pendant la crise du Covid, il s’est combiné à d’autres facteurs potentiellement inflammatoires tels que la polarisation politique, le sentiment anti-vaccination et la méfiance croissante envers le gouvernement pour créer une tempête parfaite de mécontentement », a déclaré Todorovic. « La géographie était aussi moins un obstacle. Ceux qui partageaient les mêmes points de vue ont pu partager leurs opinions plus facilement et se mobiliser en plus grand nombre plus rapidement et plus efficacement. Dans un monde où la confiance dans le gouvernement et les médias a fortement chuté, la désinformation pourrait s’installer et les griefs partisans être intensifiés et exploités. »

En clair, il faut trouver le moyen de supprimer les réseaux sociaux, responsables de tous les maux. Bienvenue dans le monde parfait où tout serait sous contrôle des États, des multinationales, des assureurs, des banquiers, des trusts agroalimentaires, de Monsanto et de Big Pharma. Le monde parfait, uniformisé, homogénéisé et aseptisé. Mortel !

Les cibles de troubles civils, ou de dommages collatéraux qui en découlent, pourraient inclure des bâtiments gouvernementaux, des infrastructures de transport, des chaînes d’approvisionnement, des locaux commerciaux, des entreprises à capitaux étrangers, des stations-service, des centres de distribution de biens critiques et des entreprises touristiques ou hôtelières.

Les entreprises devraient examiner et mettre à jour leurs plans d’urgence si nécessaire, en tenant compte des vulnérabilités de la chaîne d’approvisionnement. Ils devraient également revoir leurs polices d’assurance en cas d’augmentation de l’activité de troubles locaux. Les polices d’assurance de biens peuvent couvrir les réclamations pour violence politique dans certains cas, mais les assureurs offrent une couverture spécialisée pour atténuer l’impact des grèves, des émeutes et des troubles civils (SRCC).

« La nature des menaces de violence politique évolue, car certaines démocraties deviennent instables et certaines autocraties répriment fortement les dissidents. Les troubles peuvent se produire simultanément dans plusieurs endroits, car les médias sociaux facilitent désormais la mobilisation rapide des manifestants. Cela signifie que les grandes chaînes de vente au détail, par exemple, pourraient subir plusieurs pertes lors d’un événement à différents endroits dans un pays », explique Todorovic.

Comment les entreprises peuvent se préparer et prévenir le pire

Les meilleures pratiques sur la façon dont les entreprises doivent se préparer ou réagir à de tels incidents de troubles civils dépendent de nombreux facteurs, y compris la nature de l’événement déclencheur, la proximité du lieu et le type d’entreprise. Allianz Risk Consulting a développé une liste de recommandations techniques pour les entreprises et les particuliers afin d’aider à atténuer les risques liés aux situations de troubles civils, en tenant compte de ces variables et des voies associées pour la désescalade, la communication et la réponse.

Fin du communiqué tout à fait indigeste, mais reflétant la mentalité sordide inhumaine de tout un tas de dirigeants, plus soucieux de leur carrière et de leur misérable vie, plutôt que du bien-être de la majorité. Répugnant.

Boycottons ces sociétés écœurantes. Ce n’est pas facile, mais si nous étions de plus en plus nombreux à ne plus les cautionner, notre monde s’en porterait beaucoup mieux.

Claude Janvier
Écrivain, essayiste
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre : Covid-19, le bilan en 40 questions, retour sur deux ans d’infos et d’intox.
https://www.is-edition.com/?fbclid=IwAR29qEZ2Dt2nlOfSwPDlXtZkzbv9LhgptkH4MbPjesIpX3cdhkzRBS8S9T8

Notes du communiqué de presse Allianz

https://www.verisk.com/archived/verisk-to-acquire-wood-mackenzie/

Références

  • Verisk, A Dangerous New Era Of Civil Unrest Is Dawning In The United States And Around The World
  • New York Times, In Paris, ‘Yellow Vest’ Protests Cut Sharply Into City’s Luxury Trade, December 17, 2018
  • World Economic Forum, How 2020 Protests Changed Insurance Forever, February 22, 2021
  • Forum économique mondial, How 2020 Protests Changed Insurance Forever, 22 février 2021
  • AP News, Les émeutes sud-africaines vont coûter 1,7 milliard de dollars en réclamations d’assurance, 8 septembre 2021

Notes du billet




Inventer des diagnostics pour dissimuler les dommages causés par les vaccins — une escroquerie aussi vieille que la vaccination elle-même

[Source : childrenshealthdefense.org]

Les personnes blessées par les vaccins COVID-19 ne s’en rendent peut-être pas compte, mais le fait de prétendre que les blessures et les décès post-vaccinaux ne sont que de « tristes coïncidences » — loin d’être propre aux vaccins pandémiques — est une ruse aussi vieille que la vaccination elle-même.

Par Children’s Health Defense

Les soi-disant « vérificateurs de faits » doivent redoubler d’efforts pour trouver des moyens de nier le fait indéniable que les vaccins COVID-19 causent des blessures et décès à grande échelle.

Les promoteurs de la vaccination et les médias qui les soutiennent ont poussé les tactiques de dissimulation jusqu’à l’absurde, par exemple en faisant passer à la trappe la vague de crises cardiaques mortelles et de décès pendant la nuit chez des athlètes et des jeunes adultes à un état fortuit appelé diversement « syndrome de mort subite de l’adulte » ou « syndrome de mort subite arythmique » (SMSA).

Ce que les personnes blessées par le vaccin COVID-19 ne reconnaissent pas nécessairement, cependant, c’est la prétention que les blessures et les décès post-vaccinaux ne sont que de « tristes coïncidences ».   Loin d’être propre aux vaccins pandémiques, ce prétexte est aussi vieux que la vaccination elle-même.

Facilités par la sémantique bien aiguisée et des statistiques et des absurdités, la stratégie principale des responsables de la santé publique pour perpétuer leur fiction est de professer l’innocence — en faisant des déclarations sans fondement sur la sécurité des vaccins, d’une part, et d’autre part, se déclarant « déconcerté » par des maux qui émergent à la suite de la mise en œuvre de la vaccination.

De 1899 à 2022, les choses ont-elles changé ?

Dans un livre d’une étonnante franchise et clairvoyance intitulé « The Fallacy of Vaccination » [« Le caractère fallacieux de la vaccination », ou encore « La fausse idée de la vaccination »], publié en 1899, le Dr Alexander Wilder attirait l’attention sur la « conviction croissante » des « penseurs et observateurs plus profonds » que la vaccination était non seulement « totalement inutile en tant que moyen de prévention », mais qu’elle était « en fait le moyen de disséminer à nouveau la maladie là où elle est pratiquée ».

Wilder a noté que « chaque fois qu’un vaccinateur ou un groupe de vaccinateurs se lance dans une croisade de vaccination, il s’ensuit très généralement un certain nombre de décès dus à… des maladies provoquées par l’opération…».

Wilder a également dénoncé la suppression et la dissimulation des effets et événements indésirables des vaccins et des décès, décrivant les pressions exercées par un collègue médecin sur ses « confrères professionnels pour qu’ils tardent à publier les cas mortels de variole après vaccination » et décrivant d’autres manigances qui nous semblent trop familières aujourd’hui :

« De temps en temps… un décès par vaccination est publié, et immédiatement on s’efforce assidûment de faire croire qu’il est dû à une autre cause. Les statistiques de la variole, qui prétendent distinguer les personnes vaccinées des personnes non vaccinées, sont trop souvent peu fiables. De nombreuses personnes qui ont été vaccinées sont faussement déclarées comme non vaccinées.

Même lorsque la mort survient à la suite d’une vaccination, la vérité est dissimulée et le cas est présenté comme une scarlatine, une rougeole, un érysipèle [infection bactérienne de la peau], ou une autre maladie “masquée”, afin d’éviter un interrogatoire trop serré ».

L’intentionnalité de la suppression semblait évidente à Wilder, qui ajoutait : « Tout autre argument est accueilli par un silence impassible, et par un concert apparent d’intentions visant à exclure soigneusement toute discussion sur le sujet dans les journaux médicaux et publics, et à dénoncer tous ceux qui s’y opposent ».

Un tel tour de passe-passe a été pleinement exposé lors de la récente réunion axée sur Novavax du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

Dans le compte-rendu habilement résumé du live-blog par l’interniste Dr Meryl Nass – un membre de la Children’s Health Defense –  Nass a noté que le CDC avait falsifié les données relatives à la COVID-19 pour cacher les taux d’hospitalisation et de décès beaucoup plus élevés chez les personnes vaccinées contre la COVID-19 que chez les personnes non vaccinées.

Heureusement pour le CDC, a noté M. Nass, les seuls tableaux qui n’étaient pas « à jour au jour le jour » étaient ceux présentant le statut vaccinal par rapport au résultat.

Cependant, malgré le « charabia » du CDC, a souligné Nass, l’agence n’a pas pu cacher le taux plus élevé de myocardite chez les hommes vaccinés par ARNm dans la semaine suivant la deuxième dose – 75,9 fois plus élevé chez les jeunes de 16 à 17 ans et 38,9 fois plus élevé chez les jeunes de 18 à 24 ans.

Polio : un autre exemple de « charabia ».

Avec l’État de New York a récemment signalé un cas de « polio dérivée d’un vaccin », et les scientifiques britanniques ont déclaré un « incident national » après avoir prétendument trouvé des « séquences génétiques » de poliovirus à Londres, il semble que les autorités de santé publique se préparent à ressusciter la polio comme le croquemitaine du jour.

À première vue, la concession selon laquelle presque tous les cas modernes de polio paralytique sont iatrogènes (médicalement) causés par le vaccin oral contre la polio – partagée par pas moins que l’Organisation mondiale de la santé et le CDC – semble d’une franchise inattendue et rafraîchissante.

Cependant, les autorités de santé publique n’ont pas l’intention de concéder que l’histoire officielle de la poliomyélite (où « myélite » désigne une inflammation de la moelle épinière) est par ailleurs plus trouée qu’un fromage suisse.

Il y a, et il y a toujours eu, de nombreuses preuves pour suggérer que l’empoisonnement, que ce soit par l’arséniate de plombLE DDT ou plus tard, les ingrédients toxiques dans les vaccins contre la polio eux-mêmes, est l’explication la plus crédible des symptômes paralytiques et des décès qui ont été étiquetés « polio ».

[Voir :
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio]

En fait, Bernard Greenberg, l’une des premières sommités de la santé publique, président fondateur du département de biostatistique de l’école de santé publique de l’université de Caroline du Nord, a témoigné devant le Congrès que la vaccination contre la polio avait « en fait augmenté les cas de polio » et que « l’utilisation abusive des méthodes statistiques avait fait croire le contraire ».

Greenberg faisait référence à un changement dans les critères de diagnostic pour la « poliomyélite paralytique », mis en œuvre au milieu des années 1950, qui a commencé à exiger au moins 60 jours de symptômes paralytiques pour obtenir le diagnostic, contre seulement 24 heures auparavant.

Comme Greenberg n’a pas hésité à le souligner, la victoire revendiquée par les premiers vaccins contre la polio, qui ont commencé à être administrés à peu près à la même époque, était totalement imméritée.

De nos jours, la « paralysie flasque aiguë » et la « myélite flasque aiguë », dont le tableau clinique est pratiquement identique, sont considérées comme des maladies infectieuses identiques à la polio, sont les diagnostics de choix pour les paralysies infantiles qui apparaissent dans le monde entier, y compris aux États-Unis.

Dans des pays comme l’Inde où des dizaines de milliers d’enfants ont développé une paralysie flasque aiguë, les médecins ont explicitement établi un lien entre cette affection et la vaccination orale contre la polio. Mais des décennies de rapports publiés associent également la paralysie avec d’autres vaccins pour enfants comme les vaccins contre la coqueluche et les vaccins contenant de l’aluminium.

En fait, les rapports historiques d’inflammation de la moelle épinière, incluant non seulement la poliomyélite mais aussi d’autres formes de myélite, suivent de près avec les tendances de la vaccination pédiatrique, et avec l’augmentation simultanée de la pratique de l’injection pédiatrique.

Les générations précédentes de médecins ont même décrit les cas de polio qui suivaient des injections pédiatriques comme des « paralysie par provocation », tandis que les générations plus récentes de cliniciens ont noté la similitude entre la « polio » et les blessures par injection appelées « névrite traumatique ».

Dans le calendrier vaccinal actuel des enfants américains, les données d’essais cliniques ou de post-commercialisation associent 17 vaccins différents à la « myélite », l’« encéphalomyélite », l’« encéphalomyélite aiguë disséminée » et/ou à la « myélite transverse ».

La myélite transverse a également fait son apparition avec les vaccins COVID-19.

En contournant l’explication évidente

Depuis l’époque de la « polio », il existe de nombreux autres exemples de diagnostics destinés à obscurcir plutôt qu’à élucider la vaccination comme cause de maladie et de décès et que d’éclairer les personnes qui en souffrent.

Il s’agit notamment des troubles du spectre autistique (TSA) et du syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN).

Parmi les causes environnementales avancées comme déclencheurs plausibles des troubles neuro-immunitaires étiquetés « TSA », l’empoisonnement aux métaux lourds – principalement par la vaccination – est l’une des causes les plus fréquentes.

Des articles de référence méticuleux publiés en 2004 et 2012 ont démontré de forts parallèles entre les effets cérébraux de l’intoxication au mercure et la pathologie cérébrale des TSA. Des articles ultérieurs ont fourni des preuves similaires en ce qui concerne l’aluminium.

En ce qui concerne le SMSN, le diagnostic est entré en vogue à peu près au même moment (au début des années 1970) où la charge vaccinale des enfants aux États-Unis a doublé.

Bien que le calendrier vaccinal des années 1970 semble limité par rapport aux normes actuelles, les jeunes enfants de cette décennie ont non seulement commencé à recevoir 13 vaccins au lieu de sept, mais ils sont également passés d’une seule injection à deux en même temps, y compris cinq injections de diphtérie-tétanos-coqueluche (DTC) et de vaccin antipoliomyélitique oral – tous deux retirés du marché américain en raison de leur profil d’effets indésirables inquiétant.

Les décès dus au SMSN, qui par définition touchent des « nourrissons apparemment normaux et en bonne santé », et les décès de tout-petits classés dans la catégorie « décès soudains et inexpliqués dans l’enfance » surviennent généralement « en étroite association temporelle après la vaccination », neuf décès sur dix dus au SMSN se produisant à peu près en même temps que les visites de routine à deux et quatre mois.

Néanmoins, les scientifiques continuent de déclarer que ces morts imprévisibles « échappent à toute compréhension scientifique ».

La tromperie continue

Malheureusement, des personnes blessées par un vaccin sont souvent enrôlées dans cet artifice.

Ayant désespérément besoin d’aide, elles découvrent qu’elles ne peuvent accéder aux couloirs de la médecine qu’à condition d’autocensurer toute discussion sur la vaccination en tant que source de leurs problèmes de santé et d’accepter des explications « idiopathiques » ou « génétiques », ou de se rabattre sur l’un des quelque 70 000 codes de la Classification internationale des maladies-10 (CIM-10) — tout en évitant l’infime poignée de codes relatifs aux « effets indésirables des vaccins et des substances biologiques ».

Un nouveau code CIM concernant les « nouvelles maladies d’étiologie incertaine ou d’utilisation urgente » a été désigné pour les « vaccins COVID-19 provoquant des effets indésirables à usage thérapeutique, non spécifiés ». Toutefois, il reste à voir si les professionnels de la santé seront assez courageux pour l’utiliser.

Pendant ce temps, comme The Exposé l’a satiriquement rapporté le 24 juillet, « On a l’impression qu’il ne se passe pas une semaine sans que l’on entende parler de la réémergence ou de l’émergence d’une maladie ou d’un malaise » — y compris une « mystérieuse » épidémie d’hépatite chez les enfants, le phénomène SMSA, la variole du singe et, bien sûr, la polio.

Toutes ces épidémies, notent les journalistes, « surviennent « par coïncidence » après que des millions de personnes dans le monde se sont vu injecter un vaccin expérimental à ARNm COVID-19 ».

Comme l’illustrent les récents rapports de New York et du Royaume-Uni sur la polio induite par les vaccins, ces menaces, qu’elles soient réelles ou imaginaires, sont susceptibles de mobiliser encore davantage l’hostilité envers les non-vaccinés – y compris les communautés new-yorkaises farouchement ostracisées il y a quelques années pour avoir rejeté les vaccins contre la rougeole pour des raisons religieuses.

De plus, le spectre d’une résurgence de la polio sera utilisé pour haranguer le nombre croissant de parents qui, pour une raison ou une autre, ont de plus en plus tendance à reporter la vaccination pour leurs enfants.

En bref, il serait naïf de s’attendre à ce que les autorités fassent bientôt des progrès en matière de vérité.




L’ONU et le Forum économique mondial sont à l’origine de la « guerre contre les agriculteurs »

[Source : Aube digitale]

Selon des experts, les objectifs de développement de l’« Agenda 2030 » sont à l’origine de politiques de durabilité qui pourraient entraîner des pénuries alimentaires.

[Voir aussi :
De Bill Gates au « Grand Refus » : les agriculteurs en première ligne]

L’escalade des attaques réglementaires contre les producteurs agricoles, de la Hollande et des États-Unis au Sri Lanka et au-delà, est étroitement liée aux objectifs de développement durable de l' »Agenda 2030″ des Nations unies et aux partenaires de l’ONU au Forum économique mondial (FEM), ont déclaré de nombreux experts à The Epoch Times.

En effet, plusieurs des 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU sont directement impliqués dans les politiques qui mettent à mal les agriculteurs, les éleveurs et les réserves alimentaires dans le monde entier.

Des membres de haut niveau du Parti communiste chinois (PCC) au sein du système de l’ONU ont contribué à la création des ODD et aident actuellement à diriger la mise en œuvre du plan mondial par l’organisation, comme l’a précédemment documenté The Epoch Times.

Selon de nombreux experts, si l’on n’y prend garde, les politiques de durabilité soutenues par l’ONU en matière d’agriculture et de production alimentaire entraîneront une dévastation économique, des pénuries de biens essentiels, une famine généralisée et une perte dramatique des libertés individuelles.

Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (FEM), lors de l’ouverture de l’Agenda Davos du FEM à Cologny, en Suisse, le 17 janvier 2022.
(FABRICE COFFRINI/AFP via Getty Images)

Des millions de personnes dans le monde sont déjà confrontées à de dangereuses pénuries alimentaires, et les responsables du monde entier affirment que la situation va s’aggraver au fil de l’année.

Des experts ont déclaré à The Epoch Times qu’il y avait un programme derrière tout cela.

Même la propriété foncière privée est dans le collimateur, alors que la production alimentaire mondiale et l’économie mondiale sont transformées pour atteindre les objectifs mondiaux de durabilité, selon des documents de l’ONU examinés par The Epoch Times.

Comme l’explique l’ONU sur son site web consacré aux ODD, les objectifs adoptés en 2015 « reposent sur des décennies de travail des pays et de l’ONU. »

L’une des premières réunions définissant le programme de « durabilité » a été la Conférence des Nations unies sur les établissements humains, connue sous le nom d’Habitat I, qui a adopté la Déclaration de Vancouver.

Cet accord stipulait que « la terre ne peut être traitée comme un bien ordinaire contrôlé par des individus » et que la propriété privée des terres est « un instrument principal d’accumulation et de concentration des richesses, et contribue donc à l’injustice sociale. »

« Le contrôle public de l’utilisation des terres est donc indispensable », indique la déclaration de l’ONU, prélude à la désormais tristement célèbre « prédiction » du Forum économique mondial selon laquelle d’ici 2030, « vous ne posséderez plus rien. »

Depuis lors, de nombreuses agences et responsables de l’ONU ont exposé leur vision de la « durabilité », y compris des appels à des restrictions drastiques sur l’énergie, la consommation de viande, les voyages, l’espace vital et la prospérité matérielle.

Des experts interrogés par The Epoch Times affirment que certains des dirigeants d’entreprise les plus riches et les plus puissants du monde collaborent avec les communistes en Chine et ailleurs dans le but de centraliser le contrôle de la production alimentaire et d’écraser les agriculteurs et les éleveurs indépendants.

Des militaires chinois défilent sur la place Tiananmen à Pékin, le 28 avril 2020.
(Lintao Zhang/Getty Images)

Le FEM, un réseau de grandes entreprises multinationales qui collabore étroitement avec le PCC, est un « partenaire stratégique » des Nations unies pour l’Agenda 2030.

La réglementation croissante de la production alimentaire et même les efforts visant à fermer de nombreuses fermes et ranchs interviennent alors que des responsables du monde entier, comme le président américain Joe Biden et le chef du Programme alimentaire mondial de l’ONU David Beasley, mettent en garde contre les pénuries alimentaires imminentes dans le monde.

Mais au lieu d’assouplir les restrictions et d’encourager une plus grande production, les gouvernements occidentaux et de nombreux gouvernements dépendant de l’aide sont encore plus sévères.

Les agriculteurs néerlandais, déjà au point de rupture, ont réagi cet été par des protestations massives dans tout le pays. Ces manifestations ont suivi de violents troubles au Sri Lanka liés à des pénuries alimentaires causées par la politique du gouvernement.

Les gouvernements et les organisations internationales ont invoqué divers prétextes pour justifier ces politiques, allant de l’amélioration de la « durabilité » et de la protection de la faune et de la flore à la promotion de la « justice économique », en passant par la restitution des terres aux peuples autochtones.

Des tracteurs passent devant des policiers néerlandais qui montent la garde alors que la police ferme l’accès à Apeldoorn sur l’autoroute A1 pour empêcher les agriculteurs de manifester contre les plans du gouvernement néerlandais visant à réduire les émissions d’azote, le 29 juin 2022.
(JEROEN JUMELET/ANP/AFP via Getty Images)

Selon les détracteurs de ces politiques, l’objectif n’est pas du tout de préserver l’environnement ou de lutter contre le changement climatique. Au contraire, les experts avertissent que le récit de la « durabilité » et les autres justifications sont un outil pour prendre le contrôle de l’alimentation, de l’agriculture et des personnes.

« L’objectif final de ces efforts est de réduire la souveraineté des nations et des peuples », a déclaré Craig Rucker, président du Committee for a Constructive Tomorrow (CFACT), une organisation de politique publique spécialisée dans les questions d’environnement et de développement.

« L’intention de ceux qui poussent cet agenda n’est pas de sauver la planète, comme ils le prétendent, mais d’accroître le contrôle sur les gens », a-t-il déclaré à The Epoch Times, ajoutant que le but est de centraliser le pouvoir au niveau national et même international.

Objectifs de développement durable des Nations unies – Agenda 2030

Les objectifs de développement durable de l’ONU, souvent appelés Agenda 2030, ont été adoptés en 2015 par l’organisation et ses États membres comme un guide pour « transformer notre monde. » Salués comme un « plan directeur pour l’humanité » et une « déclaration d’interdépendance » mondiale par les hauts responsables de l’ONU, les 17 objectifs comprennent 169 cibles impliquant chaque facette de l’économie et de la vie.

« Tous les pays et toutes les parties prenantes, agissant dans le cadre d’un partenariat de collaboration, mettront en œuvre ce plan », déclare le préambule du document, en notant à plusieurs reprises que « personne ne sera laissé pour compte ».

Entre autres éléments, le plan des Nations unies appelle à une redistribution des richesses nationales et internationales dans l’objectif 10, ainsi qu’à des « changements fondamentaux dans la façon dont nos sociétés produisent et consomment les biens et les services. »

Vue d’ensemble de la session du Conseil des droits de l’homme pendant le discours de la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, aux Nations Unies à Genève, le 27 février 2020.
(Reuters/Denis Balibouse/File Photo)

L’utilisation du gouvernement pour transformer l’ensemble de l’activité économique est un élément essentiel des ODD, l’objectif 12 exigeant des « modes de consommation et de production durables ».

Parmi les cibles spécifiques décrites dans l’objectif 12, plusieurs sont directement liées aux politiques agricoles qui sapent la production alimentaire. Il s’agit notamment de « la gestion durable et l’utilisation efficace des ressources naturelles ».

Peut-être plus important encore, le document exige « une gestion écologiquement rationnelle des produits chimiques et de tous les déchets tout au long de leur cycle de vie, conformément aux cadres internationaux convenus. »

En conséquence, les personnes, et en particulier les agriculteurs, doivent « réduire considérablement leurs rejets dans l’air, l’eau et le sol afin de minimiser leurs effets néfastes sur la santé humaine et l’environnement. »

D’autres ODD sont directement liés à ce que les critiques ont appelé la « guerre contre les agriculteurs », notamment l’objectif 14, qui porte sur « la pollution marine de toutes sortes, en particulier celle due aux activités terrestres, y compris … la pollution par les nutriments. » Les Nations unies décrivent régulièrement l’agriculture et la production alimentaire comme une menace pour l’océan.

L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), dirigée par l’ancien vice-ministre de l’agriculture et des affaires rurales du PCC, Qu Dongyu, contribue à mener la charge.

Dans son rapport de 2014 intitulé « Elaborer une vision commune pour une alimentation et une agriculture durables : Principes et approches », l’agence onusienne appelle à des restrictions drastiques sur l’utilisation des engrais, des pesticides, des émissions et de l’eau dans le secteur agricole.

Pour illustrer la manière dont l’agriculture doit être réformée pour être considérée comme durable par l’ONU, le rapport de la FAO déclare que :

« l’utilisation excessive d’engrais azotés est une cause majeure de pollution de l’eau et d’émissions de gaz à effet de serre ».

La FAO, dont le siège est à Rome, n’a pas répondu à une demande de commentaire.

Le président français de l’époque, Nicolas Sarkozy (à gauche), prononce un discours lors d’un sommet de trois jours sur la sécurité alimentaire à l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), à Rome, le 3 juin 2008.
(CHRISTOPHE SIMON/AFP via Getty Images)

Un autre des 17 ODD ayant un impact direct sur l’agriculture et la production alimentaire est l’objectif 2, avec ses appels à une « agriculture durable » et à une « production alimentaire durable. »

L’objectif 6, quant à lui, appelle à la « gestion durable de l’eau », ce qui inclut diverses cibles impliquant l’utilisation de l’eau agricole et le ruissellement.

L’objectif 13 est également important, car les dirigeants des Nations unies considèrent que l’agriculture et la production alimentaire sont des facteurs clés de ce qu’ils appellent le changement climatique d’origine humaine. Il invite les gouvernements à « intégrer les mesures relatives au changement climatique dans les politiques, les stratégies et la planification nationales ».

L’objectif 15, qui traite de l’utilisation durable des écosystèmes terrestres, comporte également de multiples cibles qui touchent l’agriculture et la production alimentaire.

Dans le monde entier, les gouvernements nationaux et régionaux travaillent avec les agences des Nations unies pour mettre en œuvre ces objectifs de durabilité dans l’agriculture et d’autres secteurs.

Par exemple, en réponse aux accords de l’ONU sur la biodiversité, l’Union européenne a mis en œuvre divers programmes de biodiversité soutenus par l’ONU, tels que Natura 2000 et la stratégie de l’UE en matière de biodiversité pour 2030, qui ont été cités par le gouvernement néerlandais et d’autres dans leurs politiques agricoles.

L’ONU se vante également publiquement de son rôle dans l’imposition des ODD au Sri Lanka et dans d’autres nations souffrant de pénuries alimentaires et de calamités économiques liées à ces mêmes programmes de durabilité mondiale.

Dans le monde entier, presque tous les gouvernements nationaux affirment qu’ils intègrent les ODD dans leurs propres lois et règlements.

Le « partenariat » du Forum économique mondial

Aux côtés des Nations unies, diverses « parties prenantes » jouent un rôle essentiel dans la mise en œuvre des politiques de développement durable par le biais de « partenariats public-privé ».

Au cœur de cet effort se trouve le FEM, qui, depuis 2020, pousse à une transformation totale de la société connue sous le nom de « Grande réinitialisation. » En 2019, le FEM a signé un « partenariat stratégique » avec l’ONU pour faire avancer l’Agenda 2030 au sein de la communauté mondiale des affaires.

Logo du Forum économique mondial pris au Centre des congrès le 24 janvier 2007.
(JOEL SAGET/AFP via Getty Images)

L’accord officiel définit « des domaines de coopération pour approfondir l’engagement institutionnel et accélérer conjointement la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable ».

Bon nombre des principaux responsables de l’Agenda 2030, y compris des dirigeants de l’ONU comme l’actuel secrétaire général António Guterres – un socialiste autoproclamé – travaillent également avec le FEM depuis des décennies.

Entre-temps, le FEM a été explicite quant à ses objectifs. Il a récemment lancé une « Alliance pour l’action alimentaire » (FAA) qui reconnaît sur son site web que l’Agenda 2030 « informe l’ambition de la FAA de fournir une plateforme durable et à long terme pour une action multipartite sur les systèmes alimentaires afin d’atteindre les ODD ».

Parallèlement au « Sommet des systèmes alimentaires » de l’ONU en septembre 2021, la FAA du FEM a publié un rapport décrivant son propre « programme de leadership pour une collaboration multipartite visant à transformer les systèmes alimentaires. »

Parmi d’autres éléments, le document résume les idées de la FAA sur « le soutien aux partenariats de systèmes alimentaires transformateurs, et sa proposition de valeur au-delà du Sommet des systèmes alimentaires de l’ONU 2021 vers la réalisation des objectifs de développement durable de l’ONU ».

L’intérêt public du FEM pour la transformation de l’agriculture et de l’approvisionnement alimentaire remonte à plus d’une décennie, au moins.

En partenariat avec diverses entreprises, le FEM a publié en 2010 un rapport décrivant une « nouvelle vision de l’agriculture » qui comprenait une « feuille de route pour les parties prenantes ». Bon nombre des plus grandes entreprises alimentaires du monde, qui dominent le marché et possèdent d’innombrables marques populaires, sont impliquées.

Le site web du FEM regorge d’informations censées justifier une transformation totale de l’approvisionnement alimentaire par les « parties prenantes. »

« Les systèmes alimentaires mondiaux étant de plus en plus interconnectés, une coordination efficace entre un ensemble diversifié de parties prenantes sera nécessaire », indique le FEM sur sa plateforme « Strategic Intelligence », citant fréquemment la FAO comme source.

« Le potentiel d’élaborer de nouvelles approches systémiques des systèmes alimentaires qui incluent un ensemble diversifié de parties prenantes présente des opportunités pour aider à nourrir durablement le monde à l’avenir. »

Les références fréquentes de l’organisation aux « parties prenantes » font référence aux gouvernements, aux entreprises et aux organisations dites non gouvernementales qui sont souvent financées par ces mêmes entreprises et gouvernements. Ils travaillent tous ensemble sur cette question.

Par exemple, le FEM se targue d’avoir associé des géants du secteur tels que Coca-Cola et Unilever à la promotion d’un « avenir plus durable ».

La Fondation Rockefeller, qui a récemment publié un rapport sur la manière de « remettre la table » et de « transformer le système alimentaire américain », est également un acteur clé.

Les « Food Innovation Hubs » du FEM, répartis dans le monde entier, sont appelés à jouer un rôle majeur dans cette transformation globale.

S’adressant au Forum économique mondial sur le thème de la « transformation des systèmes alimentaires et de l’utilisation des terres » lors de la semaine de l’agenda de Davos l’année dernière, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a annoncé que les Pays-Bas accueilleraient le « Secrétariat de coordination mondiale des pôles d’innovation alimentaire du WEF ».

Ce secrétariat, a-t-il déclaré, « reliera tous les autres Food Innovation Hubs » afin de faciliter la création « des partenariats dont nous avons besoin. »

Ni le FEM ni la Fondation Rockefeller n’ont répondu aux demandes de commentaires sur leur rôle dans l’Agenda 2030 et sur les politiques agricoles menées dans le monde.

Parmi les autres organisations et entités impliquées dans ce mouvement figurent de puissantes fondations exonérées d’impôts, telles que la Fondation Gates, les gouvernements régionaux de type européen qui prolifèrent dans le monde, ainsi que divers groupes qu’ils financent.

Faire pression sur les agriculteurs et l’approvisionnement alimentaire

Partout dans le monde, les politiques gouvernementales alignées sur les ODD de l’ONU mettent à mal les agriculteurs, en particulier les petits producteurs indépendants incapables d’absorber les coûts supplémentaires d’une réglementation et d’un contrôle accrus.

Célébrant les idées de durabilité de l’ONU, le président sri-lankais Gotabaya Rajapaksa, récemment évincé, a annoncé lors du sommet climatique COP26 de l’ONU en 2021 que son gouvernement interdisait les engrais chimiques et les pesticides.

La police utilise des canons à eau pour disperser des agriculteurs participant à une manifestation anti-gouvernementale demandant la démission du président du Sri Lanka, Gotabaya Rajapaksa, en raison de la crise économique du pays, à Colombo, le 6 juillet 2022.
(-/AFP via Getty Images)

« Le Sri Lanka a récemment restreint les importations d’engrais chimiques, de pesticides et de désherbants en raison de préoccupations en matière de santé publique, de contamination de l’eau, de dégradation des sols et d’impact sur la biodiversité », a déclaré Rajapaksa aux dirigeants mondiaux, sous les acclamations générales.

« Bien qu’opposé par des lobbies retranchés, cela a créé des opportunités d’innovation et d’investissement dans l’agriculture biologique qui sera plus saine et plus durable à l’avenir. »

En réalité, même si elles ont été rapidement démantelées, ces politiques ont produit des pénuries alimentaires catastrophiques, une faim généralisée, et finalement une révolte populaire qui a chassé le président et son gouvernement.

En 2019, le gouvernement socialiste sri-lankais s’est également associé au Programme des Nations unies pour l’environnement pour mettre en place la campagne mondiale de l’ONU sur l’azote, qui promeut les politiques sur l’azote soutenues par l’ONU qui prolifèrent maintenant dans le monde entier.

Aux Pays-Bas, siège du secrétariat du « Food Innovation Hub » du FEM, les autorités imposent des politiques sur l’azote qui devraient décimer le secteur agricole très productif du pays. Les plans prévoient également l’expropriation généralisée des exploitations agricoles.

« Les plans d’expropriation du cabinet sont une véritable déclaration de guerre au secteur agricole », a déclaré le député néerlandais Gideon van Meijeren, du parti Forum pour la démocratie, cité par De Dagelijkse Standaard. « Sous de faux prétextes, les agriculteurs sont spoliés de leurs terres, des fermes séculaires sont démolies et les familles d’agriculteurs sont totalement détruites. »

Les experts ont mis en garde contre les conséquences dangereuses découlant de ces politiques de durabilité, notamment les pénuries alimentaires, la montée en flèche des prix, les troubles sociaux, etc.

« Vous pouvez entrevoir un avenir vert et durable en observant la Hollande et le Sri Lanka aujourd’hui », a déclaré Bonner Cohen, chercheur principal au National Center for Public Policy Research, à The Epoch Times.

Et pourtant, l’ordre du jour se répand rapidement. La semaine dernière, les autorités fédérales canadiennes ont annoncé des restrictions similaires sur les engrais et l’azote après la mise en place de restrictions sur la production d’énergie, suscitant l’indignation des responsables provinciaux et des agriculteurs.

En Irlande, au Royaume-Uni et dans d’autres pays européens, diverses entités gouvernementales s’efforcent également de réduire la production agricole dans le cadre de programmes de durabilité.

Entre-temps, outre la poursuite des politiques qui paient les agriculteurs pour qu’ils ne produisent pas de nourriture, l’administration Biden cherche à imposer aux entreprises des mesures et des rapports « environnementaux, sociaux et de gouvernance » soutenus par le FEM, par l’intermédiaire de la Commission des valeurs mobilières des États-Unis.

Les associations agricoles et plus de 100 membres du Congrès affirment que ce plan conduirait à la faillite des propriétaires de petites et moyennes exploitations agricoles incapables de se conformer aux exigences en matière de rapports sur le climat pour faire des affaires avec des entreprises publiques, alors même que le monde se dirige vers des pénuries alimentaires généralisées.

Selon les experts, l’insistance sur ce type de politiques s’explique en partie par le fait que ceux qui les imposent sont largement isolés des dommages qu’ils causent.

« Les élites mondiales, qu’il s’agisse des gouvernements, des organisations transnationales ou des conseils d’administration des entreprises – bien représentées au sein du FEM – sont tellement absorbées par le signal de vertu climatique, dont beaucoup espèrent tirer un bénéfice financier en investissant dans les énergies vertes, qu’elles sont lentes à remarquer qu’elles sont complètement détachées de la réalité », a déclaré M. Cohen, du National Center for Public Policy Research, spécialisé dans les questions environnementales.

« Peu de ceux qui imposent des réglementations aux agriculteurs ont jamais mis les pieds dans une ferme. En vertu du pouvoir et de la richesse dont ces personnes disposent déjà, elles sont à l’abri des conséquences des politiques malavisées qu’elles imposent au reste du monde. Ce fardeau est supporté par les gens ordinaires du monde entier, dont la foule de Davos et ses partenaires criminels ne savent rien. »

Les experts estiment que les petites exploitations agricoles indépendantes sont en danger

La catastrophe du Sri Lanka offre un avant-goût de ce qui arrivera aux États-Unis et à l’Europe si les décideurs politiques continuent à suivre le programme de développement durable des Nations unies, selon Sterling Burnett, titulaire d’un doctorat en éthique environnementale et dirigeant le Arthur B. Robinson Center on Climate and Environmental Policy de l’institut à but non lucratif Heartland.

« Ce n’est pas une guerre contre l’agriculture ; c’est une guerre contre les petites exploitations agricoles et les agriculteurs indépendants », a-t-il déclaré à The Epoch Times. « C’est une guerre en faveur de l’élite, des industries agricoles à grande échelle ».

Des agriculteurs se rassemblent avec leurs véhicules près d’un panneau indiquant la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas lors d’une manifestation sur l’autoroute A1, près de Rijssen, le 29 juin 2022, contre les plans du gouvernement néerlandais concernant l’azote.
(VINCENT JANNINK/ANP/AFP via Getty Images)

Même si les ODD de l’ONU parlent d’aider les « petits producteurs alimentaires », Burnett a fait valoir que les fermes et les ranchs indépendants sont dans le collimateur de l’ONU pour aider à consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire.

Les décideurs politiques sont « dans la poche » des grandes entreprises, dont Conagra, BlackRock, State Street, Vanguard et d’autres, a-t-il déclaré.

« Ils préféreraient que tous leurs petits concurrents fassent faillite », a-t-il ajouté, faisant écho aux préoccupations exprimées par de nombreux autres experts.

Le PDG de BlackRock, Larry Fink, dont la société gère plus d’argent que n’importe quelle autre entreprise dans le monde, « veut imposer ses valeurs aux entreprises qui utilisent l’argent des autres », a déclaré M. Burnett.

M. Fink, qui siège au conseil d’administration du puissant Council on Foreign Relations et travaille en étroite collaboration avec le FEM, est l’un des principaux architectes de la campagne visant à imposer des mesures « environnementales, sociales et de gouvernance » aux entreprises américaines.

« Ce sont les super-riches qui imposent leurs valeurs au reste d’entre nous », a déclaré M. Burnett, en désignant ceux qui, selon lui, sont heureux de travailler avec des communistes dans le cadre de cet effort.

« En ce qui concerne le Forum économique mondial, vous ne pouvez pas avoir une grande réinitialisation si vous ne réinitialisez pas l’approvisionnement alimentaire, car la nourriture est nécessaire à tout le monde », a-t-il déclaré. « Staline l’a reconnu : Celui qui contrôle la nourriture contrôle le peuple. C’est la même chose avec l’énergie. »

Alors que les prix s’envolent et que les agriculteurs font faillite, les grandes entreprises, de concert avec les gouvernements et les organisations internationales, ramasseront les morceaux.

En attendant, comme on l’a vu récemment au Sri Lanka, les personnes affamées poussées au bord du gouffre sont susceptibles de réagir.

« Les gens n’étaient pas affamés le 6 janvier », a déclaré Burnett, faisant référence à la manifestation et à la brèche du 6 janvier 2021 au Capitole des États-Unis. « La crise de la chaîne d’approvisionnement est en train de se produire, les rayons se vident déjà, et quand les gens ont faim, ils ne vont pas rester assis à ne rien faire. »

Le fondateur et président de l’American Policy Center, Tom DeWeese, un expert de premier plan et critique des notions de durabilité de l’ONU, a averti que la guerre contre les agriculteurs faisait partie d’un programme plus large visant à priver les gens de leur liberté.

« Toujours dans le passé, lorsque des forces tyranniques voulaient diriger le monde, elles construisaient des armées et envahissaient, brisaient des choses, tuaient des gens et imposaient la soumission », a déclaré DeWeese à The Epoch Times. « Nous avons maintenant affaire à une force diabolique qui a trouvé un moyen de nous faire renoncer volontairement à nos libertés et de les aider à nous subjuguer ».

« Quel pourrait être un outil aussi puissant ? La menace d’un Armageddon environnemental », a-t-il déclaré, en citant le discours sur le changement climatique comme principal exemple.

Citant de nombreux fonctionnaires et documents de l’ONU, DeWeese affirme que l’objectif n’est pas de sauver le climat, mais de transformer la planète et de centraliser le contrôle sur la population.

Outre l’ONU et le FEM, de grandes entreprises telles que Vanguard et BlackRock s’efforcent de prendre le contrôle de l’approvisionnement alimentaire, a-t-il ajouté.

Déjà, une poignée d’entreprises dont ces deux sociétés d’investissement sont les principaux actionnaires dominent l’industrie mondiale de l’alimentation et des boissons. En prenant le contrôle de l’agriculture, elles contrôleront tout.

« L’objectif est de contrôler totalement la production alimentaire », a-t-il déclaré, notant qu’ils cherchent à posséder toutes les semences et même à cultiver de la viande synthétique dans des installations déjà soutenues financièrement par Bill Gates et d’autres milliardaires.

Bill Gates lors d’un événement à New York, le 6 novembre 2019.
(Mike Cohen/Getty Images for The New York Times)

Les cultures génétiquement modifiées figurent également en bonne place sur l’agenda.

L’ONU, le FEM et d’autres organismes avancent également dans la promotion des insectes et des mauvaises herbes en tant qu’aliments. Dans tout le monde occidental, les installations de production de protéines d’insectes se multiplient rapidement.

Mais la situation est encore plus sombre, selon M. DeWeese.

« Si les gens sont affamés, il est beaucoup plus facile de les soumettre », dit-il, ajoutant que la dépopulation et le contrôle de l’humanité sont à l’ordre du jour des élites mondiales depuis des décennies.

La « guerre contre les agriculteurs » intervient également dans le cadre de ce que les critiques décrivent comme une « guerre contre l’énergie » soutenue par le gouvernement, qui affecte l’agriculture et pratiquement tous les autres secteurs.

Cela comprend la limitation de l’exploration énergétique, la fermeture de centrales électriques, la perception de droits et de taxes spéciales, ainsi que d’autres politiques qui ont entraîné une augmentation rapide des coûts dans le monde occidental, mais pas dans des pays comme la Chine.

Les experts interrogés par The Epoch Times ont exhorté les Américains à résister à la guerre contre les agriculteurs et aux politiques de développement durable soutenues par les Nations unies par divers moyens. Il s’agit notamment de s’engager politiquement, d’adopter de nouvelles habitudes d’achat, de trouver d’autres sources d’alimentation, comme les agriculteurs locaux, et d’autres mesures.

Les responsables de l’ONU n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




Qui est derrière l’effondrement économique ?

[Source : crashdebug.fr]

Un billet qui fera date. Il confirme ce qu’avait dit Charles Sannat (qui depuis à viré sa cuti et est maintenant POUR le Grand Reset qui est « nécessaire », « inévitable », ha ! ha ! ha ! ha !) : qu’en fait la crise de 2008 n’a jamais été réglée ; ils ont juste imprimé de l’argent virtuel ; et ces mêmes banquiers qui ont planté le monde en 2008 vont le replanter en 2023-2025, ceci pour implémenter un « nouveau système financier » mondial amélioré.

Franchement vous faites confiance à ces gens qui sont la lie de l’humanité pour nous guider ? Bref, toujours le même piège que depuis 250 ans (je me répète, mais ! quand même !!!) et ça marche toujours aussi bien : Problème -> Réaction -> Solution.

l’Amourfou

Par le Dr Joseph Mercola

Résumé

Le documentaire The Untouchables de PBS Frontline, diffusé à l’origine en 2013, enquête sur la cause de la crise financière de 2007-2009, et sur les raisons pour lesquelles les escrocs de Wall Street ont échappé aux accusations de fraudes liées à la vente de mauvais prêts hypothécaires.

Aucun dirigeant de Wall Street n’a été tenu pour responsable de cette crise massive, alors que les preuves suggèrent que les dirigeants de Wall Street qui étaient prêts à frauder les clients pour arrondir leurs fins de mois en étaient la cause.

Le procès contre Bear Stearns et JPMorgan a résumé l’essentiel de la crise du crédit de 2008 : Les institutions bancaires ont intentionnellement vendu des titres qu’elles savaient être mauvais.

Les mêmes banquiers criminels détruisent aujourd’hui intentionnellement le système financier mondial pour le remplacer par quelque chose d’encore pire — des scores de crédit social, une identité numérique et des coupons numériques de banque centrale (CBDC), qui leur donneront la possibilité de contrôler non seulement vos finances individuelles, mais aussi tout le reste de votre vie.

La crise financière de 2008 nous a montré à quel point ils sont incompétents. Alors pourquoi accepterions-nous le système financier « nouveau et amélioré » qu’ils ont l’intention de mettre en place dès que le système financier actuel sera en ruine ?

08 Suivre La Piste De L Argent Orig



Le documentaire de PBS Frontline ci-dessus, The Untouchables, diffusé à l’origine en 2013, enquête sur les causes de la crise financière de 2007-2009(1) et sur les raisons pour lesquelles les escrocs de Wall Street ont échappé aux accusations de fraude liées à la vente de prêts hypothécaires douteux. Comme l’explique PBS (2).

« Les dirigeants de Wall Street sont-ils « trop gros pour être emprisonnés » ? Dans « The Untouchables », le producteur et correspondant Martin Smith… enquête sur les raisons pour lesquelles le ministère américain de la Justice n’a pas agi sur la base de preuves crédibles que Wall Street a sciemment emballé et vendu des prêts hypothécaires toxiques aux investisseurs, prêts qui ont amené les économies américaine et mondiale au bord de l’effondrement.

Grâce à des entretiens avec des procureurs de haut niveau, des fonctionnaires et des dénonciateurs de l’industrie, FRONTLINE rapporte des allégations selon lesquelles les banquiers de Wall Street ont ignoré une fraude généralisée lors de l’achat de pools de prêts hypothécaires. »

Revue historique

Vous vous demandez peut-être pourquoi je publie un documentaire vieux de près de dix ans. C’est parce que nous pouvons tirer de puissants enseignements de notre histoire. Il est clair que tous les banquiers qui ont été responsables du traumatisme financier n’ont jamais été poursuivis. Eh bien, vous pouvez parier votre dernier dollar que nous aurons le même résultat lorsqu’il s’agira de poursuivre les responsables de la mort de millions de personnes lors de la pandémie de COVID.

Plongeons donc dans l’histoire pour que vous puissiez apprendre. J’ai également inclus ci-dessous un documentaire intitulé All the Plenary’s Men (Tous les hommes du plénum), qui examine plus en profondeur la question de savoir pourquoi le ministère de la Justice n’a tenu personne pour responsable et n’a poursuivi aucune des grandes banques.

La crise financière qui a débuté en 2007 et a atteint son paroxysme en 2008 n’était pas le résultat d’une fraude à court terme. Non, le décor avait été planté des années auparavant avec des taux d’intérêt très bas et des normes de prêt hypothécaire laxistes, et la situation s’est aggravée à partir de là, lorsque les fraudeurs ont commencé à tirer profit de ce qui semblait être de l’argent gratuit et facile(3).

À l’origine, la baisse des taux d’intérêt devait relancer l’économie après la bulle Internet. Une bulle immobilière s’est formée et, comme toutes les bulles, elle a fini par éclater, laissant les institutions financières détenir des milliers de milliards de dollars d’investissements dans des prêts hypothécaires à risque sans valeur – des investissements qui avaient été frauduleusement vendus comme des instruments à faible risque de premier ordre.

Le désastre a été aggravé par le fait que la Securities and Exchange Commission a assoupli en 2004 les exigences en matière de capital net pour les banques d’investissement telles que Goldman Sachs, Merrill Lynch, Lehman Brothers, Bear Stearns et Morgan Stanley, ce qui leur a permis de multiplier leurs investissements par 40. Comme l’explique Investopedia(4).

« La Fed a commencé à relever les taux en juin 2004, et deux ans plus tard, le taux des fonds fédéraux avait atteint 5,25 %, où ils y sont restés jusqu’en août 2007. Les premiers signes de détresse sont apparus. En 2004, le taux d’accession à la propriété aux États-Unis avait atteint un sommet de 69,2 %. Puis, au début de 2006, les prix des maisons ont commencé à chuter.

Cela à cause de réelles difficultés à de nombreux Américains. Leurs maisons valaient moins que ce qu’ils avaient payé. Ils ne pouvaient pas vendre leurs maisons sans devoir de l’argent à leurs prêteurs. S’ils avaient des prêts hypothécaires à taux variable, leurs coûts augmentaient à mesure que la valeur de leur maison baissait.

Les emprunteurs à risque les plus vulnérables se sont retrouvés avec des prêts hypothécaires qu’ils ne pouvaient pas se permettre. Au début de 2007, les prêteurs à risque ont déposé leur bilan les uns après les autres.

En février et mars, plus de 25 prêteurs à risque ont fait faillite. En avril, New Century Financial, spécialisée dans les prêts à risque, a déposé son bilan et licencié la moitié de ses effectifs.

En juin, Bear Stearns a arrêté les rachats dans deux de ses fonds spéculatifs, ce qui a incité Merrill Lynch à saisir 800 millions de dollars d’actifs dans ces fonds. Mais ce n’était rien en comparaison de ce qui allait se passer dans les mois à venir.

En août 2007, il est devenu évident que les marchés financiers ne pouvaient pas résoudre la crise des subprimes et que les problèmes se répercutaient bien au-delà des frontières américaines. »

Le marché interbancaire s’est gelé lorsque les banques du monde entier ont commencé à signaler des problèmes de liquidités et des pertes importantes dues aux mauvais investissements dans les subprimes, les banques centrales ont commencé à injecter des milliards de dollars de prêts pour soutenir les marchés du crédit, la récession a frappé, les marchés boursiers se sont effondrés, les banques d’investissement se sont effondrées et ont été vendues pour quelques centimes de dollars, et les prêteurs immobiliers comme Fannie Mae et Freddie Mac ont été saisis par le gouvernement américain.

Le « remède » à cet échec épique a été le sauvetage de Wall Street, où de nombreuses banques ont reçu des milliards de dollars pour rester à flot. En fait, le gouvernement a acheté les actifs toxiques (avec l’argent des contribuables, bien sûr) pour sauver les banques jugées « trop grosses pour faire faillite », tandis qu’environ 3,8 millions d’Américains ont été contraints à la saisie(5) et ont perdu toutes leurs économies.

00 66 66 GOLD DOLLAR 1

Qui est à blâmer ?



La responsabilité de l’effondrement financier de 2008 ne manque pas d’être attribuée à tout le monde(6) Les économistes accusent les politiques laxistes en matière de prêts hypothécaires qui ont permis aux gens d’emprunter plus qu’ils ne pouvaient se permettre.

D’autres rejettent la faute sur les prêteurs prédateurs, qui ont séduit les gens en leur faisant croire qu’ils pouvaient se permettre des prêts hypothécaires plus élevés que ce qui était réellement possible, et sur les « experts » en investissement qui ont regroupé les mauvais prêts hypothécaires et les ont revendus aux investisseurs comme des instruments à faible risque. Les banquiers, à l’époque, ont admis qu’ils avaient mal calculé les risques.

Les agences qui ont approuvé les paquets d’hypothèques toxiques, en leur donnant les meilleures notes d’investissement, ont aussi clairement joué un rôle, tout comme les investisseurs individuels, qui n’ont pas fait preuve de diligence raisonnable ou qui ont simplement revendu à d’autres ce qu’ils savaient être des créances douteuses.

Et puis il y a Wall Street. Les interviews de Frontline montrent clairement qu’au cœur de cette bulle se trouvaient des dirigeants cupides de Wall Street, prêts à escroquer les clients pour améliorer leurs propres résultats.

Des fraudes ont-elles été commises ?

La question posée par Frontline est de savoir si une véritable fraude a été commise. Pas un seul dirigeant de Wall Street n’a été tenu pour responsable de cette crise massive. Est-il vraiment possible que pas un seul d’entre eux n’ait commis de fraude avérée ? Et si c’est le cas, pourquoi n’ont-ils pas été tenus pour responsables ?

David Boies, fondateur du cabinet d’avocats new-yorkais Boies, Schiller & Flexner, a déclaré au correspondant de Frontline, Martin Smith, que des poursuites substantielles étaient effectivement attendues à l’époque. Dans les couloirs de Washington D.C., les appels à des poursuites étaient également forts et clairs.

L’ancien sénateur Ted Kaufman, D-Del, était parmi ceux qui insistaient sur le fait que les responsables de l’escroquerie à l’égard des travailleurs américains devaient être identifiés, poursuivis et jetés en prison.

Comme l’a fait remarquer M. Kaufman, le système financier mondial, et pas seulement celui des États-Unis, a été presque détruit, et « cela n’arrive pas s’il n’y a pas quelque chose de mal qui se passe ». En fin de compte, cependant, aucun coupable n’a été identifié. Personne n’a été tenu pour responsable. Personne n’est allé en prison. Et l’une des raisons de cette situation, selon le ministère américain de la Justice, est que « la cupidité n’est pas nécessairement un délit pénal. »

Comme le note Frontline, pour poursuivre Wall Street, les investisseurs avaient besoin a) de preuves de ce que les banquiers savaient, et b) qu’ils avaient une intention criminelle. Frontline poursuit en interviewant plusieurs souscripteurs de due diligence, des personnes qui calculent les chiffres pour évaluer le risque d’achat d’un portefeuille de prêts donné et déterminer si les souscriptions — les prêts — sont légitimes.

Ainsi, si une société de Wall Street veut acheter un portefeuille de prêts, elle engagera des souscripteurs chargés de la diligence raisonnable qui lui diront si un portefeuille particulier est un investissement sûr ou non en examinant manuellement un échantillon de prêts dans ce groupe.

Au cours des années qui ont précédé le krach immobilier, les souscripteurs chargés de la diligence raisonnable ont reçu l’ordre, prétendument de la part de leurs supérieurs, de ne pas examiner les prêts trop en profondeur ou de ne pas poser de questions qui auraient dû être posées, comme celle de savoir si une serveuse pouvait réellement gagner les 12 000 dollars par mois nécessaires pour payer le prêt. Même dans les cas où une fraude flagrante était suspectée sur une demande de prêt hypothécaire, les responsables de la diligence raisonnable n’étaient pas autorisés à l’appeler ainsi.

Activité frauduleuse ignorée/acceptée aux plus hauts niveaux

Certains hauts responsables ont également remarqué des problèmes. Richard Bowen, ancien vice-président et souscripteur en chef chez Citigroup entre 2002 et 2009, s’est inquiété lorsqu’il a découvert que 60 % des prêts hypothécaires achetés par Citigroup ne respectaient pas sa politique de prêt. À la fin, le taux de prêts hypothécaires défectueux chez Citigroup dépassait 80 %.

Bowen a essayé d’alerter la haute direction de Citigroup sur le fait que l’entreprise courait un grand risque, mais personne ne semblait s’en soucier. Il a ensuite été rétrogradé et a fini par démissionner. Citigroup a finalement plaidé coupable dans le cadre d’un procès pour fraude civile pour avoir omis d’exercer une diligence raisonnable de base de 2004 à 2010.

Frontline passe ensuite en revue certaines des nombreuses auditions du Congrès et les découvertes des enquêteurs. Il est important de noter qu’un rapport d’enquête sur la crise financière a révélé les conclusions d’une enquête sur une société de diligence raisonnable appelée Clayton Holdings, qui avait effectué une diligence raisonnable pour une vingtaine de banques qui achetaient des prêts hypothécaires, les conditionnaient et les vendaient aux investisseurs.

Bien que Clayton Holdings ait constaté qu’une partie importante des avoirs de chaque banque ne répondait pas aux normes de la banque en matière d’achat de ces prêts, dans chaque cas, les banques ont accepté les prêts et les ont vendus aux investisseurs. Pire encore, elles ont dit aux investisseurs qu’il s’agissait d’investissements de premier ordre et à faible risque, puis ont parié contre eux avec des positions courtes. Comment cela n’est-il pas une conduite criminelle ?

Les conclusions ont été transmises au ministère de la Justice, mais à part quelques amendes, aucune charge n’a été retenue. Il ne fait aucun doute que l’intention criminelle peut être très difficile à prouver, mais nombreux sont ceux qui pensent que le ministère de la Justice n’a tout simplement pas fait assez d’efforts.

L’action en justice de Bear Stearns résume le système de fraude de la crise du crédit

Cela ne signifie pas que nous ne pouvons pas comprendre ce qui s’est réellement passé. Nick Verbitsky, un réalisateur de documentaires, a mené plusieurs entretiens avec des employés d’EMC Mortgage de Bear Stearns, qui ont expliqué en détail comment la société escroquait ses clients.

Après avoir visionné plusieurs heures de ces enregistrements, la journaliste d’investigation Teri Buhl a écrit un article à ce sujet. Peu après, elle a été contactée par des avocats de Patterson Belknap Webb & Tyler, qui représentaient un groupe d’assureurs hypothécaires appelé Monolines. Ils travaillaient déjà sur une affaire de fraude contre Bear Stearns et JP Morgan Chase, et souhaitaient que les dénonciateurs les aident à monter leur dossier.

L’affaire contre Bear Stearns et JP Morgan résume en fait l’essentiel de la crise du crédit de 2008, a déclaré l’analyste financier Mark Palmer à Frontline. Il pense que la crise financière était, à la base, le résultat d’institutions bancaires vendant intentionnellement de mauvais prêts hypothécaires. Palmer est également convaincu qu’il y avait suffisamment de preuves pour, au minimum, inculper de nombreux acteurs clés.

Enfin, en 2012, le procureur général de New York a intenté une action civile contre Bear Stearns et JP Morgan, pour fraude. Son dossier était largement basé sur le travail d’autres cabinets d’avocats privés, dont Patterson Belknap. La question est de savoir pourquoi le ministère de la Justice n’a pas pu faire le travail.

Les mêmes escrocs font à nouveau couler l’économie

Personne au sommet de l’échelle n’a été puni pour les malversations flagrantes qui ont conduit à la crise financière de 2008. Et maintenant, ils sont en train de provoquer une nouvelle crise, encore plus grave que la précédente. C’est ce qui se passe lorsque vous permettez à des criminels de poursuivre leurs agissements sans répercussion. Ils s’enhardissent et leurs crimes prennent de plus en plus d’ampleur.

Nous en sommes maintenant au point où les banksters se sont auto-sélectionnés pour diriger le monde entier, en jetant les notions de démocratie, de liberté et de dignité humaine à la poubelle au passage. Comme l’a noté le Dr Robert Malone dans un récent article de Substack(7).

«… Les contribuables américains ont renfloué les grandes banques lorsqu’elles ont fait s’effondrer l’économie mondiale en 2007-2008… Je n’ai pas été renfloué. Vous avez probablement aussi dû vous contenter d’encaisser.

Mais les grandes banques ont travaillé avec la Réserve fédérale (privée), le gouvernement américain et Blackrock, et ont détruit leurs concurrents (le secteur des caisses d’épargne et des prêts), les petites entreprises de tout le pays, et décimé les finances des propriétaires qui avaient été incités à de multiples cycles de refinancement.

Pendant ce temps, ces mêmes grandes banques qui étaient en grande partie responsables de la catastrophe économique ont essentiellement reçu de l’argent gratuit (de la monnaie fiduciaire en papier imprimée par la Réserve fédérale et injectée dans l’économie via les grandes banques, ce qui n’est en fait qu’une autre forme d’imposition — par la Réserve fédérale privée !)

Et ce sont ces mêmes banques, gestionnaires et fonds spéculatifs qui pensent qu’ils ont la sagesse, les connaissances et les compétences pour gérer le monde entier.

Et ils croient apparemment qu’il leur suffit de pouvoir suivre numériquement le comportement, les achats, les activités politiques, les comptes bancaires et tous les autres aspects de nos vies de chacun pour pouvoir nous gérer correctement via des scores de crédit social, des scores ESG, etc.

Ces grandes banques et fonds d’investissement (Larry Fink/Blackrock, State Street, Vanguard, etc.) semblent croire que s’ils disposent de toutes ces données et capacités de suivi au niveau individuel sur chacun d’entre nous, ainsi que d’une monnaie numérique mondiale centralisée, alors ils seront en mesure de nous gérer correctement.

Donc, la question. Qui a mis les banquiers en charge du monde ? C’est de la folie. Cela doit cesser. Ils ont démontré à plusieurs reprises leur incompétence, leur orgueil, leur arrogance et leur cupidité. D’une manière ou d’une autre, le pouvoir des milliardaires, des banques centrales privées, des fonds d’investissement massifs et de tous leurs petits clubs et sociétés privées doit être réduit ou (de préférence, à mon avis) détruit.

« Nous devons faire face à la vérité qui a été cachée derrière tout cela… Le monde a permis aux monopolistes (tels que Bill Gates) et aux monopoles de s’emparer de beaucoup trop de pouvoir et de contrôle. Ils doivent être mis au pas. Pour le bien de chacun d’entre nous. Pour le bien de l’humanité. Pour le bien de nos enfants, à défaut d’autre chose. »

Polycrise du malheur en perspective

La pandémie de COVID a mis en évidence la stratégie utilisée par la cabale mondialiste. Les banquiers sont des acteurs clés de cette cabale, mais ils ne sont pas les seuls. Ils créent des crises pour nourrir leur propre cupidité. La pandémie n’était que la dernière de ces nombreuses crises.

La crise financière de 2008 nous a montré à quel point ils sont incompétents. Alors pourquoi accepterions-nous le système financier « nouveau et amélioré » qu’ils ont l’intention de mettre en place dès que le système financier actuel sera en ruine ?

Mais la crise financière de 2008 nous a également montré à quel point ils sont incompétents. Ils ne maîtrisaient pas la situation à l’époque, et ils ne la maîtrisent toujours pas aujourd’hui. Alors pourquoi accepterions-nous le système financier « nouveau et amélioré » qu’ils ont l’intention de mettre en place dès que le système financier actuel sera complètement détruit ?

Il sera bien pire que le précédent. Il n’y a aucun doute là-dessus, car il ne leur accordera pas seulement un contrôle total sur vos finances personnelles, mais aussi sur tous les autres domaines de votre vie. Cela se produira après la Grande Réinitialisation dans les deux ou trois prochaines années, une fois que les banques centrales auront mis en œuvre leurs CBDC (monnaies numériques des banques centrales).

À l’heure actuelle, nous sommes confrontés à une série de crises sans précédent, comme indiqué dans « Un expert en économie explique l’imminente polycrise du destin ». Toutes ces crises – inflation, pénuries alimentaires, pénuries d’énergie, escalade de guerre imminente – ont été créées dans le but de cacher le plus grand transfert de richesse que le monde ait jamais connu.

Une fois ce transfert de richesse terminé, vous ne posséderez plus rien, comme l’a prédit le Forum économique mondial, et serez sous le contrôle total des humains les plus cupides et les plus incompétents sur le plan fiscal de la planète. Il n’existe tout simplement aucun scénario dans lequel ces individus seront capables de créer l’utopie qu’ils prétendent promouvoir, et plus vite chacun s’en rendra compte, plus vite nous pourrons les remplacer par des personnes qui ont réellement les compétences nécessaires pour reconstruire ce qu’ils ont détruit.

Comment les banquiers prévoient de nous contraindre à la grande réinitialisation

Plusieurs pays, dont l’Allemagne, la France et les États-Unis, ont intentionnellement paralysé et/ou entièrement démantelé leur secteur énergétique au nom de l’agenda vert. En conséquence, la Deutsche Bank prévient maintenant que les Allemands devront brûler du bois de chauffage pour survivre à l’hiver prochain(8), et la France éteint les lampadaires pour réduire la consommation d’énergie(9).

À ce stade, il est important de réaliser que l’Agenda vert n’est qu’un outil de plus pour nous forcer à la Grande Réinitialisation, tout comme la pandémie a été utilisée pour armer Big Pharma en vue d’un réseau mondial de biosécurité.

Comme l’explique Town Hall, l’une des façons dont les grandes banques complotent pour forcer cette transition est de mettre en place des notes environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) pour les entreprises et les comptes d’investissement individuels(10).

« Si les banques sont autorisées à décider collectivement de ne plus financer n’importe quel groupe de personnes qu’elles souhaitent, en se basant non pas sur des préoccupations financières, mais sur des considérations idéologiques, alors les banques et leurs alliés de la Grande Réinitialisation auront, de fait, un contrôle quasi total sur la société — surtout si elles commencent à lier les décisions de prêt à un vaste système ESG…

Le temps est venu pour une révolte populiste massive contre la Grande Réinitialisation, une révolte qui, espérons-le, aura le même succès que le mouvement populaire contre le Common Core sous l’administration Obama. Le sort du monde libre pourrait très bien en dépendre. »

Comprendre le jeu en Grande-Bretagne

Pendant ce temps, le leadership au Royaume-Uni s’effrite, et le Forum économique mondial se bat pour qu’un de ses membres prenne la place de l’ancien Premier ministre Boris Johnson. Comme l’a fait remarquer Maajid Nawaz(11), la course à la direction du Royaume-Uni a pour but d’obtenir un dirigeant qui inaugurera la grande réinitialisation :

« La division a été semée après le Brexit. Les normes civiles ont [sic] été écrasées après le COVID. Les “moyens de production” ont été perturbés après la guerre en Ukraine. Ce qui vient ensuite est le but qu’ils ont tous servi : La grande réinitialisation.

Combinées, ces crises cumulées de suicide fiscal monumental, de perturbation sans précédent de la chaîne d’approvisionnement et de pénuries alimentaires et énergétiques risquent de provoquer l’effondrement du système financier mondial, déclenchant des soulèvements mondiaux vraiment sans précédent. En fait, nous en sommes déjà témoins.

L’effondrement du système financier mondial semble désormais inévitable. Il s’est effectivement effondré en 2008. Ce qui s’est passé depuis n’est que l’exécution d’une démolition contrôlée soigneusement planifiée, pour ne pas dire vicieuse.

Cette démolition est orchestrée par les mondialistes de l’establishment du Forum économique mondial (WEF) afin que leur propre opposition contrôlée puisse orienter cette réinitialisation mondiale vers une plus grande tyrannie centralisée, au lieu de lui permettre de favoriser la démocratie décentralisée.

La résistance populaire sera désormais utilisée comme un prétexte pour réprimer et suspendre la liberté en déployant des forces militarisées pour soumettre les citoyens qui se rebellent.

C’est ainsi que l’establishment financier mondial cherche à profiter de la révolution mondiale actuelle pour conserver son pouvoir. Nous sommes à la fin d’un cycle générationnel naturel : un tournant historique. Nous sommes témoins de la partie “réinitialisation” de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab. Ils nous ont dit ce qu’ils comptaient faire. Après la réinitialisation, ils chercheront à “reconstruire en mieux” afin de créer leur nouvel ordre mondial…

Ce qui précède est le contexte approprié pour expliquer pourquoi l’establishment mondialiste britannique s’est retourné contre son propre leader et Premier ministre Boris Johnson.

Cela donne l’impression que les responsables de toutes les injustices passées pendant les chapitres du Brexit, du COVID et de la guerre en Ukraine semblent être suffisamment désignés comme boucs émissaires aux yeux du public infortuné, tandis que le prochain chapitre de leur transition mondiale souhaitée vers la technocratie est introduit sous notre nez par un nouvel acolyte au visage frais …

Le prochain chapitre des mondialistes nécessite un Premier ministre indemne – vivant dans l’imagination du public pour avoir distribué de l’argent gratuit au public – qui soit prêt à diriger l’effondrement du système financier et à inaugurer la technocratie planifiée par la banque mondiale : les scores de crédit social et les coupons numériques de la banque centrale (CBDC) ».

La cabale des banques centrales et ses nombreux alliés ont infiltré les gouvernements et les institutions à travers le monde pendant de nombreuses décennies, retournant lentement les systèmes contre nous. Nous sommes maintenant dans le dernier chapitre de leur prise de contrôle technocratique. Tout indique qu’ils vont réussir.

Ce que vous pouvez faire

Cependant, il y a un joker : L’esprit humain et son amour inhérent de la liberté. Si un nombre suffisant d’entre nous refuse d’accepter le « nouveau monde » que ces escrocs proposent, nous avons peut-être encore une chance de renverser ce désastre et de reconstruire véritablement quelque chose de meilleur.

Il est important que vous continuiez à vous préparer à l’inévitable catastrophe financière et que vous deveniez aussi indépendant et résilient que possible. Cette année, j’ai proposé de nombreux articles sur la façon dont vous pouvez vous préparer, et vous pouvez les consulter sur mon site Substack.

Il sera également vital de devenir aussi sain que possible. Une étude récente a montré que 93 % des adultes américains sont en mauvaise santé métabolique, et ces statistiques dataient de 4 ans. Il est probable que ce chiffre dépasse aujourd’hui les 95 %. Vous voulez être la seule personne sur 20 qui est en bonne santé. Faites-vous un devoir de faire partie de ce groupe.

C’est tellement important que je suis en train de concevoir un sondage pour savoir quel est ce pourcentage pour nos abonnés. Ce sondage sera un peu plus précis, car il inclura des paramètres tels que le taux de vitamine D, l’exposition au soleil et l’exercice physique. Alors, si vous ne l’êtes pas encore, commencez dès maintenant à vous mettre en forme métaboliquement pour pouvoir participer au prochain sondage.

Mon dernier livre, The Truth About COVID-19, est un best-seller instantané. Après des milliers de critiques, il a obtenu une note presque parfaite de 5 étoiles, alors achetez votre exemplaire aujourd’hui avant qu’il ne soit trop tard !

41FPQFRozNL. SL500

Source : Activistpost.com




Les monnaies numériques des banques centrales arrivent — Quelles en seront les conséquences ?

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith

Les monnaies sont l’élément vital du commerce et de l’économie ; si une monnaie fait défaut, c’est toute l’économie qui s’effondre. Pourtant, la plupart des gens pensent rarement à la santé ou au pouvoir d’achat de l’argent qu’ils ont dans leur poche. Les gens ne se renseignent pas sur la fréquence à laquelle les monnaies s’effondrent et sur la fréquence à laquelle l’inflation ou la stagflation frappe les pays. Ils partent simplement du principe que l’argent qu’ils possèdent sera aussi utile demain qu’aujourd’hui. Ils supposent également que l’argent ne changera jamais de façon spectaculaire.

[Voir aussi :
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts]

Ce manque d’intérêt pour le fonctionnement de l’argent est probablement dû au fait que l’on n’enseigne pas aux gens comment leur argent est créé. On n’en parle pas dans les écoles, on évite de dire la vérité dans les collèges et les grands médias en parlent rarement. Les gens pensent que notre gouvernement et le Trésor public s’occupent de tout cela, mais la réalité est que notre gouvernement ne crée PAS notre argent ; du moins, il n’est pas en charge du processus. Ce sont les banquiers centraux qui le font, et ils opèrent depuis une position « quasi indépendante ».

Par exemple, l’ancien président de la Réserve fédérale, Alan Greenspan, a admis ouvertement que la banque centrale « ne répond à personne » et ne suit pas les ordres du gouvernement. Elle fait ce qu’elle veut quand elle veut.

Cette attitude devrait vous inquiéter, car les détracteurs de la Fed soutiennent depuis longtemps qu’il s’agit d’un organe non élu ayant le pouvoir ultime de détruire l’économie et le dollar à volonté s’ils le souhaitent. Bien sûr, le président américain peut « choisir » le prochain président successif, à partir d’une liste de candidats qui lui est fournie par la Fed, bien sûr. Et le Congrès pourrait théoriquement demander un audit complet des actions et des politiques financières de la Fed, mais il ne le fait jamais, car les banques ou leurs partenaires politiques ne l’autoriseraient jamais. La banque centrale est de loin l’institution la plus puissante de notre nation. Elle est totalement irresponsable et incontrôlable.

Il n’y a jamais que la question de la réaction du public ; c’est la seule chose que les banquiers craignent. Ils ont peur que le public apprenne qui ils sont et ce que fait la banque centrale. Ils ont peur que leurs actions et leurs politiques mettent suffisamment en colère le public pour inspirer une rébellion. Ils ont peur que les torches et les fourches sortent un jour. Alors, elles détournent autant que possible la responsabilité des dommages qu’elles causent.

Les apologistes de la Fed prétendent que la banque centrale ne crée de l’argent à partir de rien que lorsque le gouvernement le lui demande, et que ce sont donc les politiciens qui sont à blâmer. C’est un mensonge. Les politiciens supplient la Fed de leur donner plus d’argent, et la Fed s’exécute généralement tout en créant des dizaines de milliers de milliards de dollars pour ses amis du monde des affaires.

Par exemple, une seule fois dans l’histoire récente, une action politique de la Fed a fait l’objet d’une enquête du Government Accounting Office. Cet audit portait sur une seule série de sauvetages mis en place par la banque, et il n’a été autorisé que parce que le public commençait à prendre conscience des activités de la banque (grâce à la campagne présidentielle de Ron Paul). L’audit a été conçu pour faire taire les gens. Mais, ce qui a été découvert était surprenant, et les médias ont donc balayé l’information sous le tapis. Plus de 16 000 milliards de dollars de monnaie fiduciaire ont été créés par la Fed en l’espace de quelques années, alors que l’on prétendait à l’origine que seuls quelques milliards avaient été créés pour les renflouements à partir de 2008.

Gardez à l’esprit que cet audit était limité à un ensemble particulier de renflouements ; il ne s’agissait pas d’un audit complet de l’ensemble des opérations de la Fed. Nous n’avons vraiment aucune idée du nombre de dollars que la banque centrale a créés de toutes pièces depuis le début de la crise du crédit. Nous ne pouvons que nous référer aux propres données de la Fed, qui ne sont probablement pas très honnêtes.

La seule chose qui limite la domination monétaire totale des banques centrales est le fait que les avoirs en dollars physiques et même les transferts bancaires numériques peuvent être comptabilisés. Une fois que ces dollars sont dans l’éther, les banques centrales ne peuvent pas faire grand-chose pour les cacher, et l’inflation finira par révéler la vérité.

Les banquiers ont besoin d’un nouveau système qui leur permette un contrôle total de chaque centime, de la création à la circulation. Ils veulent avoir la possibilité de faire apparaître ou disparaître l’argent en temps réel. Plus que cela, ils veulent pouvoir suivre chaque dollar, y compris qui le possède et à quoi il sert. Ils veulent être en mesure de microgérer le commerce, et ainsi réaliser un empire totalitaire financier.

Entrez dans les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) basées sur la technologie blockchain…

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les médias grand public ont fait l’apologie des cryptomonnaies comme le bitcoin au cours des dernières années ? Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les grandes banques comme Goldman Sachs et JP Morgan ont injecté des milliards de dollars dans les infrastructures et la recherche en cryptomonnaies, tout en dénigrant la cryptomonnaie dans les médias ? Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les banques centrales ont rejeté la crypto comme dangereuse tout en développant leurs propres cryptomonnaies ?

C’est parce qu’elles facilitent l’accès des masses à l’idée d’un système commercial entièrement numérique dans lequel l’argent physique n’existe plus. Les banques centrales peuvent sembler se méfier des crypto-monnaies, mais en réalité, elles les adorent.

La Banque des règlements internationaux (BRI), également connue sous le nom de « banque centrale des banques centrales », a récemment publié une étude indiquant qu’au moins 81 banques centrales dans le monde ont accéléré leurs projets de lancement de leurs propres cryptomonnaies. De nombreuses excuses sont données, dont la pandémie de Covid, mais elles travaillaient en fait sur ces produits numériques bien avant le début de la pandémie.

Le Fonds monétaire international (FMI) parle depuis des années de développer un système mondial de cryptomonnaies lié à son panier de droits de tirage spéciaux. De nombreuses institutions globalistes se sont intéressées à cette technologie et ce n’est pas nouveau. Ce qui est nouveau, en revanche, c’est que les banques admettent ouvertement ce projet.

La BRI, l’une des organisations globalistes les plus clandestines qui a encore un visage public, a même admis qu’elle développait la technologie CBDC. Et ce que cela me dit, c’est que nous sommes très proches d’un changement radical dans notre environnement économique. En général, les criminels ne révèlent pas leur criminalité à moins qu’ils ne pensent qu’il est trop tard pour que quelqu’un puisse faire quelque chose. Avec la stagflation qui frappe durement notre économie cette année, nous devons nous demander si le comportement des banques ne laisse pas présager des conditions bien pires à venir ?

Le public n’accepterait jamais facilement les CBDC comme monnaie, à moins que leur monnaie existante ne perde la majeure partie de son pouvoir d’achat et que le système actuel ne soit dans le gouffre. C’est ainsi que naissent les nouveaux niveaux d’empire ; une crise majeure permet aux élites de consolider leur contrôle pendant que le peuple est distrait par ses propres désastres privés. La vue d’ensemble est modifiée tandis que chaque personne est terrifiée par sa propre petite calamité.

Aux États-Unis, les marchés et les économistes traditionnels prient pour que la Fed capitule sur les hausses de taux d’intérêt, car ils pensent que cela sauverait les actions de l’effondrement. Cependant, même si la Fed le faisait, il resterait le problème de l’inflation/stagflation. Si elle ne renonce pas à augmenter les taux d’intérêt (je prédis qu’elle ne capitulera pas et ne fera pas marche arrière de sitôt), une récession viendra s’ajouter à l’inflation. Il est impossible que la vitesse actuelle des hausses de taux ralentisse l’inflation due aux dizaines de milliers de milliards de dollars fiduciaires qui circulent dans l’économie mondiale. Comme je le dis depuis longtemps, la Fed a créé un scénario sans issue dans lequel l’économie s’effondre, quelle que soit la décision politique qu’elle prend.

Mais si tout cela était voulu ?

Avec l’introduction des CBDC à la suite d’un crash stagflationniste, les banques centrales pourraient appeler à la création d’un nouveau réseau mondial de monnaies pour « empêcher qu’une telle crise ne se reproduise ». La BRI et le FMI seront prêts et attendront avec le panier de DTS, ou quelque chose de très similaire. Les banquiers supprimeront tout l’argent physique sur une courte période et un système numérique mondial prendra le relais. Toute confidentialité dans les échanges commerciaux disparaîtra, sauf pour les personnes impliquées dans le troc, le marché noir et les matières premières.

L’avènement des CBDC pourrait également signifier que l’argent et la participation économique deviendront des privilèges et non des droits. Le commerce numérique pourrait être lié à un système de crédit social, un peu comme celui qui existe en Chine communiste.

Vous voulez avoir accès à vos comptes de chèques et d’épargne ? Mieux vaut ne rien dire de critique à l’égard de l’établissement, ou vous pourriez être dénoncé par un voisin ou un étranger au moyen d’une application de téléphone portable et voir votre argent disparaître en quelques secondes. Il vous incombera alors de prouver que vous êtes « loyal » et de récupérer l’accès. Vous êtes coupable jusqu’à preuve du contraire. Peut-être ne voulez-vous pas prendre le prochain vaccin à ARNm non testé contre la prochaine menace de pandémie douteuse ? Vous n’aurez guère le choix si votre capacité à fonctionner économiquement est contrôlée numériquement.

C’est le monde auquel nous sommes confrontés si nous permettons aux banques centrales de numériser entièrement la monnaie et le commerce. C’est un environnement cauchemardesque d’autoritarisme complet. Le grand public n’est généralement pas conscient de l’incroyable danger inhérent aux CBDC et il doit être sensibilisé avant que la crise actuelle ne prenne une ampleur telle qu’il ne puisse plus se concentrer sur autre chose que ses propres problèmes.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




 La Secte expulse un imam-arbre

Par Lucien SA Oulahbib

La Secte au pouvoir veut javelliser à outrance jusqu’à fabriquer un « islam » LGBTQ+ ou du moins silencieux sur cette production globale de comportements contraints (sous peine d’être classé comme impur ou extrême droite) que cependant certains rugbymen australiens refusent au moment même où dans ce dernier pays une sénatrice tient à peu près les mêmes propos que cet imam-arbre qu’un député NUPES défend pourtant en compagnie d’une forêt d’imams lyonnais que l’on croyait pourtant normalisés… Voilà pour l’imbroglio…

Écartons tout de suite le soutien mi-clientéliste mi-affairiste du député LFI-NUPES qui somme toute défend néanmoins son fonds de commerce sous drapeau UE puisque Darmanin ne fait qu’appliquer ces nouvelles normes industrielles qui stipulent qu’un bon musulman est celui qui se tient côte à côte bien gentiment d’une drag-queen (ou presque) du moins à terme (« c’est mon projet » clame le Zelenski français installé à l’Élysée tous frais payés) lorsqu’il en invita certain(e)s lors d’une (mémorable) fête de la musique…

Intéressons-nous plutôt à cette forêt d’imams soutenant l’un de leurs congénères, une forêt que l’on croyait banalisée avec ses belles trouées pour randonneurs bobo et ses espaces de pique-nique où le thé à la menthe coule à flots. Loin s’en faut visiblement, ce qui interroge. Pourquoi en effet soutenir cet arbre dont les caries (antisémites, homophobes) peuvent empester l’atmosphère (à la façon de cette publicité encourageant à aller voir le dentiste) ? Sans doute parce que ces imams sentent bien que dans le tréfonds des « réseaux », en particulier chez les jeunes, l’offensive comportementale ultra (blocage de puberté en vue) de cette Secte SHA de plus en plus ivre de puissance (endiablée…) est de plus en plus contrecarrée à l’inverse par une demande obstinée d’un « retour » vers une certaine tradition, plus fondamentaliste qu’uniquement djihadiste (les salafistes en Égypte par exemple ont soutenu la prise de pouvoir de Morsi contre les frérots qui s’accaparaient tout le pouvoir) allant donc aux antipodes de la fabrique made in UE d’implants LGBTQ+ adeptes forcenés désormais du blocage de puberté, la dernière du genre (et le « pont trop loin » peut-être…).

Et comme la droiche et la gaute sont complètement complices de la Secte sur ces questions sociétales cruciales lorsque l’on est jeune, un boulevard de type vortex se crée à la fois pour les fondamentalistes et les djihadistes qui pour l’instant font cause commune puisque cet imam expulsé, même s’il ne tient pas que des propos “burkinistes” s’avère avoir une audience que les imams ayant pignon sur rue ne peuvent se permettre de perdre sous peine de voir leurs mosquées se vider au profit de certaines plus “radicales”.

Face à cela la stratégie adéquate sera de continuer d’attaquer sur deux fronts : la propagande LGBTQ+ bloqueuse de puberté d’une part, la propagande islamique prônant que toute progéniture issue d’Afrique (du Nord) et d’autres pays subissant le joug arabo-musulman aurait le « devoir » de « choisir » l’appareillage comportementaliste coranique. Ces deux batailles sont engagées, mais le camp de la laïcité réelle a perdu beaucoup de terrain du fait même de la faillite idéologique de ses courants porteurs, mais aussi de l’ambiguïté du concept en effet complexe de « liberté ».

On l’a bien vu lors de la campagne présidentielle française : fallait-il demander l’interdiction du voile sur tout l’espace public ou uniquement dans celui lié au « service public » ?…

La question ne peut être traitée ainsi s’il n’y a pas eu au préalable tout un débat libre et éclairé sur le fait qu’il n’existe pas de « choix » en islam, mais une « soumission » stricte comme le terme lui-même l’indique rigoureusement. Ceci implique que ceux qui l’emploient quand même se servent de principes légaux qu’ils réprouvent pourtant, suivant ainsi cependant l’axe central de leur stratégie idéologique qui exige des droits au nom de « valeurs » qu’ils dissoudraient immédiatement aussitôt arrivés au « pouvoir » (ne serait-ce que dans une piscine, un bloc d’immeubles, une municipalité). Le désir séparatiste se transforme ainsi en ségrégation volontaire, celle-ci étant par ailleurs de plus en plus soutenue par toute la frange des « intersectionnés », remugle néoléniniste qui se sert des mœurs, du climat et de la santé comme mortiers, faute de munitions adéquates, et depuis que pour le reste la Secte les tient dans ses griffes financières et prestigieuses (Légion d’honneur, postes publics et privés « en veux-tu ? En voilà ! »). Pourtant, et ce comme en Algérie et en Iran, ces (faux) « progressistes » serviront à la fois de faux et de têtes brûlées dont l’amoncellement formera les marchepieds des réels « réactionnaires » adeptes de la guerre de mille ans contre « les juifs et les croisés ». Mais à ce stade avancé de fanatisme, l’abandon masochiste de cette élite occidentale si coupablement soumise lui est si jouissif que sa propre mort apparaît comme le plaisir/désir sacrificiel suprême, ce que théorisaient Foucault, Deleuze et Derrida, ces élèves également de ce néo-léninisme alter-islamisé fondé par Sartre et Althusser dont BHL est l’un des petits-fils (et Onfray leur cousin « rebelle »).

Aussi s’agit-il à l’évidence de ne pas être dupe : les gesticulations actuelles de la Secte n’ont pas pour objet de lutter contre l’islam, mais de le formater, lui limer les griffes non compatibles, tout comme l’OTAN anglo-saxonne, bras armé de la Secte, cherche à le faire envers tout ce qui n’est pas « iel ». Mais il n’est pas sûr cette fois que la dichotomie gentil/méchant qui avait bien marché durant la WW2 [Deuxième Guerre mondiale] et la guerre froide puisse de nouveau servir afin de légitimer cette philosophie cannibale




L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ?

[Voir aussi sur RL]

Par Nicole Delépine

Le vote du 26 juillet à l’Assemblée nationale nous a relativement rassurés. Le fameux état d’urgence est supprimé et par conséquent les décisions liberticides ne devraient plus pouvoir être imposées sans nouvelle discussion au Parlement.(([1] https://nouveau-monde.ca/france-demi-victoire-de-la-nouvelle-loi-de-securite-sanitaire/))

Évidemment on voit fleurir les tentatives de détournement de cette loi, et très vite à l’APHP que vient de quitter Martin Hirsch redevenu conseiller d’État, établissement public parisien en déroute dont les résultats sur le traitement du covid furent les plus mauvais (refusant tout traitement type Raoult sauf pour ses médecins discrètement) et en manque majeur de personnel vu le management entrepreneurial conduisant au burn out généralisé.

Et déjà un arrêté pour introduire la peur avec la variole du singe qui ne touche que les homosexuels et est bénigne dans la grande majorité des cas(([2] les mesures Monkeypox qu’il faudra analyser aussi.
Nous avions déjà alerté sur le fait que certaines mesures de « gestion de crise sanitaire » concernant le covid-19 étaient entrées dans le droit commun, puisqu’elles figuraient maintenant au Code de la Santé publique (message de la Ligue pour la liberté des vax sur Whatsapps).
Aujourd’hui est paru un arrêté s’appuyant notamment sur l’article L.3131-1 du Code la Santé publique, modifié par la loi n° 2021-689 du 31 mai 2021 (relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire).
Arrêté du 26 juillet 2022 modifiant l’arrêté du 9 juillet 2022 relatif à la vaccination contre le virus Monkeypox et l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046096130.
Cet arrêté remet en place pour le Monkeypox la liste des personnes pouvant effectuer la vaccination (médecins retraités, étudiants), et bien sûr avec une rémunération spécifique à cette vaccination.
Noter, concernant cet arrêté et la référence à l’article L.3131-1 du Code de la Santé publique, que la vaccination rentre dans le cadre de « toute mesure réglementaire ou individuelle relative à l’organisation et au fonctionnement du système de santé » spécifiée par cet article du CSP.
MAIS cet article L.3131-1 du CSP mentionne également que le ministre de la Santé peut prescrire par arrêté :  « Des mesures de mise en quarantaine ou de placement et de maintien en isolement, dans les conditions prévues au II des articles L. 3131-15 et L. 3131-17. »
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043589799/)): Arrêté du 26 juillet 2022 modifiant l’arrêté du 9 juillet 2022 relatif à la vaccination contre le virus Monkeypox et l’arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire.

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046096130

QUESTION DU JOUR : un directeur d’établissement peut-il décider de m’imposer une muselière pour recevoir mes soins et ne pas voir le visage de mes soignants, alors que l’inefficacité du masque et sa nocivité sont démontrées par de nombreuses études internationales ?(([3] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))(([4] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

La question que je me pose est la suivante : quelle est la base légale ?  Un hôpital, une clinique ou un médecin libéral peuvent-ils me demander de venir en rouge, en bleu, en short ou en burkini selon leur « bon plaisir » ?

« Ici, Madame, tous les patients doivent se vêtir de blanc, car il attire moins la chaleur ». Etc.

IL Y A-T-IL UN MOYEN LÉGAL DE S’OPPOSER À CET ABUS DE POUVOIR ?

J’ai posé la question à mes profs de droit préférés. Voici une réponse qui, je l’espère, en appellera d’autres. Ces atteintes aux libertés publiques pour attiser la peur doivent cesser.

Le 28 juillet 2022. Un des profs a écrit ces quelques lignes :

Le problème se pose dans les termes suivants (il est à peu de choses près le même pour les établissements publics et pour les établissements privés) :

— Le Premier ministre, le ministre de la Santé et les préfets ne pourront plus imposer le port du masque à partir du 1er juillet, ni en extérieur, ni en intérieur.

– Mais, à l’intérieur des établissements hospitaliers publics ou privés (et de toute entreprise ou établissement public d’ailleurs), la question peut se reposer au niveau du règlement intérieur.

Le règlement intérieur (donc la consigne doit y figurer) peut prévoir des prescriptions particulières qui s’imposent aux salariés, mais pas dans n’importe quelles conditions.

Je n’ai pas trouvé de jurisprudence sur le cas particulier du masque, mais la règle générale est la suivante :

Le Conseil d’État (établissement public) a considéré que l’obligation de porter telle tenue (ici, une tenue de chantier) pouvait être, selon les circonstances de l’espèce, justifiée par la nature de la tâche à accomplir et proportionnée par rapport à l’objectif de protection recherché (CE 16 déc. 1994, min. Travail, emploi et formation professionnelle c/ Sté Ascinter Otis, RJS 2/1995, no 128). 

La Cour de cassation (établissements privés) a, quant à elle, jugé qu’un salarié ne peut être légitimement sanctionné pour avoir refusé d’appliquer une consigne générale de port d’une blouse blanche que pour autant que cette obligation est justifiée par la nature de la tâche à accomplir et proportionnée au but recherché (Soc. 18 févr. 1998, no 95-43.49).

Pour ce qui concerne les usagers, patients ou visiteurs, la direction peut prendre des mesures d’organisation du service (mesure d’ordre intérieur), mais elles ne doivent pas porter atteinte au droit des libertés des personnes.

Une mesure d’ordre intérieur peut être contestée devant le juge, dès lors  qu’elle aggrave la situation des intéressés (CE, ass., 14 déc. 2007, req. no 290730). 

Moralité : il faut saisir le juge pour qu’il apprécie le bien-fondé de ces nouvelles obligations de port du masque et qu’il décide si elles sont proportionnées au but recherché ou non.(([5] Et là on lui fournira les nombreux articles prouvant la mascarade du masque.  Au travail !))

Une remarque de ma part : si le règlement intérieur doit stipuler cette possibilité, il faut que celui-ci soit rédigé en ce sens et voté en conseil ad hoc, les CMC(([6] Commission médicale d’établissement  diaporamacme5juillet2022.pdf (aphp.fr) prochaine réunion en septembre 2022…)) médicales et administratives par exemple à l’APHP, ce qui nécessiterait de les réunir et en plein mois d’août, ce ne semble pas simple. Sauf si comme d’habitude on marche sur le droit et qu’on nous parle de droit COUTUMIER… On a déjà vécu cela à l’APHP…





Loi contre les contenus « terroristes » en ligne, en marche vers une censure généralisée au sein de l’UE ?

[Source : FranceSoir]

[Photo :  AFP – Ugo Padovani / Hans Lucas]

La loi sur « la prévention de la diffusion de contenus à caractère terroriste » menace directement la liberté d’expression.


Par Wolf Wagner, journaliste indépendant

Sous couvert de lutter contre le terrorisme et de se conformer au droit européen, l’Assemblée nationale vient de voter une loi sur « la prévention de la diffusion de contenus à caractère terroriste ». Ce texte donne à présent le droit aux autorités de censurer, dans l’heure et sans aucune intervention de la justice, tout contenu publié sur internet dès lors que celui-ci peut être considéré comme « terroriste ».

Une loi qui menace directement la liberté d’expression. Explications.

Gérald Darmanin ne s’y trompe pas. Il s’est félicité sur Twitter que « ce texte important permet de contraindre éditeurs et hébergeurs web à retirer les contenus terroristes dans l’heure ».
Le ministre de l’Intérieur fait ici référence au texte adopté par l’Assemblée nationale le 27 juillet 2022.

Une loi qui vise à se conformer à la législation européenne entrée en vigueur le 7 juin dernier. Pour Caroline Cayeux, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales, qui était présente sur les bancs de l’assemblée pour défendre les positions du gouvernement, « il était indispensable que des autorités indépendantes chargées d’assurer et de contrôler la légalité du retrait des contenus soient désignés par chaque État-membre ».

L’autorité indépendante en question censée contrôler ces contenus est l’Arcom, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, le successeur du CSA. C’est-à-dire une instance dont les membres sont nommés par les présidents de la République, du Sénat et de l’Assemblée nationale, par le Conseil d’État et par la Cour de cassation.

Autrement dit : les membres d’une autorité à l’indépendance et à l’impartialité politique fortement contestable.

Et pour parvenir à ses fins, l’autorité indépendante entend s’appuyer sur sa plateforme Pharos, qui recense les signalements de contenus illicites réalisés par des internautes.

Être jugé coupable sans intervention judiciaire et sans possibilité de se défendre en amont de la sanction

Grâce à l’adoption de cette proposition de loi par l’assemblée, l’Arcom a donc bien à présent la possibilité de forcer tout site Internet, réseaux sociaux en tête, à supprimer dans l’heure un contenu qu’elle jugerait terroriste.

Contrairement à ce que permet habituellement le droit français, un plaignant pourrait ainsi se voir être injustement condamné avant d’avoir la possibilité de se défendre. En résumé, la sanction interviendra avant toute intervention de l’institution judiciaire, et donc avant tout procès.

Une situation inacceptable déjà dénoncée en avril 2021, depuis le Parlement européen, par l’eurodéputée EELV Gwendoline Delbos-Corfield :

« Bien entendu, il sera possible après d’attaquer cette décision en justice, et peut-être de se voir rendre justice, si c’était illégitime. Mais « après ». En attendant, l’UE aura créé l’opportunité d’une forme de censure préalable, ce qui va à l’encontre des éléments fondamentaux de la liberté d’expression. »

Sans oublier qu’en cas de censure subie, il est difficile d’imaginer que le Français, ou que l’Européen, moyen injustement condamné souhaitera s’engager dans une longue procédure judiciaire s’il n’obtenait pas rapidement gain de cause face à la censure de l’une de ses publications. Il est fort à parier que celui-ci préférera accepter sa sanction et passer à autre chose plutôt que d’entrer dans un long combat potentiellement perdu d’avance.

Et pour les entités plus puissantes, capables d’engager une procédure judiciaire contraignante, il est envisageable – notamment concernant la presse indépendante – que toute information publiée et censurée à tort par l’Arcom, perdra en valeur et en intérêt si elle ne devait réapparaître sur Internet que bien plus tard, une fois la procédure judiciaire terminée et remportée par l’accusé. Le mal aura dans tous les cas été fait, l’information aura été censurée au moment de sa diffusion.

Un contenu supprimable partout en Europe à la demande de n’importe quel ministère de l’Intérieur de l’UE ?

Beaucoup plus inquiétant, Gwendoline Delbos-Corfield alerte sur le fait que :

« demain, le ministère de l’Intérieur d’un pays va pouvoir faire supprimer en une heure un contenu qu’il aura décrété terroriste dans le pays voisin, en s’adressant directement à la plateforme qui l’héberge et sans qu’aucune autorité judiciaire, des deux côtés, n’ait jamais eu un regard dessus. »

À l’en croire, cette loi permettrait tout simplement une ingérence permanente entre États européens sur la manière de régulariser la liberté d’expression des citoyens de l’UE sur Internet. Un mode opératoire qui, s’il venait à véritablement voir le jour, soulèverait de nombreuses questions.

En effet, l’eurodéputée rappelle que :

« dans certains États de cette Union européenne, on peut être ciblé officiellement comme traître à la nation ou ennemi de l’État pour avoir simplement questionné une décision gouvernementale. Dans certains États de cette Union européenne, la constitution peut être interprétée comme jugeant acte terroriste le fait d’organiser un référendum. Dans certains États de cette Union européenne, des membres de gouvernements et des hauts fonctionnaires ont qualifié d’actes terroristes de mineures dégradations matérielles faits par des activistes environnementalistes ».

Une définition du « terrorisme » qui prête ainsi largement à interprétation selon l’eurodéputée et selon plusieurs ONG auxquelles Public Sénat faisait écho, le 13 juillet dernier, dans un article paru suite à l’adoption du texte par le Sénat :

« Ces publications « à caractère terroriste » regroupent, selon la définition prévue par les textes législatifs, toute incitation à la commission d’infractions terroristes, la sollicitation d’une personne ou d’un groupe pour commettre des actes terroristes, la fourniture d’instruction pour la fabrication ou l’utilisation d’armes ou d’explosifs. Cette définition large est critiquée par de nombreuses associations et Organisation Non Gouvernementales (ONG), qui y voient une menace pour la liberté d’expression ».  

Qu’est-ce qu’un terroriste ?

L’eurodéputée soulève ici une très bonne question : qu’est-ce concrètement qu’un terroriste ? Comment le différencier d’un déséquilibré ou d’un opposant politique violent ?

Un terroriste est-il forcément djihadiste ? Un terroriste doit-il obligatoirement proférer des attentats sur le territoire national pour être considéré comme tel ? Ou encore, un attentat terroriste doit-il obligatoirement toucher des personnes ou la seule atteinte aux biens suffit-elle ?

Autant de critères non définis qui laissent à terme la porte ouverte à une multitude d’interprétations possibles.

D’autant qu’il n’est pas nécessaire de remonter jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, quand les résistants de l’époque étaient appelés « terroristes » par le régime nazi et par celui de Vichy, pour trouver des analogies parfois hasardeuses, voire mensongères, au sujet d’individus qualifiés de terroristes.

En effet, pour Michel Wieviorka, sociologue et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, interrogé en 2021 par CNews au sujet de l’incendie d’un centre de vaccination à Urrugne dans les Pyrénées-Atlantiques, il s’agit « certainement de groupes tout à fait petits qui organisent ce genre de chosesOn est dans de l’action structurée, organisée, violente… j’ai envie de vous dire : la colère se refroidit et se transforme en quasi terrorisme ».

Le mot « terrorisme » a donc déjà été lâché par un éminent sociologue au sujet de l’incendie, plutôt léger, d’une simple tente abritant un centre de vaccination.

Une interrogation qui avait alors été reprise telle quelle par un influent site Internet de l’époque, celui de Jean-Marc Morandini, qui avait choisi de diffuser l’interview du sociologue et qui débute son article en se posant cette question : « La colère est-elle en train de se transformer en actes terroristes ? ».

D’un incendie d’une tente, nous avons donc rapidement basculé vers un discours où l’amalgame était permis entre opposants antivax et le terme de terroriste, généralement consacré aux individus animés de velléités meurtrières contre les intérêts français.

Il serait simple de se dire que ces mots n’engagent que le sociologue qui les a prononcés, mais, dans un pays où la novlangue est devenue reine et où la définition des mots peut parfois évoluer très rapidement, il convient de rester méfiant quant à l’interprétation que l’on peut faire d’un texte de loi de ce type à plus ou moins court terme.

Qui peut aujourd’hui dire ce que sera le sens du mot « terrorisme » dans deux ans ? Et qui sera alors susceptible de répéter les arguments autrefois défendus par Michel Wieviorka ? Nul ne peut le prédire, et c’est bien là tout le danger de ce texte.

Comment s’interdire d’imaginer que dans le cas où nous aurions à revivre une situation proche de celle rencontrée au cours des années 2020 et 2021, avec un pouvoir aussi vertical que strict, certains opposants, plus ou moins violents et hostiles à la politique du gouvernement, ne seraient pas de nouveau qualifiés de terroristes par une partie toujours plus importante de l’intelligentzia ?

Faut-il par exemple rappeler les différentes sorties médiatiques d’un Raphaël Enthoven pour s’en convaincre ? Comme lorsqu’il écrit que les antivax seraient revenus « à l’État de nature », c’est-à-dire qu’ils seraient en opposition avec le contrat social qui régit nos civilisations depuis le XVIIe siècle. En un mot, selon Enthoven, les antivax seraient des êtres sous-développés philosophiquement aux aspirations moyenâgeuses, pour ne pas dire animales.

Grâce à cette loi et à la lecture de ces différentes déclarations, serait-il possible dans le futur de supprimer toute prise de position publique de la part d’antivax ou d’antipass sur le simple prétexte qu’ils représenteraient un danger terroriste, ou a minima un danger pour la sécurité intérieure du pays ?

La démarcation entre terrorisme et sécurité intérieure est trop poreuse pour pouvoir affirmer qu’ils ne seraient pas victimes d’une chasse aux sorcières encore plus agressive.

Quoi qu’il en soit, le simple fait que cette question puisse être posée démontre de facto que la réponse est incertaine. Ce qui est déjà en soi, un sérieux problème démocratique.

Par ailleurs, un individu qui serait considéré comme terroriste en Hongrie ou en Allemagne, le serait-il obligatoirement aussi en France ?

Pas forcément.

En Allemagne, l’extrême droite considérée par les autorités comme plus dangereuse que le terrorisme djihadiste

En effet, récemment en Allemagne, un groupe qualifié « d’antivax proche de l’extrême droite » a été arrêté car il aurait projeté de réaliser des attentats sur le sol allemand.

Le 15 avril 2022, Le Parisien écrit à ce sujet :

« En Allemagne, à l’issue d’une enquête menée depuis octobre 2021, cinq Allemands appartenant à la mouvance anti-restrictions sanitaires et faisant partie d’un groupe de messagerie intitulé « Patriotes unis », ont été suspectés de planifier des attentats d’extrême droite. (…) Leur réseau, organisé sur la plate-forme Telegram, envisageait notamment des enlèvements de personnalités publiques comme le ministre de la Santé Karl Lauterbach, partisan des restrictions face au Covid-19. »

Le groupe rassemblait environ 70 personnes à travers le pays. Ils parlaient entre eux « d’un renversement de l’ordre démocratique, de la mise en place d’un nouveau gouvernement, jusqu’à des déclarations selon lesquelles (le président russe Vladimir) Poutine devrait aussi réussir ici en Allemagne pour permettre l’avènement d’un nouveau système », a résumé le ministre de l’Intérieur de Rhénanie-Palatinat, Roger Lewentz. ».

Pour Le Figaro qui relate également la nouvelle : « Les opérations policières visant la frange radicale de la mouvance anti-restrictions sanitaires se sont multipliées dans le pays qui a érigé la violence d’extrême droite au premier rang des menaces pour l’ordre public, avant le risque djihadiste. ».

Si les accusations portées à l’encontre de ces Allemands étaient par la suite confirmées par la justice d’outre-Rhin, ce groupe mériterait alors d’être condamné, mais l’information la plus importante divulguée ici par Le Figaro, c’est que l’Allemagne considère à présent la menace de l’extrême droite comme plus dangereuse que celle incarnée par le terrorisme djihadiste.

Ce qui est loin d’être le cas en France.

Preuve que les sensibilités politiques varient bel et bien d’un pays à l’autre.

D’autant que quelle que soit la réalité actuelle, en suivant la logique allemande et en tenant compte des propos de Gwendoline Delbos-Corfield, une nouvelle question se pose inéluctablement : que se passerait-il dans le cas où le ministre de l’Intérieur allemand en voyant une publication sur les réseaux sociaux d’antivax français – qu’il qualifierait, à juste titre ou non, de membres de l’extrême droite – décidait, en tant qu’autorité allemande et au nom de sa propre interprétation politique nationale, de demander au réseau social de supprimer la publication de cet internaute français ?

Au nom de l’Europe, si l’on en croit l’eurodéputée, il serait très certainement exaucé. Il deviendrait ainsi possible de voir des autorités étatiques étrangères avoir le droit d’intervenir administrativement pour faire sanctionner des citoyens d’autres nations.

Un mode opératoire qui semble néanmoins totalement inapplicable en l’état, tant les nations de l’UE ne possèdent pas les mêmes standards. Exemple concret avec la Hongrie et sa politique vis-à-vis de la communauté LGBT. Qui Facebook devra-t-il suivre si d’un côté les autorités hongroises considèrent comme terroriste, ou a minima comme dangereux, le militantisme LGBT, pendant que celui-ci serait au contraire défendu dans un pays tel que la France ?

Il y a là une contradiction évidente qui ne pourrait au final être levée qu’en cas de perte définitive des souverainetés nationales au profit de celle de l’UE.

Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage. Qui veut tuer un mouvement politique le qualifie d’extrême droite

Le souci avec les étiquettes politiques, que ce soit en Allemagne, en Hongrie ou en France, ce sont donc les critères choisis pour les définir.

Difficile par exemple d’un point de vue franco-français de pouvoir affirmer ou infirmer le bien-fondé du jugement allemand sur les individus récemment arrêtés et sur leur obédience politique réelle. Néanmoins, il suffit de faire le parallèle avec la France pour constater que, concernant ce sujet, certains jugements peuvent parfois être hâtifs, quand ils ne sont pas clairement mensongers.

En effet, y a-t-il déjà eu par le passé en France des cas de personnes injustement qualifiées d’extrémistes de droite dans le seul but de chercher à les discréditer aux yeux de l’opinion ?

La réponse est oui.

Il est par exemple aisé de se souvenir que de nombreuses voix, notamment à gauche, s’étaient élevées avant même le début du mouvement des Gilets Jaunes pour crier au complot d’extrême droite. Une appellation fallacieuse, largement documentée, mais qui avait par exemple vu la CGT – dont le communiqué a depuis été supprimé de son site Internet (sans intervention de l’Arcom) – écrire une petite vingtaine de jours avant la première mobilisation des Gilets Jaunes :

« L’appel lancé un samedi, sans réelle ambition de bloquer l’économie, s’appuie sur une colère légitime mais dont les ressorts sont obscurs et les solutions préconisées pour sortir de cet engrenage sur le long terme demeurent floues, voire dangereuses pour le monde du travail.

Plusieurs partis d’extrême droite semblent être à la manœuvre. »

Dans le même registre, trois ans plus tard, il y a aussi eu une tentative d’associer antipass et extrême droite (123) en tentant de mettre tous ceux qui étaient opposés aux restrictions sanitaires dans ce seul et même sac.

Pourtant, avec le recul et une fois posé, ce raisonnement ne tient pas.

Les soignants suspendus ne sont pas une assemblée de militants d’extrême droite. Les pompiers suspendus, idem. Et que dire des membres du collectif Où est mon cycle, à laquelle la presse dominante a décidé de s’intéresser dernièrement ? Ou encore ces 700 artistes qui ont conjointement appelé à refuser le passe vaccinal ? Ils seraient d’extrême droite ?

Bien évidemment, la réalité est tout autre, tant du côté des manifestants sortis dans les rues, que de celui de ces artistes aux militantismes politiques différents. Veronique Genest ou Alexandre Jardin, tous deux connus pour être idéologiquement de droite, côtoient au sein de cette tribune Bruno Gaccio, Yvan Le Bulloch ou encore Alain Damasio, dont les prises de position à gauche ne sont plus à démontrer.

Preuve que, contrairement au narratif assené à l’époque par une partie de la classe médiatique et politique, l’ensemble de ces personnalités, de ces collectifs, de ces personnels soignants ou, plus généralement, de ces anonymes qui se sont rassemblés dans la rue se sont en réalité retrouvés d’abord et avant tout derrière une volonté de s’opposer au passe vaccinal sans pour autant s’être préalablement entendus sur une idéologie politique et partisane commune.

Or, d’un côté en Allemagne, en érigeant l’extrême droite en menace supérieure de la nation, et de l’autre en France, en rattachant injustement toute une frange de la population à ce camp politique, comme ce fut le cas lors du mouvement des Gilets Jaunes ou lors de celui des antipass, il y a là avec l’application de cette loi, déjà tous les ingrédients nécessaires pour permettre à terme de justifier une future censure à l’encontre de ce type de mouvement, qu’il voit le jour en Allemagne ou en France.

Cette loi est bien plus dangereuse d’un point de vue démocratique qu’il n’y paraît.

Dans la continuité, avec un tel pouvoir d’action dénué de tout contrôle, combien des articles de FranceSoir publiés durant la crise sanitaire auraient pu être supprimés par l’Arcom grâce à cette nouvelle loi ? Combien de ces papiers auraient pu résister à l’accusation d’avoir diffusé des « fake news complotistes » mettant en danger la sécurité intérieure ?

Comme par exemple l’article qui révélait la probabilité que le virus puisse s’être échappé du laboratoire P4 de Wuhan et qui avait à l’époque vu un grand nombre de « fact-checkeurs » assurer à l’opinion publique que l’information était assurément fausse… avant de finalement se rétracter quelques mois plus tard pour expliquer que cette hypothèse était à présent privilégiée.

Combien de temps ce papier aurait-il pu survivre en ligne avec ce type de lois et avec cette définition si évasive du mot « terrorisme » ?

Là encore, impossible d’affirmer quoi que ce soit, mais au vu des années passées et compte tenu de la manière avec laquelle la macronie, et une bonne partie des pouvoirs européens, a su imposer avec force et virulence ses positions, il est plus qu’envisageable d’imaginer que cette loi puisse, in fine, permettre de pouvoir encore davantage « emmerder les non-vaccinés », ces « irresponsables qui ne sont plus des citoyens ».

Tour de passe-passe démocratique

Dernière particularité concernant le vote de cette loi : sa méthode.

En effet, comme le rapporte Public Sénat :

« Certains sénateurs se sont interrogés sur la méthode : utiliser une proposition de loi – c’est-à-dire un texte venu des parlementaires plutôt que du gouvernement – pour transposer dans la loi un règlement européen. Ainsi les sénateurs « Les Indépendants », pourtant soutiens de la majorité présidentielle, ont émis leurs « réserves » sur cette méthode qui prive les parlementaires de toute étude d’impact et d’un avis du conseil d’État.  ».

Pour Guy Benarroche, représentant le groupe écologiste du Sénat, dont les propos sont rapportés par Public Sénat, cette méthode est un « tour de passe-passe qui entache la sincérité du processus démocratique. ».

Avis partagé du côté des sénateurs communistes qui s’adressent au gouvernement avec « le sentiment que le règlement européen vous donne le prétexte de nous faire voter ce qui a déjà été supprimé – à raison- par ailleurs. ».

Les communistes font ici référence au Conseil Constitutionnel qui avait en grande partie retoqué la loi dite AVIA contre la haine en ligne et dont certains articles reprenaient la loi votée actuelle.

Un Conseil Constitutionnel qui représente aujourd’hui un bien faible dernier rempart pour retoquer un texte aux aspects des plus dangereux au vu de la menace anti-démocratique qu’il fait peser sur la liberté d’expression des citoyens français… et européens.




Coup de théâtre : 100 médecins anglais se révoltent et appellent à suspendre immédiatement la vaccination des enfants

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Dans une lettre adressée au prochain Premier ministre et lue par Lecourrier-du-soir.com, cent (100) médecins et scientifiques britanniques demandent au prochain gouvernement de mettre une pause à la vaccination des enfants le temps qu’une étude approfondie et indépendante soit entreprise sur la sécurité des vaccins. Dans la lettre, les 100 médecins et scientifiques émettent de sérieux doutes quant à la sécurité et la nécessite de vacciner les enfants.

La vaccination des enfants est-elle devenue le nouveau front dans la guerre qui oppose les Etats aux médecins? En tout cas, si dans beaucoup de pays au monde, notamment aux Etats-Unis, les autorités sanitaires appellent à vacciner les enfants contre le Covid, dans d’autres parties du monde, cette mesure est vue d’un mauvais œil.

C’est notamment le cas de la Grande-Bretagne où 100 influents médecins et scientifiques ont co-signé une lettre exigeant du prochain Premier ministre qu’il ou qu’elle mette une pause urgente au déploiement du vaccin Covid-19 pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité de ce vaccin soit entreprise.

Dans la tribune lue par Lecourrier-du-soir.com, les 100 médecins affichent leur doute quant à la fiabilité de ce vaccin administré aux enfants. “Nous, agents sanitaires et scientifiques, nous faisons d’énormes soucis concernant la sécurité et la nécessité de ce vaccin administré aux enfants (…). Nous vous demandons de mettre en pause le déploiement de ce vaccin pour les enfants en bonne santé le temps qu’une étude approfondie et indépendante de la sécurité soit entreprise”, peut-on lire.

Dans la lettre, les médecins enfoncent le gouvernement. “Nous vous demandons fermement de renoncer au déploiement de ce vaccin (chez les enfants, ndlr) pour les raisons suivantes. Le Covid a toujours été une maladie très bénigne chez les enfants, provoquant 1 risque de décès sur 2 000 000”, notent-ils.

Pour étayer leurs arguments, les 100 médecins et scientifiques britanniques soulignent la disparition rapide de l’immunité conférée par le vaccin ainsi que l’absence de données fiables autour du vaccin Covid. Plus loin, les médecins crachent le morceau : “en gros, la balance Bénéfice/Risque, utilisée pour déployer le vaccin mRNA chez les plus âgés et les plus vulnérables, est totalement inappropriée et inapplicable chez les enfants en 2022.”

Pour lire la lettre dans sa version originale, cliquez ici : ChildrensUnion.org




ATTENTION L’OMS VEUT MANIPULER À NOUVEAU LE MONDE VIA LE MONEYPOX (monkeypox)

Par Nicole Delépine

Une nouvelle fois le directeur général de l’OMS aux antécédents lourds(([1] En réponse à @jgalt485
«  Tedros, ancien Ministre de la Santé dans l’ancien Empire totalitaire de Libye, promu à l’OMS en passant devant 2 autres candidats Européens sur les injonctions de la Chine qui entretenait d’excellentes relations avec l’Empire Libyen en son temps ».))(([2] Senta Depuydt : quand le directeur de l’OMS appelait à « embrasser des Chinois dans la rue » – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) la journaliste est allée enquêter sur Tedros Ghebreyesus. Le personnage est particulièrement sulfureux. « Il a commencé sa carrière politique dans un groupe terroriste marxiste, le Front de libération du peuple du Tigray dans les années 1970 », découvre-t-elle. « Un groupe qui a fait des attaques à main armée, des enlèvements… », rapporte-t-elle. Un groupe qui aura pris le pouvoir en 1991 et « qui domine toujours depuis ». De plus, le directeur de l’OMS est « le premier à ne pas être médecin ». Il était surtout « le ministre de la Santé de 2005 à 2012 en Éthiopie ».))(([3] Tedros Adhanom Ghebreyesus : l’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? — Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) «  En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. Alors, qui est cet homme qui a soi-disant notre destin entre ses mains ? »)) veut imposer sa décision en accord avec Bill Gates et contre le vote de ses propres collègues sur le risque de la variole du singe et censure les voix contraires. Il veut rejouer le covid19. Serons-nous encore complices ?

@jgalt485 27 juil.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a demandé aux entreprises de médias sociaux du monde entier de lutter contre toute « désinformation » concernant le monkeypox.

En d’autres termes il veut censurer quiconque n’est pas d’accord avec sa folie du monkeypox.

« Comme nous l’avons vu avec le COVID-19, la mésinformation et la désinformation peuvent se propager rapidement en ligne. Nous appelons donc toutes les plateformes de médias sociaux, les entreprises technologiques et les organes de presse à travailler avec nous pour prévenir et contrer les informations nuisibles »,
a déclaré Adhanom le 26 juillet 2022.

Il y a quatre jours le chef de l’OMS a déclaré la variole du singe « urgence sanitaire internationale », annulant une décision de la majorité de membres du panel qui avaient voté contre une telle déclaration. Ces méthodes sont habituelles pour le directeur général de l’OMS vendu à Bill Gates et sa volonté de vacciner le monde entier.

Terrible aveu (non exprimé au début des essais covid) :

Les labos qui ont produit le vaccin anti monkeypox considèrent que la vaccination des populations constituera un test clinique en grandeur réelle.

@jgalt485 27 juil. L’INFODÉMIE !

C’est la même étape que l’OMS a franchie en 2020 et 2021 lorsque l’OMS a affirmé que toutes les informations allant à l’encontre du récit faisaient partie d’une « infodémie » plus large.

« Peu de temps après que le monde a commencé à s’habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l’OMS a inventé un autre mot : » infodémie « — une surabondance d’informations et la propagation rapide de nouvelles, d’images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus est très contagieux et se développe de façon exponentielle. Cela complique également les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19 », lit-on dans un article de 2020 intitulé « Immuniser le public contre la désinformation ».

Au cours de la pandémie, l’OMS a commencé à s’associer à des pays pour lutter contre « l’infodémie », ce qui, le plus souvent, signifiait censurer les personnes en ligne qui avaient de véritables inquiétudes ou essayaient de faire proliférer la vérité sur les effets indésirables à la suite de piqûres d’ARNm.

De telles réactions indésirables sont maintenant connues pour être un fait, et les responsables de la santé du monde entier ont commencé à avertir les gens de risques comme la myocardite post-vaccinale, que l’OMS a toujours écartée comme une théorie du complot ».

Et dans la ligne française d’obéissance aveugle aux diktats du couple OMS-Gates le nouveau ministre de la Santé se précipite pour ouvrir environ 100 centres de vax anti monkeypox et déjà plus de 6000 personnes ont reçu cette nouvelle drogue expérimentale !(([4] IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo—Full Text View—ClinicalTrials.gov))(([5] Official Title: An Open-Label Prospective Cohort Study of IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo
Actual Study Start Date : February 23, 2017
Estimated Primary Completion Date : August 2022
Estimated Study Completion Date : August 2022
IMVAMUNE
Two doses of attenuated live virus smallpox vaccine (IMVAMUNE liquid formulation or lyophilized formulation) administered on days 0 and 28 via subcutaneous injection (deltoid) (1 x 108 Tissue Culture Infectious Dose 50 [TCID50] per 0.5 ml) Other Names: Modified Vaccinia Ankara (MVA) MVA-BN
JYNNEOS
IMVANEX))(([6] Petersen BW, Kabamba J, McCollum AM, Lushima RS, Wemakoy EO, Muyembe Tamfum JJ, Nguete B, Hughes CM, Monroe BP, Reynolds MG. Vaccinating against monkeypox in the Democratic Republic of the Congo. Antiviral Res. 2019 Feb;162:171-177. doi: 10.1016/j.antiviral.2018.11.004. Epub 2018 Nov 14. Review.))

@MouldeuxJean 25 juil.

« Je me demandais d’où sortent les 85 % d’efficacité selon DE “NOMBREUSE ÉTUDES” par l’OMS, Vidal, etc. Eh bien j’ai trouvé. D’une étude observationnelle menée en RD Congo en… 1988 avec un autre vax !
https://medium.com/microbial-instincts/effectiveness-of-monkeypox-vaccine-is-questionable-especially-when-the-virus-has-mutated-de6c9ad1c843 »

Les exploits de l’OMS en Afrique sont célèbres(([7] @RomanAude l’épidémie de polio survenue en Inde en 2007 2008 révèle selon les propres données de l’OMS que 77 % des gens touchés avaient reçu + de 7 doses de vaccin oral soi-disant le +efficace et 18 % avaient reçu 4 doses ou + ce qui porte le nbre de gens touchés pourtant archi vax à 95 %.)) mais ont rendu les africains méfiant alors l (OMS et Bil Gates ça continue tentent de poursuivre leurs expériences sur les Européens..

NOUVELLE TENTATIVE DE L’OMS EN JUILLET 2022 DE FAIRE ACCEPTER UN AGENDA MONDIAL QUI FERAIT DU DIRECTEUR DE L’OMS LE ROI DU MONDE

Au service des mondialistes de Davos

Présentation de l’avant-projet de l’OMS présenté actuellement à Genève
(du 18 au 22 juillet) destiné à renforcer l’influence de l’OMS.
Tout le monde est concerné !



PDF de la transcription de la vidéo mise en page et 2 extraits de l’avant-projet de l’OMS, avec tous les liens !

Sous-titrage en français de la vidéo originale qui se trouve ici : https://jamesroguski.substack.com/p/ten-things-everyone-needs-to-know

Un twittos fait remarquer justement :

« Leur stratégie est forte, ils attaquent au même moment sur plusieurs points éloignés de nos modèles de société, que si nous ne faisons pas les liens, on pourrait penser qu’il n’y a pas de relation dans la finalité de leurs monde, ils brisent mentalement plusieurs piliers… » 

Et curieusement le patron du conseil secret d’EM tente de reculer en douceur.

#Delfraissy « Le pouvoir sur le vaccin a été pris par les industriels » pour le prochain vaccin. Les #Big Pharma ont décidé une combinaison virus initial + Omicron « Je pense que sur le plan scientifique ce n’est pas une bonne chose »

« Delfraissy le prochain vaccin en octobre 2022 ne sera pas suffisant ! »

« Jean-François Delfraissy, se laisse aller à quelques confidences. Les “Big Pharma ont pris le pouvoir » . On sent que le médecin veut se refaire une virginité, il tourne doucement sa veste… »

MÊME SI LE COUP D’ÉTAT MONDIAL DE L’OMS NE SEMBLE PAS TRÈS BIEN PARTI, RESTONS EN ALERTE ROUGE

Les mondialistes internationaux ont décidé de rédiger un traité leur donnant essentiellement un pouvoir de loi martiale discrétionnaire partout.

https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf

Mais la résistance se développe. L’Équateur avait le premier refusé. L’archevêque Vigano, donneur d’alerte récurrent contre la maffia tentaculaire du « Nouvel Ordre Mondial », a dénoncé ce traité, haute trahison de la part des politiciens qui l’entérineraient.(([8] https://guyboulianne.com/2022/05/30/larcheveque-vigano-met-en-garde-les-nations-contre-la-prise-de-pouvoir-du-traite-pandemique-de-loms-ceder-a-la-souverainete-est-considere-comme-un-crime-de-haute-trahison/))(([9] https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/exclusive-yielding-sovereignty-considered-crime-high-treason-archbishop-vigano-nation-states-handing-sovereignty/))(([10] D’autres aussi :
https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte
https://www.onenation.org.au/australias-secretive-and-unaccountable)) De nombreux sites ont alerté sur cette tentative de prise de pouvoir mondiale par l’OMS. Nous avions relayé l’appel de R Kennedy et « stop the treaty »(([11] Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
#StopTheTreaty. World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund
Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund)). Sans surprise, le président français soutenait l’OMS et Gates.(([12] https://www.profession-gendarme.com/emmanuel-macron-donne-les-pleins-pouvoirs-a-loms-pour-la-sante-des-francais-lors-des-pandemies/comment-page-2/))

Dans un premier temps, nombre de pays avaient fait refuser le texte d’origine en l’état (notamment avec les amendements présentés par le résident américain).(([13] https://qactus.fr/2022/05/29/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://leve-toi.com/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/world-health-organization-temporarily-withdraws-bidens-public-health-emegency-amendments/)) Nombre de pays (47) manifestement refusent catégoriquement cette proposition maffieuse(([14] https://www.onenation.org.au/who-forced-into-humiliating-backdown)): Brésil, plusieurs nations africaines, la Russie, la Chine, l’Afrique du Sud, l’Iran, la Malaisie…

Le futur empereur mondial n’a pas apprécié.(([15] https://www.naturalnews.com/2022-05-27-schwab-threatens-bolsonaro-refusing-sign-pandemic-treaty.html)) Mais manifestement le gotha des milliardaires et des vedettes d’Hollywood semblent prendre de la distance.(([16] https://www.business-standard.com/article/international/davos-forum-is-back-after-2-yrs-with-less-billionaire-starpower-and-no-snow-122052300374_1.html))

FINANCEMENT DE L’OMS

Ceci explique cela. Les fondations donatrices (comme celle de Bill Gates) flèchent leurs dons qui doivent être utilisés selon leur volonté.

Dans la foulée de sa volonté de dominer le monde, Tedros a essayé de modifier le financement de l’OMS. Un peu plus d’indépendance vis-à-vis de Gates ou Schwab lui conviendrait probablement. Très près des Chinois, on sait ou on subodore que ces mondialistes eugénistes sont d’accord pour dominer la plèbe, mais se mangeraient bien entre eux…

L’OMS adopte une réforme historique de son financement(([17] Par Delphine Roucaute Publié le 24 mai 2022.))

L’Assemblée mondiale de la santé a adopté un texte prévoyant de faire passer la partie du budget financée par les États membres de 16 % à 50 % d’ici à 2028, afin de renforcer le leadership de l’organisation onusienne. 

« Il s’agit d’un tournant historique », a déclaré Tedros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. Le 24 mai 22, lors de l’Assemblée mondiale de la santé, les États membres de l’agence onusienne basée à Genève ont adopté une réforme du financement de l’organisation très attendue.

La partie du budget financée par les États membres devrait passer de 16 % à 50 % d’ici à 2028, ce qui devrait permettre à l’OMS de regagner une partie de son indépendance.

Cette réforme faisait partie des cinq priorités esquissées par Tedros « pour le monde et pour l’OMS » le 24 janvier : renforcer le rôle de l’OMS« au cœur de l’architecture de la santé mondiale », afin qu’elle devienne « plus efficace et efficiente ».

Depuis le mandat, entre 1998 et 2003, de Gro Harlem Brundtland à la tête de l’OMS, les fonds privés ont pris une place de plus en plus importante et déterminante dans le financement de l’agence.

Contributions volontaires

Résultat, seulement 16 % de l’exercice biennal 2022-2023 sont abondés par les contributions obligatoires des États membres, fixées d’année en année en fonction des ressources de chacun.

La réforme va permettre d’élever le niveau de ces contributions de 956,9 millions à 2,2 milliards de dollars d’ici à 2028. Le budget total actuel est de 6,1 milliards de dollars.

L’essentiel du budget (84 %) provient des contributions dites « volontaires ».Ces dernières peuvent venir d’États décidant de fournir plus d’argent que leurs contributions obligatoires ne les y obligent.

Le Royaume-Uni, notamment, fournissait 135 millions de contributions volontaires lors de l’exercice 2020-2021, en plus de sa contribution obligatoire de 49 millions, dépassant ainsi la participation chinoise. Ce supplément de cotisations permet de renforcer le jeu des influences au sein de l’organisation.

Parmi ces contributions volontaires, l’écrasante majorité (88 %) est issue de fonds privés strictement affectés à des programmes ou lieux géographiques spécifiques ; ils doivent également être dépensés dans un délai précis.

En 2020-2021, les programmes spéciaux, dont celui d’éradication de la poliomyélite financé par la Fondation Gates, totalisaient 757,6 millions de dollars, soit 13 % du budget total.

« Le recours excessif aux contributions volontaires (privées ou publiques) se traduit paruneincapacité à fixer des priorités en fonction des priorités mondialesdesanté publique, notait en janvier 2021 un article du South Centre,uneorganisation intergouvernementaledepays en développement basée à Genève.

Les États membres tententde fixer des priorités, mais les fonds sont destinés à des questions spécifiques, sélectionnées par un petit nombrede donateurs qui jouent un rôle décisif dans la décisiondel’organisation. »

Il s’agit donc bien de reconquérir un leadership affaibli par le poids des États à forte capacité d’investissement et par les intérêts privés des fondations qui abondent les comptes de l’OMS.

75 ONG, organisations philanthropiques et experts dans le domaine de la santé mondiale, dont Gavi, le Global Health Council ou encore Save the Children, ont publié une lettre appelant les États membres à saisir cette « occasion historique de renforcer et d’investir dans le rôle de l’OMS en tant que principale organisation intergouvernementale de la santé qui se consacre à la promotion de la santé et du bien-être de tous dans le monde ». 

Augmenter les contributions obligatoires marque donc un grand pas dans l’histoire de l’OMS, mais encore faut-il les payer. Au 31 décembre 2020, près de 300 millions de dollars n’avaient pas été versés au compte de l’OMS, selon un rapport publié le 5 janvier. Les résolutions de l’OMS n’étant pas contraignantes, des experts se demandent comment l’organisation pourra obliger les États membres à augmenter leurs cotisations d’année en année.

ATTENTION RESTONS EN ALERTE !

Lettre ouverte concernant le nouveau traité pandémique international de l’OMS

Lettre ouverte sur le nouveau traité pandémique international de l’OMS

À la population;
Aux gouvernements, Présidents et Ministres de la santé, Parlements, Conseil de l’Europe, Commission Européenne;
Aux médias;
Aux organisations de la santé, telles que Swissmedic, OFSP, Fédération Suisse des Patients;
À l’OMS, par l’Assemblée mondiale de la santé, Dr Tedros Adhanom Ghebreysus, Dr Soumya Swaminathan;
Aux Nations Unies, par Antonio Guterres, Liu Zhenmin, Elliott Harris, Maria-Francesca Spatolisano.

Nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, déclarons notre désaccord face au nouveau traité pandémique international proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui n’est autre qu’une mainmise sur les gouvernements et la population.

Cet accord mondial sur les futures pandémies octroierait à l’OMS des pouvoirs lui permettant de se substituer aux pouvoirs exécutifs des états membres, ceux-ci devenant de simples organes d’exécution.

Ce traité inutile constitue une menace pour la souveraineté des pays et les droits humains fondamentaux.

Il convient de relever que le Règlement Sanitaire International (RSI) fortement imprégné du respect des droits humains, adopté en 2005 par 196 pays, dont la Suisse, et entré en force en 2007 a justement pour objectif de répondre aux urgences pandémiques. Cependant ce dernier n’a pas été appliqué durant la crise covid, tout comme le plan pandémique établi par la Confédération Helvétique.

La définition d’une pandémie, selon l’OMS, a évolué ces dernières années, ainsi, jusqu’en 2009, elle était définie comme un événement caractérisé par une évolution grave de la maladie et une mortalité extrême. C’était donc la morbidité et la létalité qui conditionnaient une pandémie.

« Une pandémie survient lorsqu’un nouveau virus apparait pour lequel la population humaine n’a aucune immunité, résultant aussi en de nombreuses épidémies simultanées dans le monde, avec d’énormes nombres de décès et de malades. »

En mai 2009, la définition a été révisée de manière à ne plus dépendre de la gravité de la maladie ni de la mortalité, mais uniquement d’une propagation mondiale de « cas de la maladie ». La dernière définition suppose des vagues récurrentes et différentes phases. Ainsi, chaque vague annuelle de grippe peut être déclarée « pandémique ».

Avec ce traité l’OMS pourrait alors déclarer opportunément des pandémies, (déclaration qui active de surcroît, les contrats avec les fabricants de vaccins), imposer des mesures déshumanisantes telles que des confinements, des traitements coûteux, dangereux et/ou inefficaces, des programmes de vaccination obligatoire, des régimes de test, imposer des interventions médicales, dicter toutes les pratiques de santé publique contre la volonté de la population et ce, même contre l’avis des gouvernements, qui par la validation du traité en ont accepté la valeur contraignante.

Force est de constater que l’OMS ne doit pas être autorisée à contrôler l’agenda mondial de la santé, ni à imposer des mesures allant à l’encontre des droits fondamentaux, tels que les confinements qu’elle a recommandés durant le chapitre Covid-19, la suppression des traitements préventifs/précoces et l’encouragement à l’utilisation de produits expérimentaux en population large, ainsi que toutes les autres mesures qui ne se sont avérées ni sûres ni efficaces.

Les activités de l’OMS ne sont malheureusement pas effectuées en toute transparence et ceci est aggravé par l’existence des « comités d’urgence » secrets d’experts.

Pour rappel, l’OMS présente des conflits d’intérêts importants. Bien que bénéficiant de financements publics des états membres (impôts de la population…), elle reçoit également des fonds substantiels d’intérêts privés qui utilisent leurs contributions pour influencer et tirer profit des décisions et des mandats de l’OMS.

Ce nouveau traité pandémique menace gravement la souveraineté des Etats membres et les droits humains fondamentaux, c’est pourquoi nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, nous opposons avec force à la mise en œuvre d’un tel accord mondial.

Références:

EN CONCLUSION, NE LAISSONS PAS L’OMS NI DAVOS DIRIGER NOTRE MONDE

L’OMS et son directeur général voudraient être le bras armé des mondialistes de Davos, Schwab, Fauci, Gates et leurs affidés dont notre président, pour imposer sous des allures humanistes et désintéressées les terribles choix des eugénistes qui ont mis en musique le scénario covid. Ce dernier n’a pas réussi à 100 % et les dirigeants du monde voudraient compléter la mise au pas des peuples par de nouveaux films de peur, d’horreur et de moyens pervers comme des injections imposées via le crédit social.

Parallèlement Tedros tente-t-il comme Delfraissy de prendre ses distances avec Davos et cie, devant l’échec manifeste des injections géniques expérimentales anticovid et la rumeur de colère qui monte de partout dans le monde devant tant de drames et de morts liés à l’injection. Mais pourquoi vouloir recommencer avec le vaccin antivariole du singe, le nouveau Money pox ? Pris entre deux feux ? C’est la saison !

Ils ont oublié que nous sommes des Milliards, mais même s’ils sont très riches, ils ne sont seulement que quelques milliers.

Soit l’ONU redevient une instance internationale indépendante et refuse l’entrisme de quelques pays occidentaux, soit il faut supprimer cette organisation et surtout ne pas être dupe de ses décisions exceptionnellement médicales et allant quasiment toujours dans le sens d’une dictature supra nationale niant les peuples. Ce que de nombreux pays africains, asiatiques et américains du sud ont largement compris.

Informons, résistons pour sauver l’avenir de nos enfants.





Expérimentation en Sarthe : les élèves de 6e bagués comme des poulets !

[Source : resistancerepublicaine.com]

Par Christine Tasin

[Photo : Les Fertois parmi les Sarthois en première ligne ; ils font partie des élèves des sept premiers établissements à être dotés du bracelet connecté. | LE MAINE LIBRE]

J’ai emprunté le titre à un commentaire de NDA, comparant les enfants sous bracelet à des poulets bagués et rappelant que le but avoué des bracelets connectés imposés aux gosses c’est pou « tester non seulement la forme physique des enfants, mais aussi la forme morale et sociale. Forme morale et sociale ». Oui vous avez bien lu, SOCIALE !

L’illustration est empruntée à un article de Ouest-France.

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/la-ferte-bernard-72400/la-sante-des-collegiens-evaluee-30-000-ados-de-sarthe-porteront-un-bracelet-connecte-bb876350-f2f0-11ec-aa92-a0c5552bd42a

Des élèves de 6e participant à une « expérience » à grande échelle, munis d’un bracelet connecté qu’ils vont porter pendant 4 ans… Ledit bracelet va leur dire combien de pas ils ont faits chaque jour, et le dire à ceux qui les surveillent à distance via la technique.

Et tout cela afin de les pousser à faire du sport, à marcher… sous prétexte, évidemment, de santé ! Vous trouvez ça bien ??? Réfléchissez, bordel ! Les mêmes qui abolissent les barrières douanières pour nous noyer sous le bœuf aux hormones canadien, les MacDo bien gras américains et les ONG interdites de culture chez nous, mais qui nous arrivent de l’étranger se soucieraient de la santé de nos enfants ?

De nos enfants que les mêmes, toujours, ont fait des pieds et des mains pour les vacciner ?

Faut-il rappeler que ce sont les mêmes qui ont confiné nos enfants, qui nous ont confinés, qui leur ont interdit de marcher, de courir, de faire du sport, qui leur ont interdit de faire des balades en montagne de peur qu’ils contaminent les marmottes, qui leur ont interdit de courir en forêt ou sur la plage afin qu’ils ne contaminent ni les mouettes ni les écureuils ?!!!  Et il faudrait les croire animés d’un amour fou du sport et de l’exercice physique, d’un amour fou de l’humanité et surtout de nos enfants ?

Réfléchissez, bordel !!!

Il faut de la mesure en toutes choses

Horace, 65 av J.-C.
8 ap J.-C.

Je dois avoir des antennes, ou des dons de voyance.

Il y a quelques jours, je poussais un coup de gueule à propos d’une phrase tirée d’une émission de Arte qui, pour encourager les gens à marcher, comparait les non-marcheurs à des adeptes du tabagisme, faisant des non-marcheurs et des fumeurs de quasi-délinquants.

https://resistancerepublicaine.com/2022/07/24/selon-arte-la-science-percoit-limmobilite-comme-une-nouvelle-forme-de-tabagisme/

Je crains depuis quelques années le nouvel eugénisme qu’écolos-dingos et autres apprentis staliniens imposent subrepticement. Et qui me fait inexorablement penser à Hitler… et tout, depuis quelques années, le confirme. Il est évident que le Covid a aussi servi à cela. Ce qui montre que, comme le pensait le professeur Montagnier, le virus a bien été créé de toutes pièces à Wuhan et pas par accident.

Encore une fois, je le répète, mon problème ici n’est pas de dénoncer la pratique individuelle du sport, de la marche et tutti quanti, mais de dénoncer le système totalitaire terrible qui va avec l’imposition du sport comme modèle, comme objectif, à présent comme marchandage et demain comme obligation. Cela me donne la nausée et me met dans une colère noire. Cela suscite surtout en moi une peur atroce pour nos enfants, nos petits-enfants. Va-t-on vraiment leur laisser ce monde-là, ce monde totalitaire ?

Les Grecs et les Romains qui savaient, EUX, le bien et le raisonnable, et l’avaient appris à Montaigne comme à Rabelais avaient un adage tiré d’un vers du poète latin Juvénal : mens sana in corpore sanoun esprit sain dans un corps sain. Rien de moins, rien de plus. Et tout cela loin de l’Ubris (la démesure).

Oui l’homme est fait d’esprit et de matière, mais, parce qu’il est homme, il se doit de développer/préserver l’un et l’autre, dans la mesure. Il faut de la mesure en toutes choses. Le corps au service de l’intelligence, du cœur, des relations sociales, doit forcément être en bonne santé, d’où l’importance de bien se nourrir, de prendre garde à son état de santé.

Mais de là à ce que tout un peuple ne pense plus que nombre de pas, et obsession sportive. SURVEILLÉS À DISTANCE GRÂCE À LA TECHNIQUE !!!! C’EST UN AUTRE ASPECT DU CRÉDIT SOCIAL À LA CHINOISE !

IL FAUT ÉCRIRE ET TÉLÉPHONER EN MASSE AUX ÉTABLISSEMENTS QUI ACCEPTENT CELA ET AU CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE LA SARTHE


Ci-dessous 2 articles pour vous présenter la chose. J’ai vraiment mal à l’estomac, mal à la France, mal à la vie en lisant cela.

Sarthe : le Département offre des bracelets connectés aux collégiens pour les pousser à faire du sport

Ils étaient une centaine de collégiens rassemblée dans le gymnase Olympe pour faire du sport. Le Département lance une phase de test sur le sport-santé dans le milieu scolaire.

« Le but est de promouvoir l’activité physique en tenant compte des contextes particuliers du moment », lance Véronique Rivron, la présidente de la commission sport.

Elle est complétée par Cédric Hayère, directeur de l’UNSS : « Il y a eu un avant et un après-Covid. Nous avons vu une explosion de la sédentarité au collège. Cela s’accompagnait de vraies transformations physiques. »

Des bracelets offerts

Celui-ci en profite pour faire une présentation des neuf ateliers parcourus par les collégiens : un step test « pour mesurer l’endurance des élèves, à la fin de l’exercice, ils mesurent leurs battements cardiaques » ; le test de la chaise pour travailler la résistance ; mais aussi des exercices d’abdos, de gainage, d’équilibre avec la position du flamant rose à tenir. (Ben voyons ! Voici que nos petits, insouciants, pensant à rire vont devenir des apprentis athlètes apprenant dès l’enfance les obsessions, les privations… sans avoir l’objectif de gagner les JO !)

Dernier atelier, le flexomètre pour mesurer la souplesse des élèves. Hervé Lemesle, proviseur du collège Georges-Desnos, se prête même au jeu. Toutes les données récupérées par les professeurs sur les exercices sont anonymes. (Ben voyons ! Mesurer la souplesse de chacun ??? Etiqueté, obligé d’être dans des normes dès l’enfance ? Ils sont en train d’imposer une forme de normalité abominable, scandaleuse. Et ceux qui, par nature, par dysfonctionnement hormonal ne seront pas dans les normes officielles, ils devront se suicider ?)

En fin de matinée, tous les élèves de 6e ont reçu un bracelet connecté. « Attention, ce n’est pas une montre », précisent les conseillers départementaux.

Dessus, ils retrouveront des données telles que leur nombre de pas, leur battement cardiaque… Cet équipement les accompagnera pendant quatre ans tout au long du collège.

Les enfants paraissaient surpris, et heureux en même temps. « Les jeunes attendent ça aujourd’hui, qu’on les surprenne », continue Véronique Rivron, fière de son coup. (connasse en plus !)Avec le sport-santé, elle est persuadée que « le jeu permet de dépasser la contrainte du sport, et de faire ça avec joie ».

Bientôt dans les lycées ?

De son côté, Anthony Trifaut, président de la commission jeunesse, annonce « faire des envieux chez les départements voisins avec ce dispositif. Et même du côté de la Région qui se voit bien dupliquer le modèle dans les lycées ». (Plus on est de cons, plus on rit. Plus on est de briseurs de jeunesse plus on est contents, par chez vous.)

Dans les collèges, on attend que ça pour que la continuité soit totale pour les élèves.

Selon lui, « encourager à bouger les élèves, ce n’est pas forcément vers la performance, mais simplement dans le but d’améliorer leur état de forme. Les sensibiliser à ce qu’ils se prennent en main. »

Mathias Bouvier, directeur académique, se satisfait lui que « ce projet soit initié par les forces vives du terrain ».

Véronique Rivron conclut cette matinée en sourires avec ce message : « En plus, j’ai besoin de sportifs pour mes clubs sarthois ». (Tiens donc ! Quel hasard !)

https://actu.fr/pays-de-la-loire/la-ferte-bernard_72132/sarthe-le-departement-offre-des-bracelets-connectes-aux-collegiens-pour-les-pousser-a-faire-du-sport_52177646.html


Le quotidien sarthois « Le Maine-Libre » titrait à la Une du 28 juin 2022 :

« Un bracelet suivra 30 000 collégiens »

Le département de la Sarthe va financer et fournir des bracelets connectés pour les élèves de 6e, avec comme objectif de « tester leur forme physique, morale et sociale ».
Dès la rentrée un bracelet électronique suivra chacun de nos enfants en Sarthe : c’est une première !

Ce nouveau projet est applaudi, car, comme toute nouvelle action, il part d’une bonne intention, celle du constat des problèmes de santé chez les enfants et adolescents dus notamment à la sédentarité.

Nous devons néanmoins être vigilants.
Le port de ces bracelets est-il obligatoire ?
Dans quelle mesure ces tests sont anonymes ?
N’y a-t-il pas un risque de stigmatisation ? Puis de harcèlement ?

Mais surtout nous sommes particulièrement inquiets sur l’objectif du port de ces bracelets car il est bien précisé qu’il s’agit de tester non seulement la forme physique des enfants, mais aussi la forme morale et sociale. Forme morale et sociale impliquent en conséquence un regard sur la sphère familiale et donc privée de l’enfant.

On peut donc se poser la question de la légitimité de cette action « programme sport-santé » initiée par le département de la Sarthe.

Notre Liberté, sous des prétextes sanitaires, a déjà été mise à mal lors de ces deux dernières années.
Prenons conscience que nous devons rester maîtres de la vie que nous voulons pour nous et notre famille.
N’oublions pas que nos parents se sont battus pour la devise de la République Française :

« Liberté, égalité, fraternité »

Le 17 juillet 2022
Cécile Bayle de Jessé
Vice-Présidente de Debout la France
Déléguée nationale à l’épanouissement familial

https://www.debout-la-france.fr/actualite/nos-enfants-sont-ils-des-cobayes-en-vue-dune-atteinte-notre-liberte




France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire

Par Nicole et Gérard Delépine

La demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire votée le 26 juillet 2022(([1] « Le projet de loi de sécurité sanitaire prolonge les outils de surveillance concernant la circulation du virus et permet de mettre en place, si nécessaire, un test aux frontières. Le 26 juillet 2022, le Sénat a adopté définitivement le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 ».)). Restons en alerte
L’information et le combat sont efficaces. Poursuivons

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe en témoigne. Nous ne le laisserons pas faire et y reviendrons.

PREMIÈRE GRANDE VICTOIRE DEPUIS LE DÉBUT DU SCÉNARIO COVID

La loi sanitaire(([2] Projet de loi 2022 pass sanitaire aux frontières covid 19 | vie-publique.fr )) qui vient d’être votée le 26 juillet est une victoire importante, car elle officialise la fin de la loi d’urgence sanitaire qui instaurait la dictature sanitaire d’E. Macron de ces deux dernières années.

Le Parlement a définitivement adopté le 26 juillet le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19.

Ainsi, à compter du 1er août 2022, le pass sanitaire prend fin en France. Il ne pourra plus être exigé dans les lieux où il était encore en vigueur (les services et établissements de santé et médico-sociaux).(([3] Le pass sanitaire sera bien supprimé à l’entrée des hôpitaux et des EHPAD le 1er août 2022, la sénatrice Sylviane Noël demande la clarification et l’obtient ! – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Mais comme tous les compromis, c’est une demi-victoire, car elle autorise le gouvernement à décider par décret l’exigence d’un certificat aux frontières. En lieu et place de l’article 2 rejeté par les députés, les sénateurs ont voté « la possibilité de demander, en cas de nouveau variant, un test négatif aux personnes d’au moins 12 ans se déplaçant à destination du territoire national depuis l’étranger, mais aussi en provenance ou à destination des territoires ultramarins en cas de risque de saturation du système de santé de ces territoires ». Cette modification a été acceptée par les députés en deuxième lecture.(([4] Ce test aux frontières pourra être exigé jusqu’au 31 mars 2023 aux personnes de plus de 12 ans avant l’embarquement à destination du territoire français :
– Pour les voyageurs en provenance d’un pays étranger où circule un nouveau variant du Covid,
– Pour les voyages vers les collectivités ultramarines « en cas de risque de saturation » de leur système de santé (hôpitaux…). sur décret du premier ministre.)) Le projet de loi distingue deux cas de figure, pour lesquels le gouvernement pourra, jusqu’au 31 mars 2023, exiger des personnes de plus de 12 ans la présentation d’un test Covid négatif. Ce sera le seul justificatif accepté: ni certificat de vaccination ni justificatif de rétablissement ne seront valables.

Le texte maintient les systèmes d’information de crise (SI-DEP et Contact Covid) jusqu’au 30 juin 2023.(([5] Les fichiers SI-DEP et Contact Covid maintenus jusqu’au printemps 2023.
Les traitements informatiques SI-DEP et Contact Covid, autorisés par la loi du 11 mai 2020 et plusieurs fois prolongés, sont maintenus jusqu’au 31 mars 2023. Le fichier SI-DEP centralise les résultats des examens de dépistage du Covid-19, permet leur transmission ainsi que les certificats de rétablissement. Le fichier Contact Covid identifie, oriente et accompagne les malades et les cas contacts.
Le gouvernement devra adresser tous les trois mois au Parlement un rapport détaillé de l’utilisation de ces fichiers.))

Malheureusement le parlement n’a pas voulu trancher sur l’avenir des soignants suspendus et a botté en touche.

Ce sera à !a Haute Autorité de santé de décider de l’avenir des soignants vaccino prudents dont on a tellement besoin en ce moment.

Saluons l’abrogation des régimes d’exception qui ont permis l’instauration de restrictions des libertés (confinement, couvre-feu, pass sanitaire et vaccinal…)

Presque toutes ces prétendues mesures sanitaires inutiles qui nous ont été imposées ne pourront plus l’être sans l’accord du parlement ! Il est temps puisque même le Pr Delfraissy, président du conseil scientifique ( ad hoc et secret ), a avoué que confinement et « vaccin » (ce n’est pas un vaccin mais un vacmédicament a-t-il avoué, puis tout récemment « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion) n’avaient pas été efficaces.

« En cas de réapparition de crise sanitaire, le gouvernement devra négocier une par une avec le Parlement les mesures sanitaires qu’il voudrait imposer », a affirmé le rapporteur LR Philippe Bas.

Maintenant que le bilan catastrophique de toutes ces mesures liberticides ubuesques commence à être connu, il est improbable que le parlement se laisse tromper à nouveau par les enfermistes et leurs prophéties catastrophes destinées à entretenir la peur. Espérons-le et faisons connaître à nos représentants nos choix par mail, rendez-vous, téléphone, etc. en restant en contact proche et répété avec eux pour ne pas compromettre l’avenir.

Les confinements qui nous ont été imposés pendant 128 jours (du 17 mars au 11 mai 2020, du 30 octobre au 15 décembre 2020, puis du 3 avril au 3 mai 2021) n’ont jamais ralenti l’épidémie contrairement aux nombreuses publications de propagande diffusées par les gouvernements et les organismes responsables de leur instauration. Ils n’ont sauvé aucune vie.(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([7] Joffe AR. COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink. Front Public Health. 2021 Feb 26;9:625778. doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. PMID: 33718322; PMCID: PMC7952324.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/))(([8] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evidentimpacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))

Les confinements ont été responsables d’innombrables victimes collatérales par défaut de soins, d’un tsunami psychiatrique(([9] Suicide Rise from Lockdowns to Kill More than Coronavirus
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8293233/Far-people-Australia-predicted-die-suicide-coronavirus-lockdown.htm)), d’un désastre des apprentissages et de l’enseignement, d’un appauvrissement dramatique des plus précaires, d’une perte de près de 10% de notre PIB, et le « quoi qu’il en coûte » a augmenté de 500 milliards notre dette nationale.

Pass sanitaire et vaccinal ont été instaurés pour forcer la population à se « vacciner » en créant une discrimination inadmissible entre Français dans la vie courante : « On va mettre en place un confinement de fait pour les personnes qui ne se sont pas fait vacciner en limitant l’accès à tout un tas d’endroits… Ça va être primauté aux vaccinés et vie de merde pour les non-vaccinés »(([10] « Un conseiller ministériel promet une “vie de merde pour les non-vaccinés” » [archive], sur valeursactuelles.com, 23 juillet 2021)) rappelant la pensée de Macron : « les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout(([11] https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/01/04/les-non-vaccines-j-ai-tres-envie-de-les-emmerder-declare-emmanuel-macron_6108205_823448.html)). C’est ça, la stratégie. ». La CNIL a souligné le manque de données communiquées par le gouvernement pour en évaluer l’efficacité. Mais les données de l’OMS concernant l’évolution des contaminations montrent qu’ils n’ont jamais été efficaces contre la diffusion de la maladie, car partout où ils ont été imposés, ils ont été suivis d’une recrudescence forte des cas.

Cet échec sanitaire massif des pass, dû à l’incapacité des pseudo vaccins(([12] https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2021/07/100721-L-injection-genique-anti-Covid-n-est-pas-un-vaccin-Dr-Nicole-Delepine.pdf)) à prévenir les contaminations, a motivé leur abandon dans tous les pays qui les ont imposés.

Le débat parlementaire a exposé l’ignorance des certains élus sur la réalité covid19

En particulier sur l’inefficacité réelle des pseudo vaccins pour protéger les populations : le centriste Philippe Bonnecarrère qui a déploré que le texte ne comporte « plus aucune référence à la vaccination, ce qui est une manière d’adresser une forme de contre-message à nos concitoyens ».

Ou pire encore Véronique Guillotin (RDSE). « Le débat laisse le champ libre aux antivax » qui, comme un ayatollah paraît ignorer que les injections anticovid sont des médicaments expérimentaux et non pas des vaccins, traite les vaccino prudents d’antivax et estime qu’il faut interdire tout débat sur la pseudo vaccination.

Nous lui adresserons les données de l’OMS montrant que les campagnes d’injection ont été suivies d’une forte augmentation des contagions partout dans le monde et sommes à sa disposition comme à celles de tous les élus pour compléter son information.

Et de la mortalité :

Espérons que la connaissance de ces faits avérés dans le monde réel les rende moins dogmatiques à l’avenir !

Mais le désir de compromis avec le pouvoir a fait accepter de fait la prolongation de la suspension des soignants vaccino prudents

Selon les termes de son rapporteur, le Sénat a voulu« créer un chemin vers la réintégration des personnels suspendus ».

Mais certains pro macron, comme la socialiste Marie-Pierre de La Gontrie, ont osé prétendre que « cette réintégration serait totalement choquante ».

Pour montrer son esprit de compromis, le Sénat a accepté de soumettre la décision à l’avis de la HAS en oubliant que cette dernière n’est que la marionnette du gouvernement Macron(([13] https://docteur.nicoledelepine.fr/honte-a-la-has-emanation-du-pouvoir-de-refuser-la-reintegration-des-soignants/))(([14] https://nouveau-monde.ca/les-pleins-pouvoirs-donnes-a-la-has-par-le-nouveau-parlement-temoin-de-son-incroyable-inconscience/)) qui en a nommé la directrice et lui a attribué un salaire exorbitant (>200 000 euros annuels !). Les autres membres du collège de la HAS sont également nommés par le pouvoir. Il n’y a donc aucune indépendance de cette agence. Ses antécédents ne plaident pas en son intégrité comme les affaires vioxx, médiator, dépakine l’ont malheureusement démontré.(([15] Dépakine: l’Etat jugé responsable et condamné à indemniser des fami… | Mediapart par exemple))

On se rappelle que la HAS a justifié toutes les décisions du gouvernement même les plus contraires à la science comme l’utilisation du Remdesevir contre le covid en prétendant « le service médical rendu par VEKLURY (remdesivir) est faible alors qu’elle aurait dû le qualifier de « dangereux » comme l’OMS en déconseillait l’usage(([16] https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients)) pour son inefficacité et sa toxicité.

C’est aussi l’HAS qui continue à prétendre contre l’évidence des chiffres de l’OMS que des pseudo vaccins covid seraient « sûrs et efficaces » et permettraient « la limitation de la diffusion de l’épidémie » confirmant qu’il n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir(([17] Comment nier en juillet 2022 l’inefficacité des injections géniques et leurs dangers ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([18] https://nouveau-monde.ca/100-tribunaux-saisis-au-penal-par-reaction19-contre-la-vaccination-covid/)). Les plaintes contre les injections en pénal leur feront-elles se poser des questions sur les faits avérés et leur propre responsabilité ?

Sans aucune justification scientifique, les soignants vaccino prudents restent donc ostracisés dans des conditions inhumaines au moment où leur absence entraîne la fermeture de nombreuses urgences (plus de 120)(([19] https://nouveau-monde.ca/pour-resoudre-le-probleme-des-urgences-francois-braun-veut-les-supprimer-la-nuit/)), et de maternité, la diminution d’au moins 20% des interventions chirurgicales programmées et aggrave le nombre de déserts médicaux.

Pendant le même temps, des soignants malades covid19 sont autorisés et même incités à poursuivre les soins auprès des patients. Cette décision est politique pour « punir » (selon l’aveu de Patrick Pelloux l’urgentiste ami du président Hollande) les résistants à l’ukase, et probablement aussi éviter qu’ils soient en contact avec les collègues dans le doute et les patients infantilisés. Bref qu’ils ne puissent pas parler.

Il faut espérer qu’un prochain débat parlementaire mette fin à cette discrimination scandaleuse qui n’existe que dans une infime minorité de pays comme la France et l’Italie. Cette mesure a été récemment condamnée en justice en France(([20] https://www.francesoir.fr/societe-sante/soignante-reintegree-sans-motif-de-conges-me-tarek-koraitem))(([21] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/soignante-reintegree-il-faut-attaquer-cette-loi-article-par-article-me-ludot)) et en Italie (par le tribunal de Milan le 16 septembre 2021 et plus récemment en Sicile).

Réintégrer les soignants vaccino prudents est urgent, car la persistance de leur discrimination risque de les convaincre de renoncer définitivement à toute activité de soins, éloigne d’autres soignants encore en poste et les incite à démissionner, ou à se mettre en disponibilité, voire abandonne les métiers du soin, et dissuade de nombreux étudiants à se diriger vers cette carrière jadis enthousiasmante.

Battons-nous par tous les moyens légaux pour qu’il leur soit enfin rendu justice.

« Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins covid. Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures de combat, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement. La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous leur en être très reconnaissants. »(([22] Le producteur de cinéma Del Bigtree : « Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années » – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Et informons nos élus de la réalité du terrain, de l’inefficacité démontrée des injections expérimentales, des effets secondaires lourds qui s’accumulent dans le monde injecté, contrastant avec le bon état des populations africaines ayant échappé à la folie de la piqûre et adopté les traitements précoces pour les vrais malades (et non les « cas »).(([23] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

ATTENTION À LA PROPAGANDE EN FAVEUR DES INJECTIONS SUR LES ONDES.

SENSIBILISONS AU RISQUE D’INJECTER LES ENFANTS À LA RENTRÉE

Il importe que les parlementaires soient véritablement informés pour éviter que nous retombions dans une folie vaccinale pour un pseudo covid, une bienvenue variole du singe, monkeypox ou plutôt moneypox,, ou tout autre virus utilisable pour faire grossir encore les bénéfices de Big Pharma et les possibilités de contrôle des populations par le pouvoir.

Le certificat européen(([24] Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) voté au parlement de l’UE et qui pourrait être adopté dans nos assemblées à la rentrée doit nous rendre vigilants. Nous devons rester en alerte.

Il faut absolument épargner nos enfants de ces injections expérimentales à ARNm qui mettent en jeu leur fertilité, leur immunité naturelle et les menacent de nombreuses maladies, cancers, maladies dégénératives, neurologiques, etc.(([25] Les vaccins contre Covid détériorent le système immunitaire et provoquent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’absence totale de recul sur ces injections expérimentales -dont les essais ne finiront qu’en 2023 y compris les nouveaux « vaxxins » qu’on fait miroiter pas encore sur le marché – doit faire interdire TOUTE INJECTION CHEZ LES JEUNES 

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID, ET NE LE TRANSMETTENT PAS. AUCUNE RAISON OBJECTIVE DE LES INJECTER

Informons, l’avenir de nos enfants et petits-enfants dépend de nous tous.





De Bill Gates au « Grand Refus » : les agriculteurs en première ligne

[Source : globalresearch.ca]

[Sur l’illustration : « Pas de fermiers — Pas de nourriture — Pas d’avenir. Le monde entier observe. »]

Par Colin Todhunter

Avant la révolution industrielle, la plupart des humains travaillaient dans l’agriculture. Notre relation avec la nature était immédiate. En quelques générations, cependant, pour de nombreuses personnes à travers le monde, leur lien avec la terre a été rompu.

Les aliments arrivent désormais préemballés (souvent précuits), conservés avec des produits chimiques, et contiennent des pesticides nocifs, des microplastiques, des hormones et/ou divers autres contaminants. On nous sert également un menu plus restreint d’aliments riches en calories, mais à faible teneur en nutriments.

Il est clair qu’il y a quelque chose de fondamentalement faux dans la façon dont la nourriture moderne est produite.

Bien qu’il existe différentes étapes entre la ferme et la fourchette, notamment les pratiques modernes de transformation des aliments, ce qui est une histoire en soi, une partie essentielle du problème réside dans l’agriculture.

Aujourd’hui, de nombreux agriculteurs sont piégés sur des tapis roulants chimiques et biotechnologiques. Ils ont été encouragés et contraints d’utiliser une gamme d’intrants non agricoles coûteux, allant des engrais synthétiques et des semences fabriquées par les entreprises à un large éventail de désherbants et de pesticides.

Avec l’industrialisation de l’agriculture, de nombreux petits exploitants agricoles pauvres ont été déqualifiés et placés dans des positions vulnérables. Les connaissances traditionnelles ont été sapées, submergées ou n’ont survécu que par fragments.

Écrivant dans le Journal of South Asian Studies en 2017, Marika Vicziany et Jagjit Plahein affirment que les agriculteurs ont depuis des millénaires pris des mesures pour gérer la sécheresse, cultiver des céréales à longues tiges pouvant être utilisées comme fourrage, s’engager dans des pratiques culturales qui favorisent la biodiversité, faire de l’ethno-ingénierie pour la conservation des sols et de l’eau et recourir à des systèmes de partage collectifs.

Les agriculteurs connaissaient leur micro-environnement, ils pouvaient donc planter des cultures qui mûrissent à des moments différents, facilitant ainsi une rotation plus rapide des cultures sans épuiser le sol.

L’expérimentation et l’innovation étaient essentielles. Deux termes que revendiquent les entreprises modernes d’agritech/agrobusiness, mais quelque chose que les agriculteurs font depuis des générations.

De nombreux agriculteurs ont également utilisé « l’équilibre des insectes » et leur connaissance des insectes qui tuent les ravageurs prédateurs des cultures. L’analyste alimentaire et politique Devinder Sharma dit avoir rencontré des femmes en Inde qui peuvent identifier 110 insectes non végétariens et 60 insectes végétariens.

Des systèmes de savoirs traditionnels complexes et hautement bénéfiques et des pratiques écologiques à la ferme sont érodés à mesure que les agriculteurs perdent le contrôle de leurs moyens de production et deviennent dépendants de produits exclusifs, y compris des connaissances d’entreprise marchandisées.

Les agriculteurs dans des endroits comme les Pays-Bas sont maintenant accusés de nuire à l’environnement en raison des émissions de dioxyde de carbone et d’oxyde nitreux. Bien que les agriculteurs néerlandais soient critiqués, nous assistons également à une attaque contre les grands producteurs d’aliments pour animaux et de viande. Il n’y a plus beaucoup de petites fermes aux Pays-Bas et la plupart des fermes d’élevage sont des opérations d’alimentation concentrées.

Le secteur agricole des Pays-Bas est très intensif en élevage et il semble y avoir une politique visant à réduire la taille de l’industrie de la viande dans ce pays. On a dit aux agriculteurs de cesser l’agriculture [centrée sur l’élevage] ou de se tourner vers les cultures.

Au lieu que les autorités facilitent une transition progressive vers une agriculture biologique et agroécologique et attirent une nouvelle génération dans le secteur, les agriculteurs risquent d’être déplacés.

Mais les agriculteurs néerlandais ne sont pas les seuls sur la ligne de mire. Les agriculteurs d’autres pays européens protestent également parce que diverses politiques leur rendent de plus en plus difficile de gagner leur vie.

Il semble y avoir un effort concerté pour rendre l’agriculture financièrement non viable pour de nombreux agriculteurs et les expulser de leurs terres. Les protestations des agriculteurs en Europe font suite à la résistance massive des agriculteurs indiens contre une législation soutenue par les entreprises qui aurait entraîné une accélération des efforts pour pousser de nombreux agriculteurs déjà en difficulté financière à quitter l’agriculture.

Projet de loi fermier  

Le plus grand propriétaire de terres agricoles privées aux États-Unis — Bill Gates — a une vision de l’agriculture : une agriculture mondiale dépendante des produits chimiques et des entreprises (initiative Ag One) pour faciliter les chaînes d’approvisionnement mondiales des conglomérats. Cette initiative met de côté les connaissances et les pratiques autochtones au profit des connaissances des entreprises et d’une colonisation plus poussée de l’agriculture mondiale.

Les terres possédées par Bill Gates aux États-Unis

Vivre à une époque déterminante : l’alimentation, l’agriculture et le nouvel ordre mondial

L’incorporation marchande de l’agriculture des petits exploitants par Gates est présentée en termes philanthropiques. Jusqu’à présent, cela n’a pas bien fonctionné si l’on se réfère à l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), soutenue par Gates et créée en 2006.

La première évaluation majeure des efforts de l’AGRA pour étendre l’agriculture à haut niveau d’intrants en Afrique a révélé qu’après 15 ans, elle avait échoué. Avec les inquiétudes exprimées concernant l’utilisation de pesticides dangereux, les rendements moins qu’impressionnants, la privatisation des semences, la dépendance des entreprises et l’endettement des agriculteurs, entre autres, nous pouvons nous attendre à la même chose dans le cadre de l’initiative Ag One.

Mais la vision ultime de la haute technologie pour l’agriculture est celle des fermes sans agriculteur largement supervisées par des véhicules sans conducteur et des capteurs et drones pilotés par l’IA liés à une infrastructure basée sur le cloud (([1] Le cloud computing, en français l’informatique en nuage (ou encore l’infonuagique au Canada), correspond à l’accès à des services informatiques (serveurs, stockage, mise en réseau, logiciels) via Internet (le « cloud » ou « nuage ») à partir d’un fournisseur. Source : Wikipedia)). Des entreprises comme Microsoft récolteront des données de terrain sur les semences, la qualité des sols, les rendements historiques des cultures, la gestion de l’eau, les conditions météorologiques, la propriété foncière, les pratiques agronomiques, etc.

Les géants de la technologie contrôleront des marchés de gestion de données de plusieurs milliards de dollars qui répondent aux besoins des investisseurs fonciers institutionnels, de l’agro-industrie et des plateformes de commerce électronique monopolistiques. Sous couvert d’« agriculture axée sur les données », les sociétés privées seront mieux placées pour exploiter la situation des agriculteurs à leurs propres fins.

Alors que la viande synthétique de laboratoire est promue et suscite un énorme intérêt de la part des investisseurs, Gates et le secteur de l’agritech envisagent également une agriculture sans animaux largement « respectueuse du climat », qui, selon eux, entraînera la libération de vastes étendues de terres agricoles (nous ne pouvons que spéculer sur quoi).

[Voir aussi :
La viande artificielle, une révolution alimentaire pas si écologique]

Il reste à voir dans quelle mesure les laboratoires de viande synthétique seront efficaces sur le plan énergétique, respectueux de l’environnement et de la santé, une fois qu’ils auront atteint le niveau industriel.

Dans le même temps, l’agriculture industrielle utilisera les nouvelles technologies — moins les agriculteurs — et continuera de s’appuyer sur et de stimuler l’utilisation de produits agrochimiques dépendant des combustibles fossiles (avec tous les problèmes de santé et environnementaux associés) et de rester concentrée sur les chaînes d’approvisionnement à long terme, expédiant inutilement de la nourriture dans le monde entier.

Un système à haute énergie dépendant du pétrole et du gaz qui a alimenté la colonisation du système alimentaire (« mondialisation ») par des conglomérats agro-industriels. De plus, les nouvelles technologies sans humain à la ferme seront énergivores pour fonctionner et dépendront de l’extraction destructrice de l’environnement pour les ressources finies comme le lithium, le cobalt et d’autres éléments de terres rares à produire.

Les approches agroécologiques à faible consommation d’énergie basées sur les principes et les pratiques de localisation, les marchés locaux, une agriculture régénérative authentique et une gestion appropriée des sols (qui garantissent un stockage efficace et écologiquement rationnel de l’azote et du carbone) sont essentielles pour assurer une véritable durabilité à long terme de la production alimentaire.

Beaucoup de ceux qui appartiennent au lobby de l’agro-industrie ont attiré l’attention sur le Sri Lanka pour tenter de montrer que l’agriculture biologique ne peut que conduire au désastre. Une transition vers l’agriculture biologique doit être progressive, notamment parce que la régénération du sol ne peut pas se faire du jour au lendemain. Quoi qu’il en soit, l’article « Le Sri Lanka fait face à une crise alimentaire – Non, ce n’est pas dû à l’agriculture biologique » qui est récemment paru sur le site Web de The Quint révèle pourquoi ce pays s’est vraiment dirigé vers la crise.

Grand refus  

Le programme néolibéral qui a pris racine dans les années 1980 est maintenant dans une impasse inflationniste gonflée par la dette. En réponse, le capitalisme s’est lancé dans une « Grande Réinitialisation » avec une technologie transformatrice bien en vue sous le couvert d’une « 4e  révolution industrielle », promettant meilleur avenir pour tous.

Cependant, il existe des inquiétudes profondes quant à la manière dont cette technologie pourrait être utilisée pour surveiller et contrôler des populations entières, d’autant plus que nous assistons à une restructuration économique brutale et à une répression croissante des libertés individuelles. Si le néolibéralisme a promu l’individualisme, la « nouvelle normalité » exige une conformité stricte – la liberté individuelle est considérée comme une menace pour la « sécurité nationale », la « santé publique » ou la « sécurité ».

L’effondrement économique, la guerre et l’exposition d’un système alimentaire aux chocs des prix de l’énergie, aux ruptures de la chaîne d’approvisionnement et à la spéculation sur les marchés des produits de base suscitent également des inquiétudes.

Au Mali en 2015, Nyeleni — le mouvement international pour la souveraineté alimentaire — a publié la Déclaration du Forum international pour l’agroécologie.

La déclaration stipulait :

« Les ressources naturelles essentielles ont été marchandisées et la hausse des coûts de production nous éloigne de la terre. Les semences des agriculteurs nous sont volées et revendues à des prix exorbitants, sélectionnées comme des variétés qui dépendent de produits agrochimiques coûteux et contaminants. »

Elle ajoutait :

« L’agroécologie est politique ; cela nous oblige à remettre en question et à transformer les structures de pouvoir dans la société. Nous devons remettre le contrôle des semences, de la biodiversité, des terres et des territoires, des eaux, des connaissances, de la culture et des biens communs entre les mains des peuples qui nourrissent le monde. »

La Déclaration indiquait clairement que le système alimentaire capitaliste dominant devait être défié et surmonté.

En analysant le potentiel de contestation de l’ordre capitaliste, Herbert Marcuse a déclaré ce qui suit dans son célèbre livre de 1964 « One-Dimensional Man » [« L’homme unidimensionnel »]:

« Une non-liberté confortable, douce, raisonnable et démocratique prévaut dans la civilisation industrielle avancée, gage de progrès technique. »

Aujourd’hui, pourrions-nous dire, une non-liberté inconfortable, rude, déraisonnable et antidémocratique prévaut, signe d’une techno-dystopie émergente.

Marcuse a estimé que la culture de masse d’après-guerre avait rendu les gens inhibés et non critiques. Ils étaient le reflet d’un système unidimensionnel basé sur la consommation de marchandises et les effets de la culture et de la technologie modernes qui ont servi à atténuer la dissidence.

La nature dominante de la technologie imprègne tous les aspects de la vie aujourd’hui. Mais qu’il s’agisse de manifestations d’agriculteurs en Europe ou en Inde, de l’avancement d’une agroécologie politique, de camionneurs qui descendent dans la rue au Canada ou de gens ordinaires qui protestent contre l’autoritarisme qui progresse rapidement dans les sociétés occidentales, de nombreuses personnes à travers le monde savent que quelque chose ne tourne pas rond.

Pour emprunter à Marcuse, on assiste à un « grand refus » — des gens qui disent « non » aux multiples formes de répression et de domination – tentacules d’un système économique en crise.


L’auteur renommé Colin Todhunter est spécialisé dans le développement, l’alimentation et l’agriculture. Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG) à Montréal.

L’auteur ne reçoit aucune rémunération d’aucun média ou organisation pour son travail. Si vous avez apprécié cet article, pensez à lui envoyer quelques pièces : colintodhunter@outlook.com 

L’image en vedette provient de Farms Not Factory


Lisez le livre électronique de Colin Todhunter intitulé Nourriture, dépossession et dépendance. Résister au Nouvel Ordre Mondial

Nous assistons actuellement à une accélération de la consolidation des entreprises de toute la chaîne agroalimentaire mondiale. Les conglomérats de haute technologie/big data, dont Amazon, Microsoft, Facebook et Google,  ont rejoint les géants traditionnels de l’agro-industrie , tels que Corteva, Bayer, Cargill et Syngenta, dans une quête pour imposer leur modèle d’alimentation et d’agriculture au monde.

La Fondation Bill et Melinda Gates est également impliquée (documentée dans « Gates to a Global Empire » par Navdanya International), que ce soit en achetant d’immenses étendues de terres agricoles, en promouvant une‘ révolution verte’ tant annoncée (mais ratée) pour l’Afrique, en poussant technologies alimentaires biosynthétiques  et de génie génétique  ou plus généralement facilitant les objectifs des méga-entreprises agroalimentaires.

Cliquez ici pour lire.


La source originale de cet article est Global Research
Copyright © Colin Todhunter, Global Research, 2022





« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »

Par Arthur Firstenberg

« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! », cria Chicken Little.
Et le ciel est tombé, et personne n’a écouté, et tout était calme.

Une recherche dans la littérature scientifique sur les mots « électromagnétique » + « effets biologiques » donne le nombre étonnant de 76 400 études, plus d’études que pour la plupart des autres menaces environnementales, et pourtant le monde continue, regardant, mais aveugle, écoutant, mais sourd, prenant le silence pour du confort, les flammes qui avancent pour un avenir radieux.

Sur l’île néerlandaise de Texel, qui se trouve à l’extrémité sud d’une ligne d’îles séparant la mer des Wadden de la mer du Nord, une importante colonie de reproduction d’oiseaux marins appelés sternes de Sandwich (« grandes sternes » en néerlandais) a fait la une des journaux le mois dernier en mourant. Sur les 7 000 oiseaux qui nichaient dans la réserve naturelle de De Petten jusqu’à la fin mai, il n’en restait plus aucun à la mi-juin. 3 000 cadavres d’oiseaux ont été collectés, les autres étant morts ou ayant abandonné leur nid.

La correspondante qui m’a envoyé cette nouvelle, Antonia, aux Pays-Bas, m’a également renvoyé à un site web néerlandais qui surveille toutes les tours et antennes cellulaires du pays. On attribuait la catastrophe des sternes à la « grippe aviaire », mais elle soupçonnait qu’il pouvait s’agir d’autre chose. Lorsque j’ai consulté le site, j’ai été stupéfait. Les 35 premières sternes mortes à De Petten ont été trouvées le 29 mai 2022. Il y a trois tours de téléphonie mobile en bordure de la réserve, et en fait sur le territoire où vivent les sternes. Selon le site web, 18 nouvelles antennes 4G viennent d’être ajoutées à ces tours — 6 par Vodafone à sa tour de 83 pieds le 25 mai 2022, et 12 par KPN à sa tour de 108 pieds le 29 mai 2022. Le nombre de fréquences émises par ces deux tours est passé en une nuit de 5 à 11.

En plus d’avoir toutes ces antennes à proximité immédiate de la réserve, De Petten est situé sur le bord nord d’une voie navigable qui sépare la mer du Nord de la mer des Wadden, et un grand nombre d’antennes des deux côtés de cette voie navigable — les antennes de Den Helden au sud et les antennes de Texel au nord — sont orientées vers cette voie navigable très fréquentée, intensément utilisée par les navires qui y passent continuellement. Par conséquent, d’après mes recherches, il y a un total de 105 antennes 4G dans un rayon de 7 miles autour de De Petten qui sont directement orientées vers cette voie d’eau.

Les sternes grises de Texel étaient-elles déjà en mauvais état à cause de toutes les radiations auxquelles elles avaient été exposées ces dernières années ? Et l’augmentation soudaine du nombre d’antennes et de fréquences les a-t-elle finalement tuées ?

J’ai décidé d’approfondir mes recherches. Ce que j’ai découvert, tant aux Pays-Bas qu’ailleurs, est cohérent, mais pas simple. Voici quelques règles approximatives :

(a) Une augmentation soudaine et spectaculaire du nombre d’antennes et de fréquences dont la source se trouve à l’intérieur d’une colonie de reproduction ou à sa frontière est mortelle. Les oiseaux nicheurs ne peuvent éviter le rayonnement : ils doivent soit abandonner leur nid, soit mourir.

(b) L’effet des antennes dirigées à distance vers une colonie de reproduction dépend de la population humaine. Dans une région peu peuplée, les antennes émettent peu de rayonnements et peu de fréquences, car peu de personnes les utilisent. En revanche, les antennes relais situées dans les grands ports sont très utilisées, tant par les habitants que par les navires, et émettent un rayonnement maximal. Il en va de même pour les antennes orientées vers des voies de navigation très fréquentées.

(c) La distance n’a pas autant d’importance que le terrain et la hauteur des tours. Le rayonnement d’une tour plus haute se propage plus loin. Et lorsqu’il n’y a rien d’autre que de l’eau entre le pylône et la colonie d’oiseaux, l’eau réfléchit et amplifie le signal et la distance importe très peu.

(d) Les pylônes 4G sont généralement pires que les pylônes 5 G. Cela s’explique par le fait que les tours 4G diffusent leurs rayonnements dans toutes les directions, tandis que les tours 5G émettent la plupart de leurs rayonnements dans des faisceaux focalisés, visant directement les personnes tenant des téléphones 5G dans leurs mains.

En gardant ces règles à l’esprit, examinons quelques autres colonies de reproduction de sternes Sandwich et voyons ce qui leur est arrivé cette année :

Une autre grande colonie de reproduction de sternes Sandwich a fait les gros titres un peu plus tard, et pour la même raison : celle de Waterdunen, à l’autre bout des Pays-Bas, dans la province de Zélande. Comme De Petten, la réserve naturelle de Waterdunen est située sur une voie de navigation très fréquentée, à l’entrée d’un port très actif. Plus grande colonie de ces oiseaux aux Pays-Bas, Waterdunen a accueilli 7 000 couples de sternes venus d’Afrique pour s’y reproduire ce printemps. Mais le 24 juin 2022, il a été signalé que 4 600 sternes Sandwich adultes et jeunes morts y avaient été recueillis au cours des deux semaines précédentes. À la fin du mois de juin, cette colonie n’existait plus non plus.

La réserve naturelle de Waterdunen compte 318 antennes 4G très utilisées, orientées dans sa direction à des distances allant de 0,5 à 8 miles. La plupart d’entre elles émettent entre 1 000 et 2 000 watts de rayonnement chacune. 46 de ces antennes sont nouvelles, ayant été ajoutées à des tours existantes en avril, mai et juin 2022. Un pylône de 55 pieds situé à moins de 3 km de la plage de Waterdunen est passé le 18 mai 2022 de 6 à 12 antennes et de 2 à 4 fréquences. Un autre pylône de 40 pieds situé au même endroit est passé le 22 juin 2022 de 6 à 18 antennes et de 2 à 6 fréquences. Comme les sternes de Sandwich se nourrissent de poissons, cette tour se trouve dans la zone de recherche de nourriture de cette colonie.

La même chose est-elle arrivée à toutes les sternes Sandwich qui nichent aux Pays-Bas ? Non. À seulement 30 km de Waterdunen se trouvait une petite colonie de sternes en bonne santé dans une réserve naturelle appelée Yerseke Moer. Et d’avril à juillet, c’est-à-dire pendant toute la saison de nidification de 2022, cette colonie a prospéré et aucun oiseau mort n’y a été trouvé. Contrairement à De Petten et Waterdunen, cette réserve est située dans un endroit relativement isolé, n’est pas proche d’un grand port et ne se trouve pas sur une voie de navigation. Au total, 35 antennes 4G sont dirigées vers cette réserve à des distances allant jusqu’à 8 miles. Seules deux de ces antennes ont été ajoutées depuis avril.

De même, en France, deux très grandes colonies de sternes ont vécu deux expériences complètement différentes. Dans la réserve naturelle du Platier d’Oye, près du port de Calais, une colonie de 3 000 sternes de Sandwich a commencé à nicher en avril. Les 100 premiers oiseaux morts ont été découverts le 20 mai et, en quelques semaines, la colonie a été presque entièrement décimée.

La situation au Platier d’Oye est similaire à celle qui prévaut plus au nord à Texel : des dizaines de nouvelles antennes 4G et 5G ont été ajoutées près de la réserve au cours des mois de mai et juin. 3 nouvelles antennes 4G et 6 nouvelles antennes 5G ont été ajoutées à une tour cellulaire existante de 90 pieds bordant la réserve. Six autres nouvelles antennes 4G et six nouvelles antennes 5G ont été ajoutées à un pylône existant de 140 pieds, à environ trois kilomètres au sud-est. Six autres nouvelles antennes 4G et six nouvelles antennes 5G ont été ajoutées à une tour existante de 95 pieds à environ trois kilomètres à l’est. À l’heure où nous écrivons ces lignes, il y a le nombre stupéfiant de 355 antennes de toutes sortes sur 26 tours à 13 endroits allant de 10 pieds de haut à 255 pieds de haut dans un rayon de 4 miles de cette réserve naturelle.

Une colonie encore plus importante — la plus grande colonie de reproduction de sternes Sandwich en France — n’a connu aucune maladie pendant la saison de reproduction 2022. Elle s’appelle le Polder de Sébastopol et accueillait plusieurs milliers de couples d’oiseaux nicheurs. Mais comme Yerseke Moer, elle se trouve sur une île isolée avec peu de résidents humains. La superficie de l’île est en grande partie consacrée à des parcs, des réserves naturelles et des hébergements pour les visiteurs. Aucune des antennes des deux tours de téléphonie cellulaire situées à un demi-mile à l’ouest du Polder n’est dirigée vers lui. Et même si un grand nombre d’antennes situées entre un et quatre milles de là sont dirigées directement vers le Polder, aucun navire ne passe au large et ces antennes sont peu utilisées, sauf par les visiteurs de la réserve qui se promènent sur ses sentiers.

En examinant les détails et les différentes expériences vécues dans des colonies de reproduction particulières de ces oiseaux, l’histoire officielle s’effondre. Comment comprendre l’extermination d’un si grand nombre de ces oiseaux en l’espace de quelques semaines dans des endroits aussi dispersés ? Selon les organisations de protection des oiseaux, la grippe aviaire est si contagieuse qu’elle se propage en quelques jours parmi les sternes Sandwich dans toute l’Europe, alors qu’elle est si peu contagieuse qu’une petite colonie de sternes située à 30 km de là s’en sort indemne. La grippe aviaire se propage d’un bout à l’autre des Pays-Bas en quelques jours, mais pas entre deux colonies néerlandaises distantes de 30 km, ni entre les deux plus grandes colonies françaises ?

Apparemment, les organisations de protection de la nature ne trouvent pas non plus étrange que, soudainement et pour la première fois, en 2022, la grippe aviaire (a) tue des sternes Sandwich et (b) survienne pendant leur saison de reproduction. Depuis des décennies que nous les surveillons, la grippe aviaire n’a jamais touché les sternes Sandwich dans le monde. Il s’agit d’une maladie saisonnière, qui ne se manifeste qu’en automne et en hiver, et qui n’a jamais touché aucun type d’oiseau sauvage au printemps et en été jusqu’en 2022. Elle n’a également jamais touché autant de types d’oiseaux sauvages en même temps : sternes, mouettes, avocettes, fous de Bassan, labbes, guillemots, macareux, huîtriers, canards, oies, bécasses, faisans, pies, sanderlings, cigognes, grues, pélicans, hérons, cygnes, plongeons, moineaux, pigeons, carouges à épaulettes, hiboux, cormorans, grèbes, bécasseaux, corbeaux, corneilles, aigles à tête blanche, faucons, vautours. Les organisations [de protection] d’oiseaux et les autorités réagissent par réflexe en portant des masques et des combinaisons de protection lorsqu’elles visitent ces colonies et manipulent des oiseaux morts. Mais ils devraient commencer à s’interroger sur la cause d’une telle catastrophe sans précédent.

Il ne fait aucun doute que les oiseaux malades ont été testés positifs à un virus appelé H5N1. Mais lorsque chaque laboratoire d’analyse amplifie constamment des fragments de ce virus dans un nombre incalculable de tests PCR, on doit soupçonner que les murs, les sols, l’air, les équipements et le personnel des laboratoires d’analyse sont contaminés par ce virus. Lorsque l’on se souvient que les échantillons d’une chèvre, d’une caille et d’une papaye, envoyés au Laboratoire national de santé de Tanzanie, sont tous revenus positifs pour le COVID-19, les résultats des tests PCR, qu’ils concernent des personnes, des oiseaux ou des fruits, doivent être considérés avec prudence. Oui, les oiseaux et les humains tombent malades et meurent, mais il y a un autre facteur évident qui est ignoré. La tendance à imputer toutes les maladies aux micro-organismes est en train de détruire notre monde.

[Voir notamment :
Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
L’inventeur du test PCR avait bien dit que celui-ci ne permet pas de savoir si vous êtes malade
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
Sur la théorie virale fallacieuse :
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
VIRUS TUEUR ??
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
L’invention du SARS-CoV-2
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Démontage de la théorie virale
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
Fauci et la grande arnaque du sida
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
L’enterrement de la théorie virale
(Sur épidémies et contagion : voir plus bas.)
Sur les effets nocifs des ondes électromagnétiques et des champs électriques :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Questions relatives à la 5G
La technologie la plus dangereuse jamais inventée
5G : réponse à un pseudo « vérificateur de faits »
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
Chronique de l’opposition mondiale à la 5G en 2019: Comment les télécoms sont en train de perdre la bataille pour imposer la 5G contre la volonté de la population
Fake News de la BBC sur la 5G décodés : Impacts sur la santé niés malgré des preuves scientifiques accablantes
La guerre de la 5G – L’homme vs la technologie
APPEL INTERNATIONAL – Stop à la 5G sur Terre et dans l’espace
Un important professeur de biochimie met en garde: La 5G est « l’idée la plus stupide de l’histoire du monde »
Le réseau 5G utilise les mêmes ondes EMF que le «système de contrôle de foule» du Pentagone
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Les cellulaires endommagent l’ADN radicalement plus que les lignes à haute tension]

C’est l’irradiation incontrôlée de notre monde qui nous tue et qui fait disparaître tous les oiseaux. Les antennes 4G et 5G sont érigées plus rapidement et en plus grand nombre que jamais, non seulement sur terre, mais même à la surface de la mer. Partout où il y a des parcs éoliens en mer, les compagnies de téléphonie cellulaire placent des tours cellulaires sur ces plateformes. Les oiseaux de mer n’auront bientôt plus d’endroit pour pondre leurs œufs et élever leurs petits, mais ils ne pourront même plus chasser leur nourriture et nourrir leurs petits sans être irradiés. La plus grande entreprise qui construit des tours de téléphonie cellulaire à la surface de la mer s’appelle Tampnet. Voici une carte de toutes leurs tours et de leurs zones de couverture en mer du Nord et dans le golfe du Mexique : https://www.tampnet.com/coverage-maps.

En 1918, au plus fort de la grippe espagnole, des équipes médicales de Boston et de San Francisco ont tenté de démontrer la nature contagieuse de la grippe, mais elles ont essuyé un échec total et retentissant. Ils ont recueilli des sécrétions muqueuses de la bouche, du nez, de la gorge et des bronches de malades de la grippe à différents stades de la maladie et ont transféré ces sécrétions dans le nez, la gorge et les yeux de centaines de volontaires sains. Ils ont injecté du sang de malades de la grippe à des volontaires sains. Ils ont fait asseoir des volontaires sains nez à nez avec des patients grippés gravement malades pendant qu’ils se parlaient, puis le patient a toussé cinq fois directement dans le visage du volontaire. Aucun des volontaires n’a été malade d’aucune manière. Ces expériences ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association, le Boston Medical and Surgical Journal et Public Health Reports.

[Voir :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS]

Des chevaux ont également contracté la grippe, et les tentatives de transfert de la grippe d’un cheval à un autre se sont soldées par un échec similaire. À la suite de ces expériences, le lieutenant-colonel Herbert Watkins-Pitchford a écrit qu’il ne pouvait trouver aucune preuve que la grippe se soit jamais transmise directement d’un cheval à un autre.

Nombreux sont les scientifiques qui, au fil des ans, ont observé que la grippe, qu’elle touche les humains, les chevaux, les oiseaux ou les porcs, est une maladie extrêmement étrange. Personne n’a jamais expliqué pourquoi la grippe est saisonnière, par exemple. Ou pourquoi les épidémies de grippe prennent fin. Ou pourquoi les épidémies hors saison ne se propagent pas. Ou pourquoi les épidémies de grippe explosent sur des pays entiers en une seule fois, et disparaissent tout aussi miraculeusement, comme si elles étaient soudainement interdites. Ou comment la grippe humaine peut se propager dans le monde entier en quelques jours, et l’a toujours fait, même il y a des siècles, lorsque ni les avions, ni les automobiles, ni les chemins de fer, ni les bateaux à vapeur n’existaient. Au moins 23 scientifiques au fil des ans, dont Richard Shope, le scientifique qui a identifié pour la première fois le virus de la grippe en 1931, ont publié des articles remettant en question la nature contagieuse de la grippe et/ou suggérant une cause électrique.

[Voir aussi :
Épidémies et contagions
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Le mythe de la contamination épidémique]

Les chapitres 7, 8 et 9 de mon livre d’une importance capitale, The Invisible Rainbow : A History of Electricity and Life [L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie], sont consacrés à un examen complet et détaillé de l’histoire et de la science de la grippe. Le chapitre 16, le plus long du livre, est consacré en partie aux effets des rayonnements électromagnétiques sur les oiseaux. Je suggère à toutes les organisations de protection des oiseaux d’acquérir mon livre et de le lire attentivement.




PCB : Les pièces de € 20 du Vatican et la vaccination transgénique

Par Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Nous sommes témoins d’un événement choquant. Le Vatican a commencé à faire frapper des pièces de 20 euros à la gloire de la vaccination des enfants ! Une face de cette pièce montre les armoiries de François. L’autre face représente deux personnes et un garçon prêts à recevoir une injection, ces trois personnes portant des masques sur la bouche. On peut observer un crucifix accroché en arrière-plan, suggérant qu’il s’agit d’un centre de vaccination chrétien. Cette association du Vatican à la politique vaccinale est choquante.


!function(r,u,m,b,l,e){r._Rumble=b,r[b]||(r[b]=function(){(r[b]._=r[b]._||[]).push(arguments);if(r[b]._.length==1){l=u.createElement(m),e=u.getElementsByTagName(m)[0],l.async=1,l.src="https://rumble.com/embedJS/u4"+(arguments[1].video?'.'+arguments[1].video:'')+"/?url="+encodeURIComponent(location.href)+"&args="+encodeURIComponent(JSON.stringify([].slice.apply(arguments))),e.parentNode.insertBefore(l,e)}})}(window, document, "script", "Rumble");

Rumble("play", {"video":"v1b2h09","div":"rumble_v1b2h09"});

Le pseudo-pape François est un fervent défenseur de la vaccination contre le Covid. Il a été le premier représentant de l’État européen à instituer le licenciement des employés non-vaccinés.

Cette caricature imprimée sur la pièce de 20 euros – l’homme, la femme et l’enfant – fait directement référence à la Sainte Famille. Le pseudo-Pape dirige ainsi sa propagande vaccinale vers les familles afin de les inciter à faire vacciner leurs enfants ! Marie et Joseph feraient-ils vacciner Jésus avec un produit expérimental et toxique ? Non, jamais ! Prendraient-ils le risque de tuer Jésus ? En AUCUN cas, ils ne prendraient ce risque !

La préparation de la vaccination obligatoire des enfants est un travail diabolique qui ai été débuté par Pfizer en janvier 2021.

Les données de 2021 de l’Office for National Statistics du Royaume-Uni, montrent que les enfants âgés de 10 à 14 ans qui ont reçu deux doses du « vaccin » contre le Covid-19 ont eu un risque 51 fois plus élevé de mourir entre janvier et octobre 2021 que ceux qui n’ont pas été vaccinés. Le pseudo-pape François boycotte de façon notoire cette effroyable réalité.

En France, sans l’annoncer publiquement, les autorités préparent la vaccination expérimentale des enfants pour la rentrée scolaire 2022-2023, comme l’indique le document de la plus haute autorité sanitaire de France : la Haute Autorité de Santé.

Le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste, prévient que les injections transgéniques vont remplacer les vaccins conventionnels. La France et d’autres pays prévoient d’inclure ces produits dangereux dans la vaccination obligatoire des enfants de moins de 3 ans ! Mais ce sera une plus grande calamité que le Grand Déluge ! Il y aura toute une génération d’organismes génétiquement modifiés, et la question est de savoir si ces enfants pourront avoir une descendance, et si oui, de quel type. Tout cela se passe en accord avec les objectifs du Vatican apostat.

Le Vatican promeut sa stratégie diabolique en reprenant les arguments manipulateurs de Big Pharma. Le Vatican est déjà devenu le siège de « l’Eglise profonde » et de la collusion avec les grands maîtres du monde.

Que le Vatican ait été pénétré par des forces adverses est évident pour les catholiques. Mais qu’il accepte et promeuve ouvertement l’idéologie satanique actuelle du mal ébranle le monde. Le Vatican a abusé du pouvoir suprême de l’Église contre les enfants. Les catholiques, tels des filicides, vont à présent conduire leurs enfants vers les centres de vaccination. Et si quelqu’un les met en garde à ce sujet, ils répéteront stupidement comme un mantra : « N’offensez pas notre Saint-Père ! ».

Dans son livre « Le Nouvel Ordre des Barbares », le Dr Richard Day déclare : 

« Dès que l’Église catholique romaine sera à terre, le reste de la chrétienté suivra facilement… Certains penseront que l’Église s’opposera à tout cela, mais en réalité l’Église y aidera. »

[Voir : Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins]

Les évêques, les prêtres et les laïcs ne partagent pas tous la même opinion sur les injections transgéniques que le pseudo-pape. Il ne fait aucun doute que l’inoculation maléfique d’enfants divisera davantage l’Église exsangue.

Nous avons cité les faits d’un article informatif. Le Patriarcat Catholique Byzantin ne peut qu’ajouter les mots de la Bible. Dieu avertit par l’intermédiaire du prophète Isaïe : « Les chefs de (mon) peuple les ont égarés. Ils les ont conduits sur le chemin de la destruction ! » (Is 9,16).

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr            + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires