Paquet d’ondes radio

[Source : maisonsaine.ca]

Par : Arthur Firstenberg

Traduit de https://www.cellphonetaskforce.org/wp-content/uploads/2022/08/Radio-Wave-Packet.pdf

[PDF en Français :
https://cellphonetaskforce.org/wp-content/uploads/2022/09/Paquet-dondes-radio.pdf
ou ici]

Première publication : septembre 2001 – Mis à jour en août 2022 pour tenir compte de la technologie actuelle

Sommaire

  1. Quelques effets biologiques des ondes radio
  2. Morbidité et mortalité dues aux technologies sans fil
  3. Maladie des ondes radio
  4. Références 

[Ndlr : l’auteur utilise ici « ondes radio » au sens large, car il inclut les micro-ondes.]

QUELQUES EFFETS BIOLOGIQUES DES ONDES RADIO

1 μW/cm2 = 10 000 μW/m2  https://www.slt.co/Downloads/Education/RFConversionTable.pdf

Densité de puissance (μW/cm2) Effets biologiques rapportés Références
0,0000000000001 Structure génétique altérée chez E. Coli Belyaev 1996
0,0000000001 Seuil de la sensibilité humaine Kositsky 2001
0,000000001 Modification de l’EEG chez les sujets humains  Bise 1978
0,0000000027 Stimulation de la croissance chez Vicius fabus (haricots) Brauer 1950
0,00000001  Effets sur le système immunitaire chez la souris  Bundyuk 1994
0,00000002 Stimulation de l’ovulation chez les poulets Kondra 1970
0,000005 Effet sur la croissance cellulaire chez la levure  Grundler 1992
0,00001  Réflexe d' »évitement » conditionné chez le rat  Kositsky 2001
0,000024 Vieillissement prématuré des aiguilles de pin Selga 1996
0.000024 Réduction des anneaux de croissance des arbres Balodis 1996
0,0004 100 mètres d’un routeur Wi-Fi domestique   
0,0017  Diminution de la germination des graines dans les pins Selga 1996
0,002  Troubles du sommeil, tension artérielle anormale, nervosité, faiblesse, fatigue, douleurs des membres, douleurs articulaires, troubles digestifs, moins d’écoliers promus étude contrôlée à proximité d’un émetteur d’ondes courtes. Altpeter 1995, 1997 
0,0027 Inhibition de la croissance chez Vicius fabus (haricots) Brauer 1950
0,004 100 mètres d’un téléphone cellulaire 2G, 3G ou 4G à puissance maximale  
0,01 100 mètres d’un routeur Wi-Fi commercial ou extérieur  
0,01 à 0,1 1 mile d’une tour cellulaire 2G, 3G ou 4G  
0,06 Modification de l’EEG, perturbation du métabolisme glucidique, hypertrophie des surrénales, modification des taux d’hormones surrénales, modifications structurelles du foie, de la rate, des testicules et du cerveau chez les rats blancs et les lapins. Dumanskij 1974 
0,06 Ralentissement du cœur, modification de l’EEG chez le lapin Serkyuk, reported in McRee 1980
0,1 Augmentation de la mélatonine chez les vaches  Stark 1997
0,1 à 1,8  Diminution de la durée de vie, troubles de la reproduction, anomalies structurelles et de développement chez les lenticules.  Magone 1996
0,13  Diminution de la croissance cellulaire (cellules épithéliales humaines de l’amnios)  Kwee 1997 
0,168 Stérilité irréversible chez la souris  Magras 1997
0,2 Leucémie infantile jusqu’à 12 km d’une tour de télévision  Hocking 1996
0,3  Altération de la fonction motrice, du temps de réaction, de la mémoire et de l’attention des écoliers, et modification du rapport de masculinité des enfants (moins de garçons) Kolodynski 1996 
0,4 Rupture de la barrière hémato-encéphalique par les téléphones portables  Eberhardt 2008
0,6   Modification de l’efflux d’ions calcium du tissu cérébral Dutta 1986
0,6 Arythmies cardiaques et parfois arrêt cardiaque (grenouilles)  Frey 1968
0-4 Modification de l’activité des globules blancs chez les écoliers Chiang 1989
1 Maux de tête, vertiges, irritabilité, fatigue, faiblesse, insomnie, douleurs thoraciques, difficultés respiratoires, indigestion (humains- exposition professionnelle) Simonenko 1998 
1 Stimulation des globules blancs chez les cobayes Shandala 1978
2 (seuil inférieur inconnu) Effets auditifs : cliquetis, bourdonnements, gazouillis, sifflements ou sons aigus. Frey 1963, 1969, 1971, 1973, 1988, Justeson 1979, Olsen 1980, Wieske 1963, Lin 1978
2 Perte de mémoire chez les rats exposés aux téléphones portables  Nittby 2009
5  Leucémie, mélanome de la peau et cancer de la vessie à proximité d’un émetteur TV et FM  Dolk 1997
5 Modifications biochimiques et histologiques dans les tissus du foie, du cœur, des reins et du cerveau  Belokrinitskiy 1982
8 Exposition de la tête et de la poitrine à un ordinateur portable sans fil posé sur une table   
10 Mitochondries et noyaux des cellules endommagés dans l’hippocampe du cerveau.  Belokrinitskiy 1982a
10 Altération de la mémoire et du temps de réaction visuelle chez les personnes vivant à proximité des émetteurs.  Chiang 1989
10 Diminution de la taille de la portée, augmentation du nombre de mort-nés chez les souris  Il’Chevich (rapporté par McRee 1980)
10 Redistribution des métaux dans les poumons, le cerveau, le cœur, le foie, les reins, les muscles, la rate, les os, la peau et le sang.  Shutenko 1981
150 Exposition de la tête et de la poitrine par tout téléphone cellulaire sur table   
1 000 Limite d’exposition du corps entier de la FCC FCC 2018, Racini 2015
17 000 Exposition des organes génitaux par un ordinateur portable sans fil posé sur un genou   
20 000 Exposition du cerveau par un téléphone portable posé sur la tête  

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]

MORBIDITÉ ET MORTALITÉ DUES AUX TÉLÉPHONES CELLULAIRES ET À LA TECHNOLOGIE SANS FIL

FLORE ET FAUNE

Les trembles

Dans un laboratoire d’arrière-cour situé au pied des Rocheuses, où les trembles déclinaient et refusaient d’arborer leurs couleurs à l’automne, Katie Haggerty a décidé de voir ce qui se passerait si elle protégeait certains d’entre eux des ondes radio. Après seulement deux mois, ses semis protégés étaient 74 % plus longs et leurs feuilles 60 % plus grandes que celles de ses semis non protégés ou de ses semis protégés par un écran factice. Et à l’automne, seuls les semis protégés affichaient les couleurs vives qui font la réputation des trembles. (Haggerty 2010)

Oiseaux chanteurs

À l’université allemande d’Oldenburg, des scientifiques, choqués de constater que les oiseaux chanteurs migrateurs qu’ils étudiaient n’étaient plus capables de s’orienter vers le nord au printemps et vers le sud-ouest en automne, ont décidé de voir ce qui se passerait s’ils protégeaient une volière des ondes radio. Soudain, les oiseaux ont pu s’orienter vers le nord au printemps pour la migration. (Engels et al. 2014)

Amphibiens

Sur la terrasse d’un appartement du cinquième étage à Barcelone, à un pâté de maisons d’une tour de téléphonie cellulaire, Alfonso Balmori a décidé de tester sa conjecture selon laquelle les ondes radio pourraient être responsables du déclin et de l’extinction de tant d’espèces d’amphibiens dans le monde. Pendant deux mois, il s’est occupé de deux bassins identiques de têtards, dont l’un était protégé des ondes radio par une fine couche de tissu. Le taux de mortalité dans le réservoir non protégé était de 90 %, et de seulement 4 % dans le réservoir protégé. (Balmori 2006)

Abeilles à miel

Un professeur de l’université Panjab, en Inde, a décidé de vérifier son hypothèse selon laquelle la technologie sans fil pourrait être responsable de l’effondrement des colonies d’abeilles. Elle a placé des téléphones portables dans deux des quatre ruches et les a allumés deux fois par jour pendant 15 minutes à chaque fois. Après trois mois, il n’y avait plus ni miel, ni pollen, ni couvain, ni abeilles dans les deux colonies équipées de téléphones portables. (Sharma et Kumar 2010)

Elle a ensuite décidé de découvrir ce qui se passait dans l’hémolymphe des abeilles, qui est le nom de leur sang. Elle a constaté que la respiration cellulaire était pratiquement paralysée. Après seulement dix minutes d’exposition à un téléphone portable, les abeilles ne pouvaient pratiquement plus métaboliser les sucres, les graisses ou les protéines. (Kumar et al. 2011)

Souris

Dans le village grec de Chortiatis, au troisième étage de l’école primaire publique, six paires de souris ont été accouplées et observées pendant cinq grossesses. Les trois premières grossesses ont produit une moyenne de cinq rejetons par femelle. Ensuite, toutes les souris sont devenues stériles et n’ont plus donné naissance à aucun rejeton. Depuis la fenêtre de la salle de classe, à environ un kilomètre de là, on pouvait voir une ferme d’antennes au sommet du mont Chortiatis, qui diffusait au total environ 300 kW de puissance.

Six autres couples de souris ont été élevés dans une réserve naturelle, le Refuge de la Vie Hypaithrios, situé sur la montagne. Ces souris n’ont eu en moyenne qu’un seul nouveau-né par grossesse dès le début, et ont été stériles dès la troisième grossesse. Il a été prouvé que la stérilité était permanente et irréversible. (Magras et Xenos 1997)

Fourmis

Marie-Claire Cammaerts, de l’Université libre de Belgique, a amené des milliers de fourmis dans son laboratoire, a placé un téléphone à clapet de modèle ancien sous leurs colonies et les a observées marcher. Lorsque le téléphone ne contenait pas de batterie, il ne les affectait pas du tout. La batterie seule ne les affectait pas non plus. Mais dès que la batterie a été placée dans le téléphone – même si le téléphone était toujours éteint – les fourmis se sont mises à courir d’avant en arrière avec vigueur, comme si elles essayaient d’échapper à un ennemi qu’elles ne pouvaient pas voir. Lorsqu’elle a mis le téléphone en mode veille, la frénésie des fourmis s’est encore accrue. Lorsqu’elle a finalement allumé le téléphone, elles ont toutes ralenti.

Mme Cammaerts a ensuite exposé une nouvelle colonie de fourmis à un smartphone, puis à un téléphone sans fil. Dans chaque cas, leur vitesse de changement de direction a doublé ou triplé en une ou deux secondes, tandis que leur vitesse de marche réelle a considérablement ralenti. Après avoir été exposées pendant trois minutes, elles ont eu besoin de deux à quatre heures avant de retrouver une apparence normale. D’autres fourmis, après avoir été exposées à un routeur WiFi pendant trente minutes, ont mis six à huit heures pour récupérer, et certaines ont été retrouvées mortes quelques jours plus tard. Lorsqu’elle a placé un téléphone à clapet en mode veille sous le nid des fourmis au lieu de leur zone de recherche de nourriture, les fourmis ont toutes immédiatement quitté leur nid, emportant avec elles leurs œufs, leurs larves et leurs nymphes. (Cammaerts et Johansson 2014)

Rats

L’équipe du neurochirurgien Leif Salford de l’Université de Lund en Suède a exposé des rats à un téléphone portable ordinaire, une seule fois pendant deux heures, et les a sacrifiés 50 jours plus tard. Les rats exposés ont subi des dommages cérébraux permanents à la suite de cette seule exposition, même lorsque le niveau de puissance du téléphone a été réduit au centuple. (Salford et al. 2003)

Vaches

Lorsque les tours de téléphonie cellulaire ont été installées dans toute l’Amérique en 1996, des agriculteurs ont signalé que des animaux de ferme étaient soudainement malades et mouraient, et que leur progéniture était née avec le cou et les pattes palmés à l’envers. (Hawk 1996). Wolfgang Löscher et Günter Käs, recevant des rapports similaires en Allemagne, ont visité ces fermes et examiné ces vaches. Les vaches mouraient de troubles cardiaques et

Les vaches mouraient d’un collapsus cardiaque et circulatoire aigu avec des saignements de plusieurs organes. Lorsque les vaches malades étaient déplacées dans un endroit éloigné, elles recouvraient la santé. (Löscher et Käs 1998)

Mouches à fruits

Dans le cadre d’une expérience scientifique, Alexander Chan, 15 ans, du lycée Benjamin Cardozo de Queens, New York, a exposé quotidiennement des larves de drosophiles à un haut-parleur, un écran d’ordinateur ou un téléphone portable pour observer leur développement. Les mouches qui ont été exposées au téléphone portable n’ont pas développé d’ailes. (Serant 2004)

Graines de cresson

Pour une autre expérience de foire scientifique, une équipe de cinq filles de troisième année à Hjallerup, au Danemark, a rempli douze plateaux de 400 graines de cresson chacun. Elles ont placé six plateaux dans une fenêtre à côté de trois ordinateurs portables et de deux routeurs WiFi, et six plateaux dans une fenêtre similaire mais sans ordinateur ni routeur. Au bout de 6 jours, aucune des graines irradiées n’avait germé, et beaucoup d’entre elles n’ont jamais germé. Après 12 jours, les germes du contrôle étaient deux fois plus gros que ceux situés à côté des ordinateurs portables et des routeurs. (Nielsen et al. 2013)

Plants de poivre

Des scientifiques de l’Université de Gaza ont cultivé 100 plants de poivron dans des conditions identiques, sauf que la moitié d’entre eux ont été arrosés quotidiennement avec de l’eau du robinet qui avait séjourné dans un flacon en verre pendant une heure à côté d’un routeur WiFi, et l’autre moitié avec de l’eau du robinet qui avait séjourné dans un flacon en verre identique mais pas à côté d’un routeur. Les plantes cultivées avec de l’eau irradiée étaient pâles et rabougries. Après 200 jours, les plantes témoins étaient 25 % plus longues, leurs tiges 5 % plus épaisses et leurs racines 40 % plus longues que les plantes cultivées avec de l’eau irradiée. Elles pesaient également 90 % de plus, avaient 74 % de feuilles en plus, étaient 12 % plus humides, fleurissaient et fructifiaient plus tôt, et produisaient des fruits 38 % plus gros. (Alattar et Radwan 2020)

Animaux munis de colliers émetteurs

Les mammifères munis de colliers émetteurs, notamment les lapins, les campagnols, les lemmings, les blaireaux, les renards, les cerfs, les élans, les tatous, les loutres de rivière et les loutres de mer, ont souffert d’une augmentation de la mortalité, d’une diminution de la capacité à creuser, d’une perte de poids, d’une réduction des niveaux d’activité, d’une augmentation de l’autogestion, d’une modification des interactions sociales et d’un échec de la reproduction. (Mech et Barber 2002)

Dans une étude sur les élans, les veaux sans aucune marque d’oreille et les veaux avec des marques d’oreille simples avaient une mortalité de 10 %, tandis que les veaux avec des marques d’oreille contenant des émetteurs avaient une mortalité de 68 %. La seule différence était les ondes radio. (Swenson et al. 1999)

Dans une autre étude, les colonies de campagnols aquatiques qui contenaient des femelles marquées par radio ont donné naissance à quatre fois plus de mâles que de femelles. Les chercheurs ont conclu qu’il était probable qu’aucune des femelles radio-identifiées n’ait donné naissance à une progéniture féminine. (Moorhouse et Macdonald 2005)

La maladie des ondes radio chez l’humain

Au cours des années 1950, des cliniques ont été créées à Moscou, Leningrad et dans d’autres villes d’Union soviétique et d’Europe de l’Est pour étudier et traiter des milliers de travailleurs souffrant d’une nouvelle maladie professionnelle – une maladie qui a également été signalée aux États-Unis mais qui n’y a été ni étudiée ni traitée. Cette nouvelle maladie a été baptisée maladie des ondes radio. Ces patients fabriquaient, inspectaient, réparaient ou utilisaient des équipements à micro-ondes. Certains travaillaient dans des installations radar, d’autres pour des stations de radio ou de télévision, ou des compagnies de téléphone. D’autres encore faisaient fonctionner des appareils de chauffage et d’étanchéité à radiofréquence utilisés dans un nombre croissant d’industries à l’aide d’une technologie mise au point pendant la Seconde Guerre mondiale.

Ces travailleurs n’étaient exposés aux rayonnements micro-ondes que pendant les heures de travail. Et ils étaient exposés à des niveaux de rayonnement inférieurs à ceux auxquels le grand public est exposé aujourd’hui pendant des heures par jour, voire tout le temps, à partir de leurs téléphones portables et autres appareils sans fil.

Les patients de ces cliniques souffraient de maux de tête, de fatigue, de faiblesse, de troubles du sommeil, d’irritabilité, de vertiges, de troubles de la mémoire, de dysfonctionnements sexuels, d’éruptions cutanées, de perte de cheveux, de diminution de l’appétit, d’indigestion et, parfois, de sensibilité à la lumière du soleil. Certains ont eu des palpitations cardiaques, des douleurs lancinantes dans la région du cœur et un essoufflement après un effort. Beaucoup ont développé une instabilité émotionnelle, de l’anxiété ou de la dépression, et quelques-uns ont souffert de manie ou de paranoïa.

À l’examen physique, ils présentaient une acrocyanose (doigts et orteils bleus), un odorat altéré, des sueurs, des tremblements, des réflexes altérés, des pupilles de taille inégale, des arythmies cardiaques, un pouls et une tension artérielle instables. Ils présentaient des EEG et des ECG anormaux et, à un stade avancé, des signes de privation d’oxygène au niveau du cœur et du cerveau. Certains ont développé des cataractes. Les analyses de sang ont révélé une hyperactivité de la thyroïde, un taux élevé d’histamine, un taux élevé de sucre dans le sang, un taux élevé de cholestérol et de triglycérides, une augmentation des protéines sanguines, une diminution du rapport albumine-globuline, une diminution des plaquettes et des globules rouges, et un nombre anormalement élevé ou faible de globules blancs.

Bien qu’environ 15 % seulement des travailleurs des micro-ondes se soient plaints de leur maladie, et que 2 % seulement aient cessé de travailler (Sadchikova 1960, Klimková-Deutschová 1974), les travaux de laboratoire ont révélé des anomalies chez la majorité des travailleurs. Le cholestérol sanguin était élevé chez 40 % des travailleurs des micro-ondes (Klimkova-Deutschova 1974), les triglycérides étaient élevés chez 63 % d’entre eux (Sadchikova et al. 1980), la glycémie à jeun était augmentée chez 74 % (Klimkova-Deutschova 1974) et 70 % présentaient une activité thyroïdienne anormale. (Smirnova et Sadchikova 1960 ; Drogichina 1960). Des changements cardiaques objectifs ont été trouvés chez 18% à 35% des travailleurs des micro-ondes, selon la durée du travail.

En raison du grand nombre de publications sur la maladie des ondes radio provenant de l’Union soviétique et de l’Europe de l’Est, un échange scientifique entre les États-Unis et l’URSS sur la recherche sur le rayonnement micro-ondes a été lancé au milieu des années 1970. Le gouvernement américain a chargé le Dr Zorach Glaser de répertorier la littérature scientifique mondiale (articles de journaux, livres, comptes rendus de conférences) sur les effets biologiques et sanitaires des radiofréquences et des micro-ondes. A la fin des années 1970, la bibliographie de Glaser comprenait 5 083 documents (Glaser 1984).

Au cours des années 1960 et 1970, l’ophtalmologue Milton Zaret, sous contrat avec l’armée et l’armée de l’air américaines, a examiné les yeux de milliers de militaires et de civils travaillant dans des installations radar aux États-Unis et au Groenland. Il a constaté qu’un grand nombre d’entre eux développaient des cataractes. La plupart de ces cataractes étaient causées par l’exposition chronique de l’œil à des rayonnements d’une densité de puissance d’environ un milliwatt par centimètre carré – un niveau qui est régulièrement dépassé par chacun des 15 milliards de téléphones cellulaires utilisés aujourd’hui (Birenbaum et al. 1969 ; Zaret 1973).

Au cours de ces années, le biologiste américain Allan Frey a découvert que le rayonnement micro-ondes endommageait la barrière hémato-encéphalique (Frey et al. 1975), et il a prouvé que les humains et les animaux pouvaient entendre les micro-ondes (Frey 1961). Frey, l’un des chercheurs américains les plus actifs des années 1960 et 1970, a rendu des rats dociles en les irradiant à une densité de puissance de 50 microwatts par centimètre carré (Frey et Spector 1976). Il a modifié des comportements spécifiques à 8 microwatts par centimètre carré (Frey et Wesler 1979). Il a modifié le rythme cardiaque de grenouilles vivantes à 3 microwatts par centimètre carré (Frey et Eichert 1986). À seulement 0,6 microwatts par centimètre carré, soit 15 fois moins que les niveaux couramment rencontrés aujourd’hui à une distance normale de fonctionnement d’un ordinateur portable sans fil, il a provoqué des arythmies dans le cœur des grenouilles, et parfois l’arrêt des battements, en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque (Frey et Seifert 1968). Les travaux de Frey ont été financés par la marine américaine.

En 1977, Paul Brodeur, dans son livre The Zapping of America, a averti que la prolifération des tours à micro-ondes et des installations radar mettait en danger la santé publique. Mais comparé à aujourd’hui, les installations de micro-ondes et de radio étaient encore très rares.

Lorsqu’en 1977, Apple a vendu ses premiers ordinateurs personnels (câblés), l’exposition à des niveaux élevés de rayonnement électromagnétique s’est étendue à la population générale, et les maladies électromagnétiques ont cessé d’être uniquement des maladies professionnelles. Cette année-là, les décès dus à l’asthme aux États-Unis, qui étaient en baisse constante depuis des décennies, ont commencé à augmenter pour la première fois.

En 1981, le représentant Al Gore a présidé la première d’une série d’audiences du Congrès américain sur les effets sanitaires des terminaux d’affichage vidéo (câblés). Ces auditions ont été organisées parce que deux rédacteurs en chef du New York Times, de jeunes hommes âgés de 20 à 30 ans, avaient développé des cataractes ; la moitié de tous les employés de l’UPI et de l’AP interrogés se plaignaient de problèmes visuels ou de maux de tête ; un nombre inhabituel de bébés présentant des malformations congénitales étaient nés d’employés du Toronto Star ; et des groupes de fausses couches se produisaient parmi les opératrices de terminaux vidéo partout aux États-Unis et au Canada.

L’industrie de la presse a été la première industrie à être transformée par la technologie informatique. Au cours des auditions menées en 1981 par la Commission des sciences et de la technologie de la Chambre des représentants, Charles A. Perlik, Jr, président de la Newspaper Guild, a déclaré que si ses membres avaient su que les terminaux numériques pouvaient produire des émissions dangereuses, « nous n’aurions pas tranquillement permis la transformation d’un lieu de travail essentiellement bénin en un lieu dangereux ». En 1985, l’auteur canadien Bob DeMatteo a publié un livre populaire intitulé Terminal Shock : The Health Hazards of Video Display Terminals.

Au milieu des années 80, Olle Johansson, un neuroscientifique de l’Institut Karolinska de Stockholm, a découvert une nouvelle maladie de peau. Depuis, seules les personnes qui travaillaient devant des écrans d’ordinateur en étaient atteintes, il l’a baptisée dermatite des écrans. Ces patients se plaignaient souvent aussi de symptômes neurologiques tels que perte de mémoire, fatigue, insomnie, vertiges, nausées, maux de tête et palpitations cardiaques – les mêmes symptômes neurologiques que ceux décrits trois décennies plus tôt par les médecins soviétiques – mais comme la spécialité de Johansson était les maladies de la peau, il a étudié la peau des opérateurs informatiques. Ses sujets allaient de ceux qui ne présentaient que des rougeurs et des démangeaisons à ceux qui avaient des lésions cutanées graves et défigurantes.

Au milieu des années 1990, l’industrie des télécommunications s’est lancée dans un projet qui devait exposer le monde entier à des micro-ondes à une échelle inimaginable. Ils prévoyaient de placer un téléphone cellulaire et un ordinateur sans fil dans les mains de chaque homme, femme et enfant sur Terre – et de parsemer notre monde d’un si grand nombre d’antennes de radiodiffusion que ces téléphones et ordinateurs fonctionneraient dans chaque maison et chaque bureau, dans chaque rue, dans chaque pays, sur la plus haute montagne et dans la vallée la plus profonde, sur chaque lac et dans chaque parc national, zone de nature sauvage et refuge pour la faune, sans exception. Ainsi, au cours des décennies suivantes, chaque être humain est devenu une source de rayonnement micro-ondes où qu’il aille. Et les niveaux ambiants de rayonnement ont été multipliés par mille ou plus, partout sur la Terre.

Les chercheurs ont commencé à établir une corrélation entre des symptômes tels que les troubles du sommeil, la fatigue, les pertes de mémoire, les maux de tête, la dépression, les vertiges et les tremblements – les mêmes symptômes que ceux signalés aux médecins soviétiques et américains un demi-siècle auparavant – et l’utilisation des téléphones portables et la proximité des tours de communication. En 2007, des équipes de scientifiques de 14 pays ont conclu que la santé de pas moins des trois quarts de la population de la Terre était considérablement affectée par la technologie sans fil (Haugsdal 1998, Hocking 1998, Cao 2000, Oftedahl 2000, Chia 2000, Sandström 2001, Santini 2002, Navarro 2003, Santini 2003, Zwamborn 2003, Wilén 2003, Oberfeld 2004, Bortkiewicz 2004, Al-Khlaiwi 2004, Salama 2004, Meo 2005, Preece 2005, Waldmann-Selsam 2005, Szykjowska 2005, Balikci 2005, Balik 2005, Hutter 2006, Abdel-Rassoul 2007).

D’autres scientifiques ont rapporté que les téléphones portables provoquaient de l’eczéma (Kimata 2002), la cécité (Ye et al. 2001), l’asthme infantile (Li et al. 2001), la maladie d’Alzheimer (Salford et al. 2003, Şahin et al. 2015), la surdité (Oktay et Dasdag 2006, Panda et al. 2011, Velayutham et al. 2014, Mishra 2010, Mishra 2011) et la sclérose en plaques (İkinci et al. 2015).

Le terme « hypersensibilité électromagnétique » (« EHS ») a été inventé parce qu’aucune autorité sanitaire d’aucun pays occidental n’admet que les rayonnements électromagnétiques ont un quelconque effet sur la santé d’une personne normale. L’EHS désigne donc les personnes qui ont découvert par hasard ce qui les rend malades, et qui ont cru à la fiction selon laquelle elles sont anormales et différentes de tout le monde.

Signes et symptômes d’EHS

Neurologiques : maux de tête, étourdissements, nausées, difficultés de concentration, pertes de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, tremblements, spasmes musculaires, engourdissements, picotements, altération des réflexes, douleurs musculaires et articulaires, douleurs aux jambes et aux pieds, symptômes de type « grippe », fièvre. Les effets plus graves comprennent des convulsions, une paralysie, une psychose et un accident vasculaire cérébral.

Cardiaque : palpitations, arythmies, douleur ou pression dans la poitrine, pression sanguine basse ou élevée, rythme cardiaque lent ou rapide, essoufflement et crises cardiaques.

Respiratoire : sinusite, bronchite, asthme et pneumonie.

Dermatologiques : éruption cutanée, sensibilité extrême au toucher, démangeaisons, brûlures, bouffées vasomotrices.

Ophtalmologiques : douleur ou sensation de brûlure dans les yeux, pression dans ou derrière les yeux, détérioration de la vision, flotteurs, cataractes.

Auditif : Gazouillis, bourdonnements, sifflements dans les oreilles et perte d’audition.

Reproduction : Diminution du nombre et de la mobilité des spermatozoïdes, menstruations anormales, infertilité ;

Fausses couches ; anomalies congénitales.

Hématologique : Anémie, glycémie élevée, plaquettes faibles, globules blancs faibles ou élevés, cholestérol élevé.

Autres : troubles digestifs ; douleurs abdominales ; transpiration ; hypertrophie de la thyroïde ; épuisement des surrénales ; douleurs testiculaires/ovariennes ; dysfonctionnement sexuel ; sécheresse des lèvres, de la langue, de la bouche, des yeux ; lèvres gonflées ; gorge enflée ; grande soif ; déshydratation ; urines fréquentes ; saignements de nez ; hémorragies internes ; anomalies du système immunitaire ; redistribution des métaux dans l’organisme ; perte de cheveux ; ongles cassants ; douleurs dentaires ; détérioration des plombages ; odorat altéré ; sensibilité à la lumière.

Altération du métabolisme et conséquences de l’obésité, du diabète, des maladies cardiaques et du cancer

Les ondes radio interfèrent avec le transport des électrons dans les mitochondries de chaque cellule. Cela prive les cellules d’oxygène et nuit à leur capacité à métaboliser les sucres, les graisses et les protéines, tout comme Kumar et al. (2011) l’ont démontré chez les abeilles (voir ci-dessus). Il en résulte les pandémies modernes d’obésité, de diabète, de maladies cardiaques et de cancer. Ces maladies sont également des aspects de la maladie des ondes radio. Voir The Invisible Rainbow d’Arthur Firstenberg : A History of Electricity and Life, chapitres 11, 12 et 13.

Le niveau de puissance n’est pas pertinent

Comme le montre le tableau au début de ce document, les niveaux d’exposition ne sont pas pertinents lorsqu’il s’agit d’ondes radio. On constate des effets biologiques à 10 W/cm2, à 0,01 W/cm2, à 0,00001 W/cm2, à 0,00000001 W/cm2 et à 0,0000000000001 W/cm2.

Comme l’a écrit Allan Frey, les organismes vivants utilisent les champs électromagnétiques (CEM) pour tout, de la communication cellulaire au fonctionnement du système nerveux. « Les champs électromagnétiques ne sont pas une substance étrangère aux êtres vivants comme le plomb ou le cyanure. Avec les substances étrangères, plus la dose est grande, plus l’effet est grand – une relation dose-réponse. » Au lieu de cela, a-t-il dit, un être vivant est comme un récepteur radio. « Le signal CEM que la radio détecte et transpose dans le son de la musique est presque incommensurablement faible. » De même, même un signal radio incommensurablement faible peut interférer avec les fonctions biologiques. (Frey 1990, 1993)

Le Dr Ross Adey, de l’école de médecine de l’université de Loma Linda, a écrit que nos cellules « chuchotent » entre elles avec des signaux électromagnétiques. Il a déclaré que les CEM agissent au niveau atomique et qu' »un seuil pourrait ne pas exister » pour les effets des ondes radio. (Adey 1993)

Le biophysicien Neil Cherry, de l’université Lincoln en Nouvelle-Zélande, a écrit que les signaux radio « peuvent interférer avec les cœurs, les cerveaux et les cellules à des intensités extrêmement faibles, proches de l’exposition zéro » (Cherry 2000). Il a ensuite présenté des « preuves concluantes » que « le niveau d’exposition sans danger est de zéro ». (Cherry 2001)

Pour certains effets, il existe même une relation dose-réponse inverse, c’est-à-dire que plus le niveau d’exposition est faible, plus le dommage est important. En d’autres termes, plus le signal externe s’approche de la force infinitésimale des signaux internes de notre corps, plus il est reconnu par l’organisme, et plus il interfère avec la vie.

Ainsi, l’équipe de Leif Salford à l’université de Lund a constaté que les plus grands dommages à la barrière hémato-encéphalique se produisaient à la plus faible dose de rayonnement (réduite dix mille fois), et non à la plus forte dose. (Persson 1997).

De nombreux chercheurs, dont Carl Blackman de l’Agence américaine de protection de l’environnement, ont découvert que le rayonnement des micro-ondes provoque l’écoulement du calcium hors des cellules du cerveau. Pour cet effet, ces chercheurs ont trouvé des fenêtres de puissance d’effet maximal, c’est-à-dire que l’effet diminue à la fois à des niveaux inférieurs et supérieurs (Blackman 1980, 1986 ; Bawin 1977 ; Dutta 1986 ; Kunjilwar et Behari 1993). Et ce sont les fenêtres de puissance les plus faibles, et non les plus élevées, qui ont le plus d’effet : l’effet à un DAS de 0,0007 W/kg était quatre fois plus important que celui à un DAS de 2,0 W/kg (Dutta 1986).

Maria Sadchikova et ses collègues soviétiques ont régulièrement rapporté dans les années 1960 et 1970 que parmi les personnes exposées professionnellement au rayonnement micro-ondes, les plus malades étaient celles exposées aux niveaux les plus bas, et non les plus élevés. (Sadchikova 1960, 1974).

Igor Belyaev, de l’Université de Stockholm, a trouvé un effet génétique qui se produisait à des fréquences spécifiques. L’ampleur de l’effet ne changeait pas avec le niveau de puissance sur 14 ordres de grandeur, jusqu’à 0,00000000001 microwatts par centimètre carré. (Belyaev 1996)

Nikolai Kositksy et ses collègues de Kiev, en Ukraine, ont réaffirmé que les signaux radio externes interfèrent avec les signaux internes de notre corps et que c’est le contenu informationnel des ondes radio, et non leur niveau de puissance, qui est nocif. Ils ont passé en revue 40 ans de recherches menées en Union soviétique et ont conclu : « Les effets biologiques associés à ces interactions ne dépendent pas de la puissance de l’énergie transportée dans l’un ou l’autre système, mais de l’information qui y est transportée. » (Kositsky 2001)

Ainsi, la plupart des effets des ondes radio sur notre corps ne sont pas causés par leurs niveaux de puissance mais par leurs fréquences, leurs largeurs de bande, leurs pulsations, leurs formes d’onde et tous les autres attributs qui leur permettent de transporter des informations et les rendent utiles aux téléphones portables et aux ordinateurs. C’est la nature cohérente du rayonnement et de l’information qu’il transporte qui tue. Et donc la lumière (LiFi) et tout autre porteur de la même information est tout aussi nocif, tout comme les lasers. Un laser est une lumière cohérente.

Nous avons évolué sans micro-ondes et sans rayonnement cohérent. Le rayonnement micro-ondes du Soleil n’est pas cohérent, n’est pas centré sur une fréquence particulière, varie au total de .0000001 W/cm2 à 0,0001 W/cm2 lorsque le Soleil est le plus actif, et nous n’y sommes exposés que pendant la journée ; la nuit, seules les micro-ondes des étoiles, beaucoup plus faibles, atteignent la Terre.

Les êtres vivants ne devraient jamais entrer en contact, ou se trouver à proximité, d’une source de rayonnement cohérent, ou d’une source de rayonnement micro-ondes. Ni le WiFi, ni le Bluetooth, ni les moniteurs pour bébés, ni les fours à micro-ondes, ni les téléphones portables. Pas même pour quelques secondes. Les téléphones portables, en raison de leur omniprésence et de leur proximité avec le corps, sont de loin les plus nocifs pour la santé, la société et la planète.

Nombre de personnes souffrant de :

Des troubles de la tête : 4 milliards (Stovner 2022)

Douleurs chroniques : 2 milliards (Antunes 2021)

Maladies du cerveau : 1,3 milliard (American Brain Foundation 2022)

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  • Smirnova, M. I. et M. N. Sadchikova 1960. Détermination de l’activité fonctionnelle de la glande thyroïde au moyen d’iode radioactif dans les travaux avec des générateurs UHF. In The Biological Action of Ultrahigh Frequencies, A. A. Letavet et Z. V. Gordon, eds, Académie des sciences médicales, Moscou. JPRS 12471, p. 47-49.
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  • Swenson, J. E. et al. 1999. Effects of ear-tagging with radiotransmitters on survival of moose calves. Journal of Wildlife Management 63(1):354-58.
  • Szyjkowska, A. et al. 2005. Symptômes subjectifs liés à l’utilisation du téléphone portable – une étude pilote. Polski Merkuriusz Lekarski 19(112):529-532, en polonais.
  • Velayutham, P. et al. 2014. Perte auditive à haute fréquence chez les utilisateurs de téléphones mobiles. Indian Journal of Otolaryngology and Head & Neck Surgery 66:S169-S172.
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  • Zwamborn, A. P. M. et al. 2003. Effects of Global Communications System Radiofrequency Fields on Well Being and Cognitive Functions of Human Subjects with and without Subjective Complaints. Rapport TNO, FEL-03-C148. La Haye.

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Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg

Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques. (CEM) De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison.
Il est l’auteur du livre The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life, par Arthur Firstenberg, AGP Press, 2017, 559 pages.
Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des CEM. Arthur est aussi webmestre de l’excellent site cellphonetaskforce.org




L’enquête australienne Covid 2.0

[Sources : @Q…uestions @Roms17]

L’enquête COVID 2.0 est une enquête multipartite et non parlementaire qui s’est tenue le 17 août 2022. L’enquête COVID 2.0 fait suite à l’enquête COVID «Under Question», qui avait pour but d’examiner les violations de la relation médecin-patient et la mainmise des organismes de réglementation de la santé et des médicaments en Australie.

Des témoins d’horizons divers ont présenté des preuves personnelles et scientifiques choquantes et révélatrices. La journée d’interrogatoire, de 8h à 19h30, a été diffusée en direct et les enregistrements de tous les témoins sont disponibles.
Source vidéo➡️ https://rumble.com/v1guy41-covid-inquiry-2.0-1-introduction-and-welcome.html

Introduction avec le Sénateur Malcolm Roberts



Contexte et Données avec Brook Jackson

Brook Jackson était directrice régionale de «Ventavia Research Group». Cette société a été engagée par Pfizer pour fournir trois sites de test de phase 3 pour l’essai du vaccin.
Ses tâches consistaient notamment à s’assurer que les rapports d’événements indésirables graves étaient soumis en temps voulu.
Elle trouve énormément d’anomalies qu’elle signale à FDA et se fait licencier 6 heures plus tard.






Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion

[Source : Civitas]

[Voir aussi :
UDT Civitas 2022 : transcription de la conférence de Mgr Viganò et de ses réponses aux questions des participants]

[Voir aussi :
Une emprise sur l’Humanité
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




Cyber-naufrage (le djihad du néant)

[Source : LHK]

« La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps.
La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression.

Supprimer le mot “mademoiselle” est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien.

Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilités d’élaborer une pensée.

Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions.

Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée, rendue impossible.

Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe.

L’histoire est riche d’exemples et les écrits sont nombreux de Georges Orwell dans 1984 à Ray Bradbury dans Fahrenheit 451 qui ont relaté comment les dictatures de toutes obédiences entravaient la pensée en réduisant et tordant le nombre et le sens des mots.

Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots.

Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants : faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants.

Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté. Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses “défauts”, abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. Il n’est pas de liberté sans exigences. Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté ».

Christophe Clavé

Cyber-naufrage (le djihad du néant)

Par Slobodan Despot

Nous raisonnons, nous analysons, nous « cherchons », mais nous ne pensons plus. Une science du contrôle et de la communication a transformé le réel en un ensemble de séquences narratives dont il est défendu de s’écarter. D’où ce sentiment que nous avons parfois d’être embarqués à bord d’un train fou.

«Nous n’avons jamais été aussi peu préparés à une catastrophe évidente comme une montagne ; c’est parce que les gens qui sont aux manettes l’ont fait advenir par des actes combinés de malice et de stupidité.»

James Howard Kunstler

Liliane Held-Khawam a récemment eu l’excellente idée de présenter et de republier une réflexion dévastatrice sur la nature de la cybernétique comme science et comme idéologie.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/31/la-guerre-livree-a-lhumanite-la-cybernetique-article-de-stephane-zagdansk/

Un essai de Stéphane Zagdanski, paru en novembre 2021, est tiré du Séminaire sur «La Gestion génocidaire du Globe». «La Cybernétique à l’assaut de l’Homme» est une mise en garde d’une extrême violence contre une religion scientifique qui rêve de se substituer à Dieu et qui manifeste une haine absolue de tout ce qui est vivant, «animal», inquantifiable. Zagdanski souligne — comme nous le faisions en 2020 — que «la crise pandémique contemporaine et sa réaction idéologique qu’est le sanitarisme même sont impensables sans la Cybernétique».
Comme les autres phénomènes de la société industrielle avancée:

« Définie par son fondateur Norbert Wiener en 1948, dans son essai éponyme, comme : “Contrôle et communication dans l’animal et la machine”, la Cybernétique s’est déployée de manière si hégémonique qu’il n’est plus aujourd’hui un domaine intellectuel, social, politique, économique, scientifique, technologique ou idéologique qui n’y soit asservi. »

Stéphane Zagdanski

HAINE DU VIVANT

Je ne vais pas reproduire ici le texte de Zagdanski in extenso, mais il faut le lire. Il n’est pas une phrase, dans cette description d’un «assaut» concerté contre l’être humain, qui ne perturbe les idées reçues et qui ne provoque la réflexion.

«Le mot “cybernétique” est de la même étymologie grecque que “gouvernail“ et “gouverner“ : kubernetikè. La Domination planétaire tire ainsi le plus imparable parti de la Cybernétique, qui n’est pas tant la science des ordinateurs que la modalité moderne, mathématiquement assistée, de ce que Heidegger nomme la Führung, c’est-à-dire la direction impulsée par les «chefs» (les Führers), et de sa doublure d’animosité et d’annihilation à l’encontre de l’animal.»

Stéphane Zagdanski

Pourquoi ce désir d’annihilation?

À cause de la supériorité physique de l’animal sur l’homme, témoignant d’une perfection échappant à tout contrôle et à tout simulacre. Par extension, la part naturelle (ou divine) de l’homme doit elle aussi être annihilée.

«L’irrégulier, l’incertain, le miracle et l’imprévisible sont ses pires ennemis. Et ce que cette science qui se veut exacte vise à son insu, c’est d’emblée ni plus ni moins ce qu’il y a de plus imprévisible au monde: l’inspiration, soit la vraie pensée créatrice qui n’a rien à voir avec l’intelligence, artificielle ou pas.»

Stéphane Zagdanski

(…)

Nous retombons sur le diagnostic à l’emporte-pièce du Dr Peterson : nous sommes dérangés et (littéralement) dégénérés.

Mis en demeure de réfléchir pour de bon, l’homme cybernétique produit des raisonnements d’un simplisme infantile, s’immerge dans la dérive émotionnelle et bafoue les lois élémentaires de la logique et de l’argumentation. Il n’est pas programmé pour ça. Sa pensée vivante a été laissée en jachère. Et l’ironie suprême, c’est que les plus estropiés, souvent, sont justement les mieux «instruits», comme le relève Zagdanski:

«Le point aveugle de ces maniaques, c’est leur concept de base, ce qu’ils appellent “l’intelligence”. Car leur conception de l’“intelligence” n’est jamais remise en question par les promoteurs de l’IA, qui proviennent tous toujours du même sérail mathématico-scientifique (le MIT principalement), capable de bien des choses (ils envoient des hommes sur la lune et des drones sur Mars), mais de penser créativement, jamais. (…) C’est de la caboche de ces centaines d’intelligents utiles du MIT qu’est issue l’immonde figure du monde dans lequel nous sommes engeôlés aujourd’hui.»

Stéphane Zagdanski

[Voir aussi :
Une emprise sur l’Humanité]

À BROUTER DU FOIN

Il y a quelques années encore, ou même en 2020 lorsque nous essayions de comprendre l’avalanche de bêtise engendrée par le Covid à la lumière de la révolution technologique, ce texte eût semblé partial et excessif. Mais aujourd’hui, l’«immonde figure du monde» où nous sommes «engeôlés» nous impose sa grimace de quelque côté que nous tournions le regard — et si nous ne la voyons pas à l’heure qu’il est, c’est que nous ne sommes déjà plus du côté des spectateurs, mais du spectacle. Les illustrations abondent ces derniers temps, notamment dans les propositions d’économie d’énergie pour «faire la nique à Poutine» (comme celle consistant à favoriser la transition vers l’automobile électrique par la taxe carbone sans se demander d’où vient le courant !). Mais nous nous contenterons de deux cas exemplaires de cette semaine.

Le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach (celui qui ressemble à une autruche hystérique ayant avalé une seringue de travers), déclare en substance que la vaccination protège du Covid d’autant mieux qu’elle ne marche pas! L’argument est que les personnes piquées développent rapidement des symptômes et restent à la maison, tandis que les personnes non piquées développent des symptômes plus lentement — bref, elles sont plus résistantes.
Ensuite, la perle de la semaine, du mois et peut-être du siècle. La désormais légendaire Liz Truss, favorite à la succession de Boris Johnson, était interrogée par un journaliste :

«Confronté à cette tâche (recourir aux armes nucléaires), je me sentirais physiquement malade. Et vous,qu’est-ce que cela vous fait?» «L’air plutôt impassible», rapporte la presse, Liz Truss répond: «Je crois que c’est une tâche importante du Premier ministre et j’y suis prête.»

Le journaliste, un peu choqué, insistant pour avoir son sentiment, elle répète, mécaniquement: «Je suis prête.» Dans la vidéo de l’entretien, on entend l’audience applaudir… Qu’y a-t-il de commun entre ces deux déclarations, outre leur tonitruante bêtise et leur sidéral déni de réalité?

L’insensibilité à la situation concrète en premier lieu. La conclusion logique au sujet des vaccins, qui sauterait aux yeux de n’importe quelle personne dotée de bon sens, est écartée a priori par le «compétent» Lauterbach.
Des esprits suspicieux vous diront que tout cela n’est que comédie, que ces gens savent très bien ce qu’ils font et qu’ils vous prennent pour des bourriques, que de toute façon ils ne sont que des acteurs sans aucun pouvoir chargés d’amuser la galerie. Je ne le pense pas, à l’exception éventuelle de ce dernier point. En effet, ces maniaques du contrôle ne contrôlent rien à l’échelon stratégique qui est le leur, d’où leur obsession, calamiteuse, du micromanagement jusqu’à l’absurde. Pour le reste, hélas, je crains qu’ils ne croient vraiment à leurs calembredaines. Ces gens sont souvent bardés de diplômes prestigieux, ont passé la moitié de leur vie à «étudier», ou plutôt à prouver leur conformité aux canons idéologiques en place, mais ils sont irrémédiablement stupides. Stupides «à brouter du foin», comme l’on dit chez les paysans du Valais.

  • • Notule. Ayant travaillé dans une période de ma vie dans le milieu politique, j’ai pu m’en assurer de première main. J’y ai croisé des armées d’apparatchiks rusés, habiles, éloquents, capables de machinations balzaciennes, mais des esprits qui pensent, très rarement. Leur trajectoire en politique est généralement météorique et conflictuelle, car elle perturbe gravement le système. De manière générale, il me semble que les derniers politiques capables de penser par leur propre tête ont quitté la scène au tournant des années 2000. Ils avaient reçu une éducation humaniste dans une civilisation précybernétique.

Ceci nous amène au second exemple, le cas Liz Truss. Je suis convaincu que si l’on avait posé la
même question à une serveuse de restaurant ou à un mécanicien automobile, ces personnes auraient refusé de répondre ou au moins exigé des précisions: «dans quelle situation?»

De fait, l’usage de l’arme nucléaire est extrêmement codifié et la réponse à la question du journaliste ne peut se résumer à oui-non. Un État doté d’une force de dissuasion doit faire savoir qu’il ripostera immanquablement, si, et seulement si, il fait face à une menace existentielle. Envisager d’agir en «première frappe», en revanche, est un jeu dangereux qui peut très mal se terminer. C’est pourquoi le contexte est essentiel. Il y a quelques mois, les Britanniques avaient été pris d’hystérie lorsqu’une télévision russe a montré l’effet d’un missile «Sarmat» (hypersonique et inarrêtable) sur leur île: en quelques minutes, elle disparaîtrait de la surface de la Terre. Au lieu de les faire réfléchir, de telles mises en garde n’ont conduit qu’à… Liz Truss!

Avec sa déclaration, elle a fait savoir au monde que le Royaume-Uni allait probablement être gouverné par une idiote irresponsable. Et le plus préoccupant, avec ce dérapage, est qu’il a été applaudi par l’assemblée!

COMME SUR DES RAILS

Ces bouffons à grelots ne sont pas des cas marginaux, ce sont des ministres et des représentants typiques de l’élite dirigeante — et nous n’irons pas égrener le bestiaire étasunien, ce serait une encyclopédie. Que leur pouvoir soit réel ou non, ils occupent le haut du panier, avec voitures et avions de fonction, présence médiatique continue, secrétariats pléthoriques, honneurs et prébendes. Pourtant, leur dogmatisme répétitif et buté fait penser à l’obstination d’une tondeuse robotique confrontée à un obstacle imprévu (encore que certaines tondeuses «savent» le contourner). Par mimétisme social, toute la pyramide descendante règle son comportement sur eux, même si elle n’en pense pas moins: quand le pacha zézaye, le sous-fifre s’invente un défaut de prononciation, on le sait depuis Molière et Gogol. Ces cas spectaculaires ne sont que les symptômes irréfutables d’une société devenant incommensurablement stupide, travaillant contre la raison, contre l’humain et contre elle-même. En l’occurrence, il s’agit d’une stupidité non pas spontanée, mais apprise, donc enseignée. La lecture des maniaques cybernéticiens, ou celle des observateurs aigus comme Roszak ou Zinoviev, nous permet de pointer, parmi bien d’autres facteurs, une colossale erreur système, inscrite dans la «science» même qui organise la société de l’information.

Lorsque Lauterbach invente son justificatif ubuesque pour les vaccins, lorsque Truss balance son «je suis prête!» sans avoir vraiment entendu la question, ces gens réagissent en réalité comme des machines cybernétiques: contrôle et communication! Chacun s’aligne sur un «narratif», autrement dit un scénario mécanique inspiré par le consensus général et mis au point par des équipes de communicants. Ici, le salut sans alternative par les vaccins, là, le scénario imposé par Boris Johnson et ses maîtres néoconservateurs d’une guerre à outrance et sans alternative contre la Russie.

À l’intérieur de ce canevas, des adaptations tactiques sont possibles, mais la ligne générale est immuable, quoi qu’il arrive. Ce ne sont plus des êtres pensants, ce sont des bolides lancés sur des rails, sans frein, sans voie de dégagement et sans marche arrière. Là où règne la communication, là où le message crée la réalité, là où les spin doctors sont les ventriloques des élus, la raison n’est plus aux commandes. Elle cède le pas au volontarisme inflexible et aveugle de la cybernétique.

Slobodan Despot, Antipresse

Infos complémentaires//AJOUTS LHK

États-Unis : La députée Jackie Walorski travaillait
avec Anne Heche pour mettre fin au trafic sexuel d’enfants.
Walorski a été tuée dans un accident de voiture
la semaine précédant celle Anne Heche (11.08.22)
qui s’était récemment exprimée
sur « l’épidémie » de trafic sexuel d’enfants à Hollywood.



Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres

[Source : numidia-liberum]

Les professionnels de la santé qui approuvent les hormones sexuelles croisées et les bloqueurs de la puberté chez les enfants seront tenus responsables de la maltraitance des enfants et de fautes professionnelles médicales. Les professionnels de la santé qui poussent les chirurgies transgenres et les mutilations génitales sur leurs patients seront bientôt l’objet d’une vague de poursuites judiciaires.

Ci-dessus, lors d’une émission de la BBC destinée aux jeunes
sur la transition de genre.
Voir des parents furieux critiquer l’émission de changement de sexe de la BBC « dommageable » destinée aux enfants de six ans

Prenez par exemple Jay Langadinos, 19 ans. En mai 2010, cette femme australienne a demandé l’aide professionnelle d’un psychiatre nommé Dr Patrick Toohey. Après une seule rencontre, le psychiatre a programmé Jay pour un traitement hormonal et deux interventions chirurgicales majeures pour lui enlever les seins et l’utérus. L’endocrinologue de Jay, le professeur Ann Conway, craignait que Jay soit « très jeune » et ait donc besoin « d’un bilan psychiatrique approfondi avant de se lancer dans un traitement hormonal ».

Mais le psychiatre Dr Patrick Toohey n’a pas fourni d’évaluation psychiatrique approfondie et n’a pas pris le temps d’écouter son patient. Après une seule rencontre, il prescrit des hormones synthétiques, forçant Jay à développer des caractéristiques sexuelles masculines secondaires. Les chirurgies de mutilation ont suivi peu de temps après, en commençant par une double mastectomie. Alors que Jay n’avait que 22 ans, son psychiatre a approuvé une hystérectomie, écrivant qu’il n’y avait pas de « contre-indication psychiatrique à procéder à l’hystérectomie dans le cadre de la transition sexuelle ».

Une décennie plus tard, Jay ne s’identifie pas comme un homme, une hypothèse qui lui a été imposée à un jeune âge. Aujourd’hui, elle poursuit le psychiatre pour négligence professionnelle.

Les jeunes qui ont été mutilés dans le transgenre commencent à revenir à eux-mêmes

À l’âge de dix-neuf ans, Jay dit avoir dit au médecin qu’elle souffrait de phobie sociale, mais ce problème a été ignoré. Si les psychiatres prenaient un peu de temps et s’attaquaient à la racine du problème, alors l’hormonothérapie et les chirurgies sexo-spécifiques ne seraient même pas envisagées. Les hormones et les procédures que Jay a subies ont finalement causé une ménopause précoce, une altération du fonctionnement psychologique, une profonde anxiété et une dépression. Elle voulait finalement avoir des enfants, mais ne le pouvait pas. Maintenant, elle tient le médecin responsable de ne pas lui avoir recommandé d’obtenir un deuxième avis avant que l’hystérectomie ne soit pratiquée.

Les sentiments, les envies et les pensées de la jeunesse sont complexes et éphémères, mais rien de tout cela ne doit les définir pour la vie — à moins que cela ne soit poussé trop loin. Le genre de naissance est sacré et doit être préservé et affirmé en premier. Jay se souvient avoir été confus au sujet de sa sexualité et de son sexe après être allé en ligne et avoir appris la dysphorie de genre.

« En raison de la définition de la dysphorie, j’ai pensé : » C’est ce que j’ai. « J’ai décidé que je devais être transgenre à cause de l’inconfort que j’avais dans mon corps », a déclaré Langadinos.

Mais après avoir tiré une conclusion erronée sur son identité, elle n’a pas été guidée dans la bonne direction. Lorsqu’elle a cherché une aide psychiatrique, elle a été affirmée dans sa confusion et encore plus persuadée d’accepter une identité qui n’était pas vraiment la sienne. Au fur et à mesure que le traitement hormonal a pris effet, cela l’a rendue encore plus malheureuse, et elle a cherché d’autres changements pour se « réparer » et trouver une sorte de bonheur intérieur.

« Au fur et à mesure que mon malheur grandissait, j’ai senti que la cause de mon malheur était parce que je n’étais pas un homme, donc la réponse était de changer encore plus mon corps », a déclaré Langadinos. « J’ai eu une dépression, je n’ai pas pu fonctionner pendant une année entière. Je ne pouvais pas sortir du lit. J’aurais aimé savoir à l’époque à quel point j’avais mal et pourquoi. »

Des professionnels de la santé commencent à dénoncer la maltraitance sexuelle des enfants et les mutilations génitales

Les victimes de la transition de genre se lèvent et racontent leurs histoires. Ces expériences de première main motivent davantage de professionnels de la santé à défendre les enfants qui sont la proie du trans-activisme, des délires de genre, des hormones synthétiques et des mutilations génitales. Le Dr Quentin Van Meter, président de l’American College of Pediatricians, a qualifié les bloqueurs de la puberté de « maltraitance des enfants » dans une interview avec LifeSiteNews.

« Si vous interrompez cela avec clairement l’intention de ne jamais le faire aller dans la direction que la nature a voulue, avec des mâles biologiques devenant des mâles adultes et des femelles biologiques devenant des femelles adultes, si vous interrompez cela, vous créez essentiellement un état de maladie incurable », a déclaré Van Meter. « Et en plus de cela, le but est clairement dans la grande majorité des enfants qui obtiennent des bloqueurs de puberté, ils ne seront pas autorisés à traverser leur propre puberté naturelle. Ils seront retenus puis recevront des hormones sexuelles croisées (cross-sex). »

Le Dr Van Meter a déclaré que les bloqueurs de la puberté sont une porte d’entrée vers la mutilation chirurgicale de parties saines du corps et qu’ils ont de nombreux effets secondaires à court et à long terme.

« C’est donc un tapis roulant. Et une fois que ce patient est placé sur le tapis roulant de bloqueurs de la puberté, ils sont transportés le long de la chaîne de montage vers les hormones sexuelles croisées. Et puis à la fin, avoir la possibilité de faire une intervention chirurgicale pour mutiler leur corps pour apparaître comme le sexe opposé. »

Sources :

Un exemple : « J’ai subi un lavage de cerveau par la communauté trans »
La victime, désignée le nom de Shape Shifter, 32 ans, est né homme, est passé à femme, mais est ensuite revenu 

  • Les chirurgies l’ont laissé sans pénis, tandis que son «néo-vagin» a entraîné une foule de problèmes médicaux
  • Shape Shifter continue d’avoir les cheveux longs et de se maquiller, car il dit qu’il aime arborer une apparence féminine  
  • S’adressant à Blaire White, 28 ans, elle-même transgenre, Shape avertit les autres qui pourraient envisager de faire la transition de bien réfléchir à leurs options à l’avance
  • Il pense que ceux qui sont maintenant en transition sont rejetés par la communauté médicale et souvent considérés comme des « patients difficiles ». 
  • Shape pense que beaucoup de gens envisageraient de se faire opérer en premier lieu s’ils connaissaient les complications possibles et les regrets qui peuvent s’ensuivre
  • Mais il pense que ce serait «mauvais pour les affaires» si les chirurgiens faisaient allusion à de telles réalités

Un détransitionneur a raconté comment il avait subi un «lavage de cerveau» pour subir une opération de changement de sexe après s’être cru être une femme piégée dans le mauvais corps.
Sous le nom de Shape Shifter, l’homme de 32 ans qui vit dans le Massachusetts a grandi dans un pays musulman des Balkans où même être gay était mal vu, mais il croyait que s’il devenait une femme, il se sentirait enfin heureux avec lui-même.
Il a reçu une lettre de recommandation de Fenway Health dans le Massachusetts, qui, selon lui, a été reprise par des militants pro-trans biaisés.
La chirurgie elle-même a été réalisée par le Dr Sherman Leis du Philadelphia Center for Transgender Surgery. Leis est considéré comme le chirurgien de changement de sexe le plus expérimenté des États-Unis.
Mais peu de temps après la fin de l’opération en 2015, au milieu de la vingtaine, Shape Shifter s’est rapidement rendu compte qu’il avait commis une terrible erreur et qu’il n’était qu’un homosexuel qui aimait se présenter de manière féminine.
Les procédures qu’il a subies — qui incluent l’ablation de son pénis et la création d’un « néo-vagin » — sont irréversibles.
Ils l’ont laissé avec de l’ostéoporose, une scoliose, un «vagin» que son corps croit être une blessure et qu’il essaie de refermer, ainsi qu’une foule de problèmes de santé mentale, notamment la dépression et une baisse de la libido. 
Shape Shifter croyait que faire le premier pas vers une femme le rendrait enfin heureux dans son propre corps.
Mais il a fini par se sentir encore plus déprimé qu’avant l’opération, réalisant finalement qu’il était simplement un homme qui aimait exprimer sa féminité. 

Il porte toujours du maquillage et a les cheveux longs, mais dit que les hommes comme lui doivent être encouragés à se sentir à l’aise dans leur féminité, sans se sentir obligés de faire une transition médicale.  

Par James Gordon pour Dailymail.com (extraits)


Le rejet des LGBT augmente en Russie pendant qu’il diminue en Amérique

Alors même que l’Amérique s’effondre, la Russie renforce son sens des valeurs familiales traditionnelles…

Il y a quelques années, je parlais à une femme des raisons pour lesquelles ma famille avait quitté l’Amérique et déménagé en Russie. Je lui ai parlé de la tendance des homosexuels à persécuter les chrétiens, et j’ai dit qu’en Amérique, les choses ne font qu’empirer.

Sa réponse ? Elle a dit: « Bientôt nous viendrons dans un pays près de chez vous ! »

Elle croyait vraiment que si l’Amérique descendait en enfer, alors la Russie devait aussi tomber en enfer. Elle ne pouvait tout simplement pas imaginer la possibilité qu’une nation puisse se repentir et faire de meilleurs choix que l’Amérique.

J’ai entendu des commentaires similaires de la part d’autres personnes à de nombreuses reprises. Les gens voient le déclin moral en Amérique progresser à une vitesse vertigineuse. Ils ne le contestent pas. Mais pour une raison quelconque, ils sont centrés sur l’Amérique dans leurs hypothèses géopolitiques. S’il y a une tendance négative en Amérique, ils supposent (sans preuve) que les mêmes choses négatives se produisent partout dans le monde.

Le mythe : « Si ça se passe en Amérique, ça doit se passer partout ! »

La vérité : la Russie et l’Amérique évoluent dans des directions opposées.

L’Amérique a jeté à terre les valeurs familiales traditionnelles, tandis que la Russie revient à ses racines, de plus en plus traditionnelle sur les questions liées au mariage et à la famille.

Selon des sondages d’opinion menés par le Centre Levada, ces dernières années, la tendance en Russie a été fermement opposée à la communauté homosexuelle, choisissant plutôt de soutenir le mariage traditionnel et les valeurs familiales traditionnelles.

Un sondage de 2019 a révélé que 47 % des Russes étaient favorables à l’égalité des droits pour les homosexuels et les lesbiennes, un peu moins que les 51 % qui avaient soutenu l’égalité des droits en 2005. Le sondage de 2019 indiquait que 43 % des Russes étaient opposés à l’égalité des droits pour les homosexuels. .

Deux ans plus tard, des recherches en 2021 ont révélé que les chiffres se sont considérablement améliorés. Aujourd’hui, seulement un tiers des Russes (33 %) pensent que les homosexuels et les lesbiennes devraient avoir les mêmes droits que les autres citoyens russes. Cet indicateur a nettement diminué par rapport à 2019. Et 59 % pensent que les homosexuels et les lesbiennes ne devraient pas avoir les mêmes droits — une augmentation notable depuis 2019.

Bref, voici la tendance — lorsqu’on demande aux Russes s’ils soutiennent l’égalité des droits pour les homosexuels, ils répondent ainsi :

2019 — Oui (47 %) — Non (43 %)
2021 — Oui (33 %) — Non (59 %)

Sans aucun doute, c’est une amélioration très encourageante.

Pendant ce temps, 25 ans de sondages Gallup en Amérique ont révélé une tendance écrasante à la débauche et à la destruction des familles traditionnelles :

Ces sondages ont été réalisés en Amérique, au cours des années 1996 à 2022. Lorsqu’on a demandé aux Américains s’ils soutenaient l’égalité des droits pour les homosexuels, ils ont répondu ainsi :

1996 — Oui (27 %) — Non (68 %)
2019 — Oui (63 %) — Non (36 %)
2021 — Oui (71 %) — Non (28 %)

Ainsi, les tendances pour la Russie et l’Amérique sont diamétralement opposées. Alors même que l’Amérique s’effondre, la Russie renforce son sens des valeurs familiales traditionnelles.

Fr. Joseph Gleason 




Fauci et le Quotidien du médecin font la publicité pour un vaccin contre la variole du singe sans efficacité démontrée

Par Dr Gérard Delépine

Dans un éditorial du « New England Journal of Medicine »(([1] H. Clifford Lane and Anthony S. Fauci Monkeypox—Past as Prologue
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2210535)) repris par « le quotidien du médecin »,(([2] Elsa Bellanger Variole du singe, une épidémie limitée aux HSH ? La « ressemblance frappante » avec le VIH exige la vaccination, avertit le Dr Fauci Le quotidien du médecin 25/08/2022)) le Dr Fauci, grand responsable de l’échec catastrophique de la stratégie covid US, reprend son rôle de représentant de commerce des fabricants de vaccins et n’hésite pas à proclamer à propos de la variole du singe : la « ressemblance frappante avec le VIH exige la vaccination ».

Comment peut-il comparer la variole du singe, maladie parfaitement bénigne, au Sida qui a tué plus de 32 millions de personnes dans le monde ?

Comment peut-il recommander un vaccin qui n’a pas prouvé qu’il était efficace contre la variole du singe ?

Comment peut-il invoquer le Sida pour exiger la vaccination alors que cette maladie représente le modèle d’échec de la vaccination ?

Comment peut-il oublier de rappeler aux personnes à risque que le meilleur traitement est la prévention par l’hygiène ?

Comparer la variole du singe au sida est inapproprié.

L’un tue, l’autre pas. À ce jour, le Sida a tué plus de 32 millions de personnes dans le monde. Au contraire en Occident la variole du singe est une maladie bénigne comparable aux fièvres éruptives bénignes de l’enfant. D’après le dernier rapport de l’OMS(([3] OMS Multi-country outbreak of monkeypox External Situation Report 4, published 24 August 2022
Data as received by WHO national authorities by 5 p.m. CEST, 22 August 2022.)), sur plus de 41 000 malades recensés en Europe et aux USA on ne comptait au 27/8/2022 que 4 décès (0,01 %) et ces décédés souffraient déjà de maladies potentiellement mortelles comme le Sida ou des problèmes cardiaques.

Aucun vaccin n’a prouvé son efficacité contre la variole du singe, humaine

D’après le centre de contrôle gouvernemental des maladies infectieuses américain (CDC) :

« aucune donnée n’est actuellement disponible sur l’efficacité clinique ou l’efficacité des vaccins JYNNEOS ou ACAM2000 dans l’épidémie actuelle. »

« Étant donné que nos connaissances sur l’efficacité de ces vaccins dans l’épidémie actuelle sont limitées, les personnes vaccinées doivent continuer à prendre des mesures pour se protéger contre l’infection en évitant tout contact étroit, peau à peau, y compris le contact intime, avec une personne qui a la variole du singe. »(([4] https://www.cdc.gov/poxvirus/monkeypox/considerations-for-monkeypox-vaccination.html))

De plus les vaccins de seconde génération ne sont pas dénués de risque :

« Risque documenté de myocardite après la réception des vaccins ACAM2000 et risque inconnu de myocardite après JYNNEOS. »(([5] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/JYNNEOS-orthopoxvirus-primary-pq1-2))

« La prévalence incertaine de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou d’autres formes d’immunosuppression dans les zones d’endémie du monkeypox présente un risque de complications vaccinales graves, notamment l’eczéma vaccinatum(([6] Reed JL, Scott DE, Bray M. Eczema vaccinatum. Clin Infect Dis. 2012 Mar; 54(6):832-40

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22291103/)) et la vaccine évolutive. Ce dernier effet indésirable entraîne généralement la mort par la réplication incontrôlée du virus de la vaccine.(([7] Bray M, Wright ME. Progressive vaccinia. Clin Infect Dis. 2003 Mar 15; 36(6):766-74. doi: 10.1086/374244. Epub 2003 Feb 20. PMID : 12627361.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12627361/))

IMVAMUNE est un vaccin antivariolique de troisième génération qui a été testé chez des personnes infectées par le VIH et chez des personnes atteintes de dermatite atopique lors de six essais cliniques publiés qui ont démontré sa sécurité dans ces maladies. Contre le monkeypox, l’efficacité d’Imvamune a été démontrée sur des animaux, mais elle n’a jamais été l’objet d’essais randomisés chez l’homme. Imvamune reste donc expérimental, même si les agences ont autorisé sa mise sur le marché.

En France, l’objectif de l’expérimentation vaccinale, qui doit durer une quinzaine de jours, vise notamment à tester la logistique d’un vaccin anti-variole qui doit être maintenu à -80 °C puis, une fois décongelé, ne peut être conservé que pendant quinze jours dans les réfrigérateurs.(([8] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/variole-du-singe/vrai-ou-fake-la-campagne-de-vaccination-contre-la-variole-du-singe-est-elle-trop-lente-pour-controler-l-epidemie-comme-l-affirme-sandrine-rousseau_5305306.html))

Comment Fauci, Sandrine Rousseau et de si nombreuses associations(([9] https://www.leparisien.fr/societe/sante/variole-du-singe-dans-une-tribune-elus-et-associations-reclament-une-commission-denquete-02-08-2022-NLP3WGMYSFDXBJSVYEVULEIVHE.php)) peuvent-ils affirmer que la vaccination permettrait de juguler l’épidémie alors qu’il n’est pas démontré qu’elle soit efficace ?

Comment peut-on invoquer l’exemple du Sida pour exiger la vaccination contre la variole du singe ?

Le Sida constitue un exemple flagrant d’échec total de la vaccination malgré plus de 25 ans de recherches et les millions de dollars qui lui ont été consacrés.

L’annonce récente de Moderna sur l’arrivée prochaine d’un vaccin efficace(([10] https://www.journaldugeek.com/2022/01/31/premier-essai-clinique-pour-un-tres-prometteur-vaccin-contre-le-vih/))(([11] https://www.bfmtv.com/economie/moderna-debute-les-essais-cliniques-de-son-vaccin-arnm-contre-le-vih_AV-202108180136.html)) ressemble beaucoup à celle de Biosantech du 28 octobre 2015(([12] https://www.usinenouvelle.com/article/la-fable-de-biosantech-son-vaccin-miracle-contre-le-sida-et-la-communaute-scientifique.N359960)), affirmant que son vaccin thérapeutique “élimine le sida de l’organisme” à l’issue de tests menés sur 48 personnes, sans aucune confirmation de résultat depuis cette date.

“Que l’on arrête d’avoir des annonces de vaccins miracles à répétition. C’est très déstabilisant pour les personnes touchées”, implore AIDES.(([13] https://www.aides.org/))

Prendre l’exemple du Sida pour “exiger la vaccination” contre la variole du singe est donc particulièrement inadéquat !

Si on veut protéger les personnes à risque, il faut leur répéter que la meilleure prévention est l’hygiène et en rappeler les modalités

En France 99 % des plus de 2600 malades de la variole du singe sont des homos ou bisexuels masculins comme aux USA et dans le reste du monde occidental.

La Haute Autorité de Santé énumère d’ailleurs ainsi les groupes à risque(([14] https://has-sante.fr/jcms/p_3351443/fr/monkeypox-une-vaccination-preventive-proposee-aux-personnes-les-plus-a-risque-d-exposition)):

les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle”.

Mais pour éviter toute stigmatisation de ces communautés, les médias ne communiquent pas sur ces caractéristiques actuelles de l’épidémie. Pourtant pour éviter une panique injustifiée, il serait utile de préciser :

si vous n’appartenez pas à ces groupes à risque et si vous n’avez pas de contact avec eux, vous n’avez actuellement aucun risque d’attraper la variole du singe.”

La variole du singe, généralement bénigne, guérit le plus souvent spontanément en 2 à 3 semaines, mais au prix parfois de douleurs intenses qui peuvent même justifier l’hospitalisation. Quand on appartient à un groupe à risque, il vaut donc mieux éviter d’attraper la maladie et pour cela connaître les modes de transmission et respecter des règles d’hygiène simples.

Le contact peau à peau direct et les contacts sexuels sont les vecteurs essentiels de transmission de la maladie, mais la contamination par les draps ou vêtements infectés, quoique rare, est possible.

L’OMS par la voie du Dr Tedros(([15] https://www.bfmtv.com/sante/variole-du-singe-l-oms-conseille-aux-groupes-a-risque-de-reduire-le-nombre-de-partenaires-sexuels_AD-202207270559.html)) a clairement conseillé aux hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes — de réduire le nombre de partenaires sexuels et échanger des informations avec tout nouveau partenaire pour être en mesure de les contacter » en cas d’apparition de symptômes, pour qu’ils puissent s’isoler.

Les autorités sanitaires de San Francisco recommandent « d’éviter les contacts cutanés ou de partager son lit avec un étranger tant que l’épidémie dure ».

Celles de New York(([16] https://www.health.ny.gov/diseases/communicable/zoonoses/monkeypox/)) de :

« Demandez à vos partenaires sexuels s’ils ont une éruption cutanée ou d’autres symptômes compatibles avec le monkeypox. Évitez tout contact peau à peau avec une personne qui présente une éruption cutanée ou d’autres symptômes liés à la variole du singe ».

Grâce aux associations des groupes à risques, ces mesures de précautions sont de mieux en mieux suivies et expliquent la chute récente des nouvelles contaminations observée en juillet par santé publique France(([17] https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2022/cas-de-variole-du-singe-point-de-situation-au-23-aout-2022)) et celles recensées en Europe par l’OMS.(([18] https://www.who.int/publications/m/item/multi-country-outbreak-of-monkeypox–external-situation-report–4—24-august-2022))

Les précautions d’hygiène sont sans risque, elles ne coûtent rien et font la preuve de leur efficacité.

Contre la variole du singe plutôt que de nous faire injecter des vaccins expérimentaux, pratiquez le « Safe sex ».





Le rétropédalage de Pfizer, en vue des procès ?

Par Nicole Delépine

Conscience du peuple : Pfizer publie un message sur son site qui contredit les propos de la Santé publique du Québec et du Canada (conscience-du-peuple.blogspot.com)

« Les vaccins ne sont pas indiqués pour traiter l’infection 👉ni pour réduire les complications ».

Le message selon lequel le vaccin diminuerait les « formes graves », sans cesse martelé par la Santé publique du Canada et du Québec et par Santé Publique France est FAUX.

Sur le site de Pfizer Canada, ce communiqué pourrait ressembler à une notice légale en vue de se protéger contre d’éventuelles poursuites… TROP TARD !

https://www.pfizerbiontechvaccine.ca/fr/?cmp_SEM_2022_FR :

Néanmoins le site continue à désinformer sur les effets secondaires qui seraient « rares et jamais graves » :

Doit-on leur donner les adresses des sites VAERS, MHRA, EUDRAVIGILANCE, ETC. ? Peut-on les poursuivre en justice pour désinformation grave mettant en danger la vie d’autrui… ?

PERTE DE LIBERTÉ D’EXPRESSION CHEZ LES MÉDECINS, les CHERCHEURS, les ENSEIGNANTS, etc.

Et pendant ce temps-là, le Président de Réinfo Liberté, Vincent Pavan est sanctionné par son université d’un an de suspension et de la privation de la moitié de ses traitements. « C’est angoissant pour l’honneur de l’université française », répond-il.(([1] https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/il-fallait-faire-un-exemple-vincent-pavan
Lisez absolument « le débat interdit » publié par Vincent Pavan et Ariane Bilheran.))

Cette décision vient conclure une procédure disciplinaire lancée en 2020, relative au refus de porter le masque. Elle intervient alors même que Vincent Pavan se trouve dans l’œil d’un cyclone médiatique : les panneaux jugés « antivaccins » à Toulouse, dont il est auteur avec Réinfo Covid.

COMBIEN D’ARTICLES MONTRANT NON SEULEMENT L’INUTILITÉ DU MASQUE, MAIS SA NOCIVITÉ SUR DE NOMBREUX PLANS.(([2] L’imposture du masque, outil d’enfermement — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et des centaines de médecins sont poursuivis devant l’ordre des médecins pour avoir soigné et sauvé des patients condamnés à la mort par défaut de soins ou par euthanasie au Rivotril pour les plus âgés en EHPAD, selon les ordres du pouvoir criminel.

Jusqu’à quand les Français se laisseront-ils installer dans le nouveau fascisme de Davos et de l’OMS ?

Vera Sharav nous a bien expliqué que le génocide d’Hitler avait été précédé de neuf ans de mise en condition progressive(([3] Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 Août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)):

« L’Holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz d’Auschwitz et de Treblinka. L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions progressives de la liberté individuelle et de la suspension des droits légaux et des droits civils. »

Le décor du totalitarisme criminel a été planté par une propagande nazie alarmiste et haineuse.

« Une série d’édits gouvernementaux discriminatoires et humiliants ont diabolisé les Juifs en les qualifiant de “propagateurs de maladies” et leur ont dénié leur humanité. Nous étions comparés à des poux ». (..)

La véritable maladie mentale qui a infecté l’Allemagne nazie est l’eugénisme – L’eugénisme est l’idéologie élitiste à l’origine de la plupart des génocides.

À quoi sont comparés les non-vax aujourd’hui ou ceux qui refusent d’éternels rappels, qu’il faudrait pour certains enfermés, parqués dans des caves, etc. ?

L’EFFROYABLE CATASTROPHE DES COMPLICATIONS LIÉES AU VAXX ARN

Allons-nous continuer à fermer les yeux sur nos voisins, amis et relations morts d’un AVC ou d’un cancer foudroyant, les turbo cancers qu’on n’avait jamais vus ? Hasard, coïncidence, il va falloir élargir notre vocabulaire pour nier l’évidence.. Plus on laissera faire, plus les soldats (involontaires de fait) du covidisme tomberont, victimes de leur naïveté et de leur soumission…

marco nius ⁦@NiusMarco⁩‬‬‬

Depuis le 1 er aout 3 nouveaux décès 3-11 ans déclarés par Pfizer sur Eudravigilance
1 myocardite (pas grave donc selon les covidistes, juste un décès)
1 thrombocytopénie
1 malaises divers et décès cause inconnue
Total 3-11 ans 31 décès déclarés

MÊME L’OMS LE PUBLIE. SACHONS LIRE

https://t.me/c/1509019656/5128

Et chaque jour de nouvelles victimes, du cycliste champion de VTT en Écosse mort dans son lit deux jours après son exploit au chanteur de rock britannique ZION :

« L’enquête conclut que la lésion cérébrale mortelle du chanteur de rock a été causée par le vaccin d’AstraZeneca.

Le vaccin contre la COVID-19 d’AstraZeneca a causé la “lésion cérébrale catastrophique” qui a entraîné la mort d’un chanteur de rock britannique de 48 ans deux semaines après qu’il ait reçu le vaccin, a conclu une enquête ».

Zion est mort le 19 mai 2021, malgré une intervention chirurgicale d’urgence pour tenter de traiter sa « thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin », qui provoque des gonflements et des saignements dans le cerveau.

Après sa mort, sa fiancée, Vikki Spit, 39 ans, a déclaré qu’elle n’avait passé qu’une seule nuit sans lui en 21 ans de vie commune et que sa vie avait été « brisée en mille morceaux » par sa mort, selon le Daily Mail.

Mme Spit est la première personne au Royaume-Uni à recevoir une indemnisation pour un décès dû au vaccin contre la COVID-19.

IL SUFFIT !

Aidons Mary Holland et tous les combattants pour la liberté et le respect du code de Nuremberg si chèrement acquis

Mary Holland :

« Ceux qui ont violé le code de Nuremberg doivent être poursuivis pour crimes contre l’humanité

Au cours des deux dernières années et demie, nous avons tragiquement assisté à une attaque mondiale contre le code de Nuremberg, selon la présidente de la Children’s Health Defense, Mary Holland. Nous pouvons restaurer ce fondement de l’éthique médicale… mais seulement si nous nous unissons. »(([4] Mary Holland : Ceux qui ont violé le code de Nuremberg doivent être poursuivis pour crimes contre l’humanité | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

« Depuis plus de 75 ans, le code de Nuremberg est un phare — toutes les normes médicales et juridiques sont fondées sur lui depuis 1947.

Le code de Nuremberg est le fondement de l’éthique médicale moderne.

Le code a été intégré dans le droit fédéral et le droit des États des États-Unis, et les tribunaux américains ont reconnu le code de Nuremberg comme une norme juridique universelle et internationale — à l’instar des normes interdisant l’esclavage et la piraterie.

Le code de Nuremberg existe et est applicable même si un pays, une institution ou un individu nie sa validité.

Le consentement de l’individu est absolument essentiel dans toute expérimentation médicale. Il n’y a pas d’exception.

Tragiquement, au cours des deux dernières années et demie, nous avons assisté à une attaque mondiale contre le code de Nuremberg.

Les gouvernements, les établissements médicaux, les universités et les médias ont violé le tout premier principe et tous les autres principes des 10 points du code.

Ils ont forcé des gens à devenir des cobayes humains.

Ils ont forcé des personnes, sous peine de perdre leurs moyens de subsistance, leur identité, leur santé, leurs amitiés — et même leurs relations familiales — à prendre des injections inadéquates, expérimentales et modifiant les gènes, ainsi que des tests et des dispositifs médicaux expérimentaux.

Ceux qui ont intentionnellement, sciemment et malicieusement violé les principes du code de Nuremberg doivent être punis.

Ils doivent être dénoncés, poursuivis et punis pour crimes contre l’humanité. C’est l’une de nos tâches essentielles.

Nous devons arrêter cela. Et nous devons veiller à ce que cela ne se reproduise pas.

Le résultat de l’expérimentation de masse avec les injections contre la COVID-19 est maintenant tragiquement clair : ceux qui ont été séduits ou forcés à devenir des sujets expérimentaux courent maintenant le plus grand risque de maladie, d’hospitalisation et de mort ».

« Nous devons exiger que nous ne soyons pas soumis à des expériences. Il n’est pas trop tard — en Europe ou ailleurs.

Il est en notre pouvoir de dire : “C’est fini ! Respectez et faites respecter ce code”.

Et n’oublions pas — nous sommes en train de gagner.

Le récit selon lequel ces injections fonctionnent est terminé.

Le récit selon lequel nous devons nous confiner est terminé.

Le discours selon lequel nous devons tester les personnes asymptomatiques est terminé.

Le récit selon lequel nos “dirigeants” savent ce qu’ils font est terminé.

Laissons cela nous pénétrer — #WeAreWinning !

Pourquoi ? Parce que :

• La morale est de notre côté.
• La science est de notre côté.
• La loi est de notre côté.
• Et le code historique de Nuremberg — qui incarne la morale, la science et le droit — est de notre côté.

Nous sommes en train de gagner !

Mais la victoire finale n’est pas encore assurée. Et cela dépend de nous.

Nous avons tous des amis et des proches qui ne comprennent pas ce à quoi nous sommes confrontés. Ils ne comprennent pas où ce chemin nous mène.

Nous devons être courageux et partager nos connaissances, même si nos amis et nos proches sont réticents au début.

Le courage est contagieux. Si nous pouvons repousser les mensonges et la coercition, ils le peuvent aussi. Soyez courageux !

Si nous restons fermes, d’autres se joindront à nous. Cela se produit tous les jours.

Le rétablissement d’un monde fondé sur le code de Nuremberg est à notre portée… mais nous devons nous rassembler, comme nous le faisons aujourd’hui.

Et nous devons nous assurer que toutes les institutions honorent et appliquent le code de Nuremberg.

Nous pouvons y arriver !

S’il vous plaît, joignez-vous à moi pour dire trois fois en allemand :

Wir kriegen das hin. Wir kriegen das hin. Wir kriegen das hin.

(Traduction : Nous pouvons y arriver.) »

(([5] Note de l’éditeur : Les remarques suivantes ont été faites par Mary Holland, présidente et avocate générale de la Children’s Health Defense, le 20 août à Nuremberg, en Allemagne, lors d’un événement organisé par Action Alliance, un groupe d’activistes allemands, pour commémorer le 75e anniversaire du code de Nuremberg.))

TOUS EN FRANCE NOUS DEVONS CONVAINCRE QUE NOUS POUVONS Y ARRIVER.

STOP AUX INJECTIONS EN PARTICULIER AUX ENFANTS !




Moderna porte plainte contre Pfizer et BioNTech pour violation de brevets du vaccin à ARNm

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pfizer et BioNTech « ont copié illégalement les brevets de Moderna » , selon un communiqué publié par Moderna le 26 août.
 DOMINICK REUTER, Joseph Prezioso / AFP]

L’entreprise américaine de biotechnologies Moderna a annoncé ce 26 août qu’elle portait plainte contre les géants Pfizer et BioNTech, pour violation de brevets sur l’ARN messager.

L’entreprise américaine est « convaincue que le vaccin Comirnaty de Pfizer et BioNTech contre le Covid-19 contrevient à des brevets déposés par Moderna entre 2010 et 2016 et couvrant la technologie fondamentale de l’ARN messager de Moderna », précise un communiqué de la firme.

Dès le début de la pandémie, les deux concurrents Pfizer/BioNTech et Moderna se sont lancés dans la course à la production des vaccins anti-covid, notamment en se basant sur la technologie à ARN messager. Le communiqué rapporte que la société américaine « estime que le vaccin COVID-19 Comirnaty® de Pfizer et BioNTech enfreint les brevets que Moderna a déposés entre 2010 et 2016 et qui couvrent la technologie ARNm fondatrice de Moderna ».

Accusant Pfizer et BioNTech d’avoir « copié cette technologie, sans l’autorisation de Moderna, pour fabriquer Comirnaty® », Stéphane Bancel, président-directeur général de Moderna, a affirmé que la firme compte poursuivre Pfizer et BioNtech en justice. « Nous intentons des poursuites pour protéger la plateforme technologique ARNm innovante que nous avons développée, pour laquelle nous avons investi des milliards de dollars et que nous avons brevetée au cours de la décennie qui a précédé la pandémie de COVID-19 », précise-t-il.

De son côté, la directrice juridique de Moderna, Shannon Thyme Klinger a assuré que Pfizer et BioNTech « ont copié illégalement les brevets de Moderna ». Et d’ajouter : « Moderna s’attend à ce que Pfizer et BioNTech dédommagent Moderna pour l’utilisation continue par Comirnaty® des technologies brevetées de Moderna ».

En revanche, le communiqué indique que Moderna :  

–       « ne cherche  pas à retirer Comirnaty® du marché » et « ne demande pas d’injonction pour empêcher sa vente future. » 

–        « ne cherche pas à obtenir des dommages-intérêts pour les ventes de Pfizer aux pays de l’AMC 9, c’est-à-dire les 92 pays à revenu faible ou intermédiaire qui font partie du système Covax. »

–       « ne cherche pas à obtenir des dommages-intérêts pour les ventes de Pfizer lorsque le gouvernement américain serait responsable de tout dommage »

–       « ne cherche pas non plus à obtenir des dommages et intérêts pour des activités survenues avant le 8 mars 2022. »

Plus précisément, Moderna accuse les géants Pfizer et BioNTech d’avoir « sciemment copié deux caractéristiques clés des technologies brevetées de Moderna », car aucune n’avait ni les connaissances ni l’expérience nécessaire en matière de développement du vaccin à ARN messager pour les maladies infectieuses. Selon les dires de Moderna, elles auraient tout simplement suivi l’exemple « en développant leur propre vaccin. »

Aux prémices de la production des vaccins, Pfizer et BioNTech ont décidé de faire passer quatre candidats vaccins différents en phase d’essai clinique. Mais peu après, les deux concurrents de Moderna se sont penchés « pour un vaccin dont la modification chimique de l’ARNm est exactement la même que celle du Spikevax® ». Sauf que cette technologie à ARN messager aurait été pensé par les scientifiques de Moderna dès 2010, et les essais sur l’homme ont été validés en 2015, et non pas par Pfizer.

Autres agissements dénoncés par Moderna : « Pfizer et BioNTech ont copié l’approche de Moderna pour coder la protéine Spike complète dans une formulation de nanoparticules lipidiques pour un coronavirus », dévoile le communiqué. À cela, la firme américaine a répliqué que les scientifiques de Moderna avaient déjà créé un « vaccin contre le coronavirus à l’origine du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), des années avant l’apparition du Covid-19. »

Le développement d’un vaccin est un long processus. S’agissant du vaccin contre le MERS, mentionné par le communiqué de Moderna, peu d’informations sont sorties. Comme le confirme le document de l’Organisation mondiale de la Santé daté du 5 août 2022 : « Aucun vaccin ou traitement spécifique n’est disponible actuellement. » Par conséquent, si Moderna affirme avoir développé un vaccin contre ce coronavirus, celui-ci n’a jamais fait l’objet d’une autorisation d’urgence pour vacciner la population. 

Depuis 2021 et la sortie de son vaccin à ARN messager puis de son antiviral, le Paxlovid, Pfizer a accumulé les plus gros bénéfices de toute son histoire. Selon Challenges« le chiffre d’affaires du laboratoire a bondi de 47 % pour atteindre 27,74 milliards de dollars »

Habitué des procès pour fraude, la plainte de Moderna peut-elle nuire encore à l’image de Pfizer ?

Voir aussi : Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer – Ventavia – FDA et Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid : le rapport explosif de Christine Cotton

Pour plus d’informations sur la société Pfizer, il est possible de voir cet interview de Radio Courtoisie : « Idriss Aberkane: « Pfizer, une société multirécidiviste, a truqué ses données ! » » 




Le harcèlement des opposants ne passera pas !

[Source : anthropo-logiques.org]

« À l’avenir, les dissidents seront à l’Ouest », aurait prophétisé Alexandre Solejnitsyne. Si le propos n’est pas apocryphe, le prix Nobel avait vu juste : le totalitarisme qui a colonisé les esprits dans nos contrées l’a fait avec la facilité de l’invasion allemande contournant tranquillement la ligne Maginot pour déferler sans opposition sur Paris.

La débâcle intellectuelle, politique, philosophique et éthique est poignante : l’Occident n’est déjà plus qu’un champ de ruines en plein suicide de ses valeurs, de son identité et forcément de son histoire. Comme de sa capacité de relation avec le réel.

Le propre du déferlement totalitaire, c’est justement que l’idéologie prime la réalité. Peu importent les faits, le discours délirant des élites se suffit à lui-même. Elles peuvent dire tout et son contraire, tordre le bras autant qu’elles veulent aux données et aux faits, affirmer en rafales des mensonges éhontés, who cares ? La beauté du délire est qu’il anéantit notre humaine condition et donc précisément notre soumission au réel !

Le fait est tout sauf anodin : dans ses fonctions de ministre de la Santé, Olivier Véran avait ainsi multiplié les mensonges et les expressions honteuses sans la moindre vergogne et avec les encouragements sonores de la petite frappe qui lui tient lieu de chef (« Tiens bon, on les aura ces connards ! »).

Tout le monde se souviendra pareillement de son affirmation péremptoire devant les caméras de télévision selon laquelle dire que les injections géniques étaient en phase expérimentales était faux, « la phase III est terminée depuis longtemps », avait-il même ajouté. Ceci alors que ladite phase III vient d’être prolongée en ce qui concerne les injections Pfizer jusqu’au mois de juin 2024…

Or non seulement le gredin n’a jamais fait amende honorable (pas même n’a-t-il pris la peine de corriger son propos), il a été nommé dans la foulée « porte-parole du gouvernement ».

Quand la parole publique devient à ce point « parole de putes » (je m’excuse auprès des travailleuses du sexe, très majoritairement honnêtes, pour cette comparaison) au moins sait-on à qui nous avons à faire et donc à quoi nous en tenir.

La fureur totalitaire ne se contente pas de délirer à tout va : elle se doit d’éliminer toute opposition. Le propre de la démocratie et de la science, c’est l’importance du débat d’idées  de bonne foi et donc de la contradiction. Alors que le totalitarisme abhorre les opposants et s’acharne à les détruire.

Il commence bien sûr « subtilement » par les diaboliser. Les opposants ne sont pas ici des opposants dans le sens où l’on parlait traditionnellement de l’opposition en politique : ce sont forcément des êtres douteux, fourbes, dangereux, dont il faut se méfier au point de les priver de parole de peur qu’ils ne nous ensorcellent avec leurs arguments fallacieux !

Alors même que les élites médiatico-politiques déploient une véritable hypnose toxique depuis bientôt trois ans, c’est à les entendre de la parole de ceux qui cherchent à réinjecter du principe de réalité, des données vérifiables et du bon sens, bref de l’honnêteté qu’il faut se méfier comme de la peste. Fussent-ils accessoirement les meilleurs et les plus compétents dans leurs domaines : l’idéologie paranoïaque n’en a cure puisque le réel la contrarie.

On invente donc des experts (comme les pathétiques Rudy Reichstadt, Tristant Mendès-France, Sébastien Diéguez, Karine Lacombe ou Gilbert Deray) et peu importe qu’ils soient le ban et l’arrière-ban de la médiocrité ou de la malhonnêteté intellectuelle, ce sont évidemment à l’inverse les compétents et ceux qui ont gardé leur éthique que l’on désigne comme des « trompeurs » et des « charlatans ».

Avec toujours les mêmes étiquette fétichistes imbéciles et délétères, les favoris de la dérive en cours étant « complotiste », « d’extrême droite » et « antisémite ».

Voici un exemple de logorrhée totalitaire, scandée d’une manière propre à induire une transe dissociative chez l’auditeur, éructée en l’occurrence au micro de France-Inter par Tristan Mendès-France au sujet de l’initiative du Doctothon (un exercice pour les sceptiques est de compter le nombre de fois où il utilise -scande devrait-on dire- chacune des expressions en question) :

https://www.youtube.com/embed/yy80YHLh-2Y

Le système totalitaire doit donc impérativement désigner des ennemis (et même en inventer au besoin). Il a en effet besoin de ce danger extérieur pour entretenir la panique et justifier sa violence. Il n’y a ici pas besoin d’aller chercher bien loin. Qualifier par exemple d’ « antivax » des personnes ayant des doutes sur l’innocuité, l’efficacité et/ou la sécurité des injections géniques expérimentales est un cas d’école. C’est un tour évidemment imbécile, abusif, malhonnête et manipulatoire.

Le doute, l’esprit critique et le scepticisme sont les pierres angulaires de la démarche scientifique, l’occasion n’en est que plus belle pour les larrons : on stigmatise par cette appellation tous ceux qui restent intègres par rapport à la méthode et à l’éthique scientifique ! Dès lors le champ est libre, la haine devient un ressort banalisé et donc rendu acceptable sous les encouragements des corrompus, comme l’exemple suivant l’illustre :

https://www.youtube.com/embed/6PEZgAmX0IU

Tout ceci est d’une gravité extrême. Le rouleau compresseur paranoïaque s’attaque en effet à toute voix divergente et a fortiori salutaire, puisqu’engagée à rappeler les contours du réel et les valeurs qui doivent fonder notre vivre ensemble.

Tous les zélés complices de la dérive s’en donnent à cœur joie : la presse en premier, qui colle les étiquettes infamantes à tire-larigot, exonérée de toute déontologie comme de sa responsabilité collective. Au point de se réclamer de son inconduite et de faire porter le chapeau de ses transgressions aux opposants, comme les lamentables journaleux de l’Express s’y sont employés après s’être fait démasquer dans leur malhonnêteté et leur médiocrité par un Idriss Aberkane magistral…

https://www.youtube.com/embed/0Bi_1-BzY88

La réponse des fâcheux ne s’est donc pas fait attendre…

  • Pour lire « Affaire Aberkane : la Charte de Munich, nouveau totem des complotistes contre les médias » dans l’Ex-presse : cliquer ici.

Les attaques subies par les valeureux sont ainsi d’une brutalité inouïe, avec la complicité lâche des corps constitués soumis à la dérive totalitaire, nous l’avons souligné hier.

Voici encore pour exposer publiquement la réalité de cette ignominie un communiqué collectif auquel je m’associe, qui en révèle les procédés.

Suivi de la réponse adressée par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, psychologue et docteur en psychopathologie, à un obscur article intitulé « Annuaire du complotisme », sur le non moins obscur site dit de « débunkage » appelé « Bibliothèque Vigilante ». Lequel présente toutes les caractéristiques d’une énième émanation des cercles mafieux qui engagent avec force moyens des trolls et des faux experts pour leur sale besogne, jusque dans les rédactions de la presse subventionnée…

Tout ceci est certes bien nauséabond, mais il importe d’exposer sans hésitation cette boue ordurière et ceux qui la mettent en œuvre…


Le harcèlement des opposants ne passera pas !

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le Covid.

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le covid.

Au-delà de la répression de masse devenue banale dans ce pays (traque des citoyens pendant les rétentions de masse, censure, « suspensions » abusives, violences contre les manifestants…), nous assistons de plus en plus à une répression ciblée qui repose sur les moyens de l’État, ceux des contribuables, pour harceler des citoyens qui dérangent.

Les citoyens visés peuvent être des universitaires lanceurs d’alerte, ou des citoyens militants : des parents membres d’associations de défense des enfants contre les maltraitances institutionnelles établies au prétexte du covid sont convoqués par les services sociaux à la demande de plusieurs départements, à la suite d’obscurs « signalements », des chercheurs qui ont osé interroger les annonces officielles se retrouvent menacés sur le plan professionnel, on observe également des contrôles fiscaux aussi intempestifs que sévères, des sanctions financières, des pressions sur l’entourage, des calomnies publiques trop organisées en réseau pour ne pas être organisées… Cela, en France, pays décrit comme un “état de droit” par certains observateurs.

La méthode utilisée combine la censure par tous les moyens afin que l’opinion publique ne puisse pas les entendre, la calomnie, les menaces et le harcèlement administratif. Parce que les lois, le droit sont du côté des lanceurs d’alerte, l’État répressif utilise des moyens détournés, déjà utilisés par le passé contre d’autres lanceurs d’alerte, mais employés cette fois de manière beaucoup plus systématique.

Car dans ce qu’on appelle une « démocratie », les citoyens ont le droit de critiquer, ils ont même le droit à la satire, à la caricature, à l’ironie. En clair, ils ont le droit à la « liberté d’expression ». Ils ont le droit de penser et de dire des choses qui sortent du cadre de la propagande et les citoyens ont le droit d’être informés.

Des représailles touchent pourtant plusieurs personnes qui émettent un autre discours sur la crise qui nous occupe en dénonçant notamment la corruption, dont Vincent Pavan, Ariane Bilheran, Virginie de Araujo Recchia, Emmanuelle d’Arles, Olivier soulier, etc. Certains par pudeur ne souhaitent pas exprimer publiquement leur situation personnelle mais nous constatons entre autres :

Calomnies, harcèlement privé par insultes et menaces, contrôles fiscaux sévères et harcèlement fiscal, pertes de salaire, clôture arbitraire et inopinée des comptes bancaires, perte d’accès à la sécurité sociale pour soi et ses proches, suspensions, etc.

Prenons le cas de Vincent Pavan : l’universitaire subit des sanctions professionnelles y compris sur le plan des rémunérations, avec interdiction d’enseigner.

Ariane Bilheran comme son entourage subissent régulièrement des pressions (ex. : menaces de mort au moment de sa dénonciation des textes de l’OMS), qui se sont fortement accentuées depuis le covid avec par exemple l’intervention des services fiscaux ou le fichage mensonger sur des sites calomnieux.

Emmanuelle Darles fait face à deux procédures disciplinaires en cours à l’Université, doublées d’atteintes à la vie privée, le tout dans un contexte délétère.

Maître Virginie De Araujo Recchia est aussi victime de harcèlement administratif, ce qui a été jusqu’à une garde à vue avec saisie de matériel.

Pourquoi est-il aujourd’hui nécessaire de dénoncer ? Il ne s’agit pas de cas personnels, mais d’attaques contre la société dans son ensemble : si seule la parole du pouvoir compte et que plus personne n’ose poser de questions sur la place publique ni critiquer ou débattre, qu’adviendra-t-il de ceux qui n’osent pas parler ? Qui posera des limites quand les foudres d’un pouvoir à la dérive s’abattront sur eux ? Ce qui finira par arriver au rythme où vont les choses.

Cette répression mesquine n’en est pas moins extrêmement violente et elle se pare de la légitimité de l’État, celui qui est censé nous protéger tous. Elle est un problème majeur pour nous tous, car elle montre que nous sommes en train de nous enfoncer dans l’obscurantisme comme dans des sables mouvants.

Ce glissement progressif vers le totalitarisme n’est pas terminé, mais il avance : aujourd’hui l’exécutif se soucie-t-il des lois ? De la constitution ? Des principes généraux du droit ? De la réalité ?

Les attaques personnelles contre les lanceurs d’alerte, de manière à les éliminer du paysage social, préfigurent toujours une répression généralisée contre toute dissidence puis contre le peuple tout entier de façon arbitraire, et même bien souvent une guerre classique, de ces guerres sales qui pourrissent un pays pendant des générations. On l’a vu avec les dictatures en Amérique latine, les nazis, l’URSS, les Khmers rouges, le Rwanda, la Syrie…


Lettre d’Ariane Bilheran à « Bibliothèque Vigilante »

À l’attention de :

Clair Roger, Responsable de publication « Bibliothèque Vigilante »

Envoyée à :

bibliovigi@protonmail.com

Objet :

Ma fiche « Ariane Bilheran » dans votre « Index du Complotisme », https://bibliotheque-vigilante.info/index/

Pièces Jointes :

Attestation d’enseignements universitaires

Doctorat de psychopathologie clinique

Lettre publiée sur mon site

http://www.arianebilheran.com et relayée avec mon autorisation sur le site
http://www.coroinfo.wordpress.com et le blog https://anthropo-logiques.org

Cali (Colombie), le 24 août 2022

Madame, Monsieur,

Je vous écris afin de rectifier vos déclarations me concernant sur votre site, qui sont, pour leur très grande majorité, erronées. Vous pourrez ainsi vérifier mes dires, et rétablir la vérité selon les faits, puisque nous partageons ce souci commun.

Je rends également cette lettre accessible à tous sur mon site, afin que cesse la propagation de mensonges qui pourraient s’apparenter à des calomnies publiques et des diffamations contre ma personne.

Tout d’abord, vous évoquez que « je me présente comme psychologue et psychothérapeute (doctoresse en psychologie) », laissant sous-entendre que je ne le serais pas. Je suis psychologue clinicienne, et par voie de conséquence psychothérapeute, car le titre de psychologue clinicien est un diplôme professionnel d’État donnant de droit accès au titre de psychothérapeute. J’ai donc un numéro Adéli, qui garantit la détention de ce titre.

Pour votre information, en psychologie clinique et psychopathologie, j’ai deux masters, un Master Recherche, soutenu à l’Université Denis Diderot en 2004 à Paris, et un Master Professionnalisant, soutenu à l’Université d’Aix-Marseille en 2007, celui qui me donne précisément droit à exercer en tant que psychologue clinicienne et psychothérapeute.

J’ai également un Doctorat de psychologie clinique et psychopathologie (et non pas un doctorat de psychanalyse, ce qui n’existe pas en France), soutenu à l’Université Lumière Lyon II en 2007, sous la direction du Professeur Albert Ciccone (Wikipédia diffuse un nom de directeur de thèse qui est erroné : je n’ai jamais rencontré le Professeur Mohamed Lahlou… Je vous envoie le document source, pour vos archives). J’ai également enseigné à l’Université durant plusieurs années (cf. attestation jointe, si vous souhaitez rajouter cette information qui me paraît importante à faire connaître).

Pour mémoire, une majeure partie du corpus de la psychopathologie, qui soutient la psychiatrie traditionnelle, émane de la psychanalyse, laquelle est très loin de se réduire à des psychanalystes fous et incompétents, ou à Freud et Lacan, ou encore, aux calomnies dont elle est l’objet depuis des années. Par exemple, des notions passées dans la langue commune proviennent de recherches en psychanalyse sur le psychisme individuel ou celui des foules, telles que psychose, perversion, traumatisme, névrose de guerre, névrose d’abandon, refoulement, acte manqué, déni, etc.

Ensuite, vous reprenez le qualificatif de « complotiste », j’ose vous demander aimablement votre définition de ce terme.

Vous me présentez comme « proche du mouvement soralien ». Je ne suis pas « proche du mouvement soralien ». Je n’ai jamais rien eu à voir avec Alain Soral. J’ai publié un petit livre L’Internationale nazie(([1] https://www.bookelis.com/politique/52258-L-Internationale-nazie.html)), où vous pourrez vous rendre compte par vous-même de mes réflexions personnelles. J’ai donné la parole en France à Vera Sharav, dont les prises de position sont, il me semble, aux antipodes d’idées d’extrême droite.(([2] https://crowdbunker.com/v/994y7qwygL))

Vous me présentez également comme « amie du professeur Henri Joyeux ». Pour votre gouverne, je n’ai eu qu’un seul échange avec le Professeur Joyeux, concernant une newsletter dans laquelle M. Joyeux me demandait la permission de citer l’un de mes livres il y a quelques années. Je n’ai jamais eu d’autres échanges privés ou publics avec le Professeur Joyeux.

Vous me présentez ensuite comme « amie du pédopsychiatre Maurice Berger ». J’ai appartenu dans le passé à une association de psychologues de l’enfance et pédopsychiatres il y a des années, au sein de laquelle intervenait également le Professeur Maurice Berger, qui est une référence universitaire et professionnelle en matière de psychologie de l’enfance et de pédopsychiatrie. Cela ne fait pas de moi son « amie », mais tout au plus une collègue, d’autant que je n’ai plus aucun contact avec M. Berger depuis des années.

Vous parlez de « réseaux extrémistes » comme RéinfoCovid, auquel je n’appartiens pas non plus (cf. l’avertissement sur mon site(([3] https://www.arianebilheran.com/avertissement)) que je vous remercie d’avoir cité, afin que les gens se fassent une idée par eux-mêmes de vos propos à mon égard).

Vous me qualifiez de « spécialiste en manipulation », et c’est juste, vous auriez pu citer mon livre Manipulation. La repérer, s’en protéger, paru aux éditions universitaires Dunod en mars 2013. Vous voyez que ma spécialisation ne date pas d’hier mais que, contrairement à vos insinuations, je décrypte la manipulation pour aider les gens à la repérer et s’en protéger, donc à s’en libérer, et non pas dans l’intention de les manipuler.

Vous indiquez que je suis « à l’origine d’un mouvement de désinformation né en août 2018 », j’aimerais connaître sur quels fondements vous vous appuyez pour dire cela, car de mon côté, j’ai publié un livre en 2017, L’Imposture des droits sexuels, qui en est à sa cinquième édition aujourd’hui(([4] https://www.bookelis.com/sciences-humaines/51301-L-imposture-des-droits-sexuels.html)), et qui porte sur les textes de l’OMS, dans lequel j’étudie lesdits textes, et m’interroge sur le bien-fondé des références scientifiques invoquées. Je ne suis pas la seule professionnelle de santé à le faire, par exemple le pédiatre et pédopsychiatre Régis Brunod s’en est également alarmé, dans un livre intitulé Préserver l’innocence de l’enfant(([5] https://www.decitre.fr/livres/preserver-l-innocence-des-enfants-9782855541563.html)). En tant que professionnels de santé, nous sommes très inquiets de la nature de ces textes. Ce n’est pas parce que beaucoup de nos collègues choisissent de ne pas s’exprimer publiquement pour le moment qu’ils ne partagent pas nos vues, et je reçois assez de remerciements aujourd’hui pour savoir que nous sommes loin d’être isolés.

Vous notez que sur mon site personnel je partage de « fausses informations et des rumeurs complotistes », que je véhicule « mensonges et désinformation », sans rien en sourcer, j’aimerais bien que vous puissiez donner des exemples et m’indiquer en quoi il s’agit de fausses informations qui ne seraient pas sérieusement sourcées, dans ce cas je me ferai un devoir de les rectifier. Car lorsqu’il s’agit de faits (par exemple, de textes et de références promues par l’OMS), c’est aisément vérifiable. Vous citez alors Mme Marion Sigaut, en prenant le titre d’une de ses conférences pour me faire dire des propos qui sont les siens, c’est assez curieux comme procédé pour vous qui semblez si sensible à l’attribution correcte des sources. Mon approche des « droits sexuels et reproductifs » vise la protection de l’enfance, depuis une perspective professionnelle de psychologue clinicienne formée en psychologie de l’enfance et dans le développement psychique infantile.

Vous m’attribuez ensuite une citation, mais je n’ai jamais accusé l’Éducation Nationale de « pervertir nos enfants pour en faire de la chair fraîche pour les pédophiles ». J’ai au contraire toujours soutenu que ces programmes n’émanaient pas de l’Éducation Nationale, mais du ministère de la Santé, sous l’égide de l’OMS, bien qu’ils puissent se déployer au sein de l’institution scolaire, à la faveur d’un partenariat avec le ministère de la Santé lui donnant les autorisations d’accès. Avec un peu de recherche sur mon site, vous devriez pouvoir trouver à de nombreuses reprises mes déclarations sourcées.

Je n’ai pas été « exclue par mes pairs », au contraire, je reçois aujourd’hui énormément de soutiens et de reconnaissance pour mes prises de position en faveur de la protection psychique des individus, de la part de professionnels de la santé mentale, qui ont désormais bien identifié les grossiers mécanismes de manipulation mentale à l’œuvre depuis le champ politique et médiatique sur la population.

Ensuite, vous vous permettez un diagnostic sauvage sur ma personne, en indiquant que j’aurais des « travers paranoïaques ». Je vous renvoie à mon livre sur Psychopathologie de la paranoïa(([6] https://www.dunod.com/sciences-humaines-et-sociales/psychopathologie-paranoia-0)), paru chez l’éditeur universitaire Dunod, et qui en est à sa deuxième édition. Cela vous permettra peut-être de mieux maîtriser ces notions. D’autre part, s’improviser psy, comme vous le faites, pour pratiquer des diagnostics sauvages de psychose renvoie aux pires heures de la psychiatrisation des opposants de certains régimes, ce qui est un élément supplémentaire de validation de mon hypothèse concernant la dérive totalitaire en cours.

Concernant le livre Le débat interdit(([7] https://www.editions-tredaniel.com/le-debat-interdit-p-10270.html)), vous devriez le lire pour vous instruire : j’aimerais savoir d’où vous tirez l’expression du « complot de la science contre le vivant », et quelle était la contextualisation de cette phrase. Nous y déployons un raisonnement d’épistémologie systématiquement argumenté et exemplifié. Vous n’ignorez pas que j’ai une formation en philosophie morale et politique, validée en 2004 par un Master en Sorbonne, sous la direction à l’époque du Professeur Éric Blondel, ainsi qu’une solide formation en philosophie reçue à l’École Normale Supérieure Ulm, que j’ai intégrée en section Lettres en 1999.

Vous indiquez enfin que je relaie « de nombreux sites peu fiables, articles antisémites et les tribunes de quelques extrémistes comme Sputnik News ou Pravda ». J’aimerais que vous puissiez me dire où vous avez trouvé ces éléments, surtout pour ce qui concerne l’antisémitisme !! Vous dites aussi que je relaie Gilad Atzmon, que je ne connais pas, donc j’aimerais savoir quelles sont vos sources fiables. Car reprendre des mensonges émis par quelqu’un d’autre ne fait pas de l’information une information sourcée, et encore moins véridique.

En revanche, il est tout à fait exact que je publie à l’occasion des articles dans la revue L’Antipresse de Slobodan Despot, que j’apprécie pour son ouverture d’esprit, sa grande culture, sa rationalité, son intelligence et sa connaissance du phénomène totalitaire.

En conclusion, je me permets de reprendre à votre compte votre conseil : « Si possible, remontez à l’origine de l’information ! ». Je constate que vous ne m’avez pas contactée pour vérifier les données et que, ce faisant, vous avez manqué de la déontologie la plus élémentaire. Vous n’avez manifestement pas non plus recoupé les informations, ni interrogé vos sources et leur fiabilité. Je vous saurais donc gré de rectifier les informations me calomniant sur votre site, et de publier ma lettre, ce que vous ne manquerez pas de faire, puisque vous avez à cœur de lutter contre la désinformation, « pour un accès universel à une information exacte, transparente et de qualité »(([8] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/methode/)), et « analyser, comprendre, démystifier »(([9] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/la-redaction/)), au mieux.

Respectueusement,

Ariane Bilheran.

PS : « rationalité » s’écrit avec un seul « n ».

Il faut donc corriger votre titre « Méthode & rationnalité ».

Sources :

https://bibliotheque-vigilante.info/methode/

https://dictionnaire.lerobert.com/definition/rationalite

PS2 : je recevrai votre éventuelle réponse par retour de courrier électronique ou via le formulaire contact sur mon site http://www.arianebilheran.com/





Transformation cybernétique de l’Humanité

Un article scientifique documente des « nanosystèmes magnétiques auto-assemblés » pour les systèmes d’interface et de contrôle des biocircuits cybernétiques chez l’homme, y compris la technologie « hydrogel d’ADN »

[Source : mirastnews.net]

Par Mike Adams

La personne moyenne vivant aujourd’hui a peu idée à quel point le développement des biocircuits nanotechnologiques autoassemblés a progressé. Les soi-disant « vérificateurs de faits » (propagandistes professionnels et menteurs) induisent délibérément les gens en erreur en leur faisant croire qu’il n’existe pas de système de biocircuit autoassemblé à base de graphène qui pourrait être injecté dans des personnes et appelé un « vaccin », mais la publication la littérature scientifique présente un corpus de recherche complet et bien documenté qui montre que cette technologie est bien réelle… et a été testée dans des systèmes biologiques depuis au moins deux décennies.

Un système « d’auto-assemblage » signifie qu’une personne reçoit des instructions qui déclenchent un processus dans lequel une structure est assemblée à l’intérieur du corps, en utilisant des ressources disponibles dans le sang (comme des atomes de fer et d’oxygène). En effet, l’auto-assemblage nanotechnologique signifie qu’une micropuce n’a pas besoin d’être « injectée » dans quelqu’un, puisque les circuits peuvent être assemblés in vivo après l’injection.

[Voir aussi :
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Nanoparticules et nanotechnologies
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins]

Soit dit en passant, chaque créature biologique sur Terre est un exemple vivant d’auto-assemblage, puisque l’ADN est une nanostructure auto-assemblée. La réplication génétique est, bien sûr, un processus enraciné dans l’auto-assemblage. Ainsi, quiconque ne réalise pas que l’auto-assemblage est un phénomène réel est plutôt ignorant, même des mécanismes à l’œuvre dans son propre corps. La réplication virale est également un processus d’auto-assemblage, bien sûr.

« Une myriade de nanosystèmes magnétiques peuvent être créés en utilisant l’auto-assemblage comme outil synthétique », indique le résumé d’une étude publiée en janvier de cette année. Publié dans la revue Aggregate Open Access, il s’intitule : Self-assembled Magnetic nanomaterials: Versatile theranostics nanoplatforms for cancer.

L’article se concentre sur « les nanomatériaux magnétiques auto-assemblés (MNM) » et détaille leur utilisation en biomédecine, en écrivant :

Les champs magnétiques ont été largement utilisés pour les nanomatériaux assemblés d’agrégats unidimensionnels (1D), bidimensionnels (2D) et tridimensionnels (3D).

L’étude fait référence à l’auto-assemblage de nanoparticules d’oxyde de fer, qui peuvent présenter des propriétés magnétiques dans certaines configurations. Celles-ci sont connues sous le nom de SPION (Super Paramagnetic Iron Oxide Nanoparticles).

Le papier explique :

Cette approche pourrait être utilisée pour le processus d’assemblage d’autres MNP tels que les NP Ni, les NP Co et les NP Fe3O4. Une telle stratégie d’auto-assemblage pourrait jouer un rôle important dans la construction des DDS. (Systèmes d’administration de médicaments)

De plus, l’article fait référence à des nanoparticules cubiques auto-assemblées (nanostructures 3D fonctionnelles) en solution :

Wang et al. ont rapporté la croissance de nanofils Fe3O4 induite par le champ magnétique.[38] Par la suite, Taheri et al. ont rapporté la découverte d’un phénomène d’auto-assemblage induit par un champ magnétique intéressant de nanoparticules cubiques (NP) en solution (figures 1(A)–1(E)).

… De plus, le champ magnétique montre également leur grande capacité dans l’assemblage des NPs. L’auto-assemblage induit par un champ magnétique simplifie les étapes de fonctionnement, mais nécessite un équipement de contrôle de champ magnétique précis, ce qui augmente la dépendance vis-à-vis de l’équipement.

Ce qui ressort clairement de cette analyse, c’est que les champs magnétiques externes peuvent diriger l’auto-assemblage de nanostructures qui peuvent fonctionner comme des systèmes d’interface de biocircuit cybernétique dans le corps humain.

L’auto-assemblage de nanofils d’oxyde de fer

Une autre étude publiée en 2004 dans la revue Advanced Materials montre certaines des premières recherches sur l’auto-assemblage de nanofils d’oxyde de fer à l’aide de champs magnétiques externes.

Voir : Croissance induite par le champ magnétique de nanofils Fe3O4 monocristallins  

Des nanofils monocristallins de Fe3O4 synthétisés hydrothermiquement sous un champ magnétique sont rapportés. On montre que les cristaux carrés et hexagonaux formés dans un champ appliqué nul cèdent la place aux nanofils lorsque le champ magnétique augmente.

Et c’était il y a 17 ans.

Ce que les chercheurs ont découvert depuis lors, c’est que l’énergie requise pour initier l’auto-assemblage est étonnamment faible. Du premier article, ci-dessus :

L’interaction entre le dipôle magnétique induit et le champ externe était très faible, ce qui était de l’ordre de la force de van der Waals. Les dernières décennies ont vu les progrès de l’auto-assemblage des MNM sous champs magnétiques.

Cela signifie essentiellement que des énergies de diffusion relativement faibles peuvent induire la croissance de nanofils à l’intérieur du corps humain, étant donné que les bonnes substances sont injectées dans le corps pour commencer. La force de van der Waals décrit un phénomène de liaison intermoléculaire très faible qui est bien connu dans la science traditionnelle.

Voici une image en microscopie électronique de certains des réseaux de nanoparticules créés par des champs magnétiques externes :

Hydrogels d’ADN contrôlables magnétiquement

La même étude mentionne également des « hydrogels d’ADN », expliquant qu’ils sont « magnétiquement contrôlables ». Extrait de l’étude : (c’est nous qui soulignons)

L’ADN est considéré comme une molécule biologique génétique de base dans les systèmes vivants. Bien que les molécules d’ADN soient composées d’unités simples, différentes chaînes de désoxynucléotides et conformations flexibles peuvent être obtenues grâce à une conception et une organisation précises, qui peuvent être programmées. En d’autres termes, c’est la nature de l’auto-assemblage de l’ADN. Par exemple, Ma et al. introduit des MNP modifiés par l’ADN, des échafaudages en Y et des lieurs d’ADN dans le cadre d’hydrogels d’ADN pour construire des hydrogels d’ADN contrôlables magnétiquement.

Si vous vous demandez ce que sont les «hydrogels d’ADN», un autre article publié en 2019 révèle quelques indices : Biodétection à base d’hydrogel d’ADN

Cet article explique comment les «hydrogels intelligents» s’auto-modifient en réponse à l’organisme : (c’est nous qui soulignons)

Les hydrogels d’ADN en tant que membres spéciaux de la nanotechnologie de l’ADN ont fourni des conditions préalables cruciales pour créer des gels innovants en raison de leur stabilité, biocompatibilité, biodégradabilité et multifonctionnalité réglables. Ces propriétés ont adapté les hydrogels d’ADN pour diverses applications dans l’administration de médicaments, l’ingénierie tissulaire, les capteurs et la thérapie du cancer.

Récemment, les matériaux à base d’ADN ont suscité un intérêt considérable pour l’exploration d’hydrogels intelligents, dans lesquels leurs propriétés peuvent changer en réponse à des stimuli chimiques ou physiques. En d’autres termes, ces gels peuvent subir des transitions gel-sol ou sol-gel commutables lors de l’application de différents déclencheurs. De plus, divers motifs fonctionnels tels que les structures i-motif, les ADN antisens, les ADNzymes et les aptamères peuvent être insérés dans le réseau polymère pour offrir une capacité de reconnaissance moléculaire au complexe. Dans ce manuscrit, une discussion approfondie sera dotée de la capacité de reconnaissance de différents types d’hydrogels d’ADN et de l’alternance des comportements physico-chimiques lors de l’introduction de la cible.

Vous commencez à vous faire une idée ?

Une fois ces nanostructures assemblées à l’intérieur du corps, elles sont contrôlées par des champs magnétiques externes ou des émissions électromagnétiques, nécessitant très peu d’énergie.

Tout est réel

Ce que cette recherche démontre, c’est que :

  • La nanotechnologie auto-assemblante est réelle.
  • La nanotechnologie d’interface de biocircuit est réelle.
  • Les nanofils et nanocircuits peuvent être contrôlés par des champs électromagnétiques externes.
  • Cette technologie a été étudiée et développée pendant au moins deux décennies et est soutenue par un grand nombre de recherches publiées.
  • Il est donc possible que les « vaccins » actuels contiennent des nanotechnologies auto-assemblantes qui s’interfacent avec la biologie humaine et sont contrôlées par des diffusions externes. Cela ne prouve pas qu’un tel scénario se produise avec certitude, mais cela montre que la technologie existe et est réalisable.

Si vous n’êtes toujours pas convaincu, considérez ce texte d’une étude publiée il y a près d’une décennie, en décembre 2012 :

Systèmes d’administration à base de nanoparticules d’oxyde de fer superparamagnétique pour la biothérapie

Cette revue couvre les systèmes d’administration magnétiques récemment développés, leurs caractéristiques uniques et leur applicabilité à l’administration de produits biothérapeutiques. Étant donné que les méthodes de synthèse des SPION et l’utilisation des SPION comme agents de contraste IRM pour le diagnostic ont été largement examinées [18, 19], cette revue se concentre sur les formulations à base de SPION qui sont spécifiques à l’administration de produits biothérapeutiques. Les nanoparticules magnétiques dispersées dans des solvants organiques et des solutions aqueuses peuvent être chargées dans des liposomes, des micelles, des hydrogels et des micro/nanosphères pendant la formulation.

Tout d’abord, nous examinons les stratégies de formulation récentes pour la modification des SPION, y compris le regroupement de particules et l’encapsulation dans des hydrogels, des liposomes, des micelles et des micro-/nano-sphères. Deuxièmement, nous discutons des considérations à prendre en compte dans la conception de supports à base de SPION pour l’administration de produits biothérapeutiques spécifiques, notamment des cellules, des protéines/peptides, des gènes et des virus. En outre, nous examinons plusieurs nanoparticules magnétiques commerciales pour l’administration de produits biothérapeutiques. Enfin, nous proposons des perspectives dans les directions futures des transporteurs à déclenchement magnétique basés sur SPION pour la biothérapie, et leurs applications cliniques potentielles.

C’était il y a près d’une décennie. Imaginez ce qui a été développé et déployé au cours des années qui ont suivi.

Obtenez plus de détails dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui

Je discute plus en détail de tout cela à partir de la minute 57 dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui :

Brighteon.com/4013bbf1-6205-466e-b0a3-698fd2487412



Trouvez un nouveau podcast Situation Update chaque jour sur :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport

Mike Adams

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Natural News




Défense juridique des médecins convoqués pour avoir soigné. Entretien avec Me Joseph

[Source : edition.francesoir.fr]

[Illustration :  ©Me Joseph / AFP]

Par Xavier Azalbert, en collaboration avec Jean-Luc Duhamel et Héloïse Bocchio, et en partenariat avec les associations Bonsens.org, AIMSIB et le collectif Santé Justice France

Comme nous l’avait annoncé le Dr Grégory Pamart, le 14 juillet dernier, l’Ordre des médecins lance une « vaste campagne nationale », convoquant « des centaines de médecins pour avoir soigné, en conscience, des patients du Covid ». Les faits le confirment, et bien que le chiffre exact soit encore difficile à évaluer, de médecins sont convoqués devant les ordres départementaux pour s’expliquer quant au contenu de leurs prescriptions pour soigner leurs patients du Covid-19. Maître Jean-Pierre Joseph, avocat au barreau de Grenoble, nous explique la situation et livre des éléments de défense à destination des médecins convoqués.


Interview de Maître Joseph, par Xavier Azalbert, en collaboration avec Jean-Luc Duhamel et Héloïse Bocchio, et en partenariat avec les associations Bonsens.org, AIMSIB et le collectif Santé Justice France.

Qu’en est-il aujourd’hui du principe de liberté de prescrire des médecins ?

Jean-Pierre Joseph (ci-après JPJ) : Le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique.

Heureusement, car si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la Santé et/ou de l’industrie pharmaceutique.

Comme l’ont écrit de nombreux auteurs depuis des années, il semblerait qu’il existe aujourd’hui une volonté de faire disparaitre la médecine de ville. J’ai déjà expliqué dans « Les radis de la colère » (Ed. Louise Courteau 1999) pourquoi les indépendants gênent la mondialisation, et que l’objectif des grands de ce monde, était d’en  faire des salariés de la grande distribution (médecins, agriculteurs, commerçants et artisans, avocats, etc.)

Ce qu’il convient de rappeler avec force est que les médecins sont toujours libres de leurs prescription et que cela, en dépit de ce qu’avait voulu nous faire croire le ministre de la santé, Olivier Véran, est resté vrai pendant toute la soi-disant crise sanitaire, soit depuis 2020. Il s’agissait de ce que l’on a pu qualifier « d’interdiction de fait », mais en aucun cas d’une interdiction légale. En effet, la liberté de prescrire est un principe fondamental reconnu par la loi.

Pouvez-vous revenir un instant sur les faits et la liberté de prescrire ?

JPJ : Tout d’abord, la liberté de prescrire a été reconnue, en 1998, par le Conseil d’État comme principe général du droit, c’est-à-dire comme un principe placé au sommet de l’ordonnancement juridique que seuls supplantent les traités internationaux et la Constitution. En d’autres termes, il a une importance particulière dans notre droit et seule la loi peut y porter atteinte, et non un simple acte réglementaire d’un ministre (décret, arrêté).

Ensuite, la liberté de prescrire est clairement reconnue par le Code de la santé publique, dans sa partie législative comme dans sa partie réglementaire. Le principe est aussi repris dans le Code de la sécurité sociale. Bien sûr, la liberté de prescrire figure parmi les premiers articles du Code de déontologie médicale. Le texte du Code de déontologie médicale est extrêmement clair, puisqu’il prévoit ce qui suit : « Dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance. Il doit, sans négliger son devoir d’assistance morale, limiter ses prescriptions et ses actes à ce qui est nécessaire à la qualité, à la sécurité et à l’efficacité des soins. Il doit tenir compte des avantages, des inconvénients et des conséquences des différentes investigations et thérapeutiques possibles ».

Ce qu’il faut également comprendre de ce texte est que la mission première du médecin, et c’est à cela que sert la liberté de prescrire, est de tout mettre en œuvre pour soigner, et idéalement guérir, son patient. Cet engagement se retrouve aussi bien dans le Serment d’Hippocrate que dans la Déclaration de Genève de l’Association médicale mondiale. Le Serment d’Hippocrate, qui constitue selon l’Ordre des médecins lui-même, « l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale », est tout à fait explicite. « Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux », y est-il écrit dès les première lignes.

Enfin, aucune loi n’étant, à ce jour, revenu dessus, le principe de la liberté de prescrire est toujours en vigueur et l’a été pendant toute la durée de la « crise » sanitaire, comme l’a confirmée le Conseil d’État, dans une ordonnance du 22 avril 2020, soit au plus fort de la « crise » sanitaire. Ainsi, selon le Conseil d’État, les recommandations du ministre de la santé (qui tentait d’interdire la prescription du Plaquénil) : « Ne font en rien obstacle (à) une prescription beaucoup plus large, sur le fondement de l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, de l’hydroxychloroquine aux patients atteints de covid-19 ». Le confrère qui avait obtenu cette importante décision, Maître Krikorian, s’en était d’ailleurs longuement expliqué dans vos colonnes comme dans un communiqué de presse et ce thème avait donné lieu à un très intéressant débat entre ce dernier, le Dr Soussi et le Dr Délépine.

Le Conseil d’État a réitéré sa position dans un arrêt du 28 janvier 2021 qui rappelle, toujours à propos du Plaquénil, que : « Son administration, si elle peut être le fait de médecins de ville, suppose ainsi non seulement le respect de précautions particulières mais également un suivi spécifique des patients, notamment sur le plan cardiaque ». Bien entendu, cela ne vaut pas que pour le Plaquénil, cela vaut pour tous les médicaments.

Dès lors, on comprend mal pourquoi réprimer des médecins qui ont prescrit des traitements dont on ne peut plus sérieusement nier aujourd’hui qu’il guérissent les patients atteints du Covid-19, c’est-à-dire des médecins qui ont répondu à la lettre à l’engagement qu’ils ont pris en prêtant serment !

Qu’en est-il pour un médecin qui refuse de prescrire ?

JPJ : On ajoutera que, pour un médecin, refuser de prescrire, outre un refus de soin, peut constituer le crime de « délaissement d’une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son état physique ou psychique », une infraction prévue aux articles 223-3 et 223-4 du Code pénal. Puisque les thérapeutiques que le ministre de la Santé a tenté d’interdire sont efficaces, celui-ci et les médecins complices se rendent potentiellement coupable de délaissement ou de complicité de délaissement. Le délaissement est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende ou, s’il entraîné une mutilation ou une infirmité permanente, de quinze ans de réclusion criminelle et, s’il a provoqué la mort, de vingt ans de réclusion criminelle.

D’ailleurs, une plainte a été déposée par des médecins contre le président de l’Ordre national des médecins pour avoir empêché les médecins de prescrire les traitements reconnus comme efficaces contre le Covid-19. Un juge d’instruction est saisi.

Avez-vous des exemples qui vous permettent d’apporter un éclairage sur les dérives ?

JPJ : Pour mémoire, le scientisme dogmatique a montré ses limites par le passé, notamment après les scandales de la Thalidomide, du Distilbène, de l’amiante, du sang contaminé, du Vioxx, du Médiator, des statines, de la Dépakine, du Lévothyrox, et d’autres. Or, à chaque fois, on n’a écouté qu’une minorité de « scientifiques » croulant sous les liens d’intérêt et se prétendant détenteurs de LA Science, alors même que des milliers de médecins de terrain étaient en désaccord avec eux et on a abouti à des catastrophes sanitaires.

Nous sommes aujourd’hui dans le même cas de figure, où, alors que l’ANSM rapporte 175 000 déclarations d’effets indésirables du « vaccin », dont 42 000 classés comme « graves », les mêmes « scientifiques » répètent comme des perroquets que le lien de causalité n’est pas avéré (sans surtout rien vérifier eux-mêmes). Espérons que l’un d’entre eux ne reçoive pas, un jour, de la part d’une victime ou de l’un de ses proches, excédé par autant de mauvaise foi, un coup de poing dans la figure, accompagné d’un « coup de gueule » : « Vous avez mal ? Je n’y suis pour rien, car le lien de causalité n’est pas avéré… »

Qu’en est-il de la prescription hors autorisation de mise sur le marché ? Le traitement recommandé par les médecins de terrain pour lutter contre le Covid-19 supposait-il de les utiliser en dehors de cette indication ?

JPJ : La première précision importante est que la prescription d’une spécialité pharmaceutique en dehors des indications de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) qui lui a été délivrée par les services de l’État n’est pas illégale. Elle est simplement encadrée par le Code de la santé publique.

C’est ce que prévoit son article L. 5121-12-1. Cela a été confirmé le Conseil d’État par l’arrêt déjà cité du 28 janvier 2021 au sujet du Plaquénil. Selon le Conseil d’État, en l’absence de recommandation temporaire d’utilisation et d’alternative médicamenteuse appropriée ayant une AMM ou une ATU, le Plaquénil pouvait être prescrit pour une autre indication que celles de son AMM, à la double condition de l’absence de toute recommandation temporaire d’utilisation et de l’absence d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une autorisation de mise sur le marché ou d’une autorisation temporaire d’utilisation, qu’en l’état des données acquises de la science, le prescripteur juge indispensable le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. Cela vaut, bien sûr, pour tout médicament.

Ainsi, si l’on veut résumer le régime de la prescription hors AMM, on retiendra plusieurs éléments fondamentaux.

  • Premièrement, une prescription hors AMM n’est pas, en soi, illégale et elle ne peut pas caractériser, à elle seule, une faute disciplinaire du médecin prescripteur. Cela ressort d’un arrêt du 19 juillet 2011 du Conseil d’État. Le juge y précise que : « Les prescriptions de médicaments hors du champ des indications figurant dans une autorisation de mise sur le marché n’étant pas par elles-mêmes interdites, la section des assurances sociales ne pouvait, sans commettre une erreur de droit, se borner à retenir cette circonstance pour la qualifier de faute, abus et fraude au sens de l’article L. 145-1 du code de la sécurité sociale ». Ceci est essentiel à comprendre pour les médecins que l’Ordre prétend aujourd’hui sanctionner pour avoir prescrit des traitements hors AMM qui ont, de surcroît, guéri leurs patients.
  • Deuxièmement, et le Code de la santé publique est tout à fait explicite sur ce point : en l’absence d’autorisation ou de cadre de prescription compassionnelle dans l’indication considérée, la prescription hors AMM est licite à la double condition qu’il n’existe pas d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une AMM ou d’une autorisation d’accès précoce et que prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. Dans ce cas, l’ordonnance doit porter la mention « Prescription hors autorisation de mise sur le marché  », ce qui implique d’informer le patient que le médicament est prescrit hors AMM et de lui exposer les risques encourus, les contraintes et les bénéfices attendus du médicament.
  • Troisièmement et ce point est également crucial pour la défense des médecins aujourd’hui mis en cause, la charge de la preuve pèse sur la juridiction ordinale (chambres disciplinaires des conseils régionaux et du conseil ordre national de l’Ordre des médecins). En d’autres termes, c’est à elle de démontrer que la thérapeutique employée fait effectivement courir un risque injustifié au patient. Là encore, c’est l’enseignement d’un important arrêt du 4 septembre 2000 du Conseil d’État. On observera, à ce propos, que l’initiative des convocations des médecins ayant prescrits provient de l’administration qui a saisi les ordres médicaux, mais jamais, à ma connaissance des patients…

Comment se fait-il que les Ordres départementaux, qui convoquent aujourd’hui les médecins ayant prescrit, aient pu avoir accès à leurs prescriptions, permettant la poursuite ou l’intimidation ?

JPJ : C’est une bonne question. La chose est en effet surprenante. L’explication pourrait néanmoins être assez simple, quoique hautement critiquable.

Il semblerait, au vu des courriers de convocation que j’ai pu consulter, que les Ordres départementaux des médecins, qui exercent en principe un contrôle déontologique en premier ressort sur les médecins de leur département et sont dotés du pouvoir de saisir les chambres disciplinaires régionales, se soient appuyés sur les signalements que leur ont faits les directeurs des caisses d’assurance maladie, qui exercent aussi un contrôle mais d’ordre administratif sur les médecins.

En d’autres termes, contrôle déontologique et contrôle administratif ont été savamment mêlés pour créer une confusion et laisser croire que les Ordres pouvaient, soudain, contrôler le contenu des prescriptions des médecins !

En effet, l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale, invoqué par nombre de courriers de convocation, est relatif au pouvoir de contrôle des médecins par les directeurs de caisses d’assurance maladie. Plus précisément, cet article autorise les directeurs de caisses à transmettre aux Ordres médicaux les « faits susceptibles de constituer des manquements à la déontologie ». Cependant, et c’est là le point-clef, ce texte ne permet aux directeurs de caisses de signaler à l’Ordre des médecins que des faits susceptibles de constituer des manquements à la déontologie et aucun autre.

Cette analyse a d’ailleurs été confirmée, à propos de la transmission aux Ordres médicaux par les directeurs de caisses de données à caractère personnel, par la Commission informatique et libertés (CNIL), dans une déclaration du 16 août 2022 relative à la « Lutte contre les fautes, abus et fraudes par l’assurance maladie obligatoire ». Il en ressort que le droit de transmettre des données personnelles aux ordres de médecins n’est octroyé aux directeurs de caisses que pour des motifs de fraude interne et les fautes, abus et fraudes, aucun autre motif de transmission n’étant recevable. Selon la CNIL : « Les organismes gestionnaires des régimes obligatoires de base de l’assurance maladie sont autorisés à mettre en œuvre des traitements de données à caractère personnel dont la finalité est la lutte contre la fraude interne et les fautes, abus et fraudes (…). UTILISATION(S) EXCLUE(S) DU CHAMP DE LA NORME : Toute autre finalité ».

Au demeurant, l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale, qui n’a que rarement été mis en œuvre, ne l’a été, à ce jour, que pour des questions de dépassements d’honoraires ou de refus de soin (arrêté du 22 septembre 2011 portant approbation de la convention nationale des médecins généralistes et spécialistes).

On en déduit que le pouvoir de signalement, donc de transmission d’informations, des directeurs de caisses est strictement limité aux manquements déontologiques et, s’agissant des données à caractère personnel, aux fraudes internes, fautes, abus et fraudes entrant dans la définition du manquement déontologique. Or, eu égard au principe de liberté de prescrire, le contenu de la prescription hors AMM par le médecin ne constitue pas une faute déontologique.

En somme, le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique. Si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la Santé et de l’industrie pharmaceutique.

Par conséquent, les convocations de médecins sur le fondement de l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale peuvent être, sous réserve de l’appréciation du juge, qualifiées d’illégales d’un point de vue procédural.

Dans le contexte actuel, il reste une question essentielle. Les médecins ainsi convoqués peuvent-ils compter sur l’impartialité de leur Ordre ?

JPJ : La vraie question, à laquelle le droit apporte une réponse très claire, est celle de l’impartialité des formations disciplinaires des Ordres, c’est-à-dire celles qui ont le pouvoir d’infliger des sanctions disciplinaires aux médecins (chambres disciplinaires des conseils régionaux et du conseil ordre national de l’Ordre des médecins). En effet, les membres de ces formations sont soumis au principe d’impartialité, qui est explicité par la maxime : « Nul ne peut être juge et partie ». C’est un principe à valeur constitutionnelle (article 16, Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen). L’impartialité doit être, à la fois, personnelle (ne pas avoir de préjugés personnels) et fonctionnelle (ne pas être en situation de conflit d’intérêt).

L’obligation d’impartialité des membres des juridictions ordinales a été très clairement reconnue par la Cour européenne des droits de l’Homme. Ainsi, dans une décision du 20 mai 1998, affaire Gautrin c. France, la Cour décide, à propos d’un litige opposant SOS Médecins et d’autres associations intervenants dans le même domaine, que les juridictions ordinales compétentes ne pouvaient pas être qualifiées d’impartiales. Selon la Cour, « dans cette région, interviennent dans le même domaine des associations auxquelles participent certains syndicats médicaux et conseils départementaux de l’ordre (…).  (Ce) litige dépassait le strict domaine du respect de la déontologie puisqu’il s’inscrivait dans le contexte d’une concurrence entre SOS Médecins et les autres associations d’urgentistes susmentionnées. Or la Cour observe que les membres du conseil régional ainsi que trente-deux des trente-huit membres du conseil national – lequel élit en son sein la section disciplinaire – sont des praticiens désignés directement par les conseillers départementaux (…). Ces deux organes avaient de ce fait un lien troublant avec lesdites « concurrentes » de SOS Médecins et il est compréhensible que les requérants aient suspecté leurs juges de partialité ». Il s’ensuit que « ni le conseil régional de l’Ordre des médecins d’Île-de-France ni la section disciplinaire du conseil national du même Ordre ne furent un tribunal « impartial » au sens de l’article 6 § 1 ». Bref, il y a eu violation de cette disposition.

Le Conseil d’État ne dit pas autre chose. Il relève, par exemple, dans un arrêt du 22 décembre 2017 que le fait qu’un médecin ait, au titre de ses fonctions au sein de l’ARS, été antérieurement saisi par le conseil départemental de l’Ordre des médecins des faits reprochés à l’intéressé et avait alors préconisé une inspection sur place, en en informant le conseil départemental, « est susceptible de porter atteinte à l’équité du procès et au principe d’impartialité rappelés par les stipulations de l’article 6 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales ».

Le principe d’impartialité connaît de multiples applications, parmi lesquelles, comme il a été dit, l’interdiction des conflits d’intérêts, par exemple entre un médecin, un laboratoire pharmaceutique et le litige que ce médecin aurait à connaître au titre de membre d’une juridiction ordinale. Plusieurs outils permettent aux médecins convoqués pour avoir prescrits des traitements contre le covid-19 de s’assurer que les juges ordinaux qui ont à connaître de leur affaire sont dépourvus de conflits d’intérêts : la base de données « Transparence-santé » du ministère de la Santé, la base des « Déclarations publiques d’intérêts » du ministère en charge de la santé ou encore la base « Euro for docs », qui est une base privée.

L’actualité est d’ailleurs riche en enseignements en matière de conflits d’intérêts des médecins. Ainsi, dans un domaine proche, celui de la déclaration de leurs liens d’intérêt par des médecins avant une prise de parole dans les médias, que le prévoit l’article L. 4113-13 du Code de la santé publique, le Pr Bruno Lina et le Pr Robert Cohen ont été récemment sanctionnés par la Chambre nationale du Conseil de l’Ordre des médecins pour n’avoir pas déclarés de tels liens.


À destination des médecins convoqués, Me Jean-Pierre Joseph a rédigé une note d’information juridique qu’il intitule :
« Arguments à faire valoir en cas de convocation par l’Ordre des médecins pour avoir prescrit ».




Coronavirus et campagne forcenée pour le marquage du bétail humain

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

On sait aujourd’hui que le décompte des « morts du Covid » doit être radicalement remis en cause. On sait aujourd’hui que les « vaccins anti-covid » ont provoqué de graves effets secondaires… ainsi que des morts par milliers ! On se souvient que ceux qui osaient donner ces informations, il y a quelques mois à peine, étaient aussitôt traités « d’irresponsables » ou de « complotistes » !

Chacun doit se demander en conscience : qui sont donc ces gens qui ont pu se permettre de traiter les veilleurs, les lanceurs d’alertes, les informateurs responsables, des experts dans ces questions de santé, « d’irresponsables et de complotistes » ? Qui sont ces personnes arrogantes, habitées par le mensonge et méprisant à ce point l’humanité par leurs motivations égocentriques donnant raison à leurs conflits d’intérêts placés de ce fait bien au-dessus de toute conscience morale de base ?

En réalité, l’humanité a toujours produit ce genre « d’anomalie  » qu’elle a régulièrement été obligée de corriger, afin d’empêcher qu’elle ne conduise les humains à leur fin prématurée… C’est difficile à entendre mais c’est la réalité !

La revue scientifique Nature et cette autre revue, The Lancet, qui veut sans doute se refaire une virginité, ont décidé toutes les deux de traiter objectivement les questions du décompte des morts de la Covid-19 et des myocardites provoquées à la chaîne par les injections dites anti-Covid.

Selon ces deux revues et les scientifiques qui s’y prononcent, il y a 40 % d’erreur dans le décompte des décès de la Covid-19. Ce décompte n’a servi qu’à fomenter la terreur de la mort et à préparer le terrain de la propagande pour la campagne de « vaccination », en réalité cette injection de nanotechnologie pour « le piratage des animaux humains » comme l’ont si bien formulé les pervers amis de Klaus Schwab du Forum Économique Mondial de Davos. 

Pour que ce marquage puisse fonctionner et donc pour que le « piratage des animaux humains » soit possible, il faut sans doute une quantité de graphène suffisante injectée dans le corps ; cela expliquerait la stratégie des « vaccinations » répétitives organisées dans le mensonge absolu (une dizaine de prévues, compte tenu des stocks achetés par l’UE) et d’où viendraient la colère et la volonté de Macron « d’emmerder » « affectueusement », dixit le « Young Global leader » de l’Élysée, tous ceux qui refusent de se faire marquer comme de vulgaires animaux domestiques du troupeau des nouveaux « esclaves » !

Selon Harari, un grand ami de Klaus Schwab, la technologie du cloud, comme la plate-forme d’IBM ou celle de Bill Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution. 

« Les humains (qui continuent de croire au mensonge) sont désormais des animaux piratables ». « Toute idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne peut savoir ce qui se passe en chacun, quoi qu’il choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, ce libre arbitre est fini. » 

« Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé. » 

« En cette période de crise, vous devez suivre la science ». « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID-19] était l’occasion de faire les bonnes réformes, qu’en temps normal, les gens n’auraient jamais acceptées. Mais en temps de crise, c’est une fenêtre d’opportunité ! »

« Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années », disent triomphalement les « élites » du FEM de Davos. « Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer… »

« Mais, poursuit Harari, notre conception intelligente et la conception intelligente de nos clouds, le cloud d’IBM, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. » 

« Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente », ajoute le complice de Klaus Schwab. 

Comme si la vie organique n’avait pas été façonnée par la conception intelligente de la nature. Au lieu d’avoir une sélection naturelle, nous aurons maintenant une sélection artificielle !

Ces hommes arrogants prétendent donc être plus intelligents que la nature et d’être désormais capables de façonner une vie qui sera supérieure à tout ce qui est vivant dans le monde ! Ce sont des gens pareils qui ont pris le pouvoir et qui nous imposent cet abominable transhumanisme dans lequel il n’y a plus trace de ce qu’est la beauté de la conscience et de la liberté qui est une manifestation de la conscience ! (Source : anguillesousroche.com)

Selon les scientifiques de ces deux revues spécialisées, Nature et The Lancet, les « injections » à ARN messager n’avaient pas du tout une finalité sanitaire, comme on le dit déjà depuis le début de cette comédie pathétique…

Le 9 juin, Nature révèle dans le détail comment les experts de l’OMS ont pu compter 40 % en trop dans le simple calcul de l’excès de mortalité causé par l’épidémie de la Covid-19. (Cf.,  Van Noorden, Richard. « COVID death tolls: scientists acknowledge errors in WHO estimates », Nature, 1er juin 2022, vol. 606,7913 (2022) : 242-244. Doi : 10.1038/d41586-022-01526-0, https ://www.nature.com/articles/d41586-022-01526-0)

C’est la méthodologie utilisée à dessein par les experts de l’OMS, qui a permis aisément cette falsification. Les « modélisateurs » mathématiques qui ont été utilisés étaient défaillants et cela se savait depuis le début.

À son tour, The Lancet publiait le 11 juin quelque chose d’encore plus sidérant : une étude rétrospective pour comparer les risques cardiaques (péricardites et myocardites) suite aux injections des produits à ARNm de Pfizer et de Moderna. 

Pour les deux substances injectées, le risque était le même, c’est-à-dire, bien plus élevé que ce qui a été constaté habituellement chez les 18-25 ans, sachant que les données récoltées par la pharmacovigilance ont été largement insuffisantes du fait de la résistance des médecins à déclarer ce qu’ils constataient et compte tenu de la pression scandaleuse qui s’est exercée sur eux, les menaçant de suspension ou de radiation de l’Ordre des Médecins…

(Cf., Hui-Lee Wong, Mao Hu, Cindy Ke Zhou, Patricia C Lloyd, Kandace L Amend, Daniel C Beachler et al, « Risk of myocarditis and pericarditis after the COVID-19 mRNA vaccination in the USA : a cohort study in claims database », The Lancet, 11 juin 2022, https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(22)00791-7/fulltext)

Les doses dites de « rappel » augmentaient ce risque et les médecins de ville, généralistes, constataient cette hausse inexpliquée des troubles cardiaques chez les jeunes. Le ministre de la santé allemand a admis, le 12 juin dernier, que la campagne d’injections dite « anti-Covid », avait eu pour effet principal, un affaiblissement du système immunitaire de ses concitoyens, ce qui expliquait désormais qu’ils étaient devenus plus vulnérables aux autres virus toujours existants !

Du coup, ce même ministre recommandait la poursuite intensive des « vaccinations », car le mal étant fait, il n’y avait plus d’autres solutions que celle de s’enfoncer davantage dans cette erreur ! (Cf., David Berger, «Lauterbach gibt zu: Coronamaßnahmen haben Immunsystem schwer geschädigt», Philosophia Perennis, 6 juin 2022 (en allemand), https://philosophia-perennis.com/2022/06/06/lauterbach-gibt-zu-coronmassnahmen-haben-immunsystem-schwer-geschaedigt/).

Selon les derniers chiffres officiels, 65 629 décès sont dus aux injections anti-Covid-19 et 10 439 642 blessures ont été signalées au 24 février 2022 pour l’ensemble des pays de l’Union Européenne, des USA, du Royaume-Uni… (cf., The European Medicines Agency (EMA) ; The Medicines And Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA); The United States Food And Drug Administration (FDA); The Centers For Disease Control And Prevention (CDC)-)

Les médias aux mains des milliardaires, qui se sont entendus pour soutenir la campagne de propagande à la demande des responsables du FEM de Davos voulant exploiter « la fenêtre d’opportunité » qu’offrait cette fausse pandémie, se sont livrés corps et âme à la cause du « transhumanisme » qui se cachait derrière toutes ces aberrations que l’OMS elle-même avait répétitivement été obligée de démentir en se contredisant de multiples fois. Le Pr Perronne, ancien expert de l’OMS, nous expliquait dans une interview que la fondation Bill Gates avait le contrôle total de l’OMS, puisqu’elle est la sponsor principale, majoritaire des fonds attribués à l’OMS. (cf., « Les Incorrectibles » GETTR, du 16 janvier 2022, animée par Éric Morillot.)

Tout ce qu’a publié le Professeur Perronne durant ces deux dernières années, est fondé, prouvé, démontré scientifiquement. Il est inattaquable sur le plan scientifique. C’est pourquoi personne ne veut un débat scientifique avec lui ; les ordures qui nous gouvernent préfèrent radoter que Perronne « affirme des contre-vérités sur la Covid-19 », « qu’il ne sait plus ce qu’il dit », que c’est un « charlatan », sans rien démontrer, sans jamais rien argumenter. Les pervers aux commandes se contentent de dénigrer, d’humilier, de détruire par le mensonge et la diffamation, la réputation de tous ceux qui s’opposent à leur agenda mondialiste et à leur « croyance obscurantiste sur la Covid- 19 ». 

À l’heure actuelle, le wokisme, le covidisme, le « vaccinalisme » et l’Ukraine ont fait de nos Talibans médiatiques des références doctrinales incontournables pour le triomphe de la vérité révélée par le dieu du Nouvel Ordre Mondial : les véritables scientifiques sont harcelés par la terreur de ces charlatans au service du système.

Prochainement nous aurons un sérieux nettoyage à planifier au sein de la société humaine : la colonie pénitentiaire de Kafka ou le monde orwellien, faisant partie de l’épisode obscurantiste des talibans médiatiques…

Rappel : En France au pic le plus élevé de la crise de la Covid-19, il y avait 140 malades par semaine pour 100 000 habitants ; pour une grippe normale, c’est entre 500 et 600 malades par semaine pour 100 000 habitants, sachant que le chiffre de 140 n’a jamais été dépassé depuis deux ans et demi (chiffre qu’il faut encore revoir à la baisse, compte tenu des falsifications relevées récemment dans les statistiques rapportées par les organismes officiels !) 

Depuis que les théoriques « vaccins » ont été reconnus comme inutiles (ils ne protègent pas de l’infection par le SARS-Cov-2 et n’empêchent pas d’infecter ses contacts), le chef de la stratégie vaccinale de « l’Agence Européenne du Médicament » a déclaré en début d’année : 

« Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire ». (cf. AEM de janvier 2022)

(Cf., Sommet mondial sur le Covid: 17 000 scientifiques appellent à mettre fin à l’état d’urgence sanitaire, France Soir, 26 mai 2022. Covid-19 : un déficit immunologique responsable de près d’un quart des formes sévères chez les vaccinés, TF1 Info, 15 juin 2022.)

 Les travaux les plus avancés semblent être ceux de L’Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Techniques OPECST : 

« Un vacciné sur 340 consulte un médecin après sa vaccination, pour grande fatigue, fièvre, maux de tête, de ventre, musculaires, rougeurs sur sa peau, paralysie partielle, troubles cérébraux ou cardiaques… Un sur 1434 a quelque chose de très grave qui peut se terminer en handicap permanent et enfin un sur 28 000 en meurt. » 

Au printemps 2022, les chiffres des contaminations deviennent franchement catastrophiques pour les défenseurs de ces « vaccins » : les « vaccinés » ont désormais plus de risques d’être infectés que les non-vaccinés !

(Cf., site officiel « Vax Impact », pour les 60 à 79 ans : la proportion d’infection parmi les vaccinés (2 ou 3 doses) est systématiquement supérieure à celle observée chez les non-vaccinés, à partir du mois de mars 2022. https://covidtracker.fr/vaximpact/)

Résultat : les Britanniques cessent brutalement de publier le taux d’infection selon le statut vaccinal. En France, on ne communique plus sur les chiffres officiels de la DREES. 

En mai 2022, un Bill Gates abattu reconnaît hypocritement, sur la scène du Forum économique mondial, que « ces vaccins ne sont pas bons pour bloquer l’infection ».

Il en tire même la conclusion que les passeports vaccinaux n’ont aucun sens, dès lors qu’on peut être vacciné et infecté ! Pour se moquer du monde, personne ne fait mieux !

Cerise sur le gâteau, le Laboratoire Pfizer déclare : « aucun des effets secondaires ou graves survenus chez les personnes après le « vaccin » anti-Covid, n’est lié au « vaccin » ! Les cas de problèmes graves sont tellement nombreux que le laboratoire faisait cette déclaration en vue de se protéger face au déluge de plaintes qui allaient inévitablement lui tomber sur la tête. 

Pfizer refuse catégoriquement d’admettre que l’un des effets très néfastes tels que la mort ou des lésions neurologiques est dû à son vaccin.

https://southfront.org

Mais, qu’à cela ne tienne, les Macron et leurs équipes de pervers veulent à tout prix continuer et renforcer la campagne de « vaccination » en la généralisant aux enfants eux-mêmes ! Ils continuent de dépenser l’argent public dans l’achat de ces substances mortelles ou dangereuses pour la santé physique et mentale, sans parler des objectifs réels poursuivis par ces injections …

CONCLUSION

Dans cette histoire de la « pandémie Coronavirus » tout est faux de A à Z ; tout est manipulé ; tout a été acheté, et ce qui ne pouvait pas l’être a été menacé de « mise à pied », de « suspension », de « radiation », de sanction, de répression judiciaire, policière, fiscale… Les scientifiques qui ne pouvaient pas être achetés ont été purement et simplement menacés dans leur existence ou pour l’avenir de leur carrière. 

Les médecins eux-mêmes ont été obligés de se taire et de tenir le discours du narratif officiel mensonger, sous peine de radiation de l’Ordre des médecins ou d’une condamnation pour « faute professionnelle » ou rébellion…

Tout a été martyrisé, persécuté, menacé, sanctionné sans pitié et sans scrupules… L’argent de la trahison a coulé à flots, bien plus que les trente deniers symboliques de la tradition judéo-chrétienne paulinienne !

Les salauds, les ordures et les pervers ont proliféré soudain sous nos yeux ébahis, faisant ouvertement de la vérité un mensonge et du mensonge la vérité, nous traitant de « complotistes », de « terroristes », d’extrême droite, de « populistes »… 

Lorsque nous affirmions que c’était « la Terre qui tournait autour du soleil et non pas le soleil autour de la Terre », ces chiens de garde de la trahison de l’humanité aboyaient en meutes nous renvoyant à « l’évidence du contraire », nous condamnant au bûcher pour avoir osé critiquer la doxa du narratif des mondialistes au pouvoir, eux qui savaient contrairement aux pauvres rebelles que nous étions et qui n’étaient « qu’ignorance et inutilité » depuis notre naissance ! Nous devions « croire » que c’est le soleil qui tourne autour de la Terre, cela étant une « évidence » que seuls les « complotistes » refusaient de voir !

Les « inutiles » devaient être éliminés, les « substituables » devaient être transformés par le transhumanisme en machines à servir les Maîtres absolus de la vie piratée !

Plus que jamais, nous avons le devoir de nous battre en résistant, en refusant de nous soumettre à cette tyrannie déguisée de bons “prétextes sanitaires”, de “responsabilité morale”, de “devoir”…

L’humanité a été conduite à l’échafaud. Des vies ont été ruinées. Les récalcitrants sont encore maltraités. Les vieux ont été achevés à coups de Rivotril. Les enfants sont muselés et piqués aux produits toxiques remplis d’oxyde de graphène et d’autres substances dangereuses pour la santé physique et mentale. 

La chute fatidique du Capitalisme ultra libéral devait être camouflée par le triomphe des plus riches, la ruine de l’économie, le chômage de masse, les faillites tragiques en très grand nombre, le passage forcé au tout numérique, la disparition de l’argent liquide et le passage au contrôle par le passe vaccinal dont le QR code permettra une identification numérique reliant tout à tout ce qui regarde une personne : ses dossiers de santé, son activité bancaire, ses loisirs, ses fréquentations, ses centres d’intérêt, ses affaires privées, ses idées, sa sexualité…, etc.

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’un “État policier mondial”, contrôlé par la finance. C’est de cette manière que la gouvernance mondiale se mettra en place, grâce à la marque du chiffre dont chacun devra être porteur sous peine d’exclusion et d’élimination du champ contrôlé de la vie.

Jean-Yves Jézéquel

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Corruption : le Comité de Brigitte Autran remplace le Conseil de Jean-François Delfraissy

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Usé par les « conflits d’intérêts » (expression qui veut dire « corruption »), le Conseil scientifique, présidé par Jean-François Delfraissy, a laissé la place au Comité de veille et d’anticipation des crises sanitaires. Brigitte Autran en sera la présidente. Elle est professeur d’immunologie à La Pitié-Salpétrière. Nous restons donc à peu de chose près dans le même milieu, car cet hôpital peut s’enorgueillir de compter parmi son personnel, le Pr Gilbert Deray, qui a reçu 160 649 € des laboratoires, le Pr Yazdan Yazdanpanah qui a reçu 130 000 euros, le Pr Grimaldi (221 déclarations d’intérêt sur Transparence Santé) et le Pr Éric Caumes, ces derniers tous deux opposés à la réanimation des non-vaccinés.

À peine nommée, la présidente du Comité de veille nous annonce au doigt mouillé une nouvelle vague de maladies diverses et variées à la rentrée, nécessitant sans aucun doute des vaccins appropriés. Elle recommande particulièrement le Paxlovid® de Pfizer. Comme il n’empêche ni l’infection ni la contamination, elle lui trouve une qualité : il évite les formes graves. Et puis il y a un sacré stock à écouler.

En novembre 2020, Brigitte Autran déclarait :

« Les essais cliniques montrent qu’il n’y a pas d’effets indésirables graves aux vaccins covid-19, généralement, ils surviennent dans les deux mois. »

Depuis, il y a eu les rapports de Pharmacovigilance sur plus de 40 000 effets indésirables des injections Pfizer, Moderna et Astrazeneca jusqu’au 1er juillet 2022 : décès, AVC, problèmes cardiaques…

Si les virus sont pour le moment en vacances, on sait déjà qui est Brigitte Autran. Selon Transparence santé, elle a touché 2 500 € d’AstraZeneca. Toujours selon Transparence santé, Janssen et Gilead ont été généreux. Mais l’essentiel n’a pas été déclaré : Brigitte Autran a participé à des essais de vaccins contre la variole, pour Sanofi-Pasteur. Elle est intervenue à plusieurs congrès (frais de déplacement pris en charge par GSK-Pfizer, Roche). Elle a été co-organisatrice d’un essai clinique de vaccin antigrippe H1N1 de Sanofi Pasteur. Elle coordonne le réseau COREVAC2, dont l’un des objectifs majeurs est de « lier la recherche académique à l’Industrie du vaccin ». Elle coordonne également, au sein d’Aviesan, le Domaine de Valorisation Stratégique Innovation en Vaccinologie, qui a pour mission de développer de nouvelles stratégies de partenariats industriels et de valorisation. Les recherches de Mme Autran sont financées par la fondation Bettencourt, via l’association ORVACS (que Mme Autran a créée avec trois autres personnes). Mme Bettencourt (via L’Oréal) était la principale actionnaire de Sanofi.

Brigitte Autran répondait en juin 2021 aux questions sur la vaccination (une excellente vendeuse) :

En passant du Conseil scientifique au Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires, le terme « scientifique » a été supprimé. À quand un Conseil commercial des risques sanitaires ? Qu’est-ce que vous attendez, chez McKinsey, pour le proposer ?




La froideur des fous furieux au pouvoir (santé, guerre, économie…)

Par Lucien SA Oulahbib

Ce qui frappe dans cette folie sectaire en action sous nos yeux, c’est en effet la froideur implacable énonçant ce qui s’effectue et va continuer comme si de rien n’était, comme si tout marchait parfaitement (et pourrait l’être encore plus en supprimant le groupe témoin des non injectés) alors que ces fous furieux ont quitté le bord de la falaise (du raisonnable) depuis longtemps et continuent de marcher dans le vide (comme en 17, 26, 33, 49, 62…) en nous sommant de nous y jeter avec eux.

Une froideur de psychopathe bien plus terrible que ce discours de Pierre Rivière qui avait tant fasciné Foucault (p.117, à partir de la ligne 7), mais assez semblable à ce sang-froid des Petiot et Landru,  des assassins coupant, découpant comme s’il s’agissait de “têtes de choux”, avait remarqué Hegel lorsqu’il phrasait sur la Terreur française (dans sa phénoménologie de l’esprit), une sorte d’indifférenciation propre aux tueurs professionnels (“cela n’a rien de personnel”), aux tortionnaires au long cours (avec des poses comme des suspensions de coups, par des passes multicolorés en Allemagne) :

Je vous injecte quatre fois cinq fois par an. Vous devez baisser votre chauffage cet hiver en France. Quatre heures d’électricité par jour risquent de vous être confisquées en Suisse (et ailleurs aussi sans doute). Mais c’est pour « les valeurs » (sonnantes et trébuchantes), et vous devez accepter de vous faire attaquer, voler, violer, sinon vous êtes raciste. Et vous devez admettre enfin que les hommes peuvent être « enceints », aux dires du Planning Familial (taxant d’extrême droite toute critique, y compris provenant de gens dits de gauche), et que le voile islamique « c’est beau », tout comme le masque SM ou hygiénique. Et fermez-la, en fait, en France. Enlevez ces affiches que je ne saurais voir dénonçant les effets graves de la substance qui détruit à petit feu votre système immunitaire, car sa force de rejet de tout intrus (en l’occurrence des organes artificiels) empêche encore la production de ces derniers à grande échelle, sans oublier la fabrication des « turbo-cancers », les menstruations démesurées, ne touchant cependant bizarrement que des femmes « bio » – ou le sexisme du virus bien sûr, n’oublions pas qu’il est « très intelligent » (et masculin…).

D’ailleurs les « trans » vont permettre de faire un grand bond en avant dans cette direction en exigeant en effet beaucoup de transformations avec implantations d’organes simulant le « genre » choisi sans parler de la méthode ROPA, la PMA/GPA. Il ne manque plus que la surveillance connectée du cerveau et de l’écriture comme l’effectuent les néo-mao, et la boucle vers « l’enfer c’est les autres » sera enfin bouclée.

La froideur et l’absence totale de sentiments (tout en affichant bien sûr le contraire) sont accentuées par la vidéo et la radio chatoyante avec ses couleurs et ses tonalités chaudes affirmant l’inverse. Sans oublier le cadre référentiel de la chaîne qui légitime, donne du « sérieux » aux fous furieux lorsque leur marteau-piqueur argumentaire martèle des mensonges. Ceux-là sont de vraies machines totalitaires qui agitent quelques chiffres triturés et beaucoup de contre-vérités, puisqu’avec leur mémoire de poisson rouge la plupart des hypnotisés oublieront que les morts ont été plutôt produites par le refus de soigner, que la baisse de la virulence de la Covid-19 était déjà là bien avant l’obligation de s’injecter, et qu’enfin, en matière internationale, il n’est pas possible de jouer faussement au « neutre » en renvoyant dos à dos Russes et Ukrainiens pro Zelenski en ce qui concerne par exemple le bombardement de la centrale nucléaire alors que ces derniers ont tout intérêt à faire croire en cette charade.

Mais comment arrêter ces psychopathes qui peuvent déclencher l’irréparable à tous les niveaux ? Telle est désormais l’unique question. Peut-être qu’un Comité de Salut Public pourrait déclarer la « patrie en danger » ?… Un certain nombre de personnalités et de citoyens à la façon du Serment du Jeu de Paume (mené par Mirabeau…) viendrait au petit matin s’enchaîner aux grilles de l’Assemblée Nationale en exigeant par exemple que l’on cesse d’exhorter à se faire injecter des substances expérimentales, que l’on donne enfin le statut « vaccinal » des morts « subites » et que l’on fasse surtout toute la lumière sur les effets secondaires liés à cette injection expérimentale.

Par ailleurs et sans doute un autre type d’action similaire devrait être réalisée pour attirer cette fois l’attention sur la fuite en avant actuelle vers la guerre civile d’une part, la guerre totale et finalement nucléaire d’autre part, les psychopathes au pouvoir cherchant à manipuler de plus en plus le réel comme s’il s’agissait d’éléments fictifs suivant ainsi leur scénario antirationnel fonctionnant comme de la nitroglycérine confiée à des invertébrés volontaires.




Les vaccins covid tuent au moins 10 000 personnes par jour dans le monde

[Source : naturalnews.com]

[Traduction : numidia-liberum]

Les vaccins Covid tuent actuellement environ 10 000 personnes par jour dans le monde, avec un nombre total probable de décès entre 12 et 24 millions. Parce que les décès excédentaires (par rapport aux moyennes annuelles) sont très difficiles à cacher pour les gouvernements, ces décès excédentaires apparaissent comme la preuve incontestable qu’ils sont dus aux « vaccins » Covid.

Steve Kirsch estime qu’une personne est actuellement décédée à cause des vaccins pour 1 000 doses administrées. Or, les chiffres officiels britanniques montrent qu’en réalité, ce sont plus de 2 personnes sur 1000 qui meurent dans le mois qui suit leur vaccination covid. [Voir Les injections de Covid ont tué de 5 à 12 millions de personnes dans le monde].

Aux États-Unis, environ 600 millions de doses ont été administrées jusqu’à présent (oui, plus d’une pour chaque personne dans le pays), ce qui équivaut à environ 1.200.000 décès aux États-Unis (et ce n’est pas fini).

Dans le monde, avec plus de 12 milliards de doses administrées, nous avons probablement environ 24 millions de décès (dans le mois qui suit la vaccination) jusqu’à présent.

Ornous savons que les décès post-vaccinaux sont répartis dans le temps. Alors que quelques personnes meurent dans les 48 premières heures ou dans le mois, de nombreux décès surviennent plusieurs mois voire un an ou deux après les injections de vaccins. Pourquoi cela arrive-t-il ?

Nos tests de laboratoire sur les caillots vaccinaux peuvent fournir des réponses significatives. Grâce aux efforts du Dr Jane Ruby et de l’embaumeur Richard Hirschman qui ont pu me procurer des échantillons de caillots post-vaccinaux pour analyse en laboratoire, nous avons pu établir plusieurs faits choquants sur ces caillots :

Fait #1) Les caillots grossissent avec le temps, à l’intérieur du système circulatoire du corps. Cela signifie qu’il s’agit de systèmes biomachines autoassemblés.
Fait #2) À mesure qu’ils grandissent, ils accumulent ou récoltent certains éléments de l’approvisionnement en sang circulant. Grâce aux tests de laboratoire ICP-MS, nous avons démontré de manière concluante que l’étain, l’aluminium et le sodium sont récoltés dans le sang et incorporés dans les structures des caillots.
Fait #3) À mesure que les caillots grossissent, ils prennent plus de place dans les vaisseaux sanguins. Au début, le sang vivant coule simplement autour des caillots. Mais les caillots peuvent être délogés pendant une activité physique rigoureuse (comme le jogging ou le football), ou les caillots peuvent à un moment donné atteindre un blocage à 100 % de l’artère, entraînant un événement « mort subite ».

Fait important, il semble que ces caillots prennent plusieurs mois, voire un an ou deux, pour atteindre une taille suffisante pour bloquer complètement les vaisseaux sanguins et les artères.

Cela signifie que les décès observés jusqu’à présent ne représentent qu’une fraction des décès à venir.

En d’autres termes, de nombreuses personnes qui ont pris ces piqûres sont des bombes à retardement de blocage cardiovasculaire inévitable et de mort. Ce n’est qu’une question de temps avant que les caillots grossissent suffisamment pour arrêter le flux sanguin. Une fois que le flux sanguin vers le cerveau est interrompu, la mort s’ensuit en quelques minutes.

Ce ne sont pas des caillots sanguins et les médicaments anticoagulants ne font rien pour dissoudre ces caillots

À notre connaissance, il n’existe aucun remède connu pour dissoudre ou éliminer ces caillots du système cardiovasculaire. Nous avons interrogé des médecins qui ont tenté de traiter ces caillots avec de puissants médicaments anticoagulants tels que l’héparine, et ces médicaments n’ont rien donné.

C’est parce que ces caillots ne sont pas des caillots sanguins. Ce sont des biostructures élastiques et robustes qui ressemblent à la force et à la texture des élastiques. J’ai manipulé ces caillots lors d’une diffusion en direct (via l’Alex Jones Show) où, sous un microscope de laboratoire, j’ai démontré la force et la résilience choquantes de ces structures de caillots artificiels. Encore une fois, ce ne sont pas des caillots sanguins. Ce sont des biostructures protéiques solides et caoutchouteuses qui n’appartiennent absolument pas au corps humain.

Au microscope, ils ressemblent à ceci, ce qui n’a rien à voir avec un caillot de sang :

De plus, comme nous l’avons démontré de manière concluante via des tests de laboratoire ICP-MS, ces caillots manquent presque complètement des éléments clés de la vie qui seraient présents dans le sang, tels que le fer, le magnésium et le potassium.

Élément Résultats [normaux] dans le sang Résultats dans les caillots
Mg (magnesium) 35 ppm 1,7 ppm
K (potassium) 1893 ppm 12,5 ppm
Fe (iron) 462 ppm 20,6 ppm
Zn (zinc) 7,9 ppm 2,4 ppm
Cl (chlorine) 930,000 ppm 290 000 ppm
P (phosphorous) 1130 ppm 4900 ppm

Les décès par caillot post-vaccin devraient continuer à augmenter pendant des années à venir

Tout cela signifie que les décès par caillots post-vaccinaux vont continuer à augmenter pendant des années à mesure que les caillots grossissent dans le corps des gens. Alors que 2 personnes sur 1000 est peut-être déjà morte, il est concevable que d’autres meurent de ces caillots alors qu’ils continuent à se développer, atteignant peut-être finalement 10, voire 20, morts sur 1000 (ou 1 à 2 sur 100).

En d’autres termes, dans un monde où 12 milliards d’injections de vaccins ont été administrées, nous pourrions voir 120 à 240 millions de décès (ou même plus).

Le truc c’est qu’on ne sait pas encore :
• Dans quel pourcentage de vaccinés les caillots se développent.
• À quelle vitesse les caillots se développent.
• Si les caillots ont déjà cessé de croître, ou ce qui les fait s’arrêter.
• Si quelque chose peut inverser la croissance du caillot et réduire ou éliminer les caillots.

Il existe de nombreuses théories sur toutes ces questions, mais à ma connaissance, nous n’avons encore rien de concluant. La situation est aggravée par le fait que l’ensemble de l’establishment médical refuse catégoriquement même de reconnaître l’existence de ces caillots ni d’admettre le moindre lien entre les vaccins et la surmortalité. Ainsi, la dissimulation génocidaire continue et les gens continueront de mourir pendant des années.

Les vaccins Covid ont créé un « holocauste vaccinal » qui ne fera qu’empirer

Étant donné de 12 à 24 millions de décès en ce moment, nous assistons déjà à holocauste massif et qui va empirer. Cet holocauste vaccinal pourrait en théorie en tuer soixante millions, voire avec le temps, dix fois plus (600 millions) ou 100 fois plus (6 milliards). Étant donné qu’à ce jour, plus de 68,8 % de la population mondiale est au moins partiellement vaccinée contre le COVID-19 (soit 5,3 milliards de personnes), nous ne sommes pas loin des 6 milliards, qui seront largement dépassés fin 2020. Considérez cela lorsque vous voyez des reportages dans les médias vantant les mérites des « injections annuelles d’ARNm » en cours d’intensification par les fabricants de vaccins. Ils veulent vous injecter ce vaccin tueur chaque année jusqu’à votre mort. Quiconque est assez crédule pour continuer à prendre ces injections de caillots mourra sûrement plus tôt qu’il ne l’avait imaginé, surtout lorsqu’il croit bêtement que les injections vont le protéger et non l’exterminer.

Il s’avère que le dépeuplement mondial a été remarquablement facile à réaliser et qu’il rapporte gros (([1] Les 10 plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde ont réalisé plus de 700 milliards de dollars de revenus en 2021

L’industrie pharmaceutique a connu une grande année en 2021. Les 10 plus grandes sociétés pharmaceutiques en termes de revenus s’étendent sur cinq pays et ont généré un chiffre d’affaires collectif de 734,8 milliards de dollars et 130,6 milliards de dollars de bénéfices, selon le Fortune Global 500 2022, publié plus tôt ce mois-ci.

Les sociétés pharmaceutiques représentées dans le Global 500, qui classe les plus grandes sociétés mondiales en termes de chiffre d’affaires, ont généré une croissance de leurs bénéfices de 98,2 % en moyenne par rapport à l’année précédente. La pandémie de COVID-19 a fourni une formidable opportunité à certaines sociétés pharmaceutiques d’étendre leurs activités en s’impliquant dans la fabrication et la distribution de vaccins. Plus de 12,2 milliards de doses ont été administrées dans le monde au 17 juillet 2022 et 68,8 % de la population mondiale est au moins partiellement vaccinée contre le COVID-19. Pour Pfizer, qui se classe au quatrième rang de toutes les sociétés pharmaceutiques mondiales en termes de chiffre d’affaires, la production de vaccins COVID-19 représentait près de la moitié de son chiffre d’affaires annuel, représentant 36,8 milliards de dollars au total. Les revenus de tous les vaccins devraient atteindre 47 milliards de dollars d’ici 2025selon Deloitte.)) à ses perpétrateurs et à leurs acolytes, tels que Big Pharma, les politiciens corrompus et les médecins marrons. Ils n’ont fait que reproduire la méthode d’extermination des Amérindiens et des aborigènes d’Australie et de Nouvelle-Zélande, en leur inculquant des maladies incurables. Pour ces élites mondialistes, nous sommes tous des Amérindiens et des aborigènes. Tout ce dont ils avaient besoin était de libérer une arme biologique et d’effrayer les gens pour qu’ils prennent des injections mortelles (euthanasie étiquetée « vaccins ») et d’attendre que les masses crédules fassent la queue pour leur piquouse fatale.

Certains groupes — tels que les LGBT — ont atteint plus de 95 % de « conformité aux vaccins » et demandent encore plus de vaccins en raison de la variole du singe. Ce groupe démographique particulier, comme vous pouvez le constater, n’a pas d’avenir sur la planète Terre. Mais la même chose est également vraie pour de nombreux groupes religieux, conservateurs et professionnels de la santé qui ont été assez crédules pour prendre ces vaccins. C’est pourquoi tant de médecins sont tombés morts ces derniers mois, et il d’autres vont les suivre.

NOTE




Comment les services secrets ont traqué les résistants sur Internet

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

On a jusqu’ici cru que la traque aux résistants — notamment les censures ou les fermetures abusives de compte étaient le seul fait des réseaux sociaux eux-mêmes. On commence à comprendre qu’il s’agissait en réalité d’opérations communes entre ces réseaux et nos services secrets chargés de traquer les résistants de tous poils. Nous n’en sommes encore qu’au début de nos découvertes, mais une chose est sûre : le COVID a donné lieu à une véritable militarisation de l’information en Occident, au nom de la lutte contre la propagande russe.

Les nombreuses fermetures abusives de comptes sur les réseaux sociaux, durant la campagne de vaccination, ont irrémédiablement posé la question de l’embrigadement des GAFAM dans la folie totalitaire de la caste. Mais ce qu’on commence à comprendre aujourd’hui, c’est que cette campagne de « nettoyage » des réseaux sociaux pour empêcher les résistants de s’exprimer n’a pas été menée par les réseaux sociaux seuls. Les services secrets britanniques reconnaissent avoir été à la manœuvre pour « retirer » les résistants hors des réseaux sociaux, selon un procédé qui s’éclaire progressivement. 

Le rôle du GHCQ britannique

C’est en consultant le 2e rapport de l’Hybrid CoE Research que l’on comprend comment, en Grande-Bretagne, la traque aux résistants a été menée sur Internet. Selon cet organisme qui se consacre à l’étude des méthodes de contre-influence dans les guerres hybrides (c’est-à-dire les guerres de l’information) les services britanniques ont en effet mené une campagne d’élimination systématique des résistants au vaccin sur Internet. 

Selon ce rapport (on consultera tout spécialement les pages 20 et 21), le Département du Numérique, de la Culture, des Médias et du Sport (DNCMS) a entre autres utilisé les services du GCHQ pour collaborer étroitement avec les plates-formes numériques afin de supprimer les contenus contraires à la doctrine officielle :

The unit works closely with social media platforms to help them identify and take action to remove incorrect claims about the coronavirus, in line with their terms and conditions.

(L’unité travaille étroitement avec les réseaux sociaux pour les aider à identifier et agir pour retirer des contenus incorrects sur le coronavirus, en lien avec leurs conditions générales.)

On pensait jusqu’ici que les Facebook, Twitter et Google avaient agi de leur propre chef. On comprend désormais que les GAFAM collaborent étroitement avec les services secrets, en leur livrant au jour le jour leurs données personnelles et en prenant directement leurs ordres en matière de suppression de contenus auprès de ces services. 

Jusqu’où est allée la manipulation de l’information ?

Si les services de renseignement demeurent intentionnellement discrets sur les méthodes qu’ils utilisent pour contrer l’influence des résistants sur Internet, le rapport que nous citons donne un indice révélateur sur la face cachée de l’information :

This DCMS unit has been working closely with the Communications team of the Department of Health and Social Care on vaccine campaigns to promote information and advice and increase uptake, particularly amongst certain groups within the population. They have regular meetings and share insights on narratives that we have seen
emerging which may drive hesitancy that might affect vulnerable groups in particular.

(Cette unité du DCMS a oeuvré en étroite collaboration avec l’équipe Communications du Département de la Santé et de l’Aide Sociale sur les campagnes de vaccination, afin de promouvoir une information et des conseils et afin d’augmenter le taux de vaccination, particulièrement parmi certains groupes de la population. Ils tiennent des réunions régulières et partagent des slogans sur les narratifs émergents qui pourraient semer le doute auprès de certains groupes vulnérables dans la population.)

On retiendra la formulation qui nous intéresse ici : “share insights on narratives”. Autrement dit, les services d’espionnage numérique ne se contentent pas de supprimer des contenus gênants et de clôturer les comptes des dissidents. Ils diffusent aussi des informations “correctes” dans certains groupes de la population. 

Les techniques utilisées pour ce faire ne sont pas explicitées officiellement, mais on peut se demander légitimement si elles passent ou non par de faux comptes ou par des trolls. 

Le rôle officiel des services secrets

Dans cette opération menée en Grande-Bretagne, c’est la très officielle agence Reuters qui a dévoilé, en novembre 2020 (citant un article du Times de Londres), le rôle joué par les services de propagande antiterroriste utilisés en leur temps contre Daesh, le GHCQ :

“GCHQ has been told to take out antivaxxers online and on social media,” the Times said, citing a source.

(“Le GHCQ a reçu l’ordre de retirer les antivax d’Internet et des réseaux sociaux” dit le Times, selon une source”)

On comprend ici que les ministères officiels se sont appuyés sur les services secrets pour mener la campagne favorable au vaccin, s’autorisant à bâillonner tous les opposants sans autre forme de procès, dans une collaboration active avec les réseaux. 

Le fantasme de la propagande russe

Cette violation allègre de la liberté d’expression a évidemment trouvé sa justification officielle : la lutte contre la propagande russe, toute réticence contre le vaccin étant forcément inspirée par Moscou, voire par Vladimir Poutine lui-même. 

Comme le précise Reuters :

This latest move by GCHQ, which gathers communications from around the world to identify and disrupt threats to Britain, is an attempt to counter disinformation activities linked to Russia, the report said.

(Cette action récente du GHCQ, qui collecte des informations à travers le monde entier pour identifier et contrer les menaces qui pèsent sur la Grande-Bretagne, est une tentative pour contrer les activités de désinformation liées à la Russie, selon le rapport officiel.)

Dans la pratique, on comprend comment le “narratif” s’est construit pour militariser la propagande du COVID : toute forme de scepticisme sur la question du coronavirus et du vaccin a été automatiquement classée comme activité pro-russe, ce qui autorisait toutes les opérations de sécurité nationale. 

Une opération de propagande occidentale

On notera que Reuters souligne le caractère très international de cette opération de “nettoyage” d’Internet. 

GCHQ is Britain’s main eavesdropping agency and has a close relationship with the U.S. National Security Agency, as well as the eavesdropping agencies of Australia, Canada and New Zealand in an intelligence alliance known as the “Five Eyes”.

(Le GCHQ est la principale agence d’écoute de Grande-Bretagne et entretient des relations étroites avec l’Agence de sécurité nationale des États-Unis, ainsi qu’avec les agences d’écoute d’Australie, du Canada et de Nouvelle-Zélande au sein d’une alliance de renseignement connue sous le nom de “Five Eyes”.)

On peut penser que cette opération de nettoyage d’Internet a obéi aux mêmes procédures dans différents pays occidentaux. On découvre au passage que les écoutes et la surveillance numérique sont d’ores et déjà cartellisées dans les pays occidentaux…

Et en France ?

Pour l’instant, aucune information claire n’a percé sur les pratiques françaises durant le COVID. L’agence Viginum n’a par ailleurs été créée qu’en juillet 2021. 

Cela signifie-t-il que la France est restée inactive sur les réseaux sociaux pendant la campagne du COVID ? Certainement pas, comme le souligne le rédacteur du rapport que nous avons cité plus haut, en l’espèce Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, français, directeur de l’Institut de Recherches Stratégiques (IRSEM). Dès 2018, un réseau d’action s’est mis en place. 

Les modalités opératoires de ces réseaux sont encore secrètes. Mais peu à peu, l’histoire s’écrit. Tout laisse à penser, en tout cas, que les services de renseignement ont été, en France aussi, directement à la manoeuvre pendant la campagne du COVID. 




Le triomphe des gamelins

[Source : nice-provence.info]

Par Georges Gourdin

Il est des noms propres qui entrent dans le vocabulaire en mémoire de leur inventeur : il en est ainsi du préfet de Paris Eugène Poubelle, de l’empereur Vespasien, ou encore de l’artiste César. Le général Cambronne l’a échappé belle.

Poubelle Vespasienne César

Le chroniqueur Xavier Moreau utilise dans ses chroniques sur Stratpol(([1] Nous invitons nos lecteurs à suivre les remarquables chroniques de Xavier Moreau sur son site Strapol.)) le mot « gamelin » en référence au général Maurice Gamelin. Hélas pour lui, ce général est attaché à la débâcle de 1940 par des appréciations lourdement erronées.

Général Gamelin

Maurice Gamelin intègre Saint-Cyr le 31 octobre 18912 et en sort major de promotion en 1893. En 1916 c’est lui qui rédige à l’attention du général Joffre, les instructions qui conduiront à la victoire de la bataille de la Marne.
Il est Généralissime en 1940 et sa stratégie conduira à la débâcle de l’Armée française. Le président du Conseil, Paul Reynaud, le limoge. Il est arrêté le 6 septembre 1940 par le nouveau régime de Vichy, puis inculpé au procès de Riom en février 1942, aux côtés de Léon Blum, Édouard Daladier et… Paul Reynaud ! Il faut bien trouver des coupables.
Il n’en demeure pas moins que ses erreurs sont lourdes et ont coûté cher :
• une faible capacité à mener les hommes ainsi qu’à les organiser, et un manque de charisme général,
• des conceptions obsolètes de l’emploi de l’aviation, des chars, des éléments motorisés, de l’artillerie, des fortifications,
• un commandement privilégiant les contacts avec les hommes politiques parisiens,
• une vision du théâtre d’opérations qui lui faisait regarder le secteur des Ardennes comme impénétrable. [source]

Son patronyme — hélas pour lui et tous ceux qui le portent — est depuis lors attaché à : « militaire haut gradé coupé des réalités du terrain ». Un gamelin porte un képi mais il n’y a plus rien en dessous, guidé par ses seules préoccupations de carrière (voir Les Gamelins sur Réseau International).

Xavier Moreau - Gamelins

Xavier Moreau rencontre un franc succès avec sa rubrique « Le gamelin de la semaine ». Le chroniqueur, lui-même ancien saint-cyrien, ancien officer parachutiste, démonte sans pitié les interventions des généraux qui sont invités sur les plateaux de télévision et qui font montre d’une incompétence crasse, ou alors d’une soumission totale à la Police de la Pensée dictée par l’OTAN. Pour Xavier Moreau, tous ces généraux médiatisés par le Système qui en a besoin, sont des gamelins.

Ce qui est vrai pour les affaires militaires, l’est aussi dans tous les domaines. Les gamelins sont partout.

Nous avons par exemple nos gamelins pour la santé et nous l’avons bien vu pendant la plandémie orchestrée par le Système. Les médecins gamelins se succédaient sur les plateaux de télévision pour nous apeurer et nous conduire à la vaccination, et donc au passe sanitaire puis au passeport numérique.

Certains de ces gamelins font un coming-out et avouent avoir été manipulés. C’est le cas de Martin Blachier qui fut le premier à refuser la gamelle.

@MartinBlachier en mode retournage de veste puissance 1000, Il doit sentir le vent tourner … On nous ment comme d’hab écoutez et lisez ce rapport ! #VeranMenteur #3emeDose #PasseSanitaire #Noussommesles6millions
pic.twitter.com/IRwCpeKm7m— LE GÉNÉRAL 0fficiel ©💎 (@LE_GENERAL_OFFL) November 11, 2021

Le docteur Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique, n’a pas voulu terminer comme un gamelin et il a retourné sa veste à temps. Suivi d’Alain Fischer.

N’en voulons pas à ces derniers. N’est pas qui veut Louis Fouché, Didier Raoult, Alexandra Henrion-Caude, Christian Perrone ou Jean-Bernard Fourtillan. Les premiers repentis font preuve de courage car il est toujours difficile de reconnaître que l’on s’est trompé. En outre ils subissent d’énormes pressions pour rester dans le rang mais ont le courage d’en sortir.

Ce qui n’est pas le cas de toute notre classe dirigeante, journalistes, politiciens, grands patrons, syndicalistes, artistes, sportifs de renom, tous gamelins ! Cela se conçoit aisément lorsque l’on a compris que le premier des gamelins est le président de la République. Il s’entoure de gamelins et, de proche en proche, toute notre structure sociale s’appuie sur des gamelins.

Qui se ressemble s’assemble

C’est pour cela que ça va mal




Les enfants sont à haut risque des complications de l’inutile injection anticovid : il faut l’interdire !

Par Nicole Delépine

AFFICHONS-LE PARTOUT : 1 accident cardio-vasculaire (myocardite, péricardite) ou autre (angio œdème, accident vasculaire cérébral, paralysie faciale) pour 100 injections !

Crédit photo : DR

Personne ne peut plus affirmer que l’injection génique expérimentale serve à un quelconque effet médical bénéfique. Elle ne protège ni des contaminations, ni des formes graves, ni de la mort. Même le président de l’ex-conseil scientifique qui conseillait E. Macron l’a avoué dans son mea culpa de fin juillet 22.(([1] Delfraissy Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique d’E. Macron, serait-il devenu complotiste ? | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) Les complications des injections sont avouées par de nombreux médecins et officiels même si le plus souvent le nombre en est minimisé. Néanmoins is avouent. Même l’ANSM !

Parents, enseignants, philosophes, politiques, sapeurs-pompiers, et surtout professionnels de santé, infirmiers, aides-soignants, médecins de toute spécialité, kinésithérapeutes, pharmaciens, etc..

COMBIEN DE TEMPS ALLONS-NOUS SUPPORTER DE DÉCOUVRIR CHAQUE JOUR DE NOUVEAUX TÉMOIGNAGES DES ACCIDENTS DES PSEUDOVAX ?

Et en dépit de la censure extrême de Google… qui ne nous permet pas de retrouver un article connu, sauf si on connaît bien le nom du site ou de l’auteur et le titre exact de la publication. Il y a beaucoup de témoignages qu’ils arrivent à passer tout de même.

Ce jour, ce papier arrive sur mon ordinateur via un correspondant attentif : un résumé des effets secondaires de l’UE publié par l’EMA : 2956 avortements spontanés après injection :

EMA Pathologies 12 août 2022 Déclarant Nombre
Avortement spontané Professionnels de la santé 852
Avortement spontané Autres 2 104
Avortement spontané Total 2 956
Aménorrhée Professionnels de la santé 1 312
Aménorrhée Autres 15 726
Aménorrhée Total 17 038
Choc anaphylactique Professionnels de la santé 945
Choc anaphylactique Autres 886
Choc anaphylactique Total 1 831
Cécités Professionnels de la santé 1 061
Cécités Autres 2 065
Cécités Total 3 126
Cancer Professionnels de la santé 922
Cancer Autres 2 090
Cancer Total 3 012
Défaillance cardiaque Professionnels de la santé 2 397
Défaillance cardiaque Autres 1 871
Défaillance cardiaque Total 4 268
Creutzfeldt-Jakob Professionnels de la santé 25
Creutzfeldt-Jakob Autres 55
Creutzfeldt-Jakob Total 80
Surdité Professionnels de la santé 1 714
Surdité Autres 2 993
Surdité Total 4 707
Fatal – entraîne la mort Professionnels de la santé 17 516
Fatal – entraîne la mort Autres 10 140
Fatal – entraîne la mort Total 27 656
Mort fœtale Professionnels de la santé 146
Mort fœtale Autres 106
Mort fœtale Total 252
Guillain-Barré Professionnels de la santé 2 509
Guillain-Barré Autres 1 841
Guillain-Barré Total 4 350
HIV infection Professionnels de la santé 124
HIV infection Autres 148
HIV infection Total 272
Rechute de la sclérose en plaques Professionnels de la santé 242
Rechute de la sclérose en plaques Autres 523
Rechute de la sclérose en plaques Total 765
Myocardite Professionnels de la santé 7 788
Myocardite Autres 9 248
Myocardite Total 17 036
Péricardite Professionnels de la santé 6 765
Péricardite Autres 7 959
Péricardite Total 14 724
Embolie pulmonaire Professionnels de la santé 10 630
Embolie pulmonaire Autres 6 380
Embolie pulmonaire Total 17 010
Thrombose Professionnels de la santé 18 884
Thrombose Autres 17 686
Thrombose Total 36 570
Échec de la vaccination Professionnels de la santé 54 324
Échec de la vaccination Autres 73 833
Échec de la vaccination Total 128 157
(([2] EMA au 12 août.))(([3] Chiffres des Événements Indésirables post vaccination Covid de l’EMA — Covid faits et chiffres (covid-factuel. Fr) ))

Et pour les enfants cette nouvelle information 

Two and 3-year-old kids with seizures is « the new normal » [« la nouvelle normalité »]

« Je reçois plusieurs rapports de mes amies infirmières au sujet d’enfants de 2 et 3 ans qui ont des convulsions. Cela ne se produit que sur les enfants vaccinés, et les symptômes commencent 2 à 5 jours après le vaccin CONTRE LA COVID19 ».(([4] https://stevekirsch.substack.com/?url=https%3A%2F%2Fstevekirsch.substack.com))

L’auteur nous explique que les médecins ou infirmiers ne peuvent parler ni mettre en cause même potentielle le pseudovax, car sinon ils seraient virés de leur profession. Ils parlent donc de curieuses épidémies d’éruption de convulsions, d’éruptions cutanées, etc. survenant aux enfants de 2 et 3 ans. Mais le seul point commun de ces petits ait d’avoir reçu l’injection.

Parcourons l’article de P. Gibertie(([5] Prendre un enfant pour un rat Vendre un enfant à Bourla | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) )) qui compare les enfants à des petits rats.

Et les derniers états des lieux dans les tableaux officiels du VAERS.(([6] • ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) juillet 2022
Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)
Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([7] Il faut interdire les injections géniques dangereuses et inutiles : au 15 août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([8] Chaque jour un nouvel article :
Une étude révèle un lien « stupéfiant » entre le vaccin de Pfizer et la myocardite chez les adolescents | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation
Le Dr Tracy Høeg, épidémiologiste, a déclaré dans un tweet que l’étude était « unique et impressionnante en raison de l’examen approfondi effectué avant et après la vaccination », car elle permettait de « détecter des anomalies cardiaques préexistantes ».))

Par exemple, selon les données les plus récentes du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), du 14 décembre 2020 au 29 juillet 2022, 1 292 cas de myocardite et de péricardite ont été signalés chez les 12-17 ans.

Sur les 1 292 rapports, 1 145 cas ont été attribués au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer.(([9] Copyright © Children’s Health DefenseThe Defender, 2022))(([10] LES DOSES À RÉPÉTITION DÉMULTIPLIENT LES RISQUES DE MALADIES AUTO-IMMUNES : | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) :
Publié le 17 août 2022 par pgibertie.
25 % des patients covid hospitalisés pour formes graves voient apparaître des anticorps annonciateurs de maladie auto-immune dans le futur, pour les vaccinés complets PFIZER c’est de 23 % (5 % pour les deux doses)… ÇA SE PRÉCISE…))

INFORMER LE PEUPLE PAR TOUS LES MOYENS dont l’affichage, les tracts, les réunions publiques

La désinformation qui a régné en maître par le gouvernement et ses médias aux ordres doit être combattue par tous les moyens. Des citoyens dont des soignants arpentent les rues du Luxembourg, Allemagne et France depuis le 13 août, et peuvent parler aux habitants qui souvent tombent des nues en découvrant les toxicités et l’inefficacité des pseudovax.

Et bravo au CSI de nos collègues de Reinfocovid pour leur initiative d’affiches à Toulouse qui met en rage au moins un médecin de plateau qui ose prétendre que les injections pour les enfants ne seraient ni toxiques ni inutiles… Comment en arriver là en écrivant sur twitter des propos relevant de la diffamation (il traite le CSI d’organisme complotiste aux dérives sectaires !).

S’il n’en reste qu’un, ce sera celui-là ; les patrons corrompus qui sévissent sur les grandes chaînes sont plus prudents). Est-il à ce point incapable de lire les sites officiels de la FDA, le VAERS, ou de l’EMA site de l’UE (EUDRAVIGILANCE) ou encore le MHRA pour la Grande — Bretagne qui informent depuis l’été dernier des catastrophes chez les jeunes vaccinés ?

Évidemment, que la vérité sorte enfin ne fait pas plaisir à tout le monde !(([11] Vaccin contre le Covid 19 : de nouvelles affiches antivax placardées dans Toulouse provoquent la polémique (francetvinfo.fr) ))

« Réinfo Covid continue de revêtir à Toulouse (Haute-Garonne) les panneaux publicitaires privés de messages antivaccin du Covid 19. Au moins, une nouvelle affiche sur la vaccination chez les enfants est visible dans la ville rose. L’ordre des médecins assure avoir alerté la préfecture du sujet ».

« 1 accident cardiovasculaire pour 100 injections et autres complications : la santé de nos enfants vaut mieux que des vaccins expérimentaux ».

Voilà ce que l’on peut lire sur une affiche, placardée sur un panneau publicitaire au 12 chemin d’Audibert dans une résidence privée, face à l’école élémentaire Ernest Renan, dans le quartier des Trois Cocus, à Toulouse.

Les panneaux appelant à la prudence se multiplient à Toulouse(([12] Mardi 16 août 2022 à 19:46 — Par Manon Klein, France Bleu Occitanie, France Bleu Toulouse Les panneaux appartiennent à une société privée © Radio France — Alexandre Vau)):

« De nouvelles affiches qui dénoncent les prétendus dangers du vaccin contre le Covid-19 viennent de faire leur apparition à Toulouse. On en compterait environ neuf selon la mairie de Toulouse. Certains professionnels de santé s’indignent que de tels panneaux puissent être visibles en pleine rue.(([13] Les panneaux antivax se multiplient à Toulouse (francebleu.fr) ))

Comment cette journaliste peut-elle parler de soi-disant « prétendus«  dangers du vax ? N’a-t-elle pas entendu parler de ces très célèbres artistes qui exigeaient des pass pour leurs concerts et se sont retrouvés victimes des complications du mirage qu’ils avaient monté en vedette ? Comme Céline Dion ou Justin Bieber… Prenez donc de leurs nouvelles.(([14] https://www.globalizacion.ca/los-tragicos-destinos-de-estrellas-mundiales-como-celine-dion-y-justin-bieber-abriran-los-ojos-de-sus-fans/
https://www.globalresearch.ca/will-the-tragic-fate-of-world-stars-like-celine-dion-and-justin-bieber-open-the-eyes-of-their-fans-impacts-of-covid-19-vaccine/5783700
Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Ou pire pour elle, journaliste, les présentateurs télé qui vantaient le pseudovax et sont tombés pendant ou peu après leur journal… Mais attention Madame, cela n’arrive pas qu’aux autres …

Quant à tous les sportifs blessés ou morts dont la liste s’allonge tristement et tous ces cyclistes qui ont dû abandonner lors de leur épreuve fétiche, fait-elle une croix dessus ?(([15] Le vax tue de plus en plus de célébrités et combien d’anonymes et de vies brisées ? Stoppons le massacre | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Et tout ça pour rien puisque les enfants ne font pas de formes graves et ne propagent pas le covid et que de toute manière, les pseudo vaccins sont incapables d’empêcher les transmissions

INFORMONS ENCORE ET ENCORE

ET VOUS SAUVEREZ DES VIES OU ÉVITEREZ DES VIES GÂCHÉES, DES ADULTES STÉRILES, DES BÉBÉS MALADES AUX YEUX MORTS…(([16] #COVID 1984 : Les Premiers « Bébé-Pandémie » Arrivent ! (odysee.com) ))

Eh bien oui, il est temps de trouver le moyen de toucher le plus grand nombre de personnes possible et surtout les victimes de la propagande d’état et les mensonges répétés depuis deux ans et huit mois des chaînes de dites informations continues…

« Des messages qui interpellent, qui choquent certains, mais qui sont pourtant légaux. »

Le premier message qui rappelle le principe de précaution nécessaire devant un médicament expérimental est apparu boulevard de l’Embouchure, près de cet immeuble © Radio France est qualifié d’antivax par Manon Klein

Les libertés de conscience, d’expression et d’affichage sont encore légales en France même si ça déplaît à Manon Klein et aux autres enragés du pseudo vaccin

« Le service juridique de la mairie de Toulouse s’est bien penché sur la question, pour trouver un moyen de faire retirer ces affiches, en vain. En effet, qu’elles se trouvent sur le domaine public ou non, elles ne peuvent être retirées que si elles provoquent un trouble à l’ordre public, ce qui pour le moment ne serait pas le cas selon la municipalité. »

« C’est une société privée, basée en Meurthe-et-Moselle, qui possède les panneaux où sont affichés ces messages. Le fait que ces panneaux soient de propriété privée laisse peu de marge de manœuvre à la mairie, selon cette dernière. »

Les panneaux appartiennent à une société privée
© Radio France — Alexandre Vau

France 3 Occitanie raconte :

« Installé au pied d’un immeuble d’une résidence privée, un panneau publicitaire semblable à tant d’autres. Sur un fond bleu et blanc, on distingue une seringue. De loin, on pourrait croire à une nouvelle affiche de sensibilisation pour la vaccination anti-Covid, mais lorsqu’on lit le message affiché sur le panneau en question, on découvre que c’est tout l’inverse. « Vaccins anti-Covid : 1 accident cardiovasculaire pour 100 injections (…) La santé de nos enfants vaut plus que des vaccins expérimentaux. » Le lieu où a été installé le panneau n’a pas été choisi au hasard, il se trouve en face d’une école élémentaire. […]

À Toulouse, plusieurs panneaux du même type ont été installés ces dernières semaines à différents endroits de la ville. […] »

Et le plus étonnant est que l’ordre des médecins qui a laissé depuis des années des médecins bourrés de conflits d’intérêts raconter les messages de Big Pharma sans déclarer leurs liens avec les labos malgré la loi de 2011 s’empare des revendications d’un médecin de plateau pour saisir le préfet !(([17] Les antivax se payent des pubs à Toulouse, l’Ordre des médecins saisit le préfet de Haute-Garonne.))

INFORMEZ,
PROTÉGEZ LES ENFANTS,
L’AVENIR DE L’HUMANITÉ





La fable criminelle de la « vaccination sans danger » des femmes enceintes

Par Dr Gérard Delépine

« Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es »

Depuis deux ans et huit mois, le gouvernement et les médias aux ordres nous mentent pour nous inciter à accepter des injections expérimentales abusivement qualifiées de vaccin alors qu’il s’agit de médicaments à ARN dont les essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023.

L’un des derniers mensonges en vogue concerne les femmes enceintes qu’on trompe en prétendant(([1] D’après Franceinfo !)):

« Une vaste étude canadienne… confirme que les vaccins à ARN messager contre le Covid-19 sont “sans danger” pendant la grossesse… L’étude a été menée sur 200 000 femmes enceintes canadiennes vaccinées ».

Ce pur mensonge estampillé AFP a été répété partout avec la complicité de France info, Médisite(([2] https://www.medisite.fr/coronavirus-covid-19-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes.5648211.806703.html)), La dépêche(([3] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php)), Elle(([4] https://www.ladepeche.fr/2022/08/12/vaccination-covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-la-grossesse-dapres-une-etude-canadienne-10485217.php)), 20 minutes Santé(([5] https://www.20minutes.fr/sante/3336759-20220812-covid-19-vaccins-arn-messager-danger-pendant-grossesse-selon-etude-canadienne)) le quotidien du pharmacien(([6] https://www.lequotidiendupharmacien.fr/medicament-parapharmacie/recherche/grossesse-et-vaccins-arnm-une-nouvelle-etude-confirme-labsence-de-risques)) et bien d’autres médias.

Existe-t-il dans ces rédactions des journalistes qui vérifient leurs sources et les données ? Sont-ils paresseux ou volontairement menteurs ? S’ils avaient fait leur travail de journaliste, ils auraient remarqué les faits suivants déjà dénoncés brillamment par Gibertie(([7] https://www.profession-gendarme.com/dangerosite-de-la-vaccination-pour-les-femmes-enceintes-les-journalistes-sont-de-gros-menteurs/comment-page-1/)).

L’étude(([8] Manish Sadarangani, et al for the Canadian Immunization Research Network Safety of COVID-19 vaccines in pregnancy: a Canadian National Vaccine Safety (CANVAS) network cohort study
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(22)00426-1/fulltext)) ne porte que sur 5 625 femmes enceintes vaccinées !

Car la lecture de l’article qu’ils citent montre que l’effectif réel des vaccinées est près de 40 fois inférieur à ce qu’ils annoncent !

L’étude se limite à de simples contacts par e-mails et/ou téléphoniques !

Il ne s’agit en aucun cas d’un article médical. Aucun examen clinique ni biologique n’a été réalisé. Il est heureusement douteux que les gynécologues canadiens suivent leurs patientes et l’évolution de leur grossesse par ces seuls moyens !

L’étude ne porte que sur les 7 jours post injection !

C’est quand même très court pour affirmer que les grossesses qui durent 9 mois n’ont pas été altérées par les injections et que les futurs nouveau-nés n’en ont pas souffert.

En 7 jours de suivi, ils ont quand même réussi à avoir chez les vaccinées : 4 qui ont perdu la vue, 7 incapables de marcher, 91 infections respiratoires, 1 paralysie soudaine du visage, et de nombreuses fausses couches.

Il ne s’agit pas d’un essai prospectif randomisé.

Mais d’une analyse rétrospective de cohorte dont la fiabilité scientifique est faible et la valeur probante très faible d’autant que l’effectif du groupe témoin (non vacciné) n’est que 339, chiffre totalement insuffisant pour estimer les risques et les comparer à des groupes numériquement 10 fois plus importants.

Les auteurs sont très liés à l’industrie des vaccins.

Il suffit de consulter les liens d’intérêt détaillés à la fin de l’article :

MS a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, Symvivo et VBI Vaccines. 

OGV a été chercheur, co-chercheur ou panéliste expert sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer et Seqirus, en dehors du travail soumis.

JDK a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Moderna et Pfizer

KAT a été enquêteur sur des projets financés par GlaxoSmithKline. 

JEI a été chercheur sur des projets financés par GlaxoSmithKline et Sanofi-Pasteur. 

AJM a été chercheuse sur des projets financés par GlaxoSmithKline, Merck, Pfizer, Sanofi-Pasteur et Seqirus, , et a reçu des honoraires pour sa participation à des conseils consultatifs d’Astra-Zeneca, GlaxoSmithKline, Medicago, Merck, Moderna, Pfizer, Sanofi-Pasteur, Seqirus, et pour les présentations d’Astra-Zeneca et Moderna.

 GDS a été enquêteur sur un projet financé par Pfizer. 

L’étude a été financée par les organismes d’État qui vivent des campagnes vaccinales et en font la promotion constante.

Ce travail a été soutenu par le financement COVID-19 Vaccine Readiness des Instituts en santé du Canada et de l’Agence de la santé publique du Canada CANVAS (numéro de subvention CVV-450980) et par le financement de l’Agence de la santé publique du Canada, par le biais du Document de référence sur la surveillance des vaccins Group et le groupe de travail sur l’immunité COVID-19.

La publication par le Lancet d’un tel torchon rappelle le précédent Lancetgate(([9] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931))(([10] https://www.lefigaro.fr/demain/sante/hydroxychloroquine-3-des-auteurs-de-l-etude-du-lancet-se-retractent-20200604))(([11] https://tribune-diplomatique-internationale.com/la-corruption-de-la-science-le-scandale-de-letude-sur-lhydroxychloroquine-qui-etait-derriere-tout-cela-lintention-danthony-fauci-de-bloquer-lhcq-au-nom/))(([12] https://www.causeur.fr/the-lancet-revues-universitaires-177545/))

Jamais un tel article bidon n’aurait passé l’examen par un comité de lecture à l’époque où le Lancet était indépendant et que son impartialité faisait sa réputation. Le Docteur Richard Horton rédacteur en chef du Lancet a d’ailleurs prévenu ses lecteurs :

« Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris le mauvais tournant vers les ténèbres. les grandes compagnies pharmaceutiques falsifient ou truquent les tests sur la santé, la sécurité et l’efficacité de leurs divers médicaments, en prenant des échantillons trop petits pour être statistiquement significatifs, ou bien, pour les essais, embauchent des laboratoires ou des scientifiques ayant des conflits d’intérêts flagrants, ils doivent plaire à la compagnie pharmaceutique pour obtenir d’autres subventions ».

L’agence France presse, et les médias qui ont diffusé sans modération ce mensonge se sont comportés non pas comme des organes d’information, mais comme des propagandistes sans état d’âme d’un pseudovaccin expérimental dont les premiers résultats avérés en population réelle sont très inquiétants.





Impossible de « les » prendre encore au sérieux

Par Lucien SA Oulahbib

À force de mentir, de triturer les mots et les faits relatés, de ne pas agir tout en faisant semblant, de menacer, corrompre, tuer socialement, bref, à force de se comporter en criminel en actes, il est désormais vain de les entendre sérieusement lorsqu’ils perquisitionnent Trump sous prétexte de « sécurité nationale » ou relatent une « contre-offensive » kiévienne à la façon d’une série Netflix, parlent de sécurité intérieure sans désigner l’ennemi, de social multiforme sans aller à la racine du néo-sous-développement français, de santé, mais privilégiant Big Pharma et son artillerie lourde bas de gamme, oubliant l’enseignement fait à la va-vite ou inutile, etc.. Rien ne va plus donc, mais rien n’a jamais été en fait. Et cela se voit bien plus maintenant comme les nez de Cyrano et de Pinocchio ; et comme la marée des mensonges descend, le souverain (le Peuple) se découvre nu.

D’où cette défiance, qui était déjà là en réalité, mais qui se fait de plus en plus pressante quoiqu’à bas bruit, avec les taux d’abstention record, la baisse abyssale des ventes de journaux et revues, la dégringolade du film français, du livre, hormis ceux qui parlent des vraies questions (mais sont méprisés par les prothèses ignares et ignobles de la Secte), tels Bac Nord ou les écrits dénonçant la fausse écologie, le racket de l’électricité et de diverses taxes déjà indiquées par le fameux sketch des Rap-tout version Inconnus.

Comment est-il alors possible de les entendre encore sans rire dès les premières secondes lorsqu’ils parlent de sujets dits cruciaux, mais qu’ils sont incapables de traiter tant ils n’ont ni les outils ni la volonté pour le faire ? Ils gèrent seulement leur retour sur investissement communicationnel en faisant en sorte que de plus en plus leur intervention dans le réel institutionnel soit construite comme un scénario de série TV (avec teaser et saisons) alors qu’auparavant c’était l’inverse ; ou la collusion, la simultanéité quasi synchrone entre la Carte de plus en plus solide et le Territoire de plus en plus abandonné aux surmulots des enclaves arrachées au Corps national. Et il suffit de se déplacer, de consommer, de payer, sur et par « elle », via le casque virtuel et les écouteurs Bluetooth.

Où est le Réel ? La situation est devenue si virtuelle que l’on ne s’en rend même plus compte.




Il faut interdire les injections géniques dangereuses et inutiles : au 15 août 2022

Par Dr Nicole Delépine

Selon les CDC, organismes officiels du ministère de la santé américain (un fédéral, et un par état) « le VAERS est un système national d’alerte précoce permettant de détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. » Étant donné le volume des rapports, la sonnette d’alarme devrait être tirée partout. Pourtant, ce n’est pas le cas.(([1] CDC conscient du nombre de rapports d’événements indésirables déposés dans le VAERS sur ces injections de COVID-19, et la façon dont cela contraste fortement avec le nombre de rapports historiques le plan de dotation en personnel et d’opérations a été revu : axé uniquement sur les rapports d’événements indésirables liés aux vaccins après vaccins COVID-19 pour aider à traiter environ 770 000 rapports numériques par an.
Le CDC sait : ils recrutent de nouveaux employés pour faire face au grand nombre de personnes qui, selon eux, soumettront des rapports d’événements indésirables dans le cadre des injections de COVID-19, et ils compensent à cet égard, mais sans reconnaissance publique.
https://jessicar.substack.com/p/a-question-and-answer-document-on))

Les chiffres les plus récents du CDC publiés le 29 juillet 2022 font état de 1 622 882 événements indésirables au total, dont 56 021 rapports d’invalidité permanente après la vaccination, 33 247 événements mettant la vie en danger, 170 749 hospitalisations, 1134 anomalies congénitales et 29 981 décès signalés pour les USA.

600 % de décès supplémentaires signalés au cours des 19 derniers mois par rapport aux 32 années d’existence de la base de données VAERS (reseauinternational.net)

Ce qui frappe le plus tous les commentateurs objectifs est l’augmentation faramineuse de signalements depuis l’introduction des injections géniques, frauduleusement appelées vaccins, en comparaison avec les trente années précédentes. Or ce site fonctionnait de la même manière : signalements, puis vérifications avant publication, depuis ces trois décennies.

La comparaison publiée par le VAERS avec les autres vaccins ne souffre pas de doute : les décès liés aux vaccins sont indiscutablement plus élevés à la suite des injections à ARNm supposées anticovid :

Par million de doses administrées aux USA :

Vax anticovid : vingt décès par million depuis leur autorisation en 2020
H1N1 et tous vaccins entre 2006 et 2019 : 0,5 décès par million

Ces événements « indésirables » « accidents, blessures » selon les termes américains utilisés sont de fait des complications médicales de traitement supposé préventif injecté à des personnes en bonne santé. Est-ce acceptable ? De fait, ces maladies induites peuvent se décliner par catégorie comme ici les myocardites qui touchent particulièrement les jeunes pourtant à risque zéro de covid et ne justifiant donc sous aucun prétexte de recevoir ce poison.

Avant l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins COVID en décembre 2020, dans toute l’histoire du VAERS, il n’y avait eu que 930 953 événements indésirables signalés sur une période de 32 ans.

En 19 mois seulement, cependant, il y a eu plus de 1,5 million de rapports — et tous concernent les vaccins COVID.

Il y a eu 150 % de plus d’événements indésirables signalés pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que ce qui a jamais été signalé dans l’histoire du VAERS — pour TOUS les vaccins.

Depuis la création du VAERS en 1990, seuls 5 039 décès ont été signalés au système pour tous les vaccins avant l’approbation des pseudo vaccins COVID-19. Il y a eu près de 600 % de décès signalés en plus pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que pour l’ensemble des vaccins dans toute l’histoire du système.

La base de données VAERS reçoit normalement entre 30 000 et 50 000 rapports par an, dont environ 8 à 13 % sont classés comme graves (c’est-à-dire associés à une invalidité, une hospitalisation, une maladie potentiellement mortelle ou un décès), selon l’outil de recherche principal VAERS des CDC.

En 2021, le nombre de rapports d’événements indésirables déclarés au VAERS a été multiplié par 30 tous liés à l’injection Pfizer. Selon des documents récemment publiés par la FDA en février 2021, elle a embauché plusieurs centaines d’employés supplémentaires pour traiter les événements indésirables (information pourtant niée par nos pseudo experts des médias).

MALHEUREUSEMENT LE MENSONGE A RÉGNÉ EN MAÎTRE PENDANT LA CRISE COVID.

EXCLUSIF : les CDC admettent avoir communiqué de fausses informations concernant leur surveillance sur la sécurité des vaccins Covid-19 | Epoch Times PAR Z STIEBER 12 août 2022

« les CDC n’ont pas analysé le VAERS pour y déceler des signaux d’alerte précoce en matière de sécurité pendant plus d’un an après le début de la campagne de vaccination, ce qui constitue un dysfonctionnement grave », Il n’y a pas non plus de raison crédible pour expliquer pourquoi ils ont attendu jusqu’au 31 mars 2022 pour calculer les PRR Proportionnas Reporting Ratio (PRR).

LES ENFANTS SACRIFIÉS DU COVID(([2] voir notre livre chez fauves editions par g et n delepine janvier 2022))

Le pire est que les enfants innocents du covid, à risque Zero de cette virose, sont de plus en plus menacés d’une large « vaccination » que les lobbys veulent rendre obligatoire aux USA et en UE obéissante et servile.

Selon R Kennedy, ce serait le moyen de poursuivre la campagne de dépopulation et en se protégeant juridiquement.

Aux USA : « Quand les “vaccins” sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi. C’est ce qu’explique Robert Kennedy à Veronika Krylenko, écrivaine américaine et collaboratrice du média Thenewamerican.com :

« Bien sûr qu’il faut l’abroger (cette loi qui protège les laboratoires). Si vous voulez savoir pourquoi il y a une telle poussée pour vacciner les enfants, il faut comprendre comment la loi fonctionne. En vertu de la Loi CARES et de la loi PREP, l’autorisation d’utilisation des vaccins est protégée par rapport à la responsabilité des entreprises pharmaceutiques. Tant qu’il s’agit d’un vaccin, ils ne peuvent pas être poursuivis, même s’ils sont imprudents et quelle que soit la gravité des complications ou le degré de négligence. Normalement, une fois qu’un vaccin est approuvé, cette protection légale ou “immunité” disparaît et c’est là que nous pouvons les poursuivre, à moins qu’il s’agisse d’un vaccin recommandé pour les enfants, car selon la loi sur les lésions dues aux vaccins pour enfants, tout vaccin recommandé pour les enfants bénéficie automatiquement d’une immunité de responsabilité, même lorsqu’un tel vaccin est administré à un adulte. »

En France, nous assistons à un subterfuge similaire bien que nos lois soient différentes. Il s’agit de faire passer la vaccination Covid dans la liste des 11 vaccins infantiles obligatoires.

La loi sur la vaccination obligatoire a été mise en œuvre par la ministre de la Santé A. Buzyn en 2017.

La justification de santé publique était alors artificiellement construite comme le dénonce un article

des Échos et renvoie également aux conflits d’intérêts entretenus par A Buzyn avec l’industrie pharmaceutique.

Elle a été mise en examen en mars 2020 pour « mise en danger de la vie d’autrui » par la Cour de justice de la République. Au total, sur les 14 500 plaintes liées à la gestion de la crise sur Covid, la Cour de justice de la République en juge seize recevables. Autant dire qu’elle ne risque pas grand-chose… En 2021, elle a même été promue comme directrice générale des affaires multilatérales à l’OMS, organisation en charge de la mise en place d’un passe vaccinal mondial. »

The New American — That Freedom Shall Not Perish. Pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les… | Flora Fournier (vk.com)

En France, si les pseudo vaccins étaient rendus obligatoires, les labos seraient protégés, car en cas de plaintes de victimes, ce serait l’État (donc nos impôts) qui paierait les indemnités aux plaignants via l’ONDIAM. Donc si Pfizer et Moderna obtiennent une AMM normale, après les AMM conditionnelles, elles veulent être couvertes en cas de plainte.

En UE, pour que les labos soient dispensés de compensations en cas de plaintes, il faut que cela soit stipulé dans les contrats (mention du contrat rendue illisible, car surchargé en noir même pour les députés européens).

Néanmoins si l’État comme la France rend la vax obligatoire, alors elle doit indemniser elle-même les victimes reconnues via nos impôts. Comme au temps pas très lointain, en Chine, ou la famille devait payer la balle utilisée pour tuer leur fils.

L’agence américaine des médicaments (FDA) et les Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC, USA) ont autorisé, mi-juin 2022, la vaccination pour les tout-petits, dès l’âge de six mois avec Moderna et Pfizer. Une aberration scandaleuse.

La FDA autorise en effet la vaccination des enfants de six mois à cinq ans. Elle publie un rapport Pfizer et Moderna que tout le monde peut lire où il est écrit que ces vaccins ne sont pas efficaces et qu’ils sont même toxiques ! Elle conclut en disant qu’elle a un doute sur le rapport bénéfice-risque, mais elle fait une exception pour les enfants, sans expliquer pourquoi, et elle autorise des vaccins qui sont efficaces à moins de 50 %.

Et Pfizer va déposer une demande d’autorisation pour cette tranche d’âge auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA)…

Le maire de New York a annoncé que la vaccination des enfants sera obligatoire à la rentrée. Il faut que les parents s’y opposent avec force et vigueur, la vie de leurs enfants est en jeu. À l’évidence, l’Europe va suivre, comme toujours. C’est une folie criminelle

CAR CETTE INJECTION INUTILE EST DANGEREUSE.

INCIDENTS GRAVES ET DÉCÈS CHEZ LES ENFANTS DE 6 MOIS À 5 ANS — DONNÉES RÉCENTES

USA — Depuis le 01/06/2022, 829 enfants âgés entre 6 mois et 5 ans ont subi des effets indésirables à la suite des injections ARN Lésions cérébrales/cardiaques, hallucinations, chocs anaphylactiques, convulsions, hémorragies…
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php

142 New Cases of COVID-19 Vaccine Injuries in Babies Added to VAERS as CDC Now States “Unvaccinated People Have Same Guidance as Vaccinated”—Vaccine Impact par Brian Shilhavy Rédacteur en chef, Health Impact News

142 autres nouveaux cas de complications liées au vaccin CONTRE LA COVID-19 chez les bébés et les tout-petits âgés de 6 mois à 4 ans ont été ajoutés à la base de données VAERS (Vaccine Adverse Events Reported System) gérée par le gouvernement américain aujourd’hui, portant le nombre total de cas déposés pour ce groupe d’âge à 829 depuis que les vaccins ont été autorisés par la FDA il y a quelques semaines en juin. (La source.)

Les lésions cérébrales et cardiaques, les hallucinations, le choc anaphylactique, les convulsions, les éruptions cutanées, les lésions gastro-intestinales, les hémorragies et d’autres affections graves continuent d’être répertoriés comme effets secondaires de ces injections toxiques injectées aux bébés et aux tout-petits.

Les rapports du VAERS suggèrent que l’expérimentation sur des enfants avec des « vaccins » Covid peut les tuer (expose—news-com.translate.goog) Par Joël Smalley

« Rien qu’aux États-Unis, 45 cas d’enfants sont décédés après avoir reçu le “vaccin” Covid. Vingt-sept de ces enfants (60 %) étaient auparavant en parfaite santé. Trois des enfants ont participé aux essais cliniques.

Dans le passé, tout vaccin aurait été retiré après 25 à 50 décès de personnes de tous âges !

Les agences de réglementation et les fabricants de “vaccins” ont toujours nié la causalité dans le cas des injections anticovid et pourtant……

Cependant, la proximité temporelle de l’apparition des symptômes avec la date de “vaccination” seule pour la majorité des rapports indique une causalité vraisemblable.

 Il est également possible que de nombreux autres décès n’aient pas été signalés s’ils ne sont pas survenus à proximité de la date de “vaccination”. De plus, la majorité des causes de décès sont d’origine cardiaque. La proximité temporelle et la cohérence sont deux des critères clés de Bradford Hill pour établir la causalité.

COVID Vaccine Deaths of Children Reported to VAERS. (substack.com) :

Les constatations sur les dégâts des injections, particulièrement inacceptables chez les jeunes à risque zero du covid sont décrites dans de nombreux pays du monde. Quelques exemples :

EN THAÏLANDE

Une augmentation de 18 % des anomalies de l’ECG est notée chez les enfants injectés de 13 à 18 ans. Quel sera leur avenir global et sportif ?

Dr. Kelly Victory : New Thailand study shows an 18% increase in EKG Abnormalities post-jab in 13 to 18 year old. Share.@DavidAvocadoWolfe https://t.me/covidvaxinjury/2169

Même le NewYork Post dénonce les mensonges des autorités sur ces injections expérimentales dangereuses et inutiles, en particulier chez les enfants Dans les médias mainstream et la presse française complice aux ordres : RIEN, silence complet !

https://nypost-com.translate.goog/2022/07/14/us-agencies-arent-following-the-science-on-covid/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=en

Des médecins du monde entier tentent d’informer les parents avant les drames

« Le vaccin favorise la Covid sévère et multiple«  chez les enfants Hélène Banoun(([3] Pharmacien biologiste, ancien chercheur INSERM, membre du Conseil scientifique indépendant.)) explique ici pourquoi les vaccins sont « inefficaces et toxiques » pour les enfants.

Sur le site des statistiques européennes, on voit aussi la surmortalité des jeunes de 0 à 14 ans qui a augmenté à partir de la semaine 21 de 2021 qui est précisément le moment où on a commencé à vacciner les moins de 18 ans.

Même LES BÉBÉS ALLAITÉS sont à risque

ET PENDANT CE TEMPS LA LES AUTORITÉS FRANÇAISES TENTENT D’ÉCOULER ENCORE LES VAX ACHETÉS ET OSENT DIRE :

« Les femmes enceintes et, implicitement, leurs bébés pourraient être injectés sans danger !« 

Ce matin en août 2022, c’est clairement ce message que veulent faire passer les médias mainstream français qui l’affirment sur la base d’une étude de CANVAS alors que les femmes enceintes sont invitées depuis trois semaines à réaliser leur 2e dose de rappel contre le Covid. »

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/les-vaccins-contre-le-covid-19-sont-sans-danger-pendant-la-grossesse-confirme-une-etude-canadienne_5304211.html.

Canvas est une institution très provax depuis sa création et au sein de laquelle on trouve CANImmunize, société bénéficiaire des dons de Bill Gates qui développe une application numérique destinée à permettre aux employeurs de savoir quels sont leurs salariés vaccinés ou non vaccinés et de les tracer. Voici la publication originale du Lancet qui confirme la participation de CanImmmunize dans cette étude « très indépendante »…

https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099 (22) 00426-1/fulltext

« Les vaccins contre le Covid-19 serait sans danger pendant la grossesse », prétend cette étude canadienne largement répétée en France. Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple comparaison de cohortes de femmes définies arbitrairement par les auteurs qui peuvent ainsi facilement biaiser la comparaison. Ces femmes n’ont fait l’objet d’aucun examen médical ni biologique, mais ont été seulement interrogées par téléphone ! Et la comparaison des deux groupes a été effectuée au 7jour de l’injection alors qu’on ne peut juger du bon déroulement d’une grossesse qu’après l’accouchement ! Le niveau de preuve de ce torchon est donc proche de zéro ! Sa publication scandaleuse par le Lancet s’explique uniquement par le contrôle de cette revue jadis prestigieuse par RELX de Blackrock, actionnaire numéro 2 de Pfizer, précédemment illustré par l’affaire du Lancet Gate.(([4] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/video-coronavirus-le-lancetgate-ou-le-naufrage-de-la-science-business_4014381.html))(([5] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931))

EN UE comme aux USA les complications explosent :

Au Canada

Pendant que Bill Gates reçu par Macron et passant au JT de France 2 raconte que seuls les non-vaccinés meurent sans que le journaliste ne l’arrête le Canada publie ses données du 21 mars au 10 avril 2022 : 17,12 hospitalisations pour 100 000 triple vax (en rouge) contre 9,41 pour 100 000 non-vaccinés (en vert) suivis de 2,13 décès pour100000 triple vax contre 1,6 pour 100 000 non-vaccinés. Comment gouvernements, institutions, médecins, médias peuvent-ils mentir à ce point ?

Néanmoins lueur d’espoir : Les CDC affirment que les personnes exposées au COVID n’ont plus besoin d’être mises en quarantaine — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ! est — ce que cela rendra plus raisonnable les dirigeants européens ? pas sûr, mais c’est au peuple de dire « ça suffit »

Aucun symptôme ? Pas de problème.
Vacciné ou non ? Même conseil.
Exposé ? Même pas besoin de quarantaine.
Les étudiants exposés ? Ils peuvent rester en classe, et puis zut, non ?

Et luttons contre la diabolisation des résistants !

Loin d’être marginale, l’opinion selon laquelle les enfants n’ont pas besoin du vaccin anti-covid19 représenterait une minorité significative (pour les cohortes plus âgées) ou une majorité écrasante (pour les plus jeunes) de parents aux États-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs.

Les 95 % de parents américains qui ont refusé de faire vacciner leurs enfants de 0 à 5 ans contre le Covid-19 sont-ils « antivax » ? Qu’en est-il des 89 % de parents britanniques qui, à la fin du mois de juillet, avaient refusé de faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans ?

Bien sûr qu’ils ne le sont pas. Ils reconnaissent simplement que l’extrême discrimination par âge du Covid rend la vaccination inutile pour la grande majorité des enfants par ailleurs en bonne santé, tout comme l’immunité acquise par l’infection. (Source — La diabolisation de la dissidence) »

UN FACTEUR D’ESPOIR EN UE : le Danemark interdit la vax des moins de 18 ans. Qu’il serve de modèle !

« No Longer Possible » : Denmark ENDS Covid Vaccinations For Children Under 18—News Punch August 10, 2022 Baxter Dmitry

LE GOUVERNEMENT MET FIN AUX VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS !!

LE DANEMARK A INTERDIT LES VACCINATIONS COVID POUR LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS EN RAISON DE L’ABSENCE DE RISQUES GRAVES POUR LA SANTÉ DES JEUNES POSÉS PAR LE « VIRUS ».

L’ANNONCE DE L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE EST À LA FOIS UNE DÉCLARATION DE LA RÉALITÉ SELON LAQUELLE LES ENFANTS EN BONNE SANTÉ NE COURENT PRATIQUEMENT AUCUN RISQUE AVEC LE COVID-19 ET UN VOTE DE NON-CONFIANCE DANS LE PROFIL RISQUES-AVANTAGES À LONG TERME DES VACCINS À ARNM.

IL NE SERA PLUS POSSIBLE POUR LES JEUNES ET LES ENFANTS DE MOINS DE 18 ANS DE RECEVOIR LE PREMIER VACCIN ET, À PARTIR DU 1ER SEPTEMBRE 2022, IL NE SERA PLUS POSSIBLE DE RECEVOIR LE DEUXIÈME VACCIN.

LES RAPPELS NE SONT PAS RECOMMANDÉS PAR L’AUTORITÉ SANITAIRE DANOISE POUR LES PERSONNES DE MOINS DE 50 ANS.

L’AUTORITÉ SANITAIRE ÉVALUERA ULTÉRIEUREMENT SI TOUTES LES FEMMES ENCEINTES OU SEULEMENT CERTAINES D’ENTRE ELLES DOIVENT SE VOIR PROPOSER LE VACCIN.

AGISSONS POUR INTERDIRE CE POISON PARFOIS MORTEL ET SOUVENT TOXIQUE.





Aux Etats-Unis, le CDC a débuté la propagande pour la vaccination Covid des enfants de 0 à 5 ans

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Une campagne de communication a récemment débuté aux États-Unis pour faire vacciner les tout petits contre le Covid. Alors que les effets indésirables de la vaccination Covid pour les enfants et les jeunes sont particulièrement à risque, les autorités américaines poursuivent et accélèrent une politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité. La vaccination des petits enfants est-elle justifiée ne matière de santé publique ? L’acceptation par l’opinion publique d’une telle politique n’est-elle pas le signe d’une orientation idéologique ?

Aux États-Unis, la communication sur les touts petits est prête, le CDC dispose de sa campagne d’affichage (cf. ci-dessous). La vaccination vient tout juste de commencer. Cette politique suivra inévitablement en France. Elle est en préparation pendant l’été 2022 alors que les familles sont en vacances.

Une campagne de communication associant l’émotionnel et le déni de réalité

La campagne du CDC cible large : les principales communautés américaines sont représentées (afro-américaines, hispanique, asiatique…), les 3 générations sont mises en scène : enfants, parents et grands-parents. Le message exploite encore la peur puisqu’il insiste sur le fait de ne pas s’inquiéter si l’on fait vacciner ses enfants (ou petits enfants). Il s’agit bien d’une mise en scène basée sur l’exploitation de la peur du Covid, qui rappelons-le, reste bénin pour la très grande majorité des tous petits (38 décès chez les moins de cinq ans sur les 2,5 ans d’épidémie de Covid, sachant que la part des comorbidités n’est pas indiquée dans ce résultat). En revanche, le risque d’effet indésirable grave des injections Covid n’est jamais évoqué. L’information est cachée au public et le consentement libre et éclairé bafoué comme depuis le début de la vaccination de masse, en occident et ailleurs. Le scandale reste larvé et l’information ne filtre pas grâce à un système public sous contrôle et des médias subventionnés qui ne sont pas libres d’exprimer une opinion indépendante.

La vaccination des tous petits, le dernier rempart de résistance ?

On observera naturellement beaucoup plus de réticences sur la vaccination des tout petits pour le Covid que pour toute autre tranche d’âge. C’est le dernier rempart. Si les autorités sanitaires et les gouvernements avaient demandé dès 2021 la vaccination des tous petits, ils auraient été confrontés à un échec. Mais depuis 2020, l’industrie pharmaceutique a préparé ses essais cliniques sur les moins de 5 ans, essais qui ont débuté début 2021 pour Pfizer alors qu’il n’y avait pas de justification médicale en raison du nombre de cas très rares (moins de décès que pour la grippe par exemple).

Si les familles acceptent la vaccination des tout petits, sans réticence et sans méfiance, alors c’est un signal très fort pour la caste qui s’autorisera alors à instaurer une vaccination obligatoire des populations à moyen terme. Virginie Joron, députée européenne, a raison de rappeler que « ni la Commission Européenne ni les États membres de l’Union ne peuvent aujourd’hui rendre le vaccin obligatoire parce qu’il est seulement sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché ».

Il est également juste de rappeler qu’une autorisation conditionnelle peut être maintenue pendant 1 an et renouvelée jusqu’à ce que les données en la matière soient suffisantes pour permettre une AMM standard.

Néanmoins, le cabinet d’avocats Lapuelle, rappelle aussi à juste titre que, par ordonnances du 16 septembre 2021, le juge des référés a refusé de suspendre l’obligation vaccinale des personnels médicaux au motif que le vaccin contesté n’aurait reçu qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché. Dans la mesure où l’AMM conditionnelle n’implique pas que le vaccin soit expérimental au sens du Code de la santé publique et de la directive 2001/20/CE du 4 avril 2001, l’obligation vaccinale contre le Covid-19 peut tout à fait être imposée malgré sa commercialisation conditionnelle.

Il est peu probable que la décision soit laissée à chaque pays européen, elle viendra de la Commission européenne après que la vaccination des tout petits ait été testée dans de nombreux pays. Non pas sur le plan de l’innocuité des vaccins — car les effets indésirables sont de plus en plus visibles avec le temps, les autorités veulent donc aller vite — mais sur le plan politique. L’obligation vaccinale pourrait arriver fin 2022 ou début 2023.

Le contrôle des jeunes générations pour asseoir l’ordre des nouveaux maîtres

Le Nouvel ordre des Barbares, ouvrage que nous avons évoqué à plusieurs reprises et qui reprend les propos du Dr Day, un insider du Planning familial International, une organisation « fer de lance » de la redéfinition de l’identité personnelle et de la civilisation moderne, bras armé des nouveaux maîtres du monde qui le finance (Rockfeller, Soros, Gates…). Voici donc ce que disait le Dr Day en 1969 : Rien ne sera changé quant aux gens âgés, ils sont déjà matures et engagés sur leurs voies, mais tous les changements seront dirigés pour les jeunes qui sont encore en train de se développer. Non seulement on ne peut changer les gens âgés, mais ils sont de toute façon peu importants dans l’équation.

Par « équation », il faut entendre « agenda » si l’on veut utiliser le vocable actuel. Plus loin, dans le livre on peut lire les propos suivants : Les gens d’un certain âge… ils seront alignés à leur façon et vous ne pourrez rien y changer. Ils ont des valeurs et ils s’y conformeront. Mais si vous allez au jeune lorsqu’il est (petit), il est flexible. Vous le moulez dans la direction que vous souhaitez. Ils (la caste) ciblent leurs efforts sur les enfants et ils se figurent : « vous les vieux qui ne voyez plus où vous allez, vous allez crever. Quand le temps viendra, on vous fera disparaître aussi. Mais ce sont les jeunes qui doivent être moulés avec l’impression que nous voulons ». La traduction n’est pas très bonne, mais c’est celle du texte publié en version française. Il est intéressant de noter qu’à propos « des vieux », il est dit que le temps viendra où ils vont « crever ». Outre la haine de tels propos, on comprend qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle, car il est évident que les personnes qui arrivent à la fin de leur vie vont mourir. Ici, la compréhension doit s’entendre sur une mort provoquée. C’est bien ce dont il s’agit avec la création du Sars-CoV-2 en laboratoire (cf. dossier Origines du Covid et armes biologiques) et l’apparition programmée du Covid au regard des informations publiées dans un dossier intitulé Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés.




Profitez du Moment clé : arrêtez MAINTENANT le carnet de vaccination numérique !

[Source : Kla.tv]

Le film « Le moment clé » commence par ces mots : « Nous savons tous que nous vivons une époque difficile et inquiétante. » L’introduction mondiale prévue des carnets de vaccination numériques n’a rien à voir avec notre santé. Les carnets de vaccination numériques sont un cheval de Troie qui sera utilisé pour créer un tout nouveau type de société contrôlée et surveillée, dans laquelle la liberté dont nous jouissons aujourd’hui ne sera plus qu’un lointain souvenir. Il est donc temps de mettre un terme à ce projet.

Le Moment clé
(This Pivotal Moment)

Nous savons tous que nous vivons des temps difficiles et inquiétants. Nous sommes toujours confrontés à une pandémie. Celle-ci est assombrie par la guerre en Ukraine. Ces deux événements entraînent des morts, le chaos économique, l’inflation, l’augmentation du prix des matières premières, la pénurie et la peur. Le tout est encadré par la crise climatique. La situation exceptionnelle devient permanente.

La censure et la polarisation semblent être la nouvelle norme. Les débats nuancés et le respect mutuel sont remplacés par une mentalité pro/anti, qui a un effet dissuasif et profondément clivant sur nos sociétés auparavant ouvertes et tolérantes. Mais ce qui est encore plus inquiétant, c’est que nous sommes à l’aube d’un changement de civilisation si vaste dans ses conséquences et si profond dans ses effets que peu de gens sont capables de percevoir l’imminence du danger et de comprendre pleinement l’irréversibilité du monde dystopique qui nous attend.

Vous vous demandez comment ce changement fondamental va être mis en place ? Par des tours de passe-passe, en induisant en erreur et en introduisant un carnet de vaccination apparemment inoffensif ! Une telle affirmation semble extraordinaire à première vue et je peux comprendre que vous soyez sceptique.

Mais permettez-moi de m’expliquer davantage : la plupart d’entre nous, qui vivons aujourd’hui dans des sociétés démocratiques, sont nés dans cette liberté. En d’autres termes, nous ne connaissons rien d’autre. Les sociétés libérales-démocratiques ne sont certainement pas parfaites ! Mais nous avons fondamentalement la liberté de mener la vie que nous voulons, d’aller où nous voulons et de nous comporter comme nous le voulons ! Sauf si ces actes sont expressément interdits par la loi, comme le vol, les actes de violence ou le meurtre d’un autre être humain. Cependant ces libertés dont nous avons bénéficié jusqu’à présent, nous ne les avons pas acquises nous-mêmes. Elles nous ont été transmises par des personnes des générations précédentes qui se sont engagées et ont lutté et qui les ont arrachées des mains de monarques et de tyrans ; des personnes qui sont mortes pour que nous puissions vivre de manière autonome.

Aujourd’hui, nous sommes sur le point de nous faire voler ces libertés inestimables, durement acquises, alors que nous regardons ailleurs, alors que nous les abandonnons sans résistance ni discussion. Tout cela parce qu’on nous dit que si nous voulons retrouver notre vie d’avant, nous n’avons pas d’autre choix que d’accepter les carnets de vaccination.

Au premier abord, l’introduction des carnets de vaccination peut sembler n’être qu’un changement mineur. Après tout, beaucoup d’entre nous ont déjà pris l’habitude de devoir scanner des codes QR pour entrer dans des restaurants et des magasins. Mais ne vous y trompez pas : la mise en place généralisée des carnets de vaccination n’est pas un petit changement anodin. Il ne s’agit de rien de moins que d’un renversement fondamental de ce qu’on entend par liberté dans les sociétés démocratiques et il permettra une restructuration radicale de notre civilisation. Votre liberté personnelle ne sera plus aussi étendue qu’auparavant.

Elle ne sera plus, comme aujourd’hui, limitée partiellement et uniquement par des lois éprouvées et convenues d’un commun accord. Au lieu de cela, ce qui restera de votre liberté sera limité aux choses pour lesquelles vous aurez reçu une autorisation explicite d’un pouvoir algorithmique invisible. Votre liberté sera alors une coche verte après l’autre sur votre smartphone.

Permettez-moi de le répéter, car il est essentiel de le comprendre. Actuellement, nous pouvons fondamentalement faire tout ce que nous voulons. Sauf si nos actions sont interdites par la loi. Mais avec l’introduction des carnets de vaccination, cette notion de liberté appartiendra au passé et sera remplacée par un tout nouveau système, dans lequel vous ne pourrez faire que les choses pour lesquelles vous aurez reçu une autorisation explicite. C’est ce que je veux dire par une inversion fondamentale de la liberté. Presque du jour au lendemain, nos libertés autrefois ancrées et protégées deviennent de simples privilèges qui nous sont accordés temporairement en échange d’un respect docile des règles et d’une bonne conduite. Puis-je aller à tel restaurant, à tel concert, à telle manifestation sportive ? Puis-je monter dans ce bus, cet avion ou ce taxi ? Ai-je le droit d’entrer dans ce magasin, dans ce cabinet médical ou même sur mon lieu de travail ? La participation à des activités quotidiennes aussi banales dépendra à l’avenir d’autorisations qui nous seront délivrées via notre smartphone et qui pourront d’ailleurs changer d’un jour à l’autre. Et n’allez pas croire maintenant que tout cela ne s’applique pas à vous parce que vous avez déjà eu vaccin et rappel !

L’Australie, un pays d’environ 26 millions d’habitants, a signé des contrats pour l’achat de 195 millions de doses de vaccin supplémentaires — en plus des millions de doses déjà achetées ! Cela correspond à une vaccination de rappel tous les six mois pour les quatre prochaines années.

La situation est similaire en Allemagne, en Autriche et en Suisse. Ainsi, si vous avez deux jours de retard pour vous faire vacciner contre le dernier variant du Covid, vous pouvez oublier l’idée de dîner avec des amis dans votre restaurant préféré ! Car ce genre de privilèges vous sera alors automatiquement retiré. Et ça ne s’arrêtera pas là, car les carnets de vaccination sont comme un cheval de Troie : derrière une façade fonctionnelle apparemment inoffensive se cache un système d’identité et de carte d’identité numérique basé sur une plateforme logicielle qui devrait s’étendre au fil du temps. Aujourd’hui, il ne s’agit peut-être que d’une petite coche verte ou d’une croix rouge numérique qui indique si vous pouvez entrer ou si vous devez rester dehors, mais demain, c’est toute votre vie qui sera évaluée. Des points vous seront attribués si votre comportement profite aux grandes entreprises et aux gouvernements, et des points vous seront retirés si vous vous écartez des normes exigées.

Combien de fois avez-vous enfreint par inadvertance la règle de distanciation de 1,5 mètre aujourd’hui ? Ou qu’en est-il de votre contribution légèrement critique sur les médias sociaux à propos d’une certaine politique gouvernementale ? Qu’en est-il de cette vidéo que vous avez partagée avec un ami et qui pose des questions légitimes sur le récit actuellement accepté ? Vous pouvez alors assister à la chute de la valeur de votre crédit social. Vous perdrez alors un privilège après l’autre et n’aurez plus accès aux services essentiels à votre vie quotidienne.

Cela peut paraître exagéré, mais en Chine, ce système de crédit social est déjà une réalité. Là-bas, les gens ne peuvent même plus monter dans un train si leur note de crédit social est trop basse. Et soyez sûr que tout cela va arriver, et bientôt dans le monde entier – introduit de manière cachée via un cheval de Troie, le carnet de vaccination. Un tel monde peut nous sembler inimaginable. Mais si nous nous arrêtons un petit moment pour y réfléchir, il devient évident que le Covid-19 nous a déjà donné un avant-goût d’un monde dans lequel ce qui est permis et donc les limites de notre liberté changent chaque jour. Notre sevrage de liberté a déjà commencé.

Qu’en est-il de cette vidéo que vous avez partagée avec un ami qui pose des questions légitimes sur le récit actuellement accepté

Bien que cette vision de l’avenir soit suffisamment choquante, la véritable force dystopique d’un tel plan ne devient évidente que lorsque nous considérons les deux nouvelles plateformes que sont le carnet de vaccination et l’identité numérique dans le contexte du monde hautement technologique et fortement surveillé dans lequel nous vivons déjà. Ce n’est un secret pour personne que les géants mondiaux de la technologie surveillent et enregistrent chacune de nos actions en ligne : chaque post que nous aimons, chaque article que nous partageons, chaque publicité sur laquelle nous cliquons et chaque vidéo que nous regardons sont utilisés pour créer des profils détaillés de nous-mêmes. Ces profils psychographiques créés à l’aide de Big Data ne sont pas seulement utilisés pour savoir quels produits nous pourrions vouloir acheter. Plus effrayant encore, ils s’intéressent à nos préférences politiques, à nos opinions, à nos attitudes et à nos croyances, et même à nos motivations et à nos peurs les plus intimes.

On peut vraiment le dire ainsi : avec leur intelligence artificielle, leur Big Data et leur puissance de calcul quasi illimitée, Google, Facebook et Amazon nous connaissent mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. Depuis les révélations d’Edward Snowden sur les programmes de surveillance illégaux et omniprésents de la NSA aux États-Unis, qui travaille main dans la main avec ses partenaires Five Eyes en Grande-Bretagne, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande, la plupart des personnes raisonnablement informées savent que les gouvernements collectent et stockent également d’énormes quantités de données sur tous leurs citoyens – y compris presque toutes les conversations téléphoniques, les SMS et les e-mails. Les appareils de sécurité nationaux des États et les grandes entreprises internationales à but lucratif établissent des profils sur nous, surveillent et analysent chaque aspect de notre vie.

Jusqu’à présent, le pacte faustien que nous avons conclu avec Big Data ne semble pas avoir beaucoup plus d’effets qu’un léger coup de pouce ici ou là d’une publicité en ligne ou une recommandation d’Amazon étrangement précise qui nous incite à acheter une chose dont nous ne savions même pas nous-mêmes que nous la voulions.

Mais tout cela va changer — et pour toujours — si nous autorisons l’introduction des carnets de vaccination. Pourquoi ? Parce que le carnet de vaccination, et le système de crédit social qu’il deviendra rapidement, est la dernière pièce manquante d’une architecture automatisée de surveillance totale et de contrôle social. George Orwell nous a tous familiarisés avec de nombreux aspects de la surveillance et nous savons tous intuitivement que le fait d’être surveillé exerce une certaine pression sur nous – et que nous sommes alors plus enclins à respecter certaines règles et normes. Pensez aux radars sur les routes et aux caméras de surveillance dans les magasins et les centres-villes.

Mais il y a un autre aspect de la surveillance que peu d’entre nous connaissent, à l’exception des amendes occasionnelles pour excès de vitesse – et c’est l’aspect disciplinaire de la surveillance, qui se trouve à la fin de toute structure de surveillance : la punition après les infractions. Jusqu’à présent, cette pièce du puzzle manquait, mais avec le carnet de vaccination, chaque contrevenant portera désormais dans sa poche le mécanisme de sa sanction automatique.

Dans le débat académique sur la surveillance, on utilise le terme de « totalitarisme clé en main ». L’idée est que l’infrastructure de surveillance d’un système totalitaire a déjà été construite autour de nous – mais n’est pas encore en fonction. La machine est prête, mais la clé n’a pas encore été tournée. Les carnets de vaccination sont le dernier élément de cette infrastructure, le dernier rouage de l’engrenage. Ils sont le fer de lance disciplinaire du système totalitaire de surveillance et de contrôle.

Dès que nous permettrons la mise en œuvre de cette dernière partie critique de l’infrastructure, dès que nous l’accepterons comme une partie normale de notre vie quotidienne, la clé sera tournée, le Rubicon sera franchi – et il n’y aura plus de retour en arrière possible. Il n’y aura alors plus de place pour le désaccord, plus d’occasions de discuter et plus de place pour les écarts par rapport aux normes ou aux comportements prescrits. Et au fur et à mesure que disparaît l’espace si important de la confrontation, de la différence et de l’inadaptation, disparaît également pour les gens normaux la possibilité de déterminer ensemble la direction dans laquelle notre société doit évoluer. La machine sera en fonction, observera sans cesse et automatiquement, établira des profils et les évaluera, dirigera notre comportement et nous punira si nécessaire. Nous serons à jamais à la merci de nos dirigeants, des dirigeants qui détiennent la clé de la machine ; qui comptent nos points, qui établissent toutes les règles ; qui décident si nous recevons une coche verte ou une coche rouge. Ce sont eux qui décident si nous sommes intégrés dans la société ou si nous sommes repoussés dans les dangereuses marges de l’existence.

Si nous laissons faire ça, ça signifie – comme l’a dit Aldous Huxley – la dernière révolution. Il n’y aura plus de retour en arrière possible. La liberté telle que nous, et des générations avant nous, l’avons connue toute notre vie sera effacée à jamais, sauf pour les quelques privilégiés au sommet de la pyramide. Avec le temps, peut-être dans une ou deux générations, nous serons tellement conditionnés par la surveillance constante et les récompenses et punitions qui y sont automatiquement associées que nous nous contrôlerons tout simplement nous-mêmes, nous nous surveillerons nous-mêmes, nous nous autocensurerons et nous nous soumettrons. La liberté dont nous jouissons aujourd’hui, et même l’idée de liberté telle que nous la concevons aujourd’hui, deviendront presque impensables pour nos enfants et toutes les générations à venir. On dit que le totalitarisme est avant tout la focalisation extrême de la surveillance pour atteindre des objectifs politiques. En grande partie sans débat, discussion ou consentement éclairé, nous laissons se développer, sous le couvert de la pandémie Covid-19, un nouveau monde totalitaire de surveillance totale, de contrôle et de conformité, qui est même salué par beaucoup parce qu’ils veulent faire leur part dans la lutte contre le virus. Il est tentant de penser que nous, qui vivons aujourd’hui dans notre monde hautement technologique et saturé de médias, sommes bien trop informés et bien trop intelligents pour être dupés par un tel stratagème. Oui, les gens sont peut-être tombés sous le charme du fascisme et du totalitarisme par le passé, mais nous sommes tout simplement bien trop éduqués pour tomber dans un tel piège.

Mais est-ce vraiment le cas, en êtes-vous sûr ? Regardez autour de vous, regardez combien peu d’écarts par rapport au récit approuvé sont autorisés dans les médias grand public. Regardez comment la peur est utilisée pour nous intimider et nous contrôler. Regardez comment nous nous disputons à propos des masques, des confinements et des vaccins obligatoires. Regardez comment nous commençons à penser en deux groupes. Le groupe de ceux qui en font partie et le groupe de ceux qui en sont exclus. Pouvez-vous voir le chemin parcouru en si peu de temps ? Si chacun utilise son esprit critique, la propagande et l’influence ne deviennent que trop évidentes. Le véritable objectif est déjà visible pour tous ceux qui veulent le voir. Étant donné la gravité de la situation, je vous demande de vous arrêter un instant et de réfléchir à ce qui suit.

Pendant des siècles, peut-être des millénaires, le flambeau de la liberté a été transmis de génération en génération, souvent au prix du sang, et la flamme de ce flambeau a été maintenue en vie avec les mains par lesquelles il a été transmis. Ceux d’entre nous qui vivent aujourd’hui et qui ont la chance de vivre dans des sociétés démocratiques sont désormais porteurs de ces flambeaux. Imaginez maintenant que vous regardez dans les yeux de vos parents, de vos grands-parents et de toutes les générations qui vous ont précédés à travers le temps. Regardez tous ceux qui ont donné leur vie pour que nous puissions vivre libres, qui se sont battus, qui se sont engagés, qui ont protesté et qui ont affronté des despotes pour que la liberté individuelle puisse être garantie pour eux et leurs descendants. Êtes-vous prêt à regarder ces personnes dans les yeux et à leur dire que vous avez laissé cette torche s’éteindre pour toujours à cause d’un virus ? Que vous avez laissé la flamme s’éteindre parce que vous étiez trop peureux, trop apathique, trop confiant ou trop facilement manipulable ? Imaginez maintenant que vous vous projetez dans l’avenir et que vous pensez à tous vos descendants, à vos enfants et petits-enfants, qu’ils soient déjà en vie ou à naître, et à toutes les générations qui viendront après nous. Regardez ces personnes dans les yeux et dites-leur que la liberté nous a été donnée, mais que nous avons permis qu’elle nous soit retirée, et donc à eux aussi, parce que nous n’avons pas reconnu le tour de passe-passe ou – si nous l’avons reconnu – que nous n’avons rien fait pour l’empêcher. Ressentez-vous le poids de la responsabilité ?

Nous pouvons être en désaccord sur de nombreux points, mais nous sommes certainement d’accord sur ce point. Que la liberté dont nous jouissons aujourd’hui est le plus précieux de tous les cadeaux qui nous ont été légués et que la liberté doit être choyée, entretenue et défendue à tout prix pour les générations futures. Il devrait être clair maintenant que le certificat de vaccination, le passeport Covid, le passeport vert ou quel que soit le nom qu’ils veulent lui donner, n’a absolument rien à voir avec notre santé. Et malgré la manière dont il nous est présenté, son introduction mondiale ne nous permettra pas de retrouver notre vie d’avant.

En fait, c’est exactement le contraire qui se passe. Le certificat de vaccination est la porte parfaitement construite pour créer un tout nouveau type de société contrôlée et surveillée, comme nous n’en avons jamais vu auparavant. C’est pourquoi nous ne devons en aucun cas, quelles que soient les pressions exercées sur nous, permettre l’introduction de certificats de vaccination. Ne vous y trompez pas. Il s’agit d’un moment clé de notre histoire, comme l’ont vécu les Spartiates lors de la bataille des Thermopyles ou les jeunes hommes sur les plages de Normandie. L’ampleur réelle de ce qui est en jeu ne sera jamais surestimée. Nous sommes nés sur cette belle terre en tant qu’êtres libres et souverains.

Nous sommes tous frères et sœurs. Nous sommes une famille humaine, indépendamment de notre couleur de peau, de nos croyances ou de notre nationalité. Il n’est pas nécessaire de forger des armes, de prendre d’assaut des murs ou de raser des bâtiments. Nous devons simplement nous lever, nous unir et dire que trop c’est trop. Nous avons compris les manigances, nous voyons maintenant clairement le plan et nous ne laisserons pas notre liberté nous être volée. Le flambeau de la liberté ne s’éteindra pas. Ni maintenant, ni à l’avenir, et surtout pas sous notre contrôle. Notre moment est venu de défendre ce flambeau pour toutes les générations futures. De raviver sa flamme et de la transmettre intacte et renforcée à toutes les générations futures. D’une seule voix, nous devons promettre à nos descendants :

Nous ne vous laisserons pas tomber ! Si vous vous sentez concerné par ce message, je vous invite à le partager avec votre famille et vos amis. Car c’est maintenant qu’il faut agir !




Dr Alexandra Henrion Caude et Mélodie : « Où est mon cycle »

[Source : tvadp.fr]

Émission animée par le Docteur Eric Loridan.






600 % de décès supplémentaires signalés au cours des 19 derniers mois par rapport aux 32 années d’existence de la base de données VAERS

[Source : profession-gendarme.com]

Depuis le début de la pandémie de COVID-19 il y a deux ans, le gouvernement américain a injecté des milliards de dollars de vos impôts dans le programme de vaccination. Plus de 9 milliards de dollars de vos impôts ont été versés aux fabricants de vaccins pour la recherche et 22 milliards de dollars de vos impôts ont ensuite été utilisés pour soutenir la distribution des vaccins. Les autorités fédérales ont également déboursé 10 milliards de dollars supplémentaires pour élargir l’accès aux vaccins et ont annoncé qu’elles allaient consacrer 3 milliards de dollars de plus à une campagne publicitaire visant à combattre l’hésitation à se faire vacciner.

Le gouvernement américain a dépensé bien plus de 130 dollars pour chaque homme, femme et enfant en Amérique pour promouvoir les vaccins COVID-19 et pourtant, plus d’un tiers du pays refuse toujours de se faire vacciner et près de 70 % refusent de prendre le rappel. Comment cela se fait-il ?

Périodiquement, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) publient les nouvelles informations sur les rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Le nombre de rapports atteint des niveaux historiques et le nombre de décès et d’événements indésirables signalés est plus élevé que jamais.

Avant d’aller plus loin, pour ne pas déclencher les « vérificateurs de faits », il est important de souligner que ce n’est pas parce que des données sont soumises au CDC par le biais du VAERS que ces réactions sont liées au vaccin COVID-19.

Selon le CDC :

L’une des principales limites des données VAERS est qu’elles ne permettent pas de déterminer si le vaccin a causé l’événement indésirable signalé. Cette limite a entraîné une confusion dans les données publiques du VAERS WONDER, notamment en ce qui concerne le nombre de décès signalés. Il est arrivé que des personnes interprètent à tort les rapports de décès consécutifs à une vaccination comme des décès causés par les vaccins, ce qui n’est pas exact. Le VAERS accepte tous les rapports d’événements sanitaires indésirables suite à des vaccinations sans juger si le vaccin a causé l’événement sanitaire indésirable. Certains rapports au VAERS représentent de véritables réactions aux vaccins et d’autres sont des événements sanitaires indésirables fortuits et non liés à la vaccination.

Cependant, toujours selon les CDC, « le VAERS est un système national d’alerte précoce permettant de détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. » Et, étant donné le volume des rapports, la sonnette d’alarme devrait être tirée partout. Pourtant, ce n’est pas le cas.

Bien que le CDC nous assure que sa base de données est inexacte, le volume des réclamations devrait suffire à déclencher de sérieux signaux d’alarme.

Les chiffres les plus récents du CDC sont sortis le 29 juillet 2022. Les chiffres les plus récents font état de 1 622 882 événements indésirables au total, dont 56 021 rapports d’invalidité permanente après la vaccination, 33 247 événements mettant la vie en danger, 170 749 hospitalisations, 1 134 anomalies congénitales et 29 981 décès signalés.

Bien que les responsables nous disent de ne pas nous préoccuper de ces données, si nous les comparons aux données précédentes, la recommandation de les ignorer devient tout à fait insensée. Avant l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins COVID en décembre 2020, dans toute l’histoire du VAERS, il n’y avait eu que 930 953 événements indésirables signalés sur une période de 32 ans.

En 19 mois seulement, cependant, il y a eu plus de 1,5 million de rapports — un nombre qui éclipse tous les rapports précédents — et tous concernent les vaccins COVID.

Il y a eu 150 % de plus d’événements indésirables signalés pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que ce qui n’a jamais été signalé dans l’histoire du VAERS — pour TOUS les vaccins.

C’est encore pire. Depuis la création du VAERS en 1990, seuls 5 039 décès ont été signalés au système pour tous les vaccins avant l’approbation des vaccins COVID-19. Il y a eu près de 600 % de décès signalés en plus pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que pour l’ensemble des vaccins dans toute l’histoire du système.

La base de données VAERS reçoit normalement entre 30 000 et 50 000 rapports par an, dont environ 8 à 13 % sont classés comme graves (c’est-à-dire associés à une invalidité, une hospitalisation, une maladie potentiellement mortelle ou un décès), selon l’outil de recherche principal VAERS des CDC.

En 2021, le VAERS a reçu une augmentation de plus de 3 000 % des rapports d’événements indésirables, et pourtant on nous dit de ne pas nous inquiéter. C’est peut-être pour cette raison que Pfizer – selon des documents récemment publiés par la FDA en février 2021 – a embauché 600 employés pour traiter les événements indésirables.

Selon le document non expurgé publié le 1er avril :

Pfizer a également pris de nombreuses mesures pour atténuer la forte augmentation du nombre de rapports d’événements indésirables. Ces mesures comprennent d’importantes améliorations technologiques, des solutions en matière de processus et de flux de travail, ainsi que l’augmentation du nombre de collègues chargés de la saisie des données et du traitement des cas.

« À ce jour, Pfizer a embauché environ 600 employés à temps plein (ETP) supplémentaires. »

« D’autres s’ajoutent chaque mois, pour un total attendu de plus de 1 800 ressources supplémentaires d’ici la fin juin 2021. »

Heureusement, l’augmentation du nombre de décès et de blessures signalés s’estompe à mesure que davantage de personnes se réveillent à ces données. Comme Alex Berenson l’a récemment déclaré :

L’échec des tirs d’ARNm, après le battage médiatique qui les a entourés lors de leur introduction en 2020, est profondément décevant.

Le développement de nouveaux médicaments ne peut être précipité, même si nous pouvons espérer qu’il le soit. Les régulateurs et les scientifiques soucieux de l’éthique doivent insister sur des essais cliniques correctement conçus et menés avant d’approuver tout nouveau médicament ou vaccin.

Mais l’échec des vaccins est en fait moins corrosif à ce stade que le refus sinistre des autorités de santé publique, des politiciens et des médias d’admettre cet échec.

Pratiquement tout le monde connaît la vérité. Comment puis-je en être aussi sûr ? De la manière la plus élémentaire. Plus personne ne se fait vacciner contre l’ARNm, ni pour lui-même, ni pour ses enfants. Plus d’un mois après que les autorités de réglementation ont enfreint toutes les directives dont elles disposaient pour approuver les vaccins pour les enfants de moins de 5 ans, plus de 97 % des enfants de cet âge ne sont toujours pas vaccinés.

C’est une excellente nouvelle pour l’avenir.

Sources : https://thefreethoughtproject.com
prepareforchange.net




Est-ce qu’on joue à rendre la météo folle ?

[Source : Kla.tv]

Transcription

La chaleur accablante et la sécheresse donnent actuellement du fil à retordre à l’agriculture. Des incendies de longue durée mobilisent les pompiers en de nombreux endroits. La cause semble évidente : ce serait le changement climatique provoqué par l’homme, c’est-à-dire les émissions élevées de CO2, qui serait à blâmer.

On évoque de plus en plus souvent comme solution possible ce qu’on appelle la géo-ingénierie solaire.

Il s’agit de réfléchir les rayons du soleil en pulvérisant des substances afin de refroidir la terre.

La radio MDR reprend ainsi la question d’un auditeur qui voudrait savoir s’il existe déjà des vols au cours desquels des avions pulvérisent des substances adaptées. Ulrike Niemeier, de l’Institut Max Planck à Hambourg, confirme que c’est technologiquement faisable :

« Bien sûr, cela a des effets secondaires : Les effets négatifs sont que nous réduirions également les précipitations moyennes sur la terre. Nous n’aurions plus un ciel d’un bleu vraiment profond, mais il aurait un aspect légèrement laiteux… » et que « … cela pourrait certainement avoir des effets psychologiques ».

Elle nie toutefois l’utilisation de tels vols. Elle et d’autres personnes interviewées demandent que la géo-ingénierie fasse l’objet de recherches plus approfondies.

Si on examine de plus près les déclarations d’Ulrike Niemeier, la pulvérisation de substances aurait pour conséquence une diminution des précipitations et un ciel laiteux. Ces deux phénomènes ont été observés de plus en plus fréquemment ces dernières années.

On peut donc se demander s’il s’agit vraiment, comme on le prétend, d’une technologie entièrement nouvelle sur laquelle les recherches ne font que commencer.

Dans ce qui suit, Kla.tv reprend des indications des médias dominants selon lesquelles la recherche et l’utilisation d’armes climatiques ont manifestement déjà une longue histoire.

Regardez ci-après le contenu principal de l’émission www.kla.tv/16595 en français : « Le débat sur le CO2 comme moyen de détourner l’attention de la manipulation de la météo par les militaires ».

Commençons notre recherche d’indices :

  1. Le 14 mars 2019, la ministre suisse de l’environnement, Simonetta Sommaruga, a déclaré ce qui suit dans une interview en marge de la 4e Assemblée des Nations Unies pour l’environnement. Simonetta Sommaruga :

« Oui, la Suisse a essayé d’aborder le sujet de la géo-ingénierie, c’est-à-dire la pulvérisation de particules dans l’atmosphère, elle a essayé d’en faire un sujet de débat afin de collecter des informations, et qu’on puisse regarder les avantages et les risques. … Ce sont des essais que l’on fait sans même en connaître les conséquences. Le sujet est trop important et peut-être même trop problématique pour qu’on puisse simplement passer outre. »

Mme Sommaruga parle ici d’essais de pulvérisation de particules dans l’atmosphère. Mais ces expériences sont-elles nouvelles et en sont-elles encore à leurs débuts, à petite échelle ?

  1. Le 14 janvier 2009, le météorologue Gunther Tiersch a fait quelques remarques troublantes lors du bulletin météo sur la chaîne de télévision allemande ZDF : Gunther Tiersch explique la météo sur la carte météorologique, avec ces termes :

« Et puis nous avons ici quelque chose que nous ne pouvons pas identifier comme de la neige ou de la pluie, ici à l’ouest ces lignes sinueuses, c’est probablement ce que quelques avions, des avions militaires, ont émis dans l’après-midi au-dessus de la mer du Nord, à environ 5-6 kilomètres d’altitude. Rien à voir avec la météo… ».

Peu de temps après, ZDF interroge Karsten Brandt, un expert du service météo, en raison des nombreuses questions des téléspectateurs sur ce bulletin météo. Voici la version fortement raccourcie de la formulation originale :

« Un phénomène que Karsten Brandt, du service météorologique « Donnerwetter », connaît bien. Les météorologues ont remarqué ces étranges nuages fantômes pour la première fois en 2005. Les navires de guerre se camouflent également avec de tels nuages artificiels. Les paillettes (nuages artificiels, qui perturbent par exemple les radars) ont déjà été développées pendant la Seconde Guerre mondiale. Alors qu’à l’époque, ils étaient constitués de bandes d’étain, aujourd’hui, ce sont des fibres de verre vaporisées avec de l’aluminium, d’une longueur de 15 à 25 mm et d’un diamètre d’environ 100 microns. Si les filaments ont la moitié de la longueur d’onde du radar, des échos parasites se produisent. Quand on voit les énormes nuages fantômes provenant de la direction de la côte néerlandaise, on peut penser que des tonnes de cette substance descendent sans cesse sur la République fédérale. »

Le météorologue Karsten Brandt :

« Nous mettons en place des zones de respect de l’environnement et d’autres, et apparemment la zone de respect de l’environnement ne s’applique pas à une hauteur de quatre ou cinq mille mètres au-dessus de la mer du Nord et ne s’applique pas au-dessus de l’Allemagne. Ce qui est répandu là ne joue aucun rôle. Je trouve cela incroyable ! »…

« Même si ces nuages ne proviennent pas des forces armées allemandes, que personne ne se sent responsable des substances qui tombent régulièrement sur l’Allemagne et qui sont en fait interdites, les météorologues considèrent tout cela comme tout simplement absurde. »

« Absurde c’est un mot bien gentil, il s’agit là d’une tromperie de la population. »

  1. Le physicien et présentateur de télévision allemand Jochen Bublath a fait des déclarations très détaillées sur le sujet de la manipulation de la météo par les militaires dans un documentaire pour la chaine allemande ZDF. Jusqu’en 2008, Bublath était le concepteur de l’émission télévisée scientifique de ZDF « Abenteuer-Forschung » (« La recherche : une aventure »). Dans un épisode, il parle de la manipulation du temps par les militaires au moyen d’énormes systèmes d’antennes et de la production de nuages artificiels. Voici également un extrait dans la formulation originale :

Jochen Bublath :

« On soupçonne que les puissants émetteurs et les grands systèmes d’antennes de HAARP sont également utilisés pour ces essais militaires. Gakona en Alaska : Loin de toute civilisation, l’armée américaine exploite ici une installation pour manipuler l’ionosphère. Le nom de ce mystérieux projet est HAARP. Une immense forêt d’antennes peut émettre des ondes radio dans l’ionosphère… Avec les ondes radio, on essaie de changer l’ionosphère. Les ondes radio pompent l’énergie dans cette couche de particules chargées électriquement. L’ionosphère est chargée, se dilate en ces points et présente des perturbations. Une possibilité de causer des difficultés à l’adversaire militaire. Mais officiellement, HAARP est uniquement destiné à être utilisé pour la recherche sur l’ionosphère. »

Bublath fait également état d’une installation similaire près de Tromsø en Norvège. Suit alors un extrait de la BBC sur la production de nuages artificiels par la NASA. Pour résumer brièvement jusqu’ici : Il y a plus de 10 ans, ZDF a fait état d’approches du secteur militaire visant à influencer la météo à des fins militaires en émettant des particules et en utilisant d’énormes systèmes d’antennes. Mais écoutez une contre voix qui rend compte de façon très détaillée de la nature et des objectifs de la manipulation du temps :

  1. La chaîne de télévision espagnole « La 8 Zamora TV » a interviewé Josefina Fraile de l’association « Terra SOS-Tenible » le 19 octobre 2017 ; l’interview est intitulée « Géo-ingénierie – Pacte de silence ». Vous pouvez en écouter ici quelques extraits. Au début, il est question d’une interdiction des armes dites climatiques.

Josefina Fraile fait référence à la Convention ENMOD (« Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles »).

Il s’agit d’un traité international qui a été adopté dès 1976 par les Nations unies (ONU) sous la résolution 31/72. Il mentionne explicitement les interventions qui ont les effets suivants : – Tremblements de terre ou changements dans la croûte terrestre – Tsunamis – Phénomènes météorologiques tels que cyclones, tornades, formation de nuages, précipitations/pluies – Perturbation de l’équilibre écologique d’une région – Influence sur les courants maritimes, etc.

Josefina Fraile :

Un accord a été conclu selon lequel l’arme climatique ne peut être utilisée dans les conflits armés. Mais en fait, elle est toujours utilisée. Que peut-on et que fait-on avec cette arme ? Avec cette arme, on peut créer des pluies, des tempêtes, des nuages, des éclairs, des orages partout dans le monde. Ou le contraire : on peut dissoudre les fronts de pluie, arrêter la grêle et les chutes de neige et, bien sûr aussi créer une sécheresse. Que se passe-t-il ? Cette arme de contrôle du climat, quiconque la possède a un contrôle absolu sur les ressources de la planète, en particulier sur les ressources alimentaires. Donc, en clair : si un pays dispose de cette technologie, il contrôle le robinet d’eau du monde entier. Soit tu fais ce qu’on te dit et tu reçois de l’eau, soit tu es contre et ton pays est sous-alimenté en eau. Rompre, briser, détruire les ressources en eau. Cela provoque des périodes prolongées de sécheresse et conduit à l’incapacité de nourrir la population de ce pays. Le résultat est une famine. C’est réel ! Certains pays disposent de cette technologie et aux États-Unis, cette technologie fait déjà partie de la politique étrangère. Un rapport des Forces aériennes d’Amérique du nord s’intitule – « Posséder le climat d’ici 2025 ». Ce titre, qui s’explique de lui-même, nous laisse sans mots, le souffle coupé. Le fait que l’on puisse être présomptueux au point de vouloir contrôler le robinet d’eau du monde, cela nous dépasse, tous. Ce rapport indique également que la modification climatique fera partie de la politique étrangère américaine. Que le monde le veuille ou non. Et cette politique est appliquée par le biais d’accords bilatéraux, par des organisations comme l’OTAN (elles sont responsables de nous) ou par l’intermédiaire des Nations Unies. En fait, lors de la dernière Assemblée générale des Nations Unies, dans la section D du 5e rapport sur le changement climatique, le GIEC était plus ou moins légitimé pour ce qu’on appelle la GÉO-ENGINIERIE. Il est clair que celui qui dispose de cette technique peut faire pression sur qui il veut, quand il veut. Dès que cette méthode de guerre a été interdite par les Nations Unies, nous nous sommes logiquement posé la question : Un pays qui peut contrôler le climat et qui a donc le pouvoir sur les ressources du monde entier, ce pays abandonnera-t-il cette règle simplement parce qu’il a – avec beaucoup de retard – signé un accord des Nations Unies ? Plutôt pas. La seule chose qui reste à ce pays, c’est de donner à ce chien un nouveau collier. En d’autres termes, créer un problème mondial et proposer ensuite la solution mondiale. Le problème mondial était la création d’une nouvelle religion : « Changement climatique et réchauffement de la planète ».

Y a-t-il donc des tentatives de la part du mainstream pour rendre acceptables les interventions sur les régimes climatiques naturels sous prétexte de mesures de protection du climat ? Il est clair que oui. En 2015 déjà, la radio suisse SRF 4, par exemple, a présenté une sorte de protection solaire pour la Terre dans les hauteurs de l’atmosphère. Selon Thomas Peter, chimiste de l’atmosphère à l’École polytechnique fédérale de Zurich, cela peut se faire, par exemple, avec d’innombrables petites particules qui volent dans l’atmosphère comme de minuscules miroirs. Ceux-ci renverraient immédiatement la lumière du soleil dans l’espace. … De nombreux experts et organisations environnementales sont très sceptiques à l’égard de la géoingénierie. Mais le réchauffement climatique serait de plus en plus dramatique. Et ainsi il y a de plus en plus de chercheurs, tels que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et l’Académie nationale des sciences des États-Unis, qui se sont récemment prononcés en faveur d’une étude sérieuse de la protection solaire de la Terre. Le sujet devient ainsi socialement acceptable, déclare Ken Caldeira, de l’université de Stanford en Californie.

Résumons :

  1. A cette occasion, en 2019 la ministre suisse de l’environnement a appelé à un débat sur la pulvérisation de particules dans l’atmosphère.
  2. Il y a plus de 10 ans des experts en météorologie et des journalistes spécialisés parlaient déjà dans les médias officiels de pratiques illégales de manipulation de la météo, par exemple en pulvérisant des particules ou en intervenant dans l’ionosphère par des ondes radio extrêmement fortes.
  3. Josefina Fraile a dévoilé les intérêts militaires qui se cachent derrière l’utilisation des armes prétendues climatiques, interdites en 1977 pour la raison déjà évoquée. Elle voit la tentative de rendre acceptables les « armes climatiques » interdites en les renommant « programme de protection du climat ». Dans ce contexte de forts intérêts de puissance militaire, on peut comprendre que les médias officiels attisent désormais tous ensemble la peur du CO2 et ne disent plus un mot sur des causes complètement différentes de sécheresses, d’inondations et de catastrophes météorologiques de toutes sortes.

Se pourrait-il que, compte tenu de tous les faits mentionnés dans cette émission, la panique autour du CO2 représente plutôt une gigantesque distraction et une tromperie de la population, qui est en fait contrôlée et affaiblie par des substances nocives pour la santé pour des raisons peu convaincantes ? Une protection efficace de l’environnement commence par la recherche des causes graves de la destruction de l’environnement et la sensibilisation du public à ces questions. Kla.tv reste à votre service… nous acceptons volontiers les dépositions et des informations de témoins…

de ag./kgr.


Sources / Liens :

1.Hörer machen Programm:
https://www.mdr.de/nachrichten/deutschland/panorama/geo-engineering-klimawandel-flugzeuge-100.html
2. Schweizer Umweltministerin:
https://youtu.be/9rDmEY3tF3U
3. Schweizer Radio (SRF 4 vom 20.2.2015):
https://www.srf.ch/play/radio/popupaudioplayer?id=70c16bcd-e3a8-4ac1-9255-7c2db5a38780
https://www.youtube.com/watch?v=h6E4yHYN0I4
4. Wetterbericht ZDF:
https://www.youtube.com/watch?v=Xot1EI4s6j0
5. Karsten Brandt (ab Minute 2:30):
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
6. ARD-Tagesschau und ZDF-Sendung-Zusammenschnitt: Zu Wettermanipulationen (HAARP und Chemtrails):
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
https://www.youtube.com/watch?v=EMfTXgJH2Fc
7. Interview mit Josefina Fraile:
https://www.youtube.com/watch?v=1pMMS9crybw
(Spanisch)
http://hastaloshuevos.es/geoingenieria-pacto-de-silencio-entrevista-josefina-fraile-terra-sostenible
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
(Deutsch, ab 8:16 Min.) 8. ENMOD-Konvention (Verbot von „Klimawaffen“) :
https://www.radio-utopie.de/2011/03/11/kennen-sie-eigentlich-die-enmod-konvention-gegen-wetterwaffen-aus-dem-jahre-1976/
9. Militär beherrscht das Wetter bis 2025 (englische Quelle):
https://archive.org/details/WeatherAsAForceMultiplier
10. Informationsplattform zu Geo-Engineering (englische Quelle):
https://www.geoengineeringwatch.org/




INCENDIES : réintégrons en urgence nos pompiers suspendus

Par Nicole et Gérard Delépine

Les incendies se multiplient. Les 5000 pompiers français suspendus manquent tellement que nous acceptons des pompiers étrangers non vaccinés !

Le président Macron a élevé les pompiers (comme les soignants) au rang de « héros ». Mais en France il ne fait pas bon d’être un héros en période de folie covid. Les héros sont fatigués et sont exclus de leur activité s’ils ne se plient pas aux ukases du président, telle l’injection anticovid expérimentale.

Environ 5000 pompiers professionnels ont ainsi été exclus ou ont fui la profession et de nombreux sapeurs-pompiers volontaires en formation se sont dirigés vers d’autres professions.

Et ces pompiers manquent cruellement sur le front des incendies, comme les soignants eux aussi soumis à l’obligation d’injection manquent aux urgences et dans les blocs opératoires.

Car si nos gouvernants ont été incapables de consolider les services publics de sécurité intérieure (pompiers, hôpitaux, police), ils ont été très performants pour les démotiver en refusant de les écouter et en leur imposant des obligations inutiles et dangereuses.

Pour combler le déficit d’effectifs, le gouvernement mendie des pompiers étrangers non vaccinés d’Allemagne, d’Espagne, d’Autriche, de Pologne et de Roumanie ! Et nos voisins européens, considérant l’inefficacité des injections à empêcher les contaminations et les transmissions, n’ont pas émis d’obligation inutile et ne souffrent pas de pénurie de personnel comparable à la nôtre !

Reprenons la proposition de loi des sénateurs éclairés enregistrée à la Présidence du Sénat le 16 juin 2022.

PROPOSITION DE LOI visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

PRÉSENTÉE par :

Mmes Sylviane NOËL, Sabine DREXLER, Claudine THOMAS, M. Alain JOYANDET, Mmes Annick PETRUS, Laurence MULLER-BRONN, MM. Daniel LAURENT, Alain HOUPERT, Laurent DUPLOMB, Mme Kristina PLUCHET, M. Sébastien MEURANT, Mmes Sylvie GOY-CHAVENT, Christine BONFANTI-DOSSAT, MM. Jean-François LONGEOT, Cyril PELLEVAT et Mme Christine HERZOG, Sénatrices et Sénateurs

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs, il y a un peu plus de deux ans, l’épidémie de Covid-19 submergeait brutalement nos hôpitaux. Du jour au lendemain, les soignants ont dû faire preuve d’adaptabilité pour tenter de contrer cette vague épidémique sans précédent dans l’histoire de notre pays. Nos soignants, avec une grande conscience professionnelle, ont pendant cette période enchaîné les journées harassantes, renoncé à leurs congés et jours de repos, tout cela dans des conditions dignes du tiers-monde, sans sourciller. Parce que nous étions « en guerre » contre l’épidémie, ils ont dû faire face avec beaucoup d’ingéniosité et d’abnégation, au péril de leur propre santé. Sans gants, sans masques, ils ont été réduits à recourir au système D : en se fabriquant des blouses avec des sacs poubelles et en réutilisant, encore et encore, des masques usagés, faute de stocks suffisants. Un dévouement sans peu d’égal, qui avait ému les Français, qui chaque soir, étaient réunis à leurs fenêtres à 20 heures pour applaudir ces héros. Puis brutalement, le sort réservé aux soignants a changé : les héros d’hier sont devenus les parias d’aujourd’hui. Alors que l’obligation vaccinale a été rejetée par le Parlement français, laissant à chacun la liberté toute relative face à un pass sanitaire puis vaccinal très discriminant de recourir à la vaccination, les soignants et assimilés (pompiers par exemple) n’ont pas eu ce choix. Ordre leur a été donné d’obtenir un schéma vaccinal initial complet avant le 15 octobre 2021, faute de quoi ils seraient suspendus, sans revenu, sans statut. À compter du 30 janvier 2022, la dose de rappel a été intégrée dans l’obligation vaccinale pour tous les professionnels afin qu’ils puissent continuer à exercer leur activité. Alors que de multiples études montrent que la vaccination n’a que très peu d’incidence sur le portage et la transmission du virus, alors que l’immense majorité des pays ont abandonné cette obligation vaccinale, des milliers de soignants et de pompiers français ont été suspendus parce qu’ils ont choisi d’exercer, comme tous les autres français, leur libre choix à l’égard de ce vaccin. Des dizaines de milliers de héros du quotidien qui font cruellement défaut à notre hôpital déjà exsangue, ainsi qu’à notre chaîne de secours déjà éprouvée par deux années de crise sanitaire. Ainsi, le gouvernement s’est lui-même contraint à rappeler des soignants vaccinés, mais malades du Covid (positifs, donc) au lieu de faire appel à des personnels non vaccinés, mais négatifs et prêts à se faire tester chaque jour si nécessaire. Kafka en rêvait, le gouvernement l’a fait !

Alors que la saison estivale n’a même pas encore débuté et que la plupart des régions vont connaître un afflux de population touristique très important, l’ensemble de nos structures de santé, publiques comme privées, se trouvent aujourd’hui déjà dans une situation extrêmement critique en raison de cette pénurie de personnels soignants. Le maintien de cette mesure discriminatoire portera un coup fatal et irréversible à notre système de santé déjà terriblement éprouvé si nous ne réagissons pas très vite. Chaque jour, faute de personnel disponible, des établissements de santé déprogramment des interventions chirurgicales, des EHPAD gèlent des lits, des centres médico-psychologiques renvoient des patients lourdement handicapés dans leurs familles, des maires déplorent la multiplication des déserts médicaux, des services d’urgence ferment leur porte… Les situations de ce type se comptent par milliers, et plongent des malades et des familles entières dans la détresse. Bon nombre de ces soignants suspendus sans perspective ont d’ores et déjà opté pour une reconversion dans d’autres secteurs d’activité. Dans certaines régions frontalières comme la Haute-Savoie, ces personnels ont choisi d’aller exercer leur activité dans les pays voisins comme la Suisse, où cette obligation vaccinale n’est pas requise. En outre, les récentes mesures adoptées pour favoriser l’attractivité des métiers de la santé ne porteront leur fruit que dans plusieurs années. En attendant, il est absolument vital de ne pas fragiliser encore davantage les effectifs de notre personnel de santé. Cette crise a mis en lumière le malaise de nos soignants, les dysfonctionnements d’un hôpital sur-administré et sous-doté, les défaillances dans les chaînes de décisions.

Alors que nous avons désormais tous repris une vie quasiment normale face à ce virus, il est grand temps de tirer toutes les leçons de cette période moribonde et de remuscler sans tarder notre système de santé. Certains facteurs nécessiteront malheureusement du temps pour être corrigés : le déficit de personnel en fait partie. Il est donc absolument indispensable de supprimer le plus vite possible cette obligation vaccinale pour les soignants, de réhabiliter sans perdre une minute ces milliers d’hommes et de femmes indignement traités par l’État français et de leur accorder, enfin, respect et reconnaissance. Tel est l’objet de la présente proposition de loi qui propose dans son article 1er d’abroger les dispositions de l’article 12 de la loi du 5 août 2021 relative à l’obligation vaccinale des personnels soignants, en les réintégrant aux effectifs des établissements concernés, et dans son article 2 de permette aux agents du service public concernés de conserver l’état d’avancement d’échelon et de grade qu’ils possédaient avant leur suspension.

Proposition de loi visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

Article 1er

La loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire est ainsi modifiée : 1° Le I de l’article 12 est abrogé ; 2° Les articles 13 à 19 sont abrogés.

Article 2

Les agents du service public mentionnés au I de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 précitée conservent l’état d’avancement qu’ils possédaient avant leur suspension.

Article 3

Les éventuelles pertes de recettes résultant pour l’État de l’application de la présente loi sont compensées, à due concurrence, par une taxe additionnelle, l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Merci à ces sénateurs courageux dont la clairvoyance se reflète dans un exposé clair et concis. Et regrettons que ce projet de loi soit resté lettre morte pour l’instant.

Alain Houpert

En 2020 les sénateurs ont alerté le gouvernement sur l’état alarmant du matériel aérien de lutte contre les incendies. Deux ans plus tard, rien n’a été fait.

Harold Bernat @bernathoustra

Si je comprends bien, n’hésitez pas à éclairer ma lanterne, on devrait se taper le cul par terre parce que 300 pompiers hors France viennent en renfort quand 5000 pompiers français sont suspendus simplement pour mater sans aucune raison sanitaire à l’été 2022.

#Invendies #Gironde

@EnModeMacaron

Le vaccin ne protège pas de l’infection et de la contamination, mais Macron ne réintègre pas les pompiers suspendus ! 😡 La sénatrice Sylviane Noël veut la réintégration des pompiers suspendus alors que la France brûle ! RT si tu soutiens cette demande !

@DIVIZIO

La France fait venir des pompiers d’ailleurs ! Dont acte ! La presse a donné les pays d’où viennent ces soldats du feu. Du coup demain, méthodiquement, @AssoJNSPUD

va examiner le statut de l’obligation vaccinale dans ceux-ci et si un seul n’est pas soumis à vaccination obligatoire

je ferai immédiatement un recours pour enjoindre au ministre de justifier que seuls des sapeurs-pompiers étrangers vaccinés sont au feu ! Au besoin j’enverrai un huissier directement au lieu où sont les pompiers et leur commandement pour avoir l’info et en tirer les conséquences.

@AssoJNSPU

Vous pouvez commencer : les pompiers allemands NON INJECTÉS… de quoi bien humilier nos pompiers suspendus encore un peu. COMMENT LEURS COLLÈGUES PEUVENT-ILS ACCEPTER ÇA ! ET LEUR SYNDICAT, IL SERT À QUOI à part encaisser le chèque !

@NiusMarco

Les pompiers allemands non vaccinés vont pouvoir éteindre les feux en France. Pas les Français #reintegrezlesPompiersSuspendus

En Pologne, la vaccination covid a été recommandée, mais non obligatoire pour les pompiers.

organic_lover1976

En Espagne la vaccination n’est obligatoire pour personne

ET LES MOYENS ?

Titiart

lorsqu’un #Canadair coûte environ 60 millions d’€, la France en a commandé 2 supplémentaires On est donc incapable de payer 10 ou 15 avions de plus Pendant ce temps les actionnaires du CAC40 se sont partagé 70 milliards d’€ en 2021 ET, SI, ÇA A TOUT À VOIR !

Il faut supprimer l’obligation des pseudo vaccins expérimentaux qui ne sert à rien et réintégrer le plus vite possible pompiers et soignants vaccino-prudents.




Effets graves des vaccins Covid : l’heure de vérité ?

[Source : covidhub.ch]

Révélations, enquêtes publiques, procès, déclarations officielles se multiplient. Encore peu reprises dans les médias, les dénonciations d’experts et de politiciens perturbent Pharmas et gouvernements. Échantillon parmi de nombreux exemples dans le monde.

– Costa Rica : l’État mène une enquête sur les contrats de vaccins Pfizer et AstraZeneca

Encore une autre mauvaise nouvelle pour les Pharmas. Moins d’une semaine après la menace brandie par la justice baléare d’obtenir du gouvernement espagnol tous les contrats signés avec les laboratoires, c’est au tour d’un autre pays de menacer d’ouvrir une enquête sur l’achat de vaccins.

Ainsi, le nouveau président du Costa Rica Rodrigo Chaves, en place depuis le 8 mai, a déclaré : « Nous allons mener une enquête sur les raisons qui ont poussé (le gouvernement antérieur) à acheter autant de doses alors qu’il disposait des informations confirmant que le marché était saturé ». Le chef de l’État a déploré que son pays ait dépensé des millions de dollars en vaccins au moment où le taux de vaccination était en chute libre.

Dans la foulée, la ministre de la Santé Jocelyn Chacón a annoncé la suppression de l’obligation vaccinale imposée par le précédent gouvernement.

– article de FranceSoir

– article du Courrier du Soir

– Des assureurs américains prévoient d’attaquer les fabricants de vaccins Covid

Suite à une explosion des prestations pour décès en 2021 (1re année de la vaccination C0VlD), plusieurs assureurs seraient sur le point d’intenter une action en justice contre les fabricants de vaccins, indique la chaîne en ligne Just the News en citant un épidémiologiste réputé de l’Université de Yale, le Dr Harvey Risch

La compagnie OneAmerica a constaté en décembre 2021 une hausse de 40 % des décès parmi ses assurés en âge de travailler. La société Lincoln National rapporte avoir dû augmenter ses prestations de 163 % en 2021 : 1,4 milliard de dollars contre 548 millions en 2020.

Harvey Risch s’attend à ce que les assurances-vie demandent une compensation financière aux fabricants pour couvrir les « réclamations de mortalité précoce inattendue », car ils « ont un risque financier majeur qu’ils doivent trouver comment gérer ».

Les actuaires des assureurs avaient estimé que les vaccinés COVID « vivraient plus longtemps qu’ils ne l’ont fait » sur la base de fausses déclarations sur « la mortalité toutes causes confondues… selon les essais [cliniques] originaux », a déclaré Risch à l’émission télévisée « Just the News, Not Noise ».

– « Record d’effets graves et de décès », affirme un microbiologiste de l’Université de Bordeaux

Jean-Paul BOURDINEAUD, titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie. Il est professeur de biochimie et toxicologie environnementales à l’Université de Bordeaux. Il est éditeur associé du Journal of Toxicological Sciences et de l’International Journal of Molecular Sciences, section Molecular Role of Xenobiotics. Il nous parle des injections anti-Covid: « Jamais un autre vaccin n’a provoqué autant de décès et d’effets secondaires graves en si peu de temps. En plus sa durée de protection est très courte. »

– Quatre jeunes médecins vaccinés meurent dans deux hôpitaux de Toronto

Trois jeunes docteurs de l’hôpital Trillum Health à Mississauga, près de Toronto (Canada) sont décédés à mi-juillet, quelques jours après que leur établissement a commencé à injecter au personnel une 4e injection « anti-Covid ». Un 4e médecin est mort dans les mêmes circonstances à l’hôpital North York General, également proche de la capitale de l’Ontario. Les hôpitaux ont confirmé ces décès tout en niant un lien quelconque avec les vaccins.
En haut: Dr Lorne Segall, Dr Jakub Sawicki. En bas, Dr Stephen McKenzie, Dr Paul Hannam (de g. à d.)

L’affaire a été révélée le 24 juillet par l’entrepreneur étasunien Steve Kirsch, qui diffuse des contre-informations sur les vaccins: « Quelle est la probabilité, demande-t-il, que 3 jeunes médecins ayant reçu leur 4e dose meurent à quelques jours d’intervalle dans le même hôpital. Sans compter le docteur décédé la même semaine au North York General. Combien d’autres “coïncidences” les gens voudront-ils encore accepter ? Il faut stopper ces injections ! »

C’est seulement 3 jours après la diffusion de cette alerte sur les réseaux sociaux que le quotidien Toronto Sun annonce que les deux hôpitaux ont confirmé ces décès, « tentant d’annuler les commérages et les spéculations sur les réseaux sociaux “. Le journal cite uniquement des responsables hospitaliers qui nient tout lien avec la vaccination. L’article n’expose aucun contre-argument ni investigation indépendante sur cette affaire.

– États-Unis: médecin militaire, elle témoigne sous serment qu’elle a reçu l’ordre de « dissimuler » les lésions causées par les vaccins

La Dre Theresa Long, chirurgienne de brigade pour la 1re brigade d’aviation, à Ft. Rucker, Alabama, a précisé devant un tribunal que cet ordre faisait suite à une directive de l’administration Biden.

Elle a présenté des données montrant que les décès de militaires dus aux vaccins dépassent ceux dus au COVID-19 lui-même.

Le moral est en baisse dans l’armée, a-t-elle témoigné, les soldats étant désespérés par la pression pour se faire vacciner, et certains ont même des pensées suicidaires. La Dre Long a déclaré qu’elle était au courant d’au moins deux personnes qui se sont suicidées à cause de la pression et de la menace de punition en cas de refus.

– La police néo-zélandaise envisage une enquête sur les décès liés aux vaccins

La convergence et la multiplication de ces études sur le rôle délétère des vaccins interrogent de nombreux professionnels de santé. C’est le cas en Nouvelle-Zélande où le collectif « New Zealand Doctors Speaking Out with Science » a adressé une lettre officielle à la police pour réclamer une telle enquête sur les décès liés au vaccin.

– Des États et des scientifiques américains exigent de l’État fédéral la lumière et la justice sur la gestion du Covid

Le Texas attaque Joe Biden et l’État fédéral pour la campagne de censure mise en place sur les réseaux sociaux, notamment contre des épidémiologistes et certains médias qui remettaient en cause les mesures sanitaires.

Le Missouri et la Louisiane viennent de gagner devant un juge fédéral le droit d’avoir un accès intégral aux données de l’État fédéral pour mettre en lumière la vérité sur la politique sanitaire américaine inhérente à la gestion de la « pandémie » de Covid-19.

Un certain nombre d’Etats ont rétabli l’autorisation de prescrire des traitements précoces comme l’ivermectine.

Le Dr Jayanta Bhattacharya, professeur de médecine réputé à l’université Stanford, avertit le New York Times qu’il devra prendre ses responsabilités pour avoir mené des « campagnes de désinformation » pour soutenir les confinements, les fermetures d’écoles et « l’hypocondrie covidiste institutionnelle » depuis plus de deux ans. Cette campagne incluait des diffamations de scientifiques en désaccord avec ces politiques, ajoute-t-il en précisant qu’il en a lui-même été victime.

Enfin, le Daily Mail nous révèle que les Américains assistent à une vague de démissions massive au sein des institutions de santé américaines (voir article de Covidhub à ce sujet)

– Suède: plus de gens hospitalisés pour effets du vaccin que pour le Covid

Il existe maintenant des données officielles de la Suède, à savoir de la « Medical Products Agency », l’autorité d’approbation et de surveillance des médicaments en Suède. Et cela confirme que les « vaccinations corona » ont provoqué une augmentation significative des effets secondaires, en particulier des cas graves et des décès. 
https://freie-impfentscheidung.de/schweden-krankenhaus-wegen-impfnebenwirkungen/

De même:

– Les enfants britanniques ont 52% de risques supplémentaires de mourir après une injection Covid

– Le Portugal champion de la vaccination et No 1 des cas de Covid

– 4e dose en Allemagne : désaccord entre le ministre et son M. Vaccin

Alors que le ministre de la Santé allemand, Karl Lauterbach, vient de recommander une quatrième dose de vaccin Covid pour les moins de 60 ans, le chef de la Commission permanente des vaccinations Thomas Mertens s’y est opposé. De son côté, la Fédération allemande des hôpitaux demande le retrait de l’obligation vaccinale après la révélation d’effets secondaires massifs.

– Un tribunal italien ordonne l’analyse des vaccins ARN

Le tribunal de Pesaro, saisi par un enseignant réfractaire à l’obligation vaccinale, a commis un expert pour identifier le contenu des vaccins anti-Covid à ARN messager Moderna et Pfizer/BioNTech. Ces analyses seront réalisées en septembre, a précisé l’avocate Nicoletta Morante. Il s’agit selon elle « d’une première en Italie, et peut-être en Europe ».

– L’Argentine va indemniser les victimes d’effets indésirables

Fin juillet, sans résonance internationale, le gouvernement argentin a établi une procédure ‘d’indemnisation pour les personnes qui auraient souffert d’‘effets indésirables’ après s’être vues imposer le ‘vaccin destiné à générer l’immunité acquise contre le Covid-19, dans le cadre du Plan stratégique de santé approuvé le 29 décembre 2020’. L’article de FranceSoir.

Par ailleurs, l’avocat argentin Augusto German Roux, ayant participé en 2020 aux essais cliniques de Pfizer en Argentine, témoigne de ses mésaventures suite à sa propre vaccination. Entre effets secondaires, diagnostics médicaux erronés et Secret-Défense, il est catégorique : « C’est criminel ». Il n’a cessé d’interpeller les autorités sanitaires de son pays.




Le Dr Mike Yeadon conclut : « Il n’y a pas de virus respiratoires ! »

[Source : cv19.fr]

Le Dr Michael Yeadon, ancien directeur scientifique et vice-président de Pfizer, confirme sa conviction que les virus respiratoires n’existent pas.

J’ai réalisé, au fil du temps, que je ne pouvais plus maintenir ma compréhension des virus respiratoires telle que je pensais les connaître. Et puis j’ai appris de nouvelles informations récemment, et c’était juste, ça a effondré la possibilité que les virus respiratoires tels que décrits existent, ils n’existent pas.

[Voir aussi :
Après des révélations militaires sur les effets
du vaccin anti-Covid sur la fécondité,
l’ancien vice-président de Pfizer,
Michael Yeadon,
demande des excuses aux médias pour leurs « mensonges »
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
et les nombreux autres articles du dossier Vaccins et virus
qui remettent largement en cause la théorie virale
et tendent à démontrer son caractère non scientifique.]



Interview complète : https://rumble.com/v1ee8yv-dr-mike-yeadon-fraud-fear-and-how-herd-mentality-has-brought-us-to-the-edge.html

Sous-titres FR par https://cv19.fr


[Voir aussi, en anglais :
Dr. Robert Young: “Viruses don’t exist, nanotech in the body is a bioweapon” with Maria Zeee
Dr. Robert Young : « Les virus n’existent pas, les nanotechnologies dans le corps sont des armes biologiques » avec Maria Zeee]




Action de résistance citoyenne les 15, 16 et 17 août 2022

[Source : Jean-Dominique Michel]

Voici des précisions sur l’appel au boycott lancé par Jean-Dominique Michel pour les 15, 16 et 17 août prochains. Il est important que le plus grand nombre de personnes possible se mobilise autour de cette action. À cette fin, Olivier Soulier relaie auprès du Syndicat Liberté Santé.

La proposition est la suivante : durant ces 3 jours, essayons de restreindre notre consommation au maximum (pas d’utilisation de CB [Cartes bancaires ou de crédit], le moins de déplacements possible, pas de courses en grande surface, et pas de connexion à Internet – sauf impératif de santé ou professionnel, et surtout pas de connexion aux réseaux sociaux). L’idée est d’envoyer à ceux qui nous oppriment un « coup de semonce » en les tapant là où ça leur fait le plus mal : au portefeuille.

Pour ceux qui verraient des objections ou auraient le sentiment que ce sera une fois de plus un coup d’épée dans l’eau, écoutez les explications de Jean-Dominique Michel et Olivier Soulier dans cette vidéo (à partir de 05 minutes et 50 secondes) :

Ils sont très convaincants, notamment sur les retombées financières d’une telle opération, loin d’être négligeables !

Olivier Soulier : 

« Je pense que 5% à 10% de la population, très motivés, peuvent faire bouger les choses. »

Et, si vous le voulez bien, diffusez le plus possible autour de vous. Nous ne sommes pas conscients de notre puissance réelle. Or, nous avons réellement les moyens de « leur mettre une bonne baffe », comme dit Jean-Dominique Michel. Plus nous serons nombreux et plus cela portera. L’idée est d’envoyer un premier avertissement fort avant la rentrée, afin de faire passer le message suivant : si vous touchez à nos enfants, on passera à la vitesse supérieure.




Partout dans le monde, l’eau de pluie contient des produits chimiques cancérigènes

[Source : aphadolie.com]

La présence de produits chimiques dans notre atmosphère est aujourd’hui si élevée que la qualité de l’eau se dégrade jour après jour. Selon les dernières directives en la matière, dont se fait écho un article de The Independent(([1] https://www.independent.co.uk/climate-change/news/rainwater-cause-cancer-forever-chemicals-pfas-b2137020.html)), qu’importe la région du monde dans laquelle vous vous trouvez, l’eau de pluie est dorénavant imbuvable.

Au cours des dernières décennies, les substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Substances_per-_et_polyfluoroalkylées)) ou PFAS, aussi appelées « produits chimiques éternels », se sont répandues dans le monde entier à travers les rivières, les océans et les sols, à tel point qu’elles se retrouvent désormais dans la pluie et la neige.

Or, certaines d’entre elles ont été associées à de nombreux soucis de santé et maladies graves :

  • Cancers.
  • Infertilité et complications de grossesse.
  • Hypercholestérolémie.
  • Déficits immunitaires.
  • Problèmes d’apprentissage et de comportement chez les enfants.

D’après une étude parue le 2 août dans le journal Environmental Science & Technology(([3] https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acs.est.2c02765)) et menée par des chercheurs de l’Université de Stockholm et de l’École polytechnique fédérale de Zurich, ces substances seraient davantage présentes dans nos eaux que ce que laissent penser les valeurs indicatives actuelles.

« Au cours des vingt dernières années, il y a eu une baisse étonnante des valeurs indicatives des PFAS dans l’eau potable », explique Ian Cousins, auteur principal de l’étude. « Par exemple, la valeur indicative de l’acide perfluorooctanoïque (PFOA), un cancérigène bien connu de la classe PFAS, a chuté de 37,5 millions de fois aux États-Unis. »

Pourtant, les dernières analyses américaines au sujet de l’eau de pluie sont claires : la concentration de PFAS est toujours trop élevée et la rend impropre à la consommation.

Un danger impossible à éliminer

Pour étudier la prévalence des PFAS dans notre atmosphère, l’équipe de l’Université de Stockholm a réalisé des travaux en laboratoire et sur le terrain.

Elle a observé que les niveaux de certains PFAS n’ont pas diminué de manière significative, malgré la suppression progressive qu’opère le principal fabricant des produits qui en contiennent, l’entreprise 3M, depuis vingt ans.

« Ce n’est pas étonnant », commente Ian Cousins, « ils sont connus pour être très persistants. » (D’où le surnom « produits chimiques éternels »).

Les chercheurs ont également remarqué que la transmission des PFAS depuis l’eau de mer vers l’air marin par les embruns était en partie responsable de leur persistance dans notre atmosphère. En outre, ils ont découvert que ces substances étaient plus dangereuses que ce qu’indiquaient les précédentes recherches à leur propos.

Pour Martin Scheringer, coauteur de l’étude, le constat est sans appel :

« L’extrême persistance et le cycle mondial ininterrompu de certains PFAS conduisent au dépassement continu des directives [sur la qualité de l’eau] ».

« Alors maintenant, en raison de la propagation mondiale des PFAS, partout les milieux environnementaux dépasseront les directives de qualité environnementale conçues pour protéger la santé humaine et nous ne pouvons pas faire grand-chose pour réduire la contamination par les PFAS. »

Le scientifique n’est guère optimiste. Selon lui :

« Il faut définir à l’échelle mondiale une limite de concentration des PFAS. Mais, comme nous le concluons dans l’étude, cette limite a déjà été dépassée. »


De nombreuses personnes pensent à tort que l’eau de pluie est potable.


Source :

https://www.independent.co.uk/climate-change/news/rainwater-cause-cancer-forever-chemicals-pfas-b2137020.html

http://www.slate.fr/story/231715/eau-pluie-contient-produits-chimiques-eternels-cancerigenes-pfas-cancer-maladies

Note personnelle :

Néanmoins, il existe de multiples solutions pour filtrer l’eau de pluie : le charbon actif, la nano-filtration, l’osmose inverse, le filtre à UV, l’ioniseur d’eau, etc…

Référence :




Le but démontré des injections antiCovid

[Source : profession-gendarme.com]

La Quinta Columna est une organisation internationale qui est composée de scientifiques de toutes disciplines et du plus haut niveau…
Les conclusions qu’elle révèle aujourd’hui sont sans appel et collent parfaitement avec le projet mondialiste du WEF dirigé par Monsieur Klaus Schwab et aussi à ce qu’ont découvert d’autres scientifiques n’appartenant pas à ce groupe…
Exemple en SUISSE/Le Dr.J.BAUER. Ce qu’il a découvert dans les vaccins
https://rumble.com/v13yjt7-suisse-dr.j.bauer.ce-quil-a-dcouvert-dans-les-vaccins-hd-720.html
Voir aussi les liens qui y sont indiqués…

Dépopulation et Transhumanisation sont au cœur de leur projet pour que les « survivants post-vaccinaux » soient des objets 100 % connectés
et donc100 % contrôlés…

Voir Preuve que ce « vaccin de type ARNm » est au coeur du « plan de dépopulation » exposé en 2015 au WEF (World Economic Forum)
https://rumble.com/v1ddn61-vaccin-au-coeur-du-plan-de-dpopulation-expos-en-2015-au-wef.html

Notons qu’ils sont pour l’instant sur la bonne voie vu le « taux de population vacciné » de par le monde, mais il n’est pas sûr que ça dure bien longtemps, sauf s’ils créent de nouvelles peurs avec de nouveaux virus encore plus inquiétants, pour justifier de nouvelles injections…
… Ou s’il est démontré que pour avoir des défenses immunitaires face aux infections même les plus bénignes (les vaccins ayant eux-mêmes supprimé tout ou partie de nos défenses naturelles), les doses de « rappel » soient essentielles à la survie des concernés… On parle déjà de « rappels » tous les 6 mois pour éviter par exemple qu’une simple grippe se transforme en pneumonie…

Quoiqu’il en soit, « le mal », d’évidence dûment programmé, est en grande partie déjà fait.
Il semble irréversible… Ce serait donc déjà pour eux une première et grande victoire !!!

En face la vérité émerge peu à peu, mais il est clair que son chemin est pavé de très mauvaises intentions (crimes contre l’humanité) soutenues par tous les grands médias de la planète « vendus » à cette cause….C’est la raison pour laquelle, elle est si lente à se révéler…
De plus et en la circonstance beaucoup de gens préfèrent ne pas savoir, ce que l’on peut aussi comprendre…

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins (Communication antérieure de La quinta columna)
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
Sur le graphène :
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Sur la 5G et ondes em :
Faut-il se méfier de la 5G ?
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
►Etc. (dossiers 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus)]


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Source : Rumble




La campagne de vaccination massive pendant la période covid ne change rien à la catastrophe de santé publique en cours aux États-Unis

[Source : www.jeremie-mercier.com]

Par Marine Baudin (PhD),
Département recherche

Un article scientifique écrit par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Jérémie Mercier publié entre autres sur denisrancourt.ca (https://denisrancourt.ca/entries.php?id=116) démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues aux États-Unis depuis 1999 (chiffres du CDC) que :

  • La vaccination n’a pas réduit la mortalité aux États-Unis. La campagne de vaccination massive a été inutile en termes de mortalité toutes causes confondues.
  • La mortalité excédentaire pendant la période covid aux États-Unis représente 1,27 million de décès. Celle-ci n’est pas liée à l’âge de la population, mais corrélée à des facteurs socio-économiques tels que la pauvreté, le revenu médian des ménages, l’obésité, l’invalidité ou les pensions d’invalidité. La distribution en âge de cette surmortalité est incompatible avec une mortalité de maladies virales respiratoires, et selon l’hypothèse la plus probable résulte des mesures institutionnelles, politiques et médicales consécutives à la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020.
  • Les auteurs proposent le modèle que les conditions sociétales et économiques imposées par les gouvernements durant la période covid ont généré un important stress psychologique chronique et un isolement social sans précédent qui ont affaibli le système immunitaire des citoyens américains les plus vulnérables (pauvres, obèses, invalides, personnes souffrant de troubles mentaux…), augmentant fortement leur risque de succomber à une épidémie de pneumonie bactérienne de grande ampleur non traitée aux États-Unis. Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à une enquête médico-légale transparente, indépendante et responsable sur les décès de la période covid aux États-Unis, dans le but de prévenir toute catastrophe de santé publique similaire à l’avenir. 



L’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés est aussi un acte de censure dissimulée

Par Nicole et Gérard Delépine

Les soignants vaccino prudents ainsi que les pompiers, premiers témoins des désastres vaccinaux, ont été exclus du milieu médical, puis ostracisés parce que le ministre ne voulait pas qu’ils parlent, racontent leurs constatations, ni qu’ils servent d’exemple !

Maintenant les hôpitaux, les cliniques obstétricales ferment tandis que les déserts médicaux se multiplient aux dépens des malades.

Il n’y avait aucune raison sanitaire d’exclure les soignants vaccino prudents

Avant la mise sur le marché des vaccins, lors de la première vague, aucune étude n’a prouvé que les soignants constituaient une source notable de dissémination de la maladie. Les 300 covids nosocomiaux répertoriés en France sont dus aux conditions d’attente aux urgences et à l’absence de ventilation efficace des services.

Au moment où le gouvernement a imposé cette obligation, il reconnaissait lui-même que les pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre donc que les injections des soignants ne pouvaient pas protéger les malades au vu des courbes d’évolution de l’épidémie mondiale publiées par l’OMS.

On pouvait s’en douter depuis plus d’un an, au vu de la flambée épidémique dans les pays précocement et massivement vaccinés, Islande, Royaume-Uni, Gibraltar, Israël alors que l’Afrique et Madagascar peu vaccinés ont beaucoup moins souffert.

Les vaccinés sont aussi dangereux pour les personnes qu’ils approchent que les non-vaccinés. 

Les données sur le mois de juin 2022 de la Direction de la recherche, des études, évaluations et statistiques du ministère de la Santé laisseraient même envisager que la vaccination avec rappel augmente le risque d’infection. La proportion de tests positifs se révèle plus faible chez les non-vaccinés que chez les vaccinés avec rappel (788/100 000 vs 846) dans la catégorie des 40-59 ans, comme dans celle des 60-79 ans (584 vs 757).

Le gouvernement se réfugiait derrière la prétendue protection des formes graves qui s’est depuis elle aussi révélée fausse et qui ne pouvait en aucune manière constituer un argument d’obligation vaccinale.

Alors pourquoi le gouvernement a-t-il imposé cette obligation ?

Il n’y a aucune raison sanitaire de maintenir l’exclusion des soignants vaccino prudents

L’académie de médecine s’est opposée à une éventuelle réintégration des soignants non vaccinés sans aucun argument scientifique. Lorsqu’elle prétend qu’un « revirement mettrait en péril les malades fragiles », elle est incapable d’apporter la moindre étude clinique à l’appui de son affirmation infondée. Et son affirmation est d’autant moins crédible qu’elle a accepté que les soignants covid positifs continuent leur activité auprès de ces malades fragiles…

Elle se réfugie derrière des motifs psychologiques en prétendant croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister entre soignants », alors que ceux qui travaillent encore n’attendent que d’être renforcés par leurs collègues et amis.

Elle fait aussi semblant de croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister avec les patients » alors que ceux-ci préfèrent avoir des soignants expérimentés plutôt que des vigiles à l’entrée des hôpitaux et que la peur qui en paralyse encore beaucoup n’est pas la conséquence d’un danger réel, mais seulement de la propagande terrorisante qui se poursuit et qu’elle pourrait contribuer à calmer.

Lorsque les vieux retraités de la médecine qui constitue la majorité de l’académie prétendent que « la réintégration ne résoudrait pas les difficultés de l’hôpital », ils paraissent ignorer la réalité du terrain rappelée par les médecins en activité comme Gérald Kierzek(([1] émission Points de vue du 13 juillet 2022.
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-reintegrer-les-soignants-non-vaccines-gerald-kierzek-pousse-un-coup-de-gueule_498050)), Jean-François Cibien, (président de l’intersyndicale Action Praticien Hôpital)(([2]« Ils ne sont pas des parias », s’insurge-t-il.
https://www.midilibre.fr/2022/06/24/crise-a-lhopital-face-a-la-penurie-de-soignants-faut-il-reintegrer-le-personnel-non-vaccine-contre-le-covid-10394277.php)), Yannick Neuder, Patrick Pelloux(([3] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-5-medecins-repondent-sans-langue-de-bois)), Antoine Flahault(([4] https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168)) pourtant infatigable provax, le professeur Yonathan Freund, urgentiste à l’AP-HP…

« Outre la pénurie de soignants, il est dommage de se priver de compétences et de personnes qui ont donné parfois 20 ou 25 ans à leur métier. Aucune quantité n’est négligeable aujourd’hui. Dans une équipe à flux tendu, quand on enlève une ou deux personnes, c’est très compliqué… On a besoin de tout le monde pour assurer la qualité et la sécurité des soins. »

Quant à la HAS, on comprend mal la base scientifique de son avis, dont la conclusion est en contradiction avec l’exposé. Pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale, les experts de la HAS prétendent en effet que « la protection vaccinale se situe entre 45 % et 55 % contre les infections symptomatiques dans les trois mois suivant l’injection » mais se contredisent plus loin en reconnaissant que « le niveau d’efficacité contre les infections après trois mois n’est pas précisément connu à ce jour ». L’absence d’indépendance de la HAS dont tous les membres sont nommés par les politiques a été démontrée ailleurs et fait peser bien des doutes sur la fiabilité de leurs avis.(([5] HONTE A LA HAS EMANATION DU POUVOIR DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

En réalité l’exclusion visait à empêcher que ces soignants et pompiers n’informent les patients avec des informations directes du vécu du terrain (qualifiées de complotistes)

La censure des médecins vaccino prudents, et leur diabolisation, ont commencé très tôt dans les médias excluants systématiquement ceux qui contredisaient les mensonges officiels (tels que l’utilité du confinement et d’autres mesures prétendument sanitaires telles que le masque ou la distanciation des écoliers [!], la qualification « vaccin » attribuée à des médicaments sans antigène ni anatoxine, la nature expérimentale des injections jusqu’en 2023, leur efficacité proclamée de 95 %, leur intérêt chez les enfants…).(([6] AUTOPSIE D’UN CONFINEMENT AVEUGLE, G ET N DELEPINE, ÉDITIONS FAUVES SEPT 2020)) Très vite après les premières injections, les ambulanciers, urgentistes, pompiers ont été frappés par les « accidents » type AVC, crise cardiaque qu’ils étaient amenés à prendre en charge. Et très rapidement ils ont été soumis au SILENCE imposé par leur hiérarchie sous peine de sanctions, voire de licenciement.

Les témoignages personnels et par les réseaux sociaux sont légion de ces personnes soumises à des pressions fortes et déstabilisatrices et dont l’état psychologique est aujourd’hui gravement perturbé, ajoutant à la peur vécue, un sentiment de culpabilité. Ils ont su tôt et n’ont rien dit, en dehors des plus « forts » qui ont osé refuser l’injection et se laisser suspendre et vilipender.

Cette censure des professionnels a été avouée et officialisée par la modification du code de la santé publique obligeant les médecins qui s’expriment à se conformer dorénavant à la propagande gouvernementale.(([7] Le décret du 24 décembre 2020 modifiant l’Article R. 4127 — 19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle))

Elle a été renforcée par le conseil de l’ordre qui a rétabli le délit d’opinion(([8] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion)), poursuivi les médecins, et en a condamné pour la simple expression de vérités dérangeantes. Récemment une nouvelle charrette de médecins poursuivis est dénoncée d’autant qu’il s’agit de médecins ayant eu l’extrême audace de soigner et guérir leurs malades au nom du serment d’Hippocrate et contre l’interdiction du ministre Véran d’utiliser l’hydroxychloroquine et les antibiotiques contre ce petit virus (qui a l’outrecuidance de passer à travers les pores des masques imposés).

L’exclusion des soignants vaccino prudents et des pompiers est en réalité essentiellement un acte de censure visant à empêcher les professionnels du soin et de leur accompagnement, conscients de l’inefficacité et surtout des complications des injections rapidement apparues et constatées dans leur pratique quotidienne, d’en informer les patients. Les autres, demeurés dans le système, ont été soumis à la règle du silence absolu et du pseudo devoir de réserve. Demandez-leur !

Cette exclusion fait partie du plan de propagande pro vaccin mis au point avec un cabinet de conseil (McKinsey ?) utilisant la vieille technique des sociétés communistes d’exclure les opposants politiques de leur profession. Ont-ils pris des leçons auprès du PCC(([9] Parti communiste chinois. N’oublions pas que notre gouvernement a suivi à la lettre les règles aberrantes de confinement appliquées en Chine, avant toute épidémie avérée et dangereuse démontrée en France. E. Macron nous expliquait, quelques jours avant d’imposer le confinement strict, qu’il fallait aller au théâtre, vivre normalement. Qui l’a fait changer d’avis en quelques jours ?)) ?

Cette haine contre les opposants à sa dictature sanitaire explique seule leur exclusion du chômage et de toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Seule cette haine contre les résistants peut justifier la persistance de l’obligation en France et en Italie alors que la quasi-totalité des pays européens voisins n’y a pas eu recours ou l’a supprimée

Traiter les soignants vaccino prudents d’antivax est une diffamation

Les soignants qui ont refusé les pseudo vaccins ne sont pas des anti vax : jusqu’à la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales ils étaient à jour de leurs vaccinations et n’avaient jamais rechigné à administrer à leurs patients de vrais vaccins.

Les traiter d’antivax comme le font couramment ministère et médias constitue donc un mensonge et une injure destinés à les discréditer aux yeux de la population.

Les pouvoirs publics les ont désignés comme de dangereux irresponsables, des antisciences, un comble pour des médecins et infirmiers. L’équivalent, prétendaient-ils, « de matheux contestant les théorèmes les plus solides » alors qu’ils avaient scientifiquement raison.

Avec des vaccins qui empêchent mal la transmission contre Omicron, le refus de la réintégration des soignants vaccino prudents ne constitue donc pas une protection des patients contre le virus, mais une mesure de censure féroce contre la diffusion d’un prétendu « complotisme » dans les hôpitaux. Cette décision aggrave évidemment le vide hospitalier et l’incompréhension des équipes de plus en plus conscientes de la bêtise de cette exclusion sans argument scientifique, relevant d’un totalitarisme qu’ils devinent et ne voudraient pas voir.

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale plaide pour l’apaisement :

« On est dans une société fragilisée, fracturée. On a besoin de retrouver de la cohésion, du lien social, du respect réciproque, de la responsabilisation, et je ne pense pas que cela se fasse en jetant le discrédit et l’anathème sur des personnes qui, au tout début de la crise, sont allées sur le terrain, dans les EHPAD, dans les services hospitaliers sans le moindre soutien, sans les moindres moyens. “Ces soignants ont été souvent considérés comme des héros. Et du jour au lendemain, les répudier d’une manière aussi rapide et brutale me pose problème”.

La réintégration des soignants non vaccinés, ainsi que d’ailleurs des pompiers réfractaires, qui seraient bien utiles sur le front des incendies de forêt, se révèle donc nécessaire. Le pragmatisme y rejoindrait la morale. Toutefois, pour calmer les craintes des patients ayant succombé à sa campagne de communication, il faudrait que les pouvoirs publics admettent avoir cloué au pilori pour rien de nombreux professionnels. Voire, via le pass sanitaire puis vaccinal, commis un chantage à l’emploi et à la vie sociale sur des millions de jeunes et piétiné allègrement leurs droits et libertés au prétexte de les empêcher de contaminer les personnes à risques… sans raison médicale valable ».

Il faut réintégrer immédiatement les soignants et les pompiers scandaleusement ostracisés et supprimer toutes les censures qui empêchent tout débat démocratique depuis plus de deux ans.

Heureusement des voix s’élèvent pour la réintégration des non-vaccinés y compris à l’Assemblée nationale !

La sénatrice Laurence Muller-Bronn prend la défense des soignants suspendus non vaccinés sur France Soir : « On les traite comme… — (les-republicains.net)


Quelques témoignages

https://twitter.com/rene_chiche/status/1556004587387207684?s=20