C à vous, Commission européenne, soignants suspendus : l’action de pervers narcissiques

Par Lucien SA Oulahbib

Tout montre, à observer dans cette vidéo la présidente de la Commission européenne se laver frénétiquement les mains, le degré, innommé, d’idée fixe, d’obsession méticuleuse de type obséquieux, ou le trait caractéristique du pervers narcissique optant plutôt pour un rituel magique (et forçant autrui à l’imiter), puisqu’il n’existe aucune preuve tangible démontrant que cette frénésie permettrait d’éradiquer « le » virus alors que se laver les mains avant de se mettre à table, de toucher un malade, lorsque l’on rentre chez soi, ou que l’on « sent » ses mains salies, est chose apprise depuis… l’enfance… (Idem rien ne prouve que le « masque » soit utile y compris en salle de chirurgie comme il a été démontré récemment, chaque maille étant l’équivalent en espace d’un terrain de football et la taille du virus celui du ballon…).

L’une des preuves par excellence de cet état avancé de perversion narcissique réside dans cette suspension des « soignants » car de deux choses l’une : soit il s’agit d’un impératif médical impérieux que de les injecter et dans ce cas, en cas de refus, il faut les LICENCIER sur le champ, ce qui leur permet de pouvoir s’inscrire à Pôle Emploi et de toucher quelques indemnités ; or, ce n’est pas le cas, ce qui est pervers. Car il s’agit dans ce cas bien plus d’une punition de type obsessionnel narcissique que d’une mesure hygiénique préventive.

Il y a d’ailleurs bien là une contradiction, mais ces gens n’en ont cure, d’autant plus que toute une littérature dérivant de cette perversion narcissique comme le déconstructionnisme anti-psychanalytique (le rhizome Blanchot-Bataille-Foucault-Deleuze par exemple, voir I, A, la question de la contradiction) appuie cette dérive de plus en plus paranoïaque : ou comment voir des complotistes partout que l’on tente de pourfendre et de désigner à la vindicte publique au lynchage médiatique à la mort sociale en leur jetant des sorts avec des mots maudits, “extrême droite, raciste, antisémite”, ayant remplacé les mots “hérétique, satanique, impur”.

Les preuves de cette perversion narcissique pullulent désormais à la façon d’une marée descendante laissant apparaître la chose dans toute son horreur : ainsi les propos proprement délirants du porte-parole du gouvernement français ou de la présidente de la commission européenne à propos, respectivement, de Raoult et de ce qui se passe entre le régime de Kiev et celui de Moscou, sans parler des propos également diffamatoires des propagandistes de grand chemin (comme un certain Patrick C sévissant sur C à vous) montrent bien, c’est désormais un cas d’école pour la tératologie criminelle à venir, que nous vivons en effet une “grande bascule” (dixit un pervers en chef français bien connu) déployant une volonté méticuleuse perverse de destruction totale, se servant pour ce faire de la santé du climat, des frontières au sens large (sexes et nations).

Le tout au nom du Bien, bien sûr, mais qui n’a plus rien à voir avec celui de Platon ou de la Bible ou de n’importe quel autre discours soucieux de paix réelle, d’harmonie, de respect des différences civilisationnelles se nourrissant mutuellement de techniques permettant de les renforcer, de les affiner au quotidien, au-delà du conflit, permanent (polemos). Nous avons basculé dans la monstruosité.




REVUE DE PRESSE DU 15 SEPTEMBRE 2022

Par MF

ÉDITO
Le début du bon sens commence au Danemark ?

Un frémissement se fait jour, du Danemark à la marine américaine, reconnaissant que la maladie Covid ne présente pas de risque pour les enfants et adultes de moins de 50 ans, ou renonçant à l’obligation vaccinale pour certains personnels, tandis qu’en France les « suspendus » sont toujours sans ressource depuis un an, que l’inefficacité des vaccins n’a d’égale que la corruption et la fraude qui les entourent, et que la chasse aux lanceurs d’alerte se poursuit.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Le Pr Perronne, marqueur de la répression gouvernementale

« Dans le monde tordu du COVID, Perronne est forcément un dissident. Il croit que l’on peut soigner sans vacciner. Il croit que la bureaucratie passe après l’intelligence. Il croit que l’intérêt général précède les turpitudes politiques ».

La répétition générale a eu lieu en 2009

https://www.aimsib.org/2022/09/11/la-pseudo-pandemie-grippale-de-2009-en-france-etait-une-repetition-generale/

«  la « gestion » de la grippe A(H1N1)v s’est appuyée sur une menace sanitaire exagérée pour organiser de grandes manœuvres sanitaires, financières, politiques et militaires dont l’ampleur et le coût collectif restent encore à préciser ».

ÉTRANGER

Danemark, avant 50 ans les vaccins anti-covid ne sont plus recommandés

https://www.francesoir.fr/societe-sante/danemark-le-vaccination-anti-covid-n-est-plus-recommandee-aux-moins-de-50-ans#.YyIUkxlsUgk.twitter

« Les personnes âgées de moins de 50 ans n’encourent généralement pas de risque particulièrement élevé de faire une forme grave de la maladie/les enfants et les adolescents contractent rarement des formes graves de la maladie grâce au variant Omicron du Covid-19 ».

USA – la marine renonce à l’obligation vaccinale pour son personnel

https://www.aubedigitale.com/la-marine-americaine-renonce-discretement-a-la-vaccination-obligatoire-des-seals/

« Le gouvernement américain persiste à refuser de reconnaître l’immunité naturelle comme un statut acceptable pour l’armée ou les employés fédéraux, bien que leurs tentatives d’imposer la preuve de la vaccination (passeports vaccinaux) aient de toute façon échoué. »

USA – les fausses informations du CDC sur la sécurité des vaccins

https://www.anguillesousroche.com/coronavirus/la-directrice-des-cdc-admet-que-lagence-a-donne-de-fausses-informations-sur-le-suivi-de-la-securite-du-vaccin-covid-19/

Le « manque global de transparence des CDC est inacceptable, en particulier à la lumière des déclarations incohérentes des CDC sur cette question ».

JUSTICE

Soignants suspendus, un an sans salaire

https://www.francesoir.fr/societe-sante/suspendus-les-professionnels-de-sante-sans-salaire-depuis-le-15-septembre-2021

« Un an après la suspension des soignants non vaccinés contre le Covid-19, de nombreux Français n’ont pas conscience de leurs conditions de vie, certains pensant qu’ils ont été réintégrés suite l’abolition du passe sanitaire. Une ignorance qui s’explique par le silence des grands médias à ce sujet. »

La justice examine la plainte de Didier Raoult contre Karine Lacombe

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-la-justice-examine-la-plainte-de-didier-raoult-contre-l-infectiologue-karine-lacombe-ae4f1308-3040-11ed-9e46-e8e99a9e99a0

INJECTIONS

Pas de protection contre les formes graves

https://reinfocovid.fr/science/efficacite-du-vaccin-contre-une-forme-grave-le-deces/

« Au niveau mondial… l’évolution du nombre de décès n’est pas impactée significativement par l’introduction des vaccins. Le discours qui consiste à répéter que les vaccins protègent des formes graves, ici le décès, n’est pas fondé. Au bout de 18 mois, et des milliards de doses administrées, le doute n’est plus permis. »

EFFETS INDÉSIRABLES

La preuve des lésions provoquées par les vaccins à ARNm

https://www.epochtimes.fr/preuve-irrefutable-que-les-vaccins-a-arnm-provoquent-des-lesions-vasculaires-et-organiques-etude-2108059.html

« Cette étude, de par le type de colorants qu’ils utilisent, apporte la preuve irréfutable que la protéine spike va partout – le cœur, les ovaires, le foie, la rate – et dans une moindre mesure, les testicules »

MAIS :

« Ceux qui ont attiré l’attention sur les dangers que représentent ces injections Covid ont été largement censurés et tournés en dérision. »

RÉSISTANCES

CSI n°71 du 15 septembre 2022



« Invité : Jean Dominique MICHEL membre du CSI, pratique l’anthropologie depuis 25 ans. Il intervient en santé publique auprès d’universités et de hautes écoles Sujet : Les mesures de confinement : est-elle la plus grande erreur de santé publique de l’histoire ? »

Colloque de Lisbonne, corruption et fraude dans la crise Covid

https://coroinfo.wordpress.com/2022/09/11/corruption-et-fraude-dans-la-crise-covid-depuis-2020-colloque-des-10-et-11-septembre-2022/

« Le tableau complet reflétera le rôle de la corruption dans la dérive totalitaire, la fraude qui permet la manipulation des masses et l’obtention de leur consentement.
Il est donc essentiel d’y voir clair, et l’enjeu de cette conférence est de
fournir des outils pour un discernement plus aiguisé. »




France — Pourquoi le gouvernement pousse-t-il à l’euthanasie ?

Une nouvelle loi sur l’euthanasie ? Pourquoi faire ?

Par Nicole Delépine

Chômage, retraites, ouverture des mines de charbon ? Tant de sujets qui dérangent et que le décès de la reine Élisabeth II ne pourra pas masquer éternellement. Alors parlons d’autre chose en relançant un sujet qui clive facilement si on sait le présenter astucieusement. Technique classique, mais très utilisée depuis cinq ans au moins.

L’euthanasie sans consentement a été quasiment légalisée de fait par le duo Veran Philipe en 2020.1

Avons-nous déjà effacé de nos mémoires ces dix mille personnes disparues de nos vies sans un au revoir, via le Rivotril imposé par la main de robots obéissants, complices et victimes à la fois ? Ils osent nous reparler d’euthanasie !

Une nouvelle fois, le marronnier réapparaît, alors que le système de santé s’écroule, que les urgences sont fermées au moins la nuit dans certaines villes, dont certaines importantes, que des soignants sont suspendus, sans salaire, que les suicides se multiplient, que les Français s’inquiètent du froid de l’hiver, et de la pénurie alimentaire, ou de la guerre en Ukraine ou en Arménie, une nouvelle fois on ressort le sujet de la fin de vie.

Marronnier cache-sexe, combien de lois sur ce sujet en moins de 20 ans ? Facile d’émouvoir, facile de rallier tous ceux qui ont vu souffrir des proches, tous ceux qui s’imaginent savoir ce qu’ils voudraient ou voudront, alors qu’ils sont encore en bonne santé. N’oubliez jamais que vous ne saurez jamais d’avance ce que vous ressentirez quand votre heure approchera vraiment.

Comment oser parler de l’euthanasie après le décret Philipe-Veran de mars 2020 qui a entraîné près de 10 000 décès de vieillards et personnes âgées présents dans les EHPAD ou en hospitalisation à domicile non demandé par les victimes ni par leurs proches, sans oublier certains handicapés jeunes auxquels on avait enlevé leur bouteille d’oxygène et de surcroît ces « euthanasiés » d’office ont été privés d’adieux à leurs proches ? Peut-on oublier l’horreur inhumaine ?

Après le refus de trop nombreux médecins d’aller examiner à domicile les patients suspects de covid, et leur refus trop fréquent de leur prescrire autre chose que du doliprane, après l’injection mortelle de Rivotril à trop de patients abandonnés, et à l’extorsion du consentement à une injection expérimentale à répétition, comment peut-on imaginer qu’un malade puisse faire confiance aux médecins ? Une telle trahison trop répandue de leur serment d’Hippocrate a brisé la confiance des malades envers les médecins.

Les autorités veulent utiliser l’euthanasie pour détourner la conversation et faire oublier les nombreux sujets qui fâchent (réforme des retraites, réforme de l’assurance chômage, rationnements voulus par nos gouvernants qui ont saboté le nucléaire pour récupérer les vois des verts et imposé des sanctions contre la Russie pour faire plaisir à l’OTAN et à Ursula) ont-elles pensé à l’effet boomerang si suffisamment de personnes rappellent ces meurtres prémédités de nos vieillards, sur circulaire puis décret envoyé aux médecins de garde fin mars 2020 ? Et comment oublier aussi les nombreuses euthanasies de petits patients cancéreux en fin de parcours depuis les années deux mille, sans grande médiatisation ni discussion  ? Comment faire comme si tout cela n’avait pas existé ?

Qui pourra donner un droit de vie ou de mort à la gent médicale après ce déshonneur collectif qui sévit depuis deux et demi sous la crise covid et qui a pour très longtemps élevé un mur de méfiance, voire de défiance entre patient et médecin, même avec ceux qui ont été fidèles, car comment faire la différence a priori ?

Fin de vie : le Comité d’éthique juge possible une « aide active à mourir » (orange.fr)2

13 septembre 2022

Le Comité d’éthique s’était jusqu’alors s’était prononcé contre une modification de la loi Claeys-Leonetti datant de 2016 et interdisant l’euthanasie et le suicide assisté.

« Après 20 années de lois et débats en France sur la fin de vie, le Comité d’éthique a rendu mardi 13 septembre son avis sur ce sujet difficile. “Si une nouvelle loi sur la fin de vie devait être discutée en France, il existe une voie pour une application éthique d’une aide active à mourir” », a déclaré lors d’une conférence de presse Alain Claeys, l’un des rapporteurs de cet avis. Cependant, « cette évolution supposerait certaines conditions strictes avec lesquelles il apparaît inacceptable de transiger », a immédiatement tempéré le membre du CCNE, dont le rôle est purement consultatif. (..)
Dans la foulée, Emmanuel Macron a annoncé le lancement d’une large consultation citoyenne sur la fin de vie, en vue d’un possible nouveau « cadre légal » d’ici la fin 2023.

Une convention citoyenne, organisée par le Conseil économique, social et environnemental, sera « constituée dès octobre » et rendra ses conclusions en mars, a indiqué l’Élysée dans un communiqué. Des débats seront aussi organisés dans les territoires « afin d’aller vers tous les citoyens » et le gouvernement engagera un « travail concerté et transpartisan » avec les parlementaires, a ajouté la présidence.

L’avis du CCNE constitue donc une première étape vers une telle évolution, même si l’institution l’assortit de nombreuses prévenances. Le comité estime ainsi qu’une nouvelle loi ne saurait uniquement se concentrer sur le sujet de l’euthanasie ou de l’aide active à mourir. « On ne comprendrait pas une loi uniquement axée sur ce sujet, car aujourd’hui on sait très bien qu’il y a des situations inacceptables sur (la mise en œuvre des) soins palliatifs », a déclaré M. Claeys. Le comité plaide donc aussi pour accélérer les efforts en faveur des soins palliatifs, une position qu’il avait déjà tenue dans de précédents avis.

Il marque toutefois une rupture avec ses positions passées en jugeant possible d’introduire dans la loi une aide active à mourir. Jusqu’alors, il s’était prononcé contre une modification de la loi Claeys-Leonetti datant de 2016 et interdisant l’euthanasie et le suicide assisté. Désormais, le Comité accepte d’établir un cadre éthique pour envisager de légaliser de telles mesures.Une éventuelle « assistance au suicide doit accompagner la volonté de la personne », mais il « faut s’assurer que cette demande soit ferme, éclairée, constante et motivée », a expliqué Régis Aubry, autre rapporteur de l’avis.

La position du Comité n’apparaît néanmoins pas unanime : certains de ses membres ont émis des réserves quant à la mise en place d’une aide active à mourir. « Cet avis a fait débat au sein du CCNE comme je suppose dans la société française », a admis M. Claeys. »

Nous avons en tant que cancérologue, pédiatre et coll. longuement réfléchi à ce difficile sujet qui ne devrait pas être jeté en pâture à des fins politiciennes en quelques mois pour masquer d’autres réformes majeures comme celle des retraites ou de l’assurance chômage.

Le dilemme reste identique aux réflexions que nous publiions en 2013.

D’un côté des familles sincères et démunies qui ont vu souffrir leurs proches sans réponse à leur demande de fin de cette vie qu’ils ne supportaient plus, sans l’aide expérimentée d’un médecin dans le secret et l’intimité du cabinet, comme depuis toujours avant cette période de judiciarisation délirante de la médecine.

De l’autre, tous ceux qui instrumentalisent le profond drame qui se joue parfois pour en faire un argument politique et rameuter quelques voix tout en diminuant le prix des retraites, en diminuant la durée des séjours hospitaliers coûteux et en libérant des lits d’hôpitaux devenus si rares depuis que nos gouvernants sabotent l’hôpital trop coûteux à leur goût.

Déjà en 1993 beaucoup d’euthanasies n’étaient pas pratiquées à la demande explicite du patient. Voici ce que j’écrivais 3:

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient selon l’Ined.

Toutes les questions concernant la fin de vie ne sont pas solubles dans celles relatives à l’euthanasie, loin s’en faut »

Douleur, compassion, liberté de choix du patient, dignité, respect de la volonté de l’autre (qui sera moi demain)… Tous ces bons sentiments sonnent bien et pourraient conduire à un consensus extorqué pour légaliser l’euthanasie comme si elle ne l’était pas déjà tolérée en pratique.

On nous dira que c’est pour avaliser ce qui se passe dans l’ombre et éviter les risques pour les bonnes âmes qui s’y livrent dans la nuit de l’hôpital… Justement lorsqu’on « aide » quelqu’un à mourir, ce doit être un choix longuement pesé et le risque moral, médicolégal et éthique doit persister et être assumé, seul rempart à la banalisation du meurtre.

Il ne faut pas banaliser le fait de « tuer » dans notre société, car achever un mourant est bien « tuer ». Si on franchit la limite sans même sans apercevoir, la déliquescence de la société et son humanité sont menacées. La porte est rouverte aux wagons de bestiaux, aux camps pour handicapés ou opposants, aux expériences médicales sur ces « sous hommes » déchets humains selon l’expression des années 1930 pour les cancéreux incurables, des infirmes voire à l’extermination de catégories gênantes, bref, au fascisme qui rode toujours » ceci fut écrit en 1993. La preuve de la déshumanisation de notre société s’est affichée avec l’interdiction de soigner les malades discriminés sur leur âge et leur handicap, et pour tous l’interdiction d’utiliser les médicaments peu chers et efficaces comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine et antibiotiques. Et pour tous aussi l’exigence d’injections expérimentales d’une substance génique dont les effets toxiques étaient prévisibles et maintenant démontrés. Et vous confieriez votre vie à une corporation médicale, pharmaceutique, soignante (qui a injecté le poison) et qui a failli largement et longuement… Encore aujourd’hui on refuse au patient de l’Ivermectine. Et certains confrères dénoncent le collègue qui soigne à l’ordre qui le poursuit alors qu’il n’a pas poursuivi les médecins de plateau qui nous pas déclaré leurs liens d’intérêt comme la loi anticorruption l’exige…

Encore aujourd’hui des médecins et soignants sont interdits de travail et de RSA ou chômage pour désobéissance et aucune grève générale des soignants qui réglerait le problème en quelques jours n’éclate même un an plus tard, alors que le mythe de l’efficacité du pseudovax a explosé. ET VOUS FERIEZ CONFIANCE ?

Déjà trop d’euthanasies en France la mort précipitée dans un cas sur deux ! Elle concerne principalement les malades souffrant de cancer. Ce nombre important de fins de vie « accélérées » dont un nombre non négligeable sans l’accord du patient même conscient interpelle. Les gouvernements et en miroir les soignants voire les familles ont pris l’habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. On a l’habitude d’entendre dans les réunions hospitalières qui se permettent de décider de la vie ou de la mort des individus au nom d’une collégialité toute puissante : « cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue » (et la leur ?). Ou bien « pourquoi réanimer cette enfant handicapée ? » (Entendu hier : ce sont des faits quotidiens dans les hôpitaux). Faut-il avoir un QI minimum pour avoir le droit de vivre, de rire, de jouer, d’aimer et d’être aimé ? On utilise la souffrance des familles pour les amener à prendre la décision qu’ont choisie les médecins en leur faisant croire que c’est eux qui la prennent. Perversion, peur des responsabilités ? On fait croire à une famille qu’un patient jeune doit être amputé pour se sortir d’un épisode infectieux qui met sa vie en jeu (sans l’avis de son orthopédiste référent qui le suit depuis 13 ans). On le dit à la jeune fille intubée, ventilée qui fait comprendre que dans ces conditions il faut abréger sa vie… De quel droit imposer des souffrances psychologiques de ce type à une adolescente et à sa famille. Est-ce là le monde médical dont nous rêvions quand nous avons choisi les études de médecine ?

Ne faut-il pas chercher d’autres explications à cette véritable mise en condition pour légaliser l’euthanasie après avoir mis en exergue les soins palliatifs en les opposant de fait aux soins curatifs qu’ils ont fini par écourter même lorsqu’il existe encore des possibilités de traitement potentiellement curatif ?

L’argument pour légaliser l’euthanasie est le même qu’on entendait il y a quelques années pour développer les soins palliatifs de façon autonome. Car pallier la douleur des gens avait toujours fait partie du travail des cancérologues en combinaison avec les soins à visée curatrice. Les isoler comme une entité à part revenait à faire admettre l’arrêt brutal des soins curatifs. Or si ces soins palliatifs ont été développés, le traitement de la douleur a été contrôlé, chacun sait maintenant dans le milieu du cancer traiter la douleur, même s’il reste parfois des situations difficiles (par exemple les douleurs neurologiques peu sensibles aux morphiniques). Dans les situations résistantes à la morphine et ses dérivés d’autres médicaments sont utiles (Laroxyl, Rivotril, Neurontin etc..) et à la limite la sédation (diminuer la vigilance et endormir le patient par des anesthésiques) est possible et utilisée de façon fréquente et ne doit pas signifier euthanasie. Cependant le patient doit avoir le choix et être informé : celui-ci préfère parfois tolérer une certaine douleur plutôt que de perdre contact avec la réalité et ses proches. Quand on souffre, c’est qu’on est vivant et certains le réclament haut et fort malgré la mode ambiante.

Alors pourquoi ces campagnes depuis la fin des années 1990 pour mettre en avant les soins palliatifs et les mettre en concurrence avec le traitement du cancer par exemple ? On avait vite compris à l’époque que la morphine coûte quelques euros et la chimiothérapie des centaines. Maintenant, comme si cela ne suffisait pas de ne plus soigner les gens pour leur pathologie, mais seulement les « accompagner », la bataille de l’euthanasie commence…

Des raisons pas si nobles en faveur de l’euthanasie motivent peut-être certains de ses promoteurs. Les soins palliatifs seraient encore trop coûteux. Les hôpitaux seraient « encombrés » de patients vieux, fatigués, malades peut-être incurables (cela est vite décrété et souvent au moins partiellement faux). Les établissements hospitaliers sont en déficit. Il faut réduire les coûts, donc les hospitalisations, d’autant que les moyens ou longs séjours nécessitent beaucoup de personnel soignant et que ce sont les emplois qui coûtent cher. Alors, accélérer les fins de vie en le présentant comme un choix humain et compassionnel, n’est-ce pas une belle idée de gestionnaires qui ne veulent pas avouer ses raisons profondes à la population. Les citoyens ne le découvrent que lorsque leur proche est en cause. Et encore seulement les plus vigilants qui ne se laissent pas tromper par le discours de compassion ambiant.

La mise à mal du système de santé depuis les années 1990 avec les ARS, les SROS, les différentes réformes et plans successifs (plan cancer, plan hôpital 2003-2007, et finalement la loi Hôpital patients santé territoire de 2009 dite HPST qui achève la casse de l’hôpital et la mainmise des gestionnaires pour ériger l’hôpital-entreprise).

Quant a commencé la grande vague de médiatisation pour la diminution « nécessaire » des dépenses de santé vers les années 1995 pour soi-disant « sauver » la sécurité sociale (dont il s’agissait de fait de préparer la privatisation pour rendre à la Bourse les milliards d’euros qui y échappent encore), les fusions d’hôpitaux, les fermetures des petites maternités et des hôpitaux de proximité ainsi que la fermeture de milliers de lits de psychiatrie ont modifié radicalement le paysage du système de santé.

Le coût pour la Sécurité sociale des six derniers mois de vie

Les analyses publiées pour l’établissement du SROS en 1995 (schéma régional d’organisation sanitaire) ont rapidement montré que les dépenses de santé d’un patient pendant ses six derniers mois de vie équivalaient aux sommes qu’il avait consommées dans le reste de sa vie.

Quoi de plus simple que d’imaginer « raccourcir » ces six mois de vie par les soins palliatifs d’abord et l’arrêt des traitements coûteux de chimiothérapie au prétexte d’obstination déraisonnable puis l’euthanasie passive ou active, mais toujours discrète inavouée, innommée ou innommable. On préfère la notion d’aide, de sédation un peu poussée qui raccourcira la vie mais « pour le bien du patient ». La loi Léonetti a encadré ces pratiques en les dégageant du risque médicolégal. Cela devrait être bien suffisant vu déjà les dégâts en termes d’autorisation que se donnent les équipes médicales sur la vie et la mort des malades. L’image de Dieu personnifié n’est jamais loin du médecin et la différence bien connue entre un médecin et dieu est que Dieu ne se prend pas pour un médecin.

Effets pervers d’une loi bien équilibrée dans les textes, mais dont l’application dépasse déjà ses buts. Les équipes se réunissent et se croient légitimes pour décider de la vie du patient, de la sédation qu’il nécessite pour pallier sa douleur. De fait c’est à lui de décider, mais à personne d’autre. Et l’on connaît maintenant la grande infériorité et l’incohérence des décisions prises en collectivité [6], l’abus de faiblesse des équipes médicales sur les familles auxquelles elles font accepter la décision du staff qui passe pour motivée, objective et raisonnable. Notre vie ne tient qu’à un fil surtout en réanimation ou en oncologie. Vous avez intérêt à avoir comme famille et/ou personne de confiance des gens non influençables qui vous aiment et n’attendent pas l’héritage.

Et puis la Tarification à l’activité s’en est mêlée (célèbre T2A).

Mis en place dans les hôpitaux progressivement depuis le début du nouveau siècle, il s’avéra rapidement que seuls les « actes » payaient (pose de cathéter central, fibroscopie, biopsie, ponction, etc., interventions évidemment).. Règne et dogme du quantitatif, cette tentative a priori saine de payer les hôpitaux en fonction du travail fourni réellement eut rapidement ses effets pervers et fut détournée de ses objectifs.

Il apparut vite que toutes les activités humaines auprès du patient n’étaient pas « valorisées ». La toilette d’un malade devait se faire rapidement, plus question de passer du temps avec lui ni de bavarder, de l’écouter, le consoler, le cajoler. Fini l’infirmière autorisée à nurser son patient devenu client. Quant aux médecins vissés sur leur siège devant l’ordinateur pour récupérer les protocoles à appliquer à la maladie qu’ils devaient traiter, ils oubliaient trop souvent que cette maladie survenait chez un être humain à prendre en charge globalement.

Ainsi malgré la rentabilité exigée de plus en plus du personnel, il fallut réduire la durée des séjours « en court séjour » habituel et en soins palliatifs. Ils devinrent non rentables, pas plus qu’en long séjour ou en maison de retraite médicalisée. Il fallut « raccourcir » la durée des hospitalisations en soins palliatifs aussi et on m’expliqua clairement quand je me renseignais pour un proche qu’au-delà de douze jours le malade devait être sorti… Retour à domicile ? Parfois exceptionnellement. Sinon… Nombre d’entre eux probablement réclameraient l’euthanasie avant qu’on ne les mette franchement à la porte. Ils sauraient se tenir et s’effacer à temps. On tournerait autour d’eux et de leurs familles leur demandant de trouver un autre point de chute… Ils seraient conditionnés et surtout se sentiraient de trop, gênants, pesant sur la société et leurs proches… Même dans les services d’oncologie pédiatrique, des adolescents en soins entendent « qu’ils creusent le trou de la sécu ». Mais personne n’avoue jamais avoir prononcé une parole pareille…

Alors que signifie une demande d’euthanasie si tant est qu’elle existe, sinon une sensation d’être un poids pour la société ou/et sa famille. Une société digne de ce nom traite mieux ses malades, ses parents, ses enfants, et ne les pousse pas au suicide, au nom de la compassion et de la dignité.

Un exemple : en service d’oncologie de court séjour à l’hôpital public une journée d’hospitalisation avec comme diagnostic principal ; soins palliatifs (Z515) rapporte à l’hôpital environ 1400 euros payés par la sécurité sociale ; deux jours environ 2400, de quatre à douze jours de l’ordre de 4400 euros. Toute journée supplémentaire ne sera payée que 200 euros. Il vaudra mieux « libérer le lit » rapidement et y traiter un patient, ou plutôt une pathologie, plus rentable comme une septicémie chez un malade en aplasie (trop peu de globules blancs) où 5 jours rapporteront plus de dix mille euros à l’hôpital. Et étant donné la pression des gestionnaires médecins et administratifs qui nous donnent des objectifs financiers d’activité à remplir… le sort du malheureux malade est oublié. Parfois les soignants essaient de prolonger le séjour possible en prescrivant quelques actes qui le rentabiliseront et permettront de s’autoriser à le garder un peu, telle une pose de cathéter central chez un sujet cachectique par ailleurs en arrêt de soins. Quid de sa souffrance au bloc, dans les couloirs sur le brancard ? Celui-là va vite demander qu’on en finisse. On n’est pas à une contradiction près dans les services. On fait comme on peut. Pour la défense des soignants au centre de ce cercle infernal, soulignons que les distorsions psychiques liées aux injonctions paradoxales deviennent permanentes et causent de grandes souffrances qui mènent souvent au suicide des médecins et cadres, à de nombreuses dépressions chez les soignants et à l’abandon de la profession.

En résumé comme l’écrivait le professeur Lucien Israël dans « la Vie jusqu’au bout », la demande d’euthanasie est rare, exceptionnelle même chez les patients adultes et âgés gravement malades, mais correctement pris en charge. Elle correspond le plus souvent à une dépression profonde en rapport avec la perte de l’estime de soi liée à la façon dont vous êtes traité. Des couches à l’arrivée du malade avant même de savoir s’il est continent, économiseront du temps soignant, mais transformeront la personne âgée valide en incontinent, plus ou moins confus (les somnifères de la nuit sans modération) en quelques jours. La honte effacera l’envie de vivre.

Puisque notre société marchande rêve d’indicateurs, elle pourrait prendre comme indice de la maltraitance dans nos hôpitaux le nombre de demandes véritables d’euthanasie.

Au-delà du caractère transgressif du tabou de tuer qui contribuerait à déstabiliser un peu plus une société psychologiquement fragile et à la faire basculer subrepticement dans la barbarie, il faut que les futurs patients (nous tous) se rendent compte des dangers de donner quitus à tous ceux qui pratiqueraient l’euthanasie à la demande. Vous connaissez tous l’état de faiblesse d’un malade couché dans son lit face au médecin debout, fier et droit dans ses bottes pleines de certitudes. La fragilité de leurs familles effondrées par la maladie (pour ceux qui aiment le condamné) désireuses de faire cesser les souffrances de leur proche et encore plus les leurs ou, dans le cas contraire, pressés d’être débarrassés du fardeau et éventuellement de récupérer l’héritage, complètent le tableau. Pas d’angélisme, pas de garde-fou possible. Et ne parlez pas de procédures. Aucun papier ne peut protéger les malades même pas d’eux-mêmes, car les intentions affichées quelques mois ou semaines plutôt étaient des paroles de bien portants et en tous cas pas de mourants. Au seuil de la mort, seule la famille, parfois de bonne foi, exige que l’on respecte les « directives anticipées ». La plupart des mourants souhaiteraient qu’elles soient perdues. Certes on m’opposera tel ou tel rare cas, je ne le nie pas. Chaque patient, chaque situation est différente, mais dans les cas exceptionnels, le dialogue singulier médecin — patient permet de résoudre le dilemme dans le secret du cabinet et en assumant ses responsabilités comme cela a toujours été le cas.

Les situations impossibles et insupportables médiatisées largement sont des constructions politiques ou sociétales utilisant des personnes en souffrance. Leur cas particulier aurait dû et pu être résolu par leurs médecins personnels comme d’autres le sont et le furent dans le silence médiatique depuis toujours. Rien à voir avec une loi qui banaliserait l’acte de tuer et qui favoriserait toutes les dérives médicales familiales, politiques.

L’euthanasie peut être un business aussi comme l’est déjà en Suisse l’assistance au suicide dont le coût est d’au moins 10 000 euros pour le séjour fatal de trois jours. Avant même qu’elle ne soit légalisée, trop de patients meurent sédatés, donc inconscients alors que ces moments riches sont souvent l’occasion de relations irremplaçables entre parents, enfants, d’échanges forts de confidences, de révélations de secrets de famille quand ils ne sont pas volés par l’Hypnovel. De quels droits les en priver, sans leur consentement ? Combien de parents révoltés d’avoir trouvé leur enfant sédaté qui ne s’est jamais réveillé à leur retour auprès d’eux après une absence de quelques minutes à leur chevet. Ils se sentent privés à jamais d’un dernier échange avec leur malade. De quel droit ?

Je ne prétends pas détenir la vérité sur ce difficile sujet, car il n’en existe pas une seule ; chaque malade est unique, chaque maladie est différente, chaque environnement familial aussi, comme chaque demande d’euthanasie. Ma contribution se borne à faire remarquer plusieurs choses à verser au débat indispensable avant toute législation dangereuse en soi. Les soins coûtent chers et les politiques ont intérêt objectif à raccourcir les hospitalisations et diminuer la masse de personnes qui nécessiteront des soins à domicile prolongés. Le vieillissement de la population pose le problème en termes clairs : augmentation de la dépendance et de son coût. Faut-il le résoudre par l’absurde (supprimer les dépenses en supprimant les malades) ?

L’euthanasie a été établie comme loi par Hitler dans le cadre de la suppression des handicapés et de l’eugénisme régnant (Action T4)4. Cet antécédent doit nous faire réfléchir.

La loi Léonetti a déjà abouti malgré elle à la multiplication des euthanasies selon l’Institut national d’études démographiques (Ined), pratiquées en France sans l’accord ni la volonté du patient comme le cite le rapport Sicard de 20125, faut-il aller plus loin ? Le minimum serait d’éviter d’utiliser ce sujet à des fins politiciennes. Il est trop facile de manipuler les foules à l’évocation de la mort.

Je citerai, en conseillant sa lecture, le rapport sur la fin de vie de 20116. Il présente une série d’observations à inscrire dans la durée. Les analyses qui y figurent devront être lues dans leur évolution, année après année, pour mieux réaliser l’ampleur de l’évolution professionnelle, culturelle et sociétale autour de ces questions essentielles pour notre démocratie. Il est en effet indispensable pour une démocratie, et ceci particulièrement dans une période de grandes contraintes économiques, de savoir réaliser un « arrêt sur image » pour réfléchir collectivement sur la valeur et le sens de la vie humaine (la vie individuelle, mais aussi la vie collective) de manière à toujours garantir le respect des personnes les plus vulnérables. Arrêt sur image indispensable. »

« Les partisans de l’euthanasie se gargarisent de mots dont ils dévoient la signification »

Et réfléchissons aussi à la position de M Houellebecq en 2021 lors d’une xième discussion au parlement pour étendre la loi Leonetti.7

Michel Houellebecq fait clairement partie des opposants à ce projet de loi. « Personne n’a envie de mourir », expose-t-il dans une lettre publiée par Le Figaro. « Personne n’a envie de souffrir », non plus. Mais, surtout , « on peut éliminer la souffrance physique », ce qui, selon l’écrivain, vient clore le débat. Sur ce point, Michel Houellebecq justifie : « Début du XIXe siècle : découverte de la morphine ; un grand nombre de molécules apparentées sont apparues depuis lors. Fin du XIXe siècle : redécouverte de l’hypnose ; demeure peu utilisée en France. »

« La supposée méconnaissance de ces sujets par le grand public (qui plébiscite le droit à l’euthanasie, selon les dernières études) provoque, considère-t-il, “une polarisation caricaturale du débat, réduit à la question Préférez-vous qu’on vous aide à mourir ou passer le restant de vos jours dans des souffrances épouvantables ?” Souffrances surmontables, donc, selon lui, par la morphine et l’hypnose, notamment. Soulignant l’utilisation récurrente des termes de “compassion” et de “dignité” par les défenseurs du projet, Houellebecq écrit : “Les partisans de l’euthanasie se gargarisent de mots dont ils dévoient la signification à un point tel qu’ils ne devraient même plus avoir le droit de les prononcer.”

Un pays qui légalise l’euthanasie “perd, à mes yeux, tout droit au respect” (…) »

Alors que dire aujourd’hui dans une société de plus en plus totalitaire et de moins en moins humanisée ? Feront-ils leurs directives anticipées dans une télécabine de supermarché ?

Mon souci n’est pas le principe pour les situations de souffrances insurmontables et où les vrais médecins dans le secret du cabinet ont toujours pu ou su faire le nécessaire (le médecin de campagne était plus pragmatique…).

 Le sujet est celui d’une loi qui va permettre tous les excès au nom de la liberté qui ne sera que celle des accompagnants et pire des docteurs qui comme avec le Rivotril n’auront aucun scrupule pour le grand-père riche qui fatigue ni pour le handicapé jeune dans sa chaise roulante qui encombre un lit…

De toute façon c’était déjà la pratique trop courante dans beaucoup d’hôpitaux et ce ne pourra que l’aggraver.

Nous l’avons vécu, vu en gériatrie dès les années 80, en oncologie pédiatrique et adulte, de plus en plus depuis les années 2000 avec des “protocoles” bien rodés au lit du malade en HAD bien avant le covid.

 Je l’ai tant vu faire par les pédiatres “modernes” qui depuis 2002 pratiquaient des euthanasies chez des enfants déclarés incurables par eux et pas forcément en réalité (on en a remis en forme !! [voir mon livre de 2000 “neuf petits lits au fond du couloir”]) et sans évidemment l’avis du patient. Des parents furent intarissables sur le sujet 8 après avoir vécu les propositions des pédiatres “d’aider leur enfant”.

 J’avais ouvert le livre par l’histoire d’une jeune fille adressée en chirurgie et finalement euthanasiée par les anesthésistes en accord avec la mère sous prétexte que la vie à venir ne serait pas sympathique [problème d’une paralysie des membres chez une adolescente de 17 ans]. Doit-on tuer tous les paraplégiques sans leur avis ? La Maman l’aimait, et ne s’en est jamais remise.

Le premier danger des soins palliatifs est l’abandon du traitement curatif possible, mais méconnu ou méprisé

Un petit gars de dix ans avec une seule métastase mal située sur la carène ; l’intubation permet à la radio de thorax de redevenir normale, mais le chirurgien appelé par le réanimateur dit que cette localisation est difficile et qu’il ne pourra pas enlever la tumeur. Le réanimateur débranche la machine, l’enfant décède ni son père ni moi-même en réunion dans un autre hôpital [avant le temps du portable] n’auront eu notre mot à dire ni pu lui dire au revoir…

Dans des circonstances comparables, un chirurgien thoracique a opéré une jeune fille en imposant une pneumonectomie sur poumon normal : elle a vécu 25 ans de plus et mis au monde un garçon. Elle est décédée d’une infection pulmonaire…

La notion d’incurabilité est très incertaine…

Combien de patients déclarés inopérables sans avoir vu de chirurgien ? Il faut le chercher… Je dis souvent qu’il y a très peu de malades inopérables et seulement des malades pour lesquels on n’a pas trouvé le chirurgien adéquat pour cette localisation, pour ce type d’intervention… Il faut le chercher parfois à l’étranger…

Pas de chirurgie possible => palliatif
Chirurgie réalisable => curatif

La nuance est capitale et ne dépend que de la vision d’hommes plus ou moins compétents et tenaces. Bien d’autres exemples alimenteraient des volumes entiers.

ALORS POUR L’EUTHANASIE LÉGALISÉE PAR UNE LOI

 Si vous trouvez une solution compatible avec ce dilemme, véritable liberté versus abus de pouvoir, je suis preneuse… attention aux dérives surtout en ce monde pré totalitaire

 J’ai été formée par le PR Leon Schwartzenberg à Villejuif, dans les années 80, qui défendait et pratiquait l’euthanasie à la demande éclairée de ses patients qu’il connaissait très bien. Il disait qu’il se mettait en avant pour protéger les docteurs ou familles qui seraient poursuivies si elles avaient agi en conscience, mais qu’il ne fallait en aucun cas légiférer ! J’ai aussi eu le privilège d’être formée par Lucien Israël, le premier cancérologue à se battre chez les patients confrontés aux cancers du poumon… Lui aussi était très vigilant sur ce qu’une loi générerait.

 Donnez-nous la solution… Quant aux “directives anticipées, ‘ce ne sont que des protections juridiques pour l’hôpital ou le médecin, et des discours de bien portants dont, je vous l’assure, beaucoup ne les reconnaissent plus quand l’heure arrive… Prudence !

Écoutez pour conclure le discret professeur d’éthique médicale à la faculté parisienne, le 13 SEPT 2022 :

Emmanuel Hirsch : « L’acte d’euthanasie est un meurtre »

Le professeur d’éthique médicale université, Paris-Saclay, Emmanuel Hirsch, dans l’émission Morandini Live : « Il ne faut pas légiférer ou banaliser l’acte d’euthanasie qui est un meurtre ».

Tout est dit !

Dissimuler le meurtre sous des arguments médicaux9

« Faut-il désormais légaliser l’euthanasie — l’acte de mort sous forme d’injection létale exécuté par un médecin — et estimer que nous serons alors parvenus au terme d’un parcours législatif ? Notre confrontation personnelle à la mort sera-t-elle enfin apaisée et digne des valeurs de notre démocratie ? Pourrons-nous affirmer que nous aurons instauré une méthode du ‘bien mourir’ là où les conditions du ‘mal mourir’ hantaient notre conscience collective, sans avoir la lucidité de reconnaître que, face à la maladie grave ou à un handicap qui altère l’autonomie, c’est le sentiment de ‘mort sociale’ qui incite bien souvent à préférer anticiper la mort plutôt qu’à poursuivre une vie ou une survie indigne d’être vécue ? »


1 Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen

2 Les membres sont désignés par le président de la République de même que son président. ils ne représentent donc pas la profession médicale soumise au dilemme de l’euthanasie.

3 Publication sur Économie Matin — 2013 :  | Publication sur le site du média : 
L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé Nicole Delépine

4 Nazisme : Aktion T4, la mise à mort des « inutiles »
https://www.geo.fr/voyage/nazisme-aktion-t4-la-mise-a-mort-des-inutiles-161366

5 Rapport Sicard — Penser solidairement la fin de vie
https://ethique.unistra.fr/master-ethique/ressources-documentaires/ressources-en-ligne/rapport-sicard-penser-solidairement-la-fin-de-vie/

6 Observatoire national de la fin de vie : rapport 2011 — Fin de vie : un premier état des lieux
https://www.vie-publique.fr/rapport/32311-observatoire-national-de-la-fin-de-vie-rapport-2011-fin-de-vie-un

7 Le plaidoyer de Michel Houellebecq contre l’euthanasie — Le Point

8 Nicole Delepine — Soins palliatifs et oncopédiatrie

9 Fin de vie : « Légiférer sur l’euthanasie n’est pas une urgence politique » (lemonde.fr)




Non je ne veux pas savoir !

Le goût acide de la liberté et de la « pilule rouge1 »

Par Alain Tortosa

La quête de vérité est un débat sans fin qui anime les hommes depuis la nuit des temps.
Tandis que certains vouent leur existence à cet idéal impossible, d’autres, au contraire passent leur temps à la fuir de peur de n’être rattrapés.

Le choix plus ou moins conscient de l’illusion

Une des scènes les plus intéressantes du film Matrix2 premier volet se déroule dans un restaurant.
Le traître nous explique ses motivations en « mangeant » un steak alors qu’il se trouve dans la Matrice et non dans le monde réel.
Il explique avoir connaissance du fait que ni sa viande, ni son goût, ni sa texture n’existent, mais fait le choix de rester dans ce monde d’illusions en toute conscience.

De très nombreuses personnes qui ont adhéré (durant un temps) au narratif Covid, ressentent qu’il y a « quelque chose qui cloche », que le monde qui est décrit par les médias serait une illusion.

Ils ont de très nombreux indices, ils touchent du doigt des contradictions flagrantes et pourtant refusent catégoriquement d’en savoir plus.

L’absence de discours cohérent comme interrogation

Vous souvenez-vous du masque inutile mais indispensable ?
Vous souvenez-vous des plages dynamiques ou statistiques ?
Vous souvenez-vous du confinement qui devait réduire à néant l’épidémie ?
Etc.

Le dernier exemple de manipulation m’est venu d’une vidéo de Maître Di Vizio qui se faisait l’écho des médias sur la « déroute de l’armée russe face à l’offensive ukrainienne ».
Si vous regardez LCI, vous avez droit toute la journée à Poutine qui vit ses derniers instants et d’une armée russe à l’agonie face à Zelensky3 le Churchill des temps modernes.

Cela m’a fait penser à l’armée Irakienne qui était décrite comme la 2ème armée du monde avec ses armes chimiques prêtes à être déversées sur l’occident par Saddam Hussein.

Si cette armée russe est nullissime au point de se faire balayer par l’armée ukrainienne (ne riez pas c’est pathétique), comment Poutine et son armée pourraient constituer une menace vis à vis des européens ?
Je connais des personnes qui ont peur « pour de vrai » de l’arrivée des chars russes sur les Champs Élysées.

  • Alors soit cette armée russe est la deuxième armée du monde et les ukrainiens n’ont strictement aucune chance. Il faudrait de fait arrêter toute aide militaire pour que le conflit cesse immédiatement pour épargner des morts inutiles…
  • Soit l’armée russe est à ce point nullissime au point qu’elle achèterait des munitions à la Corée du Nord (re fou rire dans la salle) et il n’y a strictement aucune raison d’en avoir peur. BHL est convaincu de cette hypothèse et affirme qu’elle est « foutue ».

Ceci pour dire que les incohérences ne manquent pas dans la petite histoire du monde.

Pour autant le leitmotiv des hypnotisés est principalement « laissez-moi dans l’ignorance ».

Tout comme ce personnage du film, ils font le choix de demeurer (ainsi que leur famille) dans une illusion, dans un monde de « faisons comme si ».

Globalement ils vivent dans une forme de présent qu’ils espèrent immuable et ce alors même que les médias passent leur temps à répéter que le pire est à venir.

« Laissez-moi tranquille, ne me dites rien, je ne veux pas savoir, je ne veux pas être bouleversé, je veux continuer à faire semblant, la vérité serait trop angoissante, etc. »

Un faux sentiment de sécurité

Il est évident que la réalité dans Matrix n’est pas glamour, en l’occurrence un monde apocalyptique dirigé par des machines qui utilisent les êtres humains comme source d’électricité.
Si l’objectif du traître est de ne pas être angoissé ou disons « raisonnablement angoissé » et d’avoir un confort bourgeois alors il est évident que la « vie » dans la Matrice est plus agréable.

Une « vraie » matrice, n’est-il pas ce qui est proposé par Facebook et son Metavers4 ou dans le film « Ready player one5 » de Spielberg ?

Qu’en est-il de notre monde actuel ?

Si l’on fait le choix d’ouvrir les yeux sur sa réalité, sur les fausses épidémies, le Grand Reset, un objectif qui voudrait l’asservissement des peuples, la dictature chinoise, la diminution de la population mondiale, la fausse crise climatique, la fausse crise énergétique, etc., il devient bien difficile de faire semblant que tout va bien et d’imaginer que les médias relatent la réalité.

Continuer à ignorer les menaces réelles qui nous entourent revient à faire la politique de l’autruche.
Une conduite les yeux fermés sur l’autoroute se termine inexorablement par un accident mortel.
N’en est-il pas de même en ignorant la réalité du monde ?!

La réalité tangible de la menace face à l’imaginaire

Les fumeurs se pensent « immortels » au même titre que les non-fumeurs.
Si le risque de cancer des poumons puis du décès prématuré ne relevait pas de la statistique, alors seuls les suicidaires fumeraient encore.
Typiquement le genre d’information qui est à la fois connue et à la fois de l’ordre de la « légende urbaine ».

Il en est de même des vaccins classiques et des injections expérimentales Covid.
L’aveuglé accepte l’idée qu’il puisse y avoir des effets secondaires, il peut même accepter l’idée que des enfants meurent des injections ou que des femmes deviennent stériles.

Mais ici encore, cette donnée relève de la statistique, « c’est les autres qui meurent, les autres qui deviennent stériles »… comme pour la cigarette.
Le danger n’est donc pas vécu comme réel mais théorique.

Quand la réalité devient la fiction et inversement

C’est d’autant plus cocasse que ces mêmes covidistes qui ne croient pas à la dangerosité réelle du masque, des confinements, des qr-codes ou à la dangerosité des injections Covid ne doutaient pas de la gravité « d’un virus inconnu et mortel ».

  • Un virus qu’ils n’ont vu que dans les médias ou dans le discours d’autrui.
  • Un virus qui ne devenait « réel » que par des masques obligatoires.
  • Un virus qui ne devenait « réel » que par des tests PCR sur des personnes en bonne santé.
  • Un virus qu’ils auraient pris pour une grippe totalement banale sans le concours des médias et du gouvernement.

Le plus incroyable s’est produit lorsqu’un voisin ou parent a développé des symptômes, cette fois-ci bien réels, suite à l’injection expérimentale.
C’est alors que ces effets réels ont été vécus comme imaginaires.

« Ce n’est pas le vaccin mais la douche, le sport, le sédentarisme, le chaud, le froid, les vitamines, etc. (rayez la mention inutile) qui a provoqué l’avc ».

Il en est de même avec Poutine où la menace est considérée comme « réelle » alors qu’il s’agit d’un conflit armé débuté en 2014 dont personne n’avait entendu parler et qui ne touche pas la France.
Menace dont nous pouvons nous « protéger » en mettant un embargo sur l’énergie russe selon nos hommes politiques.

Et dans le même temps, voir le litre de carburant passer factuellement à 2,20€ ce qui est une menace bien réelle.
Pesant sur les finances actuelles du ménage, mais aussi futures du fait de l’inflation et du chômage de masse qui va se produire.

Cette réalité factuelle étant presque vécue comme un non-événement alors même que les Gilets jaunes étaient descendus dans la rue pour un litre à 1€50 !

L’apothéose de la fantasmagorie est sans doute l’élection présidentielle .

Nous disposons pour M. Macron du bilan d’un Président qui a factuellement :

  • Détruit le système de santé.
  • Suspendu (encore aujourd’hui) sans salaire des soignants et des pompiers alors que la France brûlait.
  • Détruit l’hôpital public.
  • Supprimé le parlement.
  • Supprimé les droits de l’homme (masque, confinement, pass sanitaire,…)
  • Mis en place un apartheid avec d’un coté les « bons » citoyens et de l’autre les « moins que rien » qui refusaient l’injection expérimentale et que l’on emmerde selon les mots du Président.
  • Pris des mesures économiques contre son peuple comme l’embargo contre la Russie.
  • Divisé les Français.
  • Et j’en passe.

En face nous avions Mme Marine Le Pen :

  • Jamais élue Présidente de la république.
  • Contre le passe sanitaire et vaccinal.
  • Pour la réintégration des personnels exclus.
  • Contre les sanctions stupides contre la Russie qui « croule aujourd’hui sous le cash »6
  • Contre l’Europe technocratique anti démocratique.
  • Pour les référendums.

Et que c’est-il passé ?
Emmanuel Macron a battu Marine Le Pen !
Un Président pour lequel on pourrait résumer ses allocutions par « une phrase, un mensonge ».

Batiste Foisy7 le disant plus élégamment :

« Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. »

Pourquoi Marine a-t-elle été battue ?

  • Parce qu’elle « faisait peur ».
  • Qu’elle « menaçait les libertés et les droits de l’homme ».
  • Qu’elle était « d’extrême droite ».
  • Qu’elle était « pro-russe et une ennemie de la France ».
  • Qu’elle allait « fracturer l’unité nationale ».
  • Qu’elle allait « avoir dans ses mains le bouton de l’arme nucléaire ».
  • Etc.

Le récit imaginaire, la peur irrationnelle, la propagande médiatique a été plus forte que la réalité d’un bilan catastrophique et inédit pour l’économie et les droits de l’homme.

Nous voyons donc que pour les humains, ou tout du moins les covidistes, la menace n’est absolument pas corrélée au réel mais à une fable.

Le seul moteur est l’adhésion à un récit servi tout cuit, quand bien même il est totalement déconnecté du fait.

Le bonheur est dans la Matrice ? Paradoxe des univers angoissants

Les hypnotisés sont-ils pour autant heureux et épanouis ?
J’entends qu’il faudrait définir le bonheur ce qui est impossible.

Mais sans entrer dans des pensées philosophiques qui pourraient s’apparenter à de la masturbation intellectuelle, je ne le pense pas.

Sont-ils rassurés pour l’avenir et leurs enfants ? Certainement pas !
Nous pouvons même affirmer sans crainte que la vie dans la Matrice n’est pas un long fleuve tranquille.
Et pourtant, ils ne veulent surtout pas en sortir, pourquoi ?

Perfusion permanente d’angoisse

C’est là le paradoxe de notre époque.
L’humain fuit les situations angoissantes alors même que le monde qui lui est conté l’est de plus en plus.

Si l’Europe des années 60 a tué les conflits militaires (sur nos terres), elle a en revanche fabriqué une succession de dangers et d’angoisses.

Nous avons eu :

  • La crise énergétique sur le Pétrole.
  • Le chômage et l’absence d’avenir pour nos enfants. Même les bacs +10 n’ont plus la garantie de trouver un travail décent.
  • La pollution.
  • Le réchauffement climatique.
  • Les virus mortels.
  • Etc.

Et l’on vient de nous ressortir du placard le remake de « les chars russes sur les Champs-Élysées ! »

Alors même que notre enc…, que notre cher Président nous répète que nous sommes en guerre, que c’est la fin de l’abondance (Parle-t-il du fromage de Haute-Savoie ?), cela n’empêche pas une majorité (hum) d’électeurs de le reconduire à la tête du pays.

Celui qui nous rassure et nous inquiète devient de fait celui qui sème factuellement le chaos.

Avions-nous connu de pareilles angoisses sous la 5e république avant Macron ? Non !
Avions-nous connu un tel recul des libertés et de la démocratie avant Macron ? Non !
Avions-nous connu une telle destruction de l’économie avant Macron ? Non !

Et alors même qu’il ne promet que le pire, les Français ne sont pas dans la rue et le considèrent comme un « bon » Président qui « fait ce qu’il peut » pour nous protéger dans un monde terrible.

Alors qu’il n’offre QUE de l’angoisse, celle-ci devient paradoxalement rassurante pour les hypnotisés.

Notre Président serait ainsi un « destructeur protecteur » !

Il est le pompier pyromane qui interdit aux pompiers non vaccinés d’intervenir tandis qu’il fait venir de l’étranger des pompiers au statut vaccinal inconnu.
Il est celui qui amène le chaos et nous dit qu’il n’y est pour rien et que demain sera un enfer, enfer qui de bien entendu, serait tellement pire sans lui.

Nous sommes à ce point manipulés et perfusés de dangers qui nous menacent que nous piétinerions l’homme providentiel qui nous montrerait qu’un autre (notre) monde serait possible.

La démocratie, le mur infranchissable

J’ai pensé de tout temps que nous vivions une mascarade démocratique et je souffrais de vivre dans une dictature au point d’avoir publié en 2018 le livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? ».

Croyez bien qu’à cette époque il était beaucoup plus difficile de tenir un discours de « dictature » alors que notre société avait la couleur et le goût de la démocratie.

J’ai parcouru depuis un chemin semé de douleurs et mon monde de 2018 était un monde de bisounours à coté de celui que je perçois aujourd’hui.

Nous sommes formatés dans l’idée que nous sommes les « gentils », nous vivons dans une France et une Europe « démocratiques ».
Il nous est quasiment impossible de ressentir le fait que la France soit devenue une vraie dictature tant elle est décrite comme le pays des Droits de l’homme.

Autant nos concitoyens peuvent entendre qu’un pays africain ou d’Amérique latine est une dictature, no problem, autant l’affirmer pour un État européen relève de la folie !
Dans l’imaginaire collectif, une dictature est un pays dans lequel les opposants politiques sont torturés et éliminés, de fait « nous sommes donc bien en démocratie ».

Pour autant nous disposons d’éléments objectifs prouvant que nous ne le sommes plus :

  • Le coup d’État du referendum de 2005 pour la constitution européenne.
  • L’impossibilité pour les candidats du frexit8 d’avoir leurs 500 signatures pour se présenter.
  • Le coup d’État de 2020 assignant les français à résidence sans procès ni condamnation.
  • La censure des réseaux sociaux et des médias pour les vaccins, la crise sanitaire, la crise ukrainienne ou la crise climatique (il n’y a QUE du consensus dans les médias subventionnés).
  • Une 5e république qui a supprimé les pouvoirs du parlement et donné la majorité décisionnelle à une minorité qui obtient une « majorité » grâce à la pirouette des élections à 2 tours.
  • Des votes au parlement à 15h00 qui dérangent et que l’on refait à 3h00 du matin pour obtenir une autre décision.
  • La suppression du parlement lors de la crise sanitaire et la création d’un « conseil de défense » totalement opaque au seul bénéfice du Président.
  • Des corrompus non élus qui décident de notre sort en Europe.
  • Etc.

Ici encore les hypnotisés de la démocratie ne vont pas prendre chacun de ces faits réels pour les placer dans un dossier à charge, mais trouver les éléments de langage pour le dédouaner et les rendre anecdotiques.

Hier les Droits de l’homme faisaient passer l’individu avant l’intérêt de la nation,
Aujourd’hui, la « nouvelle démocratie » glorifie son sacrifice au profit (propagande) du groupe.
L’interdit devient de fait le garant des libertés individuelles et la preuve que nous sommes en démocratie.

Il n’est pas possible de remettre en question le récit national « nous sommes une démocratie avec des élections libres ».
Seul un « non-citoyen », un « ennemi du peuple » pourrait tenir de tels propos.

Surtout n’apprenons pas de l’Histoire !

Imaginez le pauvre juif un peu lucide dans les années 1930 qui disait :

« Nous sommes en dictature, cela va mal se terminer »

A-t-il été entendu ?
La communauté juive a reçue combien de dizaines d’alertes durant cette période ?
Et à chaque fois le même refrain « ça va s’arranger, tu exagères ! »
Même devant l’entrée des chambres à gaz à coté des cheminées fumantes et de la puanteur certains n’y croyaient toujours pas9 !

La réalité factuelle du monde n’est pas de nature à modifier les croyances.

C’est probablement notre erreur à nous les « complotistes » de penser que si nous amenons la preuve de la vérité de nos propos alors l’aveugle retrouvera la vue.

« L’autre » n’est pas comme nous

Ah ils peuvent bénir les médias :

« Vous n’avez pas à penser par vous-même, vous n’avez pas à vous forger votre propre opinion critique, vous n’avez qu’à convertir notre propagande en Vérité. »

Le principe est le même depuis que le monde est monde.
Comment voulez-vous obtenir d’un soldat qu’il tue son voisin s’il se rappelle qu’il est un humain comme lui avec une famille et des enfants ?

Il est indispensable de le déshumaniser et vous convaincre qu’il n’est pas comme vous, qu’on peut l’emmerder10, qu’on peut le priver du droit d’aller au restaurant, qu’on peut et même que l’on doit le priver de son travail surtout si son travail est au service de la communauté !

« L’autre est dangereux pour autrui. »
« L’autre est manipulateur. »
« L’autre voit des complots partout. »
« L’autre est stupide, il vit dans un monde simple,… »
« L’autre est égoïste, il ne pense qu’à lui. »
« L’autre vit dans un monde imaginaire. »
« L’autre est de mauvaise foi. »
« L’autre est paranoïaque. »
« L’autre n’ouvrira jamais les yeux, vous ne pourrez pas lui faire entendre raison. »
« L’autre est un malade mental. »

Et quand cela ne suffit plus, servons-nous du génie de la lampe et affirmons comme François Cluzet que « l’autre », moi-même , mes amis, « est antisémite ».

Qui irait discuter avec un manipulateur pervers qui plus est antisémite ?

L’impossible débat

J’ai essayé de débattre, essayé d’ouvrir les yeux, mais c’est peine perdu face à celui qui ne veut pas sortir de la Matrice.
Je n’ai jamais pu établir un dialogue avec eux.

Cela termine pas des « pff », des « allez on parle d’autre chose », des « que vous êtes con », des « on ne peut pas parler avec vous », des « vous n’êtes pas un spécialiste », des « vous allez aussi me dire que la Terre est plate » ou « de toutes les façons vous resterez dans votre délire », etc.

Ce qui me différencie d’eux, entre autres, c’est que je suis prêt à changer d’avis.
J’ai passé des centaines d’heures, des mois à essayer de prouver que je me trompais et que le Covid existait (plus aujourd’hui pour être honnête) en tant que nouvelle maladie plus mortelle que la grippe.

J’ai même essayé de savoir si la Terre était plate11.
Je suis disposé à réviser toutes mes croyances si l’on me fournit des éléments scientifiques de nature à me le faire croire.
Mais eux vivent dans la foi.

Avant de débuter toute discussion il faudrait pouvoir leur poser la question :

« Es-tu prêt à prendre le risque de voir tes croyances (par exemple sur le Covid) s’effondrer et découvrir que ton monde est construit sur une montagne de mensonges ? »

L’ignorance et le mensonge !

La société, l’éducation, les médias, les loisirs, les émissions TV…
TOUT est fait pour vous maintenir dans l’ignorance ou plutôt dans une réalité alternative.

Depuis la crèche on apprend au bébé à obéir, ne pas de poser de questions et s’abreuver de « Vérité ».

Celle-ci nous est déroulée et nous devons y adhérer si nous voulons être membres à part entière de cette belle société.

Il ne saurait y avoir d’opinions, de réflexions, de divergences et encore moins de preuves selon lesquelles il pourrait exister une vérité alternative.

Prenons l’exemple des Ovnis (sujet que je n’ai pas encore étudié).
Si vous l’abordez lors d’un dîner en France, ce sera probablement l’occasion d’une bonne rigolade.
Et ce alors même qu’il existe des commissions sénatoriales aux USA qui discutent sérieusement du sujet !

Ici, dès lors que les médias mainstream disent la même chose, c’est qu’il y a « consensus » sur le sujet.
Douter, poser des questions, ne relève QUE de la débilité et du complotisme !

Ceci devrait être de nature à vous éveiller car :

La représentation médiatique d’un événement comme faisant consensus est de nature à introduire le doute.

En sciences dures, en économie, en médecine, en biologie, en écologie, en climatologie, en histoire, il n’y a JAMAIS de consensus !
Et comme disait le professeur Raoult que je ne porte pas particulièrement dans mon cœur.

« Le consensus c’est Pétain12 ! »

Interdire le débat (comme nous avons pu le vivre dans le cadre du Covid) constitue une preuve de la manipulation de la vérité.

Un fait qui ne peut être débattu13 ne relève plus du fait, de la réalité, de la science, de l’histoire, mais de la foi, de la mythologie, de la doxa, de la manipulation, de la propagande, etc.

Le mensonge répété qui devient vérité

Imaginons que je pose la question suivante à un covidiste convaincu et que celui-ci me réponde sincèrement :

« Est-ce que le Covid était une nouvelle maladie dangereuse pour laquelle il n’y avait aucun traitement, etc. ? »

Nous connaissons tous sa réponse : « Oui bien sûr ! »

Si j’ajoute alors ; « Comment le sais-tu ? »
La réponse sera « Parce que tout le monde l’a dit, les médias, les médecins, les politiques, l’OMS,… »

Moi : « Les politiques qui passent à la télé ? Les médecins qui passent à la télé ? »
Lui : « Oui mais pas qu’eux.., mon médecin, mon infirmière, ma pharmacienne, tout le monde ! »

Moi : « Mais ton médecin, ton infirmière, ta pharmacienne, comment ont-ils construit cette « vérité ?» ».
Lui : « Ils ont dû étudier le sujet ! »

Moi : « Tu penses qu’ils ont lu des études scientifiques, qu’ils ont étudié les statistiques internationales, qu’ils ont écouté les arguments de leurs collègues qui pensaient différemment, qu’ils ont passé des heures ou qu’ils se sont contentés d’écouter les médias, les autres collègues, etc ? »
Lui (si il est honnête) : « Je ne sais pas, je ne suis pas certain qu’ils aient le temps. »

Il pourrait ensuite vous rétorquer que vous n’êtes pas épidémiologiste (eux non plus), que vous n’avez pas la compétence (eux non plus), que l’on n’écrit n’importe quoi sur Internet (eux aussi), etc.

[Note de Joseph : la plupart des gens qui utilisent un ordinateur ne sont pas du tout des informaticiens, sont incapables d’écrire une ligne de code dans quelque langage informatique que ce soit, mais savent pourtant utiliser un logiciel et même constater certains de ses bugs. N’importe qui sans handicap majeur et ayant passé son permis de conduire peut utiliser une automobile et constater ses problèmes éventuels de conduite, voire même être capable en étudiant le manuel de découvrir lui-même leur cause. Il n’est pas indispensable de l’avoir fabriquée ni d’être garagiste. De même, avec simplement un esprit suffisamment observateur, un minimum de connaissances, de logique et de bon sens, n’importe qui peut se rendre compte lorsqu’une théorie, comme la virale, connaît des bugs plus ou moins problématiques. L’argument de la spécialité ou de l’expertise est purement rhétorique, mais pas scientifique. Il s’apparente à l’argument d’autorité.]

Nous voyons bien que la répétition à l’infini d’un mensonge en fait une vérité indiscutable.

Plus une croyance est ancrée, plus elle devient une vérité.
Plus elle est une vérité et plus elle est ancrée.

Ne croyez pas que le matraquage médiatique et sociétal que nous subissons soit de l’ordre du hasard.
Le mensonge répété des milliers de fois devient cette vérité, raison pour laquelle il est si difficile de réviser ses croyances.

Si je vous dis que l’efficacité des vaccins (y compris classiques) n’a jamais été prouvée ou que l’éradication de la Polio relève au mieux du mythe et au pire de la manipulation, vous aurez d’autant plus de mal à le croire que vous avez entendu le contraire depuis votre naissance.

Tolstoï disait à juste titre :

« Les sujets les plus difficiles peuvent être expliqués à l’esprit le plus lent s’il n’en a pas déjà formé une idée ; mais la chose la plus simple ne peut être expliquée à l’homme le plus intelligent s’il est fermement persuadé qu’il sait déjà, sans l’ombre d’un doute, ce qui se trouve devant lui14. »

Trop grosse ?

Alors me voici devant un croyant et je lui dis :

« Si vous prenez la pilule rouge voici ce qui peut vous tomber dessus »

Vous allez pouvoir vous pencher et étudier les sujets suivants :

  • L’assassinat de JFK.
  • La marche de l’homme sur la Lune.
  • Le 11 septembre.
  • Le Covid (existence, dangerosité, traitements, confinement, masque, vaccin,…)
  • Les virus.
  • La victoire de Biden sur Trump.
  • Brigitte Macron.
  • La guerre en Ukraine.
  • L’industrie du sucre et le cholestérol.
  • La crise de l’énergie.
  • Paperclip ou le recrutement de scientifiques Nazis par les USA.
  • Le réchauffement climatique.
  • Les éoliennes.
  • Mk Ultra.
  • Les chemtrails.
  • Le nucléaire.
  • Les petits gris (extra-terrestres supposés méchants).
  • Les voitures électriques.
  • Les ovnis.
  • La Terre plate.
  • Les réseaux pédophiles et les élites.
  • Les vaccins.
  • Etc. Etc. Etc.

(Lorsque j’écris cette liste je ne peux m’empêcher de penser au gentil Julien Pain de France Info qui fait du fact-checking en nous démontrant par affirmations successives que tout ce qui précède n’est que délire et qu’il ne saurait être question d’y prêter foi.
Si ce monsieur faisait son métier au lieu d’être au service du Ministère de la Vérité, il organiserait des débats contradictoires en invitant des spécialistes opposants à la doxa et en leur donnant un temps de parole équivalent.
Dans les faits celui qui rompt le consensus est banni d’antenne.)

Si vous désobéissez, si vous allez étudier par vous même alors vous allez pouvoir dire (définitivement) adieu à ce monde où la vérité était exclusivement répandue par les médias et ainsi basculer dans un autre monde plus proche de celui cité par Coluche.

« La seule chose exacte dans le journal, c’est la date. »

Prendre la pilule rouge c’est se retrouver contraint d’ouvrir les yeux sur d’autres vérités entremêlées de théories plus que bizarres.
J’ai volontairement persillé ma liste de quelques théories à priori loufoques afin que chacun puisse se faire son opinion.
Mais n’espérez quand même pas utiliser tous vos doigts pour additionner le nombre de sujets délirants indiqués ci dessus.

Point de label « garanti sans fake news ! »

Nous sommes d’accord qu’il existe des théories d’illuminés, soit.
Mais aussi des vérités issues d’un travail colossal de recherche, de statistiques, d’études médicales ignorées, d’expériences scientifiques, de faits avérés qui sont volontairement dissimulés au public.

Nous en sommes à un stade d’omerta et de mensonges que même les données officielles issues des agences de suivi des effets secondaires des injections relèvent officiellement du complotisme !

Lorsque vous aurez avancé dans votre cheminement, vous aurez acquis l’intime conviction qu’il n’existe aucun média officiel de confiance pour vous dire lesquelles sont réelles et lesquelles sont du délire.

Rejeter ou gober tout serait folie

Plus vous allez avancer dans vos recherches…
Plus vous allez lire d’informations sérieuses et recoupées…
Plus vous avancerez dans votre cheminement…

Et plus vous allez découvrir que certaines théories qui peuvent sembler folles à priori, reposent sur des éléments d’une extrême robustesse.
Tandis que d’autres appartiendront (définitivement ?) à des délires non prouvés.

Ces révélations vous seront d’autant plus « folles » que les médias mainstream vous auront déjà martelé qu’elles relèvent du complotisme et de la folie et qu’il ne faut surtout pas y prêter foi.

Par exemple :

« Le 11 septembre. »
« L’homme sur la Lune. »
« L’éradication de la Polio par les vaccins. »

Quel être humain raisonnable pourrait douter de ces trois « vérités15 ».

Il vous suffit simplement d’étudier les faits pour parvenir à votre intime conviction.

Nous vivons dans un monde où il serait à la fois irresponsable de croire la vérité issue des médias et tout aussi irresponsable de ne pas se poser la question concernant une thèse à priori folle « et si cette théorie à priori délirante était vraie ? »

Du travail, du travail, du travail

Il est possible de s’appuyer sur les recherches de personnes de confiance mais pour autant il sera vital de s’assurer qu’elles apportent des sources fiables à leurs affirmations.
Quant on observe le travail colossal qui a été produit ces derniers mois ou années, il serait idiot de ne pas en profiter.
Il existe notamment d’excellentes vidéos qui résument parfaitement chaque dossier particulier.

Quand bien même, la vérité n’arrivera jamais sur un plateau, il sera nécessaire d’avoir un certain investissement intellectuel et en temps pour vous forger votre propre opinion.

Le scientifique sera toujours perdant dans une conversation de comptoir (comme chez Hanouna).
Il suffit de quelques secondes pour affirmer une connerie, une énorme contrevérité.
En revanche, il faut des minutes, des heures ou des jours pour démontrer qu’elle en est une.
C’est là la différence entre l’affirmation et la démonstration.

Raisons pour lesquelles les « journalistes » font mouche à la télé.
Ils ne font qu’affirmer sans jamais démontrer.
Et lorsqu’ils « vérifient » l’information, ils ne font que reprendre les affirmations d’un tiers, toujours sans la moindre démonstration.

Point de non-retour

Que vous soyez un apprenti complotiste ou 4e dan, il y aura systématiquement un avant et un après.
Il est impossible de retourner dans l’innocence dans laquelle vous baigniez depuis votre enfance.
La pilule rouge est définitive et il faut être en capacité d’en assumer les conséquences.

Raison pour laquelle de nombreuses personnes qui pressentent l’arnaque freinent des 4 pieds pour rester dans l’illusion.

Violence de la pilule rouge

Elle sera d’autant plus violente que vous aurez des années d’aveuglement ou de naïveté.

Je m’adresse ici aux résistants de la première heure (nommés complotistes).
Placez-vous dans l’esprit de celui ou celle qui a cru que ce virus était une peste noire, que les confinements ou le masque sauvent des vies, qu’il n’existe aucun traitement et que le « vaccin » expérimental sauve des vies.
Essayez de vivre la violence de la révélation.

Quid des aveuglés ou de moi-même sont dans la meilleure situation ?

Vous qui me lisez et qui avez avalé cette pilule êtes bien conscients de la facture à payer lorsque l’on s’éloigne de plus en plus de la Matrice.

  • Une désillusion.
  • Une perte de confiance dans l’espèce humaine constituée principalement de spectateurs hypnotisés et d’une poignée de monstres (dont certains vouent un culte à Satan).
  • Une angoisse du lendemain avec l’attente d’un messie (ou pas) qui ne viendra peut-être jamais.
  • Une innocence perdue.
  • Une perte de repères. « Mais qu’est-ce qui est vrai dans ce qui m’a été transmis ? »
  • Des interrogations perpétuelles qui ne doivent pas tourner à la paranoïa.
  • Le risque de ne plus croire en rien.
  • Etc.

Bien entendu, si mon répertoire téléphonique s’est vidé de personnes que je pensais être des amis (que je retrouverai peut-être un jour, qui sait), cette dictature au grand jour m’a apporté la chance de découvrir des amis sincères avec qui nous partageons tellement.

Sans la dictature mondiale il est peu probable que j’aurais eu la chance de les rencontrer.
Mais ici encore à quel prix ?
Vais-je aller jusqu’à dire « merci Macron » ?

Nous sommes vraiment dans le film Matrix avec d’un coté le monde qui nous est raconté tous les jours dans les médias et de l’autre des complots (dont certains peuvent faire sourire) et des horreurs qui semblaient relever uniquement de fictions hollywoodiennes.

Ici encore je comprends celles et ceux qui veulent pouvoir échapper à la vérité et qui sont contraints de minimiser jours après jours l’horreur de la réalité.

Coupable ou victime ?

Une question inévitable se présentera pour l’amateur de pilule rouge :

« Comment ai-je pu être assez aveugle pour gober ce flot de mensonges (il ne s’agit pas de dissimulations mais de mensonges) médiatiques ou étatiques ? »

Qu’allez-vous dire au père ou à la mère qui a fait pression sur son enfant pour qu’il s’injecte une substance expérimentale pour « retrouver la vie d’avant » ?

Ce n’est pas faute d’avoir essayé de les alerter, mais ils ont préféré écouter les médias mainstream plutôt que nos « délires complotistes ».

Nous avions pourtant tout annoncé depuis le début.

Lorsque la vérité commencera à être publique, aussi bien les coupables que les victimes chercheront à se dédouaner.
Le « on ne savait pas » sera une porte de sortie classique.
Si vous reprenez mes textes vous verrez que c’est une contre vérité, le « on ne savait pas » est une distorsion de la réalité pour échapper à sa propre responsabilité ou culpabilité.

Devons-nous écrire sur la notice des lave-linges ou des micro-ondes « ne pas y mettre de chats » ?

Pourtant il n’est pas possible de mettre sur un même plan de culpabilité la victime d’une escroquerie ou d’un viol avec la culpabilité de l’escroc ou du violeur.
Il existe un gouffre entre ces « culpabilités ».

Toutes celles et ceux qui ont cru ou croient encore tous ces mensonges en payent le prix et parfois un prix exorbitant.

Que dire de ceux qui se sont fait injecter uniquement pour continuer à faire du sport et qui se battent aujourd’hui contre des effets secondaires qu’ils garderont peut-être à vie ?
Et je ne parle pas de ceux qui ne sont plus là pour en parler et qui méritent à minima une justice posthume.

Il n’en demeure pas moins vrai que plus les mois défilent et plus la responsabilité de celles et ceux qui refusent toujours d’ouvrir les yeux ira grandissante.

Il existe un moment où le semblant confort de la matrice sera balayé par la réalité.
Réalité à ce jour inconnue du grand public mais qui pour autant commence à se faire entendre dans des médias mainstream étrangers et même à la commission européenne.

Pour résumer :

Nous avons pu voir que le choix de prendre la pilule rouge n’avait rien d’anodin mais surtout, comme pour un vaccin, le retour en arrière n’est pas possible.

Mais avons-nous le choix ?

Pouvons-nous faire autrement pour nous sauver ou sauver nos enfants ?

Il est impossible d’influer sur sa vie si la base est fantasmagorique.
Le seul et unique moyen d’agir est de combattre la réalité quand bien même elle est horrible.
La pilule rouge devient de fait indispensable si l’on ne veut pas être une marionnette, un jouet et un esclave dans les mains des puissances occultes de ce monde.

Merci.

Alain Tortosa
15/09/2022
https://7milliards.fr/tortosa20220915-je-ne-veux-pas-savoir.pdf





La Fondation Rockefeller investit des millions dans le projet Mercury afin de soumettre les peuples à la vaccination

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Un groupe de milliardaires « philanthropes » américains consacrent des millions de dollars à la recherche en psychologie comportementale pour inciter à se faire vacciner contre le covid-19. Il s’agit d’une énorme opération de communication appelée Projet Mercury. Son slogan est « Ensemble, nous pouvons construire un environnement d’information plus sain ».


Certains mauvais esprits ont décrit ce projet comme de la propagande, du nudging (une méthode d’influence discrète), de la publicité. Il faut dire que Mercure est le dieu romain du commerce et des voleurs. L’objectif du projet Mercury est que chacun ait l’illusion de vouloir librement se faire vacciner, alors que ce sont des procédés marketing qui l’ont convaincu. Notons que le jeu de mots « con vaincu » indique une sacrée défaite de la pensée. L’intérêt du projet Mercury serait, lors de la prochaine pandémie programmée, d’éviter des méthodes musclées (confinement, pass sanitaire), jugées incompatibles avec la paix sociale.

La Fondation Rockefeller — du nom du philanthrope bien connu — a financé le projet Mercury à hauteur de 7,2 millions de dollars en novembre 2021. La National Science Foundation (une agence « indépendante » du gouvernement américain) a apporté 20 millions de dollars supplémentaires. Les autres partenaires sont le Conseil de recherche en sciences sociales (SSRC), la Fondation Robert Wood Johnson, Craig Newmark Philanthropies et la Fondation Alfred P. Sloan. La Fondation Rockefeller est partenaire, membre du conseil d’administration et donateur de GAVI, aux côtés du WEF, de la Fondation Bill & Melinda Gates et de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, qui a accueilli l’événement 201 (simulation de la propagation d’un coronavirus juste avant la véritable pandémie de covid-19).

Convaincre la clientèle de la prochaine pandémie

Les fonds soutiendront des universitaires américains. Selon Décoder l’éco, les pauvres seraient les premiers à se méfier des vaccins, donc les premiers à convaincre (voir à 22’53 de cette vidéo). La plupart des chercheurs sont donc dans des pays au faible niveau de vie : en Afrique du Sud, Bolivie, Brésil, Côte-d’Ivoire, Ghana, Haïti, Inde, Kenya, Malawi, Mexique, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Tanzanie et Zimbabwe. On suppose que, grâce à la Fondation Rockefeller, ces chercheurs auront accès à de meilleurs revenus que leurs compatriotes. Les recherches, sur trois ans, ont pour objectif d’adapter les récits sur les bienfaits de la vaccination covid aux différents milieux ethniques et politiques pour les convaincre de se faire vacciner.

De surcroît, convaincre les pays pauvres d’accepter les vaccins dont les pays développés ne veulent pas pourrait éviter le dépassement des dates de péremption. En France, McKinsey a oublié ce malencontreux problème de date de péremption. Mérite-t-il le milliard versé par les Français ? Conséquence de cette imprévoyance : Covax (Bill Gates) a distribué au Nigeria 2,6 millions de doses d’AstraZeneca, dont 500 000 venant de France avec une durée de vie de cinq à sept semaines. Plus d’un million de doses polluantes ont dû être enfouies dans la décharge de Gosa, près d’Abuja, capitale du Nigeria.

La manipulation des masses par les cabinets-conseils en France

Les ministères ont entièrement délégué les appels d’offres à l’Union des Groupements d’Achats Publics. Le 13 août 2022, un accord a été signé avec divers cabinets-conseils pour 375 millions d’euros sur 4 ans. Ce sont les cabinets-conseils qui, depuis 1990, ont trouvé la meilleure politique de santé pour la France : réduire le nombre de lits d’hôpitaux. Pourquoi ne pas continuer ? Certes, mais à condition d’employer leurs techniques de manipulation, afin de convaincre que réduire le nombre de lits est la solution aux problèmes créés par ces irresponsables qui tombent malades. À ce sujet, voir et revoir l’inoubliable déclaration de Jean Castex.

B. A.-BA de manipulation des masses

Chomsky nous explique les bases de la manipulation de masse. Nul doute que McKinsey et sa marionnette présidentielle s’en sont inspirés.

1. La stratégie de la distraction. Détourner l’attention du vrai problème. Le dernier exemple de détournement de la pensée, nous le devons à Emmanuel Macron. Il a trouvé la solution au manque de lits : une grande consultation sur l’euthanasie, et tellement moins coûteuse que des soins palliatifs qui encombrent les lits d’hôpitaux.
2. Créer des problèmes puis offrir une solution. François Braun, ministre de la Santé, a avoué devant le Sénat que la variole du singe est une arme chimique (le bon terme serait plutôt « biologique ») et que son vaccin est secret défense ! De là à penser que le coronavirus serait d’une origine similaire, il a fallu un prix Nobel pour oser évoquer cette hypothèse. Les médias, bien plus compétents que lui, l’ont d’ailleurs traité de complotiste, de savant fou controversé, etc.
3. Faire accepter l’inacceptable progressivement. Emmanuel Macron le 27 décembre 2020 : « Je l’ai dit, je le répète : le vaccin ne sera pas obligatoire. Ayons confiance en nos chercheurs et médecins. Nous sommes le pays des Lumières et de Pasteur, la raison et la science doivent nous guider. » Après ces belles paroles, le 18 août 2021, la vaccination est devenue obligatoire pour les soignants.
4. La stratégie du différé. Pour faire accepter une décision impopulaire, la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans l’avenir. Macron annonce « la fin de l’abondance », « des évidences » et « de l’insouciance ». De la même façon que les vaccins étaient présentés comme « sûrs et efficaces », la prochaine politique de restrictions et d’inflation est justifiée ainsi : « Il faut d’abord raisonner en se demandant si c’est efficace et utile ».
5. S’adresser au public comme à des enfants en bas âge. (Regarder les médias pour les exemples.)
6. Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion. (Regarder les médias pour les exemples.)
7. Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise. (Regarder les médias pour les exemples.)
8. Encourager le public à se complaire dans la médiocrité. Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte… (Hanouna sur TPMP, McFly et Carlito à l’Élysée, etc.).
9. Remplacer la révolte par la culpabilité. Voir l’intervention de Sarah Saldmann à propos des Français en arrêt de maladie (c’est quoi ces feignasses ?)
10. Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Là on touche à l’arrogance de classe. On est loin du proverbe paysan, Nul ne me connaît mieux que moi-même, mais en pleine théorie marketing. Voir là.

Sur la théorie de la manipulation, les amateurs de BD peuvent se plonger dans Manipulator, par Makyo, éditions les arènes BD.

Le but de la manipulation de masse est : comment mieux entourlouper. Rendre les foules plus libres et plus heureuses sans arnaque (métaverse, illusions) n’a donné lieu à aucune théorie. Un projet de ce genre ne semble pas intéresser les fondations philanthropiques. À contempler leurs merveilleux sites et leurs équipes souriantes, on se demande pourquoi, avec tant de moyens, de bienveillance et d’intelligence déployés, le monde n’est pas devenu meilleur.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




L’arme du climat, une guerre invisible

[Source : Citizen Light]

Luc, pilote d’hélicoptère, enquête depuis 20 ans sur ces traînées qui quadrillent le ciel et en changent la couleur.

[Voir aussi :
La maîtrise de la météo – une guerre secrète
Chemtrails (documentaire)
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails
Documentaire sur les chemtrails
Chemtrails : une collection de photos probantes ?
Géoingénierie : Un expert révèle que les Chemtrails sont bien réels
Est-ce qu’on joue à rendre la météo folle ?]




De jeunes adultes meurent en nombre record et ce n’est pas du Covid

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Rapeepat Pornsipak/Shutterstock]

PAR JENNIFER MARGULIS ET JOE WANG

Le Dr John Campbell, professeur en soins infirmiers, lance l’alerte suite à une vague de décès inexpliqués. Selon les chiffres officiels examinés par lui, le nombre de décès est beaucoup plus important que ce qu’on admet communément. Il a examiné les moyennes des cinq à sept dernières années, ainsi que d’autres bien antérieures au Covid. Un grand nombre de ces décès en surplus surviennent parmi les jeunes adultes, dont certains sont initialement en parfaite santé.

Sur sa chaîne YouTube comptant 2,44 millions d’abonnés, le Dr Campbell a récemment partagé certaines statistiques officielles. Ces chiffres montrent que de jeunes personnes en bonne santé continuent à mourir dans des proportions insolites. Elles ne meurent pas du Covid.

Une semaine après avoir été publiée le 28 août, sa vidéo intitulée « Excess deaths, the data » [Surplus de la mortalité : les chiffres, ndt.], a été visionnée plus de 916.000 fois et a suscité plus de 20.000 commentaires.

Généralement, les articles de presse sur la mort d’athlètes, d’acteurs et de célébrités de renom ne rapportent qu’une facette de l’histoire.

Un champion de VTT en parfaite santé meurt à 37 ans

Durant son émission, le Dr Campbell a évoqué un de ces cas : le champion de VTT Rab Wardell. Le 21 août, Wardell a remporté le championnat d’Écosse de VTT, à Dumfries et Galloway, dans les Hautes Terres du Sud. Deux jours plus tard, l’homme de 37 ans est officiellement « mort dans son sommeil », victime d’une crise cardiaque. Sa fiancée s’est exprimée le lendemain de sa mort sur les médias sociaux. Elle a essayé de le maintenir en vie en pratiquant un massage cardiaque jusqu’à l’arrivée des ambulanciers :

« Je ne comprends toujours pas ce qui s’est passé. Si c’est réel, pourquoi est‑il parti maintenant – si sain et heureux ? », a tweeté Katie Archibald le 24 août.

« Il a fait un arrêt cardiaque alors que nous étions allongés dans le lit. J’essayais et essayais [de le maintenir en vie], et les ambulanciers sont arrivés au bout de quelques minutes, mais son cœur s’est arrêté et ils n’ont pas pu le ranimer », a‑t‑elle poursuivi.

« Le mien s’est arrêté avec lui. Je l’aime tellement et j’ai besoin de lui ici avec moi. J’ai tellement besoin de lui ici, mais il est parti. Je ne peux pas décrire cette douleur. »

Une tendance inquiétante

En analysant les données, le Dr Campbell montre que ces témoignages dans les médias font partie d’une tendance extrêmement inquiétante de surmortalité.

Les statistiques confirment un nombre de décès bien plus élevé qu’à l’habitude – au moins 1000 par semaine rien qu’au Royaume‑Uni. Ces décès en surplus ne sont pas dus au Covid‑19.

Selon le Parlement écossais, la surmortalité a augmenté de 11% au cours du dernier semestre. On s’attendait à un pic de mortalité hivernale dû au Covid. Mais au cours des six derniers mois, une fois le pic hivernal passé, la surmortalité est restée considérable.

Cette surmortalité apparaît dans tous les groupes d’âge, y compris chez les jeunes adultes en bonne santé.

Décès soudains chez les athlètes

Le Dr Campbell cite une étude publiée en juin 2022 dans The European Journal of Preventive Cardiology, selon laquelle 80% des morts subites chez les jeunes athlètes surviennent chez des personnes qui n’ont pas de symptômes préalables ou d’antécédents familiaux de maladie cardiaque.

Sans aucun symptôme initial, il n’est pas possible de dépister les personnes vulnérables.

Les décès excédentaires inattendus pourraient dépasser les décès dus au Covid

Selon le professeur Carl Heneghan, directeur du Center for Evidence Based Medicine de l’université d’Oxford, au Royaume‑Uni, la surmortalité a sensiblement commencé à suivre une tendance à la hausse vers la fin du mois d’avril 2022.

Ces décès excédentaires sont associés à des problèmes de circulation sanguine, au diabète ou au cancer selon le gouvernement britannique. Mais, comme le Dr Campbell s’empresse de le souligner, cela n’explique pas le facteur précipitant.

« Le schéma est similaire dans de nombreux autres pays. »

Si cette tendance se poursuit, ces décès excédentaires dépasseront ceux du Covid‑19 d’ici la fin de l’année.

Le Dr Campbell et de nombreuses autres personnes, dont Carl Heneghan, appellent désormais à une enquête nationale et internationale sur cette surmortalité, en utilisant les données des certificats de décès et les diagnostiques médicaux, ainsi que les examens post‑mortem effectués par des pathologistes spécialisés dans la découverte des causes sous‑jacentes des décès inattendus.

« Nous devons savoir pourquoi il en est ainsi. Cela devrait vraiment être fait de toute urgence. »

Comme il l’a mentionné dans des vidéos antérieures, en tant que professeur en soin infirmier, le Dr Campbell a préconisé des protocoles d’hygiène plus sensés face au Covid. À l’origine, il recommandait les vaccins.

Dans ses vidéos, le Dr Campbell n’annonce pas avec une certitude absolue le facteur de la surmortalité : il se contente de partager les chiffres. Il encourage les spectateurs à examiner les statistiques médicales par eux‑mêmes, à rester informer de l’évolution scientifique et à garder un œil critique.

20.000 commentaires associent les complications et les décès aux vaccins

Entretemps, les commentaires sous ses vidéos montre qu’on soupçonne la campagne mondiale de vaccination Covid d’être à l’origine de toutes ses morts excédentaires.

Un internaute, Marko Hart, écrit :

« Un très bon ami à moi est mort deux jours après son 40e anniversaire, cinq jours après sa deuxième injection. Un type en très bonne santé avec plusieurs marathons. Il est mort d’une crise cardiaque chez lui après avoir être sorti de la salle de sport une demi‑heure plus tôt. Aucune autopsie n’a été pratiquée même si sa femme en a fait la demande. C’est arrivé il y a sept mois ici, en Suède. Tu nous manques Michael. »

Un autre, sous le nom de « DonTheFurious », décrit une randonnée extrêmement difficile après avoir reçu son premier vaccin. Il connaissait bien le parcours pourtant et l’avait déjà fait trois fois par le passé. Cette fois‑ci, sa poitrine était lourde et il pouvait sentir un goût acide sous sa langue. Arrivé à l’étape finale, il s’est évanoui, a fait une chute de 30 mètres et a été découvert inconscient par le chien d’un randonneur. Il a dû être transporté par avion à l’hôpital.

« Lorsque j’ai expliqué aux médecins que je soupçonnais le vaccin d’être à l’origine de ce malaise, ils ont refusé d’envisager cette possibilité », écrit‑il. « Leur raisonnement est que je me suis évanoui à cause d’un coup de chaleur/déshydratation ».

L’homme est âgé de 38 ans sans antécédents de problèmes cardiaques.

Un troisième, Joe Macdonald, écrit : 

« Une de mes amies est décédée l’année dernière d’une insuffisance cardiaque après avoir reçu sa deuxième injection de vaccin Covid‑19, elle était en bonne santé, âgée d’une trentaine d’années, et n’avait aucun problème de santé sous‑jacent… Les médecins n’ont pas pu trouver la raison de sa soudaine insuffisance cardiaque et lorsque nous leur avons demandé si l’injection de Covid‑19 était la raison de sa mort, ils n’ont pas voulu faire de commentaire et ont refusé de discuter davantage sur le fait que les vaccins Covid‑19 pouvaient être une cause sous‑jacente possible. »

Toutes les histoires de ces internautes restent anecdotiques, ces récits de complications après la vaccination, ou ceux de décès soudains survenus de manière inexpliquée parmi leurs amis ou proches pourtant en parfaite santé – toujours est‑il que sous une vidéo, on en décompte des milliers.

[Voir aussi :
Surmortalité post boosters — pourquoi ce silence médiatique ? STOPPONS L’INJECTION EXPÉRIMENTALE !
Surmortalité en Europe chez les jeunes depuis cet été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données de mortalité post-vaccinale ?
Des médecins allemands confirment à nouveau la corrélation entre vaccin et surmortalité
Surmortalité hors Covid-19 en Europe]

Matières étrangères dans le sang

Des travaux scientifiques récemment publiés pourraient contribuer à expliquer l’augmentation du nombre de décès excessif. Comme le décrit une étude de 60 pages publiée en août dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, une équipe de médecins italiens a étudié le sang de 1006 patients auxquels on a injecté des vaccins à ARNm COVID‑19 et qui ont ensuite consulté un médecin pour différents symptômes. Des corps étrangers ont été trouvés dans 94% de leur sang. Bien d’autres études rejoignent leurs conclusions.

[Voir aussi :
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays]

Ces résultats concordent avec l’expérience de nombreux professionnels chargés de préparer les corps pour les rites funéraires. Plusieurs embaumeurs de par le monde ont observé de nombreux « caillots fibreux et caoutchouteux de grande taille », assez longs, à l’intérieur des cadavres qu’ils préparaient pour l’enterrement. On ne sait pas encore si la cause de ce qui semble être un nouveau trouble de la coagulation est l’infection au Covid‑19, les vaccins contre le Covid‑19, les deux, voire autre chose.

Plus terrible qu’il n’y paraît ?

Le Dr Campbell a également souligné qu’au cours des deux dernières années, un grand nombre de personnes officiellement mortes de vieillesse naturellement et d’autres causes naturelles sont mortes du Covid. Le Covid a touché de manière disproportionnée les adultes plus âgés et ceux ayant des problèmes de santé sous‑jacents. Comme ces personnes sont déjà décédées, les taux de surmortalité devraient logiquement être devenu plus bas que ceux des années antérieures au Covid.

C’est pourtant l’inverse, au lieu d’observer une baisse des décès non liés au Covid, ces décès sont en hausse.

Par conséquent, l’augmentation de la surmortalité est d’autant plus terrible. Selon le Dr Campbell, les États‑Unis ont plus souffert, cumulativement, de la surmortalité que tout autre pays. Toute mort inutile est tragique. Mais une surmortalité de cette ampleur, en particulier chez les jeunes, est un sujet de préoccupation nationale et internationale.




Coronavirus — La stratégie utilisée : celle du cheval de Troie

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

C’est un cheval de Troie qui trompe nos esprits et nos corps, dans le but de rendre possible la réalisation de l’agenda mondialiste sur la mutation du Génome humain dont la finalité est celle d’un contrôle radical de toutes les populations du Globe !

Le fameux virus n’a jamais été isolé dans une partie quelconque du corps humain : celui qui prétend le contraire serait bien incapable d’apporter les preuves scientifiques d’une telle affirmation qui serait tout à fait mensongère !

L’absence physique comme l’isolement du virus ou le séquençage de ce théorique SARS-CoV-2 est une fraude spectaculaire à toute épreuve, car elle est de plus cautionnée par des virologues qui, bien entendu, ont été grassement financés par le complexe médico-pharmaceutique…

On doit également signaler plus de deux siècles d’impostures : un historien comme Marc Menant, a édité chez Plon en 2022 une étude approfondie sur « L’inquiétante histoire des vaccins ». La critique historique permet aujourd’hui de connaître dans le détail l’imposture de Pasteur avec laquelle commençait ce comportement sectaire de la médecine allopathique… Je recommande vivement la lecture de ce livre de Marc Menant qui remet les pendules à l’heure sur la vérité scientifique et historique concernant les vaccins.

Les virus pathogènes n’ont jamais été clairement identifiés : lorsqu’on nous bombarde les modèles graphiques du « coronavirus », les gens ne se rendent pas compte que cette représentation imagée du virus est née d’une image générée par un ordinateur. Les médias du monde entier ont ensuite divulgué cette représentation qui passe pour la visibilité du virus invisible afin d’alimenter le délire hystérique et la peur pathologique…

Les populations ont réellement été prises en otages, car les virologues n’isolent pas le virus en ajoutant « qu’ils le font » et ne sont pas troublés par le fait que la « guerre » actuelle contre l’humanité repose entièrement sur cette fraude scientifique flagrante !

Lorsque les autorités imposent « l’isolement », cet isolement repose intégralement sur la violation et la volonté délibérée de tromper les personnes ainsi maltraitées !

La prémisse de l’existence du virus est établie sur un mensonge et son affirmation continue confirme l’existence d’un virus inexistant…

La virologie prospère sur cette affirmation, car sans elle il n’y aurait pas de virus, pas de virologie pas de tests PCR positifs non plus et donc pas de Jackpot pour Big Pharma…

Il est clair que tout ce qui va à l’encontre du récit « officiel » de l’État mafieux se voit censuré impitoyablement par les commis du système, ainsi que par les médias inféodés. Les agences de sécurité terrorisent toutes les personnes qu’elles prétendent protéger !

Tout l’appareil d’État est dédié actuellement au service de cette fraude virologique.

Il est possible de trouver l’explication de la fraude scientifique sur le site NIH.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/#affiliation-1

Il n’existe pas de consensus sur la meilleure façon d’effectuer et d’interpréter les expériences quantitatives de PCR en temps réel (qPCR).

Les chercheurs qui ont prétendu avoir « isolé » le virus ont fait une déclaration mensongère, car aucun d’entre eux n’a été capable d’en apporter la preuve. Fan Wu a choisi un coronavirus de chauve-souris « in silico », comme le modèle qui permettrait de créer le WH-Human 1 ou SARS-CoV-2. « In silico » signifie une méthode d’étude réalisée par ordinateur qui analyse des données et axiomatise des phénomènes biologiques générés par la bio-informatique.

Des fragments d’ADN permettent de reconstruire peu à peu un contig. Un contig est une séquence génomique continue et ordonnée générée par l’assemblage des clones d’une bibliothèque génomique. Puis, l’assemblage des contigs entre eux permet d’obtenir un « scaffold » ou une sorte d’échafaudage de virus. Lorsque des millions de fragments uniques ont été trouvés, des programmes informatiques prennent le relais pour reconstituer le génome basé sur des paramètres définis par le programme utilisé… Les virologues ne travaillent pas avec un génome complet puisqu’ils ne travaillent pas avec un virus complet, c’est là qu’est essentiellement la tromperie… Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et disent ensuite que cela constitue la preuve de l’existence d’un virus donné ! La seule chose qui existe, c’est le séquençage d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance « inconnue » ! Il n’y a aucune preuve que le « génome » in silico qui en résulte existe réellement dans la nature ou même qu’il ait quoi que ce soit à voir avec un virus ! Cette falsification opérée par une fausse science a permis aux politiciens de se transformer en dictateurs et en tyrans, cette version généralisée de l’isolement du virus donnant l’occasion aux politiciens de violer nos libertés.

Le chercheur chinois Fan Wu s’est révélé être un imposteur tout comme cet autre chercheur Peng Zhou ! Fan Wu a été le premier inventeur du SARS-CoV-2 après avoir envoyé un échantillon extrait du liquide pulmonaire d’un patient, directement au séquençage sur deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques appelés « lit ».

Dans cet échantillon il y avait des millions de fragments génétiques du patient lui-même, d’innombrables microbes et pour finir l’air pollué que le patient avait respiré…

C’est à partir de cette « soupe » génétique à la chinoise qu’il a prétendu reconstituer 384 096 contigs sur Megahit et 1,32 million de contigs sur Trinity ! À partir de là Fan Wu a choisi la plus longue séquence, celle de 30 474 nucléotides qui correspondait à 89,1 % au génome in silico du coronavirus de la chauve-souris le SL-CoVZC45 inventé en 2018 !

Conclusion : un génome qui était aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssin est devenu le modèle utilisé pour la conception de l’amorce de la méthode RT-PCR pour détecter le CORONAVIRUS, dont l’existence n’a pas encore été démontrée !

Un autre médecin chinois, le Dr Zunyou rétablissait l’équilibre rompu par son collègue. Il démontrait durant toute l’année 2020 que personne n’avait jamais prouvé l’existence du SARS-CoV-2, qui n’avait encore jamais été isolé. De plus, dire que le SARS-CoV-2 avait croisé des espèces animales et humaines sur le marché de Wuhan était une affirmation pour le moins fantaisiste, cocasse ou délirante !

Le Dr Zunyou expliquait pourquoi les gens mourraient, pourquoi le test PCR était un non-sens, inutile, trompeur, abusif ; Il expliquait comment les chiffres des morts par « COVID-19 » étaient falsifiés et les raisons pour lesquelles ce mensonge était imposé à la population mondiale ! De nombreux scientifiques ont été largement payés pour affirmer qu’ils avaient isolé le SARS-CoV-2. Il fallait ajouter que ces scientifiques peu scrupuleux, avaient torturé, déformé, inversé le sens du verbe « isoler ». 

Ce sont ces gens qui ont fourni le modèle de verrouillage à l’Occident, où Bill Gates, le CDC (Centers for Disease Control and Prevention), et l’OMS ont fait l’éloge du Régime chinois et y ont adopté leur stratégie de confinement, étant certains que de cette manière ils détruiraient assurément les économies nationales et locales ainsi que des centaines de millions de vies !

Une opération « couverte » !

Toute cette histoire, qui serait la même pour tous, était basée sur la vente d’une affaire de virus ! La communication sur cette histoire unanime de virus non encore isolé, dont l’existence n’était toujours pas prouvée, a été orchestrée par Anser. C’est Anser qui a été l’entreprise majeure de la communication sur la campagne de peur autour de la COVID-19.

http://www.anser.org/about/

Comme vous le voyez, cette société de communication n’a pas son site Internet sécurisé : on pouvait s’attendre à un https://

Ainsi, ni la FDA (Food and Drug Administration), ni le CDC (centre américain pour le contrôle des maladies) n’ont la preuve que la COVID-19 existe et encore moins que le SARS-CoV-2 existe !

Cette fraude monumentale a été récompensée par la Fondation Bill & Melinda Gates, en 2020, par 900.000 dollars donnés aux deux institutions américaines. Or, 14 des 19 co-auteurs de cette fraude étaient affiliés à la Fondation Bill & Melinda Gates !

L’Université Fudan au titre de l’INV-006277, 2021 = 300.000 dollars

Le CDC chinois recevait au titre de l’INV-005832 = 600.000 dollars

Peng Zhou faisait partie de ceux qui disaient avoir « isolé le virus responsable de la COVID-19 », mais ce virus était resté entièrement théorique. Pourtant, la Fondation Bill & Melinda Gates n’hésitait pas à donner à l’Académie chinoise des sciences à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention pour les travaux sur la COVID-19, en 2020, et dans le cadre de l’INV-006377, de 359.820 dollars avec les conditions de la destination suivante : « soutenir le développement d’une plateforme de tests de dépistage, de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation des produits de lutte contre la pandémie de COVID-19. »

La liste des imposteurs s’est considérablement allongée, au fur et à mesure que les financements étaient gracieusement offerts à tous ceux qui défendaient le narratif mensonger de la propagande sur la « crise pandémique » et les « vaccins » !

Sous prétexte du devoir de protéger « les autres », de la « responsabilité » humaine et de la « conscience morale », comme des « obligations sanitaires », ce mensonge criminel allait pénétrer les consciences encore vulnérables, aidé par la peur, afin que beaucoup d’entre nous finissent par accepter de recevoir dans leur corps une substance dont la nature réelle était absolument inconnue ! Les Gouvernements, sachant parfaitement quel en était le but réel soigneusement caché aux peuples, n’avaient pas besoin de contrôler les laboratoires pharmaceutiques, comme Pfizer qui avait pourtant été condamné à des milliards de dollars d’amendes pour fraude marketing ! 

La « pandémie de la COVID-19 » a été la plus grande escroquerie de toute l’histoire sanitaire du monde. Le SARS-CoV-2 n’a toujours pas été isolé, ses petits frères les « Variants » n’existent que dans les ordinateurs, les banques de gènes, dans le Cloud et dans l’esprit abusé d’innocentes personnes qui se laissent volontiers tromper par leurs « élites » politiques…

L’histoire de la COVID-19 est une véritable guerre déclarée contre l’humanité et menée par Anser, Fors Marsh, Palantir, propageant cette escroquerie planétaire à travers Big Pharma avec ses bailleurs de fonds et ses facilitateurs comme le FEM, L’OMS, La Fondation Bill & Melinda Gates, les conglomérats technologiques, les médias inféodés au système, les Gouvernants complices, certaines Universités comme celle de Chapel Hill, EcoHealth Alliance ainsi que l’Imperial College London…

Le 11 mars 2020, l’OMS inventait une « pandémie » inexistante, sous l’influence du généreux donateur Bill Gates !

Le docteur Astrid Stuckelberger de la Faculté de Médecine de Genève, experte en santé publique à l’OMS, dévoilait sur L’Info en question #73, le 4 novembre 2021, que Bill Gates et ses associés étaient à l’origine de ce plan de « vaccination létale mondiale » et qu’ils savaient parfaitement ce qu’ils faisaient !

C’est pourquoi, les Instituts de pharmacovigilance de certains pays, avaient beau alerter les gouvernements du désastre qui se déroulait dans l’ombre, suite aux « vaccinations » anti-Covid-19, cela ne changeait absolument rien aux décisions prises, car le but était bien de détruire une bonne partie de l’humanité « inutile » et en surnombre, comme de pouvoir achever le plus tôt possible le programme élaboré par le Nouvel Ordre Mondial sur le Tout numérique (y compris la monnaie) et le passage au transhumanisme. 

Tout a commencé en 2011/2012, avec le plan d’Action Mondial pour les Vaccins (GVAP) du SAGE. 194 États membres de l’OMS ont approuvé ce plan. Il s’agissait de donner un accès plus équitable aux vaccins pour éviter des millions de décès avant 2020 !

Or, le GVAP est le résultat des travaux d’experts sur la vaccination : les dirigeants de la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Alliance GAVI, l’UNICEF, l’OMS, Universités, fabricants, agences mondiales, société civile, médias et secteur privé…

Les signataires de ce plan Mondial de Vaccination sont : le Dr Seth Berkley responsable de GAVI, fonctionnant grâce au généreux donateur, la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Christophe Elias, Président de Global Development Program de la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Margaret Chan, Directeur Général de l’OMS dont le sponsor principal et majoritaire est la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Antony Fauci, directeur du NIAID américain.

Ces gens-là veulent absolument « vacciner » la totalité de la population mondiale, pour la contrôler (sauf eux-mêmes) ; Ils sont donc prêts à inventer tous les « faux variants » que vous voulez, du moment que cela permet d’entretenir la peur, le traumatisme du confinement et du masquage dans le but de jeter les braves gens sur les seringues des génocidaires…

L’escroquerie vaccinale est au cœur de ces crimes contre l’humanité. Sur le site de l’OMS, vous trouvez des « techniques de l’évaluation du virus » alors qu’il n’y a strictement rien sur son séquençage ! Faut-il encore en rajouter pour ouvrir les yeux des traumatisés de la propagande !?

L’hécatombe est énorme : les chiffres officiels ne recensent pas les effets collatéraux destructeurs comme les pertes d’emploi pour cause de non-vaccination, les nombreux suicides d’étudiants, des entrepreneurs, des soignants, des forces de l’ordre et des enfants…

Au 15 septembre 2021, le Yellow Card, Grande-Bretagne, signale 1.204.555 événements d’effets destructeurs sur les personnes « vaccinées », 1662 décès suite aux « vaccins » anti-covid.

Au 25 septembre 2021, l’AEM (Agence Européenne du Médicament) signalait 2.690.019 effets indésirables graves sur la santé de gens « vaccinés » et 26.061 décès, 30.402 handicaps irréversibles…

Au 1er octobre 2021, le VAERS (USA) totalisait 2.826.646 effets indésirables et 16.310 décès dus aux « vaccins ».

Les statistiques publiées en France démontrent que c’est une pathologie cardiaque associée aux symptômes grippaux qui entraîne 73% des décès.

https://fr.statista.com/statistiques/1183996/victimes-coronavirus-comorbidite-france/

Le 20 septembre 2021, à l’Institut de pathologie de Reutlingen en Allemagne, les professeurs Walter Lang et Burkhardt présentaient une enquête qu’ils avaient réalisée sur 10 décès de personnes ayant reçu le « vaccin » anti Covid-19, le Cominarty de Pfizer : les décès étaient liés aux « vaccins ». Les substances inoculées avaient provoqué des maladies auto-immunes rares pour trois d’entre eux.  L’une des maladies auto-immunes était si rare qu’il a fallu qu’ils regardent de près l’image numérisée : il s’agissait de la maladie auto-immune de Hashimoto. Puis, ils ont également trouvé une vascularité leuco clastique entraînant des saignements cutanés. Puis le syndrome de Sjögren qui est une inflammation de la salive et des glandes lacrymales… etc. Ils ont observé de même que les lymphocytes inondaient les cellules en les détruisant massivement. Ils ont observé des images qui montraient une accumulation de lymphocytes dans une grande variété de tissus (muscle cardiaque, foie, rein, rate et utérus) ; du coup ces tissus étaient massivement attaqués par les lymphocytes donnant à voir une série de follicules lymphocytaires dans des endroits inappropriés comme le tissu pulmonaire… Ils ont également remarqué des détachements de cellules endothéliales, des amas de globules rouges provoquant des thromboses, ainsi que des cellules géantes qui s’étaient formées autour de corps étrangers piégés. Une véritable tempête lymphocytaire avait annihilé la fonction immunitaire externe combinée à une inflammation et à une destruction des tissus par les lymphocytes et la réaction auto-immune prolongée… ! Ces injections à ARNm sont une bombe immunologique à retardement, concluait le Professeur Arne Burkhardt, pathologiste.

De plus, des images d’objets non biologiques étaient trouvées dans le liquide vaccinal injecté. C’est l’appareil immunitaire des personnes « vaccinées » qui s’attaque aux tissus de ces personnes ! Ces « vaccins » déclenchent donc des maladies auto-immunes qui peuvent très bien ne pas se manifester avant des années. Les professeurs allemands concluaient en disant qu’il fallait s’attendre à une explosion des cancers dans les années à venir.

Jean-Yves Jézéquel

À suivre

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




La poliomyélite n’a pas été éradiquée par la vaccination, mais par le traitement des eaux !

Une propagande marchande intense prétend en permanence que la vaccination permet d’éradiquer toutes les maladies infectieuses et cite en exemple la poliomyélite1. Les médias instrumentalisent même un cas récent de poliomyélite survenu à New York pour appeler à la re vaccination et justifier l’état d’urgence décrété par le maire de New York.

Pourtant ce cas de poliomyélite est dû à la vaccination orale par un virus vivant qui a retrouvé sa virulence ! La méconnaissance des mécanismes de la propagation de la maladie par les médias s’affiche sans fard lorsqu’ils prétendent : « la vaccination est le seul moyen d’éradiquer cette maladie ».

Ce rappel de l’état de la science sur la transmission du virus et les limites de la vaccination anti-poliomyélite s’impose donc, particulièrement en cette période où l’éducation nationale prétendrait instruire les enfants sur « les vaccins ».

Mode de propagation de la poliomyélite

La poliomyélite est due à un entérovirus qui se multiplie dans les intestins des personnes infectées qui l’excrètent ensuite. La contamination des personnes saines se fait par voie féco orale : par la bouche en ingérant de l’eau ou des aliments contaminés par les selles d’un porteur du virus. Il n’y a pas de réservoir animal connu de ce virus.

Pour empêcher toute diffusion de la maladie, il suffit d’interrompre la chaîne de transmission. La protection individuelle consiste à ne boire que de l’eau potable. La protection d’une population repose sur la distribution généralisée d’eau potable et sur le traitement des eaux usées pour éliminer les virus avant de remettre l’eau en circulation. En cas d’impossibilité de recevoir de l’eau potable, il suffit de stériliser l’eau disponible en la faisant bouillir, comme l’énorme majorité des villages africains par exemple l’applique.

Prétendre que « la vaccination est le seul moyen d’éradiquer cette maladie » constitue donc une grossière contre-vérité témoignant d’une ignorance totale des données scientifiques ou du désir de tromper ses lecteurs pour faire vendre des vaccins (corruption marchande ?).

Les vaccins anti-poliomyélite et l’apparition de poliovirus circulants dérivés d’un vaccin

Dans les années 1950, la distribution d’eau potable n’était pas généralisée et la poliomyélite représentait une angoisse pour les familles. La mise sur le marché du vaccin poliomyélitique injectable (VPI) développé par Jonas Salk a été un soulagement général. Il est totalement sûr, mais son coût de production et la logistique associée à son utilisation en ont longtemps limité la diffusion à certains pays développés comme la France. Depuis que la qualité de l’eau de boisson est soigneusement contrôlée et l’assainissement des eaux usées assuré ce vaccin n’a plus aucune utilité pour les Français sauf pour ceux qui vont visiter les pays d’endémie, car même si un malade revient de ces pays il ne peut plus transmettre le virus.

Le vaccin poliomyélitique oral (VPO) a été développé par Albert Sabin, également dans les années 1950. Le VPO est d’un coût très abordable et facile à administrer, car il ne nécessite pas d’injection, il confère une bonne immunité générale et une immunité locale au niveau de l’intestin, réduisant par conséquent la transmission du poliovirus sauvage.

Mais comme il s’agit d’un virus vivant, il peut muter, induire la maladie chez certaines personnes vaccinées et établir des chaînes de transmission dans les pays où les conditions d’assainissement des eaux sont mauvaises. Ces variants baptisés « poliovirus circulants dérivés d’un vaccin » (PVDVc) ont été à l’origine d’épidémies de poliomyélite dans plusieurs pays tout particulièrement en Afrique où l’OMS venait à peine d’annoncer fièrement l’éradication de la poliomyélite qualifiant cet évènement d’« historique ».

Poliomyélite vaccinale

Selon des données de l’OMS, 1 271 cas de PVDVc ont été enregistrés dans le monde entre 2010 et 2015 avec une recrudescence actuelle : 96 cas de PVDVc en 2017, 104 en 2018 368 en 2019, 348 pour les 8 premiers mois de 2020.

Depuis 2018, il dépasse celui des poliovirus sauvages. La plupart des flambées de PVDVc ont été observées en Afrique, les autres se situant au Pakistan, aux Philippines, en Birmanie, en Ukraine, en Inde et au Laos. C’est pourquoi, en avril 2016, l’OMS2 a recommandé de remplacer le vaccin Sabin trivalent (types 1, 2 et 3) par le vaccin antipoliomyélitique oral à virus vivant atténué bivalent (types 1 et 3).

En Inde3, au moins 3 lots de vaccin oral contre la poliomyélite contenant 150 000 flacons ont été trouvés contaminés par le virus vaccinal polio de type 2.

Des pédiatres et statisticiens indiens ont mis en évidence une corrélation statistiquement très significative entre les campagnes de vaccination et la survenue de flambée de paralysie flasque non polio dans leur pays4 :

« Le programme d’éradication de la poliomyélite a réussi à réduire considérablement la propagation mondiale de cette maladie, ce qui a été réalisé grâce à l’utilisation de la vaccination par le VPO. Tout en louant cet énorme effort d’éradication, notre observation soutient l’hypothèse selon laquelle la fréquence d’administration de la poliomyélite pulsée5 est directement ou indirectement liée à l’incidence de la paralysie flasque non poliomyélitique »

Il et particulièrement choquant de voir les autorités de de New York, de Londres ou d’Israël instrumentaliser un cas de poliomyélite pour pousser à la vaccination alors que ce cas est la conséquence du vaccin oral administré dans un pays où la distribution d’eau potable et l’assainissement ne sont pas assurés.

Prétendre que le vaccin antipolio serait sans risque est donc contraire aux faits constatés.

Comment éradiquer la poliomyélite sans risque ?

Pour éradiquer la poliomyélite définitivement, il suffit de couper la chaîne de transmission du virus par l’eau contaminée. L’exemple en a été donné dans les pays riches où la consommation exclusive d’eau potable et l’assainissement des eaux usées a définitivement banni le risque d’épidémie de poliomyélite, succès abusivement attribué aux vaccins.

Dans les pays où la distribution d’eau potable est assurée, il n’y a plus de polio. Dans les pays sans eau potable, la polio persiste malgré les vaccins (Afghanistan et Pakistan).

Nous écrivions en 2018 : En France métropolitaine, en 2018, pour un enfant (…)6 on risque d’attraper la poliomyélite est nul, aussi puisque le virus a disparu de notre pays depuis plusieurs décennies, et qu’il ne peut se transmettre que par voie féco-orale, autrement dit par la contamination de la nourriture ou des boissons par les excréments d’un porteur de virus. La transmission de la maladie est donc impossible si on respecte les règles d’hygiène minimales (lavage des mains et des fruits et légumes) et qu’on utilise une eau potable. Ce n’est pas le vaccin qui a vaincu la poliomyélite en Occident, mais bien l’hygiène et les compagnies d’assainissement des eaux. D’ailleurs les rares cas de poliomyélite observés dans ces vingt dernières années en Europe sont dus au virus du vaccin lui-même qui a retrouvé sa virulence.7

Plutôt que consacrer des sommes considérables à la vaccination antipolio, l’OMS devrait s’efforcer d’assurer la distribution universelle d’eau potable et d’assainir les eaux usées. On obtiendrait ainsi l’éradication de la polio, mais en plus celle des autres maladies transmises par les eaux souillées : choléra, typhoïde, dysenterie, hépatite A…

L’eau potable est plus efficace que les vaccins contre les maladies à transmission oro fécale !





Pourquoi le pouvoir politique est-il malade ?

[Source : Ariane Bilheran Officiel]

[Voir aussi :
« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » – Ariane Bilheran, Vincent. Pavan
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Harcèlement des lanceurs d’alerte : un appel collectif pour défendre le droit d’informer
Totalitarisme occulte
Résister à la dérive totalitaire
Chroniques du totalitarisme – Psychopathologie du totalitarisme
Le clivage médiatique de l’Humanité]




Le Tétralogue — Roman — Chapitre 2

Par Joseph Stroberg

[Voir Le Tétralogue — Roman — Prologue & Chapitre 1]

​2 — Vers l’aventure

En l’absence de Matronix, la nuit était noire et fraîche. Comme sur de nombreuses autres planètes de la galaxie, les animaux nocturnes emplissaient l’air de leurs cris ou de leurs chants variés. Le torrent situé à moins d’une centaine de pas de l’abri portable ajoutait sa touche fluide à l’ensemble. Tulvarn dormait paisiblement, inconscient de ce qui se passait à l’extérieur de son minuscule havre de fortune. Pourtant, une forme sombre en approchait. Un humanoïde avançait doucement en semblant traîner la jambe. Dans l’obscurité, sa présence était à peine discernable à seulement quelques pas de distance. Seuls les distirns velus, habitués à chasser la nuit et dotés d’yeux amplificateurs de lumière, auraient pu en faire leur repas. Mais ils ne vivaient pas sur ce continent, ni d’ailleurs dans les régions montagneuses.

Lentement, mais implacablement, l’ombre approchait. Elle marchait silencieusement sur l’herbe humide. Elle n’était plus qu’à quelques pas de l’abri lorsqu’elle posa malencontreusement le pied sur une brindille qui risquait de révéler sa présence. Mais le dormeur ne sembla pas s’en trouver le moins du monde perturbé. Il continua à dormir d’un sommeil profond. Cela permit à l’ombre de s’approcher jusqu’à l’ouverture et, après quelques tâtonnements, d’en tirer la glissière pour l’ouvrir. L’intrus plaqua fermement sa main droite sur la bouche du dormeur, puis le secoua rudement de l’autre main.

— S’il vous plaît ! Réveillez-vous ! chuchota alors la Vélienne, car il s’agissait d’une femme. Mais le dormeur demeurait inébranlable tandis qu’il poursuivait son sommeil.

— S’il vous plaît ! Réveillez-vous ! répéta-t-elle doucement.

Désorienté, Tulvarn émargea lentement du sommeil. Il ne réalisa pas immédiatement qu’on lui appuyait sur la bouche, ni même qu’on lui parlait. Après quelques instants, il commença à prendre conscience de son environnement et de la menace. Son premier réflexe fut de prendre son sabre, mais celui-ci était dans le fourreau partiellement coincé sous son corps. Voulant se lever, il se rappela qu’il se trouvait dans l’abri et qu’il pouvait à peine s’y mouvoir. Ne pouvant parler, il tenta de prendre la main qui lui appuyait sur la bouche, mais celle-ci s’y fit plus ferme, en même temps qu’il entendit une voix féminine lui adresser les propos suivants :

— Doucement ! S’il vous plaît, aidez-moi.

— Mmmmm… ne put que répondre Tulvarn qui avait toujours la bouche fermée par la main étrangère.

— Oh ! Excusez-moi, répondit la femme en enlevant sa main. Je devais éviter que vous fassiez du bruit. Nous sommes peut-être en danger. J’ai été blessée à la jambe par quelque chose. J’ai besoin de votre aide. Si vous acceptez, il vous faudra d’abord sortir de votre actuelle prison.

— Prison ? Ce n’est pas une prison !

— Vous trouvez ? Si j’avais été mal intentionnée, vous y seriez mort à l’heure qu’il est.

— Hum. Je dois avouer que vous avez probablement raison. Comment n’ai-je pas été plus prudent ?!

— Peut-être êtes-vous trop confiant ? Mais trêve de bavardages ! J’ai besoin de votre aide. Je ne peux me soigner seule ni rentrer chez moi.

— Vous soigner ? J’ai bien eu quelques notions de soin lors de mes leçons de survie, mais je doute que ce soit suffisant ici, car je n’ai pas de matériel pour cela. On nous a enseigné à tirer parti de ce que nous trouvions dans la nature et ça risque de prendre du temps. Est-ce que vous saignez ?

— Oui, et même un peu trop à mon goût !

— Nous ne voyons rien ici, il va falloir se risquer à faire du feu, en espérant que ce qui vous a blessé ne traîne pas dans le coin. Mais d’abord, si vous le permettez, je dois sortir de là-dedans.

— D’accord, dit la Vélienne en se reculant.

— Bien ! Maintenant que c’est fait, reprit Tulvarn après s’être extrait de l’abri, prenons les quelques morceaux de bois mort que j’avais repérés avant de me coucher. Il va seulement falloir tâtonner pour les trouver. Ils ne doivent pas être loin, légèrement sur la gauche. Laissez-moi faire. Vous devriez maintenant éviter le plus possible de bouger, tant que nous n’aurons pas fait un pansement.

— Entendu, mais faites vite, s’il vous plaît. Je me sens de plus en plus faible.

— Ce ne devrait pas être très long, la rassura Tulvarn avant de s’éloigner. Essayez seulement de maintenir la pression sur la veine proche de votre blessure.

Il trouva le combustible convoité assez rapidement aux environs de l’endroit ciblé, puis revint faire du feu près de la Vélienne et de l’abri. À cette fin, il avait emporté un petit allumeur basé sur un curieux effet de certains cristaux et fabriqué par un habile artisan d’un village environnant dont il avait oublié le nom. Les vives étincelles obtenues par l’allumeur permirent d’enflammer rapidement les morceaux de bois et au moine d’apercevoir enfin le visage de l’inconnue. Les traits réguliers et assez fins, elle lui paraissait plutôt jolie et plus jeune que lui de quelques cycles. Sous le faible éclairage, le cuir de son crâne luisait comme si elle l’avait couvert d’une substance huileuse. C’était l’indication qu’elle passait probablement beaucoup de temps dehors sous les rayons de Dévonia, auquel cas il devait être plus pâle. La femme était assise et revêtue d’un simple pagne clair dont il ne parvenait pas à distinguer la couleur. Ses quatre mamelles coniques et fermes étaient visibles et ne portaient pas la marque d’allaitement, ce qui indiquait qu’elle n’avait probablement pas encore eu d’enfants. Ceux-ci venaient au monde généralement par quatre, dans des œufs dont l’éclosion n’intervenait pas avant trois révolutions de Veguil autour de Matronix. Le pagne était couvert de sang au niveau de la cuisse gauche, là ou la femme maintenait sa main fermement appuyée. Tulvarn le souleva délicatement pour mettre en évidence la blessure dont le sang continuait à couler à flot continu et bien trop important pour que l’inconnue survive longtemps. Il fouilla rapidement dans son sac à portée de mains près de l’abri et en retira un des vêtements de rechange. Il le déchira en deux puis l’enroula sur lui-même avant de s’en servir pour faire un bandage compressif sur la plaie. Au moins, ça stopperait l’hémorragie ! La femme étouffa un cri de douleur, mais le remercia vivement avant de s’évanouir, basculant vers l’arrière. Il l’a retint pour lui éviter de se blesser à la tête et l’allongea par terre, cherchant dans le même temps comment la soigner mieux.

Alors que l’inconnue gisait toujours inconsciente, il réfléchissait à la meilleure chose qu’il pouvait faire maintenant. Et il ne trouvait rien d’autre que d’attendre la lumière de Dévonia. Celle-ci ne devrait pas tarder à se manifester. Il s’allongea donc par terre près de son abri, espérant qu’il ne tomberait pas d’eau au cours du reste de la nuit. Il sombra sans difficulté dans le sommeil, accompagnant ainsi la blessée dans les limbes oniriques.

Il ignorait combien de temps il avait dormi avant que la lumière matinale ne le réveille. Mais comme il se sentait plutôt reposé, cela devait faire un assez grand nombre d’heures. Sur Veguil, personne ne mesurait le temps de manière plus précise que celle basée sur les cycles apparents de Matronix et de Veguil, la journée visible étant divisée en quartiers, ceux-ci comptés chacun approximativement en heures galactiques standard, unité dont on avait depuis longtemps perdu la signification réelle. On se souvenait seulement qu’un quartier de jour représentait à peu près cinq de ces heures. Zénovia et la gloire de son empire étaient loin, très loin, presque complètement ravalées au rang de légendes.

Dès qu’il eut repris ses esprits, Tulvarn s’assura que la femme était toujours vivante avant de s’éloigner dans les environs à la recherche de baies sitjiennes. Celles-ci étaient connues pour leurs grands pouvoirs nutritifs et soignants. Avec cela, il devrait pouvoir la requinquer, de sorte qu’elle soit suffisamment forte pour repartir chez elle, au besoin avec son aide. Les herbes et les feuilles des buissons s’étaient couvertes de rosée à la faveur de la nuit. L’air sentait la fraîcheur et l’odeur de quelques essences végétales. À part l’inconnue, il n’y avait pas âme qui vive. Il ne semblait pas non plus y avoir de dangereux prédateurs, mais Tulvarn se tenait sur ses gardes, prêt à dégainer son sabre.

À quelques dizaines de pas, il trouva un buisson porteur des fameuses baies et s’empressa d’en cueillir plusieurs pleines poignées qu’il déposait au fur et à mesure sur l’autre moitié de sa pièce d’étoffe déchirée. Une fois suffisamment pourvu pour deux personnes, il referma le morceau de tissu autour des baies et termina par un nœud pour éviter d’en perdre en chemin, puis il se dirigea vers l’abri. Le plus délicat resterait à faire : réveiller la blessée, du moins si elle était toujours vivante, ce qu’il espérait.

Le trajet du retour fut rapide, alors que Dévonia était maintenant pleinement visible. La femme respirait toujours et il lui tapota délicatement le sommet du crâne dans l’espoir de la réveiller. Maintenant qu’il la voyait mieux, elle lui paraissait plus belle. Malgré son état de faiblesse et sa blessure, son visage reflétait douceur et paix. Il se demandait pourquoi elle s’était trouvée dans ce coin sauvage. Il se trouvait nettement à l’écart de Tilnern et des quelques bourgades environnantes. La vallée était vaste, presque entièrement entourée de montagnes. L’accès le plus facile s’y trouvait au sud-ouest. Les deux autres voies d’accès étaient des cols étroits, dont celui qu’il avait dû emprunter pour venir jusqu’ici.

Après quelques légères tapes qui ressemblaient plus à des caresses qu’à des coups, Tulvarn finit par obtenir une réaction de l’inconnue. Il lui tapota alors les joues pour stimuler d’autres nerfs et augmenter la probabilité de son réveil. Elle ouvrit enfin les yeux. Soulagé de la voir consciente, il l’interrogea :

— Comment vous sentez-vous ?

— … Bien. Du moins pas trop mal, même si je me sens toujours très faible et si la blessure de ma jambe se rappelle à moi. Cela pourrait être pire. Sans vous, je serais certainement morte à l’heure qu’il est. Merci.

— Pouvez-vous vous asseoir ?

— … Oui, répondit-elle simplement en le faisant péniblement.

— Tenez : mangez ceci pour vous redonner de l’énergie, lui conseilla Tulvarn en lui tendant une bonne poignée de baies sitjiennes.

— Merci, murmura-t-elle en prenant doucement les baies dans le creux de sa main gauche, puis saisissant délicatement l’une d’elles avec la droite.

— Comment vous appelez-vous ?

— Jiliern, répondit-elle dans un souffle entre deux bouchées.

— Eh bien, Jiliern, que faisiez-vous en pleine nuit dans ce coin isolé ?

— Je cherchais des cristaux. Je suis cristallière.

— Par ici ?

— Oui, il y a une grotte pas très loin et j’en ai déjà trouvé plusieurs dans quelques-unes de ses salles. Cette grotte est immense.

— Mais pourquoi en pleine nuit ? Vous ne pouvez rien voir, surtout dans une grotte !

— Je ne les cherche pas avec ma vue.

— Comment alors ?

— Par mes mains. Elles sentent les roches et je parviens ainsi à les différencier.

— Oh ! Mais ça ne vous empêcherait pas de tomber ni de heurter des parois rocheuses plus ou moins tranchantes.

— Si. Je sens non seulement la composition ou les propriétés des roches, mais aussi leur volume, l’espace qu’elles occupent.

— Vous ne croyez pas cependant que ce serait moins dangereux en pleine journée. Vous y verriez davantage, non ?

— Non. Cela me gênerait plutôt qu’autre chose. Je capte beaucoup mieux les pierres et les cristaux en pleine nuit, lorsque je n’y vois rien avec mes yeux.

— Quel genre de cristaux cherchiez-vous ?

— Des cristaux guérisseurs, pour les thérapeutes. Ils n’en ont jamais assez.

— Nous avons beau apprendre beaucoup de choses au temple, j’ignorais tout cela.

— Vous venez du temple ? Il est vrai que vous en portez une tenue.

— Oui, je suis encore apprenti. À mon âge, j’aurais dû déjà passer deux grades.

— Pourquoi ne l’avez-vous pas fait ?

— Je ne sais pas. Mon maître ne me l’a jamais proposé. Peut-être ne suis-je pas prêt. Ou pas assez doué ? Ou encore trop maladroit ? Je fais souvent des gaffes. Tiens, comme le fait que j’ai oublié de leur dire au revoir !

— En tout cas, vous avez été suffisamment adroit pour me sauver la vie !

— Je vous ai juste fait un bandage, rien d’autre !

— C’est énorme pour moi. Je vous suis redevable.

— Vous ne me devez rien. Un moine doit donner tout ce qu’il peut. S’il réclame quelque chose pour ce qu’il fait, ce n’est plus un don.

— Alors, c’est un peu comme les cristalliers. Nous ne demandons jamais rien pour les cristaux que nous offrons. Les gens nous donnent à manger et le gîte sans que nous leur réclamions. Ce n’est pas comme la Horde sauvage qui demande toujours un paiement pour son gibier et ses peaux.

— La Horde… Elle a tué mes parents !

— Comment ça ? J’ignorais que les membres de la Horde tuaient les gens.

— Eh bien, il y en a deux qui ont tué mes parents. Je m’en souviendrai toute ma vie !

— Êtes-vous sûr qu’ils faisaient partie de la Horde ?

— Ils en avaient l’apparence et s’en revendiquaient en tout cas.

— Est-ce suffisant pour conclure ?

— … Comment ça ?

— On ne vous apprend pas ça au temple ? À faire la différence entre l’apparence et la réalité derrière ?

— Euh… Si. Du moins, il me semble, oui.

— Pourquoi ne l’appliquez-vous pas à ce souvenir particulier ?

— Depuis le début, j’étais persuadé qu’il s’agissait bien de la Horde sauvage.

— C’est ce qu’on a voulu vous faire croire alors. Et si c’était deux membres de la guilde des assassins ?

— La guilde des assassins ? Je n’ai jamais entendu parler d’eux !

— Je commence à me demander ce qu’on vous apprend au temple.

— Je commence à me demander la même chose, figurez-vous, répondit-il avec consternation.

— Peut-être le saurez-vous un jour. Certains enseignements devraient avoir leur utilité, du moins c’est à espérer.

— J’espère, oui. Au moins une partie a été utile pour vous soigner.

— Oui, je dois le reconnaître, et c’est un très bon début.

— Dites-m’en plus sur ces assassins, si vous voulez bien. Pourquoi auraient-ils tué mes parents ?

— Ça, je l’ignore. Possédaient-ils quelque chose de valeur ? Un genre de trésor, par exemple ?

— Pas à ma connaissance. Ils passaient tout leur temps à planter des arbres et à soigner des plantes. Ils ne disposaient que d’une toute petite maison pratiquement vide. Nous mangions les fruits, les feuilles et les racines des plantes dont ils s’occupaient. Ils échangeaient le reste contre les rares vêtements dont nous avions besoin.

— C’est étrange alors. Les assassins ne tuent jamais gratuitement. Je veux dire : ils le font par contrat, toujours pour récupérer quelque chose de valeur ou au minimum pour empêcher à certains événements d’avoir lieu. Et dans votre cas, il n’y avait rien de spécial à récupérer. Et je ne vois pas ce qu’ils auraient pu chercher à empêcher… À moins que… Non, c’est absurde !

— Quoi ? Qu’est-ce qui est absurde ?

— Ce à quoi je pensais.

— Quoi donc ?

— Rien, je vous dis !

— Si ! Vous avez pensé à quelque chose ! Je suis curieux, trop curieux. J’aimerais savoir.

— C’est absurde, je vous dis. Ça n’a guère de sens. Ce n’est qu’une… qu’une vieille prophétie racontée parfois par les anciens aux visiteurs de Tilnern.

— Quelle prophétie ?

— Il est question d’un temple d’où viendrait le salut des Véliens par le biais d’un orphelin. Mais cette prophétie n’est que partielle. L’autre partie avait été confiée à un village dont nul chez nous ne sait le nom ni le lieu.

— Le salut contre quel danger ?

— Nous l’ignorons. La prophétie laisse seulement entendre que ça viendrait du ciel.

— En quoi cela pourrait-il me concerner, même si je suis orphelin et que je viens d’un temple ? Ça n’explique pas pourquoi mes parents ont été tués? Et si quelqu’un, venu par exemple de l’espace, avait voulu empêcher qu’elle se réalise, ce ne sont pas mes parents qu’ils auraient dû tuer, mais moi-même. Ceci en supposant qu’ils aient eu un moyen de deviner qu’un jour je serais recueilli dans un temple. Et puis non, c’est complètement absurde ! En tuant mes parents, c’était le meilleur moyen de me rendre orphelin !

— Effectivement, ça n’explique pas pourquoi vos parents ont été tués. Tout ce que je sais est que votre situation m’a soudainement rappelé cette prophétie. Le fait est que vous êtes orphelin et êtes un moine en provenance d’un temple. Vous devez donc avoir certaines capacités de combat défensif et peut-être que cela pourrait être utile contre quelque chose venant du ciel.

— Attendez ! Votre prophétie parle du salut des Véliens, pas juste de quelques villageois ! Je vois mal comment mes capacités pourraient nous sauver tous d’une telle menace. De plus, je suis encore trop maladroit dans bien des secteurs, trop étourdi, pas assez concentré.

— Vous vous sous-estimez peut-être.

— Non, je ne pense pas. Mon maître a bien vu les progrès qu’il me restait à accomplir, tellement certaines de mes lacunes sont visibles.

— Vous avez l’air de lui faire une grande confiance,

— Oui, et celle-ci me paraît méritée.

— Je ne le connais pas et ne peux donc en juger.

— Je comprends. Pour changer de sujet, comment vous sentez-vous maintenant ?

— Mieux. Ces fruits m’ont vraiment fait du bien. Je vous remercie.

— C’est inutile. Vous auriez certainement fait de même si les rôles avaient été inversés. Sur cette planète, je ne connais pas beaucoup de monde qui n’en aurait pas fait autant. Seuls ces mystérieux assassins peut-être ?

— Même eux ne tuent pas sans raison et ne laissent pas mourir un individu qui ne serait pas la cible d’un de leurs contrats. Ils ont leur code d’honneur, d’après ce que l’on dit.

— Il reste à savoir s’ils s’y tiennent toujours. Ou si certains d’entre eux ne l’ont pas abandonné. En attendant d’avoir peut-être un jour une réponse, vous sentez-vous assez forte pour que je vous raccompagne chez vous ? Vous n’auriez qu’à vous appuyer sur moi pour éviter d’avoir à trop le faire sur votre jambe blessée.

— Ça devrait pouvoir aller dans ces conditions. Encore merci.

— Ne me remerciez pas. Cela fait partie des tâches d’un moine. Allons-y, Jiliern !

(Suite : Le Tétralogue — Roman — Chapitre 3)




Il faut parler du déclin du Québec

[Source : libremedia.ca]

Déclin démographique, déclin du français, déclin culturel, déclin de la vie sociale et familiale : tous ces mouvements sont liés, observe le rédacteur en chef Jérôme Blanchet-Gravel. 

Éditorial

Par Jérôme Blanchet-Gravel

Il me semble que le déclin du Québec dans sa globalité devrait être un thème central de la présente campagne électorale, celui du français n’étant qu’un des symptômes parmi d’autres de notre essoufflement collectif.

Au-delà des aspects techniques soulevés par les partis pour améliorer (sauver…?) les systèmes de santé et d’éducation, il faut réfléchir sérieusement à l’avenir de notre collectivité, l’avancée de l’anglais allant de pair avec notre baisse d’appétit pour la vie. 

Des mouvements simultanés  

Déclin démographique, déclin du français, déclin culturel, déclin de la vie sociale et familiale : ce n’est pas un hasard si ces mouvements ont lieu en même temps. Il y a dans cette simultanéité quelque chose qui ne ment pas sur notre désenchantement. 

[Voir aussi :
Réenchanter le monde]

Je suis toujours étonné d’entendre des commentateurs ne pas faire le lien entre ces phénomènes, comme si une nation déjà en perte de vitesse pouvait se permettre d’interdire les liens sociaux et familiaux pendant deux ans.

Comme si une nation encore en partie brisée par la conquête britannique pouvait se permettre d’aller jusqu’à abolir symboliquement Noël, l’une de ses dernières traditions, dans un monde où un divertissement uniforme tend à noyer la culture véritable. Et la diversité.

Le sociocide de la pandémie 

Il faut espérer que la gestion de la pandémie n’ait pas été le coup fatal porté à une nation qui n’a plus beaucoup de force d’attraction auprès d’immigrés qui ressentent bien sa fatigue et le vide d’une vie menée au rythme d’un réglementarisme intolérant et de l’absence de traditions, ce qui encore une fois va ensemble. 

À lire aussi : Au Québec, la religion des règles
 

En ce sens, l’adhésion au sanitarisme pourrait avoir été l’une des plus graves erreurs des nationalistes, dont la plupart ont vu dans l’État un sauveur sanitaire devant jouer son rôle de protecteur des citoyens comme dans le champ culturel. 

Avant la bureaucratie sanitaire, il y avait la bureaucratie linguistique, comme si l’État était le gardien d’une grande réserve faunique à maintenir sous respirateur artificiel. 

C’est sans doute pour cette raison qu’autant de souverainistes se recyclent dans l’écologisme : le peuple québécois n’est-il pas toujours présenté comme une espèce en voie d’extinction ?

Aurions-nous pu décider de continuer à croître organiquement comme individus et comme peuple, au lieu de nous limiter aux bons engrais de l’État-tuteur ?

Il y a dans cette multiplication des règles des signes évidents de détresse. On croirait que les Québécois cherchent à se raccrocher à un ordre rassurant mais vide, alors qu’ils sont dans les faits en train de perdre le contrôle de leur destinée.

À lire aussi : Le Québec de 2040, une province-hôpital de langue anglaise ?

Tel que l’a suggéré Philippe Labrecque dans ces pages, il n’est pas impossible que le Québec de demain soit une « province-hôpital de langue anglaise », ce qui n’est guère réjouissant pour quiconque aspire à vivre dans une société dynamique et culturellement attrayante. 

Le tabou de la natalité

Devant un tel vieillissement de la population, la question de l’immigration est régulièrement posée, mais jamais celle de la natalité, excepté au Parti conservateur du Québec qui entend l’encourager davantage.  

La natalité est l’un des grands tabous québécois, mais aussi de l’Occident dans son ensemble. Avoir des enfants est maintenant vu comme une entrave à l’épanouissement de la femme, mais aussi à celui des adultes en général. Au fond, les enfants dérangent. 

Signe d’une vision essentiellement utilitaire et consumériste, récemment, François Legault a laissé entendre qu’il comptait se satisfaire d’une toute petite place dans le monde pour le Québec, en autant qu’il reste un endroit agréable à vivre, bien que de plus en plus périphérique.

Le Québec en retrait 

« Ce qui est important, c’est d’avoir une qualité de vie pour les personnes qui habitent au Québec », a laissé tomber le Premier ministre en annonçant que son gouvernement maintiendrait le seuil d’immigration à 50 000 nouveaux arrivants par année.

En autant que les gens puissent continuer à profiter l’été de leur piscine, et encore, avec les rationnements écologiques à l’horizon. 

« On est 8,6 millions d’habitants : je pense que c’est une taille qui permet quand même d’offrir des services de qualité », a ajouté François Legault en rappelant que le Québec recevait par habitant plus d’immigrés que les États-Unis et la France.

Offrir des « services de qualité » : un projet de société ?




Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

[Voir aussi :
Résilience et Résistance pour la France
Franc Libre et tournée CSP : point de situation
La résistance truffée d’espions ?
Comment s’unir]

[Note de Joseph : d’un point de vue eschatologique, nous avons affaire aux quatre cavaliers de l’Apocalypse. Les mesures sanitaires amènent la maladieLes mesures économiques (notamment contre la Russie) amènent la famineLes mesures pour la paix amènent la guerreLes médias amènent la peur. Et le tout produit la mort des corps et des âmes.]




L’Ukraine perd ses soldats, l’Europe son économie, tout cela pour rien

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Moon of Alabama – Le 7 septembre 2022

Lorsque l’Ukraine a lancé sa « contre-offensive » sur Kherson le 29 août, cela m’a effaré et j’ai jugé qu’elle était vouée à l’échec :

Pour briser les lignes russes, renforcées maintenant, il aurait fallu plus de troupes que celles qui étaient disponibles. Je suis sûr que les militaires ukrainiens savaient que cette offensive allait échouer. Pour des raisons politiques, Zelenski leur a ordonné de la lancer quand même. Plus d’un millier de vies ukrainiennes et russes ont été perdues pour rien d’autre que des gros titres à sensation et des considérations politiques.

Plus de 3 000 Ukrainiens sont morts maintenant dans l’offensive de Kherson, sans que celle-ci ait fait de progrès significatifs. Des centaines de chars et de véhicules blindés ont été perdus. Une douzaine d’avions et d’hélicoptères ukrainiens ont été abattus. Tout ce matériel provenait de « l’Ouest », qui a maintenant vidé son stock d’armes soviétiques. Il n’y en aura plus de sitôt.

L’Ukraine a ainsi laissé passer sa chance de s’opposer à toute nouvelle action significative de la part de la Russie. Actions qui se produiront bientôt.

Mais ce qui me dérange vraiment, c’est le bilan humain de cette offensive.

Je n’ai jamais été en guerre. Mais j’ai suivi une formation d’officier militaire à temps plein pendant plusieurs années, ainsi que des périodes de réserve de plusieurs mois dans des bataillons de service actif. J’ai lu beaucoup de livres et regardé des dizaines de films sur les combats en première ligne pendant la Première et la Deuxième Guerre mondiale, en Corée, au Vietnam, en Afghanistan, etc. Si l’on réfléchit à ces événements et aux détails décrits dans les descriptions, on peut se faire une idée de ces conflits. Ensuite, il y a les calculs opérationnels, comme le nombre de tirs d’artillerie par kilomètre carré, la densité des troupes et le bilan de ces bombardements d’artillerie.

Les soldats ukrainiens n’ont jamais eu la moindre chance de résister à la puissance de l’armée russe. Pas la moindre. Cela était évident dès le début de la guerre. Il est illogique que le gouvernement ukrainien et ses partisans aient tenté de résister à cet assaut.

L’« Occident » aurait dû abandonner et faire les concessions que la Russie avait exigées. Il devra les faire de toute façon.

Le gouvernement ukrainien a étroitement contrôlé les médias et toute information provenant de la ligne de front. Nous n’avons eu que des rapports russes faisant état d’un grand nombre de victimes ukrainiennes. Certains doutent des chiffres donnés par les Russes. Moi, je n’en doute pas. Ils correspondent pour la plupart à ce que j’ai appris et à mes calculs.

Aujourd’hui, un journaliste du Washington Post a eu accès aux hôpitaux où les soldats ukrainiens blessés et impliqués dans cette « contre-attaque » tentent de se rétablir. Le rapport de John Hudson est sinistre, même s’il ne vient pas de la ligne de front et ne parle pas des scènes les plus graves :

Des soldats ukrainiens blessés révèlent le lourd tribut payé pour l’offensive de Kherson

Comme l’article est payant, je vais en citer de larges extraits :

Dans des chambres d’hôpital faiblement éclairées du sud de l’Ukraine, des soldats souffrant de membres sectionnés, de blessures par éclats d’obus, de mains mutilées et d’articulations brisées ont raconté les désavantages considérables auxquels leurs unités ont été confrontées dans les premiers jours d’une nouvelle offensive visant à expulser les forces russes de la ville stratégique de Kherson.

Les soldats ont déclaré qu’ils ne disposaient pas de l’artillerie nécessaire pour déloger les forces russes retranchées et ont décrit un écart technologique énorme avec leurs adversaires mieux équipés. Les entretiens ont fourni certains des premiers comptes rendus directs d’une poussée pour reprendre le territoire capturé qui est si sensible que les commandants militaires ukrainiens ont interdit aux journalistes de se rendre sur les lignes de front. …

« Nous perdions cinq personnes quand eux en perdait une », a déclaré Ihor, un commandant de section de 30 ans qui s’est blessé au dos lorsque le char dans lequel il se trouvait s’est écrasé dans un fossé. …

Les drones russes Orlan filmaient les positions ukrainiennes à plus d’un kilomètre au-dessus de leurs têtes, ont-ils dit, une altitude qui signifie qu’ils n’entendaient même pas le bourdonnement de l’avion qui suivait leurs mouvements.

Les soldats ukrainiens blessés ont déclaré que les chars russes émergeaient de fortifications en ciment nouvellement construites pour faire exploser l’infanterie avec de l’artillerie de gros calibre. Les véhicules se repliaient ensuite sous les abris en béton, à l’abri des tirs de mortier et de roquettes.

Les systèmes radar de contre-batterie détectaient et localisaient automatiquement les Ukrainiens qui visaient les Russes avec des projectiles, déclenchant en réponse un barrage d’artillerie.

Les outils de piratage russes ont détourné les drones des opérateurs ukrainiens, qui ont vu leurs appareils dériver, impuissants, derrière les lignes ennemies. …

Oleksandr a déclaré que les tirs d’artillerie russes étaient incessants. « Ils nous frappaient tout le temps », a-t-il dit. « Si nous tirons trois obus de mortiers, ils en tirent 20 en retour ».

Les soldats ukrainiens ont dit qu’ils devaient soigneusement rationner leur utilisation de munitions, mais que même lorsqu’ils tiraient, ils avaient du mal à atteindre les cibles. « Quand vous donnez les coordonnées, c’est censé être précis mais ça ne l’est pas », a-t-il expliqué, précisant que son équipement datait de 1989. …

La guerre électronique russe constituait également une menace constante. Des soldats ont raconté qu’à la fin de leur service, ils allumaient leur téléphone pour appeler ou envoyer des SMS aux membres de leur famille – une décision qui attirait immédiatement les tirs d’artillerie russes.

« Lorsque nous allumons les téléphones portables ou la radio, ils peuvent reconnaître notre présence immédiatement », a déclaré Denys. « Et là, les tirs commencent ». …

Les déclarations ukrainiennes de reprise de villages tels que Vysokopillya n’ont pas pu être confirmées, bien que les soldats interrogés aient déclaré avoir pu avancer dans certains villages précédemment contrôlés par les Russes. Ces soldats ont refusé de nommer ces villages, citant les instructions de leurs supérieurs.

Un groupe de journalistes du Washington Post qui s’est rendu lundi à moins de cinq kilomètres de Vysokopillya, dans le nord de Kherson, a été empêché d’entrer dans le village par les troupes ukrainiennes et n’a pas pu vérifier son statut. Un responsable local a déclaré que les forces ukrainiennes et russes se disputaient toujours le contrôle du village.

Il n’a pas été possible d’obtenir une image claire des pertes subies par l’Ukraine. 

Denys, assis bien droit sur son lit d’hôpital, a déclaré que presque tous les membres de son unité de 120 personnes avaient été blessés, mais que seuls deux avaient été tués.

Un soldat de 25 ans soigné pour des blessures dues à des éclats d’obus a déclaré que, dans son unité de 100 soldats, sept ont été tués et 20 blessés. Ihor, le commandant du peloton, a déclaré que 16 des 32 hommes sous son commandement ont été blessés et qu’un a été tué.

Les soldats ukrainiens blessés ont été répartis dans différents hôpitaux du sud de l’Ukraine afin de libérer les principales installations médicales de la région de Kherson pour l’arrivée de nouveaux patients.

Les soldats de la deuxième tentative de « contre-offensive » au sud-est de Kharkiv connaîtront le même sort.

À mon avis, les pertes ukrainiennes ne sont pas cinq mais dix fois supérieures à celles du côté russe. Une attaque, en traversant une steppe ouverte, contre une force blindée technologiquement supérieure est une mission suicide.

Les soldats russes ne sont pas autorisés à porter des téléphones portables. Je ne comprends pas pourquoi les soldats ukrainiens sont autorisés à en avoir et à les utiliser. Veulent-ils se suicider ?

Le suicide est aussi le destin vers lequel les politiciens européens ont engagé leurs économies et leurs sociétés. Qui ne sait pas que l’on a besoin d’énergie, aussi bon marché que possible, pour fondre l’acier, l’aluminium et le verre ?

SGM World News @SGMWorldnews – 10:13 UTC – 7 Sep 2022

BREAKING : 40 PDG de producteurs européens de métaux ont écrit une lettre ouverte à Ursula von der Leyen et à la Commission européenne pour mettre en garde contre la « menace existentielle » à laquelle fait face l’industrie à cause de la flambée des prix de l’électricité.

Pas de fonderie d’acier, pas de taxes des fonderies d’acier et de leurs travailleurs. Pas de fonderie d’acier, pas de remboursement des crédits qui lui ont été accordés. Les grosses pertes bancaires qui arrivent maintenant vont provoquer une autre crise bancaire grave. Moins d’argent pour l’État signifie moins de retraites et de soins de santé.

C’est ruineux pour les États européens et leurs habitants. Pendant ce temps, les politiciens américains, les idéologues néoconservateurs et les financiers à l’origine du projet d’utiliser l’Ukraine contre la Russie sont morts de rire.

Tuomas Malinen @mtmalinen – 8:53 UTC – Sep 7, 2022

Je vous dis que la situation en #Europe est bien pire que ce que beaucoup comprennent.

Nous sommes essentiellement au bord d’une autre crise bancaire, d’un effondrement de notre base industrielle et de nos ménages, et donc au bord de l’effondrement de nos économies.

Nous sommes également totalement à la merci des autorités, et nous savons très peu ce qu’elles ont prévu.

Seront-ils capables d’arrêter la crise bancaire, une fois de plus ? Je ne sais pas, mais j’en doute. 🤷♂🤔

L’Allemagne est probablement dans la pire des situations. Le chancelier Olaf Scholz a réagi à l’opération militaire russe par une moralisation hystérique dépassant toute rationalité. Son gouvernement dépend des politiciens verts de son cabinet. Ce sont des crétins idéologues. L’Allemagne, gravement menacée par des pannes d’électricité, va maintenant mettre hors service trois centrales nucléaires en parfait état et redémarrer de vieilles centrales à charbon sales qui étaient censées être démantelées. En quoi est-ce vert ?

Voici comment le président de la Russie voit les choses :

L’Europe est sur le point de jeter dans la fournaise des sanctions les résultats qu’elle a obtenus dans le développement de ses capacités de production, de la qualité de vie de ses habitants et de la stabilité socio-économique, épuisant ainsi son potentiel, comme le veut Washington au nom de la fameuse unité euro-atlantique. En fait, cela revient à faire des sacrifices au nom de la préservation de la domination des États-Unis dans les affaires mondiales. …

La capacité concurrentielle des entreprises européennes est en déclin, car les responsables de l’UE eux-mêmes les coupent des matières premières essentielles et de l’énergie abordables, ainsi que des marchés commerciaux. Il ne sera pas surprenant qu’à terme, les niches actuellement occupées par les entreprises européennes, tant sur le continent que sur le marché mondial en général, soient reprises par leurs mécènes américains qui ne connaissent aucune limite ni hésitation lorsqu’il s’agit de poursuivre leurs intérêts et d’atteindre leurs objectifs.

[Note de Joseph : d’un point de vue eschatologique, nous aurions affaire aux quatre cavaliers de l’Apocalypse. Les mesures sanitaires amènent la maladie. Les mesures économiques (notamment contre la Russie) amènent la famine. Les mesures pour la paix amènent la guerre. Les médias amènent la peur. Et le tout produit la mort des corps et des âmes.]

Les prochaines élections fédérales en Allemagne auront lieu dans trois ans. On espère vraiment une sorte de coup d’État, mais je ne vois pas encore de mouvement dans ce sens.

Où sont les politiciens rationnels qui peuvent prendre la relève ?

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




La maîtrise de la météo – une guerre secrète

[Source : Kla.tv]

Bien qu’il n’existe aucune preuve solide que la Terre se réchauffe réellement, on veut nous faire croire que l’utilisation extrême de produits chimiques est urgente pour refroidir notre planète. Les traînées croisées dans le ciel, appelées chemtrails, sont de fausses « traînées de condensation ». Elles empêchent la formation naturelle de nuages. Des escadrilles entières d’avions civils et militaires bloquent ou affaiblissent le développement naturel des nuages et le perturbent en répandant des composés chimiques toxiques et dangereux.

[Voir aussi :
Chemtrails (documentaire)
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails
Documentaire sur les chemtrails
Chemtrails : une collection de photos probantes ?
Géoingénierie : Un expert révèle que les Chemtrails sont bien réels
Est-ce qu’on joue à rendre la météo folle ?]

Transcription

Les événements météorologiques tels que ceux que nous vivons actuellement en Europe depuis des semaines et des mois en raison de la sécheresse prolongée ne sont pas, comme beaucoup peuvent encore le penser, des événements séculaires. Bien que ce soit difficile à croire, ce sont des pièces de puzzle planifiées de longue date dans le cadre des plans de bouleversement visant à dominer et à contrôler le monde entier et le cosmos. Le phénomène des traînées de condensation des avions, qui apparaissent souvent de manière croisée dans le ciel, sont des interventions dans le système climatique. Ce qu’on appelle des chemtrails font partie des mesures de géo-ingénierie destinées à lutter contre le réchauffement climatique. Depuis plus de vingt ans, des catastrophistes ont entrepris de contrôler les événements météorologiques. Ces manipulations de la météo font le jeu de l’économie pour la domination et le contrôle des ressources mondiales. De plus, c’est une affaire rentable pour les spéculateurs, qui peuvent réaliser en un rien de temps des bénéfices faramineux sur les marchés financiers internationaux. Kla.TV résume pour vous, chers téléspectateurs, les aspects du documentaire « Géo-ingénierie solaire – la guerre secrète » que chacun devrait connaître.

Le mot chemtrails [traînées de condensation chimiques] est d’origine militaire et se trouve dans le « Space Preservation Act » une loi sur la protection de l’espace. En 2002, un membre du Congrès américain a présenté un projet de loi visant à abandonner toutes les armes non-conventionnelles, y compris les chemtrails. Par armes non-conventionnelles, on entend des armes développées dans le but, d’une part, de nuire à l’espace ou aux écosystèmes naturels ou au climat, et d’autre part, de détruire une population ou une région cible sur Terre ou dans l’espace. Le projet de loi a certes été approuvé, mais avec des coupes draconiennes. La référence à une quelconque arme non-conventionnelle a été supprimée.

Aujourd’hui, ces chemtrails en particulier peuvent être considérés comme des pratiques illégales de géo-ingénierie. Un document déposé en 1996 et intitulé « Programme national », recommandé pour la modification moderne de la météo, est considéré à ce jour comme une preuve accablante de l’existence de changements climatiques et météorologiques massifs. Il devrait être un signal d’alarme fort pour ceux qui continuent à nier l’existence des chemtrails. Le document révèle en détail de nombreux programmes de modification de la météo aux Etats-Unis. Il est également question d’une commission spéciale chargée de coordonner les mesures destructrices de géo-ingénierie du gouvernement avec les autorités, les indépendants et les universités.

Le documentaire poursuit : « En 1995, l’US Navy a entrepris une vaste étude comprenant des dizaines de documents sur des techniques spécifiques de conception d’un contrôle global. Ce document est connu sous le nom de « Owning the Weather in 2025 », c’est-à-dire la maîtrise de la météo d’ici 2025. L’étude prétend n’être que théorique, mais après avoir consulté les diagrammes et les images, nous en avons déduit que dès 1995, les opérations de contrôle climatique et météorologique étaient déjà intégrées dans une phase d’implémentation avancée [implémenter : introduire, mettre en œuvre quelque chose]. En fait, notre ciel est strié, opaque et brumeux depuis au moins 1995. »

Que se passe-t-il exactement lorsque des avions répandent des chemtrails ?

Les chemtrails se composent du carburant d’aviation ordinaire [kérosène] et d’un additif. Edward Teller, l’inventeur de la bombe à hydrogène, a proposé lors d’un congrès sur le changement climatique qui s’est tenu en Sicile en 1997 d’utiliser des additifs dans le carburant de l’aviation civile. Depuis lors, ces produits chimiques ne sont plus seulement épandus par les avions militaires, mais aussi par les avions de passagers. Les avions de ligne qui présentent des traînées de condensation remarquablement longues et plus ou moins stables volent à des altitudes basses et très basses, où il est en fait totalement impossible de former de la condensation. C’est un fait prouvé et irréfutable que des additifs ont été ajoutés au carburant des avions. Le physicien Penna Corrado décrit qu’il n’y a pas grand-chose à calculer pour étudier la différence entre les chemtrails et les traînées de condensation. Il existe des livres et des textes de météorologie qui expliquent bien que les traînées de condensation sont des phénomènes qui se produisent à des altitudes de 8 000 m, avec des températures d’au moins – 40°C et une humidité d’au moins 60%. Alors pourquoi les traînées apparaissent-elles malgré tout ?

Elles apparaissent parce qu’elles sont produites artificiellement ! Il ne s’agit pas de condensation, mais de la combustion de ces additifs dans le kérosène. Cela entraîne la formation de fausses traînées de condensation et la chute de polymères [substance chimique composée de macromolécules] sous la forme de fins filaments – comme une toile d’araignée.

Les analyses de ces substances ont révélé la présence de baryum, d’aluminium, de manganèse et d’une série d’autres éléments. Les biologistes précisent qu’il ne s’agit pas d’éléments normaux de l’atmosphère. Ils confirment : « Les « chemtrails » sont un phénomène artificiel ! Le baryum provoque de gros problèmes de capacité de régénération musculaire et endommage le cœur ainsi que les organes internes. L’aluminium est un métal neurotoxique qui a un impact négatif sur le système nerveux. Il contribue à la démence et déclenche des maladies comme l’Alzheimer et le Parkinson. On a également trouvé du dibromure d’éthylène, un insecticide classé dangereux pour la santé par l’Agence de protection de l’environnement. Ces produits, répandus par les avions civils et militaires, chutent assez rapidement vers le sol. Ils ont été clairement identifiés comme des polymères qui s’enchaînent en filaments. En 2012 déjà, ces fibres ont été analysées par un laboratoire français agréé et les résultats ont été consignés dans un rapport d’analyse. Ce sont des organismes polymères complexes à base de produits chimiques de synthèse. Il faut retenir qu’elles constituent une menace pour la santé publique et une pollution de l’environnement. »

Quatre échantillons analysés contenaient différents composés : des produits de synthèse toxiques. Trois d’entre eux contenaient du DEHP, un plastifiant redoutable qui affecte le système hormonal et peut être dangereux pour la reproduction.

Les conséquences de la géo-ingénierie illégale se font sentir sur les populations : Les maladies neurodégénératives, les accidents vasculaires cérébraux et les tumeurs se sont aggravés au cours des dix dernières années.

Mais à qui profite l’« arme climatique » de la géo-ingénierie ?

Le va-et-vient incessant des avions dans le ciel peut être expliqué comme une activité dans laquelle les responsables tels que les compagnies aériennes, les multinationales pharmaceutiques, les laboratoires de recherche, l’industrie de l’armement, les centres universitaires, etc. ont des intérêts différents. L’objectif principal est de créer, par le biais des éjections, une atmosphère adaptée aux exigences militaires et civiles dans le domaine de la communication sans fil. L’oxygène et la vapeur d’eau dans l’atmosphère affaiblissent les conditions de communication radio, la qualité de réception des satellites, des radars, du GPS, du WiFi des antennes relais. La géo-ingénierie doit permettre d’améliorer les communications radio.

Contrôler les phénomènes météorologiques signifie maîtriser l’économie et contrôler les ressources. Par exemple, les récoltes peuvent être endommagées ou détruites en raison d’une sécheresse prolongée ou de fortes pluies. Mais par ailleurs, les multinationales de l’agroalimentaire développent des semences génétiquement modifiées qui peuvent survivre dans les zones de sécheresse !!!

D’énormes profits sont également réalisés en spéculant sur les marchés financiers. Alors que les entreprises doivent faire face à des crises inattendues, il y a tout un tas de gens qui s’enrichissent en bourse à un rythme incroyable. La planification et le conditionnement des prix et de l’offre sont le moyen de réaliser des bénéfices exorbitants. La géo-ingénierie illégale est un gâteau géant. Sa valeur est astronomique. Après que l’ouragan Katrina a dévasté la Louisiane, des millionnaires appartenant au « cercle junior » de Bush ont remporté des marchés aux enchères pour reconstruire les usines.

Quels sont donc les défis auxquels nous sommes confrontés et comment pouvons-nous agir ?
Nous devons tout d’abord comprendre que s’opposer uniquement à cela revient à se préoccuper uniquement des générations futures. Nous devrions plutôt essayer d’impliquer des biologistes, des médecins, des pharmaciens, des écologistes, des politiciens sérieux et sincères, et leur demander de contribuer à la résolution des problèmes avec toutes leurs connaissances et compétences. Il faut mettre un terme à cette évolution illégale et ne plus permettre la dissimulation. La géo-ingénierie est une pollution aussi importante que celle de l’amiante, mais elle est 10 000 fois plus forte et s’étend à presque toute la planète. De plus, toute une série de comités jouent un rôle important dans la mise en œuvre de ces programmes de géo-ingénierie, pour laquelle les membres et les scientifiques de renom diffusent constamment de la propagande. Il est urgent de les démasquer, ainsi que les négationnistes professionnels payés par l’État et par ceux qui créent les crises et tirent ensuite de la misère de gigantesques profits. Nous devons donc atteindre le plus grand nombre de personnes possible, à commencer par nos voisins, nos parents et nos amis. Car il ne s’agit pas seulement de notre santé, mais surtout de la santé et de la vie des générations futures et de notre belle Terre, qui est manipulée de façon systématique et artificielle par l’homme.

de wou/avr/jtb

Sources / Liens

Geoengineering- Der geheime Krieg
https://odysee.com/@BehindTheMatrix:7/Solares-Geoengineering—Der-geheime-Krieg-(2015):e

Erklärung „exotische Waffen“ Text – H.R.2977 – 107th Congress (2001-2002): Space Preservation Act of 2001 | Congress.gov | Library of Congress Was ist Geoengineering? Geoengineering-Governance | Umweltbundesamt
https://www.umweltbundesamt.de/themen/nachhaltigkeit-strategien-internationales/umweltrecht/umweltvoelkerrecht/geoengineering-governance#was-ist-geoengineering

Zusätzliche Sendungen: Wetterpatente: Wo die Katastrophenmacher hocken
www.kla.tv/19915

Wird das Wetter verrückt gespielt?
www.kla.tv/23225

Dokumentarfilm: The Dimming – Kriegswaffe Wettermanipulation
www.kla.tv/19334

Wer die Nahrungsmittelversorgung kontrolliert, kontrolliert die Menschen
www.kla.tv/23292




Surmortalité post boosters — pourquoi ce silence médiatique ? STOPPONS L’INJECTION EXPÉRIMENTALE !

[Surmortalité post boosters1]

Par Nicole Delépine

Attention à la rentrée et à la volonté aveugle de nos dirigeants de poursuivre les injections toxiques et inefficaces, ne serait-ce que pour suivre aveuglément les ordres de la Commission européenne, non élue et non compétente en médecine qui veut écouler ses énormes stocks de pseudo vaccins et poursuivre le programme de dépopulation qui n’est plus caché par personne.

Le ministre de la santé « nouveau » aurait dit que pour résoudre le problème des urgences, il suffirait de « vacciner » plus de monde. A-t-on bien entendu ? Et pendant ce temps-là les citoyens des pays injectés continuent à compter leurs malades (de maux inexpliqués…) et leurs morts qui évidemment n’ont aucun rapport avec l’injection… Combien d’enterrements inattendus… une nouvelle pathologie inconnue ? Bah ! voyons, comme disaient certains.

Dans 29 pays, il est apparu une corrélation entre les injections de rappel anti covid et un excès de mortalité globale (du premier semestre 2022) par rapport aux années antérieures. Ce doit être le mauvais œil ou le mauvais alignement des planètes. Les gens vont-ils ouvrir les yeux, enfin ?

Prouvé : les rappels causent un excès de morts

Notre croque-mort national tenait chaque soir un décompte du nombre de décès attribués covid. Alors, pourquoi les morts de l’injection expérimentale appelée à tort « vaccins » sont-ils invisibles sur nos médias ?

Quelque chose de bizarre se passe et on ne le trouve nulle part dans les nouvelles ! Regardez un JT de 20 h : rien sur rien…

Beaucoup plus de personnes meurent maintenant que durant les années précédant la vaccination sans raison évidente et cette surmortalité est largement ignorée par les médias. Où sont les trackers de la télévision qui gardent une trace des décès quotidiens en excès ? Et ce qui est étrange, c’est que cela ne se produit pas seulement dans un pays, cela se produit en même temps dans de nombreux pays qui ont beaucoup vaccinés. Dans ces pays les gens meurent plus que la normale et personne ne semble savoir pourquoi ni vouloir en rechercher les causes.

Vous pourriez dire que c’est à cause de covid que nous assistons à tous ces décès en excès… Mais non. Trop de gens meurent et ce n’est pas à cause de covid.2

Quelque chose d’autre en est la cause ! Nous avons été soumis à de nombreuses restrictions et fermetures au cours des dernières années soi-disant pour éviter des décès. Maintenant, trop de gens meurent et personne ne semble se poser de questions ou même désirer d’en parler. Silence, on tourne et on enterre. Et bien non, ça ne tourne pas rond du tout… ce sont les vrais croque-morts qui alertent. Ils n’ont jamais vu cela.

Cet été, en Grande-Bretagne, il y a eu 10 355 décès toutes causes confondues en (Angleterre/Pays de Galles) en une semaine (Semaine 32) ! Ce sont presque 1000 de plus que la normale et en seulement une semaine ! Par rapport à la moyenne sur 5 ans, il s’agit d’une augmentation statistiquement significative (=qui ne peut pas être attribuée au hasard) de 10,1 %.

En Norvège, il y a également eu une augmentation massive du taux de mortalité, avec 18% de décès supplémentaires au premier trimestre 2022 par rapport à la même période en 2021, et aussi en Allemagne, en Suisse, etc.

Si nous examinons la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans à travers l’Europe, il y a eu une augmentation HORRIFIANTE de 1101% de la surmortalité jusqu’à présent cette année par rapport à la même période en 2021. POURQUOI ?

L’analyse statistique montre qu’il existe en 2022 une CORRÉLATION EXTRÊMEMENT FORTE entre les rappels des pseudo vaccins et les décès. Cette surmortalité globale constitue un signal d’alarme et un élément de réflexion qui doivent être analysés plus finement. Nous devons chercher plus loin pour mieux comprendre la causalité. Et en attendant, protégez vos proches, vos amis.

« Quel est le mécanisme sous-jacent entre la surmortalité en 2022 et les injections de rappel ? Pourrait-il s’agir de décès immédiatement après les vaccinations et les injections de rappel ? Se pourrait-il que les boosters n’offrent plus de “protection contre la mort”, mais augmentent plutôt les chances de mourir de Covid ? Pourrait-il s’agir de taux de réinfections plus élevés chez les personnes boostées ? » 

Les chiffres officiels montrent qu’il existe une association statistiquement significative très forte entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des rappels COVID.

RELATION PROUVÉE : Boosters COVID et surmortalité en 2022 dans l’article suivant :

https://igorchudov.substack.com/p/proven-relationship-covid-boosters

Les données de M. Plothe sont choquantes. Il partage des diapositives de ses graphiques sur un large éventail d’effets des « vaccins », surmortalité, mais aussi baisses de fertilité.

EN 2022 UNE SURMORTALITÉ TOUTES CAUSES CONFONDUES EST OBSERVÉE DANS TOUS LES PAYS APÔTRES DE LA PSEUDO VACCINATION ANTI COVID

Cette surmortalité n’est pas observée dans les pays qui ont échappé aux injections forcées et multiples : ni en Afrique, ni à Madagascar, ni en Inde, pays peu vaccinés.

La cinétique de la surmortalité suit celle des rappels de vaccination. De tels faits avérés justifient des recherches de causalité urgentes, mais le silence des médias permet aux gouvernements d’éluder le problème. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’enfin les médias et les citoyens se saisissent enfin du problème ?

Il faut cesser ces injections inutiles au moins pendant plusieurs années afin d’en faire un bilan objectif, mais ce n’est manifestement pas le souci des dirigeants occidentaux.3


1 https://igorchudov.substack.com/p/proven-relationship-covid-boosters

2 Nos autorités le crieraient bien fort pour inciter encore à plus de piqûres et de rappel encore et encore…

3 Au contraire, le plan des globalistes du World Economic Forum de Klaus Schwab est en train de se réaliser sous nos yeux : faire baisser la population mondiale, comme ne cesse de le réclamer Bill Gates et compagnie depuis plus de 2 décennies.




« Vacciner » un enfant contre le covid nécessite l’accord des deux parents

Par Nicole Delépine

Merci encore aux députés et sénateurs qui ont mis fin à la scandaleuse loi d’urgence sanitaire !

La suppression de cette négation de notre démocratie a entraîné la suppression de nombreuses mesures dérogatoires du droit commun et en particulier celle qui permettait à un parent de faire « vacciner » son enfant contre l’avis de l’autre, ainsi que le rappelle la Direction Générale de la Santé :

« DGS-Urgent n° 2022-73 : Évolution du formulaire d’autorisation parentale nécessaire à la vaccination contre la Covid-19 de toutes les personnes mineures

À la suite de la promulgation de la loi du 30 juillet 2022 mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie liée à la Covid-19, l’autorisation des deux parents est à nouveau nécessaire pour la vaccination de toutes les personnes mineures, en vertu du principe posé aux articles 371-1 et 372 du code civil, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent. »

Ainsi si un seul des deux parents n’est pas dupe des mensonges d’état prétendant que la pseudo vaccination anti-covid serait utile et sans danger, il peut à nouveau protéger son enfant.

Rappelons en effet que :

Les enfants ne risquent rien du covid (3 fois moins que de la grippe saisonnière).1 2 3

Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission.4 5 6 7 8 9 10 11 12

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent pas d’attraper la covid :

Les pseudo vaccins n’évitent pas les transmissions.

Les pseudo vaccins n’évitent pas les formes graves :

Les pseudo vaccins exposent les enfants qui les reçoivent à de nombreuses complications dont des myocardites.

Les enfants n’ont rien à gagner des pseudo vaccins, leurs proches non plus.

Les pseudo vaccins anti-covid n’auraient jamais dû être autorisés chez l’enfant car leur balance avantage/risque est très fortement défavorable.

Protégez votre enfant, refusez les pseudo vaccins anti-covid !


1 Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020

2 LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China — the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9

3 Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

4 Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology,
https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001

5 Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648

6 Shu Yang Early estimation of the case fatality rate of COVID-19 in mainland China: a data-driven analysis Annals of Translational Medicine, Vol 8, No 4 February 2020 Page 5 of 6

7 Intervention Team CDC COVID-19. Coronavirus Disease 2019 in Children—US February 12th April 2. MMWR Morb Mortal Wkly Rep. 2020 10 avril ; 69 (14) : 422-426 doi: 10.15585 / mmwr.mm6914e4.

8 Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.

9 Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI :
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

10 http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-grands-parents-peuvent-aller-chercher-leurs-petits-enfants-lecole-et-les

11 [5] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903

12 Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020;146(2):
https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576




France — François Braun, nouveau ministre de la Santé face aux urgences

[Source : contrepoints.org]

Par Bernard Kron

Les drames aux urgences ont rebondi avant l’été avec le retour massif à l’hôpital des malades non covid. En 2019 les services d’urgences connaissaient déjà la crise la plus grave depuis plus de 10 ans avec 25 000 000 passages par an. Il n’était pas rare de rester 12 heures sur un brancard avant d’être pris en charge. Désertées par les malades paniqués par la covid pendant la pandémie elles connaissent un nouvel afflux alors que 20 % des lits sont fermés faute de personnels.

[Note de Joseph : la situation des urgences et des services de Santé en général au Québec est très voisine de la française, pour des causes également similaires.]

François Braun, ancien Président de Samu-Urgences de France n’a jamais été ni élu, ni militant politique. Il va donc agir en technicien sauf si il est empêché par une mauvaise feuille de route.

Le malaise hospitalier est extrêmement profond avec un été à hauts risques du fait des pénuries de personnels. Au moins 120 services sont en détresse. Le personnel manque et fatigue, ce qui impose des fermetures. Pour l’instant le bilan de l’été est mitigé car on ne sait pas encore quels appels au SAMU n’ont pas abouti et s’il y a eu des morts par retard de prise en charge.

La liste est longue des hôpitaux en difficultés.

Gilbert Mouden, infirmier anesthésiste et représentant du personnel Sud Santé Sociaux a expliqué qu’« aux urgences du CHU de Bordeaux, les patients seront accueillis par deux bénévoles de la Protection civile et un agent de sûreté. » Par manque de personnels soignants, l’hôpital de Bordeaux a décidé de fonctionner en mode dégradé le soir et la nuit car « environ 40 % des médecins urgentistes sont sur le départ ou en arrêt de travail en lien avec des burn-out. »

Le service des urgences de l’hôpital de Arles, qui accueille environ 36 000 patients par an, fonctionne avec 40 % d’intérimaires pour combler les postes de médecins vacants.

Dans le Puy-de-Dôme, le Rhône, la Sarthe, la Corse, la Mayenne, la Vendée… les services d’urgence s’organisent en conséquence entre fermetures complètes du service ou uniquement la nuit.

À l’hôpital de Laval la situation est aussi « effrayante ». Depuis mars, les urgences sont fermées par tranches de 12 heures. Seules les urgences vitales seront prises en charge.

Élisabeth Borne a retenu les 41 propositions de la mission flash qui avait été confiée au futur ministre pour sauver les urgences. Elle avait souligné « trois axes forts» ciblés pour une durée de trois mois. Elles feront l’objet d’une évaluation à la fin septembre pour envisager leur devenir.

Les défis immédiats et urgents sont considérables. La pénurie de soignants est dramatique.

« Les soignants sont tracassés et fracassés. Par une sélection ubuesque en première année, par un Externat où ils font plus de travail subalterne que de la vraie formation, par un internat trop tardif et pas assez encadré. Épuisés, le suicide ou l’abandon de ces métiers en sont la conséquence. » Blouses Blanches colère noire.

La réorganisation des urgences, une priorité

À l’hôpital, un « électrochoc » sur les moyens et les effectifs est réclamé à cor et à cris. Sans changer de fond en comble l’organisation hospitalière, rien ne sera possible.

La solution ? Lutter contre le covid ! « Le ministre pense qu’une des solutions passe par la vaccination massive ». Il est pro vaccin pour tous et pro pass. Très inquiétant pour le projet de loi du 11 juillet car l’efficacité de la quatrième dose est fugace et annonce la cinquième dose.

Un signal contradictoire pour ce vaccinolâtre pourrait être donné : réintégrer les soignants suspendus. Cela se posera avec acuité si les soignants vaccinés refusaient la quatrième dose.

Le Service d’Accès aux Soins

Madame Borne a expliqué aux soignants hospitaliers :

« Ce que je souhaite, c’est que chacun puisse prendre le réflexe du 15 et ne pas venir systématiquement aux urgences. C’est impossible que l’hôpital et les urgences puissent faire face à tous les besoins de soins des Français […] Cette bonne orientation, on l’a vu ici, c’est la clé pour ne pas mettre une trop forte pression sur les services d’urgences cet été ».

La Première ministre se trompe mais elle est là pour mettre en musique le Ségur de la Santé.

Le Service d’accès aux soins lancé dans le cadre du Pacte pour la refondation des urgences et réaffirmé lors du Ségur de la santé, est une lourde erreur.

Son objectif est de répondre à la demande de soins vitaux, urgents et non programmés partout et à toute heure, grâce à une chaîne de soins lisible et coordonnée entre les acteurs de santé de l’hôpital et de la ville d’un même territoire.

Le SAS a peine à décoller. Sur les 22 sites pilotes désignés par le ministère de la Santé, nombreux sont ceux qui rencontrent des difficultés organisationnelles ainsi qu’un manque cruel d’effectifs.

Certains médecins engagés dans des projets ont même décidé de mettre fin à leur participation, dénoncent les rémunérations insuffisantes actées dans le cadre de l’avenant 9 à la convention médicale en juillet dernier.

C’est une totale utopie faute de personnels suffisants, bien formés et de soignants disponibles pour les recevoir. De nouveaux drames au SAMU ne vont pas manquer de sortir en automne après un été difficile.

Bed manager et revalorisation des gardes

Le poste de bed manager a été créé pour éviter l’attente sur un brancard : ce professionnel fait au quotidien l’inventaire des lits, renseigne les services sur la disponibilité en lits des établissements du territoire, et anticipe les besoins pour le week-end ou les jours fériés. 

À l’hôpital, une revalorisation de 50 % de la rémunération des gardes de nuit des médecins va être expérimentée sur trois mois. L’intersyndical Action Praticiens Hôpital (APH) réclamait un doublement de la rémunération des gardes (600 euros brut). Les majorations de nuit pour les autres soignants seront doublées.

Incitation tarifaire

Les Unions régionales des professionnels de santé ont appellé à la mobilisation tous les professionnels de santé.

La majoration de 15 euros pour encourager les médecins généralistes libéraux à accueillir des soins non programmés, la revendication de la majoration de 15 euros pour les consultations de patients extérieurs au cabinet a été acceptée, lorsque ceux-ci sont adressés par le 15. Les maisons médicales de garde pourront également être ouvertes le samedi matin, avec des consultations majorées de 15 euros.

La régulation médicale par les médecins libéraux sera revalorisée à 100 euros de l’heure cet été et les praticiens bénéficieront d’une couverture assurantielle garantie par les établissements de santé.

Les déserts médicaux

En ville, la question des déserts médicaux s’est imposée lors de la campagne présidentielle. Des arbitrages délicats sont réclamés sur la liberté d’installation et le conventionnement sélectif.

Agnès Firmin-Le Bodo, ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé, a « toujours été contre » la contrainte à l’installation.

Elle promet d’associer les représentants des élus locaux, les Unions régionales de santé, les professionnels de santé, les associations de patients et les agences régionales de santé mais aussi de travailler main dans la main avec sa collègue Caroline Cayeux, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales.

Il faudrait revenir à un internat régional pour éviter des mesures coercitives qui seraient contre-productives. Rien ne pourra se faire sans réformer les études de médecine et l’internat.

Les études de médecine sont trop longues et trop théoriques. L’internat de médecine générale est trop tardif et pas assez formateur. Le prolonger d’une année pour envoyer les internes dans les déserts médicaux serait une fausse bonne idée. Il faut au contraire le rendre accessible dès la cinquième année. Il y aurait ainsi davantage de médecins mieux formés sur le marché, probablement plus de 10 000 en trois ans.

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Les raisons sont anciennes.

Les cliniques privées et les médecins libéraux participaient à la prise en charge des urgences. Beaucoup ont fermé. Les contraintes et une tarification insuffisante les en ont détournés.

Six millions de Français n’ont plus de médecin traitant. Ils affluent aux urgences pour le moindre bobo. La quasi gratuité fait le reste.

La complémentarité public/privé a été détruite depuis 1996. Les cliniques regroupées dans des chaînes ne sont plus intéressées par les urgences avec une tarification en moyenne quatre fois inférieure pour les actes non programmés par rapport à l’hôpital.

Quelles solutions ?

Tout devrait commencer par la formation des médecins lors du deuxième cycle. La culture de l’urgence s’apprend. Elle ne doit pas reposer sur les seuls urgentistes. Les médecins généralistes devraient savoir suturer et immobiliser une fracture.

Comme c’était le cas pour les générations précédentes, les internes devraient être formés à leur prise en charge. Rien ne les prépare à la fonction d’interne.

Les docteurs junior ne seront en responsabilité qu’en quatrième année. Il faudra donc attendre un an avant que leur formation leur permette de s’occuper des urgences. Quel retard !

L’État a essayé de tuer les cliniques mais c’est l’hôpital qui meurt !




Lettre ouverte à Mr Michel Onfray, philosophe et polémiste

Par DR Gerard Delépine

Monsieur,

Ce fut un immense plaisir de vous entendre sur Cnews sur l’émission de Yvan Rioufol, le dimanche 4 septembre 2022, plaider avec détermination et éloquence pour la sortie de l’Europe de Maastricht. Ce fut un ravissement de vous entendre défendre une ligne politique souverainiste cohérente en cette période où tant de politiques se comportent en girouettes, mais toujours pro Maastricht, pour plaire aux électeurs d’après les sondages biaisés dont nous abreuvent les médias dominants.

Créer un mouvement d’union large pour le Frexit qui se présenterait aux élections européennes donnerait enfin de l’espoir à la majorité des classes populaires et devrait les motiver pour sortir de l’abstention où les a enfermés jusqu’à présent l’absence d’alternance politique crédible.

Mais pour être totalement crédible, il est nécessaire que vous constatiez et admettiez votre erreur lorsque vous avez réclamé une « obligation vaccinale » anti-covid comme Ursula von der Leyen le demandait. On peut comprendre que vous ayez « cru » en un médicament abusivement qualifié « vaccin » présenté comme « la solution » à la crise covid. Je ne conteste pas non plus votre droit à vous le faire injecter, mais votre célébrité utilisée dans cette manipulation mondiale nous a attristé, effondré.

Ce traitement est expérimental, car ses essais phase 3 ne sont pas terminés (ils le seront peut-être en 2023). Imposer une obligation pour un médicament expérimental est contraire au code de Nuremberg(([1] https://famous-trials.com/nuremberg/1903)), base de l’éthique médicale depuis 1946(([2] https://nouveau-monde.ca/les-decisions-du-proces-de-nuremberg-sont-dune-brulante-actualite/)), mais aussi à la déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale(([3] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)), et à la convention d’Oviedo(([4] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention)), texte juridique contraignant que la France a signé et transposé en droit national.

L’avis du conseil de l’Europe du 27 janvier 2021(([5] https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-004802_FR.html)) l’a rappelé en demandant instamment aux États membres et à l’Union européenne de :

« s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

L’absence de consentement libre et éclairé pour un traitement expérimental a, en effet, été le principal motif de la condamnation des médecins nazis lors du procès de Nuremberg.

Je suis médecin, j’ai exercé en France près de 50 ans. De principe je ne suis ni pro ni anti-vaccin. J’ai toujours défendu les vaccins efficaces sans danger qui permettent d’éviter les maladies graves. Je suis contre les vaccins inutiles et contre les vaccins insuffisamment étudiés comme celui contre la dengue (qui a causé des centaines de morts aux Philippines), comme le vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer invasif du col) et, pour l’instant, contre les pseudos vaccins Covid dont l’efficacité prétendue est contredite par les données officielles de l’OMS.

Les données officielles de l’OMS confirment en effet que loin d’éradiquer la maladie les campagnes de vaccination ont été suivies d’une accélération des contaminations (rythme mensuel de nouveaux cas par million multiplié par 3).

Cet échec des pseudo vaccins n’est pas dû aux non-vaccinés comme tente de le faire croire la propagande dominante, car les données officielles de l’OMS montrent que ce sont les pays très vaccinés qui souffrent de cette explosion de contaminations.

L’inefficacité totale des pseudo vaccins à prévenir les transmissions, maintenant prouvée, enlève toute justification à une éventuelle obligation vaccinale. De même les vaccins ne sont pas efficaces contre les formes graves, car les mortalités n’ont pas diminué depuis les vaccins.

Toutes les données présentées, officielles et publiées par l’OMS, démentent formellement la propagande officielle de la prétendue utilité des injections anti-covid. L’acceptation apparente des injections par la population a été extorquée par des mensonges permanents sur la nature et l’efficacité des pseudovaccins et des chantages répétés d’une violence extrême excluant des catégories de professionnels de leur sacerdoce et les discriminations exercées contre les vaccino prudents :

car la sécurité alléguée des vaccins n’a pas été confirmée, bien au contraire. De nombreux médecins le craignaient d’emblée, car leur élaboration a utilisé des techniques nouvelles jamais employées en infectiologie, a souvent sauté les étapes de sécurité :

pas d’études animales sérieuses, essai mélangeant phase 2 et 3, trop peu de sujets dans les essais, études sur des sujets en bonne santé de 18 à 55 ans qui ne constitue pas la population pour laquelle le vaccin pouvait être utile), recul de suivi ridicule (quelques semaines) et leur mise sur le marché trop rapide.

De même leurs indications, qui pouvaient se discuter pour les personnes à risques (pour lesquels existaient d’emblée des traitements précoces efficaces) n’auraient jamais dû concerner la majorité de la population (les moins de 65 ans) qui ne risquait presque rien et les enfants qui ne risquaient rien du tout. De ce point de vue, les chiffres actuels des organes officiels de surveillance des accidents vaccinaux (VAERS aux USA et Eudravigilance en Europe) sont angoissants et confirment qu’on aurait dû appliquer le principe de précaution tant que les essais n’étaient pas terminés.

Compte tenu de ces données, il paraîtrait utile que vous reveniez sur votre position passée sur l’obligation pseudo vaccinale (que d’ailleurs aucun pays démocratique n’a imposée). Étant donné la propagande actuelle pour un xième booster, et surtout pour l’injection des jeunes selon les préconisations de la Commission européenne que le gouvernement français suit rigoureusement, et par ailleurs votre célébrité, vous pourriez aider à protéger singulièrement les enfants et les jeunes.

Il est toujours difficile de reconnaître ses erreurs passées, mais une telle attitude grandit ceux qui en sont capables. La Première ministre norvégienne, Erna Solberg, a reconnu à la télévision que le confinement était inutile et qu’elle l’avait décrété par peur ; elle a été félicitée pour cela par ses compatriotes. Merci de l’imiter !

Je regrette d’avoir été aussi long, mais l’énoncé des faits avérés est nécessaire tant les mensonges officiels sont permanents. Je reste à votre disposition pour vous fournir tout renseignement que vous pourriez désirer sur ce problème. En vous souhaitant beaucoup de succès dans vos projets.

Bien à vous.

DR Gerard Delépine, chirurgien orthopédiste cancérologue et statisticien





Scandale en Israël : comment le gouvernement a découvert de graves problèmes de sécurité avec les injections COVID et les a dissimulés

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

J’ai déjà traduit et repartagé des textes de Steve Kirsch. Ingénieur diplômé du prestigieux Massachussets Institute of Technology, entrepreneur à succès, celui-ci s’est mobilisé depuis le début de la crise Covid pour dénoncer les innombrables corruptions de la science servant à imposer des politiques publiques absurdes et destructrices.

Travailleur infatigable, il n ‘a cessé de produire des interpellations et des articles fort bien documentés, mais restant évidemment lettre morte : cela fait longtemps que les autorités systémiquement corrompues ont fermé les écoutilles face aux critiques, et même d’autant plus que celles-ci sont pertinentes ! Nous avons exactement le même problème ici : le Conseil fédéral par exemple a bien évité de répondre à la plupart des courriers de l’avocat valaisan Jacques Schroeter.

  • Pour lire « Probablement le plus gros mensonge de tous les temps » : l’interpellation d’un avocat au gouvernement suisse sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Tout comme la Revue médicale suisse (la feuille de chou quasi-officielle de Big Corruption et Big Pharma) s’est bien gardée de répondre à la Lettre ouverte d’un éminent médecin-chercheur que j’ai relayée (pour préserver l’anonymat de cet expert) en réponse à article de propagande pour la « vaccination » des femmes enceintes truffé de manipulations et d’erreurs.

  • Pour lire « Vaccination génique des femmes enceintes : lettre ouverte d’un chercheur à la Revue médicale suisse » : cliquer ici.

Silence radio, évidemment.

Les autorités et les agences de santé ne veulent actuellement rien savoir des faits, les hôpitaux universitaires et les sociétés médicales non plus. Drôle de monde dirait-on s’il n’y avait actuellement des millions de morts à travers le monde à la clé et des centaines de millions de vies affligées par des effets dommageables bien plus fréquents et souvent hélas beaucoup plus graves que ce les complices de ce crime mondiale en disent.

C’est donc une drôle d’aubaine pour ceux qui défendent le camp de l’honnêteté intellectuelle et des données véridiques quand la preuve peut être donnée que des autorités de santé ont délibérément dissimulé la réalité des dommages qui avaient pourtant été établie. C’est ce qui se passe actuellement en Israël, avec, je vous le donne en prime : une omerta monstrueuse des autorités et de la presse.

Laquelle on le sait, là-bas comme ici, n’est plus qu’une truanderie en bande organisée au service des cercles criminels qui organisent cette dérive. Hélas.

Voici donc le dossier complet publié par Steve Kirsch sur son blog de Substack, traduit par mes soins. Comme y invite Steve, c’est à diffuser et re-partager massivement. N’hésitez surtout pas à faire connaître cet article ou à le re-publier sur vos pages !

[PDF correspondant à l’article :]


Exclusif : Preuve qu’Israël a découvert de graves problèmes de sécurité avec les vaccins COVID et les a délibérément dissimulés.

Israël n’a commencé à recueillir des données de sécurité qu’un an après le début du programme de vaccination. Ils ont rassemblé des données sur 6 mois et ont découvert que les vaccins n’étaient pas sûrs, alors ils ont menti au monde entier à ce sujet.

Steve Kirsch, 2 septembre 2022

Le Dr Sharon Alroy-Preis, directrice des services publics du ministère de la Santé et conseillère principale de COVID auprès du gouvernement israélien, n’a aucun problème à dissimuler des informations vitales sur la sécurité des vaccins COVID pour les faire passer pour sûrs. Pourquoi n’ont-ils pas publié la présentation originale faite par l’équipe de sécurité ? Une enquête doit être menée au plus vite sur ce qui s’est passé, mais le chef du ministère de la Santé, Nitzan Horowitz, ne la réclame pas. Est-il lui aussi corrompu ?

C’est l’article le plus IMPORTANT que j’ai écrit à ce jour.

Il s’agit de l’article le plus important de mon blog Substack (qui compte plus de 700 articles). Ce seul article devrait faire s’écrouler le château de cartes s’il n’y a qu’une seule personne honnête en position d’autorité dans le monde.

Le point le plus important est le suivant :

Sur la base de la corruption du gouvernement, des données de sécurité et de la corrélation entre le vaccin et les décès, le principe de précaution de la médecine exige l’arrêt immédiat du programme de vaccination COVID.

Les faits essentiels en quelques mots :

  1. Les autorités sanitaires israéliennes savaient que les vaccins étaient nocifs pour la population : les effets secondaires du vaccin ne sont ni légers ni de courte durée. En fait, dans 65% des cas neurologiques qui ont mentionné la durée, les symptômes sont tous continus.
  2. Ils ont également établi la causalité : les effets secondaires ont été causés par le vaccin. C’est quelque chose que personne d’autre n’avait été capable d’établir auparavant.
  3. Ils ne savent pas quelle est la gravité du préjudice parce qu’ils n’ont examiné que les données des cinq premières catégories. La catégorie « troubles cardiovasculaires » était la sixième. Ils n’ont donc examiné qu’une fraction des données.
  4. Les chercheurs ne connaissent pas la prévalence de ces effets secondaires graves, car on leur a simplement fourni le numérateur, et non le dénominateur (comme pour le VAERS).
  5. Les autorités israéliennes ont délibérément dissimulé les problèmes de sécurité et les ont cachés au monde entier, en publiant un faux rapport disant essentiellement « il n’y a rien de nouveau à voir ici, circulez ».
  6. La seule bonne nouvelle dans tout cela, c’est qu’Israël a empêché les Palestiniens de recevoir ce vaccin très dangereux. C’était très humain de la part des Israéliens.
  7. Au 4 septembre 2022, personne n’est tenu pour responsable et tout le monde ignore cette histoire qui fait l’effet d’une bombe :
  • Il y a un black-out de la presse sur la couverture de cette affaire en Israël. Les médias israéliens refusent même de regarder les preuves.
  • Personne en Israël n’est tenu responsable de cette corruption. Il n’y a même pas d’enquête.
  • Personne dans la communauté médicale mondiale ne s’exprime non plus sur cette corruption, alors qu’elle touche des personnes partout dans le monde.
  • Les grands médias du monde entier n’en parlent pas.
  • Aucun fonctionnaire, aucun responsable de la santé publique ni aucun média grand public dans le monde ne réclame une enquête, personne ne veut voir le rapport d’expertise original ni les données de sécurité qu’ils ont recueillies.
  • Nous avons en notre possession la vidéo complète et les diapositives qui ont été présentées ; utilisez le lien « Contactez-moi » si vous êtes une autorité sanitaire et que vous souhaitez la voir avant qu’elle ne soit diffusée au public.
  • Pour m’assurer que le CDC est au courant, je viens d’envoyer un courriel à des centaines de personnes du CDC qui sont impliquées dans les vaccins COVID (y compris Rochelle Walensky) pour leur faire savoir que le rapport et la vidéo sont disponibles. Tout ce qu’ils ont à faire est de cliquer sur répondre. Je parie que pas une seule personne au CDC ne veut le voir. Nous sommes sur le point de découvrir à quel point la corruption est profonde au CDC.
  • Il n’est pas surprenant qu’ils l’ignorent. Toutes les données négatives sur le vaccin sont ignorées. Par exemple, lorsque j’ai découvert que les jeunes médecins canadiens mouraient à un taux plus de 12 fois supérieur à la normale après le deuxième rappel, l’Association médicale canadienne, dont le rôle est de défendre la santé des médecins, a refusé de commenter. J’ai envoyé cinq demandes et ils ont ignoré toutes les demandes. Elle devrait modifier son site Web pour indiquer qu’elle défend les intérêts des sociétés pharmaceutiques, et non la santé des médecins.

Plus précisément :

  1. Le ministère israélien de la santé a mis 18 mois à compter de la date de lancement du vaccin avant d’examiner les données de sécurité du vaccin COVID pour voir ce qu’elles disent.
  2. Ils n’ont commencé à collecter des données de sécurité qu’en décembre 2021, un an après le lancement des vaccins auprès du public. Peu de gens le savaient.
  3. En décembre 2021, ils ont chargé un groupe d’experts extérieurs dirigé par le professeur Mati Berkowitz, un éminent expert israélien en pharmacologie et toxicologie de l’hôpital Asaf Harofe, d’examiner les données de sécurité qu’ils ont recueillies au cours des six mois suivants (de début décembre à fin mai 2022).
  4. Le groupe a présenté ses conclusions au personnel du ministère de la santé le 6 juin 2022 ou aux alentours de cette date, lors d’un appel Zoom enregistré secrètement. Ils ont découvert que les vaccins COVID étaient beaucoup plus dangereux pour les personnes que ne l’admettaient les autorités mondiales. Ils ont découvert des effets indésirables graves qui n’ont jamais été divulgués par Pfizer ni par aucun gouvernement mondial. Ces effets indésirables n’étaient pas non plus de courte durée comme on l’avait dit au public.
  5. Ils ont également déterminé la causalité, ce qu’aucune autre autorité sanitaire mondiale n’a jamais été disposée à faire (parce que les autres gouvernements n’ont jamais examiné les données non plus). Le lien de causalité était à la fois évident et facile à prouver à l’aide des données de remise en question qui ont été recueillies (vous ne pouvez pas le faire en utilisant les données du VAERS américain, par exemple).
  6. En bref, le panel a déterminé que le gouvernement trompait le peuple d’Israël.
  7. Nous ne savons toujours pas à quel point les vaccins sont dangereux, car l’équipe externe n’a examiné que les cinq événements les plus fréquemment cités.
  8. Tant les autorités israéliennes que les scientifiques qui analysent les données du ministère de la santé ont agi pour dissimuler les dommages en publiant un rapport fabriqué de toutes pièces pour faire passer le vaccin pour parfaitement sûr et prétendre qu’il n’y avait rien d’anormal….
  9. Ce n’est que grâce aux efforts d’une personne courageuse qui a publié l’enregistrement de la réunion Zoom complète entre le ministère de la santé et son groupe d’experts que nous savons maintenant ce qui a été dit lors de cette réunion et ce que les données ont révélés. Sinon, le monde serait toujours dans l’ignorance.
  10. Les dirigeants de nos « institutions de confiance » du monde entier n’ont absolument rien dit après que la nouvelle ait éclaté le 20 août 2022. Cela suggère qu’il y a une corruption généralisée dans la communauté médicale, les agences gouvernementales, parmi les responsables de la santé publique, les médias grand public et les entreprises de médias sociaux du monde entier : ils ne reconnaîtront aucun événement qui va à l’encontre du récit dominant.
  11. C’est un niveau de corruption sans précédent. Les atrocités commises ici sont claires et nettes. Tout le monde devrait s’exprimer et demander une enquête complète et une évaluation exhaustive des données de sécurité recueillies par le gouvernement israélien.

Ce que vous devez faire

Les trois choses les plus importantes que vous pouvez faire pour mettre un terme à ces vaccins dangereux sont les suivantes :

  1. Lisez cet article, y compris les liens recommandés dans la section Références.
  2. Partagez cet article avec le plus grand nombre de personnes possible (par exemple, partagez-le sur tous vos comptes de médias sociaux dès maintenant).Partager l’article original en anglais.
  3. Veuillez vous abonner à mon blog (en anglais) pour que je puisse vous tenir au courant des développements. Plus la portée collective des personnes qui contestent le faux récit sera grande, plus vite la vérité éclatera. L’inscription est totalement gratuite.

Résumé détaillé

Le ministère israélien de la santé (MDS) a été informé par son propre groupe d’experts extérieurs sélectionnés par ses soins et dirigés par le professeur Mati Berkowitz que les vaccins COVID n’étaient pas aussi sûrs que le MDS l’avait affirmé à la population israélienne. C’est tout le contraire : au lieu d’effets bénins et de courte durée, les effets étaient graves et de longue durée. En ce qui concerne les effets secondaires neurologiques, dans 65 % des cas, ils n’ont pas disparu du tout (commencez à regarder cette vidéo à 2:30 ; les 65 % sont à 3:09) et les chercheurs ont admis qu’ils ne savaient pas s’ils allaient disparaître un jour.

Au lieu d’admettre son erreur, le ministère de la santé l’a couverte en publiant un rapport qui déforme le rapport d’expertise.

En outre, les experts ont également couvert efficacement le problème en ne disant rien lorsque cela s’est produit. Ils sont restés les bras croisés pendant que le ministère de la Santé déformait les données. Il semble que toutes les personnes impliquées aient été tellement intimidées qu’elles se sont senties obligées de taire la vérité, même si cela pouvait coûter des vies.

Le 20 août, le public a enfin appris que le gouvernement n’avait pas surveillé les effets indésirables pendant un an, puis, après avoir rassemblé les données sur l’innocuité du vaccin, qu’il les avait délibérément manipulées pour faire croire que le vaccin était sûr alors qu’il ne l’était pas. On pourrait penser qu’il y aurait une indignation majeure face à la violation de la confiance du public. Mais il n’y a rien eu. Aucune réaction. Le Dr Sharon Alroy-Preis, directrice des services publics du ministère de la Santé et conseillère principale du COVID auprès du gouvernement israélien, n’a fait aucune déclaration publique. C’est stupéfiant.

Cela suggère qu’elle et les autres membres de son organisation qui étaient au courant étaient impliqués dans la dissimulation. Le peuple israélien devrait exiger qu’ils soient licenciés et poursuivis pénalement.

En outre, l’actuel ministre de la Santé, Nitzan Horowitz, ne fait rien. Pourquoi ne demande-t-il pas une enquête ? Il devrait lui aussi être licencié. Ou bien la corruption de la science est-elle acceptable pour le gouvernement israélien ?

Enfin, jusqu’où va la corruption ? Les grands médias israéliens couvriront-ils cette histoire ? Pourquoi pas ? Un membre du parlement israélien demandera-t-il une enquête ? Un membre de l’exécutif demandera-t-il une enquête ?

Il me semble qu’ils sont tous achetés par les compagnies pharmaceutiques. Est-ce que je me trompe ?

C’est une histoire de corruption, pure et simple.

Il n’y a aucun moyen de donner une tournure positive à cette affaire. Toute personne au pouvoir qui ne demande pas une enquête et que des têtes tombent est tout aussi corrompue que les personnes qui ont participé à la dissimulation initiale du rapport de sécurité.

Cette histoire est le « pistolet fumant » que nous attendions : une agence gouvernementale officielle a été filmée en train de recevoir un rapport alarmant de scientifiques et a ensuite délibérément menti au public à ce sujet.

La réponse à cette histoire a été « silence radio » jusqu’à présent.

La presse israélienne (qui est fortement contrôlée par l’État) a refusé de s’approcher de l’histoire ; elle n’a même pas répondu lorsqu’elle a été contactée à ce sujet. Les médias ne veulent voir aucune des preuves.

Au moment où j’écris ces lignes (2 et 3 septembre), un seul média, GB News au Royaume-Uni, en a parlé.

C’est à nous de forcer nos dirigeants médicaux, sanitaires et politiques du monde entier à prendre position sur ce qui s’est passé. Le condamneront-ils ou l’ignoreront-ils ?

Tous les leaders de la médecine traditionnelle devraient dire que ce que le ministère de la Santé a fait est une erreur et demander une enquête immédiate sur la sécurité des vaccins. Nous devrions être en mesure de voir la présentation complète du groupe d’experts et son rapport. Et les données relatives à la sécurité devraient être rendues publiques, comme le sont les données du VAERS.

Mais regardez ce qui s’est passé : ils ne condamnent pas ce qui s’est passé et ils ne demandent pas le rapport ou les données. Ils restent silencieux… comme si cela n’était pas arrivé.

Ils disent tous en substance : « Il est acceptable qu’un gouvernement ne contrôle pas la sécurité des vaccins pendant 12 mois, puis, après 6 mois de contrôle de la sécurité et la preuve évidente des dégâts causés, déforme délibérément les données de sécurité au public. »

Introduction

Il s’avère que le gouvernement israélien n’a jamais mis en place un système de contrôle de la sécurité des vaccins lorsqu’il a lancé les vaccins COVID en décembre 2020.

Finalement, en décembre 2021, soit plus d’un an après le début du programme de vaccination, ils ont décidé de corriger ce défaut. Ils ont commencé à recueillir des données de sécurité à partir de ce moment-là jusqu’à la fin du mois de mai 2022. Ils ont ensuite chargé un groupe de recherche extérieur, dirigé par un scientifique israélien de haut niveau, d’analyser ces données.

Le rapport a révélé que les effets secondaires n’étaient pas légers ni de courte durée, contrairement à ce qui était présenté au peuple israélien. Les données étaient claires : les effets secondaires étaient graves et de longue durée (parfois sans fin en vue).

En bref, les données ont montré que le gouvernement, qui ne contrôlait pas la sécurité comme il le prétendait, a menti au peuple d’Israël. De plus, il est maintenant clair que le Dr Sharon Alroy-Preis a menti au comité externe de la FDA (Food and Drug Administration états-unienne, NdT) au sujet de la surveillance de la sécurité israélienne.

Le ministère de la Santé a dissimulé le rapport de sécurité pendant deux mois, puis a publié un rapport public trompeur pour faire croire que le vaccin était sûr. Ce dimanche 4 septembre, ils vont  » demander  » au comité de sécurité des vaccins de recommander la 5e dose (le vaccin combiné) pour les plus de 60 ans. C’est de la corruption. Ils cachent les données de sécurité au public et ils le savent.

Il a fallu deux mois au ministère de la santé pour déformer les résultats et les présenter au public afin de faire croire que les vaccins COVID étaient sûrs.

Personne ne savait que quelqu’un enregistrait secrètement la réunion entre les chercheurs extérieurs et le ministère de la Santé.

Personne ne savait que la réunion de juin entre les chercheurs et le ministère de la Santé était enregistrée.

Apparemment, il y avait une personne honnête à la réunion et lorsque le ministère de la santé n’a pas agi de manière à protéger le public, l’enregistrement a été divulgué à la presse.

Dans l’enregistrement de 80 minutes, l’un des chercheurs déclare : « Nous devrons penser médico-légal – comment présenter nos résultats pour éviter les poursuites judiciaires. »

Après que des extraits de l’enregistrement ont été divulgués à la presse, aucun des médias israéliens n’a voulu couvrir l’histoire. En fait, un seul média dans le monde, GB News au Royaume-Uni, a accepté de la couvrir. Regardez cette vidéo de l’interview de Neil Oliver par GB News, qui a eu lieu le 20 août 2022.

Fox News a été informé mais a refusé de couvrir l’événement (apparemment parce que leurs contrats publicitaires avec Pfizer leur interdisent de couvrir toute nouvelle négative concernant les vaccins).

Toute l’escroquerie a été révélée au public le 1er septembre 2022 dans ce tweet (de 10 messages) de Yaffa Shir-Raz, une journaliste honnête vivant en Israël.

Je l’ai découvert lorsque Retsef Levi m’a transmis le tweet de Yaffa sur mon compte WhatsApp (étant donné que je suis définitivement banni de Twitter pour avoir dénoncé le manque de sécurité des vaccins). Ma réaction a été rapide… J’ai commencé à rédiger cet article quelques minutes après avoir lu ce tweet.

Le tweet de Yaffa évoque les techniques qui ont été utilisées pour déformer les conclusions des chercheurs :

Si Twitter retire son tweet, j’ai une copie de la vidéo et du tweet complet que je publierai si nécessaire.

La causalité des nouveaux événements indésirables a été prouvée par l’équipe externe.

En outre, de nouveaux événements indésirables significatifs ont été identifiés et le lien de causalité a été établi en interrogeant à nouveau la même personne ; si le symptôme réapparaît ou s’aggrave, c’est un signe certain de causalité.

La causalité a même été établie dans des domaines où les chercheurs n’avaient pas connaissance de problèmes auparavant. Par exemple, pour les problèmes neurologiques, pour lesquels il n’y avait même pas de question d’enquête spécifique (parce que ce n’était pas un effet secondaire officiellement établi), le signal a été détecté en lisant les champs libres.

Points supplémentaires

L’équipe extérieure a été engagée par le ministère de la santé.

La réunion avec le ministère de la santé s’est déroulée début juin devant un haut responsable du ministère chargé de la surveillance des événements indésirables.

Les responsables du ministère de la santé n’ont pas partagé les résultats avec le comité consultatif du ministère de la santé lorsque celui-ci s’est réuni plusieurs semaines plus tard pour discuter de l’approbation du vaccin pour les bébés et du 5e rappel pour les adultes.

Le Dr Alroy-Preis est le numéro 2 du ministère de la Santé. Elle dirige la collaboration officielle entre Israël et Pfizer. Elle rencontre régulièrement les responsables de Pfizer et rédige des articles avec eux. Elle est également responsable de toutes les politiques relatives à COVID 19 en Israël.

Les choses qu’ils ont cachées incluent :

  1. Le fait que, dans la plupart des cas, ces effets ne se sont pas résorbés rapidement (dans certains cas, ils ont duré plus d’un an).
  2. La preuve que le vaccin a causé les événements
  3. Les taux réels ; ils ont manipulé les taux en divisant le nombre de rapports par toutes les doses, en cachant le fait qu’ils avaient le système depuis 6 mois et qu’un seul secteur de santé (HMO) correspondant à 15 % de la population a fait un rapport. Cela rend le dénominateur énorme et le numérateur petit, ce qui masque la signification.

Comment cette corruption a-t-elle pu se produire ?

Mon hypothèse de personne est assez simple :

  1. Elle a été initialement causée par une confiance aveugle dans des figures d’autorité comme Fauci, le CDC, la FDA et Pfizer. Fauci a fait croire à tout le monde, à tort, que le vaccin était la seule solution.
  2. Comme tout le monde voulait mettre fin à la pandémie, ils ont détourné le regard lorsque des problèmes de sécurité sont apparus.
  3. Lorsque les autorités sont prises en flagrant délit, comme c’est le cas dans cette vidéo, elles étouffent l’affaire afin que personne ne soit mal vu (elles-mêmes, le gouvernement, les médias et la communauté médicale traditionnelle).
  4. Toutes ces stratégies d’atténuation étaient totalement inutiles. Nous disposons de protocoles de traitement précoce éprouvés permettant une hospitalisation et une mortalité proches de zéro. Mais parce que Fauci contrôle les NIH, ils ont ignoré tout cela.
  5. Fauci a créé le virus (en finançant le gain de la recherche sur les fonctions à l’Institut de virologie de Wuhan) et est également responsable à lui seul de la réaction qui a tué encore plus de personnes que le virus.

Il existe d’autres perspectives :

  1. Voir « Comment le ministère de la santé est-il devenu l’agent de Pfizer ? » pour savoir comment la corruption s’opère, mais en bref, c’est parce que les responsables gouvernementaux sont amenés à penser que le vaccin est la seule solution et qu’ils signent un accord qui fait de la promotion des vaccins une priorité élevée et des questions de sécurité une priorité faible.
  2. Article sur le contrat entre Israël et Pfizer.

Références / lectures complémentaires

Voici les principales sources :

Le segment GB News du 20 août 2022 où Neil Oliver intervieweYaffa et Retsef. Le post du Rumble a été publié le 28 août, mais comme vous pouvez le voir sur ce tweet, la nouvelle est sortie le 20 août. Ce qui est également étonnant, c’est le peu de réactions (seulement 427 retweets et 912 likes après 2 semaines).6.

  • Cette vidéo de 4 minutes expose le rapport du ministère de la santé qui montre ce que les scientifiques ont réellement dit lors de la réunion secrète. Les scientifiques ont établi que Pfizer a menti à la FDA au sujet des effets secondaires. Cette vidéo ne dure que 4 minutes et tout le monde devrait la regarder. Elle contient les déclarations montrant que dans 65 % des cas neurologiques, les problèmes ne se sont pas résolus.
  • Ce clip d’une minute de l’appel Zoom montre les chercheurs demandant que Sharon soit informé. Les participants du ministère de la santé assurent qu’ils feront en sorte que cela se produise.
  • Ce clip de deux minutes montre le Dr Sharon Alroy-Preis assurant le public que les vaccins sont sans danger pour les femmes, juxtaposé à la vidéo des chercheurs affirmant que les vaccins causent des dommages aux organes reproducteurs des femmes qui, dans certains cas, ne se résorbent pas. Ils soulignent également que la ré-injection entraîne la réapparition du même problème, ce qui constitue une preuve de causalité, surtout lorsque cela se produit chez de nombreux patients. N’oubliez pas que les chercheurs ne savaient pas qu’ils étaient enregistrés. Ils n’auraient jamais dit cela s’ils avaient su qu’ils étaient filmés.
  • Le rapport public du ministère de la Santé (en hébreu) qui dit essentiellement « rien à voir ici les gars, circulez ». Voici la version traduite automatique du rapport public en anglais.
  • La vidéo complète de la réunion entre les scientifiques et les fonctionnaires du ministère de la santé n’a pas été rendue publique… pour l’instant. Cela donne l’occasion aux responsables du ministère de la Santé de se présenter d’eux-mêmes et d’admettre ce qui s’est passé. Le tweet de Yaffa (ci-dessus) contient les informations qui ont été envoyées aux médias. Nous avons également une copie des diapositives qui ont été présentées lors de la réunion. Utilisez le lien « Contactez-moi » si vous êtes une autorité sanitaire (médecin, universitaire, presse, responsable de la santé publique) et que vous souhaitez les voir avant que nous les rendions publiques.

Ces références ne concernent bien sûr que cette histoire particulière. Il y a maintenant plus d’un millier d’articles dans les revues scientifiques publiées et évaluées par des pairs qui montrent que les vaccins ne sont pas aussi sûrs qu’on le prétend. Voir cet article pour un résumé des preuves.

Nous ne voyons que le sommet de l’iceberg pour le moment.

N’oubliez pas que les chercheurs n’ont analysé QUE les cinq effets indésirables graves les plus fréquemment signalés et qu’ils ont découvert de nouveaux éléments dont Pfizer n’avait pas connaissance.

Ils ont exclu les cas les plus graves et les ont confiés à un autre comité pour examen.

Les événements cardiovasculaires constituaient la sixième catégorie la plus fréquente, nous n’avons donc pas de données à ce sujet puisqu’ils n’ont pas été analysés.

Et l’étude n’incluait même pas les cas d’hospitalisation – c’est le rôle d’un autre comité de les examiner.

L’analyse actuelle n’est donc que la partie émergée de l’iceberg.

Le VAERS montre des milliers de symptômes qui sont élevés par ces vaccins par rapport à la normale.

Il y a beaucoup d’autres choses qui n’ont pas encore été révélées au public. Il y a des recherches honnêtes en cours en Israël qui sont ignorées.

Par exemple, saviez-vous que, selon une analyse des données du ministère de la santé, le vaccin COVID tue 40 fois plus de personnes âgées qu’il n’en sauve ?

Le Dr Hervé Seligmann travaille à l’Unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes, Faculté de médecine, Aix-Marseille Université, Marseille, France. Il est de nationalité israélo-luxembourgeoise.

En utilisant les données du ministère israélien de la santé, Haim Yative et le Dr Seligmann, chercheurs israéliens, ont découvert que le vaccin COVID-19 a tué 40 fois (40x) plus de personnes âgées que la maladie ne l’aurait fait et 260 fois plus de personnes plus jeunes que le virus ne l’aurait fait, sur une période de 3 semaines après les injections.

Voir :

  1. Données du ministère israélien de la Santé : Le vaccin Pfizer a tué « environ 40 fois plus de personnes âgées que la maladie elle-même n’en aurait tué ».
  2. Vaccination en Israël : Remettre en cause les chiffres de la mortalité ?
  3. La mise au jour des données relatives à la vaccination en Israël révèle une image effrayante.

Autres points à noter

  1. La presse israélienne est fortement contrôlée. Yaffa a été licenciée du plus grand journal d’Israël il y a un an, après y avoir travaillé pendant 20 ans. Son crime ? Elle a écrit des articles que le ministère de la Santé n’a pas appréciés. Il n’est donc pas surprenant que la presse israélienne ait évité de couvrir cette histoire. La situation ne changera que si tous ceux qui lisent cet article le partagent sur les médias sociaux.
  2. Le groupe d’experts a découvert des effets indésirables (EI) non répertoriés par Pfizer (nouveaux signaux), notamment des EI neurologiques, des douleurs dorsales et des problèmes gastro-intestinaux, en particulier chez les enfants. Étant donné que le groupe n’a examiné que les cinq effets secondaires les plus fréquents, il est vraiment troublant qu’il ait trouvé quelque chose de nouveau. Ce n’est pas vraiment une surprise car les données du VAERS, qui sont indépendantes des données israéliennes, montrent la même chose.
  3. Causalité : ils ont trouvé de nombreux cas de rechallenge – récurrence ou aggravation d’un effet secondaire après des doses répétées chez le même individu – ce qui, comme le souligne le chercheur principal, augmente les chances de causalité « de possible à certaine ». Il est donc intéressant de constater que ces chercheurs ont pu facilement déterminer la causalité alors que personne d’autre dans le « monde médical classique » n’y est parvenu. Bien sûr, les « diffuseurs de fausses informations » se sont rendu compte que les données du VAERS le disaient déjà au début de 2021 en raison de la dépendance des symptômes à la dose.
  4. La seule personne qui a finalement tweeté quelque chose est le mari de Sharon AlroyPreis. Il a essentiellement dénigré Yaffa. C’est en fait logique, car lorsque vous êtes incapable d’attaquer les mérites d’un argument, la bonne approche est de censurer l’attaquant ou de s’engager dans des attaques ad hominem.

Un commentaire d’une de mes lectrices en Israël

Considérez ce commentaire :

Je suis israélienne et je dis ce que vous avez écrit (à moi-même et sur quelques comptes facebook israéliens) depuis un bon moment maintenant. Je suis dégoûté par les responsables de notre ministère de la santé qui sont chargés de gérer la crise Corona. Je suis dégoûté par des gens comme Sharon Alroy-Preis qui a témoigné devant le comité d’experts de la FDA comme une groupie ou une pom-pom girl de Pfizer. Comme un petit chiot, désireux de faire plaisir à son maître Pfizer. Si ambitieuse et si désireuse d’aller de l’avant et de paraître importante en se présentant devant ce comité, et si dépourvue de toute responsabilité sérieuse envers les millions d’Israéliens dont elle a négligé la santé. Non seulement elle a trahi la confiance du public israélien, mais par son témoignage déformé, elle a influencé le comité de la FDA, exposant ainsi des milliards de personnes dans le monde aux dangers de ce vaccin, car une approbation de la FDA a une grande portée dans le monde. Elle ne devrait pas seulement être licenciée. Elle devrait aller en prison !

Maintenant, tous les habitants des États-Unis ont au moins un bouc émissaire à blâmer pour tout. On m’a dit que les États-Unis comptaient sur les Israéliens pour le contrôle de la sécurité en raison du triste état des contrôles de sécurité aux États-Unis. Ils n’ont peut-être pas réalisé qu’Israël était encore pire que les États-Unis en matière de contrôle de la sécurité, bien pire.

Violation de la loi américaine par le Dr. Sharon Alroy-Preis

Le fait de faire une fausse déclaration dans une procédure officielle constitue une violation criminelle de la loi américaine (18 USC 1001). Les contrevenants sont passibles de 5 ans de prison.

Considérez les déclarations suivantes faites lors de la réunion du VRBPAC de la FDA le 17 septembre 2021 :

https://www.youtube.com/embed/WFph7-6t34M

« Reckless Levy » est en fait « Retsef Levi ». Mais cette déclaration a été faite à une époque où aucun contrôle de sécurité n’était effectué par le gouvernement israélien.

Elle fait référence à l’affirmation de Retsef selon laquelle le système de notification en Israël était dysfonctionnel (ce qui était le cas) et qu’il n’y avait aucun suivi ou contrôle des EI. Retsef n’a pas menti. Elle a bien dit qu’elle était « surprise ».

Il semble donc qu’il s’agisse d’une fausse déclaration délibérée du Dr Alroy-Preis qui pourrait lui valoir des poursuites pénales de la part du Département de la Justice. Cependant, de telles choses sont peu probables, même si son témoignage a conduit le comité à approuver les vaccins qui ont tué des centaines de milliers d’Américains.

D’un autre côté, elle était peut-être surprise que quelqu’un d’autre que le ministère de la Santé sache ce qui se passait vraiment (donc elle ne mentait pas).

Comment « ils » expliquent ça ? Ils ne peuvent pas !

Les trolls de Twitter ont d’abord affirmé que les vidéos avaient été sorties de leur contexte. Mais cela n’a pas duré longtemps. Maintenant, ils sont silencieux. La stratégie semble être d’ignorer le problème pour qu’il disparaisse.

Comment les experts médicaux américains réagissent

J’ai le numéro de téléphone portable du Dr Grace Lee, responsable du comité ACIP, qui est le comité externe du CDC. Je lui ai donc envoyé cet article par SMS et lui ai demandé des commentaires.

Si elle dit quelque chose, je le signalerai ici. Ne retenez pas votre souffle.

Elle devrait être indignée. Mais elle ne le sera pas. Elle ne dira rien. Elle fera simplement ce qu’on lui dit de faire, c’est-à-dire l’ignorer. C’est comme ça que la science fonctionne. Si vous voulez une preuve de corruption, la voici.

De même, aucun membre de la communauté médicale traditionnelle ne dira un mot. Aucun d’entre eux ne dira quoi que ce soit.

Le professeur Vinay Prasad va-t-il dire quelque chose ? Il est au courant de cet article et j’ai demandé ses commentaires également.

Il s’agit d’un moment décisif pour la communauté médicale traditionnelle mondiale et les revues médicales. Parleront-ils ouvertement ou feront-ils ce qu’on leur dit et resteront-ils silencieux ? Qui sera le premier à s’exprimer ?

Je suppose qu’ils vont tous rester silencieux et ne pas faire de commentaires à ce sujet. Cela vous montre le niveau de contrôle et de corruption.

Voici une liste partielle des personnes à qui j’ai demandé des commentaires :

  1. Marc Tessier-Lavigne, président de Stanford
  2. Lloyd Minor, doyen de la faculté de médecine de Stanford
  3. David Relman, professeur à Stanford
  4. Grace Lee, professeur à Stanford (qui est également à la tête du comité de l’ACIP)
  5. Bonnie Maldonado, professeur à Stanford
  6. Bob Wachter, doyen de la faculté de médecine de l’UCSF
  7. Professeur Vinay Prasad de l’UCSF
  8. Vikas Sukhatme, doyen de la faculté de médecine d’Emory
  9. Professeur Emory Carlos del Rio
  10. Bert Vogelstein, professeur à John Hopkins (le scientifique le plus cité de l’histoire)
  11. Dr. Sanjay Gupta, expert médical de CNN

Je connais toutes ces personnes. J’espère qu’au moins l’une d’entre elles voudra être du bon côté de l’histoire en dénonçant la corruption du ministère de la Santé.

Mais non.

La seule personne qui a répondu est Bert Vogelstein, qui a dit en gros qu’il travaillait sur quelque chose de gros et qu’il ne voulait pas être désorienté. C’est juste. C’est un homme de classe. C’est périphérique pour lui et je le savais quand je l’ai contacté.

Permettez-moi de clarifier ma position :

Une telle corruption scientifique ne devrait jamais être tolérée et ceux qui refusent de s’exprimer publiquement à ce sujet devraient avoir honte d’eux-mêmes.

J’aurais bien demandé à d’autres personnes, mais de nombreux scientifiques de haut niveau dans le domaine des maladies infectieuses m’ont demandé de ne plus jamais les contacter après que j’ai révélé que les vaccins COVID étaient dangereux, en mai 2021. Ils pensaient que j’étais une menace pour la société à l’époque (et le pensent probablement encore).

Cela ne peut pas se produire aux États-Unis parce que le CDC évite de recueillir des données précises sur la sécurité des vaccins.

Les États-Unis disposent d’un système boiteux de suivi des événements indésirables après une vaccination. Ils ont envisagé de le moderniser il y a plus de 10 ans, mais le nouveau système, ESP:VAERS, était trop précis et montrait que tous les vaccins américains étaient dangereux. Le CDC a donc mis le système en boîte. Ceci est documenté au début du livre de RFK Jr, The Real Anthony Fauci.

Le CDC ne commandera jamais une étude pour étudier avec précision les événements indésirables. Le problème ne se pose donc pas aux États-Unis parce qu’ils évitent de collecter les données en premier lieu.

C’est très corrompu, mais cela ne dérange personne, y compris la communauté médicale traditionnelle. Ils ont tous subi un lavage de cerveau pour croire que la FDA est légitime et que tous les vaccins sont sûrs. Mais apparemment, ils savent que ce n’est pas vrai, car aucun d’entre eux ne veut débattre avec RFK Jr de la sécurité des vaccins (il essaie depuis 20 ans de trouver un expert avec qui débattre (Alan Dershowitz ne compte pas)).

Bien sûr, les vaccins Pfizer américains sont tout aussi dangereux que les vaccins Pfizer israéliens, mais les gouvernements et la presse grand public veillent à ce que personne ne l’apprenne, tout comme vous ne trouverez ces informations que sur Substack et dans d’autres endroits, mais jamais dans la presse grand public.

Même lorsqu’un dénonciateur de la FAA se présente avec des accusations graves et irréfutables, la presse américaine évite de couvrir l’événement :

Aujourd’hui, personne ne défie la FDA. Ils font maintenant des approbations de mise sur le marché sans aucune preuve d’un bénéfice clinique et sans approbation par leur propre comité extérieur capturé. C’est scandaleux, mais les médecins restent silencieux.

La FDA vient d’approuver le rappel combiné après que des tests effectués sur 8 souris ont montré que la protection d’Omicron était sporadique et qu’elle n’a pas empêché l’infection chez une seule souris qui a été confrontée au virus. Rien n’a été dit sur les données montrant un bénéfice en termes d’hospitalisation ou de décès.

Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi ils n’ont pas réalisé l’étude de provocation Omicron sur 200 souris : 100 ayant reçu la série complète de vaccins contre 100 souris n’ayant reçu aucun vaccin, afin de déterminer la mortalité et la morbidité toutes causes confondues. Il s’agirait de données réelles, bien meilleures que celles obtenues sur 8 souris ayant reçu le vaccin, pour la recherche d’anticorps. Mais ils ne l’ont pas fait parce qu’ils savaient que ce serait mauvais.

Au lieu de cela, la communauté médicale et la FDA se contentent d’une étude à un seul bras sur 8 souris qui n’a montré aucun bénéfice clinique du vaccin pour approuver un vaccin qu’ils vont essayer de faire prendre à tout le monde.

C’est vraiment stupéfiant. Cela vous montre clairement à quel point la communauté médicale est brisée. Il devrait y avoir des articles d’opinion dans chaque journal médical sur l’absurdité d’approuver un rappel sans bénéfice clinique chez l’homme ou la souris. Les médecins devraient être scandalisés par cela. Mais ils ne disent rien.

Toutes les souris utilisées dans l’étude sont maintenant mortes (elles ont été tuées dans le cadre de l’étude, ce qui est pratique puisque de cette façon, on ne peut pas suivre leur mortalité).

Sharon Alroy-Preis était-elle dans le coup ?

Il est hautement improbable que le Dr Sharon Alroy-Preis, directrice des services publics du ministère de la santé et conseillère principale pour le COVID auprès du gouvernement israélien, n’ait pas été au courant de tout cela avant la fuite dans la presse.

Comment pouvait-elle ne pas savoir ? Il n’y avait aucun contrôle de sécurité en place avant décembre 2021. Si elle ne le savait pas, elle devrait être immédiatement licenciée pour incompétence. Elle devait donc savoir que des données étaient recueillies et qu’elles étaient analysées. Elle aurait dû être sur les dents en attendant le résultat de la réunion si elle se souciait vraiment de la santé publique. Et comment pouvait-elle ne pas être présente à cette réunion avec les scientifiques ? Qu’est-ce qui pourrait être plus important pour la santé et la sécurité du peuple israélien ? Où était-elle ?

Même si elle n’a manifestement pas assisté à la réunion Zoom parce qu’elle avait des choses plus importantes à faire, elle aurait été informée immédiatement après la réunion par son personnel. C’est le scénario le plus probable à 99,99%.

Mais une fois qu’elle a été annoncée dans la presse, cela a levé tous les doutes.

Si elle n’avait vraiment pas été informée avant l’article du GB News du 20 août, elle aurait immédiatement publié un communiqué de presse indiquant qu’elle n’avait jamais été informée du rapport et qu’il y aurait une enquête. Au lieu de cela, nous n’avons rien entendu. La seule façon dont cela pourrait se produire est qu’elle était dans le coup.

Mon courriel au CDC (Centers for Disease Control) proposant de partager l’information

Je voulais créer un dossier public indiquant que l’information a été offerte à des centaines de personnes qui travaillent au CDC dans le domaine de la sécurité des vaccins. Je prédis que pas une seule personne ne veut voir ces données. Je serais stupéfait si je me trompais.

Voici l’email que j’ai envoyé le 4 septembre 2022 à des centaines de personnes au CDC :

Mon courriel au NIH (National Institutes of Health) proposant de partager l’information

Le Dr Nath a cherché à savoir si les vaccins COVID causent des dommages. Jusqu’à présent, il n’a pas pu établir de lien. Il devrait accueillir ces données à bras ouverts. Ce sont les données qu’il cherche depuis plus d’un an. Mais attention… il va refuser de demander ces données. Qu’est-ce que cela vous dit ?

Et une dernière chose… nous avons maintenant la confirmation de l’effet de mort différée du vaccin ET que les décès sont CAUSÉS par le vaccin.

Il existe une relation dose-dépendante entre le nombre de vaccins COVID administrés et le nombre de décès excédentaires non COVID. Elle est statistiquement significative (p<.001). Voir mon nouvel article mis à jour sur le délai de 5 mois et faites attention à l’excellent travail de John Dee cité dans cet article. Il a utilisé les données du Royaume-Uni uniquement.

Ainsi, les données américaines (le fichier principal des décès de la sécurité sociale que le CDC ne veut pas que nous connaissions), les données européennes et les données britanniques disent toutes la même chose : les vaccins causent un nombre massif de décès.

Résumé et recommandations

Lors de la rédaction de cet article, je me suis entretenu en privé avec le professeur Retsef Levy du MIT et le Dr Yaffa Shir-Raz pour m’assurer que tout était correct.

L’essentiel est là :

  1. Il existe une corruption évidente au sein du ministère israélien de la santé et personne au sein de l’autorité ne demande une enquête.
  2. Plus important encore, l’examen préliminaire des données de sécurité montre clairement que les vaccins sont bien plus dangereux qu’on ne nous l’avait dit, mais aucun gouvernement mondial ne souhaite analyser les données de sécurité d’Israël.
  3. Personne ne dit que ce qui s’est passé en Israël est gravissime. C’est stupéfiant. Personne d’important ne s’exprime !
  4. Personne n’a demandé à voir le rapport du groupe d’experts ou les données sous-jacentes. C’est vraiment stupéfiant.
  5. Le rapport ne représente ici que la partie émergée de l’iceberg puisque seuls cinq types d’événements indésirables ont été analysés.
  6. Ces preuves, combinées aux nouvelles données sur le délai de 5 mois montrant un coefficient de corrélation très élevé (34 %) et une valeur p < 0,001, dressent le portrait d’un vaccin mortel qui devrait être immédiatement arrêté. Nous n’avons même pas besoin de faire référence aux travaux d’autres personnes, comme Yative et Seligmann. Il n’y a pas d’autre moyen d’expliquer ces données. S’il existe un moyen d’expliquer ces données, alors les autorités doivent l’expliquer et ne pas refuser de répondre aux questions des scientifiques et des statisticiens qui ont des opinions opposées.
  7. Conclusion : Sur la base de la corruption du gouvernement, des données de sécurité et de la corrélation entre le vaccin et les décès, le principe de précaution de la médecine exige un arrêt immédiat du programme de vaccination COVID.

Le peuple israélien devrait exiger l’arrêt des vaccins et la démission immédiate de Sharon Alroy-Preis ainsi que de tous les membres de son équipe qui ont participé à la dissimulation. Toutes ces personnes devraient être poursuivies comme des criminels, car c’est ce qu’elles ont fait : elles ont conspiré pour dissimuler des informations sur la sécurité qui auraient pu sauver des vies.

Il est important que l’honnêteté et l’intégrité soient rétablies au sein du ministère de la santé le plus rapidement possible, mais rien ne se passe.

La corruption se poursuivra donc dans le monde entier.

Veuillez diffuser largement cette information. Il est important que cette information soit diffusée. Maintenant.




La liberté d’expression des médecins, enseignants et chercheurs est-elle protégée en temps de crise sanitaire ? Me de Araujo-Recchia répond

Par Xavier Azalbert, en collaboration avec un groupe de Juristes, et en partenariat avec les associations Bonsens.org, AIMSIB et le collectif Santé Justice France

L'avocate Virginie de Araujo-Recchia a été placée en garde à vue mardi 22 mars 2022
 DR

ENTRETIEN – Dans cet entretien, Me Virginie de Araujo-Recchia revient sur la genèse juridique de la liberté d’expression depuis sa proclamation dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en 1789, puis analyse les ressorts de sa protection chez les médecins, chercheurs et enseignants-chercheurs dans un contexte de crise sanitaire. Dès lors que les médecins respectent le code de la déontologie médicale non seulement bénéficient-ils de cette liberté fondamentale, mais ils ont même un devoir d’expression, souligne l’avocate. Un droit et un devoir qui s’appliquent également aux enseignants et enseignants-chercheurs : « Il est de leur devoir de dire la vérité que la réalité des faits leur donne à voir ». Restreindre de manière illégale leur liberté d’expression porte ainsi atteinte à un droit fondamental, mais viole également celui de leurs concitoyens, puisqu’ils se retrouvent de facto privés d’une information ou d’un savoir crucial.

[Note de Joseph : dans la pratique, voit-on le gouvernement français tenir compte des textes évoqués ?]


FranceSoir : Qu’en est-il de la liberté d’expression en temps de « crise » sanitaire ? Médecins, enseignants, chercheurs peuvent-ils encore s’exprimer en toute liberté ?

VDAR : Anodine il y a encore deux ans et demi, la question posée en titre de cet article est devenue aiguë aujourd’hui. Ceci, du fait des attaques, et le mot n’est certainement pas trop fort eu égard à l’importance de la liberté d’expression dans une société démocratique, que subissent les médecins de ville comme les praticiens hospitaliers, les chercheurs ou les enseignants-chercheurs qui osent afficher une opinion dissidente de celle des « autorités sanitaires » au sujet de la gestion de la « crise » sanitaire.

Malheureusement, comme vous en avez déjà donné l’alerte dans vos pages, ces médecins, chercheurs ou enseignants-chercheurs font l’objet de poursuites de la part de leurs ordres professionnels ou de leurs établissements de rattachement, de censures diverses pour avoir exprimé leur avis informé. Pouvaient-ils le faire ? Devaient-ils le faire ? Voici quelques éléments de réponse.

Il est indispensable, au préalable, de poser le décor : la liberté d’expression, puisque c’est elle qui est en jeu, n’est pas une liberté publique parmi d’autres. Tout au contraire, elle est le socle même de la démocratie et du pluralisme qui la caractérise.

Expliquons-nous : la liberté d’expression prend ses racines juridiques dans un texte fondamental, s’il en est, de notre droit, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, dont l’article 10 pose en principe que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ». Un principe qui revêt une valeur constitutionnelle, c’est-à-dire supérieure aux lois et aux règlements (décrets, arrêtés). Ce n’est pas un hasard !

Proclamée dans l’ensemble des États démocratiques, elle est également protégée à l’échelle internationale par différentes conventions internationales qui, ayant été ratifiées par la France, sont partie intégrante de notre droit, certaines ayant toutefois une force juridique plus grande pour nous. Tel est le cas de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, du 4 novembre 1950. Cette dernière prévoit ainsi, dans son article 10 : « Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière. Le présent article n’empêche pas les États de soumettre les entreprises de radiodiffusion, de cinéma ou de télévision à un régime d’autorisations ».

La Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne réserve, elle aussi, une place particulière à la liberté d’expression, dans son article 10. On pourrait aussi citer la Déclaration universelle des droits de l’Homme, adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies, le 10 décembre 1948 et son article 19. Sans surprise, le Conseil d’État français voit dans « le caractère pluraliste des courants de pensée » une liberté fondamentale qui justifie le recours à une procédure d’urgence (référé-liberté) pour la mettre à l’abri des atteintes qui y seraient portées (CE, ordonnance du 4 avril 2019, n°429370). De façon plus vigoureuse, le Code pénal réprime, quant à lui, « le fait d’entraver, d’une manière concertée et à l’aide de menaces, l’exercice de la liberté d’expression » (article 431-1 du Code pénal).

À y regarder de plus près, après des évènements politiques majeurs et souvent dramatiques, la Révolution française ou la Seconde Guerre mondiale, les rescapés ont jugé nécessaire de rappeler à leurs concitoyens le caractère essentiel, au sens premier du terme, de la liberté d’expression. Pourquoi ? Parce que la liberté d’expression précède et permet l’exercice des autres libertés publiques et droits politiques. Elle est la « condition de la liberté de la pensée, elle exprime l’identité et l’autonomie intellectuelle des individus ».

Cette idée est exprimée de façon limpide par le préambule de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 avec des mots tellement justes : « Considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements ». Transposé à la question qui nous intéresse, « l’oubli ou le mépris » de la liberté d’expression ouvre la voie au piétinement de tous nos autres droits. La même idée est reprise par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH), dont la mission est d’appliquer, à l’égard des États signataires, la Convention européenne des droits de l’Homme. Dans ce sens, « toute restriction, même anodine, apportée aux libertés d’opinion et d’expression peut (…) traduire un glissement vers l’autoritarisme, voire le totalitarisme ».

FS : Doit-on comprendre que la liberté d’expression est inconditionnée ?

VDAR : Il va de soi que, comme toute liberté, fût-elle fondamentale, la liberté d’expression doit être conciliée avec d’autres libertés et d’autres principes juridiques. Chacun connaît l’adage selon lequel, « la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres ». En d’autres termes, le droit est une affaire de conciliation, de nuances et de mesures, mais toujours, et c’est certainement ce que l’on a oublié ces derniers temps, dans le respect de l’humain.

Il faut cependant tenir compte, dans cette perspective, de ce que l’on nomme la hiérarchie des normes, à savoir que certaines règles de droit priment sur d’autres et ont une valeur juridique supérieure à d’autres. Tel est le cas de la liberté d’expression qui, du fait de sa valeur constitutionnelle, prime sur la loi et sur les textes réglementaires. Il en résulte que les limitations de la liberté d’expression doivent résulter de la loi (article 34 de la Constitution du 4 octobre 1958) ou d’un principe général que le juge aurait élevé au même rang que la loi. En outre, des limitations à cette liberté ne sont admissibles que si, pour reprendre les termes l’article 10 de la DDHC, elles « constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique », ce que la CEDH a qualifié, dans un arrêt du 7 septembre 1976, de « besoin social impérieux ».

Il ne peut donc s’agir que d’aménagements limités de la liberté d’expression, résultant de la loi et répondant à une exigence sociale supérieure. S’agissant de la liberté d’expression, il faut distinguer les limitations générales, des limitations propres à certaines situations. Tout d’abord, tout citoyen bénéficie, certes, de la liberté d’expression, celle-ci ne l’autorise toutefois pas à inciter son prochain à la haine, à l’injurier ou à le diffamer.

Ensuite, certaines professions posent des règles de bienséance entre confrères (avocats, médecins, notamment), de même que d’autres soumettent leurs membres à un devoir de réserve (magistrats, fonctionnaires de police, notamment). Ces dernières limitations ne doivent cependant pas être surinterprétées, la liberté d’expression ayant une valeur constitutionnelle, donc supérieure aux dispositions réglementaires ou d’ordre déontologique. Si le juge national et la CEDH admettent que sa portée soit restreinte, c’est avec force circonspection.

FS : Qu’en est-il des médecins ?

VDAR : Comme tous citoyens, les médecins bénéficient de la liberté d’expression. Si besoin était, cela a été récemment rappelé par la CEDH, dans un arrêt du 16 février 2021. Non seulement les règles encadrant l’exercice de leur profession ne sauraient en rien diminuer ou entamer cette liberté, même si le code de déontologie médicale précise qu’une honnêteté scientifique et une certaine bienséance entre confrères sont de mise, mais, à certains égards, les médecins ont, pourrait-on dire, un devoir d’expression.

Ce qu’il importe de comprendre est que les juridictions ordinales ne sont pas les juges de la liberté d’expression des médecins, seules le sont les juridictions judiciaires, administratives, pénales et certaines juridictions internationales (CEDH, en particulier). Leur intervention doit se limiter à s’assurer que les modalités d’exercice de cette liberté par leurs membres ne dépassent les limites déontologiques. Le Conseil d’État rappelait au sujet de l’ordre des experts-comptables, dès 1950, soit 10 ans à peine après la création des ordres professionnels par le régime de Vichy, de façon solennelle « qu’il n’a pas été dans les intentions du législateur (…) de priver les membres de l’ordre de la faculté d’émettre, verbalement ou de toute autre façon, et même par la voie de la presse, leur appréciation (…), sous réserve que leurs critiques ne présentent pas des faits allégués une version matériellement inexacte et qu’elles ne contreviennent pas à la bonne foi ou à la correction qu’il est dans la fonction même de l’ordre d’instituer et de maintenir dans les rapports entre ses ressortissants » (CE, arrêt du 29 juillet 1950).

Le code de déontologie médicale prévoit ainsi que le médecin doit s’abstenir de déconsidérer la profession (article R. 4127-31 du Code de la santé publique), qu’il doit entretenir des rapports de bonne confraternité avec ses confrères (article R. 4127-56 du Code de la santé publique) et qu’il doit s’appuyer sur des « données confirmées, faire preuve de prudence et avoir le souci des répercussions de ses propos auprès du public » (article R. 4127-13 du Code de la santé publique). Bien entendu, toute forme de publicité commerciale pour lui-même ou pour des produits de santé est prohibée (article R. 4127-13 du Code de la santé publique).

Les poursuites disciplinaires qui visent, en substance, la liberté d’expression d’un médecin se placent le plus souvent sur le terrain du manquement à la confraternité. Le Conseil d’État, qui est juge en dernière instance des poursuites disciplinaires médicales, pose toutefois des bornes assez étroites aux juridictions ordinales. Ainsi, un médecin peut critiquer, fût-ce en termes vifs, l’organisation du service hospitalier auquel il appartient (CE, 5 mai 2003, n°240010), préférer la pédiatrie à la médecine générale (CE, 4 mai 2016, n°373232) ou être hostile à tel traitement médical (CE, 4 janvier 1952, n°9329). Deux critères d’analyse peuvent en être dégagés : le Conseil d’État prend en considération le caractère personnel ou, au contraire, général de la critique, ainsi que son destinataire : le médecin s’adresse-t-il à son cercle professionnel ou au public en général ? On note cependant un récent durcissement du Conseil d’État qui a pu considérer, dans un arrêt du 24 juillet 2019, que la virulence d’une critique publique des vaccins contre les papillomavirus pouvait relever d’un manquement à l’obligation de prudence. Mais, on peut penser que cet arrêt, peu en phase avec la position plus libérale de la CEDH, ne fera pas jurisprudence.

FS : Qu’en est-il des enseignants-chercheurs et des chercheurs ?

VDAR : Les chercheurs et les enseignants-chercheurs peuvent, comme tout autre citoyen, se prévaloir de la liberté d’expression, cela va de soi. Cependant, cette dernière prend un relief particulier dans l’exercice de leur mission professionnelle. En effet, la liberté d’expression, qui est l’une des manifestations de la liberté de penser, est de l’essence même des métiers d’enseignant et de chercheur. Il faut en effet toujours garder à l’esprit que la liberté de la recherche, qui est l’une des déclinaisons de la liberté de penser, est précisément ce qui permet la formation de la pensée.

L’enseignement et la recherche sont, par conséquent, indissociables dans une société démocratique de la liberté d’expression et des autres libertés dont elle est porteuse. Il n’est, dès lors, pas surprenant que les libertés académiques bénéficient de la protection constitutionnelle, comme la liberté d’expression elle-même, ce qu’a posé le Conseil constitutionnel de façon spécialement solennelle : « Le service public de l’enseignement supérieur est laïc et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ; il tend à l’objectivité du savoir ; il respecte la diversité des opinions » (Cons. const., 20 janv. 1984, n°83-165 DC).

Ainsi, l’Université doit garantir aux enseignants-chercheurs les « conditions d’indépendance et de sérénité indispensables à la réflexion et à la création intellectuelle » (article L. 123-9 du Code de l’éducation), ces derniers bénéficiant « d’une pleine indépendance et d’une entière liberté d’expression dans l’exercice de leurs fonctions d’enseignement et de leurs activités de recherche, sous les réserves que leur imposent, conformément aux traditions universitaires et aux dispositifs » (article L. 952-2 du Code de l’éducation).

La CEDH souligne, dans le même ordre d’idées, « l’importance de la liberté académique, qui autorise notamment les universitaires à exprimer librement leurs opinions sur l’institution ou le système au sein duquel ils travaillent ainsi qu’à diffuser sans restriction le savoir et la vérité » (CEDH, 3 avril 2012, n°41723/06). Par ces mots, la CEDH évoque ce qu’il est d’usage d’appeler le principe de tolérance et d’objectivité, qui relève de la coutume universitaire.

On pourrait relever que, les chercheurs et les enseignants-chercheurs étant des fonctionnaires ou, de plus en plus souvent, des contractuels de la fonction publique, ils sont tenus à un devoir de réserve. Cependant, à la différence des fonctionnaires de police ou des magistrats, celui-ci relève plus, dans leur cas, de la bienséance à l’égard de l’institution que d’une réelle obligation. Comme tout fonctionnaire, ils sont aussi soumis à une obligation de neutralité. Celle-ci s’efface toutefois largement devant le très large droit de critique qui leur est reconnu. En réalité, la menace vient certainement beaucoup plus d’un État toujours plus intrusif dans l’organisation, parfois même dans le contenu de l’enseignement et de la recherche, sans parler de la question brûlante des conflits d’intérêts avec le secteur privé.

En somme, et le contentieux est d’ailleurs assez rare en la matière, la liberté d’expression des chercheurs et des enseignants-chercheurs s’arrête lorsque leurs propos constituent une infraction pénale, telle que le négationnisme (CE, 28 septembre 1998, n°159236) ou qu’ils portent atteinte à la dignité des étudiants (pour des propos à caractère sexuel, CE, 21 juin 2019, n°424582)

FS : Les médecins, les enseignants-chercheurs et les chercheurs pouvaient-ils dès lors dire leur réserve, voire leur opposition aux mesures liées à la « crise » sanitaire ?

VDAR : Comme nous l’avons évoqué, non seulement les enseignants-chercheurs et les chercheurs le peuvent, mais il est de leur devoir de dire la vérité que la réalité des faits leur donne à voir. Inévitablement, cette quête emporte débats, voire polémiques. Mais n’est-ce pas ainsi que progresse le savoir ? La CEDH, l’ayant compris, affirme que la liberté académique emporte « la possibilité pour les universitaires d’exprimer librement leurs opinions, fussent-elles polémiques ou impopulaires, dans les domaines relevant de leurs recherches, de leur expertise professionnelle et de leur compétence » (CEDH 27 mai 2014, n°364/04 et 39779/04). 

Prenons la question autrement : si l’on restreint de manière illégale la liberté d’expression d’une personne, spécialement lorsque cette dernière détient un savoir ou une information qui pourrait être crucial pour ses concitoyens, on ne porte pas uniquement atteinte à ses droits : on viole par la même occasion le droit de ses concitoyens d’avoir accès à ce savoir ou à cette information.

Cette impérieuse nécessité de « faire savoir » se traduit par ce que les juristes qualifient de fait justificatif du débat d’intérêt général ou d’intérêt public qui étend encore la liberté d’expression à laquelle, dans ce cas, on ne peut plus opposer la diffamation ou la protection de la vie privée, par exemple. Ainsi, « des propos portant sur un sujet d’intérêt général, même diffamatoires au sens (de la loi sur la presse), ne peuvent être soumis à des restrictions ou des sanctions que si ces mesures sont strictement nécessaires au regard des objectifs (de l’article 10 de la DDHC) » (Cour de cassation, 29 mars 2011, n°10-85.887).

Au contraire, de par son importance même, une information de cette nature doit être portée à la connaissance du public, quitte à s’écarter du droit en vigueur. La CEDH l’a, de longue date, explicité de façon claire à propos de la liberté d’expression des médias, mais son raisonnement peut être généralisé à toute forme de liberté d’expression : il leur incombe « de communiquer des informations et des idées sur les questions (…) qui concernent (les) secteurs d’intérêt public » et qu’à « leur fonction consistant à (…) communiquer (de l’information) s’ajoute le droit, pour le public, d’en recevoir » (CEDH, 26 avril 1979, n° 6538/74).

Ceci doit être rappelé à l’heure où l’on prétend museler médecins, chercheurs et enseignants-chercheurs que l’on classe publiquement parmi les « complotistes », et sur qui les autorités font pleuvoir sanctions disciplinaires et poursuites diverses.

En termes plus contemporains, on pourrait dire que les courageux qui s’obstinent à rechercher et à faire connaître la vérité sont des lanceurs d’alerte. On peut penser à Brook Jackson, qui a dénoncé les manquements de la société Ventavia, un sous-traitant de Pfizer dans les essais cliniques, où elle travaillait alors. Mais, on ne peut que déplorer le fait que, contrairement au système juridique nord-américain, le droit français ne fait pas grand cas des lanceurs d’alerte, à qui il n’accorde qu’une très faible protection. La récente réforme du statut de lanceur d’alerte par une loi du 21 mars 2022 n’a rien d’une révolution, même si on peut interpréter un arrêt du 30 juin 2016 de la Cour de cassation qui annule le licenciement d’un lanceur d’alerte de bonne foi comme le signe d’une évolution.

Néanmoins, il n’est pas totalement inutile de demander auprès du Défenseur des droits d’être « certifié » comme lanceur d’alerte, même si le droit français est assez restrictif et circonscrit à la relation de travail. Le lanceur d’alerte est, selon les textes, « une personne physique qui signale ou divulgue sans contrepartie financière directe et de bonne foi, des informations portant sur un crime, un délit, une menace ou un préjudice pour l’intérêt général ». Lorsque ces informations révèlent un « danger grave et imminent », elles peuvent être rendues publiques. Le point important est que, révélées dans ces conditions, celui qui divulgue ces informations bénéficie de l’irresponsabilité pénale (article 122-9 du Code pénal), de même que sont interdites les mesures de représailles (licenciement, suspension, intimidation, harcèlement, etc.). Une provision pour frais de justice pourra lui être accordée pour sa défense.

En conclusion, il faut tout de même remarquer le « deux poids, deux mesures ». Ainsi, pour prendre l’exemple des médecins, l’Ordre des médecins se refuse à engager des poursuites contre les médecins qui se répandent dans les médias au sujet d’une thérapie expérimentale toujours en phase d’essai, alors même que le Code de la santé publique leur impose de ne pas communiquer sur un « procédé nouveau (de) traitement insuffisamment éprouvé sans accompagner leur communication des réserves qui s’imposent » (article R. 4127-14 du Code de la santé publique), violant ainsi allègrement le Code de la santé publique, mais n’hésite pas un instant à le faire contre ceux qui nous alertent des risques pour notre santé et celle de nos enfants…




À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…

[Source : LHK]

Par LHK

Ce qui est appelé vaccin aujourd’hui semble se rapprocher toujours plus d’un outil de bricolage génétique qui permettrait aux dieux de l’enfer du Great Reset de prendre le contrôle de la production et de l’exploitation humaine. Une image qui m’a frappée récemment est la suivante. Elle sort directement des tiroirs de sympathisants de l’UE.

Devant une tour de Babel, flanquée de 11 étoiles inversées, se trouvent des « humains ». À les regarder de plus près, on imagine que ce sont des personnages de Lego. Or, ces gens seraient les « Nouveaux » européens. Autant de transhumains ?

L’eugénisme est une étape importante du transhumanisme. Les concepteurs de cette sordide vision divisent le monde en 2 catégories. D’un côté, vous avez les dieux milliardaires qui aspirent à devenir immortels et de l’autre vous avez les descendants du grand singe selon le non moins sinistre Charles Darwin et son cousin Galton. Deux eugénistes de référence que les grandes universités ont décidé d’ériger en gravant leurs délires dans le marbre.

Alors l’hypothèse de travail forte serait pour nous la suivante : vous avez d’un côté des dieux qui veulent défendre leur pré carré ; et de l’autre une population qui se chiffre en milliards pour laquelle le groupe détenteur (capteur par ruse ou par semi-vérité) des ressources n’a d’autre considération que sa capacité à muter en robots humanoïdes et à les produire en quantité et en qualité pour satisfaire leurs besoins divins.

On peut supposer qu’il est tout à fait normal que l’ultra-minorité ultra-riche cherche à contrôler la population qu’elle considère envahissante avec un nombre trop élevé de bouches à nourrir en comparaison de ses propres besoins.

Le narratif de l’urgence climatique due à l’activité humaine telle que présentée par Greta est pourtant battue en brèche par un nombre important de scientifiques…

https://lilianeheldkhawam.com/2022/08/25/1200-scientifiques-disent-quil-ny-a-pas-durgence-climatique/

Elle essaye de le faire au travers d’au moins 3 étapes démontrables:

1.- Rendre l’humain infertile. Vous pouvez le constater dans ce film révoltant

Voici une vidéo émouvante sur la vaccination contre le tétanos qui a fait perdre à un nombre inconnu de femmes leur capacité de reproduction. Bref, elles souffrent depuis d’infertilité. https://infertilitymovie.org/infertilite-un-programme-diabolique-francais/

Les femmes éthiopiennes sont victimes de manigances contraceptives depuis un bout de temps. Elles sont les cobayes des laboratoires de la haute finance:

https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/comment-page-1/

L’Inde est aussi un terrain de prédilection pour les développeurs de vaccins. Ici une publication de 1989…

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2665354/

… avec une volonté de contrôler la population jamais très loin:

https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/27/comment-bill-gates-met-des-millions-dindiens-sous-surveillance-video/

Nous rappelons aussi que le vaccin anticovid a été dénoncé, et continue de l’être, en tant que source potentielle d’infertilité par nombre de scientifiques indépendants

https://www.bitchute.com/video/8MoNTpHbGbVg/

Des commentaires qui contrastent sévèrement avec ceux de cette professeure (vidéo ci-dessous) qui a pu affirmer l’innocuité des injections bien avant les résultats des industriels ! Principe de précaution jeté aux orties par les représentants de la faculté !

(Intrigant ce masque porté alors qu’elle est dans une pièce seule face à une caméra)

2.- Réduire la présence de personnes à faible apport productif

Si la question de l’impact du vaccin sur la vie de la population est brûlante…

Et ces chiffres sont largement sous-estimés puisque peu de liens directs sont possibles. Imaginons une personne qui développe une maladie auto-immune violente qui aboutit au décès. On vous dira que c’est la maladie qui a causé le décès, et ne sera pas reporté ici. Prenez un autre exemple une personne de plus de 80 ou 90 ans qui décède subitement après le vaccin, on vous dira que c’est à cause de l’âge et ne figurera pas dans ce genre de relevé…
https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/comment-page-1/

… elle l’est encore plus sur la population vulnérable. On se souvient de l’augmentation de la mortalité à Monaco qui a suivi la vaccination des personnes « qui en avaient le plus besoin ». Évidemment, le décès de ces personnes n’était pas si inquiétant puisqu’elles n’étaient pas en grande forme.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/03/les-personnes-vulnerables-semblent-penalisees-par-le-vaccin-pourquoi-persister-sont-ils-devenus-des-indesirables/

3.- Mettre en place l’ingénierie de la procréation : faire des bébés transhumains sur mesure

Les pseudo-dieux ont besoin d’un certain quota de serviteurs qui assument les tâches de leur quotidien. Problème, ils ont besoin de certains profils d’individus obéissants, hautement productifs, corvéables à souhait. Mais pas seulement. Ces individus ne vont pas être destinés à accomplir tous les mêmes activités. Par conséquent, il faut qu’ils puissent les « bricoler » en fonction de la finalité de leur « création ».

Et là une entreprise comme Moderna est très fière d’avoir hacké le corps humain.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/14/bricolage-de-lhumain-le-vaccin-a-arn-messager-est-une-reecriture-du-code-genetique-selon-le-chef-de-moderna-therapeutics-ted-x/

Or, celui qui hacke est capable de reprogrammer les individus en fonction de son rôle dans l’organisation visée par le Great Reset. Une organisation où la vie sociale et privée n’est pas à l’ordre du jour. L’individu sera connecté exclusivement via le numérique après qu’il ait fusionné avec la machine. On parle de transhumain. La spirale dynamique montre bien que l’homme idéal du Nouveau Monde est pris au milieu d’une myriade d’interactions. Il a perdu au cours de son « évolution » ces relations qui en faisaient un être social. Les ordres auxquels il appartenait ont eux aussi explosé au passage, à savoir l’ordre politique, social, communautaire, ou familial.

Dans ce contexte où le couple lui-même est voué à disparaître, les bébés fabriqués naturellement par des parents très moyens n’intéressent pas. Ils seront autant de bouches inutiles à nourrir. Et dans ces cas, l’infanticide est souhaité derrière des arguments tendancieux.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/31/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/

À quoi sert le vaccin anticovid?

Voici la grande question du jour: à quoi sert le vaccin anti-Covid? À l’heure actuelle, même les grands fans de vaccination se posent des questions sur la finalité de ce dernier. Nombre d’entre eux ne sont plus très enclins à se déplacer pour recevoir leur pseudo booster.

https://twitter.com/JCPEREZCODEX/status/1563534738312564739/photo/1

Même Pfizer fait profil bas. Une honnêteté un peu tardive!

https://nouveau-monde.ca/le-retropedalage-de-pfizer-en-vue-des-proces/

En attendant, la santé des populations semble dégringoler, et pourrait même inquiéter le plus placide des observateurs. La RTS parle du malaise en titrant Les Suisses se sentent en moins bonne santé que pendant la pandémie, mais sans aborder le sujet de la vaccination et de ses conséquences sur la santé publique. Une courageuse dame relaie des informations collectées auprès des secouristes et ambulanciers.

J’espère que le fait de la relayer ne provoquera pas la censure de sa chaîne… J’espère qu’elle a un back up ailleurs.

Dans ce lot de nouvelles peu réjouissantes, il y des bonnes. Dverses études sont publiées et montrent par a+b à quel point les « études » publiées en 2020 par les industriels étaient fausses. De plus, on nous confirme que ce vaccin est une source potentielle d’inflammation du système immunitaire et de maladies auto-immunes. Nous y reviendrons.

Bref, la science avance, mais APRÈS avoir envoyé au casse-pipe des centaines de millions d’individus. Un crime contre l’humanité qui sera très probablement sanctionné dans le cadre d’une opération de séduction que ne manqueront pas de promouvoir les nouveaux dirigeants.

LHK




Les décisions du procès de Nuremberg sont d’une brûlante actualité

Par Gérard Delépine

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les alliés, pour juger les criminels nazis, ont instauré une juridiction spéciale, le tribunal de Nuremberg, qui a défini le « crime contre l’humanité », posé les bases de l’éthique médicale moderne et les a utilisées pour la première fois en droit international. La ville de Nuremberg avait été symboliquement choisie, car elle représentait la capitale idéologique du troisième Reich et le lieu préféré de la glorification du nazisme.

Ce tribunal a jugé séparément les politiques et les médecins.

La nécessité d’un code international sur les expérimentations humaines a fait l’objet de deux réunions préparatoires dans les mois qui ont précédé l’ouverture du procès (9 décembre 1946) à Francfort (mai 1946) et à l’Institut Pasteur de Paris (31 juillet et 1er août 1946).

Le code est finalement élaboré par les deux experts du tribunal, surtout Leo Alexander (en) (1905-1985), et les quatre juges, surtout Harold Sebring (en) (1898-1968). Inscrit dans les attendus du jugement selon la common law, il comporte dix articles sur la légalité de l’expérimentation humaine ;

Ce code s’inspire de quatre sources historiques :

C’est un code légal JURIDIQUE de droits humains et pas seulement un code de déontologie médicale destinée uniquement à des médecins.

Le Procès des médecins à Nuremberg(([1] Trials of War Criminals Before the Nürnberg Military Tribunals Under Control Council Law No. 10. October 1946—April 1949, Vol. II, Chap. XII Judgment, pp. 181-184. The Library of Congress))(([2] Le procès s’est déroulé dans le cadre de l’Accord de Londres du 8 août 1945 instaurant une structure juridique, le Tribunal Militaire International qui juge les crimes « non localisables » (celui des hauts dignitaires nazis ou procès de Nuremberg). Cet accord délègue compétence et pouvoir aux quatre puissances des zones d’occupation pour les autres crimes (article 10 de l’Accord de Londres) 20, qui font l’objet d’autres procès dont ceux tenus à Nuremberg pour des professions ou des corps particuliers.
Code de Nuremberg — Wikipédia (wikipedia.org) ))

Les 3 membres du tribunal des médecins étaient qualifiés par leurs antécédents professionnels : Walter Beals (président de la Cour Suprême de l’État de Washington), Harold Sebring (juge à la Cour Suprême de Floride), Johnson Crawford (ancien juge d’un tribunal de district d’Oklahoma). L’accusation fut dirigée par le procureur James Mac Harney, assisté de deux conseils, Alexandre Hardy et Arnost Hochwald. Le long travail de documentation et d’interrogatoires requis pour la préparation du procès des médecins occupa plus de cent juristes. Chaque accusé fut représenté par un ou plusieurs avocats de son choix. Ainsi, il y eut 19 avocats de la défense, dont 13 avaient été membres du parti national-socialiste, et un également de la SS.

Le procès des 23 médecins a débuté le 21 novembre 1946 par la signification des actes d’accusation, puis se déroula du 9 décembre 1946 au 19 juillet 1947 dans la grande salle d’audience du palais de Justice de Nuremberg.

Les accusés et les recherches médicales inhumaines

En poste dans les camps de concentration du Reich, les prévenus avaient pratiqué sur des civils ou des militaires, et sans le consentement de ceux-ci, des expériences au cours desquelles ils avaient commis « meurtres, brutalités, cruautés, tortures, atrocités et autres actes inhumains d’une « cruauté indicible », d’après le réquisitoire du procureur général Telford Taylor.

Les recherches initiées par l’armée allemande visaient entre autres à mettre au point et à tester des médicaments et des méthodes de traitement de blessures et de maladies que les soldats allemands pouvaient subir ou contracter au combat.

La plupart avaient été planifiées lors de conférences réunissant de nombreux responsables des services de santé(([3] https://www.cairn.info/revue-revue-d-histoire-de-la-shoah1-1997-2-page-10.htm)). Si l’on se réfère aux pratiques scientifiques de l’époque, la principale différence était l’utilisation d’êtres humains à la place d’animaux. C’était une différence insignifiante pour les médecins nazis, puisque le cobaye était déshumanisé à leurs yeux par sa condition de détenu, son origine ou son statut social.

Beaucoup de ces essais, réalisés dans des bâtiments construits à cet effet, concernaient les maladies infectieuses et leurs traitements et en particulier les vaccins : expériences sur le paludisme conduites à Dachau de février 1942 à avril 1945, essai sur le typhus, réalisé à Buchenwald et à Natzwzeiler de décembre 1941 à février 1945, recherches sur la fièvre jaune, la variole, la typhoïde, le choléra et la diphtérie effectuées à Natzweiler, sur l’hépatite virale à Sachsenhausen et Natzweiler…

Comme ces essais étaient réalisés pour bénéficier aux soldats allemands, les victimes étaient habituellement sélectionnées pour être proches du « sang allemand » selon les critères raciaux nazis : droits communs, « asociaux » (homosexuels, opposants politiques tziganes), prisonniers de guerre. Seuls les expériences de stérilisations ou les assassinats pour récupérer les squelettes concernaient essentiellement les juifs.

Les arguments de la défense

La défense ne nia pas la réalité des expériences décrites dans l’acte d’accusation, mais prétendit qu’elles n’étaient pas si dangereuses que l’accusation l’affirmait, qu’elles étaient justifiées par la nécessité de trouver en urgence des solutions aux graves maladies étudiées et qu’elles n’étaient guère différentes d’essais en cours dans d’autres pays, dont les États-Unis.

Les hommes qui commirent ces crimes n’étaient pas des savants fous ou des SS fanatiques, mais les représentants d’une médecine allemande pervertie par l’idéologie nazie illustrant la banalité du mal décrite par Hannah Arendt(([4]Tous ces gens incriminés pour des crimes d’une gravité exemplaire étaient d’une banalité si confondante, que cela rendait la question du génocide encore plus terrifiante.
http://www.institut-ethique-contemporaine.org/article%2520ethique_arendt.htm)) (à l’occasion du procès Eichmann en 1961 et 62).

Durant la guerre, 70 % des médecins allemands étaient membres du parti nazi (et déjà de nombreux, dès les années 30). À partir de 1933, l’éthique médicale « s’était inversée, l’individu n’était rien. Le peuple était tout ». Ils croyaient comme une majorité des Allemands de l’époque les théories de l’hygiène raciale et ont saisi l’opportunité de les mettre en pratique.

La défense soutint aussi que ses clients n’étaient pas responsables puisqu’ils avaient obéi à des ordres auxquels ils ne pouvaient pas se soustraire et opéré dans les limites admises de l’expérimentation de l’époque.

Le jugement fut rendu les 20 et 21 août 1947 et le verdict prononcé le 21 août. Des 23 accusés, 15 furent jugés coupables et condamnés : 7 à la pendaison, 5 à l’emprisonnement à vie et 3 à des peines de prison.

La justice ne frappa que des exécutants, tandis que beaucoup d’autres médecins qui avaient participé aux essais incriminés parvinrent à préserver leur position sociale et leur influence. Car, tandis que le gouvernement militaire de la zone américaine d’occupation préparait la tenue d’autres procès contre des responsables nazis, d’autres organes de l’armée et du gouvernement américains récupéraient près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie dans le cadre de l’opération Paperclip(([5] Linda Hunt : L’affaire Paperclip — La Récupération des Scientifiques Nazis par les Américains, 1945-1990)) afin de les recruter et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich pour lutter contre l’URSS.

Définir l’éthique des expérimentations sur l’homme

Le procès de Nuremberg ne jugea pas seulement le nazisme et les médecins nazis, mais aussi les concepts qui inspirent l’art d’être médecin : la compassion devant la souffrance, la bonne utilisation des connaissances reçues, le respect de l’être humain, de sa pensée, de son corps, de sa santé et de sa vie.

Ce procès tranche l’éternel dilemme de la priorité de la science et de la nécessité médicale sur le respect de l’éthique. Les nazis prétextant l’urgence de la guerre choisirent de tout faire pour tenter de protéger le soldat allemand aux dépens du respect des droits de l’être humain.

Ce procès permit de rappeler les principes élémentaires qui régissent les rapports entre les hommes dans le monde démocratique, les droits fondamentaux qui avaient été gravement violés par les accusés.

Il ne s’agissait pas de discuter l’utilité éventuelle des expériences réalisées(([6] Les responsables américains de Paperclip se sont tout particulièrement intéressés aux expériences de l’Armée de l’Air allemande sur les hautes altitudes, le froid et l’eau de mer.)), mais de constater que des médecins qui ont juré d’apaiser la souffrance de leurs semblables les ont fait souffrir et ont entraîné la mort de beaucoup d’entre eux (plus de 7000).

Constatant que la soumission à l’autorité et au mirage de la science pouvait transformer en bourreau une personne jusqu’alors censée et douée de compassion, les juges estimèrent qu’il fallait fournir à tous les médecins un système de protection éthique solide et indiscutable afin de leur permettre de résister aux pressions éventuelles du pouvoir. Il était nécessaire de fixer des limites, et tout particulièrement celles de l’expérimentation sur l’Homme.

C’est pour ces raisons que les juges ont élaboré le Code de Nuremberg, ensemble des principes qui constituent les bases de la bioéthique moderne et de ce qui est tolérable en matière d’expérimentation sur l’homme.

Les 10 principes qui forment le code de Nuremberg

Tribunal militaire américain, Nuremberg, 1947(([7] Nicole Delepine — Le code de Nuremberg. 1947
Département d’Histoire et de Philosophie des sciences de la vie et de la Santé (D.H.V.S.). Conservation du Patrimoine et des Musées — 1947
Le code de Nuremberg. 1947))

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir, qu’elle doit être laissée libre de décider sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contrainte ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.

L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens ; elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions à l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus, l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et tout dommage physique ou mental non nécessaire.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui effectuent les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience s’il estime avoir atteint le seuil de résistance mentale ou physique au-delà duquel il ne peut aller.

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Ces dix principes réunis sous le nom de code de Nuremberg constituent la référence majeure des textes ultérieurs — éthiques et juridiques — en matière d’expérimentation médicale, comme la déclaration d’Helsinki de l’Association médicale Mondiale(([8] https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique/declaration-dhelsinki/)). Ils ont été repris par la convention d’Oviedo(([9] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention)), seul instrument international juridiquement contraignant sur la protection des droits de l’homme dans le domaine biomédical, que la France a signée et s’est engagé à respecter et qu’elle a transposée dans son droit national.(([10] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000026151968/))

Le code de Nuremberg visait à refonder le monde sur des valeurs opposées à celles qui ont conduit à la construction des États totalitaires. Esprit qui a présidé également à la fondation de l’ONU et à l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme le 10 décembre 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies.

Il représente un des piliers de la démocratie. Par ce seul code, Walter Beals, Harold Sebringet et J Johnson Crawford sont déjà rentrés dans l’histoire.(([11] https://guyboulianne.com/2019/09/11/le-code-de-nuremberg-et-le-consentement-eclaire-comme-prealable-absolu/))

Les violations du code de Nuremberg à l’occasion du covid

Les prétendus vaccins anti-covid étaient (et sont toujours expérimentaux), car leurs essais phase 3 ne sont toujours pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).

Toutes les stratégies sanitaires des gouvernements occidentaux visaient à obliger la population à se faire injecter ces traitements expérimentaux.

Les violations du premier principe du code (consentement libre et éclairé) sont multiples et majeures 

Fraude sur la nature réelle des produits injectés qui ne sont pas des vaccins, car ils ne contiennent ni antigène ni anatoxine, mais des médicaments préventifs à base d’ARN comme l’a d’ailleurs récemment reconnu le professeur Delfraissy.(([12] F Delfraissy « le vaccin est un peu un médicament. France info janvier 2022 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html))

Utilisation permanente de supercherie, de duperie sur l’efficacité des injections sur la prévention de la maladie (ils prétendaient 97 % !), de la transmission (ils affirmaient plus de 90 % !)(([13] Damien Mascret sur le plateau de France Info le vendredi 26 février 2021 prétendait. Les infections sont en effet réduites de 92 %. « Aujourd’hui, on en est à peu près sûr, pour plus de 90 % des cas, [une personne] ne transmettra pas, elle ne s’infectera pas
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-pfizer-protege-contre-la-transmission-du-virus_4312241.html)), et sur la protection contre les formes graves alors que depuis la vaccination la mortalité n’a pas diminué, mais au contraire fortement augmenté.

Utilisation de contraintes majeures contre certains professionnels (soignants, pompiers, ambulanciers, militaires, personnels du transport aérien, sportifs) ont été exclus de leur métier s’ils refusaient le traitement expérimental alors que les pseudo vaccins n’empêchent nullement les transmissions.

Contrainte et coercition largement répandues contre toute la population avec la création des pass sanitaires, puis vaccinaux pourtant totalement inefficace contre la maladie

Mensonge la durée des traitements que les gouvernants veulent sans cesse prolonger (une dose, puis deux, puis trois, puis quatre puis tous les six mois(([14] https://www.dailymail.co.uk/news/article-10264927/Britain-buys-114m-extra-vaccine-doses-battle-Covid-19.html))…)

Négation des risques encourus et les conséquences possibles pour sa santé même chez les femmes enceintes(([15] https://www.allodocteurs.fr/covid-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pendant-la-grossesse-33204.html))(([16] Covid-19 : les vaccins sont « sans danger » pour les femmes enceintes, selon cette vaste étude. Selon l’ANSM
https://www.huffingtonpost.fr/science/article/covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes-selon-cette-vaste-etude_206523.html)), même chez les allergiques(([17] https://www.santemagazine.fr/sante/maladies/allergies/allergie-peut-on-se-vacciner-sans-risque-contre-la-covid-19-895268)) alors que les injections anticovid sont suivies du plus grand nombre de complications recensées par le VAERS américain et Eudravigilance depuis leur création, que l’incidence des réactions anaphylactiques provoquées par les deux vaccins anti-covid est supérieure à celle qui est observée pour la plupart des autres vaccins (de l’ordre de 1,31 par million de doses)(([18] M.M. McNeil, E.S. Weintraub et coll. Risk of anaphylaxis after vaccination in children and adults. J Allergy Clin Immunol. 2016 Mar; 137(3): 868–878. doi: 10.1016/j.jaci.2015.07.048.)) et que de nombreux décès par réaction allergique ont été signalés.

Rappelons enfin que le code de Nuremberg stipule textuellement que l’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent au médecin qui travaille à cette campagne d’injection expérimentale.

Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à ce professionnel qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivi. Les vaccinateurs ont gravement contrevenu à leur obligation et encourent de ce fait des risques pénaux qu’ils sous-estiment largement.

Les violations majeures du code de Nuremberg qu’ont réalisées certains gouvernants pour imposer des traitements expérimentaux manifestement inefficaces ont fait courir des risques inutiles aux populations manipulées par une propagande totalitaire souvent élaborée par McKinsey.

Faisons respecter les fondements éthiques et juridiques qui définissent nos démocraties. Il faut juger et condamner ces apprentis sorciers dont les agissements n’ont respecté le code de Nuremberg ni nos droits fondamentaux en imposant une dictature prétendument sanitaire.





Intelligence Artificielle : Un regard laïque sur l’antéchrist numérique

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith − Le 12 aout 2022 − Source Alt-Market

Pourquoi les globalistes ont-ils une obsession profondément enracinée pour l’intelligence artificielle (IA) ? Qu’y a-t-il dans la quête fervente d’un cerveau autonome numérisé qui les plonge dans des crises d’extase ? S’agit-il uniquement de ce que l’IA peut faire pour eux et leur programme, ou y a-t-il également un élément « occulte » plus sombre dans le concept qui est si attrayant ?

Le Forum Économique Mondial, une organisation dédiée au programme globaliste de la « grande réinitialisation », à la quatrième révolution industrielle et à l’« économie partagée », consacre une grande partie de sa réunion annuelle à Davos, en Suisse, à des discussions sur l’IA et l’expansion de son influence sur la vie quotidienne.

Les Nations unies organisent des sessions politiques approfondies sur l’IA et consacrent une énergie considérable à l’établissement de « règles éthiques » pour le développement et l’utilisation de l’intelligence artificielle. Au cœur des efforts de l’ONU se trouve l’affirmation que seule l’ONU est qualifiée pour dicter et contrôler les technologies de l’IA, pour le bien de toute l’humanité, bien sûr. Selon les livres blancs de l’ONU, la gouvernance de l’IA devrait être pleinement effective d’ici 2030 (toutes les institutions globalistes ont fixé l’année 2030 comme date cible pour tous leurs projets).

Une autre organisation moins connue mais importante est le World Government Summit qui se tient chaque année à Dubaï. De nombreux dirigeants et représentants nationaux ainsi que des PDG d’entreprises et des célébrités participent à ces sommets. Les principaux sujets abordés lors du WGS sont généralement la propagande sur le changement climatique, la centralisation de l’économie globale, le transhumanisme et l’IA.

La plupart des discussions publiques sur l’IA tournent autour de récits positifs ; nous sommes censés être convaincus des nombreux et grands progrès que la technologie de l’IA apportera. Parmi ces « avantages » figurent les modifications transhumanistes de la santé, les implants informatiques dans le corps ou le cerveau, et même les nanorobots qui pourraient un jour être suffisamment avancés pour modifier nos cellules mêmes. En d’autres termes, pour bénéficier de l’IA, nous devons devenir moins humains et plus machines.

D’autres avantages supposés nécessitent une vaste gamme de nouveaux systèmes (dont certains sont en cours de construction) qui permettraient aux algorithmes de surveiller toutes les facettes de nos vies. Les globalistes font souvent référence à ces systèmes comme à « l’internet des objets » — Chaque appareil que vous possédez, la voiture que vous conduisez, chaque ordinateur, chaque téléphone portable, chaque caméra de surveillance, chaque feu rouge, tout serait centralisé dans un seul réseau d’IA au sein d’une ville, et chaque ville serait connectée en une grande toile d’araignée à une base de données nationale d’IA.

L’internet des objets est régulièrement mentionné en lien avec la gouvernance du changement climatique et les restrictions de carbone. L’objectif est clair comme de l’eau de roche : les gouvernements et les élites du monde des affaires veulent pouvoir surveiller chaque watt d’énergie que vous utilisez chaque jour. Ce type d’informations sur l’ensemble du spectre permet de dicter plus facilement nos décisions et notre accès aux biens et services. Ils auraient un contrôle total sur toute personne vivant dans ces « villes intelligentes ». Votre vie entière, chaque seconde, serait observée et scrutée.

Mais comment cela pourrait-il être possible ? Des millions et des millions de personnes vivant au jour le jour, cela fait BEAUCOUP de données à passer au crible pour trouver ceux qui ne suivent pas les règles. C’est l’une des raisons pour lesquelles les globalistes salivent devant les technologies de l’IA : c’est le seul outil disponible pour collecter et délimiter des données de masse en temps réel.

On s’efforce déjà d’utiliser des systèmes d’IA pour prédire les crimes avant qu’ils ne se produisent (pré-crime). Ces expériences sont plutôt exagérées car elles ne prédisent pas réellement des crimes spécifiques ou n’identifient pas des criminels spécifiques. Elles utilisent plutôt une analyse statistique pour prédire les zones d’une ville où certains crimes sont le plus susceptibles de se produire. Il n’est pas nécessaire d’avoir recours à l’IA pour cela, n’importe quel policier ayant travaillé assez longtemps dans une ville peut vous dire quand et où certains crimes sont le plus susceptibles de se produire.

De façon hilarante, les algorithmes d’IA ont récemment été accusés de « partialité raciale » en ce qui concerne les zones qu’ils sélectionnent pour la prédiction de la criminalité, car ces zones se trouvent souvent dans des quartiers à prédominance noire et les criminels les plus prédits sont souvent de jeunes hommes noirs. Ainsi, les ordinateurs ont été accusés de profilage racial tout comme de nombreux policiers sont accusés de profilage racial.

Une autre contradiction classique de la gauche politique : Ils adorent l’idée de restrictions du changement climatique, le transhumanisme, et même la surveillance par l’IA quand cela les arrange, mais un ordinateur ne se soucie pas de vos sentiments et il ne se soucie pas des tabous sociaux. Seuls les chiffres l’intéressent.

Et c’est là que nous entrons dans les plus grands dangers inhérents à l’IA. Imaginez un monde microgéré par un algorithme froid et mort qui ne vous voit que comme une seule des deux choses suivantes : Une ressource ou une menace.

La prédiction de la pré-criminalité est un non-sens ; les algorithmes surveillent les habitudes et les schémas et les êtres humains ont tendance à briser brusquement les schémas. Les gens sont affectés par les événements de crise de différentes manières qu’il est impossible de prévoir. Il y a beaucoup trop de variables et il n’y aura jamais de système capable de prédire l’avenir, mais cela ne va pas empêcher les globalistes d’essayer de forcer le trait.

La gouvernance de l’IA est inévitable selon les institutions globalistes – Elles prétendent qu’un jour, l’intelligence artificielle sera utilisée pour gouverner des sociétés entières et infliger des punitions sur la base de modèles scientifiquement efficaces. Ils agissent comme si c’était la voie naturelle de l’humanité et que nous ne pouvions pas l’éviter, mais en réalité, il s’agit d’une prophétie auto-réalisatrice. Ce n’est pas nécessairement censé se produire, mais c’est conçu pour se produire.

Les partisans de l’IA affirment que les algorithmes ne peuvent pas agir avec les mêmes préjugés que les humains, et qu’ils seraient donc les meilleurs juges possibles du comportement humain. Chaque décision, de la production à la distribution, en passant par les soins de santé, la scolarité et l’ordre public, serait gérée par l’IA afin de parvenir à une « équité » ultime.

Comme indiqué plus haut, ils se sont déjà heurtés à l’obstacle des probabilités statistiques et au fait que, même si l’on laisse l’IA prendre de manière autonome des décisions dénuées d’émotions, des millions de personnes considéreront toujours ces décisions comme biaisées. Et, d’une certaine manière, ils auraient raison.

La décision la plus logique n’est pas toujours la plus morale. En outre, une IA est programmée par son créateur et peut être conçue pour prendre des décisions en tenant compte des préjugés de ce dernier. Qui programme l’IA ? Qui peut dicter son codage ? Des élitistes globaux ?

Et c’est ici que nous arrivons à l’élément plus « spirituel » de la question de l’IA par rapport aux globalistes.

Il y a quelques années, j’ai écrit un article intitulé « Luciférisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur« . Mon objectif dans cet article était d’exposer les nombreuses preuves que les globalistes sont en fait une sorte de culte de psychopathes organisés (des personnes sans empathie qui prennent plaisir à détruire dans un but de gain personnel). J’ai conclu que les globalistes ont effectivement une religion, et que leur système de croyance fondamental est, selon les preuves, le luciférisme.

Oui, je suis sûr qu’il y aura des opposants qui se moqueront de cette notion, mais les faits sont indéniables. Il y a un élément occulte distinct dans le globalisme, et le luciférisme apparaît constamment comme la philosophie de base. Je pense avoir expliqué cela de manière assez efficace dans l’article et je ne vais pas répéter toutes les preuves ici ; les gens sont invités à le lire s’ils le souhaitent.

J’ai écrit d’un point de vue laïc parce que le luciférisme est une idéologie intrinsèquement destructrice, même lorsqu’on la considère en dehors du prisme de la croyance chrétienne. Au-delà de cela, il y a des éléments psychologiques qui doivent être abordés et que le christianisme ignore souvent. La philosophie luciférienne est faite sur mesure pour les personnes narcissiques et sociopathes. La racine du culte concerne des êtres humains « spéciaux » qui ne sont pas entravés par les limites de la conscience, de la morale ou de l’éthique. Le manque d’empathie est considéré comme un avantage pour le progrès et le but ultime du luciférisme est la divinité – une personne devenant comme un dieu, que ce soit en étant adulée par les autres, par le pouvoir d’influence ou par des méthodes technologiques permettant de prolonger la vie et les capacités.

Mais qu’est-ce que cela a à voir avec l’IA ?

Je crois que les globalistes considèrent l’IA avec une telle vénération parce qu’ils pensent qu’il s’agit d’une nouvelle forme de vie, ou d’une forme ultime de vie – une vie qu’ils créent (comme les dieux créent la vie). Et, si vous y pensez symboliquement, cette nouvelle « vie » est en fait faite à l’image de ses créateurs : Elle n’a aucune empathie, aucun remords, aucune culpabilité, aucun amour. Par manque d’un meilleur mot, elle est sans âme, tout comme les psychopathes globalistes sont sans âme.

Si nous devons considérer l’IA en termes religieux pour un moment, l’IA est une sorte d’antithèse à la figure du Christ. Le Christ représente une forme omnisciente d’amour ultime et de sacrifice ultime de soi, selon la doctrine chrétienne. Je ne pense pas qu’il existe un mot pour désigner ce que l’IA représente en définitive. Le seul terme qui semble convenir est « Antéchrist » : L’œil qui voit tout. Le règne d’une super-intelligence dépourvue d’humanité.

Pour être clair, je ne crois PAS aux concepts de fin du monde décrits par ceux qui adhèrent aux interprétations les plus populaires de l’Apocalypse. Je pense que le monde change. Je pense que les empires s’élèvent et tombent et que cela peut souvent être considéré comme la « fin du monde » alors qu’il s’agit simplement de la fin d’une époque. Ceci étant dit, je crois de tout cœur à l’existence du mal ; le mal étant défini comme des actions délibérément trompeuses ou destructrices pour un bénéfice purement personnel ou organisationnel, comme le meurtre ou l’asservissement. Le mal existe bel et bien et est un élément observable de la vie humaine.

Il existe également des traits de l’humanité qui mènent au bien, qui nous empêchent de nous autodétruire lorsque nous les écoutons. La conscience, la raison, la sagesse et souvent la foi peuvent constituer un bouclier contre les mauvaises actions pour la majorité d’entre nous. Si nous n’avions pas ces piliers dans notre psyché, nous nous serions anéantis depuis longtemps. Mais il y a ceux qui n’ont pas de conscience, qui n’ont pas d’empathie et qui méprisent ces traits comme étant « limitatifs ».

L’IA est conçue par ce genre de personnes. Et peut-être qu’elles ne provoqueront pas la « fin du monde » dans les termes que nous comprenons communément (ou en termes bibliques), mais au fil du temps, elles pourraient supprimer tout ce qui rend l’humanité digne du monde. D’une certaine manière, il s’agirait d’une apocalypse. Ce serait un cauchemar vivant dirigé par des personnes psychopathes utilisant une intelligence artificielle sociopathe, encourageant et permettant activement aux masses d’abandonner leurs corps humains pour devenir des monstruosités numériques et des chimères technologiques.

En cas de succès, ce serait vraiment la souillure ultime de la nature, ou de la conception de Dieu si c’est ce en quoi vous croyez. La quête de la divinité ne vaut pas la peine pour la plupart d’entre nous, mais pour les globalistes, c’est le rêve d’une époque, et ils feront TOUT pour y parvenir.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?

Les défenseurs des oiseaux ont vécu un scénario apocalyptique durant l’été 2022 : des milliers d’oiseaux sont morts sur les plages, notamment aux Pays-Bas et en France. Les médias accusent uniquement la grippe aviaire. Ce documentaire enquête cependant sur un tout autre soupçon et se termine par un appel urgent !

Autres émissions sur ce thème :

Arbres et abeilles morts à cause de la 5G
https://www.kla.tv/15443

Appel urgent à se réveiller : la 5G est un danger pour le corps et la vie !
https://www.kla.tv/13859

Interview téléphonique avec Barrie Trower, spécialiste des ondes millimétriques. Partie 1 : Destruction de l’homme, des animaux et de la nature par les rayonnements 5G
https://www.kla.tv/14399

[Voir aussi :
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]

Transcription

Plus de 2,7 millions de téléspectateurs ont déjà vu notre appel urgent à se réveiller « la 5G est un danger pour le corps et la vie ! » ! Dans cet appel à se réveiller, on apprend notamment que plusieurs centaines d’oiseaux pourraient avoir trouvé la mort suite à un essai de la 5G à La Haye. Des articles de presse récents, parus cet été, sur la mort mystérieuse de milliers de sternes, font à nouveau réagir :

Sur l’île néerlandaise de Texel, par exemple, selon l’association ornithologique Jordsand, une colonie de sternes caugek, comptant environ 4 000 couples nicheurs, a été presque entièrement anéantie.

Les protecteurs des oiseaux ont assisté à un scénario apocalyptique : des oiseaux morts et agonisants gisaient partout. Plus de 3 500 oiseaux morts ont déjà été ramassés sur l’île de Texel pendant les mois d’été, et beaucoup d’autres dériveraient en mer sans jamais être retrouvés.

Dans les rapports publiés par les médias, la mort des oiseaux est toujours justifiée par la présumée flambée du virus H5N1 de la grippe aviaire.

Selon le site néerlandais antennekaart.nl, qui documente de manière très transparente la mise en place ou la modification des antennes de téléphonie mobile, une augmentation massive de l’exposition aux ondes électromagnétiques a été constatée fin mai 2022 dans la réserve du Texel, près de la localité de De Petten. C’est précisément là que nichaient la plupart des sternes concernées. Six nouvelles antennes de Vodafone et douze de l’opérateur KPN ont été mises en service près de De Petten. Le nombre de fréquences émises est passé rapidement de 5 à 11.

Peu après, le drame des sternes caugek, menacées d’extinction, a commencé. De plus en plus d’oiseaux ont été retrouvés morts.

Les nouvelles fréquences, avec la nette augmentation de l’exposition aux ondes qu’elles entraînent, ont-elles porté le coup mortel aux oiseaux ?

Une « tragédie aviaire » similaire s’est produite cet été dans la réserve naturelle néerlandaise de Waterdunen, située à l’autre bout des Pays-Bas. Là aussi, d’innombrables sternes ont été retrouvées mortes.
Comme Texel, Waterdunen se trouve sur une route maritime très fréquentée, à l’entrée d’un port très actif. La téléphonie mobile y est très utilisée pour la navigation.

Selon antennekaart.nl, dans un rayon d’environ 12,5 km, le nombre incroyable d’environ 300 antennes 4G est dirigé vers Waterdunen – une ZONE DE PROTECTION DE LA NATURE ! Entre avril et juin de cette année, environ 50 de ces antennes ont été rajoutées aux mâts de téléphonie mobile. Il en résulte une augmentation dramatique de l’exposition aux ondes pour les oiseaux de Waterdunen, qui ont également été exposés à de nombreuses nouvelles fréquences.

Cependant, dans la réserve naturelle de Yerseke Moer, située à seulement 30 km de Waterdunen, aucun oiseau mort n’a été trouvé. La colonie d’hirondelles y a prospéré de manière parfaite ! Cette réserve isolée ne se trouve pas à proximité d’un grand port ni d’une voie navigable. Les données d’antennekaart.nl ne permettent pas non plus d’y détecter une augmentation significative de l’exposition aux ondes !

C’est précisément à ce point que la « théorie de la grippe aviaire » comme cause unique de la mort cruelle des oiseaux s’effondre comme un château de cartes. Car d’une part, il devrait y avoir eu une transmission d’une extrémité des Pays-Bas (Texel) à l’autre (Waterdunen), et d’autre part, la localité de Yerseke Moer, située à seulement 30 km de Waterdunen, n’est pas du tout touchée. Cela n’a aucun sens !

En outre, la mort de milliers de sternes a également été rapportée en France. L’auteur américain et critique de la téléphonie mobile Arthur Firstenberg fait remarquer que là aussi, des dizaines de nouvelles antennes 4G et 5G avaient été mises en service peu de temps auparavant. Malgré cela, en France aussi, les médias ont nommé la grippe aviaire comme seule cause de la mort. Ce prétendu virus ne servirait-il que de bouc émissaire pour détourner l’attention d’une toute autre cause ?

Lors de la mort des oiseaux à La Haye, dont nous avons parlé dans notre premier appel au réveil, le lobby de la téléphonie mobile pouvait encore nier qu’un test 5G avait eu lieu. Grâce à la documentation détaillée d’antennekaart.nl, il est désormais possible d’établir clairement, pour la première fois, un lien temporel entre la mise en service de nouvelles antennes et la mort de milliers d’oiseaux.

Pour clarifier la situation, une question essentielle doit inévitablement être posée :

Les opérateurs de téléphonie mobile sont-ils responsables de la mort de milliers d’oiseaux ?

Trois raisons fondées confirment que ce n’est pas du tout une hypothèse absurde :

  1. les éleveurs de pigeons voyageurs témoignent que les pigeons voyageurs peuvent perdre leur orientation à cause de la téléphonie mobile !
  2. après un examen approfondi de 919 études scientifiques, le ministère indien de l’environnement confirme que les mâts de téléphonie mobile perturbent les systèmes biologiques des oiseaux !
  3. Le professeur Peter Semm a effectué des recherches sur les pinsons zèbres pour le compte de Telekom. Il a découvert que leurs cellules nerveuses réagissaient au rayonnement de la téléphonie mobile. Il n’a pas été autorisé à publier ses résultats, car la Deutsche Telekom craignait un effondrement de ses affaires.

La Deutsche Telekom sait donc, grâce à ses propres expériences, que la téléphonie mobile a une influence sur la vie des oiseaux. Elle le nie toutefois en public.

Pourquoi la téléphonie mobile n’est-elle pourtant même pas mentionnée dans les rapports publics comme cause possible de la mortalité dramatique des oiseaux ?

Le dicton populaire dit : « Qui paie les violons choisit la musique ». Nos médias de masse n’agissent-ils pas exactement selon cette devise ? Ils sont en effet cofinancés pour une part non négligeable par le lobby de la téléphonie mobile. Est-ce pour cette raison que le lien éventuel avec la téléphonie mobile est tout simplement passé sous silence ?

Chers téléspectateurs, contrairement à ce qu’affirment les médias et le lobby de la téléphonie mobile, les oiseaux sont-ils morts à cause de la 4G ou de la 5G ou non ? Cette question doit être examinée immédiatement afin de mettre fin à la mort des oiseaux.

Comme les médias de masse n’évoquent pas le lien avec la mort des oiseaux, seule votre aide peut, comme d’habitude, provoquer un tollé parmi la population.

Aidez-nous donc à répandre ces informations cruciales comme une traînée de poudre. Soutenez ce cri d’alarme en transmettant MAINTENANT cette vidéo à un maximum de personnes de votre entourage. Pour ce faire, nous insérons le lien court vers cette émission.

de kw./sb.

Sources / Liens :

Berichte über den Tod von Seeschwalben

Brieftauben

Vögel können durch Mobilfunk gestört werden
The Times of India, vom 12.10.2011

Professor Peter Semm




Suicide des professionnels de santé : continuerons-nous a faire la sourde oreille ?

Par Nicole Delépine

Suicide des professionnels de santé : face aux chiffres « démesurés », un film choc de l’association SPS pour que « ça bouge vraiment » | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr) sept 2022

Mes soignants sont tracassés et fracassés. Par une sélection ubuesque en 1re année, par un Externat où ils font plus de travail subalterne que de la vraie formation, par un internat trop tardif et pas assez encadré. Épuisés, le suicide ou l’abandon de ces métiers en sont la conséquence. « Les Blouses Blanches sont en colère noire »(([1] Lire le livre du chirurgien B Kron « les blouses blanches sont en colère noire », éditions Max Milo : « La Covid a mis au grand jour la ruine de notre système de santé. De numéro 1 mondial en 1970, il est tombé au 24e rang des pays de l’OCDE ! Pour la première fois depuis la Guerre, l’espérance de vie recule en France. Dans les hôpitaux, 30 000 patients décèdent d’accidents médicaux chaque année. Dans cet essai, Bernard Kron analyse les causes de cet échec. Il décortique les principales réformes (en particulier la diminution drastique du nombre de médecins et d’infirmières) qui ont mené à cette catastrophe. Pour sortir de cette impasse, l’auteur milite pour redonner le pouvoir aux médecins et plus largement aux soignants, qui sont en colère contre leur administration et les agences de santé ».))

Tel est le commentaire d’un médecin sur l’article du quotidien du médecin, journal qui semble s’étonner qu’après plus de trente ans de destruction de la vraie médecine et de la perte de sens de nos métiers au bénéfice du management bureaucratique à visée financière, les médecins et soignants disparaissent du paysage, par démission, par changement de voie ou malheureusement trop souvent par le suicide. (Bernard k • Médecin ou Interne • Le 30/08/2022 à 19:06)

Mais ce sujet brûlant n’est pas nouveau et est occulté depuis plus d’une trentaine d’années comme celui des agriculteurs et des policiers. Nous avions en 2013 appelé l’attention des citoyens(([2] https://atlantico.fr/article/decryptage/suicide-des-medecins–silence-mediatique-sur-un-massacre-programme-du-systeme-de-sante-nicole-delepine août 2013)) trop indifférents au sort réel du système de santé malgré de nombreux ouvrages d’alerte dès les années 2000 comme celui de B Debré et P Even dans « Avertissement aux malades, aux médecins et aux élus » en novembre 2002(([3] Éditions le Cherche Midi « Aux malades, ce livre raconte les risques et les maladies d’aujourd’hui et la vie des médecins et des infirmières qui les soignent. C’est alors un message de vérité et d’espoir. Aux médecins, il tente de faire comprendre la confusion incroyable d’un système qui les paralyse et pourquoi il ne fonctionne pas comme il devrait. C’est ici une invitation à la mobilisation et l’action. Aux élus, il dénonce la politique centralisée, menée depuis 25 ans, purement administrative et comptable, à courte vue, sans lucidité ni courage, en mêlant gaspillages insensés et restrictions injustifiées.

À tous, il rappelle que la médecine doit être sobre, humaine, fondée sur le cœur, le savoir, l’expérience et la raison et centrée sur chaque malade particulier et non pas une démarche technologique d’ingénieurs centrée sur les maladies en général ».)) toujours d’actualité.

Dans l’article d’Atlantico de 2013, nous insistions sur les raisons de la chute vertigineuse de notre système de santé dans un silence médiatique complet. Quelques extraits pour prouver que le sujet n’est pas nouveau et occulté par les médias et les citoyens sauf le jour où ils deviennent malades (ou un de leurs proches) et tombent des nues.

MISE À MORT : suicide des médecins : silence médiatique sur un massacre programmé du système de santé

« Alors que le système hospitalier français, et plus largement le système de la santé, connaît une réforme profonde, le nombre de suicides parmi les professionnels du secteur médical est en pleine explosion. La faute à un harcèlement bureaucratique et à un management d’entreprise qui a déjà fait des ravages, notamment chez France Télécom. »

Le harcèlement quotidien des personnels de santé s’est amplifié considérablement depuis le covid

Chaque jour, comme la suspension des soignants refusant l’injection toxique et inutile l’a démontré et le maintien scandaleux de cette obligation alors que la multiplication mondiale des effets secondaires (dont trop de décès) et l’inefficacité complète sur la transmission du virus a été démontrée et avouée même par le Pr Delfraissy qui dirigeait le conseil scientifique. Cette exclusion des soignants vaccino prudents n’a qu’un but : les empêcher de parler !

« Alertes répétées et à chaque fois silence ! Et le harcèlement des autorités contre le monde médical continue avec chaque jour son flot de mesures vexatoires, diffamatoires et dégradantes pour désespérer un peu plus l’ensemble de la profession.

La gravité du harcèlement subi par les médecins libéraux n’a d’égal que le harcèlement des personnels hospitaliers par les restructurations conçues en dehors de tout consensus et sans réflexions a priori sur conséquences prévisibles avec les personnels concernés et compétents. Les réunions dites de “concertation” ne sont que des simulacres de dialogue et ne consistent qu’à annoncer au personnel désespéré les nouvelles suppressions de postes, de lits et de service sans possibilité de refus ».

La médecine policière

« La bureaucratie représentée par les Agences régionales de santé (ARS) toutes puissantes décide de la vie ou de la mort de tel service ou institution via la délivrance ou non de l’accréditation, soit de l’autorisation de traiter telle ou telle pathologie après des enquêtes, audits et interrogatoires policiers sur vos pratiques, votre obéissance aux recommandations venues d’en haut, les travaux coûteux effectués pour correspondre de nouvelles normes à chaque fois modifiées, bref, du harcèlement administratif et autocrate.

Moralité : les suicides et tentatives se multiplient, s’ajoutant aux arrêts de travail pour dépression ou équivalents aggravant la déshumanisation, conséquence de la froideur dans laquelle les personnels victimes de burn-out (épuisement professionnel : on se brûle, on se consume littéralement) se réfugient avant la décompensation finale du suicide.

Le nombre de suicides des médecins trois fois supérieur à celui de la population générale a été dénoncé de nombreuses fois depuis plusieurs années. »

Le management à la France Télécom

En 2013, le désastre des restructurations hospitalières s’aggrave, les suicides se multiplient et toujours dans le même silence médiatique. Le patron de la pneumologie de Nevers s’est suicidé(([4] Le quotidien du médecin : « Suicide d’un pneumologue à l’hôpital de Nevers : l’Ordre dénonce le silence des tutelles », 15/05/2013)) le 23 avril 2013, et même le Conseil départemental de l’Ordre des médecins de la Nièvre s’est indigné « du silence des autorités locales, régionales, voire nationales, et des médias locaux ». Le président, le Dr Badoux, insiste dans un courrier d’alerte adressé à Marisol Touraine, au préfet, à l’ARS de Bourgogne et aux instances ordinales. Quelle fut leur réponse à part le bruit assourdissant du silence ? Si elle existe, elle n’a pas inondé les ondes. Le Dr Badoux a évoqué ce médecin « pilier de la pneumologie », « apprécié de toutes et tous pour sa technicité et sa gentillesse ». L’Ordre local « choqué » s’interroge : « Pourquoi une telle indifférence ? La vie des uns et des autres n’a-t-elle pas la même valeur ? Le suicide d’un médecin aurait-il moins d’importance que celui d’un employé de grandes entreprises nationales comme France Télécom ou Renault ? Ce chef de service est revenu à l’hôpital pour mettre sa blouse en cette matinée tragique avant de se taillader les veines et se sectionner la carotide. Qu’on ne nous dise pas qu’il n’y a aucun lien avec le travail quotidien. »

McKinsey rôde, agit, coupe, casse et récolte l’argent de nos impôts

Déjà en 2013 on découvre le rôle des agences de consulting qui deviendront tristement célèbres avec le scandale McKinsey et le covid, mais qui restent toutes puissantes, semble-t-il.

« La même agence de consulting chargée de restructurer FranceTélécom et EDF avec les conséquences que tout le monde connaît… s’occupe depuis les dernières années de restructurer la santé publique ».

Et l’épidémie chez les médecins se double de celles des paramédicaux chez lesquels les suicides devraient aussi faire la une du 20 heures. Mais, surprise, ils sont également ignorés comme ceux des agriculteurs pendus dans leurs granges victimes de la politique agricole commune (PAC).

Dans les six premiers mois de l’année en cours, l’APHP (Assistance publique hôpitaux de Paris), cette célèbre et fière institution d’Île-de-France, a égalé le nombre de suicides et tentatives de l’année 2012 :

« Depuis 2010, avec une accélération en 2012, nous totalisons le triste chiffre de plus de trente suicides ou tentatives de suicide*, toutes catégories confondues, avec sur une période de 5 mois un nombre équivalent à celui (déjà inacceptable) d’une année entière ! »(([5] Communiqué de presse USAP CGT))

« Je ne veux plus retourner à Robert Debré. Travail inhumain. Plus la force ». Voilà les quelques mots laissés par Françoise, auxiliaire de puériculture le 22 décembre dernier, avant de mettre fin à ses jours. Depuis, près d’une dizaine d’autres membres du personnel de l’Assistance publique ont imité son geste. Rien que pour 2013, ils sont 9, dont deux ont tenté de se suicider directement sur leur lieu de travail. Le 25 mai 2013, une salariée d’Henri Mondor, âgée de 42 ans, a décidé d’en finir.(([6] L’insupportable souffrance au travail : ça suffit !!!
Lundi 25 mai 2013 au soir, une de nos collègues d’Henri Mondor, proche de la CGT, jeune femme de 42 ans a choisi de se suicider.(…) L’USAP CGT par courrier dès décembre 2012 avait déjà alerté.))

L’USAP CGT avait interpellé la ministre en décembre 2012. À la date du communiqué le 29 mai 2013, « aucune réponse de la ministre, aucune mesure concrète nouvelle à l’APHP, bien que la Directrice Générale nous ait répondu favorablement.

De plus les médecins du travail sont de moins en moins nombreux ».

Est-ce que la mise en place d’une cellule de crise et de soutien psychologique peut effacer les harcèlements quotidiens auxquels sont soumis les personnels ? Ne faut-il pas reconsidérer, comme ce fut fait finalement à France Télécom, le management choisi dans les hôpitaux et la politique de santé actuelle ? Comme le dit si bien ce communiqué : « L’hôpital est devenu une usine de production de soins avec une gestion managériale d’entreprise à la clé. Nous n’avons plus un ministre de la Santé, mais un ministre à l’économie de la santé ! » et des intérêts de l’industrie pharmaceutique aurait-il pu ajouter.

C’est le but purement financier de la politique sanitaire que nos concitoyens ne veulent pas ou ne peuvent pas encore reconnaître. Comment s’avouer que son gouvernement ne travaille pas pour le peuple et seulement pour le peuple et qu’il néglige totalement notre sécurité sanitaire ? Comment comprendre quelques années que les médecins complices de l’injection génique toxique et inutile collaborent au scénario tragique du Great Reset et non plus à l’amélioration de votre santé ? C’est tout un travail de prise de conscience de ce qu’est le totalitarisme qui s’insinue insidieusement dans notre société occidentale malade qu’il faut développer grâce à l’aide de philosophes, sociologues, médecins, scientifiques qui décortiquent ce que nous vivons. Car mieux on comprend, mieux on se bat.(([7] Lire « le débat interdit » d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan, éditions Trédaniel : « un mathématicien et une psychologue — mettent en lumière le traitement de la langue et de la logique, mis en œuvre par les sphères politique et médiatique depuis mars 2020 en France.Forts de leurs connaissances spécifiques, ils étudient le fonctionnement d’une information et d’une communication détournées. En s’appuyant sur des arguments sourcés et chiffrés, ils mettent en lumière la déconstruction des “vérités” scientifiques avancées par le gouvernement pour justifier ses actions politiques. Ils proposent une analyse détaillée de la “nouvelle langue”, de la “nouvelle normalité” et des méthodes de contrainte psychique utilisées sur la population française ».))(([8] Lire aussi le blog de Jean Dominique Michel Anthropo-logiques (tdg.ch) et les nombreux articles qu’il écrit et/ou partage.)) et mieux on se porte

Les médecins infirmiers, ou aides-soignants, sont dans le même bateau ivre et victimes des mêmes souffrances, liés aux dysfonctionnements « organisés » dans le but de justifier restructurations de services, fusions d’hôpitaux, suppressions d’emplois utiles avec au passage casse des équipes soudées qui permettaient la joie de vivre malgré la maladie.

Pendant que prolifère la bureaucratie hospitalière, les effectifs soignants fondent au lit du patient conduisant l’encadrement à sacrifier leur quotidien au nom du service public. Est — ce que changer les plannings d’un jour à l’autre, annuler des congés prévus, installer la zizanie entre les professionnels améliore le service au patient ? Non, ce type de gestion trop répandu dans les établissements de soin et appris chez France Télécom le désintègre, entraînant le désarroi des soignants puis le syndrome d’épuisement professionnel (burn out), éloignant du patient et expliquant cette déshumanisation des hôpitaux. Enfin, dans un certain nombre de cas, sans l’aide de médecins du travail trop peu nombreux et pas toujours avertis, toujours absents pour les médecins (sûrement faits de chair et d’os différents des autres hommes), sans l’aide d’une famille attentive qui souvent rattrape le professionnel devenu patient, le pire arrive et l’on s’étonne, pas très longtemps.

Les médecins du travail eux-mêmes ne sont pas à l’abri : Marie-Magdeleine Gressé « a décidé d’en finir pour projeter ces questions taboues du suicide et du harcèlement sur le devant de la scène et dans le débat public ». Médecin du travail, elle travaillait depuis 25 ans à l’association « Alsace santé au travail » et était fortement impliquée dans l’Association d’aide aux victimes de violences psychologiques et de harcèlement moral dans la vie privée ou professionnelle (Avip).

Et ce n’est pas la réponse de l’APHP à la suite de l’appel au secours des personnels via leurs syndicats qui va améliorer les choses : « 522 000 euros donnés à Ipsos pour un questionnaire imbuvable, on s’aperçoit vraiment que l’on ne nous écoute pas. Des audits sont déjà faits régulièrement et cela coûte des fortunes. On ne voit pas bien ce qu’ils vont faire de ce baromètre. Ce n’est pas ça qui va régler le problème », juge la secrétaire du Comité d’hygiène et de sécurité central de l’Assistance publique.

Elle a raison, chacun comprend et connaît les raisons du désespoir que ne feront pas disparaître tous les outils éculés du management marchand qui nourrissent largement les collaborateurs de McKinsey et autres dont l’existence a choqué et entrouvert les yeux des Français endormis par la propagande covidiste. Se sont-ils rendormis, trop douloureux du totalitarisme encore mou, mais dont tous les ingrédients dont ce harcèlement sont en place.

« Trop dur, trop douloureux, symptôme d’une société tellement malade qu’elle tue ses professionnels de santé tant en ville qu’à l’hôpital et détruit ses hôpitaux. »

MAL TABOU

D’autres de temps à autre ont tiré la sonnette d’alarme, mais toujours dans l’indifférence générale. Citons cette vidéo de franceinfo « Le suicide des médecins, une réalité effrayante » le 27/02/2015

« C’est un mal tabou en France. Chaque année, une cinquantaine de médecins mettrait fin à ses jours. France 2 a mené une enquête glaçante. Le surmenage, la déprime… Autant de facteurs qui ont conduit au suicide du réputé et apprécié docteur Rémi Breuil, en octobre 2011, après 25 ans de carrière. Son épouse Claude n’a rien vu venir. » Ce n’était pas possible. Pas lui, quelqu’un qui aimait la vie, ses enfants, qui adorait son métier… », confie-t-elle à France 2.

Le docteur Breuil se serait peu à peu renfermé. Dans la lettre qu’il a laissée à sa femme, il se dit fatigué, usé. « Être médecin, pour lui, c’était une vocation. Il s’est laissé complètement envahir par ça », reprend sa veuve.

Une souffrance tabou

Le docteur Yves Léopold a posé un chiffre sur ce drame : les médecins se suicident en moyenne 2,5 fois plus que le reste de la population, victimes de ce qu’il appelle le « syndrome de toute-puissance ». Le médecin, qui donne et sauve des vies, ne supporterait pas de ne pouvoir sauver tout le monde, d’où sa souffrance.

En France, ce problème est frappé du tabou. Dans le plus grand anonymat, un hôpital du sud accueille des médecins en souffrance. Inquiets pour leur réputation, ces derniers n’acceptent leur hospitalisation que dans le plus grand secret. L’un d’eux confie : « Je crois que c’est une humiliation, d’être malade. Le comble du médecin… »

LE CARNAGE CONTINUE Y COMPRIS CHEZ LES PLUS JEUNES

Chez les étudiants en médecine, le tabou des suicides :

« Chaque année, une dizaine d’internes se donnent la mort. Des événements traumatisants pour l’ensemble d’une promotion, qui mettent en lumière les risques psychosociaux auxquels sont soumis ces étudiants ».(([9] Par Léa Iribarnegaray 12 janvier 2021 Chez les étudiants en médecine, le tabou des suicides (lemonde.fr) ))

ANNA WANDA GOGUSEY

« La métaphore revient comme un refrain : les étudiants et internes en médecine seraient des super héros. Invincibles et invulnérables. Connaissant l’intégralité de leurs cours sur le bout des doigts, enchaînant les gardes à l’hôpital, cultivant une vocation sans faille.

“Pour autant, il y en a plein qui se fracassent”, souffle Laurence Marbach, présidente de l’association la Ligue pour la santé des étudiants et internes en médecine (Lipseim). Sa fille, Élise, s’est écroulée à 24 ans. “Brillante, passionnée, empathique”, la jeune femme a mis fin à ses jours le 2 mai 2019.

En premier semestre d’hépato-gastro-entérologie à Lyon, l’interne travaillait autour de 80 heures par semaine. Avant son décès, Élise avait enchaîné trois week-ends sans répit : une astreinte pour assurer la continuité des soins, un colloque de spécialité à Paris, une formation à Clermont-Ferrand. Pour tenir, faute de cape de Zorro, elle s’était prescrit des bêtabloquants, essayant de cacher son stress et son épuisement professionnel.

Briser le mythe

Par peur de paraître “faibles”, “inaptes”, “nuls” ou “incompétents”, rares sont les futurs médecins qui osent alerter quand ça ne va pas. Pire, quand ils ont des idées noires.

Dans une culture hospitalière évoluant à huis clos, l’idée qu’il faut “apprendre dans la douleur” reste prégnante. “On est dans une forme de pression sociale, économique, intellectuelle”, relève Barbara Lantier, médecin généraliste qui, face au “mutisme collectif”, a choisi de soutenir sa thèse en 2019 sur le suicide des externes, internes et docteurs en médecine. “Certains étudiants sont dans le déni, alors qu’ils peuvent eux aussi avoir des limites physiques ou morales. Quand ils s’en rendent compte, ils risquent de tomber de très haut.” »

La prévalence de la dépression et des idées suicidaires chez les étudiants en médecine est largement supérieure à la population générale(([10] Pour plus d’infos et d’aides concrètes, voir l’association LIPSEIM fondée en 2020 par une maman blessée. Depuis la création de l’association en mai 2020, ils organisent des actions de prévention et de sensibilisation à destination des apprentis médecins, mais aussi des seniors et de l’administration hospitalière. « Les jeunes doivent entendre qu’ils sont parfois en danger », martèle Luc Marbach.))

ALERTE EN 2022 AVEC UNE VIDÉO CHOC(([11] Suicide des professionnels de santé : face aux chiffres « démesurés », un film choc de l’association SPS pour que « ça bouge vraiment » PAR LOAN TRANTHIMY — LE 30/08/2022 quotidien du médecin))(([12] https://youtu.be/38AhlGdiJtU le clip violent à ne pas montrer aux personnes fragiles et déjà touchées.))

Crédit photo : Capture Image YouTube

Fiction choc destinée à alerter et à prévenir le suicide des professionnels de santé.

« Réalisée par Marc Gibaja, réalisateur et scénariste français, la séquence d’une minute met en scène trois professionnels de santé autour d’une patiente. Au cours d’une banale scène de consultation autour d’une patiente âgée, médecin, infirmier et aide-soignant finissent par exprimer leur mal-être et passent à l’acte (par arme à feu, pendaison et défenestration). “Le suicide est un sujet tabou, on veut montrer que cela s’est installé dans le monde des soignants, souligne le Dr Éric Henry, médecin généraliste et président de l’association de Soins aux professionnels de santé (SPS), très mobilisée sur ce sujet.”

Le but du film est qu’il soit impactant et viral pour une prise de conscience de la population sur la souffrance des soignants ».

Trois suicides tous les deux jours

Son enquête de 2017 intitulée « Suicide et professionnels de santé » montrait que 25 % des personnes interrogées avaient déjà eu des « idées suicidaires au cours de leur carrière professionnelle ». Parmi eux, 25 % exerçaient en ville et 39 % en milieu rural.

Une autre étude menée en 2019 par l’Ordre, les syndicats et le collège national des sages-femmes a démontré que 31 % de ces professionnelles étaient affectées par le burn-out. « Deux suicides de sages-femmes ont été portés à ma connaissance ces deux derniers mois », témoigne Christine Chalut-Morin, sage-femme clinicienne, secrétaire générale adjointe de SPS.

En 2021, l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) avait alerté sur la santé mentale dégradée des futurs médecins. Le taux de suicide chez les internes était évalué à un tous les 18 jours.

En juin 2022, l’étude Amadeus (améliorer l’adaptation à l’emploi pour limiter la souffrance des soignants) a révélé que 50 et 60 % des professionnels de la santé interrogés présentaient des signes d’épuisement professionnel et 30 % de dépression.

« Un interne en médecine a trois fois plus de risque de mourir par suicide qu’un jeune Français du même âge, je trouve cela terrible ! Ces jeunes qui s’engagent dans les soins où ils vont donner une grosse partie d’eux-mêmes, ce n’est pas normal qu’ils soient autant en souffrance », se désole la Dr Magali Briane, psychiatre addictologue à Lyon et vice-présidente de SPS.

« Certes, un numéro national de prévention du suicide — le 3114 — a été lancé en septembre dernier, s’adressant aux personnes en détresse, à leur famille, mais également aux professionnels de santé en contact avec des personnes en danger. Mais, selon SPS, en huit mois, cette plateforme a enregistré 92 000 appels avec “un taux de réponse de 72,3 %”

Bien loin des “100 % appels décrochés” de l’association SPS, revendique le Dr Éric Henry. Son numéro vert (0 805 23 23 36), mis en place depuis six ans, a reçu plus de 18 000 appels, dont près de 14 000 depuis la crise sanitaire. Près de 50 % des appels ont fait l’objet d’une réorientation, notamment vers un psychologue en face à face (20 %), le médecin traitant (10 %), le psychiatre (8 %) ou d’autres réseaux (Morphée, médecine du travail, médecine universitaire, associations, service social). Les appels de niveaux 3 à 5 — “épuisement professionnel”, “idéations suicidaires” et “risque de passage à l’acte imminent” — sont systématiquement réorientés vers un médecin généraliste et un psychiatre ».

L’association SPS entend démontrer à nouveau l’intérêt d’une plateforme d’écoute, d’orientation et d’accompagnement ciblée pour les soignants. « En tout cas, le film est un prétexte pour déclencher des réactions, insiste le Dr Henry. Est-ce qu’il faut que tous les soignants quittent l’hôpital, leur métier pour que cela bouge vraiment ? Le ministère va-t-il enfin bouger ? ». L’association espère pouvoir nouer prochainement un partenariat avec le numéro national 3114. (d’aucuns lui reprochent ce clip violent et pas forcément efficace, pour faire de la propagande pour son association)

Évidemment ces aides ponctuelles sont positives et à saluer, mais on n’en sortira pas sans une refonte complète du système de santé avec suppression des ARS et de leurs aberrants pouvoirs administratifs par des bureaucrates éloignés de la vraie médecine voulant nous imposer une « médecine collective et non individuelle(([13] La bureaucratie étouffe le système de santé. Agences sanitaires et liberté de soigner Volet 2 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) adaptée à chaque patient » croyant à la religion de l’intelligence artificielle qui ferait diagnostic et prescription sans besoin d’un intermédiaire médical ni même soignant.

La disparition de la chirurgie de plus en plus évidente et préoccupante dans les protocoles thérapeutiques imposés par les agences HAS, INCa, etc. en est la démonstration évidente. Des maladies curables par une chirurgie d’exérèse ou une radiothérapie de qualité sont maintenant soumises à de « nouvelles molécules » inefficaces et hors de prix qu’on change tous les six mois puisque cela n’a pas marché…(([14] En particulier par exemple dans des tumeurs bénignes comme le fibrome desmoide et surtout dans de nombreux cancers où la chirurgie disparaît du fameux « protocole » comme dans certains cancers des os alors que la place de la chirurgie est fondamentale pour obtenir de vraies guérisons.)) Mais comment les patients pourraient-ils s’en apercevoir ?

COMMENT EN SORTIR ?(([15] Nous avions abordé ce sujet dans « soigner ou obéir » dont les constats et solutions proposées sont toujours d’actualité avec une situation encore aggravée et un pouvoir bureaucratique par les ARS encore gonflé.))

Nos joyeux organisateurs ont tout cassé depuis les années 80. Ils ont transformé nos hôpitaux publics puis privés, et bientôt nos cabinets de ville (devenus « maisons de santé »), en usines, organisées sur le mode de la fabrication des voitures du début du XXe siècle.

Procédures, checklists, protocoles, audits externes et internes, réunionnites aiguës et chroniques, contrôles ARS et décisions unilatérales, le tout sorti d’ordinateurs coûteux, et souvent en panne, ont remplacé les relations humaines

pourtant, si importantes en milieu médical. Cette révolution, acculturation décidée par les « élites », en tous cas par les décideurs, éloigne les médecins et paramédicaux de leur raison d’être, le malade, être de chair et de sang, être pensant, dont la parole est là pour exprimer son désarroi ou sa philosophie, là pour être écouté, compris.

Mais ce rapport humain ne se chiffre pas, ne s’évalue pas, donc il n’a pas de prix, vous serez tous d’accord ! Il n’intéresse pas les financiers qui nous gouvernent.

Ce qui ne se compte pas ne compte pas, même s’il devrait se conter, se raconter. Donc à la trappe, le contact informel entre le médecin ou soignant et le patient. Des robots vont nous remplacer. On nous l’a prédit, et d’ailleurs, les prototypes sont exposés dans les salons « santé connectée », dont notre gouvernement est si fier. Encore une planète où « tout va bien », mais si loin du monde réel.

IL EST TEMPS D’INTERPELLER LES POLITIQUES ET D’EXIGER RÉPONSES ET ENGAGEMENTS

Il n’y aura pas de médecine de qualité, sans libération des médecins et paramédicaux du joug bureaucratique qui les étouffe.

La liberté thérapeutique des médecins accompagnée de leur liberté d’installation, de leur liberté financière et de leur affiliation libre ou non à une convention, est le préalable à une inversion de la chute dramatique du nombre de médecins installés, et même de nouvelles inscriptions à l’ordre et de la fuite à l’étranger des praticiens formés, comme des chirurgiens expérimentés.

Il importera évidemment que cette réforme majeure de l’exercice médical soit associée à la refonte de la recherche et de l’enseignement pour redonner à nos jeunes étudiants animés du désir de soigner une formation à la hauteur de leurs ambitions.

Ne plus les transformer en robots obéissants, mais donner à leur imagination, à leur sensibilité, à leur créativité, la possibilité de s’exprimer sans mépriser les acquis de leurs aînés, doit devenir un objectif obsessionnel des futurs responsables des universités.

Se libérer de la pensée unique en médecine

Après les trente Glorieuses et l’enthousiasme pour les avancées du CNR, vinrent les quarante Piteuses et le règne stérilisant du Tout Fric et les Affreuses actuelles de la déconstruction massive.

Comme nos aînés ont reconstruit les villes après-guerre, pierre après pierre, reconstruisons nos universités, nos écoles, nos hôpitaux. Nous en avons encore les moyens. IMPOSONS UN CHANGEMENT À 180 °.

Il ne faut plus perdre de temps. Soyons dignes de nos aïeux. Soyons fiers de reconquérir nos libertés et notre belle médecine. Seulement à ce prix, les suicides de médecins et soignants deviendront un vilain souvenir. Sans cette reprise en main de la médecine par les médecins, ils se multiplieront en même temps que les démissions. À nous tous de choisir.

Mais sans médecins et sans soignants, qui vous soignera ?





L’histoire sombre de Fauci — Entretien avec Robert F. Kennedy Jr

[Source : Kla.tv]

Les Américains seraient devenus plus malades qu’ils ne l’ont jamais été, bien qu’ils dépensent plus pour la santé que les autres nations. Parmi les pays industrialisés, les résultats en matière de santé des Américains sont à la dernière place. Dans l’interview de Robert F. Kennedy Jr., la lumière est faite sur cet étrange illogisme : la face cachée d’Anthony Fauci. 

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du SIDA]

Transcription

En examinant la situation aux États-Unis et dans le monde, l’interview suivante avec Robert F. Kennedy Jr., le célèbre président et principal conseiller juridique de Children’s Health Defense, révèle des vérités choquantes.

Dans un épisode de « Conversations That Matter » (Conversations qui sont importantes], Kennedy parle du contenu de son livre « Le vrai visage d’Anthony Fauci », avec Alex Newman, le présentateur et rédacteur en chef du « New American Magazine ».

Au terme de recherches approfondies, Robert F. Kennedy Jr. a révélé la sombre histoire choquante de Fauci, jetant ainsi le doute sur tous les reportages des médias à propos du Covid-19 et alertant tous ceux qui ont à cœur la démocratie aux États-Unis ainsi que l’avenir et la santé de leurs enfants.

« Le vrai visage du Dr Fauci » montre en détail comment Fauci, Bill Gates et leurs consorts associés utilisent le COVID-19 pour subjuguer l’humanité et la placer sous une domination totalitaire mondiale. Grâce à leur contrôle sur les médias, les revues scientifiques, les institutions gouvernementales et paragouvernementales, les services secrets mondiaux et les scientifiques et médecins influents, le public a été inondé de propagande de panique sur le danger de contagiosité et le développement du Covid-19. Des agents dévoués pour faire taire les critiques, étouffer le débat et censurer impitoyablement les opinions divergentes. Fauci aurait orchestré, entre autres, la transformation de l’agence du ministère de la Santé publique (NIH) en un laboratoire de produits pharmaceutiques.

Découvrez d’autres informations dans l’interview suivante sur le vrai visage du Dr Fauci qui, avec Bill Gates, a servi les intérêts des entreprises pharmaceutiques et a contribué à faire des États-Unis la nation au monde la plus tributaire de la pharmacie.

Newman : Qui est le vrai Anthony Fauci, et pourquoi devrions-nous nous inquiéter ? N’est-il pas un sympathique spécialiste en santé publique qu’on voit à la télé ?

Kennedy : Anthony Fauci est à l’origine de la « capture » d’agences au sein des agences de santé publique. Il a orchestré la transformation du HHS, le Département de la Santé et des Services sociaux qui est devenu un laboratoire de produits pharmaceutiques qui promeut l’agenda de Big Pharma. C’est l’équivalent de J. Edgar Hoover de la santé publique. Je montre dans mon livre qu’il a réussi à rester au pouvoir pendant 50 ans, non pas en accomplissant des succès mesurables en matière de santé publique — la santé publique a considérablement décliné sous son régime — mais plutôt en servant les intérêts des sociétés pharmaceutiques, en aidant à faire de ce pays le pays au monde le plus dépendant de l’industrie pharmaceutique. Nous prenons trois fois plus de médicaments que la moyenne des autres pays occidentaux. Nous payons les prix les plus élevés pour ces médicaments et nous avons de loin les pires résultats du monde développé en matière de santé. Nous sommes au 79e rang mondial en termes de résultats totaux de santé. Cette génération d’enfants qui a atteint la majorité sous le régime de Tony Fauci — depuis 1984 — est la génération la plus malade de l’histoire. Lorsqu’il est entré au NIH, le Département de la Santé, les taux de maladies chroniques [chez nos enfants] dans notre pays étaient d’environ 6 %. Aujourd’hui, ils atteignent 54 %. Par maladie chronique, je veux dire, pas seulement l’obésité, mais les troubles neurologiques de développement comme le TDA, le TDAH, le retard de la parole, le retard du langage, les tics, la narcolepsie, le syndrome de Tourette, l’autisme. L’autisme est passé d’une personne sur 10 000 dans ma génération — ce qui est toujours le cas aujourd’hui — à un enfant sur 34 dans la génération de mes enfants. Sous l’administration de Tony Fauci, les allergies alimentaires sont apparues en 1989. Les allergies à l’arachide, les maladies cœliaques, les allergies au blé, toutes ces autres allergies alimentaires, puis les maladies auto-immunes : la polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, les lupus sont devenus épidémiques. C’étaient toutes des maladies qui étaient totalement inconnues dans les années 1960, et la science les fait remonter à des innovations contrôlées par Tony Fauci. Vous ne pouvez pas complètement blâmer Tony Fauci — une personne — avec cette avalanche, ce tsunami de maladies chroniques. Le travail de Tony Fauci au NIAID [Institut national des allergies et des maladies infectieuses] consiste à rechercher les sources de ces maladies chroniques, maladies immunitaires et maladies allergiques, puis à nous aider à les éliminer, à identifier les causes. Nous savons que c’est une toxine environnementale, ça doit l’être. Les gènes ne causent pas d’épidémies. Ce que je montre dans le livre, c’est qu’au lieu de faire cette recherche, il dépense la quasi-totalité de son budget de 7,7 milliards de dollars pour développer de nouveaux médicaments pour les sociétés pharmaceutiques et faire de la recherche sur les armes biologiques pour le Pentagone et pour le complexe militaro-industriel. 1,6 milliard de dollars par an de son budget vont essentiellement au développement d’armes — la recherche sur les armes biologiques. C’est la personne la mieux payée du gouvernement fédéral. Il reçoit 434 000 dollars par an, soit 34 000 dollars de plus que le président des États-Unis. Il a beaucoup, beaucoup d’autres sources de revenus avec ce travail. Soixante-huit pour cent de ce budget provient de sa gestion de la recherche sur les armes biologiques, et c’est pourquoi il a été contraint de faire les études sur le gain de fonction à Wuhan et de les gérer à Wuhan, parce que le Pentagone le paie pour faire ce genre de recherche. S’il ne le faisait pas, il perdrait la majeure partie de son salaire.

Newman : Alors, où se situe Bill Gates dans cette histoire ? C’est le gars sympathique avec le gilet qui donne simplement des milliards pour améliorer la santé publique, et pourtant votre livre suggère qu’il y a aussi un côté plus sombre à tout cela.

Kennedy : En 2000, Gates a convoqué Anthony Fauci dans son manoir de 87 millions de dollars sur les rives du lac Washington à Seattle et lui a proposé un partenariat entre eux qui imposerait toute une batterie de vaccinations différentes d’ici 2020 à chaque homme, femme et enfant sur la terre. Ils ont rebaptisé leur effort en 2009, la « Décennie des vaccins ». Ils ont promis que d’ici 2020, les enfants, mais aussi tout le monde sur terre seraient vaccinés non seulement par un seul vaccin, mais par toute une batterie de vaccins. Gates est fortement investi dans pratiquement toutes les entreprises qui fabriquent tous ces vaccins. Il utilise sa philanthropie – il l’appelle capitalisme philanthropique parce que ce n’est pas vraiment de la philanthropie. Il rafle 33 milliards de dollars et les protège des impôts, donc nous payons en fait ses politiques. Ensuite, il a utilisé cet argent pour prendre le contrôle de la politique mondiale de santé publique. Il possède essentiellement l’OMS [Organisation mondiale de la santé]. Il a créé une série d’organisations quasi gouvernementales qui dictent la politique de santé mondiale : GAVI, CIFI et d’autres dans lesquelles il a fortement investi et qu’il contrôle comme la Brighton Collaboration. Il utilise son contrôle sur ces agences pour exiger des pays en développement – Afrique, Asie, Amérique latine – qu’ils imposent des vaccins à leurs populations. Ces pays, par exemple les pays africains, dépendent fortement de l’OMS pour l’argent qui soutient leur ministère de la Santé et qui soutient leurs programmes de lutte contre le SIDA. Ce que Gates et l’OMS font, c’est dire à ces pays, vous devez administrer une certaine quantité de vaccins de Gates contre la polio, et ses vaccins diphtérie-tétanos-polio. Si, par exemple, 70 ou 80 % de votre population ne reçoit pas ces vaccins, vous n’obtiendrez pas l’argent pour votre ministère de la Santé. Les vaccins qu’ils achètent sont des vaccins fabriqués par des entreprises dans lesquelles il est personnellement engagé, et la Fondation Gates est personnellement investie. Lorsque des organisations indépendantes, comme le gouvernement danois, ont en fait cherché à savoir si ces vaccins sauvaient ou non des vies (ce que Gates prétend), ils ont découvert que c’était exactement l’inverse qui se passait. Prenons pour exemple, le vaccin le plus populaire au monde, le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche, dont Gates avait fait la promotion en Afrique et en Asie pendant de très nombreuses années pour sauver la vie de dizaines de millions d’enfants. Lorsque le gouvernement danois a financé une étude en 2017, le gouvernement danois, le Statens Serum Institut au Danemark et une autre société de vaccins ont financé une étude. Ils ont examiné trente ans de dossiers en Afrique pour comparer comment allaient les enfants qui avaient reçu le vaccin par rapport aux enfants qui ne l’avaient pas eu. Ce qu’ils ont découvert, c’est que les filles qui ont reçu ce vaccin – alors qu’elles étaient protégées contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche – mouraient dix fois plus que les filles non vaccinées. Le vaccin les protégeait contre certaines souches de certaines maladies infectieuses, mais il avait anéanti leur système immunitaire et les avait rendues extrêmement sensibles aux infections mineures et notamment aux infections respiratoires. La malnutrition, l’anémie, le paludisme… les autres choses qui tuent de nombreux enfants africains… il s’avère que les enfants vaccinés étaient beaucoup moins capables de résister aux maladies que les enfants dont le système immunitaire n’avait pas été altéré.

Newman : C’est absolument terrifiant.

Kennedy : Permettez-moi d’ajouter autre chose. Gates a fondamentalement transformé l’OMS qui était une agence de développement, d’hygiène, d’assainissement et de développement économique en une agence qui s’occupe essentiellement des vaccinations. Cinquante pour cent du budget de l’OMS va au projet-phare de Gates, qui est le vaccin contre la polio, alors que la plupart des experts en vaccins dans le monde – très pro-vaccins – lui ont dit depuis le début que ça ne fonctionnerait pas. Vous n’allez pas éradiquer la poliomyélite. Et aujourd’hui, l’OMS admet que 70% des cas de poliomyélite dans le monde sont causés par le vaccin de Gates. En fait, au lieu d’effacer la maladie, ça aggrave le problème. Ça provoque des épidémies dans des pays où la poliomyélite a été éradiquée, comme le Congo et l’Afghanistan et de très nombreux autres pays.

Newman : L’Associated Press a même rapporté cela sur la base des données de l’OMS. Je l’ai également vu en novembre 2019. Donc tout cela soulève la question suivante : Ces gens font-ils cela délibérément ? Sont-ils des obsédés du mal ? Ou s’agit-il simplement d’une politique stupide mais bien intentionnée, et quel est, selon vous, leur programme ultime ? Gagner de l’argent ? Quel est leur plan ?

Kennedy : Ce n’est pas un mystère pour moi. Les mêmes motifs ont poussé les gens depuis le début des temps, le motif d’accumuler le pouvoir. Le pouvoir sur la santé publique et la promotion de la biosécurité ont désormais fondamentalement supplanté tous les autres objectifs de la politique étrangère. C’était délibéré. C’était intentionnel. C’est ce qui a été promu par ces deux hommes – Gates et Fauci – mais ils avaient de très, très nombreux alliés. Comme je le montre dans mon livre, les agences de renseignement sont profondément alliées au Dr Fauci et à Bill Gates. À partir de 2000 ils ont développé une série de… (en fait, la CIA a développé) une série de simulations impliquant des centaines de milliers de personnes, et Gates et Fauci y ont participé. Ils ont toujours été mis sur un piédestal par les agences de renseignement ainsi que par les militaires et les grandes sociétés pharmaceutiques. C’est un pacte très, très sinistre que j’explique dans le livre. Soit dit en passant, il y a 2 200 notes de bas de page dans le livre. Chaque phrase que j’ai écrite, chaque déclaration factuelle, est scrupuleusement, soigneusement documentée. N’importe qui peut les consulter. Ils ont développé ces simulations de pandémie qui ont formé des travailleurs de première ligne, des médecins hospitaliers, des responsables médicaux, des responsables du renseignement, des responsables de l’application des lois, des travailleurs de première ligne en Europe, aux États-Unis, en Australie et au Canada. Pratiquement chaque année, ils reprenaient ces simulations, lesquelles étaient des simulations de pandémie. Que faites-vous si une pandémie de coronavirus survient ? Ils n’avaient rien à faire des réponses médicales. J’ai publié les transcriptions dans mon livre. Il n’y a eu aucune discussion sur la façon de renforcer le système immunitaire des gens, comment distribuer de la vitamine D ou du zinc ou de la quercétine, ou comment réorganiser les médicaments, faire un traitement précoce, comment mettre les malades en quarantaine et les protéger de la maladie, réduire les hospitalisations, et protéger la Déclaration des droits. Rien de tout cela n’a jamais été discuté.

La seule discussion était de savoir comment utiliser une pandémie comme prétexte pour réprimer, pour imposer des contrôles totalitaires et pour la destruction contrôlée de la démocratie libérale dans le monde. La série de simulations de pandémie qu’ils ont mise en place s’appelait Operation Lockstep parce que c’était un moyen de coordonner ostensiblement les activités de toutes les démocraties libérales à travers le monde pour faire basculer soudainement les défenseurs constitutionnels vers la censure, les contrôles totalitaires et l’effacement des droits constitutionnels et civils dans le monde. Beaucoup disent aux gens que cela ressemble à une folle théorie du complot, mais n’importe qui peut aller sur YouTube et rechercher l’événement 201, qui est l’un des plus célèbres. J’en ai trouvé beaucoup, beaucoup plus. Cela se produisait année après année après année. L’événement 201 a lieu en octobre 2019 et, à cette époque, le coronavirus circulait déjà à Wuhan. La meilleure estimation, c’est qu’il a commencé à circuler le 12 septembre 2019. Les Chinois le savaient déjà, et l’un des participants à l’événement 201, George Gao qui se trouve à l’hôtel Pierre à Manhattan, était à la tête du CDC chinois. Les autres personnes présentes étaient les militaires, les sociétés de médias sociaux, les grandes sociétés de médias comme Bloomberg et Washington Post, les plus grandes sociétés pharmaceutiques comme Johnson & Johnson.

Qui sont les hôtes ?
Les hôtes sont Bill Gates et Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA, ancienne directrice adjointe. Elle est maintenant à la tête de l’Agence de sécurité nationale de Joe Biden. Elle est chef de la réponse aux coronavirus. Que fait la CIA en matière de santé publique ? La CIA ne s’occupe pas de santé publique. Elle fait des coups d’État. Ce n’est pas une blague. Il est prouvé que la CIA a participé à 73 coups d’État contre la plupart des démocraties, soit un tiers des gouvernements du monde entre 1947 et 2000. Si vous regardez en arrière, chaque année, elle simulait des pandémies et aucune d’entre elles ne concernait la santé publique. Elles portaient toutes sur la façon d’utiliser la prétendue pandémie pour réprimer les contrôles totalitaires et pour effectuer un coup d’État contre toutes ces démocraties mondiales. Il y a une très, très forte présence de la CIA dans chacune d’entre elles. Il y a parfois trois, quatre, cinq hauts responsables d’In-Q-Tel et de la CIA. Ils enseignent aux gens, ils les forment. Il y avait aussi toujours une grosse pointure. Il y avait une fois Madeline Albright, une autre fois, le sénateur Gary Hart, le sénateur Sam Nunn, chef du comité de la défense, ou un membre du Congrès ou Bill Gates. Il y avait toujours une sorte de figure de proue. Ça donne à l’ensemble de l’exercice le consentement de la légitimité et de l’autorité. Ils enseignaient aux travailleurs de première ligne comment réagir face à une pandémie. Vous verrouillez les entreprises, vous obligez les gens à porter des masques, vous vous débarrassez des processus démocratiques comme de la procédure régulière, il y a la censure de la presse.

Quiconque le souhaite peut aller faire des recherches sur l’événement 201. Le quatrième séminaire ce jour-là, le quatrième exercice et le plus long, était un exercice simulé, bizarre à tous points de vue – qui simulait une pandémie mondiale de coronavirus deux mois avant l’annonce du COVID-19.

Quel était leurs soucis ?
Ils se demandaient comment inciter les médias sociaux à censurer les rumeurs selon lesquelles il s’agirait d’une fuite de laboratoire. C’est ce dont ils parlaient tous en octobre 2019. Si vous revenez sur toutes ces simulations comme je l’ai fait et lisez mon livre, le chapitre « Jeux de microbes » décrit l’extraordinaire prescience, l’espèce de divination qui s’est concrétisée exactement comme ils avaient prédit, jusqu’aux vaccins à ARNm dont ils parlaient déjà il y a dix ans – et dont c’est la finalité. C’est très, très alarmant quand on le lit.

Newman : Pourriez-vous s’il vous plaît, nous dire en quelques mots ce que vous pensez que nous devrions faire à ce sujet. Quelle serait la solution ? Est-ce une question partisane ? Doit-on avoir peur ?

Kennedy : Je pense que la meilleure chose pour les oligarques et pour ce cartel regroupant les sociétés de médias sociaux qui s’enrichissent en se nourrissant des cadavres de la classe moyenne anéantie, les sociétés de médias, les agences de renseignement et les technocrates médicaux, leur intention stratégique est de garder les républicains en lutte contre les démocrates et les Noirs contre les Blancs, de semer la division et d’orchestrer la peur. Nous allons gagner une personne à la fois, en parlant à nos voisins, en convainquant les gens. Le taux d’évolution joue en notre faveur. Une fois que les gens comprennent la vérité, ils ne retourneront jamais de l’autre côté. Nous constatons maintenant ce formidable taux d’évolution croissant. Lorsque nous aurons atteint une masse critique, nous pourrons reprendre notre démocratie, mais nous devons littéralement faire cela avec une personne à la fois, c’est-à-dire en parlant constamment, en diffusant le message. Je dirais que l’une des façons de le faire est d’acheter mon livre, de le donner à vos amis pour Noël. Soit dit en passant, je ne gagne pas d’argent sur le livre. Tous mes bénéfices reviennent à Children’s Health Defence, pour nos procès, etc., pour notre travail de défense juridique.

de avr./ug.

Sources / Liens :

Robert F. Kennedy Jr.: Die dunkle Geschichte von Fauci aus dem Buch von RFK

Aus der website von „New American Magazine“ von Alex Newmann: die dunkle Geschichte muss aufgedeckt werden.




Un collectif de mamans publie un bilan d’impact psychologique des mesures sanitaires sur les enfants

[Source : Nexus]

Dans un communiqué de presse paru le 23 août 2022, près de 40 000 Mamans Louves dénoncent les souffrances subies par les enfants depuis septembre 2020 et demandent aux parents de se rencontrer, de se positionner fermement face aux mesures sanitaires qu’elles estiment destructrices pour les enfants, et de s’organiser.

L’impact psychologique des mesures sanitaires sur les enfants a été majeur. Quelques jours avant la rentrée 2022, le collectif des Mamans Louves a publié un bilan d’impact psychologique en s’appuyant sur de nombreuses sources.

◆ Plus d’enfants morts par suicide que du Covid ?

Si la version complète du bilan d’impact psychologique réalisé par le collectif regorge de données, il a décidé dans son communiqué du 23 août 2022 de mettre le curseur sur la conséquence la plus grave de la détresse psychologique des jeunes : le suicide.

Dans un teaser vidéo, le collectif organisé sous forme associative reprend l’extrait d’une émission diffusée sur CNews, pendant laquelle est citée un article de Slate du mois d’août 2021. Cet article reprend les propos du Pr Delorme, chef du département psychiatrique pour enfants et adolescents à l’hôpital Debré, à Paris : « Davantage d’enfants sont morts par suicide pendant la crise sanitaire qu’à cause du Covid. » L’article reste nuancé en précisant que « nous aurions tort d’attribuer ces actes à une cause unique », mais il reste néanmoins indiscutable que l’on a constaté que les tentatives de suicide chez les enfants ont été « plus graves qu’à l’accoutumée » pendant la crise Covid.

◆ Un nombre de décès chez les mineurs dus au Covid peu précis

D’après L’Indépendant, Olivier Véran a annoncé en janvier 2022 que depuis le début de la crise Covid en septembre 2020, « 28 décès de mineurs ont été enregistrés, dont 13 victimes âgées de 0 à 9 ans et 15 autres entre 10 et 18 ans ».

On se demande s’il a pris en compte que mi-juin 2021, Libération rapportait qu’on comptait 13 décès d’enfants et qu’en y regardant d’un peu plus près, « il n’y avait qu’un seul enfant pour lequel le décès était survenu dans un contexte où la seule cause possible était le Covid-19. Pour les autres enfants, soit ils avaient des facteurs de risque, soit le décès est survenu dans un contexte où plusieurs éléments ont pu contribuer à l’issue fatale et en particulier des infections sévères parmi lesquelles on a retrouvé le Sars Cov-2. » Difficile ainsi de « faire la part de chacun de ces éléments dans la responsabilité du décès ».

◆ Le nombre de suicides chez les mineurs : un sujet tabou ?

Nous n’avons pas réussi à trouver combien de mineurs sont morts par suicide sur la période de deux ans entre septembre 2020 et septembre 2022, car seule l’explosion des tentatives de suicide chez les jeunes ces deux dernières années est très souvent évoquée dans les articles de presse et les rapports officiels. Les données accessibles sont également souvent antérieures à la crise Covid.

Mais nous avons pu découvrir dans un rapport publié en 2018 sur le site de Statista qu’en 2014, sur 100 000 habitants, le taux de décès liés au suicide atteignait 0,2 décès pour 100 000 habitants chez les enfants âgés entre 1 et 14 ans.  La population française s’élevant alors à environ 66,3 millions d’habitants, cela a représenté environ 132 décès par suicide sur cette seule année dans cette catégorie d’âge, sans compter la catégorie des 15-17 ans que le tableau de Statista ne nous permet pas de calculer, car il propose seulement une rubrique pour les 15-24 ans. Bien plus que 28 mineurs en deux ans et à une époque où il n’y avait pas encore la crise sanitaire…

https://www.youtube.com/embed/l8dctwTS96w

◆ L’effet du masque sur les enfants

Dans son communiqué, le collectif évoque également une étude allemande qui vient d’être publiée par une revue scientifique reconnue, ScienceDirect : elle indique que la teneur en dioxyde de carbone qu’inhalent les enfants avec le masque s’élève au-delà des niveaux de sécurités acceptables. Les Mamans Louves en proposent une version traduite en français assermentée, c’est-à-dire certifiée conforme à un document original.

L’étude a été réalisée sur 45 enfants dont la moyenne d’âge était de 10,7 ans, qui ont porté pendant 25 minutes des masques chirurgicaux et des masques FFP2 en position assise. La conclusion du résumé de l’étude est la suivante :

« Le port de MBN (masques chirurgicaux ou masques FFP2) élève rapidement la teneur en CO2 de l’air inspiré à un niveau très élevé chez des enfants en bonne santé en position assise au repos, ce qui pourrait être dangereux pour la santé des enfants. »

◆ Une opération à échelle nationale

Pour ces raisons et pour toutes celles qui sont évoquées dans leur bilan complet d’impact psychologique, les Mamans Louves semblent déterminées à protéger leurs enfants :

« Aussi, à la veille de la rentrée scolaire l’heure des grandes décisions arrive, l’indignation des familles grandit et à juste titre. Les parents ne sont pas dupes, et n’adhèrent plus ! Nous connaissons tous désormais les conséquences qui pèsent sur nos enfants. Notre association “Mamans Louves”, qui représente près de 40 000 mères de famille, a choisi de se saisir de ce sujet avec détermination, en menant une opération décisive à travers le territoire français pour la rentrée 2022, afin de lever ce voile d’omerta généré par la crise Covid. »

👉 Voir la carte avec lieux de rencontre actuels pour les parents :

👉 Lire la version complète du bilan d’impact psychologique

👉 Lire la version synthétique du bilan d’impact psychologique

👉 Lire les sources qui ont servi à établir ce bilan

👉 Voir notre entretien avec Roxane des Mamans Louves au mois d’octobre 2021  :



Image principale trouvée sur le site des Mamans Louves




Royaume-Uni : le vaccin anti-Covid est finalement déconseillé aux femmes enceintes

[Source : France Soir]

Le 16 août dernier, le gouvernement britannique a recommandé aux femmes enceintes et allaitantes de ne pas recevoir le vaccin contre le Covid-19, admettant que « des garanties suffisantes quant à l’utilisation sûre du vaccin ne peuvent être fournies à l’heure actuelle ».

Que dit le rapport anglais ?

Les conclusions du gouvernement britannique ont été révélées dans un rapport détaillé du ministère de la Santé et des Affaires sociales du pays, intitulé « Summary of the Public Assessment Report for COVID-19 Vaccine Pfizer/BioNTech« , mis à jour le 16 août. Le document a été publié par l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé du gouvernement.

La section « Conclusions sur la toxicité » du rapport explique pourquoi le ministère recommande de ne pas administrer le vaccin aux femmes enceintes et allaitantes :

« Dans le contexte de l’approvisionnement en vertu du règlement 174, on considère qu’il n’est pas possible, à l’heure actuelle, de fournir des garanties suffisantes quant à la sécurité d’utilisation du vaccin chez les femmes enceintes : toutefois, l’utilisation chez les femmes en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de la santé soient invités à exclure toute grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne devraient pas non plus être vaccinées. Ces jugements reflètent l’absence de données à l’heure actuelle et ne reflètent pas un constat spécifique préoccupant. Des conseils adéquats concernant les femmes en âge de procréer, les femmes enceintes et les femmes qui allaitent ont été fournis à la fois dans les informations destinées aux professionnels de santé britanniques et dans les informations réservées aux destinataires. […] L’absence de données sur la toxicité pour la reproduction reflète la rapidité du développement pour identifier et sélectionner le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 pour les tests cliniques et son développement rapide pour répondre à un besoin sanitaire urgent. En principe, une décision sur l’homologation d’un vaccin pourrait être prise dans ces circonstances sans données provenant d’études de toxicité pour la reproduction chez les animaux, mais des études sont en cours et elles seront fournies lorsqu’elles seront disponibles ».

L’absence de données cliniques pour la reproduction

Cependant, les raisons invoquées dans le rapport sur l’absence des données cliniques sont loin d’être la seule cause. En effet, il faut rappeler que la décision de vacciner les femmes enceintes contre le Sars-CoV-2 et le discours sur l’absence de dangerosité qui accompagnait la campagne vaccinale, a été l’une des mesures les plus surprenantes, puisqu’il n’existait aucune donnée associée à l’utilisation de ces nouvelles thérapies géniques pendant la grossesse et l’allaitement. Cette absence de données clinique s’explique par le seul fait qu’il s’agit d’une population protégée par les lois de protections des patients et que les femmes enceintes sont d’office sorties des essais cliniques.

Il faut également rappeler que dans son Plan de Gestion des Risques, Pfizer ne s’est pas caché qu’il existait des données manquantes pour certaines catégories de personnes et que le profil de tolérance des vaccins est non connu chez les femmes enceintes ou allaitantes du fait de leurs exclusions de l’étude de phase 3.

Plan de Gestions des Risques, informations manquantes

Pourtant, des cas d’effets indésirables ont été rapportés dans le premier rapport de la FDA sur la première déclassification des données de Pfizer. Bien que les femmes enceintes aient été exclues des essais cliniques, elles ont, elles aussi, fait l’objet de vaccinations en vie réelle, et le rapport fait état d’effets indésirables pour 270 grossesses rapportés comme suit : avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et résultat normal (1 chacun).

On ne sait pas si depuis ces événements, le lien de causalité a été établi. Cependant, on peut néanmoins s’étonner de trouver des femmes enceintes vaccinées à cette époque. Il est vrai que la FDA avait donné l’autorisation pour toutes les personnes de plus de 16 ans et que les personnes à risque ont été vaccinées en priorité, ce qui sous-entendait les femmes enceintes.

Si elles ont été exclues des essais initiaux de Pfizer et Moderna pour les raisons évoquées ci-dessus, l’étude du 17 juin 2021 remaniée et publiée le 8 septembre 2021 dans le New England Journal of Medecine révèle que les cliniciens se seraient appuyés sur les données de Moderna sur le développement et la reproduction chez l’animal, qui n’ont montré aucun problème de sécurité. Les résultats sur les animaux sont-ils toujours transférables à l’homme ? Non, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle, lorsque les résultats sur les animaux démontrent que le risque est faible, la substance peut être étudiée également chez l’homme, dans les essais cliniques. Par conséquent, en l’absence de données de sécurité chez l’homme, et malgré les risques que le Covid représente pour les femmes enceintes, il est étonnant de lire dans cette même étude qu’il « n’y a aucune raison biologique plausible pour que la technologie ARNm soit nocive pendant la grossesse ». En effet, on est en droit de se demander sur quelle base scientifique les chercheurs se sont appuyés pour écrire cela alors que tant de médicaments connus et approuvés depuis longtemps sont interdits ou déconseillés pendant la gestation.

La même interrogation subsiste pour les médecins, les cliniciens lorsque certains d’entre eux ont conseillé le vaccin aux femmes enceintes. Comment ont-ils pu mettre en balance les risques documentés d’infection par le Covid-19 et les risques de sécurité inconnus de la vaccination, et ce, afin « d’éclairer » leurs patientes ?

Si dans la première étude parue dans le New England Journal of Medecine, les auteurs affirmaient qu’il n’y avait pas lieu de s’alerter sur la vaccination des femmes enceintes et que le vaccin ARN messager était sûr, ils étaient par la suite revenus sur certaines des affirmations contenues dans l’étude initiale pour apporter quelques corrections dans l’étude remaniée.

Cette seconde étude se concluait sur la nécessité d’inclure les femmes enceintes dans les essais cliniques. Une remarque qui arrivait cependant, tardivement, alors qu’il existait déjà à cette époque de forts soupçons d’événements indésirables graves sur lesquels il aurait fallu faire toute la lumière pour établir si oui ou non, il existe un lien de causalité avec la vaccination.

Encore aujourd’hui, beaucoup d’inconnues subsistent, et ce, pour la simple raison qu’il n’y a à ce jour aucun résultat d’essai clinique sur les femmes enceintes ou allaitantes terminé, comme l’explique la biostatisticienne Christine Cotton. 

Fallait-il réaliser des essais cliniques sur les femmes enceintes avant le début de la vaccination en population générale ? Le débat est difficile à trancher. Les tests peuvent mettre en danger la santé du fœtus, mais le déficit d’information peut aussi être dommageable pour la mère et l’enfant. Et, commencer des essais cliniques plusieurs mois après avoir commencé à vacciner en population générale paraît dénué de toute logique. 




Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

Par Alain Tortosa

Wikipédia(([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_microbienne)) nous dit :

« Bien que très controversée lors de sa formulation initiale, cette théorie (des germes) a été validée à la fin du XIXe siècle et constitue désormais un élément fondamental de la médecine moderne et de la microbiologie clinique. »

(Je précise que cette théorie inclut les bactéries ET les virus.)

Le site précise qu’elle a été validée avant 1900 soit bien avant le premier microscope électronique fabriqué en 1930 permettant de « voir » des virus.

Rien sur cette page sur la découverte des virus, des preuves de leur existence, du moyen de les isoler, de la preuve de la contagion, rien…

Il existe pourtant d’autres théories qui arrivent à la conclusion inverse, que les virus n’existent pas (j’y reviendrai un peu plus loin).

Je vous invite à vous pencher sur les modèles de Béchamp vs Pasteur.(([2] http://www.ateliersante.ch/bechamp.htm#B%C3%A9champ))

« Les travaux de Béchamp.

Trente ans avant l’instauration de l’idée du monomorphisme, le microbiologiste Antoine Béchamp, docteur ès sciences, docteur en médecine, en chimie, et en pharmacie, découvrait, à la suite de travaux expérimentaux et d’observations minutieuses, que toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d’évoluer pour former des bactéries qui continuent à vivre après la mort de la cellule dont elles proviennent. Béchamp appela ces petits éléments autonomes, des “mycrozimas”.

Béchamp et Pasteur qui étaient contemporains s’opposèrent farouchement pour défendre leurs théories bactériennes devant les milieux scientifiques de l’époque.

Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse était causée par des micro-organismes invariables dans leur forme et provenant TOUJOURS de l’extérieur de l’organisme, le milieu intérieur de tous les organismes vivants étant stérile.

Béchamp voyait à la maladie une origine interne, et affirmait que toute matière organique est sujette à des modifications naturelles dues à des processus normaux de fermentation. Ces processus provoquent, dans des conditions pathologiques, le développement des mycrozomas et aboutissent à la formation de bactéries ayant des propriétés de putréfaction et de fermentation. »

Béchamp aurait déclaré(([3] http://www.meilleures-citations.com/auteurs/antoine_bechamp.html)):

« Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie. »

Wikipédia, garant de la doxa, comme nous pouvons le vérifier chaque jour, vient encore à notre secours pour parler du « déni de la théorie des germes(([4] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9ni_de_la_th%C3%A9orie_du_germe))».

Il est intéressant de voir que celle-ci n’est pas présentée comme une autre voie, un courant scientifique alternatif, mais comme un « déni » qui de fait relèverait du charlatanisme, de la foi ou de la psychiatrie, fin de non-recevoir :

« Le déni de la théorie du germe est une croyance pseudoscientifique qui prétend que les bactéries et virus ne causent pas de maladies.

Cette croyance est souvent rattachée à la théorie d’Antoine Béchamp, désormais réfutée par la science, qui affirmait que les tissus humains malades pouvaient produire des microbes, et donc que la présence de ceux-ci étaient une conséquence de la maladie et non l’inverse. Mais il a été démontré que les micro-organismes se transmettaient par contagion. »

Nous n’en saurons pas plus sur cette « démonstration ».

Il n’y a donc pas de sujet et seuls des illuminés ou des complotistes 4dan pourraient s’y intéresser.

Comme pour le Covid, il n’y a pas de débat possible sur l’efficacité du masque, des confinements, de l’existence de traitements, de l’efficacité ou de la dangerosité des « vaccins ».

Nous vivons dans un monde de « consensus scientifique » et « d’illuminés » qui gravitent autour.

Je vous rappelle que je ne m’interdis aucun sujet et que je me suis même interrogé sur la théorie de la Terre plate.(([5] https://nouveau-monde.ca/la-verite-revelee-la-terre-est-plate-et-jen-aurais-la-preuve/))

Si l’affirmation de la non-existence des virus est scientifiquement exacte ?

[Note de Joseph : ce qui est actuellement réfuté par des précurseurs tels que les Docteurs Lanka, Kaufman, Bailey et Kiseleva, c’est l’existence de virus « pathogènes », car ces derniers mentionnent qu’il existe bien des structures cellulaires d’apparence similaires à celle des supposés virus pathogènes, mais qu’elles ont été scientifiquement et rigoureusement démontrées comme étant produites par les cellules elles-mêmes sous forme d’« endosomes » (appelés « exosomes » lorsqu’ils sortent des cellules). Par contre, aucun des virus et rétrovirus supposés « pathogènes » (Ebola, HIV, Rougeole, Polio, etc.) n’a pu être correctement isolé et caractérisé du fait que la méthodologie utilisée depuis les années 1950 ne respecte aucunement la démarche scientifique et n’effectue aucune expérience de contrôle pour valider notamment les liens supposés de causalité.]

  • Il n’y a donc pas de sars-cov2.
  • Il n’y a donc pas de virus manipulé.
  • Il n’y a donc pas de gains de fonctions.
  • Il n’y a donc pas de virus volontairement répandu.
  • Il n’y a donc pas de Covid en tant que maladie nouvelle causée par un virus nouveau.
  • Il n’y a donc pas d’épidémie de Covid en tant que maladie nouvelle.
  • Il n’y a donc pas de variants.
  • Il n’y a donc pas de tests possibles.
  • Il n’y a donc pas de mesures préventives possibles axées sur ce virus.
  • Il n’y a donc pas de traitements spécifiques possibles contre ce virus.
  • Il n’y a donc pas aucun vaccin possible.
  • Il n’y a donc plus de dictature sanitaire possible.

[Note de Joseph : dans le cadre de la théorie alternative à la virale, il peut très bien exister des « virus » manipulés (en fait au mieux des « exosomes » ou autres composants cellulaires manipulés) et donc des supposés « gains de fonction » (dont il resterait cependant à vérifier la réalité par des contre-expériences adéquates qui n’ont pas davantage lieu que pour l’isolement supposé des virus).]

Le Covid serait de fait une épidémie médiatique s’appuyant sur les épidémies habituelles.

Revenons un peu sur l’hypothèse des virus qui n’existeraient pas :

Les virus seraient ainsi une théorie non prouvée.

Qui a vu un virus ?

Les représentations en couleur ou 3D [trois dimensions] que nous avons des virus sont des dessins ou des constructions informatiques directement issues de l’imaginaire des artistes.

On n’a donc jamais « vu » un virus en regardant par exemple un tissu pulmonaire d’un malade, jamais !

De plus nous n’avons jamais pu observer « en live » un virus « vivant », qui se déplace, qui rentre dans une cellule saine ou qui en sort après l’avoir tuée et utilisée comme usine de production.

Il n’existe que des « photos » au microscope électronique, donc des représentations statiques de « trucs » plutôt ronds que l’on a nommées « virus ».

Question : Qu’est-ce qui prouve que ces machins sont des virus et qu’ils ont les comportements qu’on leur prête ?

Croyez bien que sans ces représentations artistiques omniprésentes depuis notre naissance, notre regard sur le sujet en serait fortement bouleversé.

C’est du même ordre que les films ou documentaires dans lesquels nous voyons des dinosaures :

  • Se déplacer ou courir d’une certaine façon.
  • Avoir un type et une couleur de peau spécifique.
  • Se nourrir.
  • Émettre des sons ou même avoir une communication et un « langage ».
  • Se reproduire.
  • Etc.

Même si nous disposons de quelques maigres indices, nous n’avons strictement aucune idée de leur apparence et comportement réel.

Question : Pourquoi est-il impossible d’observer et photographier des virus dans le milieu dans lequel ils sont présumés se « reproduire » et tuer des cellules saines ?

(alors même que l’on peut observer des « bouts » de bactéries)

Une « isolation » du virus semble possible en ajoutant dans la mixture d’autres éléments vivants (avec leur propre patrimoine génétique comme des cellules de singe, des cellules fœtales ou autres), mais aussi des éléments chimiques comme des antibiotiques, conservateurs, poisons…

Brève histoire de la virologie

Pendant de nombreuses années, l’existence des virus était purement théorique, avant l’arrivée du microscope électronique.

Pour l’hépatite G(([6] https://books.google.fr/books?id=iizJZ0ZblGAC&pg=PA140&lpg=PA140&dq=%22culture+virale+in+vivo%22&source=bl&ots=WhDcg7NJBi
Les virus transmissibles de la mère à l’enfant.)):

« Diagnostic direct : La culture virale in vivo n’est pas réalisable en routine, et les tentatives d’isolement in vitro se sont soldées par des échecs.

À l’heure actuelle, bien qu’encore non standardisée, la technique de mise en évidence du génome par RT-PCR est la plus sûre et la plus pratiquée »

La raison (officielle ?) de l’échec in vivo serait qu’il y en aurait insuffisamment dans un prélèvement et… qu’une culture directe « se solde par un échec ».

Raison pour le moins étrange étant donné qu’ils seraient suffisamment présents pour contaminer une autre personne.

« L’interprétation (([7] RAPPORT DU CONTROLE DU MARCHE DES TESTS RAPIDES DE DIAGNOSTIC DE LA GRIPPE
(Avril 2013) )) et la comparaison des données fournies par les fabricants nécessiteraient de connaître la fourchette de charge virale retrouvée habituellement dans les échantillons de patients atteints exprimée avec chacune de ces unités. Or, il existe peu de données dans la littérature sur ce sujet (Cheng et al, 2010, Journal of Clinical Virology , Volume 47, Issue 2, February 2010, Pages 182–185 : Spécimens de patients avec charge virale exprimée en TCID50/ml, 103-107. Suess et al. PLoS One. 2012;7 (12) : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml=102 -105, Loeb et al., J Infect Dis. 2012 Oct 1;206 (7):1078-84 : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml =102 -10»

Mais bon, pourquoi pas.

Dans « Apport de la biologie moléculaire dans l’identification de nouveaux virus(([8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7140284/))»:

« Les débuts de la virologie furent longs et difficiles, et le concept de virus lui-même n’a évolué que très progressivement entre la fin du 19e siècle et le milieu du 20e siècle. Près de soixante ans ont été nécessaires… La principale difficulté résidait dans le fait de concevoir des êtres vivants submicroscopiques, en les définissant principalement sur des critères d’exclusion (trop petits pour être vus, non-cultivables), à un moment où la bactériologie pouvait, chaque jour, faire état de succès bien tangibles. Les progrès réalisés grâce à la biochimie, la microscopie électronique ainsi que la maîtrise des techniques de culture cellulaire ont conduit à la certitude que les virus étaient des agents infectieux entièrement originaux. »

« Les progrès dans le domaine de la virologie seront plus lents pour deux raisons au moins : les virus ne sont pas visibles en microscopie optique, et ils ne sont pas cultivables en laboratoire sur les milieux usuels. »

Tour ceci confirme qu’il semble impossible de cultiver et voir un virus dans son milieu.

Question : Pourquoi cette culture est-elle impossible alors même qu’il se reproduit précisément dans ledit milieu et pourquoi ce fait ne semble-t-il pas être de nature à perturber les chercheurs et la médecine ?

« Pour étudier un virus, il faut donc 2 éléments essentiels : le virus et sa cellule cible. Cette découverte confirme que la virologie humaine est dépendante d’un autre champ de recherche, celui de la culture en laboratoire des cellules animales. Sans cellule permissive au virus, impossible d’isoler le virus en laboratoire, et donc d’en faire une analyse poussée. »

On a donc « trouvé » et « observé » l’effet cytopathique(([9] https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_cytopathique)) ou « cytopathogène » pour les « cultiver ».

Le principe consiste à prélever des cellules de singe ou autres (selon le virus à étudier), les affamer sans les tuer, ajouter des tissus fœtaux de bovin (ou autres) pour ralentir le processus, ajouter des antibiotiques, de l’antigel, etc., mais surtout le prélèvement supposé infecté d’une personne malade afin d’assister en quelques jours à la « cytopathie ».

Il est alors possible « d’observer » au microscope électronique des cellules mourir “à cause [supposément] du virus” et voir apparaître les fameux petits machins ronds que l’on appelle « virus ».

L’effet cythopatique dans l’étude de Enders sur la découverte du « virus » de la rougeole représenterait l’étalon OR prouvant l’existence des virus et le moyen de les cultiver et les isoler.

C’est ce principe qui est utilisé depuis des dizaines d’années par tous les chercheurs et virologues qui observent des virus. Principe qui n’est nullement remis en cause par la communauté scientifique au pouvoir.

Pour autant l’auteur(([10] https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.3181/00379727-86-21073
Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles.
John F. Enders)) lui-même n’était pas si affirmatif :

« Les résultats qui viennent d’être résumés appuient la présomption que ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole. »

Ces « virus » seraient la cause de la mort des cellules saines.

Question : Pourquoi affirmer que ces observations sont des virus alors même que l’on pourrait émettre l’hypothèse qu’ils ne seraient que des déchets de cellules mortes affamées ou empoisonnées par les divers produits ou les antibiotiques ?

L’effet cytopathique ou cytopathogène(([11] http://unt-ori2.crihan.fr/unspf/2010_Lille_Goffard_Virologie/co/06_diagnostic_direct.html)) ne se produit pas pour tous les « virus ».

« Certains virus ne donnent pas d’effet cythogénique au cours de leur réplication en culture cellulaire : virus grippaux…

Certains virus ne se répliquent pas en culture cellulaire : virus des hépatites, rubéole, etc., etc. »

Ils ne peuvent donc pas être cultivés ou n’ont pas d’effet cythopatique.

Question : Pourquoi le fait que l’effet cytopathogène ne fonctionne pas avec tous les virus n’est pas de nature à interroger sur la réalité du phénomène sinon de l’existence des virus ?

Quid de l’expérience témoin ?

Il est vital de savoir si la destruction des cellules et l’apparition des « virus » durant ces expériences sont dues au virus observé ou si nous assistons au film de la mort d’une cellule (empoisonnée) et que ces « virus » vus au microscope électronique ne seraient que des déchets de cellules mortes.

Enders lui-même semble apporter une réponse à cette question.

Il aurait constaté ce même effet cytopathique alors même qu’il n’avait pas ajouté de matériel génétique (exemple : crachat) « contaminé par un virus ».

Je le cite :

« Ce faisant, il faut cependant garder à l’esprit que des effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant de l’infection par les agents de la rougeole peuvent éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe ou par facteurs inconnus. »

Question : Pourquoi Enders (et donc tous les successeurs), au lieu de déduire que les « machins ronds » (statiques, car microscope électronique) obtenus ne seraient peut-être pas des virus, mais des débris de cellules mortes, car on les trouve aussi sans ajouter un support présumé contaminé, a émit l’hypothèse que d’autres virus pouvaient être déjà présents dans les cellules du singe et donc que l’effet cytopathique était une réalité ?

N’importe quel imbécile se dirait que son essai ne prouve strictement rien !

Il a aussi précisé que cette observation « in vitro » n’était peut-être pas le processus qui se déroule dans la vraie vie c’est-à-dire « in vivo »

Question : Pourquoi tous les doutes et interrogations d’Enders ont-ils été balayés ?

Comprenez que toute la théorie virale moderne, et les vaccins qui en découlent ne reposent que sur cette expérience (puis les tests PCR), qui lui a valu un prix Nobel.

Les antigènes ou « protéines virales »

Ainsi pour « prouver » l’existence de certains virus que l’on n’a JAMAIS pu observer (incroyable, mais vrai) on va alors utiliser la méthode de l’antigène pour les détecter et confirmer leur existence supposée être à l’origine d’une maladie.

Question : Pourquoi la communauté scientifique ne semble-t-elle nullement traumatisée à l’idée qu’il existerait de façon « certaine » des entités que l’on appelle « virus » alors même que l’on n’a jamais pu les observer ?

La théorie est simple.

Si des personnes avec des symptômes grippaux ont dans leur sang un certain type d’antigène, alors cela constitue la « preuve » que le patient a contracté le virus de la grippe qui aurait induit la production de ces antigènes.

C’est ainsi que l’on a pu « prouver » l’existence de virus que l’on n’a jamais pu voir (comme, par exemple, le HIV).

Question : La présence d’un couteau ensanglanté sur les lieux d’un présumé crime est-elle la preuve qu’il y a eu meurtre et la preuve que le couteau est l’arme du crime ?

Les antigènes sont-ils la preuve d’une attaque virale présente ou ancienne ou ne seraient que la conséquence d’un autre phénomène ou des débris issus du processus de guérison, désintox du corps et ne prouveraient en rien la présence de tel ou tel virus ?

Il est couramment admis que l’on puisse être porteur d’un virus non détectable (Hépatite B, C, VIH…)

Selon le Dr Henri Agut(([12] https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2638471-virus-definition-mode-d-action-comment-le-combattre-adn-arn/)), médecin virologue à Paris :

« Un virus ne peut survivre très longtemps à l’état de particule virale libre dans le milieu ambiant. Il doit donc trouver rapidement une cellule à infecter. C’est essentiellement sous la forme de cellules infectées, des « usines » à fabriquer des virus, qu’il existe dans la biosphère. »

Question : Comment pourrait-on être un porteur sain ou porteur d’un virus non détectable dès lors que la survie du virus dépend de sa capacité à prendre le contrôle de cellules saines pour se reproduire et que cette prise de contrôle se traduira obligatoirement par la destruction de ces cellules saines, par la destruction d’autres cellules saines et donc de la production de déchets ou de mécanismes de défense (antigènes ?).

Question : Comment une diffusion à bas bruit dans les tropiques peut-elle exister alors même qu’un virus ne peut pas survivre sans attaquer des cellules saines et donc se multiplier ?

La biologie moléculaire (le RT-PCR)

« Les outils de la biologie moléculaire ont permis l’amélioration du diagnostic des infections virales et la découverte de nouveaux virus. En effet, grâce à des outils tels que la (RT — ) PCR ou le séquençage, on peut maintenant faire face à des situations de diagnostiques nouvelles.

On peut :

Mettre en évidence la présence de génomes de virus indétectables par d’autres méthodes :

Recherche des papillomavirus humains (HPV) responsables de cancers du col utérin

Détection des virus des hépatites(([13] http://unt-ori2.crihan.fr/unspf/2010_Lille_Goffard_Virologie/co/06_diagnostic_direct.html))»

« Cependant, il existe de nombreux inconvénients :

La mise en évidence d’un génome viral dans un échantillon ne signifie pas que les particules virales infectieuses complètes soient présentes…

La grande sensibilité de ces techniques les rend très sensibles aux contaminations par des acides nucléiques extérieurs à l’échantillon initial, »

On est donc peut-être en train de faire la PCR d’un moustique ou d’un pollen avalé par inadvertance.

Question : Comment la « science » a-t-elle la « preuve » de l’existence de virus qu’il est impossible de voir in vivo, qu’il est parfois impossible de voir dans la soupe cytopathogénique, qu’il est impossible de détecter par la présence d’antigènes et dont la « preuve » de l’existence repose sur un RT-PCR (douteux) sur quelques séquences issues de la soupe contenant un nombre impressionnant de matériaux génétiques (ou organismes divers dans l’échantillon prélevé) ?

La causalité

Trouver un « virus » n’est pas suffisant, il faut ensuite s’assurer que celui-ci est bien la cause de la maladie.

Pour se faire il faut que le « virus » ainsi trouvé soit bien le « coupable » de ladite maladie et donc l’inoculer à un porteur sain.

Il faut donc isoler le virus dans la soupe ou dans l’échantillon (en effet, les autres substances ou organismes présents dans celle-ci pourraient aussi causer des maladies).

Ici se pose un grand problème, car la soupe de Enders contient des cellules de singe (ou autre animal), des cellules fœtales de bovin et l’échantillon prélevé sur le malade (qui peut aussi contenir d’autres « virus », bactéries, mais aussi du matériel génétique comme des pollens, des insectes inspirés par le malade, etc.)

Sans compter toutes les toxines comme des antibiotiques et autres substances chimiques présentes dans cette soupe.

Ajoutons le fait que toutes ces substances biologiques et chimiques se sont peut-être mélangées et qu’il devient alors impossible de les filtrer ou les séparer pour ne prélever que le virus incriminé.

Question : Étant donné qu’il semble impossible d’isoler de façon certaine des virus dans un prélèvement in vivo,
comment serait-il possible d’infecter un porteur sain en ayant la preuve que l’infection transmise est UNIQUEMENT causée par cet agent pathogène dit virus et ce afin de s’assurer qu’il provoque bien la même maladie chez celui-ci ?

La Contagion

Une fois le virus « isolé », il faut contaminer le porteur sain avec une méthode compatible avec la vie réelle.

Par exemple s’il est admis que le virus étudié se transmet aéroporté alors il ne s’agira pas d’injecter directement le supposé virus dans le cerveau d’un cobaye ou par intraveineuse pour voir si le sujet tombe malade.

À ce stade, si le sujet sain « contaminé » par la soupe bactériologico-virale développe une maladie, il faudra s’assurer que c’est bien de la même maladie avec les mêmes symptômes et les mêmes marqueurs biologiques comme indiqué précédemment.

Question : Est-ce le virus qui va entraîner la maladie de la personne en bonne santé ou les produits chimiques et autres tissus en décomposition utilisés dans la soupe pour « isoler » le virus ou d’autres bactéries présentes dans le prélèvement du patient, voir même un effet placebo ou d’autres actions que nous ne comprenons pas ?

Le problème est que les rares expériences qui ont été menées pour prouver le principe de la contamination et de la contagion se sont soldées par des échecs comme celle de 1918 menée par Rosenau.(([14] Rosenau MJ: I. Series of experiments at Boston, November and December, 1918. Hygienic Laboratory U.S.P.H.S. Bulletin 1921
https://virologyj.biomedcentral.com/articles/10.1186/1743-422X-5-29))

L’objet était d’infecter par la grippe espagnole réputée extrêmement dangereuse par 100 « volontaires » sains et sans symptômes, fournis par la Navy :

« Ensuite, nous avons procédé au transfert du virus obtenu à partir de malades ; c’est-à-dire que nous avons recueilli les sécrétions matérielles et muqueuses de la bouche, du nez et des bronches de 19 malades et les avons transférées à nos volontaires. Nous avons toujours prélevé le matériau de la manière suivante : le patient fiévreux, au lit, a devant lui un grand aménagement peu profond en forme de plateau, et nous avons lavé une narine avec une solution saline stérile, en utilisant peut-être 5 cc, qui est autorisé à couler dans ce plateau ; et cette narine est soufflée vigoureusement dans le plateau. Cela est répété avec l’autre narine. Le patient se gargarise ensuite avec la solution. Ensuite, nous obtenons du mucus bronchique en toussant, puis nous tamponnons la surface muqueuse de chaque narine et aussi les muqueuses de la gorge. »

Ensuite, ils ont mélangé tous les « trucs » ensemble et ont pulvérisé 1 cc du mélange dans chacune des narines de 10 volontaires, et « dans la gorge, tout en inspirant, et sur l’œil » et ont attendu 10 jours pour que les volontaires tombent malades. Cependant, « aucun d’entre eux n’est tombé malade de quelque manière que ce soit ». »

Dans son livre, Eleanor McBean « l’aiguille empoisonnée(([15] THE POISONED NEEDLE Suppressed Facts About Vaccination By Eleanor McBean 1957
http://whale.to/a/mcbean.html#BIBLIOGRAPHY))»
nous rapporte :

« Au cours de l’une des plus grandes épidémies de poliomyélite (1949), “la contraction de la poliomyélite par contact précis avec d’autres victimes de la maladie n’a pas été établie dans une étude élaborée réalisée par le Département de la santé de l’État de New York. Le service de santé publique des États-Unis, dans ses études, a également trouvé la même réponse négative lors des épidémies successives de poliomyélite. Bref, ils ont appris que la maladie n’était pas contagieuse.” TIME Magazine a commenté cette révélation inattendue de ces enquêtes en remarquant que “quand et où les gens attrapent la poliomyélite reste un mystère”.

La supposition que les virus pénétraient par la bouche et le nez a conduit les expérimentateurs à faire des tests exhaustifs aussi bien sur des animaux que sur des êtres humains, pour la plupart des détenus et des orphelins en institution. Ils ont été exposés (par association étroite) à des patients atteints de poliomyélite et leur gorge et leurs voies nasales ont été fréquemment tamponnées avec de la matière (provenant des patients) censée contenir des virus. Aucune poliomyélite n’a été produite de cette manière et le seul effet secondaire notable était que les sujets des expériences avaient perdu leur sens du goût et de l’odorat en raison des effets néfastes des poisons contenus dans le sérum utilisé sur les écouvillons. »

Le site cv19(([16] https://cv19.fr/2022/02/20/quelques-etudes-ayant-tente-de-prouver-la-contagion-interhumaine/)) liste un ensemble d’expériences de tentatives de contamination soldées par un échec pour prouver la théorie de la contagion :

  • En 1919, Rosenau et Keegan sur la grippe.
  • En 1919, Wahl et al sur la grippe.
  • En 1920, Schmidt et al sur la grippe et le rhume.
  • En 1921, Williams et al sur la grippe et le rhume.
  • En 1924, Robertson & Groves sur la grippe.
  • En 1930, Dochez et al sur le rhume.
  • En 1940, Burnet et Foley sur la grippe.

Remarquez que si les expériences pour prouver le principe de la contagion étaient nombreuses dans la première moitié du 20e siècle, celles-ci se sont raréfiées tandis que Big Pharma prenait le pouvoir en imposant la médecine basée sur le pétrole.

En 2018 des chercheurs analysent l’état de la science sur les modes de transmission des virus(([17] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1879625717301773?via%3Dihub
Transmission routes of respiratory viruses among humans)) pourtant censés être démontrés depuis fort longtemps et « nullement source de questionnement » selon Wikipédia ou la communauté scientifique au pouvoir.

Voici leurs conclusions :

  • « La plupart des études sur les voies de transmission interhumaines ne sont pas concluantes. »
  • « L’importance relative des voies de transmission des virus respiratoires n’est pas connue. »
  • « Les méthodes de détection modernes peuvent faire progresser les expériences de transmission. »

En 2018 aucune étude n’était donc en capacité de démontrer les modes de transmission alors même que c’est cette théorie virale qui conduit aux masques, aux confinements, aux gestes barrières et surtout à la vaccination !

Pierre Lécot de Décoder l’éco(([18] https://www.youtube.com/watch?v=xq2h2onD7tk)) nous livre des éléments statistiques pour le moins troublants

Sur ce graphique des décès nous pouvons voir que les épidémies se produisent chaque année au même moment dans divers pays dont la France, la Suède ou le Portugal.

À noter qu’il en est de même si l’on observe les hospitalisations.

Si les épidémies se propageaient par contagion c’est-à-dire de patients vers patients alors il serait logique de constater un décalage dans le temps entre le Portugal et la Suède quand bien même il existe des avions… Or elles se produisent en même temps !

C’est donc une preuve que le phénomène d’épidémie (réel) n’est absolument pas lié à la transmission interhumaine.

[Note de Joseph : sans compter que les analyses statistiques de Pierre Lécot démontrent que l’hypothèse de contamination exponentielle ne tient pas du tout. Ceci, car la « dérivée » devrait être elle-même exponentielle, mais se révèle plate !]

Question : Si le processus de contagion est le fruit d’une transmission virale d’un porteur A vers un porteur B, puis d’un porteur B vers un porteur C, comment le porteur A (ou patient 0) a-t-il pu être contaminé et par qui ?
Nous touchons à la théologie ou au Big bang… Il y avait quoi avant rien ?

Il est important d’être conscient que les médecins sont comme les maraîchers, ils ont leurs saisons !

Saison de la grippe, saison de la gastro, saison de l’angine, saison des rhumes des foins…

Ils ont ainsi une forte propension à donner le même nom aux pathologies qui se présentent à un instant donné.

Et ce d’autant plus qu’ils reçoivent les données du réseau Sentinelle qui leur fournit les dernières tendances.

Cette information obligatoirement différée dans le temps, car fournissant les données de la semaine précédente, sont certainement de nature à induire un décalage dans le temps et ainsi montrer une courbe d’évolution qui pourrait ressembler à un phénomène de « contagion ».

(L’information est aussi véhiculée par les médias qui, s’ils disent qu’il y a une épidémie de grippe, vous feront penser que vos symptômes respiratoires relèvent plus de celle-ci que d’une angine.)

Cela a été largement vérifié pour le Covid.

Plus de grippes, plus de pneumo, plus d’angines, plus de gastros, etc. plus rien sauf le Covid !

Point tout aussi intéressant Pierre Lécot a corrélé les décès au climat (à la température).

Il se trouve que plus vous êtes âgé et plus vous décédez lors des périodes de froid et plus vous êtes jeune et en bonne santé et moins vous décédez.

C’est ce qui expliquerait pourquoi les décès se produiraient au même moment dans des zones géographiques au climat équivalent pour une population à la santé équivalente ??!!

Il est à noter que ce constat apporte plus de questions que de réponses.

Le climat n’étant pas le même dans le sud de l’Espagne qu’en Suède ou dans les Alpes. Les saisons froides étant décalées de même que l’ensoleillement, l’enseignement principal serait d’affirmer que nous ne savons pas grand-chose.

En tous les cas les épidémies ne peuvent s’expliquer par le principe de la contagion (virale) interhumaine.

Où est le virus de la grippe en été ?

Science et Vie(([19] https://www.science-et-vie.com/corps-et-sante/que-devient-le-virus-de-la-grippe-en-ete-59085.html)) a posé cette question à un chercheur de l’Institut Pasteur (ils ont évidemment toutes les réponses sur les virus) :

« C’est simple : il déménage sous des cieux plus favorables à sa propagation, c’est-à-dire froids et humides.

« Le virus de la grippe est toujours quelque part en un point du globe », confirme Jean-Claude Manuguerra, de l’Institut Pasteur. Dans l’hémisphère Nord, il provoque des épidémies entre octobre et mars, tandis qu’il s’épanouit dans l’hémisphère Sud entre avril et septembre. C’est le « basculement hémisphérique » de l’hiver septentrional à l’hiver austral. » »

Question : Il est où au printemps qui correspond à l’automne dans l’hémisphère sud, saisons non favorables à son épanouissement ?

La diffusion virale à bas bruit (et ce n’est pas un extrait du journal de Mickey)

Nul point dans le globe me semble froid et humide à cette période (les pôles étant plutôt très secs)

Que nenni, le chercheur a sa réponse !

« Dans la ceinture intertropicale, le virus circule toute l’année, mais à bas bruit, avec des pics à la saison des pluies »

Cette région serait donc la zone d’échange entre le nord et le sud pour l’alternance de la grippe.

Question : C’est quoi une circulation virale à bas bruit ?

Tout le monde se le passe, mais il ne nous rend pas malade ?

Question : Comment fait le virus de la grippe pour se transmettre sans rendre malade ses hôtes ?

  • Un virus est un organisme à la fois vivant et mort qui ne peut QUE se reproduire et survivre en infectant des cellules saines de son hôte et en les tuant pour se multiplier !

Question : Comment peut-il se transmettre à « bas bruit » et comment puis-je contaminer mon voisin sans avoir moi-même une charge virale suffisante ?

  • Si j’ai une importante charge virale alors elle me rendra symptomatique et malade pour le lui transmettre en éternuant sur lui !
  • Si je n’ai que 2 ou 3 virus, je ne pourrais pas contaminer mon voisin, car je serai asymptomatique et donc dans l’incapacité de transmettre mes virus d’un hémisphère vers un autre.

Question : Si ma charge virale est faible, mon organisme va l’éliminer et comment pourrais-je ici encore le transmettre ?

Si en revanche j’ai une charge virale importante, je vais être malade, et si je suis malade ce n’est plus une diffusion « à bas bruit ».

L’article nous « éclaire » un peu plus :

« A contrario, si un Australien contaminé vient passer ses vacances en France au mois d’août, le virus ne s’y implantera pas, car les conditions “environnementales et comportementales” ne sont pas réunies. »

Alors là ça devient compliqué.

Si vous recevez votre correspond australien qui a attrapé la grippe pendant son hiver et vient vous voir pendant votre été alors :

Le gars est malade comme un chien, il vous crache dessus, il crache ses virus dans la soupe, il vous embrasse et pourtant vous n’aurez quasi aucune chance de l’attraper parce que vous êtes en été !

Et ce alors même que la température de votre corps est de 37 degrés aussi bien en été comme hiver.

Nous pouvons donc supposer que son arrivée en Europe va lui permettre de guérir quasi instantanément.

[Note de Joseph :
extrait de Le pour et le contre

— Pourquoi le gars isolé dans sa cabane au Nunavut ou en Alaska attrape-t-il tout d’un coup la grippe un certain hiver alors qu’il n’a rencontré personne depuis plus d’un mois ?

— Euh ! Bin le virus dormait dans son corps.

— Mais le système immunitaire n’est-il pas censé tuer les virus ? Pourquoi est-il assez sympa pour en maintenir en vie quelques exemplaires pour la saison prochaine ?

— Euh ! Il faut demander aux virologues. Ils doivent bien avoir une explication. Il y a bien des « porteurs asymptomatiques » pour la covid-19, d’après eux, alors pour la grippe, ça doit bien être pareil.

— Des porteurs asymptomatiques ? Des gens dont le système immunitaire est assez gentil pour laisser traîner quelques poignées de virus ici et là, le temps qu’ils récupèrent avant de pouvoir mener une prochaine invasion tranquillement ? Et pendant ce temps, ils ne sont pas malade ?

— Eh bien, ils ne sont malades que si suffisamment de virus les envahissent ?

— Combien ? 1 million ? 1 milliard ?

— Ça dépend.

— De quoi ?

— De la maladie et de l’état de santé de la personne.

— Et si la personne est en bonne santé, y a-t-il besoin de plus de virus ?

— Peut-être bien que oui.

— Mais un virus n’est pourtant pas un être vivant, puisque notamment il ne sait pas se multiplier tout seul ?

— Parce qu’il utilise le code génétique d’une cellule pour s’y multiplier.

— Et pourquoi celle-ci se laisse-t-elle couillonner ?

— Bin pas toujours ! C’est là que le système immunitaire intervient. Il empêche le virus de rentrer dans la cellule en supprimant son enveloppe qui possède la clef. Et là le virus est bien mort.

— Mais ce n’est déjà pas un être vivant. Tout ce qu’il est censé faire, c’est se faire multiplier dans une cellule. Ce n’est qu’un genre de grosse molécule qui demande d’être dupliquée. Pourquoi cette molécule rendrait-elle malade par ailleurs ?

— Bin, parce qu’elle se multiplie.

— Mais même des milliards de virus, ça n’occupe pas beaucoup de place. Pourquoi ça rendrait malade ?

— Peut-être parce qu’en plus cette molécule est mauvaise pour l’organisme.

— Admettons. Maintenant, pourquoi le fait d’avoir la Covid-19 empêcherait-il d’avoir la Grippe ?

— Les virologues disent qu’en quelque sorte ça bloque l’entrée pour les autres virus.

— Ah bon ? Pourtant, les deux ont une clef d’entrée et peuvent entrer n’importe où sur la paroi cellulaire, tellement il y a de serrures. Et je doute fort que tous les emplacements soient occupés en même temps par une seule variété de virus, sachant que ces virus ne sont pas censés traîner à la porte d’entrée, mais se précipiter à l’intérieur.

— Je ne sais pas. Il faudrait demander à un virologue.

— Ouais, admettons qu’il ait une réponse logique et satisfaisante, et pas une nouvelle rustine à leur théorie qui me paraît de plus en plus foireuse. En attendant, c’est quand même une étrange coïncidence que depuis la covid-19, presque plus personne ne meure de la Grippe, comme si celle-ci avait été rebaptisée.]

Notre système immunitaire va dire « là mon gars c’est pas la saison, alors le virus tu repasseras en hiver ! »

Les milliards de microbes que nous allons nous prendre ne pourront donc pas attaquer nos cellules ni se reproduire pendant l’été, période de vacances des virus !

(Sauf pour le coronavirus qui aurait provoqué la 4e vague en juillet, août 2021, sacré corona !)

Question : Au lieu de prétendre savoir, la communauté scientifique ne pourrait-elle pas avoir la modestie ou l’honnêteté de dire qu’elle n’a aucune idée sur l’existence réelle des virus, sur le processus de contamination (s’il existe) et pourquoi et comment on tombe malade ?

La théorie virale ne repose que sur des théories, sur un effet cythogénique douteux (notamment parce qu’il ne peut être reproduit pour tous les virus) et sur des tests RT-PCR encore plus douteux (cf. les propos de son inventeur dans la suite de ce texte).

Sujet sans intérêt ?

Si vous regardez la fiche Wikipédia de John Enders(([20] https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Enders)), vous y trouverez… rien… juste quelques phrases.

Cela n’est-il pas étrange pour un prix Nobel de médecine pour lequel les travaux sont la référence historique et méthodologique pour détecter les nouveaux virus ?

On trouve plus d’informations sur Casimir(([21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Casimir_(personnage) ))!

Le vide sidéral est tout aussi présent concernant l’effet cytopathique(([22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_cytopathique)) alors qu’il ne saurait exister de détection ou visualisation de virus sans celui-ci.

Le mot cythogénique, quant à lui, n’est pas trouvé.

Si vous voulez en savoir plus sur Rosenau et ses expériences visant à identifier les modes de contamination de la grippe, vous pouvez aussi demander à Wikipédia qui vous dira que :

« Rosenau est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin »

Strictement rien sur ce chercheur !

Nous vivons dans un monde de virus mortels, avec 11 vaccins obligatoires, le Covid, des couvre-feux, des passe-sanitaires et le sujet semble être sans intérêt ou disons plutôt « blasphématoire ».

Sources documentaires

Je vous invite à vous documenter pour vous faire votre propre opinion.

[Note de Joseph : voir aussi les articles du dossier Vaccins et virus.]

Intéressons-nous maintenant au « virus » provoquant le « Covid ».

Comme pour les autres virus, celui-ci n’a donc jamais pu être vu dans des « humeurs » de malades (directement au microscope) et il n’y aurait aucune preuve que ce « Sars-cov2 » provoquerait les symptômes du Covid.

Le séquençage du virus…

Il n’existerait aucun séquençage réel complet de celui-ci, comme pour les autres virus.

En même temps si les virus n’existent pas ce serait plutôt logique.

Pour autant, un séquençage de la soupe virale est créé à partir de la soupe cytopathique.

On recherche quelques nucléotides supposés être présents via test PCR puis on assemble les morceaux qui semblent aller de pair et on fabrique informatiquement un génome totalement théorique et supposé probable.

Les séquences qui auraient servi à la fabrication des tests PCR, mais aussi du vaccin seraient ainsi à plus de 90 % imaginaires.

La pilule rouge(([28] Cf. Matrix.)) est bien entendu difficile à avaler.

Quand nous voyons le simple fait d’émettre l’hypothèse que les « vaccins » anticovid auraient des effets secondaires, imaginez-vous dire à un croyant que les virus et donc les vaccins ne seraient qu’une chimère ou une escroquerie !

Il est évident que le débat est totalement impossible.

L’histoire du Covid

Comment pourrait-on raconter l’histoire du Covid si les virus n’existent pas ?

Tout ceci se présente assez mal…

Fauci a avoué avoir investi dans le laboratoire P4 de Wuhan sur les gains de fonctions est-ce une escroquerie de plus qui vise à répandre la peur ?

Le Dr Cowan a déclaré(([29] https://odysee.com/@Johnny_Cirucci:4/Terrain%E2%80%94The-Film:4
1h14)):

« Ils ont inventé l’histoire du virus créé en laboratoire ou du “virus artificiel” pour donner à la communauté anti-vaxx quelque chose d’existant : “ils ont attrapé les méchants en flagrant délit”. Les méchants sont plus intelligents qu’eux et ils ont poussé à promouvoir l’histoire “Oh mon Dieu, il y a un virus artificiel mortel qui circule”. Ça maintient l’histoire du virus et effraie encore plus les gens. Ils sont les grands maîtres des échecs, la plupart des gens jouent aux dames ou ignorent l’existence d’un jeu. »

Il semble évident que si nous ne sommes pas en capacité de séquencer l’intégralité d’un virus, comment serait-il possible d’obtenir des gains de fonction ?

(Alors que ce serait possible sur des bactéries.)

Il est vrai que toute cette histoire de Covid est une vaste escroquerie, celle-ci pourrait-elle aller jusqu’au fait que les Bill et autres « bienfaiteurs » de ce monde sauraient que les virus n’existent pas et que l’objectif serait uniquement d’empoisonner les peuples avec des vaccins inutiles et dangereux ou une simple source de profits délirants ?

Le Covid une nouvelle maladie ?

Une méta étude publiée en 2020 dans Cochrane(([30] Signs and symptoms to determine if a patient presenting in primary care or hospital outpatient settings has COVID-19 disease
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32633856/ Cochrane Database Syst Rev. 2020 Jul 7)) nous apporte des éléments troublants :

« Nous avons identifié 16 études portant sur 7 706 participants au total. La prévalence de la maladie COVID-19 variait de 5 % à 38 %.

Nous avons trouvé des données sur 27 signes et symptômes, qui se répartissent en quatre catégories différentes : systémiques, respiratoires, gastro-intestinaux et cardiovasculaires.

Sur la base des données actuellement disponibles, ni l’absence ni la présence de signes ou de symptômes ne sont suffisamment précises pour confirmer ou infirmer la maladie. »

16 études, 7700 participants et impossible de conclure à l’existence d’une nouvelle maladie !

C’est le grand truc de Big Pharma, changer le nom de maladies existantes pour créer de nouveaux marchés et de nouvelles peurs.

Cette non-spécificité et donc cette non-existence du Covid sont indirectement confirmées par l’OMS pour la classification de la maladie(([31] Lignes directrices internationales pour la certification et la classification (codage) des décès dus a la COVID-19, 20 avril 2020
https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-20200423_FR.pdf)):

« Définition des décès dus à la Covid-19.

Est considéré comme UN « DÉCÈS DU À LA COVID-19 » UN DÉCÈS RÉSULTANT D’UNE MALADIE CLINIQUEMENT COMPATIBLE, CHEZ UN CAS PROBABLE OU CONFIRMÉ DE LA COVID.

UN DÉCÈS DÛ À LA COVID-19 NE PEUT PAS ÊTRE IMPUTÉ À UNE AUTRE MALADIE (PAR EXEMPLE, À UN CANCER) ET DOIT ÊTRE COMPTABILISÉ INDÉPENDAMMENT DES AFFECTIONS PRÉEXISTANTES qui sont soupçonnées d’avoir déclenché une évolution grave de la COVID-19. »

Les médecins et les hôpitaux ont d’autant plus suivi cette règle que leur rémunération a été fortement accrue en codifiant « Covid » toute maladie respiratoire.

Il ne saurait y avoir de différences de rémunération pour des maladies à symptômes ou gravité comparable sauf à vouloir fausser les statistiques et donc la réalité.

Ce seul fait (parmi d’autres) constitue une preuve de la volonté de créer une fausse épidémie à partir de rien.

Nous avons assisté à une disparition magique de toutes les autres pathologies comme le confirme Pierre Lécot(([32] La bureaucratie sanitaire au centre de la fraude
https://www.youtube.com/watch?v=ceG8dd80JJU)):

Qui peut raisonnablement croire que le virus de la grippe (ou les autres virus respiratoires) n’a pas frappé en 2020 où il aurait entraîné 72 morts(([33] https://www.ladepeche.fr/2020/03/05/avec-72-morts-la-grippe-a-beaucoup-moins-tue-cet-hiver-en-france,8777067.php
Avec 72 morts, la grippe a beaucoup moins tué cet hiver en France.)) officiels ?

Le virus de la grippe qui ne travaille que 3 mois par an prend déjà des vacances bien méritées (Où ? Nul ne le sait), mais avec le Covid il s’est accordé plus de 3 ans de vacances et va peut-être revenir cet année frais et dispo pour reprendre son carnage annuel !

Va-t-on dire qu’il « circulait à bas bruit » ?

Le Covid identifiable par PCR ?

L’inventeur du RT-PCR Kary Mullis, prix Nobel de chimie disait(([34] https://odysee.com/@Johnny_Cirucci:4/Terrain%E2%80%94The-Film:4 1h24))

« S’ils ont pu trouver ce virus en vous, avec le PCR, si vous le faites bien vous pouvez trouver quasi n’importe quoi chez n’importe qui.

Ça vous fait croire à une sorte de notion bouddhiste que tout est dans tout.

Parce que si vous pouvez amplifier une seule molécule jusqu’à quelque chose qu’on peut vraiment mesurer, ce que la PCR peut faire, alors il y a très peu de molécules que l’on n’a pas dans son corps au moins une fois »

Cet homme n’a cessé de répéter de son vivant que son procédé était un outil de recherche et certainement pas de diagnostic.

Cela n’a pas empêché le journal Le Monde de déclarer(([35] https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2019/08/18/mort-de-kary-mullis-prix-nobel-de-chimie-1993_5500473_3382.html)):

« On peut être Nobel, avoir révolutionné la science et soutenir des thèses scientifiquement infondées. Les exemples ne sont pas légion, mais celui de l’Américain Kary Mullis, Prix Nobel de chimie 1993 pour l’invention de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) qui a bouleversé la génétique, est particulièrement éclatant. »

La démonstration soutenant la validité du test PCR et la « folie » de son inventeur reposent sur le fait qu’il est utilisé partout sur la planète, ce qui de fait apporte donc la « preuve irréfutable » de sa fiabilité.

C’est un peu comme la saignée, elle était utilisée partout jusqu’à ce que l’on découvre son inutilité et sa dangerosité (sauf pathologies spécifiques).

Le PCR est tellement « efficace » que Le Monde a précisé :

« la PCR est aussi la technique qui permet de ressusciter les dinosaures dans Jurassic Park… »

Même l’OMS(([36] https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05)) (non indépendante et corrompue) précise qu’il ne saurait constituer un outil de diagnostic à lui tout seul :

« La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques. »

Nous savons que des millions de tests ont été pratiqués sans consultation médicale préalable.

La quasi-intégralité des testés étant asymptomatiques (donc non malades) et ce à seule fin de rendre réelle une épidémie dont nous ignorerions encore l’existence sans les médias ou les masques.

Quand bien même le Sars-cov2 existerait, le RT-PCR ne serait pas en mesure de le détecter sans une marge d’erreur délirante !

Que les virus existent ou pas, que le sars-cov2 existe ou pas, que celui-ci soit naturel ou manipulé, cela ne change pas le fait que le génome de ce prétendu virus est une construction artificielle imaginaire sur la base d’un génome de Sars-cov1 (tout aussi imaginaire) et que les tests PCR ne permettent pas d’identifier catégoriquement la présence de la globalité de cette séquence imaginaire.

C’est aussi ce qui expliquerait pourquoi on a pu détecter du HIV (dont le génome est tout aussi imaginaire/inventé) dans le génome du Sars-cov2.

Question : Quelle est la probabilité pour qu’un individu ait dans son corps une séquence complète d’un génome qui n’existe pas et qui n’est qu’une construction humaine ?!

Dès lors que les personnes sont conscientes des réalités objectives suivantes :

  • Rien ne permet de caractériser le Covid 19 comme une nouvelle maladie.
  • Le Covid 19 est le nouveau nom donné à toutes les maladies respiratoires des précédentes années.
  • Le test PCR ne vaut strictement RIEN !

Alors le château de cartes s’effondre…

Toutes les mesures spécifiques de distanciation, de masque, de confinement n’ont strictement aucune justification.

Je vous invite à lire les dizaines d’études qui prouvent l’inutilité de ces mesures.

Si de plus nous intégrons cette donnée complotiste 4dan que les virus n’existent pas, qu’ils ne sont qu’une théorie jamais prouvée, que les expériences cherchant à contaminer des porteurs sains (grippe, rougeole, polio…) se sont soldées par des échecs (ou que le groupe témoin était plus malade que le groupe à infecter) alors cela enterre définitivement toutes ces mesures.

Je vous rappelle qu’aucun virus prélevé sur un malade n’a pu être directement observé in vivo ! (Comme, par exemple, le virus du sida).

De fait, si la contagion virale n’existe pas, pourquoi et comment s’en protéger ?

Sans compter le nombre d’études qui s’accumulent et que l’on prend bien soin de cacher au public assoiffé de volonté d’ignorer la vérité sur les confinements, distanciation, masques, couvre-feu qui n’ont aucune incidence positive sur l’épidémie.

Interdiction de soigner une « nouvelle » maladie « mortelle » ?

Cela devient « croustillant » lorsque l’on aborde le sujet du traitement et du vaccin.

Ne trouvez-vous pas « étrange » que les médecins aient été interdits de traitement lors de la première vague (la seule vague avec des malades) ?

On a forcé les malades à prendre du Paracétamol qui est reconnu pour sa dangerosité.

Question ; Qui peut être aussi stupide pour croire qu’en cas de nouvelle maladie la marche à suivre est “restez chez vous sans traitement et attendez d’aller très très mal pour aller (mourir) à l’hôpital” et de ne SURTOUT PAS utiliser les traitements et solutions habituelles ?

Au contraire on a attendu que les patients aient des poumons en très mauvais état pour les mettre sous respirateur avec une pression d’oxygène telle que cela faisait exploser leurs bronches et donc les achevait…

Et que dire des vieux dans les maisons de retraite interdits de soin non pas sur des critères de santé et de pronostic, mais uniquement d’âge ?

Ils ont été interdits d’hôpital, interdits de traitement (inexistant comme il se doit) et « terminés » au Rivotril !

Les médecins qui ont bravé les interdits, qui ont osé (et ils ont été punis pour cela) soigner leurs patients ont eu des résultats remarquables et n’ont pas constaté plus de décès que les années précédentes.

L’inversion des valeurs !

Question : L’interdiction de soin (et l’opération visant à fausser les statistiques) pour rendre réelle une maladie indétectable autrement que par un test PCR non fiable n’est-elle pas un point « étrange » de plus  ?

Le malade asymptomatique

Sans compter cette merveilleuse invention du patient contagieux asymptomatique, une première mondiale soulignant le mystère de la contagion !

Je vous rappelle que l’on n’a jamais observé le virus in vivo dans le crachat d’un malade, qu’il fallait obligatoirement aller chercher le « virus tueur » on fond de la gorge [ou du nez] et non dans la salive.

Qu’il fallait procéder à au moins 30 cycles d’amplification du RT-PCR pour détecter ce que l’on nommait magiquement sars-cov2.

Un peu de bon sens !

Nous avions donc des « positifs asymptomatiques » qui de fait ne toussaient pas et ne crachaient pas, asymptomatiques voulant dire « sans le moindre symptôme d’une quelconque maladie ».

On prétendait qu’un prélèvement salivaire ne permettait pas de détecter le virus.

Virus dont la présence était uniquement révélée par un PCR suite à un prélèvement au fond de la gorge.

Et il nous a été répété que cette personne sans symptômes pouvait transmettre ce virus, virus indétectable dans la salive !

Question : Comment des millions de Français continuent-ils à gober ce délire ?

Le « vaccin »

Vaccin dont les fabricants reconnaissent qu’il leur a fallu quelques heures pour le mettre au point.

On nous répète depuis des mois que celui-ci a été fabriqué sur la séquence du virus de Wuhan.

Je vous rappelle que ce génome est un génome imaginaire supposé être le génome du « vrai » sars-cov2.

Génome construit avec des briques du supposé sars-cov1 elles-mêmes tout aussi imaginaires et issues d’un autre génome imaginaire.

Si les virus existaient et si les vaccins permettaient de faire des défenses immunitaires pour ne pas tomber malade alors n’importe quel idiot concepteur de ce « vaccin » eut été conscient du peu de probabilité de l’efficacité de son usine à produire des toxines.

Le fabricant n’eût pu ignorer que la probabilité d’efficacité eut été extrêmement faible au regard du génome imaginaire utilisé.

Ce qui ne l’a pas empêché de dire qu’il était efficace à plus de 90 %.

Question : Alors même que l’on nous inonde de nouveaux variants. Alors même qu’il est reconnu que « l’efficacité » des vaccins diminue avec les mutations [tout aussi supposées]. Alors même qu’il a fallu quelques heures pour programmer le premier vaccin :
Pourquoi la première mise à jour est annoncée pour l’automne, soit 3 ans après l’émergence de la première souche ?

Si maintenant les virus n’existent pas alors il n’est plus question de parler d’efficacité vaccinale.

Vaccins dont la fabrication requiert de nombreux poisons et dont le rapport bénéfice vs risque ne peut qu’être catastrophique.

Consentement vaccinal

Je note aussi que c’est la première épidémie pour laquelle le consentement à vaccination n’a pas été basé sur les craintes et les convictions des personnes éligibles, mais à la mise en œuvre d’un crédit social.

À part quelques paniqués manipulés, les patients ne se sont pas injectés pour échapper à la mort (et ne me faites pas marrer en parlant d’altruisme), mais pour pouvoir aller au restaurant, au club de sport ou retrouver « une vie normale ».

C’est dire à quel point le peuple n’a pas gobé la supercherie du virus mortel et que cette épidémie était médiatique.

Je ne connais directement ou indirectement personne en bonne santé et jeune qui serait décédé de ce prétendu virus.

Donc la question qui demeure n’est pas de savoir si l’épidémie de Covid est une escroquerie, mais à quel point elle est une escroquerie (ainsi que les autres épidémies).

Si les virus n’existent pas…

Celles et ceux qui avaient mon « savoir » récent vont avoir du mal à avaler cette pilule rouge grande comme un porte-avions.

Une chose est certaine :

  • Si la science existait.
  • Si elle n’était pas dans les mains des industries pharmaceutiques et autres Blackrock.

Il serait indispensable de mettre des millions de dollars dans des études indépendantes et sans conflit d’intérêts afin de déterminer si nous vivons dans un monde de virus menaçants ou si nous sommes l’héritage d’une escroquerie majeure de Pasteur et autres acolytes.

Il n’est pas possible de rester dans cette incertitude !

Vérité impossible ?

Celui qui serait en capacité de prouver l’escroquerie et ouvrir les yeux du public ferait bien de prendre une bonne assurance vie.

Menacer à la fois des milliards de bénéfices annuels, mais aussi le maintien dans la peur du peuple ne peut se faire sans risques majeurs.

Je dis cela, mais je suis certain que les maîtres du monde et Big Pharma ont déjà prévu cette transition.

En septembre 2021 j’avais écrit un texte à ce sujet, « vous avez tué le principe de la vaccination(([37] https://7milliards.fr/tortosa20210926-deces-de-la-vaccination.pdf))»

Un nouveau marché émergeant

Il semblerait que la menace soit en train de se déplacer.

Poutine n’est qu’une diversion, un interlude entre 2 maux pour nous appauvrir un peu plus.

La variole du singe est un bide, elle ne prend pas, le scénario est trop identique, un mauvais remake.

En revanche le changement climatique est un franc succès avec une belle dictature mondiale à la clef.

Je constate autour de moi que celles et ceux qui ont gobé la fiction Covid gobent totalement le « changement climatique qui va annihiler toute forme de vie si nous ne prenons pas le taureau par les cornes » (synonyme de « si nous ne mettons pas en place une dictature climatique drastique »).

Les Français accepteront sans se révolter d’utiliser leur véhicule uniquement pour se rendre au travail.

Véhicule qui sera de fait interdit pour les loisirs et les vacances (sauf payer une taxe délirante ou être membre de la caste des demi-dieux).

Les importants pourront continuer à utiliser leur jet privé, mais attention « intégralement compensé CO2 ».

Quid de l’industrie pharmaceutique dans un monde où la vaccination est morte ?

Il faudra toujours des médicaments pour nous « soigner », des médicaments eux-mêmes et des produits chimiques répandus dans l’atmosphère ou dans la nourriture et qui nous rendent malades, mais quid des vaccins ?

Si le peuple reconnaît qu’il n’y a pas de virus, que toute cette mascarade mortifère est une escroquerie alors il n’y aura plus aucun vaccin !

Il en est de même s’il ouvre les yeux sur ce poison vaccin volontairement répandu.

Est-ce pour autant la mort définitive des vaccins ?

J’imagine qu’il leur suffira de changer de nom. Delfraissy les nomme d’ailleurs « vaccins médicaments »

Les médicaments préventifs de demain seront donc les vaccins d’hier.

Le changement climatique sera une source merveilleuse de peurs et de décès

Il suffira de faire officiellement mourir des millions de personnes à cause du CO2 et du réchauffement climatique puis de rendre obligatoire « l’injection de la survie », celle qui permet de ne pas mourir à cause des changements !

Le plus complexe sera sans doute les premiers mois de la mise en œuvre du plan.

En effet il faut que le peuple benêt et apeuré croie que des gens meurent à cause du changement climatique, mais surtout que chacun peut y passer, y compris ses enfants.

Car je vous rappelle une règle principale, si c’est le voisin ou l’Africain qui crève, on n’en a strictement rien à foutre !

Le génie de ces enculés, nommons-les tels qu’ils sont, est sans limites.

Si les effets secondaires des injections de « vaccin » Covid se poursuivent ou s’amplifient alors le fonds de commerce sera bien présent.

Ils ont commencé à le faire… aucune de ces morts subites des adultes, de ces AVC, fausses couches, cancers et autres ne sont imputables aux injections expérimentales à ARNm !

De nombreuses études financées par Big Pharma vont pouvoir sortir « prouvant » que ces décès ont été provoqués par le changement de la composition de l’air due au « réchauffement climatique ».

Vous n’ignorez pas que l’injection de la survie sera efficace à 99,99 % pour se protéger du fléau mortel.

Puis une petite étude « honnête » permettra ensuite de « prouver » que les non injectés, recracheront des gaz dangereux, voire mortels pour la santé des injectés, activement protégés par leur injection récurrente salvatrice.

Les non-injectés seront, comme pour le Covid, les assassins des injectés protégés (vous connaissez le processus maintenant).

« La liberté c’est l’interdit, elle consiste à ne pas nuire à son prochain ».

Mon cul !

Car c’est bien la capacité donnée à autrui de me pourrir la vie avec sa tondeuse le dimanche matin qui garantit MES libertés.

Cette dangerosité des non-injectés pour la planète, le climat et les injectés justifiera totalement le pass climatique qui interdira « enfin » aux non-injectés de fréquenter les lieux publics, travailler ou partir en vacances.

Puis l’injection miracle prendra le relais des décès dus aux injections anticovid, elle fera son œuvre en provoquant des décès et des maladies inédites grâce aux poisons intelligemment inclus dans la mixture « tous anti CO2 ».

Décès et maladies qui seront, comme pour le Covid, imputés uniquement au changement climatique et non à l’injection elle-même, et ce avec le soutien de tous nos grands médias indépendants qui salueront le consensus scientifique corrompu.

« Tous injectés, tous protégés du changement climatique » qui deviendra par la suite « l’injection protège des formes graves de changement climatique »

À force, ils vont bien réussir à dépeupler totalement l’occident…

Les fameux variants (tout aussi imaginaires) ne seront plus le fruit d’un virus imaginaire qui mute, mais issus de « la composition de l’atmosphère qui continuera à se dégrader du fait des non injectés ».

Car plus on sera en dictature, plus on diminuera les consommations des gueux et plus la situation ira en se dégradant comme il se doit.

Espérons que les Chemtrails existent vraiment et qu’ils permettent de contrôler localement la météo, afin de pouvoir provoquer ici et là des épisodes de canicule ou des inondations meurtrières bien anxiogènes.

Ainsi le public voyant visiblement les dégâts terribles causés par les variations climatiques (surtout chez les enfants, c’est plus vendeur) sera bien conscient de la nécessité de s’injecter la pilule pour lutter contre les nouveaux polluants invisibles, mais mortels.

Et je ne vous parle pas du masque qui permettra de filtrer plus de 90 % des gaz mortels dus au dérèglement climatique et de protéger le voisin, auquel nous tenons tant et qui respire nos gaz toxiques.

Vous voyez, l’industrie pharmaceutique peut mettre à mort les vaccins et les remplacer par des injections mensuelles à vie tout aussi rémunératrices et toxiques…

Celles et ceux qui penseraient que je pourrais donner des idées aux enculés qui nous exploitent et nous gouvernent, ne vous inquiétez pas, ils y ont déjà pensé bien avant moi.

Et aux incrédules je dis de garder soigneusement ce texte et de le ressortir dans quelques années.

Car à moins qu’il y ait enfin le grand réveil, ceci n’est pas de la fiction, mais un documentaire.

En même temps, comme dirait l’autre, ils n’ont pas ouvert les yeux sur l’escroquerie de Covid, alors que tout ce que nous avions annoncé s’est concrétisé.

Du moment qu’il nous reste suffisamment d’électricité pour regarder la télé et utiliser notre smartphone, à quoi bon se plaindre ?

J’en terminerais par cette question sur les virus qui n’est pas ou plus :

  • « Les virus existent-ils ? »

Mais

  • « Croyez-vous en l’existence des virus ? »

Une entité :

  • Que l’on ne peut voir in vivo !
  • Que l’on n’a jamais vue entrer dans une cellule saine, se reproduire, et la détruire en sortant !
  • Donc l’effet cythogénique n’a jamais été prouvé, sujet à caution et n’est pas reproductible avec certains virus !
  • Dont nul ne sait si les antigènes, parfois absent alors que le virus est présent, seraient la preuve d’une contamination ou le processus normal d’une maladie non virale.
  • Dont le test RT-PCR qui permettrait d’établir leur génome puis de les détecter relève de la construction humaine, de la magie ou de l’escroquerie.

merci

Alain Tortosa

31 août 2022
http://7milliards.fr/tortosa20220831-covid-virus-escroquerie-scientifique-foi.pdf





Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION

[Source : VA Plus]

L’idéologie transgenre qui émane de la théorie queer d’indifférenciation des sexes et des genres pousse-t-elle les personnes atteintes de dysphorie de genre vers des remèdes irréversibles et dangereux ? Diagnostics trop rapides, bloqueurs de puberté, prescription d’hormones très tôt, chirurgies de transition souvent lourdes de conséquences… Des détransitionneurs, des médecins, des sociologues s’inquiètent et alertent déjà sur des remèdes médicaux à haut risque, appliqués souvent sous le poids émotionnel des patients et sous la chape idéologique de mouvements politiques. C’est l’objet du livre de Pauline Quillon, journaliste et auteur de « Enquête sur la dysphorie de genre : bien comprendre pour aider les enfants »


Un TRANSGENRE raconte sa DÉTRANSITION




Franc Libre et tournée CSP : point de situation

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

[Voir aussi :
L’écume, la vague et la lame de fond. Dans quelle guerre sommes-nous ?
Arrêtez de subir ! Agissez pour reprendre votre liberté maintenant !
Réponse d’Alexandre Juving-Brunet aux financiers de salon
L’interview du capitaine !
Pourquoi s’unir est un devoir ?
La Ve République est morte, vive la France !
Au lendemain de la réélection d’Emmanuel Macron : que faire ?
Alexandre Juving-Brunet : « Je livre tout ce que je sais, et je prends des risques pour le faire »
Stop aux généraux va-t-en-guerre !
Le choix laissé aux Français : la soumission ou la mort sociale
Alexandre Juving-Brunet répond à ses détracteurs]

Mise à jour : dernières dates




Des politiciens ignorants et stupides engagés dans la guerre nucléaire. Impensable ? « L’argent et les erreurs sont les principaux moteurs de l’histoire mondiale »

[Source : mondialisation.ca]

Par Prof Michel Chossudovsky

Une guerre nucléaire contre la Chine et la Russie est envisagée.

« À aucun moment depuis que la première bombe atomique a été larguée sur Hiroshima le 6 août 1945, l’humanité n’a été plus proche de l’impensable. Toutes les garanties de l’époque de la guerre froide, qui faisaient de la bombe nucléaire une “arme de dernier recours”, ont été supprimées ».

La Russie est qualifiée de « Plausible », mais « Non attendue ». C’était en 2002.
Aujourd’hui, au plus fort de la guerre en Ukraine, une attaque nucléaire préventive contre la Russie est envisagée par le Pentagone.

Faire exploser la planète pour « défendre la démocratie ». Liz Truss : « Je suis prête à le faire »

La guerre nucléaire fait partie de la campagne de la ministre britannique des Affaires étrangères, Liz Truss, pour la course à la chefferie du Parti conservateur. Elle s’est exprimée lors d’un événement du parti conservateur à Birmingham. L’hôte de l’événement, John Pienaar, lui a demandé si elle donnerait l’ordre « de libérer les armes nucléaires » du Trident.

Il a ajouté : « Cela signifierait la destruction de la planète… » « Que ressentez-vous à cette idée ? »

Truss a répondu :

« Je pense que c’est un devoir important du Premier ministre et je suis prête à le faire. Je suis prête à le faire.« 

« Big Money » et « Grande ignorance ».

Opportunisme politique en faveur du complexe aérospatial d’armes nucléaires : Il est question de « Big Money » et de « Grande Ignorance » derrière la déclaration audacieuse de Truss. L’auditoire du parti conservateur a applaudi en chœur.

La ministre britannique des Affaires étrangères, Liz Truss, n’a pas la moindre idée de la nature des armes nucléaires et de leurs effets dévastateurs.

De plus, elle ne connaît pas la géographie de la Fédération de Russie, prétendant que Rostov-sur-le-Don ainsi que Voronezh appartiennent à l’Ukraine ; c’est comme dire que Manchester appartient à l’Écosse :

« … lors de leur réunion à huis clos jeudi [11 février 2022], le ministre russe des Affaires étrangères, M. Lavrov, avait demandé à Mme Truss si elle reconnaissait la souveraineté russe sur Rostov et Voronej — deux régions du sud du pays où la Russie a déployé ses forces. »

… Truss a répondu que la Grande-Bretagne ne les reconnaîtrait jamais comme russes, et a dû se faire corriger par son ambassadeur. » (Rapport Reuters)

Ce n’était pas la première fois que Liz Truss se plantait sur la géographie de la Russie et de l’Europe de l’Est. Une semaine auparavant, les médias britanniques ont amplement rapporté cette erreur le 2 février 2022 :

Mme Truss… a déclaré à l’émission Sunday Morning de la BBC que « nous fournissons et offrons un soutien supplémentaire à nos alliés baltes de l’autre côté de la mer Noire. »

Liz Truss (diplômée d’Oxford) a reçu une leçon de géographie élémentaire de Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, « pour ne pas avoir su faire la différence entre la mer Baltique et la mer Noire, qui sont distantes de plus de 700 miles ».

Mme Zakharova a fait remarquer que les pays baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) sont situés au large de la mer Baltique, et non de la mer Noire, qui se trouve à des centaines de kilomètres au sud.

« Les pays baltes sont appelés ainsi parce qu’ils sont situés précisément au large de cette mer [baltique]. Pas de la mer Noire », a écrit le responsable russe sur Facebook.

« Si quelqu’un a besoin d’être sauvé de quelque chose, alors c’est le monde de la stupidité et de l’ignorance des politiciens anglo-saxons. »

« Bombes nucléaires humanitaires »

Liz Truss n’est pas la seule politicienne occidentale ignorante occupant de hautes fonctions et favorable à l’utilisation d’armes nucléaires. Ces dernières années, « de nombreux responsables militaires et civils de haut rang, des politiciens et des experts parlent ouvertement de la possibilité d’utiliser des armes nucléaires dans une attaque de première frappe contre n’importe quelle nation sous de nombreux prétextes avec des charges nucléaires à faible ou à forte puissance » (No Guerra No NATO).

L’engagement à faire exploser la planète de manière préventive avec des « armes nucléaires humanitaires », qui sont « sans danger pour les civils », fait désormais partie du discours politique. On se souvient de la déclaration d’Hillary Clinton pendant la campagne électorale de 2016 :

« L’option nucléaire ne devrait pas du tout être retirée de la table. Cela a été ma position de manière constante. » (ABC News, 15 décembre 2015)

« Une guerre nucléaire est gagnable » ? Bombes humanitaires

Nous nous souvenons de la déclaration historique de Reagan : « Une guerre nucléaire ne peut être gagnée et ne doit jamais être menée. Le seul intérêt pour nos deux nations de posséder des armes nucléaires est de s’assurer qu’elles ne seront jamais utilisées. »

Néanmoins, il existe des voix puissantes et des groupes de pression au sein de l’establishment américain et de l’administration Biden qui sont convaincus qu’« une guerre nucléaire est gagnable ». Liz Truss fait partie de ce dangereux consensus.

Depuis l’administration de George W. Bush, la doctrine militaire américaine se concentre sur le développement d’« armes nucléaires plus utilisables. »

La Nuclear Posture Review de 2001 de George W. Bush, qui a été adoptée par le Sénat américain fin 2002, envisageait le développement d’une « génération d’armes nucléaires plus utilisables », à savoir des armes nucléaires tactiques (mini-nukes B61-11) d’une capacité explosive comprise entre un tiers et six fois celle d’une bombe d’Hiroshima.

Le terme « plus utilisable » [“more usable”] émane du débat entourant le NPR de 2001, qui justifiait l’utilisation d’armes nucléaires tactiques sur le théâtre de guerre conventionnel au motif que les armes nucléaires tactiques, à savoir les bombes bunker buster avec une tête nucléaire sont, selon l’avis scientifique sous contrat avec le Pentagone « inoffensives pour la population environnante, car l’explosion est souterraine. »

Le coût du programme d’armement nucléaire « pacificateur » des États-Unis d’Amérique est de l’ordre de 1,3 trillion de dollars, s’étendant à 2 trillions de dollars en 2030.

Et il y a de l’argent derrière le programme d’armes nucléaires de 1,3 trillion de dollars de Jo Biden :

« Mais, ce que je ne comprends pas, c’est cette folie meurtrière, sauf qu’elle donne aux sociétés qui fabriquent ces armes d’énormes sommes d’argent. Et c’est Obama qui a accepté de dépenser 1,7 trillion de dollars dans les 30 prochaines années pour remplacer chaque arme nucléaire, missile, navire, avion. Et les reconstruire tous à neuf, pour quelle raison ? Aucune raison ! C’est de la pure folie nucléaire. C’est de la folie nucléaire ! » (Helen Caldicott)

En ce qui concerne la crise actuelle en Ukraine, l’administration Biden s’est-elle engagée à utiliser les armes nucléaires comme instrument de paix ?

Les armes nucléaires pacifiques sont devenues un sujet de discussion parmi les politiciens ignorants et corrompus, qui ont été amenés à croire que la guerre nucléaire préventive est une entreprise humanitaire qui protège la démocratie.

Flash back. Un autre menteur et ignare. Cela a commencé avec Harry Truman

« Nous avons découvert la bombe la plus terrible de l’histoire du monde. Il s’agit peut-être de la destruction par le feu prophétisée à l’époque de la vallée de l’Euphrate, après Noé et sa fabuleuse Arche… Cette arme doit être utilisée contre le Japon… [Nous] l’utiliserons de manière à ce que les objectifs militaires, les soldats et les marins soient la cible, et non les femmes et les enfants. Même si les Japonais sont des sauvages, impitoyables, sans pitié et fanatiques, en tant que leader du monde pour le bien-être commun, nous ne pouvons pas lâcher cette terrible bombe sur l’ancienne ou la nouvelle capitale. … La cible sera purement militaire… Cela semble être la chose la plus terrible jamais découverte, mais on peut la rendre la plus utile. »

(Président Harry S. Truman, Journal, 25 juillet 1945)

Rappelez-vous Hiroshima : « Une base militaire », selon Harry Truman

« Le Monde notera que la première bombe atomique a été larguée sur Hiroshima, une base militaire. C’est parce que nous avons souhaité dans cette première attaque éviter, dans la mesure du possible, de tuer des civils… » (Le président Harry S. Truman dans un discours radiophonique à la nation, le 9 août 1945).

(Note : la première bombe atomique a été larguée sur Hiroshima le 6 août 1945 ; la seconde sur Nagasaki, le 9 août, le jour même du discours radiophonique de Truman à la Nation).

L’impensable : Les erreurs sont un véritable moteur de l’histoire mondiale

Les actions militaires « offensives » utilisant des ogives nucléaires sont désormais décrites comme des actes de « légitime défense ».

Une guerre nucléaire accidentelle imputable à des politiciens ignorants, stupides et corrompus ne peut être exclue.

« La menace d’une guerre nucléaire totale qui peut éclater très facilement soit en raison d’actions délibérées de tout État doté d’armes nucléaires, soit en raison d’une erreur involontaire, humaine, technique ou autre ».

Ne votez pas pour l’ignare Liz qui pourrait conduire le Royaume-Uni et le monde vers l’impensable, une guerre nucléaire qui menace l’avenir de l’humanité.

Michel Chossudovsky, le 25 août 2022

Article original en anglais :

Ignorant and Stupid Politicians Committed to Nuclear War: The Unthinkable: “Money and Mistakes” are the Driving Force behind World History

Traduction : Mondialisation.ca

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Affaire Cohen et Lina, l’association E3M cherche plutôt des vrais journalistes

[Source : aimsib.org]

Dans ce déferlement d’anti-démocratie qui écrase tout l’occident depuis bientôt trois ans, on comprend que rien n’aurait été possible si le journalisme libre avait tenu le cap de la liberté des opinions ainsi que du respect des Lois. Hélas, notre presse européenne s’est largement et immédiatement laissée bâillonner sans la moindre velléité de résistance, c’est ainsi. Didier Lambert, Président de l’Association E3M(([1] https://www.asso-e3m.fr/)), vous en donne un étonnant exemple ici : quand des médecins se font prendre la main dans le sac de la corruption/compromission par leurs instances ordinales et qu’ils sont condamnés pour leurs actions répréhensibles, comment réagit la presse nationale française ? Bonne lecture.  


Par Didier Lambert

Une société est-elle en danger lorsque ses experts sont sous influence de l’industrie, et la majorité de ses médias muets sur le lobbying ou la corruption en cours ? C’est tout l’enjeu de cette affaire révélée par les sanctions infligées à deux personnalités du monde de la santé.

Deux leaders d’opinion sanctionnés par la justice – Les faits

Deux éminents leaders d’opinion dans le domaine de la vaccination, Robert Cohen (en haut) et Bruno Lina (en bas) viennent de recevoir un avertissement de la Chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins.

Ils sont intervenus dans plusieurs médias pour défendre la présence d’aluminium dans les vaccins, mais sans mentionner leurs liens d’intérêts, très importants, avec l’industrie pharmaceutique liée aux vaccins (avec aluminium bien sûr). Or, la loi les oblige à cette transparence (voir le communiqué E3M(([2] Nous avions demandé que les Pr Lina et Cohen soient condamnés non seulement pour leurs liens d’intérêts non déclarés, mais aussi pour « manque de prudence dans leurs propos » (ce que prévoit la loi), dans la mesure où ils exonèrent l’adjuvant aluminium, ainsi que les vaccins contre le papillomavirus, de tout effet indésirable grave. La Chambre disciplinaire n’y fait pas référence pour le Pr Cohen, et blanchit le Pr Lina sur ce point. Le fait que la Chambre, bien que présidée par un juge du Conseil d’Etat, soit composée de médecins élus par le Conseil de l’Ordre, n’est sans doute pas étranger à cette décision.)) du 20 juillet 2022).

Les faits se sont déroulés début 2017 et cette date n’est pas anodine.

En 2016, se tenait la concertation citoyenne sur la vaccination, pilotée par le Pr Fischer. Cette concertation fut un simulacre de démocratie.

Les jurys citoyens et professionnels de santé, mis en place pour exprimer la volonté populaire, ont voté contre l’élargissement de l’obligation vaccinale (à 75%) et demandé à l’unanimité la mise à disposition de vaccins sans aluminium. De plus, ils n’ont pas voulu encourager la vaccination contre le papillomavirus (HPV), objet de nombreuses critiques. Le « comité Fischer » est passé outre l’avis des jurys, préconisant dans son rapport du 30 novembre 2016 l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 pathologies et l’extension de la vaccination HPV aux jeunes garçons, sans remettre en cause la présence d’adjuvants à base de sels d’aluminium.

(Lire le rapport E3M, publié en février 2017, intitulé Concertation nationale sur la vaccination : un échec dangereux pour la santé publique et la démocratie.)

Au cours de l’année 2017, certains leaders d’opinion, et particulièrement les Pr Cohen et Lina, se sont répandus dans les médias, encourageant la ministre de la Santé à appliquer le rapport du Pr Fischer. E3M n’a ciblé que 3 interviews dans sa plainte, parmi de nombreuses autres. Leurs interventions médiatiques répétées ont bien évidemment eu une influence dans l’appréhension des risques par les médias, qui ont pu ensuite « rassurer » l’opinion publique…

Le 5 juillet 2017, la ministre Agnès Buzyn annonçait qu’elle proposerait à la représentation nationale d’élargir l’obligation vaccinale à 11 pathologies. Le projet de loi fut débattu début novembre 2017. Pour emporter l’adhésion des parlementaires, la ministre, soutenue par le rapporteur de la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée Nationale, Olivier Véran, s’appuya sur les résultats de la « concertation citoyenne ».

En outre, elle n’hésita pas à diffuser plusieurs fausses informations, ce qu’E3M dénonça dans un communiqué, malheureusement très peu relayé dans la presse alors même qu’il s’agissait d’une manipulation de l’opinion.

L’Assemblée Nationale, puis le Sénat, votaient ensuite ces mesures, et le 1er janvier 2018 se mettait en place l’obligation vaccinale contre 11 pathologies, avec des vaccins contenant pour la plupart des sels d’aluminium. En 2020, la vaccination contre le HPV des garçons âgés de 11 à 14 ans intégrait le calendrier vaccinal, le Gardasil et le Cervarix contenant un adjuvant aluminique…

Ce rappel du déroulé des événements met en évidence le fait que la présence médiatique des leaders d’opinion Cohen et Lina répondait à un objectif clair : soutenir la politique vaccinale définie par le Pr Fischer et promue par la ministre de la Santé Agnès Buzyn. Seul problème : ces « experts » avaient caché leurs liens (très importants) avec l’industrie pharmaceutique. Nous les avons exposés à la lumière dans notre communiqué du 29 juillet 2022.

Conflits d’intérêts = danger pour la santé et pour la démocratie

« Savoir qui parle, pour permettre de distinguer les vessies de la communication des lanternes de l’information, n’est pas un point de détail en matière d’information et particulièrement d’information de santé » 

(Formindep(([3] Formindep = association de lutte contre les conflits d’intérêts dans le monde médical)) – 2009).

Rappelons en effet que tout lien d’intérêt, même minime, génère une relation de subordination ou tout au moins de connivence entre l’entreprise et le bénéficiaire des versements.

Le président de l’Ordre des médecins lui-même précise en outre que « plus le nombre de liens spécifiques établis avec un industriel dans le cadre d’actions concordantes sera important, plus la question de l’indépendance du praticien se posera avec acuité »

(Patrick Bouet – 2016).

« Les études montrent que les leaders d’opinion jouent un rôle majeur en crédibilisant les messages des laboratoires (…). Cela s’inscrit dans une « stratégie globale d’influence » de la part de l’industrie pharmaceutique, comme l’indique l’IGAS dans un rapport de 2007 »

(Prescrire – 2008).

Cela est d’autant plus important que « les leaders d’opinion des firmes pharmaceutiques irriguent et contrôlent, sous la dénomination d’experts, l’ensemble du milieu sanitaire, la formation des étudiants, la formation continue des professionnels, l’expression médiatique vers le public et les usagers de soins, les décisions et la direction des agences sanitaires, les cabinets ministériels, etc. »

(Formindep – 2011).

« Ces liens d’argent savamment entretenus par les laboratoires pharmaceutiques avec le monde de la médecine sont à l’origine de conflits d’intérêts qui entachent la plupart des scandales sanitaires », rappelle Stéphane Horel

(Le Monde, 2020).

La confession, tardive mais lucide, du PDG de Lilly

« J’ai vendu mon âme au diable », reconnaît John Virapen, ancien PDG du laboratoire Lilly en Suède, dans son livre traduit, préfacé et commenté par le Pr Philippe Even en 2014(([4] John Virapen – Médicaments effets secondaires : la mort – Editions du Cherche-Midi, 2014.)). Quelques extraits illustrent ce terrible aveu qui ne peut nous laisser indifférent :

« Les leaders d’opinion ne s’appuient pas nécessairement sur des preuves irréfutables et vont parfois jusqu’à en fabriquer ou en sélectionner de fausses. Les soi-disant leaders d’opinion (…) sont payés pour donner et diffuser un avis favorable sur les médicaments, d’abord oralement, à la tribune des congrès organisés et financés pour cela par l’industrie pharmaceutique, et surtout par écrit dans les journaux scientifiques largement commandités par l’industrie (aucun ne peut survivre sans elle).»

« Savez-vous qu’il y a sur le marché des médicaments dont l’autorisation n’a été obtenue que par la corruption financière des experts ? J’ai aussi corrompu des décideurs politiques ou de la haute administration de santé. Les autorités sont corruptibles, les experts sont corruptibles et les médecins aussi. Et comme ils sont corruptibles, quelques-uns, qui se trouvent à un moment donné dans une position décisionnelle clé, sont corrompus ».

« Ces médecins étaient de ceux qu’on appelle les leaders d’opinion, choisis et financés par nous en raison de leur complaisance pour diffuser les avis les plus favorables sur nos nouvelles molécules, donc évidemment pas en les convainquant de leurs qualités, mais tout simplement en les payant. Très cher. »

« Ne croyez pas une seconde que les compagnies pour lesquelles j’ai travaillé soient des cas isolés et je ne suis pas moi-même un cas isolé. Tout le système fonctionne de cette façon et les bénéficiaires de ces enveloppes ne sont pas non plus, et très loin de là, des cas isolés. C’est une pratique quotidienne dans l’industrie pharmaceutique. Une pratique de marketing normale. »

Des médias bien silencieux

Aucun journaliste digne de ce nom ne peut ignorer la pratique du lobbying par l’industrie pharmaceutique. Les journalistes spécialisés en santé et les journalistes d’investigation connaissent les actes de corruption dévoilés par John Virapen, mais aussi la « fabrique du mensonge »(([5] Voir le livre éponyme de Stéphane Foucart paru en avril 2014 aux éditions Gallimard Folio.)), une pratique de l’industrie visant à contrer une science qui pourrait les empêcher de poursuivre leurs activités.

Le communiqué de presse que nous avons diffusé le 29 juillet 2022 a été repris par la presse spécialisée (APMnews, Quotidien du Médecin, JIM, Hospimedia), avec relai par des médias Lyonnais du fait de la notoriété du Pr Lina dans sa région (Fr3, Lyon capitale, Tribune de Lyon). Nous nous en réjouissons, même si le contenu de certains articles nécessiterait une réponse, voire un débat.

Mais aucun média généraliste national ne s’en est fait l’écho, à notre connaissance. Aucun article de fond n’a été publié. N’est-il pourtant pas question de transparence, d’information « libre et non faussée » des citoyens, des sujets de la plus haute importance en démocratie ? N’est-il pas important d’informer le public que, pour la première fois, une sanction a été appliquée en application de l’article L 4113-13 du Code de Santé Publique, qui vise justement à protéger les citoyens de l’influence de l’industrie pharmaceutique ?

Nous pourrions imaginer que les rédactions soient toutes en vacances… Mais sans doute est-il plus juste de l’écrire au singulier :

Il y a une vacance totale du journalisme sur le sujet de la vaccination et nous le constatons depuis 2018.

Auparavant, les communiqués d’E3M étaient régulièrement repris dans la presse écrite, E3M ou les chercheurs spécialisés sur le sujet étaient invités dans des émissions radios ou sur des plateaux de télévision. Bref, le sujet « aluminium vaccinal » était un sujet de société, ce qui est logique dans la mesure où toute la population est concernée par cet acte de santé publique !

Depuis 5 ans, les portes de quasiment tous les médias se sont refermées.

https://www.sciencedirect.com/
science/article/abs/pii/S1568997219301090?via%3Dihub

Et pourtant, le dernier article scientifique de l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier et de la Dr Crépeaux, publié en 2019 dans une revue à comité de lecture, présente « des preuves épidémiologiques, cliniques et expérimentales comme quoi l’EM/SFC [Encéphalomyélite Myalgique / Syndrome de Fatigue Chronique] constitue un type majeur d’effet indésirable des vaccins, en particulier ceux contenant des adjuvants aluminiques particulaires peu dégradables » (Version originale – Version française). Parmi les adhérents d’E3M malades d’EM/SFC, 96% sont en invalidité, dont les ¾ en invalidité totale. De plus, d’autres pathologies pourraient être induites par les adjuvants aluminiques, sous réserve d’études complémentaires (scléroses en plaques, scléroses latérales amyotrophiques, troubles du neurodéveloppement…). Un sujet secondaire qui ne justifie pas une information large du public ?

De l’aluminium vaccinal à la crise de la Covid

Ce silence des médias recouvre maintenant la crise du Covid.

  • Comment la plupart des journalistes ont-ils pu accepter sans sourciller, sans questionner, sans enquêter que le gouvernement interdise aux médecins généralistes de prendre en charge leurs patients avec des traitements de première intention,
  • Comment admettre qu’il impose des mesures de confinement de toute la population,
  • Comment accepter qu’il rende obligatoire (ne jouons pas sur les mots) l’injection de vaccins expérimentaux dont on ne connaissait rien notamment sur les effets indésirables à moyen et long terme, comme nous l’avons écrit à plusieurs reprises (rappel de la position d’E3M), et ceci sans débat parlementaire ?
  • Comment ont-ils pu ne pas analyser d’un œil critique les essais menés par les fabricants avant la mise sur le marché ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas réclamé la composition précise de ces vaccins, alors que des effets indésirables graves et nombreux leur sont imputables, nécessitant que soient compris au plus vite les processus physiologiques qui pourraient les expliquer, notamment pour soigner les malades ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas interrogé la décision du gouvernement de suspendre des personnels non-vaccinés et de les laisser sans aucun revenu ?
  • Comment ont-ils pu se taire face aux actes de censure menés tant par les pouvoirs publics (vis-à-vis de scientifiques et professionnels de santé) que par les GAFAM (fermeture de comptes, blocage de vidéos, etc.) ?

Nous-mêmes sommes aussi visés par cette censure, puisque Youtube a bloqué notre documentaire L’aluminium, les vaccins et les deux lapins…, ainsi que des interviews de chercheurs dont le Pr Christopher Exley, spécialiste international de la toxicité de l’aluminium.

Silence total de la presse, aucun média n’a relayé notre communiqué. Tout ceci est littéralement inconcevable… Il y a 50 ans, on entendait Il est interdit d’interdire. Le retour de balancier est brutal !

Le réveil des journalistes est urgent, il en va de notre démocratie

E3M serait-elle devenue complotiste et anti-vaccinale ? Non, simplement et comme toujours, elle utilise son bon sens, s’appuie sur l’analyse des faits, notamment scientifiques, et reste habitée par une volonté profonde de justice.

Il est indispensable de connaître les éventuels liens d’intérêts de ceux qui passent par les médias pour nous convaincre de la justesse de leur analyse, de leur position, de façon à ne pas prendre « des vessies pour des lanternes ». Nous demanderons à l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) qu’elle fasse respecter la loi et veille à ce que les journalistes interrogent leurs invités sur leurs éventuels liens d’intérêts.

Dans le domaine qui est le nôtre (adjuvant aluminique), nous resterons vigilants à ces déclarations préalables à toute intervention médiatique et nous n’hésiterons pas à engager (avec le soutien de tous ceux qui veulent être à nos côtés) de nouvelles procédures.

Mais les médias doivent réagir sans tarder. L’argent qu’ils reçoivent de l’État les oblige à une éthique irréprochable et ils se doivent de respecter la Charte de déontologie de Munich. C’est leur rôle, lorsqu’ils reçoivent un expert, d’éclairer les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs sur son degré d’indépendance vis-à-vis des lobbies ! Sinon, ils sont complices de désinformation. Ils doivent en outre diffuser et expliquer les analyses de TOUTES les parties prenantes, y compris bien évidemment celles qui expriment une analyse critique de l’action gouvernementale ou institutionnelle.

Nous interpellons les journalistes : vous devez retrouver au plus vite votre liberté de pensée et de parole, imposer dans vos rédactions la prise en compte des opinions minoritaires, favoriser la pluralité du débat, vérifier les sources de vos interlocuteurs. Et si quelqu’un cherche à vous en empêcher, les citoyens seront à vos côtés.

Il en va de notre démocratie. Tout simplement.

Didier Lambert
Président E3M
Membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance ANSM de septembre 2019 à juin 2021
Août 2022

Pour soutenir l’action d’E3M : https://www.vaccinssansaluminium.org/faire-un-don/

Notes et sources