Déclin du dollar : un nouvel ordre mondial à la chinoise

[Source : Chaîne officielle TVL]

Le dollar américain, qui a dominé l’économie et les échanges commerciaux mondiaux pendant des décennies, montre des signes d’affaiblissement. L’inflation galopante aux États-Unis a des répercussions sur l’Europe et le reste du monde.

Cette situation découle d’une accumulation de mauvaises décisions de l’Oncle Sam, qui a cherché à contrôler les économies mondiales et les énergies au détriment des autres acteurs économiques mondiaux. Les alternatives monétaires, telles que le rouble russe et surtout le yuan chinois, gagnent du terrain. Ce bouleversement marque un changement d’ère où la multipolarité sous une forte impulsion chinoise remplace l’hégémonie américaine.

Dans cette émission, Philippe Béchade, président des Éconoclastes et rédacteur en chef de la chronique Agora et de la Lettre des Affranchis, décrypte les bouleversements et les métamorphoses de l’ordre mondial.

[Note de Joseph : le même marionnettiste en chef se retrouve très probablement derrière la politique chinoise ; et le Crédit social chinois n’augure rien de bon en matière de prétendu Nouvel Ordre Mondial multipolaire. Nous sommes à une époque d’inversion complète et « multipolaire » ne sert probablement qu’à masquer une influence unique en sous-main, les pôles multiples n’étant destinés qu’à exécuter les ordres de cette dernière. Et la Russie poutinienne risque de se faire prendre à revers par la Chine, à la manière de Sun Tzu. De surcroît, un NOM multipolaire reste le NOM. Enfin, la nouvelle monnaie mondiale informatisée du NOM ne pourra s’établir que par la destruction ou l’abandon du dollar. Y a-t-il lieu de se réjouir ?]




Quel sera l’impact réel des cryptomonnaies de banques centrales ?

[Source : Entrepreneur Mindset]




Le docteur Rima Laibow, lanceuse d’alerte, avertit que les mondialistes préparent une nouvelle attaque biologique

[Source : forbiddenknowledgetv.net via santeglobale.world]

Le Dr Rima Laibow, dénonciatrice de longue date, rejoint Alex Jones pour parler du canular génocidaire du COVID, qui se préparait depuis des décennies, selon les élites qu’elle soignait et qui lui en parlaient.
Elle demande :

Comment cela est-il possible ? Comment toutes les nations du monde (196 États-nations) peuvent-elle accepter de détruire leur peuple ? De renoncer à leur souveraineté ? D’éliminer toute forme de consentement personnel éclairé ? Comment un pays peut-il faire cela — et comment se fait-il que TOUS fassent cela ?

La source réelle du mal, de l’organisation, de la destruction vient de John D Rockefeller Sr et de son fils, John D Rockefeller Jr. Avant le tournant du 20e siècle, le premier milliardaire du monde, John D Rockefeller Sr et son fils Junior ont réfléchi à la société qu’ils voulaient voir naître.

Ces hommes étaient des génocidaires, des eugénistes, des impitoyables, des psychopathes. Ils ont compris qu’ils pouvaient utiliser la philanthropie prédatrice pour façonner tous les aspects du monde. Et ils ont défini le monde qu’ils voulaient voir — qui est le monde vers lequel les mondialistes se dirigent aujourd’hui.

Le mouvement social de l’époque s’appelait le socialisme fabien, il ne s’appelait pas le mondialisme, mais il s’agissait de la même chose : une domination totale, depuis le niveau de l’ADN jusqu’à l’extérieur.

Ils ont payé pour la science, ils ont dirigé la science et ils ont utilisé la philanthropie et l’influence gouvernementale, qu’ils ont achetées et qu’ils ont créées au fil des décennies, dans le monde entier.

Ils ont pénétré tous les gouvernements de la planète et ont créé la science qui leur permettrait de prendre le contrôle de notre ADN, de nous transformer en éléments de l’Internet des objets — leurs serviteurs, leurs classes inférieures, leurs Untermenschen [Sous-hommes en allemand] et de les laisser au sommet, eux les néo-aristocrates.

Ce plan a été mis en œuvre, n’attendant que la science de la manipulation génétique, la transmission par micro-ondes pulsées, la nanotechnologie, etc.

Et maintenant, ils ont la science et ils sont prêts à agir.

[Voir aussi :
La Dr Rima Laibow avait connaissance du plan mondialiste vaxinal il y a 20 ans
Guy Boulianne — « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués »
(sur https://www.guyboulianne.info/)
Nous prépare-t-on une prochaine « plandémie » ?
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité
Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le Covid » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale
Doug Casey sur la prochaine « crise » que l’élite mondiale a « planifiée »
Vers une gouvernance médico-génocidaire mondiale planifiée ?
Rosa Koire : « le parti communiste chinois utilisé par l’aristocratie bancaire totalitaire mondialiste pour prendre le contrôle complet de cette planète.»
Les plans occultes du Nouvel Ordre Mondial (Fritz Springmeier)
Un scientifique met en garde : les vaccins à ARNm vont continuer à tuer des gens, et ceux qui survivront seront des marionnettes du Nouvel Ordre Mondial
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Selon Catherine Austin Fitts, « ils » préparent un coup d’État mondial en utilisant l’OMS et l’argent digital (CBDC)
Yuval Noah Harari, l’architecte du plan
Un Plan Pour Le Monde]


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Le ministère de la Défense de la Russie a publié la correspondance de Hunter Biden sur le financement des biolaboratoires en Ukraine

[Source : Profession Gendarme]

Par Guy Boulianne

Le 31 mars 2022, le ministère de la Défense de la fédération de Russie a publié une correspondance entre le fils du président américain Joseph Robinette Biden (c’est-à-dire Joe Biden) et des employés du département de réduction des menaces du Pentagone et ses sous-traitants de biolaboratoires en Ukraine. Le contenu des lettres montre que Hunter Biden a joué un rôle important dans la création d’opportunités financières pour le travail sur les agents pathogènes en Ukraine, malgré les accords internationaux sur la non-prolifération des armes biologiques. La menace d’une utilisation à grande échelle d’armes biologiques contre la Russie, et donc contre le monde, est bien réelle et constitue un crime de guerre en soi. Afin de bien informer mes lecteurs à la source, j’ai traduit ci-dessous le discours du lieutenant-général Igor Kirillov, directement à partir du site Web du ministère de la Défense. [1] Les lecteurs pourront comparer et authentifier ma traduction avec celle qui a été faite par le ministère russe. [Consultez le PDF]

Écusson de la Moscovie

Les médias propagandistes tentent par tout les moyens de faire croire que Vladimir Poutine est l’incarnation du mal et un dictateur impitoyable. Laissez-moi vous dire que le Mal ne se situe pas là où on pourrait le croire, mais qu’il est à nos portes … il est chez nous. Ces nouveaux dictateurs qui se lèvent à travers le monde — lorsqu’ils auront perdu la grande bataille — se rabattront et feront périr leurs propres populations avec un esprit de vengeance effroyable. Là se situe le danger réel.

Il est clair pour celles et ceux qui savent voir et entendre que nous sommes en train de vivre les temps eschatologiques. Deux forces antagonistes s’affrontent actuellement : les tenants du Nouvel Ordre Mondial « unilatéral », souhaitant asservir l’humanité sous le joug de leur dictature, contre les défenseurs d’un ordre mondial « multipolaire, juste et démocratique ». C’est ce que fait actuellement le président Vladimir Poutine au sein du format Russie-Inde-Chine (RIC), contribuant à l’établissement de la multipolarité et à la suprématie du droit international sur la scène mondiale. J’ai écrit dans la présentation de mon dernier livre intitulé “L’Arche de Gabriel : de La Mecque à l’Antarctique” :

« L’humanité vit dans un combat perpétuel entre ceux qui sont de la “race de vipères” et ceux qui sont les “fils de Dieu”. Cette race de vipères se cache sous la dénomination contemporaine de « Nouvel Ordre Mondial ». Il s’agit pour cette engeance de prendre possession et d’asservir les humains dans un système babylonien en leur injectant le venin du serpent et en leur ôtant toute parcelle divine qui était déjà en eux. Dans ce contexte, il semble que le président de la Russie, Vladimir Poutine, soit l’un des derniers remparts contre cette Cabale maléfique. C’est ce qui expliquerait que la mission de transporter l’Arche de Gabriel aux confins de l’Antarctique lui fut confiée. C’est aussi ce qui expliquerait la raison pour laquelle les forces obscures mondialistes le combattent avec autant d’ardeur et d’acharnement. »

Cela pourra surprendre certaines personnes, mais le rabbin Haïm Dynovisz [2] et M Hababou n’hésitent pas à dire dans une vidéo qui fut rapidement censurée par Youtube que les dirigeants qui sont au pouvoir ne sont pas des humains, mais qu’ils sont plutôt des reptiliens, descendants du serpent originel. (Vidéo à 35:06 min.

« Ils ont pris une forme humaine mais ce ne sont pas du tout des descendants de Adam et Eve. Le monde est partagé soit en singes devenus des hommes,— donc qui n’ont rien à voir avec Adam et Eve —, soit des démons qui sont descendus dans ce monde et qui sont généralement les grands dictateurs, les grands assassins, les grands violeurs, les grands criminels, etc. » (Vidéo à 28:28 min.)

Pouvons-nous retrouver quelques vérités dans la symbolique ancestrale ? Je vous rappelle que les armoiries de la Russie portent en leur centre l’écusson de la Moscovie qui se blasonne ainsi : « de gueules représentant Saint Georges terrassant la Dragon, sur son destrier d’argent (de la Moscovie). »


« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre. » (Apocalypse 20:7-8)

Discours du lieutenant-général Igor Kirillov - 1

Le ministère de la Défense a montré la correspondance du fils de Biden sur les laboratoires biologiques en Ukraine

Le ministère russe de la Défense a organisé une autre réunion d’information sur les résultats de l’analyse des documents liés aux activités biologiques militaires américaines sur le territoire de l’Ukraine. Igor Kirillov, chef des troupes de défense contre les radiations, chimiques et biologiques des forces armées russes (RCBZ), a fait des déclarations qui transforment en fait les pays hébergeant des laboratoires biologiques américains en cibles pour les frappes préventives des forces stratégiques russes.

Lire la suite : Guy Boulianne

Copyright © Guy Boulianne

Guy Boulianne, auteur, éditeur et journaliste indépendant, membre de la General News Service Network Association (GNS Press) et de l’International Association of Press Photographers (IAPP) Il est aussi membre de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il est le fondateur et l’éditeur en chef des Éditions Dédicaces LLC : http://www.dedicaces.ca.




Agenda 2030 : Covid-19 Extinction

[Source : Infos et Culture via profession-gendarme.com]

Ils ont injecté à des milliards de personnes une technologie de pointe sans le consentement éclairé ?

Ce n’est pas un vaccin… mais plutôt de la nanotechnologie. Ce n’est pas pour rien qu’ils ont déployé en même temps la 5G…

L’OMS s’empare du pouvoir suprême sur notre santé ! Leur mainmise sur la déclaration de pandémie, la vaccination et les passeports vaccinaux menacent nos démocraties. Il est temps de résister à ce coup d’État !

CitoiCitoyen, le 29/04/23

[Les dossier 5G et ondes pulsées, implants numériques et Vaccins et virus fournissent de nombreuses informations complémentaires.
Voir notamment les quelques articles suivants, en vrac :
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Comment le corona a tué Pasteur
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Nanotechnologie et « vaccins »
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins
Les vaccins à ARNm sont une imposture. Les gens reçoivent une injection de nanotechnologie
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
La convergence bionumérique
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Le but démontré des injections antiCovid
Transformation cybernétique de l’Humanité
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène]






L’OMS s’apprête-t-elle à prendre définitivement le contrôle sur les États pour la politique de santé ?

[Source : Virginie Joron]

Conférence sur le Traité de l’OMS sur les pandémies organisée par les députés européens Francesca DONATO, Stasys JAKELIŪNAS, Virginie JORON, Mislav KOLAKUŠIĆ, Sylvia LIMMER, Ivan Vilibor SINČIĆ et Cristian TERHEŞ avec la participation des experts de CHD Europe, Silvia BEHRENDT, David BELL, Philipp KRUSE et Wolfgang WODARG.




Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste

[Sources : Crick Nerwald, nom666 et lumieresurgaia.com]

Disciple de l’essayiste québécois René Bergeron et de l’ancien commandant de la marine canadienne William Guy Carr, Serge Monast fut également proche des défenseurs du crédit social (Parti Crédit social du Canada).

Au début des années 1990, il se consacre à la rédaction d’ouvrages sur le thème du Nouvel Ordre Mondial et de conspirations ourdies par des sociétés secrètes, en particulier par les Illuminati. Il est particulièrement inspiré par les travaux de William Guy Carr.

Il fonde l’Agence Internationale de Presse libre (AIPL) où il publie la plupart de ses enquêtes.

En 1995, il fait paraître un document intitulé les « Protocoles de Toronto », un livre fait selon le modèle des Protocoles des sages de Sion où il dévoile l’activité secrète d’un groupe maçonnique, les « 666 », rassemblant tous les vingt ans les puissants de ce monde en vue de l’établissement du Nouvel Ordre Mondial et du contrôle mental des individus.


Serge Monast
Serge Monast

Serge Monast, journaliste d’enquêtes et membre de l’Agence Internationale de Presse Libre – International Free Press Agency – est mort le 5 décembre 1996 d’une « crise cardiaque », dans les bras de son épouse (russe). Victime d’armes psychotroniques ?

Serge Monast se disait traqué par les forces policières et militaires nord-américaines pour avoir trempé dans des dossiers interdits qu’il avait décidé de publier à son corps défendent. Pour Serge, l’histoire aurait mal tournée.

[Voir aussi :
« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides » par Serge Monast
Ce que nous vivons était décrit par le journaliste Serge Monast en 1994]

Par Serge Monast

PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6.)

FICTION OU RÉALITÉ ? Qui peut dire ? Quoi qu’il en soit, selon certaines informations obtenues en provenance de France, mais surtout, à la révision des événements survenus depuis les vingt-cinq dernières années, il apparaît que le scénario décrit dans ce « Document » nous permet de mieux comprendre ce qui, jusqu’à aujourd’hui, paraissait des plus incompréhensibles à plus d’un.

Nous livrons en entier ce « Document » avec, en plus, une analyse des nouvelles conditions économiques actuelles qui, en elles-mêmes, semblent plus que confirmer l’authenticité de ce dernier.

Fin juin 1967 : À Montréal, c’est l’Expo 67 ; à Ottawa, ce sont les derniers préparatifs du « Centenaire de la Confédération » ; aux États-Unis, c’est la contestation à la Guerre du Vietnam et, à travers le pays, le « Flower Power ». Nous sommes près des événements de Mai 68 en France, de l’explosion du Nationalisme au Québec, du Festival Woodstock aux États-Unis… mais en même temps, cette fin juin de 1967 marque les derniers préparatifs de la mise au point du Plan de la « Chute des Nations » par les hautes instances de la Franc-Maçonnerie anglo-saxonne à Toronto (Canada).

Cette réunion secrète, hautement « Confidentielle », est organisée par les « 6.6.6. » (c’est ainsi qu’ils se nomment eux-mêmes), c’est-à-dire ceux qui dirigent les 6 plus grandes banques mondiales, les 6 plus grands consortiums énergétiques de la planète (dont le pétrole fait partie), et les 6 plus grands consortiums de l’agroalimentaire (dont fait partie le contrôle des principales routes alimentaires du monde).

Ces 6.6.6. étant les plus hauts responsables de la finance internationale vont définir, à l’intérieur de leur réunion, une « Stratégie commune » en vue de la mainmise absolue sur le « Commerce mondial » ; sur la possession de l’Arme énergétique (porte ouverte sur le XXIe siècle) ; et sur le contrôle international de l’agroalimentaire (lequel comprend aussi, pour eux, les consortiums pharmaceutiques comprenant, à leur tour, le marché mondial des « Vitamines » et des « Vaccins »).

Leur « plan » se résume à trois orientations majeures : « L’économique, le Politique et le Social pour les années 70 et 80. S’il réussit, il doit irrémédiablement déboucher sur la prise du « Pouvoir mondial » par la mise en place du « Nouvel Ordre Mondial » ; le même dont le Président américain George Bush fera tant la promotion au début des années 90.

Titre du Document des 6.6.6. : « PANEM ET CIRCENSES » :

(Du pain et des Jeux du Cirque)

But du Projet mondialiste : Le « Génocide du Vital au Profit du Rentable Occulte ».

Moyens de Financement du Projet : Entre autres :

  • – se servir de l’Aide Humanitaire,
  • – de l’Aide Alimentaire internationale,
  • – afin de financer les « Multinationales » des 6.6.6.

LE DOCUMENT :

Toutes les périodes historiques ayant mené à la décadence des civilisations étaient toutes marquées, sans exception, par « L’Esprit d’Errance des Hommes ». Aujourd’hui, nous devons faire en sorte que cet « Esprit » se traduise par une « Société Mondiale du Loisir » sous toutes ses formes. Ce « Loisir » doit se composer du [Sexe], des [Drogues], du [Sport], des [Voyages/l’Exotisme], et des [Loisirs] en général, mais accessibles à toutes les couches de la Société. L’Homme doit arriver à croire qu’il est « Moderne », et que sa modernité est composée de sa capacité, et de sa possibilité de pouvoir jouir largement, et maintenant de tout ce qui l’entoure.

Pour parvenir à cet objectif, il est impératif de pouvoir infiltrer les Médias (Radio, Télévision, Journaux), les milieux de la « Mode » et la « Culture » (les milieux de la Nouvelle Musique) par lesquels nous influencerons, à coup sûr, toutes les couches des Sociétés occidentales. Ainsi en tenant sous la coupe des « Sens » la jeunesse (les adultes de demain), nous aurons par conséquent la voie libre pour infiltrer, et transformer en profondeur, sans être inquiétés, le Politique, le Système légal et l’Éducation ; ce qui nous permettra de modifier en profondeur le cours, l’orientation future des Sociétés visées par notre « Plan ».

Les populations, nous le savons, n’ont pas de mémoire historique. Ils répètent inlassablement les erreurs du passé sans se rendre compte que ces mêmes erreurs avaient conduit leurs pères, avant eux, aux mêmes déchéances qu’ils vivront en pire avant la fin de ce siècle. Voyez, par exemple, ce que leurs grands-pères ont vécu au début de ce siècle grâce au travail acharné de nos prédécesseurs. Après avoir connu, sans limites, la libération des mœurs, l’abolition de la morale (en d’autres mots, l’errance de l’esprit), ils expérimentèrent la « Crise économique », puis la « Guerre ». Aujourd’hui leurs petits-enfants et leurs enfants se dirigent droit vers un aboutissement semblable, pire encore, car cette fois-ci, il nous permettra enfin de mettre sur pied notre « Nouvel Ordre Mondial » sans qu’aucun d’entre eux ne soit à même de s’en rendre compte, trop préoccupés qu’ils seront tous à satisfaire exagérément leurs besoins sensuels les plus primaires.

Une « Norme » générale plus qu’importante, et qui a déjà fait ses preuves au début de ce présent siècle dans la construction, et la mise en place du [Système communiste] par les regrettés Hauts Officiers de nos loges, est la rentabilité de « l’Exception ». En principe, nous le savons, l’Exception prouve la Règle générale qui lui est contraire. Mais dans notre vocabulaire, l’Exception c’est ce qui doit être imposé à tous. Nous devons faire en sorte de faire des « Exceptions » dans différentes sphères de la Société, comme devant être de nouvelles « Règles » générales applicables à tous, un objectif premier de toutes les futures contestations sociales menées par la Jeunesse des Nations.

Ainsi l’Exception deviendra le détonateur par lequel toute la société historique s’effondrera sur elle-même dans un essoufflement et une confusion sans précédent.

Les fondements de la « Société occidentale », dans leur essence, proviennent en droite ligne, de l’héritage judéo-chrétien. C’est précisément ce même héritage qui fit de la « Famille », le « Noeud », la « Pierre angulaire » de tout l’édifice social actuel. Nos prédécesseurs qui avaient financé les écrivains révolutionnaires de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle avaient compris l’importance de fractionner, puis de faire éclater ce « Noyau vital » s’ils voulaient, en Russie, parvenir à mettre en place le nouveau « Système communiste » d’alors. Et c’est précisément ce qu’ils firent en faisant minutieusement produire par les philosophes et les écrivains non conformistes de l’époque : « Un Manifeste à la gloire de l’Etat-Dieu » ; celui-ci ayant la primauté absolue sur l’individu, sur la « Famille ».

Pour aboutir avec certitude à la construction d’un Gouvernement Mondial, [Un Nouvel Ordre Mondial Communautaire] où tous les individus, sans exception, seront soumis à « l’État Mondial » de « l’Ordre Nouveau », nous devons, en premier lieu, faire disparaître la « Famille » (ce qui entraînera, du même coup, la disparition des enseignements religieux ancestraux), et en deuxième lieu, niveler tous les individus en faisant disparaître les « Classes sociales », en particulier, les « Classes moyennes ». Mais nous devons procéder de manière à ce que tous ces changements apparaissent comme étant issus de la volonté populaire ; qu’ils aient l’apparence de la « Démocratie ».

En nous servant de cas isolés, mais en les amplifiant à l’extrême avec l’aide de contestations étudiantes noyautées par nous, de journalistes favorables à notre cause et de politiciens achetés, nous parviendrons à faire mettre en place de nouveaux Organismes ayant toutes les apparences de la « Modernité », tel un « Bureau de la Protection de l’Enfance » protégé par une « Charte des Droits et Libertés ».

Pour la réussite de notre “Plan mondial : [Le Plan Rouge]”, il nous faut faire implanter dans toutes les Sociétés occidentales des années 70’, des « Bureaux pour la Protection de l’Enfance » dont les fonctionnaires (de jeunes intellectuels sans expérience, fraîchement sortis d’Universités où sont mis en évidence nos principes mondialistes), feront respecter à la lettre, sans discernement, la « Charte des Droits de l’Enfant ». Qui osera s’opposer à cela sans en même temps être identifié aux barbaries du Moyen Âge ?

Cette « Charte » laborieusement mise au point dans nos « Loges » nous permettra enfin de réduire à néant toute autorité parentale en faisant éclater la famille en individus farouchement opposés les uns aux autres pour la protection de leurs intérêts personnels. Elle encouragera les enfants à dénoncer des parents trop autoritaires parce que trop traditionnels, trop religieux. Elle contribuera ainsi à soumettre les parents à une « Psychose collective de la peur » ; ce qui provoquera inéluctablement, d’une manière générale dans la société, un relâchement de l’autorité parentale. Ainsi nous aurons réussi, dans un premier temps, à produire une société semblable à celle de la Russie des années 50’ où les enfants dénonçaient à l’État leurs parents, et cela sans que personne ne s’en aperçoive.

En transférant ainsi à l’État le « Rôle parental », il nous sera plus facile, par la suite, d’accaparer, une par une, toutes les responsabilités qui avaient été, jusqu’à date, du ressort exclusif des parents. C’est ainsi que nous pourrons faire considérer par tous comme étant un abus contre l’enfant, l’enseignement religieux traditionnel d’origine judéo-chrétienne.

Dans un même temps, mais à un autre niveau, nous ferons inscrire dans les plus hautes Lois des Nations, que toutes les Religions, les Cultes et les Pratiques religieuses de tous genres, y compris la « Sorcellerie et la Magie » doivent toutes être respectées au même titre les unes que les autres.

Ce sera par la suite d’une aisance déconcertante que de transférer ce rôle de l’État par rapport à l’enfant aux plus hautes instances internationales, telles les Nations Unies.

Comprenons bien ceci : “Notre but n’est pas de protéger les enfants ou qui que ce soit d’autre, mais bien de provoquer l’éclatement, puis la chute des Nations qui sont un obstacle majeur à la mise en place de notre « Nouvel Ordre Mondial ». C’est la raison pour laquelle les « Bureaux de Protection de l’Enfance » doivent être investis d’une autorité légale absolue. Ils doivent être en mesure, comme bon leur semblera, mais toujours sous le prétexte de la protection de l’enfant, de pouvoir retirer ces derniers de leurs milieux familiaux originels, et les placer dans des milieux familiaux étrangers ou des Centres gouvernementaux déjà acquis à nos principes mondialistes et a-religieux. Par conséquent, sera ainsi achevée la brisure définitive de la « Cellule familiale occidentale ». Car sans la protection et la surveillance de leurs parents originaux, ces enfants pourront ainsi être définitivement handicapés dans leur développement psychologique et moral, et représenter, par voie de conséquence naturelle, des proies facilement adaptables à nos visées mondialistes.

Pour la réussite assurée d’une telle entreprise, il est primordial que les fonctionnaires travaillant dans ces « Bureaux » au service de l’État, soient jeunes, sans expérience passée, imbus de théories que nous savons vides et sans efficacité, et surtout, soient obsédés par l’esprit missionnaire de grands protecteurs de l’enfance menacée. Car pour eux, tous les parents doivent représenter des criminels en puissance, des dangers potentiels au bien-être de l’enfant ici considéré comme étant un « Dieu ».

Un « Bureau de la Protection de l’Enfance » et une « Charte des Droits de l’Enfant » n’ont aucune raison d’être sans enfants menacés. De plus, les exceptions et les exemples historiques utilisés pour leur mise en place finiraient, tôt ou tard, par disparaître s’ils n’étaient pas constamment alimentés par de nouveaux cas se produisant sur une base continue. En ce sens, nous devons infiltrer le « Système d’éducation » des Nations pour y faire disparaître, sous le couvercle de la « Modernité » et de « l’Évolution », l’enseignement de la Religion, de l’Histoire, de la Bienséance tout en diluant, en même temps, sous une avalanche d’expérimentations nouvelles dans le milieu de l’Éducation, celui de la langue et des mathématiques. De cette manière, en enlevant aux jeunes générations, toute base et toute frontière morales, toute connaissance du passé (donc toute fierté nationale), donc tout respect d’autrui, tout pouvoir par la connaissance du langage et des sciences (donc sur la réalité), nous contribuerons à fabriquer une jeunesse largement disposée à toutes les formes de délinquance. Dans ce nouvel univers morcelé par la peur des parents, et leur abandon de toute responsabilité face à leurs enfants, nous aurons la voie libre pour former, à notre manière et selon nos objectifs premiers, une jeunesse où l’arrogance, le mépris, l’humiliation d’autrui seront considérés comme étant les nouvelles bases de « l’Affirmation de Soi » et de la « Liberté ». Mais nous savons, à même l’expérience du passé, qu’une jeunesse semblable est d’ores et déjà condamnée à son autodestruction, car celle-ci est foncièrement « Individualiste », donc « Anarchiste » par définition. En ce sens, elle ne peut aucunement représenter une base solide pour la continuité de quelque société que ce soit, et encore moins une valeur sûre pour la prise en charge de ses vieillards.

Dans la même foulée, il est aussi impératif de faire créer une « Charte des Droits et Libertés individuelles », et des « Bureaux de Protection du Citoyen » en faisant miroiter aux masses, que ces innovations font partie intégrante de la « Modernité » des « Sociétés Nouvelles » du XXe siècle. De la même manière, et en même temps, mais à un autre niveau, faire voter de nouvelles Lois pour le « Respect et la Liberté individuelles ». Comme dans le cas de la « Famille », mais sur le plan de la « Société », ces Lois entreront en conflit avec les Droits de la Collectivité, menant ainsi les sociétés visées, droit à leur autodestruction. Car ici, l’inversion est totale : “Ce n’est plus la société (le droit de la majorité) qui doit être protégée contre des individus pouvant la menacer, mais bien plutôt (le Droit de l’Individu) qui se doit d’être protégé contre les menaces possibles de la majorité”. Voilà le but que nous nous sommes fixé.

Pour achever l’éclatement de la famille, du système d’éducation, donc de la Société en général, il est primordial d’encourager la « Liberté sexuelle » à tous les échelons de la Société occidentale. Il faut réduire l’individu, donc les masses, à l’obsession de satisfaire leurs instincts primaires par tous les moyens possibles. Nous savons que cette étape représente le point culminant par lequel toute Société finira par s’effondrer sur elle-même. N’en a-t-il pas été ainsi de l’Empire romain à son apogée, et de toutes civilisations semblables à travers l’histoire ?

Par des hommes de Science et des laboratoires financés par nos Loges, nous avons réussi à faire mettre au point un procédé chimique qui révolutionnera toutes les Sociétés occidentales, et reléguera aux oubliettes pour toujours, les principes moraux et religieux judéo-chrétiens. Ce procédé, sous forme de pilule, ouvrira la voie toute grande à la « Liberté sexuelle » sans conséquences, et poussera les « Femmes » des Nations à vouloir briser avec ce qui sera alors perçu comme étant le joug du passé (l’esclavage des femmes soumises à l’homme et à la famille traditionnelle judéo-chrétienne). Jadis « Centre et pivot de la cellule familiale », la femme moderne, maintenant en tant qu’individu indépendant, voudra briser avec son rôle traditionnel, se détacher de la famille, et mener sa vie selon ses aspirations personnelles. Rien de plus naturel, nous le savons, mais là où nous interviendrons fortement, ce sera d’infiltrer tous les nouveaux « Mouvements de contestation féminins » en poussant leur logique jusqu’à ses extrêmes limites de conséquence. Et ces limites se trouvent déjà inscrites dans l’éclatement définitif de la famille traditionnelle et de la Société Judéo-Chrétienne.

Cette « Libération Sexuelle » sera le moyen ultime par lequel il nous sera possible de faire disparaître de la « Conscience populaire » toute référence au « Bien et au Mal ». L’effondrement de cette barrière religieuse et morale nous permettra d’achever le processus de la fausse « Libération de l’Homme de son Passé », mais qui, en réalité, est une forme d’esclavage qui sera profitable à nos « Plans Mondialistes ».

Cette porte ouverte pour l’encouragement à la « Liberté sexuelle », au « Divorce », à « l’Avortement » sur demande, à la reconnaissance légale des diverses formes d’homosexualité nous aidera à modifier en profondeur les bases historiques du « Droit légal » des Sociétés. Elle sera un atout majeur pour pousser l’ensemble des individus à un relâchement général des mœurs ; pour diviser les individus les uns par rapport aux autres, selon leur instinct et leurs intérêts propres ; pour détruire l’avenir de la jeunesse en la poussant aux expériences néfastes de la sexualité hâtive et de l’avortement ; et pour briser moralement les générations futures en les poussant à l’alcoolisme, aux drogues diverses (dont nos Officiers supérieurs des Loges internationales se chargeront d’en prendre le contrôle au niveau mondial), et au suicide (celui-ci considéré par une jeunesse désabusée et abandonnée à elle-même, comme étant une fin chevaleresque).

Décevons la jeunesse des Nations en lui montant ses parents comme étant irresponsables, irréligieux, immoraux ; ne cherchant, en définitive, que le plaisir, l’évasion et la satisfaction effrénée de leurs instincts au prix du mensonge, de l’hypocrisie et de la trahison. Faisons du divorce et de l’avortement une nouvelle coutume sociale acceptée par tous. Poussons-la ainsi à la criminalité sous toutes ses formes, et à se réfugier en groupes distincts, hors d’atteinte du milieu familial qu’elle percevra, inévitablement, comme étant une menace pour sa propre survie. Le tissu social étant ainsi bouleversé à jamais, il nous sera dès lors possible d’agir sur le Politique et l’Économique des Nations afin de les soumettre à notre merci ; pour en venir à accepter de force, nos Plans d’un Nouvel Ordre Mondial. Car, il faut bien se l’avouer, les Nations, dépourvues qu’elles seront alors de pouvoir compter sur une jeunesse forte, sur une Société où les individus, regroupés autour d’un idéal commun, renforcé par des remparts moraux indéfectibles, auraient pu lui apporter son soutien historique, ne pourront qu’abdiquer à notre volonté mondiale. Ainsi pourrons-nous alors inaugurer ce qui fut tant annoncé par nos créations passées : « Le système communiste qui prophétisait une révolution mondiale mise en branle par tous les rejetés de la terre », et le « Nazisme par lequel nous avions annoncé un Nouvel Ordre Mondial pour 1000 ans ». Voilà notre but ultime ; le travail récompensé de tous les valeureux morts au labeur pour son accomplissement depuis des siècles. Disons-le haut et fort : « Tous les Frères des Loges passées, morts dans l’anonymat pour la réalisation de cet Idéal qu’il nous est maintenant possible de toucher du bout des doigts ».

Il est bien reconnu par tous que l’Homme, une fois après avoir assuré ses besoins primaires (nourriture, habillement et gîte), est beaucoup plus enclin à être moins vigilant. Permettons-lui d’endormir sa conscience tout en orientant à notre guise son esprit en lui créant, de pure pièce, des conditions économiques favorables. Donc, pendant cette période des années 70 où nos Agents s’infiltreront partout dans les différentes sphères de la Société pour faire accepter nos nouvelles normes dans l’Éducation, le Droit légal, le Social et le Politique, nous veillerons à répandre autour de lui un climat économique de confiance. Du Travail pour tous, l’ouverture du Crédit pour tous, des Loisirs pour tous seront nos tandems pour la création illusoire d’une nouvelle classe sociale : « la Classe moyenne ». Car une fois nos objectifs atteints, cette « Classe » du milieu, située entre les pauvres séculaires, et nous les riches, nous la ferons disparaître en lui coupant définitivement tout moyen de survie.

En ce sens, nous ferons des États-nations, les nouveaux « Parents » des individus. À travers ce climat de confiance où nos « Agents internationaux » auront fait le nécessaire pour écarter tout spectre de guerre mondiale, nous encouragerons la « Centralisation » à outrance pour l’État. De cette manière, les individus pourront acquérir l’impression d’une liberté totale à explorer pendant que le fardeau légendaire des responsabilités personnelles sera transféré à l’État. C’est ainsi qu’il nous sera possible de faire augmenter d’une manière vertigineuse le fardeau de l’État en multipliant sans limites aucune la masse des fonctionnaires-intellectuels. Assurés pour des années à l’avance d’une sécurité matérielle, ceux-ci seront par conséquent, de parfaits exécutants du « Pouvoir gouvernemental » ; en d’autres mots, de notre « Pouvoir ».

Créer ainsi une masse impressionnante de fonctionnaires qui, à elle seule, formera (un Gouvernement dans le gouvernement), quel que soit le parti politique qui sera alors au pouvoir. Cette machine anonyme pourra nous servir un jour de levier, lorsque le moment sera venu, pour accélérer l’effondrement économique des États-nations ; car ceux-ci ne pourront pas indéfiniment supporter une telle masse salariale sans devoir s’endetter au-delà de leurs moyens. D’un autre côté, cette même machine qui donnera une image froide et insensible de l’appareil gouvernemental ; cette machine complexe et combien inutile dans beaucoup de ses fonctions nous servira de paravent et de protection contre les populations. Car qui osera s’aventurer à travers les dédales d’un tel labyrinthe en vue de faire valoir ses doléances personnelles ?

Toujours pendant cette période d’étourdissement général, nous en profiterons aussi pour acheter ou éliminer, selon les nécessités du moment, tous les dirigeants d’entreprises, les responsables des grands Organismes d’État, les Centres de Recherche scientifique dont l’action et l’efficacité risqueraient de donner trop de pouvoir aux États-nations. Il ne faut absolument pas que l’État devienne une force indépendante en elle-même qui risquerait de nous échapper, et de mettre en danger nos « Plans » ancestraux.

Nous veillerons aussi à avoir une mainmise absolue sur toutes les structures supranationales des Nations. Ces Organismes internationaux doivent être placés sous notre juridiction absolue.

Dans le même sens, et pour garantir la rentabilité de notre influence auprès des populations, nous devrons contrôler tous les Médias d’Information. Nos Banques verront donc à ne financer que ceux qui nous sont favorables tandis qu’elles superviseront la fermeture des plus récalcitrants. Cela devrait en principe passer presque inaperçu dans les populations, absorbées qu’elles seront par leur besoin de faire plus d’argent, et de se divertir.

Nous devrons nous occuper à finaliser, dès maintenant, la phase de dérégionalisation des régions rurales amorcée au début de la « Crise économique » de 1929. Surpeupler les villes était notre tandem de la « Révolution industrielle ». Les propriétaires ruraux, par leur indépendance économique, leur capacité à produire la base de l’alimentation des États, sont une menace pour nous, et nos Plans futurs. Entassés dans les villes, ils seront plus dépendants de nos industries pour survivre. Nous ne pouvons nous permettre l’existence de groupes indépendants de notre « Pouvoir ». Donc, éliminons les propriétaires terriens en faisant d’eux des esclaves obéissants des Industries étant sous notre contrôle. Quant aux autres, permettons-leur de s’organiser en Coopératives agricoles que nos Agents infiltreront pour mieux les orienter selon nos priorités futures.

À travers l’État, attachons-nous à bien mettre en évidence le « Respect » obligatoire de la diversité des « Cultures », des « Peuples », des « Religions », des « Ethnies » qui sont autant de moyens, pour nous, pour faire passer la « Liberté individuelle » avant la notion « d’Unité nationale » ; ce qui nous permettra de mieux diviser les populations des États-nations, et ainsi les affaiblir dans leur autorité, et dans leur capacité de manœuvrer. Poussé à ces extrêmes limites, mais sur le plan international, ce concept, dans le futur, poussera les ethnies des différentes Nations à se regrouper pour revendiquer, individuellement, chacune leur propre part du « Pouvoir » ; ce qui achèvera de ruiner les Nations, et les fera éclater dans des guerres interminables.

Lorsque les États-nations seront ainsi affaiblis par autant de luttes intestines, toutes fondées sur la reconnaissance des « Droits des Minorités » à leur Indépendance ; que les nationalistes divisés en différentes factions culturelles et religieuses s’opposeront aveuglément dans des luttes sans issue ; que la jeunesse aura totalement perdu contact avec ses racines ; alors nous pourrons nous servir des Nations Unies pour commencer à imposer notre Nouvel Ordre Mondial.

D’ailleurs, à ce stade-là, les « Idéaux humanitaires, sociaux et historiques » des États-nations auront depuis longtemps éclaté sous la pression des divisions intérieures.

Fin du Document des 6.6.6. daté de fin juin 1967.

Dix-huit ans plus tard, soit (6.6.6.) dans le temps, se tint une autre Réunion d’importance au Canada. Le Groupe des 6.6.6. se réunit encore une fois à Toronto, à la fin de juin 1985, mais cette fois-ci afin de finaliser les dernières étapes devant déboucher, et sur la chute des États-nations, et sur la prise du Pouvoir international par les Nations Unies.

DOCUMENT : « L’AURORE ROUGE »

Titre du document des 6.6.6. : L’AURORE ROUGE.

But du Projet mondialiste : ÉTABLISSEMENT DE L’OCCULTE MONDIAL

Moyens de Financement du Projet : Contrôle du F.M.I., du G.A.T.T., de la Commission de Bruxelles, de l’OTAN, de l’O.N.U. et d’autres Organismes internationaux.

Les dernières dix-huit années furent très profitables pour l’avancement de nos projets mondiaux. Je peux vous dire, Frères, que nous touchons maintenant presque au but. La chute des États-nations n’est plus qu’une question de temps, assez court, dois-je vous avouer en toute confiance.

Grâce à nos Agents d’infiltration et à nos moyens financiers colossaux, des progrès sans précédent ont maintenant été accomplis dans tous les domaines de la Science et de la Technologie dont nous contrôlons financièrement les plus grandes corporations. Depuis les réunions secrètes avec M. de Rotchild dans les années 56, et qui avaient pour but de mettre au point le développement, et l’implantation mondiale des « Ordinateurs », il nous est maintenant possible d’entrevoir la mise en place d’un genre « d’Autoroute internationale » où toutes ces machines seraient reliées entre elles. Car, comme vous le savez déjà, le contrôle direct et individuel des populations de la planète serait à tout le moins totalement impossible sans l’usage des Ordinateurs, et leur rattachement électronique les uns par rapport aux autres en un vaste « Réseau Mondial ». Ces machines d’ailleurs ont l’avantage de pouvoir remplacer des millions d’individus. De plus, elles ne possèdent ni conscience, ni morale aucune ; ce qui est indispensable pour la réussite d’un projet comme le nôtre. Surtout, ces machines accomplissent, sans discuter, tout ce qui leur est dicté. Elles sont des esclaves parfaits dont ont tant rêvé nos prédécesseurs, mais sans qu’ils aient été à même de se douter qu’un jour, il nous serait possible d’accomplir un tel prodige. Ces machines sans patrie, sans couleur, sans religion, sans appartenance politique, sont l’ultime accomplissement et outil de notre Nouvel Ordre Mondial. Elles en sont la « Pierre angulaire » !

L’organisation de ces machines en un vaste « Réseau mondial » dont nous contrôlerons les leviers supérieurs nous servira à immobiliser les populations. Comment ?

Comme vous le savez, la structure de base de notre Nouvel Ordre Mondial est composée, dans son essence, d’une multitude de « Réseaux » divers couvrant chacun toutes les sphères de l’activité humaine sur toute l’étendue de la planète. Jusqu’à ce jour, tous ces « Réseaux » étaient reliés entre eux par une base idéologique commune : celle de l’Homme comme étant le « Centre » et « l’Ultime Accomplissement » de l’Univers. Ainsi, grâce à tous ces « Réseaux » unis par le lien de la « Nouvelle Religion de l’Homme pour l’Homme », nous avons pu facilement infiltrer tous les secteurs humains dans tous les pays occidentaux, et en modifier la base « Judéo-Chrétienne ». Le résultat est qu’aujourd’hui, cet Homme, qu’il fasse partie du Politique, de l’économique, du Social, de l’Éducation, du Scientifique ou du Religieux, a déjà, depuis notre dernière Réunion de fin juin 67, abandonné son héritage passé pour le remplacer par notre idéal d’une Religion mondiale basée uniquement sur l’Homme. Coupé ainsi qu’il est dorénavant de ses racines historiques, cet Homme n’attend plus, en définitive, que lui soit proposée une nouvelle idéologie. Celle-ci, bien entendu, est la nôtre ; celle du « Village Communautaire Global » dont il sera le « Centre ». Et c’est précisément ce que nous lui apporterons en l’encourageant à faire partie, « Corps et Âme », de ce « Réseau Électronique Mondial » où les frontières des États-nations auront été à tout jamais abolies, anéanties jusqu’à leurs racines les plus profondes.

Pendant que cet homme égaré sera absorbé par son enthousiasme aveugle à faire partie de sa nouvelle « Communauté mondiale » en faisant partie de ce vaste « Réseau d’Ordinateurs », pour notre compte, nous verrons, à partir des leviers supérieurs qui lui seront cachés, à le ficher, à l’identifier, à le comptabiliser, et à le rentabiliser selon nos propres objectifs. Car à l’intérieur de cette « Nouvelle Société Globale », aucun individu ayant un potentiel de « Rentabilité » pour nous, ne pourra nous échapper. L’apport constant de la « Technologie électronique » devra nous assurer de tous les moyens pour ficher, identifier, et contrôler tous les individus des populations de l’Occident. Quant à ceux qui ne représenteront aucune « Rentabilité exploitable » par nous, nous verrons à ce qu’ils s’éliminent d’eux-mêmes à travers toutes les guerres intestines locales que nous aurons pris soin de faire éclater ici et là en nous ayant servi, et de la « Chute de l’Économie » des États-nations, et des « Oppositions et des Revendications » des divers groupes composant ces mêmes États.

Voici donc la manière détaillée par laquelle nous procéderons d’ici 1998 pour paver la route à la naissance de notre « Gouvernement mondial ».

1 — Décupler la « Société des Loisirs » qui nous a été si profitable à date. En nous servant de l’invention du « Vidéo » que nous avons financé, et des jeux qui lui sont rattachés, finissons de pervertir la morale de la jeunesse. Offrons-lui la possibilité de satisfaire maintenant tous ses instincts. Un être possédé par ses sens, et esclave de ceux-ci, nous le savons, n’a ni idéal ni force intérieure pour défendre quoi que ce soit. Il est un « Individualiste » par nature, et représente un candidat parfait que nous pouvons modeler aisément selon nos désirs et nos priorités. D’ailleurs, rappelez-vous avec quelle facilité nos prédécesseurs ont pu orienter toute la jeunesse allemande au début du siècle en se servant du désabusement de cette dernière !

2 — Encourager la « Contestation étudiante » pour toutes les causes rattachées à « l’Écologie ». La protection obligatoire de cette dernière sera un atout majeur le jour où nous aurons poussé les États-nations à échanger leur « Dette intérieure » contre la perte de 33 % de tous leurs territoires demeurés à l’état sauvage.

3 — Comblons le vide intérieur de cette jeunesse en l’initiant, dès son tout jeune âge, à l’univers des Ordinateurs. Utilisons, pour cela, son système d’éducation. Un esclave au service d’un autre esclave que nous contrôlons.

4 — Sur un autre plan, établissons le « Libre-Échange international » comme étant une priorité absolue pour la survie économique des États-nations. Cette nouvelle conception économique nous aidera à accélérer le déclin des « Nationalistes » de toutes les Nations ; à les isoler en factions diverses, et au moment voulu, à les opposer farouchement les uns aux autres dans des guerres intestines qui achèveront de ruiner ces Nations.

5 — Pour nous assurer à tout prix de la réussite d’une telle entreprise, faisons en sorte que nos Agents déjà infiltrés dans les ministères des Affaires intergouvernementales et de l’Immigration des États-nations fassent modifier en profondeur les Lois de ces ministères. Ces modifications viseront essentiellement à ouvrir les portes des pays occidentaux à une immigration de plus en plus massive à l’intérieur de leurs frontières (immigrations que nous aurons d’ailleurs provoquées en ayant pris soin de faire éclater, ici et là, de nouveaux conflits locaux). Par des campagnes de Presse bien orchestrées dans l’opinion publique des États-nations ciblés, nous provoquerons chez celles-ci un afflux important de réfugiés qui aura pour effet de déstabiliser leur économie intérieure, et de faire augmenter les tensions raciales à l’intérieur de leur territoire. Nous verrons à faire en sorte que des groupes d’extrémistes étrangers fassent partie de ces afflux d’immigrants ; ce qui facilitera la déstabilisation politique, économique et sociale des Nations visées.

6 — Ce « Libre-Echange » qui, en réalité, n’en est pas un car il est déjà contrôlé par nous tout au sommet de la hiérarchie économique, noyautons-le en « Trois Commissions latérales » : [celle de l’Asie, celle de l’Amérique, celle de l’Europe]. Il nous apportera la discorde à l’intérieur des États-nations par la hausse du chômage relié aux restructurations de nos Multinationales.

7 — Transférons lentement, mais sûrement, nos multinationales dans de nouveaux pays acquis à l’idée de « l’Économie de Marché », tels les pays de l’Est de l’Europe, en Russie et en Chine par exemple. Nous nous fichons bien, pour l’instant, si leur population représente ou non un vaste bassin de nouveaux consommateurs. Ce qui nous intéresse, c’est d’avoir accès, en premier lieu, à une « Main-d’œuvre-Esclave » (à bon marché et non syndiquée) que nous offrent ces pays et ceux du Tiers-monde. D’ailleurs, leurs gouvernements ne sont-ils pas mis en place par nous ? Ne font-ils pas appel à l’aide étrangère, et aux prêts de notre « Fond Monétaire International » et de notre « Banque Mondiale » ? Ces transferts offrent plusieurs avantages pour nous. Ils contribuent à entretenir ces nouvelles populations dans l’illusion d’une « Libération économique », d’une « Liberté politique » alors qu’en réalité, nous les dominerons par l’appétit du gain et un endettement dont ils ne pourront jamais s’acquitter. Quant aux populations occidentales, elles seront entretenues dans le rêve du [Bien-Être économique], car les produits importés de ces pays ne subiront aucune hausse de prix. Par contre, sans qu’elles s’en aperçoivent au début, de plus en plus d’industries seront obligées de fermer leurs portes à cause des transferts que nous aurons effectués hors des pays occidentaux. Ces fermetures augmenteront le chômage, et apporteront des pertes importantes de revenus pour les États-nations.

8 — Ainsi nous mettrons sur pied une « Économie globale » à l’échelle mondiale qui échappera totalement au contrôle des États-nations. Cette nouvelle économie sera au-dessus de tout ; aucune pression politique ou syndicale ne pourra avoir de pouvoir sur elle. Elle dictera ses propres « Politiques mondiales », et obligera à une réorganisation politique, mais selon nos priorités à l’échelle mondiale.

9 — Par cette « Économie indépendante » n’ayant de Lois que nos Lois, nous établirons une « Culture de Masse mondiale ». Par le contrôle international de la Télévision, des Médias, nous instituerons une « Nouvelle Culture », mais nivelée, uniforme pour tous, sans qu’aucune « Création » future ne nous échappe. Les artistes futurs seront à notre image ou bien ne pourront survivre. Fini donc ce temps où des « Créations culturelles indépendantes » mettaient à tout moment en péril nos projets mondialistes comme cela fut si souvent le cas dans le passé.

10 — Par cette même économie, il nous sera alors possible de nous servir des forces militaires des États-nations (telles celles des États-Unis) dans des buts humanitaires. En réalité, ces « Forces » nous serviront à soumettre des pays récalcitrants à notre volonté. Ainsi les pays du Tiers-Monde et d’autres semblables à eux ne pourront pas être en mesure d’échapper à notre volonté de nous servir de leur population comme main-d’œuvre-esclave.

11 — Pour contrôler le marché mondial, nous devrons détourner la productivité de son but premier (libérer l’homme de la dureté du travail). Nous l’orienterons en fonction de la retourner contre l’homme en asservissant ce dernier à notre système économique où il n’aura que le choix de devenir notre esclave, et même un futur criminel.

12 — Tous ces transferts à l’étranger de nos Multinationales, et la réorganisation mondiale de l’économie auront pour but, entre autres, de faire grimper le chômage dans les pays occidentaux. Cette situation sera d’autant plus réalisable parce qu’au départ, nous aurons privilégié l’importation massive des produits de base à l’intérieur des États-nations et, du même coup, nous aurons surchargé ces États par l’emploi exagéré de leur population à la production de services qu’ils ne pourront plus payer. Ces conditions extrêmes multiplieront par millions les masses d’assistés sociaux de tous genres, d’illettrés, de sans-abri.

13 — Par des pertes de millions d’emplois dans le secteur primaire ; à même les évasions déguisées de capitaux étrangers hors des États-nations, il nous sera ainsi possible de mettre en danger de mort l’harmonie sociale par le spectre de la guerre civile.

14 — Ces manipulations internationales des gouvernements et des populations des États-nations nous fourniront le prétexte d’utiliser notre F.M.I. pour pousser les gouvernements occidentaux à mettre en place des « Budgets d’Austérité » sous le couvercle de la réduction illusoire de leur « Dette nationale » ; de la conservation hypothétique de leur « Cote de Crédit internationale » ; de la préservation impossible de la « Paix sociale ».

15 — Par ces « Mesures budgétaires d’urgence », nous briserons ainsi le financement des États-nations pour tous leurs « Méga-Projets » qui représentent une menace directe à notre contrôle mondial de l’économie.

16 — D’ailleurs toutes ces mesures d’austérité nous permettront de briser les volontés nationales de structures modernes dans les domaines de l’Énergie, de l’Agriculture, du Transport et des Technologies nouvelles.

17 — Ces mêmes mesures nous offriront l’occasion rêvée d’instaurer notre « Idéologie de la Compétition économique ». Celle-ci se traduira, à l’intérieur des États-nations, par la réduction volontaire des salaires, les départs volontaires avec [Remises de Médailles pour Services rendus] ; ce qui nous ouvrira les portes à l’instauration partout de notre « Technologie de Contrôle ». Dans cette perspective, tous ces départs seront remplacés par des « Ordinateurs » à notre service.

18 — Ces transformations sociales nous aideront à changer en profondeur la main-d’œuvre « Policière et militaire » des États-nations. Sous le prétexte des nécessités du moment, et sans éveiller de soupçons, nous nous débarrasserons une fois pour toutes de tous les individus ayant une « Conscience judéo-chrétienne ». Cette « Restructuration des Corps policiers et militaires » nous permettra de limoger sans contestation, le personnel âgé, de même que tous les éléments ne véhiculant pas nos principes mondialistes. Ceux-ci seront remplacés par de jeunes recrues dépourvues de « Conscience et de Morale », et déjà toutes entraînées, et favorables à l’usage inconsidéré de notre « Technologie de Réseaux électroniques ».

19 — Dans un même temps, et toujours sous le prétexte de « Coupures budgétaires », nous veillerons au transfert des bases militaires des États-nations vers l’Organisation des Nations Unies.

20 — Dans cette perspective, nous travaillerons à la réorganisation du « Mandat international des Nations Unies ». De « Force de Paix » sans pouvoir décisionnel, nous l’amènerons à devenir une « Force d’Intervention » où seront fondues, en un tout homogène, les forces militaires des États-nations. Ceci nous permettra d’effectuer, sans combat, la démilitarisation de tous ces États de manière à ce qu’aucun d’entre eux, dans l’avenir, ne soit suffisamment puissant (indépendant) pour remettre en question notre « Pouvoir mondial ».

21 — Pour accélérer ce processus de transfert, nous impliquerons la force actuelle des Nations Unies dans des conflits impossibles à régler. De cette manière, et avec l’aide des Médias que nous contrôlons, nous montrerons aux populations l’impuissance et l’inutilité de cette « Force » dans sa forme actuelle. La frustration aidant, et poussée à son paroxysme au moment voulu, poussera les populations des États-nations à supplier les instances internationales de former une telle « Force Multi-Nationale » au plus tôt afin de protéger à tout prix la « Paix ».

22 — L’apparition prochaine de cette volonté mondiale d’une « Force militaire multinationale » ira de pair avec l’instauration, à l’intérieur des États-nations, d’une « Force d’Intervention Multi-Juridictionnelle ». Cette combinaison des « Effectifs policiers et militaires », créée à même le prétexte de l’augmentation de l’instabilité politique et sociale grandissante à l’intérieur de ces États croulant sous le fardeau des problèmes économiques, nous permettra de mieux contrôler les populations occidentales. Ici, l’utilisation à outrance de l’identification et du fichage électronique des individus nous fournira une surveillance complète de toutes les populations visées.

23 — Cette réorganisation policière et militaire intérieure et extérieure des États-nations permettra de faire converger le tout vers l’obligation de la mise en place d’un « Centre Mondial Judiciaire ». Ce « Centre » permettra aux différents « Corps policiers des États-nations » d’avoir rapidement accès à des « Banques de Données » sur tous les individus potentiellement dangereux pour nous sur la planète. L’image d’une meilleure efficacité judiciaire, et les liens de plus en plus étroits créés et entretenus avec le « Militaire » nous aideront à mettre en valeur la nécessité d’un « Tribunal international » doublé d’un « Système judiciaire mondial » ; l’un pour les affaires civiles et criminelles individuelles, et l’autre pour les Nations.

24 — Au cours de la croissance acceptée par tous de ces nouvelles nécessités, il sera impérieux pour nous de compléter au plus tôt le contrôle mondial des armes à feu à l’intérieur des territoires des États-nations. Pour ce faire, nous accélérerons le « PLAN ALPHA » mis en œuvre au cours des années 60 par certains de nos prédécesseurs. Ce « Plan » à l’origine visait deux objectifs qui demeurent encore aujourd’hui : par l’intervention de « Tireurs fous », créer un climat d’insécurité dans les populations pour amener à un contrôle plus serré des armes à feu. Orienter les actes de violence de manière à en faire porter la responsabilité par des extrémistes religieux, ou des personnes affiliées à des allégeances religieuses de tendance « Traditionnelle », ou encore, des personnes prétendant avoir des communications privilégiées avec Dieu. Aujourd’hui, afin d’accélérer ce « Contrôle des Armes à Feu », nous pourrons utiliser la « Chute des Conditions économiques » des États-nations qui entraînera avec elle, une déstabilisation complète du Social ; donc augmentation de la violence. Je n’ai pas besoin de vous rappeler ni de vous démontrer, Frères, les fondements de ce « Contrôle » des armes à feu. Sans celui-ci, il deviendrait presque impossible pour nous de mettre à genoux les populations des États visés. Rappelez-vous avec quel succès nos prédécesseurs ont pu contrôler l’Allemagne de 1930 avec les nouvelles « Lois » mises en application à l’époque ; Lois d’ailleurs sur lesquelles sont fondées les Lois actuelles des États-nations pour ce même contrôle.

25 — Les dernières « Etapes » se rapportent à la « PHASE OMÉGA » expérimentée à partir des expérimentations effectuées au début des années 70. Elles renferment la mise en application, à l’échelle mondiale, des « Armes électromagnétiques ». Les « Changements de Climat » entraînant la destruction des récoltes ; la faillite dans ces conditions, des terres agricoles ; la dénaturation, par moyens artificiels, des produits alimentaires de consommation courante ; l’empoisonnement de la nature par une exploitation exagérée et inconsidérée, et l’utilisation massive de produits chimiques dans l’agriculture ; tout cela, Frères, mènera à la ruine assurée des industries alimentaires des États-nations. L’avenir du « Contrôle des Populations » de ces États passe obligatoirement par le contrôle absolu, par nous, de la production alimentaire à l’échelle mondiale, et par la prise de contrôle des principales « Routes Alimentaires » de la planète. Pour ce faire, il est nécessaire d’utiliser l’électromagnétique, entre autres, pour déstabiliser les climats des États les plus productifs sur le plan agricole. Quant à l’empoisonnement de la nature, elle sera d’autant plus accélérée que l’augmentation des populations l’y poussera sans restriction.

26 — L’utilisation de l’électromagnétique pour provoquer des « Tremblements de Terre » dans les régions industrielles les plus importantes des États-nations contribuera à accélérer la « Chute Économique » des États les plus menaçants pour nous ; de même qu’à amplifier l’obligation de la mise en place de notre Nouvel Ordre Mondial.

27 — Qui pourra nous soupçonner ? Qui pourra se douter des moyens utilisés ? Ceux qui oseront se dresser contre nous en diffusant de l’information quant à l’existence et au contenu de notre « Conspiration » deviendront suspects aux yeux des autorités de leur Nation et de leur population. Grâce à la désinformation, au mensonge, à l’hypocrisie et à l’individualisme que nous avons créé au sein des peuples des États-nations, l’Homme est devenu un Ennemi pour l’Homme. Ainsi ces « Individus indépendants » qui sont des plus dangereux pour nous justement à cause de leur « Liberté », seront considérés par leurs semblables comme étant des ennemis et non des libérateurs. L’esclavage des enfants, le pillage des richesses du Tiers-Monde, le chômage, la propagande pour la libération de la drogue, l’abrutissement de la jeunesse des Nations, l’idéologie du « Respect de la Liberté individuelle » diffusée au sein des Églises judéo-chrétiennes et à l’intérieur des États-nations, l’obscurantisme considéré comme une base de la fierté, les conflits interethniques, et notre dernière réalisation : « les Restrictions budgétaires » ; tout cela nous permet enfin de voir l’accomplissement ancestral de notre « Rêve » : celui de l’instauration de notre « NOUVEL ORDRE MONDIAL ».]

Fin du Document de Fin juin 1985.

CONCLUSION…

Alors, le « PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6.) », mythe ou réalité ? Ce serait comme de demander si « Le Meilleur des Mondes » est lui aussi un mythe ou une réalité même s’il s’agit d’un roman. Pourtant, son auteur a lui aussi eu accès à des « Documents » d’époque pour le créer. Son auteur savait bien que la révélation, la diffusion des informations qu’il possédait, mais sous une autre forme que celle du roman, aurait éveillé chez les populations, beaucoup plus de méfiance que d’acceptation. Et combien d’autres auteurs ont dû, eux aussi, user du même stratagème pour avertir leurs contemporains, et les générations futures ?

Alors, le « PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6.) », mythe ou réalité ?

L’urgence de la situation actuelle, celle engendrée par le début des « Restrictions budgétaires » qui marque le commencement de la fin, la réalisation proche du « Nouvel Ordre Mondial Occulte », ne permettait pas la rédaction d’un roman (ce qui aurait pris trop de temps dans le contexte présent).

Mais l’impact provoqué quant à la révélation de ces « Documents » est tout de même important, car, leur publication, aura pour effet de placer sur la défensive ceux qui en sont à l’origine.

Ce qui est souhaité, ici, c’est qu’au-delà de la désinformation véhiculée, et entretenue par des politiciens sans scrupules, et par des gens apeurés face à la possibilité de perdre des intérêts personnels, chaque lecteur puisse réfléchir, se regrouper avec d’autres, semblables à lui, et prendre maintenant des moyens pour survivre face à ce qui vient.

Même si ma vie est en danger à cause de la diffusion d’informations comme celles-ci, la vôtre l’est encore plus par l’ignorance de ces mêmes informations.

Alors, le « PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6.) », mythe ou réalité ?

À vous de répondre…

À vous de voir, dans les événements récemment passés et futurs, si ces « Documents » appartiennent au domaine de la fiction ou de la réalité.

À vous de réaliser que la peur n’a d’autre objet que de vous paralyser, et de vous placer à la merci de ceux qui ne veulent que vous contrôler pour mieux vous asservir selon leurs intérêts qui, en fin de compte, ne sont pas les vôtres.

Alors, le «  PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6. ) » , mythe ou réalité ?






Le FEM veut contrôler l’Internet et les réseaux sociaux pour « lutter contre la désinformation »

[Source : favoris-alcyonpleiades]








Lancement du processus de déploiement de l’euro numérique






Franc-maçonnerie et révolution

[Source : medias-presse.info]

Franc-maçonnerie et révolution : les liens rappelés par Alain Pascal

[La conférence elle-même démarre à partir de 7 min 30]






Le Dr Michael Yeadon sur la crise Covid : Le message le plus important que j’aie jamais écrit

[Source : Exposing The Darkness via globalresearch.ca]

Chers tous ceux qui regardent nerveusement autour d’eux et qui se demandent « Qu’est-ce qui se passe ? »

J’espère que ce n’est pas trop controversé. C’est certainement effrayant, mais je crois que nous sommes encore du bon côté du désastre et que si nous sommes suffisamment nombreux à prendre conscience de ce qui se passe ici et partout dans le monde démocratique, nous pourrons redresser la situation. Nous n’avons vraiment pas beaucoup de temps. Je pense qu’il est probable que les choses changeront irrémédiablement au cours de l’hiver prochain. D’où cette demande urgente et inhabituelle.

Tout ce qui s’est passé et tout ce qui se passe devient beaucoup plus simple et n’a de sens que si l’on se force à penser l’impossible.

Si vous adoptez expérimentalement la position selon laquelle NOTRE GOUVERNEMENT TRAVAILLE ACTIVEMENT À NOUS NUIRE, À DÉMANTELER LA SOCIÉTÉ MODERNE ET À ASSERVIR TOUT LE MONDE DANS UN MONDE TOTALITAIRE CONTRÔLÉ PAR LE NUMÉRIQUE, tout rentre dans l’ordre. Rien n’est en trop.

Même si votre réaction immédiate est que c’est absurde, essayez-le pendant un jour ou deux.

Je vous demande ensuite d’adopter la position expérimentale selon laquelle les médias, contrôlés par seulement six entreprises mondiales, toutes alliées à une organisation mondiale unique dont vous avez tous entendu parler, vous mentent sans relâche, et ce depuis plus de deux ans et demi. Il en va de même pour l’Internet, contrôlé par un nombre réduit d’entreprises mondiales, elles aussi alliées à cette même organisation mondiale.

Parce que je suis certain que c’est vrai. J’en suis certain parce que tout cela a commencé par une fraude scientifique liée à un virus, fraude qu’on l’a augmentée d’une campagne de peur implacable, parce qu’on a imposé des mesures dont on savait qu’elles étaient inutiles, qui ont ruiné l’économie et brisé la société civile, puis parce qu’on a contraint la plupart des gens à accepter des injections inutiles, superflues, inefficaces et délibérément dangereuses. Il s’agit évidemment d’un crime odieux. Rien de tel ne s’était jamais produit auparavant.

J’ai passé 41 ans dans les sciences de la vie, de la formation à la direction réussie d’une entreprise de biotechnologie, et j’ai été responsable mondial de la recherche et vice-président de l’unité respiratoire de Pfizer (1995-2011).

Je n’ai absolument aucune raison de dire tout cela si je n’en suis pas certain.

J’en suis certain. Tout cela s’est déroulé « dans ma zone de confort », mon domaine d’expertise.

Réfléchissez à ce que j’ai dit.

J’ai donné plus de 70 interviews, toutes censurées. J’ai été sali de façon répugnante. C’est de la propagande. Cela vous montre de quoi ils sont capables.

Voici ce que l’ancien membre du conseil d’administration de Pfizer a écrit à propos de mes réalisations : Transformer les déchets de Pfizer en or pour Novartis : L’histoire de Ziarco

Ai-je l’air d’un imbécile ?

Beaucoup se sont demandé pourquoi les gens n’ont pas résisté aux tyrans dans le passé. C’est en partie dû à la peur. Mais ce n’est pas tout. C’est que les gens normaux, comme vous et moi, ne peuvent tout simplement pas imaginer être aussi méchants. Nous avons confiance en l’humanité. Et c’est normal. La plupart des gens sont bons. Peu d’entre eux sont vraiment terrifiants et horribles. Mais certains le sont. C’est l’incapacité à croire que cela se produit qui a vraiment empêché les gens de s’opposer lorsqu’ils le devaient, lorsque les preuves étaient indubitables, mais n’avaient pas encore atteint leur porte, leur famille.

Ils viennent pour vous et vos enfants. Cela se reproduit. Il existe de nombreuses preuves d’une planification patiente et à long terme. Je suis vraiment désolé.

C’est maintenant à vous de jouer. Je ne vois vraiment pas ce que je peux faire d’autre.
Meilleurs vœux et sincères remerciements,

Dr Michael Yeadon






La dystopie totalitaire est déjà là

[Source : marie-claire-tellier via RI]

Par Caitlin Johnstone

Traduction MCT

J’ai fait un cauchemar dans lequel j’ai divulgué des informations classifiées et j’ai été arrêté et torturé par des journalistes du New York Times.

L’objectif est de nous faire combattre avec le plus d’hostilité possible sur des questions qui dérangent le moins possible nos dirigeants. Il est vraiment étonnant de voir à quel point ils y parviennent.

L’autre jour, j’ai vu une vidéo d’un type qui écrasait rageusement une caisse de Budweiser avec un monster truck pour des raisons qui n’avaient aucun sens pour moi, et tout le monde criait avec enthousiasme son opinion à ce sujet, et je me suis dit : « Oh, mon Dieu, nous sommes vraiment baisés ». Ils nous ont complètement emballés.

Il est impossible de concevoir une dystopie totalitaire plus efficace que celle dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Une dystopie où tout le monde subit un lavage de cerveau par la propagande sans même le savoir, où tout le monde pense, agit, vote et fait ses courses exactement comme leurs dirigeants le veulent, tout en pensant qu’ils sont libres.

[Voir aussi :
La bureaucratie contre la liberté]

Les gens s’inquiètent à juste titre des escalades technocratiques telles que la surveillance accrue, les cartes d’identité numériques, les monnaies numériques des banques centrales, etc. Mais beaucoup imaginent à tort qu’une future dystopie technocratique créée par ces mesures serait très différente de la dystopie dans laquelle nous nous trouvons actuellement, ce qui n’est tout simplement pas le cas. Ces mesures seraient utilisées pour aider à maintenir le système actuel en place, et non pour en créer un nouveau.

Les gens imaginent la dystopie totalitaire comme une sombre menace se profilant à l’horizon parce qu’ils ne comprennent pas à quel point nous sommes déjà profondément privés de liberté à l’heure actuelle. Ils pensent que nous sommes libres parce que nous pouvons choisir ce que nous achetons au supermarché et appeler le président « Brandon », mais ce n’est pas le cas. Ils imaginent que nos dirigeants ont une grande conspiration pour créer une dystopie où ils peuvent nous forcer à faire ce qu’ils veulent, sans se rendre compte que nous sommes déjà dans une dystopie où nous faisons exactement ce qu’ils veulent. Il n’y a vraiment pas d’amélioration possible. Ils ne font que la verrouiller.

Sérieusement, réfléchissez : qu’est-ce que les dirigeants de la société occidentale pourraient bien nous soutirer qu’ils n’obtiennent pas déjà ? Il n’y a pas d’opposition politique significative, pas de mouvement antiguerre, pas de mouvement anti-capitaliste, très peu de pensée critique — ils ont le contrôle total. Tout ce que nous faisons dans cette dystopie est conçu pour faire entrer le profit dans les coffres des oligarques et le pouvoir dans les mains des impérialistes, et tous les efforts pour résister et changer ces systèmes d’entonnoir ont été écrasés avec succès par une manipulation psychologique à grande échelle.

Cette dystopie totalitaire ressemble à la liberté parce qu’elle nous laisse plus ou moins faire ce que nous voulons, tout en contrôlant ce que nous voulons faire au moyen d’une manipulation à grande échelle. Ils renforcent encore cette idée en créant des systèmes dans lesquels ce que nous faisons n’a que peu ou pas d’effet significatif. Même si notre cerveau était doté d’un véritable logiciel permettant à nos dirigeants de contrôler totalement et entièrement notre esprit, les masses penseraient et se comporteraient plus ou moins de la même manière qu’à l’heure actuelle.

L’arme principale de nos dirigeants totalitaires n’est pas la surveillance, les robots policiers, les cartes d’identité numériques ou les CBDC — leur arme principale est la propagande. Le système de conditionnement psychologique à grande échelle qu’ils ont créé ne ressemble à rien de ce qui a existé dans l’histoire. La capacité à détecter et à réprimer une révolution naissante est largement inférieure à la capacité à utiliser le conditionnement psychologique pour empêcher les gens de penser à se révolter. Voilà à quoi ressemble le vrai pouvoir. C’est le contrôle total.

Il s’agit d’une dystopie dont les habitants s’alignent tous sur la volonté de leurs dirigeants, sans même penser qu’ils ne sont pas libres ou qu’ils devraient essayer de le devenir.

Essayez de concevoir une dystopie totalitaire plus efficace que celle-ci.

C’est impossible. Elle est parfaite.

La propagande est le véritable mécanisme de contrôle, et c’est ce que nous allons devoir combattre si nous voulons un jour devenir libres. Le seul moyen de sortir de cette gigantesque matrice de contrôle psychologique est de montrer aux gens à quel point nous ne sommes pas libres, à quel point ils sont trompés, à quel point les choses pourraient être meilleures. Réveillez les gens aux mensonges, à la vraie nature des institutions politiques, éducatives et médiatiques conçues pour nous maintenir en esclavage, affaiblissez la confiance du public dans la machine de propagande, et alors nous aurons peut-être les prémices de la possibilité d’un véritable changement. En attendant, nous sommes enfermés.

[Voir aussi :
Changer le Système ?]

La personne que vous considérez comme un héros antiautoritaire en dit long sur vous en tant que personne. Si je vous demande d’imaginer quelqu’un qui lutte contre le pouvoir et que vous pensez à Tank Man ou à Navalny ou à un autre personnage historique au lieu des personnes vivantes qui luttent contre la structure du pouvoir sous laquelle vous vivez réellement, cela signifie que vous avez avalé le mensonge selon lequel votre propre gouvernement et ses alliés sont bons et vertueux ici et maintenant, et que « lutter contre le pouvoir » est quelque chose qui ne peut se produire que pour de nobles raisons dans d’autres pays ou à d’autres époques de l’histoire.

En réalité, la nécessité de « combattre le pouvoir » est plus grande sous l’empire centralisé des États-Unis qui règne sur tous ceux qui sont susceptibles de lire ces mots, parce que l’empire centralisé des États-Unis est la structure de pouvoir la plus meurtrière et la plus tyrannique du monde à l’heure actuelle.

Ainsi, lorsque je vous demande d’imaginer une figure antiautoritaire qui vous vient à l’esprit, si vous êtes lucide, vous n’imaginerez pas quelqu’un comme Tank Man, Navalny, Gandhi, Mandela ou MLK. Vous imaginerez quelqu’un comme Julian Assange : quelqu’un qui combat le vrai pouvoir là où il se trouve, ici et maintenant.

Source






Huit milliards de terriens à portée de Satan

Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles, Michel Cornillon entre en écriture à l’âge de trente ans. Après un premier roman, « Le Funambule » (éd. Tchou), il en écrit plusieurs autres, puis passe à un livre pour jeunes lecteurs, « Discours aux enfants », suivi peu après d’un second, « Écris-nous un livre ». Retour alors à la fiction romanesque avec « Auschwitz Karnaval », ouvrage clownesque jugé politiquement incorrect par l’édition bien pensante, donc méprisé par elle.

Qu’importe, il n’a pas dit son dernier mot. C’est ainsi qu’il se lance dans une série d’essais politiques autoédités, dont « Capitalisme, la Chute et ensuite », lesquels nous amènent à ce dernier :

Huit milliards de terriens à portée de Satan

Le titre à lui seul donne une idée de la teneur de cet essai. Parti d’une intuition, puis étayé d’indices laissant deviner ce qui se trame autour des problèmes qui ne cessent de s’accumuler (pollution, dérèglement du climat, roboti­sation, langue de bois, croissance démographique, etc.), il nous alerte sur le seul remède que puissent envisager des régimes de plus en plus éloignés de nos idéaux : en vertu des rivalités pour la domination du globe (avec en prime les outils que procure la technologie), un violent coup de sabre dans le nœud gordien interdisant à notre espèce son émancipation naturelle. Autrement dit, en guise de soutien à une humanité de moins en moins sereine, l’éradication d’une grande partie de la population. Cela au seul profit des organisateurs d’un holocauste plus radical que ceux que mit en œuvre le siècle précédent.

Les mafias au pouvoir deviendront-elles alors les seules bénéficiaires d’un Nouvel Ordre Mondial visant à maintenir sous sa tutelle les cinq cents millions de sujets demeurés à sa merci ? Le XXIsiècle conduira-t-il notre espèce à son asservissement ? Nombre d’indices le donnent à présager, de nouvelles Tables de la Loi le gravent dans le granit… Mais nous demeurons en vie et tout espoir n’est pas perdu. Malgré l’accumulation des mauvais présages, nous pressentons qu’une profonde évolution de nos manières de penser, doublée de la mise en commun de nos talents, nous remettra peut-être sur le chemin de notre développement.

Malgré l’âpreté du sujet, l’ouvrage se lit avec aisance. Les courts chapitres qui le composent nous font passer avec élégance d’aujourd’hui à hier et demain, du quotidien au rêve, du vieillissement à la jeunesse.

Le livre (e-book ou papier) se trouve chez la plupart des librairies en ligne, ainsi que chez BoD :

Pour contacter l’auteur :

Michelcornillon172@gmail.com






Opposition contrôlée et les nouveaux inquisiteurs

[Source : marcha3200]

Par Martina Charbonnel

Pour être honnête, il faut admettre que nous sommes nombreux à nous être posé la question de savoir si des leaders d’opposition étaient contrôlés par le pouvoir.

Il est parfois difficile de faire entendre notre voix au milieu des collabos médicaux affirmés, des syndicats complices et des opposants politiques qui regardent ailleurs quand des gens meurent des suites des injections à ARNm expérimentales.

À présent, il faut composer avec les résistants suspectés de faire partie de l’opposition contrôlée, mais aussi avec leurs Inquisiteurs, ce qui complique la tâche.

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton
Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?
L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement]

Concernant les dirigeants politiques et syndicaux, l’opposition contrôlée n’est pas un mythe. Elle n’est pas non plus désintéressée. Entre le lobbying de Big Pharma et la peur de perdre sa place dans la petite élite politique, les opposants à Macron se taisent à propos des scandales les plus criants.

Mais qu’en est-il de l’accusation de faire partie de l’opposition contrôlée lorsqu’elle désigne des résistants avec lesquels nous nous battons depuis trois ans ?

Oui, Maître Brusa et Maître Di Vizio ont montré leurs limites. Mais peut-on vraiment attendre que deux avocats portent sur leurs épaules notre soif de justice et de réparation pour tous les préjudices que nous subissons depuis trois ans ? À chacun de les suivre pour ce qu’ils apportent à notre réflexion commune en restant lucide lorsque que leurs prises positions semblent en contradiction avec celles qu’ils ont précédemment défendues.

Parmi les internautes pionniers dans cette résistance, certains ont des réactions évoquant un peu le « syndrome de Stalec ». Fin 2020, ce fan du Professeur Raoult était devenu une référence sur Twitter. Du jour au lendemain il a totalement retourné sa veste ce qui a suscité beaucoup d’interrogations. Prenant un nouveau pseudo, il s’est fait le promoteur du discours de la secte des Nofakemed remettant en cause toutes ses anciennes affirmations.

Quoique moins radicale, la polémique actuelle sur la présence ou l’absence de graphène dans les produits injectés prend un peu cette tournure. Cette polémique est inutile lorsqu’elle n’est pas portée par des experts munis de leurs microscopes et des études qui étaient leurs propos. Sinon, ça revient à un débat pour ou contre sur un sujet que nous ne maîtrisons pas.

Nous assistons désormais à des procès d’intention et une chasse aux sorcières supposées faire partie de l’opposition contrôlée. Ça ressemble à L’Inquisition ou encore des procès staliniens. Sous la Terreur, la guillotine envers les supposés traîtres aurait réglé la question des suspects..

J’ai reproché au Professeur Raoult d’avoir voulu réserver ce vaccin-poison aux plus âgés et aux plus fragiles. Très déçue, je n’ai pourtant pas parlé d’opposition contrôlée. Il était évident qu’il cherchait un compromis pour son maintien à l’IHU de Marseille ou pour la survie de l’IHU et de son équipe. On aime ou pas cette attitude, mais elle est humaine.

Dernièrement, j’ai vu s’amorcer une campagne de dénigrement d’Alexandra Henrion Caude après le succès de son livre : « Les apprentis sorciers ». Des rumeurs détestables allant fouiner dans ses tweets passés, des supposées raisons de suspicion. Alexandra a pris le risque de compromettre sa carrière et ruiner sa réputation auprès de ses pairs. Certains se font une joie de taper sur une consœur tant le milieu de la recherche est encore un peu trop sous la domination masculine.

Je regrette qu’Alexandra n’ait pas persévéré dans le fait d’affirmer que ces produits à ARNm ne sont pas des vaccins. C’est dommage, mais je ne la juge pas. Pourquoi des personnes aussi exposées depuis trois ans devraient-elles être les seules à prendre les coups (parfois bien pire que les coups) ?

Pourquoi vouloir que les personnes qui ont combattu avec dès le début de la guerre du Covid aient un CV limpide et « complotissement correct » ?

Il y a quelque chose de malsain à vouloir mettre en évidence leurs relations privées ou de les assimiler à un membre de leur famille. Fouiner jusqu’au nauséabond pour salir des personnes exemplaires me fait penser aux concierges qui sous l’Occupation épluchaient le courrier des locataires pour dénoncer ceux qui leur paraissaient suspects.

Martine Wonner était députée LREM. Si elle n’avait pas bougé, elle aurait pu confortablement se faire réélire en 2022. Par son engagement, elle a tout perdu : sa place de députée et le droit d’exercer sa profession de psychiatre pour refus de l’injection expérimentale. Elle a été poursuivie par l’Ordre des médecins pour ses prises de position en tant que députée.

Louis Fouché réunit toute la gauche contre lui. Il n’exerce plus la médecine, mais on lui prête encore des intentions inavouables. Il est l’homme à abattre. Pourquoi ?

Qui sommes-nous pour juger du passé, des liens d’amitié des gens qui combattent avec nous ? Lorsque l’on n’a même pas le dixième du courage de ces personnes qui s’engagent totalement, il n’y a aucun mérite à accuser, dénigrer, faire courir des rumeurs.

Il n’y a pas de profil type du héros. Du jour au lendemain, n’importe lequel d’entre nous peut devenir un héros ou un salaud. Les périodes de crise nous révèlent.

Un repenti de Pfizer démontrant le danger des injections peut être plus utile à notre cause que des gens qui sur Twitter se contentent d’accuser les opposants contrôlés.

Mais alors, l’opposition contrôlée n’existe pas ? Je penserais plutôt à une opposition autorisée. Autorisée par qui ? Dans quelles limites ?

Des pressions existent pour limiter les propos dangereux pour le pouvoir en place. Ceci signifie que les gouvernants permettent à une partie de la vérité d’émerger comme on laisse un filet de vapeur s’échapper d’une cocotte minute.

Un certain nombre de choses ne peuvent pas être dites notamment si elles sont prouvées et diffusées largement, car trop déstabilisantes pour le pouvoir. Il y a un point de bascule qui semble difficile à franchir : par exemple, la vérité sur nombre de victimes des injections, la véritable contenance des flacons), la contrainte de l’injection d’un produit en phase d’essai devenu « vaccin » par une pirouette sémantique. Si toute la population connaissait ces informations, elle exigerait la démission et le jugement des coupables. Les plans du Nouvel Ordre Mondial s’effondreraient, car les gens prendraient conscience des intentions criminelles de l’élite mondialiste.

Pourquoi les gens les plus en vue hésitent-ils parfois devant ce point de bascule ? L’autocensure nous permet d’intérioriser la censure des réseaux sociaux avec pour conséquence le risque d’autocontrôle de nos pensées. La peur d’être assimilés à des complotistes, antisémites ou fachos entretient la plus sournoise de la censure.

Si nous modérons nos propos sur les réseaux sociaux pour ne pas risquer la suspension de notre compte, comment ne pas comprendre la retenue partielle des personnes les plus exposées ? Il n’existe pas de sauveur providentiel. C’est à chacun de nous qu’il incombe de partager les informations que nous avons et de contribuer l’émergence de la vérité et de la justice.






Changer le Système ?

Par Joseph Stroberg

Si par « Système » on entend l’organisation de la vie collective humaine et ceci plus particulièrement à notre époque et donc dans ses circonstances actuelles, dans quelle mesure et de quelle manière peut-on alors le changer volontairement ? Est-il humainement faisable et facile de changer la forme des gouvernements, les institutions administratives, financières ou juridiques diverses, le tissu économique, les bases culturelles et éducatives, etc. qui à eux tous représentent le Système ?

L’Histoire et la mémoire humaine tendent à indiquer que cette vie commune ou d’ensemble a déjà changé de forme et d’expression selon les lieux et les ères. Cependant, ces changements apparaissent le plus souvent aux historiens comme fortuits ou involontaires, résultats d’événements extérieurs, éventuellement catastrophiques, de concours de circonstances qui peuvent demander de nouvelles formes de réponses et d’organisation, rarement ou jamais le fruit d’une volonté collective exprimée dans une direction bien définie.

Par contre, de nos jours, il existe d’un côté une petite minorité puissamment organisée qui cherche à « réinitialiser » la société, voire la civilisation entière, sur un modèle qui en gros conserverait pourtant le pire du système actuel pour le peuple et offrirait ainsi son meilleur matériel aux élites dominantes. Et d’un autre côté, une autre minorité, en volume croissant, n’en peut plus de la situation, et peut en venir non pas à vouloir changer « le » Système pour en faire une énième variante tout aussi dysfonctionnelle que les précédentes, mais souhaiterait même carrément changer « de » système. Malheureusement, elle ne sait pas vraiment quoi créer d’autre ou comment le faire, à part quelques rares individus qui ont une idée plus précise de ce qu’ils souhaitent. Néanmoins, elle ne veut surtout pas du modèle proposé par la première minorité. Est-ce qu’au moins l’une d’elles est susceptible de concrétiser son objectif ?

Un système d’organisation collective humaine peut trouver deux sources principales d’inspiration : l’une que l’on qualifiera ici de « verticale », d’origine cosmique, spirituelle, ou encore « divine » ; et l’autre qualifiée d’« horizontale », de conception matérialiste ou artificielle. Paradoxalement, chacune portant sa croix, la seconde est fortement hiérarchique en disposition pyramidale verticale, avec les dominateurs tout au sommet et les esclaves à la base. Mais la première offre à chacun la même chance de s’exprimer et de vivre, considérant tous les individus sur un pied d’égalité, sans qu’aucun ne cherche à dominer les autres. Au contraire, les idées de service et d’humilité dans ce service y sont mises en avant : le vrai « roi » sert son peuple, mais ne se fait pas servir par lui.

Le premier système est verticalement relié au divin et agit horizontalement. Le second est horizontal matérialiste, mais agit verticalement, en écrasant la base. Comme l’écrasement ne pourrait se faire sous le seul poids de l’infime minorité du sommet, la verticale est découpée en une série de niveaux hiérarchiques de plus en plus « bas », caractérisés chacun par un nombre d’individus inversement proportionnel au pouvoir et à la liberté d’action dont dispose chaque membre de cet étage. Comme le second niveau depuis le haut compte plus d’individus que le premier, mais comme chacun de ces derniers dispose de moins de pouvoir (et se laisse écraser par les individus du sommet), le premier niveau se sert des individus du second pour écraser indirectement le troisième niveau, car par vengeance ou par simple continuité ou transfert de la même logique, les individus du second étage hiérarchique écrasent à leur tour ceux du troisième pourtant plus nombreux. Et ainsi de suite jusqu’au rez-de-chaussée où la base se trouve écrasée de proche en proche finalement par le sommet. Chaque niveau écrase celui immédiatement sous lui et se trouve écrasé par celui du dessus.

Une société matérialiste ne peut ainsi s’organiser que sur le modèle de la pyramide hiérarchique. Le poids du matériel est transféré progressivement aux étages inférieurs de la pyramide hiérarchique pendant que le sommet s’allège matériellement, en bénéficiant de nombreux privilèges, sous le prétexte d’avoir plus de responsabilités. Mais une société d’inspiration spirituelle ne peut s’organiser que sur le modèle de la croix debout : une inspiration verticale pour éclairer le monde ; l’égalité de traitement, de considération et des chances sur la branche horizontale ; le service et le sacrifice du « roi » ou du « messie » pour son peuple, à l’intersection des deux branches de la croix. Ce guide ou cet éclaireur ne s’y trouve pas plus privilégié matériellement que les autres et le seul privilège dont il dispose est celui de servir le plus grand nombre.

Tous les systèmes organisés par les êtres humains sont des expressions plus ou moins parfaites ou au contraire plus ou moins combinées de ces deux modèles de base. Plus l’Humanité se laisse inspirer par le divin, et plus elle développe l’approche de la croix tout en utilisant des analogies tirées de la nature en général ou de la forme humaine en particulier pour la mise en forme détaillée de sa société ou de sa civilisation. À l’inverse, plus elle développe l’approche matérialiste, et plus elle est artificielle, pyramidale, et tend à inverser les modèles proposés par la nature et à se forger une vision des choses opposée aux grands principes cosmiques. C’est ainsi, par exemple, qu’une humanité dominée par le matérialisme en est venue à croire que la nature reposait sur la compétition, la survie des plus forts, la « loi de la jungle », jusqu’à des niveaux microscopiques, au lieu de percevoir la fabuleuse coopération qui existe entre les myriades d’espèces vivantes, humaines, animales, végétales et même minérales, ceci effectivement jusqu’aux niveaux microscopiques. La maladie dans l’un de ces règnes provient d’un déséquilibre et ce dernier naît d’excès (ou d’empoisonnements) ou de déficiences dans l’acquisition, la distribution et/ou l’assimilation des ressources alimentaires ou énergétiques d’un ordre ou d’un autre.

Actuellement, le nouveau système voulu et promu par l’élite mondialiste est d’essence profondément matérialiste et artificielle. Pour la plus grande partie des populations du monde, il se traduit par une souffrance croissante sous le poids de l’écrasement par le sommet pyramidal. Celui-ci tend à monopoliser les ressources1 énergétiques, minérales, alimentaires, informationnelles (en en faisant des organes de propagande, de désinformation et d’abrutissement), éducationnelles (idem), culturelles (idem), etc. grâce aux échelons intermédiaires qui collaborent, volontairement ou aveuglément, au processus de « réinitialisation ». L’inversion de la Création ou des lois cosmiques se traduit en particulier par la montée de la théorie du genre et du transhumanisme et par la destruction croissante des religions et des valeurs traditionnelles qui avaient déjà perdu depuis des siècles leurs fondements au profit de la lettre et des codes (idéologiques, superstitieux, juridiques… et plus récemment informatiques et normatifs).

En réalité, l’élite mondialiste ne veut surtout pas changer le Système, et encore moins changer de système. Elle s’efforce seulement de le redémarrer avec un ensemble de conditions qui lui soient encore plus favorables qu’à l’époque de Nimrod et de la tour de Babel. Le chaos qu’elle produit lors du redémarrage n’est certainement pas pour elle, mais uniquement pour le peuple. Du moins si elle parvient à réaliser son plan jusqu’au bout. Elle veut toujours un monde basé sur les pyramides et le matérialisme, le culte du veau d’or qui lui a si bien réussi par le passé, les sacrifices humains, des enfants et des vierges pour en aspirer la vie… Elle se réserve des bases de repli, des abris antiatomiques, de véritables villes souterraines, et en surface des territoires immenses volés aux nations, les zones « protégées » où les individus ordinaires n’ont pas le droit d’aller. Elle a accaparé les ressources multiples de la planète, n’en laissant que des miettes aux milliards d’êtres humains du commun des mortels. Et ceux-ci n’ont guère bronché, car aveuglés, rendus sourds, fainéants, oisifs et abrutis, non seulement par le pain et les jeux, mais aussi par un petit confort matérialiste auquel ils s’attachent, par la destruction des grandes religions, par la propagande éducative, par l’encouragement au vice, par la déresponsabilisation, par les sortilèges modernes qui les maintiennent dans la peur, la confusion, les mirages et l’illusion…

Si certains êtres humains désirent ou veulent plus ou moins ardemment changer complètement de système et ne surtout pas risquer de retomber dans l’un des vieux schémas éculés, ils doivent se donner les moyens de le faire et cette fois abandonner les pyramides, pour viser la croix. L’Église Catholique Romaine a peut-être cru que donner aux églises de pierre une forme de croix suffirait à amener le règne d’un Christ, d’un Messie ou d’un Grand Monarque sur Terre. Cependant, celle-ci était couchée, tombée sur le sol, déracinée, sans plus de dimension verticale, et finalement réduite symboliquement au matérialisme concrétisé par les pierres, alors que l’Église du Christ était faite d’Hommes de chair et de sang. À un moment de cette aventure chrétienne déracinée, peut-être sous l’impulsion de quelques-uns des nombreux saints qui survivaient malgré tout en terre de France, la fille aînée de l’Église, on tenta de redonner une dimension verticale aux églises de pierre en érigeant alors les cathédrales gothiques. Cela ne fut visiblement pas suffisant, car ce pays connut ensuite la Révolution matérialiste. Cette dernière décapita d’abord la royauté — le lieutenant du Christ en terre de France — en 1793, avant de décapiter ensuite la bête ecclésiale de pierres elle-même, en 1798. Le tyran napoléonien lui enleva son terrain de chasse et la blessa mortellement en enfermant le pape.

S’il existe effectivement un Créateur, bien des chrétiens en général, et des catholiques en particulier, peuvent se demander comment un tel fait a été rendu possible si la France était bien la fille aînée de l’Église et si en le sein du Catholicisme romain subsistait encore au moins quelques traces d’esprit christique grâce notamment à des saints, à des prêtres de campagnes à forte vocation, ou encore à des moines serviteurs retirés en leur monastère. Eh bien, est-ce que cette Église de pierres suivait les traces et les enseignements du Christ, surtout aux plus hauts niveaux de sa pyramide hiérarchique ? Se montrait-elle humble, réellement charitable (et donc matériellement désintéressée), parangon d’amour et de pardon ? Qu’en était-il avec par exemple l’inquisition, les croisades, l’extermination des Albigeois ou encore le bûcher de Jeanne d’Arc ? Qu’aurait dit ou fait le Christ en voyant de tels « œuvres » ? Ne disait-il pas que l’on reconnaît l’arbre à ses fruits ?

La Création ne s’est pas opposée à la blessure mortelle du Catholicisme Romain, parce que celui-ci s’était dangereusement écarté de sa source christique. La Révolution française et Napoléon ont ainsi largement contribué au fait que nombre de Français confondent maintenant le christianisme originel avec sa déflexion catholique romaine au point que certains sont devenus de purs matérialistes ou que d’autres haïssent les chrétiens sans distinction. Maintenant, quel rapport avec la possibilité ou non de changer de système ? Eh bien, ceci a été mentionné ou au moins esquissé : pour réellement changer de système, comme l’actuel est basé sur la pyramide depuis plusieurs millénaires, l’alternative est de baser le nouveau sur la croix. Et tant qu’à faire, autant profiter de la voie indiquée il y a 2000 ans.

Les fondements de l’enseignement du Christ sont l’Amour, le Pardon, la Charité et l’Humilité. Et nul être humain ne peut réclamer le système alternatif à l’actuel s’il ne démontre pas lui-même suffisamment de telles qualités ou manières d’être et de se comporter. Il doit devenir le changement qu’il réclame pour la société. De manière naturelle, lorsqu’un volume suffisant d’êtres humains suivra une telle voie démonstratrice au niveau individuel, alors le changement civilisationnel se fera spontanément et en douceur. Ou bien, la condition sera présente pour qu’un changement soudain et plus ou moins miraculeux ou surnaturel se produise. « Aide-toi et le Ciel t’aidera ». Cela vaut aussi pour l’Humanité comme être collectif.

Les variations autour d’un système de type croix sont aussi nombreuses que celles qui ont pu avoir lieu principalement d’après la pyramide. L’Humanité n’aura que l’embarras du choix pour peaufiner la ou les formes de gouvernements, d’institutions, d’organisations ou de communautés diverses à adopter dans son Nouveau Monde radicalement différent du Nouvel Ordre Mondial. Chaque nation, chaque région, chaque groupe devrait alors être en mesure de s’autodéterminer et de choisir la forme qui lui convient le mieux. Ils seront tous libres d’en changer en fonction des circonstances. Et si par malheur certains d’entre eux voulaient de nouveau expérimenter des formes pyramidales, il conviendrait tout au plus de chercher à les en dissuader par la discussion raisonnable, leur rappelant les souffrances qui généralement en découlent (à part éventuellement pour ceux du sommet). Si nous avons été créés dotés de libre arbitre, il y a peu de chances que ce soit pour restreindre la liberté d’autrui.

Un nouveau système basé sur la croix, dans lequel l’Humanité se met à l’écoute de sa dimension spirituelle, se laisse ainsi inspirer par le divin, s’accompagne par essence du respect de la liberté individuelle et collective, ce qui se traduit notamment par la souveraineté aussi bien des nations que des divers groupes humains jusqu’au niveau individuel lui-même. Nul ne cherche plus à imposer sa volonté, ses idées ou ses croyances à d’autres, car le faire ferait automatiquement retomber dans les hiérarchies pyramidales oppressantes. Cependant, une telle liberté reste illusoire, factice ou seulement très temporaire si elle n’est pas fondée à la fois sur la responsabilité et sur la vérité, car l’irresponsabilité et le mensonge la détruisent plus ou moins rapidement.

Un individu irresponsable, par exemple lorsqu’il ne peut pas ou ne veut pas se préoccuper des conséquences possibles de ses choix et de ses actes (y compris de ses paroles), ou qui laisse porter aux autres ce qui devrait relever de sa propre responsabilité permet ainsi ou demande inconsciemment aux autres de décider à sa place, lui enlevant donc automatiquement la partie correspondante de liberté qui se trouve désormais assumée par autrui. C’est d’ailleurs la raison fondamentale pour laquelle les individus qui cherchent à se propulser au sommet des pyramides hiérarchiques mettent en œuvre des moyens ou des techniques pour amener les peuples à se comporter de manière de plus en plus irresponsable (notamment par la stimulation de la frivolité, de l’infantilisation et de l’addiction à des drogues) ou à réclamer la sécurité matérielle au détriment de leur liberté (par la stimulation de la peur, notamment via le terrorisme d’État, des psyops [opérations psychologiques] ou divers récits ou contes de fées plus ou moins terrorisants, comme le récent de la Covid…). En procédant ainsi, ils volent la liberté des autres ainsi d’ailleurs que leurs capacités créatrices afin d’en profiter des fruits. Ces individus se comportent comme des parasites prédateurs et n’ont aucune volonté de fonctionner de manière harmonieuse et symbiotique avec le reste de l’Humanité.

Un individu qui s’enferme dans le mensonge construit de fait une prison mentale qui peut s’accompagner d’une prison affective ou émotionnelle, surtout si la culpabilité, la honte, la peur d’être « découvert » ou d’autres sentiments négatifs s’en mêlent. C’est la raison fondamentale pour laquelle une liberté réelle ne peut s’obtenir dans ou par le mensonge. À l’inverse, la vérité nous affranchit.

« Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres. »

Jean 8:32

La France est le pays des Francs, littéralement « les hommes libres », affranchis du mensonge. Elle est considérée par certains juifs et par certains chrétiens comme la seconde Jérusalem. Fille aînée de l’Église du Christ, elle est la terre des Français, ou des « François » en ancien français. Eh théorie, elle est donc particulièrement prédisposée à accueillir la Jérusalem céleste (Apocalypse 21.9-22,5), que l’on peut voir comme un nouveau système d’organisation humaine inspiré non plus sur la pyramide, mais sur la croix (qui est aussi un cube déplié ou « déployé ») :

Si l’on s’en tient aux dimensions exprimées par Jean de Patmos dans son texte prophétique et qu’on veut y voir une interprétation au moins partiellement concrète, alors la taille d’un côté du cube étant d’environ 2200 kilomètres, cela déborderait bien sûr la taille de la France seule et la surface d’une de ses faces représenterait environ 4,84 millions de kilomètres carrés, soit un peu plus que celle de la stricte Europe actuelle. Et si l’on considère la superficie totale du cube, soit 6 fois plus ou encore 29 millions de kilomètres carrés, cela pourrait inclure la totalité de la Russie et du Proche-Orient. En traduction plus symbolique, ceci pourrait signifier que la matérialisation de la Croix démarrant en France se propagerait dans un premier temps à l’Europe entière, puis déborderait sur le reste de la Russie, du Proche-Orient, et possiblement de l’Afrique du Nord, avant de se répandre sur la Terre entière. Aussi sûrement que le modèle antichristique imposé par la Révolution Française a fini par contaminer la planète entière, un réel nouveau système reposant enfin sur autre chose que la pyramide pourrait gagner le monde entier à partir de ce même pays.

Bien des êtres humains en général et des Français en particulier se plaignent de leurs gouvernements, de leurs leaders politiques, de leurs institutions, etc. sans réaliser la cause profonde de leur état corrompu. Ils ne peuvent pourtant pas réclamer et surtout obtenir un nouveau système s’ils ne réunissent pas auparavant les conditions nécessaires et suffisantes pour cela. L’une d’elles est d’accepter de voir la réalité en face, ceci en déchirant les voiles de l’illusion matérialiste et les multiples mensonges qu’elle a produits. Une autre est de se reconnecter à son âme et à sa dimension spirituelle. Une autre encore est de devenir soi-même le changement que l’on souhaite voir apparaître dans le monde. Et en fait, la seconde favorise les deux autres et elle tend à nous faire suivre spontanément l’exemple du Christ ou la voie du Bouddha et d’autres grands sages du passé qui au final aboutissent au même résultat : la libération par l’éveil au Réel et par le déploiement des qualités divines en l’Homme. Le bourgeon se transforme en fleur, puis en fruit. La chenille se transforme en papillon. Le plomb se transforme en or. Les ténèbres sont dissipées par la lumière.

On ne peut pas réclamer de l’Univers, de Dieu ou des autres ce que l’on n’est pas prêt soi-même à offrir. Si l’on souhaite une vie collective harmonieuse, il est nécessaire de commencer par trouver l’harmonie, et notamment la santé, en soi-même, car la maladie, y compris mentale ou affective, est le signe d’un déséquilibre, d’un manque d’harmonie : on absorbe trop de certaines choses, mais pas assez d’autres ; et souvent, on ne donne pas suffisamment. La vie sur Terre pourrait devenir une sorte de petit paradis, car cette planète est merveilleuse de vie et de beauté. Mais tout ce que l’Homme a trouvé à faire a été de la blesser, de l’enlaidir, de la corrompre, par paresse, avidité, recherche du confort, égoïsme… Et maintenant il se plaint, il souffre, il subit les conséquences de ce qu’il a produit par le passé. Il veut changer de Système : la forme des gouvernements, de l’économie, de la justice, de l’éducation, etc. Il doit commencer par se laver, par enlever sa propre corruption, par ouvrir ses oreilles, ses yeux, son esprit et son cœur. Aide-toi, le Ciel t’aidera.



1 Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources




Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

[Source : gibraltar-messenger.net via nicolasbonnal]

Ricardo Delgado :

« Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Entretien avec Ricardo Delgado, biostatisticien, fondateur et directeur de La Quinta Columna
(à propos de l’oxyde de graphène dans les « injectables » et de son utilité).

Par Magdalena del Amo

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues [épidémiques] et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes [5G] irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.

[Voir aussi :
TROIS ANS D’AVENTURE COVID résumés en 1600 mots,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid,
Le dossier Vaccins et virus avec notamment ses nombreux articles qui déglinguent la théorie virale,
Le dossier 5G et ondes pulsées dont
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux.]


Introduction spéciale de la Conférence –
Conférence de La Quinta Columna : Les jeux sont faits (19 mars 2023)
Liens directs plus bas, après l’interview.




Ricardo Delgado nous [à Gibraltar Messenger] a aimablement accordé cette interview qui, nous l’espérons, éclaircira certains doutes de nos lecteurs.

Magdalena del Amo : Au début de cette situation appelée pandémie, vous avez cru, comme beaucoup d’autres personnes, que la cause était un virus très contagieux et que la réponse nous viendrait des biologistes. En fait, ils ont commencé à nous mettre en garde contre l’ARNm et les protéines de pointe. Quand avez-vous compris qu’il fallait changer d’optique, que la vérité était ailleurs ?

Ricardo Delgado : Nous avons compris que les réponses directes ne pouvaient venir que d’un seul endroit : l’observation directe par l’analyse des « vaccins ». La médecine et la biologie ne pouvaient guère expliquer les dommages, car elles ne connaissaient pas la véritable cause qui en était à l’origine. En revanche, des disciplines comme l’épidémiologie nous ont donné les clés. Cela a été confirmé par le fait que la « maladie à la mode » et les premiers cas de ce qu’ils ont appelé « coronavirus » ont été enregistrés dans la ville chinoise de Wuhan, à partir du 30 novembre 2019 ; précisément, la première ville du monde choisie en temps et en lieu pour l’allumage technologique du réseau 5 G.

À ce jour, nous savons, grâce à l’analyse pionnière des produits injectables réalisée par La Quinta Columna et d’autres analyses ultérieures, ainsi qu’à celles effectuées dans d’autres parties du monde, que les échantillons ne contiennent AUCUN matériel biologique. Il est évident que la plate-forme ARNm et l’affectation de la fameuse protéine spike n’étaient que des écrans de fumée destinés à détourner les recherches de tous ceux qui ont analysé les « vaccins » in situ.

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?]

Ricardo Delgado explique au public : « Ce qu’ils ont appelé Covid-19
est l’interaction de ce matériau non déclaré avec la biologie. »

Lorsque le graphène, inoculé et étiqueté comme « vaccin », entre en contact avec le sang, il génère la formation d’une couronne biomoléculaire de protéines. La fonction de cette couronne de protéines est de protéger notre biologie de l’introduction de matériel étranger pour le faire passer inaperçu. Cependant, certains groupes la qualifient de toxique et l’associent à la protéine spike. Une fois de plus, dans le seul but de détourner l’attention de l’origine de tous les dommages en biologie, puisque le mal est causé par la cause — le graphène — et non par sa conséquence — la couronne de protéines.

[Voir aussi :
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène]

M del A : Partant du principe que la grande majorité des lecteurs abordent cette information pour la première fois, je voudrais décomposer les points les plus importants de la situation que nous vivons et, en particulier, du contenu des « vaccins ». Ce qu’ils ont découvert dans La Quinta Columna est alarmant. Comment en sont-ils arrivés à ces conclusions et sur quelles bases ?

R D : Nous nous appuyons sur les preuves corroborées par l’observation, sur le principe directeur de la méthode scientifique, sur l’utilisation d’outils scientifiquement validés pour connaître et caractériser ce que nous observons. Nos recherches ont été corroborées dans différentes parties du monde, ce qui nous a permis d’établir un modèle prédictif qui nous a même permis d’anticiper plus facilement ce qui allait se passer.

M del A : Ils ont trouvé de l’oxyde de graphène réduit dans les flacons, mais beaucoup en doutent et d’autres le nient. Pourquoi est-ce devenu un sujet tabou ?

R D : Les preuves de l’existence de l’oxyde de graphène réduit dans les inocula sont claires et ont été corroborées dans d’autres parties du monde par différents types de caractérisation, tels que la microscopie optique en champ clair et en champ sombre, les tests électroniques SEM et TEM, les tests de compatibilité avec l’absorption ultraviolette, la diffraction des rayons X, la comparaison optique avec les images du motif, les techniques de fluorescence et, surtout, la caractérisation par vibration RAMAN par balayage électronique, offrant la vibration RAMAN ou les pics caractéristiques de l’oxyde de graphène réduit.

Ricardo ouvre un flacon de Pfizer scellé et dépose une goutte
sur la plaque de verre du microscope, puis l’observe, devant le public.

M del A : Tout ceci est très technique et il faudrait suivre un cours pour le comprendre ; mais venons-en à la pratique : nous sommes face à un matériau quasi magique, inconnu jusqu’à récemment, doté de caractéristiques spectaculaires. Quelles sont ces qualités ?

R D : Lorsque l’on passe en revue la toxicité ou la biocompatibilité présumée du matériau en biologie humaine, la littérature scientifique est également très claire. Le graphène ou ses dérivés, comme l’oxyde de graphène réduit, possède des propriétés intrinsèques, notamment supraconductrices, magnétiques au contact des cellules vivantes, piézoélectriques, de haute capacité, radiomodulables, flexibles et transparentes.

[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Sa capacité supraconductrice explique son affinité pour les organes éminemment électriques, tels que le système cardiaque et le système nerveux central, lire les neurones et la moelle épinière.
Le magnétisme acquis au contact des molécules organiques explique le phénomène magnétique apparu chez les personnes à qui l’on a inoculé le matériau.
En raison de sa qualité piézoélectrique, l’excitation du matériau pour générer de l’électricité sous n’importe quelle pression, qu’elle soit acoustique, de poids de l’eau ou autre, est expliquée.

[Voir aussi :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive]

La capacité du matériau est telle qu’il est actuellement utilisé pour la construction de batteries de pointe. Cette qualité lui permet de condenser l’énergie obtenue à partir de foyers externes. Ceci, ajouté à sa présence dans des organes vitaux comme le cœur, signifie que les décharges électriques que le matériau condense peuvent interrompre le tissu de conduction électrique cardiaque, générant des arythmies et l’évanouissement classique (dû à un manque d’apport sanguin cérébral) qui, dans de nombreux cas, se termine par une mort subite.

Le fait que ce matériau soit radiomodulable indique clairement qu’il est excité par les micro-ondes. En bref, il agit comme un amplificateur ou un catalyseur de signaux de rayonnement électromagnétique, comme la 5G actuelle. Sa dureté extraordinaire — 200 fois plus dur que l’acier — fait que notre biologie choisit de l’expulser au lieu de le dégrader.

M del A : Expliquez la toxicité de l’oxyde de graphène, étayée par les multiples dommages qu’il produit dans l’organisme : curieusement, ce sont les mêmes que ceux attribués au Covid.

R D : Je dois souligner que nous devons tous comprendre que ce métamatériau étranger à la biologie ne peut être inoffensif en son sein. D’abord, le système immunitaire le traite comme s’il s’agissait d’un agent pathogène. Selon leur voie d’entrée dans la biologie, leur toxicité est relative.

M del A : Que voulez-vous dire exactement ?

R D : Lorsque l’oxyde de graphène pénètre dans notre biologie par voie intramusculaire, le système immunitaire agit contre lui avec un maillage de neutrophiles et de globules blancs. Lorsqu’il se retrouve dans le poumon, qui est une des voies d’élimination, il est attaqué par des enzymes comme la myéloperoxydase. Au contact du sang, il est enveloppé d’une couronne protéique appelée couronne biologique ou couronne de biodistribution moléculaire. La fonction de ces protéines structurelles est de l’envelopper pour qu’il passe inaperçu par la biologie humaine en raison de sa haute toxicité.

L’oxyde de graphène est un coagulant et, en fait, les éponges d’oxyde de graphène sont utilisées dans les traitements hémostatiques pour guérir les blessures. La coagulation facilite également l’effet Rouleaux de l’action des micro-ondes elle-même. (L’effet Rouleaux est un empilement littéral de globules rouges [érythrocytes] et une déformation de ceux-ci que nous observons actuellement dans le sang des personnes inoculées lors de séances de microscopie optique). Évidemment, après la coagulation, nous obtenons, en conséquence, tous les types de thrombogénicité, ce qui a contribué à la thromboembolie et aux accidents vasculaires cérébraux, ainsi qu’aux attaques ischémiques, aux accidents vasculaires cérébraux, aux crises cardiaques et à d’autres troubles.

La qualité radiomodulable de l’oxyde de graphène doit également être prise en compte. En amplifiant le rayonnement micro-ondes entrant, nous amplifions également les dommages qu’il cause à l’organisme.

M del A : Quelle est la première réaction de l’organisme à l’entrée du graphène ?

Delgado parle au public du Covid-19 et de l’inflammation.

R D : Le premier mécanisme de réponse est l’inflammation partout où le matériau passe dans notre biologie. C’est pourquoi on observe des myocardites, des péricardites, des myopéricardites, des inflammations pulmonaires… Il traverse également les systèmes d’épuration tels que le foie et les reins. Dans le foie, il génère une inflammation du foie (hépatite) et d’importants problèmes dans les reins — où il reste longtemps — lorsqu’ils filtrent le sang contaminé par le matériau. Il imprègne également le système nerveux central, par affinité supraconductrice, où il altère son fonctionnement, générant des paralysies de toutes sortes. Il enflamme les neurones, entraînant divers types de neuropathies, dont la perte de mémoire initiale, l’inattention, le brouillard cérébral ou les difficultés de concentration.

En amplifiant les dégâts des rayonnements micro-ondes non ionisants, il augmente considérablement le stress oxydatif, ce qui contribue au vieillissement prématuré et à l’apparition de divers types de cancers et de tissus tumoraux.

Dans les cellules reproductrices — et selon la littérature scientifique elle-même — il affecte la motilité et la mobilité des spermatozoïdes humains, réduisant drastiquement la fertilité masculine.

Il affecte également la régulation hormonale chez les femmes, contribuant ainsi à leur infertilité et générant le syndrome post-ménopausique.

M del A : Il est entendu que ce n’est pas la même chose de recevoir un « vaccin » que d’en recevoir quatre, puisque l’organisme élimine le graphène.

R D : C’est exact. Les dommages sont directement proportionnels au nombre de doses et à la quantité de radiations électromagnétiques que le matériau absorbe, ou à la quantité d’exposition ciblée aux micro-ondes que l’inoculé reçoit.

Tous ces dommages, et d’autres que nous n’avons pas mentionnés, ne sont pas seulement la cause de la surmortalité actuelle due à ces pathologies, mais ont été clairement identifiés dans la littérature scientifique depuis des années, lorsque la cytotoxicité, la génotoxicité, la biocompatibilité et la biodistribution de l’oxyde de graphène en biologie sont passées en revue. Y compris le fameux « poumon Covid » qui n’est qu’une pneumopathie ou une inflammation pulmonaire, comme l’un des moyens d’éliminer le matériau, contribuant à la dyspnée — difficulté à respirer — et à la bronchiolite que nous voyons tous les jours.

M del A : Et tandis que la société continuait à s’effrayer d’un virus inexistant, médiatisé par des politiciens et des journalistes, La Quinta Columna, avec vous à sa tête, avait déjà découvert le véritable meurtrier de ce complot.

R D : En effet, La Quinta Columna a découvert et démontré cet empoisonnement prémédité de toute la société avec de l’oxyde de graphène réduit, alors que les institutions parlaient d’un « coronavirus » que, jusqu’à ce jour, personne n’a vu.

[Voir aussi :
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
L’invention du SARS-CoV-2
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène]

M del A : Il ne fait aucun doute que nous parlons d’une étape importante, d’une découverte vitale et transcendante, non seulement pour l’humanité actuelle, mais aussi pour celle de l’avenir dans sa transition vers le transhumanisme. Mais pourquoi cela ne parvient-il pas à la connaissance du grand public ou, si c’est le cas, c’est accompagné d’un certain scepticisme ?

Au cours de la conférence, Richard Delgado fait le lien
entre les décès dans les maisons de retraite et la campagne.

R D : Les preuves présentées sont connues d’un grand nombre de personnes dans le monde, mais il est vrai qu’elles n’ont pas pénétré la société dans la mesure nécessaire. Nous avons montré que ce matériel a été introduit massivement lors de la campagne de grippe de 2019, dont la population directe était les personnes âgées des résidences ou les gériatres, ce qui a contribué à la grande extermination des personnes âgées, qui faisait partie de ce qu’ils ont appelé la « première vague ».

Nous avons également démontré que ce qu’ils ont appelé « épidémies » et « vagues » n’est rien d’autre que la conséquence de l’augmentation des radiations environnementales au moyen d’antennes téléphoniques [3G, 4G, 5G…], dont les micro-ondes excitent l’oxyde de graphène (radiomodulable) pour générer davantage de stress oxydatif et, en fin de compte, tous les dommages précédemment observés en biologie. Et, malgré tout, une grande partie de la société ne le sait toujours pas.

M del A : Pensez-vous qu’il s’agit d’une pure dissonance cognitive ou d’autre chose ? Y a-t-il quelque chose qui nous échappe ?

R D : À mon avis, il y a des facteurs importants qui expliquent que ces preuves n’aient pas été mises en lumière par leur propre poids, mais permettez-moi de laisser cela pour la fin.

M del A : Comme vous voulez. Continuons à parler du matériau : pourquoi introduisent-ils de l’oxyde de graphène réduit dans cette « chose » qu’ils appellent vaccin ?

R D : C’est la grande question à laquelle nous trouvons également une réponse, précisément par le biais d’institutions officielles de très haut niveau et par l’examen de la littérature scientifique elle-même.

Nous avons mentionné précédemment la nature magnétique du graphène en contact avec des molécules organiques, n’est-ce pas ? Eh bien, si nous disposons d’un support magnétique en biologie et, de surcroît, supraconducteur — en affinité avec le cœur et les neurones —, nous avons la possibilité d’y lire et d’y écrire des informations, comme sur un disque dur (d’ordinateur*). Au niveau neuronal et dans le domaine des neurosciences, la lecture d’informations est un contrôle ou une supervision neuronale. L’écriture d’informations sur ce support magnétique — qui est de l’oxyde de graphène réduit — imprégnant les neurones est connue sous le nom de neuromodulation ou neurostimulation. Il s’agit de la capacité d’introduire ou d’insérer des pensées (instructions) ou de modifier des modèles de comportement humain à distance et sans fil (micro-ondes scalaires et millimétriques). Au niveau du système cardiaque, on parle également de biocapteur du cœur ou de stimulation du cœur à distance.

[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Biocontrôle : du cauchemar à la réalité
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins
Nanotechnologie et « vaccins »
Transformation cybernétique de l’Humanité
Le but démontré des injections antiCovid]

* Note du Messager de Gibraltar :

Le chemin du retour ou l’affrontement du feu

3:31 Le corps humain n’est rien d’autre qu’un ordinateur organique vivant très sophistiqué (selon les normes humaines), qui s’autoreproduit et s’autorépare (s’il n’est pas trop endommagé). Il s’agit d’une combinaison d’ordinateurs plus petits, par exemple le cerveau, les reins, le foie, etc., qui constituent collectivement l’ensemble, préprogrammé pour avoir des instincts animaux égoïstes, que votre âme doit apprendre à surmonter. Le cerveau humain physique fait fonctionner le corps et ses émotions, mais l’esprit et les sentiments appartiennent à l’âme. C’est pourquoi Jésus a dit que la chair n’a aucune valeur et que seul l’esprit (l’âme — le VRAI vous) a de la valeur (Jean 3:6 ; Jean 6:63).

3:34 Le Saint-Esprit, ou voix g(o)od [« good » : bon. Et « god » : dieu.], est implanté à l’intérieur du corps animal humain, avec l’âme et relié à elle. C’est la connexion télépathique de l’âme avec Dieu. Pour essayer de simplifier les choses, pour que vous puissiez comprendre plus facilement, si vous pouvez penser, pour un moment, à Dieu comme étant comme un maître-ordinateur et une banque de mémoire (fontaine de connaissance) ; avec le Saint-Esprit, comme la connexion de l’âme et le terminal d’ordinateur personnel, relié au maître ; par lequel, chaque âme est informée et enseignée en privé, individuellement et personnellement, ce qui est bon et ce qui est mauvais, par le Seigneur ; alors vous aurez une meilleure compréhension de la façon dont les choses fonctionnent.

[Voir aussi :
Mettez au régime votre IA (Intelligence Artificielle)]

3:35 Vous pouvez demander et recevoir des informations de Dieu en apprenant à utiliser votre connexion télépathique (le Saint-Esprit — 1 Jean 2:27). « Cherchez et vous trouverez », mais SEULEMENT si vous cherchez de TOUT votre cœur (Jér. 29:13), et avec l’humilité d’un enfant.

3:36 Malheureusement, tout ce que vous faites, c’est de lui demander de vous donner ceci ou cela, ou de faire ceci ou cela pour vous. Vous ne lui demandez JAMAIS ce que VOUS pouvez faire pour lui, n’est-ce pas ? N’est-ce pas très égoïste et unilatéral ?

3:37 L’autre voix, que tout le monde a dans la tête et sait parfaitement que c’est le mal, est évidemment la voix du Diable.

M del A : Apparemment, tout cela éclot soudainement, mais il semble qu’il y ait un plan méticuleusement établi qui synchronise plusieurs fronts.

R D : En effet. Toute cette recherche et sa propre littérature scientifique sont présentes au moment même où des personnages tels que l’ancien président du Chili, Sebastian Piñera, parlent d’« insertion de pensées, d’insertion de sentiments et de surveillance neuronale » le jour de l’appel d’offres pour le réseau 5 G. Dans le même temps, la Constitution chilienne est modifiée pour tenir compte de la « loi sur les droits neuronaux », et des dizaines de millions de stations de base et d’antennes téléphoniques sont déployées dans le monde entier. Et, entre autres événements, le directeur du Forum Économique Mondial lui-même nous parle des biocapteurs dans le cerveau d’ici 2030, de la « montée du transhumanisme » ou du nouvel être humain « Human 2.0 », du « cloud » et de « l’intelligence artificielle ».

[Voir aussi :
À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Une emprise sur l’Humanité]

M del A : Tout indique que nous sommes sur la voie du transhumanisme, ou de la fin de « l’ère humaine », comme le dit José Luis Cordeiro. Ne trouvez-vous pas cela terrifiant ?

R D : En effet, c’est terrifiant, c’est la pire chose qui soit arrivée aux êtres humains dans toute leur histoire. L’objectif est plus que clair : transhumaniser tous les êtres humains en un minimum de temps, malgré les graves dommages et effets secondaires de cette technologie sur les comportements neuromodulaires et de neurostimulation, en plus de la supervision de tous les individus directement à partir de leurs neurones. Bref, la perte totale de l’espèce humaine actuelle. C’est-à-dire la disparition de l’humain actuel pour le transformer en « autre chose », privé de son essence, de son libre arbitre, de sa capacité à penser par lui-même et de sa tendance naturelle à la spiritualité. Et pour cela, le matériau qui sert d’INTERFACE est l’oxyde de graphène réduit. C’est la grande CLÉ. C’est pourquoi ils essaient de le nier ou de l’ignorer de toutes sortes de manières.

M del A : Nous avions laissé pour la fin sa réponse sur les raisons pour lesquelles cette importante découverte n’a pas été révélée, qui plus est, sous la forme d’un grand scandale. Quels sont les facteurs qui ont influencé et continuent d’influencer cette dissimulation ?

R D : Il y a plusieurs facteurs. Le premier et le plus évident est le contrôle que les gouvernements exercent sur les institutions dont ils ont la charge, notamment les médias, les établissements de santé, le système judiciaire, les syndicats, etc. Cela leur permet de mener à bien leurs programmes, parfaitement planifiés à l’avance. Mais il y a un autre facteur clairement exposé et que certains, apparemment dissidents, ne veulent même pas mentionner.

Il s’agit du concept de dissidence contrôlée, de fausse dissidence ou de faux dissidents. Il s’agit de personnes qui prétendent œuvrer pour la dissidence et la clarification de la Vérité, mais qui, néanmoins, introduisent toutes sortes d’obstacles pour qu’elle ne soit pas mise en lumière. Ce phénomène a été introduit dans toutes sortes de guerres. Et je ne dévoile rien de nouveau si je dis que nous sommes dans la pire des guerres, où l’ennemi à abattre est l’être humain lui-même.

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton
Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?
L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement]

M del A : Peut-on dire qu’il s’agit d’une action de contre-espionnage et qu’il existe un protocole d’action qui, dans ce cas précis, fonctionne ?

Ricardo Delgado sur le mal qui se cache derrière l’intention.

R D : C’est exact. Et dans cette façon d’agir, il y a plusieurs stratégies que je vais énumérer, en me référant au cas en question :

En général, les T.H.E.Y. The Hierarchy Enslaving You » : La Hiérarchie qui vous asservit. Et THEY : EUX] font tout leur possible pour retarder une première découverte, ou éliminer tous les « bons indices » qui arrivent, permettant la mise en œuvre de l’objectif qu’ils ont. Dans ce cas particulier, il s’agit de dissimuler l’utilité de l’oxyde de graphène en tant qu’interface.

— Ils se caractérisent par la négation des preuves ou des propriétés qu’elles présentent. Par exemple, ils nient l’existence du graphène dans les « vaccins », ainsi que le phénomène magnétique de l’inoculé ou l’émission d’adresses MAC détectées par Bluetooth.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

— Ils s’infiltrent dans les bonnes recherches pour tenter de les retarder, en utilisant toutes sortes de stratégies.

— Ils introduisent de nouveaux foyers, supposés nocifs, pour neutraliser les dommages générés par la véritable cause, mais qu’ils doivent couvrir à tout prix. Par exemple, ils essaient d’envelopper l’oxyde de graphène avec du venin de serpent, des isotopes radioactifs, du venin d’abeille, des métaux lourds ou la fameuse protéine Spike (qui est précisément la réponse à l’introduction du graphène dans la biologie).

— Ils essaient d’envelopper la CLÉ avec n’importe quel élément distrayant afin qu’elle perde sa force.

— Ils recourent à la violence et aux attaques personnelles, manipulant ou déformant même la vie personnelle de ceux qui découvrent les preuves qui doivent être dissimulées.

— Normalement, ils sont financés économiquement par le système lui-même, ou bénéficient de promesses de promotions sociales dans le même domaine ou d’autres types d’avantages.

— Les groupes de dissidence contrôlée ont été créés avant que de véritables collectifs de dissidents n’apparaissent naturellement face à l’avancée de la situation qui commençait à nous affecter tous. Comme dans toute guerre, l’ennemi dispose de ces groupes, créés dans différentes parties du monde et avec des étiquettes similaires pour contrecarrer, capturer, effondrer et neutraliser les découvertes des groupes humains qui cherchent la vérité. Un exemple très significatif de ces groupes est celui des collectifs « pour la vérité », créés a priori dans différentes parties du monde et qui ont tenté de discréditer toute recherche, preuve ou découverte générée à partir de l’observation par des groupes véritablement dissidents.

— Comme la version officielle elle-même, ils utilisent dans leurs noms et leurs slogans des attributs dont la signification réelle est juste à l’opposé de la façon dont ils sont étiquetés. La véritable signification de « par la vérité » est « dissimuler la vérité ».

— Ils sont généralement actifs dans le Système lui-même, soit dans le domaine de la santé, soit dans le milieu universitaire ou autre (médecins, collèges officiels de biologistes, etc.).

— Ils sont organisés de manière hiérarchique, de sorte que leurs sommets sont occupés par des « porte-parole » qui gouvernent et parasitent tout le discours du collectif, de sorte que personne n’a d’opinion individuelle, et s’il en a une, elle est éclipsée par le sommet lui-même. Ainsi, ils dirigent le message où ils veulent et cachent les preuves.

— Ils introduisent des bots et des adeptes fictifs, ainsi que des trolls agressifs, sur diverses plateformes pour donner l’impression qu’ils bénéficient d’un soutien humain inconditionnel. En réalité, pratiquement personne ne les suit. Ce fait est évident lorsqu’ils donnent des conférences en public, qui sont suivies par un petit nombre de personnes.

— Ils sont chargés de capturer les personnes qui doutent de la version officielle (médecins, universitaires, avocats, journalistes, etc.) et de les introduire dans des collectifs, préalablement créés, pour éclipser le message qu’ils pourraient transmettre. Une fois à l’intérieur du collectif, ils sont liés aux directives du porte-parole de celui-ci. Par exemple : Avocats pour la vérité, ou Journalistes pour la vérité. Ils ont tendance à baser leurs « recherches » sur les « papiers » eux-mêmes, qui sont rédigés dans la version officielle, contre laquelle ils sont censés s’opposer.

— Ils ne font jamais de véritables analyses à l’aide d’outils scientifiques, car cela les obligerait à manipuler les résultats, à cacher ce qu’ils ont découvert. Au lieu de faire des recherches, ils préfèrent dire : « L’analyse des vaccins est une perte de temps » ; « Ne regardez pas au microscope, car vous ne verrez rien », ou « Obtenir des vaccins est très difficile ».

— Les travaux de ceux qui analysent au RAMAN, au microscope optique, au microscope électronique ou à toute autre technique permettant de SAVOIR comment caractériser le composant clé des « vaccins » sont ridiculisés et attaqués par cette fausse dissidence avec des arguments de pacotille. La plupart de ces attaques sont virulentes et personnelles.

— Ils utilisent leurs titres pour parler par « principe d’autorité » donné par la même institution ou celle à laquelle ils appartiennent, mais pas par « principe scientifique de preuve ».

— Ils utilisent les arguments de la version officielle — contre laquelle ils luttent apparemment — pour discréditer des travaux sérieux et indépendants. Par exemple, en s’appuyant sur les brochures officielles des « vaccins », alors que, précisément, des composants NON déclarés dans ces derniers sont dénoncés et pourraient faire tomber toute l’opération.

— Ils s’approchent des découvertes prouvées, avec lesquelles ils parviennent à capter un certain nombre d’honnêtes gens, puis se débarrassent de ce paradigme et reviennent à d’autres centres d’intérêt. Par exemple, ils admettent l’existence du graphène, mais soutiennent qu’il y en a très peu dans les « vaccins », ou reconnaissent que les vaccinés émettent des adresses MAC, mais rejettent le graphène.

— Ils se targuent de phrases telles que « Nous devons tous être unis » ou « Ensemble, nous sommes plus forts », précisément pour s’infiltrer.

— Ils se concentrent sur les dommages, mais pas sur la cause réelle qui en est à l’origine.

— Ils s’emploient à dénoncer des problèmes mineurs, afin de minimiser l’impact de ce qui est le plus dommageable. Par exemple, dénoncer les masques, la perte de libertés et de droits, ou l’inefficacité du test PCR, tout en dissimulant l’introduction de l’interface dans les produits injectables, qui est l’objectif pour atteindre le transhumanisme.

M del A : S’il en est ainsi, le citoyen ordinaire a la vie dure. D’une part, il est trompé par le système, et d’autre part, par ceux qu’il croit chercher la vérité. Avez-vous un dernier conseil à donner pour terminer ?

Richard Delgado explique au public comment nous pourrions mettre un terme
à cette évolution vers le transhumanisme.

R D : L’identification de ces « personnes » est vitale pour continuer à avancer, mettre en lumière les PREUVES et arrêter ou prévenir l’opération. La fausse dissidence est la première ligne de bataille que l’ennemi envoie dans nos rangs. Il y a des gens de bonne foi, qui n’ont pas appris à les identifier, et qui « font semblant d’avoir raison avec tout le monde », mais c’est tout simplement impossible, parce qu’ils font confiance et communiquent avec des traîtres, tous les jours et sans le savoir. Ils doivent choisir et abandonner tout autre intérêt que la Vérité, avant tout. Il n’y a pas de place pour les demi-mesures, en raison de la gravité à laquelle nous nous exposons. Nous ne pouvons pas permettre que la fausse dissidence continue à essayer de discréditer les preuves, et que celles-ci ne soient pas mises en lumière avec suffisamment de force, assurant ainsi la poursuite de l’opération contre l’être humain. C’est-à-dire la fin de l’ère humaine par le transhumanisme.

La conférence sur la chaîne Odysee de La Quinta –
Conference of La Quinta Columna: The game is over (19 March 2023)
(Aussi sur DGTV.)



Source : En espagnol : Periodista Digital – Ricardo Delgado: «A pesar de la evidencia, lo siguen negando»




La débâcle occidentale ?

[Source : AVATAR Media]






DU GRAND RÉVEIL

[Source : stanislasberton.com]

Par Stanislas Berton

« Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres. »

Jean 8:32

L’événement le plus considérable de notre époque est le déchirement progressif du voile du mensonge qui recouvrait la réalité. Peu à peu, les populations occidentales découvrent un monde bien différent de celui qui leur avait été enseigné à l’école, présenté par les pouvoirs publics et diffusé par les médias de masse. Si une part croissante de la population a compris qu’elle vit sous « l’empire du mensonge » et qu’une minorité de dangereux fanatiques a pris le contrôle de l’État et utilise désormais les moyens de ce dernier pour mener une guerre impitoyable à son propre peuple, moins nombreux sont ceux à avoir compris l’ampleur des mensonges sur lesquels sont fondées nos sociétés.

Or, il ne peut y avoir de grand réveil ou de libération des peuples sans découverte de cette vérité maintenue cachée par les tyrans qui nous gouvernent et pour lesquels le mensonge est devenu un mode à part entière de gouvernement. Comme l’explique Martin Geddes dans un essai récemment traduit sur ce sitecette prise de conscience s’apparente à un retour à l’école primaire : quand tout est faux, tout est à réapprendre.

Dans cet essai, je vous propose une liste non exhaustive des principaux mensonges politiques, financiers, économiques, historiques, médicaux, scientifiques, culturels, philosophiques et spirituels afin de vous aider à évaluer le chemin que vous avez déjà parcouru vers le grand réveil et le travail qu’il vous reste peut-être à accomplir.

– politique

Savez-vous que nos dirigeants politiques, tous bords confondus, ne sont que des marionnettes sélectionnées en amont dont la légitimité repose sur des sondages bidons, des élections truquées et dont l’obéissance est garantie par la menace et le chantage ? Savez-vous que le vrai pouvoir réside dans des institutions comme le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg ou le Forum économique mondial de Davos où nos dirigeants élus « démocratiquement » vont chaque année recevoir leur feuille de route ? Savez-vous que les dirigeants de ces organisations se vantent publiquement d’être parvenus à infiltrer la plupart des gouvernements de la planète ? Savez-vous que ces institutions elles-mêmes sont contrôlées par de puissantes dynasties familiales (Rothschild, Rockefeller, Warburg,…) qui ont remplacé ou coopté l’ancienne aristocratie ? Savez-vous que ces puissantes familles ont pour projet la dépopulation, la gouvernance mondiale et l’avènement d’une société de la surveillance généralisée dans laquelle « vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux » ?

[Voir aussi :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?
Les projets des Maîtres du Monde
Vera Sharav : « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis »
Entrevue intégrale de Mila Aleckovic (docteur en psychopathologies) pour comprendre ces psychopathes qui nous gouvernent
Les Nations-Unies sous le contrôle des oligarques
►Articles et vidéos de Monseigneur Viganò
►Articles sur Klaus Schwab
►Articles sur la Réinitialisation (ou Great Reset), le transhumanisme ou la dépopulation
Les fake news de l’État profond : Les manipulateurs du gouvernement contrôlent le cycle de l’information]

– économique

Savez-vous ce qu’est une banque centrale ? Savez-vous qu’en dépit de leur intitulé « officiel » (Banque d’Angleterre/Réserve Fédérale), il s’agit en réalité d’organisations privées possédant un monopole sur l’émission de la monnaie et utilisant ce privilège pour contrôler les États et les gouvernements par la dette ? Savez-vous que la Banque de France fut créée par Napoléon en 1804 et qu’il en fut l’un des principaux actionnaires avec des banquiers suisses ? Savez-vous que la loi 3 janvier 1973 imposa à l’État français de se financer auprès des banques privées et non auprès de la Banque de France, nationalisée en 1945 ? Avez-vous conscience de la quantité astronomique de monnaie créée dans le monde depuis la crise de 2008 ? Savez-vous que cette fausse monnaie été utilisée pour acheter des actifs bien réels (actions d’entreprise, terres agricoles, immobilier) et que cette création monétaire débridée s’apparente à un véritable casse du siècle au profit des plus riches et au détriment des plus pauvres et des classes moyennes ? Avez-vous conscience que la « richesse » de nos pays « développés » est en grande partie fictive, car elle ne repose plus sur une production réelle, mais principalement sur des flux financiers et des activités de service ? Pour finir, savez-vous que nous nous dirigeons vers des monnaies numériques directement contrôlées par les banques centrales où chacune de vos transactions pourra être identifiée et surveillée ?

https://youtu.be/QgttY3S_aBU

[Voir aussi :
Les financiers sont les maîtres du système
De l’empire britannique au IVème Reich
Le pari satanique des autorités financières mondiales
D’ici 2028, BlackRock et Vanguard posséderont « presque tout »
Vers la dématérialisation complète de la monnaie ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
⚡️ La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés]

– historique

Dans quelle mesure avez-vous conscience que l’Histoire enseignée à l’école et diffusée par les médias ne correspond pas à la réalité ? Savez-vous par exemple que le Moyen-Age était loin d’être cette époque barbare et obscurantiste, mais peut-être légitimement considéré comme l’âge d’or de la civilisation occidentale ? Savez-vous que nombre des philosophes des « Lumières » comme Voltaire étaient des menteurs, des escrocs et ne pratiquaient pas en privé les valeurs qu’ils prétendaient défendre en public ? Savez-vous que la Révolution Française ne fut pas un mouvement populaire spontané, mais une « révolution de couleur » préparée de longue date par des sociétés secrètes dont la Franc-Maçonnerie ? Savez-vous que la destruction du catholicisme, l’abolition de la monarchie et la mort du roi Louis XVI furent décidées dès 1782 au Congrès de Wilhemsbad ? Savez-vous qu’en 1917, la révolution bolchevique fut financée par des grandes sociétés financières de Wall Street dont Trotski était l’agent ? Connaissez-vous le rôle joué par les puissances financières américaines et anglaises dans le financement du parti nazi et l’ascension d’Hitler ? Savez-vous que la déclassification récente de documents par le gouvernement américain met en évidence le rôle de la CIA dans l’assassinat du président Kennedy ? Savez-vous que le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a publiquement accusé les États-Unis d’être responsables du 11-septembre ? Vous souvenez-vous des « preuves » concernant les armes de destruction massive qui justifièrent l’intervention militaire américaine en Irak ?

[Voir aussi :
Les nazis ont-ils gagné la guerre ?
Les fondateurs de l’UE étaient financés par les USA pour installer un nazi comme président
Souvenirs de la montée du nazisme
Le discours de John F. Kennedy révélant l’existence des sociétés secrètes 10 jours avant son assassinat !
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
La synagogue de Satan
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus]

– médical

Savez-vous que la médecine « moderne » dite allopathique devrait plutôt s’appeler « rockfellerienne » ? Savez-vous qu’elle s’est imposée uniquement grâce à un puissant lobbying doublé d’une prise de contrôle total des écoles de médecine avec pour but d’imposer le médicament « synthétique » et les vaccins comme seuls remèdes aux problèmes de santé ? Savez-vous que de nombreuses études mettent en évidence les problèmes graves causés par la vaccination obligatoire des nourrissons et remettent en cause le rôle des vaccins dans la disparition des maladies infectieuses ? Savez-vous que la psychiatrie moderne et le recours massif aux antidépresseurs ont été dénoncés par de nombreux professionnels de santé ainsi que des chercheurs comme une gigantesque arnaque ? Savez-vous que l’ivermectine n’est pas seulement un remède efficace contre le Covid, mais pourrait également être un traitement extrêmement bon marché contre certaines formes de cancer ?

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus avec notamment de nombreux articles qui remettent en cause même la théorie virale, de manière étayée, argumentée et scientifique, qui exposent le caractère non scientifique et frauduleux de la virologie, ou qui proposent un nouveau paradigme dans le domaine de la santé.]

– scientifique

Savez-vous que les plus grands scientifiques russes et ukrainiens ont développé une théorie remettant en cause l’origine fossile du pétrole ? Savez-vous que les prédictions alarmistes du GIEC et l’influence de l’activité humaine sur les changements climatiques sont largement contestées par nombre de scientifiques, y compris plusieurs prix Nobel ? Savez-vous que les principes d’évolution et de sélection naturelle chers à Darwin sont aujourd’hui largement remis en cause par les biologistes et les généticiens ? Savez-vous que plusieurs responsables de revues scientifiques réputées ont reconnu qu’une large partie de la littérature scientifique était falsifiée, exagérée ou tout simplement fausse ? Savez-vous que la transfusion de sang jeune (parabiose hétérochronique) constitue une véritable cure de jouvence utilisée comme remède miracle par les puissants de ce monde ? Savez-vous que la CIA a développé durant des décennies un programme de contrôle mental extrêmement puissant (MK Ultra) qui permet de contrôler des individus sans même que ceux-ci en aient conscience ? Savez-vous qu’il existe de nombreuses recherches sur l’utilisation des nanotechnologies, y compris sous formes injectables, pour contrôler directement la pensée et le comportement ? Comprenez-vous ce que veut dire le professeur James Giordano quand il affirme devant les futurs officiers de l’armée américaine que « le cerveau humain sera le champ de bataille du XXIe siècle » ?

[Voir aussi :
Quand la science devient pseudo-science
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée et les autres articles du dossier Climat
►Dossier 5G et ondes pulsées avec notamment l’impact des ondes em et des champs électriques sur la santé
La fabrique des faux souvenirs et le dossier MK-Ultra
La fabrication des perceptions
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Comment fonctionne le contrôle mental réel
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous]

– culturel

Saviez-vous que la révolution sexuelle et la « libération des femmes » n’ont pas été des phénomènes spontanés, mais sont les fruits d’une grande opération d’ingénierie sociale organisée par des racistes et des eugénistes comme Margaret Sanger ? Savez-vous que de nombreux groupes de musique de la contre-culture des années 60-70 possédaient des liens étroits avec la CIA et l’armée américaine ? Savez-vous que Disney, ainsi que tous les studios de cinéma, les labels musicaux et les éditeurs de jeux vidéo, son étroitement liés à la CIA ainsi qu’au complexe militaro-industriel américain ? Avez-vous conscience que le divertissement de masse et la culture populaire ont été utilisés pour normaliser certains comportements (homosexualité, transgenre) ou croyances (magie, sorcellerie, satanisme) dans le cadre de programmes sophistiqués d’ingénierie sociale ?

[Voir aussi :
Transgenre
La guerre de Cinquième Génération et les Psyops contre les peuples
Derrière la « guerre cognitive » de l’OTAN : une « bataille pour votre cerveau »
Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants
Tyrannie technologique et caractère démoniaque du monde moderne — Un rappel de monseigneur Gaume
L’empoisonnement des nations : Pharmakéia, sorcellerie et BigPharma]

– philosophique

Savez-vous que toute la philosophie moderne repose sur la vision déterministe et mécaniste de l’homme comparé à une machine ? Avez-vous conscience que cette vision s’oppose totalement à la doctrine chrétienne du libre arbitre ainsi qu’à la philosophie thomiste et aristotélicienne sur laquelle fut fondée la civilisation occidentale ? Comprenez-vous que dans la philosophie moderne, les choses ne possèdent plus d’essence propre, mais ne sont plus que ce que nous en pensons ? Avez-vous conscience que cette vision qui place l’Homme et sa subjectivité au centre de toute chose a pour conséquence directe le relativisme, le transhumanisme et la remise en cause de l’idée même de Bien et de Mal ? Comprenez-vous que le matriarcat et le culte de la Terre-Mère ne constituent pas des « progrès », mais correspondent à un retour à la barbarie pré-chrétienne où le sang des sacrifices finit toujours par couler pour souder le groupe et apaiser la colère des dieux (René Girard) ?

[Voir aussi :
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain »
Le transhumanisme et l’image de Dieu]

– spirituel

Comprenez-vous que la réduction de l’existence à sa simple dimension matérielle (naturalisme) conduit à nier le surnaturel, c’est-à-dire le pouvoir de la prière, la possibilité des miracles et l’existence des anges et des démons ? Avez-vous conscience que la déchristianisation de l’Occident est le fruit d’une gigantesque opération ingénierie sociale visant à détacher l’Homme de Dieu jusqu’à lui rendre impossible d’imaginer qu’Il existe ? Savez-vous que la neutralité religieuse est impossible et que la « laïcité » n’est que le nom officiel donné à la religion républicaine de l’égalité, du progrès et des droits de l’homme à laquelle la plupart des Français ont été convertis sans même en avoir conscience ? Comprenez-vous la différence entre la vision satanique du monde qui prétend faire de l’homme l’égal de Dieu et la vision chrétienne fondée sur la liberté, la charité et l’amour du Créateur pour sa création ? Que savez-vous de la pratique du satanisme, des sacrifices humains et du trafic d’enfants chez nos classes dirigeantes ? Vous êtes-vous déjà penché sur les attributs du Diable et établi un lien entre ces caractéristiques et l’explosion du phénomène transgenre ? Que voulait dire Baudelaire quand il écrivait que la plus grande ruse du diable est de vous faire croire qu’il n’existe pas ?

[Voir aussi :
Inversion
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Une emprise sur l’Humanité
La religion de l’Antéchrist]

Ce quelques exemples vous permettront peut-être de mieux comprendre pourquoi le monde moderne est fondé sur une accumulation de mensonges ainsi que sur une inversion diabolique du sens même des mots. Vous comprendrez donc peut-être mieux pourquoi tous ceux qui osent se poser des questions et cherchent à sortir de la prison cognitive dans laquelle nous avons été enfermés sont systématiquement désignés comme des fous, des extrémistes et des complotistes.

Vous comprendrez mieux pourquoi le pouvoir a construit un système social, éducatif et culturel conçu pour récompenser ceux qui acceptent cette soumission mentale et punir impitoyablement ceux qui refusent de s’y plier. Dans un tel système, les gens « éduqués » ou « informés » (universitaires, élus, médecins, journalistes, intellectuels) sont souvent ceux qui ont été le plus exposés à la propagande de ce système et pour lesquels la contestation de sa légitimité, ainsi que la remise en cause de leurs propres croyances, serait le plus risqué, pénible et coûteux.

Pour empêcher le grand réveil des peuples, ce système a eu la suprême habileté d’encadrer sa propre critique et de définir, y compris pour les résistants, les thèmes qu’il est acceptable ou non d’aborder. A titre d’exemple, s’il est désormais possible de parler du Grand Remplacement, il n’est toujours pas possible d’évoquer les réseaux mondialistes qui ont théorisé, organisé et imposé ce dernier. S’il est possible de dénoncer les excès du capitalisme financier, il est impossible de porter la critique jusqu’aux banques centrales et le rôle joué par la famille Rothschild dans leur création et leur gestion. S’il est possible de dénoncer les effets secondaires des vaccins Covid et les risques de l’ARN messager, plus rares sont ceux qui parlent de l’oxyde de graphène, de la convergence biodigitale ou du projet global de dépopulation. Pour finir, si beaucoup de gens se battent aujourd’hui pour sauver la France, peu nombreux sont ceux qui affirment que ce combat est avant tout spirituel et qu’il est illusoire d’espérer le remporter sans l’aide de Dieu.

Lors de sa dernière rencontre avec Vladimir Poutine, Xi Jiping déclarait :

« Ensemble, nous mettons en œuvre des changements qui ne se sont pas produits depuis cent ans. »

Le Grand Réveil s’inscrit pleinement dans ce processus et nous impose, quel que soit notre statut, nos connaissances et nos responsabilités, de sortir de notre zone de confort et de remettre en cause nos certitudes pour nous libérer du conditionnement mental auquel nous avons été soumis. Charles Péguy disait qu’il faut toujours dire ce que l’on voit, mais que ce qui est encore plus difficile est de voir ce que l’on voit. Notre vie durant nous avons été conditionnés à ne pas voir et à rejeter ce que nous voyions par peur du ridicule, de la sanction ou de l’ostracisation sociale. Le Grand Réveil consiste à dépasser cette peur, à ouvrir les yeux et enfin dire « je vois ».

« Heureux les humbles » nous disent les Béatitudes. Heureux en effet ceux qui ont su rester humbles ou garder « l’esprit du débutant », car il leur sera plus facile d’ouvrir les yeux, de rejeter « Satan, ses œuvres et ses pompes » et d’accepter le nouveau monde qui est en train de naître. Lacan disait : le réel, c’est quand on se cogne et pour l’Occident ainsi que tous ceux convaincus de la supériorité d’un modèle civilisationnel aujourd’hui en faillite, le retour au réel risque d’être rude. Quant à ceux qui ont ouvert les yeux, à eux d’anticiper le choc, de sauver tout ce qui peut encore l’être et de se préparer à reconstruire notre civilisation sur un gigantesque champ de ruines.

« Aux hommes, cela est impossible, mais à Dieu, tout est possible. »

Matthieu 19:26

Pour aller plus loin :

De l’empire du mensonge (Geddes)
De la désinformation
Des bonnes questions (Geddes)
De l’état du front (Geddes)




L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton

[Source : medias-presse.info]

Tribune de Stanislas Berton

« Il viendra beaucoup de faux prophètes, et ils séduiront beaucoup de gens. »

Matthieu 24 : 11

Dans le cadre de cette guerre hors limites fondée sur l’infiltration plutôt que l’invasion et qui vise à détruire les nations occidentales de l’intérieur, il est nécessaire de présenter un des outils les plus redoutables utilisé par le système mondialiste pour maintenir son pouvoir : l’opposition contrôlée.

Comme nous l’avons expliqué dans notre essai consacré au mondialisme, le système économique, financier et politique mondial se trouve contrôlé par de puissantes dynasties familiales dissimulant leur pouvoir derrière des institutions présentées comme neutres ou philanthropiques, telles que le Forum Économique Mondial (WEF), le Council on Foreign Relations (CFR) ou encore l’Open Society Foundation de George Soros, chargées en réalité de mettre en application le projet mondialiste ainsi que de placer ses agents à des postes clés.

Considérant appartenir à une caste « d’élus » chargés de diriger une humanité assimilée à du bétail, cette oligarchie a développé au fil des siècles une véritable science du contrôle et de la manipulation des masses afin de développer son influence et conserver son pouvoir. Sachant que toute puissance visible finit toujours par être contestée ou attaquée, la meilleure protection ne consisterait-elle pas à dissimuler la source réelle du pouvoir et de prétendre que celui-ci se trouve détenu par des individus qui n’en posséderaient qu’un simulacre ?

Le meilleur moyen d’empêcher toute révolte ne serait-il pas, d’une part, de « fixer » l’attention du public sur le jeu électoral et de l’autre, de créer une opposition destinée à canaliser la colère populaire pour mieux la neutraliser ? Pour être sûr de gagner à tous les coups, la meilleure méthode ne serait-elle pas d’avoir plusieurs chevaux dans la course ? Grâce travaux de l’historien Anthony Sutton, nous savons par exemple aujourd’hui que les grandes sociétés financières de Wall Street participèrent au financement du mouvement bolchevique aussi bien qu’à celui du parti nazi…

Au sein des démocraties occidentales, la première forme de contrôle utilisée par l’oligarchie consiste à placer à la tête des formations politiques de premier plan, et donc en position d’éligibilité, des candidats sélectionnés en amont par les instances mondialistes, mis en avant par les médias qu’elles contrôlent et placés face à une « opposition » chargée d’entretenir la fiction du pluralisme ou de l’alternance.

Pour satisfaire chaque « segment de marché électoral », l’offre politique se trouve ainsi déclinée entre mondialistes d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite et d’extrême droite qui, malgré d’apparentes divergences de façade se rejoindront en réalité sur l’essentiel, c’est-à-dire la disparition des peuples, des cultures, des nations historiques et l’adhésion à une modernité qui place l’Homme au centre de toute chose et prétend faire de lui l’égal de Dieu. Pour obtenir la preuve de l’existence d’un tel système, il suffit de s’intéresser aux programmes de recrutement ou de formation mondialistes tels que les Young Global Leaders de la French-American Foundation et de constater que la totalité des dirigeants politiques européens et français des dernières décennies, de Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron à François Hollande ou Arnaud Montebourg sont passés par ceux-ci. Une preuve supplémentaire de cette collusion pourra être apportée par la progression imperturbable de l’agenda mondialiste, indépendamment de la « couleur » politique du parti au pouvoir ou encore le ralliement systématique des candidats ou partis « d’opposition » autour du candidat « progressiste ». Ce contrôle total du champ politique institutionnel a ainsi permis d’éviter toute contestation réelle du projet mondialiste et contribué à structurer la pensée et le discours autour de ses postulats philosophiques et politiques fondamentaux.

La deuxième forme de contrôle politique exercée par les mondialistes est moins connue, mais bien plus dangereuse. Elle consiste à créer une fausse opposition située, en apparence, hors du système et chargée de canaliser la colère du peuple tout en étant capable de servir comme « roue de secours » au cas où une trop forte pression populaire imposerait une « remise à plat » des institutions ou une « rénovation » de la classe politique.

Les méthodes qui président à la création d’une opposition contrôlée sont toujours à peu près les mêmes : un leader d’opposition est créé de toutes pièces ou habilement « retourné » ; il est attaqué par le système, parfois emprisonné ou traduit en justice ce qui lui permet de gagner en crédibilité et de renforcer son statut d’opposant. Il va ensuite créer une organisation « dissidente » à but politique ou engagée sur un sujet particulier. Cette organisation aura pour objectif de repérer les résistants, de contrôler l’accès à l’information et de tuer dans l’œuf toute initiative pouvant représenter une menace réelle pour l’oligarchie mondialiste. L’opposition contrôlée occupe toujours le terrain, dénonce, s’agite, manifeste, mais son activité ne débouche jamais sur une prise réelle du pouvoir ou une remise en cause profonde du statu quo.

À titre d’exemple, aux États-Unis, de nombreuses organisations « patriotes » furent créées pour prouver la fraude électorale suite à la « victoire » de Joe Biden à l’élection présidentielle de 2020. Ces organisations mobilisèrent des milliers de citoyens, multiplièrent les actions en justice et récoltèrent des millions de dollars pour réaliser des audits comme celui du comté de Maricopa. Dans ce cas précis, après de nombreuses annonces, le rapport final ne fut jamais présenté au public et l’équipe de « cyber ninjas » chargée de l’organisation finit tout simplement par disparaître dans la nature avec les données de l’audit… De la même manière, nous savons aujourd’hui que parmi les personnes ayant participé à la marche du 6 janvier sur le Capitole se trouvaient des membres de groupes radicaux officiellement « pro-Trump » dont les chefs étaient en même temps informateurs pour le FBI…

En France, Emmanuel Macron et Assa Traoré, égérie indigéniste, ont en commun d’avoir été tous les deux salariés des Rothschild, le premier par la banque et la seconde via la fondation du même nom. Dans un autre registre, des échanges de SMS et des enregistrements téléphoniques ont révélé une coordination et une collusion entre des dirigeants de la France « Insoumise » et Emmanuel Macron dans le cadre de ce « théâtre » démocratique précédemment évoqué. Plus récemment, l’affaire, totalement passée sous silence, du fiasco français des « convois de la liberté » porte toutes les marques d’un sabotage mené par une opposition contrôlée, selon le même schéma ayant contribué en 2018-2019 au noyautage et à la neutralisation du mouvement des Gilets Jaunes.

Ces quelques exemples permettent de comprendre la réalité de l’opposition contrôlée et du danger que ce stratagème représente dans le cadre de la guerre contre le totalitarisme mondialiste. Ceci étant dit, comment détecter et lutter contre les personnes ou les organisations susceptibles de faire partie de l’opposition contrôlée ?

Commençons tout d’abord par rappeler que le contrôle d’une organisation s’exerce toujours via son chef ou le premier cercle de ses dirigeants. Une structure d’opposition contrôlée peut être ainsi dirigée par des traîtres tout en étant peuplée de militants sincères croyant de bonne foi lutter contre le système ou défendre la cause que l’organisation est supposée défendre. Ceci étant dit, l’appartenance à l’opposition contrôlée peut être détectée par les réponses aux questions suivantes :

  • — Le mondialisme et son contrôle des institutions est-il publiquement mentionné ou son existence est-elle rejetée comme une théorie du complot ? Des sujets majeurs comme la fraude électorale, la pédophilie d’élite ou le trafic d’êtres humains sont-ils publiquement évoqués ? Les restrictions liées au Covid sont-elles dénoncées comme des attaques sans précédent sur nos libertés et rattachées au projet de Great Reset du Nouvel Ordre Mondial ?
  • — D’où proviennent les fonds qui financent le mouvement ou l’organisation ? Quelle est la source des revenus du dirigeant ? Celui-ci manifeste-t-il un amour excessif de l’argent ou des biens matériels ? Son engagement ou ses prises de paroles sont-elles toujours conditionnées à des paiements ou à des rémunérations ? Pourquoi la Bible dit-elle que « l’amour de l’argent est la source de tous les maux » ? (1 Timothée 6 : 10)
  • — Le dirigeant ou chef politique possède-t-il par son histoire familiale, ses amis, ses études ou ses réseaux professionnels des liens avec l’État profond ou des structures du pouvoir mondialiste ? A-t-il participé à des programmes comme celui des Young Leaders ? A-t-il bénéficié de financements ou de bourses d’études émanant d’institutions mondialistes ? Qui est son conjoint ? Quel rôle joue-t-il ? La médiatisation de l’homme ne sert-elle pas à cacher le pouvoir de la « femme » ? Pourquoi Q nous invite-t-il à « suivre les femmes » (follow the wives) ?
  • — Les mœurs du dirigeant sont-elles saines ? Mène-t-il une vie dissolue ? Est-il un déviant sexuel ? A-t-il défendu la pédophilie ? Est-il un consommateur régulier de drogues ? A-t-il une histoire d’abus sexuels ou de violences faites aux femmes ?
  • — Le dirigeant ou l’organisation rejettent-ils la foi catholique, jusqu’à contester l’apport objectif de la religion chrétienne en Occident ? Sont-ils liés à des sociétés secrètes ou à des puissances étrangères ? Font-ils référence à des croyances occultes ou à des spiritualités « alternatives » ? Si le dirigeant se prétend catholique, exprime-t-il des positions tranchées sur l’avortement ou l’euthanasie ou refuse-t-il d’être « clivant », prône la synthèse ou « l’adaptation aux réalités de notre époque » ?

[Note de Joseph : quand on voit au moins ce qu’est devenue l’Église Catholique Romaine de nos jours, avec notamment un faux pape (puisqu’étant jésuite, il n’a pas le droit de l’être. Voir aussi : Rien que la vérité sur la « démission » de Benoît XVI), mais vrai mondialiste à sa tête, et ses nombreux scandales de pédophilie, on peut probablement éliminer le critère du catholicisme comme indicateur de virginité. Voir aussi :
À la vitesse de la lumière Bergoglio entraîne l’Église catholique dans sa chute.
L’Église du Christ était faite d’Hommes et non de pierres, le terme signifiant « assemblée de fidèles ».
Les piliers de l’Enseignement du Christ sont : Amour, Pardon, Charité et Humilité. Si de nombreux saints ont basé leur vie sur cet enseignement, qu’en est-il de la hiérarchie catholique romaine avec son luxe ostentatoire ?]

Pour résumer, peut être considéré comme suspect :

  • — toute défense du supranationalisme, sous toutes ses formes, contre le fait national
  • — tout financement ou lien professionnel/privé avec des structures mondialistes
  • — tout rejet violent du catholicisme et de l’héritage chrétien de la France
  • — toute défense des postulats philosophiques de la modernité contre la Tradition

Pour finir, s’il convient de faire preuve de lucidité sur l’existence de l’opposition contrôlée, cette prise de conscience ne doit pas conduire à la paranoïa, au refus de l’engagement et à l’interprétation du moindre élément concordant comme une preuve absolue. D’une part, parce que l’erreur, la bêtise et l’incompétence demeurent toujours des explications possibles. D’autre part, parce que certaines personnes peuvent changer de camp ou « retourner leur veste », pour sauver leur peau. Et enfin, parce même identifiée comme telle, l’opposition contrôlée peut être utilisée, jusqu’à un certain point, dans la guerre contre le mondialisme.

Dans cette guerre de l’ombre, la prudence doit être la règle et pour espérer triompher, les patriotes et les dissidents doivent faire preuve de discernement, se poser les bonnes questions et développer, pour eux-mêmes ou leurs organisations, une véritable culture du renseignement.

Pour le reste, Dieu seul connaît le secret du cœur de chaque homme. Dans Son infinie miséricorde, il a néanmoins envoyé un avertissement extrêmement clair à ceux qui servent le « prince du mensonge » et cherchent ainsi à tromper le peuple :

« Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. C’est pourquoi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres sera entendu en pleine lumière, et ce que vous aurez dit à l’oreille dans le secret de vos chambres sera prêché sur tous les toits. »

(Luc 12 : 2)



Pour aller plus loin :




Après la crise monétaire… Le PDF du livre mis à disposition par l’auteur

[Source : LHK]

Revenu de base mensuel, hélicoptère monétaire, cryptomonnaies, fin du cash, Big Data et IA, Facebook crée une monnaie… Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Vincent Held, économiste suisse pour son livre : Après la crise (Éditions Réorganisation du monde).

Les turbulences monétaro-financières sont de plus en plus visibles par tout un chacun. Derrière, vous avez un seul et même ensemble d’individus qui gère la liquidation du casino financier planétaire ; ainsi que la mise en place simultanée du nouveau modèle.

Dans son livre de 2018 : « Après la Crise : Chronique de l’émergence d’un nouvel ordre monétaire international », Vincent Held annonçait la fin du système monétaro-financier, ainsi que le système qui pourrait bien le remplacer.

Aujourd’hui, nous vous offrons le PDF du livre, car il est temps que tout un chacun puisse sortir de la désinformation ambiante.

Ce livre visait à avertir l’opinion publique de l’arrivée d’un nouveau système financier/monétaire basé sur la monnaie numérique, lui-même indissociable du Système de Crédit social…

Les dernières mesures inhabituelles prises par le gouvernement suisse, qui violent la propriété privée tout en favorisant une élite qui s’arroge tous les passe-droits, il nous a semblé judicieux de mettre à votre disposition le manuscrit de ce livre.

Voici le manuscrit. Il est même téléchargeable. Nous ne pouvons cependant nous engager que sur la version de notre site :

La vidéo de l’annonce du livre






Un professeur finlandais expose les racines occultes du Forum économique mondial

[Source : medias-presse.info]

[Illustration : Great Reset et Great Narrative, les programmes officiels du Forum économique mondial de Klaus Schwab]

Par Pierre-Alain Depauw

« Les justifications des politiques mondiales de l’ONU et du Forum économique mondial, visant à subjuguer les gens, sont habillées sous forme de science, mais elles sont basées sur l’ésotérisme et l’occultisme. »

Côtoyant depuis une trentaine d’années des cercles du pouvoir dans le cadre de ses recherches, le professeur finlandais Mikko Paunio, considère que les politiques environnementales de l’ONU, du Club de Rome et du Forum économique mondial sont imprégnées d’ésotérisme.

Les arguments du professeur Mikko Paunio ont été présentés pour la première fois à un public finlandais en octobre 2022, dans une conférence intitulée « Occult Power ». Répétons-le, il ne s’agit pas d’un obscur théoricien du complot, mais d’un homme dont la longue carrière l’a mené dans les coulisses mêmes du pouvoir. Le professeur Paunio est un épidémiologiste qui a travaillé pour un certain nombre d’institutions de santé publique dans sa Finlande natale, et qui, après un bref passage à la Banque mondiale, est actuellement médecin principal au ministère des Affaires sociales et de la Santé de Finlande. Son travail en tant que conseiller scientifique et politique l’a amené à participer à des réunions au niveau des États à travers l’Europe et les États-Unis.

Il a combiné cela avec une opposition franche à la « religion » climatique dont les « idées néo-malthusiennes » sont un point de principe parmi l’élite technocratique. En fait, c’est son travail de spécialiste de la santé publique qui l’a d’abord alerté sur les sombres courants sous-jacents de ces misanthropes adorateurs de la nature et de leur culte à Gaïa.

« Quand j’étais jeune chercheur en médecine, je suis devenu l’un des secrétaires du Comité de l’énergie du Premier ministre en Finlande à la suite de l’accident de Tchernobyl. Moi-même et les autres secrétaires avons dû lire un flux de conscience manuscrit sans fin d’un membre du comité appelé Pentti Malaska, professeur d’études futures à l’Université d’économie et de commerce de Turku.

Qu’y avait-il de si remarquable dans cette rencontre ?

Il a été révélé plus tard qu’il était un occultiste. »

L’intérêt du professeur Paunio a été piqué, et c’est ainsi qu’a commencé son long voyage dans ce qu’il appelle « … le panthéisme nouveau et ancien de la nature développé dans le cadre de l’ONU, avec ses partenaires le Club de Rome et le Forum économique mondial. »

La création du Club de Rome en 1968 a été une étape importante dans le culte de la Terre, présentant l’humanité comme un handicap porté par une planète souffrante condamnée à un avenir catastrophique sans l’intervention d’une organisation internationale bienveillante et éclairée.

En combinant les prophéties de malheur avec la promesse d’espoir, il a creusé un sillon bien tracé par les dirigeants des bureaucraties internationales d’aujourd’hui. L’Organisation mondiale de la santé, les Nations Unies et le Forum économique mondial sont tous des représentants de cette méthode et sont bien sûr unis dans leur engagement envers les projets mondialistes.

Pourtant, il y a plus qu’un intérêt commun mondialiste qui unit ces organisations, explique le professeur Paunio.

« En 1991, dans mon premier livre, Vihreä valhe [Le mensonge vert], j’ai fait le constat qu’une grande partie des militants du mouvement néo-malthusien vert étaient attirés par l’anthroposophie ou la pensée occulte plus originale, c’est-à-dire, la théosophie. »

Le professeur Paunio accuse les maîtres du monde d’être directement inspirés d’une tradition occulte. Le panthéisme de la nature s’inspire spécifiquement de la « sagesse » de la théosophie, qui est basée sur l’ésotérisme et l’occultisme de l’escroc la plus célèbre du monde, Madame Blavatsky, qui prétendait avoir découvert la « vérité perdue » qui unit les religions du monde.

Klaus Schwab avait recruté Maurice Strong, un riche industriel canadien sans instruction (1929-2015), pour diriger la fondation du WEF. Maurice Strong était LA figure centrale dans la promotion du programme de développement durable depuis le premier sommet environnemental de l’ONU à Stockholm en 1972. Il était également un occultiste et un ésotériste invétéré.

Paunio a longuement écrit sur le développement de la tradition occulte à partir du 19e siècle, notant et nommant des personnalités politiques qui ont visiblement absorbé les principes du panthéisme de la nature.

Les découvertes du Professeur Paunio révèlent comment les organisations comme le WEF travaillent avec les gouvernements pour falsifier les preuves afin de promouvoir un programme d’effondrement.

Paunio explique comment le Forum économique mondial a, par exemple, utilisé un fonds d’innovation finlandais pour faire avancer la grande réinitialisation de Schwab.

En 2016, SITRA, qui est subordonné au Parlement finlandais, a rendu un rapport fabriqué sur le miracle de l’économie circulaire en Finlande et a créé le concept actuel d’économie circulaire pour le Forum économique mondial, qui est nocif pour l’environnement, la santé humaine et l’économie.

En exploitant ce concept, la Commission de l’Union européenne a fait des présentations aux législateurs de l’UE, par exemple, le règlement sur la taxonomie de la finance verte, le paquet sur l’économie circulaire de Jyrki Katainen et l’énorme paquet climatique Fit for 55, qui est encore principalement entre les mains des législateurs de l’UE, et ce qui conduira finalement à une planification quinquennale de style soviétique et à la chute de la société industrielle moderne.

Le professeur Paunio appelle les gens, simples travailleurs et entrepreneurs qui aiment leur pays et leur famille, à se réveiller pour défendre le réel et refuser ces expériences folles.

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
La religion du carbone
Les stratagèmes totalitaires des génocidaires mondialistes, partie 1
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur
Le programme de contrôle de la population]






Qui attaque la France ?

[Source : Union Populaire Républicaine]

« Les Américains veulent un pouvoir sans partage sur le monde »

François Mitterrand

Le discours-choc d’Asselineau à l’occasion des 16 ans de l’UPR






« La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie »

Message de Mgr Viganò au Congrès fondateur du Mouvement International Russophile (MIR) – Moscou, le14 mars 2023

[Voir aussi :
L’humanité s’organise pour contrer définitivement le dictat mondialiste (sur le MIR)
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

[Source : medias-presse.info]

Chers amis, c’est pour moi une grande joie de pouvoir vous adresser un bref message à l’occasion de la constitution du Mouvement International des Russophiles.

Le Manifeste de cette association commence par un mot qui semble avoir disparu du vocabulaire occidental : amitié. Dans ce cas, c’est l’amitié pour les Russes, partagée par tant de personnes à travers le monde, et l’amitié des Russes envers les autres peuples, dans cet esprit de fraternité qui trouve son fondement dans la reconnaissance de nous-mêmes comme enfants de l’unique Père éternel et frères en Notre Seigneur Jésus-Christ.

Lorsque l’Empire Romain d’Occident perdit son rôle politique sous la pression des invasions barbares, le relais passa à Constantinople. Et lorsque l’Empire Romain d’Orient est également tombé avec la conquête de Byzance par Mehmed II, c’est Moscou qui a sauvé son héritage religieux et politique, avec ses Saints et ses Rois. La crise actuelle nous montre l’effondrement d’un Occident corrompu, dans lequel il n’y a pas de Pape Léon le Grand pour sauver son avenir, mais qui a encore un destin, s’il recouvre sa mission providentielle et reconnaît ce qui l’unit à la mission de la Russie.

Les événements récents nous ont montré que l’athéisme matérialiste qui a dévasté l’Empire Russe et le monde depuis 1917 – comme l’a annoncé la Très Sainte Vierge Marie à Fatima – s’est aujourd’hui unit au libéralisme dans l’idéologie mondialiste, qui sous-tend le projet délirant du Nouvel Ordre Mondial.

Un projet infernal, comme l’a souligné à juste titre le Président Vladimir Vladimirovič Poutine dans un récent discours [cf. https://nouveau-monde.ca/vladimir-poutine-la-russie-suspend-sa-participation-au-traite-start/], dans lequel la haine de la civilisation chrétienne veut créer une société d’esclaves inféodés à l’élite de Davos. Une société dystopique, sans passé et sans avenir, sans Foi et sans idéaux, sans culture et sans art, sans pères et mères, sans famille et sans État, sans enseignants et guides spirituels, sans respect pour les personnes âgées et sans espérance pour nos enfants. Nous ne pouvons pas être surpris qu’après avoir déchristianisé le monde occidental, cette élite considère la Russie comme un ennemi à renverser. La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie, et rassemble autour d’elle toutes les Nations qui n’entendent pas se soumettre à la colonisation de l’OTAN, de l’ONU, de l’OMS, de la Banque Mondiale, du Fond Monétaire International et cette ensemble de Fondations qui ont pour but l’endoctrinement des masses, la manipulation de l’information, la création de « printemps colorés » pour déstabiliser les gouvernements légitimement élus et semer le chaos, les guerres et la misère comme instrumentum regni [l’instrument du royaume]. La récente farce pandémique – menée avec des méthodes criminelles que je n’ai pas hésité à dénoncer depuis le début de l’année 2020 – a été suivie de nouvelles urgences – y compris la crise ukrainienne – délibérément provoquées dans le but de détruire le tissu social et économique des Nations, de décimer la population mondiale, de concentrer le contrôle entre les mains d’une oligarchie que personne n’a élue et qui a perpétré un véritable coup d’État mondial, dont tôt ou tard elle sera appelée à répondre devant le monde.

Les théoriciens de ce coup d’État ont des noms et des visages, à commencer par George Soros, Klaus Schwab et Bill Gates. Ceux qui déclarent aujourd’hui la Russie ennemie, considèrent aussi les Européens, les Américains, les Australiens et les Canadiens comme ennemis, et les traitent comme tels, les persécutant et les appauvrissant.

Mais alors que les émissaires du Forum Économique Mondial dans les gouvernements occidentaux peuvent légiférer contre le bien de leurs propres citoyens et tenir les dirigeants mondiaux entre leurs mains, ce  changement de régime qui a réussi dans d’autres États s’est arrêté aux frontières de la Russie. D’autre part, la fraude électorale de 2020 aux États-Unis d’Amérique était également indispensable pour empêcher la confirmation du Président Donald Trump, tout comme en 2013 l’État profond et l’Église profonde ont réussi à faire démissionner le pape Benoît XVI et à élire une personne agréée par le Nouvel Ordre Mondial, le jésuite Jorge Mario Bergoglio.

Votre engagement doit certainement promouvoir les relations d’amitié de la Russie avec tous les peuples, selon ce principe de multipolarité qui, dans une sage vision politique à long terme, est le meilleur moyen de combattre l’unipolarisme mondialiste.

Mais cette amitié, ces relations de concorde et de coopération mutuelle, ne peuvent ignorer la dénonciation du coup d’État perpétré contre l’humanité par de dangereux subversifs dont le but déclaré est l’établissement d’une tyrannie infernale dans laquelle la haine de Dieu et de l’homme créé à son image, la maladie, la mort, l’ignorance, la pauvreté, la violence, l’égoïsme, la corruption règnent en maîtres. C’est le royaume de l’Antichrist. Ce Léviathan doit être identifié et combattu, avec une action qui implique tous les peuples libres, tout d’abord en rejetant les points programmatiques de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation par des initiatives communes. Nous avons besoin d’une Alliance antimondialiste qui rende aux citoyens le pouvoir qui leur a été enlevé, et aux Nations la souveraineté érodée et cédée au lobby de Davos. En cela, le rôle de la Fédération de Russie sera décisif, de même que le message que le Mouvement International des Russophiles apportera aux peuples d’un Occident qui a besoin d’être à nouveau fier de sa Foi et orgueilleux de la civilisation à laquelle les Saints Cyrille et Méthode ont également contribué.

Nous sommes en train de mener une bataille historique : demeurons sous le manteau de la Très Sainte Vierge, la glorieuse Nikopèia, avec l’Archange Saint Michel. La victoire appartient au Christ et à ceux qui se tiennent sous la sainte bannière de la Croix.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

14 mars 2023

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò

Le message vidéo de Mgr Viganò en italien




La guerre de Cinquième Génération et les Psyops contre les peuples

[Source : Jeanne traduction]

💡 Sur le même sujet :

🔸 Une conférence de James Giordano sur la guerre cognitive :
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/James-Giordano:7
🔸 Un article sur la guerre cognitive
 https://www.lachainehumaine.com/2021/10/guerre-cognitive-de-l-otan-une-bataille-pour-votre-cerveau/
🔸 Un rapport de l’OTAN :
https://www.lachainehumaine.com/wp-content/uploads/2021/10/du-cluzel-guerre-cognitive.pdf
🔸 Le même rapport avec les passages clefs surlignés :
http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_616f17567889e.pdf

[NDLR Il existe des pays qui ont encore mieux réagi que la Suède face à cette guerre contre les peuples et notamment la Biélorussie dont le président, prétendu dictateur, a catégoriquement refusé toutes les mesures coercitives imposées ailleurs, et particulièrement dans les nations de la sphère occidentale.
Voir aussi :
Les acteurs mondiaux peuvent utiliser le coronavirus pour remodeler le monde sans guerre — Président de Biélorussie
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Le contrôle mental au temps du Covid
La fabrication des perceptions
Les multiples méthodes de manipulation mentale …. une opération à l’échelle mondiale
Une brève histoire des expériences et opérations biologiques américaines sur les populations civiles
Comment s’unir]






Covid : une arnaque génocidaire qui a rapporté des milliards de dollars

[Source : RL]

Par Christian Navis

Tels des psychopathes fanfarons, les « saigneurs » de Big Pharma se délectent à afficher leurs exploits. Ainsi Albert Bourla, directeur général de Pfizer, claironne :

« 2022 a été une année record pour Pfizer, non seulement en termes de revenus et de bénéfices par action, qui ont été les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de personnes qui ont une opinion positive de Pfizer, grâce aux médias. »

Tuer est une activité très lucrative pour Big Pharma

Des enjeux énormes ont balayé tous les scrupules chez ceux qui en avaient encore… Avec un coût de fabrication de 2,5 dollars la dose, le « vaccin » était vendu au prix moyen de 20,00 USD l’unité, tarif appliqué au gouvernement américain en 2020 par Pfizer et Moderna… Les ventes de ces saloperies ont alors dépassé les 280 milliards de dollars dans le monde entier. Chiffre en augmentation constante depuis. Panique bien orchestrée oblige.

En Eurocrature, c’est encore plus dingue. En octobre 2022, des députés de droite (forcément !) ont dénoncé l’achat de 4,5 milliards de doses du « vaccin » par la présidente non élue Ursula von der Leyen, pour piquer 450 millions de personnes résidant dans l’UE. À raison de 10 doses chacune ! Un des plus grands scandales de corruption de notre époque. En plus d’être un crime contre l’humanité. Une spécialité dans laquelle les Boches ont toujours été champions.

Car en 2022, de nombreux médecins, dont Robert Malone, ancien chercheur sur les thérapies à ARNm, avaient démontré la relation de causalité entre le bilan financier des dealers de « vaccins » et la hausse concomitante de la mortalité dans les pays riches… La pauvreté des Africains les ayant en grande partie préservés. Avec la prescription de Nivaquine à titre préventif de la malaria, depuis des lustres.

Peu importe que les manants crèvent comme des mouches

Le professeur Michel Chossudowsky a eu entre les mains des documents de Pfizer sur la morbidité et la mortalité de leur « vaccin » à ARN messager. Dans un premier rapport du 28 février 2021, 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination », les experts relevaient 42 086 cas avérés d’effets secondaires nocifs, liés à leur mixture. Aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne, en France au Portugal et en Espagne.

Les troubles respiratoires et cardiaques, les dégradations musculaires, les affections gastro-intestinales, les allergies et chocs anaphylactiques, les atteintes cutanées, les infections génitales, les empoisonnements et complications diverses, ainsi que les pathologies neuropsychiatriques, tout était répertorié et documenté. On ne pouvait plus plaider l’ignorance et la bonne foi.

Dès lors que ces effets étaient connus et que les « vaccins » étaient imposés par la coercition, les chantages et les menaces, par des dirigeants étatiques qui ont touché leur part au passage, leurs manigances relevaient du crime organisé.

Avec le recul, on peut ajouter la stérilité de femmes et d’hommes jeunes pluri-vaccinés. De quoi satisfaire des magnats du NWO qui exigent, au Bilderberg comme à Davos, qu’on réduise de moitié la population de la Terre.

Les chiffres de l’hécatombe, désormais couverts par les secrets d’État, ont été multiplié par dix, puis par cent, puis par mille au cours des mois et années qui ont suivi. L’obstination à faire du pognon en contaminant les gens malgré des risques létaux, en les utilisant comme cobayes pour tester des produits en cours d’expérimentation, en les trompant ou sous la contrainte… constitue un crime contre l’humanité à l’échelle planétaire, au sens du Code de Nuremberg.

La préméditation des crimes est établie

Dès novembre 2020, tandis qu’on enfumait et terrorisait les gens avec les pangolinades, l’objectif fixé était de vacciner, avec 5 ou 6 doses, les 8 milliards de personnes vivant sur Terre. L’idéal étant deux rappels par an chacun ensuite. Condition sine qua non : « Éduquer » (= embobiner) les populations d’abord.

Pour ce faire, Pfizer, Moderna et les autres exigèrent des décideurs politiques l’interdiction des traitements efficaces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine. Et des mesures coercitives pour museler les critiques par tous les moyens. Menaces. Dénigrements. Chantages. Mises à pied. Procès. Voies de fait. Un psychopathe immature comme Macronescu, qui ne supporte pas qu’on lui résiste, ira au-delà des instructions de ses sponsors, en interdisant aux médecins indociles d’exercer leur profession.

Les gouvernements cupides ont dissimulé puis détruit toutes les statistiques relatives aux effets secondaires de cette prétendue « vaccination ». Selon les estimations les plus basses, le nombre de morts provoquées par ces injections illégales atteindrait 2 millions dans les pays dits avancés, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande. Et au moins 10 fois plus de personnes qui souffriront d’effets secondaires handicapants jusqu’à la fin de leur vie abrégée.

On a maintenant la preuve que ces injections ne protègent pas d’une infection par le coronavirus, qui n’est qu’une forte grippe. En outre, on sait que ces « vaccins » n’empêchent pas la transmission du virus par des personnes infectées à des « vaccinées ». Et pire, ils produisent des anticorps spécifiques facilitant une nouvelle infection.

Ce phénomène dit ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement », observé et décrit dès le début des campagnes de « vaccination », relève de la liaison du virus à des anticorps sous-optimaux afin d’améliorer son entrée dans les cellules-hôtes… Une manipulation hasardeuse suivie d’une réplication incontrôlable. Un vrai pousse-au-crime pour imposer encore et toujours plus de « vaccins ».

Des tribunaux interviennent avec des condamnations symboliques

Des « class-actions » s’organisent aux USA, Canada et NZ, qui se réveillent de leur hypnose médiatique, pour poursuivre Pfizer, Moderna et les autres producteurs de mixtures toxiques. Mais la plupart des Français sont encore anesthésiés par les discours lénifiants des ministricules et des journalopes.

Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne. En particulier les liens financiers étroits entre la von der Leyen (qui doit son job à qui ?), son mari Heiko, patron de labos spécialisés dans les traitements géniques, et Albert Bourla, PDG de Pfizer, auquel l’Eurocrature a acheté des quantités astronomiques de ses poisons. Sans même en négocier les prix.

Ces petits arrangements entre amis sont cachés et on voit leur réticence à présenter les documents exigés par des injonctions de justice aux USA. Quant au silence du côté de Bruxelles, il est conforme à la tactique habituelle dans ce genre de procès : éviter de faire des vagues, puisque les médias aux ordres en parleront le moins possible. Et faire traîner les procédures… Pour payer dans quelques années une amende apparemment lourde, mais qui ne représentera au pire pour les empoisonneurs publics que 1 % de leurs bénéfices.

La société Pfizer est une multirécidiviste puisque celle-ci a déjà été condamnée à des amendes salées, 74 fois au cours de ces dernières années dans de nombreux pays, pour un montant total de plus de 8 milliards de dollars. Du fait de produits dangereux promus par des campagnes de publicité mensongère, soutenues par des décideurs politiques véreux et des médicastres corrompus.

Pfizer et les autres mériteraient de passer devant un « tribunal de Nuremberg ». Mais comme ce genre de juridiction ne peut siéger qu’à l’initiative des gouvernements « arrosés » par Big Pharma, le risque est minime. Ils peuvent donc continuer. Et ils ne s’en privent pas. Le grand public conditionné par une propagande incessante est toujours prêt à gober de nouvelles sornettes. Nouvelles maladies, nouveaux « vaccins », qui s’ajouteront au massacre covidesque. Le terme « génocide », souvent utilisé à tort et à travers, est là tout à fait approprié.

La complicité active des politiciens stipendiés par les labos

Protégés par des immunités sur mesure, tant qu’une révolution improbable ne les mettra pas hors d’état de nuire, ils peuvent en France comme en Eurocrature, sous la pression de consultants infiltrés dans les rouages des États, décider de sanctions pénales et administratives illégitimes. Contre les lucides réfractaires aux seringues assassines. Tandis que les impacts négatifs sur la santé du « vaccin » contre le Covid-19 font l’objet d’un déni systématique par les autorités sanitaires, politiques et médiatiques, qui seules « détiennent la vérité ».

Un empêcheur de tuer tranquille

Le Professeur Michel Chossudovsky est un universitaire. Pas un médecin, ce qu’on lui reproche. Mais parmi les vaccinators frénétiques, combien sont médecins ? Et parmi ceux qui ont le diplôme, combien sont directeurs commerciaux des labos, sans avoir vu un malade depuis la fin de leurs études ?

Depuis qu’il a fondé à Montréal le « Centre de recherche sur la mondialisation » chargé d’étudier de façon pluridisciplinaire les sujets que les médias mainstream esquivent ou falsifient, il est traité de « complotiste »… Lorsqu’il a dénoncé les crimes sanitaires liés au covid, on a mis en doute sa santé mentale… Et récemment il a gagné une nouvelle étiquette : agent secret des Russes !

Chossudovsky, interdit de médias sur ordre des labos, a été éjecté de YouTube et censuré sur les réseaux asociaux du Nouvel Ordre Mondial. Pourtant, il ne diffame ni n’insulte personne. Il s’est juste procuré les rapports financiers internes de Pfizer. Et il les divulgue. Or le grand public doit ignorer ce qui mijote dans les chaudrons du Diable si on veut continuer à l’empoisonner.

Chacun peut obtenir légalement ces documents. Il suffit de souscrire quelques titres de la société. Ainsi Pfizer elle-même indique à ses actionnaires que cette entreprise bien gérée a réalisé 100,3 milliards de dollars de profit pour l’année fiscale 2022. Et les projections sur un proche avenir permettent d’espérer faire beaucoup mieux !

Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/




Le programme de contrôle de la population

[Source : khouse.org]

Au-delà du contrôle des naissances

Par Dr Stan Monteith, M.D

Le contrôle planifié de la population, y compris le génocide, est un concept difficile à accepter pour les Américains. Même si le gouvernement américain aide à financer le programme chinois d’avortement, de stérilisation et d’infanticide forcés, ainsi que le « programme de planification familiale » des Nations unies, la plupart des gens trouvent impossible de croire que ces programmes font réellement partie d’un plan plus vaste visant à éliminer de larges segments de la population mondiale.

« Comment pouvez-vous croire cela ? » me demande-t-on souvent. La réponse est très simple : j’ai lu les écrits de ceux qui ont l’intention de dépeupler de grandes parties de la Terre et je les crois. Ils ont écrit sur la nécessité de réduire — par la force si nécessaire — la population mondiale.

[Voir aussi :
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
La Dr Rima Laibow avait connaissance du plan mondialiste vaxinal il y a 20 ans
La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort]

Margaret Sanger et le Planning familial

Nos impôts financent Planned Parenthood, une organisation fondée par Margaret Sanger. Dans le rapport annuel 1985 de Planned Parenthood, ses dirigeants ont proclamé qu’ils étaient « fiers de leur passé et qu’ils planifiaient leur avenir ».(([1] Killer Angel, George Grant, Reformer Press, p. 105, disponible auprès de Radio Liberty, P.O. Box 13, Santa Cruz, CA, 95 063.))

Comment peut-on prétendre être fier d’une organisation dont la fondatrice a écrit dans l’histoire qu’il fallait « exterminer les “mauvaises herbes humaines”… », mettre fin à la charité…, [recourir à] la ségrégation « des crétins, des inadaptés et des désaxés » et… [à] la stérilisation « des races génétiquement inférieures » ?(([1] Killer Angel, George Grant, Reformer Press, p. 65.))

Dans les années 1930, Margaret Sanger a publié The Birth Control Review, dans lequel elle soutenait ouvertement le « programme d’infanticide » de l’Allemagne nazie et défendait publiquement l’objectif de suprématie blanche aryenne d’Adolf Hitler. Avant la Seconde Guerre mondiale, elle a chargé le nazi Ernst Rudin, directeur des redoutables programmes d’expérimentation médicale allemands, de servir de conseiller auprès de son organisation.

Dans Killer Angel, George Grant a relaté la vie et les écrits de Margaret Sanger, y compris ses projets d’ingénierie génétique de la race humaine. Dans The Pivot of Civilization, Margaret Sanger appelle à « l’élimination des mauvaises herbes humaines », et à « l’arrêt de la charité » parce qu’elle prolonge la vie des personnes inaptes. Elle préconise la ségrégation des inaptes et leur interdit de se reproduire.

En 1939, Margaret Sanger organise le Negro Project, destiné à éliminer les membres de ce qu’elle considère comme une « race inférieure ». Elle justifie sa proposition par le fait que :

« Les masses de Noirs… en particulier dans le Sud, continuent à se reproduire de manière imprudente et désastreuse, avec pour résultat que l’augmentation chez les Noirs, plus encore que chez les Blancs, provient de la partie de la population la moins intelligente et la moins apte… ».(([3] Woman’s Body, Woman’s Right, Linda Gordon, Penguin Press, New York, p. 332; voir également Killer Angel, p. 73.))

Elle a ensuite révélé qu’elle avait l’intention « d’engager trois ou quatre pasteurs de couleur pour se rendre dans diverses enclaves noires afin de faire de la propagande en faveur du contrôle des naissances… L’approche éducative la plus efficace auprès des Noirs passe par un appel religieux. Nous ne voulons pas que l’on dise que nous voulons exterminer la population noire, et le pasteur est l’homme qui peut redresser cette idée si jamais elle vient à l’esprit de l’un de leurs membres les plus rebelles ».(([4] Killer Angel, p. 74: voir également Woman’s Body, Woman’s Right, pp. 229-334.))

Au fur et à mesure que l’organisation de Margaret Sanger se développe, elle écrit sur la nécessité de cibler également les groupes religieux à détruire, estimant que les « races dysgéniques » devraient inclure « les fondamentalistes et les catholiques » en plus des « Noirs, des Hispaniques [et] des Amérindiens ».(([5] Woman’s Body, Woman’s Right, pp. 229-334; voir également Killer Angel, p.73.)) Au fil des ans, Sanger devient de plus en plus obsédée par les croyances occultes et hostile au christianisme et au précepte américain de la liberté individuelle. Son dégoût pour l’Amérique est évident dans ses écrits :

« Le contrôle des naissances séduit les radicaux avancés parce qu’il est calculé pour saper l’autorité des églises chrétiennes. Je me réjouis de voir un jour l’humanité libérée de la tyrannie du christianisme, tout autant que de celle du capitalisme ».(([6] Killer Angel, p. 104.))

Tout comme Adolf Hitler, Margaret Sanger était une disciple de la théosophie et de sa fondatrice, Madame Blavatsky. Sanger et Hitler étaient tous deux impliqués dans une religion qui vénérait Lucifer et qui était alimentée par les mêmes forces spirituelles obscures.

Le Lucis Trust est un important représentant moderne de la théosophie, une extension de la Lucifer Publishing Company, qui est également une ONG des Nations unies. Le Lucis Trust a été fondé par Alice A. Bailey au début du 20e siècle. Bailey était une disciple de Madame Blavatsky et la dirigeante nominale de la Société théosophique au début des années 1900.

Le nom « Lucifer » ayant une très mauvaise connotation, Bailey a changé le nom de son organisation de Lucifer Publishing Company en Lucis Trust. La nature et les convictions de cette organisation sont toutefois restées les mêmes.

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao]

Le Lucis Trust est l’un des principaux groupes de façade par lesquels la théosophie influence la vie en Amérique. Les publications du Lucis Trust font régulièrement référence au « Plan » pour l’humanité qui a été établi par la « Hiérarchie ». Les disciples de Sanger sont encore en vie aujourd’hui et influencent les politiques nationales et internationales de contrôle de la population.

David Graber, chercheur biologiste au National Park Service, a été cité dans le Los Angeles Times Book Review Section du 22 octobre 1989, comme ayant déclaré :

« Le bonheur humain et certainement la fécondité humaine ne sont pas aussi importants qu’une planète sauvage et en bonne santé. Je connais des spécialistes des sciences sociales qui me rappellent que les hommes font partie de la nature, mais ce n’est pas vrai… Nous sommes devenus un fléau pour nous-mêmes et pour la Terre… Jusqu’à ce que les homosapiens décident de rejoindre la nature, certains d’entre nous ne peuvent qu’espérer que le bon virus se présentera ».(([7] Los Angeles Times, Book Review Section, 22 octobre 1989, p. 9.))

Dans The First Global Revolution, publié par le Conseil du Club de Rome, une organisation élitiste internationale, les auteurs notent que :

« En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres choses du même genre feraient l’affaire. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même ». (([8] The First Global Revolution: Club of Rome, Alexander King and Bertrand Schneider, Pantheon Books, New York, 1991, p. 115.))

Le 5 avril 1994, le Los Angeles Times citait David Pimentel, professeur à l’Université de Cornell, s’adressant à l’American Association for the Advancement of Science, qui déclarait que :

« La population mondiale totale ne devrait pas dépasser 2 milliards d’habitants au lieu des 5,6 milliards actuels ».

Dans Le Courrier de l’UNESCO de novembre 1991, Jacques Cousteau écrivait :

« Le dommage causé à la planète est fonction de la démographie, mais également du degré de développement. Un Américain fatigue la planète beaucoup plus que vingt Bangladeshis… C’est terrible à dire. Il faut que la population mondiale se stabilise et pour cela, il faudrait éliminer 350 000 personnes par jour. C’est si horrible à dire, qu’il ne faut même pas le dire ».(([9] “The Population Controllers,” New American Magazine, 6/27/94, p. 7.))

Dans The Impact of Science on Society (L’impact de la science sur la société), Bertrand Russell a déclaré :

« Actuellement, la population mondiale augmente… Jusqu’à présent, la guerre n’a pas eu d’effet majeur sur cette augmentation… Je ne prétends pas que le contrôle des naissances soit le seul moyen d’empêcher la population d’augmenter. Il y en a d’autres… Si une peste noire pouvait se répandre dans le monde une fois par génération, les survivants pourraient procréer librement sans que le monde soit trop plein… La situation pourrait être quelque peu désagréable, mais qu’en est-il ? Les personnes qui ont un esprit vraiment élevé sont indifférentes à la souffrance, en particulier à celle des autres. »

La société Negative Population Growth Inc. de Teaneck, dans le New Jersey, a récemment diffusé une lettre exposant son objectif à long terme :

« Nous pensons que notre objectif pour les États-Unis ne devrait pas dépasser 150 millions d’habitants, ce qui correspondait à notre taille en 1950. Pour le monde, nous pensons que notre objectif devrait être une population ne dépassant pas deux milliards d’habitants, soit sa taille peu après le début du siècle ».(([10] Documentation disponible auprès de Radio Liberty, P.O. Box 13, Santa Cruz, CA, 95 063.))

Il est impossible d’atteindre ce chiffre par le biais de l’attrition normale et du contrôle des naissances, et il existe suffisamment de preuves pour indiquer que d’autres plans sont à l’étude.

Davantage d’influence New Age

S’exprimant lors du Forum sur l’état du monde organisé par Gorbatchev à San Francisco en 1996, l’écrivain et philosophe du Nouvel Âge, le Dr Sam Keen, a déclaré qu’il existait un large consensus sur le fait que les institutions religieuses devaient assumer la responsabilité principale de l’explosion démographique.

Il a ajouté :

« Nous devons parler beaucoup plus clairement de la sexualité, de la contraception, de l’avortement, des valeurs qui contrôlent la population, parce que la crise écologique, en bref, est la crise démographique. Si l’on réduit la population de 90 %, il n’y a plus assez de gens pour causer beaucoup de dégâts écologiques ».

Les remarques du Dr Keen ont été accueillies par des applaudissements de la part de l’auditoire composé d’adeptes du New Age, de socialistes, d’internationalistes et d’occultistes.

Le mois prochain, nous explorerons quelques cas spécifiques de contrôle de la population, tant caché que flagrant, y compris le lien entre les avortements et le cancer du sein et ce qui s’est réellement passé pendant les massacres au Rwanda.

Cet article a été initialement publié dans le
Personal Update News Journal de septembre 1997




OMS : le nouvel ordre mondial par la santé

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Traité pandémie et règlement sanitaire international, négociations cruciales en cours

2e partie de l’article complémentaire à la conférence donnée sur le même sujet les 11 et 12 février 2023, à Luxembourg. Video et powerpoint sur Dépêches Citoyennes.

[Suite de Le Nouvel Ordre Mondial, une opportunité offerte par la crise sanitaire]

Le règlement sanitaire international et le « traité des futures pandémies »

Basés sur le narratif de l’échec de la réponse à l’urgence sanitaire et de la nécessité qui en découlerait de développer une politique unique de santé globale, deux instruments juridiques de portée internationale visent à renforcer le rôle de l’OMS par des accords contraignants qui lui donneraient un pouvoir absolu sur les états souverains.

La tentative d’instaurer un organe de gouvernance supranational par la santé est menée avec la révision du règlement sanitaire international de 2005 (RSI) et la création d’un « traité pandémies » (WHOCA+), et les deux projets avancent à grands pas.

Une première semaine de discussion vient de s’achever autour des 305 amendements proposés dans le cadre de la révision du RSI. Les quatre sessions publiques (doublées en français) et l’ensemble des documents peuvent être consultés sur le site de groupe de travail.

À présent, c’est une semaine de négociations préparatoires au traité de réponse aux pandémies (WHOCA+) qui démarre le 27 février autour d’un premier document appelé le zéro draft [premier brouillon].

Selon l’agenda décidé début février 2023, les deux initiatives devraient être soumises au vote lors de la 77e Assemblée générale de la santé, qui doit avoir lieu en mai 2024. Il faut toutefois se méfier des agendas officiels, car l’on n’est pas à l’abri d’un nouveau prétexte (une attaque « bioterroriste » de Poutine par exemple ?) qui forcerait une adoption en urgence d’un, voire même des deux textes, ou de certains points précis dans un accord provisoire, lors de la 76e assemblée fin mai 2023. C’est pourquoi il faudra être particulièrement attentif aux prochaines sessions de travail qui se dérouleront du 3 au 6 avril pour le traité, et du 17 au 21 avril pour le RSI.

La révision du Règlement sanitaire international (RSI)

D’un côté, il y a donc le Règlement sanitaire international, un instrument qui existe depuis 2005, mais dont les dispositions se bornaient à émettre des recommandations aux différents états signataires. Initiée en 2018, la révision du RSI a évidemment connu un coup d’accélérateur avec l’urgence sanitaire, au point d’être soumise à un vote anticipé, lors de la dernière assemblée mondiale de la santé en mai 2022. Mais, malgré un nouveau contexte d’urgence créé par le directeur de l’OMS avec sa déclaration d’alerte sanitaire pour la variole du singe, les modifications proposées changeaient la portée du texte de manière si radicale, que certains pays ont refusé de l’approuver.

Dans les propositions soumises au vote, les États Parties y reconnaissaient l’OMS comme l’autorité d’encadrement et de coordination lors d’une urgence sanitaire et s’engageaient à suivre les recommandations de l’OMS, en lui donnant la possibilité d’imposer : des quarantaines, des passes sanitaires, la limitation et le contrôle des déplacements ou la vaccination forcée. En outre, le texte prévoyait un renforcement accru du rôle de l’OMS et de son directeur, lui conférant par exemple le droit de décider de l’allocation des ressources aux différents états, de décréter des mesures temporaires ou d’ordonner leur prolongation après la fin de la pandémie, voire même de les prendre sur base d’une alerte « potentielle ». De manière assez choquante, l’on prévoyait aussi de supprimer le texte qui consacre la nécessité de respecter la dignité humaine et les libertés fondamentales.

Heureusement, l’opposition à ces plans de politiques était venue d’un nombre de pays africains, ainsi que du Brésil, de la Russie et de l’Iran, pays qui avaient pris la mesure des implications de « l’agenda global de la santé ». Au lendemain des négociations, un article de la presse congolaise avait clairement souligné le caractère impérialiste du règlement proposé :

Les délégués africains dans l’ensemble se sont opposés à la réforme du RSI, proposée par les États-Unis. Ils considèrent que le texte américain constituerait une atteinte à la souveraineté des États membres…

… En effet, la réforme du RSI donne des pouvoirs étendus à l’OMS. Elle autorise le déploiement d’équipes d’experts sur les sites de contamination et la création d’un nouveau comité de contrôle pour surveiller l’application des règles ou imposer un protocole sanitaire à adopter.

Selon le RSI, le refus d’obtempérer des États membres provoque des sanctions variant de la suspension du droit de vote à l’Assemblée mondiale de la santé jusqu’à la suspension du même droit à l’Assemblée générale des Nations unies. Plusieurs pays ont qualifié cette réforme du RSI de « liberticide ». Les pays africains ont soulevé une objection, plaidant pour l’adoption de l’ensemble des réformes visant à améliorer le fonctionnement de l’OMS dans le cadre d’un « paquet holistique » à un stade ultérieur. Outre les pays africains, l’Iran, la Malaisie, la Russie et le Brésil ont également exprimé des réserves sur la réforme du RSI.

Au sortir de la 75e assemblée la présidente de l’International Negotiating Body, le comité qui travaille en parallèle sur le traité pandémies, avait fait un commentaire confirmant les arguments de ce rejet.

Les représentants des gouvernements ont souligné que tout accord futur sur la pandémie devrait tenir compte de l’équité, renforcer la préparation, assurer la solidarité, promouvoir une approche de l’ensemble de la société et de l’ensemble du gouvernement, et respecter la souveraineté des pays.

Mais si l’on peut se réjouir de l’échec de cette tentative en mai 2022, cela n’a pas pour autant mis fin au projet de réforme du Règlement. Un nouveau groupe de travail a immédiatement été chargé de revoir la copie en tenant compte des remarques émises par les réfractaires. Suite à la première réunion, le sommaire présenté au 14 décembre 2022 par le groupe de travail reprenait toujours les mêmes propositions liberticides.

Toutefois, suite à un lobby assez soutenu mené par de nombreux militants, politiques et groupes d’opposition issus de plusieurs états (ea. l’Australie et les États-Unis), la dernière mouture du document, publiée le 6 février 2023, a surpris, en opérant un revirement complet face aux versions précédentes.

Revirement inattendu

Le rapport final du groupe de travail, préalable à la semaine de négociations qui s’est déroulée fin février semble avoir pris en compte les arguments avancés par les parties réticentes. Notamment il se préoccupe du fait que les propositions pourraient empiéter indûment sur la souveraineté des États parties » et rendre les recommandations « contraignantes » au lieu d’être volontaires. Dans son introduction le comité mentionne clairement :

les valeurs clés partagées qui sous-tendent les modifications proposées au Règlement 
(1) équité, solidarité et coopération internationale ;
(2) confiance et transparence ;
et (3) souveraineté.

Et un bon nombre de leurs avis abondent dans ce sens.

Concernant la révision de l’article 3 qui entendait supprimer la référence à la dignité, aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales, le comité a rappelé l’importance du respect des principes fondamentaux :

Le Comité recommande vivement le maintien du texte sur « le plein respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes » comme principe primordial dans le premier paragraphe, et note que les concepts de droits de l’homme, de dignité et de libertés fondamentales sont clairement définis dans le cadre des traités auxquels ont adhéré de nombreux États parties au Règlement. L’inclusion des droits de l’homme dans l’article 3 de l’actuel Règlement sanitaire international (2005) a constitué une amélioration majeure par rapport au précédent Règlement de 1969. 1 La référence au « respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés des personnes » fonctionne non seulement comme un principe primordial dans l’article 3, mais aussi comme un point de référence concret dans la mise en œuvre de tous les articles concernant l’intervention de santé publique, les mesures d’intervention, les mesures sanitaires supplémentaires et les recommandations.

Par ailleurs, il recule aussi devant l’idée de déclaration d’urgence sanitaire face à une menace « potentielle », à la concentration des pouvoirs dans la personne du directeur et à la mise en œuvre d’un certificat sanitaire universel.

Toutefois, le diable pourrait bien être dans les détails, car dans la lettre d’introduction, le comité appelle tout de même de manière répétée au « renforcement » du RSI et à des prises de décision « audacieuses ». (le terme « bold », qui suggère l’audace, la témérité, la force est répété 4 fois dans le préambule).

Peut-on parler d’une victoire ?

Évidemment, l’on ne peut que se réjouir de voir ce texte revenir aux valeurs fondamentales. Toutefois, il faut se rappeler qu’il ne s’agit que de l’avis du comité de travail et qu’au fil des négociations tout peut très bien prendre une autre direction. Ensuite, le diable peut facilement se glisser dans le détail des nouvelles formulations. L’on note déjà que le principe de souveraineté qui est repris comme une valeur fondamentale dans le préambule est vite « mis en balance » avec les impératifs de la coopération internationale dans les pages suivantes.

La souveraineté des États parties demeure un élément fondamental du Règlement. À l’instar des révisions effectuées il y a près de 20 ans, qui ont abouti au Règlement sanitaire international (2005), les modifications proposées à ce dernier nécessiteront un équilibre minutieux entre, d’une part, le droit souverain d’un État partie de prendre les mesures nécessaires pour protéger sa population contre un risque pour la santé publique, tout en reconnaissant leurs vulnérabilités et responsabilités mutuelles, et, d’autre part, l’impératif de coopération et de solidarité internationales, qui sont des facteurs clés de l’efficacité du Règlement.

Par ailleurs, bien que le nouveau texte ne semble pas plaider en faveur d’une mesure aussi directe que l’introduction d’un passe sanitaire numérique universel, elle en pose quand même les prémisses. Ainsi :

Le Comité est d’accord avec la nécessité de faire passer le Règlement de l’ère analogique à l’ère numérique, comme le mentionne le rapport du Groupe indépendant sur la préparation et la réponse aux pandémies cité précédemment, et avec le fait que la numérisation devrait être utilisée partout où cela est possible.

En somme, bien que ce revirement doive être accueilli comme une bonne nouvelle et qu’il prouve qu’un mouvement de résistance est à l’œuvre, il ne doit pas donner à penser que la partie est gagnée en ce qui concerne la révision de cet instrument international.

Le traité « pandémies »

Le 3 décembre 2020, lors d’une réunion virtuelle internationale de l’ONU, le président du Conseil européen Charles Michel, avait lancé un appel international aux noms des états de l’Union Européenne, afin d’élaborer un traité de préparation et de réponse aux futures pandémies. Cet instrument censé conférer des pouvoirs de contrôle étendus à l’OMS serait en principe aussi imposable aux 194 états participants en cas de déclaration d’urgence sanitaire.

Charles Michel, président du Conseil européen, et ancien bourgmestre de la ville de Wavre
qui abrite la plus grande usine de production de vaccins au monde (GSK),
a toujours été un fervent promoteur du secteur pharmaceutique.

L’idée a ensuite été répétée lors de réunions successives, jusqu’à la 75e assemblée de l’OMS, au mois de mai 2022, où les pays du monde se sont donc mis d’accord pour charger un International Negotiating Body, de rédiger un document préparatoire aux négociations nommé « conceptual zero draft ». Ce comité qui a mis les bouchées doubles a déjà présenté ses travaux à l’Assemblée extraordinaire qui s’est tenue à l’OMS du 5 au 7 décembre. À l’issue de cette réunion, les états membres ont bien confirmé leur volonté de démarrer les négociations lors du meeting qui se tiendra déjà le 27 février 2023.

L’instrument dont on ne sait pas encore quelle forme il prendra (traité, convention, accord international) compte en tous cas introduire plusieurs nouveautés, parmi lesquelles :

  • la création d’une administration/bureaucratie de gouvernance de l’OMS, avec un bureau central et des directions régionales, ainsi que le développement d’antennes nationales.
  • Le développement d’une architecture globale de la santé et d’un pôle d’infrastructures sanitaires
  • Le financement accru des moyens des programmes de préparation lutte contre les pandémies, par la mise en place de mécanismes structurels, en accord avec le G20 et la banque mondiale.
  • La gestion du pôle pharmaceutique de la lutte contre la pandémie, de la conception à la production et distribution des vaccins et médicaments, ce compris un droit d’allocation des ressources.
  • Le contrôle de la recherche et de la détection des « tous les agents pathogènes ayant un potentiel pandémique » en s’assurant notamment que les « normes réglementaires ne créent pas d’obstacles administratifs inutiles à la recherche » (vive les gains de fonction !).
  • La redéfinition des libertés individuelles en « obligations sociales » :
    « toute restriction est non discriminatoire, nécessaire pour atteindre l’objectif de santé publique et la moins restrictive possible pour protéger la santé des personnes ;
    (ii) toutes les protections des droits, y compris, mais sans s’y limiter, la fourniture de services de santé et de programmes de protection sociale, sont non discriminatoires et tiennent compte des besoins des personnes à haut risque et des personnes en situation vulnérable ;
    et (iii) les personnes vivant sous le coup de restrictions à la liberté de mouvement, telles que les quarantaines et les isolements, ont un accès suffisant aux médicaments, aux services de santé et aux autres besoins et droits ».
    En somme, la dictature est autorisée tant qu’elle assure un confort de vie minimum et qu’elle tant qu’on l’impose à tous, sans discrimination.

Une différence notoire entre le traité et le RSI est que les parties prenantes invitées aux négociations comptent plusieurs centaines d’acteurs non étatiques. On y trouve par exemple : le secteur Pharma, les réseaux de laboratoires, les fondations « philanthropiques » (Soros, Gates, Clinton, Aga Kan), le monde académique, bancaire, le Vatican, l’ordre des chevaliers de Malte et le domaine des transports. Seuls les parlementaires, représentants des peuples, semblent être absents.

Par ailleurs, la portée du traité semble beaucoup plus large dans son objet, puisqu’il s’agit d’y inclure le concept de « la santé globale ». Ce concept fourre-tout que nous avons déjà évoqué dans un article du 8 décembre est mis en avant par le Forum économique mondial et sa clique mondialiste afin de faire entrer n’importe quel domaine de l’existence dans le domaine de la santé. Urgence climatique, immigration, enseignement, politique des genres, démocratie, transition numérique, élevage, droit de la propriété, tout est susceptible d’entrer dans les politiques de l’urgence sanitaire et de « la santé globale ».

Une architecture globale pour la réponse aux urgences sanitaire

À la lecture des documents préparatoires aux diverses négociations en cours, l’on s’aperçoit malheureusement que tout ceci n’est qu’une partie des réformes envisagées dans l’agenda global de la santé. De vastes efforts sont déployés pour créer une synergie avec d’autres instruments, institutions et processus qui font eux aussi partie du paysage de la préparation et de la réponse aux urgences sanitaires. Il s’agit par exemple de :

Il sera intéressant de voir ce qui va filtrer des négociations menées autour du zéro draft cette semaine, mais il est désormais clair que la lutte contre cette attaque à la souveraineté des nations et aux droits des personnes exigera une vigilance constante et des efforts de longue haleine sur de nombreux fronts.

Rendez-vous prochainement dans un 3e article pour un premier bilan et des pistes d’action à mener…

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Un scientifique met en garde : les vaccins à ARNm vont continuer à tuer des gens, et ceux qui survivront seront des marionnettes du Nouvel Ordre Mondial

[Source : citizens.news]

Par Arsenio Toledo

Le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste thaïlandais et allemand, expert des vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19), a averti que les vaccins à ARNm sont très dangereux. Ils tueront de plus en plus de personnes chaque jour, et ceux qui survivront seront des sujets plus faciles à contrôler par le Nouvel Ordre Mondial. M. Bhakdi a lancé cet avertissement lors d’une récente interview avec le Dr Peter Breggin, animateur de Brighteon.TV, dans le cadre de l’émission « ReFounding America ».



Dès 2020, alors que la pandémie de COVID-19 commençait tout juste à se répandre dans le monde entier, Bhakdi critiquait déjà de nombreux récits grand public concernant le COVID-19. Dans cette récente interview, Bhakdi a expliqué à Breggin précisément pourquoi les vaccins à ARNm sont dangereux.

(Voir aussi : GÉNOCIDE VACCINAL : Le Dr Peter McCullough affirme que les vaccins COVID ont maintenant tué plus d’Américains que la Première Guerre mondiale).

Bhakdi a comparé les vaccins ARNm à des lettres dans des enveloppes, les lettres étant les ARNm et les enveloppes les nanoparticules lipidiques. Les « lettres » atteignent différentes destinations dans l’organisme que le coronavirus n’aurait jamais atteintes, notamment les cellules des ganglions lymphatiques et les endothéliums vasculaires. Ces cellules qui reçoivent les messages sont ensuite invitées à créer des protéines de pointe, qui causent encore plus de dommages à l’organisme en augmentant le risque de caillots sanguins, de dommages au système immunitaire et d’autres problèmes de santé. Les « enveloppes » sont un poison, selon M. Bhakdi. Les nanoparticules lipidiques injectées dans l’organisme sont chargées positivement, contrairement aux lipides naturels qui sont soit sans charge, soit chargés négativement. Ces lipides chargés positivement interfèrent avec la capacité des molécules importantes de l’organisme – dont la plupart sont chargées négativement – à fonctionner correctement.

Le Nouvel Ordre Mondial utilise les vaccins pour rendre les gens plus contrôlables

Les vaccins réels, selon leur définition originale, sont censés induire directement l’immunité en fournissant aux gens les anticorps nécessaires pour repousser les maladies. Les vaccins à ARNm incitent plutôt les cellules de l’organisme à produire des protéines virales qui, selon Bhakdi, rendent les gens plus malléables d’un point de vue scientifique.

Bhakdi a déclaré que les vaccins « aveuglent l’esprit des gens » parce que les vaccins rendent les gens moins intelligents « et c’est la partie la plus dangereuse de toutes. »

« Ces vaccins sont en train de tuer des gens. Vous avez vos myocardites, vous avez vos accidents vasculaires cérébraux, vos crises cardiaques, tout cela est terrible. Vous avez tous ces athlètes qui meurent, vous avez tous ces jeunes qui meurent, très mauvais », a déclaré Bhakdi.

« Mais le pire, c’est que ces milliards qui avaient été injectés perdent la tête – c’est quelque chose que les gens ne réalisent pas – et deviennent de plus en plus contrôlables parce qu’ils ne peuvent pas dire non », a-t-il poursuivi.

« C’est fantastique. C’est brillant – et c’est cauchemardesque, horrible, diabolique, satanique. Il faut l’arrêter. »

La principale entité à l’origine de ce plan visant à faire vacciner les milliards de personnes qui survivent à l’ARNm COVID-19 est le Nouvel Ordre Mondial. Bhakdi et Breggin sont tous deux d’accord pour dire que le concept de Nouvel Ordre Mondial n’est pas un mythe ou une théorie du complot.

« Il s’agit vraiment d’une masse de relations imbriquées entre les banques, les grandes entreprises, le complexe militaro-industriel, les gens qui nous ont entraînés dans cette guerre en Ukraine parce qu’ils vont en tirer profit de la même manière qu’ils tirent profit du COVID-19 », a déclaré Breggin.

Le plan du Nouvel Ordre Mondial est de vider le monde de ses richesses et de son pouvoir grâce au COVID-19, aux lockdowns et aux vaccins, et de contrôler ceux qui survivent. Plus le monde est vidé de ses richesses et de son pouvoir, plus le Nouvel Ordre Mondial s’enrichit et devient puissant.

« Ce soi-disant vaccin est en train de changer l’humanité et l’homme », a déclaré Bhakdi.

« Ces vaccins vous changent en ce moment même, même si vous ne vous en rendez pas compte. Ils modifient votre psyché, votre cerveau. Vous devenez des personnes différentes en ce moment… Vous perdez votre individualité. Vous perdez votre personnalité et vous perdez le droit de dire “Je suis un être humain”. Vous êtes en train de perdre votre [humanité] ».

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
Exorcisme et « vaccins » anti-Covid
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme
Sur la signification occulte du terme COVID
Que se passe-t-il dans les corps énergétiques et en particulier pour l’âme après le « vaccin »?
Le « Covid-19 » n’existe pas, sauf en tant qu’association de malfaiteurs
COVID19 = ARNAQUE UNIVERSELLE
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires
À quel point les virus sont-ils morts ?
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins]

Pour en savoir plus sur la dangerosité des vaccins à ARNm COVID-19, consultez Vaccines.news. Regardez cet épisode de « ReFounding America » avec le Dr Peter R. Breggin qui explique que les vaccins COVID-19 sont encore pires que ce que les gens pensaient.




La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò

[Source : medias-presse.info]

I – L’entretien de Mgr Viganò retranscrit à partir de la vidéo que vous trouverez en fin de texte

[Par Mgr Viganò]

Dans une intéressante intervention sur la chaîne américaine Fox News intitulée The Church of Environmentalism (ici), le journaliste Tucker Carlson a souligné une contradiction qui a peut-être échappé à beaucoup, mais que je trouve extrêmement révélatrice.

Carlson rappelle que la Constitution américaine interdit la religion d’État, mais depuis un certain temps les gouvernements démocrates ont imposé au peuple américain le culte mondialiste, avec son agenda green, ses dogmes woke, ses condamnations avec la cancel culture, ses prêtres de l’OMS, les prophètes du World Economic Forum. Une religion à tous égards, totalitaire non seulement pour la vie des individus qui la pratiquent, mais aussi dans la vie de la Nation qui la confesse publiquement, en adopte les lois et les sentences, s’en inspire dans l’éducation et dans toute action gouvernementale.

Au nom de la religion mondialiste, ses adeptes exigent que tous les citoyens se comportent conformément à la morale du Nouvel Ordre Mondial, acceptant sans critique et avec une attitude de soumission pieuse à l’autorité religieuse, la doctrine définie ex cathedra par le Sanhédrin de Davos.

Aux citoyens, il n’est pas demandé de partager les motivations qui justifient les politiques sanitaires, économiques ou sociales imposées par les gouvernements, mais un assentiment aveugle et irrationnel, qui va bien au-delà de la foi. Pour cette raison, il n’est pas permis de contester la psychopandémie, de critiquer la gestion de la campagne de vaccination, d’argumenter l’absence de fondement des alarmes climatiques, d’opposer l’évidence de la provocation de l’OTAN envers la Fédération de Russie avec la crise ukrainienne, de demander des enquêtes sur l’ordinateur portable de Hunter Biden ou sur la fraude électorale qui a empêché le Président Trump de rester à la Maison Blanche, ou de refuser de voir des enfants corrompus par des obscénités LGBTQ.

Après trois ans de folies incompréhensibles pour un esprit rationnel mais amplement justifiables dans une perspective de fidéisme aveugle, la proposition formulée par une clinique américaine de demander aux patients de renoncer à une partie de l’anesthésie pour réduire leur trace de dioxyde de carbone et « sauver la planète » (ici) ne doit donc pas être lue comme un prétexte grotesque pour réduire les dépenses hospitalières au détriment des patients, mais comme un acte religieux, comme une pénitence à accepter volontairement, comme un acte éthiquement méritoire. Le caractère pénitentiel est indispensable dans cette opération de conversion forcée des masses, car elle contrebalance l’absurdité de l’action par la récompense d’un bien promis : en portant le masque (qui ne sert à rien) le fidèle-citoyen a fait son propre geste de soumission, s’est « offert » à la divinité (l’État ? la collectivité ?) ; une soumission confirmée par l’acte tout aussi public de la vaccination, qui a représenté une sorte de « baptême » dans la foi mondialiste, l’initiation au culte.

Les grands-prêtres de cette religion en viennent à théoriser le sacrifice humain avec l’avortement et l’euthanasie : un sacrifice requis par le bien commun, pour ne pas surpeupler la planète, ne pas alourdir la santé publique, ne pas être un fardeau pour la sécurité sociale. Même les mutilations auxquelles sont soumis ceux qui professent la doctrine du Genre et la privation des facultés de reproduction induite par l’homosexualisme ne sont rien de plus que des formes de sacrifice et d’immolation de soi, de son corps, de sa santé, jusqu’à la vie elle-même (en assumant, par exemple, une thérapie génique expérimentale manifestement dangereuse et souvent mortelle).

L’adhésion au mondialisme n’est pas facultative : le mondialisme est la religion d’État, et l’État « tolère » les non-pratiquants dans la mesure où leur présence n’empêche pas la société d’exercer ce culte. Bien davantage, dans sa présomption d’être légitimé par des principes « éthiques » pour imposer aux citoyens ce qui représente un « bien » supérieur et incontestable, l’État oblige également les dissidents à accomplir les actes fondamentaux de la « morale mondialiste », en les punissant s’ils ne se conforment pas à ses préceptes.

Manger des insectes et non de la viande ; s’injecter des drogues au lieu de mener une vie saine ; utiliser l’électricité au lieu de l’essence ; renoncer à la propriété privée, à la liberté de circulation ; subir contrôles et limitations des droits fondamentaux ; accepter les pires déviations morales et sexuelles au nom de la liberté ; renoncer à la famille pour vivre isolé, sans rien hériter du passé et sans rien transmettre à la postérité ; effacer son identité au nom du politiquement correct ; renier la Foi chrétienne pour embrasser la superstition woke ; conditionner son travail et sa subsistance au respect de règles absurdes : ce sont autant d’éléments destinés à faire partie de la vie quotidienne de l’individu, une vie basée sur un modèle idéologique que, à y regarder de plus près, personne ne veut et que personne n’a demandé et qui ne justifie son existence qu’avec l’épouvantail d’une apocalypse écologique non prouvée et indémontrable. Cela viole non seulement la tant vantée liberté de religion sur laquelle cette société est fondée, mais veut nous conduire pas à pas, inexorablement, à rendre ce culte comme exclusif, comme le seul admis.

« L’église de l’environnementalisme » se définit comme inclusive mais ne tolère pas la dissidence et n’accepte pas d’affronter dialectiquement ceux qui remettent en question ses diktats. Ceux qui n’acceptent pas l’anti-évangile de Davos sont ipso facto hérétiques et doivent donc être punis, excommuniés, séparés du corps social, considérés comme ennemis publics ; il faut les rééduquer par la force, à la fois par un martèlement incessant des médias et par l’imposition d’une stigmatisation sociale et de formes réelles d’extorsion du consentement, en commençant par celui « informé » pour se soumettre contre son gré à l’obligation vaccinale et en continuant avec la folie des soi-disant « villes de 15 minutes », d’ailleurs anticipées en détail dans les points programmatiques de l’Agenda 2030 (qui sont finalement des canons dogmatiques, au contraire).

Le problème avec ce phénomène inquiétant de superstition de masse est que cette religion d’État n’a pas été imposée de facto seulement aux États-Unis d’Amérique, mais s’est répandue à toutes les nations du monde occidental, dont les dirigeants ont été convertis au verbe mondialiste par le grand apôtre de la Grande Réinitialisation, Klaus Schwab, autoproclamé « pape » et donc investi d’une autorité infaillible et incontestable. Et comme dans l’Annuario Pontificio nous pouvons lire la liste des cardinaux, évêques et prélats de la Curie Romaine et des diocèses répartis dans le monde entier, de même sur le site du Forum Économique Mondial, nous trouvons la liste des « prélats » du mondialisme, de Justin Trudeau à Emmanuel Macron, découvrant que non seulement les présidents et les Premiers Ministres de nombreux États appartiennent à cette « Église » mais aussi de nombreux fonctionnaires, des chefs d’organismes internationaux et de grandes multinationales, des médias. À ceux-ci, il faut ajouter les « prédicateurs » et les « missionnaires » qui œuvrent pour la diffusion de la foi mondialiste : acteurs, chanteurs, influencers, sportifs, intellectuels, médecins, enseignants. Un réseau très puissant, très organisé, répandu non seulement au sommet des institutions, mais aussi dans les universités et les tribunaux, dans les entreprises et les hôpitaux, dans les organismes périphériques et les municipalités locales, dans les associations culturelles et sportives, de sorte qu’il est impossible d’échapper à l’endoctrinement même dans une école primaire provinciale ou dans une petite communauté rurale.

Il est déconcertant – vous le reconnaîtrez – que dans le nombre de convertis à la religion universelle, nous puissions également compter des représentants des religions du monde, et parmi eux même Jorge Mario Bergoglio – que les Catholiques considèrent comme le chef de l’Église de Rome – avec tout le train des ecclésiastiques qui lui sont fidèles. L’apostasie de la Hiérarchie Catholique en est venue à vénérer l’idole de la Pachamama, la « Mère Terre », personnification démoniaque du mondialisme « amazonien », œcuménique, inclusif et durable. Mais n’est-ce pas John Podesta lui-même qui a préconisé l’avènement d’un « printemps de l’Église » qui remplacerait la doctrine par un vague sentimentalisme écologiste, trouvant promptement l’exécution de ses espoirs dans l’action coordonnée qui a conduit à la démission de Benoît XVI et à l’élection de Bergoglio ?

Ce à quoi nous assistons n’est rien d’autre que l’application à l’inverse du processus qui a conduit à la propagation du Christianisme dans l’Empire Romain puis dans le monde entier, une sorte de vengeance de la barbarie et du paganisme sur la Foi du Christ. Ce que Julien l’Apostat a essayé de faire au IVe siècle, c’est-à-dire restaurer le culte des dieux païens, est aujourd’hui poursuivi avec zèle par de nouveaux apostats, tous unis par une « fureur sacrée » qui les rend aussi dangereux qu’ils sont convaincus de pouvoir réussir dans leurs intentions en raison des moyens inouïs dont ils disposent.

En réalité, cette religion n’est rien d’autre qu’une déclinaison moderne du culte de Lucifer : la récente performance satanique aux Grammy Awards sponsorisée par Pfizer n’est que la dernière confirmation d’une adhésion à un monde infernal qui jusqu’à présent avait été gardé sous silence parce qu’il était encore considéré comme inavouable. Ce n’est pas un mystère que les idéologues de la pensée mondialiste sont tous indistinctement antichrétiens et anticléricaux, significativement hostiles à la morale chrétienne, ostensiblement opposés à la civilisation et à la culture que l’Évangile a façonnées en deux mille ans d’Histoire. Non seulement : la haine inextinguible envers la vie et envers tout ce qui est l’œuvre du Créateur – de l’homme à la nature – révèle la tentative (presque réussie, bien que délirante) de modifier l’ordre de la Création, de modifier les plantes et les animaux, de changer même l’ADN humain par des interventions de bio-ingénierie, de priver l’homme de son individualité et de son libre arbitre, le rendant contrôlable et même manœuvrable par le transhumanisme. Au fond de tout cela, il y a la haine de Dieu et l’envie pour le sort surnaturel qu’Il a réservé aux hommes qu’Il a racheté du péché par le Sacrifice de la Croix de Son Fils.

Cette haine satanique s’exprime dans la détermination de rendre impossible aux Chrétiens la pratique de leur religion, de voir leur principes respectés, de pouvoir apporter leur contribution à la société et, finalement, dans la volonté de les amener à faire le mal, ou du moins de faire en sorte qu’ils ne puissent pas faire le bien, encore moins le répandre ; et s’ils le font, de déformer leurs motivations originelles (amour de Dieu et du prochain) en les pervertissant à des fins philanthropiques ou écologistes pitoyables.

Tous les préceptes de la religion mondialiste sont une version contrefaite des Dix Commandements, leur inversion grotesque, un renversement obscène. En pratique, ils utilisent les mêmes moyens que l’Église a utilisés pour l’évangélisation, mais dans le but de damner les âmes et de les soumettre non pas à la Loi de Dieu, mais à la tyrannie du diable, sous le contrôle inquisitoire de l’anti-église de Satan. Dans cette perspective, s’insère également la signalisation des groupes de fidèles catholiques traditionnels de la part des services secrets américains, confirmant que l’inimitié entre la lignée de la Femme et celle du Serpent (Gn 3, 15) est une réalité théologique en laquelle les ennemis de Dieu croient avant tout, et que l’un des signes de la fin des temps est précisément l’abolition du Saint Sacrifice et la présence de l’abomination de la désolation dans le temple (Dn 9, 27). Les tentatives de supprimer ou de limiter la Messe traditionnelle unissent l’église profonde et l’état profond, révélant la matrice essentiellement luciférienne des deux : parce que les deux savent très bien quelles sont les Grâces infinies qui se déversent sur l’Église et sur le monde avec cette Messe, et ils veulent les empêcher afin qu’elles n’entravent pas leurs plans. Ils nous le montrent eux-mêmes : notre combat n’est pas seulement contre les créatures de chair et de sang (Ep 6, 12).

Les remarques de Tucker Carlson mettent en évidence la tromperie à laquelle nous sommes quotidiennement soumis par nos dirigeants. L’imposition théorique de la laïcité de l’État a servi à éliminer la présence du vrai Dieu des institutions, tandis que l’imposition pratique de la religion mondialiste sert à introduire Satan dans les institutions, dans le but d’établir ce Nouvel Ordre Mondial dystopique dans lequel l’Antichrist prétendra être adoré comme un dieu, dans son délire fou de remplacer Notre Seigneur.

Les avertissements du Livre de l’Apocalypse sont de plus en plus concrets, d’autant plus que le plan de soumettre tous les hommes à un contrôle qui empêche toute possibilité de désobéissance et de résistance se poursuit : ce n’est que maintenant que nous comprenons ce que signifie ne pas pouvoir acheter ou vendre sans le laissez-passer vert, qui n’est rien d’autre que la version technologique de la marque avec le chiffre de la Bête (Ap 13, 17).

Mais si tout le monde n’est pas encore prêt à reconnaître l’erreur d’avoir abandonné le Christ au nom d’une liberté corrompue et trompeuse qui cachait des intentions inavouables, je crois qu’aujourd’hui beaucoup sont prêts – psychologiquement avant même que rationnellement – à prendre acte du coup d’État par lequel un lobby de dangereux fanatiques parvient à prendre le pouvoir aux États-Unis et dans le monde, déterminé à faire n’importe quel geste, même le plus téméraire, afin de le maintenir.

Comme par un jeu de la Providence, la laïcité de l’État – qui en soi offense Dieu parce qu’elle Lui refuse le culte public auquel Il a un droit souverain – pourrait être l’argument pour mettre fin au projet subversif de la Grande Réinitialisation. Si les Américains – et avec eux les peuples du monde entier – savent se rebeller contre cette conversion forcée, exigeant que les représentants des citoyens rendent des comptes aux détenteurs de la souveraineté nationale et non aux dirigeants du Sanhédrin mondialiste, il sera peut-être possible de mettre un terme à cette course vers l’abîme. Mais pour ce faire, il faut prendre conscience qu’il ne s’agira que d’une première phase dans le processus de libération de ce lobby infernal, qui doit être suivie de la réappropriation des principes moraux propres au Christianisme qui constituent les fondements de la Civilisation occidentale et la défense la plus efficace contre la barbarie du néopaganisme.

Pendant trop longtemps, les citoyens et les fidèles ont subi passivement les décisions de leurs dirigeants politiques et religieux, face à l’évidence de leur trahison. Le respect de l’autorité est fondé sur la reconnaissance d’un fait « théologique », c’est-à-dire de la Seigneurie de Jésus-Christ sur les personnes, les nations et l’Église. Si ceux qui détiennent l’autorité dans l’État et l’Église agissent contre les citoyens et contre les fidèles, leur pouvoir est usurpé et leur autorité nulle et non avenue. N’oublions pas que les dirigeants ne sont pas les propriétaires de l’État et les maîtres des citoyens, tout comme le Pape et les évêques ne sont pas les propriétaires de l’Église et les maîtres des fidèles. S’ils ne veulent pas être comme des pères pour nous ; s’ils ne veulent pas notre bien et au contraire ils font tout pour nous corrompre dans le corps et l’esprit, il est temps de les chasser de leurs positions et de les appeler à rendre des comptes pour leur trahison, leurs crimes, leurs mensonges scandaleux.

Carlo Maria Viganò, Archevêque
16 février 2023

© Traduction [NDLR Transcription, ici, car la vidéo est déjà en français ?] de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò

[Voir aussi :
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

II – La vidéo de Mgr Carlo Maria Viganò en français pour MPI :




Selon Catherine Austin Fitts, « ils » préparent un coup d’État mondial en utilisant l’OMS et l’argent digital (CBDC)

[Voir aussi :
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
CBDC : Comment le COVID est devenu la voie de la surveillance financière mondiale
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]




Le plan pour détruire les États-Unis

[Source : RI]

Par Mike Whitney

Aux États-Unis, nous avons un problème d’oligarques, et il est bien plus important que celui auquel Poutine a été confronté lorsqu’il est devenu président en 2000. L’Occident tout entier est désormais aux prises avec des élites milliardaires qui ont la mainmise sur les médias, l’establishment politique et toutes nos institutions importantes. Ces dernières années, nous avons vu ces oligarques étendre leur influence des marchés, de la finance et du commerce à la politique, aux questions sociales et même à la santé publique. L’impact de ce groupe sur ces autres domaines d’intérêt a été tout simplement stupéfiant. Les élites de l’establishment et leurs médias ont non seulement soutenu sans réserve le Russiagate, la destitution de Trump, les émeutes de BLM et le fiasco du 6 janvier, mais ils ont également contribué à l’hystérie du Covid et à la multitude de mesures répressives imposées au nom de la santé publique. Ce que nous aimerions savoir, c’est dans quelle mesure ce groupe participe activement à l’élaboration d’autres événements visant à transformer la République américaine en un système plus autoritaire ?

En d’autres termes, les injections obligatoires, les confinements forcés, la censure agressive mise en place par le gouvernement, les élections présidentielles douteuses, les incendies d’usines de transformation alimentaire, les déraillements de trains, les attaques sur le réseau électrique, les émeutes BLM-Antifa, les spectacles de drag-queens pour les écoliers, l’attention maniaque portée aux questions de genre et les procès publics à grand spectacle ne sont que des incidents aléatoires survenant spontanément au cours d’une période de grands changements sociaux ou sont-ils, en fait, la preuve d’une opération furtivement orchestrée par des agents de l’État agissant pour le compte de leurs bienfaiteurs de l’élite ? Nous savons déjà que le FBI, le DOJ [Département de la Justice] et les agences de renseignement étaient directement impliqués dans le Russiagate – qui était une attaque secrète contre le président en exercice des États-Unis. La question n’est donc pas de savoir « si » ces agences sont activement impliquées dans d’autres actes de trahison, mais plutôt dans quelle mesure ces actes ont un impact sur la vie des Américains ordinaires, sur notre politique et sur le pays. Mais avant de répondre à cette question, jetez un coup d’œil à cette citation tirée d’une récente interview du colonel Douglas MacGregor :

« J’ai lu un document rédigé par George Soros il y a plus de dix ans, dans lequel il parle spécifiquement de cette guerre totale qui serait finalement menée contre la Russie parce qu’il a dit que c’était « le dernier État nationaliste qui repose sur une base de culture chrétienne orthodoxe avec l’identité russe en son centre. Il faut l’éliminer ». Je pense donc que les responsables occidentaux et les responsables de Washington pensent qu’ils ont réussi à détruire l’identité des peuples européens et américains, que nous n’avons aucun sens de nous-mêmes, que nos frontières ne sont pas défendues, que nous n’opposons aucune résistance aux migrants du monde en développement qui nous écrasent comme si nous leur devions une vie et que nos lois ne comptent pas. Jusqu’à présent, je dirais que c’est une évaluation précise de ce que nous avons fait. Et je pense que c’est une grande victoire pour George Soros et les mondialistes, les anti-nationalistes ; ceux qui veulent des frontières ouvertes qu’ils appellent une « société ouverte » parce que vous vous retrouvez avec rien, une masse amorphe de gens qui luttent pour survivre et qui sont réduits aux plus bas niveaux de subsistance … (Soros) va même jusqu’à dire combien il serait utile que ce soit les Européens de l’Est qui perdent la vie dans ce processus et non les Européens de l’Ouest qui ne veulent tout simplement pas accepter les pertes. Ce n’est pas une question mineure. C’est le genre de pensée qui est si destructeur et si maléfique, à mon avis, que c’est ce à quoi nous avons réellement affaire dans nos propres pays et je pense que Poutine le reconnaît ».(([1] Douglas Macgregor, « Une énorme offensive », YouTube, 11:20 minute.))

La variole du mouton est toujours ignorée

La raison pour laquelle j’ai transcrit ce commentaire de MacGregor est qu’il résume les perceptions d’un grand nombre de personnes qui voient les choses de la même manière. Il exprime la haine que les milliardaires mondialistes éprouvent envers les chrétiens et les patriotes, qu’ils considèrent tous deux comme des obstacles à leur objectif d’un gouvernement mondial unique sans frontières. MacGregor aborde ce phénomène en relation avec la Russie, que Soros considère comme « le dernier État nationaliste qui repose sur un socle de culture chrétienne orthodoxe avec l’identité russe en son centre ». Mais la même règle pourrait être appliquée aux manifestants du 6 janvier, n’est-ce pas ? N’est-ce pas la véritable raison pour laquelle les manifestants ont été raflés et jetés dans le goulag de Washington. Après tout, tout le monde sait qu’il n’y a pas eu d’« insurrection » ni de « suprémacistes blancs ». Les manifestants ont été enfermés parce qu’ils sont des nationalistes (patriotes) qui sont l’ennemi naturel des mondialistes. La citation de MacGregor l’expose noir sur blanc. Les élites ne croient pas que les nationalistes puissent être persuadés par la propagande. Ils doivent être éradiqués par l’incarcération ou pire. N’est-ce pas le message sous-jacent du 6 janvier ?

L’autre message sous-jacent du 6 janvier est que les gens ordinaires ne sont plus autorisés à contester l’autorité des personnes au pouvoir. Encore une fois, la légitimité politique aux États-Unis a toujours été déterminée par les élections. Ce que le 6 janvier indique, c’est que la légitimité ne compte plus. Ce qui compte, c’est le pouvoir, et la personne qui peut vous faire arrêter pour avoir remis en question son autorité a tout le pouvoir dont elle a besoin. Regardez cet extrait d’un post sur Substack par l’analyste politique Kurt Nimmo :

« Klaus Schwab, élève du criminel de guerre Henry Kissinger, est un mentor pour les sociopathes avides de pouvoir et narcissiques. La « Grande Réinitialisation » du WEF est conçue pour transformer le monde en un camp de concentration social appauvri, où les serfs démunis « ne possèdent rien », ce qui, dans la plus pure tradition orwellienne, les libérera…

Je défie les gens d’enquêter sur l’initiative de redéfinition mondiale du WEF. Selon le Transnational Institute des Pays-Bas, cette « initiative » propose :

« une transition de la prise de décision intergouvernementale vers un système de gouvernance multi-acteurs. En d’autres termes, ils marginalisent furtivement un modèle reconnu où nous votons pour des gouvernements qui négocient ensuite des traités qui sont ensuite ratifiés par nos représentants élus avec un modèle où un groupe auto-sélectionné de « parties prenantes » prend des décisions en notre nom.

En d’autres termes, les « parties prenantes » des grandes entreprises transnationales décideront où vous vivez, ce que vous mangez (insectes et mauvaises herbes), comment vous vous reproduisez (ou pas ; les enfants produisent des émissions de carbone), et ce que vous pouvez leur « louer », ou ne pas être autorisé à louer si vous vous plaignez d’un cartel « économique » mondialiste non élu qui conduit l’humanité au servage, à la pauvreté mondiale et à la dépopulation ».(([2] « Le WEF appelle à la destruction de la classe moyenne des États-Unis », Kurt Nimmo sur Geopolitics.))

Ce que Nimmo veut dire, c’est que ces élites milliardaires sont maintenant si puissantes qu’elles peuvent ouvertement dire qu’elles vont « s’éloigner de la prise de décision intergouvernementale » (c’est-à-dire du gouvernement représentatif) pour adopter un système de « gouvernance multipartite ». Si je ne me trompe pas, il s’agit là d’une déclaration sans ambiguïté d’une nouvelle forme de gouvernement supranational, dans lequel seules les parties prenantes milliardaires ont un droit de vote sur les politiques mises en œuvre. Mais n’est-ce pas déjà ainsi que les choses fonctionnent ? Sur un grand nombre de sujets, qu’il s’agisse de l’ESG, des monnaies numériques, des passeports vaccinaux, de l’IA, de la recherche sur les gains de fonction, des villes de 15 minutes, du transhumanisme ou de la guerre avec la Russie, les décisions sont toutes prises par une poignée de personnes dont nous savons peu de choses et qui n’ont jamais été élues.

Et cela nous ramène à notre question initiale : Combien de ces événements bizarres (de ces dernières années) ont été imaginés et mis en œuvre par des agents de l’État profond pour faire avancer l’agenda élitiste ?

Cela semble être une question impossible, car il est difficile de trouver un lien entre ces événements très différents. Par exemple, quel est le lien entre une heure pour enfants animée par une drag queen et, disons, l’explosion d’une bombe incendiaire dans une usine de transformation alimentaire en Oklahoma ? Ou l’exploitation politique incessante des questions de genre et les procès publics du 6 janvier ? S’il y avait un lien, nous le verrions, non ?

Pas nécessairement, car le lien n’a peut-être rien à voir avec l’incident lui-même, mais plutôt avec son impact sur les personnes qui le vivent. En d’autres termes, tous ces événements pourraient avoir pour but de générer la peur, l’incertitude, l’anxiété, l’aliénation et même la terreur. Les agences de renseignement ont-elles déjà lancé de telles opérations de déstabilisation ?

En fait, elles l’ont fait à de nombreuses reprises. Voici un extrait d’un article qui vous aidera à comprendre où je veux en venir. Il s’agit d’un article de The Saker intitulé « Opération Gladio : la guerre secrète de l’OTAN pour le fascisme international ». Voyez si vous remarquez des similitudes avec la façon dont les choses se déroulent aux États-Unis depuis quelques années :

« Yves Guerin-Serac : le grand maître des Black Ops à l’origine de l’opération Gladio… a rédigé les manuels d’entraînement de base et de propagande que l’on peut à juste titre décrire comme l’ordre de bataille de Gladio. (…)

Guerin-Serac était un héros de guerre, un agent provocateur, un assassin, un poseur de bombes, un agent de renseignement, un catholique messianique et le grand maître intellectuel de la « stratégie de la tension », essentielle au succès de l’opération Gladio. Guerin-Serac a publié via Aginter Press le manuel Gladio, y compris Notre activité politique dans ce qui peut être décrit à juste titre comme le premier commandement de Gladio :

« Notre conviction est que la première phase de l’activité politique doit être de créer les conditions favorisant l’installation du chaos dans toutes les structures du régime… À notre avis, le premier geste que nous devons faire est de détruire la structure de l’État démocratique sous le couvert d’activités communistes et pro-soviétiques… D’ailleurs, nous avons des gens qui ont infiltré ces groupes ».

Guerin-Serac poursuit :

« Deux formes de terrorisme peuvent provoquer une telle situation [effondrement de l’État] : le terrorisme aveugle (commettre des massacres sans discernement qui font un grand nombre de victimes), et le terrorisme sélectif (éliminer des personnes choisies) (…)

Cette destruction de l’État doit se faire sous le couvert d’« activités communistes ». Ensuite, il faut intervenir au sein de l’armée, du pouvoir juridique et de l’Église, afin d’influencer l’opinion publique, de proposer une solution et de démontrer clairement la faiblesse de l’appareil juridique actuel. L’opinion populaire doit être polarisée de telle sorte que nous soyons présentés comme le seul instrument capable de sauver la nation ».

La violence anarchique et aléatoire devait être la solution pour provoquer un tel état d’instabilité et permettre ainsi la mise en place d’un système entièrement nouveau, un ordre autoritaire mondial. Yves Guérin-Sérac, qui était un fasciste ouvert, ne serait pas le premier à utiliser des tactiques de faux drapeau qui ont été imputées aux communistes et utilisées pour justifier un contrôle policier et militaire plus strict de la part de l’État ».(([3] « Operation Gladio : La guerre secrète de l’OTAN pour le fascisme international », The Saker.))

Je répète : la première phase de l’activité politique doit consister à créer les conditions favorisant l’installation du chaos dans toutes les structures du régime… Cette destruction de l’État doit se faire sous le couvert d’activités (communistes)… L’opinion populaire doit être polarisée de telle sorte que nous soyons présentés comme le seul instrument capable de sauver la nation.

En d’autres termes, l’objectif de l’opération est de perturber complètement toutes les relations et interactions sociales, de cultiver des sentiments d’incertitude, de polarisation et de terreur, de trouver un groupe qui puisse servir de bouc émissaire pour le vaste effondrement de la société et, ensuite, de se présenter (les élites) comme le meilleur choix pour rétablir l’ordre.

Des fermetures liées au changement climatique déguisées en Villes de 15 minutes dans le cadre de l’Agenda 2030 des Nations unies
Votre gouvernement poursuit son projet d’implanter des villes de 15 minutes près de chez vous. Ces villes, créées dans le cadre de l’Agenda 2030 des Nations unies, sont en fait des lieux de confinement liés au changement climatique.
En combinant une carte d’identité numérique, un crédit carbone et un jeton programmable de monnaie numérique de la banque centrale (CBDC), vous obtenez la recette parfaite pour créer une prison numérique à ciel ouvert.
« L’ère du libre arbitre est terminée »

Est-ce là ce qui se passe ?

C’est très possible. Tout cela pourrait faire partie d’une grande stratégie visant à « effacer l’ardoise » afin de « passer d’un système de décision intergouvernemental » à un système de « gouvernance multipartite ».

Cela pourrait expliquer pourquoi il y a eu une telle attaque vicieuse et soutenue contre notre histoire, notre culture, nos traditions, nos croyances religieuses, nos monuments, nos héros et nos fondateurs. Ils veulent remplacer notre idéalisme par des sentiments de honte, d’humiliation et de culpabilité. Ils veulent effacer notre passé, nos valeurs collectives, notre héritage, notre engagement envers la liberté personnelle et l’idée même des États-Unis [NDLR D’où l’intérêt de la « Cancel Culture », la culture de l’effacement]. Ils veulent tout raser et tout recommencer [NDLR par le « Great Reset » ou Grande Réinitialisation]. C’est leur plan de jeu fondamental.

La destruction de l’État est menée sous le couvert d’événements apparemment aléatoires qui répandent le chaos, exacerbent les divisions politiques, augmentent les incidents de désordre public et ouvrent la voie à une restructuration violente du gouvernement.

Ils ne peuvent pas construire un nouvel ordre mondial tant que l’ancien n’est pas détruit.

source : The Unz Review

traduction Réseau International





Le Nouvel Ordre Mondial, une opportunité offerte par la crise sanitaire

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Cela n’a échappé à personne. Sous couvert de réponse à l’urgence sanitaire, les démocraties et leurs économies ont été suspendues partout sur la planète pour être remplacées par des modes de gouvernance autoritaires, secrets et de type militaire.

Progressivement, l’on a découvert un « coup d’état mondial » en cours, une prise de contrôle de la société entière par une élite globale, dont la partie visible est représentée au Forum économique de Davos. Son objectif affiché, est de « saisir l’opportunité de la pandémie pour effectuer un grand reset planétaire vers la 4ème révolution industrielle », soit une société de surveillance et de contrôle par la technologie. Une tentative de transformer l’OMS en un organe de gouvernance mondial, qui serait légitimé par le motif de l’urgence sanitaire est bien en cours.

Peut-on parler d’un nouvel ordre mondial ?

Commençons par une citation: le 23 novembre 2022, au « World Government Summit », lors du sommet du gouvernement mondial, Macron a appelé à la constitution d’un ordre mondial unique.  « Êtes-vous du côté des États-Unis ou de la Chine ? Parce que maintenant, progressivement, beaucoup de gens aimeraient voir deux ordres dans ce monde. C’est une énorme erreur, même pour les États-Unis et la Chine. Nous avons besoin d’un nouvel ordre mondial unique » !

Il faut donc en parler publiquement, puisque les chefs d’état ne s’en privent pas et qu’il est indispensable de dénoncer cette atteinte à la souveraineté des peuples. Le projet n’est certes pas nouveau, l’on pourrait remonter aux empires, ou plus récemment à la politique de l’après-guerre avec la mise en place des organisations internationales et les objectifs des politiques américaines et brittaniques.

Mais en ce qui concerne l’instrumentalisation du domaine de la santé comme arme de stratégie politique, c’est avec la notion de la lutte internationale contre le sida que les choses ont commencé à se mettre en place. Et d’après Robert F. Kennedy, Jr qui en a retracé l’historique dans son livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma: leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », c’est la rencontre et l’alliance entre Bill Gates et Anthony Fauci en 2010 qui a initié la stratégie de vaccination à l’échelle mondiale. D’abord avec le programme de « la décennie des vaccins », ensuite avec le Global Health Security Agenda.

La ligne de temps de l’urgence sanitaire

Lancé en novembre 2014, l’agenda de la sécurité sanitaire global (Global Health Security Agenda) a été précipité par deux facteurs: d’une part les révélations du lanceur d’alerte du CDC William Thompson qui a avoué noir sur blanc avoir commis une fraude scientifique majeure pour dissimuler le lien entre l’autisme et la vaccination. Et d’autre part, la réponse à cette nouvelle sur les réseaux sociaux qui ont été inondés de témoignages de victimes ayant subis des dommages vaccinaux.

Ces évènements qui ont provoqué une véritable panique au sein du cartel des vaccins (et des gouvernements) ont suscité l’élaboration et la mise en oeuvre d’un plan ayant pour objectif de renverser les accusations et de passer à une contre-offensive pour imposer la vaccination à l’échelle planétaire. Etant donné que la plupart des démocraties avaient bétonné les principes du libre choix du patient dans leur constitution ou dans leurs lois sur la santé, l’urgence sanitaire représentait le seul moyen de faire tomber ces obstacles aux obligations vaccinales.

Au sortir de cette première réunion à la Maison Blanche à laquelle participaient l’OMS, différentes organisations onusiennes et les ministres de la santé d’environ 40 pays, la Californie, l’Italie, le Portugal (et sans doute la France) furent désignés comme pays pilotes pour tenter d’étendre les obligations vaccinales, en partant d’une campagne internationale axée sur les dangers du grand retour de la rougeole.

En 2016, lors de la campagne présidentielle aux Etats-Unis, le sujet fut au coeur des débats, notamment suite à la sortie du film Vaxxed qui relayait les aveux de Thompson. Trump prônait la liberté vaccinale et l’ouverture d’une enquête sur les effets secondaires présidée par Robert F. Kennedy, Jr., tandis que Clinton répétait inlassablement que « la terre est ronde, le ciel est bleu et les vaccins sont sûrs ».

En novembre, à la veille de la victoire de Trump, Obama signa avec Bill Gates un gigantesque financement pour lancer le programme du GHSA à l’échelle planétaire. Ensuite Gates fit rapidement comprendre à Trump qu’il devait abandonner toute idée d’étudier la sûreté des vaccins.

En 2017, le débat sur la vaccination qui était particulièrement animé en France, fut complètement passé sous silence durant la campagne électorale, alors que le nouveau gouvernement devait obligatoirement se prononcer sur l’extension des obligations vaccinales. Ce fut l’année du combat des fake news et des lois de censure, prônées par l’Union européenne et adoptées par une majorité d’états membres.

L’année suivante, à Mar del Plata, le G20 décida d’investir massivement dans la préparation aux futures pandémies. Dans les semaines suivant cette réunion au sommet, l’Argentine fut le premier pays à instaurer une politique refusant l’accès aux documents administratif et à l’éducation, aux non-vaccinés. En décembre, le conseil de l’Europe vota une recommandation à l’union sur la vaccination avec l’objectif de vacciner tous les citoyens, tout au long de la vie et de lancer un programme de passeports vaccinaux à l’échelle européenne.

Début 2019, ce plan mondial de la vaccination (voir l’article « la prophétie Nexus »), et de la mise en place d’un agenda de contrôle par une surveillance à l’échelle planétaire, sous prétexte d’une urgence sanitaire, était déjà palpable .

L’on pouvait identifier des narratifs communs à tous les pays, alors qu’ils étaient clairement déconnectés de la situation épidémiologique locale. L’on retrouvait aussi les mêmes « incidents », les même phrases dans la bouche des politiques – « il est inacceptable de mourir de la rougeole » – et des propositions de lois identiques étaient votées partout, en même temps. L’on a donc assisté aux répétitions du choeur international de guignols (les chefs d’état) que la pandémie a offert au monde avec des slogans comme « aplatir la courbe », « tous ensemble », « la nouvelle norme » et « Build back better ».

Le choeur des guignols de Davos

2019, mise en place de l’agenda de la pandémie et du nouvel ordre mondial

Si, comme le prétendent aujourd’hui certains scientifiques, le virus de la pandémie était déjà en circulation dès mars 2019 (partons de l’hypothèse qu’il existe ou que son existence ait été déclarée à divers niveaux décisionnels), il a bien pu servir à accélérer la mise en place d’une série d’instruments ayant pour objectif d’opérer une prise de contrôle mondial au profit de l’élite de Davos.

[NDLR L’existence de virus pathogènes, dont celle d’un supposé SRAS-CoV-2 est de plus en plus contestée par de véritables scientifiques non inféodés à Big Pharma, dont l’équipe allemande autour du professeur Stefan Lanka.
Voir le dossier Vaccins et virus.]

En juillet, l’ONU a signé un accord de coopération avec le Forum économique mondial sur la mise en place de l’agenda 2030. Cet acte constitue d’une certaine manière un aveu du fait que les chefs d’état de la planète se considèrent au service des milliardaires, plutôt qu’à celui du peuple qu’ils représentent.

A côté de cette étape politique, le 22 août, lors de la réunion annuelle des banques centrales à Jacksonhole, Blackrock a présenté le programme de réforme économique qui serait mis en oeuvre sous couvert de réponse à la pandémie. Cette opération (ea. ruiner l’économie, siphonner la trésorerie des gouvernements, imposer des emprunts exorbitants et opérer un gigantesque transfert de la manne publique aux mains des privés) a connu un coup d’accélérateur, en mars 2020, le jour de la déclaration de la crise sanitaire par le directeur de l’OMS.

Au mois d’octobre a eu lieu la grande répétition générale nommée Event 201, permettant aux différents acteurs de cette offensive en partenariat public et privé d’accorder leurs violons.

L’on pourrait encore citer toute une série d’éléments pour compléter ce tableau. Tout indique qu’en réalité, d’une certaine manière, une forme de gouvernance mondiale était déjà là. Sinon comment expliquer que 190 pays aient abandonné leurs programmes nationaux de réponse aux urgences sanitaires, pour adopter en l’espace de quelques jours un discours et des politiques identiques et inédites?

Le gouvernement mondial est déjà là, mais il cherche à se légitimer

Progressivement, l’on voit les différentes pièces du puzzle s’assembler. Dans le monde occidental, tout le monopole de la richesse est concentrée dans trois grands groupes d’investissements : Blackrock, Vanguard et State Street. A elles seules, ces compagnies et leurs principaux actionnaires peuvent imposer des politiques de gouvernance à tout le système économique, tant dans le secteur public que privé.

L’agenda durable et les politiques du FEM sont adoptées par les banques centrales et imposées aux gouvernements, parfois via l’adoption des politiques globales européennes, mais aussi dans des accords bilatéraux directs. Exit la volonté du peuple.

Petit à petit ce pouvoir invisible se dévoile, ou du moins ses exécutants. D’ailleurs, Klaus Schwab ne craint plus de se vanter publiquement d’avoir infiltré les cabinets de la majorité des gouvernements.

L’on imagine à quel point cela doit être frustrant de se dire que l’on possède tout un royaume, mais que l’on ne peut y faire exécuter sa volonté de manière directe. Il semble pourtant logique qu’une mafia mondiale aspire à se reposer en installant un système de gouvernance par la technologie, avec la possibilité constante d’en modifier les règles dans un mode de gouvernance « agile ». (c’est à dire, basé sur la persuasion qu’il existe des données « objectives » censées justifier tous les caprices de l’élite).

Le nouvel ordre mondial cherche à se rendre visible et à se légitimer, en utilisant l’urgence sanitaire pour créer un bureau de décision central et supranational au sein de l’OMS. Ces efforts se déroulent sur deux voies parallèles: la révision du Règlement sanitaire international et la négociation d’un « traité pandémies ».

[Pour soutenir Senta Depuydt,
voir sur son site]




Le combat de Cassandre face à la déchristianisation de la France

[Source : medias-presse.info]

Entretien en Suisse avec Cassandre Fristot

Abrutissement et appauvrissement planifié et généralisé, extinction des traditions, remplacement des populations autochtones au moyen de l’avortement, de la stérilisation, de l’euthanasie et de l’immigration de masse. Autant de faits objectifs, qui se résument en un mot, résonnant jusqu’au fond de chaque conscience occidentale : DÉCHRISTIANISATION.

Dans cette belle entrevue menée le 4 février dernier par Haltérophilo, Cassandre Fristot, responsable Civitas Grand Est, nous redonne à tous le courage nécessaire pour nous engager dans le combat final pour la survie de notre Civilisation avec force et vigueur.

[Voir aussi :
Le faux combat contre « l’antisémitisme » de pompiers pyromanes]






OMS et Nouvel Ordre Mondial

[Source : anthropo-logiques.org via RI]

Je suis profondément heureux de re-publier ici, avec son aimable autorisation, une nouvelle analyse magistrale de ma consœur Françoise Bloch au sujet de ce qui se trame à l’OMS et du rôle que d’aucuns aimeraient voir jouer à cette organisation profondément corrompue au sein du Nouvel Ordre Mondial…

Avec cet argument a priori imparable : si c’est pour la santé des populations, de quel droit oserait-on s’opposer aux décisions de cet organisme ?

Les manœuvres pour soumettre les pays aux décisions contraignantes (diktats) de l’OMS se déroulent déjà au grand jour depuis quelques années. Si les Occidentaux apparaissent soumis à cet agenda totalitaire mondial, la bonne surprise est venue à plusieurs reprises du reste du monde, à qui évidemment on ne la fait pas quand il s’agit d’imposer de nouvelles formes d’impérialisme.

Ceci advient à un moment où l’organisation n’en finit pas de se discréditer. En dépit de la quasi-absence de nouveaux cas, par exemple, l’OMS vient de reconduire la « variole du singe » comme urgence sanitaire internationale… Une urgence sanitaire sans cas est une innovation intéressante de plus dans le registre du théâtre de l’absurde… mais certainement pas de la santé publique !

Quant au très douteux scientifique Jeremy Farrar (directeur du Wellcome Trust), il vient, à peine élevé à la dignité de Chief Scientist de l’OMS, de proposer qu’on renonce aux investigations quant à l’origine du Sars-CoV-2 — question en effet sans importance ! Il s’en est ensuite défendu, sachant à quel point le sujet est chaud : pas moins de dix chimères de coronavirus de chauve-souris ont été produites dans le laboratoire de Wuhan après que Barack Obama ait interdit les recherches sur les gains de fonction sur les virus — le Sars-CoV-2 apparaissant désormais bien, comme l’avait dit très vite le Pr Luc Montagnier, un produit d’ingénierie du vivant…

Au-delà de ces vilaines péripéties se déploie un réel problème de fond : la volonté de subordonner de manière contraignante la souveraineté sanitaire des pays à une organisation internationale connue aujourd’hui comme étant LA plus corrompue au monde.

Françoise Bloch, en observatrice avertie, nous livre un article de haute tenue décrivant les risques et les enjeux de cette pièce maîtresse du dispositif de gouvernance mondiale en voie d’imposition par des pouvoirs étatiques mafieux. Engagés dans de véritables « crimes d’état contre la démocratie » selon le terme consacré par le professeur de sciences politiques américain Lance de Haven Smith…

Jean-Dominique Michel

[Mise à jour.
Voir aussi :
« Le Traité sur les pandémies de l’OMS instaurera un État mondial, policier, médical et scientifique », selon Francis Boyle, professeur de droit
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-traite-sur-les-pandemies-e-l-oms-instaureront-un-etat-mondial-policier
et
Un avocat révèle les projets de pouvoir de l’OMS]

La clef de voûte du Nouvel Ordre Mondial passe-t-elle par de nouvelles prérogatives attribuées à l’OMS ?

Par Françoise Bloch[1]

« Qui écoute un témoin le devient à son tour…
Cela reste important de délivrer un message, pas seulement pour le peuple juif, mais pour la noblesse de l’être humain »

Elie Wiesel[2]

« Aujourd’hui plus que jamais, la conception de l’être vivant comme machine est indissolublement liée au fait que nous vivons dans une société capitaliste et industrielle : elle reflète ce que les instances qui dominent la société voudraient que le vivant soit, afin de pouvoir en faire ce que bon leur semble. »

Bertrand Louart[3]

Préambule

Selon Hannah Arendt[4]:

« Ce n’est que dans la mesure où il pense, et cela veut dire dans la mesure où il est sans âge — un “il” ou un “je” et non un “quelqu’un” comme le nomme si justement Kafka — que l’homme dans la pleine réalité de son être concret vit dans cette brèche entre le passé et le futur. Cette brèche n’est pas un phénomène moderne, peut-être même pas une donnée historique, mais va de pair avec l’existence de l’homme sur la terre. Il se peut bien qu’elle soit ce chemin frayé par la pensée, ce petit tracé de non-temps que l’activité de la pensée inscrit à l’intérieur de l’espace-temps des mortels (…). Ce petit non-espace-temps au cœur même du temps (…) peut seulement être indiqué, mais ne peut être ni transmis ou hérité du passé ; chaque génération nouvelle et même tout être humain nouveau en tant qu’il s’insère lui-même entre un passé infini et un futur infini, doit le découvrir et le frayer laborieusement à nouveau ».

J’ai donc essayé, durant ma vie y compris depuis ces trois ans de délire covidien, de me frayer ce chemin entre un passé et un avenir encore inconnu, mais que d’aucuns semblent vouloir écrire pour nous… en prolongeant un passé qu’ils se sont employés à reprendre à leur compte… pour leurs propres intérêts, n’ayant jamais su s’en détacher et voir que l’humain n’est pas qu’une « mécanique à réparer » ou à « perfectionner ». Les deux idéologies du 20e siècle, nées des conceptions scientistes du 18e et dont le capitalisme a finalement triomphé, n’ont su voir dans la vie et l’humain que la matérialité au point de désormais vouloir en faire un robot. Les hommes ne sont pas des machines que l’on peut télécommander par l’intelligence artificielle et autres béquilles technologiques même si celles-ci les fascinent. Il leur arrive même d’avoir une conscience et de penser dans cet espace-temps qui échappe aux soi-disant « élites mondialistes » dont les projets fous nous conduisent à un totalitarisme sanitaire et militaire si nous n’y prenons garde… et dont une partie est déjà en place, mais qu’ils accélèrent.

******

D’abord il nous faut faire un constat

De ces trois ans de « covidisme délirant », totalement déconnecté de la réalité de la situation et d’ailleurs de toutes les pratiques judicieuses et scientifiquement éprouvées en cas d’épidémie virale respiratoire voire de pandémie, mais fut simplement une « expérimentation d’ingénierie sociale », conçue et préparée de longue date[5].

Depuis l’arrivée du SRAS-CoV-2, nous pouvons énumérer les méthodes de manipulation de l’information qui ont été utilisées : essais cliniques falsifiés et données inaccessibles ; études truquées et en conflits d’intérêts ; dissimulation des effets secondaires à court terme des « injections géniques » nommées à tort « vaccins » et méconnaissance totale des effets à long terme de leur injection ; composition douteuse des « produits injectés » ; méthodes de test inadéquates ; gouvernements et organisations internationales corrompus ; médecins soudoyés ou menacés, voire interdits d’exercer leur métier ; dénigrement de scientifiques de renom ; interdiction de tout traitement alternatif efficace ; méthodes sociales liberticides et création de boucs émissaires — les non-vaccinés — pour diviser la population, monter les citoyens les uns contre les autres, et créer la discorde au sein des familles au point de pousser des enfants et adolescents au suicide ; utilisation par les gouvernements de techniques de modification du comportement et d’ingénierie sociale pour imposer l’enfermement, les masques et l’acceptation des injections ; censure des médias indépendants et discours planétaires uniformes, véhiculés par les médias les plus puissants du monde (trois agences de presse — AP, Reuters, AFP — toutes rachetées par des financiers et subventionnées, fournissant de quoi alimenter leurs articles)… et amplification du numérique à des fins de contrôle de la population.

Et pour conclure :

« En soutenant et en sélectionnant uniquement un côté de l’information scientifique tout en supprimant les points de vue alternatifs, et avec des conflits d’intérêts évidents, les gouvernements et les médias grand public ont constamment désinformé le public. Par conséquent, les lois de vaccination validées de manière non scientifique, issues de la science médicale contrôlée par l’industrie, ont conduit à l’adoption de mesures sociales pour la protection supposée de la santé publique, mais qui sont devenues de graves menaces tout à la fois pour la santé, les droits et les libertés des populations touchées »[6].

Après ce constat d’évidence

Fait par de nombreux chercheurs indépendants[7] et de citoyens et citoyennes éclairés, nous avons, de facto, vécu une expérimentation sociale, une forme particulière d’ingénierie sociale, longuement mûrie et préparée, que les « nouveaux maîtres du monde », à savoir les « élites mondialistes » auto-programmées et l’OMS, leur façade, considèrent finalement comme « réussie » puisque la grande majorité des citoyens — principalement occidentaux — ont consenti aux mesures préconisées y compris les plus coercitives. Car d’autres pays comme une bonne partie de l’Amérique latine, l’Égypte, plusieurs pays africains, la plupart des États indiens et y compris la Chine ont eu recours à des remèdes dits ancestraux — l’Artémisia annua par ex. — ou qui avaient fait leurs preuves scientifiquement. On peut donc constater que cette « expérimentation » n’a pas encore complètement atteint l’objectif visé par l’OMS et ses financeurs[8]. Elle a juste préparé ceux qui, sidérés et manipulés, n’ont pas pu ni su y résister : il s’agit désormais de contraindre tous ceux qui n’ont pas appliqué le « dispositif » ou qui ne l’ont pas atteint afin qu’ils se conforment au déroulement des prochains épisodes, c’est-à-dire l’objectif visé par ces élites mondialistes… et leurs complices : un contrôle totalitaire sur leurs vies au prétexte de prendre soin de leur santé… et de leur sécurité… par équité bien sûr ! En cela, malheureusement, l’OMS et ses complices trouvent chez certains ONG et partis politiques — essentiellement de gauche, « écologistes » et tiers-mondistes — des alliés objectifs au prétexte d’aide au développement et d’aide internationale aux pays les plus démunis financièrement. On reste stupéfait devant un tel aveuglement technophile, purement idéologique.

*****

Voyons maintenant les « préparatifs » de l’OMS en vue d’atteindre cet objectif — qui se veut mondial, question « d’équité », paraît-il — lors de l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2023 : va-t-on vers un totalitarisme sanitaire et militaire ?

Pendant nos interrogations bien sûr légitimes sur ce que nous avons vécu parfois comme sidération et souvent comme maltraitance et le soin que nous apportons à en traiter les effets, de préférence avec bienveillance, l’OMS poursuit son agenda mondialiste, sous l’influence de ses financeurs à savoir les soi-disant « élites mondialistes » (dont bien sûr la Fondation Gates et la GAVI) réunies annuellement au Forum Économique Mondial (WEF) à Davos[9] par une intense activité de groupes de travail ; ceci d’autant plus que lors de l’Assemblée mondiale de la santé de 2022, plusieurs États membres, dont plusieurs africains, se sont opposés aux modifications du Règlement sanitaire international (RSI). Rappelons que, déjà en 2021, Urmie Ray dénonçait les dangers d’une mainmise accrue de l’OMS sur la santé mondiale[10]. Plusieurs groupes de travail — dont les membres sont cooptés — se sont déjà réunis plusieurs fois, en vue de :

  • – élaborer un nouveau traité, accord ou convention sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie[11],
  • – modifier le Règlement sanitaire international (RSI)
  • – amplifier les outils technologiques afin de poursuivre « une stratégie mondiale pour la santé numérique » (sic) censée façonner l’avenir de la santé mondiale[12].

Les nouvelles prérogatives que l’OMS cherche à se voir attribuer nous annoncent-elles la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial de type totalitaire ? De nombreuses voix, essentiellement américaines, mais, quoique de façon moins audible, aussi européennes, s’élèvent pour dénoncer ce « coup d’État » qui militariserait la santé comme elle l’est déjà, depuis des décennies aux USA. Raison pour laquelle les Américains sont peut-être plus avertis des risques encourus puisqu’ils vivent déjà, sur leur territoire, leur accélération depuis la présidence de G. W. H. Bush durant laquelle la « guerre bioterroriste » a été conçue et lancée à travers diverses opérations : Dark Winter, Eco Global Health Security Initiative, Atlantic Storm et Event 201, que Monika Karkowska a déjà fort bien analysées[13].

Ainsi, le journaliste et chercheur indépendant James Roguski[14] dévoile, en s’appuyant sur un document interne de l’OMS[15], les effets qu’auraient les amendements proposés par l’OMS, dont ceux :

  • – de modifier la nature générale de l’Organisation mondiale de la santé, qui passerait d’une organisation consultative se contentant de formuler des recommandations à un organe directeur dont les proclamations seraient juridiquement contraignantes. (Article 1)
  • – d’étendre considérablement le champ d’application du RSI pour inclure des scénarios qui ont simplement un « potentiel d’impact sur la santé publique »
  • – de chercher à supprimer « le respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes. » (Article 3)
  • – de donner au directeur général de l’OMS le contrôle des moyens de production par le biais d’un « plan d’allocation de produits de santé » afin d’obliger les États-parties à fournir des produits de réponse à la « pandémie » dont la définition serait modifiée, selon ses instructions. (Article 13A)
  • – de donner à l’OMS le pouvoir d’exiger des examens médicaux, des preuves de prophylaxie, des preuves de vaccination et de mettre en œuvre la recherche des contacts, la quarantaine et bien sûr le traitement. (Article 18)
  • – d’instituer un système de certificats sanitaires mondiaux sous forme numérique ou papier, comprenant des certificats de test, des certificats de vaccin, des certificats de prophylaxie, des certificats de guérison, des formulaires de localisation des passagers et une déclaration sanitaire du voyageur. (Articles 18, 23, 24, 27, 28, 31,35, 36 et 44 et annexes 6, 7 et 8)
  • – de rediriger des milliards de dollars non spécifiés vers le complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques sans aucune responsabilité. (Article 44A)
  • – de permettre la divulgation de données personnelles sur la santé. (Article 45)
  • – d’augmenter considérablement la capacité de l’OMS à censurer ce qu’elle considère comme de la désinformation et de la mésinformation. (Annexe1, page 36)
  • – de créer une obligation de construire, de fournir et de maintenir une infrastructure RSI aux points d’entrée. (Annexe 10)

Quelque peu réconforté par la 4e séance[16] de ce groupe de travail, puisque ses critiques auraient été entendues (!), J. Roguski en oublie que les modifications apportées au RSI ne sont qu’une partie du processus engagé.

Francis Boyle[17] élargit le propos

Expert en armes biologiques et professeur de droit international à l’Université de l’Illinois, il avait déjà été, en 1989, le rédacteur d’un rapport dénommé « Biological Weapons Anti-terrorism Act », présenté devant le Congrès US sous la présidence de G.H.W. Bush[18]. Récemment interviewé par « The Defender » au sujet des dernières propositions faites par l’OMS lors de négociations internes qui ont eu lieu à Genève du 6 au 13 février[19], il va nettement plus loin et soupçonne ces nouvelles prérogatives que veut s’attribuer l’OMS de revêtir toutes les composantes d’un « état totalitaire mondial de police médicale et scientifique » : celles-ci « pourraient violer le droit international et enlever toute souveraineté aux États en matière de politique de santé tout en s’assurant d’un contrôle sur la population mondiale par la mise en place de technologies numériques » ; tout ceci en vue d’atteindre « la stratégie mondiale de santé numérique » (sic), avec en vedette les GAFAM, l’IA, le contrôle accru des gouvernements et des citoyens qu’un autre groupe de travail étudie[20] en collaboration étroite avec le GHSI (Global Health Security Initiative)[21]. Très récemment, le Dr Mercola[22] annonce la nomination (fin décembre 2022) par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à la tête du GHSI, de son directeur — « un scientifique fou » — : le Dr Ferrar. On apprend que le Dr Ferrar était directeur, de 2013 à février 2023, du Wellcome Trust, complice de la dissimulation de l’origine du SRAS-CoV-2. Et que le Wellcome Trust et son directeur font partie du réseau technocratique mondialiste et du mouvement eugéniste moderne. Lorsque le SRAS-CoV-2 est apparu, M. Farrar a fondé Wellcome Leap, qui est en fait le DARPA de la santé mondiale (Defense Advanced Research Projects Agency, c. à d. une agence du département de la défense US). Cet organisme se concentre entièrement sur la recherche transhumaniste afin d’ouvrir la voie à la quatrième révolution industrielle. M. Farrar et le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, font par ailleurs partie d’un petit réseau mondial très soudé qui travaille en coulisse pour influencer la santé, la finance et la gouvernance mondiales… En coulisse donc.

Pour Francis Boyle, tous ces « préparatifs » qui brouillent les cartes entre « transparence relative et opacité » donnent toutefois une « cohérence » à l’ensemble des « préparatifs » que l’OMS compte faire voter par les États membres en mai 2023, mais ne doivent pas être analysés séparément même si tout est fait « pour noyer le poisson » et les faire apparaître comme séparés. Pris ensemble, ils vont dans le sens d’un pouvoir accru que l’OMS s’attribuerait y compris celui de contrôler l’application par les États de ses directives (mais aussi bien sûr le contrôle des citoyens du monde entier, ramenés au niveau d’enfants obéissants dans le meilleur des cas). De son rôle consultatif, la direction de l’OMS aurait désormais un rôle impératif dès lors que les 2/3 des États membres lui auraient donné un blanc-seing.

Et de préciser : le cadre du RSI de 2005 « permettait déjà au directeur de l’OMS de déclarer une urgence de santé publique dans n’importe quel pays, sans le consentement du gouvernement de ce pays, bien que le cadre exige que les deux parties tentent d’abord de parvenir à un accord ». « Selon le même document de l’OMS, les recommandations du comité d’examen du RSI et du groupe de travail des États membres sur les amendements au RSI de 2005 seront communiquées au directeur général de l’OMS, Tedros Adhanson Ghebreyesus, d’ici mi-janvier ». Cependant M. Boyle remet en question la légalité des documents susmentionnés, citant par exemple que le traité proposé par l’OMS viole la Convention de Vienne sur le droit des traités qui a été ratifiée en 1969 et que M. Boyle a décrite comme « le droit international des traités pour tous les États du monde »[23].

Il explique en outre la différence entre le dernier traité sur les pandémies et les propositions de modification du RSI : « Le traité sur les pandémies de l’OMS créerait une organisation internationale distincte, alors que les modifications proposées au RSI fonctionneraient dans le contexte de l’OMS telle qu’elle existe aujourd’hui ». Cependant, a-t-il déclaré « après avoir lu les deux documents, il s’agit d’une distinction sans différence. L’un ou l’autre, ou les deux, mettront en place un État policier médical et scientifique totalitaire mondial sous le contrôle de Tedros et de l’OMS, organisation de façade pour les CDC, que dirigeait Tony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, l’industrie de la guerre biologique et le gouvernement communiste chinois qui paie une partie de leurs factures… Soit ils obtiennent les règlements, soit ils obtiennent le traité, mais les deux sont existentiellement dangereux. Ce sont des documents vraiment dangereux… et insidieux ». Le Pr Boyle précise « n’avoir jamais lu de traités et de projets d’organisations internationales aussi complètement totalitaires que le règlement du RSI et le traité de l’OMS, car l’un et l’autre mettent en place un État policier médical et scientifique totalitaire qui échappera au contrôle des autorités nationales étatiques et locales » (et a fortiori aux citoyens) ; « … pour autant que je puisse en juger par leur lecture, ils sont, l’un et l’autre, conçus spécifiquement pour contourner les autorités nationales, étatiques et locales en matière de pandémies, de traitement de pandémies et de vaccins ».

Enfin, venons-en à Katherine WATT[24]

Dans un document qui retrace, année après année, une bonne partie des débats autour de la santé et de ses liens avec le DOD (département de la défense US) depuis le début du 20e siècle, elle montre que dès le début du siècle dernier, les élites américaines avaient, à plusieurs reprises, eu le projet de mettre en place un Nouvel Ordre mondial, velléités auxquelles seul Roosevelt, en 1933, avait — provisoirement — mis un terme. En outre, les élites US dès les années 20-30 avaient des projets de dépeuplement qui furent de nouveau approuvés en 1975 sous la présidence de G. Ford, dans le droit fil des théories eugénistes de la fin du 19e siècle que nous aborderons sommairement ultérieurement. Elle constate qu’aux USA, dès la fin des années 70 « la santé publique a été militarisée »[25] et que le personnel militaire a été utilisé comme « sujets » de recherches (ou plus exactement comme « cobayes ») pour les armes biologiques et chimiques, et que dans le prolongement de cette décision, « tout micro-organisme vivant, fabriqué par l’homme, a été considéré comme un objet brevetable (loi votée sous la présidence de Reagan en 1980) — ce que David Martin a très bien démontré[26] et contre quoi il nous mettait en garde — et qu’en 1986, sous la même présidence Reagan, « fut accordée aux fabricants de vaccins une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits » ; enfin que le HHS (le département de la santé et des services sociaux), dirigé par le Dr Fauci avait des liens structurels non seulement avec les multinationales pharmaceutiques, mais avec le Département de la Défense (DOD) en vue d’une guerre biologique et bioterroriste, toutes choses analysées par Monika Karbowska[27]. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement en cours d’armes biologiques[28], K. Watt précise que de fait, depuis des années, « est utilisé un langage portant sur la santé publique afin de mener à bien une campagne militaire » dont nous avons d’ailleurs vu l’usage qu’en a fait, en France, le Président Macron, durant la crise dite du Covid, en s’entourant d’un Conseil de guerre constitué de militaires dont les propos furent tenus secrets. Je la cite :

“Ce que le Département de la défense et l’OMS ont l’intention de faire — ils sont allés assez loin pour cela sans pour autant atteindre leurs objectifs —, c’est de faire du monde entier leur terrain géographique : ils ciblent toute la population du monde, la durée de leur campagne et les armes qu’ils utilisent sont d’abord informationnelles, c’est-à-dire la propagande et la censure, les deuxièmes sont psychologiquesterreur et terrorisme — qui consistent à dire aux gens qu’ils doivent avoir peur en permanence et qu’ils doivent écouter le gouvernement, et enfin le 3e volet, les armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires qui sont appelées dans leurs campagnes « vaccins pharmaceutiques », mais qui sont en fait des toxines et des agents pathogènes”.

Ensuite, K. Watt soulève les éléments juridiques et les aspects économiques et financiers qui permettent de mettre en place tout cet arsenal de mesures. Elle en conclut que ce projet dure depuis fort longtemps et que sont à la manœuvre des banquiers mondialistes et de nombreuses organisations apparentées qui cherchent à prendre le contrôle total des êtres humains par le biais de programmes bancaires et militaires. Tout ceci remonte au mieux aux années d’avant la 1re guerre mondiale, puis fut repris après la seconde, le nazisme ayant en partie échoué à éliminer une grande partie de la population mondiale (à l’exception tout de même des 60 millions de morts dont 26 à 28 millions de Soviétiques qui repoussèrent l’armée allemande, contribuant à lui faire perdre la guerre, et la quasi-totalité des juifs d’Europe !). « Les produits pharmaceutiques, grâce à l’immunité juridique qui les frappe, permettent le déni des intentions visées : ils peuvent atteindre l’objectif de tuer beaucoup de gens sans que leurs empreintes digitales soient partout »… à l’aide d’outils technologiques[29]… dont la 5 G !

[Voir aussi :
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
et
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

« Les contraintes financières passent par la Banque des Règlements internationaux (BRI) qui contrôle toutes les banques centrales et les institutions financières puis, tout du long, par les États, les gouvernements nationaux, locaux, municipaux, les écoles et les hôpitaux. Si vous vous conformez à ce qu’ils vous disent de faire, vous obtiendrez les moyens financiers pour ce dont vous avez besoin, pour gérer votre entreprise ou avoir un emploi et si vous ne consentez pas, ils peuvent vous couper tout ceci et c’est par là que tout a été réalisé. » En gros, précise, K. Watt : « C’est ce que nous avons déjà pu constater et vivre durant l’année 2021 et ladite « crise du Covid ».

Puis elle analyse tous les aspects juridiques qu’elle a repérés pour détourner les lois interdisant les armes chimiques et biologiques. Tous ces produits le sont à des fins “prophylactiques, protectrices ou défensives, cette dénomination étant fausse puisque tous ces produits biologiques sont agressifs, toxiques et mortels”, en sus d’être grandement inefficaces, comme nous l’avons constaté durant la crise du SRAS-CoV-2 et son cortège d’effets indésirables, pour la plupart censurés.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
Nanotechnologie et « vaccins »
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

Elle considère que l’OMS est la pierre angulaire de tous ces dispositifs et, selon elle, elle “n’est pas une organisation de santé, mais une organisation militaire, le bras militaire du gouvernement mondial unique que les élites essaient de mettre en place”. “Les amendements qu’ils veulent apporter au RSI visent à l’aggraver en exigeant des gouvernements nationaux la mise en place de mesures plus contraignantes et coercitives en cas d’épidémie de maladies transmissibles et le prétexte utilisé, formulé par les banquiers, est de protéger les entreprises des désagréments provoqués par les épidémies. Mais la vraie raison est le transfert des prérogatives des États Nations à l’OMS et à la BRI”.

Tous ces chercheurs américains en appellent à stopper le traité sur les pandémies et les modifications apportées au RSI, voire incitent leur pays à sortir de l’OMS. Peu de chance qu’ils soient entendus puisque les USA sont à la manœuvre depuis des années… sauf lorsque Trump voulut suspendre le financement US de l’OMS… mais certainement pas pour les mêmes raisons !

Ces éclaircissements, sous forme de révélations, nous éclairent désormais sur qui sont “les nouveaux maîtres du monde” à savoir les soi-disant élites mondialistes, essentiellement américaines, comme la plupart des multinationales pharmaceutiques et les banques à l’exception de la Banque des Règlements internationaux, la BRI, créée à Bâle en 1930, laquelle chapeaute toutes les banques centrales. On comprend aisément que la Suisse soit partie prenante de tous ces préparatifs et explique certainement la raison pour laquelle Genève accueille la plupart des Organisations internationales[30] dont l’immunité fut votée en 1945 par le Congrès US sous la présidence de Harry S. Truman ! La dernière en date, adoubée en 2015 par le Conseil fédéral Suisse comme Organisation internationale avec l’immunité juridique et les avantages y afférents, fut le WEF (Forum économique mondial) de Klaus Schwab[31] dont les modalités furent revisitées en 2020.

En conséquence et conclusion… toujours provisoire :

Si ces préparatifs de l’OMS aboutissaient, il en serait fini de la souveraineté des États comme des traités internationaux dont deux d’entre eux me semblent particulièrement importants : le Code de Nuremberg et les Protocoles d’Oviedo puisqu’il s’agit bien, dans tous ces “préparatifs”, de crimes contre l’humanité comme l’a démontré le Grand Jury sous la direction de Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, et d’eugénisme dont je rappelle quelques éléments historiques.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

L’eugénisme, théorie qui a prévalu à partir du milieu du 19e siècle en Occident, visait un programme de sélection artificielle pour produire une race humaine supérieure en s’appuyant sur la théorie de l’hérédité de W. Galton et sur celle de Darwin, appliquées aux êtres humains. Furent ainsi pratiquées, entre autres sous le nazisme, des expériences médicales sur l’humain, menées sur des détenus dans les camps de concentration (mais aussi sur les malades mentaux et les enfants). La plupart de ceux qui les pratiquèrent étaient médecins et, pour certains, professeurs d’Université, parfois même chercheurs réputés des expérimentations sur l’humain. Une toute petite partie d’entre eux (23 dont 20 médecins et une femme qui “officiait” comme médecin au camp de Ravensbrück[32]) furent traduits, en 1947, devant l’un des douze Tribunaux de Nuremberg, dont l’un, spécifique, concerna les seuls médecins[33].

[Voir aussi :
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
L’eugénisme, l’inavouable projet « scientiste » des philanthropes de la finance
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019]

De ces procès de Nuremberg est né le Code de Nuremberg qui établit une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 — août 1947), lesquels précisent les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme “acceptables”. De là furent édictées des lois éthiques encadrant la pratique biomédicale[34].

Ces principes éthiques furent constamment remis en cause par les USA. L’OMS et les autorités politiques et sanitaires, notamment dans les pays occidentaux, s’en sont exonérées pendant ladite crise du SRAS-Cov2et ne fut pas plus tenu compte de la Convention et des Protocoles d’Oviedo[35] (avril1997), le seul instrument juridique international contraignant. Cette Convention-cadre et ses protocoles visent à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine. Refuser de se faire injecter des produits toxiques ne relève donc pas d’un “égoïsme” qui fut prêté aux “non-vaccinés”, mais bien d’une question éthique qui concerne toute l’humanité.

[Voir aussi :
Qu’est-ce que l’éthique en médecine ?]

Hannah Arendt dont l’œuvre gigantesque sur le totalitarisme fait référence[36] — que reprend à son compte Ariane Bilheran[37] — lors d’un dernier entretien réalisé par “les Crises” en 1973[38], jette un regard rétrospectif sur le nazisme, la banalité du mal, la raison d’État dont la sécurité nationale est issue et qui justifie les pires crimes, l’arrogance des puissants, et sur la peur que l’on ne s’avoue que rarement avoir, mais qui n’est que la peur de l’imprévu et de l’imprévisible fait de contingences, mais est surtout la peur de la liberté, celle en particulier de penser. Aurions-nous si peur d’être libres de penser par nous-mêmes de manière critique ? Et répondant à la question : qu’est-ce que la liberté de penser ? elle ajoute :

« Elle ne repose que sur la conviction que chaque être humain, en tant qu’être pensant, peut réfléchir aussi bien que moi, et peut former son propre jugement s’il le veut. (…) La seule chose qui peut vraiment nous aider, c’est vraiment de réfléchir. Réfléchir, cela signifie de toujours penser de manière critique. Et penser de manière critique, cela signifie que chaque pensée sape ce qu’il y a en fait de règles rigides et de convictions générales. Tout ce qui se passe lorsqu’on pense est soumis à un examen critique. C’est-à-dire qu’il n’existe pas de pensée dangereuse, pour la simple raison que le fait de penser est en lui même une entreprise très dangereuse. Mais ne pas penser est encore plus dangereux. Je ne nie pas le fait que réfléchir est dangereux, mais ne pas réfléchir, c’est plus dangereux, encore. »

[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »]

Il en est de la grande Histoire comme des histoires singulières, les mythes et les fables qui nous sont contés cachent souvent des secrets inavouables et n’ont pas grand-chose à voir avec la réalité toujours plus complexe. Ces “fables” se transmettent ainsi de génération en génération… qui les reprennent à leur compte. Ainsi Enzo Traverso dans son ouvrage sur « la violence nazie, une généalogie européenne »[39] fait-il remonter cette violence et l’extermination industrielle des juifs… et des Tziganes — les oubliés de l’Histoire comme le furent les colonisés — … à 250 ans, c’est-à-dire à l’épisode de la Terreur de 1793 lors de la Révolution française qui inventa la guillotine, aux guerres coloniales et aux abattoirs de Chicago créés au milieu du 19èmesiècle[40]. Jacques Pauwels, historien hétérodoxe, fait aussi tomber quelques fables qui nous furent contées — tout au moins pour ceux qui voulaient bien les croire —… et plus précisément celle que l’Europe aurait été sauvée par les Américains, “le pays de la Démocratie et de la Liberté[41].

De fait, les grands industriels américains (Ford, ITT, IBM, General Motors, Petroleum Oil, etc.), loin d’être antinazis, étaient racistes et eugénistes. Pour maximiser leurs profits que la grande dépression des années 20-30 avait fait chuter et lutter contre « les Rouges »c’est-à-dire les ouvriers — auxquels la Révolution bolchévique avait fait germer l’espoir d’un monde plus juste et égalitaire, ils collaborèrent avec Hitler puis changèrent d’alliance en mars 1941, après avoir voté un « prêt-bail » à la Grande-Bretagne… et à l’URSS, à charge pour eux d’un remboursement ultérieur : « une victoire hitlérienne aurait alors asséché l’abondante source de bénéfices que générait le “prêt-bail” (…) et celle sur l’URSS aurait été désastreuse pour leurs profits ». Ces élites US arborèrent alors la casquette de l’antifascisme, mais elles restèrent anticommunistes dans leur cœur » et racistes. De surcroît, l’arrestation de tous les opposants syndicaux, socialistes, et communistes allemands, dès la première heure de l’arrivée d’Hitler au pouvoir, et conduits en camps de concentration, firent plier les ouvriers qui, travaillant à l’économie de guerre dans les usines allemandes, se soumirent à des salaires de misère quand ils furent payés. Double objectif atteint pour ces « élites » qui s’enrichirent à tout va sous le nazisme : « l’incessante quête de profit amena les hommes d’affaires, et en tout premier lieu les chefs des grandes et puissantes entreprises à créer et à manipuler le régime nazi et à lui faire déclencher une guerre mondiale, afin de concrétiser ses objectifs »jusqu’à ce que ce régime ne leur convienne plus. Triste constat qui s’est prolongé durant le 20èmesiècle et se perpétue d’ailleurs actuellement avec les multiples guerres menées sous drapeau occidental : les alliances que les « élites » économiques et financières nouent servent toujours leurs profits. Évidemment à lire, ces ouvrages décoiffent quelque peu nos croyances qui sont transmises de génération en génération. Il semble qu’elles aient la vie dure. Qui n’a pas travaillé son histoire est condamné à la revivre… Il en est des histoires singulières comme de la Grande Histoire ! Si l’Histoire ne repasse jamais les plats, dit-on, il arrive qu’elle les resserve sous d’autres apparats !

Toutefois et heureusement, chaque jour nous apporte son lot de révélations ! dont celle du PDG de Moderna, pris « les doigts dans la confiture »[42] quand il a avoué, d’abord en aparté, puis au dernier Forum économique mondial à Davos, que les « vaccins » étaient prêts, en 2019, bien avant le déclenchement de l’épidémie de Sras-Cov2. La vérité finit toujours par être découverte : ces révélations font prendre conscience à certains États que leur souveraineté est en jeu et qu’il serait bon qu’ils s’opposent aux manœuvres de l’OMS et de ses complices, telle récemment l’Australie[43].

Espérons qu’ils seront suivis par d’autres États, mais surtout que les citoyens, les premiers concernés par le « Nouvel ordre mondial » que nous promeuvent l’OMS et les soi-disant élites mondiales rassemblées au Forum économique mondial (WEF), en y mettant tous les atours pour les séduire, comprendront que leur avenir est en jeu comme celui de leurs enfants. La seule « résilience » individuelle ne pourra pas panser leurs plaies quand, de facto, tout totalitarisme a toujours visé un effondrement sociétal tel que les élites l’ont prévu cette fois encore. Étrange rapprochement entre la résilience requise des habitants, contraints de vivre dans des zones contaminées après un accident nucléaire et celle qu’on leur suggère d’avoir pour « s’adapter » voire « consentir » à un totalitarisme sanitaire et militaire tel que prévu par l’OMS ! N’oublions pas que l’OMS collabore aussi étroitement avec l’AIEA et le Conseil de Sécurité et que la « radiophobie » fut évoquée concernant la peur ressentie par les habitants vivant en zones contaminées par les retombées de l’accident de Tchernobyl et que l’idéologie de la résilience peut être, en elle-même, au service de l’acceptabilité sociale de ce qui produit les nuisances[44]. Thierry Ribault rappelle, de façon symptomatique, qu’en France, la loi portant sur la question environnementale de 2021 a été nommée « loi climat et résilience », tandis que le déploiement de moyens militaires lors de la crise sanitaire de laCovid-19 a été dénommé « Opération résilience ». L’idéologie de la résilience est en fait considérée par Thierry Ribault « comme une sorte de nouvelle religion d’État, dans laquelle toutes les situations qui suscitent de la vulnérabilité sont considérées comme des opportunités de rebond et d’adaptation. Il s’agit ainsi d’une forme de justification de l’ordre des choses, puisqu’elle promeut un “faire avec” tout en individualisant la responsabilité de la catastrophe. »

Maisil serait souhaitable que les citoyens n’oublient pas que leur vie dépend de leur capacité à transcender la peur — même si celle-ci est parfois salutaire et a des raisons d’être ressentie quand de telles folies technophiles sont mises en œuvre — on peut aussi en avoir face à un avenir qui ne saurait se déduire du passé, mais qui reste à inventer. D’autres manières d’être ensemble — de se loger, de se nourrir, de s’aimer, de s’entraider, de donner, etc. — sont déjà expérimentées, rien n’empêche de s’y inscrire afin d’inventer, pour le bien commun de l’humanité, d’autres manières de vivre ensemble y compris de prendre soin de notre santé et de celle des autres. Là réside l’espoir d’un autre monde possible que celui que ces « élites » nous ont préparé de longue date et qui de toute manière s’effondrera… les crises, dont la crise écologique, le traversant, étant multiples.

La société n’est qu’une construction imaginaire[45] : rien ne nous empêche d’en imaginer une autre ! Certains s’y emploient et devraient être encouragés et rejoints au lieu d’être stigmatisés. L’important est le chemin, la voie[46] et pas uniquement l’objectif. Il est vrai que pour résister, il faut de la force d’âme, une des quatre vertus cardinales sur lesquelles repose la vie morale[47]. Il faut aussi du courage pour s’y engager ainsi qu’une intelligence du cœur, toutes vertus que les « soi-disant « élitesmondialistes » ignorent. Cette intelligence du cœur vient de notre conscience, celle de notre profonde interdépendance à l’égard des autres dans toute la diversité qui les constitue… et de la compassion que l’on est capable de ressentir face aux souffrances qu’ils endurent.

S’agissant du respect dû à chaque humain, Marcel Hénaff[48] montre que seul le don affronte cette question, car il implique la reconnaissance de l’autre et sa considération[49], c’est-à-dire ce en quoi autrui nous oblige inconditionnellement ; mais que l’argent a le pouvoir de détruire cette exigence et le lien qui unit les hommes entre eux. Il peut infiniment corrompre. Quant à la justice, je laisse le mot de la fin à Camus : « Il n’y a ni justice ni liberté possible tant que l’argent est roi ». Vaste sujet qui serait trop long à traiter dans cet article, mais qui le fut ailleurs[50].


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