La conspiration des imbéciles

Par Alain Nicolaï

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Le site Lifesite a publié le 1er juillet 2021 un article détaillant une publication tirée du site internet du Forum Économique Mondial (Forum de Davos) un des sites quasiment officiels de la finance et du nouvel ordre mondial qui a sorti l’an dernier son plan machiavélique pour l’avenir de la planète « The Great Reset » calqué en grande partie sur l’agenda 2030 de l’ONU.

Voici le lien de l’article original publié par le FEM qui vous permettra de vous rendre compte que les termes et les propos du FEM ont été parfaitement respectés par le journaliste de LifeSiteNews
(https://www.weforum.org/agenda/2021/06/3-tactics-to-overcome-covid-19-vaccine-hesitancy/).

Ci-dessous la première partie de l’article uniquement consacré à ce que propose le Forum Économique Mondial pour encourager la population à se faire vacciner.

Article de Michael Haynes publié sur LifeSiteNews le 1er juillet 2021

« Surmonter l’hésitation, la procrastination et le rejet du vaccin COVID-19 » est « le plus grand défi de communication marketing de notre vie », a déclaré récemment un article sur le site Web du Forum économique mondial (WEF).

L’article a été rédigé par trois professionnels du marketing : Rohit Deshpandé, professeur de marketing Sebastian S. Kresge à la Harvard’s Business School ; Ofer Mintz de l’Université de technologie de Sydney; et Imram Currim, professeur de marketing à la Paul Merage School of Business, Université de Californie, Irvine.

Les chercheurs veulent utiliser la psychologie pour promouvoir les vaccins, en notant comment les clients prennent des décisions dans un processus de réflexion, de ressenti et d’action. L’ensemble du processus est répliqué lorsqu’un individu doit décider de recevoir une injection de COVID-19, ont déclaré les auteurs.

Le groupe avait mené des recherches sur la façon de lutter contre ce qu’ils ont décrit comme un « problème de demande » pour les injections de COVID, l’offre dépassant la demande. Cela les a amenés à suggérer « de créer et de mettre en œuvre de telles solutions pour informer, persuader et convaincre les segments de clientèle d’agir, et nous pensons que ce type d’approche pourrait également stimuler les efforts de communication sur le vaccin COVID-19 »

Alors que l’accent a été mis sur la promotion de la troisième partie de ce processus – le « faire » ou l’événement de vaccination lui-même – le groupe a déploré le fait que beaucoup de travail était encore nécessaire pour convaincre réellement ceux décrits comme « le vaccinateur procrastinateur, hésitant et populations de rejet.

Afin de convaincre ce segment de la population, « nous devons nous concentrer sur les étapes de « penser » et de « ressentir » de la prise de «décision», ont déclaré les experts en marketing.

À ce titre, Deshpandé, Mintz et Currim ont élaboré trois recommandations « pour éradiquer les hésitations vaccinales ».

Connaissance et désinformation

Les trois auteurs ont appelé à une campagne contre la « désinformation » sur le vaccin, expliquant comment aborder la façon dont les gens pensent du vaccin. Notant que beaucoup de ceux qui hésitaient à propos de l’injection pensaient qu’elle était « précipitée, avec des effets secondaires sous-déclarés », le groupe a suggéré une politique de confrontation directe avec ces personnes.

« Cela peut être résolu par les dirigeants locaux qui contactent et éduquent de manière proactive les sceptiques via des médias tels que les appels téléphoniques, le publipostage, la télévision, les panneaux d’affichage et les canaux numériques. »

Cela seul n’a cependant pas été jugé suffisant : des « approches plus affirmées » ont été demandées dans la lutte contre la soi-disant « désinformation sur les vaccins, en particulier sur les réseaux sociaux ». Pour ce faire, une « formation et un financement » devraient être fournis pour aider les professionnels de la santé ou les groupes à but non lucratif.

La guerre des sentiments

Ceux qui se sont opposés à l’injection ont de forts sentiments contre elle, ont déclaré les trois auteurs, et en tant que tels, « l’utilisation de sources d’informations auxquelles ces personnes ont confiance pourrait améliorer leurs sentiments à propos du vaccin ».

Dans ce contexte, le WEF a énuméré les « prestataires médicaux, les dirigeants politiques et religieux », mais a également souligné l’importance des « communautés ».

Les trois auteurs ont suggéré une forme d’alarmisme émotionnel à utiliser contre les « sceptiques vis-à-vis des vaccins ». « Une autre façon d’améliorer les sentiments des sceptiques vis-à-vis des vaccins est de jouer sur la peur de manquer (FOMO), à la fois socialement et économiquement », a écrit le groupe.

Promotion incessante du vaccin

La dernière étape concerne la disponibilité pratique du vaccin, car les auteurs lui ont présenté une série de suggestions à la population.

« Les incitations peuvent fonctionner », ont-ils écrit. Les entreprises et les États pourraient lancer un programme d’incitation aux vaccins en « fournissant des congés payés, des produits gratuits et des cadeaux de loterie ».

Certaines des suggestions du WEF ont déjà été mises en œuvre dans un certain nombre d’États. Le gouverneur de New York Andrew Cuomo (D) a offert un billet de loterie « vax and scratch » gratuit avec un jackpot de 5 millions de dollars. Les billets coûtent généralement 20 $.

Le gouverneur républicain de l’Ohio, Mike DeWine, a offert aux résidents de son État la chance de gagner 1 million de dollars pour se présenter pour un vaccin COVID, tandis que les résidents de Virginie-Occidentale de moins de 35 ans recevront un bon d’épargne de 100 $ pour se faire vacciner.

« Nous pensons que l’application de l’approche centrée sur le patient « penser – ressentir – faire » au problème de communication du vaccin COVID-19 améliorera les efforts visant à accélérer l’immunité collective mondiale », ont écrit Deshpandé, Mintz et Currim. « Assurer une réouverture et une reprise économiques sûres et surmonter cet important défi sanitaire et économique pourraient dépendre de telles tactiques. »


Constat

Sans rentrer dans les détails techniques plus complexes, il s’avère que :

  1. tous ces produits n’ont obtenu qu’une mise sur le marché conditionnelle.
    https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
  2. aux USA, aucun de ces produits n’a pas été approuvé par la Food Drug Administration. Celle-ci poursuit ses investigations et donnera son avis en 2021 ou en 2022.
  3. tous ces produits sont injectés chez les humains alors que la phase III, phase d’expérimentation chez les animaux, était en cours. Les phases IV et V (phase clinique) obligatoires pourtant pour tous les vaccins ont été supprimées, violant ainsi tous les principes légaux et de précautions.
  4. ceux qui se font injecter ces produits dans le corps signent avant une décharge exemptant le fabricant qui l’a conçu de toute poursuite. Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que la composition de ces injections n’est pas portée à la connaissance des patients.

Conclusion

Ce qu’ils appellent désinformation est en fait de l’information que les médias à leurs ordres censurent.

Ce qu’ils appellent hypocritement marketing n’est en fait que de la propagande. Propagande encore plus pernicieuse que celle que notre pays a connue sous la botte allemande. Plus pernicieuse, puisque nos ennemies n’ont pas d’uniformes, mais se font passer pour d’authentiques républicains qui défendent nos intérêts. Sournoise, puisqu’une grande partie de la population fait confiance aux injonctions des autorités politiques relayées à longueur de journée par les médias, ne réfléchit plus, mais suit un mouvement qui vient d’en haut.

Vous ne remarquez pas ce bourrage de crâne incessant ? Vous ne trouvez pas suspects ces spots publicitaires de Santé France payés par vos impôts et qui vous poussent à vous faire injecter des solutions dont vous ne connaissez même pas la nature, mais qui vous rendront soi-disant libres ?

Braves gens, sachez que maintenant il est prouvé qu’il existe d’autres solutions très efficaces pour guérir du covid19, comme l’ivermectine ou le protocole Raoult bien appliqué. Ces traitements ont sauvé de nombreuses vies notamment en Afrique et aux Indes, mais actuellement ils n’en ont que pour la vaccination.

Vous devez comprendre que les variants dont le gouvernement et les médias vous serinent, tôt ou tard, entraîneront des rappels, « des mises à jour. »

Un point capital, qui devrait vous interpeller : avez-vous entendu depuis le début de l’épidémie en 2020 sur les chaînes publiques ou privées, au Parlement, au Sénat… d’honnêtes débats contradictoires comme l’exige impérativement la démocratie ? Cette absence de dialogue est extrêmement révélatrice de l’émergence d’un système dictatorial. (Voir le lien 3)

Réalisez une fois pour toutes que l’on vous trompe, que l’on vous prend pour des imbéciles. Ne restez pas là sans rien faire, mais ne cherchez pas à attaquer en justice Pfizer, Moderna… Ils sont couverts. Non. Mais attaquez en justice les membres du gouvernement qui vous ont sciemment amenés dans ce traquenard, et les hauts fonctionnaires qui ont suivi aveuglément les ordres, même s’ils étaient contraires à la déontologie. Leur pouvoir est temporel et ils en ont abusé sans vergogne. La roue tourne, ils ne pourront pas éternellement fuir leurs responsabilités. De nombreux collectifs d’avocats vous attendent. Certains ont près de 70000 membres. Comme beaucoup de choses censurées actuellement, vous n’en avez sans doute jamais entendu parler. Deux  adresses email de collectifs parmi ceux qui reçoivent encore des adhérents : reaction19fr@gmail.com et contact@mysmartcab.fr

Définitivement, il faut leur faire comprendre qu’en France il y a des lois et que l’on n’est pas au Far West.

Ils se croient intouchables, ils vont sentir leur douleur…

Compléments

  1. https://nouveau-monde.ca/nous-sommes-en-guerre-ou-linversion-de-toutes-les-valeurs/
  2. Vaccination Covid-19 – Dernier avertissement par le dr Vanden Bossche | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
  3. https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-dr-amine-umlil-defie-olivier-veran-de-venir-debattre-contre-lui-sur-un-plateau



CRYPTO-MONNAIES: Qui tire les ficelles ?… Olivier Delamarche Balance TOUT !

[Source : businessbourse.com]

Entre véritable révolution technologique et manipulation de marché à peine déguisée, qu’en est-il vraiment de la situation sur les crypto monnaies ? Quels dangers pouvons-nous rencontrer sur cette nouvelle classe d’actif numérique ? Réponse avec Olivier Delamarche.


[Voir aussi :
Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?
La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés
Bitcoin et autres monnaies cryptées : instruments de libération ou de contrôle ?
Note sur le prochain système monétaire
La ruée vers une société sans cash ne sert que les intérêts globalistes
La dépendance technologique et la fin de la liberté
Un système presque gratuit
Note sur la souveraineté monétaire
Cette chose sur laquelle on ne peut pas tricher]




COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR

[Source : ici via profession-gendarme.com]

Par LIUTWIN

Préambule

A priori, tout le monde a aujourd’hui conscience que l’humanité est sur un point d’inflexion. Depuis quelques années, les crises de grande ampleur s’enchaînent : crise sociale, crise politique, crise écologique, crise internationale, crise sanitaire, crise économique, crise bancaire… De plus en plus de personnes se posent des questions sur la direction que prend le monde, sans réussir à mettre de mots sur leur malaise, embrouillés par des réponses contradictoires de notre gouvernement et du Conseil scientifique. À quoi jouent-ils ?

Qui aurait pu imaginer en 2019 qu’on serait tous confinés, qu’il y aurait des couvre-feux, qu’on serait tous obligés de porter un masque, qu’il faudrait une attestation dérogatoire pour aller chercher une baguette de pain, que des policiers armés de fusils d’assauts patrouilleraient dans les parcs et sur les plages pour veiller au respect de ces règles ?

Demandez-vous si on aurait accepté aussi facilement toute cette dictature il y a 5, 10 ou 20 ans et à quoi pourrait bien ressembler le futur au rythme où vont les choses.

Si l’on plonge subitement une grenouille dans de l’eau chaude, elle s’échappe d’un bond ; alors que si on la plonge dans l’eau froide et qu’on porte très progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdit ou s’habitue à la température pour finir ébouillantée.”

Fable de la grenouille.

Cet essai est une synthèse établie par un citoyen suivant l’actualité de près et qui se pose depuis le début de la crise sanitaire beaucoup de questions sur ce que l’avenir nous réserve. Du factuel donc, basé autant que possible sur des sites faisant autorité dans le monde médical et politique et non sur des sites “louches”. Des faits bien réels, vérifiés, analysés et argumentés. Tout est sourcé sur les médias mainstream, qui finissent souvent par dévoiler une partie de la vérité en la noyant sous une masse d’informations et de contradictions. Ce document pourra vous donner une assez bonne idée du niveau de corruption de la société, de la façon dont tourne le monde et de ce qui se met peu à peu en place.

Ouvrez grand votre esprit critique, prenez le temps de lire, d’aller voir les sources lorsque vous avez des doutes ou avez besoin d’éclaircissements. Renseignez-vous de votre côté et faites-vous votre propre opinion. Il se pourrait bien que ce soit de notre avenir et de celui de nos enfants à très court terme dont il est aujourd’hui question.

Et si vous étiez déjà conscient de tout cela, ce document, mis à jour en fonction de l’actualité, pourra toujours vous servir d’aide-mémoire…

Liutwin

Sommaire

  • Les dessous de la crise sanitaire
    • Des hôpitaux à bout de souffle
    • Des facteurs de risque
    • Vraie ou fausse pandémie ?
    • Une faible surmortalité
    • L’escroquerie des tests PCR
    • Au coeur de la manipulation
    • La situation dans les Ehpads
  • Des décisions politiques
    • Une pénurie de masques organisée
    • Le masque “ça ne sert à rien”
    • Les masques et la santé
    • Et chez les enfants ?
    • Le confinement en question
    • Une arme de destruction massive
    • Le faux déconfinement
    • Et ailleurs dans le monde ?
  • Vers un changement sociétal
    • Des commerces non essentiels
    • Un tsunami économique
    • Une société de caste
    • Une dictature sanitaire
    • Des appels à la dénonciation
    • Des gestes barrière antisocials
    • Des recommandations délirantes
  • Le poids de “Big Pharma”
    • Conflits d’intérêt et corruption
    • Obscurantisme moderne
    • La nouvelle inquisition
  • Le $aint Vaccin
    • Des recommandations politiques
    • Objectif thune en Europe de la Santé
    • Un jeu d’apprentis sorciers
    • Premiers retours des cobayes
    • D’inquiétantes corrélations
    • En marche vers un génocide
    • Vers un vaccin obligatoire
    • L’apartheid 2.0
  • Pandémie ou “plan”démie ?
    • De l’origine du virus
    • Une succession de faits troublants
    • Des prédictions étonnamment précises
    • Un incroyable faisceau de coïncidences
    • La “théorie du complot”
  • La manipulation de masse
    • Un peuple sous hypnose
    • La politique de la peur
    • La propagande
    • Les médias
    • La télévision
  • Un monde sous contrôle des oligarques
    • Les GAFAM
    • L’agonie de la démocratie
    • La surveillance numérique
    • La dictature du numérique
    • Vers une dictature mondiale
  • Projections de ce qui nous attend
    • Effondrement économique
    • Fin de nos droits et libertés individuelles
    • Vers un nouvel ordre mondial
    • Réduction de la population mondiale
    • Une lueur d’espoir
  • Annexes
    • Quelques documentaires
    • Contact et liens

Les dessous de la crise sanitaire

Olivier Véran nous rappelait fin octobre 2020 dans un tweet punchlineque le Covid-19, c’est : « 1 malade toutes les 2 sec, 1 hospitalisation toutes les 30 sec, 1 mort toutes les 4 mins ». Ce genre de déclaration, qu’on entend tous les jours depuis le premier confinement, est une méthode de manipulation qui par l’emploi d’une technique hypnotique consiste, en rabachant les chiffres avec des phrases choc, à saturer notre capacité à comprendre le réel. On joue sur l’émotionnel en ne nous donnant pas le temps de comprendre et d’analyser toutes les données. On ne fait plus le lien entre le numérateur (nombre de morts), qui est une donnée concrète, et le dénominateur (nombre de personnes infectées), qui l’est beaucoup moins.

Quelle est la charge virale ? Le taux de mortalité ? Le taux d’incidence ? Les tests sont-ils fiables ? Pourquoi les hôpitaux sont-ils saturés ?

Des hôpitaux à bout de souffle

« Le nombre de malades en réanimation va encore augmenter mécaniquement, quoi qu’on fasse.»1

Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, le 28 octobre 2020.

Donc, le confinement, les couvre-feux et les mesures sanitaires ne servent à rien ? N’y avait-il vraiment rien à faire, comme augmenter le nombre de lits en réanimation ?

Si les cas augmentent, on dit que c’est dû au relâchement des Français qui ne respectent pas les règles sanitaires. Mais, quand les hôpitaux finiront par se vider, on dira que c’est grâce aux mesures sanitaires qui portent leurs fruits. Cherchez l’erreur. C’est comme en matière de sécurité routière où, plutôt que d’avoir une politique de prévention et d’entretien des routes, on préfère tout miser sur les radars. Y aurait-il des intérêts privés derrière ?

1https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-la-deuxieme-vague-pourrait-etre-superieure-a-la-premiere-selon-jerome-salomon_AD-202010280268.html

Les hôpitaux n’ont pas attendu le coronavirus pour être submergés. Ils le sont tous les ans de novembre à mai et cela fait depuis des années que les personnels soignants tirent la sonnette d’alarme, dans l’indifférence et le mépris de la classe dirigeante.

D’après EuroMomo, un réseau de statistiques qui fait référence en matière de surveillance de la mortalité en Europe, L’Espagne et l’Angleterre sont les seuls à avoir connu un pic épidémique comparable à la France. Pour nos voisins germaniques, c’est le calme plein. L’Allemagne et l’Autriche, avec 2 fois plus de lits par habitant qu’en France, n’ont quasiment pas eu de surmortalité cette année.2

Il y a une corrélation évidente entre le nombre de décès et le nombre de lits de soins intensifs par millier d’habitant dans chaque pays.3

2 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps#z-scores-by-country

3 https://www.oecd.org/coronavirus/fr/les-donnees-dechiffrees/capacite-en-lits-de-soins-intensifs

Près de 100.000 lits ont été supprimés entre 1993 et 2018.4

69.000 lits ont été supprimés ces 15 dernières années, dont 3.400 en 2019.5

Sous Sarkozy : -46.500. Sous Hollande : -17.500. Seulement – 4170 pour Macron, mais il ne faut pas lui en vouloir, ses prédécesseurs ne lui ayant laissé que peu de marge de suppression.

En 1980 : 731 lits pour 100.000 habitants. En 2020 : 378 lits pour 100.000 habitants.6

En 40 ans, les capacités d’accueil ont été divisées par deux. C’est ÇA la réalité dans nos hôpitaux, Monsieur Véran.

Pour la Fédération hospitalière de France, le passage au 35 heures aurait profondément désorganisé l’hôpital. Faute de moyens et de candidats, cette réforme n’a en effet pas été suivie d’embauches, aboutissant à une pénurie de personnel dans la plupart des établissements.7

La réforme Bachelot, calant la gestion des hôpitaux sur les entreprises et en transformant les directeurs d’hôpitaux en managers, a fait disparaître la médecine hospitalière au profit d’une médecine mercantile.8

4 https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/12/l-hopital-en-quete-du-juste-nombre-de-lits_6042577_3224.html

5 https://www.lesechos.fr/economie-france/social/3400-lits-dhopitaux-ont-ete-supprimes-en-2019-1249859

6 https://donnees.banquemondiale.org/indicator/SH.MED.BEDS.ZS

7 https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/03/21/20002-20150321ARTFIG00019-comment-les-35h-ont-desorganise-l-hopital.php

8 https://sante.lefigaro.fr/actualite/2009/04/16/9500-reforme-bachelot-denoncee-par-medecins-renommes

La T2A (tarification à l’activité) imposée par l’Union Européenne constitue maintenant le mode de financement unique des établissements publics et privés.9

La commission européenne a fait au moins 63 rappels aux États membres pour qu’ils réduisent leurs dépenses de santé.10 Elle a fait de l’hôpital une “entreprise de production de soins” soumis à la rentabilité au moindre coût.11

La destruction de notre système de santé est VOULUE par l’Union Européenne.

Mise en place en 2004 par Jean Castex, alors Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la Santé, cette réforme pousse à la fermeture des services de soins et des maternités n’atteignant pas le “seuil de rentabilité”.12 Désormais, selon le ministère de la Santé, le taux idéal d’occupation des lits est de 95 % en médecine et en chirurgie.13

La conséquence de ce mécanisme pervers est que chaque fois que l’activité diminue, en général à la sortie de l’hiver, on supprime des lits vacants. Nos hôpitaux n’ont de ce fait plus aucune résilience pour faire face à des épidémies.

« Il n’est pas possible de réaliser d’importantes économies à court terme sans ralentir considérablement la croissance des dépenses de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié des dépenses publiques. La France s’est fixé des objectifs ambitieux pour 2016 et 2017 afin de limiter la croissance des dépenses de santé. Ces objectifs pourraient être complétés par des efforts supplémentaires visant à identifier des gains d’efficacité sur le moyen à long terme. »14

Recommandation du Conseil de l’UE du 12 juillet 2016.

En 2015, un plan opérationnel sur 3 ans intitulé “Kit de déploiement régional du planOndam à destination des ARS” a été distribué de manière confidentielle aux directeurs des agences régionales de santé. Comportant des tableaux indicateurs de performance, il instaure une logique comptable avec des objectifs d’économie par des restrictions budgétaires.15

La France, mondialement réputée pour son système de santé il n’y a encore pas si longtemps, a été en seulement quelques années reléguée à la 11e place.

9https://solidarites-sante.gouv.fr/professionnels/gerer-un-etablissement-de-sante-medico-social/financement/financement-des-etablissements-de-sante-10795/article/financement-des-etablissements-de-sante

10https://www.humanite.fr/la-commission-europeenne-demande-63-fois-aux-etats-de-reduire-les-depenses-de-sante-denonce-687250

11 https://www.lemonde.fr/societe/article/2006/02/22/la-rentabilite-imposee-a-l-hopital_743923_3224.html

12 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-mysterieuse-t2a-du-docteur-castex-ou-la-chaine-de-demontage-de-lhopital

13https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/hopitaux-la-suppression-des-lits-operee-depuis-les-annees-1990-inquiete-les-professionnels-de-sante_4170777.html

14 https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32016H0818(27)

15 https://www.liberation.fr/societe/2015/03/08/la-logique-comptable-fait-son-lit-a-l-hopital_1216903

Mais où va l’argent du contribuable ?

L’application StopCovid, qui n’a servi strictement à rien, a coûté au contribuable entre

200.000 et 300.000 euros par mois en frais de fonctionnement.16 D’abord présentée comme ayant été réalisée à titre gratuit par des entreprises privées, le coût global a été estimé à 6,5 millions d’euros. Le développement de l’application n’ayant pas fait l’objet d’un appel d’offre, l’association Anticor a porté plainte contre Olivier “Véreux” pour délit de favoritisme.17

20 millions d’euros ont été dépensés en LBD40 et grenades lacrymogènes en 2019 pour se préparer à la révolte sociale.18

2 milliards d’euros de subvention pour aider les organes de propagande de l’État que sont la presse et les médias.19

2, 8 millions d’euros accordés à des spécialistes de la veille sur les réseaux, afin de surveiller le ressenti des Français sur les actions gouvernementales.20

26 millions d’euros ont été dépensés dans des sondages d’opinion rien qu’en octobre, ce qui représente 184% du budget initialement prévu pour le service d’information du gouvernement (SIG) pour l’année 2020.21 Des sondages destinés à la fois à aider le gouvernement à orienter sa politique publique, mais aussi à convaincre les Français d’accepter sa politique.

Dans la nuit du 17 avril 2020, 20 milliards d’euros ont été donnés par le gouvernement à de grandes entreprises polluantes, sans contrepartie écologique ou sociale.22 Rappelons au passage qu’il y a 48.000 morts par an en France à cause de la pollution de l’air.23

15 milliards d’euros d’aides aux entreprises sont débloqués par mois de confinement, qui vont allonger la dette pour des décennies.24

Après avoir été gavé d’argent public par les mesures de soutien dans le cadre de la crise sanitaire, le CAC40 va distribuer 51 milliards d’euros à ses actionnaires en 2021, soit une hausse de 22% de dividendes par rapport à l’an dernier.25

On met un pognon de dingue dans les entreprises, la propagande et la répression.

N’aurait-il pas mieux valu le placer dans une véritable prévention pour les personnes vulnérables et pour l’hôpital public ?

16 https://www.capital.fr/economie-politique/lamere-facture-de-stopcovid-pour-le-contribuable-1371669

17https://www.lefigaro.fr/flash-eco/application-stopcovid-anticor-porte-plainte-a-la-cjr-contre-veran-pour-favoritisme-20210322

18 https://www.agoravox.fr/actualites/article/les-millions-depenses-en-lbd40-et-222749

19https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/coronavirus-le-gouvernement-a-debloque-2-milliards-pour-les-medias-1221356

20https://www.bfmtv.com/tech/le-gouvernement-investit-pres-de-3-millions-d-euros-pour-surveiller-sa-reputation-en-ligne_AN-202104160380.html

21https://www.capital.fr/economie-politique/lappetit-de-sondages-du-gouvernement-epingle-par-une-deputee-1384655 22https://www.franceinter.fr/environnement/20-milliards-d-euros-pour-les-entreprises-strategiques-un-cheque-en-blanc-au-profit-des-pollueurs

23https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2016/impacts-sanitaires-de-la-pollution-de-l-air-en-france-nouvelles-donnees-et-perspectives

24https://www.ladepeche.fr/2020/10/29/aides-economiques-aux-entreprises-15-milliards-deuros-finances-par-letat-par-mois-de-confinement-9171505.php

25https://www.liberation.fr/economie/pour-les-actionnaires-du-cac-40-cest-le-jackpot-20210427_TZT64XHT3VAPXIQCR3W5RLFTYI

Les services de Santé publique ne manquent en fait pas de moyens, la France étant le pays d’Europe où les dépenses de santé sont les plus élevées, mais ils sont étouffés par une bureaucratie inefficace et très coûteuse.26 Ce ne sont ainsi pas moins de 405.600 personnes, soit 34% du personnel hospitalier, qui vaquent à des occupations autres que médicales.27

26 https://www.francetvinfo.fr/sante/sante-publique-labureaucratiepointee-du-doigt_4359685.html

27 https://theconversation.com/fact-check-y-a-t-il-trop-de-postes-administratifs-dans-les-hopitaux-137615

Malgré la promesse d’un plan massif pour l’hôpital28, le dogme de la suppression de lits a continué en 2020, en pleine crise sanitaire !29

« Rien n’a changé. Les projets se poursuivent comme avant, alors que la crise a bien montré que ce n’était plus possible. »

Christophe Prudhomme, de la CGT Santé.30

Les dirigeants de l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) ont indiqué lors d’une conférence de presse avoir décidé un « arrêt temporaire » des urgences de l’Hôtel-Dieu pour ouvrir des lits de soins critiques dans un établissement voisin, une décision qui ne fait pas l’unanimité chez le personnel soignant.31 À la manifestation contre la fermeture des urgences de l’hôpital Hôtel-Dieu, les forces de l’ordre ont relevé les identités des manifestants et annoncé des verbalisations pour leur rassemblement.32 En marge de la manifestation du 17 juin 2020, une infirmière asthmatique a été violemment interpellée par les forces de l’ordre.33

Un projet gouvernemental d’un “coût exorbitant” vise, sous l’influence de lobbys, à réorganiser le secteur de la psychiatrie avec une nouvelle approche fondée sur les neurosciences. Le concept ? La déshumanisation par l’intelligence artificielle, qui établit un bilan neurophysiologique approfondi, en ayant recours aux IRM et à des algorithmes. Le patient est ainsi de manière automatisée mis dans une case selon un diagnostic promu par la classification américaine des maladies mentales, passible de traitements médicamenteux.34

28https://www.latribune.fr/economie/france/segur-de-la-sante-le-gouvernement-promet-6-milliards-d-euros-pour-les-salaires-a-l-hopital-et-en-ehpad-851146.html

29 https://framacarte.org/fr/map/suppressions-de-lits-dans-les-hopitaux-source-wwwb_85927

30https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/28/fermetures-de-lits-a-l-hopital-l-inquietude-remonte-chez-les-soignants_6064623_3224.html

31 https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/fermeture-urgences-hotel-dieu-non-sens-sanitaire-1891188.html

32 https://twitter.com/ClementLanot/status/1324708933076946945

33https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/hopital-les-images-dune-infirmiere-arretee-lors-d-une-manifestation-font-polemique_4011241.html

34 https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/cri-dagonie-de-la-psychiatrie-20210414_KEER442HNVCALDQUVED34UAPS4

Les hôpitaux privés sont restés sous-sollicités, alors qu’ils s’étaient préparés à un afflux de patients atteints du Covid-19 et ont eux-mêmes appelé à être réquisitionnés. Ainsi, ce ne sont pas moins de 10.000 lits qui étaient disponibles au plus fort de l’épidémie.35 Mais plutôt que d’y transférer les patients, on a préféré les envoyer par hélicoptère à l’autre bout du pays voire en Allemagne. Une stratégie qui interroge.

« Dans plusieurs régions, y compris parmi les plus touchées, des lits libérés restent vides ou sous-occupées. Les médecins et anesthésistes libéraux des établissements privés sont peu sollicités »36

Personnel soignant de la Fédération des cliniques et hôpitaux privés.

❌ “MENSONGE ! Fake news ! Non, 115.000 lits ne sont pas vides dans les cliniquesprivées alors que la seconde vague déferle !”, a tenté de démentir LCI, parmi tant d’autres médias.37

✔ Le scandale ne portait pas non plus sur 115.000 lits vides, ce chiffre n’ayant été avancé

que pour informer du nombre total de lits. Il n’en demeure pas moins que la plupart d’entre eux sont effectivement restés très peu sollicités. Le contenu même de l’article de LCI contraste d’ailleurs avec le titre fallacieux, puisque le média reconnaît par la suite que des “points de blocage ont eu lieu au début de la première vague, de l’aveu des acteurs concernés.”

Les déserts médicaux progressent en France, impactant un Français sur 10. Les délais insupportables conduisent souvent ceux-ci à renoncer à se soigner, l’unique recours étant de se rendre aux urgences et donc de contribuer à la saturation de celles-ci.38 L’atteinte à la liberté de prescription des médecins par l’état d’urgence sanitaire39 a aussi sans nul doute contribué à l’engorgement des hôpitaux.

Du fait de la priorisation sur les cas “positifs” de Covid, les hôpitaux sont amenés à déprogrammer la majeure partie des interventions pour d’autres maladies. L’Agence régionale de santé a fixé aux établissements un objectif de 80% de déprogrammation en Île-de-France.40

Une fois passé le premier pic de l’épidémie, les hôpitaux publics ont essayé de remplir les lits de réanimation et d’urgence pour pouvoir les garder du fait de la T2A.

« Les hôpitaux sont tellement à bout de souffle qu’ils mettent aujourd’hui en réanimation des patients qui ont simplement besoin de 3 litres d’oxygène. C’est du jamais vu. »41

Martine Wonner, médecin psychiatre et député du groupe Libertés et Territoires.

35 https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-pourquoi-les-hopitaux-prives-sont-sous-sollicites-le-plan-blanc-lexplique-en-partie_fr_5e7c87aac5b6cb9dc19af6aa

36 https://www.cnews.fr/france/2020-03-31/en-pleine-urgence-sanitaire-pourquoi-des-cliniques-privees-sont-elles-vides-942173

37 https://www.lci.fr/sante/non-115-000-lits-ne-sont-pas-vides-dans-les-cliniques-privees-alors-que-la-seconde-vague-deferle-2169279.html

38 https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-757QOSD.htm

39 https://www.eurojuris.fr/categories/coronavirus-13013/articles/covid-19-et-prescription-hydroxychloroquine-39597.htm

40 https://www.lci.fr/sante/covid-19-cliniques-et-hopitaux-franciliens-appeles-a-deprogrammer-80-des-operations-2181529.html

41 https://www.youtube.com/watch?v=oMuRdxCSPCg

Des facteurs de risque

L’âge médian des personnes officiellement décédées du coronavirus est de 84 ans, avec un âge moyen de 81 ans. L’espérance de vie en France est de 82 ans. Les personnes de moins de 45 ans sont dans leur immense majorité (plus de 98%) épargnées.42

42 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps

La grande majorité des patients en réanimation a plus de 60 ans. Un fait qui n’a été admis par les médias que lorsque le gouvernement a cherché des arguments pour convaincre les personnes âgées de se faire vacciner.43

Le taux de patients COVID-19 nouvellement hospitalisés par semaine et par classe d’âge selon la date d’admission, montre également un risque d’aggravation proportionnel à l’âge.

« Beaucoup de gens pensent à tort que les choses sont simples, par exemple qu’une maladie est la conséquence d’un unique facteur, ce qui est très rare. La mortalité du Covid-19, à part chez les gens qui ont une très faible espérance de vie, est très faible. La quasi-totalité des personnes sont décédées pour la plupart avec des comorbidités sévères. »

Pr Didier Raoult, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses.

43 https://www.lci.fr/sante/la-grande-majorite-des-patients-en-reanimation-ont-ils-vraiment-plus-de-60-ans-2174674.html

Une étude rapporte que les personnes obèses atteintes du Covid-19 risquent quatre fois plus d’en mourir, en particulier chez les hommes et les jeunes patients.44 Hélas, une autre étude rapporte que “le confinement, c’est aussi plus d’obésité”.45

Les statistiques de Santé Publique France arrêtées au 6 novembre 2020 et rapportés sur CNEWS.46 C’est factuel.

« 90% des patients en réanimation ont une comorbidité.
Moyenne d’âge des patients morts avec le Covid-19 en France : 81 ans. Cette moyenne d’âge correspond à celle de l’espérance de vie.
Un tiers des décès a eu lieu dans les Ehpads. 50 % des victimes avaient plus de 84 ans.
80 % des victimes avaient plus de 75 ans. 99,9 % des gens ont plus de 30 ans.
0,1 % ont moins de 20 ans, ce sont les fameux 28 morts sur 38.000 et surtout la majorité sont morts en réalité d’autres pathologies beaucoup plus graves.
Même chez les plus de 90 ans, le taux de survie est de 80 %, un nonagénaire a donc quatre chances sur cinq de s’en tirer.
83 % des gens en réanimation sont en surpoids.
Seuls 2 % des personnes décédées étaient âgées de moins de soixante ans et sans comorbidité connue »

Pascal Praud, un vrai journaliste.

Et si, au lieu d’enfermer tout le monde, on confinait les seules personnes à risque ?

Après avoir dans un premier temps demandé aux personnes les plus vulnérables et aux personnes âgées de rester confinées, le chef de l’État a rétropédalé, ne souhaitant finalement pas « de discrimination des personnes âgées ou fragiles » et appelant à la responsabilité individuelle.47 Par contre, les jeunes en bonne santé doivent accepter un vaccin qui les expose à plus de risque d’effets secondaires que la maladie elle-même. Ils diminuent leurs propres défenses immunitaires avec des gestes barrières antisociaux. Ils doivent se confiner pour ne pas saturer les hôpitaux et cotiser pour des retraites auxquelles ils n’auront probablement jamais accès.

La solidarité entre générations ne fonctionne apparemment que dans un seul sens !

44https://www.ouest-france.fr/sante/les-personnes-obeses-atteintes-du-covid-19-risquent-quatre-fois-plus-d-en-mourir-rapporte-une-etude-6937642

45 https://www.santelog.com/actualites/le-confinement-cest-aussi-plus-dobesite

46 https://twitter.com/boutaour/status/1325730485021134848

47https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/faut-il-confiner-les-personnes-agees-les-nombreux-revirements-de-l-executif_4221507.html

Vraie ou fausse pandémie ?

Selon un rapport de commission d’enquête du sénat, les critères de définition d’une pandémie ont été modifiés par l’OMS un mois avant le passage en phase 6 de l’épidémie de grippe porcine A/H1N1 en 2009. Auparavant, une pandémie était définie par l’apparition de “plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies”. Cette dernière condition, le critère de gravité, a été supprimée et l’OMS en a modifié en catimini la définition sur son site Internet, sans changer la date affichée.48

La définition d’une pandémie est devenue : “propagation mondiale d’une nouvelle maladie”.49 Et, tout à coup, toute grippe commune et bénigne peut être transformée en pandémie par l’OMS.

Lors de son audition à la commission d’enquête de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodarg a estimé que la déclaration de l’état de pandémie, pour une grippe dont les chiffres étaient très faibles pour un niveau d’alarme disproportionné, a été rendue possible par le changement de définition. C’est parce qu’il était à la fois membre du parlement allemand et membre du conseil de l’Europe qu’il a eu le pouvoir d’exposer le canular. Les membres de la commission ont alors reconnu à l’unanimité le rôle qu’ont joué des firmes pharmaceutiques dans la gestion de l’épidémie par l’OMS et les États.50

« Le soin de définir une pandémie alarmante ne doit pas être soumis à l’influence des marchands de médicaments. »

Dr Wolfgang Wodarg, médecin et épidémiologiste allemand, ancien président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Cela soulève la question de la gestion par l’OMS des conflits d’intérêts entre ses experts et l’industrie pharmaceutique. Contre toute attente, l’épidémie de grippe H1N1 a été qualifiée de “fausse pandémie” dans le rapport du sénat.

« La déclaration, le 11 juin 2009, par la directrice générale de l’OMS d’une pandémie de grippe A (H1N1)v – d’emblée considérée comme « de gravité modérée », « du moins dans ses premiers jours » – a rapidement suscité des critiques à l’égard de l’OMS, soupçonnée au mieux d’avoir surestimé le risque et recommandé aux États membres des mesures disproportionnées et d’un coût démesuré, au pire d’avoir « inventé » une pandémie sous l’influence des industries pharmaceutiques, désireuses de rentabiliser leurs investissements grâce à l’application des plans nationaux. »

Extrait du rapport du sénat sur la grippe A/H1N1.

L’escroquerie H1N1, déjouée par le Dr Wolfgang, montre que ce ne serait pas la première fois qu’une fausse pandémie serait fabriquée de toutes pièces par l’OMS, reprise avec une grande complaisance par les politiques de santé publique.

48 http://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-111.html

49 https://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/pandemic/fr/

50 https://www.humanite.fr/node/430467

Pour télécharger ou voir la suite :

https://drive.google.com/file/d/1oSHiNBEi91plxW15HciIV48V4HDXsLU5




Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme

[Source : Le Saker Francophone]

De Russell et Hilbert à Wiener et Harari : les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme

Par Matthew Ehret – Le 31 mai 2021 − Source Strategic Culture

Comme je l’ai souligné dans mon précédent article sur le choc de deux systèmes, la fin du 19e siècle a vu un affrontement majeur entre deux paradigmes opposés de l’économie politique, affrontement qui a été largement gommé des livres d’histoire.

Tout comme aujourd’hui, deux systèmes opposés se caractérisaient, d’une part, par une demande de contrôle centralisé du monde par une élite unipolaire désireuse de s’élever au-dessus de l’influence des États-nations souverains, tels des dieux modernes de l’Olympe, tandis que l’autre était fondé sur une conception « multipolaire » d’une communauté d’États-nations souverains travaillant ensemble sur des infrastructures et des progrès technologiques à grande échelle. L’un était fondé sur des normes économiques malthusiennes de système fermé, s’adaptant à des rendements décroissants, tandis que l’autre était fondé sur des normes de progrès scientifique continu générant des sauts créatifs hors des contraintes de ressources limitées.

Dans cette troisième partie, je continuerai à suivre les racines des idées toxiques qui caractérisent le paradigme unipolaire d’aujourd’hui, celui qui se cache derrière le « Grand reset » de la civilisation mondiale écrite par des milliardaires. Dans ce Reset, des gens comme Klaus Schwab nous disent qu’une « quatrième révolution industrielle » entraînera non seulement une vaste automatisation et l’utilisation de l’intelligence artificielle à tous les niveaux de la société, mais aussi une fusion de l’humanité avec les machines. Des personnalités comme Elon Musk et Ray Kurzweil de Google, affirment que cette fusion est nécessaire pour « rester pertinent » dans la prochaine phase de notre évolution. L’homme de Davos, Yuval Harari, s’est fait l’écho du fait que les leviers de l’évolution seront désormais déplacés du caractère aléatoire de la nature vers les nouveaux dieux qui dirigent Google, Facebook et le World Economic Forum.

Cette foi déterministe de type Borg dans la synthèse homme-machine qui imprègne la pensée de tous les transhumanistes modernes est à la fois cultuelle, effrayante et tout simplement erronée. Cependant, sans une évaluation correcte des racines historiques de ces idées qui menacent de faire dérailler la civilisation mondiale en un effondrement dystopique, il est impossible de comprendre quoi que ce soit de fondamental sur les 120 dernières années d’expérience humaine, et encore moins de voir où se trouvent les failles fatales du système d’exploitation du Great Reset / Transhumanisme.

Dans la première partie de notre série, nous avons exploré en détail les racines eugéniques du transhumanisme en nous concentrant sur la création de l’UNESCO par Julian Huxley, où le mandat de « rendre l’impensable pensable » a guidé la restauration d’un nouvel eugénisme pendant la guerre froide.

Dans la deuxième partie, nous avons exploré la montée en puissance des groupes de réflexion britanniques du 19e siècle, conçus pour perturber l’évolution naturelle d’un nouveau système de coopération gagnant-gagnant mis en place à la fin du 19e siècle. Ce nouveau grand dessein a été innové par le X Club de Thomas Huxley afin de rétablir l’Empire britannique comme seule puissance unipolaire sur la planète. La conception de Huxley a tenté non seulement d’unifier toutes les branches des sciences sous un modèle descriptif dépourvu de toute découverte créative réelle, mais aussi d’utiliser une nouvelle définition de la « loi naturelle scientifique » pour imposer agressivement l’économie politique impériale sur le monde.

La danse des mathématiques et de la physique : Qui mène et qui suit ?

Au cours des premiers mois du nouveau siècle, un événement majeur a eu lieu qui a largement contribué à la mission de Huxley. La Conférence sur l’avenir des mathématiques, qui s’est tenue en août 1900, fut un événement mondial attirant plus de 160 des plus grands mathématiciens qui souhaitaient s’attaquer aux problèmes de pointe de la science et traiter de la relation entre la physique et les mathématiques. De toute évidence, ces deux domaines dansaient ensemble, mais la question demeurait : lequel mènerait et lequel suivrait ?

Compte tenu qu’à cette époque la population mondiale était encore bien inférieure à deux milliards d’habitants, la densité des découvertes scientifiques dans tous les domaines se produisait à un rythme jamais vu dans l’histoire de l’humanité. Qu’il s’agisse de nouvelles découvertes en biologie, en embryologie, en physique atomique, en électromagnétisme, en aérodynamique ou en chimie, la réponse à la question « maths contre physique » devenait de plus en plus évidente. Le fait est que la croissance des connaissances humaines dépassait rapidement les limites du langage mathématique utilisé par les scientifiques. Avec le temps, de nouveaux systèmes mathématiques seraient développés pour décrire les nouvelles découvertes, mais personne ne pouvait nier que la pensée créative menait la danse. Ce qui était également indéniable, c’était l’avantage que ces nouvelles idées avaient apporté en améliorant les conditions de vie d’innombrables personnes, grâce aux bonds en avant scientifiques et technologiques.

Hilbert et Russell façonnent un nouveau paradigme

Deux figures particulièrement importantes, Lord Bertrand Russell et le mathématicien de Gottingen, David Hilbert, ont joué un rôle de premier plan dans le sabotage de la science lors de la conférence de Paris de 1900 et dont les idées sont inextricablement liées à l’évolution ultérieure de l’eugénisme, de la cybernétique et du transhumanisme sont l’apôtre de Cambridge.

Le duo ne visait rien de moins que la réduction de l’univers entier à une série de propositions et d’axiomes mathématiques finis et cohérents.

Au cours de cette conférence, Hilbert a annoncé ses 23 problèmes pour les mathématiques qui devraient être résolus par les mathématiciens du 20e siècle. Si beaucoup de ces problèmes étaient réellement importants, les plus destructeurs, pour l’objet de cet article, tournaient autour de la nécessité de « prouver que tous les axiomes de l’arithmétique sont cohérents » [problème 2] et d’« axiomatiser les sciences physiques dans lesquelles les mathématiques jouent un rôle important » [problème 6].

Il a fallu 13 ans à Russell pour atteindre cet objectif sous la forme de ses Principia Mathematica (coécrites avec son ancien instructeur et apôtre de Cambridge, Alfred North Whitehead).

Le nom « Principia Mathematica » a été choisi explicitement comme un hommage aux « Principia Mathematica » de Newton, publiées 200 ans plus tôt. Au moment du lancement du projet Russell-Hilbert, en 1900, les interprétations plates de l’espace-temps physique d’Euclide et de Newton s’effondraient rapidement avec l’arrivée des nouvelles découvertes de Riemann, Curie, Weber, Planck et Einstein qui démontraient toutes que la forme de l’espace-temps physique avait un caractère vivant et créatif. Avec chaque découverte créative, une interconnexion réciproque entre l’espace intérieur « subjectif » de la cognition humaine et l’espace extérieur « objectif » de l’univers découvrable était de plus en plus fermement établie.

Exemplaire de cette belle perspicacité et de cette passion pour la recherche de l’inconnu qui était commune aux grands scientifiques durant cette période révolutionnaire fertile, Einstein déclarait : « Je veux savoir comment Dieu a créé ce monde. Je ne suis pas intéressé par tel ou tel phénomène, par le spectre de tel ou tel élément. Je veux connaître Ses pensées ; le reste n’est que détails ».

Reflétant à sa manière ce même point de vue, Max Planck déclarait : « La science rehausse la valeur morale de la vie, parce qu’elle favorise l’amour de la vérité et la révérence – l’amour de la vérité se manifestant dans l’effort constant pour parvenir à une connaissance plus exacte du monde de l’esprit et de la matière qui nous entoure, et la révérence, parce que chaque progrès de la connaissance nous met face au mystère de notre propre être ».

L’entropie en système fermé doit définir l’univers !

Les mathématiques entropiques en système fermé de Russell étaient le reflet direct de sa vision misanthropique d’une humanité vouée à l’entropie, ce que l’on peut voir explicitement dans sa déclaration de 1903 :

Que l’homme est le produit de causes qui n’avaient aucune prévision de la fin qu’elles atteignaient ; que son origine, sa croissance, ses espoirs et ses craintes, ses amours et ses croyances, ne sont que le résultat de collocations accidentelles d’atomes ; qu’aucun feu, aucun héroïsme, aucune intensité de pensée et de sentiment, ne peut préserver la vie individuelle au-delà de la tombe ; que tous les travaux des âges, toute la dévotion, toute l’inspiration, tout l’éclat de midi du génie humain, sont destinés à s’éteindre dans la vaste mort du système solaire, et que tout le temple de l’accomplissement de l’homme doit inévitablement être enterré sous les débris d’un univers en ruines – toutes ces choses, si elles ne sont pas tout à fait incontestables, sont cependant si presque certaines qu’aucune philosophie qui les rejette ne peut espérer tenir… Ce n’est qu’à l’intérieur de l’échafaudage de ces vérités, que sur les fondations solides d’un désespoir inflexible, que la demeure de l’âme peut désormais être construite en toute sécurité.

Lorsque l’on se demande quel ensemble de vues métaphysiques a la plus grande prétention à la vérité, il convient de se poser la question suivante : Qui a réellement fait des découvertes démontrables sur la création et qui s’est contenté de formuler des modèles genre tour d’ivoire dépourvus de tout élément réel de découverte ?

Dans l’esprit de Russell, la formule du succès reposait en partie sur son obsession de l’équilibre mathématique en toutes choses. Appliqué à la société, il n’est pas étonnant que Russell ait été un fervent malthusien et un promoteur à vie de l’eugénisme et du contrôle de la population. L’une des nombreuses démonstrations de ce point de vue dégoûtant a été faite en 1923 dans son ouvrage « Prospects of Industrial Civilization », où l’ingénieur social déclare :

Le socialisme, en particulier le socialisme international, n’est possible en tant que système stable que si la population est stationnaire ou presque. On peut faire face à une augmentation lente en améliorant les méthodes agricoles, mais une augmentation rapide doit à la fin réduire toute la population à la pénurie… la population blanche du monde cessera bientôt d’augmenter. Les races asiatiques mettront plus longtemps, et les nègres encore plus longtemps, avant que leur taux de natalité ne diminue suffisamment pour rendre leur nombre stable sans l’aide de la guerre et de la peste… Jusqu’à ce que cela arrive, les avantages visés par le socialisme ne peuvent être que partiellement réalisés et les races moins prolifiques devront se défendre contre les plus prolifiques par des méthodes qui sont dégoûtantes même si elles sont nécessaires.

Les écrits ultérieurs de Russell dans « The Scientific Outlook » (1930) étendent sa vision d’une société mondiale stationnaire à la réforme de l’éducation, où il définit la nécessité d’avoir non pas un, mais deux modes d’éducation distincts : un pour la classe des maîtres qui deviendront les dirigeants et un pour la classe inférieure des esclaves. Russell décrit les deux castes dans les termes suivants, pleins de sang-froid :

Les dirigeants scientifiques fourniront un type d’éducation pour les hommes et les femmes ordinaires, et un autre pour ceux qui doivent devenir les détenteurs du pouvoir scientifique. On attendra des hommes et des femmes ordinaires qu’ils soient dociles, industrieux, ponctuels, insouciants et satisfaits. Parmi ces qualités, le contentement sera probablement considéré comme la plus importante. Pour le produire, tous les chercheurs de la psychanalyse, de l’étude du comportement et de la biochimie seront réunis sur le site ….. Tous les garçons et les filles apprendront dès leur plus jeune âge à être ce que l’on appelle « coopératifs », c’est-à-dire à faire exactement ce que tout le monde fait. L’initiative sera découragée chez ces enfants, et l’insubordination, sans être punie, sera scientifiquement éduquée chez eux.

Pour la classe dirigeante : 

« Sauf pour la seule question de la loyauté envers l’État mondial et envers leur propre ordre, explique Russell, les membres de la classe dirigeante seront encouragés à être aventureux et pleins d’initiative. Il sera reconnu que c’est leur affaire d’améliorer la technique scientifique et de maintenir les travailleurs manuels satisfaits au moyen de nouveaux amusements continus. »

Tous les écrits ultérieurs de Russell prônant des bombardements nucléaires préventifs de la Russie, un gouvernement mondial dirigé par une dictature scientifique et l’enseignement aux enfants de la croyance que « la neige est noire » doivent être lus en gardant à l’esprit sa vision philosophique raciste du monde.

Norbert Wiener et l’essor de la cybernétique

En 1913, alors que le troisième et dernier volume des Principia Mathematica de Russell était en cours d’impression, un jeune mathématicien arrive à Cambridge, en provenance des États-Unis, avec une bourse d’études. Cet adolescent s’appelait Norbert Wiener et il s’est rapidement retrouvé dans un petit groupe de garçons encadrés de près par Bertrand Russell et David Hilbert. Sous la direction de Russell, Wiener apprend la logique et la philosophie, tandis que Hilbert lui enseigne les équations différentielles. En parlant de Russell, Wiener a dit : « Lorsque je suis venu étudier auprès de Bertrand Russell en Angleterre, j’ai appris que j’avais raté presque toutes les questions d’une véritable importance philosophique ». Il a qualifié Hilbert de « seul génie vraiment universel des mathématiques ».

Tout au long de sa vie, Wiener a été possédé par l’obsession d’exprimer le système logique fermé de Russell de manière pratique.

Malgré le fait qu’un jeune génie leibnizien du nom de Kurt Gödel ait mis un frein majeur au programme des Principia de Russell en démontrant brillamment, en 1931, qu’aucun système logique ne pourrait jamais être vraiment cohérent avec lui-même en raison de la nature autoréflexive de tous les systèmes existants, Russell a poussé son projet à fond et Wiener en a été le principal apôtre.

Parmi les autres « Russellites » sur les théories sur l’apprentissage automatique, on comptait Alan Turing, Oskar Morgenstern, Claude Shannon et John von Neumann. Si chaque mathématicien avait sa propre innovation à offrir, ils étaient tous unis par la foi inébranlable que l’esprit humain était un mélange d’impulsions bestiales guidées par une logique de machine en système fermé, et rien de plus. Dans un ordinateur, le tout n’est que la somme des parties, et il doit en être de même dans tous les systèmes d’information, y compris les cerveaux humains, les écosystèmes et l’univers dans son ensemble. Les principes « métaphysiques » tels que l’âme, le but, Dieu, la justice et le libre arbitre n’avaient pas leur place dans l’esprit de ces froids calculateurs humains.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les travaux de Wiener sur les boucles de rétroaction dans l’aéronautique et les radars ont conduit le mathématicien à concevoir un nouveau langage pour la gestion des systèmes humains complexes, dont il a rapidement découvert qu’il avait des applications dans le commerce et les affaires militaires de nations entières. Le terme qu’il a donné à ce nouvel outil de contrôle est « cybernétique ». En décrivant son invention, Weiner a déclaré :

Cybernétique, que j’ai dérivé du mot grec Kubernetes, ou steersman, le même mot grec qui nous a donné le mot de gouverneur.

En s’appuyant sur des machines informatiques binaires à système fermé comme modèle pour les esprits humains, Weiner a exigé que les concepts métaphysiques soient supposés n’avoir aucune existence au-delà des caractéristiques purement physiques des propriétés électrochimiques mesurables du cerveau. En décrivant cet analogie ordinateur-esprit, Weiner déclarait : « Il nous est apparu clairement que la machine à calculer ultra rapide, dépendant comme elle le fait de dispositifs de commutation consécutifs, doit représenter un modèle presque idéal des problèmes qui se posent dans le système nerveux » et que « le problème de l’interprétation de la nature et des variétés de la mémoire chez l’animal a son parallèle dans le problème de la construction de mémoires artificielles pour la machine ».

La cybernétique au service de la gouvernance mondiale

Prévoyant l’inévitabilité de systèmes de contrôle global de l’information (et donc de contrôle politique total par une classe dirigeante semblable à un dieu) ainsi que de l’intelligence artificielle, Weiner a écrit : « Là où va la parole d’un homme et là où va son pouvoir de perception, à ce point son contrôle, et en un sens son existence physique, sont étendus. Voir et donner des ordres au monde entier revient presque à être partout. »

La clé pour comprendre l’attrait de la cybernétique pour une dictature scientifique désireuse d’une omniscience et d’une omnipotence totales est la suivante : Dans le contexte d’un grand bateau, seul le timonier doit avoir une idée de l’ensemble. Tous les autres ne doivent comprendre que leur rôle local compartimenté.

Avec l’application de la cybernétique à l’organisation des systèmes économiques (telle qu’elle a été réalisée par Sir Alexander King de l’Organisation de coopération et de développement économiques et appliquée dans les gouvernements transatlantiques au cours des années 1960 et 1970), de vastes bureaucraties complexes ont émergé avec seulement de petits nœuds de « timoniers » intégrés dans le nouveau complexe de l’État profond qui avaient accès à une vision d’ensemble. C’était le système d’exploitation parfait pour une technocratie supranationale à utiliser pour contrôler les leviers du Nouvel Ordre Mondial.

L’un des praticiens les plus enthousiastes de ce nouveau système au cours de cette période de transformation a été Pierre Elliot Trudeau (le premier ministre du Canada nouvellement imposé) qui a façonné une vaste révolution cybernétique du gouvernement canadien entre 1968 et 1972 sous le contrôle du Bureau du Conseil privé. Au cours d’une conférence sur la cybernétique dans le gouvernement, en novembre 1969, Trudeau déclarait : 

« Nous sommes conscients que les nombreuses techniques de la cybernétique, en transformant la fonction de contrôle et la manipulation de l’information, vont transformer toute notre société. Avec cette connaissance, nous sommes bien éveillés, alertes, capables d’agir ; nous ne sommes plus des aveugles, des puissances inertes du destin. »

Trudeau a travaillé en étroite collaboration avec Sir Alexander King à la formation d’une nouvelle organisation, le Club de Rome, qui a eu un impact profond sur la gouvernance mondiale, de 1968 à aujourd’hui. Trudeau était un fervent partisan de cette nouvelle organisation qui est devenue un centre de revivification néo-malthusien au début des années 1970. Trudeau a même présidé le Club de Rome canadien et a alloué des fonds pour financer l’étude du Club de Rome au MIT, intitulée « Limits to Growth », qui est devenue la bible de l’organisation environnementale moderne.

Alexander King, et le modèle informatique rendu célèbre par Limits to Growth, a imposé un nouveau schisme entre le désir de l’humanité de se développer et le désir supposé de la nature de se conserver par équilibre mathématique.

Contrairement à Russell qui niait tous les cas d’anti-entropie, Weiner admettait l’existence d’îlots isolés d’anti-entropie limitée, dans le cas de la biologie et des systèmes humains qui avaient tendance à fonctionner de manière à voir l’entropie (alias : la tendance des systèmes à s’effondrer en équilibre) diminuer. Cependant, tout comme Russell, Wiener pensait que la cybernétique et la théorie de l’information étaient entièrement façonnées par l’entropie, affirmant :

La notion de quantité d’information s’attache très naturellement à une notion classique de la mécanique statistique : celle d’entropie. [alias : la deuxième loi de la thermodynamique].

Dans l’esprit de Wiener, la loi dominante de l’univers comme un lieu fini en décomposition façonné par la mort qui détruirait inévitablement les états limités de vie anti-entropique qui se produisait purement par hasard dans des parties aléatoires de « l’espace » et dans « le temps » lui faisait dire, en 1954 :

Il est très probable que tout l’univers qui nous entoure mourra de mort thermique, et que le monde sera réduit à un vaste équilibre de température dans lequel rien de vraiment nouveau ne se produira jamais. Il ne restera rien d’autre qu’une morne uniformité.

L’entropie d’un système fermé ne peut que croître

Les conférences Macy sur la cybernétique

De 1943 à 1953, la cybernétique de Wiener et son corollaire, la théorie de l’information, sont devenus le point de ralliement d’un nouveau sacerdoce scientifique qui rassemblerait les principaux penseurs de toutes les branches de la connaissance, dans le même effort que celui déployé précédemment par le timonier du XIXe siècle Thomas Huxley et son Royal Society X Club.

Ces conférences étaient financées par la Fondation Josiah Macy, créée par le général Marlborough Churchill (un cousin de Winston Churchill) en 1930, dans le but premier de canaliser des fonds vers la recherche eugénique aux États-Unis et en Allemagne, parallèlement à son organisation sœur, la Fondation Rockefeller. Cette dernière financera l’eugéniste nazi, Ernst Rudin, de 1928 à 1930, tout en parrainant les recherches menées par les sociétés eugénistes britannique et américaine.

Comme le souligne Anton Chaitkin dans son ouvrage « British Psychiatry from Eugenics to Assassination », le fondateur et contrôleur de la Fondation Macy, le général Marlborough, avait auparavant dirigé la Chambre noire des services secrets militaires de 1919 jusqu’à sa dissolution en 1929. La Chambre noire était en étroite relation avec les services de renseignement britanniques et a servi de prédécesseur à ce qui deviendrait plus tard la National Security Agency (NSA).

Débutant en 1945 et ayant désespérément besoin d’empêcher la propagation du système américain d’économie politique et d’un New Deal international mis en place par le président anti-impérialiste Franklin D. Roosevelt, les conférences de Macy sur la cybernétique ont commencé à se réunir tous les six mois, rassemblant des psychiatres, des biologistes, des neurologues, des ingénieurs informatiques, des sociologues, des économistes, des mathématiciens et même des théologiens, tous liés à l’institut Tavistock. Wiener a décrit ces conférences qui ont façonné le cours des 75 années suivantes en disant : « pour l’organisation humaine, nous avons demandé l’aide des anthropologues Docteurs [Gregory] Bateson et Margaret Mead, tandis que le Dr [Oskar] Morgenstern de l’Institute of Advanced Study était notre conseiller dans le domaine important de l’organisation sociale appartenant à la théorie économique… Le Dr [Kurt] Lewin représentait les travaux les plus récents sur l’opinion de l’échantillonnage de l’opinion et la pratique de la prise d’opinion ».

L’ingénierie sociale au service de l’après-guerre

Pour ceux qui l’ignorent, le Dr Bateson était l’un des principaux contrôleurs du programme MK Ultra de la CIA, qui s’est déroulé de 1952 à 1973 sous la forme d’une opération secrète de plusieurs milliards de dollars destinée à étudier les effets de la « dépatternisation » [briser les schémas mentaux qui structure le psychisme, NdT] des individus et des groupes à l’aide d’un mélange d’électrochocs, de torture et de drogues. Oskar Morgenstern est l’innovateur de la « théorie des jeux », qui a joué un rôle dominant dans la planification militaire de la guerre du Viêt Nam et dans les systèmes économiques pendant les 70 années suivantes. Le Dr Kurt Lewin, un éminent psychiatre de la clinique Tavistock de Londres et membre de l’école de Francfort, a organisé un programme concerté visant à éliminer la maladie qu’est le patriotisme national, la croyance en la vérité et l’amour de la famille, pendant toute la période de la guerre froide.

Un membre éminent de la conférence et planificateur de cette opération s’appelait Sir Julian Huxley – un eugéniste de premier plan et un grand stratège impérial qui travaillait en étroite collaboration avec son collègue Bertrand Russell, un dirigeant de la Fabian Society. Huxley partageait la croyance dévote de Russell et Wiener en l’entropie universelle, déclarant en 1953 :

On ne trouve nulle part, dans toute cette vaste étendue, la moindre trace d’un but, ou même d’une signification prospective. Tout est mené par des forces physiques aveugles, une gigantesque danse de jazz de particules et de radiations dans laquelle la seule tendance générale que nous ayons pu détecter jusqu’à présent est celle résumée dans la deuxième loi de la thermodynamique – la tendance à l’épuisement.

Alors qu’il commençait à formuler son concept de « transhumanisme » et qu’il organisait les conférences cybernétiques de Macy, Julian a trouvé le temps de créer l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) en 1946 en rédigeant son manifeste fondateur. Sa vision entropique de la biologie et de la physique s’exprime clairement dans ses opinions politiques, qui font froid dans le dos :

La morale de l’UNESCO est claire. La tâche qui lui a été confiée de promouvoir la paix et la sécurité ne pourra jamais être entièrement réalisée par les moyens qui lui ont été assignés – éducation, science et culture. Elle doit envisager une certaine forme d’unité politique mondiale, que ce soit par le biais d’un gouvernement mondial unique ou autrement, comme le seul moyen certain d’éviter la guerre… dans son programme éducatif, elle peut souligner la nécessité ultime d’une unité politique mondiale et familiariser tous les peuples avec les implications du transfert de la pleine souveraineté de nations séparées à une organisation mondiale.

Travaillant en tandem avec l’Organisation Mondiale de la Santé, elle-même créée par un psychiatre de Tavistock nommé G. Brock Chrisholm, et entièrement financée par la Fondation Macy, Huxley organisa la création de la Fédération Mondiale de la Santé Mentale (WFMH) supervisée par Montagu Norman de la Banque d’Angleterre et dirigée par le chef de la Clinique Tavistock de Londres, le Major Général John Rawlings Rees, que Montagu nomma directement.

Chaitkin souligne que parmi les premiers projets organisés conjointement par la WFMH et la Fondation Macy figurent les « Conférences sur les problèmes de santé et de relations humaines en Allemagne » en 1949-1950, qui ont permis d’ancrer la thèse de la personnalité autoritaire, venant de l’école de Francfort, dans l’esprit de tous les enfants allemands. Le but était de persuader le peuple allemand que la faute de l’ascension d’Hitler au pouvoir n’était pas à chercher dans les conspirations internationales ou les manipulations de la City de Londres/Wall Street… mais plutôt dans la disposition « psychologique-génétique autoritaire » du peuple allemand lui-même. Ce programme était supervisé par le directeur de Tavistock, Kurt Lewin, qui était devenu à cette époque une figure de proue de l’École de Francfort et l’innovateur d’une nouvelle technique de lavage de cerveau appelée « formation à la sensibilité », qui reposait largement sur l’utilisation de complexes de culpabilité et de pression de groupe pour briser la volonté d’un groupe cible, soit dans une salle de classe, soit sur le lieu de travail, et forcer tout penseur original à absorber la pensée de groupe. Le travail de Lewin avec le WFMH et Tavistock est également devenu le fondement des doctrines de la théorie critique d’aujourd’hui qui menacent de saper toute la portée de la civilisation occidentale.

Dans la mesure où les individus pensent par eux-mêmes et sont dirigés intérieurement par les facteurs 1) de la raison créatrice et 2) de la conscience, les systèmes de pensée collective ne se comportent plus selon le type de règles d’entropie et d’équilibre statistiquement prévisibles que les oligarques et les technocrates avides de contrôle exigent. En effaçant ce facteur d’« imprévisibilité » par l’argument selon lequel tous les dirigeants qui professent la vérité sont simplement des « personnalités autoritaires » et de « nouveaux Hitler », la vertu des foules a été élevée au-dessus de la vertu du génie et de l’initiative individuels, ce qui continue de plomber le monde à ce jour.

Les conférences sur la cybernétique ont évolué tout au long des années 1960-1970, se retrouvant de plus en plus intégrées à des organisations internationales comme les Nations Unies, l’Organisation mondiale de la santé, l’OTAN et l’OCDE. Au fur et à mesure de cette intégration, les nouveaux technocrates sont devenus de plus en plus influents dans la définition des normes du nouveau système d’exploitation mondial. Pendant ce temps, les gouvernements nationaux ont été de plus en plus débarrassés des leaders moraux nationalistes comme John F. Kennedy, Charles De Gaulle, Enrico Mattei et John Diefenbaker, ce qui a entraîné l’intégration de l’analyse des systèmes et de la cybernétique dans le cadre de gouvernance du nouvel État profond international.

Alors que Julian Huxley a inventé le terme « transhumanisme » en 1957, le culte de l’intelligence artificielle guidé par la croyance en la fusion inévitable de l’homme et de la machine s’est développé de plus en plus avec des événements majeurs tels que la thèse de la symbiose homme-ordinateur de J.C.R Licklider de 1960 et l’application de ces systèmes dans des programmes du ministère de la défense comme les systèmes de commandement des wargames, le SAGE (Semi Automatic Ground Environment) et les réseaux d’avions à réaction sans pilote. Les dyades ordinateur-soldat à cognition augmentée de la DARPA sont une autre expression de cette idée perverse, avec des centaines de millions de dollars dépensés pour la création de soldats cyborgs améliorés.

Au fil des ans, les adeptes de ce nouveau culte se sont rapidement retrouvés à la barre du nouveau navire mondial qu’est la Terre, donnant naissance à une nouvelle classe élitiste mondiale de technocrates et d’oligarques uniquement fidèles à leur caste et à leur idéologie, s’efforçant de façonner leur esprit toujours plus étroitement au modèle de machines informatiques, capables de logique mais pas d’amour ni de créativité. Plus ces technocrates cultes comme Yuval Harari, Ray Kurzweil, Bill Gates ou Klaus Schwab pensent comme des ordinateurs froids, tout en amenant les masses de la terre à faire de même, plus la thèse selon laquelle « les ordinateurs doivent évidemment remplacer la pensée humaine » peut être maintenue.

Matthew Ehret

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone


[Voir aussi :
Vie et mort des systèmes
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos
Note sur la respiration de l’Humanité
Note sur l’illusion de l’« information »
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Tous surhumains demain?
Le cerveau électronique]




Stanislas Berton : « Les peuples occidentaux sont soumis à la volonté des élites mondialistes »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Stanislas Berton a relevé le défi ! Entrepreneur, auteur de « la France retrouvée« , il décrypte la guerre faite par « les mondialistes » aux peuples. Analysant les ressorts de cette « sécession des élites ». dans ses différentes dimensions : culturelle, économique, sanitaire… Son essai ne se contente pas de diagnostiquer cette idéologie faussement présentée selon lui comme la seule voie, mais recense aussi de nombreuses propositions en un véritable programme politique.



Fascination des élites françaises pour de prétendus modèles étrangers, différence entre la prétention à l’universalisme et le mondialisme ; le mode de vie simple, voire frugal, qui devrait s’imposer à nous, loin des mirages du « développement durable », par la « contraction énergétique », ou pourquoi la décroissance a déjà lieu ; L’État, impuissant sur l’essentiel, qui bascule dans l’autoritarisme sur l’accessoire ; l’explosion de la dette à des niveaux inédits dans l’histoire de l’humanité ; quelques-uns des sujets au menu de ce Défi de la vérité.

Auteur(s) : FranceSoir




“L’homme le plus intelligent du monde” analyse le programme de vaccination de l’élite mondiale

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’une des personnes les plus intelligentes au monde s’élève contre la vaccination Covid-19, affirmant que l’élite mondiale à l’origine de la campagne de vaccination n’a probablement pas à cœur les intérêts de l’humanité.

La plupart des gens ignorent tout de l’éleveur de chevaux du Missouri Christopher Langan, 69 ans, qui a travaillé comme ouvrier du bâtiment et videur dans un bar pendant près de 20 ans.

Cependant, un article paru dans Esquire en 1999 a rendu Langan célèbre, en le décrivant à l’époque comme “l’homme le plus intelligent d’Amérique”, avec un QI d’environ 200.

Une interview de Lagan réalisée en 2019 par “Spike Jonze” (Adam Spiegel) vous permettra de comprendre à quel niveau se situe cet homme.



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Depuis, M. Langan a fait l’objet d’un reportage dans l’émission “20/20” d’ABC, et son intelligence a été largement documentée compte tenu de son passé inhabituel.

Actuellement, il s’est lancé dans un projet baptisé “Modèle cognitivo-théorique de l’univers (CTMU)”, qui tente de mettre en évidence le “lien entre l’esprit et la réalité” et d’expliquer l’existence de Dieu par les mathématiques.

C’est dans un groupe Facebook consacré au CTMU que M. Langan a démoli la semaine dernière la campagne mondiale de vaccination contre le virus Covid-19 comme seul un génie pouvait le faire.

Selon Langan, le plan de vaccination de l’élite mondiale n’est probablement pas une élimination (immédiate), mais une stérilisation progressive de la population afin de maintenir la supériorité de la classe dirigeante sur les masses abruties.

Lisez la discussion de Langan avec les membres du groupe CTMU ci-dessous, transcrite à partir de captures d’écran Facebook :

Commentaire : “Je me suis demandé s’il n’y avait pas une motivation négative derrière le V@x. Si j’étais un oligarque sociopathe et que je pensais que l’humanité devait être réduite massivement pour protéger la Terre, est-ce que j’utiliserais le vax pour provoquer une mort massive ou une stérilisation massive ? L’une ou l’autre de ces approches provoquerait d’énormes bouleversements, mais la stérilisation de masse serait celle qui causerait le moins de perturbations.”

Réponse : Premièrement, selon la définition habituelle du terme “vaccin”, les injections actuelles ne sont pas des “vaccins”. Elles ne sont qu’une autre souche de technologie dangereuse que la superclasse parasitaire finance et utilise dans le but de dominer et de contrôler le monde.

Une extinction massive de la population humaine serait traumatisante et menacerait le statu quo. Si la population humaine s’effondre et que l’économie suit le mouvement, l’élite n’aura rien, aucune supériorité innée ou capacité d’adaptation, qui pourrait la protéger et contribuer à sa survie. C’est pourquoi elle préfère la stérilisation de masse et un déclin démographique plus lent (mais toujours rapide).

Évidemment, la superclasse parasitaire s’inquiète de la destruction de son environnement par la surpopulation humaine. Malheureusement, elle a raison sur ce point : alors que la Terre et ses ressources sont limitées, la croissance démographique est exponentielle. Mais il y a au moins trois problèmes majeurs dans leur approche.

(1) Au lieu d’aborder le contrôle de la population de la bonne manière, en améliorant la population par l’éducation et l’hygiène génétique, en faisant appel à ce qu’il y a de meilleur dans l’espèce humaine et en la convainquant de contrôler son propre comportement reproductif pour son propre bien et celui de la Terre, ils préfèrent mentir et se faufiler dans le dos de tout le monde, en nous escroquant et en nous menaçant de nous faire “vacciner” sous de faux prétextes. D’où leur négligence flagrante du Logos. Au lieu d’améliorer l’humanité, ils la dégradent, en s’appuyant sur une combinaison d’ignorance publique, de confiance mal placée, et d’idées et d’idéologies sans issue comme l’athéisme, le matérialisme, le communisme, le multiculturalisme et la “diversification” ethnique forcée, la “gouvernance mondiale” tyrannique pour amener l’humanité à se conformer.

(2) Alors que l’élite mondiale veut désespérément le contrôle total de la planète et de sa population humaine, elle n’est ni assez intelligente ni assez bonne moralement pour le mériter, et n’a aucune idée de la manière de l’utiliser correctement à l’avantage de l’espèce humaine et de la planète dans son ensemble.

(3) Cela se reflète dans le fait que leur programme de contrôle se limite au contrôle de la quantité et exclut totalement le contrôle de la qualité. Ils supposent que toute la véritable richesse génétique de l’humanité réside en eux, malgré leur manque flagrant de mérite (génie, rectitude morale). Souscrivant à une idée dépassée appelée “darwinisme social”, ils supposent simplement que tous les autres, même s’ils sont meilleurs et plus intelligents, sont inférieurs et remplaçables et devraient être soit éliminés, soit stérilisés, soit descendus, déracinés et fondus dans une vaste race d’esclaves de couleur moka pour la commodité de l’élite.

En bref, en se remplissant les poches et en bousculant tout le monde, l’élite se considère comme une “race maîtresse”, une sorte d’association mondiale d’élevage pour laquelle le reste de l’espèce n’est rien d’autre qu’un troupeau de bovins dociles à élever pour la servilité et tout juste assez d’intelligence pour suivre les ordres. Cela a été clairement et irréfutablement documenté, par exemple, par le programme de “génocide des Blancs” décrit il y a un siècle par R.N. Coudenhove-Kalergi, financé à l’origine par les Rothschild, les Warburg et d’autres banquiers internationaux, et qui fait maintenant l’objet d’une politique internationale dans tout le monde occidental.

Il est facile de voir où cela mène, et ce n’est bon nulle part. Personnellement, je suis prêt, si nécessaire, à infliger des blessures physiques graves à toute personne qui tenterait de me faire subir une de ces injections, et il devrait en être de même pour toute autre personne qui se respecte.

Q : “Pourquoi les propriétaires de la Plantation Mondiale voudraient-ils tuer ou réduire la fertilité de leurs sujets les plus soumis et les plus obéissants ?”

R : Vous ne comprenez peut-être pas tout à fait. Résister au “vaccin” permet à l’élite de vous identifier comme quelqu’un qu’il vaut mieux tuer et qui est donc éligible à la “vaccination prioritaire.” 😉

De plus, ils pensent qu’ils peuvent forcer tout le monde à prendre le “vaccin”, donc c’est discutable. Prenez-le maintenant, et vous pourrez être zombifié et asservi en tant que cyborg chimique ; ne le prenez pas, et vous serez prêt à être abattu, sans avoir besoin de “vaccin”. Tous les esclaves “valables” qui meurent immédiatement sont des dommages collatéraux acceptables ; de plus, chaque mort sert l’agenda de la dépopulation. (Ne supposez jamais que ces accros du contrôle n’ont pas calculé chaque mouvement qu’ils font pour sa valeur “pile nous gagnons, face vous perdez”. Même lorsqu’ils ne savent pas distinguer leur cul de leur coude, ce qui est assez souvent le cas, c’est leur principal critère politique).

Rappelez-vous, l’élite suppose qu’elle est la crème-de-la-crème génétique, et suppose que tous les autres sont des déchets génétiquement inférieurs et donc finalement sensibles à leurs techniques de contrôle mental. Il s’agit d’une opération de masse dans laquelle l’erreur humaine rend impossible une sélection efficace de la “qualité”, que celle-ci soit définie par le mérite objectif ou par la possibilité de servir la classe supérieure parasitaire.

Dans la vision élitaire du monde, seule l’élite est “élite”. Tous les autres sont de la merde et donc sacrifiables.

Le “darwinisme social” est leur justification absolue de leur propre pouvoir, et ils croient nécessairement qu’aucune personne assez stupide pour prendre ce faux vaccin contre le coronavirus ne peut être digne d’être préservée, tandis qu’ils pensent également que toute personne qui refuse le vaccin mérite d’être raflée et tuée.

Pile, je gagne, face tu perds.


Sources
https://www.newswars.com/smartest-man-in-america-breaks-down-global-elites-vaccine-sterilization-agenda/
https://www.youtube.com/watch?v=sKB4wAqMKRQ

Traduction et sous-titres : https://cv19.fr


[Voir aussi :
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard et liens annexes]




La guerre du Bien contre le Mal

[Source : zonefr.com]

par Christine Deviers-Joncour

Consciente depuis le début des années 90 de ce qui se préparait, rien de ce qui arrive aujourd’hui, hélas, ne me surprend. Dans un de mes articles précédents, j’ai mentionné des rencontres, des dîners à cette époque avec le sieur Attali, éminence grise toxique, sherpa de nos présidents.

J’entendais ce mot terrible : DÉPOPULATION.  

Je croyais innocemment à une galéjade. 

Ce texte, prétendument issu d’un entretien de Jacques Attali avec le journaliste et médecin Michel Salomon publié dans son ouvrage L’Avenir de la vie, paru en 1981 : 

« Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui ciblera certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont. »

Et de conclure par une allusion à la vaccination : 

« Nous aurons pris soin d’avoir prévu […] un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

Froid dans le dos !

J’ai récemment découvert cet article sur une prévision du développement démographique prévu jusqu’en 2025 de Deagel : Deagel, une véritable organisation de renseignement pour le gouvernement américain, prédit une dépopulation mondiale massive (50-80 %) d’ici 2025.

[Ndlr : cette partie a été supprimée du site http://www.deagel.com/ depuis au moins plusieurs mois.]

Parlons-en de ce vaccin mortifère : La majorité des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été protégées contre le Covid, c’est une fraude.

L’automne prochain sera meurtrier : en raison de l’épidémie de maladies et de décès qui se produira, les gouvernements commenceront à promouvoir la prochaine série de vaccination, car ils ont toujours prévu de mettre ces décès sur le compte de « variants », nouvelles versions du Covid !

En vaccinant des millions de personnes, ils poussent le virus à muter et à devenir plus fort et plus mortel (surtout s’ils imposent des mesures de confinement !) Résultat désastreux est que le système immunitaire naturel de centaines de millions de vaccinés est effectivement détruit !

[Ndlr : dans le cadre de la théorie virale, un virus virulent se propage peu, car il tue trop rapidement son hôte, alors qu’un virus qui se propage efficacement n’est pas dangereux. Si les vaccins forcent les virus à muter, alors une mutation a autant de chances de l’affaiblir que de le rendre plus mortel. Cependant, cette théorie est remise en question par des pionniers qui reviennent aux sources à la lumière des moyens modernes d’observation et d’expérimentation (voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.). Dans cette nouvelle approche, les vaccins ont pour seul rôle d’empoisonner l’organisme, d’intoxiquer diverses cellules et de leur faire produire en particulier ce qui a été appelé un jour « virus », ceci en tant que déchet et/ou de moyen de réparation, selon la nature du virus.]

La fausse pandémie de Covid-19 aurait-elle été créée, en partie, pour trouver un prétexte à la vaccination de masse, afin que le vaccin soit proposé comme solution à la prétendue menace posée par le Covid-19 ?                                                

Normalement, pour obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable, cela prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. Mais il y avait urgence et Big Pharma a vu là la bonne aubaine pour s’enrichir un peu plus.

Je me souviens lorsque l’on m’avait donné comme mission de débloquer le véto mis par Mitterrand pour cette vente des Frégates à Taiwan, je m’étais rebellée. Vendre des armes sûrement pas !!! Alors je reçus cette réponse :

« Ce ne sont pas les marchands d’armes les plus dangereux, ce sont les laboratoires pharmaceutiques ! »

Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hottez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais).

Les accidents se multiplient partout dans le monde et la plupart des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été vaccinées contre l’infection : c’est une autre fraude !

Le nombre de décès aux États-Unis est 40 fois plus important depuis plus de vingt ans, suite à la campagne de vaccination ! Quand cette information sera connue par un grand nombre d’entre nous, des têtes vont commencer à tomber aux USA, mais aussi en Europe.

Et les morts s’accumulent un peu partout sur la planète. Les gens pleurent leurs proches disparus. Motus sur les médias mainstream.

Et puis ceci : Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques.

Les médias hurlent au fake sur tous les supports !

Mais de nombreux scientifiques tentent d’y répondre.

Dans mon entourage amical, combien de personnes avouent qu’ils ont jugé bon de se faire vacciner, alors que je n’ai cessé durant ces derniers mois de les mettre en garde et de les dissuader ? Non, rien n’y a fait. Penauds, ils se dédouanent : « Les vacances arrivent, nous voulons bouger et voyager ! »

Quelle inconscience !

Certains me traitent de complotiste. Mais qui sont les complotistes ???

Complot Qui fomente les complots ? Le peuple ? Non ! Ce sont eux les politiques et les médias aux ordres les vrais comploteurs… complotistes.

Tous, présidents, ministres, députés, sénateurs, conseillers d’État, les « sages » du Conseil Constitutionnel… Les entendez-vous dénoncer l’horreur que l’on fait subir au peuple et ce qu’on leur prépare comme avenir ? Seraient-ils tous corrompus pour se taire et laisser faire, en manque de probité, d’honneur, menacés ou complètement dépassés ?

Ne craignent-ils pas un jour la vindicte du peuple ?

La Guerre des mondes de HG Wells a bel et bien débuté. La plupart des gens ne sont pas conscients qu’ils sont sur le bord de l’extinction, sinon du contrôle total sur leur vie.

Malgré toutes les manifestations, malgré tous les discours, malgré toutes les pétitions, les politiciens et les médias continuent à se vautrer sans vergogne dans le mensonge, la perfidie et la trahison envers leur population. Leur lâcheté ou compromission sont inacceptables. Nous assistons à un génocide programmé sur tout la planète !

Les scientifiques honnêtes alertent, partagent leurs études scientifiques, quelques médecins intègres eux aussi montent au créneau et mettent en garde contre ces tests PCR et Vaccins, et les autorités les bâillonnent, les détractent, les insultent, censurent et les bannissent quand on ne les enferme pas dans des asiles psychiatriques.

Il ne s’agit pas ici de pessimisme, comme certaines personnes pourraient le croire, mais bien d’hyper réalisme. Les cabalistes et les comploteurs ont pour finalité de détruire la société actuelle, pour en rebâtir une nouvelle selon de nouvelles normes qui ne seront évidemment pas conçues pour le bien-être de l’humanité.    

Le Forum Économique Mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEMKlaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset » — un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

Allez chercher des infos sur leur dernière trouvaille : « Cyberpolygon », dirigé par le FEM en juillet dernier. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays : 

https://lesakerfrancophone.fr/cyber-polygon-le-prochain-jeu-de-guerre-globaliste-conduira-t-il-a-une-autre-catastrophe-bien-commode [ou ici : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?]

Ils sont une poignée de malfaisants, de fous génocidaires qui ont organisé toute cette fraude et qui nous entraînent dans l’Armageddon ! Mais nous sommes huit milliards sur cette planète. Rien n’est perdu.

Rien n’est définitif. Apocalypse = Révélation.

Ils ont leur Grand Reset et nous le Grand Réveil.

Depuis tant d’années, je sais. Depuis tant d’années je fus témoin de leurs honteuses manipulations et mises en place de ce que nous vivons aujourd’hui ! Le premier choc fut le 11 septembre 2001. Ce fut leur coup d’envoi ! Par un des plus grands hasards, je fus un petit témoin de cette opération, deux mois auparavant, en juillet, à Washington.

Quand les tours du World Trade Center se sont effondrées, en recoupant tout ce que j’avais vu et entendu deux mois auparavant, cela fut une évidence… Dans les mois qui suivirent, je savais la vérité et ne pouvais rien dire sans passer pour une démente. Un jour je raconterai si Dieu me prête vie. Mais, depuis quelques années, peu à peu, le voile se lève ! Et ils sont à vue. D’ailleurs maintenant ils ne se cachent même plus, sûrs d’eux !

Leur « plan » semble fonctionner et ils se frottent les mains ! Mais trop vite, trop loin ils sont allés et de petits cailloux vont enrayer leur machination infernale et leur projet démoniaque et sataniste de contrôle planétaire. Et quelques voix se lèvent. Ainsi ce courageux député finlandais Ano Turtiainen [Voir : Finlande — Vaccination Covid : des parlementaires seront accusés de génocide] monte au créneau :

« Alors, je vous demande à tous : combien de personnes doivent encore mourir ou être blessées avant que nous n’arrêtions ce massacre ? Chers collègues, vous êtes désormais conscients de la menace extrême et grave qui pèse sur la sécurité de notre nation, et que les inconvénients des injections sont plus importants que les avantages. Vous n’avez plus de raison de ne pas agir pour sauver notre nation. Enfin si vous continuez à tromper nos citoyens, en leur racontant par exemple des contes de fées selon lesquels les vaccins sont sûrs et ont une licence de commercialisation. Vous êtes intentionnellement impliqués dans plusieurs crimes, le plus grave d’entre eux pouvant même être un génocide. Une fois de plus je vous rappelle à tous ici : un crime devient intentionnel lorsqu’il est commis en connaissance de cause. Maintenant vous êtes tous conscients, merci. »

J’ai tellement de rancune accumulée devant tant de cruauté, de mensonges, lâcheté, perversion et d’injustices… Mais l’instant n’a de place qu’étroite entre l’espoir et le regret et c’est la place de la vie. Il m’a fallu du temps pour tenter de transformer ces ressentiments, pour éprouver moins d’amertume, pour ne plus goûter ce fiel qui souvent m’envahissait jusqu’à l’écœurement et l’envie de vomir. Je tente d’éprouver de la compassion pour certains, infirmes du cœur et inachevés, mais je n’en aurai jamais pour cette poignée de salopards diaboliques qui nous entraînent en enfer.

Soudain je reprends espoir en venant librement ici balancer certaines vérités sans être bannie. Merci à MediaZone de m’avoir accueillie !

On va se battre encore et encore. C’est une « guerre contre les peuples », comme ils disent : c’est une sacrée guerre du Bien contre le Mal !  Mais les peuples s’éveillent et j’aperçois enfin une petite lumière au bout du tunnel. Serrons les coudes tous ensemble et résistons! Luttons fièrement, pour nos enfants, pour notre terre, pour l’amour, pour la vie ! Que Dieu nous vienne en aide !

Quand le pouvoir de l’amour l’emportera sur l’amour du pouvoir alors le monde connaîtra la paix.

(Jimi Hendrix)

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective

[Source : Sott.net]

[Illustration : © Sott.net]

Par Ariane Bilheran — L’Antipresse

Ariane Bilheran est normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.

[Voir aussi :
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
“Seconde vague” : une bonne leçon de la philosophe Hannah Arendt
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Alexandre Soljenitsyne : «Les hommes ont oublié Dieu»]

Épisode 1 — La structure totalitaire : le délire paranoïaque

« Bien des gens affirment qu’on ne saurait combattre le totalitarisme sans le comprendre. Ce n’est heureusement pas vrai car, autrement, notre situation serait sans espoir. »

Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953

En 2020, je suis intervenue trois fois pour alerter sur l’émergence du totalitarisme actuel, au prétexte sanitaire : le 13 mai, avec « Totalitarisme sanitaire : « C’est pour ton bien… Le mal radical »[1], le 30 août, avec « Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave »[2], et le 30 décembre, à Radio Canada[3], entrevue au cours de laquelle j’ai affirmé que ce que nous vivions n’était pas autoritaire, mais totalitaire, en examinant la certitude délirante de la psychose paranoïaque. Ces interventions m’ont valu railleries, quolibets et insultes en tout genre, de la part de ceux qui ne peuvent pas entendre ce qui se passe (ou n’y ont pas intérêt), prétendant que j’exagère ou que je souffrirais moi-même de paranoïa.

Pourtant, en un an, nos libertés, conquises de haute lutte durant des siècles, au prix du sang de nos ancêtres, se sont évaporées en fumée, jusqu’à la survenue de ce « passeport sanitaire », jugé impensable par la majorité des gens il y a quelques mois encore. Afin d’élaborer un tel diagnostic précoce de délire collectif, je me suis appuyée sur ma longue expérience professionnelle d’observations des groupes, des institutions et des entreprises, lorsqu’ils se transforment en îlots totalitaires. En avril 2020, bien que certains signes eussent pu paraître insignifiants aux yeux du plus grand nombre, ils étaient suffisants pour caractériser l’entrée dans une psychose paranoïaque collective, en particulier le déni de réalité, le mensonge, le clivage, la projection[4], l’interprétation, la persécution (ici, d’un virus, ennemi invisible, qui autorise la persécution des individus en tant qu’organismes porteurs d’une multiplicité de virus), la manipulation des masses (terreur, culpabilité et chantage), l’idéologie sanitaire (et la propagande qui la soutient), mais aussi la survenue d’une nouvelle langue pour décrire une « nouvelle normalité » ou une « nouvelle réalité » faisant table rase de l’ancien. Rappelons les critères politiques du totalitarisme, qui ne saurait se réduire à une dictature, un despotisme, ou encore, une tyrannie : monopole des médias de masse et du corps policier, direction centrale de l’économie, persécution des opposants et de toute critique, système de surveillance d’individus, encouragement aux délations, logique concentrationnaire orchestrée sur la terreur, politique de la table rase, idéologie mouvante construite sur le clivage entre bons citoyens et mauvais citoyens, sur l’ennemi — visible ou invisible — et la pureté.

Les individus s’organisent selon des structures psychiques (certains préfèreront le terme organisation, moins rigide), qui traduisent leur rapport à la réalité, à l’expérience, à l’autre, à la Loi, aux pulsions, à la rationalité. Ces structures sont évolutives à la faveur des événements, en particulier des charges traumatiques lourdes, et c’est ce qui explique qu’en temps « normal », des individus respectant des tabous moraux fondamentaux (notamment, ne pas transgresser ni tuer), se désinhibent en temps totalitaire (ou plutôt régressent psychiquement), l’idéologie de masse permettant de justifier la levée des interdits anthropologiques du meurtre et de l’inceste — et de leurs dérivés — qui fondent une civilisation. Ce que l’on sait moins, c’est que ces structures psychiques concernent aussi les collectifs. Il existe des personnalités psychiques au niveau des groupes, des institutions, des entreprises… J’ai longuement étudié la nature des groupes que j’ai appelés « régressés », lorsqu’ils basculent sur un mode pervers ou pire, paranoïaque. Les pathologies narcissiques graves ont en effet ce talent de créer une unité pathologique dans les groupes, avec des interactions inconscientes. C’est dire à quel point l’individu est pris dans un système, où le tout est d’une autre nature que la somme de ses parties. Ce système contraint le psychisme individuel, qui en retour nourrira le délire collectif. Voilà expliqué en peu de mots le phénomène sectaire et fanatique.

Le totalitarisme correspond à un délire psychotique, celui de la paranoïa. Il s’agit d’une psychose, qui s’articule sur le déni de réalité (la réalité et l’expérience n’existent pas, ne servent pas de boucles de rétroaction pour qualifier la pensée délirante dogmatique), un délire interprétatif (un ennemi extérieur ou intérieur, visible ou invisible, nous veut du mal) avec des idéologies dédiés (mégalomanie, pseudo-idéaux humanitaires, hypocondrie, persécution…), la projection, la méfiance, le clivage, l’hyper-contrôle. Cette folie présente l’apparence de la raison, du discours argumenté, tout en s’organisant sur un délire de persécution justifiant la persécution d’autrui. Elle ne nie pas la Loi, elle l’interprète à son avantage et, si elle en a le pouvoir, elle l’instrumentalise pour persécuter les individus, et non plus les protéger. « Para » (παρά), dans le grec ancien παράνοια, est un préfixe qui signifie tout à la fois « à côté », « en parallèle », comme dans « parapharmacie », ou « contre », comme dans « parapluie ». De même que le parapluie agit contre la pluie, le paranoïaque agit contre l’esprit (νοῦς), contre l’intelligence, contre la logique. Et, pour ce faire, il subvertit l’esprit, l’intelligence, la logique, et leur fait la guerre.

Peu importe le contenu du délire, à savoir son décor théâtralisé, car la paranoïa, « folie raisonnante » comme l’ont nommé les psychiatres Sérieux et Capgras, obéit toujours à une même structuration des processus psychiques. Nourrie par la haine et la manipulation érotisée des institutions, elle peut être dangereusement collective et psychiquement contagieuse, « pour notre bien ». Il convient d’accuser l’ennemi désigné comme persécuteur, et si possible, de le personnifier. Un virus « pris en tenailles » — cf. discours d’E. Macron du 31 mars 2021 — est l’ennemi parfait, car il est invisible, en perpétuelle transformation — « variants ». L’interprétation — déduction à partir d’une opinion subjective — est au centre du dispositif : ce virus est si dangereux qu’il en va de la survie de l’espèce humaine — postulat implicite, qui permet de justifier la destruction de l’économie, des libertés et du droit fondamental) ; l’interprétation est à la fois exogène — le virus tueur est à l’extérieur de nous — et endogène — à l’intérieur de nous.

Osons une question blasphématoire : un virus aurait-il l’intention de nous tuer ? Les virus sont inscrits dans notre ADN ; nous en touchons des centaines de millions chaque jour. Curtis Suttle, virologue à l’université de la Colombie-Britannique au Canada, indique dans une étude de 2018, que plus de 800 millions de virus se déposent sur chaque mètre carré de terre chaque jour. Dans une cuillère à soupe d’eau de mer, il y a plus de virus que d’habitants en Europe !

« Nous avalons plus d’un milliard de virus chaque fois que nous allons nager […]. Nous sommes inondés de virus. »

Un article de 2011 publié dans Nature Microbiology estime qu’il y a plus d’un quintillion (1 suivi de 30 zéros) de virus sur Terre !!! Environ 8 pour cent du génome humain est d’origine virale, et les virus ont été présents bien avant l’espèce humaine sur Terre, ils ont contribué à donner naissance à la vie cellulaire[5]. Partir en guerre[6] contre un virus, est-on sérieux ? C’est pourtant ce que propose l’hypocondrie délirante de la paranoïa collective, dans laquelle le corps devient étranger à soi-même et persécuteur. Il faut donc persécuter le corps, dans un Syndrome de Münchhausen de masse, qui consiste à surmédicaliser de façon inadaptée — interdiction de remèdes, couplée à des vaccins expérimentaux, dont les études qui visent à prouver la qualité, la sécurité et l’efficacité ne sont pas achevées[7] — une maladie virale commune (qui mériterait des soins appropriés et précoces), et dont ceux qui en sont gravement atteints — entre autres, décideurs politiques, des lobbies et leurs relais médiatiques — dénient la tempérance et l’expérience des experts, et créent davantage de problèmes et de souffrances qu’ils n’en résolvent.

L’idéalisation est un mécanisme de défense très puissant, de l’ordre du fanatisme de l’idéal inatteignable. Cet idéal en soi devient persécuteur, car nul ne peut jamais être à la hauteur. La suggestion de l’idéal sanitaire tyrannique est forte depuis le départ : la santé est conçue comme absence de maladie potentielle (d’où la confusion entre les cas et les malades), et il faut éradiquer le virus. Avec ce chantage de fond : pas de retour aux temps anciens avant l’éradication du virus. La sophistique change selon les circonstances. Car le « vaccin », présenté dès le départ comme objet fétiche et talisman magique contre le virus, semble ne pas fonctionner à la mesure des ambitions initiales, voire présenter de graves et sérieux problèmes. Insuffisant (il faudrait continuer les mesures sanitaires contraignantes[8]), insatisfaisant (il n’empêche pas les contaminations[9], et serait même à l’origine des variants[10]), éventuellement dangereux[11] — cf. des effets secondaires graves, que certaines compagnies d’assurance ne prendront pas en charge[12], et pour d’autres, il sera fort compliqué de démontrer le lien de cause à effet !.

Devant cet échec vaccinal, l’on peut s’attendre à ce que la persécution se renforce : il faudra, pour répondre à l’idéal inatteignable d’éradication du virus, éliminer les individus qui sont supposés potentiellement porteurs du virus — en puissance, toute l’espèce humaine est visée. D’ores et déjà, des troupeaux entiers d’animaux ont été disséminés selon la même logique nazie d’un virus étranger qu’il convient d’éradiquer. Goebbels notait dans son Journal :

« Dans le ghetto de Varsovie, on a noté une certaine montée du typhus. Mais on a pris des mesures pour qu’on ne les fasse pas sortir du ghetto. Après tout, les Juifs ont toujours été des vecteurs de maladies contagieuses. Il faut ou bien les entasser dans un ghetto et les abandonner à eux-mêmes, ou bien les liquider ; sinon, ils contamineront toujours la population saine des États civilisés. »

Les non-vaccinés seront-ils persécutés puis éliminés pour camoufler l’échec vaccinal à répondre à l’idéal inatteignable ? Abdiquer l’idéal tyrannique serait renoncer au délire, et signifierait l’effondrement, la chute devant l’ennemi, la mort, la plongée dans le trou noir. La réalité de l’expérience doit donc être tordue et asservie, pour coïncider avec l’idéal archaïque et sadique, qui la disqualifie.

« La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l’accent qu’elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé »[13], et je renvoie aux travaux du mathématicien Vincent Pavan. La confusion entre la fiction et la réalité de l’expérience règne, appuyée sur un déni des experts, et la certitude délirante, niant toute objection et doute. Il est même hérétique d’avoir une opinion sur la propagande totalitaire ; elle « n’est plus un problème objectif à propos duquel les gens peuvent avoir une opinion, mais est devenue dans leur vie un élément aussi réel et intangible que les règles de l’arithmétique. »[14] Elle place l’atteinte de ses buts dans un futur qui est toujours lointain, une sorte de promesse finale, un paradis, la fin du calvaire, la pureté de la race, le territoire purifié de la maladie, le retour au monde d’avant etc. Il s’agit de fédérer la masse contre un ennemi commun, censé incarner l’opposition à la réalisation de ce but. L’ennemi, autant extérieur qu’intérieur, sera susceptible de changer, suivant l’interprétation à l’instant T, pourvu que demeure ce que je nomme « la xénophobie dans la pensée », à savoir la notion d’un « étranger organique qui serait un « non-soi » menaçant le soi, au lieu que le « soi » soit « capable de se reconnaître porteur du « non-soi » et donc de pouvoir l’assimiler. »[15] Pour faire vivre cette xénophobie sanitaire, il faut opérer une « gigantesque opération de falsification de la vérité »[16], traduisant tout à la fois une confusion mentale et un défaut d’intégrité. La scientificité idéologique et sa technique prédictive ne cessent de se mouvoir ; leur dimension « caméléon » les fait perdurer au pouvoir.

Conclusion

La psychose paranoïaque est un délire d’enfermement collectif menant à un destin concentrationnaire, un projet destructeur de « la vie nue » — cf. Giorgio Agamben — , du « simple fait de vivre », et dont le rôle des Humanités nous rappelle qu’il est sacré. La paranoïa pose une relation d’objet narcissique paradoxale : « vivre ensemble tue et se séparer est mortel »[17] est bien le leitmotiv de l’idéologie sanitaire actuelle qui, si elle est menacée dans sa subsistance hypnotique, conduira inévitablement à des passages à l’acte meurtriers et transgressifs sur les peuples désobéissants, ce que l’on voit d’ailleurs poindre à différents endroits de la planète. Dans les deux prochains billets consacrés à la psychopathologie du totalitarisme, j’analyserai les méthodes, les étapes et l’objectif, puis la contagion délirante, les alliances psychiques et les conditions de sortie du délire collectif.

Épisode 2 — Méthodes, étapes, objectif du projet totalitaire

« Pour combattre le totalitarisme, il suffit de comprendre ceci : il représente la négation la plus absolue de la liberté. »

Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953

« Celui qui n’est pas intérieurement préparé à la violence est toujours plus faible que celui qui l’exerce. »

Alexandre I. Soljenitsyne, L’archipel du goulag, 1973

Le régime totalitaire vise « la domination totale » — cf. H. Arendt — , c’est-à-dire s’immisce dans la totalité des sphères sociales, privées et intimes, jusqu’au psychisme des individus. Pour y voir clair, il me semble impératif là encore de convoquer la psychopathologie. Un individu, ou un groupe d’individus, peut représenter et cristalliser l’expression de la paranoïa collective, dont l’essence est contagieuse, comme dans les sectes[18].

« Vaccination-évacuation », vaccinodrome d’Annecy et quais de Paris.

L’instrument clé de la mise en place du pouvoir totalitaire est d’abord le harcèlement des esprits qui doivent devenir perméables à l’idéologie. Il faut que la propagande médiatique obtienne la division du collectif, des clans traditionnels — familles, classes sociales, clans politiques — selon le clivage paranoïaque entre les « bons » et les « méchants » ; la ligne de désignation peut évoluer selon l’idéologie caméléon. Intervient rapidement la terreur, par la désignation de l’ennemi — ici, au départ, l’ennemi est un virus affreux qui entend décimer l’espèce humaine, et contre lequel « nous sommes en guerre », puis les ennemis deviennent les désobéissants qui ne veulent pas respecter les mesures dites sanitaires imposées par le champ politique. La propagande, souvent masquée derrière de subtiles manipulations (« c’est pour votre bien »), jubile à créer des chocs traumatiques collectifs (par exemple, la comptabilité mortifère répétée quotidiennement), qui lui permettront ensuite d’étendre tout son contrôle sur la population sidérée et terrorisée, laquelle, sous l’effet des injonctions paradoxales et de l’usure, appellera le pouvoir tortionnaire en sauveur, ignorant, pour son plus grand malheur, que ce prétendu sauveur est dans le même temps le persécuteur. La propagande se fera le reflet de l’ambition de « l’homme nouveau », niant le passé, les origines, les anciens repères, et toute forme d’altérité, par d’innombrables mensonges, paradoxes, incohérences et absurdités. L’idéologie, origine et principe de l’action totalitaire, doit annihiler l’existence du réel et les retours d’expérience. Hannah Arendt note que, dans le régime stalinien,

« tous les faits qui ne concordaient pas ou qui étaient susceptibles de ne pas concorder, avec la fiction officielle — données sur les révoltes, la criminalité, les véritables incidences des activités « contre-révolutionnaires » par opposition aux ultérieures conspirations fictives — étaient traités comme irréels. » — p. 18

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui, et je renvoie aux travaux de Vincent Pavan[19], ou encore aux alertes régulières de Jean-Dominique Michelpour mesurer le grand écart entre la réalité de l’expérience et de l’analyse, et le narratif officiel.

La terreur glisse rapidement sur les opposants qu’il s’agit de persécuter, à savoir ceux qui ne croient pas à l’idéologie, la mettent en doute, ou encore dénoncent les manipulations de masse. C’est la première phase, celle de la mise au pas par l’élimination des opposants. Mais le déferlement totalitaire se déchaîne bien davantage ensuite : la décompensation paranoïaque devient aveugle, et se cherche des ennemis potentiels (coupables en puissance, et non en acte), puisqu’il n’y a plus d’opposants réels. Pour soumettre les masses, tous les moyens sont permis, en particulier celui de la terreur par l’arbitraire. Tout allait « bien », en effet, lorsque les masses pouvaient se rassurer quant au harcèlement des opposants visibles, finalement, ils l’avaient bien cherché puisqu’ils n’obéissaient pas ! Il est indispensable ensuite que les représailles du pouvoir totalitaire tombent au hasard, afin d’assurer le contrôle total. L’arbitraire suscite l’incompréhension et la sidération — paralysie du psychisme et de la pensée. Croyant ainsi se couvrir, beaucoup deviennent délateurs, et sont encouragés à l’être par le délire de persécution paranoïaque : il s’agit de reconnaître l’ennemi, « si bien masqué soit-il »[20].

Le modus operandi du totalitarisme est le harcèlement. Il s’agit moins de détruire que de conduire à l’autodestruction[21], jusqu’au suicide, par les traumatismes réitérés sur la durée, engendrés dans la terreur et la violence. Les régimes politiques fonctionnant à l’idéologie utilisent la violence extrême, car il s’agit de transformer l’expérience du réel, de gré ou de force, pour faire régner l’idéologie, quoi qu’il en coûte. Ceux qui diffusent l’idéologie et l’organisent savent-ils que l’idéologie est fausse ? Ce n’est pas sûr, si l’on continue l’analyse sous l’angle de la psychopathologie. Ils peuvent y croire, et sont sans doute d’autant plus dangereux qu’ils y croient, d’une croyance religieuse transformée en fanatisme du dogme. Certains d’entre eux sont sans doute plus cyniques ; nous le voyons aujourd’hui avec les scandales d’hommes riches et/ou politiques, qui s’exonèrent des mesures sanitaires qu’ils imposent au peuple. Dans ce cas, l’illusion idéologique, elle est pour les autres, et non pour eux. D’ailleurs, pour H. Arendt, la force de l’idéologie ne tient pas à son contenu — lutte des classes, lutte des races, vaccinés contre non vaccinés, comploteurs contre « complotistes » etc. — mais à sa forme logique. Pour manipuler au mieux les individus, il faut les isoler. Le pervers ne fait pas autrement, lorsqu’il entend exercer son emprise sur sa proie : il l’isole. N’est-ce pas de ce tour de passe-passe dont il s’agit en prônant la nécessité des multiples confinements, dont le grand expert mondial en épidémiologie, John Ioannidis, récuse les bienfaits ? Le totalitarisme enlève aux individus les rapports sociaux, ou plutôt, il ne leur tolérera que certains rapports sociaux, ceux qui seront politisés par l’idéologie — par exemple, s’entasser dans le métro pour aller travailler, ne pouvoir voyager que pour des « motifs impérieux » dont le travail fait partie, mais pas la maladie d’un proche, ni la naissance d’un petit-fils etc. Les liens familiaux sont attaqués, par la désunion que crée le fanatisme idéologique.

Le totalitarisme exige une loyauté « à la vie, à la mort » de l’individu, jusqu’à son sacrifice ultime. Pour cela, il faut capturer l’individu par une série de gestes obsessionnels aliénant le psychisme, comme dans les clans mafieux ou encore les sociétés secrètes : quiconque n’est pas inclus, est exclu ; le pouvoir totalitaire convoque l’utilisation de rituels, l’absence de factions, la suppression des opinions dissidentes, la centralisation absolue du commandement, l’exigence d’une loyauté totale, la promesse d’une protection et de davantage de quelque chose — bonheur, pouvoir, argent, liberté de mouvement, loisirs… — qui ferait de l’initié un privilégié. N’est-ce pas exactement ce dont il s’agit à propos du passeport sanitaire, qui est en tout point similaire au passeport aryen de 1933 quant aux prérogatives conférées (musées, théâtres etc.) : une communauté de privilégiés ? L’écrivain hongrois, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, Imre Kertész, dans son livre L’Holocauste comme culture indique que le totalitarisme ne peut exister sans la stigmatisation de certaines populations qu’il se donne pour mission idéologique de persécuter :

« Au procès de Jérusalem, Eichmann affirmait n’avoir jamais été antisémite et, bien que la salle ait alors éclaté de rire, je ne trouve pas impossible qu’il ait dit vrai. […] Nous devons nous dire clairement qu’aucun totalitarisme de parti ou d’État n’est possible sans discrimination, or la forme totalitaire de la discrimination est nécessairement le massacre, la tuerie de masse. »

Ajoutons que la logique concentrationnaire est indissociable du totalitarisme, car elle est inséparable de l’enfermement psychique de la paranoïa. Depuis quelques mois, j’entends des murmures sur la création ou l’existence des camps de mises en quarantaine, dans différents pays[22]. Si l’idéologie n’est pas stoppée net (et elle ne le sera pas), par une incrédulité de masse, la logique concentrationnaire se déploiera, car elle est l’aboutissement du projet totalitaire : dans le camp, la liberté n’est qu’un lointain souvenir, la liberté de se mouvoir, d’entreprendre, et la Loi comme protection de l’individu n’est plus opérante. Il faut nous souvenir que, pour le paranoïaque, la Loi c’est lui, selon son bon vouloir ; elle n’est plus l’expression de ce qui fait tiers entre les individus, pour protéger leur intégrité, mais devient un instrument de persécution des opposants et des plus vulnérables. Dans le camp, l’on perd son nom, son identité (l’on devient au mieux un numéro), ses racines, ses liens, voire toute forme de socialisation ; l’on perd toute représentation du temps ; c’est la négation de l’humain, le corps est soumis aux agressions, à la faim, au froid, aux maladies, aux maltraitances sexuelles, à la déshumanisation — par exemple, les femmes sont tondues, les hommes rasés, on récupère des bouts de corps… L’objectif totalitaire de la domination totale est atteint par les camps de concentration. Dans la psychose paranoïaque, le sujet est psychiquement enfermé, et s’enferme sans cesse toujours davantage ; il existe une fuite en avant pour toujours davantage de contrôle, avant d’aboutir à l’extermination.

Pour Hannah Arendt, « le prisonnier d’un camp n’a pas de prix puisqu’on peut le remplacer »[23]. La logique concentrationnaire du totalitarisme en ce sens est pire que l’esclavage, parce que l’esclave possède une valeur marchande : il peut être vendu au marché aux esclaves. La valeur marchande sur le corps humain relève de la perversion : instrumentaliser à outrance ce qui en saurait l’être. Rappelons-nous que la perversion est l’instrument du déploiement du totalitarisme, mais elle n’en est pas le but : le but n’est plus l’aliénation (soumission) mais l’annihilation (la réduction au rien) du sujet humain, c’est un cap supplémentaire qui est franchi. La valeur marchande sur le corps humain peut encore conférer un statut de personnalité juridique mineure, bien sûr sous un mode pervers. Mais dans l’apogée du totalitarisme les corps sont remplaçables, interchangeables, n’ont plus aucune valeur sacrée, et plus aucune valeur, tout court, même matérielle ou marchande. La personne morale est détruite. Hannah Arendt appelle cela « l’assassinat de l’individualité ». Elle ajoute[24] :

« Le dessein des idéologies totalitaires n’est donc pas de transformer le monde extérieur, ni d’opérer une transmutation révolutionnaire de la société, mais de transformer la nature humaine elle-même. »

Et poursuite :

« Les États totalitaires s’efforcent sans cesse de démontrer que l’homme est superflu. »

Le totalitarisme est quant à lui et par essence génocidaire : il n’a plus besoin de l’humain, ou plutôt, il prétend le créer de nouveau, à partir de zéro. C’est le projet de « l’homme nouveau » ; il faut à la fois supprimer la liberté humaine, et l’humain dans toutes ses aspérités, pour faire régner la notion de pureté. N’est-ce pas là le projet en cours du Grand Reset, et du transhumanisme qui l’accompagne ? Les privilégiés auront une « valeur marchande » et pourront continuer de vivre dans le monde marchand — voyager, consommer etc. Quant aux autres ? La paranoïa fonctionne sur un mode binaire : les purs et les impurs, les forts et les faibles, les utiles et les inutiles, les essentiels et les non-essentiels… Et c’est cette notion de pureté qui la fait parquer dans des camps les éléments jugés indésirables car ces dits impurs ne sauraient venir souiller « l’espace vital ». La pureté est déjà présente dans l’idéologie sanitaire, où l’on fumige à tout va, y compris au Leclerc d’Ajaccio[25], comme si nous étions des cafards. Les populations nomades, apatrides, marginales, et pauvres sont toujours visées, car elles ne se laissent pas assujettir au contrôle. Il est fort à parier que c’est ce qui guette une partie de la population ; attendons de voir qui sera l’ennemi désigné : pour l’instant, l’on suppose qu’il s’agira des non-vaccinés, mais cela peut tout aussi bien s’étendre aux « islamo-gauchistes » (néologisme flou), à toute population désignée comme « terroriste » (sur quels critères ?), mais aussi pourquoi pas aux vaccinés estimés porteurs de variants, car l’ennemi désigné peut mouvoir, au gré de l’idéologie caméléon.

Conclusion

Le totalitarisme est international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, et planétaire dans ses aspirations politiques. Il poursuit « l’expérience de domination totale. »[26]Le but est la disparition totale de toute spontanéité. Pour y parvenir, il faut à la fois l’endoctrinement idéologique — nous y sommes déjà —, la terreur arbitraire et l’ambition concentrationnaire — c’est en route — pour briser ce que hait la paranoïa : toute forme de spontanéité. Les camps sont le lieu d’achèvement du processus de déshumanisation et de spoliation de la personne, par la soumission des corps incarnés, après la brisure des esprits. Hannah Arendt parle de désolation pour nommer cette épreuve d’une perte radicale des moyens de faire l’expérience du monde. Le mal est radical : à la racine. Dans un prochain et dernier épisode, j’analyserai la contagion délirante et les alliances psychiques inconscientes dans le collectif et les issues envisageables.

Épisode 3 — Contagion délirante et alliances psychiques, sortie du délire

« La liberté est ce qu’il y a de plus intime, et c’est à partir d’elle que s’élève tout l’édifice du monde de l’Esprit ».

Hegel, Principes de la philosophie du droit, « Cours de philosophie du droit de 1831 »

Pour entrevoir une issue au totalitarisme, il nous faut comprendre comment les esprits ont été emprisonnés dans la folie paranoïaque. Cela suppose de rendre intelligible le phénomène de contagion délirante[27], et de mettre en lumière les interactions psychiques inconscientes qui s’allient pour promouvoir l’idéologie.

La paranoïa est une pathologie contagieuse, qui érode les liens traditionnels[28] pour soumettre les psychismes à de nouveaux liens, ceux de l’idéologie[29].

Il faut d’abord comprendre — et je ne pourrai rentrer ici dans le détail d’un processus psychique fort complexe — que le psychisme tend à se défendre face à la violence du harcèlement, de la propagande médiatique et de la terreur. Pour cela, il érige des remparts qui lui permettent de tolérer une réalité insoutenable, parmi lesquels : le déni, le refoulement, la banalisation, l’idéalisation, le clivage, la projection, la radicalisation, l’interprétation, l’isolation, la décharge dans le passage à l’acte, l’automatisation des faits et des gestes, l’anesthésie affective, le désinvestissement[30]… Ces « mécanismes de défense » érodent la lucidité de l’individu. En particulier, le déni est une impossibilité absolue de se représenter la violence de ce qui se passe, jusqu’à rendre hermétique à toute argumentation ou évidence des faits. Je précise que ce processus psychique n’a rien à voir avec l’intelligence, mais concerne les « plus fragiles » psychologiquement, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas les ressources internes suffisantes pour résister à une telle distorsion interprétative du monde : la majorité des êtres humains. Car il faut une force psychique hors du commun pour parvenir à garder un raisonnement sain dans un monde qui devient fou, où les repères sont inversés, la vérité travestie en mensonge, et les innocents désignés comme coupables, tandis que les coupables exercent une terreur indécente, au nom du bien du peuple, et de jolis idéaux tels que « la santé pour tous » ou « la protection de nos aînés. » La contagion délirante opère à partir de ces remparts, rendant l’individu perméable à l’idéologie, et désormais adepte inconditionnel de la secte totalitaire.

Il existe une hiérarchie des profils psychiques dans l’accès aux fonctions structurantes de civilisation que sont la symbolisation et la sublimation[31]. Nous pouvons déjà distinguer ceux qui ont structurellement intégré les tabous fondamentaux de l’interdit du meurtre et de l’inceste (et leurs dérivés : calomnie, envie, transgressions sexuelles etc.), et les autres. Ces derniers, qui ne sont plus tenus par une structure extérieure, sont alors « activés » par le délire paranoïaque, qui les autorise désormais à passer à l’acte, sans plus aucune répression légale, pourvu que l’action mortifère et transgressive s’inscrive dans la lignée dogmatique de l’idéologie. C’est ainsi que, sous propagande, des profils pervers peuvent torturer impunément — cf. Klaus Barbie —, des profils paranoïaques peuvent disséminer la terreur[32], et des psychopathes, être utilisés comme des mercenaires du régime.

Les névroses ordinaires[33] sont fragilisées, c’est-à-dire qu’en temps « normal », des personnes se comportant de façon respectueuse des interdits fondamentaux, peuvent, à la faveur d’une idéologie totalitaire, régresser, et notamment sur un mode pervers. En clair, le système totalitaire, par sa dimension délirante massive, fait décompenser des pervers en paranoïa, et régresser des profils névrosés, en perversion, la perversion étant une sorte d’ultime digue psychique pour ne pas sombrer dans le délire — cf. Racamier. Le déploiement du système totalitaire entraîne donc la survenue de nombreux abus de pouvoir et actes sadiques, commis par des chefaillons qui se révèlent. Et l’on se demande alors comment ce bon père de famille, d’ordinaire si agréable, et connu depuis si longtemps, est devenu capable de tant d’atrocités… Je rappelle que la perversion[34] est l’exécutante consciencieuse et habile de la folie paranoïaque.

Le paranoïaque définit la stratégie, quand le pervers déploie la tactique.

Les autres profils névrosés, plus rares, sont tout de même fragilisés, jusqu’à nourrir des dépressions et des idées suicidaires, ou encore convertir leur angoisse en névrose obsessionnelle grave : l’individu fonctionne sur un mode automatisé, par des attitudes ritualisées, qui l’empêchent de penser sa fonction dans l’ensemble du système, comme Eichmann qui ne faisait que s’occuper de ce que les trains arrivent à l’heure. L’individu préfère en effet être entraîné dans la régression psychique collective, plutôt que d’affronter l’épreuve de la solitude, de la perte et de la séparation — épreuve à laquelle le philosophe traditionnel est généralement aguerri. Ainsi, dans des situations incitatives, hors normes, les auteurs d’actes barbares sont aussi des « honnêtes gens », aux profils obéissants.

Seuls trois types de profils résistent au déferlement totalitaire :

  • Des « anti-sociaux », déjà habitués à ne pas se soumettre aux règles du monde qu’ils interrogent toujours avec une grande vitalité ;
  • Des personnes ancrées sur Terre avec un bon sens paysan qui les vaccine contre toute idéologie hors sol ;
  • Quelques intellectuels et artistes.

Tous disposent d’une profondeur émotionnelle intérieure, d’une autonomie interne, et de références morales à l’autorité transcendante, suffisantes pour arrimer l’affirmation d’eux-mêmes dans une filiation temporelle verticale (anciens maîtres, généalogie, ancêtres…), ce qui les affranchit de l’adhésion horizontale au groupe et du collage à l’idéologie. Parmi ces profils, l’on peut trouver (mais pas obligatoirement), des personnes aux hautes valeurs morales, d’une grande intégrité, et d’autres (ou les mêmes), avec une forte sensibilité aux processus liberticides

Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure.

Ils appellent à la désobéissance face à l’abus de pouvoir, et invoquent un idéal humain de liberté, contre le règne absolu de la contrainte. Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence : la fuite d’une réalité vécue comme désagréable. La propagande totalitaire fonctionne, car elle promet de transformer radicalement un monde dont les masses ne veulent plus, parce qu’elles n’y trouvent plus leur place. Bien entendu, ce sentiment d’être perdu, sans racine, le totalitarisme a pu lui-même en être à l’origine, avant d’en tirer profit. La globalisation offerte par l’idéologie totalitaire rassure ; elle donne l’illusion de la prise en charge totale, peu importe que cette prise en charge soit le fruit d’une mère omnipotente qui peut changer d’humeur à n’importe quel moment, jusqu’à tuer sa progéniture si cela lui chante.

Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion.

Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux. Il est donc essentiel que cette alliance provisoire entre les propagateurs politiques de l’idéologie — décideurs politiques et économiques/propagandistes et intellectuels collaborant à l’idéologie — et une grande partie du peuple cesse. La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses.

Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi.

« L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique. La persécution systématique de toutes les formes supérieures d’activité intellectuelle par les nouveaux dirigeants de masse a des raisons plus profondes que leur ressentiment naturel pour tout ce qu’ils ne peuvent comprendre. La domination totale ne tolère la libre initiative dans aucun domaine de l’existence ; elle ne tolère aucune activité qui ne soit pas entièrement prévisible. Le totalitarisme, une fois au pouvoir, remplace invariablement tous les vrais talents, quelles que soient leurs sympathies, par ces illuminés et ces imbéciles dont le manque d’intelligence et de créativité reste la meilleure garantie de leur loyauté. »[35]

Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance. Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance. Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »[36]

Que nous reste-t-il lorsque tout est perdu ? Devenir, pour reprendre le titre du livre d’Imre Kertész, un « être sans destin ».

Cet auteur, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, et libéré du camp de Buchenwald en 1945, pose la question de savoir ce qu’il advient, lorsqu’un homme est privé de tout destin :

« S’il y a un destin, la liberté n’est pas possible ; […] si la liberté existe, alors il n’y a pas de destin […], c’est-à-dire qu’alors nous sommes nous-mêmes le destin. »

Peut-être devons-nous simplement accepter d’être dans la non-maîtrise des événements, et reprendre à l’inverse la devise de l’Abbaye de Thélème : « fais ce que dois ». Accomplir notre devoir humain, jusqu’au bout de ce dont nous avons la maîtrise, et au-delà, embrasser les affres de notre expérience humaine. Le ballon du délire paranoïaque collectif se dégonfle lorsque le langage trafiqué de l’idéologie perd de son charme envoûtant. C’est pourquoi notre liberté se conquiert dans le Verbe, qui nomme avec justesse l’expérience humaine, et ce fut depuis toujours le rôle des Humanités. Le « philosophe-médecin »[37] doit diagnostiquer, nommer le délire, et le caractériser.

Irrespectueux des lois du vivant, qui sont immuables, destructeur des lois transcendantes régissant la condition humaine, le système totalitaire est par essence voué à l’effondrement[38]. Il s’engraisse et survit par la collaboration de nombreux individus, la compromission des esprits et du langage, un renoncement à la vérité, et donc à la justice, le primat de la peur, donc de la haine. Je clôturerai ces trois épisodes avec Kertész :

« […] je ne pense pas me leurrer en le disant, je me suis efforcé d’effectuer le travail existentiel, la tâche que m’a imposée le fait d’avoir survécu à Auschwitz. Je sais très bien à quel point j’ai été privilégié : j’ai vu le véritable visage de ce siècle monstrueux, j’ai regardé la Gorgone dans les yeux et j’ai survécu. Mais j’ai su dès lors que je ne me libèrerais jamais de ce spectacle, j’ai su que ce visage me garderait éternellement sous son emprise. […] Et, si vous me demandez maintenant ce qui me maintient en vie sur cette Terre, je vous répondrai sans hésiter : l’amour. »[39]

Notes [regroupées – NdE]

Commentaire : Voici quelques ouvrages en lien avec le sujet développé dans l’article :

  • La marche irrésistible du nouvel ordre mondial, Pierre Hillard
  • Neuro-esclaves — Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse, Marco Della Luna & Paolo Cioni
  • Un si fragile vernis d’humanité — Banalité du mal, banalité du bien, Michel Terestchenko
  • La ponérologie politique, Andrew Lobaczewski
  • Propagandes, Jacques Ellul
  • Les origines du totalitarisme, Hannah Arendt
  • La langue des médias — Destruction du langage et fabrication du consentement, Ingrid Riocreux
  • Histoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933), Sebastian Haffner

Et toujours en lien avec l’article, nos Focus suivants :

Sources de l’article initialement publié en trois parties dans le magazine L’Antipresse — accès réservé aux abonnés — et reprises sur le site personnel d’Ariane Bilheran :




Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Quel avenir nous réservent nos « élites » mondialisées ? Depuis l’arrivée du covid et les troubles qui en ont découlé, les oligarchies du monde entier semblent vouloir accélérer leur politique sur les peuples. Dans ce numéro de « Politique &Eco », Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, dresse le panorama, véritable continuum, de l’idéologie mondialiste des origines à nos jours : de l’ouvrage « Utopia » de Thomas Moore en 1516, en passant par l’esprit des Lumières, l’Union paneuropéenne internationale, jusqu’aux dessins des différentes organisations comme le FMI ou le Forum économique international de Davos de Klaus Schwab, qui redoute une cyberattaque mondiale susceptible de provoquer l’effondrement du système financier international. Un entretien de salubrité publique… à diffuser en masse !

[Voir aussi :
La quatrième phase de Schwab
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros
Le Nouvel Ordre Mondial va-t-il gagner ?
Les valeurs familiales de Schwab
La vérité contre la peur
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le Grand Reset pour les nuls
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]




Red Mirror : le livre pour comprendre le quotidien hypertechnologique des Chinois

[Source : ladn.eu]

[Photo : © Owen Winkel via Unsplash]

Dans Red Mirror : l’avenir s’écrit en Chine, le journaliste Simone Pieranni livre un récit précis et vivant du développement effréné des technologies en Chine. Voici quelques bonnes feuilles de cet ouvrage à lire absolument.

La Chine et sa surveillance de masseson système de notation des individus, l’omniprésence de la reconnaissance faciale… Le pays de Xi Jinping alimente de nombreux fantasmes et commentaires. Mais peu de témoignages rapportent avec précision la nature de ces technologies et leur impact sur les comportements des citoyens. Celui de Simone Pieranni, journaliste italien du quotidien Il manifesto, qui a vécu plusieurs années en Chine et continue de s’y rendre, est particulièrement instructif et précieux.

Son livre Red Mirror : l’avenir s’écrit en Chine raconte aussi la manière dont la Chine est devenue l’épicentre technologique du monde, en influençant largement l’Occident. Sa traduction française a été publiée aux éditions C&F le 4 février 2021. Extraits choisis.

L’application Wechat partout, tout le temps, sans interruption

« Pékin, mars 2019. Pendant que je prends mon petit-déjeuner à la maison, je consulte sur WeChat les nouvelles du jour. Puis je sors, et tout en me promenant dans les hutongs (les anciennes ruelles étroites de la capitale qui survivent aux nombreux changements qui ont lieu dans la ville), je réserve par WeChat un taxi pour me rendre à un rendez-vous dans un bar du quartier de l’électronique de la capitale chinoise. À l’intérieur du bar, grâce à mon identifiant WeChat, je mets mon smartphone en charge dans une des cabines spéciales près de l’entrée avant de rencontrer la personne avec laquelle j’ai rendez-vous. Puis je récupère mon smartphone et je règle ma consommation avec WeChat. J’ai faim, alors dès que je sors, je cherche un restaurant mongol – une de mes passions – à proximité. WeChat m’en indique un à quelques centaines de mètres de ma position, à l’intérieur d’un centre commercial. (…) Enfin, je rejoins un événement dans l’un des gratte-ciels de Jianguomen, la longue rue qui mène à la place Tian’anmen. L’invitation m’a été envoyée par une amie via WeChat lorsque j’étais encore en Italie : dans notre chat, je retrouve la localisation, le billet électronique et le reçu du paiement (que j’archive dans une application spéciale, toujours dans WeChat, qui vous aide à gérer votre comptabilité). (…) À la fin de la conférence, je vais dîner avec certains des participants. À un même moment, tous nos yeux se tournent vers nos téléphones : WeChat demande une mise à jour de nos informations. Et nous voilà, toute une tablée occupée à faire des selfies pour donner à WeChat notre consentement à garder le contrôle de nos données biométriques.»

« La super-app a fini par créer une sorte d’écosystème au sein duquel rien d’autre n’est nécessaire, car elle est capable de s’occuper de tous les aspects de notre vie quotidienne. Dans certaines villes, le profil WeChat est déjà utilisé comme document d’identité. Tout est dans WeChat et cela signifie qu’en Chine, si vous n’avez pas « l’app des apps», vous êtes complètement hors du monde. Ne pas télécharger WeChat est un véritable choix de vie.»

Le culte de la smart city

« On accède aux bureaux de l’entreprise Terminus à Pékin par reconnaissance faciale. Le hall d’entrée est entièrement blanc : les rideaux aux fenêtres, les bureaux de réception et deux fauteuils aux formes futuristes sont également blancs. La découpe en zigzag des portes qui permettent d’entrer dans les open spaces nous rappelle les films de science-fiction, notamment la célèbre saga Star Wars. Ce dispositif veut porter l’idée d’un « futur » plus ou moins imaginé et connu, car Terminus – fondée en 2015, une des nombreuses start-up chinoises devenue rapidement une « licorne », c’est- à-dire estimée à plus d’un milliard de dollars – manie l’avenir pour le rendre extrêmement « présent ». Son but est en effet de pourvoir au nom du gouvernement à la gestion « intelligente » de complexes résidentiels et de quartiers entiers des villes, en utilisant ce qui se fait de mieux en termes d’intelligence artificielle et d’Internet des Objets (IoT – Internet of Things). Les quartiers urbains gérés par Terminus fournissent toutes sortes d’informations tant sur les habitants que sur les passants. Toutes ces données proviennent du travail silencieux et incessant de caméras intelligentes, de systèmes de reconnaissance faciale, de géolocalisation, de voiceprint (empreintes vocales) et d’empreintes sonores : la fusion de toutes ces informations circule sur des écrans contrôlés par des agents de sécurité. Tout est consigné, chaque mouvement est enregistré. “Si pendant quelques jours nous ne voyons pas certains habitants du bâtiment – nous expliquent les chargés de la communication en traversant un couloir – nous allons vérifier que tout va bien”.»

[NDLR: ceci représente une partie de l’avenir de la plupart des pays occidentaux si le Nouvel Ordre Mondial parvient à s’implanter complètement : une société de zombies ou de robots entassés dans les villes pendant que les élites disposeront des ressources planétaires et des campagnes.
Voir :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]




« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Charles SANNAT – Insolentiae]

par Charles Sannat

[Illustration : Georges Clemenceau]

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. » disait Georges Clemenceau.

Et c’est exactement ce que font les guignols qui sont aux manettes de ce pays et qui président à nos destinées en ces temps troublés et troublants de pandémie.

Je me souviens encore de ce match de foot de préparation des bleus il y a à peine quelques jours. Ce match signait le retour des « spectateurs » dans le stade de France, quelle bonne nouvelle pour les sportifs et les footeux !

Mais quand on regarde les images, on se demande tout de même quel est l’abruti de service qui a décidé de ne laisser rentrer « que » 5 000 personnes pour les entasser au même endroit dans le stade et laisser tous les autres gradins vides.

Oui mes amis.

Après plus d’un an de pandémie, nous avons toujours droit à ce type de crétineries, car il n’y a pas d’autre mot pour désigner de telles décisions. On a l’impression qu’ils le font exprès. Depuis que l’euro, je parle de la compétition, a commencé pas un seul pays européen ne procède évidemment de la sorte. On « éparpille » les gens dans le stade, on met de la distanciation bien évidemment.

[Ndlr : il y a de fortes chances qu’ils le fassent exprès, aux ordres des élites financières qui veulent absolument l’achèvement de leur Nouvel Ordre Mondial, et si possible par le chaos.
Voir :
Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population
Le contrôle mental au temps du Covid
Stratégie du Chaos Contrôlé
Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse]

Le bon sens du premier ministre !

Alors Jean Castex a pris la parole aujourd’hui pour parler du bon sens avec lequel il fallait appliquer les avis du haut conseil à je ne sais plus quoi.

Ainsi, le port du masque dans la rue ne sera plus obligatoire sauf là où c’est bondé. Pourquoi pas.

De même nous dit le premier ministre que dans les stades… c’est sûr que si lon se colle les uns aux autres là où nous pourrions nous distancier, mieux vaut porter un masque… Bon sens donc.

Tenez regardez les photos. Elles parlent d’elles-mêmes. Là où c’est tout blanc sur le coté droit de la photo, ce sont tous les sièges vides. Au centre, c’est bondé et il n’y a aucune distanciation mais la jauge des 5 000 personnes (alors que le Stade de France peut accueillir 80 000 supporters) est respectée. Bon sens en action donc !

Fin du couvre-feu le 21 juin, le jour de la fête de la musique !

Tous les soirs, depuis notamment que nos tristes sires ont eu l’excellente idée (c’est ironique bien sûr) d’autoriser les spectateurs (riches, et snobinards) de Roland-Garros à rentrer après 23 heures pour assister à la fin du match, mais en maintenant les restrictions à 23 heures pour la plèbe, ce sont des fêtes sauvages de protestation qui se déroulent tous les soirs.

Ce couvre-feu est également très critiquable sur son efficacité médicale car, pour le moment, scientifiquement, rien ne démontre ni ne prouve son efficacité. D’ailleurs pour en être certain, il faudrait faire la même chose que pour la chloroquine de Raoult, une étude « randomisée en double aveugle », sinon les effets « observationnels » de Raoult qui ne valent pas tripettes selon nos mamamouchis pour la chloroquine ne valent pas un kopeck de plus pour leur couvre-feu.

Il faut donc pour prouver l’efficacité dudit couvre-feu, prendre un échantillon représentatif de la population (différentes catégories d’âge, de lieux de résidence etc) et lui imposer le couvre feu, puis un autre échantillon à qui on impose aucun couvre feu. On fait une étude de 6 mois, et l’on voit qui est le plus malade ou pas. On peut alors en déduire l’efficacité d’une telle mesure qui prive de liberté une population toute entière.

Evidemment, ce que l’on impose à un traitement potentiel, n’est pas demandé à une mesure privatrice de liberté pour toute la population et qui transforme en « criminel » de braves gens qui rentrent trop tard chez eux.

Terrifiante dérive. 

Mais lorsque l’Etat et les guignols qui nous dirigent sentent que le point de rupture approche, ils ont tout de même encore un instinct de survie qui leur souffle de desserrer l’étau qui brise les peuples.

Un carcan imposé sans preuves scientifiques je tiens à le préciser perfidement et de manière très insolente.

Alors Castex passe à la télé, et grand seigneur annonce qu’il nous libère enfin du couvre-feu et du masque sur la plage où il n’y a personne.

Il habille tout cela d’un sabir technocratique visant à faire croire qu’il s’agit de décisions réfléchies, pensées, et qui correspondent à un grand savoir-faire et des avis très scientifiques et techniques émanant de grands professionnels.

En réalité il n’en est rien de tout cela.

C’est juste des abrutis et des guignols qui font semblant de savoir ce qu’ils font et cela, depuis le début.

Jamais la citation de Clémenceau a été aussi appropriée.

« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. »

Tout cela va leur sauter à la figure, et l’idée de passer une réforme des retraites cet été en catimini risque d’être la dernière très mauvaise idée de ces dirigeants à la légitimité toute relative et à la popularité historiquement basse.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Piqûre de rappel : UNCED, sommet pour la terre et Nouvel Ordre Mondial — George Hunt

[Source : Jeanne Traduction]






Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

« J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie. La fête a assez duré ! Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.

Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque. » Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.

J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.

Je les ai vus et payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail…

J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.

J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, des guerres fomentées pour piller les richesses de ceux qui n’en verront jamais la couleur et verseront leur sang sans même savoir pourquoi.

Des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants. Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.

Un monde aux mains de la Finance Internationale vorace, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM, etc., pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant devant les écrans et en les dépravant en inversant les vraies valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.

Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.

C’est à croire que les deux grandes guerres, ne furent pour eux qu’un coup d’essai, Les millions de morts n’étaient qu’un premier test préparant l’extermination de toute l’humanité.! Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives…

Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent?

Comment peuvent-ils contraindre le peuple à se serrer la ceinture en période de crise quand eux-mêmes s’allouent des gratifications et salaires insolents sous les lambris confortables de la République ?

Alors que des milliards d’êtres humains souffrent de la faim, des épidémies, et qu’un enfant meurt toutes les minutes sur notre planète, il suffit que la Bourse s’enrhume pour qu’il soit possible de trouver en quelques heures les milliards de dollars et d’euros, jusqu’ici impossibles à débloquer pour soulager la souffrance de ceux qui meurent de faim !

Quand l’homme cesse d’être déterminé par son propre esprit qui est l’esprit de la vie, il se transforme en robot. Cet insupportable mépris pousse à la violence ceux qui n’ont pas ou plus d’espoir.

Dans notre pays des « Droits de l’Homme » il est devenu ordinaire de bafouer le principe d’égalité. La richesse, le luxe et l’apparence étalés sans vergogne sont devenus signes de réussite tandis que les plus faibles vivent leurs souffrances sans trop faire de bruit.

Pour payer cette dette, ce monstre de papier, illégitime et abracadabrantesque, numérique et ubuesque, il nous faudra tout vendre. Jusqu’à nos dents on or et notre peau pour faire des abat-jour dans le bureau d’un maître du monde avec vue sur le Rockefeller Center.

C’est pour quand la découpe façon abattoir? Le couteau du boucher, c’est la dette, un bout pour Bibi, un bout pour la Finance, un bout pour la mafia, un bout pour les bling-bling accros aux putes de luxe et pour les pédophiles. Un bout pour les ventrus de l’industrie militaire, les labos pharmaceutiques et les Gafam, Pillage à grande échelle !

Et pourtant il suffirait d’un trait de plume, d’un clic sur le clavier pour l’effacer cette dette, sans que personne ne souffre. Mais cette société serait-elle encore humaine ?

Depuis très et trop longtemps on a laissé les loups entrer dans la bergerie. Ils accroissent le chômage, vendent le pays en pièces détachées et initient des dettes impossibles à rembourser. Ils nous mentent, nous volent, nous musellent et maintenant tentent de nous supprimer à travers une fausse pandémie et des vaccins meurtriers !

Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis qu’un fameux agent d’influence suggère que les peuples doivent se contenter de regarder passer les milliards sans broncher, comme on voit passer les cigognes sans s’interroger sur leurs nids bâtis avec nos plumes.

Nos dirigeants et les médias complices seraient-ils réduits qu’à n’être que d’infâmes valets du capitalisme mondialisé et le laboratoire de l’asservissement du monde par la dictature financière conçue par des milliardaires fous, des illuminés ?

La démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.

La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « plandémie Covid » en créant la PEUR ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.

Leurs « plandémies » et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier… croyez-moi !

Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.

Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.

Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.

Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés. Aussi, il faut s’unir en laissant de côté nos différences que les dirigeants actuels n’ont cessé d’amplifier afin de nous diviser pour mieux régner.

Il y a urgence car nous marchons vers l’abime ! Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c’est la spiritualité individuelle. Il n’y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique.

Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.

Restons positifs car le chant général des poitrines opprimées commence à se faire entendre. Il est mondial ce chant ! Il est encore cacophonie, il va devenir symphonie. De tous ces pays qu’Ils enchaînent il y a ces voix partout qui se lèvent…

Là, il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : « Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent »… Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés.

Levons-nous !

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




Le Grand Réveil : le nouveau virus

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Aujourd’hui je ne vais pas vous parler des drames que nous vivons, de la folie que nous subissons depuis 1 an et demi, de cette peur entretenue artificiellement par les médias, de ces « contaminés » dont les chiffres ne correspondent à aucune réalité, de ce Nouvel Ordre Mondial dans lequel on veut nous entraîner. Non, rien de tout ça.

Ce que je constate en prenant le recul nécessaire à la réflexion, c’est un phénomène planétaire étrange et à la fois extraordinaire qui vient confirmer ce dicton populaire qui dit que « tous les maux ne viennent pas pour nuire » et qu’en clair, si nous regardons le monde autour de nous, cette tragi-comédie covidienne a des aspects surprenants et des conséquences étonnantes.

D’abord un besoin de vérité. Et oui, ils ont tellement menti, tellement triché, manipulé, que notre réaction au mensonge c’est un vital besoin de vérité, la nécessité d’une véritable information pour nourrir notre réflexion. Et dans un processus naturel que nous ne maîtrisons pas, comme des anticorps s’attaquent à un élément nocif étranger dans notre organisme, notre esprit élimine les impuretés pour retrouver équilibre et santé mentale.

Nous, êtres humains possédons à l’intérieur de nous, un système de défense extraordinairement efficace pour expulser ce qui peut nous nuire et nous protéger de tout ce qui pourrait être malsain, nous guérir de ce qui pourrait avilir et affaiblir notre esprit.

Et ces anticorps de l’esprit se sont mis à l’œuvre presque instantanément pour nous protéger. Ainsi, le besoin que nous ressentons pour démontrer que nous sommes sur le chemin de la guérison, c’est justement ce besoin de vérité qui vient, comme une source d’eau claire, désaltérer les assoiffés.

C’est ce que je veux appeler le Grand Réveil.

Et ce Grand Réveil a bien plus de puissance que n’importe quel virus, n’importe quelle vraie ou fausse pandémie. Ce Grand Réveil se propage à l’échelle planétaire comme le lever du jour succède à la nuit, comme l’obscurité cède sa place à la lumière. D’un seul coup, nous comprenons tout plus clairement sans avoir à nous forcer. Tout ce qui nous semblait obscur devient soudainement éclairé, et à la place de cette oppression que nous ressentions à l’intérieur de nous, un énorme soupir de soulagement car nous nous sentons délivrés.

Et cette lueur du jour qui vient nous éblouir de sa lumière, nous permet de voir et de regarder ce monde dans sa nouvelle réalité.

On a voulu nous enfermer, nous isoler, nous couper les uns des autres et en réaction nous apprécions maintenant la saveur douce de la liberté, la chaleur de se retrouver, et un besoin intense de nous aimer car nous avons compris que les êtres humains ne peuvent être heureux que dans la fraternité, la solidarité, l’entraide et l’amour partagé.

Quel fantastique bond en avant ! Quel merveilleux retournement de situation ! Quelle extraordinaire prise de conscience, prélude au changement salutaire dont nous avons tous besoin pour retrouver notre humanité.

Nous réalisons que ce monde ancien qui disparait, emporte avec lui tout ce qui a pollué nos vies, tout ce qui nous a salis et avilis, tout ce dont nous n’avions pas vraiment besoin. Les chaînes de la servitude volontaire se brisent comme par enchantement faisant de nous des êtres nouveaux, enthousiastes à l’idée du grand changement, d’une nouvelle vie plus saine, plus vraie, plus conforme à notre nature profonde et en harmonie avec l’univers qui nous entoure. Le Grand Réveil donne naissance à une Nouvelle Vie !

Et en regardant en arrière, comme dans un immense tremblement de terre, nous voyons s’effondrer les tours de l’égoïsme dans les flammes, les buildings du matérialisme transformés en amas de pierres, les monuments du consumérisme en poussière, les temples de la perversion dans le feu des enfers… Un châtiment divin qui s’abat sur ce monde ancien pour le détruire et l’enterrer, et un chemin qui s’ouvre vers un nouveau destin plus apaisé…

Nous réalisons que tout ce dont nous avons vraiment besoin n’existait pas dans ce monde ancien et que nous n’avons rien à regretter car qui pourrait se plaindre de retrouver la vraie liberté, la vraie fraternité ?

Nous accédons à un niveau de conscience qui fait de nous des êtres nouveaux, régénérés, remplis d’empathie, de sentiments purs, prêts à donner et à recevoir de l’amour, prêts à construire un monde plus conforme à ce que nous sommes. L’amour, la plus subtile des énergies, cette énergie qui permet de déplacer des montagnes, cette énergie pure et gratuite que Dieu nous a donné et que les maîtres ce monde ancien ont étouffé car ils en connaissaient la puissance…

Et dans ce triptyque divin, le Grand Réveil, la Nouvelle Vie, l’Amour, nous réalisons que tout ce que les prophètes de malheur nous promettaient, n’a plus sa place dans ce monde nouveau. Pour nous qui sommes miraculeusement éveillés, pas de guerre civile, pas d’affrontements, pas de violences, pas d’intolérance, pas de haine. Tout ceci disparaît dans le feu et dans les ruines, que cet éveil de la Conscience a provoqué…

Nous sommes délivrés. Enfin libres !

Le mot Apocalypse signifie Révélation. Et comme le disait si justement Robert F. Kennedy :

« Nous sommes dans la dernière bataille. C’est l’Apocalypse. Nous nous battons pour le salut de l’humanité. Nous savions tous que cela allait arriver à un moment donné. Je n’ai jamais cru que ça arriverait de mon vivant, mais c’est arrivé. Nous sommes quelques chanceux, le groupe des frères et des sœurs, et nous savons quel est notre travail dans cette vie. Nous savons que nous faisons partie de cette bataille. Tout le monde ici, j’en suis certain, sait quel est son devoir et va le faire et je serai à vos côtés quand vous agirez. Je sais que vous serez à nos côtés… »

Ouvrons nos cœurs, ouvrons nos bras et transmettons à tous ceux qui sont disposés à le recevoir, ce virus de la Vérité car il donne accès à ce que nous avons de plus précieux, de plus pur, de plus contagieux : l’Amour.

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[Voir aussi :
Note sur les problèmes et les opportunités
La clef de la libération
Note sur l’avenir
Note sur la science, la magie et la religion
La vue, la vision et la vie
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Mourir libre ou vivre esclave]




Les écoles australiennes doivent cesser d’appeler les enfants « garçons et filles »

[Source : anguillesousroche.com]

[Note de Joseph : l’homogénéisation et l’uniformisation représentent un mouvement qui va dans le sens du chaos, conforme à la logique franc-maçonne de la construction d’un Nouvel Ordre Mondial en passant d’abord par la destruction. Ce mouvement est contraire à celui de l’organisation des formes et structures (sociales et autres) par la Conscience. Et il l’est d’autant plus qu’il tend à couper les êtres humains de leur essence en leur faisant développer une vision et une approche matérialistes de la vie.
Voir notamment La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos)
et Le Nouvel Ordre Mondial par le chaos.]

En Australie, des enseignants ont reçu l’ordre d’imposer à leurs élèves un programme « woke » d’extrême gauche et de cesser d’appeler les enfants « garçons et filles » afin de rendre la classe plus neutre sur le plan du genre.

Selon les nouvelles directives en matière d’éducation, les enseignants doivent utiliser des termes tels que « autre » et éviter de qualifier les choses de « normales » afin de mieux intégrer les minorités.

Ces directives invitent le personnel scolaire à transmettre aux enfants les craintes liées à « l’urgence du changement climatique » et à promouvoir la « superdiversité ».

C’est ce que rapporte Dailymail.co.uk : Un chapitre du livre, édité par des universitaires de l’université Monash, encourage les enseignants à « s’engager à dire la vérité sur la réalité de la dégradation du climat ».

« Une politique associée devrait être utilisée pour rassembler la communauté scolaire, en s’appuyant sur l’énergie, les idées et les capacités de cette dernière, même si cette politique est susceptible d’être exigeante et d’une grande portée », peut-on lire dans le livre.

Le livre – Building Better Schools with Evidence Based Policy – indique également aux enseignants qu’ils peuvent promouvoir l’inclusion dans la classe s’ils « embrassent activement la diversité ».

Le terme « anglais en tant que deuxième langue » devrait être remplacé par l’expression « émergent – bilingue » pour donner plus d’assurance aux élèves qui parlent plusieurs langues.

Les termes « garçons et filles » devraient également être retirés de l’usage courant dans les écoles, suggère le livre.

Défendant son chapitre sur le climat, l’auteur universitaire Alan Reid a déclaré que les enseignants devraient encourager les élèves à débattre des concepts qu’il soulève.

« Une école peut également écouter et contester certains points de vue, et préciser ce qui reste à la porte de l’école, pour ainsi dire, étant donné le contrat social en matière d’éducation », a-t-il déclaré au Daily Telegraph.

Kel Richards, animateur radio de Sydney, a déclaré qu’essayer de supprimer le mot « normal » de l’usage en classe était voué à l’échec.

« Quoi qu’ils fassent en classe, quoi qu’ils disent, quel que soit le rapport publié, le mot “normal” sera toujours là et nous l’utiliserons toujours », a-t-il déclaré.

Cette révélation intervient quelques semaines après qu’il a été révélé que les écoles de Melbourne étaient invitées à utiliser des pronoms neutres et à remplacer « maman et papa » par « parent » dans le cadre d’une campagne visant à améliorer l’inclusion des étudiants LGBTQI+.

Les toilettes unisexes, les équipes sportives non mixtes et le déploiement de drapeaux arc-en-ciel sont également recommandés pour améliorer l’inclusion.

Certaines écoles sont même encouragées à empêcher les enseignants et les élèves d’utiliser des mots tels que « maman »« papa » et « petit ami », dans une tentative controversée de bannir les mots sexués.

Les mots « parent » et « partenaire » sont préférés.




Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire

[Source : breizh-info.com]

Philippe Guillemant vient de publier sur sa page facebook un texte intitulé : « Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire » que nous vous proposons de découvrir ci-dessous, car très intéressant sur un certain avenir qui nous fonce droit dessus…

Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplomé de l’Ecole Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Il est Docteur en Physique et Habilité à Diriger des Recherches. Il exerce son activité au CNRS (UMR 7343, laboratoire IUSTI de Polytech’ Marseille) où il est Ingénieur de Recherche Hors Classe.


Par Philippe Guillemant

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.

Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.

Il y a deux cas à considérer :

  • Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
  • Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.

Dans un premier temps seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.

Aujourd’hui ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application StopCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.
Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :

  • Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
  • Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
  • Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
  • Identification des personnes avec qui l’on déjeune
  • Mémorisation de tous les déplacements
  •  Calcul de temps de travail ou temps de présence…
  •  Détection de déplacement inhabituel…

Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.
Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :

  • Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
  • Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
  • Surveillance de l’activité des enfant
  •  Analyse des interactions familiales
  •  Analyse de situation (repos, activité, chute…)
  • Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
  • Détection et mémorisation des habitudes.

J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.
La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.

La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.

Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.

C’est cela qui explique la dictature sanitaire qui de façon rationnelle n’a aucune autre raison d’être.

Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.


[Voir aussi :
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire
Vaccin COVID : Le programme de vaccination israélien «Passeport vert» a créé un «apartheid médical», disent des citoyens désemparés
Programme caché derrière la vaccination contre la Covid-19 ?
L’Abbé : « La vaccination finale est liée par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer »]




Tous les yeux sur la Suisse : le 13 juin 2021, c’est référendum contre la dictature sanitaire

[Source : medias-presse.info]

Par Alain Späth

Méthodes pernicieuses d’un côté, naïveté et puérilité de l’autre, les bureaucrates fédéraux à la botte du globalisme occulte sont sur le point de faire aboutir leur immense hold-up juridique sur le dos du peuple suisse. Heureusement, des citoyens se sont levés : grâce à eux, l’usage des libertés les plus fondamentales pourrait encore être prolongé pour quelque (précieux) temps…

Ce 13 juin, le peuple suisse est appelé à voter sur cinq objets – deux initiatives populaires et trois référendums. Les deux premiers, ainsi que l’un des trois référendums portent sur des questions de politique agricole et environnementale ; ils sont certes importants, mais secondaires au regard du « nouveau péril rouge » qui est en train de s’abattre sur toutes les nations de la terre. Effectivement, ce sont bien les deux derniers objets – « NON à la Loi Covid » et « NON à la Loi contre le terrorisme (MPT) » – qui sont urgents et cruciaux pour l’avenir de notre pays. Car si le OUI venait à l’emporter sur ces deux référendums le 13 juin, le peuple suisse sera cette fois à son tour totalement réduit au niveau d’aliénation politique des autres « démocraties » européennes et perdra très rapidement le peu de libertés véritables que lui garantissent encore à ce jour son système institutionnel et juridique.

Un NON nous donnerait à tous du temps supplémentaire pour organiser la résistance

Pour nous suisses, aucun doute, l’enjeu de ces votations est de taille. Un OUI à la Loi MPT pourrait ainsi par exemple avoir pour conséquence directe l’arrestation de l’auteur de ces lignes si le Conseil fédéral (pouvoir exécutif suisse) venait à le décider, la définition de « terroriste » étant si floue dans les articles de la loi en question que toute personne critique envers le gouvernement pourrait entrer dans cette catégorie. Mais cette problématique est relativement secondaire par rapport à la Loi Covid, car contrairement à celle-ci, elle reste une « affaire interne » ne concernant que les suisses et a donc peu d’influence, dans l’absolu, sur les autres pays d’Europe et du monde (la dictature sous toutes ses formes étant de toute façon déjà plus ou moins la norme partout). Aussi, comme il est naturel de n’avoir que peu d’intérêt véritable pour les affaires politiques d’un autre pays que le sien, nous n’insisterons pas plus sur la Loi MPT, mais nous concentrerons ici exclusivement et très brièvement sur la Loi Covid. Et pour cause : nous sommes convaincus que par l’universalité et l’actualité de son objet, un NON par le peuple suisse pourrait avoir des répercussions mondiales dans le combat et la résistance contre ce que nous considérons comme la phase finale de la Révolution, la consolidation totale de toutes les infrastructures du Nouvel Ordre Mondial : l’établissement du Royaume de l’Antéchrist.

Un enjeu qui dépasse de loin nos frontières

Amis français, belges ou canadiens, la votation contre la Loi Covid du 13 juin est aussi la votre !

Imaginez l’impact moral pour notre commun combat pour la liberté véritable ! Et en terme de jurisprudence : imaginez la matière sur laquelle les juges intègres de vos pays pourront s’appuyer ! Car nous avons tendance à l’oublier : malgré leur erreur fondamentale et leurs vices (laïcisme et positivisme juridique), les constitutions libérales telles qu’elles pouvaient s’appliquer jusqu’en 2020 ont au moins le mérite de préserver ce qui reste du bien commun des nations en leur garantissant le maintien d’une certaine paix et le développement d’une certaine prospérité. À l’inverse, si les « lois d’exceptions » parviennent à s’imposer à long-terme, comme le permettrait notamment le « hold-up juridique » qu’incarne la Loi Covid, nous ne disposerons plus d’aucun garde-fou contre les utopies sociales qui foisonnent dans les cervelles malades des héritiers contemporains des « philosophes » des Lumières. Car qu’est-ce que le concept « vous ne posséderez rien et vous serez heureux », si ce n’est le storytelling d’un « bolchévisme 2.0 », dont les idées sont aussi vieilles que « ces démons qui renaissent de siècles en siècles » (François de Charrette) ? Il n’est pas trop tard ! Nous pouvons encore enrayer cette mécanique infernale – ou du moins, la ralentir, le temps de reprendre notre souffle !

Alors concrètement, que faire ?

D’abord, si vous avez des amis et des connaissances en Suisse, informez-les de l’importance de cette votation du 13 juin : vous serez étonnés de constater à quel point nombre de suisses sont complètement « endormis » face à la gravité de la situation. Dites-leur de se former et d’alerter à leur tour leur cercle d’amis et de connaissances. Dans l’idéal, incitez-les à rejoindre une section locale de l’association des Amis de la Constitution : ils sont toujours à la recherche de citoyens motivés pour distribuer des tracts et coller des affiches ! Il n’est pas trop tard : nombre de gens sont indécis ou n’avaient peut-être pas l’intention de voter. Chaque voix compte ! (…)

NON à la dictature sanitaire !




La parabole de l’arbre pour comprendre ce qui nous arrive

[Source : Académie du gaullisme (academie-gaullisme.fr)]

Il faut d’abord remercier l’armée française d’avoir généré ceux qui font le constat précis de notre délitement général avant de solliciter une réaction rapide et réelle :

Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

Il faut la remercier aussi d’avoir généré ceux qui préfèrent en souligner les causes profondes :

Ce qui met mortellement en péril la France, c’est tout simplement le libéralisme effréné qui est inscrit dans le marbre des traités dits européens se traduisant par la désindustrialisation du pays tout autant que par l’abaissement de notre langue, l’emploi du globish par les médias, la publicité envahissante et … le chef de l’État lui-même. C’est aussi la destruction de l’outil de l’énergie nucléaire et la politique d’auto-flagellation au plus haut niveau et en toute occasion, c’est encore le délitement de l’éducation nationale et de la politique de santé publique, c’est enfin la mise en résidence surveillée de 66 millions de Français avec port obligatoire de la muselière.

Les uns soulignent la ramure, les autres, les racines. Ils ont évidemment tous raison et regretter la forme d’un arbre ne s’oppose pas à en chercher les causes dans ses racines.

Mais il n’y aurait ni ramure ni racines s’il n’y avait pas de sève pour fabriquer l’une à partir des autres, Or la sève de cet arbre dont les branches, les feuilles, les fruits et les racines posent problème, pour ne pas dire qu’ils sont quasiment pourris, cette sève vitale et empoisonnée est la véritable cause du désastre actuel que l’on peut voir en effet sous différents angles. Cette sève, c’est l’argent qui pour la première fois dans toute l’histoire de l’humanité n’a pas très rapidement disparu lorsqu’il n’a plus été lié à une richesse préexistante. Il y aura exactement 50 ans le 15 août prochain, le dollar auxquelles quasiment toutes les monnaies étaient liées, a été décroché de l’or, richesse préexistante à laquelle il était lié. Les Européens, oubliant Bretton Woods, ont créé l’euro en le liant consciencieusement (ou perfidement, ou bêtement) aux anciennes monnaies qui n’étaient liées à plus rien. Toutes les monnaies mondiales ont suivi et doivent donc disparaitre comme ont disparu les billets de Law, les assignats et tous les papiers-monnaies puisque les politiciens en fabriquent systématiquement toujours plus que le constat de la richesse préexistante ne l’autorise. Ils sont tellement sensibles, pour rester en place, aux demandes de « moyens » qui leur arrivent de partout, qu’ils ne savent que céder en faisant fonctionner la « planche à billets » qui est simplement devenue digitale.

Les banques centrales comme les banques commerciales sont devenues aujourd’hui les fabricants incessants de monnaies fondées uniquement sur une confiance aussi claironnée que mensongère. On dissimule au peuple que toutes les banques, ayant un bilan équilibré, inscrivent toujours, en même temps, en créance à recouvrer, ce qu’elles inscrivent comme argent créé et distribué. Les créances des banques centrales sont toujours de futurs impôts. Les Politiques sont donc écartelés entre leur discours racoleur de baisse d’impôts toujours promise et leur autre discours du « quoi qu’il en coûte » et du « déblocage » d’argent inexistant qui est mathématiquement une annonce masquée d’impôts futurs nouveaux.

La création monétaire actuelle est exclusivement fondée sur des impôts futurs ou du travail humain futur, ce qui signifie en clair l’appauvrissement du peuple, sa mise en esclavage ou un retour à l’esclavage des autres. Le jeu de glaces pervers du PIB que l’on présente comme une création de richesse alors qu’il n’est que la somme des dépenses, ne peut faire longtemps illusion.

Illusion ! Le mot est lâché. Il décrit tout cet arbre dont la sève est illusoire comme sa ramure et ses racines. Seule l’avalanche de monnaie devenue fausse donne l’illusion que les folies sont réalistes, voire même réalisables.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, le libéralisme serait ce qu’il devrait être, un échange véritable et libre, reconnu comme utile par les deux parties. Mais le libre-échange est devenu un échange illusoire entre des biens et des services véritables et des monnaies frelatées forçant à la désindustrialisation des uns et à l’esclavage des autres.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais on aurait inventé le prêt sur richesses futures alors que dans toutes les civilisations il n’y avait jamais eu que des échanges que sont les prêts sur gage.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais l’Union Européenne ne serait ce monstre de milliers de fonctionnaires bruxellois non élus et surpayés dans leur paradis fiscal. Ils imposent aux autres un enfer qu’ils ignorent et qui est composé de restrictions de libertés et d’anesthésies par distribution d’argent.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, le dieu dollar et sa mère la City, ne régneraient pas en maîtres imposant le « globish » l’abaissement des langues qui ne sont pas la leur et le matraquage publicitaire cherchant à récupérer à leur profit le travail des peuples.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, l’immobilier, les actions en bourse et les œuvres d’art, tout ce que les puissants recherchent en ayant accès à la monnaie, n’auraient pas doublé voire triplé de prix en 20 ans en créant non seulement une crise du logement mais une crise de la natalité dans les classes moyennes.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais Emmanuel Macron n’aurait été élu monarque républicain, ce que furent tous les rois de France puisque la république n’est que la chose commune. Le monarque républicain Louis XIV avait moins de pouvoirs qu’Emmanuel 1er pénalement irresponsable et décidant secrètement en conseils de défense où personne n’a pénalement le droit de dévoiler ce qui s’y dit vraiment. Va-t-on déconstruire l’histoire pour que la fausse monnaie lui fasse une place honorable dans une vérité reconstruite ?

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, on ne fausserait pas le jeu des énergies avec des énergies renouvelables subventionnées sans limites pour casser une source nucléaire que le monde entier nous enviait et nous imite aujourd’hui en souriant de notre soumission à des écologistes irresponsables.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne nous pourrions pas vivre l’équilibre actuel imbécile de nous flageller nous-mêmes sur ce que nous avons apporté à nos anciennes colonies pendant que nous recevons sans limites tous ceux qui préfèrent vivre chez nous que chez eux grâce à la fausse monnaie qu’on leur distribue si généreusement et qui en attire chaque jour davantage.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous n’aurions pas une éducation nationale avec plus d’administratifs que d’enseignants. Les premiers domestiquent les seconds pour un résultat de plus en plus mauvais en dépit d’un temps de plus en plus long passé par la jeunesse à leur faire apparemment confiance.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, c’est toute l’administration non régalienne qui perdrait son obésité et le peuple pourrait contribuer à une administration régalienne actuellement pressurée et méprisée alors qu’elle est la seule utile.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais les gouvernements n’auraient pu avoir la politique sanitaire stupide d’interdire de vivre pour empêcher de mourir en laissant une situation inextricable aux suivants. Interdire l’énergie humaine et la remplacer par l’énergie monétaire, ce qui est le principe du confinement, c’est ne pas savoir que l’énergie monétaire n’existe que par l’énergie humaine qu’elle véhicule et qu’il faudra trouver.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais les associations de minorités ethniques, sexuelles ou religieuses, n’aurait pu être aussi visibles sans les subventions qu’on leur octroie pour faire vivre ces minorités les faire croitre croitre et parader au mépris de la majorité.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne pourrions pas piller la Terre et nous fabriquer une vie facile avec une énergie et des matières premières payées avec une monnaie de singe inépuisable. Jean-Marc Jancovici s’attriste du pillage mais ne voit pas qu’il l’alimente lui-même en disant : « Du pognon, il y en a ».

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne discuterions pas pour savoir si la monnaie est une marchandise, un signe ou une institution. Le seul point commun de toutes ces définitions distantes et médiocres est de négliger l’essentiel, à savoir l’origine de la force de l’argent qui n’est que la force humaine.

Quand on s’intéresse à un arbre, c’est à sa sève qu’il faut s’intéresser en premier. Elle est toujours le résultat du passé et le porteur de l’avenir. Elle nait de ses racines et génère sa ramure.

Marc Dugois, auteur
de L’inéluctable révolution : ne plus être les victimes consentantes des idéologies


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La vertu ostentatoire des vaccins et le culte de l’Éveil

[Source : Le Saker Francophone]


Par Brandon Smith − Le 13 mai 2021 − Source Alt-Market

Tous les systèmes tyranniques ont besoin d’un important contingent de pom-pom girls pour survivre et prospérer ; un groupe d’acolytes exploitables et dévoués qui porteront le flambeau et évangéliseront les masses avec l’idéologie du contrôle. Sans ce pourcentage agressif de la population, les totalitaires ne peuvent rester au pouvoir. Aux États-Unis et dans la plupart des pays occidentaux, les idéologues gauchistes ont parfaitement rempli ce rôle. Ils prétendent se battre pour les droits des opprimés, mais leurs actions sont bien plus éloquentes que leurs paroles.

Ils ont soutenu et défendu vicieusement presque toutes les mesures draconiennes que les gouvernements et les élites des entreprises ont adoptées ces dernières années. Ils ont soutenu la censure massive des conservateurs et des modérés par les grandes entreprises technologiques. Ils ont soutenu les confinements nationaux qui ont détruit des centaines de milliers de petites entreprises et violé les droits constitutionnels de millions d’Américains. Ils continuent à soutenir des règles de masquage non scientifiques dont il a été prouvé qu’elles n’apportent rien de tangible en termes de prévention de la propagation virale. Ils soutiennent l’utilisation de « passeports vaccinaux » qui auraient pour effet d’exclure les personnes non vaccinées de l’économie et de la société normales et de les plonger dans la pauvreté. Et maintenant, ils sont partout sur le web à essayer de faire de la propagande pour le vaccin.

Nous connaissons ces créatures déséquilibrées sous de nombreux noms, notamment guerriers de la justice sociale, flocons de neige, puritains, gauchistes, marxistes, communistes, globalistes, collectivistes, narcissiques, etc. En gros, ce sont les pires personnes de la planète, et alors qu’elles parlent généralement de « racisme institutionnel » qui n’existe pas, de culture du viol qui n’existe pas, ou de patriarcat qui n’existe pas (bien que je commence à me demander si nous ne devrions pas en créer un), elles ont maintenant trouvé un nouvel amour dans la « crise » de la Covid-19.

Mais avant de parler de la secte des Éveillés et de sa relation perverse avec l’establishment, je dois poser une question fondamentale sur le « vaccin » que personne dans les médias dominants ne semble poser :

Pourquoi devrions-nous prendre un vaccin expérimental à ARNm pour un virus auquel 99,7 % des gens, en dehors des maisons de retraite, survivront facilement ?

Cette seule question fait généralement exploser la tête des adeptes du vaccin. La plupart d’entre eux, pour une raison quelconque, croient encore que le taux de mortalité de la Covid-19 est de « 3 % ou plus ». Pourquoi colportent-ils ces absurdités ? Eh bien, je tiens à souligner que les médias grand public ne parlent JAMAIS du taux de mortalité de la Covid-19 ; ils laissent plutôt les gens faire des hypothèses basées sur des choses qu’ils ont entendues dans le passé de la part d’entités comme l’Organisation mondiale de la santé ou le CDC.

Le chiffre de 3 % semble provenir de PRÉDICTIONS faites par l’OMS en janvier 2020, avant que le virus n’ait atteint les États-Unis, ainsi que d’une étude préliminaire du Lancet. Ces prédictions ont été avancées par l’Imperial College de Londres, une institution globaliste qui a créé les modèles complexes de mandat et de confinement que les nations du monde entier utilisent maintenant pour contrôler le public. Leurs modèles étaient si complètement faux qu’ils sont déconcertants pour quiconque connaît la théorie statistique ou la gestion médicale.

Il s’avère que le taux de mortalité lié à la Covid-19 est de seulement 0,26% des personnes infectées (il n’a jamais été de 3%) et nous le savons depuis longtemps. Les patients des maisons de retraite souffrant de maladies préexistantes représentent environ 40 % de tous les décès. Plus de 80 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 65 ans. Et, selon le CDC, au moins 30 % de toutes les hospitalisations du à la Covid-19 étaient dues à des complications liées à une obésité sévère.

Donc, si vous n’avez pas plus de 65 ans et que vous n’êtes pas un gros tas de graisse dégoûtant, vous n’avez pas grand-chose à craindre des statistiques sur la Covid-19. Si vous avez plus de 65 ans et que vous êtes gros, vous avez environ 0,26 % de chances de mourir si vous êtes infecté. Si vous avez plus de 65 ans, que vous êtes gros et que vous vivez dans une maison de retraite, alors vous devriez peut-être vous inquiéter.

En résumé, le virus de la Covid-19 ne constitue pas une menace pour la grande majorité des gens, mais il existe un grand groupe d’obsessionnels qui semblent vouloir en avoir peur de toute façon, ou qui veulent simplement que nous ayons peur.

La vertu ostentatoire  autour des vaccins est de plus en plus bizarre. On trouve de nombreuses vidéos sur YouTube, des vidéos sur TikTok, des articles et des messages sur les médias sociaux de personnes qui proclament avec suffisance leur statut de « jab« , comme si elles venaient d’être touchées par la main de Dieu en tant qu’élues. En outre, l’idolâtrie de fraudeurs médicaux comme le Dr Anthony Fauci est digne d’intérêt. Si vous ne me croyez pas, vous pouvez voir quelques exemples ci-dessous :

https://www.youtube.com/embed/RAbPBW8vqN0?feature=oembed

Il semble que les SJWs essaient vraiment de normaliser les vaccins Covid en fabriquant un consensus. Si tout le monde le fait, vous risquez d’être exclu et isolé de la foule, et c’est une idée effrayante, non ?

Peut-être que je lis trop d’informations dans cette affaire, mais je détecte un sérieux désespoir derrière ce mouvement d’astro-turfing contre les « anti-vaccins ». Personne n’écoute le culte de l’Éveil, personne ne les aime et personne ne leur fait confiance pour être informés ou honnêtes dans leur agenda. Pourtant, ils exercent un pouvoir considérable dans notre société parce qu’ils sont soutenus par les gouvernements et les grandes entreprises. Leur relation avec l’establishment est symbiotique.

Cela ne veut pas dire qu’aucune de ces personnes n’est consciente de l’agenda sous-jacent. L’état d’esprit qui se cache derrière les signaux de vertu des vaccins peut être attribué à certaines fragilités de base dont souffre le gauchiste moyen :

Premièrement, ils ont l’habitude de compter sur le gouvernement et le système en général pour leur procurer un sentiment de normalité. En d’autres termes, ils vénèrent le vaccin Covid en partie parce qu’ils le considèrent comme leur ticket pour apaiser le gouvernement et avoir accès à certains conforts. Malheureusement, ils ne réalisent pas que ces conforts peuvent être conquis à tout moment s’ils n’étaient pas aussi lâches.

Dans mon comté, les résidents ont ignoré les mandats Covid pendant la majeure partie de l’année dernière. Personne ne porte de masque. Personne n’utilise la distanciation sociale. Et plus de 70 % de la population n’est pas vaccinée. La conséquence ? Seulement 17 décès l’année dernière, dont la plupart étaient des personnes avec des conditions préexistantes, et nous avons été libres tout ce temps parce que nous avons choisi de l’être.

Deuxièmement, les gauchistes argumentent toujours à partir de la position de « la majorité », même lorsqu’ils ne sont pas la majorité. La Covid-19 est un outil, comme un pied de biche psychologique utilisé pour faire levier sur la conformité, parce que la présomption est que c’est une menace pour tout le monde. Et, si tout le monde est menacé par le même croque-mitaine, alors tout le monde fait partie du même monolithe, du même collectif. Et si tout le monde fait partie du même collectif, alors tout le monde doit combattre ce croque-mitaine ensemble, dans l’unité. Si vous ne travaillez pas avec le collectif, cela signifie que vous travaillez contre le collectif.

« Nous vivons dans une société », crachent et ricanent les gauchistes avec arrogance, « ce qui signifie que vous devez faire ce que NOUS disons être le mieux pour tout le monde ».

Comme je l’ai déjà expliqué en détail ci-dessus, la Covid-19 n’est pas une menace pour tout le monde. Ce n’est même pas une menace pour plus de 0,26% des gens. Nous ne « vivons PAS dans une société », du moins, nous ne vivons pas dans leur société ou sous leurs règles. Ils ne se soucient pas de sauver des vies, c’est juste l’excuse dont ils ont besoin pour exercer un contrôle. Le contrôle est ce qu’ils désirent le plus.

Comment puis-je le savoir ? Regardez l’effervescence qui entoure l’existence même des militants anti-confinements et des « anti-vaccins ». Regardez combien ils parlent de nous. Ils ne peuvent pas s’en empêcher. Pourquoi ces gens se soucient-ils tant de savoir si nous prenons ou non le vaccin ? S’il fonctionne réellement, alors ils sont parfaitement à l’abri de nous, et lorsque nous mourrons tous d’une mort horrible à cause de la Covid-19, ils pourront dire « nous vous l’avions dit ».

Ce qu’ils craignent vraiment, c’est que nous ayons raison et qu’ils aient tort. La science est certainement de notre côté et l’a été pendant toute la durée de la pandémie. L’OMS avait tort, le CDC avait tort, l’Imperial College of London avait tort. Les militants anti-confinement étaient plus proches de la vérité que tous ces acteurs réunis. Il a été prouvé que les masques étaient inutiles. Il a été prouvé que les confinements étaient inutiles. Les prévisions du taux de mortalité se sont avérées très exagérées. Et, maintenant, la nécessité même des vaccins est remise en question.

En ce qui concerne le récent récit des médias grand public, nous pouvons tirer quelques conclusions : Tout d’abord, le déploiement des vaccins ne se déroule pas comme prévu. Chaque jour, les médias sont inondés d’articles sur « l’hésitation à se faire vacciner » et sur ce que le gouvernement doit faire pour y remédier. Cela me fait dire que beaucoup trop d’Américains refusent de se faire vacciner et que la propagande est donc poussée à son paroxysme.

Je soupçonne que la vertu ostentatoire du vaccin fait partie de cette campagne, ou du moins qu’il est encouragé par l’establishment. Ne voulez-vous pas être du bon côté de l’histoire ? Ne voulez-vous pas être du « côté qui se soucie des gens » ? Ou voulez-vous être du « côté égoïste », du côté qui veut tuer la grand-mère, du côté qui est raciste, sexiste, méchant et répugnant ?

Une autre conclusion facile que nous pouvons tirer des médias est que ce problème ne va pas disparaître et que l’establishment a l’intention d’insister si nous continuons à le défier. Par le passé, j’ai vu la suggestion de la « force » être abordée avec précaution, mais récemment, le discours est devenu plus agressif. Le mot « force » apparaît plus souvent. Les médias cherchent à nous rappeler qu’en vertu de cette loi, l’établissement pourrait nous obliger à nous faire vacciner. Le message ? Autant se faire vacciner maintenant pour éviter tout désagrément plus tard.

Nous savons tous que cela finira par une guerre, mais les élites ont besoin d’une proportion énorme de personnes favorables au mandat pour soumettre efficacement les individus épris de liberté. Ils ne l’ont pas et ça se voit.

Les adhérents à l’Éveil voient toute cette même propagande tous les jours ; ils entendent le message haut et fort : le système indique que les vaccins seront obligatoires, que ce soit par mandat gouvernemental ou par exigence des entreprises. Alors, les gauchistes se démènent pour montrer leur allégeance à leur dieu (l’État), et ils agissent comme de bons petits fantassins pour gagner des points de vertu supplémentaires.

Il existe de nombreuses raisons de ne pas accepter un vaccin expérimental, certaines d’entre elles étant scientifiques et d’autres fondées sur des principes. Je voudrais simplement souligner que de nombreux virologues se sont prononcés sur la sécurité de ces vaccins, y compris un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui, avec ses pairs, a conclu que PERSONNE ne devrait accepter les vaccins à ARNm tant que des tests supplémentaires n’ont pas été effectués, faute de quoi il existe un risque considérable d’effets à long terme sur la santé, notamment des troubles auto-immunes et d’infertilité.

La promotion de la thérapie génique à ARNm est essentiellement un essai expérimental géant utilisant les masses comme sujets d’essai involontaires. Nous n’avons vraiment aucune idée de ce que seront les conséquences au bout du compte, mais j’ai le sentiment que d’ici quelques années, nous verrons les résultats et qu’ils ne seront pas beaux à voir. Ce n’est pas pour rien que les gouvernements font en sorte qu’il soit légalement impossible de poursuivre les fabricants de vaccins pour leurs effets secondaires.

Au-delà des nombreux problèmes de santé, il y a le problème de l’incrémentalisme. Une seule vaccination ne représente peut-être pas une grande menace. C’est peut-être un pari qui ne se termine pas si mal pour la plupart des gens. Mais qu’en est-il de la prochaine ? Et la suivante ? Qu’en est-il des 20 prochains vaccins ? Il y a maintenant une demi-douzaine de mutations différentes du virus de la Covid-19 qui sont mentionnées par le gouvernement et les médias comme étant potentiellement résistantes aux vaccins actuels et plus dangereuses que la première itération du virus.

Il s’agit sûrement d’un mensonge, mais cela montre bien que les mandats sont destinés à durer éternellement. Si nous les acceptons maintenant, ils ne prendront jamais fin. Ce n’est pas parce que vous êtes vacciné aujourd’hui que vous serez libre demain.

Et, avec chaque nouveau vaccin, surgit le spectre des passeports vaccinaux. Et avec les passeports vaccinaux surgit le spectre d’une micro-gestion gouvernementale complète de la vie des gens. Bien sûr, vous pouvez choisir de ne pas vous faire vacciner, mais le système va s’assurer que vous en souffriez jusqu’à ce que vous ne puissiez plus survivre sans le vaccin. Le vaccin est un tremplin vers la tyrannie déguisé en empathie et en devoir envers votre communauté.

Le culte de l’Éveil adore ce genre d’environnement, cependant. C’est le type de grotte sombre et gluante dans laquelle ils aiment se nicher. Le besoin de contrôler les autres est une aberration, une déficience mentale commune aux psychopathes, mais dans le nouveau monde, les maniaques du contrôle trouvent une justification et ont le champ libre. L’ironie frappante ici est que ces personnes aiment contrôler, mais elles aiment aussi ÊTRE contrôlées. Elles trouvent confort et sécurité dans leurs chaînes. Le monde est un endroit effrayant, et pour y être indépendant, il faut du courage, de la force mentale et la volonté d’apprendre de ses erreurs afin de gagner en sagesse et en expérience.

Les platitudes et les pontificats de la foule gauchiste sont une tentative d’éviter les tribulations de la vie réelle ; leur soumission à l’État, aussi douteux ou mauvais soit-il, est une tentative de se sentir à l’abri de leurs propres peurs irrationnelles, de leurs faiblesses et de leurs insuffisances. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson :

Les obéissants se considèrent toujours comme des vertueux plutôt que des lâches.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




L’Abbé : « La vaccination finale est liée par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer »

[Source : lemediaen442.fr]

Le site internet « Le Glaive de la Colombe » réunit des chroniqueurs catholiques, laïcs, clercs et consacrés, souhaitant partager librement leurs réflexions, humeurs et intuitions, en vérité et simplicité. Son administrateur, qui signe sous le pseudonyme de « L’Abbé », est un prêtre catholique diocésain. Il partage avec les autres chroniqueurs de ce blog le même tempérament combatif qu’ils mettent au service « de la vérité, de la mansuétude et de la justice » (Psaume XLIV, 5). Entretien en 4-4-2 avec l’Abbé, qui nous assure de son soutien et de ses prières.

« Après l’Apocalypse et le Jugement dernier vient effectivement un autre monde, mais celui que Dieu nous a préparé de toute éternité, pas “un monde d’après” que nos pauvres forces humaines seraient bien incapables d’édifier. »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour et merci de répondre aux questions du Média en 4-4-2. Dans son édito du 7 avril, Réinfocovid écrivait : « Nous avons été touchés par la grâce (…) Cette crise est une révélation, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore. » J’imagine que vous partagez ce point de vue ?

L’Abbé : Quitte à vous surprendre, pas tout à fait. J’apprécie beaucoup les initiatives de Réinfocovid comme d’autres défenseurs du réel face à la tyrannie sanitaire. Il y a des convergences manifestes entre nous, relevant souvent du bon sens, contre cet ennemi commun. Cependant il y a aussi des distinctions, de forme et de fond, dont il faut avoir conscience car nous n’agissons pas tous sur le même plan. Sur la forme, je regrette souvent, comme c’est le cas dans l’éditorial auquel vous faites allusion, le recours, inapproprié selon moi, à des notions religieuses. Au-delà de la figure de style, cet usage me paraît plutôt favoriser la confusion et l’amalgame qu’autre chose. J’ai dénoncé notamment dans un billet récent le qualificatif de « dogmatique » que l’on retrouve souvent dans la bouche de Louis Fouché et encore dans l’éditorial du 7 avril de Réinfocovid (« Merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques »). Or il s’agit, selon moi, plus exactement d’idéologie, dans le déni du réel et même la volonté autoritaire de soumettre la réalité à des idées abstraites voire partisanes. Cela ne relève pas du dogme qui est propre à la foi et qui est supposé éclairer la raison, nous faire saisir des réalités supérieures mais non contraires à la raison. Il en est de même pour les termes de « « grâce » ou d’« apocalypse ». On comprend bien l’usage littéraire qu’en fait l’éditorial de Réinfocovid mais ce n’est pas sans conséquence sur le fond. Certes, « apocalypse » signifie étymologiquement « révélation » mais quiconque s’est plongé, ne serait-ce qu’une seule fois, dans celle de saint Jean saisit immédiatement que c’est une révélation sur la destinée finale de l’humanité et de toute la création. Après l’Apocalypse et le Jugement dernier vient effectivement un autre monde, mais celui que Dieu nous a préparé de toute éternité, pas « un monde d’après » que nos pauvres forces humaines seraient bien incapables d’édifier. Quitte à être un peu provocateur (pour tenter d’éveiller les consciences), je trouve troublant que Réinfocovid et le Forum économique mondial nous vantent des « mondes d’après », certes différents voire opposés mais reposant sur la même illusion, sur la même tentation de la Tour de Babel, qui ne peut conduire qu’à des catastrophes. Concrètement, il paraît évident que nous traversons une crise majeure, due davantage aux mesures prises mondialement au détriment des peuples qu’à la dangerosité du Covid-19. Reviendrons-nous au « monde d’avant » ? Qui pourrait le dire ? Que notre génération soit marquée par cet évènement, c’est probable, mais « un monde d’après » non profondément enraciné dans le réel finira tôt ou tard par s’effondrer, parce que la nature et son Créateur finissent toujours par reprendre leurs droits.

Le Média en 4-4-2 : Ne voyez-vous pas actuellement des signes qui vous feraient justement penser que le Créateur est en train de « reprendre ses droits » ? Les troubles actuels ne sont-ils pas là pour nous préparer à cet autre Monde prévu par Dieu ?

L’Abbé : En fait, Dieu ne cesse d’agir dans le monde, ne serait-ce que pour le maintenir dans l’existence. Sa toute-puissance lui permet par ailleurs d’accomplir ses desseins ultimes tout en laissant aux hommes l’exercice libre et responsable de leur liberté. Rien à voir donc avec la gouvernance mondiale singeant la Providence divine et asservissant l’humanité. Quoi qu’il en soit, Dieu rendra au final à chacun selon ses œuvres : «Aux humbles, on fera miséricorde mais les puissants seront jugés puissamment » (Livre de la Sagesse, VI, 6). Le moment du Jugement dernier n’a pas été révélé mais il adviendra subitement, alors que le mal répandu dans le monde atteindra son paroxysme et semblera même l’emporter. Ainsi le retour du Christ en gloire pour juger les vivants et les morts sera-t-il précédé par de terribles calamités (apostasie générale, ébranlement de la nature, guerres, famines, épidémies, oppression…) que Notre-Seigneur compare aux douleurs de l’enfantement. A divers moments dramatiques de l’humanité, on a pu croire que cet évènement était imminent, toujours à tort, et cela peut expliquer que l’on réinterprète aujourd’hui l’avertissement divin comme « la fin d’un monde » et non « la fin du monde » ; mais cela sert aussi la tactique « rassuriste » du diable visant à maintenir les hommes dans le mépris du châtiment qui les guette s’ils ne reviennent pas de leurs voies mauvaises. En l’occurrence, le monde semble effectivement aller de mal en pis, au point de raviver dans l’inconscient collectif les terreurs annonciatrices de l’Apocalypse. Il est naturel de craindre ces dernières mais surnaturellement, avec les yeux de la foi, ce sont des signes d’espérance, car elles annoncent l’imminence du retour du Christ et de notre délivrance définitive.

« Il est vital de savoir si la religion ou la “spiritualité” que l’on adopte repose sur quelque chose de vrai, de réel qui nous unifie et nous élève, ou s’il s’agit d’une petite musique douce, une illusion consolante nous anesthésiant jusqu’à l’abattoir. »

Le Média en 4-4-2 : On a l’impression que cette « crise sanitaire » a permis à beaucoup de personnes de s’ouvrir (ou de revenir) à la religion, ou du moins à une certaine sorte de spiritualité. L’avez-vous constaté ? Si oui, comment l’expliquez-vous ?

L’Abbé : C’est psychologiquement assez naturel, comme on le constate dans une famille : les enfants ont pu prendre leur indépendance mais qu’arrive une vraie difficulté, et ils se réfugient auprès de parents susceptibles de les soutenir affectivement ou matériellement. Au final, cette épreuve resserrera des liens entre les générations qui avaient tendance à s’estomper en période d’insouciance. De façon analogue, et dès l’Ancien Testament, des calamités ont souvent été l’occasion de pénitences publiques et de conversions personnelles, amenant le Bon Dieu à manifester sa sollicitude paternelle envers ses enfants naturellement ingrats. Malheureusement, le recul de l’enseignement religieux, dont le clergé a sa part de responsabilité, contribue au relativisme ambiant. Ne sachant plus à quel saint se vouer, nos contemporains errent parmi les « spiritualités » les plus aberrantes sans aucun critère de vérité nécessaire à tout discernement prudent. Saint Paul nous a mis en garde contre cette décadence (2Tim IV, 3-4) : « Un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine, mais au gré de leurs désirs, l’oreille les démangeant, ils se donneront une foule de maîtres, et se détourneront de la vérité pour se tourner vers les fables. » Puisqu’elle suppose donner un sens à notre vie, il est vital de savoir si la religion ou la « spiritualité » que l’on adopte repose sur quelque chose de vrai, de réel qui nous unifie et nous élève, ou s’il s’agit d’une petite musique douce, une illusion consolante nous anesthésiant jusqu’à l’abattoir. Il n’est ainsi pas anodin que les applications managériales les plus sournoises, qui contaminent la société comme l’Eglise contemporaine, s’appuient sur les « spiritualités » du bien-être et du développement personnel. Face à cela, l’idéal chrétien de la Vie par la Croix, dans son aridité paradoxale, revendique un attachement absolu à la vérité naturelle et surnaturelle (Jean XX, 27 : « Puis il dit à Thomas : “Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets la dans mon côté : cesse d’être incrédule, sois croyant !” »)

Le Média en 4-4-2 : Le pape François est un fervent défenseur de l’instauration d’un Nouvel Ordre mondial. Pendant cette « crise sanitaire », il n’a cessé de soutenir le narratif officiel sur le virus. Quel est l’impact de son discours chez les croyants ? Est-il si écouté que cela ?

L’Abbé : Un père de l’Eglise enseignait je crois qu’un Pape n’était pas toujours suscité par le Saint-Esprit pour l’édification de l’Eglise mais parfois pour son châtiment et, malgré de très grands saints, il faut bien reconnaître que les successeurs de saint Pierre ne furent pas toujours édifiants, sans être nécessairement les pires des hommes. En un mot, on a les papes, les évêques, les prêtres (et les fidèles) que l’on mérite : si l’on veut y changer quelque chose, il faut commencer par notre conversion personnelle et assumer pleinement ce que Dieu veut faire à travers chacun de nous. Ceci posé, je ne peux que déplorer ces prises de position du pape François, laissant autant que possible à Dieu le soin de juger de ses intentions comme des influences auxquelles il pourrait être soumis. En attendant, les ambiguïtés de son enseignement et de sa communication, ainsi que son exercice autoritaire du pouvoir, soulèvent suffisamment d’interrogations légitimes pour que l’on ne se sente pas moralement obligé de s’y conformer. Le Christ nous enseigne ainsi que le bon pasteur se distingue notamment du mercenaire à la voix, c’est-à-dire non selon les apparences, mais selon la conformité de son enseignement à « ce qui a été cru partout, toujours, et par tous » (Commonitorium de saint Vincent de Lérins). Même si l’approche de l’Apocalypse doit se signaler par une profonde confusion intellectuelle et morale, les justes disposeront de grâces particulières de discernement pour ne pas sombrer dans l’apostasie générale des derniers temps.

Le Média en 4-4-2 : Je vous propose d’évoquer les fameux « vaccins ». Dans une note publiée le 21 décembre, le Vatican explique qu’il est « moralement acceptable d’utiliser des vaccins contre le Covid-19 pour lesquels des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ont été utilisées dans le processus de recherche et de production ». Est-ce votre avis ?

L’Abbé : N’étant ni théologien, ni moraliste et encore moins médecin, je me garderai ici d’une position définitive, mais, en l’occurrence, il semble s’agir moins de « vaccins » que d’expérimentations précipitées par des intérêts mercantiles et menaçant gravement notre capital génétique. Si nous étions face une maladie mortelle, dépourvus de traitement alternatif, la thérapie génique, pourvu qu’il s’agisse vraiment de thérapie, s’envisagerait peut-être mais ce n’est justement pas le cas. On peut donc légitimement considérer comme déraisonnable de recourir à des moyens si aléatoires pour un risque si minime. Quant au recours à des cellules de fœtus avortés, la récente contribution de Don Pietro Leone à ce sujet, publiée par Rorate Caeli et traduite par Jeanne Smits me semble pertinente : l’avortement originel et la vaccination finale sont liés par une « chaîne du mal » à laquelle on ne doit absolument pas participer et que l’on doit même combattre comme une des ces « structures de péché » dénoncées par Jean-Paul II. Malheureusement, ce combat s’étend bien au-delà des « vaccins » puisque l’industrie cosmétique et la chirurgie plastique notamment n’ont pas hésité à recourir aux mêmes « produits ».

Don Camillo

« L’adversité nous donne l’occasion d’apprendre ou de réapprendre à aimer, à aimer ce qui mérite d’être défendu »

Le Média en 4-4-2 : Le virus qui circule le plus actuellement n’est sans doute pas le Covid mais celui de la peur. Il suffit d’allumer une chaîne d’info en continue pour être effrayé soit par cette « crise sanitaire », soit par l’impact des médias sur la santé mentale des Français. Quel rôle joue la foi et la croyance dans le fait de se persuader qu’on va tomber malade, ou au contraire que ce virus n’est pas si grave et qu’il n’y a aucune raison qu’il nous affecte ?

L’Abbé : A l’image du choléra dans Le Hussard sur le Toit, la peur du Covid tue probablement davantage que le Covid lui-même. Dès le début de l’épidémie, le Pr Raoult déclarait redouter moins le virus que les mesures sanitaires inadéquates que l’administration ne manquerait pas de prendre. Nous n’avons pas été déçus du résultat d’autant plus pitoyable que le climat anxiogène savamment entretenu contribue à diminuer les défenses immunitaires comme la faculté de raisonnement des esclaves du système médiatique. « Tout homme bien portant est un malade qui s’ignore » ; mais comme on n’enseigne plus Jules Romains, on se laisse mener par le premier Knock venu. Voilà pour la croyance. Quant à la foi, fondée sur la résurrection du Christ, promesse de la nôtre (« Si le Christ n’est pas ressuscité… vaine est votre foi », 1Corinthiens, XV, 14), elle devrait inciter les catholiques à ne pas craindre la maladie et même la mort, qui, vue surnaturellement, marque le moment béni du face à face avec Dieu. Qu’avons-nous finalement à faire de mourir plus tôt ou plus tard, puisque cette séparation du corps et l’âme, aussi douloureuse soit-elle, n’est que temporaire ? Ceci ne signifie pas s’exposer à la mort inconsidérément mais vivre chaque jour comme une grâce, dans l’abandon et la confiance en un Père tout-puissant et provident. Malheureusement, la prédication traditionnelle des fins dernières n’est plus guère entendue : il ne faut donc pas s’étonner que bien des catholiques en oublient le Ciel et l’excellence de leur filiation divine pour se conformer aux illusions mondaines d’aujourd’hui.

Le Média en 4-4-2 : Quel(s) conseil(s) pouvez-vous donner à ceux qui nous liront et qui vivent mal moralement cette épreuve ?

L’Abbé : Ce n’est pas au Média en 4-4-2 que j’apprendrai que la colère, ce surcroît d’énergie propre à la défense contre un mal présent, s’enracine dans l’amour : « Mme Marcel » défendant sa progéniture contre l’oppression sanitaire en est une excellente illustration. En fait, l’adversité nous donne l’occasion d’apprendre ou de réapprendre à aimer, à aimer ce qui mérite d’être défendu. « Il y a du bon en ce monde et il faut se battre pour cela », nous enseigne Sam Gamegie le Brave, qui tire sa force de l’amour de sa terre et de ses proches. Le Seigneur des Anneaux nous offre d’ailleurs une analogie assez juste de ce que l’on nous fait subir : s’étant laissé empoisonner le corps et l’esprit, le roi du Rohan est reclus, manipulé et rendu insensible aux malheurs de sa famille comme de son peuple. Théoden ne sortira de cette apathie morbide qu’au rappel providentiel de ce qu’il est, de sa gloire et de sa force. A son exemple, chassons de chez nous les intrigants à la solde de puissances apatrides, chérissons nos femmes et nos enfants, renouons des alliances véridiques car « voici venue l’heure de tirer l’épée ensemble ». Le Média en 4-4-2 y contribue comme chacun peut le faire, avec les moyens et les talents dont il dispose. Pour le reste, ce qui ne dépend pas de nous ou est hors de notre portée, abandonnons-nous à la Providence qui, dans l’histoire de l’humanité et particulièrement de la France, a si souvent pris le visage de la Sainte Vierge. « Belle comme la lune, resplendissante comme le Soleil, terrible comme une armée en bataille » (Cantique des Cantiques, VI, 9), Son amour maternel nourrit une détermination absolue contre tout ce qui porterait atteinte au bonheur de Ses enfants.

« Le Pass sanitaire préfigure de plus en plus nettement la marque de la Bête, décrite par saint Jean dans l’Apocalypse, sans laquelle « il ne sera possible ni d’acheter, ni de vendre » »

Le Média en 4-4-2 : Nous voyons actuellement les évènements s’accélérer de tous les côtes. Nous passons de l’optimisme de voir de plus en plus de personnes « s’éveiller » et comprendre la manipulation actuelle, au pessimisme en remarquant que le plan avance toujours avec, par exemple, la mise en place du Pass sanitaire. Quelle est votre vision des choses sur le sujet ?   

L’Abbé : « Le mal progresse davantage de la faiblesse des bons que de la force des méchants » et en cela Maître Di Vizio a raison de remarquer que les juristes résistant publiquement au rognage de nos droits fondamentaux sont aussi peu nombreux que les religieux. Le « Pass sanitaire » n’en pose pas moins de nombreux problèmes théoriques et pratiques qui peuvent encore contrarier son instauration et sa pérennité. Quoi qu’il en soit, il préfigure de plus en plus nettement la marque de la Bête, décrite par saint Jean dans l’Apocalypse, sans laquelle « il ne sera possible ni d’acheter, ni de vendre » (XIII, 17) ; or, les justes, les saints, se distingueront alors par leur refus de se voir appliquer cette marque sacrilège, quitte à supporter la persécution ultime dont nous libérera le retour du Christ en gloire. Cette perspective paraîtra peu réjouissante pour le commun des mortels et il est psychologiquement normal de redouter une épreuve inéluctable : le Christ Lui-même a tremblé à l’approche de son supplice mais il a vaincu son angoisse par son « fiat », son abandon « viril » à la volonté de son Père. Nous retrouvons la même détermination chez les martyrs des premiers siècles qui préféraient mourir plutôt que sacrifier même un grain d’encens aux idoles de leurs persécuteurs. Idem chez sainte Jeanne d’Arc qui tint tête à ses juges et fut brûlée vive de ne pas renier ses voix. Nous sommes avec ces modèles, bien « au-delà » de l’idéal nietzschéen que cherche à nous vendre, parfois avec beaucoup de talent, la mouvance néo-païenne. Il est ainsi d’actualité de promouvoir Napoléon comme « professeur d’énergie » et figure accomplie du surhomme rempart au déclin européen. En fait, par rejet de « l’arrière-monde » dont témoigne pourtant magnifiquement la Pucelle d’Orléans, ces nietzschéens cèdent à la tentation du « monde d’après » que je dénonçais au début de notre entretien. En effet, si sainte Jeanne d’Arc disait vrai, alors un « au-delà » existe qui n’est pas indifférent au sort de ce monde mais nous encourage et nous console jusqu’à la victoire certaine et définitive. Face à la déliquescence de notre pays et de notre civilisation, notre espérance, pour ne pas dire notre Salut, dépendra de la bannière que nous rallierons : celle de Napoléon ou celle de Jeanne, l’empereur ou la Servante ?

Le Média en 4-4-2 : Nous vous remercions pour toutes vos réponses qui, nous en sommes convaincus, apporterons de nombreux éléments de réflexion, de méditation et d’espoir à ceux qui nous liront, qu’ils soient croyants ou pas.

L’Abbé : C‘est le Glaive de la Colombe, chroniqueurs comme lecteurs, qui, à travers moi, vous remercie de votre invitation. Cette rencontre, que l‘on jugera peut-être iconoclaste, témoigne de la convergence d‘hommes de coeur de tous horizons, derrière laquelle se devine l‘action délicate de la Providence nous appelant à la confiance. Nul doute qu‘elle nous réserve encore bien des surprises mais cela ne saurait être à notre détriment. En effet, en ce monde, le mal, même terrible, n‘est que provisoire, quand le bien est un avant-goût, une assurance du bonheur que Dieu nous promet. Ainsi, pour le juste, le meilleur est-il toujours à venir : n‘ayons donc plus peur et entrons dans l‘Espérance !

Retrouvez L’Abbé sur :
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Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Les médecins sont tombés dans un trou noir

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

FIN DES PROBLÈMES DE NUMERUS CLAUSUS, ON N’A PLUS BESOIN DE MÉDECINS

Les médecins sont plus de 200 000 en France. Mais, malgré des incitations financières considérables, beaucoup paraissaient réticents à injecter un médicament expérimental vendu comme vaccin. Alors le ministre de la Santé a autorisé les infirmières, les vétérinaires et les pompiers à vacciner. Mais ce n’était pas encore assez. Alors tout le monde ou presque (bientôt) pourra maintenant vacciner, sans préalable, sans examen clinique, sans consentement éclairé.

On n’arrête pas le « progrès ». La loi de santé de Marisol Touraine de janvier 2017(([1] 1704-ANTIBES-CONSEQUENCES-LOI-TOURAINE PDF (nicoledelepine.fr) )) avait entamé le processus en permettant des glissements de tâches entre médecins et infirmiers, puis entre infirmiers et aide-soignant, etc. On était arrivé au fait qu’un personnel de garde non soignant aurait le droit d’aspirer un résident s’il s’étouffait et qu’il n’y avait aucune personne formée sur place. On était déjà dans le délire, mais encore exceptionnel, qui augurait bien de la suite…

Et l’on vient d’apprendre via Europe 1 que « les kinésithérapeutes, aides-soignants, puéricultrices, ambulanciers et titulaires d’une formation de secourisme de niveau 2 peuvent désormais participer à la campagne de vaccination. 500 000 nouveaux vaccinateurs viennent ainsi renforcer les rangs afin d’atteindre les objectifs fixés par le gouvernement. »  Par La rédaction d’Europe 1  13 MAI 2021.

Ce sont eux aussi qui fourniront les certificats verts, sésames de l’entrée en boîtes de nuit, j’imagine…

Rire ou pleurer, qu’est devenue la médecine que nous exercions encore il y a quinze mois ?  Les médecins généralistes libéraux l’ont bien cherché, me direz-vous ! Ils se sont tus, cachés, enfoncés dans leur grotte pour ne pas réagir à l’énorme arnaque du siècle qui fut l’interdiction aux médecins de prescrire selon le serment d’Hippocrate, en donnant les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science.(([2] Pourtant toujours en vigueur légale arrêt mercier 1936))

Une révolution après plus de 2 500 ans de médecine hippocratique

Le ministre, en février mars 2020 et les premiers cas de covid-19, donna l’ordre aux SAMU et au 15 de répondre aux patients de ne prendre que du Doliprane en attendant sagement à domicile l’aggravation et la détresse respiratoire qui les mènerait ou non à l’hôpital en fonction de leur âge.

Silence, on ne traite pas

Sous prétexte qu’un ministre l’impose, et qu’il est soutenu par le président du Conseil de l’Ordre dont la fonction, rappelons-le, n’est absolument pas scientifique, mais uniquement déontologique(([3] Et en autre de faire respecter la loi transparence en santé qui oblige tout médecin qui s’exprime en public de citer ses liens d’intérêts ce que le Conseil de l’Ordre refuse d’appliquer pour les médecins des plateaux télé)) et administrative.

Sidération, silence, les médecins ont disparu, ne vont plus à domicile sous prétexte de couvre-feu et de confinement, les malades restent chez eux et ne consultent pas et voient leurs pathologies chroniques évoluer et d’autres maladies survenir sans diagnostic ni traitement. Les malades s’aggravent dans le silence de leur « cabane » et les médecins disparaissent de la planète France en ville, mais aussi à l’hôpital où, en gros, on ne s’intéresse, ou plutôt on n’a que le droit de s’intéresser à ce qu’on peut classer Covid-19. Le reste attendra… En gros, tous les médecins disparaissent des radars et ne restent que les quelques « réanimateurs » d’hôpital ou de télévision pour entretenir la panique et promouvoir les traitements inefficaces et très chers (remdésivir) ou de prétendus vaccins expérimentaux.

Les cliniques se vident, sommées de stopper toute activité étiquetée non urgente selon le plan Blanc imposé par le Premier ministre Édouard Philippe fin mars 2020, et ce sont les ARS qui décident de ce qui est urgent ou non, se permettent d’annuler des opérations d’ablation de cancer en disant froidement au patient d’aller en radiothérapie…

Plus d’indications pesées longuement en réunion multidisciplinaire, des indications à la volée, administratives. Et toujours le silence des structures hospitalières publiques et privées obéissantes, dans le déni complet de notre métier.

Silence assourdissant de tout ce qui ressemblait antérieurement à un docteur ! Ils (le pouvoir toujours assez impersonnel des ARS !) nous inventent le nec plus ultra, la consultation par télémédecine, un grand rêve de nos dirigeants numérique-dépendants, pensant que cela allait se développer à la faveur de ce grand coronacircus. Ce sera raté comme l’enseignement à distance, mais les docteurs n’en auront pas moins sombré dans le trou noir de la société du Nouvel Ordre mondial.

TROU NOIR

Où sont passés les docteurs ? Craint-on qu’ils ne soient pas aussi obéissants que le gouvernement le souhaiterait pour vacciner en masse avec des substances dites « vaccins », mais insuffisamment testées avant leur autorisation « conditionnelle » de mise sur le marché ? Ces thérapies géniques ou vaccins OGM n’ont jamais été testés complètement chez l’homme et à peine chez l’animal. Elles sont en essai clinique comme l’examen du site clinicaltrials.gov le démontre.

Les médecins, après au moins dix ans d’études et surtout de mises en garde, de normes, de réunions multidisciplinaires, de multiples réunions pour accréditation pour vérifier « les bonnes pratiques », ne seraient-ils finalement pas assez mûrs pour administrer n’importe quoi aux citoyens sous prétexte d’une pandémie dont ils savent (au moins eux) qu’elle est terminée et que les vagues successives ne sont que la conséquence de la création de variants par les pseudo-vaccins ? Pour ceux qui doutent, consultez le site du réseau Sentinelles qui affiche en temps réel les consultations auprès des médecins de ville des maladies respiratoires, dont le Covid-19.

Malgré les assurances du gouvernement qu’ils seraient couverts en cas d’accident vaccinal ou même de décès, les médecins et les infirmiers rechignent à injecter un « produit » expérimental, dont les ingrédients sont cachés et dont les fabricants eux-mêmes, comme le PDG de Pfizer, ne souhaitent pas le recevoir.

Déficits de médecins, voire d’infirmiers pour injecter une substance, alors qu’on rappelle les retraités de ces professions à la rescousse ? Pourquoi tant de difficultés si ce vaccin ou prétendu tel était valable et sans danger ? Alors ils ont appelé les vétérinaires, espérant que nous, les humains, serions plus résistants que les souris et les furets tous morts lors des expérimentations pour vaccin des coronavirus du SRAS et du Mers. À moins que ?

En tous cas, l’aide des vétérinaires puis des pharmaciens à ce geste discutable, mais tout de même facile de réalisation ne suffit toujours pas. Alors ils ont osé appeler les pompiers, les ambulanciers et qui d’autre encore demain ?

Poser et discuter l’indication d’une vaccination reste un acte médical

Dans une vie antérieure pas si lointaine, la vaccination était bien considérée comme un geste médical représentant d’ailleurs le tiers des revenus des pédiatres de ville. Et que signifie acte médical ?

La Haute Autorité de santé avait formulé en début de campagne de vaccination contre le covid-19 le déroulé de la consultation prévaccinale. Demandons-nous si le charmant et dévoué pompier qui croit aider le peuple ou l’ambulancier aimable peuvent réaliser cette discussion préalable et en combien de temps.

« Le dimanche 27 décembre a marqué le coup d’envoi de la campagne de vaccination contre la Covid-19 en France et en Europe.(([4] Covid-19 : quel est le rôle de la consultation prévaccinale ? | Santé Magazine (santemagazine.fr) )) Sur le territoire, les résidents d’un EHPAD de Dijon et ceux d’une unité de soins de longue durée de l’hôpital de Sevran ont été les premiers à en avoir bénéficié. Si la vaccination n’est pas obligatoire pour la population, une étape l’est en revanche pour les personnes qui décident de se faire vacciner : la consultation prévaccinale ».

Comme l’explique la Haute Autorité de santé, elle se fonde

« sur l’évaluation de la situation clinique du patient, l’information sur les bénéfices et les risques du vaccin et sur les préférences, les questionnements et les craintes qu’exprime le patient. ».

« Concrètement, comment se déroule-t-elle ? Elle est réalisée par le médecin traitant ou, à défaut, en priorité par le médecin coordonnateur ou un autre médecin en cas d’indisponibilité des deux premiers. Et ce au plus tard dans les cinq jours qui précèdent la vaccination. À noter que “cette consultation peut être réalisée sur place ou, si cela n’est pas possible, à distance, en téléconsultation avec ou sans vidéotransmission.”, explique le ministère de la Santé dans un guide dédié. Le premier objectif de cette étape est d’identifier l’absence de contre-indication temporaire ou définitive à la vaccination et de déterminer le bénéfice/risque de la vaccination pour les patients ou résidents. »

Il semble bien qu’on ait changé de vie, de monde, de planète entre fin décembre et maintenant. Évidemment l’examen clinique, qui n’était déjà pas au premier plan, a sauté, mais tout le reste dans la foulée… Cela prenait trop de temps… La sécurité, les procédures, l’obsession de l’hôpital public et privé et surtout des tatillonnes ARS qui faisaient fermer un bloc pour quelques cm manquants par rapport à la sacrée sainte norme, une autre vie, l’Ancien Monde nous dira-t-on…

Alors si les ARS disparaissaient dans la foulée et les cérémonials d’accréditation également, tout cela n’aurait pas été vain. Rêvons un peu. Aussi.

Lisez la suite des précautions initiales prévues pour la vaccination extraite de Santé magazine : le patient pourra poser toutes ses questions.

« Sont recherchés les antécédents d’allergie, épisodes infectieux en cours, une infection Covid-19 avec symptômes et datant de moins de 3 mois ainsi qu’une vaccination contre la grippe, car celle-ci doit avoir eu lieu au moins 3 semaines avant la vaccination contre la Covid-19.

 Dans un deuxième temps, le médecin doit “apporter les éléments d’informations nécessaires (bénéfice/risque, effets secondaires connus…) pour que la personne puisse exprimer son choix de se faire vacciner ou non.”, ajoute le ministère de la Santé. Ainsi, le médecin veille à délivrer une information appropriée et compréhensible tandis que le patient peut faire part de ses questionnements et craintes.

La consultation fait l’objet d’une traçabilité écrite puisque les éléments qui en sont issus seront consignés dans le dossier médical de la personne, mais aussi dans le système d’information de suivi de la vaccination contre le SARS-COV-2 appelé “Vaccin Covid”, qui sera opérationnel à compter du 4 janvier 2021. Tout comme le reste de la procédure dans son ensemble : consentement, vaccination, suivi. Ce n’est d’ailleurs qu’à la fin de cette visite que le patient pourra verbaliser son consentement, sachant qu’un résident peut, s’il le souhaite, être accompagné d’un tiers qui observe un rôle d’accompagnement (parent ou proche, bénévole, mandataire judiciaire, personne de confiance…). »

 Eh bien oui, presque tout était prévu, mais trop long, trop compliqué, pas assez de médecins ou bien ceux qui acceptèrent vaccinaient quinze patients à l’heure, se faisant une petite rente au passage sur le dos de la Sécu. Mais finalement — et c’est consolant, il n’y eut probablement pas assez de volontaires pour l’abattage vaccinal des moutons consentants et peu curieux. Trop de responsabilité, au moins morale, puisque la responsabilité pénale est couverte d’emblée par l’État aux frais de la princesse, c’est-à-dire nos impôts pour réparation.

Faute de médecins, on recrute chez les pharmaciens, les vétos, les aides-soignants, les ambulanciers, etc.

Alors on eut recours à toutes les professions proches, mais chacun son métier avec tout le respect que nous leur devons pour leurs compétences, mais me voyez-vous demain remplacer mon voisin pompier ou vous conduire à votre consultation avec ma voiture en guise d’ambulance ? Quant à soigner votre chat, jamais vous ne me le confieriez ou faire vêler la vache de la ferme voisine, encore moins. Chacun son boulot, comme c’est bizarre. Le Président va peut-être demander à son chauffeur de le remplacer le temps de se reposer quelques jours…

Bref, les médecins ont disparu du système sanitaire français et si on l’a fait pour ce sacré covid, on ne voit pas pourquoi votre véto ne vous prescrirait pas votre chimio en même temps que celle de votre chien, cela gagnerait du temps.

Et tout cela pour aligner chaque soir à la télé le nombre de vaccinés et surtout en comparaison avec les pays voisins. Course à l’échalote en attendant les JO, ou programme sanitaire ? On n’en peut plus de ce délire construit, d’apparence de folie. Heureusement, au bout de 14 mois, on a fini par comprendre la stratégie de dissonance cognitive et de mise en sidération perpétuelle de la population afin qu’elle accepte la politique coercitive que le Nouvel Ordre mondial espère imposer.

Et dans tout ce magma délirant, quid de la responsabilité morale des volontaires, mais peut-être pénale quand les patients, victimes éventuelles ou familles de victimes (déjà plus de 10 000 morts reconnus par l’agence européenne sans la GB) découvriront que lors de cette expérimentation avec autorisation de mise sur le marché conditionnelle, il n’existait même pas cette dernière pour les mélanges de vaccin au hasard des disponibilités.

Sans AMM conditionnelle, probablement pas de couverture médicolégale. Ils sont bien courageux ou inconscients, les volontaires de la vaccination pour une maladie qui tue moins de 0,05 % de la population , mais n’est pas sans risque comme le montre le site de l’Agence européenne du médicament consultable par tout le monde, Eudravigilance.

MAIS CELA NE SUFFIT PAS : ON ENTRE DANS LA MÉDECINE FORAINE OU LA « MÉDECINE DRIVE »

Les médecins vont faire concurrence à Mac Do !

Bienvenue au pays du non-secret médical à Francoville [VACCI’DRIVE]

« Une première dans le Val-d’Oise !

En partenariat avec l’ARS, la ville a expérimenté un Vacci’drive (vaccination directement dans votre voiture) ce vendredi 14 mai de 18 h 30 à 19h30 au CSL.

Accueil, consultation médicale, vaccination, surveillance… Tout y est.

Déjà présent dans certains pays d’Europe, ce dispositif a le mérite d’être, pour certains, moins anxiogène. Il arrive à Franconville et sera reconduit selon l’approvisionnement en vaccins.

Inscriptions prochainement.

Merci aux agents et aux professionnels de santé pour la mise en place de cette nouvelle possibilité de vaccination. »

 Peut-on porter plainte pour non-conformité avec l’article 74 du Code de la santé publique, concernant l’interdiction de la médecine foraine, qui ne peut s’exercer qu’exceptionnellement, et dans une unité mobile, mais pas sur le trottoir, comme le plus vieux métier du monde ? se demandent des collègues choqués.

Article 74 (article R.4127-74 du code de la santé publique)

L’exercice de la médecine foraine est interdit ; toutefois des dérogations peuvent être accordées par le Conseil départemental de l’Ordre dans l’intérêt de la santé publique.
Toutefois, quand les nécessités de la santé publique l’exigent, un médecin peut être autorisé à dispenser des consultations et des soins dans une unité mobile selon un programme établi à l’avance.
La demande d’autorisation est adressée au Conseil départemental dans le ressort duquel se situe l’activité envisagée. Celui-ci vérifie que le médecin a pris toutes dispositions pour répondre aux urgences, garantir la qualité, la sécurité et la continuité des soins aux patients qu’il prend en charge.
L’autorisation est personnelle et incessible. Il peut y être mis fin si les conditions fixées aux deux alinéas précédents ne sont plus réunies.
Le Conseil départemental au tableau duquel le médecin est inscrit est informé de la demande lorsque celle-ci concerne une localité située dans un autre département. »

Quelques questions complémentaires à ce sujet :

Combien de temps durent la consultation médicale, l’examen clinique, et l’information sur les risques de médicaments au covid drive ?… On rit (jaune).

Si quelqu’un peut connaître les rémunérations des agents et professionnels de santé dans ces drive ?  Qui accepte cette non-médecine ?

Et si vous êtes curieux, allez voir les commentaires sur la page de Franconville citée qui montre que certains ont encore du bon sens, par exemple le phil o sophe :

« Chacun doit rester libre de se faire vacciner, ou pas, le débat n’est plus trop là… Ce qui devient délirant c’est d’adopter un mode de commercialisation popularisé par Ray Kroc pour un acte médical. Est-ce la proximité du Mc Do qui vous a donné cette idée folle ? Le progrès nous mènera-t-il à nous faire vacciner via ubervacx ? À quand la consultation dentaire en plein air ? À quand l’analyse de sang à l’arrêt de bus ? ! On a un centre de santé, un vaccinodrome, des médecins, des officines, plusieurs hôpitaux et cliniques à proximité, des personnels de santé libéraux, une caserne de pompiers… mais on vaccine à même le trottoir… Je crois que je ne comprends plus trop où on va, mais a priori on y va ! Une des 10 plus grandes puissances économiques mondiales vaccine ses citoyens en pleine rue et on s’en gargarise ».

ou encore Agnès Bernard :

« Je suis bien au Franconville drive ?
Oui, bonjour, je voudrais vous commander un happy vac.
Je prendrai un double cheese frites, un coca et un vaccin en cadeau. 

Je me souviens d’un temps où les moins de vingt ans connaissaient pourtant que l’on finissait devant le tribunal quand on faisait affaire sur un coin de trottoir !
Ahhhh! je suis heureuse de constater que notre société va bien. »

Vous me direz que vu les cadeaux proposés aux USA, comme des billets gratuits pour des parcs, et à NY une part de frites, etc. nous n’avons pas encore tout vu… Bonne lecture :
Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nicole Delépine





Au pays de Dracula, les vaccinés reçoivent un diplôme de courage !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Lors de la peste noire – la vraie, qui décima des millions d’Européens, et pas celle inventée par notre ministre de la « Santé » (selon son titre officiel), les paysans et villageois fuyaient le plus loin possible des lieux infestés où s’accumulaient les morts.

Imagine-t-on, si un traitement efficace avait été connu, la nécessité de trouver toutes sortes de sollicitations holistiques pour conduire les gens à accepter le traitement miracle ?

Mais en ce XXIe siècle on aura tout vu !  De la prime de 25 € au bon d’achat de 5 euros à la pinte de bière, ou 20 points proposés par Bernard Pivot à l’oral du bac (une blague ?), les avantages proposés aux cobayes sont variés pour les conduire à accepter cette redoutable piqûre dont ils sentent bien, pour le moins, que le bénéfice n’est pas évident.

Des cobayes non rémunérés mais flattés

Il est vrai que les vaccins covid sont en phase expérimentale et que les citoyens commencent au moins à le savoir un peu. Notons que Big Pharma s’est vraiment bien débrouillée, elle ne paie pas ses cobayes comme habituellement (des sommes de plusieurs centaines d’euros pour les essais habituels de médicaments) et de plus les agences de santé et les États l’ont exonérée de toute responsabilité pénale ou/financière en cas de pépin… y compris le décès. Les États paieront, enfin… nos impôts. Pas belle la vie ?

En ce qui concerne l’épidémie presque terminée du covid qui a nettoyé la grippe au passage, mais pour laquelle il faut continuer à affoler la population, l’imagination des marchands du temple est au pouvoir.  Le double but est bien sûr les bénéfices financiers fantastiques liés aux vaccins pour Big Pharma et des avantages politiques pour les dirigeants du Nouvel Ordre mondial, imposer des lois liberticides et une surveillance policière croissante.

L’imagination au pouvoir des marchands

Et nous pouvons être admiratifs des qualités commerciales des marchands de vaccins. Là où on découvre s’il en était besoin qu’il n’est plus question de médecine, mais bien de commerce et donc de marketing.

Dans le petit papier de msn.com[1] qui relate la vaccination des Roumains chez Dracula, tout y est et on ne sait plus s’il faut rire ou pleurer. Malgré le côté tragique de la situation, quand on connaît les multiples effets secondaires, dont des décès (près de 9 000 post-vaccinaux en UE chez des sujets qui ne risquaient rien, pour beaucoup, du covid ou presque) et la flambée des cas et des malades dans des pays jusque-là quasiment indemnes avec l’arrivée des campagnes de vaccination[2] [3] [4].

Le pseudo-vaccin au château de Dracula

Examinons ce petit article : tous les mots clefs y sont. Tout d’abord le titre : les Roumains se font « piquer » au château de Dracula.  De mon temps, on disait vacciner et se faire piquer était réservé aux animaux qu’on faisait euthanasier en fin de vie par le vétérinaire. Tout un programme.

Poursuivons : le futur cobaye profite de l’opportunité « prend son courage à deux mains ». Pourquoi ? pour un DTPolio, en faisait-on autant ? Non, cela sous-entend bien le mystère, et le cinéma qui entoure cette « piquouse » pour parler comme eux.

Le comble, comme aux gosses qui passent un diplôme de nage ou de sécurité routière, les personnes piquées reçoivent un « diplôme » attestant de quoi ? Je vous le donne en mille : de « leur courage et responsabilité ». Pourquoi tant de courage si ce pseudo-vaccin était anodin comme les médias veulent nous le faire admettre à longueur d’émission ?

Ils seront accueillis au château de Dracula à Bran dans les « cent prochaines années »… Message subliminal de vie éternelle grâce à la potion magique prônée par Bill Gates ? Faust hante-t-il le château de Dracula ?

Qui organise ces séances de distraction faustienne ?

Évidemment pas un médecin qui s’évertuerait à expliquer avantages (? s’il en trouvait par rapport aux traitements précoces et sans danger) et inconvénients possibles, les effets secondaires beaucoup plus fréquents qu’avec les autres vaccins, comme celui de la grippe par exemple (et déjà signalés sur le site de l’agence européenne du médicament, l’EMA et Eudravigilance, où chaque curieux peut aller, surtout avant de se décider, ce serait prudent).

Le médecin respecterait ainsi le serment d’Hippocrate et le Code de Nuremberg sanctifié par la déclaration d’Helsinki et la convention d’Oviedo.

Mais non, ici à Bran comme à Disney en France, on est dans le plaisir, le ludique, le léger et donc c’est le directeur du MARKETING qui invite et organise. Tout y est, n’est-ce pas ?  Et comme il ne doute de rien dans la pub, il prévoit pour les futurs cobayes qu’il qualifie de « téméraires, une visite de : « la salle des tortures » abritée dans la forteresse. On est dans un « ciblage touristique ».

Nous voilà donc dans les fins fonds des Carpates, chez « l’empaleur » Vlad Tepes, prince roumain du XVe  siècle, particulièrement sanguinaire pour avoir inspiré à l’écrivain irlandais Bram Stoker le personnage de Dracula. Tout est dans le symbole, volontaire ou inconscient, ils font très fort ces Roumains.

Comme aux USA, et en France en particulier, tout le monde n’est pas forcément volontaire pour être cobaye non rémunéré du plus grand essai mondial de médicaments encore jamais testés, et dont les prédécesseurs, tentatives de vaccins anti-coronavirus du SRAS et du Mers avaient tué les animaux tests.

Ici en matière de vaccin anti-covid, les labos ont sauté l’étape animale officiellement en raison de manque d’animaux de laboratoire et des militants anti-souffrance animale. Si ces associations pouvaient inclure dans leurs combats les animaux humains, ce serait une bonne idée.

Alors les Roumains qui avaient refusé les mesures liberticides sont sollicités via des vaccidrives et des marathons vaccinatoires ouverts 24 h sur 24 dans des lieux mythiques comme la salle du Palais à Bucarest. Pourquoi pas dans les salles de l’hôpital ? Non, c’est un peu comme la nuit de visite gratuite des musées français !  Et les moins de 50 ans (moins de mille morts en France depuis quatorze mois pour une maladie qui, le cas échéant, se traite facilement si on donne le traitement tôt), y vont en famille, en sortie du dimanche.  Pourquoi tout ce CIRQUE ?

Et comme partout la campagne vaccinale s’accompagne d’une remontée des décès…

Beatrice Mahler, directrice de l’hôpital Marius Nasta de Bucarest dit que près de 3,6 millions de Roumains ont reçu au moins une dose de vaccin contre le coronavirus dans ce pays de 19 millions d’habitants qui veut franchir le cap des 5 millions de vaccinés d’ici début juin.

Pourquoi ? Au nom de qui ? Sous la pression de qui ? Au moins on connaît le montant des motivations [5] de Stella Kirikiades, la ministre de la Santé chypriote de l’Union européenne qui a signé les contrats des vaccins covid avec les entreprises pharma et dont le compte bancaire privé a depuis été crédité de 4 millions d’euros

Nicole Delépine


[1] Vaccination : Les Roumains se font piquer au « château de Dracula » (msn.com)

[2] Bientôt 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires susceptibles d’être liés aux « vaccins » contre la Covid-19 (reseauinternational.net)
En date du 27.04.21, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, pour la seule Union européenne (sans la Grande-Bretagne).

[3] Faut-il se faire vacciner ? À trancher sur les faits objectifs ! | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

[4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/

[5] https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/




Deux policiers tués en service en l’espace de 12 jours : le syndicat France Police – Policiers en colère adresse une lettre ouverte au président Macron

[Source : Syndicat France Police – Policiers en colère (france-police.org)]

Monsieur Le Président de la République,

À douze jours d’intervalle, une collègue a été égorgée par un terroriste islamiste à Rambouillet tandis qu’hier, un second fonctionnaire a été abattu par balle à Avignon par un membre d’un gang de narcotrafiquants.

Le temps des belles cérémonies d’hommage est révolu. Vous devez passer des bougies à l’action politique. Ce n’est pas avec des larmes qu’on mène une guerre.

Vous dites vous battre pour le droit à la vie paisible mais ce combat ne se gagne pas avec des mots.

Les policiers et les gendarmes ne peuvent pas se défendre en raison d’un texte sur la légitime défense trop flou, laissant le champ libre à toutes les interprétations jurisprudentielles.

Le police bashing permanent orchestré par les médias et les people entrave considérablement notre action.

En bout de chaîne, la faillite de l’appareil judiciaire annihile notre travail d’investigation.

Les Français ne croient plus en leur justice. La manifestation pour réclamer justice pour Sarah Halimi en est la preuve éclatante.

La population n’a plus confiance dans nos services et s’arme pour se défendre elle-même face aux criminels, les évènements de Stalingrad ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres.

Si vous ne voulez pas terminer votre mandat avec le pire bilan en matière de sécurité de l’histoire moderne, notre syndicat de police vous invite à recourir aux dispositions prévues par la loi n° 55-385 du 3 avril 1955.

Dans le cadre de l’état d’urgence, il faut procéder au bouclage des 600 territoires perdus de la République, y compris avec le renfort de l’Armée, en contrôlant et en limitant les entrées et sorties de ces zones par des checkpoints sur le modèle israélien de séparation mis en place avec les territoires palestiniens.

Parallèlement, en recourant au 49-3, il faut adopter en urgence une réforme de la légitime défense pour les policiers et les gendarmes leur permettant d’ouvrir le feu dès lors qu’un fuyard n’obtempère pas ou qu’ils sont l’objet de tirs de mortiers et d’artifices ou de jets de cocktails Molotov.

Notre syndicat de police vous recommande de vous inspirer du modèle brésilien et Philippin en matière de lutte contre le narco-terrorisme.

Les présidents Bolsonaro et Duterte obtiennent d’excellents résultats en ayant donné carte blanche à la police pour reprendre le contrôle des zones de non droit.

L’heure n’est plus au en même temps. Il ne peut y avoir de compromis avec les terroristes et les dealers. Les hésitations, les frilosités politiques et autres tergiversations profitent aux narco-terroristes.

Certain de votre détermination à ne pas abandonner définitivement notre Nation aux mains des trafiquants, recevez, Monsieur Le Chef de l’Etat, l’expression de mon plus profond respect Républicain.

Michel Thooris, secrétaire général du syndicat France Police – Policiers en colère.


[Note de Joseph : face à la dégradation sociale et civilisationnelle favorisée par les « élites » dirigeantes françaises officielles et obscures, les solutions préconisées dans cette lettre vont malheureusement dans le sens voulu par le Nouvel Ordre Mondial, renforceront temporairement les divisions et le chaos, et aboutiront presque inéluctablement à une restriction encore plus grande des libertés, sur le modèle chinois (voir La Chine étend son crédit social à l’international). Créer de nouveaux ghettos sur le modèle de l’apartheid israélien envers les Palestiniens (contre l’intérêt à la fois des juifs et des musulmans du peuple sur le plan de la conscience et de la civilisation, mais pour celui de leurs élites sur le plan matériel du contrôle et du pouvoir) n’est pas une solution sage. La crise socioculturelle, politique et religieuse en France ne se résoudra probablement que par l’assimilation des arrivants ou par leur renvoi dans leur pays d’origine pour ceux qui ne voudront pas participer constructivement à la vie française et respecter l’âme de la nation. Et l’assimilation ne peut se faire par l’isolement dans des enclaves ou des zones de non-droit, mais par l’intégration dispersée sur l’ensemble du territoire, à l’image d’une mayonnaise dont on ne parvient plus à distinguer le vinaigre de l’huile grâce au pouvoir liant de l’œuf et de la moutarde. Dans l’Humanité, le meilleur liant est l’Amour, au contraire de la violence et de la répression.]




Sortir de la crise

Par Joseph Stroberg

De même que la perte d’un être cher et à l’image du deuil qui s’ensuit, toute situation critique vécue individuellement ou collectivement par un être humain, après le choc traumatique ou psychologique engendré par l’événement initial, suit un processus particulier pour se résoudre. Si une telle crise peut être symbolisée par la porte à ouvrir dans le mur qui se présente à nous, la résolution finale en est alors le franchissement pour se retrouver de l’autre côté du mur, éventuellement en terrain inconnu.

Un tel processus pour surmonter une crise passe généralement par différentes phases ou étapes dont plusieurs peuvent alterner plus ou moins rapidement ou même se chevaucher et ne suivent pas nécessairement un ordre précis.

Après le choc, les phases sont le plus souvent les suivantes pour ce qui est de ce que l’on peut considérer comme la pente descendante :

  • le déni, accompagné souvent de dissonance cognitive (on refuse de reconnaître la situation pour ce qu’elle est, de croire ou de voir l’information qui la représente. Par exemple, si on apprend la mort d’un proche par un intermédiaire, on refuse d’y croire. Et même si on a assisté directement à sa mort, on se dit que ce n’est pas possible, ça n’a pas pu lui arriver à lui, pas maintenant…) ;
  • incompréhension, sentiment d’injustice (on ne comprend pas pourquoi on doit vivre cela. On trouve que c’est injuste) ;
  • marchandage et/ou chantage (avec Dieu ou des êtres invisibles, par exemple, dans le faux espoir que ça permettra de résoudre la situation ou de retrouver l’état d’avant le choc. On promet de faire telle chose si on peut retourner à l’état d’avant ou ne plus souffrir de la situation. On menace de ne plus croire en Dieu ou de ne plus communiquer avec ces êtres invisibles s’ils n’aident pas à résoudre rapidement la situation.) ;
  • colère, révolte, rage, réclamation de vengeance… (contre celui ou ceux que l’on pense responsables de la situation ou qui serviront de bouc émissaire, ce qui se répercute négativement sur la santé) ;
  • plus ou moins grosse déprime, désespoir, sentiment d’impuissance, résignation, abandon de la lutte (on se sent vidé d’énergie, au bout du rouleau. On ne trouve plus de raison de vivre…) ;
  • « la vallée des larmes », plus ou moins profonde tristesse (on pleure sous le moindre prétexte. Sans le savoir, on se lave des émotions négatives qui ont impacté notre vie intérieure puis souvent notre santé).

Enfin, les étapes finales (qui permettent de résoudre la crise, de remonter la pente) :

  • l’acceptation, le lâcher-prise ou, mieux, l’accueil de la situation, en voyant celle-ci comme un moyen pour la conscience de progresser, de grandir, de s’élargir, de s’épanouir… ;
  • la reconstruction (on réorganise sa vie. On reprend contact avec les autres. On se découvre de nouvelles ressources, plus d’énergie et de force. On se connaît mieux qu’avant).

Et quels sont les meilleurs outils pour franchir les étapes ou directement passer aux dernières ?

Eh bien l’Amour inconditionnel, même envers les pauvres âmes qui seraient responsables de la situation ou y auraient participé plus ou moins volontairement, la Sagesse (notamment de reconnaître le chemin, la voie de résolution), la Volonté (de suivre ce chemin) et l’Intelligence (déployée pour le faire au mieux).

Application à la crise de la Covid-19

  • Choc initial : artificiel, sous l’influence des médias sans lesquels la pandémie serait passée relativement inaperçue, par le jeu combiné des confinements, du port du masque, de la distanciation, du rituel du lavage des mains et des fermetures économiques. Les pays qui n’ont pas recouru à ces mesures (Biélorussie, Tanzanie, et de nombreux autres pays, notamment en Afrique) n’ont pas vécu un tel choc ou l’ont vécu indirectement par leurs voisins (mais de manière alors atténuée).
  • Déni : refus de reconnaître la situation pour ce qu’elle est (essentiellement une crise artificielle d’origine humaine sous le prétexte de guerre contre un virus). Les pays qui n’ont pas joué le jeu du Nouvel Ordre Mondial (NOM) ou de l’OMS n’ont pas plus de morts en proportion.
  • Incompréhension, sentiment d’injustice (exacerbé par les mesures incohérentes et changeantes prises par les gouvernements des pays qui ont joué le jeu du NOM).
  • Marchandage et/ou chantage : s’imaginer qu’en se faisant vacciner on retrouvera l’état d’avant la crise, sachant que pourtant nos gouvernants nous ont maintes fois annoncé que nous allons vivre une nouvelle « normalité » (distanciation, port du masque, confinements, etc.).
  • Colère, révolte, rage, réclamation de vengeance… contre les élites ou les responsables politiques pour nous avoir plongés dans cette crise. Manifestations plus ou moins violentes. Haine contre les « moutons »…
  • Plus ou moins grosse déprime, désespoir, sentiment d’impuissance, résignation, abandon de la lutte : on se fait vacciner en désespoir de cause ; ou on ne fait rien à part ruminer des idées noires ou suicidaires.

Pour beaucoup d’êtres humains, il reste au moins à vivre la « la vallée des larmes », puis surtout :

  • l’acceptation, le lâcher-prise ou, mieux, l’accueil de la situation (en acceptant de voir les gens se faire vacciner, de devenir soi-même un paria ou un citoyen de seconde zone, voire un détenu en camp de concentration). L’acceptation et l’accueil de la situation critique ne signifient pas pour autant s’y soumettre, mais accueillir le défi qu’elle représente, l’opportunité de dépassement des limites qu’elle cherche à imposer, et même le dépassement de celles que nous nous étions nous-mêmes imposées, notamment par nos croyances. Nous ne pouvons pas relever un défi sans d’abord l’accepter. Nous ne pouvons pas franchir la porte sans d’abord avoir cherché la clef de la serrure, tourné la clef dans cette dernière, puis ouvert la porte. Cela part d’une démarche volontaire, intelligente et sage que l’on aimera entreprendre pour ce qu’elle permettra d’atteindre, pour le nouveau chemin qu’elle permettra de fouler, les vastes espaces qui seront ensuite explorés.
  • la reconstruction (en réorganisant sa vie dans le cadre de cette nouvelle situation imposée par les élites et les gouvernements grâce à la complicité des médias propagandistes, en découvrant de nouvelles ressources individuelles et collectives pour y faire face, en commençant par le niveau local, etc.).



« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

Par Alain Nicolaï, auteur du  Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)

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« Nous sommes en guerre. »

Macron le 16 mars 2020

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Aux naïfs qui ne se sont pas encore rendu compte que la politique de Macron et de son gouvernement(([1] Gouvernement dont il faut se demander si une partie n’est pas manipulée par Macron, de même que la plupart des députés LREM. Remarque : ce qui ne les excuse en aucun cas, puisque, en théorie, ils devraient avoir un cerveau.)), loin d’être incohérente, est en fait simplement l’exécution d’un plan machiavélique préparé de longue date par la finance (le banco-centralisme), certains milliardaires et les partisans du nouvel ordre mondial, il va être présenté dans cet article une suite d’informations cachées au grand public qui le prouvent abondamment. Il est très facile de le démontrer, puisqu’une grande partie des textes et des vidéos ci-dessous proviennent de leurs propres sources. 

Au cours de l’histoire de France on n’a jamais vu un gouvernement provoquer une dépression économique. Cette pandémie de Corona a commencé en janvier 2020, pourquoi ?  

Extrait de la conférence faite le 20/11/2020 à Berlin par Paul Schreyer, journaliste d’investigations :

On peut bien sûr se dire : il y a un virus qui apparaît, et voilà. Si nous restons dans l’explication officielle, et après, ça a suivi son cours. C’est arrivé comme le destin l’a voulu. Si nous supposons maintenant que cela ne s’est pas produit de manière aussi fatale, mais que cela a été dirigé par certains cercles, une sorte de gymnastique mentale, alors il n’est peut-être pas inintéressant d’éclaircir ce qui s’est passé en septembre 2019.

Parce que c’est à ce moment-là qu’un très gros tremblement de terre s’est produit sur les marchés boursiers. Je n’avais presque rien remarqué. A l’époque, j’y ai vaguement fait attention, c’était juste un petit événement, mais je n’avais pas suivi et ce n’est que maintenant, lors de la préparation de ma conférence, que je l’ai examiné de plus près.

Comme je l’ai déjà dit au début, je n’ai pas encore abordé ce sujet dans mon livre. Pour vous donner une idée de ce qui s’est réellement passé, je vais simplement vous montrer un court article de presse qui résume assez bien la situation. C’est un article de la « Zeit » (un journal allemand). Il a été publié en octobre 2019, et on y lit:

« Court-circuit dans le système financier. La Réserve fédérale américaine veut empêcher une défaillance totale du marché monétaire en injectant des milliards de dollars. À quel point la situation est-elle critique? »

Je vais vous lire les informations clés de l’article pour que vous compreniez ce qui se passait : « La crise est survenue du jour au lendemain. Les banques étaient à court d’argent. Les banques centrales ont injecté des centaines de milliards de dollars sur le marché monétaire, juste pour éviter le pire. Tout cela ressemble à l’apogée de la crise financière mondiale il y a onze ans — mais en fait, il s’agit de l’avant-dernier lundi. » Donc septembre 2019. « C’est à ce moment-là qu’une partie essentielle du système financier mondial était au bord de l’effondrement, et le public n’a quasiment rien remarqué. »

« Dans la nuit du 17 septembre, un certain taux d’intérêt (…) a grimpé sans prévenir : le taux qui s’applique aux banques qui veulent emprunter à court terme. Normalement, les banques sont approvisionnées en argent liquide pour un intérêt d’environ deux pour cent (…) Mais soudain, l’argent liquide y coûtait dix pour cent. (…) La dernière fois que les banquiers centraux ont dû intervenir sur marché Repo (le marché des pension) — c’est le nom de cette place financière —, c’était après la disparition de la banque d’investissement Lehman Brothers en 2008. À l’époque, la détresse de cette banque d’investissement avait déclenché un état d’urgence dans cette partie du système financier, ce qui avait presque conduit à l’effondrement de l’économie mondiale. »

J’ai trouvé cela très intéressant et je le trouve toujours très intéressant. J’ai donc essayé de vérifier ça, de jeter un coup d’œil sur les chiffres. Je suis allé sur le site de la Réserve fédérale, la Réserve fédérale américaine. Et là, j’ai trouvé le graphique suivant. (Min. 53.32 * graphique)

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec la finance et les chiffres, ne vous inquiétez pas, ce graphique n’est pas magique. Pas aussi compliqué qu’il n’y paraît à première vue. Je vais essayer de l’expliquer brièvement : Le graphique montre le « bilan », c’est-à-dire le total des actifs de la banque centrale.

On pourrait le traduire ainsi : Le graphique montre la quantité d’argent que la Réserve fédérale apporte à l’économie américaine. Alors, combien d’obligations d’État achète-t-elle, et combien d’obligations de sociétés achète-t-elle.

Cela signifie que la Réserve fédérale crée de l’argent et le met sur le marché pour compenser le fait que les banques ne se prêtent plus d’argent parce qu’elles ont perdu confiance. C’est ce qui se passe. On pourrait nommer cela également, de manière un peu simplifiée, la courbe de température de l’économie américaine. En fait, c’est excatement ça. (*Min. 54.21).

Commençons par la gauche. En 2008, avant la crise financière, la Réserve fédérale avait des actifs totaux d’environ un trillion, 1’000 milliards de dollars. Ça a doublé en quelques semaines, à l’automne 2008. Oui, pourquoi ça a doublé ? Parce que les banques ont arrêté de se prêter de l’argent entre elles. La confiance a disparu. Et c’est à ce moment-là que la banque centrale doit intervenir, sinon le système s’effondre. C’est ce qui s’est passé.

Ce qui est intéressant, c’est qu’il n’a pas été réduit, le niveau est resté le même au cours des années suivantes. En 2010, 2011, il a été augmenté. 12,13,14, il a encore été augmenté. Ensuite, il y a eu une phase de plateau de 2015 à fin 2017. Avec une phase de plateau très élevée, quatre mille milliards, donc quatre fois le niveau d’avant la crise. Si vous regardez cela avec le recul d’aujourd’hui, vous pouvez voir que cette bulle était gigantesque. Il est clair pour nous qu’une bulle aussi importante ne peut être maintenue éternellement. À un moment donné, il faut la dégonfler ou elle va éclater. Et c’est exactement ce que la Réserve fédérale a essayé de faire à la fin de 2017. Elle a décidé de dégonfler lentement et délibérément cette bulle de manière continue. Vendre des actifs et ainsi dégonfler l’argent du système à nouveau. Et ça a bien marché pendant deux ans. De fin 2017 à fin 2019 — et là, nous allons zoomer — vous pouvez le voir à nouveau. Comment, continuellement, donc mois après mois, la banque centrale essaie de dégonfler la bulle. Et les marchés ont joué le jeu. Les investisseurs l’ont accepté.

Et en septembre 2019, quelque chose s’est produit. Je ne sais pas quoi, je ne peux pas vous le dire. Mais le fait est que la confiance dans ce marché financier, dans ce « marché repo » s’est effondrée en septembre 2019. Et cela a conduit la banque centrale à devoir changer totalement de cap. Ce qu’elle avait fait pendant deux ans, elle a dû l’inverser complètement. Il fallait recommencer à acheter. Cela a donc été un choc pour cette banque. Et vous pouvez voir, ce pic ici, n’a rien à voir du tout avec la Corona. Nous sommes en janvier 2020, et puis en mars, c’est la montée dans l’ombre de la Corona. Mais ce qui se passe ici, en octobre, novembre et décembre 2019, n’a rien à voir avec la crise de la Corona. Mais c’est le même mouvement qui s’est intensifié par la suite.

Si vous regardez ça maintenant… Oh non … D’abord, je voudrais vous montrer un rapport de janvier 2020, un rapport du 16 janvier, c’est-à-dire avant même que la Corona ne devienne le grand sujet médiatique. Le journaliste du Handelsblatt Norbert Häring a écrit un article sur cette augmentation. Et il y écrit :

« La FED a justifié son intervention — de manière peu convaincante — par une erreur de calcul temporaire de sa part (…). Il ne faut en aucun cas en conclure que les banques ne se font plus confiance. La prétendue erreur de calcul est apparemment assez persistante. Quatre mois plus tard, les prêts d’urgence (…) sont toujours disponibles en quantités illimitées, et il n’y a pas de fin en vue. 

La FED garde secrets les noms des bénéficiaires des prêts afin de ne pas les marquer d’une réputation d’indigence. (…) 

Peut-être que le boom des marchés financiers alimenté par les banques centrales est dans sa phase finale avant l’effondrement. »

Norbert Häring

Permettez-moi de replacer cela dans un contexte temporel plus large. J’ai choisi un graphique des actifs totaux de la Réserve fédérale remontant non pas à 10 ans, mais à 100 ans. C’est le nombre d’années d’existence de cette banque. (Min. 57.45 graphique) Voilà, c’est cette courbe.

C’est fait là où vous voyez dans quelle mesure la Réserve fédérale est impliquée dans l’économie américaine. Et nous voyons — nous sommes ici en 2008 — la crise financière. La dernière fois qu’une crise de cette ampleur s’est produite, c’était lors de la Grande Dépression de 1930. Les valeurs jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale ont été lentement réduites après la guerre mondiale. C’est le niveau, c’est la gravité que nous avons atteinte avec la crise financière de 2008 et aussi avec la crise qui a éclaté à nouveau en septembre 2019. C’est la dimension dans laquelle nous nous trouvons, sur le plan fiscal.

L’Event 201, l’ultime simulation basée sur les Relations Publiques

En octobre 2019, l’exercice suivant était  » l’événement 201 « . Voici l’endroit, l’hôtel où cet exercice a eu lieu. Nous voyons un hôtel chic de Manhattan, sur la 5e avenue. Et là-bas, c’est Central Park. Oui, et si vous descendez un peu la rue, à quelques rues d’ici, vous trouverez la tour Trump. C’est donc la rue la plus chère de Manhattan ici. Et cet hôtel a ouvert en 1930, en pleine crise économique, avec l’argent des grandes banques de Wall Street.

Et l’architecture de cet attique s’est inspirée de la chapelle de Versailles, la splendeur baroque de Louis XIV. C’est dans cette splendeur que les banquiers de Wall Street qui l’ont financé voulaient vivre. Ils se voyaient un peu à ce même niveau. Oui, l’hôtel est toujours là aujourd’hui. Et c’est là, à New York, qu’a eu lieu l’exercice « Event 201 », au cours duquel une pandémie de coronavirus a été répétée.

Laissez-moi vous dire qui est assis à cette table, afin que vous puissiez vous faire une idée des personnes qui répétaient : voici le modérateur du Center for Health Security (min 59:32), à côté de lui se trouve Christopher Elias. Nous l’avons vu tout à l’heure, il fait partie de la Fondation Bill Gates et a été conseiller du gouvernement fédéral, comme nous l’avons appris tout à l’heure. À sa droite, le directeur du Centre de contrôle des maladies. Ici, c’est le chef de l’agence chinoise de contrôle des maladies. Ils ont également participé à cet exercice. Et puis le vice-président de Johnson & Johnson, la plus grande société pharmaceutique du monde en termes de valeur marchande. Et elle, c’est l’ancienne vice-présidente de la CIA, elle était aussi dans ce panel. Et le monsieur en face est le président de l’agence de relations publiques Edelmann, la plus grande agence des relations publiques au monde.

Lors de cette conférence, lors de cet exercice, comme je l’ai dit, une pandémie de coronavirus a été jouée, également en termes de relations publiques.

Il est dit dans les documents relatifs à cet exercice que « les gouvernements devront travailler avec les sociétés des médias pour rechercher et développer des approches plus sophistiquées pour contrer la désinformation. Il va donc falloir développer la capacité d’inonder les médias d’informations rapides, précises et cohérentes. (…) Pour leur part, la presse devrait s’engager à faire en sorte que les messages officiels soient prioritaires et que les faux messages soient supprimés, y compris par le biais de la technologie. » Et c’est exactement ce qui se passe en ce moment même.

Voici une autre photo de cette conférence ; nous voyons l’organisatrice ici, il s’agit de la directrice du Centre pour la sécurité sanitaire, Anita Cicero. Elle est avocate. Elle a œuvré, avant de travailler pour cet institut, pour un grand cabinet d’avocats en tant que lobbyiste pharmaceutique. Elle avait trois cents avocats sous ses ordres et ses interlocuteurs comprenaient des membres de la Commission européenne, des hommes politiques du Sénat américain, auxquels elle a fait valoir les intérêts de l’industrie pharmaceutique avant de devenir ensuite vice-directrice de ce centre et d’aider à organiser des exercices comme celui-ci.

Ce que je trouve très intéressant, c’est la présentation en haut à gauche de l’image, où l’on voit comment cette crise, qui a été fictivement mise en scène, est illustrée. Vous pouvez donc voir ici un graphique, les numéros de cas, comment ils se développent. Vous pouvez voir quels pays sont touchés dans quelle mesure, vous pouvez voir comment les cours boursiers évoluent au même moment, combien de décès il y a, projeté sur les mois suivants.

M Schreyer montre l’infographie présentée lors de l’Event 201 et sa ressemblance avec celles qui nous accompagnent depuis plus d’une année.

Voir la transcription intégrale de la conférence sur le site de Liliane Held Khawam.(([2] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/18/une-serie-de-simulations-de-pandemie-a-precede-la-crise-du-covid-19-partie-1-paul-schreyer/)) (([3] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/21/une-pandemie-qui-survient-au-lendemain-du-crash-du-marche-des-repo-suite-et-fin-de-la-traduction-de-la-conference-de-paul-schreyer/))

À notre connaissance le premier à avoir dénoncé la crise sanitaire comme étant une manœuvre de la haute finance est un trader italien Andreas Cecchi.(([4] Version italienne et française de l’article original en partie flouté par la censure, repris par Nouveau Monde https://nouveau-monde.ca/le-bon-virus-au-bon-moment/))

Voici un court extrait de son article publié dès le 12 mai 2020 qui résume bien la situation :

« Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards — estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé (en 2008). Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer.

Arrêter l’économie et donc la demande de prêts et inonder les banques de liquidités nouvelles semblait être la solution la moins dommageable. Au moins pour eux. Le slogan “tout ira bien” qu’ils ont mis dans la bouche des zombies sans tête, a servi à réitérer que tout ira bien pour eux, pas pour nous, et que pour l’instant, l’effondrement monétaire n’aura pas lieu, car ils ont arrêté l’économie en jetant tout le monde. Nous restons immobiles, immobiles dans un coin, comme dans une prison planétaire. En sauvant les REPO, les Hedge Funds et donc les fonds de pension ont également été sauvés. Pour l’instant, les retraités peuvent se reposer tranquillement. Leur pension est assurée. »


À ces manœuvres, s’ajoutent de multiples projets préparés de longue date, comme on le comprend facilement en lisant :
l’Agenda 2030 de l’ONU,(([5] Voir sur https://www.lilianeheldkhawam.com))
la déclaration de la Banque Européenne(([6] https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html))
ou celle de Klaus Schwab, Président fondateur du Forum Économique Mondial(([7] https://nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/ Ce qui se résume ainsi : pour le remboursement des dettes créer par votre gouvernement nous saisirons tous vos biens.)) 
qui convergent tous vers la prise de pouvoir qu’ils voudraient planétaire par la caste des fascistes.

La France est bloquée et privée de liberté depuis plus d’un an alors que Plus de 90 % des décès du Covid-19 surviennent chez les plus de 65 ans (lefigaro.fr)Il n’y a vraiment que les naïfs pour croire que derrière tout ceci il n’y a pas d’intentions cachées.

L’instrumentalisation de l’épidémie de Covid 19 rappelle les heures les plus sombres de l’histoire, avec la propagande nazie qui a fait d’une nation cultivée la victime d’un des plus grands criminels de l’histoire. Mais avec ce qui se passe actuellement en France et dans de nombreux pays, à l’exception notoire de la Fédération de Russie et de la République Populaire de Chine,(([8] La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ». — Nouveau Monde  États qui ne sont plus confinés et qui ont repris leur marche en avant.)) nous avons franchi un pas de plus dans l’abjection :
l’Union Européenne, les gouvernements et les chefs d’État qui trahissent leur propre population.

Pour couronner  le tout, la dernière de Macron, l’entrepreneur de démolition :

« Nous devons déconstruire notre propre histoire. »

(([9] https://www.nice-provence.info/2021/04/22/chronique-decomposition-francaise-le-retour-des-barbares/))


La devise de la République française est Liberté — Égalité  Fraternité,
pour être parfaite elle devrait être, Équité Liberté Objectivité,
car cela donne :

Équité + Liberté + Objectivité = Fraternité.

Le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider.

Certes Nicolas Sarkozy et François Hollande étaient des partisans du nouvel ordre mondial comme l’indiquent certaines de leurs déclarations… , mais dans les faits, le seul président qui a osé — dans le pays qui a proclamé le premier les Droits de l’homme — ouvertement briser le Pacte Républicain, est le dénommé Macron. Aussi il ne faudra pas qu’il s’étonne le jour où il en paiera le prix cash !!!!!


Notes




Le Signe de la Bête

[Source : Radio Québec]




[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]




Un célèbre psychiatre formé à Harvard appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID

Dr. Peter Breggin

[Source anglaise : LifeSiteNews ]

[Photo : Dr Peter Breggin]

Par Pete Baklinski

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie. »

Dr Peter Breggin

Un psychiatre de renommée mondiale formé à Harvard et auteur de dizaines d’articles scientifiques appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID-19 en raison de l’explosion des réactions indésirables et des milliers de décès chez ceux qui ont reçu la piqûre.

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie COVID-19 », a déclaré le Dr Peter Breggin, ancien consultant à l’Institut national de la santé mentale, à John-Henry Westen de LifeSiteNews cette semaine.

« Il est très clair maintenant que nous avons absolument besoin d’un moratoire à ce sujet. Ne le prenez pas [le vaccin]. Nous avons besoin d’un moratoire », a-t-il déclaré.

Les commentaires de Breggin interviennent alors que les autorités américaines et européennes révèlent que, depuis décembre, plus de 10 000 personnes sont décédées après avoir reçu un vaccin COVID-19 et des dizaines de milliers ont subi des «événements indésirables». Ses commentaires interviennent également dans le sillage des agences fédérales américaines arrêtant l’utilisation du vaccin COVID à injection unique Johnson & Johnson alors qu’elles enquêtent sur le lien possible du vaccin avec des caillots sanguins potentiellement dangereux. Le vaccin AstraZeneca a également été interrompu dans divers pays tels que le Danemark, la Norvège et l’Islande, tandis que l’Allemagne a limité son utilisation aux personnes de plus de 60 ans. Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont confirmé à Epoch Times aujourd’hui que 5800 Américains ont contracté le COVID-19 alors qu’ils étaient complètement vaccinés contre le virus, dont près de 400 qui ont nécessité une hospitalisation et 74 qui en sont décédés.

Breggin est un médecin spécialisé en santé mentale. Il s’est fait un nom dans ses efforts fructueux pour réformer le domaine de la santé mentale avec ses critiques des diagnostics psychiatriques et des drogues. Il est l’auteur de livres tels que Toxic Psychiatry, Talking Back to Prozac et Talking Back to Ritalin. Il a été salué comme la « conscience de la psychiatrie ». Son dernier livre s’intitule « Covid-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie ».

Dans son entretien avec LifeSiteNews, Breggin affirme que le COVID-19 a été utilisé par les élites mondiales comme « couverture » pour instaurer un nouvel ordre mondial – appelé par Klaus Shawb The Great Reset [La Grande Réinitialisation] – où les vaccins jouent un rôle essentiel dans le contrôle la population.

« Le problème scientifique est que quiconque prend le vaccin est le cobaye d’une expérience. Vous êtes un sujet expérimental et vous étiez prévu depuis des décennies pour être un sujet expérimental avec les vaccins », a-t-il déclaré.

Breggin a qualifié les vaccins de « hautement expérimentaux » et de « très dangereux », soulignant qu’ils n’ont même pas été testés sur les animaux. Les vaccins interfèrent « avec l’ARN de vos cellules », a-t-il déclaré. « Ils transforment l’ARN, qui est très étroitement lié à l’ADN, pour fabriquer des protéines que vos propres cellules peuvent ensuite attaquer – votre propre corps peut alors attaquer vos cellules T, vos anticorps. Je pourrais peut-être vous en parler plus en détail, mais je veux juste faire comprendre que c’est une chose très étrange.

Il a déclaré que le nombre croissant de décès qui ont suivi la réception du vaccin tel que rapporté par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) [Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins] du CDC ne représente probablement qu’une petite fraction du nombre réel de décès étant donné que la notification est volontaire et que de nombreux médecins choisissez de ne pas signaler car ils ne veulent pas être impliqués dans une poursuite pour faute professionnelle médicale.

« C’est une fraction des décès », a déclaré Breggin.

« Il est possible qu’au lieu de 2 000 décès actuellement aux États-Unis étroitement associés au vaccin, ce soit 20 000. Nous n’avons aucune idée. Cela pourrait être encore plus élevé. »

Le médecin a exposé ce qu’il a appelé « l’objectif politique » que servent les vaccins : obliger les gens à prendre les vaccins expérimentaux pour un virus dont la majorité des personnes infectées se rétablissent, c’est finalement «écraser l’esprit humain » et rendre les gens plus docile au « totalitarisme » et à un « autoritarisme lourd ».

« Tout l’objectif est d’accroître la docilité de la population. Et le totalitarisme, un autoritarisme lourd, écrase l’esprit humain », a-t-il dit.

Breggin a déclaré que derrière les mesures coercitives infligées aux populations au nom de leur protection contre le virus se cache le désir des mondialistes d’élite de « dominer les autres êtres humains ».

« Vous êtes l’objectif d’un réseau totalitaire de prédateurs mondiaux qui sont tous impies. Aucun d’eux ne croit en Dieu. Aucun d’eux ne croit au patriotisme. Aucun d’eux ne croit en l’Amérique. Aucun d’entre eux ne croit en la liberté », a-t-il déclaré.

Le médecin a déclaré que les élites mondiales veilleront à ce que les citoyens restent suffisamment écrasés pour qu’ils puissent atteindre leurs objectifs.

« C’est pourquoi lorsque vous prenez le vaccin, on vous dit que vous devez quand même continuer à vous isoler ou que vous devez porter un masque. Non, non! C’est parce que c’est sans fin. Et quand vous lirez mon livre, vous verrez que tout a été calculé pour produire la « grande réinitialisation », et ce qui au cœur de celle-ci est la destruction de la démocratie patriotique américaine. »




Ils osent tout… C’est même à ça qu’on les reconnaît !!!

Par Jean

Second communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire(([1] Premier communiqué :
http://www.profession-gendarme.com/les-peuples-et-les-etats-pietines-les-complotistes-ne-se-cachent-meme-plus/))

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Les comploteurs et leurs maîtres ont lancé à l’automne 2019 leur attaque qu’ils veulent définitive contre les Peuples et les Etats pour nous dissoudre dans la mondialisation. Les spadassins que l’on voit s’agiter sur les plateaux TV et dans la presse, ne sont que les mercenaires d’une caste composée de financiers et de milliardaires qui veulent nous contrôler et nous asservir. Leurs armes sont, les pouvoirs qu’ils détiennent, la peur du virus, et la vaccination. Ils sont dans l’obligation absolue de poursuivre leur plan sous peine de perdre la face. Pour cela, ils doivent, coûte que coûte, « ad infinitum » continuer à mettre la pression sur la population avec ce virus qui n’est qu’un prétexte amplifié par des médias subventionnés et des journalistes, dont la plupart sont au-dessous de tout. Toute cette clique entretient depuis plus d’un an la terreur sanitaire, le plus souvent avec des mensonges, des omissions, et des manipulations les plus grossières(([2] Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir) Une preuve irréfutable d’une manipulation à grande échelle.)). Le confinement perpétuel est indispensable à ceux qui tirent les ficelles, c’est pour cela qu’ils vont prolonger l’état d’urgence et serrer de plus en plus la vis. Notamment pour bloquer les instances judiciaires afin d’éviter une cascade de procès qui risque de leur être fatal(([3] https://nouveau-monde.ca/la-bataille-judiciaire-bat-son-plein-refere-contre-les-confinements-et-couvre-feux/)), ou, par exemple, quand ceci va être déposé dans un tribunal international honnête(([4] https://nouveau-monde.ca/maitre-carlo-brusa-devoile-toute-la-supercherie-du-covid/)).

Selon eux il n’existe qu’une seule solution pour nous sortir de la crise covidienne, la « vaccination(([5] https://nouveau-monde.ca/oui-les-vaccins-sont-experimentaux-contrairement-a-ce-que-lafp-et-j-mansour-affirment-dans-leur-fast-check/)) (([6] https://www.cielvoile.fr/2021/03/l-ancien-vice-president-de-pfizer-a-l-aflds-il-est-tout-a-fait-possible-que-cela-soit-utilise-pour-une-depopulation-a-grande-echelle)) (([7] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/?fbclid=IwAR3n_IBxCm1Ah_LrRIyfHR8SEm3V9i6LUP5UMnB4alws3ts80YgQYRKQEEs#.YBHxv9OnByY.facebook)) (([8] https://nouveau-monde.ca/il-denonce-la-fausse-pandemie-orchestree-par-bill-gates/)), alors qu’il est maintenant abondamment prouvé qu’il existe des traitements très efficaces et à bas coûts. Par exemple : l’ivermectine(([9] https://planetes360.fr/dr-tess-lawrie-avis-aux-populations-du-monde-entier-livermectine-fonctionne/)) et le protocole Raoult avec son hydroxychloroquine qui a fait ses preuves notamment en Afrique. Mais ces solutions ne sont pas leur solution, vous comprenez ? Eux, ce qu’ils cherchent à tout prix avec l’alibi de la « vaccination », c’est d’injecter dans votre corps des composants qui n’ont rien à y faire.

Ce qui est le plus clair et le plus manifeste dans cette kabbale c’est que le dialogue n’existe plus depuis longtemps, seul subsiste les décisions autoritaires prises unilatéralement par un pouvoir qui est maintenant devenu ainsi, peu à peu, une dictature totalitaire. Ce pouvoir cherche à régenter entièrement nos vies. Ses décisions nous sont quasiment imposées par un pilonnage médiatique incessant. Malheur à ceux qui écoutent toute la journée BFMTV, dont son directeur Marc-Olivier Fogiel a osé dire « Dès qu’on a entendu ce que racontaient les rassuristes, on a fait en sorte de ne jamais plus les inviter. Nous sommes très vigilants sur cette crise pour éviter les fake news. »

Voyons un peu ce que ce sordide personnage considère comme étant une fake news, une seule info suffira : https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/

Une paille, ce qui fait une moyenne de plus de 300 médecins par département !!!!! Fogiel n’est assurément pas un démocrate, toute cette engeance est du même tonneau.

Ceux d’entre nous qui ne se sont pas encore rendu compte que la quasi-totalité des informations objectives et vraiment nécessaires sont en fait censurés, devraient commencer dès maintenant à sérieusement réfléchir

Peter de Berlin : Quelque chose se passe sous nos yeux, mais nous ne le voyons pas ! — PLANETES360

Le confinement dans la caverne, une méthode qui a fait déjà fait ses preuves dans le passé pour préparer et faire démarrer les pires guerres qu’a connu l’humanité.

Dans le plan initial, Klaus Schwab le président fondateur du Forum de Davos (Forum Économique Mondial), misant sur un virus nettement plus violent et mortel, avait prévu un lockstep total sur l’ensemble de la planète. C’est-à-dire plus personne dans les rues. Tous les pays devaient être confinés et rester confinés en permanence, avec masques comme une muselière à perpétuité pour les gueux. Ceci est confirmé par le sinistre polonais de la santé(([10] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/04/09/comme-attali-et-schwab-le-ministre-polonais-de-la-sante-promet-des-decennies-de-tyrannie-sanitaire/)) qui ne doute de rien. Heureusement pour nous, le virus à fait pschitt… et maintenant ils se retrouvent fort démunis, puisqu’entre autres, la Chine, depuis septembre 2020(([11] http://www.amb-chine.fr/fra/zgzfg/t1817634.htm , 22 septembre 2020, Conférence de presse de Lu Shaye, Ambassadeur de Chine en France.)), la Russie, la Turquie, plusieurs états américains … ont levé les restrictions sanitaires et ont donc remis en route leur économie. Vladimir Poutine leur faisant, en prime, l’affront de botter le cul du président Schwab en plein Forum virtuel du Davos 2021(([12] https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/)), une info, comme beaucoup d’autres, que l’on se garde bien de vous transmettre, et une déculottée cuisante qui les a certainement mis en fureur.

Ne pouvant plus faire marche arrière, malgré que le bateau fuit de toute part, ils continuent obstinément leur sinistre plan comme les créatures pitoyables qu’ils sont, mais d’une manière ou d’une autre ils sont faits comme des rats… ce n’est qu’une question de temps.


La suppression envisagée de l’ENA (École Nationale d’Administration) est un signe fort qui doit montrer clairement aux aveugles que Macron a bien choisi de trahir son pays et sa population pour donner le plein pouvoir sur nos vies et celles de nos enfants au cartel du Nouvel Ordre Mondial.


Ne vivez plus dans la peur, ne soyez plus des êtres passifs, réagissez, venez respirez l’air du large…(([13] TEASER – Vers un Grand Reset national anti-Davos ? — Avec Valérie Bugault))
La peur va changer de camps, bientôt nous les submergerons.


Notes




Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?

[Source : ⚡️ BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME (geopolitique-profonde.com)]

BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME

Par Marc Gabriel Draghi

Depuis quelques semaines, le bitcoin ne cesse d’affoler les compteurs. La valeur de la cryptomonnaie la plus célèbre du monde a même dépassé les 60 000 dollars au cours du mois de mars 2021, du jamais-vu dans l’histoire récente des cryptomonnaies. 

Le succès du Bitcoin

Cette tendance favorable peut s’expliquer par plusieurs facteurs : tout d’abord, la crise sanitaire et les différents plans de relance à travers le monde et ensuite l’arrivée d’investisseurs qualifiés de « traditionnels ». L’extrême volatilité de la crypto de Nakamoto, ne semble donc plus décourager les investisseurs. Certains même n’hésitent pas à parler d’or digital ou encore d’étalon Bitcoin.

La comparaison entre l’actif numérique et l’or en matière de référence de valeur est de plus en plus entendue dans le monde de l’investissement.

Cette frénésie actuelle autour du bitcoin des grands acteurs « institutionnels » a débuté de manière significative avec l’année 2020 et l’instauration progressive de la crise sanitaire.

La société américaine PayPal (l’hégémonique plateforme de service de paiement en ligne) autorise désormais les paiements en bitcoin sur sa plateforme. Ce qui représente une consécration pour la plus célèbre des cryptos.

Ensuite, le discours de la fin d’année 2020, de Larry Fink, patron de BlackRock, a également acté le poids croissant du bitcoin et son intérêt pour le plus gros gestionnaire d’actifs au monde comme monnaie alternative au dollar…

Ainsi, le 20 janvier 2021, l’ancienne filiale de Blackstone, premier gestionnaire d’actifs mondial a officiellement inclus des produits dérivés du bitcoin dans la liste des actifs éligibles à deux de ses fonds d’investissement.

Enfin, le très médiatique et iconique patron de Tesla, Elon Musk, a de son côté, carrément fait grimper le cours du cryptoactif de 33 % en février 2021 quand il a fait l’acquisition de plus de 1.5 milliard de Bitcoin et qu’il a communiqué sur cette initiative.

On constate donc qu’au cours de l’année 2020 et en ce premier semestre 2021, il s’est véritablement passé quelque chose (en tout cas politiquement et stratégiquement) autour du bitcoin. Cependant, ce succès et cette tendance soulèvent évidemment plusieurs questions.

Bitcoin et alt season en bulle
Cette pièce existe-elle vraiment ?

Cryptomonnaies et Great Reset

En effet, alors que nous avons entamé une phase extraordinaire de décroissance programmée (le fameux Great Reset), on constate depuis quelques mois une recrudescence d’attention vers les cryptomonnaies. Dans ce contexte particulier (pré-effondrement), les cryptomonnaies (plus particulièrement le bitcoin) sont en train d’être présentées comme la solution numéro 1 au péril financier qui se dresse devant nous.

Mais n’en déplaise à certains, les comportements « médiatiques » de BlackRock et Musk qui n’hésitent pas à clamer haut et fort leurs investissements sur le bitcoin semblent davantage s’apparenter à des tentatives de manipulation de marchés, plutôt qu’à une exclamation de joie désintéressée. Et à y regarder de plus près, il semble bien que ce soient les grands acteurs financiers et leurs échos médiatiques qui font concrètement le jeu des cryptomonnaies et du bitcoin en particulier.

N’oublions pas que depuis presque une décennie les médias nous expliquent à longueur de journée que le bitcoin est un succès et qu’il existe un engouement. Dans le même temps, les grands acteurs du monde financier n’ont eu de cesse de souffler le chaud et le froid sur ce cryptoactif. Et au final, ils ont participé à cette promotion de manière avérée (principe du bad et good buzz). Plusieurs exemples d’articles de journaux comme Les ÉchosLa Dépêche ou France Tv Info, peuvent nous permettre de justifier cet argument.

Et si le succès du Bitcoin est indéniable, l’engouement actuel (fabriqué) autour de cette cryptomonnaie ne doit rien au hasard, car les politiques de surliquidités des banques centrales et l’inflation qui arrivent à grands pas ont tout fait pour rompre la confiance qu’ont les investisseurs dans les actifs et devises traditionnels. Chacun cherche désormais à protéger son épargne et sortir le plus possible son capital du système financier mondial agonisant et sous perfusion.

Et il n’est pas impossible que les cryptodevises, qui sont donc de plus en plus présentées (presque officiellement) comme des actifs crédibles face aux périls de notre système financier moribond, fassent en réalité partie du piège…

La valeur du bitcoin

Car même si a priori le bitcoin peut paraître séduisant, plusieurs caractéristiques et signes peuvent nous permettre de douter légitimement face à cette technologie numérique.

Tout d’abord, le bitcoin a connu un succès rapide après sa création, le 31 octobre 2008. En effet, seulement de 2 ans après son lancement, le site Wikileaks acceptait les dons en bitcoin, lui conférant un nouveau statut d’outil libertaire.

C’est à cette occasion que le grand public prît connaissance de l’émergence d’une cryptomonnaie qui était encore jusque-là très confidentielle (principalement connue des geeks américains). À partir de cet évènement, plusieurs projets de cryptomonnaies et blockchain commencèrent à voir le jour dans la foulée de ce succès.

Le 10 juin 2011, le bitcoin se situait déjà aux alentours de 28 euros et moins de deux ans après (des corrections sont intervenues entre temps) le cours avait atteint les 287 euros en avril 2013, puis les 1240 dollars à la fin de cette même année. L’or digital était donc lancé !

Certes à un moment où les grandes banques centrales ont commencé à faire fonctionner la planche à billets (politiques de QE), on peut comprendre qu’une monnaie émise de pair à pair, qui ne nécessite pas de banque centrale et qui est utilisable au moyen d’un réseau informatique décentralisé, a de quoi faire rêver les plus dissidents et retors d’entre nous…

Cette technologie qui utilise les principes de la cryptographie et associe l’utilisateur aux processus d’émission et de règlement des transactions a forcément l’apparence d’un véritable outil démocratique, à une époque où la contrainte et la surveillance généralisée sont grandissantes.

Mais malheureusement pour nous, les cryptomonnaies et les systèmes de Blockchain sont en vérité des illusions, pour ne pas dire purement et simplement des escroqueries à plus ou moins long terme.

Là où l’on devrait ramener nos systèmes économiques et financiers vers un peu de concret et les faire pencher davantage vers le travail véritable (création de valeur ajoutée), cette technologie nous pousse en réalité vers une fuite en avant en direction de la numérisation et la virtualisation du monde.

De ce constat, on peut en conclure que le mécanisme financier du bitcoin est d’ailleurs simple : une performance exceptionnelle qui ne repose sur rien !

Certains m’opposeront l’argument que la valeur du bitcoin repose au contraire, sur la technologie Blockchain, qui semble être une révolution technologique à elle seule, mais nous répondrons à cet argument un peu plus tard, quand nous évoquerons sa fiabilité et le rôle de la fonction de hachage SHA-256.

En réalité le problème principal et donc de fond du bitcoin (et des cryptomonnaies en général) repose sur leur nature même.

À l’inverse de l’or (à qui il est comparé actuellement), le bitcoin n’a évidemment pas de valeur intrinsèque et sa reconnaissance n’est pas universelle. De plus, de manière encore plus concrète l’accès à un bitcoin nécessite de l’électricité, une connexion internet, une plateforme d’exchange pour en acquérir, une wallet, un code d’accès à celle-ci, etc. ce qui ne facilite pas son « universalisation ». On peut donc d’ores et déjà indiquer objectivement que ce n’est pas simple de « posséder » un Bitcoin, à la différence d’une pièce d’argent métal que l’on a dans la proche.

De même, ces « cryptos » que l’on qualifie abusivement de monnaies ne sont en aucun cas des monnaies au sens légal du terme. Il serait même plus approprié d’utiliser les termes cryptoactifs, car ces « coins » (pièces de monnaie numériques en français) s’apparentent davantage à des actions, produits obligataires … qu’à une véritable monnaie. De plus, même celles qui se disent éthiques et vertueuses sont uniquement créées pour la spéculation. Le terme monnaie accolé à « crypto » vise d’ailleurs à subvertir le concept de monnaie et à habituer le grand public à cette conception viciée de l’objet monétaire.

En réalité, ce que certains qualifient de cryptomonnaie (comme le bitcoin) ne possède pas du tout l’ensemble des caractères fonctionnels d’une convention (un accord de volonté conclu entre des personnes pour créer, modifier, éteindre, ou transférer des obligations). En aucun lorsque vous possédez un Bitcoin, vous êtes face à la dimension d’une norme impérative (règle de droit à laquelle personne ne peut déroger). Nous ne sommes donc pas en présence d’un objet monétaire au sens légal du terme.

C’est cette absence de caractère conventionnel/légal des cryptomonnaies qui explique le fait qu’il est très compliqué d’acheter son pain et de payer ses impôts en bitcoin, même si certains acteurs sont désormais favorables à cet outil.

De surcroît l’extrême volatilité du bitcoin ne permet pas non plus d’affirmer qu’il pourrait être une unité de mesure.

Concrètement et pour ne pas tourner autour du pot, le Bitcoin est en réalité un gigantesque schéma de Ponzi qui ne repose que sur la confiance d’une communauté.

D’ailleurs la notion de communauté est primordiale dans la plupart des projets de cryptomonnaies. Pour la quasi-totalité des cas, il faut simplement que les investisseurs continuent à remplir le gouffre, jusqu’à ce que la musique stoppe. Le transfert de richesse est réalisé au final quasiment à sens unique (vers celui qui a produit le token : jeton d’authentification et qui a fait la levée de fonds / ICO). C’est -à-dire celui qui a vendu un produit qui possède une valeur réelle proche de zéro.

Au regret de perturber les investisseurs naïfs, il n’y a malheureusement aucune réalité économique ou financière derrière les cryptomonnaies actuelles : seulement une valeur de convenance entre parties. La valeur de l’actif réside simplement dans la croyance de celui qui va acheter cette cryptodevise. Certes, comme à la roulette ou à une partie de poker, il peut vous arriver de gagner, mais au final c’est toujours le Casino qui remporte la partie sur le long terme. Le véritable gagnant (celui qui s’enrichit) est celui qui a son nom sur le jeton…

Et vous imaginez bien que si le Bitcoin (qui est la cryptomonnaie de référence) est un Ponzi, ces semblables (qui sont automatiquement de moins bonnes qualités pour plusieurs raisons que l’on va détailler), sont elles aussi des fraudes à plus ou moins grande échelle.

Mais alors qu’est-ce qui permet de dire qu’une cryptomonnaie (et en particulier le Bitcoin) est un Ponzi numérique sophistiqué?

Le premier argument est un argument de bon sens, mais il est fondamental de le présenter, car chaque citoyen mature politiquement devrait comprendre ce constat simple lié à l’observation et à la réflexion sur la question monétaire.

Cet argument consiste à répéter que cette monnaie virtuelle n’a aucune valeur intrinsèque (en elle-même), et qu’elle ne vaut fondamentalement rien sur le temps long. Mais alors quelle différence les monnaies fiat actuelles ont-elles avec le Bitcoin, me direz-vous ?

Le billet imprimé par la BCE ou le dollar de la Réserve fédérale sont fondamentalement dans la même situation, selon plusieurs adeptes de cryptos.

Mais en réalité, pas tout à fait (voire même pas du tout), puisque nos monnaies fiat modernes reposent quand même (et ce n’est pas rien) sur une garantie de la banque centrale et surtout de la nation (communauté de producteurs) qui a choisi cette monnaie pour ses échanges.

Et même si pour les monnaies fiat créées ex nihilo (depuis les accords des changes flottants 1971 et de la Jamaïque 1976) nous sommes également en présence d’une fraude (Argent-Dette), celle-ci est bien plus complexe et elle ne repose pas totalement sur rien. La valeur d’une monnaie fiat repose quand même sur le droit, une obligation, donc l’État et en définitive la force (monopole de la violence physique légitime comme le disait le sociologue Max Weber) ce qui n’est pas rien et ce qui est encore concret (demandez aux Gilets jaunes).

Cette démonstration peut également s’appliquer au dollar, qui au niveau mondial, reste encore la monnaie internationale de référence, non pas parce que l’économie US est la plus productive), mais parce que l’ensemble des nations du monde redoutent le complexe militaro-industriel américain (la force) qui pèse encore très lourd dans la géopolitique mondiale. Un autre facteur (sa grande liquidité sur le marché international des devises) permet également de justifier la conservation de son statut. Il existe donc une gradation dans entre ces deux escroqueries qui résident en particulier sur la notion de garantie (qui est tout de même un aspect fondamental).

En effet, quelqu’un qui vous vend une Twingo dans un garage en vous faisant croire que c’est une Mercedes ne commet pas le même méfait que celui qui vous vend une photo de Mercedes sur internet, en vous faisant croire qu’il vous vend la voiture… Dans le premier cas, vous aurez davantage de chance de vous déplacer à 50km/h sans produire un effort physique énorme…

Plus concrètement, le jour où vous ne pouvez plus acheter/vendre/posséder de bitcoin, personne ne sera responsable. Par contre le jour où il n’y a plus de monnaie, plus d’accès au compte en banque, les responsables existent et vous pourrez toujours aller en chercher certains et leur demander des comptes… Ce qui semble beaucoup plus difficile à faire avec le cas de l’ectoplasme nippon…

Bitcoin et altcoin : comment investir ?

Qu’est-ce qu’une monnaie ?

C’est d’ailleurs tout l’intérêt que pose la question du Bitcoin et des cryptomonnaies. En réalité, les actifs numériques nous interrogent sur le rôle de la monnaie elle-même.

Il y a quelques semaines, lors d’un échange avec l’excellent Dr Louis Fouché du collectif RéinfoCovid et l’universitaire spécialiste de l’histoire de la monnaie Jean-Michel Servet, nous avons essayé d’apporter des réponses à cette question, à l’invitation de la plateforme de débat « Prenez Place ».

Dans ce débat, il a été avancé par mes contradicteurs (Fouché-Servet) un élément pertinent indiquant que : « la monnaie était vraisemblablement un outil qui avait pris différentes formes à travers l’histoire ». Et cette forme pouvait, selon eux, « varier en fonction de l’époque, mais qu’il existait cependant une constante notamment le fait que l’objet-monnaie reflétait presque toujours le zénith (technique ou technologique) de ce qu’une communauté d’individu savait produire ou échanger »

Cette analyse est très intéressante, car elle est au cœur de la question monétaire moderne et des interrogations relatives au cas du bitcoin en particulier. Car nous sommes bien avec le Bitcoin et la Blockchain face à un outil technologique très avancé.

Malheureusement pour moi, cette vision énoncée dans le débat n’a pas pu faire l’objet d’une réponse développée et argumentée de ma part en raison des contraintes de temps inhérentes à ce genre d’exercice (débat entre 4 personnes sur des questions précises, en l’occurrence la notion de commun).

Par cet article sur le Bitcoin et la Blockchain, il me paraît donc essentiel d’apporter une précision sur la notion d’objet monétaire.

Ainsi, dans cette vidéo de l’Acte 1 de Prenez Place, comme dans mon livre d’ailleurs, j’ai tenté d’expliquer que l’outil monétaire possédait plusieurs facettes que je synthétise pour ma part avec cette définition relativement simple et ancienne qui consiste à dire que : la monnaie au sens classique du terme, est le morceau de métal précieux produit en série et estampillé par la cité.

Et même si le côté métallique de la monnaie est désormais officiellement désuet, on retrouve dans cette définition historique, de manière implicite, les fonctions essentielles de l’objet monnaie (à savoir être une réserve de valeur, un intermédiaire/ moyen d’échange, une unité de mesure, mais surtout une marque de souveraineté : une norme impérative de droit).

Et pour se faire un avis sur le Bitcoin, les monnaies numériques, mais aussi sur nos « bouts de papier » et cartes bleues actuels (les monnaies fiat et scripturales), il est primordial d’avoir cette ancienne conception de la monnaie dans un coin de notre tête.

Pour faire le lien directement avec le Bitcoin et la cryptomonnaie, on peut déjà dire que l’Euro ou le Dollar, qui sont encore émis par les banquiers centraux, ont au moins encore (plus pour très longtemps) le mérite (par rapport au bitcoin) d’être un morceau de papier qui reste difficile à reproduire par une entité qui ne dispose pas du droit de le faire. Et quand il est dans votre main ou dans votre poche, il reste assez difficile à faire disparaître…

Contrairement à ce que m’a opposé le Dr Fouché (disciple du penseur Jacques Ellul) l’outil par essence est bien neutre. C’est la technique qui, elle, peut, ne pas être neutre. Il est donc important de ne pas faire l’amalgame entre les notions d’outils, d’objets techniques ou encore de fonction d’usage et d’action complémentaire. Pour l’outil monétaire, il n’existe évidemment pas d’intention intrinsèque particulière à l’outil. La monnaie sert d’abord à mesurer et échanger des biens. L’usage pour la quasi-totalité des outils (les plus basiques : ne nécessitant pas de technique spécifique) est totalement neutre. Par exemple pour une hache, sa fonction d’usage est de couper (du bois ou autre chose) et pour un marteau c’est d’enfoncer/écraser. Cette conception de neutralité de l’outil se retrouve dans les analyses et observations d’Aristote dans la plupart de ses ouvrages (Éthique à Nicomaque, la Politique, Économie, etc.) Ainsi, pour ne pas se perdre dans la question monétaire, il est donc important de ne pas sur interpréter la notion de fonction d’usage d’un outil.

Cependant l’argument du docteur Fouché est néanmoins juste lorsqu’il s’agit d’un outil technique numérique ou en réalité la donnée (la data), l’information est l’élément essentiel de la technologie. Contrairement à ce que l’on pourrait croire de manière intuitive, une Kalachnikov n’a en réalité pas pour fonction première de tuer, elle est d’abord construite pour tirer des balles efficacement, et rien n’empêche son utilisateur de tirer en l’air, sur une cible, ou dans les jambes… Sa fonction extensive (complémentaire) est évidemment de tuer, mais elle n’est pas dans l’ADN premier de cet outil (malgré les apparences). C’est l’entraînement (la technique) qui permettra à l’usager (le tireur) de parachever son intention. Pour la monnaie en réalité c’est la même chose.

La monnaie en tant qu’outil n’est ni bonne ni mauvaise. C’est son utilisation (comme pour la hache qui peut couper du bois ou des têtes) qui induit sa finalité d’usage.

Comme je l’ai brièvement évoqué dans le débat, en termes de réflexion économique, il est donc nécessaire de partir de ce postulat (neutralité de l’objet monnaie) et de retenir qu’il existe deux conceptions monétaires opposées (les autres n’étant que des subdivisions de ces 2 catégories) :

– La première, celle d’Aristote (la bonne) consiste à considérer la monnaie comme un instrument de mesure, un intermédiaire et la norme supérieure organisant le bien commun, c’est-à-dire un moyen d’échange qui vise à échanger des biens (valeur ajoutée, richesses : récompense du travail) dans l’intérêt d’une collectivité (société) et en vue de la consolidation du bien commun.

– Puis, la seconde, celle de Jacques Attali et ses pantalons à une jambe par exemple, voit l’Argent (la monnaie) comme la finalité de l’échange (bien en lui-même). Ce qui compte c’est « d’être riche », que ça rapporte beaucoup, qu’il existe « un retour sur investissement maximal ».

Cette conception (celle de notre temps) sacralise l’appât du gain, la chasse aux profits et l’objet monétaire en lui-même. Celle-ci est en réalité la matrice monétaire de notre époque moderne. Mais elle est aussi en définitive la conception proposée par le bitcoin qui est seulement un actif spéculatif. Il y a dans le bitcoin, une adoration d’un objet vide de valeur réelle, qui est encore bien plus dangereux que la célèbre auri sacra fames (maudite soif de l’or).

L’or baisse : le Bitcoin monte

D’ailleurs, ceux qui adoptent la conception aristotélicienne se rapprochent souvent de solutions monétaires liées à l’argent métal ou à l’or, car bien qu’étant improductifs, ces actifs sont des étalons de valeur neutres (personne ne les créés), concrets et difficilement manipulables quand il s’agit d’or et d’argent physique.

Cependant dans cette période de troubles financiers, contre toute attente, l’or depuis quelques mois (la rentrée 2020) baisse, alors que le bitcoin lui a continué son ascension de manière considérable. Mais alors comment peut-on expliquer cet état de fait ?

Nous le savons, le marché de l’or est manipulé depuis des décennies, pour ne pas dire des siècles désormais. Le simple fait de s’intéresser au « fixing » du prix du métal jaune suffit à valider l’argument.

Ces manipulations du cours de l’or (mais aussi de l’argent) sont la conséquence des comportements des grandes banques internationales, des démonétisations officielles et successives de l’argent (fin du XIXe) et celle de l’or (1971-76) et de la création du marché de l’or et de l’argent papier (certains ETF).

Face à ce contexte de baisse (correction) du métal jaune, réputé comme l’actif anti-fragile par excellence, le bitcoin tend à être vendu et imposé dans la sphère médiatique comme une nouvelle valeur refuge, au même titre que la relique barbare (l’or) dans cette période de grande instabilité financière.

Géopolitique de l'Or
Les banques centrales ont-elles du Bitcoin ?

Les origines du Bitcoin

Mais pour poursuivre notre critique de fond, nous pouvons affirmer que la structuration/conception du bitcoin pose elle-même question. La source de la crypto/blockchain la plus célèbre est réellement et fondamentalement problématique.

Pour commencer, le créateur de la première blockchain : le bitcoin, est un parfait inconnu. Ainsi, selon le peu d’informations dont nous disposons, ce monsieur se nommerait Satoshi Nakamoto.

Cet individu de nationalité japonaise serait un mathématicien, programmeur, cryptographe et révolutionnaire dans l’âme, et nous aurait même donné sa date de naissance exacte le 5 avril 1975. Cependant, à l’heure actuelle, il est tout simplement impossible de savoir s’il s’agit bien d’une seule personne ou au contraire d’un groupe de personnes. Ce Nakamoto qui n’a jamais donné aucun signe de vie et n’a jamais prouvé son existence est également le créateur du forum bitcointalk (communauté).

Selon la légende officielle, il posséderait quand même plus d’un million de bitcoins comme l’indique le site businessinder et en décembre 2017, sa fortune était déjà estimée à 19,4 milliards de dollars…

D’ailleurs, dans un dernier message public de la fin de l’année 2010, Nakamoto aurait cessé d’être actif et aurait quitté le projet Bitcoin, pour passer à autre chose…

Il aurait donc confié le « bébé » à un certain Gavin Andresen (américain) développeur en chef du bitcoin, travaillant à créer selon ses propres termes une « monnaie pour l’Internet » sécurisée et stable. Ce dernier est d’ailleurs diplômé de Princeton (université de l’Yvy League) et serait même allé présenter le projet dans les bureaux de la CIA comme il l’a déclaré dans un tweet étrange de juin 2011.

Gavin Andresen, le bitcoin et la CIA

À la tête de la fondation Bitcoin jusqu’en 2017, il a ensuite rejoint le projet BitcoinCash (une cryptomonnaie issue du Bitcoin) par la suite. Évidemment cet étrange mystère autour du « créateur » a pour conséquence d’énormes spéculations sur l’identité de Nakamoto. D’ailleurs son origine nipponne est même sérieusement remise en cause par la qualité de son anglais et l’absence totale de publications en japonais…

La Blockchain et la NSA

Mais ce n’est pas tout, une hypothèse pas totalement farfelue fait de Satoshi Nakamoto une création de la National Security Agency (renseignement américain). Le japonais serait donc un personnage fictif présenté au grand public par l’agence de renseignement américaine, ou au moins une personne travaillant pour elle. « Absurde théorie du complot ! » diront certains adeptes de la très subventionnée « conspiracywatch », mais quand on connaît les origines (pourtant officielles) de la « crypto-currency », l’hypothèse est loin d’être surréaliste.

Concrètement, il est tout aussi crédible de dire que le créateur du bitcoin est la NSA que d’affirmer vigoureusement que Nakomoto est une vraie personne.

D’ailleurs, bien avant la création du bitcoin, un document intitulé : « How to make a mint : The cryptography of anonymous electronic cash » publié en 1997, détaille étrangement la structure et la fonction de la monnaie virtuelle.

Et l’auteur de ce petit document se trouve être le Bureau de la recherche et de la technologie de la sécurité de l’information de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA).

En définitive, par l’intermédiaire de ce document, l’agence de renseignement américaine a donc réellement détaillé la structure future des cryptomonnaies, bien avant la fin de l’année 2008. En réalité le Bitcoin a réussi là où le concept de b-money, imaginé par Wei Dai en 1999, et le bitgold, de Nick Szabo en 2005 ont échoué.

Une grande partie du protocole de la monnaie virtuelle est même détaillée dans le document cité ci-dessus, y compris les techniques d’authentification des signatures, l’élimination des contrefaçons de cryptocoin par l’authentification des transactions et plusieurs caractéristiques qui permettent l’anonymat et l’impossibilité de retracer les transactions. Le document souligne aussi le risque important de blanchiment d’argent qui peut être aisément réalisé avec cet actif numérique.

La date officielle de création du Bitcoin (31 octobre 2008) en pleine crise financière des Subprimes et son succès en pleine défiance du grand public envers le monde de la finance (le mouvement OccupyWall Street lancée en 2011) sont également étranges.

Évidemment, le lien entre la NSA et la technologie de la blockchain ne s’arrête pas à la rédaction d’un document technique sur la cryptomonnaie.

L’agence de renseignement américaine est surtout le créateur du hash SHA-256 dont dépendent toutes les transactions Bitcoin et des autres cryptomonnaies (toutes basées sur ce système) dans le monde.

Ainsi, l’intégrité du bitcoin dépend d’une fonction de hachage appelée SHA-256, qui a été conçue, développée par la NSA et publiée par le National Institute for Standards and Technology.

Contrairement à ce qu’avancent les adeptes du bitcoin, la Blockchain (comme tout support numérique) n’est pas inviolable. En effet, comme l’a expliqué un spécialiste en cryptographie Matthew D. Green de l’Université John Hopkins, il n’est pas impossible de prendre le contrôle du réseau.

Néanmoins selon lui, pour arriver à cela il faudrait procéder rapidement sur le SHA-256, avec de gros moyens techniques et des actions crédibles et détectable pour falsifier les transactions. Officiellement, cela n’est jamais arrivé et il faudrait une grosse structure (un service de renseignement ?) pour réussir à réaliser cette opération.

Ainsi, comme tout outil numérique la blockchain est manipulable et il serait donc possible de falsifier les transactions si le hachage SHA-256 développé par la NSA disposait d’une méthode détournée pour déchiffrer le cryptage.

Il est à noter que jusqu’ici aucune activité frauduleuse n’a officiellement été détectée par aucun chercheur. D’ailleurs si tel avait été le cas et si cela avait été su, le bitcoin aurait déjà été liquidé par les investisseurs qui auraient fui cet actif déjà très volatile. Cependant quand on examine le cours du bitcoin depuis 2014 et les réactions (nombreuses) qu’il suscite, on constate que certains experts expriment leurs doutes sur le fait qu’il n’est jamais subi de manipulations

D’ailleurs, le 15 août 2010 un certain Jeff Garzik avait déjà repéré une faille dans le système. Une sorte de « bloc étrange » comme il le désigne dans le forum bitcointalk : avait été identifié par ses soins. Ainsi, il y a plus d’une décennie, une faille dans le protocole (ou une intervention) avait permis la génération de 92 milliards de bitcoins ! Cette erreur avait pu être corrigée et la Blockchain était revenue à son état antérieur afin de liquider ces nouveaux bitcoins issus de cette création frauduleuse.

Les adeptes du bitcoin, n’apprécient généralement pas qu’on leur rappelle ce petit épisode qui n’a jamais vraiment été expliqué de manière convaincante (malgré de multiples tentatives). En outre, une manipulation du cours du bitcoin, voire même une spoliation de millions de bitcoins pourrait être réalisée et semble du domaine du possible.

Et pour cela, sans même aller sur terrain de l’argumentation de la fiabilité de la blockchain, le cours du bitcoin est par principe manipulable puisque le créateur du bitcoin possède à lui seul entre 900 000 et 1.1 million de bitcoins. Certains observateurs avisés expliquaient déjà en 2018 que Satoshi Nakamoto (ou l’entité derrière ce personnage) possédait un stock d’environ 980 000 bitcoins…

Rajoutez à cela, les acquisitions de mastodontes comme Musk/Tesla ou encore BlackRock qui en 2018 dépassait déjà les 6 000 milliards d’actifs sous gestion, et vous obtenez un cours potentiellement manipulable « au carré/puissance 2 »… BlackRock qui est devenu, à l’occasion de la crise du Coronavirus un organe du gouvernement américain (ou l’inverse), fait désormais la pluie et le beau temps sur les marchés internationaux et peut donc totalement et sans aucun problème, jouer avec le cours du bitcoin…

Il ne nous est donc pas très difficile de conclure qu’il est très probable qu’une cryptomonnaie comme le bitcoin, serve d’une certaine manière à prendre le contrôle d’une partie importante de la masse monétaire mondiale alors que le système de la monnaie fiduciaire/dette s’effondre sur lui-même. La dimension de piège politique/financier à propos du bitcoin n’est évidemment pas à écarter.

Une monnaie numérique remplaçant nos vieux billets et évitant une fuite vers l’or et l’argent métal serait une solution idéale pour l’oligarchie apatride de Wall Street et de la City. Le bitcoin, en plus d’habituer les gens par la culture d’investissement numérique qu’il répand, similaire à la numérisation des devises, sert probablement de prétexte à l’oligarchie financière.

Cash et cryptomonnaie
Tangible ou pas tangible ?

La fausse opposition au Bitcoin des banques centrales et des banques commerciales

On le constate de plus en plus au fil des mois, il existe une opposition formelle à la monnaie virtuelle alors que dans l’ombre s’organise une adhésion de fond parmi les grands acteurs et les institutions du secteur financier comme l’attestent les différentes réactions sur le bitcoin.

En effet, la Réserve fédérale américaine (FED) n’a pas hésité à déclarer (à la stupeur des experts) que « des monnaies virtuelles comme le bitcoin étaient légitimes ».

Pourtant en utilisant sciemment le terme « monnaie », la banque centrale américaine se tirait une belle balle dans le pied quand on pense à sa propre fonction (battre la monnaie pour les États-Unis). À moins que les gens de la Réserve fédérale en disant cela aient une idée derrière la tête…

Plusieurs banques centrales, dont la Banque de France, avaient, elles, été jusque-là plus prudentes dans leurs déclarations concernant le Bitcoin, faisant preuve d’une grande hypocrisie : « La Banque de France met en garde contre l’utilisation du bitcoin, soulignant que ce genre de devise n’est pas régulé, et réclamant une intervention des autorités pour mettre un terme à certaines transactions illicites. »

Une déclaration qui était pour le moins totalement inepte… Car qui sont les autorités dont elle parle ? Ne serait-ce pas le rôle d’une banque centrale ? Ne seraient-ce pas les missions des autorités de marché ? Serait-ce la division financière du parquet qui doit intervenir ? Qui a la mission d’assurer la protection des investisseurs ?

La Banque Centrale européenne avait, quant à elle, étrangement (en pleine crise de l’Euro) travaillé sur un rapport d’octobre 2012, ou l’hostilité envers les cryptomonnaies ne transparaissait pas vraiment…

La Banque des Règlements internationaux de Bâle et la Banque d’Angleterre quant à elles, ont lancé officiellement la phase d’instauration des monnaies numériques de banque centrale au cours de l’année 2020.

En réalité, dans cette grande pièce de théâtre, personne n’agit vraiment. Seuls les Chinois ont interdit l’usage et même le minage du bitcoin, et les Russes l’ont aussi très vite déclaré illégal.

Pour les Chinois, cela s’explique d’une manière assez simple : c’est la nation la plus en avancée dans l’instauration de sa monnaie (yuan) numérique de banque centrale (CBDC) et dans l’expérience de crédit social dont les mesures sanitaires occidentales (covipass/gestes barrières, attestations, amendes pour non-respect, etc.) semblent se rapprocher de semaine en semaine.

Pour la Russie, il y a fort à parier que les services de renseignements russes savent qui se cache derrière le bitcoin, comme ils connaissent déjà l’état de santé délicat du président américain Joe Biden.

D’ailleurs, il est aussi possible (pour des objectifs complètement différents) que les actions des deux leaders des BRICS soient justifiées également par leur politique respective d’achat important d’or métal depuis plusieurs années. L’or ou le Bitcoin, a priori, il faut choisir, et ces deux grandes puissances semblent avoir choisi…

Autres preuves que les cryptomonnaies sont des fraudes : désormais les grandes banques anglo-américaines investissent massivement dans les cryptomonnaies. À commencer par la JP Morgan and Chase de Jamie Dimon qui est devenue récemment (2019) la première banque à créer sa propre cryptocurrency. Cette dernière repose sur la même technologie de blockchain avec pour seul détail qu’elle est indexée sur le dollar. Les investisseurs peuvent donc utiliser cet actif numérique dans le cadre de transferts d’argent instantanés entre des comptes institutionnels de grands investisseurs, d’autres banques, et de grandes entreprises clientes de JP Morgan.

De même pour le « Boss » de la Bank of America Bryan Moynihan, qui a lui aussi déclaré au cours de la même année (2019) dans une interview que son institution déposait de nombreux brevets sur cette nouvelle technologie qu’était la blockchain. Preuves que les grandes banques ne sont pas du tout hostiles à cette tendance de digitalisation/numérisation monétaire…

Le FMI aime ça !

D’ailleurs, même le Fonds Monétaire International aime le concept de monnaie virtuelle. Pourtant, face à cette révolution monétaire, on aurait pu légitimement s’attendre à ce que le l’institution basée à Washington joue un rôle d’éventuel opposant face à cette révolution technologique « d’émancipation ». Bien au contraire le FMI version Christine Lagarde et maintenant Georgieva ne considère pas du tout le Bitcoin comme un problème.

En 2017, devant la Banque d’Angleterre, la grande Christine avait même déclaré qu’ « Il n’y a pas si longtemps, certains experts ont fait valoir que les ordinateurs personnels ne seraient jamais adoptés, et que les tablettes ne seraient utilisées que comme de coûteux plateaux à café. Je pense donc qu’il ne serait pas sage de rejeter les monnaies virtuelles. »

Des rumeurs ont même circulé par la suite, indiquant carrément que c’était le FMI qui était à l’origine du bitcoin ou que le bitcoin visait à détruire les grandes banques centrales à son profit… Rien n’est impossible, mais seul l’avenir nous le dira.

Ce qui est certain, et on le constate avec la crise/dictature sanitaire du Coronavirus, le bitcoin et les cryptomonnaies vont servir de marchepied aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC) et à l’élimination de l’argent liquide.

Monnaie numérique et fin du cash

En réalité, il est surtout avéré que la technologie « Blockchain » a été construite (ou reprise c’est selon) pour détruire définitivement l’argent liquide.

Une réunion de banquiers et grands dirigeants relatée par un article du journal Bloomberg intitulé : « Inside the Secret Meeting Where Wall Street Tested Digital Cash » nous a d’ailleurs informé qu’une centaine de dirigeants des grandes institutions financières anglo-américaines (représentants du Nasdaq, de Citigroup, de Visa, de Fidelity, de Fisery et de Pfizer…) s’était tenue en 2016 à New York dans les bureaux de Times Square Nasdaq Inc.

Avec le recul et la crise du Coronavirus on peut légitimement se poser la question de la présence des dirigeants de Pfizer (entreprise pharmaceutique qui se trouve être le plus grand vendeur de vaccin anti-covid) à cette réunion…

Bitcoin, numérisation et traçage
Un petit vaccin peut-être ?

Lors de cette réunion privée, une société avait même présenté une technologie qui transforme les dollars américains en actifs numériques purs. C’est la promesse de la Blockchain, ou le système lourd actuel sujet aux erreurs qui prend des jours pour transférer de l’argent est remplacé par un mécanisme à la rapidité quasi instantanée. Cette technologie révolutionnaire est destinée à changer les pratiques liées à l’argent et a constitué la première étape vers une société sans liquide.

La technologie des monnaies numériques a donc été sélectionnée pour nous amener vers une dictature financière universelle.

Par sa nature informatique : la monnaie virtuelle sera tout simplement facile à créer et à voler. Et bien qu’elle repose sur une somme d’algorithmes complexes, la technologie Blockchain qui semble être anonyme et décentralisée est au contraire bien plus susceptible d’être spoliée qu’une pièce d’or ou d’argent présente au fond d’un coffre. Vision archaïque, mais de bon sens, que les « pros-crypto » n’hésiteront pas à dénigrer, car elle remet leur démarche dans le concret.

D’ailleurs grâce au terrorisme international, le gouvernement américain a depuis longtemps accès à des données financières par le biais de SWIFT dans le cadre de la prétendue lutte contre le terrorisme. Et même si l’on sait que la crypto-currency sert déjà de « monnaie d’échange » pour les diverses activités de financement et blanchiment entre la pègre, les mouvements terroristes mafieux, certaines grandes multinationales et agences gouvernementales, la technologie Blockchain rendra la traçabilité parfaite et seuls les grands groupes mafieux (qui contrôlent) cet outil, auront la chance (le luxe) de ne pas être traçable (comme le dit si bien Jacques Attali).

Ce système de monnaie virtuelle va aussi enterrer à coup sûr, le mouvement de résurgence des systèmes financiers, basé sur les métaux précieux, qui après la chute du dollar hégémonique, laissera naturellement la place à une crypto monnaie mondiale divisée probablement dans un premier temps en CBDC continentale (peut être portée par le FMI, avec son phénix/DTS).

En conclusion, mis à part si vous savez que vous pouvez faire un gain à court terme, évitez de vous lancer dans les cryptomonnaies, car elles amènent avec elles, un monde construit sur l’illusion numérique et l’asservissement.

Illusion et captation de la rébellion

Au contraire, nous devons prioritairement nous battre pour reconnecter l’Argent (la monnaie) avec le Travail productif afin de rester dans le monde réel. C’est bien l’extrême virtualisation et mathématisation du monde qui amène le gouvernement perpétuel des usuriers.

Il ne faut surtout pas imiter les parasites (traders, grands banquiers, etc., dans leur quête de la pierre philosophale virtuelle…), mais au contraire travailler concrètement en ayant conscience de l’effondrement prochain. Comme le dit si bien le Dr Fouché, il faut faire de cette crise, une chance, une opportunité, pour nous changer nous-mêmes. Mais ne nous leurrons pas en plus de ce travail personnel, il nous faudra aussi nous mettre en colère pour aller chercher les marchands du Temple… La passivité même consciente nous conduira à l’esclavage.

Et pour ne pas subir le cataclysme qui vient, il va nous falloir impérativement nous remettre au travail en tournant vers les activités réellement productives et enfin militer pour la reprise du contrôle de notre monnaie (souveraineté) en adossant celle-ci à un (des) étalon qui a lui-même une valeur intrinsèque (l’or, l’argent, le cuivre, le palladium…).

Le Silver Squeeze et le WallStreetBet, mouvement de fond bien plus intéressant que les épisodes rigolos Gamestop, démontrent qu’il existe des solutions concrètes que Wall Street et la City abhorrent (acquisition d’or et d’argent physiques par les masses et retour au Bimétalisme pour les nations).

Pour vous en convaincre, dites-vous bien que vous ne verrez jamais BlackRock, JP Morgan, Barclays ou Goldman Sachs vous crier que les perspectives d’investissement sur l’argent métal sont intéressantes avec de vastes campagnes publicitaires et de communication dans les médias…

Au final, n’oublions pas que la seule valeur d’une monnaie réside en réalité, sur le travail et la richesse des producteurs qui s’assemblent et se servent de cet objet pour échanger.

L’or et l’argent métal sont malheureusement encore une fois, les seules monnaies valables pour se préserver de l’effondrement qui vient et pour lutter collectivement contre la dictature numérique et sanitaire de l’oligarchie financière… Nos ancêtres (bien plus sages que nous) ont utilisé en priorité ces métaux comme objet monétaire pendant des millénaires, dîtes-vous bien qu’il doit bien y avoir une raison à cela…

Enfin, si vous persistez encore avec les cryptos et le bitcoin, essayez de sortir avant la captation définitive (par une interdiction, un bug, etc.) Car lorsque la petite musique cessera, que le silence numérique fera de vous des petits Bernie Madoff, qui après avoir bien joué, seront à la fin, privés de liberté (financière et politique), plus personne au fond de votre cellule, ne viendra vous sauver, car il sera trop tard.

Dans ce « Monde d’Après » totalitaire et virtuel, dans lequel nous serons presque tous enfermés, il nous arrivera probablement de regretter le temps où nous aurions pu abattre cette douce illusion, prémices de ce système diabolique (Blockchain/Bitcoin/CBDC), que nous avons cru pouvoir maîtriser à notre avantage…

Marc Gabriel Draghi


[Voir aussi :




Israël comme laboratoire et fer de lance du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Rabbi Nahman de Breslev]

Analyse de la situation économique et sociale en Israël et dans le monde à l’heure de la Covid, dans une perspective qui évoque le plan des élites satanistes.




La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire

[Source : Nexus]

« Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire », selon Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS. « Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place. Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde. »

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen.

Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.
Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.

Il y a deux cas à considérer :

– Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
– Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.

Dans un premier temps, seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.

Aujourd’hui, ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application TousAntiCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part, le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.

Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS, mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :

  • Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
  • Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
  • Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
  • Identification des personnes avec qui l’on déjeune
  • Mémorisation de tous les déplacements
  • Calcul de temps de travail ou temps de présence…
  • Détection de déplacement inhabituel…
  • Etc.

Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage.Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.

Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :

  • Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
  • Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
  • Surveillance de l’activité des enfants
  • Analyse des interactions familiales
  • Analyse de situation (repos, activité, chute…)
  • Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
  • Détection et mémorisation des habitudes
  • Etc.

J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.

La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.
La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.

La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin

Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS

Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.

Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.

Philippe Guillemant, le 24 novembre 2020 
Son site http://guillemant.net/




Me Brusa publie les preuves de la mafia covidiste

[Source : Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

[Photo : Me Brusa brandit ses documents.]

par Jacques Chassaing [Ndlr : avec quelques ajustements cosmétiques par Nouveau Monde]

Incroyable, mais vrai, le ministère de la Santé avoue que le vaccin ne sert à rien. Un retraité de 83 ans, vacciné contre le Covid, a saisi le Conseil d’État au motif de vouloir désormais aller partout librement, puisque vacciné. Sa requête a déclenché le mémoire ad hoc en défense du ministère de la Santé. Et là, surprise, Olivier Véran avoue l’inefficacité de la vaccination. Du lourd et même du très lourd qui a déclenché la colère du fondateur de Réaction 19 : « mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s’empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »

L’avocat Carlo Alberto Brusa était au bord de l’apoplexie lors de son direct sur YouTube qui restera dans les annales de la mortelle dictature politico sanitaire. 



(à partir de 50’) de la vidéo :

« le ministère de la Santé a répondu que pour le moment il est prématuré de différencier les règles entre les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées. 

Le ministre de la Santé énonce ses arguments sur les règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses de vaccin: « L’efficacité partielle des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition de nouveaux variants ».

Autrement dit, souligne Me Brusa :

« vous avez non seulement un problème avec l’efficacité, mais en plus en ajoutant les variants, c’est encore plus compliqué. De fait, ce qui est normalement une des qualités du vaccin, disparaît totalement.

Autre affirmation du ministre de la Santé : « Les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées aux formes graves et au décès, en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de la réinfection post vaccinale, ou de la virulence d’un variant. »

Le sang de Me Brusa n’a fait qu’un tour :

« si tu dis que les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées…quelle est la garantie… »

Très énervé, l’avocat poursuit :

« de surcroît, le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers »

On se rappellera utilement que les propos du Dr Vincent Reliquet allaient dans ce sens dans l’article publié ici, le 10 mars 2021 : La vaccination Covid est inefficace et dangereuse pour les non vaccinés
(https://ripostelaique.com/la-vaccination-covid-est-inefficace-et-dangereuse-pour-les-non-vaccines.html)

Me Brusa répète les écrits du ministre Véran : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ». 

il  constate : 

« mais donc, ce n’est pas un vaccin. Un vaccin c’est ce qui permet d’être immunisé et de ne pas transmettre le virus aux tiers. Et là, ils nous disent exactement le contraire, donc ce n’est pas un vaccin »

L’avocat s’indigne :

« c’est le ministre qui le dit, c’est gravissime » Puis, citant encore le mémoire : « l’impact de la vaccination sur la population n’est pas encore connu ». 

Brusa est alors dans tous ses états :

« mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s’empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »

La mafia du vaccin est en lien avec l’État-prison-Macron

C’est un sacré coup de pied qu’a mis Me Brusa dans la mafia internationale qui grenouille autour de l’affaire Covid, avec pour son objectif d’ inoculer n’importe quel produit dit « vaccin » pour asservir les peuples à un nouvel ordre mondial.

« vous allez voir où le fric tourne. » Au premier tableau de chasse, sont épinglés :

Georges Soros, Bill Gates, Thierry Breton, Olivier Véran, Emmanuel Macron, François Bayrou (appelé à s’expliquer sur  étrange agenda des prochains confinements prévus et programmés), Atos, BlackRock, Vanguard Group, BioNtech, ARNMessager, Pfizer, Microsoft, Winterthur, AXA…

« Monsieur Thierry Breton, le monsieur nettoyeur d’ATOS qui a détruit Bull, société française d’informatique, qui a été PDG  de la société ATOS, est le commissaire européen qui a lancé le passeport vert, passeport vaccinal. Or il y a conflit d’intérêts. ATOS, spécialisée dans le contrôle aux frontières par le numérique, gère le K1 code pour le voyage… »

(à 44’13)

« Edouard Philippe a été nommé administrateur de ATOS, son grand ami Thierry Breton nommé commissaire européen, et monsieur vaccin… la toile d’araignée se complique quand vous allez voir qui est chez ATOS : le Vanguard Group des connexions Pfizer, Glaxo… »

Me Brusa se livre alors à la démonstration de toutes les implications, actionnariats et capitaux de ces sociétés et remonte jusqu’à la Fondation Georges Soros qui détient plusieurs portefeuilles.

« aujourd’hui plusieurs fortunes mondiales sont gérées par BlackRock, par Vanguard Group et la Fondation Bill et Mélinda Gates, qui sont également actionnaires de Pfizer… qui sont aussi les actionnaires d’ATOS lesquels veulent nous imposer les fameux codes de reconnaissance. 

On continue : Glaxo n’est pas actionnaire de Pfizer, mais il y a des liens. On continue… et on va remonter jusqu’au laboratoire Wuhan. Vous en saurez plus lors du prochain numéro » 

(48’18)

Ne donnez pas votre accord pour que vos enfants soient testés

« et vous, directrices et directeurs d’école, vous n’avez pas à faire les larbins de la santé, ça ne rentre pas dans vos fonctions. Vous n’avez pas le droit de communiquer les informations personnelles de vos élèves. Il n’existe aucune disposition légale … »

(41’)

« Macron et sa gueule enfarinée »

Il a sang chaud cet Italien d’avocat lorsqu’il s’adresse au président Macron :

« il aime tellement être le Jupiter de la situation… mais avec sa gueule enfarinée, on est dans les menaces constantes… ils prennent les gens pour des cons avec les lits de réanimation. Vous avez plusieurs catégories de ces lits… mais quand on vous parle de taux d’occupation, on ne prend que les lits qui existaient à la base… Me Di Vizio l’a developpé. 

Il faut réagir parce que le but est de nous garder dans une position d’esclavage pour que la piquouze puisse être administrée. Aujourd’hui, il suffit que vous disiez non au poison! C’est à vous de dire non!»

(à 56’).

Il a aussi le tutoiement facile :

« et toi préfet, tu n’as pas besoin de faire un caca nerveux, et toi en tant que maire tu n’as pas besoin d’interdire de mesurer l’oxymétrie… »

(à 16,59’)

Quand un maire de plus participe activement à la répression Macron

On sait que l’association Réaction19 a lancé l’opération Oxymètre, qui consiste depuis plusieurs semaines à collecter les données respiratoires modifiées par le port obligatoire du masque des enfants. Les adultes sont également concernés.

Grande est la collusion avec le pouvoir de ces nombreux maires qui soutiennent la dictature sanitaire, y compris les pions de mairies fleuries des zones rurales.

Rappelons au passage qu’aucun des candidats et leurs listes soi-disant apolitiques aux dernières municipales, ne se sont levés pour dénoncer la manipulation du premier et du second tour. Il faut dire que ces maires se sont empressés de voter le mix de leur impunité avec l’impunité des criminels de l’Etat-Macron : 
https://ripostelaique.com/candidats-du-criminel-macron-le-28-juin-restez-chez-vous.html 
et https://ripostelaique.com/le-conseil-constitutionnel-confirme-limpunite-des-criminels-detat.html

Réaction19 révèle qu’un maire vient de prendre un arrêté interdisant aux parents d’élèves le recueil des données oxymétriques devant l’école. Ce fait s’ajoute à l’action des préfets, des policiers et de l’Education nationale mobilisés pour que les taux d’oxygénation du sang des enfants masqués obligatoirement ne soient pas mesurés.

Me Brusa va mettre en ligne la mise en demeure globale adressée au ministre de l’Education nationale et l’arrêté municipal de ce maire sera attaqué (à 16’).

Ce qu’il a dit, il va l’écrire 

Tous les contenus des documents allégués par Me Brusa seront bientôt disponibles sur le site de Réaction 19 (infos réservées aux 70 000 adhérents à l’association).

De plus, l’avocat va notifier le mémoire en défense précité :

«  à tous les parlementaires, à tous les médecins et Conseils de l’ordre pour qu’ils comprennent qu’ils sont en train de jouer avec la vie des gens avec un produit dangereux qui porte le nom de vaccin. Nous ne devons pas être des cobayes! Le ministre de la Santé est passé aux aveux judiciaires et juridiques de l’inefficacité de ce qui est vendu comme l’espoir de sortie, et ils le savent très bien … »

(54’)

La vidéo publique du live censurée quelques heures après, devient subitement privée : 19 h 10 le Direct : la covid 19 une maladie mentale ! des infos des infos ! (https://youtu.be/inc3NsYpla0)

Me Brusa part en province pour la cause

A partir d’aujourd’hui, Me Brusa entame des déplacement en régions pour amplifier le combat anti totalitarisme covidiste.

Outre Toulon, La Seyne-sur-Mer, Six-Fours-les-Plages, Rennes, Quimperlé (avec la députée Martine Wonner), Aurillac, Nancy, la Saône & Loire (vraisemblablement à Mâcon), Bordeaux, Toulouse, Biarritz, le Nord (Dunkerque ou Lille ou Roubaix), Montpellier, Grenoble, Marseille, Avignon, l’avocat ira en Belgique, à la Guadeloupe, et peut-être en Martinique.

L’association Réaction19 met en œuvre tous les moyens juridiques et judiciaires dans toutes les actions individuelles et collectives, ayant un lien avec les mesures législatives, décrétales et réglementaires, prises par les autorités françaises, de l’Union Européenne et du monde, pour lutter contre la pandémie de la COVID19 : https://reaction19.fr

Rien ne va plus pour Francis Lalanne

Petit entrefilet pour signaler que le poète militant, encerclé par les CRS dans un théâtre d’Avignon, a reçu l’assurance d’un prompt et prochain soutien de Me Brusa.

Décidément Francis Lalanne s’est lourdement trompé en imaginant l’imminence du ralliement de la police à la cause du peuple opprimé. Sans compter que le docteur Jean-Paul Hamon réclame son incarcération pour délit de bisous pour tous.
Cf https://ripostelaique.com/alexandra-henrion-caude-et-lalanne-chantent-le-temps-de-cerises.html 
et https://putsch.media/20210330/actualites/societe/video-le-dr-jean-paul-hamon-sur-francis-lalanne-pourquoi-on-le-colle-pas-au-trou-ce-mec-alors-que-des-mecs-sont-en-train-de-claquer-en-rea/

Jacques CHASSAING

IMPORTANT : Tous les liens et renvois mentionnés dans cet article constituent des éléments factuels corroborés, à l’appui des opinions et des faits exprimés par l’auteur Jacques Chassaing, ici, ainsi que dans tous les articles qu’il signe.




Covid, une opération des pouvoirs sionistes et financiers

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Parlons de choses sérieuses parce que les événements qui se produisent depuis un an, ne se prêtent ni à la légèreté ni à la plaisanterie.

Le premier point que je souhaite aborder dans l’article d’aujourd’hui, concerne les attaques incroyables sur nos libertés. Tout comme le 11 septembre a permis l’abject Patriot Act qui fait de chaque citoyen américain un individu sous haute surveillance sous prétexte de « lutter contre le terrorisme‘, l’opération Covid est la phase suivante.

Ce virus dont nous savons grâce au Prix Nobel de Médecine Luc Montagnier, qu’il a été produit en laboratoire, n’est rien d’autre qu’une arme biologique à visée terroriste. Mais cette fois à grande échelle puisque presque tous les pays du monde sont visés.

Alors la première question qui vient à l’esprit c’est : mais qui a donc fait ça ? Et pourquoi ?

Avant de vous faire part de mon idée sur la question, idée que beaucoup d’entre vous connaissent déjà si vous me lisez régulièrement, je ne peux m’empêcher de repenser à la manière dont Poutine a fait face au problème en dénonçant l’échec probable du Nouvel Ordre Mondial et à cette déclaration fracassante du colonel à la retraite Vladimir Kvachkov [Ndlr: voir Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation] du GRU (renseignement militaire russe) sur le coronavirus. Le colonel Kvachkov n’est pas n’importe quel péquin insignifiant car c’est un ancien du Centre d’études de défense et stratégiques de l’état-major général des forces armées russes. Il ne parle pas à la légère car on ne peut pas s’offrir ce luxe dans une situation aussi grave. Il faut donc le prendre au sérieux.

Je le cite : « Le phénomène des coronavirus, la soi-disant « pandémie » – et laissez-moi vous dire – il n’y a pas de pandémie, tout ça, c’est un gros mensonge. – Il doit être considéré comme une opération spéciale, stratégique et mondiale. Ce sont des exercices des pouvoirs sionistes et financiers qui manipulent en coulisse le monde pour le contrôle de l’humanité. Ils veulent réduire notre liberté et accroître leur contrôle politique. Le coronavirus et la crise financière qui ont immédiatement éclaté sont inextricablement liés. Une première tentative mondiale de retirer des droits politiques (des gens) a eu lieu le 11 septembre 2001, puis il y a eu une déclaration de guerre à l’humanité déguisée en guerre contre le terrorisme. Maintenant, ils ont besoin d’une autre excuse pour une prise de contrôle de l’humanité. Le coronavirus a été lancé par les puissances sionistes et financières mondiales dans le but de limiter les droits politiques et de faire peur aux gens.

« Le coronavirus a une origine artificielle; c’est déjà prouvé scientifiquement. Nous recevons une propagande d’information psycho-politique spéciale, une opération des médias de masse mondialistes au service des pouvoirs en coulisse qui créent cette terreur. “Ils” scrutent et recherchent qui obéit et qui ne n’obéit pas pas. De plus, les relations économiques sont passées de l’économie réelle à la bulle financière de l’économie virtuelle, qui doit maintenant être dégonflée. En Chine, ils ont une faction patriotique et une autre de pro-américains dont le seul intérêt est le fric, [les traîtres] qui ont essayé d’utiliser le coronavirus à Wuhan [jusqu’à ce que le président Xi mette fin aux enfermements]. Et puis ça a commencé en Europe. L’Europe et la Chine sont deux adversaires géo-économiques des USA. Et c’est là qu’ils ont d’abord injecté ce virus. »

« Un autre objectif est de réduire la population mondiale. Ils pensent qu’il y a trop de gens ordinaires [Ils veulent] 100 millions de leur propre genre et peut-être 1 milliard de serfs pour les servir. Tant que nous ne nous débarrasserons pas des parasites internes qui nous gouvernent, nous ne résisterons pas aux autres parasites. »

Dans ces trois paragraphes nous avons la réponse possible à nos deux questions : qui et pourquoi. Certains douteront et d’autres verront dans ces déclarations du colonel Vladimir Kvachkov, la seule explication plausible à ce que nous subissons depuis un an.

Maintenant l’autre question c’est : mais pourquoi notre gouvernement ne nous protège pas de ces criminels ? La réponse est simple. Voyons qui a choisi Macron et qui a financé son accession au pouvoir et nous comprendrons pourquoi.

Sans revenir en détail sur chaque point et en allant à l’essentiel, Macron a été choisi par le groupe Bilderberg, groupe réunissant les puissants de ce monde et tenant à le rester. Le deal c’est « tu fais tout ce qu’on te dit et on fera de toi le Président de la France. En contre partie de ta participation à nos plans, tu pourras même en profiter pour t’enrichir autant que tu voudras puisque tu bénéficies du privilège de la fonction et que tu es intouchable vu que tu es protégé par l’immunité. » Et Macron a répondu selon ses propres mots : « Banco !« 

Macron n’est ni un moine bouddhiste, ni un jésuite. Il n’a aucune attache spirituelle d’aucune sorte, n’a aucune moralité, est dépourvu de tout scrupule puisqu’il considère comme quantité négligeable « ceux qui ne sont rien ». Sa vie, son parcours démontrent que la seule chose qui l’intéresse c’est de devenir riche et puissant. Il est donc le complice idéal des mondialistes, car lui-même semble obsédé par le projet messianique du gouvernement mondial de Jacques Attali et de tous les sionistes, à qui le grand rabbin Schneerson a demandé d’agir pour accélerer la venue du « Mechia’h« .

Et comme l’explique en détail Youssef Hindi dans ses écrits sur les origines du sionisme messianique, pour que cette venue puisse se produire, la mise en place du Nouvel Ordre Mondial est un préalable.

Alors, que va-t-il se produire dans un futur proche ?

Un peu partout, les peuples divisés entre les crédules qui font encore confiance aux gouvernements criminels obéissant aux ordres de ces « illuminés » (Illuminati ?) et les éveillés qui ont parfaitement compris ce qui est en train de s’accomplir sous nos yeux, vont provoquer une scission qui ne pourra aboutir qu’à des désordres, des affrontements, peut-être même une insurrection ou une guerre civile.

Pourquoi Attali semblait si sûr de lui quand il a déclaré qu’il y aurait une révolution en France avant 2022 ?

Attali n’est ni prophète ni devin, mais a cette faculté étrange d’annoncer des catastrophes auto-réalisatrices. C’est un agent du Nouvel Ordre Mondial qui est parfaitement informé du plan criminel mis en place par ceux qui ont déclenché l’opération Covid. Et il sait aussi que la partie du peuple qui prend conscience de ce qui se passe, va réagir et peut-être même violemment. Voilà pourquoi il a fait cette prédiction. D’ailleurs cette déclaration est bien antérieure à l’opération Covid. Il savait donc déjà tout et avait envisagé tous les scénarios possibles car on peut faire confiance à ces gens, experts en manipulation des masses pour prévoir chaque détail du plan.

Attali comme tous ceux qui se rendent complices de cette opération criiminelle savent que s’ils échouent, leurs sorts seront peu enviables. C’est donc un pari risqué. Mais compte tenu qu’ils sont le vrai pouvoir et qu’ils disposent de complicités dans les institutions, dans les médias et des forces de police et de généraux traîtres à la nation au sein de l’armée, ils pensent être capables de mater une insurrection ou une révolution et continuer à rester les « Maîtres » du pays.

Donc, le désordre et la violence sont le scénario le plus probable et c’est pour l’éviter que la vaccination est utilisée. Le nombre de victimes de ces vaccins qui provoquera une vraie pandémie ne fera qu’augmenter, la peur et la psychose aussi et on compte sur ce stratagème pour maintenir les populations sous pression et soumises, à travers les confinements et autres mesures extrêmes pour éviter une révolte du peuple.

Machiavélique n’est-ce pas ?

J’ai pour habitude de dire ce que je m’applique à moi-même : espérons le meilleur tout en étant prêts à affronter le pire. Et si le pire n’est pas toujours probable, il est souvent possible.

Je vous laisse méditer sur tout ça…

Bonne semaine à tous.




La vraie vie du pape des pauvres

[Source : Le Saker Francophone]

Par Dmitry Orlov – Source Club Orlov

La pape avec sa Lamborghini

Je suis en train de réfléchir à mon prochain grand essai. En attendant, voici une petite vignette de ma vie quotidienne qui pourrait vous plaire.

Dmitry Orlov

[Ndlr : Poisson d’avril ou réalité ? Ne pas oublier non plus le rôle actif du pape François dans la promotion et l’achèvement de la construction du Nouvel Ordre Mondial.]