Le soma de Huxley et le vaccin mondialiste : feint-sacrement, destruction de l’empire US et avènement de l’ordre banquier universel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Les mondialistes se rapprochent de leur but. Ils détruisent à Kaboul et ailleurs ce qui reste d’empire américain, même si les distraits pensent que cela met fin au Nouvel Ordre Mondial — alors que cela ne fait que le mettre en place. L’Amérique était une dernière protection, il serait temps de le dire. Voyez mon texte sur le tyran de Syracuse Denys (une femme prie pour que ce tyran reste au pouvoir) : elle a en effet compris que le tyran suivant est toujours PIRE. C’est maintenant que l’on va déguster avec la tyrannie des banquiers et des informaticiens.

Ils sont obsédés par ce vaccin imposé. Il doit bien y avoir une raison. Je me suis rappelé alors du soma de Huxley. Et comme je préfère la copie à l’original (le « retour » au Meilleur des mondes »), je le relis et lis ceci :

« Le soma était une plante dangereuse, si dangereuse qu’elle rendait même malade le grand dieu du ciel en personne, Indra. Les simples mortels mouraient parfois d’une dose un peu trop forte, mais l’expérience procurait une telle béatitude transcendante et une telle illumination qu’elle était considérée comme un privilège qu’on ne pouvait payer trop cher. »

https://youtu.be/A9OuIaU9JPU

Le soma (boisson védique et sacrée bien expliquée par Guénon) chez Huxley a une fonction politique. Il est là pour assurer le pouvoir et la nouvelle autorité temporelle, comme le feint-sacrement est là pour assurer le pouvoir satanique de la mondialisation qui accompagne l’écroulement de l’empire américain décidé par Davos à Kaboul — à ce propos lisez Thomas Luongo qui est le seul à l’avoir compris avec nous et qui annonce la prise du pouvoir par Yellen en lieu et place de Biden et Harris. Nous serons nus devant les banquiers.

Mais autorité rime vite avec tyrannie et avec maladie. Voyez le texte straussien de mon ami Laurent Guyénot sur cet instinct sacerdotal qui rend définitivement fous les hommes : Nietzsche en parlait déjà (Généalogie, première dissertation). Huxley :

« Aussi, ce genre de toxicomanie n’était-il pas un vice personnel, mais bien une institution politique, l’essence même de la Vie, de la Liberté et de la Poursuite du Bonheur garanties par la Déclaration des Droits. Mais ce privilège inaliénable des sujets, précieux entre tous, était en même temps l’un des instruments de domination les plus puissants dans l’arsenal du dictateur. L’intoxication systématique des individus pour le bien de l’État (et, incidemment, pour leur propre plaisir) était un élément essentiel du plan des Administrateurs Mondiaux. »

Les administrateurs sont mondiaux dans le Meilleur des Mondes. Huxley est toujours plus fort qu’Orwell : l’État est mondial chez lui, la drogue omniprésente, le citoyen abruti plus qu’apeuré. Il poursuit :

« Karl Marx déclarait que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple. Comme elle, il avait le pouvoir de consoler et de compenser, il faisait naître des visions d’un autre monde, plus beau, il donnait l’espoir, soutenait la foi et encourageait la charité. »

Le vaccin c’est la religion et c’est le corps de cet Antéchrist mondialiste d’ailleurs encouragé par tous les clergés ; d’où la chasse aux hérétiques. Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux, disait Debord en reprenant Hegel. Évidemment la drogue ou le soma sont dangereux comme le vaccin :

[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]

« Par exemple, le calmant classique est l’opium, mais c’est aussi un stupéfiant dangereux qui, depuis les temps néolithiques jusqu’à aujourd’hui, a fait des toxicomanes et ruiné des santés sans nombre. On peut en dire autant de l’alcool, euphorisant classique, qui, selon les termes du psalmiste, “réjouit le cœur de l’homme”. Malheureusement, il ne fait pas que cela ; pris en quantités excessives, il provoque la maladie, l’accoutumance et, depuis huit à dix mille ans, il a été une cause majeure de crimes, de chagrins domestiques, de dégradation morale et d’accidents évitables. »

Dans la religion (ou la contre-religion, mais elles se rejoignent en ce moment, malheureusement), tout est contrôle et possession des esprits. Aujourd’hui cette possession assistée par ordinateur fonctionne à merveille, même dans la rue ou le métro. Dans le monde postmoderne (le Retour au Meilleur des mondes date de 1957), tout n’est que contrôle et manipulation. Huxley précise que la démocratie est un luxe qu’on ne peut plus se payer (trop de gens et trop de consommation) :

« Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces procédés seront étudiés dans les chapitres suivants ; bornons-nous pour le moment à ces forces impersonnelles qui sont en train de rendre le monde si peu sûr pour les démocraties, si peu hospitalier pour la liberté individuelle. »

Le discours est libéral et néolibéral (toujours pour les imbéciles en retard d’une guerre : même Malraux avait compris déjà que le capitalisme n’était plus qu’une volonté d’organisation), mais la réalité est étatique et super-étatique :

« Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la surpopulation crée une situation telle que la dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable. »

Le virus et la crise permettent comme on sait de liquider les derniers petits commerces. Huxley disait déjà avec l’exemple du fascisme sous les yeux que ces commerces étaient condamnés : la nuit de cristal avait détruit le petit commerce juif en Allemagne et c’est ce à quoi nous avons affaire en ce moment, mais à un niveau mondial.

« Dans un tel univers, les Petits, avec leurs fonds de roulement insuffisants, sont gravement désavantagés ; dans la concurrence avec les Gros, ils perdent leur argent et finalement leur existence même, en tant que producteurs indépendants — les Gros les ont dévorés. À mesure que les Petits disparaissent, la puissance économique en vient à être concentrée entre des mains de moins en moins nombreuses. Dans une dictature, les Grosses Affaires, rendues possibles par des progrès techniques constants et la ruine des Petites Affaires qui en est résultée, sont sous le contrôle de l’État — c’est-à-dire celui d’un groupe peu nombreux de chefs politiques et des soldats, policiers, fonctionnaires exécutant ses ordres. »

Et Huxley de mettre les points sur les I :

« Dans une démocratie capitaliste comme les USA, elles sont sous la coupe de ce que le professeur C. Wright Milis a appelé I’Élite du Pouvoir. »

Nous étions calculés depuis longtemps. La suite va être effarante (voyez mon texte sur Sitra et le 666) d’autant que la foule ne comprend toujours pas et ne comprendra pas. Elle regardera la télé et dénoncera les hérétiques qui ne sont pas vaccinés. Mais au point où on en est…

Sources principales :





Némésis — Ou l’inéluctable triomphe des lois naturelles

Par Zénon − juillet 2021

« La Bête de l’Évènement est là, et elle arrive. »

E.M. (Entretien au Financial Times, 16 avril 2020)

Voici maintenant plus de dix-huit mois que le coronacircus, élu égrégore de l’année dernière par les consommateurs, a préparé l’avènement d’une nouvelle religion scientiste, avec son clergé, ses rituels, ses prophètes et ses hérétiques. Dix-huit mois au cours desquels une immense partie des peuples occidentaux sont littéralement passés de l’hypnose à l’état de possession. Je ne sais pas si vous aurez ressenti la même chose que moi en marchant dans vos rues : les personnes que l’on peut croiser ont de moins en moins l’air de s’appartenir.

Il faut dire que la mafia globaliste s’est bien démenée pour obtenir ce degré de soumission chez des populations prétendument si attachées à leur liberté. Plus que jamais déterminée dans son projet de transformation de l’Humanité en une espèce hybride bio-numérique, l’autoproclamée « élite » technocratique s’est fendue d’un machiavélique scénario pour atteindre au contrôle des corps à travers celui des esprits. Tout y est passé : terreur médiatique, claustration contrainte et isolement des individus, menaces, amendes, décisions arbitraires et injonctions contradictoires permanentes… Ceci ne relève ni d’une incompétence ni d’un sadisme ordinaire, mais constitue la base d’une ingénierie sociale visant à nous faire accepter la violation de notre intégrité physique.

Qui aurait accepté de son plein-gré de participer à ce programme « vaccinal », ou l’aurait même trouvé pertinent sans leurs mensonges incessants ? Qui aurait considéré comme normal le passe « sanitaire » si nous avions massivement refusé le premier confinement ?

Beaucoup de réfractaires ou même d’inoculés le pressentent confusément, mais peu vont jusqu’à se le représenter ainsi : les injections massives actuellement pratiquées ne sont qu’une première étape. Un cheval de Troie nécessaire à l’aboutissement d’un plan plus vaste. La dépopulation en est une des composantes mais non la finalité. Comme je le détaillais dans un texte de juillet 2016, l’objectif à plus long terme de tous les programmes en cours (terrestres et spatiaux) est de créer un continuum électromagnétique depuis la haute-atmosphère jusqu’à nos cellules. D’exercer un contrôle numérique total des survivants, et de déporter la mémoire des autres dans un « nuage » virtuel.

Ce projet transhumaniste est antinaturel par essence. Son dessein affirmé consiste à permettre à une poignée d’illuminés triés sur le volet d’accéder à une immortalité supposément apportée par la fusion du cerveau humain avec la machine. Il s’agit ici d’une négation du plus élémentaire des principes spirituels, antérieur même aux religions : celui de considérer la mort comme une part intégrante de la vie.

Cela devient, même à l’observateur le moins averti, de plus en plus évident : nous avons affaire à une caste dirigeante prête à toutes les transgressions possibles pour atteindre son but. À ce titre, l’actuelle campagne d’injections transgéniques constitue non seulement un crime d’une ampleur inégalée dans l’Histoire, mais également, par la modification de notre ADN, une atteinte à ce que les croyants nommeraient « l’Arbre de Vie », ou en d’autres termes, à la souche originelle depuis laquelle nous nous sommes développés.

Il serait erroné de croire que nos « illuminés » méconnaissent les lois qu’ils violent. Ils le font en parfaite connaissance de cause. Si leur agenda se déroule pour le moment comme prévu, ce n’est qu’en raison du consentement, explicite ou non, des populations à ce programme exposé sous de nombreuses formes, littéraires ou cinématographiques, vouées à faire inconsciemment admettre au public la réalité future qu’ils auront choisie. Cette notion de libre-arbitre est centrale, car elle conditionne et conditionnera chaque jour davantage notre sort à venir. Mais j’aurai l’occasion d’y revenir.

Ce plan, élaboré de longue date, se fonde sur le postulat que l’Esprit humain puisse être contrôlé, voire littéralement reprogrammé au moyen du numérique. Ceci constitue le talon d’Achille d’une conception de la Vie et de l’Homme uniquement quantitative et utilitariste. L’erreur de fond dont il s’agit réside en cette extraordinaire confusion entre l’intellect et la conscience, dont le siège ne saurait être attaché à aucun organe, et dont l’origine n’est pas de ce Monde… La conséquence en est que le futur Golem, cette créature hybride dont les globalistes projettent l’avènement, ne sera tout simplement pas viable.

Cette entité est en réalité déjà mort-née, car dépourvue de connexion à la source, à l’intelligence universelle ou quel que soit le nom qu’on lui donne. Celle-ci nous unit plus profondément que le langage ou la culture, et fait de nous ce que nous sommes au-delà de la personnalité à laquelle nous nous identifions. Rompre ce lien ne saurait donner lieu à la création de l’homme-machine parfaitement docile tant espéré, mais plutôt à l’équivalent d’un poulet sans tête errant quelques instants au hasard de ses influx nerveux avant de s’effondrer. Souvenez-vous du conte de Mary Shelley, et des déboires du docteur Frankenstein dont la créature finit par lui échapper. C’est une assez bonne image du seul résultat que ces apprentis-sorciers pourront obtenir.

Cela ne signifie pas pour autant, loin s’en faut, la victoire des peuples du Monde dans ce combat multidimensionnel. Dans leur rage de ne pouvoir parvenir à leurs fins, les transhumanistes vont déployer tout leur arsenal pour tenter de détruire ce qui est. Le processus est déjà bien entamé, avec la présence d’innombrables poisons dans l’air, l’eau et la nourriture, par le déploiement de technologies mortifères comme la 5G ou encore l’usage d’armes psychotroniques. Nous verrons bien d’autres ignominies commises à l’encontre du vivant, perdrons sans doute beaucoup de nos proches et assisterons de toute façon à la chute de l’« ancien Monde ».

Chaque chose, chaque phénomène ou évènement se trouve cependant compensé dans l’Univers. Et la loi de causalité s’opère, sinon sur le plan matériel, d’ores et déjà dans l’Esprit. En tentant de nous entraîner dans leur folie autodestructrice, les tenants du « Grand Reset » sont tombés dans leur propre piège : celui de se révéler pour ce qu’ils sont à bon nombre d’âmes jusque-là restées insouciantes. Certes bien trop peu pour inverser la tendance. Cette manifestation vitale n’en est qu’à ses balbutiements. Beaucoup succomberont aux chants des sirènes. Mais ils ne feront au fil du temps qu’ajouter au retour de bâton cosmique auquel s’exposent les transgresseurs des lois éternelles.

Et nos maîtres-chanteurs sont ainsi pris dans une course contre-la-montre dont ils n’auront pas le souffle de tenir la durée. Le fait d’avoir recouru à l’adhésion sous contrainte d’une bonne part de la population est déjà un aveu d’échec. Un accord obtenu sous chantage a moins de valeur vis-à-vis de l’astral qu’un pacte faustien signé en bonne et due forme. S’ils accélèrent le processus au mépris de tous les signaux d’alerte, c’est car ils savent que la vérité éclatera et que leur temps est compté.

Ainsi donc sonne le glas d’une emprise multiséculaire sur l’esprit des populations. Le scientisme forcené de ces derniers siècles rencontre dorénavant notre souvenir des lois naturelles, et notre irrépressible instinct de survie. Ce qui n’est encore, pour beaucoup, qu’un léger frémissement de conscience amorce un bouleversement dont nul ne peut à l’heure actuelle sonder la profondeur : l’avènement aussi tardif que douloureux d’une véritable souveraineté individuelle. La remise en question des discours officiels n’en est qu’un signe avant-coureur. Une force inconcevable est en train de renaître du fond des âges pour nous rappeler quels sont notre essence et nos origines.

Cette souveraineté intérieure induit de retrouver le plein usage du libre-arbitre dont je parlais. De demeurer assez alignés pour ne laisser que notre conscience guider nos choix et nos actes. La liberté ne s’achète pas. Elle peut certes parfois coûter cher, mais ceux qui la connaissent peuvent témoigner qu’elle n’a pas de prix. Et n’est-ce pas la condition dans laquelle et pour laquelle nous nous sommes incarnés ?

Chacun de nous se déterminera selon des parts de lui-même et des héritages peut-être encore ignorés. Nul n’échappera quoiqu’il en soit à la grande Révélation, dont nous n’assistons pour le moment qu’aux prémices. Violences et chaos iront crescendo à mesure que l’agenda génocidaire mondial sera dévoilé. Les gens s’en prendront les uns aux autres au sein des nations, des clans, des familles… Il n’existe aucun vocabulaire pour décrire ce au-devant de quoi nous allons. Mais ceci ne doit pourtant pas nous faire dévier d’un iota de ce que nous avions choisi d’éprouver bien avant de venir au Monde. Beaucoup d’entre vous connaissent déjà ce lâcher-prise, et nous serons tous, l’un après l’autre, appelés à nous défaire de l’illusion du contrôle sur quelque aspect que ce soit de l’existence physique. Il s’agira de renaître à nous-mêmes, enfin adultes. Reconnectés aux mondes spirituels dont le confort et les habitudes nous aurons si longuement aliénés.

Beaucoup recherchent cette révélation toute leur vie. Peu réussissent à dompter leur intellect au point d’y parvenir. Mais nous possédons tous la faculté innée de pénétrer les mondes supérieurs. De connaître l’éternité depuis le plan matériel. Il suffit d’habiter pleinement chaque instant pour découvrir que l’infini réside en chaque interstice entre deux pensées. Et pour y ressentir la force d’un Amour si profond, d’une intelligence telle que nous sommes envahis du sentiment de notre petitesse devant l’Univers. Les larmes de joie qui nous viennent alors arrosent la Terre de ce que nous avons de plus pur et de plus magnifique. Je vous l’annonce dès aujourd’hui : du tréfonds de la nuit la plus noire où nous nous apprêtons à entrer brillera plus intensément que jamais notre lumière intérieure. Les circonstances apparentes ne doivent pas nous leurrer. Nous sommes déjà sur le chemin de la Grâce.

Zénon


[Voir aussi :
Note sur le mental et l’astral
Note sur les émotions et les pensées
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience
Note sur les problèmes et les opportunités
Sortir de la crise
L’enjeu majeur de notre époque
Un choix déterminant
L’épée, le bon grain et l’ivraie
La clef de la libération
L’avenir se crée maintenant
Note sur l’avenir
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Du confinement à la Grande réinitialisation
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
La fin de la mondialisation
Après le Nouvel Ordre Mondial
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao
Vie et mort des systèmes
NOM : qui tire les ficelles ?
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos
Souveraineté
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
La faillite de la science matérialiste ?
La pandémie des ondes ?
Dossier 5G et ondes pulsées
La religion de l’Antéchrist
La Loi de Karma]




Le Pacte Secret

Par Christine Côte

Chers amis,

Je tombe juste là-dessus [21 Octobre 2020]. Il n’y a pas de hasard. Certains ne seront pas encore mûrs pour comprendre et accepter, cependant, parmi nous beaucoup le seront, car les consciences, grâce à l’information, s’élèvent et croissent.

Je vous en prie, ne dites pas « je n’aime pas la source », « je n’y crois pas », « ce sont des fake news » : lisez simplement et vous verrez. La vérité c’est la liberté, le mensonge, c’est la prison.

En lisant cela, l’on ne peut avoir aucun doute sur la sinistre réalité de ce plan en pleine réalisation. Je vous recommande de faire suivre cela à tous ceux et celles, parmi votre entourage, susceptibles de se réveiller.

C’est plus facile pour ceux qui savent depuis longtemps, mais rien n’empêche de prendre le train en marche…

Il est déjà presque impossible de nous libérer, cependant, si une grande quantité de gens se réveillaient, ce serait encore possible, car leur arme véritable, ce sont les victimes de la télé et des mass medias qu’ils incitent sciemment à la haine. Puisqu’il est marqué que le peuple ne doive jamais en avoir connaissance, la meilleure solution est de diffuser et de publier très largement. Montrez-le sur vos vidéos.

Bien à vous,

Christine


[Source : http://projectavalon.net/lang/fr/Le_pacte_secret_fr.html]

Le Pacte secret

C’est un texte à la résonance inhabituelle que nous vous proposons aujourd’hui [en 2011]. Il est apparu sur Internet il y a 9 ans, un certain 21 juin 2002, jour du solstice d’été, détail qui est loin d’être anodin quand on connaît la passion des Illuminati pour la symbolique et les rituels. Son auteur en est inconnu, mais une chose est sûre : en choisissant cette date, il avait bien l’intention de « leur » gâcher la fête. Nous vous en offrons ici la traduction française.

Ce qui y est décrit pourra paraître excessif à certains et presque dépassé à d’autres et pourtant, force est de constater que les points qui y sont évoqués font écho aux interviews des lanceurs d’alerte publiées sur Project Avalon et ailleurs [Comme Les Protocoles de Toronto du journaliste Serge Monast, mort en 1996]. On verra également que le « Menu » exposé semble chaque jour se concrétiser davantage… au rythme du conte de la grenouille d’Olivier Clerc qui ne savait pas qu’elle était déjà cuite.
Pour notre part, nous ne sommes certes pas encore « cuits », mais ça chauffe… et c’est la raison pour laquelle nous avons décidé consensuellement à Avalon de vous faire partager ce document.
Est-il authentique — soit l’œuvre d’un véritable « insider illuminati » qui se serait désolidarisé de ses maîtres — ou non ? À vrai dire, cela importe peu. Ce qui compte en échange c’est qu’il nous invite à ouvrir les yeux et à nous poser les questions qui s’imposent face aux immenses dérives dont nous sommes tous les jours spectateurs, voire davantage. C’est donc à point nommé que ce texte est arrivé jusqu’à nous.

À titre d’exemple, tout récemment (16/5/2011), le journaliste et historien américain Webster Tarpley (auteur entre autres choses de la « Biographie non autorisée de George W. Bush ») révélait le contenu des écrits de John P. Holdren, l’actuel conseiller scientifique de la Maison-Blanche, et la « recommandation » de l’élite en vue d’une population mondiale optimale d’un milliard d’habitants… des chiffres écrits noir sur blanc.


Le Pacte secret Anonyme, 21 juin 2002 Traduction française : Mai 2011

• L’illusion créée par notre pacte sera si énorme, si vaste, qu’elle échappera à leur perception.

Ceux qui la verront passeront pour fous.

• Nous créerons des fronts séparés pour les empêcher de voir les liens qui existent entre nous. Nous nous comporterons comme si nous n’étions pas connectés pour garder l’illusion bien vivante. Nous distillerons nos objectifs au goutte-à-goutte pour ne pas éveiller les soupçons. Ceci les empêchera également de distinguer les changements à mesure qu’ils se produisent.

• Nous nous placerons toujours au-dessus du champ relatif de leur expérience parce que nous connaissons les secrets de l’absolu.

• Nous travaillerons toujours ensemble et demeurerons liés par le sang et le secret. La mort viendra à celui qui parlera.

• Nous ferons en sorte que leur espérance de vie soit brève et leur intellect faible tout en prétendant faire le contraire.

• Nous utiliserons notre connaissance de la science et de la technologie de manière subtile afin qu’ils ne se rendent jamais compte de rien.

• Nous utiliserons les métaux, accélérateurs de vieillissement et des sédatifs dans leur nourriture et leur eau ainsi que dans l’air.

Ils seront entourés de poison de toutes parts.

• Les métaux occasionneront leur dégénérescence intellectuelle. Nous promettrons de trouver des traitements en nous mobilisant sur tous les fronts, mais nous les empoisonnerons toujours plus.

Lesdits poisons seront absorbés par la peau, par la bouche, et détruiront leur esprit et leur système de reproduction.

Pour toutes ces raisons, leurs enfants seront mort-nés, et nous occulterons cette information.
• Les poisons seront dissimulés dans tout ce qui les entoure, dans ce qu’ils boivent, ingèrent, respirent et dans les vêtements qu’ils portent.

• Nous devons nous montrer ingénieux à cet égard, car ils ont la capacité de voir loin.

Nous leur enseignerons que les poisons sont bons en diffusant des images amusantes et des tonalités musicales.
• Ceux qu’ils respectent nous aideront, car nous les enrôlerons pour faire progresser nos poisons.

Ils verront nos produits utilisés dans des films et s’y accoutumeront sans jamais connaître leurs effets véritables.
Dès la naissance, leurs enfants recevront des injections de poison dans le sang et nous les convaincrons que c’est pour leur bien.

• Nous commencerons quand les enfants sont tout petits, que leur esprit est jeune et nous les ciblerons avec ce que les enfants préfèrent, les sucreries.

• Lorsque leurs dents commenceront à se détériorer, nous les remplirons de métaux, ce qui détruira leur mental et anéantira leur avenir.

• Une fois leur capacité d’apprendre affectée, nous créerons des médicaments qui les rendront plus malades encore et causeront d’autres pathologies pour lesquelles nous inventerons d’autres remèdes.
• Nous les rendrons faibles et dociles par la force de notre pouvoir.

Ils deviendront dépressifs, attardés et obèses et, quand ils viendront solliciter notre aide, nous leur donnerons toujours plus de poison.
Nous les focaliserons sur l’argent et les biens matériels pour qu’ils ne puissent jamais se relier à leur Soi intérieur. Nous les distrairons par la fornication, les plaisirs et les jeux extérieurs pour que jamais ils ne deviennent un avec le Tout.

• Leurs esprits nous appartiendront et ils feront ce que nous leur dirons. S’ils s’y refusent, nous trouverons le moyen d’implanter des technologies susceptibles d’affecter leurs perceptions.

• Nous utiliserons la peur comme une arme.

• Nous établirons leurs gouvernements ainsi que les partis d’opposition. Les deux côtés nous appartiendront.

• Nous dissimulerons toujours nos objectifs, mais notre Plan sera mené à son terme.

Ils travailleront à notre place, mais nous en récolterons les fruits.
Nos familles ne se mélangeront pas aux leurs, notre sang doit toujours demeurer pur, car là est la formule.
Nous les ferons s’entretuer quand cela nous conviendra.
• Nous les maintiendrons éloignés de l’Unité par le dogme et la religion.

• Nous contrôlerons tous les aspects de leurs vies et leur dirons ce qu’ils doivent penser.
• Nous les guiderons gentiment et délicatement en leur laissant croire que cela vient d’eux.
• À travers nos factions, nous fomenterons l’animosité entre eux.
Quand une lumière brillera au milieu d’eux, nous la ferons s’éteindre par le ridicule ou par la mort, ce qui nous conviendra le mieux.

Nous les pousserons à déchirer le cœur de leurs conjoints et à tuer leurs propres enfants.

• Pour cela, notre alliée sera la haine et la colère notre amie. La haine les aveuglera totalement et ils ne se rendront jamais compte que leurs conflits font de nous leurs dirigeants. Ils seront bien trop occupés à s’entretuer.

• Ils baigneront dans leur propre sang et tueront leurs voisins jusqu’au moment que nous considérerons propice à notre assaut.

• Nous en tirerons le plus grand bénéfice, car ils ne nous verront pas, car ils ne peuvent pas nous voir.

• Leurs guerres et leurs morts nous permettront de prospérer toujours plus.

• Nous recommencerons, encore et encore jusqu’à l’accomplissement de notre but ultime.

Nous continuerons à les faire vivre dans la peur et la colère par la diffusion d’images et de sons. Nous utiliserons tous les outils dont nous disposons pour arriver à nos fins.

• Les outils nous seront fournis par leur travail.

Nous ferons en sorte qu’ils se détestent eux-mêmes et leurs voisins.

Nous leur cacherons toujours la vérité divine, le fait que NOUS SOMMES TOUS UN, ça, ils ne doivent jamais le savoir !

• Ils ne doivent jamais découvrir que la couleur de peau n’est qu’une illusion, ils doivent toujours penser qu’ils ne sont pas égaux.

• Pas à pas, insensiblement, nous ferons avancer notre objectif.

Nous prendrons leurs terres, leurs ressources et leurs biens, leur santé, pour exercer sur eux un contrôle total.
• Nous les abuserons en les incitant à accepter des lois qui les priveront du peu de liberté qui leur reste encore.

Nous établirons un système monétaire qui les emprisonnera à tout jamais et les endettera, eux ainsi que leurs enfants.

• Quand ils réussiront à unir leurs forces pour s’opposer à nous, nous les accuserons de crimes et présenterons au monde une histoire différente, car alors tous les médias nous appartiendront.

Nous utiliserons la presse et son sentiment en notre faveur pour contrôler le flux de l’information.

Quand ils se soulèveront contre nous, nous les écraserons comme des insectes, car ils sont encore moins que ça.
• Ils seront dans l’incapacité de faire quoi que ce soit, car ils n’auront pas d’armes.
Nous recruterons certains d’entre eux pour exécuter nos plans, nous leur promettrons la vie éternelle, mais de vie éternelle ils n’auront jamais, car ils ne sont pas des nôtres.
• Les recrues se feront appeler « initiés » et elles seront endoctrinées pour croire en de faux rituels, de faux rites de passage vers de plus hautes sphères. Des membres de ces groupes penseront qu’ils sont un avec nous, mais ne connaîtront jamais la vérité. Ils ne doivent jamais connaître cette vérité ou bien ils se retourneraient contre nous.

• Ils seront récompensés pour leur travail avec des biens terrestres et des titres honorifiques, mais jamais ils ne deviendront immortels ni ne nous rejoindront. Jamais ils ne recevront la Lumière ni ne voyageront vers les étoiles.

• Ils n’atteindront jamais les Sphères supérieures, car les crimes commis contre des membres de leur propre espèce les empêcheront de passer au royaume de l’Illumination. Ça, ils ne le sauront jamais.

• La vérité, bien que sous leurs yeux, leur sera cachée. Elle sera si proche d’eux qu’ils ne pourront pas se focaliser sur elle et que quand ils seront enfin en mesure de la voir, il sera trop tard.

• Oh oui, la grande illusion de la liberté sera si grande, que jamais ils ne sauront qu’ils sont nos esclaves.

• Une fois que tout sera en place, la réalité que nous aurons créée pour eux les possédera. Cette réalité sera leur prison. Ils vivront dans le déni et le refus de voir.

• Quand notre objectif sera atteint, commencera une Nouvelle Ère de Domination.

• Leurs esprits seront entravés par leurs croyances, ces croyances que nous avons établies depuis la nuit des temps.

• Mais, si jamais ils parviennent à découvrir qu’ils sont nos égaux, alors nous périrons. ILS NE DOIVENT JAMAIS SAVOIR CELA. Si jamais, ils découvrent qu’ensemble ils peuvent nous vaincre, ils agiront.

• Ils ne doivent jamais, jamais découvrir ce que nous avons fait, car autrement, nous n’aurons nulle part où nous cacher. Une fois le voile tombé, il leur sera facile de voir qui nous sommes. Nos actions auront révélé qui nous sommes, ils nous traqueront et personne ne nous viendra en aide.

• Ceci est le pacte secret par lequel nous vivrons pour le reste de nos vies présentes et futures, car cette réalité transcendera de nombreuses générations et espérances de vie.

• Le pacte est scellé dans le sang, notre sang. Nous sommes ceux qui sont venus du Ciel sur la Terre.

• L’existence de ce pacte ne doit JAMAIS, JAMAIS être révélée. Il ne devra JAMAIS, JAMAIS être rédigé ou commenté, car cela engendrerait une prise de conscience telle qu’elle attirerait sur nous la fureur du GRAND CRÉATEUR et nous serions renvoyés aux profondeurs dont nous venons pour y rester jusqu’à la fin des temps, pour l’éternité elle-même.

Auteur : Inconnu (Évidemment. il n’allait pas dire son nom, il n’aurait pas survécu 48 h).


Et pour que personne ne perde son temps en partant à la chasse aux fact checkers : voici l’original de la citation de Juncker.

https://www.spiegel.de/politik/die-bruesseler-republik-a-3d75c854-0002-0001-0000-000015317086

Quant « aux cimetières de soldats » les injections corona s’en chargeront bientôt.

Le cynisme de Jean-Claude Juncker, président de la Commission Européenne.
( Citation.) | Librinfo74

(9 mai 2021)

Voilà, près de 7 mois plus tard, tout le monde aura compris que c’est malheureusement vrai…

[Ndlr : source anglaise à trouver]

Ainsi la citation de Kissinger prend tout son sens. (J’ai eu rapport d’un destinataire de l’une de nos compagnes d’Armes, qui se serait précipité sur un fact checker. N’en tenez AUCUN compte. Ces gens-là agissent ainsi pour se « prouver » à eux-mêmes qu’ils ont raison de soutenir le gouvernement, ou bien que ce n’est « pas si terrible que ça ». Ces gens-là ont encore bien du chemin à faire, et leur réveil n’en sera que plus dur.

(…) Malheureusement en janvier 2020… tout le monde préférait écouter la télé.

(…) Les gens ne croient les choses que lorsqu’elles sont déjà arrivées, donc bien trop tard.

Bien à vous,

Christine




Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire

[Source : LeoHohmann.com]

Par John Gideon Hartnett

Plusieurs nouvelles technologies qui semblent distinctes et non liées vont bientôt converger, créant un piège numérique géant qui attirera facilement les masses non informées.

Le piège numérique est déjà tendu et les élites mondialistes utilisent la COVID pour accélérer le processus de convergence. La plupart des gens tomberont dans le piège, ce qui les réduira finalement à un code QR humain – repérable, traçable et dépendant à 100% des Big Tech et du grand gouvernement pour leur existence.

Je vais défaire chacun de ces fils apparemment séparés qui seront progressivement fusionnés en une seule grille de contrôle socio-financière globale.

L’élément du programme le plus imminent nécessaire pour relancer ce système est le lancement réussi des passeports sanitaires numériques.

La France, l’Italie, l’Irlande, l’Allemagne, la Grèce et de nombreux autres pays ont commencé à imposer ces passeports à leurs citoyens, dont beaucoup envahissent les rues pour protester

Les citoyens protestent contre les pass sanitaires dans plus de 150 villes à travers la France.

Le mouvement vers les passeports sanitaires numériques aux États-Unis se fait plus progressivement, mais il prend de l’ampleur.  

Dans un briefing le lundi 2 août, le coordinateur de la réponse au coronavirus de Biden, Jeffrey Zients, a annoncé « qu’il est temps d’imposer certaines exigences » en ce qui concerne les vaccins anti-COVID.

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements sur les règles COVID qui pourraient être mises en œuvre, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que rien n’est exclu.

Souvenez-vous de cette phrase : Rien n’est exclu.

Cela pourrait impliquer de rassembler les non vaccinés et de les placer dans des camps d’isolement et de quarantaine.

Un consortium universitaire composé de six universités a déjà un contrat avec le département américain de la Sécurité intérieure pour fournir une formation aux parties prenantes du gouvernement, des forces de l’ordre, des soins de santé et du secteur privé sur la façon de mettre en quarantaine « de grandes parties » des communautés rurales.

Mais la volonté de numériser la vie des Américains commencera dans les villes et se déplacera vers l’extérieur.

Le maire de New York, Bill de Blasio, est devenu le premier homme politique à saisir l’occasion d’exiger des passeports vaccinaux.

Malgré ce que l’on essaie de vous dire, séparer les Américains par statut vaccinal est une première historique. Cela n’a jamais été tenté auparavant, pas à travers les épidémies de polio ou de variole des années 1920, 30 et 40, pas pendant la grippe espagnole. Jamais.

De Blasio a ordonné aux entreprises de refuser le service aux non vaccinés, qui représentent 30 % de la population de la ville. Il reste à voir comment de Blasio appliquera cet édit. Appelera-t-il la police pour qu’elle ferme les entreprises qui n’exigent pas de leurs clients qu’ils montrent leurs papiers ?

Le gouverneur de New York Andrew Cuomo vise également des mandats de passeport vaccinal dans tout l’État, mais sait qu’il doit être un peu plus diplomatique dans son approche.

« Les entreprises privées, je leur demande et leur suggère de passer à l’admission uniquement pour les vaccinés. Passez à l’admission uniquement pour les vaccinés », a déclaré Cuomo lors d’une conférence de presse le 2 août.

« Je crois qu’il est dans votre propre intérêt commercial », a-t-il dit, « de gérer un établissement réservé aux vaccinés…. Nous avons des applications, dites simplement « vous devez montrer que vous avez été vacciné lorsque vous franchissez la porte. » »

En d’autres termes, « Montrez vos papiers ».

Pensez à ce que Cuomo dit ici.

Il « demande » avec force aux propriétaires d’entreprise d’éliminer 30 pour cent de la population de l’État de leur champ de clients potentiels et de les traiter comme des non-personnes.

Ceci est du pur fascisme et rappelle la propagande nazie qui a contraint les Allemands à refuser de faire des affaires avec les Juifs.

Si les propriétaires d’entreprise de New York écoutaient Cuomo, ils rendraient impossible aux personnes non vaccinées de nourrir leurs enfants.

Apprenez vos droits médicaux en tant qu’employé, étudiant, etc., et comment « dire non à l’aiguille » sur HealthyAmerican.org de Peggy Hall 

Les passeports numériques exigent que les gens téléchargent un code QR numérisable sur leur téléphone portable qui permettra aux entreprises de savoir qu’elles ont été vaccinées avant d’être autorisées à entrer et à recevoir le service [acheter ou vendre].

Cela nous amène à la deuxième étape du piège numérique qui cuit dans le four technologique – un nouveau système d’identification numérique mondial capable de fonctionner conjointement avec les passeports sanitaires numériques et le nouveau complexe médico-vaccinal.

Le leader de ce courant technologique est l’Alliance ID2020, une collaboration de plus de 35 membres dont Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, la Chambre de commerce internationale, MIT SafePaths et GAVI Global Vaccines Alliance de Bill Gates.

En février 2021, ID2020 a lancé le Good Health Pass Collaborative pour encourager une convergence transparente de toutes les applications d’accréditation des vaccins anti-COVID-19 développées par de nombreuses organisations différentes.

« Les certificats vaccinaux en papier peuvent être facilement falsifiés », prévient l’Alliance ID2020 dans un communiqué. « Le but des informations d’identification de santé est de prouver en toute sécurité qu’une personne a reçu un vaccin ou un test PCR. La nouvelle alliance cible particulièrement les voyages pour garantir que les informations d’identification fonctionnent de manière transfrontalière, intersectorielle et sans friction. »

L’alliance a publié un livre blanc sur le sujet pour ceux qui recherchent plus de détails.

Une autre pièce du puzzle techno-fasciste en évolution est la nouvelle monnaie numérique.

Les banques centrales du monde travaillent sur une monnaie numérique programmable basée sur la technologie de la chaîne de blocs. Cela signifie qu’ils seront en mesure de suivre vos dépenses et de vous couper les vivres pour quelque raison que ce soit.

Le Fonds monétaire international a publié un article sur son site Web en juillet, saluant l’Inde comme un leader mondial dans la lutte pour éliminer les espèces. Et bien sûr, la COVID a été mentionnée comme accélérant l’abandon du papier-monnaie. Le FMI a noté :

« La COVID-19 a accéléré l’utilisation des paiements numériques sans contact pour les petites transactions alors que les gens essaient de se protéger du virus. Ces avancées s’appuient sur India Stack, un système complet d’identité numérique, de paiement et de gestion des données sur lequel nous écrivons dans un nouvel article (Carrière-Swallow, Haksar et Patnam 2021). »

Comme vous pouvez le voir dans la déclaration ci-dessus, l’objectif est une identité numérique complète, combinant ses données de santé et son statut vaccinal avec des données bancaires et d’autres données personnellement identifiables.

Klaus Schwab nous a prévenus à l’avance du piège que lui et ses copains élitistes nous tendaient.

« La quatrième révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique », a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs en novembre 2020.

Même avant cela, dans son livre de 2018, Shaping the Future of The Fourth Industrial Revolution, Schwab a écrit :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous.

« En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.

Lorsqu’il a écrit ces idées grandioses en 2018, cela ressemblait à la tarte dans le ciel des rêveries d’un futuriste déconnecté et peu y ont prêté attention. Post COVID, c’est sous notre nez et prêt à être mis en œuvre.

La dernière étape du programme technologique pour contrôler l’humanité est que les géants de la Big Tech travaillent ensemble pour éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Leur objectif ultime est de créer un système où tous les utilisateurs ont un passeport Internet, sous réserve d’un examen périodique de votre activité en ligne.

Les géants de la Big Tech ont déjà déclaré qu’ils partageaient activement des informations dans le but de réprimer les « suprémacistes blancs » dans le cadre du Global Internet Forum to Counter Terrorism, un organisme auparavant réservé pour cibler les talibans et al-Qaïda. 

PayPal a annoncé qu’il travaillerait avec l’Anti-Defamation League notoirement marxiste pour parcourir l’Internet, à la recherche de voix « extrémistes » et « anti-gouvernementales » afin de rendre inactif leurs boutons de don PayPal.

Dans le cadre de ce système de notation sociale à la chinoise, les coupables d’infractions en ligne sont publiquement humiliés et réduits au silence. Les collecteurs d’informations sont payés pour dénoncer leurs voisins et les membres de leur famille. Une fois que votre pointage de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous devenez tellement discrédité qu’il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi, de voyager en avion, en train, en bus ou en voiture, d’obtenir des prêts ou d’inscrire vos enfants dans les meilleures écoles.

Ceux qui fournissent des informations qui vont à l’encontre le narratif seront signalés, avertis, et finalement bloqués en tant que diffuseurs de « désinformation ».

Vous perdez votre liberté d’expression, mais ce n’est pas tout.

Dans la société d’aujourd’hui, être retiré d’Internet signifie que vous ne pourrez pas acheter ou vendre en ligne ou effectuer un travail nécessitant une connexion Internet.

Ainsi, les passeports sanitaires, actuellement en cours de déploiement dans le monde entier, vous empêcheront d’acheter en personne de la nourriture et des produits de première nécessité, tandis que le prochain passeport Internet vous empêchera de commander vos produits de première nécessité en ligne. Vous vous retrouverez essentiellement avec le marché noir, en supposant qu’il y en ait un pour ceux qui sont jugés « impurs » et « impropres » pour le monde moderne en raison de leurs opinions dissidentes.

Toutes ces technologies fusionneront à l’intersection du Big Data, des grandes banques, de la Big Tech et du grand gouvernement. Votre pointage de crédit social sera désormais lié non seulement à votre activité sur Internet, mais aussi à votre compte bancaire et à votre statut vaccinal. Bienvenue dans la Grande réinitialisation, alias Nouvel Ordre Mondial.

Ajoutez les avancées de l’IA et de la reconnaissance faciale et des millions de caméras de surveillance et vous parlez d’un État esclavagiste verrouillé qui fait ressembler 1984 de George Orwell à un club de vacances.

Mais ne vous plaignez pas. Tout cela est « pour notre sécurité ».

On ne peut pas faire confiance aux gens pour faire ce qu’il faut, croire aux faits réels, mener le genre de vie qui aboutit à une société paisible et heureuse. Tous doivent se conformer aux nouveaux maîtres.

Il est maintenant temps de combattre ce système. Mais pour le combattre, vous devez reconnaître son existence et garder une longueur d’avance sur la stratégie maléfique de la cabale.

À un moment donné, la trappe se refermera. Il sera trop tard pour se retirer. Vous vous conformez ou devenez une non-personne. Un ennemi de l’État.

Ces voies distinctes d’évolution technologique finiront par fusionner pour créer une société dans laquelle tout, et chaque personne, est suivi numériquement. Pas seulement le mouvement de leur corps physique, mais leurs actions, leurs comportements et même leurs pensées.

Les élites comptent sur nous pour accepter ce système à ses débuts, fragmentés. La plupart des gens pensent de manière compartimentée. Ils ne relient pas les points. Ils seront trompés.

Les élites ne vont pas vous dire d’emblée tout ce qui est impliqué dans la quatrième révolution industrielle. Ils vont juste vous dire les parties qui semblent bonnes – commodité, inclusion, sûreté, sécurité.

Regardez la vidéo effrayante de 42 secondes publiée par le gouvernement australien exhortant les gens à créer une identité numérique (en anglais).

Une fois cette trappe fermée, il sera très difficile de sortir de ses griffes. Ne téléchargez pas d’applications, payez en espèces chaque fois que c’est possible, et arrêtez de marcher en somnambule vers le Nouvel Ordre Mondial.

Lisez l’article complet sur LeoHohmann.com.

[HGJ :] Ce que j’ai fait pour réduire mon empreinte numérique, c’est que j’ai acheté un téléphone « stupide » et ai désactivé le paramètre de localisation qui fonctionne sur les téléphones mobiles. Il n’a pas de fonction GPS et ne peut donc pas me suivre. J’ai acheté le livre de cartes à l’ancienne et j’apprends à naviguer à l’ancienne. Le téléphone stupide ne peut pas prendre d’applications et ne peut donc jamais être utilisé pour la lecture de code QR.

Pour faire mes courses, je sors une liasse d’espèces au guichet automatique à l’extérieur d’un centre commercial et n’utilise que de l’argent liquide dans n’importe quel magasin, n’importe où. Recommençons tous à utiliser de l’argent liquide, partout.


[Voir aussi, en vrac :
Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Qui est l’Antéchrist ?
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?
Les micropuces de Bill Gates
L’après COVID-19: la médecine des ASSASSINS FINANCIERS par l’ÉTAT PROFOND, pour toutes les Nations ?
Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID
Note sur les manifestations sous le règne du NOM
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
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Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
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Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?
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Pourquoi le NOM nous fragilise ?
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le langage humain bientôt obsolète, prédit Elon Musk]




Les cinq phases de la conformité vaccinale : nous sommes actuellement dans la phase 3, et la dernière phase implique l’arrestation de ceux qui refusent les injections de protéines de pointe

[Source : Natural News]

Par Mike Adams

Grâce à de nouvelles informations fournies par un contact au sein du gouvernement fédéral, j’ai pu affiner la hiérarchie de l’escalade de la conformité des vaccins poursuivie par le régime Biden. Il y a cinq phases distinctes dans cette escalade :

Phase 1 – Volontaire (poussée par la propagande des médias, le paiement des influenceurs des médias sociaux, les médecins, etc.) ). Cette phase piège ceux qui sont assez crédules pour penser que l’injection d’armes biologiques à base de protéines de pointe les « sauvera » ou les libérera.

Phase 2 – Incitations (billets de loterie, bières gratuites, beignets gratuits, etc.) Cette phase prend au piège ceux qui sont assez stupides pour échanger leur vie contre de la bière et des beignets. Ces personnes sont nombreuses, et même les mondialistes se rendent compte que des personnes au QI aussi bas n’ont rien à apporter à la civilisation humaine.

Phase 3 – Les punitions du secteur privé – dans cette phase, ils utilisent les entreprises pour refuser aux gens l’accès à des services (comme les voyages en avion, les bateaux de croisière, les restaurants, les événements sportifs, les concerts, etc.) Cette phase vise à rendre le fait de ne pas être vacciné extrêmement gênant. NOUS SOMMES ICI MAINTENANT.

Phase 4 – Amendes pénales ou peines de prison (secteur public) – Cette phase se déclenchera après que les médias d’information bidon auront accusé les non-vaccinés d’être responsables de l’augmentation continue des épidémies de protéines qui tuent des gens. Des lois seront adoptées dans certaines juridictions pour exiger des vaccins et des rappels constants. Ceux qui refuseront de s’y soumettre seront condamnés à une amende ou à une peine de prison. Vous pouvez vous attendre à ce que cette poussée provienne des états bleus.

Phase 5) – Cinétique (secteur militaire) – guerre biologique et cinétique ouverte contre le peuple américain, menée par les militaires « woke » contre les citoyens. Cette phase se déroulera après que l’État profond vaccinal aura collaboré avec le régime Biden/Obama pour mettre en scène une tragédie massive sous faux drapeau qui pourra être imputée aux antivax et aux propriétaires d’armes à feu. Une fois que cet événement aura eu lieu, Biden et les démocrates demanderont à ce que l’armée américaine se retourne contre les citoyens pour confisquer les armes à feu dans tout le pays et imposer les vaccins covid-19 sous la menace d’une arme.

Comme me l’a dit un initié du gouvernement, le régime de Biden a reçu l’ordre d’atteindre un taux de vaccination de 70 % parmi les adultes américains, quoi qu’il en coûte. L’attaque sous faux drapeau mise au point par l’État profond servira de « justification morale » pour violer la moindre parcelle restante de droits civils, de droits de l’homme ou d’éthique médicale en agressant des Américains innocents avec des injections mortelles de protéines de pointe (également appelées « vaccins »).

En substance, le plan consiste en un holocauste vaccinal.

La dépopulation est le résultat souhaité de ce plan infâme, suivie de l’effondrement économique et de la destruction des États-Unis d’Amérique. Les personnes qui exécutent ce plan sont les mêmes qui ont truqué les élections de 2020 et réalisé un coup d’État politique pour prendre illégalement le pouvoir. Maintenant, ils utilisent ce pouvoir pour retourner l’Amérique contre elle-même dans un acte de suicide national.

Le podcast Situation Update d’aujourd’hui explique ces cinq phases plus en détail, révélant comment l’État profond vaccinal fera semblant d’être « les bons » jusqu’au jour où il se présentera à votre porte et vous collera un fusil sur la figure. Et n’oubliez pas : La confiscation des armes à feu est leur étape la plus importante, car les injections forcées de vaccins ne peuvent réussir que si la population est d’abord désarmée.




Serait-il imaginable que l’élite globale ait déclaré la guerre à l’humanité ?

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam]

Deloitte ne met pas au conditionnel le modèle de la nouvelle médecine. Il vous l’affirme en invitant ses clients à se mettre à jour avec ce qui s’en vient. Écoutez plutôt. (Comme ce genre de vidéos n’est pas censuré, profitez de la traduction offerte par YouTube).

Deloitte, en champion des cabinets de conseil, qui couvre le secteur de la santé, nous offre cette vidéo qui remonte à mars 2019. Bien avant les histoires covidiennes donc.

Dans ce document, nous démontrons que l’individu sain devient, par une volonté de mettre en place une autre forme de médecine, un malade qui s’ignore et que les appareils vont prédire ses maladies avant même que les symptômes apparaissent. Pour ce faire, le personnel de santé est invité à faire évoluer ses compétences pour être capable de répondre à la demande. Le contrôle sera sévère, n’en doutons pas.

Ainsi, les populations humaines sont sommées d’accepter un nouveau paradigme techno-médico-sanitaire qui doit changer en profondeur leur identité, leur droit à disposer de leur corps, ET de leur intimité. Sont-elles consentantes ou pas est le dernier des soucis de ces individus qui s’acharnent à modifier la nature humaine afin de réaliser leur rêve, au minimum centenaire : contrôler la vie sur terre par la technologie.

Dans une étude sur la surveillance sanitaire permanente d’un individu connecté, les auteurs ont eu un sursaut d’inquiétude au niveau éthique. Ils y soulignent en passant les problèmes que poserait la collecte massive de données.

« Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée. » 

Dans la même étude, on a une représentation d’un individu infiltré de capteurs à base de graphène qui permettent la surveillance permanente de la santé.

… Voici en écho une représentation compatible de l’humain posé sur un téléphone portable qui semble scanné et dont les données sont numérisées et donc récupérées par le Big data.

Regardez cette image incroyable publiée début 2019 par le numéro1 des consultants (secteur de santé inclus). L’individu est représenté sur son cellulaire avec une lumière qui sert à décoder les informations sur sa santé qui sont par la suite numérisées et transmises à un centre de gestion (envie d’écrire plutôt commandement) sanitaire. Vous constaterez le biocapteur au niveau du front. Image déjà présente en mai 2019

the-future-of-health-deloitte-us (Télécharger)

Une étude de Nature confirme que la technologie et son Big Data représentent une dimension incontournable de la Nouvelle médecine (envoyée 7 avril 2020)

Fig. 1 : The interconnected digital technologies used in the public-health response to COVID-19.

En avril 2020, ce schéma était prêt avec tout le protocole que nous connaissons aujourd’hui ! Bluetooth du smartphone au centre du processus. Comme sur l’image de Deloitte d’avant 2019 !

Télécharger

L’élite globalisée livre sa guerre contre le virus

Larry Summers, président du panel de hauts responsables (comprenez de délégués de la Planète finance) pour la prévention des pandémies, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine.

« Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération.» 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/22/devinez-qui-dicte-les-ordres-a-vos-autorites-sanitaires/

On voit la terminologie liée à la sécurité, ou à la résistance aux adversaires. Et même si elle n’est utilisée que dans un but rhétorique, elle interpelle et renvoie à cette phrase du président Macron qui avait dit ‘Nous sommes en guerre face à un ennemi invisible’.

Et maintenant, regardez cette présentation de Bill Gates qui use de visuel digne des militaires. Sauf que dans son cas, il a remplacé les soldats de plomb en miniatures en blouse blanche. La nouvelle armée du Nouveau Monde.

Les soldats ont été remplacés par le personnel de santé pour faire face à une promesse de pandémies à répétition.

L’Onu a entendu les responsables des cordons de la bourse sans lesquels les salaires onusiens risqueraient d’avoir quelques petits soucis. Ainsi en mai 2021, le chef de l’ONU lança lui aussi un : ‘Nous sommes en guerre’ contre le Covid. Et de préciser : le monde est ‘en guerre’ contre le Covid-19, appelant la communauté internationale à aller au-delà de la solidarité et à entrer en ‘économie de guerre’ pour stopper le virus.
https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/nous-sommes-en-guerre-contre-le-covid-dit-le-chef-de-l-onu_2151430.html

Gates mandate les consultants dans le cadre de sa guerre sanitaire

Gates mandate des consultants que l’on retrouve en train de coacher des gouvernants, voire plus si entente.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/08/09/jusquou-va-linfluence-de-la-firme-mckinsey-en-france-dans-la-promotion-du-vaccin-et-de-la-mise-en-place-du-pass/

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À noter que McKinsey ne pointe qu’à la 6e place dans le classement Gartner. Deloitte est le numéro 1

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Et en bons généraux, les gouvernants se chargent du terrain

Afin de réaliser sur le terrain la formation d’une armée de personnel médical soumis aux ordres, il va falloir restreindre les libertés individuelles par un contrôle piloté par l’État. Tout comme le sont les soldats militaires. Les médecins et autres infirmiers doivent devenir des gens qui appliquent des protocoles/règlements/procédures/etc. sans trop se poser de questions. Mais ils doivent aussi s’adapter à la médecine personnalisée et prédictive hautement connectée comme vu ci-dessus dans la vidéo de Deloitte.

Les médecins contemporains et autres intervenants dans le domaine médical doivent se former et s’adapter à la techno-médecine, ou disparaître.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/.

C’est à cela que servira le Conseil national de certification. À faire changer les mentalités des médecins qui veulent encore soigner avec des molécules. Ils doivent passer à la technologie. Et c’est un ordre.

Ainsi, en France, sous le titre de Conseil national de certification, le Conseil des ministres du 19 juillet 2021 a ordonné la mise en place d’une Certification périodique de certains professionnels de santé. Et voici en quoi elle consiste :

Le ministre des Solidarités et de la Santé a présenté une ordonnance relative à la certification périodique de certains professionnels de santé. L’article 5 de la loi n° 2019-774 du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et à la transformation du système de santé habilite le Gouvernement à prendre par ordonnance toute mesure relevant du domaine de la loi afin, d’une part, de créer une procédure de certification indépendante de tout lien d’intérêt permettant, à échéances régulières au cours de la vie professionnelle, de garantir le maintien des compétences, la qualité des pratiques professionnelles, l’actualisation et le niveau des connaissances, et, d’autre part, de déterminer les professionnels concernés par cette procédure de certification, les conditions de sa mise en œuvre et de son contrôle, les organismes qui en sont chargés, les conséquences de la méconnaissance de cette procédure ou de l’échec à celle-ci, ainsi que les voies de recours ouvertes à l’encontre de ces conséquences.
L’ordonnance détermine les principes structurants applicables à la certification périodique, dont les modalités d’application seront largement définies par voie réglementaire après concertation avec l’ensemble des parties prenantes.

Elle complète le titre II du livre préliminaire de la quatrième partie du code de la santé publique consacré au « Développement professionnel continu ». Un chapitre II relatif à la certification périodique des professionnels de santé est ainsi ajouté :

https://www.vie-publique.fr/discours/280808-conseil-des-ministres19072021-certification-periodique-professions-sante

  • il définit les objectifs de la certification périodique, le champ des actions qui participent à celle-ci (actualisation des connaissances et des compétences, amélioration de la qualité des pratiques professionnelles et de la relation avec le patient, prise en compte de la santé individuelle du praticien), la périodicité de l’obligation (tous les six ans), ainsi que les sept professions qui sont assujetties à l’obligation de certification (médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, pharmaciens, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et pédicures-podologues) ;
  • il crée un Conseil national de la certification périodique chargé de définir la stratégie, la promotion, le déploiement ainsi que les orientations scientifiques de la certification périodique ;
  • il prévoit que les actions de certification sont librement choisies par le professionnel de santé, le cas échéant en lien avec son employeur, parmi une liste figurant dans un référentiel national de certification périodique ;
  • les référentiels sont élaborés par les conseils nationaux professionnels, sur la base d’une méthode arrêtée par le ministre chargé de la santé sur proposition de la Haute Autorité de santé et après avis du Conseil national de la certification périodique. Ces référentiels sont approuvés par arrêté du ministre chargé de la santé, qui peut saisir au préalable pour avis la Haute Autorité de santé ;
  • il confie le contrôle du respect de l’obligation de certification périodique aux ordres professionnels ;
  • il instaure, au bénéfice de chaque professionnel, des comptes individuels qui retracent les actions de certification périodique suivies. Il prévoit que ces comptes seront gérés par une autorité administrative qui sera désignée par voie réglementaire. (lire la suite sur le site de vie-publique.fr

Un cabinet d’avocat traduit cette décision. Ainsi, le texte définit la notion de certification, crée une instance nationale de pilotage, prévoit la création de référentiels et institue un dispositif de contrôle.
https://accens-avocats.com/blog/2021/07/22/professions-de-sante-creation-dun-dispositif-obligatoire-de-certification-individuelle-periodique-des-competences/

Cette décision a amené le site ‘Observatoire du mensonge’ à publier un article qui est devenu viral et qui est combattu par les médias du système :

Bref, nous retiendrons 2 données incompressibles. D’abord, l’élite se sent en guerre, ensuite le nouveau paradigme qui change la pratique médico-sanitaire doit changer la nature humaine, la vie en société, en famille, ainsi que l’intrusion dans la sphère intime du couple, des toilettes, etc.

Ce changement de paradigme, s’il était expliqué clairement, serait probablement rejeté par tout un chacun. Alors, comment le mettre en place sans faire la guerre aux populations ?

Liliane Held-Khawam




Le Dr Richard Fleming prévient que le NIH du Dr Fauci a déjà développé l’arme biologique NEXT à libérer avec des capacités similaires au VIH qui suppriment l’immunité humaine

[Source : Cogiito]

par: Ethan Huff

https://www.afinalwarning.com/543714.html

Dans une nouvelle Conversation Brighteon, Mike Adams, le Health Ranger, a eu la chance de s’entretenir avec le Dr Richard Fleming au sujet du coronavirus de Wuhan (Covid-19). Ce que Fleming a dit à ce sujet est vraiment révélateur, y compris ce que pourrait être la suite de la saga de la pandémie.

[Note de Joseph : si comme le pensent plusieurs chercheurs pionniers les virus ne sont pas la cause réelle des maladies qui leur sont associées et si la théorie virale est en fait fallacieuse, alors comme pour le SRAS-CoV-2 soi-disant responsable de la Covid-19 (mais qui n’a jamais été isolé au sens physique du terme. Il a seulement été reconstitué de manière logicielle), leur arme biologique se révélera pour les génocidaires aussi décevante, car ne fonctionnant que par contact direct.
Voir : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

D’ailleurs, Fleming sort cet automne un livre intitulé Is COVID-19 a bioweapon ?

Une enquête scientifique et médico-légale. Il aborde en profondeur de nombreux sujets abordés au cours de l’entretien, que vous pouvez regarder ci-dessous :



En tant que chercheur scientifique estimé, Fleming a suivi de près toutes les données disponibles sur le virus chinois depuis le début de la pandémie.

Il a également cherché à savoir d’où venait le virus et a découvert d’horribles vérités sur la façon dont le gouvernement américain l’a financé avec l’argent des contribuables.

Fleming est également préoccupé par la façon dont le virus continue de muter en raison de la vaccination de masse. La chose même qui, selon les médias, mettra fin à la pandémie ne fait que l’alimenter davantage, prévient-il.

“CES VIRUS ONT BEAUCOUP DE VARIANTS”, a déclaré Fleming, soulignant que le virus chinois n’était pas un phénomène aléatoire dans la nature.

[Note de Joseph : selon la théorie alternative des exosomes, les variants ne sont pas des mutations, mais seulement l’une des nombreuses variétés d’exosomes ou virus fabriqués par le corps humain pour remplir des fonctions particulières (par exemple d’éboueur de déchets) ou comme déchets évacués par l’organisme, en fonction des poisons qu’il subit. Ceux-ci peuvent être aussi bien des pesticides retrouvés dans les aliments, que des vaccins ou pseudo-vaccins (avec notamment tous leurs adjuvants plus ou moins toxiques) ou encore que des ondes électromagnétiques (spécialement lorsque celles-ci sont pulsées, comme pour la 4G et la 5G). Le corps humain est très sensible aux champs électriques, aux champs magnétiques et aux ondes électromagnétiques en raison de sa propre nature électrique et magnétique et de l’existence des phénomènes physiques notamment de résonance et d’induction électromagnétique.
Faites varier les poisons et vous obtenez différents déchets viraux. De plus, les ethnies et les individus ont tous des spécificités génétiques et donc ne produiront pas exactement les mêmes déchets génétiques sous forme virale (ou d’exosome) face à un poison donné. Les prétendus multiples variants et mutations ne sont que des variations des déchets selon le matériel génétique et selon la nature du poison.]

“Je suis en fait en train de regarder les données qui sont faites sur les changements dans ces virus pour observer ce qui se passe, pour observer quels changements se produisent, quels changements se produisent naturellement, du point de vue de l’évolution de ce virus… il fait des changements comme le font les organismes vivants.”

Tout comme la façon dont les antibiotiques déclenchent des “superbactéries”, les vaccins covidés créent des “supervirus”….

Le terrier du lapin est assez profond avec ce virus, car il a été techniquement conçu sous la supervision des États-Unis, bien que nous sachions maintenant qu’une grande partie de son développement a été délocalisée en Chine, en particulier à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV), afin de contourner les restrictions nationales sur la recherche biologique à gain de fonction qui était nécessaire pour le produire.

Tony Fauci, des National Institutes of Health (NIH), était bien sûr impliqué, tout comme Peter Daszak, d’EcoHealth Alliance, et d’autres personnes de Fort Detrick, dans le Maryland, et de l’université de Caroline du Nord, à Chapel Hill.

Encore une fois, le terrier du lapin est profond.

Selon M. Fleming, le virus provient bel et bien d’un laboratoire, et il est en train de muter et de propager de nouveaux variants grâce aux vaccins, un peu comme les antibiotiques transforment les bactéries qu’ils sont censés combattre en “superbactéries”, dont certaines sont beaucoup plus mortelles que ce qu’elles étaient au départ.

“la sélection par la pression fonctionne”, a expliqué Fleming au cours de l’interview à propos de ce que nous voyons actuellement se produire pour le virus chinois à cause des vaccins.

“nous savons que si vous exercez une pression sur une espèce comme ce virus, il sélectionnera ceux qui sont les plus viables pour vivre et causer un problème.”

Pour aggraver les choses, Fleming affirme que Fauci et ses amis travaillent déjà sur la prochaine arme biologique qui contiendra des propriétés similaires au VIH plus fortes, conçues pour supprimer l’immunité humaine.

Si le coronavirus de Wuhan (Covid-19) peut être combattu par le système immunitaire, sa prochaine itération sera conçue pour déjouer les défenses naturelles de l’organisme.

Selon lui, le virus du SRAS, qui a été libéré en 2002, était la première itération de cette arme biologique, et le coronavirus de Wuhan (Covid-19) est la deuxième.

Le nouveau virus de type VIH, déjà en cours de développement, qui sera bientôt disponible, est donc le troisième.

Entre-temps, prévient-il, les personnes à qui l’on a injecté des protéines de pointe et des ARNm par le biais des vaccins continueront de développer des maladies graves à cause de ces injections et de les transmettre à d’autres.

[Note de Joseph : la théorie virale n’a jamais été réellement démontrée, mais a été expérimentalement contredite et devrait être abandonnée. Si l’Humanité l’abandonne, elle n’aura plus peur des virus et Big Pharma perdra sa manne vaccinale, puis le Nouvel Ordre Mondial s’effondrera.]




Pass sanitaire et vaccination obligatoire : la stratégie diabolique de Macron

[Source : E&R via ZEjournal]

C’est un fait que les vaccinés – simple, double ou triple (avec le « rappel » Bourla) – se sont fait avoir : ils pensaient être libres après leur injection, ils sont ferrés dans un lieu sinistre qui se referme derrière eux. Maintenant, il faut un pass pour avoir une vie prétendument normale, alors que tout est anormal avec un passeport intérieur, qui en outre flique le citoyen du matin au soir. Le premier pas vers l’acceptation de la non-liberté a été fait, le retour en arrière sera beaucoup plus dur. Heureusement, grâce aux non-vaccinés et aux anti-pass, il reste un espoir. Les citoyens encore libres attendent donc la dégradation de la situation pour que les prisonniers réalisent leur erreur, et tendent la main aux hommes libres. Cela viendra.

En attendant, une nouvelle, ou plutôt une fuite organisée a retenu notre attention, et elle révèle bien des choses sur la stratégie de ce président maléfique. Si l’on considère que Macron est un simple président de la République, un petit banquier de chez Rothschild, forcément néolibéral, progressiste et malin, on ne peut pas tout comprendre à la situation actuelle.

Si l’on ajoute qu’il se prend pour l’antéchrist, pour le fils du Diable, alors les choses deviennent plus claires. Ce n’est pas de gaieté de cœur qu’on utilise les termes du registre diabolique pour qualifier Macron et sa stratégie, c’est parce que les points de concordance sont multiples : le tableau de l’Élysée, la Bête de l’événement, le séparatisme forcené (la joie sadique d’être le Grand Diviseur), la destruction de Notre-Dame, les prêtres assassinés… Là on n’est plus dans un film de série B, mais bien dans le réel, un réel dont la structure cachée affleure.

[Voir aussi : Le pass sanitaire bientôt retiré selon Martin Blachier?]

Ceci étant dit, passons à la « fuite » du château du prince des ténèbres françaises, puisque les Français vivent actuellement dans des ténèbres, organisées par celui qui éteint une à une toutes les lumières.

Donc Blachier, que l’on a surnommé la girouette du palais, et qui aurait l’oreille du Petit Dictateur, diffuse la rumeur selon laquelle le pass serait bientôt retiré. Le pass, c’est tout simplement l’outil de coercition pour les résistants à l’ordre macronien, ou au Nouvel Ordre mondial, celui des mondialistes ennemis de l’humanité. Ils l’ont prouvé à maintes reprises, même s’ils cachent leur projet diabolique derrière un humanisme qui n’est que de mots.

Alors pourquoi envoyer Blachier annoncer très officieusement que le pass va disparaître ? D’abord pour faire baisser la tension dans la rue, qui ne fait qu’enfler, chaque samedi, malgré les scores de mobilisation grotesques annoncés par l’Intérieur, et repris servilement, sans aucun travail de vérification, par les médias mainstream. On sait qu’ils n’ont pas le choix : ils sont soit en faillite, soit en chute libre.

Mais l’astuce du fils du Diable va plus loin : en jouant avec le chaud et le froid, au Blachier et au Véran, il entretient la confusion dans l’esprit des Français, qui sont totalement désorientés. Or, l’objectif est justement la désorientation, pour emmener le troupeau à l’abattoir. La désorientation de l’ennemi est un élément important de victoire dans une guerre, et Macron, la recrue des mondialistes, a lancé une guerre contre le peuple de France.

Mais pourquoi les mondialistes en veulent autant à la France ? Digression.

Les mondialistes veulent, pour être le seul modèle, la seule possibilité, que la France, ce pays des arts, de la culture, de l’amour et des libertés, ne soit plus un modèle pour le monde entier. En clair, qu’elle soit détestée. C’est pourquoi les Attaliens nous infligent et nous injectent des gens qui ont été élevés dans la haine de notre pays. Ils veulent détruire la douceur de vivre française, ce modèle qui ne cadre pas avec la dette, le mensonge, le mercantilisme et le Diable. Ils veulent que l’humanité déteste la France, que le modèle mercantile évince le modèle épicurien pour devenir le seul sur le marché, et que le Marché domine tout. Que le désintéressement et les relations gratuites soient éradiquées, que la famille explose, que le couple disparaisse, que l’Amour s’efface devant la Consommation.

Ils s’en prennent, grâce à leur infiltré au poste de président, à l’âme de notre nation, à notre esprit de résistance (pléonasme), et tous les vices sont utilisés dans ce but ignoble. Aujourd’hui, par exemple, pour détruire le moral des parents, ils veulent vacciner les enfants, jusqu’aux bébés ! Une presse indigne prête ses pages à ce projet littéralement maléfique :

« Dans une interview donnée à Nice Matin Philippe Babe, chef du service adjoint des urgences pédiatriques de l’hôpital Lenval de Nice, s’inquiète de la croissance du nombre d’hospitalisations de nourrissons.
Dix bébés de moins de trois mois ont été hospitalisés en deux semaines, phénomène qui n’était pas du tout observé pendant les vagues précédents. Les nourrissons souffrent de fièvre et présentent des symptômes fébriles et ont en commun d’avoir un des parents, parfois les deux qui sont positifs au Covid-19 et la plupart du temps non-vaccinés, explique le médecin dans les colonnes du quotidien régional ». (20 Minutes)

La carotte, et le bâton, c’est la sempiternelle stratégie des dominants. La carotte, c’est Blachier, le bâton, c’est Véran, ou Attal, au choix.

Voici d’abord le fil Twitter de Véran sur la Martinique, en date du 12 août 2021, à 9h17 PM (21h17). Accrochez-vous bien, et ne manquez pas la pointe finale, qui n’est pas de Véran…

« Je viens en Martinique pour dire les choses. La vague de covid qui frappe les Antilles est la conséquence d’une vaccination trop faible. Elle fait des milliers de malades, des dizaines de morts par jour et met en tension le système sanitaire. Mes pensées vont vers les familles.

Pour faire face, des centaines de médecins et soignants ont pris un vol avant-hier depuis Paris pour sauver des vies après mon appel à la mobilisation. Je leur dis mon admiration et ma reconnaissance. Nous organisons déjà les prochains renforts depuis la métropole.

Pour faire face, nous renforçons les hôpitaux Antillais en oxygène, en traitements de pointe comme les anticorps monoclonaux, en matériels de protection, en lits d’hôpitaux. Nous organisons des évacuations sanitaires vers la métropole.

La situation sanitaire, je le dis et pèse mes mots, est sans commune mesure avec ce que j’ai pu voir jusqu’ici. La virulence des variants, la puissance de l’épidémie, les jeunes patients sont une réalité que chacun doit regarder en face. Avec courage, sang froid et détermination.

Je le dis, sans provocation, mais avec ma conviction de médecin, et de ministre. Le retard pris par la vaccination ne peut plus durer. C’est une affaire trop grave pour que nous ne réussissions pas à protéger au plus vite la population.

Il y a ici des vaccins pour tout le monde, les mêmes qu’en métropole et que dans la plupart des pays occidentaux. Efficaces, sûrs, ils sauvent des vies partout, en quantité.

85 % des médecins de l’hôpital de Fort-de-France sont vaccinés. Faites leur confiance, plutôt qu’à ceux qui sèment la peur et la discorde en espérant y récolter un peu de célébrité ou de pouvoir. Le konseye pa le peye.

L’hôpital est rempli de malades qui avaient peur du vaccin au lieu d’avoir peur du virus. C’est insupportable, parce que c’est évitable. Nous ne baisserons jamais les bras, nous tiendrons, ensemble. Kimbé rèd ! »

Doc / Prof. Laurent Thines @LaurentThines

•Bon Olivier – OK, tu as en partie raison… Mais pour l’autre partie, tu te fous un peu du monde…non ? Tu as vu la gueule du système sanitaire aux Antilles, bon sang ?

Et pendant que Véran joue de la psychose (un pipeau) en Martinique, Attal en joue en métropole.

Attal nous menace d’un nouveau confinement, parce que nous ne serions pas assez vaccinés (alors que le virus se fout objectivement du vaccin) :

« C’est un motif d’espoir quand même sur le fait qu’on n’ait pas à reprendre des mesures comme celles malheureusement qu’on prend aux Antilles pasque la vaccination n’est pas au rendez-vous. Maintenant je peux pas l’exclure par principe, mais plus on continuera à se faire vacciner, plus les Français iront se faire vacciner, plus on mettra derrière nous le risque d’avoir à reprendre des mesures très dures de confinement ».

https://www.youtube.com/embed/Jh2hYCqGZPM

Le message, ou plutôt les messages, sont clairs : la rue est en train de monter une barricade contre les délires du Petit Dictateur, qui tente de faire baisser la tension avec la fuite d’une fausse promesse d’assouplissement sur l’Ausweis. De l’autre côté, via le porte-parole de Pfizer – le stagiaire Attal –, le pouvoir maintient la pression et formule un nouveau chantage au confinement, qui serait la faute des non-vaccinés, histoire de bien fracturer le pays entre vax et antivax.

La dernière pierre de cette stratégie scélérate est apportée par France Inter, qui ne trouve rien à redire à la vaccination des enfants :

« Il y a fort à parier que le sujet de la vaccination des moins de 12 ans va se poser à la rentrée prochaine. Avec la grande contagiosité du variant delta, le retour à l’école pose question, et les autorités, comme les médecins y réfléchissent ».

Il faut oser, en trois lignes, balancer autant de désinformation, et de désinformation dangereuse. Le sujet ne va pas « se poser » tout seul, comme par enchantement, c’est le pouvoir politique qui le pose, et l’impose.
La « contagiosité du variant delta » n’a rien à voir avec une dangerosité, et ce n’est pas parce que la Martinique a un système hospitalier défaillant (par volonté politique centrale) qu’il faut imaginer un tsunami de morts.
Enfin, on aimerait que les parents soient associés à la fameuse réflexion entre les « autorités », qui n’en ont plus beaucoup, et les « médecins », qui se prêtent à cette politique immonde. Nous qui pensions que les médecins étaient faits pour soigner… Heureusement, il en reste !

Pour bien comprendre ce qu’est la désinformation à la sauce France Inter, voici le premier paragraphe de sa propagande nauséabonde, sachant qu’en période de fortes chaleurs, et donc de pollution atmosphérique dans les villes, les bébés, comme les octogénaires, ont toujours souffert :

« Un virus plus contagieux, c’est un virus plus contagieux pour tout le monde, et donc aussi pour les enfants, et même les nouveau-nés. On l’a vu la semaine dernière avec cette alerte lancée par l’hôpital pédiatrique Lenval à Nice : une dizaine de bébés de moins d’un mois ont été hospitalisés ces derniers jours, dans un contexte de forte incidence épidémique (taux d’incidence supérieur à 600) pour cause de covid. Ils avaient de la fièvre (autour de 39°) et des problèmes gastriques. Rien de gravissime mais leur très jeune âge a justifié une hospitalisation de quelques jours. Leurs parents n’étaient pas vaccinés ».




Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent

[Source : soleilverseau.com extraite de LA UNE TV – édition spéciale 14/08/2021]

[Ndlr : d’autres causes sont possibles et envisageables, puisque notamment la Covid-19 couvre notamment les symptômes de la grippe. La protéine Spike présente dans les vaccins procure aussi certains des symptômes de cette « maladie ».]

Petit extrait vidéo de la deuxième partie santé de l’émission du 14 Août 2021, de la nouvelle chaîne d’information ALTERNATIVE Française LA UNE TV (launetv.com), présentée par Richard BOUTRY. Écoutons le Dr Astrid Stuckelberger. Ses propos à propos du vaccin et du test PCR font froid dans le dos ! L’humanité est en danger.

Durée : 8 min



[Voir aussi, sur le graphène :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain — comme l’a mentionné Astrid Stuckelberger dans la vidéo — est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?]




Faire tomber la France et son peuple : le rêve de l’oligarchie anglo-saxonne depuis des siècles

[Source : Divulgation.fr]

[Illustration : Chouans de Vendée.]

Par Angel

La France est un point stratégique dans le monde pour l’instauration d’un nouvel ordre mondial, et l’a toujours été. C’est par ailleurs en France qu’a démarré, grâce à la fausse révolution maçonnique de 1789, le début de notre ère de gouvernance par l’infiltration des sociétés secrètes & leur idéologie républicaine sans valeurs, sans âme, sans racines, avec une culture uniformisée, afin de mener les peuples à une société sous contrôle absolu de l’intelligence artificielle et du traçage. Car qui ne connaît pas l’Histoire, le passé de ses ancêtres et les valeurs qui lui ont été transmises, est de fait ignorant et ne peut pas savoir où il va.

jean moulin

Pour détruire la France, ils se servent de valets soumis aux idéaux mondialistes comme Macron, et tant d’autres. La guerre étant un stratagème dépassé et inefficace à long terme, l’infiltration, la subversion de l’intérieur est un choix clé pour déstructurer un pays. Car attaquer la France et son peuple de front serait une erreur fatale.

D’ailleurs, la secte dangereuse des illuminati dont l’influence se faisait de plus en plus ressentir à l’époque en ayant infiltré la Franc maçonnerie française, a été chassée d’Allemagne par l’intermédiaire en 1784 de Karl Theodor de Bavière, qui fit à l’époque une copie à tous les rois l’Europe afin de les mettre en garde de ce danger.

D’ailleurs une grande désinformation est faite depuis tant de temps concernant la « révolution ». Dès l’an 1790, les opposants à la République à Paris, plus que nombreux, bien plus que les révolutionnaires, font face à des milices républicaines lourdement armées qui n’hésitent pas à massacrer tout le monde.

Je ne suis pas royaliste. Je suis pour la prise de conscience de chaque humain et l’élévation spirituelle de l’humanité afin que l’on bâtisse un monde bienveillant.

Néanmoins, je pense qu’il est important de le faire en partant sur des valeurs solides. L’ancien régime n’était pas parfait, c’est évident, mais il était tout de même bien moins pire que celui vers lequel on nous amène. Certaines des valeurs très importantes de nos ancêtres pourraient permettre de participer à la construction d’un nouveau monde encore meilleur et encore plus haut en conscience. Entre autre grâce à la foi, l’entraide, le sentiment d’unité au sein d’un pays, l’attachement aux valeurs de la terre. Ce qu’on a presque perdu aujourd’hui, en somme.

Emblème des illuminés de Bavière

Ceci dit, ce pays qu’est la France a toujours été un très grand architecte de la construction du monde.

  • Culturellement
  • Linguistiquement
  • Culinairement
  • Touristiquement

[Ndlr : l’auteur aurait pu ajouter religieusement (la France ayant été longtemps considérée comme la fille aînée de l’Église du Christ et le Roi de France comme le Lieutenant de ce dernier), philosophiquement, scientifiquement…]

La France et son peuple ont toujours participé à adoucir la vibration du monde et cela rappelle à quel point un peuple créatif et attaché à sa terre sont un danger à l’instauration d’un nouvel ordre du monde tel que prôné par les élites actuelles.

[Ndlr : Toujours ? Rien n’est moins sûr. Elle a aussi participé à ce qui a été appelé les Guerres de religion, le massacre des Albigeois, les Croisades, etc., et ce type d’actions n’est pas vraiment réputé pour adoucir les choses.]

Comment les élites ont fait perdre à la France ses racines ?

En 1 phrase : en commettant un énorme génocide de paysans catholiques. Et celui-là, on en parle pas ! Entre 1793 et 1796, en pleine période de la terreur du franc-maçon Robespierre, les Français qui s’opposent à l’instauration de la République sont plus que nombreux. Commence alors la guerre de Vendée (qui ne concernait pas que les vendéens, bien-sûr. Cela allait du Pays Bordelais à la Bretagne). On dénombre environ 500 000 morts ou plus. Très conséquent pour l’époque.

S’en vient ensuite Napoléon Bonaparte (dont beaucoup pensent qu’il est à l’initiative de la loge maçonnique du Grand Orient, la loge la plus impliquée en France politiquement, et de très loin aujourd’hui) et ses campagnes meurtrières successives qui ont mis l’Europe à genoux durant plus d’une décennie afin de déstabiliser en profondeur la culture européenne, avec la France comme outil. On parle là de près de 4 000 000 de Français morts au combat.

S’en vient plus tard la première guerre mondiale, 2 000 000 de Français morts au combat, sans compter au préalable la bataille de Sedan qui fit perdre l’Alsace Lorraine.

Tout cela, la République se garde bien de s’en vanter.

Adam Weishaupt, fondateur des Illuminati

Ces guerres ont très activement participé à dégrader profondément les valeurs & traditions historiques ancrées dans le cœur des Français, dont certaines essentielles, transmises par le père. Aujourd’hui, notre société compte des centaines de milliers d’humains passant leur temps à se « chercher » et tentent de s’identifier dans des mouvements toujours plus divisionnaires les uns des autres.

Néanmoins, il reste dans le cœur des Français ce désir profond, cette valeur qu’est la liberté qui se fait de nouveau de plus en plus ressentir, sous l’œil bienveillant de nos ancêtres qui nous regardent. Nous réussirons mes amis. Ces « maîtres du monde » ne parviendront pas à nous asservir.




La dictature sanitaire aura une fin

[Source : Kernews via nicolasbonnal.com]

Connu sur le plan international pour ses nombreuses vidéos diffusées sur Internet avec ses cours sur la Torah, le Rav Dynovisz aborde à nouveau la question de l’autodestruction de l’Occident, le mondialisme, la stratégie du chaos et la volonté de domination des peuples dans le cadre de cette crise sanitaire. Le Rav Dynovisz, maître de la Torah, nous accorde un entretien exceptionnel dans lequel il livre des clés essentielles pour appréhender le monde qui se prépare.




Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Mike Adams.

Dans cet article :

  • Aucun matériel de référence certifié isolé pour le virus « Covid-19 ».
  • Les tests PCR qui trouvent des résultats « positifs » pour Covid enregistrent simplement le résultat d’un fond amplifié d’instrument.
  • La FDA admet que les tests PCR ont été développés sans aucun échantillon de virus covid-19 isolé. Donc, ils ont simulé le virus.
  • La virologue Dr Judy Mikovitz confirme que les coronavirus courants et les virus de singe sont frauduleusement étiquetés « Covid ».
  • Le Dr Jane Ruby explique l’absence de tout isolat viral et pourquoi la pandémie est basée sur une fraude scientifique coordonnée.
  • Les documents du CDC FOIA révèlent la preuve que le CDC n’a jamais isolé Covid-19.
  • L’arme biologique à protéines de pointe – spike – est réelle, et les « vaccins » contre le virus sont des piqûres mortelles pour parvenir à la dépopulation.
  • La directrice  du CDC, Walensky, admet que le vaccin contre le Covid n’arrête pas les infections covidiennes.
  • Le sénateur Rand Paul appelle les Américains à résister à la tyrannie covidienne.

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
« Virus », des décennies d’escroqueries ?
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas]

L’année dernière, lorsque les sceptiques de l’arnaque covid disaient « qu’il n’y a pas de virus covid », je n’étais pas du tout d’accord. En tant que scientifique de l’alimentation publié, propriétaire de laboratoire et inventeur de deux brevets publiés basés sur l’analyse par spectrométrie de masse, je savais que le SARS-CoV-2 avait été séquencé génomiquement. J’ai sûrement pensé à tort qu’il avait été isolé, purifié et déterminé comme étant la cause de la maladie de Covid-19.

Un an plus tard, il s’avère que les sceptiques avaient raison. Et les avertissements de personnes comme le Dr Thomas Cowan, Sally Fallon, le Dr Andrew Kaufman, Jon Rappoport, David Icke et d’autres étaient justes. (Je me suis depuis excusé auprès d’eux dans un podcast public.)

Comment ai-je réalisé que l’establishment médical et scientifique avait fabriqué tout cela ? Et quelle est l’explication de la maladie très réelle que les gens connaissent ?

Je vais partager cette histoire ici, mais en bref, les virus du rhume et les fragments de virus de singe trouvés dans les vaccins contre la grippe sont mal étiquetés « Covid », et il existe une arme biologique à protéine de pointe armée qui est distribuée via des injections de vaccin. Tout cela est réel. Mais il n’existe pas de virus Covid-19 réel, physique et isolé qui a été récolté sur des personnes malades et dont il a été démontré qu’il infecte d’autres personnes et les rend malades. Ce à quoi nous assistons vraiment ici, semble-t-il maintenant, ce sont trois choses distinctes :

1) Un cocktail de virus du rhume étiquetés « Covid » qui circulent et provoquent des maladies chez certaines personnes, très probablement en raison du manque d’exposition du système immunitaire aux virus de type sauvage pendant tous les blocages mondiaux.

2) Une nanoparticule toxique de protéine de pointe armée qui est injectée à des personnes sous forme de « injection  de caillots »… et elle est probablement en train de se détacher/disperser, provoquant des effets secondaires nocifs chez d’autres personnes non vaccinées.

3) Un schéma PCR « casdémique »(([1] « “Casdémie” Covid : le cartel bancaire est le moteur de l’agenda »)) entièrement frauduleux conçu pour signaler presque tout le monde comme « positif » basé presque entièrement sur le nombre de cycles que les instruments de préparation d’échantillons PCR doivent effectuer, amplifiant ainsi le bruit de l’instrument jusqu’à devenir « positif ». Presque tout peut être signalé comme « positif », y compris les fragments de matériel génétique provenant des vaccins antigrippaux des années précédentes.(([2] « Le mystère des 3 présidents décédés après avoir bloqué la distribution des vaccins anti-covid dans leur pays »))

Ces trois choses – combinées à la programmation d’hystérie de masse par les médias – ont atteint un niveau de peur mondiale et de terrorisme psychologique que le monde n’a jamais vu auparavant. Mais tout est basé sur des mensonges. Et voici comment nous le savons.

Aucun matériel de référence certifié pour le virus SARS-CoV-2 « covid-19 » isolé

En tant moi-même propriétaire de laboratoire, publiant des analyses scientifiques et analyste des spécifications de masse, je suis extrêmement familier avec le processus d’utilisation de matériaux de référence certifiés (certified reference materials CRM) pour valider les méthodes d’analyse et les séquences d’étalonnage des instruments. (J’ai passé beaucoup trop de soirées à créer des dilutions en série d’étalons à l’aide d’une pipette Gilson, croyez-moi…)

Voici comment le processus fonctionne normalement dans un laboratoire scientifique légitime :

Étape 1) Acquérir le CRM de la chose que vous souhaitez tester (« analyte »). Cela signifie acquérir un étalon purifié et isolé avec une concentration connue, généralement dans un support tel que l’eau, ou sous forme de poudre sèche. Par exemple, lorsque je teste le mercure dans les aliments, j’ai une norme de mercure certifiée avec une concentration connue de mercure, dissous dans l’eau, l’acide nitrique et l’acide chlorhydrique.

Étape 2) Exécutez le CRM en tant qu’échantillon, à différentes concentrations, pour créer une « courbe » qui enseigne efficacement à l’instrument à quoi ressemble l’analyte et comment le détecteur de l’instrument réagit aux différentes concentrations de l’analyte.(([3] Dans le domaine de la métrologie et plus particulièrement de la chimiométrie, un analyte est une substance ou un produit chimique constituant le centre d’intérêt d’une procédure d’analyse chimique, toxicologique ou écotoxicologique.)) Le résultat final est une « courbe quantique » qui sera utilisée à l’étape 3.

REMARQUE : Les instruments « correspondront » à la chose que vous recherchez par une variété de méthodes, en filtrant toutes les autres choses qui ne correspondent pas. Dans le travail de spécification de masse, les molécules sont identifiées par leur masse moléculaire, les schémas de fragmentation des ions et le temps d’élution sur les colonnes de chromatographie. Pour qu’une substance corresponde, elle doit atteindre tous ces paramètres. Dans les tests PCR, une « correspondance » est une séquence génomique constituée de paires de bases, définie dans une bibliothèque numérique qui peut ou non avoir été exécutée par rapport à une norme physique réelle dans le monde réel.

Étape 3) Faites passer des échantillons inconnus dans l’instrument (sérum sanguin, urine, salive, eau, extraits d’échantillons alimentaires, etc.) et voyez si l’échantillon inconnu contient l’un des éléments que vous recherchez (l’analyte). Comme vous avez construit une courbe quantique, vous pouvez également déterminer la concentration de l’analyte dans l’échantillon d’origine. Ceci est généralement décrit comme la masse sur le volume, telle que ng/ml (nanogrammes par millilitre). Un nanogramme est un milliardième de gramme. Lorsque nous testons les aliments pour le glyphosate, nous pouvons détecter aussi peu que 1 nanogramme par millilitre, ce qui vous en dit long sur l’extrême sensibilité des instruments haut de gamme.

C’est le processus pour tester quelque chose et identifier la quantité de quelque chose qui se trouve dans quelque chose d’autre. Par exemple, si vous deviez déterminer si quelqu’un est malade du « Covid », vous devrez déterminer la concentration de virus Covid-19 dans son sang (c’est-à-dire la « charge virale »). C’est la science/biologie 101.

Alors, quel est le problème ?

Vous seriez stupéfait de réaliser à quel point la fraude scientifique est profonde. Considérez ces points critiques :

Point n° 1 : Il ne semble pas y avoir de matériaux de référence certifiés isolés et purifiés disponibles pour le SARS-CoV-2 « Covid ». J’ai vu des entreprises qui prétendent vendre des « isolats » contenant des virus Covid, mais dans leur propre description, elles expliquent que leurs flacons contiennent du matériel génétique provenant de « cellules hôtes » (cellules humaines) ainsi que de cellules de sérum bovin, ce qui signifie que c’est un ragoût de cocktail de je-ne-sais-quoi. Pourtant, cela s’appelle un « isolat ».

Exemple concret: BEI Resources, qui propose ce qu’ils appellent un « isolat » de covid-19, que vous pouvez trouver sur ce lien. Comme la description l’indique pour ce covid-19 « isolat : »

… Ce produit ne convient pas comme préparation d’antigène de cellule entière car la teneur en protéines est largement apportée par la cellule hôte et le sérum bovin fœtal utilisé lors de la propagation du virus.

En d’autres termes, la plupart du matériel génétique de l’« isolat » provient en fait de cellules humaines. Ce n’est donc pas du tout un isolat. Le virus Covid n’est pas isolé. En fait, cet « isolat » contient du matériel génétique viral, du matériel génétique humain et du matériel génétique bovin, ainsi que tous les autres virus présents dans le sang des humains et des vaches. Cela pourrait être des millions de nanoparticules différentes présentes, chacune contenant ses propres séquences de matériel génétique.

Point #2 : Si vous n’avez pas de matériaux de référence isolés et certifiés, vous ne pouvez pas développer un test d’analyse légitime. Et c’est exactement ce qu’admet la FDA dans ses propres documents, qui indiquent que puisque les virus Covid-19 n’étaient pas disponibles pour le développement du test PCR, ils l’ont « simulé » en utilisant des cellules humaines et des fragments de coronavirus de banque de gènes. D’après le propre document de la FDA :

Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… dopés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.

En d’autres termes, ils ont truqué le virus Covid en utilisant des cellules de banque de gènes qui ont été délibérément et faussement étiquetées « Covid ». C’est ainsi que le test PCR a été développé. La FDA admet tout. Le test PCR est une fraude.

Point n°3 : Si vous n’avez pas d’isolat CRM, vous ne pouvez pas étalonner les instruments par rapport à un échantillon connu. Et cela signifie que les tests PCR ne sont pas calibrés par rapport à quoi que ce soit de réel et de physique. Au lieu de cela, ils s’appuient sur des bibliothèques numériques téléchargées fournies par nul autre que le CDC, le même groupe paravent de Big Pharma qui est le fer de lance de cette arnaque covid.

Point n°4 : les instruments de PCR sont incapables d’analyse quantitative. Les coups « positifs » ne sont que des bruits de fond amplifiés. Aucun instrument PCR ne peut vous dire quelle quantité de matériel génétique a été trouvée dans un échantillon original. Il peut simplement détecter la présence de matériel sur une base oui/non. En science de laboratoire, cela s’appelle une analyse « qualitative », pas une analyse quantitative.

Dans l’analyse qualitative, le facteur clé est la « limite de détection » (« Limit of Detection » LOD) de l’instrument. Dans quelle mesure l’échantillon créera-t-il encore un « hit » ( succès/coup ) pour l’instrument ? Dans tous les instruments, pour que la LOD soit scientifiquement valide, elle doit être quelque chose qui dépasse le bruit de fond, sinon elle n’a aucun sens scientifique. Tous les instruments produisent un bruit de fond, qui sont des « pics » ou des « hits » qui représentent la statique du détecteur, pourrait-on dire. Ceux-ci existent à un niveau d’arrière-plan même lorsque vous n’exécutez rien dans l’instrument.

Pour vous montrer à quoi cela ressemble, considérez le graphique suivant.

Il montre des résultats de spécification de masse sur un spectre de masses. L’axe horizontal ici est m/z (masse sur charge), qui est simplifié en « masse » pour une discussion générale. C’est la masse des molécules ou des particules détectées.

Remarquez les lignes rouges et oranges au bas de chaque graphique. C’est en grande partie un bruit de « fond » dans toutes les masses. Remarquez ensuite le très haut pic orange qui s’élève au-dessus de l’arrière-plan. C’est la masse de la molécule qu’ils recherchent. Il peut s’agir d’un pesticide, d’un contaminant, d’un nutriment, etc.

Il est important de noter que si je devais augmenter l’amplification du détecteur, le « bruit de fond » au bas de l’écran s’étendrait verticalement pour remplir l’écran. L’écran entier serait un « hit » sur chaque masse, car l’amplification est augmentée. C’est l’équivalent de ce que font les instruments PCR lorsqu’ils exécutent plus de 30 cycles. Ils amplifient le bruit, puis prétendent avoir eu un « hit » sur le covid.

Mais parce qu’ils l’ont amplifié tant de fois, ils ont effacé toute capacité de dire avec certitude ce qu’ils ont, ou même combien ils ont. Parce que le LOD (Limit of Detection) est scientifiquement invalide s’il ne peut pas extraire un pic du bruit de fond.

En règle générale, dans la validation de méthode, votre LOD doit être au moins trois fois plus élevé que le bruit de fond, ce qui signifie qu’un « pic » doit être trois fois plus élevé que le bruit de fond. Tout ce qui est inférieur à cela est considéré comme un faux bruit de fond. Et lorsque vous effectuez un travail quantitatif, vous avez généralement besoin d’un signal au moins 10 fois supérieur au bruit de fond.

Pourtant, les instruments PCR prennent le bruit de fond et l’amplifient jusqu’à ce qu’ils obtiennent un résultat « positif ». Ce « positif » est alors absurdement appelé un « cas de Covid », même s’il ne signifiait littéralement rien d’un point de vue scientifique légitime.

L’ensemble du processus utilisé aujourd’hui via la PCR est une science complètement bidonnée qui ne passerait même pas l’audit d’un laboratoire scientifique le plus élémentaire. C’est d’ailleurs pourquoi la plupart de ces habillages du PCR ne sont pas accréditées ISO. Ils ne pouvaient pas passer un seul audit. (Mon laboratoire est accrédité ISO avec un audit annuel, y compris les tests de précision de quantification à l’aveugle des instruments de spécification de masse pour s’assurer que nous atteignons la précision de nos objectifs.)



Dr. Judy Mikovitz confirme tout dans une récente interview

Dr. Judy Mikovitz, auteur de Ending Plague (PlagueTheBook.com), a confirmé tout cela dans une récente interview avec moi. Non seulement a-t-elle confirmé qu’il n’y a pas de virus Covid-19 isolé qui a été récolté et purifié sur une personne malade et dont il a été prouvé qu’il provoque une maladie chez une autre personne ; Elle a également confirmé que le Dr. Fauci a spécifiquement choisi un échantillon militarisé/armé de laboratoire qui a été infecté par un cocktail de coronavirus à utiliser comme base pour la recherche sur le gain de fonction.

En d’autres termes, le Dr. Fauci savait qu’il était en train de construire un ragoût viral frankensteinien, que le frauduleux CDC et ses complices de la communauté scientifique ont labellisé « covid ». Soutenus par l’hystérie des médias de masse, ils pourraient amener la plupart de la population à se soumettre à un vaccin pour inoculer à la population des bio-armes que sont les protéines de pointe, conçues et développées dans le cadre du financement et des directives de Fauci.

Ainsi, la vraie histoire ici est que Fauci et le CDC ont utilisé les coronavirus communs pour simuler la pandémie de Covid afin d’injecter aux gens une véritable arme biologique : la protéine de pointe augmentée.

Surtout, le Dr. Mikovitz confirme que tout cela provient de l’armée américaine qui est impliquée  dans le développement et le déploiement de cette arme biologique de dépopulation mondiale (la protéine de pointe) ;



Dr. Jane RUBY offre une explication exceptionnelle du canular de Covid lors d’une récente émission Stew PETERS

Dans une autre vidéo accablante, Dr. Jane Diamond, une contributrice à l’émission de Stew Peters (StewPeters.TV) confirme toute cette histoire, révélant que le virus Covid-19 n’a jamais été isolé, ni purifié et ou montré comme provoquant une maladie de Covid. La plandémie est une colossale arnaque :



Les documents FOIA(([4] Loi sur la liberté d’information (FOIA) – Comme toutes les agences fédérales, le CDC est tenu de divulguer les dossiers demandés par écrit par toute personne, à moins que les dossiers (ou une partie des dossiers) ne soient protégés contre la divulgation par l’une des neuf exemptions contenues dans la loi.)) du CDC ne révèlent aucun « Covid-19 » isolé du virus existant.

Enfin, de nouveaux documents FOIA ont fait surface, révélant que le CDC n’a jamais isolé de virus covid-19. Une Canadienne du nom de Christine Massey aurait déposé de multiples demandes auprès du CDC, en vertu de la loi sur la liberté d’information :

Toutes les études et/ou rapports en possession, sous la garde ou le contrôle du CDC et/ou de l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR) décrivant la purification de tout virus « COVID-19″ (y compris B.1.1.7, B.1.351, P.1 et toute autre « variante ») (via la macération, la filtration et l’utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelé parfois par certaines personnes « isolement »), directement à partir d’un échantillon prélevé sur un humain malade, où l’échantillon du patient n’a pas été préalablement combiné avec une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire des cellules rénales de singe alias cellules Vero ; du sérum bovin fœtal).

Dans une lettre de réponse datée du 7 juin 2021, le CDC a répondu :

Une recherche dans nos dossiers n’a révélé aucun document relatif à votre demande. Plus précisément, le National Center for Immunization and Respiratory Disease informe que le CDC ne purifie ni n’isole aucun virus COVID-19 de la manière décrite par le demandeur.

La demande FOIA est identifiée sous le numéro 21-01075-FOIA.

En d’autres termes, le CDC n’a jamais isolé ni purifié aucun virus COVID-19, point final.

Le site web du Dr Robert O. Young révèle des documents supplémentaires montrant que le CDC n’a jamais isolé et purifié le virus HPV, le virus de la rougeole, le virus MERS, le virus Zika ou le virus de la polio, entre autres.

(Nous nous efforçons d’entrer en contact avec Christine Massey pour confirmer l’étendue de ses demandes de FOIA et l’inviter à une interview).

Le 21 juillet de cette année, le CDC a annoncé qu’il retirait son autorisation pour le test PCR actuel pour le covid-19, déclarant que le test PCR ne serait plus considéré comme une science valide après le 31 décembre de cette année. Il est ensuite indiqué qu’un nouveau test PCR « facilitera la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe », ce qui signifie que le nouveau test serait capable de faire la différence entre le covid et le rhume. Cela implique que le test actuel — celui qui a été utilisé pour pousser l’hystérie mondiale de la pandémie de covid — ne permet pas une telle différenciation.

En fait, il semble que le CDC ait fabriqué la science derrière les « pandémies » mondiales pendant des décennies, en utilisant les médias pour répandre l’hystérie de masse là où aucune pandémie n’existait. L’un des meilleurs cas, et le plus récent, est celui du virus Zika, où les médias grand public criaient que les bébés nés de nouvelles mères en Floride naîtraient avec des têtes réduites (microcéphalie) à cause du virus Zika. Tout comme dans le cas du covid, des milliards de dollars ont été versés à des sociétés pharmaceutiques pour la recherche d’un vaccin contre le Zika, qui s’est avéré n’être rien de plus qu’un battage publicitaire.

La directrice du CDC Walensky admet que le vaccin contre le Covid n’empêche pas l’infection ou  la transmission du variant Delta du Covid

Pour ajouter au démantèlement de ce canular du vaccin contre le covid-19, le directeur du CDC, le Dr Rochelle Walensky, vient d’admettre quelque chose d’étonnant sur CNN : Les vaccins contre le covid-19 ne préviennent PAS les infections au covid-19. Ils n’empêchent pas non plus les gens de transmettre la « variante Delta » de ce que le CDC appelle le virus covid.

En fait, Walensky vient d’admettre que les passeports vaccinaux sont inutiles et ne prouvent rien. Si une personne « totalement vaccinée » peut quand même attraper et transmettre le covid, alors le passeport vaccinal n’est rien de plus qu’une preuve d’obéissance, et non une preuve d’immunisation.

Voici le Dr Walensky qui dit tout cela sur CNN, et non, ce n’est pas une vidéo « deep fake ». C’est aveu clair :



Le virus du Covid-19 est un canular, mais la protéine Spike est très réelle et assez meurtrière comme arme.

Alors que le virus covid-19 semble n’être rien d’autre que des virus du rhume ou des virus de singe renommés, la nanoparticule toxique de protéine spike — qui est maintenant injectée par le biais de vaccins — est une arme biologique mortelle initiée aux États-Unis, puis augmentée à Wuhan en utilisant l’argent des contribuables américains.

Il semble maintenant évident que l’objectif de l’hystérie des covidés était d’inciter les gens à accepter des injections de protéines spike, intentionnellement mal étiquetées « vaccins ». Ces protéines, à partir desquelles le vaccin covid est maintenant appelé « piqûre de coagulation », provoquent des caillots sanguins, des lésions neurologiques, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des avortements spontanés et des lésions vasculaires universelles, même selon le Salk Institute, un organisme à vocation généraliste. Extrait de leur article sur la protéine spike et ses effets néfastes sur le système cardiovasculaire humain :

Aujourd’hui, une nouvelle étude majeure montre que les protéines spike du virus (qui se comportent très différemment de celles codées en toute sécurité par les vaccins) jouent également un rôle clé dans la maladie elle-même.

… Le document fournit pour la première fois une confirmation claire et une explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine endommage les cellules vasculaires. On s’accorde de plus en plus à dire que le SRAS-CoV-2 affecte le système vasculaire, mais on ne comprenait pas exactement comment il le faisait. De même, les scientifiques qui étudient d’autres coronavirus soupçonnent depuis longtemps que la protéine spike contribue à endommager les cellules endothéliales vasculaires, mais c’est la première fois que ce processus est documenté.

Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait pas de véritable virus. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine spike seule suffit à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires.

La protéine spike a été développée en tant qu’arme biologique afin de provoquer des symptômes généralisés qui peuvent ensuite être faussement étiquetés « covid », puis cités pour promouvoir encore plus d’injections de vaccins contenant davantage d’armes biologiques à base de protéine spike. Le « virus » covid-19 n’est qu’un cocktail de virus de singe et de virus du rhume, tandis que la protéine spike – qui est la cible antigénique des vaccins – provoque des lésions vasculaires, des problèmes d’infertilité, des dommages au système immunitaire, etc.

Quel est l’objectif de tout cela ? La dépopulation, bien sûr.

C’est une arme de dépopulation pour réaliser l’extermination massive de la race humaine.

La protéine spike est une arme de dépeuplement. Le « vaccin » est une piqûre d’extermination/suicide à la Soleil vert qui a été reconditionnée en « médicament ». La « pandémie » était une hystérie médiatique montée en épingle pour créer la panique et une demande généralisée pour le vaccin afin que les gens ne résistent pas aux piqûres d’extermination.

Et cela signifie que beaucoup de ceux qui ont pris le vaccin seront bientôt morts parce que le but de cette fausse pandémie était de débarrasser le monde de milliards d’êtres humains.

https://youtu.be/3TGqLsnao5o
Preview du film Soleil vert avec Charlton Heston

Cela signifie également que toute personne qui suit ce mouvement est complice d’un meurtre génocidaire et de crimes contre l’humanité. Cela inclut les journalistes, les scientifiques, les médecins, les gouverneurs, les responsables de la FDA/CDC/OMS, et même les pharmaciens et les infirmières locaux qui administrent ces injections mortelles à des hommes, des femmes, des enfants et même des personnes âgées. Leurs crimes contre l’humanité font passer l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale pour un jeu d’enfant en comparaison. L’holocauste des vaccins covidés risque de massacrer des milliards d’êtres humains avant que les criminels ne soient arrêtés.

En fait, vous assistez à une campagne mondiale d’extermination massive déguisée en réponse de santé publique à une pandémie.

Il s’agit de l’escroquerie « scientifique » la plus sinistre et la plus diabolique jamais perpétrée dans l’histoire de la civilisation connue. Il s’agit, en toute honnêteté, d’une tentative mondialiste d’extinction de l’homo sapiens, d’une sorte de « nettoyage ethnique à l’échelle planétaire » visant à débarrasser le monde des humains et à faire place à un scénario insensé qu’ils espèrent voir se réaliser.

Il est temps pour tous les êtres humains qui souhaitent préserver la race humaine de se lever pacifiquement et de résister à cette tentative d’extermination génocidaire contre l’humanité.

C’est pourquoi le sénateur américain Rand Paul appelle maintenant les Américains à résister aux verrouillages et aux mandats de masquage, déclarant : « Nous n’avons pas à accepter les mandats, les verrouillages et les politiques nuisibles des petits tyrans et des bureaucrates sans cervelle. Nous pouvons simplement dire non, pas encore. » Il poursuit :

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas empêcher vos enfants d’aller à l’école. Ils ne peuvent pas fermer tous les bâtiments gouvernementaux — bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient fermer. Nous ne sommes pas obligés d’accepter les mandats, les fermetures et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates incompétents. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

Monsieur le Président Biden, nous n’accepterons pas les mandats de vos agences ni les mesures de confinement que vous avez annoncées », a déclaré Paul. « Personne ne devrait suivre les mandats de masque anti-science du CDC.

Nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants cette année encore. »

Nous avons tous été trompés, les amis. Tout cela n’a rien à voir avec la santé publique, le sauvetage de vies ou l’arrêt d’une quelconque pandémie. Il s’agit d’une mise en scène élaborée et coordonnée visant à inciter les gens à se suicider par des injections d’armes biologiques afin que les mondialistes puissent éliminer quelques milliards de personnes de la planète et faire progresser leur tyrannie et leur contrôle autoritaire sur les survivants.

Il peut également s’agir d’une couverture pour leur plan de réinitialisation financière, qui fera s’effondrer les monnaies fiduciaires du monde, détruira tous les actifs monétaires des moutons et consolidera la propriété de tout dans les mains de l’élite mondialiste.

C’est pourquoi les gouvernements du monde entier retiennent maintenant leurs propres citoyens en otage, exigeant que des quotas de vaccins soient atteints afin de débloquer une « liberté » limitée qui sera bien sûr complètement révoquée une fois que la prochaine « variante » sera identifiée.

J’explique tout cela dans ce podcast puissant et urgent qui a été publié pour la première fois vendredi dernier :



Toute l’arnaque des covidés est en train de s’effondrer. Restez à l’écoute pour en savoir plus. Regardez les vidéos sur Brighteon.com et Banned.video pour apprendre la vérité que Big Tech ne permet à personne de partager. Si vous voulez vivre et survivre à ce génocide mondial, lisez NaturalNews.com et suivez ma chaîne sur Brighteon :
brighteon.com/hrreport


source : https://www.naturalnews.com





Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr) via reseauinternational.net]

Un citoyen canadien demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées

Le patriote Patrick King s’est représenté lui-même devant le tribunal après avoir été condamné à une amende de 1 200 dollars pour avoir protesté contre l’arnaque du Covid-19. Il a assigné la ministre provinciale de la santé à prouver l’existence du soi-disant virus, et ils ont été forcés d’admettre qu’ils n’avaient aucune preuve. Le virus n’a jamais été isolé, et le gouvernement n’avait donc aucun fondement juridique pour imposer les restrictions sévères qu’il a imposées à la société. Depuis que cette confession choquante a été révélée, la province a annulé toutes les restrictions sur le Covid et traite désormais officiellement le Covid-19 comme une simple grippe !

Le Dr Deena Hinshaw, de l’Alberta, s’excuse pour la  » confusion, la peur ou la colère  » suscitées par la levée des mesures COVID-19

Par Kieran Leavitt

EDMONTON – La Dre Deena Hinshaw, médecin hygiéniste en chef de l’Alberta, s’est excusée de la « confusion, de la peur ou de la colère » qui ont entouré la décision de la province d’éliminer la mise en quarantaine obligatoire des personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif, la recherche des contacts et les masques dans les écoles et les autobus.

« J’ai entendu dire que le message que les gens ont reçu de mes paroles était que je pense que le COVID est terminé et que les gens sont laissés à eux-mêmes pour y faire face », a-t-elle écrit dans une chronique publiée mercredi dans plusieurs médias.

« Ce n’était pas le message que je voulais faire passer », a-t-elle ajouté.

« Nous n’éliminerons pas le COVID, ce qui signifie que nous devons apprendre à vivre avec ».

Cette chronique survient une semaine après qu’elle a annoncé la levée des mesures de santé publique qui étaient en place pendant la majeure partie de la pandémie et au milieu de critiques intenses pour avoir agi ainsi. Le premier ministre Jason Kenney et le ministre de la Santé Tyler Shandro ont déclaré que la décision de lever les restrictions faisait suite aux recommandations de Mme Hinshaw.

Cela signifie également un nouveau changement dans son image publique. Au début de la pandémie, les gens partageaient des fanarts de Mme Hinshaw en ligne – l’une des images les plus remarquables la représentait dans une armure – et admiraient son comportement calme et froid en tant que visage de la réponse de l’Alberta au COVID-19.

La semaine dernière, le hashtag #FireHinshaw [Virez Hinshaw] s’est répandu.

En effet, elle venait d’annoncer qu’à partir de la mi-août, l’Alberta n’exigerait plus que les personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif s’isolent, mais qu’elle leur recommanderait fortement de le faire. Les traceurs de contact ne diront plus non plus aux contacts proches qui a pu être exposé (certaines mesures seront toutefois maintenues pour divers milieux à haut risque).



Transcription FR : https://pastebin.com/AY0z4mMX

“En Alberta, aujourd’hui, le port du masque obligatoire prend fin. Les enfants ne devront plus porter de masque lorsqu’ils retourneront à l’école, la quarantaine obligatoire va prendre fin, le traçage des contacts, les tests pour les symptômes légers, tout cela est terminé. Ils vont maintenant reconnaître le covid comme une grippe légère et la traiter comme telle. La liberté a gagné en Alberta, prouvant que se battre fonctionne”.

Le 5 décembre 2020, le citoyen canadien Patrick King a été reconnu coupable d’avoir enfreint un ordre du médecin en chef de la santé de l’Alberta (Deena Hinshaw), l’ordre étant “en réponse à la pandémie de Covid-19” et l’infraction concernant spécifiquement le fait de se trouver dans un rassemblement de plus de 10 personnes. King a été condamné à une amende de 1 200 $.

King a fait appel. Lors de sa comparution devant le tribunal le 4 mai, il a exposé les informations dont il aurait besoin pour préparer une défense adéquate et plausible. Il s’agit notamment de la preuve de l’isolement du virus SARS-CoV-2.

Le mercredi 14 juillet, M. King a assigné le CMOH (Médecin en chef du Canada) en vertu de l’article 699 du Code criminel, lui demandant d’apporter “tous les livres blancs décrivant l’isolement du virus SARS-CoV-2, directement à partir d’un échantillon prélevé sur un patient malade”, car “ces livres blancs auraient fait partie intégrante de l’élaboration des statuts établis en vertu de la ” Loi sur la santé publique ” ici en Alberta”.

Trois jours plus tard, King a été informé que son action en justice avait été annulée ; il a donc dû la faire reporter.

King a ensuite été assigné par les avocats de Deena Henshaw à comparaître à une audience en chambre. Lors de cette audience, un avocat de Deena Henshaw a déclaré : “M. King a demandé des preuves que nous ne pouvons pas fournir”.

Lorsque l’affaire est portée devant le tribunal, le samedi 24 juillet, elle a pris de l’ampleur, étant reformulée comme suit : “Sa Majesté la Reine contre Patrick James King”, et des procureurs généraux d’Ottawa y assistent. Une fois de plus, King fait état, et le tribunal prend acte, de l’incapacité du CMOH à fournir les preuves qu’il avait demandées.

L’enjeu de la contestation de King est que les politiques de santé liées au Covid élaborées et mises en œuvre par le gouvernement provincial de l’Alberta et son CMOH reposent sur l’existence d’un agent infectieux spécifique, alors qu’ils ne peuvent pas produire de preuves de l’existence d’un tel agent.

Les conséquences de ce précédent juridique sont sûrement énormes. Elles impliquent, comme l’a dit Peters, “la fin du covid”.

Dans son interview, King fait référence à l’affaire Rook contre Alberta, “où ils ont convoqué tous ceux qui avaient violé l’une de ces règles Covid … ils attendent la décision concernant des milliers et des milliers de contraventions et de convocations …” Ces affaires seront probablement rejetées.

Maintenant que King connaît la bonne méthode d’approche, il tient à faire passer le mot : “Ce qu’ils doivent faire, c’est contester la loi sur la santé publique, car alors le juge n’a pas d’autre recours que d’assigner les fonctionnaires qui sont responsables de tout cela.”

DOCUMENTATION LÉGALE :

Letter to Patrick James King (Service)
LAW relied on by the Applicant
Affidavit of Krisztina Grech Sworn July 16 2021
Originating Application

Vidéo et articles originaux :

https://www.redvoicemedia.com/2021/08/freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta/
https://adriandignam.com/covid-is-dead-alberta-court-strikes-down-public-health-policy-for-lack-of-scientific-evidence/
https://rumble.com/vkorz0-freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta.html

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Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
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Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
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L’Homme peut-il penser par lui-même?

Par Joseph Stroberg

Selon un certain Sébastian Dieguez de l’Université de Fribourg, l’Homme ne pourrait pas penser par lui-même et l’idée selon laquelle il pourrait penser par lui-même aurait soi-disant été démolie depuis le philosophe Kant :

Alors, en supposant que l’Homme ne puisse pas penser par lui-même, qui le fait à sa place ? D’autres hommes ? Non, puisqu’aucun ne pourrait penser par lui-même ? D’autres êtres, ailleurs ? Des extraterrestres qui lui dicteraient ses pensées ? Des démons invisibles qui feraient de même ? Et pourquoi pas, Dieu lui-même, alors indépendamment de ceux qui croiraient en son existence ? À vous de choisir !

Ce qui relève de faits est que l’Homme possède un cerveau et que celui-ci est utilisé dans le processus de formulation des idées et des pensées sous forme de mots organisés en phrases dans un but de communication orale ou écrite. Cela ne donne cependant pas d’indications sur ce qui serait la cause originelle des idées et des pensées ni si le cerveau serait le seul composant participant à leur formulation ou à leur éventuelle captation. La science matérialiste suppose que les pensées viennent du cerveau lui-même et de sa constitution neuronale. Cependant, il le fait en fonction des informations sensorielles provenant aussi bien de l’extérieur que du corps même de l’Homme. Dans cette optique, si ces informations peuvent l’influencer, c’est quand même alors le cerveau qui est le maître d’œuvre des pensées qui seraient ensuite organisées et créées à partir de là. Et donc, dans l’approche de la science matérialiste, l’Homme peut très bien penser par lui-même.

Selon une perspective plus religieuse ou spirituelle, voire ésotérique, les pensées de l’Homme peuvent lui être communiquées au moins partiellement par certaines entités (angéliques, démoniaques et/ou extraterrestres…) et/ou par sa propre nature profonde (Esprit, Âme, Essence…). Dans ce dernier cas, sa nature profonde fait partie de lui et dans ce cas, même si le point de vue est à l’opposé de celui de la science matérialiste, il conduit pareillement à la conclusion que l’Homme peut très bien penser par lui-même.

La seule approche qui prétend empêcher l’Homme de penser par lui-même est celle où ses pensées ne proviendraient que d’entités tierces, indépendantes de sa propre nature, mais donc angéliques, démoniaques, ou encore extraterrestres, par exemple. C’est une perspective qui cherche à enlever à l’Homme toute possibilité de souveraineté et d’émancipation pour le maintenir au contraire dans un état de dépendance ou de soumission. Il est bien évident qu’elle sera favorisée par les amateurs, les pourvoyeurs et les artisans du Nouvel Ordre Mondial. Subsidiairement, on peut en déduire que ce Sébastian Dieguez ne travaille probablement pas pour l’Humanité (que ce soit volontaire ou non), mais pour l’élite qui cherche à l’asservir.




Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’épidémie du nouveau coronavirus 2019 ou de la maladie à coronavirus (COVID-19) est revendiquée comme une menace pour le monde entier depuis début 2020. Les scientifiques travaillent jour et nuit pour comprendre l’origine du COVID-19. Peut-être avez-vous déjà entendu la nouvelle que le génome suspecté du SARS-CoV-2 a été publié[1] ? Comment exactement les scientifiques ont-ils identifié le génome complet du SARS-CoV-2 ?

Cet article explique, de manière purement technique, comment ils ont fait cela. Sans aucun doute, vous vous rendrez compte que cette méthode ne convient ni pour déterminer l’origine de l’acide nucléique d’un échantillon ni pour déterminer un génome exact. Divers algorithmes sont utilisés, dont les calculs tentent de proposer une construction fictive basée sur des spécifications, qui à son tour sert de modèle pour tous les processus ultérieurs. Cependant, chaque séquençage individuel conduit à des résultats différents du séquençage précédent ; ces écarts sont souvent vendus comme des mutations[2], et ce sont simplement des incohérences dans le calcul par les outils d’analyse du génome.

Du fait qu’une structure prétendument virale n’a jamais été isolée en culture pure et que la caractérisation biochimique a été réalisée directement à partir de celle-ci, tout séquençage est basé sur un mélange de matériel génétique dont l’origine ne peut être déterminée et sont toutes des constructions assistées par ordinateur à considérer comme de la pure spéculation.

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Comme un petit mais non moins important détail, qui vous fait parfaitement comprendre que la manipulation technique de l’alignement/assemblage (comme expliqué dans l’article) est purement fictive et manipulatrice :

70% des virologues ne précisent pas quelle technique d’assemblage ils utilisent !

Et le fait tacite est que 100% des virologues ne divulguent pas quel pourcentage du génome «viral» calculé a été modifié jusqu’à ce qu’il ait été publié en tant que génome fini.

Avec les données du génome, qui par le chinois Fan Wu et. al[1] ont été publiés et mis à disposition en téléchargement, il ne s’agit en aucun cas de données brutes, mais plutôt de données préalablement étoffées ! 80% des séquences humaines ont disparu et surtout : Tout ce qui était publié ailleurs comme « viral » a été filtré ! Cela rend encore plus difficile la compréhension de la prétendue découverte d’un nouveau virus pathogène, puisque des expériences témoins sont également recherchées en vain dans les publications publiées.

Mais nous arrivons maintenant à l’analyse technique du génome.

Génome

Le génome est l’ensemble du matériel génétique, y compris tous les gènes d’un organisme. Le génome contient toutes les informations sur un organisme qui sont nécessaires à sa structure et à son maintien.

Les virus qui causent des maladies sont définis par le fait que leur séquence (génome) est unique et ne se produit pas dans des organismes sains.

Pour pouvoir détecter et déterminer la présence du matériel génétique d’un virus, ce virus doit être isolé et disponible à l’état pur conformément aux lois de la pensée et à la logique qui précède toute science comme règle fondamentale, afin que les propres séquences de gènes de la cellule ne soient pas interprétées à tort comme des composants d’un virus.

La séquence d’une substance génétique ne peut être déterminée que si elle se présente sous la forme d’un ADN.

Séquençage

Comment lire les informations présentes dans le génome ? C’est là qu’intervient le séquençage.

Le séquençage est utilisé pour déterminer la séquence de gènes individuels, de chromosomes entiers ou de génomes entiers d’un organisme.

Fig 1. A PacBio sequencing machine. PacBio is a third-generation sequencing technology which produces long reads. Image by KENNETH RODRIGUES from Pixabay (CC0)

Des dispositifs spéciaux appelés machines de séquençage sont utilisés pour extraire de courtes séquences aléatoires du génome qui nous intéresse. Les technologies de séquençage actuelles ne peuvent pas lire le génome entier à la fois. De petits morceaux d’une longueur moyenne comprise entre 50 et 300 bases (séquençage de nouvelle génération / lectures courtes) ou 10 000 à 20 000 bases (séquençage de troisième génération / lectures longues) sont lus, selon la technologie utilisée. Ces courtes pièces sont appelées lectures.

La présence et la longueur d’un matériel génétique sont déterminées en le divisant dans le sens de la longueur dans un champ électrique. Les pièces courtes voyagent plus rapidement, les pièces plus longues plus lentement. En même temps, afin de pouvoir déterminer la longueur du matériel génétique à examiner, des morceaux de matériel génétique de différentes longueurs avec une longueur connue sont ajoutés. Cette technique standard fiable pour détecter et déterminer la longueur du matériel génétique est connue sous le nom d’« électrophorèse sur gel ».

Si la concentration d’un certain matériel génétique est trop faible pour qu’il ne puisse pas être détecté avec la technique de “l’électrophorèse sur gel”, cela peut être fait à volonté en utilisant la technique de réplication illimitée de l’ADN, appelée amplification en chaîne par polymérase PCR. De cette manière, un ADN indétectable peut être rendu visible par électrophorèse sur gel. C’est une condition préalable pour rendre la substance génétique accessible à d’autres investigations, en particulier pour la détermination ultérieure et décisive de sa longueur et de sa séquence. Cette méthode est également connue sous le nom de PCR en abrégé.

Si vous recherchez des informations plus détaillées sur le fonctionnement exact du séquençage du génome viral à partir d’échantillons cliniques, consultez l’article suivant.

  1. A complete protocol for whole-genome sequencing of virus from clinical samples: Application to coronavirus OC43
  2. Specific Capture and Whole-Genome Sequencing of Viruses from Clinical Samples

Assemblage du génome

Une fois qu’il y a de petits morceaux du génome, nous devons les combiner en fonction de leurs informations de chevauchement et construire le génome complet. Ce processus est appelé assemblage et est comparable à la résolution d’un puzzle. Des outils logiciels spéciaux, appelés assembleurs, sont utilisés pour assembler ces lectures en fonction de leur chevauchement. Ceci est utilisé pour générer des chaînes continues, appelées contigs. Ces contigs peuvent être le génome entier lui-même ou juste une fraction de celui-ci (comme le montre la figure 2). Il est important de noter que la source du matériel utilisé est sans importance.

Les virologues chinois n’ont pas effectué d’expériences témoins pour écarter la possibilité que même avec un ARN humain/microbien provenant d’un lavage de poumon d’une personne saine, une personne atteinte d’une autre maladie pulmonaire, une personne qui a été testée négative au SRAS-CoV-2.., ou à partir de cet ARN provenant d’échantillons de réserve de l’époque où le virus SRAS-CoV-2 était encore inconnu, exactement la même addition du génome d’un virus à partir de courts fragments d’ARN soit possible !

Fig. 2 Séquençage et assemblage

Les assembleurs sont divisés en deux catégories,

Assembleurs de novo : assemblent sans utiliser de génomes de référence (par exemple : SPAdesSGAMEGAHITVelvetCanu et Flye).

Assembleurs guidés par des références : assemblent en assignant des séquences à des génomes de référence.

Deux grands types d’assembleurs

On trouve deux grands types d’assembleurs dans la littérature bioinformatique. Le premier type est la méthode des consensualités d’implantation par recouvrement (OLC). Dans la méthode OLC, tous les chevauchements entre les lectures sont d’abord déterminés. Ensuite, toutes les lectures et tous les chevauchements sont organisés sous la forme d’un graphique. Enfin, nous identifions la “séquence de consensus”. SGA est un outil populaire basé sur la méthode OLC.

Le deuxième type d’assembleur est la méthode du graphe de-Bruijn (DBG)[3]. Au lieu d’utiliser les lectures complètes telles quelles, la méthode DBG décompose les lectures en fragments encore plus courts appelés k-mers (de longueur k) et crée ensuite un graphe de-Bruijn en utilisant tous les k-mers. Enfin, les séquences génomiques sont déduites sur la base du graphe de-Bruijn. SPAdes est un assembleur populaire basé sur la méthode DBG.

Qu’est-ce qui peut mal tourner dans l’assemblage du génome ?

Les génomes contiennent des motifs d’acides nucléiques qui apparaissent de nombreuses fois dans le génome. Ces structures sont appelées répétitions. Ces répétitions peuvent compliquer le processus d’assemblage et entraîner des ambiguïtés.

Nous ne pouvons pas garantir que le séquenceur puisse produire des lectures couvrant l’ensemble du génome. Il se peut que le séquenceur omette certaines parties du génome et qu’aucune lecture ne couvre cette région. Cela affectera le processus d’assemblage et ces régions omises ne seront pas présentes dans l’assemblage final.

Les assembleurs de génomes doivent relever ces défis et essayer de minimiser les erreurs causées lors de l’assemblage.

Comment les assemblages sont-ils évalués ?

L’évaluation des assemblages est très importante car nous devons décider si l’assemblage résultant répond aux normes. L’un des outils d’évaluation des assemblages les plus connus et les plus utilisés est QUAST. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des critères utilisés pour évaluer les assemblages.

N50 : longueur minimale des contigs nécessaire pour couvrir 50% de la longueur totale de l’assemblage.

L50 : nombre de contigs plus longs que N50

NG50 : longueur minimale des contigs requise pour couvrir 50 % de la longueur du génome de référence.

LG50 : nombre de contigs plus longs que NG50

NA50 : longueur minimale des blocs alignés nécessaire pour couvrir 50 % de la longueur totale de l’ensemble.

LA50 : nombre de contigs plus longs que NA50

Pourcentage du génome (%) : pourcentage de bases qui correspondent au génome de référence.

Se salir les mains

Commençons par les expériences. Je vais utiliser l’assembleur SPAdes pour assembler des lectures obtenues à partir d’échantillons de patients séquencés. SPAdes utilise des lectures de séquençage de nouvelle génération. Vous pouvez également télécharger QUAST gratuitement. Vous pouvez obtenir le code et les programmes binaires sur les pages d’accueil correspondantes et exécuter ces outils.

Entrez les commandes suivantes et vérifiez que les outils fonctionnent correctement.

<your_path_to>/SPAdes-3.13.1/bin/spades.py -h
<your_path_to>/quast-5.0.2/quast.py -h
[Ndlr : ils s’agit ici de lignes de commande informatiques sous systèmes Linux ou Unix.
Les logiciels Spades et quast utilisés ont apparemment été créés en langage Python.]

Télécharger les données

Je suppose que vous savez comment télécharger les données du National Center for Biotechnology Information (NBCI). Sinon, vous pouvez vous référer à ce lien.

Les lectures pour nos expériences peuvent être téléchargées à partir de NCBI en utilisant le numéro d’accession NCBI SRX7636886. Vous pouvez télécharger l’exécution SRR10971381, qui contient des lectures provenant d’une exécution MiniSeq d’Illumina. Assurez-vous de télécharger les données au format FASTQ. Vous pouvez trouver le fichier téléchargé sous le nom de “sra_data.fastq.gz”. Vous pouvez extraire le fichier FASTQ avec gunzip.

Après l’extraction, vous pouvez exécuter la commande bash suivante pour compter le nombre de lectures dans notre jeu de données. Vous verrez qu’il y a 56 565 928 lectures.

grep ‚^@‘ sra_data.fastq | wc -l
[Ndlr : autre ligne de commande sous Linux ou Unix.]

Vous pouvez télécharger le génome complet SARS Cov-2[1] disponible publiquement sur le NCBI avec le numéro d’accession GenBank MN908947 (N’oubliez pas qu’il ne s’agit pas des véritables données brutes). Vous verrez un fichier au format FASTA. Ce sera notre génome de référence. Notez qu’il a été renommé “MN908947.fasta”.

Assembler

Assemblons les données provenant de l’échantillon COVID-19. Exécutez la commande suivante pour assembler les lectures avec SPAdes. Vous pouvez transmettre le fichier .gz compressé directement à SPAdes.

<your_path_to>/SPAdes-3.13.1/bin/spades.py –12 sra_data.fastq.gz -o Output -t 8

Nous avons utilisé l’assembleur général SPAdes comme démonstration pour cet article. Cependant, étant donné que le jeu de données de lecture est constitué de données RNA-Seq, il est préférable d’utiliser l’option “-rna” dans SPAdes.

Dans le dossier de sortie, vous verrez un fichier appelé “contigs.fasta” qui contient nos contigs assemblés.

Évaluation des résultats de l’assemblage

Exécutez QUAST pour les assemblages avec la commande suivante.

<your_path_to>/quast-5.0.2/quast.py Output/contigs.fasta-l SPAdes_assembly -r MN908947.fasta -o quastResult

Visualisation du résultat de l’évaluation

Lorsque QUAST a terminé, vous pouvez aller dans le dossier “quastResult” et voir les résultats de l’évaluation. Vous pouvez visualiser le rapport QUAST en ouvrant le fichier report.html dans votre navigateur web. Vous verrez un rapport similaire à celui de la figure 3. Vous pouvez cliquer sur “Rapport avancé” pour obtenir plus d’informations comme NG50 et LG50.

Fig. 3 : Rapport QUAST

Vous pouvez examiner les valeurs des différents critères de notation tels que la proportion de génome NG50, NA50, les mauvais assemblages et le nombre de contigs. Vous pouvez également visualiser l’alignement des contigs sur le génome de référence à l’aide du navigateur de contigs Icarus (cliquez sur “View in Icarus contig browser”), comme le montre la figure 4.

Fig. 4 : Rapport QUAST

Dans le navigateur de contigs d’Icarus, nous pouvons voir que le contig nommé “NODE_1” correspond très étroitement au génome de référence de COVID-19. Son contenu génomique est de 99,99 % (comme le montre la figure 3). En outre, la longueur totale alignée de 29 900 paires de bases est très proche de la longueur du génome de référence, qui est de 29 903 paires de bases.

Visualisation du graphique d’assemblage

Il existe un outil appelé Bandage qui vous permet de visualiser le graphique d’assemblage. Vous pouvez télécharger les exécutables précompilés depuis leur page d’accueil et exécuter l’outil. Vous pouvez charger le fichier graphique ” assembly_graph_with_scaffolds.gfa ” situé dans le dossier de sortie de SPAdes (allez dans Fichier → Charger le graphique → sélectionnez le fichier .gfa dans Sortie et ouvrez-le) dans Bandage et cliquez sur ” Draw graph ” pour visualiser comme indiqué dans la Figure 5. Notez que le long segment incurvé de couleur verte au milieu de la première rangée de segments de la figure 5 correspond à NODE_1 de notre assemblage SPAdes.

Fig. 5 : Partie du graphique d’assemblage SPAdes du jeu de données de lecture COVID-19 visualisée à l’aide de Bandage.

Exemple pratique de towardsdatascience

Comment ont-ils découvert le génome du SARS-CoV-2 ?

Maintenant que le génome de référence du SARS-CoV-2 est disponible, nous pouvons évaluer notre assemblage. Cependant, au départ, il n’existait pas de génome de référence exact pour le SARS-CoV-2, alors qu’ont fait les scientifiques pour le découvrir ? Comme expliqué dans cet article, l’analyse des génomes viraux relève de la métagénomique et il existe de nombreuses techniques pour y parvenir. Ils ont analysé la couverture des contigs (le nombre moyen de lectures couvrant chaque position de base dans un contig) et l’ont comparée à l’isolat de coronavirus (CoV) analogue au SRAS de la chauve-souris – bat SL-CoVZC45 (numéro d’accession GenBank MG772933)[3] [6]. Les résultats ont montré que le contig le plus long assemblé avait une couverture “élevée” (à partir de notre assemblage, vous pouvez voir que NODE_1 a également une couverture élevée) et était très étroitement lié à la chauve-souris SL-CoVZC45.

Les virologues chinois soulignent même explicitement que le brin de génome construit présente jusqu’à 90 % de similitude avec les brins de génome des coronavirus inoffensifs et revendiqués des chauves-souris, connus depuis des décennies.

Cette similitude de 90 % résulte du fait que c’est exactement un tel “génome” d’un “corona virus” de chauve-souris inoffensif qui a été utilisé comme modèle pour aligner les nombreuses séquences génétiques très courtes. Il convient toutefois de noter que ce génome de chauve-souris, comme tous les “génomes” de “virus” pathogènes, n’a été que calculé, c’est-à-dire assemblé mentalement à partir de séquences génétiques endogènes très courtes et/ou de fragments de gènes de nombreux microbes, qui n’ont en réalité jamais été trouvés en tant que brin héréditaire entier et n’apparaissent nulle part dans la littérature scientifique comme un “génome viral” complet.

L’étude du 24.01.2020 indique sous la rubrique Discussion :

“Notre étude ne répond pas aux postulats de Koch”.

Il est important de savoir ici que l’on ne connaît pas le pourcentage du génome “viral” calculé qui a été modifié avant d’être publié comme génome complet.

La publication de Fan Wu et al, dans Nature, Vol 579 du 3.2.2020, dans laquelle le génome (brin complet du génome) du SARS-CoV-2 a été présenté pour la première fois et avancé pour devenir le modèle de tous les alignements ultérieurs, a montré que la totalité de l’ARN obtenu à partir du lavage bronchique (BALF) d’un patient avait clairement été utilisée, sans aucun isolement ou enrichissement préalable des structures virales ou des acides nucléiques.

Dans cette publication, le professeur Zhang décrit comment il a calculé un génome de 29 903 nucléotides sur la base de courts segments de gènes d’une longueur de seulement 21 et 25 nucléotides (ce sont les paramètres par défaut des programmes d’alignement Megahit et Trinity utilisés) en utilisant une séquence donnée d’un génome (le virus inoffensif du coronavirus de chauve-souris) selon sept méthodes différentes et très élaborées, y compris des méthodes statistiques.

Cet ARN a ensuite été converti en ADNc et des molécules d’une longueur de seulement 150 nucléotides ont été séquencées afin de construire le génome complet d’une longueur d’environ 30 000 nucléotides par simple calcul.

Il suppose – sans le dire explicitement – que les courtes séquences à partir desquelles il additionne la proposition de séquence du génome du virus SARS-CoV-2 sont de nature virale car il exclut les séquences plus longues qui résultent de la superposition (= contigs) des courtes pièces 21 et 25 et qui présentent des similitudes avec les séquences humaines issues de l’addition ultérieure au génome viral.

En termes simples, cela signifie que :

Comme les séquences humaines qui nous sont “connues” ont été calculées/supprimées du mélange de matériel génétique, les séquences restantes, nées de la réflexion irrationnelle des virologues (qui a été récompensée en 1954 par l’attribution du prix Nobel à John Franklin Enders pour une spéculation)[7], sont supposées être précisément de nature virale.

Le pourcentage de l’ensemble du génome présentant des lacunes (de 1 % à la quasi-totalité ? ??) n’est pas indiqué.

Conséquence logique :

Ce qui a été créé artificiellement ici en toutes sortes d’étapes, toutes sous des “hypothèses” simplement crues, jamais vérifiées, n’a absolument RIEN à voir avec la réalité ! La méthode de séquençage ne peut ni dire de quelle source supposée provient le génome généré par de nombreuses étapes de calcul, ni affirmer qu’il est de nature purement virale. Il s’agit tout au plus d’un outil permettant de générer un nouveau brin de génome fictif construit à partir de nombreuses séquences génétiques très courtes, au moyen de divers algorithmes et de programmes dits de “gap-filling” (comblement des lacunes dans la construction du génome). Il est plus qu’effronté de prétendre que cette construction (du génome), qui a été faite à partir d’un échantillon via lavage bronchoalvéolaire d’un patient sans isoler une certaine structure, est virale juste parce que le patient a présenté des symptômes.

Les bioinformaticiens ne se soucient pas de la source de la séquence du gène.

Lorsque l’idée des brins génétiques des virus de la grippe a été conçue pour la première fois, des embryons de poulet ont été mécaniquement blessés et empoisonnés, et un modèle a été laborieusement créé à la main à partir des courtes séquences d’acide nucléique des tissus en décomposition. Aujourd’hui, cette tâche est effectuée par des programmes informatiques alimentés par les séquences que les virologues qualifient de “virales”. L’origine réelle de ces séquences est sans importance pour les bioinformaticiens qui créent les génomes des virus fictifs par “alignement”. Erwin Chargaff avait d’ailleurs prévenu de cette évolution dès 1976 dans son livre “Das Feuer des Herakli” [L’incendie d’Herakli].

Sources :

[1] F. Wu, S. Zhao, B. Yu et al. A new coronavirus associated with human respiratory disease in China. Nature (2020). https://doi.org/10.1038/s41586-020-2008-3

[2] Die behauptete SARS-CoV-2-Mutation aus England ist eine Mogelpackung

[3] Zhenyu Li et al. Comparison of the two major classes of assembly algorithms: overlap–layout–consensus and de-bruijn-graph, Briefings in Functional Genomics, Volume 11, Issue 1, January 2012, Pages 25–37. https://doi.org/10.1093/bfgp/elr035

[4] Jang-il Sohn and Jin-Wu Nam. The present and future of de novo whole-genome assembly. Briefings in Bioinformatics, Volume 19, Issue 1, January 2018, Pages 23–40. https://doi.org/10.1093/bib/bbw096

[5] S. Heerema and C. Dekker. Graphene nanodevices for DNA sequencing. Nature Nanotech 11, 127–136 (2016). https://doi.org/10.1038/nnano.2015.307

[6]Fan Wu: A new coronavirus associated with human respiratory disease in China

[7] Machtwerk – Einstieg in die Widerlegung der Virusbehauptung

Vous trouverez ci-dessous une liste de nos articles les plus importants [en allemand] :

https://telegra.ph/Corona-Fakten-Liste-der-wichtigsten-Artikel-09-08

Article original : https://www.samueleckert.net/durch-die-genom-analyse-werden-fiktive-viren-erschaffen/




Pass sanitaire ou pass suicidaire ? « Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France. »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

ENTRETIEN – Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.

France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans « Profession Gendarme », un article intitulé « Quand cesserons nous d’être des moutons ? » dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n’empêcheraient la deuxième vague. L’Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?

Jean-Pierre Joseph : Non seulement l’Histoire m’a donné raison, mais cela a continué, car j’avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n’auraient aucun effet sur le freinage de l’épidémie. En fait à l’époque, les gens croyaient qu’en obéissant cela s’arrêterait, et je leur disais 

« C’est justement parce que vous obéissez que cela ne s’arrêtera jamais… »

En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu’il m’est difficile d’accepter qu’une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n’a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n’aient pas d’avantage dénoncé ces contradictions :

  • Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,
  • Le confinement « allait faire accélérer l’épidémie« , puis un mois plus tard, « allait la freiner« 
  • Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d’antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?
  • Plus récemment « les enfants n’attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux » puis « Ils doivent se vacciner« .
  • Dans les restaurants, dès que l’on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu’en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?
  • Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s’il travaillait de nuit comme les infirmières… »

Vous avez dénoncé ce que vous appelez la « Scientocratie ». Comment définissez vous cela ?

Ce que j’appelle la Scientocratie, c’est un phénomène qui est arrivé progressivement : un groupe de « scientifiques » dont la plupart ne voient plus de malades depuis longtemps, dont la plupart ont des liens d’intérêts importants avec l’industrie pharmaceutique, et qui sont une minorité, affirment depuis le début qu’il fallait se confiner, porter le masque pratiquement jour et nuit, ne pas se soigner si l’on tombait malade, car « il n’y avait pas de traitement« , et que seul le « vaccin » nous sauvera.

Comme des moutons, nous avons accepté cela, alors que des milliers de médecins en France signaient des pétitions indiquant « laissez-nous prescrire« , car quiconque prescrivait l’une des quatre thérapeutiques mondialement connues, mais qui étaient interdites, s’il était dénoncé (comme autrefois, la France compte beaucoup de collabos), il faisait l’objet de poursuites disciplinaires. Cette minorité a imposé son soi-disant savoir au gouvernement. Pourtant l’on continue d’écouter ces gens là qui ont démontré par les faits l’inefficacité de leur « Savoir ». Malheureusement tous les autres, qui pourraient nous démontrer le scandale sanitaire découlant de ces positions, ne sont jamais invités sur les plateaux. Demandons-nous pourquoi.

La blouse blanche a remplacé la soutane.

Vous évoquez des « thérapeutiques mondialement connues ». Pouvez vous préciser ?

Comme je l’ai déjà expliqué, l’on connaissait depuis des décennies, en matière de traitement d’un virus grippal, au moins quatre thérapeutiques :

1- l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine,
2- la vitamine C en perfusion et à haute dose,
3- l’artemisia annua
4- l’ivermectine.

De nombreuses publications nous ont démontré que ces thérapeutiques étaient extrêmement efficaces, avec peu d’effets secondaires, à condition qu’elles soient utilisées dès les premiers symptômes. Nos scientocrates connaissaient cette information, et (comme s’ils le faisaient exprès), se sont dressés contre, se basant sur les seules études de cas dans lesquels l’on avait attendu que l’état du patient ne se soit fort dégradé, pour dire que ces thérapeutiques « ne marchaient pas… »

Bref, tout était fait pour nous faire croire que seul le « vaccin » pourrait nous sauver.

Cette position, en toute logique, est inexplicable, d’autant plus que de nombreux médecins avaient informé le ministère de la Santé qui ne voulait rien entendre.

Mais les vaccins anticovid ne permettent-ils pas d’arrêter l’épidémie ?

Je ne suis pas médecin, mais je suis obligé de dire ce que je vois : dans un article récent, intitulé « Covid 19 : injection chimérique transgénique – l’hécatombe vaccinale s’étend dans le monde » le Dr Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, montre que les courbes des décès montent en flèche, dans tous les pays dès le début de la vaccination de masse. Le cas des Anglais qui ont été les premiers en Europe à vacciner est caractéristique : dès le début de ces injections de masse, est apparu… le variant anglais… Puis la courbe des décès a remonté de manière spectaculaire. Naturellement aucun des grands médias n’en a parlé. Pourtant, ils avaient les courbes officielles devant les yeux. On dirait qu’ils sont chloroformés. Actuellement des médecins israéliens, résidant dans l’un des pays les plus vaccinés au monde, nous indiquent que chez eux, plus de 51% des hospitalisés avec le diagnostic de covid-19, sont vaccinés, et que la courbe de mortalité chez les jeunes a augmenté de 20% entre 2020 et aujourd’hui.

J’ai l’impression que non seulement ce « vaccin » ne protège pas beaucoup, mais en plus rend beaucoup de gens malades. Plus on « vaccine », plus il y a de malades !

On parle d’effets indésirables, avez vous des informations à ce sujet ?

Sur le site européen de pharmacovigilance « EUDRAVigilance », il est mentionné 19.791 décès au 24 juillet 2021 et plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé.

Même le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) nous indique qu’au 1er juillet 2021, sur 62.000 déclarations, 31.000 cas ont reçu la qualification officiels d’effets indésirables, dont 8.689 graves, et 900 décès, pour le seul produit Pfizer ! Et 11.200 cas graves en fin juillet.

Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ». – COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain». Nous en sommes à 900 décès en France, plus de 19.000 en Europe, et les médias et les quelques scientocrates continuent de nous dire qu’il « y a très peu d’effets indésirables ! ». Pourquoi nous mentent ils de cette manière ?

À ce stade, je suis contraint de constater que nous sommes face à un empoisonnement collectif. Ce n’est pas parce que ce scandale sanitaire n’est pas mentionné par les médias « grand public » qu’il n’existe pas. En réalité, dans plusieurs coins d’Europe, des scientifiques ont analysé les produits mis sur le marché, et sont très inquiets de ce qu’ils ont trouvé !

Et ce qui encore plus incroyable, est que l’on est sur le point d’assister à la publication d’un texte de loi, contraire à plusieurs conventions internationales, car nous sommes toujours en période d’essai clinique jusqu’en 2022, voire 2023.

La Convention d’Oviedo interdit de forcer un citoyen à participer à une expérimentation. Or, beaucoup d’entre nous risquent d’être contraints de recevoir une injection d’un produit expérimental, qui n’est même pas un vaccin, mais un produit génique expérimental.

Parlons de ces plaintes : quel but poursuivez-vous ?

Il faut que cette hécatombe s’arrête ! Les 19.000 morts et 800.000 cas graves, représentent malheureusement une partie de la réalité, ce qui est d’autant plus honteux que nos autorités nient leur existence, et font comme si cela n’existait pas.

Depuis quelques jours, moi et d’autres confrères, avons quotidiennement des appels téléphoniques d’infirmières ou de pompiers stupéfaits d’amener tous les jours des « vaccinés » aux urgences. Depuis quelques jours, de nombreux professionnels de santé, constatant les dégâts de ces injections, nous demandent comment faire pour y échapper : « Dois-je risquer de mourir ou d’être handicapée à vie pour conserver mon emploi ?« 

Plusieurs experts américains ou européens nous alertent sur le fait que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment M. Van den Boosch, qui eut d’importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, et qui nous alerte en conseillant d’arrêter toute cette campagne de « vaccinations ».

Comment en est-on arrivé là sans que personne ne réagisse ?

« On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur« 

1- On a gonflé énormément les chiffres des décès dus au Covid : des accidentés de la route, des cancéreux mourraient officiellement « du Covid » ! La consigne dans les hôpitaux était d’en déclarer le plus possible (plusieurs soignants hospitaliers m’ont indiqué que certains hôpitaux percevraient une subvention pour chaque déclaration, ce qui permet de mieux comprendre les raisons de cette situation incroyable). Parallèlement, depuis plusieurs années, des milliers de lits d’hôpitaux avaient été supprimés, ce qui allait conduire forcément à une saturation. Et, contrairement aux promesses, ce processus a continué même pendant l’épidémie.

2- Toutes les thérapeutiques efficaces étaient interdites.

3- Le masque que l’on devait porter même en plein air, jusque sur certaines plages n’avait pas pour but la Santé Publique, mais de maintenir la peur, en muselant tout le monde. N’importe quel médecin de terrain vous dira que porter un masque en bord de mer, à des dizaines de mètres d’autre promeneurs, c’est grotesque ! Même les enfants, pourtant épargnés par cette maladie, et donc non contagieux, devaient faire comme s’ils étaient dangereux pour les autres !

4- Les divers confinements visaient spécialement les lieux où on échange des idées : bars, restaurants, salles de spectacles. Mais pas le métro, les grandes surfaces, etc. Comme des moutons chloroformés, nous avons accepté ces aberrations !

Tout était fait pour laisser les gens dans la terreur, à l’aide des slogans publicitaires, des affiches etc…

5- Puis sont arrivés ces produits grâce auxquels on allait pouvoir vivre « comme avant »… Sauf que ces produits sont en train de décimer beaucoup de monde, et ne semblent pas si efficaces qu’on le dit.

Certains ne pourront-ils pas échapper à cela avec un certificat de contre-indication ?

Le texte prévoit effectivement la possibilité pour le médecin traitant de délivrer un certificat de contre-indication.

Toutefois, le texte a déjà limité les cas dans lesquels ce certificat pourra être accepté : certaines pathologies antérieures, et des allergies « aux composants du vaccin... »

On baigne dans l’absurde, ou dans la mauvaise foi ! Comment peut-on déjà savoir quelles sont les pathologies antérieures susceptibles de contre-indiquer des produits encore en phase d’essai clinique ?

Quant aux composants du vaccin, c’est encore pire ! Il semblerait que personne (médecins, pharmaciens…) ne soit en mesure de nous donner la liste de tous les composants des produits.

Ainsi :
1- On tente de nous obliger de nous injecter un produit qu’on ne connait pas.
2- Pour savoir si l’on est allergique à un des composants, il n’y a qu’une seule solution : se le faire injecter, puis dire de son lit de mort, « Maintenant je sais que je suis allergique… »

Pour arrêter ce processus, des médecins et des particuliers vous ont demandé de saisir la Justice. Qu’avez-vous fait ?

Nous avons déposé deux plaintes collectives :

I- Une première plainte collective a été déposée à Grenoble pour :
– Tentative d’empoisonnement, (art 221-5 C. Pénal)
– Mise en danger de la personne, (art. 223-1 C. Pénal)
– Mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 C. Pénal)

a) La tentative d’empoisonnement :

La semaine dernière, les responsables de plusieurs collectifs de l’Isère, par mon intermédiaire, ont déposé une plainte contre X pour tentative d’empoisonnement, entre les mains du Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Grenoble. Ils estiment en effet que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qui n’est pas un vaccin, mais un médicament expérimental, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et est même contredite par les chiffres officiels de nombreux pays étrangers, et dont la dangerosité apparait de plus en plus. Ils estiment que le fait de continuer d’encourager les français à recevoir ces injections, tout en cachant les innombrables accidents post-vaccinaux, et en déclarant mensongèrement que les effets indésirables graves « sont très rares », procède d’une volonté criminelle délibérée.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car au départ, les six plaignants avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits actuellement proposés, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes et incontestables dont ils ont eu connaissance.

b) La mise en danger de la personne :

De nombreux scientifiques nous ont dit être complètement sidérés par ce qu’ils appellent un « muselage de la population ». Par dizaines, ils nous expliquent l’inutilité et la dangerosité du port du masque. Celui qui résume bien tous les autres est peut-être le Pr Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur général de l’Irsan qui écrit :

« De la même manière que le confinement généralisé d’une population, le port du masque généralisé en espace ouvert n’a aucun fondement scientifique et me paraît complètement délirant et ahurissant... » 

Ainsi, les mêmes responsables des collectif isérois, ont déposé plainte également pour mise en danger de la personne.

c) La mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité :

Monsieur le Recteur de l’Académie de Grenoble a donné des consignes concernant le port du masque, portant atteinte à la santé des enfants, contre tout bon sens, puisque les autorités de Santé disaient elles-mêmes que :
a-) Les enfants ne contractaient pas la maladie,
b-) Les enfants étaient peu, voire pas du tout contagieux.

Sachant dès le début, que ces mesures seraient inutiles et hautement nocives pour ces enfants, mais en donnant des consignes de port obligatoire du masque pour les enfants des écoles, des collèges et des lycées, aux chefs d’établissements de l’académie, il s’est rendu coupable, ainsi que d’autres fonctionnaires, de mise en péril de mineurs par personne ayant autorité, dans la mesure où le fait d’obliger des enfants à ne pas respirer normalement, compromettant ainsi à long terme, leur santé physique et mentale, et de les obliger, en portant tous un masque, à vivre sans voir l’expression des visages de leurs camarades et des adultes, a conduit à des centaines de pathologies psychiatriques, et de nombreuses tentatives de suicides d’enfants.

Les responsables des collectifs ayant des enfants d’âge scolaire, ont ajouté aux précédents griefs visés dans leur plainte, la mise en péril de mineurs par personne ayant autorité.
 

II- Une deuxième plainte collective a été adressée jeudi 29 juillet 2021 à M. le Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, contre le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins pour délaissement ayant entraîné la mort de personnes qui n’étaient pas en mesure de se protéger en raison de leur âge ou de leur état physique ou psychique (art. 223-3 et 223-4 C.P.)

Cette plainte regroupe des médecins, qui n’ont pas pu soigner les patients et des particuliers dont un des proches est décédé, ou a été gravement malade, car il n’a pas pu être soigné à temps.

Ces personnes estiment en effet que dans la plupart des cas, les médecins qui voulaient prescrire une thérapeutique venant d’être interdite, étaient rappelés à l’ordre par le Conseil National de l’Ordre qui leur indiquait que leur prescription ne correspondait pas aux « données acquises de la Science » et qui les menaçait de poursuites disciplinaires en cas de récidive, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

a) soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane »,
b) Soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

De ce fait les médecins libéraux ne pouvaient rien prescrire, et ne pouvaient qu’attendre que l’état du patient ne se dégrade, et le faire hospitaliser.

Ceci explique pourquoi les malades du Covid 19 qui sont décédés, l’ont été très souvent quelques jours seulement après leur hospitalisation, car ils correspondaient à des malades qui n’avaient pas pu être soignés, et qui arrivaient donc trop tard à l’hôpital.

M. le Président du Conseil National de l’Ordre était parfaitement au courant de la situation, et savait qu’en menaçant les médecins, et en leur interdisant de prescrire l’une des thérapeutiques précitées, faisant même poursuivre disciplinairement ceux qui n’obéissaient pas, il allait contribuer à de nombreuses hospitalisations et de souffrances, et de décès.

C’est donc en connaissance de cause qu’il a contribué à laisser s’aggraver l’état de santé de milliers de personnes.

Comment voyez-vous l’avenir de cette crise sanitaire ?

Depuis l’annonce du 12 juillet, j’ai reçu des dizaines d’appels d’infirmières, médecins, pompiers qui ont deux inquiétudes :

  • Inquiétude pour les personnes : Ils m’indiquent avoir connaissance tous les jours de personnes hospitalisées en urgence après une « vaccination ». Ils me parlent d’hécatombe. Ils sont scandalisés par le silence total des grands médias.
  • Inquiétude pour eux-mêmes, car ils me demandent comment échapper à cet empoisonnement qui pour eux, sera obligatoire. Nous pensons avoir des solutions.

L’avenir va dépendre de nous tous. Tout le monde (ou presque) a compris que plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus les courbes remontent. Pourquoi ?

Lorsque l’on apprend que tant en Israël qu’en Grande-Bretagne, une grande proportion de personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » avaient été « vaccinées », l’on est en droit de se demander si le « vaccin » n’a pas transmis la maladie.

Bien sûr, les autorités nous répondront que le produit « n’avait pas eu le temps de faire son effet », comme si l’on allait tenir pour postulat que la personne l’aurait « attrapée » même sans le produit.

Ce qui pollue toute discussion, c’est que dans l’esprit collectif, depuis un siècle, le vaccin est considéré comme un Sacrement. Ainsi, l’aluminium retiré des produits cosmétiques, même des vaccins pour animaux, est resté dans les vaccins pour les humains, comme si un souffle divin lui enlevait sa nocivité.

[Rappel : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Pour la gauche, c’est un acquis social, un progrès de l’humanité. Il est vrai que j’y ai cru longtemps. Ceci est tellement ancré dans nos têtes, que l’évidence et le bon sens ont totalement disparu : Pour un enfant victime de convulsions juste après une vaccination, même des experts vont affirmer en Justice qu’il s’agit d’une coïncidence !

Ceci explique pourquoi les chiffres donnés par la pharmacovigilance, sont à multiplier au moins par 10, car il s’agit de décès ou d’effets indésirables déclarés officiellement par cet organisme, qui ne recueille que ce qu’on lui a envoyé.

Dans le cas présent, ceci explique pourquoi les élus, les chefs de service, les directeurs d’école, font comme s’ils ne comprenaient pas pourquoi le bonbon qu’ils nous obligent à manger, nous perturbe autant… Car quand on leur parle, ils nous répondent comme si le « vaccin » était comme un simple bonbon totalement inoffensif.

Ainsi, nos grands scientifiques, et même nos journalistes, deviennent des idéologues, et non plus des personnes objectives qui se contentent de décrire ce qu’ils voient. C’est pourquoi, après la manifestation du samedi 24 juillet, dans une ville dans laquelle on pouvait voir sur de nombreuses photos, plus d’un kilomètre de cortège le long d’une avenue à quatre voies, le journal local écrivait « Quelques centaines de manifestants... »

Tout ce qui va contre la pensée unique est nié, minimisé, caricaturé.

Les grands médias portent une lourde responsabilité, car dans le cas présent, cette négation entraîne des morts.

Personne ne parle jamais du typage H.L.A. découvert en 1980 par Jean Dausset, prix Nobel de médecine, et qui montre que nous appartenons tous à un groupe immunitaire, et qu’en fonction du groupe auquel nous appartenons, nous ne réagirons pas de la même manière à un vaccin, ou même à un virus. Cette information dérange tellement que personne n’en a parlé pendant 30 ans, alors que Jean Dausset avait déclaré en 1980 : « La vaccination de masse sera bientôt une pratique du passé... »

Je suis persuadé que si nous continuons de nous laisser faire, il y aura une quatrième, une cinquième, une sixième vague, et cela ne s’arrêtera jamais. Il faudra une troisième dose, puis une quatrième, il y aura de nouveaux confinements, puisque, comme l’ont expliqué de nombreux virologues ou médecins, plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus il y a de malades.

Cela ne s’était jamais produit.

Comme tout va être fait pour nous faire croire que cette nouvelle vague « C’est de la faute des non-vaccinés », il est fort possible que dans beaucoup d’hôpitaux, personne ne demandera à tous les nouveaux malades du covid ou du variant « Êtes-vous vacciné ? » Et même si les soignants sur le terrain qui le demandent et le signalent, l’information ne remontera pas, car le but est de nous injecter ces produits.

Il faut rappeler que les contrats signés entre les laboratoires et la Commission européenne, précisent que les parties reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables. Et une autre clause précise que même si une thérapeutique efficace venait à être connue, cela n’annulerait pas les contrats…

Je suggère, quand une personne, qui a reçu une ou plusieurs injections, est hospitalisée, que les familles signalent systématiquement ce que la personne a reçu. Je suggère qu’elles le signalent également et directement à la pharmacovigilance. Sinon, cela va continuer : chaque décès sera officiellement « mort du Covid » (et non de l’injection).

Je suggère également que mes Confrères déposent des plaintes dans leurs départements respectifs, et surtout, que tout le monde se demande quelles sont les raisons de cette hystérie covidique. Lorsque tout le monde aura connaissance de toutes les informations détenues par un certain nombre de juristes français, allemands, italiens, belges, espagnols, américains, etc. l’on aura une idée claire. Mais il faudra calmer la colère de beaucoup.

[Points de vue sur le but :
Dr Louis Fouché: « La plupart des gens espèrent qu’ils reviendront à la vie normale,… Mais non ! Cette crise est là pour que ça s’effondre !! »
Le compte à rebours de la mort est lancé ! Des données top-secret… ACCESSIBLES À TOUS ! – par Ivo Sasek
Où conduisent le confinement, le port du masque et la distanciation ?
Pr Dolores Cahill : Des gens mourront après avoir été vaccinés contre le COVID-19
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
Bill Gates appelle les chefs religieux à manipuler leurs paroissiens pour qu’ils se fassent vacciner contre le coronavirus
Complot, conspiration, plan : dix faits troublants
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
La guerre du Bien contre le Mal
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste
Et si cette « pandémie » n’était qu’une préparation mentale pour la suite ?]

Jean-Pierre Joseph est auteur de « Vaccins : on nous aurait menti ? » (5° édition 2020)

L’association BonSens.org fait savoir qu’elle s’associera à ces plaintes en y apportant son soutien.

Auteur(s): FranceSoir




Prosternez-vous devant le Dieu Vaccin

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Dr Pascal Sacré

La question, pour moi, n’est pas de diaboliser la vaccination comme les intégristes de celle-ci diabolisent toute alternative à leur Dieu, généralement en s’attaquant aux gens qui osent en parler. 

La question, pour moi, est de dire la vérité aux gens :

Il y a des alternatives plus sûres, plus efficaces et moins dangereuses pour trouver la porte de sortie de cette crise.

Nous sommes dans une phase de totalitarisme intégriste à caractère religieux.

Dans cette phase qui atteint son paroxysme hystérique, le Vaccin est le nouveau Dieu. Le parallèle avec les religions dans ce qu’elles ont toutes eu d’extrême est saisissant. 

Je ne parle pas des religions au sens original, dont l’une des étymologies admises est religare, relier.(([1] Il y a deux sources étymologiques du mot « religion » : relegere (cueillir, rassembler) et religare (lier, relier) – [Tete de Haspinger (Egger Lienz-Albin, 1908)] (idixa.net) )) Toutes les religions ont été utilisées par une partie de leur hiérarchie pour contrôler, dominer, séparer, exterminer, détournant le message religieux de son ambition originelle qui est rassembler, expliquer, rassurer, inclure, protéger et donner un sens à nos existences.

Derrière ce spectre de l’intégrisme vaccinal se cachent des personnes cyniques, qui vont jusqu’à faire croire qu’elles sont concernées par votre bien-être. Il y en a toujours eu, y compris derrière les religions qui prônaient le pardon, l’inclusion, la justice, la bonté en paroles mais qui dans les faits, tuaient, séparaient, jugeaient, emprisonnaient et exterminaient au moyen d’exécutants zélés sadiques, psychopathes, fanatiques.

Pour autant que les gens veuillent des gouvernants dignes de confiance, des politiques honnêtes, ils devraient toujours juger les gouvernants, les élites financières, les politiques à leurs actes plutôt qu’à leurs paroles.

Un exemple démonstratif en Belgique fut la nomination en 2020, au poste de ministre de la santé d’une personne qui avait pourtant déjà fraudé, menti, trahi(([2] Les pots-de-vin d’Agusta font chuter le ministre des Affaires étrangères belge – Libération (liberation.fr) )) des années plus tôt. 

À la décharge du peuple, il faut dire qu’en Belgique, élections ou pas, les citoyens n’ont aucun contrôle sur les nominations ministérielles.

De même, en France, le ministre de la Justice est … mis en examen tout en conservant son poste.(([3] Affaire Dupond-Moretti : « Un ministre de la Justice mis en examen, c’est inimaginable » (france24.com) )) Il garde évidemment le soutien de son gouvernement.

Poursuivons le parallèle entre le Vaccin et Dieu.

Dans cette histoire de Vaccin Tout-Puissant, il y a également un grand nombre de croyants sincères. Certains sont même les fanatiques, les extrémistes de service. 

Ils croient.

Quoi que vous disiez, études sérieuses ou raisonnements solides à l’appui, ça n’y changera rien.

Un ministre français l’a dit dans ces termes intégristes en 2015, « la vaccination, ça ne se discute pas ».(([4] La vaccination, ça se discute (lemonde.fr)  ))

Je vous l’ai dit, beaucoup des croyants sont sincères. L’Enfer n’est-il pas pavé de bonnes intentions ?

Pour le Dieu Vaccin, ils ne demandent pas de preuves.

« On » a dit que la Vaccination avait sauvé l’humanité, qu’elle avait éradiqué la polio, cela suffit, pas besoin de chercher ni lire les études, les rapports originaux qui le prouvent. En fait, ils n’existent pas ou ont été tronqués (cf. les travaux du docteur Edward H. Kass de Harvard : 
Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net
ou ici).

[Voir aussi : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Peu importe.

Confiance aveugle.

Par contre, pour des médicaments qui ont fait leurs preuves, 70 années d’utilisation pour l’hydroxychloroquine, plus de quarante années pour l’ivermectine considérée comme essentielle par l’organisation mondiale de la santé, plus de quarante années pour l’azithromycine, molécules défendues dans le traitement du COVID-19 par des scientifiques renommés fiables, et utilisées sur le terrain par de nombreux médecins avec succès, méfiance maximale.

Rien n’y fait.

Le croyant ne tolère aucune entorse à sa foi. 

C’est même sur cette caractéristique qu’on l’identifie, qu’on distingue un croyant d’un véritable scientifique qui doute, qui s’appuie sur une vérité provisoire pour avancer, de question en question, jamais satisfait des réponses toutes faites.

Pour le « Vaccin » ARN/ADN, toutes les indulgences sont permises alors que, si la technologie est étudiée depuis plusieurs années, ces produits sont inconnus en thérapeutique humaine à large échelle, les études des firmes pharmaceutiques sont en phase III,(([5] Oui, les vaccins contre la Covid 19 sont expérimentaux ! Dr Gérard Delépine, revue Sapiens numéro 9, mai 2021, pages 14-20
[ou Oui, les vaccins sont expérimentaux contrairement à ce que l’AFP et J. Mansour affirment dans leur « fast check »])) leur autorisation de mise sur le marché est conditionnelle et les effets secondaires, voire décès, s’accumulent.(([6] https://www.google.be/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&ved=2ahUKEwjw9-Kz0IjyAhWSy6QKHRM1D_k4ChAWMAZ6BAgKEAM&url=https%3A%2F%2Fwww.ronjohnson.senate.gov%2Fservices%2Ffiles%2FA4A76F9A-9B29-4CF9-B987-F9097A3F4CB7&usg=AOvVaw1A5Y8Ie2O_-S6RTE0ucAPp )) Même cela est contesté par les croyants et tous les vérificateurs de faits sont sur le coup. Vérificateurs de faits payés par qui ?

Pour un médicament aussi essentiel que l’ivermectine, avec aujourd’hui une accumulation de preuves sur son bénéfice dans le traitement du COVID(([7] The FDA-approved drug ivermectin inhibits the replication of SARS-CoV-2 in vitro – ScienceDirect))(([8] Lab experiments show anti-parasitic drug, Ivermectin, eliminates SARS-CoV-2 in cells in 48 hours – Monash Biomedicine Discovery Institute))(([9] Ivermectine contre vaccins : devinez qui GAGNE le match par KO ? – Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com) ))(([10] L’ivermectine atténue les symptômes de la Covid-19 dans un modèle animal (pasteur.fr) )), à tous ses stades, le nombre d’études randomisées double aveugle avec revue par des pairs ne sera jamais assez élevé pour le croyant du Vaccin. 

Jamais aucun article, aucun scientifique même Nobélisé cinq fois ne convaincra le croyant du Vaccin.

Par contre, pour le Dieu Vaccin, toute information contradictoire sera fake new, désinformation, automatiquement démolie par les vérificateurs de faits, avant même d’être analysée, ce qu’elle ne sera de toute façon jamais par les croyants du Vaccin.

La religion Vaccination se nourrit de l’aura scientifique, se drape dans l’objectivité, la rationalité mais dans le cas de la Vaccination, ce ne sont que ça, des haillons, de l’apparence, du brouillard. En réalité, la croyance en la Vaccination n’est que subjectivité, qu’émotivité, que Foi.

La « science » de la Vaccination, telle qu’elle est répandue parmi l’intégrisme actuel, est un parasite de la véritable Science, une tumeur envahissant la véritable médecine.

Ce que je dis des intégristes de la Vaccination, d’autres pourraient le dire des antivax et c’est vrai, pour certains.

Les intégristes de la Vaccination comme religion exclusive ont beau jeu de faire des amalgames, de mettre tous leurs opposants dans le même panier, le panier le plus facile à critiquer.

Pour ma part, je considère la vaccination, même cette manipulation génétique ARN/ADN comme une option, pourquoi pas, à condition de respecter toutes les phases d’autorisation, de tenir compte des signaux d’alerte et de prendre le temps de la sécurité.

La question, pour moi, n’est pas de diaboliser la vaccination comme les intégristes de celle-ci diabolisent toute alternative à leur Dieu, généralement en s’attaquant aux gens qui osent en parler. 

La question, pour moi, est de dire la vérité aux gens :

Il y a des alternatives plus sûres, plus efficaces et moins dangereuses pour trouver la porte de sortie de cette crise.

Ces alternatives ne rapporteront pas d’argent aux grands laboratoires dont les actions boursières ont monté en flèche grâce au Dieu Vaccin, elles ne permettront pas aux gouvernants tentés par une prise de pouvoir absolu sur nos vies de parvenir à leurs fins.

Mais ces alternatives plus sûres, plus efficaces, moins dangereuses marcheront, elles écarteront le danger, y compris des variants, sans exposer une partie de l’humanité à des effets secondaires inadmissibles,(([11] Sur CNews, Brigitte Milhau : « 1 enfant sur 5 000 aura un problème cardiaque » (lemediaen442.fr) )) à des décès inacceptables,(([12] Maxime Beltra, 22 ans, meurt suite à la vaccination anti-covid. Son père raconte (lemediaen442.fr) )) à un verrouillage irréversible de nos libertés.

Ces notions sont essentielles pour comprendre comment combattre ce fanatisme, comment sortir de ce cauchemar sanitaire et de ce totalitarisme qui a pour Dieu le Vaccin et qui se sert de ça pour arriver à ses fins.

Il est tout à fait acceptable pour les croyants du Vaccin de sacrifier des ouailles au bien commun, y compris des jeunes en bonne santé qui donnent leur vie pour que le nouveau Dieu puisse sauver l’humanité.

Ce qui choquerait n’importe qui d’esprit sain, est vu comme sanctification par les croyants du Vaccin.

Nous ne pouvons nous adresser de la même manière aux cyniques, à ceux qui ne font qu’utiliser cette situation pour leurs profits (politiques, financiers, narcissiques), et aux vrais croyants, ceux qui ont la Foi, ceux qui croient sincèrement dans leur nouveau Dieu dénommé Vaccin, même si en l’occurrence, il n’en pas vraiment un.

Les premiers, lâches comme d’habitude, se cachent derrière les seconds.

Les premiers ne méritent ni dialogue, ni pardon. Nous devons nous en occuper comme un corps humain en bonne santé s’occupe d’un parasite, d’une cellule cancéreuse ou d’un pathogène.

Les seconds doivent être abordés en tenant compte de leur Foi sincère. Se vacciner est leur droit, mais peut-être qu’en apprenant qu’il y a des alternatives plus efficaces et moins dangereuses, ils finiraient par entendre raison.

Quant aux éléments les plus fanatiques qui ne seraient pas des cyniques opportunistes déguisés en croyants, pour ceux-là qui veulent que tout le monde soit vacciné, aucune issue n’est possible, aucune issue autre que celle de nous en protéger, pour le bien commun, en les éloignant et en les aidant psychologiquement.

L’humanité est réellement en danger aujourd’hui, pas en raison de ce que la plupart des gens croient.

Pas en raison d’un virus.

En raison de la psychopathie cynique de quelques-uns, de la Foi aveugle de certains, de la croyance basée sur la tromperie d’un grand nombre et de la passivité spectatrice de la majorité.

Quelle que soit la catégorie dans laquelle vous êtes, vous serez responsables du destin de l’humanité.

Vous pouvez encore agir, choisir.

Dr Pascal Sacré

30 juillet 2021

Images : Pixabay.com

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021


Notes / Sources :




87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Une personne saine d’esprit mélangerait-elle l’échantillon d’un patient (contenant diverses sources de matériel génétique et dont il n’a jamais été prouvé qu’il contenait un virus particulier) avec des cellules rénales de singe, du sérum bovin fœtal et des médicaments toxiques, puis prétendrait que la concoction résultante est un “isolat du SARS-COV-2” et l’expédierait à l’étranger pour qu’il soit utilisé dans des recherches critiques (y compris le développement de vaccins et de tests) ?

Parce que c’est le genre de travaux frauduleux que des équipes de recherche du monde entier font passer pour “l’isolement du virus”.

En date du 27 juillet 2021 :

87 institutions scientifiques et de santé du monde entier n’ont pas réussi à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un seul rapport d’isolement/purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, à aucun moment. Vous trouverez ci-dessous la liste de ces institutions.

Ci-dessous toutes les demandes d’informations et leurs réponses archivées sur cv19.fr, voir les procédures complètes de chaque demande détaillée sur cette page : fluoridefreepeel.ca [archive]

1 Australia University of Western Australia – home of Gates-funded researcher Christine Carson
2 Australia ACT Government (Government of the Australian Capital Territory) / Canberra Health Services (CHS)
3 Australia Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation – CSIRO
4 Australia Department of Health
5 Australia Peter Doherty Institute for Infection and Immunity
6 Britain Health and Safety Executive
7 Canada Aylmer Police Services
8 Canada Centre for Disease Control, British Columbia
9 Canada City of Toronto, Ontario
10 Canada Department of Health & Community Services, Newfoundland Labrador
11 Canada Health Canada
12 Canada Institut National de Sante Publique du Quebec
13 Canada Institutes of Health Research
14 Canada Kingston, Frontenac, Lennox and Addington Public Health, Ontario (re “any variant”)
15 Canada McGill University
16 Canada Ministry of Health, British Columbia
17 Canada Ministry of Health, Ontario
18 Canada Mount Sinai Hospital, Toronto, Ontario
19 Canada National Research Council, [2]
20 Canada Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada
21 Canada Peterborough Police Service
22 Canada Peterborough Public Health
23 Canada Provincial Health Services Authority, British Columbia
24 Canada Region of Peel, Ontario, [2]
25 Canada Sunnybrook Health Sciences Centre, Toronto, Ontario
26 Canada Toronto Police Service
27 Canada University of Toronto
28 Canada Vancouver Coastal Health Authority, British Columbia (re “the UK variant”)
29 Canada Grey Bruce Health Services
30 Canada McMaster University
31 Canada Public Health Agency of Canada[2]
32 Canada Vaccine and Infectious Disease Organization-International Vaccine Centre (VIDO-InterVac) at University of Saskatchewan
33 Czech Republic Ministry of Health
34 Czech Republic Univerzita Karlova
35 Denmark Statens Serum Institut
36 England Public Health England[2][3][4]
37 Europe Centre for Disease Prevention and Control
38 India Indian Council of Medical Research[2]
39 Isle of Man Department of Health and Social Care
40 Netherlands Ministry of Health, Welfare and Sport[2]
41 New Zealand Associate Minister of Health Hon Jenny Salesa
42 New Zealand Associate Minister of Health Hon Peeni Henare
43 New Zealand Associate Minister of Health Julie Anne Genter
44 New Zealand Bay of Plenty District Board
45 New Zealand Department of the Prime Minister and Cabinet
46 New Zealand Institute of Environmental Science and Research – ESR[2]
47 New Zealand Ministry of Health
48 New Zealand University of Auckland
49 New Zealand University of Otago
50 Norway Norwegian Ministry of Health and Cares Services & subordinate agency the Directorate of Health
51 Portugal Ministry of Health (jugement du tribunal formalisant que le ministère ne dispose d’aucune donnée ou référence sur l’existence du virus)
52 Republic of Africa Governmental COVID-19 Advisory Committee (jugement Afrique du Sud, en savoir plus)
53 Republic of Africa Minister of Co-operative Governance and Traditional Affairs
54 Republic of Africa National Department of Health
55 Republic of Africa National Institute for Communicable Diseases
56 Republic of Africa President
57 Republic of Columbia Ministry of Health & Social Protection
58 Republic of Ireland National Virus Reference Laboratory, University College Dublin
59 Scotland Public Health Scotland
60 Slovenia Department of Health
61 Slovenia Faculty of Medicine and Institute of Microbiology and Immunology, University of Ljubljana
62 Slovenia National Laboratory for Health, Environment and Food (Nacionalnega laboratorija za zdravje, okolje in hrano – NLZOH)
63 Spain Ministry of Health
64 United Kingdom Cabinet Office[2]
65 United Kingdom Department of Health and Social Care
66 United Kingdom Government Office for Science
67 United Kingdom House of Commons
68 United Kingdom House of Lords
69 United Kingdom Imperial College London
70 United Kingdom Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
71 United Kingdom Prime Minister’s Officelien vers cette réponse
72 United Kingdom University of Warwick
73 United States of America Agency for Toxic Substances and Disease Registry[2]
74 United States of America Centers for Disease Control and Prevention[2]
75 United States of America National Institute of Allergy and Infectious Diseases – NIAID, [2]
76 United States of America Oregon Health Authority
77 Uruguay Clemente Stable Biological Research Institute, Ministry of Education and Culture
78 Uruguay University of the Republic (UdelaR) Faculty of Chemistry
79 Uruguay Ministry of Public Health
80 Wales Public Health Wales[2]
81 Canada Hastings Prince Edward Public Health (Ontario)
82 Ukraine Ministry of Health
83 Australia Western Australia Minister & Department of Health
84 Australia South Australia Minister for Health and Wellbeing
85 Australia New South Wales Ministry of Health, Australia
86 England Pennine Acute National Health Service Trust
87 England Salford Royal National Health Service Foundation Trust

Certaines des réponses à ces demandes d’informations mentionnent le fait que l’isolement/purification du SARS-CoV-2 ne peut être effectué de la manière demandée, et que “l’isolement” mentionné dans les publications scientifiques réfère à la culture en cellule de prélèvement démontrant un effet cytopathique, mais aucune expérience témoin n’a été effectuée pour démontrer que cet effet cytopathique est présent ou non avec les mêmes procédures sur une culture saine ou stérile (voir FOI des pays-bas).

Voir aussi : Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

Articles originaux :
https://www.fluoridefreepeel.ca/68-health-science-institutions-globally-all-failed-to-cite-even-1-record-of-sars-cov-2-purification-by-anyone-anywhere-ever/
https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/

Télécharger tous les documents de demandes d’informations : https://files.catbox.moe/8gx9ft.zip


[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
et les références et liens contenus dont plusieurs proviennent du travail de recherche effectué
par Recherches Covid-19 (cv19.fr)]




Un pasteur du Tennessee déclare que les masques ne sont pas autorisés dans son église

[Source : RT USA News]

[Traduction : Aube Digitale]

Alors que les obligations de port de masque continuent d’être débattus à travers les Etats-Unis, un pasteur du Tennessee, connu pour son opposition aux confinements et à la vaccination de masse, a clairement indiqué que les porteurs de masque seront renvoyés de son église.

S’adressant à sa congrégation dimanche, le pasteur controversé a déclaré qu’il était opposé à ce que les comtés réimposent le port du masque pour freiner l’augmentation des cas de coronavirus. Si Mount Juliet, Tennessee, où se trouve l’église Global Vision Bible Church, subit la même régression de politique, le pasteur Greg Locke a affirmé qu’il ne suivrait pas les directives rétablies.

« S’ils passent par le deuxième tour et que vous commencez à vous montrer (avec) tous ces masques et toutes ces bêtises, je vous demanderai de partir », a déclaré Locke sous les acclamations de sa congrégation. « Je vous demanderai de partir. Je ne joue pas à ces jeux démocrates dans cette église. Si vous voulez une distance sociale, allez à la First Baptist Church, mais n’allez pas dans celle-ci », a ajouté le pasteur, sous les applaudissements nourris de l’assemblée réunie sous une tente géante.

Au cours d’une messe diffusée en direct sur Facebook, M. Locke a ensuite critiqué ses collègues pasteurs qui refusent d’organiser des services tels que des baptêmes par crainte du virus et de sa variante Delta qui se propage rapidement.

« Je ne joue pas à ces jeux stupides », a-t-il déclaré. « Une bande de pasteurs qui disent à quel point ils veulent voir les gens guérir et qui ont peur de baptiser les gens à cause du variant Delta – j’en ai marre. »

Locke a déclaré qu’il n’a pas l’intention de fermer même si on lui ordonne de le faire.

« Ils serviront des Frosty’s en enfer avant de fermer cet endroit », a-t-il promis.

Locke a attiré l’attention nationale l’année dernière pendant le confinement du Tennessee lorsqu’il a continué à tenir des services en personne alors que la plupart des autres églises se sont tournées vers des alternatives à distance.

Son mandat anti-masque a, comme on pouvait s’y attendre, provoqué des remous chez les utilisateurs de tendance libérale sur les médias sociaux. Certains ont prédit que Locke et ses partisans allaient inévitablement attraper le Covid-19, un commentateur allant jusqu’à suggérer que le pasteur allait mourir du virus.

[Ndlr : à côté de cet exemple, le Pape fait pâle figure en appuyant les mesures sanitaires et la vaccination. Ce n’est pas étonnant, puisqu’il est depuis le début un ardent promoteur du Nouvel Ordre Mondial.]




Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Par Joseph Stroberg

Alors que la théorie virale semble avoir encore de beaux jours devant elle grâce à la Covid-19, et que le Nouvel Ordre Mondial(([1] ou « NOM », en abrégé, ou « NWO » pour New World Order en anglais)) transforme le monde en système esclavagiste sous couvert de liberté, nous présentons ici un moyen radical de vaincre cet énorme et coriace adversaire de l’Humanité.

Résumé

1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluation pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire pour réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

L’emprise de Bill Gates

Par le biais de sa fondation, Bill Gates finance de nombreux médias dominants, d’importantes entreprises pharmaceutiques, des multinationales de l’agroalimentaire et bien d’autres choses qui lui ont permis d’influencer l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et même des gouvernements.

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

La grande concentration des médias dominants engendre une « pensée unique » sous l’influence de ceux qui les possèdent et par leurs commanditaires, généralement membres de l’élite richissime.

Le pouvoir de l’image

Du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, les médias télévisuels ont une influence prépondérante.

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont quatre conditions indispensables pour démontrer scientifiquement qu’un micro-organisme est bien la cause d’une maladie. On les a par la suite réservés aux bactéries.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus.

Il a abandonné le premier postulat de Koch parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé.

Virus irrespectueux

Jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

En se fondant sur le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié.

Voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus :

  1. Prélever des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie.
  2. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, macérer, filtrer et ultracentrifuger, c’est-à-dire purifier l’échantillon.
  3. Vérifier l’uniformité de ces particules par des techniques physiques et/ou microscopiques.
  4. Examiner la structure, la morphologie et la composition chimique des particules.
  5. Extraire le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique.
  6. Analyser pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme ce devrait être le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.
  7. Montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico ». À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité.

Le séquençage équivaut à la résolution d’un puzzle pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre virus.

Voir : Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias, la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.


AVERTISSEMENT !

« Le complexe médico-industriel » résiste à toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée.

Dans le cas du SIDA :

  • Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie.
  • Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté. (…) Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus !
  • Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA.

Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus.

Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées.

Les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Le virome dans le corps humain contient un million de milliards (1 000 000 000 000 000) de virus

Nouvelles connaissances en virologie

Bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus. Le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés.

L’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée non par le virus, mais par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes.

Mais qu’en est-il de l’expérience de “preuve de concept” de réplication virale qui semble démontrer la réplication des virus en laboratoire ? Comme contre-expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Sur 7 milliards d’êtres humains il n’est pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

La présence de micro-organismes signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement causé par les fêtes de fin d’année. Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence). Ils vivent en symbiose avec nous (voir : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent.

Des médecins se sont volontairement contaminés par divers germes sans devenir malades.

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents.

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué.

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

Les virus (et les bactéries) n’ayant jamais pu être expérimentalement démontrées comme cause des maladies virales (et bactériennes) associées, la théorie virale (et plus généralement celle des germes) s’avère fausse et incapable d’expliquer adéquatement les phénomènes épidémiques. Aucune contagion n’a pu être reproduite à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux.

Si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.


1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Si le but ultime de la science est de décrire et d’expliquer la réalité objective et non pas (comme cela semble être le cas de nos jours) de se transformer en religion mondiale, alors elle doit utiliser une méthode pour y parvenir. Celle-ci, en principe rigoureuse, est habituellement appelée « démarche scientifique » et consiste en une succession d’étapes susceptibles d’atteindre l’objectif visé ou au moins une partie de celui-ci. Dans un premier temps, la science a découpé la réalité en plusieurs domaines séparés d’étude, dans l’espoir de pouvoir ainsi plus facilement étudier chacun d’eux, sachant que dans l’immédiat la totalité de la réalité lui est largement inaccessible.

C’est ainsi qu’est apparu progressivement un grand nombre de disciplines scientifiques, chacune d’elles étant chargée d’élucider un secteur particulier de la réalité universelle. Cependant, ces matières devraient toutes en principe recourir toujours à la « méthode » scientifique générale, même si un nombre croissant d’entre elles l’ont visiblement perdu de vue en cours de route. Leurs étudiants sont trop souvent devenus essentiellement des grands-prêtres chargés de répéter les croyances de leurs prédécesseurs aujourd’hui « professeurs ». Ils l’ont fait sans se donner la peine de vérifier ces affirmations (ceci d’autant moins lorsque ces dernières sont mondialement admises ou sont au minimum l’objet d’un consensus). Ils ont peut-être oublié qu’à une époque passée seulement éloignée de quelques siècles en arrière, tout le monde croyait que la Terre était plate et que le Soleil tournait autour de la Terre. Et certains des pionniers scientifiques qui ont remis en question de telles croyances universellement admises se sont retrouvés condamnés par les inquisiteurs vérificateurs de faits de leur époque, dont Giordano Bruno qui fut brûlé vif sur le bûcher des bien pensants de son époque.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

Les étapes de la démarche scientifique sont en principe les suivantes :

1. L’analyse

L’analyse consiste à subdiviser l’étude en éléments, systèmes ou objets plus simples qui ont chacun des propriétés particulières et qui peuvent remplir éventuellement certaines fonctions. Dans le cas où l’objet d’étude est un être humain, le scientifique pourra ainsi être amené à analyser aussi bien la morphologie (les formes), le rôle des organes, la température, les couleurs, les capacités éventuelles de reproduction, le langage de communication principale et les autres moyens de communication, les performances physiques, etc.

Certains des éléments les plus simples (ou « facteurs ») étudiés lors de la phase d’analyse varient au cours du temps et sont alors dénommés « variables », alors que les autres sont appelées « constantes ». Pour l’Homme, les variables sont notamment la température corporelle, la taille (au moins jusqu’à l’âge adulte), le poids, le rythme cardiaque, les rythmes cérébraux, la tension sanguine, le PH (le caractère plus ou moins basique ou acide) du sang, le taux de glucose, etc. Les constantes pour un individu donné sont par exemple le nombre de chromosomes, le nombre de dents à l’âge adulte (tant qu’elles ne tombent pas), le nombre des organes (sauf lorsqu’il en perd un, à la suite d’une maladie, d’un accident ou d’une opération, ou lorsqu’on lui en greffe un qu’il n’avait pas ou n’avait plus)… Néanmoins, les véritables « constantes » sont rares, car notamment dans les exemples présentés ici, il existe des situations où ce que l’on pouvait croire constant de prime abord se trouve pouvoir changer. Par contre, la vitesse de la lumière dans le vide est pour l’instant considérée comme une réelle constante.

La modélisation

Au cours de la phase d’analyse, le scientifique évalue également les interactions possibles entre différents éléments (ou différentes « variables ») du système ou de l’objet de son étude ainsi qu’entre ces derniers et des paramètres externes liés à son environnement. En particulier, il peut supposer alors et par exemple que le milieu social dans lequel évolue un individu est susceptible d’influencer son humeur ou son état émotionnel et affectif. La pluie pourra ainsi le rendre maussade ou triste, voire déprimé, alors que le soleil aura plutôt l’effet inverse. Le climat extérieur est alors considéré comme une « cause », tandis que l’humeur de l’individu est une « conséquence » de cette cause. Un des arts de l’analyse qui est essentiellement une opération mentale, consiste à estimer adéquatement la relation entre les causes et les effets, sachant qu’un élément ou un phénomène peut être la cause d’un effet particulier sur un autre élément ou phénomène (comme le climat qui cause un changement d’humeur) alors qu’un effet peut à son tour servir de cause à un autre élément (comme la mauvaise humeur de l’un qui peut rendre l’autre en colère ou être contagieuse).

Cette phase particulière de l’analyse est celle au cours de laquelle le chercheur essaie de trouver une explication cohérente et logique aux phénomènes observés. Il élabore mentalement (et la couche éventuellement sur le papier) une théorie — on parle aussi de « modèle » — susceptible d’apporter un éclairage adéquat et explicatif à l’état et/ou au comportement de son objet d’étude.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». Nous nous efforcerons ici par la suite de démontrer que la théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable.

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des mesures et/ou des expériences pour vérifier si la modélisation (notamment les formules mathématiques ou les « équations » utilisées) correspond bien aux valeurs mesurées et aux phénomènes observés. Une bonne théorie doit être prédictive en ce sens que les résultats de mesure doivent concorder étroitement (aux incertitudes de mesure près) aux formules mathématiques utilisées pour son élaboration et aux phénomènes prévus lorsque ceux-ci ne peuvent être mis en équations. En ce sens, la théorie de la mécanique céleste (basée sur les hypothèses d’une Terre approximativement ronde, tournant sur elle-même en 24 heures et autour du Soleil en 365 jours et quart) est une bonne théorie, car elle permet de prévoir précisément et en particulier :

  • la position des étoiles, des planètes et de la Lune dans le ciel en n’importe quel moment de l’année et en n’importe quel lieu terrestre ;
  • les heures de lever et de coucher des étoiles, des planètes et de la Lune ;
  • la date et la caractéristique des éclipses lunaires et solaires (partielles, totales ou annulaires) ;

Par contre, la théorie de la Terre plate qui est élaborée à partir de sous-modèles disparates dont plusieurs sont mutuellement contradictoires et/ou relèvent de sophisme ou de syllogisme est incapable de telles prédictions et doit donc être scientifiquement abandonnée. Y croire ne relève plus de science, mais de religion. Un des exemples de syllogismes utilités par cette théorie est celui du théorème de Pythagore (qui ne vaut que pour une situation en deux dimensions) pour tenter de prétendre que le Soleil ne serait situé qu’à quelques milliers ou dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, alors que les situations utilisées à cette fin relèvent de trois dimensions, le Soleil ne se trouvant jamais à la verticale des lieux considérés lors des mesures ou évaluations effectuées approximativement.

L’expérimentation

Pour valider certains aspects d’une modélisation ou théorie, il peut être nécessaire de recourir à des expériences significatives qui représentent des mises en situation et permettent de mesurer ou d’évaluer des variables ou des phénomènes particuliers de l’objet d’étude. Ces expériences doivent alors être répétées un nombre suffisant de fois (sur un ou plusieurs échantillons ou spécimens d’étude) pour diminuer significativement la part de hasard. Par exemple, si l’on veut pouvoir démontrer qu’un virus est responsable d’une maladie donnée, on doit obligatoirement recourir à des expériences démonstratives qui consisteront au minimum à injecter ce virus à une personne saine et à déterminer ensuite si celle-ci devient effectivement malade de cette maladie. Ceci devra être répété sur un nombre suffisant d’individus pour éliminer l’hypothèse d’une pure coïncidence.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproductibles autant de fois que nécessaire et être menés en éliminant si possible un maximum de biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption) qui autrement faussent de manière plus ou moins radicale et dramatique les résultats des tests ou des expériences, notamment par l’élimination des valeurs mesurées incompatibles avec ce qui est attendu par le modèle…

Contre-expériences

Pour valider expérimentalement une théorie, il ne suffit pas en général de pratiquer des expériences susceptibles de la confirmer. Il est également nécessaire et indispensable d’effectuer des contre-expériences. Celles-ci consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter d’obtenir pourtant les mêmes effets. Si on y parvient, ceci signifie que la théorie est au minimum à revoir, voire complètement fausse, selon l’importance de la cause. Ainsi et par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause, mais que la mortalité cellulaire a une autre cause ou plusieurs autres causes combinées non virales.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement. Le scientifique doit alors la repenser au moins partiellement, réexaminer les variables et leurs supposées interactions, faire de nouvelles suppositions concernant les liens éventuels de causes à effets entre plusieurs paramètres ou phénomènes. Et parfois, il peut être amené jusqu’à envisager l’inversion de tels liens. Autrement dit, dans certains cas, ce qu’il avait supposé être la cause d’un phénomène n’en est que la conséquence. Actuellement, la théorie virale repose sur l’idée ou hypothèse que les virus et les rétrovirus sont la cause de maladies virales. Cette hypothèse n’est cependant pour l’instant pas validée expérimentalement selon la démarche scientifique qui vient d’être rappelée.

Nous verrons plus loin que la théorie virale présente de graves lacunes et devrait donc être complètement repensée ou abandonnée au profit d’une théorie alternative. Néanmoins, la démarche est d’autant plus difficile que les entreprises pharmaceutiques détiennent actuellement le quasi-monopole de la formation universitaire médicale et contrôlent la plupart des médecins et des institutions hospitalières et cliniques par le biais des ordres de médecins ou par la corruption autant des scientifiques placés aux postes clefs que des dirigeants politiques et des décisionnaires du secteur de la Santé. Dans le même temps, il se déroule depuis plusieurs décennies une chasse active aux médecines alternatives que les médias dominants se complaisent de plus en plus à présenter comme du pur charlatanisme.

L’esprit scientifique

L’esprit scientifique est le support d’une démarche scientifique désintéressée, impartiale et objective. Il consiste dans le développement et la mise en œuvre des qualités suivantes chez le chercheur :

  • ouverture d’esprit et curiosité, de sorte à ne pas négliger des pistes de solutions lors de l’établissement d’une théorie cohérente et espérée réaliste ;
  • capacité à remettre en question ce qu’il pensait être acquis, même lorsque c’est universellement accepté et considéré comme vrai ;
  • sens de l’observation et du détail pour notamment découvrir plus facilement les éléments qui pourraient contredire la théorie aussi bien que ceux qui tendent au contraire à l’affiner ;
  • aptitudes à l’analyse et à la synthèse pour favoriser l’élaboration et la présentation de la théorie ;
  • esprit critique et discernement, pour mieux faire la part des choses, peser le pour et le contre, déterminer les éléments validant la théorie aussi bien que ceux qui tendent à l’invalider ;
  • intuition, imagination, créativité, de sorte à découvrir plus facilement des théories explicatives réalistes des phénomènes observés ;
  • etc.

Esprit et méthode

Une démarche scientifique ne peut s’exercer pleinement sans être assurée par un esprit scientifique suffisant et celui-ci ne pourra pas s’épanouir dans un environnement conditionné par des intérêts mercantiles ou politiques situés bien loin d’une telle démarche. Les directives rigides finissent toujours par étouffer la créativité et l’inventivité. Les découvertes fondamentales font alors place à des mises à jour mineures de théories existantes ou à leur complexification croissante pour continuer à tenter de coller au réel observé au lieu d’en élaborer de plus adaptées. La science contrainte finit par se transformer en religion et ne peut plus guère évoluer que dans une direction propre à satisfaire ses dogmes de plus en plus rigides. Religion et science sans esprit, sans conscience, sombrent similairement dans le matérialisme extrême.

Notons en passant que l’argument d’autorité ne permet aucunement de valider une théorie. Ce n’est pas parce que celle-ci est élaborée par le plus considéré, primé ou renommé des scientifiques, combien même serait-il Prix Nobel, qu’elle est pour autant réaliste ni nécessairement exempte d’erreurs, de syllogismes ou de sophismes.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost

Pot-pourri

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.

L’Histoire horrible de Big Pharma (en anglais seulement)

L’emprise de Bill Gates

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

Dans la plupart des pays du monde occidental, ainsi que dans d’autres pays, les grands organes d’information se trouvent concentrés dans les mains de quelques familles richissimes et/ou de membres du gouvernement. Les journalistes qui y exercent leur activité ne mordent en général pas la main qui les nourrit. La politique rédactionnelle est dictée aux directeurs par les actionnaires et par les commanditaires. Les directeurs la transmettent aux rédacteurs en chef, puis ces derniers la rapportent à leur tour aux journalistes et aux pigistes. L’information est contrôlée étroitement en suivant les chaînes hiérarchiques. Et comme les contrôleurs du sommet de ces pyramides sont peu nombreux et animés par des buts similaires (préserver ou augmenter leur confort matériel, leur train de vie, leur emprise sur les affaires du monde, et la richesse matérielle et financière qui le facilite), le système médiatique dominant tend à engendrer une « pensée unique » sur la plupart des sujets et des domaines de la vie humaine et planétaire. Les journalistes et les pigistes qui tentent de s’en écarter sont simplement virés, ce qui fait que peu d’entre eux s’y risquent.

Le pouvoir de l’image

Parmi ces médias dominants, ceux de nature télévisuelle détiennent la part du lion, à cause du pouvoir de l’image, du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, notamment lorsqu’il s’agit de survie. La diffusion télévisée coûte nettement plus cher que la radio et que la presse écrite. Elle n’a pu être significativement concurrencée qu’assez récemment par Internet, depuis que les vitesses de transfert y permettent aussi la diffusion d’images filmées dans un confort visuel de qualité suffisante. Malgré tout, la télévision conserve une aura prestigieuse auprès d’une partie importante de la population mondiale, celle qui accepte sans examen et sans questionnements les « informations » ou la propagande et la désinformation qui y sont diffusées.

Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Extraits de
Le mythe de la contagion virale —
Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies :

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.

Virus irrespectueux

Comme nous le verrons par la suite et jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([2] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([3] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([4] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Comme indiqué précédemment, lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, dont des antibiotiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité. Selon la taille estimée du virus déduite d’une observation du tissu sous microscopie électronique dans laquelle ils pensent que telle structure observée est le fameux virus recherché, ils prélèvent uniquement les échantillons biologiques qui se trouvent dans la couche de densité correspondante.

À ce stade, nous avons donc d’un côté une observation de structures particulières au microscope électronique et la supposition que l’une d’elles est le virus ciblé, et de l’autre, le prélèvement d’une partie du matériel génétique provenant du tissu observé traité selon un processus chimique, puis physique particulier. Cependant, à aucun moment, ces scientifiques ne peuvent certifier que le prétendu virus correspond bien au matériel génétique prélevé (qui se présente dans la pratique comme un ensemble de fragments de codes génétiques).

Cette lacune dans la démonstration scientifique est aggravée par l’opération suivante qui se veut l’aboutissement du processus d’isolement du virus. Celle-ci est appelée « séquençage génétique », mais — comme il est montré dans l’article Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur — elle n’est en fait qu’une opération informatique complexe à l’aide d’un logiciel spécialisé.

Le séquençage équivaut en réalité à la résolution d’un puzzle de type mathématique ou statistique pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus non effectivement physiquement isolé, ceci à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être en quelque sorte rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle utilisé a semble-t-il été celui du non moins supposé SRAS-CoV. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre prétendu virus.

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias (particulièrement télévisuels), la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie (c’est-à-dire conforme à la réalité objective). La démarche scientifique impose d’examiner les faits face aux hypothèses émises dans le cadre de la théorie ou de la modélisation destinée à expliquer ou à interpréter un phénomène. Et dans ce cas, la théorie du SIDA causé par le HIV est largement contestable et a été contestée. Bien sûr, la pensée unique diffusée par les médias dominants s’y est farouchement opposée, sans pour autant apporter les preuves et les démonstrations nécessaires.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Par Robert E. Willner, M.D., Ph.D.
copyright ©1992. Robert Willner.

(Extraits)


Ce document raconte toute l’histoire ! L’incroyable histoire de l’arrogance, de l’ignorance, de la corruption et de la tromperie de la médecine établie, de l’industrie pharmaceutique et des agences du gouvernement des États-Unis. Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.

LETTRE À UN CONFRÈRE MÉDICAL

Décembre 1992

Cher Confrère,

Mon intime conviction est que la plupart d’entre vous, tout comme moi, avez choisi le domaine de la médecine à cause d’un intense désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants. Je voyais la médecine comme une profession basée sur la science, la compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses honnêtement méritées le respect, l’honneur et une vie relativement aisée. Je croyais que c’était une profession qui favorisait la pensée indépendante, la créativité et l’innovation, et était profondément ancrée dans l’intégrité. J’étais naïvement persuadé que la médecine s’élevait au-dessus de l’avarice, de la politique, de la tromperie et de l’esprit de vengeance. Durant les trente-cinq années au long desquelles j’ai pratiqué la médecine, j’ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins dévoués ainsi que l’honneur de servir la profession en tant que conférencier et président d’associations, de sociétés, de comités médicaux et d’associations de personnel hospitalier.

Tout comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté aux incroyables progrès technologiques. Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée d’une bureaucratie et d’un contrôle étouffants, souvent dans nos propres rangs, de même qu’au niveau du gouvernement. Les conséquences inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté de pensée et d’expression, la suppression de l’innovation et la tyrannie d’un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur tour des maux encore plus grands : l’occasion de perpétrer une tromperie en toute impunité, de s’opposer à la vérification, de défier la contestation et de faire faire machine arrière au progrès.

Une parodie de la science et de la médecine s’est mise en place ces dix dernières années, d’une telle dimension et tellement incroyable, que votre première impulsion sera d’écarter toute critique. Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu’ici, ils ont réussi. À cause de la confiance inhérente que nous avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux jargon scientifique avec lequel beaucoup d’entre nous n’étaient pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA — la soi-disant « Épidémie du Siècle ».

JE VOUS EN PRIE, LISEZ « L’ULTIME SUPERCHERIE » (Pourquoi Le Sexe et Le Virus ne sont pas La Cause du SIDA). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.

Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention. Le nom des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lit comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :

  • le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,
  • le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard, fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,
  • le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `
  • le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,
  • le Dr Gordon Stewart, Professeur émérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
  • le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,
  • et bien d’autres !

Leur nombre dépasse la centaine à l’heure où j’écris ces lignes ! La réputation de la Médecine américaine a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes et cupides, qui exercent un pouvoir surprenant parce qu’ils ont impliqué dans leur supercherie des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins, avons été privés d’une tribune libre impartiale parce que l’accès aux réunions médicales a été refusé aux détracteurs. C’est à présent aux médecins et à leurs patients d’exiger qu’une enquête complète et publique soit ouverte par le Congrès des États-Unis, afin que l’opposition puisse être entendue. Cette action servira à disculper la médecine de toute complicité dans cette ignominieuse affaire.

Votre respectueux confrère,
Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


AVERTISSEMENT !

Le président Eisenhower, lors de son discours d’adieu à la nation, nous mit en garde contre le « complexe militaro-industriel ». La supercherie suprême nous met en garde contre une menace encore plus grande pour nos vies, nos libertés et notre économie — « Le complexe médico-industriel ». Cette alliance résiste à (et détruit avec acharnement) toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. Cette conspiration de l’arrogance, de l’ignorance et de la cupidité coûte chaque année des centaines de milliers de vies et 200 milliards de dollars. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Nous perdrons la guerre contre le SIDA, tout comme nous avons perdu la guerre contre le cancer. Nous ne gagnerons jamais la guerre contre ces deux maladies si nous ne comprenons pas que la cause de toute maladie est une déficience acquise du système immunitaire, que ce soit par la contamination de notre environnement ou par la voie génétique, ce qui est rare.

Nous n’« attrapons » aucune maladie, nous succombons simplement à notre inadaptation à notre environnement. Si tel n’était pas le cas, la première « épidémie » sur terre aurait été la dernière. Les épidémies et les fléaux de l’histoire ont tué des millions de gens, mais il y a eu plus de survivants que de morts — pourquoi ?

Les survivants ont toujours été ceux dont le système immunitaire était intact.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.

Si nous altérons ou détruisons l’écosystème sans avoir le temps ou la capacité de nous adapter, la maladie et la mort s’ensuivront à coup sûr.

Il y a une meilleure façon de faire ! Elle est connue depuis des milliers d’années !

Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

Dans une meurtrière conspiration du silence, la médecine établie ignore la preuve flagrante que le VIH ne se propage pas sexuellement et pourrait en fait se révéler anodin.

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.

Celia Farber, Éditrice en chef, Spin Magazine
(Tiré de son article « Confusion fatale », Spin Magazine, juin 1992)


LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA LES DIX COMMANDEMENTS DE LA TROMPERIE
I. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre ! I. La coïncidence est la preuve de la cause et de l’effet!
II. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que l’humanité. II. Les preuves indirectes sont des preuves directes !
III. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA. III. Un exemple démontre la règle !
IV. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement. IV. Une supposition corroborée par une autre supposition crée un fait !
V. Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n’est pas contagieux. V. Ce qui est dit est ainsi !
VI. Le vaccin contre le SIDA sera inutile. VI. Ne confondez pas le problème avec les faits !
VII. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. VII. La preuve n’est pas nécessaire et devrait être évitée ! `
VIII. L’immunodéficience acquise est la cause de la plupart des maladies. VIII. Mentez, mentez encore et l’on vous croira !
IX. L’Immunodéficience acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues, médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes – soit individuellement, soit combinés. IX. Faites taire, ignorez et supprimez la vérité!
X. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA. X. Remplacez la raison par le dogme, la tromperie et la peur aveugle !

L’application répétée de ces commandements de la tromperie par les conspirateurs incita T. C. Fry à faire le commentaire suivant dans son livre « SIDA : LE GRAND CANULAR » :

« … la présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la maladie (SIDA) n’est pas plus une preuve qu’il en est la cause que la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve que les mouches sont la cause des ordures. »

Il pourrait toutefois y avoir une exception : si l’on considère que le « gang du SIDA », à savoir Robert Gallo, Anthony Fauci, William Hazeltine, Max Essex, James Curran, Flossie Wong Stall, Dani Bolognesi, Margaret Fischler, Margaret Heckler et al., sont les mouches, alors, effectivement, elles sont la cause des ordures !

Bientôt, la lumière de la vérité commença à transpercer la façade. Pour ces conspirateurs, si la justice l’emporte, ce qui suit aura été le précurseur de leur apocalypse. Tout commença en 1987, lorsque le Dr Peter Duesberg, autorité internationale en matière de rétrovirus, publia dans « Cancer Research » un article qui secoua le fondement même de la théorie VIH-SIDA. Beaucoup de scientifiques furent stupéfaits par sa position, mais impressionnés par sa véracité. D’autres furent soulagés que quelqu’un eût enfin le courage de parler franchement. Les courtiers du pouvoir et les intéressés contre-attaquèrent, non pas avec des arguments et des faits scientifiques, mais par des insultes, des insinuations au vitriol, le dénigrement et des représailles politiques et économiques. Leurs actions et leurs paroles ne firent que confirmer leur culpabilité ! Puis, en février1989, le Dr Duesberg soumit une analyse adroite et détaillée « aux débats de l’Académie Nationale des Sciences ». Ce groupe prestigieux ignora ce document et ne prit aucune mesure !

Durant les quatre dernières années, la combinaison classique de symptômes caractéristiques du SIDA a été diagnostiquée chez des individus séronégatifs et leur nombre est en constante augmentation ! Évidemment, les charlatans ont tout de suite émis l’« hypothèse » qu’il devait y avoir un autre « virus », afin que leur manœuvre ne soit pas découverte. Encore une tentative pour détourner l’attention de la cause évidente et scientifiquement établie — LES DROGUES ! Ils concèdent à présent que le virus ne peut pas agir seul, qu’il faut des « co-facteurs ». Cependant, nous savons déjà que ces « co-facteurs » ont provoqué des immunodéficiences depuis plusieurs décades, bien avant que l’on ne découvre le VIH.

C’est le VIH qui n’est pas nécessaire au SIDA.


COMMENT ONT-ILS PU FAIRE PASSER ÇA ?

Comment cela a-t-il pu se produire ? Il n’est certainement pas possible qu’une tromperie de cette ampleur ait pu échapper à l’examen minutieux des milliers de scientifiques de par le monde qui ont cherché les nombreuses voies d’investigation menant à cette « plaie des temps modernes ». Tout commença avec les rétrovirologues, dont le champ de connaissances techniques est mystérieux et assez peu familier aux autres scientifiques. J’ai moi-même lu avec une acceptation totale les premiers articles dans les journaux médicaux, les quotidiens et les magazines populaires. Qui pouvait douter des déclarations des puissants et influents départements, agences et enclaves scientifiques du gouvernement ? Même si les nombreuses affirmations au sujet du virus ne trouvaient pas en moi un écho retentissant, il me fallut plusieurs années avant de me mettre, presque instinctivement, à douter de ce que je lisais. Je suppose que c’est à cause de mes 25 ans de pratique médicale, de l’exposition graduelle de la médecine établie aux échecs et aux contradictions, et de sa résistance à dévier de son approche dogmatique obligée de la maladie, que j’appris à m’interroger sur la nourriture que l’on m’avait enseigné à digérer. Tout d’abord, ce fut la thérapie malsaine, irrationnelle et contradictoire que je ne pus pas accepter. Mais ensuite, après avoir assisté en février 1989 à une réunion à Los Angeles sur les approches alternatives du SIDA, au cours de laquelle j’entendis parler le Dr Peter Duesberg, je mis finalement en doute la validité de la maladie elle-même. J’avais enfin été renseigné sur les rétrovirus par la personne la mieux informée dans le domaine. Jusque là, on m’avait présenté la théorie comme un fait. Comme le reste de mes collègues, je supposais que ce qu’on m’avait enseigné était prouvé et, par conséquent, je croyais que c’était vrai. La vérité est que tout cela était pure fantaisie, supposition et pseudoscience. Parce qu’il était basé sur des rapports frauduleux, sur des preuves indirectes des plus fragiles et sur des hypothèses autoalimentées, le VIH fut faussement inculpé, reconnu coupable et « condamné » pour un « crime » qu’il ne pouvait pas avoir commis. Mais qu’en est-il des rétrovirologistes eux-mêmes, comment purent-ils être trompés ? Dans un article écrit pour le magazine « The Truth Seeker » (le chercheur de vérité), dans le numéro de septembre/octobre 1989, le Dr Duesberg en révéla les raisons.

« Après 20 ans de recherches frustrantes en vue de trouver un virus humain du cancer, le club (les rétrovirologistes) désirait ardemment quelque applicabilité clinique pour le rétrovirus et, par conséquent, adopta avec bonheur le VIH — “le virus du SIDA” — comme la cause du SIDA. »

Il continua en expliquant l’impact de la puissante promotion qui avait fait de l’hypothèse du SIDA un « dogme national instantané ». Il était trop difficile de faire opposition aux milliards de dollars investis, aux intérêts économiques de la biotechnologie et des compagnies pharmaceutiques et à la formidable notoriété à travers la presse. En se demandant pourquoi seulement une poignée de scientifiques contestaient l’hypothèse du SIDA, il cita : « … les pressions conformistes exercées sur les scientifiques, particulièrement sur les scientifiques jeunes et inoccupés, à l’ère de la biotechnologie. Leur obéissance conceptuelle aux institutions entretenue par un accès contrôlé aux subventions, à la presse et à l’emploi, et récompensée par des invitations à des assemblées, des prix, des postes de consultants, des actions et des copropriétés dans des compagnies. »

Les Instituts Nationaux de la Santé, l’Institut National pour le Cancer, le Centre de Contrôle des Maladies, l’Académie Nationale des Sciences et le FDA (Régie des Aliments et des Médicaments) ont tous sérieusement compromis leur crédibilité et leurs motivations, par leur participation active ou leur silence face à une tromperie aussi évidente. Si l’on considère le fait qu’il est difficile de croire que des individus à un tel niveau soient aussi stupides (même si tout est possible), alors on doit supposer qu’une incroyable pression gouvernementale a été exercée. La pression la plus indiquée et la plus habituelle est l’apport de fonds, les à-côtés et la peur du licenciement.

Duesberg est probablement un bon exemple de ce qui peut arriver même à l’un des scientifiques les plus respectés dans leur domaine. Sa renommée est mondiale, il est membre élu de la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, il bénéficie de la très distinguée « Subvention pour Chercheur Exceptionnel » de l’Institut National de la Santé (seulement 23 dans tout le pays), il a découvert les gènes qui causent le cancer (oncogènes), il a été recommandé pour le Prix Nobel, il est considéré comme une autorité internationale en matière de rétrovirus et il est Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, CA. Sa subvention annuelle de 350 000 dollars a été supprimée cette année et son recours a été rejeté par un comité comprenant la maîtresse de Gallo, à savoir le Dr Flossie Wong Stall, et le Dr Dani Bolognesi, devenu aujourd’hui un riche détenteur de brevets pour des tests VIH.

L’intimidation fut acharnée et vicieuse. Duesberg a écrit qu’il avait été « … taxé de fanatique pour avoir considéré que l’administration journalière de produits chimiques psychoactivateurs et immunosuppresseurs était une cause plus vraisemblable du SIDA qu’un rétrovirus chroniquement inactif et presque indécelable chimiquement. Le plus éminent chercheur du SIDA de la nation m’accusa d’être l’avocat de la promiscuité (pour le paraphraser poliment) pour avoir mis en doute l’étiologie virale du SIDA. » Est-il possible que nos scientifiques aient été plus intéressés par la protection des valeurs puritaines que par la présentation de la vérité scientifique ? Les faits parlent d’eux-mêmes.

Les institutions intéressées, au lieu de répondre à la foule de questions qui ébranlent la base même de l’hypothèse du SIDA, insultent leurs opposants, refusent le débat et ont même annulé une réunion à la Maison-Blanche, refusant d’y participer afin de démontrer la « folie » de seulement mettre en doute le VIH et le SIDA ! Leur arrogance criminelle est un affront à l’humanité ! Initialement, Gallo et ses co-conspirateurs auraient probablement pu être disculpés sur la base de l’ignorance et de la bêtise, mais le fait d’entraver une discussion scientifique ouverte et d’utiliser le pouvoir politique et économique pour faire taire les points de vue opposés ainsi que la vérité et la logique scientifiques de base est une preuve irréfutable de leur intention criminelle.

Bien qu’un cadre impressionnant de scientifiques célèbres ait formé le « Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA », qui fut lancé par le Dr Charles A. Thomas Jr., biologiste à Harvard, il est nécessaire qu’il y ait des cris d’indignation venant du public et exigeant une enquête. Beaucoup de membres du Congrès ont commencé à s’intéresser à ce problème. Parmi eux, William Dannemyer et Ron Dellums. Envoyez une copie de ce document à votre Sénateur et à votre Député, leurs nom et adresse peuvent être obtenus auprès de votre bibliothèque locale ou par l’intermédiaire de votre journal. Ces scientifiques courageux, honorables et incorruptibles ont mérité et ont besoin de votre soutien.

Lorsque vous aurez fini de lire ce témoignage, je suis convaincu que vous vous sentirez soulagé(e) de savoir que nous ne sommes pas tous condamnés à mourir. À moins, bien sûr, que nous ne commencions tous à prendre de l’AZT pour avoir pris parti contre un virus insignifiant et suivi les conseils de Gallo et de ses frauduleux disciples. Si vous êtes d’accord avec ce témoignage, je vous demande de prendre votre plume et de le crier par courrier !


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Le VIH est le premier organisme, au cours des 100 dernières années, à avoir été désigné comme cause d’une maladie sans avoir satisfait aux critères de preuve scientifiquement reconnus. Nous en reparlerons plus loin. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Le virus d’Epstein-Barr et le Pneumocystis Carnii sont précisément deux d’entre eux, pourtant personne ne prétend qu’ils soient la cause du SIDA. Il est possible, mais relativement rare que ces maladies soient réactivées. D’habitude, ceci arrive uniquement lorsqu’un individu s’affaiblit et que son immunité est compromise, et n’a jamais eu besoin de l’aide du VIH pour se produire. Il n’existe pas la moindre preuve scientifique au monde de la cause et de l’effet dans la littérature médicale et de recherche. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories (encore des hypothèses !) pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée. Les conditions sont les suivantes :

  • (1) le microorganisme doit être observé dans chaque cas de la maladie ;
  • (2) il doit être isolé et se développer dans une culture pure ;
  • (3) la culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un animal prédisposé, reproduire la maladie ;
  • (4) le microorganisme doit être observé et prélevé chez l’animal rendu malade expérimentalement. (Dictionnaire Médical Dorland)

Le premier postulat ci-dessus incluait à l’origine “… et au cours de la maladie.” (Duesberg), se référant à la découverte du microorganisme dans les sécrétions et les parties du corps désignées par des signes et des symptômes durant la progression de la maladie. Ce premier postulat paraît avoir été raccourci par le simple usage, plutôt que par quelque proclamation officielle. Les dispositions réglementaires sont toujours encore de chercher le(s) microorganisme(s) par exemple dans les poumons, lorsque le patient se présente avec de la toux, un manque de souffle, etc.

Dans le cas du SIDA :

  • (1) Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie. Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il ne peut pas être considéré comme cliniquement significatif. Si le Dr Gallo n’était pas arrivé avec sa supercherie, on l’aurait considéré comme un artifice de contaminateur.
  • (2) Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté, en réactivant les provirus inactifs présents dans un lymphocyte sur un million, et seulement dans des cultures auxquelles au moins dix millions de cellules sont ajoutées et qui sont exemptes d’anticorps, qui autrement neutraliseraient le virus et mettraient fin à la culture (comme cela se produit de façon naturelle chez les humains). Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus ! Ça ne me paraît pas être une maladie bien meurtrière.
  • (3) Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA. La véritable maladie provoquée par le VIH ressemble à une grippe si légère qu’elle passe souvent inaperçue (Duesberg). Dans son essence, le troisième postulat est rempli, puisque l’animal attrape une légère maladie qui passe la plupart du temps inaperçue, mais ce n’est pas le SIDA. Ceci est évidemment exactement ce qui se produit chez l’être humain, sauf si vous voulez croire aux contes de fées de Gallo. (Une fois que vous avez échoué à prouver que le virus provoque le SIDA, alors tout ce qui est lié à la transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la contagiosité du SIDA.)

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Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Par Makia Freeman

(Extraits)

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

À ce stade d’investigation, nous nous trouvons, pour résumer, devant les constats suivants :

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils mentent (sciemment ou par ignorance de la démarche scientifique), car en fait ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Par le Dr. Ron Brown

(Extraits)

Que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

(Extraits)

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voir fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie(([5] 

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.
    )) ). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

La présence de micro-organismes [naturellement présents en symbiose ou fabriqués par notre propre corps] signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

  • Iatrogène
    • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
    • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).
  • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
  • Hygiène déficiente (-> encrassement).
  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.

Dans l’article La clef de la libération était évoquée l’idée de l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial sous l’effet d’une vibration, d’une expansion de conscience. La médecine et une bonne partie des sciences actuelles ont tellement dérivé de la démarche scientifique authentique, tellement « involué » vers le matérialisme le plus lourd et le plus dense (en perdant de vue la dimension spirituelle de l’Homme), qu’elles se sont cristallisées en nouvelle religion, d’ampleur mondiale. La doctrine et les dogmes de cette dernière sont désormais indiscutables, à moins d’être volontaire pour subir les foudres de l’inquisition moderne de la part des nouveaux grands prêtres vérificateurs de faits qui sévissent dans les chapelles médiatiques et de vouloir terminer sur le bûcher ou dans le nouvel enfer terrestre, celui des savants ostracisés, vilipendés, dénigrés à mort, crucifiés comme le fut le Christ pour s’être opposé aux croyances matérialistes de son époque.

La matière solide la plus répandue dans la croûte terrestre est la silice (composée de silicium et d’oxygène), et le silicium est le principal élément indispensable à l’informatique actuelle, la base de toutes les puces électroniques qui en constituent le cœur. Dans l’Apocalypse de Jean, après la Bête de la mer qui peut symboliser notamment les foules manipulables par la religion, les idéologies et les émotions (dont la peur), apparaît celle de la terre dont la silice et le silicium représentent alors le fondement. La Bête de la terre et sa fameuse marque (sans laquelle personne ne pourra plus rien acheter ni vendre) est alors étroitement liée à la silice et, par extension, à l’informatique et à tout ce que celle-ci aura permis de faire apparaître sur notre planète en matière de nouveaux miracles : aller dans l’espace à bord de fusées, ressusciter des morts, communiquer instantanément et dans toutes les langues d’un bout à l’autre de la planète, animer l’image de la Bête grâce à la télévision et aux téléphones cellulaires qui ont transformé les hommes en zombis décervelés, etc.

Le son est capable de détruire un cristal s’il est basé sur la même fréquence que celle propre à ce dernier, ceci grâce au phénomène physique de résonance. Par analogie, un son (une parole, une idée, une prise de conscience…) adéquat pourra désintégrer la cristallisation mentale représentée par le système de croyances derrière cette nouvelle religion mondiale : la médecine et la science matérialiste basées sur la technologie. La Bête de la terre (l’informatique) pousse à adorer celle de la mer (la religion mondiale que sont la médecine allopathique et une bonne partie de la science actuelle). Cependant, la compréhension et la réalisation que le dogme central de cette religion (la vaccination et la théorie virale) est un habile mensonge juste destiné à égarer, manipuler et finalement perdre l’Humanité et toute humanité représentent ce qui pourra finalement détruire le Nouvel Ordre Mondial.

La présente guerre n’est pas contre un virus, mais contre l’Humanité. il s’agit d’une guerre d’essence spirituelle.





Devinez qui dicte les ordres à vos autorités sanitaires…

[Source : lilianeheldkhawam.com via Sott.net]

Par LHK

Rome, le 27 janvier 2021 – Les membres du G20 ont convenu d’établir un groupe d’experts indépendant de haut niveau (HLIP) sur le financement des biens communs mondiaux pour la préparation et la riposte aux pandémies . La décision a été prise par les membres lors des premières réunions des Délégués des Finances et de la Banque centrale du G20, le mardi 26 janvier. La pandémie de Covid-19 a créé une crise sanitaire mondiale, qui entraîne des crises économiques et sociales à travers le monde. Malgré les réponses sanitaires et économiques rapides des pays, les coûts humains, économiques et sociaux restent sans précédent dans l’histoire récente.

Le monde dans lequel nous vivons est celui de la convergence. D’ailleurs, le concept transhumaniste fait lui-même converger différentes disciplines pour finir par déboucher un jour sur un produit high-tech dérivé de l’humain, et par extension de la société digitalisée.

Si quelqu’un essaie de vous faire croire que les industriels ont développé ces dernières semaines sous la pression d’un virus des produits basés sur la nanotechnologie/la biotechnologie/la technologie de l’information et de la communication/de la science cognitive, c’est que c’est un menteur. Ces différents domaines de la technoscience travaillent main dans la main depuis près de 100 ans. Et ce qu’ils font, c’est faire converger les connaissances pour:

  1. Apprivoiser la mort et s’offrir la vie éternelle pour les uns
  2. Améliorer les performances de ceux qui vont servir pour qu’ils donnent un maximum, en un minimum de temps, sans que la chose ne leur coûte trop en matière de soins, prise en charge des familles, etc. comme cela fut le cas du temps de l’esclavage. L’hygiène des pauvres n’étant pas extraordinaire, elle peut engendrer des épidémies qui remettraient en question le souci soulevé sous le point 1.

Pourtant le nouveau monde n’est pas que celui de la convergence technologique. Il est aussi celui du centrage et de l’ancrage de la société non plus sur une identité collective, une constitution nationale, une croyance théologique, ou autre, mais sur les flux financiers.

Le coeur du nouveau modèle de société est financier.

L’économiste, membre du Club de Rome, star de la planète médiatico-économique du moment Kate Raworth l’a magnifiquement représenté dans son célèbre beignet.

Les humains, tout comme les Etats, n’ont plus à posséder des biens (casés dans la catégorie commons) sont coincés entre les flux financiers, coeur du système, et l’économie . Ils ne sont que des ressources parmi d’autres livrés à la toute-puissance finance qui subitement détient un rôle essentiel, et même vital.

La haute finance est ainsi devenue l’Alpha et l’Omega d’une société dépossédée, démotivée, mais surtout déshumanisée. En voie de robotisation. Et la micro-élite financière compte bien mener à son terme cette transmutation de l’humanité.

Eugénisme actif mais requalifié, pour les besoins de la cause, de libéral.

C’est donc avec une envie d’exploser de rire, si cela n’avait été tragique, que j’ai découvert les têtes du panel indépendant de haut niveau sur le financement de la préparation et de la réponse à une pandémie mondiale. Voici les membres du panel. Si vous suivez ce blog, vous ne devriez pas être surpris de découvrir que les cordons de la bourse en matière de santé ont été centralisés et remis à des financiers. Ce petit monde de banquiers, banquiers centraux, ministres de la santé, et autres représentants des investisseurs se réjouit très certainement de ce nouveau jalon historique qui les rapproche tous les jours un peu plus de ce monde-entreprise préparé depuis de nombreuses décennies… Grand moment d’émotion donc.

Cette équipe a la charge de proposer des solutions concrètes pour combler ces lacunes de manière systématique et durable, et pour tirer le meilleur parti des ressources des secteurs public, privé et philanthropique et des institutions financières internationales.

Vous constaterez aussi au passage que le logo de cette aréopage inclut l’appellation « Commons » puisque le faux libéralisme n’est rien d’autre qu’un pillage généralisé des ressources qui doit se terminer lorsque ces personnages et leurs mandants auront mis la main sur les dernières miettes de propriétés encore privées. Et dans notre cas, il s’agit d e la santé de l’humanité, un bien commun indispensable à la Compagnie mondiale qui est en train de se mettre en place en lieu et place des États.

En mettant la main sur la santé de manière aussi ostentatoire, ces personnes vont pouvoir modifier la sphère médicale dans le sens de la nanomédecine et de l’hôpital du futur. Qui paie, commande…

L’enjeu ultime va être celui de transformer l’humanité non pas en un Common d’esclaves, mais en une machine humaine connectée en permanence à leur système « d’exploitation » grâce auquel ils peuvent la surveiller 24/24, 7 jours/7. Jacques Attali expliquait déjà fort bien certains aspects de la chose en 2008.



Merci à l’équipe de Nouveau-Monde d’avoir rappelé cet entretien…

LHK

Je vous laisse lire ce que mon ami Bruno Bertez a écrit sur le sujet :

https://brunobertez.com/2021/07/10/les-elites-fabiennes-semparent-de-la-sante-votre-sante-vers-une-refonte-majeure-de-linfrastructure-mondiale-de-gouvernance-de-la-sante-depossession/

LES ÉLITES FABIENNES S’EMPARENT DE LA SANTÉ, VOTRE SANTÉ! VERS UNE REFONTE MAJEURE DE L’INFRASTRUCTURE MONDIALE DE GOUVERNANCE DE LA SANTÉ. DÉPOSSESSION.

Les élites fabiennes, après avoir pris le contrôle de la finance mondiale en 2008 après la crise qu’ils ont eux même créée se proposent de prendre le contrôle de la santé mondiale après la crise sanitaire de 2020.

Les peuples et leur pseudo gouvernements démocratiques sont une nouvelle fois privés de leurs pouvoirs. Dépossession!

Un groupe d’experts mondial coprésidé par Larry Summers indique que d’autres pandémies suivront et que la communauté internationale doit se mobiliser maintenant.

Même si le monde lutte toujours pour vaincre la pandémie de COVID-19, il doit agir maintenant pour renforcer sa préparation aux pandémies à venir, selon un rapport publié vendredi par un groupe d’experts nommé par le groupe du G-20. nations riches et en développement.

Le panel, coprésidé par l’économiste de Harvard Larry Summers, professeur à l’Université Charles W. Eliot, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine. « Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération. »

Le rapport du panel repose sur des bases effrayantes.

Premièrement, que la pandémie de COVID-19 représente « le plus grand revers en termes de vie et de moyens de subsistance dans le monde depuis la Seconde Guerre mondiale », replongeant des centaines de millions de personnes dans la pauvreté, tuant environ 4 millions de personnes et entraînant des pertes cumulatives qui ont été prévues à 22 000 milliards de dollars.

Deuxièmement, que nous sommes entrés dans «l’ère des pandémies» et que des événements comme la pandémie actuelle pourraient se reproduire avec une régularité effrayante dans les années à venir.

Elle repose également sur l’impératif moral et pratique d’une action collective, aidant tous les pays, y compris les plus pauvres, à se défendre contre cette pandémie et les futures.

Le panel, composé principalement d’experts économiques et financiers, a été créé en janvier par le G-20 pour déterminer comment organiser au mieux les finances de la communauté internationale pour se préparer aux futures pandémies.v

Son rapport détaillé identifie quatre domaines majeurs de prévention, de préparation et de réponse qui doivent être abordés :

  • un réseau mondial de surveillance et de recherche pour prévenir et détecter les menaces futures ;
  • des systèmes de santé nationaux plus résilients ;
  • la fourniture de contre-mesures et d’outils médicaux, pour raccourcir radicalement le temps de réponse à une pandémie et offrir un accès mondial équitable ;
  • une gouvernance mondiale qui assure la coordination et un financement adéquat.

Le prix de 75 milliards de dollars ne représente qu’une petite fraction – 700 fois moins, selon l’estimation du panel – de ce que la pandémie a coûté aux gouvernements nationaux. Le panel suppose également que les investissements, initialement prévus sur une période de cinq ans, devraient se poursuivre.

Cet argent comprendrait un fonds annuel de 10 milliards de dollars pour les menaces pour la santé mondiale, plus 5 milliards de dollars supplémentaires par an en financement supplémentaire pour les institutions internationales, y compris l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les organisations financières internationales, telles que la Banque mondiale, qui leur permettraient de débourser des fonds rapidement en cas de nouvelle pandémie.

La surveillance financière et une fonction de coordination clé seraient assurées par un Conseil des menaces pour la santé mondiale composé des ministres de la Santé et des Finances du G-20 et d’autres pays, ainsi que des chefs des principales organisations régionales. Il s’inspire du Conseil de stabilité financière, qui a été créé par le G-20 à la suite de la crise financière mondiale de 2008.

« Les investissements collectifs que nous proposons, avec des contributions équitables de toutes les nations, sont abordables », indique le rapport. « Ils sont également minuscules par rapport aux 10 000 milliards de dollars américains que les gouvernements ont déjà engagés dans la crise du COVID-19. Nous devons investir sans tarder. Ce sera une énorme erreur d’économiser à court terme et d’attendre encore une fois qu’il soit trop tard pour éviter qu’une pandémie ne nous submerge. La prochaine pandémie pourrait en effet être pire. »

Le panel comprend plus de 20 experts financiers et économiques ayant une expérience au sein du gouvernement, des organisations internationales et du secteur privé.

Summers a été secrétaire au Trésor des États-Unis sous le président Clinton et a dirigé le Conseil économique national du président Obama, et est Weil directeur du Mossavar-Rahmani Center for Business and Government à la Harvard Kennedy School. Les deux autres coprésidents sont Ngozi Okonjo-Iweala, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce et ancien Angelopoulos Global Public Leaders Fellow à la Harvard Kennedy School, et Tharman Shanmugaratnam, ministre principal et ancien vice-Premier ministre et ministre des Finances de Singapour.


Voici 2 extraits de Dépossession où nous retrouvons:

1.- M Summers qui lutte pour la suppression du Cash

L’alliance banco-financière veut, voire exige, la suppression du cash. Evalué à environ 10% de la masse monétaire en circulation. La suppression de la prérogative de battre monnaie rendra ainsi obsolète la principale raison d’être constitutionnelle des banques centrales nationales. Ça tombe bien, la technologie dite du « blockchain », qui a émergé de nulle part au lendemain de la crise des subprimes (notamment avec le bitcoin), ne nécessite pas de supervision par un « tiers de confiance ». Normalement, cette technologie devrait être amenée à remplacer, à terme, le système bancaire classique. Pour ce faire, la suppression du cash est indispensable.

En 2016[1], le thème du World Economic Forum (WEF)  portait sur la suppression du cash. Klaus Schwab, fondateur du WEF y avait fait référence à « la quatrième révolution industrielle », en parlant de la révolution digitale[2]… Mais c’est lapublication sur le site de l’organisation qui attire l’attention. Dans « Qui sera le roi de ce monde sans cash», un nouveau monde nous est présenté avec moult références à un roi, une couronne dormante, une révolution globale et un nouvel ordre mondial. Une terminologie qui a tout de même de quoi interpeller.Et l’article de nous faire entendre que les petits acteurs auraient une chance de remporter la mise… « La révolution sans cash est en marche. Les gouvernements, les entreprises, les start-ups et les consommateurs peuvent avoir des motivations différentes pour détrôner le cash mais le résultat final sera probablement le même. Mais avec la mondialisation où « gros » est traditionnellement « beau », ce sont les plus petits acteurs — start-ups, petites entreprises et consommateurs — qui vont en définitive façonner le nouvel ordre mondial. Et pour ceux qui aiment l’innovation et les idées nouvelles ce ne peut être qu’une bonne chose »[3]Le texte n’indiquait en revanche pas les sources de financement desdites startups…

Les plus grands acteurs de la haute finance internationale vont défiler lors de cette rencontre : Bill Gates (Microsoft), Blythe Masters (ex. JP Morgan et inventrice des produits dérivés qui sont à l’origine de la crise des subprimes, reconvertie depuis dans la promotion du Blockchain[4]), Michel Sapin (alors ministre de l’Économie), Christine Lagarde (FMI) ou William White (OCDE). Leurs discours étaient convergents et militaient en faveur de la société sans cash.

Mme Blythe Masters, qui prône la suppression du K, fut accusée par The Guardian d’être la femme qui a inventé les armes financières de destruction massive, et même de manipulation des prix du marché de l’énergie. Son parcours est d’autant plus intéressant pour nous qu’elle est une double ambassadrice du nouveau monde qui se met en place. Une fois en tant que militante de la suppression du cash, et une autre fois en tant que promotrice de la blockchain et des actifs digitalisés.

Blythe ne quitta la JP Morgan qu’en 2014, mettant un terme à 27 ans de carrière. La crise des subprimes à cause de laquelle, elle fut pointée du doigt, ne fut pas source de rupture de collaboration. En fait, JP Morgan devient un client de la nouvelle société Digital Asset dont elle est CEO depuis 2015.

Selon le site web de la société, la plateforme d’actifs digitalisés, que développe l’entreprise de Mme Blythe, serait la seule à avoir été développée en fonction des besoins de production des plus grandes institutions financières de la planète. Vous ne serez donc pas étonnées de trouver certaines références sur son site, telles que : Goldman Sachs, JP Morgan, Accenture, IBM, Santander, ABN_AMRO, Price Waterhouse Coopers (un des partenaires mondiaux). Le client IBM a par exemple dévoilé récemment son « Blockchain as a service » basé sur la technologie open source « Hyperledger fabric », qui a servi à développer la version 1.0 de Linux Foundation (Info Hightech). Dans ce monde si petit de la haute finance et de la haute technologie, nous découvrons que Mme Masters[5] est aussi présidente du conseil de Linux Foundation, dont les produits sont le fruit de l’open source,et donc de « l’économie de partage » prônée par l’élite de la finance internationale… C’est par cette technologie de la Blockchain que le cash devrait être remplacé.

Des économistes américains qui font autorité au sein du monde académique international, se joignent à ces voix du WEF pour imposer la suppression du cash. On peut compter sur l’ancien Secrétaire au Trésor américain [6], le professeur [7]Lawrence Summers et l’ancien économiste en chef du FMI et professeur à Harvard Kenneth Rogoff, qui préconisent le retrait progressif des grosses coupures. « Selon Rogoff, éliminer les gros billets pourrait également servir la politique monétaire : en période de déflation, les banques centrales auraient alors plus de latitude pour imposer des taux d’intérêt négatifs, puisque la menace d’une ruée vers les banques pour récupérer les dépôts en numéraire aurait ainsi disparu. » (Alan Wheatley[8]). Mais voilà que MM Summers et Rogoff sont des membres du G30, le think tank dont nous avons déjà parlé[9]. Ils siègent donc avec de nombreux banquiers centraux (y compris MM. Paul Volcker, Ben Bernanke, et Jean-Claude Trichet), certains patrons des grandes banques too-big-to-fail, ainsi que des principaux gestionnaires d’actifs concentrateurs des  richesses planétaires…

Dans les faits, une méga alliance qui regroupe des gouvernements, des entreprises et des fondations globales a vu le jour. Better than cash alliance fut fondée par Bill& Melinda Gates Foundation (parmi les principaux promoteurs et sponsors avec la Citi et Omidyar net.), Citibank, Mastercard, Omidyar Network de Pierre Omidyar du fondateur de eBay, USAID et Visa Inc. Une série d’organisations internationales en sont membres. On y compte la Catholic Relief Services, Care, la World Food Program, World Savings Banks Institute (Institut de l’épargne bancaire mondiale), ou la Clinton Development Initiative…

Le Fonds d’équipement des Nations Unies (United Nations Capital Development Fund, UNCDF), qui vise à accompagner la réalisation des « objectifs du Millénaire » des Nations-Unies dans les pays les moins avancés, sert de secrétariat à Better Than cash alliance. Le Fonds héberge d’ailleurs l’Alliance dans ses locaux de New York. Enfin, celle-ci travaille étroitement avec les organisations supranationales. Elle représente même un outil d’implémentation du G20 Global Partnership for Financial Inclusion.


2.- La menace que font courir les partenariats multipartites à la démocratie et aux États en général

Le puissant partenariat multipartite « banques-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » se retrouve dans le Group of Thirty, Groupe des Trente ou G30. Ce think tank est une organisation privée qui traite des affaires économiques internationales et monétaires. Il rassemble de prestigieux membres de la corporation « banquiers-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » sous la présidence d’une personnalité dont le CV est impressionnant. Nous en retiendrons juste que M Frenkel est à la fois président et CEO du G30, tout en étant président de la JP Morgan Chase International et qu’il est aussi un ancien banquier central.(([1] Gouverneur de la Banque d’Israël entre 1991 et 2000.))

A côté de lui, figurent des banquiers centraux tels que: MM Draghi et Trichet, actuel et ancien patron de la BCE ou M Dudley, patron de la Réserve fédérale de New York. Nous y trouvons un autre banquier central reconverti en banquier commercial présidant au sort d’UBS qui est M Weber. M P Hildebrand, ancien président de la banque centrale suisse, devenu vice-président de Blackrock, ainsi que M Fischer, ancien vice-président de la Réserve fédérale et ancien gouverneur de la Banque d’Israël font partie des trente. Relevons encore au passage la présence de professeurs d’économie, dont certains sont d’ardents défenseurs de la suppression du cash.

Nous voyons ainsi une plus grande proximité entre les banquiers centraux et leurs pairs des banques commerciales et des gérants d’actifs qu’avec les citoyens qui les ont chargés constitutionnellement de défendre la politique monétaire, pilier existentiel des États et du bien-être sociétal. Ce faisant, le principe de fonctionnement d’une banque centrale nationale est dévié de sa mission de base qui suppose une indépendance sous le contrôle de son gouvernement.(([2] L’article 99 de la Constitution suisse dit : « En sa qualité de banque centrale indépendante, la Banque nationale suisse mène une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays; elle est administrée avec le concours et sous la surveillance de la Confédération. »))

Cette proximité interroge à plus d’un titre dont le plus important est que le processus complet de la politique et de la gestion financière et monétaire planétaire, en passant par la création de la monnaie et l’administration des richesses, sont concentrés entre les mains de finalement peu de personnes. La politique des banques centrales de ces dernières années a apporté au reste des partenaires de la haute finance de l’argent frais à profusion, ainsi que les garanties des États et de l’économie réelle. Partant de ce constat, aucun État, aucune entreprise, aucun individu, ne peut plus fonctionner en dehors de la gestion de ce processus financier et monétaire global. Par conséquent, ceci confère une puissance hors normes au groupe de personnes qui dirige ledit processus !





Un double vacciné parle aux vaccinés

[Source : Geopolintel]

Jamais deux sans trois !

L’origine de cette expression est « tierce fois, c’est droit ». Une chose correctement faîte en une seule fois, appelle une amélioration et une répétition. C’était l’époque où l’on fabriquait tout à la main.

Maintenant, les vaccins annoncés en grande pompe avec une efficacité à 95% contre le Covid, réclament une troisième dose puis une quatrième etc…
Ces médicaments expérimentaux ne sont pas issus du bricolage mais de la haute technologie avec les plus grand spécialistes du monde de la génétique moléculaire.

Ces « vaccins » OGM sont l’introduction du contrôle permanent de la population avant d’avoir droit au crédit social et le revenu universel.

Alors vacciné ou pas on est tous en route vers le Nouvel Ordre Mondial.

https://youtu.be/eSD2uHsCa78

Emmanuel Macron a annoncé, lors de son allocution du lundi 12 juillet, qu’une campagne de rappel serait lancée à la rentrée prochaine, face à l’émergence du variant Delta, particulièrement contagieux, sur le territoire. Cette campagne concernera les personnes les plus vulnérables, qui avaient aussi été les premières à bénéficier du vaccin au début de l’année.

« Je veux m’adresser à ceux qui, vaccinés les premiers, c’est-à-dire en janvier-février, verront prochainement leur taux d’anticorps baisser, leur immunité diminuer », a indiqué Emmanuel Macron« Je tiens à les rassurer. Dès la rentrée, une campagne de rappels sera mise en place pour vous permettre de bénéficier d’une nouvelle injection selon le même système et dans les mêmes conditions ».

Le chef de l’État a précisé que les rendez-vous pour cette troisième dose pourraient être pris « dès les derniers jours du mois d’août ».

Vaccin Covid-19 : une quatrième dose envisagée pour les personnes sévèrement immunodéprimées

L’administration de vaccins différents ou de plus fortes doses sont aussi envisagées pour renforcer la protection de ces personnes.

Pour les personnes sévèrement immunodéprimées, le chemin de la vaccination est long. Alors que l’injection d’une troisième dose de vaccin leur est déjà recommandée depuis la publication de l’avis du Conseil d’Orientation de la Stratégie vaccinale daté du 7 mai, une quatrième dose pourrait désormais être envisagée, selon Ouest-France.




Covid-19. « La contamination et la mortalité sont, à l’été 2021 et après 3,6 milliards de doses de vaccins injectées, beaucoup plus élevées qu’à l’été 2020 sans vaccination »

[Source : breizh-info.com]

Ci-dessous le point mensuel de D. Delawarde au sujet de la progression du Covid19 dans le monde.

La contamination et la mortalité sont, à l’été 2021 et après 3,6 milliards de doses de vaccins injectées, beaucoup plus élevées (à très peu près, le double) de ce qu’elles étaient à l’été 2020 sans vaccination.

Les pays les plus pauvres, dont 1% seulement de la population est vacciné, sont ceux qui affichent les taux de mortalités Covid les plus faibles (inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille).

Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vaccinés (de 30% à 70%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 1, voire à 2 ou 3 pour mille).

[Note de Joseph : en se référant à l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial, on peut facilement envisager que les vaccins ne sont que des poisons et donc cause de problèmes de santé plus ou moins graves, mais jamais de guérison en dehors de leur effet placebo pour certaines personnes. Dans ces conditions, il est logique que les pays à très faible taux de vaccination aient proportionnellement nettement moins de morts que ceux à large couverture vaccinale.]

Après 18 mois d’épidémie, le taux de mortalité Covid planétaire reste dérisoire (0,525 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout « famines »).

La population terrestre continue d’augmenter, malgré la Covid au rythme élevé de 70 à 73 millions d’habitants  par an.

En 18 mois d’épidémie, 4,1 millions d’individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la Covid » alors que plus de 100 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes…

Il faut donc RELATIVISER, apprendre à « vivre avec », apprendre à « traiter précocement » pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation au nom de la « rentabilité » alors que notre population vieillit et donc se fragilise.

En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait désormais être prise en exemple, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissements hospitaliers.

Après avoir plafonné dans la semaine du 24 avril au 1er mai, puis baissé fortement en mai et juin les nombres hebdomadaires de contamination et de décès ont amorcé une nouvelle hausse depuis début juillet, en dépit d’une vaccination de masse déjà bien avancée dans de nombreux pays.

Cette évolution reste très contrastée d’un pays à l’autre. La situation s’est nettement améliorée, comme l’année dernière à la même époque, en Europe, en Amérique septentrionale et en Asie de l’Ouest qui sont  au cœur de l’été. Les deux exceptions les plus notables à ce tableau  sont ceux de la Russie et du Royaume Uni dont la situation se détériore depuis début juin. L’Inde, est très largement sortie d’un épisode épidémique sévère qui a duré deux mois. Le nombre hebdomadaire de décès en Inde a encore baissé de 10% par rapport à la semaine précédente. Cette baisse devrait se poursuivre dans les jours prochains. Notons que c’est le traitement précoce et massif à l’ivermectine et non la vaccination qui est à l’origine cette évolution spectaculaire, puisque moins de 6% de la population indienne (moins de 78 millions) ont reçu, à ce jour, leurs deux doses requises.

En dépit d’une vaccination à marche forcée et très avancée (au Chili, par exemple), la situation de l’Amérique latine, dont de nombreux pays sont entrés en hiver austral, ne s’améliore pas très vite.

Le caractère saisonnier de la maladie semble bien l’emporter sur l’immunité vaccinale présumée. L’Amérique latine est donc redevenue, avec l’Asie (Indonésie, Inde) l’épicentre actuel de l’épidémie, comme l’année dernière à la même époque.

La situation de l’Afrique se stabilise. L’Afrique du Sud, qui vaccine pourtant beaucoup plus que les autres, mais qui est en hiver austral, a été sujette à un fort accès de fièvre mais s’est désormais stabilisée à un niveau élevé pour un pays africain (+ 2 512 décès en 1 sem).

Sur le plan de la vaccination, on observe clairement que les campagnes vaccinales massives n’ont pas les résultats escomptés pour mettre un terme à l’épidémie. Malgré le taux de vaccination et l’arrivée de l’été, la contamination hebdomadaire repart en très forte hausse au Royaume Uni (+36% en 1 semaine) suivie par la mortalité (+57% en 1 semaine). Au Chili, pourtant vacciné d’une première dose à 70% et qui est entré en période hivernale, le nombre de décès reste encore équivalent à ce qu’il était l’année dernière, à la même époque, sans vaccin (96 décès/j contre 99). Par ailleurs, après plusieurs mois d’observation (6 à 7 mois selon les pays), il s’avère que les nombres d’effets secondaires post-vaccinaux graves et de décès observés, sont sous-déclaréspeu relayés dans les médias et très supérieurs à ce qu’on attendait et à tout autre vaccination connue.

Dans ces conditions, il reste encore impossible d’établir une balance bénéfice-risque fiable des vaccins expérimentaux, notamment pour les moins de 50 ans dont les taux de mortalité Covid sont dérisoires.  Ces faits ne peuvent qu’interpeller un analyste attentif.

L’observation de l’évolution actuelle de l’épidémie en Amérique latine dans les pays les plus vaccinés devrait nous alerter sur ce qui pourrait bien nous arriver très bientôt. Vaccinés ou pas, nous pourrions bien connaître un autre épisode épidémique, avec d’autres variants résistant au vaccin, sachant que les caractères saisonnier et mutant de cette maladie virale apparaissent de plus en plus clairement.

Cela étant dit, la mortalité Covid se substituant à d’autres causes et restant dérisoire, il n’y a pas vraiment de perte d’espérance de vie d’une part, et l’augmentation de la population mondiale se poursuit à un rythme soutenu d’autre part (+44 millions de « terriens » depuis le début de l’année 2021 et cela, malgré l’épidémie en cours).

Il n’y a donc pas encore matière à s’inquiéter pour une très improbable réduction de la population de la planète dans les années qui viennent.

Mais comme le font déjà les Asiatiques et les Africains, les Britanniques et les Israéliens, ainsi que l’IHU de Marseille qui a montré l’exemple, la France devrait faire effort sur la recherche et l’application de traitements précoces à domicile pour éviter la saturation rapide de ses structures hospitalières au moindre accès de fièvre. Le vaccin ne réglera certainement pas tout.

Présentation des courbes de contamination et de décès planétaires :

S’agissant de la mortalité, la baisse observée depuis le 4 mai semble provisoirement terminée. Le nombre de décès est reparti en légère hausse sur tous les continents en 2ème semaine de juillet.

À noter que l’arrivée de la vaccination n’a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd’hui, 3,6 milliards de doses de vaccin auraient été injectées mais moins de 12% seulement des habitants de la planète auraient reçu leurs deux doses de vaccin.

Les taux de guérison sont très rassurants, sur 190 millions de personnes déclarées positives à la Covid depuis le début de l’épidémie, 173,5 millions ont été déclarés guéris, soit plus de 91%. 12,7 millions seraient encore en cours de soin, 4,1 millions seraient décédés « avec la Covid », et pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, et atteintes de comorbidité.

Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des population concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout supérieur à 90% à l’exception de l’Amérique latine, qui est entré dans l’hiver austral et qui est devenu, avec l’Asie (Indonésie) le nouvel épicentre de l’épidémie.

Pour conclure cet avant propos, le lecteur est invité à prendre connaissance, en vidéo sous titrée, des commentaires du professeur américain Peter McCullough sur le discours du 12 juillet du président Macron. Ce professeur fait autorité aux USA et y a déjà été auditionné par le Sénat sur la question de la Covid. Ses commentaires me semblent devoir être pris au sérieux.

Le point de la situation au Samedi 17 juillet 2021 à 0h00 GMT

Depuis le début de l’épidémie

220 pays ou territoires ont été affectés par le virus, pour 190,3 millions de cas déclarés, 4,09 millions de décès.

173,5 millions de guérisons 12,7 millions de cas « actifs » dont 79 200 en état critique.

35 pays ont déclaré plus de 16 500 décès depuis le début de l’épidémie et comptent 91% des décès avec, dans l’ordre des pertes (USA, Brésil, Inde, Mexique, Pérou, Russie, Royaume Uni, Italie, Colombie, FranceArgentine, Allemagne, Iran, EspagnePologne, Indonésie, Afrique du Sud, Ukraine, Turquie, Chili, Roumanie, République Tchèque, Hongrie, Canada, Philippines, Belgique, Pakistan, Équateur, Bulgarie, Pays Bas, Irak, Bangladesh, Bolivie, Tunisie, Portugal.

À l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie atteint désormais une moyenne quotidienne sur les derniers 7 jours de 7 841 décès/jour (en hausse de 1% en 1 sem).

Si l’on s’en tient à l’évolution des quatre indicateurs (contamination, cas actifs, cas critiques et décès déclarées), la situation recommence à se détériorer très légèrement dans le monde.

À la lecture du tableau qui suit, on réalise à quel point la mortalité reste faible mais en hausse en Océanie et stable en Afrique, faible mais en hausse en Amérique septentrionale, faible et stable en Europe ; plus élevée en Amérique latine (Brésil, Argentine, Colombie) et à quel point elle repart à la hausse en Asie (Indonésie, Bangladesh, Iran), qui reste un épicentre de l’épidémie, avec l’Amérique latine qui est au cœur de l’hiver austral.

Bilan au 17 juillet 2021 0h00 GMT du nombre de cas et de décès par grande région du monde :

Les bilans les plus lourds de la journée d’hier ont été ceux du Brésil, de l’Indonésie, de la Russie et de l’Inde et de la Colombie. Ces cinq pays ont déclaré, à eux seuls, 52% des nouveaux décès de la planète.

L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 24,3% alors qu’elles regroupent 77% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) enregistrent 75,7% des pertes pour moins de 23% de la population mondiale. Les parts de l’Amérique latine, de l’Afrique et de l’Asie vont désormais augmenter, celles, de l’Amérique septentrionale, de l’Europe, et de l’Océanie devraient se réduire pour le reste de l’été.

Pour relativiser, encore et toujours, cette crise sanitaire, voici la comparaison avec les  épidémies du siècle dernier :

Au delà des nombres évoqués ci dessus, il faut aussi constater qu’une très forte majorité des décédés de cette épidémie avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.


Situation par continents, sous continents, et pays les plus affectés

1 – L’Asie

La mortalité y reste élevée et s’inscrit en hausse en Asie de l’Est, tirée par le bilan de l’Indonésie. Les traitements précoces (ivermectine et hydroxichloroquine) y sont massivement appliqués et font merveille.

L’Asie de l’Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie …) reste toujours très peu touchée par la pandémie comparée au reste de l’Asie et du monde

L’Indonésie, actuellement pays le plus touché d’Asie de l’Est, enregistre un taux de mortalité encore dérisoire de 0,258 décès/1 000 h. Taïwan, pays parmi les moins touchés et qui n’a jamais adopté de confinement national, déclare un taux de mortalité de 0,032 décès pour mille h (763 décès de la Covid pour 24 millions d’h). Le Japon, quant à lui, déclare 15 014 décès pour 126 millions d’h soit 0,119 décès /mille h.

C’est donc l’Asie de l’Ouest (Inde, Iran et pays voisins du Moyen-Orient) qui a enregistré l’essentiel des pertes en Asie. La contamination continue de baisser en Inde (- 8% en 1 sem), le nombre des décès y baisse également (- 27% en 1 sem). Ces pertes restent très limitées si on les rapporte au nombre d’habitants. Malgré les exagérations médiatiques délirantes des médias occidentaux sur la situation en Inde, celle ci y a été beaucoup moins sérieuse qu’en Europe en taux de mortalité par million d’habitants. S’agissant de l’Iran, ce pays est toujours un pays sous sanctions économiques  « maximales » de la part des USA (au profit d’Israël) et enregistre le 4ème taux de mortalité le plus élevé d’Asie (1,020 décès/millier d’h), derrière l’Arménie qui a cumulé la guerre et la Covid, la Géorgie et le Liban, et juste devant la Jordanie, Barheïn, puis Israël (0,691 décès/mh). Cette mortalité asiatique, y compris celle de l’Inde aujourd’hui, reste très inférieure à celle des continents américains et de l’Europe de l’Ouest.

Tableau présentant la situation du 17 juillet des 20 pays d’Asie ayant dépassé les 4 600 décès (94% des pertes en  Asie)

2 – L’Amérique latine

Avec près de 1,307  millions de décès déclarés, l’Amérique latine est devenue la région du monde la plus affectée par l’épidémie. Désormais au cœur de l’hiver austral, vaccin ou pas, elle réussit juste à stabiliser sa situation, voire à l’améliorer légèrement.

En Amérique latine, les pertes humaines hebdomadaires sont en légère baisse à 20 250 décès déclarés, principalement en raison du lourd bilan brésilien qui compte encore presque la moitié des pertes « latinos » la semaine passée.

Les décès se concentrent dans douze états qui déclarent plus de 98% des décès et plus de 5 210 décès chacun. Les autres pays des Caraïbes et d’Amérique du Sud restent encore relativement épargnés par l’épidémie.

Le nombre des décès hebdomadaire reste élevé, particulièrement au Brésil où il s’inscrit toutefois en baisse progressive (-10%) à 1 246 décès/jour (moyenne des 7 derniers j). Et la contamination s’inscrit, elle aussi, en baisse (- 14%).

Au Mexique, la contamination poursuit sa hausse (+46% en 1 sem) le nombre hebdomadaire de décès est en légère hausse (+6%). Les situations de la Colombie et du Pérou s’améliorent très progressivement, celle de l’Argentine toujours sérieuse, reste stable.

Tableau présentant la situation du 17 juillet des douze pays d’Amérique latine ayant dépassé les 5 900 décès (94% des pertes)

3 – L’Europe

La situation se détériore à nouveau légèrement en Europe qui est pourtant au cœur de l’été et beaucoup plus vaccinée que d’autre régions : +de « positifs » (+38% en 1 semaine), +de décès (+5% en 1 semaine) et de cas critiques que la semaine dernière. Dans les faits, ce sont le Royaume Uni et la Russie qui sont à l’origine de cette détérioration.

Seule la Russie a enregistré  encore plus de 1 000 décès la semaine dernière et 80% des pertes européennes, à elle seule. 

Malgré le vaccin, la situation du Royaume Uni se détériore à nouveau: (+36% de positifs en 1 semaine et +57% de décès cette semaine). Observation importante à souligner : les proportions de vaccinés et de non vaccinés dans les testés positifs et dans les décès sont les même que dans la population générale … Ce constat ne peut que renforcer le camp des vaccino-sceptiques.

Il illustre parfaitement la déclaration de Boris Johnson disant que le virus et ses variants ne disparaîtraient probablement pas avec la vaccination et qu’il fallait se préparer à « vivre avec », comme on vit avec la grippe, en recherchant notamment des traitements précoces pour l’automne prochain.

Le bilan total des pertes Covid du Royaume Uni (128 642 décès « déclarés ») suit désormais celui de la Russie (146 868) mais pour une population deux fois moins nombreuse. La vaccination de masse a débuté au début de décembre 2020 et 68% de la population aurait reçu une première injection en six mois ; 52% auraient reçu la 2ème et 7,8%, ayant contracté la maladie, sont immunisés naturellement.

La situation de l’Italie semble bien en voie de détérioration : le nombre de nouveaux cas explose (+78%) mais celui des décès (-24%) sur 7 jours n’a pas encore suivi. Il est à craindre que l’Italie ne passe pas l’été sans dommages.

La situation de la France est comparable à celle de l’Italie. Le nombre de testés positifs s’inscrit de nouveau en hausse depuis le 29 juin. Il a augmenté de 62% en une semaine. Mais le nombre de cas critiques poursuit sa baisse (910 seulement aujourd’hui). Le nombre hebdomadaire de décès poursuit lui aussi sa baisse (-16% en 1 semaine).

À ce jour, 40% des français auraient reçu leurs deux doses de vaccin (en 6 mois et demi de campagne).

Pour le nombre des décès, la France devrait franchir le cap des 111 700 avant fin juillet.

Le taux de mortalité Covid français reste, à ce jour, plus de 3 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 1,704 décès pour mille habitants (hors décès à domicile), pour une moyenne mondiale de 0,525 pour mille. Pour le nombre des décès, la France reste à la quatrième place  européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière la Russie, le Royaume Uni et l’Italie.

Observation factuelle : Le 17 juillet 2020, il y a un an, jour pour jour, la France se remettait beaucoup plus vite d’une première vague épidémique plus violente que toutes les suivantes, sans vaccin. Elle ne comptait alors que 21 décès/jour (moyenne sur 7 jours). Le 17 juillet 2021, malgré plus de 37 millions de premières doses de vaccins déjà injectées, la France se remet beaucoup plus lentement d’une vague moins « haute »,  puisqu’elle compte encore aujourd’hui 22 décès/jour…

La situation de l’Espagne, pays latin, ressemble à celle de l’Italie et de la France. Le nombre de tests positifs hebdomadaires explose (+64%) mais le nombre des décès baisse de 24% en 1 semaine).

La situation de l’Allemagne est comparable à celles des pays évoqués précédemment : explosion du nombre de cas hebdomadaires déclarés (+53% en 1 semaine), mais baisse du nombre des cas critiques et des décès  (-5% en 1 semaine). L’Allemagne a vacciné d’une première dose, à ce jour, 59% de sa population, 45% ont reçu les deux doses.

Avec un taux de mortalité de 2,165 décès par millier d’habitant, la Belgique, siège des institutions européennes, pays de brassage et de passage, restera un pays « cluster ».

En Russie, la situation s’est nettement détériorée depuis début juin. La Russie déclare aujourd’hui, à elle seule, 80% des décès européens. Les indicateurs montrent que le 3ème pic épidémique russe devrait être atteint dans les prochains jours.

4- L’Amérique septentrionale

Le nombre de cas est en nette hausse (+67% en 1 sem) aux USA qui enregistrent aussi une hausse des cas critiques et des décès (+21% en 1 semaine). 55% des citoyens US auraient reçu une première dose de vaccin, 48% de la population auraient reçu les deux.

L’épidémie n’est pas terminée aux USA. Le nombre des décès devrait passer le cap des 630 000 avant fin fin juillet (137 fois les pertes déclarées par la Chine).

Au Canada, la contamination (-27% en 1 sem) et le nombre des décès (-14% en 1 sem) sont en baisse rapide. Le taux de mortalité Covid déclaré par les canadiens (0,696/1 000h) reste inférieur de plus de moitié à celui de l’Europe (1,49/1 000h) et de près des deux tiers à celui des USA (1,88/1 000 h).

5 – L’Afrique

Elle se porte toujours très bien (comparée au reste du monde) :

La mortalité liée au Covid  y reste dérisoire et s’est stabilisée y compris en Afrique du Sud. Tous les indicateurs restent bons. La contamination en Afrique du Sud, pays qui vaccine le plus mais qui est au cœur de l’hiver austral, est désormais en légère baisse.

Avec la Tunisie, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie, l’Algérie, le Kenya, et la Libye seuls autres pays d’Afrique à dépasser les 3 000 décès déclarés, elle regroupe 82% des décès africains de la Covid.

6 – L’Océanie

La Covid-19 y reste une maladie rare. Ce continent a été et reste encore très largement épargné. Sur 42 millions d’habitants, il a déclaré, à ce jour, 86 724 cas dont 71 926 auraient déjà été guéris et 1 349 sont décédés. Il reste 13 449 cas « actifs » (dont 102 en territoires  français d’outre mer, et 51 cas sérieux ou critiques. Le continent océanien a déclaré 30 décès cette semaine. Son taux de mortalité Covid de 0,03 décès pour mille habitants depuis le début de l’épidémie reste dérisoire (France : 1,704), et très inférieur au nombre de décès liés à la circulation routière sur le continent océanien.


Nombre de décès pour 1 000 habitants des 34 pays de la planète qui ont enregistré plus de 17 000 décès.

La moyenne mondiale  étant de 0,525 décès pour 1000 habitants :

999,475 personnes sur 1 000 ont donc survécu à la Covid-19.

Commentaires sur le tableau ci dessus :

1 – Onze pays de l’OTAN, dont les puissances majeures, se situent dans les 18 premières places de ce triste classement, les autres membres de l’OTAN ne sont d’ailleurs pas très loin : Grande fragilité des populations âgées et en surpoids ? Faillite des systèmes de santé ? Ou incompétence des gouvernances ? Quelles que soient les réponses à ces questions, elles n’augurent rien de bon en cas de conflit majeur impliquant tout ou partie de l’OTAN … contre un adversaire potentiel eurasiatique (Chine, Russie, Iran) …

2 – Les donneurs de leçons anglo-saxons (USA, UK) et, à un moindre degré, l’Allemagne et la France, pays qui tiennent encore le haut du pavé dans les institutions internationales (OMS, ONU, FMI, Banque mondiale, UE, OTAN), sont désormais assez mal placés pour prodiguer leurs conseils, avec condescendance, au reste du monde, et pour ramener leur « science » à tout propos. Les pays du tiers monde ont observé avec intérêt la gestion « à l’occidentale » de la crise sanitaire.

Ils sauront, au fil du temps, se rallier aux partenaires les plus fiables du moment …. accélérant ainsi le déclin en cours de ceux qui ont failli.

3 – Quant à l’Inde qui fait la une de l’actualité Covid en juin, force est de reconnaître que, rapporté à sa population, son taux de mortalité déclaré depuis le début de l’épidémie reste encore près de 7 fois inférieur à celui de notre pays. L’Inde est un pays qui a fait le choix des traitement précoces efficaces et peu onéreux (ivermectine, chloroquine, azytromycine), choix que les pays occidentaux ont refusé de faire pour privilégier un vaccin qui est encore loin d’avoir fait ses preuves.

Un tableau présente ci après les bilans du 17 juillet 2021 0h00 GMT des 70 pays ayant déclaré plus de 3 610 décès (98% des pertes)


Tableau de données concernant l’Europe (et l’UE) face à l’épidémie le 17 juillet 2021 0h00 GMT

Rappel : taux de mortalité Covid mondial : 0,525 décès /mille h et européen : 1,49 décès/millier d’h

Nombre de décès Covid déclarés par millier d’habitants et depuis février 2020, des 33 pays européens de plus de 1,5 million d’habitants affectés par l’épidémie (au 17 juillet 2021 0h00 GMT).

Commentaires sur les deux tableaux ci dessus :

1 – Les pays du Nord et de l’Est de l’Europe (pacte de Visegrad excepté) ont beaucoup mieux géré cette épidémie que les pays de l’UE de l’Ouest et du Sud.

2 – Sans confinements ni mesures répressives, la Suède a fait mieux que de nombreux grands (et moins grands) pays européens, alors même que sa population, non confinée et plus âgée que la notre, a été l’une des plus « contaminée » au monde : 10,77% de la population suédoise ont été testés positifs contre 8,93% en France, 7,09% en Italie, 7,81% au Royaume Uni … Il y a eu manifestement, en Suède, une prise en charge et des traitements précoces des patients, meilleurs que dans d’autres pays … Les faits ont montré que les « experts » qui prévoyaient 96 000 décès en Suède pour la fin d’avril 2020 se trompaient très lourdement ; et que les médias et les politiques qui relayaient bêtement les délires des « experts », jusqu’à prophétiser, pour certains, 400 000 décès pour la France à l’automne 2020 se trompaient aussi… Aucun d’entre eux n’a jamais reconnu ses erreurs…

3 – La Suède dont la stratégie et la ténacité ont payé est sorti du groupe des 35 pays les plus touchés au monde. Si l’on en croit sa courbe de décès, la Suède est quasiment sorti d’affaire puisqu’elle ne compte que 1 décès/jours sur les 7 derniers jours et surtout, elle s’en sort avant beaucoup d’autres pays européens …. et avec beaucoup moins de casse …

4 – Quant à la Biélorussie, non confinée, qui recevait des exhortations de l’OMS, des pressions du FMI, des conseils de confinement du président français, grand spécialiste de la chose, et des torrents de critiques des politiques et des médias mainstream occidentaux qui voulaient « ramener leur science » et voir ce pays singer les décisions débiles de leurs gouvernances dans la gestion de la crise sanitaire, il s’en sort avec un taux de mortalité de 5 à 8 fois inférieur à celui des donneurs de leçons : l’un des meilleurs d’Europe. Il est vrai que ce pays n’a pas été une destination touristique très prisée des occidentaux, principaux porteurs et vecteurs d’infection et de chaos sur la planète, aujourd’hui comme hier.

D. Delawarde

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Graphène et 5G

[Source : Michel Dogna]

Par Michel Dogna

Savez-vous pourquoi on continue à vous obliger à porter le masque même si vous êtes vaXXiné, en plus qu’il ait été démontré cent fois que sa protection est illusoire contre les virus ?

[Voir : Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins.
Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]

  • La réponse est que tous les masques contiennent des nanoparticules d’oxyde de graphène que l’on veut vous faire inhaler.

Savez-vous pourquoi on continue à nous dépister avec le test PCR bien qu’il ait été dit cent fois que ce test est non fiable à 95 % ?

  • La réponse est que le bout de l’écouvillon est chargé d’oxyde de graphène nano qui va aller directement au cerveau.

Savez-vous réellement pourquoi ils veulent absolument vaXXiner tout le monde ?

  • Parce que les vaccins ARNm, sont bourrés d’oxyde de graphène nano qui va vous transformer en antenne ambulante et renforcer le travail et la dissémination du dangereux couple protéine SPIKE/HYDROGEL DARPA.

Savez-vous réellement pourquoi ils veulent nous revaXXiner tous les 6 mois contre des hypothétiques nouveaux variants (grippaux) ?

  • Pour refaire le plein de graphène, qu’à l’encontre de ce qu’affirment certains, le corps élimine petit à petit. Savez-vous enfin que les athlètes de haut niveau perdent 10 à 20 % de leurs performances après une vaccination ARNm ?

[Voir :
En Belgique aussi, les athlètes se préparant aux Jeux olympiques constatent que leurs performances sont en baisse depuis leur vaccination
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances !]

Découverte du pot aux roses

J’avais déjà signalé les centaines de témoignages curieux sur Internet de gens vaccinés qui collent magnétiquement des petits objets en fer ou inox sur la zone d’injection — ce n’est ni un trucage ni un gag de magie burlesque.

Le site Orwell City a été le premier à dénoncer la présence d’oxyde de graphène dans les injections, masques et tests, grâce à ses traductions en anglais du site La Quinta Columna, qui a publié une vidéo synthèse titrée « l’arme du crime parfait » sur Rumble.

La Quinta Columna

résume le résultat des recherches

Dr José Luis Sevillano

depuis un an et demi, mais surtout depuis les derniers mois, car celui-ci a pu mesurer à l’aide de teslamètres, magnétomètres, etc., les phénomènes magnétiques ou pseudo-magnétiques qu’acquièrent les gens après inoculation, et des stockages d’énergie à certains endroits, comme le front qu’on peut mesurer avec un multimètre.

Il est apparu que les vaXXinés en plus d’être très magnétiques deviennent aussi super conducteurs électriques. C’est ce dernier aspect qui a orienté la recherche du Dr Luis Sévillano dans l’analyse des échantillons d’ampoules vaXXinales, vers le graphène qui est au départ un super conducteur industriel servant à stocker et condenser l’énergie électrique. Cette preuve a été ensuite confirmée par la spectroscopie aux UV, la microscopie électronique, et les fréquences électromagnétiques.

La société NANOGRAFI a avoué que l’oxyde de graphène est présent dans les masques, dans les tests PCR, les tests antigéniques, dans l’hydrogel, et aussi dans les vaccins antigrippe ainsi qu’en aérosol dans le vaccin intranasal de la Turquie.

  • Coïncidence : le marché de l’oxyde de graphène nano a explosé lors du départ de l’alerte Covid en décembre 2019 et janvier 2020, mais aussi durant la campagne de vaccination antigrippe qui avait précédé, spécialement à Wuhan et en Italie du Nord.

Dégâts possibles dans l’organisme des vaxxinés ARNm

L’équipe a alors étudié la toxicité spécifique de l’oxyde de graphène nano ce qui nous fait rejoindre le bilan des effets indésirables connus associés à la vaXXination en vogue — pour rappel :

  • Double pneumonie surtout par inhalation.
  • Écroulement du système immunitaire.
  • Goût métallique dans la bouche.
  • Inflammations multiples.
  • Inflammations des muqueuses.
  • Milliers de mini caillots circulant dans le sang.
  • Mouvements incontrôlables.
  • Myocardites et péricardites possiblement irréversibles.
  • Perte de l’odorat et du goût.
    Et surtout Thromboses soudaines et imprévisibles pouvant entraîner :

    • Aphasie,
    • AVC fatal,
    • Cécité d’un œil ou des deux,
    • Embolie cardiaque fatale,
    • Embolie pulmonaire fatale,
    • Paralysies,
    • Surdité d’une oreille ou des deux.

L-Glutathion : parade à l’oxyde de Graphène ?

Le L-GLUTATHION est un puissant antioxydant synthétisé par le sang qui contrecarre les radicaux libres, les peroxydants, et toutes les toxines qui entrent dans le corps. Or il s’avère qu’il détruit aussi l’oxyde de graphène nano, mais à condition d’être présent en quantité suffisante, sinon le graphème, va le manger — c’est donc une véritable partie de bras de fer qui a lieu !

Et c’est là que l’on peut aider le corps en apportant du L-glutathion extérieur, ou mieux encore, de la N-acétylcystéine qui est son précurseur.

  • De fait les chercheurs espagnols ont découvert qu’il existait environ 300 études cliniques sur l’usage par certains hôpitaux et universités, de la N-acétylcystéine avec d’incroyables résultats. Par exemple, 100 patients mourants avec des doubles pneumonies ont été sauvés en une heure après l’administration intraveineuse de glutathion ou de N-acétylcystéine.

Hélas, le problème de l’apport extérieur du L glutathion est que sa synthèse nécessite de grandes quantités de lait — qui est, nous le savons, du sang transformé. On parle de 600 litres de lait pour obtenir 1 litre de glutathion, ceci lui occasionnant un coût élevé — et par ailleurs, que sa conservation est éphémère.

Il est donc préférable de s’orienter vers la N-acétylcystéine (NAC à 200 mg) un acide aminé soufré hautement bio disponible, que l’on trouve facilement sur Internet ou dans les parapharmacies — sans ordonnance puisqu’elle n’est pas considérée médicament, mais complément alimentaire : 1 sachet 3 fois par jour chez l’adulte — traitement 8 à 10 jours maxi.

À noter par ailleurs qu’à partir de 60 ans le sang fabrique de moins en moins de glutathion. C’est pour cela que le 3e âge est le plus touché par la vaXXination. Mais cela est vrai aussi pour les obèses de tous les âges ! Par contre, normalement, les enfants qui en fabriquent abondamment sont peu touchés… quand la rafale de vaccinations du calendrier vaccinal n’a pas trop endommagé leurs défenses immunitaires à large spectre.

Le roman des « Variants »

[Voir aussi :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

On nous parle maintenant de 3e puis de 4ème vague, etc., bref une histoire sans fin, qui justifie des nouvelles privations de libertés et des nouvelles vaXXinations soi-disant adaptées. Aussi, il est couramment entendu de la part des sommités médicales sincères que les dits variants sont générés par les vaXXins. Ils sont sur la bonne voie, mais il leur manque une pièce du puzzle. Il faut considérer que les gens en bonne forme qui ont passé avec succès l’épreuve de la première vague, vaccinés, demi vaccinés, ou pas, sont ceux dont le glutathion était suffisamment abondant pour éliminer progressivement le graphène — le seul but du nouveau vaxxin n’est pas de protéger d’un variant qui n’est en fait qu’un rhume ou une grippette banale, mais d’effectuer une recharge importante d’oxyde de graphène, donc une nouvelle estocade contre les individus « durs à cuire », dont les dégâts seront mis à la charge d’un virus fantôme de plus en plus méchant.

Pourquoi la 5G ?

[Voir :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
5G : installation à marche forcée malgré les risques
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Science-fiction ou réalité ? Contrôler le cerveau via des vaccins ARNm ?
Localisation des antennes 5G en France
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire
Un cimetière d’abeilles sous les antennes 5G à Toulouse]

Ce n’est pas tout. L’establishment criminel a voulu avoir toutes les chances de réussite dans son œuvre sinistre en faisant jouer la fréquence de résonance de l’oxyde de graphène que l’on nomme techniquement « bande d’absorption électronique » dans le but d’une émulation le rendant encore plus méchant face au glutathion. Cette émulation va être initialisée par la 5G — et c’est pour cela que contre toutes les mises en garde et réticences de toutes parts, la prolifération des antennes continue à battre son plein comme si rien n’était.

Janvier 2020 fut une grande répétition à Wuhan, alors que :

  1. Une campagne de vaccination antigrippe avait précédé (pour charger les gens en graphène).
  2. Plus de 10 000 antennes relais 5G avaient été installées.
  3. Au jour J de la déclaration de la catastrophe pandémique covid, due prétendument à une fuite accidentelle du laboratoire P4 et une histoire à dormir debout de pangolins et de chauves-souris, l’enclenchement du réseau 5G a été effectué en même temps.
  4. Rappelez-vous des gens apparemment pas malades qui tombaient de mort subite dans la rue (ce n’était pas un montage [Ndlr : ceci reste à démontrer]).

À l’époque j’avais parlé de la fréquence de résonance 60 gigahertz de la 5G qui rendait l’oxygène ambiant partiellement inexploitable par l’hémoglobine du sang — ceci devait être vrai, mais ni moi ni personne ne connaissions à l’époque l’existence surajoutée du graphène (la ceinture et les bretelles…).

  • Le but de tout ce montage fut donc de faire croire au monde entier que l’ennemi fatal était un nouveau virus afin de détourner l’attention de la vraie corrélation : « oxyde de graphène/5G » — cela a parfaitement marché, même chez les scientifiques… du grand art dans le crime parfait !

Toutes les inepties apparentes depuis 18 mois s’expliquent maintenant d’une façon claire.

Ceux qui ne croiront pas encore, après cette lecture, que nous sommes sous l’emprise du plus grand mensonge de tous les temps pour assurer le plan de dépopulation de l’humanité prévu par le plan Blue Beam des Illuminatis (voir sur Internet), en ont parfaitement le droit en leur âme et conscience.

Jésus avait raison lorsqu’il a dit :

« Bienheureux les simples en esprit, car le royaume des cieux leur appartient. »

C’était vrai à son époque pour les fins de vie.

Et c’est toujours vrai maintenant, mais cette fois sans délai !

PARADES DES VIOLS VAXXINAUX

EN CLAIR
Les (faux) vaxxins c’est :

  • (1) Protéine Spike + hydrogel Darpa
  • (2) Oxyde de graphène (et aucune souche contre le corona !)

[Voir : La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?]

  • Parade pour le (1) Suramine dans tisane de pin TM d’aiguilles de pin sylvestre (dispo vers le 15 août, sera précisé par une News).
  • Parade pour le (2) L-Glutathion N-Acétylcystéine (NAC 200 mg) (pharmacie ou Internet).

Et enfin, pour SORTIR DU JEU PERVERS

Écoutez, ré-écoutez, faites écouter EMA KRUSI et ses précieux conseils
Sa beauté extérieure est le reflet de sa beauté intérieure,

Elle vous tirera peut-être les larmes…




Note sur les manifestations sous le règne du NOM

Par Joseph Stroberg

Les manifestations collectives peuvent-elles servir à quelque chose sous le règne de la « Bête », du Nouvel Ordre Mondial de « Babylone » ?

Les agents de la Bête que sont les gouvernements et leurs armées et forces policières ont peaufiné sur plusieurs décennies un système répressif tel que seule une manifestation épique et courageuse réunissant au minimum plusieurs millions de Français (pour ce qui concerne la France, prise ici comme exemple) serait capable de l’ébranler aux entournures. Il y a bien longtemps que ces agents ne travaillent plus pour le peuple, si un jour et par hasard ils l’ont fait. Ils servent des intérêts « supérieurs » et souvent invisibles, voire occultes. Une bonne partie d’entre eux, de manière croissante, est choisie dans la population des psychopathes, des sociopathes et autres pervers narcissiques. Aucune clémence ni humanité n’est à espérer de la part de tels individus. Ils ne fonctionnent pas comme le commun des mortels, ce que ces derniers mettent souvent trop longtemps à réaliser.

Quelques centaines de milliers de manifestants « anti-pass » ou anti « quoi que ce soit d’autre », probablement perçus comme des « majorettes » par les agents de la Bête, pourront-ils empêcher la poursuite du plan de Nouvel Ordre Mondial babylonien ?

« Plan ? Quel plan ? Mais vous délirez, mon cher ! Une telle planification mondiale est impossible. »

Intellectuel sceptique lambda qui croit que la science a réponse à tout (ce qui se comprend depuis qu’elle est devenue la religion universelle de l’Humanité).

Quel plan ? Celui que bien des prophètes puis des « complotistes » ont révélé au cours des âges. La finalité en est l’asservissement de l’Humanité, du moins de sa partie qui n’aura pas été détruite auparavant. Il est apparemment en très bonne voie, réalisé à plus de 90 %. La vaccination anti-Covid en est une des toutes dernières étapes. Les « complotistes » avaient averti depuis le début de cette présente crise « plandémique » que le but de celle-ci était la vaccination de 7 milliards d’êtres humains, de gré ou de force, pour imposer une identification universelle. Celle-ci commence dans divers pays par l’établissement d’un passeport sanitaire(([1] voir :
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Passeport vaccinal : un succédané de l’étoile jaune
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
Le passeport vert européen et les QR codes d’ATOS
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
Un passeport de liberté ou de détention…?
Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?
Vaccin COVID : Le programme de vaccination israélien «Passeport vert» a créé un «apartheid médical», disent des citoyens désemparés
Dictature : la terrible loi française créant le Passeport Sanitaire !
L’association Internationale de Transport Aérien annonce le passeport numérique vaccination
« La minute de Ricardo »: Le nouveau vaccin, mode d’emploi ! Un passeport numérique pour l’enfer ?
2022: un passeport de vaccination. L’UE garde le silence sur les documents suspects)), une prétendue preuve de bonne santé sans laquelle il ne sera bientôt plus possible de vivre normalement. Elle se terminera assez probablement par un implant(([2] voir aussi par exemple :
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?)) de nature microscopique ou nanotechnologique, suffisamment petit (et dont diverses approches ont été brevetées) pour pouvoir être contenue dans un « vaccin ».

Si ceci est réel, pensez-vous que des manifestations ridicules (dans la perception des agents de la Bête) de quelques centaines de milliers de « majorettes » pourront y changer quelque chose ? Surtout lorsque ces amuseurs défilent en arborant le signe de leur soumission au Système de la Bête : le « masque » de l’antique comédie et de l’esclavage. Et même si par hasard un Macron tombait, il serait simplement remplacé par un autre agent, éventuellement encore pire. En passant, que signifie « Emmanuel » en hébreu ?

« Dieu est parmi nous »

Mais de quel « Dieu » s’agit-il ici ? Étant donné le contexte actuel, il est raisonnable d’estimer qu’il s’agisse de la même entité qui se trouve derrière la planification du NOM.

Récapitulons brièvement la situation (que bien sûr sur un plan strictement scientifique on gagne à ne voir que comme une théorie) :

  • il existe un plan plus que millénaire ;
  • ce plan est presque achevé ;
  • l’étape actuelle est le marquage de l’humanité comme du bétail, par le biais de la vaccination anti-Covid ;
  • quelques millions de « majorettes » dans le monde s’imaginent pouvoir simplement l’interrompre par quelques manifestations de mécontentement ici et là alors que dans le même temps, elles portent le signe de la soumission à la Bête ;
  • ce Système babylonien du Nouvel Ordre Mondial est basé sur la science (notamment la pharmacie) et la technologie (et particulièrement tout ce qui a été permis par l’informatique) ;
  • il est financé par des milliardaires (dont Bill Gates, son principal prophète) qui se sont arrangés pour contrôler les principaux médias, y compris ceux de l’Internet pour s’assurer que le discours qui en sort soit favorable à leur plan.

Comme évoqué dans l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial le point crucial de la phase actuelle du plan élitiste est la vaccination propulsée par les entreprises pharmaceutiques, les médias dominants et les gouvernements de presque tous les pays du monde. Pour l’instant rien ne l’arrête. Si cette étape va jusqu’au bout, la prophétie apocalyptique du marquage de l’Humanité sera complétée. Une seule chose peut l’empêcher : le point faible. Celui-ci est la théorie virale qui est en fait fallacieuse (comme démontré dans l’article cité ci-dessus, du moins à ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Pour les autres, cet article ne sera qu’une insignifiante brise d’été qui passe sans être remarquée).

Si la théorie virale est reconnue comme frauduleuse et fallacieuse, alors bien évidemment le dogme vaccinal en prend aussi largement pour son grade et s’effondre à son tour. Et si la vaccination finit enfin par être massivement reconnue comme une vaste escroquerie et comme un crime contre l’Humanité, alors le plan du NOM s’arrête dans les heures suivantes. C’est à la fois imparable, très simple, mais aussi très difficile, car cela nécessite que même les personnes les plus impliquées dans le processus, et surtout elles (celles du monde médical et pharmaceutique) se réveillent véritablement et ne continuent pas à rêver qu’elles sont réveillées (pour certaines d’entre elles) ni à dormir au gaz (pour la grande majorité des autres).




Sras-CoV-2 — Le racket et la corruption sont à l’origine du déploiement du virus du Covid dont l’origine est humaine

[Source : Sott.net]

[Sur la photo : Bill Gates (à gauche) et Anthony Fauci (à droite)]

Par Neville Hodgkinson

Nous avons hier présenté les preuves présentées par le Dr David Martin, dirigeant d’une société étatsunienne de surveillance des innovations en lien avec des intérêts financiers, preuves fournies le vendredi 9 juillet au Comité d’enquête international sur le coronavirus dirigé par l’Allemagne. Il a déclaré qu’un examen de plus de 4 000 brevets délivrés autour du coronavirus du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère) avait conduit à la conclusion dramatique suivante : « Nous avons créé le Sras ». Nous poursuivons aujourd’hui le compte-rendu de son témoignage, dont la vidéo diffusée en direct se trouve ici.

[Note de Joseph : en tentant compte de l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial (qui présente notamment ce qu’est la démarche scientifique et de forts indices que la théorie virale n’a pas suivi cette dernière) et particulièrement de son extrait suivant,

Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède [dans cet article] a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

une arme bactériologique bactérienne ou virale aura peu de chances de réellement se répliquer à l’intérieur d’un organisme vivant et c’est probablement la raison de l’échec d’une telle arme qui selon les prévisions de l’Event 201 aurait dû faire 65 millions de morts. Une arme bactériologique ne peut tuer que par contact direct, en tant que poison auquel on est directement exposé. Si les virus et les bactéries ne sont pas les causes réelles des maladies prétendument virales ou bactériennes, dites « infectieuses », mais en sont plutôt des conséquences ou des mécanismes de réparation, comme exposé dans l’article évoqué ci-dessus, alors un « virus » aura beau être modifié chimiquement ou génétiquement, il ne se répliquera pas davantage dans les cellules humaines que ne le font les virus naturels. Ceux-ci ne sont pas formés à cause d’une invasion de virus depuis l’extérieur, mais par les cellules corporelles ou comme résultat de dégradation de ces dernières (suite à un empoisonnement ou à une déficience en nutriments), selon les types de ces composants qui ont été appelés Il est plus que temps pour l’Humanité d’abandonner la théorie virale fallacieuse et jamais réellement démontrée dans le cadre d’une démarche scientifique rigoureuse, mais qui est devenue une religion à laquelle presque tous les êtres humains croient aveuglément sans jamais la remettre en question. Il est temps darrêter davoir peur des bactéries et des virus et de comprendre que ceux-ci sont naturellement présents dans le corps, respectivement par dizaines de milliers de milliards et centaines de milliers de milliards, car ils y fonctionnent en symbiose et y remplissent diverses fonctions précises.

Autre extrait de cet article :

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.(…)

]

Les États-Unis ont une loi fédérale connue sous le nom de loi RICO. Elle a l’air sympathique, mais sa cible est très précise : les organisations influencées par le racket et la corruption. Cette loi a été introduite en raison de la complexité de la procédure d’inculpation des structures du crime organisé.

Le Dr David Martin a déclaré au Comité d’enquête international sur le coronavirus qu’en avril 2003,une société pharmaceutique étatsunienne a déposé un brevet sur les agents antiviraux, le traitement et le contrôle des infections par le coronavirus, trois jours seulement après que — dans une demande supposée secrète — les Centres de contrôle des maladies aient cherché à breveter le coronavirus du Sras lui-même. La première épidémie de Sras s’est déclarée en Chine en février de la même année.

Sa description a amené le président de la commission d’enquête, l’avocat allemand Reiner Fuellmich, spécialisé dans la dénonciation des escroqueries d’entreprise, à commenter :

« Tout cela pourrait bien finir par éclater et devenir une affaire RICO. »

Le Dr David Martin a répondu :

« Pas pouvoir éclater et devenir une affaire RICO — C‘est une affaire RICO. Et le schéma RICO qui a été établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé exactement selon le même calendrier lorsque nous avons vu apparaître le Sras-CoV-2. »

Il a affirmé que Moderna (à l’origine baptisée ModeRNA) avait reçu par transmission téléphonique — du centre de recherche sur les vaccins de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses — la séquence génétique de la protéine Spike qui constitue la base de son « vaccin » anti-Covid, avant même que la nouvelle sous-classe du virus ne soit définie. Le Dr David Martin s’interroge :

« Comment est-il possible de résoudre un problème avant même qu’il ne se pose ? »

Moderna (dans son nom complet d’origine ModeRNA Therapeutics) est une entreprise du Massachusetts fondée en 2010 par une équipe d’investisseurs pour développer la technologie de l’ARN (acide ribonucléique), considérée comme extrêmement prometteuse pour exploiter la puissance du code de l’ARN afin que de nouveaux médicaments soient conçus par notre organisme lui-même.

Selon le Dr David Martin, une autre date importante est celle du 5 juin 2008. C’est à peu près à ce moment-là que le programme de recherche avancée de la défense des États-Unis (le DARPA) s’est intéressé au coronavirus en tant qu’arme biologique. C’est également à cette date qu’une société pharmaceutique — qui fait aujourd’hui partie du géant Sanofi basé à Paris — a déposé une série de brevets visant des gènes qui, douze ans plus tard, seraient les [soi-disant – NdT] « nouvelles » caractéristiques du Sras-CoV-2 qui en font un risque pour la santé humaine.

À partir de 2008, les dépôts de brevets de nombreuses organisations ont identifié « chaque attribut » du virus, tel qu’il a finalement été décrit par la suite.L’article de référence publié en mars 2020 et couramment utilisé pour l’identifier prétendait démontrer que les nouvelles caractéristiques étaient apparues de manière naturelle et que le virus « provenait de multiples événements recombinants naturels survenant parmi les virus présents chez les chauves-souris et d’autres espèces sauvages. »

Ce à quoi le Dr David Martin répond :

« Malheureusement, quand on considère réellement ce qu’ils déclarent être « nouveau », on constate que 73 brevets, délivrés entre 2008 et 2019, comportent les éléments prétendument nouveaux qui composent le Sras-CoV-2. Donc, il n’y a pas eu d’épidémie de Sras, parce que tous les éléments de ce virus ont été fabriqués par des êtres humains. »

Depuis 2016, il a été affirmé que ce virus supposé nouveau était prêt à émerger dans la population humaine. Mais, et comme le déclare le Dr David Martin :

« il n’était pas seulement prêt à émerger chez les humains, il a été breveté pour une exploitation commerciale — 73 fois. Sur la base des séquences génétiques réelles, qui sont publiées dans le dossier de brevet, toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quelque sorte unique ou nouveau s’écroule. »

Les chercheurs de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill (qui ont collaboré avec le laboratoire de Wuhan, en Chine, dans le cadre des travaux sur le « gain de fonction » du coronavirus), ainsi que l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses et Moderna, ont commencé le séquençage d’un vaccin à base de protéine spike en novembre 2019, soit un mois avant que l’épidémie de Wuhan apparaisse.

Le Dr David Martin a également contesté l’idée selon laquelle injecter la séquence d’ARN de la protéine Spike constitue un véritable « vaccin ». La théorie sous-jacente est qu’en apprenant au système immunitaire à reconnaître la protéine Spike, qui en soi présente des effets toxiques, l’organisme sera mieux équipé pour faire face à la toxine lorsqu’il sera exposé au virus.

« Le fait de débattre pour savoir si nous disposons d’un « vaccin » contre un virus est une illusion dans laquelle nous continuons malheureusement à voir des personnes très bien intentionnées se laisser piéger. Le fait est que nous ne disposons pas d’un tel « vaccin ». Ce qui est injecté, c’est une séquence ARN de la protéine Spike, qui est elle-même une simulation informatique d’une séquence connue et brevetée depuis des années. Elle n’est pas d’origine naturelle.

La nature ridicule de l’histoire selon laquelle « vacciner » pour lutter contre le Covid serait une sorte de prophylaxie ou de prévention va à l’encontre de cent pour cent des preuves, car ces preuves montrent clairement qu’aucun effort pour combattre le virus n’a été fait par aucune des sociétés pharmaceutiques. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike, tout en sachant qu’elle est nocive. »

La raison de cette démarche, toujours selon le Dr David Martin, est de rendre les gens « accros » à un « vaccin » universel contre le coronavirus.

« Les gouvernements du monde entier ont pendant une décennie désespérément, désespérément, désespérément encouragé l’obligation de recourir à un vaccin antigrippal universel. Ils ont échoué. Et ils ont décidé que si la grippe ne remplissait pas la promesse publique d’inciter tout le monde à se faire vacciner, il fallait changer d’agent pathogène.

Il faut créer l’illusion d’une demande, et rien aujourd’hui ne saurait mieux créer l’illusion de cette demande que l’urgence d’un événement qui a été fabriqué.

Voici la triste et sobre ironie : j’ai soulevé ces questions en 2002, après l’alerte à l’anthrax, et ce qui est tragique, c’est que nous vivons désormais dans un monde où des centaines de millions de personnes se font injecter une séquence informatique stimulant les agents pathogènes, vendue sous le nom de ce que l’Office des brevets, la profession médicale et la FDA (Food and Drug Administration) ne considéreraient même pas comme un vaccin selon ses propres normes cliniques. Mais en utilisant ce terme, des centaines de millions de personnes sont aujourd’hui soumises à ce que l’on savait déjà en 2005 être une arme biologique. »

La vidéo diffusée en direct par le Dr David Martin qui apporte ces éléments de preuve reçoit déjà des dizaines de milliers de vues. Les données qu’il présente devraient à tout le moins mettre un terme à l’idée que le virus est d’origine naturelle et qu’il a développé par hasard la capacité de passer des animaux aux humains.

Rien que ce qui précède comporte d’énormes implications en soi. D’une part, pourquoi devrions-nous croire les affirmations de la Coalition pour la préparation aux épidémies (CEPI) — lancée en 2017 avec une énorme injection de fonds en provenance de la Fondation Gates — selon lesquelles la quête proposée de 3,5 milliards de dollars pour obtenir un vaccin universel contre le coronavirus dans le but de « contenir le Sras-CoV-2 et ses variants » est un objectif souhaitable ou réalisable ?

Pour soutenir le projet, le cofondateur Bill Gates a déclaré :

« La CEPI a aidé la communauté scientifique mondiale à faire quelque chose d’incroyable : développer des vaccins anti-Covid-19 en moins d’un an. »

Cette affirmation sonne plus que creux à la lumière des brevets déposés depuis vingt ans tels que le Dr David Martin l’a révélé.

De plus, ce dernier a démontré que même les prétendus « variants » du Sras-CoV-2 sont artificiels, puisqu’ils correspondraient à l’identification de différents fragments de gènes plutôt que de véritables variations en tant que telles. Le Dr David Martin poursuit :

« Il s’agit simplement d’ajuster le moment auquel vous démarrez et arrêtez ce que l’on appelle le cadre de lecture. Si ce que nous cherchons est une chose que nous avons décidé digne d’être recherchée, alors nous la trouverons […] à l’endroit précis où sera choisi le démarrage ou l’arrêt, je serai en mesure de dire que je l’ai trouvée. Ou que je ne l’ai pas trouvée ! Je n’ai pas trouvé la correspondance que j’avais projetée sur les données, parce que j’ai choisi de regarder les données d’une manière qui ne me permettait pas de trouver la correspondance. »

Alors que les conseillers du gouvernement semblent sortir des « nouveaux variants » de leurs chapeaux chaque fois qu’ils ont l’impression que l’emprise de la terreur s’atténue, nous touchons là à un autre domaine qui appelle une réévaluation sobre de ce qui se trame réellement.

Note de la rédaction

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À propos de l’auteur

Neville Hodgkinson est un ancien correspondant médical et scientifique du Sunday Times et l’auteur de AIDS : The Failure of Contemporary Science, publié en 1996 aux éditions Fourth Estate.

Note du traducteur : Voici un téléchargement en miroir de la présentation du Dr David Martin au Comité d’enquête international sur le coronavirus dirigé par l’Allemagne [en anglais] :



Cette vidéo vaut la peine d’être visionnée dans son intégralité, mais pour ceux qui n’ont pas le temps, ce blogueur a fourni un résumé point par point de la présentation [en anglais aussi], y compris le profil du Dr David Martin et ses conclusions.

Le Dr David Martin observe depuis plus de vingt ans maintenant la concoction de cette cuisine de sorcières. Voici un PDF téléchargeable de son « Dossier Fauci/Covid-19 ».

Le Sras-CoV-2 est donc bien une création humaine, tout comme l’ensemble de l’infrastructure des « tests de dépistage » et des « vaccins visant à résoudre le problème », concoctée par des prédateurs sans scrupules qui n’ont pas hésité à terroriser le monde entier afin de tirer profit de la crise qu’ils ont créée, et de contrôler la vie des gens jusque dans leurs pensées et leurs comportements quotidiens.

Voir aussi notre article sur l’intervention du Dr David Martin, lors d’une conférence tenue en Californie en mai 2021 : La guerre bactériologique est en marche — « Nous sommes en guerre ! », l’article développant les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2, ainsi que celui traitant de l’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

Source de l’article initialement publié en anglais le 14 juillet 2021 : The Conservative Woman
Traduction : Sott.net




L’empoisonnement des nations : Pharmakéia, sorcellerie et BigPharma

[Source : cv19.fr]

Avec tout le battage médiatique autour de la vaccination, nous avons pensé que nous devions remettre en ligne cet article sur les origines de la Pharmacie.

Le mot grec pharmakeia est utilisé dans Galates 5:19… Le dictionnaire grec le définit comme suit : “l’utilisation de médicaments, de drogues ou de sortilèges”. C’est un fait que la sorcellerie et la magie dans le monde grec impliquaient souvent l’utilisation de drogues, soit par la sorcière, soit par la personne sur laquelle la magie était exercée.

Le chapitre 18 de l’Apocalypse décrit la chute de Babylone et, au verset 23, il nous donne la raison pour laquelle toutes les nations ont été séduites. Cela peut être choquant pour beaucoup de gens. Lisons ce que dit la Bible. En parlant de la chute de Babylone, Apocalypse 18:23 dit :

“la lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l’époux et de l’épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements [pharmakeia],”

[Ndlr : Babylone dans l’Apocalypse peut facilement symboliser le Nouvel Ordre Mondial.]

Par les “enchantements” de Babylone, toutes les nations ont été séduites. Le mot grec pour “enchantements” au verset 23 est “pharmakeia” [far-mak-i’-ah]. Selon le dictionnaire grec Thayer, “pharmakeia” désigne “l’usage ou l’administration de drogues, l’empoisonnement, la sorcellerie, les arts magiques, souvent associés à l’idolâtrie et encouragés par elle”. Si vous mettez le mot grec original “pharmakeia” à la place du mot français “enchantements”, la fin du verset 23 dirait : “parce que toutes les nations ont été séduites par ta pharmakeia” ! “Pharmakeia” est l’origine de notre mot français “pharmacie” ! La pharmacie est un système bien organisé et professionnalisé qui administre des médicaments empoisonnés.

La Bible révèle que Babylone trompera toutes les nations par l’utilisation de la pharmacie qui est en relation avec les “arts magiques” et l’idolâtrie. “Les arts magiques” ont leurs racines profondes dans la sorcellerie et le monde occulte. Nous n’avons pas besoin de faire une étude biblique approfondie pour savoir que Satan est directement derrière les arts magiques et que le peuple de Dieu ne devrait rien avoir à faire avec cela. Les croyants trompés d’aujourd’hui utilisent les “arts magiques” sous le déguisement de la prière contemplative, de l’humanisme chrétien et de la formation spirituelle. En général, les personnes impliquées dans la sorcellerie et la magie sont connues pour utiliser des potions “magiques” pour “guérir”, tromper, empoisonner, contrôler ou tuer quelqu’un.

La pharmacie utilise principalement un mélange de produits chimiques toxiques, de métaux et/ou d’éléments synthétiques pour produire des “produits pharmaceutiques” conçus pour manipuler la biochimie ou les fonctions métaboliques du corps dans le but d’obtenir un effet “désiré” dans le traitement d’une maladie ou d’une affection. En d’autres termes, les pharmaciens mélangent différents types de poison, les emballent, les font breveter et prétendent qu’ils peuvent traiter certains types de maladies. Le principal problème de ce système est qu’un poison est un poison. Les médicaments pharmaceutiques sont des poisons. Lorsque le poison est introduit dans le corps, il a des effets négatifs sur l’ensemble du système corporel, de la tête aux pieds. Il ne s’agit pas seulement d’”effets secondaires” ou de maladies “accidentelles” dont souffre une personne en raison de l’utilisation d’un médicament. Il s’agit d’”effets directs”, car la réalité est que les drogues ont des effets directs sur l’ensemble du système corporel, y compris le cerveau. Lorsque vous revenez à Apocalypse 18:23, le mot grec “pharmakeia” est utilisé pour nous révéler que la principale chose qui sera utilisée pour tromper TOUS les gens dans les derniers jours est un système bien organisé d’administration de médicaments toxiques à des milliards de personnes qui ne sont pas seulement toxiques pour les organes du corps, mais ont des effets négatifs directs sur le cerveau. Beaucoup de ces drogues utilisées pour diverses raisons sont connues pour causer des problèmes de mémoire, d’humeur, et contribuer à des changements négatifs de personnalité.

Qui est le principal responsable du système de pharmacie et d’administration de médicaments empoisonnés que Babylone utilise pour tromper toutes les nations ? Un logo ou un symbole révèle les valeurs et l’objectif d’une entreprise, d’une organisation ou d’une profession. Ils utilisent un logo ou un symbole comme une “marque” d’identification pour le monde. En d’autres termes, ce logo établit un lien direct avec une entreprise ou une profession. Lorsqu’une personne pense au “swoosh”, elle pense immédiatement à la société Nike. Les symboles et logos de la médecine moderne révèlent clairement qui orchestre en coulisse tout le système d’administration de médicaments toxiques qui manipulent les corps et les esprits de milliards de personnes dans le monde. Examinons simplement trois symboles reconnaissables et démasquons la vérité !

Figure A : Coupe d’Hygie

Le symbole de la figure A est le symbole international de la pharmacie connu sous le nom de ” Coupe d’Hygie “. Qui est Hygie ? Hygie vient de la mythologie grecque, Hygie est la déesse de la santé et de l’hygiène, la fille d’Esculape. Il est le dieu de la médecine, de la guérison et des médecins.

Ettie Rosenberg, docteur en pharmacologie et avocate, décrit la signification du Bol d’Hygie. Elle déclare :

“Le symbole de la coupe d’Hygie est le symbole international de la pharmacie le plus largement reconnu. Dans la mythologie grecque, Hygie était la fille et l’assistante d’Esculape, le dieu de la médecine et de la guérison. Le symbole classique d’Hygie était une coupe contenant une potion médicinale à laquelle prenait part le serpent de la Sagesse (ou gardien). C’est le même serpent de la Sagesse qui apparaît sur le caducée et le bâton d’Esculape, qui est le symbole de la médecine.”

Ettie Rosenberg, Pharm.D., Esq.

Les Grecs considéraient les serpents comme sacrés et les utilisaient dans des rituels de guérison en l’honneur d’Asclépios, car le venin des serpents était considéré comme un remède et leur mue comme un symbole de renaissance et de renouveau.

La figure B est une image de la statue d’Hygie. Remarquez le serpent qui boit la potion magique de la ” coupe de la sagesse “. Dans Genèse 3:1-14, Satan, connu sous le nom de serpent, a utilisé un serpent pour tromper Eve. Le verset 1 révèle que ce serpent était “plus subtil”, ce qui signifie qu’il était mince ou très léger, pas dense ou grossier, mais lisse et raffiné afin d’accomplir son but trompeur.

Figure B : “Hygie”

Au verset 6, Eve a cru les mensonges subtils du serpent. Pensant qu’elle pourrait devenir sage, Eve a désobéi à Dieu en mangeant de l’arbre dont Dieu avait interdit la consommation. Au verset 13, après avoir mangé le fruit de l’arbre interdit, Eve a reconnu que le serpent l’avait trompée. Lorsqu’une personne est trompée, en est-elle consciente ? Selon le dictionnaire Webster, tromper signifie “faire croire ce qui est faux”. Ainsi, lorsque les gens sont trompés, ils croient réellement au mensonge. Remarquez que Satan a utilisé le serpent pour tromper Eve afin qu’elle croie au mensonge. Ce serpent qui boit dans le “bol de la sagesse” vient de Satan. Il représente le caractère trompeur de Satan qui trompe encore les gens aujourd’hui. Le peuple de Dieu devrait-il avoir quelque chose à voir avec cette tromperie ?

Figure C : Le bâton d’Esculape

La figure C est connue comme le bâton d’Esculape. Son bâton représente les aspects curatifs de l’art de la médecine. Beaucoup de croyants pensent que ce symbole est le même que le serpent d’airain que Moïse a mis sur un poteau, mais ce n’est pas le cas. Le serpent sur le bâton d’Esculape est une contrefaçon du serpent d’airain de Moïse sur le poteau. Ce symbole contrefait donne le faux message que le serpent est sage et inoffensif.

Rappelez-vous, le serpent sur le bâton d’Esculape est le même serpent qui boit dans la coupe d’Hygie. Le message que le serpent de ce symbole satanique transmet également est qu’il n’y a pas de mal à prendre le “produit magique” empoisonné de la coupe. Ces symboles, qui sont utilisés pour représenter les professions de la pharmacie et de la médecine, transmettent un message trompeur de la part de Satan, selon lequel il est sage de prendre des médicaments empoisonnés, qui ont le pouvoir de guérir et non de tuer. C’est un mensonge ! Ceux qui se soumettent à ce système contrefait et empoisonné seront balayés.

Figure D : Statue d’Esculape

La figure D est une statue d’Esculape dont le bâton est enveloppé du “serpent de la sagesse”. Ce “serpent de la sagesse” est présent dans tout le symbolisme de la profession médicale moderne. Il figure dans le symbole de l’American Medical Association, une association qui a établi les normes applicables aux médecins et à la profession médicale en Amérique. On le trouve au milieu du logo de l’Organisation mondiale de la santé. On le trouve également sur les logos des écoles de médecine, des cabinets médicaux et de nombreuses autres organisations médicales.

Figure E : Caducée d’Hermès

Le symbole suivant de la figure E résume vraiment qui est derrière le système de médecine empoisonnée de Babylone. La figure E est un autre symbole reconnu dans le domaine médical, il est connu sous le nom de “caducée”. Le caducée représente deux serpents s’accouplant autour d’une tige, surmontée d’une paire d’ailes. Le caducée, également connu sous le nom de baguette magique, appartient au dieu grec Hermès ou au dieu romain Mercure. Ces dieux sont censés être les messagers des dieux, les inventeurs de la magie, les communicateurs avec les “morts” et celui qui protège les affaires et les voleurs (www.drblayney.com/Asclepius.html). De nombreux adeptes de la sorcellerie utilisent encore le caducée pour la magie et pour jeter des sorts. En sorcellerie, le caducée est également connu pour “retenir et contrôler” ses victimes.

Dans la mythologie grecque et le monde occulte, le caducée n’avait rien à voir avec la médecine, la guérison ou la santé. Alors pourquoi la médecine moderne a-t-elle adopté le caducée comme symbole de la médecine ? Rappelez-vous sa fonction et sa signification originales. Qui tient le caducée ? Le faux dieu de Mercure. Quelle est sa prétention ? L’inventeur de la magie, le conducteur des morts, le protecteur des marchands, des voleurs, ainsi que de la contrainte et du contrôle, voilà ce qu’il prétend ! Se pourrait-il que la médecine moderne ait adopté le caducée comme symbole de la médecine et des médecins pour PROTEGER les marchands de la terre qui gagnent des milliards en empoisonnant les gens, pour protéger les voleurs des grandes entreprises et pour contrôler et maîtriser les masses humaines ? Cela peut vous choquer. Bien que le caducée n’ait rien à voir avec la guérison ou la médecine, un officier du corps médical de l’armée américaine a insisté en 1902 pour adopter le caducée comme symbole. Depuis lors, d’autres membres de la profession médicale ont commencé à adopter le caducée comme symbole de la médecine ou des médecins.

Levons le voile sur la signification réelle du caducée. Dans le monde occulte, Satan se dépeint comme un bouc connu sous le nom de Baphomet avec deux ailes et un caducée entre ses jambes croisées ! Oui, Baphomet a un caducée entre les jambes. Regardez les images de la figure F et comparez. Voici le lien direct entre les pratiques empoisonnées de la médecine moderne par la pharmakéia et Satan. Satan est à l’origine de ce système de médication. Un caducée est en fait une version abrégée de Baphomet, Satan lui-même.

Pensez-vous que Jésus pourrait faire partie de ce système ? NON. Les vrais croyants devraient-ils faire partie de ce système d’empoisonnement ? Non. Cet empoisonnement systématique est celui de Babylone et le peuple de Dieu doit en sortir. Nous devons apprendre la manière naturelle de guérir que Dieu approuve par le biais d’un mode de vie et d’une alimentation saine.

Saviez-vous que le “père” de la pharmacologie était un occultiste ? C’était un adorateur de Satan ! Né Philippus Aureolus Theophrastus Bombastus von Hohenheim en 1493, il se faisait appeler Paracelse. Il était connu comme un médecin, botaniste, alchimiste, astrologue et occultiste suisse allemand. Il a fondé le domaine de la toxicologie, mieux connu sous le nom de pharmacie. Pendant des centaines d’années, les médecins ont utilisé des herbes et des aliments naturels pour guérir. Paracelse a défié cette notion. À partir de ses études sur la chimie et la métallurgie et d’un mélange de pratiques occultes et d’astrologie, il a théorisé que les métaux tels que le mercure, le plomb, l’étain, le cuivre et l’or pouvaient “purifier” le corps. Il croyait que les étoiles et les planètes étaient la principale cause des maladies humaines. Il pensait que TOUTES les maladies devaient être traitées avec des métaux qui sont des poisons pour le corps. C’était une pratique très radicale à son époque. Il traitait de nombreuses maladies avec du mercure, mieux connu sous le nom de vif-argent. De nombreux médecins qui adhéraient à la méthode de Paracelse et utilisaient le mercure (quicksilver), également connu sous le nom de Quack Salber (charlatans). C’était une façon très réformiste de traiter le corps à l’époque (Jethro Kloss, Back to Eden, 2e éd., p. 52, 53). Beaucoup sont morts à cause de la méthode de traitement de Paracelse. On raconte qu’à l’âge de 50 ou 51 ans, Paracelse a été jeté par la fenêtre par les autres médecins de l’époque qui le jugeaient très dangereux en 1541. Il est étonnant qu’aujourd’hui Paracelse soit connu comme le père de la pharmacie moderne ! D’où lui venait son inspiration ? Baphomet, Satan !

Ce système de Paracelse est la fondation sur laquelle la médecine moderne est construite. Il a tué et empoisonné des millions de personnes. Les médicaments pharmaceutiques ne guérissent jamais la maladie – ils tentent seulement de la gérer en inhibant ou en manipulant une fonction du corps qui est censée se produire naturellement. Dans un rapport publié en juin 2010 dans le Journal of General Internal Medicine, les auteurs ont déclaré qu’en examinant des dossiers allant de 1976 à 2006, ils ont constaté que sur 62 millions de certificats de décès, 25 millions de décès ont été classés comme étant survenus dans un hôpital suite à des erreurs médicamenteuses. Le nombre total de décès dus au système médical moderne américain (médicaments, opérations chirurgicales inutiles, infections, erreurs médicales, etc.) s’élève à près de 800 000 personnes par an ! C’est plus que les personnes qui meurent de maladies cardiaques (plus de 600 000 décès par an) et de cancer (plus de 500 000 décès par an). – articles.mercola.com/sites/articles/ archive/2003/11/26/death-by-medicine-part-one.aspx

Ce système d’administration de médicaments empoisonnés dans le monde entier est une industrie de milliers de milliards de dollars et les marchands de médecine de la terre en profitent largement. Ils aiment l’argent qu’il produit et ignorent les nombreuses vies qu’ils détruisent. Des millions de personnes vénèrent ce système comme une idole.

Les médicaments toxiques ne sont PAS un remède à la maladie. Beaucoup de ceux qui prescrivent et administrent des médicaments pharmaceutiques l’admettent. Si les médicaments guérissaient les maladies, pourquoi de nombreuses personnes traitées pour des maladies doivent-elles prendre des médicaments jusqu’à leur mort ? Cela ne ressemble pas à un remède mais à un canular lucratif.

“Il faut apprendre aux gens que les médicaments ne guérissent pas les maladies. Il est vrai qu’ils procurent parfois un soulagement passager, et que le patient semble se rétablir grâce à leur utilisation ; c’est parce que la nature a suffisamment de force vitale pour expulser le poison et corriger les conditions qui ont causé la maladie. La santé est retrouvée malgré le médicament. Mais dans la plupart des cas, le médicament ne fait que modifier la forme et la localisation de la maladie. Souvent, l’effet du poison semble être surmonté pendant un certain temps, mais les résultats restent dans le système et causent de grands dommages à une période ultérieure. Par l’utilisation de médicaments toxiques, beaucoup de gens s’attirent des maladies à vie, et beaucoup de vies sont perdues qui pourraient être sauvées par l’utilisation de méthodes naturelles de guérison.”

Ellen White, Counsels on Health, p. 89.

Quel message la Bible donne-t-elle à ceux qui sont dans la pharmakéia – le poison de Babylone ? Galates 5:20-21 :

l’idolâtrie, la magie [pharmakeia], les haines, les querelles, les jalousies, les colères, les rivalités, les divisions, les sectes, l’envie, [les meurtres,] l’ivrognerie, les excès de table et les choses semblables. Je vous préviens, comme je l’ai déjà fait: ceux qui ont un tel comportement n’hériteront pas du royaume de Dieu.

Ceux qui se livrent à ce commerce de l’empoisonnement et des médicaments doivent se repentir et s’en détourner. S’ils ne se repentent pas, ils n’hériteront pas du royaume de Dieu. Cela est également attesté dans le livre de l’Apocalypse. Apocalypse 21:8 :

Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs [pharmakeús = une personne utilisant des incantations à base de drogues ou des enchantements religieux à base de drogues], les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort.

Le mot grec pour les enchanteurs au verset 8 est “pharmakeús”, défini comme un préparateur de drogues ou un empoisonneur. Ce terme est répété dans le dernier chapitre de la Bible. Apocalypse 22:14-15 :

Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer par les portes dans la ville!15 Dehors les chiens, les enchanteurs [pharmakeús], les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge!

Pharmakeia est une partie de Babylone. C’est ce que la Bible prédit que Babylone utiliserait pour tromper toutes les nations. Vous n’avez pas besoin d’être trompé. Il est impossible de faire partie du vrai peuple de Dieu à la fin des temps et d’être lié à ce système d’administration de médicaments empoisonnés qui manipulent et troublent l’esprit. Cela vient de Satan lui-même. Vous en avez vu la preuve. Babylone est tombée, sortez avant qu’il ne soit trop tard. C’est un système brisé et empoisonné, “SORTIR” est l’appel sincère de Dieu.

Source : https://www.calledoutbelievers.org/pharmakeia-and-bio-pharma/ (en anglais)


[Voir aussi la fin de l’article
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial, reproduite ici :

Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.

Dans l’article La clef de la libération était évoquée l’idée de l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial sous l’effet d’une vibration, d’une expansion de conscience. La médecine et une bonne partie des sciences actuelles ont tellement dérivé de la démarche scientifique authentique, tellement “involué” vers le matérialisme le plus lourd et le plus dense (en perdant de vue la dimension spirituelle de l’Homme), qu’elles se sont cristallisées en nouvelle religion, d’ampleur mondiale. La doctrine et les dogmes de cette dernière sont désormais indiscutables, à moins d’être volontaire pour subir les foudres de l’inquisition moderne de la part des nouveaux grands prêtres vérificateurs de faits qui sévissent dans les chapelles médiatiques et de vouloir terminer sur le bûcher ou dans le nouvel enfer terrestre, celui des savants ostracisés, vilipendés, dénigrés à mort, crucifiés comme le fut le Christ pour s’être opposé aux croyances matérialistes de son époque.

La matière solide la plus répandue dans la croûte terrestre est la silice (composée de silicium et d’oxygène), et le silicium est le principal élément indispensable à l’informatique actuelle, la base de toutes les puces électroniques qui en constituent le cœur. Dans l’Apocalypse de Jean, après la Bête de la mer qui peut symboliser notamment les foules manipulables par la religion, les idéologies et les émotions (dont la peur), apparaît celle de la terre dont la silice et le silicium représentent alors le fondement. La Bête de la terre et sa fameuse marque (sans laquelle personne ne pourra plus rien acheter ni vendre) est alors étroitement liée à la silice et, par extension, à l’informatique et à tout ce que celle-ci aura permis de faire apparaître sur notre planète en matière de nouveaux miracles : aller dans l’espace à bord de fusées, ressusciter des morts, communiquer instantanément et dans toutes les langues d’un bout à l’autre de la planète, animer l’image de la Bête grâce à la télévision et aux téléphones cellulaires qui ont transformé les hommes en zombis décervelés, etc.

Le son est capable de détruire un cristal s’il est basé sur la même fréquence que celle propre à ce dernier, ceci grâce au phénomène physique de résonance. Par analogie, un son (une parole, une idée, une prise de conscience…) adéquat pourra désintégrer la cristallisation mentale représentée par le système de croyances derrière cette nouvelle religion mondiale : la médecine et la science matérialiste basées sur la technologie. La Bête de la terre (l’informatique) pousse à adorer celle de la mer (la religion mondiale que sont la médecine allopathique et une bonne partie de la science actuelle). Cependant, la compréhension et la réalisation que le dogme central de cette religion (la vaccination et la théorie virale) est un habile mensonge juste destiné à égarer, manipuler et finalement perdre l’Humanité et toute humanité représentent ce qui pourra finalement détruire le Nouvel Ordre Mondial.

La présente guerre n’est pas contre un virus, mais contre l’Humanité. il s’agit d’une guerre d’essence spirituelle.

Voir aussi Qui est l’Antéchrist ?
et La religion de l’Antéchrist]




La guerre bactériologique est en marche — « Nous sommes en guerre ! »

[Source : Sott.net]

Par Dr David Martin — Bitchute/Odysee
mar., 13 juil. 2021 14:59 UTC
Le Dr David Martin lors d’une conférence tenue en Californie en mai 2021.

Commentaire : Le Dr David Martin faisait partie des intervenants dans le documentaire Plandemic: Indoctornation.

Quant au contenu de cette vidéo doublée, voir aussi notre récent Focus Seconde Guerre froide — Le Covid/Sras-CoV-2 est une arme biologique fabriquée à Fort-Detrick aux États-Unis et envoyée en Chine pour la cibler et l’incriminer

Il aborde l’histoire du développement de l’arme biologique du SRAS, qui a été initialement financée pour la recherche sur le SIDA/VIH en 1999, et il a lâché cette bombe sur le public :

Anthony Fauci a dépensé, écoutez bien ce chiffre, 191 MILLIARDS de dollars, pas 3,7 millions, pas 30 millions, 191 MILLIARDS de dollars de fonds contrôlés pour la bio-armement de virus contre l’humanité.

[Note de Joseph : en fonction des arguments scientifiques présentés dans l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial, une arme bactériologique bactérienne ou virale aura peu de chances de réellement se répliquer à l’intérieur d’un organisme vivant et c’est probablement la raison de l’échec d’une telle arme qui selon les prévisions de l’Event 201 aurait dû faire 65 millions de morts. Une arme bactériologique ne peut tuer que par contact direct, en tant que poison auquel on est directement exposé. Si les virus et les bactéries ne sont pas les causes réelles des maladies prétendument virales ou bactériennes, dites « infectieuses », mais en sont plutôt des conséquences ou des mécanismes de réparation, comme exposé dans l’article évoqué ci-dessus, alors un « virus » aura beau être modifié chimiquement, il ne se répliquera pas davantage dans les cellules humaines que ne le font les virus naturels. Ceux-ci ne sont pas formés à cause d’une invasion de virus depuis l’extérieur, mais par les cellules corporelles ou comme résultat de dégradation de ces dernières (suite à un empoisonnement ou à une déficience en nutriments), selon les types de ces composants qui ont été appelés « virus ». Il est plus que temps pour l’Humanité d’abandonner la théorie virale fallacieuse et jamais réellement démontrée dans le cadre d’une démarche scientifique rigoureuse, mais qui est devenue une religion à laquelle presque tous les êtres humains croient aveuglément sans jamais la remettre en question. Il est temps d’arrêter d’avoir peur des bactéries et des virus et de comprendre que ceux-ci sont naturellement présents dans le corps, respectivement par dizaines de milliers de milliards et centaines de milliers de milliards, car ils y fonctionnent en symbiose et y remplissent diverses fonctions précises.]

Et c’est l’argent du contribuable américain qui a été dépensé.

Merci beaucoup pour votre aide afin que je puisse améliorer ma chaîne.



Dr Fauci a dépensé, écoutez bien, 191 milliard de dollars. Pas 3,7 millions, pas 30 millions, 191 milliards de dollars de fonds alloués pour l’armement biologique contre l’Humanité. Ceci est un programme d’arme biologique pour nous tuer. Voila ce que c’est. Et ce n’est pas que pour nous tuer, c’est pour procéder à une dépopulation massive. Vous avez un virus, vous avez une arme biologique.

En 1999, cet armement a été évoqué explicitement dans le premier rapport NIAID. Et DURC était impliqué, tout comme un tas d’agences de La Défense. Ce qui a été fait spécifiquement en 1999, l’épithélium du poumon humain était visé pour la première fois car le Coronavirus était plutôt inoffensif pour la plupart des humains. Mais l’epithelium du poumon humain est explicitement visé afin que cela devienne pathogène pour le poumon humain.

Nous avons construit le Sras. Les humains ont construit le Sras et ce sont les contribuables américains qui ont payé cela. En 1999, nous avons construit une arme biologique. J’ai écrit mon premier briefing en 2001, et j’ai mentionné les armes biologiques et la sécurité globale. En 2003, en Slovénie. En 2004, en République Islamique d’Iran à la Conférence sur les armes biologiques en Iran. Ce sont des faits historiques qui ne sont pas nouveaux. C’était connu, et en 2005, ils ont fondé l’initiative DARPA.

Source de la vidéo doublée : Liberty Voice sur Odysee
Source de la vidéo en version originale (anglais) : Bitchute




Le plan de « force de frappe » de Biden sur les vaccins pue le désespoir

Par Brandon Smith

S’il y a une règle dont les esprits libres doivent se souvenir, c’est que l’establishment n’aime pas perdre le contrôle de la version officielle. Et quand il le fait, des choses bizarres commencent à se produire. Par exemple, il devient douloureusement évident que le récit sur les « vaccins » expérimentaux à ARNm a glissé entre les doigts de l’administration Biden et, par conséquent, ils sont maintenant dans une course effrénée pour injecter des millions de vaccins dans autant de bras sceptiques que possible avant que le public ne s’organise pour repousser l’ordre du jour. Il me semble qu’ils sont un peu en train de paniquer.

Le problème est devenu plus évident depuis janvier, lorsque diverses entités gouvernementales et les médias ont commencé à se plaindre ouvertement du nombre de doses de vaccins jetées à la poubelle en raison de leur péremption. Pourquoi les vaccins arrivaient-ils à expiration avant d’être utilisés ? Les médias suggèrent que c’est dû à la « mauvaise gestion du gouvernement », alors que les responsables au niveau de l’État ont admis que c’était dû à une baisse significative de la demande.

Entre-temps, Biden a expédié plus de 500 millions de doses de vaccin contre la coqueluche à l’étranger en juin, tout en affirmant que les États-Unis étaient en bonne voie pour atteindre son objectif de 70 % de vaccination pour le 4 juillet. Inutile de préciser que cela ne s’est jamais produit. L’administration Biden affirme maintenant que la population américaine est vaccinée à 67%, et si cela était vrai, elle serait très proche des directives originales d’Anthony Fauci en matière d’immunité collective. Alors pourquoi tout ce battage autour des personnes non vaccinées ?

Tout d’abord, Fauci n’a cessé de déplacer les objectifs de l’immunité de groupe au point de dire au public d’ignorer complètement l’immunité de groupe et que la seule option est de faire vacciner TOUT LE MONDE. Beaucoup d’entre nous, dans les médias libres, ont dit que c’était exactement ce qu’il ferait, et il s’est avéré être incroyablement prévisible. Deuxièmement, les chiffres de vaccination des CDC semblent être gonflés afin de créer un consensus artificiel.

Tout en revendiquant un taux de vaccination global de 67 %, les statistiques des CDC indiquent un maximum d’environ 184 millions d’Américains ayant reçu au moins une dose, puis indiquent 160 millions de personnes ayant reçu une double dose. Pourtant, selon la carte de données de la Mayo Clinic, seuls quatre États ont un taux de vaccination de 67 % ou plus, tous situés dans le Nord-Est. Même la Californie et New York sont bien en dessous de 67 %, et la grande majorité des États se situent autour de 50 % ou moins.

Franchement, je ne crois pas du tout aux chiffres de vaccination des CDC. Les chiffres des nouveaux dosages sont en chute libre à travers les États-Unis, selon les responsables des États ; tous ceux qui n’ont pas été vaccinés à ce jour ne le seront pas à moins d’y être contraints. Il n’y a pas de longues files d’attente pour les vaccins. Pas de temps d’attente. Les CDC ont même supprimé le temps d’attente entre les doses. Et pourtant, CVS et Walgreens ont jeté des doses périmées par centaines de milliers.

Si nous regardons les statistiques des CDC concernant la vaccination complète, nous sommes plus proches de 51 % de la population américaine totale, ce qui correspond plus précisément aux statistiques de la Mayo Clinic. Rien n’indique que ce pourcentage dépassera bientôt la barre des 51 %, si tant est que les statistiques soient exactes.

Cela signifie qu’au moins la moitié de la population américaine est en désaccord avec le programme. C’est probablement la raison pour laquelle Fauci et Biden sont devenus plus agressifs dans leur programme de vaccination le mois dernier. S’ils obtenaient les taux de vaccination de près de 70 % qu’ils revendiquent, ils ne se plaindraient pas avec indignation des personnes non vaccinées. Les statistiques montrent qu’un nombre ÉNORME d’Américains refusent de se faire vacciner – Nous sommes une vaste armée, et c’est une bonne chose.

Pourquoi ? Parce qu’il n’y a tout simplement aucune raison de prendre le vaccin expérimental à ARNm.

FAIT : Covid-19 a un IFR (taux de mortalité par infection) médian de 0,26% ou moins.

Pourquoi prendre un vaccin expérimental plutôt qu’un virus auquel 99,7% de la population, en dehors des maisons de retraite, survivra facilement ? Dans mon comté, seules 17 personnes sont mortes du covid en 16 mois, dont beaucoup dans des maisons de retraite. La majorité de la population a également cessé de porter des masques et mis fin aux confinements environ trois mois après l’épidémie initiale, lorsqu’il est apparu clairement que le covid n’était rien. Le variant dit « Delta » est également très présent ici, et ni les décès ni les infections n’ont augmenté de manière notable.

La plupart des gens ici ont déjà eu le virus, et c’était essentiellement comme une mauvaise grippe avec un coup de fouet supplémentaire ou un brouillard cérébral supplémentaire. Après environ une semaine, les gens se sont rétablis. C’est facile. Je comprends parfaitement les inquiétudes des gens lorsque la pandémie a commencé ; nous n’avions aucune idée de ce à quoi nous avions affaire. Cependant, après quelques mois, la réalité s’est imposée. La peur et la terreur délirantes que suscite le Covid ne sont plus qu’une paranoïa complaisante.

FAIT : Les infections et les décès dus au Covid ont commencé à s’effondrer bien avant que les vaccins ne soient répandus.

Les médias grand public suggèrent continuellement que les vaccins sont la raison de la chute des infections, mais c’est un mensonge. Les cas de covid ont atteint un pic en janvier 2021, puis ont chuté de façon vertigineuse. En février 2021, seuls 5,9 % de la population américaine avaient reçu au moins une dose du cocktail à ARNm. Dans les États conservateurs où les mandats ont été levés bien avant les États bleus et où les vaccinations sont moins nombreuses, les infections et les décès ont chuté encore plus rapidement. Les vaccins n’ont RIEN à voir avec la baisse des infections. Rien du tout.

FAIT : Au moins 81% des personnes qui ont eu le covid sont peu susceptibles d’être réinfectées.

[Note de Joseph. Du point de vue d’une démarche scientifique rigoureuse (voir Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial), il ne s’agit pas d’un fait, mais d’une statistique interprétée en provenance d’un fait. Le fait est que les personnes qui ont eu une maladie représentée par des symptômes particuliers ont peu tendance à retomber malades de la même maladie, sauf lorsque celle-ci est chronique (ce qui signifie alors qu’ils n’ont jamais trouvé le moyen d’en éliminer les causes). Ce fait peut s’interpréter tout à fait différemment et de manière bien plus logique que celle de l’hypothèse, jamais vraiment démontrée, d’une prétendue « immunité collective ». Tout simplement, le corps humain peut s’habituer ou s’adapter dans une certaine mesure et à la longue à certaines sources d’empoisonnement qui le rendent malade.]

Fauci continue d’ignorer la science de l’immunité de groupe et rejette complètement les personnes qui ont contracté le covid comme étant immunisées. Pourtant, c’est la réalité. Si nous comptons le grand nombre de personnes qui ont contracté le covid, alors les Etats-Unis ont atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. C’est pourquoi les infections et les décès ont chuté d’une falaise, pas à cause des vaccinations.

FAIT : Les vaccins à ARNm n’ont AUCUNE donnée de test à long terme les soutenant ou prouvant leur sécurité.

Les tests initiaux pour un vaccin expérimental moyen durent de 2 à 4 ans, puis plusieurs années d’observation et de tests supplémentaires sont nécessaires avant l’approbation. Globalement, les vaccins sont censés être testés et re-testés pendant 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins à ARNm anti-covid ont été mis à la disposition du public en quelques mois, sans approbation officielle de la FDA et sans données à long terme, du moins aucune qui ait été révélée ouvertement. Le résultat final est que nous n’avons aucune idée des effets secondaires à long terme de ces vaccins. Cependant, certains experts tirent la sonnette d’alarme…

FAIT : De nombreux experts en vaccins mettent en garde contre les troubles auto-immuns et l’infertilité potentiellement dangereux causés par les vaccins expérimentaux à ARNm, y compris le médecin qui a inventé la technologie à ARNm.

Nous avons reçu de nombreux avertissements d’experts en virologie et en vaccins appelant à la prudence en ce qui concerne les vaccins anti-covid. L’ancien vice-président de Pfizer Michael Yeadon et plusieurs de ses associés médicaux ont publié un appel à l’arrêt des vaccinations jusqu’à ce que des tests supplémentaires puissent être effectués. Yeadon a spécifiquement mis en garde contre d’éventuels troubles auto-immuns et des effets secondaires sur l’infertilité. Il a depuis été attaqué sans relâche par les médias.

L’inventeur du vaccin à ARNm, le Dr Robert Malone, s’est exprimé sur les dangers de la thérapie génique à ARNm, soulignant spécifiquement que la protéine spike que le vaccin anti-covid indique à vos cellules de fabriquer pourrait présenter des risques pour la santé à long terme, notamment des caillots sanguins et l’infertilité chez les femmes. L’interview de Malone a depuis été effacée de YouTube et ses réalisations ont été discrètement retirées de sites web comme Wikipedia. Il est lentement dépersonnalisé.

Enfin, dans les hôpitaux du pays, 30 % des professionnels de santé ont refusé de se faire vacciner. Certains n’ont pris le vaccin que parce que leur emploi était menacé.

L’argument des médias sous contrôle contre des avertissements comme ceux-ci de la part d’experts en la matière est qu’ils sont « fous » et doivent être rejetés. Donc, seuls les professionnels de la santé qui reçoivent un salaire du gouvernement et qui sont d’accord avec les mandats du gouvernement sont en quelque sorte « sains d’esprit » ? Intéressant…

Lorsque l’éclairage gazeux ne fonctionne pas, les doreurs d’image (sans mauvais jeu de mots) sortent une logique floue classique, affirmant qu’il n’y a « aucune preuve que les vaccins causent des dommages ». C’est manifestement faux, car toute personne effectuant une recherche rudimentaire constatera que de nombreuses personnes dans le monde sont mortes ou ont souffert d’effets secondaires après avoir été vaccinées. Mais, bien sûr, les défenseurs des vaccins affirment que ce n’est pas une « preuve » à 100 % que les vaccins sont globalement dangereux.

Eh bien, il n’y a également AUCUNE PREUVE que les vaccins sont sans danger. Il n’y a pas de données de sécurité à long terme. Et dans la science médicale, la règle est de pécher par excès de prudence, de ne pas prendre de risques inconsidérés pour un virus qui ne représente aucune menace pour 99,7 % de la population.

Permettez-moi donc d’être parfaitement clair avec la secte du covid qui ne comprend pas la science médicale de base – La charge de la preuve VOUS incombe, ainsi qu’au gouvernement et aux sociétés pharmaceutiques, et non à nous. VOUS devez prouver que les vaccins sont sûrs, par des tests à long terme. Ce n’est pas à nous d’accepter le vaccin et de devenir les cobayes de la plus grande expérience médicale du monde, fondée sur une foi aveugle et des opinions vides étayées par aucune donnée.

Les « forces de frappe de la vaccination » de Biden

Ces faits, et bien d’autres encore, sont en train d’être digérés par le public américain et les résultats sont clairs : des millions et des millions d’entre nous ne prendront pas le vaccin. Cela ne se fera pas. Nous allons nous battre plutôt que de nous conformer, et nous finirons par gagner. Le programme mondialiste du Grand Reset exige une vaccination totale, des passeports vaccinaux et une conformité totale. Ils ne l’obtiennent pas, donc le résultat naturel sera une tentative de forcer les personnes non vaccinées à accepter le vaccin.

Récemment, Biden a annoncé un plan visant à déployer des « équipes d’enquête » dans toute l’Amérique, qui feraient du porte-à-porte, comme des agents de recensement, afin de déterminer qui a pris les vaccins et qui ne les a pas pris. Ces équipes « encourageraient » également les personnes qui ne sont pas vaccinées à se faire vacciner dans un endroit proche.

Ces enquêtes sont, à mon avis, plus une ruse qu’autre chose. Elles ne peuvent pas recueillir des chiffres exacts car elles n’ont aucun moyen de savoir si les gens disent la vérité ou non. Le but probable de ces enquêtes est de localiser les foyers qui refusent par principe de parler aux équipes et de les marquer comme « problématiques ».

L’attachée de presse de Biden a laissé échapper un langage intéressant sur ces équipes, révélant peut-être leur véritable intention lorsqu’elle les a appelées « forces de frappe ». Est-ce à dire que l’objectif initial sera de forcer les gens à prendre le direct sur le pas de leur porte ? Non, pas dans l’immédiat. Cependant, je pense que les équipes d’enquête sont la prochaine étape vers cette politique à l’avenir.

Pour l’instant, la secte du covid utilise les entreprises pour imposer des mandats médicaux en exigeant que les employés et même les clients se fassent vacciner avant de pouvoir accéder à un emploi ou à des services. C’est inacceptable, car bon nombre de ces entreprises ont bénéficié d’injections de relance sans fin de la part du gouvernement et sont donc redevables aux contribuables. Leurs droits de propriété privée ne s’étendent pas au contrôle de nos décisions ou de nos antécédents médicaux personnels.

Toute société ou entreprise qui exige une preuve de vaccination au nom du gouvernement ou des mondialistes devrait être mise au piquet et mise au pas. Toute entreprise concurrente qui refuse de demander des passeports vaccinaux devrait être soutenue par le public et protégée des représailles du gouvernement. Mon État natal, le Montana, a rendu illégal le fait que des entreprises demandent des passeports vaccinaux, mais de nombreux États ne l’ont pas fait. C’est aux Américains ordinaires, au niveau local, de faire savoir aux entreprises qu’ils ne toléreront pas la tyrannie médicale.

Par extension, les équipes de sondage de Biden sont à proscrire. Elles sont le précurseur des vaccinations forcées au porte-à-porte et de la pression invasive du gouvernement fédéral sur un certain nombre d’autres questions. Cela s’appelle « l’incrémentalisme », et ils pensent que nous sommes trop distraits pour le remarquer. Au fur et à mesure que l’ordre du jour continue de s’effondrer aux États-Unis, l’establishment va se désespérer. Lorsque les mandats de passeport vaccinal des entreprises échoueront (et ils échoueront), ils devront prendre des mesures violentes à court terme pour obtenir ce qu’ils veulent.

Ces équipes devraient être expulsées de toutes les communautés dans lesquelles elles se présentent. Elles ne devraient pas être autorisées à faire du porte-à-porte. Le mouvement pour la liberté gagne un terrain incroyable dans ce combat, mais cela signifie que les élites deviendront plus déséquilibrées et plus dangereuses dans leur rhétorique et leurs actions. Lorsque les obsédés du contrôle et les psychopathes n’obtiennent pas ce qu’ils veulent, ils ont tendance à piquer des crises de colère épiques.

Traduction de Alt Market par Aube Digitale




Emmanuel Macron sans masque ou Le Président qui fait tirer sur son peuple

Par Alain Nicolaï

Macron par Macron, son vrais visage, dans le  Wall Street Journal, le journal des « élites financières » qui n’est pas lu par les manants.

Pour Macron être banquier c’est être… une « prostituée »

1 MILLION €
Emmanuel Macron touchait jusqu’à un million d’euros par an
lorsqu’il était banquier chez Rothschild

Article de Paolo Garoscio du 10/03/2015 publié dans Economie Matin au sujet d’une interview de Macron dans le Wall Street Journal.
http://www.economiematin.fr/news-macron-banquier-pute-metier-ministre-interview

Comment a-t-il osé ? le ministre de l’Économie, qui a été également un banquier au salaire de millionnaire chez Rothschild a-t-il vraiment dit, que les banquiers sont des putes ? Non, en fait il n’a pas dit ça. Comme il donnait une interview au Wall Street Journal il ne pouvait certainement pas utiliser des mots insultants. Il a donc préféré le terme « prostituée »… Oui, c’est pareil.

Emmanuel Macron : le banquier qui attaque… le métier de banquier ?

Ce n’est qu’une anecdote que celle relatée par le Wall Street Journal : au cours d’une interview donnée lors de son séjour à Las Vegas le ministre de l’Économie français s’est un peu lâché. Un peu beaucoup même.

Pas étonnant alors qu’aux États-Unis le politiquement correct est loin de faire partie du quotidien des personnalités publiques… mais la comparaison qu’il a faite ne devrait guère être appréciée par les banquiers de France qui ne sont autres que ses anciens collègues.

 » D’une certaine manière, [quand on est banquier] on est comme une prostituée. Le boulot, c’est de séduire » a déclaré Emmanuel Macron. On est déçus, on aurait aimé un peu plus de détails. Après le « séduire » il y a quoi ?

Sans compter qu’Emmanuel Macron ne considère sans doute pas que les banquiers sont comme une « prostituée » de rue, pas chère, issue des réseaux clandestins d’Europe de l’Est ou de Chine. Rappelez-vous : il aurait gagné plus de 2,5 millions d’euros entre 2008 et 2012.


Il faut croire qu’Emmanuel Macron a pris de bien mauvaises habitudes avant son mandat quand il a travaillé dans le privé, notamment à la Banque Rothschild, un des fiefs de la finance internationale, puisqu’on a pu le constater, notamment depuis le début de la crise sanitaire, il ne respecte pas les lois, et sa grande spécialité est la manipulation des gens et des masses. Il a foulé aux pieds maintes fois les lois républicaines sans sourciller et maintenant, avec son discours du 12 juillet 2021, la Convention internationale d’Oviedo (([1] https://rm.coe.int/090000168007cf99)). Depuis le premier trimestre 2020, il a profité, pour le moins, de l’apathie des membres du Parlement et du Sénat. Il a bénéficié de la complicité de la quasi-totalité de nos institutions et des médias, dont on peut se demander si tous ces gens sont anesthésiés ou corrompus. Les parlementaires et les sénateurs se sont particulièrement distingués en se discréditant, démontrant aux yeux des personnes conscientes l’absence d’entendement de l’écrasante majorité du personnel politique que nous entretenons à nos frais. Très rares en effet sont ceux qui ont compris les colossaux enjeux politiques et surtout sociétaux de cette crise. Car il ne faut pas se voiler la face, le véritable but des manœuvres sournoises de Macron et de l’Union Européenne n’est pas de soigner la population, mais d’établir, à l’aide d’une menace invisible, réelle, mais amplifiée par des ignorants ou des complices, le règne centralisé d’une élite autoproclamée que certains nomment Nouvel Ordre Mondial, et qui exercera son pouvoir sur l’ensemble de la planète sous prétexte de mieux gérer les crises qui d’après eux vont se répéter.

Nous sommes en face d’une révolution planétaire qui se passe sous nos yeux et qui remet en cause totalement, et totalitairement, les principes républicains ; notamment la souveraineté du Peuple sur ce que l’on dénomme l’État ou la Nation. Leur but est de les dissoudre dans une entité supranationale mondiale où ils seront les seuls aux commandes, et dont nous ne serons plus que les manants soumis à leur bon vouloir, bref, ils nous proposent de ne plus qu’être que des pions, des numéros… Tel est l’avenir qu’ils proposent à vos enfants.


Par son discours du 12 juillet 2021, Emanuel Macron  vient de rendre obligatoire la vaccination anti-covid pour les soignants qui doivent tous se faire vacciner avant le 15 septembre 2021.

Un des problèmes est que ces soi-disant vaccin anti-covid ne sont pas des vaccins comme le démontrent les Drs Nicole et Gérard Delépine :
https://nouveau-monde.ca/linjection-genique-anti-covid-nest-pas-un-vaccin/
et de plus ces injections sont dangereuses :
https://nouveau-monde.ca/effets-secondaires-et-deces-lies-aux-injections-experimentales-anticovid/

Une multitude de professionnels de la santé ont déjà alerté sur le caractère frauduleux et dangereux de ces injections et comble du foutage de gueule  le directeur de l’ARS de Nouvelle-Aquitaine, un proche d’Olivier Véran, a osé faire ces aveux sur BFMTV, informations reprises et commentées sur CNEWS :

Pascal Praud : « Ils veulent nous imposer une dictature sanitaire » – Jacques Séguéla : « C’est satanique, c’est un discours satanique » (lemediaen442.fr)

Face aux propos ahurissants du directeur de l’ARS Benoît Elleboode sur BFMTV,  assurant que tous les non-vaccinés seront contaminés par le variant Delta, Pascal Praud s’emporte. Il s’exclame : « J’ai envie de lui dire : à quoi servent les gestes barrières et le masque, si personne n’y échappera… Il faut immédiatement retirer le masque. » L’animateur de CNews a continué sur sa lancée en ciblant Olivier Véran, l’accusant de vouloir imposer une dictature sanitaire. Ce à quoi Jacques Séguéla lance : « C’est satanique, c’est un discours satanique ! »

Pascal Praud : « Ils sont de retour, ils sont là, ils veulent nous imposer — le ministère de la Santé — une dictature sanitaire. Tant que vous ne comprenez pas ça, vous ne comprenez rien. »

Il est bien évident que si la plupart des Français ne sont pas au courant de tous ces problèmes, tellement ils sont soumis à un bourrage de crâne permanent sur les « avantages » de la « vaccination », les soignants par contre sont plus informés, et savent par leurs études, qu’un vaccin ne s’élabore pas en quelques mois, mais en plusieurs années. En toute conscience, ils comprennent qu’avec ces injections pseudo vaccinales, ils risquent leur santé et même leur peau : ils ne veulent pas être de la chair à canon.

Conclusion

En République, le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider et le protéger.

Pour Macron ce n’est pas le cas.

En 2017, il déclarait que s’il était élu il ne serait pas un président « normal ». Ci-dessous, début de l’article de Jefferson Desport, publié par le journal Sud Ouest le 10/03/2017.

Face aux lecteurs de Sud Ouest, Emmanuel Macron a expliqué quel président de la République il sera s’il gagne l’élection.

S’il est élu en mai prochain à l’Élysée, quel président sera Emmanuel Macron ? C’est l’une des questions qui a été posée ce vendredi par une des lectrices de Sud Ouest invitée à rencontrer le leader d’En Marche ! au siège du journal à Bordeaux, en compagnie de sept autres lecteurs. Sur ce point l’ex-ministre de l’Économie a été clair : il ne sera pas un président normal.

« Les Françaises et les Français ne cherchent pas la normalité. D’abord, parce que ce n’est pas une fonction normale. Ensuite, parce que la normalité se déconstruit toujours. Je ne sais pas ce que c’est la normalité. C’est, à un moment, ce qui est dominant dans les représentations sociales. »

Et d’ajouter :

« La normalité se définit par le regard de l’autre. Un président de la République n’est pas défini par le regard de ses concitoyens. C’est lui qui explique et éclaire l’avenir par son regard. C’est une vraie différence ».

Les propos de Macron, que ce soit dans le Wall Street Journal où dans Sud Ouest, mettent bien en perspectives les actes de Macron Président, il n’a aucun respect pour le peuple, il se fout complètement de ce que pensent les citoyens, il exerce le pouvoir comme un despote qui n’a de compte à rendre qu’à ses maîtres financiers.

C’est incontestablement un individu machiavélique qui abuse de la confiance des citoyens pour les trahir. Il ne faut pas qu’il s’étonne quand il en payera le prix.


Bonus :

1– Voici un communiqué récent  du Collectif des Syndicats et  Associations Professionnels Européens :
Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité

2– Piège pour ceux qui ont des prêts en cours, et autres informations :

3– Pour ceux qui n’ont pas encore compris :
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

4– La résistance se renforce jours après jour :






Le monde de Xi Jinping | ARTE

[Source : ARTE]

Derrière son apparente bonhomie se cache un chef redoutable, prêt à tout pour faire de la Chine la première puissance mondiale, d’ici au centenaire de la République populaire, en 2049. Ce portrait très documenté du leader chinois donne un aperçu inédit de sa politique et montre comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix.

En mars 2018, à l’issue de vastes purges, Xi Jinping modifie la Constitution et s’intronise « président à vie ». Une concentration des pouvoirs sans précédent depuis la fin de l’ère maoïste. Né en 1953, ce fils d’un proche de Mao Zedong révoqué pour « complot antiparti » choisit à l’adolescence, en pleine tourmente de la révolution culturelle, un exil volontaire à la campagne, comme pour racheter la déchéance paternelle. Revendiquant une fidélité aveugle au Parti, il gravira en apparatchik « plus rouge que rouge » tous les degrés du pouvoir. Depuis son accession au secrétariat général du Parti en 2012, puis à la présidence l’année suivante, les autocritiques d’opposants ont réapparu, par le biais de confessions télévisées. Et on met à l’essai un système de surveillance généralisée censé faire le tri entre les bons et les mauvais citoyens. Inflexible sur le plan intérieur, Xi Jinping s’est donné comme objectif de supplanter l’Occident à la tête d’un nouvel ordre mondial. Son projet des « routes de la soie » a ainsi considérablement étendu le réseau des infrastructures chinoises à l’échelle planétaire. Cet expansionnisme stratégique, jusque-là développé en silence, inquiète de plus en plus l’Europe et les États-Unis. Son pouvoir et ses ambitions sont d’autant plus renforcés qu’il apparaît comme le grand gagnant de la crise du coronavirus. Entre contre-feux et dissimulation, il poursuit à vitesse grand V son agenda politique et diplomatique afin d’intégrer les minorités au géant chinois, quitte à recourir à la violence. Génocide des Ouïghours, Hongkong, Taïwan : par sa politique, Xi Jinping revendique, plus que jamais, la force de l’hégémonie du régime chinois aussi bien dans les domaines économique et militaire que diplomatique. Avec un seul but : faire de la Chine la première puissance mondiale.

Impériale revanche. Dans ce portrait très documenté du leader chinois, Sophie Lepault et Romain Franklin donnent un aperçu inédit de sa politique et montrent comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix. De Pékin à Djibouti — l’ancienne colonie française est depuis 2017 la première base militaire chinoise à l’étranger — en passant par la mer de Chine méridionale et l’Australie, les réalisateurs passent au crible les projets et les stratégies d’influence du nouvel homme fort de la planète. Nourrie d’images d’archives et de témoignages (de nombreux experts et de dissidents, mais aussi d’un haut gradé proche du pouvoir), leur enquête montre comment Xi Jinping a donné à la reconquête nationaliste de la grandeur impériale chinoise, projet nourri dès l’origine par la République populaire, une spectaculaire ampleur. Elle jette aussi une lumière éloquente sur le système de fichage numérique de la population mis en place sous l’égide du « président à vie », qui a montré, avec la crise du coronavirus, sa redoutable efficacité.

Documentaire de Sophie Lepault (France, 2021, 1 h 30 min)

Disponible jusqu’au 12/08/2021

https://youtu.be/Jm-RKyY6UY0



Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

[Source : ripostelaique.com]

Complot, conspiration, plan ?

[Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

[►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

[Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

[►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture
Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux
Après les tests PCR, le principe du confinement condamné par la justice
Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme “sanitaire”
COVID19: Débunkage du narratif officiel
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
Effets nocifs des masques
Réponse à l’OMS sur le conseil d’utilisation des masques contre la Covid-19
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

[►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

[Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

[►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

[Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

[►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
Les valeurs familiales de Schwab
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

[Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

Philippe Rossi




Note au Saker

Par Joseph Stroberg

En réponse à son article « Note aux dissidents Covid et anti-vaccins »

Le nombre de partisans ou de croyants d’une hypothèse (que ce soit celle de l’existence d’une pandémie ou son opposée) n’est pas une preuve de la validité de cette dernière. Giordano Bruno était le seul de son époque à penser que la Terre tournait autour du Soleil et non l’inverse, et on l’a brûlé vif pour cela.

Simplifier une théorie ou une hypothèse pour tenter de la ridiculiser ou de la démontrer comme étant fausse ne relève pas de démarche scientifique ni d’un processus d’enquête (journalistique ou judiciaire…).

Au-dessus de l’hypothèse discutable de la pandémie Covid-19 qui serait due à un virus dénommé SRAS-CoV-2, il existe quelques faits maintenant indiscutables, tels que les suivants :

  • La plupart des pays du monde (194 pays membres) s’en remettent à l’OMS pour ce qui concerne la gestion des pandémies et d’autres phénomènes médicaux supposés de grande ampleur, ceci du fait de leur adhésion signée à cet organisme.
  • Bill Gates est le plus grand contributeur privé au financement de l’OMS, loin devant la plupart des pays (voir notamment Qui finance l’OMS ? (siksik.org), Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ? Ou encore L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé), suivi par la GAVI et de nombreuses entreprises pharmaceutiques (qu’il finance aussi partiellement).
  • Lors de l’épidémie initiale de Covid, la Grippe a pratiquement disparu des radars.
  • La 5G a été initialement installée à Wuhan, en Corée du Sud et Saint-Marin, pays qui ont vu naître l’épidémie.
  • Le Laboratoire P4 de Wuhan a été financé en partie par la France (par le biais de l’Institut Pasteur). Ce laboratoire travaillait sur des coronavirus issus notamment de chauves-souris (voir : Fauci, OMS, Wuhan… la télévision australienne crève l’abcès).
  • L’OMS a recommandé initialement les mesures sanitaires Covid-19 reprises en chœur par la plupart des pays membres, sans preuve scientifique suffisante de leur validité et alors que jamais dans l’Histoire humaine de telles mesures n’avaient été prises (distanciation sociale, port du masque obligatoire, confinement de biens portants, etc.).
  • Les courbes de mortalité des différents pays ne montrent généralement aucune incidence favorable de ces mesures sur l’évolution de la situation (voir notamment les données de l’OMS et OurWorldinData).
  • Une pandémie très similaire a été simulée quelques semaines avant celle attribuée à la Covid-19, lors de lEvent 201 en fin 2019.
  • Il existe des composants biologiques minuscules d’aspect similaire dans les cellules humaines et animales, dont certains sont appelés « endosomes » (ou « exosomes » lorsqu’ils en sortent) et d’autres « virus » ou « rétrovirus » et dont on ne connaît pas en toute certitude la fonction ou les fonctions exactes.
  • Alors que l’hypothèse d’une origine humaine du SRAS-CoV-2 était décriée pendant près d’un an comme étant purement « complotiste », bien qu’elle soit soutenue comme hautement probable par le Professeur Montagnier et quelques autres sommités, elle circule maintenant sur les médias mainstream en tant qu’hypothèse réaliste et assez probable, surtout depuis que le gouvernement américain a commencé à investiguer sur cette question.
  • Les symptômes attribués à la maladie Covid-19 sont le plus souvent (voir Maladie à coronavirus (COVID-19) : Symptômes et traitement — Canada.ca) :
    • apparition ou aggravation de toux
    • essoufflement ou difficulté respiratoire
    • température égale ou supérieure à 38 °C
    • sensation de fièvre
    • frissons
    • fatigue ou faiblesse
    • douleurs musculaires ou courbatures
    • perte de l’odorat ou du goût
    • mal de tête
    • symptômes gastro‑intestinaux (douleur abdominale, diarrhée, vomissements)
    • malaises intenses.
  • Les symptômes attribués aux ondes pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+…), similaires à ceux attribués à d’autres agents tels que chimiques en raison notamment des phénomènes de résonance et d’induction électromagnétique qui peuvent être induits par ces ondes à des fréquences particulières correspondant aux fréquences propres (notamment d’absorption) de ces agents (voir Diagnostic, traitement, ressources — ASEQ-EHAQ) :
    • Symptômes neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, perte de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, spasmes musculaires, altération des réflexes, douleurs articulaires, douleurs dans les jambes, fièvre, ainsi que des symptômes plus sévères pouvant inclure des paralysies ou encore des psychoses.
    • Symptômes cardiaques : palpitations, arythmie, douleur dans la poitrine, modification de la pression sanguine, modification du rythme cardiaque, manque de souffle.
    • Symptômes respiratoires : sinusites, bronchites, pneumonies, asthme.
    • Symptômes dermatologiques : rougeurs, démangeaisons, sensation de brûlure.
    • Symptômes ophtalmologiques : douleurs et sensations de brûlure, tension oculaire, détérioration de la vision, cataracte.
    • Autres symptômes : problèmes digestifs, douleur abdominale, problème de thyroïde, douleurs aux ovaires ou aux testicules, sécheresse de la bouche, de la langue, des yeux, grande soif, déshydratation, saignements du nez, saignements, modification dans l’assimilation de sucre, problèmes immunitaires, perte de cheveux, douleurs dans les dents, détérioration des sens, perte d’odorat, bourdonnement dans les oreilles.
  • Symptômes grippaux (voir Les symptômes et l’évolution de la grippe) :
    • une forte fièvre (autour de 39 °C) ;
    • des frissons ;
    • une fatigue intense (asthénie), une sensation d’abattement avec perte d’appétit ;
    • des douleurs musculaires (courbatures) et articulaires diffuses ;
    • des maux de tête (céphalées) ;
    • puis une toux sèche et douloureuse.
  • Symptômes de l’action de la protéine Spike des « vaccins » à ARNm et du SRAS-CoV-2 (voir : SARS-CoV2 : alertes sur les potentialités toxiques de la protéine Spike (francesoir.fr) ):
    • microthromboses et saignements, etc.
  • Voir aussi : Les faits sur le coronavirus (ou Facts about Covid-19 – Swiss Policy Research (swprs.org) pour une mise à jour récente en anglais)

Maintenant, ce qui relève pour l’instant de questionnements légitimes qui n’ont pas encore reçu de réponse positive (voir Déclaration sur l’isolement des virus, Le culte de la virologie – Documentaire et Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies pour plus d’informations sur ces problématiques) :

  • Le virus SRAS-CoV-2 a-t-il réellement été isolé au sens physique du terme (à savoir séparé comme entité unique et indivisible d’autres composants issus d’une soupe génétique en provenance de tissus biologiques supposément infectés par lui) ? Il faut savoir que lorsque les virologues parlent habituellement de virus « isolé », ils ne font en fait que reconstituer son séquençage génétique à partir d’un modèle. Et un tel séquençage passe par une opération logicielle assez semblable à la résolution d’un puzzle mathématique dont il manque toujours des pièces et dont certaines ne se placent pas correctement dans les cases (et pour lesquelles le logiciel effectue une sorte de moyenne ou de rabotage, afin de pouvoir l’y caser). Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle génétique utilisé pour cette opération logicielle est le génome lui-même séquencé (et donc supposé, mais non certain) du SRAS-CoV-1.
  • Est-ce que ce virus respecte tous les postulats de Rivers et le premier postulat de Koch, conditions minimales indispensables pour pouvoir démontrer qu’il serait effectivement la cause d’une maladie appelée Covid-19 ?
  • Vladimir Poutine, la plupart des dirigeants du monde et des virologues et autres experts mandatés « mainstream » (et souvent les seuls écoutés par ces dirigeants, au détriment de ceux qui ne suivent pas l’hypothèse ou croyance dominante) sont-ils omniscients et à l’abri de se tromper, qu’ils soient ou non majoritaires ?

Et ce qui relève seulement d’hypothèses non indubitablement démontrées, mais largement contestées par une partie non négligeable de chercheurs et de médecins sur la base de solides arguments statistiques et/ou factuels :

  • La Covid-19 serait une maladie unique (et non un ensemble disparate de symptômes couvrant plusieurs maladies ou problématiques différentes, dont, par exemple, l’exposition aux ondes électromagnétiques pulsées et particulièrement la nouvelle 5G à laquelle les corps humains ne sont pas encore habitués ?).
  • Elle aurait fait près de 4 millions de morts comme cause unique ou principale depuis plus d’un an et demi.
  • Les masques, le confinement, la distanciation sociale et la « vaccination » auraient ralenti l’épidémie.
  • Les virus seraient de méchantes nano bestioles provoquant des maladies plus ou moins mortelles (alors qu’une théorie alternative les présente comme simples conséquences de processus de dégradation cellulaire ou comme agents réparateurs dans d’autres cas, selon leur forme et structure).

Un argument de ceux qui tentent de rejeter la possibilité d’une hypothèse alternative à celle de pandémies virales consiste à dire qu’une théorie ou une explication extraordinaire requiert une preuve extraordinaire. En quel honneur devrait-elle bénéficier d’un traitement de défaveur en matière de mécanisme démonstratif, surtout si rien n’a encore été trouvé qui puisse véritablement la contredire ?

En matière de contradiction, par contre, la théorie virale fait figure de fragile château de cartes. Il semble bien malheureusement que jamais le moindre virus n’ait été véritablement isolé au sens physique du terme (mais seulement « séquencé par logiciel à la suite de processus physico-chimiques complexes ou particuliers ») et surtout n’ait pu être démontré comme cause effective de la maladie qu’il est supposé provoquer. Autrement dit, la pierre angulaire de cette théorie n’existe pour l’instant pas! Et si la théorie virale est sans fondement effectif, on comprend facilement qu’humainement et professionnellement, peu de virologues, d’infectiologues et autres experts microbiologiques le reconnaîtront et le mettront en avant au risque de ruiner leur carrière et le sens de leur vie.

La conséquence d’une telle remise en question scientifique serait la fin de la vaccination qui repose sur l’existence de virus nocifs comme causes de maladies dites « virales », et, dans la foulée, la fin probable de l’existence de l’industrie pharmaceutique. On comprend alors facilement que toute théorie alternative, aussi géniale soit-elle, sera massivement combattue par tous les moyens et par le biais d’un outil largement subventionné par cette industrie : les médias mainstream. Il s’agirait néanmoins d’une véritable révolution et représenterait probablement le seul moyen restant pour faire chuter le Nouvel Ordre Mondial, surtout si la fameuse « marque de la Bête » se trouve intimement liée à cette pseudo vaccination anti-Covid mondiale qui est poussée en avant par presque tous nos dirigeants pourtant peu enclins habituellement à servir réellement leurs peuples.




L’opération Covid-19 met à nu le « Nombre de la Bête »

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

« (…)fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

Nouveau Testament, Apocalypse, chapitre 13

Comme la vague de criminalité Covid est si ÉNORME, il y aura de graves conséquences !

Il y a maintenant des fissures énormes et irréparables qui s’ouvrent dans la façade du Plan Covid-Arnaque (Plandemie).

Le SYSTÈME de la BÊTE

La chose extraordinairement unique à propos de cette plus grande conspiration criminelle mondiale de l’histoire du monde, c’est qu’elle devait impliquer tout le monde – chaque entité institutionnelle majeure, c’est-à-dire qui était nécessaire pour mener à bien ce gigantesque canular.

Cela signifie que le  SYSTÈME DE LA BÊTE[1] a  révélé à quel point il est puissant et omniprésent à travers la planète.

Le graphique suivant ne capture que certaines de ces entités institutionnelles et mouvements mondialistes qui ont constitué le  SYSTÈME DE LA BÊTE depuis le tout début. Il comprend également des opposants féroces qui ont exposé le canular CORONA actuel  .

CARTE DE CONSPIRATION CRIMINELLE COVID

Même un examen superficiel du précédent diagramme du complot COVID-5G révèle que chaque grande institution mondiale et nationale, qui est vitale pour la continuité du  SYSTÈME DE LA BÊTE, s’est inscrite sur la « carte de la frénésie de crime Covid » en constante évolution.

La première de ces organisations criminelles est peut-être le complexe gouvernemental et médical (GMC) qui a participé à ce génocide mondial sans précédent en tant que principal criminel opérationnel de Covid.

Le GMC comprend l’OMS, le CDC, la FDA, le NIH [dirigé par Fauci], l’AMABig Pharma [Ndlr : ensemble des grosses entreprises pharmaceutiques] et plusieurs autres poids lourds de la santé qui ont tous conspiré pour mener un complot criminel extrêmement complexe afin de commettre un génocide mondial et de couvrir la vague mondiale de criminalité Covid. [Ndlr : cela reste malgré tout une hypothèse.]

Dès le départ, les chances d’empêcher un complot criminel aussi complexe de se dénouer complètement étaient minces, voire inexistantes, et plus proches de « NULLES ». En effet, comment compter sur les innombrables co-conspirateurs pour se serrer les coudes lorsque les choses deviennent difficiles — vraiment difficiles, comme c’est sur le point de l’être alors que les perspectives d’un nouveau verrouillage mondial augmentent en raison du « variant Delta » inexistant et totalement faux.
[Voir : ]LA VARIANTE DELTA REDOUTÉE :
une autre opération noire de Covid et un psyop mondial de proportions épiques

Le fait que la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial ait même imaginé qu’elle pouvait maintenir cette conspiration criminelle et cette dissimulation témoigne d’un degré d’orgueil et d’arrogance jamais atteint dans l’histoire.

Maintenant que l’ensemble du système de santé américain, ainsi que les différents gouvernements à tous les niveaux à travers les États-Unis, ont souffert d’une perte de confiance incomparable en raison du génocide gériatrique délibéré exécuté au cours de l’année et demie écoulée, qu’est-ce que les médecins autrefois dignes de confiance espèrent voir se produire ?

Maintenant que les mêmes responsables de la santé et les hommes de main politiques ont imposé à la population des vaccins hautement expérimentaux, qui se sont avérés extrêmement dangereux pour la santé humaine et souvent mortels, comment les médecins du monde entier vont-ils répondre aux accusations de « meurtre par médicament » et de « viol médical » ?

Avouons-le : la fête est finie pour Big Pharma et tous leurs nombreux co-conspirateurs criminels qui ont empoisonné les citoyens américains pendant plusieurs décennies.

L’effondrement en chute libre de la confiance qui se produit actuellement ne fera que s’accélérer à mesure que de plus en plus de personnes mourront des injections répétées de vaccins Covid, ou deviendront mortellement malades des expositions au défilé annuel des prochaines grippes en raison de leur vulnérabilité accrue après avoir reçu les vaccins.

Il est devenu tout à fait clair que l’une des principales raisons de la poussée démesurée pour vacciner chaque personne sur la planète — SANS CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ — était de la rendre considérablement plus sensible à tous les agents infectieux communs qui circulent lors de chaque saison de grippe. Les victimes vaccinées seront également beaucoup plus vulnérables face aux nombreux autres micro-organismes pathogènes et microbiens virulents en raison de leur système immunitaire fortement compromis et/ou supprimé.

Bien entendu, tous ces développements intentionnels ont été soigneusement mis en œuvre par le  SYSTÈME DE LA BÊTE (SB).

Parce que le SB satanique s’est maintenant pleinement exposé, il n’a d’autre choix que d’aller à fond dans sa tentative de verrouiller l’ensemble de la civilisation planétaire. Car une fois que la boîte de Pandore a été ouverte, il est impossible de remettre les choses comme elles étaient. Ce qui veut dire que LA GRANDE ARNAQUE COVID était en réalité un énorme coup de poker aux conséquences considérables… pour l’élite au pouvoir.

Ce qui est maintenant clair, c’est que les criminels covidiens se sont mis à nu comme jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité, et ils seront — finalement — traqués et sévèrement punis, à moins qu’ils ne dépeuplent la planète de tous les chercheurs de vérité.

Contrairement aux « attaques sous faux drapeau du 11 septembre », à la « guerre contre le terrorisme » et à d’autres crimes odieux contre l’humanité, le complot criminel hautement prémédité et organisé du Covid a été placé carrément dans l’arrière-cour de tout le monde. Chaque personne sur Terre a été profondément affectée par la pure malveillance démontrée par les pouvoirs en place tout au long de cette guerre de bioterrorisme en cours. Et cela seul change tout, car tout le monde, à des degrés divers, joue sa peau dans le jeu.

Qui sont au juste les individus et les organisations qui commettent ce plus grand « crime de l’ère » ?

Marque de la bête

Quelle plus grande preuve existe-t-il de l’existence d’un SYSTÈME DE LA BÊTE apparemment tout-puissant que la « Marque de la Bête ?

N’est-ce pas le but de l’Agenda de Super Vaccination Covid ? Pour s’assurer que chaque personne sur la planète soit dotée de la  « Marque de la Bête » laborieusement conçue par Bill Gates ?

Quoi de mieux que d’imposer un programme de vaccination obligatoire au COVID-19 à toute l’humanité ?

Bien que ce plan d’agression médicale par vaccination anti-Covid puisse sembler tiré par les cheveux, c’est exactement l’objet du plan.

Par conséquent, il est impératif que les États-Unis, informés et conscients, fassent tout ce qui est nécessaire pour empêcher l’approbation par la FDA des vaccins les plus dangereux et les plus mortels de l’histoire des États-Unis.

Conclusion

À la lumière de ces dures réalités, il est fort probable que les pouvoirs en place souffriront bientôt à la fois de la fatigue psychologique et de l’épuisement des gens suite à la dissimulation.

Pensez simplement à la main-d’œuvre, au temps et à l’énergie qu’il faut à la fois pour perpétuer cette fausse pandémie de COVID-19, puis pour la couvrir, puis pour administrer un programme de super vaccination anti-Covid extrêmement nocif et mortel  dans le monde entier.

Il va sans dire qu’une opération bioterroriste de cette taille et de cette ampleur est vouée à entraîner BEAUCOUP d’erreurs, beaucoup d’erreurs graves. Voir :  CE MÉMO SECRET EST-IL UN SUPER COUP MONTÉ PAR LES CRIMINELS BRITANNIQUES DE LA COVIDIE ?

La simple surveillance de tous les lanceurs d’alerte devient également une opération majeure. Le niveau d’espionnage et de surveillance 24h/24 et 7j/7 est à lui seul un travail colossal qui doit être entrepris sans failles. De plus, tout ce qu’il faut, c’est un dénonciateur courageux pour faire exploser — pour de bon — tout le stratagème criminel covidien.

Chaque entité institutionnelle au sein du SYSTÈME DE LA BÊTE a connu un effondrement complet de la confiance dans le monde entier depuis que COVID-19 a été nommé pour la première fois.

En fait, les systèmes politiques, médicaux, scientifiques, juridiques, universitaires et autres systèmes influents ont perdu à jamais la confiance du peuple. [Ndlr : tout au plus de la partie du peuple qui a gobé l’histoire officielle]. De même, les gouvernements à tous les niveaux ont subi de manière irréversible la perte de confiance des gouvernés, qui est nécessaire pour continuer cette ruse covidienne. Finalement, le public forcera ces fonctionnaires criminels et corrompus à quitter leurs fonctions. Et, de nombreux criminels covidiens seront probablement poursuivis dans toute la rigueur de la loi.

Ce n’est qu’alors que Nous, le Peuple, nous reposerons tranquillement.

Note spéciale :  ce que ces super-criminels covidiens ont fait jusqu’à présent est si outrageusement barbare qu’ils se sont créés un dilemme « ça passe ou ça casse ». En d’autres termes, s’ils ne verrouillent pas la planète comme jamais auparavant, ils subiront tous les conséquences les plus graves. Être pendu en direct sur Internet serait pour eux s’en tirer à bon compte. Par conséquent, à l’avenir, les criminels covidiens feront tout ce qui est nécessaire pour éviter leur chute respective et certaines punitions. Cela signifie que la situation ne fera que s’intensifier pendant le mandat du POTUS [Ndlr : « Président des États-Unis »] Imposteur Joe Biden, et que les contrôleurs covidiens deviendront beaucoup plus effrontés et imprudents dans leurs efforts pour dépouiller les Américains de leurs droits et libertés constitutionnels.

Source : OPERATION COVID-19 EXPOSES THE BEAST SYSTEM

Source : State of the Nation

Traduction automatique [Révisée par Nouveau Monde]


NOTE de H. Genséric

[1] Beaucoup de gens soulignent des similitudes entre les caractéristiques des vaccins et la marque de la bête du livre de l’Apocalypse.

La marque de la bête est décrite dans le Nouveau Testament, plus précisément dans l’Apocalypse, chapitre 13. Dans ce dernier livre de la Bible, l’auteur, connu sous le nom de Jean l’Ancien, décrit les visions qu’il voit à la fin du monde.

Deux bêtes surgissent de la mer, et la seconde bête « fait que, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, soient marqués sur la main droite ou sur le front, de sorte que personne ne puisse acheter ou vendre à moins qu’il a la marque. »

On en arrive aujourd’hui à la situation catastrophique suivante : personne ne peut acheter ou vendre, aller au travail ou à l’école, ou voyager, etc. sans posséder la marque de la bête, c’est-à-dire le « pass vaccinal » et autres documents de marquage et puces électroniques intégrées au corps humain au moyen des soi-disant vaccins.

Voici ce qu’a dit Bill Gates dans un article sur le sujet dans Yahoo Finance :

« La solution ultime, la seule chose qui permettrait un retour complet à la vie normale,  de pouvoir s’asseoir sans crainte dans un stade plein de gens, serait de créer un vaccin. Et cela pas seulement dans notre pays mais dans le monde entier afin de créer une vaste immunité et que « cette chose » quelle qu’elle soit ne se propage pas en grand nombre »

Vouloir un vaccin pour lutter contre le Covid 19 n’est pas suspicieux en soi. C’est ce que Bill Gates a dit ensuite qui a soulevé des soupçons.
En effet, dans un autre article : Bill Gates veut pucer les gens avec une micro chip pour « lutter contre des maladies » comme le Coronavirus (Kurios.com). Durant une session de Reddit, Gates a parlé de « certificats numériques » révélant qui a guéri ou qui a été vacciné contre le Covid 19. Ceci a soulevé des inquiétudes chez de nombreuses personnes qui craignent que le milliardaire américain, promoteur de vaccins tueurs en Afrique, veuille implanter des puces à tout le monde.

Et, en effet, Gates a suggéré une telle possibilité :

« Cependant, le sujet de controverse concerne les certificats numériques. On aura donc un registre des gens testés, vaccinés »

A quoi fait-il référence ?
Peut-être à son « quantum dot tatoo » ? Il s’agit d’un tatouage invisible accompagnant le vaccin : il est fait de points quantiques : de très petits cristaux semi-conducteurs qui reflètent la lumière et qui brillent en présence de lumière infrarouge.

Ces tatouages incluent l’application de micro aiguilles résorbables contenant le vaccin et des capsules microscopiques contenant des points fluorescents à base de cuivre. Ces capsules étant biocompatibles. (Jamesfitzer.org)

Ces tatouages ont pour but de contenir le carnet de santé de chaque personne. C’est la fondation Bill et Melinda Gates qui a poussé à trouver une solution pour identifier les gens vaccinés et qui a financé cette recherche publiée dans le « Journal of Translational  Medecine »

Ces tatouages sont en cours de développement par les chercheurs du MIT (Institut de technologie de Massachussetts) et Rice University. 

Ceux-ci ont créé une encre qui peut être incorporée dans la peau avec le vaccin et qui est lisible uniquement par un smartphone spécial (camera et filtre spécialisés)

Ce système de dépistage dans la peau destiné à tous les habitants du monde ressemble à la fameuse « marque de la bête » .

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VOIR AUSSI :
Sur la route du servage. Neuralink Brain Chip mettra fin au langage dans 5 à 10 ans
Assassinats par vaccins : le plus grand scandale du 21e siècle
En 2009, Projet Dépopulation : Bill Gates rassemble les « meilleurs » milliardaires du monde
– De Platon à Packard : de la gestion du troupeau humain par les élites et le bio-contrôle. Par N. BONNAL
– Les vaccins covidiques intègrent une micropuce de la DARPA  


[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]