Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org via profession-gendarme.com]

[Voir Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français ! pour le rapport complet]

Extrait du rapport du Pr Zelenko déjà publié en entier sur PG [Profession Gendarme] ; cette partie concerne les maîtres du monde et les différentes organisations qui leur permettent de tout contrôler dans leurs seuls intérêts.
Pour ceux (trolls ou autres) qui sur le site accablent les juifs ils devraient comprendre en raison de la personnalité d’un des auteurs, le médecin, que les juifs comme les autres populations sont victimes de criminels qu’on croit juifs comme les Rothschild mais qui sont membres d’une mafia khazars qui ont pris le nom du blason corporatiste de leur boutique en Allemagne, le bouclier rouge.

Profession Gendarme

[Voir L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Qui sont ces criminels ?

Découvrez les familles obscures qui gouvernent le monde

Qui sont exactement ces criminels ? Avons-nous certains de leurs noms et où ils se trouvent ? Comment opèrent-ils et comment peut-on faire pour les arrêter ? Une partie importante de la réponse est donnée par le magnifique documentaire Monopoly, qui peut être visionné sur StopWorldControl.com.

MONOPOLY révèle en détail, avec toutes les preuves à l’écran, comment pratiquement tout dans notre monde appartient aux mêmes personnes. Cela montre qui ils sont et ce qu’ils prévoient pour l’humanité. À voir pour tout le monde !

[Voir aussi Les projets des Maîtres du Monde]

Parce que ces entités super riches possèdent tout, c’est un jeu d’enfant pour elles de contrôler le monde. Ils possèdent Apple, Facebook, Twitter, Google, Facebook et le reste de Big Tech, tous les principaux médias d’information, toute l’industrie du voyage, toute l’industrie alimentaire, les banques, l’industrie du vêtement, etc.

En achetant stratégiquement tout, ils ont acquis un monopole sans égal dans le monde entier. Quelque chose dont Jules César ne pouvait que rêver…

Ils possèdent également l’ensemble du secteur de la santé, ce qui leur permet de dire aux hôpitaux du monde entier ce qu’il faut faire et ne pas faire.

Ils ont positionné leurs marionnettes politiques dans les gouvernements du monde entier par la fraude électorale, la corruption et le chantage. Une fois que nous comprenons cela, nous pouvons voir comment ils sont capables d’imposer la tyrannie partout dans le monde.

Cela me mènerait trop loin de nommer toutes les entités individuelles impliquées, mais je vais en révéler quelques-unes, qui sont au cœur de ce réseau. En Italie, il existe par exemple 13 familles ou lignées italiennes, appelées la «noblesse noire». Je les appelle « la mafia sous stéroïdes ». Ces familles, ainsi que d’autres dynasties similaires d’autres régions de la terre, se considèrent supérieures au reste de l’humanité. Ils considèrent les gens ordinaires comme des « insectes », des « bovins » et des « chiens ». C’est littéralement comment ils écrivent sur vous et moi dans leur littérature.

Ils croient que c’est leur destin de régner sur l’humanité, qui doit devenir leurs esclaves.

Jeff Bezos, Bill Gates, Georges Soros

Ces familles sont organisées selon une hiérarchie pyramidale, où finalement tout le monde répond aux mêmes marionnettistes au sommet.

La clé de leur pouvoir est le secret, donc personne ne peut les toucher.

C’est pourquoi les vrais leaders restent toujours dans l’ombre.

La population mondiale ne voit que des marionnettes qui opèrent sur le devant de la scène mondiale, comme des politiciens contrôlés, des célébrités hollywoodiennes, des dirigeants industriels, des personnalités des médias, etc.

Certaines marionnettes plus connues sont Klaus Schwab, Bill Gates, George Soros, les Clinton, la famille Bush, etc.

Bien qu’ils soient tous individuellement très riches et puissants, ils sont soumis à des entités plus haut placées dans la hiérarchie, mais qui s’assurent de rester hors de vueLe secret est leur force.

L’une de leurs stratégies consiste à mettre en place des organisations publiques « mondiales », qui sont leurs plates-formes visibles pour élaborer leur agenda. L’un d’eux est devenu très important pendant cette pandémie organisée et s’appelle l’Organisation mondiale de la santé, qui est principalement financée par Bill Gates, une marionnette clé de ce réseau criminel. L’OMS dicte à toute l’humanité – pensez-y ! – ce que nous pouvons ou ne pouvons pas faire en matière de santé. Personne n’a élu l’Organisation mondiale de la santé et personne ne veut qu’ils soient là pour intimider chaque médecin, infirmière et praticien de la santé dans une obéissance aveugle.

L’OMS force le monde entier à se soumettre inconditionnellement à ses « directives » tyranniques, qui sont plus souvent anti-scientifiques que fondées sur une science appropriée.

L’OMS a par exemple dit au monde entier d’utiliser le test PCR pour découvrir les cas de covid, alors que ce test ne peut pas discerner les différents types d’agents pathogènes, et produit jusqu’à 93% de faux positifs. Ce test défectueux est le principal outil pour dire au monde qu’il y a une pandémie, alors qu’aucun dispositif médical dans l’histoire n’a jamais été aussi peu fiable. Pourtant, ce protocole anti-scientifique est imposé au monde entier, pour favoriser l’illusion d’une pandémie mondiale, qui repose principalement sur des faux positifs. Les centaines de millions de soi-disant « cas de covid » ne sont que des faux positifs, résultant d’un test fatalement défectueux. Le virus Sars-Cov-2 n’a jamais été isolé et purifié, il est donc impossible de le tester. C’est une arnaque aux proportions astronomiques.

C’est un exemple de la façon dont une « organisation mondiale » est utilisée pour déployer le programme de soumission de l’humanité à la tyrannie, au nom de la « protection de votre santé ».

Une organisation similaire est l’Organisation des Nations Unies, qui se présente comme le soi-disant « gardien de la paix » de ce monde. Leur agenda est cependant de soumettre toute l’humanité à un gouvernement mondial. L’ONU travaille en étroite collaboration avec l’Union européenne et l’OTAN, qui sont des outils similaires pour les familles criminelles pour anéantir l’indépendance des nations et mettre en place un gouvernement mondial.

Un autre acteur public est le Forum économique mondial, fondé par Klaus Schwab.

[Voir aussi :
Les valeurs familiales de Schwab
et
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Forum économique mondial se présente comme un groupe de réflexion pour les riches et les puissants du monde, où ils « cherchent des solutions aux problèmes du monde ».

Leur mot magique est « développement durable » qui prétend assurer un avenir meilleur à notre monde. En collaboration avec l’ONU, ils ont développé le soi-disant Agenda21, qui prétend offrir la solution ultime pour un monde plus durable.

En réalité, cela signifie rien de moins que de s’emparer de tous les droits, libertés et propriétés de l’ensemble de la population mondiale et de tout mettre entre les mains des super-riches.

Ensuite, il y a l’empire bancaire, qui contrôle tout l’argent du monde. Leur travail consiste à créer une société sans argent liquide où seuls ceux qui sont connectés numériquement au système de surveillance et d’esclavage, auront toujours accès aux finances. Le gouvernement nigérian a été généreusement payé par eux, pour réserver les services bancaires strictement aux vaccinés, un exemple qui sera bientôt suivi par d’autres pays.

Une entité de premier plan dans l’empire bancaire est la célèbre famille Rothschild. Ils possèdent les banques centrales de 165 pays, contrôlant ainsi les flux monétaires dans la plupart des pays. Depuis les temps anciens, cette famille s’est consacrée au culte de la plus sombre de toutes les forces. Une autre famille bien connue est celle des Rockefeller. Ils ont publié le « Scénario du futur » en 2010.

[Voir aussi :
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation
et
La synagogue de Satan]

Des entités comme le Rockefeller Institute se présentent comme des protecteurs de l’humanité, mais derrière ce masque humanitaire se cache un visage macabre de soif de pouvoir.

J’ai déjà mentionné la noblesse noire d’Italie. Leur stratégie la plus efficace a été de se cacher derrière le beau visage du christianisme, lorsqu’ils ont établi le Vatican à Rome, en tant que « centre du catholicisme romain ».

Derrière l’architecture monumentale des cathédrales majestueuses, se cache pourtant un monde si sombre et pervers, qu’aucun être humain normal ne pourrait jamais le comprendre. L’exposition récente d’abus organisés et systématiques d’enfants dans ce bastion religieux n’est que la plus petite pointe d’un iceberg si profond qu’il traumatiserait la plupart d’entre nous, si nous savions ce qui s’y passe.

Ne vous y trompez pas : il y a aussi de bonnes personnes religieuses au Vatican, qui n’ont tout simplement aucune idée de ce qui se passe dans les coulisses.

[Voir aussi :
La Bête de la Mer: l’Église Catholique Romaine dans la Prophétie
Ndlr : le mot « Église » signifie originellement « Assemblée de fidèles » et l’Église guidée par Simon était une assemblée de chrétiens, d’essence spirituelle. Le Catholicisme Romain s’est lui construit sur des pierres.]

C’est tout un immense théâtre de marionnettes, où la majorité des gens – même la plupart de ceux qui sont complices – n’ont pas la moindre idée de ce qui se passe et de la façon dont tout le monde est trompé.

Le Vatican est situé à l’intérieur de la Cité du Vatican, qui est un État souverain indépendant de l’Italie, où aucune loi italienne n’a d’autorité. Parce qu’ils ne sont soumis aux lois d’aucun pays, pas même de l’Italie qui les entoure, ils peuvent commettre tous les crimes qu’ils veulent.

Des États souverains similaires à l’intérieur des nations sont « La Cité de Londres » (un État indépendant au sein de Londres qui échappe à toutes les lois britanniques mais contrôle le gouvernement britannique), « Washington DC » (ou le District de Columbia, qui est un État souverain à l’intérieur des États-Unis États, qui règne sur le peuple américain). Les familles criminelles ont mis en place ces « États au sein des nations » intouchables à partir desquels elles opèrent.

La Cité du Vatican est la plus importante de toutes, et c’est ici que les plus hauts marionnettistes ont leur siège.

Nous connaissons tous le Pape Blanc, un rôle qui est actuellement joué par le Pape François. Son travail consiste à contrôler la communauté de foi catholique romaine dans le monde entier et à l’orienter vers le Nouvel Ordre Mondial. Dans plusieurs messages publics, il appelle tous les croyants à se faire vacciner112, et continue à proclamer le Nouvel Ordre Mondial comme la seule solution aux problèmes du monde. Voici quelques-unes de ses déclarations :113

« Nous pouvons guérir l’injustice en construisant un nouvel ordre mondial … Le chemin du salut de l’humanité passe par la création de un nouveau modèle de développement … prendre soin de la Terre, avec des choix personnels et politiques radicaux, … sans pour autant une vision globale il n’y aura pas d’avenir … nous devons mettre un terme au nationalisme qui n’a pas de vision d’avenir … »

Outre le pape blanc, il existe également un pape noir moins connu qui a beaucoup plus de pouvoir, mais qui travaille davantage dans les coulisses.

Le Pape Noir est cependant toujours soumis à celui qui siège sur un trône plus élevé : le Pape Gris. Ce marionnettiste suprême opère entièrement dans l’ombre, d’où il détient un énorme pouvoir sur le monde.

Si vous voulez comprendre comment tout cela est né historiquement, vous devez rechercher les sombres origines spirituelles des jésuites. Je vais le laisser ici, pour l’instant, car ce sujet peut facilement nous conduire trop loin.

Nous devons comprendre que ce réseau criminel est de nature hautement spirituelle et que tous ceux qui sont au sommet sont impliqués dans de sombres pratiques spirituelles anciennes.

Pour parler franchement, ce sont des satanistes, aussi appelés lucifériens. Leur stratégie est cependant de toujours se cacher derrière de magnifiques masques, qui montrent le contraire de qui ils sont.

[Voir aussi : Quelle est la différence entre le diable, Lucifer et Satan? Religion la maison de l’esprit – Jecoco.com]

Nous le voyons avec Klaus Schwab, qui utilise une rhétorique éloquente pour ensorceler l’esprit de son public mondial et le convaincre que la plus noble de toutes les causes est de s’assurer que chaque humain sur terre pensera et ressentira exactement la même chose. « Elevez l’humanité dans une conscience collective ».

La façon dont il présente ce plan fou et délirant est cependant si rusée que la plupart des gens lui feraient une ovation debout, après avoir entendu son discours. La même chose que nous voyons avec le Pape Blanc, qui parle magnifiquement de prendre soin des pauvres, de mettre fin à l’injustice, de sauver la Terre et d’autres nobles causes, alors qu’en fait il dit simplement : « Le monde entier doit être asservi à un gouvernement mondial unique. , où personne n’aura de voix, de droits, de libertés, de biens, d’identité ou de vie privée. » C‘est le même genre d’hypnose qu’ils utilisent pour imposer les vaccins : « Le monde est attaqué par une maladie mortelle, mais nous avons une solution merveilleuse : des vaccins qui sauvent des vies. Hourra! » Que ces merveilleux vaccins contiennent des créatures vivantes avec des tentacules, des nanoparticules qui s’auto-assemblent, des substances hautement toxiques, et qu’elles en tuent des millions, n’est évidemment pas mentionné.

Il s’agit d’hypnotiser l’humanité en utilisant des formes raffinées d’hypocrisie et de tromperie.

Une autre façon pour ces criminels d’opérer est de s’organiser en soi-disant sociétés secrètes, pour établir leur influence cachée dans chaque nation.

En dehors des sociétés complètement cachées, il existe aussi des cultes plus publics, comme la franc-maçonnerie.

C’est l’une des organisations spirituelles les plus connues, utilisée pour influencer les autorités locales dans pratiquement chaque ville de chaque nation.

Ils attirent des personnes en position d’autorité, prétendant être une organisation innocente qui veut aider l’humanité.

Ce n’est que lorsque les membres grimpent aux niveaux supérieurs de la franc-maçonnerie, qu’ils découvrent que c’est du satanisme.

La franc-maçonnerie vise à faire des personnes influentes de chaque communauté leurs membres, afin qu’elles puissent les utiliser pour la réalisation de leurs plans.

Le lanceur d’alerte de Google Zach Vorhies109 m’a dit dans une conversation personnelle qu’en 2016, Google a présenté ses plans pour programmer l’humanité dans un endroit révélateur : le siège de la franc-maçonnerie de San Francisco. Là, Google a informé son personnel de la stratégie de l’entreprise : façonner l’esprit de l’humanité. Cela illustre comment la franc-maçonnerie joue un rôle central dans cet agenda mondial.

Les nombreuses sociétés secrètes travaillent en étroite collaboration avec les services secrets des nations, comme par exemple la CIA et le FBI en Amérique. Des entités qui, en apparence, combattent le crime, mais sont en réalité parmi les pires de toutes les organisations criminelles.

Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte, qui a été assassiné pour ses aveux, a admis il y a quelques années que les journalistes du monde entier sont payés par les services secrets, les sociétés secrètes, les agences gouvernementales, les milliardaires, etc. pour toujours mentir et ne jamais dire la vérité à le public.

[Voir Les relations troubles entre les journalistes et la CIA]

Son témoignage important peut être vu dans le documentaire BUSTED sur StopWorldControl.com. C’est à cause des aveux de ce brave journaliste – qui fut rédacteur en chef d’un des plus grands journaux d’Europe – qu’un grand réveil est en train de se produire en Allemagne. Son livre a ouvert les yeux de la population allemande, qui est désormais une force majeure contre le Nouvel Ordre Mondial.

Bien que la Cité du Vatican, Washington DC et la ville de Londres soient le siège des familles criminelles, bon nombre de leurs opérations logistiques ont été transférées vers des pays asiatiques, car ils prévoient d’utiliser la Chine pour renverser le reste du monde. Le régime communiste oppressif d’esclavage total et de contrôle qu’ils ont installé en Chine, doit maintenant être étendu au reste du monde.

Notre ennemi n’est cependant pas le Parti communiste chinois, puisqu’ils sont aussi de simples marionnettes. Ceux qui tirent les ficelles sont toujours assis dans la Cité du Vatican.

La bonne nouvelle est qu’il y a eu beaucoup de luttes intestines dans ce réseau criminel, ce qui l’a fait s’effondrer dans plusieurs camps, qui se disputent tous la domination mondiale. Puisse cette confusion parmi eux augmenter, alors qu’ils tombent dans leurs propres fosses et que leurs plans échouent lamentablement.

On peut en dire beaucoup plus sur tout cela, car de nombreux livres ont été écrits sur ce réseau criminel, par des chercheurs qui ont souvent consacré leur vie entière à les exposer. Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez trouver une mine d’informations de qualité compilées par d’excellents chercheurs sur le site Web néerlandais Ellaster.nl. Utilisez Google Translate pour lire les articles :
https://www.ellaster.nl/category/val-vancabal/cabal

Vous pouvez également regarder la série documentaire « La chute de la Cabale » sur StopWorldControl.com, un chef-d’œuvre du journalisme qui explique beaucoup de choses sur cette « cabale » mondiale. (Traduction en français de cette série de vidéos « La chute de la cabale », ici :
https://infovf.com/video/les-origines-cabale-part-the-sequel-the-fall-the-cabal-janet-ossebaard–1746.html )

Source : The vaccine death report par Valdimir Zelenko et David John Sörensen pages 37 à 42.

Traduction : par https://la-verite-vous-rendra-libres.org/




Philippe de Villiers : « Le Grand Reset, c’est le contrôle total »

[Source : michelledastier.com]






La protestation contre le pass sanitaire et pour la liberté se généralise dans le monde

Par Nicole Delépine

ELLE PREND PLUSIEURS FORMES

Des manifestations, des défilés, des rassemblements

Manifestations du 30 octobre 2021

Grande convivialité entre les manifestants qui chantent, font de la musique

Mulhouse

https://twitter.com/i/status/1454452104672817160

Nice

https://twitter.com/i/status/1454460057475850241

Paris et les parapluies, mais toujours là, les Parisiens

Mais aussi Montbéliard et plein de petites villes

Des tables ouvertes favorisant rencontres, discussions, conseils

D’autres choisissent pour se faire entendre d’autres modes de contestation comme le blocage des péages répété par des gilets jaunes

LA RÉVOLTE EST INTERNATIONALE

Mais aussi dans d’autres pays la révolte gronde, comme EN ANGLETERRE contre l’obligation vaccinale des soignants qui pointe son nez

« Grâce à leurs manifestations massives au printemps, les Anglais avaient défait le projet de #PassSanitaire et obtenu le #FreedomDay. Ce jour ils sont descendus en nombre contre le projet d’#ObligationVaccinale pour les soignants, et Johnson pourrait bien encore manger son chapeau. »(([1] 𝗯𝗿𝘂𝗻𝗼lp30 vk.com/brunolp30vk
@brunolp30
Toutes les infos libres et non censurées sont sur le fil complet de mes publications sur VK
http://vk.com/brunolp30vk))

D’après les chiffres officiels de l’OMS la suppression des restrictions prétendument sanitaires n’a pas été suivie de l’hécatombe prédite par les covid terroristes

Et c’est partout le cas dans les pays qui ont abandonné les contraintes liberticides prétendument sanitaires ; montrons ici l’exemple de la Slovaquie

C’est l’occasion de rappeler l’efficacité des grandes manifestations comme celles de Londres ou celle des slovaques qui avaient fait sauté le pass sanitaire ou celle des Danois restés dix jours devant leur parlement contre la vaccination obligatoire et qui avaient finalement fait plier leur gouvernement.

Les manifestations ne sont pas aussi inefficaces que certains le croient, démoralisés de la lenteur des progrès.

Mais il ne tient qu’à nous tous d’informer mieux (tracts, porte à porte, etc.. ) pour contrer la sinistre propagande télévisuelle en train de se fissurer.

EN ITALIE le peuple ne lâche rien

La mobilisation en Italie contre le #GreenPass a encore été puissante dans toutes les villes du pays. Les italiens ne lâchent rien malgré l’entêtement de leur gouvernement. Le bras de fer continue donc…

Bologna

Le vendredi 29 octobre à Verone et d’autres villes d’Italie

Le 30 octobre à Trieste…

ET même en AUSTRALIE le 23 octobre

Au Luxembourg

En NOUVELLE-CALÉDONIE le pouvoir recule

@DubreuilhMarcel 23 oct.

L’obligation vaccinale en Nouvelle-Calédonie est reportée au 31 décembre en raison des manifestations, blocages et grèves

NON, LE NOUVEL ORDRE MONDIAL N’A PAS GAGNÉ

D’un côté de la terre à l’autre, des foules se lèvent malgré la répression parfois violente.

Le peuple ne pourra jamais tolérer cette image de la Honte ce jour 30 octobre au G20. Leur Hubris, versus le combat de milliards d’individus, les perdra. Ils ne savent pas ce qu’est l’humain.

Image de la Honte

LES AGENTS DITS DE SANTÉ MASQUÉS ET LES CHEFS D’ÉTAT SANS MUSELIÈRE TOUT UN SYMBOLE qui s’ajoute aux 200 jets privés venus à Rome pour vous empêcher de rouler en voiture… Il est beau le réchauffement climatique !!

Les soignants qui paradent avec les puissants de ce monde ont-ils tellement honte qu’ils cachent leur visage pour qu’on ne puisse pas les reconnaître ?





Robert F. Kennedy : Appel à une grève mondiale le 3 novembre !

[Source : zonefr.com]

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Robert F. Kennedy Jr. appelle à une grève mondiale pour le 3 novembre.

Le neveu du Président John F. Kennedy, fils de l’ex Ministre de la Justice Bob Kennedy, tous deux assassinés par la Cabale, fondateur de Children’s Health Defense appelle à une « grève mondiale » pour le 3 novembre, contre la perte de libertés, pour le retour aux principes démocratiques, contre les mandats illégaux et les gouvernements tyranniques.

La situation est grave, nous ne pouvons plus attendre de ces gouvernements d’assassins qu’ils répondent à nos demandes car ils sont missionnés pour le génocide vaccinal et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

Nous ne sommes ni des complotistes ni des illuminés mais des Éveillés plus informés que la masse des hypnotisés par les médias mainstream, chargés de désinformer et manipuler l’opinion publique. Nous pourrions publier la longue liste de leurs mensonges, nous pouvons prouver et démontrer ce que nous affirmons car leurs propres déclarations les condamnent.

Le Système tyrannique qui nous est imposé depuis bientôt 2 ans n’a rien à voir avec la crise sanitaire car comment expliquer que des médecins et des infirmiers ayant gérée l’épidémie à ses débuts, sans moyens, sans masques, sans aucune aide de l’Etat, soient aujourd’hui mis à pied alors qu’on nous fait croire à une fausse pandémie ?

Les chiffres des morts décédés du Covid publiés par l’Istituto Superiore della Sanità italien (ISS – Institut Supérieur de la Santé) prouvent que le gouvernement italien ment à son peuple en lui faisant croire que plus de 130.000 personnes seraient mortes du Covid alors qu’elles ne sont « que » 3783 !!

Et même si la même campagne de diffamation qu’a vécue le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine quand il a déclaré que le virus est un « produit de laboratoire » est maintenant déclenchée par les médias terroristes contre l’ISS considéré jusqu’à hier comme LA référence absolue en matière de santé, ils ne pourront plus cacher la vérité très longtemps car partout le narratif officiel se fissure, prouvant que l’ensemble des gouvernements des pays de l’OTAN, du Canada jusqu’à l’Australie et la Nouvelle Zélande en passant par la France et l’Italie, mentent à leurs peuples !

Tous les jours des êtres humains meurent à cause des faux vaccinsLes effets secondaires sont dramatiques, des personnes jeunes et en bonne santé deviennent soudain paralysées. Des jeunes meurent de crises cardiaques ! Des familles et des vies sont brisées et nos gouvernements font semblant de croire que tout va bien, s’appuyant sur un « bénéfice/risque » totalement mensonger et criminel !

Les plus grands virologues, chercheurs, biologistes, infectiologues mondiaux lancent des cris d’alerte et jugent cette campagne vaccinale au mieux « irresponsable » et au pire criminelle, parlant même de « crimes contre l’humanité«  !

Des collectifs d’avocats internationaux se sont constitués pour dénoncer ce génocide programmé mais malgré leurs efforts, toutes les instances internationales comme la Cour Européenne des Droits de l’homme ou même nos tribunaux corrompus, se refusent à appliquer le droit et répondre à la demande de justice de groupements de citoyens déposant plainte sur plainte. 

Comment ne pas faire le lien avec le discours historique du Président John Kennedy quand il a voulu avertir l’Amérique et le monde d’une « conspiration monolithique et sans merci » ayant pour objectif de mettre l’humanité en esclavage ?

Comment ne pas faire le lien avec les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial gravés dans presque toutes les langues sur les Georgia Guidestones et prévoyant de ramener la population mondiale à 500 millions d’individus ?

Comment ne pas se souvenir que de Sarkozy en passant par AttaliRockefeller, le Duc d’EdimbourgBill GatesKlaus Schwab et d’autres tarés de la même espèce, tous ont en commun l’obsession de la surpopulation et la nécessité de la réduireAttali écrivant même que « les idiots iront à l’abattoir de leur plein gré« .

Et c’est exactement ce qui se passe car l’individu moyen maintenu dans l’ignorance et manipulé par la désinformation, ne parvient pas à croire que le gouvernement puisse lui vouloir du mal. Erreur fatale car tous ceux qui gouvernent en ce moment l’Occident, proviennent tous des Young Global Leaders, formés et formatés par le Forum Economique Mondial du transhumaniste fou Klaus Schwab, temple et guru de la mondialisation et du Nouvel Ordre Mondial collectiviste et dictatorial ! Nous sommes gouvernés par des fous !

Ce Klaus Schwab qui ose déclarer : « Dans 10 ans vous ne posséderez plus rien et vous en serez heureux.« 

Réveillons-nous frères humains avant qu’il ne soit  trop tard !

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Si nous réagissons pas, si nous restons passifs, le pire est devant nous. En nous limitant à des manifestations pacifiques encadrées par la police, nous n’obtiendrons rien car ce pouvoir s’amuse de nous voir déambuler tous les samedis. La police est le rempart, leur bouclier protecteur, leur garde rapprochée. Cette milice « républicaine«  dirigée par des Francs Maçons, ne réalise pas qu’on lui ment, qu’on la conditionne, qu’on la dresse contre le peuple pour protéger les intérêts de cette élite sans morale, sans scrupule, sans foi ni loi. On leur fait croire qu’elle protège la République alors qu’elle assure la sécurité des corrompus, des traîtres et des assassins qui sont en train de détruire notre pays, notre économie et nos vies !

Cette première grève mondiale doit être le premier signal d’une mobilisation globale. Nos amis italiens manifestent tous les jours, bloquent les ports, décrètent des grèves surprises, harcèlent députés et sénateurs, publient les vrais chiffres de cette fausse pandémie et exercent une pression massive sur Mario Draghi qui envisagerait même sa démission.

Nous, Français, sommes trop modérés. Nous ne réalisons pas que face à ce pouvoir criminel, nous sommes en danger de mort et que la légitime défense est désormais la dernière alternative pour sauver nos vies !

MOBILISATION !

Nous avons le devoir moral de protéger nos vies et la vie de nos enfants !

Commençons par paralyser l’économie et si cela ne suffit pas, que Dieu nous garde, nous aviserons !!

En 7 mn, vous allez tout comprendre…




À quoi pourrait ressembler votre avenir si vous continuez à obéir au Système ?

[Source : L’Échelle de Jacob]






Le nouveau monde orwellien, basé sur le contrôle et la surveillance

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Sonja van den Ende − Source OneWorld Press

J’ai déjà beaucoup écrit à ce sujet, nous le voyons progresser, mais uniquement dans le monde dit développé. Une société dystopique, vouée en fin de compte à l’échec. Un monde de surveillance, de dictature sanitaire, de QR-codes, de paiements électroniques, invivable pour la plupart des gens, qui ressemble aux anciens systèmes comme le fascisme ou le communisme totalitaire, simplement paré de nouveaux atours. On peut désigner ce monde comme technocratique, et fondé sur un système totalitaire à base d’Intelligence Artificielle. Reste que l’histoire nous a enseigné que tous les systèmes et idéologies qui sont devenus totalitaires ont échoué.

Les preuves affluent pour illustrer la nouvelle société dystopique, sur la vague de la soi-disant pandémie. J’aurais tendance à la considérer comme un nouveau système dictatorial et technocrate, et sanitaire également, mis en place dans de nombreuses régions du monde. Les tests de ce nouveau système mondial, intégrant un composant de crédit social, ont été menés en Afrique pour mettre en place ce système de crédit social, sur la base d’une pandémie, avec la coopération du GAVI, de la Fondation Bill et Melinda Gates, et en coopération avec le Forum Économique Mondial. Non sans ironie, ils l’ont baptisé « passe pour le bien-être », attention Afrique, on va voir le niveau d’utopie que vous allez atteindre! Comme chacun le sait désormais (j’espère sincèrement que nombre d’entre nous se sont enfin éveillés), il ne s’est jamais agi d’un virus. Il s’agit d’une problématique de contrôle, de villes connectées, de véhicules électriques, où l’Afrique va de nouveau se trouver exploitée pour le Lithium, ainsi que l’Afghanistan ; c’est la raison pour laquelle l’occident a dû quitter ce pays, un conflit géopolitique est en cours, avec pour enjeu non pas l’Afghanistan comme territoire, et encore moins son peuple, mais son lithium. Build Back Better, ainsi que la dépopulation du monde, choses en lesquelles Bill Gates et son père sont des experts, sont autant de composantes de ce nouveau monde dystopique.

Même l’Église Catholique trempe dans cette grande expérience, bien entendu en Afrique depuis de nombreuses années, mais également en Occident, après des années d’abus commis sur des enfants et de scandales pédophiles, ils ne font que poursuivre leurs politiques non-chrétiennes. Il ne faut pas oublier que l’Église Catholique est une excroissance de l’Empire romain, ou de ce que nombre de personnes appellent de nos jours l’Empire britannique ; c’est fondamentalement la même chose : l’idéologie unipolaire occidentale, et le colonialisme dans tous leurs excès. Donc, l’Église Catholique est impliquée dans ce nouveau monde dystopique, car elle possède beaucoup de richesses, et dispose de son propre État, le Vatican. L’Église protestante ne jouit pas de cette position et est désormais vue comme « ennemie » de l’État, surtout aux Pays-Bas. Le gouvernement hollandais vient d’entamer l’« approche douce » pour persécuter les Protestants, un sentiment de déjà-vu se fait sentir, qui rappelle l’époque des Huguenots. Ce sont bien les descendants des Huguenots qui vont subir le même sort, mais cette fois-ci dans les pays qu’ils avaient élus domicile il y a des siècles, pour y mener une vie de liberté, en jouissant de la tolérance des peuples. Aux Pays-Bas, ces Protestants vont être contraints à rester confinés, car nombre d’entre eux, pour des raisons religieuses, refusent de se laisser vacciner. Le gouvernement hollandais a également lancé un projet de recherche (en partenariat avec des organisations) pour établir si l’Église protestante fut impliquée dans l’esclavage aux Indes néerlandaises orientales. Bien évidemment que oui, c’est l’ensemble de la société qui l’était à l’époque, mais les plus grands criminels, et cela n’a pas changé, étaient l’élite, la famille royale hollandaise, qui feignent d’être chrétiens, mais leur religiosité n’est qu’un spectacle, joué pour duper le citoyen ignorant.

Le parlement hollandais a rejeté une motion qui avait été introduite par plusieurs partis, y compris le Forum for Democracy (FVD), qui énonçait le refus d’un système de crédit social aux Pays-Bas. Le gouvernement peut désormais introduire le système de crédit social, qui a déjà été lancé, bien entendu, avec le soi-disant passe Corona à QR-code. La prochaine étape sera le niveau d’émission en CO2, et la mesure de la quantité de viande consommée, pour en arriver à une censure de l’Internet, avec l’introduction d’un passe digital pour accéder à internet. Le système de crédit social de l’union européenne sera bien pire que l’expérience menée en Chine, qui n’a été menée que dans quelques villes. Le système de crédit social de l’UE vise à un contrôle absolu de votre corps, de votre comportement, de votre vie privée et en fin de compte de votre vie physique. Si vous ne vous soumettez pas, il n’y aura ni pitié ni recours, votre vie sera celle d’un marginal, sans aucun des avantages que vous vous êtes habitué à connaître. Préparez-vous.

Dans d’autres régions du monde occidental, comme en Australie, la société dystopique est d’ores-et-déjà une réalité. L’Australie a par le passé, et continue en ce moment, en tant que membre de l’Empire britannique, et sous influence des États-Unis, à préparer un conflit contre la Chine. L’Australie est le pays occidental le plus proche de la Chine, et nous connaissons tous son nouvel « AUKUS », présenté comme un nouveau pacte de sécurité entre le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Australie ; c’est une tentative de contrer la Chine. Pour se préparer et doubler la Chine, ils ont déjà lancé leur système de crédit social draconien, et pire encore, leur État de surveillance constitue déjà une réalité. Des rapports alarmants pointent du doigt ce pays, qui fut jadis appelé terre des hommes libres, et qui constitue désormais le pays le plus répressif du monde occidental. Vous vous demandez ce que font Amnesty International ou les Droits de l’Homme? Bien évidemment qu’ils ne vont pas en parler, ils ne sont qu’un outil dans la main du même monde occidental, et ils ne parlent que des pays non-soumis, comme la Russie, la Syrie, ou bien les pays sous-développés. Mais l’Australie a toujours été un pays « raciste », basé sur le principe du meurtre des Aborigènes, et l’envoi des criminels sur la terre conquise. Le Canada en est un autre exemple, d’une manière différente de l’Australie, mais avec la même idéologie sous-jacente. Bien sûr, le pays le pire du monde est la soi-disant démocratie d’Israël, où la vie est un « enfer » pour la plupart des citoyens. C’était déjà le cas pour les Palestiniens, c’est en train de le devenir également pour les Juifs orthodoxes.

CONCLUSION

J’aimerais produire une conclusion, mais pouvons-nous en établir une? Je ne crois pas, le monde que nous connaissons désormais est instable, bourré de conflits et ultra-polarisé, avec de nombreux différends géopolitiques. Je crains que nous soyons revenus, comme les rugissantes années vingt du siècle passé, qui avaient débouché sur les terribles années trente, au chômage, à l’introduction (par la force) d’un nouveau système, conçu par les élites du monde occidental. Ce monde semble à présent mûr pour un conflit, et très probablement la guerre, par une guerre comme la seconde guerre mondiale, mais une guerre différente, une guerre biologique (nous en subissons peut-être déjà les effets), un agenda de dépopulation, mis en œuvre par les vaccinations et l’introduction de l’intelligence artificielle. L’eugénisme (qui n’est pas une nouveauté) est nécessaire aux yeux de l’élite, comme au cours des deux guerres mondiales, où l’eugénisme fut produit par la mort des soldats sur les champs de bataille, et bien sûr l’holocauste. À présent, à en croire la même élite, il y a trop de bouches à nourrir, et pas de travail (intelligence artificielle), et bien évidemment l’élite n’a aucune intention de partager ses richesses avec les pauvres. Les heures sombres de l’histoire de l’humanité sont de retour.

Sonja van den Ende

Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Révélations de Philippe Argillier auprés de Christian Tal Schaller

[Source : Philippe Argillier le RDH / le HRU]

https://youtu.be/WpTlUCcFop0

[Voir aussi : Le gouvernement mondial de l’ombre]




Le gouvernement mondial de l’ombre

[Source : Le R D H]

Philippe Argillier explique le gouvernement de l’ombre et le pouvoir dynamique des banques de données.

« N’étant pas un homme politique, mais bien un homme dénué de tout intérêt personnel, je suis prêt à répondre à l’appel des françaises et des français en prenant les commandes de la France en 2022 sous une condition, celle de me positionner avec un mandat révocatoire de 36 mois avec un référendum à l’appui à date échéance afin que les françaises et les français décident s’ils veulent continuer ou pas avec mon gouvernement jusqu’à la fin des cinq années du mandat présidentiel. »

Philippe Argillier
Président du Rassemblement des Droits de l’Homme

https://youtu.be/IyJ2lxhgEL4
https://youtu.be/mSgTVdyfAYI
https://youtu.be/BOiXZ8fkBAw



Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent

Par Alain Tortosa

Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent.

La somme des mensonges rend l’émergence de la vérité de plus en plus difficile.

Jusqu’au jour où le château de cartes s’effondrera.

Les médias et les politiques ont menti de tout temps, ce qui est probablement dans leur ADN.

Mais depuis début 2020, nous battons tous les records.

Même lors du premier confinement, les sondages indiquaient déjà (et ceux-ci n’ont pas été infirmés par une révolte de la rue) que plus de 90 % des Français approuvaient la mesure.

Je vous rappelle qu’il y a avait officiellement à ce moment-là 7 000 morts présumés (car non testés) sur la planète et 149 en France. Les Français avaient forgé leur intime conviction non pas sur une réalité épidémique et des cadavres dans la rue, mais sur un modèle mathématique (frauduleux ?) relayé par tous les médias et les médecins de plateau.

Si le 17 mars vous disiez à votre voisin : « Ce virus n’est rien d’autre qu’une grippe et les confinements sont inefficaces et dangereux », votre discours était déjà, à ce moment-là, totalement inaudible.

Alors imaginez-vous entrer en discussion aujourd’hui avec un convaincu triplement injecté (hypothèse délirante, car il refuse tout échange).

Mais imaginons que vous alliez vers lui pour lui dire :

« L’étude gouvernementale qui confirme l’efficacité à 90 % des injections géniques est un faux grossier qui va à l’encontre des protocoles et de toutes les données internationales connues sur la vaccination Covid. »

Interrogé par votre affirmation il pourrait alors vous répondre par une série d’autres questions :

« Et le fait que le vaccin soit efficace contre les formes graves c’est un mensonge ? »

Question à laquelle vous répondriez par l’affirmative et lui de poursuivre :

  • « Et le fait que la vaccination a permis de contrôler le virus et éviter une 4e vague terrible, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les hospitalisés sont majoritairement non vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination limite la propagation du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la 3e dose va protéger les plus faibles et permettre de ralentir encore plus le virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination entraîne très peu d’effets secondaires, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin n’a entraîné aucun décès et que les vaccinés décédés ne le sont que de leurs comorbidités, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour les enfants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les enfants ont un bénéfice propre à se faire vacciner au-delà de l’acte solidaire, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour la femme enceinte et le fœtus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ne peuvent pas favoriser les variants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les pays qui ont une mauvaise couverture vaccinale ont plus de morts, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ont subi toutes les étapes de sécurité, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que nous avons la garantie que les vaccins sont sans danger, car inoculés à plus d’un milliard de personnes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’ARNm est déjà utilisé sans problème depuis des années, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne puisse absolument pas interagir avec notre ADN et/ou créer des maladies auto-immunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que seul le vaccin nous permettra de venir à bout du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que si 100 % des personnes sont vaccinées le virus disparaîtra, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il faille absolument vacciner les enfants pour parvenir à l’immunité vaccinale de masse, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin est vraiment efficace, mais que les non-vaccinés sont dangereux pour les vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on connaît parfaitement la composition des vaccins, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les couvre-feux d’une population en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le passe-sanitaire sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la fermeture des commerces non essentiels sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le confinement de la population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’État a fait ce qu’il pouvait et ouvert de nouveaux lits, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les gestes barrières en population générale en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port du masque en population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port prolongé du masque est inoffensif y compris pour les enfants les plus jeunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’existe aucun traitement efficace contre le Covid, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la Chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces, mais surtout dangereux, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que toutes les études sérieuses prouvent que ces molécules sont inefficaces c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait d’avoir interdit les médecins de prescrire a sauvé des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on a jamais empêché de soigner et que l’on n’a jamais terminé des vieux au Rivotril, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on ne disposait que du paracétamol sous la main, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le Sars-cov2 est extrêmement dangereux, largement plus que la grippe, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que tout le monde peut en mourir ou avoir de graves séquelles y compris les enfants et les personnes en parfaite santé, c’est un mensonge ? »
  • « Et sur le nombre de cas, d’hospitalisés, de personnes en réanimation, de morts… c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’y a pas de censure en France, que seuls les propos dangereux sont supprimés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les prétendus bons résultats d’autres pays que la France ne sont pas comparables, c’est un mensonge ? »
  • Etc. (j’en ai certainement oublié).

Oui, oui, oui… et encore oui… pour TOUT !

(Il y a bien eu quelques bribes de vérité durant la crise.
Par exemple lorsque M. Véran, emporté dans son élan, affirmait que telle ou telle mesure ne servait à rien, mais se ressaisissait par la suite en balayant ses propos de la veille.)

Et mon interlocuteur convaincu qu’il n’y a pas eu de mensonges systématiques, de me demander :

« Alors pour toi tout est faux, on nous ment sur tout, toute l’OMS est corrompue, tous les médecins sont corrompus, tous les politiques sont corrompus et tous les journalistes sont complices ? »

M’obligeant à répondre : « Oui, les autres n’ont pas la parole, sont poursuivis ou sont terrorisés ».

Alors bien sûr, il a pu arriver que pour telle ou telle mesure, le convaincu hypnotisé ait ressenti quelques doutes sur une mesure. Quand on lui disait qu’il ne pouvait pas y avoir de clusters dans une rame de métro bondée, mais qu’il ne fallait pas dépasser 4 personnes dans une boutique, ça a pu quand même interroger le plus aveugle des non-voyants… comme le fait d’interdire de se promener sur une plage déserte en plein hiver, mais avoir le droit d’aller dans un supermarché.

Sa bouée de sauvetage prenait alors une des formes suivantes :

  • « Les humains sont idiots et nous assistons à une accumulation de bêtise humaine. »
  • « On apprend tous les jours du virus, on ne savait pas. »

Mais rien qui puisse laisser supposer qu’il pourrait y avoir quelque intention de nuire de la part de nos dirigeants ou de Big Pharma.

Afin de pouvoir échapper à ces interrogations sans réponse, la personne « intelligente » va poser la fameuse question bateau suivante, pour balayer toute argumentation d’un revers de manche.

« Pourquoi feraient-ils cela ? »

N’ayant pas de réponses (ou de preuves par rapport à des hypothèses), le convaincu s’autorise alors à jeter aux oubliettes le bébé avec l’eau du bain.

C’est comme si un inspecteur arrivait sur les lieux d’un crime et, en consultant la scène, voyait un cadavre, des traces de lutte, du sang partout et un couteau ensanglanté…
Bref qu’il ait sous les yeux des preuves qu’il y a bien eu un assassinat.
Puis soudain une personne « censée » (donc non-complotiste) arrivait et posait la question suivante :

« Mais qui, mais pourquoi, dans quel but ? »

[Note de Joseph Stroberg : bien des « complotistes » peuvent proposer des réponses.
À la question « Qui ? », ils pourraient répondre : les élites psychopathes qui détiennent les leviers de la finance mondiale.
À « Pourquoi ? », ils pourraient répondre : pour liquider 90 % de l’Humanité sans se faire accuser du crime et pour asservir les survivants.
À la question « Dans quel but ? », ils pourraient répondre : pour nettoyer la planète, sachant qu’aux yeux de ces élites, nous ne sommes que des « sans-dents », des « vaux », des quantités et des qualités négligeables. Maintenant qu’ils développent grâce à nous des robots et qu’ils rêvent eux-mêmes à l’immortalité qu’ils croient promise par les machines sous forme de surhumains transgéniques ou de cyborgs, ils pensent pouvoir se passer de 90 % des êtres humains pour continuer à exploiter la planète à leur profit.
De telles réponses paraîtraient bien sûr particulièrement délirantes aux yeux d’un convaincu vacciné.
Sont-elles pour autant fausses ?]

Et l’inspecteur de répondre bien évidemment qu’il n’a pas, en tous les cas pas encore, la réponse.
Et donc d’en déduire qu’il n’y a eu ni décès ni meurtre !

C’est exactement ce processus utilisé pour jeter aux oubliettes la réalité des faits dans la crise du Covid.

« Tu ne sais pas pourquoi et par qui tous ces mensonges ont été mis en œuvre au niveau mondial, c’est donc qu’ils n’existent pas et que tu es dans le délire en énumérant tous ces prétendus mensonges. »

Le fait de disposer d’indices concordants et de preuves pour chacun des mensonges n’est pas de nature à les rendre réels en l’absence de mobile.

Il est extraordinaire de voir à quel point il est facile de tromper le public.

Prenons l’exemple de l’HCQ et du Remdesivir.

  • Tout part de scientifiques chinois qui affirment, étude à l’appui, que l’hydroxychloroquine couplée à un antibiotique montre une efficacité.
  • Le professeur Raoult annonce en janvier sur l’IHU l’existence des essais pratiqués par des Chinois.
  • Immédiatement les médias et les médecins corrompus donnent la paternité de l’annonce non pas aux Chinois, mais au professeur Raoult. Premier mensonge.
  • Ces mêmes corrompus corrupteurs répandent l’idée que Raoult est un irresponsable incompétent, que la molécule est non seulement inefficace, mais dangereuse. Mensonge au moins sur la 1re et 3e assertion.
  • Le Remdesivir (hors de prix) est commandé en masse par l’Union Européenne et la promotion en est faite (alors même que son efficacité n’est pas prouvée et que sa dangerosité est prouvée). Mensonges.
  • La fameuse étude du Lancet annonce la mise à mort de l’HCQ (alors que cette étude est un FAUX). Mensonges.
  • Le Ministre de la Santé fait interdire le produit sur la base de l’étude qui est un faux. Mensonges.
  • L’escroquerie sur le faux éclate au grand jour dans l’indifférence des médias et des politiques…

Dans un monde « normal », la molécule est, au minimum, réautorisée et les chercheurs du monde entier se mettent à l’étudier avec neutralité.
Et bien là non ! C’est l’inverse !
Tout ceci pour dire que même lorsque l’on amène la preuve d’un mensonge (une fausse étude dans l’illustre Lancet), cette preuve n’est pas de nature à réviser les croyances.

Toutes les études qui par la suite diront que la molécule est inoffensive et efficace à divers degrés seront étiquetées non fiables et toutes les autres avec des conflits d’intérêts concluant à son inefficacité seront validées par les scientifiques médiatiques et le gouvernement.

La science ne sert plus à RIEN, elle est corrompue, un simple outil au service de la manipulation des peuples.

Et je le redis encore, ils arrivent à transmettre leurs mensonges parce que le commun des mortels est foncièrement gentil et qu’il ne peut imaginer à quel point il existe des méchants.

Réfléchissons un peu sur la « vaccination » des enfants.

  • Les autorités SAVENT (et reconnaissent) que le Covid ne concerne pas les enfants en bonne santé.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le Covid long chez des enfants en bonne santé n’est que légende.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les « vaccins » n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contaminant.
  • Les autorités SAVENT (l’ANSM le dit) qu’il y a des effets secondaires rares (à court terme), mais graves sur des enfants injectés en pleine santé.
  • Les autorités SAVENT qu’il y a des décès « étranges » chez des enfants injectés sans problèmes de santé connus.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les effets à long terme sont totalement inconnus, notamment pour la procréation (ils ont connaissance des problèmes sur les règles).
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le rapport bénéfice vs risque d’une injection pour un enfant ne peut qu’être défavorable.
  • Les autorités SAVENT qu’elles manipulent et mentent quand elles comparent ces injections expérimentales en phase III aux vaccins obligatoires, vaccins qui ont plus de 20 ans et qui sont là pour prévenir des maladies qui tuent des enfants (à la différence du Covid).
  • Les autorités de l’Alberta SAVENT qu’un enfant de 14 ans avec une tumeur au cerveau de stade 4 n’est pas décédé du Covid. Alors, pourquoi le tester (et positif) deux jours avant son décès et le déclarer mort du Covid ?

Ils fabriquent sciemment de la peur et mettent en place un pass sanitaire pour les enfants afin de les contraindre à se faire injecter. Cet acte n’est pas de la bêtise ni de l’incompétence. Au regard de l’ensemble de ces faits connus, non-complotistes, publiés notamment par l’ANSM, nous pouvons affirmer qu’il y a une volonté objective de nuire aux enfants !

Les autorités décident sciemment de menacer la santé de millions d’enfants (de plus en plus jeunes).
Ils prennent sciemment le risque que des enfants aient des effets secondaires graves ou à vie.
Ils prennent sciemment le risque d’effets secondaires dans les prochaines années.
Ils prennent sciemment le risque que des enfants meurent de ces injections expérimentales.
Ils mentent sciemment aux enfants et aux parents en cachant volontairement ces faits.
Ils font taire ou dénigrent sciemment tous les scientifiques, médecins et lanceurs d’alertes qui rapportent ces faits.

Et ce alors qu’ils SAVENT que ces injections chez les enfants (et les autres) ne seront PAS de nature à réduire ou éradiquer le virus et que l’immunité vaccinale de masse est une chimère.

Ne me posez pas la question du « pourquoi » pour tenter d’occulter à nouveau ces vérités.

Pourquoi ces instigateurs qui sont des êtres humains, des parents, des grands-parents agiraient volontairement de façon aussi immonde ?
Je n’ai pas la réponse.
Mais regardez l’histoire du monde et des bourreaux, ceux-ci avaient bien souvent une famille, des enfants et cela ne les empêchait pas de commettre les pires horreurs.

Nous voyons bien une fois encore, que plus il y a de mensonges et plus il est impossible pour le commun des mortels de les voir, les débusquer et les remettre en question.

[Note de Joseph Stroberg : certaines hypothèses et certains faits exposés notamment dans l’article
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial laissent présager qu’il existe un plus gros mensonge chapeautant le tout, celui de la théorie virale qui veut que les virus soient de méchantes et minuscules bestioles qui pourtant ne répondent pas à tous les critères pour être qualifiées de « vivantes », puisqu’ils ne peuvent pas se répliquer seuls. Et au-dessus, il existerait même le mensonge de la théorie des germes qui veut qu’aussi les bactéries soient de méchantes micro bestioles, alors que dans le même temps le corps humain contient naturellement environ un million de milliards de virus dans son « virome » et des dizaines de milliers de milliards de bactéries dans son « microbiote ».

Si en réalité, les bactéries ne sont que des symbiotes des corps vivants végétaux, animaux et humains et si les virus ne sont que des composants naturels du corps participant au fonctionnement cellulaire (dans certains cas comme éboueurs, dans d’autres cas comme déchets, dans d’autres cas comme messagers, etc. selon leur forme et leurs spécificités, sachant notamment que les virus sont similaires aux « exosomes » ou aux « endosomes »), alors ils ne sont en fait pas contagieux, ni la cause véritable des maladies dont on les accuse, mais la simple conséquence d’empoisonnements du corps par diverses causes.

Sous l’effet des poisons et toxines que sont les pesticides, les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les produits ménagers, les cosmétiques artificiels, les polluants atmosphériques, les matières plastiques, les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique, les thérapies géniques, mais aussi la peur et d’autres émotions négatives, le stress, les pensées négatives, et les ondes électromagnétiques pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), ainsi que par les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables, les cellules corporelles sont agressées en permanence. Il suffit alors de dépasser le seuil de tolérance par la dose de trop ou aussi par l’affaiblissement du corps (par le froid ou le manque de soleil en hiver, ou encore par la malnutrition et le manque de nutriments essentiels à son fonctionnement) pour que la maladie apparaisse.

Pour peu que les causes d’empoisonnement et/ou de déficience soient endémiques ou communes à un endroit donné (village, région, pays…), elles procurent l’illusion d’une contagion et même d’une contagion fulgurante dans certains cas.

Dans une telle perspective qui est peut-être la vérité et qui renverra alors un jour aux oubliettes les mensonges que sont la théorie virale et celle des germes, les prétendus « variants » ne sont que l’observation des variations génétiques virales entres ethnies et individus d’une part et selon les conditions de l’agression du corps d’autre part, ainsi que selon le modèle viral pris comme base de contrôle dans les processus d’analyse. De même, le prétendu affaiblissement des virus lors de nouvelles vagues épidémiques traduit seulement le fait que le corps est déjà habitué à réagir à certains poisons lorsqu’il s’y trouve de nouveau exposé et qu’il se nettoie plus vite dans le processus qui se traduit sous forme apparente de maladie.]

Le mensonge est en danger d’être dévoilé lorsqu’il est tout seul alors qu’il se renforce via l’apport des autres mensonges.
Dans ces conditions ma liste de faits sur les mensonges du Covid ou de la vaccination des enfants n’est peut-être pas exhaustive, mais tellement « délirante », pour quiconque nourri aux médias classiques, qu’il ne peut l’entendre.

Médias qui passent en plus leur temps à faire du « fact checking » en prenant bien soin de n’être qu’à charge et en ne donnant la parole qu’aux auteurs et complices des mensonges.

Plus les mensonges sont nombreux et délirants, plus ils passent et plus il s’ancre dans l’imaginaire que tout n’est que vérité.
Faire tomber ne serait-ce qu’un seul mensonge n’est pas possible pour le manipulé.
Cela l’obligerait à les regarder tous, un par un, et prendre le risque d’ouvrir une boîte de pandore.

Le risque pour la dictature est bien là et c’est bien pour cela qu’elle verrouille le système au maximum.
Si la vérité sort publiquement sur les morts dus aux injections alors le château de cartes s’effondrera.

[Note de Joseph Stroberg : si la théorie des germes et son corollaire la théorie virale sont un jour reconnues fausses par suffisamment de scientifiques, puis de politiciens et d’hommes ordinaires, alors les mensonges subséquents comme tous ceux liés à la crise Covid s’effondreront à leur tour, vaccination comprise (y compris pasteurienne).]

Merci.

Alain Tortosa.

22 octobre 2021, https://7milliards.fr/tortosa20211022-les-mensonges-se-nourrissent-de-mensonges.pdf




Tout s’explique quand on réalise qu’ils veulent nous tuer

[Source : reseauinternational.net]

par Mike Whitney.

« Il est maintenant évident que ces produits dans la circulation sanguine sont toxiques pour les humains. Un arrêt immédiat du programme de vaccination est nécessaire pendant qu’une analyse de sécurité indépendante est entreprise pour étudier toute l’étendue des dommages, qui, selon les données de la carte jaune britannique, comprennent la thromboembolie, la maladie inflammatoire multisystème, la suppression immunitaire, l’auto-immunité et l’anaphylaxie, ainsi que l’augmentation dépendante des anticorps (ADE) »

 Tess Lawrie, cabinet de conseil en médecine fondée sur les preuves.

« Car nous ne luttons pas contre la chair et le sang, mais contre les dominateurs des ténèbres de ce monde, contre la méchanceté spirituelle dans les lieux élevés ».

Éphésiens 6:12

Question : Les vaccins à ARNm ont-ils été testés sur des animaux ?

Réponse : Oui, ils l’ont été.

Q : Les essais sur les animaux ont-ils été couronnés de succès ?

R : Oui et non.

Oui, les expériences sur les souris ont montré qu’une faible dose du vaccin induit une réponse anticorps robuste à l’infection.

Mais, non, les anticorps n’ont pas été capables d’attaquer la protéine spike d’une souche différente du virus.

Q : Je ne suis pas sûr de ce que cela signifie ? Voulez-vous dire que le vaccin fournit une protection limitée contre le virus original (Wuhan), mais ne fournit pas nécessairement une protection contre les variants ?

R : C’est exact, mais c’est un peu plus compliqué que cela car, lorsque le virus change, les anticorps qui ont aidé à combattre le virus original peuvent en fait renforcer « l’infectivité » du variant. En d’autres termes, les anticorps générés par le vaccin peuvent changer de camp et accroître la gravité de la maladie. En d’autres termes, ils peuvent vous rendre plus malade ou vous tuer. Les scientifiques le savent depuis longtemps. Regardez cet extrait d’un document de recherche de 2005 :

« Un vaccin contre une souche pourrait aggraver l’infection par d’autres…

Dans cette étude, Gary Nabel, de l’Institut national des Allergies et des Maladies infectieuses, a injecté à des souris la protéine spike d’un virus SRAS prélevé sur un patient humain infecté au début de 2003. Ils ont ensuite recueilli les anticorps produits par les animaux.

Lors d’expériences en laboratoire, ils ont montré que ces anticorps étaient incapables d’attaquer la protéine spike d’une autre souche de SRAS, isolée chez un patient infecté fin 2003… L’équipe a ensuite vérifié si les anticorps pouvaient attaquer les protéines spike de deux souches de SRAS isolées chez les civettes, à partir desquelles le virus aurait été transmis à l’homme. Dans ce cas, ils ont trouvé des indices montrant que les anticorps renforçaient en fait la capacité du virus à infecter les cellules…

Les résultats montrent que le virus évolue dans le temps, de sorte qu’une souche apparaissant dans une épidémie peut être très différente de celle d’une épidémie ultérieure. « Ce virus n’est pas immobile et nous devons en tenir compte », déclare Nabel.

Il est donc possible qu’un vaccin contre une souche du virus du SRAS se révèle inefficace contre d’autres. Pire encore, un vaccin contre une souche pourrait même aggraver une infection par le virus du SRAS provenant de civettes ou d’une autre espèce. « C’est évidemment une préoccupation », déclare Nabel.

Ce ne serait pas le premier cas où l’exposition à une souche d’un virus peut aggraver une infection par une autre ».(([1] « Caution raised over SARS vaccine », Nature))

Q : Je suis toujours confus. Pouvez-vous résumer ce qu’ils disent ?

R : Bien sûr. Ils disent que les scientifiques savent depuis près de deux décennies que les vaccins qui ne visent qu’une seule protéine sont voués à l’échec. Ils disent que la protéine spike est hautement adaptable et capable de changer de forme pour survivre. Ils affirment que les vaccins visant la protéine spike produiront inévitablement des variants qui échapperont aux anticorps générés par le vaccin. Ils affirment qu’en limitant le vaccin à la seule protéine spike, les entreprises pharmaceutiques ont fait en sorte que des anticorps auparavant utiles fassent volte-face, permettent au virus de pénétrer dans les cellules saines, de se répliquer à volonté et de provoquer la maladie ou la mort. Ils affirment que la gamme actuelle de vaccins perpétue en fait la pandémie. Et puisque la science est claire depuis 16 ans, nous pouvons ajouter une autre observation à la liste, à savoir que l’approche actuelle de la vaccination de masse n’est ni hasardeuse, ni bâclée, ni aléatoire. Elle est intentionnelle. Les responsables de la campagne de vaccination ignorent délibérément les données scientifiques afin de maintenir un état de crise permanent. La science est manipulée pour atteindre un objectif politique.

Q : Je pense que vous exagérez, mais j’aimerais revenir aux essais sur les animaux au lieu de discuter de politique. Comme vous le savez probablement, les rapports des médias ne correspondent pas à votre analyse. En fait, tous les articles des médias mainstream disent que les essais sur les animaux ont été un succès retentissant. Voici un court texte que j’ai trouvé aujourd’hui et qui confirme ce que je dis :

« … la vaccination de primates non humains avec le vaccin à ARNm a induit une activité neutralisante robuste du SRAS-CoV-2 et notamment une protection rapide dans les voies aériennes supérieures et inférieures… »

(Covid-19, NIH.gov)

Q : Suggérez-vous que les auteurs mentent ?

R : Non, ils ne mentent pas. Ils ne vous disent simplement pas toute la vérité, et vous devez connaître toute la vérité pour pouvoir prendre une décision éclairée. Les vaccins offrent une certaine protection (temporaire). Nous ne le contestons pas. Ils déclenchent également une forte réponse immunitaire. Nous ne le contestons pas non plus. Mais quelle différence cela fait-il ? Laissez-moi vous expliquer : Disons que vous avez un gros rhume et que vous prenez un nouveau médicament qui, selon vous, soulagera la douleur. Et, bien sûr, une heure après avoir pris les pilules, votre congestion et votre mal de tête ont complètement disparu. C’est fantastique, non ? Non, car vous ne vous rendez pas compte que le médicament contient de la strychnine à action lente qui vous tuera trois jours plus tard. Vous pensez toujours que c’était une bonne idée de prendre ce médicament ?

Bien sûr que non. Et la même règle s’applique à ces vaccins qui, en fait, renforcent vos anticorps et vous procurent une « immunité » éphémère. Mais ils peuvent aussi vous tuer. Ne pensez-vous pas que cela devrait être pris en compte dans votre décision ? N’oubliez pas que des personnes sont mortes 3, 4, 5 semaines après l’inoculation sans aucun avertissement préalable. Beaucoup d’entre eux auraient même pu être gorgés d’anticorps, mais ils sont quand même morts. Vous voyez le problème ?

Q : D’accord, mais il y a toujours cette question des essais sur les animaux. Les médias disent que les compagnies pharmaceutiques ont effectué les essais sur les animaux et qu’ils ont été couronnés de succès. Êtes-vous en désaccord avec cela ?

R : Ils n’ont pas été couronnés de succès et les « vérificateurs de faits » qui ont été engagés pour discréditer les critiques des vaccins comme moi, ont délibérément déformé ce qui s’est passé dans les essais. Par exemple, voici un article typique des « vérificateurs de faits » intitulé « Les vaccins COVID-19 n’ont pas sauté les essais sur les animaux à cause des décès d’animaux » par Reuters. En voici un extrait :

« Les articles affirmant que les producteurs de vaccins COVID-19 ont abandonné les essais sur les animaux en raison de la mort de ces derniers sont faux. Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson, qui ont reçu une autorisation d’utilisation d’urgence de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, ont tous mené des essais sur des animaux et n’avaient aucun problème de sécurité important à signaler ».

Cela semble rassurant, non ? Mais ensuite, ils disent :

« En raison des contraintes de temps et de l’urgence de trouver un vaccin contre le COVID-19, Moderna et Pfizer ont reçu l’autorisation de mener simultanément les essais sur les animaux et les premiers essais sur les humains, au lieu de terminer complètement les essais sur les animaux avant de passer aux essais sur les humains. Cela ne signifie toutefois pas que les essais sur les animaux aient été ignorés ou que la sécurité des vaccins ait été compromise ».

Laissez-moi voir si j’ai bien compris : Les entreprises pharmaceutiques étaient tellement pressées qu’elles ont mené leurs essais minimaux sur les animaux en même temps que leurs essais sur les humains (ce qui est sans précédent), puis elles ont envoyé les résultats à la FDA pour qu’elle les approuve et les fasse passer en vertu de l’autorisation d’utilisation d’urgence ?

Est-ce ainsi que les choses se sont passées ?

Oui.

Mais si les résultats ont été transmis à la hâte en quelques mois, alors les « vérificateurs de faits » admettent tacitement qu’il n’y a pas de données de sécurité à long terme. Il n’y a pas de données de sécurité à long terme, et il n’y a pas non plus de tentative de réfuter les recherches des essais précédents où les furets, les souris et d’autres animaux sont morts après l’injection de vaccins à ARNm. Ils ne le nient pas, ils l’ignorent simplement comme si le fait de le balayer sous le tapis allait tout faire disparaître. Voici un extrait du document de recherche auquel Reuters fait référence dans son article :

« Nous démontrons que les vaccins candidats… induisent respectivement de fortes réponses immunitaires spécifiques de l’antigène chez les souris et les macaques… Les deux (vaccins) ont protégé des macaques âgés de 2 à 4 ans contre une infection par le SRAS-CoV-2, et la détection de l’ARN viral a été réduite chez les macaques immunisés par rapport à ceux qui ont reçu une solution saline ». (Note – Nous avons déjà reconnu que les vaccins produisent une forte réponse immunitaire)

« Les TGM neutralisants ont diminué au jour 56 (35 jours après la dose 2), ce qui correspond à la phase de contraction ; cependant, ils sont restés bien au-dessus des TGM du panel de sérums humains. La durée de l’étude n’était pas assez longue pour évaluer le taux de déclin pendant la phase de plateau de la réponse anticorps ».(([2] « Les vaccins BNT162b protègent les macaques rhésus contre le SRAS-CoV-2 », Nature))

Vous voyez ce qui se passe ? L’essai n’a duré que 56 jours, en fait, aucun des essais sur les animaux n’a dépassé 56 jours. Réfléchissez-y une minute. La raison pour laquelle les animaux sont morts lors des essais précédents est qu’ils ont été exposés à une version mutée du virus (sauvage) qui a fini par les tuer. C’est ainsi que fonctionne l’ADE (amélioration dépendante des anticorps). Cela ne se produit pas du jour au lendemain, ni en 56 jours. Il faut beaucoup plus de temps que cela pour qu’une version mutée du virus émerge et réinfecte l’hôte. Les compagnies pharmaceutiques le savent. Elles ne sont pas stupides. Donc le fait que les animaux aient eu une forte réponse immunitaire n’est absolument pas pertinent. Nous SAVONS qu’ils ont eu une forte réponse immunitaire. Nous savons également qu’ils sont morts quelques mois plus tard lorsqu’une souche différente du virus a émergé. Conclusion : La production d’anticorps ne signifie pas qu’un médicament est sûr.

Le but évident de ces essais était de faire passer les vaccins avant que quiconque ne comprenne ce qui se passait. C’est pour la même raison que les sociétés pharmaceutiques ont « levé l’insu » sur leurs essais sur l’homme après que les vaccins aient reçu le feu vert de la FDA. Peu après la fin des essais, les personnes du groupe placebo ont été autorisées à se faire vacciner.

Pourquoi ont-ils fait cela ? Pourquoi vacciner les personnes qui ont accepté d’être des cobayes pour le bien de la santé publique, pour ensuite les vacciner peu de temps après, éliminant ainsi toute chance de découvrir les problèmes de sécurité à long terme ? Cela n’a aucun sens, n’est-ce pas ?

Jetez un coup d’œil à ce court extrait du British Medical Journal, les scientifiques sont tout aussi déconcertés :

« Bien que la FDA ait accordé aux vaccins une autorisation d’utilisation d’urgence, deux années de données de suivi sont nécessaires pour obtenir une autorisation complète. Or, ces données risquent d’être peu nombreuses et moins fiables, étant donné que les essais sont effectivement réalisés en aveugle.

Le représentant des consommateurs, Sheldon Toubman, avocat et membre du comité consultatif de la FDA, a déclaré que Pfizer et BioNTech n’avaient pas prouvé que leur vaccin prévenait les cas graves de Covid-19. « La FDA dit que tout ce que nous pouvons faire, c’est suggérer une protection contre le Covid sévère ; nous devons savoir si c’est le cas », a-t-il déclaré.

Il a répondu aux affirmations selon lesquelles, d’après l’expérience acquise avec d’autres vaccins, un suivi de six semaines était suffisant pour détecter des signaux de sécurité. Six semaines ne sont peut-être pas suffisantes pour ce type entièrement nouveau de vaccin [ARNm] « non testé », a déclaré Toubman.

Goodman souhaite que toutes les entreprises soient tenues de respecter les mêmes normes et affirme qu’elles ne devraient pas être autorisées à inventer leurs propres règles. Il a déclaré au BMJ que, même s’il était « très optimiste » à propos des vaccins, « faire sauter les essais » en autorisant la levée de l’insu « établira une norme de facto pour tous les essais de vaccins à venir ». Et cela, a-t-il dit, « est dangereux ».(([3] « Covid-19 : Should vaccine trials be unblinded ? » The British Medical Journal))

Aimez-vous son choix de mots : « faire sauter les essais » ? Pensez-vous que c’est une description juste de ce que les compagnies pharmaceutiques ont fait ?

Oui, c’est exactement ce qu’elles ont fait.

Et quel motif possible aurait les compagnies pharmaceutiques pour faire sauter les essais ? Je ne vois que deux possibilités :

  • Ils pensent que leur vaccin est tellement génial qu’il sauvera la vie de nombreuses personnes du groupe placebo.
  • Ils s’attendent à ce qu’un pourcentage élevé des personnes du groupe vacciné tombent gravement malades ou meurent, et ils veulent donc cacher les preuves de dommages liés au vaccin.

Qu’est-ce que c’est ?

Vous connaissez la réponse. Tous ceux qui regardent cette farce connaissent la réponse.

Q : Ok, alors allons droit au but : Les vaccins sont-ils sûrs ou non ?

R : Non, ils ne sont pas sûrs. Pour décider si un médicament est sûr ou non, nous le soumettons à un processus rigoureux de tests et d’essais cliniques. Après les tests, les données sont transmises à des médecins, des statisticiens, des chimistes, des pharmacologues et d’autres scientifiques qui les examinent et formulent leurs recommandations ou leurs critiques. Cela ne s’est pas produit avec les vaccins Covid, en fait, toutes les normes et tous les protocoles normaux ont été suspendus au nom de « l’urgence ». Mais beaucoup pensent que « l’urgence » a été fabriquée pour faire passer des vaccins qui n’auraient jamais été approuvés sur leurs propres mérites. Il suffit de consulter les données sur les blessures causées par les vaccins (VAERS) pour se rendre compte qu’il s’agit de l’intervention médicale la plus meurtrière de tous les temps et, pourtant, les experts en santé publique, les médias et le gouvernement ne cessent de clamer qu’ils sont « sûrs et efficaces ». C’est absurde et les compagnies pharmaceutiques le savent, c’est pourquoi elles rejettent toute responsabilité pour les personnes qui vont être tuées par ces « injections mortelles ».

Savez-vous ce qui se passe dans votre corps après l’injection d’un de ces vaccins « à base de gènes » ?

Une fois que le vaccin pénètre dans la circulation sanguine, il pénètre dans les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins, les obligeant à produire des protéines spike qui font saillie dans la circulation sanguine comme des millions d’épines microscopiques. Ces épines activent les plaquettes sanguines qui déclenchent la coagulation du sang, suivie peu après d’une réponse immunitaire qui détruit les cellules infectées, affaiblissant ainsi le système vasculaire tout en drainant la réserve de lymphocytes tueurs. De cette façon, le vaccin lance une double attaque contre l’infrastructure critique de l’organisme, causant des dommages tissulaires étendus dans tout le système circulatoire tout en laissant le système immunitaire moins apte à repousser une future infection.

Si vous pensez que vous pouvez avoir une vie longue et heureuse sans un système circulatoire fonctionnel, alors rien de tout cela n’a d’importance. Mais si vous êtes assez intelligent pour comprendre que faire des ravages sur votre système vasculaire est la voie rapide vers le cimetière, alors vous comprendrez probablement que l’administration de ces « injections de poison mortel » est une très mauvaise idée.

D’ailleurs, il est exagéré d’appeler ces injections hybrides des « vaccins ». Elles ont autant de points communs avec un vaccin traditionnel qu’un python avec une table basse. Rien. Le surnom de « vaccin » a été choisi pour renforcer la confiance du public, c’est tout. Cela fait partie d’une stratégie marketing. Il n’y a pas de réelle similitude. La majorité des gens font confiance aux vaccins et les considèrent comme un exemple brillant de réussite médicale. Les compagnies pharmaceutiques voulaient profiter de cette confiance et l’utiliser à leurs propres fins. C’est pourquoi ils l’ont appelé « vaccin » au lieu de « thérapie génique », qui décrit plus précisément ce qu’il fait. Mais comme nous l’avons dit, c’est juste une stratégie de marketing.

Vous êtes-vous déjà demandé comment les compagnies pharmaceutiques ont pu lancer leurs propres vaccins à quelques semaines d’intervalle ? C’est un sacré tour de passe-passe, ne pensez-vous pas, d’autant que le développement d’un vaccin prend généralement de 10 à 15 ans. Comment pensez-vous qu’ils y soient parvenus ? Voici un extrait d’un article qui fournit un peu d’information sur le sujet :

« Le virus à l’origine de l’épidémie qui a débuté à Wuhan, en Chine, a été identifié le 7 janvier. Moins d’une semaine plus tard – le 13 janvier – les chercheurs de Moderna et du NIH avaient une proposition de séquence pour un vaccin ARNm contre ce virus et, comme l’a écrit la société dans des documents gouvernementaux, « nous nous sommes mobilisés pour la fabrication clinique ». Le 24 février, l’équipe expédiait des flacons d’une usine de Norwood, dans le Massachusetts, au National Institute of Allergy and Infectious Diseases, à Bethesda, dans le Maryland, en vue d’un essai clinique destiné à tester l’innocuité du vaccin ».(([4] « Des chercheurs s’empressent de tester le vaccin contre le coronavirus chez l’homme sans savoir s’il fonctionne bien chez l’animal », Stat))

C’est noté ? « Le virus s’est déclaré à Wuhan… le 7 janvier, et moins d’une semaine plus tard, Moderna a proposé une séquence pour un vaccin à ARNm contre ce virus.

Vraiment ? S’agit-il de la même société Moderna qui s’est amusée avec l’ARNm pendant plus d’une décennie, mais qui n’a jamais réussi à mettre un vaccin sur le marché ?

Oui, la même société. Voici la suite :

« Et le 24 février, l’équipe expédiait des flacons depuis une usine à Norwood, Massachusetts… »

Wow ! Un autre miracle du Covid ! On a presque le tournis en voyant ces entreprises produire leurs « médicaments miracles » à une vitesse record.

N’oubliez pas qu’il y a une très forte probabilité que le virus ait été créé par l’homme (en d’autres termes, il s’agit d’une arme biologique) et que les personnes qui ont été impliquées dans le financement et la création de cette arme biologique sont également étroitement liées aux grandes entreprises pharmaceutiques qui ont produit l’antidote en un temps record, ce qui a déjà rapporté des dizaines de milliards de dollars de bénéfices pour un médicament pour lequel il n’y a eu aucun test fiable sur les animaux, aucune donnée de sécurité à long terme et aucune approbation réglementaire officielle.

Donc je vous le redemande : Est-ce que tout cela ne semble pas un peu suspect ?

Est-il vraiment si difficile de voir l’ébauche d’un programme politique ici ? Après tout, les entreprises pharmaceutiques ne travaillent-elles pas avec les agences de réglementation, qui travaillent avec les responsables de la santé publique, qui travaillent avec les médias, qui travaillent avec les politiciens corrompus, qui travaillent avec les agences de renseignement, qui travaillent avec les milliardaires mondialistes qui se mêlent de tout, qui travaillent avec les sociétés de capital-investissement géantes qui supervisent l’ensemble de l’opération et tirent les ficelles appropriées chaque fois que cela est nécessaire ?

On dirait bien que oui.

Et les changements sociaux tectoniques auxquels nous avons assisté l’année dernière n’ont-ils pas plus à voir avec une vaste campagne de terre brûlée lancée par la « classe parasite » contre le reste de l’humanité qu’avec un virus relativement bénin qui tue principalement des personnes âgées et fragiles souffrant de multiples problèmes de santé ?

Oui, encore une fois. En fait, beaucoup ont remarqué les fissures dans l’artifice de la pandémie depuis le tout début, tout comme beaucoup ont souligné que le thème du virus n’est que le masque derrière lequel les parasites continuent de mener leur projet de restructuration mondiale. En bref, il s’agit de politique, de politique du Nouvel Ordre Mondial qui ne fait pas de quartier.

Vous avez posé un certain nombre de questions sur les essais sur les animaux, mais aucune sur les études de biodistribution et de pharmacocinétique qui ont été réalisées en même temps. Comment cela se fait-il ? (Note : la pharmacocinétique est la branche de la pharmacologie qui s’intéresse au mouvement des médicaments dans l’organisme).

Q : Je ne savais pas qu’il y en avait. Les médias en ont-ils parlé ?

R : Non, ils n’en ont pas parlé. Ils les ont complètement ignorés, bien qu’ils aient été réalisés par Pfizer et qu’ils fournissent des informations essentielles sur l’endroit où la substance contenue dans le vaccin se déplace dans le corps, en quelles quantités et pendant combien de temps. En sachant comment le médicament est distribué, il est possible de faire des hypothèses éclairées sur son effet sur les organes et autres tissus. En d’autres termes, ces études sont inestimables. Les Doctors for Covid Ethics ont effectué des recherches approfondies sur ces études et ont rédigé un rapport intitulé « Le vaccin ARNm de Pfizer : pharmacocinétique et toxicité ». Voici quelques extraits qui permettent d’illustrer les dangers des vaccins :

« Comme pour tout médicament, un élément clé de la toxicité des vaccins à ARNm anti-covid est de savoir où ils se retrouvent exactement dans l’organisme et pendant combien de temps ils y restent. Ces questions, qui relèvent de la pharmacocinétique, font généralement l’objet d’une étude approfondie au cours du développement du médicament. Les études initiales sur la pharmacocinétique et aussi sur la toxicité sont effectuées sur des animaux… ce document a des implications assez importantes : il montre que Pfizer – ainsi que les autorités qui ont eu connaissance de ces données – devait avoir reconnu les risques graves d’effets indésirables après la vaccination avant même le début des essais cliniques. Néanmoins, les propres essais cliniques de Pfizer n’ont pas permis de contrôler les risques cliniques qui ressortaient clairement de ces données, et les autorités réglementaires n’ont pas appliqué les normes de surveillance appropriées. Ce double échec a causé le préjudice le plus grave au public…

Que présagent les données animales de Pfizer quant aux effets biologiques chez l’homme ?

  • Apparition rapide de la protéine spike dans la circulation.
  • Toxicité pour les organes dont on s’attend à ce que le taux de pénétration soit élevé, en particulier le placenta et les glandes mammaires en lactation.
  • La pénétration de certains organes pourrait être plus élevée avec le vrai vaccin qu’avec ce modèle à base de luciférase… L’entrée rapide du vaccin modèle dans la circulation signifie que nous devons nous attendre à ce que la protéine spike soit exprimée dans la circulation, en particulier par les cellules endothéliales (endothéliales – la fine couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins). Nous avons vu auparavant que cela conduira à l’activation de la coagulation du sang par l’activation directe des plaquettes et aussi, ce qui est probablement plus important, par l’attaque immunitaire des cellules endothéliales…

Résumé

Les données animales de Pfizer laissaient clairement présager les risques et dangers suivants :

  • coagulation du sang peu après la vaccination, pouvant entraîner des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des thromboses veineuses
  • atteinte grave à la fertilité féminine
  • grave préjudice pour les nourrissons allaités
  • toxicité cumulative après de multiples injections

À l’exception de la fertilité féminine, qui ne peut tout simplement pas être évaluée dans le court laps de temps pendant lequel les vaccins ont été utilisés, tous les risques susmentionnés ont été corroborés depuis que les vaccins ont été déployés – tous sont manifestes dans les rapports des différents registres d’événements indésirables. Ces registres contiennent également un nombre très important de rapports d’avortements et de mortinaissances peu après la vaccination, qui auraient dû susciter une enquête urgente…

L’élimination très lente des lipides cationiques toxiques est particulièrement préoccupante. Chez les personnes auxquelles on injecte de façon répétée des vaccins à ARNm contenant ces lipides… il en résulterait une toxicité cumulative. Il existe une réelle possibilité que les lipides cationiques s’accumulent dans les ovaires. Le risque grave pour la fertilité féminine qui en découle exige l’attention la plus urgente du public et des autorités sanitaires.

Les soi-disant essais cliniques ayant été menés avec une telle négligence, les véritables essais n’ont lieu que maintenant – à grande échelle et avec des résultats dévastateurs. … Il est grand temps de mettre fin à cette expérience ratée. La poursuite, voire l’obligation, de l’utilisation de ce vaccin toxique, ainsi que la délivrance apparemment imminente d’une autorisation totale pour celui-ci, sont des crimes contre l’humanité ».(([5] « Le vaccin à ARNm de Pfizer : pharmacocinétique et toxicité », The Doctors for Covid Ethics))

Ne pensez-vous pas que les gens ont le droit de savoir ce que le gouvernement veut injecter dans leur corps ? Ne pensez-vous pas qu’ils ont le droit de savoir comment cela affectera leur système immunitaire, leurs organes vitaux et leur santé en général ? Ne pensez-vous pas qu’ils ont le droit de décider eux-mêmes des médicaments qu’ils prendront et de ceux qu’ils refuseront de prendre ?

Forcer quelqu’un à prendre un médicament qu’il ne veut pas, ce n’est pas seulement mal. C’est anti-américain. C’est pourquoi les gens devraient rejeter les mandats de vaccination par principe. Ils sont une attaque contre la liberté individuelle, le fondement de notre système constitutionnel. C’est un principe qui vaut la peine que l’on meure pour lui.

Quant à la campagne de vaccination de masse, c’est le projet le plus maniaquement génocidaire jamais concocté par l’homme. Il n’y a tout simplement aucun moyen de calculer la quantité de souffrance et de mort à laquelle nous sommes sur le point d’être confrontés pour avoir fait confiance à des personnes dont les politiques ont manifestement été façonnées par leur haine pure de l’humanité. Comme l’a dit le microbiologiste allemand Dr. Sucharit Bhakdi :

« Au final, nous allons assister à des maladies et des décès en masse parmi des personnes qui, normalement, auraient eu de merveilleuses vies devant elles ».

C’est une grande tragédie.

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International





Le système économique occidental touche à sa fin

[Source : voltairenet.org]

[Illustration : © Chappatte dans Le Temps (Suisse)]

Produire ne permet plus de vivre en Occident, tandis que la Chine est devenue « l’atelier du monde ». Seuls les détenteurs de capitaux font de l’argent, et beaucoup d’argent. Le système est sur le point de s’effondrer. Les grands capitalistes peuvent-ils encore sauver ensemble leur fortune ?

Par Thierry Meyssan

La famine se répandit en Occident
à la suite de la crise de 1929.
Toutes les institutions furent menacées.
Elles ne survécurent qu’à la faveur
de la Seconde Guerre mondiale.

Déjà, au XVIIIème siècle, les économistes britanniques du capitalisme naissant s’interrogeaient autour de David Ricardo sur la pérennité de ce système. Ce qui rapportait énormément au début, finirait par devenir commun et par ne plus enrichir son homme. La consommation ne pourrait pas éternellement justifier la production de masse. Plus tard les socialistes, autour de Karl Marx,(([1] Critique de l’économie politique, Karl Marx (1867).)) prédisaient l’inéluctable fin du système capitaliste.

Ce système aurait du mourir en 1929, mais à la surprise générale, il a survécu. Nous nous approchons d’un moment analogue : la production ne rapporte plus, seule la finance fait maintenant de l’argent. Partout en Occident, nous voyons le niveau de vie de la masse des gens baisser, tandis que le patrimoine de quelques rares individus atteint des sommets. Le système menace à nouveau de s’effondrer pour ne plus se relever. Les super-capitalistes peuvent-ils encore sauver leurs avoirs ou assistera-t-on à une redistribution aléatoire des richesses à la suite d’un affrontement généralisé ?

Ce n’est qu’après avoir expulsé Léon Trotsky
et son rêve de révolution mondiale
que Joseph Staline put construire l’URSS
sans avoir à affronter les armées blanches.

LA CRISE DE 1929 ET LA SURVIE DU CAPITALISME

Lorsque survint la crise de 1929 aux États-Unis, la totalité des élites occidentales fut persuadée que la poule aux œufs d’or était morte ; qu’il fallait immédiatement trouver un nouveau système, faute de quoi, l’humanité périrait par la faim. Il est particulièrement instructif de lire la presse US et européenne de l’époque pour saisir l’angoisse qui étreignait l’Occident. D’immenses fortunes avaient disparues en un jour. Des millions d’ouvriers se retrouvaient au chômage et connaissaient non seulement la misère, mais souvent la famine. Les peuples se révoltaient. Les polices tiraient à balles réelles sur les foules en colère. Personne n’envisageait que le capitalisme puisse s’amender et renaitre. Deux nouveaux modèles furent proposés : le stalinisme et le fascisme.

Contrairement à l’image que nous en avons un siècle plus tard, à ce moment là tout le monde avait conscience des tares de ces idéologies, mais le problème le plus important, vital, était de savoir qui parviendrait au mieux à nourrir sa population. Il n’y avait plus ni droite, ni gauche, juste un sauve-qui-peut général. Benito Mussolini, qui avait été le directeur du principal journal socialiste italien avant la Première guerre mondiale, puis un agent du MI5 britannique pendant la guerre, devint le leader du fascisme, alors vécu comme l’idéologie qui allait donner du pain aux ouvriers. Joseph Staline, qui avait été bolchevik durant la révolution russe, liquida presque tous les délégués de son parti et les renouvela pour construire l’URSS, alors vécue comme une concrétisation de la modernité.

Aucun des deux leaders ne put faire aboutir son modèle : en définitive, les économistes doivent toujours céder leur place aux militaires. Les armes ont toujours le dernier mot. Ce fut donc la Seconde Guerre mondiale, la victoire de l’URSS et des Anglo-Saxons d’un côté, la chute du fascisme de l’autre. Il se trouve que seuls les États-Unis ne furent pas dévastés par la guerre et que le président Franklin Roosevelt, en organisant le secteur bancaire, donna une seconde chance au capitalisme. Les États-Unis reconstruisirent l’Europe sans écraser la classe ouvrière de peur de la voir se tourner vers l’URSS.

Klaus Kleinfeld est le directeur du projet Neom.
Il siège aux conseils d’administration
du Groupe de Bilderberg (Otan)
et du Forum de Davos (NED/CIA).

LA CRISE APRÈS LA DISPARITION DE L’URSS

Cependant lorsque l’URSS disparut, fin 1991, le capitalisme, privé de rival, retrouva ses vieux démons. En quelques années, les mêmes causes provoquant les mêmes effets, la production commença à décroitre aux États-Unis et les emplois furent délocalisés en Chine. La classe moyenne commença sa lente déchéance. Les détenteurs US de capitaux se sentirent menacés. Ils tentèrent successivement plusieurs approches pour sauver leur pays et maintenir le système.

 La première fut de transformer l’économie des États-Unis en exportatrice d’armes et d’utiliser les Forces armées US pour contrôler les matières premières et les sources d’énergie de la partie non-globalisée de la planète utilisées par le reste du monde. C’est ce projet, l’adaptation au « capitalisme financier » (si cet oxymore a un sens), la doctrine Rumsfeld/Cebrowski,(([2] « La doctrine Rumsfeld/Cebrowski », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 25 mai 2021.)) qui conduisit l’État profond US à organiser les attentats du 11-Septembre et la guerre sans fin au Moyen-Orient élargi. Cet épisode donna vingt ans de répit au capitalisme, mais les conséquences intérieures furent désastreuses pour les classes moyennes.

 La seconde tentative fut le frein aux échanges internationaux et le retour à la production US de Donald Trump. Mais il avait déclaré la guerre aux hommes du 11-Septembre et personne ne le laissa tenter de sauver les États-Unis.

 Une troisième évolution a été envisagée. Il se serait agi de laisser tomber les populations occidentales et de déplacer les quelques multi-milliardaire dans un État robotisé d’où ils auraient pu sans crainte diriger leurs investissements. C’est le projet Neom que le prince Mohamed ben Salmane a commencé à construire dans le désert saoudien avec la bénédiction de l’Otan. Après une période d’intense activité, les travaux sont aujourd’hui au point mort.

 L’ancienne équipe de Donald Rumsfeld (dont les docteurs Richard Hatchett(([3] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.)) et Anthony Fauci(([4] « Covid-19 : l’étau se resserre autour du docteur Anthony Fauci », Réseau Voltaire, 7 octobre 2021.))) a décidé de lancer une quatrième option à l’occasion de la pandémie de Covid-19. Il s’agit de poursuivre et de généraliser dans les États développés ce qui a été initié en 2001. Le confinement massif des populations saines à poussé les États à s’endetter. Le recours au télétravail a préparé la délocalisation de dizaines de millions d’emplois. Le passe sanitaire a légalisé une société de surveillance de masse.

Klaus Schwab organise le Forum de Davos
comme Louis XIV sa cour de Versailles :
il y surveille tous les multi-milliardaires
pour le compte de la NED/CIA.

KLAUS SCHWAB ET LA GRANDE RÉINITIALISATION (GREAT RESET)

C’est dans ce contexte que le président du Forum de Davos, Klaus Schwab, a publié Covid-19 : The Great Reset. Il ne s’agit aucunement d’un programme, mais d’une analyse de la situation et d’une anticipation sur les évolutions possibles. Ce livre a été écrit pour les membres du Forum et donne une idée de leur niveau intellectuel lamentable. L’auteur enfile des poncifs en citant pêle-mêle de grands auteurs et les chiffres abracadabrantesques de Neil Ferguson (Imperial College).(([5] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.))

Dans les années 70-80, Klaus Schwab fut l’un des directeurs de la société Escher-Wyss (absorbée par Sulzer AG) qui joua un rôle important dans le programme de recherche atomique de l’Afrique du Sud de l’apartheid ; contribution qui eut lieu en violation de la résolution 418 du Conseil de sécurité des Nations unies. Il n’a donc aucune morale et peur de rien. Par la suite, il créa un cercle de chefs d’entreprise qui devint le Forum économique mondial. Ce changement de nom fut opéré avec l’aide du Centre pour l’entreprise privée internationale (CIPE) ; la branche patronale de la National Endowment for Democracy (NED/CIA). C’est pourquoi il était enregistré en 2016 au Groupe de Bilderberg (organe d’influence de l’Otan) comme fonctionnaire international, ce qu’il n’a jamais été officiellement.

Dans son livre, Klaus Schwab prépare son auditoire à une société orwellienne. Il envisage tout et n’importe quoi jusqu’au décès par la Covid-19 de 40 % de la population mondiale. Il ne propose rien de concret et ne semble préférer aucune option. On comprend juste que lui et son public ne décideront rien, mais ils sont prêts à tout accepter pour conserver leurs privilèges.

CONCLUSION

Nous sommes à l’évidence au seuil d’un énorme chambardement qui balayera toutes les institutions occidentales. Ce cataclysme pourrait être évité d’une manière simple, en changeant l’équilibre des rémunérations entre le travail et le capital. Cette solution est pourtant improbable car elle impliquerait la fin des super-fortunes.

Si l’on garde ces données à l’esprit, la rivalité Ouest-Est n’est que superficielle. Pas seulement parce que les Asiatiques ne pensent pas en termes de compétition, mais surtout parce qu’ils voient agoniser l’Occident.

C’est pourquoi la Russie et la Chine édifient lentement leur monde, sans espoir d’y intégrer l’Occident qu’elles considèrent comme un prédateur blessé. Elles ne veulent pas l’affronter, mais le rassurer, lui prodiguer des soins palliatifs et l’accompagner sans le forcer lors de son suicide.





L’homme politique britannique George Galloway a averti que Facebook est secrètement de connivence avec le « Nouvel ordre mondial » pour éradiquer la liberté d’expression et tuer à jamais les éditeurs indépendants

[Source : anguillesousroche.com]

Dans une tribune pour RT, M. Galloway a souligné que la récente vague de « dénonciations » de Facebook, qui survient au moment même où Big Tech a promis de « réduire la présence de la politique » sur le site, fait partie d’un plan coordonné visant à contrôler davantage la liberté d’expression en ligne.

Galloway écrit :

« Si vous m’aviez dit, pendant les années où j’ai siégé avec Nick Clegg au Parlement britannique, que le député douloureusement libéral de Sheffield Hallam – qui deviendra plus tard vice-premier ministre du Royaume-Uni et Sir Nick – deviendrait le censeur en chef de la plus grande place publique de la planète, Facebook, je ne l’aurais jamais cru.

Lors des élections générales de 2010, lorsque Clegg a fait décoller les libéraux-démocrates lors des débats télévisés, « Je suis d’accord avec Nick » est devenu le slogan de ses adversaires. Ce qui n’était au départ qu’un expédient est aujourd’hui devenu obligatoire.

Car si vous êtes sur Facebook et que Sir Nick Clegg n’apprécie pas ce que vous avez à dire, vous ne serez pas entendu longtemps.

Je déclare un intérêt. Je suis très investi dans la liberté d’expression sur Facebook. J’y ai 600 000 abonnés – plus que la quasi-totalité des personnalités politiques britanniques – et un public de plusieurs millions de personnes pour mes discours, mes clips, etc.

Lorsque j’ai lu récemment le pronunciamento de Clegg selon lequel il allait réduire le contenu politique sur la plateforme, je l’ai perçu comme une menace. Les photos de mon petit-déjeuner ne sont qu’une petite partie de mon œuvre sur Facebook ».

Rt.com rapporte : Selon Clegg

« L’une des choses que nous avons entendues de la part des utilisateurs américains et du monde entier depuis l’élection est que les gens veulent voir plus d’amis, moins de politique. Nous avons donc testé des moyens de réduire la présence de la politique dans les expériences des gens sur Facebook. »

Puis j’ai observé avec fascination les manœuvres orchestrales dans l’obscurité d’une enquête du Congrès sur Facebook où une lanceuse d’alerte, Frances Haugen, sifflait un air très commode pour les puissants – dans l’entreprise et dans les centrales de l’establishment – et j’ai réalisé que nous étions tous joués. Et que Nick Clegg n’est plus un libéral.

Facebook se battra jusqu’à la mort pour empêcher ceux qui ont de « mauvaises » opinions d’être entendus. Signal : il faut faire quelque chose !

Le lanceur d’alerte A de Facebook a été entendu dans le monde entier. Un autre lanceur d’alerte, Julian Assange, n’a pas été entendu depuis plusieurs années en raison de son incarcération dans la prison de haute sécurité de Belmarsh à Londres, et il risque de passer le reste de sa vie sous terre dans un Guantanamo américain.

Le lanceur d’alerte A était préoccupé par le body-shaming sur Instagram et d’autres éphémères de ce genre. Le lanceur d’alerte Assange s’inquiétait des corps, bien morts, aux mains de ceux qui, comme le public du Congrès, fredonnaient avec une horreur feinte les récits du lanceur d’alerte A.

Et voilà qu’arrive de l’Ouest la nouvelle d’un lanceur d’alerte B. Une autre ex-employée de Facebook, Sophie Zhang, a fait part de ses histoires d’horreur sur les fausses nouvelles de Facebook qui influencent les élections dans le monde entier.

Mme B, une tribune de San Francisco, n’a pas encore été nommée, mais il est peu probable que les élections en question soient celles – en Russie par exemple – où une presse d’ONG à fond de train a été filmée pour tenter de réduire la victoire du parti parlementaire du président Vladimir Poutine, quitte à favoriser les communistes !

Il est plus probable qu’elle ait en tête des personnes comme Donald Trump, alors que les dirigeants américains commencent à montrer des signes d’effondrement face à l’éventualité de la résurrection de l’homme orange.

Il ne fait aucun doute que Mme Chang parviendra à citer les mystérieux Ivans et Lis qui continuent de travailler sans relâche pour installer des candidats favorables au pouvoir d’une manière dont l’ENSEMBLE des médias de masse et de la classe politique occidentaux ne pourrait jamais rêver.

La musique d’ambiance est claire. Les mauvaises personnes ont réussi à persuader le public que nos dirigeants et leurs principaux récits sont tout à fait nus. Ils n’ont pas de vêtements.

Il faut les arrêter. Et comme le fameux village du Vietnam qu’il a fallu détruire pour le sauver, la liberté d’expression doit être éteinte pour la préserver. C’est la voie libérale…




Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Christine Massey et Jon Rappoport

Avec une formation en biostatistique, Christine Massey a utilisé les demandes de liberté d’information (FOIA) comme un outil de recherche, comme une fraise à diamant, pour découvrir la vérité sur le SARS-CoV-2. C’est-à-dire : Le virus existe-t-il ?

Son approche a donné des résultats choquants.

Dans un monde à moitié sain d’esprit, le travail de Christine remporterait de nombreux prix et bénéficierait d’une large couverture médiatique. Dans le monde actuel, de plus en plus de personnes, de leur propre chef, s’éveillent à ses découvertes et révisent complètement leur perception de la “pandémie”.

Voici mon récent entretien avec la brillante et implacable Christine Massey :

Q : Vous et vos collègues avez adressé de nombreuses demandes de communication d’informations aux agences de santé publique du monde entier. Vous avez demandé des documents qui montrent que le virus SARS-CoV-2 existe. Comment avez-vous développé cette approche ?

R : En 2014, une dame d’Edmonton a soumis une demande de liberté d’information à Santé Canada, demandant des études relatives à l’ajout d’acide hydrofluorosilisique (acide fluorure résiduel industriel) à l’eau potable publique (fluoration de l’eau). La réponse de Santé Canada indiquait qu’elle ne disposait d’aucune étude pour étayer ses affirmations selon lesquelles cette pratique est sûre ou efficace.

Quelques années plus tard, des études de grande qualité financées par le gouvernement ont montré que les niveaux courants d’exposition au fluorure pendant la grossesse sont associés à un QI inférieur et à des symptômes accrus de trouble du déficit de l’attention chez les enfants. Néanmoins, les dentistes et la communauté de la santé publique ont continué à promouvoir et à défendre la soi-disant “grande réussite de santé publique” consistant à imposer ce traitement dentaire préventif controversé à des communautés entières, et ont fait fi de ces études. J’ai donc eu recours à des demandes de liberté d’information pour montrer que diverses institutions promouvant et défendant la fluoration de l’eau en Ontario, en Alberta et dans l’État de Washington n’ont pas pu fournir ou citer ne serait-ce qu’une seule étude primaire indiquant l’innocuité de ces résultats.

Ainsi, lorsque j’ai appris de la part de personnes comme David Crowe, le Dr Andrew Kaufman, le Dr Stefan Lanka et le Dr Thomas Cowan que le prétendu virus [Coronavirus] n’avait jamais été isolé (purifié) à partir d’un échantillon de patient, puis caractérisé, séquencé et étudié au moyen d’expériences comparatives, et que son existence n’avait donc jamais été démontrée, j’ai réalisé que les demandes de liberté d’information pouvaient être utilisées pour vérifier leurs affirmations.

La plupart des gens ne vont pas prendre le temps de vérifier toutes les études sur la soi-disant “isolation du virus” par eux-mêmes, donc les demandes de liberté d’information étaient un moyen de 1) s’assurer que rien n’avait été oublié, et 2) d’aller droit au but et de confirmer ce que ces messieurs [Kaufman, Cowan, Crowe, Lanka] disaient, s’ils étaient effectivement corrects.

Ainsi, en mai 2020, j’ai commencé à soumettre des demandes d’accès à l’information pour tout document détenu par l’institution concernée décrivant l’isolement/la purification du prétendu “virus du COVID-19” à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade, par quiconque, n’importe où sur la planète.

Q : Combien d’agences de santé publique et d’agences gouvernementales avez-vous interrogées dans le cadre de demandes FOIA ?

R : J’ai personnellement posé des questions et reçu des réponses de 22 institutions canadiennes. Il s’agit d’institutions de santé publique, d’universités qui prétendent avoir “isolé le virus”, et de 3 services de police – en raison de leur application des restrictions liées au “COVID-19”. J’ai également reçu personnellement des réponses de plusieurs institutions à l’extérieur du Canada, y compris les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci. J’attends les réponses d’un certain nombre d’autres institutions.

De nombreuses personnes à travers le monde ont obtenu des réponses à des demandes identiques, similaires ou connexes de la part d’institutions de leur propre pays. Une personne qui a beaucoup travaillé sur ce sujet en Nouvelle-Zélande et dans d’autres pays est mon collègue Michael S. Un collègue nommé Marc Horn a également obtenu de nombreuses réponses au Royaume-Uni. Une poignée d’autres personnes ont obtenu plusieurs réponses, et beaucoup de gens en ont obtenu une ou deux.

J’ai compilé toutes les réponses qui m’ont été envoyées sur ma page FOI[archive cv19], et au moment où je tape ces lignes (4 octobre 2021), nous avons des réponses FOI de 104 institutions dans plus de 20 pays, toutes relatives à la purification/existence du prétendu virus. En outre, il y a des documents judiciaires d’Afrique du Sud et du Portugal. Au total, 110 instructions sont représentées en ce moment sur mon site web. Il y a des réponses FOI d’autres institutions que je n’ai pas encore eu l’occasion de mettre en ligne.

Q : Comment qualifieriez-vous les réponses que vous avez reçues de ces agences ?

R : Toutes les institutions sans exception ont omis de fournir ou de citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient.

Vingt et un des 22 établissements canadiens ont admis sans détour qu’ils ne possédaient pas de tels documents (comme l’exige la législation canadienne). De nombreuses institutions à l’extérieur du Canada ont admis la même chose, y compris le CDC (2 novembre 2020), le ministère de la Santé de l’Australie, le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande, le ministère de la Santé et des Soins sociaux du Royaume-Uni…

Et dans certains cas, des excuses stupides ont été fournies. Par exemple, la réponse de la Direction norvégienne de la santé a été qu’elle ne possède pas, ne stocke pas et ne contrôle pas les documents contenant des informations sur les patients. La Direction de la santé publique du Pays de Galles a répondu au Dr Janet Menage qu’elle n’avait pas produit de tels documents et que, même si elle était normalement disposée à l’orienter vers des documents relevant du domaine public, ce serait trop difficile dans ce cas.

L’agence brésilienne de réglementation de la santé (Anvisa), qui approuve les injections à la manière de la FDA, a déclaré à Marcella Picone qu’elle ne disposait d’aucun dossier sur la purification du virus et qu’elle n’y était pas tenue par la loi, de sorte qu’il n’est pas de son ressort de s’assurer que le virus existe réellement.

Q : Quel est le texte exact de vos demandes FOIA ?

Le texte a quelque peu varié au fil du temps. Par exemple, au début, j’utilisais le mot “isolation”. Mais comme ce terme est tellement galvaudé par les virologues, je m’en tiens maintenant à “purification”.

Dans toutes mes demandes, j’ai spécifié exactement ce que j’entendais par “isolement/purification” (séparation du prétendu virus de tout le reste), et que les particules purifiées devaient provenir directement d’un échantillon prélevé sur un être humain malade, l’échantillon du patient n’ayant pas été préalablement altéré par une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire les cellules rénales de singe, alias cellules Vero, et le sérum bovin fœtal qui sont généralement utilisés dans les études bidon d’”isolement de virus”).

J’ai toujours précisé que je ne demandais pas de dossiers où les chercheurs n’ont pas purifié le prétendu virus et ont plutôt cultivé quelque chose et/ou effectué un test PCR et/ou séquencé quelque chose. J’ai également précisé que je demandais des documents rédigés par n’importe qui, n’importe où – et pas seulement des documents créés par l’institution en question. Et j’ai demandé des citations pour tout document de purification détenu par l’institution mais déjà disponible au public ailleurs.

La dernière itération [de la demande FOIA] est publiée sur une page de mon site Web où j’encourage les autres à soumettre des demandes aux institutions de leur propre pays : Template for “SARS-COV-2 isolation” FOI requests.

Q : Ces agences disent toutes qu’elles n’ont pas de dossiers prouvant l’existence du SARS-CoV-2, mais en même temps, certaines de ces agences parrainent et financent des études qui affirment que le virus existe. Comment expliquez-vous cette contradiction ?

Je vais aborder cette question à l’aide d’un exemple.

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) est la seule institution canadienne qui n’a pas fourni de réponse directe ” aucun dossier ” jusqu’à présent. Au lieu de cela, elle m’a fourni ce qu’elle prétendait être des documents recevables.

Il s’agit de quelques courriels et d’une étude de Bullard et al. qui a été soutenue par l’ASPC et son Laboratoire national de microbiologie, ainsi que par Santé Manitoba et le Laboratoire provincial Cadham du Manitoba.

Ni l’étude ni les courriels ne décrivent la purification du prétendu virus à partir d’un échantillon de patient ou de quoi que ce soit d’autre. Le mot “isoler” (ou “isolation” / “purifier” / “purification”) n’apparaît même pas, sauf dans le manuscrit de l’étude dans le contexte de l’isolement de personnes, pas d’un virus.

…dans la section Matériaux et méthodes, nous constatons que ces chercheurs ont effectué des “tests” PCR pour une partie de la séquence du gène E (pas un virus), et qu’ils ont incubé des échantillons de patients (pas un virus) sur des cellules Vero (cellules rénales de singe) supplémentées avec du sérum bovin fœtal, de la pénicilline/streptomycine et de l’amphotéricine B, et qu’ils ont surveillé les dommages causés aux cellules de singe.

Aucun virus n’a été recherché ou purifié dans les échantillons des patients. Aucun groupe de comparaison, de quelque nature que ce soit, n’a été mis en place dans les procédures relatives aux cellules de singe. Aucun virus n’a été requis ou démontré comme étant impliqué dans l’étude, mais “il” a été accusé de tout dommage aux cellules de singe et “il” a été mentionné à plusieurs reprises tout au long de l’étude (j’ai compté 26 occurrences).

Néanmoins, il s’agissait du seul document fourni par l’Agence de santé publique du Canada.

Et bien que les chercheurs n’aient pas prétendu avoir “isolé” le prétendu virus dans cet article, ils ont effectué le même genre de procédure de culture cellulaire et de travaux sur les singes que les virologues de tous les pays font passer pour un “isolement du virus”. (Parce que la virologie n’est pas une science).

…Notez l’admission dans le résumé [de l’étude] : “La RT-PCR détecte l’ARN, pas le virus infectieux”.

…J’ai donc écrit à l’Agence de la santé publique du Canada pour l’informer qu’aucun des documents qu’elle m’a fournis ne décrit réellement la séparation du prétendu virus de tout le reste dans un échantillon de patient, et que j’exige une réponse précise indiquant qu’elle n’a aucun document à ce sujet.

Dans sa réponse révisée, l’Agence a insisté sur le fait que l’essai de référence utilisé pour déterminer la présence d’un virus intact dans les échantillons de patients est l’effet cytopathique visible [destruction des cellules] sur les cellules dans une culture cellulaire, et que “la PCR confirme en outre la présence d’un virus intact”.

…Comme vous l’avez souligné à vos lecteurs à maintes reprises : Personne n’a isolé/purifié “le virus”. Ils supposent simplement que les échantillons de patients le contiennent (sur la base de tests PCR sans signification). Ils falsifient les échantillons de patients avec du matériel génétique et des médicaments toxiques, affament les cellules, puis accusent de manière irrationnelle le “virus” de nuire aux cellules. Ils montrent du doigt quelque chose qui n’a jamais été purifié, caractérisé, séquencé ou étudié scientifiquement, dans une culture cellulaire et insistent sur le fait que “c’est le virus”. Ils fabriquent les “génomes” à partir de zillions de séquences détectées dans une soupe. Ce ne sont que des spéculations et des hypothèses sauvages, aucune science.

Les personnes responsables des affirmations manifestement frauduleuses faites par ces institutions sont donc soit extrêmement incompétentes, soit intentionnellement menteuses.

-fin de l’interview-


Pour soutenir les derniers commentaires de Christine, ces agences répondront aux demandes de FOIA par : “nous n’avons pas de dossiers sur la purification du virus” – et parraineront ensuite des études qui prétendent que le virus A ÉTÉ purifié et découvert, parce que…

Les normes de purification du virus dans les études ne sont pas des normes du tout. Elles sont totalement irrationnelles.

Cependant, parce que Christine est très précise et exacte dans ses demandes FOIA, quand il s’agit de ce que signifie la purification, les agences sont obligées de répondre …

“Eh bien, dans ce cas, nous n’avons aucune trace de purification du virus…”

Ce qui veut dire : Il n’y a pas de documents montrant que le virus a été isolé ; il n’y a pas de documents montrant que le virus existe.

Article original (anglais) : https://blog.nomorefakenews.com/2021/10/07/the-non-existent-virus-explosive-interview-with-christine-massey/
La source originale de cet article est nomorefakenews.com
Copyright © Christine Massey et Jon Rappoportnomorefakenews.com, 2021


[Voir aussi :
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Le Nouvel ordre mondial pour Les Nuls en sept étapes et en images

[Source : Sott.net]

Voici en images un condensé explicatif plus ou moins hypothétique du plan qui se déroule actuellement sous nos yeux pour celles et ceux qui se sont réveillés récemment et ont encore du mal à y voir clair. Le texte a été écrit Jean-Jacques Crèvecoeur et le graphisme créé par Le Grand Réveil.

[Ndlr : l’intérêt d’un tel exposé n’est pas de sombrer dans le pessimisme et le défaitisme, mais d’une part de se préparer au mieux (notamment psychologiquement) au cas où de telles éventualités interviendraient malgré tout, mais d’autre part d’envisager dès maintenant les meilleurs moyens d’empêcher que cela arrive.]

Théorie ou réalité il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entre la phase 4 et la phase 5…

Le NOM pour les Nuls-2
Le NOM pour les Nuls-3
Le NOM pour les Nuls-4
Le NOM pour les Nuls-5
Le NOM pour les Nuls-6
Le NOM pour les Nuls-7
Le NOM pour les Nuls-8
Le NOM pour les Nuls-9

[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
et Les 13 étapes machiavéliques ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’histoire de la polio

La maladie la plus souvent invoquée pour défendre les vaccins est sans conteste la poliomyélite. Par coïncidence, c’est aussi le plus grand mensonge et la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. Les toxines causant la “polio” sont bien documentées. Le virus responsable de la polio n’a jamais existé.

Une infirmière assiste un patient de 27 ans dans un poumon d’acier à Syracuse, N.Y., en 1954

1824 : Les ouvriers métallurgistes souffraient depuis des siècles d’une paralysie similaire à la polio, causée par le plomb et l’arsenic présents dans les métaux qu’ils travaillaient. Le scientifique anglais John Cooke observe : “Les fumées de ces métaux, ou leur réception en solution dans l’estomac, provoquent souvent des paralysies”.

1890 : Aux États-Unis, on commence à pulvériser de l’arséniate de plomb jusqu’à 12 fois par été pour tuer le carpocapse des pommes.

1892 : Des épidémies de polio commencent à se produire dans le Vermont, une région de culture de pommes. Dans son rapport, l’inspecteur du gouvernement, le Dr Charles Caverly, note que les parents signalent que certains enfants tombent malades après avoir mangé des fruits. Il déclare que ” la paralysie infantile se produit généralement dans des familles comptant plusieurs enfants, et comme aucun effort n’a été fait pour les isoler, il est très probable qu’elle n’est pas contagieuse ” (un seul enfant de la famille ayant été touché).

1907 : L’arséniate de calcium est utilisé principalement sur les cultures de coton.

1908 : Dans une ville du Massachusetts comptant trois usines de coton et des vergers de pommiers, 69 enfants tombent soudainement malades de paralysie infantile.

1909 : Le Royaume-Uni interdit les importations de pommes en provenance des États-Unis en raison de la présence de résidus importants d’arséniate de plomb.

1921 : Franklin D. Roosevelt développe la polio après avoir nagé dans la baie de Fundy, au Nouveau-Brunswick. La toxicité de l’eau pourrait être due à des écoulements polluants.

1943 : Introduction du DDT, un pesticide neurotoxique. Au cours des années suivantes, son utilisation se généralise dans les foyers américains. Par exemple, du papier peint imprégné de DDT a été placé dans les chambres d’enfants.

1943 : Une épidémie de polio dans la ville britannique de Broadstairs, dans le Kent, est liée à une laiterie locale où les vaches étaient lavées au DDT.

1944 : Albert Sabin rapporte qu’une cause majeure de maladie et de décès des troupes américaines basées aux Philippines était la poliomyélite. Les camps militaires américains y sont pulvérisés quotidiennement avec du DDT pour tuer les moustiques. Les colonies philippines voisines n’ont pas été touchées.

1944 : Le NIH rapporte que le DDT endommage les mêmes cellules de la corne antérieure qui sont endommagées dans la paralysie infantile.

1946 : Gebhaedt montre que la saisonnalité de la polio est en corrélation avec la récolte des fruits.

1949 : Le Dr Morton Biskind, endocrinologue, praticien et chercheur médical, constate que le DDT provoque ” des lésions de la moelle épinière similaires à celles de la polio humaine “.

1950 : Le directeur médical de l’hygiène industrielle de la santé publique américaine, J.G. Townsend, note la similitude entre l’empoisonnement au parathion et la polio et pense que certaines polio pourraient être causées par la consommation de fruits ou de légumes contenant des résidus de parathion.

1951 : Le Dr Biskind traite ses patients atteints de polio comme des victimes d’empoisonnement, en éliminant les toxines de la nourriture et de l’environnement, en particulier le lait et le beurre contaminés par le DDT. Le Dr Biskind écrit : “Bien que les jeunes animaux soient plus sensibles aux effets du DDT que les adultes, dans la mesure où la littérature disponible est concernée, il ne semble pas que les effets de telles concentrations sur les nourrissons et les enfants aient même été pris en compte.

1949-1951 : D’autres médecins déclarent avoir du succès dans le traitement de la polio avec des antitoxines utilisées pour traiter les empoisonnements, le dimercaprol et l’acide ascorbique. Exemple : Le Dr. F. R. Klenner rapporte : Lors de l’épidémie de poliomyélite en Caroline du Nord en 1948, 60 cas de cette maladie ont été pris en charge… Le traitement consistait en des doses massives de vitamine C toutes les deux à quatre heures. Les enfants jusqu’à quatre ans recevaient une injection de vitamine C par voie intramusculaire… Tous les patients étaient cliniquement bien portants au bout de 72 heures.”

1950 : Le Dr Biskind présente au Congrès américain des preuves que les pesticides sont la principale cause des épidémies de polio. Il est rejoint par le Dr. Ralph Scobey qui déclare avoir trouvé des preuves évidentes d’empoisonnement en analysant les traces chimiques dans le sang des victimes de la polio.

Commentaire : C’était un non-lieu. La théorie de la causalité virale ne devait pas être remise en question. Les carrières d’éminents virologues et d’autorités sanitaires étaient menacées. Les idées de Biskind et Scobey sont tournées en ridicule.

1953 : Les vêtements sont rendus imperméables aux mites en les lavant dans de l’EQ-53, une formule contenant du DDT.

1953 : Le Dr Biskind écrit : “On savait déjà en 1945 que le DDT était stocké dans les graisses corporelles des mammifères et qu’il apparaissait dans leur lait… pourtant, loin d’admettre une relation de cause à effet entre le DDT et la polio qui est si évidente et qui, dans n’importe quel autre domaine de la biologie, serait immédiatement acceptée, pratiquement tout l’appareil de communication, tant profane que scientifique, a été consacré à nier, dissimuler, supprimer, déformer et tenter de convertir en son contraire cette preuve accablante. La diffamation, la calomnie et le boycottage économique n’ont pas été négligés dans cette campagne”.

1954 : Une législation reconnaissant les dangers des pesticides persistants est promulguée, et l’élimination progressive du DDT aux États-Unis s’accélère parallèlement à un transfert des ventes de DDT vers les pays du tiers monde.

(Notez que l’élimination progressive du DDT coïncide avec le début de la vaccination généralisée contre la polio. Cela dit, les cas de polio ne montent en flèche que dans les communautés qui acceptent le vaccin antipoliomyélitique, car ce dernier contient des métaux lourds et d’autres toxines, de sorte que le récit de la paralysie recommence. Comme les vaccins contre la polio provoquent d’énormes pics de polio, le public mal informé demande davantage de vaccins contre la polio et le cycle s’emballe de manière exponentielle).

1956 : l’American Medical Association impose à tous les médecins agréés de ne plus classer la polio comme telle. Tous les diagnostics de polio sont rejetés au profit du syndrome de Guillian-Barre, de la PFA (paralysie flasque aiguë), de la paralysie de Bell, de l’infirmité motrice cérébrale, de la SLA (maladie de Lou-Gehrig), de la SEP, de la MD, etc. Ce tour de passe-passe a été fabriqué dans le seul but de donner au public l’impression que le vaccin contre la polio avait réussi à faire reculer la polio ou à l’éradiquer. Le public a mordu à l’hameçon et, jusqu’à ce jour, de nombreux arguments en faveur des vaccins sont alimentés par le mensonge fabriqué concernant l’éradication de la polio par le vaccin.

1962 : Publication de Silent Spring de Rachel Carson.

1968 : Abandon de l’homologation du DDT aux États-Unis.

2008 : La paralysie flasque aiguë (PFA) fait toujours rage dans de nombreuses régions du monde où l’utilisation de pesticides est élevée, et où le DDT est toujours utilisé. La PFA, la sclérose en plaques, la paralysie de Bell, l’infirmité motrice cérébrale, la sclérose latérale amyotrophique (maladie de Lou Gehrig) et le syndrome de Guillain Barré sont tous des diagnostics de type “panier de crabes”, aux symptômes similaires, liés à l’empoisonnement par les métaux lourds et à une charge toxique élevée.

2008 : L’OMS déclare sur son site web : Il n’y a pas de remède à la polio. Ses effets sont irréversibles”.

Conclusion :

La croyance moderne selon laquelle la polio est causée par un virus est une tragédie permanente pour les enfants du monde. Les fonds publics sont gaspillés pour des vaccins inutiles et dangereux alors que les enfants pourraient être traités avec des antitoxines. Un débat sur le mythe de la vaccination est justifié, ainsi qu’une enquête complète sur le véritable programme exécuté contre l’humanité, impliquant la science, les produits chimiques, les vaccins, le domaine médical en général et le gouvernement.

[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Propositions de ressources pour vérifier ces informations :
https://learntherisk.org/vaccines/diseases/#Polio
https://www.westonaprice.org/health-topics/environmental-toxins/pesticides-and-polio-a-critique-of-scientific-literature/

Source (anglais) : https://truth11.com/2021/10/09/the-history-of-polio-the-go-to-disease-to-defend-vaccines-is-polio-coincidently-its-also-the-greatest-lie-and-medical-con-job-of-all-time/




Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers

[Extraits de : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : voir les détails et références sur
Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Voir aussi :
Spartacus : « Au diable l’enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre nouvel ordre mondial » — La lettre anonyme contre la COVID est devenue virale – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Guy Boulianne Par Guy Boulianne

« Voici des faits et des sources clés sur la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020 et à éclairer tous vos amis qui pourraient être encore piégés dans le brouillard de la nouvelle normalité. »

OffGuardian le 22 septembre dernier


PARTIE I : « DÉCÈS DUS AU COVID » & MORTALITÉ

1. Le taux de survie de « Covid » est supérieur à 99%. 

Les experts médicaux du gouvernement se sont donné beaucoup de mal pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est en aucun cas en danger face au Covid.

2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. 

La presse a qualifié 2020 d’« année la plus meurtrière du Royaume-Uni depuis la Seconde Guerre mondiale », mais cela est trompeur car elle ignore l’augmentation massive de la population depuis cette époque. (…)

Par cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année de mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seulement 9 ans ont été meilleurs que 2020.

3. Le nombre de « morts de Covid » est artificiellement gonflé. 

Des pays du monde entier ont défini un « décès de Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

4. La grande majorité des décès par covid ont des comorbidités graves. 

En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid» présentaient au moins une comorbidité grave. Ceux-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50 % d’entre eux avaient au moins trois affections préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une demande FOIA d’octobre 2020 à l’ONS du Royaume-Uni a révélé que moins de 10 % du nombre officiel de « décès par Covid » à cette époque avait la Covid comme seule cause de décès.

5. L’âge moyen du « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. 

L’âge moyen d’un « décès de Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, c’est 86. Allemagne, 83. Suisse, 86. Canada, 86. Les États-Unis, 78, Australie, 82. Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

En tant que telle, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » a eu peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. Comparez cela avec la grippe espagnole, qui a entraîné une baisse de 28 % de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]

6. La mortalité due à la Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle.

Des études statistiques du Royaume-Uni et de l’Inde ont montré que la courbe de « décès de Covid » suit presque exactement la courbe de mortalité attendue :

OffGuardian -03
OffGuardian -04

Le risque de décès « de la Covid » suit, presque exactement, votre risque de décès de fond en général.

La faible augmentation pour certains des groupes d’âge plus âgés peut s’expliquer par d’autres facteurs. [faits 7, 9 et 19]

7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». 

Les chiens de garde et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordres de non-réanimation (DNR) au cours des vingt derniers mois. Aux États-Unis, les hôpitaux considéraient comme des « DNR universels » pour tout patient testé positif pour la Covid, et les infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait été abusé à New York.


PARTIE II : VERROUILLAGES

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. 

Il y a peu ou pas de preuves que les verrouillages ont un impact sur la limitation des « décès de Covid ». Si vous comparez des régions verrouillées à des régions qui ne l’ont pas fait, vous ne pouvez voir aucune tendance.

9. Les confinements tuent des gens. 

Il existe des preuves solides que les blocages – par le biais de dommages sociaux, économiques et autres pour la santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la Covid-19, a qualifié les fermetures de « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

Nous, à l’Organisation Mondiale de la Santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle du virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une terrible et horrible catastrophe mondiale.

10. Les hôpitaux n’ont jamais été anormalement surchargés. 

Le principal argument utilisé pour défendre les blocages est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été sur le point de s’effondrer.


PARTIE III : TESTS PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer une maladie. 

Le test Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme le « Standard Or » pour le diagnostic de Covid. Mais l’inventeur du procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a déclaré publiquement :

La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vous faire du mal ou quelque chose comme ça.

12. Les tests PCR ont toujours été inexacts et peu fiables. 

Les tests PCR « Standard Or » pour Covid sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. 

Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : 

« Si vous devez faire plus de 40 cycles[…] il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec votre PCR. »

14. Les tests PCR admis par l’Organisation mondiale de la santé ont produit des faux positifs. 

En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées provoquant des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

15. La base scientifique des tests Covid est discutable. 

Le génome du virus Sars-Cov-2 aurait été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé le génome pour créer des tests pour les tests PCR.


PARTIE IV : « INFECTION ASYMPTOMATIQUE »

16. La majorité des infections à Covid sont « asymptomatiques ». 

Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

17. Il existe très peu de preuves étayant le prétendu danger de « transmission asymptomatique ». 

En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité maladies émergentes et zoonoses de l’OMS, a déclaré :

D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette réellement à un individu secondaire.

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chance d’infecter les personnes au sein de leur foyer


PARTIE V : VENTILATEURS

18. La ventilation n’est PAS un traitement contre les virus respiratoires. 

La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires de quelque nature que ce soit. Au début de la pandémie, de nombreux médecins se sont manifestés pour remettre en cause l’utilisation de ventilateurs pour traiter le « Covid ».

19. Les ventilateurs ont tué des gens. 

Mettre sous respirateur quelqu’un qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique ou de toute autre affection qui restreint la respiration ou affecte les poumons, n’atténuera aucun de ces symptômes. En fait, cela aggravera presque certainement la situation et en tuera beaucoup.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à un ventilateur », qui, selon des études, affecte jusqu’à 28 % de toutes les personnes sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie et même entraîner la mort.


PARTIE VI : MASQUES

20. Les masques ne fonctionnent pas. 

Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux ». Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ». Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [ 1 ][ 2 ][ 3 ][ 4 ][ 5 ][ 6 ][ 7 ][ 8 ][ 9 ][ 10 ] Ou lire un résumé par SPR ici.

Alors que certaines études ont été réalisées en prétendant montrer que les masques fonctionnent pour la Covid, elles sont toutes sérieusement imparfaites. L’une s’est appuyé sur des enquêtes autodéclarées comme données. Une autre a été si mal conçue qu’un panel d’experts demande qu’il soit retiré. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient avérées totalement inexactes.

21. Les masques sont mauvais pour la santé. 

Le port d’un masque pendant de longues périodes, le port du même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour votre santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port du masque a été récemment publiée par l’ International Journal of Environmental Research and Public Health.

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain .

22. Les masques sont mauvais pour la planète.

Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés par mois depuis plus d’un an. Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques faciaux.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) obstrueront les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des effets néfastes sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les humains et la faune.


PARTIE VII : VACCINS

23. Les « vaccins » contre la Covid sont totalement inédits. 

Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain  n’avait jamais été développé. Depuis, nous en aurions fabriqué 20 en 18 mois.

Les scientifiques tentent de développer un vaccin contre le SRAS et le MERS depuis des années avec peu de succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie « plus gravement » que les souris non vaccinées. Une autre tentative a causé des dommages au foie chez les furets.

Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant le corps à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins à ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur de vos cellules et encourage votre corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’avait jamais été approuvé.

24. Les vaccins ne confèrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. 

Il est volontiers admis que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et ne vous empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les études sur les vaccins n’étaient même pas conçues pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lors de la sortie des thérapies géniques à base d’ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la  « réduction de la gravité des symptômes ».

25. Les vaccins ont été précipités et ont des effets à long terme inconnus. 

Le développement d’un vaccin est un processus lent et laborieux. Habituellement, du développement aux tests et finalement à l’approbation pour un usage public, il faut de nombreuses années. Les différents vaccins contre la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. De toute évidence, il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques qui ont moins d’un an.

26. Les fabricants de vaccins ont obtenu une indemnité légale en cas de préjudice. 

La Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde l’immunité jusqu’en 2024 au moins. La loi de l’UE sur les licences de produits fait de même, et il existe des rapports de clauses de responsabilité confidentielle dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vaccins.


PARTIE VIII : TROMPERIE ET PRESCIENCE

27. L’UE préparait des « passeports pour les vaccins » au moins un AN avant le début de la pandémie. 

Les contre-mesures COVID proposées, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, le « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vaccination à l’échelle de l’UE. Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route vaccinale » 2019 qui a établi (entre autres) une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux pour commencer en 2019 et se terminer en 2021 :

28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son début. 

En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice a été parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance vaccinale GAVI.

L’exercice a publié ses conclusions et recommandations en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine enregistre son premier cas de « Covid ».

29. Depuis le début de 2020, la grippe a « disparu ». 

Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient diminué de plus de 98 %.

30. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. 

Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches sont devenues considérablement plus riches. Forbes a rapporté que 40 nouveaux milliardaires ont été créés « pour lutter contre le coronavirus », dont 9 sont des fabricants de vaccins.

Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-billion de dollars » en octobre 2020. Il est clair que ce nombre sera encore plus grand maintenant.


Ce sont les faits vitaux de la pandémie, présentés ici comme une ressource pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers. Merci à tous les chercheurs qui ont rassemblé et collecté ces informations au cours des vingt derniers mois, en particulier Swiss Policy Research.



Le coup d’État trop pressé du système financier numérique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Ceci est la suite et fin de la conférence donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cette publication est une exclusivité Antipresse/Le Courrier des Stratèges. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

[NDLR Pour voir la première partie avec la vidéo complète sous-titrée en Français :
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset]

Vers la monnaie programmable

Et à quoi ce système doit-il ressembler, nous le savons déjà. Il s’agit de la disparition complète de l’argent liquide, des banques dans leur forme actuelle, et de l’introduction de monnaie numérique de banque centrale. L’objectif final prévoit que chacun d’entre nous ne détienne plus qu’un unique compte en banque, par lequel s’effectueront toutes les transactions. Ce compte ne sera plus tenu par une banque commerciale, mais par la banque centrale. La raison profonde de ce plan est la suivante: la monnaie numérique de banque centrale est programmable (18:44). Comme une banque centrale peut créer de la monnaie sans limites, on peut ainsi, par le fait, introduire des taux négatifs sans détruire le système. Mais cela n’est pas, loin s’en faut, la seule propriété que possède la monnaie numérique de banque centrale. Elle permettrait à l’État de surveiller toutes les transactions (19:12), de nous appliquer des taux d’imposition différenciés, et de nous infliger individuellement des sanctions pécuniaires. L’État pourrait lier certaines sommes à une date de péremption, nous contraindre à dépenser certaines sommes dans une période déterminée (19:33). Il pourrait également donner cet argent pour un but fixé, et nous imposer d’utiliser certains montants uniquement pour l’achat de certains biens, ou de dépenser seulement dans certaines régions. Mais avant tout, il lui serait possible, d’un simple clic, de nous couper de tous les flux de transactions, et ainsi de nous débrancher financièrement (20:04). La monnaie numérique de banque centrale serait le mécanisme de contrôle social le plus efficace qu’on ait jamais eu dans l’histoire de l’humanité, et par là, ni plus ni moins que l’achèvement d’une dictature universelle obtenue par le moyen de l’argent (20:25).

La tactique du renversement

Tout cela est cependant soumis à une énorme hypothèque: la résistance à laquelle il faut s’attendre de la part de la population. Il faut très sûrement compter avec le fait qu’une grande partie des gens n’accepterait pas cette forme de paiement, et que l’introduction de la monnaie numérique de banque centrale provoquerait de graves troubles sociaux. Et c’est précisément cette difficulté qui a très clairement conduit le complexe financier digital à imaginer de renverser la problématique de l’introduction de cette monnaie (21:07). Plutôt que d’introduire cette monnaie numérique de banque centrale progressivement, et risquer ainsi de provoquer une grosse résistance, procéder à l’inverse, c’est-à-dire faire sombrer la société dans le chaos, afin de faire apparaître la monnaie numérique de banque centrale comme la solution pour régler tous les problèmes, à savoir sous la forme du revenu universel de base (21:35).

Celui qui pense maintenant qu’il s’agit encore d’une théorie du complot tombée de nulle part, je lui recommande de se remémorer très précisément tout ce que nous avons vécu au cours des dix-huit derniers mois. Sous le prétexte de combattre une maladie, on a provoqué des dommages dévastateurs et irréversibles, qu’ils soient sanitaires, économiques ou financiers, dont nous n’avons encore perçu les effets qu’à la marge (22:09). En même temps, on travaille chaque jour à aggraver ces dommages. En parallèle, on s’emploie à creuser de manière systématique les divisions au sein de la société, en enfonçant toujours plus de division entre les gens. Tout cela nous conduit, conformément au but, dans une seule direction: celle des troubles sociaux, jusqu’à la guerre civile, dans le monde entier. Et tout cela, c’est exactement ce qui est voulu, selon toutes les informations dont je dispose (22:46).

Ce que nous vivons actuellement, c’est que l’on essaye, par la mise en œuvre de tous les moyens imaginables, de provoquer le chaos social le plus énorme, d’attendre que le chaos ait atteint son intensité maximale, et, alors à l’aide d’une panacée nommée «revenu universel de base», de passer d’une situation de chaos maximal à celle d’un contrôle total (23:12). Il y a du reste encore une deuxième raison pour laquelle le revenu universel, du point de vue des puissants, doit arriver. Nous sommes en plein dans la quatrième révolution universelle, et nous allons vivre, dans la période qui s’étend devant nous, la perte de millions et de millions d’emplois, par le recours à l’intelligence artificielle. En d’autres termes, des millions de consommateurs vont faire défaut, la demande de biens de consommation va se réduire de plus en plus fortement. Comme le modèle économique actuel repose sur la consommation, il faut, pour le maintenir en vie, bloquer la descente sur cette pente fatale. Et cela ne peut fonctionner que si l’on distribue de l’argent aux chômeurs-consommateurs même s’ils sont sans emploi (24:09).

Une apocalypse préparée et agendée

Nous voyons donc que ce que nous avons vécu ces dix-huit derniers mois, et ce que nous vivons actuellement, suit manifestement un plan; et ce plan peut s’énoncer ainsi: démontage du système actuel au bénéfice de l’élite, instigation d’un chaos économique et social maximal, et établissement d’un nouveau système au bénéfice de l’élite, sous le prétexte de vouloir apporter une assistance humanitaire (24:42). Ce plan, on peut d’ailleurs le trouver dans les deux ouvrages, La Quatrième révolution industrielle et Le Grand Reset de Klaus Schwab, dont le World Economic Forum joue un rôle clef dans l’élaboration et la mise en œuvre de cet agenda. Le WEF a réussi à devenir au cours des 50 dernières années l’une des plus importantes plateformes du complexe financier digital, en mettant en relation, d’abord des dirigeants d’entreprises, ensuite des politiciens, puis des représentants des médias, plus tard encore de la haute aristocratie et du monde du spectacle, et en les soumettant en outre à partir des années 90 à une formation dédiée (25:33).

Nous savons aujourd’hui qu’à partir de 1992 les «Global Leaders of Tomorrow», et depuis 2005 les «Young Global Leaders» ont été soumis à une formation systématique et toujours plus approfondie, et que ce sont précisément ces personnes-là qui se trouvent placées aujourd’hui aux leviers de commande du pouvoir. Qu’il s’agisse de Bill Gates, Jeff Bezos ou Jack Ma, du secteur du numérique, qu’il s’agisse du patron de BlackRock Larry Fink, de la patronne du FMI Kristalina Georgiewa, ou de l’ex-directeur de la Bank of England Mark Carney, pour la finance, ou encore d’Emmanuel Macron, de Sebastian Kurz ou bien d’Angela Merkel pour la politique: tous, ils ont été formés par le WEF ou bien siègent dans ses instances dirigeantes (26:38).

Et ce ne sont pas seulement les 1.300 membres de cette petite élite dirigeante étroitement connectée qui tirent les ficelles à travers le monde. Depuis 1992, ce sont encore 10’000 «Global Shapers» de moins de 30 ans qui ont également été réunis et mis en relation par le WEF, et s’emploient désormais à influer sur la marche du monde dans le sens qui lui convient (27:08). À qui veut savoir à quoi cette marche du monde devrait ressembler, il faut recommander la lecture des œuvres du fondateur du WEF, Klaus Schwab. Et celui qui, parvenu à ce point, ne serait toujours pas convaincu que ce que nous avons vécu et vivons encore suit un plan devrait jeter un œil à la date de publication du «Great Reset» de Schwab: le livre est paru le 9 juillet 2020, soit à peine quatre mois après le confinement mondial, et donne déjà les instructions précises expliquant comment utiliser le COVID-19 afin de, selon les propres mots de Schwab, «détruire le monde de manière créative et construire un nouveau monde», où il laisse transparaître une vision de l’homme qui renvoie aux temps les plus sombres du national-socialisme (28:02).

Je sais, tout cela est terrifiant, comme une apocalypse préparée de manière minutieuse. Et de fait l’agenda qui est poursuivi ici n’est pas seulement planifié, visiblement, mais c’est à peine s’il peut, de surcroît, être dépassé en malignité et en sournoiserie. Qui aurait jamais imaginé que l’on fasse s’effondrer l’économie mondiale sous le prétexte de protéger les gens des effets d’une maladie, que l’on retire aux gens la liberté de voyager, de se rassembler, de parler et d’exprimer librement leurs opinions, et que l’on condamne encore plus de 100 millions d’entre eux à la famine, tout cela soi-disant pour la protection de leur propre santé. Et qui aurait pensé qu’un eugéniste déclaré du nom de Klaus Schwab pourrait se retrouver en situation, non seulement de répandre à travers le monde son infernale vision de la fusion entre l’homme et l’intelligence artificielle, mais encore de trouver 10’000 aides pour la faire avancer (29:18). Tout cela, ce sont des événements bouleversants au plus haut point, avec lesquels nous devons vivre actuellement, dont nous devons souffrir, et dont les détails devraient glacer le sang de tout être humain pensant et sentant normalement.

La déraison conduit à l’échec

Mais – et j’en viens maintenant au message le plus important que je veux délivrer ce soir – tout cela a un autre aspect, un tout autre aspect, un aspect qui doit nous donner une énorme impulsion et des forces à profusion pour les tâches qui nous attendent. Les plans de l’élite, et la vision de Klaus Schwab, sont en effet voués à l’échec, et cela pour plusieurs raisons (30:11). La raison principale réside dans le fait que le narratif d’un virus mortel, qui menacerait l’humanité dans son existence même, ne pourra pas tenir dans la durée. Nous voyons déjà comment l’échafaudage de mensonges s’effondre sous nos yeux, et comment, pour le justifier, on a recours à des argumentations toujours plus absurdes et à des diffamations toujours plus furieuses (30:39).

Arrivée à ce point, il est important de comprendre que la véhémence que les médias mettent en branle n’est pas un signe de force mais bien de faiblesse. Celui qui, avec une insistance toujours plus forte, répand des mensonges toujours plus grotesques tel que celui de «la pandémie des non-vaccinés», celui qui déclare que les personnes en bonne santé représentent le facteur de risque numéro 1 au sein de la société, celui qui à cause d’une poignée de malades ou de testés positifs met un pays tout entier à l’arrêt, celui-là n’agit ainsi que parce qu’il est à bout d’arguments et que, dans son désespoir, il frappe à l’aveugle autour de lui (31:21).

Abraham Lincoln a déclaré: «on peut mentir tout le temps à une partie des gens; on peut mentir à tout le monde une partie du temps; mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde». C’est exactement cela qui se vérifie en notre temps. Et cela a pour nous, naturellement, une immense signification. Car cela ouvre, de manière ironique, ce que Klaus Schwab appelle «a window of opportunity», une fenêtre d’opportunité – à ceci près qu’elle s’ouvre avec une dynamique exactement inverse (32:07). En effet, grâce à la désintégration du narratif, la crédibilité de ceux qui nous ont amenés à cette situation est chaque jour plus profondément sapée, nous ouvrant à tous une fenêtre temporelle pour une campagne d’éclaircissements puissante et de grande envergure. Les conditions objectives pour éclairer les gens sur les véritables faits derrière la soi-disant pandémie, sur les relations de pouvoir réelles dans le monde et sur les vraies menaces auxquelles nous sommes confrontés n’ont jamais été meilleures qu’aujourd’hui (32:51). Et elles s’améliorent de jour en jour, parce que le camp d’en face doit s’empêtrer chaque jour davantage dans des mensonges toujours moins crédibles.

Et même si le complexe financier digital devait parvenir à introduire la nouvelle monnaie, cela ne serait pas encore la fin du monde. En effet, la monnaie numérique de banque centrale ne peut fonctionner qu’adossée à un système de contraintes complet. Il faudra introduire sans cesse de nouveaux contrôles des prix, augmenter constamment le revenu universel de base, et générer avec vigueur une inflation permanente, ce qui conduira en retour à un appauvrissement continu de la population et à un conflit permanent avec l’État et les autorités (33:49).

Ce que nous devons savoir est la chose suivante: nous nous trouvons en toute certitude au seuil d’une période de turbulences et de dangers. Mais nous avons en main un atout historique : il tient au fait que ceux d’en face n’agissent pas conformément aux lois de la raison, mais poussés par des mobiles comme la cupidité et la soif de pouvoir, et ne peuvent, pour cette raison, rien faire d’autre que de se mettre toujours plus inextricablement en difficulté (34:21). De cela, précisément, nous devons profiter, et garder ceci présent à l’esprit : le camp d’en face peut bien disposer de plus d’argent, de plus de biens, et en plus de toutes les armes du monde; son pouvoir ne réside ni dans son argent, ni dans ses biens, ni même dans ses armes, mais repose sur un seul et unique facteur: l’ignorance de la majorité des gens, ou pour le dire autrement, le fait que la majorité ne voit pas clair dans le jeu que la minorité joue avec elle (35:01).

Quelle que soit l’atrocité de ce que le complexe financier digital a commis au cours des dix-huit derniers mois et continue à commettre avec ses suppôts, il s’est enfermé dans une situation dont il ne pourra pas s’extirper, et dans laquelle il doit, dans son désespoir, franchir de plus en plus de lignes rouges (35:25). Pour nous tous, cela signifie que nous devrions dans cette situation exceptionnelle, tout simplement: conserver notre calme, démasquer résolument les mensonges, et montrer ainsi aux gens, pièce par pièce, pourquoi et par qui ils se font berner. Si nous faisons cela, et qu’en le faisant nous nous souvenons de la force de nos arguments, alors nous pourrons, non seulement résoudre les problèmes actuels, mais peut-être réussir quelque chose de beaucoup plus grand, à savoir : utiliser l’une des crises les plus profondes qu’ait affrontées l’humanité pour redresser la barre de l’histoire du monde, et ouvrir ainsi d’un coup la porte sur une ère nouvelle. Je vous remercie.





Pourquoi les élites accélèrent-elles leur agenda ?

[Source : TVL]

Trahison des institutions : la mort de l’État ?

« Les institutions françaises n’existent plus… l’État est mort ! »

Valérie Bugault

L’invitée de « Politique & Eco », Valérie Bugault, explique pourquoi l’État français a disparu avec la première loi d’urgence sanitaire du 23 mars 2020 et en quoi elle viole la Constitution de la Vème République. Dès cette date, l’exécutif s’est affranchi des règles institutionnelles françaises au profit d’entreprises mondialisées, en témoigne la réception par Emmanuel Macron du club du Dolder (Big Pharma), en août dernier, présidé par le PDG de Pfizer, Albert Bourla. Dans cet état de vide juridique, nous sommes désormais entrés dans une période de transition. Période débouchant le 1er janvier 2022 sur la présidence française de l’UE qui, selon Valérie Bugault, actera une liquidation de l’État français au profit d’une intégration de l’Europe fédérale, antichambre d’un gouvernement mondial. En attendant, Valérie Bugault appelle les Français à prendre conscience de la scission entre l’exécutif et les institutions dans le but d’imposer un projet alternatif.




Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma

[Source : courriel]

Le graphique ci-dessus montre les liens entre la Fondation Gates, le Wellcome Trust, l’OMS, GAVI, d’autres ONG et Big Pharma… Il contient environ 6500 objets tels que des personnes, des ONG, des entreprises, des documents, etc. Il comprend également plus de 7200 liens entre eux.

Toutes les informations sont accessibles au public.

Les diapositives suivantes présentent quelques organisations sélectionnées dans ce graphique. En raison de sa complexité, il ne montre que le premier niveau de connexions.

Dans un premier temps, vous obtiendrez des informations générales sur les personnes des agences gouvernementales, des entreprises et des organisations non gouvernementales, ainsi que sur certains événements ou groupes importants. Plus loin dans ce document, vous trouverez une analyse des liens entre ces « parties prenantes ».

Les lignes rouges sont toujours des paiements, mais il se peut que certaines lignes noires soient également des paiements. Veuillez consulter la description du lien.

Faites-vous votre propre opinion et faites vos propres recherches !

2021-09-12


Le document complet est en anglais et seule la première page a été traduite (ci-dessus)


Quelques diagrammes et tableaux extraits du document

Total Grants by Bill & Melinda Gates Foundation (1994-2021) – Top 50 Rows

https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants

World Economic Forum (WEF) [Forum Économique Mondial]

GAVI




La Gestapo 2.0 : un médecin arrêté pour avoir traité ses patients contre la Covid. Mise à jour 2

Mise à jour :

Le Dr Théron ne se laissera pas intimider

https://t.me/Laveritecensure/6182
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 13:51]

L’avocat du Dr jean-Paul Théron s’exprime :

« Vous avez quelqu’un qui soigne, qui se bat pour soigner ses 80 patients, ils ont confisqué son téléphone et son ordinateur et l’ont mis en garde à vue »

https://t.me/Laveritecensure/6184
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 17:09]

Les conditions d’interpellation du Dr Tharon sont affreuses, dignes d’un régime communiste. Il a sauvé dernièrement plus de 80 patients grâce au traitement du Pr Raoult.

https://t.me/Laveritecensure/6186
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 19:22]

Voici les conditions d’arrestation du Dr Theron (63 ans) qui demande à plusieurs reprises l’assistance d’un médecin avant d’être violemment traîné dehors. Son tort : il soigne avec le protocole du Pr Raoult.

Témoignage de la fille de Dr Theron :

« À 9 h 17, pendant qu’il se lavait les mains aux toilettes de la salle, les gendarmes sont venus le placer en garde à vue. Le choc ! La brutalité et l’humiliation de cette arrestation jusque dans les toilettes. 63 ans, père de famille et grand-père. »

Voici Message du fils du Dr Théron, très violemment arrêté en Polynésie française :

« Le pharmacien Jérôme Rondan a rompu le secret professionnel en balançant l’ordonnance du médecin Theron sur les réseaux sociaux et est à l’origine de l’arrestation de ce dernier. »

#LiberezTheron
#Polynésie
#Theron

Rejoignez la Vérité Censurée
https://t.me/Laveritecensure


Mise à jour 2 :

Résister peut porter ses fruits :

L’Ordre des médecins annule la décision de suspension du Dr Nagib Moatassime pour avoir prescrit de l’Ivermectine !

Le fait de déposer plainte pour prescriptions d’Ivermectine est déjà extrêmement choquant en soi. Heureusement que l’Ordre national a annulé la suspension du Dr Nagib Moatassime en espérant qu’elle fera jurisprudence et donnera du courage à ses autres confrères.

https://twitter.com/BBR_06/status/1432652912187125762?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1432652912187125762%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.lelibrepenseur.org%2Flordre-des-medecins-annule-la-decision-de-suspension-du-dr-nagib-moatassime-pour-avoir-prescrit-de-livermectine%2F



Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”. Mise à jour

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

[Mise à jour : vidéo complète sous-titrée en français]



EXCLU L’ANTIPRESSE/LE COURRIER DES STRATÈGES

Notre correspondant en Allemagne, François Stecher, nous a signalé cette conférence du journaliste-enquêteur ERNST WOLFF (né en 1950 et spécialisé dans l’analyse des crises financières) donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cet exposé nous a frappé par sa cohérence, sa mesure et sa limpidité. Il propose, loin de tout «complotisme», une «contre-narration» de la crise en cours. Elle corrobore la thèse proposée dès avril-mai 2020 dans L’Antipresse: celle du coup d’État technologique et l’analyse du Great Reset proposée par Eric Verhaeghe dans son ouvrage « Great reset: mythes et réalités » (éditions Culture et racines, 2021) ou celle du « fascisme gris » proposée par Edouard Husson dans ces colonnes. Le schéma proposé par Wolff complète également de manière frappante la stratégie de l’hyper-normalisation exposée dans le documentaire capital d’Adam Curtis produit en 2016 par la BBC. Le nihilisme robotique du projet illustre enfin la thèse du grand sociologue américain Theodore Roszak sur la Secte informatique résumée et commentée dans l’Antipresse durant l’été 2020. Les enquêtes et intuitions de Wolff s’inscrivent ainsi dans un faisceau de tendances et d’indices plus que convaincant, d’autant plus qu’il est assumé et alimenté par les protagonistes eux-mêmes de ce grand renversement, notamment au travers de la mise à jour permanente doctrines resettistes et transhumanistes de Davos. François Stecher a bien voulu traduire la conférence en français et nous la publions en deux parties. Le lecteur pourra se reporter à la vidéo en allemand ainsi qu’à la version sous-titrée en anglais dont nous donnons les liens ci-dessous. À toutes fins utiles, des repères de minutage sont insérés dans le texte. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

L’effondrement a-t-il été planifié?

Le président américain Franklin Delano Roosevelt a dit une fois: «rien en politique ne se produit par hasard. Si quelque chose arrive, vous pouvez parier que c’était exactement planifié ainsi». Si l’on regarde tout ce qui s’est passé au cours de l’année et demie qui vient de s’écouler, cette phrase est particulièrement terrifiante. Est-il seulement possible que tout ce que nous avons vécu ait été planifié?

Je voudrais en préambule clarifier un point: je ne peux apporter aucune preuve de l’existence d’un tel plan, par exemple sous la forme de documents authentifiés. Mais après m’être intéressé, depuis dix-huit mois, à ce sujet de manière approfondie, je dois dire qu’il y a un nombre impressionnant de signes et d’indices qui vont dans cette direction. De ceux-ci et de leurs conséquences, je voudrais parler aujourd’hui(1:09). 

D’absurdité en absurdité

La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui est unique dans l’histoire de l’humanité. Jamais encore le monde entier n’a été soumis à un régime de contraintes comme celui qui règne aujourd’hui. Et jamais encore n’ont été prises autant de mesures qui paraissent à première vue si incompréhensibles, parfois si absurdes et à de nombreux égards si contradictoires (1:42).

Officiellement, nous avons, de mémoire d’homme, affaire à la plus grave crise sanitaire de l’histoire de l’humanité. Pourtant, les mesures qui ont été prises pour y faire face n’ont pas amélioré la situation, mais l’ont au contraire continûment dégradée (1:58). Tout médecin peut aujourd’hui confirmer que l’état de santé des gens, de la majorité des gens est aujourd’hui moins bon [pire] qu’il n’était avant la crise. Et même du point de vue de ceux qui ont ordonné ces mesures, la situation est catastrophique. La quatrième vague qui prétendument nous menace, comme l’annonce de la nécessité des troisième puis quatrième puis cinquième injections, montrent bien que toutes les décisions prises jusqu’ici ont échoué à atteindre leur but, celui de contenir la maladie (2:35).

[1]

Mais ce n’est pas tout, loin s’en faut. Nous avons affaire désormais, dans la foulée des confinements, à une crise économique globale. Dans les moindres coins et recoins du monde, la production est comme suspendue, la logistique est à terre, les chaînes d’approvisionnement sont brisées, nous faisons face à de mauvaises récoltes, des pénuries alimentaires, et de surcroît, à un manque cruel de semi-conducteurs, si essentiels à des pans entiers de l’économie (3:12). Mais dans ce domaine également, ce que nous voyons, c’est que l’on ne s’attaque pas aux problèmes pour les résoudre, mais qu’au contraire, par la prise de nouvelles mesures et la menace permanente de nouvelles restrictions, on les multiplie et les amplifie (3:31).

Dernier exemple en date: en Chine, un terminal du troisième plus grand port de fret du monde a été fermé à cause d’un unique cas positif parmi les employés du port (3:47). Ou bien encore la Nouvelle-Zélande: en Nouvelle-Zélande, la semaine dernière, on a confiné le plus sérieusement du monde 5 millions de gens parce qu’une seule personne de 58 ans a eu un résultat de test positif.

Une autre crise concerne les classes moyennes (Mittelstand), qui sont de loin les premiers employeurs à la surface du globe, et supportent en outre le gros de la pression fiscale (4:17). Par une insécurité sans cesse attisée et de nouvelles réglementations qui surgissent en permanence, les classes moyennes se retrouvent acculées, plus fortement de semaine en semaine, et n’ont encore jamais été confrontées à une telle crise.

Mais même cela, ce n’est pas tout. Nous vivons actuellement une violente hausse de l’inflation pour le monde entier, en particulier pour ce qui concerne les matières premières, les prix à la production et les aliments (4:49). Et là encore, bizarrement, on ne fait rien pour contrecarrer cela, bien au contraire. On maintient la surabondance d’argent, et même on la renforce. Les États et les banques centrales ont injecté 20 billions de dollars dans les circuits financiers mondiaux depuis le début la crise, sans qu’on puisse voir la fin de ces agissements. Et le Fonds monétaire international, la plus puissante organisation financière au monde, libérera lundi prochain, pour 650 milliards, la plus grosse somme jamais sortie de sa propre monnaie, des droits de tirage spéciaux (DTS) (5:32).

Et la situation sociale n’est pas meilleure. Un seul exemple: aux États-Unis, la première puissance économique mondiale, près de 4 millions de personnes sont menacées d’expulsion parce qu’elles sont incapables de payer leurs loyers ou de payer les traites de leurs emprunts. Aux États-Unis encore, plus de dix fois autant de personnes – j’insiste, il s’agit du pays le plus riche du monde – ne sont pas en mesure de se nourrir avec leur seul revenu (6:06). Et ce que la destruction délibérée de l’économie et l’aggravation de l’inflation n’ont pas réussi à provoquer, les politiciens y sont parvenus: quel que soit le pays, une division au sein des populations comme nous n’en avons jamais connue.

Il faut encore y ajouter désormais, dans une certaine mesure comme un couronnement de tout cela, le changement de pouvoir, prémédité, provoqué par les États-Unis en Afghanistan. Là-bas, on a abandonné délibérément, pour 20 milliards de dollars US de matériel militaire, une armée de l’air complète et onze bases aériennes, ce qui va déclencher de manière absolument certaine la prochaine vague géante de réfugiés (7:04).

Pourquoi?, se demande-t-on. Pourquoi, à travers le monde entier de telles mesures sont prises, qui provoquent un désastre après l’autre, et poussent vers l’abîme la majorité des gens, au lieu de les tirer de leur misère? Pour répondre à cette question, il convient d’en poser deux autres: qui a un intérêt à cet agenda global, et qui en tire profit (7:38)?

Le complexe financier-numérique

La réponse à ces deux questions est indiscutable: le plus grand profiteur de la crise actuelle et le plus important des instigateurs dans la coulisse est le «complexe financier numérique», c’est-à-dire une sorte de communauté d’intérêts à la pointe de laquelle on trouve les plus grosses entreprises informatiques et les plus gros gestionnaires de fortune de notre temps. Sont comptées au nombre des plus grosses entreprises du numérique Apple, Alphabet, la société mère de Google, Amazon, Microsoft et Facebook. La valeur boursière de ces seules cinq compagnies représente la somme hallucinante de 9,1 milliers de milliards de dollars US. À titre de comparaison, le produit intérieur brut de l’Allemagne, de la France et de l’Italie réunies pèse 8,6 milliers de milliards de dollars US (8:39)!

À ces entreprises du numérique, il faut ajouter les grands gestionnaires de fonds: BlackRock, Vanguard, Statestreet et Fidelity. Tous, ils ont des participations massives dans chacune des entreprises du numérique. Mais ce n’est pas tout: à eux seuls, ces quatre-là gèrent actuellement un portefeuille d’un montant de 22,6 milliers de milliards de dollars US. À titre de comparaison, une fois encore: le produit intérieur brut des 28 pays de l’Union Européenne représentait l’année dernière une valeur de 15,7 milliers de milliards de dollars US.

Mais ce n’est pas seulement la monstrueuse puissance financière de ces entreprises qui rend le complexe financier numérique si puissant (9:29). Commençons d’abord par les entreprises du numérique: elles n’ont pas seulement par elles-mêmes une écrasante force sur le marché, elles contrôlent également des centaines de milliers d’autres entreprises, parce qu’elles organisent leur numérisation et jouissent ainsi d’une surveillance permanente de leurs flux de données. L’industrie du numérique n’est rien d’autre qu’une tumeur qui, au cours des années, a répandu ses métastases dans toutes les branches de l’économie, les a placées dans sa dépendance, et désormais les domine complètement (10:09).

Il n’en va pas différemment des gestionnaires de fonds. Ils ont des participations dans toutes les grandes entreprises du monde, et sont en situation de pouvoir pousser n’importe quel marché de leur choix dans n’importe quelle direction. Le plus grand d’entre eux, BlackRock, dispose avec un système d’analyse de données sur plus de 40 ans, du plus gros fonds d’informations financières que le monde ait jamais vu. Et BlackRock, sur la base de ce fonds, conseille les plus grandes banques centrales du monde, c’est-à-dire la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne (10:48). Compte tenu de l’avantage considérable dont jouit BlackRock avec ses fonds, il devrait être facile de voir qui, ici, dépend de qui.

Nous avons donc affaire à l’association, unique dans l’histoire, d’une puissance financière écrasante et de la jouissance d’une base d’informations géante aux dimensions inimaginables. Depuis le début de la crise, cette combinaison a donné à ces entreprises un essor comme elles n’en avaient jamais connu auparavant. Et ce n’est pas tout: cet essor s’accélère sans cesse (11:29). Pour le seul dernier trimestre, c’est-à-dire aux mois d’avril, de mai et de juin, elles ont enregistré les plus gros gains de leur histoire.

Un immense geste de désespoir

Si l’on considère ces faits, on n’a pas besoin d’une imagination débordante pour arriver à la conclusion que l’on a affaire, avec le complexe financier numérique, au centre global de pouvoir, autour duquel tout gravite (11:57). Le complexe financier numérique se tient largement au-dessus de tous les gouvernements de la planète, il est en situation, à tout instant, de les mettre à genoux et de les soumettre à sa volonté. On s’étonnera d’autant plus des méthodes avec lesquelles le complexe œuvre depuis le début de la crise actuelle: il semblerait presque qu’il sape justement le système dont il profite lui-même (12:28). Quelques exemples de cela: si le complexe financier numérique détruit les classes moyennes, il détruit, de fait, les fondements mêmes de son existence, puisque comme nous l’avons dit, ce sont les classes moyennes qui paient le plus d’impôts et qui créent le plus d’emplois; et s’il attise l’inflation, c’est bien à lui-même qu’il inflige des dommages; et s’il détruit la paix sociale en faisant exploser les déséquilibres sociaux, cela détruit aussi le terrain sur lequel il fait ses affaires (13:02).

Tout cela, ce sont des objections justifiées – mais elles font fi de la réalité. Et voici ce qu’elle est : le complexe financier numérique n’a pas d’autre choix que celui de faire précisément ce qu’il est en train de faire. Ce que nous vivons actuellement, ce n’est pas, par exemple, la mise en œuvre d’un quelconque agenda conçu à une table de travail, par lequel il voudrait s’approprier encore plus d’argent et encore plus de pouvoir, afin de jouir ensuite en paix du fruit de ses efforts (13:42). Ce que nous vivons actuellement, c’est un gigantesque geste de désespoir, sans doute le plus grand qu’il ait jamais été donné de vivre dans l’histoire de l’humanité.

[2]

Cet acte désespéré trouve son origine dans le fait que le système auquel le complexe financier numérique doit son existence ne peut plus être maintenu en vie avec les moyens employés jusqu’ici (14:09). Il a déjà frôlé la fin lors de la crise financière mondiale de 2007–2008. Si les gouvernements, alors, n’avaient pas mobilisé en masse l’argent des impôts, et donné aux banques centrales l’instruction de tirer du néant des quantités faramineuses de monnaie, le système se serait alors déjà effondré. De fait, le sauvetage n’était que provisoire. Au cours de ces plus de douze années, il a fallu continuellement accroître la masse monétaire, tandis que les taux d’intérêt étaient réduits pas à pas – rendant ainsi le système toujours plus instable. Cela ne pouvait pas bien se terminer. L’année dernière, on y était: en mars 2020, un nouvel effondrement menaçait déjà. Et cet effondrement a été repoussé une toute dernière fois, par un dernier tour de force, en amenant les taux à zéro et en injectant de la monnaie par milliers de milliards, non plus par milliards (15:22).

La solution du dernier recours

Cela a fait émerger, qualitativement, une nouvelle situation. Différer l’issue finale nécessiterait désormais de pousser les taux dans le domaine négatif, détruisant ainsi les fondements du système bancaire actuel. Les banques ne peuvent pas durablement vivre avec des taux négatifs. En d’autres termes, il n’y aura pas de nouvelle tentative pour repousser cette issue avec les moyens jusqu’ici utilisés (15:56). On peut tout au plus, dans la situation actuelle, injecter une toute dernière fois des milliers de milliards et des milliers de milliards, avec pour conséquence, cependant, que l’on attisera une inflation déjà galopante et qu’on la fera basculer dans le domaine de l’hyperinflation. La situation dans laquelle se trouve donc le complexe financier numérique est celle d’une alternative entre, d’un côté, l’effondrement numérique du système, et de l’autre l’hyperinflation, c’est-à-dire la dévalorisation totale de la monnaie (16:36). Ainsi, historiquement, nous sommes arrivés à un point où le complexe financier numérique n’a plus que le choix entre deux modes d’effondrement.

Que doit-il donc faire? De toute évidence, dans cette situation, on s’est décidé, pour un nouveau système et en vue de son installation, à mettre en œuvre une double stratégie (17:08). D’un côté, on prépare en arrière-plan, à l’abri des regards du public, un nouveau système. De l’autre côté, on exploite en parallèle la phase terminale de l’ancien système désormais voué à la mort pour le piller, selon les meilleures règles de l’art. C’est exactement ce que nous vivons depuis mars de l’année dernière (17:35) : la destruction délibérée et consciente de l’économie mondiale par le complexe financier numérique dans l’unique but de s’enrichir, avec en parallèle la préparation d’un nouveau système par les banques centrales en coopération avec les groupes informatiques. 

2e partie


[1] NDLR : les données factuelles démontrent assez largement que les prétendues troisièmes et quatrièmes vagues sont essentiellement des vagues de résultats positifs à un test PCR, sauf dans les pays qui ont massivement vacciné leur population et qui voient une nouvelle explosion des malades effectifs. Le test PCR ne devrait nullement servir d’outil de diagnostic et donne un nombre d’autant plus important de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est grand. Il n’y a plus de pandémie (naturelle ou bien produite initialement par un virus fabriqué en laboratoire, selon des deux hypothèses principales) que dans l’imagination de ceux qui subissent encore l’effet de la psychose de masse créée par le biais des médias dominants.

[2] Note de Joseph : un autre point de vue, probablement plus « complotiste » est que cette action n’est nullement un geste de désespoir, mais s’inscrit dans la logique de l’ordo ab chao (l’ordre à partir du chaos ou de la destruction). Pour achever la création du Nouvel Ordre Mondial, cette élite pense nécessaire et indispensable de détruire l’ordre ancien de A à Z, de faire table rase du passé, et même d’effacer ce dernier des livres d’Histoire. Au bout du processus, après le Great Reset (ou Grande Réinitialisation), se trouve un « Meilleur des Mondes » orwellien où les survivants de la purge seront asservis aux machines ou devenus eux-mêmes des cyborgs, mi-hommes mi-machines, et contrôlés par Intelligence Artificielle, entassés dans des villes ou des mégapoles surpeuplées, laissant le reste de la planète aux élites. Voir notamment Le « Great Reset » n’est pas du complotisme. Pour réussir, cependant, la destruction ne doit pas être trop rapide, mais contrôlée, afin qu’il subsiste malgré tout pour cette élite des matériaux intacts pour une reconstruction adéquate.




« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides » par Serge Monast

Par Serge Monast, journaliste d’enquête québécois mort en décembre 1996

[Ndlr : au-delà de la question de l’authenticité ou non des éléments rapportés par Serge Monast en 1994, ceux-ci, réels ou fantasmagoriques, trouvent un écho tout particulier par rapport à la « plandémie » Covid-19. À chacun d’estimer s’ils sont plausibles, probables ou seulement la traduction d’un délire paranoïaque ou complotiste.]

Extraits du rapport dactylographié
« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides »




Le modèle Kubler-Ross et la grande fatigue des résistants au passe sanitaire

Par Nicolas Bonnal

Il y a quelques mois le Saker a énervé bien des opposants au système et à la tyrannie vaccinale en se moquant cruellement d’eux, présumés complotistes et débiles : il semble d’ailleurs qu’il était sur cette affaire comme sur d’autres plus royaliste que le roi (à force de défendre un camp présumé du bien et un gouvernement…). Je n’ai aucune envie de polémiquer avec lui : s’il ignore ce que Reset, Schwab, Gates, Yellen, Leyen (anagramme), Green Deal et Black Rock veulent dire, c’est son affaire.

Par contre il évoquait le modèle Kubler-Ross. Et alors que nous voyons la résistance à son étiage, le passe imposé partout, on peut se poser la question : ce modèle tant critiqué par des psychiatres aux ordres est-il d’actualité ? Il semblerait que oui. Car après l’emballement de cet été on voit que nos résistants commencent à être fatigués ; je ne vais pas les nommer. Les manifs systématiques et brouillonnes agonisent. Lucien Cerise disait récemment dans une interview :

 « Il faut sortir du spontanéisme révolutionnaire, qui est une forme d’analphabétisme politique. Les manifestations ne servent strictement à rien si elles n’ont pas un débouché institutionnel, par la conquête du pouvoir, c’est-à-dire la conquête de la bureaucratie et de la technocratie administrative d’État… »

.
[Voir aussi : Sortir de la crise]
.

Or à multiplier des manifs chaque samedi, Philippot et les siens fatiguent le monde et donc renforcent un pouvoir qui a été patient. Philippot ne cesse de vanter son succès alors que les troupes se délitent (contrairement à une idée reçue il faut faire les révolutions l’été, pas à la rentrée, voyez 1789 ou 1830). Je ne sais pas si Philippot, que j’ai soutenu faute de grives, est une opposition contrôlée : je ne crois pas à cette notion galvaudée (Eric Zemmour, opposition contrôlée !!!), je constate qu’il est impossible de s’opposer à ce système mondialiste-tyrannique qui s’écroulera ou triomphera totalement.

Hier Avic écrivait justement (et courageusement) ici même [Sur Réseau International] à propos des événements de Melbourne :

« Nous sommes loin des gentilles petites manifestations à la française bien balisées, bien réglementées, infiltrées par un réseau dense de policiers chargés de surveiller les faits et gestes de chaque participant, de sorte que le moindre éternuement non autorisé est aussitôt étouffé et le coupable maitrisé sans ménagement et escorté vers le camion de police le plus proche par deux ou trois individus sortis de nulle part.

Des décennies de défilés derrière des leaders syndicaux, dont le rôle est précisément de calmer et canaliser les colères, a fini par enfermer les Français dans cette façon soumise de protester. D’où la volonté des médias de masse et du gouvernement de vouloir absolument doter le mouvement des Gilets Jaunes de chefs fabriqués de toutes pièces dans leurs officines de communication. »

Mais comme me le disait Lucien cette manif australienne n’a pas débouché sur grand-chose non plus. Le Nouvel Ordre Mondial a de beaux jours devant lui jusqu’à son écroulement énergétique total (voyez mon livre collectif sur grand reset et grand effondrement vendu aussi à prix coûtant) et surtout prochain. Le fascisme vert et le Green Deal vont accélérer le grand effondrement occidental qui veut encore en plus faire la guerre à tout le monde (Chine, Russie, Iran, en attendant le reste).

Pour être sincère j’ai vécu une jeunesse entourée de manifs autrement fortes que nos petites manifs estivales, festives et coloriées, organisées par la CGT ou le PCF ; elles n’ont pas servi à grand-chose non plus. Davos s’est imposé partout avec ses oligarques et son totalitarisme étatique.

Ce qui nous guette, c’est le recul et la résignation ; voyons notre modèle Kubler-Ross :

Les cinq étapes du modèle sont :

Déni (denial). Exemple : « Ce n’est pas possible, ils ont dû se tromper. »

Colère (anger). Exemple : « Pourquoi moi et pas un autre ? Ce n’est pas juste ! »

Marchandage (bargaining). Exemple : « Laissez-moi vivre pour voir mes enfants être diplômés, se marier… », « Je ferai ce que vous voudrez, faites-moi vivre quelques années de plus. »

Dépression (depression). Exemple : « Je suis si triste, pourquoi se préoccuper de quoi que ce soit ? », « Je vais mourir… Et alors ? », « Je vais bientôt mourir, alors à quoi tout cela sert-il ? »

Acceptation (acceptance). Exemple : « Maintenant, je suis prêt, j’attends mon dernier souffle avec sérénité. », « Ça va aller. », « Je ne peux pas le combattre; je fais aussi bien de me préparer. »

Ce modèle est bon selon moi à rappeler pour la résistance : il s’agit de comprendre les reculades des uns, la lassitude des autres. De cette manière, on peut préparer une contre-attaque. Mais pas mal de mes lecteurs (ceux qui travaillent) me disent que tout le monde est vacciné autour d’eux, et que les terrasses sont pleines, comme disait déjà Ortega Y Gasset dans son livre sur la rébellion des masses.

Car on n’est pas encore sortis de l’auberge.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_K%C3%BCbler-Ross

https://www.zerohedge.com/economics/skyrocketing-energy-prices-could-cripple-europes-economy

https://www.dedefensa.org/article/ortega-y-gasset-et-la-montee-eschatologique-de-la-stupidite




LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse

[Source : I’M OK Le Grand Réveil]

Cette vidéo aide à comprendre comment la « plandémie » Covid-19 permet d’installer le totalitarisme (forme de psychose de masse) du Nouvel Ordre Mondial.


Cette vidéo a été réalisée en collaboration avec l’Académie des idées et traduite sur la plate-forme TRAD.PUB par Rémi IGOR 31 et doublée par I’M OK. l’Académie des idées créent des vidéos expliquant les idées des grands penseurs de l’histoire afin d’aider à fournir au monde plus de connaissances, pour donner du pouvoir à l’individu et pour promouvoir la liberté. Consultez leur chaîne youtube pour un contenu plus brillant. https://www.youtube.com/c/academyofideas ou visitez leur site Web pour en savoir plus https://academyofideas.com/.

Dans cette vidéo, nous allons explorer la plus dangereuse de toutes les épidémies psychiques, la psychose de masse. Une psychose de masse est une épidémie de folie qui se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans le délire. Un tel phénomène ne relève pas de la fiction. Deux exemples de psychoses de masse sont les chasses aux sorcières américaines et européennes des 16e et 17e siècles et la montée du totalitarisme au 20e siècle.

Cette vidéo a pour but de répondre aux questions concernant les psychoses de masse : Qu’est-ce que c’est ? Comment cela commence-t-il ? S’est-elle déjà produite ? Sommes-nous en train d’en vivre une en ce moment même ? Et si oui, comment peut-on inverser les étapes d’une psychose de masse ?




Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

[Source : Sott.net]

Par Ryan Matters — NewBraveWorld.org

Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l’auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n’auraient pas déjà fait l’objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu’il articule tous ces aspects d’une manière qui donne à voir l’image de l’agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l’être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l’auteur connecte les points.

Bonne lecture.

Le déploiement mondial des [soi-disant – NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d’un programme bien plus vaste qui englobe l’eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d’institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.

En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l’ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d’utilisation de l’ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l’article indique que :

« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l’ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l’ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l’administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l’utilisation de l’ARN comme médicament. »

L’un des chercheurs du Salk Institute cités dans l’article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses – NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream – NdT] pour avoir attiré l’attention sur les dangers possibles des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu’il n’existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d’ARNm que l’homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu’il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

[Voir aussi :
Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »]

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l’ARN dans les cellules humaines » à l’aide d’un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l’American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd’hui une participation dans le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s’il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l’ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s’exprimer sur les dangers des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n’est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l’industrie pharmaceutique. Se pencher sur l’institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s’avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d’après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd’hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d’éradiquer la polio, à l’époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l’eugénisme repose sur l’idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l’époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l’eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l’accouplement sélectif, l’insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l’euthanasie comme constituant des moyens importants d’éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l’État de l’Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l’État de l’Indiana :

« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l’État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l’État. »

Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l’épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu’en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d’avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d’esprit ».

En fait, l’importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu’elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l’adopter, de sorte qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d’eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s’est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L’émergence de la March of the Dimes en tant qu’acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l’association précoce de l’organisation avec l’Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l’American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l’American Eugenics Society, qui était l’assistant de Basil O’Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l’Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu’il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l’American Eugenics Society, de l’American Birth Control League et de l’American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de

« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »

Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l’Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d’édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s’est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d’avorter l’enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial – NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l’étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l’organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l’histoire de l’organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d’être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir

« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l’égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l’héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »

Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l’entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »

Note du traducteur : Ce qui veut dire qu’il est nécessaire que le nombre des naissances d’individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l’expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».

Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l’euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d’autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d’euthanasie nazis et en faisaient l’éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l’épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l’idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l’épidémie, est douteux et probablement totalement faux.

Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années 1950. L’introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s’est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d’être appelées « polio » [poliomyélite – NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d’autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d’une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d’enquête sur l’utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L’article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l’exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l’époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l’American Journal of Digestive Diseases soulignant que :

« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l’étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »

Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l’environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.

Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l’environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l’Ère de l’autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l’utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l’arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu’il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n’est pas synonyme de corrélation, surtout si l’on tient compte du fait qu’au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d’administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l’immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d’administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l’objectif principal consiste à réduire le nombre d’individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l’OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu’aucune corrélation ne peut être faite entre l’épidémie de polio et l’« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l’efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels – NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s’en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l’étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d’ARN transfecté pour développer l’immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l’ADN recombinant de l’Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l’approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d’ARNm chez l’homme.

Bien que l’ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s’alarmer à la lecture d’extraits tels que celui-ci, tiré d’un article sur l’histoire de l’ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :

« Le concept : En apportant des modifications précises à l’ARNm synthétique et en l’injectant aux gens, n’importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »

Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d’ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 – NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l’organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien – NdT],

« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l’information génétique des personnes traitées. »

Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L’ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c’est l’auteur qui souligne) :

« Contrairement aux vaccins à base d’ADN, le risque d’incorporation de séquences d’ARN dans le génome de l’hôte est faible. »

L’utilisation du mot « faible » semble indiquer qu’il peut au moins exister un certain danger d’intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.

Dans l’étude d’« opinion d’expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :

« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l’ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L’ARNm, comme l’ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »

Il est intéressant de noter que c’est uniquement en raison d’une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L’environnement réglementaire européen des vaccins à base d’ARN », qui stipule que :

« La définition d’un médicament de thérapie génique telle qu’elle figure à l’annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l’homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient, ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »

Comme on s’en doute, le simple fait d’appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d’approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l’EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d’approuver plus facilement les thérapies géniques à base d’ARNm prévues pour un usage humain.

Note du traducteur : Ce jeu de langage n’est pas fortuit, loin s’en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.

Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu’on l’aborde dans le contexte des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n’ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d’une utilisation d’urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l’année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d’obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d’essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d’obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d’une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ansL’approbation d’un vaccin après six mois de données est l’une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu’ils sont donc en cours – NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d’envisager l’approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner »Moderna a annoncé que

« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d’entre eux ont reçu le vaccin ».

Ce qui signifie que leur groupe placebo n’existe plus et qu’ils n’ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d’un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l’efficacité des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l’essai d’une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d’entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l’approbation de la FDA pour leurs [soi-disant – NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d’approbation » qui accompagne l’homologation complète et la possibilité de l’utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l’approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l’agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d’évaluation et d’approbation de ces [soi-disant – NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l’utilisation de tests d’anticorps pour évaluer l’immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu’une personne ait reçu une injection bien que l’autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l’origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorpsLes implications de ce revirement sont que l’autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant – NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l’idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d’une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d’une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.

Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l’inné et l’adaptatif. C’est l’adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n’est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :

« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»

Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Quoiqu’il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

Bill Gates, Moderna et l’eugénisme 2.0

L’un des fabricants de [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l’intermédiaire du National Institute of Health, s’avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant – NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :

« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »

Ceci est plus qu’alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d’améliorer l’efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L’intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant – NdT] vaccin alors qu’elle n’a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu’elle existe – NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d’une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l’argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l’un des nombreux nouveaux milliardaires de l’industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l’éclair – NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d’un [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d’intérêts. L’administration chargée de l’Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d’actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d’actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d’avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l’un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l’ingénierie tissulaire et l’administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l’objet d’un scandale après la découverte d’un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu’Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l’eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l’époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d’Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d’autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l’ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l’une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu’administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu’il n’était pas déjà au courant des dons d’Epstein.

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d’initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s’est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d’administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d’un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années – NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s’est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu’à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l’université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l’électronique à l’échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d’administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d’administrer plusieurs doses d’un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l’encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d’un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l’objectif à terme du projet est d’injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d’autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d’autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l’œuvre d’un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l’engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d’un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l’éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l’environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :

« Prenant exemple et s’inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »

Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c’est qu’en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l’occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l’eugénisme, qui s’est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l’on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d’eau potable, d’un approvisionnement en nourriture, d’équipements d’assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d’observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l’utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d’un an, cinq d’entre elles étaient décédées.Au cours d’une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées.The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :

« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l’empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n’avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n’ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »

Note du traducteur : Plus exactement, c’est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l’origine de cette expérimentation.

« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[…]
C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[…] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s’être efforcé d’y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l’avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l’étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l’utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l’augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » – NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires – NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d’un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l’a qualifié de « meilleur investissement qu’il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n’oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s’intéresser, puisqu’elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d’intérêts qui sembleraient remettre en question l’idée qu’il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d’intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d’intérêts ? », dans laquelle il affirme que :

« À titre d’exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l’augmentation rapide de l’obésité et du diabète dans les pays en développement. »

Il ajoute :

« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. […] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d’administration en tant qu’investisseurs de la Fondation. »

Les médias font rarement état de ces conflits d’intérêts inquiétants, ce qui n’est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d’information.

Qualifier l’injection imprudente et généralisée des [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d’initiative imprégnée de pensée eugéniste n’aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d’institutions impliquées dans la course au [soi-disant – NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant – NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd’hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l’eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d’investigation Whitney Webbdans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».

Lorsqu’il s’agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l’impact généralisé qu’auront ces [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d’une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.

Note du traducteur : En effet,

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021Rien de tout cela n’est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d’interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu’ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu’une réduction du risque absolu, lequel était d’environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n’a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d’essai précédentes de ces produits n’ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l’infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant – NdT] vaccins, qui savaient qu’ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l’augmentation spectaculaire des injections antigrippales n’a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journala remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d’essai, ainsi que la [soi-disant – NdT] objectivité des « Comités d’adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d’employés de Pfizer.

Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d’évaluation potentiels sont soumis à un panel d’experts indépendants pour être évalués en aveugle.

Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d’experts concernant le danger et l’efficacité du [soi-disant – NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d’un procès contestant l’autorisation par l’Union européenne de l’utilisation du [soi-disant – NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l’efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que

« Pfizer, l’Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d’essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d’effets indésirables. »

Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. »

Mais bien sûr, rien de tout cela n’est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l’apparition du Sida en 1984. Le fait qu’un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :

« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l’on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s’il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu’il occupe […] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »

Un futur transhumaniste

En plus d’être une thérapie génique, une technologie associée à l’eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm

« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »

Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d’un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.

Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19

En effet, puisque les vaccinologues parlent d’ores et déjà de « variants », d’injections de rappels et de [soi-disant – NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d’un nouveau type de carte d’identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order – NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d’activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l’élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d’une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l’élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c’est l’empressement à obtenir l’autorisation d’utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d’un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine,en dépit du fait que le « Covid-19 », si l’on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant – NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d’incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez leshommes jeunes.

L’empressement à intégrer ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n’a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l’avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l’organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s’interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d’hydrogel injectable, sauf qu’elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de

« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »

Bien qu’incroyablement inquiétant, ce n’est qu’un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d’établir une domination sur l’esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l’aide d’« armes génétiques » capables de

« saper l’esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.

La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d’induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l’utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, qu’ils soient actuels ou futurs.

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l’eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L’objectif officiel du programme est de [c’est le traducteur qui souligne]

« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »

Actuellement, l’initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l’ARN », qui — sachant qu’ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d’ARN (thérapies géniques à base d’ARNm) — vise à (c’est l’auteur qui souligne)

« créer un réseau autonome d’installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d’une future pandémie. »

Notez la certitude apparente d’une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours – NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d’intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l’utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d’investigation Whitney Webb écrit que :

« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que

« l’intérêt réside dans les améliorations d’une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d’une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l’ensemble de la population afin de produire l’impact le plus large. »

L’un des objectifs de ce projet n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l’élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d’instaurer « l’avenir des interfaces cérébrales » afin d’« étendre nos capacités ». Lors d’une interview, Musk a déclaré :

« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d’une utilisation par des personnes qui n’ont pas de handicap. »

Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n’est pas la seule société de biotechnologie à s’être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l’homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l’humain augmenté » — la fusion de l’homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030publié en 2012, indique que :

« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l’utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n’existaient pas auparavant. »

Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que

« contrairement à d’autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »

L’asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d’ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d’autres à diriger la société.

Le « héros » de l’épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l’eugénisme, tout comme l’institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l’ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein – NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu’elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l’édition de gènes et autres technologies imprégnées d’idéaux eugénistes donne l’image d’un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici 2030. L’actuelle [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu’Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d’entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l’éveil dans la conscience collective de l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net




L’Afghanistan en phase 5 – Stratégie de retrait des États-Unis

[Source : www.kla.tv]

Par Ivo Sasek

Selon le documentaire « Comment fonctionnent les guerres modernes ? ». (www.kla.tv/7681 en français), le retrait de l’armée américaine d’Afghanistan correspond à la phase 5 d’une stratégie de guerre moderne. Le fait que le retrait américain ait lieu peu de temps avant le 20e anniversaire du 11 septembre signifie que non seulement le mensonge taliban autour du 11 septembre est encore renforcé, mais que la phase 6 a démarré : La population mondiale est censée être avide de contrôle total. – L’Afghanistan n’est pas un pays pétrolier, mais il se trouve qu’il est hyper-riche en lithium, le « nouveau pétrole » pour toute la mobilité électrique… Mais qui va s`en emparer ? La Chine rouge ou les milliardaires de l’État profond issus du Green Deal et donc le marché de l`électricité ? Une chose est sûre : nous nous emparerons des réfugiés.




L’armée américaine se retire de l’Afghanistan peu avant le vingtième anniversaire du 11 septembre. Les redoutables et apparemment tout-puissants Talibans sont de retour au pouvoir. Quelle horreur ! Le monde entier est sous le choc. Qui est capable de battre deux fois la nation la plus forte du monde ? C’est la question qui se pose. Par coïncidence, juste à temps pour la Journée mondiale de l’aide humanitaire, l’appel des organisations humanitaires résonne maintenant dans le monde entier : Faites des dons à l’Afghanistan et ouvrez d’urgence toutes les frontières aux réfugiés. C’est l’appel lancé. L’Afghanistan a plus que jamais besoin d’aide. D’un côté cela est bien sûr compréhensible. Dans une obéissance presque anticipée, le ministère allemand des Affaires étrangères a annoncé une aide d’urgence de 100 millions d’euros. Les Allemands sont riches, n’est-ce pas !

Parmi les 17 organisations d’aide criant d’une même voix, on trouve bien sûr une fois de plus l’OMS avec sa frénésie de vaccination et le Fonds des Nations unies pour l’enfance. Comme nous le savons tous, les enfants sont certainement l’outil de propagande le plus efficace pour atteindre un objectif. Mais s’agit-il une fois de plus de propagande ? La question à poser : « Pouvons-nous croire encore les catastrophes » ? Avant de trouver la réponse, examinons les choses de plus près, un peu plus en détail :

En tout cas, selon notre film « Comment fonctionnent les guerres modernes ? » (en français www.kla.tv/7681), le retrait de l’armée américaine d’Afghanistan correspond exactement à la phase 5 de la stratégie de guerre moderne. Comprenez-vous cela ? Un retrait dont l’objectif stratégique est que le pays précédemment contrôlé tombe délibérément dans le chaos total. Le fait que le retrait américain ait eu lieu peu avant le vingtième anniversaire du 11 septembre a la conséquence impérieuse, que non seulement le mensonge taliban autour du 11 septembre est encore renforcé, mais également que la phase 6 a démarré. Et quel est le but de la phase 6 dans le film ?

La population mondiale est censée assister à ces nouveaux drames talibans – elle doit souffrir en accéléré les mêmes chocs de terreur subis le 11 septembre 2001 – et toutes les femmes du monde doivent craindre d’être bientôt enfermées dans des trous sombres, vêtues de robes longues jusqu’aux chevilles, la tête entourée d’un foulard noir. Vous comprenez ? On est en train d’attiser la peur et la panique. Jusqu’à ce que le monde entier crie : « Aidez-nous » ! Qui peut combattre cette bête ? Chrétiens, tendez l’oreille !

Après tout, les Talibans semblent presque invincibles, maintenant qu’ils ont mis à genoux pour la deuxième fois la plus grande puissance protectrice du monde. Avec cette situation ils sont mis sur le devant de la scène et ils se mettent eux-mêmes au premier plan. Donc, en d’autres termes, le monde aurait envie de contrôler totalement l’Afghanistan.

Pour une fois, l’Afghanistan n’est pas un pays pétrolier, comme c’est généralement le cas, mais comme par hasard il se trouve qu’il est extrêmement riche en lithium. Peut-être tu te demandes, qu’est-ce que le lithium ? Le lithium est, en quelque sorte, le « nouveau pétrole » pour tous les véhicules électriques. Tu sais, c’est là que tout devient vraiment passionnant, car la question se pose automatiquement : Qui va mettre la main sur tout l’ « or électrique » ou le « pétrole électrique », en quelque sorte, là-bas? Au moins, la Chine a déjà annoncé très clairement ses intérêts. Et la Chine est toujours profondément communiste, profondément rouge.

Comprenez-vous ? Mais avec une certitude absolue, tous les milliardaires de l’État profond ont également remarqué quelles ressources minérales se trouvent en Afghanistan. Après tout, c’est grâce aux requins du Pacte vert que nous avons appris en premier lieu que le commerce des voitures électriques, etc. dépendait du « carburant » appelé lithium. En tout cas, Elon Musk, le junkie de l’espace et constructeur des voitures électriques Tesla, est certainement au courant de cela, après tout, Il est un influenceur secret constant de la politique mondiale. C’est ainsi que nous le connaissons. Grâce à ses tactiques, M. Musk, comme vous le savez, a même pu augmenter sa fortune de 137,5 milliards de dollars supplémentaires en seulement douze mois de Covid, dès le début ! Cet homme connaît son métier. Est-ce que vous comprenez ce qui se passe ici ?

La question la plus passionnante à l’heure actuelle est la suivante : Les tireurs de ficelles de l’État profond maçonnique de la Chine ou leurs opposants, les multinationales de l’État profond américain, vont-ils s’emparer de l`abondance de lithium – ou vont-ils même se partager fraternellement le gâteau ?

En guise de conclusion partielle, une chose au moins est certaine : une fois de plus, notre part du gâteau total ne sera que les flux des réfugiés. En d’autres termes, la guerre hybride se poursuit, elle s’accélère à nouveau, et en particulier une fois de plus contre nous, les Européens. Dans l’ensemble du scénario de retrait de l’Afghanistan se présente d`ailleurs un parallèle remarquable avec la prétendue chute de l’URSS, ainsi que du communisme. Car il s’agissait d’une chute stratégique planifiée en commun par la haute finance et le marxisme. Nous devons comprendre cela.

En d’autres termes, les mouvements stratégiques de la haute finance en combinaison avec le marxisme ont eu lieu depuis que le communisme existe. Les personnes non informées objecteront bien sûr : La haute finance et le marxisme sont des ennemis, ce sont deux choses tout-à-fait différentes. Je vous le dis, non, ce n’est pas comme ça. S’il vous plaît, laissez-vous corriger sur ce point, vous tous qui pensez de cette façon.
Le marxisme est une création délibérée de la haute finance pour l’établissement stratégique d’un gouvernement mondial, les deux faces de la même médaille. Encore aujourd’hui, rien n’a changé.

  • Et voici à nouveau le parallèle avec l’Afghanistan : au début des années 1950, l’Union soviétique était complètement dévastée sur le plan économique.
  • Parce qu’elle était militairement inférieure à l’Occident et que la classe ouvrière occidentale ne croyait pas du tout à la lutte des classes, on a tout simplement développé la stratégie de la guerre non armée.
  • Le stratège chinois Sun Tsu avait déjà fourni les fondements stratégiques de cette guerre hybride il y a plusieurs siècles.
  • Dès le début, la guerre soviétique était basée sur la tromperie délibérée et la désintégration imperceptible de l’ennemi occidental. En d’autres termes, la guerre hybride.

L’objectif était clair et bien défini : un gouvernement mondial communiste. Comment cela est-il censé fonctionner, demande le profane. C’est très simple :

  • La stratégie qui devait conduire à cet objectif commençait par le simulacre de sa propre chute, de sa propre faiblesse. La chute du communisme comme stratégie, vous voyez ? Vous devez comprendre comment ça fonctionne. De quoi parlons-nous aujourd’hui ? Nous parlons de la chute stratégique par le retrait de la grande puissance américaine, en raison de l’apparente supériorité des Talibans. Revenons à la chute du communisme et à ses parallèles. Vous pouvez y voir des parallèles :
  • Dans le même temps, les stratégies communistes ciblées à long terme visant à infiltrer l’Occident et à le rééduquer étaient déjà en cours. C’est ce qui se cache derrière tout cela. Mais comment, demandez-vous encore. Par le biais de la propagande, bien sûr, comment faire autrement ?
  • Tout s’est passé de manière stratégique et de l’intérieur, non plus avec des armes de guerre traditionnelles, mais avec des armes idéologiques, qu’on pourrait appeler hybrides.
  • Mais au cas où ces dernières ne seraient pas suffisantes, ils ont naturellement toujours gardé les différents moyens de guerre classiques déjà « prêts dans la poche ». Mais cela n’était qu’un second choix, au cas où le coup d’État sournois ne réussirait pas.
  • L’Occident était totalement aveugle devant ce stratagème et cette stratégie de guerre, et l’est encore aujourd’hui. Et là encore, il se passe des choses très parallèles.
  • La nouvelle stratégie soviétique à long terme a ensuite été divisée en quatre étapes successives. Vous pouvez dire quatre étapes, mais il n’y a qu’un seul but : Un gouvernement mondial communiste ! C’était l’objectif.

La première étape a impliqué au début une période de détente. Cela a rendu l’Ouest réceptif à tout ce qui venait alors « en rouge ».

  • Nikita Khrouchtchev a commencé à prendre publiquement ses distances avec Staline et ses génocides en 1956
  • Après une décision du congrès du parti, tout a été cependant fait pour convaincre l’Occident de la quasi « faiblesse » du bloc de l’Est.
  • Il y avait de la coopération, du dialogue et du commerce, tout a été littéralement recréé, si vous voulez, au milieu de cette hypocrisie.
  • Le bloc de l’Est a commencé à feindre la faiblesse en claironnant partout la division interne du monde communiste.
  • De cette manière, l’Occident était censé perdre toute crainte du danger rouge, selon le slogan : Voyez comment l’URSS est tout à coup devenue docile.

Une opposition contrôlée a été délibérément mise en place pour y parvenir. Dans tous les États du bloc de l’Est, elle a fait rage contre les gouvernements en place.

  • Et pendant qu’avait lieu cette rébellion contre le Kremlin secrètement contrôlée dans le monde entier, pendant qu’elle était propagée, dans le même temps, toute force d’opposition anticommuniste vraiment authentique était supprimée par la force et éliminée, écartée.

Mais le sens et le but de cette opposition autodirigée étaient les suivants :

  • À savoir, ils n’ont exigé ni la fin immédiate ou absolue du communisme soviétique, ni l’autorisation de l’économie de marché telle que nous la connaissons ici.
  • De telles demandes sont venues des véritables opposants.
  • En revanche, l’opposition auto-installée ne demandait qu’une révision douce et la poursuite du développement du communisme, une version plus humaine du marxisme, pour ainsi dire, mais bien sûr pas sous ce nom.

Dans la deuxième étape, l’Occident a été déstabilisé.
Alors que l’opposition contrôlée a proclamé partout en Occident que l’URSS était faible et déchirée, ils ont commencé, en arrière-plan, la guerre hybride ciblée selon les directives de Lénine, Trotsky, c’est-à-dire du vieux Sun Tzu.

  • Autrement dit, la décomposition imperceptible a commencé, car cela a été instigué insidieusement à partir de l’intérieur.
  • Rééducation idéologique fondamentale, propagande sans fin.
  • Et tout cela selon le schéma de la désormais bien connue Grande Réinitialisation et de l’Agenda 2030, tel que nous l’avons déjà présenté sur Kla.TV.
  • Mais le fait que le Kremlin a toujours eu des amis puissants et des compagnons d’armes en Occident a été prouvé par les hommages décernés à Andrei Sakharov aux États-Unis et en Europe.
  • Des prix Nobel de la paix pour ceux qui ont promu la guerre hybride en secret, vous comprenez ?

Et puis vient l’étape 3. L’étape 3 consistait à simuler la disparition du communisme.
La chute, la simulation – c’est le sujet, c’est le parallèle aujourd’hui avec l’Afghanistan.
Vous simulez une chute, un déclin, une faiblesse.

Et puis, tel un messie, le secrétaire général du PCUS, Mikhaïl Gorbatchev, est entré sur la scène politique mondiale. Sa tâche consistait à libéraliser l’Union soviétique, à l’apprivoiser, pour ainsi dire, devant le monde entier :

  • Cependant, même pendant le tapage constant de la perestroïka, c’est le contraire de ce que la communauté mondiale croyait qui a été réalisé.
  • Le communisme n’a été ni aboli, ni apprivoisé, mais plutôt introduit sournoisement à l’Ouest, par la porte de derrière. C’est comme ça que ça marche, vous voyez, quand on feint la faiblesse.
  • Les communistes ont en fait caché leur secret de façon assez ouverte et assez insolente, car perestroïka ne signifie rien d’autre que transformation ou restructuration.
  • En d’autres termes, il ne s’agissait pas de mettre fin au marxisme, mais simplement de le polir un peu, de le restaurer.
  • L’image d’horreur qu’inspirait le communisme devait disparaître dans le monde entier, mais parallèlement, les concepts marxistes devaient être introduits clandestinement, bien sûr, en Occident et devenir la force dominante durable.
  • Ces concepts trompeurs de communisme sont mis en avant, surtout de nos jours, sous les termes que nous avons déjà appris à connaître, capitalisme actif, Great Reset, etc. Ils font, en quelque sorte, croire à l’âge d’or qui se profile avec sa solution à tous les problèmes sociaux.

Et c’est ainsi que la stratégie communiste se réalise:

  • Bien des années auparavant, ce n’est autre que le KGB qui a construit cette opposition ciblée.
  • Gorbatchev a alors défendu presque sans réserve ces dissidents, et leur a donné un accès direct aux radios d’État, etc.
  • Par ce biais, les opposants parrainés secrètement ont eu de nombreuses occasions de soulever des objections en public, qui ont ensuite été généreusement satisfaites.
  • C’est donc par le biais de ces dissidents que l’opinion occidentale a été délibérément façonnée et consolidée ; tout à fait dans l’esprit de Sun Tsu, mais aussi de Lénine & Cie. Je n’ai pas besoin de les énumérer tous.
  • Ensuite, après la fausse chute réussie du bloc de l’Est, l’Occident est, depuis 1991, un champ ouvert à toutes les formes d’infiltration, à toutes les formes d’influence et, bien sûr, à l’espionnage.
  • Voyez-vous, cette stratégie de guerre hybride des camps d’endoctrinement socialistes a insidieusement transformé notre société occidentale de sorte que les idéologies de Marx, Lénine, Engels, etc. sont aujourd’hui plus présentes, plus convoitées que jamais.
  • Mais plus sous les termes génériques mal compris de « communiste, léniniste ou marxiste » ; c’est précisément là que réside ce que je peux appeler la ruse troyenne.

Nous en sommes actuellement à l’étape 4, c’est-à-dire à l’introduction du communisme mondial. J’insiste à nouveau sur le fait que lorsque je parle de communisme mondial, il faut toujours voir un capitalisme et un communisme de haut degré.

En d’autres termes, de nos jours, la stratégie à long terme des Soviétiques commence également à porter ses fruits.

  • Le gouvernement mondial visé doit maintenant être pleinement installé par tous les moyens, qu’ils soient politiques ou, si nécessaire, militaires.
  • Dans la phase actuelle Il s’agit de faire croire que le système capitaliste a échoué, qu’il est en panne, ou mort. Si on compare avec l’Afghanistan : la grande puissance américaine a échoué, c’est-à-dire qu’elle arrive au bout. Vous pouvez apprendre de cela que si quelque chose est tellement martelé, c’est le contraire qui est la réalité.
  • Pour ce faire, la grave crise économique mondiale actuelle, avec le chômage de masse et la pauvreté, a été mise en scène, elle a été évoquée, pour ainsi dire. Tout cela se tient.
  • Grâce à l’effondrement insidieusement attisé de la classe moyenne, que nous expérimentons actuellement et avec elle une grande partie de la population, l’échec du capitalisme doit en quelque sorte être révélé et démontré. Vous voyez ces parallèles ?
  • Il s’agit ainsi d’imposer à notre monde occidental un système politique qui, à première vue, n’a pas particulièrement l’odeur du communisme soviétique que nous connaissons…
  • Celui-là ne serait guère accepté sans résistance.
  • C’est précisément la raison pour laquelle tous ces nouveaux termes nous tombent dessus comme par exemple : Capitalisme des parties prenantes, partenariats public-privé, New Deal, le Pacte Vert, grande réinitialisation, etc.
  • Dans l’embellissement de ce modèle néo-marxiste, la Chine et la Russie se voient soudain attribuer un rôle considérable, si on observe bien.
  • C’est aussi la raison de la participation active de ces deux grandes puissances au FEM de Davos avec sa grande réinitialisation, etc.

Pour résumer :

La stratégie à plusieurs niveaux de la guerre hybride que je viens de décrire était déjà construite stratégiquement dans les années 1950. En Afghanistan ça à commencer en 2001 et on peut voir tous les parallèles.

  • La stratégie de guerre hybride de l’époque était une stratégie commune entre la haute finance et le marxisme, je le souligne à nouveau, dont l’objectif est un gouvernement mondial absolu. La haute finance et le marxisme, je le répète, sont et était toujours les deux faces d’une même médaille. C’est pourquoi nous devons suspecter et reconnaître ces deux éléments dans cet acte de retrait d’Afghanistan.
  • Le communisme sous toutes ses formes, comme le marxisme, le léninisme, le maoïsme, etc., ont toujours dérivé de la haute finance. Cela il faut enfin le comprendre. Retenez bien cela.
  • La haute finance, en tant que tête secrète du communisme mondial, a toujours parfaitement su comment éliminer elle-même tous ses adversaires potentiels, et ce à travers les communistes de bonne foi. Il suffisait de leur faire comprendre que l’adversaire capitaliste était la classe moyenne, par exemple, le riche propriétaire d’usine, etc. dans leur région. Et ainsi ces prolétaires excités commençaient à serrer les poings et à se soulever contre leurs employeurs et à manifester.
  • De nos jours, avec la plandémie Covid-19 ciblée dans laquelle nous nous trouvons actuellement, les hyper capitalistes rusés tentent de donner le coup de grâce à toute la classe moyenne,
  • Tous les marxistes, communistes, verts, rouges, etc. bien intentionnés se rendront compte trop tard qu’ils ont été trompés par le grand capital pendant des siècles, qu’on a sournoisement abusé d’eux, qu’ils ont été instrumentalisés.
  • Ils mènent un combat absolument nécessaire contre le faux capitalisme, mais malheureusement sur un faux niveau, comme je viens de l’expliquer. Ainsi ils se sont donné le coup de grâce à eux-mêmes et à toute les classes moyennes.
  • En bref, dans la dernière ligne droite de cette stratégie déjà ancienne, l’Occident doit être complètement affamé et démonté au niveau politique et économique.
  • La Chine, en revanche, doit être construite avec le soutien de la Russie. C’est le plan qui se cache derrière. Et au-dessus de cela, comme je l’ai dit, se trouve le capitalisme de haut niveau. Ici, à l’arrière-plan, les Loges mondiales maçonniques divisées, que vous pouvez appeler Super Loges, se battent toujours pour la première place. Ça se passe en arrière-plan. Rappelez-vous bien ceci : l’État profond est profondément divisé – ce qui est une opportunité pour la communauté mondiale.
  • Par le biais de ces entités réunis, les décisions mondiales futures seront fondées sur les bases des puissances marxistes ancestrales.
  • Donc, tout ce parallèle entre la faiblesse prétendue de la grande puissance américaine en Afghanistan et de l’Union soviétique de l’époque m’apprend avant tout une chose, et maintenant j’arrive à la fin :
  • Je ne vois en fait qu’un seul moyen de faire face à ces forces insidieuses :

Je dis, apprenons tous à prier à nouveau. Prions pour que ces grandes puissances ne soient pas en mesure de nous envoyer une fois de plus dans leurs guerres, mais que leurs têtes, c’est-à-dire leurs dirigeants, s’achèvent les uns les autres – c’est leur travail, de s’éliminer les uns les autres – et que nous sortions vainqueurs de cette bataille finale des dirigeants sournois – oui, nous, le peuple !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 44 ans.




Nos bourreaux ne se cachent même plus !

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

Je n’ai pas de mots assez forts pour dire ma colère et mon dégoût ! 

Toutes nos institutions sont prises en otages et vérolées ! Nous sommes cernés par ces menteurs corrompus que ce soit l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil d’État, le Conseil Constitutionnel ! Jamais la France n’aura connu une telle situation.

Une mafia qui mène à son terme une destruction totale de notre pays et de son peuple ! Plus aucune liberté, plus de soins, plus de possibilité de sortir de chez nous, de travailler, de bouger si nous n’acceptons pas cette injection qui à terme nous tuera ! Toutes nos lois, nos protections sont démolies, effacées. Ceux qui se sont battus pour nous, doivent se retourner dans leurs tombes !

Peuple de France lève toi !!! Ils ont décidé de mener à son terme ce projet immonde d’anéantissement. Ils sont déterminés à nous anéantir, à nous supprimer et ils ne reculeront pas !

https://ripostelaique.com/le-massacre-continue-20-595-deces-dans-lue-et-toujours-ce-silence.html

Un peu d’histoire pour comprendre qui sont ces dingues meurtriers

Les sociétés secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Prieuré de SionSkull and Bones, le Bohemian Club et bien d’autres, ont été infiltrées par des gens malveillants, dangereux et démoniaques, certaines de ces sociétés secrètes ont aussi été fondées dans le seul but d’amener le monde à un gouvernement mondial.

Si vous pensez que la franc-maçonnerie est « clean » et qu’elle n’a rien à voir avec cet agenda occulte, vous vous trompez. La franc-maçonnerie est responsable de cet agenda ésotérique. Les francs-maçons sont en grande majorité ignorants et incapables de penser par eux-mêmes, ils sont manipulés par un groupe occulte supérieur qui réside dans la franc-maçonnerie sans que les maçons des loges bleues n’en sachent quoi que se soit. Ils sont même convaincus qu’il n’existe pas de chef dans la franc-maçonnerie et que tous les complots sont des mythes.

Leur Nouvel Ordre Mondial n’est pas seulement une guerre physique, c’est une guerre psychique, c’est ce que David Icke appelle « un coup d’état sur l’âme humaine« , ces attentats terroristes sont réels…

Bien sur, ils existent dans le monde en trois dimensions (3D), mais ils existent aussi pour vous choquer spirituellement, pour arriver à l’état où vous pouvez regarder ces atrocités, guerres, génocides, problèmes mondiaux tout en mangeant à 8h du soir, avec votre famille devant la télévision.

Le Nouvel Ordre Mondial a pour but de lobotomiser la population mondiale, de l’exploiter, et de traiter n’importe quel individu comme un vulgaire animal, ce qui est déjà le cas.

Il s’agit de centraliser les populations dans les villes, d’où le but de détruire l’environnement, c’est aussi à propos de vous faire manger des OGMs, de se brosser les dents avec du dentifrice au fluor et de boire de l’eau contenant de la fluorine.

C’est simplement de l’esclavage moderne déguisé en démocratie. Et bien sur, pour arriver à un tel niveau, il faut des guerres, des crimes, de la violence, du chaos et du désordre.

Pourquoi est-ce que les informations en France, aux USA et partout dans le monde de l’Ouest sont si déprimantes, négatives, toujours axées sur les guerres ? C’est pour que vous soyez mentalement effrayé, c’est simplement pour contrôler votre esprit, parce que la vraie réalité n’existe pas dans ce monde que vous voyez en 3D ! La réalité existe dans votre esprit, et ils comptent sur vous pour ne pas utiliser votre esprit et votre potentiel d’intelligence. Ils attendent de vous que vous écoutiez tout ce qu’ils ont à vous dire via les merdias mainstream, et ils espèrent que vous allez gober tous ces mensonges, ce qui est le plus souvent le cas.

C’est aussi l’installation de milliers de caméras de surveillance partout dans vos villes. C’est aussi l’instauration de la loi martiale partout sur la planète pour soi-disant « se protéger contre le terrorisme« , ou n’importe quelle autre force utilisée et manipulée afin d’avoir des guerres, des menaces et des conflits sans fin !

C’est aussi pouvoir vous embaucher et vous renvoyer sans préavis, c’est aussi vous faire payer très cher pour obtenir un appartement ou un logement médiocre dans une banlieue médiocre. C’est instaurer des taxes sur tout et n’importe quoi, même sur l’eau, la nourriture, et même notre protection…

C’est surtout vous contrôler vous et votre âme.

Mais qui sont-ils et d’où viennent-ils ? Pyramide Illuminatis, franc maçonne !

Gouvernement dans le gouvernement qui n’a qu’un seul but, amener le monde à un gouvernement mondial.

Les Illuminati sont une « élite dans l’élite« .

C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des « Maîtres du Monde« . La plupart de ces organisations ont un siège social et des membres dont on connaît l’identité. Mais les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s’agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor, ou les Rockefeller, notamment l’incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR (Council of Foreign Relations).

Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. (J’ai eu l’occasion de corriger des textes anciens de Weishaupt,  il y a trois ans en tant que correctrice et croyez-moi je sais de quoi je parle !!)

À cette époque, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient la légalisation de l’usure, le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des États-Unis auraient été des résultats de leur stratégie.

Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

Leur création marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir à une domination totale sur le monde.

La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Contrairement aux autres organisations des Maitres du Monde, les Illuminati ne sont pas un simple « club de réflexion » ou « réseau d’influence« . Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est ésotérique ou « occulte ».

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l’humanité. Les Illuminati sont la forme moderne d’une société secrète très ancienne, la « Fraternité du Serpent » (ou « Confrérie du Serpent« ), dont l’origine remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.

La civilisation qui domine le monde aujourd’hui est en effet la prolongation de la civilisation Sumérienne, qui a inventé tout ce qui caractérise la civilisation occidentale : l’administration d’état, l’argent, le commerce, les taxes et les impôts, l’esclavage, les armées organisées, et une expansion fondée sur des guerres perpétuelles et l’asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation à détruire son environnement. Pratiquant une agriculture intensive après avoir inventé l’irrigation, les civilisations Sumérienne et Babylonienne ont transformé des prairies verdoyantes en un désert qui est aujourd’hui l’Irak.

Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s’est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les « écoles de mystère » égyptiennes et grecques, l’église chrétienne de Rome (utilisée comme « véhicule » par la « Fraternité » pour s’implanter en Europe), les Mérovingiens (d’où le personnage « Mérovingien » dans le film « Matrix »), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications – Franc- Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jérusalem, Ordre de Malte…), et enfin les « Illuminati » et les organisations qui y sont rattachées.

Le symbole des Illuminati est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l’Elite) est éclairé par l’oeil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).

Changer notre monde commence ici. (Jacques Desrosiers)   

Le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M ou N.W.O pour New World Order en anglais) est officiellement un terme qui est employé pour parler de la mondialisation, mais pas la mondialisation économique du style OMC, pas la mondialisation de la sécurité mondiale du genre ONU, ou la mondialisation de la force genre OTAN, mais bien une mondialisation politique, religieuse, avec des caractères économiques et culturels, c’est ça le Nouvel Ordre Mondial.

Mais c’est aussi un plan, que les sociétés secrètes tentent de mettre en application depuis des millénaires (depuis Babylone).

Le Nouvel Ordre Mondial est la mise en place d’une dictature internationale de type communiste déguisée sous le mot « humanisme« , où les peuples seront sommés d’obéir à la loi internationale de force sous peine d’être nettoyés.

Pour ce faire, ils ont : La « solution finale »

Une guerre d’élimination contre la population mondiale a donc commencé.

Les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, mais en leur supprimant progressivement l’accès à l’espace vital, à la nourriture, à la santé, à l’éducation, à l’information, et à l’énergie.

L’envolée des prix alimentaires, la suppression ou la réduction de l’allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d’éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l’électricité, sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens. Ils appellent cela leur arme silencieuse : un type d’arme biologique. Elle attaque la vitalité, les options, et la mobilité des individus d’une société, en connaissant, comprenant, manipulant, et attaquant leurs sources d’énergie sociales et naturelles, ainsi que leur forces et faiblesses physiques, mentales, et émotionnelles.

Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.

Le 5 mai 2009, un groupe de milliardaires s’était réuni dans la maison de Sir Paul Nurse, un biochimiste britannique Prix Nobel et Président de l’Université privée Rockefeller, à Manhattan.

Ils étaient invités par Warren Buffet et Bill Gates.

Les échanges de vues portaient sur la façon d’optimiser les dons de bienfaisance au cours d’une période de bouleversements financiers. Ultimement, 

« ils sont arrivés à un consensus selon lequel ils cautionneraient une stratégie où la croissance de la population serait taxée de potentielle menace environnementale, sociale et industrielle désastreuse… ils doivent être indépendants des agences gouvernementales, lesquelles sont incapables de contrer le désastre imminent [qu’ils] voient tous« .

Quelle est la philosophie qui sous-tend leurs engagements ?

Bien que des reportages sur de telles réunions ne puissent être vérifiés, les sources du journaliste d’investigation Daniel Estulin, ainsi que celles de Jim Tucker, traqueur vétéran du Groupe Bilderberg, ont fait preuve d’une extrême justesse par le passé.

Le journal Times du Royaume-Uni rapportait que ces

« éminents milliardaires se sont rencontrés en secret pour envisager la façon dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale [et qu’ils] avaient parlé de joindre leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement« . En outre, « on a alloué 15 minutes à chacun des milliardaires afin qu’ils présentent leur cause favorite. Pendant le dîner, ils ont discuté de la manière dont ils pourraient choisir une “cause ombrelle“ pouvant servir leurs intérêts. » Ils ont « convenu que la surpopulation était une priorité ».

Un des invités a déclaré qu’

« ils désiraient discuter de riche à riche sans craindre que ce qu’ils disent se retrouve dans les journaux, les dépeignant comme un gouvernement mondial de rechange« .

La population en excès est maintenant éliminée par des épidémies à répétition !!

Depuis quelques années ils ont décidé d’accélérer l’attaque. C’est là leur dernière carte : Covid19, élaboré et planifié depuis  déjà quelques années pour finir leur sale boulot !

Réduire cette population mondiale et contrôler la planète !

L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétrer de la sorte !!! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, à se battre pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.

Il s’agit là de leur fameuse guerre contre les peuples annoncée par Warren Buffet : Le milliardaire américain Warren Buffet a déclaré il y a quelques années, non sans humour, qu’il existait

« bel et bien une guerre des classes mais c’est ma classe, la classe des riches qui fait la guerre et c’est nous qui gagnons ».

Ils l’ont ont méticuleusement préparée et mise en œuvre pour nous éliminer et pour soumettre les survivants, leurs futurs esclaves.

Aux Armes citoyens !

La guerre est l’acte par lequel le peuple résiste à l’injustice au prix de son sang ! 

(Henri Lacordaire)

[Note de Joseph : Cependant, s’il s’agit bien d’une guerre, elle est avant tout d’essence spirituelle et doit se maintenir sur ce plan, car la faire descendre sur le plan physique ne ferait que satisfaire ces élites autoproclamées en accélérant la mise en œuvre de leur plan.]

Christine Deviers-Joncour
Source : MédiaZone


[Voir aussi :
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
La guerre du Bien contre le Mal
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…]




Qui Gouverne la France ?

[Source : zonefr.com via reseauinternational.net]

Par Jean Valmont-Decker

Si vous effectuez une simple recherche sur le Web, avec deux mots-clés : (Attali et PDF), vous vous retrouvez avec plusieurs dizaines de documents traitant de la politique, l’économie ou la géopolitique englobant, les organisations occultes, le mondialisme, le libéralisme, la finance… Un PDF (non signé) a attiré notre attention. Le titre « Qui Gouverne la France ? » est plutôt symptomatique de la cacophonie qui règne dans l’Hexagone depuis quelques décennies. Autrement dit, la France n’est plus un pays souverain, elle obéit à un pouvoir extérieur. Un panier de crabes décide pour le sort de 67 millions d’individus, une poignée d’un millier de personnes pille les richesses et asservit tout un peuple. Quant à leurs maîtres autoproclamés, ils manœuvrent depuis un moment pour instaurer un gouvernement mondial, présenté comme le résultat d’une « hyper-démocratie », sous le contrôle d’une oligarchie financière internationalisée.

Nous reproduisons, ci-dessous, l’intégralité du document :

Qui Gouverne la France ?

Qui vous gouverne ? Des énarques, certes, mais peu savent que tous ou presque sont membres de deux clubs sulfureux, le « Siècle » et la « French American Foundation », deux clubs parmi les plus discrets mais les plus influents de France.  Le Siècle est une filiale du club de BilderbergLa French American Foundation est de son côté une filiale du Council on Foreign Relations, dont le programme 2008-2013 est connu sous le nom de « Nouvel Ordre Mondial ». 

Le Siècle

Le club Le Siècle existe depuis 1945, il a été fondé par un franc-maçon, Georges Bérard-Quelin, mais seulement de 20 à 30% des membres sont actuellement connus comme étant francs-maçons. Il espérait rester anonyme, son existence a été révélée pour la première fois en 1977 par un article de l’Humanité. La liste de ses membres a été publiée contre sa volonté en 2011.

L’adhésion coûte 150€/an. Il y a 15 administrateurs et environ 800 membres, appelés « invités » ce qui leur permet de mentir effrontément en niant leur appartenance au club comme membres à part entière puisqu’ils y sont seulement « invités ». Seulement pour devenir « invité », il faut faire acte de candidature et être recruté par cooptation au sein du conseil d’administration, sur proposition d’un membre (invité) plus l’un des quinze administrateurs.

Le Siècle se réunit une fois par mois, dix fois par an, le dernier mercredi du mois, pour un souper au Crillon place de la Concorde, dans les luxueux salons de l’Automobile Club.

En 2011, un dîner a eu lieu le mercredi 25 avril entre les deux tours de la présidentielle, c’est là qu’il aurait été décidé que la présidence devait passer de Sarkozy à Hollande, ce qui expliquerait la petite phrase de Sarko sur son retour dans le civil et le peu de vitalité manifesté par l’état-major de l’UMP pour le soutenir à partir de ce jour-là.

Plusieurs des membres du Siècle sont, comme Valls et Jospin, également membres du club de Bilderberg. Ce sont ceux-là qui auraient fait passer le message qu’il était nécessaire de pousser Hollande à la présidence, un Hollande plus docile aux suggestions du Bilderberg que Sarkozy, trop « électron libre » et trop proche d’Angela Merkel.

Or, le Bilderberg ne veut pas d’une co-gestion franco-allemande de l’Europe, mais d’une co-gestion américano-européenne de monde occidental. Sur ce point il rejoint l’objectif de la French American Foundation.

Jospin, à la fois membre du Bilderberg et du Siècle, et qui avait déclaré ne plus vouloir faire de politique, fut si présent pendant la campagne présidentielle car il était là pour surveiller que les instructions du directoire du Bilderberg serait bien respectée par tous.

Le Siècle a aussi un objectif plus concret : placer le maximum de ses membres au gouvernement, peu importe qu’ils soient PS ou UMP. C’est la raison pour laquelle Sarkozy qui en est membre avait fait « l’ouverture » avec d’autres membres du club comme Attali.

Vous comprendrez mieux la collusion des énarques de tous bords politiques en voyant la liste des « invités » ci-dessous:

  • Président depuis janvier 2011 : Nicole Notat, l’ancienne syndicaliste CFDT ;
  • Vice-présidents : Olivier Duhamel, journaliste politologue qui écrit dans  Valeurs Actuelles (et le frère d’Alain) et Henry Loirette, président du musée du Louvre ;
  • Trésorier : Marc Tessier, ancien président de France Télévision
  • Secrétaire général : Étienne Lacour, directeur de la rédaction de la Société Générale de Presse.

Quelques « invités », membres du Siècle, sont issus de la finance et des affaires. Presque tous les Inspecteurs généraux des finances (énarques) en activité (114 sur 120 en 2009) appartiennent au Club…

Thierry Breton (ancien ministre des Finances) ; Alain Lamassoure (ancien ministre du Budget) ; Pascal Lamy (ancien inspecteur général des finances, directeur de l’Organisation Mondiale du Commerce) ; Alain Minc (ancien inspecteur général des finances, essayiste, président de SANEF) ; Christian Noyer (ancien directeur du Trésor, Gouverneur de la Banque de France) ; Dominique Strauss-Kahn (ancien directeur général du FMI, ex-Bilderberg) ; Jean-Claude Trichet (ancien directeur du Trésor, ancien Gouverneur de la Banque de France, ancien président de la Banque Centrale Européenne) ; Jacques Attali (conseiller d’État, président de PlaNet Finance) ; Claude Bébéar (ancien président d’AXA, président de l’Institut Montaigne) ; Antoine Bernheim (dirigeant associé de la banque Lazard) ; Daniel Bouton (ancien directeur du Budget, ancien président de la Société Générale) ; Jean-Yves Haberer (ancien PDG du Crédit Lyonnais) ; Michel Pébereau (ancien président de la BNP Paribas) ; Jean Peyrelevade (dirigeant des banques Suez, Stern, Crédit Lyonnais) ; Édouard de Rothschild (banquier et homme d’affaires, Bilderberg) ; Jean-Paul Agon (directeur général de L’Oréal) ; Delphine Arnault (administratrice de sociétés et fille de Bernard Arnault) ; Bernard Bigot (patron du CEA) ; Bernard Boulito (Heinz et Asics) ; Stéphane Courbit ; Serge Dassault ; Étienne Davignon ; Louis Gallois ; Guillaume Pepy ; Antoine Guichard (ancien PDG du Groupe Casino) ; Philippe Jaffré (ELF Aquitaine, Zebank, Alstom) ; Louis Schweitzer (ancien président de Renault, ancien président de la HALDE) (La  liste n’est pas limitative, et ne comporte que les plus connus).

On y compte aussi évidemment bon nombre de journalistes et éditeurs de presse…

Arlette Chabot ; Jean-Marie Colombani (journaliste, ancien président de Le Monde) ; Anne-Marie Couderc (Groupe Hachette Filipacchi Médias) ; Michèle Cotta (journaliste, ancienne directrice de France 2) ; Teresa Cremisi (présidente des éditions Flammarion) ; Alain Duhamel (politologue, chroniqueur à RTL) ; Michel Field (journaliste sur Europe 1) ; Franz-Olivier Giesbert ; Claude Imbert (journaliste au Point) ; Odile Jacob (éditrice) ; Denis Jeambar (ancien directeur des éditions du Seuil) ; Laurent Mouchard-Joffrin (journaliste et directeur de publication du Nouvel Observateur) ; Serge July (ancien PDG de Libération) ; Julien Kouchner (directeur général de l’Agence CAPA) ; Étienne Lacour (secrétaire général du Siècle) ; Maurice Lévy (PDG de Publicis) ; Serge Moati (journaliste sur France 5) ; Denis Olivennes (directeur d’Europe 1) ; Sylvie Pierre-Brossolette ; Bernard Pivot ; Patrick Poivre d’Arvor (journaliste et ancien présentateur télévisé à TF1) ; Alain de Pouzilhac (ancien PDG du groupe Havas) ; David Pujadas (journaliste et présentateur télévisé, France 2) ; Alain-Gérard Slama (journaliste au Figaro et à France Culture) ; Anne Sinclair ; Marc Tessier (ancien président de France Télévisions).

Sans oublier les personnalités politiques…

Martine Aubry PS, Michel Barnier UMP, Jacques Barrot Centriste-UMP, François Bayrou Modem, Éric Besson PS – UMP, Jeannette Bougrab UMP, Hervé de Charette Centriste, Jean-Pierre Chevènement PS, Jean-François Copé UMP, Laurent Fabius PS, Luc Ferry UMP, Aurélie Filipetti PS, François Fillon UMP, Élisabeth Guigou PS, Adeline Hazan PS, Martin Hirsch PS, François Hollande PS, Nicolas Sarkozy UMP, Jean-Paul Huchon PS, Anne-Marie Idrac PS, Lionel Jospin PS et Bilderberg, Alain Juppé UMP, Bernard Kouchner PS, Jack Lang PS, Noëlle Lenoir ?, Corinne Lepage centriste, Charles Millon droite, Pierre Moscovici PS, Jean-Pierre Raffarin UMP, Manuel Valls PS, Jacques Toubon UMP, Michel Vauzelle PS, Henri Weber PS, Hubert Védrine PS, Rama Yade UMP, Marisol Touraine PS, Fadela Amara PS, Rachida Dati UMP, …

Et enfin, la liste ne serait pas complète sans les syndicalistes…

Jean-Christophe Le Duigou (ancien dirigeant de la CGT du corps des finances, puis receveur général des hypothèques) ; Nicole Notat (présidente de Le Siècle, ex-CFDT, puis présidente de Vigeo) ; Laurence Parisot (présidente du MEDEF) ; Ernest-Antoine Seillière (ancien président du MEDEF).

Si vous doutez encore qu’il y ait une formidable collusion entre presse, finance, banques, affaires, syndicats et politiques, lisez et regardez :

Au cœur du pouvoir : enquête sur le club le plus puissant de France Emmanuel Ratier « Les Nouveaux Chiens de garde », film sorti en 2012 de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat dans lequel ils dénoncent le Siècle comme un lieu de collusion entre politiques et journalistes.

Depuis novembre 2010, des moyens considérables de sécurité sont mis à disposition tous les dernier mercredi du mois le soir, sur la place de la Concorde et dans le quartier alentour, sur ordre de Michel Gaudin, préfet de police de Paris, également membre du club afin d’assurer la protection de tous ces joyeux drilles, majoritairement énarques et Sciences Po, qui soupent ensemble et préparent les mauvais coups qu’ils vous destinent tout en faisant semblant de se battre au petit écran et dans la presse.

L’important dans une bande de copains, n’est-il pas de se repasser les bons coups et les affaires juteuses pour que tout le monde y gagne ? Enfin, sauf les cochons de payants.

La French American Foundation (FAF)

La French American Foundation (FAF) a été fondée en 1976 par trois membres du Council on Foreign Relations (CFR) américain et, dans sa version française, conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing pour cornaquer les plus éminents des jeunes dirigeants français.

Le Council on Foreign Relations est un think tank (club de réflexion ou « laboratoire d’idées ») non partisan, américain, ayant pour but officiel d’analyser la politique étrangère américaine et la situation politique mondiale.

Le CFR souhaite que ses membres reflètent la diversité de la société américaine et entend développer l’expérience de la génération montante de leaders en proposant des programmes qui incluent des rencontres et des discussions avec les officiels du gouvernement, des leaders mondiaux et des membres éminents de la communauté des affaires étrangères.

Le cœur de son think tank est le David Rockefeller Studies Program, composé d’environ cinquante « adjoints » (pendants des « invités » du Siècle), tant démocrates que républicains. Cette noble assemblée se méfie des partis politiques, qu’elle range en bloc aux côtés des « factions » de tout acabit et considère comme un grave danger pour la République américaine.

Pensant que l’architecture de gouvernance mondiale reflétait trop le monde tel qu’il existait en 1945 et n’était plus adapté au monde actuel, le CFR a lancé en 2008 un programme de cinq ans intitulé « International Institutions and Global Governance, World Order in the 21st Century ». Connu en France sous le nom « Nouvel Ordre Mondial ».

Le programme du CFR se focalise sur quatre grands défis :

  • Contrer les menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme,
  • Promouvoir la sécurité énergétique,
  • Gérer l’économie mondiale,
  • Prévenir et répondre à des conflits violents.

Quand on parle de la French American Foundation, filiale du CFR, évoquer le principe d’un « club cultivant l’amitié entre les peuples américain et français » comme le prétendent ses statuts est une aimable plaisanterie.

À la lecture des noms composant le groupe des généreux donateurs et dirigeants, on peut se dire que des raisons bien matérielles et idéologiques doivent agiter les esprits de la FAF.

Franck Carlucci

En effet sans tous les nommer, on y trouve Franck Carlucci du groupe Carlyle ; David Rockfeller, ancien président du CFR et fondateur de la Trilatérale ou encore Ernest-Antoine Sellière, ancien président du patronat français et européen et président du groupe de Wendel.

À ce niveau, la philanthropie n’existe pas.

L’objectif de la FAF est d’intégrer des personnes appartenant à l’élite politique, économique, militaire et journalistique afin de véritablement quadriller le terrain.

C’est le professeur de science politique et membre du CFR, Ezra Suleiman, qui fut pendant des années le seul habilité à accepter les recrues françaises de la FAF désignées par le terme de « Young Leaders ».

« Depuis son lancement (en France) en 1981, le programme des Young Leaders aspire à sélectionner chaque année les candidats français susceptibles d’occuper des postes à haute responsabilité ».

Côté américain, nous pouvons relever le président Bill Clinton ; Hillary Clinton ministre des Affaires étrangères d’Obama et l’ex-patron de l’OTAN en Europe, le général Wesley Clark. Côté français, nous trouvons de nombreux journalistes comme Christine Ockrent, JeanMarie Colombani (Le Monde), Emmanuel Chain, Jérôme Clément (président d’ARTE) ; mais aussi de nombreux élus socialistes, François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, etc. ; et de l’UMP, Alain Juppé, Valérie Pécresse, Jacques Toubon, Éric Raoult, etc. et aussi Nicolas Dupont-Aignan. 

L’énarchie française s’est ralliée depuis longtemps au dogme du mondialisme.

Cependant, il est utile pour le système de maintenir une opposition artificielle entre UMP et PS alors qu’en fait, nous vivons dans le régime du parti unique.

En jouant l’alternance droite-gauche, on fait croire au peuple qu’il y a une autre politique possible.

En fait, les dirigeants énarques de l’UMP et du PS mènent le pays vers la même direction : l’intégration à un bloc euro-atlantique, à direction unique.

Pourquoi pas, si cela se traduisait par une gouvernance vraiment efficace et l’amélioration des conditions de vie de la population dans la liberté, notamment celle de penser ?

L’ennui, c’est que ce n’est pas le cas, on va plutôt vers Le meilleur des mondes ou 1984 de Orwell.

Le cas de Nicolas Dupont-Aignan est intéressant. Officiellement, il défend avec passion la souveraineté française mâtinée de gaullisme. En fait, c’est un leurre. Son appartenance à la FAF, depuis 2001, le prouve. Si Dupont-Aignan a été accepté au sein de la French American Foundation, cela signifie qu’il a dû présenter obligatoirement des gages prouvant sa bonne foi. On ne trompe pas facilement les élites mondialistes de la FAF. Ce politicien est utile au système parce qu’il est un dérivatif.

Nicolas Dupont-Aignan

Dans le cas de Dupont-Aignan, il s’agit de contrôler un mouvement en faveur de la cause nationale, défendue par le FN, pour ensuite arrondir les angles et empêcher que les « patriotes » puissent diffuser de véritables informations sur les origines du mondialisme. « Quand on ne peut pas arrêter une tendance, en particulier la rébellion de nombreux Français en faveur du retour à la souveraineté, il est préférable d’accompagner le mouvement pour l’étouffer par la suite. C’est la mission de NDA. Ce dernier ne doit pas jouer la comédie de l’homme qui n’est pas au courant des objectifs de la French American Foundation compte tenu des conditions de sélection pour y adhérer. Quand on fait partie de la FAF dont le but ultime est de réaliser un bloc euro-atlantique complet, on ne peut pas en même temps être gaulliste et se présenter comme un ardent défenseur d’une France souveraine. Dans le cadre de la course à la présidentielle NDA a mobilisé des espoirs pour récolter cinq cents signatures. Comme par hasard, il a ensuite échoué au grand dam des Français fidèles à la cause gaulliste. N’est-ce pas là un bon exemple de stérilisation des bonnes énergies ?

C’est le cas de François Hollande, le patron du PS. Il suffit aussi de voir la longue liste des politiques membres du Parti socialiste et de l’UMP appartenant à la FAF. Peu importe l’équipe au pouvoir, la FAF aura ses hommes et ses femmes au pouvoir en France au service de l’Atlantisme. Il ne faut pas oublier aussi la présence de nombreux membres de la FAF au sein des grandes entreprises et du milieu journalistique. D’une certaine manière, tout est verrouillé » ~ Pierre Hilliard, Revue-républicaine.fr

Sur les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, six sont dans son gouvernement. François Hollande et Pierre Moscovici sont FAF depuis 1996, Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des « Young Leaders ».

Tous ont été minutieusement sélectionnés et « formés » par ce très élitiste réseau, une forme de secte politique inconnue du grand public, sponsorisée entre autres, et ce n’est pas par hasard, par la banque franco-américaine Lazard dont le directeur est le très socialiste Mathieu Pigasse qui leur ouvre des comptes protégés à Lazard Frères Gestion à Genève.

En d’autres termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre le programme phare mis en place par la FAF, la French American Fondation.

La FAF est elle-même un organisme à cheval sur Paris et New York. À noter qu’entre 1997 et 2001, c’est John Negroponte qui présida la FAF, avant de devenir entre 2005 et 2007, sous Georges Bush, le premier directeur coordonnant tous les services secrets américains (Direction of National Intelligence), et dirigeant l’US States Intelligence Community qui regroupe une quinzaine de membres, dont le FBI et la CIA.

Un président et cinq ministres en France : beau tir groupé, comme s’en enorgueillit à juste titre le site américain de la FAF : « La French American Foundation est fière de compter cinq Young Leader dans le cabinet du président François Hollande, lui-même Young Leader en 1996 », tandis que son site français n’en dit pas un mot. C’est beau la discrétion, la transparence et la morale républicaine !

« Pourquoi est-ce que les journalistes ne nous parlent pas de ça, à propos de François Hollande, au lieu de nous parler de son séjour d’étudiant et de son goût pour les cheeseburgers dont on n’a rien à faire ? ».

Qu’ils demandent donc la réponse aux journalistes qui ont l’art de nous servir ces hamburgers, préparés par les communicants, en prenant leurs lecteurs pour des cornichons !

Qu’ils la demandent en particulier aux Young Leaders des médias, aujourd’hui actionnaires ou directeurs des principales rédactions, ces copains de promo de certains de nos nouveaux ministres pour certains d’entre eux : de Laurent Mouchard-Joffrin (Nouvel Observateur) à Denis Olivennes (Europe 1Paris Match et JDD), en passant par Matthieu Pigasse (Banque Lazard et Inrockuptibles), Louis Dreyfus et Erik Izraelewicz (Le Monde) … Et la liste des hommes de médias Young Leaders est longue, comme on peut la lire plus intégralement dans l’enquête « Ils ont acheté la presse ». (Benjamin Dormann, cité par Atlantico).

À New York, la venue de François Hollande et de sa nouvelle équipe était attendue sereinement. Vu de la FAF, « Welcome à la Hollande team » ; on reste en terrain connu, tout est sous contrôle, on est même fier d’avoir autant de ses poulains dans la place, nous l’avons vu.




Bill Gates et le hold-up vaccinal

[Source : mercola.com]

Dans la vidéo ci-dessus, Russell Brand discute du livre de Judy K. Brown, « Perversion of Justice : The Jeffrey Epstein Story » [Perversion de la justice : L’histoire de Jeffrey Epstein], qui détaille la conspiration du silence entourant le plus grand pédophile présumé et magnat du trafic sexuel de notre époque, Jeffrey Epstein.

Le refus des médias de creuser l’histoire d’Epstein, dit Brand, suggère que les médias font partie d’un establishment corrompu qui protège les riches et les puissants, quoi qu’il arrive. Une personne riche et puissante qui bénéficie de la protection des médias traditionnels est Bill Gates.

Gates et Epstein

Brand cite un article du Daily Beast1, selon lequel Gates a eu des dizaines de réunions avec Epstein rien qu’entre 2011 et 2014, généralement au domicile d’Epstein à Manhattan. Lorsque la nouvelle de la relation de Gates avec Epstein a émergé en 2019, Melinda Gates aurait contacté un avocat spécialisé dans le divorce.

Selon The Daily Beast, Gates « a encouragé Epstein à réhabiliter son image dans les médias. » Si cela est vrai, cela suggère que Gates pourrait en effet avoir été plus proche d’Epstein qu’il ne l’a laissé entendre. Une source anonyme qui prétend avoir été présente à plusieurs des réunions a déclaré que les deux étaient « très proches ».

Le Daily Beast affirme également que « des personnes au courant de l’affaire ont déclaré que Gates trouvait la liberté dans le repaire d’Epstein, où il rencontrait un groupe tournant de noms importants et discutait de problèmes mondiaux entre des séries de blagues et de ragots — une atmosphère de ‘club d’hommes’ qui irritait Melinda ».

Lors d’un entretien avec Anderson Cooper, présentateur de CNN, Gates a expliqué que sa relation avec le célèbre trafiquant sexuel de mineurs n’était rien d’autre qu’une tentative naïve d’obtenir des fonds pour ses efforts en matière de santé publique.

Si l’on considère que l’intérêt d’Epstein pour la santé publique semble avoir été une obsession pour l’idée de créer sa propre race de super humains en faisant accoucher ses bébés par des esclaves sexuelles2, cette excuse semble au mieux fragile. Epstein a également fait des dons à la Worldwide Transhumanist Association3.

Gates essaie maintenant de sortir de l’ombre d’Epstein, qualifiant leurs rencontres d’« erreur ». Cependant, Brand a peut-être raison lorsqu’il affirme que l’histoire de la relation entre Gates et Epstein met réellement en évidence l’importance de conserver notre autonomie et de ne pas suivre aveuglément les personnes qui prétendent être supérieures à nous.
Gates est aussi imparfait que n’importe qui d’autre, et peut-être même plus, car la richesse et le pouvoir engendrent la corruption et permettent aux gens de poursuivre des intérêts qui ne seraient pas ou ne pourraient pas être poursuivis à moins d’avoir l’argent et l’influence nécessaires pour garantir le secret.

Gates finance des organismes de santé publique britanniques et américains

Si nous avons appris quelque chose au cours de l’année et demie écoulée, c’est que la corruption est endémique dans nos agences de santé publique et nos organisations médicales. Comme le rapporte Armstrong Economics, la Fondation Bill & Melinda Gates finance — et exerce donc une influence considérable sur — les organismes de santé publique aux États-Unis et au Royaume-Uni :4

« La [Food and Drug Administration américaine] a donné son plein accord aux vaccins de Gates parce qu’elle a subi d’énormes pressions politiques pour le faire. Même CNBC a rapporté que « les responsables fédéraux de la santé avaient subi une pression croissante de la part de la communauté scientifique et des groupes de défense pour approuver pleinement le vaccin de Pfizer et BioNTech… ».

Pendant ce temps, à Londres, une enquête a révélé que la Fondation Bill et Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé, tout comme elle l’est de la FDA aux États-Unis.

La SEC n’a absolument RIEN fait au sujet des informations privilégiées puisque Gates est également un actionnaire MAJEUR de Pfizer / BioNTech mRNA. Des organisations médicales fiables s’opposent à ces vaccins malgré l’approbation de deux organismes de réglementation qui reçoivent de l’argent de Gates, ce qui ne fait qu’introduire des conflits d’intérêts et une corruption potentielle…

La FDA n’a JAMAIS approuvé un type de médicament complètement nouveau en moins d’un an, ce qui soulève de sérieuses questions sur la corruption. Le délai moyen pour obtenir une approbation de la FDA est de 12 ans ! »

L’enquête londonienne à laquelle ils font référence a été publiée dans The Daily Expose le 20 août 2021.5 La MHRA, la version britannique de la FDA américaine, reçoit en fait la majeure partie de son financement de la Fondation Gates, selon l’enquête.

Le 4 juin 2021, la MHRA a étendu son autorisation d’utilisation d’urgence de la piqûre de Pfizer aux enfants âgés de 12 à 15 ans, malgré les risques connus d’inflammation cardiaque. Le Daily Expose écrit :6

« À l’époque, la directrice générale de la MHRA, le Dr June Raine, a déclaré que la MHRA avait « examiné attentivement les données des essais cliniques chez les enfants âgés de 12 à 15 ans et a conclu que le vaccin Pfizer est sûr et efficace dans ce groupe d’âge et que les avantages l’emportent sur tout risque. »

Nous nous demandons si le Dr June Raine et la MHRA ont même lu les résultats de cette étude extrêmement courte et réduite.7 S’ils l’avaient fait, ils auraient vu que 86% des enfants participant à l’étude ont souffert d’un effet indésirable allant de léger à extrêmement grave.8

Seuls 1 127 enfants ont pris part à l’essai, mais seuls 1 097 enfants ont terminé l’essai, 30 d’entre eux n’ayant pas participé après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer. Les résultats ne précisent pas pourquoi ces 30 enfants n’ont pas terminé l’essai… Peut-on vraiment faire confiance à la MHRA pour rester impartiale alors que son principal bailleur de fonds est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui détient également des parts dans Pfizer et BioNTech ? Nous ne le pensons pas. »

Gates est lourdement investi dans les entreprises pharmaceutiques

La Fondation Gates possède également des « parts importantes » dans Pfizer et BioNTech, qui ont développé conjointement une injection de COVID qui, le 23 août 2021, a été pleinement approuvée9 par la FDA pour être utilisée chez les personnes âgées de 16 ans et plus.

La Fondation Gates a commencé à orienter ses investissements vers les produits pharmaceutiques en 2002. Cette année-là, Gates a investi 205 millions de dollars dans neuf grandes entreprises pharmaceutiques, dont Pfizer et Johnson & Johnson. « La décision de prendre des participations dans des entreprises individuelles semble être un changement de stratégie et, pour la première fois, aligne les intérêts de l’organisation caritative sur ceux des entreprises pharmaceutiques », rapportait le Guardian à l’époque10.

Selon The Motley Fool11, Gates a initialement investi dans Pfizer « avec l’intention déclarée d’élargir l’accès au contraceptif injectable tout-en-un de la société pharmaceutique ». Lorsque la pandémie de COVID-19 a éclaté, Gates a prédit très tôt que Pfizer serait le premier à obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence.

La Fondation Gates ne s’est pas emparée des actions de BioNTech avant septembre 2019, soit trois mois seulement avant l’apparition de la pandémie de COVID, lorsqu’elle a acheté pour 55 millions de dollars d’actions.

Les prévisions financées par la Fondation Gates ont conduit à la condamnation à mort des maisons de retraite

La Fondation Gates a également versé des centaines de millions de dollars à l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), qui était responsable de la modélisation imprécise qui a conduit plusieurs gouverneurs à « condamner à mort les maisons de retraite ». La Strategic Culture Foundation écrit :12

« Ça chauffe enfin pour le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, à cause de ses politiques de réponse au coronavirus bâclées et criminellement négligentes, pourtant personne ne semble se demander pourquoi Cuomo et certains gouverneurs ont pris les décisions fatidiques qui ont conduit à la surmortalité…

En mars et début avril, les politiciens ont été informés par les « experts » en modélisation de l’IHME, financé par Gates, que leurs hôpitaux étaient sur le point d’être complètement envahis par des patients atteints de coronavirus.

Les modélisateurs de l’IHME ont affirmé que cet afflux massif amènerait les hôpitaux à manquer d’équipements de survie en quelques jours, et non en quelques semaines ou mois. Le temps était compté, et il était temps de prendre des décisions rapides, ont affirmé les modélisateurs. Lors de deux conférences de presse distinctes, le 1er et le 2 avril, M. Cuomo a clairement indiqué que ses décisions politiques étaient fondées sur le modèle de l’IHME ».

Dans l’une de ces conférences de presse, Cuomo a remercié la Fondation Gates « pour le service national qu’elle a rendu ». Le département de la santé de Pennsylvanie a également utilisé les modèles de l’IHME pour orienter sa réponse. Même des bureaucrates fédéraux comme le Dr Anthony Fauci et le Dr Deborah Birx, qui ont tous deux des liens personnels avec Gates, se sont appuyés sur les prévisions de l’IHME pour justifier les fermetures d’établissements, les fermetures d’entreprises et les couvre-feux.

En fin de compte, les modèles de l’IHME n’ont pas fonctionné. Ils n’étaient même pas proches [de la réalité]. « Par exemple, l’IHME a utilisé un taux de mortalité de plus de 3 % alors que le chiffre réel provenant de COVID-19 n’est que d’environ 0,1 % », écrit la Strategic Culture Foundation, qui ajoute13 :

« La responsabilité incombe effectivement aux dirigeants élus qui ont pris les décisions fatidiques d’envoyer les patients malades du COVID dans des maisons de retraite, de verrouiller leurs États et de masquer leurs citoyens à perpétuité, mais ce n’est que la moitié de l’histoire.

Les mauvaises données qu’ils ont utilisées proviennent presque exclusivement du réseau Gates, qui s’est livré à un trafic de pseudo-science et a fait preuve d’une incompétence totale et de prévisions imprudentes depuis le début de l’année dernière. »

Il n’est pas surprenant que Gates soit resté muet sur les échecs flagrants de l’IHME. Comme le note la Strategic Culture Foundation14, il s’est « parfaitement lavé les mains de la manie COVID et est passé à l’exigence que le monde occidental se sacrifie au nom de la dernière « crise » qu’est le changement climatique. »

COVID-19 – Une rampe de lancement pour la grande réinitialisation

Bien sûr, les plans « verts » de Gates vont également accroître sa propre richesse, tout comme la pandémie de COVID l’a fait. En effet, la soi-disant « crise du changement climatique » n’est rien d’autre qu’un autre outil pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation, qui modifiera à jamais le visage de la société et du commerce, en transférant pratiquement toutes les richesses et la propriété à quelques technocrates au sommet, laissant les gens ordinaires sans richesse ni liberté.

Compte tenu de la position de Gates au sein de l’élite technocratique, il n’est pas surprenant que ses empreintes digitales se retrouvent sur toutes les pièces nécessaires de cette partie d’échecs mondiale. Comme vous vous en souvenez peut-être, la Fondation Gates a coparrainé la simulation de préparation à la pandémie d’un « nouveau coronavirus », connue sous le nom d’événement 201, en octobre 2019, avec le Forum économique mondial et le Johns Hopkins Center for Health Security.

L’événement a sinistrement prédit ce qui allait se passer à peine 10 semaines plus tard, lorsque le COVID-19 est apparu. La Fondation Gates et le Forum économique mondial sont également associés15 aux Nations unies qui, tout en gardant un profil relativement bas, semblent être au cœur du programme de prise de contrôle mondialiste.

« Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre de l’agenda de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. »

Le Forum économique mondial, bien qu’il s’agisse d’une organisation privée, fonctionne comme la branche économique et sociale de l’ONU et constitue une force motrice essentielle de la technocratie moderne et du programme de la Grande Réinitialisation. Son fondateur et président, Klaus Schwab, a déclaré publiquement la nécessité d’une « réinitialisation » mondiale pour rétablir l’ordre en juin 202016.

La règle technocratique, qui est ce que la Grande Réinitialisation apportera, s’articule autour de l’utilisation de la technologie — en particulier l’intelligence artificielle, la surveillance numérique et la collecte de Big Data (ce à quoi sert la 5G) — et la numérisation de l’industrie, de la banque et du gouvernement, qui permet à son tour l’automatisation de l’ingénierie sociale et de la règle sociale (bien que cette partie ne soit jamais expressément énoncée).

Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre du programme de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. La Grande Réinitialisation, parfois appelée le plan « reconstruire en mieux », appelle spécifiquement toutes les nations à mettre en œuvre des réglementations « vertes » et des « objectifs de développement durable  »17,18 dans le cadre de l’effort de redressement post-COVID.

Mais l’objectif final est loin de ce que la personne typique envisage lorsqu’elle entend ces plans. L’objectif final est de nous transformer en serfs sans droit à la vie privée, à la propriété privée ou à quoi que ce soit d’autre. En bref, la pandémie est utilisée pour détruire les économies locales dans le monde entier, ce qui permettra ensuite au Forum économique mondial d’intervenir et de « sauver » les pays criblés de dettes. Le prix de ce sauvetage est votre liberté.

La grande réinitialisation

La Grande Réinitialisation n’est pas une théorie de la conspiration, mais un programme rendu public qui va de l’avant, que nous le voulions ou non.

De nombreux dirigeants mondiaux en ont parlé à titre officiel, et en juin 2020, Zia Khan, vice-président senior de l’innovation à la Fondation Rockefeller, a rédigé l’article19 « Rebuilding Toward the Great Reset : Crisis, COVID-19, and the Sustainable Development Goals » [Reconstruire en vue de la Grande Réinitialisation : Crise, COVID-19, et les objectifs de développement durable], qui passe en revue la « crise sociale » nécessitant l’acceptation par le monde d’un Nouvel Ordre Mondial.

L’article a été co-écrit avec John McArthur, membre senior du Brookings Institute, qui est l’un des nombreux groupes de réflexion technocratiques. En gardant à l’esprit ce que je viens de dire sur ce qu’est réellement la Grande Réinitialisation, et les justifications utilisées pour mettre en œuvre le vol des richesses et de la liberté, lisez comment ils présentent ces changements comme étant dans votre meilleur intérêt :

« Le bouleversement peut apporter une nouvelle compréhension et de nouvelles opportunités. Les normes désuètes ou injustes peuvent succomber au besoin pressant de la société pour de meilleures approches. Par exemple, la nécessité d’une intervention gouvernementale massive et urgente a attiré une attention nouvelle sur les filets de sécurité sociale et sur la possibilité d’améliorer considérablement les politiques.

Les conséquences tragiques de la discrimination raciale ont catapulté la prise de conscience des problèmes systémiques et déclenché des perspectives de réformes sociales indispensables. Les améliorations rapides de l’environnement liées à la fermeture de l’économie ont ravivé la conscience des interconnexions profondes entre les écosystèmes, les économies et les sociétés …

Plutôt que de laisser passivement les normes évoluer par inertie ou par hasard, nous pouvons tous mener des actions pour la Réponse et, bientôt, la Récupération d’une manière qui améliore les chances d’une Réinitialisation vers de meilleurs résultats à long terme.

Heureusement, nous avons déjà un point de départ solide pour ce que devraient être les résultats économiques, sociaux et environnementaux du monde. Il y a cinq ans, en 2015, les 193 États membres de l’ONU se sont mis d’accord sur les Objectifs de développement durable (ODD) comme un ensemble commun de priorités à atteindre dans tous les pays d’ici 2030. »

Je crois que la seule façon de l’arrêter est de réagir collectivement aux différents morceaux et parties du plan qui sont déployés. Ils veulent vous faire croire qu’aucune des choses introduites n’a de rapport avec les autres, mais en fait, ce sont toutes des pièces du même puzzle.

Ce serait une erreur tragique de faire confiance à Gates ou à l’un des autres acteurs qui nous sont présentés comme les sauveurs du jour. Ce sont tous des loups déguisés en moutons. La grande réinitialisation est à notre porte, et votre liberté, ainsi que celle des générations futures, dépend de votre combat pour la conserver20.

Notre meilleure chance est de nous impliquer dans la gouvernance locale, qu’il s’agisse de la commission scolaire de votre enfant ou du gouvernement local, et de nous engager dans une désobéissance civile pacifique.

Gates peut être présenté comme un génie omniscient dont la mission est de nous garder en bonne santé et en sécurité, mais ses activités sont incompatibles et ne correspondent pas à son personnage soigneusement fabriqué. À maintes reprises, Gates a exercé son influence dans des affaires où des mensonges ont été proférés et où la santé publique et les droits de l’homme ont été décimés pour le profit.

 Sources et références




DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò. MàJ

[Source : medias-presse.info]

Traduction de ©Francesca de Villasmundo pour MPI

Source : Mgr Viganò pour MPI – Traduction – de l’original italien – autorisée et vérifiée par l’auteur


Depuis plus d’un an et demi, nous assistons impuissants à la succession d’événements incongrus auxquels la plupart d’entre nous n’est pas en mesure de donner une justification plausible. L’urgence pandémique a mis en évidence les contradictions et l’illogisme des mesures visant nominalement à limiter les contagions –confinement, couvre-feu, fermetures d’activités commerciales, limitations des services publics et des cours, suspension des droits des citoyens– mais qui sont quotidiennement désavouées par des rumeurs discordantes, des preuves évidentes d’inefficacité, des contradictions de la part des autorités sanitaires elles-mêmes. Inutile d’énumérer les mesures que presque tous les gouvernements du monde ont prises sans obtenir les résultats promis. Si nous nous limitons aux avantages supposés que le sérum génétique expérimental aurait dû apporter à la communauté – en premier lieu l’immunité contre le virus et la liberté de mouvement retrouvée – nous constatons qu’une étude de l’Université d’Oxford publiée dans  The  Lancet  (ici) a déclaré que la charge virale des vaccinés à double dose est 251 fois supérieure aux premières souches du virus (ici), en dépit des proclamations des dirigeants mondiaux, à commencer par le Premier ministre italien Mario Draghi, selon lequel « ceux qui se font vacciner vivent, ceux qui ne se font pas vacciner meurent ». Les effets secondaires du sérum génétique, habilement dissimulés ou délibérément non enregistrés par les autorités sanitaires nationales, semblent confirmer le danger de son administration et les inconnues inquiétantes pour la santé des citoyens auxquelles nous devrons bientôt faire face.

De la science au scientisme

L’art médical – qui n’est pas de la science, mais l’application de principes scientifiques à des cas différents, sur une base expérientielle et expérimentale – semble avoir renoncé à sa prudence, au nom d’une urgence qui l’a mise au rang de sacerdoce d’une religion – la science, précisément – qui, pour être telle s’est voilée d’un dogmatisme à la limite de la superstition. Les ministres de ce culte se sont constitués en une caste d’intouchables, exempts de toute critique, même lorsque leurs affirmations sont réfutées par l’évidence des faits. Les principes de la médecine, jugés universellement valables jusqu’en février 2020, ont succombé à l’improvisation, au point de nous entendre recommander la vaccination en pleine pandémie, l’obligation de masques déclarés inutiles, le recours à des distanciations alambiquées, l’interdiction de traitements médicamenteux efficaces et l’imposition de thérapies géniques expérimentales qui dérogent aux protocoles de sécurité normaux. Et comme il y a de nouveaux prêtres du Covid, il y a aussi de nouveaux hérétiques, c’est-à-dire ceux qui rejettent la nouvelle religionpandémique et veulent rester fidèles au serment d’Hippocrate. Il n’est pas rare que l’aura d’infaillibilité entourant les virologues et autres scientifiques plus ou moins titrés ne soit pas remise en cause par leurs conflits d’intérêts ni par les prébendes considérables des sociétés pharmaceutiques, ce qui, dans des conditions normales, seraitscandaleuse et criminelle.

Ce que beaucoup ne comprennent pas, c’est l’incongruité entre les objectifs déclarés et les moyens qui sont adoptés à l’occasion pour les obtenir. Si, en Suède, l’absence de confinement et de masques n’a pas entraîné de contagion supérieure à celle des pays où les gens se sont confinés chez eux ou là où les masques ont également été obligatoires dans les écoles primaires, cet élément n’est pas considéré comme la preuve de l’inefficacité des mesures. Si, en Israël ou en Grande-Bretagne, la vaccination de masse a accru les infections et les a rendues plus virulentes, leur exemple n’amène pas les dirigeants d’autres pays à faire preuve de prudence dans la campagne de vaccination, mais les incite à évaluer l’obligation l’administrer. Si l’ivermectine ou le plasma hyperimunne s’avèrent des traitements valables, cela ne suffit pas à les autoriser et encore moins à les recommander. Et quiconque se demande la raison de cette irrationalité déconcertante finit par suspendre le jugement, acceptant avec une sorte d’adhésion fidéiste les déclarations des prêtres du Covid, ou vice versa en considérant les médecins comme des sorciers peu fiables.

Un seul scénario sous une seule direction

Comme je l’ai déjà dit, nous sommes confrontés à une tromperie colossale, fondée sur le mensonge et la fraude. Cette tromperie part du principe que les justifications invoquées par l’autorité à l’appui de son action à notre égard sont sincères. Plus simplement, l’erreur consiste à considérer les dirigeants comme honnêtes et à supposer qu’ils ne nous mentent pas. Nous nous obstinons donc à trouver des justifications plus ou moins plausibles, dans le seul but de ne pas reconnaître que nous faisons l’objet d’une conjoncture planifiée dans les moindres détails. Et tandis que nous essayons d’expliquer rationnellement des comportements irrationnels ; alors que nous attribuons une logique à l’action illogique de ceux qui nous gouvernent, la dissonance cognitive nous amène à fermer les yeux sur la réalité et à croire aux mensonges les plus éhontés.

Nous aurions dû comprendre – je l’écrivais dans le passé – que le plan du Great Reset [de la Grande Réinitialisation] n’était pas le fruit des divagations de quelques  « complotistes », mais la preuve brute d’un dessein criminel, conçu depuis des décennies et visant à l’instauration d’une dictature universelle dans laquelle une minorité de personnes incommensurablement riches et puissantes entend asservir et soumettre toute l’humanité à l’idéologie mondialiste. Parce que l’accusation de « conspirationnisme » pouvait peut-être avoir un sens alors que la conspiration n’était pas encore évidente, alors qu’aujourd’hui nier ce que l’élite a conçu depuis les années cinquante est injustifiable. Ce que Kalergi, les Rothschild, les Rockefeller, Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates ont dit après la guerre a été publié dans des livres et des journaux, commenté et repris par des organismes et fondations internationaux, réalisé précisément par des partis et des majorités gouvernementales. Les États-Unis d’Europe, l’immigration incontrôlée, la réduction des salaires, l’annulation des garanties syndicales, la renonciation à la souveraineté nationale, la monnaie unique, le contrôle des citoyens sous prétexte d’une pandémie, la réduction de la population par l’utilisation de vaccins avec de nouvelles technologies ne sont pas des inventions récentes, mais le fruit d’une action planifiée, organisée, coordonnée. Une action qui de toute évidence colle parfaitement à un seul scénario sous une seule direction.

La mentalité criminelle

Une fois qu’il a été compris que les événements présents ont été voulus pour obtenir certains résultats – et donc pour poursuivre certains intérêts d’une partie minoritaire de l’humanité, avec un préjudice incalculable pour la majorité – nous devons également avoir l’honnêteté de reconnaître la mentalité criminelle des auteurs de ce plan. Ce dessein criminel nous fait aussi comprendre la malveillance de l’autorité en présentant certaines mesures comme une réponse inéluctable à des événements imprévisibles, lorsque les événements ont été habilement créés  et grossis dans le seul but de légitimer une révolution  –  que Schwab identifie comme une quatrième révolution industrielle – voulue par l’élite au détriment de toute l’humanité. L’asservissement de l’autorité est d’ailleurs le résultat d’un processus entamé encore plus tôt, avec la Révolution française, et qui a rendu la classe politique servante non pas de Dieu (dont elle méprise dédaigneusement la Seigneurie) ni du peuple souverain (qu’elle méprise et utilise uniquement pour se légitimer), mais des potentats économiques et financiers, de l’oligarchie internationale des banquiers et des usuriers, des multinationales et des sociétés pharmaceutiques. En réalité, à y regarder de plus près, tous ces sujets relèvent d’un petit nombre de familles très riches bien connues.

Un même asservissement est également évident dans l’information : les journalistes ont accepté – sans aucun scrupule de conscience – de se prostituer au puissant, allant même jusqu’à censurer la vérité et à diffuser des mensonges éhontés sans même essayer de leur donner un semblant de crédibilité. Si, jusqu’à l’année dernière, les journalistes comptaient le nombre de « victimes » du Covid en présentant les positifs comme des malades en phase terminale, aujourd’hui, ceux qui meurent après le vaccin ne sont que saisis d’un « malaise » et, avant même les examens post mortem, ils décident d’office qu’il n’y a aucune corrélation avec l’administration du sérum génétique. Ils subvertissent la vérité en toute impunité, quand celle-ci ne confirme pas le récit,  la pliant à leurs fins.

Ce qui se passe depuis un an et demi avait été largement annoncé, dans les moindres détails, par les artisans du Great Reset eux-mêmes ; tout comme on nous avait annoncé les mesures qui auraient dû être prises. Le 17 février 1950, devant le Sénat des États-Unis, le célèbre banquier James Warburg a déclaré : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non. La seule question qui se pose est de savoir si ce gouvernement mondial sera établi par consensus ou par la force. » Quatre ans plus tard, le groupe Bilderberg est né, qui compte parmi ses membres des personnalités telles que Gianni Agnelli, Henry Kissinger, Mario Monti et Mario Draghi, l’actuel Premier ministre italien. En 1991, David Rockefeller écrivait : « Le monde est prêt pour parvenir à un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » Il a ajouté : « Nous sommes au bord d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la « juste » crise mondiale et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. » Nous pouvons affirmer, aujourd’hui, que cette « bonne » crise  coïncide avec l’urgence pandémique et avec le Lock step décrit depuis 2010 par le document de la Fondation Rockefeller, Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international, qui prévoyait tous les événements auxquels nous assistons  (ici).

En bref, ils ont créé un faux problème pour pouvoir imposer comme solution apparente les mesures de contrôle de la population, supprimer avec les confinements et le green pass la petite et moyenne entreprise au profit de quelques groupes internationaux, supprimer l’enseignement par l’enseignement à distance, réduire le coût de la main d’œuvre et du travail salarié grâce au smart working [travail intelligent]privatiser la santé publique au profit de Big Pharma, permettre aux gouvernements d’utiliser l’état d’urgence pour légiférer par dérogation au droit et imposer des vaccins à l’ensemble de la population, en rendant les citoyens  traçables dans tous leurs mouvements, malades chroniques ou stériles.

Tout ce que l’élite voulait faire, elle l’a fait. Et ce qui est incompréhensible, c’est que face à la preuve de la préméditation de ce grand crime contre l’humanité, qui voit les dirigeants de presque le monde entier complices et traîtres, il n’y a pas un seul magistrat qui ouvre un dossier contre eux pour découvrir la vérité et condamner les coupables et les complices. Le dissident n’est pas seulement censuré, mais désigné comme un ennemi public, comme un propagateur, comme une non-personne à qui aucun droit ne doit être reconnu.

Deep state [État profond] et deep church [église profonde]

Maintenant, face à un plan criminel, il serait au moins logique de le dénoncer et de le faire connaître, pour pouvoir ensuite l’éviter et juger les coupables. La liste des traîtres devrait commencer par les chefs de gouvernement, les  ministres et les députés, puis se poursuivre avec les virologues et les médecins corrompus, avec les fonctionnaires complices, avec les hauts gradés des forces armées  incapables de s’opposer à la violation de la Constitution, avec les journalistes vendus, avec les magistrats lâches et avec les syndicats courtisans. Dans cette longue liste qui sera peut-être un jour dressée, il faudrait également énumérer les hauts dirigeants de l’Église catholique, à commencer par Bergoglio, et de nombreux évêques, zélés exécuteurs de la volonté du prince contre le mandat reçu par le Christ. Certes, dans cette liste, on aurait connaissance de l’extension du complot et du nombre des comploteurs, confirmant la crise de l’autorité et la perversion du pouvoir civil et religieux. Bref, on comprendrait que la partie corrompue de l’autorité civile – l’État profond – et de l’autorité ecclésiastique – l’église profonde – sont les deux faces d’une même médaille, toutes les deux instruments de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.

Mais pour comprendre cette alliance entre le pouvoir civil et le pouvoir religieux, il faut reconnaître la dimension spirituelle et eschatologique du conflit présent, en l’encadrant dans la guerre que Lucifer, depuis sa chute, a déclenchée contre Dieu. Cette guerre, dont les conséquences sont décidées ab aeterno avec la défaite inexorable de Satan et de l’Antéchrist et la victoire écrasante de la Femme entourée d’étoiles, s’approche désormais de l’épilogue : c’est pourquoi les forces des ténèbres sont si déchainées, si impatientes d’effacer le nom de Notre Seigneur de la terre, de détruire non seulement la présence tangible dans nos villes en démolissant les églises, en abattant les croix, en supprimant les fêtes chrétiennes ; mais aussi en en supprimant le souvenir, en effaçant la civilisation chrétienne, en en falsifiant l’enseignement, en dégradant son culte. Et pour ce faire, la présence d’une hiérarchie fidèle et courageuse, disposée au martyre pour défendre la foi et la morale chrétienne, est certainement une entrave. C’est pourquoi, dès le début du plan mondialiste, il était indispensable de corrompre la hiérarchie dans la morale et la doctrine, de l’infiltrer avec des cinquièmes colonnes et des cellules dormantes, de la priver de tout désir surnaturel, de la rendre vulnérable au chantage par des scandales financiers et sexuels ; en vue de l’exclure et de l’éliminer une fois son but atteint, selon la pratique en cours.

La fin des années cinquante, lorsque le projet du Nouvel Ordre prenait forme, signa cette opération d’infiltration qui a commencé la propre œuvre de subversion quelques années plus tard, avec le Concile œcuménique Vatican II, par rapport à laquelle l’élection de Roncalli et l’éviction du papable Siri, « dauphin » de Pacelli, ont représenté une raison d’enthousiasme tant pour la composante progressiste et moderniste interne à l’Église que pour la composante communiste, libérale et maçonnique du monde civil. Vatican II représentait au sein du corps ecclésiastique ce que le serment du Jeu de Paume était pour la société civile : le début de la Révolution. Et si j’ai voulu à plusieurs reprises souligner le caractère subversif du Concile, je crois qu’aujourd’hui une analyse historique se rend nécessaire, grâce à laquelle des faits apparemment déconnectés acquièrent une signification inquiétante et expliquent beaucoup de choses.

Liaisons dangereuses

Comme Michael J. Matt l’a rapporté dans une vidéo récente sur The Remnant (ici), aujourd’hui nous commençons à assembler tous les carreaux de la mosaïque et à découvrir – de l’aveu même de l’un des protagonistes – que Mgr Hélder Câmara, archevêque d’Olinda et Recife au Brésil, a rencontré le jeune Klaus Schwab, fondateur du  Forum économique mondial et théoricien de la Grande Réinitialisation. Schwab, ayant connu le Prélat pour son opposition à l’Église traditionnelle et ses thèses révolutionnaires et paupéristes, l’a invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement importante en vue du projet du Nouvel Ordre. Nous savons qu’Hélder Câmara faisait partie des organisateurs du Pacte des Catacombes qui, quelques jours avant la clôture du Concile, le 16 novembre 1965, fut signé par une quarantaine d’évêques ultraprogressistes. Parmi les thèses hérétiques de ce document, il y a aussi la collaboration à l’instauration d’un « autre ordre social, nouveau » (ici, n°9) fondé sur la justice et l’égalité. Et nous ne sommes pas surpris d’apprendre que, parmi les signataires, il y avait aussi Mgr Enrique Angelelli, auxiliaire de Cordoue en Argentine, « point de référence pour celui qui était à l’époque, Jorge Mario Bergoglio » (ici).  Bergoglio lui-même a déclaré, dès le début du Pontificat, qu’il partageait les instances du Pacte des Catacombes. Le 20 octobre 2019, à l’occasion du Synode pour l’Amazonie, a été reproduite la célébration du pacte parmi les conjurés aux catacombes de Santa Domitilla, confirmant que le plan lancé au Concile avait trouvé son accomplissement précisément dans Jorge Mario Bergoglio. Loin de prendre ses distances avec les ultra-progressistes qui le soutiennent et qui ont décidé de son élection au dernier Conclave, il ne manque pas de donner la preuve d’une parfaite cohérence avec le plan du Nouvel Ordre Mondial, à commencer par la collaboration d’organismes et de dicastères du Vatican avec l’environnementalisme de matrice malthusienne et par la participation au Council For Inclusive Capitalism, une alliance globale avec Rothschild, la Fondation Rockefeller et les grandes banques.  Ainsi, d’une part, David Rockefeller avec la Commission trilatérale et, d’autre part, Klaus Schwab, lié aux Rothschild (ici), au Forum économique mondial, se retrouvent bras dessus bras dessous avec le chef de l’Église catholique pour établir le Nouvel Ordre par le biais de la Grande Réinitialisation, comme prévu depuis les années 50.

Le plan mondial de dépopulation

Dans ce pactum sceleris,  il faut également compter quelques représentants de l’Académie Pontificale pour la Vie, récemment bouleversée dans son organigramme précisément par Bergoglio, qui en a éloigné les membres les plus fidèles au Magistère en les remplaçant par des théoriciens de la dépopulation, de la contraception et de l’avortement. Rien d’étonnant donc au soutien du Saint-Siège aux vaccins : le Sovereign Independent de juin 2011 reportait en Une : « Dépopulation par vaccination forcée : la solution du zéro dioxyde de carbone » (ici). A côté du titre, une photo de Bill Gates était accompagnée de ce commentaire : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Cela portera à 9 milliards. Si nous faisons un travail vraiment bien fait avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductrice [c’est-à-dire l’avortement et la contraception], nous pouvons réduire la population de 10 ou 15 %. » Il y a onze ans, Bill Gates, qui fait aujourd’hui partie des actionnaires du groupe Black Rock qui finance les sociétés pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins, faisait partie des principaux commanditaires de l’OMS et d’une myriade d’organismes publics et privés liés à la santé. À ses côtés, curieusement, nous trouvons George Soros, le « philanthrope » de l’Open Society qui, avec la Fondation Bill et Melinda Gates, a récemment investi dans une société britannique qui fabrique des tampons pour révéler le Covid (ici). Et comme nous parlons de questions économiques, je voudrais rappeler que le Saint-Siège a détenu des actions d’une valeur d’environ 20 millions d’euros dans deux industries pharmaceutiques qui fabriquaient un médicament contraceptif (ici) et, plus récemment, a investi dans un fonds qui garantissait des bénéfices très élevés en cas de crise géopolitique ou pandémique grâce à la spéculation sur les monnaies internationales, le Geo-Risk géré par la banque d’affaires Merril Lynch, qui après les premiers mois de pandémie avec des rendements qui sont montés en flèche, a dû le fermer (ici). D’autres capitaux, provenant de l’Obole de Saint Pierre, avaient servi à financer diverses initiatives, y compris en collaboration avec Lapo Elkann, dont le film autobiographique Rocketman d’Elton John. Sans évoquer la spéculation immobilière et l’achat du manoir de Londres, au numéro 60 Sloane Avenue, dont la chronique nous a largement informés, qui, d’une source sûre, je sais a été décidé par Bergoglio lui-même. Encore : toujours au nom de la cohérence et de l’ « Église pauvre pour les pauvres » si chère à Bergoglio, il y a ceux qui pensent que l’accord avec la Chine préparé par les jésuites et l’ex-cardinal McCarrick a rapporté un financement important du régime communiste de Pékin, en échange du silence du Vatican sur la persécution des catholiques et la violation des droits de l’homme (ici).

Ce n’est pas bien différent pour le racket de l’immigration : parmi ceux qui profitent de l’accueil, il y a, outre les coopératives de gauche, les organismes du Vatican et les Conférences épiscopales, auxquels les États donnent des financements importants pour l’accueil des clandestins. L’horrible monument avec le bateau en bronze érigé par Bergoglio sur la Place Saint Pierre est la représentation plastique d’une hypocrisie qui est la  marque de ce pontificat. Lors d’une récente audience du mercredi, nous avons pu entendre ces mots : « L’hypocrite est une personne qui simule, flatte et trompe parce qu’elle vit avec un masque sur le visage, et n’a pas le courage de faire face à la vérité.  […] L’hypocrisie dans l’Église est particulièrement détestable. Malheureusement, l’hypocrisie existe dans l’Église : il y a tant de chrétiens et de ministres hypocrites » (ici). Il me semble qu’il n’y a pas lieu de commenter.

Interférences de l’État profond

Les interférences de l’État profond sur la vie de l’Église catholique ont été multiples. Nous ne pouvons pas oublier les mails de John Podesta à Hillary Clinton, qui montrent son intention d’évincer Benoît XVI de la papauté et de commencer ainsi un nouveau « printemps de l’Église », progressiste et mondialiste, puis réalisé avec la démission de Benoît XVI et l’élection de l’Argentin. Nous ne pouvons pas non plus laisser de côté les ingérences d’organismes et d’institutions loin d’être proches de la religion, comme par exemple le B’nai B’rith, dictant la ligne du « renouvellement » de l’Eglise après Vatican II et massivement sous ce pontificat. Enfin, il convient de rappeler, d’une part, les refus dédaigneux d’audience à des personnalités politiques et institutionnelles d’orientation conservatrice et, d’autre part, les rencontres passionnées souriantes avec des représentants de la gauche et du progressisme, ainsi que les expressions de satisfaction enthousiaste lors de leur élection. Beaucoup d’entre eux doivent leur succès à avoir fréquenté des universités dirigées par la Compagnie de Jésus ou des milieux du catholicisme que l’on pourrait qualifier en Italie de « dossettiens » [1], où le réseau de relations sociales et politiques constitue une sorte de franc-maçonnerie progressiste et assure des carrières fulgurantes aux soi-disant « catholiques adultes », c’est-à-dire à ceux  qui se vantent du nom chrétien sans se comporter au service de la chose publique conformément à la foi et à la morale : Joe Biden et Nanci Pelosi ; Romano Prodi, Mario Monti, Giuseppe Conte et Mario Draghi pour ne citer qu’eux. Comme on le voit, la coopération entre l’État profond  et  l’église profonde est de longue date et a donné les résultats souhaités par ses partisans, au détriment très grave de l’État et de la Religion.

La fermeture des églises au début de 2020, avant même que les autorités civiles n’imposent des confinements ; l’interdiction de la célébration des messes et de l’administration des sacrements pendant l’urgence pandémique ; la performance grotesque du 27 mars sur la place Saint-Pierre (ici) ; l’insistance sur les vaccins et leur promotion comme moralement licites bien qu’ils soient produits avec des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ; les déclarations de Bergoglio selon lesquelles le sérum génétique représenterait un « devoir moral» pour tout chrétien ; l’introduction du passeport sanitaire au Vatican et plus récemment dans les écoles catholiques et dans certains séminaires ; l’interdiction faite par le Saint-Siège aux évêques de se prononcer contre l’obligation de vaccination, rapidement exécutée par certaines Conférences épiscopales, sont autant d’éléments qui démontrent la subordination de l’église profonde  aux ordres de l’État profond et l’organicité de l’Église bergoglienne au plan mondialiste. Si l’on y associe le culte idolâtre de la  pachamama  sous les voûtes de saint Pierre ; l’insistance sur l’œcuménisme irénique, le pacifisme, le paupérisme ; la morale de la situation et la légitimité substantielle de l’adultère et du concubinage  d’Amoris lætitia ; la déclaration d’illégalité de la peine de mort ; l’appui  aux hommes politiques de gauche, aux dirigeants révolutionnaires, aux avorteurs convaincus ; les mots de compréhension pour les instances LGBT, les homosexuels et les transsexuels ; les silences sur la légitimité des unions homosexuelles et ceux encore plus déconcertants sur la bénédiction des couples sodomites par les évêques et prêtres allemands ; l’interdiction de la messe tridentine avec l’abolition du Motu Proprio  Summorum Pontificum de Benoît XVI, nous nous rendons compte que Jorge Mario Bergoglio est en train de mener la mission qui lui est confiée par l’élite mondialiste, qui le voit en liquidateur de l’Église catholique et en fondateur d’une secte philanthropique et œcuménique d’inspiration maçonnique qui devrait constituer la Religion universelle à l’appui du Nouvel Ordre. Que cette action soit menée avec pleine conscience, par peur ou sous chantage, n’enlève rien à la gravité de ce qui se passe, ni à la responsabilité morale de ceux qui en sont les promoteurs.

La matrice luciférienne du Nouvel Ordre Mondial

À ce stade, il faut préciser ce que l’on entend par Nouvel Ordre Mondial, ou plutôt ce que ses artisans entendent, indépendamment de ce qu’ils affirment publiquement. Comme il est vrai, d’une part, qu’il y a un projet, celui qui l’a conçu et celui qui est chargé de l’exécuter, d’autre part, il est vrai que les principes inspirants de ce projet ne sont pas toujours avouables, ou du moins qu’en étroite relation avec ce qui se passe aujourd’hui ils ne peuvent être énoncés ouvertement, puisque cet aveu susciterait une opposition même chez les plus pacifiques et modérés. C’est en effet une chose d’imposer le green pass sous prétexte de pandémie ; une autre de reconnaître que le but du passeport sanitaire est de s’habituer à être tracés ; une autre de dire que ce contrôle total est la « marque de la Bête » dont parle l’Apocalypse (Ap 13, 16-18). Le lecteur me pardonnera si, pour argumenter mes affirmations, je devrais recourir à des citations d’une telle gravité et d’une telle méchanceté, au point de susciter la perplexité et l’horreur : il est nécessaire de comprendre quelles sont les intentions des artisans de ce complot, et quelle est la bataille historique qu’ils lancent contre le Christ et son Église.

Pour comprendre les racines ésotériques de la pensée qui sous-tend les Nations Unies déjà évoquées par Giuseppe Mazzini, nous devons prendre en considération des personnages comme Albert Pike, Eliphas Levi, Helena Blavatsky, Alice Ann Bailey ou d’autres adeptes des sectes lucifériennes. Leurs écrits, publiés depuis la fin du XIXe siècle, sont largement révélateurs.

Albert Pike, ami de Mazzini et comme lui franc-maçon, dans un discours prononcé en France en 1889 aux plus hauts degrés de la franc-maçonnerie, puis repris le 19 janvier 1935 par le magazine anglais The Freemason, affirma :

« Ce que nous devons dire aux foules, c’est que nous adorons un dieu, mais c’est le dieu qui s’adore sans superstition […]. La Religion maçonnique doit être maintenue, par nous tous initiés de haut degrés, dans la pureté de la doctrine luciférienne. Si Lucifer n’était pas Dieu, Adonaï [le Dieu des chrétiens] dont les actions prouvent sa cruauté, sa perfidie, sa haine de l’homme, sa barbarie et sa révulsion pour la science, l’aurait-il calomnié avec ses prêtres ? Oui, Lucifer est dieu et malheureusement Adonaï est Dieu aussi. Pour la loi éternelle, de sorte qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blanc sans noir, l’absolu ne peut exister que comme deux divinités : l’obscurité étant nécessaire à la lumière pour lui servir de contraste, comme le piédestal est nécessaire à la statue et le frein à la locomotive… la doctrine du Satanisme est une hérésie ; et la vraie et pure religion philosophique est la foi en Lucifer, l’égal d’Adonaï ; mais Lucifer, dieu de lumière et dieu du bien, lutte pour l’humanité contre Adonaï, le  Dieu des ténèbres et du démon. »

Cette profession de foi en la divinité de Satan n’est pas seulement un aveu de qui est le vrai Grand Architecte qu’adore la franc-maçonnerie, mais un projet politique blasphématoire qui passe par l’œcuménisme conciliaire, dont la franc-maçonnerie est le premier théoricien : « Le Chrétien, le Juif, le Musulman, le Bouddhiste, le disciple de Confucius et de Zoroastre peuvent s’unir en tant que frères et s’unir dans la prière au seul  dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » (cf.  Albert Pike, Morals and Dogma, ed. Bastogi, Foggia 1984, vol. VI, p. 153). Et qui est le « seul dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » nous a été bien expliqué dans la citation précédente.

Et encore :

« Nous déclencherons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui montrera clairement, dans toute son horreur, aux nations, l’effet de l’athéisme absolu, origine de la barbarie et de la subversion sanguinaire. Alors, partout, les citoyens, obligés de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière par la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée à la vue du public ; manifestation à laquelle suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme conquis et écrasés en même temps ! » (cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum de Londres).

Il n’échappera pas que la « grande hérésie de la séparation » sonne curieusement en résonance avec l’œcuménisme condamné par Pie XI dans l’Encyclique  Mortalium animos, réalisée précisément par la déclaration conciliaire  Dignitatis humanæ  et récemment intégrée dans la doctrine de l’ « inclusivité » formulée par ceux qui ont permis qu’il soit rendu un culte idolâtre à la pachamama dans Saint-Pierre. Et il est clair qu’avec séparation on veut désigner avec une clé d’interprétation négative la consciencieuse séparation du bien du mal, du vrai du faux, du juste de l’injuste, qui constitue le critère de jugement moral du comportement humain. Elle s’oppose à l’inclusivité, c’est-à-dire à se laisser délibérément contaminer par le mal pour adultérer le bien, à assimiler le vrai et le faux pour corrompre le premier et donner une légitimité au second.

Les racines idéologiques communes de l’œcuménisme

Si l’on ne comprend pas que les racines idéologiques de l’œcuménisme sont intrinsèquement liées à l’ésotérisme luciférien maçonnique, on ne peut pas saisir le lien qui lie les déviations doctrinales de Vatican II au plan du Nouvel Ordre Mondial. La révolution de Soixante-huit fut le triste exemple de ces velléités pacifistes et œcuménistes, dans lequel l’ère du Verseau fut célébrée en musique par les Hair in Aquarius (1969) puis par John Lennon avec Imagine  (1971).

« Imaginez qu’il n’y ait pas de paradis. Si vous essayez, c’est facile. Pas d’enfer en dessous de nous. Au-dessus de nous, seul le ciel, imaginez tous les gens qui ne vivent que pour aujourd’hui. Imaginez qu’il n’y ait pas de patries. Ce n’est pas difficile. Rien pour quoi tuer ou mourir et même pas de religion. Imaginez tous les gens qui vivent en paix. On pourrait dire que je suis un rêveur, mais je ne suis pas le seul. J’espère qu’un jour vous vous joindrez à nous et que le monde sera une seule entité. Imaginez qu’il n’y ait pas de propriété. Je me demande si vous pouvez : pas besoin de cupidité ou de convoitise, une fraternité d’hommes. Imaginez que tous les gens partagent le monde entier. » 

Ce manifeste du nihilisme maçonnique peut être considéré comme l’hymne du mondialisme et de la nouvelle religion universelle. Une âme non égarée ne peut que ressentir de l’horreur face à ces paroles blasphématoires. Ainsi que pour celles non moins blasphématoires de God (1970) :  « Dieu est un concept avec lequel nous mesurons notre douleur. […] Je ne crois qu’en moi. »

Je comprends qu’il soit affligeant pour beaucoup d’accepter que la hiérarchie catholique se soit laissée tromper par ses ennemis, faisant siennes leurs revendications sur des questions touchant l’âme même de l’Église. Certes, il y avait des prélats maçons qui ont réussi à introduire leurs idées au Concile en les dissimulant, mais en sachant qu’elles conduiraient inexorablement à la réalisation de cette démolition de la Religion qui est la prémisse de l’instauration de la Nouvelle Ère – l’Age du Verseau – dans laquelle Notre Seigneur est banni de la société pour y accueillir l’Antéchrist. On comprend alors cette indulgence bienveillante de tant de personnalités ecclésiastiques – je pense aux cardinaux Martini et Ravasi, parmi tant d’autres – à l’égard de la franc-maçonnerie, et leur opposition aux excommunications que les papes ont renouvelées contre la secte. On comprend aussi la raison de l’enthousiasme des Loges à l’élection de Bergoglio, et vice versa leur haine mal dissimulée à l’égard de Benoît XVI, considéré comme le kathèkon à éliminer.

Il faut cependant rappeler, avec un certain embarras, que certaines affirmations de Ratzinger font penser à une tentative de « christianiser » le projet mondialiste, sans le condamner comme anti-christique et anti-chrétien :  « Laisse-toi prendre par la main de l’Enfant de Bethléem, ne crains pas, fais-lui  confiance, la force vivifiante de Sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un Nouvel Ordre Mondial » (ici). Ces mots confirment malheureusement l’erreur de la pensée hégélienne, qui a influencé le professeur de Tübingen jusqu’au Seuil. Certes, cette non-prise de position du Pontife a permis de le considérer d’une manière ou d’une autre comme un allié du plan mondialiste, si le président de la République italienne Giorgio Napolitano a pu affirmer, dans son discours de fin d’année 2006  aux Italiens : « Il  y a une harmonie entre moi et le pape Benoît XVI dans le soutien au Nouvel Ordre Mondial » (31 décembre 2006). D’autre part, le processus hégélien de la thèse-antithèse-synthèse fait écho à la devise Solve et coagula de l’alchimie, adoptée par la franc-maçonnerie et l’ésotérisme luciférien. Devise apparaissant sur les bras de Baphomet, idole infernale adorée par les hauts dirigeants de la secte de l’aveu même de ses membres les plus autorisés. Philip Jones, dans son essai Lucifer rising, précisa que la dialectique hégélienne « combine une forme de christianisme comme thèse avec un spiritualisme païen comme antithèse, avec le résultat d’une synthèse très similaire aux religions à mystères babyloniennes ». 

Le panthéisme mondialiste de Teilhard de Chardin

L’œcuménisme est l’un des thèmes clés de la pensée mondialiste. C’est ce que confirme Robert Muller, qui fut assistant du secrétaire des Nations Unies : « Nous devons aller le plus vite possible vers un gouvernement mondial unique, une religion mondiale unique et un leader mondial unique. » Avant lui, l’un des promoteurs de la Société des Nations, Arthur Balfour, a créé la Syntethic Society, qui avait pour but de créer la « religion unique mondiale ».  Pierre Teilhard de Chardin s.j. lui-même, jésuite hérétique, condamné par le Saint Office et aujourd’hui célèbre théologien du progressisme, considérait les Nations Unies comme  « l’incarnation institutionnelle progressiste de sa philosophie », souhaitant « une convergence générale des religions sur un Christ universel qui les satisfasse toutes… Il me semble que c’est la seule conversion possible du monde, et la seule forme sous laquelle une religion de l’avenir peut être conçue» pour « réduire le fossé entre le panthéisme et le christianisme en faisant ressortir ce que l’on pourrait appeler l’âme chrétienne du panthéisme ou l’aspect panthéiste du christianisme ». Il n’échappera pas que la pachamama et l’attribution de connotations mariales à la Terre-Mère concrétisent de façon inquiétante ces concepts de Teilhard de Chardin. Mais cela ne suffit pas : Robert Muller, théoricien du gouvernement mondial et adepte de la théosophe Alice A. Bailey, déclara : « Teilhard de Chardin a influencé son compagnon [le jésuite Emmanuel Saguez de Breuvery, qui a occupé d’importantes fonctions à l’ONU], lequel inspira ses collègues, qui ont commencé un riche processus de pensée globale et à long terme au sein des Nations Unies, qui a concerné de nombreuses nations et personnes à travers le monde. J’ai été profondément influencé par Teilhard. » Dans The future man, Teilhard écrit : « Même si sa forme n’est pas encore visible, demain l’humanité se réveillera dans un monde pan-organisé. » Muller a été fondateur du World Core Curriculum, qui visait à « orienter nos enfants vers la citoyenneté mondiale, les croyances centrées sur la terre, les valeurs socialistes et la mentalité collective, qui deviennent une condition préalable à la main d’œuvre du XXIe siècle. » (New Man Magazine). Et s’il revendique fièrement parmi ses propres inspirations Alice A. Bailey, nous découvrons que la théosophe était une disciple du Mouvement théosophique fondé par Helena Blavatsky, ouvertement luciférienne. Juste pour encadrer le personnage, voici quelques citations de Blavatsky : « Lucifer représente la Vie, la Pensée, le Progrès, la Civilisation, la Liberté, l’Indépendance… Lucifer est le Logos, le Serpent, le Sauveur. » Et, anticipant presque la pachamama : « La Vierge céleste  devient ainsi, en même temps, la Mère des Dieux et des Démons, car elle est la Divinité bénéfique toujours aimante… mais dans l’antiquité et dans la réalité Lucifer est le nom. Lucifer est Lumière divine et terrestre, l’Esprit Saint et Satan en même temps. » Pour finir par : « C’est Satan qui est le dieu de notre planète et l’unique dieu. » Bailey fonda la Lucifer publishing company, maintenant connue sous le nom de Lucis publishing company, étroitement liée au Lucis Trust, anciennement Lucifer Trust, reconnu comme ONG par les Nations Unies. Si l’on ajoute à cet ensemble de divagations infernales les paroles de David Spangler, directeur du projet Planetary Initiative des Nations Unies, nous nous rendons compte à quel point la menace qui pèse sur nous tous est terrible : « Personne ne fera partie du Nouvel Ordre Mondial tant qu’il n’aura pas accompli un acte de culte à Lucifer. Personne n’entrera dans la Nouvelle Ère tant qu’il n’aura pas reçu l’initiation luciférienne. » (Reflections on the Christ, Findhorn, 1978).

Alice A. Bailey écrit à propos du New Age : « Les acquis de la science, les conquêtes des nations et les conquêtes du territoire sont tous révélateurs de la méthode de l’ère des poissons [l’ère du Christ], avec son idéalisme, son militantisme et sa séparation dans tous les domaines – religieux, politiques et économiques. Mais l’âge de la synthèse, de l’inclusivité et de la compréhension est au-dessus de nous, et la nouvelle éducation de l’ère du Verseau [l’ère de l’Antéchrist] doit commencer très doucement à pénétrer dans l’aura humaine. » Aujourd’hui, nous voyons comment les méthodes d’enseignement théorisées par Muller dans le programme d’études de base sont adoptées par presque tous les États, avec l’idéologie LGBT, la théorie du genre et toutes les autres formes d’endoctrinement. L’ancien directeur de l’OMS, le Docteur Brook Chisolm, nous le confirme en expliquant ce que la politique éducative des Nations Unies voudrait réaliser : « Pour parvenir à un gouvernement mondial, il faut retirer de l’esprit des hommes leur individualisme, leur fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme national et leurs dogmes religieux. » (cf. Christian World Report, Mars 1991, Vol. 3).

Voici encore le fil rouge qui lie non seulement Klaus Schwab à Hélder Câmara, mais aussi Robert Muller et Alice A. Bailey à Pierre Teilhard de Chardin et Emmanuel Saguez de Breuvery, toujours dans une ligne mondialiste et sous l’inspiration perverse de la pensée luciférienne. Une analyse approfondie de ces aspects troublants permettra de faire la lumière sur la vérité et de révéler les complicités et les trahisons de nombreux hommes d’Église asservis à l’ennemi.

Notre réponse face à la crise de l’autorité

La corruption de l’autorité est telle qu’il est très difficile, du moins en termes humains, d’imaginer une issue pacifique. Au cours de l’histoire, les régimes totalitaires ont été abattus de force. Il est difficile de penser que la dictature sanitaire qui s’installe ces derniers mois peut être combattue différemment, puisque tous les pouvoirs de l’État, tous les médias, toutes les institutions internationales publiques et privées, tous les potentats économiques et financiers sont complices de ce crime.

Face à ce sombre scénario de corruption et de conflit d’intérêts, il est indispensable que tous ceux qui ne sont pas asservis au plan mondialiste s’unissent dans un front compact et cohésif, pour défendre les droits naturels et religieux, leur santé et celle de leurs proches, leur liberté, leurs biens. Lorsque l’autorité manque à ses devoirs, et trahit au contraire le but pour lequel elle est constituée, la désobéissance n’est pas seulement légale, mais aussi un devoir. Désobéissance non violente, du moins pour l’instant, mais déterminée et courageuse. Désobéissance aux diktats illégitimes et tyranniques de l’autorité civile, et opposition farouche aux diktats de l’autorité ecclésiastique, là elle se montre complice du plan infernal du Nouvel Ordre Mondial.

Conclusion

Permettez-moi de conclure cette réflexion par une brève pensée spirituelle. Tout ce que nous savons, que nous découvrons et que nous comprenons du complot global en cours nous montre une réalité énorme mais à la fois nette et claire : il y a deux camps, celui de Dieu et celui de Satan, celui des enfants de la Lumière et celui des enfants des ténèbres. Il n’est pas possible de se réconcilier avec l’Ennemi, et on ne peut pas servir deux maîtres (Mt 6, 24). Les paroles de Notre Seigneur doivent être gravées dans notre esprit : « Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi ; et ceux qui ne ramassent pas avec moi dispersent. » (Mt 12, 30). Espérer construire un gouvernement mondial dans lequel la royauté divine de Jésus-Christ est interdite est fou et blasphématoire, et personne qui a un tel projet ne réussira jamais. Là où règne le Christ, règne la paix, la concorde, la justice ; où le Christ ne règne pas, Satan est tyran. Réfléchissons bien, quand au nom d’une coexistence pacifique, nous devons choisir de nous réconcilier avec l’adversaire ! Et qu’ils y pensent aussi ces prélats et ces dirigeants qui pensent que leur complicité ne touche qu’aux questions économiques ou de santé, prétendant ne pas savoir ce qu’il y a derrière tout cela.

Revenons au Christ, au Christ Roi des cœurs, des familles, des sociétés et des nations. Proclamons-Le notre Roi, et Marie très Sainte notre Reine. Ce n’est qu’ainsi que ce projet infâme du Nouvel Ordre Mondial pourra être vaincu. Ce n’est qu’ainsi que la Sainte Église pourra se purifier des traîtres et des renégats. Et que Dieu écoute notre prière.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

28 août 2021 – S. Augustini Episcopi et Confessoris et Ecclesiae Doctoris 

Note de bas de page :

[1] Le père Giuseppe Dossetti (1913-1996) est considéré comme le fondateur de « l’école de Bologne » et le père du « catholicisme progressiste ». Il a servi de peritus à Vatican II au cardinal Giacomo Lercaro, archevêque de Bologne, et a été très influent dans le contrôle des procédures du Concile]


[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




Pass sanitaire à perpet’ : l’OMS publie un guide pour la certification électronique de la vaccination

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

Le 27 août, l’OMS vient de sortir un guide très révélateur pour notre avenir concernant la certification électronique de la vaccination, à l’heure de l’éternelle pandémie du Covid. Ce guide global prévoit notamment la possibilité d’élargir le suivi électronique à d’autres vaccinations et incite tous les pays membres à y recourir, à des niveaux différents en fonction de la réactivité de leur population. Bref, si l’on se soumet, l’on arrive à Pass sanitaire for ever ! Le « nouveau monde » met en place ses instruments.

L’OMS, qui a vu sa fonction gouvernante décuplée grâce à la crise du Covid, prévoit de faire perdurer son pouvoir au-delà des risques de disparition ou d’apparition d’un virus ou d’un autre. L’intérêt étant bien le transfert des mécanismes de gouvernance à un niveau surpa-étatique, système dans lequel les Etats ne sont que des structures d’exécution. Ainsi, un guide concernant la généralisation et la pérennisation de la certification électronique des vaccins, au-delà de celui contre le Covid, a été publié ce 27 août par l’OMS [Ndlr : ⚠️Téléchargement automatique] :

Selon le document lui-même, en plus des « experts » de l’OMS, il a mis à contribution, notamment, des personnes venant de la Banque mondiale (l’on appréciera la dimension sanitaire), de PATH (une organisation globale axée sur « l’équité sanitaire » et « l’innovation » financée à plus de 20% par le Gouvernement américain et à plus de 50% par des Fondations, dont Bill Gates, Bloomberg ou Open society de Soros), l’Organisation internationale de l’aviation civile, la direction générale pour la santé et la sécurité alimentaire de la Commission européenne, le ministre de la Santé de Nouvelle-Zélande, la direction générale de la communication et des technologies de la Commission européenne, le cabinet juridique Ernst and Young, SNOMED International (organisation internationale d’élaboration des normes de terminologie de la santé – bref, en charge de l’élaboration de la Novlangue sanitaire), le ministère canadien responsable de la politique de l’immigration et des réfugiés (question, comme nous le voyons aujourd’hui en France, effectivement et étrangement liée au Covid), des universités, des groupes technologiques, etc. Et en dernière phrase des remerciements, l’on trouve ceci :

« This work was funded by the Bill and Melinda Gates Foundation, the Government of Estonia, Fondation Botnar, the State of Kuwait, and the Rockefeller Foundation.« 
[« Ce travail a été financé par la Fondation Bill et Melinda Gates, le gouvernement estonien, la Fondation Botnar, l’État du Koweït et la Fondation Rockefeller. »]

Sans commentaire.

En introduction, l’on apprend qu’il s’agit d’un guide intermédiaire pour que les pays aient une approche globale dans ce contexte changeant – pourtant, pas très changeant depuis deux ans … 

« The current document is written for the ongoing global COVID-19 pandemic; thus, the approach is architected to respond to the evolving science and to the immediate needs of countries in this rapidly changing context; for this reason, the document is issued as interim guidance. The approach could eventually be extended to capture vaccination status to protect against other diseases.« 
[« Le présent document a été rédigé pour la pandémie mondiale de COVID-19 en cours. Ainsi, l’approche est conçue pour répondre à l’évolution de la science et aux besoins immédiats des pays dans ce contexte en mutation rapide. Pour cette raison, le document est publié à titre d’orientation provisoire. L’approche pourrait éventuellement être étendue à la saisie du statut vaccinal pour la protection contre d’autres maladies. »]

Donc, les pays n’ont pas de « besoin immédiat » de soigner cette maladie, ils ont un « besoin immédiat » de mettre en place un certificat électronique de vaccination, qui pourra être étendu à d’autres maladies en cas de besoin. Et quand il y a une volonté, l’on trouve un besoin.

Pour rester dans le monde bisounours, il est bien expliqué que ce n’est qu’un instrument permettant d’établir électroniquement l’existence d’une vaccination. Si c’est un instrument c’est neutre. Certes… cela met donc en place les « simples » instruments du nouveau monde, monde de surveillance. Un monde qui a besoin de l’électronique pour réaliser son fantasme. Et d’une excuse morale pour le faire passer – le culte sanitaire.

Et quelques phrases plus loin, l’on voit déjà apparaître l’incitation, notamment pour les voyages :

« Furthermore, in response to the IHR EC advice to the Secretariat, WHO is actively working to update the design of the ICVP to accommodate the COVID-19 status of travelers, including vaccination, history of infection, and test results consistent with the DDCC:VS specifications. In relation to the ICVP, The IHR EC furthermore recommends States Parties “recognition of all COVID-19 vaccines that have received WHO Emergency Use Listing in the context of international travel. In addition, States Parties are encouraged to include information on COVID-19 status, in accordance with WHO guidance, within the WHO booklet containing the International Certificate of Vaccination and Prophylaxis; and to use the digitized version when available.”
[« De plus, en réponse à l’avis du CE RSI au Secrétariat, l’OMS travaille activement à la mise à jour de la conception de l’ICVP pour prendre en compte le statut COVID-19 des voyageurs, y compris la vaccination, les antécédents d’infection et les résultats des tests conformes aux spécifications DDCC:VS. En ce qui concerne l’ICVP, le CE RSI recommande en outre aux États membres « la reconnaissance de tous les vaccins COVID-19 qui ont reçu la liste d’utilisation d’urgence de l’OMS dans le contexte des voyages internationaux. En outre, les États membres sont encouragés à inclure des informations sur le statut de COVID-19, conformément aux directives de l’OMS, dans le livret de l’OMS contenant le Certificat international de vaccination et de prophylaxie ; et à utiliser la version numérisée lorsqu’elle est disponible. »]

L’instrument n’est plus si neutre, il a déjà des implications liberticides. Mais au nom de la santé, Amen ! L’illusion de la neutralité de la technologie est très utile pour construire tout système de gouvernance – qui a justement besoin de mettre en place ses propres instruments pour fonctionner.

Et cette dérive est parfaitement établie dans ce Guide, qui pose bien deux buts – établir l’acte de vaccination dans le cadre de la politique vaccinale classique et surtout, en ce qui intéresse l’actualité, prouver la vaccination dans un but qui n’a rien de sanitaire :

« 2. PROOF OF VACCINATION: Vaccination records can also provide proof of vaccination status for purposes not related to health care.« 
[« 2) PREUVE DE VACCINATION : les carnets de vaccination peuvent également fournir une preuve du statut vaccinal à des fins non liées aux soins de santé. »]

Ainsi est donné l’instrument d’apartheid sanitaire. L’utilisation va dépendre, selon ce Guide, de la « maturité sociale » du pays, autrement dit, la population est-elle ou non prête à cette surveillance. Quoi qu’il en soit, ce certificat électronique doit être mis en place par chaque pays membre de l’OMS, de manière différente en fonction de la situation spécifique du pays, de la population. Nous voyons, par exemple, qu’en Russie, le rejet massif conduit à plus de prudence de la part des pouvoirs publics, moins intégrés dans la globalisation et dépendant encore de l’opinion nationale.

Techniquement, vous trouverez tous les détails dans le Guide, disponible ici en anglais.

Les gens ont le droit de se vacciner avec des produits récents. Chacun a le droit de faire son choix. Mais personne ne peut, dans une société qui respecte l’homme dans son humanité, conditionner l’accès à la vie sociale à un vaccin, dont aucun recul ne permet de déterminer les effets secondaires.

Soigner la population est une obligation pour tout pays qui se respecte et qui respecte sa population. La prise en charge médicale ne peut se réduire, dans un pays civilisé, à la vaccination obligatoire de tous avec un produit à peine sorti des labos et l’enfermement des personnes malades, sans soins adaptés. 

Et n’oubliez pas, que tout système totalitaire se met en place grâce à la passivité des populations. 




Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

L’enfer est vide, tous les démons sont ici.

William Shakespeare, The Tempest, 1610-1611

Introduction

Une série de mensonges et d’affabulations sont utilisés pour justifier des décisions politiques de grande envergure qui, au cours des 18 derniers mois, ont littéralement détruit la vie des gens dans le monde entier.

La « fausse science » est utilisée pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, qui sont tous maintenus comme moyen d’éradiquer le « virus tueur ».

Qui est ce « virus tueur » qui a été personnifié par les médias et nos gouvernements, tenu pour responsable du déclenchement du chaos économique et social dans le monde entier ?

Vous vous souvenez peut-être qu’au plus fort de l’effondrement financier de février 2020, « V le Virus » a été tenu pour responsable du plus grand krach boursier depuis 1929.

Le « virus tueur » a-t-il été identifié ? Le SRAS-CoV-2 a-t-il été isolé ?

Cet article passera en revue cette question litigieuse qui se dresse depuis le début de la crise en janvier 2020. Une partie de cette analyse est basée sur des recherches menées au début de 2020.

La question centrale soulevée dans cette analyse est la suivante: l’OMS et les autorités sanitaires nationales fournissent-ils des preuves fiables et irréfutables que le présumé virus SRAS-CoV-2 a été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non falsifié prélevé d’un patient malade » ?

Alors que le présumé virus a été initialement défini comme le nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) en janvier 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré en janvier 2020 qu’elle n’avait pas en sa possession de détails concernant l’isolement/l’épuration et l’identité du 2019-nCoV.

Et comme les détails concernant l’isolement / la purification n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant le prétendu virus du SRAS 2003 « similaire » (rebaptisé ultérieurement SRAS-1) comme « point de référence » pour la détection de fragments génétiques du nouveau 2019-nCoV.

Ce que cette décision implique, c’est que le nouveau 2019-CoV-2 n’est PAS un nouveau virus. Il a été classé par les autorités chinoises et l’OMS comme « semblable » au SRAS-CoV de 2003 ainsi qu’au SRMO. 

2003 Le CoV-SRAS a ensuite été renommé SRAS-CoV-1.

Historique : Isolement du virus

Autorités sanitaires chinoises

Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu‘ »un nouveau type de virus » avait été identifié « semblable à celui associé au SRAS et au MERS » (rapport connexe, ce n’est pas la source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente est décrite ci-dessous :

Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection à nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.

Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l’OMS et le Consortium international pour les infections respiratoires aiguës aiguës et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. (c’est nous qui soulignons)

L’article suivant intitulé A new coronavirus associated with human respiratory disease in China « (En Chine, un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire affectant les humains) (Nature, 3 février 2021) a été parmi les premiers à faire rapport sur le nouveau coronavirus chinois :(…) [Nous] avons recueilli du liquide de lavage broncho-alvéolaire (BALF) et effectué un séquençage méta-transcriptomique profond. L’échantillon clinique a été manipulé dans un laboratoire de niveau de biosécurité 3 au Shanghai Public Health Clinical Center. L’ARN total a été extrait de 200 μl de BALF et une bibliothèque méta-transcriptomique a été construite pour le séquençage en bout de paire (150 pb de lecture) à l’aide d’un Illumina MiniSeq comme décrit précédemment 4,6,7,8..Au total, nous avons généré 56 565 928 lectures de séquence qui ont été de novo-assemblées et criblées pour des agents étiologiques potentiels.(…)La séquence génomique de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR à transcription inverse (RT-PCR)10 et 5′/3′ amplification rapide des extrémités de l’ADNc (RACE), respectivement. Cette souche virale a été désignée sous le nom de coronavirus WH-Human 1 (WHCV) (et a également été appelée « 2019-nCoV ») et sa séquence génomique entière (29 903 nt) a reçu le numéro d’accession GenBank MN908947.L’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par l’alignement de la séquence avec deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SRAS-CoV Tor2, numéro d’accession GenBank AY274119) [2003] et un coronavirus associé aux chauves-souris (chiroptelle SL-CoVZC45, numéro d’accession GenBank MG772933) . (Nature, 3 février 2020)

Il n’est pas clair, d’après les citations ci-dessus ni sur les documents consultés, si les autorités sanitaires chinoises ont entrepris un isolement/purification du spécimen provenant d’un patient.

Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) aux États-Unis

À la suite de l’annonce chinoise du 28 janvier 2020, le CDC a déclaré que le virus corona novela avait été isolé. La déclaration du CDC datée du 28 janvier 2020 (mise à jour en décembre 2020) est sans équivoque :

Le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, a été isolé en laboratoire et est disponible pour la recherche par la communauté scientifique et médicale.


Calendrier :

  • Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.
  • Le 2 février 2020, le CDC a généré suffisamment de SRAS-CoV-2 cultivé en culture cellulaire pour être distribué aux chercheurs médicaux et scientifiques.
  • Le 4 février 2020, le CDC a expédié le SRAS-CoV-2 au dépôt de ressources BEI.
  • Un article traitant de l’isolement et de la caractérisation de cet échantillon de virus est disponible dans Maladies infectieuses émergentes.

(…)

Une façon importante pour le CDC d’appuyer les efforts mondiaux visant à étudier et à en apprendre davantage sur le SRAS-CoV-2 en laboratoire était de cultiver le virus en culture cellulaire et de veiller à ce qu’il soit largement disponible. Les chercheurs de la communauté scientifique et médicale peuvent utiliser le virus obtenu à partir de ces travaux dans leurs études.

Les souches du SRAS-CoV-2 fournies par le CDC et d’autres chercheurs peuvent être demandées gratuitement auprès du référentiel de ressources de recherche sur la biodéfense et les infections émergentes (BEI) icône externe par les établissements établis qui répondent aux exigences de l’EIM. Ces exigences comprennent le maintien d’installations et de programmes de sécurité appropriés, ainsi que l’expertise appropriée. BEI fournit des organismes et des réactifs à l’ensemble de la communauté des chercheurs en microbiologie et en maladies infectieuses. (C’est nous qui soulignons).

Voir également l’étude connexe qui a été affichée sur le site Web des CDC.

Les CDC reconnaissent que le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé.

Le document officiel du CDC, (daté du 21 juillet 2021) intitulé « CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel » se lit comme suit :

Étant donné qu’aucun isolat viral quantifié du nCoV 2019 n’était disponible pour le CDC au moment de la mise au point du test [janvier 2020] et que cette étude a été menée, des essais conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) du titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant consistant en une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (TMV) pour imiter l’échantillon clinique. (c’est nous qui soulignons, page 40)

Comparez l’énoncé ci-dessus à l’avis du 28 janvier 2020 des CDC confirmant l’isolement du SRAS-CoV-2:

Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.


Voir l’analyse des réponses du CDC dans la section ci-dessous sur les demandes d’accès à l’information.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas entrepris l’isolement / la purification d’un spécimen

D’après les documents cités ci-dessous, les autorités chinoises n’ont pas fourni à l’OMS un échantillon de SRAS-CoV-2   isolé / purifié.

Et comme les détails concernant l’isolement n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » son test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant un soi-disant isolat du virus SRAS-CoV « similaire » à celui de 2003 (rebaptisé ultérieurement SRAS-CoV-1) en tant que « point de référence » (ou proxy) pour détecter les fragments génétiques du SRAS-CoV-2 2019.

L’OMS a demandé l’avis du Dr. Christian Drosten, et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charité. L’étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ») a ensuite été soumise à l’OMS.

Alors que l’étude de Drosten et al a confirmé que « plusieurs séquences génomiques virales avaient été libérées », dans le cas du 2019-nCoV, « des isolats de virus ou des échantillons de patients infectés n’étaient pas disponibles …« 

Les recommandations à l’OMS étaient les suivantes :

« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’une espèce virale appelée CoV liée au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

Nous rendons compte de l’établissement et de la validation d’un flux de travail de diagnostic pour le dépistage du nCoV 2019 et la confirmation spécifique [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le SRAS-CoV-1 de 2003 et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. »

(Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignez-le).

Ce que cette déclaration audacieuse suggère, c’est que l’isolement / purification du nCoV 2019 n’était pas nécessaire et que la « validation » serait rendue possible par « l’étroite parenté génétique avec le SRASCoV-1 de 2003″.

Les recommandations de l’étude Drosten (soutenue et financée par la Fondation Gates) concernant l’utilisation du test RT-PCR appliqué au 2019-nCoV ont ensuite été fermement approuvées par le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros Adhanom. (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, Livre électronique, chapitre II).

Liberté d’information : Aucun dossier sur l’isolement-purification du SRASCoV-2 

Un important projet d’enquête continu et détaillé de Christine Massey, M.Sc. de l’Ontario, Canada, s’intitule :

Freedom of Information Requests: Health/ Science Institutions Worldwide “Have No Record” of SARS-COV-2 Isolation/Purification

Demandes d’accès à l’information : Les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’a aucun dossier » d’isolement/purification du SRAS-COV-2 (travail en cours depuis 2020)

par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Un texte connexe montre la liste des institutions contactées

90 établissements de santé et de sciences dans le monde entier n’ayant même pas réussi à citer un seul enregistrement de purification du « SRAS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, jamais 

Par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Le rapport d’enquête fournit une documentation détaillée basée sur les demandes d’accès à l’information adressées à quatre-vingt-dix établissements de santé / sciences dans un grand nombre de pays.

Les réponses à ces demandes confirment qu’il n’existe aucun dossier d’isolement / purification du SRASCoV-2 « ayant été effectué par quiconque, n’importe où, jamais ».

« Les 90 établissements de santé / sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro dossier de ce type :

Nos demandes [sous la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement effectués par l’institution respective, ni aux documents rédigés par l’institution respective, mais étaient plutôt ouvertes à tout document décrivant l’isolement/la purification du « virus de la COVID-19 » (alias « SRAS-COV-2) effectué par quiconque, jamais, n’importe où sur la planète. »

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC)

L’auteur de ce rapport a contacté la CCL sous la forme de quatre demandes distinctes : 2 novembre 2020, 1er mars 2021, 3 mars 2021, qui sont examinées ci-dessous :

Le 2 novembre 2020 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier d’isolement/purification réel par qui que ce soit, n’importe où, jamais, par quelque méthode que ce soit » :USA-CDC-Virus-Isolation-Response-Scrubbed.pdf

Le 1er mars 2021 :

Les CDC ont de nouveau clairement indiqué qu’ils n’ont toujours aucun dossier sur l’isolement du « SRAS-COV-2 » effectué par quiconque, n’importe où sur la planète, jamais… tout simplement pas en tant que tel. Au lieu de cela, les CDC ont absurdement laissé entendre que l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » nécessiterait la réplication d’un « virus » sans cellules hôtes et est donc impossible. (La demande n’avait rien à voir avec la réplication.)

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-1-2021-SARS-COV-2-Isolation-Response-Redacted.pdf

Le 3 mars 2021 :

Les CDC ont une nouvelle fois omis de fournir/citer tout document décrivant l’isolement/la purification du « SRAS-COV-2 » par qui que ce soit et où que ce soit… mais ils ne se contentent plus de le dire (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la figuration en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC

Les CDC n’ont toujours pas fourni/cité d’enregistrements décrivant l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » par quiconque n’importe où… mais n’ont plus simplement dit (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la réthorique en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-3-2021-SARS-COV-2-purification-FOI-response.pdf

Le 7 juin 2021 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier de purification « SRAS-COV-2 » à partir d’un échantillon de patient par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse, par quiconque, n’importe où, jamais :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/06/CDC-FOIA-request-response-no-records-SARS-COV-2-purification.pdf

Résultats concluants de l’enquête

Ce que l’auteur de ce rapport incisif et détaillé a confirmé, c’est que :

Chaque établissement n’a pas fourni ne serait-ce qu’un seul dossier décrivant l’isolement, alias purification de tout « virus COVID-19 » directement à partir d’un échantillon de patient qui n’a pas été falsifié pour la première fois avec d’autres sources de matériel génétique. (Ces autres sources sont généralement les cellules rénales de singe alias « Vero » et le sérum bovin fœtal).

Voici 5 pdf de compilation contenant les réponses à la FOI de 79 institutions dans 22 pays/juridictions, concernant l’isolement/la purification/l’existence du « SRAS-COV-2 », ainsi que des courriels d’auteurs d’études qui ont affirmé avoir « isolé le virus » et un courriel du chef du laboratoire de consultants en microscopie électronique diagnostique des agents pathogènes infectieux de l’Institut Robert Koch d’Allemagne, dernière mise à jour le 13 juillet 2021

La capture d’écran d’une sélection de réponses est fournie ci-dessous : Nouvelle-Zélande, Canada, Royaume-Uni.

Consultez les archives complètes des lettres et des réponses. Ce travail a été entrepris sur une période de plus de 12 mois.

Réponse de Public Health England

Il ressort de l’étude détaillée ci-dessus qu’il n’y a aucune preuve que le virus du CoV-2 du SRAS a été isolé/purifié à partir de l’échantillon d’un patient, comme en témoignent les réponses « en vertu de la liberté d’information » (FOI) de quelque 90 établissements de santé / sciences dans le monde entier.

Jusqu’à présent (le 9 juillet 2021) 27 institutions canadiennes ont fourni leurs réponses. (cliquez sur le lien pour accéder à la liste)

République d’Irlande : « Le virus n’existe pas »

« Gemma O’Doherty est journaliste d’investigation en Irlande.

« Cette enquête irlandaise sur la Covid montre que le ministère de la Santé refuse de confirmer l’existence d’un « virus » par écrit. Confirmation révélant que le virus n’a jamais été isolé. »

VIDÉO



« Dans le cadre de notre action en justice, nous avions exigé la preuve que ce virus existe réellement [ainsi que] la preuve que les confinements ont réellement un impact sur la propagation des virus ; que les masques faciaux sont sûrs et dissuadent la propagation des virus – ils ne le font pas. Il n’existe pas de telles études ; que la distanciation sociale est basée sur la science – ce n’est pas le cas. C’est inventé ; que la recherche des contacts (traçage) a une incidence sur la propagation d’un virus – bien sûr que non. Cette organisation ici – est en train de tout inventer au fur et à mesure. » – Gemma O’Doherty

Isolement du virus. La bataille juridique en Alberta. Patrick King

Patrick King. Le virus n’a pas été isolé !

« Non, je n’ai pas gagné le procès ». [Cependant] « Ils n’ont pas les preuves ».

La vidéo suivante montre Patrick King dans sa bataille juridique contre le gouvernement de l’Alberta.

Il y a beaucoup de gens en Alberta et dans le monde qui luttent contre le grand mensonge.

Vidéo : Patrick King incarne la Vérité.



REGARDER SUR ODYSEE, ou BITCHUTE, ou REGARDER SUR RUMBLE 

[Voir aussi : Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province]

Mot de la fin : « La plus grande fraude médicale de l’histoire du monde »

Le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé. Le virus existe-t-il ?

Ni les autorités chinoises, ni les CDC, ni l’OMS, ni les gouvernements nationaux, ni les autorités scientifiques / sanitaires n’ont fourni de preuve que le CoV-2 du SRAS a été isolé / purifié.

Sur la base des recherches d’enquête de Christine Malley, nous avons accès aux réponses de nombreux gouvernements et autorités sanitaires, y compris celle fournie par la République d’Irlande à la journaliste Gemma O’Doherty.

Ce que cela signifie, c’est que tout le récit [officiel] de la Covid s’écroule.

Nous avons été systématiquement induits en erreur.

Tout ce que vos gouvernements vous ont dit est un mensonge, un amalgame de mensonges et de faussetés.

Il n’y a pas de véritable pandémie. L’isolement / purification du virus n’a pas été réalisé.

Toutes les politiques adoptées par les gouvernements du monde entier, qui étaient prétendument imposées pour « sauver des vies », sont illégales, socialement destructrices et en violation des droits humains fondamentaux.

Ces politiques ont contribué à « détruire la vie des gens ».

Le Dr. Stephen Frost qualifie la prétendue « pandémie de Covid » comme « la plus grande fraude médicale de l’histoire de l’humanité ».

Dès le début, en janvier 2020, le test RT-PCR défaillant et invalide a été utilisé pour « détecter » le présumé virus SARS-CoV-2 de 2019, malgré le fait que les détails concernant l’isolement/la purification du virus original n’étaient pas disponibles.

Toutes les décisions politiques de grande envergure imposées aux personnes à l’échelle mondiale étaient basées sur une banque de données de faux cas positifs associée à de fausses données sur la mortalité et se rapportant à des décès attribués à la maladie Covid-19.

Freiner la prétendue pandémie de SRAS-CoV-2 par l’imposition de masques faciaux, la distanciation sociale, la fermeture des économies nationales est tout simplement criminel et ces mesures n’ont aucune légitimité.

La souche originale du CoV-2 du SRAS n’a pas été isolée / purifiée : comment cela peut-il affecter le processus de prétendue »détection » de « variants mortels » du virus original ?

Mortalité et morbidité : Bien qu’il n’y ait « Pas de virus tueur », il y a un « vaccin tueur ».

Alors que le virus SARS-CoV-2 est présenté par les médias et les gouvernements comme un « virus tueur » (alors qu’en fait l’OMS et les CDC le décrivent comme « similaire à la grippe saisonnière »), un vaccin anti Covid-19, totalement invalide et inefficace, est actuellement imposé à l’ensemble de la population de la planète : 7,9 milliards de personnes.

Il s’agit d’une entreprise [pharmaceutique] de plusieurs milliards de dollars dans laquelle Pfizer est le chef de file, établissant ainsi un monopole quasi mondial pour la vente et la distribution du vaccin tueur à ARNm.

Question importante :

Comment Big Pharma a-t-elle réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et al) dont le rôle est de « protéger les gens » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?

De plus, le CoV-2 du SRAS 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS 2019 n’est pas un nouveau virus.

La légitimité du projet de vaccin contre la Covid repose sur les centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données sur la mortalité lié à la Covid.

Le vaccin à ARNm de Big Pharma a entraîné d’innombrables décès et séquelles [injuries] dans le monde entier. Cela n’est pratiquement pas rapporté par les grands médias.

Bien que nous n’ayons pas de chiffres pour l’ensemble de la planète, les derniers chiffres officiels de l’Union européenne et des États-Unis sont révélateurs. Gardez à l’esprit qu’ils sous-estiment considérablement les tendances réelles de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin :UE/EEE/Suisse au 31 juillet 2021 – 20 595 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,94 million de séquelles [injuries], selon la base de données EudraVigilance.

Royaume-Uni au 21 juillet 2021 – 1 517 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,1 million de blessures, selon le système de carton jaune de la MHRA.

États-Unis au 23 juillet 2021 – 11 940 décès liés à l’injection du vaccin anti Covid-19 et plus de 2,4 millions de séquelles, selon la base de données VAERS.

TOTAL pour l’UE / le Royaume-Uni/ les États-Unis – 34 052 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 5,46 millions de blessures signalées – le 1er août 2021

Notez Bien : Il est important de savoir que les chiffres officiels ci-dessus (rapportés aux autorités sanitaires) ne représentent qu’un faible pourcentage des chiffres réels. En outre, les gens continuent de mourir (et de subir des blessures) des vaccins tous les jours. (D4CE)

Alors, pourquoi les gouvernements font-ils pression sur les gens pour qu’ils se fassent vacciner ?

Les chefs d’État et de gouvernement du monde entier font l’objet de pressions, de pots-de-vin, de cooptation et/ou de menaces de la part de puissants intérêts financiers pour qu’ils acceptent le consensus sur le vaccin anti Covid.

Le passeport vaccinal est la phase finale constituant une transition vers la tyrannie numérique.

L’étude et les rapports analysés dans cet article devraient être utilisés pour confronter les politiciens ainsi que pour informer et sensibiliser les gens dans les villes, les villages, à travers le pays, au niveau national et international.

À ce stade de notre histoire, la solidarité est absolument fondamentale.

Le virus existe-t-il ?

Les gouvernements et l’OMS n’ont aucune preuve sur laquelle s’appuyer. Et Bill Gates non plus.

Ce que nous devons chercher, c’est de faire face à un consensus très fragile, basé sur la fraude et la tromperie.

Michel Chossudovsky

Le 10 août 2021

.
[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]
.

Lien vers l’article original:

Does the Virus Exist? SARS-CoV-2 Has Not Been Isolated? “Biggest Fraud in Medical History”,
publié le 10 août 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation 

Note de l’auteur

Je remercie grandement Christine Massey pour ses recherches approfondies et ses enquêtes sur la question de l’isolement / purification du virus.

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres, dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003), [traduit en français : La mondialisation de la pauvreté], America’s « War on Terrorism » (2005), The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il contribue à l’Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à l’adresse suivante :crgeditor@yahoo.com

Voir Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Le mensonge et l’hypocrisie domineront le monde avant la délivrance

[Source : Site du Rav Haim Dynovisz (ravdynovisz.tv)]






L’évêque orthodoxe Mar Mari Emmanuel s’en prend à présent aux fers de lance du Nouvel Ordre Mondial et de la vaccination Covid

[Source : Le libre penseur]



Voir aussi : L’évêque Mar Mari Emmanuel s’adresse au gouvernement Australien