Accélération de l’Histoire et défaite de l’Occident

[Source : vududroit.com]

Par RÉGIS DE CASTELNAU 

L’intervention russe en Ukraine du 24 février a constitué une grande surprise en Occident. Y compris chez ceux qui, comme l’auteur de ces lignes, considéraient que la responsabilité de l’OTAN et de l’Union européenne était lourdement engagée. Cette surprise est finalement le symptôme de ce sentiment de supériorité occidentale si présent dans les têtes, y compris chez ceux qui tentent de ne pas trop s’éloigner du réel et assistent, consternés, au basculement des élites dirigeantes dans un délire inepte. À base de refus d’évidences, de décisions absurdes, de propagande imbécile, de racisme sommaire, de pulsions suicidaires, et pour tout dire d’aveuglement assez terrifiant.

Nous avions dit dans ces colonnes qu’il était possible que l’intervention militaire du 24 février 2022 enclenche un processus pouvant mettre fin à la domination multiséculaire de l’Occident sur le monde. Les événements qui se déroulent depuis quatre mois semblent confirmer cette hypothèse, et en tout cas c’est manifestement la voie que la Russie et les pays « du Sud » ont décidé d’emprunter.

L’Histoire change par bonds, et c’est irréversible

L’aspect militaire de la guerre en Ukraine, sans être secondaire, apparaît comme un élément parmi d’autres de cette soudaine accélération de l’Histoire. Nous assistons en parallèle de la conduite méthodique par la Russie de son « opération spéciale », à la recomposition géostratégique de la planète où l’Occident, isolé, affronte le reste du monde. Ce qui est impressionnant, c’est que l’enjeu de cet affrontement est très clair. Nous avons d’une part une puissance, les États-Unis, qui se considère exceptionnelle et destinée à conduire le monde en organisant sa globalisation comme forme moderne de sa domination. Son système économique est celui du néolibéralisme financier assis sur sa monnaie, son système politique (celui de la démocratie représentative abâtardie en oligarchie, voire aujourd’hui ploutocratie), son outil juridique (le fameux « ordre international fondé sur les règles » qu’il est le seul à connaître et produit en fonction de ses besoins), et son moyen principal, la violence militaire. En face, les pays qui représentent l’énorme majorité de la population mondiale, ne veulent plus de cette hégémonie, aspirent à une organisation multipolaire d’États-nations territoriaux, régulée par le droit international issu du dispositif juridique mis en place à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Et dont les économies rejettent le néolibéralisme au profit de schémas où l’État garde sa place.

Les deux systèmes sont incompatibles. Arrêtons-nous quelques instants sur une anecdote qui renvoie à cette différence fondamentale et à l’incompatibilité qui en découle. Deux événements se sont télescopés au début de l’année 2021. Dans le tumulte qui a suivi le scrutin présidentiel américain de novembre précédent, Donald Trump a mis en cause la légitimité démocratique de l’élection en invoquant des fraudes. Son compte Twitter rassemblant près de 90 millions « followers » a été, d’autorité, supprimé par Jack Dorsey, le milliardaire propriétaire du réseau et partisan de Joe Biden. Au même moment, Jack Ma, milliardaire chinois propriétaire du site de vente en ligne Alibaba s’est livré publiquement à une critique virulente du régime chinois. Il a été immédiatement « exfiltré » du monde des affaires, et prié, s’il souhaitait conserver une partie de son immense fortune, de bien vouloir se taire. Par conséquent, en Amérique, ce sont les milliardaires qui ont le pouvoir de retirer la parole au Président en exercice, en Chine, c’est le contraire… Cette anecdote montre la différence entre deux systèmes, avec deux protagonistes identiques, président et oligarque. Il ne s’agit pas d’un jugement moral ou qualitatif, mais simplement du constat d’une différence irréductible.

Il est manifeste aujourd’hui que la Russie, soutenue par la Chine, a décidé avec sa guerre en Ukraine d’initier le processus destiné à mettre fin à l’hégémonie américaine sur le monde. Le social-démocrate britannique Tony Blair, complice des crimes de guerre américains en Irak et quintessence de ce que l’Occident produit de plus cynique et corrompu, reconnaissait récemment : « Nous arrivons à la fin de la domination politique et économique de l’Occident. Le monde va être au moins bipolaire et peut-être multipolaire ». Eh oui…

Il est parfois possible d’importer des concepts de sciences dures dans les sciences dites molles, en l’occurrence les sciences humaines. Pour appréhender la révolution qui vient de commencer, et en particulier cette accélération de l’Histoire, on peut s’inspirer du concept introduit par Stephen Jay Gould dans la théorie de l’Évolution, celui « des équilibres ponctués ». Par opposition à une vision gradualiste lente, le savant américain considérait que l’Évolution progressait par bonds succédant à de longues périodes de stabilité. C’est un peu la même chose en Histoire, comme le démontre par exemple la Révolution française qui commença avec la première réunion des États généraux le 5 mai 1789. Sept jours plus tard, les institutions d’un royaume quasi millénaire étaient à terre et un bouleversement fulgurant allait secouer toute l’Europe.

L’invasion du 24 février en Ukraine a bien évidemment servi de catalyseur à la mise en mouvement d’éléments préexistants qui, finalement, ne demandaient qu’à bouger. L’Occident domine le monde depuis un demi-millénaire, il a conduit la deuxième mondialisation du XVe siècle avec la conquête de la planète, la troisième avec la Révolution industrielle et impériale du XIXe siècle, et la contemporaine comme la forme moderne de sa domination. Comme le dit Tony Blair — et pas seulement lui — il est possible et peut-être probable que cette phase se termine.

Juste un autre petit détour par les sciences dures avec le deuxième principe de la thermodynamique qui établit l’irréversibilité des phénomènes physiques. Il en est de même en Histoire, et il n’y aura pas de retour à la situation antérieure au 24 février 2022.

Le problème est que cette accélération et le principe d’irréversibilité sont contre-intuitifs, car pour les appréhender, il faut accepter la fin du monde ancien, renoncer à ses convictions rassurantes, et gérer l’anxiété de l’imprévisibilité de ce qui vient. Parce qu’il faut être clair, quiconque prétend savoir quel sera l’état de notre maison humaine dans trente ans est un charlatan. Y compris que parmi les hypothèses qui ont actuellement cours, celle de la destruction nucléaire n’est pas la moins probable. Mais on sait en tout cas que l’on ne reviendra pas au 23 février 2022.

Examinons trois domaines où l’impact de cette révolution et son étonnante rapidité se fait sentir. C’est tout d’abord la brutale inversion des rapports de force mondiaux, quand l’Occident bardé de son arrogance et de sa conviction d’incarner la « communauté internationale » ne mesure pas que c’est lui-même qui est désormais isolé. Il y a ensuite la « panique cognitive » qui a saisi les élites occidentales, panique qui se manifeste par un refus furieux du réel. Et enfin les conséquences sociales et politiques que ne vont pas manquer de provoquer les décisions économiques délirantes mises en œuvre pour provoquer « l’effondrement de l’économie russe », selon l’expression de Bruno Le Maire, l’incapable puéril qui sert malheureusement de ministre de l’Économie à la France.

Isolement de l’Occident

La réaction à l’invasion russe a été immédiate surtout dans l’Union européenne qui, sous l’égide d’Ursula von der Leyen s’attribuant des compétences qui n’étaient pas les siennes, a adopté un train complet de sanctions de toutes natures. Première erreur, puisqu’aucune modulation postérieure n’était possible qui n’apparaisse pas comme un recul, et qu’à l’évidence cette réaction ne pouvait que rebuter, même les pays du Sud favorables à l’Occident. La condamnation de l’invasion a été adoptée à l’ONU, mais sur la base du droit international, précisément celui que les États-Unis ne veulent plus appliquer au profit de leur conception de « l’ordre international selon les règles ». Concernant les sanctions, la grande majorité des pays a regardé ailleurs. Les dirigeants occidentaux ont pourtant multiplié les déplacements pour les amener à obéir. Ils se sont fait claquer la porte au nez plus ou moins poliment. Dernier exemple pathétique avec le désastre Biden en Arabie Saoudite. On peut aussi citer la liste absolument ridicule des 40 pays (sur 195) qui se sont prononcés pour des « poursuites pénales contre la Russie », où figurent triomphalement les principautés de Monaco, Andorre et San Marin. On imagine la terreur de Vladimir Poutine.

Le problème, c’est que le refus massif de la part de pays représentant près de 90 % de la population mondiale d’appliquer les sanctions se combine avec des réticences et des comportements à la carte de la part des pays occidentaux. Comme avec totale duplicité les États-Unis qui les ont levées sur les engrais russes considérés comme indispensables, ou le pétrole dont les importations ont été massivement augmentées…

Mais surtout, beaucoup de grands pays ont parfaitement vu l’ouverture que fournissait l’initiative russe. Et s’y sont engouffrés, comme l’a montré le parallèle — consternant pour les Occidentaux — des réunions du G7 et des BRICS. L’organisation qui rassemble la Russie, la Chine, l’Inde le Brésil et l’Afrique du Sud représente près de 3,5 milliards d’habitants, contre 750 millions pour les pays du G7. Dont les dirigeants ridicules (et pour certains en sursis) se sont comportés en bras de chemise comme des galopins de cour d’école devant les caméras. Pendant que ceux des BRICS manifestaient ostensiblement leur solidarité avec Vladimir Poutine. Avant de recevoir les candidatures empressées de plusieurs autres grands pays. Les médias du système français se sont par ailleurs bien gardés de faire écho à la catastrophe politique du « Sommet des Amériques » organisé en Californie par Biden. Sommet largement boycotté par l’Amérique latine et en particulier par le Mexique, grand voisin des USA. Que dire également du G20 organisé en Indonésie où les Occidentaux se sont fait en général sévèrement rembarrer, comme Anthony Blinken le secrétaire d’État américain par son homologue chinois ou le pitoyable Josep Borrell qui représentait l’UE ? On retiendra de ce dernier une extraordinaire réflexion : « Certains diplomates du G20 sont plus préoccupés par les conséquences de la guerre pour leur pays que par le fait de s’en prendre au coupable présumé. » Vous vous rendez compte, ces gens pensent à leur intérêt national au lieu de défendre le nôtre !

Il y a également quelque chose d’étrange c’est le silence en Occident sur la supériorité militaire stratégique de la Russie. Le contexte dans lequel se déroule « l’opération spéciale » est quand même celui où la Russie a fait la démonstration de sa maîtrise des missiles hypersoniques qui avec d’autres équipements lui ont conféré une supériorité nucléaire stratégique. Pendant que les États-Unis ont privilégié « la guerre contre le terrorisme » après le 11 septembre, et accepté de passer sous Les Fourches caudines d’un complexe militaro-industriel corrompu jusqu’à l’os. Il y a désormais et pour moi une dizaine d’années un déséquilibre stratégique entre les États-Unis et la Russie. Au profit de celle-ci…

La liste de tous ces exemples qui donnent une idée de la rapidité d’un monde qui change s’allonge tous les jours. On citera celui-là pour terminer qui raconte en creux le processus de la chute du dollar. D’ici novembre, les cinq plus grandes économies d’Asie du Sud-Est (les Philippines, la Malaisie, l’Indonésie, Singapour et la Thaïlande) signeront un accord sur l’intégration de leurs systèmes de paiement mobile. Cela rendra les transferts transfrontaliers beaucoup plus efficaces, et ce sans utiliser le dollar.

Panique cognitive

Plutôt que de psychiatriser Vladimir Poutine et de s’inventer un monde qui n’existe pas, il vaudrait mieux écouter ce qu’il dit et essayer de comprendre le basculement qui vient de s’opérer. Le problème est que les élites au pouvoir dans le bloc occidental sont devenues incapables d’appréhender le réel, et en sont réduites à tanguer sur un sol qui se dérobe sous leurs pieds. Parler du caractère suicidaire de la stratégie de l’UE vis-à-vis de la Russie est devenu un lieu commun banal. Nous sommes complètement à sa merci, elle qui pourrait tout à fait couper nos approvisionnements énergétiques au seuil de l’hiver. Provoquant instantanément l’effondrement économique de l’Europe. Sans parler bien sûr de l’arme alimentaire, et des autres matières premières indispensables. La seule chose qui nous en protégerait serait justement la construction de ce nouvel ordre international multipolaire dont la Russie est un des acteurs principaux. Ordre qu’elle entend préserver en ménageant ses grands partenaires. Jusqu’à présent, elle a respecté ses engagements internationaux, y compris vis-à-vis d’un Occident qui lui a pourtant déclaré la guerre. Pas pour des raisons morales évidemment, mais parce que c’est son intérêt. Et sûrement pas non plus par bienveillance vis-à-vis de l’Occident dont elle se moque désormais et dont elle sait que la rupture avec lui est irréversible.

Quant aux élites au pouvoir, il ne s’agit pas seulement de ces très médiocres dirigeants de rencontre qui sont à la tête des États, mais également de l’ensemble du dispositif institutionnel. Et en particulier l’alliance frauduleuse entre l’oligarchie et le système médiatique à base de journalistes dévoyés, d’experts stipendiés, et de gradés incompétents. On ne reviendra pas sur l’ineptie des « narratifs », en particulier militaires, qui nous ont été servis depuis cinq mois, si ce n’est pour préciser qu’il s’agit autant de propagande que d’auto-intoxication. Dans ce domaine, la France a été particulièrement lamentable, les médias se contentant de reproduire servilement et exclusivement les discours ukrainiens, même les plus grotesques. Mais, ce qui est tout à fait étonnant c’est le spectacle de cette presse-système que l’on sent de loin en loin fléchir et commencer, face à l’évidence du réel, à nuancer sa présentation. Pour se reprendre très rapidement et revenir au bout de quelques jours à un descriptif dont la principale, sinon essentielle motivation n’est pas de dire la vérité, ni même de poursuivre sa propagande, mais finalement de se rassurer. Malheureusement, la défaite de l’Occident commence à prendre tournure, et pas seulement sur le terrain militaire en Ukraine. C’est la raison pour laquelle le terme de « panique cognitive », semble s’imposer pour caractériser leur attitude. Et qui est le fruit de la difficulté à appréhender un changement majeur du monde qui leur est insupportable.

J’invite, sans qu’il faille y voir le moindre point Godwin, à la lecture du journal de Joseph Goebbels et en particulier la partie qui concerne la dernière année du IIIe Reich. Comme la majorité du peuple allemand, alors qu’il est un professionnel de la propagande et qu’il est aux premières loges pour accéder au réel, il refuse celui-ci de manière pathétique et suicidaire. Jusqu’à la catastrophe finale.

Veillée d’armes

La France a connu un épisode politique bizarre, avec une réélection d’Emmanuel Macron assez confortable, suivie d’une défaite de la Macronie aux législatives qui a pour effet de la ligoter. Ses marges de manœuvre sont très faibles, et la façon qu’a Emmanuel Macron de gouverner, si tant est que l’on puisse qualifier ainsi sa méthode consistant exclusivement à se mettre en scène, le conduit directement à l’impuissance. Il y a bien sûr la situation économique, due notamment à la crise du Covid, à la récession et à l’inflation, que l’effet boomerang des stupides sanctions anti-russes va considérablement aggraver. Une partie des versements Covid par la BCE est subordonnée à la mise en œuvre d’un train de réformes impopulaires comme celle des retraites ou la finalisation de la privatisation/destruction des services publics. La combinaison des crises économiques, politiques et financières peut, de ce point de vue, confronter Emmanuel Macron à une situation inextricable. Et cet été caniculaire commence à ressembler à une veillée d’armes politique et sociale.

Face à ces perspectives dangereuses, quand l’hypothèse d’un conflit nucléaire ne peut pas être écartée de façon désinvolte, répétons encore une fois, que plutôt que de traiter Vladimir Poutine de fou ou de prétendre qu’il développe une collection de cancers, il aurait mieux valu l’écouter. Par exemple ce qu’il dit à propos des « élites » occidentales :

« Ils auraient dû comprendre qu’ils ont déjà perdu dès le début de notre opération militaire spéciale, car son début signifie le début d’une rupture radicale de l’ordre mondial à l’américaine. C’est le début de la transition de l’égocentrisme américain libéral-mondialiste vers un monde véritablement multipolaire — un monde fondé non pas sur des règles égoïstes inventées par quelqu’un pour lui-même, derrière lesquelles il n’y a que le désir d’hégémonie — [……] Et nous, nous devons comprendre que ce processus ne peut plus être arrêté ».

La guerre en Ukraine n’est qu’un des aspects de l’affrontement « Occident contre reste du Monde ». La défaite de l’Ukraine bien sûr, mais en fait celle de l’OTAN est consommée. Ce sera probablement la « Bataille d’Andrinople » de l’empire américain.

Bienvenue dans le Nouveau Monde.




Le virage historique réussi du prince héritier Mohammed ben Salmane


Par Morad EL HATTAB, essayiste et géopolitologue. Entretien avec Khaled Saad ZAGHLOUL, journaliste et grand reporter.

[Photo : AFP/Bryan R. Smith]

Question : Bonjour Morad EL HATTAB. Vous êtes l’auteur français ayant le plus écrit de livres sur la crise économique depuis 2018.  Vous êtes aussi connu pour d’autres ouvrage, notamment sur la Libye,[1] et pour des articles très remarqués depuis 2020. Suite aux dernières actualités mondiales, nous avons voulu aujourd’hui vous demander votre point de vue quant à l’évolution de la situation, au Moyen-Orient et pour le reste du monde. Nous vous remercions d’avoir bien voulu nous faire l’honneur de vous exprimer dans notre magazine. Quel a donc été pour vous le fait le plus marquant de ces dernières années, pour le Moyen-Orient ?

Réponse : Sans aucun doute, à mon avis, il s’agit de la mise en échec de l’idéologie du « Choc des civilisations » depuis la guerre de Syrie. Le rôle de l’Arabie Saoudite et des choix stratégiques du Prince héritier Mohammed ben Salmane, ont été cruciaux en ce sens. C’est un virage historique qu’il nous faut comprendre ensemble.

En 2020, dans de précédents articles, j’avais en effet insisté sur l’importance des changements géopolitiques qui ont eu lieu depuis 2012-2015. À mon sens, il s’agissait de comprendre les deux versants d’une même idée, qui allait fonder une « nouvelle alliance » religieuse entre l’Islam et la Chrétienté. C’est une nouvelle réalité, encore largement sous-estimée, parce que depuis des décennies, nous nous sommes vus imposer un autre cadre idéologique dont il s’agit à présent de sortir. Parce qu’il est aujourd’hui caduc, tout simplement.

D’un côté, la Russie du Président Poutine a réussi à ne pas se tromper d’ennemi : ce n’est pas l’islam qui a été attaqué en Syrie par la Russie, mais au contraire, le terrorisme qui prenait l’Islam en otage. C’est une nouveauté historique, devenu évidente à partir de l’intervention russe en Syrie (septembre 2015), et cette intervention avait une autre signification : elle correspondait en effet à la mise en échec de l’idéologie du « Choc des civilisations », telle que conceptualisée par l’Israëlo-Américain Bernard Lewis (avant d’être seulement reprise par Samuel Huntington).[2]

De l’autre côté, j’expliquais en 2020 que ce changement nouveau devait être bien compris par les Musulmans du monde entier qui, à leur tour, ne devaient pas se tromper d’ennemi. En effet, il s’agissait de comprendre les luttes d’influences internes en Occident, plutôt que de considérer par exemple que les États-Unis étaient les ennemis, ou que les Chrétiens occidentaux étaient nécessairement des « méchants croisés ». Alors que la propagande américaine délirante de l’époque du 11 septembre 2001 et de la guerre d’Irak (2003) était conçue en ce sens : c’était une volonté délibérée de créer deux partis radicaux (musulmans et chrétiens, notamment les chrétiens évangéliques) pour façonner une guerre de civilisation massive. Une sorte de Troisième Guerre mondiale inavouée contre l’islam, qui aurait détruit à la fois l’Islam et la Chrétienté.

C’est seulement ainsi que nous pouvions réussir à mettre en échec l’idéologie du Choc des Civilisations. Rappelons passage qu’une idéologie est une construction d’idées artificielles, prétendant remplacer la réalité, et dont l’aboutissement amène ceux qui y croient à vouloir s’autodétruire.

Et contrairement à cette idéologie, l’Histoire réelle, depuis les croisades jusqu’à nos jours, est en vérité bien moins manichéenne, bien plus nuancée, avec des bons et des mauvais humains partout. C’est vrai en Occident, dans le monde musulman, dans le monde chrétien orthodoxe, en Israël et partout ailleurs. C’est en comprenant cette réalité que la nécessité d’une « alliance des hommes de bien » émerge naturellement aux yeux de l’observateur honnête : une Alliance au-delà des pays et des religions, une Alliance avant tout spirituelle, qui est nécessaire pour contrer une idéologie qui nous aurait tous conduits au chaos.

Question : mais cette Alliance que vous évoquez ici, doit également être compris en Occident, je suppose. Car dès qu’il y a un parti prêt à faire la guerre, il ne suffit pas que l’autre partie soit intelligent pour l’éviter, ne pensez-vous pas ?

Réponse : Certes. C’est la raison pour laquelle j’avais parlé en 2020 d’un changement majeur qui avait eu progressivement lieu aux États-Unis, à partir de la guerre de Libye et de l’affaire de Benghazi, entre 2012 et 2016. La conséquence, ce fut la victoire du Président Trump en 2016, soutenu par les véritables patriotes américains qui voulaient mettre un terme aux guerres américaines illégitimes au Moyen-Orient. Notamment, parce que ces guerres étaient livrées au nom d’une vision idéologique dangereuse qui jouait en réalité contre les intérêts stratégiques américains sur le long-terme. L’assassinat de l’ambassadeur américain Stevens à Benghazi (septembre 2012) fut à comprendre dans ce contexte. Et en réalité, il y eut des coopérations en sous-main entre la Russie et les États-Unis pour freiner ces guerres, notamment en Syrie.[3]

Dans ce contexte de 2020 et d’une vraisemblable réélection du Président Trump, beaucoup d’espoir était donc possible pour mettre un terme à ces cycles de guerres illégitimes qui avaient globalement trois causes : le pétrole, mais également le dollar, et les questions religieuses.[4]

J’avais détaillé ces idées dans plusieurs articles, en 2020. Pour moi, il s’agissait de l’émergence d’une sorte de nouvel ordre mondial « imprévu », différent et concurrent du « Nouvel Ordre Mondial » de George Bush Sr., que l’actuel Président Biden avait « appris à aimer ».[5] Or, dans ce « nouvel ordre mondial » imprévu, l’Arabie Saoudite était en train de retrouver un rôle crucial au Moyen-Orient grâce aux choix opportuns du Prince héritier Mohammed ben Salmane.[6]

Pour l’Arabie Saoudite, je n’insisterai jamais assez sur le fait que ce tournant était absolument crucial : il correspondait à la compréhension du fait que l’Arabie avait été poussée dans des choix dangereux par des intérêts qui voulaient détruire le Moyen-Orient, et surtout, que ces intérêts voulaient aussi détruire l’Arabie Saoudite dans ce processus. Le lien entre l’Arabie Saoudite et les États-Unis aurait détruit l’Arabie si le Prince héritier Mohammed ben Salmane n’avait pas su le comprendre à temps.[7]

Question : Mais pourquoi les États-Unis voudraient-ils ainsi détruire leur allié le plus fidèle du Moyen-Orient ?

Réponse : Mais parce que les États-Unis sont aujourd’hui largement détournés par des forces subversives, qui veulent les détruire mais qui veulent auparavant utiliser le bras armé américain dans des guerres illégitimes. L’aboutissement de cela, c’est le discrédit inévitable et définitif des États-Unis, à force de se prétendre être les soi-disant « gendarmes du monde », quand ils ne sont en réalité que les fauteurs de guerre et destructeurs du monde musulman. C’est cette réalité apparente, dans l’ambiance de l’idéologie du « Choc des civilisations », que les patriotes américains avaient voulu contrer en 2016.

Mais malheureusement, les élections présidentielles américaines de 2020 ont montré à quel point l’appareil d’État américain était pourri, et l’impuissance du Président Trump à le réformer est apparue évidente. Les élections américaines de 2020 ont été manifestement fraudées, et le Président Biden actuel est en réalité un usurpateur qui a été mis en place pour recommencer un nouveau cycle de bellicisme terroriste. Je vais bientôt publier un livre racontant tout cela, et un documentaire vient aussi de sortir dans le même sens.[8]

Cette réalité, la pourriture totale du système politique américain, est connue des initiés et des observateurs un tant soit peu lucides depuis des années. Les États-Unis ont été détournés lourdement depuis le 11 septembre 2001, mais en réalité bien plus tôt. C’est progressivement, dès avant la Première Guerre mondiale, qu’ils ont été détournés par le même internationalisme financier qui a financé la Révolution bolchevique et les soi-disant « Printemps arabes ». C’est une Histoire vieille de cinq siècles qui a convergé vers l’internationalisme financier, ou le « mondialisme » actuel, en tant que regroupement d’intérêts privés qui conspirent contre les Etats. Pourquoi ? Parce que les Etats protègent les peuples et les empêchent d’être vampirisés sans fin par ce même internationalisme financier. Dès le XIXe siècle, William Cobbett dénonçait ce système comme étant capable que de produire la « famine au sein de l’abondance ». Et donc, à terme, la « guerre de tous contre tous »…

L’aboutissement concret de ce Système est évident depuis la crise de 2008. Les économies occidentales ont étés « zombifiées » : elles sont totalement dominées par des mégabanques qui ne fonctionnent plus que pour elles-mêmes, ruinant les Etats et les peuples. Mais ce résultat n’est pas accidentel : de crises en crises, le système financier occidental aujourd’hui décadent génère structurellement ce qui est en fait une concentration des richesses absolument intenable. Tellement intenable, qu’elle ne peut fonctionner que sous la forme d’un soviétisme privatisé : du soviétisme, on garde le contrôle des masses, et de la privatisation, on garde bien sûr les profits. En un mot : le mondialisme, en tant qu’idéologie. Un mondialisme qui ne peut s’imposer que par la guerre, comme en témoigne le sort de la Libye ou de l’Irak.

Question : Et c’est donc ce mondialisme qui est promu depuis Davos ?

Réponse : Exact. Ce mondialisme en tant que nouvelle idéologie, c’est le Forum Economique Mondial de Davos qui en est le promoteur, présidé par Klaus Schwab et secondé par le très subversif historien israélien Yuval Noah Harari. C’est ce dernier qui est tourmenté par la question de savoir ce que nous devons faire avec les pauvres surnuméraires, appauvris en réalité par le système économique mondialiste. Il multiplie les déclarations allant dans le sens d’un contrôle ultime des prolétaires artificiellement appauvris, théorisant l’aspect « contrôle des masses » de ce nouveau soviétisme mondialisé : droguer et abrutir les peuples appauvris, et légitimer la surveillance biométrique totale sous prétexte de COVID.

« La plus grande question : que faire de toutes ces personnes INUTILES. Le problème est l’ennui et que faire d’eux… quand ils sont… SANS VALEUR. Ma meilleure supposition… est une combinaison de DROGUES ET DE JEUX INFORMATIQUES. »

« Le Covid est crucial car c’est ce qui convainc les gens d’accepter et de légitimer la surveillance biométrique totale. Nous ne devons pas seulement surveiller les gens, nous devons surveiller ce qui se passe sous leur peau »[9]

Harari est rejoint, sans surprise, par le PDG de Pfizer, Albert Bourla qui vante ses nouvelles technologies devant le FEM de Davos : des « pilules ingérables dotées d’une micropuce qui envoie un signal à distance aux autorités compétentes quand le médicament a été digéré. […] Imaginez les applications en termes de mise en conformité (obéissance). […] C’est fascinant. »[10] Il est difficile de ne pas comprendre que c’est un anti-humanisme qui se déploie ainsi sous nos yeux.

Et si on le combine avec la question des armes biologiques derrière la naissance vraisemblablement artificielle du COVID, mais présenté aux médias occidentaux comme un « virus chinois », et la fascination de personnages comme Bill Gates pour les nouvelles épidémies… Alors, il n’est pas interdit de penser que ces gens-là ne veulent le massacre de la plus grande partie de l’humanité pour pouvoir mieux contrôler les survivants. Les Russes et les Chinois ne sont pas dupes…[11]

C’est un futur cauchemardesque et réellement satanique que nous préparent ces gens-là… Et pourtant, les dirigeants occidentaux boivent leurs paroles et appliquent leurs ordres, comme s’ils en étaient les marionnettes. Ce qui de fait, est le cas : on le voit parfaitement avec Ursula von der Leyen et Emmanuel Macron, par exemple. Quant aux médias occidentaux, ils sont totalement soumis à ces gens-là par le jeu des financements, et ils détruisent sur commande quiconque s’oppose à cette vision « mondialiste » du COVID et du monde.

Question : Y a-t’il une façon de ne pas subir la loi de ces gens-là ?

Réponse : En réalité, ils sont très peu nombreux. Ils ne sont puissants que par l’ignorance des gens, par les jeux de financement et par l’incrédulité du plus grand nombre face à des modes de pensées aussi déviants.

Quand Klaus Schwab se vante de construire le futur avec ses petits amis du FEM :

« Le futur ne se contente pas d’arriver, il est bâti par nous. Par une communauté puissante comme vous, dans la salle. Nous avons les moyens d’améliorer l’état du monde ». Le reste de son discours signifie en fait « imposer le sort du monde ».[12] 

C’est partiellement vrai, mais c’est aussi de l’auto-persuasion grotesque : il n’a plus les moyens d’imposer grand-chose au monde, sauf à confondre le monde avec l’Occident lourdement désinformé. En réalité, son mondialisme est gravement attaqué, et c’est ce qui le rend fébrile. Le mondialisme n’est plus rien d’autre qu’une tyrannie, que les élites financières occidentales exercent sur leurs populations.

Mais il faut rendre hommage à la Russie et à la Chine, qui sont en train de créer une autre réalité concurrente de cet ancien ordre mondial anglo-américain, devenu anglo-américano-israélien, mais en réalité « mondialiste ». C’est grâce à l’émergence de cette nouvelle réalité que l’Arabie Saoudite peut aujourd’hui prendre position pour assurer sa survie, et pour accompagner une nouvelle dynamique qui sera sans doute bien plus positive que l’ancien ordre pétrolier et financier anglo-américain. Et pourtant, Davos vante la « démocratie libérale » contre les méchants Etats autoritaires. Cette présentation manichéenne cache quelque chose d’autre…

Quand le « milliardaire philanthrope » George Soros nous explique depuis Davos, dans son discours du 24 mai 2022 que « notre civilisation pourrait ne pas survivre de l’invasion russe de l’Ukraine », il parle surtout « sa » survie et de « sa » vision de la civilisation : c’est-à-dire d’un monde n’existant que pour satisfaire son avidité.[13] Quand toujours depuis Davos, il prend soudain conscience que la Chine et la Russie sont en train de mettre en échec ses techniques de changement de régime et sa merveilleuse société ouverte, c’est un indice d’un monde qui peut échapper au mondialisme subversif.[14]

En fait, Soros est en train de découvrir ce que le grand spécialiste français de la subversion, Roger Mucchielli, avait théorisé : la façon dont la subversion radicalise les Etats, et la façon dont les Etats peuvent détruire la subversion s’ils résistent à la subversion médiatique qui protège la subversion réelle.[15] En tout cas, il y a une énorme lutte d’influence en cours, dans laquelle Davos ne représente que la partie la plus déviante d’une élite occidentale en plein délire.

Question : C’est-à-dire que la démocratie n’est qu’un argument de façade pour cacher un système de domination ?

Réponse : C’est la réalité de l’Histoire occidentale depuis cinq siècles. Mais que l’on soit bien clair sur quelque chose : il ne s’agit pas de méconnaître la nécessité d’un contrôle des populations. Au contraire, la démocratie « moderne » a historiquement été basée sur un mensonge : la soi-disant « lutte contre les tyrans » qui légitimait toutes les révolutions. Or, les révolutions étaient en fait des transferts de ressources au bénéfice des intérêts qui sont devenus « mondialistes ». C’était vrai de 1789, de 1917, des Printemps arabes ou de l’« Euromaïdan » en Ukraine, par exemple : des « changements de régimes » pour capter des flux de richesses.

Historiquement, la soi-disant « démocratie » a servi d’argument pour agiter le peuple contre les dirigeants en place, puis pour créer en réalité des systèmes « démocratique », dont la caractéristique est d’être très faciles à contrôler par l’argent. Très facile aussi à contrôler, à partir de nouvelles idéologies pour agiter toujours plus les gens désinformés contre telle ou telle soi-disant « menace ». Aujourd’hui la menace « russe » ou « chinoise », bien sûr, parce que ce système mondialiste se sent menacé. Et l’Arabie est aussi ciblée par le mondialisme : quand certaines sources libérales reprochent à la Chine de ne pas promouvoir la démocratie, de « garantir aux dictateurs leur longévité », c’est plutôt que la soi-disant lutte pour la démocratie, cache des intérêts qui veulent monopoliser les sources de richesses sans aucune concurrence. Ils veulent des dirigeants pauvres, donc corruptibles.[16]

Donc, après des décennies voire des siècles de manipulation, il est très facile aujourd’hui, surtout avec les nouvelles technologies, d’égarer toujours plus les peuples. L’idéologie mondialiste permet aux mondialistes de se représenter comme une « haute élite éclairée », alors qu’en réalité ils créent l’abêtissement des peuples pour espérer monopoliser et conserver les pouvoirs et les richesses. Ce sont des gens qui ont fait le choix du matérialisme, des serviteurs de Mamon. Mais c’est ça, le mondialisme.

En face, ce n’est pas tant de la démocratie, qu’il nous faut. Il faut des élites éclairées et compétentes qui ne soient pas séduite uniquement par les sirènes de la démocratie ou du matérialisme : tout simplement parce que la démocratie n’a jamais marché, contrairement aux systèmes de guildes qui existaient auparavant. Vous ne pouvez pas forcer tout le monde d’être spécialiste en tout et d’avoir voix sur tout. La démocratie, en ce sens, est aussi une idéologie. C’est uniquement de la démagogie que de faire croire, à n’importe qui, qu’il peut décider sur n’importe quoi.

Mais c’est une démagogie « utile » si vous voulez voler les richesses d’un peuple et remplacer ses classes dirigeantes : vous dites qu’elles ne sont « pas légitimes », « pas démocrates », qu’elles sont « corrompues ». Alors que, qui se soucie de la corruption, des trafics et des salaires mirobolants des grands dirigeants des banques occidentales, de tous les revenus annexes des grands patrons des fonds activistes et vautours de Wall Street ou de la City, et de la façon dont ils corrompent les dirigeants occidentaux ? On en a eu des aperçus saisissants durant la crise du COVID, pourtant… Le fait est que pour avoir la puissance de lutter contre les mondialistes, il ne faut pas être pauvres. C’est la raison pour laquelle ils ciblent les dirigeants qui ont encore la main sur les sources de richesse souveraine de leur pays : parce que s’ils ont des moyens, ils peuvent se défendre et penser par eux-mêmes, ils ne peuvent pas être achetés aussi facilement…

En réalité, la démocratie ou les soi-disant « injonctions à la démocratie », c’est une logique de prédateurs parasites. La Libye s’en souvient, l’Irak s’en souvient, et l’Arabie Saoudite se retrouve aujourd’hui soudainement sous le feu des critiques « occidentales » pour les mêmes raisons. En réalité, elle subit une série de déstabilisations…

Question : Des déstabilisations pour quelle raison ?

Réponse : Des déstabilisations qui sont la conséquence des luttes d’influence qui continuent aux États-Unis. L’Arabie Saoudite avait été poussée par les États-Unis dans le mauvais sens avant l’ère Trump, puis soudain, sous Trump, les États-Unis ont soudainement voulu freiner les guerres illégitimes du mondialisme. Mais ça n’a duré que quatre ans, puis l’usurpateur (pardon, le « Président ») Biden a recommencé sans surprise la politique d’Obama (dont il était le Vice- président).

Nous avions déjà vu sous Trump que d’un côté, l’Arabie Saoudite était encouragée de nouveau à une meilleure politique au Moyen-Orient. Notamment, par l’énorme opération anticorruption du Ritz-Carlton, qui était aussi une opération de concentration du pouvoir : pour limiter les fuites d’argent et renforcer ainsi l’État saoudien.[17] Mais aussi, en commençant à abandonner le wahhabisme, ce qui était une énorme évolution en soi.

Mais de l’autre côté, les sales réseaux de l’État profond aux États-Unis ont tout fait pour empêcher cette nouvelle politique saoudienne. C’est dans ce contexte qu’a eu l’affaire Jamal Khashoggi (2 octobre 2018). Les médias occidentaux se sont empressés de l’attribuer immédiatement à l’Arabie, alors qu’il aussi très probable que l’Arabie ait été piégée dans cette affaire, et le rôle de la Turquie fut pour le moins équivoque.[18] Difficile de ne pas envisager une connexion avec les États-Unis ou Israël. Rien que l’arrière-plan du nom Khashoggi, rappelant son oncle Adnan Khashoggi, rendait déjà cette affaire suspecte de bout en bout…[19]

Ce qui pose question, c’est la facilité d’incriminer l’Arabie Saoudite. La guerre de Libye, la guerre du Yémen, la guerre de Syrie ont été voulue avant tout depuis Washington, Londres et Tel-Aviv. Et pourtant, seule l’Arabie serait à blâmer? Il y a surtout que les efforts de rapprochement entre l’Arabie et l’Iran pour stabiliser l’Irak et la Syrie (notamment par l’entremise du général Soleimani), n’ont pas été appréciés par les fauteurs de guerre. C’est une raison importante pour laquelle on a voulu mettre l’Arabie sous pression…

Le problème de l’Etat Profond, aux Etats-Unis, c’est une vision faussée et politisée des intérêts américano-israéliens : une vision avant tout dangereuse pour Israël à terme, mais qui est propagé par des Juifs américains (souvent d’anciens juifs russes) qui se servent d’Israël pour augmenter leur pouvoir aux États-Unis.

L’ancien Premier ministre Benjamin Netanyahou a été grandement responsable de certains mauvais choix, et il y a en Israël la même lutte d’influence qu’aux États-Unis : une logique de patriotes serviteurs de l’État et du peuple, contre des logiques corruptrices et bellicistes, bien souvent voulues par des civils n’ayant jamais fait la guerre et ne connaissant pas le prix du sang. Il y avait un espoir pour Israël avec Benny Gantz, qui avait derrière lui des gens sérieux, des serviteurs de l’État bien plus lucides que certains idéologues qui voudraient pousser Israël à s’autodétruire. Mais le nouveau Premier ministre Naftali Bennet continue par certains égards une politique belliciste dangereuse, le conduisant à lutter indirectement contre la Russie. En conséquence, l’instrumentalisation de l’Azerbaïdjan ou de l’Ukraine pour gêner et affaiblir la Russie. En réponse, les Russes allongent le tir contre Israël, avec leurs alliés irano-chinois.[20]

C’est dans ce contexte que ces gens auraient voulu faire jouer à l’Arabie un mauvais rôle, et potentiellement, la sacrifier à terme. Les plans de morcellement de l’Arabie Saoudite avaient été clairement formulés par les fauteurs de guerre ![21] Mais pourtant, le Prince héritier Mohammed ben Salmane est en train de réussir à prendre le virage d’une nouvelle Histoire pour l’Arabie saoudite.

Question : C’est-à-dire que l’Arabie Saoudite est en train d’échapper à ceux qui voulaient la manipuler ?

Réponse : c’est exactement cela. De fait, l’Arabie Saoudite ne fait que tirer leçon du fait que l’appareil d’État américain est totalement corrompu. L’alliance américano-saoudienne n’a plus aucun sens à partir du moment où les États-Unis sont en train de dériver vers leur autodestruction, et voudraient emmener leurs alliés avec eux.

Et c’est ce qu’a dit le prince Turki al-Faiçal, l’ancien chef du Renseignement saoudien (entre 1979 et le 1er septembre 2001) : « Les Saoudiens se sentent trahis par les États-Unis ».[22] En réalité, c’est totalement légitime, mais il faut avoir un arrière-plan historique pour comprendre cette ancienne alliance americano-saoudienne qui est aujourd’hui bafouée par Biden.

En effet, les camouflets répétés que l’usurpateur Biden a en effet prétendu infliger au royaume saoudien remettent structurellement en cause cette alliance. Par exemple lorsqu’il a déclaré, lors de sa campagne électorale, qu’il ferait de l’Arabie saoudite un paria ; puis en arrêtant les opérations conjointes au Yémen, en retirant les batteries de missiles anti-aériens du Royaume face aux armements iraniens, et en accumulant les manques d’égards qui deviennent évidents. Et surtout : en refusant de rencontrer le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, en déclarant publiquement qu’il ne le rencontrerait pas ! Turki al-Faiçal a fustigé les molles assurances de Biden non suivies d’effet, tout en estimant à raison Biden comme responsables d’une politique énergétique inepte qui met les États-Unis en péril. Turki al-Faiçal a aussi insisté sur le fait que l’Arabie saoudite ne voudrait pas être un bouc émissaire de l’instabilité des prix du pétrole, faisant le lien avec situation de 1973. Comme en 1973, l’OPEP refuse la destruction de l’Europe et subit une politique mondialiste dont elle sera elle aussi victime.

Question : n’est-ce pas là une allusion à un point que vous aviez détaillé dans un article précédent, au sujet de l’Histoire pétrolière ?

Réponse : C’est intéressant, en effet, car j’ai récemment écrit au sujet de cette injustice ayant consisté à attribuer exclusivement la responsabilité des chocs pétroliers de 1973 « aux Arabes »…[23]

De nouveau, aujourd’hui, il est en effet abusif que l’Arabie Saoudite soit incriminée par les États-Unis pour une politique énergétique décidée par les États-Unis, et pour les conséquences d’une guerre illégitime en Ukraine provoquée depuis des années par l’activisme des États-Unis… Le prince Turki l’a dit clairement. Il est encore plus significatif qu’il ait fustigé l’approche récemment avouée sans ambages par Hillary Clinton, l’ancienne secrétaire d’État américaine d’Obama. Elle préconisant et revendiquant une approche « de la carotte et du bâton » visant à forcer l’Arabie saoudite à accroître sa production de pétrole afin de réduire les prix…

La réponse du prince Turki, c’est sans doute ce que l’Arabie rêvait de dire depuis bien longtemps aux anglo-américains… 

« Nous ne sommes pas des écoliers que l’on traite avec une carotte et un bâton. Nous sommes un pays souverain et lorsque nous sommes traités de manière juste et équitable, nous répondons de la même manière. Il est donc regrettable que de telles déclarations soient faites par des politiciens, où qu’ils soient. Tout ce que je peux dire, c’est que j’espère que les relations entre le Royaume et les États-Unis ne s’articuleront pas autour de ce principe ou ne seront pas fondées sur celui-ci. »[24]

Question : il s’agit donc d’une crise diplomatique sérieuse entre les États-Unis et l’Arabie Saoudite ?

Réponse : c’est en effet la révélation soudaine d’un état d’esprit nouveau en Arabie Saoudite, face aux États-Unis.

De même, quand le prince Turki a tenté d’adopter une position médiane et un rôle potentiel de médiateur pour l’Arabie Saoudite, entre la Russie et l’Ukraine. Il a surtout laissé entendre que les relations entre l’Arabie et la Russie sont excellentes « depuis quelque temps »… Ce qui est l’aveu d’une nouveauté historique, depuis les nouveaux accords de défense entre la Russie et l’Arabie Saoudite, outre le raffermissement de ses liens commerciaux avec la Chine. C’est un nouvel équilibre du monde multipolaire qui se dévoile ainsi, plutôt qu’une logique de domination unilatérale américaine sur ses vassaux.

Surtout, indice d’un profond changement d’état d’esprit. L’Arabie Saoudite ne s’est pas gênée pour fustiger l’hypocrisie des Occidentaux : sur la question des réfugiés, mais surtout, sur la question israélo-palestinienne.

En effet, le prince Turki a osé émettre des déclarations impensables pour qui oublie l’Histoire : la question de l’hypocrisie et de l’asymétrie évidente des sanctions occidentales contre la Russie. 

« Le fait que l’ONU ait imposé des sanctions à la Russie pour avoir envahi l’Ukraine, mais qu’aucune sanction n’ait été imposée à Israël lorsqu’il a envahi les pays arabes il y a quelques années. Ce sont les deux poids deux mesures et les injustices qui, selon moi, ont eu lieu au fil des ans. […] Je ne vois pas quelle est la différence entre les deux. Une agression est une agression, qu’elle soit commise par la Russie ou par Israël. »[25]

Question : voir l’Arabie Saoudite n’est-il pas étonnant de voir l’Arabie Saoudite prendre ainsi indirectement parti contre Israël ? N’est-ce pas d’ordinaire un tabou ?

Réponse : il y a en effet une nouveauté historique ici, ou plutôt, l’Arabie renoue avec des positions anciennes et méconnues aujourd’hui.

Car le prince Turki a aussi réfuté hardiment les effets bénéfiques de la normalisation des relations avec Israël — la voie empruntée par plusieurs pays arabes, dont l’Égypte, la Jordanie, les EAU et Bahreïn.

« Je n’en ai pas vu la preuve. Le peuple Palestinien est toujours sous occupation et il est toujours emprisonné bon gré mal gré par le gouvernement israélien. Les attaques et les assassinats de Palestiniens ont lieu presque quotidiennement. Le pillage des terres palestiniennes par Israël se poursuit malgré les assurances données par Israël aux signataires de l’accord de paix entre les EAU et Israël. Il n’y a donc aucun signe qu’apaiser Israël va changer son attitude. »[26]

Ces déclarations ont une énorme importance historique. Elles correspondent en fait pour l’Arabie à un retour aux positions d’Ibn Séoud, le fondateur du royaume. En effet, on sait bien peu aujourd’hui que lors du pacte du Quincy (14 février 1945), le vieux Roi avait émis comme première préoccupation le sort des Palestiniens, face à une immigration juive qui préfigurait déjà la naissance d’Israël. Ce pacte du Quincy est un événement connu, fondant l’alliance entre la puissance américaine et le pétrole saoudien. Mais est bien moins connu le fait que lors de cette entrevue, le Président américain Roosevelt tenta d’obtenir le soutien d’Ibn Séoud à cette immigration juive en Palestine, ce qu’Ibn Séoud refusa catégoriquement :

–         « Je désire que vous mettiez fin à l’immigration juive en Palestine.

Roosevelt est interloqué. – Qu’est-ce que la Palestine a à voir avec l’Arabie Saoudite ?

–         Gardien des lieux saints de la Mecque, je suis le chef religieux de tous les Arabes et leur défenseur naturel.

Le Président change de sujet : – L’avenir de votre pays est extraordinaire. Nos techniciens vous aideront en vous apportant l’énergie électrique comme ils l’ont fait dans le cadre de la Tennessee Valley Authority. En peu d’années, vous vivrez dans un nouvel Éden.

Le Roi a écouté avec ravissement. Il conclut : – Tout cela sera merveilleux et se fera sûrement si immigration juive cesse en Palestine !

Roosevelt ne promet rien. […] Plus tard, il dira à son ami Bernard Baruch : – De tous les hommes que j’ai rencontrés, jamais je n’en ai vu un dont j’ai pu moins obtenir que ce monarque arabe à la volonté de fer ! »[27]

Pour la petite Histoire, Roosevelt ne fit part à Ibn Séoud que d’une « promesse écrite du gouvernement français (de Gaulle) que l’indépendance serait accordée à la Syrie et au Liban », assurant qu’il pouvait demander au gouvernement français d’honorer sa parole, et qu’il soutiendrait les libanais et les syriens « par tous les moyens sauf la force ».[28] C’est un témoignage ici du fait que l’hypocrisie américaine ne datait pas d’hier, pas plus que les guerres de Syrie…

Question : Donc, les États-Unis s’engageaient déjà pour Israël contre les palestiniens, mais promettaient d’extorquer à leurs alliés les plus faibles (la France en l’occurrence) des concessions qu’eux n’étaient pas prêts à donner ?

Réponse : C’est plus grave que ça. Car en réalité, les États-Unis usèrent bien de « tous les moyens », y compris le terrorisme, pour détruire l’Empire colonial français : du Maroc à l’Indochine via la Syrie… Y compris, en détruisant ses nombreuses réalisations qui honorent encore aujourd’hui la France, qui apportait une stabilité et de réels espoirs de développement en Afrique du Nord.

Mais les États-Unis ne faisaient qu’imiter les Britanniques, qui avaient déjà formé des terroristes dès après la Première Guerre mondiale, pour assurer leur domination pétrolière du Moyen-Orient contre la France, en Syrie… C’est à cause de cet activisme anglo-américain, et surtout à l’influence corruptrice anglo-américaine depuis Paris, que la France n’eut jamais de politique arabe et pétrolière vraiment stable. Aussi, parce qu’elle n’avait à l’époque aucun alliée fiable et puissant, comme pourrait l’être la Russie d’aujourd’hui si le Président Macron défendait vraiment les intérêts stratégiques français.

Cette Histoire n’est donc pas récente, et c’est en l’étudiant que l’on comprend mieux notre présent: qui crée donc des guerres illégitimes et des logiques terroristes ? L’Histoire du pétrole est riche d’enseignements à ce sujet. L’ancienne expertise française avait remarqué en fait il n’y avait rien de pire pour un pays que de trouver du pétrole sur son sol, car immédiatement de puissantes intrigues se conjuguaient contre lui, usant y compris de l’arme du terrorisme…[29] 

Question : ce sont donc les anglo-américains qui ont instrumentalisé le terrorisme ?

Réponse : historiquement, c’est parfaitement documenté. Mais il faut remettre certaines choses dans leur contexte.

Tout d’abord, ce que l’on ne dit pas non plus de cette Histoire, c’est le détournement des États-Unis qui fut opéré grâce à la présidence Roosevelt, notamment par l’entremise de son conseiller Bernard Baruch cité ici.[30] Un détournement des États-Unis qui s’opéra dans un sens anormalement pro-israélien, mais qui devint progressivement une mise en danger d’Israël par l’avidité globale de la communauté juive américaine aux États-Unis.[31]

Ces abus d’une partie de la communauté juive américaine, sont notamment dénoncés par de grands Juifs américains parfaitement honorables comme Steve Pieczenik ou Norman Finkelstein.[32] Et ce sont ces mêmes abus dans l’influence d’une partie de la communauté juive américaine aux États-Unis, qui orientent les États-Unis dans une logique de guerre contre la Russie en l’Ukraine : parce qu’une partie non négligeable de ces Juifs américains sont d’anciens Juifs russes n’ayant jamais digéré leur haine fanatique contre la Russie chrétienne. Soljenitsyne a tout écrit à ce sujet…[33]

C’est-à-dire que face à ces logiques bellicistes, il y a une convergence d’intérêts entre le monde arabe et la Russie.

Il n’est donc pas anodin de voir l’Arabie Saoudite ici prendre nettement position contre l’absence totale de réaction aux activités israéliennes au Moyen-Orient ces dernières années, en constatant combien cette bienveillance excessive a encouragé Israël à une avidité excessive. Or cette avidité expose Israël à un ressentiment durable qui menacera son existence tôt ou tard. Ce n’est pas sage, et soudain, l’Arabie Saoudite aligne donc ses positions sur ce qu’a fait la Russie depuis 2015 en Syrie : c’est le sort des armes, bien plus que l’hypocrisie, qui a tempéré les « ardeurs » d’Israël et qui a empêché le Moyen-Orient tout entier de devenir une zone de chaos sans fin.

Question : Donc, peut-on dire en réalité que l’Arabie est en train de se comporter comme un allié véritable des États-Unis, en disant des choses déplaisantes mais nécessaires pour l’intérêt des États-Unis ?

Réponse : En quelque sorte, oui. C’est comme un ami qui oserait vous donner un conseil déplaisant pour votre bien.

De fait, c’est un apaisement du Moyen-Orient qui semble possible, grâce à une entente russo-chinoise au soutien de l’Arabie. Ce qui permet à l’Arabie d’envoyer un message clair à Washington : la décadence du système politique américain ne pourra plus contaminer l’Arabie Saoudite, ni mettre le Moyen-Orient à feu et à sang.

Le prince Turki a aussi plaidé pour de meilleures relations avec la Turquie, et s’est montré optimiste quant à la possibilité d’un accord de paix durable au Yémen. Or, la Turquie, c’est l’alliance de revers d’Israël,[34] qui a été poussée au pire contre la Russie, malgré le fait qu’Erdogan ait été sauvé par les Russes et les Iraniens, à l’été 2016, d’un coup d’État fomenté par la CIA.[35] Au contraire, Erdogan est poussé vers des choix qui sont dangereux pour lui à terme, un peu comme Israël est poussé par la communauté juive américaine à des choix dangereux…

Mais ce qui est intéressant, ce sont les signaux qu’a envoyés depuis plusieurs mois le prince Turki, suite aux prises de position illisible de la part des États-Unis, contre l’Arabie Saoudite. Et derrière le prince Turki, il y a le Prince héritier Mohammed ben Salmane, sans aucun doute, dont il est le relais.

Question : c’est-à-dire que selon vous, le prince Turki est en quelque sorte le porte-voix de l’Arabie Saoudite et du Prince héritier Mohammed ben Salmane, chargé de sonder et de rappeler les États-Unis à la raison ?

Réponse : cela me semble évident. Turki al-Faisal sait beaucoup de choses, et il envoie beaucoup de messages. Il a eu raison de dire que les États-Unis ne pouvaient de toute façon pas rester en Afghanistan, qu’ils ont évacué à l’été 2021.[36] Le prince Turki al-Faisal a envoyé d’autres signaux en direction des États-Unis après ce retrait d’Afghanistan : sur Jamal Khashoggi, sur les attentats du 11 septembre 2001, sur le rôle des États-Unis au Moyen-Orient…[37] Des signaux de sagesse qui avaient plusieurs sens, tandis que les Etats-Unis faisaient entendre leur volonté de désengagement du Moyen-Orient.

Sur ces sujets, l’Arabie est de plus en plus incriminée et prise à partie, depuis les Etats-Unis, pour des raisons qui ne sont pas présentées avec toute l’honnêteté requise… Même durant l’ère Trump ! Notamment, la mise sous pression judiciaire à intervalles réguliers de l’Arabie (depuis l’époque Obama), qui se voit potentiellement menacée d’un gel de ses avoirs en dollars, sous prétexte de l’implication de pirates de l’air saoudien durant les attentats du 11 septembre 2001 : ce n’est absolument pas un comportement d’un allié envers un autre allié. C’est plutôt une logique d’encaisseur mafieux qui voudrait racketter l’Arabie Saoudite, au mépris des réelles responsabilités dans ces attentats.

Alors, je ne sais pas, moi, mais peut-être, qui sait, que l’Arabie Saoudite en a marre de se voir incriminée sans cesse pour tout et son contraire ? Alors que les initiés savent très bien ce qu’il convient d’en penser… Que disent, déjà, les patriotes américains, au sujet du 11 septembre 2001, de l’implication d’une certaine partie de la communauté juive américaine ou de l’establishment israélien, et de l’étonnante complicité des autorités américaines ?[38] Il me semble que le Dr. Steve Pieczenik, entre de nombreux autres, a déjà donné une version bien plus complète de la réalité, dès avril 2002. Et pourtant, depuis plusieurs années, on n’incrimine que l’Arabie et on fait pression contre elle seule ? C’est l’affaire des « 28 pages »[39] : le dossier ciblant l’Arabie Saoudite à l’occasion de ces attentats du 11 septembre 2001, mais uniquement l’Arabie ! Les initiés savent ce qu’il convient de penser de cette hypocrisie délirante…

Alors, quand par exemple la Russie est trop lourdement accrochée par les États-Unis et par Israël, en Syrie ou en Ukraine, elle laisse entendre qu’elle pourrait révéler certaines imageries satellites concernant le 11 septembre 2001… Vu de France, où la Communauté du renseignement fut à l’époque, avec le Renseignement russe, la plus lucide sur ces attentats du 11 septembre 2001, nous savons bien sûr ce qu’il convient d’en penser.[40] Mais la Russie brise ici un tabou et les Saoudiens menacent aussi de le briser. Les États-Unis et Israël savent parfaitement ce que cela signifie…

Question : c’est-à-dire que selon vous, l’Arabie Saoudite est en quelque sorte le bouc émissaire parfait, mais la Russie lui vient aujourd’hui en aide ? N’est-ce pas contradictoire avec les combats qu’a mené la Russie, au Moyen-Orient et en Asie centrale ?

Réponse : Certes, mais les circonstances ont changé. Du reste, il conviendrait être clair au sujet de ce dont nous parlons : il y a le terrorisme, et il y a les combattants mercenaires des guerres asymétriques. C’est bien sûr un sujet sensible, mais ce sont déjà deux choses différentes.

Il faut rappeler l’Histoire avec pragmatisme : l’alliance americano-saoudienne dans la guerre d’Afghanistan précédente est documentée (1979-1989).[41] Mais elle pouvait tout à fait se justifier dans le contexte de la Guerre froide, face à l’URSS dont le système était réellement un danger pour le reste du monde. Sauf que, pour être complet dans ce raisonnement, encore faudrait-il comprendre qu’historiquement, le système soviétique avait été mis en place depuis les États-Unis : par les mêmes intérêts financiers qui détruisent aujourd’hui les États-Unis et le reste de l’Occident, et qui voudraient aujourd’hui dominer l’Arabie.[42]

Ce qui veut dire que la lecture du tableau est tout à fait différente, si l’on considère que l’URSS était « la grande menace », ou bien que c’était en réalité l’internationalisme financier anglo-américain (en réalité celui de la City et de Wall Street) qui était la véritable grande menace. Une grande menace qui perdure, alors que le système soviétique n’existe plus. C’est ce qui nous impose de comprendre la réalité du système mondialiste actuel, et de ce qui va évoluer durant les années qui viennent.

Mais dans le contexte d’une Russie redevenue la Sainte Russie, luttant contre les « nouveaux bolchéviques » de notre époque, c’est-à-dire contre les combattants mercenaires utilisés pour détruire la Syrie, à l’initiative des Etats-Unis, du Royaume Uni et d’Israël,[43] l’Arabie peut tout à fait prendre acte de cette nouvelle réalité. Les initiés savent ce qu’il convient d’en penser, mais la diplomatie, c’est aussi le pragmatisme. Ce qui est aujourd’hui capital, c’est la façon dont la Russie est en train de sauver le Moyen-Orient, avec l’appui de la Chine, et c’est l’Arabie Saoudite qui devient de nouveau l’Etat-pivot du Moyen-Orient, grâce à la sagacité du Prince héritier Mohammed ben Salmane. De fait, même Israël est en train de comprendre que l’alliance américaine est en train de s’effondrer avec l’effondrement à venir du pétrodollar.[44]

Question : c’est-à-dire que l’évolution du Moyen-Orient, va permettre en fait à l’Arabie de s’émanciper de la tutelle américaine ?

Réponse : Plus précisément, je pense que la tutelle américaine anciennement fiable, est en train d’être sabotée délibérément par le mondialisme, afin de pouvoir dominer financièrement l’Arabie : capter les richesses, mais sans la protection des États-Unis.

Sauf qu’en face, un nouveau système financier sous protection russo-chinoise est en train d’émerger, comme concurrent du système financier mondialiste dérivé du pétrodollar, dont j’avais parlé dans mon article précédent.[45]

C’est dans ce contexte que les choix du Prince héritier Mohammed ben Salmane sont les meilleures que puisse faire aujourd’hui l’Arabie. C’est parce que la Russie et la Chine ont su créer un nouveau contexte, mais c’est l’intelligence de Mohammed ben Salmane qui lui permet de jouer honnêtement cette nouvelle opportunité historique. Et je pense, de faire passer d’excellents messages par l’entremise du Prince Turki al-Faiçal.

En fait, tout ceci est le renouveau d’une lutte aujourd’hui bien trop souvent oubliée par les Occidentaux, alors que les Russo-Chinois se sont nourris de cette expertise historique occidentale, aujourd’hui ironiquement « interdite » en Occident.

Ce sont cinq siècles de montée progressive d’un impérialisme financier internationaliste, c’est-à-dire déconnecté des Etats et vampirisant les Etats comme les peuples, qu’il nous faut comprendre. Cet internationalisme financier qui a été régulièrement dénoncé par des esprits puissants aux États-Unis, en Angleterre, en Occident ou dans le reste du monde. Et pourtant, cet internationalisme financier s’est imposé au monde grâce à deux guerres mondiales au XXe siècle, dont les causes réelles n’étaient pas du tout celle que l’on nous apprend aujourd’hui.

En effet, l’une des causes principales de la Première Guerre mondiale était un duel entre deux modèles économiques opposés. D’un côté, un modèle prédateur et colonialiste, le modèle abusivement considéré comme « britannique », en vérité mondialiste. De l’autre, le modèle économique dit « allemand », en réalité le vrai modèle économique européen qui était à l’époque adopté aussi par les États-Unis et la Russie. De la Première Guerre mondiale naquit la Révolution bolchevique contre la Russie en 1917, et c’est parce que la Russie était devenue l’URSS, propageant des troubles dans toute l’Europe, que la Seconde Guerre mondiale fut possible, à partir d’un clivage radical entre bolchevisme (puis soviétisme) et nazisme.

Entre-temps, les États-Unis furent convertis à ce modèle économique mondialiste, et ils en sont devenus le bras armé après la Seconde Guerre mondiale. Mais l’internationalisme financier les a également subvertis, malgré les résistances comme le maccarthysme, ou plus tard certaines prises de conscience de l’ère Reagan. Les eurodollars puis la guerre du Viêt-Nam avaient été conçus pour ruiner les Etats-Unis, en transférant massivement des richesses vers certains opérateurs privés et au final ver les mégabanques, comme la guerre d’Afghanistan récemment terminée. Ce n’est qu’aujourd’hui que les patriotes américains commencent réellement à comprendre ce qui leur est arrivé, c’est-à-dire comme dirait le général MacArthur : « trop peu, trop tard ». Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire !

Question : donc, si je vous comprends bien, les États-Unis sont en danger et plutôt que de partager leur sort, l’Arabie Saoudite est en train de faire le meilleur choix pour sa survie ?

Réponse : Réponse duale. Dans le contexte des abus de Wall Street, des élections volées, le mondialisme veut délibérément sacrifier les États-Unis et tout l’Occident dans les années qui viennent, oui.

Le Président Charles de Gaulle avait averti au sujet des conséquences de ce genre de géopolitique américaine erratique, dès 1963 :

« La vérité, c’est que les Américains finiront par se faire détester par tout le monde. Même par leurs alliés les plus inconditionnels. Tous les trucages qu’imaginent les Américains sont démentis par les événements. »[46] 

Mais la France fustigeait ici, non pas les véritables États-Unis, mais en réalité le détournement des États-Unis par une finance vampire et mondialiste.

C’est dans ce contexte que les États-Unis de Joe Biden prétendent encore aujourd’hui jouer un rôle qui n’est plus positif, au Moyen-Orient mais aussi en Ukraine dans le reste du monde.[47] Mais en réalité, les États-Unis de Joe Biden sont en train de perdre l’Arabie Saoudite, et c’est une très bonne chose pour l’Arabie et pour la paix au Moyen-Orient. C’est dans ce contexte qu’enfin, l’Administration Biden a envoyé secrètement son directeur de la CIA pour rencontrer le prince héritier Mohammed ben Salmane, à la mi-avril 2022.[48] « Trop peu, trop tard »…

Il y a sans doute aussi une coopération occulte entre la Russie et les États-Unis dont j’ai déjà parlé, dans ce « nouvel ordre mondial à cinq » que j’avais évoqué en 2020.[49] Derrière la guerre de Syrie, il y avait déjà une coopération entre les patriotes américains et les patriotes (Siloviki) Russes. Derrière la guerre d’Ukraine, j’envisage tout autant une nouvelle coopération entre les patriotes russes et les patriotes américains : car l’Ukraine a servi de base de corruption majeure pour l’État profond américain. Assécher le Marais à Washington, suppose de fermer la vanne ukrainienne.[50] C’est assez drôle, car c’est l’inverse de ce que disent les « fondations » antirusses de Washington, comme la Free Russia Foundation, qui nous explique à qui veut bien entendre que c’est la Russie qui contamine le si vertueux monde occidental tout entier avec toute sa méchante corruption « russe »…

Je pense pourtant que les patriotes américains pourront restaurer leur République. Il est tout à fait possible que Donald Trump revienne dans l’Histoire, mais cela ne suffira pas pour autant. Les Etatsuniens ne pourront faire l’économie de certaines prises de conscience : ils devront comprendre d’où vient la subversion aux États-Unis[51] afin d’y mettre un terme. Et ceci, en écoutant notamment la Russie, mais aussi la France, à condition qu’elle ne soit plus gouvernée par Emmanuel Macron…


[1] EL HATTAB, Morad : Saïf al Islam Kadhafi. Un rêve d’avenir pour la Libye. Éd. Erick Bonnier, 2019

[2] HINDI, Youssef : Occident & Islam, t.I & II, éditions Sigest, 2015 & 2018.

[3] « Trump, Poutine, Xi Jinping, Boris Johnson et Mohammed ben Salmane : Un autre Ordre Mondial imprévu émerge. » (Saker / CVR, 22 mai 2020) https://lesakerfrancophone.fr/un-autre-ordre-mondial-imprevu-emerge

[4] « Le Prince héritier Mohammed ben Salmane : une vision d’avenir pour le Proche-Orient. » Marjalla, 2/8/2020 https://fr.majalla.com/node/97731/%C2%AB%C2%A0le-prince-h%C3%A9ritier-mohammed-ben-salmane%C2%A0-une-vision-d%E2%80%99avenir-pour-le-proche-orient%C2%A0%C2%BB

[5] Joe Biden : “how I learned to love the New World Order”  (Wall Street Journal, 23/4/1992)

[6] « Trump, Poutine, Xi Jinping, Boris Johnson et Mohammed ben Salmane… », ibid.

[7] « L’Arabie saoudite, prochaine victime du renversement du monde : Vers une guerre de mille ans pour la Mecque ? » Jean-Maxime Corneille, Académie de Géopolitique de Paris, 15/7/2015

Fabrice Balanche, « L’Etat au Proche-Orient arabe entre communautarisme, clientélisme, mondialisation et projet de Grand Moyen Orient », L’Espace Politique [En ligne], 11 | 2010-2, mis en ligne le 18 novembre 2010, consulté le 26 mai 2022. URL : http://journals.openedition.org/espacepolitique/1619 ; DOI : https://doi.org/10.4000/espacepolitique.1619

[8]« 2000 Mules », documentaire de Dinesh D’Souza, 2022.

[9] « Klaus Schwab Associate – Yuval Noah Hariri – Explains The Elites’ Next Steps » BitChute, 21/5/2022

https://www.bitchute.com/video/bnezYYi18aD6/ « World Economic Forum shill, Yuval Noah Hariri: « We need to not just monitor people, we need to monitor what’s happening under their skin” » Patriots, 22/5/22 https://patriots.win/p/15HvPlvWez/world-economic-forum-shill-yuval/c/

« Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés » » (Anguille sous Roche, 7 mars 2022. https://www.anguillesousroche.com/technologie/le-fem-de-klaus-schwab-en-2020-les-humains-sont-desormais-des-animaux-piratables-et-seront-reingenierises/

[10] « Pfizer CEO Albert Bourla explains Pfizer’s new tech to Davos crowd: « ingestible pills » – a pill with a tiny chip that send a wireless signal to relevant authorities when the pharmaceutical has been digested. « Imagine the compliance » ». « ‘Imagine The Compliance’: Pfizer CEO Pitched Davos Elites On WiFi Microchip Pills » Zerohedge, 22/5/2022 https://www.zerohedge.com/political/imagine-compliance-pfizer-ceo-pitches-davos-elites-wifi-microchip-pills VF : « « Imaginez la conformité » : Le PDG de Pfizer présente aux élites de Davos des pilules à micropuce WiFi » Anguille sous Roche, 22 mai 2022.

[11] « L’hypothèse chinoise sur les expériences biologiques militaires US » Réseau Voltaire | 25 mai 2022

[12] FEM, 2022. ‘The Future Is Built By Us’: Klaus Schwab Lays Out Vision For A New World Order » Daily Caller, 23/5/2022. 

[13] « Soros Says Civilization May Not Survive Russia’s Invasion » Bloomberg Quicktake: Now, 24 mai 2022.

[14] « Remarks Delivered at the 2022 World Economic Forum in Davos » George Soros, 24/5/2022. « George Soros on Russia, China and the Fight of Our Lives: Remarks Delivered at Davos » Open Society Foundations, 25 mai 2022. « « La civilisation pourrait ne pas survivre » – George Soros dit à Davos de « Vaincre Poutine (et Xi), sinon … »  Aube Digitale, 25/5/2022. George Soros estime que Xi Jinping est « la plus grande menace » actuelle contre les « sociétés ouvertes » RT, 1/2/22.

[15] MUCCHIELLI, Roger : La Subversion. Édition (initiale Bordas : 1971) C.L.C., Paris, 1976.

[16] « Au Moyen-Orient, la Chine garantit aux dictateurs la longévité » Institut Montaigne, 18/5/2021 https://www.institutmontaigne.org/blog/au-moyen-orient-la-chine-garantit-aux-dictateurs-la-longevite

[17] « Arabie Saoudite, un pays protégé ? Pierre Conesa [EN DIRECT] » Thinkerview, 2 juil. 2019. https://www.youtube.com/watch?v=5TbbV06LlP0

[18] « Khashoggi a-t-il vraiment été tué ? » F. William Engdahl Réseau International, 24/1/2019.

[19] SCOTT, Peter Dale : L’État Profond américain : La finance, le pétrole, et la guerre perpétuelle, Éditions Demi-Lune, 2015.

[20] « Double opération contre le Dôme de fer dans le nord et le sud » IRIB, 20/5/2022

https://french.presstv.ir/Detail/2022/05/20/682406/Drone-D%C3%B4me-de-fer-Isra%C3%ABl-Hezbollah-DCA-Palestine-Khan-Youn%C3%A8s-Rafah-Sir%C3%A8nes-d%E2%80%99alerte–

[21] Fabrice Balanche, « L’Etat au Proche-Orient arabe entre communautarisme… » précité.

[22] « «Les Saoudiens se sentent trahis par les États-Unis», affirme le prince Turki al-Faisal » Arab News, 1/5/2022. https://www.arabnews.fr/node/235391/monde-arabe

[23] « Saudi Arabia is surviving financial liberation thanks to the realism of Mohammed bin Salman: Morad al-Hattab » (Mena, 30/3/22) https://www.leaders-mena.com/saudi-arabia-is-surviving-financial-liberation-thanks-to-the-realism-of-mohammed-bin-salman-morad-al-hattab/

[24] « Les Saoudiens se sentent trahis par les États-Unis», Ibid.

[25] Ibid.

[26] Ibid.

[27] E. Roosevelt, As he saw it. Duell, Sloan and Pearce, New York, 1946. Cité dans

CHARLIERJean-Michel ; LAUNAY (de), Jacques : Histoire secrète du Pétrole. Presses de la Cité, 1985, p.74.

[28] Ibid.

[29] HAUTECLOCQUE, Xavier (de) : Le Turban Vert, Nouvelle Revue Critique, 1930 (réédition Energéïa, 2013). FONTAINE Pierre ; Les secrets du pétrole, édit. Les 7 Couleurs, 1963 (réédition partielle sous le titre « La guerre secrète du pétrole« , Collection L.I.E.S.I, 2008).

[30] DALL, Curtis B. : Franklin D.Roosevelt ou comment mon beau-père a été manipulé. 1968. VF : Sigest, 2015.

[31] « Israël: Tsahal va simuler une frappe à grande échelle contre l’Iran, les États-Unis devraient participer à l’exercice »  i24NEWS, 17/5/2022

[32] « Dr. Steve Pieczenik, sur Benghazi, Israël, le 11 septembre 2001, Netanyahou, l’AIPAC, le Sionisme. » (Infowars/CVR, 16 Septembre 2012). « Steve Pieczenik – entrevue avec Alex Jones, Infowars, 4 mars 2015 concernant Netanyahou spécialement » (Steve Pieczenik/CVR, 4/3/2015). FINKELSTEIN, Norman G. : L’Industrie de l’Holocauste – Réflexion sur l’exploitation de la souffrance des Juifs. Éditions La Fabrique, 2001.

[33] SOLJENITSYNE, Alexandre : Deux siècles ensemble (tome 1 & 2, Fayard, 2002 & 2003). L’Erreur de l’Occident (1980). Réédition Cahiers Rouges, 2006.

[34] BERGMAN, Ronen : Lève-toi et tue le premier : l’histoire secrète des assassinats ciblés commandités par Israël, Paris, Grasset, 2018.

[35] « Washington a-t-il attiré Erdogan dans un piège ? » F. William Engdahl Réseau International, 1 mai 2021

https://reseauinternational.net/washington-a-t-il-attire-erdogan-dans-un-piege/ « La roulette russe d’Erdogan : était-ce uniquement une revanche pétrolière? » F. William Engdahl, 26/11/2015 http://www.williamengdahl.com/frenchNeo26Nov2015Full.php

[36] « Prince Turki Al Faisal Al-Saud: The American Withdrawal From Afghanistan ‘Was Inevitable’ » MSNBC, 17/11/2021. https://www.youtube.com/watch?v=fwvHB_RN-KY

[37] « Full Interview: Prince Turki Al-Faisal on 9/11, Afghanistan and America’s role in the Middle East » CNBC International, 8/9/2021.  https://www.youtube.com/watch?v=YVQ2iffcu90

[38] PIECZENIK, Steve : Steve Pieczenik TALKS : The Septembre of 2012 through The Septembre of 2014. Autoédité Pieczenik, 2014. Steve Pieczenik TALKS : Volume II : The Septembre of 2014 through The Septembre of 2015. Autoédité Pieczenik, 2015. PIECZENIK, Steve : American Warrior in Crises. Ed. Twelve Generations. 2019. PASIN, Patrick : LE FBI Complice du 11 septembre. Editions Talma, 2019.

[39] « 11 Septembre : ces 28 pages qui menacent l’axe Washington-Riyad » Figaro, 2/2/2015.

[40] La face cachée du 11 Septembre (Ed. Plon, 2004). BRISARD, Jean-Charles ; DASQUIE, Guillaume : Ben Laden la Vérité Interdite. Ed. Denoël Impact, 2001. « Un réseau d’espionnage israélien a été démantelé aux Etats-Unis », Le Monde.fr, 5 mars 2002.

[41] ENGDAHL, F. William : Le Charme discret du Djihad, éd. Demi-Lune, 2018.

[42] SUTTON, Anthony C. : Wall Street et la Révolution bolchévique. (1976). Éd. Le Retour aux Sources. 2012.

[43] CHAIX, Maxime : La guerre de l’ombre en Syrie : CIA, pétrodollars et djihad. Éd. Erick Bonnier, 2019

[44] « Israel Adds Yuan to $206 Billion Reserves in ‘Philosophy’ Change » Bloomberg, 20/4/22 https://www.dailymail.co.uk/news/article-10780583/George-Soros-Clinton-Obama-staffers-European-governments-anti-Musk-campaign.html

[45] « Saudi Arabia is surviving financial liberation… » (ibid).

[46] Charles de Gaulle, 6 novembre 1963. Cité par Alain Peyrefitte : C’était de Gaulle, Tome II.

[47] « Le dangereux plan de Washington au Moyen-Orient » F. William Engdahl, Saker Francophone, 17/6/2017. « Biden est il en train de perdre l’Arabie saoudite ? » F. William Engdahl, Saker – 6/9/2021

[48] « CIA Chief Met Saudi Crown Prince Last Month in Push to Mend Ties » Wall Street Journal, 3/5/22). « Le directeur de la CIA s’est rendu secrètement en Arabie saoudite pour rétablir les liens bilatéraux » (Atalayar, 4/5/2022).

[49] Article.

[50] COMMIITTEE for the REPUBLIC, John Mearsheimer, Ray McGovern, 2/3/22. : « Putin’s Invasion of Ukraine »» VF : John Mearsheimer explique l’intervention russe en Ukraine https://odysee.com/John-Mearsheimer-explique-l’intervention-russe-en-Ukraine:cf1432816bbf9215ba4390c4999c58d789a388e6

[51] Older Klaus Schwab: Yes, the World Economic Forum Annual Meeting is about Elites Advancing a Conspiracy Written by Adam Dick, Ron Paul institute Tuesday May 24, 2022.

http://www.ronpaulinstitute.org/archives/peace-and-prosperity/2022/may/24/klaus-schwab-yes-the-world-economic-forum-annual-meeting-is-about-elites-advancing-a-conspiracy/




Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

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Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Quand le Feu Houari Boumediene parlait du nouvel ordre mondial

[Source : algerie54.dz]

Quand le Feu Houari Boumediene parlait du nouvel ordre mondial

Par Nadia.R

Le discours prononcé par le Feu président Houari Boumediene devant la session extraordinaire de l’ONU en avril 1974, révélait en 2022, la justesse de la vision de l’Algérie sur la nécessité d’instaurer un nouvel ordre économique mondial et sur l’importance de la détention des matières premières des pays en voie de développement, pour amorcer un développement durable, en mettant fin à la domination des multinationales et à l’OPA des puissances impérialistes et coloniales sur le développement socioéconomique des pays émergents.



Il a fallu le conflit ukrainien et son impact sur les équilibres régionaux et sur la détermination de grands pays émergents, hors du G7 comme la Chine, l’Inde, le Brésil, la Russie ou l’Afrique du Sud, pour comprendre la profondeur de l’appel de l’Algérie exprimée par le Feu Houari Boumediene en avril 1974 à l’occasion de la tenue de l’assemblée extraordinaire de l’ONU.

Houari Boumediene, sans user de la langue de bois, avait au nom de ses pairs des pays en développement, plaidait devant les instances onusiennes et en présence des pays riches pour une refondation des relations internationales et un partage équitable des richesses de la planète et de la prospérité.

Le président Boumediene s’était présenté à la tribune des Nations unies fort des convictions de l’Algérie pour un monde plus juste, présentant à cette occasion, une feuille de route toute tracée, axée sur une coopération internationale mutuellement avantageuse entre le Nord riche et le Sud pauvre, et mettant comme priorité le principe du compter sur soi en tant que doctrine de développement des pays du tiers-monde et la promotion de la coopération Sud-Sud en vue de contourner l’hégémonisme des grandes puissances.

Le Feu Houari Boumediene avait raison en tablant sur une revalorisation des seuls prix des hydrocarbures, et une maîtrise de tous les leviers économiques et financiers qui font les attributs de la souveraineté d’un pays.

« Toutes les matières premières de base des pays en voie de développement. La conquête ou reconquête de la souveraineté nationale passe, avait fait remarquer Boumediene, par les nationalisations des richesses naturelles comme l’Algérie, qui avait donné l’exemple en reprenant possession de ses richesses énergétiques, agricoles, minières… » avait-il lancé à partir de la tribune de l’ONU.

Le président de la République Abdelmadjid Tebboune abonde, près d’un demi-siècle après dans le même sens à l’occasion de son intervention par visioconférence, il y a quelques jours devant le Sommet des Chefs d’État du Brics tenu en Chine. Le président Algérie demeure convaincu que l’indépendance politique n’aura aucun sens si elle n’est pas consolidée par une forte économie et une parfaite stratégie de sécurité. L’Algérie a toutes les chances de consolider son rôle d’État pivot et d’acteur incontournable en Méditerranée, Afrique et monde arabe, malgré les menaces liées à ses positions constantes en faveur de la décolonisation des peuples comme ceux de la Palestine et Sahara Occidental, et opposées à l’ingérence étrangère à l’origine des conflits en Libye, Syrie, Irak et Mali. Chaque fois que l’occasion s’en présente, l’Algérie plaide pour une refonte totale de ces rapports internationaux afin qu’ils répondent aux impératifs légitimes de développement des pays pauvres. L’Algérie est intimement persuadée que sa politique extérieure n’a de chance d’aider efficacement les peuples dépendants et sous-développés que si sa politique intérieure est résolument constructive et féconde. C’est là une nécessité attestée par l’histoire.

Vladimir Poutine et la stratégie de la réorientation des produits énergétiques

Pour faire faire aux sanctions occidentales entamées en 2014 après la récupération de la Crimée par Moscou, le président russe Vladimir Poutine a réorienté ses exportations pétrolières et gazières de l’Europe vers l’Asie, plus précisément à destination de deux pays membres du Brics, et gros consommateurs des produits énergétiques à savoir la Chine et l’inde.

« On va partir du principe qu’à l’avenir les livraisons vers l’ouest vont baisser », a expliqué le 14 avril le président russe au cours d’une réunion gouvernementale consacrée au secteur de l’énergie dans le contexte des sanctions internationales.

Il faut donc «réorienter nos exportations vers les marchés au sud et à l’est qui croissent rapidement», a-t-il ajouté. «Les pays européens parlent constamment de se passer des approvisionnements russes et en faisant cela ils déstabilisent le marché et font monter les prix», a accusé le président russe.

«Les tentatives des pays occidentaux d’évincer les fournisseurs russes, de remplacer nos ressources énergétiques par des approvisionnements alternatifs, affecteront inévitablement l’ensemble de l’économie mondiale», a encore mis en garde Vladimir Poutine, assurant que «les conséquences d’une telle démarche peuvent devenir très douloureuses et d’abord pour les initiateurs d’une telle politique».

Il a déclaré qu’une nouvelle stratégie énergétique à horizon 2050 devait être approuvée d’ici au 15 septembre. « Il est nécessaire d’accélérer la mise en œuvre des projets d’infrastructures, ferroviaires, de pipelines, portuaires, qui permettront dans les années à venir de rediriger les approvisionnements en pétrole et en gaz de l’ouest » vers ces nouvelles destinations, a ajouté Vladimir Poutine, citant, en plus du « sud et de l’est », les pays d’Afrique, d’Amérique latine et de la région Asie-Pacifique.

Vladimir Poutine est déterminé à développer de nouveaux débouchés pour les énergies fossiles russes. Un «virage vers l’Asie» et surtout la Chine entamé il y a plusieurs années survient à un moment où les Européens envisagent d’élargir leurs sanctions aux hydrocarbures en provenance de Russie en réaction à son intervention militaire en Ukraine.

La guerre des monnaies

L’opération militaire russe en Ukraine a eu un impact direct sur le marché financier mondial, contraint au passage d’une économie mondiale basée sur le dollar et garantie par des actifs financiers à des monnaies adossées à des matières premières.

La fin du système financier est accélérée par les développements géopolitiques. L’Occident tente désespérément de sanctionner la Russie pour qu’elle se soumette économiquement, mais il ne réussit qu’à faire monter les prix de l’énergie, des matières premières et des denrées alimentaires contre lui-même. Les banques centrales n’auront d’autre choix que de gonfler leurs devises pour payer tout cela. La Russie lie le rouble aux prix des matières premières par le biais d’une parité or mobile, et la Chine a déjà démontré qu’elle comprenait le jeu inflationniste de l’Occident en stockant des matières premières et des céréales essentielles au cours des deux dernières années et en permettant à sa monnaie de s’apprécier par rapport au dollar.

La Chine et la Russie ne suivent pas la voie des monnaies inflationnistes de l’Occident. Au contraire, elles s’orientent vers une stratégie monétaire plus saine, avec la perspective de taux d’intérêt et de prix stables, alors que l’Occident accélère dans la direction opposée.

L’analyste du Crédit Suisse, Zoltan Pozsar, appelle cela un Bretton Woods III. Il conclut que c’est le dollar et les monnaies occidentales, et non le rouble, qui auront le plus de mal à faire face à la fin de cinquante ans de financiarisation de l’économie.

La dédollarisation en marche

Les sanctions occidentales imposées à Moscou incitent d’ailleurs le président russe à aller de l’avant en matière de la dépendance de son économie vis-à-vis du dollar. Ainsi, Vladimir Poutine et après avoir imposé à ses clients énergétiques le paiement des livraisons énergétiques russes en monnaie russe le Rouble, il vient d’opter pour le même procédé pour ce qui est des produits céréaliers.

En mars dernier, l’administration Biden a prononcé l’arrêt de mort de sa propre hégémonie dans un dernier pari désespéré sur le dollar. Non seulement elle a mal interprété la situation de la Russie en ce qui concerne son économie, mais l’Amérique a cru à tort en sa propre puissance en sanctionnant la Russie et les oligarques de Poutine.

Elle a peut-être réussi à bloquer partiellement les volumes d’exportation de la Russie, mais la compensation est venue de la hausse des prix des matières premières, au profit de la Russie et au détriment de l’alliance occidentale.

La conséquence est une bataille finale dans la guerre financière qui se prépare depuis des décennies. On ne sanctionne pas la plus importante source d’exportation d’énergie au monde et un important fournisseur d’un large éventail de produits de base et de matières premières, dont les céréales et les engrais, sans nuire à tout le monde sauf à la cible visée. Pire encore, la cible visée a en la Chine un ami extrêmement puissant, avec lequel la Russie est partenaire dans le plus grand bloc économique du monde, l’Organisation de coopération de Shanghai, qui gère un marché en développement de plus de 40 % de la population mondiale. C’est l’avenir, pas le passé : le passé, c’est l’esprit occidental, la fiscalité punitive, les économies dominées par l’État et sa bureaucratie, le socialisme anticapitaliste, et les magiques arbres à fric pour aider à payer tout cela.

Malgré cet énorme trou dans le filet des sanctions, l’Occident ne s’est donné d’autre choix politique que de tenter de renforcer encore plus les sanctions. Mais la réponse de la Russie est dévastatrice pour le système financier occidental. En deux annonces simples, en liant le rouble à l’or pour les établissements de crédit nationaux et en insistant sur le fait que les paiements pour l’énergie ne seront acceptés qu’en roubles, elle met fin à l’ère du dollar fiduciaire qui a régi le monde depuis la suspension de Bretton Woods en 1971 jusqu’à aujourd’hui.

Il y a un peu plus de cinq décennies, le dollar s’est substitué à l’or en tant qu’actif de réserve mondial. Après les années 70, qui ont été marquées par la volatilité des devises, des taux d’intérêt et des actifs financiers, nous nous sommes tous installés dans un monde de financiarisation croissante. Le Big Bang de Londres du début des années 80 a ouvert la voie aux produits dérivés réglementés et les années 90 ont vu l’essor des fonds spéculatifs et des dotcoms. Cette évolution a été suivie d’une explosion des produits dérivés non réglementés négociés de gré à gré, qui ont atteint des centaines de milliers de milliards, et des titrisations, qui ont connu le choc de la faillite de Lehman. Depuis lors, l’expansion du crédit mondial pour les activités purement financières a été remarquable, créant une bulle d’actifs financiers qui dépasse tout ce qui a été vu dans l’histoire des excès financiers. Et, avec la suppression statistique de l’effet sur les prix à la consommation, le transfert des ressources économiques de Main Street à Wall Street a caché au public les signes inflationnistes de l’expansion du crédit.

Tout cela touche à sa fin avec une nouvelle structure, ce que Zoltan Pozsar, analyste des flux respecté au Crédit Suisse, appelle Bretton Woods III. Dans son énumération, le premier a été suspendu par le président Nixon en 1971, et le second s’est déroulé depuis lors jusqu’à aujourd’hui, où le dollar a régné sans partage. Cela nous amène à Bretton Woods III.

L’insistance de la Russie pour que les importateurs de son énergie paient en roubles et non en dollars ou en euros est un développement significatif, un défi direct au rôle du dollar. Il n’y a pas d’options pour les « non-amis » de la Russie, c’est ainsi que la Russie décrit l’alliance contre elle. L’UE, qui est le plus grand importateur de gaz naturel russe, doit soit prendre le taureau par les cornes, soit chercher des alternatives insuffisantes. L’option est d’acheter du gaz naturel et du pétrole à des prix raisonnables en roubles ou de faire grimper les prix en euros et de ne toujours pas obtenir assez pour faire tourner leurs économies et permettre à leurs citoyens d’être au chaud et mobiles. Dans les deux cas, il semble que la Russie gagne et que l’UE perde, d’une façon ou d’une autre.

Quant à la conviction de Pozsar selon laquelle nous sommes à la veille d’un Bretton Woods III, on peut comprendre la logique de son argument. La bulle financière fortement gonflée marque la fin d’une époque, qui a duré cinquante ans. Les taux d’intérêt négatifs dans l’UE et au Japon ne sont pas seulement une anomalie, mais le dernier coup de dés pour le yen et l’euro. La BCE et la Banque du Japon ont des portefeuilles d’obligations qui ont effacé leurs fonds propres, et même plus. Toutes les banques centrales occidentales qui se sont livrées à l’assouplissement quantitatif ont le même problème. En revanche, la banque centrale russe et la Banque populaire de Chine n’ont pas procédé à des assouplissements quantitatifs et ont des bilans sains. La hausse des taux d’intérêt dans les monnaies occidentales est rendue plus certaine et leur hauteur encore plus grande par la réponse agressive de la Russie aux sanctions occidentales. Elle accélère la faillite de l’ensemble du système bancaire occidental et, en faisant éclater la bulle financière fortement gonflée, ne laissera guère plus que des économies vidées de leur substance.

Poutine s’est inspiré de l’accord conclu en 1973 entre Nixon et Kissinger et les Saoudiens, qui prévoyaient de n’accepter que des dollars américains pour le paiement du pétrole, et d’utiliser son rôle dominant au sein de l’OPEP pour obliger les autres membres à faire de même. En tant que premier exportateur mondial d’énergie, la Russie déclare maintenant qu’elle n’acceptera que des roubles, répétant pour le rouble la stratégie du pétrodollar. Et même l’Arabie saoudite se plie maintenant au vent et accepte le renminbi chinois pour son pétrole, remettant symboliquement en cause l’accord Nixon/Kissinger sur les pétrodollars.

La Russie a effectivement adossé sa monnaie, notamment sur l’énergie, l’or et les denrées alimentaires. Elle suit la Chine sur une voie similaire. Ce faisant, elle a sapé l’hégémonie du dollar, peut-être de manière fatale. En tant que moteur de la valeur des devises, les matières premières seront les garanties qui remplaceront les actifs financiers. Il est intéressant d’observer la force du peso mexicain par rapport au dollar (en hausse de 9,7 % depuis novembre 2021) et du real brésilien (en hausse de 21 % sur un an). Et même le rand sud-africain a augmenté de 11 % au cours des cinq derniers mois. Le fait que ces monnaies d’habitude fluctuantes soient en hausse nous indique que l’adossement des monnaies à des ressources a ses attraits au-delà du rouble et du renminbi.

Reprenant l’argument de Pozsar selon lequel les monnaies sont de plus en plus liées aux matières premières dans Bretton Woods III, il semble que la Russie ait l’intention d’utiliser l’or comme substitut des matières premières pour stabiliser le rouble. Au lieu d’un taux de change fixe de l’or, la RCB s’est sagement laissé la possibilité de réviser périodiquement le prix qu’elle paiera pour l’or après le 1er juillet. Le taux dollar/rouble peut maintenant être facilement contrôlé par la RCB, car la façon dont la demande de roubles en pénurie est traitée devient une question de politique. La branche de paiement de Gazprom (Gazprombank) est actuellement dispensée des sanctions occidentales et les paiements de gaz et de pétrole de l’UE passeront par elle.

Les erreurs de l’Occident

La plupart des commentaires occidentaux sont très favorables à de nouvelles sanctions contre la Russie. Relativement peu de commentateurs indépendants ont fait remarquer qu’en sanctionnant la Russie et en gelant ses réserves de change, l’Amérique détruit sa propre hégémonie. Les avantages des réserves d’or ont également été soulignés pour ceux qui en possèdent. En outre, le fait que les banques centrales laissent leurs réserves d’or dans les coffres des banques centrales occidentales les expose à des sanctions, dans le cas où une nation se mettrait à dos les États-Unis. Il ne fait aucun doute que la question fait l’objet de discussions dans le monde entier et que certaines demandes de rapatriement de lingots ne manqueront pas de suivre.

Depuis la suspension de Bretton Woods en 1971, le gouvernement américain a essayé de supprimer la relation entre l’or et le dollar, en encourageant la croissance des produits dérivés de l’or pour absorber la demande. Le fait que l’or soit passé de 35 à 1920 dollars aujourd’hui démontre la futilité de ces politiques. Mais, au moins sur le plan émotionnel, l’establishment américain reste virulemment anti-or.

Le Brics, à l’assaut du G7

Les pays du Brics à savoir la Russie, la Chine, l’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud se positionnent aujourd’hui, comme un ensemble économique capable de tenir la dragée haute à l’hégémonie du G7. L’intégration prochaine de puissances régionales comme l’Iran, l’Argentine, et fort probablement l’Algérie, l’Égypte et l’Arabie Saoudite donnera de plus en plus de poids à cet ensemble, pour promouvoir le développement en Amérique Latine, Asie et surtout en Afrique, un continent riche en matières premières, arme du devenir planétaire.




Georgia Guidestones – Rétrospective en 5 Actes (22/03/1980 – 06/07/2022)

[Source : Alexandre Lebreton]

[Photo : Quentin Melson/Wikimedia]




Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections

[Source : les7duquebec.net]

Par Khider Mesloub. 

De vague en vague – de dose en dose

Curieusement, depuis la réapparition de la pandémie de Covid-19, au lendemain de chaque levée des restrictions, de chaque déconfinement, après quelques semaines de « Liberté » recouvrée, certains scientifiques, des charlatans et/ou des experts, médecins stipendiés par la grande pharmacopée interviennent dans les médias pour préparer psychologiquement la populace à une énième vague de contamination provoquée par le surgissement d’un nouveau variant (sic) contre lequel les vaccins de Big Pharma ne peuvent rien… et allons-y d’une nouvelle dose coûteuse et inutile selon Michèle Rivasi :

Vaccins Covid-19 | Ce matin, en commission COVI (de l’Union européenne) j’ai interpellé la commissaire européenne à la transparence sur la demande d’un groupe de pays.

Depuis quelques semaines, selon les médias, les pays occidentaux, en particulier européens, dont 80 % de la population adulte sont pourtant vaccinés, enregistreraient une augmentation des « cas » de contamination, preuve irréfutable que les vaccins ARN ne marchent pas.

Selon ces organes de presse «gouvernementalement» informés et généreusement subventionnés, donc contaminés par l’idéologie sécuritaire et belliciste dominante, on assisterait à une nouvelle flambée de contaminations, observée notamment au Portugal. En Allemagne. Et depuis peu, en France. La majorité des personnes contaminées est pourtant totalement vaccinée (!!!)

Certains de ces pays européens, outre l’injection d’une quatrième dose de l’inopérant vaccin ARN-messager, envisageraient de rétablir les mesures restrictives de «distanciation sociale» (sic) pour soi-disant «juguler la propagation du virus»… mesures qui depuis deux ans n’ont pourtant pas fonctionné. D’aucuns, comme au temps du début de la pandémie bidon ou comme en Chine actuellement, préconisent l’instauration d’un nouveau confinement (dément), mesure moyenâgeuse par excellence, comme la définit le professeur Didier Raoult.

Par suite, devant le rebond des contaminations, statistiquement fabriqué, les gouvernants s’apprêteraient, suivant les conseils pécuniairement avisés de Pfizer et Astra à ordonner, dans une fuite en avant vaccinale, la généralisation de la quatrième injection (dose). Et, rebelote, ces gouvernants lancent, en l’espace de 18 mois, la quatrième campagne de vaccination… coûteuse et inutile.

Visiblement dans ces pays atlantistes, malgré une couverture «vaccinale» de plus de 80% de la population adulte, sévirait toujours une flambée de «cas» que Big Pharma prendrait pour prétexte pour fourguer sa drogue vaccinale sans se préoccuper le moins du monde des effets secondaires de ces concoctions meurtrières comme le souligne la docteure Nicole Delépine :
Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé (Nicole Delépine) — les 7 du Québec.

Pourtant, on se souvient qu’au début de la pandémie on nous affirmait que, pour être immunisé contre la Covid-19 et « reprendre une vie normale », il suffirait que la majorité de la population ait obtenu ses deux doses. Puis ce fut trois doses… et aujourd’hui ce sont les quatre doses… ce qu’Israël et l’Islande ont pourtant expérimenté sans succès(([1] Islande, l’effondrement du narratif du Covid :
Des nouvelles révolutionnaires venant d’Islande : L’effondrement du narratif du Covid ? | #Politique | Kla.TV 
En Islande on en revient aux principes de l’immunisation naturelle.))

La « protection » fugace

On se rappelle également que les marchands pharmaceutiques affirmaient qu’avec l’administration de ces deux doses de vaccin la protection serait assurée à plus de 90 % pour une très longue durée. Après seulement quelques mois, on découvrait que leur efficacité était d’à peine 39 %. Pire : les deux doses ne protégeraient de la maladie qu’une petite fraction des vaccinés, et pour seulement quatre mois au plus. Malgré cet échec vaccinal, sans s’appuyer sur aucune étude clinique réévaluée, les marchands des laboratoires pharmaceutiques avaient recommandé l’injection d’une troisième dose… sans se préoccuper des effets secondaires mortels.(([2] voir : 
Risques spécifiques à l’âge et au sexe de myocardite et de péricardite à la suite de vaccins à ARN messager Covid-19 | Nature Communications 
et Canada : Surmortalité observée au New Brunswick (Canada) en fin 2021 : la ministre de la Santé s’inquiète | FranceSoir))

Actuellement, avec la nouvelle vague épidémique médiatiquement prophétisée, les autorités sanitaires préconisent, pour garantir une meilleure protection selon la terminologie propagandiste usitée, l’injection d’une quatrième dose… avant la cinquième…

Comment croire que cette quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ? Pour quel motif les gouvernants des pays atlantistes, notamment la France et le Canada, incitent-ils à ce rappel vaccinal sans aucun argument scientifique ni aucun essai clinique à l’appui?

Une chose est sûre, exhibée comme le remède miracle contre la Covid-19, aujourd’hui la vaccination à base ARN-m peut être considérée comme un échec médical cuisant. En effet, la vaccination contre le coronavirus était présentée comme le «nouveau Graal» de la médecine moderne, en lieu et place de la thérapeutique médicale curative et des traitements médicamenteux prophylactiques, décriés, considérés désormais comme des méthodes moyenâgeuses en matière de soins.

Des « fatwas gouvernementales » avaient même été édictées contre des médecins désireux, dans le respect de leur serment d’Hippocrate, de soigner scientifiquement leurs patients ou prescrire quelque traitement médicamenteux antiviral. Seule la « potion magique vaccinale » ARNm était censée guérir le malade atteint du Covid-19. Voire redonner des forces à l’économie malmenée par le virus, selon les imposteurs gouvernementaux, et non pas par les mesures politiques destructrices décrétées par les gouvernements. L’injection de deux doses d’ARN-messenger allait permettre aux « citoyens » de recouvrer leur liberté longtemps confinée, mise sous cloche despotique, et à la société de renouer avec son fonctionnement normalisé.

Aujourd’hui, après deux années d’expérimentation, malgré l’injection de trois doses, la vaccination n’a pas tenu ses promesses. Ni concrétisé ses prometteuses prouesses. Elle a laissé place à la méfiance, la défiance. À la controverse. À la répugnance.

« Ce que l’on observe, c’est que les cas qui sont hospitalisés sont plutôt les plus de 60 ans, notamment avec des facteurs de comorbidité, et surtout les plus de 80 ans », a déclaré à BFMTV Bruno Lina, virologue et membre du Conseil scientifique. Autrement dit, c’est au sein de la population la plus vaccinée que l’on enregistre le grand nombre d’hospitalisations. En dépit de cette flambée d’hospitalisation des vaccinés, les tenants des injections vaccinales à répétition recommandent l’administration de la quatrième dose. Selon plusieurs sources, les publics les plus âgés, pourtant multi-injectés, ont actuellement un taux d’incidence deux fois plus élevé que les mineurs, absolument pas vaccinés. Ainsi, la vaccination n’évite aucunement la contamination. Ni la transmission. Ni l’hospitalisation. Ni la mort.

Les cobayes humains

Quand les dissidents pointent du doigt l’inefficacité des vaccins ARN-m, les partisans de la vaccination rétorquent qu’ils protègent de la forme grave. Cet argument est discutable, pour ne pas dire fallacieux. Si la mortalité a certes baissé, elle est imputable à l’amenuisement de la virulence des virus et non à la vaccination (comme il survient chaque fois en pandémie virale). Comme chacun le sait, tous les virus (bactéries et autres parasites), dans tous les contextes épidémiques, au fil du temps, par suite de leurs multiples mutations, perdent de leur virulence en s’adaptant à leurs hôtes, tout comme ils finissent par aboutir à une atténuation de leur contagiosité et, par conséquent, de leur létalité. Aussi, les nouveaux variants sont, automatiquement, moins dangereux et moins infectieux que le virus d’origine.

Donc, dans le cas du Covid-19, la diminution de la mortalité ne peut être imputée à la vaccination. D’autant plus que les nouveaux vaccins mis sur le marché, élaborés à la hâte, sont toujours au stade de l’essai clinique, c’est-à-dire en phase expérimentale. En médecine, un essai clinique est une recherche biomédicale menée chez l’humain, avec pour objectif d’améliorer les connaissances et le traitement des maladies. En d’autres termes, avec les vaccins ARN-m, nous en sommes encore à la phase d’évaluation de l’efficacité et de la tolérance du produit sauf que cette fois… les cobayes expérimentaux sont quelques milliards d’humains sacrifiés par les gouvernements stipendiés.

Ainsi, la vaccination de la majorité de ces populations occidentales n’a permis ni de diminuer le rythme de la propagation du virus ni de réduire les formes graves nécessitant la réanimation. Sans aucun doute, les vaccins ARN-m ne protègent ni de la contamination, ni de l’hospitalisation, ni du décès. Ni de la transmission du virus.

Les dangereux vaccins

Assurément, les vaccins ARN-m semblent avoir une médiocre efficacité contre la Covid-19. Pire : ces produits commerciaux accéléreraient, selon certains experts, les mutations du virus. Et pour cause. Les vaccins ARN-m semblent avoir la particularité de sélectionner des mutations résistantes du fait qu’ils ne décodent que la seule protéine Spike (donc un unique site de reconnaissance), contrairement à un vaccin de type inactivé entier (élaboré notamment par le laboratoire Sinovac) capable de coder une multitude. Autrement dit, les vaccins à ARN-m favoriseraient, selon les spécialistes, l’apparition de mutations résistantes, c’est-à-dire la multiplication de variants. Comme le reconnaissait, dès l’année dernière, le chercheur de l’Institut Pasteur, Frédéric Tangy, spécialiste des vaccins : « Vacciner plus en plus de monde, dans le contexte présent, va faire naître d’autres variants résistant aux réponses immunitaires naturelles ».

À cet égard, le choix des gouvernements occidentaux, à l’instigation des laboratoires pharmaceutiques, d’acquérir exclusivement les nouveaux vaccins ARN-m, réputés pour leur spécificité de favoriser la création de mutants, interpelle. Par ce choix stratégique vaccinal ARN-m à l’efficacité médiocre, les gouvernements occidentaux entretiendraient-ils délibérément la pandémie par sa pérennisation opérée par la réapparition de nouveaux variants, nécessitant ainsi, au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, des campagnes de rappel de vaccination quasi semestrielles pour une longue période, afin d’enrichir les Big Pharma, mais également pour justifier l’instauration de la dictature sanitaire-sécuritaire, bouclier du programme du Grand Reset actuellement mis en œuvre ?(([3] Voir L’impérialisme, la phase finale du capitalisme mondialisé — les 7 du Québec.))

À la vérité, selon les médecins, l’actuel variant Omicron (et ses dérivés, déclinés sous les noms successifs BA.1, BA.2, BA.3, BA.4, BA.5) ne provoquerait qu’un gros rhume. Une chose est sûre, depuis l’année dernière la diminution du nombre de décès a été relevée dans tous les pays. Tout comme le nombre de contaminations virulentes.(([4] Voir à cet effet le dernier rapport statistique que nous avons publié : 
Rapport mensuel de situation Covid planétaire/ 2 juillet 2022 (Dominique Delawarde) — les 7 du Québec.))

Pour preuve de l’inefficacité des vaccins contre le coronavirus, la publication d’une étude israélienne dans Science et Magazine. Selon Science Magazine parue le 26 août 2021, relayant une étude effectuée en Israël, être contaminé par le Covid-19 confère une immunité plus grande qu’un vaccin. En effet, la protection immunitaire naturelle développée après l’infection par le Covid est 13 fois plus efficace contre le virus que l’administration du vaccin Pfizer. Autrement dit, le système immunitaire humain est plus puissant pour résister au virus, selon cette étude israélienne. « Les données récemment publiées montrent que les personnes qui ont déjà eu une infection par le SRAS-CoV-2 étaient beaucoup moins susceptibles que les personnes vaccinées et jamais infectées d’attraper Delta, d’en développer des symptômes ou d’être hospitalisées avec un Covid-19 grave», rapportait Science Magazine.

Selon le magazine, « Il s’agit de la plus grande étude d’observation dans le monde réel à ce jour pour comparer l’immunité naturelle et induite par le vaccin au SRAS-CoV-2». « Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante Delta », avaient déclaré les chercheurs israéliens.

Néanmoins, il convient de souligner que l’étude avait également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l’infection naturelle diminue au fil du temps, tout comme la protection induite par les vaccins. Tout comme les virus, au fil du temps, perdent leur virulence, c’est-à-dire leur contagiosité et leur létalité diminuent considérablement. Comme chacun le sait, un virus est toujours en mutation. C’est sa nature. C’est une loi de l’évolution. Qui plus est, le virus n’a pas intérêt à tuer son hôte, car en le tuant il disparaît également. En tout état de cause, l’homme est porteur d’anticorps, qui sont la réponse immunitaire aux antigènes des différentes souches d’un virus.

[Note de Joseph :
Cependant la théorie virale n’a jamais été démontrée selon une démarche véritablement scientifique et lorsqu’on l’aborde sous un tel angle, elle apparaît en fait fallacieuse.
Voir en particulier les articles suivants extraits du dossier Vaccins et virus :
Le mythe de la contamination épidémique
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
L’invention du SARS-CoV-2 (article très technique)
L’enterrement de la théorie virale
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
Ebola : briser les mensonges et la supercherie.
Ces articles concourent à largement démontrer la fausseté de la théorie virale.
Si un nombre plus important de médecins se penchaient sérieusement sur de tels articles et acceptaient de remettre en question ce qu’on leur a enseigné à l’université sous la large influence de Big Pharma, après l’enterrement de la théorie virale, viendrait celui de la vaccination et d’une bonne partie de la médecine allopathique actuelle, puis l’effondrement des mesures sanitaires partout dans le monde, pierre angulaire de l’édification du Nouvel Ordre Mondial. Et sans cette pierre angulaire, celui-ci s’effondrerait à son tour.]

Les vaccins — les variants — la contamination

Selon les spécialistes honnêtes, ce sont bien les vaccins ARN-m qui favoriseraient ces mutations, contrairement au discours gouvernemental accusant, hier, les non-vaccinés d’être responsables de la propagation de la pandémie dans les pays pourtant massivement vaccinés, et, aujourd’hui, les vaccinés eux-mêmes du fait de leur supposé relâchement en matière de protection. Paradoxalement, à chaque échec des campagnes de vaccination, illustrée par la résurgence des cas, les autorités incriminent systématiquement les « citoyens », accusés de faire preuve de négligence en matière de protection sanitaire, mais ne remettent jamais en cause les vaccins. Elles n’appellent ni à reconsidérer la politique vaccinale ni à réexaminer la gestion sécuritaire de la crise sanitaire. Et pour cause. La première permet un enrichissement faramineux des Big Pharma, la seconde offre une opportunité d’infléchissement autoritaire des pouvoirs publics.

Pour autant, d’après une étude japonaise, les injections répétées de vaccins à ARN-m multiplieraient les anticorps facilitants, conduisant inéluctablement à des infections de formes sévères. En effet, avec chaque nouvelle injection, en raison de la multiplication des anticorps facilitants, les copies du virus augmenteraient la charge virale des vaccinés, contrairement aux non-vaccinés.

De fait, la vaccination à rappels multiples favoriserait, elle-même, l’émergence de l’infection. En effet, comme ne cessent de le soutenir, depuis le début de la pandémie, les docteurs Nicole et Gérard Delépine, la généticienne Alexandra Henrion-Claude, le professeur Christian Perronne et le professeur Didier Raoult (tous anathématisés, calomniés), pour ne citer que les scientifiques célèbres, les injections multiples des vaccins anti-Covid-19 ne favorisent pas que la production d’anticorps neutralisants contre la protéine spike du virus SARS-CoV-2. Certains anticorps dirigés contre cette protéine spike peuvent être facilitants, c’est-à-dire qu’ils peuvent au contraire faciliter l’infection des personnes injectées/vaccinées, selon un phénomène appelé ADE (« antibody-dependent enhancement » ou facilitation de l’infection dépendante des anticorps).(([5] Voir : Résultats de recherche pour « delepine » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « perronne » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « raoult » — les 7 du Québec.))

Par ailleurs, ces injections vaccinales multiples peuvent également provoquer une infection aggravée des personnes injectées/vaccinées (en cas d’infection ultérieure par un variant du SARS-CoV-2) via un phénomène plus large appelé ERD («enhanced respiratory diseases» ou facilitation des maladies respiratoires) qui ne dépend pas nécessairement de la production des anticorps facilitants.

Les récentes études montrent des signes cliniques plus marqués après infection que chez les personnes non vaccinées. La preuve par l’Allemagne. La revue « eugyppius » a publié une carte établie le 28 juin 2022 par l’Institut Robert-Koch (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) intitulée : «Omicron BA.5 préfère les Allemands de l’Ouest hyper vaccinés et masqués et évite l’ancienne RDA.» Dans cette carte, la revue dévoile l’existence, en matière de conduite politique et réceptivité psychologique, d’une démarcation prononcée entre l’ex-Allemagne de l’Est et l’ex-Allemagne de l’Ouest, héritage de la division territoriale, étatique et idéologique du pays entre 1945 et 1989 au cours de la guerre froide:  «Les Allemands de l’Est ont une expérience directe de la propagande gouvernementale et se sont montrés plus résistants à la campagne de vaccination que les Occidentaux. Leur récompense, après avoir été beaucoup dénigrés par les médias d’État, est maintenant un niveau plus élevé d’immunité naturelle et un taux plus faible d’infection par le BA.5, qui semble préférer les populations vaccinées.».

Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné. Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m serait devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire.

Au reste, du fait de la résistance des derniers variants (BA.4 et BA.5) aux anticorps neutralisants, et de l’émergence continue de nouveaux variants, la vaccination à rappels multiples engendrerait un risque sérieux d’atteinte à l’immunité naturelle des patients.

En effet, une vaccination contre la Covid-19 avec de nombreux rappels induirait, selon les scientifiques, notamment le défunt Luc Montagnier, un syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA (celui-ci est un syndrome immunitaire indépendant du VIH) chez les multi-injectés/ vaccinés. Par ailleurs, le dérèglement de l’immunité innée se traduirait également par un dérèglement de l’immunité adaptative/acquise, c’est-à-dire à un dérèglement généralisé du système immunitaire.(([6] Voir : Résultats de recherche pour « montagnier » — les 7 du Québec.))

En d’autres termes, les injections vaccinales répétées, dépassant le seuil critique, conduisent inévitablement à un dérèglement de l’immunité innée, et à l’apparition de potentiels troubles auto-immuns. Cette diminution des défenses immunitaires se traduit par une dangerosité accrue pour les vaccinés et un portage viral toujours plus fort.

De toute évidence, combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n’est pas une stratégie fiable ni viable. Aussi, comme le recommandent les experts honnêtes soucieux réellement de la santé publique, notamment japonais, dans l’attente de l’adaptation du vaccin au nouveau variant, autrement dit en attendant que la composition du vaccin soit mise à jour, pour éviter les mutations générées par les vaccinations à répétition, il serait plus prudent de favoriser une autre médication. Effectivement, comme le prouve l’expérience actuelle, la multiplication des injections avec des vaccins fondés sur la souche originelle du virus n’a aucune utilité médicale, sinon d’enrichir les laboratoires pharmaceutiques.(([7] Voir : Résultats de recherche pour « Izambert » — les 7 du Québec.))

Or, en dépit de l’échec de la vaccination et, surtout, des risques du dérèglement de l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques, au lieu d’adapter leur vaccin au variant Omicron (ou ses sous-variants), incitent les populations à l’injection d’une quatrième dose avec les mêmes vaccins élaborés pour la primitive souche du coronavirus apparue fin 2019. Car il faut écouler les stocks.

Le contexte pandémique sous le capitalisme

Quand la santé du capital prime celle de l’être humain, l’injection de manipulation scientifique, administrée à haute dose dans le corps social, devient la norme. Tel est le contexte pandémique actuel financièrement instrumentalisé par les multinationales du médicament. Alors que les vaccins ARN-m sont toujours en phase d’essai clinique, malgré leur l’échec patent à enrayer le virus, notamment contre le variant Omicron et ses dérivés, et les risques de dérèglement l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques persévèrent dans leur politique de préconisation de l’injection d’une quatrième (cinquième dans certains pays abonnés aux vaccins ARN-m de Pfizer) dose.

Les profits sont au rendez-vous

Une chose est sûre, à ce stade expérimental, avec ces vaccins ARN-m, le seul effet bénéfique concrètement observé est d’ordre financier. Le chiffre d’affaires de l’entreprise américaine Pfizer a bondi de 95 % en 2021, atteignant 81,3 milliards de dollars, et dégageant 22 milliards de bénéfices. BioNTech : 19 milliards de chiffres d’affaires et 10 milliards de bénéfices. Moderna : 20 milliards de chiffres d’affaires et 12 milliards de bénéfices. À eux trois, ces trois groupes pharmaceutiques ont réalisé 65 000 dollars de bénéfices par minute. Avec l’augmentation du prix de vente décidée, la quatrième injection est assurée de croître de 50% les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques.

Le tiers monde est protégé-immunisé par sa pauvreté

Pour conclure. Comment expliquer qu’en Asie et en Afrique, sans mesures de restrictions, ni de protection sanitaire (masques, solutions et gels hydroalcooliques pour se désinfecter les mains, gestes barrières, etc.), ni aucune injection vaccinale, pour l’Afrique, la faiblesse du nombre de contaminations et de décès dans ces deux continents (qui représentent les 2/3 de l’Humanité) ? Par l’innocuité du coronavirus ? Comment interpréter la surmortalité liée au Covid-19 officiellement enregistrée par les États occidentaux et leurs pays satellites (qui totalisent 70% des 6 millions de décès dans monde) ? Par la surestimation du nombre de décès attribués au Covid-19, surtout quand on apprend que plus de 99% des morts liés au virus étaient atteints d’une autre maladie grave, de comorbidité ? Comment analyser cette disparité de la mortalité devant ce virus à géographie variable ? À croire que ce virus mute en fonction des États, flambe au gré des orientations politiques et économiques des dirigeants, tue statistiquement selon la volonté des gouvernements, ressuscite invariablement au rythme de la multiplication des vaccinations imposées dans les pays atlantistes ! En complémentaire : les Big Pharma fourguent leurs vaccins aux pays africains : Michèle Rivasi – Vaccins Covid-19 | Quelle est la vision… | Facebook 

Khider MESLOUB




Le Nouvel Ordre Mondial se dérobera-t-il sous leurs pieds ?

[Source : bernardalex.com]

[Illustration : Crevards, vandales, finance (Détail N°2) collage techniques mixtes 100X130 – (2011-2013)]

Par Bernard-Alex, artiste plasti-cœur

Tout le système repose sur les épaules du plus grand nombre, qui en constitue la base, le socle ; l’assise en quelque sorte de la bête immonde qui nous chie sur la tête depuis plusieurs siècles. N’ayons pas peur des mots : ce qui est est. Ce système ne tient, ne fonctionne, ne s’engraisse, que grâce au collagène des populations vendues à la découpe, sur « le Marché » mondial des Vies volées (au sens propre comme au sens figuré, les deux défigurés de toute façon à l’arrivée). Des Vies volées, esclaves, servant aussi de pièces détachées, transplantées sur des crevards friqués, obsédés par l’éternité, quitte à manger des bébés cuits et des placentas frais. (Emportés sous le manteau dans des glacières par des types très nerveux pris sur le fait.) Oui, des bébés, pour la plupart arrachés à leurs mères par césariennes, pratiquées à la baïonnette ou au couteau, sur les champs de bataille, ou plutôt, sur les boucheries de batailles que la bête suscite un peu partout. Jamais rassasiée. Le Marché, la finance — Ils — cette main invisible, disent-ils eux-mêmes, pour enfumer la galerie avec force marketing, à coups de marteau sur la tête. Nul exagération ici, bien en dessous de la réalité qui nous est faite, au moyen de procédés immondes relevant de la Cour Pénale Internationale (C.P.I), pour ne pas dire d’un nouveau Nuremberg, qui cette fois-ci jugerait non seulement les lampistes et les idiots utiles, mais aussi et surtout ceux qui se cachent derrière.  

Non !!!

Le monde n’est pas voué à être dégueulasse, sordide, pavé de souffrances infligées gratuitement. Non, l’homme n’a pas toujours été le monstre qu’il est devenu aujourd’hui. Non, il n’y a pas de fatalité.

Oui !!!

Ils sont à notre portée, parce qu’identifiés clairement de nos jours. (Ce qui leur fout la trouille.) À la portée du plus grand nombre bientôt réconcilié, comme un continuum se dérobant sous leurs pieds sans coup férir. Il n’est que de leur faire faux bond, et boum, les voilà par terre. Il n’y a plus qu’à les ramasser et les juger, par camions entiers jusqu’au dernier, pour crime économique contre l’Humanité, crime d’empoisonnement de l’Humanité, crimes mortels contre l’Écosystème… Avec des exemples assez marquants pour contenir les fauves retournés dans leurs ménageries respectives, en lieu et place des animaux exotiques dont ils collectionnent les trophées.

Que les populations viennent à se dérober sous leurs pieds, et… Terminé !!!

Ce système est voué à s’effondrer (dans la minute, dans l’heure, l’année…). Ses jours sont comptés (1989 était l’annonce de sa mort prochaine, car il n’y avait plus rien pour le contenir, le limiter). Il finira tôt ou tard par s’écrouler sur lui-même, ravageant tout à la ronde sur des kilomètres. Crachant sa haine comme une bête ignoble à l’agonie. Un peu comme ces tours infernales, fameuses, fumeuses, s’effondrant à point nommé sur elles-mêmes à la vitesse de la chute libre, sans artificier, défiant par là toutes les lois de la physique universelle (si on s’en tient à la version officielle). Une version officielle empreinte de magie à en croire nombre d’architecte, d’ingénieurs et d’artificiers analysant les données disponibles. (La controverse suit son cours.) Ce système est voué à l’échec, car ceux qui en sont à l’origine sont incapables de se réfréner, la plupart étant des monstres infectés, de père en filsdepuis des siècles. À force de coucher avec leurs mères, leurs sœurs, leurs cousines, leurs enfants et maintenant leurs chiens de compagnie, peut-on s’en étonner ? Il nous revient de procéder à la destruction contrôlée de cet édifice, avant qu’il ne s’écrabouille sur sa base constituée par les peuples enrégimentés, à seule fin de le soutenir et de faire vivre cette Pyramide de Ponzi.

Que la base se dérobe et voilà la pyramide se fracassant sur elle-même, dans un nuage de poussières et de débris, hors de portée de la base qui se sera éloignée pour se mettre à l’abri. Un peu comme ces cornacs courant derrière leurs éléphants et nombre d’animaux partis se réfugier sur les hauteurs, avant le fameux tsunami, historique par le nombre de touristes blancs emportés. Le gratin des lumières obscurantistes et après moi le déluge pour l’éternité. Pchittt… Envolé ! La une dans le monde entier !!! Il reste que ces « animaux débiles » venaient de surpasser la crème de « l’espèce reine » autoproclamée, en un instant suprême, un instant T déterminant où il est question de Vie ou de Mort instantanée. Qui est supérieur à qui en la circonstance ? Un peu d’humilité aurait suffi pour se sauver la Vie.

La solution à nos problèmes se trouve en nous-mêmes.

[Voir aussi :
Résister à la dérive totalitaire
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
La clef de la libération
Comment s’unir
Masse critique]

Et les problèmes d’aujourd’hui ne sont rien à côté de ceux qui nous viennent à toute allure sur le coin de la… (j’hésite sur le mot à employer.) Pour ce qu’il en restera après me direz-vous. Se dérober sous leurs pieds, avant que l’édifice n’aplatisse tout, jusqu’au dernier. Se dérober, ne plus donner prise, d’abord de moins en moins jusqu’à plus rien ou presque rien. Se déconnecter soi-même, de soi-même, par « soi-m’aime », avant que cela ne soit exécuté par d’autres que soi-même, avec une violence extrême par-dessus le marché, gratuite, pathologique. Une méchanceté pour elle-même, sans état d’âme, et/ou avec délectation cynique, sadique, sous couvert de la science économique, de la finance, du marché.
 

Crevards, vendales, finance (Détail N°3)  collage techniques mixtes 100X130 - (2011-2013)
Crevards, vandales, finance (Détail N° 3) collage techniques mixtes 100X130 — (2011-2013)

Le Marché !!!

Aime que les individus soient logés à la même enseigne de charcuterie, dans des baraques en bois, en paille et en carton mouillé. Les maisons de briques étant réservées aux idiots utiles, pour leur donner l’illusion de la sécurité. Le marché est un chacal sans états d’âme pour les petits cochons, et un loup en germination pour lui-même, rendu aveugle par sa cupidité et sa méchanceté. (Enfin, ceux qui se cachent derrière Le Marché, la finance, les banquiers, les rentiers et le reste.) Le dernier petit cochon utile égorgé dans son lit (se croyant bien à l’abri derrière ses murs de briques), le Marché ne pourra s’empêcher de se retourner contre lui-même, s’attaquant à son propre ventre à pleines dents pour en arracher les boyaux, dans un jaillissement de merde et de hurlements.

Quelle horreur !!!

Ainsi donc se terminerait l’épopée humaine, qui se mesure en dizaines de milliers d’années aujourd’hui ?!!! Et non ces quelques milliers d’années, comme la secte millénaire a voulu le faire avaler au monde entier à coup de meurtres et d’assassinats. Manque de bol, tout finit par sortir. Ce qui explique cette hystérie à laquelle nous assistons. Cela respire la maladie à plein nez (il suffit de les regarder s’exprimer), une poignée de dégénérés, de déséquilibrés. Les derniers héritiers d’une longue lignée d’enfoirés, dépravés, débauchés, arriérés, sur la fin, et qui voudraient nous entraîner avec elle dans les pissotières puantes que sont devenues leurs têtes.

@ moins…

À moins de lever le pied au pied levé et de leur faire un pied de nez pour renouer avec l’essentiel. Ciel !!! Il y a une vie après la consommation, il y a : La Vie. Le contraire de la non-vie que l’on nous contraint à vivre toute « la vie ». Debout les gens !!! Ce n’est pas la Vie qui est moche mais ce qui en est fait.

Crevards, vendales, finance (Détail N°4)  collage techniques mixtes 100X130 - (2011-2013)
Crevards, vandale, finance (Détail N° 4) collage techniques mixtes 100X130 — (2011-2013)

Debout les gens !

Regroupez-vous, organisez-vous, préparez les canots et les gilets de sauvetage, rassemblez les provisions, récupérez votre argent contre de l’or trébuchant, avant que ne trébuchent les fous de pouvoir et d’argent factice, enivrés par leurs rêves d’ouragans – arrogants – cataclysmiques. Nul besoin de révolution ni d’affrontements, quand il suffirait de nous dérober sous leurs gros sabots.

Organisez des files d’attente devant les banques. N’achetez plus que ce dont vous avez véritablement besoin. Mettez vos téléviseurs sur le trottoir, éteignez la radio, n’achetez plus la presse écrite, elle est entre les mains des marchands d’armes et de la finance.

Discutez avec vos amis, la famille, les proches, mettez en commun vos forces et votre intelligence en vue de vous organiser. Renseignez-vous sur ce qui se fait déjà, ici et là, en France comme en Grèce et ailleurs. Agrégez différents corps de métier… Il n’y a pas de fatalité, tout ce que l’Homme rêve, il est en mesure de le réaliser.

Utopie ?!

Peut-être, sans doute, mais n’était-il pas utopique pour ceux qui nous ont précédés de croire qu’un jour nous nous élèverions dans le ciel ? Léonard de Vinci était-il un fou ou un génie ? Tout ce que l’Homme rêve peut par lui être réalisé. Debout les gens, ils ne représentent que 1 % de la population planétaire, largement répertoriés aujourd’hui, grâce à l’internet, avec noms, photos et adresses.  




L’agonie de l’Occident

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

Sergueï Lavrov avait l’habitude de comparer l’Occident à un prédateur blessé. Selon lui, il ne faut pas le provoquer car il serait pris de folie et pourrait tout casser. Il convient plutôt de l’accompagner au cimentière. L’Occident ne l’entend pas ainsi. Washington et Londres mènent une croisade contre Moscou et Pékin. Ils rugissent et sont prêts à tout. Mais que peuvent-ils entreprendre vraiment ?

Comme Rome, l’Empire anglo-saxon s’effondre de par sa propre décadence.

Cet article fait suite à :
 1. « La Russie veut contraindre les USA à respecter la Charte des Nations unies », 4 janvier 2022.
 2. « Washington poursuit le plan de la RAND au Kazakhstan, puis en Transnistrie », 11 janvier 2022.
 3. « Washington refuse d’entendre la Russie et la Chine », 18 janvier 2022.
 4. « Washington et Londres, atteints de surdité », 1er février 2022.
 5. « Washington et Londres tentent de préserver leur domination sur l’Europe », 8 février 2022.
 6. « Deux interprétations de l’affaire ukrainienne », 15 février 2022.
 7. « Washington sonne l’hallali, tandis que ses alliés se retirent », 22 février 2022.
 8. « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », 5 mars 2022.
 9. « Une bande de drogués et de néo-nazis », 5 mars 2022.
 10. « Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens », 8 mars 2022.
 11. « Ukraine : la grande manipulation », 22 mars 2022.
 12. « Le Nouvel Ordre Mondial que l’on prépare sous prétexte de guerre en Ukraine », 29 mars 2022.
 13. « La propagande de guerre change de forme », 5 avril 2022.
 14. « L’alliance du MI6, de la CIA et des bandéristes », 12 avril 2022.
 15. « La fin de la domination occidentale »,19 avril 2022.
 16. « Ukraine : la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée », 26 avril 2022.
 17. « Washington espère rétablir son hyper-puissance grâce à la guerre en Ukraine », 3 mai 2022.
 18. « Le Canada et les bandéristes », 10 mai 2022.
 19. « Une nouvelle guerre se prépare pour l’après défaite face à la Russie », 24 mai 2022.
 20. « Les programmes militaires secrets ukrainiens », 31 mai 2022.
 21. « Ukraine : quiproquos, méprises et incompréhensions », 7 juin 2022.
 22. « La Pologne et l’Ukraine », 14 juin 2022,
 23. « L’idéologie des bandéristes ukrainiens », 21 juin 2022.
 24. « Le sabordage de la paix en Europe », 28 juin 2022.

Le président Joe Biden et le Premier ministre Boris Johnson lors du sommet du G7 à Elmau (Allemagne).

Les sommets du G7 en Bavière et de l’Otan à Madrid devaient annoncer la punition par l’Occident du Kremlin pour son « opération militaire spéciale en Ukraine ». Mais, si l’image donnée a mis en avant celle de l’unité des Occidentaux, la réalité atteste de leur déconnexion des réalités, de leur perte d’audience dans le monde et en définitive de la fin de leur suprématie.

Alors que les Occidentaux se persuadent que l’enjeu est en Ukraine, le monde le voit affronter le « piège de Thucydide »(([1] Destined For War : Can America and China escape Thucydides’s Trap ?, Graham T. Allison, Houghton Mifflin Harcourt (2017).)). Les relations internationales continueront-elles à s’organiser autour d’eux ou deviendront-elles multipolaires ? Les peuples jusqu’ici soumis s’affranchiront-ils et accéderont-ils à la souveraineté ? Sera-t-il possible de penser autrement qu’en termes de domination globale et de se consacrer au développement de chacun ?

Les Occidentaux ont imaginé un narratif de l’« opération militaire spéciale » russe en Ukraine qui fait l’impasse sur leur propre action depuis la dissolution de l’Union soviétique. Ils ont oublié leur signature de la Charte de la Sécurité européenne (dite aussi déclaration d’Istanbul de l’OSCE) et la manière dont ils l’ont violée en faisant adhérer un à un presque tous les anciens membres du Pacte de Varsovie et une partie des nouveaux États post-soviétiques. Ils ont oublié la manière dont ils ont changé le gouvernement ukrainien en 2004 et le coup d’État par lequel ils ont placé au pouvoir à Kiev des nationalistes bandéristes en 2014. Ayant fait du passé table rase, ils accusent la Russie de tous les maux. Ils refusent de remettre en question leurs propres actes et considèrent, qu’à l’époque, ils sont passés en force. Pour eux, leurs victoires font le Droit.

Pour préserver ce narratif imaginaire, ils ont déjà fait taire les médias russes chez eux. On a beau se prétendre « démocrates », il vaut mieux censurer les voix discordantes avant de mentir.

Ils abordent donc le conflit ukrainien, sans contradiction, en se convaincant qu’ils ont le devoir de juger seuls, de condamner et de sanctionner la Russie. En faisant chanter de petits États, ils sont parvenus à obtenir un texte de l’Assemblée générale des Nations-unies qui semble leur donner raison. Ils envisagent maintenant de démanteler la Russie comme ils l’ont fait en Yougoslavie et ont tenté de le faire en Iraq, en Libye, en Syrie et au Yémen (stratégie Rumsfeld/Cebrowski).

Pour ce faire, ils ont commencé à isoler la Russie de la Finance et du Commerce mondial. Ils ont coupé son accès au système SWIFT et aux Lloyds, l’empêchant d’acheter et de vendre tout autant que d’assurer son transfert de marchandise. Ils pensaient ainsi provoquer son effondrement économique. De fait, le 27 juin 2022, la Russie s’est avérée incapable d’honorer une dette de 100 millions de dollars et l’agence de notation Mody’s l’a déclarée en défaut de paiement.(([2] « Government of Russia : Missed coupon payment constitutes a default », Moody’s, June 27, 2022.))

Mais cela n’a pas eu l’effet escompté : tout le monde sait que les réserves de la Banque centrale russe regorgent de devises et d’or. Le Kremlin a payé les 100 millions, mais n’a pas pu les transférer en Occident du fait des sanctions occidentales. Il les a placés sur un compte bloqué où ils attendent leurs débiteurs.

Pendant ce temps, le Kremlin qui n’est plus payé par les Occidentaux s’est mis à vendre sa production, notamment ses hydrocarbures, à d’autres acheteurs, particulièrement à la Chine. Les échanges ne pouvant plus être effectués en dollars le sont en d’autres monnaies. Par conséquent, les dollars que leurs clients utilisaient d’habitude refluent vers les États-Unis. Ce processus avait déjà commencé il y a plusieurs années. Mais les sanctions unilatérales occidentales l’ont brutalement accéléré. L’énorme quantité de dollars qui s’accumule aux USA y provoque une hausse des prix massives. La Réserve fédérale fait tout son possible pour la partager avec la zone euro. La hausse des prix se propage à grande vitesse sur tout le continent ouest-européen.

La Banque centrale européenne n’est pas un organisme de développement économique. Sa mission principale est de gérer l’inflation à l’intérieur de l’Union. Constatant qu’elle ne peut absolument pas ralentir la brusque hausse des prix, elle tente de l’utiliser pour diminuer sa dette. Les États membres de l’Union sont donc invités à compenser, par des baisses d’impôts et des allocations, la baisse du pouvoir d’achat de leurs « citoyens ». Mais c’est un cercle sans fin : en aidant leurs citoyens, ils se lient les pieds et les mains à la Banque centrale européenne, ils s’enchaînent un peu plus aux dettes US et s’appauvrissent encore.

Il n’y a pas de remède à cette inflation. C’est la première fois en effet que l’Occident doit éponger les dollars que Washington a imprimé avec insouciance durant des années. La hausse des prix en Occident correspond au coût des dépenses impériales des trente dernières années. C’est aujourd’hui et aujourd’hui seulement que l’Occident paye ses guerres de Yougoslavie, d’Afghanistan, d’Iraq, de Libye, de Syrie et du Yémen.

Jusqu’à présent les États-Unis tuaient tous ceux qui menaçaient la suprématie du dollar. Ils ont pendu le président Saddam Hussein qui la refusait et ont pillé la Banque centrale iraquienne. Ils ont torturé et lynché le guide Mouamar el-Kadhafi qui préparait une nouvelle monnaie panafricaine et ont pillé la Banque centrale libyenne. Les sommes gigantesques amassées par ces États pétroliers ont disparu sans laisser de traces. On a seulement vu des GI’s embarquer des dizaines de milliards de dollars emballés dans de grands sacs-poubelles. En excluant la Russie des échanges en dollar, Washington a lui-même provoqué ce qu’il redoutait tant : le dollar n’est plus la monnaie de référence internationale.

La majorité du reste du monde n’est pas aveugle. Elle a bien compris ce qui se passe et s’est précipitée au Forum économique de Saint-Pétersbourg, puis a tenté de s’inscrire au sommet virtuel des Brics. Elle réalise —un peu tard— que la Russie a lancé le « Partenariat de l’Eurasie élargie », en 2016 et que son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, l’avait solennellement annoncé à l’Assemblée générale de l’Onu, en septembre 2018(([3] “Remarks by Sergey Lavrov to the 73rd Session of the United Nations General Assembly”, by Sergey Lavrov, Voltaire Network, 28 September 2018. « Onu : naissance du monde post-occidental », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 2 octobre 2018.)). Durant quatre ans, quantités de routes et de chemins de fer ont été construits pour intégrer la Russie dans les réseaux des nouvelles « routes de la soie », terrestres et maritimes, imaginés par la Chine. Il a donc été possible de déplacer en quelques mois les flux de marchandise.

Le reflux des dollars et le déplacement des flux de marchandise provoquent une hausse plus marquée encore du prix des énergies. La Russie, qui est l’un des premiers exportateurs d’hydrocarbures au monde, a vu ses revenus augmenter considérablement. Sa monnaie, le rouble, ne s’est jamais aussi bien portée. Pour y faire face, le G7 a fixé un prix plafond du gaz et du pétrole russe. Il a ordonné à la « communauté internationale » de ne pas payer plus cher.

Mais la Russie ne va évidemment pas laisser les Occidentaux fixer les prix de ses produits. Ceux qui ne veulent pas les payer aux prix du marché ne pourront pas les acheter et aucun client n’a l’intention de se priver pour faire plaisir aux Occidentaux.

Le G7 tente d’organiser, au moins au plan intellectuel, sa suprématie(([4] « Communiqué des chefs d’Etat et de gouvernement du G7 d’Elmau », Réseau Voltaire, 28 juin 2022.)). Cela ne fonctionne plus. Le vent a tourné. Les quatre siècles de domination occidentale sont terminés.

En désespoir de cause, le G7 a prit l’engagement de résoudre la crise alimentaire mondiale que sa politique a provoqué. Les pays concernés savent ce que les engagements du G7 veulent dire. Ils attendent toujours le grand plan de développement de l’Afrique et autres miroirs aux alouettes. Ils savent que les Occidentaux ne peuvent pas produire les engrais azotés et qu’ils empêchent la Russie de vendre les leurs. Les aides du G7 sont uniquement des pansements sur des jambes de bois chargés de les faire patienter et de ne pas remettre en question les principes sacrés du libre-échange.

Le sommet de l’Otan à Madrid était une manifestation d’unité et de puissance. Mais ses Etats membres étaient convoqués pour signer ce que Washington et Londres avaient décidé pour eux. Leur unité n’était qu’une forme de servitude dont beaucoup songeaient à s’affranchir.

La seule option possible pour le sauvetage de la domination occidentale, c’est la guerre. Il faut que l’Otan parvienne à détruire militairement la Russie comme jadis Rome avait rasé Carthage. mais c’est trop tard : l’armée russe dispose d’armes bien plus sophistiquées que l’Occident. Elle les a déjà expérimentées depuis 2014 en Syrie. Elle peut à tout instant écraser ses ennemis. Le président Vladimir Poutine a exposé devant ses parlementaires, en 2018, les progrès stupéfiants de son arsenal.(([5] “Vladimir Putin Address to the Russian Federal Assembly” by Vladimir Putin, Voltaire Network, 1 March 2018. « Le nouvel arsenal nucléaire russe rétablit la bipolarité du monde », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 6 mars 2018.))

Le sommet de l’Otan de Madrid était une belle opération de communication(([6] « Ce qu’il faut retenir du Sommet de l’OTAN 2022 à Madrid », Réseau Voltaire, 29 juin 2022.)). Mais ce n’était que le chant du cygne. Les 32 États membres ont proclamé leur unité avec le désespoir de ceux qui craignent de mourir. Comme si de rien n’était, ils ont d’abord adopté une stratégie pour dominer le monde durant les dix prochaines années, désignant la « croissance » de la Chine comme un sujet de préoccupation(([7] « OTAN 2022 Concept Stratégique », Réseau Voltaire, 29 juin 2022.)). Ce faisant ils ont admis que leur but n’est pas d’assurer leur sécurité, mais bien de dominer le monde. Ils ont alors ouvert le processus d’adhésion de la Suède et de la Finlande et envisagé de s’approcher de la Chine avec, pour commencer, une possible adhésion du Japon.

Le seul incident, rapidement maîtrisé, aura été la pression turque qui a contraint la Finlande et la Suède à condamner le PKK(([8] “Turkiye, Sweden, Finland Memorandum”, Voltaire Network, 28 June 2022.)). Incapables de résister, les États-Unis ont lâché leurs alliés, les mercenaires kurdes en Syrie et leurs leaders à l’étranger.

Sur ce, ils ont décidé de multiplier par 7,5 la Force d’action rapide de l’Otan, en la faisant passer de 40 000 à 300 000 hommes, et de la stationner à la frontière russe. Ce faisant ils ont violé une fois de plus leur propre signature, celle de la Charte de la Sécurité en Europe, en menaçant directement la Russie. En effet, celle-ci n’a pas la possibilité de défendre ses immenses frontières et ne peut assurer sa sécurité qu’en veillant à ce qu’aucune force étrangère n’installe de base militaire à ses frontières (stratégie de la terre brûlée). D’ores et déjà, le Pentagone fait circuler des cartes prospectives du démantèlement de la Russie qu’il espère mettre en œuvre.

L’ancien ambassadeur russe à l’Otan et actuel directeur de Roscosmos, Dmitry Rogozin, leur a répondu en publiant sur son compte Telegram les coordonnées de tir des centres de décisions de l’Otan, salle du sommet de Madrid comprise(([9] « La Russie menace les centres de décision occidentaux », Réseau Voltaire, 28 juin 2022.)). La Russie dispose de lanceurs hypersoniques, pour le moment impossibles à intercepter, qui peuvent porter une charge nucléaire en quelques minutes sur le siège de l’Otan à Bruxelles et sur le Pentagone à Washington. Pour qu’il n’y ait pas de méprise, Sergueï Lavrov a précisé, faisant allusion aux Straussiens, que les décisions martiales de l’Occident n’étaient pas prises par les militaires, mais au département d’État US. C’est lui qui serait la première cible.

La question est donc : les Occidentaux joueront-ils le tout pour le tout. Prendront-ils le risque d’une Troisième Guerre mondiale pourtant déjà perdue, juste pour ne pas mourir seuls ?





Optogénétique – la voie planifiée vers un contrôle sans faille de nos cerveaux ?

[Source : Kla.tv]



Des efforts sont déployés dans le monde entier pour installer dans le cerveau humain des interfaces sans fil, c’est-à-dire des outils de communication, entre le cerveau et l’ordinateur. L’optogénétique est l’une des méthodes les plus ambitieuses à cet égard. Aujourd’hui, plus de 1 000 laboratoires dans le monde, dont certains appartenant à des organisations gouvernementales, travaillent sur différentes méthodes optogénétiques.

Qu’est-ce que l’optogénétique ?

L’optogénétique est une combinaison de méthodes génétiques et optiques permettant de provoquer des événements dans des cellules cibles, des tissus ou des êtres vivants complexes à l’aide d’une lumière LED.
L’optogénétique est déjà utilisée aujourd’hui dans le monde entier à des fins très diverses, par exemple pour des applications biomédicales et le traitement de maladies neuronales.
L’un des avantages de l’optogénétique est qu’elle ne nécessite potentiellement aucune intervention chirurgicale, mais seulement une injection de thérapie génique. Certaines protéines sensibles à la lumière sont emballées dans un virus et injectées à l’endroit prévu du cerveau, où il infecte différentes cellules. Grâce à ces protéines photosensibles, il est alors possible d’exciter ou d’immobiliser de manière ciblée certains réseaux neuronaux par la lumière LED.

En d’autres termes, la lumière LED permet d’effacer et d’écraser des souvenirs ainsi que de contrôler et d’influencer rapidement et avec précision les cellules cérébrales et musculaires – et donc les sentiments, les pensées, les mouvements du corps et les comportements.
L’optogénétique ne nécessite donc que de la lumière LED qui irradie les neurones du cerveau.
L’irradiation se fait par exemple à travers la voûte du cerveau ou par des nano-LED implantées dans le corps.

Parallèlement à la recherche optogénétique, un forum LED a lieu chaque année, où se rencontrent des personnalités du secteur international de l’éclairage. Les thèmes abordés lors de ce forum sont par exemple l’utilisation de micro-LED, qui sont importantes pour améliorer l’émission de lumière pour l’optogénétique. Ou encore l’Internet des objets et l’objectif d’intégrer un capteur dans chaque lampe à LED afin d’assurer la transmission numérique des données via la lumière LED. Il est intéressant de noter que parmi les intervenants du forum LED, on trouve des personnes très proches aussi bien du Forum Economique mondial (FEM) que du Club de Rome. Par exemple, en 2019, Andreas Huber, l’actuel directeur général du Club de Rome Allemagne, y a présenté un exposé.

Le Club de Rome est considéré comme le plus grand groupe de réflexion de l’élite pour un nouvel ordre mondial, qui voit la solution aux problèmes mondiaux dans une réduction drastique de la population. C’est également ce club qui a soutenu la création du FEM de Klaus Schwab. Le FEM, quant à lui, fait avancer un nouvel ordre mondial avec le projet de « Great Reset ».

Le FEM considère donc l’optogénétique comme l’une des technologies les plus importantes. Ainsi, il est écrit sur leur page d’accueil, je cite :

« Notre cerveau est composé de milliards de cellules appelées neurones, et ces neurones communiquent entre eux via des circuits neuronaux. L’optogénétique nous permet pour la première fois de manipuler les messages que ces neurones s’envoient les uns aux autres. Cette technique pourrait éventuellement être utilisée pour manipuler les souvenirs, les émotions et les pensées… »

Étant donné que de hauts responsables politiques de la Commission européenne, comme Ursula von der Leyen, entretiennent des liens d’amitié étroits avec le FEM, il n’est pas surprenant que la Commission européenne s’enthousiasme également pour l’optogénétique :

« Même si nous n’en sommes pas conscients, les cellules nerveuses sont essentielles à notre capacité de comprendre notre environnement et d’interagir avec lui. Grâce à l’optogénétique, ces cellules peuvent désormais être contrôlées par la lumière avec une grande précision. »

C’est également la Commission européenne qui a introduit en 2009 l’interdiction controversée des ampoules à incandescence et qui a ainsi rendu possible une utilisation sans faille des diodes électroluminescentes LED.

Chers spectateurs, il est extrêmement préoccupant que des cercles de personnes comme le Club de Rome ou le FEM s’enthousiasment pour des technologies comme l’optogénétique. Des cercles de personnes voient comme solution aux problèmes mondiaux la réduction de la population ou le « Great Reset ». Un « Great Reset » dont l’objectif, selon le FEM, est qu’en 2030, nous ne possédions plus rien et soyons malgré tout heureux.

Peut-être heureux grâce à la manipulation optogénétique appliquée ?

de maf.

Sources / Liens :

Optogenetik:

Optogenetik ohne operativen Eingriff:

LED mit Sensor

LED- Forum und nahe stehende Personen zum WEF:

Andreas Huber:

Club of Rome, WEF:

Europäische Kommission:

Ticket:
SE-449




Crypto : la spéculation des pauvres !

[Source : laminutedericardo.com]




[Voir aussi :]

Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée

La marque de la bête existe et a été brevetée par Microsoft. EXTRAITS.

CRYPTO-MONNAIES: Qui tire les ficelles ?… Olivier Delamarche Balance TOUT !

Entre véritable révolution technologique et manipulation de marché à peine déguisée, qu’en est-il vraiment de la situation sur les crypto monnaies ? Quels dangers pouvons-nous rencontrer sur cette nouvelle classe d’actif numérique ? Réponse avec Olivier Delamarche.
(Vidéo < 10 min)

Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?

Depuis quelques semaines, le bitcoin ne cesse d’affoler les compteurs. La valeur de la cryptomonnaie la plus célèbre du monde a même dépassé les 60 000 dollars au cours du mois de mars 2021, du jamais-vu dans l’histoire récente des cryptomonnaies.
Cette tendance favorable peut s’expliquer par plusieurs facteurs : tout d’abord, la crise sanitaire et les différents plans de relance à travers le monde et ensuite l’arrivée d’investisseurs qualifiés de « traditionnels ». L’extrême volatilité de la crypto de Nakamoto, ne semble donc plus décourager les investisseurs. Certains même n’hésitent pas à parler d’or digital ou encore d’étalon Bitcoin.
La comparaison entre l’actif numérique et l’or en matière de référence de valeur est de plus en plus entendue dans le monde de l’investissement.

La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés

Nous sommes à peine entrés dans l’automne (financier), que de nombreuses déclarations émanant de plusieurs institutions nous informent que la disparition de l’argent liquide va encore s’accélérer.
L’establishment financier européen commence à habituer les populations aux profondes transformations qui vont avoir lieu grâce à cette crise post pandémique.




La baisse de la fertilité chez les vaccinés est de plus en plus probable

L’excellente Interview d’Alexandra Henrion Caude, généticienne spécialisée dans la recherche sur l’ARNm, sur sud radio par André Bercoff précise les avancées sur les études en cours sur le risque sur la fertilité des injections anticovid. Elle évoque les risques pour les enfants vaccinés à long terme, impossibles à évaluer sans recul suffisant.

https://m.youtube.com/watch?v=dhXQQqUdqMM

Interview d’Alexandra Henrion Caude — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) avec tweets sur le sujet

On avait fini par admettre que la dépopulation était au programme des mondialistes sous influence de Bill Gates et de transhumanistes comme Laurent Alexandre. Mais au-delà des suspicions légitimes vu le mécanisme de l’injection ARNm qui a prédilection pour les organes reproducteurs, les preuves scientifiques commencent à tomber via Israël, précurseur des injections et donc des effets secondaires.

Déjà depuis plusieurs mois des articles scientifiques apparaissaient dans la base de données PUBMED sur le sujet, les premiers portant sur de très faibles nombres d’injectés et voulant innocenter l’injection, contrairement aux alertes déjà anciennes des banques de données officielles.

D’autres traduisent mieux notre inquiétude comme Les risques de la Covid-19 (et des vaccins) sur les organes sexuels et la fertilité (infodujour.fr) dans un entretien avec le Dr Jean-Marc Sabatier.(([1] Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, affilié à l’Institut de Neuro Physiopathologie (INP) à l’université d’Aix-Marseille.))

« Chez l’homme, le SARS-CoV-2 peut s’attaquer aux testicules, au pénis et à la prostate. Chez la femme, le virus peut s’attaquer à l’utérus (endomètre) et aux ovaires. Pourquoi ces attaques sont-elles possibles ? Parce que le SARS-CoV-2 reconnaît le récepteur cellulaire ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine-2) qui lui sert de site de fixation lui permettant d’infecter les cellules ; le récepteur ECA2 est très présent au niveau des cellules des organes reproducteurs masculin et féminin, ce qui les rendent très vulnérables au virus. Il est notable que le récepteur ECA2 — en parallèle des organes reproducteurs, dont les gonades (testicules et ovaire) — se retrouve également dans de nombreux autres organes et tissus de l’organisme (ceux-ci sont en conséquence ciblés par le virus), tels que le cœur, les poumons, les reins, le foie, le pancréas, la rate, le système vasculaire (vaisseaux sanguins), la peau, le cerveau, les intestins, les glandes surrénales, et autres. »

Un papier récent de juin 2022 démontre l’altération au moins temporaire de l’état du sperme et des spermatozoïdes.(([2] La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motifs chez les donneurs de sperme (nih.gov) Andrology. 2022 Jun 17. doi : 10.1111/andr.13209. étude israélienne par Itai Gat et al))

Extraits :

«  Ils ont étudié chez des donneurs de sperme l’effet du vaccin covid-19 BNT162b2 (Pfizer) sur les paramètres du sperme. 37 donneurs de trois banques de sperme ont fourni 220 échantillons, et ont été inclus dans cette étude de cohorte longitudinale multicentrique rétrospective. La vaccination BNT162b2 comprenait deux doses, et la vaccination était prévue 7 jours après la deuxième dose. L’étude comprenait : contrôle de base pré-vaccination, et évaluations à court, intermédiaire et long terme.

Chacun comprenait 1 à 3 échantillons de sperme par donneur fournis 15 à 45, 75 à 120 et plus de 150 jours après la fin de la vaccination, respectivement. Les critères d’évaluation principaux étaient les paramètres du sperme.

Résultats : Des mesures répétitives ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur le deuxième échantillon entraînant une réduction du nombre total de mobilité des spermatozoïdes de 22,1 % par rapport au prélèvement initial.

De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a montré des réductions de la concentration — baisse médiane de 12 millions/ml et 31 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement lors de la première évaluation de l’échantillon et déclin médian de 9,5×106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) sur l’examen moyen des échantillons.

L’évaluation à trois mois a démontré un rétablissement global. Le volume de sperme et la motilité des spermatozoïdes n’ont pas été altérés. Cette étude longitudinale axée sur les donneurs démontre une concentration sélective temporaire de spermatozoïdes et une détérioration trois mois après la vaccination, suivie d’un rétablissement ultérieur vérifié par diverses analyses statistiques ».

L’étude est limitée en nombre de donneurs et de paramètres du sperme, ce qui ne résume pas les conditions de la fertilité efficace, mais a le mérite de prouver déjà une action directe sur le sperme. D’autres études toujours basées également sur un faible nombre de donneurs se veulent rassurantes. Néanmoins le recul est toujours faible de deux à trois mois, après l’injection ne permettant en aucun cas de prévisions raisonnables pour l’avenir d’autant que la durée de fabrication de la protéine spike par l’organisme injecté reste inconnue et s’allonge au fur et à mesure des études (au moins trois mois actuellement).

Les alertes officielles cachées par les médias

Par ailleurs vu le nombre de fausses couches déclarées sur le VAERS ou sur EudraVigilance on peut s’étonner de l’absence d’articles référencés sur ce sujet sur PubMed. On peut supposer le refus des éditeurs soumis à Big Pharma.. Rappelons ces chiffres(([3] Voir la totalité du diaporama sur nicole.delepine.fr
Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 22 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )):

Trop de médias qui dépendent en partie de l’état pour équilibrer leur budget se sont transformés en organe de propagande du gouvernement et ont abandonné leur mission d’information objective de la population. Leur refus de publier les données rapportant les complications post injections en témoigne une fois de plus.

DÉPOPULATION VIA LES VACCINS STÉRILISANTS CONCEPTUALISÉE DEPUIS 1930

Depuis des décennies, les puissants ont décidé de réduire la population mondiale au lieu de regarder comment les nourrir. Par exemple cesser de leur interdire d’utiliser leurs semences paysannes et de favoriser les échanges locaux.

Ici, rappelons l’article de Jurriaan Maessen dans ExplosiveReports.Com qui démontre l’obsession des riches milliardaires de contrôler les naissances sans l’accord des personnes concernées.

La Fondation Rockefeller a admis un financement pour le développement de vaccins antifertilité destinés à une « distribution à grande échelle ». — Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)

Déjà dans les années 1930 une obsession des milliardaires était de stopper la natalité.

La Fondation Rockefeller a conceptualisé le vaccin « antihormonal » dans les années 1920 et 1930.

Le serviteur de la Fondation Rockefeller, Max Mason, agissant en tant que président au milieu des années 1930, a exprimé à plusieurs reprises le désir de son maître d’avoir une « antihormone » qui réduirait la fertilité dans le monde entier. La Fondation n’a néanmoins mentionné le financement de « vaccins antifertilité » dans les rapports annuels qu’à partir de 1969.

Extrait :

« Dans son examen de 1997 des vaccins antifertilité, le Centre international de génie génétique et de biotechnologie basé en Inde n’a pas oublié de reconnaître son principal bienfaiteur :

« Les travaux sur les vaccins LHRH et HCG ont été soutenus par des subventions de recherche de la Fondation Rockefeller (…) »

Dans les années 1990, les travaux sur les vaccins antifertilité ont pris de l’ampleur, en particulier dans les pays du tiers-monde, tout comme le financement octroyé par la Fondation Rockefeller. Dans le même temps, la population cible des mondialistes — les femmes — commençait à se sentir mal à l’aise avec tout ce discours ouvert sur la réduction de la population et des vaccins comme moyen d’y parvenir.

Betsy Hartman, directrice du programme Population et développement au Hampshire College, Massachusetts est « quelqu’un qui croit fermement au droit des femmes à une contraception et à un avortement volontaires et sûrs », n’est pas partisane du vaccin antifertilité, tel que créé par le Fondation Rockefeller. Elle explique dans son essai Population control in the new world order (le contrôle de la population dans le nouvel ordre mondial) :

« Bien qu’un vaccin n’ait été testé que sur 180 femmes en Inde, il y est présenté comme “sûr”, dépourvu d’effets secondaires et complètement réversible »

La communauté scientifique sait très bien que de telles affirmations sont fausses — par exemple, de nombreuses questions subsistent quant à l’impact à long terme du vaccin sur le système immunitaire et le cycle menstruel. Il existe également des preuves filmées de femmes se voyant refuser des informations sur le vaccin lors d’essais cliniques. Néanmoins, le vaccin est en cours de préparation pour une utilisation à grande échelle. »

Le Réseau mondial des femmes pour les droits reproductifs basé à Amsterdam, aux Pays-Bas, a cité un chercheur de premier plan en matière de contraception qui disait :

« Les méthodes de contrôle des naissances immunologiques seront une “arme antigénique” contre le processus de reproduction, qui, laissé sans contrôle, menace d’inonder le monde. »

Militante des droits des animaux Mademoiselle Sonya Ghosh a également fait part de ses préoccupations concernant le vaccin antifertilité financé par Rockefeller et sa mise en œuvre :

« Au lieu de donner aux femmes plus d’options pour prévenir la grossesse et se protéger contre le SIDA et les maladies sexuellement transmissibles, le vaccin antifertilité est conçu pour être facilement administré à un grand nombre de femmes en utilisant le moins de ressources. S’il est administré à des populations analphabètes, les problèmes de contrôle de l’utilisateur et de consentement éclairé sont une autre source de préoccupation. »

Pour éviter de tels débats, la Fondation a eu recours, au cours des deux dernières décennies, à ses méthodes appliquées depuis longtemps et très efficaces consistant soit à mentir effrontément, soit à utiliser un langage trompeur pour cacher le fait qu’elle continue à œuvrer sans relâche pour atteindre sa mission de longue date ».

Doit-on rappeler des tentatives de vaccin anti-conception au Kenya ?(([4] https://www.famillechretienne.fr/politique-societe/sante/vaccins-contraceptifs-le-boycott-de-l-eglise-d-afrique-181815))

En 2014 le vaccin contre le tétanos, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants a suscité une polémique entre les évêques et le gouvernement Kenyan.

En 2015 c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans obligés devant le refus du gouvernement de demander à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique — et elles sont nombreuses — de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé.

LE PSEUDOVACCIN ANTI COVID19 S’INSCRIT DANS LA CONTINUITÉ DE CES RECHERCHES CONTRE LA FERTILITÉ

Malheureusement remis dans le contexte de la volonté à tous crins de vax encore et encore contre le covid19, y compris les enfants, malgré l’indéniable accumulation des effets secondaires graves, cette Histoire des volontés eugénistes et transhumanistes, en marche depuis le début du XXe siècle et fin du XIXe) permet de comprendre le but ultime des vaccins : diminuer le nombre d’humains sur terre et de réserver à l’élite et ses élus la jouissance exclusive de la planète bleue.

Ces hommes imbus d’eux-mêmes semblent bien naïfs, car même s’ils se sont dispensés des injections morbides, il est infiniment peu probable qu’ils échappent aux conséquences toxiques des injections si les milliards de terriens sont vaccinés.

Un « rapport d’avancement » de février 1934 rédigé par Warren Weaver (directeur de la division des sciences naturelles de la Fondation Rockefeller) avait souligné le but ultime.

« L’homme peut-il acquérir un contrôle intelligent de son propre pouvoir ? Pouvons-nous développer une génétique si solide et étendue que nous pouvons espérer élever, à l’avenir, des hommes supérieurs ? Pouvons-nous obtenir une connaissance suffisante de la physiologie et de la psychobiologie du sexe pour que l’homme puisse contrôler rationnellement cet aspect omniprésent, très important et dangereux de la vie ? »

Écrit en 1934 !

On croirait entendre le Dr Laurent Alexandre dont beaucoup ont été étonnés de le voir parler à x reprises sur les chaînes officielles et à l’école Polytechnique, en toute liberté. Oui il ne fait que poursuivre cette politique eugéniste que l’application rigoureuse de l’injection met en musique.

Il est temps de dire les mots de la vérité : les injections anticovid sont une tentative de plus de réduire la population mondiale.

C’est d’ailleurs la seule explication crédible sur le fait que les morts accumulés ainsi que les accidents graves n’aient pas fait stopper cet essai thérapeutique de ce médicament sans AMM définitif et que, bien pire encore, la FDA vient d’autoriser l’injection des tout petits en ce 14 juin 2022.

Ainsi le modèle de stérilisation des vaccins a été conceptualisé pour la première fois dans les années 1920 et 1930 par des spécialistes des sciences sociales de la Fondation Rockefeller.

Plus tard le langage eugénique (« vaccin anti-fertilité ») a été peaufiné à l’aide d’une « chirurgie plastique linguistique » inventant le terme « contraceptif immunologique », le but ultime reste le même. Entre-temps, Orwell et les mensonges du langage ont été améliorés. « La paix, c’est la guerre », etc.

Une offensive sur les fœtus proches de la naissance

Il paraît difficile de conclure sans dénoncer la mystification qui envahit nos antennes sur la décision de la Cour suprême des USA qui remet à chaque État américain le droit de statuer sur l’avortement.

On se doit tout de même de rappeler que le droit à l’avortement institué en France par la loi Veil s’est progressivement élargi dans le délai d’application et même la suppression du délai de réflexion et l’attaque du droit des médecins à ne pas pratiquer cet acte. La décision la plus choquante est celle de la loi dite de bioéthique votée en août 2021 à l’Assemblée nationale qui autorise un soi-disant « avortement » jusqu’à la naissance en cas de souffrance maternelle…

ATTENTION ! À CETTE DATE DE LA GROSSESSE, CE N’EST PLUS UN AVORTEMENT, C’EST UN INFANTICIDE.

Au nom de « mon corps est mon choix », on peut tuer un bébé à terme, déjà une autre personne dont le choix importe peu. Un humain oublié qui sent, qui réagit, qui interfère, qui vit, qui bouge et réagit aux stimulations extérieures (musique, voix du papa, etc.) qui peut souffrir. C’est un infanticide.

Il me semble devoir exhorter nos concitoyens à ne pas tout mélanger, à ne pas tout confondre. Non l’avortement avant trois mois de grossesse ne doit pas être confondu avec l’infanticide à neuf mois.

Le droit à l’avortement n’a pas été interdit aux USA par la décision de la Cour suprême, ce droit à l’avortement relève maintenant de chaque État et de son gouverneur démocratiquement élu.

Et pourtant l’OMS insiste pour ce droit élargi. « L’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle les gouvernements à supprimer la limite de temps légale pour l’avortement, même après 24 semaines », comme le rapporte le Daily Mail. Elle déclare que les lois qui visent à empêcher l’interruption de grossesse à tout moment risquent de violer les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes ».

L’OMS propose donc l’avortement sans limitation de temps et sans obligation de justification médicale.

C’est un document de 210 pages que l’OMS publie. Il détaille de nouvelles consignes sur la prise en charge de l’avortement. Parmi la multitude de recommandations faites aux gouvernements, on peut notamment lire qu’elle préconise :

  • — d’autoriser l’avortement en toutes circonstances — en excluant les lois interdisant les interruptions de grossesse parce que le fœtus est du « mauvais » sexe.
  • — de cesser d’exiger que les femmes aient besoin de l’approbation d’un médecin ou d’une infirmière pour avoir une interruption de grossesse.
  • — d’établir des systèmes de « pilules par la poste » afin que les femmes puissent recevoir des médicaments abortifs après un appel téléphonique.
  • — de limiter le droit des professionnels de santé à refuser de participer à des avortements pour des raisons de conscience.

Les Nations unies, qui supervisent l’OMS, se sont félicitées de la suppression suggérée de ce qu’elles ont appelé « des obstacles politiques inutiles à l’avortement sans risque », notamment « des limites quant au moment où un avortement peut avoir lieu ».(([5] L’avortement sans condition jusqu’à neuf mois préconisé par l’OMS | FranceSoir))

ON EST LOIN DE LA LOI VEIL CITÉE COMME MANTRA

« Je le dis avectoute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »,

 déclarait Simone Veil en présentant la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse. 

Poursuivant son discours, elle ajoutait :

« Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire partager une conviction de femme — je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes ».

https://youtu.be/45MOc6PYoY8  

L’avortement reste un drame pour le plus grand nombre de celles qui l’ont subi. L’avortement n’est pas une méthode de contraception « normale » il n’est d’ailleurs pas sans danger pour la femme elle-même pour son risque éventuel de cancer hormonal, etc.. Le nier est malhonnête. Pour limiter le plus possible le recours à cet acte de désespoir, il faut davantage promouvoir l’information honnête et la contraception qui respecte davantage le corps des femmes.

Il ne faut pas s’étonner qu’à force de pousser l’avortement trop loin surtout dans l’avancement de la grossesse, il y ait des réactions boomerangs en retour.

NON À LA TRANSFORMATION DES HUMAINS EN OGM !

Nous serons heureux d’entendre toutes les bonnes âmes qui hurlent que « leur corps est leur choix », de le défendre aussi, et aussi fort pour toutes les femmes qui souhaitent refuser une injection génique sans aucun bénéfice possible pour elle et pour leurs proches et qui risque de les transformer en humain OGM. Comment oser accepter la mise au rancart des soignants libres pour refus de transformation de leur patrimoine génétique et « en même temps » demander l’inscription dans la Constitution de l’avortement (en général.) et bientôt de l’euthanasie.

Sommes-nous entrés dans une culture de la mort ? Est-ce bien ce que nous voulons ou est-ce une nouvelle soumission aux puissants qui nous manipulent ?

NON À LA CULTURE DE LA MORT !





PCB : Les changements irréversibles de François Bergoglio : un chemin qui mène à l’enfer

[Voir aussi sur bcp-video.org]

Par Patriarcat Catholique Byzantin

Le pseudo-pape Bergoglio a déclaré qu’il ne partirait pas tant qu’il n’aurait pas apporté de changements irréversibles.
La question essentielle est la suivante : Bergoglio est-il un véritable pape auquel les catholiques sont tenus d’obéir en toute conscience ? Non, il ne l’est pas ! Le fait est que c’est un hérétique qui détruit les fondements de la foi, et donc aucun catholique ne peut lui obéir ! Si quelqu’un lui obéit, il trahit le Christ et ses enseignements !



Chaque catholique doit savoir que selon Gal 1: 8-9, Bergoglio est sous un anathème multiple de Dieu – une malédiction – pour avoir prêché un faux évangile, et est par le fait même expulsé de l’Église catholique. S’il continue d’occuper la plus haute fonction, c’est parce que les évêques et les prêtres sont incapables d’appeler la vérité la vérité, ou une hérésie une hérésie, et d’en tirer une conclusion adéquate. Ils sont donc impliqués dans son crime. Ils expriment même leur unité avec cet hérétique à haute voix au cours de la messe, tous les jours, et sont incapables d’effectuer même un tout petit changement consistant à prier en silence après la consécration, comme c’était la pratique dans la messe latine. Ce faisant, ils éviteraient de proclamer leur unité avec ce pape invalide.
Que signifient les changements irréversibles dont Bergoglio parle ?

Bergoglio abolit le premier et le plus grand commandement du Décalogue. Des dizaines de milliers de martyrs ont préféré subir la torture et la mort les plus cruelles plutôt que de laisser tomber un seul grain d’encens devant les idoles et de trahir le Christ. Bergoglio, en revanche, intronise publiquement le démon Pachamama, légalisant ainsi l’idolâtrie païenne et le satanisme ou, en d’autres termes, le culte des démons, en tant que nouvel enseignement de l’Église. Nous demandons : est-ce son affaire privée, ou est-ce un acte ex cathedra de foi et de morale ? L’idolâtrie publique n’est en aucun cas l’affaire privée de celui qui agit comme Pape. Par cet acte, Bergoglio s’est avéré être un hérétique, et donc un pape non valable. Par conséquent, toutes ses actions sont nulles et non avenues. Si un catholique est assez aveugle pour prétendre, contrairement aux Écritures et à la tradition de l’Église, que Bergoglio est un pape légitime, il nie le dogme de l’infaillibilité papale.

Après que Bergoglio ait abusé de l’autorité papale et commis une idolâtrie publique, tous les catholiques qui le reconnaissent en tant que pape doivent considérer son apostasie publique comme étant un enseignement de l’Église. Cela signifie qu’ils ne doivent plus se repentir des péchés contre le Premier Commandement, mais doivent prendre le chemin de l’anti-repentance, c’est-à-dire approuver l’idolâtrie. Cette élimination du repentir rend les changements de Bergoglio irréversibles.

Quiconque se repent des péchés d’idolâtrie ou de sodomie est en rébellion ouverte contre le soi-disant pape actuel. Une telle personne sera sûrement punie par la secte Bergoglienne pour cela. Ces prêtres ou évêques seront même démis de leurs fonctions. C’est un non-sens ! C’est la preuve que la secte bergoglienne occupant les plus hautes fonctions de l’Église n’est pas l’Église du Christ, mais la pseudo-église de l’Antéchrist – la synagogue de Satan (Apoc 3). La mission de l’Église du Christ consiste à proclamer la repentance. Jésus a dit :

« Il faut prêcher la repentance pour le pardon des péchés… »

(cf. Lc 24, 47).

Aujourd’hui, tout le Vatican est gouverné par l’esprit de l’Antéchrist, avec les francs-maçons. Cet esprit ne travaille plus secrètement, mais ouvertement. Bergoglio a tenu des réunions avec des francs-maçons au sein même du Vatican. Ils le considèrent comme leur chef spirituel. Il a pleinement adopté leur programme et le met activement en œuvre. Sous la menace de sanctions, il fait pression en faveur d’une dangereuse vaccination à ARN messager, fait appliquer l’Agenda 2030, tient des conférences promotionnelles transhumanistes au Vatican, des forums sur le climat, etc.

La promotion de l’homosexualité par Bergoglio, et même la légalisation des mariages de ces déviants, choque même les gens en dehors de l’Église ! Nous demandons à chaque évêque catholique, à chaque prêtre et à chaque croyant : la sodomie est-elle un péché très grave, ou est-elle en harmonie avec l’Écriture et la Tradition de l’Église ? La réponse est claire : la sodomie est en contraste frappant avec l’Écriture et la Tradition. Son approbation par l’Église revient à mélanger un puissant poison et de l’eau claire, la lumière et les ténèbres, le Christ et Bélial.

Si cette immoralité est légalisée, ce contre quoi la Parole de Dieu met en garde en parlant non seulement du feu temporel (2P 2:6), mais aussi du feu éternel (Jude 1:7), toutes les lois morales seront annulées. Les évêques et les prêtres en Allemagne ont déjà commencé à bénir les mariages sodomites dans les églises. Bergoglio l’approuve par son silence délibéré. De même, le Concile de Vatican II, avec Jean XXIII et Paul VI, a approuvé en silence les hérésies longtemps condamnées du modernisme, déguisées plus tard en la soi-disant méthode historico-critique. En conséquence, toutes les écoles théologiques et toute l’Église ont été infestées immédiatement après le Concile.
En légalisant la sodomie, l’Église bergoglienne a radicalement changé sa mission, et a cessé d’être l’Église. Elle dit aux sodomites que leur perversion est voulue par Dieu. C’est pourquoi ils ne doivent plus, et même ne peuvent pas, se repentir. Il ne reste plus qu’à accompagner les sodomites sur le chemin de l’enfer. Par analogie, Bergoglio applique ce principe de négation du péché et de repentance à tous les péchés. Il nie ainsi la nécessité d’un Sauveur ! Personne dans la secte de Bergoglio n’a donc une chance de sauver son âme immortelle !

Avec son encyclique Pascendi Dominici Gregis de 1907, saint Pie X condamnait catégoriquement le modernisme au sein de l’Église. Cela a conduit à un réveil spirituel. Il était associé à la dévotion au Sacré-Cœur, aux premiers vendredis, etc.

En revanche, le moderniste Angelo Roncalli, Jean XXIII, a nommé des théologiens libéraux en tant que modérateurs du Concile de Vatican II. Les décrets hérétiques du synode amazonien et l’acte de sorcellerie effectué avec Pachamama dans les jardins du Vatican aujourd’hui, sont la continuation des documents hérétiques et du faux esprit du Concile. Ce démon, à qui l’on offrait autrefois des sacrifices humains, a été intronisé dans la Basilique Saint-Pierre. Si l’un des évêques accepte les changements irréversibles de Bergoglio, il finira comme l’apôtre Judas.

Bergoglio opère des changements irréversibles dans tous les domaines. Il a changé les dogmes et les commandements de Dieu avec une approche dite dynamique. En légalisant la sodomie, il a changé les mœurs. Il a procédé à des changements de personnel irréversibles en nommant des évêques et des cardinaux homosexuels, hérétiques ou idolâtres. Il a fait vacciner tout le Vatican à l’aide d’un vaccin expérimental, il l’a donc soumis à un anti-baptême satanique. Cela aussi est un changement irréversible.

Néanmoins, certains prêtres et évêques disent : Il y a toujours eu des crises dans l’histoire, mais nous devons rester fidèles au Saint-Père, et vous voyez, l’Église est encore là aujourd’hui.

Nous répondons : l’Église du Christ sera toujours là, quoique dans les catacombes. Aujourd’hui, cependant, la structure de l’église est occupée par la secte de l’Antéchrist sous l’hérétique Bergoglio.

Un pape a-t-il été hérétique dans le passé, comme Bergoglio ? Oui, c’était Honorius I, au 7e siècle. Il a été excommunié à titre posthume de l’Église en tant qu’hérétique. Cependant, ses hérésies du monothélisme, comparées aux hérésies de Bergoglio, ressemblaient à une piqûre de moustique par rapport à la morsure d’un serpent venimeux mortel. Mais encore une fois, il a été suivi par de vrais papes catholiques parce que la structure de l’Église était encore vraiment catholique. Aujourd’hui, cependant, alors que le Vatican est déjà sous l’emprise des francs-maçons, c’est-à-dire le Nouvel Ordre Mondial, une nouvelle structure ecclésiastique a été construite et dotée d’un autre esprit que celui du Christ (cf. Rm 8, 9). Tout ce système fait en sorte qu’après Bergoglio, la structure apostate ne pourra plus élire un vrai pape catholique. Par conséquent, une chose est nécessaire : se séparer de cette structure bergoglienne, non seulement à l’intérieur mais aussi à l’extérieur. Il ne sert à rien de s’attendre à ce que cette structure soit relancée à l’avenir. Le bergoglianisme est comme le naufrage du Titanic. La seule échappatoire consiste à monter à bord des canots de sauvetage à temps, et de quitter le Titanic. Ce n’est pas l’Église du Christ, mais une église profonde (Deep Church).

Si vous, les évêques actuels, ratez cette occasion et négligez de franchir une étape historique et de conduire le peuple dans ces canots de sauvetage, vous serez responsables de tous ceux qui couleront dans le lac de feu avec le Titanic bergoglien. Vous devez montrer un véritable repentir ! La situation a déjà été rendue beaucoup plus facile pour vous par un témoin courageux du Christ, qui a créé une alternative. Il s’agit de Carlo Maria Viganò, l’ancien nonce américain. Si seulement il était rejoint au moins par vous, les évêques retraités. Bergoglio ne peut plus vous punir. Faites ce pas au moins pour votre propre salut et pour donner le bon exemple. En vous séparant d’un hérétique, vous n’abandonnerez pas l’Église du Christ ; au contraire, vous ferez un geste de fidélité au Christ et à son Corps mystique, son Église saignante.

Quelles sont les options pour vous ?

La première option consiste à sombrer avec Bergoglio et son parcours synodal, tout en prétendant jusqu’au dernier souffle que tout va bien. Dans le document maçonnique « L’instruction permanente de l’Alta Vendita », les catholiques avaient depuis longtemps été ridiculisés pour avoir cru qu’ils marchaient sous la bannière des clés de Pierre, tout en marchant sous la bannière maçonnique.

La deuxième option consiste à se séparer au plus vite de Bergoglio et de son chemin irréversible menant à la destruction, et de rejoindre Сarlo Maria Viganò. Mgr Williamson et Mgr Lenga le soutiennent également publiquement. L’archevêque polonais a appelé les fidèles à se préparer pour les catacombes. Il leur conseille de trouver un vrai prêtre catholique qui célébrerait la messe pour eux et chez eux, les églises étant occupées par le système bergoglien au service de l’Antéchrist.

Chers évêques, la solution consiste à choisir la deuxième option, car ces changements irréversibles conduisent à la damnation éternelle.

Le Fils de Dieu s’est fait homme et, par sa mort, nous a ouvert les cieux éternels. Cependant, ceux qui acceptent les changements irréversibles de Bergoglio, rejetant ainsi la repentance, ne seront pas sauvés.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 9 juin 2022




La Russie se bat pour la préservation de l’Humanité

[Source : russtrat.ru]

[Traduction automatique révisée, à partir de deux moteurs logiciels traducteurs différents.]

L’Occident d’aujourd’hui n’a aucune image de l’avenir. Le puçage universel, l’intelligence artificielle et la déshumanisation, les LGBT, la destruction de la famille, la cessation de toutes les formes d’identité humaine, c’est une image de la mort, pas du futur.

MOSCOU, 16 juin 2022, Institut RUSSTRAT.

L’Institut RUSSTRAT présente la retranscription du discours du membre du Conseil d’administration (ministre) chargé de l’Intégration et de la Macroéconomie de la CEE, Sergey Glazyev, lors de la table ronde « Russie : quelle image du futur répond aux objectifs de développement national ? Le 1er juin 2022 dans l’agence de presse REGNUM, organisé par l’Institut RUSSTRAT et l’agence de presse REGNUM.


Par Sergey Glazyev

Passons maintenant aux questions fondamentales de notre être. Et une opération militaire spéciale est un catalyseur pour ce processus de compréhension de notre place dans le monde et bien sûr, nous avons besoin d’une image de l’avenir. Je voudrais attirer votre attention sur le fait que l’opération militaire spéciale, initialement annoncée comme une dénazification, une démilitarisation — nous comprenons ce que cela signifie pour l’Ukraine — a maintenant commencé à augmenter progressivement les enjeux sur ce front.

Tout le monde dit déjà qu’il s’agit d’une guerre hybride mondiale, même s’il était clair dès le début que l’opération spéciale devait être considérée dans un contexte beaucoup plus large. Beaucoup pensent maintenant qu’il s’agit d’une guerre de civilisation, où différents systèmes idéologiques sont confrontés. Il est clair qu’il s’agit d’une guerre du bien contre le mal et d’une guerre pour la survie de l’humanité à long terme.

Avant de parler de l’image de notre avenir, je voudrais attirer votre attention sur les modèles de développement socio-économique et politique à long terme. Nous — je veux dire un groupe de scientifiques de l’Académie des sciences qui travaillent dans des cycles longs de développement économique et social — avons d’abord réussi à prévoir cette guerre particulière de 2022. En 2014, il était clair que le défi auquel nous étions confrontés et dont le résultat était la réunification avec la Crimée affecterait certainement l’ensemble du monde russe, y compris le territoire de l’Ukraine. J’ai même eu un livre intitulé The Last World War : The US Starts and Loses [La dernière guerre mondiale : les États-Unis la commencent et la perdent].

Quelque part, ce que nous voyons aujourd’hui a été formulé de manière presque absolument précise, y compris le nombre des forces armées ukrainiennes et le rôle des Américains et des Britanniques dans cette occupation de l’Ukraine, ainsi que la culture du nazisme ukrainien. Tout cela a été prédit presque dans les moindres détails — nous poursuivons nos recherches, selon lesquelles le pic de confrontation tombe en 2024. C’est la prévision que mon collègue donnait il y a 10 ans, avant même l’opération militaire actuelle, et même avant 2014. Et puis il n’y avait pas nos nouveaux cycles politiques de sept ans.

Pourquoi 2024 et pourquoi sommes-nous dans cette situation de guerre hybride ? Le fait est que la période moderne est caractérisée par deux événements révolutionnaires simultanés. Le premier est la révolution technologique, dont on parlait beaucoup autrefois. On l’appelle différemment, on dit qu’il s’agit d’un changement dans les structures technologiques. Et ce changement de modèles technologiques se produit toujours à travers une dépression économique, qui dans ce cycle a commencé dans le monde depuis 2008 — depuis le début de la crise financière mondiale.

Et au cours de cette phase de transition, un nouvel ordre technologique s’est déjà formé, un complexe bien connu de technologies de l’information et de la communication de nano-ingénierie, qui évolue non seulement dans l’économie, mais aussi dans les méthodes de guerre. Nous voyons en fait que nous ne sommes pas seulement confrontés à un ennemi basé au Pentagone et au Mi-6. Nos troupes sont confrontées à l’intelligence artificielle. C’est déjà la guerre d’un nouveau paradigme technologique.

Mais un point plus important est le changement des structures économiques mondiales dans le contexte de notre sujet d’aujourd’hui. Le changement des structures économiques est un processus qui se produit une fois par siècle et au cours duquel le système de gestion change. Auparavant, nous l’aurions appelé un processus de révolution sociopolitique, mais, en termes modernes, il s’agit d’un changement radical des institutions des relations économiques mondiales, des relations de production et de tout le système de gestion du développement socio-économique, qui s’accompagne d’un changement des centres de l’économie mondiale.

L’économie mondiale se déplace rapidement vers l’Asie du Sud-Est, qui représente déjà plus de la moitié de la croissance du produit intérieur brut. Et dans ce nouveau centre de l’économie mondiale, un système de gouvernance complètement différent s’est formé par rapport à celui dans lequel nous vivons aujourd’hui. Je dois dire que le changement des structures économiques mondiales, vous le voyez dans cette image ci-dessus. Ce sont des structures économiques mondiales avec un cycle de changement d’une fois par siècle. Et en dessous se trouve le stade technologique, dont le cycle de changement est d’environ 50 ans.

Les stades technologiques sont bien connus dans la littérature sous le nom d’ondes longues de Kondratiev ou, plus précisément, les cycles de vie des stades technologiques et leur phase de croissance sont une longue « onde de Kondratiev ». La phase de croissance de la structure économique mondiale est un cycle d’accumulation de capital qui dure un siècle.

Une fois par siècle, une résonance dangereuse se produit lorsque nous sommes confrontés simultanément à une révolution technologique, une révolution socio-économique et une révolution sociopolitique. Au cours de ce processus, non seulement la technologie change, mais aussi l’état d’esprit change. L’idéologie change, si vous voulez.

À titre d’exemple, citons la phase précédente du changement des structures économiques mondiales. C’est un processus qui, malheureusement, se déroule toujours à travers les guerres mondiales. Les guerres mondiales dans ce cas sont dues au fait que l’élite dirigeante de l’ancien centre de l’économie mondiale ne veut pas se séparer de son hégémonie et tente de toutes ses forces de la conserver, jusqu’au déclenchement d’une guerre mondiale. Il y a 100 ans, lors du passage de l’économie mondiale coloniale au monde impérial, elle a traversé deux guerres, la Première et la Seconde Guerre mondiale, entre lesquelles il y a eu une grande dépression.

L’économie mondiale coloniale est un système de relations industrielles fondé sur une entreprise familiale privée. En termes politiques, l’Empire britannique avait la plus grande marge de manœuvre pour cette économie mondiale. La combinaison des institutions de l’administration d’État, dont le noyau était la domination monarchique de la Grande-Bretagne, avec l’entreprise capitaliste privée a donné naissance à l’oligarchie bourgeoise anglaise qui a réussi à organiser de grands monopoles de type commercial et manufacturier. Ceci a assuré la domination de la Grande-Bretagne sur les mers et les océans.

Il s’agit de la structure économique mondiale des colonies, où l’Empire russe a également joué un rôle important. Ce mode de vie avait épuisé ses possibilités de développement à la fin du XIXe siècle. Cela était dû au fait que les possibilités d’utiliser la main-d’œuvre esclave étaient épuisées. Le modèle est bien décrit par Marx. Lorsque les gens ont été échangés en tant qu’êtres humains à grande échelle — non seulement dans les colonies, mais aussi dans les métropoles. Les gens étaient exploités 12 heures par jour sans jours de repos. Le capital privé a utilisé ce travail comme principale source d’enrichissement. Il n’y avait pas de droit du travail, pas de syndicats, pas d’État-providence. Tout cela est apparu avec la structure économique mondiale impériale.

Mais ici, il est important de comprendre que la Grande-Bretagne a atteint les limites du développement et que des pays dotés de systèmes de gouvernement plus progressistes ont commencé à marcher sur ses talons. Y compris l’Empire russe, l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie, les États-Unis. Les services secrets britanniques sont à l’origine de la Première Guerre mondiale qui a permis à la Grande-Bretagne de devenir le leader mondial. Elle s’est renforcée autant que possible, mais seulement 20 ans plus tard, elle a été entraînée dans la Grande Dépression. Aucune mesure pour sauver l’Empire britannique n’a aidé. Ils ont alors — comme aujourd’hui les États-Unis contre la Chine — mené une guerre commerciale contre les États-Unis, imposé un embargo sur l’importation de marchandises américaines.

Il s’est avéré que pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Empire britannique, bien qu’il soit resté parmi les vainqueurs, n’a pas pu profiter de la victoire en raison du caractère archaïque de son système de gestion. Il n’était plus utile. Il n’apportait plus aucun progrès économique. La croissance économique basée sur l’exploitation de la main-d’œuvre esclave a cessé de produire des surplus. L’Empire britannique s’est effondré à peine 2 ans après la Seconde Guerre mondiale. Ceci est important pour nous maintenant du point de vue de l’analogie historique.

Un nouvel ordre économique mondial. Nous l’avons appelé impérial, car pour la première fois au monde, il couvrait la quasi-totalité de la planète, les deux tiers du monde. L’autre tiers était l’Union soviétique. Son ordre économique mondial reposait sur un État-providence, sur de grandes structures de production intégrées verticalement. Sur la question de la monnaie et de l’utilisation de la monnaie non pas tant comme capital, mais comme instrument de financement de la croissance économique.

En général, l’ordre économique mondial se composait de trois variétés idéologiques. Les deux premiers nous sont bien connus :

  • le système soviétique avec des associations de recherche et de production dirigées par le Parti communiste, qui a construit le socialisme en se réclamant du communisme ;
  • le système américain, qui était basé sur les sociétés transnationales et l’émission sans fin du dollar, qui leur a permis de mener l’expansion mondiale.

Et le troisième système, qui est tombé dans l’oubli grâce à l’exploit du peuple soviétique, est le système du fascisme européen, dans lequel le national-socialisme allemand, l’État corporatif italien et les nazis de tous bords de divers autres pays européens ont essayé d’imposer au monde leur version nazie de cet ordre économique mondial.

Je note que la structure économique du monde colonial s’est avérée en réalité absolument non compétitive. La Grande-Bretagne a perdu la guerre en Europe face au fascisme allemand en seulement deux ans, et seules la puissance de l’Union soviétique et l’aide des États-Unis, un pays qui avait déjà un nouveau système de gouvernement, ont réussi à écraser ce scénario fasciste. Et puis le système colonial britannique est mort.

En d’autres termes, cette expérience historique montre que le changement des structures économiques mondiales passe par la conscience sociale, bien sûr. Et l’émergence d’un nouveau système de gestion qui concerne avant tout les relations entre les personnes ne peut qu’être combinée avec un nouveau système d’idées, de vues et de principes.

Nous avons maintenant un processus similaire en cours. Nous nous éloignons de l’économie mondiale impériale, où seuls les États-Unis subsistaient. Là, cette transition a commencé avec l’effondrement de l’Union soviétique. Tout comme il y a 100 ans, cela dure depuis 30 ans. Tout comme la transition précédente a duré pratiquement de l’an 1914 à 1947. Ainsi la transition actuelle dure depuis un tiers de siècle.

Après l’effondrement de l’Union soviétique, qui fut la première à ne pas répondre aux exigences du progrès scientifique et technologique, nous assistons maintenant à l’effondrement des États-Unis. Les États-Unis ne sont plus le leader mondial. Dans une tentative de surmonter la crise financière mondiale en pompant de l’argent, les États-Unis ont finalement conduit la situation à l’effondrement de l’ensemble du système financier et à une inflation croissante, qui atteint déjà 30 % dans les prix des entreprises.

Nous avons vu l’autodiscrédit du système américain lors de la dernière élection présidentielle qui a été truquée. L’Amérique n’est pas une voie plus attrayante. De plus, comparés à la Chine et à l’Inde, qui ont brillé ces 15 dernières années, les États-Unis et l’UE, malgré une base monétaire multipliée par quatre, n’ont pas été en mesure de s’engager dans un développement économique durable. Si nous considérons le système de gestion occidental en termes d’efficacité, l’émission monétaire est de 20 à 25 %. Seul un euro émis sur quatre ou cinq va se retrouve dans le secteur manufacturier [ou productif].

En Chine et en Inde, un système de gouvernance fondamentalement différent a émergé qui combine la planification centrale stratégique avec la concurrence du marché, où l’État joue un rôle dominant dans l’organisation de la circulation de l’argent et offre aux entreprises privées un accès illimité à l’argent si cela conduit à la croissance du bien-être public.

Toutes les prévisions montrent qu’à la fin de cette décennie, l’ancien ordre économique mondial aura plus que diminué de moitié, et le cœur du cycle d’accumulation asiatique — la Chine, l’Inde, les pays d’Indochine, le Japon, la Corée — sera devenu absolument dominant dans tous les indicateurs macroéconomiques.

Ce processus est irréversible, mais plus cette transition, qui est évidente pour tout le monde, est proche, moins il reste de pouvoir au cœur de l’ancien ordre économique mondial, plus ils [ceux qui le défendent] deviennent agressifs. Et ici, le même mécanisme de guerre hybride est à l’œuvre, que les Britanniques ont utilisé pendant la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre mondiale. Nous les appelions hybrides parce que les guerres concernaient le territoire.

Dans le cadre du nouvel ordre économique mondial, des guerres se déroulent maintenant pour la conscience, pour l’esprit des citoyens de différents pays, et, contrairement à la guerre du siècle dernier, la guerre actuelle est une guerre, avant tout, pour la domination dans la conscience publique. Par conséquent, le front principal est le front informationnel-cognitif. Ici les questions d’idéologie sont primordiales.

Le deuxième front le plus important est le front monétaire et financier, où dominent encore les États-Unis et l’Union européenne. Et ce n’est qu’en troisième lieu que sont utilisés des chars, des missiles et des avions qui, en fait, dans le cadre de cette guerre mondiale hybride, sont appelés à punir les vaincus. C’est-à-dire intimider, détruire tout désir de résistance, etc.

Tout comme la Grande-Bretagne a déclenché la Première Guerre mondiale, lorsqu’elle a déjà compris que la puissance combinée de l’Allemagne, de la Russie, de l’Autriche-Hongrie dépassait les Britanniques et qu’il restait quelques années pour un tournant dans le leadership mondial, l’élite dirigeante américaine a lancé une guerre hybride mondiale. Dans le même temps, une guerre commerciale américaine se déroule, comme on peut le voir, contre la Chine. La guerre des sanctions contre nous dure déjà depuis plus de 8 ans — et cette aggravation des tensions géopolitiques se déverse aujourd’hui dans des événements dramatiques dans lesquels nous sommes aujourd’hui pleinement impliqués.

En quoi le nouvel ordre économique mondial diffère-t-il du précédent, impérial ? Veuillez noter que l’État qui se forme aujourd’hui en Chine et en Inde intègre toutes les réalisations de l’édification de l’État des époques précédentes. Il s’agit d’un État-providence. C’est un État de droit démocratique, mais en même temps souverain. C’est-à-dire que la particularité du nouvel ordre économique mondial est que l’État leader ne cherche pas à imposer ses modèles à tous les autres pays.

S’il y avait trois modèles dans la structure économique mondiale impériale, dont deux ont eu lieu — le soviétique et l’américain, et le troisième, qui n’a pas eu lieu — le fasciste allemand, ceux-ci ont essayé de refaire le monde entier à leur image et à leur ressemblance. Pour créer partout les mêmes fractales qu’au centre.

La souveraineté économique mondiale est restaurée dans le nouvel ordre économique mondial. C’est un point fondamental. L’État dans ce nouvel ordre économique mondial restaure les valeurs morales. C’est un État humain, juste, intellectuel, responsable et, pour le dire brièvement, idéologiquement, c’est un État socialiste.

Mais en Chine, nous voyons l’image familière du Parti communiste à la tête de cet État. L’Inde a la plus grande démocratie du monde, mais ne négligeons pas le socialisme de Gandhi. Toutes ces traditions sont vivantes et les modèles de gestion — j’attire votre attention — en Chine et en Inde sont assez proches : contrôle de l’État sur le système bancaire, prêts illimités pour la croissance de la production, utilisation du marché à des fins d’efficacité économique de la concurrence.

L’État stimule l’entrepreneuriat privé, et le stimule sans limites s’il génère des revenus. D’où l’augmentation du bien-être des gens. Si l’entrepreneuriat privé est destructeur, s’engage dans la spéculation, tente de profiter de la déstabilisation de l’économie, cet entrepreneuriat est sévèrement bloqué. La Chine et l’Inde ont des contrôles de change stricts et l’exportation de capitaux n’est pas autorisée. L’argent est prêté à des taux allant de 0 % à 4-6 %, en fonction de la priorité accordée aux prêts. L’émission ciblée de crédits est largement utilisée comme outil de planification stratégique.

Nous l’avons appelé intégral parce que l’État y rassemble la société. Il rassemble différents groupes sociaux autour du critère principal qui est l’augmentation du bien-être public. Dès lors, toute la politique économique repose sur ce critère. Comparons l’essence de la politique économique menée dans le nouvel ordre économique mondial [à l’ancien qui s’écroule].

Ici, en comparant aux modèles existants du Consensus de Washington, j’attirerai l’attention sur la principale différence. Premièrement, le but de l’économie n’est en aucun cas de faire de l’argent. Le but de l’économie est d’augmenter le bien-être social.

D’où la planification stratégique, d’où l’utilisation de l’argent comme outil. D’où une fiscalité progressive et des mesures concrètes de justice sociale. Toutes les exigences d’un État-providence concernent l’éducation et la santé qui devraient être libres et assurer la reproduction du capital humain de la manière la plus complète possible. Le système fiscal du budget fiscal est axé sur le développement, et pas seulement sur les soi-disant « fonctions d’un État bureaucratique policier ». Les prix sont réglementés en fonction des proportions souhaitées de la reproduction de l’économie.

Les relations de travail sont dominées par la coopération et l’antagonisme entre le travail et le capital disparaît définitivement. La forme dominante de propriété privée est, selon notre conception, l’entreprise du peuple. Une entreprise dans laquelle les travailleurs sont aussi les propriétaires.

C’est ainsi que se développent Huawei, Xiaomi et d’autres issus de coopératives. C’est-à-dire qu’il s’agit d’une économie de partenariat social, où l’argent profite [à tous] et tout ce qui tourmente notre économie, comme l’exportation de capitaux, est limité dans le système de régulation économique pour que les revenus des gens augmentent. Et l’entrepreneur grandit en proportion de sa contribution à l’essor du bien-être public.

Et il ne fait aucun doute ici qu’une politique industrielle, agricole, scientifique et technique est nécessaire. Ce sont toutes des politiques publiques clés évidentes qui gèrent le mécanisme du marché de la manière nécessaire pour augmenter le bien-être public.

Passons maintenant aux versions idéologiques de ce nouvel ordre économique mondial. La construction du socialisme se poursuit en Chine, bien qu’avec des caractéristiques chinoises, mais il faut le comprendre de cette manière. Si le socialisme soviétique cherchait à rendre le monde entier heureux, nous voulions réaliser un système socialiste partout dans le monde en dépensant beaucoup d’argent pour cela, alors que le socialisme à la chinoise signifie que l’idée socialiste et l’idée nationale vont de pair.

Et en Chine, nous voyons les slogans suivants : voici une société de prospérité universelle, voici la grande renaissance de la nation chinoise. C’est-à-dire qu’ici l’idée du socialisme et du nationalisme positif, qui ne prétend pas être une exclusivité nationale, mais place le bien-être de son propre pays au premier plan, est une caractéristique essentielle.

Nous voyons la même chose en Inde : combinaison du socialisme, de l’économie de marché et de l’idée nationale, même si cette dernière est appliquée en termes de prospérité croissante. C’est compréhensible pour un pays qui a une population gigantesque qui a vécu dans la pauvreté pendant des siècles. Pour eux, la montée de la prospérité est un point déterminant, pas une idée nationale. De plus, contrairement au socialisme soviétique, qui a grandi dans un environnement de « forteresse assiégée » et avait en même temps inévitablement des caractéristiques de mobilisation et de suppression de la liberté individuelle afin de sauver la société et l’État, il n’y a pas de tels risques ici. Ni en Chine ni en Inde.

[Ndlr : au vu des systèmes de crédit social et de surveillance, il semble pourtant bien au contraire que la liberté individuelle soit en train de passer par-dessus bord.]

Mais il est évident que la poursuite du développement du monde dans un avenir prévisible se déroulera de la même manière qu’au XXe siècle, où il y avait une concurrence entre l’Union soviétique communiste et l’Amérique démocratique. Maintenant, la confrontation va se dérouler entre « l’Occident démocratique », la Chine communiste et l’Inde démocratique. La question est de savoir où nous serons.

Il existe une troisième version de cette idéologie du nouvel ordre économique mondial. Il est en fait une continuation du vecteur de vision du monde occidental nazi, pour ainsi dire. Le racisme a dominé l’Empire anglais au XIXe siècle, le nazisme a longtemps dominé l’Europe pendant la Seconde Guerre mondiale.

Et maintenant, les récepteurs de cette forme misanthropique la remplissent du contenu du postshumanisme : un camp de concentration électronique, tout le monde doit marcher en formation et obéir aux exigences de l’Organisation Mondiale de la Santé ou d’autres analogues d’un gouvernement mondial.

[Ndlr : l’idéologie transhumaniste promue par Klaus Schwab et qui a effectivement de nettes racines nazies. Voir notamment Les valeurs familiales de Schwab]

Autrement dit, c’est l’idée d’une transition vers un état post-humaniste, post-humain, où les gens sont considérés comme un outil de manipulation. Plus précisément, l’objet de manipulation — et l’idéologie se construit pour atomiser la société.

Autrement dit, le principal vecteur idéologique est la privation des personnes de toute identité collective, identité nationale, identité de genre. En général, même l’identité humaine. Les gens commencent à se percevoir comme n’importe quoi : des cyborgs, des animaux, des plantes.

Il y a une inhumanisation en cours, et ce type de matériel posthumain est incorporé dans une intelligence artificielle et facilement manipulable, remplaçant les idéologues qui, en général, imposent déjà leurs modèles de comportement à cette posthumanité et font en sorte que les gens se comportent de la manière dont le contrôle oligarchique artificiel mondial a besoin.

En même temps, on voit se développer des méthodes qui permettent d’amener cette société posthumaine à n’importe quel état, jusqu’à l’autodestruction collective. Je suis sûr que s’ils commencent à injecter un vaccin avec une sorte de poison, il y a déjà des mécanismes en place : la plupart des gens vont se bousculer pour prendre le vaccin.

[Ndlr : c’est déjà ce à quoi nous avons assisté depuis 2020.]

Nous sommes dans cet État mondial en transition, à la périphérie, pour dire les choses crûment. Après l’effondrement de l’Union soviétique, nous nous sommes retrouvés à la périphérie économique des États-Unis. Notre pays était utilisé comme un pays périphérique typique, à partir duquel des milliards de tonnes de ressources ont été pompées, des capitaux ont été pompés. La fuite des cerveaux de chez nous vers là-bas est le but réel du système de Bologne.

Ceux qui ont poussé le système de Bologne étaient trop timides pour dire directement qu’il était nécessaire pour faciliter la fuite des cerveaux. Si nous formions ici gratuitement du personnel qualifié, il pouvait facilement et naturellement se déplacer, obtenir une maîtrise à l’étranger et y rester. Ils ont fait de nous un pays périphérique avec toutes ses caractéristiques.

Aujourd’hui, après que l’Occident nous a fait la guerre et a érigé des barrières dans presque toutes les directions, nous parlons d’un changement de paradigme dans la gouvernance. Mais nous devons comprendre que jusqu’à présent, ce changement dans notre système de gestion ne nous a pas du tout affectés. C’est de l’autre côté que des barrières ont été érigées qui ont effiloché notre système de gouvernance. Ils ont rendu plus difficile l’exportation de capitaux, mais je constate que dès que la situation s’est un peu stabilisée, nos autorités monétaires ont recommencé à exporter des capitaux.

Elles recommencent à stimuler l’exportation des capitaux ! Prenez-le en roubles, prenez-le de nous comme vous voulez ! C’est-à-dire que notre « pouvoir monétaire » fonctionne de la même manière qu’avant. Ils n’ont pas la possibilité de créer les conditions d’une sortie de capitaux. Ils ont en fait annulé la possibilité d’appliquer la règle budgétaire, mais tout cela demeure et la règle budgétaire n’a pas encore disparu. Elle ne peut tout simplement pas être appliquée dans une situation où les réserves de change sont saisies.

Ils ont introduit la vente obligatoire des gains en devises étrangères afin de stabiliser le taux de change. Ils veulent maintenant laisser les recettes en devises à l’étranger et voir si elles sont confisquées de la même manière que les réserves en devises de l’État. Autrement dit, notre politique monétaire reste profondément périphérique, elle suit toujours les règles du FMI et du consensus de Washington.

À cause des sanctions, la société s’est soudain rendu compte que nous étions un pays très riche, que nous pouvions vivre deux fois mieux que nous ne vivions, parce que la sortie de capitaux s’est arrêtée. Dès que la sortie de capitaux s’est arrêtée, le rouble a immédiatement augmenté, le pouvoir d’achat a été multiplié par 1,5 et le rouble s’est encore renforcé. Autrement dit, jusqu’à présent, la principale fonction cible des « autorités monétaires » était l’enrichissement des spéculateurs de devises.

C’est pour cela que la Banque centrale a travaillé. Le ciblage de l’inflation est ridicule, car le principal facteur d’inflation est la dévaluation du rouble dans une situation où la formation du taux de change du rouble est réalisée par des spéculateurs, principalement des spéculateurs internationaux. Et seulement 5 % des transactions sur la Bourse de Moscou sont des transactions pour les exportateurs et les importateurs.

Il est évident que le taux de change du rouble a été manipulé pendant toutes ces 8 années. Sur ce, des dizaines de milliards de dollars ont été retirés de la Russie. Ce sont les spéculateurs monétaires, où les spéculateurs américains ont joué le rôle principal, qui ont été les principaux bénéficiaires de la politique monétaire menée. Maintenant, à cause des sanctions politiques, cela est devenu impossible. Nous sommes obligés, contraints de passer à un nouveau système de gouvernance.

Quel devrait être le système de contrôle ? Il n’est pas nécessaire de deviner ici. Nous voyons des exemples d’un nouveau système de gouvernance réussi en Chine et en Inde. Il s’agit, bien sûr, d’un système mixte de gouvernement, où le cadre principal travaille dans le but d’augmenter le bien-être public. L’État est engagé dans la planification stratégique.

Voici Elena Vladimirovna Panina est l’une des auteures de la loi sur la planification stratégique, et elle s’est beaucoup investie dans sa promotion. Nous avons cette loi depuis de nombreuses années. Mais au début, son introduction a été retardée. Maintenant elle se retrouve dans la rédaction de dizaines de milliers de documents de planification stratégique, mais il n’existe aucun mécanisme pour sa mise en œuvre.

Bien que si vous regardez, nous avons tout séparément : le mécanisme de partenariat privé et étatique, les contrats spéciaux, les accords multilatéraux d’investissement, les outils de refinancement spéciaux que la Banque centrale pourrait utiliser pour apporter des prêts bon marché afin d’augmenter les investissements. Individuellement, tout cela est là, mais dans son ensemble le système ne fonctionne pas.

Depuis de nombreuses années, nous proposons de passer à un système de développement avancé, où l’accent serait mis sur la stratégie et la modernisation du développement économique fondé sur un nouvel ordre technologique. Selon nos estimations, nous pourrions atteindre une croissance d’au moins 8 % par an, en utilisant des installations de production inutilisées, en saturant l’économie d’argent et en permettant aux entreprises de recevoir des prêts à un maximum de 2-3 % pour l’emprunteur final, pour financer des investissements, pour augmenter la production.

C’est l’utilisation la plus complète possible de notre potentiel scientifique et technique, c’est le traitement en profondeur des matières premières. Nous n’avons aucune restriction à la croissance économique, à l’exception du coût artificiellement élevé du crédit créé par les « autorités monétaires ». Les entreprises ne peuvent pas contracter d’emprunt à 18 %, pas à 11 %. Elles devraient contracter un emprunt à 1-3 % par an, comme cela se fait en Chine et en Inde.

Ici, dans l’Union eurasienne, nous luttons contre l’exportation de bois rond, nous avons introduit un embargo, mais pour une raison quelconque, le bois est acheminé vers la Chine. Parce qu’en Chine, l’État a alloué autant d’argent que nécessaire, à raison de 0,2 % par an pendant 10 ans, pour que les entreprises créent une infrastructure de transformation, d’emballage et de récolte du bois sibérien.

Ils ont créé l’infrastructure, ils ont commencé à fournir des prêts saisonniers sans intérêt à nos bûcherons, et lorsque ceux-ci ne peuvent pas obtenir un prêt de notre part, ils vont en Chine et prennent des prêts là-bas. Et ils y apportent le bois, volontairement et sans aucune contrainte. Chez nous, ils n’ont pas la possibilité de contracter des emprunts pour récolter du bois pendant la saison, puis les rembourser après avoir vendu les produits.

En d’autres termes, nous pouvons réellement envisager la possibilité de taux de croissance élevés, pas moins de 8 % par an, et je ne peux donc pas être d’accord avec les prévisions de nos organismes officiels, qui (à la suite de Washington) nous indiquent moins 8 % cette année. D’où vient le moins 8 % ? De la Banque mondiale et du Fonds monétaire international.

De Washington, ils essaient de nous imposer une prévision si pessimiste que « vous aurez moins 10 parce que vous avez lancé une opération militaire ». D’où vient le chiffre moins 10 % ? L’UE coupe les exportations vers la Russie et les importations en provenance de Russie également. Ensuite, à l’aide d’un modèle économétrique, ils émettent l’hypothèse que le commerce extérieur russe se contractera de 30 %. Et selon ce modèle, qui, en fait, est une extrapolation des relations existantes dans l’économie, ils disent que dans ce cas, vous aurez moins 10 % du PIB. Bien que le président nous dise que nous devons utiliser les opportunités.

Lors du dernier Forum économique eurasien, il a déclaré que les entreprises étrangères partaient, et qu’il valait peut-être mieux les laisser partir et créer ces produits manufacturés nous-mêmes. Faisons une substitution des importations. Remplissons le quota sortant de l’Union européenne avec notre propre production. Nous allons développer la coopération au sein de l’Union eurasienne et développer les relations avec nos partenaires asiatiques.

Autrement dit, si nous traitons du développement de l’économie, où l’argent n’est pas une fin en soi, mais un outil de prêt à la production, alors nous pouvons complètement nous passer de récession cette année. Au contraire, nous pouvons faire de la crise, du retrait des concurrents européens, un boom économique, un boom entrepreneurial. Pour ce faire, vous devez accorder des prêts.

Il est nécessaire de réaliser les objectifs d’amélioration du bien-être public. Et pas par de simples injections d’argent pour soutenir la vie des gens, mais en créant de nouvelles industries, de nouveaux emplois. Le président en a parlé à de nombreuses reprises, mais du coup, ce que nous avons aujourd’hui en termes de mesures pour stimuler le développement économique est, en fait, une continuation de petits assouplissements covid en termes de réglementation. En termes de réduction de la pression bureaucratique, malheureusement, il n’y a pas de réelles opportunités d’augmenter les investissements de substitution des importations et de mettre en œuvre des programmes de développement à long terme.

En conclusion de mon discours, je dirai que l’image du futur, me semble-t-il, est assez évidente, si nous comprenons qu’avant la fin de ce siècle, très probablement, la guerre hybride américaine se terminera par un échec pour eux. Eux, dans leur russophobie, qui est dans leur sous-cortex, peuvent ne pas encore s’en rendre compte. C’est pourquoi, ayant pourtant la Chine comme principal adversaire, ils nous ont attaqués, car la russophobie est ancrée dans la géopolitique anglo-saxonne.

La géopolitique enseignée aux politiciens américains et britanniques est basée sur des livres des XIXe et XXe siècles — de Halford Mackinder à Zbigniew Brzezinski, et partout leur idée principale est « comment détruire la Russie ». La géopolitique est une pseudoscience classique sur le thème « comment détruire la Russie sous n’importe laquelle de ses formes historiques ».

Ils ont été victimes de leur orientation génétique russophobe. Ils ont perdu face à la Chine dans la guerre commerciale et maintenant ils se liguent contre nous. Lorsque la Crimée nous a été rendue, j’ai dit et répété qu’il y aurait eu des sanctions de toute façon. Que nous ayons annexé la Crimée, ou que nous nous soyons déshonorés en y renonçant, il y aurait eu des sanctions. Et la guerre d’aujourd’hui, nous le comprenons aussi, était inévitable. Il y a à peine 8 ans, il était possible de se passer d’une guerre et de prendre tout le sud-est de l’Ukraine sans tirer un coup de feu, les gens eux-mêmes étaient venus vers nous.

Il nous faut maintenant corriger ce retard au prix de grands efforts et de sacrifices.

Mais ce conflit était inévitable précisément à cause de la russophobie génétique de l’élite dirigeante américano-britannique, qui est essentiellement le noyau idéologique et économique du monde occidental. Et ils cherchent à nous effacer, comme ils disent, sans aucun scrupule, je dirais.

Ne sous-estimez pas cela. Lorsque le Premier ministre polonais dit « effacer », cela signifie naturellement effacer, comme c’était le cas en 1717 lorsque l’Empire russe a été effacé. Comme après le Temps des Troubles, lorsque le royaume moscovite a été effacé. C’est-à-dire qu’il y a eu des précédents lorsque la Russie a été anéantie, idéologiquement, culturellement, jusqu’à la destruction de tous les monuments, aussi loin qu’ils pouvaient atteindre, jusqu’à l’incendie des chroniques et ainsi de suite.

Ils ont un plan. Ils pensent que la Russie est la clé de la domination mondiale. Dans leur esprit délirant, c’est ainsi. Dans les fondements de leur géopolitique anglo-saxonne, depuis Mackinder, ils enseignent que pour contrôler le monde, il faut contrôler l’Eurasie, ils appellent ça une grande île. En Eurasie, le principal pays qui détient le contrôle, c’est la Russie.

Par conséquent, pour contrôler le monde, la Russie doit être capturée, écrasée, détruite. Ensuite, le prochain objectif est la destruction de l’Iran, c’est absolument évident. Et puis ils pensent qu’en encerclant la Chine de toutes parts et en l’isolant du reste du monde, ils conserveront la domination, l’hégémonie.

C’est un projet absolument utopique. Ils perdront la guerre. Ils sont déjà en train de perdre un avantage clé sous nos yeux. Les fameuses sanctions qui nous ont fait perdre nos réserves de devises et notre activité offshore ne savent pas aujourd’hui comment procéder.

En fait, du point de vue des perspectives futures d’une guerre hybride, il s’agit d’un atout majeur, car leur principal avantage était d’émettre une monnaie mondiale. Et puis ils ont joué leur as d’atout. Ils n’ont plus de monnaie mondiale, plus personne ne leur fait confiance, ni politiquement, ni idéologiquement, ni économiquement. Un exode du dollar a commencé.

Les Chinois vendent des réserves en dollars. Leurs satellites ont encore peur de le faire, mais ici, celui qui vendra des dollars plus vite perdra moins. C’est absolument évident. N’oublions pas que la moitié des dollars que les Américains impriment à grande échelle se trouvent en dehors des États-Unis. Cette vague de dollars revient en Amérique aujourd’hui. Si auparavant on considérait, disent-ils, qu’il était bon que des capitaux soient attirés dans le pays, maintenant l’avalanche acquiert clairement des conséquences inflationnistes et l’effondrement des bulles financières géantes qui composent le système financier et économique occidental n’est pas loin.

Nous réfléchissons aujourd’hui à la création d’une nouvelle monnaie comptable qui serait liée à l’échange des matières premières. Nous construisons une alliance avec la Chine « Un train, une route. » Nous essayons de rétablir le droit international dans l’intégration eurasienne et d’adhérer strictement aux principes de volontariat et de respect de la souveraineté, des avantages mutuels et de la transparence. Autrement dit, nous créons une image attrayante du Nouvel Ordre Mondial, un Nouvel ordre économique mondial.

Le problème, c’est que sans une croissance économique plus rapide, notre vision de l’avenir ne sera pas convaincante. Veuillez noter que nos idéologues eurasiens, par exemple, Trubetskoy, ont parfaitement prévu l’effondrement de l’Union soviétique à la fin des années 20 du siècle dernier qui venait alors de se relever.

Trubetskoy a dit qu’après l’épuisement de l’état des ouvriers et des paysans, une nouvelle communauté, au-dessus des classes, se formerait. L’Union soviétique perdrait son noyau idéologique et s’effondrerait. Ce qui vient ensuite est une ère de nationalisme. Des fragments de l’Union soviétique seront séduits par des idées nationalistes afin de rassembler à nouveau notre grand pays. Et puis, bien sûr, il faut vaincre le nationalisme et éradiquer le nazisme.

Aucune exclusivité nationale ou autre ne devrait être autorisée ! Et la base d’une nouvelle alliance ne peut être que la compréhension des points communs de l’histoire de chacun. Remarquez comment les Chinois reprennent les slogans des Eurasiens. La Chine appelle à l’unification de tous les peuples pour le destin commun de l’humanité. Que sont les « peuples d’un même destin » ? Ce sont les peuples d’un même pays. Cette compréhension du destin commun de l’humanité est, en fait, la base idéologique du grand partenariat eurasien dont parle notre président.

Mais pour être un leader dans ce partenariat, et non une périphérie, il est nécessaire d’assurer des taux de développement économique avancés. Cela nécessite l’idéologie de la cause commune, du bien commun.

En conclusion de mon discours, je dirai brièvement que cette idéologie devrait absorber les acquis du socialisme. Ce n’est pas un hasard si l’idéologie socialiste domine à la fois en Chine et en Inde, et sous différentes constructions politiques. Le socialisme comme idée du bien commun, où le sens principal de l’État est le service à la société. L’État ne sert pas certains groupes sociaux, comme notre oligarchie ou notre bureaucratie, ou qui que ce soit d’autre. L’État s’est sérieusement et véritablement engagé dans l’amélioration du bien-être public.

[Note de Joseph : pourtant l’Histoire tend à démontrer que la restriction des libertés individuelles et collectives est proportionnelle à l’interventionnisme étatique ou gouvernemental. Et particulièrement dans les États à base socialiste ou communiste, la bureaucratie devient rapidement étouffante. Une humanité avancée, qui s’appuierait notamment sur la notion de responsabilité individuelle et collective ainsi que sur la gratuité et la Conscience, pourrait très bien se passer de gouvernements et d’institutions étatiques, à condition que les individus prédisposés veillent, d’un commun accord, au respect de la souveraineté individuelle et collective ainsi que des formes socioculturelles et des communautés existantes.]

Par conséquent, bien sûr, l’idée socialiste doit être présente. Sans elle, un nouveau mode de vie est impossible, d’ailleurs, il a déjà pris forme. Le socialisme doit redevenir l’idéologie dominante, le noyau du système économique mondial de l’Asie du Sud-Est. Si nous regardons le modèle japonais ou coréen, nous verrons également les traits familiers de l’idéologie socialiste. C’est un État qui planifie, un État qui vise au développement.

Quant à la question des valeurs éthiques, le nouvel ordre technologique défie vraiment l’humanité dans le sens où il est technologiquement possible de passer à un état post-humain : l’émergence des cyborgs, la manipulation de la conscience, l’intelligence artificielle. Ce sont tous des signes d’une transition vers une civilisation post-humaine, et si nous perdons nos normes éthiques traditionnelles, si nous laissons dominer ce nouveau gouvernement mondial oligarchique, ne vous attendez pas à de bonnes choses. Dans ce cas, l’humanité est finie.

Et, puisque nous sommes à la pointe de la guerre hybride, on peut en effet considérer que la guerre avec l’Occident est pour le sort de l’humanité. Et l’Occident d’aujourd’hui n’a aucune image de l’avenir. Le puçage universel, l’intelligence artificielle et la déshumanisation, les LGBT, la destruction de la famille, la cessation de toutes les formes d’identité humaine, c’est une image de la mort, pas du futur. C’est ce que l’Occident nous apporte. Puisque nous sommes en confrontation directe avec lui, nous pouvons supposer que nous nous battons vraiment pour la préservation de l’Humanité.

La question est de savoir quelle devrait être l’idéologie ici. Évidemment, elle devrait être basée sur des valeurs traditionnelles. Pour résumer, cela devrait être une image du socialisme chrétien, déjà largement vulgarisée en Europe. Avec la compréhension que nous avons non seulement le socialisme chrétien, mais aussi le socialisme islamique, le socialisme bouddhiste. J’appellerais cette idéologie une synthèse sociale conservatrice. Une combinaison de valeurs morales traditionnelles issues des grandes religions, avec les exigences de justice sociale, d’un État-providence et d’un État pro développement.

Merci pour votre attention.




Discours de Vladimir Poutine lors du Forum Économique International de Saint-Pétersbourg (SPIEF) 2022

[Source : donbass-insider.com]

Le Forum Économique International de Saint-Pétersbourg (SPIEF) a lieu cette année du 15 au 18 juin 2022. Vladimir Poutine a participé à la session plénière du 17 juin, et y a prononcé un discours partagé entre explications sur la situation mondiale actuelle, le développement d’un monde multipolaire, mais aussi les défis de politique intérieure auxquels la Russie doit faire face.


Je souhaite la bienvenue aux participants et aux invités du 25e Forum économique international de Saint-Pétersbourg.

Il a lieu à un moment difficile pour la communauté mondiale, où l’économie, les marchés et les principes mêmes du système économique mondial sont attaqués. Un grand nombre de liens commerciaux, de production et de logistique précédemment perturbés par la pandémie sont à nouveau mis à l’épreuve. En outre, des concepts clés pour les affaires tels que la réputation des entreprises, le respect de la propriété et la confiance dans les devises mondiales ont été complètement sapés – sapés, malheureusement, par nos partenaires occidentaux, et cela a été fait délibérément, par ambition, au nom du maintien d’illusions géopolitiques dépassées.

Aujourd’hui, je vais donner notre – quand je dis « notre », je veux dire les dirigeants russes – vision de la situation dans laquelle se trouve l’économie mondiale. J’expliquerai comment la Russie agit dans cet environnement et comment elle planifie son développement dans un environnement qui évolue de manière dynamique.

Il y a un an et demi, lors d’un discours au Forum de Davos, j’ai souligné une fois de plus que l’ère de l’ordre mondial unipolaire est terminée – je veux commencer par cela, il n’y a pas d’échappatoire – elle est terminée, malgré toutes les tentatives de la préserver, de la maintenir en place par tous les moyens. Le changement est le cours naturel de l’histoire, parce que la diversité civilisationnelle de la planète, la richesse des cultures est difficile à combiner avec des schémas politiques, économiques et autres, des schémas qui ne fonctionnent pas ici, des schémas qui sont grossièrement, sans alternative, imposés depuis un seul centre.

Le défaut réside dans l’idée même qu’il existe une seule puissance, bien qu’elle soit forte, avec un nombre limité d’États qui lui sont proches ou, comme on dit, qui y sont admis, et toutes les règles du commerce et des relations internationales, lorsque cela devient nécessaire, sont interprétées exclusivement dans l’intérêt de cette puissance, comme on dit, travaillent dans une seule direction, le jeu est à sens unique. Un monde fondé sur de tels dogmes n’est absolument pas viable.

Les États-Unis, en s’attribuant la victoire dans la guerre froide, se sont déclarés les ambassadeurs de Dieu sur terre, qui n’ont pas d’obligations, mais seulement des intérêts, et ces intérêts sont déclarés sacrés. C’est comme s’ils ne remarquaient pas qu’au cours des dernières décennies, de nouveaux centres de force ont émergé sur la planète et deviennent de plus en plus puissants. Chacun d’entre eux développe ses propres systèmes politiques et institutions sociales, met en œuvre ses propres modèles de croissance économique et, bien sûr, a le droit de les protéger, de garantir sa souveraineté nationale.

Nous parlons de processus objectifs, de changements véritablement révolutionnaires et tectoniques dans la géopolitique, dans l’économie mondiale, dans la technologie, dans l’ensemble du système des relations internationales, où le rôle des États et des régions dynamiques et prometteurs, dont les intérêts ne peuvent plus être ignorés, s’accroît considérablement.

Je le répète : ces changements sont fondamentaux, cruciaux et inexorables. Et c’est une erreur de croire qu’une période de changements turbulents peut, pour ainsi dire, s’asseoir et attendre, que tout va prétendument revenir à la normale, que tout sera comme avant. Cela n’arrivera pas.

Cependant, il semble que les élites dirigeantes de certains États occidentaux se bercent de ce genre d’illusions. Ils ne veulent pas voir les choses évidentes, mais s’accrochent obstinément aux ombres du passé. Par exemple, ils pensent que la domination de l’Occident sur la politique et l’économie mondiales est une valeur constante et éternelle. Rien n’est éternel.

Et nos collègues ne se contentent pas de nier la réalité. Ils essaient de contrecarrer le cours de l’histoire. Ils pensent en termes du siècle passé. Ils sont prisonniers de leurs propres illusions sur les pays situés en dehors de ce que l’on appelle le milliard d’or, ils considèrent tout le reste comme périphérique, leur arrière-cour, ils les considèrent toujours comme une colonie, et les gens qui y vivent comme des citoyens de seconde zone parce qu’ils se considèrent comme exceptionnels. S’ils sont exceptionnels, alors tous les autres sont de second rang.

Cela conduit à un désir irrépressible de punir, d’écraser économiquement ceux qui sortent du rang, qui ne veulent pas obéir aveuglément. De plus, ils imposent grossièrement et sans scrupules leur éthique, leur vision de la culture et de l’histoire, et remettent parfois en question la souveraineté et l’intégrité des États et menacent leur existence. Il suffit de rappeler le sort de la Yougoslavie, de la Syrie, de la Libye et de l’Irak.

Si un rebelle ne parvient pas à être piégé et pacifié, ils tentent de l’isoler ou, comme on dit aujourd’hui, de « l’effacer ». Tout est permis, même les sports, le mouvement olympique, les interdictions culturelles, les chefs-d’œuvre artistiques – simplement parce que leurs auteurs sont de la « mauvaise » origine.

C’est également la nature de l’actuelle crise de russophobie en Occident et des sanctions folles contre la Russie. Folles et, je dirais, insensées. Leur nombre, ainsi que la vitesse à laquelle elles sont validées, sont sans précédent.

Le calcul était clair : écraser l’économie russe dans la précipitation, détruire les filières commerciales, rappeler de force les entreprises occidentales du marché russe, geler les avoirs nationaux, frapper l’industrie, la finance et le niveau de vie de la population.

Cela n’a pas fonctionné. Évidemment, ça n’a pas marché, ça n’a pas eu lieu. Les entrepreneurs russes et les autorités ont travaillé ensemble de manière professionnelle, et les citoyens ont fait preuve de solidarité et de responsabilité.

Petit à petit, nous avons normalisé la situation économique. Tout d’abord, nous avons stabilisé les marchés financiers, le système bancaire et le réseau commercial. Puis nous avons commencé à saturer l’économie de liquidités et de fonds de roulement pour maintenir la pérennité des entreprises et des sociétés, de l’emploi et des postes.

Les sombres prévisions sur les perspectives de l’économie russe, entendues au début du printemps, ne se sont pas réalisées. Dans le même temps, on comprend pourquoi cette campagne de propagande a été montée en épingle, où toutes ces formules sur le dollar à 200 roubles et sur l’effondrement de notre économie dans son ensemble – tout cela était et reste un outil de lutte informationnelle, un facteur d’impact psychologique sur la société russe, sur les milieux d’affaires nationaux.

D’ailleurs, certains de nos experts ont succombé à cette pression extérieure et ont également annoncé dans leurs prévisions l’effondrement imminent de l’économie russe et l’affaiblissement critique de la monnaie nationale, le rouble.

La vie a déjoué ces prédictions. Toutefois, je tiens à souligner que pour continuer à réussir, nous devons être très honnêtes et réalistes dans notre évaluation de la situation, être indépendants dans nos conclusions et, bien sûr, croire en notre propre force – c’est très important. Nous sommes des personnes fortes et nous pouvons relever tous les défis. Comme nos ancêtres, nous pouvons relever tous les défis. Les millénaires entiers de l’histoire de notre pays en témoignent.

Trois mois seulement après l’adoption d’un ensemble de sanctions massives, nous avons supprimé la poussée inflationniste. Après le pic de 17,8 pour cent, comme vous le savez, l’inflation est maintenant de 16,7 pour cent et continue de baisser. La dynamique économique se stabilise et les finances publiques sont saines. Je le comparerai avec d’autres régions. Oui, c’est beaucoup pour nous aussi, bien sûr. 16,7%, c’est beaucoup d’inflation. Nous devons travailler là-dessus et nous le ferons, et je suis sûr que nous parviendrons à un résultat positif.

Au cours des cinq premiers mois de cette année, le budget fédéral a été élaboré avec un excédent de 1,5 billion de roubles, et le budget consolidé avec un excédent de 3,3 billions de roubles. Pour le seul mois de mai, l’excédent budgétaire fédéral a atteint près d’un demi-billion de roubles, soit plus de quatre fois plus qu’en mai de l’année dernière.

Notre tâche aujourd’hui est de créer les conditions pour relancer la production, augmenter l’offre sur le marché intérieur et, en équilibre avec la croissance de l’offre, rétablir la demande finale et les prêts bancaires dans l’économie.

Je l’ai déjà dit : nous avons pris des mesures spéciales pour reconstituer le fonds de roulement des entreprises. En particulier, les entreprises de presque tous les secteurs ont obtenu le droit de différer les paiements d’assurance pour le deuxième trimestre de cette année. En même temps, les entreprises manufacturières ont des possibilités plus larges : elles pourront profiter du report au troisième trimestre également. En fait, il s’agit d’un prêt sans intérêt de l’État.

Par la suite, les cotisations différées ne devront pas être payées, pour ainsi dire, en une seule fois. Cela peut se faire en versements égaux sur 12 mois à partir du mois de juin de l’année suivante.

Ensuite. Le taux des hypothèques préférentielles a été abaissé en mai. Il est maintenant de neuf pour cent. Le programme de prêts hypothécaires subventionnés a été prolongé jusqu’à la fin de l’année.

Comme je l’ai dit précédemment, l’objectif de cette mesure est d’aider les citoyens à résoudre leurs problèmes de logement, de soutenir le secteur de la construction et les industries connexes, qui emploient des millions de personnes.

Après la flambée du printemps, les taux d’intérêt de l’économie russe baissent progressivement et la Banque centrale abaisse son taux directeur. À cet égard, je pense qu’il est possible de réduire une nouvelle fois le taux hypothécaire préférentiel, désormais à sept pour cent.

Mais que voudrais-je souligner ? La durée du programme reste la même – jusqu’à la fin de cette année. Cela signifie que ceux de nos concitoyens qui veulent améliorer leurs conditions de logement grâce à cet avantage doivent en profiter avant la fin de cette année.

Les montants maximaux des prêts resteront également inchangés : 12 millions de roubles pour Moscou et Saint-Pétersbourg et 6 millions de roubles pour le reste des sujets fédéraux.

J’ajouterais qu’il est important pour nous en général d’augmenter la disponibilité des ressources financières à long terme, du crédit pour l’économie. Dans un avenir proche, l’accent mis sur le soutien de l’activité économique devrait passer des mesures de relance budgétaire aux mécanismes de prêts bancaires basés sur le marché.

Ce processus devrait assurément être soutenu. Par exemple, nous allons allouer 120 milliards de roubles du Fonds national de protection sociale pour augmenter la capacité du mécanisme de financement de projets de la VEB (Banque de développement de la fédération de Russie). Cette mesure permettra d’accorder des crédits supplémentaires aux initiatives et projets en demande pour un montant d’environ un demi-billion de roubles.

Chers collègues !

J’ai déjà dit que la guerre économique éclair contre la Russie n’avait aucune chance de succès dès le départ. En même temps, l’arme des sanctions est, comme vous le savez, et la pratique de ces dernières années le montre bien, une arme à double tranchant. Elle inflige des dommages comparables, voire plus importants, aux idéologues et aux concepteurs eux-mêmes.

Et il ne s’agit pas seulement des conséquences actuelles évidentes. Nous savons qu’une perspective très inquiétante est discutée entre les dirigeants européens au niveau des conversations informelles, comme on dit, à savoir que des sanctions pourraient être imposées non seulement contre la Russie, mais aussi contre tout État indésirable, affectant tôt ou tard tout le monde, y compris les membres de l’UE et les entreprises européennes elles-mêmes.

Jusqu’à présent, nous n’en sommes pas là, mais les politiciens européens ont déjà porté un coup sérieux à leur économie – ils l’ont fait eux-mêmes, de leurs propres mains. Nous pouvons voir comment les problèmes sociaux et économiques se sont aggravés en Europe et aux États-Unis également, comment le coût des marchandises, de la nourriture, de l’électricité et du carburant pour les voitures augmente, comment la qualité de vie des Européens diminue et comment les entreprises perdent leur compétitivité.

Les experts estiment que les pertes directes, “calculables” de l’UE, venant de la fièvre des sanctions, pourraient à elles seules dépasser 400 milliards de dollars au cours de l’année à venir. C’est le coût des décisions qui sont coupées de la réalité et prises au mépris du bon sens.

Ces coûts sont directement supportés par les citoyens et les entreprises de l’Union européenne. Dans certains pays de la zone euro, l’inflation a déjà dépassé les 20 %. Je parlais de notre inflation, mais les pays de la zone euro ne mènent pas d’opérations militaires spéciales et l’inflation y a augmenté – jusqu’à 20 % pour certains d’entre eux. Les États-Unis connaissent également une inflation insoutenable, la plus élevée depuis 40 ans.

Oui, bien sûr, l’inflation en Russie est aussi toujours à deux chiffres. Cependant, nous avons déjà indexé les paiements sociaux et les pensions, augmenté le salaire minimum et le coût de la vie, protégeant ainsi les citoyens les plus pauvres. Et, en retour, les taux d’intérêt élevés ont permis aux gens de conserver leurs économies dans le système bancaire russe.

Bien sûr, pour les représentants des entreprises, c’est compréhensible : un taux directeur élevé bride l’économie – normal. Pour les citoyens, cependant, dans la plupart des cas, c’est un plus : ils ont rendu aux banques une somme importante d’argent à des taux d’intérêt élevés.

C’est la principale différence avec les pays de l’UE, où la hausse de l’inflation diminue directement les revenus réels et ronge l’épargne, et où la crise actuelle pèse essentiellement sur les personnes à faible revenu.

Il y a également eu de graves conséquences à long terme pour les entreprises européennes en termes d’augmentation des coûts et de perte du marché russe. Le résultat est évident : la perte de compétitivité mondiale et une baisse systémique du taux de croissance de l’économie européenne pour les années à venir.

Tout cela conduit à l’aggravation des problèmes sous-jacents des sociétés occidentales. Bien sûr, nous avons aussi nos propres problèmes, mais je dois en parler maintenant, car ils ne cessent de nous montrer du doigt, alors qu’ils ont eux-mêmes suffisamment de problèmes. J’en parlais aussi à Davos. La conséquence directe des actions des politiciens européens et des événements de cette année sera une nouvelle aggravation de l’inégalité dans ces pays, qui, à son tour, divisera davantage leurs sociétés, et la question ne concerne pas seulement le niveau de bien-être mais aussi les valeurs des différents groupes de cette société.

Oui, ces contradictions sont supprimées et balayées sous le tapis. Les procédures démocratiques, les élections en Europe, pour être honnête, parfois vous regardez ce qui s’y passe, quelles forces arrivent au pouvoir – tout cela ressemble à un écran, car des partis politiques qui ressemblent à des jumeaux se remplacent au pouvoir. Mais l’essence ne change pas. Les véritables intérêts des citoyens et des entreprises nationales sont repoussés de plus en plus loin à la périphérie.

Une telle rupture avec la réalité, avec les besoins de la société, conduira inévitablement à une poussée de populisme et à la croissance de courants extrêmes et radicaux, à de graves changements socio-économiques, à des dégradations et, dans un avenir proche, à un changement des élites. Les partis traditionnels, comme vous pouvez le constater, ne cessent de perdre. De nouveaux mouvements apparaissent, mais s’ils ne diffèrent pas beaucoup des mouvements traditionnels, ils n’ont pas non plus beaucoup de chance de survivre.

Toutes les tentatives pour jouer franc jeu, tous les discours sur les coûts prétendument acceptables au nom de la pseudo-unité ne peuvent dissimuler l’essentiel : l’UE a finalement perdu sa souveraineté politique, et ses élites bureaucratiques dansent au rythme imposé par d’autres, acceptant tout ce qu’on leur dit d’en haut, nuisant à leur propre population et à leur propre économie, à leurs propres entreprises.

Qu’y a-t-il d’autre de crucial ici ? La détérioration de la situation de l’économie mondiale n’est pas le fait de ces derniers mois – je vais maintenant me concentrer sur des choses qui me semblent extrêmement importantes – ce qui se passe n’est pas le résultat de ces derniers mois, bien sûr que non. Surtout pas le résultat de l’opération militaire spéciale que la Russie mène dans le Donbass. De telles affirmations constituent une déformation flagrante et délibérée des faits.

La forte hausse de l’inflation sur les matières premières et les marchés des produits de base était une réalité bien avant les événements de cette année. Le monde a été poussé dans cette situation par de nombreuses années de politiques macroéconomiques irresponsables de la part des pays dits du G7, notamment des émissions incontrôlées de monnaie et l’accumulation de dettes non garanties. Et ces processus n’ont fait que s’accélérer, s’intensifiant avec le déclenchement de la pandémie de coronavirus en 2020, alors que l’offre et la demande de biens et de services ont été considérablement réduites à l’échelle mondiale.

La question est la suivante : quel est le rapport avec notre opération militaire dans le Donbass ? Cela n’a rien à voir du tout.

Ne pouvant ou ne voulant pas utiliser une autre recette, les autorités des principales économies occidentales ont tout simplement lancé la presse à imprimer. De cette manière peu sophistiquée, ils ont commencé à couvrir des déficits budgétaires jusque-là invisibles.

J’ai déjà mentionné le chiffre : au cours des deux dernières années, la masse monétaire aux États-Unis a augmenté de plus de 38 %. Auparavant, il y avait eu une telle augmentation sur des décennies, mais là, 38 % en deux ans, c’est 5,9 billions de dollars. En comparaison, seuls quelques pays dans le monde ont un produit intérieur brut plus important.

La masse monétaire de l’Union européenne, pour sa part, a également fortement augmenté au cours de cette période. Son volume a augmenté d’environ 20 %, soit 2,5 billions d’euros.

Ces derniers temps, j’entends de plus en plus parler de la soi-disant – veuillez m’excuser, je n’aime pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais je ne peux m’empêcher de le dire – nous entendons tous parler de la soi-disant inflation poutinienne en Occident. Quand je vois ça, je me dis : à qui s’adressent ces bêtises, à ceux qui ne savent ni lire ni écrire, c’est tout. Les personnes qui savent au moins lire comprennent ce qui se passe réellement.

La Russie, et nos actions pour libérer le Donbass n’ont absolument rien à voir avec ça. La hausse actuelle des prix, l’inflation, les problèmes de nourriture et de carburant, d’essence et d’énergie en général sont le résultat d’erreurs systémiques dans les politiques économiques de l’administration américaine actuelle et de la bureaucratie européenne. C’est là que se trouvent les causes, et seulement là.

Je dirai également à propos de notre opération : oui, elle a fait une petite différence, mais la racine est précisément cela – leur politique économique erronée. Pour eux, le début de notre opération dans le Donbass est une bouée de sauvetage qui leur permet de rejeter leurs propres erreurs de calcul sur les autres, en l’occurrence la Russie. Mais toute personne ayant au moins une éducation scolaire de base comprend les véritables raisons de la situation actuelle.

D’énormes quantités d’argent ont été imprimées, mais ensuite quoi ? Où est passé tout cet argent ? Évidemment : pour l’achat de biens et de services en dehors des pays occidentaux – c’est là qu’il a circulé, cet argent imprimé. Ils ont littéralement commencé à “aspirer”, à s’emparer des marchés mondiaux. Naturellement, personne n’a pensé aux intérêts des autres nations, y compris les plus pauvres. Ils se sont retrouvés avec ce que l’on appelle les rebuts, à des prix astronomiques.

Ainsi, alors que fin 2019, les importations aux États-Unis avoisinaient les 250 milliards de dollars par mois, elles sont désormais passées à 350 milliards de dollars. Fait remarquable, l’augmentation a été de 40 % – proportionnellement au pompage non garanti de la masse monétaire en dollars de ces dernières années. Ils ont imprimé de l’argent, l’ont distribué et avec cet argent, ils ont pris tous les biens sur les marchés des pays tiers.

Je vais ajouter une autre chose : Les États-Unis sont depuis longtemps un important fournisseur de denrées alimentaires sur le marché mondial, et ils sont, à juste titre, fiers de leur agriculture, de leur tradition agricole, un exemple pour beaucoup, et pour nous aussi, d’ailleurs. Mais aujourd’hui, le rôle de l’Amérique a radicalement changé. Elle est passée du statut d’exportateur net de denrées alimentaires à celui d’importateur net. En gros, elle imprime de l’argent et attire les flux de matières premières, achetant de la nourriture dans le monde entier.

Un taux d’augmentation encore plus élevé des importations de marchandises peut être observé dans l’Union européenne. Il est compréhensible que cette poussée de la demande, qui ne correspond pas à l’offre de matières premières, ait déclenché une vague de déficits et d’inflation mondiale. C’est de là que vient cette inflation mondiale. Au cours des deux dernières années, le prix de presque tout ce qui existe dans le monde a augmenté : les matières premières, les biens de consommation et surtout les denrées alimentaires.

Oui, bien sûr, ces pays, y compris les États-Unis, continuent à exporter, mais la balance entre les exportations et les importations est déjà dans l’autre sens : il y a déjà, je pense, 17 milliards d’importations de plus que d’exportations. C’est de cela qu’il s’agit.

Selon l’ONU, en février de cette année, l’indice mondial de la valeur des aliments était de 50 % supérieur à celui de mai 2020, et l’indice composite des produits de base a doublé sur la même période.

Dans la tempête inflationniste, de nombreux pays en développement se posent une question raisonnable : pourquoi échanger des produits de base contre des dollars et des euros, qui perdent leur valeur sous leurs yeux ? La conclusion est qu’une économie constituée d’entités imaginaires est inévitablement remplacée par une économie de valeurs et d’actifs réels.

Selon le FMI, les réserves de change mondiales s’élèvent actuellement à 7 100 billions de dollars et 2 500 billions d’euros, et cet argent se déprécie à un rythme d’environ 8 % par an. Mais ils peuvent être confisqués et volés à tout moment, si les États-Unis n’apprécient pas la politique de l’un ou l’autre pays. C’est devenu très réaliste pour de nombreux pays qui conservent leurs réserves en devises dans ces monnaies.

Les experts estiment que dans les prochaines années, c’est une analyse objective, il y aura un processus de conversion des réserves mondiales – il n’y a tout simplement nulle part où les placer face à de telles pénuries – de monnaies qui perdent leur valeur en ressources réelles – d’autres pays le feront, bien sûr, comme la nourriture, l’énergie, d’autres matières premières. Il est évident que ce processus alimentera davantage l’inflation mondiale du dollar.

Quant à l’Europe, l’échec de la politique énergétique, la dépendance aveugle à l’égard des sources renouvelables et les approvisionnements ponctuels en gaz naturel ont apporté une contribution négative supplémentaire au dérapage des prix, qui a conduit à la forte hausse des coûts énergétiques que nous observons depuis le troisième trimestre de l’année dernière – là encore, bien avant le début de notre opération dans le Donbass. Nous n’avons absolument rien à voir avec cela. Ils ont tout gâché eux-mêmes, les prix ont grimpé en flèche, et ils cherchent à nouveau des coupables.

Les erreurs de calcul de l’Occident ont non seulement augmenté le coût de nombreux biens et services, mais ont également entraîné une baisse de la production d’engrais, en particulier des engrais azotés produits à partir de gaz naturel. Globalement, rien que du milieu de l’année dernière au mois de février de cette année, les prix mondiaux des engrais ont augmenté de plus de 70 %.

Malheureusement, il n’y a aucun signe d’inversion de ces tendances de prix pour le moment. Au contraire, dans ce contexte, le travail des entreprises et la logistique des fournitures d’engrais en provenance de Russie et de Biélorussie sont bloqués. La situation est donc encore plus critique.

Il n’est pas difficile de prévoir l’évolution de la situation. La pénurie d’engrais signifie des rendements plus faibles et donc le risque de pénurie de nourriture sur le marché mondial augmentera encore plus les prix, ce qui menace de famine les pays les plus pauvres en particulier, ce qui est entièrement sur la conscience de l’administration américaine et de la bureaucratie européenne.

Permettez-moi d’insister une fois de plus : ce problème n’est pas apparu aujourd’hui, ni au cours des trois ou quatre derniers mois, et ce n’est absolument pas la faute de la Russie, comme certains démagogues tentent aujourd’hui de rejeter sur notre pays la responsabilité de tout ce qui se passe dans l’économie mondiale.

Bien sûr, nous pourrions être heureux d’apprendre que nous sommes si puissants et tout-puissants : l’inflation est galopante en Occident, aux États-Unis, en Europe, et nous faisons encore autre chose qui rend tout le monde fébrile. Il serait peut-être agréable pour nous de nous sentir si puissants, mais cela ne correspond pas à la réalité. La situation couve depuis des années, alimentée par les actions à courte vue de ceux qui ont l’habitude de résoudre leurs problèmes aux dépens des autres, qui ont compté et comptent encore sur le mécanisme des émissions de capitaux pour acheter à outrance, tirer sur les flux commerciaux et ainsi exacerber les déficits et provoquer des catastrophes humanitaires dans certaines parties du monde. Je voudrais ajouter : il s’agit essentiellement de la même politique de brigandage-colonial, mais bien sûr sous une nouvelle forme, dans une nouvelle édition, beaucoup plus subtile et sophistiquée. Ce qui se passe n’est pas immédiatement évident.

Aujourd’hui, la tâche la plus importante pour l’ensemble de la communauté mondiale est d’accroître l’offre de denrées alimentaires sur le marché mondial, notamment en répondant aux besoins des pays qui souffrent particulièrement d’insécurité alimentaire.

La Russie, en assurant sa sécurité alimentaire intérieure, son marché intérieur, peut augmenter considérablement ses exportations de denrées alimentaires et d’engrais. Par exemple, le volume de nos approvisionnements en céréales la saison prochaine pourrait atteindre 50 millions de tonnes.

En priorité, nous dirigerons nos livraisons vers les pays où les besoins alimentaires sont les plus importants et où il existe un risque d’augmentation de la famine. Tout d’abord, nous parlons de pays africains et du Moyen-Orient.

Cependant, il y a des difficultés ici, qui ne sont pas non plus de notre fait. Oui, officiellement les céréales, les aliments et les engrais russes… D’ailleurs, les Américains ont imposé des sanctions sur nos engrais, suivis par les Européens. Puis les Américains les ont levées. Ils ont compris dans quoi ils s’étaient embarqués. Mais les Européens ne le font pas. Leur bureaucratie fonctionne comme les meules d’un moulin du XVIIIe siècle. C’est pourquoi tout le monde comprend qu’il a fait une bêtise, mais il est difficile de revenir en arrière en raison de considérations bureaucratiques.

Ainsi, je le répète, la Russie est prête à contribuer à l’équilibre des marchés agricoles mondiaux et nous nous félicitons certainement de l’ouverture au dialogue sur cette question de la part de nos collègues des Nations unies qui comprennent l’urgence du problème alimentaire mondial. Le sujet d’une telle conversation pourrait être la création de conditions normales – logistiques, financières, de transport – pour accroître les exportations russes de produits alimentaires et d’engrais.

En ce qui concerne – je ne peux m’empêcher de le mentionner aussi, il y a malheureusement beaucoup de spéculations à ce sujet – l’approvisionnement des marchés mondiaux en produits alimentaires ukrainiens : nous n’intervenons pas. Pour l’amour de Dieu. Ce n’est pas nous qui avons miné les ports de la mer Noire de l’Ukraine. Laissez-les les déminer et les enlever. Nous assurerons la sécurité du pilotage de ces navires civils. Il n’y a aucun doute.

Mais de quoi parle-t-on ? L’USDA estime à six millions de tonnes de blé ; nous estimons à environ cinq. Et sept autres millions de tonnes de maïs. C’est tout. Et si vous gardez à l’esprit que le monde produit 800 millions de tonnes de blé, alors cinq millions de tonnes pour le marché mondial, comme vous le comprenez, ne font aucune différence.

Néanmoins, il y a des possibilités d’exportation, et pas seulement via les ports de la mer Noire. S’il vous plaît, exportez via la Biélorussie – le moyen le moins cher, d’ailleurs. Par la Pologne, la Roumanie – autant que vous le souhaitez. Il existe cinq ou six options d’exportation.

Le problème ne vient pas de nous, mais de l’adéquation des personnes qui sont au pouvoir à Kiev. Laissez-les décider de ce qu’ils veulent faire, et dans ce cas au moins, ils ne sont pas guidés par leurs maîtres de l’étranger, de l’outre-mer, de l’autre côté de l’océan.

Mais il y a aussi le danger que ces céréales servent à payer les armes fournies. Ce serait bien malheureux alors.

Chers amis !

Comme je l’ai dit, le monde moderne traverse une période de changements spectaculaires. Les institutions internationales s’effondrent, elles sont défaillantes. Les garanties de sécurité sont dévaluées. L’Occident a fondamentalement refusé d’honorer ses engagements antérieurs. Il s’est avéré impossible de conclure de nouveaux accords avec l’Occident.

Dans cette situation, dans un contexte de risques et de menaces croissants pour nous, la décision de la Russie de mener une opération militaire spéciale a été forcée. Difficile, bien sûr, mais nécessaire et indispensable.

Il s’agit de la décision d’un pays souverain, qui a le droit inconditionnel, fondé d’ailleurs sur la Charte des Nations unies, de défendre sa sécurité. Une décision qui vise à protéger nos citoyens, les habitants des républiques populaires du Donbass, qui subissent depuis huit ans un génocide de la part du régime de Kiev et des néo-nazis, qui ont reçu le plein patronage de l’Occident.

L’Occident a non seulement cherché à mettre en œuvre le scénario “anti-Russie”, mais s’est également engagé activement dans le développement militaire du territoire ukrainien, inondant littéralement l’Ukraine d’armes et de conseillers militaires. Il continue à le faire même aujourd’hui. Pour être honnête, personne ne prête la moindre attention au développement de l’économie ou au bien-être des personnes qui y vivent ; ils s’en moquent éperdument, de quelque manière que ce soit, mais ils n’ont pas épargné et n’épargnent pas l’argent pour créer une tête de pont de l’OTAN à l’est dirigée contre la Russie, pour nourrir l’agression, la haine et la russophobie.

Aujourd’hui, nos soldats et nos officiers, et la milice du Donbass, se battent pour protéger leur peuple. Ils défendent le droit de la Russie à se développer librement et en toute sécurité en tant que grand pays multiethnique qui prend ses propres décisions, décide de son propre avenir, s’appuie sur sa propre histoire, sa culture et ses traditions et rejette toute tentative d’imposer de l’extérieur les pseudo-valeurs de la déshumanisation et de la dégradation morale.

Toutes les tâches de l’opération militaire spéciale seront incontestablement accomplies. La clé de cette réussite est le courage et l’héroïsme de nos soldats, la consolidation de la société russe, dont le soutien donne force et confiance à l’armée et à la marine de Russie, et la compréhension profonde de la justesse et de la justice historique de notre cause – construire et renforcer un État souverain fort, la Russie.

Qu’est-ce que je veux souligner ? La souveraineté au XXIe siècle ne peut être partielle, fragmentaire. Tous ses éléments sont d’égale importance, ils se renforcent et se complètent mutuellement.

C’est pourquoi il est important pour nous non seulement de défendre notre souveraineté politique, notre identité nationale, mais aussi de renforcer tout ce qui détermine l’indépendance économique du pays, son autosuffisance et son indépendance financière, personnelle et technologique.

La conception même des sanctions occidentales repose sur la thèse erronée selon laquelle la Russie n’est pas économiquement souveraine, qu’elle est extrêmement vulnérable. Ils étaient tellement occupés à propager des mythes sur l’arriération de la Russie, sa faible position dans l’économie et le commerce mondiaux, qu’ils semblaient y croire eux-mêmes.

En planifiant leur blitzkrieg économique, ils n’ont pas remarqué, ils ont simplement ignoré les faits réels, la façon dont notre pays a changé ces dernières années.

Et ces changements sont le résultat de notre travail planifié pour créer une structure macroéconomique durable, pour assurer la sécurité alimentaire, pour mettre en œuvre des programmes de substitution des importations, pour construire notre propre système de paiement, etc.

Bien sûr, les sanctions ont placé le pays face à de nombreux défis de taille. Certaines entreprises rencontrent encore des problèmes avec les composants. Toute une série de solutions technologiques sont devenues inaccessibles à nos entreprises. La logistique a été perturbée.

Mais, d’un autre côté, tout cela nous ouvre de nouvelles possibilités – nous en parlons souvent, mais c’est vraiment vrai. Tout cela incite à construire une économie dotée d’un potentiel et d’une souveraineté technologiques, manufacturiers, humains et scientifiques complets, plutôt que partiels.

Bien entendu, une tâche aussi complexe ne peut être résolue en une seule fois. Il est nécessaire de poursuivre un travail systématique, dans une perspective d’avenir. C’est exactement comme cela que fonctionne la Russie, qui met en œuvre des plans à long terme pour le développement des secteurs économiques et le renforcement de la sphère sociale. Et les défis actuels ne font qu’apporter des ajustements et des retouches à ces plans, mais ne modifient pas leur orientation stratégique.

Aujourd’hui, je voudrais me concentrer sur les principes clés qui guideront le développement de notre pays et de notre économie.

La première est l’ouverture. Les nations véritablement souveraines sont toujours prêtes à travailler en partenariat sur un pied d’égalité, afin d’apporter leur propre contribution au développement mondial. Au contraire, ceux qui sont faibles et dépendants ont tendance à se chercher des ennemis, à répandre la xénophobie ou à perdre complètement leur identité et leur indépendance, en suivant aveuglément leur suzerain.

La Russie – bien que nos amis occidentaux, pour ainsi dire, en rêvent littéralement – ne prendra jamais la voie de l’auto-isolement et de l’autarcie. En outre, nous étendons et continuerons d’étendre la coopération avec tous ceux qui sont intéressés par cela, qui veulent travailler avec nous. Ces personnes sont nombreuses, je ne les citerai pas toutes. Ils constituent la grande majorité des habitants de la Terre. Je ne vais pas énumérer tous ces pays maintenant, tout le monde le sait.

Je ne dirai rien de nouveau si je rappelle que tous ceux qui veulent continuer à travailler et à collaborer avec la Russie sont soumis à des pressions non dissimulées de la part des États-Unis et de l’Europe, parfois même à des menaces directes. Toutefois, un tel chantage ne signifie pas grand-chose lorsque nous parlons de pays dirigés par de vrais leaders qui comprennent clairement où se trouvent les intérêts des autres et où se trouvent les intérêts nationaux, leurs propres intérêts et ceux de leur peuple.

La Russie renforcera la coopération économique avec ces États et promouvra des projets communs. En même temps, bien sûr, nous coopérerons avec les entreprises occidentales qui, malgré un “bras de fer” sans précédent, continuent à travailler avec succès sur le marché russe.

Nous considérons le développement d’une infrastructure de paiement pratique et indépendante dans les monnaies nationales comme une base solide et prévisible pour approfondir la coopération internationale. Et pour aider les entreprises de nos pays à établir des liens logistiques et de coopération, nous développons des corridors de transport, augmentons la capacité des chemins de fer et la capacité de transbordement des ports dans l’Arctique, l’Est, le Sud et d’autres directions. En particulier, dans les bassins de la mer d’Azov et de la mer Noire et de la mer Caspienne, ils deviendront la partie la plus importante du corridor Nord-Sud, qui fournira des voies de communication durables avec le Moyen-Orient et l’Asie du Sud. Nous pensons que le trafic de marchandises le long de cette route commencera à croître régulièrement dans un avenir proche.

Mais il n’y a pas que le commerce international qui est important. La Russie entend accroître la coopération scientifique, technologique, culturelle, humanitaire et sportive sur la base des principes d’égalité et de respect des partenaires. Dans le même temps, notre pays s’efforcera d’être un leader responsable dans tous ces domaines.

Le deuxième principe de notre développement à long terme est le soutien des libertés entrepreneuriales. Toute initiative privée visant à profiter à la Russie doit bénéficier d’un soutien maximal et d’un espace pour sa mise en œuvre.

La pandémie et les événements actuels ont confirmé l’importance de la flexibilité et de la liberté dans l’économie. C’est l’entreprise privée – dans un environnement difficile, face à des tentatives d’étouffer notre développement par tous les moyens – qui a prouvé qu’elle était capable de rivaliser sur les marchés mondiaux. L’adaptation à l’évolution rapide de l’environnement extérieur se fait également au détriment des entreprises privées. Il est nécessaire d’assurer le développement dynamique de l’économie, bien sûr, avec le soutien des entreprises privées.

Nous continuerons à réduire la charge administrative. Par exemple, de 2016 à 2018, nous avons eu un moratoire sur les inspections planifiées des petites entreprises. Par la suite, il a été prolongé, jusqu’à la fin de 2022 au total. En 2020, ce moratoire concernera également les entreprises de taille moyenne. En outre, le nombre d’inspections non programmées a presque quadruplé.

Mais nous sommes allés encore plus loin et, en mars de cette année, nous avons renoncé aux inspections prévues pour tous les entrepreneurs, quelle que soit la taille de leur entreprise, à une seule condition : si leurs activités ne sont pas associées à un risque élevé de préjudice pour les citoyens et l’environnement. En conséquence, le nombre d’inspections prévues a été divisé par six par rapport à l’année dernière.

Pourquoi est-ce que j’en parle maintenant de manière aussi détaillée ? Le fait est qu’après l’introduction du moratoire sur les inspections, le nombre d’infractions commises par les entrepreneurs – c’est le résultat – n’a pas augmenté, mais a diminué, le nombre d’infractions a baissé. Cela montre la maturité et la responsabilité des entreprises russes. Elles doivent doit être motivées, et non, bien sûr, contraintes de se conformer aux normes et aux exigences.

Cela signifie qu’il y a toutes les raisons de faire un autre pas en avant, radical : abandonner définitivement la plupart des inspections de toutes les entreprises russes dont les activités ne sont pas associées à des risques élevés de préjudice. Tout le monde l’a compris depuis longtemps : il n’est pas nécessaire d’inspecter tout le monde. Une approche axée sur le risque devrait fonctionner. Je demande au gouvernement de définir les paramètres spécifiques de cette réforme dans les mois à venir.

Voici une autre question très sensible pour les entreprises, et aujourd’hui, c’est aussi une question de sécurité nationale et de durabilité économique. Afin de réduire et de minimiser toutes sortes d’abus et d’échappatoires permettant de faire pression sur les entrepreneurs, nous supprimons systématiquement les dispositions pénales vagues en matière de délits dits économiques.

En mars, une loi a été promulguée selon laquelle des poursuites pénales contre des hommes d’affaires pour des infractions fiscales ne peuvent être engagées que sur présentation des autorités fiscales – et d’aucune autre manière. Un projet de loi visant à raccourcir le délai de prescription des infractions fiscales et à refuser d’engager des poursuites pénales après le paiement intégral des arriérés d’impôts devrait être adopté prochainement.

Dans l’ensemble, une approche prudente mais approfondie est nécessaire pour décriminaliser un certain nombre d’infractions dites économiques. Par exemple, celles liées au fait de travailler sans licence ou accréditation. Cette question est aujourd’hui très délicate en raison du comportement illégitime de nos partenaires occidentaux, par exemple, qui refusent d’accorder de telles licences.

Dans des cas comme celui-ci, nos organes d’État ne devraient pas, comme on dit, accuser le business russe de leurs propres mains, alors que nos entrepreneurs ne sont pas vraiment à blâmer ici. Vous savez ce que je veux dire. Ceux qui travaillent dans une petite entreprise le comprennent très bien. La licence a expiré, nos partenaires occidentaux ne la prolongent pas, que peuvent-ils faire ? Devraient-ils faire faillite ? Les choses ne devraient pas fonctionner ainsi. Il est nécessaire, bien sûr, de tout garder sous le contrôle de l’État, mais pas de les empêcher de travailler.

Nous devrions également penser à relever le seuil de responsabilité pour le non-paiement des droits de douane et autres paiements obligatoires. De plus, nous n’avons pas modifié les paramètres de la définition des dommages majeurs et surtout importants depuis longtemps, malgré l’inflation accumulée. Cette incohérence de la loi avec les réalités de la vie doit certainement être corrigée. De 2016 à aujourd’hui, l’inflation s’est accumulée autour de 50 % et ces paramètres n’ont pas été modifiés – il est nécessaire de les modifier, bien sûr.

Enfin, les motifs de mise en détention provisoire des hommes d’affaires et de prolongation des enquêtes préalables au procès doivent être revus. Ce n’est un secret pour personne que ces règles sont très souvent appliquées alors qu’il n’y a aucune nécessité objective.

En conséquence, des entreprises sont contraintes de suspendre leurs activités ou de fermer purement et simplement leurs portes alors qu’elles font encore l’objet d’une enquête. Dans ce cas, outre les pertes directes et la perte de positions sur le marché et d’emplois, la réputation des entreprises et de leurs dirigeants est affectée.

Je voudrais attirer l’attention des forces de l’ordre sur la nécessité de mettre un terme à cette pratique. Je demande au gouvernement, en collaboration avec la Cour suprême, de préparer les amendements appropriés à la loi. Je demande que ces travaux soient réalisés avant le 1er octobre de cette année.

En outre, le Conseil de sécurité a chargé une mission spéciale d’analyser les situations dans lesquelles des affaires pénales sont engagées mais ne sont pas portées devant les tribunaux. Le nombre de ces cas a considérablement augmenté ces dernières années. Il est clair pour tout le monde ce qui se cache derrière. Souvent, les procédures sont engagées sans motifs suffisants ou sont utilisées pour faire pression sur des entreprises ou des particuliers. Nous discuterons de ce sujet séparément à l’automne et prendrons des décisions supplémentaires en termes de législation et d’organisation du travail des services répressifs.

Bien entendu, les équipes de gestion régionales jouent un rôle majeur dans la création d’un environnement commercial moderne. Traditionnellement, lors du Forum de Saint-Pétersbourg, je signale les régions qui ont fait des progrès significatifs dans le cadre du classement national du climat d’investissement géré par l’Agence des initiatives stratégiques.

Ici, nous avons des changements dans le trio de tête. Moscou et le Tatarstan, qui restent en tête, ont été rejoints cette année par la région de Moscou. Au cours de l’année, elle est passée de la huitième à la troisième place. Les régions de Toula, de Nijni Novgorod, de Tioumen, de Novgorod, de Sakhaline, de Saint-Pétersbourg et du Bachkortostan figurent également en tête du classement.

Je voudrais distinguer les régions qui ont le plus progressé : la région de Kourgan, avec une augmentation de 36 places, les territoires de Perm et d’Altaï, avec une augmentation de 26 places, l’Ingouchie, avec 24 places, et la région d’Ivanovo, qui a gagné 17 places. Je tiens à remercier et à féliciter nos collègues des régions pour ce travail.

Et bien sûr, le gouvernement fédéral et les équipes régionales et municipales doivent accorder une attention particulière au soutien des initiatives commerciales des citoyens des petites villes et des communautés éloignées. Nous avons également des exemples de réussite. Il s’agit, entre autres, de créer des logiciels demandés, de vendre des produits respectueux de l’environnement et des biens de notre propre production dans tout le pays via des plateformes internet nationales.

Il est important de créer de nouvelles opportunités ici, d’introduire des formats commerciaux modernes, notamment des plates-formes électroniques, comme je l’ai dit, de réduire la logistique, le transport et les autres coûts, notamment en utilisant des bureaux de poste russes modernisés.

Nous devons également aider les employés des petites entreprises, les auto-entrepreneurs et les jeunes entrepreneurs à acquérir des qualifications et des compétences supplémentaires. Je demande que ces mesures, qui visent spécifiquement les petites villes, les zones rurales et les régions éloignées, fassent l’objet d’un point particulier dans le projet national de développement des petites et moyennes entreprises.

Je voudrais également m’adresser à nos dirigeants et propriétaires de grandes entreprises, à nos grands entrepreneurs et gestionnaires.

Chers collègues, chers amis !

Un succès réel et durable, un sentiment de dignité et de respect de soi ne sont possibles que lorsque vous associez votre avenir, l’avenir de vos enfants à votre patrie. Nous sommes en contact avec de nombreuses personnes depuis longtemps, et je connais les sentiments de beaucoup de nos chefs d’entreprise et propriétaires. Vous m’avez dit à plusieurs reprises que les affaires ne se résument pas à la réalisation de bénéfices, et c’est vrai, mais changer la vie autour de soi, contribuer au développement de sa ville, de sa région et de son pays dans son ensemble est une chose extrêmement importante pour la réalisation de soi, servir les gens et la société ne peut être remplacé par rien. C’est le but de la vie, le but du travail.

Les événements récents n’ont fait que confirmer ce que je disais depuis le début : il est plus fiable d’être à la maison. Ceux qui n’ont pas voulu entendre ce message évident ont perdu des centaines de millions, voire des milliards de dollars en Occident – c’est ainsi que s’est révélé le refuge supposé des capitaux.

Une fois de plus, je voudrais dire à mes collègues, y compris à ceux qui sont dans le public et à ceux qui ne sont pas ici aujourd’hui : s’il vous plaît, ne marchez pas sur les vieux râteaux. Notre pays a un potentiel énorme, et les tâches à accomplir ne manquent pas. Investissez ici, investissez dans la création de nouvelles entreprises et d’emplois, développez les infrastructures touristiques, soutenez les écoles, les universités, les soins de santé et la sphère sociale, la culture et les sports. Je sais que beaucoup le font, je sais – je veux juste insister sur ce point une fois de plus.

C’est exactement ainsi que les Bakhruchine et Morozov, les Chtchoukine et Riabouchinski, les Aktchourine et Galeyev, les Apanayev et Matsiev, Mamontov, Tretiakov, Arsanov, Dadachev et Hajiyev ont compris leur mission. De nombreuses familles de commerçants et d’entrepreneurs russes, tatars, bouriates, tchétchènes, daguestanaises, yakoutes, ossètes, juives, arméniennes et autres n’ont pas laissé d’héritiers et ont inscrit leur nom à jamais dans l’histoire de notre pays.

Par ailleurs, je voudrais souligner une autre chose. Pour les héritiers, les possibles héritiers du capital, personne ne sait ce qui est le plus important : l’argent et les biens dont ils ont hérité, ou la bonne réputation de leurs ancêtres et les services rendus à leur pays. Personne ne va le gaspiller, excusez mon ironie, personne ne va le boire.

Et ce qui restera aux futures générations d’héritiers, c’est leur bonne réputation qui restera avec eux pour toujours. Et elle les accompagnera sûrement tout au long de leur vie, de génération en génération, les aidera, les soutiendra dans la vie, les rendra plus forts que tout l’argent ou les biens dont ils pourront hériter.

Chers collègues !

Le troisième principe de notre développement à long terme est une politique macroéconomique responsable et équilibrée. À bien des égards, c’est précisément cette politique qui nous a permis de résister à la pression sans précédent des sanctions. Mais je le répète, pour nous, cette politique est importante non seulement pour répondre aux défis actuels, mais aussi à long terme. Nous ne répéterons pas l’expérience malheureuse de nos collègues occidentaux, qui ont déclenché une spirale inflationniste et déséquilibré leurs finances.

Notre objectif est de développer l’économie de manière régulière pour les années à venir, de réduire la charge inflationniste pesant sur les citoyens et les entreprises, et d’atteindre notre objectif d’inflation de quatre pour cent à moyen et long terme. J’ai failli commencer par l’inflation et je voulais maintenant dire ceci : quatre pour cent – nous avons toujours cet objectif.

J’ai déjà chargé le gouvernement de préparer des propositions de nouvelles règles budgétaires. Ils doivent assurer la prévisibilité de la politique budgétaire et créer les conditions permettant de tirer le meilleur parti de la situation économique extérieure. Tout cela est nécessaire pour renforcer les bases de la croissance économique, résoudre les problèmes d’infrastructure et de technologie, ce qui est la base de l’amélioration du bien-être des citoyens.

Oui, certaines des monnaies de réserve du monde sont suicidaires aujourd’hui, c’est clair, en tout cas leurs tendances suicidaires sont évidentes. Bien sûr, cela n’a aucun sens de “stériliser” notre masse monétaire avec elles aujourd’hui. Mais le principe fondamental – dépenser en fonction de ce que l’on a gagné – demeure, et personne ne l’a aboli. Nous le comprenons.

Le quatrième principe de notre développement est la justice sociale. La croissance de l’économie et de l’initiative des entreprises, des capacités industrielles et du potentiel scientifique et technologique du pays doit avoir une forte dimension sociale. Ce développement devrait conduire à une réduction des inégalités, et non à leur exacerbation, comme c’est le cas dans certains autres pays. Et franchement, nous ne sommes pas non plus les champions en la matière, nous avons encore beaucoup de questions et de problèmes ici.

La réduction de la pauvreté et des inégalités se traduit par une demande de produits nationaux, et ce dans tout le pays, ce qui signifie qu’il faut réduire l’écart entre les potentiels des régions, créer de nouveaux emplois exactement là où ils sont le plus nécessaires, et déterminer de manière générale les conditions de la poursuite du développement économique.

Je tiens à souligner que la dynamique positive des revenus réels des citoyens et la réduction de la pauvreté sont les principaux indicateurs de l’efficacité des autorités et du gouvernement dans son ensemble. Malgré toutes les difficultés objectives, il est nécessaire d’obtenir des résultats tangibles cette année, et le gouvernement s’est fixé cet objectif.

Je le répète, nous soutenons spécifiquement les groupes de citoyens les plus vulnérables : les retraités, les familles avec enfants, ainsi que ceux qui se trouvent dans des situations difficiles.

Chaque année, les retraites sont augmentées à un taux supérieur à l’inflation. Cette année, ils ont été augmentés deux fois, y compris de dix pour cent supplémentaires à partir du 1er juin.

Outre les retraites, le salaire minimum a également été augmenté de dix pour cent, de même que le niveau de subsistance, sur lequel reposent de nombreuses autres prestations et allocations sociales, qui doivent donc également être augmentées, ce qui affecte directement le revenu d’environ 15 millions de personnes.

Ces dernières années, nous avons développé un système de soutien complet pour les familles avec des enfants dans le besoin. Une femme peut recevoir une aide de l’État dès les premiers stades de la grossesse jusqu’à ce que son enfant atteigne l’âge de 17 ans.

Le bien-être et la prospérité des personnes sont les facteurs les plus importants du développement démographique, et la situation est ici extrêmement difficile, compte tenu des vagues démographiques négatives. En avril, moins de cent mille enfants sont nés en Russie, soit près de 13% de moins qu’en avril 2020.

Je demande au gouvernement de suivre en permanence le développement de mesures de soutien supplémentaires pour les familles avec enfants. Elles doivent être de nature cardinale, à la mesure de l’ampleur du défi démographique extrême auquel nous sommes confrontés.

L’avenir de la Russie est une famille avec deux, trois enfants ou plus. Par conséquent, nous ne devons pas seulement parler de soutien financier direct – nous devons cibler, adapter aux besoins des familles avec enfants le système de santé, l’éducation, toutes les sphères qui déterminent la qualité de vie des gens.

L’initiative sociale nationale, que les équipes régionales et l’ASI mettent en œuvre ensemble, vise à résoudre ce problème. À l’automne, nous évaluerons les résultats de ce travail et résumerons le classement de la qualité de vie dans les régions, afin que les meilleures pratiques et expériences puissent être utilisées aussi largement que possible dans tout le pays.

Un autre cinquième principe sur lequel la Russie fonde sa politique économique est le développement rapide des infrastructures.

Nous avons déjà augmenté les dépenses budgétaires directes pour renforcer les artères de transport. L’année prochaine, un plan à grande échelle sera lancé pour construire et réparer le réseau routier fédéral et régional. En cinq ans, au moins 85 % de sa longueur doit être mise aux normes.

Nous utilisons activement un nouvel outil tel que les prêts budgétaires pour les infrastructures. Ces prêts sont disponibles pour 15 ans à un taux d’intérêt de trois pour cent. J’ai déjà dit que la demande pour ces produits s’est avérée beaucoup plus importante que ce que nous avions prévu à l’origine. Les régions ont beaucoup de projets bien établis et prometteurs – nous ne pouvons pas retarder leur lancement. Nous allons encore réfléchir à ce que nous allons faire de cette mesure de soutien. On en discutait encore hier soir. En tout cas, tout ce que je peux dire maintenant, c’est que cet outil fonctionne de manière fiable.

La modernisation du secteur du logement et des services publics est une question distincte. De nombreux problèmes se sont accumulés ici. Le secteur souffre d’un sous-investissement chronique, estimé à 4,5 billions de roubles. Plus de 40 % des réseaux doivent être remplacés. Il en résulte une faible efficacité et des pertes élevées. Dans le même temps, chaque année, environ 3 % des réseaux se détériorent et tombent en ruine, tandis que 2 % au maximum sont remplacés par de nouveaux réseaux, ce qui signifie que le problème s’aggrave d’année en année.

Je propose de consolider les ressources et de lancer un programme complet de modernisation du secteur du logement et des services publics et de le synchroniser avec d’autres plans de développement des infrastructures et de réparation du parc immobilier. L’objectif est de changer fondamentalement la situation et de réduire systématiquement la part des réseaux obsolètes, tout comme nous le faisons en réhabilitant les logements délabrés et en réparant les routes. Nous discuterons en détail des questions relatives au secteur du logement et de la construction avec les gouverneurs lors de la réunion du présidium du Conseil d’État la semaine prochaine.

En outre, je propose spécifiquement d’augmenter les ressources pour les projets visant à créer un environnement urbain confortable dans les petites villes et les établissements historiques. Ce programme fonctionne bien pour nous. Je propose d’allouer dix milliards de roubles supplémentaires par an à ces fins en 2023-2024.

Nous allouerons des fonds supplémentaires pour la rénovation urbaine en Extrême-Orient. Je demande au gouvernement de réserver des enveloppes spéciales à ces fins dans le cadre des prêts budgétaires pour les infrastructures et la modernisation du secteur du logement et des services publics, ainsi que d’autres programmes de développement.

Une priorité inconditionnelle pour nous est le développement global des zones rurales. Les personnes qui travaillent dans les campagnes, qui nourrissent le pays et, comme nous le voyons maintenant, une partie considérable du monde, doivent vivre dans des conditions confortables et décentes. À cet égard, je demande au gouvernement d’allouer des fonds supplémentaires au programme de base. Les droits d’exportation provenant de la vente de produits agricoles peuvent devenir une source de financement ici. Il s’agit d’une source permanente. Bien sûr, elle peut fluctuer, mais elle sera permanente.

En même temps, je propose spécifiquement d’étendre les programmes de rénovation et de modernisation des maisons de la culture rurales, ainsi que des théâtres et des musées régionaux et municipaux, en allouant six milliards de roubles chacun à ces fins en 2023 et 2024.

Ce que je viens de dire dans le domaine de la culture est une tâche extrêmement exigeante et importante pour les gens. Permettez-moi de donner un exemple très récent : lors de la remise des médailles de héros du travail, l’un des lauréats de Yakoutie, Vladimir Afrikanovich Mikhaïlov, a demandé directement, dans une partie privée, de l’aide pour la construction d’un centre culturel dans son village natal. Bien sûr, nous le ferons. Mais le fait que les gens en parlent à tous les niveaux montre qu’il y a une forte demande.

Je ferai également une petite digression, qui est appropriée maintenant, avec le début de l’été – la saison traditionnelle des vacances en Russie.

Chaque année, de plus en plus de touristes cherchent à visiter les plus beaux sites naturels de notre pays : parcs nationaux, réserves naturelles et réserves de faune. On estime que cette année, le flux de touristes dépassera les 12 millions de personnes. Il est important que les agences gouvernementales, les entreprises et les touristes sachent ce qui est autorisé et ce qui ne doit pas être fait dans ces zones, où les installations touristiques peuvent être construites et où cela est strictement interdit, où cela crée des risques pour les écosystèmes uniques et vulnérables.

La Douma d’État examine déjà un projet de loi visant à réglementer l’organisation du tourisme dans les zones spécialement protégées et à créer une base civilisée pour ces activités.

À cet égard, je voudrais attirer l’attention sur ce qui suit : toutes les décisions prises ici doivent être réfléchies et soupesées, il est nécessaire de les prendre au sérieux.

Je voudrais mentionner en particulier la tâche de sauver et de préserver le lac Baïkal. Il s’agit notamment d’un projet unique de développement du complexe urbain de Baikalsk, qui doit devenir un modèle de gestion réfléchie et écologique.

L’objectif n’est pas seulement d’éliminer les dommages accumulés sur la nature par les activités de l’usine de pâte à papier de Baïkal, mais aussi d’amener la ville à un niveau de vie fondamentalement différent, pour en faire un symbole de l’écotourisme russe. Le projet doit être mis en œuvre en utilisant les technologies les plus avancées, des sources d’énergie respectueuses de l’environnement.

De manière générale, nous développerons des technologies propres pour atteindre nos objectifs de modernisation écologique de nos entreprises et réduire les émissions nocives dans l’atmosphère, notamment dans les grands centres industriels. Nous continuerons également à travailler sur des projets d’économie en circuit fermé, des projets verts et la préservation du climat, comme je l’ai détaillé ici au forum de l’année dernière.

À cet égard, le sixième principe de développement transversal, à mon avis, qui unit nos travaux, est de parvenir à une véritable souveraineté technologique, en créant un système holistique de développement économique indépendant des institutions étrangères en termes de composants critiques. Nous devons développer tous les domaines de la vie à un niveau technologique qualitativement nouveau et, en même temps, ne pas nous contenter d’être les utilisateurs des solutions de quelqu’un d’autre, mais disposer des clés technologiques pour créer des biens et des services pour les générations suivantes.

Ces dernières années, nous avons accordé beaucoup d’attention à la substitution des importations, nous avons fait des progrès dans un certain nombre de domaines : dans le secteur agricole, dans la production de médicaments, d’équipements médicaux, dans l’industrie de la défense et dans un certain nombre d’autres domaines.

Mais, et je tiens à le souligner, nous avons beaucoup de discussions dans la société à ce sujet : la substitution des importations n’est pas une panacée, ce n’est pas une solution définitive. Si nous ne faisons que répéter les autres, si nous essayons de remplacer les produits des autres, même s’il s’agit de copies de la plus haute qualité, nous risquons d’être rattrapés, alors que nous devons avoir une longueur d’avance, pour créer nos propres technologies, produits et services compétitifs qui peuvent devenir de nouvelles normes mondiales.

Permettez-moi de vous rappeler que Sergueï Pavlovitch Korolev n’a pas suivi la voie de la copie et de l’amélioration partielle du matériel de fusée, mais qu’il a regardé vers l’avenir et a proposé un schéma unique pour créer la fusée R-7, ouvrant à l’humanité la voie vers l’espace, en fait il a établi une norme pour le monde entier, et pour les décennies à venir.

C’est exactement comme cela que les fondateurs de nombreux programmes scientifiques soviétiques ont travaillé en leur temps, et aujourd’hui, en s’appuyant sur un tel travail de base, nos concepteurs avancent dignement. Grâce à eux, la Russie dispose d’armes hypersoniques qui n’ont pas d’analogues dans le monde. Rosatom occupe une position de premier plan dans la technologie nucléaire et développe une flotte de brise-glace nucléaires. De nombreuses solutions russes en matière d’intelligence artificielle et de traitement des big data sont les meilleures au monde.

Une fois encore, le développement technologique est une tendance transversale qui définira non seulement la décennie actuelle, mais aussi l’ensemble du 21e siècle. Nous discuterons en détail du thème de la construction d’une nouvelle économie technologique – la techno-économie – lors du prochain Conseil de développement stratégique. Il y a beaucoup de sujets de discussion et, surtout, de décisions de gestion. Je pense au développement de la formation d’ingénieur et au transfert des développements scientifiques vers l’économie réelle, en fournissant des ressources financières aux entreprises de haute technologie à croissance rapide. Nous aborderons également le développement des technologies de bout en bout et l’avancement des projets de transformation numérique dans certaines industries.

Permettez-moi d’insister sur le fait qu’il est bien sûr impossible de produire tout et n’importe quoi, et que ce n’est pas nécessaire. Cependant, nous devons disposer de toutes les technologies essentielles afin de mettre en place notre propre production de n’importe quel produit, si nécessaire, dans un court laps de temps. C’est ce que nous avons fait lorsque nous avons rapidement produit des vaccins contre le coronavirus et nous avons maintenant de nombreux autres produits et services.

Par exemple, après le départ des partenaires peu scrupuleux de KAMAZ du marché russe, leur niche est désormais occupée par des entreprises nationales. Et nous parlons de fournir des composants non seulement pour les modèles traditionnels de l’usine, mais aussi pour la série prometteuse de véhicules long-courriers, de transport et lourds.

Je voudrais également mentionner le système de paiement par carte Mir, qui a remplacé avec succès Visa et MasterCard sur le marché national et qui est en train d’étendre sa portée géographique, gagnant peu à peu une reconnaissance internationale.

Un autre exemple est celui de l’usine de tracteurs de Saint-Pétersbourg. Son ancien partenaire étranger a refusé de vendre des moteurs et de fournir un service de garantie. Qui a aidé ? Les constructeurs de moteurs de Iaroslavl et Toutayev : ils ont commencé à fournir leurs propres moteurs. En conséquence, la production de machines agricoles à l’usine de tracteurs de Saint-Pétersbourg en mars-avril de cette année a été un record pour l’entreprise – pas une baisse, mais une augmentation record.

Je suis sûr que ces pratiques positives et ces exemples de réussite seront de plus en plus nombreux.

Je le répète, la Russie a les capacités humaines, scientifiques et technologiques pour maîtriser les produits qui sont particulièrement demandés aujourd’hui, notamment les équipements ménagers et de construction, les équipements industriels et de service.

Le défi aujourd’hui est d’augmenter la capacité et de mettre en place les lignes de production nécessaires en peu de temps. Et l’une des questions clés est un environnement confortable pour les entreprises, ainsi que la disponibilité de sites de production préparés.

Je demande au gouvernement de présenter les paramètres clés du nouveau mode de fonctionnement des pôles industriels d’ici l’automne. Qu’est-ce qui est important ici ?

Le premier est le financement. Les projets lancés dans ces pôles doivent bénéficier de crédits à long terme, abordables, d’une durée maximale de dix ans et à un taux d’intérêt annuel ne dépassant pas sept pour cent en roubles. Nous avons discuté de toutes ces questions, y compris avec notre bloc économique. Tout le monde est d’accord, nous allons le faire.

Le second est la fiscalité. Dans les pôles, il est nécessaire de garantir un faible niveau de taxes forfaitaires, y compris les primes d’assurance.

Le troisième point consiste à soutenir la production au stade initial et précoce, en formant un ensemble de commandes, y compris l’octroi de subventions pour l’achat de produits finis de ces entreprises. La question n’est pas simple, mais je pense que des subventions seront nécessaires. Ils sont nécessaires pour assurer le marché. Nous devrions juste y travailler calmement.

Quatrièmement, nous avons besoin d’une administration simplifiée, comprenant des inspections minimales ou inexistantes, et d’un suivi fiscal et douanier confortable pour les entreprises.

Cinquièmement, et c’est peut-être le plus important, nous devons créer des mécanismes pour garantir une demande à long terme pour les nouveaux produits innovants qui viennent d’arriver sur le marché. J’aimerais attirer l’attention du gouvernement sur le fait que ce traitement préférentiel et les pôles industriels correspondants devraient être mis en place dès le 1er janvier 2023.

Ce que je veux dire à cet égard. Les pôles de croissance industrielle, qu’ils soient nouveaux ou existants, doivent attirer les petites entreprises et les mettre dans leur orbite. En même temps, il est important pour l’entrepreneur, pour les petites organisations de voir l’horizon, de comprendre les perspectives.

À cet égard, je demande bien sûr au gouvernement, en collaboration avec la SME [Société fédérale pour le développement des petites et moyennes entreprises] et nos grandes entreprises, de lancer un outil pour les accords à long terme entre les entreprises à participation publique et les petites et moyennes entreprises. De cette façon, la demande pour les produits de ces entreprises sera garantie pour les années à venir, et les fournisseurs pourront s’engager en toute confiance à créer une nouvelle production ou à étendre la production existante pour répondre à cette commande.

Je voudrais ajouter que nous avons déjà sérieusement réduit le temps nécessaire à la construction d’installations industrielles et supprimé les procédures lourdes et inutiles, mais il y a encore beaucoup de lacunes, il y a des choses à travailler et il est possible d’aller de l’avant. Par exemple, il faut encore un an et demi à trois ans pour construire des installations de production à partir de rien, et les taux d’emprunt élevés freinent encore l’achat d’espaces prêts à l’emploi.

À cet égard, je suggère de lancer un outil fondamentalement nouveau – les prêts hypothécaires industriels – pour permettre aux entreprises nationales de déployer rapidement les produits nécessaires. Je parle de prêts préférentiels à long terme avec un taux d’intérêt annuel de cinq pour cent. Les entreprises qui prévoient d’acheter des surfaces prêtes à l’emploi pour la production pourront bénéficier de ces prêts. Je demande au gouvernement de régler sans tarder tous les détails avec le secteur bancaire en Russie, afin que, dans un avenir proche, les prêts hypothécaires industriels soient pleinement opérationnels.

Chers amis !

La vitesse et l’ampleur des changements dans l’économie, la finance et les relations internationales mondiales augmentent. Le rejet de la mondialisation au profit d’un modèle de croissance multipolaire est de plus en plus clair. Bien sûr, la formation, la naissance d’un nouvel ordre mondial est un processus difficile. Nous serons encore confrontés à de nombreux défis, risques et facteurs qu’il est aujourd’hui difficile de prévoir et d’anticiper.

Mais il est évident que les règles de fond du nouvel ordre mondial seront fixées par des États forts et souverains – ceux qui ne suivent pas la trajectoire déjà fixée par quelqu’un d’autre. Seuls les États forts et souverains ont leur mot à dire dans cet ordre mondial qui émerge à nouveau, ou sont condamnés à devenir ou à rester une colonie impuissante.

Il est nécessaire de s’efforcer d’aller de l’avant, de changer, de sentir le souffle de l’époque, et de faire preuve de volonté et de détermination nationales pour y parvenir. La Russie entre dans l’ère à venir en tant que puissant pays souverain. Nous sommes certains de tirer le meilleur parti des nouvelles opportunités colossales que le temps nous a ouvertes, et nous deviendrons encore plus forts.

Merci de votre attention.

Vladimir Poutine

Source : Site officiel du Kremlin

Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider




Le Grand Appel de la Résistance

[Source : mediazone.zonefr.com]

Par Eric Montana

Vingt-deux personnalités du monde médical, scientifique, juridique, intellectuel et journalistique(([1]
– Christine Deviers Joncour
– Dr Benoit Ochs
– Pierre Barnerias
– Jacob Cohen
– Dr Laurent Montesino
– Emmanuelle Darles
– Cécile du Docthothon
– Christian Cotten
– Mélodie de « Ou est mon cycle »
– TNT TV Journalistes sans frontières
– Thierry Beccourt
– Merlin Longuet
– Dr Anne-Marie Yim
– Chloé Frammery
– Dr Eric Loridan
– Maitre Ellen Bessis
– Lise Philippe – Mamans Louves
– Marion Sigaut
– Etienne Chouard
– Frederic Vidal
– Amélie Paul
– Dr Louis Fouché)) se sont réunies pour lancer un « Grand Appel » aux peuples de France, d’Europe et du Canada pour éveiller les consciences, et mettre un terme à la tyrannie sanitaire utilisée pour nous entraîner vers le Grand Reset et le Nouvel Ordre Mondial totalitaire. L’heure est venue de s’unir pour dire NON.

Nous sommes très nombreux, bien plus nombreux qu’on ne l’imagine à avoir fait le constat que nous ne vivons plus dans un État de droit depuis l’élection du gangster Sarkozy en 2007… Et depuis, les choses n’ont fait que s’aggraver. Aujourd’hui, chacun d’entre nous mesure la gravité de la situation. La Constitution, cette imposture rédigée pour faire de nous de simples « électeurs » conditionnables et manipulables à souhait, alors que nous croyions être des « citoyens », est bafouée et piétinée, les lois sont méprisées par ceux qui les ont rédigées, les droits des « citoyens » ne sont plus qu’une illusion et nos gouvernements ne sont plus que de vulgaires domestiques des cartels bancaires, des réseaux occultes et autres FEM, Bilderberg, Trilatérale sans oublier BlackRock et Vangard…

Et ces braves gens qui s’autoproclament « élites » ont décidé d’accélérer la mise en place du Nouvel Ordre Mondial en utilisant une arme biologique et la vaccination qui va avec… Oubliés les dizaines de milliers de médecins, de scientifiques, d’avocats, de journalistes, d’alerteurs qui s’opposent et dénoncent cette folie vaccinale. La censure massive s’est abattue sur leurs têtes avec une violence jamais vue. Exit la liberté d’expression, aujourd’hui remettre en cause le narratif officiel c’est s’exposer à recevoir la visite de la police à 6 h du matin comme Maître Virginie Araujo-Recchia…

Je ne vais pas détailler tout ce qui déraille dans notre pays, car il faudrait des pages et des pages pour en parler. 

Il vaut mieux se concentrer sur le monde nouveau que nous voulons bâtir ensemble. Si la politique servait à rendre les gens heureux, cela se saurait. Donc exit les parasites, les carriéristes, les corrompus, les traîtres et les démagogues. Les politiciens ont démontré qu’ils ne sont pas au service des peuples, mais au service de leurs propres intérêts et de ceux qui financent leurs campagnes électorales. En France, le vrai président n’est pas celui qu’on voit…

La société civile a donc décidé de reprendre en main sa destinée, car aucun d’entre nous ne veut vivre dans la société transhumaniste de Klaus Schwab et de Yael Noah Harari. Et ce Grand Appel n’est qu’un début…

Dimanche 19 juin, sera retransmise en direct sur TV-ADP, AgoraTV, Kairos, GushTV, TNT-TV, Nexus, et beaucoup d’autres médias indépendants européens, le MEGATON, une émission où près d’une centaine de personnalités viendront expliquer pourquoi il est légitime de défendre notre intégrité physique et celle des plus vulnérables, de nos enfants, de nos anciens et des orphelins qu’on utilise comme des cobayes de l’industrie pharmaceutique.

La « vaccination » provoque bien plus de victimes que le virus qu’elle est censée combattre. Et la meilleure preuve c’est que les vaccinés ne sont pas protégés du Covid, bien au contraire. La destruction de leurs défenses immunitaires naturelles les expose à tous les dangers au point que les centres de transfusion sanguine refusent leur sang…

Nous disposons aujourd’hui de tous les éléments pour refuser ces injections mortelles. Et à part ceux qui se nourrissent de la parole des gouvernements, des médias corrompus, des docteurs Mengelé, aucun être doué de raison ne croit plus à cette mascarade criminelle.

Dans ces conditions, n’est-il pas légitime de nous unir et dire NON à ces gens qui nous mentent et nous manipulent pour réduire la population mondiale et soumettre les survivants ?

Voici le texte du Grand Appel. Si vous vous sentez concerné, faites-le circuler, car si un homme averti en vaut deux, un homme informé en vaut 1000 !

Le Grand Appel

Se soumettre en accord avec les politiques mises en œuvre. Se soumettre à regret sous la pression. Ne pas se soumettre et se relever. Ainsi se résume désormais notre choix de vie. 

Les événements mondiaux vécus depuis 2020 amènent chacun à sa propre croisée des chemins. Ces deux dernières années ont eu le mérite d’éclairer notre vision de la France et de ses institutions. Ce chemin de conscience nous mène à présent aux choix les plus importants de toute une vie. 

L’exécution de cette politique mondiale, voulue par une poignée, la rend de plus en plus visible pour ce qu’elle est vraiment. Sa base : d’énormes mensonges qui orchestrent la peur. Alimentée par un véritable terrorisme médiatique, elle veut imposer un mode de vie totalitaire, par le biais d’organismes corrompus financés par les plus riches de la planète.

Le faux prétexte sanitaire est utilisé à répétition, tout comme peut l’être le prétexte écologique, dans un contexte de pénuries organisées qui vont très vite aggraver la situation, pour mieux soumettre les populations. 

Les niveaux de corruption, mais aussi d’incompétence des institutions, des milieux politiques, des milieux médicaux et de la presse subventionnée ont permis jusque-là cette mascarade, face à un peuple médusé, hypnotisé par la propagande et diverses techniques d’ingénierie sociale conduites sur des décennies. 

La révélation est brutale pour beaucoup d’entre nous. Oui, nous sommes tous à la croisée des chemins. 

Faire le grand écart entre la peur de dire non et la liberté de ses choix n’est plus possible. Trop d’enjeux en sont tributaires et il en va de l’avenir des générations qui nous suivent. Ce sont désormais deux modèles de société très différents qui se présentent sans compromis à chacun de nous. 

D’un côté, nous est annoncée à travers un Nouvel Ordre Mondial une société uniformisée de contrôle total des individus avec des visées transhumanistes. Celle que tentent d’imposer avec autorité les gouvernements des nations occidentales et leurs mentors, celle où les gardiens de la paix sont devenus les forces de l’ordre. Un modèle où toutes les libertés fondamentales, jusqu’à la dépossession de l’éducation des enfants, seront perdues, en échange d’une prise en charge du citoyen, réduit à une dépendance croissante aux autorités, par le biais de règles liberticides et de technologies intrusives. Cela peut séduire ceux qui céderont à la peur. 

D’un autre côté, est possible une société humaine bienveillante, où les peuples se rapprochent et ne sont plus les jouets souffrants de pratiques et de guerres fomentées par de médiocres intérêts privés, où leurs différences s’associent dans le bien commun qu’est la Terre dont ils assurent la pérennité, où la fraternité, l’éthique, l’intégrité, la dignité et le respect sont les fondements d’une société consciente. 

Les Temps sont venus et nombre d’entre nous l’ont compris. Si le choix n’est pas fait maintenant, avec détermination, les peuples d’Occident pour commencer, puis tous les autres connaîtront une dépopulation massive et une dictature planétaire comme on n’en a jamais vues. Ce n’est pas une théorie dite complotiste, c’est ce qu’ils nous annoncent très clairement, tout cela est vérifiable par chacun qui en fera l’effort. 

La France en tant que nation — et par nation il faut entendre un esprit, une langue, une culture, un patrimoine né de cet esprit et non une couleur politicienne — la France donc, a été littéralement démantelée par les pouvoirs successifs au fil des ans. L’excès du pouvoir présidentiel y est unique en Europe et sa constitution est gravement violée depuis 2008. 

Une confusion croissante est entretenue sur ce que sont les valeurs de son peuple, à commencer par le devoir inné de protection des plus vulnérables, dont nos anciens et nos enfants, le respect entre hommes et femmes, entre adultes et mineurs, entre l’humain et les autres règnes vivants, entre l’homme et la Terre qui l’accueille… 

Il faut porter le regard haut, car c’est à ce niveau et pas en dessous que se situe aujourd’hui notre décision la plus importante. Ne nous arrêtons pas aux détails dont les politiques, les médias et l’opposition contrôlée nous saturent. Il n’y a aucun salut à ne regarder que le bout du doigt et non ce qu’il désigne. 

Allons-nous continuer à laisser grandir l’infamie au-delà du point de non-retour, ou allons dire NON une fois pour toutes ? Chacun va-t-il continuer à regarder ailleurs jusqu’au moment ou l’ailleurs sera son présent et qu’il sera trop tard ? Ou chacun va-t-il enfin prendre la pleine mesure de ses responsabilités ? 

Il existe un peuple de France, dont l’héritage inné ou acquis coule dans ses veines. Il est prêt désormais à se lever pour restaurer sa souveraineté et arrêter dans leur course folle les sociopathes qui veulent pour lui écrasement, dégénérescence, contrôle et soumission. Nous leur avons laissé trop longtemps trop de pouvoir de nuire dans l’impunité de leurs actes. C’est à ce peuple-là que le Grand Appel est lancé. 

Il ne s’agit pas de se demander comment faire, nous le savons. La solution n’est pas de manifester dans les rues pour réclamer alors que nous n’avons rien à réclamer parce que nous ne leur sommes pas inféodés. C’est un terrain qu’ils contrôlent, comme ils l’ont fait avec la plus grande violence durant le long épisode des Gilets Jaunes. Mais il existe un terrain qui n’est pas le leur. Celui de l’intelligence collective du cœur. 

De nombreux réseaux existent aujourd’hui en France, constitués d’hommes et de femmes qui ont déjà fait leur choix de société, à travers la solidarité, le partage des expériences, l’apprentissage, la transmission des savoirs, l’organisation locale d’une manière de vivre respectueuse du Vivant. L’ensemble couvre tout le territoire, ce qui signifie qu’il y a quelque part près de chez vous au moins une cellule de ce grand corps organique que forment ces réseaux, que beaucoup ont déjà rejoints ces derniers temps. 

Nous appelons donc solennellement chacun à rallier le ou les réseaux de son choix. Nous appelons tous les réseaux et associations qui ne l’ont pas encore fait à se relier les uns aux autres, à se rencontrer au sein de leurs cellules locales et à organiser une communication de l’information entre eux.

L’objectif n’est pas de se fédérer en une seule structure, cela nous rendrait
vulnérables. Chacun doit conserver ses spécificités et poursuivre son œuvre, mais il est capital que les réseaux entre eux tissent un maillage physique étroit, afin de pouvoir créer une réelle solidarité sur le terrain et des réponses rapides et efficaces à tout besoin exprimé. 

Il faut être clair, ceux des Français qui ne se soumettront pas à la tyrannie, verront leur choix souverain et légitime impacter fortement leur mode de vie. Ils subiront probablement des pressions et des mesures de rétorsion, plus qu’il n’y en a déjà. Cela demande du courage et un renoncement provisoire à quelques conforts. C’est le prix de la liberté et de la souveraineté. Mais il est évident que ce choix individuel ne sera possible qu’à travers la solidarité de tous. C’est à travers ces réseaux que nous la trouverons, car elle existe déjà sur le terrain et nous nous employons tous à la développer davantage. 

Plus personne ainsi ne sera seul pour faire face aux difficultés à venir à court terme et nous pourrons organiser correctement la protection des enfants et des plus vulnérables. Nous manifesterons ainsi la volonté d’un peuple qui se rassemble de plein droit dans une intention pacifique, dans le devoir et la détermination d’arrêter par son nombre et sa volonté la folie de quelques-uns. Car il est important que tous les Corps de l’État, en qui demeurent des valeurs saines, voient émerger ce peuple souverain au sein de la confusion. Eux aussi sont désormais à l’heure des choix et devront choisir leur camp. 

Ne vous laissez pas démoraliser ni démobiliser par les apparences, même si les choses deviennent plus difficiles durant un temps. Un ferment des plus fertiles est déjà à l’œuvre dans ce pays, à travers des hommes et des femmes lucides et déterminés. Rejoignez-les. Il ne reste qu’à rassembler, nous savons le faire. L’heure est venue. 


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L’échec redouté des atlantistes et la « porte de sortie » par la « médiation » d’un Kissinger centenaire pour éviter la débâcle ?

Par DJERRAD Amar

L’agressivité est un exutoire de la peur.

Les USA se testent, en permanence, par des guerres, contre les pays faibles, afin de se soulager de la frayeur de perdre leur leadership ou de subir, sur leur sol, une guerre d’anéantissement, d’un pays aussi fort, qu’il lui prévoit !

Leur comportement continuellement irrationnel par leurs actions illégales, provocantes et paranoïaques, ne peut conduire qu’à l’impasse ! Toute réplique ne peut être que légale et légitime !

Le jour où un pays comme la Russie se sentant en danger les a mis en sérieuse difficulté, ils ont mobilisé tous les moyens lourds (y compris la propagande de guerre) pour la persuader à renoncer, voire à abdiquer tout en s’évertuant à mettre la justice et l’humanité de leur côté !

La Russie irréductible quand il s’agit d’un problème existentiel n’a fait que répondre légitimement à un besoin naturel de sécurité suite à une injustice ; forcée de le régler sur le terrain de combat contre un quasi-ennemi qui l’a décidé par « guerre proxy » !

« La propagande (dit-on) est le contraire de l’artillerie : plus elle est lourde, moins elle porte. »


Le temps de l’échec redouté

C’est l’heure de la panique dans le système frelaté politique, militaire et informationnel occidental ! Toutes leurs sournoiseries et leurs boniments, cachés sous un sophisme futile, sont mis au grand jour ! Stratèges dans le mensonge hier pour expliquer l’échec de « Poutine », subitement ils deviennent stratèges pour « expliquer » leur échec par d’autres mensonges amalgamés à des vérités relativisées, en y ajoutant « selon les Russes ». Toutes les vérités cachées, pendant des mois sortent en désordre, avec parcimonie et ce, grâce aux images incontestables et humiliantes des redditions, des destructions d’arsenaux militaires et des villes sous contrôle russe ! Pour supporter leur honte et leur mauvaise foi, ils y ajoutent quelques « infos » absurdes comme preuves de l’échec des Russes pour faire diversion tels « Poutine limoge des généraux qui ont échoué » et tutti quanti si bien que « Libération » a titré cette idiotie qui a fait la risée des d’internautes « Derrière la chute de Marioupol, la défaite russe » ; comme si en Ukraine on joue à « qui perd gagne » avec la Russie. Ou bien ce journal de caniveau du détestable Times britannique qui se permet d’outrager l’intelligence de ses lecteurs par un article qu’il a intitulé « Le bataillon Azov a enlevé un symbole néonazi de ses insignes, qui aidait jusque-là à nourrir la propagande russe » comme si le changement de logo efface les crimes et l’idéologie de ces bataillons ! Pour ne pas se déjuger des mensonges passés démentis par la réalité incontestable, ils posent maintenant des questionnements sur la « qualité des nationalistes ukrainiens » : « sont-ils tous néonazis ? » ou d’en minimiser l’importance après des critiques et des révélations, etc., etc.. Dans quelques semaines nous les verrons faire une sorte de « mea culpa » avec de fausses justifications pour espérer regagner la confiance de leurs lecteurs et téléspectateurs… pour mieux les tromper plus tard pour d’autres évènements ! Pour cette espèce, le mensonge est salutaire quand il rassure et s’accommode avec leur incompétence, leur cupidité et leur arrogance ; surtout quand la mort ne les vise pas (ou leurs proches) ou que le terrain d’essai des combats se déroule via un proxy ! 

« la guerre, ce sont des hommes qui ne se connaissant pas et qui se massacrent au profit d’hommes qui se connaissent et ne se massacrent pas. »

(Paul Valéry)

Les atlantistes constatent qu’ils sont bien en voie de perdre la guerre avec la Russie (voir aussi l’article de Moon of Alabama). Une guerre multiforme ; militaire, économique, politique, tactique et stratégique ! À ce jour, rien des multiples actions coercitives, même les plus crasses et inhumaines, n’a eu d’effets significatifs susceptibles « d’anéantir » la Russie, et ce malgré une coalition active, de plus de 30 pays ! Cette Russie est même sur le point de gagner un rôle cardinal dans le nouvel ordre mondial multipolaire, dédollarisé, qui s’esquisse de jour en jour ! Jens Stoltenberg le SG de l’OTAN a évoqué récemment en Finlande, devant le président finlandais ces « concessions » pour avoir la paix. Selon lui, « … La question est de savoir quel prix (les Ukrainiens) sont prêts à payer… Combien de territoire, combien d’indépendance, combien de souveraineté sont-ils prêts à sacrifier ? ». Même L’influent média international « Open Democracy » parle même de « fatigue ukrainienne ».

En effet, quand des soldats et des officiers ukrainiens désertent ou se rendent par centaines, que des milliers périssent sur le champ de bataille à la merci de l’artillerie russe, que les munitions manquent, ou que l’écrasante majorité de l’armement fourni par l’OTAN est détruit ou confisqué ou se retrouve en vente sur le marché noir, etc. il y a motif acceptable pour abandonner la partie, sauver ce qui reste dont la face, par orgueil ! Même le Washington Post, par un revirement étonnant, reconnaît les conditions catastrophiques des forces ukrainiennes. La bataille engagée pour le Donbass semble sceller le sort de la guerre en faveur de la Russie et mettre un terme à toute forfanterie et tout verbiage politico-médiatique occidental !

Rappelons que c’est la énième fois depuis au moins 10 ans que les Russes « quémandent » (pourrions-nous dire) des discussions, des négociations, etc. pour s’entendre sur une solution équitable en matière de sécurité ! Mais à qui s’adressent-ils ? À des impérialistes bouffis d’orgueil, sûrs de leurs forces, de leurs stratégies, de leur avantage et de leur réussite ! On voit les conséquences et les résultats après seulement trois mois !

Une « sortie » par Kissinger pour éviter la déroute ?

C’est dans ce contexte délétère de guerre, de panique, d’hystérie collective et du délitement de l’armée ukrainienne pilotée par les USA, que l’on observe, ces derniers temps, chez les atlantistes un changement de rhétorique visible dans leurs informations, les images diffusées, leurs éditoriaux, leurs débats, leurs commissions, leurs déclarations et au regard de l’agitation dans tous les sens de leurs instruments politiques, diplomatiques, médiatiques et propagandistes ! Curieusement ce sont les Américains qui avouent inconsciemment être les commanditaires en demandant aux Russes un cessez-le-feu au lieu des Ukrainiens ! La seule option qui se suggère est d’accepter ce qui a été perdu avant que ce qui ressemble aujourd’hui à une impasse ne se transforme en déroute. Il s’agit bien d’un rétropédalage face à une réalité qui risque d’anéantir les derniers atouts à faire valoir — dont des négociations à minima.

Les mentors américains ont bien saisi le grave danger qui guette le grand capital américain ; d’où cette « sortie » par Kissinger dont on a fait croire, par feinte et dissimulation, qu’elle a « suscité une fureur » ! Kissinger « lucide », dit-on ? Nous pensons qu’il a toujours été lucide, mais pour les intérêts américains exclusivement, mêmes illégitimes, au détriment des intérêts de tout autre pays souverain y compris européen ! Un rétropédalage sans perdre la face ? Sans aucun doute ! On y voit donc dans cette « immixtion » de Kissinger (vu son âge avancé) un bon signe d’un échec salutaire pour le reste du monde ! En effet, comme on dit « il arrive que le diable porte pierre ».

Kissinger a déclaré qu’il ne fallait pas laisser la guerre s’éterniser en engageant des négociations qui doivent convenir la Russie. « Les négociations doivent commencer dans les deux prochains mois, avant de créer des bouleversements et des tensions qui ne seront pas faciles à surmonter » et de suggérer que l’Ukraine devait envisager des concessions territoriales à la Russie. Il poursuit :

« L’Ukraine aurait dû être un pont entre l’Europe et la Russie, mais maintenant, alors que les relations sont remodelées, nous pouvons entrer dans un espace où la ligne de démarcation est redessinée et la Russie est entièrement isolée. Nous sommes maintenant confrontés à une situation où la Russie pourrait se couper complètement de l’Europe et chercher une alliance permanente ailleurs. Cela peut conduire à des distances diplomatiques semblables à celles de la Guerre froide, qui nous feront reculer de plusieurs décennies. Nous devons lutter pour une paix à long terme ».

Quand on lie ce discours avec la politique monétariste qui a appauvri une partie du peuple américain, le déficit budgétaire de plus de 3000 milliards de dollars, l’abus sans retenue de la planche à billets génératrice d’inflation, on comprend l’appel d’urgence de Kissinger et ses mentors à stopper la guerre en Ukraine avec la Russie ; qu’ils doivent percevoir comme « carburant » susceptible de précipiter la grave crise économique et financière qui pointe à l’horizon !

Kissinger est un pur produit de l’impérialisme américain qu’il a soutenu, perfectionné et étendu. Il a donc grandement participé en acteur à ce qui se déroule d’affreux et de criminel dans le monde. Son intervention à Davos est une continuité de son engagement à défendre par tous les moyens les intérêts illégitimes de son pays, depuis des décennies ! C’est un des idéologues du Capital financier anglo-américain. Il n’intervient que pour avertir des graves risques qui guettent ce Capital en provoquant ainsi, avec la stratégie adoptée, la redoutable Russie. Surtout qu’il fallait l’éloigner de la Chine, devenue première puissance économique au lieu de la rapprocher. Sa sortie médiatique est bien d’empêcher un délitement de la puissance de son pays par l’effondrement prévisible de son système économique et financier prédateur qui se décline au fur et à mesure que les provocations, les sanctions et les contraintes sur la Russie s’intensifient et que, à l’opposée, les ripostes se constatent plus néfastes pour les atlantistes que pour la Russie !

Si Kissinger semble raisonnable dans cette intervention qui va apparemment dans le sens des souhaits russes, c’est qu’il a vu que son pays risque une déculottée mémorable et à échéance, une déchéance irréversible de leader mondial ! Comme les Américains n’ont de principes et de morale que ceux de l’argent et de leurs intérêts exclusifs illicites, la solution la moins pénible est celle de négocier pour au moins maintenir leur position de leadership mondial. Même dans ce cas, ils resteront malhonnêtes, fourbes, perfides et tricheurs, car ils ne respectent jamais leurs engagements, même écrits ! À la moindre occasion ils ne s’embarrasseront d’aucun scrupule pour renier tout ! La preuve est donnée il y a quelques jours à propos de cette loi visant à empêcher la présence russe en Afrique par des sanctions à l’encontre des gouvernements et acteurs africains qui seraient favorables à cette présence.

Pourquoi Kissinger âgé de près d’un siècle ? Il nous semble un intermédiaire, envoyé pas sa doxa pour faire le médiateur afin d’éviter à l’Amérique une débâcle annoncée créée par leur politique hégémonique cupide et folle !

Faire croire au monde que le plus grand défenseur des intérêts américains — de surcroît détesté par le reste du Monde pour ses forfaits — propose une solution qui arrange les Russes vise, à notre sens, à stopper net un autre échec, mais des plus humiliants pouvant anéantir un siècle de domination impérialiste assistée par leurs vassaux européens (eux-mêmes colonialistes et néocolonialistes, avec leurs politiciens, leurs presses et leurs « experts », et ce, de la bouche même de Klaus Schwab, le Fondateur du Forum Économique Mondial qui, selon un tweet et en caméra cachée avoue « Nous les avons tous dans nos sacs, les politiciens, les médias et surtout les experts et les scientifiques. »).

La « philosophie » de la vie est simple pour les Américains ; elle est toujours « impérialo-civilisatrice » pour accaparer les richesses des autres ! L’idée d’une « mission civilisatrice » est une exécrable tromperie ! « … une théorie imaginée en France et dans d’autres pays européens qui se considéraient seuls pays civilisés ou de civilisations supérieures et qui se donnaient pour devoir… de “civiliser” les populations non européennes… selon une dichotomie remontant aux anciens Grecs et Romains dont ces pays européens se posaient comme les héritiers. » (selon Wikipédia). Nous sommes bien au XXIe siècle dans le même paradigme ! 

Ce que Kissinger dénonce c’est le « mauvais choix », car « ils se sont trompés » (selon l’interprétation d’un analyste) — entendre dans la politique et la stratégique. Il fallait donc autre chose de plus élaboré pour défaire la Russie ! En somme l’objectif reste le même : celui « d’affaiblir », au moins, la Russie et de l’empêcher de s’allier à la puissante Chine ! Il n’est donc pas du tout question d’équité, de sécurité pour la Russie (ou pour la Chine), de paix ou de concurrence loyale ! Il propose donc, à notre sens, la ruse de négocier pour limiter les dégâts, et d’ajourner, en quelque sorte, l’objectif fondamental qui est de ne jamais voir la Russie et la Chine puissantes économiquement et militairement au risque de voir s’accélérer le déclin impérial des atlantistes, en particulier américain ! La zone Indo-Pacifique (voire Océanique) apparaît bien plus stratégique pour les Américains que l’Europe qui n’est qu’un faire-valoir totalement acquis ! Kissinger n’intervient pas pour rendre à la raison les atlantistes quand ils provoquent ou agressent, mais quand il pressent leur échec !

Quand on observe qu’à cette guerre en Ukraine vient se greffer le problème de Taïwan, politiquement pro américain, mais surtout un territoire chinois inaliénable quitte, pour la Chine, à déclencher une guerre, on comprend la hantise de Kissinger d’arrêter l’escalade en négociant avec la Russie « dans les deux prochains mois, avant de créer des bouleversements et des tensions qui ne seront pas faciles à surmonter » tout en proposant de concéder des territoires ukrainiens russophones déjà annexés par la Russie. « Pour avoir la paix », il leur demande d’accorder à la Russie ce qu’ils lui ont refusé dans la paix et qu’elle a obtenu par la force ! Ce sont des territoires, non négociables, revenus à la Russie, définitivement perdus pour l’Ukraine en désintégration.

Contrairement aux « experts » de salons et des plateaux télé, Henry Kissinger, à Davos, exprime l’inquiétude qui gagne les atlantistes, en particulier les grands financiers, la réalité inquiétante des combats en ukrainien, la puissance technologique militaire de la Russie et sa puissance économique par les matières premières inévitables, ainsi que sa conviction sur la détermination de Poutine à mettre en échec la politique mondialiste et hégémonique de son pays qui risque de perdre l’essentiel s’ils ne négocient pas avec la Russie avec des « concessions ». Leurs propagandes agressives et leur voix d’ogre, face à la puissance russe, n’étaient donc qu’une disproportion par rapport à leurs aptitudes réelles ! « Tel un épouvantail, il ne fait peur que de loin. », dit un proverbe égyptien.

La devise amorale des atlantistes se résume donc ainsi : Je mens, je provoque pour dominer, si nécessaire par la force armée ; je vole les richesses et si ça se gâte, je négocie pour gagner du temps et accumuler afin de pouvoir recommencer plus tard ! Cela est clairement exprimé par Mike Pompéo, ex Secrétaire d’État américain :

« J’ai été directeur de la CIA et nous avons menti, triché, volé. C’était comme si nous avions eu des stages entiers de formation pour apprendre à le faire ».

De par leur histoire continue, riche et le plus souvent héroïque, les Russes sont connus pour leur résilience, leurs engagements anticolonialistes, imbattables sur ces terrains (y compris le militaire) ! Il suffit simplement de se demander pourquoi toute l’Europe réunie avec les USA n’a pas osé déclarer honnêtement et ouvertement la guerre à la Russie, mais en manipulant et armant sournoisement l’Ukraine et des mercenaires, en annonçant avec dédain des sanctions économiques qui se sont dangereusement retournées contre eux ! L’entêtement à vouloir faire du mal, en niant les principes, n’est autre qu’une réaction de faiblesse qui peut tromper la vigilance et voiler les conséquences !

Nier tous les principes sur lesquels se construit l’équilibre et l’harmonie entre les groupes humains ou les individus uniquement pour punir un adversaire, réclamant un droit, qui lui pourtant les respecte, et la chose la plus crasse, la plus diabolique qui peut mener à la chute !

Diableries et aberrations du « pas d’énergie Russe » !

Les atlantistes ont toujours caché leurs diableries, en temps de paix, dans la bonne morale, le bien et la vérité ! Mais leur hypocrisie et leurs mensonges sont mis à découvert dans l’adversité. « Dans les plus calmes fleuves, les diables pullulent », dit un proverbe russe ! Leurs diables sont bien sortis pour se retrouver face à une redoutable force tranquille qu’ils croyaient impuissante et corrompue !

Les États-Unis obligeant l’Europe à acheter du gaz de schiste cher pour minimiser sa relation avec la Russie, les dirigeants européens annoncent la fable de se défaire totalement du pétrole et du gaz russes, suivant le programme « REPowerEU ». En fait, ce n’est qu’un fourvoiement qui traduit une incompétence puisque sa réalisation exige d’énormes investissements, des années pour sa mise en œuvre et une refonte de la politique extérieure, et ce, pour un résultat insignifiant sur la Russie qui a des demandeurs plus sûrs et crédibles de matières premières et qui s’autosuffit. L’aberration est qu’ils menacent la Russie — de façon effrontée et répétitive — qu’ils n’achèteraient plus son pétrole et son gaz, mais… une fois qu’ils auront trouvé un substitut ou un autre fournisseur ! Comme si la Russie, qu’ils doivent croire plus abrutie qu’eux, ne sait pas leur dire qu’elle peut les « aider » en arrêtant immédiatement les livraisons ! Respectueuse des contrats, elle a dû leur laisser le soin de décider eux-mêmes du sort de leur économie ! Ils cherchent en quelque sorte, éperdument, dans un trou — en prévoyant de dépenser des fortunes non disponibles — ce qui est à portée de leur main à bas prix ! Il faut être aliéné pour le faire ! L’UE est en effet gouvernée, selon un commentateur, par des « imbéciles téméraires ». 

Alors que la situation se dégrade chez eux, leurs politiciens hurlent sur le risque de famine — dont la Russie serait la cause — qui guette… l’Afrique (qui n’a rien dit) et non leurs pays. Quelle trouvaille ! Ils savent parfaitement que les populations africaines, entre autres, soutiennent l’action russe. À propos du blé, L’UE, par la voix d’Ursula von der Leyen, explique que la faible livraison de blé (russe et ukrainien) est causée par la Russie qui « a transformé délibérément en boomerang les sanctions européennes », alors que les Russes imputent le problème aux conséquences des sanctions qui interdisent aux navires russes d’utiliser les infrastructures côtières occidentales et au minage, par l’Ukraine, des zones maritimes. Les plus grands transporteurs y ont adhéré craignant les sanctions américaines.   

Si la guerre froide s’est terminée par l’effondrement de l’URSS, la 2e guerre froide se terminera sans doute — au vu de l’évolution des choses sur le terrain des combats et les nouvelles alliances hors Europe — par l’effondrement de l’OTAN et de l’UE, par des changements importants dans le système d’échange dans le monde, dans le système des relations internationales et dans le système de gouvernance mondiale ! Et au président vénézuélien d’asséner :

« L’ère de la domination militaire des États-Unis dans le monde est terminée… Nous vivons une époque de transition géopolitique qui définira le destin du XXIe siècle ».


Addendum

Josep Borrell, vise président de Commission européenne et Haut représentant pour les affaires étrangères et la sécurité évoque les « canaux de communication (qui) n’ont jamais été fermés… Il faut continuer de parler avec la Russie », alors qu’il n’a cessé de prôner un règlement du conflit avec la Russie par « des moyens militaires » ! 

Pour avoir une idée sur ce menteur, hypocrite et méprisant personnage, voici qu’il dit pour accuser Poutine en recourant de façon crasse à la navrante stratégie de « l’inversion accusatoire ». Une manipulation consistant à accuser la Russie de crimes que ses alliés coupables (USA, GB, France en particulier) ont commis ou commettent encore pour dominer des pays dans le monde :

« Ce que fait Vladimir Poutine n’est pas seulement une grave violation du droit international, c’est une violation des principes fondamentaux de la coexistence humaine. Avec son choix de ramener la guerre en Europe, nous assistons au retour de la “loi de la jungle”… Sa cible n’est pas seulement l’Ukraine, mais la sécurité de l’Europe et l’ensemble de l’ordre international fondé sur des règles, basé sur le système des Nations unies et le droit international. Son agression prend des vies innocentes et foule aux pieds le désir des gens de vivre en paix… forçant les gens à fuir. Nous voyons une catastrophe humanitaire… Pendant des mois, nous avons déployé des efforts sans précédent pour parvenir à une solution diplomatique… »

Josep Borrell n’a rien dit et ne dit rien ; n’a rien vu et ne voit rien de ce qu’ont fait ses maîtres maléfiques en Afghanistan, Irak, Libye, Serbie, Liban, Tchad, Yémen, Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Rwanda, etc. sans parler de l’Indonésie, du Vietnam, Cambodge, Corée, Iran, Algérie, Guatemala, Cuba, Laos, Brésil, Panama, Congo, République Dominicaine, Chili, Nicaragua, Philippines, etc.

A.D




Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie

[Source : medias-presse.info]

Accès à la première partie de cet entretien [ou ici]

Dans une lettre envoyée au président américain de l’époque, Donald Trump, vous faites allusion non seulement à un « État profond » – un terme largement utilisé – mais aussi à une « Église profonde » [Voir L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »]. Qu’entendez-vous par là et comment ces structures pourraient-elles être liées ?

L’Église profonde est à l’Église catholique tout comme l’État profond est à l’État : les deux sont la version corrompue et pervertie de l’institution qu’ils tiennent en otage et qu’ils ont infiltrée.

Les membres de l’Église profonde sont d’autant plus inconnus que leur pouvoir est grand : les personnalités publiques sont presque toujours des marionnettes dociles envers ceux qui tirent les ficelles. Biden et Bergoglio sont les hommes de paille de l’idéologie qui les unit : un mélange de collectivisme maoïste, de libéralisme maçonnique et d’œcuménisme conciliaire, avec des clins d’œil à l’idéologie du genre et aux instances LGBTQ.

Il faut cependant répéter que l’État profond et l’Église profonde ne sont que les deux déclinaisons de la même coupole éversive [Ndlr : qui renverse, qui bouleverse.] qui s’est appropriée le pouvoir en subvertissant l’autorité et en pervertissant les fins. Dans l’ordre naturel, l’État a pour but la bonne gouvernance et le bien commun des citoyens : les traîtres de l’État profond en ont fait l’ennemi des honnêtes gens et le complice des criminels. Dans l’ordre surnaturel, l’Eglise a pour but le gouvernement des fidèles et la sanctification des âmes : les traîtres de l’Église profonde condamnent ceux qui préservent la Foi et la Morale et louent publiquement les hérétiques, les sodomites, les avorteurs, les usuriers, les meurtriers et les criminels. Mais que cela soit clair : si dans les projets délirants de ceux-ci il y a la destruction de l’État et de l’Église moyennant la démolition ou la corruption de ceux qui détiennent l’autorité dans l’un et dans l’autre, nous savons bien que si une nation, une culture, une langue, une civilisation peuvent aussi disparaître, dans le cas de la Sainte Église, la promesse de Notre Seigneur reste valable pour toujours : portæ inferi non prævalebunt adversus eam [Ndlr : les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle]. Nous ne devons pas penser que les événements terrestres de l’Église doivent être jugés selon des paramètres purement humains, mais plutôt avoir la certitude que le Seigneur protégera son Église ut pupillam oculi [Ndlr : comme la prunelle des yeux].

Une objection de la part de ceux qui rejettent quelque chose en la qualifiant de conspiration est la suivante : comment est-il possible que dans presque tous les pays du monde, presque tous les politiciens participent à cette farce ? Qui pourrait avoir autant de pouvoir et d’influence pour envoyer la moitié du monde en confinement ?

L’objection à ceux qui soutiennent la théorie du complot mondial est légitime et compréhensible, parce que chacun de nous a justement été éduqué à un système partagé de valeurs et de principes que nous tenons toujours pour acquis : que le fils doit faire confiance au père ; que l’élève peut faire confiance à l’enseignant ; que le patient peut compter sur le médecin pour être soigné ; que ceux qui voient un droit violé peuvent obtenir justice d’un tribunal impartial ; que les nécessiteux peuvent espérer dans la compassion et la charité des autres ; que le citoyen a en ses dirigeants ses gardiens et protecteurs ; que les fidèles peuvent écouter avec confiance la voix des Pasteurs, comme si c’était la voix même du Christ ; que le lecteur n’est pas trompé par les agents de l’information ; que le client ne doit pas craindre d’être trompé par le commerçant, ou empoisonné par le restaurateur. Dans ce système, l’autorité du père, de l’enseignant, du médecin, du juge, du dirigeant, se réfère à l’autorité de Dieu, qui est Père, Maître, Juge et Roi. Il est évident que l’œuvre de dissolution de la société chrétienne – puisqu’elle l’est encore, même si elle n’en conserve plus que quelques traces – est motivée par la haine inextinguible de Satan contre le Christ.

Mais que se passe-t-il si, avec un travail constant de plus de deux cents ans, l’ennemi infiltre les écoles, les tribunaux, les institutions, les séminaires, les entreprises et les syndicats, et conquiert progressivement le sommet, prenant des ordres du même groupe de pouvoir qui commande tout le monde, qui fait chanter ou récompense tout le monde ? Face à l’évidence d’une telle subversion, nous ne devons pas fermer les yeux parce que cela semble incroyable de ne pas l’avoir remarqué auparavant, mais plutôt avoir le courage de reconnaître que beaucoup, trop de nos silences ont permis au conseiller municipal corrompu, au curé vicieux, au soldat malhonnête, à l’assistant ignorant, au médecin sans scrupules, à l’employé apathique de devenir parlementaire, évêque, général, professeur, ministre et de s’être ainsi rendu sensible au chantage. En fin de compte, peu commandent, et les nombreux qui obéissent le font principalement par conformisme ou pour cacher de petites mesquineries. Mais ces quelques-uns – et nous le savons par les données qu’ils diffusent eux-mêmes – ont vraiment un pouvoir exorbitant, qui augmente avec chaque nouvel adepte nommé à la tête des institutions. Ce n’est pas impossible, au contraire : c’est extrêmement simple, si l’on considère qui possède les médias, qui finance les partis politiques, qui parraine les institutions internationales, qui donne les rapports de fiabilité aux budgets des nations. Ce sont toujours les mêmes, dirigés par quelques fonds d’investissement et un nombre encore plus restreint de représentants de la haute finance usuraire. Les noms sont ceux-là, et on les connaît.

Quelques années se sont écoulées depuis que vous avez vivement critiqué le pape François pour avoir révoqué les peines prononcées contre l’ancien archevêque de Washington, Theodore McCarrick, qui est l’un des principaux accusés du scandale des abus de l’Église catholique aux États-Unis. Un acte honteux. En tant que critique véhément d’une approche conciliante de ce problème apparemment récurrent dabus sur mineurs, que pouvez-vous dire sur la prévalence et l’importance de ce phénomène cruel dans l’Église catholique et la politique occidentale ?

Après ma dénonciation de l’affaire McCarrick, j’ai essayé de montrer le lien entre la corruption morale et doctrinale, en soulignant que la crise de la foi et de la liturgie qui a suivi le Concile Vatican II ne pouvait manquer d’entraîner une subversion de la Morale chez les fidèles et dans le clergé. Parce qu’une foi déviée conduit à une morale déviée. Un hérétique ne sera jamais une personne honnête, chaste, sincère : s’il embrasse les mensonges et les erreurs dans des choses qui concernent directement la Vérité de Dieu, c’est-à-dire Dieu lui-même, d’autant plus il pourra faire sa propre morale – ce que les modernistes appellent la moralité de la situation – qui s’adapte aux circonstances.

L’erreur du Concile Vatican II, d’abord déguisée pour cacher son caractère subversif – était précisément celle de penser que nous pouvions préserver la Foi intacte dans un hyperuranium [Ndlr : une royaume de formes parfaites (par comparaison à un royaume d’idées parfaites).], considérant obsolète et trop difficile de demander aux fidèles de l’embrasser dans sa totalité ; et dans le domaine moral, préserver la Morale comme modèle abstrait, en laissant les catholiques choisir selon leur convenance quels principes suivre et lesquels ne pas suivre. Pour l’Église conciliaire, la doctrine de la divinité de Notre-Seigneur reste théoriquement valable, mais on peut accepter qu’il y ait ceux qui n’y croient pas, en émettant l’hypothèse d’un chemin – qui n’est généralement jamais entrepris – de lente conversion qui devrait conduire à embrasser tout l’enseignement catholique. De même, l’avortement ou la sodomie sont des péchés qui crient vengeance devant Dieu, mais restent des notions abstraites que les Pasteurs en premier ne demandent pas aux fidèles de suivre. Ainsi donc le voleur continue à voler en vue d’une future conversion, rassuré par le fait qu’il ne tue ni ne commet d’adultère. Ceux qui commettent l’adultère se sentent rassurés par le fait qu’ils ne battent pas leurs enfants et n’exploitent pas leurs employés. Mais ce n’est pas ce que Notre Seigneur a demandé : Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande (Jn 15, 9), a-t-il dit ; et non : vous êtes mes amis si vous choisissez en quoi m’obéir. Être catholique signifie faire un choix héroïque, par lequel nous n’adhérons pas à une association philanthropique, mais sommes incorporés par le Baptême dans le Corps mystique du Christ, et par la Grâce nous sommes faits enfants de Dieu le Père en Christ. La médiocrité n’est pas possible pour un catholique, encore moins pour un prêtre ou un évêque.

Cette attitude relâchée est révélatrice d’une vision humaine de l’Église qui, selon eux, devrait s’adapter dans la pastorale à la mentalité du monde, en maintenant dans le magistère l’enseignement du Christ, comme dans une sorte d’archive que personne ne consultera jamais parce qu’on le considère comme utopique et irréaliste. Une façon de faire taire la conscience en préservant le depositum fidei [Ndlr : dépôt de crédit] mais pour seconder les convoitises et le péché en légitimant les déviations doctrinales et morales.

Il est évident que pour convaincre les évêques de renoncer à l’intégrité du Magistère catholique, il fallait les corrompre dans l’âme, car un prélat vicieux – et souvent l’objet de chantage – n’ose pas demander aux autres de respecter les commandements qu’il enfreint en premier. C’est pourquoi les infiltrés de l’Église profonde ont éliminé ou marginalisé en quelques décennies la partie saine du clergé et de l’épiscopat, la remplaçant par des vicieux, des luxurieux, des corrompus et des hérétiques. Leur simple présence au sommet de la Hiérarchie est l’outil le plus efficace pour détruire l’Église de l’intérieur, tout comme l’État profond l’a fait dans la sphère civile : un politicien corrompu ou pouvant faire l’objet d’un chantage votera pour des lois qui légitiment la corruption et le vice, et s’il ne veut pas le faire parce qu’il a quelques scrupules moraux, il le fera, autrement ses scandales personnels seront mis en lumière.

La seule façon de sortir de ce labyrinthe infernal est une action moralisatrice de l’Autorité, qu’elle soit religieuse ou civile. Celui qui commande doit savoir que son pouvoir appartient à Dieu et qu’en l’exerçant, il doit se prévaloir de toutes les vertus requises pour la bonne gouvernance et pour atteindre le but pour lequel l’autorité est constituée. Le concept d’« autorité vicaire » était très clair jusqu’à la Révolution Française, car il était inextricablement lié à la Foi : ce fut la suppression de Dieu de la société qui a ipso facto rendu les dirigeants des tyrans potentiels, car elle les a déchargés de leur responsabilité morale devant Dieu – l’unique Seigneur et Roi – limitant la question du pouvoir à la convenance de la majorité. La même chose s’est produite dans l’Église, qui a préféré se réconcilier avec le monde et assumer sa mentalité profane, convaincue qu’elle pourrait survivre – elle qui est une institution divine avec une fin surnaturelle – se présentant comme une institution humaine à des fins humanitaires.

Quand les Evêques – et le Pape –  reviendront à la Foi, quand ils aimeront Dieu à nouveau tel qu’Il s’est révélé à nous et dans ce qu’Il nous a enseigné ; quand ils se rendront compte que chacun de leurs manquements, chaque erreur enseignée aux simples, chaque déviation tolérée a défiguré le visage du Christ, a déchiré sa chair dans la flagellation, a transpercé ses mains et ses pieds dans la crucifixion, et qu’à cause de cela Notre Seigneur est mort pour nous racheter, ils seront prêts à mourir pour témoigner de leur fidélité à Celui qui les a constitués en autorité. Tant qu’ils essaieront de naviguer avec la logique humaine, leur ministère sera vide, tout comme leurs églises, leurs séminaires, leurs couvents sont vides. Ils disparaîtront par extinction, tandis que les bons prêtres continueront à faire ce qui a toujours été fait pour la gloire de Dieu et la sanctification des fidèles.

Bien entendu, il n’est pas possible de fournir une évaluation médicale à cet égard. Cependant, puisque vous interprétez la crise actuelle non seulement comme une crise médicale ou politique, mais vous reconnaissez une pertinence eschatologique aux événements actuels, nous serions intéressés de savoir comment vous évaluez, de votre point de vue théologique, les injections d’ARNm, qui jouent un rôle crucial dans toute l’orchestration.

La modification de l’ADN de l’individu causée par le sérum expérimental avec une nouvelle technologie d’ARNm est peut-être l’aspect le plus alarmant de cette bataille historique. S’il y a des puissances économiques qui n’ont aucun scrupule à cibler la population mondiale pour en affaiblir le système immunitaire, provoquer des morts subites et nous rendre tous malades chroniques à qui vendre leurs concoctions ou leurs services de santé, d’autre part il y a des gens qui sont voués au mal et qui sont bien conscients de travailler pour un plan infernal, pour l’avènement de l’Antéchrist à travers la synarchie du Nouvel Ordre Mondial.

Dans la tentative de modifier génétiquement l’homme, nous voyons portée aux extrêmes conséquences l’aversion de Satan contre la Création, et en particulier contre l’homme, qui, dans l’économie du salut, a été choisi pour être le temple de la Très Sainte Trinité, l’image de Dieu.

Dans votre lettre au président de l’époque Donald Trump, vous parlez d’une confrontation entre les forces de la lumière et les forces des ténèbres. Où en sommes-nous dans cette confrontation ? Quels sont les résultats possibles de cette lutte ? Que pouvons-nous faire, nous qui voulons défendre la lumière ?

Les événements spirituels se croisent avec les événements terrestres, l’Histoire se croise avec l’éternité de Dieu, les événements humains sont le champ de bataille dans lequel les enfants des ténèbres combattent les enfants de la Lumière : une bataille qui, pour l’humanité, a commencé avec la chute d’Adam, trompé par Satan et illusionné de pouvoir être comme Dieu. Cette tentation se répète au cours des siècles à tout homme, chaque fois que l’Ennemi tente de le persuader qu’il peut décider indépendamment de ce qui est bien et de ce qui est mal, en s’arrogeant les droits souverains du Seigneur sur les créatures. C’est la bataille qui est menée encore aujourd’hui, après des siècles de rébellion contre la Loi de Dieu et de refus de reconnaître la Seigneurie de Jésus-Christ. En fin de compte, tout revient à ce discrimen, à « celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi » (Lc 11, 14), et à notre réponse libre à l’amour de Dieu, le Créateur et Rédempteur.

Juger ces événements historiques comme une simple conspiration humaine visant le pouvoir, serait réducteur ; penser que tous les partisans de la Grande Réinitialisation sont des adorateurs convaincus de Satan est une exagération. Mais précisément à cause de notre faiblesse, toute humaine, non seulement en accomplissant le bien, mais aussi en faisant le mal, nous pouvons pousser le Seigneur à la miséricorde, de sorte qu’Il confonde les desseins des méchants ne leur permettant pas de réaliser leurs projets. Les bons sont désorganisés, divisés, querelleurs ; les méchants très bien organisés, unis et toujours unis adversus Dominum, et adversus Christum ejus [Ndlr : contre le Seigneur et contre son Christ]. Mais les bons, s’ils comprennent la dimension spirituelle de cet affrontement historique et décident de prendre parti sous les bannières du Christ Roi, pourront remporter la victoire avec Lui et voir les ennemis communs vaincus.

Permettez-moi de conclure cet entretien en vous remerciant, Maître Fuellmich, de m’avoir donné l’occasion d’exprimer ma pensée sur ces questions importantes. Je souhaite à tous les membres de la Commission Corona et à tous ceux qui, dans chaque pays, combattent le Léviathan mondialiste d’être en mesure d’obtenir les résultats souhaités. Je vous bénis cordialement.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

3 juin 2022

© Traduction pour MPI de F. de Villasmundo relue et corrigée par Mgr Viganò




Verser du poison et planter des graines de dépendance. La grande agriculture détruit l’agriculture biologique

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Par Colin Todhunter pour Global- Research

Vous souvenez-vous de l’image emblématique d’Union Carbide des années 1950 ou du début des années 1960 ? Celui avec la main géante venue du ciel, déversant des pesticides sur le sol indien.       

Le texte de présentation sous l’image comprend les éléments suivants :

« La science aide à construire une nouvelle Inde – L’Inde a élaboré de nouveaux plans audacieux pour développer son économie et apporter la promesse d’un avenir radieux à ses plus de 400 millions d’habitants. Mais l’Inde a besoin des connaissances techniques du monde occidental. Par exemple, en travaillant avec des ingénieurs et des techniciens indiens, Union Carbide a récemment mis à disposition sa ressource scientifique rapide pour aider à construire une usine de produits chimiques et plastiques près de Bombay. Partout dans le monde libre, Union Carbide s’est activement engagée dans la construction d’usines pour la fabrication de produits chimiques, de plastiques, de carbone, de gaz et de métaux.

Dans le coin inférieur se trouvent le logo Union Carbide et la déclaration « A HAND IN THINGS TO COME ».

Cette image de la « main de Dieu » est devenue tristement célèbre. La « main dans les choses à venir » d’Union Carbide inclut la fuite de gaz dans son usine de pesticides à Bhopal en 1984. Elle a fait environ 560 000 blessés (problèmes respiratoires, irritation des yeux, etc.), 4 000 handicapés graves et 20 000 morts.

Quant à l’agriculture intensive en produits chimiques qu’elle a encouragée, nous pouvons maintenant voir les impacts : sols dégradés, eau polluée, maladies, endettement des agriculteurs et suicides (en buvant des pesticides !), cultures/variétés riches en nutriments étant mises de côté, une gamme plus étroite des cultures, aucune augmentation de la production alimentaire par habitant (du  moins en Inde ), la marchandisation des connaissances et des semences par les entreprises, l’érosion de l’apprentissage environnemental des agriculteurs, l’affaiblissement des systèmes de connaissances traditionnels et la dépendance des agriculteurs à l’égard des entreprises.

Qu’il s’agisse du type de dévastation écologique que l’activiste-agriculteur  Bhaskar Save  a décrit aux décideurs politiques dans sa lettre ouverte de 2006 ou du bouleversement social documenté par  Vandana Shiva  dans le livre La violence de la révolution verte, les conséquences ont été considérables.

Et pourtant, qu’il s’agisse de nouvelles techniques de génie génétique ou de plus de pesticides, les conglomérats agrotechnologiques s’efforcent sans relâche d’enraciner davantage leur modèle d’agriculture en détruisant les pratiques agricoles traditionnelles dans le but de placer davantage d’agriculteurs sur les semences des entreprises et les tapis roulants chimiques.

Ces sociétés ont fait pression pour que la Commission européenne supprime tout étiquetage et contrôle de sécurité pour les nouvelles techniques génomiques. La Cour de justice européenne a statué en 2018 que les organismes obtenus avec de nouvelles techniques de modification génétique doivent être réglementés en vertu des lois existantes de l’UE sur les OGM. Cependant, il y a eu un lobbying intense de la part de l’industrie de la biotechnologie agricole pour affaiblir la législation,  aidée financièrement par la Fondation Gates .

Depuis 2018, les plus grandes entreprises agroalimentaires et biotechnologiques ont dépensé près de 37 millions d’euros pour faire pression sur l’Union européenne. Ils ont eu 182 réunions avec les commissaires européens, leurs cabinets et directeurs généraux. Plus d’une réunion par semaine.

Au cours des dernières semaines, le PDG de Syngenta (une filiale de ChemChina), Erik Fyrwald, est venu au premier plan pour faire pression cyniquement pour ces techniques.

Mais avant de parler de Fyrwald, tournons-nous vers une autre figure clé de l’agro-industrie qui a fait l’actualité. L’ancien président-directeur général de Monsanto, Hugh Grant, a récemment comparu devant le tribunal pour être interrogé par des avocats au nom d’un patient atteint d’un cancer dans l’affaire Allan Shelton contre Monsanto.

Shelton souffre d’un lymphome non hodgkinien et fait partie des plus de 100 000 personnes aux États-Unis qui prétendent dans des poursuites judiciaires que l’exposition au désherbant Roundup de Monsanto et à ses autres marques contenant le glyphosate chimique a causé leur cancer.

Ses avocats ont fait valoir que Grant était un participant actif et un décideur dans l’activité Roundup de la société et qu’il devrait être amené à témoigner lors du procès.

Pourquoi pas? Après tout, il a fait une tuerie financière en colportant du poison.

Bayer a acquis Monsanto en 2018 et Grant a reçu un   gain après-vente estimé à 77 millions de dollars . Bloomberg a rapporté en 2017 que Monsanto avait augmenté le salaire de Grant à 19,5 millions de dollars.

En 2009, les produits liés au Roundup, qui comprennent des semences génétiquement modifiées développées pour résister aux applications à base de glyphosate, représentaient environ  la moitié de la marge brute de Monsanto .

Roundup faisait partie intégrante du modèle commercial de Monsanto et des énormes revenus et gains finaux de Grant.

Considérez la citation suivante d’un  article  paru sur le site Web de Bloomberg en 2014 :

« Le président et chef de la direction, Hugh Grant, se concentre sur la vente de plus de semences génétiquement modifiées en Amérique latine pour stimuler la croissance des bénéfices en dehors du marché américain principal. Les ventes de graines de soja et de licences génétiques ont augmenté de 16 %, et les revenus de l’unité qui fabrique le désherbant à base de glyphosate, vendu sous le nom de Roundup, ont augmenté de 24 %.

Dans le même article, Chris Shaw, un analyste basé à New York chez Monness Crespi Hardt & Co, aurait déclaré que « le glyphosate l’a vraiment écrasé » – ce qui signifie que les ventes de glyphosate ont été un coup de pouce majeur.

Tout va bien pour Grant et Monsanto. Mais cela a eu des effets dévastateurs sur la santé humaine. ‘Le coût humain des agrotoxines. Comment le glyphosate tue l’Argentine », qui est apparu sur le site Web de Lifegate en novembre 2015, constitue une condamnation accablante de la volonté de « croissance des bénéfices » de Monsanto. De plus, la même année, quelque 30 000 médecins de ce pays  ont exigé l’interdiction  du glyphosate.

L’essentiel pour Grant était la maximisation des ventes et des bénéfices et la défense inébranlable du glyphosate, peu importe à quel point il est cancérigène pour l’homme et, plus précisément, à quel point  Monsanto en savait .

Noam Chomsky  souligne l’impératif commercial :

« … le PDG d’une société a en fait l’obligation légale de maximiser ses profits et sa part de marché. Au-delà de cette obligation légale, si le PDG ne le fait pas et, disons, décide de faire quelque chose qui, disons, profitera à la population et n’augmentera pas les bénéfices, il ne sera pas PDG très longtemps – ils ‘ Je serai remplacé par quelqu’un qui le fera.

Le PDG de Syngenta est taillé dans le même tissu que Grant. Alors que les crimes de Monsanto sont bien documentés, les transgressions de Syngenta sont moins médiatisées.

En 2006 , l’écrivain et militant Dr Brian John a déclaré :

« GM Free Cymru a découvert que Syngenta, dans sa promotion des cultures et des aliments GM, a été impliquée dans un réseau de mensonges, de tromperies et de comportements d’entreprise obstructifs qui auraient fait honneur à son concurrent Monsanto. »

Il y a quelques semaines, Fyrwald a  appelé  à l’abandon de l’agriculture biologique. Compte tenu de la crise alimentaire provoquée par la guerre en Ukraine, il a affirmé que les pays riches devaient augmenter leur production agricole – mais l’agriculture biologique a entraîné une baisse des rendements. Fyrwald a également appelé à ce que l’édition de gènes soit au cœur de l’agenda alimentaire afin d’augmenter la production alimentaire.

Il a déclaré:

« La conséquence indirecte est que les gens meurent de faim en Afrique parce que nous mangeons de plus en plus de produits bio. »

En réponse, Kilian Baumann, agriculteur bio bernois et président de l’Association suisse des petits agriculteurs, a qualifié les arguments de Fyrwald de « grotesques ». Il a affirmé que Fyrwald « se battait pour les ventes ».

Écrivant sur le  site Web de GMWatch , Jonathan Matthews dit que l’invasion russe de l’Ukraine semble avoir enhardi l’alarmisme de Fyrwald.

Matthews déclare :

« Les commentaires de Fyrwald reflètent la détermination de l’industrie à saper la stratégie de l’Union européenne de la ferme à la fourchette, qui vise d’ici 2030 non seulement à réduire l’utilisation de pesticides de 50 % et l’utilisation d’engrais de 20 %, mais à plus que tripler le pourcentage de terres agricoles de l’UE sous gestion biologique ( de 8,1 % à 25 %), dans le cadre de la  transition  vers un « système alimentaire plus durable » dans le cadre du Green Deal de l’UE. »

Il ajoute:

« Syngenta considère ces objectifs comme une menace quasi existentielle. Cela a conduit à une attaque soigneusement orchestrée contre la stratégie de l’UE.

Les détails de cette offensive de relations publiques ont été exposés dans un rapport du groupe de surveillance du lobby basé à Bruxelles Corporate Europe Observatory (CEO) :  Un lobby bruyant pour un printemps silencieux : les tactiques de lobbying toxiques de l’industrie des pesticides contre la ferme à la fourchette .

Mathews cite des recherches qui montrent que les cultures GM n’ont aucun avantage en termes de rendement. Il fait également référence à un rapport récemment publié   qui rassemble des recherches montrant clairement que les cultures GM ont entraîné des augmentations substantielles – et non des diminutions – de l’utilisation des pesticides. Les cultures génétiquement modifiées plus récentes et très médiatisées semblent prêtes à faire de même.

Syngenta fait partie des entreprises critiquées par un  rapport  de l’ONU pour « déni systématique des préjudices » et « tactiques de marketing contraires à l’éthique ». Matthews note que la vente de pesticides hautement dangereux est en fait au cœur du modèle commercial de Syngenta.

Selon Matthews, même avec les perturbations logistiques des cultures de maïs et de blé causées par la guerre en Ukraine, il y a encore suffisamment de céréales disponibles sur le marché mondial pour répondre aux besoins existants. Il dit que la crise actuelle des prix (et non la crise alimentaire) est le produit de la peur et de  la spéculation .

Mathieu conclut :

« Si Erik Fyrwald est vraiment si préoccupé par la faim, pourquoi ne s’attaque-t-il pas au  gâchis des  biocarburants, plutôt que de s’attaquer à l’agriculture biologique ? La réponse évidente est que les agriculteurs subventionnés pour cultiver des biocarburants sont de gros consommateurs de produits agrochimiques et, dans le cas américain, de semences OGM – contrairement aux agriculteurs biologiques, qui n’achètent ni l’un ni l’autre.

Fyrwald a un impératif financier pour faire pression pour des stratégies et des technologies particulières. Il est loin d’être un observateur objectif. Et il est loin d’être honnête dans son évaluation – utilisant la peur d’une crise alimentaire pour faire avancer son programme.

Pendant ce temps, les attaques soutenues contre l’agriculture biologique sont devenues un pilier de l’industrie, malgré  de nombreux rapports  et projets de haut niveau indiquant qu’elle pourrait nourrir le monde, atténuer le changement climatique, améliorer la situation des agriculteurs, conduire à de meilleurs sols, créer des emplois et fournir des produits plus sains et plus sains. diètes diverses.

Il y a une crise alimentaire, mais pas celle à laquelle Fyrwald fait allusion –   des  aliments dénutris et  des régimes alimentaires malsains  qui sont au centre d’une crise majeure de santé publique, une perte de  biodiversité  qui menace la sécurité alimentaire,  des  sols  dégradés , des  sources d’eau  polluées  et  épuisées et des petits exploitants les agriculteurs , si vitaux pour la production alimentaire mondiale (en particulier dans les pays du Sud),  évincés de leurs terres  et de l’agriculture.

L’agro-industrie transnationale a fait pression pour, dirigé et profité des politiques qui ont causé une grande partie de ce qui précède. Et ce que nous voyons maintenant, ce sont ces entreprises et leurs lobbyistes épousant une (fausse) préoccupation (une tactique de lobbying cynique) pour le sort des pauvres et des affamés tout en essayant d’acheter la démocratie européenne à hauteur de 37 millions d’euros. Bon marché au prix compte tenu de la manne financière que ses nouvelles technologies et graines de génie génétique brevetées pourraient récolter.

Diverses publications scientifiques montrent que ces nouvelles techniques permettent aux développeurs d’effectuer des modifications génétiques importantes, qui peuvent être très différentes de celles qui se produisent dans la nature. Ces nouveaux  OGM présentent des risques similaires ou supérieurs à ceux des OGM plus anciens .

En tentant d’esquiver la réglementation et d’éviter les évaluations d’impact économique, social, environnemental et sanitaire, il est clair que se situent les priorités de l’industrie.

Malheureusement, Fyrwald, Bill Gates, Hugh Grant et leurs semblables ne veulent pas et sont trop souvent incapables de voir le monde au-delà de leurs mentalités réductionnistes qui considèrent simplement les ventes de semences/produits chimiques, le rendement et les bénéfices des entreprises comme l’étalon de la réussite.

Ce qu’il faut, c’est une approche qui soutient les connaissances autochtones, la sécurité alimentaire locale, une meilleure nutrition par acre, des nappes phréatiques propres et stables et une bonne structure du sol. Une approche qui place la souveraineté alimentaire, la propriété locale, les communautés rurales et les économies rurales au centre de la politique et qui nourrit la biodiversité, améliore la santé humaine et travaille avec la nature plutôt que de la détruire.

L’alarmisme de Fyrwald est normal – le monde mourra de faim sans les produits chimiques et les semences (GM) des entreprises, surtout si les produits biologiques s’installent. Ce type de choses a été le tarif standard de l’industrie et de ses lobbyistes et a acheté des scientifiques de carrière pendant de nombreuses années.

Cela va à l’encontre de la réalité, notamment de la façon dont certaines préoccupations de l’agro-industrie ont fait partie d’une stratégie géopolitique américaine qui sape la sécurité alimentaire dans des régions du monde entier. Ces préoccupations ont prospéré grâce à la  création de dépendances et ont profité des conflits . De plus, il y a le succès des approches agroécologiques de l’agriculture qui n’ont pas besoin de ce que Fyrwald colporte.

Au lieu de cela, l’industrie continue de se présenter comme le sauveur de l’humanité – une main de Dieu alimentée par un nouveau monde techno-utopique courageux de science d’entreprise, versant du poison et semant les graines de la dépendance des entreprises avec le zèle missionnaire du sauveurisme occidental.


Lisez le livre électronique de Colin Todhunter intitulé

Nourriture, dépossession et dépendance. Résister au Nouvel Ordre Mondial

Nous assistons actuellement à une accélération de la consolidation des entreprises sur l’ensemble de la chaîne agroalimentaire mondiale. Les conglomérats de haute technologie/big data, dont Amazon, Microsoft, Facebook et Google,  ont rejoint les géants traditionnels de l’agro-industrie , tels que Corteva, Bayer, Cargill et Syngenta, dans une quête pour imposer leur modèle d’alimentation et d’agriculture au monde.

La Fondation Bill et Melinda Gates est également impliquée (documentée dans ‘ Gates to a Global Empire ‘ par Navdanya International), que ce soit en  achetant d’immenses étendues de terres agricoles , en promouvant une ‘ révolution verte ‘ tant annoncée  (mais ratée) pour l’Afrique , en poussant  technologies alimentaires biosynthétiques  et  de génie génétique  ou plus généralement  facilitant les objectifs des méga-entreprises agroalimentaires .

Cliquez ici pour lire .

La source originale de cet article est Global Research

Copyright © Colin Todhunter , Recherche mondiale, 2022




Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Le nouvel ordre des barbares, c’est le titre d’un ouvrage publié dans les années 80 à partir de deux enregistrements datés de 1988 (et un en 1991 avec Randy Engel) et que l’on trouve encore aujourd’hui chez plusieurs éditeurs. Ce livre est la retranscription par le Dr. Lawrence Dunegan d’une réunion de la Pittsburgh Pediatric Society le 20 mars 1969 par un autre médecin, le Dr Richard Day, un insider du Nouvel ordre mondial. Professeur de pédiatrie à la Mount Sinai Medical School de New York et ancien directeur médical de la Fédération Américaine du Planning Familial (PPFA), il explique 50 ans à l’avance l’agenda du Great Reset qui se déroule sous nos yeux.

Le contenu de cet ouvrage est édifiant sur la programmation d’un agenda défini par le Nouvel ordre mondial, agenda qui doit se dérouler avec la collaboration des « idiots de service(([1] Ce terme est celui utilisé par le Dr Richard Day en 1969 dans la conférence à laquelle a assisté le Dr Dunegan. Ce terme est repris dans la note de l’éditeur sur la version publiée par les éditions St Rémi, 2011.))», c’est-à-dire la population occidentale et celle du monde entier.

Nous proposons de reprendre quelques phrases rapportées en 1988 et qui montrent assez clairement la programmation anticipée de ce que nous vivons actuellement :

Le retour du communisme

1_ « Certains d’entre vous vont croire que je parle de communisme, mais ce dont je parle est beaucoup plus important que le communisme ». En 1969, parler du communisme pouvait prêter à sourire. Le conférencier expliquait « qu’il y avait beaucoup plus de coopération entre l’Est et l’Ouest que la plupart des gens réalisent ». Effectivement, le communisme est de retour par l’intermédiaire du crédit social à la chinoise qui implique la reconnaissance faciale des personnes, leur surveillance permanente et des restrictions de déplacement. La mise en place d’une monnaie numérique et d’un passe sanitaire électronique et identitaire sont les principales caractéristiques d’une politique mondiale et uniforme montrant la convergence de l’Est et de l’Ouest. Tout cela alors que l’Occident livre une guerre contre la Russie par pays interposé. Cette guerre n’est-elle pas artificiellement provoquée et entretenue pour instaurer ce néocommunisme en occident rajoutant à la peur provoquée par les épidémies et un risque de restriction alimentaire qui rappelle les pires années du communisme de Staline. Il est toujours intéressant de relire l’ouvrage d’Antony C. Sutton – considéré évidemment comme un conspirationniste par la presse subventionnée – intitulé Le complot de la Réserve Fédérale et l’implication du monde de la finance, de la société Skull and Bones dans le soutien au nazisme et au communisme.

Le contrôle de la population

2_ 

« Le contrôle de la population fut réellement le point d’entrée (de la conférence), suivant immédiatement l’introduction. Il mentionna que la population grossissait trop rapidement. Le nombre de personnes vivantes à n’importe quel moment sur la planète doit être limité ou nous manquerons d’espace pour vivre. Nous allons faire pousser notre propre nourriture et nous allons rejeter nos déchets sur le reste du monde pour le polluer ».

Cette idéologie sera portée par le rapport du Club de Rome (ou Meadows) commandé en 1970. Le Club de Rome qui précède le forum de Davos est composé de la caste dominante qui impose lentement mais surement une vision mortifère de l’avenir du monde sans jamais envisager une révision des modes de production et de consommation du monde moderne. Ils s’en serviront au contraire pour justifier la limitation de la croissance démographique. Nous renvoyons le lecteur à l’ouvrage intitulé « l’élimination des pauvres » qui décrit parfaitement l’articulation de l’idéologie maçonnique avec la politique internationale déployée depuis les années 70.

L’avortement

3_ « L’avortement ne sera plus un crime, l’avortement sera accepté comme étant la norme, et ils seront même payés par les impôts […] Si les programmes de sexe à l’école amènent plus de grossesse chez les enfants, ce ne sera pas du tout vu comme un problème ». Il n’est pas nécessaire de commenter ce passage, ces positions sont aujourd’hui la norme et l’OMS encourage l’avortement jusqu’au 9e mois.

Contrôle identitaire et crédit social à la chinoise

4_ Le contrôle identitaire et l’utilisation des hôpitaux pour enfermer les citoyens : « La nécessité de s’identifier au moment des déplacements commencera à petite échelle : hôpitaux, certains commerces, mais il se développera rapidement jusqu’à inclure tout le monde, partout ». Incroyable car l’auteur nous parle ici du crédit social à la chinoise (pour l’occident donc) et du contrôle facial biométrique que l’on met en place en occident. L’auteur mentionne également que :

« les hôpitaux peuvent être utilisés pour emprisonner les gens et pour le traitement de criminels, ce qui ne veut pas nécessairement dire traitement médical. À cette époque, je ne connaissais pas le terme prison psychologique comme en Union Soviétique, mais sans me rappeler tous les détails, il décrivait l’utilisation d’hôpitaux pour le traitement de malades et pour le confinement de criminels pour des raisons autres que le bien-être médical du criminel. La définition du criminel ne fut pas donnée ».

Et pour cause il était impensable pour ceux qui écoutaient cette conférence que les criminels seraient les personnes non vaccinées face à une épidémie (ou plusieurs épidémies puisque la variole du singe est maintenant déclarée dans 40 pays). Certains centres de confinement au Canada, en Australie, en Chine et dans d’autres pays encore sont parfois assimilés à des centres d’internement des personnes positives au Covid. « Plus de prisons seront requises. Les hôpitaux pourront servir comme prisons. Certains nouveaux hôpitaux seront construits pour être adaptables en prison ». En 1969, ce discours est parfaitement incompréhensible et il l’aurait encore été il y a deux ans et demi.

D’autres thématiques et événements évoqués dans Le nouvel ordre des barbares font référence à des situations étonnement récentes qui ne peuvent laisser le lecteur indifférent. La lecture de cet ouvrage conduit à s’interroger sur les origines de l’épidémie de Covid.

[Voir aussi les articles du site concernant notamment :
le Great Reset,
Bill Gates,
Klaus Schwab,
l’Agenda 2030,
l’identification numérique
la dépopulation]




La Pelote de Laine

[Source : Sott.net]

« La Pelote de Laine » de Matthieu Biasotto

Par Jacques Paquin

Je suis souvent confronté à un problème qui n’est pas vraiment un problème mais qui à chaque fois me laisse avec un choix difficile et je dois bien avouer que pour l’instant je n’avais pas encore vraiment trouvé de réponse appropriée. Pour résumer, on me demande régulièrement, soit verbalement, soit par courriel, si je connais une bonne source d’information qui résumerait bien tous les secrets cachés dans les coulisses du monde, et qui permettrait facilement de dévoiler les marionnettistes camouflés pour mieux nous manipuler, mais il faudrait que tout soit résumé en quelques articles, ou encore mieux, un simple livre facile à lire pour quelqu’un s’éveillant à la réalité.

la pelote de laine

Ceux qui savent (du moins en partie) ce qui se trame en arrière-plan ont commencé leurs recherches très souvent depuis de nombreuses années et ont lu « des tonnes et des tonnes » d’articles et de livres, et ont visionné de nombreuses vidéos. Relever ce défi et trouver juste quelques articles ou même un livre qui pourraient permettre d’y répondre n’a pas été facile. Très souvent, je noyais la personne avec beaucoup trop d’informations et suivre le fil conducteur devenait trop compliqué et trop laborieux pour la personne en question.

Mais, tout récemment, je suis « tombé par hasard » sur un article qui parlait « en bien » d’un nouveau livre. Après avoir lu cet article, j’ai décidé de me procurer le livre sur le site de l’auteur. Comme vous l’avez surement deviné à partir de la photo introductive, il s’agit de La Pelote de Laine, de Mattieu Biasotto.

L’auteur est connu pour ses livres de style « romance à suspense ou thriller psychologique ». Mais dans son prologue il explique que son nouveau livre s’inscrit dans un registre différent de ce qu’il écrit habituellement :

À la base, je devais concocter une fiction, une romance à suspense ou un thriller psychologique, entre les deux, mon cœur balance toujours un peu. Mais il faut se rendre à l’évidence, je n’ai aucune envie d’inventer en ce moment, et face au sentiment d’urgence qui me dévore, je dois sacrifier mon 28e livre sous peine de devenir dingue et de finir interné. Depuis 8 ans, dans la peau d’un auteur, je me suis évadé à 27 reprises en espérant rendre, à mon modeste niveau, le monde un tout petit peu plus beau.

Peu intéressé par les événements qui ont lieu en coulisses, il suivait bien paisiblement son train-train quotidien :

Il n’y a pas si longtemps, j’étais comme l’immense majorité des gens : dans ma petite bulle familiale, occupé à tracer mon sillon, à travailler sur mon prochain roman pour payer mes factures, histoire que mon banquier me foute la paix entre deux bouquins. J’ai grandi avec les premiers ordinateurs qui m’ont tout de suite fasciné, j’ai passé un nombre d’heures incalculable avec une manette de console à la main, je n’ai pas un, mais deux casques de réalité virtuelle, j’ai une vie très connectée même en habitant en rase campagne, c’est dire à quel point je suis imbibé de technologie, finalement dans la peau de monsieur tout le monde. Fidèle client Amazon depuis des années, adepte du Prime, abonné Netflix de la première heure et Disney+ pour mes trois petits garçons, je me suis peu à peu installé dans une routine confortable. J’étais en mode pilote automatique du haut de mes 38 ans, un peu dans du coton, je vivais ma vie machinalement sans me poser plus de questions que ça. En tout cas, sans me poser les bonnes questions ni sans t’en faire part. En somme, j’étais dans une forme de coma.

Se demander ce qui a pu le motiver à changer de genre littéraire de façon si drastique est légitime. Voici sa réponse publiée sur son site :

Pourquoi vouloir divertir mes lecteurs alors qu’il est plus que temps d’informer un maximum de monde ? Pourquoi m’évader dans un univers fictif tandis qu’il est vital d’ouvrir les yeux sur le réel ? Je me sentais de moins en moins aligné avec mes valeurs, du coup, quand ma femme a deviné le malaise qui me rongeait, elle m’a adressé un clin d’œil qui a tout changé.

Ma plume s’aventure donc dans un autre registre pour tenter de mener une enquête largement documentée, servie par des faits que j’ai pris soin de connecter le long d’un fil rouge tissant une toile d’araignée. Je voulais que la Pelote s’adresse à tout le monde quitte à partir de loin et enfoncer une ou deux portes ouvertes, mais je voulais que cette boule de laine apporte aussi sont lots d’informations judicieuses aux lecteurs les mieux informés. Aussi, je démarre de choses à la portée de tous avant de me risquer dans des détails beaucoup plus pointus.

Mattieu Biasotto est par ailleurs bien conscient de prendre de gros risques et il l’évoque dans sa 4e de couverture :

Je peux tout perdre sur ce livre, l’existence que je menais, ma carrière et même la vie. La censure me guette car je suis de ceux « qui ne sont rien », de ceux qui se posent des questions qui dérangent, je suis surtout de ceux qui voient l’avenir de nos enfants menacé et je suis prêt à tout sacrifier pour tenter de les sauver.

J’en appelle à ton intuition, à tes instincts de parent. J’en appelle à ton bon sens, à ta capacité d’écrire une page de l’Histoire. J’en appelle à chaque citoyen, irresponsable ou emmerdé, curieux ou réfractaire, à tous les grands perdants d’une gigantesque toile.

Car la réalité est sous nos yeux, volontairement éparse et fragmentée. De Wuhan, jusqu’à l’Ukraine, en passant par Biden ou encore notre gouvernement (et bien plus encore), j’ai découvert que tout était connecté à travers 1 359 sources et références. La vérité est donc reliée le long d’un seul et unique fil rouge, c’est la raison pour laquelle je t’invite à dérouler la pelote de laine afin d’ouvrir les yeux.

Tout bien considéré, il s’agit d’un livre écrit par un nouvel éveillé pour les nouveaux éveillés. Maintenant, ce livre nous dévoile-t-il vraiment ce qui se cache dans les coulisses du monde ?

Quid du livre ?

Voici le « Teaser », disponible sur le site de l’auteur :

https://matthieubiasotto.com/wp-content/uploads/2022/05/TEASER_FINAL2.mp4?_=1

L’auteur a choisi une approche progressive et s’adresse à son lecteur comme à un ami curieux de connaître « le fonctionnement de la Matrice ». Il commence doucement par nous révéler les grands marionnettistes du jeu, à savoir les groupes BlackRock et Vanguard. Puis il nous parle de George Soros, des Rockefeller et des Rothschild, de Bill Gates, de Jeffrey Epstein, de Klaus Schwab, d’Henry Kissinger, d’Ursula von der Leyenparmi d’autres personnages impliqués dans ce grand échiquier. Son exploration se poursuit avec les médias, le Covid-19 et les nouveaux vaccins, l’Ukraine, le Dolder Club, le Nouvel Ordre Mondial, le Grand Reset, etc. Il aborde également les techniques utilisées par les élites pour atteindre leurs objectifs.

Bref, sans vouloir trop en dire, il brosse un tableau général sommaire très complet, mais il le fait de manière explicite en présentant de nombreux liens pour soutenir ses propos, afin d’expliquer d’une façon simple et limpide ce qui échappe à la majorité des gens, mais qui néanmoins nous affecte tous.

Ce livre de 430 pages avec 1 359 sources et références offre un très bon résumé de ce qu’est notre réalité et permet par conséquent d’en comprendre les rouages, que ce soit pour une personne qui s’éveille ou pour celle qui a déjà commencé à cheminer dans la quête de la vérité.

Je ne peux que remercier Mattieu Biasotto pour l’excellent travail qu’il a fait « en si peu de temps » et pour son courage en nous offrant ce livre.

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Jacques P. 

Jacques Paquin est originaire de Québec, Canada. Il a étudié les sciences actuarielles à l’Université Laval et a gradué en 1976. Il a travaillé plus de 30 ans pour le Gouvernement du Québec et est maintenant retraité. Sa quête pour la vérité l’a conduit à devenir un éditeur pour SOTT en 2007. Quand Jacques ne travaille pas comme éditeur pour SOTT, il oeuvre dans un groupe de traduction, lit des livres sur la psychologie, la santé, la spiritualité, la science. Il est passionné de plein air et aime faire des randonnées pédestres et du vélo.




MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?

[Source : surgicalneurologyint.com]

Par Russel L. Blaylock
Neurochirurgien retraité, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

Adresse de correspondance :
Russell L. Blaylock, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

DOI : 10.25259/SNI_150_2022Copyright : © 2022 Surgical Neurology International Cet article en libre accès est distribué sous les termes de la licence Creative Commons Attribution-Non Commercial-Share Alike 4.0, qui permet à d’autres de remixer, transformer et s’appuyer sur le travail à des fins non commerciales, comme tant que l’auteur est crédité et que les nouvelles créations sont sous licence aux mêmes conditions.

Comment citer cet article : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22-Apr-2022;13:167

Comment citer cette URL : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22 avril 2022;13:167. Disponible sur :
https://surgicalneurologyint.com/surgicalint-articles/covid-update-what-is-the-truth/

La pandémie de COVID-19 est l’un des événements de maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flux sans fin dirigé par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales. 3 , 6 , 57 ] Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre des experts médicaux, la destruction de carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des personnes non qualifiées disposant d’une richesse énorme , pouvoir et influence.

Pour la première fois dans l’histoire américaine, un président, des gouverneurs, des maires, des administrateurs d’hôpitaux et des bureaucrates fédéraux déterminent les traitements médicaux non pas sur la base d’informations scientifiques précises ou même sur l’expérience, mais plutôt pour forcer l’acceptation de formes spéciales de soins et de « prévention » – y compris le remdesivir, l’utilisation de respirateurs et finalement une série de vaccins à ARN messager essentiellement non testés. Pour la première fois dans l’histoire du traitement médical, les protocoles ne sont pas formulés sur la base de l’expérience des médecins traitant avec succès le plus grand nombre de patients, mais plutôt d’individus et de bureaucraties qui n’ont jamais traité un seul patient, notamment Anthony Fauci, Bill Gates, EcoHealth Alliance, le CDC, l’OMS, les agents de santé publique des États et les administrateurs d’hôpitaux. 23 , 38 ]

Les médias (télévision, journaux, magazines, etc.), les sociétés médicales, les conseils médicaux des États et les propriétaires des médias sociaux se sont désignés comme la seule source d’information concernant cette soi-disant « pandémie ». Des sites Web ont été supprimés, des médecins cliniciens hautement qualifiés et expérimentés et des experts scientifiques dans le domaine des maladies infectieuses ont été diabolisés, des carrières ont été détruites et toutes les informations dissidentes ont été qualifiées de « désinformation » et de « mensonges dangereux », même lorsqu’elles proviennent des meilleurs experts. dans les domaines de la virologie, des maladies infectieuses, des soins intensifs pulmonaires et de l’épidémiologie. Ces obscurcissements de la vérité se produisent même lorsque ces informations sont étayées par de nombreuses citations scientifiques de certains des spécialistes médicaux les plus qualifiés au monde.23 ] Incroyablement, même des individus, comme le Dr Michael Yeadon, un ancien scientifique en chef à la retraite et vice-président de la division scientifique de la société pharmaceutique Pfizer au Royaume-Uni, qui a accusé la société de fabriquer un vaccin extrêmement dangereux, sont ignorés et diabolisé. De plus, lui, ainsi que d’autres scientifiques hautement qualifiés, ont déclaré que personne ne devrait prendre ce vaccin.

Le Dr Peter McCullough, l’un des experts les plus cités dans son domaine, qui a traité avec succès plus de 2000 patients COVID en utilisant un protocole de traitement précoce (que les soi-disant experts ont complètement ignoré), a été victime d’un assaut particulièrement vicieux par ceux qui bénéficient financièrement des vaccins. Il a publié ses résultats dans des revues à comité de lecture, signalant une réduction de 80 % des hospitalisations et une réduction de 75 % des décès grâce à un traitement précoce. 44 ] Malgré cela, il subit une série d’attaques incessantes de la part des contrôleurs de l’information, dont aucun n’a traité un seul patient.

Ni Anthony Fauci, le CDC, l’OMS ni aucun établissement médical gouvernemental n’ont jamais proposé de traitement précoce autre que le Tylenol, l’hydratation et appeler une ambulance une fois que vous avez des difficultés à respirer. C’est sans précédent dans toute l’histoire des soins médicaux, car le traitement précoce des infections est essentiel pour sauver des vies et prévenir les complications graves. Non seulement ces organisations médicales et ces chiens de garde fédéraux n’ont même pas suggéré un traitement précoce, mais ils ont attaqué quiconque tentait d’initier un tel traitement avec toutes les armes à leur disposition – perte de licence, retrait des privilèges hospitaliers, honte, destruction de réputation et même arrestation. 2 ]

Un bon exemple de cet outrage à la liberté d’expression et à la fourniture d’informations sur le consentement éclairé est la récente suspension par le conseil médical du Maine de la licence médicale du Dr Meryl Nass et l’ordre de se soumettre à une évaluation psychiatrique pour avoir prescrit de l’ivermectine et partagé son expertise. dans ce champ.9 , 65 ] Je connais personnellement le Dr Nass et je peux témoigner de son intégrité, de son intelligence et de son dévouement à la vérité. Ses références scientifiques sont impeccables. Ce comportement d’une commission des licences médicales rappelle la méthodologie du KGB soviétique à l’époque où les dissidents étaient incarcérés dans des goulags psychiatriques pour faire taire leur dissidence.

D’AUTRES ATTAQUES SANS PRÉCÉDENT

Une autre tactique sans précédent consiste à retirer les médecins dissidents de leurs postes de rédacteurs en chef, de réviseurs et à retirer leurs articles scientifiques des revues, même après la publication de ces articles. Jusqu’à cet événement pandémique, je n’ai jamais vu autant d’articles de revues retirés – la grande majorité faisant la promotion d’alternatives au dogme officiel, surtout si les articles remettent en question la sécurité des vaccins. Normalement, un article ou une étude soumis est examiné par des experts dans le domaine, appelé examen par les pairs. Ces critiques peuvent être assez intenses et minutieuses, insistant pour que toutes les erreurs dans le document soient corrigées avant la publication. Ainsi, à moins qu’une fraude ou un autre problème caché majeur ne soit découvert après la publication de l’article, l’article reste dans la littérature scientifique.

Nous assistons maintenant à un nombre croissant d’excellents articles scientifiques, rédigés par les meilleurs experts dans le domaine, qui sont retirés des principales revues médicales et scientifiques des semaines, des mois, voire des années après leur publication. Un examen attentif indique que dans de trop nombreux cas, les auteurs ont osé remettre en question les dogmes acceptés par les contrôleurs des publications scientifiques, notamment en ce qui concerne la sécurité, les traitements alternatifs ou l’efficacité des vaccins. 12 , 63 ] Ces revues s’appuient sur la publicité abondante des sociétés pharmaceutiques pour leurs revenus. Plusieurs cas se sont produits où de puissantes sociétés pharmaceutiques ont exercé leur influence sur les propriétaires de ces revues pour supprimer des articles qui remettaient en question les produits de ces sociétés. 13 , 34 , 35 ]

Pire encore est la conception réelle d’articles médicaux pour la promotion de médicaments et de produits pharmaceutiques qui impliquent de fausses études, des soi-disant articles écrits par des fantômes. 49 , 64 ] Richard Horton est cité par le Guardian comme ayant déclaré que « les journaux se sont transformés en opérations de blanchiment d’informations pour l’industrie pharmaceutique. »13 , 63 ] Des articles frauduleux avérés « écrits par des fantômes » parrainés par des géants pharmaceutiques sont régulièrement publiés dans des revues cliniques de premier plan, telles que JAMA et New England Journal of Medicine, qui ne seront jamais supprimés malgré des abus scientifiques et une manipulation des données prouvés.49 , 63 ]

Les articles écrits par des fantômes impliquent l’utilisation de sociétés de planification dont le travail consiste à concevoir des articles contenant des données manipulées pour soutenir un produit pharmaceutique, puis à faire accepter ces articles par des revues cliniques à fort impact, c’est-à-dire les revues les plus susceptibles d’affecter la prise de décision clinique des médecins. De plus, ils fournissent aux médecins en pratique clinique des réimpressions gratuites de ces articles manipulés. The Guardian a trouvé 250 entreprises engagées dans cette activité d’écriture fantôme. L’étape finale dans la conception de ces articles pour publication dans les revues les plus prestigieuses est de recruter des experts médicaux reconnus dans des institutions prestigieuses, pour ajouter leur nom à ces articles. 11 ]

D’une importance vitale est l’observation par des experts dans le domaine de l’édition médicale que rien n’a été fait pour arrêter ces abus. Les éthiciens médicaux ont déploré qu’en raison de cette pratique répandue, « on ne puisse faire confiance à rien ». Alors que certaines revues insistent sur la divulgation d’informations, la plupart des médecins qui lisent ces articles ignorent ces informations ou les excusent et plusieurs revues rendent la divulgation plus difficile en demandant au lecteur de trouver les déclarations de divulgation à un autre endroit. De nombreuses revues ne contrôlent pas ces déclarations et les omissions des auteurs sont courantes et sans sanction.

En ce qui concerne les informations mises à la disposition du public, la quasi-totalité des médias est sous le contrôle de ces géants pharmaceutiques ou autres qui profitent de cette « pandémie ». Leurs histoires sont toutes les mêmes, à la fois dans le contenu et même dans la formulation. Des dissimulations orchestrées se produisent quotidiennement et des données massives exposant les mensonges générés par ces contrôleurs de l’information sont cachées au public. Toutes les données provenant des médias nationaux (télévision, journaux et magazines), ainsi que les nouvelles locales que vous regardez tous les jours, proviennent uniquement de sources « officielles » – dont la plupart sont des mensonges, des distorsions ou complètement fabriquées à partir de tissu entier – toutes visant à tromper le public.

Les médias télévisés reçoivent la majorité de leur budget publicitaire des sociétés pharmaceutiques internationales, ce qui crée une influence irrésistible pour rapporter toutes les études concoctées soutenant leurs vaccins et autres soi-disant traitements. 14 ] Rien qu’en 2020, les industries pharmaceutiques ont dépensé 6,56 milliards de dollars pour ce type de publicité.13 , 14 ] La publicité Pharma TV s’élevait à 4,58 milliards, un incroyable 75% de leur budget. Cela achète beaucoup d’influence et de contrôle sur les médias. Des experts de renommée mondiale dans tous les domaines des maladies infectieuses sont exclus de l’exposition médiatique et des médias sociaux s’ils s’écartent de quelque manière que ce soit des mensonges et des distorsions concoctés par les fabricants de ces vaccins. De plus, ces sociétés pharmaceutiques dépensent des dizaines de millions en publicité sur les réseaux sociaux, Pfizer étant en tête du peloton avec 55 millions de dollars en 2020.14 ]

Bien que ces attaques contre la liberté d’expression soient suffisamment terrifiantes, pire encore est le contrôle quasi universel que les administrateurs d’hôpitaux ont exercé sur les détails des soins médicaux dans les hôpitaux. Ces mercenaires indiquent maintenant aux médecins les protocoles de traitement auxquels ils adhéreront et les traitements qu’ils n’utiliseront pas, peu importe à quel point les traitements « approuvés » sont nocifs ou à quel point les traitements « non approuvés » sont bénéfiques. 33 , 57 ]

Jamais dans l’histoire de la médecine américaine les administrateurs d’hôpitaux n’ont dicté à leurs médecins comment ils pratiqueront la médecine et quels médicaments ils peuvent utiliser. Le CDC n’a pas le pouvoir de dicter aux hôpitaux ou aux médecins concernant les traitements médicaux. Pourtant, la plupart des médecins s’exécutèrent sans la moindre résistance.

La loi fédérale sur les soins a encouragé cette catastrophe humaine en offrant à tous les hôpitaux américains jusqu’à 39 000 dollars pour chaque patient des soins intensifs qu’ils mettent sous respirateur, malgré le fait qu’au début, il était évident que les respirateurs étaient une cause majeure de décès parmi ces patients confiants et sans méfiance. . De plus, les hôpitaux ont reçu 12 000 dollars pour chaque patient admis aux soins intensifs, ce qui explique, à mon avis et à d’autres, pourquoi toutes les bureaucraties médicales fédérales (CDC, FDA, NIAID, NIH, etc.) ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher la vie. – économiser les traitements précoces.46 ] Laisser les patients se détériorer au point d’avoir besoin d’être hospitalisés signifiait beaucoup d’argent pour tous les hôpitaux. Un nombre croissant d’hôpitaux sont menacés de faillite, et beaucoup ont fermé leurs portes, avant même cette « pandémie ».50 ] La plupart de ces hôpitaux appartiennent désormais à des sociétés nationales ou internationales, y compris des hôpitaux universitaires.dix ]

Il est également intéressant de noter qu’avec l’arrivée de cette « pandémie », nous avons assisté à une augmentation du nombre de chaînes d’entreprises hospitalières rachetant un certain nombre de ces hôpitaux financièrement à risque.1 , 54 ] Il a été noté que des milliards d’aide fédérale Covid sont utilisés par ces géants hospitaliers pour acquérir ces hôpitaux financièrement menacés, augmentant encore le pouvoir de la médecine d’entreprise sur l’indépendance des médecins. Les médecins expulsés de leurs hôpitaux ont du mal à trouver d’autres membres du personnel hospitalier à rejoindre, car eux aussi peuvent appartenir au même géant. En conséquence, les politiques de mandat de vaccination incluent un nombre beaucoup plus important d’employés hospitaliers. Par exemple, la Mayo Clinic a licencié 700 employés pour avoir exercé leur droit de refuser un vaccin expérimental dangereux, essentiellement non testé. 51 , 57 ] La Mayo Clinic l’a fait malgré le fait que bon nombre de ces employés ont travaillé pendant le pire de l’épidémie et sont licenciés lorsque la variante Omicron est la souche dominante du virus, a la pathogénicité d’un rhume pour la plupart et les vaccins sont inefficaces dans la prévention de l’infection.

De plus, il a été prouvé que la personne vaccinée asymptomatique a un titre nasopharyngé du virus aussi élevé qu’une personne infectée non vaccinée. Si le mandat du vaccin vise à prévenir la propagation du virus parmi le personnel hospitalier et les patients, ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non vaccinés. La différence est qu’une personne malade non vaccinée n’irait pas travailler, l’épandeur vacciné asymptomatique le fera.

Ce que nous savons, c’est que les principaux centres médicaux, tels que la Mayo Clinic, reçoivent chaque année des dizaines de millions de dollars en subventions des NIH ainsi que des fonds des fabricants pharmaceutiques de ces «vaccins» expérimentaux. À mon avis, c’est la véritable considération qui motive ces politiques. Si cela pouvait être prouvé devant un tribunal, les administrateurs faisant ces mandats devraient être poursuivis dans toute la mesure de la loi et poursuivis par toutes les parties lésées.

Le problème de la faillite des hôpitaux est devenu de plus en plus aigu en raison des mandats de vaccination des hôpitaux et du grand nombre de membres du personnel hospitalier, en particulier des infirmières, qui refusent d’être vaccinés de force. 17 , 51 ] Tout cela est sans précédent dans l’histoire des soins médicaux. Les médecins des hôpitaux sont responsables du traitement de leurs patients individuels et travaillent directement avec ces patients et leurs familles pour initier ces traitements. Des organisations extérieures, telles que le CDC, n’ont aucune autorité pour intervenir dans ces traitements et le faire expose les patients à de graves erreurs de la part d’une organisation qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19.

Lorsque cette pandémie a commencé, les hôpitaux ont reçu l’ordre du CDC de suivre un protocole de traitement qui a entraîné la mort de centaines de milliers de patients, dont la plupart se seraient rétablis si des traitements appropriés avaient été autorisés. 43 , 44 ] La majorité de ces décès auraient pu être évités si les médecins avaient été autorisés à utiliser un traitement précoce avec des produits tels que l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine et un certain nombre d’autres médicaments sûrs et composés naturels. Il a été estimé, sur la base des résultats de médecins traitant avec succès les patients les plus covid, que sur les 800 000 personnes dont on nous dit qu’elles sont mortes de Covid, 640 000 auraient non seulement pu être sauvées, mais auraient pu, dans de nombreux cas, retourner à leur pré -l’état de santé de l’infection avait exigé un traitement précoce avec ces méthodes éprouvées. Cette négligence du traitement précoce constitue un meurtre de masse. Cela signifie que 160 000 seraient en fait décédés, bien moins que le nombre de morts aux mains des bureaucraties, des associations médicales et des conseils médicaux qui ont refusé de défendre leurs patients. 43 , 44 ]

Incroyablement, ces médecins compétents ont été empêchés de sauver ces personnes infectées par le Covid-19. Ce devrait être un embarras pour la profession médicale que tant de médecins suivent sans réfléchir les protocoles mortels établis par les contrôleurs de la médecine.

Il faut aussi garder à l’esprit que cet événement n’a jamais rempli les critères d’une pandémie. L’Organisation mondiale de la santé a modifié les critères pour en faire une pandémie. Pour se qualifier pour un statut pandémique, le virus doit avoir un taux de mortalité élevé pour la grande majorité des gens, ce qu’il n’a pas fait (avec un taux de survie de 99,98 %), et il ne doit avoir aucun traitement existant connu – que ce virus avait – dans fait, un nombre croissant de traitements très efficaces.

Les mesures draconiennes mises en place pour contenir cette « pandémie » artificielle ne se sont jamais avérées efficaces, comme le masquage du public, les confinements et la distanciation sociale. Un certain nombre d’études soigneusement menées au cours des saisons grippales précédentes ont démontré que les masques, quels qu’ils soient, n’avaient jamais empêché la propagation du virus parmi le public. 60 ]

En fait, de très bonnes études ont suggéré que les masques propageaient en fait le virus en donnant aux gens un faux sentiment de sécurité et d’autres facteurs, tels que l’observation que les gens brisaient constamment la technique stérile en touchant leur masque, en l’enlevant de manière inappropriée et en laissant échapper des agents infectieux. aérosols autour des bords du masque. De plus, des masques étaient jetés dans les parkings, les sentiers pédestres, posés sur les tables des restaurants et placés dans les poches et les sacs à main.

Quelques minutes après la mise en place du masque, un certain nombre de bactéries pathogènes peuvent être cultivées à partir des masques, ce qui expose la personne immunodéprimée à un risque élevé de pneumonie bactérienne et les enfants à un risque plus élevé de méningite. 16 ] Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Floride a mis en culture plus de 11 bactéries pathogènes de l’intérieur du masque porté par les enfants dans les écoles.[ 40 ]

On savait également que les enfants ne couraient pratiquement aucun risque de tomber malades du virus ou de le transmettre.

De plus, il était également connu que le port du masque pendant plus de 4 heures (comme cela se produit dans toutes les écoles) entraînait une hypoxie (faible taux d’oxygène dans le sang) et une hypercapnie (taux de CO2 élevés) importantes, qui ont de nombreux effets délétères sur la santé, y compris entraver le développement du cerveau de l’enfant.4 , 72 , 52 ]

Nous savons que le développement du cerveau se poursuit longtemps après les années d’école primaire. Une étude récente a révélé que les enfants nés pendant la « pandémie » ont un QI nettement inférieur, mais les conseils scolaires, les directeurs d’école et les autres bureaucrates de l’éducation ne sont évidemment pas concernés.18 ]

LES OUTILS DU MÉTIER D’ENDOCTRINATION

Les concepteurs de cette pandémie anticipaient un refoulement du public et que de grandes questions embarrassantes seraient posées. Pour éviter cela, les contrôleurs ont nourri les médias d’un certain nombre de tactiques, l’une des plus couramment utilisées était et reste l’escroquerie de «vérification des faits». À chaque confrontation avec des preuves soigneusement documentées, les «vérificateurs des faits» des médias ont répliqué avec l’accusation de «désinformation» et une accusation infondée de «théorie du complot» qui a été, dans leur lexique, «démystifiée». On ne nous a jamais dit qui étaient les vérificateurs de faits ou la source de leurs informations de «démystification» – nous devions simplement croire les «vérificateurs de faits». Une récente affaire judiciaire a établi sous serment que les « vérificateurs de faits » de Facebook ont ​​utilisé l’opinion de leur propre personnel et non de vrais experts pour vérifier les « faits ».59 ] Lorsque des sources sont en fait révélées, il s’agit invariablement du CDC corrompu, de l’OMS ou d’Anthony Fauci ou simplement de leur opinion. Voici une liste de choses qui ont été qualifiées de « mythes » et de « désinformation » qui se sont avérées plus tard vraies.

  • Les vaccinés asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les infectés symptomatiques non vaccinés.
  • Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouvelles variantes, telles que Delta et Omicron.
  • L’immunité naturelle est de loin supérieure à l’immunité vaccinale et dure très probablement toute la vie.
  • Non seulement l’immunité vaccinale diminue après plusieurs mois, mais toutes les cellules immunitaires sont altérées pendant de longues périodes, ce qui expose les vaccinés à un risque élevé d’infections et de cancer.
  • Les vaccins COVID peuvent provoquer une incidence significative de caillots sanguins et d’autres effets secondaires graves
  • Les partisans du vaccin exigeront de nombreux rappels à mesure que chaque variante apparaîtra sur la scène.
  • Fauci insistera sur le vaccin covid pour les petits enfants et même les bébés.
  • Des passeports de vaccination seront nécessaires pour entrer dans une entreprise, voler dans un avion et utiliser les transports en commun
  • Il y aura des camps d’internement pour les non vaccinés (comme en Australie, en Autriche et au Canada)
  • Les non-vaccinés se verront refuser un emploi.
  • Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions élitistes et les fabricants de vaccins
  • De nombreux hôpitaux étaient soit vides, soit peu occupés pendant la pandémie.
  • La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau de la cellule, altérant la fonction de réparation de l’ADN cellulaire.
  • Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins et beaucoup plus ont été endommagées de façon permanente.
  • Un traitement précoce aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes décédées.
  • La myocardite induite par le vaccin (qui a été niée initialement) est un problème important et disparaît en peu de temps.
  • Des lots mortels spéciaux (lots) de ces vaccins sont mélangés à la masse d’autres vaccins Covid-19

Plusieurs de ces affirmations de ceux qui s’opposent à ces vaccins apparaissent maintenant sur le site Web du CDC, la plupart encore identifiées comme des «mythes». Aujourd’hui, de nombreuses preuves ont confirmé que chacun de ces soi-disant «mythes» était en fait vrai. Beaucoup sont même admis par le « saint des vaccins », Anthony Fauci. Par exemple, on nous a dit, même par notre président déficient cognitif, qu’une fois le vaccin sorti, toutes les personnes vaccinées pourraient enlever leur masque. Oops! On nous a dit peu de temps après que les vaccinés ont des concentrations élevées (titres) du virus dans le nez et la bouche (nasopharynx) et peuvent transmettre le virus à d’autres personnes avec lesquelles ils entrent en contact, en particulier les membres de leur propre famille. Reprenez les masques – en fait, le double masquage est recommandé. 27 , 42 , 45 ]

Une autre tactique des partisans du vaccin consiste à diaboliser ceux qui refusent de se faire vacciner pour diverses raisons. Les médias qualifient ces personnes à l’esprit critique d' »anti-vaccins », de « négationnistes des vaccins », de « résistants aux vaccins », de « meurtres », d' »ennemis du plus grand bien » et de ceux qui prolongent la pandémie. J’ai été consterné par les attaques vicieuses, souvent sans cœur, de certaines personnes sur les réseaux sociaux lorsqu’un parent ou un être cher raconte l’histoire de la terrible souffrance et de la mort éventuelle qu’eux-mêmes ou leur proche ont subies à cause des vaccins. Certains psychopathes tweetent qu’ils sont heureux que l’être cher soit décédé ou que la personne vaccinée décédée soit un ennemi du bien pour avoir raconté l’événement et devrait être interdite. C’est difficile à conceptualiser. Ce niveau de cruauté est terrifiant et signifie l’effondrement d’une morale, décente,

C’est déjà assez grave pour le public de tomber aussi bas, mais les médias, les dirigeants politiques, les administrateurs d’hôpitaux, les associations médicales et les conseils d’administration des licences médicales agissent de la même manière moralement dysfonctionnelle et cruelle.

LA LOGIQUE, LE RAISONNEMENT ET LES PREUVES SCIENTIFIQUES ONT DISPARU DANS CET ÉVÉNEMENT

Les preuves scientifiques, les études soigneusement menées, l’expérience clinique et la logique médicale ont-elles eu un effet sur l’arrêt de ces vaccins inefficaces et dangereux ? Absolument pas! Les efforts draconiens pour vacciner tout le monde sur la planète se poursuivent (sauf l’élite, les postiers, les membres du Congrès et autres initiés).31 , 62 ]

Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs examinés par la FDA, les décès autrement inexpliqués de 50 personnes ou moins entraîneraient un arrêt de la distribution du produit, comme cela s’est produit en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021 ainsi que 139 126 blessures graves (y compris les décès) pour la même période, il n’y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccination mortelle. 61 ] Pire encore, aucune agence gouvernementale n’a mené d’enquête sérieuse pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et sont gravement et définitivement blessées par ces vaccins.15 , 67 ] Ce que nous voyons est une série continue de dissimulations et d’évasions par les fabricants de vaccins et leurs promoteurs.

La guerre contre les médicaments et les composés naturels efficaces, bon marché et très sûrs, qui ont prouvé sans aucun doute qu’ils ont sauvé des millions de vies partout dans le monde, s’est non seulement poursuivie, mais s’est intensifiée. 32 , 34 , 43 ]

Les médecins sont informés qu’ils ne peuvent pas fournir ces composés vitaux à leurs patients et s’ils le font, ils seront retirés de l’hôpital, verront leur licence médicale retirée ou seront punis de nombreuses autres manières. Un grand nombre de pharmacies ont refusé de remplir les ordonnances d’lvermectine ou d’hydroxychloroquine, alors que des millions de personnes ont pris ces médicaments en toute sécurité pendant plus de 60 ans dans le cas de l’hydroxychloroquine et des décennies pour l’ivermectine.33 , 36 ] Ce refus de remplir les ordonnances est sans précédent et a été conçu par ceux qui veulent empêcher les méthodes alternatives de traitement, toutes basées sur la protection de l’expansion du vaccin pour tous. Plusieurs entreprises qui fabriquent de l’hydroxychloroquine ont accepté de vider leurs stocks de médicament en les faisant don au Stock national stratégique, ce qui rend ce médicament beaucoup plus difficile à obtenir. 33 ] Pourquoi le gouvernement ferait-il cela alors que plus de 30 études bien faites ont montré que ce médicament réduisait les décès de 66% à 92% dans d’autres pays, comme l’Inde, l’Égypte, l’Argentine, la France, le Nigeria, l’Espagne, le Pérou, le Mexique, et d’autres?23 ]

Les détracteurs de ces deux médicaments qui sauvent des vies sont le plus souvent financés par Bill Gates et Anthony Fauci, qui gagnent tous deux des millions grâce à ces vaccins.48 , 15 ]

Pour arrêter davantage l’utilisation de ces médicaments, l’industrie pharmaceutique et Bill Gates/Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour prouver que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur. 34 ] Pour rendre ce cas frauduleux, les chercheurs ont administré au plus malade des patients covid une dose presque mortelle du médicament, à une dose bien supérieure à celle utilisée sur n’importe quel patient covid par le Dr Kory, McCullough et d’autres médecins, médecins « réels » et compatissants qui traitaient réellement des patients covid.23 ]

Bien sûr, les médias contrôlés et tout-petits ont martelé le public avec des histoires sur l’effet mortel de l’hydroxychloroquine, le tout avec un air terrifié de fausse panique. Toutes ces histoires de dangers de l’ivermectine se sont avérées fausses et certaines d’entre elles étaient incroyablement absurdes. 37 , 43 ]

L’attaque contre l’ivermectine a été encore plus vicieuse que contre l’hydroxy-chloroquine. Tout cela, et bien plus encore, est méticuleusement relaté dans l’excellent nouveau livre de Robert Kennedy, Jr. Le vrai Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique .32 ] Si vous êtes vraiment concerné par la vérité et par tout ce qui s’est passé depuis que cette atrocité a commencé, vous devez non seulement lire, mais étudier attentivement ce livre. Il est entièrement référencé et couvre tous les sujets de manière très détaillée. Il s’agit d’une tragédie humaine aux proportions bibliques conçue par certains des psychopathes les plus vils et sans cœur de l’histoire.

Des millions de personnes ont été délibérément tuées et paralysées, non seulement par ce virus artificiel, mais par le vaccin lui-même et par les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour « contrôler la propagation de la pandémie ». Il ne faut pas ignorer les « morts par désespoir » causées par ces mesures draconiennes, qui peuvent dépasser des centaines de milliers. En conséquence, des millions de personnes sont mortes de faim dans les pays du tiers monde. Rien qu’aux États-Unis, sur les 800 000 morts, revendiqués par les bureaucraties médicales, bien plus de 600 000 de ces décès étaient le résultat de la négligence délibérée d’un traitement précoce, bloquant l’utilisation de médicaments réutilisés hautement efficaces et sûrs, tels que l’hydroxy- la chloroquine et l’ivermectine, et l’utilisation forcée de traitements mortels tels que le remdesivir et l’utilisation de ventilateurs.

Pour aggraver tout cela, en raison des mandats de vaccination parmi tout le personnel hospitalier, des milliers d’infirmières et d’autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés. 17 , 30 , 51 ] Cela a entraîné des pénuries critiques de ces travailleurs de la santé vitaux et des réductions dangereuses de lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. En outre, comme cela s’est produit dans le système de santé du comté de Lewis, un système hospitalier spécialisé à Lowville, NY, a fermé son unité de maternité à la suite de la démission de 30 membres du personnel hospitalier suite aux commandes de vaccins désastreuses de l’État. L’ironie dans tous ces cas de démissions est que les administrateurs ont accepté sans hésiter ces pertes massives d’effectifs malgré les élucubrations sur le manque d’effectifs en période de « crise ». Cela est particulièrement déroutant lorsque nous avons appris que les vaccins n’empêchaient pas la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est d’une pathogénicité extrêmement faible.

LES DANGERS DES VACCINS SONT DE PLUS EN PLUS RÉVÉLÉS PAR LA SCIENCE

Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés au silence, un nombre croissant de personnes hautement intègres et dotées d’une expertise considérable se sont manifestées pour dire la vérité, c’est-à-dire queces vaccins sont mortels.

La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d’être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests minutieux et un suivi approfondi. Ces nouveaux soi-disant vaccins ont été « testés » pendant seulement 2 mois, puis les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d’être tenus secrets. Le témoignage devant le sénateur Ron Johnson de plusieurs personnes qui ont participé à l’étude de 2 mois indique que pratiquement aucun suivi des participants à l’étude préalable à la libération n’a jamais été effectué.67 ] Les plaintes de complications ont été ignorées et malgré les promesses de Pfizer que toutes les dépenses médicales causées par les « vaccins » seraient payées par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu’aucune n’avait été payée.66 ] Certaines dépenses médicales dépassent 100 000 dollars.

À titre d’exemple de la tromperie de Pfizer et des autres fabricants de vaccins à ARNm, citons le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l’étude de sécurité préalable à la commercialisation du vaccin Pfizer. Lors de la présentation de la sénatrice Johnson aux familles des victimes du vaccin, sa mère a raconté les crises récurrentes de son enfant, qu’elle est maintenant confinée dans un fauteuil roulant, qu’elle doit être alimentée par sonde et qu’elle souffre de lésions cérébrales permanentes. Sur l’évaluation de la sécurité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est répertorié comme ayant un « mal de ventre ». Chaque personne a soumis des histoires horribles similaires.

Les Japonais ont eu recours à un procès FOIA (Freedom of Information Act) pour forcer Pfizer à publier son étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cela reste secret est qu’il a démontré que Pfizer avait menti au public et aux organismes de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (le support nano-lipidique enfermé dans l’ARNm). Ils ont affirmé qu’il restait au site de l’injection (l’épaule), alors qu’en fait leur propre étude a révélé qu’il se propageait rapidement dans tout le corps par la circulation sanguine dans les 48 heures.

L’étude a également révélé que ces transporteurs de nano-lipides mortels s’accumulaient à des concentrations très élevées dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des hommes et des femmes, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire majeur). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces transporteurs de nano-lipides ont également été déposés dans le cerveau.

Le Dr Ryan Cole, un pathologiste de l’Idaho, a signalé un pic spectaculaire de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté dans les médias). Il a découvert une incidence effroyablement élevée de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier de mélanomes très invasifs chez les jeunes et de cancers de l’utérus chez les femmes.26 ] D’autres rapports d’activation de cancers précédemment contrôlés apparaissent également chez les patients cancéreux vaccinés. 47 ] Jusqu’à présent, aucune étude n’a été réalisée pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins des études financées par des subventions du NIH.

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l’étude de biodistribution pourrait très bien altérer la fertilité chez les jeunes femmes, modifier les menstruations et les exposer à un risque accru de cancer de l’ovaire. La concentration élevée dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très inquiétant maintenant qu’ils ont commencé à vacciner les enfants dès l’âge de 5 ans. Aucune étude à long terme n’a été menée par aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19, notamment en ce qui concerne le risque d’induction de cancers. L’inflammation chronique est intimement liée à l’induction, à la croissance et à l’invasion du cancer et les vaccins stimulent l’inflammation.

On dit aux patients cancéreux qu’ils devraient se faire vacciner avec ces vaccins mortels. Ceci, à mon avis, est fou. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine de pointe dans le noyau des cellules immunitaires (et très probablement de nombreux types de cellules) et une fois là, inhibe deux enzymes de réparation de l’ADN très importantes, BRCA1 et 53BP1, dont le devoir est de réparer dommages à l’ADN de la cellule.29 ] Les dommages à l’ADN non réparés jouent un rôle majeur dans le cancer.

Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l’ADN sont défectueuses. Ces personnes malheureuses développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers d’organes en conséquence. Ici, nous avons un vaccin qui fait la même chose, mais à un degré moins étendu.

L’une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, qui est associée à une incidence significativement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes.

  • Il convient de noter qu’aucune étude n’a jamais été réalisée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.
  • Ils n’ont jamais été testés pour les effets à long terme
  • Ils n’ont jamais été testés pour l’induction de l’auto-immunité
  • Ils n’ont jamais été correctement testés pour leur sécurité à n’importe quel stade de la grossesse
  • Aucune étude de suivi n’a été réalisée sur les bébés de femmes vaccinées
  • Il n’y a pas d’études à long terme sur les enfants de femmes enceintes vaccinées après leur naissance (surtout lorsque des étapes neurodéveloppementales se produisent).
  • Il n’a jamais été testé pour ses effets sur une longue liste de conditions médicales :
  • Diabète
  • Cardiopathie
  • Athérosclérose
  • Maladies neurodégénératives
  • Effets neuropsychiatriques
  • Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie
  • Fonction immunitaire à long terme
  • Transmission verticale des défauts et désordres
  • Cancer
  • Maladies auto-immunes

L’expérience antérieure avec les vaccins contre la grippe démontre clairement que les études de sécurité réalisées par les chercheurs et les médecins cliniciens liés aux sociétés pharmaceutiques étaient essentiellement toutes soit mal faites, soit délibérément conçues pour montrer à tort la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Cela a été démontré de façon spectaculaire avec les fausses études mentionnées précédemment, conçues pour indiquer que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser. 34 , 36 , 37 ] Ces fausses études ont entraîné des millions de décès et de graves catastrophes sanitaires dans le monde. Comme indiqué, 80 % de tous les décès n’étaient pas nécessaires et auraient pu être évités avec des médicaments réutilisés, sûrs et peu coûteux, avec un très long historique de sécurité parmi des millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie. 43 , 44 ]

Il est au-delà de l’ironie que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé un ensemble de vaccins mal testés qui a entraîné plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins combinés administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse lorsqu’ils ont été confrontés était – « nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce que c’était une pandémie mortelle ».28 , 46 ]

En 1986, le président Reagan a signé la National Childhood Vaccine Injury Act, qui accordait une protection générale aux fabricants pharmaceutiques de vaccins contre les litiges pour blessures intentés par les familles des personnes blessées par le vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s’est prononcée en faveur des sociétés de vaccins, permettant effectivement aux fabricants de vaccins de fabriquer et de distribuer des vaccins dangereux, souvent inefficaces à la population sans crainte de conséquences juridiques. Le tribunal a insisté sur un système d’indemnisation des blessures causées par les vaccins qui n’a versé qu’un très petit nombre de récompenses à un grand nombre de personnes gravement blessées. On sait qu’il est très difficile de recevoir ces récompenses. Selon la Health Resources and Services Administration, depuis 1988, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a accepté de payer 3 597 indemnités parmi 19, 098 personnes blessées par le vaccin ont fait une demande pour un montant total de 3,8 milliards de dollars. C’était avant l’introduction des vaccins Covid-19, dont les décès à eux seuls dépassent tous les décès liés à tous les vaccins confondus sur une période de trente ans.

En 2018, le président Trump a promulgué la loi sur le «droit d’essayer» qui autorisait l’utilisation de médicaments expérimentaux et de tous les traitements non conventionnels en cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l’avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même le refus général des États d’autoriser l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine ou toute autre méthode «officielle» non approuvée pour traiter même les cas terminaux de Covid-19, ces individus infâmes ont ignoré cette loi.

Étrangement, ils n’ont pas utilisé cette même logique ou la même loi en ce qui concerne l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, qui ont toutes deux subi des tests de sécurité approfondis par plus de 30 études cliniques de haute qualité et ont donné des rapports élogieux sur l’efficacité et la sécurité dans de nombreux pays. . De plus, nous avions un dossier d’utilisation allant jusqu’à 60 ans par des millions de personnes, utilisant ces médicaments dans le monde entier, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement. Le livre de Kennedy présente ce cas en utilisant de nombreuses preuves et citations. 14 , 32 ]

Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins covoid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausse couche 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés. 28 ] Lorsque nous examinons son graphique sur les malformations fœtales, il y avait une incidence 144 fois plus élevée de malformations fœtales avec les vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse par rapport à tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l’American Academy of Obstetrics and Gynecology et l’American College of Obstetrics and Gynecology approuvent l’innocuité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.

Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu un financement important de la société pharmaceutique Pfizer. L’American College of Obstetrics and Gynecology, juste au 4ème trimestre de 2010, a reçu un total de 11 000 $ de la seule société pharmaceutique Pfizer.70 ] Le financement des subventions du NIH est beaucoup plus élevé.20 ] La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou programmes pour animaux de compagnie. Peter Duesberg, en raison de son audace à remettre en question la théorie favorite de Fauci sur le sida causé par le virus du VIH, n’a plus reçu aucune des 30 demandes de subvention qu’il a soumises après avoir été rendues publiques. Avant cet épisode, en tant que principale autorité sur les rétrovirus dans le monde, il n’avait jamais été refusé pour une subvention du NIH. 39 ] C’est ainsi que fonctionne le système « corrompu », même si une grande partie de l’argent des subventions provient de nos impôts.

LOTS CHAUDS — LOTS MORTELS DE VACCINS

Une nouvelle étude a maintenant fait surface, dont les résultats sont terrifiants.25 ] Un chercheur de l’Université de Kingston à Londres, a réalisé une analyse approfondie des données des VAER (un sous-département du CDC qui recueille des données volontaires sur les complications des vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés à la suite des vaccins en fonction des numéros de lot du fabricant des vaccins. . Les vaccins sont fabriqués en grandes quantités appelées lots. Ce qu’il a découvert, c’est que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots et qu’un sur 200 de ces lots (lots) est manifestement mortel pour quiconque reçoit un vaccin de ce lot, qui comprend des milliers de doses de vaccin.

Il a examiné tous les vaccins fabriqués – Pfizer, Moderna, Johnson et Johnson (Janssen), etc. Il a découvert que sur 200 lots de vaccins de Pfizer et d’autres fabricants, un lot sur 200 s’est avéré plus de 50 fois plus mortel que les vaccins. lots provenant d’autres lots. Les autres lots de vaccins (lots) provoquaient également des décès et des incapacités, mais loin d’être à ce point. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les « vaccins » s’il s’agissait d’un événement non intentionnel. Cependant, il a constaté que 5% des vaccins étaient responsables de 90% des événements indésirables graves, y compris des décès. L’incidence des décès et des complications graves parmi ces « lots chauds » variait de plus de 1 000 % à plusieurs milliers de pour cent de plus que les lots comparables plus sûrs. Si vous pensez que c’était par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants. Dans l’un de ces scandales, des «lots chauds» d’un vaccin se sont tous retrouvés dans le même état et les dégâts sont immédiatement devenus évidents. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n’était pas pour retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de disperser les lots chauds à travers le pays afin que les autorités ne voient pas l’effet mortel évident.

Tous les lots d’un vaccin sont numérotés, par exemple Modera les étiquette avec des codes tels que 013M20A. Il a été noté que les numéros de lot se terminaient par 20A ou 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A ont eu environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines à vingt ou trente événements pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes ont eu peu ou pas d’effets indésirables après avoir pris le vaccin tandis que d’autres sont soit tuées, soit gravement et définitivement blessées. Pour voir l’explication du chercheur, rendez-vous surhttps://www.bitchute.com/video/6xIYPZBkydsu/À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du « vaccin » pour inclure des lots mortels.

J’ai rencontré et travaillé avec un certain nombre de personnes concernées par la sécurité des vaccins et je peux vous dire qu’elles ne sont pas les méchants anti-vaccins qu’on vous dit qu’elles sont. Ce sont des personnes morales, pleines de principes et compatissantes, dont beaucoup sont des chercheurs de haut niveau et des personnes qui ont étudié la question de manière approfondie. Robert Kennedy, Jr, Barbara Lou Fisher, Dr Meryl Nass, Professeur Christopher Shaw, Megan Redshaw, Dr Sherri Tenpenny, Dr Joseph Mercola, Neil Z. Miller, Dr Lucija Tomjinovic, Dr Stephanie Seneff, Dr Steve Kirsch et le Dr Peter McCullough pour n’en nommer que quelques-uns. Ces gens n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre. Ils sont violemment attaqués par les médias, les agences gouvernementales et les milliardaires d’élite qui pensent qu’ils devraient contrôler le monde et tous ses habitants.

POURQUOI FAUCI NE VOULAIT-IL AUCUNE AUTOPSIE DE CEUX QUI SONT DÉCÉDÉS APRÈS LA VACCINATION ?

Il y a beaucoup de choses à propos de cette « pandémie » qui sont sans précédent dans l’histoire médicale. L’un des plus surprenants est qu’au plus fort de la pandémie, si peu d’autopsies, en particulier d’autopsies totales, étaient pratiquées. Un virus mystérieux se propageait rapidement dans le monde, un groupe sélectionné de personnes dont le système immunitaire était affaibli tombaient gravement malades et beaucoup mouraient et la seule façon dont nous pouvions rapidement acquérir le plus de connaissances sur ce virus – une autopsie, était découragée.

Guerriero a noté qu’à la fin avril 2020, environ 150 000 personnes étaient décédées, mais il n’y avait que 16 autopsies réalisées et rapportées dans la littérature médicale. 24 ] Parmi celles-ci, seules sept étaient des autopsies complètes, les 9 restantes étant partielles ou par biopsie à l’aiguille ou biopsie incisionnelle. Ce n’est qu’après 170 000 décès par Covid-19 et quatre mois après le début de la pandémie que la première série d’autopsies a été effectivement réalisée, soit plus de dix. Et ce n’est qu’après 280 000 décès et un mois de plus que la première grande série d’autopsies a été réalisée, au nombre d’environ 80.22 ] Sperhake, dans un appel pour que les autopsies soient faites sans poser de questions, a noté que la première autopsie complète rapportée dans la littérature avec des photomicrographies est apparue dans une revue médico-légale de Chine en février 2020.41 , 68 ] Sperhake a exprimé sa confusion quant à la raison pour laquelle il y avait une réticence à effectuer des autopsies pendant la crise, mais il savait que cela ne venait pas des pathologistes. La littérature médicale était jonchée d’appels de pathologistes pour que davantage d’autopsies soient effectuées. 58 ] Sperhake a en outre noté que l’Institut Robert Koch (le système allemand de surveillance de la santé) a au moins initialement déconseillé de faire des autopsies. Il savait également qu’à l’époque, 200 institutions d’autopsie participantes aux États-Unis avaient pratiqué au moins 225 autopsies dans 14 États.

Certains ont affirmé que cette pénurie d’autopsies était basée sur la peur d’infection du gouvernement parmi les pathologistes, mais une étude de 225 autopsies sur des cas de Covid-19 a démontré un seul cas d’infection parmi le pathologiste et il a été conclu qu’il s’agissait d’une infection contractée. autre part.19 ] Guerriero termine son article appelant à davantage d’autopsies par cette observation : « Au coude à coude, les médecins légistes et cliniciens ont surmonté les obstacles des études d’autopsie chez les victimes de Covid-19 et ont ainsi généré des connaissances précieuses sur la physiopathologie de l’interaction entre le SARS-CoV- 2 et le corps humain, contribuant ainsi à notre compréhension de la maladie. »24 ]

Les soupçons concernant la réticence mondiale des nations à autoriser des études post mortem complètes des victimes de Covid-19 peuvent être basés sur l’idée que c’était plus que par hasard. Il y a au moins deux possibilités qui se démarquent. Premièrement, ceux qui ont mené la progression de cet événement « non pandémique » vers une « pandémie mortelle » mondiale perçue, cachaient un secret important que les autopsies pourraient documenter. À savoir, combien de décès ont été réellement causés par le virus ? Pour mettre en œuvre des mesures draconiennes, telles que le port obligatoire de masques, les fermetures, la destruction d’entreprises et finalement la vaccination forcée obligatoire, ils avaient besoin d’un très grand nombre de morts infectés par le covid-19. La peur serait le moteur de tous ces programmes destructeurs de lutte contre la pandémie.

  • Elder et al dans son étude ont classé les résultats de l’autopsie en quatre groupes. 22 ]
  • Mort certaine du Covid-19
  • Probablement la mort du Covid-19
  • Mort probable du Covid-19
  • Non associé au Covid-19, malgré le test positif.

Ce qui a peut-être inquiété ou même terrifié les ingénieurs de cette pandémie, c’est que les autopsies pourraient bien montrer, et ont montré, qu’un certain nombre de ces soi-disant décès de Covid-19 sont en réalité morts de leurs maladies comorbides. Dans la grande majorité des études d’autopsie rapportées, les pathologistes ont noté de multiples conditions comorbides, dont la plupart aux extrêmes de la vie pourraient à elles seules être mortelles. Auparavant, on savait que les virus du rhume avaient une mortalité de 8 % dans les maisons de retraite.

En outre, des preuves précieuses pourraient être obtenues à partir des autopsies qui amélioreraient les traitements cliniques et pourraient éventuellement démontrer l’effet mortel des protocoles mandatés par le CDC que tous les hôpitaux étaient tenus de suivre, tels que l’utilisation de respirateurs et le remdesivir, un médicament mortel qui détruit les reins. . Les autopsies ont également démontré une accumulation d’erreurs médicales et de soins de mauvaise qualité, car le fait de protéger les médecins des unités de soins intensifs des yeux des membres de la famille conduit inévitablement à des soins de moindre qualité, comme l’ont rapporté plusieurs infirmières travaillant dans ces domaines. 53 – 55 ]

Aussi mauvais que tout cela ait été, la même chose est faite dans le cas des décès dus au vaccin Covid – très peu d’autopsies complètes ont été effectuées pour comprendre pourquoi ces personnes sont mortes, c’est-à-dire jusqu’à récemment. Deux chercheurs hautement qualifiés, le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et expert hautement qualifié en maladies infectieuses, et le Dr Arne Burkhardt, pathologiste faisant autorité et ayant été professeur de pathologie dans plusieurs institutions prestigieuses, ont récemment pratiqué des autopsies sur 15 personnes ayant mort après vaccination. Ce qu’ils ont trouvé explique pourquoi tant de personnes meurent et subissent des dommages aux organes et des caillots sanguins mortels. 5 ]

Ils ont déterminé que 14 des quinze personnes sont décédées des suites des vaccins et non d’autres causes. Le Dr Burkhardt, le pathologiste, a observé de nombreuses preuves d’une attaque immunitaire sur les organes et les tissus des individus autopsiés, en particulier leur cœur. Cette preuve comprenait une invasion étendue de petits vaisseaux sanguins avec un nombre massif de lymphocytes, qui provoquent une destruction cellulaire importante lorsqu’ils sont libérés. D’autres organes, tels que les poumons et le foie, ont également été gravement endommagés. Ces découvertes indiquent que les vaccins amenaient le corps à s’attaquer avec des conséquences mortelles. On peut facilement voir pourquoi Anthony Fauci, ainsi que les agents de santé publique et tous ceux qui font la promotion de ces vaccins, ont publiquement découragé les autopsies sur les vaccinés décédés par la suite. On peut aussi voir que dans le cas des vaccins, qui étaient essentiellement non testés avant d’être approuvés pour le grand public, au moins les organismes de réglementation auraient dû être tenus de surveiller et d’analyser attentivement toutes les complications graves, et certainement les décès, liés à ces vaccins. La meilleure façon de le faire est d’effectuer des autopsies complètes.

Bien que nous ayons appris des informations importantes de ces autopsies, ce qui est vraiment nécessaire, ce sont des études spéciales des tissus de ceux qui sont décédés après la vaccination pour la présence d’infiltration de protéines de pointe dans les organes et les tissus. Ce serait une information critique, car une telle infiltration entraînerait de graves dommages à tous les tissus et organes impliqués, en particulier le cœur, le cerveau et le système immunitaire. Des études animales l’ont démontré. Chez ces individus vaccinés, la source de ces protéines de pointe serait les porteurs nanolipidiques injectés de l’ARNm produisant la protéine de pointe.

CONCLUSION

Nous vivons tous l’un des changements les plus drastiques de notre culture, de notre système économique et de notre système politique de l’histoire de notre nation ainsi que du reste du monde. On nous a dit que nous ne reviendrions jamais à la « normale » et qu’une grande réinitialisation a été conçue pour créer un « nouvel ordre mondial ». Tout cela a été décrit par Klaus Schwab, chef du Forum économique mondial, dans son livre sur la « grande réinitialisation ».66 ] Ce livre donne beaucoup d’informations sur la pensée des utopistes qui sont fiers de revendiquer cette «crise» pandémique comme leur moyen d’inaugurer un nouveau monde. Ce nouvel ordre mondial est sur les planches à dessin des manipulateurs d’élite depuis plus d’un siècle.73 , 74 ] Dans cet article, je me suis concentré sur les effets dévastateurs que cela a eu sur le système de soins médicaux aux États-Unis, mais aussi sur une grande partie du monde occidental. Dans des articles antérieurs, j’ai discuté de la lente érosion des soins médicaux traditionnels aux États-Unis et de la façon dont ce système est devenu de plus en plus bureaucratisé et enrégimenté. sept , 8 ] Ce processus s’accélérait rapidement, mais l’apparition de cette « pandémie » fabriquée, à mon avis, a transformé notre système de santé du jour au lendemain.

Comme vous l’avez vu, une série d’événements sans précédent s’est produite au sein de ce système. Les administrateurs d’hôpitaux, par exemple, ont assumé la position de dictateurs médicaux, ordonnant aux médecins de suivre des protocoles dérivés non pas de ceux qui ont une vaste expérience dans le traitement de ce virus, mais plutôt d’une bureaucratie médicale qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19. L’utilisation obligatoire de respirateurs sur les patients des soins intensifs Covid-19, par exemple, a été imposée dans tous les systèmes médicaux et les médecins dissidents ont été rapidement démis de leurs fonctions de soignants, malgré leur démonstration de méthodes de traitement nettement améliorées. De plus, les médecins ont été invités à utiliser le médicament remdesivir malgré sa toxicité avérée, son manque d’efficacité et son taux de complications élevé. On leur a dit d’utiliser des médicaments qui nuisent à la respiration et de masquer chaque patient, malgré les difficultés respiratoires du patient. Dans chaque cas, ceux qui ont refusé d’abuser de leurs patients ont été renvoyés de l’hôpital et ont même fait face à une perte de licence ou pire.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine moderne, le traitement médical précoce de ces patients infectés a été ignoré à l’échelle nationale. Des études ont montré qu’un traitement médical précoce permettait d’économiser 80 % du nombre plus élevé de ces personnes infectées lorsqu’il était initié par des médecins indépendants.43 , 44 ] Un traitement précoce aurait pu sauver plus de 640 000 vies au cours de cette « pandémie ». Malgré la démonstration de la puissance de ces premiers traitements, les forces de contrôle des soins médicaux ont poursuivi cette politique destructrice.

Les familles n’étaient pas autorisées à voir leurs proches, obligeant ces personnes très malades hospitalisées à affronter seules leur mort. Pour ajouter l’insulte à l’injure, les funérailles étaient limitées à quelques membres de la famille en deuil, qui n’étaient même pas autorisés à s’asseoir ensemble. Pendant tout ce temps, les grands magasins, tels que Walmart et Cosco, étaient autorisés à fonctionner avec des restrictions minimales. Les patients des maisons de soins infirmiers n’étaient pas non plus autorisés à recevoir des visites familiales, étant à nouveau forcés de mourir seuls. Pendant tout ce temps, dans un certain nombre d’États, le plus transparent étant celui de New York, des personnes âgées infectées ont été délibérément transférées des hôpitaux vers des maisons de retraite, ce qui a entraîné un taux de mortalité très élevé chez ces résidents de maisons de retraite. Au début de cette « pandémie », plus de 50 % de tous les décès survenaient dans des maisons de retraite.

Tout au long de cette « pandémie », nous avons été nourris d’une série interminable de mensonges, de distorsions et de désinformation de la part des médias, des responsables de la santé publique, des bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et des associations médicales. Des médecins, des scientifiques et des experts en traitements infectieux qui ont formé des associations visant à développer des traitements plus efficaces et plus sûrs, ont été régulièrement diabolisés, harcelés, honteux, humiliés et subissent une perte de licence, une perte de privilèges hospitaliers et, dans au moins un cas, ordonné de subir un examen psychiatrique.2 , 65 , 71 ]

Anthony Fauci a reçu le contrôle essentiellement absolu de toutes les formes de soins médicaux lors de cet événement, notamment en insistant pour que les médicaments dont il a bénéficié soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l’utilisation de masques, bien qu’il se soit d’abord moqué de l’utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans poser de questions.

Les mesures draconiennes utilisées, le masquage, les verrouillages, les tests des personnes non infectées, l’utilisation du test PCR inexact, la distanciation sociale et la recherche des contacts s’étaient auparavant avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives de rejeter ces méthodes n’ont servi à rien. Certains États ont ignoré ces ordonnances draconiennes et ont enregistré le même nombre de cas ou moins, ainsi que des décès, que les États avec les mesures les plus strictement appliquées. Encore une fois, aucune preuve ou démonstration évidente dans ce sens n’a eu d’effet sur la fin de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, comme la Suède, qui ont évité toutes ces mesures, ont démontré des taux d’infections et d’hospitalisation égaux à ceux des nations avec les mesures les plus strictes et les plus draconiennes, aucun changement de politique de la part des institutions de contrôle n’a eu lieu.

Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont démontré que les mesures draconiennes s’accompagnent d’un coût énorme sous la forme de « morts de désespoir » et d’une augmentation spectaculaire des troubles psychologiques graves. Les effets de ces mesures pandémiques sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et en grande partie irréversibles.

Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir à la suite de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé à apparaître, les contrôleurs de cette « pandémie » ont continué à toute vapeur. Augmentation drastique des suicides, augmentation de l’obésité, augmentation de la consommation de drogue et d’alcool, aggravation de nombreuses mesures sanitaires et augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, notamment la dépression et l’anxiété, ont été ignorés par les responsables contrôlant cet événement.

Nous avons finalement appris que de nombreux décès étaient le résultat de négligence médicale. Les personnes atteintes de maladies chroniques, de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et de maladies neurologiques n’étaient plus suivies correctement dans leurs cliniques et cabinets médicaux. Les opérations non urgentes ont été suspendues. Beaucoup de ces patients ont choisi de mourir chez eux plutôt que de risquer d’aller à l’hôpital et beaucoup ont considéré les hôpitaux comme des « maisons de la mort ».

Les registres des décès ont montré qu’il y avait une augmentation des décès chez les personnes âgées de 75 ans et plus, principalement expliquée par les infections à Covid-19, mais pour les personnes âgées de 65 à 74 ans, les décès avaient augmenté bien avant le début de la pandémie. 69 ] Entre 18 ans et 65 ans, les dossiers démontrent une hausse choquante des décès non-Covid-19. Certains de ces décès s’expliquent par une augmentation spectaculaire des décès liés à la drogue, quelque 20 000 de plus qu’en 2019. Les décès liés à l’alcool ont également augmenté de manière substantielle et les homicides ont augmenté de près de 30 % dans le groupe des 18 à 65 ans.

Le chef de la compagnie d’assurance OneAmerica a déclaré que leurs données indiquaient que le taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 64 ans avait augmenté de 40 % au cours de la période pré-pandémique.21 ] Scott Davidson, PDG de la société, a déclaré que cela représentait le taux de mortalité le plus élevé de l’histoire des dossiers d’assurance, qui collecte chaque année de nombreuses données sur les taux de mortalité. Davidson a également noté que cette augmentation du taux de mortalité n’avait jamais été observée dans l’histoire de la collecte de données sur les décès. Les catastrophes précédentes d’une ampleur monumentale n’ont augmenté les taux de mortalité que de 10%, 40% est sans précédent.

Le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l’Indiana, a déclaré que les hospitalisations dans l’Indiana sont plus élevées qu’à tout moment au cours des cinq dernières années. Ceci est d’une importance cruciale puisque les vaccins étaient censés réduire considérablement les décès, mais c’est l’inverse qui s’est produit. Les hôpitaux sont inondés de complications liées aux vaccins et de personnes dans un état critique à cause de la négligence médicale causée par les fermetures et d’autres mesures pandémiques. 46 , 56 ]

Un nombre dramatique de ces personnes meurent maintenant, le pic se produisant après l’introduction des vaccins. Les mensonges de ceux qui se sont nommés dictateurs médicaux sont sans fin. D’abord, on nous a dit que le confinement ne durerait que deux semaines, ils ont duré plus d’un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et n’avaient pas besoin d’être portés. Cela s’est vite inversé. Ensuite, on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, maintenant ce n’est plus le cas et tout le monde devrait porter un masque N95 et avant cela, ils devraient porter un double masque. On nous a dit qu’il y avait une grave pénurie de respirateurs, puis nous découvrons qu’ils sont inutilisés dans les entrepôts et dans les dépotoirs de la ville, toujours dans leurs caisses d’emballage. Nous avons été informés que les hôpitaux étaient principalement remplis de personnes non vaccinées et nous avons découvert plus tard que c’était exactement le contraire dans le monde entier.

Lors de la sortie des vaccins, les femmes ont été informées que les vaccins étaient sûrs pendant tous les stades de la grossesse, seulement pour découvrir qu’aucune étude n’avait été réalisée sur la sécurité pendant la grossesse lors des «tests de sécurité» avant la sortie du vaccin. On nous a dit que des tests minutieux sur des volontaires avant l’approbation de l’EUA pour un usage public ont démontré l’extrême sécurité des vaccins, seulement pour apprendre que ces malheureux sujets n’étaient pas suivis, que les complications médicales causées par les vaccins n’étaient pas payées et que les médias couvraient tout cela .67 ] Nous avons également appris que les fabricants pharmaceutiques des vaccins avaient été informés par la FDA que d’autres tests sur les animaux n’étaient pas nécessaires (le grand public serait les cobayes.) Incroyablement, on nous a dit que les nouveaux vaccins à ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA. , qui était une tromperie de couperet, en ce qu’un autre vaccin avait l’approbation (comirnaty) et non celui utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin communautaire approuvé n’était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont déclaré au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n’était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps d’arrêter cette folie et de traduire ces personnes en justice.

Clause de non-responsabilité

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de la Revue ou de sa direction.

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71. Vivek Saxena. Les médecins perdent leur licence, ont reçu l’ordre d’avoir une évaluation psychologique pour les scrits d’ivermectine, partageant la « désinformation » de Covid. https://www.bizpacreview.com/2022/01/16/doctor-loses-license-ordered-to-have-psych-eval-for-prescribe-ivermectin-sharing-covid-falsehoods-1189313.

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74. Wood PM.rédacteurs. Technocratie en hausse : le cheval de Troie de la transformation mondiale. édition cohérente ; 2015. p.




Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich

Voici l’interview récente faite par l’équipe de Reiner Fuellmich de l’archevêque Viganò. Ce dernier est le seul membre éminent de l’Église catholique (les autres églises ont également collaboré à fond à l’escroquerie Covid-19) à avoir eu la lucidité et le courage pour s’opposer au narratif de l’OMS, des laboratoires pharmaceutiques et des médias mainstream corrompus.

Jean Bitterlin

Interview partie I du 27 mai 2022

Comité Corona : Votre Excellence, de nombreuses personnes vous connaissent et vous apprécient beaucoup pour avoir été un homme sincère dans un environnement souvent malhonnête, même pendant votre service au Vatican. Vous avez servi comme diplomate de haut niveau, en particulier comme nonce du Vatican aux États-Unis, représentant le pape auprès des Églises locales aux États-Unis.

C’est pour nous un grand honneur et une grande joie de pouvoir vous parler aujourd’hui. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet et de vous demander votre avis sur la situation politique mondiale, notamment en ce qui concerne la crise dite de Corona, veuillez nous parler un peu de votre histoire personnelle, afin que les spectateurs qui ne vous connaissent pas encore sachent qui vous êtes.

Mgr Viganò : Tout d’abord, je voudrais vous adresser mes salutations les plus cordiales, Monsieur l’Avocat Reiner Füllmich, ainsi qu’à tous vos collaborateurs et collègues, et vous rendre hommage pour avoir développé l’idée de la Commission Corona. Vos recherches sur la gestion de l’urgence Covid-19 et des essais de masse contribuent largement à rassembler des preuves afin de traduire les responsables en justice et de les punir. C’est une contribution importante en vue de la création d’une alliance antimondialiste, car les auteurs de la farce de la pandémie sont les mêmes personnes qui veulent aujourd’hui pousser le monde vers une guerre totale et une crise énergétique permanente.

En ce qui concerne ma « carrière », il n’y a pas grand-chose à dire : je suis un archevêque catholique qui a occupé différents postes à responsabilité au Vatican, aussi bien à la Secrétairerie d’État du Saint-Siège qu’au gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican et en tant que nonce apostolique au Nigeria et enfin, par la volonté de Benoît XVI, aux États-Unis. Ma notoriété — totalement involontaire — résulte de ma position sur le scandale sexuel de l’ancien cardinal américain Theodore McCarrick et d’autres affaires, non moins graves, impliquant des membres haut placés de la hiérarchie. En tant que successeur des apôtres, je ne pouvais pas rester silencieux face aux tentatives de dissimulation de ces faits honteux par la soi-disant mafia de la lavande, qui bénéficie du soutien et de la protection de Bergoglio.

Comité Corona : vous avez un CV impressionnant — mais si l’on cherche votre nom dans les anciens médias (mainstream), on trouve des articles diffamatoires qui vous accusent, entre autres, de diffuser de la propagande du Kremlin et de faire des déclarations confuses. En y regardant de plus près, il nous semble que ce n’est pas du tout le cas, bien au contraire, vous restez plutôt fidèle à votre réputation d’homme sincère même dans un environnement peu sincère, même si cela vous porte préjudice personnellement. Où voyez-vous la « césure » ou la « rupture » dans votre parcours, où cette vertu a été transformée en tare par les anciens médias ? Quelle ligne rouge avez-vous franchie ; sur quel sujet votre franchise est-elle devenue un danger pour le récit public ?

Mgr Vigano : Les fausses accusations sont l’un des moyens utilisés par ceux qui veulent éliminer un adversaire qu’ils craignent et ne peuvent pas combattre loyalement. En l’occurrence, je suis considéré comme inconfortable tant par les représentants de l’Église profonde que par la cabale bergoglienne, dont je dénonce les scandales et les dissimulations depuis l’affaire McCarrick. Et je suis tout aussi inconfortable pour l’État profond, qui a pu compter sur la complicité du Saint-Siège ainsi que de la quasi-totalité de l’épiscopat mondial dans les événements de ces dernières années. La voix dissonante d’un évêque, en particulier lorsqu’il formule des plaintes fondées sur des faits irréfutables, risque de remettre en question le récit officiel, tant en ce qui concerne le prétendu renouveau de l’Église sous ce « pontificat » que la farce de la pandémie et la « vaccination » de masse. Même dans la récente crise entre la Russie et l’Ukraine, l’élite mondialiste, l’OTAN, l’État profond américain, l’Union européenne, le Forum économique mondial, toute la machinerie médiatique et le Vatican sont du même côté. L’intervention de Poutine en Ukraine est considérée comme une menace pour le Nouvel Ordre Mondial, qui doit être neutralisée, même au prix d’un conflit mondial.

Si je dois donc identifier un « point de rupture » sur le front ecclésial, il a définitivement coïncidé avec ma dénonciation du réseau de complicités et des scandales de clercs et de prélats corrompus que Bergoglio a délibérément et obstinément tenté d’étouffer. Sur le front civil, la ligne rouge me semble avoir été franchie avec mon Appel pour l’Église et le monde d’il y a deux ans [en mai 2020], dans lequel je dénonçais la menace que représentait le coup d’État silencieux mené à l’aide de l’état d’urgence sanitaire. L’urgence énergétique et l’urgence alimentaire font toujours partie, avec l’urgence guerrière, des « scénarios » inquiétants que le Forum économique mondial et les Nations unies ont décrits de manière très détaillée longtemps à l’avance. Lorsqu’un jour, pas si lointain, un tribunal jugera ces criminels et leurs complices dans les institutions de presque toutes les nations occidentales, ces documents constitueront la preuve de la préparation du plus grand coup d’État de tous les temps. Et la même chose se produira en ce qui concerne les affaires ecclésiastiques, montrant que la déviation doctrinale et morale qui a commencé avec le Concile Vatican II a créé les conditions nécessaires à la corruption doctrinale et morale du clergé et à la délégitimation simultanée de l’autorité des pasteurs. N’oublions pas que les processus révolutionnaires se sont toujours appuyés sur les vices et les faiblesses de leurs représentants, aussi bien pour détruire l’État que pour affaiblir l’Église.

Comité Corona : Votre Excellence, la crise Corona et Measures entre dans sa troisième année ; entre-temps, la conduite de la guerre à l’Est et surtout l’incitation massive à la guerre par la politique et les médias sont venues s’y ajouter. Comment jugez-vous cette évolution ?

Mgr Vigano : Clarifions un point fondamental : La crise ukrainienne a été sciemment provoquée par l’État profond afin de contraindre le monde à mettre en œuvre les réformes du Great Reset, notamment ce que l’on appelle la « transition technologique » et le « tournant vert ». C’est la deuxième étape du coup d’État technocratique mondialiste après la farce de la pandémie.

La psychopandémie était la première étape d’une véritable attaque visant à prendre le contrôle des gouvernements. En réalité, ils ne cherchent aujourd’hui qu’à contourner le pouvoir politique, qui n’était jusqu’à présent qu’un simple exécutant d’ordres. Sous prétexte de pandémie, ils ont mis en place des systèmes de contrôle détaillé de la population, y compris des systèmes de traçabilité des citoyens individuels inoculés avec le sérum génétique expérimental.

Pas plus tard que ces derniers jours, le PDG de Pfizer Albert Burla a déclaré au Forum de Davos : « Imaginez une puce biologique contenue dans une pilule qui, lorsqu’elle est avalée, passe dans l’estomac et envoie un signal. […] Imaginez les applications, la possibilité de rendre les gens dociles. […] Ce qui se passe dans ce domaine est fascinant » (ici). Et Albert Bourla dit « ce qui se passe » parce qu’il parle de technologies existantes et non de projets imaginaires. L’existence du graphène et des nanocircuits auto-assemblés est désormais admise même par ceux qui, il y a un an encore, traitaient de « conspirationnistes » ceux qui tiraient la sonnette d’alarme. Les populations des pays qui ont adhéré à l’Agenda 2030 sont désormais pour la plupart « vaccinées », ou plutôt génétiquement modifiées, et leur système immunitaire est désormais affaibli de manière irréversible. Et peut-être — comme le dénoncent maintenant certains juristes — découvrira-t-on qu’on leur a injecté, en même temps que le sérum génétique, des puces capables de contrôler même les réactions des gens, d’influencer leur comportement et de les rendre dociles en cas de troubles, ou violents s’il est nécessaire d’avoir un prétexte pour des interventions militaires. Nous sommes bien au-delà d’un coup d’État global : il s’agit de la plus grande, de la plus retentissante, de la plus inédite attaque contre la personne humaine : contre la liberté de l’homme, sa conscience et sa volonté.

On imagine bien le risque qu’il y a à confier à l’OMS le contrôle souverain des systèmes de santé de différents pays en cas de pandémie, alors que ceux qui doivent décider des campagnes de vaccination et des traitements, des mesures d’endiguement et de confinement, sont tous financés par les grands groupes pharmaceutiques et par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui théorise sur la pandémie éternelle et le vaccin de rappel éternel. Même la résolution qui devait être votée à l’OMS — et qui a été empêchée, du moins pour le moment — allait dans le sens d’un contrôle total par la synarchie mondialiste. Il ne faut donc pas s’étonner si l’OMS, dans une tentative lamentable de dissimuler les effets secondaires du sérum génétique expérimental, tire maintenant la sonnette d’alarme au sujet de la prétendue variole du singe, dont la symptomatologie ressemble étrangement à certains des effets secondaires du « vaccin » à ARNm (ici). Tant l’OMS que l’Agence européenne des médicaments (financée à 75 % par BigPharma) ont montré qu’elles se trouvent dans un conflit d’intérêts évident et qu’elles sont totalement dépendantes de l’industrie pharmaceutique.

En ce qui concerne la crise russo-ukrainienne, ce qui aurait dû être une opération de paix visant à mettre fin à la persécution ethnique de la minorité russophone d’Ukraine par des extrémistes néonazis s’est délibérément et coupablement transformé en guerre. Les appels répétés du président Poutine à la communauté internationale pour qu’elle respecte le protocole de Minsk sont tombés dans l’oreille d’un sourd.

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il s’agissait d’une excellente opportunité.

Tout d’abord, c’était l’occasion de créer artificiellement une crise énergétique mondiale afin de forcer la transition vers des sources d’énergie alternatives, avec tout le business que cela implique. Sans crise, comment imposer l’augmentation des prix du gaz et de l’essence comme instrument pour contraindre les entreprises et les individus à la fameuse « transition écologique » que personne n’a jamais choisie et qui a été imposée par des bureaucrates, eux-mêmes asservis par les élites ?

Deuxièmement, pour détruire de manière contrôlée et impitoyable toutes les entreprises considérées comme inutiles ou nuisibles à l’économie globale des multinationales. Des millions d’entreprises artisanales, de petites entreprises qui font l’originalité des nations d’Europe et de l’Italie en particulier, ont été contraintes à la fermeture parce que, après les catastrophes provoquées par les bouclages et les règles de la psychopandémie, on a provoqué une hausse des prix du gaz et du pétrole, avec des spéculations criminelles du « marché » et sans que la Fédération de Russie n’obtienne un centime de plus. Tout cela a été provoqué par l’Union européenne, sur ordre de l’OTAN, à l’aide de sanctions qui se répercutent sur ceux qui les ont imposées. L’effondrement de l’économie traditionnelle n’est pas la conséquence malheureuse d’un conflit inattendu, mais l’action criminelle délibérée d’une mafia mondiale, en comparaison de laquelle la mafia traditionnelle apparaît comme un partenariat avantageux. L’avantage de cette opération subversive profite aux multinationales, qui peuvent racheter des entreprises et des biens immobiliers à des prix défiant toute concurrence, ainsi qu’aux sociétés financières, qui bénéficient de crédits accordés à des millions de nouveaux pauvres. Là encore, les objectifs idéologiques — et diaboliques — de l’élite se servent de la complicité de potentats économiques dont l’objectif est tout simplement de faire du profit. Avec la guerre, l’industrie de l’armement et la non moins florissante industrie des technologies de l’information et des mercenaires ont désormais la possibilité de conclure des affaires lucratives qui leur permettent de récompenser généreusement les politiciens qui ont voté pour la livraison d’armes et de soutien à l’Ukraine.

Troisièmement, la guerre en Ukraine devait notamment servir à étouffer le scandale Hunter Biden qui, avec la société Metabiota, a financé des laboratoires biologiques dans lesquels sont fabriquées des armes bactériologiques de destruction massive. Le siège de l’aciérie d’Azovstal était justement justifié par la nécessité de cacher aussi bien les membres des troupes étrangères de l’OTAN avec les néonazis d’Azov et de Pravij Sektor que les laboratoires biologiques interdits par les conventions internationales et dans lesquels des expériences devaient être menées sur la population locale.

Quatrièmement, parce que le récit de la pandémie peudo, malgré la complicité des médias mainstream, n’a pas pu empêcher la vérité d’éclater au grand jour et de se répandre progressivement dans des cercles de plus en plus larges de l’opinion publique : la crise ukrainienne devait être une opération bien organisée visant à détourner l’attention des masses afin d’empêcher que les nouvelles de plus en plus incontrôlables sur les effets mortels du sérum expérimental et les conséquences catastrophiques des mesures prises par les nations pendant la pandémie d’urgence ne soient connues. La falsification des données est désormais évidente ; la dissimulation délibérée des résultats de la première phase de l’expérience est admise par les entreprises pharmaceutiques elles-mêmes ; l’inutilité des masques et du confinement est prouvée par plusieurs études ; les dommages causés à l’équilibre psychophysique de la population et en particulier aux enfants et aux personnes âgées sont incalculables, tout comme les dommages causés aux étudiants par l’enseignement à distance. Retenir les gens devant la télévision ou dans les médias sociaux avec de la propagande antirusse pour les empêcher de comprendre ce qui leur a été fait est le moins que puissent faire ces criminels fous, des criminels qui sont autant responsables de la pandémie que de la crise russo-ukrainienne.

Si nous examinons le scénario de ce drame planifié par l’élite mondialiste, nous constatons qu’en plus du scénario de la pandémie, il existe d’autres scènes planifiées qui ne sont pas moins inquiétantes et que nous pouvions déjà prévoir depuis l’année dernière dans les médias : la crise énergétique, qui n’est pas la conséquence regrettable d’une crise imprévisible en Ukraine, mais plutôt un moyen d’imposer d’une part l’« économie verte », justifiée par une urgence climatique inexistante, et d’autre part de détruire les économies nationales, en poussant les entreprises à la faillite au profit des multinationales, en créant du chômage et donc une main-d’œuvre sous-payée, en obligeant les nations à s’endetter parce qu’on les a dépossédées de leur souveraineté fiscale, ou en tout cas à s’endetter durablement à cause des prélèvements obligatoires.

L’urgence alimentaire est aussi dans le scénario de Klaus Schwab : elle a commencé pour certains produits aux États-Unis et en Europe, et plus généralement pour les céréales et les produits céréaliers dans de nombreux pays d’Afrique et d’Asie. Nous découvrons ensuite que Bill Gates est le plus grand propriétaire terrien des États-Unis lorsqu’il y a une pénurie de céréales et de produits agricoles ; et que Gates est le patron d’une start-up qui produit du « lait humain artificiel » lorsqu’il y a une pénurie de lait en poudre pour les bébés aux États-Unis. Et n’oublions pas que les multinationales de l’agroalimentaire parviennent à imposer l’utilisation de leurs semences stériles — qu’il faut racheter chaque année — et à interdire l’utilisation des semences traditionnelles, ce qui permettrait aux pays pauvres de ne pas être dépendants d’elles.

Celui qui a conçu la série de crises actuelles, dont les racines ont été posées au début des années 1990 avec la privatisation des entreprises publiques, a également veillé à ce que les personnes formées à cet effet par le Forum économique mondial siègent dans les gouvernements, les institutions et les agences internationales, à la tête des banques centrales et des grands actifs stratégiques, dans les médias et dans les principales religions du monde. Regardez les Premiers ministres des principaux pays européens, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande : ils ont tous été recrutés au sein du groupe des « Young Global Leaders for Tomorrow », et le fait qu’ils siègent aux plus hauts niveaux de direction de ces nations, de l’ONU et de la Banque mondiale devrait être plus que suffisant pour les traduire en justice pour subversion et trahison. Ceux qui ont juré d’appliquer les lois dans l’intérêt de leurs propres nations commettent un parjure au moment où ils doivent répondre de leurs propres actions non pas devant les citoyens de leurs nations, mais devant des technocrates sans visage que personne n’a élus.

Il est facile de rejeter tout cela comme une « théorie du complot », mais un tel rejet n’est plus tenable, pas plus que l’accusation de « complicité » à l’encontre de quiconque exprime sa perplexité face à la crise russo-ukrainienne et à sa gestion au niveau international.

Ceux qui ne veulent pas comprendre l’intrigue, parce qu’ils ont peur de ce qu’ils pourraient découvrir, s’obstinent à nier qu’il y ait un scénario et un metteur en scène, qu’il y ait des acteurs et des figurants, des décors et des costumes. Mais peut-on vraiment croire que les personnes les plus riches et les plus puissantes du monde ont accepté de lancer une telle attaque contre l’humanité pour réaliser leur rêve mondialiste délirant, en déployant une quantité énorme d’énergie et de ressources, sans avoir tout planifié au préalable dans les moindres détails et en laissant tout au hasard ? Si les personnes qui veulent acheter une maison ou créer une entreprise planifient tout avec soin, pourquoi s’agirait-il d’une « théorie du complot » lorsqu’elles réalisent que l’élite doit recourir au mensonge et à la tromperie pour obtenir des résultats inconcevables et criminels ?

Si vous me permettez une analogie, je dirais que notre attitude face aux faits actuels est comparable à quelqu’un qui doit assembler un puzzle composé de milliers de pièces sans avoir l’image finale devant lui. Ceux qui ont assemblé le « puzzle » mondialiste l’ont fait dans l’intention de rendre méconnaissable l’image finale de ce qu’ils veulent obtenir. Mais celui qui voit l’image complète, ou même une partie importante, commence à voir comment les pièces s’assemblent. Et celui qui a vu l’image finale sait aussi comment interpréter le silence et la connivence des fonctionnaires du gouvernement et même des partis d’opposition, comment expliquer la complicité des médecins et des ambulanciers dans les crimes commis dans les hôpitaux contre toutes les connaissances scientifiques, et la complicité des évêques et des prêtres qui sont allés jusqu’à refuser les sacrements aux personnes non vaccinées. Dès que de grandes pièces du puzzle seront visibles — et c’est ce qui se passe actuellement —, il sera beaucoup plus facile de mettre les autres pièces à leur place. Et alors, Klaus Schwab, George Soros, Bill Gates, les autres conspirateurs et ceux qui dirigent dans l’ombre cette conspiration mondiale criminelle seront en fuite pour ne pas être lynchés.

[Voir aussi :
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
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Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
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La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




Le combat pour l’humanité

[Source : Kla.tv]

« Le combat pour l’humanité » avec le Dr. Carrie Madej et David Sorensen

La bataille fait rage pour l’humanité. Le Dr Carrie Madej révèle comment Big Tech collabore avec Big Pharma pour introduire de nouvelles technologies dans les vaccins à venir qui vont modifier notre ADN et nous transformer en hybrides. Cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons et déclenchera le processus de transhumanisme : HUMAN 2.0. Les plans prévoient d’utiliser des vaccins pour injecter la nanotechnologie dans notre corps et nous connecter au cloud et à l’intelligence artificielle. Cela permettra aux gouvernements corrompus et aux géants de la technologie de nous contrôler sans que nous en soyons conscients. Cela peut paraître cool pour ceux qui ont vu trop de films de science-fiction, mais en réalité, cela mettrait fin à notre autonomie et nous rendrait esclaves d’entreprises technologiques mondialistes qui pourraient alors nous contrôler sans que nous nous en rendions compte.

[Voir aussi :
Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité
Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Tous surhumains demain?
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
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Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
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Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation
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Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]



Transcription

David Sorensen : Pourquoi des milliers de médecins et de scientifiques sont-ils censurés dans le monde entier ? Pourquoi les experts médicaux ne sont-ils pas autorisés à s’exprimer sur le vaccin Covid-19, et sur les traitements efficaces contre le Covid-19 ? Nous sommes dans une ère de censure sans précédent. La liberté d’expression a complètement disparu de la planète Terre. Des milliers et des milliers de documentaires, d’interviews, d’émissions de médecins et de scientifiques sont retirés d’Internet, c’est une réalité. Leurs sites web sont fermés, sans aucun avertissement. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi y a-t-il une pression si agressive avec le vaccin Covid-19 ? Pourquoi tous les traitements qui réussissent contre le Covid-19 sont-ils littéralement bannis de tant de pays ? Il se passe quelque chose.

Bonjour, je suis David Sorensen. Aujourd’hui, j’accueille le Dr Carrie Madej dans notre studio. C’est une experte médicale qui fait des recherches depuis des décennies. Et elle a découvert des choses extrêmement inquiétantes sur le vaccin Covid-19.

Le Dr Carrie Madej a été la directrice médicale de deux grandes cliniques. Elle a une énorme expérience médicale et c’est un honneur pour nous de l’avoir parmi nous. Chers spectateurs, je vous encourage à regarder la vidéo jusqu’au bout et à l’écouter. Il s’agit peut-être de la vidéo la plus importante que vous verrez jamais dans votre vie.

Dr Carrie Madej : Je suis très heureuse d’être ici. Et je sens qu’il est très urgent que nous partagions cette information. J’ai commencé à faire des recherches sur les vaccins quand j’avais à peine une vingtaine d’années. Mais je n’avais jamais vu la technologie utilisée pour ce vaccin Covid-19 envisagée auparavant. Tout d’abord, ce vaccin utilisera un ARN modifié ou un ADN modifié dans le vaccin. Alors pourquoi est-ce important ? C’est important de le savoir parce que ça pourrait potentiellement modifier notre ADN, notre génome. Et pourquoi l’ADN ou l’ARN et notre génome sont-ils si importants ? Le génome est ce qui nous rend humains, ce qui nous distingue du reste des animaux et des plantes. C’est le plan de ce qui nous constitue, de la façon dont nous nous reproduisons, nous fonctionnons, nous nous réparons et nous développons. Une petite modification, une petite protéine qu’on ajoute ou qu’on enlève peut en fait créer un défaut congénital ou un trouble héréditaire. Donc quelque chose qui peut vraiment avoir un double effet sur nous, sur l’être humain. D’accord ? Ils proposent d’utiliser la technologie, et une partie de cette technologie s’appelle la transfection.

La transfection est la même technologie que celle utilisée pour produire un organisme génétiquement modifié, comme une tomate ou du maïs du supermarché. Et nous savons tous que Monsanto est assez connu pour produire des organismes génétiquement modifiés. Et ceux-ci ne sont pas aussi sains que le type organique et sauvage qu’on voit dehors dans la nature. Alors, si la même technologie est utilisée pour les plantes, que se passe-t-il pour nous, les humains ? Il est possible que nous ne soyons pas aussi sains. Et je voudrais rappeler à tout le monde que c’est la première fois que cette technologie est utilisée à grande échelle chez les humains. Nous serions l’expérience, nous serions les rats de laboratoire. Nous n’avons pas d’études à long terme, donc c’est très important de le savoir. Je vais vous montrer l’un des précurseurs de ce vaccin. Il s’agit de Moderna. Moderna a reçu environ un demi-milliard de dollars du gouvernement américain pour la recherche et le développement. Il est soutenu par la fondation Bill & Melinda Gates. Ils ont donc donné beaucoup d’argent pour ça. Je voudrais vous faire remarquer que chez Moderna, ils sont novices dans ce domaine. Ça ne fait pas si longtemps qu’ils sont là. Ils n’ont encore jamais développé de vaccin ou de médicament pour les humains. C’est leur première tentative. Et juste pour que vous le sachiez, ils ont des années-lumière d’avance sur un vaccin à fabrication rapide D’accord. Donc, ils sont passés de l’expérience en laboratoire à la phase 2 avec seulement 45 volontaires humains en 63 jours ! Deux mois ! C’est fou ! Ça aurait dû prendre des années.

Et je vous rappelle que c’est le délai le plus court jamais enregistré pour le développement d’un vaccin. Voici ce que leurs premières études ont montré, appliquées en phase 2, testées sur 45 personnes : 100% des personnes ayant reçu des doses élevées ont eu des effets secondaires systémiques après avoir eu ce vaccin à haute dose. Dans le groupe de vaccins Lotus, 80% des personnes ont eu des effets secondaires systémiques. Ici, nous voyons déjà les effets secondaires initiaux. À long terme, nous ne le savons pas du tout.

Donc, pour Moderna, une possibilité d’application pourrait être un patch, également appelé patch à micro-aiguilles. Vous pouvez donc obtenir des patchs à micro-aiguilles par la poste, Amazon ou UPS. L’avantage : vous pourriez vous-même l’appliquer sur votre peau. Vous retirez le film et voilà, vous êtes vacciné. Vous le faites vous-même. Alors, comment faites-vous ? Le patch a de minuscules micro-aiguilles dessus. Il est conçu à la manière d’une dent de serpent ou d’un museau de vipère. Donc, c’est comme la morsure d’un serpent, mais de plusieurs. Ils disent que vous ne le sentirez pas, mais ça va dans votre peau. Et les petites micro-aiguilles minuscules injectent la substance dans votre corps. Qu’est-ce qu’il y a dans une micro-aiguille ? Ce sera soit l’ADN, soit le vaccin ARN ! Numéro deux : ce sera quelque chose qui s’appelle la luciférase.

Eh bien, c’est très important à savoir. Ils ont breveté une enzyme qui s’appelle la luciférase. D’accord ? Lucifer, porteur de lumière, parce que c’est de la bioluminescence. Une lumière. Et c’est quelque chose que vous ne pouvez pas voir ou sentir. Si vous avez un appareil comme une application pour smartphone, vous pouvez le scanner et il s’allume. Cela montre un motif, un code numérique, un code-barres, un tatouage. Nous sommes marqués au fer rouge. Chaque personne a alors sa propre carte d’identité. Vous savez, cela me rappelle la Seconde Guerre mondiale. Vous devriez penser à être marqué comme un produit en magasin.

Ce sera donc là-dedans, comme preuve que vous avez été vacciné. Ils veulent pouvoir vous scanner pour vérifier que vous avez bien le vaccin. Donc, nous serons marqués. À quoi cela pourrait-il servir ? Il existe de nombreuses technologies, mais c’est quelque chose dont nous devons nous préoccuper.

Il y a donc deux choses : Nous avons un tout nouveau vaccin expérimental à base d’ADN, d’ARN, qui pourrait potentiellement modifier notre génome, et deuxièmement, nous serons tatoués ou marqués d’une ID. Et troisièmement, tout ça sera dans un hydrogel. Donc, l’hydrogel est une technologie développée par la DARPA, (agence du ministère de la Défense des États-Unis). C’est une petite partie du Pentagone, le ministère de la Défense. Ils font les inventions de science-fiction dont vous entendez peut-être parler. Il s’agit donc d’une de leurs inventions. Vous pouvez chercher sur YouTube « Hydrogel », la société « Profusa » et « DARPA » et regarder quelques clips, certaines de ces technologies. Il s’agit donc d’une technologie particulière. Elle s’insère sous la peau, à condition que le corps ne la rejette pas. Et c’est une nanotechnologie, des organismes robotiques microscopiques. Donc, ces organismes microscopiques, ces petits robots, seront dans votre corps. D’accord ? Ils peuvent se réunir, se séparer et se réunir à nouveau, et faire d’innombrables choses dans votre corps. L’idée est donc de recueillir des informations de votre corps. Vous pourriez mesurer votre tension artérielle, votre glycémie, votre rythme cardiaque, ce qui semble bien. Donc ils collectent ces informations. Mais ça peut aussi faire d’autres choses. Il peut compter le nombre de pas que vous avez faits, si vous tombez, si vous marchez, si vous avez vos règles et comment se déroule votre cycle menstruel, si vous avez des relations sexuelles ou si vous dormez. Il peut en fait détecter vos émotions. D’accord ? Toutes ces données, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, 365 jours par an, sont collectées. Et où cela va-t-il ? Eh bien, ils prétendent que ça va vers une application intelligente, vers le cloud ou vers tout autre appareil. Mais qui reçoit ces informations ? Qui les utilise ? Dans quel but les utilisent-ils ? Il n’y a pas de réponse à cette question. L’autre chose importante à savoir est donc ceci : où sont collectées toutes ces informations nous concernant ? Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle. Il faut le savoir : Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Vous devez le savoir: Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Donc, vous avez votre smartphone. Vous pouvez envoyer un SMS ou un e-mail, mais le téléphone ou quelqu’un d’autre peut aussi vous envoyer quelque chose, à votre appareil. Ça signifie que quelque chose peut renvoyer quelque chose à notre corps. Des messages et des informations. Que peut-il se passer ? J’imagine que votre humeur serait affectée, ou votre comportement, ou votre mémoire. Cela pourrait vraiment causer beaucoup de problèmes. Et qui est responsable de cela ? Le ministère de la Défense ? Bill et Melinda Gates ? Qui s’en occupe ? Nous n’avons pas encore de réponses, mais c’est quelque chose qu’il faut vraiment savoir, parce que c’est à l’ordre du jour !

Et je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler d’ID 2020. C’est l’idée que tout le monde doit avoir une identification unique ! Et avec cette identification, tout sera réglé. Plus besoin de carte de crédit, plus besoin d’argent liquide ! Ce tatouage, ce n’est que le début de l’identification univoque ! Cela signifie la fin de l’argent liquide, la fin des cartes de crédit et ce n’est que le début de tout ! D’accord ? La perte d’autonomie, la perte d’indépendance, la perte de la vie privée. Nous devons vraiment savoir ce que ces personnes ont l’intention de faire !

Parlons maintenant de l’hydrogel. Les entreprises prétendent que l’hydrogel a le potentiel d’être un « système d’administration immédiate de médicaments à la demande ». Et je ne dis pas qu’on le met dans ce vaccin, mais je dis que c’est la même technologie. Vous devez le savoir ! C’est donc une « administration immédiate de médicaments à la demande ». Ça signifie que par une application de lumière, un médicament serait délivré directement dans votre corps. C’est inquiétant, parce que normalement, quand je veux prendre un médicament, j’ai un emballage avec une étiquette, je vois le comprimé, il est marqué, et je le prends quand je veux. J’ai le contrôle ! Mais qu’en est-il lorsque quelque chose est livré par la lumière ? Et je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’ils sous-entendent par là mais c’est de cela qu’ils parlent. Est-ce que quelque chose dans votre corps peut être activé de l’extérieur ? Est-ce que vous saurez qu’il a été activé ? Et s’il y a un problème avec ça, alors quoi ? Je veux dire, pouvez-vous imaginer l’impact de cela ? Que se passerait-il si un groupe de personnes devenait incontrôlable ? Quelque chose en vous pourrait-il être stimulé pour vous calmer ? J’imagine que dans de mauvaises mains, ce serait très dangereux. Est-ce une des raisons pour lesquelles notre armée est impliquée ? Je vous donne juste quelques idées pour réfléchir de manière critique, pour faire vous-même des recherches sur ces choses, sur ce qui serait possible avec ces vaccins. Vous devez vraiment savoir qu’ils ne nous donnent pas seulement un vaccin ! Ils manipulent notre ADN, notre génome ! Et ils disent : Ce n’est que temporaire, mais je vous dis qu’il est possible de manipuler le génome de façon permanente avec la transfection, et nous ne le remarquerons pas tant qu’ils ne l’auront pas fait avec nous tous ! Voulez-vous prendre ce risque ?

David Sorensen : Un autre point qui est extrêmement préoccupant, c’est que c’est le numéro 1 des distributeurs de vaccins qui fait avancer le projet. Il s’agit de Bill Gates. C’est un homme qui n’a réellement aucune formation médicale.

J’aimerais vous poser une question. Quand vous êtes malade, vous allez voir un médecin. Vous allez voir quelqu’un qui a été formé pour bien vous soigner, quelqu’un qui peut poser un diagnostic précis et qui peut proposer les meilleurs traitements pour vous guérir. Iriez-vous chez une personne qui n’a absolument aucune formation médicale ? Aucun d’entre nous ne le ferait. Bill Gates, cependant, est le numéro 1 mondial. Il contrôle les gouvernements et les organisations de santé dans de nombreux pays. Il est le numéro 1, le financier de l’Organisation mondiale de la santé. Il dicte ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas. C’est un homme qui n’a littéralement aucune formation médicale, et pourtant il est la voix principale dans le monde, qui oriente l’humanité dans son ensemble vers des décisions médicales extrêmement dangereuses, une direction médicale. C’est lui qui finance les entreprises de vaccins. C’est lui qui a parlé au président Trump. Vous pouvez écouter ce clip, il ne s’agit que de quelques secondes, où il dit mot pour mot au président Trump : « Nous ne devrions pas étudier les risques et les dommages des vaccins ».

Bill Gates : La deuxième fois que je l’ai vu, c’était après, en mars 2017, à la Maison Blanche. Lors de ces deux rencontres, il m’a demandé si les vaccins n’étaient pas malgré tout une mauvaise idée. Il a envisagé de créer une commission chargée d’étudier les effets nocifs des vaccins. Robert F. Kennedy Junior a en effet déclaré que les vaccins étaient nocifs. Et j’ai dit : Non, c’est une impasse, ce n’est pas une bonne idée. Ne le fais pas.

David Sorensen : Bill Gates est connu pour les ravages qu’il a causés dans le monde entier avec ses vaccins. Robert F. Kennedy Junior est un proche parent de feu John F. Kennedy, qui a été assassiné parce qu’il enquêtait sur la corruption de la CIA. Robert Kennedy a la même passion pour la vérité et la lutte contre la corruption. Il a enquêté sur l’industrie des vaccins de Bill Gates et il a rédigé un rapport montrant comment il a rendu des millions de femmes stériles sans qu’elles le sachent. Il a provoqué la paralysie, l’autisme, la mort de centaines de milliers d’enfants. Il a été expulsé d’Inde pour cela. Il y a une pétition à la Maison Blanche avec plus de 600 000 signatures de personnes qui demandent une enquête sur Bill Gates pour crimes contre l’humanité. Voilà l’homme… zéro formation médicale. Il ne sait rien sur la manière de soigner les gens malades, et pourtant il est le numéro 1 des fabricants de vaccins. Pourquoi fait-il cela ?

Il a dit que son entrée dans le secteur de la vaccination était le meilleur investissement commercial qu’il ait fait. En faisant du commerce avec les vaccins il a multiplié sa fortune qui est passée de 15 milliards à 100 milliards de dollars.

Pour cela, il possède la plupart des médias ou les soudoie. Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte qui a été rédacteur pour l’un des plus grands journaux d’Europe, a fait des aveux choquants il y a quelques années,

Il a dit : « J’ai été journaliste pendant 25 ans. Pendant toutes ces années, on m’a appris à mentir, à tricher et à ne jamais dire la vérité au public ». Et il ajoute : « J’ai été corrompu par des milliardaires américains, par la CIA, par des sociétés secrètes et par les services secrets allemands. »

Udo Ulfkotte : Je suis journaliste depuis 25 ans. J’ai été éduqué à mentir et à tricher, à ne pas dire la vérité. C’est mal ce que j’ai fait dans le passé, manipuler les gens, faire de la propagande. Et ce n’est pas bien ce que nous avons fait, mes collègues et moi, parce que nous avons été soudoyés pour tromper les lecteurs, pas seulement en Allemagne, mais dans toute l’Europe. Nous vivons dans une république bananière, pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse et les droits de l’homme. J’ai été soutenu par le service central de renseignement, par la CIA. J’en ai assez, je ne veux plus de ça. Alors j’ai écrit un livre. Pas pour gagner de l’argent, non, je vais avoir beaucoup de problèmes. Je veux montrer aux gens en Allemagne, en Europe et dans le monde entier ce qui se passe derrière les portes fermées.

David Sorensen : Pourquoi est-ce important dans le contexte des vaccins ? Récemment, une réunion secrète des experts en sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé a eu lieu à Genève, en Suisse. La réunion était secrète. Elle ne devait pas être divulguée. Quelqu’un de consciencieux a fait fuiter les informations de la réunion, car ces experts de haut niveau en matière de sécurité des vaccins, venus du monde entier, ont reconnu mutuellement qu’il existait de graves problèmes de sécurité. Nous sommes profondément préoccupés par les nombreux problèmes de santé à long terme causés par les vaccins et les nombreux décès qu’ils entraînent. Un des principaux scientifiques de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré littéralement : « Dans de nombreux pays, nous n’avons pas de bons systèmes de sécurité et nous ne pouvons pas répondre aux questions des gens sur les décès dus aux vaccins. »

Dr Soumya Swaminathan, OMS : Nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus à cause d’un vaccin particulier.

Dr Stephen Evans, OMS : Et c’est pourquoi il ne me semble pas incorrect de dire qu’il y a de plus en plus d’incidents indésirables liés à l’antigène, mais qui n’ont peut-être pas été identifiés en raison du manque de statistiques dans les études initiales.

Dr Martin Friede, OMS : Vous avez raison : le plus grand souci de santé publique que nous voyons, ce sont les accusations d’effets à long terme.

Dr Heidi Larson, OMS : Nous avons des professionnels de la santé critiques qui commencent à remettre en question les vaccins et la sécurité des vaccins. Avec un peu de chance, on a une demi-journée consacrée aux vaccins pendant les études. Ensuite, il faut se tenir au courant soi-même.

David Sorensen : Il est bien connu que les vaccins classiques sont très dangereux et ont de graves effets secondaires. Les médias cachent cela à tout prix au public. Le gouvernement américain a récemment organisé une audition avec Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook. Un sénateur a attiré l’attention sur ce point : Le gouvernement amér-icain a récemment versé plus de 4 milliards de dollars à des personnes dont la vie a été détruite par des vaccins. Alors pourquoi Facebook cache-t-il à ses utilisateurs des informations sur les dommages causés par les vaccins ?

Bill Posey : En avril, je vous ai écrit que j’étais déçu que Facebook restreigne la liberté d’expression et que j’envisageais d’aborder le risque de vaccination. Reconnaissant les incertitudes et les risques des vaccins, le gouvernement fédéral a créé un fonds fiduciaire. Ce fonds a versé plus de quatre milliards de dollars pour indemniser les personnes qui ont subi des dommages suite à la vaccination. Il n’y a pas de message plus clair sur le risque vaccinal que l’existence et les paiements de ce fonds. De temps en temps, la recherche médicale a identifié des cas de risques spécifiques liés aux vaccins. Quelqu’un ne devrait-il pas avoir la possibilité d’exprimer une opinion différente de la vôtre ? Je veux dire, plus de quatre milliards de dollars ont été versés par le fonds, à plus de quatre mille personnes. Ne pensez-vous pas que les gens devraient avoir des informations pour pouvoir prendre une décision plus fondée ?

Mark Zuckerberg : Membres du Congrès, c’est ce que je fais, et c’est pourquoi nous n’empêchons pas les gens de publier sur leur page quelque chose qui est faux. Quelqu’un tape dans le champ de recherche quelque chose qui pourrait conduire à des contenus anti-vaccins… nous ne leur recommandons pas de résultats de recherche anti-vaccination.

Bill Posey : Les gens qui sont lésés par cette politique sont en effet des parents d’enfants handicapés, et je ne pense pas que nous devrions, ou que vous devriez, leur tourner le dos si vite, si vous regardez les statistiques terribles. Je pense que vous faites une grave erreur.

David Sorensen : Une forme sévère d’autisme fait que les gens ne sont plus capables de penser clairement, ils ne peuvent pas parler correctement, ils ne peuvent pas se comporter correctement, ils sont handicapés mentaux. Une étude a été menée par le CDC pour examiner le lien entre les vaccins et l’autisme sévère. Ils ont en effet découvert que les vaccins provoquent l’autisme. Cependant, ils ont jeté toutes les preuves dans une poubelle qu’ils ont placée au milieu de la pièce. Ils ont détruit les preuves et ils ont publié un document scientifique dans la prestigieuse revue PEDIATRICS en disant que non, les vaccins ne causent pas l’autisme. Le scientifique principal de cette enquête, de cette étude, William Thompson, est sorti et a dit « Je suis coupable, nous avons caché la vérité au public ».

Conversation téléphonique de William Thompson avec Brian Hooker :

Vous et moi nous nous connaissons à peine, mais vous avez un fils autiste et moi une grande honte.

Journaliste Del Bigtree : Il y a un lanceur d’alerte du CDC qui annonce que le CDC a commis une fraude dans l’étude ROR et qu’ils savaient que les vaccins provoquaient effectivement l’autisme.

Parents d’enfants handicapés dus à la vaccination :

  • Avant la vaccination, mon fils aîné pouvait marcher, mais plus après !
  • J’ai donc appelé la clinique et j’ai dit que je pensais que mon enfant avait un effet secondaire.
  • Et puis il a commencé à se cogner la tête sans arrêt, il tapait contre tout ce qu’il pouvait trouver.

Enregistrement de William Thompson : Je suis assis au bon endroit en ce moment pour vous donner plein d’informations :

(Insertion vidéo : Le risque relatif de recevoir un diagnostic d’autisme était gigantesque.)

Udo Ulfkotte : Wow ! Le CDC était au courant du risque d’autisme dû au vaccin ROR depuis le début !

Dr Coleen Boyle : Et le verdict du CDC : la meilleure politique publique est tout simplement de continuer à vacciner.

Dan Burton : Vous dirigez nos autorités sanitaires et vous avez l’obligation de veiller à ce que ces études soient complètes, afin que nous connaissions tous les faits.

Enregistrement de William Thompson : Oh mon Dieu ! Je ne peux pas le croire… nous l’avons fait !

Journaliste Del Bigtree : …détruit des données, induit le Congrès en erreur, causé de graves dommages à des enfants innocents

Jim Sears (pédiatre) : Tout ce que j’ai dit à mes patients au cours des dix dernières années est basé sur des mensonges et des dissimulations.

Bill Posey : Vous devriez pouvoir compter sur les autorités fédérales pour vous dire la vérité…

Doreen Granpeesheh : En 1978, la prévalence de l’autisme était d’un enfant sur 15 000.

Stephanie Seneff : Au rythme actuel, nous pouvons prédire que d’ici 2032, 80 % des garçons qui naîtront finiront dans le spectre de l’autisme. 80 % des garçons !

Doreen Granpeesheh : Ce nombre énorme d’enfants qui sont diagnostiqués autistes chaque jour…

Stephanie Seneff : … ce sera une catastrophe totale ! Vous laissez cela arriver.

David Sorensen : C’est un crime de l’organisation de la santé au plus haut niveau de nous cacher cette information. Les médias cachent cette information.

Le documentaire VAXX montre en effet l’immense destruction causée par les vaccins dans le monde entier. Les gens expriment l’indicible souffrance du cœur que les vaccins ont causée à leurs enfants, qui ne peuvent plus marcher, plus parler, plus penser. Ce documentaire a été interdit, réprimé et censuré de toutes les manières possibles. C’est pourquoi j’ai invité le Dr. Carrie Madej à parler des vaccins, car le vaccin Covid-19 présente tous les dangers des vaccins classiques, plus tous les risques inhérents aux nouvelles technologies introduites sans tests de sécurité.

Bill Gates dit littéralement dans une interview avec la BBC qu’ils sautent les tests de sécurité habituels parce qu’ils n’ont pas le temps. Comment ça, pas le temps ?

C’est absolument fou ! Et il a aussi dit qu’au moins sept cent mille personnes vont souffrir d’effets secondaires. Et ces effets secondaires incluent le cancer, les maladies auto-immunes, la paralysie, la mort, toutes sortes d’effets secondaires graves. Je vais passer le clip dans lequel vous pouvez entendre Bill Gates parler de l’omission des tests de sécurité.

Bill Gates : Et le moyen de nous ramener au monde d’avant le Covid consiste à vacciner les sept milliards de personnes. L’efficacité chez les personnes âgées, dont le système immunitaire est affaibli, est un grand défi. Pour y parvenir, si on utilise vraiment le vaccin, on risque de se heurter à des problèmes de sécurité. Il faudrait donc terminer en dix-huit mois quelque chose qui prend normalement cinq ou six ans. Mais il y aura un compromis : moins de tests de sécurité que ce que nous avons normalement.

Intervenant du studio : Si je comprends bien, il peut y avoir des compromis sur les mesures de sécurité auxquelles on s’attendrait normalement, parce que le temps est tellement compté ?

Bill Gates : Eh bien, si vous voulez attendre pour voir si un effet secondaire apparaît deux ans plus tard, cela prend deux ans.

David Sorensen : Dans le clip suivant, on entend Bill Gates dire qu’il injecte des organismes génétiquement modifiés, directement dans les veines de jeunes enfants.

Bill Gates : Les effets secondaires isolés sont un peu préoccupants. Avons-nous besoin de tests de sécurité ? Nous utilisons des organismes génétiquement modifiés, et nous les injectons dans les bras de petits enfants, nous les injectons directement dans la veine. On utilise des organismes génétiquement modifiés et on les injecte directement dans le bras. On les injecte directement dans la veine. Donc oui, je pense que nous devrions peut-être avoir un système de sécurité où nous ferions des essais et des tests.

David Sorensen : Regardez l’expression de son visage. Comme il aime ça, il regarde sur le côté et sourit … « des organismes génétiquement modifiés et on les injecte dans les petits bras des enfants, on les injecte directement dans la veine… »

Donc oui, peut-être qu’on devrait avoir des tests de sécurité, ce qui veut dire qu’ils ne l’avaient pas encore au moment où il l’a dit. Ça veut dire qu’ils ont injecté des organismes génétiquement modifiés à des millions de personnes depuis des décennies. Ça peut modifier leur ADN, ce qui provoque une énorme destruction de leur corps. Et il dit simplement : « Oui, peut-être que nous devrions avoir un système de sécurité » !

Extraits (citations) :

« … parce que nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus en raison d’un vaccin particulier. »

« De grandes préoccupations sanitaires que nous avons vues, accusations d’incidents à long terme et de longue durée. »

« Nous avons de très nombreux professionnels de la santé en première ligne qui commencent à remettre en question les vaccins et aussi la sécurité des vaccins. »

« Ce serait la catastrophe totale si ça continuait comme ça. »

David Sorensen : Il se passe autre chose, c’est extrêmement dangereux. Mike Adams de Natural News est un scientifique qui étudie cela depuis de nombreuses années. Il a fait une vidéo il y a des années dans laquelle il disait textuellement : ils vont créer une pandémie de Covid et ensuite introduire un vaccin qui va tuer des millions de personnes parce qu’ils veulent réduire la population mondiale.

Mike Adams : Ils sont appelés à participer à un programme d’inoculation-meurtrier. Ça pourrait se passer de la façon suivante : D’abord, il y a une épidémie planifiée, la libération d’armes biologiques manipulées. Nous avons vu le coup d’essai, l’épidémie de rougeole à Disney World, pour promouvoir le mandat de vaccination SPE 277 en Californie. Ça se fait au niveau global. Une arme biologique est libérée. Ça entraîne des appels au financement massif de l’industrie des vaccins par l’Etat. Et comme par miracle, le vaccin sera ensuite développé en un temps record. Tout le monde sera obligé de se faire vacciner, mais le vaccin sera tel qu’il tuera les gens. Le kill-switch pour l’humanité, la grande mort. De nouvelles lois exigeront que tout le monde se fasse vacciner. Les personnes non vaccinées ne pourront plus utiliser les transports en commun. Ils ne pourront pas prendre l’avion, ils se verront refuser un compte en banque.

Et dans ce vaccin, ils introduiront bien sûr d’autres armes fabriquées par biotechnologie. Il s’agira de souches virales à longue latence, qui ne seront peut-être actives que des mois plus tard. Dès que l’effet commencera à se faire sentir, ils verront des gens mourir dans les rues, dans toutes les villes, dans le monde entier. Lorsque cela commencera, les médias encourageront un deuxième tour de vaccination. Ce deuxième tour sera un kill-switch plus court, qui tuera les gens en quelques semaines, pas en quelques mois, peut-être en quelques jours dans certains cas.

Si tu fais la queue pour te faire vacciner, tu seras probablement mort en peu de temps. Et c’est le cas, les vaccins sont devenus une arme. Ils sont un facteur de mort pour l’humanité. Rappelle-toi que les mondialistes ne veulent pas des humains, du moins pas de la plupart d’entre nous. Ils veulent dépeupler la planète de 90%. Les vaccins sont devenus de plus en plus des armes biologiques.

David Sorensen : Mike Adams a-t-il perdu la tête, est-il fou ? Pourquoi dit-il cela ? Je reviens au Dr Carrie. Elle va expliquer quelques choses sur le passé de Bill Gates, sa mission et l’agenda général de dépopulation du monde.

Revenons à vous, Carrie.

Dr Carrie Madej : Alors, vous vous demandez peut-être pourquoi, pourquoi cela arrive avec ce nouveau vaccin ? Pourquoi ces nouvelles technologies ? Eh bien, chaque fois que je ne suis pas sûre de quelque chose, je me dis de suivre l’argent. Et si vous regardez le contexte, les bailleurs de fonds qui essaient d’être les précurseurs de la fabrication des vaccins, si vous regardez la recherche et le développement, si vous regardez ce qu’il y a derrière les grandes organisations de santé comme l’OMS, l’Institut national de la santé, le Centre de surveillance des maladies du CDC, vous trouvez les mêmes noms. L’un des plus grands donateurs est la Fondation Bill & Melinda Gates. Un autre que vous n’avez pas souvent remarqué, c’est notre armée, le ministère de la Défense et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), qui est une autre branche du Pentagone. Donc, vous voyez ça tout le temps. Ok, donc nous savons qu’il y a des entités, l’armée.

Mais regardons ces personnes, Bill et Melinda Gates, qui parlent si brutalement. Pourquoi s’intéressent-ils aux vaccins ? Parce qu’ils font partie de la technologie informatique. Ce sont des gens de la technologie. Ils n’ont pas de formation en santé, en science ou en épidémiologie. C’est eux qui mettent des millions et des millions de dollars dans ces entreprises et qui les financent, donc ils ont aussi un intérêt personnel à gagner de l’argent avec ça, parce qu’on peut gagner de l’argent avec les vaccins.

Et si on regarde l’histoire de la famille, on voit que la famille Gates a été très impliquée dans l’eugénisme. L’eugénisme, c’est le contrôle mondial de la population ! Tous deux pensent qu’il y a trop de gens dans le monde, et que pour créer un monde sain, il faut le dépeupler. Comment peut-il décider qui reste et qui part ? Dans la vidéo, il dit que grâce à la nouvelle technologie des vaccins, nous pouvons dépeupler la population. Il pense de 10 à 15 %.

Citation de Bill Gates :

« Il y a aujourd’hui 6,8 milliards d’êtres humains, il y en aura 9 milliards dans peu de temps. Si nous faisons vraiment un super boulot maintenant, avec de nouveaux vaccins et des soins de santé reproductive, nous pourrons peut-être réduire la population de 10 à 15%. »

Dr Carrie Madej : Qui est-il pour décider qui reste et qui part ? C’est quand même très inquiétant. Il faut regarder la motivation de celui qui nous pousse à le faire. Est-ce que c’est sa motivation ? Il y a encore une chose à savoir : La fondation Bill & Melinda Gates et le Pentagone DARPA ont effectivement financé quelque chose qui s’appelle Gene Drive Research ou technologie de modification des gènes. C’est exactement ce qu’ils pensent peut-être. Il s’agit d’extinction, d’extermination d’espèces. Ils proposent de l’utiliser et ont dépensé des millions de dollars pour éradiquer des espèces de la planète. Ils veulent le faire avec les moustiques et les plantes en Afrique. Encore une fois, est-ce que quelqu’un en a parlé ? Donc, s’ils parviennent à éradiquer une espèce sur la planète, ça pourrait s’appliquer à l’homme. Et s’il y a une espèce, une race qu’ils n’aiment pas ? Il y a là un potentiel. Et comment font-ils ? Ils le font par mutagenèse. Ils mutent un gène. Encore une fois, ce mot s’appelle transfection. C’est un moyen de manipuler l’ADN, de faire muter un gène. C’est la même technologie qu’ils utilisent dans ce nouveau vaccin contre le Covid-19. Mais nous devons voir la motivation derrière tout cela ! Pourquoi sont-ils si pressés ? Et vous savez, si le vaccin nous endommage, si des gens ont un cancer, sont paralysés, meurent, personne n’a de droits de recours. Nous ne pouvons pas porter plainte ! Nous n’avons pas de voix parce qu’aux États-Unis, ils ont voté deux mandats pour dégager les fabricants de vaccins et tous ceux qui les administrent, de toute responsabilité, de toute responsabilité ! D’abord en 1986 ! Si on regarde la loi sur les vaccins, on voit qu’ils sont déjà exonérés de toute responsabilité. Puis, pour vraiment brouiller les pistes, en février 2020, les États-Unis ont pris les devants en adoptant une loi de précaution d’urgence qui implique une responsabilité zéro complète pour tous les fabricants de vaccins. Encore une fois, il y a deux mandats, et même avec cette loi préventive d’urgence, ils peuvent imposer des vaccins à la population, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de traitement connu pour l’infection. Ça nous amène au point suivant. Il y a un traitement ! Des médecins nous ont contactés. Nous connaissons différents traitements, en effet. Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’hydroxychloroquine. Elle a été bannie de certains protocoles. Même dans mon État, la Géorgie, où je suis autorisé à exercer, les pharmacies peuvent désormais refuser à leur gré la prescription d’hydroxychloroquine. Nous n’avons jamais eu cela auparavant. Pourquoi empêche-t-on les médecins de prescrire un traitement dont nous savons qu’il est efficace contre ce virus – et même qu’il le prévient !? Je ne sais pas. Je pense que c’est peut-être l’argent, peut-être est-ce un programme pour les fabricants de vaccins ? Qu’est-ce que ça peut être d’autre ? Des médecins américains en première ligne parlent de leur expérience. Ils ont eu des expériences et des succès avec l’hydroxychloroquine. Ils ont eu une audience publique. Puis ils ont été réduits au silence. Leur site web est devenu introuvable, un médecin a été licencié, un autre calomnié. Voilà les conséquences de leur témoignage.

The Frontline Doctors des États-Unis :

« Hier, il y a eu plus de 20 millions de clics sur YouTube, Google, Facebook et Twitter. Puis ils nous ont supprimés. J’en ai assez de voir des gens mourir sous nos yeux. Nous étions encore plus consternés par ce filet de peur dans lequel les gens ont été enveloppés. Quand il y avait un traitement, ils étaient guéris. Il y a un traitement. Les gens ont peur de le dire. S’ils donnent le remède à temps, il stoppe le processus de la maladie ! La maladie s’arrête. Nous te suivons de près, Big Tech ! C’est ce que nous faisons ! Nous ne nous tairons pas ! La première demande n’est pas la dernière ! Bon, vous ne vous reposerez pas quand nous reviendrons. Nous viendrons. Nous sommes des milliers ! Et d’ailleurs, le flot de preuves concernant l’hydroxychloroquine est sauvegardé et c’est la solution pour l’Amérique. C’est un tsunami ! »

« Le produit était autrefois utilisé tout le temps. Il n’y a pas de Covid, presque zéro ! Le Dr Raoult est le n°1 mondial des infections et l’a approuvé. Il a traité 4 000 personnes avec ce produit. Avec un résultat formidable ! L’hydroxychloroquine est efficace ! Ne pas le donner aux malades, c’est honteux ! Nous vous apportons cette nouvelle : l’hydroxychloroquine fonctionne ! »

« Je suis le Dr Stella Immanuel. Je suis pédiatre et médecin urgentiste ici au Texas. Je suis originaire du Cameroun et j’ai étudié la médecine au Nigeria. Nous utilisons l’hydroxychloroquine et aussi la camoquine, la flavoquine et toutes ces substances actives. Je suis donc habituée à ces médicaments. Alors quand ils ont commencé à dire que ça ne marchait pas et que c’était dangereux, j’ai pensé : Quoi ? On en donne aux bébés, aux femmes enceintes, aux personnes âgées, tout le monde en prend. L’hydroxychloroquine est efficace ! J’ai traité plus de 350 patients : asthmatiques, diabétiques, personnes âgées, peu importe. Et pas un seul décès ! Républicains, n’ayez pas peur ! Le Covid a un remède, on peut aussi prévenir le Covid ! »

« Il est important de reconnaître qu’il y a un effort concerté pour tenir à l’écart du peuple l’innocuité et l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et nous devons tous nous faire entendre. Merci. »

« La seule façon d’obtenir cette ressource est la suivante : vous devez la réclamer ! Ecrivez aux membres du Congrès, aux gouverneurs, tweetez au président Trump. Si vous le réclamez, vous l’obtiendrez et vous pourrez sauver votre vie et celle de beaucoup d’autres. Faites-le ! »

« Je vous remercie beaucoup. Oui, faisons-le ! Exigeons tous de l’hydroxychloroquine ! Quel est notre hashtag ? #hydroxychloroquinewirkt. Directement au président ! »

David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a plus de 1 700 professionnels de la santé – imaginez ce chiffre un instant – soutenus par des dizaines de milliers de personnes ordinaires qui ont écrit une lettre au gouvernement avec deux messages.

Premièrement, ils disent :

« Il est extrêmement inquiétant que les médecins et les scientifiques soient réduits au silence, et blâmés lorsqu’ils s’expriment sur les traitements existants efficaces contre le Covid-19, sûrs, bon marché et largement disponibles. »

Et deuxièmement :

« Pourquoi les gouvernements interdisent-ils ces traitements efficaces, peu coûteux et sûrs, alors qu’ils mettent en avant un vaccin non testé et peu sûr ? »

Les gouvernements versent déjà des milliards de dollars à ces développeurs de vaccins. Ces montants sont fous. C’est votre argent ! Avec cela, vous êtes contrôlés, réprimés et même tués !!! En Espagne, 600 médecins se sont avancés et ont déclaré lors d’une conférence de presse nationale : La pandémie de Covid est un plan politique unique. Il a été élaboré dans un but politique. En Allemagne, plus de 1 500 médecins et scientifiques ont déclaré ce qui suit lors d’une conférence de presse nationale :

Dr Heiko Schoning : « Nous doutons de la véracité de l’histoire officielle de Covid ! Nous avons des tas de preuves, c’est une histoire fabriquée au niveau mondial. C’est évident ! Je parle à tous mes collègues médecins, car nous avons les preuves médicales : C’est une fraude !!! Ce n’est pas vrai ! Tout simplement pas vrai !

Nous devons nous demander : Pourquoi ? Pourquoi ? Ok, et nous devons nous demander : A qui cela profite-t-il ? Si vous regardez derrière les coulisses, vous voyez, cette histoire avec le Covid-19, nous avons les faits médicaux, c’est une fraude ! C’est faux ! Alors nous nous demandons : Qui en tire profit ? Et qui a le pouvoir de créer ces faits ? Et qui a le pouvoir de créer ces choses fausses ? Eh bien, la cible, c’est vous ! Les citoyens ! Vous et l’économie. C’est l’économie qui est visée ! Donc le Covid-19 semble n’être que la couverture.

48mn30 – David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a un médecin qui s’appelle Rob Elens, un médecin généraliste. Il a vu guérir en quatre jours tous ses patients traités avec de l’hydroxychloroquine combinée à du zinc. Il a dû arrêter de soigner sans délai, sinon il perdait sa licence. Il a ensuite réalisé une vidéo dans laquelle il a fait une liste de tous les traitements efficaces existants pour le Covid-19. Elle a été vue 10 000 fois en quelques heures seulement. YouTube l’a supprimée.

Ils ne veulent pas que tu saches que l’humanité sait qu’il existe en fait un traitement sûr et efficace pour le Covid-19.

Le Dr David Brouncen, du Michigan, a traité plus de 120 patients atteints du Covid. Certains étaient en train de mourir, d’autres étaient proches de la mort.

Dr David Brouncen : Un de nos patients ne pouvait pas respirer. Il était couché et ne pouvait pas tenir un verre d’eau, tellement il était faible. Dès qu’il a commencé à inhaler de l’hydroxychloroquine et de l’iode, il s’est rétabli de manière spectaculaire.

David Sorensen : Le Dr Richard Bradley, du Texas, a été responsable de la mise en place de soins de santé de haute qualité pour l’ensemble du Texas. En tant que professionnel de la santé, il est connu pour sa qualité. Depuis le début de la pandémie, il a traité plus de 500 patients atteints du Covid avec un médicament contre l’asthme très bon marché et très simple, qui existe depuis des décennies.

Dr Richard Bradley : Je vais vous dire ce que j’ai entendu de la part des patients lorsque j’ai commencé à utiliser cela. Ils m’ont dit : « Je me sens mieux dès le premier traitement. » Leur douleur thoracique, leur essoufflement disparaissent, leur fièvre baisse.

Je vais vous donner un exemple. J’ai une patiente qui a deux types de cancer. Elle m’appelle après être restée cinq jours à plat sur le dos, elle ne peut pas se lever. Elle a de la fièvre depuis cinq jours et me dit : « Je vous ai entendu à la radio, pourriez-vous m’aider ? » C’est un vendredi et elle me dit : « Ma petite-fille a été testée positive aujourd’hui et je pense que je l’ai aussi. »

Et j’étais sûre qu’elle l’avait avec tous les symptômes qu’elle décrivait. Elle se bat actuellement contre deux formes de lymphomes, elle fait de la chimiothérapie et a eu une radiothérapie pour son lymphome il y a un mois. Après tout ce qu’on entendait de la part du CDC et de l’OMS, elle aurait dû mourir, mais je lui ai donné le premier traitement dans la nuit. Le lundi, sa fièvre était tombée et elle a bien dormi pour la première fois. Pendant le week-end, elle se remet et le lundi, elle fait une journée de travail de huit heures. Elle ne présente plus de symptômes. Deux tests négatifs, c’est une guérison !!!

Présentatrice : Ok, pouvez-vous répéter le nom du produit ?

Dr Richard Bradley : Budésonide

Présentatrice : Il est inhalé ? Par inhalation ?

Dr Richard Bradley : Avec un inhalateur.

David Sorensen : Ce ne sont que quelques exemples. Il y a des traitements, il y a des guérisons, mais ils sont réprimés et ils vous sont cachés. Les médias travaillent ensemble comme un seul homme pour mentir à toute l’humanité, car ils ne veulent tous qu’une chose : vacciner toute l’humanité !!!

Ce sera catastrophique ! Il est impossible de l’exprimer avec des mots !

La Dr Carrie Madej a soulevé quelques points. À la fin de cette vidéo, elle dira un dernier mot d’avertissement. Je vous encourage à vous inscrire sur le site stopworldcontrol.com, parce que vous aurez beaucoup plus d’infos et de révélations, beaucoup plus de vérité fortifiante, plus de vie pour défendre votre famille, votre nation…

Nous nous trouvons à un moment critique de l’histoire. Ce qui se passe actuellement est sans précédent. Sur le site Stopworldcontrol, vous pouvez trouver un article avec des dizaines de faits qui montrent sans l’ombre d’un doute que cette pandémie a été planifiée. Elle a été organisée et orchestrée. Des événements ont été organisés pour la répéter. Des scénarios ont été mis en œuvre, c’est fou ! Vous pouvez le voir de vos propres yeux sur stopworldcontrol.com.

Je vous encourage à devenir une voix de la liberté, une voix de la vérité. Beaucoup de gens découvrent cette vérité, puis s’assoient simplement et se découragent, ou ont peur, ou sont en colère, ou choisissent de dénigrer.

Mais ça n’aide personne. Vous avez le pouvoir de changer votre monde. Si nous nous levons comme UN SEUL homme et commençons à arrêter le contrôle du monde et à partager cette vérité, cette vidéo et ces pages web, à partager toute source fiable qui peut réveiller l’humanité, alors nous deviendrons un rugissement furieux que rien ne pourra arrêter !!!

Et aucun milliardaire ne peut lutter contre l’humanité entière si elle s’élève dans la plénitude de ce qu’elle est vraiment.

Alors, je vous encourage : allez sur le site stopworldcontrol, il y a un lien de téléchargement où vous pouvez télécharger des flyers et des affiches pour que vous puissiez aider à partager ce site.

Dr Carrie Madej : Alors, s’il vous plaît, écoutez nos paroles et entendez le message. En ce moment même, nous sommes confrontés à quelque chose qui pourrait changer l’humanité. Nous passons de l’humanité 1.0 à l’humanité 2.0. Et cela peut paraître très sympathique de recevoir peut-être quelques capacités – des capacités surhumaines – si nous nous connectons à ce 2.0 – cette intelligence artificielle. Mais je suis ici pour vous dire que je ne pense pas que ce sera comme vous le voyez dans les films de science-fiction. Je pense que notre autonomie, nos libertés, nos capacités à être des âmes souveraines nous seront retirées.

Alors s’il vous plaît, réfléchissez et faites des recherches critiques avec votre propre pensée, et ensuite nous devons unir nos voix dans le monde entier. Et nous devons défendre nos droits, nos droits de l’homme. Ensemble, nous avons le pouvoir ! Les personnes qui sont actuellement responsables de notre santé n’agissent pas dans notre intérêt, n’agissent pas selon une méthodologie scientifique, une bonne science solide.

Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi introduisent-ils des technologies dont ils ne parlent pas dans les grands médias ? Qu’est-ce qu’ils cachent ? Nous devons donc nous unir et avoir une seule voix !




Ukraine : quiproquos, méprises et incompréhensions

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

La guerre d’Ukraine n’a lieu qu’en raison d’abord de l’ignorance des Occidentaux de ce qui se passait en Ukraine et d’autre part d’une série de quiproquos et de méprises. Les Occidentaux, centrés sur eux-mêmes, incapables de penser comme leurs interlocuteurs, n’ont cessé de se tromper. Finalement, lorsque les opérations militaires prendront fin et que les Russes auront atteint leurs objectifs publiquement énoncés dès le premier jour, ils pourront même se persuader d’avoir gagné. En définitive, la seule chose qui compte pour les Occidentaux, ce n’est pas d’épargner des vies humaines, mais d’avoir la conviction de se tenir du bon côté de l’Histoire.

Les soldats de l’opération militaire russe en Ukraine poursuivent la lutte de leurs ainés contre les nazis. Les bandéristes ne cachent pas en effet leur volonté d’anéantir les « Moscovites », femmes et enfants compris.

Cet article fait suite à :
 1. « La Russie veut contraindre les USA à respecter la Charte des Nations unies », 4 janvier 2022.
 2. « Washington poursuit le plan de la RAND au Kazakhstan, puis en Transnistrie », 11 janvier 2022.
 3. « Washington refuse d’entendre la Russie et la Chine », 18 janvier 2022.
 4. « Washington et Londres, atteints de surdité », 1er février 2022.
 5. « Washington et Londres tentent de préserver leur domination sur l’Europe », 8 février 2022.
 6. « Deux interprétations de l’affaire ukrainienne », 15 février 2022.
 7. « Washington sonne l’hallali, tandis que ses alliés se retirent », 22 février 2022.
 8. « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », 5 mars 2022.
 9. « Une bande de drogués et de néo-nazis », 5 mars 2022.
 10 « Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens », 8 mars 2022.
 11. « Ukraine : la grande manipulation », 22 mars 2022.
 12. « Le Nouvel Ordre Mondial que l’on prépare sous prétexte de guerre en Ukraine », 29 mars 2022.
 13 « La propagande de guerre change de forme », 5 avril 2022.
 14. « L’alliance du MI6, de la CIA et des bandéristes », 12 avril 2022.
 15. « La fin de la domination occidentale »,19 avril 2022.
 16. « Ukraine : la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée », 26 avril 2022.
 17. « Washington espère rétablir son hyper-puissance grâce à la guerre en Ukraine », 3 mai 2022.
 18. « Le Canada et les bandéristes », 10 mai 2022.
 19. « Une nouvelle guerre se prépare pour l’après défaite face à la Russie », 24 mai 2022.
 20. « Les programmes militaires secrets ukrainiens », 31 mai 2022.

La guerre en Ukraine est interprétée très différemment selon que l’on est Occidental ou Russe. L’expérience précédente de chacun conditionne son interprétation des mots et des événements. De fait, nul ne réagit aux mêmes choses et recherche pas les mêmes informations que les autres. En définitive, les deux camps n’ont plus du tout la même perception de la réalité. Cette succession de quiproquos et de méprises enclenche une incompréhension qui peut favoriser involontairement un conflit majeur.

Selon les services de communication britanniques, ces tatouages sont uniquement décoratifs.

LES BANDÉRISTES

Les deux camps, qui ont combattu côte à côte face au nazisme, n’ont pas du tout vécu la même chose durant cette période et par conséquent n’en ont pas le même souvenir.

La presse russe ne distingue pas les bandéristes des nazis. Il s’agit pour elle de réveiller le souvenir de la « Grande Guerre patriotique » (dite en Occident : « Seconde Guerre mondiale »). Lorsque l’Allemagne attaqua la Russie, en juin 1941, celle-ci n’était pas du tout prête. Le choc fut désastreux. Staline ne parvint à unir son peuple qu’en s’alliant avec l’Église orthodoxe qu’il avait jusque-là combattue et en libérant ses opposants politiques condamnés au Goulag. Évoquer aujourd’hui cette période, c’est prendre l’engagement de reconnaître à chacun sa place pourvu qu’il défende la Nation.

Les Russes perçoivent les bandéristes/nazis contemporains comme des dangers existentiels contre leur peuple. Ce faisant, ils ont raison car les nationalistes ukrainiens considèrent qu’ils sont « nés pour éradiquer les Moscovites ».

Par conséquent, toutes les attaques occidentales contre la personne de Vladimir Poutine sont décalées et inopérantes. Pour les opposants russes, ce n’est plus le sujet. Qu’ils l’apprécient ou le combattent, Poutine est leur chef comme Staline l’avait été à partir de juin 1941.

La presse occidentale, quant à elle, assimile aussi les bandéristes aux nazis, mais c’est pour en relativiser plus facilement l’importance. Dans le souvenir des populations d’Europe de l’Ouest, le nazisme ne menaçait que des minorités. Les malades mentaux et les vieillards malades incurables d’abord, puis les juifs et les tsiganes ont été séparés du lot pour disparaître à jamais. Au contraire, les Slaves se souviennent d’armées qui avançaient en rasant un à un tous les villages qu’elles prenaient. Nul ne pouvait survivre. Non seulement le nazisme fait moins peur aux Européens de l’Ouest, mais les Anglo-Saxons suppriment discrètement les symboles qui pourraient raviver cette mémoire. Par exemple, les conseillers en communication britanniques ont modifié fin mai l’écusson du régiment Azov. Ils ont substitué au crochet du loup (Wolfsangel) associé à la division SS Das Reich, trois épées en trident évoquant la République nationale ukrainienne (1917-20). Ce faisant, ils ont fait disparaître un insigne nazi pour le remplacer par un insigne anti-bolchévique. Or, dans l’imaginaire ouest-européen, on assimile l’Union soviétique à la Russie, ignorant que la majorité des dirigeants soviétiques n’étaient pas russes.

Les conseillers en communication britanniques assurent que les bandéristes/nazis ukrainiens sont comparables aux nazis occidentaux actuels : des groupuscules marginaux d’enragés. Ils ne nient pas leur existence, mais laissent à penser qu’ils n’ont aucune importance. Aussi font-ils disparaître à la fois les traces de leur activité parlementaire et gouvernementale depuis l’indépendance de 1991 et les images des monuments qui leur ont été élevés depuis un peu partout dans le pays.

De 1991 à 2014, les journaux du monde entier ont ignoré la lente reformation des bandéristes en Ukraine. Cependant en février 2014, lors du renversement du président élu Viktor Ianoukovytch tous les journalistes qui couvraient la « Révolution de la dignité » ont été frappés par le rôle central de milices d’extrême-droite dans les manifestations. Les médias du monde entier ont produit des reportages sur ces étranges « nationalistes » arborant des croix gammées. Mais la presse occidentale a brusquement cessé ses investigations, un mois plus tard, lorsque la Crimée, refusant l’arrivée au pouvoir de ces extrémistes, proclama son indépendance. Continuer à rendre compte de la dérive de l’Ukraine aurait été donner raison à la Fédération de Russie qui avait accepté son rattachement. À partir de là et durant 8 ans, aucun média occidental n’a enquêté par exemple sur les accusations d’enlèvement et de torture à grande échelle qui ont parcouru le pays. Parce qu’ils ont délibérément ignoré les bandéristes durant cette période, ils ne sont plus capables d’estimer leur rôle politique et militaire aujourd’hui.

Cet aveuglement se poursuit avec l’évolution du pouvoir ukrainien durant la guerre. La presse occidentale ignore tout de la dictature mise en place : confiscation par l’État de tous les médias, arrestation des personnalités d’opposition, confiscation des biens des personnes évoquant les crimes historiques des bandéristes et des nazis, etc. Au contraire, la presse russe ne manque rien de cette soudaine évolution et se morfond d’avoir fermé les yeux durant des années.

Pour notre part, nous avons écrit —avec retard— l’histoire des bandéristes ; un sujet auquel aucun livre n’a été consacré, signe que l’Ukraine sous cet angle ne passionnait personne. Notre travail, traduit en une dizaine de langues, a fini par toucher de nombreux responsables militaires et diplomates occidentaux. Ces derniers font désormais pression sur leurs gouvernements pour qu’ils ne soutiennent plus ces ennemis de l’humanité.

Les Etats-Unis ont menti effrontément au Conseil de Sécurité des Nations unies pour pouvoir envahir l’Iraq. Ils ne se sont jamais excusés.

LA CRÉDIBILITÉ DES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX ET RUSSES

Il y a deux manières d’évaluer la crédibilité d’un dirigeant : on examine soit ses bonnes intentions, soit son bilan. Les Européens de l’Ouest, qui se sont placés sous la protection des États-Unis, ont la conviction de ne plus faire l’Histoire, mais de la subir. Ils n’ont donc plus besoin de dirigeants politiques comme au siècle dernier. De fait, ils n’élisent plus que des gestionnaires se présentant comme pétris de bonnes intentions. Au contraire, les Russes, après l’effondrement de leur pays durant les années Eltsine, ont voulu restaurer leur indépendance et finalement couper avec le libéralisme US auquel ils avaient cru une décennie. Pour cela, ils ont élu et réélu Vladimir Poutine, dont ils vérifient l’efficacité. Leur pays s’est ouvert à l’étranger tout en devenant auto-suffisant en de nombreux domaines, y compris alimentaire. Ils interprètent les sanctions de l’Otan non pas comme des punitions, mais, sachant que l’Alliance atlantique ne représente que 12 % de la population mondiale, comme une fermeture de l’Occident au reste du monde.

Indépendamment des régimes politiques, les dirigeants civils qui cherchent à rassembler leur peuple le plus largement possible s’interdisent de mentir pour conserver la confiance de leurs concitoyens, au contraire ceux qui sont au service d’une minorité pour exploiter la majorité sont tenus de mentir pour ne pas être renversés. Par ailleurs, les dirigeants militaires s’ils ont tendance à prendre leurs rêves pour des réalités, donc à mentir, en temps de paix, sont tenus de coller au plus près des réalités en temps de guerre pour vaincre.

Les Occidentaux sont marqués par un très fort traumatisme vécu lors des attentats du 11 septembre 2001 et de la prestation du secrétaire d’État états-unien, le général Colin Powell, devant le Conseil de sécurité des Nations unies, le 5 février 2003. Ils ont d’abord tremblé durant les attentats de New York, en voyant les gens qui se jetaient par les fenêtres, puis les tours qui s’effondraient avant de réaliser que les explications qu’on leur donnait ne tenaient pas la route. Une défiance s’est installée entre eux et les dirigeants qui faisaient mine de croire à ces fariboles(([1] L’auteur de cet article, Thierry Meyssan, est l’auteur de L’Effroyable imposture, le livre qui révéla les mensonges du 11-Septembre. [NdlR].)). Puis ils ont cru ce que leur disait un général parce qu’un militaire ne pouvait pas mentir à propos d’une très grave menace sécuritaire. Enfin, ils sont devenus dépressifs lorsqu’ils ont constaté que toute cette mise en scène n’était qu’une excuse pour renverser un gouvernement qui résistait aux USA et s’emparer des richesses pétrolières et financières de son pays. C’est que le discours du général Powell(([2] “Colin Powell Speech at the UN Security Council”, by Colin L. Powell, Voltaire Network.)) avait été écrit par des politiciens civils, les Straussiens de l’Office of Strategic Influence (OSI) comme, honteux, il l’avoua plus tard. Cette confiance mal placée à coûté la vie à plus d’un million de personnes(([3] « Plus d’un million d’Irakiens tués sous l’occupation US », par Dahr Jamail, Michael Schwartz, Joshua Holland, Luke Baker, Maki al-Nazzal, Réseau Voltaire, 9 février 2010.)). Depuis 2003, les Occidentaux n’ont plus confiance dans la parole donnée par leurs dirigeants ; un phénomène un peu moins marqué en France dans la mesure où ce pays fut le seul à contredire publiquement le général Powell.

Au contraire, les Russes font la distinction entre ceux de leurs dirigeants qui tiennent le même discours que les autres et ceux qui défendent l’intérêt collectif. Ils ont d’abord cru, dans les années 2000, au discours occidental et espéré connaître eux aussi la liberté et la prospérité. Mais ils ont vécu un effroyable effondrement tout en observant quelques voyous s’approprier leur richesse collective. Ils se sont alors tournés vers des valeurs sûres : des concitoyens soucieux de l’intérêt général et formés par le KGB. Ils vivent aujourd’hui en espérant être délivrés de ce qui reste de cette période d’égarement : des oligarques installés à l’étranger et une certaine bourgeoisie mondialiste à Moscou et à Saint-Petersbourg. Ils perçoivent les premiers comme des voleurs et se félicitent que leur biens, déjà perdus pour le pays, soient saisis par les Occidentaux. Quant aux seconds, ils savent qu’il n’en existe pas seulement chez eux, mais partout dans le monde globalisé. Ils voient sans regret partir certains d’entre eux. Pour les Russes, le président Poutine et son équipe sont parvenus à résoudre le problème alimentaire et à leur redonner du travail. Ils ont restauré leur armée et les protègent de la résurgence du nazisme. Bien sûr, tout n’est pas rose, mais c’est beaucoup mieux depuis qu’ils sont aux manettes.

Les trente chefs d’Etat et de gouvernement de l’Otan. Ils prétendent décider pour l’humanité.

L’OTAN EST-ELLE LA PLUS GRANDE ALLIANCE MILITAIRE DU MONDE OU UNE MENACE CONTRE LA RUSSIE ?

Pour les Européens de l’Ouest, qui sont nés et ont été élevés dans une région sous protectorat US, l’organisation unipolaire du monde semblait couler de source. N’ayant jamais connu la guerre chez eux depuis une soixantaine d’années (les Français ont oublié les attentats à Paris durant la guerre d’Algérie), ils ne comprennent pas pourquoi le reste du monde ne veut plus de la Pax Americana.

Au contraire, les Russes ont éprouvé une brutale baisse de leur espérance de vie de 20 ans lorsqu’ils ont élu Boris Eltsine et ses conseillers US. En outre, ils ont vécu deux guerres dans leur province de Tchétchénie avec les attentats islamistes qui les accompagnèrent de Beslan à Moscou. Les bandéristes ukrainiens étaient venus prêter main forte aux jihadistes de l’Émirat islamique d’Itchkérie.

Pour les Européens de l’Ouest peu importe que l’Otan ait tenté d’éliminer Charles De Gaulle en France, fait assassiner Aldo Moro en Italie ou organisé le coup d’État des colonels en Grèce(([4] Les Armées Secrètes de l’OTAN, Danielle Ganser, Demi-Lune (2007).)). Ces événements ne sont connus que des spécialistes et ne sont pas enseignés dans les manuels scolaires. L’Otan est la plus grande alliance militaire de l’Histoire et sa taille lui garantit théoriquement la victoire.

Or, l’Otan a refusé l’adhésion de la Russie dans les années 1990. Elle s’est redéfinie non pas comme une force stabilisant le continent, mais comme une organisation anti-Russe, au risque de provoquer la guerre en Europe. Les Occidentaux récrivent l’Histoire en affirmant n’avoir jamais pris la décision de ne pas étendre leur alliance à l’Est. Or, lors de la réunification allemande, le président français François Mitterrand et le chancelier allemand Helmut Köhl firent inscrire dans le Traité portant règlement définitif concernant l’Allemagne (13 octobre 1990) que les quatre puissances vainqueurs du nazisme établiraient des mesures de confiance en matière d’armement et de désarmement pour garantir la paix sur le continent conformément aux principes de l’Acte final d’Helsinki (1er août 1975). Ces principes furent réaffirmés dans les Déclarations d’Istanbul (Charte de sécurité européenne, 19 novembre 1990) et d’Astana (2 décembre 2010). Ils posent :
 le droit de chaque État à conclure les alliances militaires de son choix
 et, comme corolaire, le devoir de chaque État de ne pas prendre de disposition de sécurité menaçant ses voisins.

C’est pourquoi la Russie n’a jamais contesté l’adhésion des États d’Europe centrale et orientale au Traité de l’Atlantique-Nord, mais a toujours dénoncé l’installation de forces états-uniennes sur leur sol. En d’autres termes, elle ne conteste pas l’existence de l’Otan, mais son fonctionnement au sein du Commandement intégré. Soyons précis : aujourd’hui, elle n’a aucune objection à ce que l’Ukraine, la Finlande ou la Suède fassent alliance avec les États-Unis et soient protégées par l’article 5 du Traité de l’Atlantique-Nord, mais refuse que cela implique l’installation de troupes US et d’armes US sur son sol.

Il ne s’agit pas de prévenir des tirs de missiles depuis sa frontière terrestre, car des sous-marins pourraient toujours s’approcher de sa frontière maritime. La préoccupation de Moscou est ailleurs. À la différence de la plupart des États, la Fédération de Russie a une faible population par rapport à l’étendue de son territoire. Elle ne peut donc pas défendre ses frontières. Depuis son invasion par Napoléon en 1812, elle a appris à se protéger en misant sur son immensité : couper l’envahisseur de ses lignes d’approvisionnement et le laisser mourir de froid l’hiver venu. C’est la « stratégie de la terre brûlée » qui conduisit à l’abandon de Moscou et au déplacement de toute sa population vers l’Est. Or, cette stratégie suppose que l’envahisseur ne puisse pas bénéficier de bases arrières dans un pays proche.

Cette stratégie est aussi source de quiproquos. La Russie ne cherche pas à disposer d’une zone d’influence en Europe comme l’avait fait Union soviétique de l’Ukrainien Léonid Brejnev. Elle n’a pas non plus de visée impérialistes comme la Russie tsariste. Elle cherche uniquement à ce qu’aucune grande armée ne s’approche pas d’elle. Une attitude que les Kremlinologues les mieux informés qualifient à tort de « paranoïaque », alors qu’elle est mûrement réfléchie.

Faisant mentir les adeptes du « choc des civilisations », les soldats tchétchènes ont écrasé les nazis ukrainiens au cri d’« Allah Akbar ! »

L’ART OPÉRATIF

Alors que les films de guerre hollywoodiens mettent en scène des initiatives héroïques de quelques hommes faisant basculer le sort d’une bataille, les films de guerre russe ne parlent que de héros qui se sacrifient pour retarder l’avancée ennemie et permettre à la population de se replier. Les Russes n’éprouvent aucune honte à fuir si cela peut éviter un bain de sang.

Cette différence a conduit les militaires slaves à imaginer l’« art opératif », à mi-chemin entre la stratégie et la tactique. Il ne s’agit ni de penser le déploiement des armées, ni la conduite d’une bataille, mais ce qui pourrait être fait pour retarder l’armée ennemie et prévenir la bataille. Les armées occidentales ont elles aussi tenté d’imaginer un « art opératif », mais elles n’y sont pas parvenues parce qu’elles n’en ont aucun besoin.

Au plan militaire, la guerre en Ukraine peut être résumée ainsi : l’objectif, fixé publiquement par le président Vladimir Poutine, était « de désarmer et de dénazifier » l’Ukraine. Sa mise en œuvre par son état-major a d’abord consisté à semer la confusion chez les adversaires, puis à réaliser l’objectif une fois l’armée ukrainienne désorganisée.

L’état-major russe a attaqué par toutes les frontières possibles ; depuis la Crimée, depuis Rostov, depuis Belgorod, depuis Koursk et depuis la Biélorussie. De la sorte, les armées ukrainiennes ne savaient où elles devaient se concentrer. Dans cet apparent désordre, les armées russes ont détruit les défenses aériennes ukrainiennes et foncé sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, dont elles ont récupéré les réserves illégales d’uranium et de plutonium, et sur plusieurs laboratoires militaires où elles ont détruit des containers de virus et autres armes biologiques(([5] « Les programmes militaires secrets ukrainiens », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 31 mai 2022.)). Elles ont détruit les chemins de fer lorsque les Occidentaux se sont proposé d’envoyer des armes sur le front. Puis elles ont combattu le régiment bandériste Azov dans son fief de Marioupol. Enfin, elles nettoient les parties des oblasts de Donetsk et Lougansk qui étaient occupées par les Ukrainiens.

Pendant ce temps, les Occidentaux ont cru que les Russes voulaient prendre Kiev et arrêter le président Volodymyr Zelensky, qui n’ont jamais fait partie de leurs cibles, puis qu’ils allaient occuper l’ensemble du pays, ce qu’ils ne veulent surtout pas. Il y a donc eu méprise sur la Blitzkieg. Les États-Unis croyaient qu’ils devaient prévenir une chute rapide du régime, tandis qu’ils auraient dû défendre les réserves de Zaporijjia. Puis ils ont cru qu’ils devaient protéger Odessa et Lviv, tandis que Marioupol tombait. L’« art opératif » des Russes s’est exercé en atteignant les objectifs annoncés en un temps record tandis que les Occidentaux se félicitaient d’empêcher la prise d’objectifs imaginaires.

Les Occidentaux en général sont tellement nombrilistes qu’ils n’ont pas été capables de penser comme leurs adversaires. Le Pentagone s’est d’autant plus facilement trompé que la plupart des officiers ignoraient le travail des Straussiens : la structuration des bandéristes, leurs liens avec les éléments d’extrême droite de nombreuses armées occidentales (l’ordre secret Centuria (([6] « L’alliance du MI6, de la CIA et des bandéristes », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 avril 2022.))), et leurs programmes secrets d’armement(([7] Ibid. « Les programmes militaires secrets ukrainiens ».)).

Thierry Meyssan





Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité

[Source : anguillesousroche.com]

Dans le passé, si vous osiez suggérer que le monde était contrôlé par des « élites » psychopathes maléfiques, déterminées à asservir la race humaine, vous étiez considéré comme un « théoricien du complot » portant un chapeau en aluminium et on vous disait probablement que vous deviez sortir davantage. Comme les temps changent. Avance rapide jusqu’en 2022 et les élites psychopathes maléfiques n’essaient même pas de prétendre qu’elles ne sont pas déterminées à détruire nos vies.

Par le biais de ses sommets annuels de Davos, le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab tente de légitimer et de normaliser son influence sur le monde en faisant en sorte qu’un panel de leaders mondiaux participent et s’expriment lors de l’événement.

Un rapide coup d’œil à la liste des participants à ces réunions révèle l’incroyable portée et influence de l’organisation. Les plus grands noms des médias, de la politique, des affaires, de la science, de la technologie et de la finance sont représentés au FEM.

Selon les médias grand public, les réunions de Davos rassemblent les grands et les petits pour discuter de questions telles que « l’inégalité, le changement climatique et la coopération internationale ». Cette description simpliste semble faite sur mesure pour provoquer un bâillement d’ennui chez le citoyen moyen. Mais les sujets abordés au FEM sont bien plus profonds et plus sombres que les « inégalités ».

Rapport de Vigilant Citizen : Au fil des ans, les participants au FEM ont tenu des propos très inquiétants, qui n’ont jamais retenu l’attention des médias. En fait, lorsque l’on rassemble les sujets défendus par le FEM, un thème dominant émerge : Le contrôle total de l’humanité en utilisant les médias, la science et la technologie, tout en remodelant les démocraties pour former un gouvernement mondial.

Lorsque l’on parle de « l’élite mondiale », on fait généralement référence à un petit groupe d’individus riches et puissants qui opèrent au-delà des frontières nationales. Par le biais de diverses organisations, ces personnes non élues se réunissent dans le plus grand secret pour décider des politiques qu’elles souhaitent voir appliquées au niveau mondial.

Le Forum économique mondial (FEM) se trouve en plein milieu de tout cela. En effet, par le biais de ses réunions annuelles de Davos, le FEM tente de légitimer et de normaliser son influence sur les nations démocratiques du monde en invitant un panel de leaders mondiaux à participer et à s’exprimer lors de l’événement.

Un simple coup d’œil à la liste des participants à ces réunions révèle l’incroyable portée et influence de l’organisation. Les plus grands noms des médias, de la politique, des affaires, de la science, de la technologie et de la finance sont représentés au FEM.

Page 34 (sur 58) de la liste des participants à la réunion de Davos de 2022. Grands noms, grandes entreprises, grande influence.

Selon les médias, les réunions de Davos rassemblent des personnes pour discuter de questions telles que « l’inégalité, le changement climatique et la coopération internationale ». Cette description simpliste semble faite sur mesure pour provoquer un bâillement d’ennui chez le citoyen moyen. Mais les sujets abordés au FEM vont bien au-delà des « inégalités ».

Au fil des ans, les participants au FEM ont tenu des propos très dérangeants, qui n’ont pas suscité l’attention des médias. En fait, lorsque l’on rassemble les sujets défendus par le FEM, un thème primordial émerge : Le contrôle total de l’humanité en utilisant les médias, la science et la technologie, tout en remodelant les démocraties pour former un gouvernement mondial.

Si cela ressemble à une théorie du complot tirée par les cheveux, continuez à lire. Voici les 10 choses les plus dystopiques qui sont poussées par le FEM en ce moment. Cette liste triée n’est pas dans un ordre particulier. Parce qu’elles sont toutes aussi folles les unes que les autres.

[Voir aussi :
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Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux]

#10 Infiltrer les gouvernements

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Klaus Schwab, le fondateur et le chef du FEM, n’est pas un fan de la démocratie. En fait, il la perçoit comme un obstacle à un monde entièrement globalisé.

Dans le rapport 2010 du FEM intitulé « Global Redesign », Schwab postule qu’un monde globalisé est mieux géré par une « coalition auto-sélectionnée de sociétés multinationales, de gouvernements (y compris par le biais du système des Nations unies) et d’organisations de la société civile (OSC) sélectionnées ». C’est exactement le contraire d’une démocratie.

Il a fait valoir que les gouvernements ne sont plus « les acteurs dominants sur la scène mondiale » et que « le temps est venu d’un nouveau paradigme de gouvernance internationale ». Pour cette raison, le Transnational Institute (TNI) a décrit le FEM comme « un coup d’État mondial silencieux » pour s’emparer de la gouvernance.

En 2017, à la John F. Kennedy School of Government de Harvard, Schwab a admis sans ambages ce qui est continuellement rejeté comme une « théorie du complot » par les médias de masse : Le FEM « infiltre » les gouvernements du monde entier.

Head of the World Economic Forum Klaus Schwab at Harvard’s John F. Kennedy School of Government in 2017:

“What we are very proud of, is that we penetrate the global cabinets of countries with our WEF Young Global Leaders… like Trudeau”pic.twitter.com/D6odR5mqI6

— Maajid أبو عمّار (@MaajidNawaz) January 25, 2022

Schwab a déclaré :

« Je dois dire que lorsque je cite des noms, comme celui de Mme (Angela) Merkel et même celui de Vladimir Poutine, etc., ils ont tous été des jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes très fiers aujourd’hui, c’est de la jeune génération, comme le premier ministre [Justin] Trudeau, le président de l’Argentine, etc.

Nous infiltrons les cabinets. Ainsi, hier, j’étais à une réception pour le Premier ministre Trudeau et je sais que la moitié de son cabinet, ou même plus de la moitié de son cabinet, sont en fait des Young Global Leaders du Forum économique mondial. (…) C’est vrai en Argentine et c’est vrai en France, avec le président – un Young Global Leader. »

Dans cet exposé exceptionnel, Schwab a déclaré sans ambages qu’Angela Merkel d’Allemagne, Vladimir Poutine de Russie, Justin Trudeau du Canada et Emmanuel Macron de France ont été « préparés » par le FEM. Il ajoute même qu’au moins la moitié du cabinet canadien est composée de représentants vendus à l’agenda du FEM. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot. C’est la vérité absolue, confirmée par le chef du FEM lui-même.

#9 Contrôler les esprits à l’aide d’ondes sonores

En 2018, l’un des sujets de discussion du FEM était « Le contrôle des esprits à l’aide d’ondes sonores » (lisez mon article complet à ce sujet ici). Je n’ai pas modifié ce titre pour faire du sensationnalisme, ce sont exactement les mots utilisés par le FEM.

C’est le titre d’un article réel publié sur le site officiel du FEM. Il a été supprimé pour des raisons obscures, mais il est toujours consultable dans les archives du site.

Dans cet article, la technologie est présentée comme un traitement possible des maladies de Parkinson et d’Alzheimer. Toutefois, l’article indique également qu’« elle peut vous guérir, vous rendre dépendant et vous tuer ». Elle peut également être utilisée pour contrôler complètement l’esprit d’une personne, à distance. L’article précise :

« Je vois venir le jour où un scientifique sera capable de contrôler ce qu’une personne voit dans son esprit, en envoyant les bonnes ondes au bon endroit dans son cerveau. Je pense que la plupart des objections seront semblables à celles que nous entendons aujourd’hui à propos des messages subliminaux dans les publicités, mais beaucoup plus véhémentes.

Cette technologie n’est pas sans risque de mauvaise utilisation. Il pourrait s’agir d’une technologie de soins de santé révolutionnaire pour les malades, ou d’un outil de contrôle parfait permettant aux impitoyables de contrôler les faibles. Mais cette fois, le contrôle serait littéral. »

La conclusion de l’article : Personne ne peut empêcher les scientifiques de développer cette technologie. Pour éviter toute utilisation abusive, elle devrait être réglementée par des organisations telles que … le FEM. C’est pratique car certaines entreprises développant cette technologie font partie du FEM. Vous voyez où cela nous mène ?

#8 Des pilules qui contiennent des micro-puces

Une fois de plus, ce titre ressemble à une théorie du complot farfelue, habilement formulée pour faire du sensationnel. Ce n’est pas le cas. Voici une vidéo de la réunion 2018 du FEM où Albert Bourla, le PDG de Pfizer, parle de pilules contenant des micropuces.

https://www.youtube.com/embed/1NR1b2NmD4A

Bourla a dit :

« La FDA a approuvé la première ‘pilule électronique’, si je peux l’appeler ainsi. Il s’agit essentiellement d’une puce biologique qui se trouve dans le comprimé et, une fois que vous avez pris le comprimé et qu’il s’est dissous dans votre estomac, elle envoie un signal indiquant que vous avez pris le comprimé. Imaginez donc les applications de ce système, la conformité. Les compagnies d’assurance sauraient que les médicaments que les patients doivent prendre, ils les prennent effectivement. C’est fascinant ce qui se passe dans ce domaine. »

Ce domaine est-il vraiment fascinant ? Ou tout à fait dystopique ? Comme l’a dit Bourla lui-même : Imaginez la conformité. Ce type de technologie pourrait facilement ouvrir la porte à toutes sortes d’applications néfastes. Depuis lors, COVID a placé Pfizer dans une position de pouvoir jamais vue pour une entreprise pharmaceutique.

Tout comme Pfizer, le FEM utilise le COVID pour faire avancer son agenda.

#7 Faire l’éloge des confinements brutaux

En 2020 et 2021, des villes du monde entier ont été soumises à des confinements massifs et drastiques, provoquant des pertes d’emplois, des suicides, des overdoses de drogues, l’isolement, des problèmes de santé mentale, des violences domestiques, des faillites et des sans-abris. Pendant cette période horrible, les enfants n’ont pas pu aller à l’école pendant des mois et n’ont pas pu interagir avec d’autres enfants. Un grand nombre de petites et moyennes entreprises ont été détruites alors que les grandes sociétés se démenaient.

Malgré tout cela, le FEM n’a pas pu cacher son amour pour les fermetures drastiques et destructrices de vies. En fait, il a publié une vidéo intitulée de façon surréaliste « Les confinements améliorent tranquillement les villes du monde entier ». Voici ce morceau de folie totale.

https://www.youtube.com/embed/fb6U8xkn8jM

La vidéo indique que « Les confinements ont considérablement réduit l’activité humaine … conduisant à la période la plus calme de la Terre depuis des décennies », tout en montrant des images dystopiques de villes vides et d’avions bloqués au sol.

Ignorant complètement l’immense souffrance humaine causée par ces confinements, le FEM a considéré que tout cela en valait la peine car « les émissions de carbone ont diminué de 7% en 2020 ».

Lorsque cette vidéo a été publiée pour la première fois, elle a suscité de vives réactions. Le FEM a donc supprimé la vidéo ci-dessus et posté ce tweet.

Comme vous pouvez le voir, malgré la suppression de la vidéo, le FEM a continué à faire l’éloge des confinements. C’est parce que le FEM aimerait voir la vie « covidienne » devenir permanente.

#6 « Jetez un coup d’œil à l’avenir »

À en juger par les commentaires sur YouTube et les médias sociaux, les gens détestent absolument les vidéos créées par le FEM. Mais ils continuent à venir. Parce qu’ils ne se soucient pas de ce que vous pensez. Ils veulent juste planter leur graine d’insanité dans votre esprit. Dans une vidéo intitulée « How our lives could soon look » (lisez mon article complet à ce sujet ici), le FEM invite les spectateurs à « jeter un coup d’œil au futur ». Et il est BRUTAL. Il s’agit de rendre la vie du COVID permanente.

La vidéo est remplie de personnes masquées, de distributeurs de gel et de QR codes. C’est le futur qu’ils veulent. Ensuite, il y a cette pépite de folie.

Non. Allez-vous en.

La vidéo dit fièrement :

« La NASA a inventé un système qui peut vous identifier à partir des battements de votre cœur en utilisant un laser. »

Comme si cela ne suffisait pas, la vidéo montre des enfants coincés à la maison et scolarisés à travers des écrans. La vidéo se termine en montrant des personnes portant des masques à l’extérieur, comme des fous.

AUCUN. Allez-vous en.

#5 Pousser à une Grande Réinitialisation

Comme indiqué ci-dessus, le FEM perçoit la pandémie comme une « opportunité ». Il ne s’agit pas seulement d’une opportunité de remodeler notre existence personnelle mais de restructurer la structure mondiale entière selon ses principes. Le FEM l’appelle « la Grande Réinitialisation ». Pour promouvoir cette réinitialisation (dont absolument personne ne veut), le FEM a publié une vidéo de propagande (elle correspond vraiment à la définition de « propagande »). La voici dans toute sa folie.

https://www.youtube.com/embed/uPYx12xJFUQ

Cette courte vidéo parvient à contenir une quantité incroyable de messages subversifs. Elle ridiculise même les « théories du complot » tout en les confirmant, de manière stupéfiante.

Une capture d’écran de la vidéo. Vous êtes sérieux ?

La vidéo annonce également la « mort du capitalisme ».

Une autre capture d’écran surréaliste de la vidéo.

Alors que le capitalisme est basé sur un système d’autorégulation de l’offre et de la demande, le Great Reset cherche à redéfinir la manière dont les entreprises sont évaluées à travers de nouveaux paramètres. Le principal d’entre eux : La conformité avec les agendas sociaux et politiques de l’élite.

Vers la fin, le narrateur prononce cette phrase énigmatique :

« Et il s’agit de mettre les bonnes personnes au bon endroit au bon moment. »

Bien que la vidéo n’explique pas vraiment ce que cette phrase signifie dans des situations réelles, ses implications sont plutôt effrayantes. Au lieu de permettre aux individus et aux entreprises qui réussissent de se développer organiquement, le système de l’élite s’ingénierait à « mettre les bonnes personnes au bon endroit au bon moment », conformément à son programme. En d’autres termes, le système serait truqué et la conformité à un agenda plus large serait obligatoire dans une nouvelle économie.

La vidéo se termine par un appel aux téléspectateurs à s’impliquer. Cependant, bien sûr, vous n’êtes pas réellement invité au FEM. En fait, ils cherchent à « recalibrer » votre liberté d’expression.

#4 « Recalibrer » la liberté d’expression

Un moyen facile d’identifier les leaders mondiaux qui sont préparés par le FEM est de les voir s’élever sans cesse contre la liberté d’expression. Ils la détestent absolument et demandent constamment qu’Internet soit censuré et fortement réglementé. Lors de la réunion de Davos en 2022, la « commissaire à l’e-sécurité » australienne Julie Inman Grant a déclaré que nous avions besoin d’un « recalibrage de la liberté d’expression ».

Grant a déclaré :

« Nous nous trouvons dans une situation où la polarisation augmente partout et où tout semble binaire alors que ce n’est pas nécessaire. Je pense donc que nous allons devoir réfléchir à un recalibrage de toute une série de droits de l’homme qui se jouent en ligne. Vous savez, de la liberté d’expression à la liberté d’être libre de la violence en ligne. »

Ici, Grant appelle essentiellement à la censure. Elle croit même que la liberté d’expression en tant que droit de l’homme devrait être « recalibrée » en utilisant la « violence en ligne » comme excuse. La « violence en ligne » n’existe pas. Ils adorent assimiler la parole à la violence. C’est une façon extrêmement manipulatrice de justifier la censure à la chinoise.

La liberté d’expression est, en fait, binaire. Soit elle existe, soit elle n’existe pas. Et ils ne veulent clairement pas qu’elle existe.

#3 Le suivi de vos vêtements

Le FEM veut contrôler vos vêtements. Et ils ont fait une vidéo à ce sujet. Ai-je mentionné que les gens détestent absolument les vidéos du FEM ? En voici une autre qui a fait bouillir le sang des gens.

https://www.youtube.com/embed/h8SWY6_b67A

Utilisant l’environnement comme excuse (comme d’habitude), le FEM a annoncé l’arrivée de vêtements dotés de « passeports numériques » pouvant être tracés à tout moment. Soutenus par Microsoft (bien sûr), ces vêtements vont apparemment inonder le marché d’ici 2025.

Ils veulent vraiment des puces RFID et des QR codes partout.

Selon le FEM, ces puces permettront aux marques de mode de revendre leurs vêtements. Je n’ai aucune idée de comment cela pourrait fonctionner. La vidéo s’assure de ne PAS mentionner que cette technologie serait un excellent moyen de suivre ceux qui ont abandonné leurs smartphones.

Mais se débarrasser de son smartphone pourrait devenir… impossible.

#2 « Les smartphones seront dans votre corps d’ici 2030 »

Lors de la réunion de Davos 2022, la PDG de Nokia, Pekka Lundmark, a affirmé que, d’ici 2030, « les smartphones seront implantés directement dans le corps ». Cela coïnciderait avec l’arrivée de la technologie 6G, qui devrait être lancée à la fin de la décennie.

https://www.youtube.com/embed/LJpBJAHqY0M

Depuis des années, ce site documente la poussée incessante de l’élite vers le transhumanisme, qui consiste à fusionner les humains avec les machines. Ils cherchent à accélérer cette transition en rendant les choses dont les gens ne peuvent se passer (comme les smartphones) disponibles sous une forme transhumaniste.

Avez-vous remarqué leur empressement effrayant à insérer des objets dans nos corps ?

#1 « Vous ne posséderez rien. Et vous serez heureux. »

C’est probablement le moment le plus dystopique de l’histoire du FEM. En 2016, Ida Auken, membre du Parlement danois, a déclaré :

« Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n’ai aucune vie privée, et la vie n’a jamais été aussi belle. »

Le FEM a tellement aimé cette citation qu’il l’a reprise sur Twitter.

Le FEM a également créé une vidéo (que tout le monde a absolument détestée) intitulée « 8 prédictions pour le monde en 2030 ». Voici une capture d’écran.

Le FEM adore formuler ses « prédictions » sous une forme inconditionnelle, comme si elles étaient inévitables. Mais regardez ce type souriant. Il est clairement heureux. Merci au FEM !

Un article sur le site du FEM explique :

« Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil électroménager ni aucun vêtement », écrit la députée danoise Ida Auken. Le shopping est un lointain souvenir dans la ville de 2030, dont les habitants ont craqué l’énergie propre et empruntent ce dont ils ont besoin à la demande. Tout cela semble utopique, jusqu’à ce qu’elle mentionne que le moindre de ses mouvements est suivi et qu’à l’extérieur de la ville vivent des nuées de mécontents, vision ultime d’une société coupée en deux.

Dans ce futur dystopique, il n’y a pas de produits que l’on peut posséder. Seulement des « services » qui sont loués et livrés par des drones. Ce système rendrait tous les humains complètement dépendants des entreprises contrôlées par le FEM pour chaque besoin fondamental. Il n’y aurait absolument aucune autonomie, aucune liberté, et aucune vie privée. Et vous serez heureux.

Mention honorable : Suivi individuel de l’empreinte carbone

Lors de la réunion de Davos 2022, le président d’Alibaba Group, J. Michael Evans, a annoncé le développement d’un « tracker individuel de carbone ».

Une fois de plus, le FEM utilise l’environnement pour promouvoir la micro-gestion du comportement humain. Evans affirme que le tracker peut surveiller « où ils voyagent, comment ils voyagent, ce qu’ils mangent et ce qu’ils consomment sur la plateforme ».

Notez qu’il a utilisé le pronom « ils » et non « nous » parce qu’il n’y a aucune chance qu’il utilise cette chose. Moi non plus.

En conclusion

En examinant cette liste, deux thèmes communs deviennent évidents. Le premier thème est « l’infiltration ». Le FEM veut infiltrer les gouvernements en utilisant les « Global Leaders » (alias les candidats mandchous). Il veut également infiltrer nos corps par le biais de pilules, de micropuces et de vaccins. Il veut aussi infiltrer nos esprits en utilisant les ondes sonores, la censure et la propagande.

L’autre thème est le « contrôle ». Ils veulent contrôler ce que nous pensons, où nous allons, ce que nous disons, ce que nous mangeons et ce que nous portons.

Savez-vous qui est d’accord avec le FEM ? La Chine. La censure est répandue, un système de crédit social contrôle les comportements des gens et le COVID est toujours utilisé comme excuse pour des confinements massifs et un contrôle total de la population. Sans parler des camps de concentration au sens propre. Malgré tout cela, les officiels chinois sont constamment présents aux réunions du FEM. Pourquoi ? Parce que la Chine est en fait un laboratoire pour les politiques du FEM.

Tout cela étant dit, comment pouvons-nous contrer la folie du FEM ? Comment pouvons-nous les chasser s’ils n’ont jamais été élus ? Une première étape serait d’élire – à tous les niveaux du gouvernement – des représentants qui ne veulent rien avoir à faire avec le FEM. Si nos élus traitaient le FEM comme l’organisation illégitime et voyou qu’il est, son influence serait grandement réduite.

Deuxièmement, nous pouvons boycotter toutes les entreprises qui font partie du FEM. Je réalise que c’est plus facile à dire qu’à faire car beaucoup de ces entreprises sont des monopoles virtuels. Cependant, si nous cessons de leur donner notre argent, elles cesseront d’utiliser notre argent pour empoisonner nos vies.

Alors, elles ne posséderont plus rien. Et nous serons tous heureux.




François, est-il le pape du Great Reset ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Sur l’ordre du Vatican, l’archevêque de Marseille, le cardinal Aveline, a ordonné la suspension des ordinations cette année dans le diocèse de Fréjus-Toulon, celui de Mgr Rey. François vient juste de « sortir » Mgr Aupetit du diocèse de Paris, un défenseur des valeurs chrétiennes et de la vie (questions de bioéthique). Mgr Rey est sur la sellette parce qu’il a de nombreuses vocations dans les communautés dites traditionnelles. Qui sera le prochain en France ? Mgr Aillet qui a des doutes sur le bien-fondé de la vaccination contre Covid ? Bergoglio serait-il celui qui est entré dans la bergerie pour décimer le troupeau ?

[NDLR : si l’on considère que Bergoglio étant Jésuite ne peut être pape, alors il n’est qu’un antipape.]

Quel lien y a-t-il entre François et un Benoit XVI, un Jean Paul II ou un autre pape du XXe siècle ? Seulement un vêtement blanc ? Bergoglio démolit sans nul doute l’Église pierre après pierre et dans ce qui pourrait s’apparenter à un mutisme, particulièrement au sein de l’Église. Le Catéchisme de l’Église Catholique indique dans son article 882 que « le Pape, évêque de Rome et successeur de S. Pierre est principe perpétuel et visible et fondement de l’unité qui lie entre eux soit les évêques, soit la multitude des fidèles. En effet, le Pontife romain a sur l’Église, en vertu de sa charge de vicaire du Christ et de Pasteur de toute l’Église, un pouvoir plénier, suprême et universel qu’il peut toujours librement exercer ». Autrement dit, il détient tous les pouvoirs. Le Pape a de grandes responsabilités, l’Église enseigne qu’il est conduit par l’Esprit Saint et il aura des comptes à rendre, du moins à Dieu si ce n’est aux hommes.

Comment François empêche la création de prêtres au dernier moment

L’Église, sécularisée, est en train de mourir peu à peu faute de vocations. En France, en 2014, il y avait 5800 prêtres actifs, ils étaient encore 3000 prêtres actifs en 2020 et Louis Benoit Greffe indiquait en 2017 que les « tradis » deviendront incontournables pour sauver l’Église ». Un constat évident, car les vocations se développent essentiellement — pour ne pas dire presque uniquement — au sein des communautés catholiques traditionnelles. François s’est clairement et explicitement opposé à la pratique de ces communautés sur le rite traditionnel — pourtant « redoré » par son prédécesseur Benoit XVI — en décrétant le motus proprio Traditionis custodes. Aujourd’hui, il bloque la création de prêtres et participe à la déchristianisation de la France. On s’attendrait plutôt à ce que cette action soit celle d’un antipape, pas celle du pape. C’est un coup bas, car cette information oblige l’évêché de Toulon à surseoir à ses ordinations de prêtres et de diacres qui devait avoir lieu le 29 juin 2022. La justification selon l’archevêque de Marseille : « plusieurs points posent question dans la formation et le discernement des candidats du séminaire de la Castille ». Par là il faut entendre un prétexte dont le flou artistique n’échappe à personne, digne de l’administration française dont l’Église institutionnelle de France s’est dangereusement rapprochée pour ne sembler plus faire qu’un avec elle. Le schisme de l’Église Universelle n’est plus très loin et Bergoglio y travaille avec acharnement.

Sa méthode consiste à changer les responsables de grandes institutions catholiques pour y placer des progressistes — comme à l’académie pour la Vie en 2017 ou encore à l’Institut Jean Paul 2 qu’il a ainsi purgé de sa substantifique moelle. Bien sûr, le Vatican se défend de toutes les critiques. L’ordre de Malte a également subi le contrôle interposé de François comme s’il s’agissait d’une organisation décadente. Il y en a d’autres encore…

Pourquoi empêcher les vocations sacerdotales en France et laisser faire une Église allemande qui préconise le mariage des prêtres ? Mais parce que François déconstruit l’Église, y compris les dogmes qui ont 2000 ans (l’enfer est évoqué notamment dans le livre de l’Apocalypse) : « L’enfer n’existe pas, ce qui existe c’est la disparition des âmes pécheresses » avait-il déclaré à la Republica en 2017.

Le pape, 1er défenseur des injections Covid, et ses liens avec les acteurs du Great Reset

Edouard Husson avait évoqué le rapprochement du Vatican avec les forces du Great Reset : « l’Église semble devenir aujourd’hui un fervent supporteur des pouvoirs en place et du nouvel ordre mondial ».

« Le Pape François a rencontré deux fois secrètement le PDG de Pfizer, Albert Bourla, en 2021, avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican : telle est l’information explosive recueillie auprès de sources internes par le National Catholic Register, un média américain d’information catholique. On appréciera à sa juste mesure le fait que le pape qui a pris le nom de Saint François d’Assise, apôtre de la pauvreté, pousse jusqu’à fréquenter le PDG d’une entreprise qui a gagné des milliards durant la pandémie. Et même, qu’il se soit fait lobbyiste de l’industrie vaccinale en expliquant que la vaccination contre le COVID était en acte d’amour ». Les liens du Vatican avec la fondation Gates et l’association de cet autre milliardaire mondialiste, Soros, ont aussi été rapportés.

François, toujours prompt à défendre la vaccination contre Covid sans autre argument qu’une charité sans vérité, est coresponsable de la vaccination de millions de catholiques incluant les enfants. Ces vaccins, à ARNm ou à adénovirus, détruisent le système immunitaire, perturbent le système endocrinien et affectent le système neurologique et circulatoire. Les 17 000 scientifiques qui l’affirment ne semblent pas faire bouger ce pape arrimé au Great Reset.

Le pape prépare-t-il une religion mondiale… sans le Christ ?

Beaucoup de catholiques se demandent si le pape prépare la religion mondiale syncrétique et antichrétienne portée par le Great Reset et les Nations unies. L’adhésion du pape aux objectifs durables pour le développement (ODD) — ni Jean Paul II ni Benoit XVI n’avait adhéré aux Objectifs mondiaux du développement, précurseurs des ODD, mais les dénonçaient comme un mode de gouvernance mondiale — est une adhésion à l’agenda 2030. Ce dernier impose un programme mondial — les ODD — et donc une gouvernance mondiale pilotée par les Nations Unies. Cette instance privée est contrôlée et financée par les mêmes riches philanthropes du Forum Économique Mondial (Forum de Davos). Le transfert de souveraineté des États au système des Nations Unies s’est déroulé devant nos yeux de manière accélérée ces 2 dernières années avec la crise du Covid. L’OMS est en passe de devenir un organe de contrôle mondial, une société-écran donnant tous les pouvoirs à ceux qui la financent.

Le 8 juillet 2021, le Vatican a annoncé que le pape François a nommé le cardinal Jean-Claude Hollerich, S.J. comme rapporteur général du prochain synode des évêques de 2023 sur la synodalité. L’archevêque de Luxembourg est connu pour soutenir l’idée d’ordonner des hommes mariés comme prêtres et pour être ouvert à l’idée de « femmes prêtres ».

 Le pape devrait permettre le mariage des prêtres, l’ordination des femmes, et accueillir l’homosexualité en conformité avec les directives des Objectifs durables de développement (ODD) qui promeuvent l’homosexualité dans tous les pays membres à travers leur programme sur le genre.

Bergolgio va tout permettre pour se faire aimer et ensuite pour se faire adorer par ses adeptes dans une nouvelle religion syncrétique et naturaliste. Il a déjà commencé à le faire dans une grande indifférence de la communauté catholique, prisonnière du principe d’un respect justifié, mais exagéré du Pape. Nous avons déjà consacré un article à l’instauration par le Pape d’une nouvelle religion hérétique mondiale dont voici un extrait :

Dans un texte intitulé « document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune », signée à l’initiative de ce projet (« Maison d’Abraham » à Abu Dhabi) en 2019 par le pape et L’Imam d’Al-Azhar Ahmad Al-Tayyeb, le pape nous indique qu’« Au nom de Dieu et de tout cela, Al-Azhar al-Sharif — avec les musulmans d’Orient et d’Occident — conjointement avec l’Église catholique — avec les catholiques d’Orient et d’Occident — déclarent adopter la culture du dialogue comme chemin ; la collaboration commune comme conduite ; la connaissance réciproque comme méthode et critère ». Mais dans quel but ? La définition d’une néo-religion commune ? Ce vieux rêve des Nations Unies, qui s’y prépare depuis des décennies, car les divisions religieuses et culturelles ralentissent l’instauration d’un gouvernement mondial dont elles sont à la fois le moteur et la vitrine, n’aboutit pas. Il est intéressant de constater que le document signé par François pour la paix mondiale et la coexistence commune renvoie à une statue nouvellement inaugurée devant le siège des Nations Unies à New York, représentant la bête de l’Apocalypse et intitulée sans vergogne « gardien de la paix et de la sécurité internationale ».

L’Organisation des religions unies (ORU) a pour but de faire collaborer les religions aux grandes institutions internationales. Elle existe depuis de nombreuses années et ce programme pour une religion unique mondiale n’a qu’un seul objectif : faire tomber les barrières religieuses pour unifier le monde nouveau et instaurer une gouvernance mondiale au détriment du respect des souverainetés et des peuples. Les Nations Unies sont tenues par les sociétés secrètes qui les financent, mais aussi les contrôlent depuis leur création après la Seconde Guerre mondiale. Cette domination s’instaure tout en simulant des valeurs positives et de tolérance ».

François, un pape franc-maçon ?

Invité le 27 novembre 2017 par le journaliste Roberto Garcia dans une émission télévisée argentine sur la chaîne 26, l’ancien secrétaire des renseignements argentins du Vatican, Juan Bautista Yofre a dévoilé l’appartenance maçonnique de Jorge Mario Bergoglio ainsi que la sienne. Yofre a précisé que cette information avait déjà été révélée par le journal La Nacion. Cette information reste invérifiable, mais la déclaration télévisée est bien réelle, elle commence à partir de la 28e minute de la vidéo.

À la sortie de Fratelli Tutti, encyclique de François sur la fraternité, les francs-maçons de Rome (et d’ailleurs aussi) ont salué cette encyclique pleine de références maçonniques et déclarent que « c’est leur grande mission et leur rêve ». Il faut le lire pour le croire, mais les références maçonniques ne manquent pas dans cette encyclique par ailleurs pauvre en références bibliques.

Quoiqu’il en soit le schisme dans l’Église n’est plus très loin et la question délicate qui va se poser aux catholiques est de savoir s’ils doivent suivre le Christ ou le Pape. En posant la question différemment — faut-il suivre le Christ ou « l’antipape ? » — la réponse devrait alors être plus aisée.

Benoit XVI : Une espérance prophétique

En 1982, Joseph Ratzinger (Benoit XVI) avait prophétisé la nouvelle religion mondiale qui arrive :

« Durant le siècle prochain, il y aura une institution, qui ne sera plus catholique, mais qui gardera l’apparence du catholicisme sans la foi. L’institution héritera de tous les biens de l’Église, les chapelles, les églises, les cathédrales, les œuvres d’art, tout, elle sera riche et puissante, mais aura perdu la foi. À côté de cela, il y aura un petit reste fidèle au catéchisme, ce seront les vrais catholiques, non pas pour une raison de rite, mais de foi, et cela sera insupportable pour l’institution ».

D’autres propos similaires, datés de 1969, étaient aussi prophétiques.

Le petit reste — il s’agit donc d’une minorité — doit donc se préparer à résister, car les portes de l’enfer ne prévaudront pas sur l’Église (Mat 16, 18).




L’agenda de la réunion du Groupe Bilderberg 2022 : Désinformation, démondialisation et perturbation du système financier mondial

[Source : aubedigitale.com]

[Illustration : source ici]

Chaque année, les dirigeants d’entreprise, les banquiers, les responsables des médias, les universitaires et les politiciens les plus riches et les plus puissants du monde se réunissent à huis clos pour discuter de la manière de façonner le monde tout en perpétuant un statu quo qui a été très bénéfique pour une poignée de personnes. Nous parlons, bien sûr, de la réunion annuelle, et toujours très secrète, du Groupe Bilderberg.

La 68e réunion Bilderberg est déjà en cours à Washington, D.C., et a débuté jeudi pour se poursuivre jusqu’à dimanche.

Albert Bourla, PDG de Pfizer, Eric Schmidt, ancien PDG de Google, Henry Kissinger et William J. Burns, directeur de la CIA, figurent parmi les 120 invités (cliquez ici pour la liste complète) de cette année, originaires de 21 pays… mais rares sont les Russes.

Le Groupe Bilderberg est fier d’appliquer la règle de Chatham House, selon laquelle les participants sont libres d’utiliser toutes les précieuses informations qu’ils souhaitent, car ceux qui assistent à ces réunions sont tenus de ne pas divulguer la source d’une quelconque information sensible ni ce qui a été dit exactement. Cette règle contribue à garantir le secret légendaire du groupe Bilderberg, à l’origine d’une myriade de théories du complot. Mais, comme le fait remarquer Pepe Escobarcela ne signifie pas que le secret le plus étrange ne sera pas révélé.

Selon le groupe, voici la liste des sujets qui seront abordés :

  1. Les réalignements géopolitiques
  2. Les défis de l’OTAN
  3. La Chine
  4. Le réalignement indo-pacifique
  5. La compétition technologique sino-américaine
  6. La Russie
  7. La continuité du gouvernement et de l’économie
  8. La perturbation du système financier mondial
  9. La désinformation
  10. La sécurité énergétique et le développement durable
  11. La santé post-pandémique
  12. La fragmentation des sociétés démocratiques
  13. Le commerce et la démondialisation
  14. L’Ukraine

Comme on peut le constater, les membres (deux tiers des participants sont originaires d’Europe et le reste d’Amérique du Nord) discuteront (comploteront ?) des moyens de gérer l’émergence d’un monde bipolaire. L’ordre du jour semble également s’éloigner de la liberté puisque le groupe discutera de plans pour combattre la « désinformation », c’est-à-dire le fait que les élites réduisent au silence leurs opposants.

Le thème principal du week-end sera « Les réalignements géopolitiques » suite à l’invasion russe en Ukraine. Le deuxième est « Les défis de l’OTAN » et la manière dont les membres européens vont probablement dissuader l’agression russe. Et le troisième est la Chine, alors que Pékin menace d’envahir Taïwan.

En fin de compte, les décisions prises ne verront jamais la lumière du jour, mais elles deviendront des politiques officielles au service de l’élite des Bilderberg. Et si l’histoire est un indicateur, cela ne fera qu’empirer la situation mondiale actuelle.

« Si le groupe Bilderberg n’est pas une conspiration quelconque, il est dirigé de manière à en donner une imitation remarquablement bonne ».

– C. Gordon Tether, un écrivain du Financial Times, a déclaré en mai 1975.

Et voici comment le groupe Bilderberg contrôle le monde.

En attendant…

Le PDG de Pfizer, le chef de la CIA, le directeur du NSC, le vice-président de Facebook, le roi de Hollande et le secrétaire général de l’OTAN se réunissent en ce moment même à huis clos à Washington.

Cela s’appelle le Groupe Bilderberg, et pas un seul grand média n’en a fait état.

Comme ce groupe d’élites se réunit régulièrement depuis des décennies, nous sommes sûrs que les événements de ces dernières années n’ont rien à voir avec eux.

Enfin, nous notons la conviction d’Alastair Crooke que le début de la fin de la vision Bilderberg/Soros est en vue.

Le Vieil Ordre tiendra bon, même jusqu’au bout de ses ongles. La vision du Groupe Bilderberg est la notion d’un cosmopolitisme multiculturel et international qui surpasse le nationalisme d’antan, annonçant la fin des frontières et menant à une gouvernance économique et politique mondiale « technocratique » dirigée par les États-Unis.

Ses origines remontent à des personnalités telles que James Burnham, un anti-stalinien, ancien trotskiste, qui, dès 1941, a plaidé pour que les leviers du pouvoir financier et économique soient placés entre les mains d’une classe dirigeante : une élite – qui seule serait capable de diriger l’État contemporain – grâce à son savoir-faire technique en matière de marché et de finance. Il s’agit, en clair, d’un appel à une oligarchie experte et technocratique.

Burnham a renoncé à son allégeance à Trotsky et au marxisme, sous toutes ses formes, en 1940, mais il a emporté avec lui les tactiques et les stratégies d’infiltration et de subversion (apprises en tant que membre du cercle intime de Léon Trotsky), et a élevé la gestion trotskiste de la « politique identitaire » au rang de « dispositif » de fragmentation prêt à faire exploser la culture nationale sur une nouvelle scène, dans la sphère occidentale. Son livre de 1941, « The Managerial Revolution », a attiré l’attention de Frank Wisner, devenu par la suite une figure légendaire de la CIA, qui a vu dans les travaux de Burnham et de son collègue trotskyste, Sidney Hook, la perspective de forger une alliance efficace d’anciens trotskistes contre le stalinisme.

Mais, en outre, Wisner a perçu ses mérites comme le plan d’un ordre mondial pseudo-libéral, dirigé par la CIA et les États-Unis. (« Pseudo », parce que, comme Burnham l’a clairement exprimé, dans The Machiavellians, Defenders of Freedom, sa version de la liberté signifiait tout sauf la liberté intellectuelle ou les libertés définies par la Constitution américaine. « Ce que cela signifiait vraiment, c’était la conformité et la soumission »).

En bref, (comme l’ont noté Paul Fitzgerald et Elizabeth Gould), « en 1947, la transformation de James Burnham de radical communiste à conservateur américain du Nouvel Ordre Mondial était complète. Son Struggle for the World [converti en un mémo pour l’Office of Strategic Services (OSS, l’ancêtre de la CIA)], avait fait un « tour Français » sur la révolution communiste permanente de Trotsky, et l’avait transformée en un plan de bataille permanent pour un empire américain mondial. Tout ce qui était nécessaire pour compléter la dialectique de Burnham était un ennemi permanent, et cela nécessiterait une campagne psychologique sophistiquée pour maintenir la haine de la Russie vivante, « pour des générations ».

Pourtant, comme Charlie Skelton l’a écrit précédemment, la plus grande question éthique à laquelle est confronté le sommet n’est pas de savoir s’il faut exploiter la folie de la guerre à des fins lucratives. Bombarder et reconstruire des pays, des missiles et de la dette, c’est très bien : c’est ainsi que fonctionne le néolibéralisme. Ce qui est plus difficile à justifier, dans un cadre démocratique, c’est le processus pratique par lequel les conflits sont débattus, à huis clos, par des décideurs politiques de haut rang, de concert avec des industriels milliardaires et des profiteurs du secteur privé. Le premier ministre des Pays-Bas discute des points chauds mondiaux dans une luxueuse intimité avec le PDG de Royal Dutch Shell et le président de Goldman Sachs International. C’est optique horrible horrible.




Pierre Hillard à la journaliste Ying Huang : « Le mondialisme est d’essence satanique »

[Source : NTD Français]

Pierre Hillard, essayiste & docteur en science politique est l’invité de Ying Huang.

« Le mondialisme c’est une pensée finalement d’essence satanique mais avec des guerres internes donc cela ne peut que finir en catastrophe. Le communisme c’est la version parachevée du mondialisme. Le mondialisme c’est quelque chose de profondément satanique de destruction du genre humain, de son abaissement moral, un collectivisme, un traçage dans tous les domaines, enfin un esclavage via l’intelligence artificielle, via le numérique. »




Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030

[Source : medias-presse.info]

Extrait des propos tenus lors de l’une des tables-rondes du Forum économique mondial de Davos, cuvée 2022. Avant la mise en place de la 6G, ces apprentis sorciers rêvent d’intégrer diverses nouvelles technologies directement dans notre corps, rendant le smartphone obsolète.



[Voir aussi :
Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Tous surhumains demain?
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]




Rand Paul : « Les élitistes veulent un gouvernement mondial unique ; ce n’est pas une théorie du complot »

[Source : anguillesousroche.com]

« C’est dans leur déclaration de mission ; C’est le pire cauchemar de tout le monde. »

Le sénateur Rand Paul est apparu sur Fox News jeudi et a discuté de la réunion du Forum économique mondial à Davos, en Suisse. Il a fait remarquer que ce n’est pas une théorie du complot que de suggérer que l’organisation cherche à instaurer un gouvernement mondial unique, mais que cela figure « dans leur déclaration de mission ».

Paul a insisté sur le fait que :

« le vrai danger ici, qui est encore plus dangereux que tous leurs soucis bidons concernant l’empreinte carbone, le vrai danger est le suivant : regardez à quel point votre gouvernement est mauvais dans un pays où vous pouvez voter pour ces gens ».

« Ce serait un gouvernement, un gouvernement mondial où vous n’avez pas le droit de voter pour qui que ce soit. C’est le pire cauchemar de tout le monde », a affirmé Paul, faisant référence à « l’infiltration » du FEM, pour citer son chef Klaus Schwab, dans les gouvernements nationaux.

« Pouvez-vous imaginer la bureaucratie d’un seul monde de tous ces élitistes et leurs jets privés qui dirigeraient notre pays et nous ne pourrions pas voter ? » a déclaré Paul.

Le sénateur a poursuivi : 

« Je suis donc résolument contre cela et ils avaient l’habitude d’appeler les gens qui parlaient d’un gouvernement mondial unique et de dire que c’était une conspiration. Nous disions toujours non, c’est dans leur déclaration de mission. »

« Ils le disent à chaque réunion. C’est pour ça qu’ils sont », a proclamé Paul, ajoutant que « le manque de souveraineté signifie le manque de liberté, il signifie le manque de réactivité et c’est complètement antithétique à tout ce que notre pays représente ».

Regardez :

https://www.youtube.com/embed/W70zjwnBiAg

[Voir aussi :
De l’État profond au gouvernement mondial
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Vera Sharav : « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis »
Comment le G20 instaure progressivement un nouvel ordre politique mondial
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen]




Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial

[Source : medias-presse.info]

Dans les prochains jours, les États adhérents à l’Organisation Mondiale de la Santé voteront les résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS, avec lesquelles la souveraineté regardant la santé des citoyens est transférée à un organisme supranational, financé en grande partie par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. Si ces résolutions sont approuvées à la majorité, l’OMS aura le pouvoir d’imposer exclusivement toutes les règles en cas de pandémie, y compris les quarantaines, les confinements, les vaccinations obligatoires et les passeports de vaccination. Il convient également de garder à l’esprit que cette organisation jouit de l’immunité et que ses membres ne peuvent être jugés ou condamnés en cas de crimes. Des technocrates non élus auront paradoxalement plus de pouvoir que les citoyens n’accordent à leurs représentants par un vote démocratique.

Etant donné que le transfert de souveraineté configure un crime de haute trahison dans toutes les législations nationales, et que les Parlements ne peuvent légiférer contre les intérêts de la Nation, encore moins violer les libertés naturelles et les droits fondamentaux de leurs citoyens, je crois qu’il n’échappe à personne que cette tentative de l’OMS de s’approprier un pouvoir qui appartient à chaque État sert à empêcher toute forme d’opposition à l’Agenda 2030, qui dans le secteur de la santé vise aussi substantiellement la réduction drastique des services médicaux et hospitaliers, la privatisation des systèmes de santé et la prévention des maladies par les vaccins.

La psychopandémie a montré l’asservissement des dirigeants, des politiques, des médias, des magistrats, de toute la classe médicale et du Saint-Siège lui-même aux diktats d’un groupe de fonctionnaires d’un organe supranational en conflit d’intérêts évident. Les désastreux effets indésirables du sérum à l’ARNm expérimental ne sont reconnus que maintenant, alors que nombreux sont ceux qui attendent à juste titre que les responsables de ces décisions soient tenus responsables devant un tribunal indépendant.

Il semble donc pour le moins absurde que l’on veuille en ce moment donner à l’OMS des pouvoirs de décision contraignants, alors que dans la gestion de la récente urgence pandémique et de la campagne de vaccination de masse, il y a eu les plus grands effets néfastes en termes de dommages permanents aux patients et de décès. En plus de l’impunité des crimes commis dans le silence des grands médias, il y a un choix discrétionnaire total sur les urgences à venir, largement planifiées par le lobby pharmaceutique. La marginalisation des personnels de santé qui font appel au Serment d’Hippocrate risque de devenir la norme pour éliminer toutes les voix dissidentes.

À cet égard, il est significatif que les nations qui s’opposent au Nouvel Ordre Mondial – comme la Russie et le Brésil – soient conscientes des conséquences très graves qu’entraînera la ratification éventuelle des résolutions, et que pour cette raison, elles s’opposent à leur approbation. Même le président Trump, pendant son mandat, a voulu envoyer un signal sans équivoque en coupant les fonds du Trésor américain aux bureaucrates de l’OMS : c’est aussi pour cette raison que l’État profond a empêché sa réélection lors des dernières élections présidentielles, soutenant un personnage compromis et corrompu, dont le fils Hunter est impliqué dans le financement de biolabs américains en Ukraine.

J’exprime donc tout mon soutien aux citoyens, et notamment aux scientifiques, médecins et juristes qui dénoncent cette menace à la souveraineté nationale des pays adhérents, et qui demandent que la lumière soit faite sur les événements passés et sur les conséquences que les décisions de l’OMS ont causé à la santé de la population mondiale. J’exhorte les chefs d’État et de gouvernement, qui seront appelés à s’exprimer sur la ratification de ces résolutions, à les rejeter et à les repousser, car elles sont contraires au bien commun et visent à réaliser ce coup d’État mondial que l’ONU et le Forum Économique Mondial planifient depuis des années sous le nom d’Agenda 2030 ou Great Reset. La gouvernance mondiale de la santé, telle que soulignée par des experts hautement autorisés qui ne sont pas compromis avec le système, représente l’un des éléments fondamentaux du NWO (Nouvel Ordre Mondial) et, en tant que telle, doit être rejetée et combattue. La logique de contrôle, de profit et de pathologisation de masse doit être remplacée par la santé publique qui a pour finalité première la santé des citoyens et la protection de leurs droits inaliénables.

Le Saint-Siège – qui est Observateur Permanent auprès des Nations Unies et depuis un an également auprès de l’OMS – a le devoir de réaffirmer le droit des individus à la liberté d’accepter ou de refuser un traitement médical, en particulier face au danger concret d’effets indésirables, en partie encore inconnus, de cette thérapie génique expérimentale. Et si jusqu’à présent Bergoglio et sa cabale ont soutenu les délires de Gates, Schwab et Soros, le moment est venu pour l’Église catholique de prendre la défense des plus faibles, des enfants à naître sans défense, des enfants et des personnes âgées, ainsi que de ceux qui ont fait l’objet d’un chantage par le cynisme d’hommes d’affaires et de conspirateurs, pour les forcer à s’inoculer un sérum contaminé par des lignes cellulaires fœtales avortées. Le silence du Vatican, après des déclarations hâtives au début de la pandémie et des approbations honteuses à BigPharma, marquera la condamnation du Sanhédrin romain, complice d’un crime contre Dieu et contre l’homme. Jamais au cours de l’histoire la Hiérarchie ne s’était prostituée au pouvoir temporel d’une manière aussi servile et abjecte. Prions pour que quelques évêques trouvent le courage de prendre leurs distances avec la ligne collaborationniste de Bergoglio et sachent trouver les mots pour ouvrir les yeux des bons jusqu’ici trompés par la propagande mondialiste.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

21 mai 2022

(©Traduction pour MPI de F. de Villasmundo relue et corrigée par Mgr Viganò)

[Voir aussi :
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




Guerre en Ukraine : pour le Salut du peuple Russe (et de la France)

[Source : agoravox.fr via RI]

Un énorme merci pour ce texte brillant, absolument remarquable en tout point. Oui, les russes et les français sont des grands peuples qui ont tout pour s’entendre : une histoire millénaire et une culture humaniste, toute à l’opposé des anglo-saxons, mercantiles et destructeurs. À nous maintenant de nous libérer de leur esclavage mondialiste et covidiste avant d’être réduits par Bill Gates à la planète des singes.

Jean-Michel


Par Nicopol

Ah, Vladimir Poutine et ses rêves de « Grande Russie », son projet de reconstituer l’URSS, ses plans d’invasion de l’Ukraine, de la Finlande, de la Pologne, des Pays Baltes ; mais Poutine vaincu par l’héroïque résistance ukrainienne, Poutine humilié, Poutine effondré par la défaite cuisante de son armée, les images de soldats russes en pleurs, les Sukhoi tombant comme des mouches, les chars abandonnés sur le champ de bataille, son navire-amiral coulé… La Russie détruite par les sanctions, à genoux économiquement, le rouble effondré, la population sur le point de renverser son « dictateur », avide de démocratie et de McDonalds… « Poutine le boucher », les atrocités commise par l’Armée russe, la torture, les massacres et les viols de civils, les « crimes contre l’humanité », la condamnation unanime de la « Communauté internationale » ; Poutine isolé sur la « scène internationale », ostracisé, abandonné par ses derniers soutiens, coupé du monde, terré comme une bête dans un bunker du Kremlin ; Poutine malade, agonisant d’un cancer, d’une leucémie, de Parkinson, quitté par sa femme, se baignant dans du sang de cerf ; Poutine acculé, au pied du mur, prêt à tout, y compris l’holocauste nucléaire, si on ne l’assassine pas dans les plus brefs délais…

Voilà, pour résumer, la vision de la guerre en Ukraine qu’aurait légitimement l’« Occidental moyen » informé par la presse mainstream, les chaîne d’info en continu et les communiqués officiels des chancelleries. Une vision univoque, sans nuance ni concession, à la hauteur de la « menace existentielle » que Vladimir Poutine et ses hordes slaves feraient peser sur nos belles démocraties libérales… Le petit souci étant que tout ce qui précède est bien entendu complètement faux (à l’exception, qui sait, du sang de cerf)… Peut-on avoir une autre vision, alors, de ce qui se passe là-bas, à la frontière de l’Occident et du Monde slave ? Une vision russe, peut-être aussi un peu française ?

Des Esclaves antiques aux Untermenschen du IIIe Reich…

Une autre vision qui, pour bien s’en imprégner, nécessite de remonter dans le temps, il y a près de 3000 ans, à l’aube de la civilisation européenne. Car c’est bien depuis l’Antiquité que le malheureux peuple Slave fait l’objet d’une détestation, d’un mépris et, il faut bien le dire, d’un racisme farouche de la part des autres peuples indo-européens. C’était déjà le cas à l’époque des Grecs et des Romains, qui les plaçaient au dernier niveau de la barbarie, et même en-deçà, dans une espèce de sous-humanité plus proche de l’animalité. On retrouve pareille xénophobie chez les peuples scandinaves, germaniques et, par extension, anglo-saxons. Cela s’est traduit tout au long de l’histoire par des razzias, massacres et déportations en esclavage organisés par les Grecs, les Vikings et plus généralement l’ensemble de la chrétienté médiévale (rappelons que le mot « Slave » a donné en langues latines et anglo-saxonnes sclavus et slave, « esclave »), et même du monde musulman.

À l’époque moderne, cette tradition de haine raciale se retrouve dans la politique nazie d’« épuration ethnique » de l’Europe de l’Est, slave ou assimilée (Polonais, Ukrainiens, Serbes…), et bien sûr aussi, fantasmaient-ils, de la Russie elle-même, condition requise pour tailler un « espace vital » suffisant à la race supérieure aryenne. Le génocide des Slaves, rabaissés au rang d’Untermenschen, constitue en fait le cœur de l’utopie raciste-suprémaciste du IIIe Reich, comme c’est parfaitement expliqué dans Mein Kampf et confirmé par la politique d’extermination systématique des Slaves en Pologne et en Ukraine – mais aussi par la suicidaire opération Barbarossa de 1941, au cours de laquelle les troupes SS firent preuve d’un acharnement proprement inhumain contre les populations civiles et les prisonniers de guerre soviétiques. Ce n’est qu’après la défaite de Stalingrad que le régime nazi a concentré sa fureur meurtrière, en quelque sorte par dépit et frustration, sur les infortunés juifs, dont il était plutôt question jusqu’alors de les déplacer à Madagascar.

Ce projet monstrueux des nazis a quand même couté 30 millions de morts au peuple russe, qui a dû lutter purement et simplement pour sa survie. Les Russes, encore aujourd’hui, ont une perception aigüe de l’immense sacrifice que leurs parents et grands-parents ont offert pour sauver leur peuple et leur identité. Chaque Russe a d’innombrables morts dans sa propre famille, comme a pu en avoir chaque Français après la guerre de 14-18. C’est d’ailleurs le cas de Vladimir Poutine lui-même, et celui-ci, dans chacun de ses discours, ne manque pas de rappeler cette dimension héroïque et sacrificielle des Russes pendant la Seconde Guerre mondiale : pour eux, « lutter contre le nazisme » ne s’est pas limité à une résistance plus ou moins de la dernière heure (comme les Communistes français), mais une lutte proprement « existentielle » contre une puissance implacable qui avait juré sa destruction absolue…

Mais il serait faux de croire que les Nazis germaniques étaient seuls sur le coup : avant le déclenchement de la guerre, les grandes puissances anglo-saxonnes (Angleterre et États-Unis en première ligne) étaient en fait clairement des soutiens du pouvoir allemand dans sa « lutte contre le bolchévisme », et les appuyaient financièrement et même militairement. Et une fois le tournant de Stalingrad et la défaite allemande inéluctable, l’obsession des Américains, et probablement la véritable raison de leur débarquement en Normandie (alors que sur le plan militaire tout était déjà joué), ne fut pas du tout de « sauver l’Europe de la barbarie nazie », mais de contenir la poussée de l’Armée rouge en Europe centrale… Par ailleurs, pendant la guerre, les Allemands ont pu compter sur le soutien assidu d’une partie des populations d’Europe centrale et de l’Est pour organiser leur campagne d’épuration des Slaves, que ce soient les Croates oustachis (que l’on retrouvera 50 ans plus tard à l’œuvre contre les Serbes d’ex-Yougoslavie), une partie des Polonais mais aussi des Ukrainiens (le fameux mouvement nationaliste des « bandéristes », antisémite mais surtout antirusse, et qui collabora avec enthousiasme aux côtés de l’occupant nazi).

De l’impérialisme anglo-saxon à l’« exceptionnalisme » américain

Pour bien comprendre la situation actuelle, il faut également prendre en compte la mentalité profondément manichéenne et suprémaciste des Anglo-saxons, et en particulier des États-Unis. Descendant des Puritains anglais, l’élite américaine, marquée par l’idéologie de sa « Destinée manifeste », se considère littéralement comme le « nouveau Peuple élu », investi par le Dieu de l’Ancien Testament d’un droit absolu sur les autres peuples (à commencer par les malheureux Amérindiens, exterminés sans ménagement sur le même modèle que les occupants de Canaan au retour des juifs d’Égypte). De là cet insupportable « deux poids deux mesures », déjà présent dans le Pentateuque, qui revient à dire : « nous avons le droit divin de faire de vous ce que nous voulons, mais vous avez l’interdiction absolue de porter la main sur nous, et même de nous contredire, et même de résister ».

À l’époque moderne, ce suprémacisme religieux profondément totalitaire, et le « double standard » révoltant qui l’accompagne, s’incarnent dans la doctrine de l’« Exceptionnalisme américain », au nom de laquelle les USA réclament unilatéralement le droit de jouer les « gendarmes du monde » et de commander à la « communauté internationale », tout en s’exonérant sans aucune vergogne des règles qu’ils imposent aux autres par leur domination monétaire (le pétrodollar) et militaire (celle-ci étant permise par celle-là). Un « exceptionnalisme » bien commode lorsqu’il s’agit pour les politiciens américains de justifier, et même d’être fiers, d’avoir rasé des villes entières à coup de bombes thermiques (Dresde) ou atomiques (Hiroshima, Nagasaki), grillé des femmes et des enfants vietnamiens au napalm, et même, comme la sympathique Madeleine Albright, provoqué la mort de plus de 500 000 enfants innocents au Proche et Moyen-Orient (Irak, Afghanistan, Syrie…). Tout en mentant effrontément eux-mêmes, dans la plus parfaite inversion accusatoire, à propos de prétendus charniers serbes, massacres de bébés dans des couveuses koweitiennes, attaques à l’arme chimique syrienne et autres manipulations barbouzesques orchestrées avec le soutien des médias corporate. Sans oublier de s’autodécerner, avec le plus parfait cynisme, un « Prix Nobel de la Paix » au goût de sang (combien de familles innocentes réduites en charpie par les drones téléguidées de Obama ?).

Inévitablement, la prétention à la domination totale des États-Unis et de leurs dominions anglo-saxons et germaniques (mais hélas aussi, depuis Sarkozy, notre pauvre vieille France…) devait clacher avec un certain nombre d’autres peuples qui, de plus en plus nombreux, allaient vouloir s’opposer à cette prétention hégémonique et défendre ou restaurer leur indépendance. Dans un premier temps, ces peuples indociles purent être mâtés à coup de juntes paramilitaires d’extrême-droite (Amérique Latine), de « révolutions colorées » (type Shah d’Iran ou Boris Eltsine…), voire, lorsqu’on voulait être sympa avec ses amis du complexe militaro-industriel, de quelques tapis de bombes ou de missiles (Serbes de Yougoslavie, Irakiens, Libyens). Certes, il y a eu quelques petits loupés (le Cuba de Castro, le Vietnam, la Révolution islamiste en Iran, plus récemment l’Afghanistan), mais enfin, quand même, tout était sous contrôle, il y avait clairement d’un côté le « Camp du Bien » dirigé par les Yankees, fixant les règles du jeu international, et de l’autre le « Camp du Mal » avec quelques « états-voyous » isolés type Venezuela, Iran, Corée du Nord et cie. Et depuis la Chute du Mur de Berlin, l’effondrement de l’Union soviétique et la conversion de la Russie au capitalisme sauvage, les Américains pouvaient enfin triompher : c’était la « Fin de l’Histoire », le « Nouvel ordre mondial » unipolaire, l’Empire américain étendu à la planète entière, la domination sans partage des néo-conservateurs, de Wall Street et d’Hollywood – une hégémonie globale comme l’humanité n’en avait jamais connue jusqu’alors, économique et industrielle, financière, monétaire, militaire, politique, culturelle et même sportive…

Le réveil du Peuple russe

Mais voilà, « divine surprise », comme aurait dit Maurras : Poutine est arrivé. Le peuple russe s’est redressé, il a remis au pas ses capitalistes oligarques, il s’est réarmé militairement, économiquement et surtout moralement. Il a retrouvé foi dans son destin, la fierté de sa culture et de ses mœurs, le sentiment aigu de son particularisme identitaire et spirituel, frontalement opposée au matérialisme consumériste de l’Occident. Avec la ferme intention de redevenir une grande puissance régionale et de retrouver son autonomie au sein d’un monde multipolaire dans lequel aucun peuple ne peut plus se prétendre au-dessus des autres. Autant de prétentions insupportables aux yeux des impérialistes anglo-saxons, qui ne supportent pas qu’un peuple inférieur réduit en esclavage se rebelle et veuille s’émanciper…

Oh, certes, au début, on ne l’a pas trop pris au sérieux, ce petit agent du KGB sans grand charisme ; mais tout à coup, au moment de la Guerre en Syrie, on a réalisé qu’il était beaucoup, beaucoup plus fort qu’imaginé, et qu’il avait vraiment refait de la Russie une puissance de haut niveau, qu’il serait bien difficile, et même impossible, de remettre au pas. Pire, depuis cette renaissance de la Russie, les USA et leurs alliés connaissent revers sur revers à chaque fois qu’ils essayent de s’imposer par la force et l’intimidation, comme au bon vieux temps de Reagan et du clan Bush : incapacité à renverser Bachar El Assad, Hugo Chavez et même son pâle successeur Maduro ; fronde des pays latino-américains, menée par le Mexique et le Brésil ; indocilité et même désormais franche hostilité des pays pétroliers arabes, jusqu’à récemment alliés inconditionnels ; prise de distance de l’Inde, opposition frontale de la Turquie, émancipation progressive des pays africains…

En fait, ce n’est pas Poutine mais les USA et leurs valets qui sont de plus en plus isolés : dégoutés par leur arrogance, leur brutalité, leurs mensonges et double-jeu permanent, leur absence totale de morale et d’humanité envers les autres, les peuples du monde entier se détournent peu à peu des Occidentaux et construisent un autre monde sans eux, avec leur système bancaire et monétaire déconnecté du dollar, leurs industries de pointe, leurs accords commerciaux et de défense, leur internet, leurs propres compétitions sportives et musicales… Et comme c’est en fait l’Occident qui a besoin du reste du monde, et pas l’inverse (pour le pétrole, pour le blé, pour les terres et les métaux rares…), ça se traduit par la crise économique catastrophique que nous vivons actuellement et qui s’accélère avec les sanctions suicidaires prises contre la Russie…

Et l’Ukraine dans tout cela…

C’est dans ce contexte, donc, de déclin inéluctable de l’Occident, de crise financière en révoltes populaires, qu’il faut comprendre le conflit actuel en Ukraine. Cela fait maintenant près de dix ans que les Américains, ayant réalisé sur le tard que Poutine ne plaisantait pas et remettait vraiment en question leur suprématie eschatologique, sont prêts à tout pour supprimer Poutine et mater ce peuple russe indocile – et par « tout », il faut bien entendre « vraiment tout », comme le démontre le refus farouche des néoconservateurs, des démocrates et des leaders de l’OTAN d’adopter une doctrine de NFU (« No First Use ») nucléaire. Malheureusement pour eux – et heureusement pour les Russes – les États-Unis sont à tel point gangrenés par la corruption, le clientélisme, l’obésité, la violence raciale et désormais l’idéologie « woke », qu’ils n’ont plus les moyens de leurs ambitions ; et ça les rend très, très furieux et très, très méchants – un peu, en fait, comme les dirigeants du IIIe Reich après avoir compris que Stalingrad marquait la fin de leurs rêves millénaristes…

L’ultime tentative, après l’échec de l’option « barbus islamistes » (Al Qaeda, Tchéchènes, Daech…), c’est de lancer contre la Russie ces peuples européens qui partagent leur haine raciale du Slave. D’où le coup d’État de 2014 en Ukraine, orchestré par l’Ambassade des États-Unis, et qui a conduit à remplacer un président pro-russe légitime, Ianoukovytch, par un fantoche pro-occidental soutenu par des partis d’extrême-droite voire ouvertement néo-nazis (Svoboda, Pravyï sektor) ; mais aussi le « coup d’État soft » des milices bandéristes qui ont repris en main l’actuel président Zelensky, pourtant élu sur un programme de réconciliation avec la Russie, et l’ont obligé à torpiller les Accords de Minsk (qui prévoyaient l’autonomie des Républiques autoproclamées du Donbass) et à se lancer dans cette politique meurtrière d’oppression et de bombardement permanent des minorités russes (dans le silence le plus total des médias occidentaux, cela va de soi). Les mondialistes pro-américains jouent ici leur dernière carte, celle de la division tragique de l’Ukraine entre un Ouest qui s’identifie plutôt à l’ancienne Europe germanique et austro-hongroise, aspirant à rejoindre l’OTAN et l’Union européenne – un Ouest désormais dirigé de fait par une minorité d’extrémistes se revendiquant fièrement de la collaboration pronazie et appelant ouvertement à l’épuration culturelle, si ce n’est ethnique, des populations russophones ; et à l’Est des populations ethniquement russes en Crimée et dans le Donbass, qui ont commencé à s’inquiéter légitimement en 2014 lorsqu’ils ont vu arriver ces héritiers du IIIe Reich au pouvoir, et ont immédiatement demandé la protection de la Russie (voire, pour les Criméens, leur rattachement pur et simple à la « Mère Patrie »)…

Et nous en arrivons aux toutes dernières années, depuis l’élection de Joe Biden, avec une accélération du soutien de l‘OTAN à l’armée ukrainienne, son armement, sa formation, et l’encadrement direct des bataillons paramilitaires de fanatiques nazis, dits « bataillons Azov ». Fin 2021, tout était en place pour une opération massive contre le Donbass, avec comme projet global d’instrumentaliser le racisme anti-slave des Ukrainiens néo-nazis pour attaquer les populations russophones et provoquer une réaction de la Russie – qu’il serait alors facile de désigner comme l’« agresseur », permettant de dresser la « communauté internationale » contre eux, s’il le fallait en médiatisant quelques « atrocités » bien télégéniques des « bouchers russes » ; de pousser l’Allemagne à annuler le projet Northstream 2, et plus généralement l’Europe à arrêter de se fournir en énergie peu chère auprès de la Russie pour acheter du gaz de schiste américain, beaucoup plus coûteux et polluant ; de justifier des sanctions destinées à « mettre à genoux » l’économie russe, détruire le rouble, ruiner les oligarques proches du pouvoir, provoquer des troubles socio-politiques et finalement, dans les rêves les plus mouillés des milieux néocons et démocrates, attiser les braises d’une nouvelle « révolution de couleur », et pourquoi pas d’un coup d’État, pour (re)mettre au pouvoir à Moscou une marionnette pro-occidentale type Eltsine/Kasparov/Navalny…

Tout cela ressemble à un gigantesque complot, et le dénoncer sonne donc très « conspirationniste » – sauf que voilà, tout ce plan machiavélique a été préparé à l’avance par différent think-tanks proches du Pentagone, type RAND Corporation, dont les rapports tout ce qu’il y a de plus officiels recommandent ouvertement de provoquer, d’agresser et d’affaiblir économiquement et militairement la Russie par proxy ukrainien interposé (« nous résisterons jusqu’au dernier soldat ukrainien », pour reprendre la bonne blague qui circule dans les cercles de l’OTAN). Un véritable script cinématographique comme les Américains en ont le secret, et qui prévoit au passage, faisant d’une pierre deux coups, de « neutraliser » et vassaliser une bonne fois pour toute l’Union européenne…

La « lutte existentielle » du Peuple russe

Poutine, bien entendu, savait tout cela, et s’était préparé au scénario du pire avancé de plus en plus frontalement par les Occidentaux. Il avait pourtant joué carte sur table depuis le début, tracé sa « ligne rouge » – l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN. Car si l’Ukraine tombait dans le camp occidental, c’est la Russie elle-même qui serait acculée sur ses frontières, menacée dans son existence même : « Où pourrions-nous encore reculer ? », se demandait dramatiquement le président russe dans une de ses interventions télévisées, parlant au nom de son peuple… Oui, depuis le début, les Russes le proclament : pour eux, l’Ukraine, ce n’est pas une simple question de « territoire » ou d’« aire d’influence » : comme en 1941 lorsque les troupes nazies sont entrées sur leur territoire, c’est, littéralement, une question de vie ou de mort… Et les Occidentaux le savaient pertinemment, et c’est précisément pour cela qu’ils ont continué d’avancer méthodiquement, pas à pas, par cette tactique oppressante de l’« effet-cliquet » chère aux fondateurs de l’Union européenne, avec la certitude que l’Ours russe, tôt ou tard, sortirait de sa tanière et tomberait dans leur piège mortel…

Il faut donc bien comprendre que lorsque Poutine parle de « dénazifier » l’Ukraine, de « menace existentielle » contre la Russie, de « légitime défense », il parle très sérieusement, et ce qu’il dit est vrai. Ce sont bien les Américains et leurs alliés qui provoquent et agressent la Russie depuis 30 ans, en étendant l’OTAN vers l’est en violation totale de leurs promesses solennelles ; Il y a bien un mouvement néonazi, et même nazi tout court, qui a persisté en Europe centrale et de l’est, avec la bénédiction des Anglo-saxons ; il y a bien une volonté millénaire des Occidentaux de domestiquer, et même pour certains d’exterminer, le peuple slave de Russie ; la Russie est le Mal absolu, l’Ennemi à abattre, le dernier obstacle dans la quête de domination millénariste des USA ; pour la détruire, tout est donc autorisé, comme tout était autorisé au Peuple élu à son retour d’Égypte ; il n’y aura aucune limite à la propagande, au mensonge, à la manipulation. Car on ne se limite pas à vaincre un ennemi sur le champ de bataille, on ne signe pas de cessez-le-feu avec lui, on ne négocie pas : on cherche à l’humilier, à le soumettre, à le détruire s’il le faut…

Alors, lorsqu’en février 2022 Kiev a annoncé vouloir installer des missiles nucléaires sur son territoire, et commencé à engager d’importants mouvements de troupes sur la frontière du Donbass, Poutine a su que l’heure était venue, que l’attaque était imminente, que le combat à mort allait commencer. Mais il avait murement muri sa réaction. Après s’être assuré du soutien de la Chine, il a pris les devants et, conformément au précepte militaire selon lequel « l’attaque est la meilleure défense », il a attaqué préemptivement l’Ukraine via une procédure parfaitement préparée : reconnaissance officielle de l’indépendance du Donbass, réponse fraternelle à la demande d’accord de protection des nouvelles Républiques russophones, intervention parfaitement légale et légitime, dans le cadre desdits accords, pour interposer ses troupes entre l’armée ukrainienne et les populations du Donbass. Avec parallèlement l’ouverture d’un front au Nord vers Kiev pour détourner l’attention et empêcher les renforts d’arriver vers l’Est (Poutine n’a donc jamais eu l’intention d’envahir la totalité de l’Ukraine pour reconstituer l’URSS ou une fantasmatique « Grande Russie » : tout cela n’est qu’invention des médias occidentaux pour faire passer pour une « défaite humiliante » ce qui n’est qu’un plan de bataille rondement exécuté).

Aujourd’hui le Donbass est en grande partie libéré, la Russie reconstruit les services de base (électricité, eau potable, Internet, banques avec distributeurs de roubles…) ; les populations revivent enfin, pour la première fois depuis presque une décennie, sans la hantise d’un mortier ukrainien. Une dernière bataille est engagée avec ce qu’il reste de l’armée régulière ukrainienne et de néonazis fanatisés, avec la formation de plusieurs « chaudrons » autour de Kharkov, Kramatorsk et Sievierodinestsk. Sur le plan des sanctions, après une première réaction de panique, le rouble s’est stabilisé et se situe même aujourd’hui à un niveau plus élevé par rapport à l’Euro qu’avant le déclenchement de la guerre ; les pays européens, piteusement, viennent d’accepter les conditions de Poutine pour payer leur gaz en roubles ; la hausse des cours du pétrole s’est traduit par d’importantes rentrées de cash pour la Russie, qui a plus que compensé le manque-à-gagner de la guerre par le renforcement de ses relations avec la Chine, l’Inde et les autres pays d’Asie, et plus globalement le parrainage d’un nouveau front anti-occidental dans le monde. L’Europe est au bord de la crise énergétique et alimentaire pendant que la Russie n’a jamais été aussi solide, car indépendante, sur le plan économique. Loin de renverser Poutine, la population russe a fait front derrière lui et sa côte de popularité est remontée en flèche pour atteindre des niveaux qu’il n’avait pas connu depuis longtemps. Les Européens commencent à peine à comprendre qu’ils sont en train de se suicider pour le seul profit de quelques actionnaires américains. Poutine, de son côté, à définitivement renoncé à avoir un dialogue raisonnable et équilibré avec ces pays occidentaux qui mentent en permanence (« l’Empire du mensonge », ainsi les appelle-t-il dans ses discours, et comment ne pas lui donner raison ?) ; dans cette perspective, la prestation grotesque et minable de Macron a sans doute fortement contribué à lui ôter ses dernières illusions sur le sérieux et la bonne foi des « démocraties » européennes…

On peut le dire maintenant, le plan américain a échoué ; la Russie a résisté, et ressort plus forte de l’épreuve. L’hallucinante rhétorique antirusse de l’Occident, résumée en introduction, ce registre insane de la « soumission », de l’« humiliation », de la « destruction totale », loin de refléter la réalité du terrain, n’est autre que le révélateur des fantasmes de toute-puissance sadique du camp occidental, de sa psychologie manichéenne et millénariste, de son déni de la réalité. Cette propagande haineuse n’a rien à voir avec le monde tel qu’il est, mais seulement tel que notre hubris névrosé voudrait qu’il soit – et tel qu’il ne sera jamais désormais, pour le plus grand soulagement de l’humanité. Il reste juste à espérer que les Américains et leurs complices de l’OTAN, se rendant compte de leur échec, ne sombreront pas dans la folie et la frustration, et n’en viendront pas à des actions désespérées et apocalyptiques, semblables à celle des nazis avec les juifs (« puisque nous n’avons pas gagné, vous périrez avec nous » : voilà ce que fut, au bout du bout, la « solution finale »)…

Conclusion : pour le Salut de la France et de la Russie…

Ce texte a été écrit trop vite, avec trop de passion, de subjectivité parfois. Il comporte certainement des raccourcis, des approximations, peut-être quelques erreurs… Mais l’essentiel y est, et l’essentiel, c’est qu’il ne faut pas se laisser influencer, intimider et même terroriser par l’écrasante machine de propagande occidentale, les chaînes d’info en continu, les artistes bien-pensants et toute la clique du « Camp du Bien » ; ne pas baisser les yeux et s’écraser devant toutes ces relations professionnelles, sociales ou familiales qui s’indignent de votre « soutien au génocide ukrainien », comme ils s’indignaient hier de votre opposition au passe sanitaire et au « vaccin » anti-covid (« Mais vous allez tuer nos grands-parents ! »). Poutine, et tout le peuple Russe avec lui, est dans son bon droit. La justice, la morale et la vérité sont de leur côté – de « notre » côté, oserai-je dire, puisque dans ces moments-là je m’identifie totalement, avec un immense bonheur, à ce peuple magnifique, fier et indomptable, celui de Dostoïevski, de Rachmaninov et de Soljenitsyne, dont je m’honore d’avoir un peu du sang dans le mien.

Une certaine fierté, aussi, d’être Français, le seul peuple occidental à avoir toujours manifesté une admiration et une sincère amitié pour les Russes, depuis l’époque de Voltaire et de Catherine II, des Russes blancs de la Côte d’Azur et du Général de Gaulle, de Hélène Carrère d’Encausse et de Romain Gary. Je suis intimement persuadé que notre Salut commun est dans la régénération du « couple franco-russe », ces deux vieilles puissances terriennes et paysannes dont le destin commun est de faire front au mercantilisme anglo-saxon – et c’est un privilège pour moi de me sentir déjà l’enfant d’une telle famille… 




George Soros – Le réseau du stratège mondial dévoilé

[Source : kla.tv]

Karl Nehammer est chancelier fédéral d’Autriche depuis décembre 2021. Kla.TV a reçu une photo de spectateurs le montrant lors d’une rencontre avec Alexander Soros en mars 2022. Le visiteur agit pour le compte de son père George Soros et de sa fondation Open Society Foundations.

Qu’est-ce que l’Open Society Foundations ?

L’OSF est un réseau de fondations et d’organisations non gouvernementales créée par George Soros en 1979. Soros est l’un des grands stratèges mondiaux, dont l’objectif est d’établir un Nouvel Ordre Mondial (également appelé NOM) qui assujettit les peuples.

Soros utilise l’OSF comme un outil pour financer des activités politiques visant à mettre en œuvre ce Nouvel Ordre Mondial. Partout où Soros se produit, il en résulte une déstabilisation, un chaos, une guerre ou des changements politiques dans le sens de ses intérêts. On peut reconnaître sa signature aussi bien dans le coup d’État de l’Euromaïdan de 2013-2014 en Ukraine, que dans le mouvement des réfugiés depuis 2015. Mais il existe également des indices concrets montrant que Soros a participé à toutes les « révolutions de couleur » – c’est-à-dire aux renversements de gouvernements – de ces 15 dernières années. Cela va de la Géorgie au Venezuela en passant par le « printemps arabe ». L’OSF est active dans 120 pays à travers le monde. Son fils Alexander Soros est vice-président de l’OSF.

Fin 2015, la justice russe a déclaré indésirables deux organisations non gouvernementales de Soros « parce qu’elles menacent l’ordre constitutionnel de la Russie et la sécurité de l’État ». En Hongrie, Soros est considéré comme un ennemi de l’État pour les mêmes raisons. En Israël également, George Soros n’est pas le bienvenu. Benjamin Netanyahu considère Soros comme un danger pour le pays en raison de ses efforts de déstabilisation antinationaux.

Alors que ces pays considèrent George Soros comme un ennemi de l’État et comme très dangereux, le chancelier autrichien lui ouvre les portes et lui déroule le tapis rouge. Avant la rencontre en question en Autriche, il y avait déjà eu plusieurs rendez-vous avec des chefs d’État autrichiens. Soros a manifestement tenté d’exercer une influence sur l’Autriche. Comme Soros est actif dans le monde entier, souvent de manière invisible pour la population, sa manière d’exercer son influence peut servir de modèle à tout autre pays.

Voyez maintenant, chers spectateurs, à l’exemple de l’Autriche, comment Soros tire les ficelles:

  1. Influence sur la politique gouvernementale

Politique autrichienne

Une rencontre avec George Soros ou son fils Alexander Soros, au cours de laquelle on « discute » de la situation politique de l’Autriche, est depuis longtemps une pratique courante chez les chanceliers autrichiens. En 2018, Sebastian Kurz a reçu George Soros à la chancellerie et l’a ensuite rencontré lors de la conférence sur la sécurité à Munich.

Quelques jours seulement après l’entrée en fonction du chancelier Alexander Schallenberg, une rencontre à la chancellerie a également eu lieu entre celui-ci et Alexander Soros en novembre 2021.

Dans le cadre de la rencontre de Schallenberg, l’ex-chancelier Kurz a également reçu la visite d’Alexander Soros et a ensuite écrit sur Twitter que c’était « formidable » de renouer avec son « ami de longue date ». Son prédécesseur, Christian Kern, a également rencontré George Soros. Lors d’une conférence de presse, M. Kern a déclaré qu’il « entretenait personnellement une relation étroite avec M. Soros » et qu’il l’avait « rencontré à plusieurs reprises ».
Le président autrichien Alexander Van der Bellen a également reçu George Soros à la Hofburg en 2017, à son bureau en 2019 et son fils au Tyrol en 2021.

Politique de l’UE

Il est prouvé que Soros tente d’influencer les décideurs politiques à travers l’UE. C’est ce que montre un document publié en 2016 sur la plateforme de divulgation « DCLeaks ». On y trouve une liste de 226 députés européens, avec leur nom et leur fiche signalétique, que l’Open Society Foundations de Soros qualifie « d’alliés fiables au Parlement européen ». En font partie, outre les députés européens autrichiens comme Eugen Freund, Monika Vana et Evelyn Regner, les députés allemands Martin Schulz et Elmar Brok. On peut supposer qu’une telle liste n’a pas été établie uniquement en 2016.

[!] Vous trouverez le document de 2016 avec les députés européens « fiables » sous l’émission.

Soros rencontre également régulièrement des dirigeants politiques européens. En 2019, le quotidien hongrois « Magyar Idök » a révélé en détail les contacts continus et intensifs entre George Soros et des membres de la Commission européenne. Le commissaire européen autrichien Johannes Hahn en fait partie.

L’avocat français Grégor Puppinck vient de dévoiler un type d’influence similaire à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Rien qu’entre 2004 et 2012, George Soros et Bill Gates ont fait don de deux millions d’euros au total à la Cour. On ne sait pas combien d’argent Soros et Gates ont versé à la CEDH depuis cette révélation, car le Conseil de l’Europe a créé en 2015 son propre fonds pour les dons. C’est pourquoi ces fonds ne figurent plus dans ses rapports financiers.

  1. Influence par les médias

Les médias jouent un rôle central dans le réseau Soros. Ils sont les plus à même d’influencer les masses tout en passant sous silence les activités des puissants en arrière-plan. C’est pourquoi George Soros a construit un gigantesque empire médiatique. Il finance notamment le « Project Syndicate » et y apparaît lui-même en tant que rédacteur. Il s’agit d’une association de 430 journaux et magazines de 150 pays, avec un tirage total d’environ 70 millions d’exemplaires. Outre le quotidien britannique « The Guardian » et le journal français « Le Monde », ce sont les quotidiens autrichiens « Die Presse » et « Der Standard » qui sont inscrits comme partenaires officiels.

C’est aussi la raison pour laquelle Der Standard, par exemple, publie des articles écrits par Soros. Il est frappant de constater que la rencontre de Soros avec le chancelier autrichien n’a fait l’objet d’aucun article dans les médias dominants ! Lorsque Soros fait l’objet d’un article, la presse mainstream le défend et le présente toujours, tout comme son allié Bill Gates, comme un philanthrope.

[!] Pour savoir quels organes de presse font partie du réseau Soros dans le monde, cliquez sur le lien en dessous de l’émission.

  1. Influence par l’éducation et les think tanks

Afin de former les futurs hommes clés dès leurs études, Soros a créé en 1991 une université privée à Budapest et à Prague.

Au milieu des années 1990, le gouvernement tchèque a toutefois mis un terme aux activités de l’université Soros et l’a fait fermer. Tant le Premier ministre tchèque de l’époque, Václav Klaus, que l’actuel président de la République tchèque, Miloš Zeman, ont argumenté leur refus de cette université par l’ingérence extérieure incontrôlable dans la science tchèque.

En 2017, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a également tenté d’expulser l’université du pays en modifiant la loi sur l’enseignement. Le chancelier autrichien de l’époque, Christian Kern, s’est alors fortement engagé pour que l’université Soros soit transférée en Autriche. Depuis 2019, Vienne est le nouveau site de l’université Soros – appelée Central European University (CEU) de Vienne – où les étudiants reçoivent un enseignement conforme à la pensée de Soros. Sur son site web, l’université mentionne un réseau mondial d’environ 400 universités et institutions partenaires. Parmi elles, on trouve par exemple l’université de Mannheim ou l’EPF de Zurich.

[!] Vous trouverez, chers spectateurs, un aperçu du réseau mondial des universités Soros dans l’encadré bleu situé sous l’émission.

Les groupes de réflexion, appelés think tanks, sont des institutions stratégiques permettant d’influencer la politique et la population au niveau national ou mondial. L’un des think tanks les plus puissants est le Council on Foreign Relations.

George Soros n’est pas seulement membre de ce groupe de réflexion élitiste. Il est également l’un des fondateurs de la branche européenne, appelée European Council on Foreign Relations, et en est depuis le principal financier. Les membres de l’ECFR sont entre autres les Autrichiens Sebastian Kurz, Hannes Swoboda et la ministre fédérale autrichienne de l’UE et de la Constitution, Karoline Edtstadler. Les membres allemands sont Annalena Baerbock et Wolfgang Ischinger, le chef de la Conférence sur la sécurité de Munich.

[!] Vous trouverez une liste précise des membres pour chaque pays européen dans le lien indiqué sous cette émission.

En Autriche aussi il y a des think tanks qui sont au service de Soros. Le forum européen d’Alpbach est une plate-forme européenne pour la science, la politique, l’économie et la culture. Lors des conférences annuelles, les jeunes cadres (entre 30 et 40 ans) sont encouragés et mis en réseaux. Depuis 2021, les fondations Open Society sont le deuxième plus grand sponsor de cette plate-forme. Jusqu’en 2021, le président du forum Alpbach, Andreas Treichl, était même actif dans le conseil d’administration de l’organisation européenne des fondations Open Society. En plus de cela, on retrouve aussi M. Treichl dans l’European Council on Foreign Relations fondé par Soros.

L’Institut des sciences humaines (IWM) est une autre création stratégique qui a son siège à Vienne. Son président est Heinz Fischer qui était le président fédéral de l’Autriche jusqu’en 2016. Dans le conseil de soutien et lors d’événements particuliers, c’est Georges Soros en personne qui apparaît.

Chers spectateurs, cette émission n’est qu’un début de réponse concernant Soros et son influence énorme – non seulement en Autriche – sur les personnages-clés et les décideurs. Son emprise et les intentions derrière elle ont pendant longtemps pu être cachées au grand public. Beaucoup est encore et toujours dissimulé. Dès qu’un journaliste d’investigation découvre les arrière-plans et les équipes à l’œuvre, ou bien qu’un politicien nous met en garde par rapport à Soros et ses projets, l’accusation d’antisémitisme est immédiatement déclenchée. Il en va de même pour quiconque expose les machinations et les projets de ses alliés, comme Henry Kissinger par exemple, même s’ils ont eux-mêmes écrit des livres entiers sur leurs opinions et leurs intentions.

Les reproches d’antisémitisme prennent aussi pour cible ceux qui mettent en lumière les véritables arrière-plans et actions de leurs outils comme le forum économique mondial, la fondation Bill et Melinda Gates, le Great Reset ou les réunions Bilderberg.

Conclusion : L’influence exercée par George Soros et son Open Society Foundations en Autriche et dans le monde doit être considérée comme faisant partie d’un plan ciblé dont le but ultime, en effet, est la domination mondiale dictatoriale. Alors que les stratèges mondiaux du NOM peuvent être classés comme très dangereux, Soros non seulement obtient sa propre université et son admission à la Chancellerie fédérale en Autriche, mais il reçoit même des prix afin de dissimuler ses véritables intentions. Il a ainsi reçu le prix Schumpeter pour ses activités dans le domaine des sciences, de la main d’Ewald Nowotny qui était pendant de longues années gouverneur de la Banque nationale autrichienne.

Nowotny et Soros se connaissaient déjà depuis les réunions secrètes de la Commission trilatérale, un outil supplémentaire pour la réalisation du nouvel ordre mondial. La même année, George Soros a également reçu la médaille d’or d’honneur de l’État de Vienne des mains du gouverneur Michael Ludwig. La distinction lui a été remise lors du transfert de son université privée de Budapest à Vienne.

Il y a de nombreuses indications que toute la pandémie de Covid et la guerre actuelle entre la Russie et l’Ukraine sont aussi des crises délibérément provoquées par cette secte de domination mondiale. C’est pourquoi la communauté mondiale doit absolument savoir à qui elle a réellement affaire ici. Car ces stratèges globalistes se sont mis eux-mêmes aux leviers du pouvoir. Il est temps que la population prenne conscience de cela : avec qui les politiciens de premier rang s’impliquent, quelles forces travaillent dans le monde entier pour construire le Nouvel Ordre Mondial et à travers quels organes ils exercent leur influence.

L’abus de pouvoir caché et les réseaux secrets seront révélés au monde entier grâce aux recherches, aux lanceurs d’alerte, aux observations et aux émissions comme celle-ci, et cela dans tous les pays du monde. Les politiciens seront de plus en plus invités à mettre fin à une telle influence. Cela libèrera à son tour la population sans méfiance du filet de ces dictateurs du peuple.

Chers spectateurs, vos généreux partages de nos émissions Kla.tv vont permettre au grand public d’être informé de telles manœuvres.

Nous vous remercions de votre aide précieuse.

[Voir aussi :
Comment les Britanniques ont inventé George Soros
et
Des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros]

Sources / Liens :

Alexander Soros trifft Karl Nehammer
https://twitter.com/karlnehammer/status/1499751684339388423?lang=de

Hintergründe Open Society Foundations
Monatsmagazin „alles roger“ Ausgabe Mai 2018, Seiten 8-12
https://de.wikipedia.org/wiki/Open_Society_Foundations

https://www.sueddeutsche.de/geld/sz-serie-die-grossen-spekulanten-4-der-milliardenzocker-dem-der-kapitalismus-zu-kalt-ist-1.574892-2

https://www.heise.de/tp/features/Die-Coca-Cola-Revolutionaere-3401552.html

https://fassadenkratzer.wordpress.com/2016/04/28/das-netzwerk-des-george-soros-fuer-grenzenlose-migration-in-europa

https://www.opensocietyfoundations.org/who-we-are/leadership

Russland, Israel und Ungarn erklären Soros für unerwünscht
https://www.spiegel.de/politik/ausland/russland-erklaert-us-organisationen-fuer-unerwuenscht-a-1065291.html

https://www.welt.de/debatte/kommentare/article163327311/Fuer-Viktor-Orban-ist-George-Soros-Staatsfeind-Nr-1.html

https://www.derstandard.at/story/2000078814134/auch-israels-regierung-streitet-mit-george-soros

Monatsmagazin „alles roger“ Ausgabe Mai 2018, Seiten 8-12

Einfluss auf Spitzenpolitik
https://www.instagram.com/p/BHUQyixhHeT/?hl=de

https://www.parlament.gv.at/PAKT/VHG/XXV/J/J_10076/index.shtml

https://www.info-direkt.eu/2017/10/03/christian-kern-gibt-zu-ich-habe-enges-verhaeltnis-zu-soros

https://www.derstandard.at/story/2000067384328/35-jahre-institut-fuer-die-wissenschaften-vom-menschen

Einfluss auf EU-Politik
https://www.fpoe.eu/george-soros-auf-wen-der-spekulant-im-europaparlament-zaehlt

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-8-2019-000209_DE.html

https://www.unzensuriert.at/content/127027-george-soros-und-bill-gates-auch-grossspender-beim-europarat-mit-verhaengnisvollen-folgen

Einfluss durch Medien
https://de.wikipedia.org/wiki/Project_Syndicate

https://www.project-syndicate.org/columnist/george-soros

Einfluss auf Bildung
https://de.wikipedia.org/wiki/Central_European_University

https://lisa.gerda-henkel-stiftung.de/die_ceu_ist_keine_im_luftleeren_raum_stehende_institution?nav_id=7158&focus_comments=1

https://www.diepresse.com/5192287/ungarn-orban-will-soros-uni-dichtmachen

https://kurier.at/politik/ausland/kern-setzt-sich-fuer-wien-als-soros-uni-standort-ein/256.759.879

https://www.ceu.edu/ceupu/fakten

Einfluss durch Denkfabriken
https://de.wikipedia.org/wiki/European_Council_on_Foreign_Relations

https://de.wikipedia.org/wiki/Europ%C3%A4isches_Forum_Alpbach

https://de.wikipedia.org/wiki/Institut_f%C3%BCr_die_Wissenschaften_vom_Menschen

https://www.iwm.at/about/boards

Fazit
https://orf.at/stories/3127649

https://wien.orf.at/v2/news/stories/2973022

https://austria-forum.org/af/AustriaWiki/Ewald_Nowotny




Revue de Presse 22/05/2022

Par MF

REVUE DE PRESSE DU 15 Mai 2022

ÉDITO — « C’est un crime contre l’humanité ! »

S’écrie le Dr Paul Marik, numéro deux dans le monde des soins intensifs, la voix brisée par l’émotion. D’émotion, il n’est nullement question dans le monde des affaires qui s’obstine à promouvoir, fabriquer et vendre ces armes létales, au besoin en utilisant la peur depuis plus de deux ans, même si 17 000 médecins au sommet mondial sur le Covid-19 ont dénoncé ces manipulations. Les preuves s’accumulent de l’inefficacité et des effets nocifs, des mensonges et des fraudes, mais la machine à détruire la santé des populations, et particulièrement des enfants, avance inexorablement. L’immunité s’en ressent, et pourrait expliquer cette soudaine apparition de variole du singe de manière concomitante dans les pays largement vaccinés. Mais à un singe (lucide), on n’apprend pas à faire des grimaces.

IL FAUT IMMÉDIATEMENT RETIRER CES VACCINS DU MARCHÉ !

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La vaccination obligatoire signée Elisabeth Borne ?

L’invention des soignants suspendus sans aucune ressource, c’est elle.

Un flicage numérique pour préparer la vaccination obligatoire

Solution, refuser d’entrer dans le dispositif de « Mon espace santé » d’Ameli…

Brigitte Bourguignon, ministre de la Santé, le 5/01/2022 :

« Derrière les non-vaccinés, il y a un mouvement contestataire qui est violent, qui est très violent, qui est même menaçant avec tous ceux qui se vaccinent ».
« La liberté de ces 10 % s’arrête là où celle des 90 % commence ».

Véran en pire ??

La crise sanitaire a affecté la santé mentale de la population

Et la proposition de soins psychiatriques est dans un état lamentable.

Ces soignants toujours à l’arrêt

https://www.midilibre.fr/2022/05/09/covid-medecins-infirmiers-sages-femmes-ces-soignants-toujours-a-larret-faute-detre-vaccines-10284748.php

« On a perdu notre identité professionnelle, on est traité comme des criminels »

L’Union dentaire demande la réouverture des cabinets de dentistes non vaccinés

https://www.lindependant.fr/2022/05/17/covid-le-vaccin-nempeche-ni-la-transmission-du-virus-ni-de-le-contracter-rappelle-lunion-dentaire-qui-demande-a-macron-la-reouverture-des-cabinets-de-dentistes-non-vaccines-10300274.php

« Les patients ont besoin que ces cabinets dentaires rouvrent au plus vite »

Les urgences. en état d’urgence, dans TOUTE la France

https://www.liberation.fr/societe/sante/dans-toute-la-france-les-urgences-hospitalieres-en-etat-durgence-20220515_SVYKWCXCCVCDFF6VTO3PN4FS6U/

La pénurie de soignants vire à la catastrophe

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/alerte-rouge-aux-urgences-au-moins-120-services-en-difficultes-avant-lete

De mémoire d’urgentiste on n’a jamais connu une telle tension.

Soignants remplacés par des bénévoles au CHU de Bordeaux, tout un symbole

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-soignants-remplaces-par-des-benevoles-au-chu-de-bordeaux-tout-un-symbole/

Symbole d’une destruction programmée des soins hospitaliers et de ville.

Il va y avoir des morts, alerte dans les hôpitaux publics

Plan de bataille qui consiste à déshabiller l’un pour habiller l’autre.

148 millions de nouvelles doses commandées

Des vaccins connus (et inefficaces) et d’autres à venir/peut-être, comme Valneva..

La baisse de l’immunité, une menace plus grande que n’importe quel virus

https://www.epochtimes.fr/laffaiblissement-de-notre-systeme-immunitaire-une-menace-bien-plus-terrible-pour-la-sante-publique-quun-quelconque-virus-2024682.html

Entre vaccins, vieillissement et détérioration de la santé mentale, le système immunitaire est mis à rude épreuve.

ÉTRANGER

Le (second) sommet mondial de la peur

Manipulation et scénario du pire pour 3,2 milliards de dollars.

Et son pendant le Global Covid Summit, avec pas moins de 17 000 scientifiques et des révélations massives !



« nous sommes ici pour représenter l’humanité et l’éthique médicale » 

« LES INJECTIONS DE LA THÉRAPIE EXPÉRIMENTALE ANTI-COVID 19 DOIVENT CESSER ! »

Hydroxychloroquine et Ivermectine sont des traitements efficaces, en ambulatoire précoce et même à l’hôpital pour l’IVM, associés à des antibiotiques, du zinc, des vitamines D et C. « Nous devons rendre la confidentialité aux patients et aux citoyens ».

« Les masques de tout type sont inefficaces et potentiellement dangereux »

Nécessité de reconnaître les blessures dues aux vaccins, sous-déclarées, de réintégrer les soignants suspendus, et d’inculper pour fraudes les fabricants des vaccins anti-covid.

Les agences gouvernementales et médicales doivent être tenues responsables.

CHINE, grogne des étudiants contre le renforcement des mesures anti-Covid

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/rare-grogne-etudiante-pekin-contre-les-mesures-anti-covid

et la grogne est notable aussi à Shanghai.

CORÉE DU NORD, confinement national

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/coree-du-nord-larmee-deployee-pour-aider-lutter-contre-lepidemie-de-covid

Contexte de sous-nutrition et système sanitaire déplorable, mais la Corée refuse l’aide étrangère qui lui est proposée (traitements et vaccins).

POLOGNE, des chercheurs alertent sur le traité de l’OMS de prévention des pandémies

https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte

Porte ouverte à la perte de souveraineté des pays et de liberté des citoyens.

SUISSE, pourquoi autoriser un vaccin avec un composant non autorisé pour l’être humain ?

https://www.medias-presse.info/parlement-suisse-comment-se-fait-il-que-swissmedic-autorise-un-vaccin-contenant-un-composant-non-autorise-pour-letre-humain-demande-une-elue/156039/

« Quelles mesures le Conseil fédéral compte-t-il prendre maintenant qu’il en a connaissance ? »

UE, 100 millions de non vaccinés qu’il faudra convaincre sans les discriminer

https://www.businessbourse.com/2022/05/16/virginie-joron-deputee-en-commission-covi-la-commissaire-kyriakides-annonce-la-couleur-pour-la-rentree-priorite-100-millions-de-non-vaccines-en-ue-quil-faudra-convaincre-et-les-cibler/

OMS, le plan des pandémies sur 10 ans à partir de 2020, un film choc !

https://rumble.com/v13ghrb-the-plan-the-who-plans-for-10-years-of-pandemics-form-2020-to-2030.html

En 2017 et 2018, des centaines de millions de tests Covid ont été exportés dans le monde, avec prédiction d’une pandémie en Chine qui ferait des dizaines de millions de morts. En 2017 les Gates annoncés une attaque terroriste dans les prochaines années. Six mois AVANT la pandémie de Coivd le gouvernement australien publiait un guide en cas de pandémie de coronavirus et quatre mois AVANT Bill Gates a organisé un exercice en cas de pandémie de coronavirus, « Event 201 ». Cinq mois AVANT la pandémie l’OMS a donné des instructions aux nations pour se préparer à une pandémie. Le 12 septembre 2019, sommet à Bruxelles sur la vaccination de la population mondiale. Un an AVANT la pandémie, un forum de virologie a réuni des leaders pour expliquer les techniques d’information du public : comment créer la peur avec un faux nombre de décès, un seul discours d’une seule voix, partout, afin de manipuler les populations pour accepter une vaccination.

Quatre mois AVANT, Fauci et Moderna avaient un vaccin déjà prêt. Des scénarii de films ou de BD antérieurs à la pandémie la décrivaient déjà entièrement… Qui a pris le pouvoir pour créer ce mensonge ? D’après l’Australie, cela fait partie du Nouvel Ordre Mondial. Des associations de médecins enjoignent de revenir à la clinique et de ne pas céder à la panique avec des faux positifs, exemples du Mouvement mondial pour la liberté, regroupant médecins et juristes. L’Humanité se lève contre le crime. Espoir pour le futur où chacun doit faire sa part en informant son entourage. Le but de la pandémie est d’installer une dictature mondiale. Toutes ces informations sont révélées dans le « Grand Jury ».

USA, la responsable de la bioéthique veut mettre dans l’embarras les résistants aux vaccins

https://www.francemediasnumerique.net/2022/05/la-responsable-americaine-de-la-bioethique-qui-est-la-femme-de-fauci-a-publie-un-nouveau-document-indiquant-aux-entreprises-quelles-peuvent-ethiquement-faire-pression-sur-les-employes-pour-q/

Encore une qui a juste un « petit » conflit d’intérêt, c’est l’épouse du Dr Fauci !!

JUSTICE

Un employé suspendu réintégré par décision prud’hommale

https://www.nicematin.com/justice/un-veilleur-de-nuit-avait-refuse-la-2e-dose-de-vaccin-la-justice-ordonne-sa-reintegration-a-vence-767071

Une victime d’effets indésirables graves va assigner prochainement Pfizer devant la justice

https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/seine-et-marne/vaccin-anti-covid-la-descente-aux-enfers-d-eloise-2543656.html

Elle a été auditionnée au Sénat avec son avocat le 2 mai.

Mc Kinsey, suspicion de faux témoignage, le bureau du Sénat saisit le Parquet

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/mckinsey-le-bureau-du-senat-saisit-le-parquet-pour-suspicion-devant-la

« il appartiendra au parquet de déterminer les suites judiciaires à donner, dans le respect du principe de séparation des pouvoirs »

Allemagne, pour la Cour Suprême l’obligation vaccinale est constitutionnellement justifiée

https://euroweeklynews.com/2022/05/19/german-compulsory-covid-vaccine-justified/

« le droit à l’intégrité physique est moins important que la protection des personnes vulnérables ».

Glaçant !

COVID

Vérités dérangeantes sur la pandémie

https://reseauinternational.net/russell-blaylock-21-verites-derangeantes-sur-la-pandemie/

Exemple :

« Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des protocoles ont été formulés sur la base des recommandations d’individus et d’institutions qui n’ont jamais traité un seul patient. »

Prédictions évolutives

https://www.vidal.fr/actualites/29225-covid-19-que-nous-reserve-l-avenir.html?cid=eml_001747

Avec prudence, des auteurs plaident pour une évolution endémique

Covid-19, les mensonges dévoilés, un réquisitoire contre la gestion sanitaire US

Attaques sans précédent contre des médecins, fausses études, médias sous contrôle des géants pharmaceutiques, interdiction des traitements précoces et protocoles mortels de « soins » hospitaliers, fausse pandémie, mandats de vaccination, endoctrinement, refus d’autopsies post-injections, utilisation de médicaments toxiques, augmentation de troubles psychologiques graves. Il est temps de mettre fin à cette folie et de traduire ces personnes en justice.

INJECTIONS

Un vaccin à base de plantes ?

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-vaccin-anti-covid-19-prometteur-produit-plantes-96743/

Étude randomisée en cours, mais sur un échantillon bien petit.

Les promoteurs de la vaccination universelle sont coupables de crimes contre l’humanité

https://www.epochtimes.fr/selon-lancien-vice-president-de-pfizer-les-personnes-ayant-promu-la-vaccination-universelle-sont-coupables-de-crimes-contre-lhumanite-2026602.html

Michael Yeadon l’immunité naturelle est plus forte que toute protection conférée par les vaccins

Les mensonges éhontés du CDC relayés par le BMJ

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/bmj-gate-interpretation-manipulee-des-donnees-statistiques

Le CDC nie l’évidence mondiale de l’échec des pseudo-vaccinations.

Mensonge dans les essais Pfizer par un médecin de la Fondation Gates

Heureusement que les documents Pfizer n’ont pas attendu 75 ans pour être divulgués !

La fraude scientifique des tests de sécurité de Pfizer

https://www.covid-factuel.fr/2022/05/07/pfizer-et-les-tests-de-securite-fraude-scientifique/

L’absence de preuve de préjudice n’est pas une preuve d’absence de préjudice !

Libé ment en disant « vérifier »

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-verificateur-des-faits-de-liberation-pris-la-main-dans-le-sac-a-faknews-par-le-dr-g-delepine/

Quand on n’est ni médecin ni statisticien, il est dangereux de s’aventurer sur des terrains périlleux.

Il serait temps de réfléchir avant de vacciner aveuglément toute la population y compris les porteurs de maladies auto-immunes

https://www.aimsib.org/2022/05/15/les-porteurs-de-maladies-auto-immunes-sont-ils-si-rares-quon-peut-les-vacciner-sans-reflechir/

Qui représentent 1/5 de la population !

Vaccins et rappels de moins en moins efficaces et de plus en plus nocifs

https://infodujour.fr/sciences/57831-covid-19-les-vaccins-et-rappels-de-moins-en-moins-efficaces-et-de-plus-en-plus-nocifs

Les affections cardiovasculaires directement liées aux vaccins à ARNm sont en forte progression, ainsi que le syndrome d’immunodéficience acquise, catastrophe à venir.

EFFETS INDÉSIRABLES

Le vaccin anti-covid doit être immédiatement retiré du marché

https://nouveau-monde.ca/le-vaccin-anticovid-doit-etre-immediatement-retire-du-marche-dans-le-monde-entier/#identifier_5_36343

« Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur ». 

L’OPECST est au courant des effets indésirables des vaccins

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/emmanuelle-darles-vincent-pavan-rapport-opesct

et particulièrement pour les enfants, que 12 millions de doses attendent à l’automne !

Les injections favorisent l’augmentation des cancers

https://nouveau-monde.ca/refusons-la-poursuite-des-injections-anticovid-qui-favorisent-laugmentation-des-cancers/

« Le pseudo vaccin anticovid n’est pas un vaccin mais un modificateur des gènes »

ISRAËL, augmentation des pathologies cardiaques pendant le premier semestre 2021

https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-problemes-cardiaques-israel-vaccination

Augmentation chez les jeunes depuis la campagne de vaccination, qui ne peut plus être ignorée.


C’est un crime contre l’humanité, il n’est pas trop tard pour soigner les victimes.

Et si l’hépatite des bébés au Royaume-Uni était due à un virus mutant dérivé des vaccins ?

https://reseauinternational.net/les-hepatites-aigues-des-bebes-au-royaume-uni-premier-boomerang-des-vaccins-anti-covid/

Une alerte du Dr De Lorgeril à prendre au sérieux.

Les pays riches victimes de la politique sanitaire anti-Covid

https://nouveau-monde.ca/les-pays-riches-victimes-de-loms-et-de-la-politique-du-tout-vaccin/

Paradoxe : la corruption des pays riches les a condamnés, la pauvreté d’autres pays les a sauvés.

L’APRÈS COVID

Infected, la BD qui prévoyait une pandémie mondiale, en 2012 !

https://qactus.fr/2022/05/21/europe-saviez-vous-que-lue-prevoyait-deja-lepidemie-de-monkey-pox-oui-dans-une-bd-de-2012-tres-explicite/

No comment, tout y était...

Mars 2021, exercice de simulation d’une épidémie de Monkey-Pox

https://www.nti.org/analysis/articles/strengthening-global-systems-to-prevent-and-respond-to-high-consequence-biological-threats/

Le scénario fictif de l’exercice mettait en scène une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe. Depuis, un vaccin a été fabriqué. On prend les mêmes et on recommence ??

Ne pas confondre la variole du singe avec la variole humaine

https://www.lindependant.fr/2022/05/19/virus-monkeypox-fievre-douleurs-pustules-quels-sont-les-symptomes-de-la-variole-du-singe-10304716.php

La mécanique de la peur, bien huilée, est enclenchée.

RÉSISTANCES

OMERTAS

https://www.kairospresse.be/omertas-medicale-vaccinale-mediatique-politique/

Diane Protat avocate, Mélodie, fondatrice de Ouestmoncycle, Marco Pietteur, éditeur.

Laurence Kayser gynécologue-obstétricien.

Penser le totalitarisme, Ariane Bilheran et Slobodan Despot

Kit de survie psychologique en situation de crise

Mieux comprendre pour mieux réagir :