Le trans-numérique contre le pétrole

[Source : plumenclume.org]

Par ISRAEL ADAM SHAMIR

Commençons par une bonne nouvelle. Un mois d’août resplendissant, le dernier mois d’été, a béni le Nord ! Le soleil brille, les lacs sont encore assez chauds pour la baignade, les champignons sont prêts à être cueillis, les framboises sauvages sont pourpres et sucrées, les fauves rousseurs de Bambi gambadent dans la forêt qui s’étend jusqu’à notre maison d’été ; Dieu est dans son paradis – tout va pour le mieux ! À moins que….? Malgré les efforts incessants pour nous faire basculer dans la panique et le désespoir, on ne jette pas si facilement ce monde robuste dans la tourmente, et il y a même des signes d’amélioration (même si des nuages orageux planent toujours à l’horizon).

Les gens quittent les grandes villes pour s’installer dans des villes plus petites, inversant ainsi une longue tendance. Les capitales surpeuplées ont commencé à se débarrasser de leurs habitants excédentaires. Stockholm a commencé à libérer sa population ; Moscou fait de même. Les Russes innovateurs réfléchissent à des plans pour reconstruire leur capitale dans la lointaine Sibérie, laissant Moscou en plan. Les salaires des ouvriers agricoles et dans le bâtiment augmentent, car les travailleurs invités ne sont pas faciles à trouver. Alors que le flux de migrants et de réfugiés se tarit, oui, les salaires des travailleurs ont commencé à augmenter.

Les voyages internationaux sont devenus si compliqués que seuls les très riches ou les très obstinés s’aventurent encore à l’étranger, de sorte qu’il y a davantage de tourisme intérieur – une activité qui était presque éteinte. Pourquoi un Suédois, un Britannique ou un Russe sain d’esprit passerait-il des vacances dans son propre pays, alors qu’il est moins cher et plus exotique d’aller en Espagne, en Turquie ou en Grèce ? Maintenant, avec ces entraves sans fin, ils préfèrent dépenser leur temps et leur argent dans leur propre pays. Un Suédois découvrira les forêts de montagne de Bergslagen ou la ville médiévale de Gotland ; un Russe pourra visiter les monastères de Vologda, oubliés il y a des siècles dans la nature sauvage du Nord, ou parcourir les magnifiques montagnes de l’Altaï ; un Britannique, au lieu des îles Canaries, pourra désormais se rendre dans les rudes Cornouailles ou visiter la majestueuse cathédrale de Salisbury. Nous n’avions jamais été très sensibles à la mondialisation, et notre désir a été exaucé : la mondialisation, c’est fini. Il s’agit sans aucun doute d’un résultat positif d’une évolution très négative.

Cependant, le durcissement des régimes se poursuit partout dans le monde. Certaines libertés élémentaires dont personne ne doutait, si élémentaires que nous ne savions même pas qu’elles étaient des libertés, comme aller au bistrot, allumer une cigarette, conduire sur quelques kilomètres, discuter avec les copains, flirter avec les filles, dépenser son argent de poche, dire ce que l’on pense, tout cela a été balayé comme l’ivraie sur l’aire de battage. Le droit de se réunir, de manifester, de décider de son propre sort, et même le droit de disposer de son propre corps sont désormais considérés comme insalubres et crapuleux. Les autorités prétendent toujours le faire dans notre intérêt, parce qu’elles savent ce qui est le mieux pour nous.

Il y a quelques années, elles se sont attaquées aux fabricants de tabac ; les juges les ont déclarés coupables de chaque cas de cancer et leur ont imposé des milliards d’amendes. Les gens ont applaudi ; personne n’aime les grandes entreprises. Ce n’est que plus tard qu’elles ont commencé à rendre la vie impossible aux personnes qui avaient cette innocente habitude. Maintenant, ils s’en prennent aux compagnies pétrolières. Elles sont grandes et sales ; personne ne les aime. Mais très bientôt, nos factures de chauffage, nos frais de transport et de nourriture vont monter en flèche. Et nous découvrirons alors que se chauffer en hiver n’est pas un droit naturel, mais un grand luxe.

Aujourd’hui, le prix du pétrole a de nouveau baissé, poursuivant la tendance à la baisse. Pourtant, le prix à la pompe ne baisse jamais, et nous ne pouvons donc pas profiter de ce résultat de la guerre du pétrole. Mais quelqu’un en profite : les géants du numérique. Le pétrole mammouth a été vaincu dans le discours par des géants numériques élégants. Il y a vingt ans, lorsque les États-Unis se sont lancés dans les guerres du Moyen-Orient, il était de bon ton de qualifier chacune d’entre elles de « guerre du pétrole », à moins d’être prêt à faire face à une accusation d’antisémitisme (à Dieu ne plaise !). C’est en vain que nous faisions remarquer que Big Oil n’avait pas besoin du pétrole irakien et ne pouvait pas en tirer profit. Nous avons fait remarquer que l’Afghanistan n’avait pas de pétrole, mais l’invasion était toujours présentée comme une guerre pour le pétrole. Les compagnies pétrolières étaient impuissantes à contrer l’accusation sans pointer du doigt Israël, et elles n’ont pas bronché, elles ont gardé un silence de pierre.

Maintenant, nous avons une offensive sérieuse contre les compagnies pétrolières. Les démocrates ont rédigé un projet de loi visant à taxer Exxon, Chevron et une poignée d’autres grandes compagnies pétrolières et gazières, en affirmant que les plus grands pollueurs du climat devraient payer pour les inondations, les incendies de forêt et autres catastrophes que les scientifiques ont liées à l’usage de « combustibles fossiles ». La taxe devrait rapporter 500 milliards de dollars pour la prochaine décennie. Avant de vous réjouir de la chute des grands pétroliers bellicistes, n’oubliez pas qu’ils transféreront chaque centime de cette taxe sur vous, leurs clients. Et qui fait pression pour cette taxe ? Nos chers philanthropes, dit le New York Times :

« Ces compagnies pétrolières et leurs dirigeants sont de loin les parties les plus responsables de la crise climatique », a déclaré Lee Wasserman, directeur du Rockefeller Family Fund, un groupe philanthropique qui a contribué à l’élaboration de la législation proposée. Les compagnies pétrolières ont accusé le Rockefeller Family Fund de financer une conspiration climatique en finançant des recherches qui ont été utilisées dans des litiges contre l’industrie des combustibles fossiles. 

L’histoire remonte à 2016, lorsque la famille Rockefeller a été accusée d’encourager et de financer les enquêtes et les campagnes contre les compagnies pétrolières. Nous poursuivons dans la version non payante, et donc tout public: 

Les deux organisations journalistiques qui ont enquêté sur l’Exxon Mobil ont été financées par des philanthropies Rockefeller, bien que les organisations disent que leurs donateurs n’ont aucun regard sur ce qu’ils écrivent.

Elle est bien bonne, celle-là! Les donateurs seraient donc aussi susceptibles de soutenir The Unz Review que les publications qu’ils soutiennent effectivement, hum!

Les Rockefeller ont également soutenu des groupes comme Greenpeace et 350.org qui ont enquêté et critiqué l’entreprise. Une conférence sur le pétrole et le climat s’est tenue dans les bureaux partagés par deux fonds de la famille Rockefeller avec l’intention « d’établir dans l’esprit du public qu’Exxon est une institution corrompue qui a poussé l’humanité (et toute la création) vers le chaos climatique et de graves dommages ». Alan Jeffers, un porte-parole d’Exxon Mobil, a déclaré dans une interview : « À chaque fois que nous avons vu l’entreprise faire l’objet d’attaques, il y avait un lien de retour vers le Fonds des frères Rockefeller ou le Fonds de la famille Rockefeller. »

Pour nous, il est particulièrement pertinent que le plus ancien scénario connu de la pandémie de Covid et de la réponse privilégiée à celle-ci (Lockstep 2010 – et voici un « déboulonnage de cette accusation » plutôt ridicule) ait été créé par cette même famille Rockefeller, ce vieil ennemi de l’humanité. Leur emprise unique sur les États-Unis avait été ostensiblement brisée en 1911 par une décision de la Cour suprême, mais comme l’hydre mythique, elle s’est fait repousser de nouvelles têtes et elle est revenue à ses vieux jeux de contrôle. Le Covid et l’Agenda vert semblent être inséparables comme des frères siamois, tous deux nés et militarisés par la grâce de ces « philanthropes » internationaux.

Il n’y a pas si longtemps, ils nous exhortaient à nous débarrasser de nos fidèles réfrigérateurs parce qu’ils provoquaient des « trous dans la couche d’ozone » ! Personnellement, je m’en tape, du Green Deal et de son austérité obligatoire.

Sous la bataille bruyante contre les compagnies pétrolières, l’économie réelle est tranquillement étranglée par l’économie numérique. Vous pouvez choisir de regarder encore plus profondément dans le terrier du lapin d’Alice au pays des merveilles,  et d’entrevoir ce qui se cache en dessous. Vous y découvrirez le programme transhumaniste, une idée singulière qui consiste à créer des surhommes androïdes et à se débarrasser des humains ordinaires. La négation de Dieu est à la base de cette idée. Nietzsche l’a popularisée au début du XXe siècle, après avoir lancé sa célèbre boutade « Dieu est mort ». C’est Julian Huxley, le frère d’Aldous Huxley, qui lui a donné le nom de transhumanisme.

L’idée a connu un essor dans les périphéries de la pensée soviétique en raison de son environnement totalement impie. La version pop se trouve dans les livres de science-fiction écrits par les frères Strugatsky. Ils affirment que la transhumanité est la prochaine étape logique de l’évolution, aboutissant inévitablement à des créatures immortelles, connectées à des ordinateurs et incroyablement intelligentes. Les transhumains hériteront de la terre, tandis que les humains ordinaires pourront vivre leur vie naturelle avant de s’éteindre. C’est ici qu’intervient l’idée du revenu de base universel, version moderne du pain et du cirque romains – il s’agit de l’argent que fourniront  les transhumains supérieurs pour permettre aux humains ordinaires de poursuivre leur vie inutile jusqu’à leur disparition naturelle.

Cette étrange idée post-soviétique (ou plutôt anti-soviétique) a été importée dans la Silicon Valley par les informaticiens russo-juifs qui ont formé le noyau de Google. De là, elle s’est répandue parmi le personnel de la haute technologie jusqu’à attirer l’attention des super-riches, qui ont toujours voulu être spéciaux et pas seulement riches. Yuval Noah Harari, écrivain israélien à succès, est devenu l’un des prophètes du transhumanisme, niant l’existence même d’une âme humaine et du libre arbitre. [en anglais :]

Le transhumanisme est la base idéologique de la Wokerie (ou Wokisme ou Wokitude), une façon particulière de parler et de penser qui souligne le statut spécial et supérieur de chacun. Selon Scott Alexander, la wokitude est une religion à mystères inventée par des universitaires pour se sentir supérieurs à vous. Les gens ordinaires n’aiment pas ça, mais on leur fait comprendre que les wokes ont plus d’argent et de pouvoir, et que c’est une raison suffisante pour faire comme eux. C’est une foi, mais ce n’est pas une foi pour tout le monde comme l’était le christianisme. C’est une foi pour la classe dirigeante. La version arienne du christianisme constituait une foi semblable pour les dirigeants de l’Espagne wisigothique jusqu’à ce que les Maures viennent gâcher la fête. La foi judaïque est un autre exemple de religion pour l’élite, faisant de la vie des masses un véritable enfer. Vous ne pouvez pas comprendre les temps que nous traversons si vous n’êtes pas au courant de cette foi cachée de nos supérieurs.

Les transgenres sont exaltés et promus par les médias appartenant à l’élite pour préparer l’humanité à l’avènement du transhumain. Idem pour les vaccins covididiques qui sont promus et poussés avec une vigueur sans précédent. Cela n’est pas fait dans le but de tuer l’humanité, comme le soupçonnent les anti-vaxx, ni dans le but de nous sauver tous du redoutable covid, comme le croient les vaxxeurs. C’est un pas dans la direction de la transhumanité. L’économie numérique, le revenu de base universel, la transsexualité et les vaccins ARNm obligatoires constituent une stratégie d’évolution rapide dont les visionnaires d’aujourd’hui espèrent qu’elle préparera les masses à accepter une super-race transhumaine.

Mais ce sont des choses qui visent loin et profond. Il y a beaucoup d’escroqueries à réussir avant que leur rêve puisse se matérialiser. Revenons au niveau observable, à la lutte actuelle pour l’énergie. La pandémie de Covid a diminué la demande de pétrole en 2020 et 2021, ce qui a permis à l’agenda vert de se développer. Ce n’est pas suffisant ; l’avenir des Verts a besoin d’une autre attaque contre le pétrole, et le variant Delta de Covid fournira l’occasion. La chute actuelle des prix du pétrole a été interprétée comme l’anticipation de reconfinements imminents, tout d’abord en Israël, pays fortement vacciné. Aux États-Unis, malgré une forte vaccination urbaine, on compte 250 000 nouveaux cas par jour, et on entend des demandes stridentes de limitation de l’activité commerciale.

La Chine est un acteur puissant face à Big Oil ; elle dispose de peu de pétrole en propre ; elle est obligée de l’acheter à l’étranger et a donc tout intérêt à faire baisser les prix du pétrole. C’est pourquoi, bien que la Chine compte un nombre dérisoire de personnes souffrant de covidie (125 nouveaux cas ! mille fois moins qu’aux États-Unis), elle limite toujours fortement les voyages. La version chinoise de Google, Baidu, indique que le trafic à Pékin a baissé de 30 % par rapport à la semaine dernière. Bien sûr, nous pourrions expliquer ces mesures draconiennes en invoquant le respect de la Chine pour la vie humaine, mais leur participation à la guerre mondiale du pétrole l’explique peut-être mieux. Les Chinois continuent tranquillement à faire tourner leur économie au charbon, ce qui montre à quel point leurs partenaires verts dans la guerre du pétrole ne craignent pas le changement climatique. Idem pour les États-Unis : Un projet d’accord visant à mettre fin à l’exploitation du charbon n’a pas été repris dans le communiqué de la réunion du G7 de juin en Grande-Bretagne, apparemment parce que l’administration Biden craignait une réaction négative dans le pays.

De toute façon, le client, c’est-à-dire vous, finira par payer plus cher ; en tout cas, c’est l’idée. En Europe, les prix du gaz naturel ont grimpé de 1000 %, rapporte Bloomberg ; le gaz n’est plus bon marché, mais il reste nécessaire pour réchauffer les Européens au cours de l’hiver à venir. Voilà ce qui se passe: le prix est élevé parce que les bureaucrates de l’UE ont basé leurs calculs sur les prix au comptant, qui sont généralement moins chers que les prix des contrats à long terme, et qu’ils avaient prévu d’entuber les fournisseurs de gaz naturel russes, mais ces derniers jours, la tendance s’est inversée en raison du déficit de gaz et de l’augmentation de la demande.

Les Russes étaient censés être les premières victimes de l’agenda vert, du Covid et de la tarification du gaz naturel au comptant, mais apparemment, le grand judoka Poutine-san est une fois de plus sorti vainqueur. Le prix du gaz au comptant était censé appauvrir la Russie, mais il lui a apporté la richesse. L’attaque contre les compagnies pétrolières américaines et britanniques par les pourvoyeurs du Green Deal a, contre toute attente, fait le jeu des compagnies pétrolières russes. La Russie devra payer une taxe climatique, mais cette dépense sera répercutée sur leurs clients internationaux. Le Green Deal a déjà fait de la Russie le deuxième exportateur de pétrole vers les États-Unis, après le Canada.

Le gaz naturel russe arrivera très bientôt, peut-être avant la fin du mois d’août, en Allemagne par le North Stream II, le nouveau gazoduc achevé la semaine dernière. C’est exactement à temps pour contrer la hausse des prix, alors qu’un déficit gazier se fait sentir dans toute l’Europe. Le président Biden a accepté, dans un accord semi-secret avec la chancelière Merkel, de lever les objections américaines au gazoduc européen. L’une des raisons invoquées est une pénurie mondiale de gaz naturel, la Chine et l’Asie du Sud-Est en achetant de plus en plus. Cela aussi est lié au Green Deal, car ses concepteurs considèrent que le gaz naturel est le moins polluant et le moins dommageable des combustibles naturels.

Cette évolution a permis à Poutine de couper l’herbe sous le pied aux autorités ukrainiennes qui avaient tenté de jouer les premiers violons dans l’orchestre anti-russe. Jusqu’à présent, le gaz naturel russe était acheminé vers l’Europe par d’anciens gazoducs de construction soviétique traversant l’Ukraine et entraînant de lourdes taxes de transit au profit de Kiev. Désormais, avec l’achèvement de North Stream II, la majeure partie du gaz ira directement en Allemagne. Le gaz européen deviendra considérablement moins cher ; les Ukrainiens avaient l’habitude de voler une grande partie du gaz destiné à l’Europe occidentale, oscroquaient les deux parties pour les frais de transit. Cela signifie que l’Ukraine aura moins de bénéfices pour jouer ses petits jeux anti-russes. Il n’est pas impossible que le peuple ukrainien comprenne que son avenir réside dans l’amitié avec la Russie, car l’inimitié ne lui a rapporté aucun bénéfice. Selon un récent sondage, près de la moitié des Ukrainiens vivant à l’est et au sud de ce pays fragmenté ressentent une grande affinité avec les Russes et approuvent la vision de M. Poutine selon laquelle les Ukrainiens et les Russes ne forment qu’un seul peuple. Les prix du pétrole et les gazoducs font des merveilles dans l’esprit des gens !

Dans mon récent article, le professeur Roman Zubarev parle de ces changements en termes de « pic pétrolier », le concept d’un déclin inévitable des combustibles naturels extraits. Il y a une dizaine d’années, le pic pétrolier faisait fureur dans les médias, mais depuis, il n’est pratiquement plus mentionné. Cependant, une analyse récente de Fred Pierce, analyste de YaleEnvironment 360, arrive à la même conclusion et va même plus loin : Le pic pétrolier est déjà derrière nous. Apparemment, cela s’est produit en 2019. En mai dernier, des militants en colère contre les politiques climatiques d’ExxonMobil ont remporté trois sièges au sein de son conseil d’administration ; les actionnaires de Chevron ont voté pour obliger l’entreprise à commencer à réduire ses émissions ; et un juge néerlandais a décidé que Shell devait réduire ses émissions de 45 % d’ici 2030. Le pétrole est en voie de disparition, tout comme les voyages et les nombreux autres plaisirs que nous goûtions jadis. Seul l’avenir nous dira si le pétrole a disparu parce que nous n’en avons plus ou parce qu’il a été déclaré démodé, mais dans tous les cas, les élites inspirées par le numérique et le transhumanisme ont décidé de le mettre à la retraite.

Nous pensons que la principale victime de tout cela sera le consommateur américain. Le maladroit Donald Trump se souciait de ce grand pays et de ses habitants, mais n’a pas pu faire grand-chose ; les élites qui s’abreuvent maintenant aux sources du pouvoir ne pourraient pas se soucier moins des Américains ordinaires. Elles ont une vision plus élevée de la transformation de l’humanité et du remodelage de son cours. C’est vous qui paierez pour cela, que cela vous plaise ou non, mais ça, ils s’en moquent.

Les États-Unis de Biden ont moins d’appétit pour les aventures militaires ; l’idéologie du woke est fortement anti-testostérone. C’est une raison suffisante pour le retrait de l’Afghanistan et de l’Irak. On ne peut pas s’attendre à ce que les wokes veuillent aller se battre dans des pays du tiers-monde, loin des plaisirs urbains de New York et de la Californie. Et si leur idéologie élitiste, ou trans-foi, est abominable, mais les conséquences internationales pourraient être positives pour le monde.

En résumé

Nous vivons une lutte titanesque entre un futur numérique contre notre passé pétrolier. Cela explique une grande partie du drame covidique. Dans cette lutte, la Chine, sans pétrole, s’oppose à Big Oil, même au prix de lourdes restrictions et de blocages pour sa population. La Russie s’abstient de participer à l’attaque du « Green Deal » contre les producteurs de pétrole américains, tout en profitant de la hausse de la demande de gaz russe. La Russie dispose de son propre vaccin, elle est donc plutôt à l’abri des pressions orchestrées par les pandémies. L’Afghanistan et l’Irak ne sont plus d’actualité pour les élites de Biden ; elles ont des combats plus urgents à mener chez elles, avant tout contre les nationalistes américains. C’est pourquoi l’empire se retire. En fin de compte, les transhumanistes impies seront vaincus, comme l’ont été tous leurs prédécesseurs, à moins qu’ils n’atteignent d’abord leur « Singularité » (leur nom pour l’avènement de l’Antéchrist). Mais ne nous inquiétons pas trop de l’avenir, car il est dit (Mt, 6:34) : « ne vous inquiétez donc pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine ».

https://www.unz.com/ishamir/trans-digital-vs-oil/

Écrit en collaboration avec Paul Bennett.

Joindre l’auteur: israelshamir@gmail.com

Traduction: MP.




La destruction de notre système de soin et les mesures sanitaires détruisent notre économie

Par Gérard Delépine

[Illustration : imgscan contrepoints 2013-2433 santé.]

[Voir aussi sur economiematin.fr]

Il y a vingt ans notre système de soins était reconnu comme l’un des meilleurs du monde. Maintenant nous sommes au-delà du 20e rang mondial. Et la surcharge prétendue des services de réanimation constitue le prétexte à des contraintes liberticides qui achèvent l’économie mise à mal, non pas par l’épidémie, mais par les mesures inutiles censées la combattre.

Certes le gouvernement Macron n’est pas le seul responsable de la destruction de notre système de santé, mais toutes ses actions n’ont fait qu’aggraver considérablement la situation.

La diminution du nombre de lits et la prise de contrôle de la médecine par la bureaucratie

Toutes les politiques sanitaires depuis plus de vingt ans sont décidées par des non-médecins(([1] Un médecin est une personne qui traite non pas des maladies mais des malades en tenant compte de leur nature unique (antécédents, besoins…) )) qui considèrent que la santé a uniquement un coût qu’il faut absolument abaisser. Ils ont drastiquement diminué le nombre de lits. Entre 2000 et 2015, « le nombre de lits d’hôpitaux en France a diminué de 15 %,(([2] Gaëtan Lafortune économiste à l’OCDE. Diminution du nombre de lits à l’hôpital mais hausse de la population selon un rapport de l’OCDE France info 24/11/2017. 
https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/diminution-du-nombre-de-lits-a-l-hopital-mais-hausse-de-la-population_2483265.html)) alors que la population a augmenté de 10 % et a fortement vieilli. Le nombre de lits pour 1000 habitants est ainsi descendu de 8 à 6,1 tandis que les besoins de soins d’une population plus nombreuse et plus âgée grandissaient.(([3] https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/salaires-des-infirmiers-nombre-de-lits-niveau-de-la-dette-neuf-graphiques-pour-comprendre-la-situation-des-hopitaux-avant-les-annonces-d-edouard-philippe_3709593.html))

Et malgré la pandémie, Gouvernement et autorités sanitaires continuent de fermer des centaines de lits d‘hospitalisation temps plein dans les hôpitaux. En mai 2020, le ministre de la Santé Olivier Véran affirmait qu’il fallait « sortir du dogme de la fermeture des lits » mais c’est une promesse reniée de plus.(([4] Le gouvernement continue de supprimer des lits d’hospitalisation : la carte des hôpitaux concernés – Basta ! (bastamag.net) ))
 

Une gestion dispendieuse qui oublie la raison d’être de l’hôpital

Un hôpital devrait être conçu pour répondre aux besoins de la population. Mais la gestion uniquement financière a détourné le système hospitalier de sa mission fondatrice. Les directeurs favorisent systématiquement les activités rentables, poussent les soignants à multiplier les actes intrusifs et abandonnent celles qui le sont moins dans le système de paiement à l’acte (tout ce qui relève de la clinique. C’est l’une des raisons de l’abandon des services des urgences au profit des actes de chirurgie réglée, plus rentables.

Les services de gestion ont été considérablement hypertrophiés aux dépens des services de soin. En trente ans, dans certains hôpitaux de l’AP-HP, le rapport nombre de gestionnaires/ nombre de lits a été multiplié par 10 tandis que celui soignants/lits stagnait.

Et cette gestion n’est pas efficace : lorsque le ministère constatant l’état déplorable des ordinateurs du service nous a alloué un budget dédié pour y remédier la direction nous a imposé le service d’achat centralisé qui a acquis le matériel à un prix nettement supérieur à celui du marché de l’époque, matériel qui ne nous ait d’ailleurs pas parvenu car il aurait été volé le soir même de sa livraison à l’hôpital !

Ce n’est pas seulement d’argent que l’hôpital a besoin mais d’une gestion peu couteuse, transparente et efficace, recentrant les moyens disponibles vers le soin et les soignants et limitant, comme à l’armée en temps de crise, les effectifs de « l’arrière » à un pourcentage réduit de l’effectif total. Donner plus de ressources à l’hôpital pour augmenter le nombre de non soignants est inutile, voire malfaisant.

Les politiques ont limité fortement le nombre de médecins car former des médecins revient cher d’autant que le temps de formation d’un médecin est long (10 ans). Augmenter le numérus clausus nécessiterait d’augmenter les moyens des facultés de médecine qui sont aujourd’hui au maximum de leurs capacités d’accueil. Un rapport de l’OCDE note que si entre 2000 et 2015, le nombre de médecins en France est resté stable (3,3 médecins pour 1000 habitants), « il a augmenté presque partout » en Europe. La France qui affichait un niveau « plus élevé que la moyenne européenne en 2000 », se situe désormais en-dessous. Et la baisse est particulièrement marquée pour les médecins généralistes qui constituent les soignants de première ligne contre le Covid19 entre autres maladies.

Ces médecins français sont en outre relativement âgés : plus de 50 % d’entre eux ont plus de 55 ans, En 2025, la France aura perdu un médecin généraliste sur quatre en vingt ans.(([5] https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html)) Actuellement plus de 5,4 millions de personnes, soit 8 % de la population, vivent dans des zones où l’accès à un médecin généraliste est limité. Sans alternative, ils se tournent alors régulièrement vers les urgences constamment débordées.

La démotivation des soignants culmine avec l’obligation d’un pseudovaccin expérimental

Bien avant la crise du Covid les soignants criaient à l’aide par des tribunes, une grève des urgences qui durait depuis près d’un an et des manifestations réprimées avec violence. Pour un représentant syndical, « à force de ronger l’hôpital public, on en a atteint l’os ». Depuis le début de la crise Covid le gouvernement a affiché son mépris des soignants en leur interdisant de traiter les malades selon leur expérience, le ministre dictant leur ordonnance : pas d’antibiotiques ni de chloroquine, Doliprane seul pour les formes bénignes, Rivotril pour achever les vieux. Maintenant il veut leur imposer une injection expérimentale inefficace suscitant des préavis de grève dans de nombreux hôpitaux. Les soignants ne sont pas des antivax, mais ils savent que l’inefficacité du traitement expérimental Pfizer se confirme chaque jour davantage comme le montrent les données officielles de l’état hébreux, et ils en constatent chaque jour directement les effets secondaires aux urgences, dont certains mortels

« La France est en guerre » a déclaré le président en mars 2020. Mais quel général peut espérer gagner une guerre en réduisant le nombre de ses soldats de première ligne, en les désarmant ? en fermant les lits d’hospitalisation temps plein, en leur interdisant de traiter précocement, et en cassant le moral des troupes par le mépris qu’il affiche à leur égard en voulant leur imposer des pseudo-vaccins qu’ils savent inefficaces et dangereux.

Et quel soldat peut encore avoir confiance en un général qui s’est parjuré après son allocution du 24 novembre 2020 où il déclarait « Je veux aussi être clair : je ne rendrai pas la vaccination obligatoire » ?

Au total, il aurait suffi d’une dizaine de milliards et d’écouter les soignants pour remettre l’hôpital au niveau de 2000 et redonner confiance aux personnels. Macron a répondu qu’il n’y a « pas d’argent magique » à leur consacrer, mais les mesures prises en urgence parce que l’hôpital risquait d’être débordé ont déjà couté 400 milliards. Et l’hémorragie financière continue à saigner la France et à détruire l’économie.

Le mirage de la sanctuarisation par la vaccination

Le ministre prétend pouvoir transformer les hôpitaux en sanctuaire sans covid par la vaccination. Mais sait-t-il vraiment de ce qui se passe dans le monde réel où un taux de 100 % de vaccinés ne protège pas des reprises de l’épidémie ?

Un exemple récent d’échec de sanctuarisation par les pseudovaccins est celui du porte avion britannique Queen Elizabeth. 1300 marins à bord, tous complètement vaccinés depuis plus de 4 mois. Une escale. Et trois jours plus tard une épidémie éclate avec plus de 100 cas.

L’exemple de Gibraltar démontre qu’un taux de vaccination record est loin de protéger la population. Ce micro-état de 34000 habitants a commencé l’injection d’Astra Zeneca en décembre2020 et, au terme d’une campagne éclair, est parvenu à une couverture vaccinale de 115 % (car elle concernait aussi les travailleurs espagnols).

Malheureusement cette couverture vaccinale record a été suivie d’une dissémination colossale de la maladie, d’une mortalité record (95 morts soit 2794/Million contre 1049/M aux Pays-Bas et 189/M en Norvège) et n’a pas empêché la reprise récente de l’épidémie par le variant delta.

Un plus petit exemple, plus proche de nous, est celui des moines retraités de Vendée. À Chavagnes-en-Paillers, entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

Le mirage de la création de sanctuaires par les vaccins, né de simulations virtuelles, n’existe pas dans le monde réel.

L’inefficacité des pass sanitaires

L’inefficacité des pseudo-vaccins actuels expliquent l’inefficacité des pass sanitaires que la loi scélérate récente instaure. Donnons-en quelques exemples :

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht se sont crus protégés par leur pass sanitaire vérifié à l’entrée via l’application CoronaCheck. Mais quelques jours après le festival, plus de mille d’entre eux participants ont été infectés dont une majorité de vaccinés. Au moins 448 festivaliers auraient été infectés le premier jour et 516 le deuxième jour.

Les 50 000 participants des festivals tests Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont présenté à l’entrée des pass valides ou des tests négatifs et porté des masques. Dans les jours qui ont suivi 2300 personnes se sont révélés contaminés : 466 participants au Vida Festival, 956 au Canet Rock, et 857 à la Cruïlla, soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents.

L’Autriche a instauré un pass sanitaire obligatoire pour l’accès aux restaurants, aux hôtels, aux théâtres, aux concerts, dans les stades ou les salles de sport le 1er juillet 2021 alors que l’épidémie régressait (taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières).

Depuis l’instauration du pass, l’épidémie est repartie de plus belle et se stabilise à 6 fois la valeur d’avant passe (479 cas/jour).

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters : 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

L’inefficacité sanitaire du pass et son caractère discriminatoire inédit l’ont fait abandonner dans la plupart des pays qui l’ont essayé : après un mois à Moscou, deux mois en Israël, quatre mois au Danemark…Et de nombreux pays démocratiques l’ont jugé anti constitutionnel : les USA, la Grande-Bretagne, la Suède, les Pays-Bas…

Alors pourquoi la loi scélérate impose-telle une discrimination majeure attentatoire aux libertés fondamentales, inefficace et abandonnée par presque tous ceux qui l’ont essayé ?

Les mesures dites sanitaires tuent la population, mais aussi l’économie

Ces mesures prétendument sanitaires(([6] Aucune des contraintes majeures (masque en extérieur, confinement, couvre-feux, fermeture des restaurants et café en terrasse, pseudovaccin) n’a scientifiquement prouvée qu’elle était efficace)) visent à masquer la responsabilité de nos gouvernants dans la destruction de notre système de santé. Mais elles aggravent considérablement la situation du pays en rajoutant aux victimes directes de la maladie les victimes collatérales des mesures sanitaires, une crise sociale, scolaire, et économique et politique majeure.

Le confinement et le plan blanc ont aggravé la mortalité globale par les refus et retards de soins, des maladies aigues et chroniques, l’arrêt des programmes de prévention, multiplié les troubles psychiatriques, multiplié les décrochages scolaires, aggravé la pauvreté et le chômage et détruit inutilement une partie de notre économie.

Les pertes financières ont touché plus fortement les pauvres aggravant d’autant leur pauvreté.(([7] Annie Firlej, Émilie Pawlowski Insee Des conséquences financières du premier confinement plus ou moins marquées selon les territoires))

Au deuxième trimestre de l’année 2020, l’INSEE indique une baisse de 13,7 % du PIB par rapport au trimestre précédent (dont -31 % en avril) ce qui constitue un des plus gros chocs économiques qu’a connus la France depuis 1945. L’impact du 2e confinement a été moins violent (-11,6 % de PIB en novembre) grâce à des mesures moins drastiques et la réouverture des commerces non-essentiels deux semaines avant la levée du confinement. Au total, d’après l’INSEE, l’économie française a subi une chute du produit intérieur brut de 8 % en 2020,(([8] Victor Amoureux, Jean-Cyprien Héam, Thomas Laurent (Insee Les comptes de la Nation en 2020 No 1860
Paru le : 28/05/2021 
https://www.insee.fr/fr/statistiques/5387891)) bien supérieure à celle observée dans les pays qui n’ont pas subi de confinement (tel que la Suède où la chute du PIB n’a atteint que 2,8 %(([9] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/suede/apprehender-le-contexte-economique)) ou les Pays-Bas où elle est d’environ 3,8 %(([10] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/pays-bas/apprehender-le-contexte-economique)))

La responsabilité des restrictions sanitaires dans ce désastre économique sans précédent est confirmée par la proportionnalité de la chute des PIB et l’intensité des restrictions imposées aux populations selon le schéma ci-après publié par le Monde. Ceux qui ont fait pire que nous sont ceux qui ont appliqué les mesures ls plus restrictives de liberté (Italie, Espagne, Grande-Bretagne :

La poursuite d’une propagande covid terroriste et de mesures restrictives comme le pass sanitaire continue d’entraver la reprise économique et risque de condamner une grande partie des secteurs les plus durement touchés comme le spectacle, le tourisme, les restaurateurs,(([11] https://www.youtube.com/watch?v=kdQUxa1VaB0)) les transports. l’hôtellerie qui ne peuvent redémarrer sans le retour de la clientèle internationale et des voyageurs d’affaires que le pass qui n’existe pas dans leurs pays rebute.

L’incertitude a forcé les Français qui le pouvaient à économiser. Mais pour qu’ils reprennent le chemin des commerçants et relancent l’économie, il faut leur redonner confiance dans la parole de l’état et dans le futur.

Cela nécessite de reconnaitre que les pseudovaccins actuels et le pass ne sont pas efficaces contre le variant delta puisqu’il a d’abord prospéré dans les pays qui les ont utilisés.

Dire enfin la vérité : qu’il est plus contagieux mais très peu dangereux et qu’il n’y donc aucune raison pour que la vague en cours submerge les hôpitaux. Reconnaître enfin que la suppression de toutes les mesures sanitaires en Grande-Bretagne le 19 juillet par B. Johnson a été suivie d’une forte baisse es contaminations et qu’il ne faut donc pas en avoir peur en France.

La poursuite de la propagande de terreur par le gouvernement et les médias covid terroristes nous condamne à une stagnation économique sans fin.





Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid

Par Nicole Delépine

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera malade cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice »…

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté, alternant entre confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires, d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et, au minimum, de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir, mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien…

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio…

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les événements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs.

LE NOMBRE D’EFFETS INDÉSIRABLES DÉCLARÉS EN LIEN AVEC LES VACCINS ANTI-Covid A DÉJÀ LARGEMENT DÉPASSÉ, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDÉSIRABLES RAPPORTÉS, DEPUIS LA CRÉATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUÉS.(([1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/))

L’Étude d’Enzololo(([2] https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/Covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance
Covid-19 — Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo — Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.
Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 août : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours “les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS” (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle :
https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins »)) de début août rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-Covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins de 1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin Covid. Les données VAERS publiées début août par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la Covid, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.(([3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.))

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la Covid avaient été administrées en date du 30 juillet :

139 millions de doses du vaccin de Moderna

193 millions de doses de Pfizer

13 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la Covid.

Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.(([4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/)) Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise Covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès, etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

•15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la Covid, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021, et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1 505 250), décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

•Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1 406 840 et 1 431 289), décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans, décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1 463 061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1 187 918, 1 382 906 et 1 242 573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1 420 630, 1 466 009, 1 225 942, 1 475 434 et 1 386 841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1 199 455, 1 388 042 et 1 420 762).

• 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

ont été attribués au vaccin de Pfizer.

• 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.

• 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid :
AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITÉ

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

Selon les CDC les chiffres sont comparables(([5] Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.))

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.(([6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :
« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.
Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque. »))

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC,(([7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine: 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) )) en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine,(([8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic)) une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PÉRICARDITE SIGNALÉS PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la Covid indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP(([9] Advisory Committee on Immunization Practices.
Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis.)) le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la Covid à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la Covid l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de Covid pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la Covid. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la Covid aux États-Unis à demander une approbation complète.

ACCIDENTS PRÉOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le Covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique : suicide, tentatives de suicide — idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique.

« Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… »

Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie. Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832(([10] Le 1 er août 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale — en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours)) sur twitter.

FERTILITÉ ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter.(([11] 7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale))

« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

Les vaccins anti-Covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu. »

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire “stérilisation de masse”(([12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid — Résumé. (wordpress.com) ))

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du Covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTÉINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes, etc.

« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation.

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. »

Dr. Byram Bride

Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la Covid-19 et aux vaccins.

2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)

3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques

4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre Covid-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels.(([13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin Covid-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… » 27 juillet 2021 par mirastnews in Europe/Par le Dr Joseph Mercola))(([14] Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif- (covid19) — (post%C3%A9-par-Dr-Perronne) — (1) : 7?src=embed))

Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60 % des IRM cérébrales de personnes vaccinées. Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements, etc. et pas à l’aveugle.

Enfin citons simplement les inquiétudes des cancérologues devant la multiplication des cancers nouveaux et des rechutes y compris chez des patients en rémission depuis longtemps. Une veille à ce sujet s’impose pour le moins de même que sur l’apparition de maladies neurodégénératives chez les vaccinés. L’histoire est loin d’être écrite.

VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFÈRE

Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent ni les vaccinés ni les autres. Voyez les expériences à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

En Israël,

« 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses. 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés !(([15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/ à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive))

En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que

« sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4 % ».

LE REMÈDE CONTRE L’HYSTÉRIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace, car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs-Élysées à la Bretagne, etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides ait la même efficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.(([16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! — Boris Karpov (tvs24.ru)
« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres “standard” de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sûr les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !
Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5 000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de “trahison”, au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc., etc. C’est un véritable raz de marée. »))





Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts

[Voir aussi sur docteur.nicoledelepine.fr]

Par le Dr G Delépine, chirurgien et statisticien médical

Les vaccins actuels ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts

Chaque jour nous sommes harcelés par la propagande vaccinale qui répète :

« seule la vaccination peut mettre fin à l’épidémie »

« les vaccins sont efficaces contre le variant delta »

« une fois la population vaccinée il n’y a plus de risque ».

Ces affirmations sont totalement mensongères. Les vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta, ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts et ne préviennent pas les reprises de l’épidémie. Ils sont incapables de mettre fin à l’épidémie.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays champions de la vaccination décrites dans les publications de l’OMS (OMS Covid Dashboard) et les courbes de OurWorldinData Covid.

En Grande-Bretagne l’épidémie repart malgré l’Astra Zeneca

La vaccination Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion  en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

L’incapacité des injections anti-covid à protéger les vaccinés et leurs contacts a été récemment illustrée par l’épidémie de plus de 100 cas qui a touché les 1300 marins du HMS Queen Elizabeth, alors qu’ils avaient tous été complètement vaccinés depuis plus de trois mois.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

En Israël, les injections Pfizer n’empêchent pas la reprise de l’épidémie

Même phénomène en Israël où la vaccination a été suivie d’une explosion de cas et de morts pendant deux mois. Après une accalmie de 3 mois, une reprise de l’épidémie qui s’accélère depuis début juillet montre que le vaccin Pfizer est inefficace contre le variant delta.

En Israël les vaccinés représentent actuellement près de la moitié des nouveaux cas. Et contrairement aux annonces des labos et des gouvernants, recevoir l’injection Pfizer ne protège pas non plus des formes graves : en Israël les vaccinés sont actuellement plus nombreux en réanimation que les non vaccinés : 71% de ces 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) sont totalement vaccinés !

Pire encore, la proportion de malades graves vaccinés est supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées (61%.)

Ces chiffres commencent à faire douter les autorités sanitaires de l’efficacité du vaccin Pfizer. Le gouvernement a réintroduit l’obligation légale de porter des masques dans les lieux publics, deux semaines seulement après son abandon et conseille maintenant une troisième injection aux plus de 60 ans. Lui qui prétendait qu’après deux injections les Israéliens seraient libres et protégés, accuse ses concitoyens d’indiscipline au lieu de reconnaître que le vaccin Pfizer est inefficace. Néanmoins, selon les médias israéliens, le ministère de la Santé a annoncé qu’à partir du 1er août, tout Israélien de plus de 18 ans recevant sa première dose recevra le vaccin Moderna. Aucune explication pour ce changement.

Aux Émirats Arabes Unis, champion arabe des injections, celles-ci ne sont pas  plus efficaces

Aux ÉAU,  la vaccination a débuté en fin décembre 2020 à l’aide de Pfizer et Sinopharm et actuellement plus de 80% de la population a reçu les deux doses de vaccin depuis plus de 3 mois. Mais le nombre de nouvelles contaminations et la mortalité quotidienne restent toujours plus élevés qu’avant la vaccination

Avant la vaccination, en 9 mois d’épidémie, les EAU comptaient 197124 cas et  632 morts. Après 7 mois de vaccination, au 1/8/2021, ces chiffres ont plus que  triplé avec respectivement  682377 cas et 1943 morts. Dans ce pays aussi les injections anticovid ne sont pas efficaces.

Dans ces pays champions des vaccins anti-covid, ceux-ci n’ont pas protégé les vaccinés de la maladie, ni empêché les transmissions, ni prévenu les formes graves, ni évité une nouvelle vague d’infections.

Les campagnes de vaccination ont de plus été suivies à chaque fois pendant deux mois ou plus d’une augmentation forte des contaminations et de la mortalité (hécatombe post vaccinale) établissant les records mensuels de nouveaux cas et de morts depuis le début de l’épidémie.

Catastrophe post vaccinale aux Seychelles

Dans ce petit pays d’environ 100000 habitants les injections anti covid Sinopharm ainsi qu’une version indienne du sérum AstraZeneca ont été administrées à plus de 75% de la population avec des suites franchement délétères.

Avant la vaccination débutée en février 2021 les Seychelles recensaient 1243 cas et 3 morts. Six mois après la vaccination, le 2/8/21 elles comptent 18189 cas et 94 morts malgré le confinement et les autres mesures sanitaires qui leur ont été imposées depuis la campagne d’injections anti-covid.

Catastrophe post vaccinale en Mongolie

Avant la vaccination débutée le 23 février 2021 la Mongolie avait été épargnée par le Covid et ne recensait que 2723 cas et 2 morts5 mois après la vaccination, le 2/8/21 malgré une couverture vaccinale très élevée, supérieure à 65% elle comptabilise 164155 cas et 827 morts.

Catastrophe post vaccinale au Cambodge

Avant la vaccination le Cambodge avait été épargné par l’épidémie et ne recensait aucun mort de Covid. La vaccination a commencé le 7 février 2021. Neuf jours plus tard a été observé le premier décès dont le nombre total atteignait 1442 au 2 aout 2021.

Dans ces trois pays, auparavant quasiment indemne de Covid, les injections anti-covid ont exacerbé l’épidémie de manière dramatique

Pourquoi les injections anti-covid sont-elles aussi inefficaces ?

Contrairement à ce qui est officiellement raconté, les injections actuelles ne sont pas des vaccins (elles ne contiennent pas d’antigènes viral ni de virus inactivé) mais des injections d’ARN messager. Cette technique n’a jamais été utilisée chez l’homme pour lutter contre des infections et les résultats des essais de phase 3 ne seront pas connus avant 2023. Il s‘agit donc d’un traitement totalement expérimental qui n’aurait jamais dû être commercialisé avant la fin et l’analyse des essais cliniques phase 3 (2023). En population réelle, ils se révèlent trop peu efficaces.

L’aggravation dépendante des anticorps(([1] Stéphane KORSIA-MEFFRE VACCINS CONTRE LA COVID-19 : DOIT-ON S’INQUIÉTER DU RISQUE DE MALADIE AGGRAVÉE CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES ? 03 novembre 2020))(([2] Lee, W.S., Wheatley, A.K., Kent, S.J. et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol 5, 1185–1191 (2020).
https://doi.org/10.1038/s41564-020-00789-5))(([3] Eroshenko, N., Gill, T., Keaveney, MK et al. Implications de l’amélioration de l’infection dépendante des anticorps pour les contre-mesures du SRAS-CoV-2. Nat Biotechnol 38, 789-791 (2020). 
https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1))(([4] Ricke DO. Two Different Antibody-Dependent Enhancement (ADE) Risks for SARS-CoV-2 Antibodies. Front Immunol. 2021 Feb 24 ;12 :640093. doi : 10.3389/fimmu.2021.640093. PMID : 33717193 ; PMID : PMC7943455.)) peut expliquer les hécatombes post injections

L’explosion précoce des cas et de la mortalité après les campagnes d’injections anti-covid traduit vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants (aggravation dépendante des anticorps ADE) déjà observé dans plusieurs infections virales, notamment le virus de la dengue, et les infections précédentes à coronavirus le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Sa nocivité a été tristement démontrée par la mort de plusieurs centaines d’enfants lors de la catastrophe sanitaire du vaccin Dengvaxia aux Philippines.

L’aggravation dépendante des anticorps (ADEantibody-dependent enhancement) est un large concept qui survient en lien avec certaines infections virales, lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination. Il peut s’agir : d’une « maladie aggravée associée à l’infection (initiale) » (IAEDinfection-associated enhanced disease) ou d’une « maladie aggravée associée à la vaccination » (VAEDvaccine-associated enhanced disease). Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou une faible spécificité de ces anticorps, par exemple lors d’immunité croisée entre deux infections virales.
Ce risque avait été évoqué par l’académie de médecine en janvier 2021(([5] Communiqué de l’Académie de médecine : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ? 11/1/21)): « le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

La fuite immunitaire avec l’apparition des variants explique l’incapacité à prévenir les futures rechutes

L’Académie avait averti que la généralisation d’un traitement insuffisamment efficace facilite l’apparition des variants ainsi « au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le Pr Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique dans un article(([6] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021 : 
https://doi.org/10.1016/S2468 2667(21)00036-0)) en anglais malheureusement non relayé en France avaient averti : « la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… Au niveau de la population…, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. »

Conclusions

L’examen des faits avérés publiés par l’OMS montrent que les injections anti-covid actuelles sont incapables de protéger ceux qui les reçoivent de la maladie, ni des formes graves, ni d’en mourir.

Elles n’empêchent pas non plus la transmission aux contacts. Elles sont inefficaces contre le variant delta et donc incapables de prévenir les récidives des épidémies.

Les campagnes d’injection sont presque constamment suivies par une recrudescence de cas et de morts pendant plus de deux mois.

Comme elles exposent de plus à des complications graves, parfois mortelles comme le montre (entre autres) le site européen chargé de la surveillance des effets secondaires des médicaments dépendant de l’agence européenne, il n’existe aucune justification médicale à les conseiller et encore moins de les imposer directement ou indirectement par l’artifice d’un passe discriminatoire.

Les irresponsables ne sont pas ceux qui doutent des injections anti-covid expérimentales, mais bien ceux qui veulent les imposer sans attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et refusent de recommander les traitements précoces qui ont fait leurs preuves dans de nombreux pays dont l’Inde.





Pass sanitaire ou pass suicidaire ? « Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France. »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

ENTRETIEN – Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.

France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans « Profession Gendarme », un article intitulé « Quand cesserons nous d’être des moutons ? » dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n’empêcheraient la deuxième vague. L’Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?

Jean-Pierre Joseph : Non seulement l’Histoire m’a donné raison, mais cela a continué, car j’avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n’auraient aucun effet sur le freinage de l’épidémie. En fait à l’époque, les gens croyaient qu’en obéissant cela s’arrêterait, et je leur disais 

« C’est justement parce que vous obéissez que cela ne s’arrêtera jamais… »

En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu’il m’est difficile d’accepter qu’une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n’a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n’aient pas d’avantage dénoncé ces contradictions :

  • Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,
  • Le confinement « allait faire accélérer l’épidémie« , puis un mois plus tard, « allait la freiner« 
  • Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d’antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?
  • Plus récemment « les enfants n’attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux » puis « Ils doivent se vacciner« .
  • Dans les restaurants, dès que l’on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu’en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?
  • Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s’il travaillait de nuit comme les infirmières… »

Vous avez dénoncé ce que vous appelez la « Scientocratie ». Comment définissez vous cela ?

Ce que j’appelle la Scientocratie, c’est un phénomène qui est arrivé progressivement : un groupe de « scientifiques » dont la plupart ne voient plus de malades depuis longtemps, dont la plupart ont des liens d’intérêts importants avec l’industrie pharmaceutique, et qui sont une minorité, affirment depuis le début qu’il fallait se confiner, porter le masque pratiquement jour et nuit, ne pas se soigner si l’on tombait malade, car « il n’y avait pas de traitement« , et que seul le « vaccin » nous sauvera.

Comme des moutons, nous avons accepté cela, alors que des milliers de médecins en France signaient des pétitions indiquant « laissez-nous prescrire« , car quiconque prescrivait l’une des quatre thérapeutiques mondialement connues, mais qui étaient interdites, s’il était dénoncé (comme autrefois, la France compte beaucoup de collabos), il faisait l’objet de poursuites disciplinaires. Cette minorité a imposé son soi-disant savoir au gouvernement. Pourtant l’on continue d’écouter ces gens là qui ont démontré par les faits l’inefficacité de leur « Savoir ». Malheureusement tous les autres, qui pourraient nous démontrer le scandale sanitaire découlant de ces positions, ne sont jamais invités sur les plateaux. Demandons-nous pourquoi.

La blouse blanche a remplacé la soutane.

Vous évoquez des « thérapeutiques mondialement connues ». Pouvez vous préciser ?

Comme je l’ai déjà expliqué, l’on connaissait depuis des décennies, en matière de traitement d’un virus grippal, au moins quatre thérapeutiques :

1- l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine,
2- la vitamine C en perfusion et à haute dose,
3- l’artemisia annua
4- l’ivermectine.

De nombreuses publications nous ont démontré que ces thérapeutiques étaient extrêmement efficaces, avec peu d’effets secondaires, à condition qu’elles soient utilisées dès les premiers symptômes. Nos scientocrates connaissaient cette information, et (comme s’ils le faisaient exprès), se sont dressés contre, se basant sur les seules études de cas dans lesquels l’on avait attendu que l’état du patient ne se soit fort dégradé, pour dire que ces thérapeutiques « ne marchaient pas… »

Bref, tout était fait pour nous faire croire que seul le « vaccin » pourrait nous sauver.

Cette position, en toute logique, est inexplicable, d’autant plus que de nombreux médecins avaient informé le ministère de la Santé qui ne voulait rien entendre.

Mais les vaccins anticovid ne permettent-ils pas d’arrêter l’épidémie ?

Je ne suis pas médecin, mais je suis obligé de dire ce que je vois : dans un article récent, intitulé « Covid 19 : injection chimérique transgénique – l’hécatombe vaccinale s’étend dans le monde » le Dr Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, montre que les courbes des décès montent en flèche, dans tous les pays dès le début de la vaccination de masse. Le cas des Anglais qui ont été les premiers en Europe à vacciner est caractéristique : dès le début de ces injections de masse, est apparu… le variant anglais… Puis la courbe des décès a remonté de manière spectaculaire. Naturellement aucun des grands médias n’en a parlé. Pourtant, ils avaient les courbes officielles devant les yeux. On dirait qu’ils sont chloroformés. Actuellement des médecins israéliens, résidant dans l’un des pays les plus vaccinés au monde, nous indiquent que chez eux, plus de 51% des hospitalisés avec le diagnostic de covid-19, sont vaccinés, et que la courbe de mortalité chez les jeunes a augmenté de 20% entre 2020 et aujourd’hui.

J’ai l’impression que non seulement ce « vaccin » ne protège pas beaucoup, mais en plus rend beaucoup de gens malades. Plus on « vaccine », plus il y a de malades !

On parle d’effets indésirables, avez vous des informations à ce sujet ?

Sur le site européen de pharmacovigilance « EUDRAVigilance », il est mentionné 19.791 décès au 24 juillet 2021 et plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé.

Même le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) nous indique qu’au 1er juillet 2021, sur 62.000 déclarations, 31.000 cas ont reçu la qualification officiels d’effets indésirables, dont 8.689 graves, et 900 décès, pour le seul produit Pfizer ! Et 11.200 cas graves en fin juillet.

Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ». – COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain». Nous en sommes à 900 décès en France, plus de 19.000 en Europe, et les médias et les quelques scientocrates continuent de nous dire qu’il « y a très peu d’effets indésirables ! ». Pourquoi nous mentent ils de cette manière ?

À ce stade, je suis contraint de constater que nous sommes face à un empoisonnement collectif. Ce n’est pas parce que ce scandale sanitaire n’est pas mentionné par les médias « grand public » qu’il n’existe pas. En réalité, dans plusieurs coins d’Europe, des scientifiques ont analysé les produits mis sur le marché, et sont très inquiets de ce qu’ils ont trouvé !

Et ce qui encore plus incroyable, est que l’on est sur le point d’assister à la publication d’un texte de loi, contraire à plusieurs conventions internationales, car nous sommes toujours en période d’essai clinique jusqu’en 2022, voire 2023.

La Convention d’Oviedo interdit de forcer un citoyen à participer à une expérimentation. Or, beaucoup d’entre nous risquent d’être contraints de recevoir une injection d’un produit expérimental, qui n’est même pas un vaccin, mais un produit génique expérimental.

Parlons de ces plaintes : quel but poursuivez-vous ?

Il faut que cette hécatombe s’arrête ! Les 19.000 morts et 800.000 cas graves, représentent malheureusement une partie de la réalité, ce qui est d’autant plus honteux que nos autorités nient leur existence, et font comme si cela n’existait pas.

Depuis quelques jours, moi et d’autres confrères, avons quotidiennement des appels téléphoniques d’infirmières ou de pompiers stupéfaits d’amener tous les jours des « vaccinés » aux urgences. Depuis quelques jours, de nombreux professionnels de santé, constatant les dégâts de ces injections, nous demandent comment faire pour y échapper : « Dois-je risquer de mourir ou d’être handicapée à vie pour conserver mon emploi ?« 

Plusieurs experts américains ou européens nous alertent sur le fait que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment M. Van den Boosch, qui eut d’importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, et qui nous alerte en conseillant d’arrêter toute cette campagne de « vaccinations ».

Comment en est-on arrivé là sans que personne ne réagisse ?

« On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur« 

1- On a gonflé énormément les chiffres des décès dus au Covid : des accidentés de la route, des cancéreux mourraient officiellement « du Covid » ! La consigne dans les hôpitaux était d’en déclarer le plus possible (plusieurs soignants hospitaliers m’ont indiqué que certains hôpitaux percevraient une subvention pour chaque déclaration, ce qui permet de mieux comprendre les raisons de cette situation incroyable). Parallèlement, depuis plusieurs années, des milliers de lits d’hôpitaux avaient été supprimés, ce qui allait conduire forcément à une saturation. Et, contrairement aux promesses, ce processus a continué même pendant l’épidémie.

2- Toutes les thérapeutiques efficaces étaient interdites.

3- Le masque que l’on devait porter même en plein air, jusque sur certaines plages n’avait pas pour but la Santé Publique, mais de maintenir la peur, en muselant tout le monde. N’importe quel médecin de terrain vous dira que porter un masque en bord de mer, à des dizaines de mètres d’autre promeneurs, c’est grotesque ! Même les enfants, pourtant épargnés par cette maladie, et donc non contagieux, devaient faire comme s’ils étaient dangereux pour les autres !

4- Les divers confinements visaient spécialement les lieux où on échange des idées : bars, restaurants, salles de spectacles. Mais pas le métro, les grandes surfaces, etc. Comme des moutons chloroformés, nous avons accepté ces aberrations !

Tout était fait pour laisser les gens dans la terreur, à l’aide des slogans publicitaires, des affiches etc…

5- Puis sont arrivés ces produits grâce auxquels on allait pouvoir vivre « comme avant »… Sauf que ces produits sont en train de décimer beaucoup de monde, et ne semblent pas si efficaces qu’on le dit.

Certains ne pourront-ils pas échapper à cela avec un certificat de contre-indication ?

Le texte prévoit effectivement la possibilité pour le médecin traitant de délivrer un certificat de contre-indication.

Toutefois, le texte a déjà limité les cas dans lesquels ce certificat pourra être accepté : certaines pathologies antérieures, et des allergies « aux composants du vaccin... »

On baigne dans l’absurde, ou dans la mauvaise foi ! Comment peut-on déjà savoir quelles sont les pathologies antérieures susceptibles de contre-indiquer des produits encore en phase d’essai clinique ?

Quant aux composants du vaccin, c’est encore pire ! Il semblerait que personne (médecins, pharmaciens…) ne soit en mesure de nous donner la liste de tous les composants des produits.

Ainsi :
1- On tente de nous obliger de nous injecter un produit qu’on ne connait pas.
2- Pour savoir si l’on est allergique à un des composants, il n’y a qu’une seule solution : se le faire injecter, puis dire de son lit de mort, « Maintenant je sais que je suis allergique… »

Pour arrêter ce processus, des médecins et des particuliers vous ont demandé de saisir la Justice. Qu’avez-vous fait ?

Nous avons déposé deux plaintes collectives :

I- Une première plainte collective a été déposée à Grenoble pour :
– Tentative d’empoisonnement, (art 221-5 C. Pénal)
– Mise en danger de la personne, (art. 223-1 C. Pénal)
– Mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 C. Pénal)

a) La tentative d’empoisonnement :

La semaine dernière, les responsables de plusieurs collectifs de l’Isère, par mon intermédiaire, ont déposé une plainte contre X pour tentative d’empoisonnement, entre les mains du Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Grenoble. Ils estiment en effet que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qui n’est pas un vaccin, mais un médicament expérimental, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et est même contredite par les chiffres officiels de nombreux pays étrangers, et dont la dangerosité apparait de plus en plus. Ils estiment que le fait de continuer d’encourager les français à recevoir ces injections, tout en cachant les innombrables accidents post-vaccinaux, et en déclarant mensongèrement que les effets indésirables graves « sont très rares », procède d’une volonté criminelle délibérée.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car au départ, les six plaignants avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits actuellement proposés, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes et incontestables dont ils ont eu connaissance.

b) La mise en danger de la personne :

De nombreux scientifiques nous ont dit être complètement sidérés par ce qu’ils appellent un « muselage de la population ». Par dizaines, ils nous expliquent l’inutilité et la dangerosité du port du masque. Celui qui résume bien tous les autres est peut-être le Pr Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur général de l’Irsan qui écrit :

« De la même manière que le confinement généralisé d’une population, le port du masque généralisé en espace ouvert n’a aucun fondement scientifique et me paraît complètement délirant et ahurissant... » 

Ainsi, les mêmes responsables des collectif isérois, ont déposé plainte également pour mise en danger de la personne.

c) La mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité :

Monsieur le Recteur de l’Académie de Grenoble a donné des consignes concernant le port du masque, portant atteinte à la santé des enfants, contre tout bon sens, puisque les autorités de Santé disaient elles-mêmes que :
a-) Les enfants ne contractaient pas la maladie,
b-) Les enfants étaient peu, voire pas du tout contagieux.

Sachant dès le début, que ces mesures seraient inutiles et hautement nocives pour ces enfants, mais en donnant des consignes de port obligatoire du masque pour les enfants des écoles, des collèges et des lycées, aux chefs d’établissements de l’académie, il s’est rendu coupable, ainsi que d’autres fonctionnaires, de mise en péril de mineurs par personne ayant autorité, dans la mesure où le fait d’obliger des enfants à ne pas respirer normalement, compromettant ainsi à long terme, leur santé physique et mentale, et de les obliger, en portant tous un masque, à vivre sans voir l’expression des visages de leurs camarades et des adultes, a conduit à des centaines de pathologies psychiatriques, et de nombreuses tentatives de suicides d’enfants.

Les responsables des collectifs ayant des enfants d’âge scolaire, ont ajouté aux précédents griefs visés dans leur plainte, la mise en péril de mineurs par personne ayant autorité.
 

II- Une deuxième plainte collective a été adressée jeudi 29 juillet 2021 à M. le Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, contre le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins pour délaissement ayant entraîné la mort de personnes qui n’étaient pas en mesure de se protéger en raison de leur âge ou de leur état physique ou psychique (art. 223-3 et 223-4 C.P.)

Cette plainte regroupe des médecins, qui n’ont pas pu soigner les patients et des particuliers dont un des proches est décédé, ou a été gravement malade, car il n’a pas pu être soigné à temps.

Ces personnes estiment en effet que dans la plupart des cas, les médecins qui voulaient prescrire une thérapeutique venant d’être interdite, étaient rappelés à l’ordre par le Conseil National de l’Ordre qui leur indiquait que leur prescription ne correspondait pas aux « données acquises de la Science » et qui les menaçait de poursuites disciplinaires en cas de récidive, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

a) soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane »,
b) Soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

De ce fait les médecins libéraux ne pouvaient rien prescrire, et ne pouvaient qu’attendre que l’état du patient ne se dégrade, et le faire hospitaliser.

Ceci explique pourquoi les malades du Covid 19 qui sont décédés, l’ont été très souvent quelques jours seulement après leur hospitalisation, car ils correspondaient à des malades qui n’avaient pas pu être soignés, et qui arrivaient donc trop tard à l’hôpital.

M. le Président du Conseil National de l’Ordre était parfaitement au courant de la situation, et savait qu’en menaçant les médecins, et en leur interdisant de prescrire l’une des thérapeutiques précitées, faisant même poursuivre disciplinairement ceux qui n’obéissaient pas, il allait contribuer à de nombreuses hospitalisations et de souffrances, et de décès.

C’est donc en connaissance de cause qu’il a contribué à laisser s’aggraver l’état de santé de milliers de personnes.

Comment voyez-vous l’avenir de cette crise sanitaire ?

Depuis l’annonce du 12 juillet, j’ai reçu des dizaines d’appels d’infirmières, médecins, pompiers qui ont deux inquiétudes :

  • Inquiétude pour les personnes : Ils m’indiquent avoir connaissance tous les jours de personnes hospitalisées en urgence après une « vaccination ». Ils me parlent d’hécatombe. Ils sont scandalisés par le silence total des grands médias.
  • Inquiétude pour eux-mêmes, car ils me demandent comment échapper à cet empoisonnement qui pour eux, sera obligatoire. Nous pensons avoir des solutions.

L’avenir va dépendre de nous tous. Tout le monde (ou presque) a compris que plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus les courbes remontent. Pourquoi ?

Lorsque l’on apprend que tant en Israël qu’en Grande-Bretagne, une grande proportion de personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » avaient été « vaccinées », l’on est en droit de se demander si le « vaccin » n’a pas transmis la maladie.

Bien sûr, les autorités nous répondront que le produit « n’avait pas eu le temps de faire son effet », comme si l’on allait tenir pour postulat que la personne l’aurait « attrapée » même sans le produit.

Ce qui pollue toute discussion, c’est que dans l’esprit collectif, depuis un siècle, le vaccin est considéré comme un Sacrement. Ainsi, l’aluminium retiré des produits cosmétiques, même des vaccins pour animaux, est resté dans les vaccins pour les humains, comme si un souffle divin lui enlevait sa nocivité.

[Rappel : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Pour la gauche, c’est un acquis social, un progrès de l’humanité. Il est vrai que j’y ai cru longtemps. Ceci est tellement ancré dans nos têtes, que l’évidence et le bon sens ont totalement disparu : Pour un enfant victime de convulsions juste après une vaccination, même des experts vont affirmer en Justice qu’il s’agit d’une coïncidence !

Ceci explique pourquoi les chiffres donnés par la pharmacovigilance, sont à multiplier au moins par 10, car il s’agit de décès ou d’effets indésirables déclarés officiellement par cet organisme, qui ne recueille que ce qu’on lui a envoyé.

Dans le cas présent, ceci explique pourquoi les élus, les chefs de service, les directeurs d’école, font comme s’ils ne comprenaient pas pourquoi le bonbon qu’ils nous obligent à manger, nous perturbe autant… Car quand on leur parle, ils nous répondent comme si le « vaccin » était comme un simple bonbon totalement inoffensif.

Ainsi, nos grands scientifiques, et même nos journalistes, deviennent des idéologues, et non plus des personnes objectives qui se contentent de décrire ce qu’ils voient. C’est pourquoi, après la manifestation du samedi 24 juillet, dans une ville dans laquelle on pouvait voir sur de nombreuses photos, plus d’un kilomètre de cortège le long d’une avenue à quatre voies, le journal local écrivait « Quelques centaines de manifestants... »

Tout ce qui va contre la pensée unique est nié, minimisé, caricaturé.

Les grands médias portent une lourde responsabilité, car dans le cas présent, cette négation entraîne des morts.

Personne ne parle jamais du typage H.L.A. découvert en 1980 par Jean Dausset, prix Nobel de médecine, et qui montre que nous appartenons tous à un groupe immunitaire, et qu’en fonction du groupe auquel nous appartenons, nous ne réagirons pas de la même manière à un vaccin, ou même à un virus. Cette information dérange tellement que personne n’en a parlé pendant 30 ans, alors que Jean Dausset avait déclaré en 1980 : « La vaccination de masse sera bientôt une pratique du passé... »

Je suis persuadé que si nous continuons de nous laisser faire, il y aura une quatrième, une cinquième, une sixième vague, et cela ne s’arrêtera jamais. Il faudra une troisième dose, puis une quatrième, il y aura de nouveaux confinements, puisque, comme l’ont expliqué de nombreux virologues ou médecins, plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus il y a de malades.

Cela ne s’était jamais produit.

Comme tout va être fait pour nous faire croire que cette nouvelle vague « C’est de la faute des non-vaccinés », il est fort possible que dans beaucoup d’hôpitaux, personne ne demandera à tous les nouveaux malades du covid ou du variant « Êtes-vous vacciné ? » Et même si les soignants sur le terrain qui le demandent et le signalent, l’information ne remontera pas, car le but est de nous injecter ces produits.

Il faut rappeler que les contrats signés entre les laboratoires et la Commission européenne, précisent que les parties reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables. Et une autre clause précise que même si une thérapeutique efficace venait à être connue, cela n’annulerait pas les contrats…

Je suggère, quand une personne, qui a reçu une ou plusieurs injections, est hospitalisée, que les familles signalent systématiquement ce que la personne a reçu. Je suggère qu’elles le signalent également et directement à la pharmacovigilance. Sinon, cela va continuer : chaque décès sera officiellement « mort du Covid » (et non de l’injection).

Je suggère également que mes Confrères déposent des plaintes dans leurs départements respectifs, et surtout, que tout le monde se demande quelles sont les raisons de cette hystérie covidique. Lorsque tout le monde aura connaissance de toutes les informations détenues par un certain nombre de juristes français, allemands, italiens, belges, espagnols, américains, etc. l’on aura une idée claire. Mais il faudra calmer la colère de beaucoup.

[Points de vue sur le but :
Dr Louis Fouché: « La plupart des gens espèrent qu’ils reviendront à la vie normale,… Mais non ! Cette crise est là pour que ça s’effondre !! »
Le compte à rebours de la mort est lancé ! Des données top-secret… ACCESSIBLES À TOUS ! – par Ivo Sasek
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Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste
Et si cette « pandémie » n’était qu’une préparation mentale pour la suite ?]

Jean-Pierre Joseph est auteur de « Vaccins : on nous aurait menti ? » (5° édition 2020)

L’association BonSens.org fait savoir qu’elle s’associera à ces plaintes en y apportant son soutien.

Auteur(s): FranceSoir




L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !

[Voir aussi sur : Réarmer l’intelligence ! (upinsky.work)]

Par Dr Gérard Delépine chirurgien et statisticien(([1] Docteur Nicole Delépine – Site Officiel du Docteur Nicole Delépine, Pédiatre, Oncologie
https://docteur.nicoledelepine.fr))

Enfin la réfutation des allégations anti-scientifiques du Président Macron à Tahiti :

L’obligation « vaccinale » des soignants et des pompiers sans aucune logique vaccinale, Dr. Gérard Delépine, chirurgien et statisticien (26 juillet 2021)


L’obligation vaccinale des soignants et des pompiers n’a aucune logique médicale

L’obligation voulue par la majorité parlementaire serait un scandale médical et démocratique contraire aux engagements de la France

Les personnels hospitaliers et les pompiers ne sont pas des enfants et mesurent mieux que les politiques et leurs experts souvent corrompus les bénéfices/risques des vaccins. Pourquoi les injurier, et leur imposer un vaccin inefficace et dangereux ?

Au moins 6 raisons majeures s’opposent à une telle obligation :

1°) Ces pseudo vaccins sont totalement expérimentaux. Leur obligation est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signé.

2°) Ils n’offrent pas aux vaccinés une protection réelle contre la maladie.

3°) Ils sont incapables de limiter la transmission de la maladie et donc de protéger les contacts.

4°) Ils exposent à de nombreuses complications, dont certaines mortelles.

5°) Des traitements préventifs peuvent protéger les soignants et leurs contacts

6°) Imposer une obligation vaccinale va désorganiser davantage l’hôpital

1°) Ces pseudo vaccins sont doublement expérimentaux

Il s’agit non pas de vrai vaccin (composé d’antigènes spécifiques) mais de médicament génétique qui ordonne à l’organisme de fabriquer la protéine Spike dont la nocivité vasculaire est connue.

Ils sont le fruit d’une technologie jusqu’ici jamais utilisée pour fabriquer des médicaments humains anti-infectieux et qui aurait dû faire redoubler de précautions.

Les vaccins ont été mis sur le marché avec une « autorisation conditionnelle », car on ne dispose actuellement d’aucun résultat définitif d’essais. Ceux-ci devraient se terminer seulement en 2023-2024, ainsi que le précise le site officiel américain clinicaltrials.gov consultable par tout un chacun.

Imposer un traitement expérimental est contraire aux lois internationales signées par la France depuis le procès de Nuremberg 1947(([2] Lors du procès des médecins de Nuremberg, la pratique d’essai vaccinaux forcés sur les déportés a été l’une des raisons de plusieurs condamnations à mort))

Et en particulier contraire à la Convention internationale d’Oviedo(([3] « Convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine »,)) signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne et entrée en vigueur le 1er décembre 1999, seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’homme.

La convention d’Oviedo reprend les principes de la Déclaration universelle des droits de l’homme et de la déclaration d’Helsinki(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/
Suite des conventions internationales signées par les pays depuis le procès de Nuremberg)) de l’Association Médicale mondiale qui énonce clairement :

25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

8. Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

2°) Les vaccinés ne sont pas protégés de la maladie, ni de ses formes graves

Les gouvernants, les services de vaccination, les médecins corrompus ou crédules et les médias nous répètent en boucle le crédo des laboratoires, ou de dirigeants prétendant que les pseudo vaccins actuels seraient efficaces à plus de 90 %. Il s’agit d’un énorme mensonge démenti par les faits avérés.

À Gibraltar, le taux de couverture vaccinal atteint 115 % (les Espagnols travaillant à Gibraltar ont aussi été vaccinés) mais l’épidémie repart fortement depuis début juillet 2021

Aux Émirats Arabes Unis, champion arabe de la vaccination depuis fin décembre 2020 le nombre de contaminations journalières reste plus élevé qu’avant la vaccination

Les marins du groupe aéronaval de la Royal Navy du HMS Queen Elizabeth, tous complètement vaccinés depuis plus de six mois, sont touchés par une épidémie de cas de Covid avec plus de 100 cas depuis une escale à Chypre.

La vaccination à 100 % n’empêche donc ni les contaminations ni les transmissions. Toute nouvelle contamination d’un seul vacciné constitue un échec ; on n’en observe heureusement presque jamais avec les vrais vaccins.

Les pseudo vaccins actuels n’évitent ni les formes graves ni la mort

L’analyse des données de l’OMS concernant les pays champions de la vaccination démontre que dans tous ces pays les premiers mois de la vaccination ont été marqués par une recrudescence forte des mortalités covid19.

Ainsi en Grande-Bretagne, les six mois post-vaccination ont été assombris par 68 183 morts supplémentaires alors que les 9 mois précédents n’en comptaient que 61 245.

Comme en Israël où l’on a recensé 3085 morts avant la vaccination et 3372 pendant les 6 mois qui ont suivi la vaccination de masse, comme aux Émirats Arabes Unis (642 avant vs 1274 après) ou à Gibraltar (11 avant et 83 après).

L’explication la plus vraisemblable de l’aggravation des mortalités après vaccination est la présence d’anticorps facilitants(([5] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020 ;5(10) : 1185-91)) dont le risque avait été signalé dès janvier 2021 par l’Académie de médecine(([6] Communiqué de l’Académie du 15 janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)):

« le risque individuel d’aggravation par “anticorps facilitants” doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

Aveu du ministre de la Santé sur les aléas de la vaccination en mars 2021

Cette incapacité à prévenir les formes graves de la maladie a même été affirmée par le ministre de la Santé Olivier Véran dans son argumentation récente devant le Conseil d’État(([7] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)) 

« efficacité partielle des vaccins »,

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

En Israël, les vaccinés représentent actuellement 56 % des nouveaux patients en réanimation.

En Grande-Bretagne Santé Publique Angleterre, constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non vaccinées ».

Prétendre que la pseudo vaccination Covid protège contre les formes graves ou la mort ne constitue donc qu’un énorme mensonge publicitaire.

3°) Les pseudo vaccins actuels sont incapables d’empêcher la transmission

La motivation sociétale « il faut vacciner les soignants pour protéger les malades ou les pensionnaires des EHPAD » n’est pas plus fondée scientifiquement que la foi en un bénéfice individuel.

Aucune étude scientifique n’a pu démontrer que les injections diminueraient le risque de transmettre la maladie. L’examen des chiffres et des courbes officiels des cas publiés par l’OMS ou OurWorldinData montre le contraire.

Les exemples britannique, israélien et espagnol affirment l’absence d’efficacité des pseudo vaccins contre la dissémination de la maladie dans les populations.

Dans tous ces pays qui ont beaucoup vacciné, on observe depuis plus d’un mois une forte récidive forte de l’épidémie

Le professeur Delfraissy et quatre membres du comité scientifique avaient prévenu(([8] 1. Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 Lancet 18 février 2021DOI :
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0)) de l’échec prévisible de la stratégie vaccinale actuelle :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus. Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme ».

Cette incapacité du vaccin à prévenir la transmission a elle aussi été reconnue par O. Veran dans son argumentaire devant le Conseil d’État :

« le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »

Il est donc illusoire d’imposer la vaccination des soignants pour limiter la transmission dans les hôpitaux. Et parfaitement mensonger d’affirmer qu’elle pourrait le faire.

4°) Les vaccins actuels exposent à de nombreuses complications graves

Les campagnes de vaccination des soignants de plusieurs hôpitaux ont été retardées ou interrompues du fait de réactions indésirables rendant 20 % à 40 % des personnels incapables de travailler pendant plusieurs jours. La Haute Autorité de Santé a depuis recommandé d’échelonner les vaccinations des soignants d’un même service.

Les sportifs de haut niveau ont fréquemment constaté après vaccination des baisses de performances pendant une à plusieurs semaines. Les très mauvais résultats récents de Mbappé ont d’ailleurs succédé à sa vaccination très médiatisée.

Les pompiers des Bouches-du-Rhône ont suspendu leur campagne de vaccination après qu’un pompier d’Arles ait été hospitalisé pour une arythmie cardiaque après sa première injection.

Mais des complications graves sont très nombreuses et le site Eudravigilance comptabilise actuellement plus de 1 900 000 effets indésirables, dont plus de 17 000 décès possiblement liés à la vaccination Covid.

Il serait raisonnable de comparer ces chiffres énormes de décès et accidents liés à l’injection anticovid à ceux des vaccins les plus répandus dans le monde comme ceux contre la rougeole ou la poliomyélite qui n’ont jamais donné une mortalité notable. Pourquoi serait-ce acceptable pour l’injection génique ?

Ils sont infiniment trop élevés pour une pratique théoriquement préventive, chez des gens bien portants qui le plus souvent ne risquent rien du Covid. On ne devrait pas tolérer que continue cette campagne de pseudo « vaccination ».

À Nantes, un étudiant en médecine de 24 ans sportif et en bonne santé est mort après la vaccination et un agent de service hospitalier au sein de l’hôpital Clémenceau de La Garde.(([9] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/var/toulon/toulon-deces-d-un-varois-vaccine-au-pfizer-la-famille-porte-plainte-2167600.html))

Ces complications sont d’autant plus inacceptables que les soignants et les pompiers ont pour la plupart moins de 60 ans et qu’ils ne risquent pratiquement rien du Covid. Elles expliquent les réticences des personnels à se faire vacciner.

5°) On peut protéger les soignants et leurs contacts par des traitements préventifs sans risques et bon marché

Le 22 mai 2020, le conseil indien pour la recherche médicale a recommandé la prévention par hydroxychloroquine pour le personnel soignant et les membres de familles au contact des malades et a rajouté l’Ivermectine à ses recommandations lors de la poussée épidémique qui a été rapidement contrôlée. Au 25/7/2021, malgré ses hôpitaux en pire état que les nôtres, un très faible taux de vaccination, l’Inde déplore 322 morts/million d’habitants contre 1694/M en France. L’interdiction de tout traitement précoce aboutit à ce qu’on compte 5 fois plus de morts/million que les hindous.

Si on veut limiter l’épidémie, ce n’est pas de vaccin dont on a besoin, mais de traitements précoces administrés par les médecins traitants !

6°) Poursuivre dans son désir d’imposer une obligation vaccinale va désorganiser davantage l’hôpital

Proposer une obligation vaccinale traduit dans ces conditions un comportement totalitaire totalement déconnecté de la vie réelle et des faits avérés

Les syndicats de personnel hospitalier organisent actuellement des grèves et de nombreux soignants ont annoncé leur volonté de démissionner ou de se mettre en arrêt de travail si le gouvernement maintient ses menaces et les directions le harcèlement moral qui constitue aussi un délit.

Expérimentaux, incapables de réellement protéger contre le Covid19, incapables d’éviter la transmission de la maladie, et sources de complications pour une maladie quasiment toujours bénigne chez les soignants et les pompiers jeunes, les vaccins n’ont actuellement aucun intérêt pour leur entourage et leurs patients. Vouloir les imposer autoritairement va démotiver ces personnels et en faire démissionner davantage alors qu’on n’a cruellement besoin.





De la démocratie à la tyrannie

[Source : Contrepoints]

[Illustration : Tocqueville by Hohenfels (CC BY-NC 2.0) — Hohenfels, CC-BY]

Le passe-temps populaire des démocraties modernes  punir les diligents et les économes, tout en récompensant les paresseux, les imprudents et les dépensiers  est cultivé via l’État.

Par Erik von Kuehnelt-Leddihn.
Un article de Mises.org

Dans La République, Platon nous dit que la tyrannie naît, en règle générale, de la démocratie. Historiquement, ce processus s’est déroulé de trois manières très différentes. Avant de décrire ces différents modèles de changement social, précisons ce que nous entendons par démocratie.

À la question « Qui devrait gouverner ? », le démocrate répond : « la majorité des citoyens politiquement égaux, soit en personne, soit par l’intermédiaire de leurs représentants ». En d’autres termes, l’égalité et la règle de la majorité sont les deux principes fondamentaux de la démocratie. Une démocratie peut être libérale ou illibérale.

Le libéralisme authentique est la réponse à une question tout à fait différente : comment le gouvernement doit-il être exercé ? La réponse qu’il apporte est la suivante : quel que soit celui qui gouverne, le gouvernement doit être exercé de manière que chacun jouisse de la plus grande liberté compatible avec le bien commun.

Une monarchie absolue pourrait être libérale (mais peu démocratique) et une démocratie pourrait être totalitaire, illibérale et tyrannique, avec une majorité persécutant brutalement les minorités. (Nous utilisons, bien sûr, le terme « libéral » dans son acception mondiale et non dans le sens américain, qui depuis le New Deal a été totalement perverti.)

Comment une démocratie, même libérale au départ, pourrait-elle évoluer vers une tyrannie totalitaire ? Comme nous l’avons dit au début, il y a trois voies d’approche, et dans chaque cas l’évolution serait de nature organique. La tyrannie évoluerait à partir du caractère même d’une démocratie libérale parce que, dès le début, il y a un ver dans le fruit : la liberté et l’égalité ne se mélangent pas, elles s’excluent pratiquement.

L’égalité n’existe pas dans la nature et ne peut donc être établie que par la force. Celui qui veut l’égalité géographique doit dynamiter les montagnes et combler les vallées. Pour obtenir une haie de hauteur uniforme, il faut utiliser des sécateurs. Pour atteindre des niveaux scolaires égaux, il faudrait faire pression sur certains élèves pour qu’ils travaillent très dur tout en empêchant les autres de le faire.

La première voie vers la tyrannie totalitaire (bien qu’elle ne soit pas la plus fréquemment utilisée) est le renversement par la force d’une démocratie libérale par le biais d’un mouvement révolutionnaire, en règle générale un parti prônant la tyrannie mais incapable de gagner le soutien nécessaire dans des élections libres. Le décor est planté pour une telle violence si les partis représentent des philosophies si différentes qu’elles rendent impossibles le dialogue et le compromis.

Clausewitz a dit que les guerres sont la continuation de la diplomatie par d’autres moyens, et dans les nations idéologiquement divisées, les révolutions sont vraiment la continuation du parlementarisme avec d’autres moyens. Le résultat est la domination absolue d’un « parti » qui a finalement obtenu un contrôle total.

Un cas typique est l’octobre rouge de 1917. L’aile bolchevique du Parti ouvrier social-démocrate russe n’avait pas pu remporter les élections dans la République russe démocratique d’Alexandre Kerenski et a donc organisé un coup d’État avec l’aide d’une armée et d’une marine vaincues et en maraude, et a ainsi établi une solide tyrannie socialiste.

De nombreuses démocraties libérales sont affaiblies par les conflits entre partis à un point tel que des organisations révolutionnaires peuvent facilement s’emparer du pouvoir. Et il arrive que pendant un certain temps les citoyens semblent heureux que le chaos ait pris fin.

En Italie, la Marche sur Rome des fascistes en a fait les dirigeants du pays. Mussolini, un ancien socialiste, avait appris la technique de la conquête politique auprès de ses amis socialistes internationaux et, sans surprise, l’Italie fasciste fut la deuxième puissance européenne à reconnaître le régime soviétique, après la Grande-Bretagne travailliste, et bien avant les États-Unis.

La deuxième voie vers la tyrannie totalitaire est celle des « élections libres ». Il peut arriver qu’un parti totalitaire jouissant d’une grande popularité gagne un tel élan et tant de voix qu’il devienne légalement et démocratiquement le maître d’un pays. C’est ce qui s’est passé en Allemagne en 1932, lorsque pas moins de 60 % de l’électorat a voté pour le despotisme totalitaire : pour deux national-socialistes, il y avait un socialiste international sous la forme d’un communiste marxiste et un autre sous la forme d’un social-démocrate un peu moins marxiste.

Dans ces conditions, la démocratie libérale était condamnée puisqu’elle n’avait plus de majorité au Reichstag. Cette évolution n’aurait pu être stoppée que par une dictature militaire (comme envisagé par le général von Schleicher qui fut plus tard assassiné par les nazis) ou par une restauration des Hohenzollern (comme planifié par Bruning). Mais dans le cadre démocratique et constitutionnel, les national-socialistes étaient voués à l’emporter.

Comment les « nazis » ont-ils réussi à gagner de cette manière ? La réponse est simple : étant un mouvement de masse tentant d’obtenir une majorité parlementaire, ils ont visé les minorités impopulaires (plus elles étaient petites, mieux ça valait) et ont ensuite monté l’opinion publique contre elles.

Le Parti National-Socialiste des Travailleurs était « un mouvement populaire basé sur la science exacte » (les propres mots d’Hitler), militant contre des minorités détestées : les Juifs, la noblesse, les riches, le clergé, les artistes modernes, les « intellectuels », catégories qui se recouvrent fréquemment, et enfin contre les handicapés mentaux et les Tsiganes.

Le national-socialisme était la « révolte légale » de l’homme ordinaire contre ceux qui sortent de l’ordinaire, du « peuple » (Volk) contre les groupes privilégiés et donc enviés et détestés. Rappelez-vous que Lénine, Mussolini et Hitler ont qualifié leur régime de « démocratique » – demokratiya po novomu, democrazia organizzata, deutsche Demokratie – mais ils n’ont jamais osé l’appeler « libéral » au sens mondial (non américain).

Carl Schmitt, dans sa 93e année, a analysé cette évolution dans un célèbre essai intitulé La révolution juridique mondiale. Ce genre de révolution – la révolution allemande de 1933 – se produit simplement par le biais des bulletins de vote et peut se produire dans n’importe quel pays où un parti qui veut établir un régime totalitaire obtient une majorité relative ou absolue et prend ainsi le pouvoir « démocratiquement ».

Platon a rendu compte d’une telle procédure qui correspond, aussi fidèlement qu’une photocopie, à la transition constitutionnelle en Allemagne : il y a le « leader populaire » qui prend à cœur l’intérêt du « peuple de base », des « braves gens ordinaires » contre les riches roublards. Il est largement acclamé par le plus grand nombre et se constitue une garde personnelle uniquement pour se protéger et, bien sûr, protéger les intérêts du « peuple ».

AU NOM DU PEUPLE

Pensez à Hitler, à ses SA et SS, et aussi à la tendance à appliquer autant que possible le préfixe Volk (peuple) : Volkswagen (voiture du peuple), Volksempfänger (station de radio du peuple), des gesunde Volksempfinden (les sentiments sains du peuple), Volksgericht (tribunal du peuple). Inutile de dire que cette politique verbale s’est poursuivie dans la « République Démocratique allemande » où nous voyons une « police populaire », une « armée populaire », tandis que les États satellites de Moscou étaient appelés « démocraties populaires ».

Tout cela implique qu’autrefois, seules les élites avaient une chance de gouverner et que maintenant, enfin, l’homme de la rue est maître de son destin et capable de jouir des bonnes choses de la vie ! Peu importe que les réalités soient tout à fait différentes. Un très haut responsable soviétique déclarait récemment à un prince européen : 

« Vos ancêtres ont exploité le peuple en prétendant qu’ils gouvernaient par la grâce de Dieu, mais nous faisons beaucoup mieux, nous exploitons le peuple au nom du peuple. »

Ensuite, il y a la troisième voie par laquelle une démocratie se transforme en une tyrannie totalitaire. Le premier analyste politique à prévoir cette évolution jusque-là jamais expérimentée fut Alexis de Tocqueville. Il a dessiné une image exacte et effrayante de notre État-prestataire (appelé à tort État-providence) dans le deuxième volume de sa Démocratie en Amérique, publié en 1835 ; il y parlait longuement d’une forme de tyrannie qu’il ne pouvait que décrire, mais pas nommer, parce qu’elle n’avait pas de précédent historique. Il est vrai qu’il a fallu plusieurs générations pour que la vision de Tocqueville devienne réalité.

Il envisageait un gouvernement démocratique dans lequel presque toutes les affaires humaines seraient réglementées par un gouvernement doux, « bienveillant » mais déterminé, sous lequel les citoyens pratiqueraient leur quête du bonheur comme des « animaux craintifs », perdant toute initiative et toute liberté. Les empereurs romains, disait-il, pouvaient diriger leur colère contre les individus, mais sous leur règne il était hors de question de contrôler toutes les formes de vie.

Ajoutons qu’à l’époque de Tocqueville, la technologie qui permet une telle surveillance et une telle réglementation n’était pas suffisamment développée. L’ordinateur n’avait pas été inventé et donc ses avertissements ont trouvé peu d’écho au siècle dernier.

Tocqueville, libéral authentique et légitimiste, s’était rendu en Amérique non seulement parce qu’il était préoccupé par les tendances aux États-Unis, mais aussi en raison de la victoire électorale d’Andrew Jackson, le premier démocrate à la Maison Blanche et l’homme qui a introduit le très démocratique système des dépouilles, une véritable invitation à la corruption.

Les Pères Fondateurs, comme l’a souligné Charles Beard, détestaient la démocratie plus que le péché originel. Mais maintenant, une idéologie française, trop familière à Tocqueville, avait commencé à conquérir l’Amérique.

Cette évolution de mauvais augure a attiré l’aristocrate français dans le Nouveau Monde où il voulait observer l’avancée mondiale du « démocratisme », à son avis (et à sa consternation) voué à pénétrer partout et à se terminer par l’anarchie ou la Nouvelle Tyrannie – qu’il nommait « despotisme démocratique ».

Le chemin de l’anarchie est plus susceptible d’être emprunté par les Sud-Européens et les Sud-Américains (et il se termine généralement par des dictatures militaires afin d’empêcher la dissolution totale), tandis que les nations nordiques, tout en gardant toutes les apparences démocratiques, ont tendance à échouer dans la bureaucratie sociale totalitaire.

L’absence d’une philosophie politique commune est plus propice au développement de révolutions pures et simples dans le Sud, où les guerres civiles ont tendance à être « la continuation du parlementarisme avec d’autres moyens (et plus violents) », tandis que le Nord est plutôt voué à des processus évolutifs, à une augmentation rampante de l’esclavage et à une diminution de la liberté et de l’initiative personnelles.

Ce processus peut être beaucoup plus paralysant qu’une simple dictature personnelle, militaire ou autre, sans caractère idéologique et totalitaire. Les régimes de Franco et de Salazar et certains gouvernements autoritaires latino-américains, tous adoucis au cours des années, en sont de bons exemples.

TOMBER EN SERVITUDE

Tocqueville ne nous a pas dit exactement comment peut s’effectuer le changement graduel vers la servitude totalitaire. Mais il y a 150 ans, il ne pouvait pas exactement prévoir que la scène parlementaire produirait deux principaux types de partis : les partis Père Noël, principalement à gauche, et les partis Serrage de Ceinture, plus ou moins à droite.

Les partis Père Noël, avec des cadeaux pour le plus grand nombre, prennent normalement à certaines personnes pour les donner à d’autres : ils fonctionnent avec des largesses, pour utiliser le terme de John Adams. Le socialisme, qu’il soit national ou international, agira au nom de la « justice distributive », ainsi que de la « justice sociale » et du « progrès », et gagnera ainsi en popularité. Après tout, vous ne tirez pas sur le Père Noël. En conséquence, ces partis gagnent normalement les élections, et les politiciens qui utilisent leurs slogans engrangent les votes.

Les partis Serrage de Ceinture, s’ils prennent le pouvoir de manière inattendue, agissent généralement plus sagement, mais ils ont rarement le courage de défaire les politiques des partis Père Noël. Les masses qui votent, souvent favorables aux partis Père Noël, retireraient leur soutien si les partis Serrage de Ceinture agissaient de manière radicale et cohérente.

Les prodigues sont généralement plus populaires que les avares. En fait, les partis Père Noël sont rarement complètement battus, mais ils se battent parfois eux-mêmes en présentant des candidats nuls ou en provoquant des troubles politiques ou un désastre économique.

Un Saint Nicolas politisé est un triste maître. Il est impossible de distribuer des cadeaux sans une réglementation bureaucratique, l’enregistrement et l’enrégimentement de l’ensemble du pays. D’innombrables conditions sont attachées aux cadeaux reçus d’en haut. L’État s’ingère dans tous les domaines de l’existence humaine : éducation, santé, transports, communications, divertissement, alimentation, commerce, industrie, agriculture, construction, emploi, héritage, vie sociale, naissance et mort.

Cette ingérence à grande échelle a deux aspects : l’étatisme et l’égalitarisme, qui sont intrinsèquement liés puisque pour régimenter parfaitement la société, il faut réduire les gens à un niveau identique. Ainsi, une « société sans classes » devient le véritable objectif, et toute forme de discrimination doit cesser. Mais la discrimination est partie intégrante d’une vie libre, car la liberté de volonté et de choix est une caractéristique de l’homme et de sa personnalité.

Si j’épouse Marie au lieu de Brigitte, je discrimine évidemment contre Brigitte ; si j’emploie le Dr Nishiyama comme professeur de japonais au lieu du Dr O’Hanrahan, je discrimine ce dernier, et ainsi de suite. Et il ne faut plus s’étonner qu’un opéra qui rejetterait un chanteur bantou de 1 mètre 20 pour le rôle de Siegfried dans Ring de Wagner soit accusé de racisme !

En fait, il n’y a qu’une discrimination juste ou injuste. Pourtant, la démocratie égalitaire reste inflexible dans sa politique totalitaire. Le passe-temps populaire des démocraties modernes – punir les diligents et les économes, tout en récompensant les paresseux, les imprudents et les dépensiers –  est cultivé via l’État, remplissant un programme démo-égalitaire basé sur une idéologie démo-totalitaire.

La tyrannie démocratique, évoluant en catimini comme une corruption lente et subtile conduisant au contrôle total de l’État, est donc la troisième voie, et en aucune façon la plus rare, vers la forme la plus moderne d’esclavage.

Traduction Gérard Dréan pour Contrepoints.

Source en anglais


[Voir aussi :
La bureaucratie contre la liberté
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »
Surveillance, numérisation et traçage permanent
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Société libre ?
De la servitude moderne
Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
En France, les libertés associatives de plus en plus entravées]




Grande-Bretagne : des journalistes désillusionnés forment une alliance contre la censure de points de vue alternatif sur le coronavirus

[Source : anguillesousroche.com]

Ces journalistes affirment que les médias traditionnels ne remettent pas suffisamment en question les récits du gouvernement.

Un groupe de 26 journalistes s’est réuni pour dénoncer l’alarmisme du COVID-19 et la censure des points de vue alternatifs par les grands médias et les plateformes Big Tech depuis le début de la pandémie.

Selon le groupe, le résultat de cet alarmisme et de cette censure est que le public reçoit une « vision déformée de la vérité ».

Le groupe s’appelle « Holding the Line: Journalists Against COVID Censorship » (Tenir la ligne : Les journalistes contre la censure du COVID).

Il se compose principalement de journalistes basés au Royaume-Uni qui travaillent pour des journaux, des radiodiffuseurs et des sociétés de relations publiques en tant que salariés ou indépendants.

Les membres ont été interrogés par Press Gazette, la plupart préférant rester anonymes par crainte de représailles de la part de leurs employeurs.

Toutefois, certains étaient plus qu’heureux d’être nommés, notamment Sonia Elijah et Karen Harradine, journalistes d’investigation pour The Conservative Woman, Tony Gosling, ancien journaliste de la BBC, et Laura Berril, journaliste spécialisée dans les relations publiques et la technologie.

La mission du groupe est de promouvoir un environnement « sans préjugés » dans lequel les journalistes peuvent exprimer leurs préoccupations et sensibiliser le public à des questions moins connues.

Pour eux, les médias font un « travail incroyable ». Mais il existe des lacunes, notamment en ce qui concerne les reportages sur le COVID, telles que « le manque de contexte pour les statistiques, la couverture adéquate des traitements alternatifs, l’examen minutieux des tests PCR, l’attention portée aux effets indésirables des vaccins ou l’examen équilibré des coûts du confinement« .

Le groupe a accusé les médias britanniques de publier souvent des rapports « induisant la peur et parfois inexacts », qui créent à leur tour une hostilité envers ceux qui préféreraient ne pas recevoir les vaccins.

« C’est sans précédent la façon dont le COVID-19 a été rapporté au Royaume-Uni, mais pas seulement au Royaume-Uni, dans le monde entier », a déclaré Sonia Elijah, l’un des membres du groupe qui a autorisé Press Gazette à mentionner son nom.

« Il n’y a eu qu’un seul récit officiel dans les médias grand public et cela n’a pas changé avec le temps.

Il n’y a eu qu’une seule ‘vérité scientifique’ autorisée à être discutée : celle approuvée par les organismes de réglementation gouvernementaux du monde entier, et même cela a été très sélectif. Cela a donné au public une vision déformée de la vérité qui a été très préjudiciable. »

Elijah a exprimé son inquiétude quant à la censure des informations qui contredisent le récit fourni par la Trusted News Initiative.

« Pendant longtemps, nous avons été dans cette ère sombre de la censure qui a été incarnée par l’initiative Trusted News qui traverse les grandes technologies et tous les médias grand public », a-t-elle déclaré.

« Elle s’est articulée autour de cette guerre contre la désinformation ou la mésinformation, où tout ce qui allait à l’encontre du récit officiel n’était pas seulement vérifié, mais supprimé ou supprimé. »

Selon M. Gosling, le groupe se fait le champion d’un débat équilibré.

Gosling a déclaré : 

« Notre principale préoccupation est qu’il y a un lobby très puissant derrière beaucoup de ces mesures du COVID, y compris le traitement, l’absence de traitement et les vaccins, évidemment, mais il n’y a pas beaucoup de lobby dans l’autre sens. Et je pense que la plupart d’entre nous ont le sentiment que nos employeurs de toutes sortes n’ont pas représenté les deux côtés. »

Gosling a fait retirer par YouTube deux de ses interviews présentant des médecins prônant un traitement précoce après le diagnostic, l’efficacité de l’ivermectine et les dangers des vaccins « expérimentaux ».

Pour illustrer la couverture « parfois inexacte », il a cité un reportage de la BBC dans lequel le collaborateur affirme que le vaccin Pfizer est « 100 % sûr » pour les enfants âgés de 12 à 15 ans. Ce n’est qu’après sa plainte que la BBC a supprimé l’affirmation « choquante » et « dégoûtante » et a fourni une correction.

Gosling a ajouté : 

« Mon objectif est d’apporter un équilibre, c’est tout. Et aussi de faire remarquer au public que les journalistes ne choisissent pas toujours ce qui est publié. »

« Ce sont les propriétaires et les rédacteurs en chef qui ont le dernier mot. Nous sommes donc tous d’accord pour dire que nous aimerions voir plus de journalistes devenir rédacteurs en chef et avoir leur propre journal, leur propre chaîne de télévision ou de radio, mais c’est très, très rare. Il y a toujours un rédacteur en chef quelque part qui dit non, je ne veux pas de ça, et c’est ce qui s’est passé, en particulier pendant cette pandémie. »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche




Similitudes entre l’obligation des pseudos vaccins anti-covid et l’obligation faite aux déportés de subir des essais de vaccins

Par Gérard Delépine

Similitudes entre l’obligation des pseudos vaccins anti-covid(([1] Ce ne sont pas des vaccins, car un vaccin contient des antigènes obtenus à parti du virus ou de la bactérie ; ces médicaments n’en contiennent aucun, mais un ARN destiné à obliger nos cellules à en fabriquer ; il s’agit en réalité d’une thérapie génique préventive.)) et l’obligation faite aux déportés de subir des essais de vaccins

L’obligation d’injections anti-covid expérimentales aux soignants est inutile, car elles n’empêchent pas d’être malade, ni de faire des formes graves, ni de transmettre la maladie. Elle rappelle les tristes expériences vaccinales qu’ont imposées les médecins nazis aux déportés.

On reproche parfois à certains de faire le parallèle entre les médecins nazis et ceux qui imposent l’obligation des pseudo vaccins expérimentaux actuels.

On reproche aux Français de comparer le QR code à l’étoile jaune, mais quand les Israéliens le font, va-t-on les traiter d’antisémites ?(([2] En Israël, les manifestants comparent le Pass sanitaire à l’étoile jaune (lemediaen442.fr) ))(([3] On n’a pas entendu Goldnadel insulter les Israéliens à étoile jaune — Riposte Laïque (ripostelaique.com) ))

Pourtant la mémoire du passé est nécessaire à l’analyse du présent et, manifestement, certains faits et enseignements de la Seconde Guerre mondiale ont été oubliés. Un petit rappel historique s’impose pour souligner les similitudes entre les crimes commis entre 1940 et 1945 contre nos grands-parents déportés, résistants, tziganes, communistes et juifs et l’obligation actuelle d’un médicament expérimental, affublé du nom trompeur de vaccin.

Les pseudos vaccins actuels sont expérimentaux

Leur création repose sur une technique jamais utilisée chez l’homme, sauf dans un essai de traitement des maladies génétiques, interrompu, car il causait des leucémies.

Ce qu’on veut vous injecter n’est pas des vaccins : ils ne contiennent aucun antigène, mais une protéine (ARN messager) — Pfizer et Moderna — ou des virus non humains génétiquement modifiés — (Johnson et Astra Zeneca) — ce sont des médicaments génétiques à visée préventive.

Aucun n’a terminé les essais phase 3, préalables habituellement indispensables à l’autorisation de mise sur le marché. C’est pour cette raison qu’ils n’ont reçu qu’une autorisation dite « conditionnelle ». Ceux qui en doutent peuvent le vérifier sur le site officiel gouvernemental américain clinicaltrials.gov(([4] ClinicalTrials.gov est une base de données d’études cliniques financées par des fonds privés et publics et menées dans le monde entier.)) qui recense les essais en cours dans 220 pays. Ils verront ainsi que les essais phase 3 les plus avancés ne se termineront qu’en 2023 comme le montrent ces captures d’écran agrémentées de nos commentaires en rouge.

Ceux qui prétendent que les pseudos vaccins actuels ne seraient pas expérimentaux et qu’ils auraient terminé leurs essais sont donc mal informés ou mentent délibérément.

Imposer une obligation d’un médicament ou « vaccin » expérimental est totalement contraire au code de Nuremberg qui affirme que le consentement éclairé indispensable d’un être humain avant l’administration d’un traitement expérimental est indispensable.

Ce code que certains considèrent comme dépassé (!) est pourtant le fondement des conventions internationales qui ont donné lieu à la déclaration d’Helsinki et à la convention d’Oviedo en 1997. Les accords signés à Oviedo sont opposables aux pays signataires, dont la France. Plusieurs juristes ont rappelé ces bases éthiques et légales internationales que trop voudraient piétiner.(([5] Daniel Antoine : Petit point de droit concernant l’ensemble des textes à opposer, si la vaccination devenait « obligatoire » (ou, obligée, indirectement, par un « Pass Sanitaire » ; ce qui revient à peu de chose près au même…). /PETITPOINTDEDROIT.pdf))

Les médecins nazis ont réalisé beaucoup d’essais criminels de vaccin.
Les essais concernant les vaccins ne sont pas une première

Essais criminels, car réalisés sans le consentement de ceux qu’ils considéraient comme des sous-hommes : déportés, juifs, tziganes, des objets !

Un tiers des expériences réalisées par les nazis sont des essais de vaccins : contre le paludisme, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, l’hépatite, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse principalement à Buchenwald, mais aussi dans les camps de concentration de Sachsenhausen, Dachau, Natzweiler, Struthof, et Neuengam.

Le tribunal militaire américain de Nuremberg(([6] https://fr.wikipedia.org/wiki/Proc%C3%A8s_des_M%C3%A9decins))(([7] Bruno Halioua Le procès des médecins de Nuremberg : l’irruption de l’éthique médicale moderne –
Vuibert, 2007))(([8] Yves TERNON LE PROCÈS DES MÉDECINS. ACTUALISATION
http://www.memorialdelashoah.org/wp-content/uploads/2016/05/texte-reference-memorial-shoah-ternon-proces-medecins.pdf)) en 1947 reste, aujourd’hui, la référence majeure des normes juridiques et déontologiques visant l’expérimentation sur l’être humain. Cette décision historique réaffirme le caractère universel du fondement de l’éthique médicale, en même temps qu’elle impose l’idée que le consensus universel dans ces matières n’allant plus de soi, il revient au droit international d’en garantir le contenu et l’effectivité.

Dix crimes à charge contre les médecins jugés à Nuremberg ont été retenus, dont une expérience de vaccination contre le paludisme à Dachau (février 1942 — avril 1945), celle contre le typhus et autres maladies infectieuses à Buchenwald et Natzweiler (décembre 1941 — février 1945) et celle contre l’hépatite virale réalisée à Sachsenhausen et Natzweiler.

C’est l’absence de consentement libre et éclairé des victimes de ces essais qui a justifié la condamnation des médecins responsables de ces expériences qu’ils estimaient faire « pour la science et le bien de l’humanité ». Et la moitié des condamnés l’ont été à la pendaison.

Les soignants ne sont pas des antivax

Ils ont été les premiers à se faire vacciner et aussi les premiers à en subir les effets secondaires. Si les résultats réels des vaccins étaient ceux que le gouvernement et les médias prétendent, les soignants continueraient à se précipiter pour se faire vacciner.

S’ils refusent, c’est qu’ils sont mieux informés que la population des complications post-vaccinales qu’ils voient arriver aux urgences, dont plusieurs décès de soignants (dont un interne en médecine, nantais, sportif et en parfaite santé avant la vaccination, et un agent de service hospitalier au sein de l’hôpital Clémenceau de La Garde(([9] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/var/toulon/toulon-deces-d-un-varois-vaccine-au-pfizer-la-famille-porte-plainte-2167600.html))) qui n’avaient aucun bénéfice personnel à espérer du pseudo vaccin.

Les injections anti-covid sont inefficaces

Elles ne vous protègent ni de la maladie ni d’en mourir. La Grande-Bretagne et Israël ont été confrontés après la « vaccination » à de véritables explosions de cas et des hécatombes pendant 2 mois. Ils sont actuellement confrontés à une croissance exponentielle du variant delta et près de la moitié des morts Covid actuels ont reçu deux injections. Heureusement, ce dernier variant est peu mortel et se traduit le plus souvent par un rhume.

Ils ne protègent pas vos contacts. Le dernier exemple démonstratif est celui du porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth, où une épidémie de plus de 100 cas atteint les 1600 marins de l’équipage qui ont pourtant tous reçu leurs deux doses il y a plus de 3 mois.(([10] Épidémie sur le porte-avions HMS Queen Elizabeth après une escale à Chypre
AFP / le 14 juillet 2021))

Cette obligation est totalement illogique.

Si vous croyez que ces injections vous protègent, vaccinez-vous, mais vous n’aurez alors aucune raison d’avoir peur des autres et de leur imposer un pass ou une injection expérimentale. Et si vous avez des doutes sur l’efficacité de ces injections, vous devez vous méfier tout autant des vaccinés que des non-vaccinés et n’avez aucune raison d’imposer aux autres une injection expérimentale qui ne vous protégera pas plus.

Ne reproduisez pas les crimes des médecins nazis, dites non au fascisme pseudo vaccinal !

Relisez les attendus du procès de Nuremberg des médecins nazis. Manifestez pour vos libertés si durement conquises par nos ancêtres. Soutenez l’action de Reinhart Füllmich et de ses associés pour la tenue d’un second procès de Nuremberg et des nombreux avocats qui multiplient référés, plaintes, etc. (Fabrice Divizio, Virginie Araujo, JP Joseph, A Durand, Emmanuel Ludot, Carlo Brusa et bien d’autres).

Joignez vos députés et sénateurs, montrez-leur les vrais chiffres actuels de l’épidémie (aucun nouveau cas clinique en médecine de ville et aux urgences malgré la flambée du variant delta et la totale disproportion entre une menace virtuelle (une simulation !) et des mesures gravement attentatoires aux droits fondamentaux.

Ne laissez pas la France, anciennement pays des lumières et des droits de l’homme, devenir la risée du monde en rejoignant les deux théocraties islamiques qui sont les seules à appliquer une telle obligation.

Interrogée sur l’obligation vaccinale qui va être imposée en France au personnel soignant, Angela Merkel s’est montrée catégorique : « Nous n’avons pas l’intention de suivre la voie que la France vient de proposer. »





La déclaration gonflée des décès dus au COVID est une véritable conspiration

[Source en anglais : mercola.com]

(Extrait)

Par Dr Mercola

Au cours des premiers mois de 2020, de nombreux médias d’information grand public ont qualifié en riant les inquiétudes concernant le fait que le nombre de décès signalés à cause du COVID était supérieur au nombre de décès attribuables à la maladie de « conspiration sur le nombre de décès »[1] qu’ils disaient être menée par des républicains conservateurs et des « anti-vaxxers ».[2] Pourtant, quelques mois plus tard, les données confirment ce que beaucoup savaient déjà : le nombre de personnes décédées « à cause » du COVID-19 n’était pas le même que celui des personnes décédées « avec » le COVID-19.

À la fin de l’année 2020, j’ai fait état de plusieurs décès[3] qui avaient été initialement comptabilisés comme des décès dus au COVID-19, mais qui ont été rétractés par la suite, par exemple, deux décès dus à des blessures par balle dans le Grand County, Colorado, et un accident de moto à Orlando, Floride. À la même époque, la Freedom Foundation[4] a accusé le département de la santé de l’État de Washington d’avoir gonflé le nombre de décès dus au COVID jusqu’à 13 %.

Bien que le gouverneur ait nié cette allégation, des courriels internes ont révélé en mai 2020 que le ministère de la Santé comptait dans ses chiffres officiels du COVID des décès qui n’étaient pas directement dus au virus.[5] Le nombre élevé de décès avec le COVID-19 a été soutenu par la manière éhontée dont les experts ont manipulé le test PCR qu’ils ont utilisé pour confirmer la présence du virus.

Comme je l’ai signalé en 2020 et 2021, le taux élevé de faux positifs avec le test PCR était dû en grande partie au seuil de cycle exorbitant recommandé. Le seuil de cycle fait référence au nombre maximum de fois où le doublement est autorisé pendant le test. Plus le seuil est élevé, plus le risque est grand qu’un faux positif étiquette des personnes saines comme « cas de COVID-19 ».

En réalité, le test PCR n’est pas un outil de diagnostic approprié, même s’il a été présenté comme tel. Un nombre croissant de cas de COVID-19 dus à des tests PCR inexacts a contribué à étayer le nombre de décès enregistrés à cause du virus. Récemment, deux comtés de Californie ont révisé leurs chiffres sur la base d’une réévaluation des données.

Deux comtés californiens recomptent les décès dus au COVID

Après une analyse des données, les comtés de Santa Clara et d’Alameda en Californie ont découvert qu’il y avait une différence importante dans le nombre de personnes décédées à cause du COVID-19. Les données n’ont pas changé. Le nombre de décès réels n’a pas changé. Mais ce que les autorités ont découvert, c’est que 22 % des décès enregistrés à cause du COVID ne pouvaient pas être attribués au virus.[6]

Le comté de Santa Clara a indiqué le 2 juillet 2021 que les nouveaux chiffres ont été générés en ne comptant que des personnes dont la cause du décès était due au virus et en ne comptant pas les personnes qui avaient été testées positives au moment de leur décès. Les responsables du comté ont utilisé cette approche pour déterminer le véritable impact du COVID-19 sur leur communauté.

Le mois précédent, en juin 2021, le comté d’Alameda avait également recensé les décès attribués au COVID-19 et enregistré une baisse du nombre de décès d’environ 25 %. Le Dr Monica Gandhi, professeur de médecine à l’Université de Californie à San Francisco et spécialiste des maladies infectieuses, pense que le CDC pourrait bientôt demander à tous les comtés de recompter leurs décès dus au COVID-19 et que le pays tout entier pourrait voir le nombre de décès diminuer.[7]

Initialement, la Californie consignait comme morts du COVID-19 toutes les personnes qui étaient décédées et qui avaient été testées positives au COVID-19. Le tout nouveau décompte ne mentionne que les personnes ayant le virus comme cause de décès sur le certificat de décès, tel que déterminé par le médecin légiste.

Pourtant, malgré ce recomptage, compte tenu des incitations financières à modifier les certificats de décès et des tests PCR qui étiquetaient de manière inexacte les personnes infectées par le virus, les chiffres ne sont peut-être [Ndlr : presque certainement] toujours pas une représentation exacte du nombre de personnes décédées du virus.

[Ndlr : Suite en anglais sur Inflated Reporting of COVID Deaths Is a Real Conspiracy (mercola.com). L’article indique que cette tendance à gonfler les chiffres était générale aux États-Unis.
Il avait déjà été reporté ici et par plusieurs autres sites alternatifs (qualifiés de « complotistes » par les médias mainstream) que ceci avait lieu également dans la plupart des pays européens (au moins en Grande-Bretagne et dans les pays de l’Union Européenne). Et des études statistiques sur les données officielles de ces pays ne démontraient pas de surmortalité significative en 2020 par rapport aux années précédentes, compte tenu notamment du vieillissement de la population, des phénomènes de « rattrapage » (connus des démographes), et de la maltraitance des personnes âgées dans les maisons de retraite (trop souvent abandonnées à leur sort sans nourriture, boisson et soins, au moins au Québec et en France, le personnel ayant fui par peur d’attraper la Covid-19).]


Sources et références




N’ayez pas peur du variant delta, c’est un tigre de papier

Par Gérard Delépine

Depuis plusieurs semaines et la disparition de la maladie en France

comme dans le reste de l’Europe, le gouvernement, les médias et les experts covidterroristes tentent de raviver la panique avec le variant delta.

Or, si celui-ci résiste aux pseudo vaccins actuels et est nettement plus contagieux, il est beaucoup moins dangereux que le précédent et de plus sensible aux traitements précoces. C’est un tigre de papier.

Le variant delta résiste aux pseudo vaccins actuels

C’est pour cette raison qu’il s’est développé dans les pays où les vaccins lui assurent un avantage évolutif sur les souches précédentes comme la Grande-Bretagne (67 % de vaccinés), les Pays-Bas (68 %) l’Espagne (62 %), Israël (65 %) ou Malte (73 %) alors qu’il tarde à se développer en Biélorussie peu vaccinée (7 %).

Prétendre comme le fait le gouvernement que l’injection anti-covid protégerait contre le variant delta est donc contraire aux faits établis.

Le variant delta est un tigre de papier

Dans les pays où il progresse rapidement, il se comporte comme un rhume banal et ni le nombre d’hospitalisations ni la mortalité n’augmentent.

En Europe il n’y a aucune raison de craindre le variant delta qui s’accompagne partout d’une baisse du nombre des hospitalisations et de la mortalité.

Le variant delta est très sensible aux traitements précoces

Et en Inde où son apparition a entraîné une augmentation de la mortalité, la reprise des traitements précoces a vaincu l’épidémie.

Deux mois après le début de la vaccination et l’abandon dans certains états des traitements précoces qui avaient jusque-là contrôlé l’épidémie, l’apparition du variant delta a coïncidé avec l’accroissement important de la mortalité.

Mais l’épidémie a été rapidement jugulée par la reprise des traitements précoces par Hydroxychloroquine et Ivermectine recommandés par la task force indienne contre le covid.

La responsable locale de l’OMS qui avait appelé à l’arrêt des traitements précoces a été mise en accusation pour mise en danger de la vie d’autrui et risque la prison à vie.

Il n’y a donc aucune raison de craindre le variant delta qui n’est qu’un croquemitaine qu’on nous agite pour raviver une panique injustifiée et nous pousser à nous faire injecter des traitements expérimentaux inefficaces contre ce variant.




Information pour les députés et sénateurs : « donne le doigt au Diable et il voudra toute la main »

Par Gérard Delépine

[Illustration : leparisien.fr]

Information pour les députés et sénateurs :
« donne le doigt au Diable et il voudra toute la main »(([1] Proverbe russe))

Mesdames, Messieurs les députés et sénateurs, élus et citoyens,

Vous allez être appelés à prendre une décision majeure et historique pour notre pays, risquant de faire glisser la France de la démocratie à la tyrannie. Nous vous exhortons à ne pas vous livrer inconsciemment à cette manipulation monstrueuse de vaccination obligatoire et de pass sanitaire (ou ausweiss), dont vous êtes comme tant de français mal informés, les victimes…

Ne sombrez pas dans cette intoxication non sanitaire, et écoutez les vôtres, à commencer par le député européen et philosophe FX. Bellamy.

L’alibi des régimes autoritaires selon Albert Camus évoqué par le maire de Villeneuve-Loubet, Lionel Luca dans son discours du 14 Juillet à ses administrés, est toujours le bien collectif. Mais où pourrait être le gain pour la société d’une injection génique obligatoire et inefficace, de fait contre un virus peu létal et qui de plus a disparu de nos contrées ?

Il est en effet paradoxal que la loi projetée par le président le 12 juillet s’adresse à une épidémie aujourd’hui quasiment disparue.(([2] Comme le montre chaque jour le bilan officiel sur le réseau Sentinelles des médecins généralistes.)) Et aussi qu’on essaie de faire un monstre d’un minable variant delta, certes très contagieux, mais très peu virulent.(([3] Rien à craindre du variant Delta : il donne le rhume, curable par traitements précoces (francesoir.fr) )) Le contraste saisissant entre les courbes de contaminations qui montent de manière exponentielle et le taux d’hospitalisation et la mortalité qui restent très bas en Israël, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas est éloquent.

On poursuit l’état d’urgence et on priverait les Français de toutes leurs libertés les plus chères, dont un petit café en terrasse, pour un gros rhume qui ne nécessite qu’exceptionnellement une hospitalisation ? Ce n’est pas sérieux et bien sûr ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Le pouvoir le sait bien, qui accélère son calendrier avant que la fin mondiale de l’épidémie (démontrée depuis de longs mois en Floride ou au Texas) et la catastrophe des effets secondaires du « vaccin » ne soient trop flagrantes.

Il veut mettre en place son modèle sécuritaire à la chinoise avant d’avoir perdu la main dans la partie de poker menteur en cours

Qu’est-ce qui pourrait motiver aujourd’hui un député ou un sénateur pour accepter les ukases délirants d’un pouvoir en perdition, au point d’envisager l’interdiction d’entrer dans un hôpital si on n’a pas cédé à l’injection « miraculeuse » (par suite de la visite de E. M. à Lourdes probablement) ?

LE 12 JUILLET 2021 « UNE RUPTURE HISTORIQUE »

François-Xavier Bellamy, philosophe dont il faut lire la tribune dans le figaro du 14 juillet, rappelle que « Pass sanitaire : “une remise en cause profonde et inédite de notre modèle de société” »

« Pour le philosophe et député européen François-Xavier Bellamy, ainsi que pour le vice-président des Centristes, Loïc Hervé, le fait que l’accès à l’espace public soit conditionné à la présentation de données de santé est une rupture historique. L’atteinte aux libertés est disproportionnée au regard de l’objectif poursuivi. »

Rien de sanitaire ne peut justifier les mesures évoquées par le président en ce début juillet. Rappelons que des pays comme la Suède jamais soumise à des contraintes importantes ont 20 % de moins de morts par million d’habitants que nous, vont toujours bien et ont une vie normale malgré les croquemitaines variants qui obsèdent nos éditorialistes.

Le CTIAP,(([4] Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques — CENTRE HOSPITALIER DE CHOLET — Docteur Amine UMLIL)) en réaction à l’allocution du 12 juillet,(([5] CTIAP* Centre Hospitalier de Cholet : Vaccins contre la Covid-19. Allocution du Président de la République du 12 juillet 2021, 20 h : Emmanuel MACRON oublie de révéler aux Français ce que le ministre de la Santé (Olivier VÉRAN) a écrit au Conseil d’État ? (ctiapchcholet.blogspot.com) )) rappelle quelques extraits des affirmations, du ministre de la Santé, enregistrées auprès de la plus haute juridiction administrative fin février 2021 et fin mars 2021.

Dans ces écritures du 28 mars 2021, le ministre affirme que

« les connaissances scientifiques actuelles font apparaître en tout état de cause comme prématurée toute différenciation des règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses de vaccins »

Autrement dit, les personnes « vaccinées » continueront d’être soumises aux mêmes restrictions des droits et libertés fondamentaux que les personnes « non vaccinées ». Pour justifier ce traitement identique, il avance les quatre arguments suivants :

1. « En premier lieu, comme on le sait, l’efficacité des vaccins n’est que partielle ». Et, lorsqu’il évoque l’« efficacité clinique », il ne parle que des formes « symptomatiques » sans distinction entre les formes légères, modérées et « graves ». Il explique que « dès le stade des essais de ces vaccins, il n’y avait donc pas de garantie d’immunité associée pour les personnes qui se le voyaient administré ».

2. Il ajoute : « En deuxième lieu, cette efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants »

3. Il poursuit : « En troisième lieu (…), les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale, du fait d’une immunosénescence (…) ou de la virulence d’un variant ». Notons que c’est bien ce qu’il semble se passer dans les pays les plus vaccinés en Israël ou en Angleterre sur la proportion des malades parmi les vaccinés ou non, avec dans les faits une plus grande fragilité des vaccinés.

4. Il termine : « En quatrième lieu, même lorsqu’il a une efficacité sur les personnes concernées, en l’état des connaissances scientifiques, le vaccin ne les empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».

Et eu égard à ces quatre arguments, le ministre conclut :

« Il n’y a donc pas de justification à exempter les personnes vaccinées de l’application des restrictions de circulation actuelles destinées à les protéger comme à protéger leur proche ainsi que l’ensemble de la population. Aucune recommandation du conseil scientifique ne va d’ailleurs dans le sens de telles exemptions. »

Ces écritures confirment les précédentes datant de fin février 2021 enregistrées par ce même Conseil d’État. Et que le CTIAP a porté à votre connaissance dans notamment son article publié, le 4 mars 2021, sous le titre : « Efficacité des vaccins contre la Covid-19 : le Conseil d’État relève les contradictions de l’ »administration’ française » ». On peut rappeler notamment ce qui suit :

« L’administration fait néanmoins valoir, d’une part l’existence d’études récentes invitant à la prudence quant à l’absence de contagiosité des personnes vaccinées, d’autre part, l’incertitude scientifique sur l’immunité conférée par la vaccination en cours à l’égard des variants du virus, enfin la survenue de foyers de contamination de résidents et de personnels dans certains EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] où la campagne de vaccination a eu lieu. »

L’INVRAISEMBLABLE CONCLUSION DU MINISTRE

« Ce lundi 12 juillet 2021, à 23 h 48, ce même ministre, qui a remis en cause l’efficacité de ces vaccins auprès du Conseil d’État dans le but de maintenir les restrictions aux droits et libertés fondamentaux des personnes vaccinées », publie le message suivant sur le réseau social Tweeter :

« Vous êtes des centaines de milliers à avoir réservé un rendez-vous de vaccination ce soir ! Ça tombe bien, on a des vaccins, des centres ouverts partout, et des dizaines de milliers de soignants, pompiers, agents des collectivités qui n’attendent que vous (avec trois smileys) ». « Des centaines de milliers » de consentements qui seraient extirpés par le dol et la violence notamment, et en direct ?

Le consentement est pourtant une liberté fondamentale. Oui le Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP) a raison, viol des consciences et consentement extirpé

« Ce lundi 12 juillet 2021, à 20 h, la forme et le fond du discours présidentiel nous auraient projetés vers notamment l’anacyclosis. Vers cet éternel retour : un cycle en quatre phases. Ce 12 juillet 2021, la France aurait opéré la dernière transition de cet anacyclosis en passant de la démocratie à la tyrannie ».

POURQUOI UNE TELLE VIOLENCE EN DÉBUT D’ÉTÉ ? Après sera-ce trop tard ?

Selon le CTIAP, elle serait le témoin de l’impossibilité juridique de rendre cette vaccination expérimentale contre la Covid-19 obligatoire

STRATÉGIE DÉPLOYÉE : POURRIR LA VIE DES FRANÇAIS

User de la peur des représailles (limitation de l’accès à la nourriture et aux soins, perte d’emploi et ses conséquences, difficultés d’accès aux moyens de transport, aux activités sportives, culturelles et de loisirs, etc.)

La tactique du gouvernement consiste à « pourrir la vie des Français » pour contraindre, par une force qui semble illégitime, les personnes à aller elles-mêmes se faire vacciner ; un acte qui prendrait, en apparence, la forme d’une vaccination « volontaire »

Que dire de plus sinon de vous conseiller de prendre le temps de lire l’intégralité des analyses proposées par le CTIAP depuis plusieurs mois. Witold KRAUZE.

On peut supposer que la vaccination pseudo volontaire ferait encourir moins de responsabilité pénale qu’au législateur qui l’imposerait. Aux juristes d’en débattre.

LA RÉACTION INCROYABLE DE MAUVAISE FOI DU POUVOIR

Alors que les manifestations spontanées se sont développées dans énormément de villes et villages de France, avec des dizaines de milliers de manifestants de tous bords, vaccinés ou non, atteignant probablement le million de personnes voire beaucoup plus, le pouvoir ose comparer le chiffre officiel de 115 000 manifestants (trois par commune ?) à l’hallucinant chiffre de plus d’un million d’inscrits pour une vaccination « volontaire » en urgence !

Faites peur, bloquez les départs en vacances prévus, les locations retenues avec arrhes versés et billets d’avion achetés. Faites peur pour la rentrée et vous entraînerez pleurs des parents et des enfants, panique et inscription « volontaire » à la piqûre ?

Les juifs faisant la queue pour récupérer leur étoile jaune étaient aussi consentants, nous dira-t-on ? Décidément, rien ne nous sera épargné dans le mépris affiché du peuple ! Ils veulent nous faire croire qu’ils sont consentants, volontaires, convaincus par les arguments du ministre. NON, ils ont peur du pouvoir et quelques-uns encore du virus.

Ne nous mentez pas. Au moins, assumez votre volonté d’hégémonie à la chinoise, Mr Véran, vous et votre compagne députée étant membres de France-Chine, Chine qui achète tout en France, discrètement et nous demande de mettre en place la sécurité selon son modèle, avec la complicité de trop d’entre vous aux manettes.

ATTENTION LA BOÎTE DE PANDORE EST OUVERTE. LISEZ ARIANE BILHERAN.(([6] Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

« La boîte de Pandore étant ouverte, il vous sera toujours demandé plus, et encore plus. C’est le fonctionnement même de l’emprise perverse, de la mise en esclavage psychique et physique. »

« L’heure de la persécution paranoïaque a sonné. Les ennemis semblent désignés, mais ne nous y trompons pas. Il ne faut jamais croire le langage de la perversion. Elle vous assure que, si vous consentez à faire ce que vous ne souhaitez pas faire, alors vous serez tranquille et tout ira bien pour vous. Elle exige que vous renonciez à un petit bout de territoire de vous-même. Puis, la boîte de Pandore étant ouverte, il vous sera toujours demandé plus, et encore plus. C’est le fonctionnement même de l’emprise perverse, de la mise en esclavage psychique et physique.

Alors, peut-être qu’aujourd’hui certains se rassurent, en se disant que, s’ils sont des citoyens obéissants, ils seront épargnés, puisque la vindicte désigne une catégorie d’individus en particulier dans un corps social désormais considéré malade, et qu’il conviendrait d’amputer. C’est une erreur.

Dans tous les systèmes harceleurs, tous ceux qui se soumettent docilement et font du zèle, espérant passer entre les gouttes, finissent par être persécutés puis exécutés.

Car la paranoïa est une folie raisonnante ; il faut entendre qu’elle n’a rien de rationnel et ne s’embarrasse pas de contradictions. Au diable la logique ! La logique devient ce que l’angoisse psychotique exige : de la persécution, du sang, des morts, pour se calmer, toujours temporairement. Aussi, cela procède à l’arbitraire, et par vagues. Tous les totalitarismes ont agi ainsi.
Soljenitsyne nota bien l’incrédulité des gens 
; ils pensaient être de bons citoyens bolchéviques, n’avoir rien à se reprocher et pourtant, les rafles ne les épargnaient pas ! Cette incrédulité leur donnait ainsi l’illusion que quelqu’un s’apercevait bien de leur innocence… mais rien n’est plus faux car leur erreur était la croyance aveugle en l’existence d’une rationalité, dans ce qui n’était qu’une folie empruntant de façon frauduleuse l’apparence de la raison ».

POURQUOI L’OBLIGATION VACCINALE PARAÎT-ELLE DIFFICILE À IMPOSER ?

Beaucoup d’entre nous rappellent régulièrement les fondements de notre État, encore de droit, et surtout insistent sur le fait que RIEN n’a encore été voté : ni loi ni décret, d’aucune sorte, n’ont encore été promulgués.(([7] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le Droit international prévaut toujours sur le droit national, en vertu du principe de « hiérarchie des normes » : principe fondamental du Droit. Et si le code de Nuremberg n’est pas une référence juridique opposable, il est pour le moins une référence historique ayant conduit aux articles actuellement en vigueur dans plusieurs conventions, que nous citerons une nouvelle fois.

Citons les articles de droit international(([8] PETITPOINDEDROIT.pdf rappelés, entre autres, par Daniel Antoine))

  • Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 et DUDH adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 : les lois d’obligation sont anticonstitutionnelles.(([9] Déclaration universelle des droits de l’Homme 1948 (adequations.org) ))
    • Arrêt SALVETTI c/Italie – CEDH du 9 juillet 2002 ; décision n° 42197/98. « En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales ».
    • Article 8 de la CEDH : « Droit au respect de la vie privée et familiale
      • 1.Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
      • 2. Il ne peut y avoir ingérence d’une autorité publique dans l’exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu’elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l’ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d’autrui. ».
  • « Déclaration sur l’élimination de toutes formes d’intolérance et de discrimination fondées sur la religion ou la conviction » 36/55, proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies l’ONU le 25 novembre 1981 :
    HCDH | Déclaration sur l´élimination de toutes formes d´intolérance (ohchr.org)
  • Déclaration de Genève adoptée par l’assemblée générale de l’Association médicale mondiale (AMM) à Genève en septembre 1948, adaptation du serment d’Hippocrate aux enjeux contemporains.
  • Déclaration d’Helsinki de l’AMM, articles 23, 24, 25 et 26 sur le consentement en matière de recherche médicale (les « vaccins » sont une « expérimentation », assimilables à des « recherches médicales », puisque les essais de phase III sont en cours).(([10] Déclaration d’Helsinki de L’AMM – Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains – WMA – The World Medical Association))
  • « Convention d’Oviedo » du 4 avril 1997 » : Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine (Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine)
    • article 5 : « Art. 5 Règle générale : une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé.(([11] Réfléchissez à ce qu’on appelle « libre et éclairé » et si le consentement extorqué au vaccinodrome où vous venez en voiture et que vous passez votre épaule pour la piqûre après quelques mots dans le meilleur des cas est vraiment un consentement… ou bien quand le médecin fait quinze « vaccins » en une heure, combien de temps vous consacre-t-il ?)) Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement ».
      Cette convention est applicable en droit interne français depuis 2012.
  • Article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) de 1950, sur le respect de la dignité humaine.
  • Enfin citons la Résolution n°2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe du 23 janvier 2021 est citée, mais ce conseil est uniquement consultatif, texte UNIQUEMENT un principe directeur sur lequel un recours judiciaire peut s’appuyer, mais en aucun cas un texte opposable en tant que tel.
    • : « 7,3 en ce qui concerne la garantie d’un taux élevé de vaccination : 7.3.1 s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pression politique, sociale ou autre pour se faire vacciner s’il ne souhaite pas le faire lui-même ;
    • 7.3.2 veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques sanitaires potentiels, ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

On constate chaque jour que ce texte est piétiné, toute la journée et à répétition, ne serait-ce qu’en écoutant les émissions radio et télévisées « bien pensantes ». Entendre un professeur de faculté exerçant à Paris à l’APHP oser affirmer que le vaccin anticovid est sans effet secondaire(([12] Voir les sites officiels de l’agence européenne EMA EUDRAVIGILANCE ou de la FDA le VAERS par exemple ou des synthèses https://nouveau-monde.ca/effets-secondaires-et-deces-lies-aux-injections-experimentales-anticovid/)) et qu’on n’a jamais vu des effets indésirables d’un vaccin apparaître au-delà de trois mois paraît incroyable, ne serait-ce qu’après les narcolepsies (endormissement brutal et insurmontable) secondaires au vaccin H1N1 de Mme Bachelot, qui avaient touché au moins 800 personnes plusieurs mois après l’injection et encore en cours d’indemnisation.

Il est dommage que peu de gens demandent leurs liens d’intérêt avec les labos à ces pourvoyeurs d’énormes mensonges aux conséquences parfois tragiques.

EN CE QUI CONCERNE LE DROIT NATIONAL :

  • Loi « Kouchner » n° 2002-303 du 04 mars 2002. Chaque parent/patient peut, conformément à la loi Kouchner, demander aux vaccinateurs des informations exhaustives sur l’acte médical proposé, et le refuser.
  • Art. L1111-4 du Code de la Santé Publique (CSP) : « AUCUN ACTE MÉDICAL ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le CONSENTEMENT LIBRE et ÉCLAIRÉ de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ».
  • Art L1111-2 du CSP sur l’information du patient concernant le produit injecté (traitement médical dans l’absolu) : l’information doit être « claire, loyale et appropriée ».
  • Loi sur le respect du corps humain, insérée dans le Code Civil, Art. 16-1 et suivants (29 juillet 1994).
    • Art. 16-1 : « Chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable ».
    • Art. 16-3 : « Il ne peut être porté atteinte à l’intégrité du corps humain qu’en cas de nécessité médicale pour la personne. Le consentement de l’intéressé doit être recueilli préalablement. »
    • Art. 16-4 : « Nul ne peut porter atteinte à l’intégrité de l’espèce humaine. »
  • Constitution française (4 octobre 1958), article 55 (hiérarchie des normes) :
    • « Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l’autre partie. ».
  • Code de Déontologie médicale inséré dans le Code de la santé publique (6 septembre 1995) :
    • Art. R4127-2 : « Le médecin, au service de l’individu et de la santé publique, exerce sa mission dans le respect de la vie humaine, de la personne et de sa dignité. ».
    • Art R4127-3 : « Le médecin doit, en toutes circonstances, respecter les principes de moralité, de probité et de dévouement indispensables à l’exercice de la médecine. ». Art R4127-36 :
      • « Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.
      • Si le malade est hors d’état d’exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que la personne de confiance, à défaut, la famille ou un de ses proches ait été prévenu et informé, sauf urgence ou impossibilité.
      • Les obligations du médecin à l’égard du patient lorsque celui-ci est un mineur ou un majeur faisant l’objet d’une mesure de protection juridique sont définies à l’article R. 4127-42. ».
    • Art 4127-39 (sur l’injection d’une substance parfaitement inconnue, puisqu’en cours d’évaluation en phase III d’expérimentation) :
      • « Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite. »
  • enfin, le Serment d’Hippocrate : « PRIMUM NON NOCERE » (« en premier, ne pas nuire »)

Notons que la Loi BARNIER sur le principe de précaution (2 février 1995) n’est pas applicable en matière de santé, aussi aberrant que cela puisse paraître.

EN CONCLUSION

Aucun médicament expérimental, même affublé frauduleusement du nom vaccin ne peut être légalement obligatoire, c’est un MENSONGE COMPLET. Notre président le sait, et buffle.

Toute vaccination dans ces conditions, relève donc, sur un plan pénal, de la « mise en danger de la vie d’autrui » (art 223-1 du Code pénal), voire de « l’abus de faiblesse », concernant les enfants, les personnes déficientes mentales, et les personnes âgées (art 223-15-2 à 223-15-4 du Code pénal),

Lorsque cette vaccination est imposée de force ou par malice, cela relève de « l’extorsion » (art 312-21 du Code pénal).

Ainsi chers lecteurs, chers élus, vous avez pu retracer les guides juridiques, mais aussi éthiques, moraux de notre belle Médecine telle que nous l’ont enseigné nos Maîtres, pleine d’amour envers nos prochains et d’humilité envers une science toujours incomplète, imparfaite et jamais dogmatique.

Quelle chance avons-nous eu de pouvoir la pratiquer dans cet esprit.

Nous espérons qu’après cette période d’obscurantisme scientiste, la raison reviendra aux hommes et permettra de revenir à nos pratiques fidèles à Hippocrate. Merci de nous aider via votre Mission d’élu par vos discussions au Parlement et par vos votes à retrouver notre médecine et à conserver nos Libertés fondamentales.





Non au pass sanitaire et à l’obligation des pseudos-vaccins anti-covid19

Par Gérard Delépine

Le pass sanitaire totalement inefficace sur l’épidémie(([1] Israël et la Grande-Bretagne l’ont abandonné)) est gravement attentatoire aux libertés fondamentales. Il crée une ségrégation inacceptable et constitue un chantage brutal pour imposer une injection expérimentale.

Défendons les soignants qui savent mieux que nos politiques, leurs journalistes aux ordres ou leurs experts corrompus que vous entendez tous les jours à la télé si les pseudos vaccins sont efficaces et sans danger.

Les soignants ne sont pas des antivax ; ils ont été les premiers à se faire vacciner et aussi les premiers à en subir les effets secondaires. Si les résultats réels des vaccins étaient ceux que le gouvernement et les médias prétendent, les soignants continueraient à se précipiter pour se faire vacciner. S’ils refusent, c’est qu’ils sont mieux informés des complications post vaccinales (y compris les décès dont un interne en médecine, nantais, sportif, en parfaite santé avant la vaccination et qui n’avait aucun bénéfice personnel à espérer du pseudo vaccin), et de la disparition actuelle de la maladie dans les cabinets médicaux.

et dans les hôpitaux :

Si les menaces des mesures de Macron étaient appliquées, elles aggraveraient le manque de personnel dont on a tant besoin pour faire face aux besoins de santé accrus après la désorganisation hospitalière aggravée, non pas par l’épidémie Covid, mais par les mesures prétendument sanitaires du premier confinement (entre autres le plan blanc et les suppressions de lits malgré l’épidémie) constatées récemment par le canard enchaîné. De nombreux soignants ont déjà démissionné et demandé leur affectation en Suisse ou en Belgique où les salaires sont plus élevés. D’ autres attendent quelques semaines l’évolution de la situation, mais par exemple 40 % du personnel de réanimation de l’hôpital Lariboisière à paris a décidé de démissionner en groupe si le couteau leur est mis sous la gorge en septembre.

Et après les soignants et les autres professions déjà menacées, ils s’attaqueront à vous.

Méditez le poème du pasteur Martin Niemöller prisonnier personnel de Hitler sur la lâcheté de la population au moment de l’ascension des nazis « Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste. Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »

C’est maintenant qu’il faut arrêter le fascisme sanitaire en marche !

Ce qu’on veut vous injecter n’est pas des vaccins : ça ne contient aucun antigène, mais une protéine (ARN messager) ou des virus non humains génétiquement modifiés ; ce sont des médicaments à visée préventive.

Leur création repose sur une technique jamais utilisée chez l’homme sauf pour dans un essai de traitement des maladies génétiques qui a été interrompu, car il causait des leucémies.

Ils sont expérimentaux Les essais phase 3 ne sont pas terminés ; leurs résultats définitifs ne serontévalués qu’en 2023

Ils ne vous protègent pas de la maladie ni d’en mourir. La Grande-Bretagne et Israël sont actuellement confrontés à une croissance exponentielle du variant delta

et près de la moitié des morts Covid actuels ont reçu deux injections.

Ils ne protègent pas vos contacts.

Le dernier exemple démonstratif est celui le porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth où une épidémie de plus de 100 cas atteint les marins qui ont tous reçu leurs deux doses il y a plus de 3 mois.

Cette obligation est totalement illogique. Si vous croyez que ces injections vous protègent, vaccinez-vous, mais vous n’aurez alors aucune raison d’avoir peur des autres et de leur imposer un pass ou une injection expérimentale.

Et si vous avez des doutes sur l’efficacité de ces injections, vous devez vous méfier tout autant des vaccinés que des non-vaccinés et n’avez aucune raison d’imposer aux autres une injection expérimentale qui ne vous protégera pas.

Pour protéger vos enfants et tous ceux qui ont moins de 65 ans qui risquent beaucoup plus du vaccin que du Covid, dites non à ces mesures injustifiées totalement discriminatoires que personne n’avait osé proposer au plus fort de l’épidémie de Sida.

Dites non au fascisme vaccinal ! Manifestez pour vos libertés si durement conquises par nos ancêtres. Joignez vos députés et sénateurs en urgence, car le gouvernement a modifié le calendrier parlementaire et veut faire passer sa loi liberticide en quelques jours. Montrez-leur les vrais chiffres de l’épidémie et la totale disproportion entre une menace virtuelle (une simulation !) et des mesures gravement attentatoires aux droits fondamentaux et que personne au monde (à part deux théocraties islamiques) n’a jusqu’ici appliquées. N’hésitez jamais à rappeler aux élus, et à tous les citoyens qu’il existe des traitements précoces efficaces et sans danger.

Espérons que les fortes manifestations du samedi 17 juillet, dans de très nombreuses villes de France réunissant tous les Français vaccinés ou non, mais hostiles à l’apartheid hygiéniste et les sollicitations multiples des députés et sénateurs par les citoyens de tous bords attachés à la liberté, influenceront nos gouvernants et les conduiront à abandonner le pass sanitaire partout, comme Boris Johnson l’a fait début juillet après la manifestation monstre de Londres. Emmanuel Macron sera-t-il plus royaliste que les Anglais ?




Allocution de Macron : entre autosatisfaction et obligations, l’adieu à la raison

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

20h27. Fin de l’allocution de notre actuel huitième président de la Vème République Française.

Cette allocution aura donc duré un peu moins de 30 minutes. 30 minutes que certains de nos concitoyens ont dû trouver bien longues…

Car, ne nous mentons pas ; depuis quelques jours maintenant, elle était redoutée par bon nombre de Français. L’atmosphère se faisant de plus en plus lourde ces derniers temps ; que ce soit dans la vie au quotidien (professionnelle comme sociale) ou sur les réseaux sociaux. Climat d’instabilité manifeste exacerbé qui plus est par une campagne incessante et pesante sur les plateaux des diverses chaînes d’information. Ces plateaux de télévision où sans cesse, les non-vaccinés sont pointés du doigt pour leur manque de civisme, d’altruisme et de solidarité. Les mots employés dépassant souvent l’entendement, symbole d’une atmosphère nauséabonde et d’une tension palpable. Les exemples les plus frappants étant les interventions de M. Lechypre ou de Mme de Malherbe pour qui les non-vaccinés doivent être traqués ou considérés comme des brebis galeuses.

Voir aussi : Le non-vacciné, cette espèce à abattre

A cela s’ajoute, bien évidemment, car sans cet ajout il eut été difficile d’imposer de nouvelles mesures, une communication terriblement anxiogène par ces mêmes médias mainstream rappelant toutes les heures l’implantation continue sur notre territoire du terrible variant indien, renommé Delta, pour des soucis de progressisme bien évidents. La « fracture vaccinale », comme aime le dire un célèbre néphrologue devient de plus en plus visible. Fracture illustrée ces dernières heures par la conversation filmée entre notre Premier ministre et le président du parti Les Patriotes. Cette conversation laissant sous-entendre un été plus que compliqué pour la partie de la population française non vaccinée.

https://www.youtube.com/embed/yKVMKXGHFes

Sans bien sûr oublier la bombe de la semaine dernière lorsque le directeur de l’IHU Marseille, via son compte Twitter, s’est positionné en faveur de la vaccination « systématique »des soignants. C’est donc dans ce contexte particulier, une véritable poudrière sociale, que le président intervenait ce soir afin de donner ses nouvelles directives pour cet été déjà commencé.

Et si la population réticente au vaccin et au pass sanitaire redoutait donc cette allocution et les décisions qui allaient en découler, force est de constater que personne (y compris dans le camp des « pro ») ne s’attendait à des décisions aussi radicales.

Le président a commencé son allocution, qu’il tenait étonnamment au Grand Palais Ephémère, par des félicitations à tous comme il en a l’habitude, des soignants jusqu’à notre jeunesse, n’oubliant pas de rendre hommage aux victimes, tout en saluant notre civisme et également la pertinence des mesures prises par son gouvernement.

Oui car il estime, « après avoir beaucoup consulté », que si l’épidémie est maitrisée c’est avant tout grâce aux mesures prises par l’exécutif, pointant surtout le plan de vaccination massif qui est une réussite. A aucun moment Emmanuel Macron ne parle de l’arrivée du printemps puis de l’été qui entraînent une chute naturelle de l’épidémie dans notre climat tempéré… Premier écart avec la science.

Après s’être dit très fier du maintien de l’école et de l’instruction (il est à noter que l’on a fermé moins longtemps que certains pays comme les Etats-Unis ou l’Allemagne), il saluera également aussi le plan de réouverture. Ce plan de réouverture étant une réussite notamment grâce à son « quoiqu’il en coûte » qui aurait permis de préserver les emplois, les entreprises et le pouvoir d’achat. Tous ces bons résultats vont nous permettre de maintenir un 6% de croissance faisant de nous le pays le plus attractif d’Europe… Rendez-vous en fin d’année pour confirmation.

Arrive alors le début des annonces fâcheuses : Emmanuel Macron nous lâche que malheureusement la reprise épidémique due au variant delta est maintenant forte sur tout le territoire, y compris les Dom-Tom. Mais également dans le monde entier, et qu’il est impératif de reprendre des mesures pour lutter contre celui-ci ; il cite notamment les Jeux olympiques de Tokyo à huis clos pour se justifier.

Bien sûr, il appuie son propos en nous expliquant que ce Delta est trois fois plus contagieux, (ce chiffre est pour le moins farfelu : on a entendu 8, 12 et maintenant 3…), mais il ne dira mot concernant le taux d’hospitalisations et le taux de létalité de ce variant comparé aux précédents. Pour quelle raison ? Parce que ce variant est très peu létal selon les derniers résultats observés en  Grande-Bretagne, et, comme chacun sait qu’il a des compétences en épidémiologie, on ne peut imaginer qu’il ne soit pas au courant. De fait, cela rendrait la suite de la prise de ces décisions insensées. Deuxième écart avec la science.

Mais « heureusement », dit-il, nous avons l’arme vaccinale pour lutter contre ce virus et ses variants. Et d’ailleurs il est impensable qu’au pays de Pasteur et des Lumières, une telle proportion de la population y soit réticente. Cette affirmation paraît terriblement cocasse quand on sait qu’aucun de nos vaccins n’est actuellement sur le marché…

Se vacciner, affirme-t-il encore, réduit les formes graves de 95%, divise la contamination par 12 et réduit les mutations. Si la première affirmation est vrai, il ferait bien d’aller jeter un œil sur les dernières études qui parlent d’un taux d’efficacité aux alentours de 60% sur les contaminations, et même encore moins si on s’en réfère aux toutes dernières données. Quant aux mutations évitées, c’est tout simplement non prouvé pour l’instant. Troisième et quatrième écart avec la science.

Voir aussi : Le meilleur épidémiologiste du monde est français, et il s’appelle Macron !

Mais, c’est en utilisant ces arguments scientifiques teintés de doigt mouillé, qu’il va annoncer ses décisions :

– l’obligation vaccinale, « dans un premier temps » pour tous les soignants et assimilés, jusqu’aux aides à domicile. Ils auront jusqu’au 15 septembre pour le faire, ensuite viendront des contrôles, et des sanctions.

On rappellera que ces vaccins sont toujours en AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle et que prendre une telle décision est totalement contraire au principe de prudence. Que cherche-t-il à provoquer par cette décision ? Croit il vraiment que la totalité du personnel va s’exécuter ? Ne sait il pas que certains vont démissionner (c’est déjà le cas pour certains) pour le libéral ou une reconversion ? Ne se rend il pas compte qu’il risque de rendre l’Assistance Publique complètement démunie ?

On pourrait vraiment le penser… mais c’était sans compter sur la suite de son programme vaccinal. Ils ont certainement prévu cette possibilité et c’est sans doute la raison des décisions suivantes.

Pour le reste de la population, pas d’obligation. Mais déjà des couvres-feux seront remis en place en Martinique et à la Réunion et, pour les départements dont le taux d’incidence dépassera 200 (soit à nouveau des cas, et non des malades), les sanctions seront ciblées sur les non-vaccinés.

En prononçant ces mots, il rend officielle et légitime la fracture vaccinale dans notre pays. Il vient de donner blanc-seing à tous les intégristes du « zerocovid » et « no fale med ». Ils auront dorénavant l’aval du président quant à leurs actions de discrimination envers leurs compatriotes non vaccinés.

– La suite logique de son intervention (car une fois mis en condition on y trouve une certaine logique) est donc l’extension du passe sanitaire, et ce dès le 21 juillet dans les lieux de loisirs et culture à partir de 12 ans. Puis ce passe sera élargi début août à tous les cafés, restaurants, moyens de transport publics, ainsi qu’aux centres commerciaux. Il ajoute que seuls les vaccinés et les testés négatifs (sans préciser le type de test d’ailleurs) pourront y accéder. Plus de différenciation dehors/dedans, on oublie donc encore une fois la science qui nous a prouvé qu’il était rarissime de se contaminer en extérieur. Cinquième écart.

De plus, en disant que la preuve vaccinale est suffisante, il agit comme si ce vaccin cassait la contamination et la transmission, et on a bien vu que c’était loin d’être évident. Nous nageons dans l’absurde le plus total, où une personne vaccinée mais possiblement positive aura accès à un lieu public, quand une personne non vaccinée mais négative y sera interdite. Sixième écart.

On rappellera aussi que le passe était censé être utilisé pour les rassemblements de plus de 1000 personnes seulement. Certains avaient vite vu la mascarade de cette loi. Les rédacteurs de cette dernière avaient bien fait attention de ne mentionner aucun seuil pour pouvoir l’adapter.

Voir aussi : Loïc Hervé, sénateur : « le pass sanitaire, ce n’est pas possible, c’est une question de principe »

Enfin, il finit par nous annoncer qu’à partir de septembre, les tests deviendront payants. Ceci est une manière de faire qui n’a rien à envier à nos plus sombres moments d’histoire. En effet, comment une famille nombreuse au revenu minimum pourrait-elle se permettre de payer des tests PCR à chaque fois qu’elle veut aller au cinéma ou faire ses courses ? Par cette décision, il contraint de fait une grande partie des réticents à la vaccination, sans autre forme de procès.

Comme si cela ne suffisait pas : après avoir annoncé des projets de vaccination à l’échelle mondiale via le « Projet Act » pour les pays les plus pauvres qui auront un accès facilité aux doses de vaccins – pays qui pour la plupart, rappelons-le aussi, ne nous ont pas attendu pour soigner et prendre en charge leurs populations avec des traitements connus et reconnus mais dont il est interdit d’écrire le nom sous peine de censure, le président termine son allocution en annonçant la réforme des retraites qui sera mise en place dès la sortie de la pandémie. On notera avec malice que cette date imprécise lui donne une certaine latitude, puisqu’il pense qu’on en a au moins jusque 2022 avec ce virus. Avec en perspective, jusqu’à preuve du contraire, des élections présidentielles en mai 2022. Pense-t-il vraiment être en situation de mettre en place cette réforme ?

Se justifiant donc avec cette réforme et le maintien du plan de relance post covid, il nous annonce que nous serons contraints de travailler plus et plus longtemps. Car notre président est un homme de parole : ainsi, il continuera la baisse des impôts comme prévu. Il faudra donc financer ce plan de relance et la réforme des retraites par d’autres moyens : le travail ! 

Il conclut alors par son grand projet qu’il nomma « le pacte français » – mais sans jamais omettre d’y inclure l’Europe. Il aura pour but de faire de la France un pays conquérant à la pointe dans la recherche, l’innovation, l’industrialisation, l’agriculture à horizon 2030. On croirait presque à un discours souverainiste mais y inclure l’Europe et parler également de projet européen d’industrialisation montre bien que tout ceci est peu tangible et viable économiquement.

Les annonces dites sanitaires auront donc été prises en sandwich entre un numéro d’autocongratulation et un discours programmatique, pour ne pas dire de campagne. Était ce pour noyer le poisson en bombardant le citoyen d’informations importantes ?

Il n’empêche que nous basculons dans une autre ère ce 12 juillet 2021, 23 ans jour pour jour après que le pays a vécu sa plus belle soirée de communion nationale d’après-guerre. L’obligation vaccinale est appliquée dans peu de pays encore, les seuls étant l’Arabie Saoudite et le Tadjikistan. Sous couvert de protection de la population contre un variant qui à l’heure actuelle n’est pas spécialement alarmant, cette obligation vaccinale et ce passe étendu questionnent fortement.

Quel est le projet ? A-t-il conscience que si on découvre des maladies auto-immunes, le pays le rendra responsable ? Il est assez jeune pour devoir répondre de ses décisions de son vivant dans plusieurs décennies et ca n’a pas dû lui échapper.

Quel est l’intérêt de vacciner un enfant de 12 ans ? Combien de morts de 12 ans du covid ? À quel moment notre président et son conseil scientifique ont-ils oublié la définition de la balance bénéfice-risque ?

De plus, on commence à s’apercevoir de manière assez probante maintenant que de « l’échappement vaccinal » peut se produire, qu’un vacciné peut toujours être positif et que de fait le vaccin n’est pas l’arme ultime de santé publique.

Voir aussi : « Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot

Que signifie cette dégringolade liberticide ? Nous sommes passés d’un confinement en mars-avril 2020 pour désengorger nos hôpitaux et nos réas, à l’obligation vaccinale en septembre 2021 pour un enfant de 12 ans pour aller manger un snack dans un centre commercial…

Les historiens et philosophes du XXIIème siècle auront là un sujet passionnant pour leurs thèses.

Auteur(s): FranceSoir




L’obligation vaccinale n’aurait aucune justification, ni scientifique ni légale

Par Gérard Delépine

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Elle ferait de plus courir des risques politiques insensés à notre démocratie.

Le covid a quasiment disparu du pays même si nos gouvernants et les médias le cachent

D’après l’OMS et OurWorldinData, le nombre de nouvelles contaminations journalières est en chute libre en France depuis avril 2021. Depuis trois semaines, ce nombre ne dépasse pas 2000 par jour, soit une incidence quotidienne de 0,000 03.

À titre de comparaison, la Grande-Bretagne en est à 20 000 cas quotidiens malgré sa couverture vaccinale élevée et ses confinements récents.

Alors pourquoi le gouvernement veut-il prolonger la loi d’urgence prétendument sanitaire pour une épidémie disparue ?

La stratégie du tout vaccin sans traitement précoce est un échec cuisant

Le gouvernement et les médias tentent d’entretenir la peur dans la population en agitant la « quatrième vague ».

Celle-ci n’est qu’un mauvais scénario catastrophe issu d’une nouvelle modélisation dont les précédentes se sont toujours révélées fausses et ont été le prétexte des mesures liberticides (confinement, interdiction de traitements précoces) qui ont fortement aggravé la mortalité globale.

Elles nous ont placés dans le peloton de tête des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants, comme les autres grands pays qui ont confiné à l’aveugle et, pour certains, interdit à leurs médecins de traiter précocement les malades.

[Ndlr : la Biélorussie (Belarus sur le schéma) n’a pratiqué aucune mesure sanitaire obligatoire et a beaucoup moins de morts par millions d’habitants et en absolu que la plupart des autres pays d’Europe. Voir ici ou ici, articles qui présentent très négativement ce pays (et son président élu, alors que son choix sanitaire est visiblement le meilleur).]

Le cuisant échec de la stratégie de la peur et du tout vaccin adoptée jusqu’ici devrait faire réfléchir nos politiques et les inciter à une approche plus démocratique, qui s’est révélée nettement plus efficace dans d’autres pays.

Les pseudo vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta

La grippe, autre virus à ARN, nous a appris depuis longtemps qu’il se présente un nouveau virus chaque année, avec pour corollaire l’inefficacité au moins relative du vaccin de l’année précédente.

Il en va de même du Covid ; les variants émergent et se développent parce qu’ils sont résistants aux injections pseudo vaccinales en cours.

Les covidistes prétendent que la vaccination serait la meilleure prévention contre le variant delta alors que l’expérience des pays les plus vaccinés démontre le contraire.

Les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta ainsi que l’atteste la reprise actuelle de l’épidémie en Grande-Bretagne et en Israël champions de l’Astra Zeneca et du Pfizer.

En Israël, la campagne de vaccination a été suivie d’un accroissement brutal des contaminations et de la mortalité quotidiennes pendant les mois de janvier et février 2021 qui ont établi les records mensuels de cas et de morts.

Puis après une accalmie de deux mois et malgré un taux élevé de couverture vaccinale,(([1] avec 57,2 % de la population complètement vaccinée (le 2 juillet 2021)) une reprise de l’épidémie avec le variant delta est apparue.

Pfizer et les autorités sanitaires responsables de la campagne du traitement Pfizer prétendent que l’injection anti-covid serait efficace contre le variant delta, mais ne fournissent aucune donnée brute le démontrant ni aucune explication crédible à la progression exponentielle de la maladie chez les vaccinés.

Car l’inefficacité du traitement génique Pfizer est confirmée par l’ancien directeur général de la santé israélienne qui a déclaré que « 40 à 50 % des nouveaux cas concernaient des personnes complètement vaccinées.(([2] La rédaction : Israël est un pays « hyper » vacciné et il subit aussi le variant Delta. À quoi sert la vaccination ? Nice Matin le 05/07/2021))»

Même cinétique d’échec en Grande-Bretagne.

Après l’hécatombe post-injection qui a emporté en trois mois autant de victimes que pendant les dix mois précédents est apparue une accalmie de 2 mois qui a fait croire que le traitement préventif aurait été efficace.

Mais en réalité les injections géniques n’ont abouti qu’à précipiter l’émergence du variant delta dont l’incidence augmente de manière exponentielle depuis fin mai.

Et la gravité de l’infection à variant delta paraît même augmentée par la pseudo-vaccination puisque le risque de mourir des « vaccinés » est le triple de celui des non injectés démentant la fadaise constamment répétée d’une moindre gravité après l’injection expérimentale anti-covid.

L’échec patent des pseudo vaccins géniques dans ces deux pays champions de cette stratégie prouve de manière indiscutable que les injections géniques actuelles sont incapables de limiter la transmission du variant delta.

On ne comprend donc pas que des chercheurs de l’Institut Pasteur comme Olivier Schwartz puissent prétendre que l’injection « resterait toutefois très efficace face au variant indien », avec « une efficacité légèrement diminuée, d’après les tests en laboratoire, le vaccin Pfizer est probablement protecteur ».

Comment un traitement inefficace sur la transmission de la maladie dans les pays les plus vaccinés pourrait-il être efficace en France ?

L’obligation d’injection anti-covid des soignants n’aurait donc aucune efficacité de protection des contacts des soignants

Les injections géniques actuelles ne sont pas des vaccins pastoriens

Un vaccin selon Pasteur contient des antigènes (un microbe tué ou atténué, ou le plus souvent un simple fragment de celui-ci) destinés à susciter une réaction immunitaire marquée par la création d’anticorps en quantité suffisante pour prévenir la maladie cible.

Les pseudo vaccins anticovid actuels ne contiennent aucun antigène, mais des ARN messagers créés par génie génétique. Leurs fabricants les présentent comme des vaccins pour bénéficier frauduleusement de la bonne réputation des vrais vaccins en France, et tromper leurs clients par un marketing habile d’après la vaccination antidiphtérique ou contre la fièvre jaune (contenant un virus atténué, mais vivant), laissant croire qu’on est totalement protégé contre la maladie covid.

Ce n’est pas le cas avec les injections anti-covid actuelles dont l’efficacité réelle en population est très faible, et sans rapport avec les mensonges publicitaires colossaux (85 % à 95 % !) que répètent les communiqués des fabricants et leurs complices. Et ce n’est pas l’injection de plus prônée par les laboratoires et le Premier ministre (la 3e !) chez les personnes à faible réponse immunitaire qui changera grand-chose (sauf les bénéfices de Big Pharma).

La protection des soignants et des personnes fragiles peut être assurée par les traitements précoces

L’Inde est un pays gigantesque et pauvre avec un système hospitalier encore plus délabré que le nôtre. Elle a vaincu la première vague en traitant préventivement son personnel soignant et les contacts des malades avec la chloroquine. Au 1er janvier 2021, elle comptait neuf fois moins de morts par millions d’habitants que la France.

En janvier 2021, elle a commencé la vaccination et abandonné dans certains états les traitements précoces systématiques.

Deux mois plus tard, elle a affronté une forte poussée de cas et de morts qui n’a été contrôlée qu’après la reprise généralisée de traitements précoces par chloroquine/Ivermectine.

Au 10 juillet 2021, elle compte 5,5 fois moins de morts par millions d’habitants que la France (312 vs 1690).

Les traitements précoces constituent donc une solution beaucoup plus efficace que l’injection génique.

Pour l’abandon de la politique tyrannique fondée sur la peur

La politique autoritaire de restrictions des libertés et l’inefficacité de la stratégie Covid19 par la peur et les obligations scientifiquement infondées font courir des risques insensés à notre démocratie.

Jusqu’ici, les Français ont été remarquablement patients. Ils ont supporté des restrictions de liberté inefficaces sans beaucoup de réactions, anesthésiés par l’argent déversé du « quoiqu’il en coûte », la propagande terrorisante omniprésente des médias chapitrés par l’Élysée et la censure féroce des opposants. Comme le décrivait La Boétie(([3] La Boétie « Discours de la servitude volontaire »)):

« Le peuple a repoussé la liberté et pris le joug ».

Mais les mensonges permanents du ministère de la Santé et les très mauvais résultats de sa politique prétendument sanitaire les réveillent peu à peu. La poursuite d’une politique totalitaire avec la continuation de l’état d’urgence et des restrictions inutiles maintenant démasquées crée une situation d’incompréhension de plus en plus forte entre le peuple et ses représentants officiels expliquant en grande partie l’abstention record aux élections.

Le professeur Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique l’ont clairement exprimé(([4] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet www.thelancet.com/public-health Vol 6 April 2021
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0)):

« Il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et basées sur un confinement généralisé… Il n’est plus possible d’utiliser le confinement général stop-start comme principale réponse à la pandémie de COVID-19. Bien qu’attirante pour de nombreux scientifiques et une mesure par défaut pour les dirigeants politiques craignant d’être légalement responsables de réponses nationales lentes ou indécise.

« Les populations ont été jusqu’à présent relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation dans plusieurs pays. L’impact du confinement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire étant encore à venir en termes de taux de chômage et de dette nationale… Fondamentalement, la nouvelle approche devrait être fondée sur un contrat social clair et transparent, ancré dans les données disponibles… ».

Pourquoi n’est-il pas écouté et a-t-il comme le pr Raoult un discours fluctuant ?

Dans l’Histoire, que nos gouvernants devraient méditer, le régime des tyrans ne dura nulle part très longtemps et ne persista que tant qu’il a eu l’appui du peuple. Au tyran demandé par la foule, succèdent le désenchantement, puis la colère, car au fur et à mesure que la tyrannie devient moins utile, elle se fait de plus en plus oppressive. Ainsi s’explique la fin sanglante de nombreux tyrans tels que Alexandre tyran de Phères, Néron, Caligula, Vitellius, Gallère empereurs romains, Louis XVI, Mussolini, Trujillo, Kadhafi, Saddam Hussein…

La dérive de plus en plus totalitaire d’un gouvernement qui abuse d’une loi d’urgence sans aucune justification réelle, qui accroît la propagande permanente, la censure, multiplie les menaces et les intimidations contre les opposants et les mensonges quotidiens fracture un peu plus le pays, fait courir des risques politiques insensés à notre démocratie, au peuple et à ses dirigeants.

Conclusions

Une obligation pour un médicament qui n’est pas un vaccin, mais une injection expérimentale médicamenteuse d’ARN (dont les résultats avérés en Grande-Bretagne et Israël sont franchement mauvais, dont notre ministre reconnaît qu’ils ne sont capables de prévenir ni la maladie ni sa transmission) serait non seulement médicalement inutile, et totalement illogique (si vous croyez que ce traitement vous protège, vous n’avez aucune raison d’avoir peur des autres), mais serait de plus illégale, car contraire à la convention d’Oviedo. D’ailleurs, aucun pays au monde ne l’a imposée.

Non à l’obligation des pseudo vaccins covid des soignants comme du reste de la population ! Un traitement expérimental ne peut être administré qu’à des volontaires loyalement informés.

Préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948 :

« Il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression »





Doit-on avoir peur des variants, nouveaux croquemitaines du lobby de la peur ?

Par Gérard Delépine

Le Covid a quitté la France depuis avril 2021, comme d’ailleurs les autres pays européens, sauf la Grande-Bretagne où la vaccination a entraîné l’apparition d’un nouveau variant avec lequel le gouvernement essaie de nous terroriser.

Les covidterroristes et leur politique d’emprise par la peur

Les Covid terroristes sont inquiets : sans peur, ils ne pourront plus imposer des mesures liberticides. Alors ils inventent des simulations terrifiantes : la nouvelle vague (ce n’est qu’un scénario de film catastrophe créé par ordinateur) et une foule de variants en les affublant de tous les qualificatifs pouvant entretenir la panique et promouvoir les pseudo vaccins.

Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a développé le plan terreur actuel(([1] ce lundi matin 5 juillet sur France Inter)):

« le variant Delta gagne du terrain très rapidement ». « Il double presque chaque semaine, on est aujourd’hui à plus de 30 % des contaminations. » Sa capacité à supplanter les autres variants pour devenir majoritaire dans les prochaines semaines ne fait plus de doute. « Une quatrième vague fin juillet est une possibilité.L’exemple anglais montre qu’une vague est possible dès la fin juillet”. Il faut continuer à se faire vacciner » « Le seul moyen d’empêcher une aggravation de la situation sanitaire est d’avoir recours à la vaccination. »

Benoît Elleboode, très proche de Véran qui l’a récemment promu directeur de l’agence régionale de santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine, renchérissait :

« Toute personne non vaccinée sera contaminée par le variant Delta… une personne non vaccinée et contaminée par le variant Delta pouvait contaminer six personnes en moyenne, contre une seule si le malade est entièrement vacciné »

Mais curieusement, alors que le gouvernement passait jadis son temps à nous imposer chaque jour le nombre quotidien de cas et de morts, il ne donne plus aucun chiffre absolu. Et il oublie de préciser que ce variant, beaucoup moins mortifère que la souche initiale, peut être contrôlé par les traitements précoces.

L’épidémie en France est au plus bas et ne justifie aucune inquiétude

Depuis avril 2021, l’épidémie quitte le pays dans presque tous les pays européens. D’après l’OMS, en 1 jour (le 1/11/2020) la France avait comptabilisé 69 998 cas ; la semaine dernière la moyenne quotidienne de nouveau cas était inférieure à 2000. Et actuellement aucun élément objectif n’indique que la tendance puisse s’inverser.

Le réseau Sentinelle qui rapporte les données de la médecine de ville confirme la quasi-disparition de l’épidémie : « en semaine 25, le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-vus en consultation de médecine générale a été estimé à 0,3 cas pour 100 000, ce qui représente pour l’ensemble de la France 170 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux continue à diminuer ».

Alors pourquoi le gouvernement cache-t-il ces chiffres rassurants ? Pourquoi continue-t-il à propager la peur avec des variants dont le variant delta vedette actuel est certes plus contagieux, mais encore moins mortifère que le précédent.

Le variant delta, plus contagieux, n’est le plus souvent qu’un gros rhume

Les virus à ARN comme le coronavirus ou la grippe se transforment souvent pour s’adapter aux modifications de leurs environnements. Nous savons tous que chaque année nous sommes confrontés à un virus grippal nouveau qui a pris le dessus pour sa résistance au vaccin de l’année précédente. Le coronavirus n’échappe pas à la règle habituelle de l’évolution : plus il mute, plus il devient résistant au vaccin en cours, plus contagieux et moins mortifère.

Lorsque le représentant du gouvernement tente d’affoler la population en faisant croire que le variant delta observé dans les Landes nous submergerait et nous tuerait tous. Il a « oublié » de préciser le nombre absolu de cas recensés et de rappeler sa bénignité habituelle. D’après Santé Publique France dans le département des Landes sur la période du 27 juin au 3 juillet, le taux d’incidence était de 49,8 cas pour 100 000 habitants, soit un total d’environ 200 cas (et en baisse par rapport à la semaine précédente). On sonne le tocsin pour 200 cas d’un virus très peu mortifère !

Car si ce variant est effectivement plus contagieux, il est très peu chez les dangereux chez les non-vaccinés. Un gros rhume ! En Grande-Bretagne, où il prédomine depuis 6 semaines et où le nombre de contaminations quotidiennes atteint les records de février dernier, le nombre d’hospitalisations et la mortalité quotidienne n’augmentent pas sensiblement chez les non-vaccinés.

En France, les deux morts du variant delta de l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour étaient vaccinés, d’après le directeur départemental de l’ARS.(([2] Lou Bourdy, Variant Delta dans les Landes : un deuxième mort dans l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour France Bleu Gascogne.27 juin 2021))

L’aggravation de l’infection à variant delta par la vaccination est confirmée par un rapport officiel récent(([3] Public Health England SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 1725 June 2021)) montrant que les Anglais vaccinés, contaminés par ce variant, sont exposés à un risque vital trois fois supérieur à celui des non-vaccinés ! Ce sur risque traduit très vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants comme dans la catastrophe/scandale sanitaire récente du Dengvaxia aux Philippines.(([4] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/analyse-d-une-catastrophe-217699)) Il est très regrettable que ce phénomène paradoxal ne semble pas avoir suscité pour l’instant des recherches qui pourraient permettre de l’éviter.

Les responsables anglais de la vaccination prétendent que la très faible mortalité actuelle serait due à la vaccination, en oubliant que les autres pays européens ont bénéficié aussi d’une chute drastique de la mortalité dès février, mars ou avril 2021, bien avant que le pourcentage de population vaccinée atteigne les 10 %.

Chiffres que même les mercenaires de la désinformation(([5] M.Bounafaa, S. Terragno : Vrai ou Fake : les vaccins sont-ils efficaces contre le variant Delta ? France info 02/07/2021)) n’ont pas pu contester ; ils ont dû se contorsionner en reconnaissant « en même temps » que le vaccin n’est pas efficace à 100 % et en prétendant (comme l’EMA le 1 juillet), que deux doses de vaccin anti-Covid-19 « semblent » protéger contre le très contagieux variant Delta, sans citer aucune étude scientifique qui le confirmerait, mais seulement des communiqués du fabricant et alors que l’épidémie à variant delta qui flambe chez les Anglais, pourtant très vaccinés, démontre le contraire.

Heureusement, il n’y a pas de raison de s’en inquiéter. Outre que ce variant delta est naturellement peu mortifère chez les non-vaccinés, il est de plus remarquablement sensible à l’Ivermectine et à la chloroquine ainsi que la démontré l’Inde qui a jugulé la poussée épidémique post vaccinale de ce variant avec ces traitements.

L’apparition de ce variant delta ne doit pas inquiéter. Il incite à ne pas se faire vacciner (pour ne pas aggraver son risque vital) et à se faire traiter dès les premiers signes cliniques par exemple selon le protocole de la Task Force Covid indienne.

Les covidterroristes ont plus d’un variant effrayant à leur arc. L’OMS a déjà répertorié plus d’une dizaine de variants dont l’alpha, le bêta, le gamma, le delta, le zêta, l’êta, le thêta, le Kappa (et ses 4 sous variants), le lambda (et ses deux sous-variants) et l’epsilon. À ce rythme, l’alphabet grec ne va pas longtemps suffire. Heureusement que les alphabets cyrillique, hindou, persan, arabe recèlent de nombreuses lettres utilisables.

L’invention de la menace « quatrième vague » par une boule de cristal

Nous avons été astreints à domicile en mars 2020 sur la seule foi d’une prédiction apocalyptique totalement fausse issue du rapport 9 de l’Imperial College et de Neil Ferguson, sacré grand devin officiel de l’OMS par Bill Gates.

Sa prophétie fausse a été prise pour parole d’évangile et a justifié l’astreinte à domicile de la population saine avec les malades (confinement aveugle) alors que les mesures classiques qui ont fait leurs preuves pour contrôler les épidémies ont toujours consisté à la séparation des malades et des personnes saines.

Ce sont les élèves français(([6] et en particulier le mathématicien Simon Cauchemez, chef de service de modélisation de l’institut Pasteur)) de ce mage dangereux qui, depuis le début de l’épidémie, se gargarisent de leurs prédictions fausses et veulent, tous les deux mois, nous enfermer, nous empêcher de vivre, de nous rencontrer, de travailler, d’enseigner nos enfants et nos étudiants et édictent des mesures dictatoriales prétendument sanitaires, dont aucune n’a pu apporter la moindre preuve scientifique d’utilité. Leurs dégâts médicaux par retard de soins et dégradation psychique, et leurs conséquences scolaires, universitaires, sociales et économiques se sont avérés et considérables.

La quatrième vague est la dernière invention du modèle mathématique faux dont les prédictions se sont toujours révélées erronées et qui nous ont coûté si cher.

Il serait temps que notre stratégie anticovid soit enfin basée sur les faits avérés et sur l’expérience des médecins de terrain qui savent qu’une maladie infectieuse doit être traitée le plus tôt possible. Qu’on s’inspire des stratégies des pays dont les résultats sont bien meilleurs que les nôtres, plutôt que sur des élucubrations parfois fortement biaisées par des liens d’intérêt.(([7] Beaucoup de membres du comité prétendument scientifique sont liés aux firmes fabricant des vaccins et le but principal de la privation de nos libertés est de nous obliger à nous faire injecter des prétendus vaccins. Mr Cauchemez est salarié de l’Institut Pasteur qui n’existe que par les vaccins…))

Le bon moyen de stopper le Covid, s’il revenait, est de le traiter précocement

L’Inde est parvenue à stopper la vague post-vaccinale de covid19 par la prescription précoce de chloroquine et/ou d’Ivermectine. La comparaison des évolutions indienne et britannique est éloquente.

Le bon moyen de limiter la mortalité est de traiter précocement

La Grande-Bretagne, et la France ont suivi à la lettre les recommandations de Ferguson et de l’OMS, limitant leur stratégie aux confinements et à la vaccination. L’Inde, au contraire, a surtout centré sa stratégie sur l’utilisation précoce et/ou préventive de traitements anciens et bon marché repositionnés. Au 8 juillet 2021, l’Inde pleure 296 morts/million d’habitants contre 1923 en Grande-Bretagne et 1661/M en France.

Conclusions

Il ne faut pas avoir peur des variants et des vagues à venir que les Covids terroristes agitent pour continuer à nous gouverner par la peur.

Le Covid traité précocement se comporte comme une mauvaise grippe. Ne nous précipitons pas sur des pseudo vaccins expérimentaux qui exposent à de nombreuses complications, déclenchent des pics d’épidémie et de mortalité sans donner une protection individuelle fiable, ni empêcher les transmissions virales, ni les récidives de l’épidémie.

Aux premiers signes cliniques du Covid, exigeons les traitements qui ont fait leurs preuves en Inde.





Angleterre : le Cabinet convient qu’il est temps de « vivre avec Covid » et d’abandonner l’idée du passeport vaccinal

[Source : nicolasbonnal.com]

  • Les ministres sont sur le point de suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la « certification Covid ».
  • Les projets de pubs et de restaurants avaient déjà été mis en veilleuse.
  • Le Mail peut désormais révéler que les ministres ont également abandonné l’idée de les imposer lors d’événements de masse.

Par JASON GROVES RÉDACTEUR POLITIQUE POUR LE DAILY MAIL

Les passeports Covid ne seront pas obligatoires dans les festivals de musique, les événements sportifs et autres rassemblements de masse lorsque les restrictions de verrouillage seront levées le mois prochain.

Les ministres devraient suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la «certification Covid» après la Journée de la liberté le 19 juillet.

Les projets de pubs et de restaurants avaient déjà été mis en veilleuse à la suite d’une réaction brutale des députés et du secteur hôtelier.

Les ministres devraient suspendre les plans pour l’utilisation obligatoire de la «certification Covid» après la Journée de la liberté le 19 juillet

Le Mail peut désormais révéler que les ministres ont également abandonné l’idée de les imposer lors d’événements de masse. Les organisateurs seront toutefois autorisés à gérer leurs propres programmes, la Premier League faisant partie de ceux qui devraient introduire une forme de certification pour prouver que ceux qui fréquentent les terrains de football ne présentent pas de risque Covid.

Cette décision intervient dans un contexte de confiance croissante dans le fait que Boris Johnson poursuivra ses plans pour lever les règles de distanciation sociale le mois prochain malgré une augmentation des cas de Covid.

Il a déclaré hier au Cabinet que notre succès de vaccination signifie que la Grande-Bretagne pourra « vivre avec Covid » car le lien entre les cas de virus et les hospitalisations a été rompu.

Hier, 20 479 autres cas ont été enregistrés – avec un total de sept jours en hausse de 70% en une semaine – mais une source gouvernementale a déclaré que la Journée de la liberté se déroulerait comme prévu, même si les cas sont plus de deux fois plus élevés qu’ils ne le sont actuellement.

« Nous devons nous habituer à l’idée de traiter Covid davantage comme une grippe », a déclaré la source. « Les gens ont le vaccin contre la grippe, qui aide à réduire les maladies graves, mais nous obtenons toujours un grand nombre de cas et un nombre important de décès. »

« Lorsque nous arriverons au 19 juillet, les cas semblent être potentiellement très élevés, peut-être jusqu’à 30 000 ou 40 000 par jour. Mais ce n’est pas en soi une raison pour ne pas aller de l’avant, à condition que les hospitalisations et les décès restent à des niveaux relativement bas. »

Les admissions à l’hôpital ont augmenté d’un peu plus de 10 % au cours de la semaine dernière, avec un nombre moyen de décès quotidiens de 17, soit moins de 2 % des niveaux observés en janvier. 23 autres décès ont été annoncés hier.

Un porte-parole de Downing Street a déclaré :

« Le Cabinet a convenu qu’une fois que nous aurons terminé la feuille de route, nous pourrons vivre avec Covid à l’avenir – même si les cas continuent d’augmenter – grâce aux protections fournies par le vaccin. »

Dans ce qui semblait être une série coordonnée d’interventions, Michael Gove a déclaré que les gens devront vivre avec Covid de « la manière dont nous vivons avec la grippe », qui fait des milliers de morts chaque hiver mais n’exige pas que la société et l’économie être enfermé.

Le ministre de l’Intérieur, Priti Patel, a également abordé la question, affirmant que les Britanniques devraient « s’adapter » à la vie avec le coronavirus. Ce changement fait suite à la nomination de Sajid Javid au poste de secrétaire à la Santé à la suite de la démission de Matt Hancock. Dans une déclaration d’intention, M. Javid a profité de sa première comparution aux Communes lundi pour faire passer le message qu’il était temps de « commencer à revenir à la normale » après 15 mois de restrictions paralysantes.

Les ministres semblent désormais presque certains de lever les principales mesures de distanciation sociale le 19 juillet – mais les débats se poursuivent sur l’opportunité de continuer à demander aux gens de porter des masques dans les transports publics et de travailler à domicile.

Une question qui semble avoir été réglée est celle des passeports Covid. Des sources de Whitehall ont déclaré au Mail qu’elles seraient mises de côté pour un usage domestique, malgré les essais en cours à Wimbledon et Wembley. Des programmes pilotes ont contrôlé l’accès aux événements de masse en exigeant des personnes présentes qu’elles fournissent la preuve qu’elles ont été vaccinées ou testées pour Covid.

Les ministres pensent maintenant que le succès de notre programme de vaccination signifie que de telles mesures ne seront pas nécessaires dans toute la Grande-Bretagne cet été, évitant ainsi un autre affrontement potentiel avec les députés.

Le changement fait suite à la nomination de Sajid Javid au poste de secrétaire à la Santé à la suite de la démission de Matt Hancock



« Il semble peu probable que nous devions rendre la certification Covid obligatoire, même pour les événements de masse », a déclaré une source.

« Ce sera nécessaire pour les voyages à l’étranger et certains événements peuvent choisir de gérer leurs propres programmes, mais il ne semble pas que nous ayons besoin d’une législation à ce stade. »

« Le travail n’a pas été vain. Il sera nécessaire pour les déplacements et nous aurons un système en place qui pourrait être utilisé si nous en avons besoin en hiver. » En effet, les plans de généralisation des passeports pourraient être relancés en cas de nouvelle vague majeure de Covid. Cela permettrait aux sites de rester ouverts même si les cas montent en flèche. Le numéro 10 a déclaré que le Premier ministre était « de plus en plus confiant » qu’il n’y aurait pas besoin de retarder davantage la levée des restrictions à nos libertés.

M. Johnson a déclaré au Cabinet que les dernières données « montrent que les cas continuent d’augmenter, mais que les hospitalisations et les décès ont connu une croissance beaucoup plus faible ».

La députée conservatrice Siobhan Baillie s’est félicitée des commentaires, déclarant: « Nous devons avoir un dividende des vaccins. Nous devons revenir à la normale et apprendre à vivre avec le risque. »

L’ancien ministre Steve Baker a mis en garde contre la question de savoir si un examen de la distanciation sociale dirigé par M. Gove pourrait laisser certaines restrictions en place après le 19 juillet. Il a déclaré à Sky News:  « Je veux savoir à quoi ressemblera réellement le monde quand nous retrouvons notre liberté. »

https://www.dailymail.co.uk/news/article-9738819/Vaccine-passports-over.html?ito=email_share_article-masthead




Pr Perronne : « Les pays où l’épidémie est repartie avec des morts ont vacciné massivement ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Dans cette vidéo, lors d’un rassemblement qui s’est déroulé samedi 3 juillet 2021, le Pr Christian Perronne explique que l’épidémie repart de plus belle après les vaccinations massives.

« Pendant plusieurs années j’ai été vice-président du groupe d’experts à l’OMS pour le vaccin en Europe. Là, aujourd’hui, on n’a pas affaire à des vaccins, mais à des produits expérimentaux qui sont potentiellement dangereux, puisqu’on n’a pas encore tous les résultats sur les effets secondaires. Et de toute façon, ces produits qu’on injecte aujourd’hui ne protègent pas. Si vous regardez le dictionnaire Vidal à la page « vaccin – Moderna, Pfizer contre le Covid », c’est écrit en grand, c’est écrit en gras que ce produit ne protège pas contre les formes graves. Et à côté de ça, on a des journalistes, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêts à la télévision, qui disent que ce vaccin protège contre les formes graves. Alors je vous explique pourquoi. Roselyne Bachelot a été ministre de la Santé […], elle s’est fait vacciner et dans les jours qui ont suivi elle a fait une forme grave du Covid. Je connais plein de gens qui ont fait des formes graves après deux vaccins. Si vous regardez, il y a des pays dans le monde où l’épidémie s’était très bien passée, a été parfaitement gérée. Il y avait peu de cas, peu de morts. Au Vietnam, il avait quelques dizaines de morts en un an et demi, tout allait bien, tranquille. Et j’ai un ami vietnamien qui m’a envoyé un message : “Nos dirigeants qui reviennent du Forum de Davos veulent imposer la vaccination à tout le peuple vietnamien.” Ils ont commencé et l’épidémie est repartie, il y a des morts. Tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts, ce sont les pays qui ont vacciné massivement. Regardez Israël, la Grande-Bretagne, le Brésil, l’Inde… »

https://twitter.com/LEGENERAL_OFF/status/1411433386091106308

Voir la vidéo entière avec Richard Boutry, Christian Perronne, Martine Wonner, Me Carlo Alberto Brusa… :






L’immunité collective post injection pseudo-vaccinale anticovid, mythe versus faits avérés ?

Par Gérard Delépine

Actuellement tous les membres du gouvernement et les médias nous promettent qu’on sera débarrassé du Covid et qu’on retrouvera nos libertés dès que nous serons tous vaccinés grâce à l’immunité collective. Avant de les croire, vérifions les faits avérés dans le monde réel.

Quatre grands pays (GB, Israël, Chili, Seychelles) et un mini état (Gibraltar), champions de la vaccination, constituent les modèles de « réussite vaccinale » avec plus de 60 % de leurs populations vaccinées et un recul moyen de six mois.

L’examen de leur situation sanitaire Covid19 basé sur les données de l’OMS et OurWorldinData permet de mesurer objectivement l’effet d’une couverture vaccinale élevée.

Explosion post-vaccinale des contaminations et de la mortalité à Gibraltar

À Gibraltar, la vaccination a commencé en décembre 2020, et a inclus les visiteurs espagnols permettant d’atteindre un taux de couverture vaccinale de 115 %.

Six mois après cette vaccination les chiffres officiels de l’OMS objectivent une explosion des contaminations (multiplié par 4) et des morts attribuées au Covid19 (multipliées par 19).

Les autorités sanitaires qui ont organisé la campagne de vaccination prétendent qu’il n’y a aucune relation de cause à effet sans donner la moindre explication alternative.

Situation très préoccupante aux Seychelles depuis la vaccination

L’archipel de près de 100 000 habitants avait été presque entièrement épargné par l’épidémie avant la campagne de vaccination qui a commencé en janvier 2021. Champion africain de la vaccination, il compte actuellement près de 70 % de sa population entièrement vaccinée et doit faire face depuis à une situation sanitaire incontrôlée.

Selon l’agence de presse des Seychelles, un tiers des cas actifs impliquait des personnes entièrement vaccinées. Les autres avaient reçu une seule dose ou alors n’étaient pas encore vaccinées.

En réponse à cette flambée de l’épidémie, l’archipel a durci les mesures. Les écoles sont fermées, les réunions entre membres de foyers différents ne sont plus autorisées et le télétravail est fortement encouragé. De plus, les bars, restaurants et commerces doivent désormais fermer plus tôt le soir et les activités sportives sont annulées.

Le couvre-feu à 23 heures reste quant à lui toujours d’actualité. La ministre de la Santé Peggy Vidot parle même d’une « situation critique ». La saison touristique 2021 est maintenant fortement compromise.

La victoire à la Pyrrhus britannique

Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats de la vaccination sont excellents en Grande-Bretagne champion européen de l’Astra Zeneca. Pourtant curieusement les données de l’OMS et de OurWorldinData montrent le contraire.

En effet, les contaminations et la mortalité ont fortement augmenté pendant les trois mois post-vaccination cumulant autant de morts attribuées au Covid-19 que les dix mois précédents.

De même, la vaccination a été suivie d’une forte hausse des contaminations journalières

Avant la vaccination au 7/12/2020, après dix mois d’épidémie la Grande-Bretagne recensait 1 753 599 cas confirmés contre 4 828 467 aujourd’hui (+175 %)

Et si une certaine diminution des contaminations, transitoire en mars et début avril a fait espérer que le vaccin protégerait l’avenir, l’apparition d’un variant a fait disparaître cet espoir avec reprise forte des contaminations depuis début juin.

Le 2 juillet l’incidence des nouveaux cas confirmés dépassait les 20 000 cas

représentant le chiffre le plus élevé depuis le 2 février 21.

Cette évolution montre qu’après une forte poussée de mortalité et de contamination post vaccinale précoce, les vaccins ne protègent pas d’une récidive de l’épidémie.

La catastrophe chilienne malgré une vaccination très large

Le Chili est le champion sud-américain de la vaccination, avec près des deux tiers de la population vaccinée. La campagne de vaccination contre le coronavirus a commencé vendredi 24 décembre et au 25 juin 2021, un total de 21 966 892 doses a été administré.

Mais cette vaccination a été suivie malgré des confinements récidivants par une forte hausse, tant des contaminations que de la mortalité.

La mortalité hebdomadaire a été multipliée par 2,5 depuis la vaccination et ne paraît pas devoir diminuer malgré une reprise des confinements.

Dans ce pays, on peut réellement parler de catastrophe vaccinale. Il faut espérer que les autorités sanitaires sauront sortir du dogme vaccinal et recommanderont enfin les traitements précoces qui ont été utilisés avec succès en Inde et au Mexique (entre autres).

Le faux succès d’Israël

Israël est le champion moyen-oriental du vaccin Pfizer. En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63 % de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais du point de vue médical, c’est un échec.

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

En novembre 2020, 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination), après dix mois d’épidémie Israël comptait 366 000 cas confirmés. Les sept mois suivant la vaccination ont fait passer ce nombre à 842 218.

Cette période post vaccinale a aussi été marquée par une mortalité sans précédent.

Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Et, comme en Grande-Bretagne, après une accalmie transitoire, on observe actuellement une reprise de l’épidémie depuis la mi-juin

L’autre argument traditionnel des pro vaccins est que la vaccination n’aurait pas eu le temps d’agir, mais les exemples du Chili et des Émirats Arabes Unis montrent que même six mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

Conclusions

Dans tous les pays champions de la vaccination, celles-ci ont été suivies d’une augmentation considérable des contaminations et de la mortalité pendant 8 à 24 semaines.

Les accalmies de 2 à 3 mois qui ont parfois suivi ne témoignent pas d’une immunité vaccinale, puisqu’autant en Grande-Bretagne qu’en Israël, on assiste à des reprises de l’épidémie par les variants que la vaccination a favorisés.

Espérons que la raison reviendra aux dirigeants pour qu’ils arrêtent cette course insensée à la vaccination pour une épidémie peu létale, sauf pour une petite minorité de la population, et pratiquement terminée en France. Les dramatiques effets secondaires de ces injections en essai thérapeutique jusqu’en 2023 sont un élément de plus qui devrait rendre les prescripteurs prudents sur ce gigantesque essai mondial.




Des vaccins israéliens refilés aux Anglais

[Source : plumenclume.org]

Par Gilad Atzmon

Il y a dix jours, l’Autorité palestinienne a refusé 90 000 doses de vaccin en provenance d’Israël parce qu’elles étaient « presque périmées ». Plus tôt dans la journée, Israël avait annoncé qu’il transférerait jusqu’à 1,4 million de doses de vaccin Pfizer dans le territoire palestinien. Mais presque aussitôt que les 90 000 premières doses sont arrivées à Ramallah, l’AP a déclaré qu’elle les renverrait car elles étaient sur le point d’être périmées.

Mais Israël n’a pas renoncé. Il a peut-être trouvé un client plus facile pour ses vaccins presque périmés.

Le journal israélien News 12 a révélé aujourd’hui qu’une « négociation avancée entre Israël et le Royaume-Uni sur un accord d’échange de vaccins » a lieu.

L’article de N12 révèle que « le ministère de la Santé (israélien), craignant la perte de centaines de milliers de doses, a imaginé une solution créative. La Grande-Bretagne pourrait recevoir un million de vaccins dès la semaine prochaine et, en échange, elle livrera à Israël la prochaine livraison qu’elle recevra de Pfizer en septembre ». L’article israélien souligne également que les doses Pfizer israéliennes expireront dès samedi prochain.

Si vous vous demandez pourquoi Israël est dans une telle situation de panique concernant ses restes de vaccins, le graphique suivant de la distribution des vaccins israéliens peut fournir la réponse.

Le graphique révèle que depuis la fin mars, les Israéliens ont perdu tout intérêt pour la vaccination. Environ 40% des Israéliens ne sont pas vaccinés et ne montrent aucun signe d’enthousiasme pour l’inoculation. Le graphique révèle également qu’un bon 4 % des Israéliens qui ont pris la première dose Pfizer ont hésité à prendre la seconde. Cela peut être dû à la sensibilisation croissante des Israéliens aux effets indésirables graves des vaccins ainsi qu’au travail intense des courageux dissidents israéliens.

On peut toutefois se demander qui, au sein du gouvernement britannique, négocie ce genre d’accord et qui, au sein du NHS, va vacciner les Britanniques avec des doses qui ont été rejetées par l’Autorité palestinienne en raison de leur date de péremption.

[Source anglophone :]
https://www.unz.com/gatzmon/hot-off-the-press-vaccines-rejected-by-palestinian-authority-may-end-up-in-the-uk/




22 Juin 2021, Loukachenko au Fort de Brest : Appel à la Résistance populaire antifasciste

[Source : ROUGE&VERT – Bélarus info-solidarité]

Par GRIND Pierre

LE CONTEXTE :

le 22 juin 1941, à 4 heures du matin, l’Allemagne nazie, victorieuse partout ailleurs, pratiquement sans résistance, lance l’opération Barbarossa en vue d’envahir l’URSS et d’asservir les peuples slaves, selon son projet politique fasciste.

À la frontière avec la Pologne, au Fort de Brest (Bélarus, alors la partie la plus occidentale de l’URSS) cependant, elle rencontre déjà sa première résistance, prémisse de celle qui la mènera à sa chute, de Moscou à Stalingrad et ensuite.

22 JUIN 2021 : exactement 80 ans après, dans la nuit du 21 au 22, l’Union Européenne, avec l’appui des USA, de la Grande-Bretagne et du Canada, décide d’un plan d’asphyxie de l’économie de ce petit pays, aujourd’hui indépendant, le Bélarus.

Le Fort de Brest [Brest-Litovsk], aujourd’hui au Bélarus indépendant, donc, près de la frontière polonaise, est devenu un lieu de mémoire essentiel de la lutte de Résistance antifasciste.

Pour ce 80e anniversaire du 22 juin 1941, une cérémonie d’hommage aux victimes de la guerre et à la Résistance des héros du Fort de Brest était donc prévue, pour commémorer cet événement tragique de 1941.

En fonction de la nouvelle agression, pour l’instant de nature économique et informationnelle (intox médiatique), que subit son pays, le Président Loukachenko a donc adapté son propos aux nouvelles circonstances géopolitiques qui venaient donc juste d’être déclarées par les puissances occidentales, et au premier rang desquelles, l’Allemagne « démocratique » se posant de fait en continuatrice de l’agression hitlérienne.

Выступление Александра Лукашенко на церемонии возложения венков в мемориальном комплексе Брестская крепость-герой »

Выступление Президента Республики Беларусь А.Г. Лукашенко на церемонии возложения венков в мемориальном комплексе « Брестская крепость-герой » 22 июня 2021 г.

Intervention du Président de la République du Bélarus A. G. Loukachenko à la cérémonie d’attribution des couronnes au complexe commémoratif « Forteresse Héroïque de Brest », le 22 juin 2021.

[Traduction française TML]

Дорогие белорусы, соотечественники!

Уважаемые ветераны, гости нашей Беларуси!

22 июня 1941 года для всех белорусов – день памяти и скорби, дата, разделившая жизнь народа на до и после. То летнее воскресное утро стало страшным рубежом между миром и войной, между светом и тьмой, жизнью и смертью. На нашу землю двинулась вооруженная безжалостная армада, которая несла гибель и рабство. Фашисты не щадили ни стариков, ни младенцев. Это потом, после 9 мая 1945-го, немцы назовут тот июньский день роковым для своей нации. А 80 лет назад гитлеровские убийцы намеревались пройти по Беларуси победным маршем. Они хотели пройти по нашей земле так же легко и быстро, как по Чехии, как прошлись по Бельгии, Голландии, Дании, Норвегии, Франции, Греции, Польше – по всему нынешнему Европейскому союзу, прошлись торжественным маршем. 

Chers Biélorusses, compatriotes !

Honorables vétérans, invités de notre Bélarus !

Le 22 juin 1941, pour tous les Biélorusses, c’est un jour de souvenir et de deuil, une date séparant la vie du peuple en avant et après. Ce dimanche matin estival devint la terrible limite entre la paix et la guerre, entre la lumière et les ténèbres, entre la vie et la mort. Sur notre terre s’est mise en mouvement une impitoyable armada qui a apporté la mort et l’esclavage. Les fascistes n’épargnaient ni les vieillards ni les bébés. Ce n’est qu’ensuite, après le 9 mai 1945 que les Allemands ont baptisé ce jour de juin comme funeste pour leur nation. Mais il y a 80 ans, les tueurs hitlériens se proposaient de passer par le Bélarus en une marche victorieuse. Ils voulaient passer sur notre terre aussi facilement et rapidement qu’à travers la Tchéquie, comme ils sont passés à travers la Belgique, la Hollande, le Danemark, la Norvège, la France, la Grèce, la Pologne, comme ils sont passés à travers toute l’actuelle Union Européenne, comme à la parade.

Друзья и недруги СССР к началу июля гадали, сколько еще страна продержится – две недели, три, может, месяц? А берлинские стратеги уже запланировали фашистский парад на Красной площади в Москве. Но здесь, у стен белорусской брестской цитадели, буквально в первые часы войны нацистский блицкриг сорвался. Запомните на всякий случай это слово « блицкриг ». Сорвался, когда в последние минуты своей короткой жизни воин нацарапал на стене: « Я умираю, но не сдаюсь! Прощай, Родина ».

Amis et ennemis de l’URSS conjecturaient, début juillet : combien de temps le pays tiendra-t-il encore ? Deux semaines, trois, peut-être un mois ? Et les stratèges de Berlin planifiaient déjà une parade fasciste sur la Place Rouge, à Moscou. Mais ici, sous les murs de la citadelle biélorusse de Brest, littéralement aux premières heures de la guerre, le Blitzkrieg nazi s’est brisé. Rappelez-vous, en tout cas, ce mot « Blitzkrieg ». Il s’est brisé quand, dans les dernières minutes de sa courte vie un combattant a écrit en grattant sur le mur : « Je meurs, mais ne me rend pas ! Adieu, Patrie ».

К сожалению, мы не знаем, кто он. Мы не знаем имен многих защитников Брестской крепости, не знаем, как они погибли и где похоронены. Запомните это, это вам сигнал.

Malheureusement, nous ne savons pas qui il est. Nous ne savons pas les noms de nombreux défenseurs de la forteresse de Brest, nous ne savons pas comment ils sont morts et où ils ont été enterrés. Rappelez-vous cela, c’est un avertissement pour vous. 

Буквально несколько недель назад ушел от нас последний свидетель тех событий Петр Котельников. Но в памяти народа его имя будет жить всегда, как и имена его боевых товарищей лейтенанта Кижеватова, капитана Зубачева, майора Гаврилова и тысяч, тысяч других советских героев. Это они не позволили фашистам взять твердыню над Бугом за восемь часов. Через три недели бои начинались уже на дальних подступах к Смоленску, а Брестская крепость продолжала сражаться.

Il y a précisément quelques semaines, nous a quittés le dernier témoin de ces événements, Piotr Kotelnikov(1). Mais dans la mémoire du peuple, son nom sera toujours vivant, comme le nom de ses camarades de combat, le lieutenant Kijevatov, le capitaine Zoubatchev, le major Gavrilov et des milliers, des milliers d’autres héros soviétiques. Ce sont eux qui ont empêché pendant sept heures les fascistes de prendre le bastion au-dessus de la rivière Bug. En trois semaines les combats ont déjà commencé aussi loin que les abords de Smolensk, mais la Forteresse de Brest a continué à se battre.

Дорогие друзья, страшные были времена. Огромное количество мы похоронили, а еще больше – без вести пропали. Так почтим же память героев, которые, пожертвовав собой, спасли мир, свободу и независимость, минутой молчания.

Chers amis, c’était une époque terrifiante. Nous avons enterré une énorme quantité de gens, et encore plus ont disparu sans laisser de traces. Ainsi nous rendrons les honneurs à la mémoire des héros qui, en se sacrifiant, ont sauvé le monde, la liberté et l’indépendance, par une minute de silence.

[…]  [NDTML – Minute de silence]

Захватчики (а против Советского Союза воевала почти вся Европа) не понимали тогда, почему даже в самых отчаянных ситуациях советский солдат не сдавался, как вообще он смог выстоять и в итоге победить. Так же нас сегодня не понимают потомки тех, кто в 40-е шли по белорусской земле на Москву, жгли дома и уничтожали людей. Недоумевают, почему мы все еще существуем на этой земле как государство. Видимо, им не дано этого понять.

Les envahisseurs (et contre l’Union Soviétique a combattu presque toute l’Europe) ne comprenaient alors pas pourquoi, même dans les situations les plus désespérées, le soldat soviétique ne se rendait pas, et comment, généralement, il pouvait tenir bon et finalement, vaincre. De même aujourd’hui ne nous comprennent pas les descendants de ceux qui, dans les années 40, en marchant sur la terre biélorusse vers Moscou, ont mis le feu aux maisons et massacré des gens. Ils se demandent pourquoi nous existons tous encore sur cette terre en tant qu’État. Visiblement, ils ne peuvent pas comprendre cela.

На реализацию « цветного блицкрига » были брошены огромные финансовые ресурсы. За последний год мы испытали на себе действие самых современных технологий гибридной войны. Белорусы все чаще спрашивают: так что, воевать будем? Да бросьте, белорусы. Мы уже давно воюем. Просто война приобрела другие формы. Уже не будет тех войн, уже в эти ворота (Брестской крепости. – Прим. БЕЛТА) они не попрут тысячами солдат. Война начнется и всегда начинается в современных условиях изнутри государства.

 Pour la réalisation du « Blitzkrieg coloré » ont été gaspillées d’énormes ressources financières. Au cours de l’année dernière, l’action des technologies les plus modernes de la guerre hybride a été expérimentée sur nous-mêmes. Les Biélorusses demandent de plus en plus souvent : alors, allons-nous combattre ? Allons, biélorusses ! Nous combattons déjà depuis longtemps. Simplement, la guerre a pris d’autres formes. Il n’y aura plus désormais de ces guerres. Désormais, ils ne mettront plus en marche des milliers de soldats vers ce fort. La guerre commencera, elle commence toujours, dans les conditions actuelles, de l’intérieur de l’État.

 Возьмите любую, как мы ее называем, цветную революцию, которые были совершены в последние десятилетия: было сделано все, чтобы взорвать общество изнутри. А они (Запад. – Прим. БЕЛТА) потом придут нас « спасать ». Сценарии прописаны, роли распределены. Просто мы оказались сильнее и мудрее. Рискну сказать, даже сильнее, чем в 41-м наши предшественники, потому что мы определяем свою судьбу сами. Мы здесь решаем, провоцировать их или нет, ждать, пока они сюда прорвутся и порвут нас, или нет. Мы суверенное, независимое государство, так будет впредь. 

 Prenez n’importe laquelle des révolutions colorées, comme nous les appelons, qui ont été accomplies ces dernières décennies : tout a été fait pour dynamiter la société de l’intérieur. Et ensuite, ils viennent en « sauveurs ». Le scénario est écrit d’avance, les rôles sont distribués. Simplement, nous nous sommes montrés plus forts et plus sages. J’oserai même dire, plus forts que nos prédécesseurs de 41, parce que nous avons déterminé notre destin nous-mêmes. Nous décidons, ici même, de les provoquer ou non, ou d’attendre jusqu’à ce qu’ils nous retraversent et nous écrasent, ou non. Nous sommes un État souverain et indépendant, et il en sera ainsi, désormais.

 При этом эти очумелые вот там, рядом, ждут от нас помощи. Требуют остановить нелегальную миграцию: тысячи из тех разрушенных стран, которые они пытались поставить на колени, а поставив, начали уничтожать, ринулись через Центральную Азию, Россию туда – на толерантный Запад. Они их пригласили, и сегодня они взвыли: ах, белорусы их не защищают. В Литву, Латвию и Польшу ринулись тысячи и тысячи нелегальных мигрантов.

 Et en plus, ces abrutis, là-bas, à côté, attendent de nous de l’aide. Ils réclament d’arrêter la migration illégale : des milliers en provenance de ces pays détruits, qu’ils ont essayé de mettre à genoux, et l’ayant fait, ont commencé à ravager, se sont précipités à travers l’Asie Centrale, la Russie, et là-bas, vers l’Occident tolérant. Ils les ont invités et aujourd’hui ils hurlent : ah ! Les Biélorusses ne les défendent pas ! En Lituanie, en Lettonie et en Pologne se sont précipités des milliers et des milliers de migrants illégaux.

 Они требуют от нас защитить их от контрабанды, от наркотиков. Аж из-за Атлантики слышен сигнал: помогите, как это было прежде, задержите ядерные материалы, чтобы они не попали в Европу. Так и хочется спросить: вы что там, очумели вообще? Вы против нас развязали гибридную войну и требуете от нас, чтобы мы вас защищали, как и прежде? Вы нас информационно душите, методично и коллективно, рушите, пытаетесь убить нашу экономику и ждете, что мы будем тратить сотни миллионов долларов, как и прежде, на защиту ваших геополитических интересов? Только безумцы могут так думать и рассчитывать на нашу поддержку. 

 Ils nous demandent de les protéger de la contrebande, du trafic de drogue. Même d’outre-Atlantique on entend un signal : aidez-nous, comme cela était avant, arrêtez les matériaux nucléaires, pour qu’ils n’atterrissent pas en Europe. On aimerait leur demander : vous, là-bas, êtes vous complètement abrutis ? Vous avez déclenché contre nous la guerre hybride et vous réclamez que nous vous défendions comme avant ? Vous nous asphyxiez sur le plan de l’information, vous détruisez, vous tentez de tuer notre économie et vous attendez que nous gaspillions des centaines de millions de dollars, comme auparavant, pour la défense de vos intérêts géopolitiques ? Seuls des insensés peuvent penser ainsi et compter sur notre aide.

 Боремся против этого зла как можем. Хотите, чтобы мы как прежде боролись, делайте в этом направлении шаги, а не пытайтесь нас задушить. Это бесперспективно. Вы опоздали, господа. 

 Nous nous battons contre ce fléau comme nous pouvons. Vous voulez que nous nous battions comme avant, faites des pas dans cette direction, et n’essayez pas de nous étrangler. C’est sans perspective. Vous avez loupé le coche, messieurs.

 Но от кого не ожидали участия в этом коллективном сговоре, так это от Германии. От тех, чьи предки уничтожили в Великой Отечественной войне не только каждого третьего белоруса, но и миллионы нерожденных детей.  

 Mais celle dont on ne s’attendait pas à ce qu’elle participe à cette conjuration collective, c’est l’Allemagne. De la part de ceux dont les ancêtres ont anéanti dans la Grande Guerre Patriotique non seulement un Biélorusse sur trois, mais des millions d’enfants à naître.

 80 лет назад, мне кажется, что было вот так: тепло, светло, хороший воскресный день. Люди отдыхали, молодежь хотела жить. Кто-то собирался свадьбу справить, кто-то рожал, кто-то готовился рожать детишек. И вдруг по-варварски, исподтишка в четыре утра обрушили на головы брестчан и всю Беларусь тысячи тонн металла. Это как называется?  

 Il y a 80 ans, c’était, me semble-t-il, ainsi : un beau dimanche, chaud, lumineux. Les gens se reposaient, la jeunesse voulait vivre. Certains s’apprêtaient à célébrer un mariage, d’autres à mettre au monde des enfants, quelques-unes accouchaient. Et soudain, de manière barbare et sournoise, à quatre heures du matin, ils ont déversé sur la tête des Brestois et de tout le Bélarus des milliers de tonnes de métal. Comment appeler cela ?

 Прошло 80 лет, и что? Новая горячая война. Вы посмотрите: это что, символизм? Вчера ввели экономические санкции против наших людей и предприятий. 22 июня, ночью. Вот уж действительно, история так ничему их и не научила.

 80 années sont passées, et quoi ? Une nouvelle guerre chaude. Regardez : c’est quoi, du symbolisme ? Hier ils ont institué des sanctions économiques contre nos gens et nos entreprises. Le 22 juin, dans la nuit. Voilà donc, réellement, ainsi l’histoire ne leur a rien appris.

 А ведь все 80 лет после 45-го прошлого века немцы шатались по всему миру, по Европе, бывшему Советскому Союзу и каялись. Каялись, рыдали, на коленях стояли, просили открыть памятники, похоронить еще незахороненных немцев – фашистов, которые пришли на нашу землю. И мы были добры и толерантны. Ладно мы. Те, кто победил в этой войне. Те, кто мучились, терзались, открыли свои сердца и души и отнеслись по-человечески к ним. И что?

 Et effectivement sur ces 80 années, après l’année 45 du siècle dernier, des Allemands erraient par le monde entier, en Europe, dans l’ancienne Union Soviétique, et se repentaient. Ils se repentaient, sanglotaient, se tenant à genoux, demandant d’ouvrir des monuments, d’enterrer les fascistes allemands non encore enterrés, qui sont venus sur notre terre. Et nous avons été bons et tolérants. Nous étions d’accord. Nous, ceux qui ont vaincu, dans cette guerre. Nous, ceux qui ont été martyrisés, suppliciés, nous avons ouvert notre cœur et notre âme et nous les avons traités humainement. Et quoi ? 

 Вчерашняя цитата: « Санкции необходимо распространить на целые сектора белорусской экономики ». Читай, пусть подохнут там. То есть мы. Так и хочется спросить автора этих строк, некого Мааса, министра иностранных дел Германии: господин Маас, вы кто? Вчера каявшийся немец или наследник нацистов? Вы кто, ответьте публично. Хотя бы перед своим народом.

 Citation d’hier soir : « Il est nécessaire d’étendre les sanctions à des secteurs entiers de l’économie biélorusse ». Lisez : qu’ils crèvent là-bas, c’est-à-dire, nous. J’aimerais donc demander à l’auteur de ces lignes, un certain Maas, ministre des Affaires étrangères de l’Allemagne : monsieur Maas, qui êtes-vous ? Un Allemand repentant d’hier, ou bien l’héritier des nazis ? Qui êtes-vous ? Répondez publiquement, au moins devant votre peuple.

 Поэтому – не надо каяться на публику за грехи своих предшественников. Грош цена этим покаяниям, которые мы еще недавно слышали в « Тростенце » от президентов Австрии и Германии. Никакие слова не спрячут реальные замыслы.

 C’est pourquoi il est inutile de se repentir en public sur les péchés de ses prédécesseurs. Ils sont sans valeur, ces repentirs que nous avons récemment entendus au « Тростенце » [camp de concentration au sud de Minsk-NDTML(2)], de la part des présidents d’Autriche et d’Allemagne. Aucun mot ne cachera les desseins réels.

 Вы должны не просто каяться. Вы должны еще 100 лет стоять на коленях перед белорусским народом и молиться, что вы смогли родиться после той войны. Вы должны делать все, чтобы зарубцевать в наших сердцах и душах раны от этой войны. Вы не душить нас должны. Вы на руках должны нас носить – немцы, поляки, так называемый Европейский союз. Потому что мы спасли вас от коричневой чумы. И ходили бы вы вместе с нами, всем советским народом, рабами, если бы они взяли верх.

 Vous ne devez pas simplement vous repentir. Vous devriez vous tenir à genoux encore 100 ans devant le peuple biélorusse et rendre grâce d’avoir pu naître après cette guerre. Vous devez faire tout pour cicatriser dans nos cœurs et dans nos âmes les blessures de cette guerre. Vous ne devez pas nous asphyxier. Vous devez nous prendre dans vos bras, les Allemands, les Polonais, ladite Union Européenne. Parce que nous vous avons sauvé de la peste brune. Et vous marcheriez avec nous, tout le peuple soviétique, comme esclaves, s’ils avaient pris le dessus.

 И не надо нас убаюкивать историями про оборонительные учения и миролюбие НАТО. Мы этого наелись с 41-го года, когда мы вам верили, и не извлекли уроков из истории, после победы подарив вам Восточную Европу (так называемые страны Варшавского договора) в обмен на ваши обещания, что вы никогда не сделаете шага в нашем направлении и не будете, как модно сейчас говорить, расширять НАТО на Восток. Вы как минимум лжецы, как максимум – подлецы. Вы все время врали, вы нас обманывали, а сегодня – не получится.

 Et inutile de nous bercer avec des histoires d’exercices de défense et d’esprit pacifique de l’OTAN. Nous avons avalé cela depuis l’année 41, quand nous vous croyions et n’avions pas tiré les leçons de l’histoire. Après la victoire nous vous avons offert l’Europe de l’Est (lesdits Pays du Pacte de Varsovie), en échange de votre promesse que vous ne ferez jamais un pas dans notre direction et que vous n’élargiriez pas, comme c’est la mode de dire aujourd’hui, l’OTAN vers l’Est. Vous êtes, à tout le moins, des menteurs, et tout au plus, des crapules. Vous avez tout le temps menti, vous nous avez trompés, mais maintenant, ça ne marche plus.

 Мы сделаем все, чтобы защитить свою землю. И вот эти наши сыновья, которые здесь стоят под флагами победителей, – запомните – сделают все для того, чтобы вы жили спокойной жизнью на своей земле. Вы – украинцы, белорусы и русские, поляки, евреи, татары. Все, кто живет здесь, на этой земле. Это ваша земля. Вас нигде не ждут, и не верьте этим обещаниям, что вас там, например, с картой поляка примут с распростертыми руками. Некоторых приняли, еле успели домой добежать. Это ваша земля, берегите, белорусы, ее, цените. Потому что она принадлежит не только нам. Она принадлежит нашим детям и внукам. Они должны иметь этот клочок земли, на котором будут жить и растить своих детей.

 Nous ferons tout pour défendre notre terre. Et voilà, ce sont nos fils qui se tiennent ici sous les drapeaux des vainqueurs, rappelez-vous, ils feront tout pour que vous viviez une vie tranquille sur votre terre. Vous, Ukrainiens, Biélorusses et Russes, Polonais, Juifs, Tatars. Tous ceux qui vivent ici, sur cette terre. C’est votre terre. Personne ne vous attend nulle part, et ne croyez pas ces promesses, par exemple, qu’on vous accueille là-bas à bras ouverts avec une « Carte de Polonais »(3). Quelques-uns, à peine acceptés, sont aussitôt revenus à la maison. C’est votre terre. Protégez-la, Biélorusses, valorisez-la. Parce qu’elle n’appartient pas seulement à nous. Elle appartient à nos enfants et à nos petits enfants. Ils doivent avoir ce coin de terre, sur lequel ils vivront et élèveront leurs enfants.

 И то, что коллективный Запад продолжает грезить о новом « броске на Восток », мировом господстве и захвате богатых ресурсов восточнее Беларуси, мы это прекрасно видим. Тогда, после войны, разрушенную экономику некому было восстанавливать. Мы и сегодня не оправилась от этой демографической катастрофы.

 Et il y a ceci, que l’Occident continue de songer à un nouveau « Bond en avant vers l’Orient », à la domination mondiale et à la prise des riches ressources à l’est du Bélarus, cela, nous le voyons très bien. Alors qu’après la guerre il n’y avait personne pour reconstruire l’économie ravagée. Aujourd’hui, nous ne sommes toujours pas remis de cette catastrophe démographique.

 Информационная травля ожидаемых результатов не принесла. Сейчас мы держим экономический удар. Хотелось бы знать, что дальше? Интервенция? Забудьте, успокойтесь. Дорого она вам обойдется. Холеные лица с высоких трибун по ту сторону границы бессовестно лгут с подачи беглых о том, что белорусский народ сам вымаливает санкции в отношении себя. Якобы белорусы готовы страдать ради некого эфемерного « светлого будущего », которое принесут им эти добрые дяди на кончиках своих штыков. Да очнитесь вы наконец, очумевшие и заблудшие!

 Le harcèlement informationnel n’a pas apporté les résultats escomptés. Maintenant nous faisons face à une agression économique. On voudrait savoir, quoi ensuite ? Une intervention ? Oubliez et calmez-vous. Cela vous coûtera cher. Des personnages soignés, sur des tribunes élevées, de l’autre côté de la frontière, mentent sans scrupules à l’instigation des fuyards à propos du peuple biélorusse suppliant pour des sanctions contre lui-même. De soi-disant Biélorusses prêts à souffrir pour quelque éphémère « avenir lumineux » que leur apporteront ces gentils tontons à la pointe de leurs baïonnettes. Oui, réveillez-vous enfin, les écervelés et les égarés !

 Ведь сколько в нашей истории было таких случаев, когда нам много обещали: и свободу, и независимость, и государство обещали нам создать для белорусов на кончиках штыков. И в результате что? А в результате – в последней войне каждого третьего похоронили. Сколько было искалечено? Искалечено не только физически людей, но сколько было искалечено судеб, сердец? 

 Car dans notre histoire, combien y a-t-il eu de telles conjonctures où l’on nous a promis et la liberté, et l’indépendance, et un État, que l’on nous a promis de créer pour les Biélorusses à la pointe des baïonnettes ? Et quoi, comme résultat ? Et comme résultat, dans la dernière guerre, un tiers d’enterrés. Combien ont été mutilés ? De gens mutilés non seulement physiquement, mais combien de destins et de cœurs mutilés ?

 Санкции, провокации… Так и хочется спросить: вы что, это специально делаете? Хотите испытать границы на прочность, а новое поколение белорусов на патриотичность? Давайте попробуем.

 Sanctions, provocations… Ainsi on voudrait savoir : vous le faites intentionnellement ? Voulez-vous tester les limites de la résistance, et une nouvelle génération de Biélorusses sur le patriotisme ? Allez-y, essayons.

 Послушайте, неужели история так ничему вас и не научила? Посмотрите: как и 80 лет назад, регион находится на грани глобального конфликта. Я обращаюсь прежде всего и в очередной раз к народам наших соседних стран – полякам, литовцам, латышам, украинцам. Очнитесь, пока не поздно. Разберитесь вы с этими политиками, обезумевшими и потерявшими реальность. Посмотрите, какой красивый мир, и в этом мире мы всегда нормально жили, по-соседски, делили кусок хлеба, ездили друг к другу. Давайте остановимся у этой последней черты: завтра будет поздно.

 Est-il possible qu’ainsi l’histoire ne vous ait rien appris ? Regardez : comme il y a 80 ans, la région se trouve à la limite d’un conflit global. Je m’adresse avant tout, et une fois de plus, aux peuples de nos pays voisins : Polonais, Lituaniens, Lettons, Ukrainiens. Réveillez-vous, avant qu’il ne soit trop tard ! Faites le point avec ces politiciens, écervelés et ayant perdu le sens du réel. Regardez, quel beau monde ! Et dans ce monde, nous avons toujours normalement vécu, en bon voisinage, partageant un morceau de pain, allant les uns chez les autres. Arrêtons-nous à cette dernière limite : demain sera trop tard.

 Неужели среди украинцев, литовцев, латышей, поляков, к которым белорусы всегда относились дружественно, найдутся те, кто готов пожертвовать этой своей мирной жизнью ради безумства и амбиций отдельных руководителей этих государств, политиков, которым на самом деле наплевать на наш белорусский народ, на свои народы, их судьбы и государственность, нашу белорусскую государственность?

 Est-il possible que parmi les Ukrainiens, les Lituaniens, les Lettons, les Polonais, avec qui les Biélorusses ont toujours été en liens amicaux, se trouvent ceux qui sont prêts à sacrifier cela, leur vie pacifique pour certains gouvernants de ces États, des politiciens qui, en réalité, se fichent pas mal de notre peuple biélorusse, de leurs propres peuples, leurs destins et structures d’États, nos structures d’État biélorusse ?

 Еще раз скажу тем, кто до сих пор не понял. Уясните раз и навсегда: мы родную землю, независимость и суверенитет никому не отдадим. Мы в любом случае выстоим! Просто хотелось бы по-человечески, как всегда, по-славянски. 

 Encore une fois, je dis à ceux qui jusqu’à maintenant n’ont pas compris. Retenez-le, une fois pour toutes : la terre natale, l’indépendance et la souveraineté, nous ne les céderons à personne. Quoi qu’il arrive, nous tiendrons ! Simplement, on le souhaiterait, humainement, à la manière slave.

 Мир сегодня не замыкается только на Европейском союзе. На планете достаточно ответственных стран и целых регионов, с которыми мы продолжим тесно сотрудничать. За нами правда, и мы наследники великого поколения, которое подарило нам жизнь, свободу и независимость. Помните, белорусы, не только то, что мы говорим, но даже то, что мы думаем, они видят там, с небес, и слышат. Помните об этом. Я сегодня говорю это вам, понимая, что они нас слышат. Они должны понимать, что не зря погибли.

 Le monde aujourd’hui ne se limite pas à l’Union Européenne. Sur la planète il y a suffisamment de pays responsables et des régions entières avec lesquels nous continuons une coopération étroite. La vérité est à nous, et nous sommes les héritiers de la grande génération qui nous a offert la vie, la liberté et l’indépendance. Rappelez-vous, biélorusses, non seulement ce que nous disons, mais même ce que nous pensons, ils le voient là-haut, depuis le ciel, ils entendent. Souvenez-vous de ceci. Je vous dis cela aujourd’hui, en comprenant qu’ils nous entendent. Ils doivent comprendre qu’ils ne sont pas morts en vain.

 Это святое воинство и сегодня помогает нам беречь родную Беларусь. Помогает прежде всего примером несгибаемой стойкости, мужества и самоотверженности, проявленных в годы Великой Отечественной войны.

 C’est l’armée sacrée et aujourd’hui elle nous aide à protéger le Bélarus natal. Elle nous aide avant tout par l’exemple de la résistance inflexible, du courage et de l’abnégation qui se sont manifestés dans les années de la Grande Guerre patriotique.

 Сегодня мы славим подвиг нашего народа, чествуем ветеранов и скорбим о погибших, склоняем головы перед героями и невинными жертвами войны. Помните: эта память священна и незыблема, и пока она есть у нас, мы будем жить, жить всегда достойно, не на коленях. Так есть, так должно быть и так будет всегда! 

 Aujourd’hui, nous glorifions l’exploit de notre peuple, nous honorons les vétérans et nous exprimons nos regrets des disparus, nous nous inclinons devant les héros et les victimes innocentes de la guerre. Rappelez-vous : cette mémoire est sacrée et immuable, et tant qu’elle est en nous, nous vivrons, nous vivrons toujours dignement, et non pas à genoux. Ainsi en est-il, ainsi doit-il en être et ainsi il en sera toujours !


SOURCES DU TEXTE EN RUSSE :

https://www.belta.by/president/view/vystuplenie-prezidenta-belarusi-aleksandra-lukashenko-na-tseremonii-vozlozhenija-venkov-v-memorialnom-447186-2021/

https://president.gov.by/ru/events/ceremoniya-vozlozheniya-venkov-v-memorialnom-komplekse-brestskaya-krepost-geroy?openVideo=true


Notes

(1) Петр Котельников. Гавроши Бресткой Крепости 
Piotr Kotelnikov, le « Gavroche » de la Forteresse

https://azbyka.ru/avva/product/petr-kotelnikov-gavroshi-brestskoj-kreposti-seriya-bessmertnyj-polk-duhovnoe-preobrazhenie/

En 2010, dans un excellent et très émouvant film reconstituant la Résistance du Fort de Brest, Петр Котельников, dont les souvenirs ont été essentiels pour la création du scénario, était intervenu en tant que narrateur, et on le voit apparaître, ici à droite, à la fin du film, en compagnie du petit garçon qui joue, avec talent, son propre rôle dans la reconstitution.
https://youtu.be/HO0rAnFatP4

(2) https://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%9C%D0%B0%D0%BB%D1%8B%D0%B9_%D0%A2%D1%80%D0%BE%D1%81%D1%82%D0%B5%D0%BD%D0%B5%D1%86

(3) https://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%9A%D0%B0%D1%80%D1%82%D0%B0_%D0%BF%D0%BE%D0%BB%D1%8F%D0%BA%D0%B0
https://www.oecd-ilibrary.org/sites/b18e8fec-fr/index.html?itemId=/content/component/b18e8fec-fr


[Vidéos du discours]

https://youtu.be/pjCsETuwEeg

BREST, 22 JUIN 2021, Cérémonie et commémoration :


22 Juin 2021, Loukachenko au Fort de Brest: Appel à la Résistance populaire antifasciste
Un précédent meeting de Résistance antifasciste à Brest, en août 2020



Bilan de la vaccination au Royaume-Uni au 6e mois

Par Gérard Delépine

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination anticovid. Le suivi de l’épidémie dans ce pays permet ainsi de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise. Cela justifie une nouvelle analyse avec 6 mois et demi de recul.

Le succès de la campagne de vaccination

Au 20 juin 2021, un total de 71 672 208 doses de vaccin a été administré touchant près de 43 millions de Britanniques, soit 80 % de la population adulte qui ont reçu au moins une dose de vaccin et 90 % des personnes âgées de 70 ans et plus qui auraient été complètement vaccinées.

Cette campagne de vaccination massive a bénéficié d’une propagande énorme prétendant, entre autres, que les résultats des vaccins sont connus et rassurants, alors que les essais sont en cours (ils ne seront terminés qu’en 2023) et qu’ils n’incluaient qu’une poignée de personnes très âgées avec comorbidités, ne permettant pas d’avoir la moindre idée de sa balance avantage/risques dans ce groupe d’âge qui en constitue pourtant l’éventuelle indication.

Non-pertinence des critères d’évaluation dans les médias

Les médias proclament le succès d’après les pourcentages de vaccinés ou les taux prétendus de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des organismes chargés de la vaccination.

Mais l’examen objectif d’une campagne de vaccination doit se focaliser uniquement sur trois points précis : le vaccin permet-il d’éviter d’attraper la maladie ? Prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

On dispose pour ces critères d’une source fiable, accessible par internet et indépendante des acteurs de la vaccination : les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/. Il précise chaque jour, pour chaque pays, l’évolution de nombre de contaminations et du nombre de décès attribués au Covd-19. C’est donc principalement sur ces données objectives que nous baserons notre analyse.

Le vaccin permet-il d’éviter d’attraper la maladie et la transmission du virus ?

D’après les courbes OMS du 23 juin 2021, la vaccination commencée le 7 décembre a été suivie d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Le 7 décembre 2020, après neuf mois d’épidémie pré vaccination, le Royaume-Uni comptait 1 674 138 cas. En six mois et demi post-vaccination, ce chiffre est passé à 4 640 511 (+200 %).

Cette évolution, avec augmentation considérable des contaminations quotidiennes, observée dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné, suggère que les pseudos vaccins actuels seraient susceptibles de faciliter, au moins transitoirement (pendant 6 à 12 semaines) la transmission de la maladie.

La chute des contaminations en mars et avril 2021 a fait croire à l’efficacité de la vaccination, mais cette diminution du nombre quotidien de contaminations a été observée à peu près simultanément dans tous les pays européens, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

Mais depuis mai le nombre de nouvelles contaminations journalières est franchement orienté à la hausse montrant que la vaccination n’est capable ni d’empêcher d’attraper ni d’empêcher de transmettre la maladie.

Depuis mai, selon les chiffres de l’OMS et du bureau des statistiques britannique les contaminations quotidiennes ont augmenté de 1200 % (passées de 1156 le 15 mai à 14623 le 28 juin) alors que durant la même période elles chutaient en sens inverse en France (d’une moyenne de 12000 à 1500). La vaccination britannique qui prétendait viser l’éradication du virus a manifestement échoué et facilité l’émergence d’un variant nettement plus contagieux et résistant à la vaccination.

Et en France, beaucoup moins vaccinée, on a observé le 28 juin 1546 nouveaux cas contre 14623 cas en Grande-Bretagne.

Le vaccin diminue-t-il la gravité de la maladie ?

En Grande-Bretagne, malgré les confinements à répétition, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière

Les mois de décembre 2020 et janvier 2021 ont établi les records mensuels de la mortalité britannique attribuée au Covid 19, regroupant à eux deux plus de 50301victimes soit 40 % de la totalité des morts britanniques depuis le début de l’épidémie.

Le 4 décembre 2020, après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 60 113 morts attribuées au Covid-19. En six mois post-vaccination, ce chiffre a plus que doublé passant à 128100 (+110 %).

La vaccination, loin de diminuer la gravité de la maladie et en particulier son risque létal, paraît au contraire l’avoir exacerbé au moins transitoirement !

Ce phénomène a particulièrement touché les seniors britanniques en institution qui ont été vaccinés en priorité. Le lien direct avec la vaccination est suggéré par la constatation dans un rapport officiel que près de 40 % des morts depuis la vaccination avaient reçu une vaccination complète à deux doses.

Lorsqu’on a reçu une dose de vaccin et qu’on est contaminé, le Covid-19 pourrait se révéler plus grave et plus susceptible d’entraîner la mort. C’est d’ailleurs ce qu’a confirmé O. Veran dans sa réponse au Conseil d’État :

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

Heureusement, le recul de l’épidémie aux USA depuis janvier et en Europe depuis avril diminue le risque d’attraper la maladie après la première injection de vaccin et donc minore le risque d’en mourir.

Comment expliquer cette aggravation paradoxale après vaccination ?

En Grande-Bretagne, les suites immédiates de la vaccination ont été marquées par une recrudescence très importante des contaminations et de la mortalité quotidiennes, alors que c’est une franche diminution qui en était espérée.

En février, il y avait plus de nouveaux cas de Covid-19 par jour qu’avant le début du confinement et de la vaccination. L’émergence de différents variants du Covid-19 l’explique peut-être, mais cette émergence a peut-être elle-même été favorisée par la vaccination.

Dans une lettre au BMJ le Pr Delfraissy s’inquiétait :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus… voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

L’accroissement important de la mortalité pendant les deux mois qui ont suivi la vaccination est peut-être dû à un phénomène d’anticorps facilitants[2] dont le risque, illustré par la catastrophe vaccinale récente du Dengvaxia aux Philippines, avait été rappelé par l’Académie de médecine[3].

« Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique (…) le risque individuel d’aggravation par anticorps facilitants doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. » 

L’analyse scientifique des résultats de la vaccination, otage de la politique

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible en Grande-Bretagne comme dans de nombreux pays, car complètement pollué par des considérations politiques.

Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à Boris Johnson et aux autorités sanitaires anglaises qui l’ont très fortement conseillée et qui viennent d’annoncer « une première injection de vaccin Pfizer réduirait de 57 % le risque de souffrir de Covid-19 chez les plus de 80 ans », sans mentionner ni les hausses d’incidence et de mortalité observées, accusant seulement des variants, ni les apparitions de clusters mortels dans les EHPAD de nombreux pays rapportés dans les journaux peu de temps après la vaccination Pfizer. La promesse de Boris Johnson

« l’Angleterre se trouve en effet sur un “chemin à sens unique vers la liberté” “chaque jour qui passe permet au programme de vaccination de créer un bouclier autour de la population” »

est donc très loin de se réaliser.

Il faut donc s’attendre à ce que le gouvernement, les organismes qui ont conseillé et réalisé la campagne de vaccination et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le virus, de refuser d’expliquer les chiffres d’incidence et de mortalité post-vaccination et de traiter ceux qui émettent des doutes de complotistes pour éviter d’avoir à affronter leurs responsabilités.

Car comme le remarquait un panel de scientifiques dans le BMJ, quel que soit le pays, 

« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».




Comment les Britanniques ont vendu le mondialisme aux États-Unis

[Source : reseauinternational.net]

Par Richard Poe

Le 13 avril 1919, un détachement de cinquante soldats britanniques a ouvert le feu sur des manifestants à Amritsar, en Inde, tuant des centaines de personnes.

Les soldats étaient des Indiens, dans des uniformes britanniques.

Leur commandant était un Anglais.

Quand le colonel Reginald Dyer a donné l’ordre, cinquante Indiens ont tiré sur leurs propres compatriotes, sans hésitation, et ont continué à tirer pendant dix minutes.

C’est ce qu’on appelle le soft power.

L’Empire britannique s’est construit sur cette base.

Le soft power est la capacité de séduire et de coopter les autres pour qu’ils vous obéissent.

Certains l’appellent le contrôle de l’esprit.

Grâce à l’utilisation du soft power, un petit pays comme l’Angleterre peut dominer des pays plus grands et plus peuplés.

Même les puissants États-Unis cèdent encore à l’influence britannique d’une manière que la plupart des Américains ne comprennent pas.

Depuis plus de cent ans, les Américains sont poussés sans relâche sur la voie du mondialisme, à l’encontre de leurs propres intérêts et de leur penchant naturel.

La poussée vers le mondialisme provient principalement de groupes de pression britanniques qui se font passer pour des groupes de réflexion américains. Le plus important d’entre eux est le Council on Foreign Relations (CFR).

Origine du CFR

Le CFR est issu du Mouvement britannique de la Table ronde.

Dans mon dernier article, « Comment les Britanniques ont inventé le mondialisme », j’ai expliqué comment les dirigeants britanniques ont commencé à formuler des plans pour un gouvernement mondial au cours du XIXe siècle.

Avec le financement du Rhodes Trust, un groupe secret appelé la Table ronde a été formé en 1909. Il a implanté des agences dans les pays anglophones, notamment aux États-Unis, pour faire de la propagande en faveur d’une fédération mondiale de peuples anglophones unis dans un seul super-État.

L’objectif à long terme de la Table ronde – comme l’a clairement indiqué Cecil Rhodes dans son testament de 1877 – était de parvenir à la paix mondiale par l’hégémonie britannique.

Dans ce processus, Rhodes cherchait également (et je cite) le « rétablissement ultime des États-Unis d’Amérique en tant que partie intégrante de l’Empire britannique ».

Les Dominions

Il s’est avéré que les colonies anglophones de Grande-Bretagne ne voulaient pas faire partie de la fédération de Rhodes. Elles voulaient l’indépendance.

Les membres de la Table Ronde ont donc proposé un compromis. Ils ont offert le statut de « Dominion » ou une indépendance partielle à la place.

Le Canada devait servir de modèle. Il avait obtenu le statut de Dominion en 1867. Cela signifie que le Canada se gouvernait lui-même à l’intérieur, tandis que la Grande-Bretagne dirigeait sa politique étrangère. Les Canadiens restaient des sujets de la Couronne.

Les Britanniques proposent désormais le même accord aux autres colonies anglophones.

On s’attendait à une guerre avec l’Allemagne, aussi les membres de la Table ronde devaient-ils travailler rapidement.

La Grande-Bretagne devait amadouer les Dominions en leur offrant l’autonomie, afin qu’ils acceptent de fournir des troupes pour la guerre à venir.

L’Australie est devenue un Dominion en 1901, la Nouvelle-Zélande en 1907 et l’Afrique du Sud en 1910.

Courtiser les États-Unis

Les États-Unis représentaient un défi particulier. Ils avaient obtenu leur indépendance en 1776. De plus, ses relations avec la Grande-Bretagne étaient houleuses, marquées par une Révolution sanglante, la guerre de 1812, des conflits frontaliers avec le Canada et l’ingérence britannique dans la guerre de Sécession.

À partir des années 1890, les Britanniques ont mené un blitz de relations publiques appelé « le Grand Rapprochement », promouvant l’unité anglo-américaine.

Le magnat de l’acier d’origine écossaise Andrew Carnegie a appelé ouvertement à une « Union anglo-américaine » en 1893. Il prônait le retour des États-Unis dans l’Empire britannique.

Le journaliste britannique W.T. Stead a plaidé en 1901 pour des « États-Unis du monde anglophones ».

Une solution « canadienne » pour les États-Unis

Du point de vue britannique, le Grand Rapprochement était un échec.

Lorsque la Grande-Bretagne a déclaré la guerre à l’Allemagne en 1914, les troupes ont afflué de tous les coins de l’Empire. Mais pas des États-Unis. Les États-Unis n’ont envoyé des troupes qu’en avril 1917, après deux ans et demi d’intenses pressions de la part des Britanniques.

Pour les Britanniques, ce retard était intolérable. Il prouvait que l’on ne pouvait pas faire confiance aux Américains pour prendre des décisions importantes.

La Table ronde a cherché une solution « canadienne » : manipuler les États-Unis pour qu’ils deviennent un Dominion, la Grande-Bretagne contrôlant leur politique étrangère.

Cela devait se faire discrètement, par des voies détournées.

Pendant les pourparlers de paix de Paris en 1919, les agents de la Table ronde ont travaillé avec des anglophiles américains triés sur le volet (dont beaucoup étaient membres de la Table ronde), afin de concevoir des mécanismes formels pour coordonner la politique étrangère américaine et britannique.

Le mécanisme de contrôle

Le 30 mai 1919, l’Anglo-American Institute of International Affairs (AAIIA) a été créé, avec des branches à New York et à Londres.

Pour la première fois, une structure officielle avait été établie pour harmoniser la politique des États-Unis et du Royaume-Uni au plus haut niveau.

Cependant, le moment était mal choisi. Le sentiment anti-britannique montait aux États-Unis. Beaucoup reprochaient à l’Angleterre de les avoir entraînés dans la guerre. Au même moment, les mondialistes anglais dénonçaient les Américains comme des tire-au-flanc pour ne pas avoir soutenu la Société des Nations.

L’unité anglo-américaine étant temporairement discréditée, les membres de la Table ronde ont décidé de séparer les branches de New York et de Londres en 1920, pour sauver les apparences.

Lors de la séparation, la branche londonienne a été rebaptisée British Institute of International Affairs (BIIA). En 1926, le BIIA a reçu une charte royale, devenant le Royal Institute of International Affairs (RIIA), plus connu sous le nom de Chatham House.

Pendant ce temps, la branche new-yorkaise est devenue le Council on Foreign Relations en 1921.

Après s’être séparé de Chatham House, le CFR a continué à travailler en étroite collaboration avec son homologue britannique, dans le cadre d’un code de secret strict appelé « règles de Chatham House ».

L’agenda du CFR

Le CFR déclare sur son site Internet qu’il « ne prend aucune position institutionnelle sur les questions de politique ». Mais c’est faux.

« L’empreinte de l’internationalisme » est apparente dans toutes les publications du CFR, note le politologue britannique Inderjeet Parmar dans son ouvrage de 2004 intitulé « Les think tanks et le pouvoir en politique étrangère ». Les écrits du CFR témoignent également d’une hostilité marquée à l’égard de ce que le Conseil appelle « l’isolationnisme ».

Parmar conclut que le CFR poursuit deux objectifs :

  1. L’unité anglo-américaine
  2. Le mondialisme

Ce sont les mêmes objectifs que ceux énoncés dans le testament de Rhodes, qui appelait à une union globale anglo-américaine si puissante qu’elle « rendrait les guerres impossibles par la suite… »

« Le vaisseau mère »

Protégé par les « règles de Chatham House », le CFR a longtemps opéré dans l’ombre, son existence même étant inconnue de la plupart des Américains.

Néanmoins, des rumeurs sur son pouvoir ont filtré au fil des ans.

« Peu d’institutions importantes de la société américaine ont été aussi régulièrement mises au pilori que le Council on Foreign Relations », écrivait l’historien Robert J. McMahon en 1985. « Pour les théoriciens de la conspiration de droite comme pour les critiques radicaux de gauche, l’organisation basée à New York a souvent évoqué la crainte d’une minuscule élite tirant malencontreusement les ficelles de la politique étrangère américaine ».

En fait, le contrôle effectif du CFR sur la politique étrangère des États-Unis n’est pas une théorie du complot, mais plutôt un fait bien connu des initiés du Beltway, qui ont surnommé le CFR « le véritable Département d’État ».

En 2009, la secrétaire d’État Hillary Clinton a admis avoir reçu des instructions du CFR, qualifiant son siège new-yorkais de « vaisseau-mère ».

S’exprimant dans le bureau du Conseil nouvellement ouvert à Washington, Clinton a déclaré : « Je me suis souvent rendue, je suppose, au vaisseau-mère à New York, mais il est bon d’avoir un avant-poste du Conseil ici même, en bas de la rue du Département d’État. Nous recevons beaucoup de conseils du Conseil, donc cela signifie que je n’aurai pas à aller aussi loin pour me faire dire ce que nous devrions faire et comment nous devrions penser à l’avenir ».

Le CFR contre Trump

Le candidat Trump n’a pas partagé l’enthousiasme d’Hillary pour les « conseils » britanniques.

Au contraire, les politiques de Trump s’opposaient expressément aux positions britanniques sur le changement climatique, les frontières ouvertes, les accords commerciaux truqués et les guerres sans fin. La politique « America First » de Trump incarnait ce que le CFR appelle « l’isolationnisme ».

C’en était trop pour les Britanniques et leurs collaborateurs américains.

La « Résistance » anti-Trump était née.

Le 16 juin 2015, Trump a annoncé qu’il était candidat à la présidence.

Fin 2015, l’agence d’écoutes britannique GCHQ aurait découvert des « interactions » entre la campagne Trump et les services de renseignement russes.

Le GCHQ a transmis ce « matériel » à John Brennan, alors chef de la CIA, au cours de l’été 2016.

Un titre du 13 avril 2017 du journal britannique The Guardian annonçait fièrement : « Les espions britanniques ont été les premiers à repérer les liens de l’équipe Trump avec la Russie ».

L’article expliquait : « Des sources du renseignement américain et britannique reconnaissent que le GCHQ a joué un rôle précoce et prépondérant dans le coup d’envoi de l’enquête Trump-Russie du FBI… Une source a qualifié l’agence d’écoute britannique de ‘principal dénonciateur’ ».

Ainsi, les renseignements britanniques ont préparé le terrain pour l’enquête Mueller et la mise en accusation du « Russiagate » plus d’un an avant l’élection de Trump.

Appels à la mutinerie militaire

Dix jours seulement après l’entrée en fonction de Trump en 2017, le magazine Foreign Policy a appelé à un « coup d’État militaire » contre le nouveau président.

L’article du 20 janvier 2017 portait le titre « 3 façons de se débarrasser du président Trump avant 2020 ». Le professeur de droit Rosa Brooks y appelait à la mise en accusation de Trump ou à sa destitution en vertu du 25ème amendement.

En dernier recours, selon Brooks, on pourrait essayer une méthode « dont j’aurais dit jusqu’à récemment qu’elle était impensable aux États-Unis d’Amérique : un coup d’État militaire… »

Foreign Policy appartient à la famille Graham, dont la matriarche Katharine Graham a contribué à faire tomber Nixon lorsqu’elle était éditrice du Washington Post.

Les Graham sont des initiés consommés de Washington. Ils n’auraient pas appelé à un « coup d’État militaire » sans le feu vert du « vaisseau-mère ».

Déstabiliser les États-Unis

La preuve de la complicité du CFR est apparue en novembre 2017, lorsque le magazine Foreign Affairs s’est fait l’écho de Foreign Policy, en exhortant les « hauts responsables militaires » à « résister aux ordres » de Trump, et à envisager de le destituer en vertu du 25ème amendement.

Foreign Affairs est le journal officiel du Council on Foreign Relations.

Tout au long de la présidence de Trump, Foreign Affairs l’a accusé à plusieurs reprises d’instabilité mentale, exhortant les « chefs militaires » et les « officiers du cabinet » à se tenir prêts à l’évincer.

Venant du « vaisseau-mère », ces incitations avaient un poids d’autorité inhabituel. Elles ont attisé les flammes de la rhétorique de Washington, ébranlant la nation et faisant de l’insurrection et du coup d’État la « nouvelle normalité » de la politique américaine.

Étant donné l’indéniable pedigree britannique du CFR, la rhétorique surchauffée du magazine Foreign Affairs soulève des questions sur les motivations britanniques.

Il est clair que Whitehall a considéré Trump comme une menace existentielle. Mais pourquoi ? Pourquoi les quolibets de Trump sur la politique commerciale ont-ils été jugés si menaçants pour les intérêts britanniques qu’ils justifiaient une mutinerie militaire ?

Neutraliser la menace américaine

Je crois que la réponse peut être trouvée dans les écrits originaux du groupe Rhodes.

Dans son livre de 1901 intitulé « L’américanisation du monde », le journaliste britannique W.T. Stead – proche collaborateur de Rhodes – soutenait que l’Angleterre n’avait que deux choix. Elle doit fusionner avec les États-Unis ou être remplacée par eux.

Le choix était clair. Fusionner avec les États-Unis pourrait sauver la place de la Grande-Bretagne dans le monde. Mais toute tentative de rivaliser avec les États-Unis ne peut que se solder par une défaite.

Dans les années 1890, les dirigeants britanniques savent déjà que le maintien de l’ordre dans leur empire est devenu trop coûteux. L’octroi de l’autonomie aux Dominions permettait d’économiser un peu d’argent, en rendant les Dominions responsables de leur propre défense. Mais les dépenses militaires étaient encore trop élevées.

En 1906, le banquier britannique Lord Avebury s’est plaint que les États-Unis s’enrichissaient aux dépens de la Grande-Bretagne. Alors que les États-Unis profitaient de la Pax Britannica, la Grande-Bretagne dépensait 60% de plus que les États-Unis pour son armée, afin que le monde reste sûr pour les affaires.

Aujourd’hui – grâce au CFR – la situation est inversée en faveur de la Grande-Bretagne.

Maintenant, les États-Unis contrôlent le monde, tandis que les investisseurs britanniques s’enrichissent grâce à la Pax Americana. Les dépenses militaires britanniques ne représentent plus qu’une fraction des américaines.

Compte tenu de ces faits, il devient plus facile de comprendre pourquoi les Britanniques ne voulaient pas que Trump bouleverse le panier à salade.

Les nouveaux impérialistes

Les élites britanniques ne se contentaient pas de transférer le coût de l’empire aux États-Unis. Elles voulaient également garder le contrôle de la politique impériale, et ainsi avoir le beurre et l’argent du beurre. Avec l’aide du CFR, elles ont été très près d’atteindre cet objectif.

Le mouvement « New Imperialist » en Grande-Bretagne cherche à reconstruire l’influence mondiale du Royaume-Uni, sur le dos de l’armée américaine. L’historien britannique Andrew Roberts a annoncé ce nouveau mouvement dans un article paru le 8 janvier 2005 dans le Daily Mail.

Le titre résume bien leur philosophie : « Recoloniser l’Afrique ».

Soutenant que « l’Afrique n’a jamais connu de meilleurs moments que sous la domination britannique », Roberts appelle sans détour à la « recolonisation ». Il affirme que les principaux hommes d’État britanniques soutiennent « en privé » cette politique, mais « ne pourront jamais être vus comme l’approuvant publiquement… »

Roberts se vante que la plupart des dictatures africaines s’effondreraient à « la simple arrivée à l’horizon d’un porte-avions d’un pays anglophone… »

Il n’a pas précisé quel « pays anglophone » serait censé fournir des porte-avions pour de telles aventures, mais je vous donne trois chances de deviner.

La révolution inachevée des États-Unis

Plus de cent ans ont passé depuis que W.T. Stead a averti que la Grande-Bretagne devait fusionner avec les États-Unis ou être remplacée par elle. Peu de choses ont changé.

Les élites britanniques sont toujours confrontées au même choix. Elles ne peuvent pas accepter un monde dirigé par les Américains, elles doivent donc trouver des moyens de les contrôler.

Pour la part des Américains, ils ne doivent pas accepter leur contrôle.

Le défi de la génération américaine est de rompre le charme du soft power britannique.

Achever le travail de leur révolution inachevée.

Les Nouveaux Impérialistes Poussent CANZUK

Seize ans après l’annonce du « Nouvel Impérialisme », Andrew Roberts et ses collègues impérialistes continuent de faire pression pour réaliser le rêve de Cecil Rhodes d’une union anglophone.

Dans un éditorial du Wall Street Journal daté du 8 août 2020, Roberts fait la promotion du traité CANZUK, qui vise à unir le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et la Grande-Bretagne dans un super-État mondial, « capable de faire front avec les États-Unis » contre « une Chine de plus en plus revancharde ».

Comme toujours, Roberts fait des plans pour les États-Unis.

Comme d’habitude, ses plans impliquent de les faire entrer en guerre.

Les élites britanniques ne comprendront jamais les Américains

Dans son livre de 2006 intitulé « Histoire des peuples anglophones depuis 1900 », Roberts suggère avec désinvolture que l’Amérique serait mieux sous une monarchie.

Un gouvernement monarchique aurait épargné aux Américains le traumatisme du Watergate, affirme-t-il. Un monarque serait intervenu et aurait renvoyé Nixon, tout comme la reine Elizabeth II a renvoyé le premier ministre australien Gough Whitlam en 1975.

Pas besoin d’un quelconque processus démocratique.

Roberts ne se demande pas comment une telle intervention royale aurait été acceptée par la « majorité silencieuse » qui a voté pour Nixon et l’a soutenu.

MAGA contre MABA

En résumé, Trump cherchait à rendre l’Amérique grande à nouveau (MAGA) en restaurant son indépendance et son autosuffisance.

Le CFR cherche à rendre l’Amérique britannique à nouveau (MABA).

C’est aussi simple que cela.

Si les années Trump nous ont appris quelque chose, c’est que MAGA et MABA ne font pas bon ménage.

Dès l’instant où il y a un président qui défend la souveraineté américaine, les Britanniques deviennent fous, et poussent les États-Unis au bord de la guerre civile.

Il est clair que les États-Unis ne peuvent pas être « grands » et « britanniques » en même temps.

Ils doivent choisir l’un ou l’autre.


source : https://www.lewrockwell.com

traduit par Réseau International




Coût financier de la stratégie anticovid appliquée aux enfants et adolescents en France

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur economiematin.fr]

Dépister des personnes saines et les isoler ne sert à rien et coûte très cher

Les tests PCR positifs ne permettent pas à eux seuls d’affirmer qu’une personne est /ou sera malade, ni contagieuse. La littérature internationale l’a démontré largement.(([1] Altman DG, Bland JM. Diagnostic tests))(([2] Predictive values. BMJ. 1994 Jul 9 ;309(6947) :102. doi : 10.1136/bmj.309.6947.102 2 Prédire le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère infectieux à partir d’échantillons diagnostiques Jared Bullard, Kerry Dust, Duane Funk, James E Strong, David Alexander, Lauren Garnett, Carl Boodman, Alexandre Bello, Adam Hedley, Zachary Schiffman Maladies infectieuses cliniques, ciaa638, 
https://doi.org/10.1093/cid/ciaa638 ))(([3] R Jaafar, S Aherfi, N Wurtz, C Grimaldier, Thuan Van Hoang, P Colson, D Raoult, B La Scola Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates Clinical Infectious Diseases, Volume 72, Issue 11, 1 June 2021, Page e921, 
https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491 )) L’OMS l’a reconnu dès mai 2020(([4] Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2. Genève, Organisation mondiale de la Santé, 2020, numéro de référence OMS : WHO/2019 nCoV/laboratory/2020.6.)) et rappelé récemment.(([5] AVIS DE L’OMS À L’ATTENTION DES UTILISATEURS DE TESTS DE DIAGNOSTIC IN VITRO 2020/05))(([6] https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users)) La cour d’appel portugaise l’a confirmé dans l’arrêt de la cour d’appel de Lisbonne(([7] http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30 — 1783/20.7T8PDL.L1-3)) qui a obligé le ministère de la Santé à interrompre la quarantaine de touristes allemands injustement isolés.

« Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2 ».

Leur pratique généralisée à des fins de dépistage chez les personnes saines et la quarantaine des positifs asymptomatiques ne permet pas de limiter la propagation de l’infection. L’exemple du plus grand dépistage mondial (10 millions de dépistés), celui de Wuhan, est démonstratif : les asymptomatiques testés positifs ont subi en plus des tests antigéniques, des cultures virales, et ont été mis en quarantaine pour surveillance ; près de la moitié n’avaient pas d’anticorps (il s’agissait donc de PCR faux positifs), aucun des asymptomatiques n’excrétait de virus, aucun n’a contaminé quiconque, aucun n’est tombé malade. Au total, ce gigantesque dépistage publié par les Chinois, dont l’intérêt scientifique est considérable, n’a donc permis de n’éviter aucune contamination nouvelle.

Un dépistage plus limité pratiqué dans les écoles de Vilnius lors de la première vague(([8] Indr? Stacevi?ien? 1, Sigita Burokien? 2, Aušra Steponavi?ien? 2, Daiva Vai?i?nien? 2, Augustino Jankauskien? A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr 25 févr.2021. )) conclut :

« les enfants de notre étude qui ne présentaient pas de symptômes d’infection aiguë et de contact avec une autre personne infectée par le COVID-19 n’ont pas reçu de diagnostic de COVID-19, de sorte que le bénéfice du test PCR est discutable. »

Alors pourquoi O. Véran a-t-il demandé de tester un million d’enfants et s’apprête -t-il à multiplier les autotests cet été sur les plages ?

Pour contenir l’épidémie, Il eût été plus efficace et beaucoup moins coûteux de se contenter d’utiliser la technique traditionnelle de mise en quarantaine des seuls malades suspectés cliniquement, ceux qui ont de la fièvre, qui toussent et qui crachent — et de laisser les autres travailler, étudier, produire, faire du sport.

Le coût total (direct et indirect) des dépistages est considérable.

Au 9 juin 2021, Santé publique France précise que 87 568 197 tests ont été réalisés. Pour chaque test réalisé par un laboratoire public ou privé, l’Assurance Maladie verse 73,59 euros. Le coût direct des tests en France avoisine donc actuellement les 6,4 milliards d’euros.

Le coût indirect de la mise en quarantaine inutile de plus de 2 millions d’asymptomatiques est encore bien plus élevé. L’indemnisation par la sécurité sociale de 10 à 14 jours d’arrêt de travail injustifié, la désorganisation des équipes dans les entreprises, les difficultés rencontrées pour envoyer le personnel indispensable à l’étranger, le retard de certains projets a entraîné des pertes financières estimées à 20 à 30 milliards € supplémentaires.

Si une petite partie de cet argent avait été utilisé à remettre en état notre système de santé dès le début de l’épidémie les 2 et 3e confinements n’auraient eu aucun prétexte, ce qui aurait considérablement limité l’impact financier et économique de la crise.

Forcer les citoyens ordinaires à porter des masques : inutile et très cher

L’obligation de port du masque à l’extérieur en croyant lutter contre le Covid19 (ou en le faisant croire au peuple) est une aberration contraire à l’état de la science. Aucune étude scientifique rétrospective n’a démontré qu’elle pouvait être utile. Le professeur Antoine Flahaut très prudent dans cette épidémie a d’ailleurs affirmé(([9] https://www.whatsupdoc-lemag.fr/article/il-semble-difficile-de-justifier-scientifiquement-le-port-obligatoire-du-masque-lexterieur )) « il n’y a aucun justificatif scientifique à imposer le port du masque à l’extérieur ». La seule étude prospective sur le sujet (Danmasq19)(([10] Bundgaard H, Bundgaard JS, Raaschou-Pedersen DET, Mariager AF, Schytte N, von Buchwald C, Todsen T, Skovgaard K, Trebbien R, Andersen MP, Benfeld T, Ullum H, Torp-Pedersen C, Iversen K. Face masks for the prevention of COVID-19 – Rationale and design of the randomised controlled trial DANMASK-19. Dan Med J. 2020 Aug 18 ;67(9) : A05200363. PMID : 32829745.)) a confirmé cette opinion en montrant que le port de masques dans la communauté ne protège pas ceux qui s’y astreignent et ne réduit pas de manière significative le risque d’infection.

Comme les enfants ne risquent rien du Covid19, qu’ils ne constituent pas un facteur de propagation virale démontré,(([11] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ;109(8) :1525-1530. doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.))(([12] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.))(([13] Indr? Stacevi?ien? A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021. 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf ))(([14] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020))(([15] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.))(([16] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available : 
https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/ children-and-covid-19)) il n’y a aucun justificatif scientifique à l’appui de cette mesure, leur imposer le port d’un masque est triplement aberrant.

L’Association de consommateurs CLCV estime le coût mensuel du port obligatoire des masques faciaux à 50 euros par personne. Plus de 55 millions de Français ont été contraints de porter un masque depuis juillet 2020 pour un coût estimé à plus de 30 milliards €. Pour aucun bénéfice sanitaire !

On comprend donc l’inquiétude des fabricants français pour leurs bénéfices financiers, avec la fin du port du masque en extérieur.

Fermer les écoles n’a pas limité la circulation du virus et a coûté très cher

Les conclusions du centre européen de contrôle des maladies infectieuses sont claires(([17] COVID-19 in children and the role of school settings in transmission – first update 
https://www.ecdc.europa.eu/en/publications-data/children-and-school-settings-covid-19-transmission))(([18] https://www.ladepeche.fr/2020/08/19/coronavirus-un-rapport-devoile-le-role-des-ecoles-dans-la-transmission-du-virus-9026018.php)): 

« les preuves issues de la recherche des contacts dans les écoles et les données d’observation d’un certain nombre de pays de l’UE montrent que la réouverture des écoles n’a pas été associée à une augmentation de la transmission communautaire. »

« Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du COVID-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère COVID-19. »

Certaines simulations suggèrent même que la fermeture des écoles étalerait et finalement, augmenterait la mortalité globale du Covid.(([19] Ken Rice Effet des fermetures d’écoles sur la mortalité par coronavirus 2019 : anciennes et nouvelles prévisions BMJ. 2020 ; 371 : m3588.Publié en ligne le 7 oct. 2020 doi :  10.1136 / bmj.m3588))

Ceux qui culpabilisent les enfants en les accusant de transmettre le virus(([20] Dont les responsables d’un spot télévisuel mensonger qui montre un enfant qui vient embrasser sa grand-mère à domicile et que l’on accuse d’être responsable de son hospitalisation trois semaines plus tard.)) ne citent que des études de laboratoire sur la charge virale, ou des simulations mathématiques reposant sur des hypothèses fausses, ou la découverte de foyers scolaires dûs aux adultes à leur contact, mais jamais d’études épidémiologiques sérieuses dans le monde réel.

La médecine, c’est d’abord la clinique et ceux qui ont culpabilisé les enfants de risquer de tuer leurs grands-parents en les embrassant par la diffusion de clips télévisés émotionnels, sans cas connu dans le monde réel, sont responsables de troubles psychologiques à court, moyen voire long terme et en particulier de suicides, y compris chez les très jeunes enfants. Le journal Bild, un des plus grands en Allemagne vient d’ailleurs de s’excuser auprès de la population des mensonges qu’il a diffusés à la demande du gouvernement(([21] Bild présente ses excuses pour la couverture médiatique anxiogène de la crise 
https://www.watson.ch/fr/international/covid-19/835862649-bild-s-excuse-pour-la-couverture-mediatique-anxiogene-du-covid)) et en particulier de la maltraitance des enfants.

La fermeture des écoles a considérablement nui à la santé et au bien-être des enfants et des adolescents, sur leurs résultats scolaires et professionnels à long terme ainsi que l’ont souligné toutes les sociétés de pédiatrie internationales, l’agence sanitaire norvégienne et même l’OMS.(([22] Coronavirus : l’OMS et l’UNICEF préconisent la réouverture des écoles en Afrique ONU Info 
https://news.un.org/fr/story/2020/08/1075342))(([23] Viner R, Russell S, Saulle R, Croker H, Stansfeld C, Packer J, et al. Impacts of school closures on physical and mental health of children and young people : a systematic review. medRxiv [preprint]. 2021. Available from :
https://www.medrxiv.org/content/medrxiv/early/2021/02/12/2021.02.10.21251526.full.pdf.))

La fermeture des écoles a coûté l’indemnisation de nombreux congés parentaux à la sécurité sociale pour un montant pour l’instant imprécis.

La fermeture des écoles a fortement nui à l’économie du pays : selon le ministère de l’Économie qui estimait à 4 % (soit près de 15 milliards € pour deux mois), la perte d’activité liée à la fermeture, au niveau national, des écoles, collèges et lycées.

Vaccination des mineurs, une stupidité arithmétique

Tout récemment(([24] Interview au Journal du dimanche daté du 13 juin. Rapportée par Le Monde et l’AFP)) Mr Fischer,(([25] Vice-président du conseil d’administration de l’Institut Pasteur (2005-2011) et Membre du conseil de gouvernance de la Fondation Edmond de Rothschild.)) professeur de génétique médicale et de recherche en thérapie génique, en charge de la stratégie vaccinale du gouvernement(([26] Dans une interview au Journal du Dimanche)) prétendait : « la vaccination des mineurs de plus de 12 ans est un impératif arithmétique pour se rapprocher de l’immunité de groupe contre le Covid-19 » après avoir précisé : qu’il fallait « vacciner 90 % des 12 à 100 ans » pour parvenir à l’immunité de groupe. Comment peut — il arriver à ce chiffre ?

Dans aucun des grands pays démocratiques occidentaux, la couverture vaccinale anticovid partielle (au moins une dose) n’a dépassé les 64 %, même lorsqu’une propagande mensongère intense, associée à une censure féroce des opposants et des menaces d’obligation ou de pass vaccinaux ont été utilisées (comme en Israël et en Grande-Bretagne). Au 14 juin 2021, le pourcentage de vaccinés (à au moins une dose) n’atteint que 64 % au Canada, 62 % en Israël et en Grande-Bretagne et ne progresse plus guère. De plus, ces chiffres ne concernant que ceux qui ont reçu une dose, les vaccinés complets (à deux doses) sont partout inférieurs à 50 %.

Dans ces pays, les moins de 18 ans représentent moins de 25 % de la population et ceux de 12 à 18 ans environ 8 % de la population globale. Comme il est totalement illusoire d’espérer vacciner plus d’un tiers d’entre eux, leur vaccination augmenterait de moins de 3 % la couverture vaccinale globale dans la population restant bien loin des 90 % considérés comme nécessaires, d’après les laudateurs de la prétendue immunité vaccinale de groupe.

Monsieur Fischer, brillant professeur ne saurait-il plus compter ? Ou bien cette apparente aberration arithmétique, qui met en colère les vrais mathématiciens qui se sentent manipulés, ne constitue-t-elle qu’un argument de propagande vaccinale marchande de plus ? Pourquoi ce choix de décevoir tant de ses admirateurs ?

Les vaccins covid sont incapables d’assurer une immunité de groupe

Les avocats de la vaccination prétendent qu’il serait nécessaire d’atteindre le plus haut taux de vaccination (70 %-90 %) pour stopper l’épidémie.

Mais cette fausse affirmation ne repose, une fois de plus, que sur des simulations mathématiques qui se sont très lourdement trompées tout au long de cette crise sanitaire.

Dans la vie réelle, tous les pays qui ont atteint de très hauts pourcentages de vaccination anticovid, loin d’être protégés, sont ceux qui souffrent des plus hauts taux de propagation du virus et de mortalité pendant au moins 6 à 12 semaines. Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Gibraltar (34000 habitants)

Dans ce micro-État, la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une multiplication par 4 des contaminations et par 19 de la mortalité (de 5 à 95).

Les Seychelles

sont un petit pays d’environ 100000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Elles avaient été relativement épargnées par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 mille doses, le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et approche les 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12466 cas confirmés (+2500 %) et 42 morts (+4100 %) et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination. Et les Seychelles ont depuis la vaccination subi leur premier confinement.

Une poussée post vaccinale comparable a été observée sur l’île de Man ou le nombre de cas a presque quadruplé dans les semaines qui ont suivi la vaccination

Et de pareilles évolutions post vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays .

L’exemple très inquiétant de la Grande-Bretagne

Ce pays est partout cité comme exemple de l’efficacité de la vaccination par les médias et son gouvernement qui n’évoque jamais ni l’hécatombe post vaccinale précoce qui a suivi les vaccinations ni les résultats globaux attestés par l’OMS et très peu la reprise actuelle de l’épidémie que la vaccination devait empêcher.

Examinons les faits, les chiffres officiels de l’OMS.

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination. La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, un mois après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de mortalité mensuelle totalisant à eux seuls près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie.

Après cette hécatombe post vaccinale, les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais se sont flattés du faible taux de contamination qui a suivi en même temps que l’épidémie régressait également en Europe (-85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés, comme dans les pays très peu vaccinés.

Mais depuis mai 2021, malgré son taux record de vaccinés, une augmentation des contaminations journalières (+ 300 %) est observée en Grande-Bretagne prouvant qu’un très haut taux de couverture vaccinale ne protège pas la population de la reprise de l’épidémie .

Le 17 juin 2021, la Grande-Bretagne très vaccinée comptait plus de 10000 nouvelles contaminations quotidiennes, soit quatre fois plus qu’en France (deux fois moins vaccinée) démontrant que l’espoir d’une immunité de groupe avec les pseudos vaccins actuels est une illusion.

De même, l’espoir d’éviter une nouvelle vague par la vaccination est illusoire, car la recrudescence récente de l’épidémie en Grande-Bretagne montre l’inefficacité du vaccin actuel contre le nouveau variant, comme cela est habituel avec la vaccination antigrippale.

Les vrais vaccins efficaces (diphtérie, poliomyélite…) protègent totalement les vaccinés et empêchent la transmission de la maladie. Ce n’est pas le cas des pseudo vaccins anticovid actuels. Alors pourquoi cette propagande mensongère pour la vaccination des adolescents qui coûterait environ 160 millions € (en plus des 5,2 milliards prévus) aux finances publiques et tant de drames pour les adolescents ?

Heureusement, l’épidémie disparaît de France depuis avril, bien avant qu’un hypothétique effet de la vaccination puisse l’expliquer

Alors, pourquoi prendre le risque de vacciner les adolescents, alors que cette vaccination ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel, et que les résultats cliniques dans les pays les plus vaccinés sont très inquiétants (en particulier problème des myocardites) ?

35 milliards € gaspillés pour les tests, plus de 15 milliards € par la fermeture des écoles, 30 milliards € pour les masques, plus de 5 milliards € pour les pseudos vaccins, plus de 100 milliards € pour les confinements : le « quoiqu’il en coûte » des mesures sans justifications scientifiques menace directement l’avenir économique de la nation.

Il est temps que la gabegie de la folie corona s’arrête et qu’une stratégie respectueuse des faits scientifiques du monde réel et des médecins de terrain soit adoptée pour permettre à l’économie de redémarrer normalement.





Que nous a appris l’Inde sur le traitement du Covid ?

Par Gérard Delépine

Depuis près de deux mois, les médias se moquent de la politique sanitaire de l’Inde, et décrivent cet immense pays comme celui où on entasse les morts dans les rues pour les brûler, et le creuset de naissance de variants qui vont nous anéantir lors de la quatrième vague. Cette présentation dramatique est contraire à la vérité.

Mais revenons aux faits, aux faits authentifiés et publiés par l’OMS et les agences sanitaires officielles.

L’Inde a affronté le covid avec au total six fois moins de victimes que nous

Au 16/6/21 la France recensait 1678 décès attribués au covid par million d’habitants contre 290 en Inde.

La comparaison de ces deux chiffres devrait interpeller des médias objectifs.

Compte tenu de l’insuffisance de l’appareil sanitaire indien, l’obtention de ce résultat étonnement favorable justifie l’analyse de la recette indienne du succès anti covid19 qui réside dans la jeunesse de sa population, mais surtout dans les traitements préventifs (avant toute contamination) et les traitements précoces (dès les premiers signes).

Le traitement préventif par hydroxychloroquine a contrôlé la première vague

Lors de la première vague le 22/3/2020, le conseil indien pour le covid a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet, et retirée depuis qu’a été dévoilé son caractère totalement fallacieux.

Rappelons que le ministre français s’est précipité pour interdire l’HCQ à la sortie de cet article mensonger et faire stopper les essais où l’HCQ était testée, mais n’a toujours pas pris le temps de rétablir la vérité et de libérer les médecins de l’angoisse de prescrire ce médicament pas cher et sûr, honni par le pouvoir, par crainte de poursuites par le conseil de l’ordre, comme d’autres collègues auxquels on reproche d’avoir guéri leurs patients avec des médicaments refusés par le ministre !

L’Indian covid19 Task force a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant(([1] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine durant 7 semaines)) et des membres des familles âgés de plus de 15 ans(([2] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine pendant 3 semaines)) au contact de malades covid19.

Ce traitement a considérablement amoindri la diffusion de la maladie dans la population avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072 (quatorze fois plus).

Au total, au 30 janvier 2021 (avant le début de la vaccination) l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants (10 757 710) alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542) soit six fois plus. Elle était un modèle !

Cette forte réduction du risque de contamination ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Elle est d’autant plus remarquable que l’Inde se singularise par la grande promiscuité de sa population dans les nombreuses mégapoles, Bombay

(12 478 447 d’habitants), Delhi (11 007 835), Bangalore (8 425 970), Hyderabad (6 809 970), Ahmedabad (5 570 585), Madras (4 681 087) Calcutta (4 486 679).

Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde ne comptait que 118 morts/M (154 147 morts) contre 1156/M (75466 morts) en France, soit dix fois plus.

La catastrophe post vaccinale de la deuxième vague stoppée par l’Ivermectine

En février 2021, en Inde, l’épidémie paraissait contrôlée avec une moyenne quotidienne de 7,7 nouveaux cas/million (10000 nouveaux cas) et avec le début de la vaccination le 16 janvier 2021, les traitements préventifs ont été délaissés.

Pourquoi les Indiens ont-ils cédé à la propagande de la vaccination ?

Un mois et demi après le début de la campagne de vaccination, une deuxième vague a déferlé sur l’Inde avec une augmentation exponentielle des nouveaux cas pendant 6 semaines et un pic de contaminations journalières atteignant 418 cas/Million (cependant deux fois et demie moindre que le pic français de novembre 2020).

Cette augmentation post vaccinale brutale des cas, cohérente avec les prédictions du Dr Tenpenny et du Professeur Cahill, avait été déjà observée dans de nombreux pays.(([3] G Delépine L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde 2021-05-24))(([4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Elle a été suivie d’une augmentation de la mortalité qui a été très médiatisée en Occident afin de relancer la panique du covid qui commençait à s’estomper.

LE BON SENS REVIENT AVEC LE TRAITEMENT PRÉCOCE

Les autorités ont réagi en rassurant la population. Le président de Medanta,(([5] Medanta est une chaîne indienne d’hôpitaux basée dans la région de la capitale nationale de l’Inde)) le Dr Trehan, a déclaré

« 90 % des patients atteints de COVID peuvent récupérer à la maison s’ils reçoivent les médicaments appropriés à temps. Dès que votre test RT-PCR est positif, mon conseil serait de consulter votre médecin local avec qui vous êtes en contact. Tous les médecins connaissent le protocole et commenceront votre traitement en conséquence ».

Ce protocole a été publié le 22 avril 2021 en une série de recommandations officielles comportant, pour les formes modérées de covid, de l’hydroxychloroquine ou de l’Ivermectine per os sous la surveillance des médecins traitants, complétées, si besoin, par de la Budésonide inhalée.

Et dix jours plus tard, le nombre de nouvelles contaminations s’est effondré passant de 319 cas/Million (414 188 cas) le 7 mai à 47/Million (61 471 cas) le 14 juin. Si nos dirigeants souhaitaient vraiment éviter une éventuelle quatrième vague, il suffirait qu’ils suivent la méthode indienne, ou marseillaise préconisée dès mars 2020. Que cherchent-ils vraiment ?

La vague post vaccinale a été vaincue par les traitements précoces, mais au prix d’une augmentation de la mortalité globale passée à 295/Million le 20 juin 2021 (contre 1681/M en France avec 109743 morts depuis le début de l’épidémie). Que de vies perdues par ce fameux pseudovaccin !

Quelles leçons peut-on tirer de l’évolution de l’épidémie en Inde ?

1°) Un pays pauvre peut faire nettement mieux que les pays occidentaux

2°) Les traitements préventifs par hydroxychloroquine, ciblés sur les personnes à risque, ont fortement réduit les contaminations lors de la première vague

3°) La campagne de vaccination a été suivie d’une forte augmentation de la maladie et donc qu’il faut abandonner en urgence ces substances géniques en essai thérapeutique.

L’accumulation des effets secondaires graves et des décès post vaccinaux reconnue par les agences officielles tant aux USA(([6] https://www.fda.gov/media/150054/download… Les effets indésirables systémiques (fatigue, céphalées, fièvre…) peuvent être qualifiés de fréquents à très fréquents chez les 16-25 ans (fatigue 30-40 %, céphalées 25-30 %) pour le vaccin Pfizer))(([7] USA WARNING : 7 décès chez les 12-17 ans selon VAERS ! Réfléchissez bien avant de faire vacciner vos enfants… (businessbourse.com) )) qu’en UE(([8] #EudraVigilance : 13 867 morts et 1 354 336 blessés dans la base de données européenne des effets indésirables des médicaments pour #COVID -19 coups | Kathy Vittetoe 12/06/21)) et en Grande-Bretagne, combinée à l’absence d’efficacité démontrée par les vagues de contamination dans tous les pays vaccinés, devrait faire renoncer le monde à cette escroquerie contre une maladie peu mortelle et curable, si tant est qu’on accepte de la traiter.

4°) Les traitements précoces par HCQ et Ivermectine peuvent stopper l’épidémie, ce que confirment de nombreux articles accumulés en 18 mois dont une nouvelle méta-analyse sur l’ivermectine parue récemment et commentée ce jour dans France soir.(([9] Ivermectine : une nouvelle méta-analyse conclut à son efficacité (francesoir.fr) ))

Conclusion

Espérons que les médias et nos gouvernants soient finalement capables de l’entendre et libèrent les prescriptions médicales, devant la révolte populaire encore silencieuse, mais dont l’attitude électorale rejetant tous ceux qui ont soutenu la dictature sanitaire imposée par le gouvernement est un signal fort de la conscience du peuple et de l’absence de résignation.

Il n’est jamais trop tard.





Comment les Britanniques ont inventé George Soros

[Source : reseauinternational.net]

Par Richard Poe

EN 1993, beaucoup en Europe se sont sentis trahis.

Certains se sont plaints d’un « complot anglo-saxon ».

La Grande-Bretagne avait rejeté l’union monétaire avec l’Europe, affirmant qu’elle s’en tiendrait à la livre sterling.

Les esprits se sont échauffés. Les langues se sont déliées. La rhétorique a commencé à devenir franchement raciste.

« Il y a une sorte de complot », a déclaré le ministre belge des Affaires étrangères, Willy Claes. « Dans le monde anglo-saxon, il existe des organisations et des personnalités qui préfèrent une Europe divisée ».

« Les institutions financières anglo-saxonnes » sapent les efforts de l’Europe pour unifier les monnaies, a accusé Raymond Barre, ancien premier ministre français.

S’exprimant devant le Parlement européen, Jacques Delors, président de la Commission européenne, s’est emporté contre « les Anglo-Saxons ».

Depuis que les cuirassiers de Napoléon ont chargé les lignes britanniques à Waterloo, le monde francophone n’avait pas explosé dans une telle fureur contre la perfide Albion. Les tensions se sont dangereusement intensifiées.

Pas d’inquiétude, cependant.

L’aide était en route.

Le coup d’éclat de Soros

Roger Cohen, né et élevé en Angleterre, éduqué à Oxford, mais qui écrit maintenant pour le New York Times, entre en scène.

Cohen a sournoisement réorienté le débat.

Il a appelé le bureau de Willy Claes et a demandé au porte-parole Ghislain D’Hoop d’de nommer les comploteurs « anglo-saxons ».

Il y en avait beaucoup, a répondu D’Hoop. Mais l’un d’entre eux était George Soros.

D’Hoop était tombé dans le piège.

Il avait donné à Cohen ce qu’il voulait.

Dans un article du New York Times du 23 septembre 1993, Cohen a noté avec ironie :

« Mais M. Soros ne correspond pas à la définition traditionnelle d’un anglo-saxon. C’est un juif d’origine hongroise qui parle avec un accent prononcé ».

Cohen avait habilement réorienté le débat.

Au lieu d’un « complot anglo-saxon », Cohen a présenté un complot de George Soros.

Dans un article de 900 mots qui prétendait discuter de la crise monétaire en Europe, Cohen a consacré un tiers de l’article à Soros, s’étalant longuement sur « l’opprobre » injuste que Soros avait subi pour avoir spéculé sur la livre sterling en 1992 et sur le franc français en 1993.

Alors que Cohen prétendait défendre Soros, son article a eu l’effet inverse.

Cohen a en fait attiré l’attention sur Soros, faisant de lui la pièce maîtresse d’une histoire qui ne concernait pas du tout Soros, ou du moins qui n’aurait pas dû.

Cohen a ainsi déployé l’une des armes les plus puissantes de l’arsenal de guerre psychologique britannique.

Je l’appelle la Psyop Soros.

Fournir une couverture

Dans mon article précédent, « Comment les Britanniques ont inventé les révolutions de couleur », j’ai expliqué comment les agents de la guerre psychologique britannique ont développé des coups d’État sans effusion de sang et d’autres technologies comportementales pour manipuler les gouvernements étrangers de manière discrète et silencieuse dans l’ère post-coloniale.

Depuis 1945, la stratégie de la Grande-Bretagne a consisté à faire le mort, à faire profil bas et à laisser les Américains faire le gros du travail de police dans le monde.

Cependant, discrètement, sous le radar, la Grande-Bretagne reste profondément impliquée dans les intrigues impériales.

L’une des façons dont la Grande-Bretagne dissimule ses opérations est d’utiliser George Soros et d’autres personnes comme lui comme couverture.

Le méchant désigné

Lorsque les agents britanniques s’engagent dans des interventions secrètes visant à déstabiliser des régimes ou à saper des monnaies, George Soros semble toujours surgir comme un diable d’une boîte, s’exhibant devant les caméras, faisant des déclarations provocantes et faisant généralement tout ce qu’il peut pour attirer l’attention sur lui.

Il est ce que les professionnels du renseignement appellent une opération « bruyante ».

Soros est le méchant désigné, le bouc émissaire.

Il prend délibérément la responsabilité des choses, même lorsqu’il n’est pas à blâmer.

C’est une façon étrange de gagner sa vie. Mais cela semble bien payer.

« L’homme qui a fait sauter la Banque d’Angleterre »

Jusqu’en 1992, la plupart des gens n’avaient jamais entendu parler de Soros.

Puis les médias britanniques l’ont nommé « L’homme qui a fait sauter la Banque d’Angleterre ». Soros est devenu une célébrité du jour au lendemain.

L’histoire raconte que Soros a spéculé sur la livre sterling, a forcé une dévaluation et est reparti avec un (ou peut-être deux) milliards de dollars de bénéfices.

En réalité, Soros n’était qu’un des nombreux spéculateurs qui ont parié contre la livre, forçant une dévaluation de 20% le « mercredi noir », le 16 septembre 1992.

Certaines des plus grandes banques du monde ont participé à l’attaque, ainsi que divers fonds spéculatifs et fonds de pension. Pourtant, les médias britanniques se sont concentrés presque exclusivement sur Soros, affirmant que ce dernier avait dirigé l’attaque et était censé en tirer le plus d’argent.

En fait, ces affirmations sont peu fondées, au-delà des fanfaronnades de Soros lui-même.

Soros devient une célébrité

Les cambistes mondiaux sont notoirement secrets, craignant l’indignation du public et la surveillance des gouvernements.

Près de six semaines après le mercredi noir, personne ne savait vraiment qui avait fait s’effondrer la livre sterling.

Puis quelque chose d’inattendu s’est produit.

Soros a avoué !

Le 24 octobre 1992, le Daily Mail britannique a publié en première page un article montrant un Soros souriant tenant un verre, avec le titre « J’ai gagné un milliard avec l’effondrement de la livre ».

Le Daily Mail avait réussi à mettre la main sur un rapport trimestriel du Quantum Fund de Soros.

Soros affirme avoir été surpris et alarmé par la fuite dans la presse. Mais il a eu une étrange façon de le montrer. Soros s’est adressé directement au Times de Londres et a confirmé l’histoire, se vantant que tout était vrai.

Il va même jusqu’à déclarer : « Nous [à Quantum] avons certainement été le facteur le plus important du marché… ».

Et c’est ainsi que le matin du 26 octobre 1992, un titre en première page du Times proclame que Soros est « L’homme qui a fait sauter la Banque d’Angleterre ».

Dans les mois qui suivent, le Times allait devenir le principal promoteur de la légende Soros.

Protecteurs cachés

Dans un article paru le 15 janvier 1995 dans le New Yorker, Connie Bruck se souvient de l’étonnement qui a envahi le monde financier à la suite de la confession publique de Soros. Elle écrit :

« Les collègues de Soros dans la communauté financière – notamment certains directeurs et actionnaires de Quantum – ont été stupéfaits par ses révélations publiques ; aujourd’hui encore, beaucoup se disent déconcertés par son action. Une personne de la communauté des fonds spéculatifs m’a dit : “Pourquoi faire la lumière sur ce sujet ? Pourquoi attirer l’attention sur vous ?” »

Ces financiers n’ont pas saisi la situation dans son ensemble. Ils n’ont pas compris que Soros jouait dans une autre catégorie, à un autre jeu.

Il n’était pas seulement un spéculateur.

C’était un opérateur de guerre psychologique.

L’homme qui a créé George Soros

L’homme principalement responsable de la promotion de Soros au cours de cette période est Lord William Rees-Mogg, un éminent journaliste et membre de la Chambre des Lords.

Le Financial Times l’a appelé « l’un des plus grands noms du journalisme britannique ».

Lord William est décédé en 2012.

Il a été rédacteur en chef du Times pendant 14 ans (1967-1981), puis vice-président de la BBC.

Il était un ami et un confident de la famille royale, un ami proche et un associé de Lord Jacob Rothschild, et le père du politicien britannique Jacob Rees-Mogg.

Plus que quiconque, c’est à Lord William que l’on doit la transformation de George Soros en une véritable arme.

Soros, sauveur de la Grande-Bretagne

Lorsque le Daily Mail a accusé Soros de faire s’effondrer la livre, le Times est intervenu pour expliquer que Soros était un héros, qui avait en fait sauvé la souveraineté britannique.

Dans un article publié en première page le 26 octobre 1992, le Times explique que Soros a peut-être sauvé le pays de l’effondrement économique et de l’asservissement à l’UE.

La dévaluation de la livre avait contraint la Grande-Bretagne à se retirer du Mécanisme de Change européen (MCE), mettant ainsi un terme aux projets britanniques d’adhésion à l’union monétaire européenne, explique le Times.

Lord William Rees-Mogg s’est montré particulièrement franc dans la défense de Soros.

« La Grande-Bretagne a eu la chance d’être contrainte de quitter le MCE », écrit Rees-Mogg dans sa chronique du 1er mars 1993 dans le Times. « La politique économique de George Soros, pour une somme modique, a corrigé celle du premier ministre John Major ».

Dans les colonnes suivantes, Rees-Mogg est devenu de plus en plus dithyrambique dans son éloge de Soros. Il a déclaré que Soros avait « sauvé » le Royaume-Uni, que Soros était un « bienfaiteur de la Grande-Bretagne » et qu’une statue de Soros devrait être « érigée sur la place du Parlement, en face du Trésor ».

L’agenda mondialiste

En fait, Rees-Mogg induisait ses lecteurs en erreur.

Il ne soutenait pas la souveraineté britannique. Rees-Mogg était un mondialiste, qui pensait que l’État-nation n’avait plus d’utilité.

Quelles que soient les raisons pour lesquelles il s’oppose à l’union monétaire avec l’Europe, le patriotisme britannique n’en fait pas partie.

Rees-Mogg a exposé ses convictions mondialistes dans une série de livres coécrits avec l’écrivain américain James Dale Davidson, spécialiste en investissements.

Dans « L’individu souverain » (1997), les auteurs ont prédit que les « nations occidentales » allaient bientôt « s’effondrer à la manière de l’ancienne Union soviétique », pour être remplacées par de minuscules juridictions « semblables à des cités-États » qui « émergeraient des décombres des nations ».

Les auteurs prédisent que « certaines de ces nouvelles entités, à l’instar des Templiers et d’autres ordres religieux et militaires du Moyen Âge, pourraient contrôler des richesses et une puissance militaire considérables sans contrôler aucun territoire fixe ».

Comme à l’époque du « féodalisme », ont écrit Rees-Mogg et Davidson, « les personnes à faible revenu des pays occidentaux » survivraient en s’attachant à des « ménages riches en tant que serviteurs ».

En d’autres termes, les classes inférieures retourneraient au servage.

Tout cela était pour le mieux, écrivent les auteurs, car cela permettait aux « personnes les plus compétentes » – c’est-à-dire les « cinq pour cent supérieurs » – de vivre où elles le souhaitent et de faire ce qu’elles veulent, sans loyauté ni obligation envers une nation ou un gouvernement particulier.

À mesure que l’ère de « l’individu souverain » prend forme, concluent les auteurs, « de nombreuses personnes parmi les plus douées cesseront de se considérer comme faisant partie d’une nation, comme étant « britanniques », « américaines » ou « canadiennes ». Une nouvelle compréhension « transnationale » ou « extranationale » du monde et une nouvelle façon d’identifier sa place dans ce monde attendent d’être découvertes au cours du nouveau millénaire ».

Ce ne sont pas les paroles d’un patriote.

Le nouveau féodalisme

En fait, il n’y avait rien de nouveau dans la « nouvelle voie » promise par Rees-Mogg dans son livre.

Descendant d’une ancienne famille de propriétaires terriens, Rees-Mogg sait que le mondialisme a toujours été le credo des classes titrées, dont la seule véritable loyauté va à leur famille.

La série Harry Potter constitue une métaphore pertinente du monde d’aujourd’hui, dans lequel les familles d’élite se déplacent de manière invisible parmi les « moldus » ou les roturiers, dirigeant discrètement les choses en coulisse, tout en se cachant au grand jour.

Dans les années 1990, les familles privilégiées comme celle de Rees-Mogg en ont eu assez de se cacher. Elles se languissaient du bon vieux temps, quand elles pouvaient vivre ouvertement dans leurs châteaux et commander leurs serfs.

Le politologue d’Oxford Hedley Bull s’est adressé à cette foule lorsqu’il a prédit, dans son livre de 1977 intitulé « La société anarchique », que « les États souverains pourraient disparaître et être remplacés non pas par un gouvernement mondial mais par un équivalent moderne et séculaire du… Moyen Âge ».

La prévision de Bull d’un nouveau médiévisme a trouvé un écho auprès des élites britanniques.

Avec l’effondrement de l’Union soviétique, Rees-Mogg et d’autres de sa classe ont commencé à célébrer ouvertement la fin de l’État-nation et la montée d’un nouveau féodalisme.

Le rétablissement de l’ordre féodal est, en fait, le but véritable et caché du mondialisme.

À propos de ce « complot anglo-saxon »…

L’éloge extravagant de George Soros par Rees-Mogg a éveillé les soupçons sur le continent d’un « complot anglo-saxon ».

D’autres soupçons ont surgi lorsque J.P. Morgan & Co. et sa filiale Morgan Stanley se sont avérées être complices de la dévaluation de la livre.

Bien que nominalement américaines, ces banques avaient des liens historiques forts avec la Grande-Bretagne.

L’activité principale de J.P. Morgan a toujours été de servir de façade aux investisseurs britanniques en Amérique. Les chemins de fer américains et d’autres industries ont été en grande partie construits grâce à des capitaux britanniques, dont une grande partie a été distribuée par les banques Morgan.

Junius S. Morgan, le père de J.P., a lancé l’entreprise familiale en 1854, en s’installant dans les bureaux londoniens de Peabody, Morgan & Co. et en restant en Angleterre pendant les 23 années suivantes.

Les liens de la famille Morgan avec la Grande-Bretagne sont profonds.

Dans la période précédant le mercredi noir, J.P. Morgan & Co. a spéculé agressivement sur la livre sterling. Parallèlement, sa banque sœur Morgan Stanley a accordé des prêts massifs à Soros, lui permettant de faire de même.

Les allégations d’un « complot anglo-saxon » ne semblent pas farfelues, au vu de ces faits.

Il semble probable que Soros et d’autres spéculateurs étrangers n’aient fait que couvrir ce qui était, en fait, une opération de guerre économique britannique contre sa propre banque centrale.

Comment les Britanniques ont recruté Soros

Comme l’a noté Roger Cohen dans le New York Times, George Soros n’est pas un « anglo-saxon ». Alors comment s’est-il retrouvé mêlé à ce complot anglo-saxon ?

Le jeune Soros a été recruté par la London School of Economics (LSE). Là, il a été façonné pour devenir une arme du « soft power » britannique.

Dans un article précédent intitulé « Comment les Britanniques ont vendu le mondialisme à l’Amérique », j’ai expliqué comment la Grande-Bretagne utilise le « soft power » (séduction et cooptation) pour construire des réseaux d’influence dans d’autres pays.

La Grande-Bretagne se considère comme « la première puissance douce du monde », selon la Strategic Defence and Security Review de 2015 du Royaume-Uni.

Les Britanniques doivent leur statut de numéro un, en grande partie, à leur recrutement agressif d’étudiants étrangers dans les universités britanniques, un effort qui est considéré comme une priorité de sécurité nationale, supervisé par le British Council, une branche du Foreign Office.

La Strategic Defence and Security Review de 2015 note que « 1,8 million d’étudiants étrangers reçoivent une éducation britannique chaque année » et que « plus d’un quart des dirigeants mondiaux actuels ont étudié au Royaume-Uni ».

Après l’obtention de leur diplôme, ces anciens élèves britanniques sont surveillés de près par le Ministère britannique des Affaires étrangères.

Selon un livre blanc publié en 2013 par le gouvernement britannique, les anciens élèves qui semblent se diriger vers de hautes sphères sont encouragés à chercher à « s’engager davantage » avec d’autres anciens élèves britanniques, dans le but de former « un réseau de personnes occupant des postes d’influence dans le monde et pouvant promouvoir les objectifs de la politique étrangère britannique… »

Recrue modèle

George Soros est un triomphe de la stratégie de soft-power de la Grande-Bretagne.

Non seulement il a accédé à une « position d’influence » après avoir obtenu son diplôme, mais il est resté proche de ses mentors britanniques et a promu leurs enseignements.

Soros a nommé son réseau de fondations Open Society en l’honneur de son professeur à la LSE, Karl Popper, dont la théorie de la « société ouverte » guide l’activisme de Soros jusqu’à ce jour.

L’œuvre maîtresse de Popper, « La Société ouverte et ses ennemis », publiée en 1949, est une défense philosophique de l’impérialisme, en particulier de l’impérialisme libéral britannique, tel qu’il a été adopté par les fondateurs de la LSE.

Les socialistes fabiens qui ont fondé la LSE pensaient que l’expansion britannique était la plus grande force civilisatrice dans un monde autrement barbare.

Dans son livre, Popper défendait expressément la conquête impériale comme une première étape dans l’élimination des identités tribales et nationales, pour ouvrir la voie à un « Empire universel de l’homme ».

« Les préjugés britanniques »

Soros est arrivé à Londres en 1947, réfugié de la Hongrie occupée par les Soviétiques.

Il a vécu en Angleterre pendant neuf ans, de 17 à 27 ans (d’août 1947 à septembre 1956).

Diplômé de la LSE en 1953, Soros obtient son premier emploi dans la finance chez Singer & Friedlander, une banque d’affaires londonienne.

Soros admet qu’il s’est installé aux États-Unis uniquement pour gagner de l’argent.

Il prévoit d’y rester cinq ans, puis de retourner en Angleterre.

« Je ne me souciais pas particulièrement des États-Unis », a-t-il déclaré à son biographe Michael Kaufman, dans « Soros : La vie et l’époque d’un milliardaire messianique ». « J’avais acquis certains préjugés britanniques de base ; vous savez, les États-Unis étaient, eh bien, commerciaux, grossiers, et ainsi de suite ».

Société ouverte contre société fermée

Le dédain pour les États-Unis n’est pas le seul « préjugé britannique » que Soros a acquis à la LSE. Il a également développé une forte aversion pour l’État-nation lui-même, suivant en cela l’exemple de Karl Popper.

Dans « La société ouverte et ses ennemis », Popper enseigne que la race humaine évolue d’une société « fermée » vers une société « ouverte ».

Le catalyseur de cette transformation est « l’impérialisme », explique-t-il.

Les sociétés fermées sont tribales et ne se préoccupent que de ce qui est le mieux pour la tribu, tandis qu’une société « ouverte » cherche ce qui est le mieux pour toute l’humanité.

Popper admet que les sociétés tribales semblent attrayantes à première vue. Les peuples tribaux sont étroitement liés par « la parenté, la vie commune, le partage d’efforts communs, de dangers communs, de joies communes et de détresse commune ».

Pourtant, les peuples tribaux ne sont jamais vraiment libres, selon Popper. Leur vie est régie par la « magie » et la « superstition », par les « lois », les « coutumes » et les « tabous » de leurs ancêtres.

Ils sont pris dans une routine à laquelle ils ne peuvent échapper.

En revanche, une société « ouverte » n’a ni tabous ni coutumes, ni tribus ni nations. Elle n’est composée que « d’individus », libres de faire ou de penser ce qu’ils veulent.

« L’empire universel de l’homme »

Selon Popper, toutes les sociétés commencent par être « fermées », mais deviennent ensuite « ouvertes » grâce à « l’impérialisme ».

Lorsqu’une tribu devient suffisamment forte pour conquérir d’autres tribus, les sociétés « fermées » sont obligées de « s’ouvrir » au conquérant, tandis que le conquérant « s’ouvre » également aux coutumes des conquis.

« Il est nécessaire, je crois, que l’exclusivité et l’autosuffisance tribalistes ne puissent être remplacées que par une certaine forme d’impérialisme », conclut Popper.

Les empires rendent les tribus et les nations obsolètes, dit Popper. Ils fournissent un gouvernement unique, avec un seul ensemble de règles pour tous.

Popper rêvait d’un « Empire universel de l’homme » qui répandrait la « société ouverte » aux quatre coins du monde.

Le fruit défendu

À bien des égards, l’Empire est plus « tolérant » que la tribu, affirme Popper. Les peuples détribalisés découvrent qu’ils sont libres de faire et de dire beaucoup de choses qu’ils considéraient auparavant comme « taboues ».

Mais il y a une chose que l’Empire ne peut tolérer : le tribalisme lui-même.

Popper a averti que l’humanité ne pouvait qu’avancer, et non reculer. Il a comparé la « société ouverte » au fait de manger le fruit de l’arbre de la connaissance. Une fois que vous avez goûté au fruit défendu, les portes du Paradis sont fermées.

Vous ne pourrez jamais retourner à la tribu. Ceux qui essaient deviendront des fascistes.

« Nous ne pourrons jamais revenir à l’… innocence et à la beauté de la société fermée… », prévient Popper. « Plus nous essayons… plus nous arrivons sûrement à… la police secrète, et… au gangstérisme romancé. … Il n’y a pas de retour à un état de nature harmonieux. Si nous faisons demi-tour, alors nous devons faire tout le chemin – nous devons retourner aux bêtes ».

L’empire socialiste

Les idées de Popper n’étaient pas originales. Il ne faisait qu’épouser la doctrine de l’impérialisme libéral à laquelle la London School of Economics était dédiée.

La LSE a été fondée en 1895 par quatre membres de la Fabian Society, dont Sidney et Beatrice Webb, George Bernard Shaw et Graham Wallas.

Tous étaient de fervents impérialistes, ainsi que des socialistes, ne voyant aucun conflit entre les deux. En effet, les Fabiens considéraient l’Empire britannique comme un excellent vecteur de diffusion de « l’internationalisme » socialiste.

Dans un tract de 1901 intitulé « La politique du vingtième siècle : Une politique d’efficacité nationale », Sidney Webb appelle à la fin des « droits abstraits basés sur les ‘nationalités’ ». Rejetant ce qu’il appelle la « fervente propagande de la ‘Home Rule’ irlandaise », Webb condamne tout mouvement qui prône « l’auto-gouvernement » fondé sur la « notion tribale obsolète » de « l’autonomie raciale ».

Au contraire, Webb soutenait que le monde devait être divisé en « unités administratives » basées uniquement sur la géographie, « quel que soit le mélange de races », comme l’illustre « ce grand commonwealth de peuples appelé l’Empire britannique » qui comprenait « des membres de toutes les races, de toutes les couleurs humaines, et de presque toutes les langues et religions ».

Ainsi, Webb a exposé l’essence de la « société ouverte » impériale près de 50 ans avant Popper.

Le socialisme invisible

George Orwell n’est pas connu pour avoir été un Fabien, mais il partageait le rêve fabien d’un Empire britannique socialiste.

Dans son livre de 1941 intitulé « Le Lion et la Licorne : Le socialisme et le génie anglais », Orwell prédit l’émergence d’un « mouvement socialiste spécifiquement anglais », qui conserverait de nombreux « anachronismes » du passé.

Ces « anachronismes » calmeraient et rassureraient l’âme anglaise, même si la société britannique était en train d’être bouleversée.

L’un de ces « anachronismes » serait la monarchie, qu’Orwell jugeait digne d’être préservée. Un autre était l’Empire, qui serait rebaptisé « une fédération d’États socialistes… »

Orwell prédit qu’un véritable socialisme anglais « ferait preuve d’un pouvoir d’assimilation du passé qui choquerait les observateurs étrangers et leur ferait parfois douter qu’une révolution ait eu lieu ».

Malgré les apparences, la Révolution serait réelle, dans tous les aspects « essentiels », promettait Orwell.

« Comme une momie non enterrée »

Dans un étrange écho d’Orwell, Lord William Rees-Mogg a également suggéré que son nouveau féodalisme conserverait beaucoup des apparences extérieures de la vie anglaise normale, même si la nation britannique s’effondrait aux entournures.

Dans leur livre « Du sang dans les rues » (1987), Rees-Mogg et Davidson prédisaient que, même après que les États-nations auraient perdu leur pouvoir, « les formes de l’État-nation subsisteraient, comme au Liban, comme d’ailleurs la forme de l’Empire romain a été préservée, comme une momie non enterrée, tout au long du Moyen Âge ».

Malgré sa vision lugubre de l’avenir de la Grande-Bretagne, Rees-Mogg a continué à se poser en patriote britannique jusqu’à la fin. Peut-être était-ce sa façon de sauver les apparences, de contribuer à préserver la « forme » de la Grande-Bretagne, « comme une momie non enterrée », afin de calmer et de rassurer l’âme anglaise.

Nous constatons ainsi que le socialisme « spécifiquement anglais » d’Orwell – dans lequel même la monarchie survivrait – semble présenter des similitudes étranges avec le nouveau féodalisme de Rees-Mogg.

On pourrait même se demander s’il s’agit d’une seule et même chose.

Le Soros impérial

En 1995, Soros a déclaré au New Yorker : « Je ne pense pas que vous puissiez jamais surmonter l’antisémitisme si vous vous comportez comme une tribu. … La seule façon de le surmonter est d’abandonner le caractère tribal ».

Ce n’était ni la première ni la dernière fois que Soros faisait sourciller en rejetant le tribalisme juif comme un défaut à corriger. Lorsque Soros a fait un commentaire similaire en 2003, il s’est fait gronder par Elan Steinberg du Congrès juif mondial, qui a rétorqué : « L’antisémitisme n’est pas causé par les juifs, il est causé par les antisémites ».

En toute honnêteté, Soros ne faisait que répéter ce qu’il avait appris à la London School of Economics.

Ses fondations Open Society sont expressément dédiées aux enseignements de Popper, et donc opposées à toute forme de tribalisme. En rejetant le tribalisme de son propre peuple juif, Soros n’a fait que faire preuve de cohérence intellectuelle.

À titre personnel, je peux difficilement condamner Soros pour sa critique du tribalisme juif, dans la mesure où mon propre père juif avait des vues similaires.

L’une des façons dont mon père a exprimé sa rébellion a été d’épouser ma mère, une beauté exotique, moitié mexicaine, moitié coréenne, et catholique de foi.

Je comprends parfaitement la relation difficile qu’entretient Soros avec son identité juive.

Néanmoins, j’entends dans les mots de Soros un écho troublant de l’idéologie impériale de Sidney Webb, une influence qui imprègne et définit le réseau Open Society de Soros à tous les niveaux.

L’effet joueur de flûte

Dans les mois qui ont suivi le mercredi noir, les médias britanniques ont promu Soros comme une star de cinéma, construisant sa légende comme le plus grand génie financier de l’époque.

Lord William Rees-Mogg a pris la tête du peloton.

Rees-Mogg et ses associés savaient que si l’on parvenait à convaincre suffisamment de petits investisseurs de croire à la légende de Soros, si l’on parvenait à les manipuler pour qu’ils imitent les mouvements de Soros, achetant et vendant selon ses conseils, alors Soros prendrait le contrôle de l’essaim.

Il pourrait faire ou défaire les marchés, simplement en parlant.

Dans sa chronique du Times du 26 avril 1993, Rees-Mogg a conféré une aura mystique à Soros, le décrivant comme un Nostradamus des temps modernes capable de voir à travers les « illusions du public » la « réalité » sous-jacente.

D’autres journalistes ont suivi le mouvement, répétant les points de discussion de Rees-Mogg comme des somnambules.

« Pourquoi sommes-nous si ensorcelés par ce Midas moderne ? » s’est interrogé le Daily Mail, sur le ton de la pâmoison d’un amant désespéré.

Tout le monde n’a pas cru au mythe Soros.

Leon Richardson, un chroniqueur financier australien, a accusé Rees-Mogg d’essayer de faire de Soros un joueur de flûte, afin d’égarer les investisseurs.

« Lord Rees-Mogg a fait l’éloge de Soros, le qualifiant d’investisseur le plus brillant du monde », a déclaré Richardson dans sa chronique du 9 mai 1993. « En conséquence, les gens ont commencé à observer Soros et ce qu’il fait pour gagner de l’argent ».

L’arnaque à l’or

Ceux qui observaient Soros après le mercredi noir n’ont pas eu besoin d’attendre longtemps pour son prochain conseil d’investissement.

« Soros a tourné son attention vers l’or », annonce Rees-Mogg le 26 avril 1993.

Newmont Mining était la plus grande société d’extraction d’or au monde. Soros venait d’acheter 10 millions d’actions à Sir James Goldsmith et Lord Jacob Rothschild.

Si Soros achetait de l’or, nous devrions peut-être en faire autant, a laissé entendre Rees-Mogg.

Tout le monde n’a pas suivi la suggestion de Rees-Mogg.

Certains commentateurs ont noté que, tandis que Soros achetait des actions de Newmont, Goldsmith et Rothschild s’en débarrassaient – ce qui n’est guère un signal d’achat clair.

« Normalement, lorsqu’un initié vend des actions de sa propre société, il essaie d’éviter que cela soit remarqué », a commenté Leon Richardson. « C’était un cas étrange où l’initié essayait d’obtenir une large couverture médiatique de sa vente ».

Néanmoins, l’effet joueur de flûte a fonctionné. Le 2 août, le prix de l’or était monté en flèche, passant de 340 à 406 dollars l’once, soit une augmentation de 19%.

« Une nouvelle façon de faire de l’argent »

De nombreux membres de la presse financière ont murmuré sur le degré inhabituel de collaboration entre le Times, Soros, Goldsmith et Rothschild.

« Soros est une énigme… » a déclaré le London Evening Standard. « Il n’a jamais parlé de l’or, mais il n’en avait pas besoin. La presse l’a fait pour lui, avec le cheerleader de Goldsmith, Lord Rees-Mogg, sonnant le clairon dans le Times ».

« On ne peut que s’émerveiller du timing et de l’aura scénique de Goldsmith/Soros dans leur spectacle pour l’or », commentait le magazine EuroBusiness en septembre 1993. « Ils disposaient également d’une impressionnante équipe de soutien : des médias qui ont joué comme un chœur grec sur la mélodie de l’or ».

David C. Roche, stratège londonien de Morgan Stanley, conclut : « C’est une nouvelle façon de faire de l’argent, une combinaison d’investissements judicieux au creux d’un marché et d’un coup de publicité ».

Un joueur d’équipe

Malgré tout le battage médiatique, la bulle aurifère a éclaté en septembre, faisant chuter les prix de l’or.

Beaucoup ont perdu leur chemise.

Mais Goldsmith et Rothschild ont fait un massacre, en vendant au sommet.

Certains ont soupçonné que le but de l’opération était peut-être d’aider Goldsmith et Rothschild à réaliser un bénéfice sur leurs participations dans Newmont, qui étaient jusque-là peu florissantes.

Soros, quant à lui, a pris une raclée. Certains rapports indiquent que Soros a vendu ses actions en août 1993, tandis que d’autres disent qu’il n’a pas commencé à vendre avant 1997. Quoi qu’il en soit, il semble que Soros ait vendu à bas prix.

Pourquoi cela ? Pourquoi Soros aurait-il été le fer de lance d’un plan de promotion de l’or qui ne lui a rapporté que peu ou pas de bénéfices ?

Certains soupçonnent Soros d’avoir payé pour l’équipe.

Peut-être n’était-il pas un franc-tireur après tout.

Peut-être que le joueur de flûte n’était qu’un type qui suivait les ordres.

Prophète ou pion ?

Au moins, le jeu de l’or a prouvé que Soros travaillait avec une équipe.

Son image de loup solitaire n’était qu’un mythe de plus.

Lorsque les projecteurs de la célébrité se sont braqués sur Soros pour la première fois, il a travaillé avec un cercle restreint d’investisseurs britanniques, parmi lesquels certains des noms les plus célèbres de la finance mondiale.

À ce niveau, les investisseurs ne « spéculent » pas tant sur les marchés qu’ils ne les contrôlent.

L’arnaque de l’or a révélé que Rees-Mogg, Soros, Goldsmith et Rothschild étaient liés par un réseau complexe de relations d’affaires.

Goldsmith, par exemple, était un directeur de la société St. James Place Capital de Rothschild. Un autre directeur de St. James Place, Nils Taube, était simultanément directeur du Quantum Fund de Soros.

Rees-Mogg lui-même était un ami proche de Lord Rothschild, ainsi qu’un membre du conseil d’administration de J. Rothschild Investment Management et un directeur de St. James Place Capital.

Pendant ce temps, le journaliste du Times Ivan Fallon – qui a contribué à la révélation de l’achat d’or par Soros dans le Sunday Times, en co-rédigeant le rapport original du 25 avril – se trouve être le biographe de Goldsmith, auteur de « Milliardaire : La vie et l’époque de Sir James Goldsmith ».

C’était particulièrement commode.

« Le gang des initiés »

« Ce genre de connexions, cette impression de gang d’initiés, c’est ce qui fait que les investisseurs plus classiques lèvent occasionnellement un sourcil quand Soros est concerné », ronchonnait The Observer avec désapprobation.

The Observer avait raison. Soros était un « initié » travaillant avec d’autres initiés. Et rien n’indique qu’il était sur le point de devenir un partenaire principal de ce groupe.

Soros était un serviteur, pas un prophète ; un suiveur, pas un leader.

C’est pourquoi Soros a crié au scandale lorsqu’il a été condamné pour délit d’initié en 2002, dans le cadre du scandale de la Société Générale en France.

« C’est bizarre que je sois le seul à être reconnu coupable alors que l’ensemble de l’establishment français était impliqué », s’est plaint Soros à CNN.

Soros a clairement estimé que les Français avaient enfreint les règles.

Selon Soros, lorsque « l’ensemble de l’establishment » d’un pays conspire pour truquer les marchés, il est injuste de ne poursuivre qu’un seul conspirateur.

Après tout, Soros a simplement fait ce que tout le monde faisait.

Les révolutions de couleur

En même temps que Rees-Mogg polissait l’image de Soros en tant que plus grand gourou de l’investissement au monde, il faisait également la promotion des activités politiques de Soros.

« J’admire la façon dont il a dépensé son argent », déclare Rees-Mogg dans sa chronique du Times du 26 avril 1993. « Rien n’est plus important que la survie économique des anciens pays communistes d’Europe de l’Est ».

Rees-Mogg faisait référence au travail des fondations de Soros dans les anciens États soviétiques, où Soros est rapidement devenu tristement célèbre en tant que financeur et organisateur de coups d’État sans effusion de sang, connus sous le nom de « révolutions de couleur ».

Comme pour ses opérations de change, Soros n’agissait pas seul lorsqu’il s’engageait dans des opérations de changement de régime. Il faisait partie d’une équipe.

Soros et les « atlantistes »

Dans une série d’articles parus dans Revolver News, Darren Beattie a exposé une cabale d’agents de la sécurité nationale américaine spécialisés dans le renversement de régimes par le biais de « révolutions de couleur ».

Ils opèrent par le biais d’un réseau d’ONG parrainées par le gouvernement, parmi lesquelles la National Endowment for Democracy (NED) et ses deux groupes affiliés, l’International Republican Institute (IRI) et le National Democratic Institute (NDI).

Beattie accuse ces groupes « pro-démocratie » de mettre en scène une mutinerie contre le président Trump.

Selon Beattie, ces agents « pro-démocratie » ont joué un rôle central dans la perturbation de notre élection de 2020, leurs stratagèmes ayant culminé dans la soi-disant « insurrection » du Capitole, que Revolver News a maintenant exposée comme un travail de l’intérieur orchestré par des provocateurs du FBI.

Beattie appelle les comploteurs « atlantistes », un euphémisme communément appliqué aux anglophiles du Département d’État qui font passer les intérêts britanniques avant les intérêts américains.

L’un de ces comploteurs « atlantistes » était George Soros, selon Beattie.

La bouche qui rugit

Normalement, lorsque Soros s’implique dans des opérations de changement de régime, il fait tout pour s’en attribuer le mérite, comme il l’a fait pour faire sauter la Banque d’Angleterre en 1992.

Par exemple, dans son livre de 2003 intitulé « La bulle de la suprématie américaine », Soros avoue librement : « Mes fondations ont contribué au changement de régime démocratique en Slovaquie en 1998, en Croatie en 1999 et en Yougoslavie en 2000, en mobilisant la société civile pour se débarrasser respectivement de Vladimir Meciar, Franjo Tudjman et Slobodan Milosevic ».

La même année, lors d’une conférence de presse à Moscou, Soros a publiquement menacé d’évincer le président géorgien Edouard Chevardnadze, déclarant : « C’est ce que nous avons fait en Slovaquie à l’époque de Meciar, en Croatie à l’époque de Tudjman et en Yougoslavie à l’époque de Milosevic ».

Lorsque Chevardnadze a ensuite été renversé lors d’un soulèvement en novembre 2003, Soros en a publiquement revendiqué le mérite.

« Je suis ravi de ce qui s’est passé en Géorgie, et je suis très fier d’y avoir contribué », s’est vanté Soros au Los Angeles Times le 5 juillet 2004.

Le réseau des anciens du Royaume-Uni

De manière assez inhabituelle, Soros ne s’est pas précipité pour revendiquer le mérite de la révolution orange de 2004 en Ukraine, mais l’un de ses collègues, Michael McFaul, l’a fait pour lui.

« Les Américains se sont-ils ingérés dans les affaires intérieures de l’Ukraine ? Oui », écrit McFaul dans le Washington Post du 21 décembre 2004.

McFaul – qui était alors professeur associé à Stanford, mais qui a ensuite occupé le poste d’ambassadeur en Russie sous Obama – a ensuite énuméré divers « agents d’influence américains » qui, selon lui, ont pris part à la révolution orange, notamment l’International Renaissance Foundation, que McFaul a tenu à décrire comme étant « financée par Soros ».

L’Ukraine est un pays dangereux et violent, où les agents étrangers connus courent certains risques. Il est difficile de comprendre pourquoi McFaul mettrait délibérément en danger Soros et toute une série d’agents américains en les accusant d’ingérence dans les élections, à moins qu’il ne cherche à détourner l’attention d’autres participants qui ne sont pas américains, comme la Westminster Foundation for Democracy, une ONG britannique financée par le Ministère britannique des Affaires étrangères, qui a joué un rôle essentiel dans la révolution orange.

En tant que boursier Rhodes et diplômé d’Oxford, McFaul est un ancien du Royaume-Uni qui a atteint une « position d’influence » – exactement le genre de personne à laquelle le Ministère britannique des Affaires étrangères fait régulièrement appel pour l’aider à promouvoir les « objectifs de la politique étrangère britannique ».

La main cachée de la Grande-Bretagne

L’un des prétendus « agents d’influence américains » que McFaul a accusés dans le Washington Post est Freedom House.

Comme je l’ai révélé dans mon article précédent, « Comment les Britanniques ont inventé les révolutions de couleur », Freedom House a été fondée en 1941 en tant que façade des services secrets britanniques, dont le but était de pousser à l’entrée des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale et d’aider la Grande-Bretagne à mener des opérations secrètes contre les militants pacifistes américains.

Il n’y a aucune raison de croire que Freedom House a changé d’allégeance depuis lors.

Décrire Freedom House comme un « agent d’influence américain » met une certaine tension sur le mot « américain ».

Freedom House illustre parfaitement le type de front anglophile que Darren Beattie qualifie « d’atlantiste ».

Où est Soros ?

Je soupçonne que le véritable rôle de Soros parmi les agents de la « révolution de couleur » est similaire à son rôle dans le monde financier.

Il détourne l’attention des opérations britanniques en s’en attribuant bruyamment le mérite.

Alors, où est Soros maintenant ?

Pourquoi ne se réjouit-il pas de la chute du président Trump, comme il l’a fait pour Meciar, Tudjman, Milosevic, Shevardnadze et tant d’autres ?

Peut-être Soros a-t-il reçu un appel de Londres.

Peut-être que ses supérieurs l’ont prévenu que les choses devenaient un peu risquées avec ces exposés.

Peut-être ont-ils dit à Soros de se taire.


source : https://www.lewrockwell.com

traduit par Réseau International




Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

[Source : Cogiito]

[Sur l’illustration : « Big Pharma est un cartel monopolistique protégé par le gouvernement. »]

par Lance D Johnson.

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.   

Ce système dominé par les grandes sociétés pharmaceutiques est également légalement autorisé à commercialiser directement auprès des consommateurs, permettant un lavage de cerveau perpétuel de la population en général et des professionnels de la santé.

projects.propublica.org/docdollars

Pire encore, Big Pharma est mis en place de manière à générer des rendements élevés pour leurs actionnaires ; le système n’est pas incité à promouvoir la meilleure santé d’une population. Cette incitation à haut rendement fait ressortir les comportements les plus épouvantables et les décisions commerciales les plus antihumaines .

PDF à télécharger en anglais seulement : pharma_covid-19_report

Big Pharma est parvenue à convaincre des populations entières qu’il n’y a pas d’immunité naturelle, pas d’autres solutions contre les infections que ses produits de santé.

Par exemple, lors de l’épidémie de covid-19, certains médecins ont eu le courage d’utiliser des antiviraux sûrs et peu coûteux tels que l’hydroxychloroquine, le zinc, l’ivermectine, le glutathion, la vitamine D et C. Mais au lieu de promouvoir des traitements antiviraux sûrs et faciles à utiliser, l’establishment Big Pharma s’est battu pour supprimer les traitements et autres approches pour aider la population à développer une réponse immunitaire saine.

Rien de nouveau sous le soleil, pour ceux qui comprennent comment fonctionne ce monopole. Au fil des décennies, la nutrition et la phytothérapie traditionnelle ont été systématiquement retirées de la médecine occidentale.   

Cette suppression des informations vitales et des solutions d’immunité naturelle ouvre finalement la voie à une autorisation d’utilisation d’urgence des investissements dans les vaccins « trop gros pour échouer ». Alors que ces sociétés se battent pour la domination, leur influence sur les agences de réglementation, les médias et la « science » conduit à des activités commerciales contraires à l’éthique et c’est la raison pour laquelle aucune société pharmaceutique ne peut être digne de confiance.

La cupidité des grandes sociétés pharmaceutiques rend les systèmes médicaux vulnérables, en particulier lors d’une épidémie  

Rien qu’en 2020 : Pfizer, GlaxoSmithKline, Johnson & Johnson, Sanofi, Gilead et AstraZeneca ont généré un flux de revenus combiné de 266 milliards de dollars.

Même si l’industrie regorge d’argent, le gouvernement fédéral américain a remis aux monopoles Big Pharma au moins 18 milliards de dollars de fonds publics pour développer des vaccins contre le covid-19. Ce siphonnage de la richesse du peuple américain est mené sans un seul vote du peuple lui-même.

Le Congrès ne représente pas la Volonté du Peuple ; eux aussi sont rachetés par cette monstruosité Big Pharma.  

Au cours de la dernière décennie, GlaxoSmithKline (GSK) a été condamnée à une amende de 3 milliards de dollars pour avoir versé des pots-de-vin à des médecins américains.

En Grande-Bretagne, GSK a été condamné à une amende pour corruption de producteurs de médicaments génériques.

GSK a publié un article dans une revue médicale qui a induit les parents en erreur sur la sécurité d’un antidépresseur pour leurs enfants.

Pour gagner 100 milliards de dollars supplémentaires, GSK a augmenté le prix d’un inhalateur pour l’asthme de 18% sur le marché américain. Au fur et à mesure que les actionnaires encaissent, blesser les gens devient plus susceptible d’être une pratique commerciale.

Pfizer a également augmenté le prix des médicaments essentiels sur lesquels les patients comptent.   

Pfizer a augmenté le prix d’un médicament antiépileptique dont 48 000 patients britanniques avaient besoin. En un an, les services de santé nationaux ont dû payer plus de vingt-cinq fois le prix initial de ce médicament juste pour garder ces patients en vie.

Dans l’ensemble, les grossistes et les pharmacies britanniques ont été confrontés à des hausses de prix de 2 300%, ce qui a permis à Pfizer de générer 16 milliards de dollars de bénéfices l’année dernière seulement.

Dans un essai de médicament au Nigeria, Pfizer a profité d’une épidémie, a menti sur son traitement expérimental contre la méningite et a soumis les enfants à des médicaments expérimentaux à risque, sans fournir un consentement éclairé adéquat aux parents.

Pfizer a finalement dû verser 75 millions de dollars aux familles touchées – des centimes par rapport au montant que le gouvernement fédéral les a renfloués en 2020.  

Johnson & Johnson (J&J) est actuellement la société pharmaceutique la plus prospère au monde, avec un chiffre d’affaires de 82 milliards de dollars au cours de la dernière année. Ce succès repose également sur des hausses de prix contraires à l’éthique, notamment une hausse sans précédent de 19% des prix des médicaments contre la leucémie et le cancer de la prostate et une hausse de 16% des prix des médicaments contre le VIH.

AstraZeneca construit son empire en supprimant les médicaments génériques qui pourraient offrir des options plus abordables aux patients. La Cour européenne de Justice a récemment soutenu la Commission européenne et a jugé qu’AstraZeneca avait abusé de sa position sur le marché pour bloquer les médicaments génériques.

AstraZeneca a manipulé les marchés en retirant son autorisation de mise sur le marché pour le Losec, en même temps qu’ils ont introduit une version de deuxième génération du médicament. Cette tactique a retenu les essais cliniques assez longtemps pour empêcher les fabricants de médicaments génériques de proposer une alternative moins chère sur le marché.

Le système de cupidité, de censure et de contrôle de Big Pharma rend les systèmes médicaux vulnérables et met la vie des gens en danger, en particulier lors d’une épidémie.




Vacciner les adolescents contre le covid : stupidité mathématique, médicale, éthique

Par Gérard Delépine

Alors que l’hystérie vaccinale prospère encore en France malgré les alertes multiples sur les décès entraînés par la vaccination et de graves accidents invalidants, il faut avertir une nouvelle fois que vacciner les enfants et adolescents contre le covid19 est une grave faute éthique, médicale, scientifique. N’embarquez pas vos enfants dans cette galère.

Au 12 juin 2021, l’agence européenne du médicament rapporte(([1] 13,867 dead and 1,354,336 injuries in European database of adverse drug reactions for COVID-19 shots | The BL)) 13 867 décès en rapport avec l’injection et 1 354 336 incidents graves.(([2] Total reactions for the experimental mRNA vaccine Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) from BioNTech/Pfizer:
6,732 deaths and 502,162 injuries.
14,819 Blood and lymphatic system disorders incl. 74 deaths
11,018 Cardiac disorders incl. 843 deaths
90 Congenital, familial and genetic disorders incl. 5 deaths
6,146 Ear and labyrinth disorders incl. 3 deaths
216 Endocrine disorders
7,119 Eye disorders incl. 17 deaths
45,616 Gastrointestinal disorders incl. 332 deaths
140,516 General disorders and administration site conditions incl. 2,079 deaths
387 Hepatobiliary disorders incl. 28 deaths
5,436 Immune system disorders incl. 32 deaths
15,632 Infections and infestations incl. 711 deaths
5,552 Injury, poisoning and procedural complications incl. 94 deaths
11,782 Investigations incl. 260 deaths
3,730 Metabolism and nutrition disorders incl. 129 deaths
71,816 Musculoskeletal and connective tissue disorders incl. 84 deaths
295 Neoplasms benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) incl. 21 deaths
90,427 Nervous system disorders incl. 692 deaths
330 Pregnancy, puerperium and perinatal conditions incl. 11 deaths
100 Product issues
8,902 Psychiatric disorders incl. 99 deaths
1,547 Renal and urinary disorders incl. 103 deaths
2,052 Reproductive system and breast disorders incl. 3 deaths
21,055 Respiratory, thoracic and mediastinal disorders incl. 777 deaths
23,678 Skin and subcutaneous tissue disorders incl. 60 deaths
750 Social circumstances incl. 9 deaths
222 Surgical and medical procedures incl. 15 deaths
12,929 Vascular disorders incl. 251 deaths))

Et ce ne sont que les effets indésirables précoces reconnus par l’agence, faisant évidemment l’impasse sur les effets secondaires à moyen terme, probables (fausses couches à répétition en Israël et Grande–Bretagne) et à long terme inconnus, mais craints par les généticiens (augmentation des cancers, des maladies auto-immunes, stérilité ?). Bref, de tels points d’interrogation devraient rendre les plus raisonnables prudents et on s’étonne de l’attitude de militants bio anti-OGM qui n’hésitent pas à s’injecter des thérapies géniques non testées.

Efficacité de la propagande. Comment réagiront les journalistes devant l’évidence des complications niées consciencieusement dans leurs émissions. Les vaccins H1N1 et contre la grippe aviaire avaient été interdits par la FDA après quelques dizaines de décès en rapport avec l’injection. Pourquoi ce silence après de milliers de morts ?

Et en parallèle, rappelons que le covid19 n’a pas touché les enfants sans maladies préalables potentiellement léthales.

Depuis le début du #covid19 :

  • de 0 à 9 ans : 5 décès avec des comorbidités graves ;
  • de 10 à 19 ans : 9 décès causés par des comorbidités graves.

Alors, comment accepter le pseudo-impératif arithmétique ?
Maths que de délires commet-on en ton nom ?

Stupidité arithmétique

Tout récemment(([3] Interview au Journal du dimanche daté du 13 juin. Rapportée par Le Monde et l’AFP)) Mr Fischer,(([4] Vice-président du conseil d’administration de l’Institut Pasteur (2005-2011) et Membre du conseil de gouvernance de la Fondation Edmond de Rothschild.)) professeur de génétique médicale et de recherche en thérapie génique, en charge de la stratégie vaccinale du gouvernement(([5] dans une interview au Journal du dimanche)) prétendait : « la vaccination des mineurs de plus de 12 ans est un impératif arithmétique pour se rapprocher de l’immunité de groupe contre le Covid-19 » après avoir précisé : qu’il fallait « vacciner 90 % des 12 à 100 ans » pour parvenir à l’immunité de groupe.

Comment peut-il arriver à ce chiffre ?

Rappelons tout de même que ce professeur, lié à la fondation Rothschild est responsable de la vaccination obligatoire des nourrissons depuis 2018 imposée par Mme Buzyn mise à l’abri des poursuites judiciaires par son statut international à Genève, en marchant allégrement sur les rapports des professionnels de santé et du panel de la société civile qui s’étaient déclarés opposés à l’obligation pure et simple.(([6] « Pour être honnête, on voit mal où s’est glissée la démocratie sanitaire dans cette concertation. Comme si la notion de débat était perçue comme une contrainte ou un mal nécessaire, et non comme un passage obligé. Même les jurys citoyens se sont plaints que l’on n’ait pas fait état de leurs conclusions. Questionnés ainsi par l’Agence de presse médicale, il ressort que les avis des jurys divergeaient des propositions du comité sur plusieurs points. Par exemple, les avis des jurys relatifs à la sécurité des vaccins n’ont pas été pris en compte. Le jury de professionnels de santé souhaitait, pour sa part, que le ministère de la Santé soutienne les recherches sur les effets de la vaccination à moyen et long terme et il proposait de saisir une commission parlementaire sur les adjuvants. Cela n’a pas été retenu, ni même évoqué. Et lors de la présentation, Alain Fischer a balayé toutes ces réticences, bien rapidement. »
Vaccination, le rendez-vous manqué de la concertation – Libération (liberation.fr) ))

Alors l’impératif arithmétique pour le vaccin anticovid des ados du Pr Fischer fait grincer des dents

Dans aucun des grands pays démocratiques occidentaux, la couverture vaccinale anticovid partielle (au moins une dose) n’a dépassé les 64 %, même lorsqu’une propagande mensongère intense, associée à une censure féroce des opposants et des menaces d’obligation ou de pass vaccinaux ont été utilisées (comme en Israël et en Grande-Bretagne).

Au 14 juin 2021, le pourcentage de vaccinés (à au moins une dose) n’atteint que 64 % au Canada, 62 % en Israël et en Grande-Bretagne et ne progresse plus guère. De plus, ces chiffres ne concernant que ceux qui ont reçu une dose, les vaccinés complets (à deux doses) sont partout inférieurs à 50 %.

Dans ces pays, les moins de 18 ans représentent moins de 25 % de la population et ceux de 12 à 18 ans environ 8 % de la population globale. Comme il est totalement illusoire d’espérer vacciner plus d’un tiers d’entre eux, leur vaccination augmenterait de moins de 3 % la couverture vaccinale globale dans la population, restant bien loin des 90 % considérés comme nécessaires, d’après les laudateurs de la prétendue immunité vaccinale de groupe.

Monsieur Fischer, brillant professeur, ne saurait-il plus compter ? Ou bien cette apparente aberration arithmétique, qui met en colère les vrais mathématiciens qui se sentent manipulés, ne constitue-t-elle qu’un argument de propagande vaccinale marchande de plus ? Pourquoi ce choix de décevoir tant de ses admirateurs ?

Aberration médicale ou manipulation : proposer la vaccination aux ados comme antidépresseur !

Dans cette interview, le professeur Fischer, après avoir reconnu que les mineurs « n’ont qu’un risque sanitaire minime face au Covid-19 » et que « l’idée de vacciner les ados à la place des adultes réticents est éthiquement inacceptable », prétend aussi qu’ils pourraient « tirer un bénéfice individuel au sens social et psychologique », car « ils paient un trop lourd tribut à la pandémie avec des décrochages scolaires et des impacts psychologiques très lourds pour les jeunes privés de collège ou de lycée, car la vaccination va réduire le risque de fermeture d’établissements à la rentrée ».

Son aplomb n’est pas digne de sa réputation et de son passé et rappelle plutôt celui de racketteurs ou de violeurs qui expliquent à leur victime qu’elles ne seront pas battues si elles se plient à leurs exigences. Le covid et sa gestion depuis 18 mois rend fous trop de compatriotes. Il faut en sortir.

Les troubles psychiques considérables(([7] dont des suicides d’enfants très jeunes)) et le massacre éducatif, sportif et social dont souffrent actuellement les jeunes ne sont absolument pas dus au covid qui ne les a quasiment pas atteints, mais uniquement aux mesures sanitaires inutiles coercitives et humiliantes dont ils ont été victimes.(([8] Et qui se poursuivent via la répression des manifestations festives post bac !))

Pour faire disparaître ces complications, il suffirait de reconnaître que l’épidémie est quasiment finie en France(([9] D’après le réseau sentinelle, l’incidence actuelle du covid en France est inférieure à 5/100000 et moins de 5000 nouvelles contaminations quotidiennes y sont recensées contre plus de 8000 en Grande-Bretagne championne européenne de la vaccination)), que les jeunes n’en ont jamais été responsables(([10] La fête de la musique, le carnaval de Marseille, les fêtes de Bordeaux et les rave parties qui ont été sanctionnées par de très nombreuses amendes, dispersions policières musclées, plaintes préfectorales, de garde à vue pour « mise en danger de la vie d’autrui » n’ont jamais été à l’origine de clusters prouvés.)) et de supprimer immédiatement toutes les mesures dictatoriales, sans aucun fondement scientifique, qui leur nuisent gravement.

Une affirmation contraire à la vérité scientifique

Dans son interview, Monsieur Fischer affirme : « on sait que les ados participent autant que les adultes à la circulation du virus, donc il faut y aller ». Cette affirmation est totalement contraire aux données actuelles de la science.

En effet, toutes les études épidémiologiques publiées depuis 18 mois montrent que les enfants ne participent pas à la transmission virale. De même la persistance ou la reprise des activités scolaires ne se sont accompagnées nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 18 mois d’épidémie et plus de 175 millions d’infectés, aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré selon l’analyse des publications PubMed internationales (plus de onze mille sur covid et enfant).

Les enquêtes sur les cas identifiés en milieu scolaire suggèrent que la transmission d’enfant à enfant à l’école est rarissime (si elle existe)(([11] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug; 109(8):1525-1530. doi: 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.))(([12] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

  • L’étude de l’INSERM(([13] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.
  • L’étude de l’institut Pasteur(([14] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
  • L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »(([15] Anne Jouan Exclusif Covid-19 : les enfants accusés… et innocentés Paris Match 09/05/2020))
  • Aux Pays-Bas,(([16] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available:
    https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19)) les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans. Il n’y a pas de rapport d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.
  • En Irlande,(([17] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903.)) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).
  • En Australie,(([18] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel. Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance
  • En Suisse(([19] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020; 146(2):
    https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
  • En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.
  • En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

En Israël, une poussée de covid est apparue dix jours après la réouverture des écoles et des universités. Le rôle d’un employé super contaminateur a été clairement mis en évidence, mais aucun cas de contamination certaine à partir d’un enfant n’a été établi.

Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine(([20] Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI:
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)): « dans la transmission du COVID-19, l’enfant n’est pas à blâmer. »

Les conclusions du centre européen de contrôle des maladies infectieuses sont également claires :

« les preuves issues de la recherche des contacts dans les écoles et les données d’observation d’un certain nombre de pays de l’UE montrent que la réouverture des écoles n’a pas été associée à une augmentation de la transmission communautaire.

« Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du COVID-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère COVID-19. »

Ceux qui culpabilisent les enfants en les accusant de transmettre le virus(([21] Dont les responsables d’un spot télévisuel mensonger qui montrent un enfant qui vient embrasser sa grand-mère à domicile et que l’on accuse d’être responsable de son hospitalisation trois semaines plus tard)) ne citent que de vagues études de laboratoire, ou des simulations reposant sur des hypothèses fausses, ou la découverte de foyers scolaires dus aux adultes à leur contact, mais jamais d’études épidémiologiques sérieuses dans le monde réel.

La médecine, c’est d’abord la clinique et ceux qui ont osé accuser les enfants de risquer de tuer leurs grands-parents à travers des clips télévisés émotionnels, sans aucune preuve scientifique de ces accusations, seront à l’origine de multiples dégâts à court, moyen, voire long terme, et en particulier des épidémies de suicide, y compris chez les très jeunes enfants. Le journal Bild allemand, un des plus grands en Allemagne vient de s’excuser auprès de la population des mensonges diffusés à la demande du gouvernement et en particulier de la maltraitance des enfants.

Stupidité médicale : dans le monde réel, les vaccins covid actuels sont incapables d’assurer une immunité de groupe

Les avocats de la vaccination prétendent qu’il serait nécessaire d’atteindre le plus haut taux de vaccination (70 %-90 %) pour stopper l’épidémie.

Mais cette fausse affirmation ne repose, une fois de plus, que sur des simulations mathématiques qui se sont très lourdement trompées tout au long de cette crise sanitaire.

Dans la vie réelle, tous les pays qui ont atteint de très hauts pourcentages de vaccination antiCovid, loin d’être protégés, sont ceux qui souffrent des plus hauts taux de propagation du virus et de mortalité pendant au moins 6 à 12 semaines. Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Gibraltar (34 000 habitants)

Dans ce micro-État la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une multiplication par 4 des contaminations et par 19 de la mortalité (de 10 à 95)

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Elles avaient été relativement épargnées par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 mille doses, le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et approche les 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2500 %) et 42 morts, et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination. Et les Seychelles ont depuis la vaccination subi un confinement.

Une poussée post vaccinale de nouvelles contaminations comparable a été observée sur l’Île de Man

Et de pareilles évolutions post vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays.

L’exemple démonstratif de la Grande-Bretagne

Ce pays est partout cité comme exemple de l’efficacité de la vaccination par les médias et son gouvernement qui ne parlent jamais ni de l’hécatombe post vaccinale précoce qui a suivi les vaccinations ni des résultats globaux attestés par l’OMS et très peu de la reprise actuelle de l’épidémie que la vaccination était censée empêcher. Examinons les faits, les chiffres officiels de l’OMS.

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination. La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, un mois après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de mortalité mensuelle totalisant à eux seuls près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie.

Après cette hécatombe post vaccinale, les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais se sont flattés du faible taux de contamination qui a suivi en même temps que l’épidémie régressait également en Europe (-85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

Mais depuis mai 2021, malgré son taux record de vaccinés, une augmentation des contaminations journalières (+ 300 %) est observée en Grande-Bretagne prouvant qu’un très haut taux de couverture vaccinale ne protège pas la population de l’épidémie.

Le 18 juin2021 la Grande-Bretagne très vaccinée comptait 10 809 nouvelles contaminations quotidiennes, soit quatre fois plus qu’en France (2775) deux fois moins vaccinée.

Heureusement, l’épidémie disparaît de France depuis avril, bien avant qu’un hypothétique effet de la vaccination puisse l’expliquer

AUCUN ARGUMENT RATIONNEL NE JUSTIFIE LA VACCINATION DES ADOS À MARCHE FORCÉE

Alors, pourquoi prendre le risque de vacciner les adolescents, alors que cette vaccination ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel, et que les résultats cliniques dans les pays les plus vaccinés sont très inquiétants ?

Essais en cours sur les enfants aux États-Unis

La revue du 2 juin de Laure Gonlézamar pour France Soir(([22] Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? (francesoir.fr) )) fait le point de la situation des éléments connus sur les essais en cours sur les enfants aux États-Unis.

« Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés.

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources.

Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées.

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent rapidement, comme par magie ; notamment sur YouTube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés.

On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées », car seule compte la propagande vaccinale.

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6 % de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants, car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés ».

Pas de risque du covid pour les enfants et ados, risque des vaccins non négligeables et inconnus. Pourquoi vacciner ? Pour un voyage ? Mais le pass vaccinal est en train de sauter et vous pourrez bientôt voyager librement.

Vous avez la vie devant vous, ne prenez pas le risque de la gâcher !





Finissons-en avec ce faux vaccin anti-covid !

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Enterrons vite le vaccin covid dans toutes ses fausses indications.

Je respecte nos lecteurs, nos contributeurs et leurs croyances, comme le droit pour ceux qui veulent se vacciner de le faire, mais un article récent de RL(([1] N’enterrons pas le vaccin qui nous évite des tragédies)) m’a fait bondir, tant il paraît ignorer les faits réels en se contentant d’exprimer une foi. J’en appelle ici à la raison, à l’examen des faits objectifs en vie réelle, publiés par l’OMS et certaines agences sanitaires.

L’indication d’un nouveau traitement, quel qu’il soit, doit reposer uniquement sur l’évaluation de sa balance avantages/risques. En cas de traitement d’une maladie grave évolutive (exemple cancer évolutif) il peut être licite de prendre quelque risque car la maladie est réellement menaçante, mais en cas de traitement préventif (de personnes saines) le principe de précaution s’impose, exprimé par la maxime « d’abord ne pas nuire » qui guide la pratique médicale depuis l’origine.

Mais reprenons l’article incriminé argument par argument

Les « vaccins Covid » ne sont pas des vaccins au sens propre

Pasteur et ses contemporains ont conçu les vaccins en injectant des antigènes pour stimuler la fonction immunitaire tant cellulaire qu’humorale (anticorps). Les meilleurs antigènes étant l’ensemble de l’agent infectieux (virus ou bactérie ou toxine) inactivé. L’organisme créant alors une série de défenses portant sur de nombreuses cibles de l’agent pathogène assurant ainsi une immunité solide.

Les pseudo-vaccins Covid ne comportent aucun antigène.

Il ne s’agit donc pas de vaccin mais bien de techniques jamais utilisées chez l’homme en pathologie infectieuse et donc parfaitement expérimentales et dont aucun essai phase 3 ne sera terminé avant janvier 2023.

Utiliser le terme de vaccin pour ces traitements et/ou prétendre qu’ils ont terminé leurs essais constitue un mensonge total, une escroquerie de propagande marchande.

Les prétendus vaccins anti-Covid n’ont évité aucune tragédie mais en ont créé ou aggravé plusieurs(([2] Mike Whitney La vaccination de masse déclenche un pic de cas Covid-19 et des décès
Mondialisation.ca, 30 mai 2021 
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-de-masse-declenche-un-pic-dans-les-cas-les-deces/5657051))(([3] Gabriel Faugloire et Frédéric Gobert : Depuis qu’on vaccine, la mortalité moyenne quotidienne Covid-19 a été multipliée par deux dans le monde Mondialisation.ca, 05 juin 2021 
https://www.mondialisation.ca/depuis-quon-vaccine-la-mortalite-moyenne-quotidienne-covid-19-a-ete-multipliee-par-deux-dans-le-monde/5657176))

Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Et de pareilles évolutions post-vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays

Plus jamais ça !

L’auteur de ce credo vaccinal s’insurge à juste titre du scandale ignoble qu’a constitué le tri des malades à l’entrée des hôpitaux, mais il se trompe totalement sur les causes de ce tri.

Si nos hôpitaux ont été débordés en mars, c’est qu’ils ont été progressivement détruits par nos dirigeants depuis 20 ans et que le gouvernement a interdit aux médecins de traiter. En 2000, l’OMS nous sacrait meilleur système de santé mondial. En 2020 nous sommes descendus au 21e rang mondial du fait de l’emprise bureaucratique et des réductions de lits et de personnel qu’elle a imposées. Rappelez-vous qu’avant la crise Covid, les urgences étaient en grève depuis plus d’un an et que la seule réponse du gouvernement Macron a été policiers et lanceurs de balles !

Rappelez -vous aussi qu’en début de crise, le ministre de la Santé a restreint puis interdit l’usage de la chloroquine puis tout traitement actif (même les antibiotiques) et imposé le traitement par Doliprane, et demandé au Conseil de l’Ordre de sanctionner les médecins qui traitaient leur malade. C’était la première fois au monde qu’un gouvernement dictait leurs ordonnances aux médecins et faisait sanctionner les médecins qui traitaient (avec succès) les malades.

Si les hôpitaux ont été débordés ce n’est pas la faute du Covid, mais totalement celle de nos gouvernants qui ont empêché les médecins de traiter et leur a même interdit de parler à l’exception des médecins représentants des laboratoires qui pouvaient vanter sur les télés, les journaux et les autres médias le remdésivir et les autres molécules nouvelles hors de prix et discréditer le Pr Raoult et les autres donneurs d’alerte.

La Suède, dont le système de santé n’était guère plus brillant que le nôtre mais dont la population et ses médecins sont restés libres de leurs décisions n’a jamais confiné, et ses hôpitaux n’ont pas été débordés et les Suédois pleurent moins (- 20 %) de morts attribués au covid que nous par million d’habitants.

C’est la dictature sanitaire qui a été responsable
de cette médecine de l’épouvante qu’on a subie en avril 2020.
Pourquoi Jacques Guillemain ne l’a-t-il pas précisé ?

La « victoire à la Pyrrhus » de la Grande-Bretagne

Les médias et Jacques Guillemain prétendent que la Grande-Bretagne constituerait un succès de la vaccination en ne parlant que du taux actuel de nouveaux cas « en faisant du passé table rase ». Mais un traitement ne doit pas se juger sur un instantané transitoirement favorable, mais sur l’ensemble de l’évolution sanitaire depuis l’instauration du nouveau traitement. Et si on le fait on se rend compte que la vaccination a été suivie d’une poussée d’infections et d’une hécatombe record.(([4] G. Delépine : Oui, Mme Kadri, une hécatombe post-vaccinale a bien eu lieu en Grande-Bretagne Riposte laïque le 29 mai 2021 https://ripostelaique.com/oui-mme-kadri-une-hecatombe-post-vaccinale-a-bien-eu-lieu-en-grande-bretagne.html))

Après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de contaminations et de mortalité mensuelle totalisant près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie. 

Le faible taux de contamination dont se sont flattés hâtivement les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais ne signifie pas que la vaccination a été efficace car l’épidémie a également très fortement reculé dans toute l’Europe (- 85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

D’autant que malgré son taux record de vaccinés, une nouvelle augmentation des contaminations journalières est observée par l’agence gouvernementale(([5] https://coronavstats.co.uk/)) britannique depuis trois semaines, prouvant que les vaccins actuels sont incapables de stopper l’épidémie. 7 312 nouveaux cas en GB contre 4 475 en France le 11 juin 2021 et certains prétendent que la vaccination est un succès et que la France serait en retard !

Oui, le nombre de morts et les bénéfices des actionnaires sont moindres en France, moins vaccinée qu’en Grande-Bretagne mais pour les Français cela me paraît avantageux.

La Grande-Bretagne se place dans le peloton record des mortalités européennes avec 1 900 morts par million d’habitants malgré ses confinements multiples et ses vaccins. Les responsables de la vaccination accusent les variants de leur échec (aujourd’hui le variant delta) et ne s’interrogent pas sur la responsabilité de la vaccination dans l’émergence des variants, alors qu’il s’agit d’un fait de plus en plus observé.

Quant à la menace que feraient peser les variants sur notre avenir, sachons raison garder :  l’évolution virale se fait presque toujours vers une plus forte contagiosité et une plus faible gravité. Rien ne laisse supposer que cela puisse changer. L’évolution Covid ressemble de plus en plus à celle de la grippe saisonnière : à chaque poussée, un nouveau virus qui rend inefficace le vaccin de l’année précédente, mais une agressivité relativement faible. Le covid n’est pas la peste !

Oui, le vaccin AstraZeneca est dangereux et on aurait dû l’interdire

Jacques Guillemain accuse le professeur Delfraissy d’avoir précipité l’abandon du vaccin AstraZeneca en France, alors que ce vaccin a été interdit dans de nombreux pays et/ou son usage de plus en plus limité à cause des complications graves et souvent mortelles qui suivaient son administration.(([6] L’Italie vient de l’interdire ce jour à la suite d’un décès d’une jeune fille de 18 ans se rajoutant aux précédents décès post-vaccinaux dans ce pays))

Rappelons(([7] Delépine : Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? 24 mars 2021 Riposte laïque https://ripostelaique.com/combien-faudra-t-il-de-morts-pour-interdire-le-vaccin-astrazeneca.html)) qu’après une alerte de l’agence sanitaire norvégienne à l’OMS à la suite de morts suspectes de grands vieillards dans les établissements de retraite, il a d’abord été abandonné pour inefficacité en Afrique du Sud, puis abandonné au Danemark, puis en Norvège, puis dans de nombreux autres pays européens, que notre Haute Autorité de santé l’a jugé dangereux pour les moins de 30 ans, puis les moins de quarante ans, puis les moins de cinquante ans… Dans cette affaire, le professeur Delfraissy a seulement diffusé les inquiétudes légitimes que soulevaient les complications graves (risque de thrombose associée aux vaccins à adénovirus) et les morts post-vaccinales rapportées dans tous les pays, y compris en France chez les sujets jeunes. Grâce lui en soit rendue !

L’immunité collective ne sera jamais atteinte par les vaccins covid

Le concept d’immunité personnelle est vérifié en clinique après guérison des infections virales. On ne peut faire la rougeole, la rubéole, les oreillons, (comme après la quasi-totalité des infections virales) qu’une fois dans sa vie et les guéris de ces maladies forment un rempart contre la transmission de la maladie.

Mais la protection post-vaccinale est souvent courte (nécessitant des rappels) et son efficacité beaucoup plus faible que celle obtenue naturellement. Aux USA, la résurgence de flambées de rougeole malgré une couverture vaccinale supérieure à 95 % le démontre régulièrement et ces poussées touchent les vaccinés.

Les exemples des pays qui ont atteint des couvertures vaccinales proches ou supérieures à 70 % montrent que ce concept purement théorique qui n’a de confirmation que virtuelle est inopérant pour le covid dans le monde réel.

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Ils avaient été relativement épargnés par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 millions de doses le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et atteint 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2 500 %) et 42 morts et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination.

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 1 040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 4 (passant à 4 302) et celui des morts par 19 (atteignant 95). Pourtant les responsables de la vaccination nient tout lien causal.

Les Émirats arabes unis sont les champions arabes de la vaccination anticovid qui a été généreuse et autoritaire. Ce pays de 10,5 millions d’habitants accueille neuf millions d’étrangers, dont une majorité de petits employés et de cols bleus, des Philippines ou du sous-continent indien. Officiellement la vaccination n’est pas obligatoire. Mais en réalité, cette population précaire n’est pas en position de refuser un vaccin proposé par l’employeur.

Entre début janvier et le 6 juin les 13 315 751 de doses injectées assurent une couverture vaccinale globale proche de 62 % et de 80 % chez les adultes. Mais depuis la vaccination, le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination

Mais depuis la vaccination le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination.

Ces exemples du monde réel montrent clairement qu’un taux de vaccination anti-Covid très élevé ne protège pas des transmissions, rappelant ce qu’a affirmé O. Véran devant le Conseil d’État « même vacciné on peut transmettre le Covid et même des formes graves ».

Reste-t-il des indications aux vaccins anti-covid actuels ?

Aucune indication chez les enfants qui ne risquent rien du covid et ne le transmettent pas et qui sont, comme les autres, exposés aux complications post-vaccinales dont des myocardites.

Aucune indication chez les moins de 65 ans qui risquent peu du covid et au total moins que des vaccins actuels.

L’indication se discute chez les personnes âgées avec comorbidité lourde qui constituent les cibles du Covid. Mais encore faudrait-il que les vaccins aient fait leurs preuves d’efficacité et d’absence de toxicité. Or les essais ont très peu inclus cette population et ne sont pas terminés.

La vaccination est donc encore plus expérimentale chez eux que chez leurs cadets. Et les vaccinations ont été suivies chez eux de nombreuses morts qui ont motivé une alerte précise de l’agence sanitaire norvégienne appelant à ne pas vacciner les « trop vieux, trop malades » : disparition post- vaccinale de nombreux doyens de région – dont l’ancien cycliste qui faisait encore ses 100 km, morts d’un tiers des prêtres d’une maison de retraite vaccinés en Charente-Maritime, mort du prince Philip quatre semaines après sa vaccination.

Dans l’immédiat, quand on est âgé, il est prudent d’attendre avant de se vacciner contre le Covid.

J’ai 75 ans, je suis médecin et j’attends de pouvoir analyser les données brutes de ces pseudo-vaccins expérimentaux mis trop hâtivement sur le marché pour décider éventuellement de me faire injecter un médicament génique s’il se révélait efficace (on sait dès maintenant qu’ils le sont insuffisamment) et moins dangereux que la maladie. En attendant je donne ma dose à ceux qui veulent jouer à la roulette russe.

Gérard Delépine





L’immunité post vaccinale ne protège pas la population contre le covid-19. Résultats cliniques avérés au 11 juin 2021

Par G Delépine, chirurgien et statisticien

Depuis que la population réalise peu à peu que l’épidémie a quitté la France, la demande vaccinale stagne, inquiétant les marchands de vaccins. Leurs représentants prétendent maintenant qu’il faudrait vacciner les enfants et atteindre un taux de couverture vaccinale de 70 % pour créer une immunité de groupe susceptible de protéger les aînés.

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La vaccination anticovid des enfants ne peut leur apporter aucun bénéfice

Nous avons largement rappelé que les enfants ne risquent rien du covid et qu’ils ne transmettent pas cette maladie, ni aux autres enfants ni aux adultes.(([1] Nicole Delepine – l’ouverture des écoles est sans danger : les enfants ne transmettent pas le covid19 Economie matin 23/04/2020 http://www.economiematin.fr/news-ouverture-ecole-covid-19-danger-france-delepine))(([2] « Non, les enfants ne transmettent pas le SARS-CoV-2 » https://www.nexus.fr/actualite/analyse/enfants-covid-19-gerard-delepine/))

Une vaccination expérimentale(([3] C’est le cas des pseudo vaccins covid actuels dont les essais ne seront pas terminés avant 2023)) « pour protéger les autres » est contraire aux règles éthiques de l’Association Médicale Mondiale(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)) et au serment d’Hippocrate.

Le comité national d’éthique a critiqué la décision « précipitée » du gouvernement d’élargir la vaccination aux enfants et adolescents alors que l’épidémie est en décrue et s’interroge : « est-il éthique de faire porter aux mineurs la responsabilité, en termes de bénéfice collectif, du refus de la vaccination d’une partie de la population adulte ? »

« un consentement libre et éclairé est nécessaire pour vacciner, a rappelé le Comité consultatif national d’éthique dans un avis paru une semaine après l’annonce par Emmanuel Macron de démarrer la vaccination des plus jeunes.

L’immunité de groupe post vaccinale ne paraît pas exister avec les vaccins covid actuels

Les résultats actuels des pays qui ont atteint une couverture vaccinale de plus de 70 % montrent que l’immunité de groupe créée par les pseudos vaccins actuels n’est pas capable d’empêcher la transmission du covid19.

Quelques exemples de pays qui ont atteint des couvertures vaccinales proches ou supérieures à 70 %

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Ils avaient été relativement épargnés par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 millions de doses le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et atteint 90 % chez les adultes.

Ainsi 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2500 %) et 42 morts, et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination.

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020, alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 1040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 4 (passant à 4302) et celui des morts par 19 (atteignant 95), mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal.

Une évolution post vaccinale comparable a été observée sur l’Île de Man

Les Émirats Arabes Unis sont les champions arabes de la vaccination anticovid qui a été généreuse et autoritaire. Ce pays de 10,5 millions d’habitants accueille neuf millions d’étrangers, dont une majorité de petits employés et de cols bleus, des Philippines ou du sous-continent indien. Officiellement la vaccination n’est pas obligatoire. Mais en réalité, cette population précaire n’est pas en position de refuser un vaccin proposé par l’employeur.

Entre début janvier et le 6 juin les 13 315 751 de doses injectées assurent une couverture vaccinale globale de 80 % chez les adultes.

Mais depuis la vaccination, le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination.

Le Bahreïn est un émirat d’à peu près 1 million d’habitants. La campagne de vaccination a commencé le 7 décembre 2020 alors que le pays comptait 87 929 cas confirmés et 341 morts. Au 8 juin 2021, un total de 1 838 561 doses vaccinales a été injecté assurant une couverture vaccinale globale de près de 60 % et dépassant les 80 % chez les adultes.

Ainsi, depuis la vaccination les nombres de nouveaux cas et de décès ont considérablement augmenté avec un total de 253 819 cas et 1161 décès recensés au 10/6/2021 (le triple d’avant vaccination). 6 mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations quotidiennes reste beaucoup plus élevé qu’avant la vaccination.

Dans tous ces pays, une couverture vaccinale élevée se révèle donc incapable de prévenir l’extension de la maladie

Les « victoires » à la Pyrrhus d’Israël et de la Grande-Bretagne

Ces deux pays sont partout cités comme exemples de l’efficacité de la vaccination par les médias et leurs gouvernements qui ne parlent jamais des hécatombes post vaccinales précoces qui ont suivi les vaccinations ni des résultats globaux attestés par l’OMS.

Examinons les faits, les chiffres officiels de l’OMS.

Israël

En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne israélienne de vaccination est indéniable avec 63 % de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Durant le mois de novembre 2020, 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas, soit onze fois plus) et février (134 000 cas, soit 7 fois plus) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

La vaccination a aussi été suivie par une forte augmentation de la mortalité attribuée au Covid. En décembre 2020, le pays avait recensé 453 morts attribuées au Covid, mais en janvier ce chiffre mensuel a bondi à 1359 et en février à 965, établissant ainsi les records mensuels de mortalité covid depuis le début de l’épidémie.

Cet accroissement de la mortalité attribuée au Covid se traduit par une augmentation de la mortalité globale.

Les mois de janvier et février 2021 ont été ceux avec les taux de mortalité globale, toutes causes confondues, les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années.(([5] Gilad Atzmon – Rapport catastrophique sur la vaccination en Israël 23 mai 2021 – La Lumière du monde)) Le Comité populaire israélien constate que

« dans le groupe d’âge des 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité globale a été la plus spectaculaire. Dans ce groupe d’âge, on constate une augmentation de 32 % de la mortalité globale par rapport à l’année précédente ».

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination) après dix mois d’épidémie, Israël comptait 366 000 cas confirmés et 3053 morts attribuées au covid. Les six mois suivant la vaccination ont vu ces chiffres plus que doubler avec 473 000 cas et 3373 morts de plus. La victoire proclamée par les responsables de la vaccination et les médias ressemble donc pour l’instant à une victoire à la Pyrrhus.(([6] Pyrrhus, roi d’Épire combattait les Romains avec une armée plus nombreuse et des éléphants. Il accumula les victoires à Héraclée puis à Ausculum, mais en perdant à chaque fois plus de soldats que les Romains. Et à la fin, ses troupes épuisées furent vaincues.))

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination.

La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont eux aussi établi les records de mortalité mensuelle totalisant près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie.

Le faible taux de contamination actuel dont se flattent les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais ne signifie pas que la vaccination a été efficace, car l’épidémie a également très fortement reculé dans toute l’Europe (- 85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés, comme dans les pays très peu vaccinés. De plus, malgré son taux record de vaccinés une nouvelle augmentation des contaminations journalières est observée en Grande-Bretagne depuis trois semaines.

Les avocats de la vaccination prétendent que ces augmentations post vaccinales ne seraient pas dues à la vaccination, mais seulement à des coïncidences malencontreuses de flambée épidémique. Mais comment des poussées épidémiques dues au hasard surviendraient juste après la vaccination dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Le faible taux de mortalité actuel semble lié à la fin spontanée de la vague épidémique en Europe, mais aussi à la disparition prématurée (post vaccinale) d’une grande partie des patients les plus à risque. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février n’étaient plus à risque en mars, avril et mai. On ne peut pas mourir deux fois !

Un autre argument des pro vaccins est que la vaccination n’a pas eu le temps d’agir, mais les exemples des Émirats Arabes Unis, des Seychelles et du Bahreïn montrent que même cinq mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

L’analyse des faits avérés publiés par l’OMS montre qu’une couverture vaccinale élevée ne protège pas la population de l’épidémie.

Cette incapacité des pseudo vaccins actuels à prévenir les transmissions virales a d’ailleurs été reconnue récemment par O. Véran devant le Conseil d’État

Proposer la vaccination des enfants pour protéger les adultes est donc totalement illogique. Rappelons son caractère non éthique et dangereux en plus d’être inutile.(([7] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Inutile et à risques pour les enfants, elle ne protégerait pas les adultes, car l’immunité de groupe ne paraît pas pouvoir être atteinte avec les vaccins covid actuels, même avec des taux de couverture vaccinale dépassant les 70 %

On ne peut qu’exhorter nos dirigeants à suivre les conseils de Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur général de l’OMS(([8] https://atlantico.fr/article/pépite/covid-19—tedros-adhanom-ghebreyesus-le-directeur-general-de-l-oms-appelle-a-renoncer-a-vacciner-les-enfants-pour-donner-les-doses-aux-pays-defavorises-covax)):

« renoncez à vacciner les enfants et les adolescents contre le Covid-19 et donnez les doses ainsi libérées au système Covax »





Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

par Brian Gerrish

Le 28 mai 2021, Brian Gerrish a témoigné lors de la 54e session du Stiftung Corona Ausschuss, l’enquête extraparlementaire menée par des avocats en Allemagne sur la gestion de la crise du Covid par le corps médical et les décideurs publics au niveau international. Le thème de la journée de la 54e session était « Coincé entre le nudging et les effets secondaires ». Vous trouverez ci-dessous la transcription du témoignage de Brian Gerrish.

Reiner Füllmich : Brian, je m’excuse de vous avoir fait attendre pendant une vingtaine de minutes.

Brian Gerrish : Pas de souci. Je voudrais juste mentionner que je ne parle pas allemand, et que c’était fascinant de vous observer et de vous écouter, et aussi  merveilleux de vous voir commencer à rire, parce que vous aviez l’air très sérieux dans la plupart des dialogues que j’ai écoutés.

Il y a un mot que j’ai relevé et que j’ai trouvé très intéressant, c’est Wahnsinn, qui est apparu plusieurs fois, en particulier lorsque Bianca [directrice d’une école primaire persécutée] parlait.

Reiner Füllmich : Vous savez ce que ça veut dire, non ?

Brian Gerrish : Oui, « Folie ». Et je voudrais dire la chose suivante : ce n’est absolument pas de la folie. Ce à quoi nous sommes confrontés est calculé, et c’est une erreur de l’appeler « folie », parce que tout est très précis et calculé. C’est fondamental de comprendre cela pour être en mesure de faire face à ce que nous affrontons.

Reiner Füllmich : C’est très intéressant à entendre, car nous sommes arrivés à la conclusion que « l’autre côté », comme nous l’appelons, utilise deux outils majeurs. L’un est bien sûr la psychologie, les opérations psychologiques ; et l’autre outil indispensable est les médias grand public, qui sont les canaux qui véhiculent ces opérations psychologiques.

Pouvez-vous nous parler un peu de votre parcours ?

Brian Gerrish : Eh bien, j’ai été militaire dans la Royal Navy pendant vingt et un ans. J’ai ensuite travaillé dans l’industrie essentiellement, et après quelques années, j’ai commencé à comprendre que les choses allaient mal au Royaume-Uni et à enquêter.

Cela m’a conduit à faire équipe avec Mike Robinson, pendant près de vingt ans, et depuis quatorze ans maintenant, nous dirigeons tous les deux un média appelé UK Column, où je suis ravi de dire que nous sommes en expansion, et il est clair que nos téléspectateurs et nos auditeurs ne sont plus seulement au Royaume-Uni, mais dans le monde entier.

Reiner Füllmich : excellent ! Et maintenant, bien sûr, vous êtes occupé à couvrir le Coronavirus et toutes ses ramifications.

Brian Gerrish : Eh bien, le point essentiel est que nous avons commencé par examiner certaines des questions que vous venez de mentionner. Nous nous sommes penchés sur la façon dont la propagande était entrée dans le pays ; nous avons examiné l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée par le gouvernement ; et nous nous sommes penchés sur des changements que nous considérions comme très sérieux qui affectaient particulièrement le style de la démocratie, et nos droits constitutionnels.

C’est dans ce contexte de reportage que nous nous sommes intéressés au coronavirus. Je vous dirais donc que notre analyse de ce qui s’est passé avec le coronavirus s’inscrit dans le contexte de ce qui se passait au niveau politique, et en particulier de l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée et de la propagande.

Viviane Fischer : Alors, que pensez-vous de la « folie calculée » ? La « folie » [description] est plutôt notre jugement lorsque nous regardons ce qui était l’état normal des choses auparavant. Personne n’aurait pensé, si vous nous aviez posé la question il y a un an, que cela aurait pu se produire, du moins, pas nous, je suppose.

Et aussi, nous avons été vraiment surpris de voir comment le système juridique s’est détérioré, ou du moins, comment il est devenu évident qu’il est vraiment en mauvais état. Mais nous avons aussi le sentiment, en même temps, que ce qui se passe est très orchestré : c’est comme un puzzle. Ils déplacent cette pièce et cette autre, et l’image de ce qui se passe devient de plus en plus claire. Quelles sont vos expériences ou votre analyse de la situation ?

Brian Gerrish : Tout d’abord, je suis d’accord avec vous pour dire que la « pandémie » de coronavirus, si l’on peut l’appeler ainsi entre guillemets, a pris tout le monde par surprise. Je ne pense pas que nous l’ayons vue venir, et elle s’est produite très rapidement. Je suis donc tout à fait d’accord avec vous sur ce point.

Mais je reviendrai sur le fait que nous avons commencé à voir des choses très, très graves se produire au Royaume-Uni. Si je me concentre immédiatement sur l’utilisation par le gouvernement de la psychologie comportementale appliquée : en 2010 et 2011, le UK Column a été averti que le gouvernement avait mis en place une équipe appelée Behavioural Insights Team [note : l’ancienne adresse de page d’accueil « behaviouralinsights.co.uk » est maintenant redirigée vers le consciemment mondialiste « bi.team »]. Il s’agissait d’une équipe de psychologues qui travaillait directement avec non seulement l’appareil politique, mais aussi l’appareil d’élaboration des politiques au sein du gouvernement britannique.

Un document critique que nous avons trouvé en 2010 s’appelait Mindspace (vous pouvez le trouver très facilement en le recherchant en ligne sous forme de document PDF). Dans ce document, le gouvernement admettait qu’il utilisait la psychologie comportementale appliquée pour influencer la manière dont il concevait et mettait en œuvre ses politiques.

À un moment particulier de ce document — en fait, c’est au bas de la page 66, si je me souviens bien — le gouvernement se vante de pouvoir changer la façon dont les gens pensent et se comportent, et que les gens ne seront pas conscients que cela leur a été fait. Et il ajoute la mise en garde suivante : même s’ils se rendent compte que leur comportement a changé, ils seront incapables de savoir comment il a été modifié.

À la lecture de ce document, nous avons été choqués, et avons alors commencé à faire des recherches plus approfondies. Nous avons découvert qu’à cette époque, et bien sûr un peu plus tôt, le gouvernement britannique avait organisé des réunions avec les Français, au cours desquelles des équipes de psychologie politique  élaboraient des plans communs entre les deux pays. Le principal Français présent à ces réunions s’appelait Olivier Ouillier, et il travaillait à l’époque directement pour le cabinet privé de Sarkozy.

Toutes ces réunions se sont essentiellement tenues en secret. Nous avons pu découvrir qu’elles avaient eu lieu, mais nous n’avons pu le faire qu’en effectuant des recherches minutieuses en utilisant des voies spécifiques qui nous semblaient importantes. Par exemple, la plupart de ces réunions ont été menées sous le couvert d’une association caritative, le Conseil franco-britannique, qui disait avoir été créée simplement pour améliorer les relations entre la Grande-Bretagne et la France.

Ces réunions ont donc eu lieu, et il est apparu très clairement qu’il y avait un effort concerté pour étendre l’utilisation de ces techniques : non seulement de la part de la Grande-Bretagne et de la France, mais l’implication à ce moment-là était que ces techniques allaient être utilisées à travers la base de pouvoir plus large de l’Union européenne.

Et je vais juste répéter que le document Mindspace se vantait que pour la première fois, le gouvernement serait capable d’utiliser des techniques appliquées où les gens verraient leur comportement modifié — c’est-à-dire que leurs pensées seraient modifiées et qu’ils ne s’en rendraient même pas compte.

Reiner Füllmich : Dans quel but ?

Brian Gerrish : Eh bien, si vous voulez exécuter le pouvoir, vous pouvez essayer d’utiliser une politique normale et démocratique, ou vous pouvez essayer d’utiliser la force, ou vous allez essayer d’utiliser d’autres moyens.

Et donc je classe ces techniques dans cette catégorie « autres moyens ». Je dois dire que lorsque j’ai vu à quel point c’était cynique à travers mon expérience militaire, à quel point c’était calculé, j’ai compris qu’il s’agissait d’une utilisation brute du pouvoir.

Maintenant, si je fais un bond en avant dans les événements autour de la Covid : très tôt dans la pandémie de Covid (je l’ai appelée « pandémie » ; bien sûr, je ne crois pas que ce soit ce qu’elle est, mais c’est ainsi qu’elle a été rapportée), il a été porté à notre attention que le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement.

L’homme clé concerné par cette question était un homme appelé Dr David Halpern. Cette réunion n’a pas fait l’objet d’un compte-rendu officiel, mais une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion. Dans ce document, daté, je pense, du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus. Nous avons ce document ; nous pouvons vous fournir une copie de ce document.

Reiner Füllmich : Oui, s’il vous plaît, parce que nous avons le même genre. Il s’agit d’un document qui a fait l’objet d’une fuite de la part du secrétaire [fédéral] de l’Intérieur, et qui est maintenant appelé le Panic Paper.

Brian Gerrish : Oui, j’ai entendu parler de ce document en Allemagne. Je ne l’ai pas vu ou je n’ai pas pu le lire en anglais. Je vais vous suggérer que ce document allemand est issu des discussions spécifiques auxquelles je viens de faire référence. Lorsque nous avons commencé à voir que le gouvernement britannique tenait ces réunions secrètes avec des experts français en psychologie comportementale appliquée, il était clair pour nous que cela allait être déployé dans d’autres pays européens. Je n’ai donc pas été surpris lorsque j’ai entendu parler de ce document allemand.

Dans le document du SAGE, outre le fait qu’ils allaient accroître la peur, il y avait quelque chose de très intéressant. Il est dit [aux paragraphes 6-8 de la page 2] qu’au sein des communautés [locales], les membres au sein de la communauté seront utilisés pour faire en sorte qu’on se dénonce les uns contre les autres. Les gens allaient donc être utilisés pour faire pression sur leurs voisins, par exemple, pour qu’ils portent un masque, pour qu’ils respectent la distanciation sociale.

Il était donc très clair dans leurs propos qu’ils allaient utiliser cette psychologie appliquée secrète pour pousser les citoyens à faire pression sur leurs pairs. Et, fait significatif, ils ont également dit que cela devait être fait avec une certaine prudence, car ils pensaient qu’il était possible que cette situation devienne incontrôlable. En clair, ce qu’ils entendaient par là, c’est qu’au lieu que quelqu’un dise à quelqu’un d’autre « Tu devrais porter un masque ! » cette exigence pourrait se traduire par de la violence.

Après vous avoir parlé de ce document — très clair, très précis — je reviens maintenant à ce que disait Bianca qui parlait il y a quelques minutes, parce que j’ai pu comprendre qu’elle parlait d’angoisse et de stress.

Bien entendu, les techniques utilisées sur les adultes — ces techniques psychologiques visant à provoquer le stress et la peur — sont également utilisées sur les enfants. Je n’ai pu comprendre qu’une infime partie de ce dont elle parlait, mais j’en ai compris suffisamment pour saisir — corrigez-moi si je me trompe — que les règles changent, et donc qu’elle ne sait jamais quelles sont les règles à suivre.

Reiner Füllmich : Exactement, oui. Chaque semaine, ils changeaient les règles [pour les écoles], de sorte qu’elle devait travailler le week-end pour essayer de comprendre comment faire fonctionner les choses.

Brian Gerrish : Oui. Et l’incertitude et le changement des règles : cela fait partie de l’attaque psychologique. Parce que l’incertitude met immédiatement les gens dans une position de stress, d’anxiété et de confusion. Et si nous retournons dans le monde professionnel de la psychologie appliquée, les personnes qui sont dans un état de détresse et de confusion sont très sensibles aux autres messages et instructions. S’il y a un incendie dans un bâtiment et que les gens commencent à paniquer, la première personne qui commence à donner des ordres clairs aux gens, ces ordres seront suivis. Et cela est dû à l’état psychologique dans lequel se trouve le groupe.

Je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie, mais je connais un certain nombre de choses que j’ai appris grâce aux enquêtes que je mène.

L’autre point que je souhaite aborder est qu’il y a de nombreuses années, nous avons commencé à nous intéresser de près à une organisation caritative appelée Common Purpose. Common Purpose, en tant qu’organisation caritative, déclarait avoir pour but de créer des « futurs leaders dans la société ».

C’était en fait une sorte de pieuvre, qui, grâce à ses tentacules, s’est introduite dans le système hospitalier, dans la police, dans l’armée, dans les écoles, et une fois à l’intérieur de ces organisations, répandait  une nouvelle philosophie applicable dans de nombreux domaines.

Tout ce que je vous dis est parfaitement documenté. J’ai un site web qui regorge de documents sur ce que faisait cette organisation. Elle s’adressait en particulier aux enfants. Au début, elle s’adressait aux enfants de 11 à 14 ans, mais elle s’intéressa aussi aux étudiants universitaires.

Outre le fait que les personnes qui suivaient les cours étaient sélectionnées, ils étaient également désireux de faire participer des plus jeunes à leurs soi-disant formations.

Lorsque j’ai enquêté sur cette organisation, parce que j’étais extrêmement méfiant quant à ce qu’elle faisait (sa mission déclarée était de « choisir les futurs dirigeants » qui allaient « diriger au-delà de l’autorité » !), j’ai découvert que la formation était clairement conçue pour produire des personnes travaillant dans une organisation, mais qui ne travaillerait pas dans la culture normale de l’organisation. Common Purpose leur inculquait un nouvel ensemble de valeurs.

Lorsque j’ai pris l’avis d’un expert sur la façon dont ils s’y prenaient, c’est la première fois que l’on m’a parlé de la technique de la programmation neurolinguistique. La PNL est en fait une forme d’hypnose. Vous pouvez chercher sur Internet et vous trouverez de nombreux cabinets de conseil proposant des formations à la PNL, et vous trouverez de nombreuses personnes proposant des formations qui affirment que cette technique a une [valeur] thérapeutique, qu’elle peut être utilisée pour soigner et aider les gens.

En substance, c’est vrai ; mais ce qui nous intéressait au fond, c’est de savoir où nous avons commencé à voir l’utilisation de la neurolinguistique dans la politique gouvernementale.

Pour cela [nous devons] réunir ces deux éléments avérés :

  • C’est un fait que le gouvernement britannique a mis en place une équipe spécifique de psychologie appliquée.
  • C’est un fait que cette équipe promouvait des idées pour rendre la population craintive autour de la pandémie.

Et à une échelle beaucoup plus grande, cette équipe utilisait, entre autres, la PNL pour influencer pratiquement tous les documents produits par le gouvernement.

Je ne sais pas si certains membres de votre équipe ont déjà entendu parler de la PNL, mais je dirai que c’est un secret de polichinelle (vous pouvez faire des recherches à ce sujet, et de nombreux professionnels l’enseignent) qu’il s’agit essentiellement d’une forme d’hypnose. Cela signifie que vous pouvez transmettre aux gens des idées et des concepts qui ne passent pas nécessairement par leur esprit conscient. C’est un fait, ce n’est pas de la fiction.

Maintenant, lorsque vous commencez à voir la PNL utilisée pour des objectifs politiques, bien sûr, le grand public est très, très vulnérable, parce qu’à moins d’avoir un peu de formation ou de connaissance de la PNL, vous ne vous rendrez même pas compte qu’elle est utilisée sur vous, et elle peut être utilisée dans un sens verbal, mais elle peut aussi être utilisée par écrit.

Ainsi, par exemple, vous pouvez avoir un document devant vous : vous remarquez souvent un point à la fin d’une phrase ; ce marqueur n’est pas au bon endroit et vous pensez que quelqu’un a fait une erreur en tapant.

Mais ce n’est pas ce que la PNL peut faire, car lorsque vous lisez la phrase et que vous arrivez au point, votre esprit conscient prend une décision, mais votre esprit subconscient en prend une autre. Et il est tout à fait possible de rédiger des documents dans lesquels il semble qu’un message soit transmis, mais en réalité un message complètement différent est transmis au public.

Si je ramène cela au domaine de la réaction au coronavirus, nous constatons maintenant que chaque déclaration faite par le gouvernement, chaque document qui sort, est invariablement très soigneusement rédigé, il est très soigneusement assemblé, et je peux voir que dans une grande partie de cette documentation, la psychologie comportementale est soigneusement appliquée dans le texte.

Pour étayer cette affirmation, pour la renforcer : nous disposons également d’un document gouvernemental dans lequel le gouvernement se vante spécifiquement de pouvoir utiliser la psychologie dans les documents écrits.

Viviane Fischer : Vous pensez donc que les documents qui ont fait l’objet de fuites [en Allemagne], comme par exemple ce document de panique qui a été divulgué par quelqu’un, ou du moins qui n’a pas été publié officiellement, ont généré beaucoup de peur. Certaines personnes ont pu lire à travers les lignes et comprendre toute la narration même le simple fait qu’il ait été publié, et que certaines personnes l’aient lu ou en aient entendu parler, les ont bloquées dans la peur voire même renforcé leur peur, et a servi le but pour lequel cela a été conçu.

Beaucoup de gens ont été contrariés que le gouvernement utilise cette photo de votre grand-mère en train d’être étouffée par vous, l’enfant qui l’a infectée avec le coronavirus ; mais une fois que cette photo est en quelque sorte dans le domaine officiel, certaines personnes l’entendent et ont alors ces fantasmes dans leur tête, et ont encore plus peur.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est tout à fait exact. Nous pouvons voir ici, au Royaume-Uni, que la BBC, en particulier, a utilisé la psychologie appliquée de cette manière : des photographies très émotives et bouleversantes avec très peu de reportages factuels pour soutenir l’image, l’idée donnée par la photographie.

C’est délibéré. C’est calculé.

Dans le contexte de tout ce qui s’est passé avec la « pandémie », nous savons que chaque discours qui est prononcé, chaque document qui est diffusé, est susceptible de contenir un message psychologique de renforcement.

Mais l’autre chose qui me semble importante, du moins au Royaume-Uni, c’est que si nous revenons à 2010, lorsque le document Mindspace a été publié, nous avons commencé à voir les premiers exercices de préparation à une pandémie dans l’année qui a suivi.

En 2016 [N.B. : dans la vidéo, Brian dit » 2011 » par erreur, qui était l’année du précédent document sur la préparation à la pandémie], nous avons eu un truc appelé exercice Cygnus, qui était le plan britannique de préparation à la pandémie de grippe.

Ce document a été suivi par d’autres documents officiels parlant d’une éventuelle future pandémie, puis en 2017, il y a eu un document très important intitulé Préparation, résilience et réponse aux situations d’urgence [N.B. : Brian a généralisé le nom en disant « Préparation à la prochaine pandémie »].

Ce qui était, et ce qui est, intéressant dans la lecture de ces documents, c’est que certains d’entre eux — pas tous, mais certains d’entre eux — qualifient le document en disant : « Eh bien, nous ne pouvons pas prédire qu’une pandémie va se produire : nous pouvons regarder sur le long terme ce qui s’est passé dans le monde ; nous pouvons regarder ce qui s’est passé en 2018 et la pandémie de grippe et les dégâts ; mais nous ne pouvons pas être certains de quand il y aura une autre pandémie. »

Et soudain, en l’espace de quelques années, nous pouvons voir une avalanche d’articles au Royaume-Uni — et là encore, nous pouvons les mettre à votre disposition — où, soudain, les gens parlent tous de « la pandémie à venir ».

Il s’agit de documents publics politiques britanniques. Ils ne sont même pas au niveau des documents de type SPARS sur la pandémie, où de grands exercices ont été menés en Amérique et ailleurs, pour étudier la possibilité d’une pandémie. Il s’agit d’un ensemble de documents et de recherches supposées au Royaume-Uni.

Est-ce une coïncidence si, en quelques années, les articles se succèdent pour nous avertir de l’arrivée d’une pandémie ? Ce que je constate en lisant ces articles, c’est qu’il y a très peu de faits, mais beaucoup de langage émotif.

Et, bien sûr, les personnes qui avaient un emploi dans le secteur public, dans le système gouvernemental inférieur, étaient très susceptibles de lire ce matériel et de penser ensuite, « Mon Dieu, nous devons nous préparer localement à cela ! »

En regardant ces documents, je suis assez convaincu que ce que nous voyons est l’ensemencement des idées d’une pandémie à venir.

Bien sûr, ces graines ont été placées dans l’esprit des gens, et dès que nous avons commencé à recevoir des rapports sur l’arrivée d’une pandémie — en particulier, pour nous [en Grande-Bretagne], de la BBC — les gens auraient commencé à s’inquiéter, ou auraient commencé à penser à ce matériel et auraient commencé à réagir de la manière souhaitée par le gouvernement.

Nous avons donc des preuves substantielles montrant que le gouvernement britannique utilise et utilisera la psychologie appliquée pour faire passer ses politiques, ces preuves substantielles indiquant qu’ils vont aller jusqu’à rendre les gens craintifs.

Et j’ajouterai que si vous rendez les gens stressés et craintifs, vous allez aussi leur causer des problèmes de santé mentale, et nous vivons maintenant dans un pays où il y a une énorme augmentation des dépressions et de suicides, dont la presse grand public ne parle pas, parce que l’augmentation de ces effets négatifs sur la santé mentale a été si énorme depuis que les politiques de verrouillage ont été mises en place ; c’est un éléphant dans le salon au Royaume-Uni.

Nous avons la preuve dans les documents de l’existence de la psychologie appliquée calculée et destructrice. Si vous parlez aux gens dans les services publics, aux médecins, aux infirmières et au service hospitalier du NHS, ils nous disent qu’ils ont également été témoins de l’inondation soudaine de ces documents, les préparant effectivement à une pandémie qui était à venir. Pourtant, il s’agissait d’une pandémie qui, selon les journaux, ne pouvait pas être prédite !

Reiner Füllmich : Brian, au début de la session d’aujourd’hui, le Dr Wolfgang Wodarg et moi avons discuté du fait qu’un nouveau récit a été diffusé dans les médias grand public, probablement en commençant aux États-Unis avec Fox News. L’hôte Tucker Carlson a expliqué dans l’une de ses émissions d’information que la justice allait enfin être rendue, car[Anthony] Fauci a été pris en flagrant délit de mensonge au sujet de sa participation au laboratoire de virologie de Wuhan et de la manière dont il y avait mené des expériences de gain de fonction, financées dans le dos du contribuable américain et contre la volonté du gouvernement [américain], avec l’argent des contribuables américains.

Mais le vrai message n’était pas « On va avoir Fauci ». Le vrai message était : « Fauci ne nous a pas dit qu’un dangereux virus s’était échappé du labo de Wuhan ». « Entre-temps, nous savons qu’il y a probablement eu un accident au laboratoire de Wuhan, mais qu’il n’a pas causé de réels dommages. Cependant, ces personnes qui semblent avoir préparé le déploiement de cet agenda (comme vous venez de l’expliquer, et comme d’autres nous l’ont expliqué auparavant) — ces personnes ont saisi cette opportunité et l’ont utilisée comme un tremplin afin de commencer à déployer la  « pandémie » qui est en réalité une plandémie, et qui n’est en réalité qu’une pandémie de tests PCR.

Êtes-vous d’accord avec cela, qu’en réalité — et c’est vraiment important — nous n’avons pas un virus dangereux, parce que l’OMS, conformément à ce que dit John Ioannidis, a évalué le danger de cette pandémie à peu près au niveau d’une grippe ordinaire : 0,14 ou 0,15 % de taux d’infection et de mortalité ; donc, êtes-vous d’accord pour dire qu’il ne s’agit pas vraiment d’une pandémie, mais d’un effort coordonné ?

Comme vous l’avez dit lorsque vous avez commencé à nous parler, ce n’est pas de la folie, c’est un effort calculé qui utilise la psychologie, la PNL, afin de maintenir les gens dans la peur, afin de leur faire faire des choses qu’ils ne feraient pas autrement ?

Brian Gerrish : Je le crois certainement. Il y a un certain nombre de points qui sont impliqués dans ce que vous venez de me dire.

Le premier point important est le suivant : toutes les preuves qui nous sont parvenues par le biais de UK Column et de notre analyse ont montré que même les propres statistiques du gouvernement ont prouvé que ce qui se passe correspond en fait à une saison de grippe normale. Et bien qu’ils aient essayé de manipuler et de déformer les statistiques, l’Office national des statistiques du Royaume-Uni a fait son travail : les statistiques que ce centre a diffusées au public étaient correctes et montraient qu’il n’y avait pas de pandémie. Mais l’interprétation du gouvernement était une déformation flagrante des faits et des informations.

Reiner Füllmich : La même chose s’est produite ici en Allemagne.

Brian Gerrish : Oui, et je peux renforcer cette affirmation en vous disant que nous avons maintenant un grand nombre de personnes qui viennent nous voir — médecins et infirmières — pour nous dire qu’à l’époque où le gouvernement britannique prétendait que les hôpitaux étaient pleins de patients Covid, ils ne l’étaient pas.

Même les installations spécialisées créées dans les hôpitaux n’ont jamais accueilli un seul patient, sans parler du grand centre créé à Londres pour des milliers de patients qui s’est retrouvé, je crois, avec environ 63 patients dans une installation de plusieurs milliers de lits !

Dans les hôpitaux, des consultants [médecins traitants expérimentés] nous ont dit qu’ils avaient été responsables de la création de services spécialisés Covid, ce qu’ils ont fait, et lorsque ces services étaient créés, ils n’ont jamais accueilli un seul patient Covid.

Et pendant ce temps, le gouvernement britannique a renvoyé des personnes âgées, qui avaient manifestement la grippe — elles étaient dans les hôpitaux et étaient bien malades — le gouvernement a renvoyé ces personnes âgées par milliers dans les maisons de soins et de résidence, où, dans un environnement fermé, l’infection s’est bien sûr propagée.

Même la presse au sens large — en particulier les journaux britanniques : le Daily Express, le Daily Mail, le Daily Telegraph et le Guardian — ont tous rapporté à un moment donné que des dizaines de milliers de personnes âgées étaient mortes inutilement. Aujourd’hui, les experts qui nous parlent à UK Column disent que le chiffre n’est pas de quelques dizaines de milliers, mais de centaines de milliers.

Ainsi, on nous a menti sur le fait qu’il s’agissait d’une pandémie, et l’une des astuces utilisées par le gouvernement britannique et la BBC est qu’ils parlent des statistiques relatives à la Covid-19 dans un sens cumulatif. Ils ne cessent d’additionner les chiffres. Mais, bien sûr, la grippe est toujours enregistrée comme un événement saisonnier.

Une saison de grippe arrive, les gens attrapent la grippe, certaines personnes meurent — c’est toujours le cas — puis, lorsque le temps s’améliore, la grippe disparaît. Et puis, l’hiver suivant, c’est une nouvelle saison de grippe, et les statistiques recommencent. Mais avec la Covid, les statistiques ont été additionnées sur les deux saisons.

La manipulation psychologique de l’esprit des gens est absolument flagrante.

Vous avez mentionné Fauci. Je crois que ce que vous voyez en ce moment est un écran de fumée. Oui, il faut se poser des questions sur ce qui se passait dans le laboratoire de Wuhan, et nous savons certainement qu’il est de règle depuis de nombreuses années que, si un vaccin doit être créé, les entreprises pharmaceutiques améliorent une souche virale dans le cadre de leurs techniques de production d’un nouveau virus ; nous pouvons donc imaginer que, dans n’importe quel laboratoire, des virus dangereux améliorés peuvent être créés.

Nous savons donc que les laboratoires effectuent un travail essentiellement dangereux sur l’amélioration des virus, il est donc bien sûr possible que quelque chose se soit échappé.

Mais je pense que le moment où l’attention s’est soudainement tournée vers Fauci est très intéressant, car il a été soigneusement choisi, parce qu’ils savent que le grand public commence à poser les bonnes questions sur la politique de vaccination Covid-19. Et donc, pour essayer de détourner l’attention des gens des questions clés sur la vaccination, ils reviennent maintenant à Fauci.

L’autre homme qui a soudainement disparu de la scène publique est Bill Gates. Pourquoi Bill Gates a-t-il disparu ? Eh bien, il y a un certain nombre de questions intéressantes, mais le premier problème auquel il a été confronté est qu’il est devenu connu qu’il avait une amitié avec Epstein. Ainsi, tout d’un coup, M. Bill Gates est passé du statut d’homme d’affaires philanthropique, propre et bien élevé à celui d’homme d’affaires souillé par le fait qu’il avait une amitié très douteuse avec [Jeffrey] Epstein. Et Melinda Gates a maintenant déclaré qu’elle avait averti son mari de cette relation il y a de nombreuses années.

Soudainement, Bill Gates a été exposé dans les grands médias. Ensuite, l’attention se porte à nouveau sur Fauci. Mon sentiment est que les responsables de ce plan ignoble réalisent que le public commence à regarder dans la bonne direction et qu’ils ont donc besoin de quelque chose pour les distraire.

Et je pense que nous allons assister à une recrudescence des accusations selon lesquelles ce sont les Chinois qui ont produit une arme biologique, et que Fauci était impliqué. Il s’agit là de propos médiatiques à caractère émotif et non d’une analyse correcte de ce qui s’est passé. C’est mon opinion personnelle ; je peux me tromper.

Reiner Füllmich : Je pense que nous sommes d’accord avec ça, et tous ceux à qui nous avons parlé sont d’accord avec ça. Il semble que les responsables de cet agenda commencent à jeter des gens sous le bus, mais — manifestement — uniquement dans un but précis : détourner l’attention du grand public de ce qu’ils font.

Dans une certaine mesure, je pense que cela montre qu’ils perdent le contrôle. Ils ne perdent pas complètement le contrôle, mais ils le perdent. Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Brian Gerrish : Je suis d’accord, et si nous voulons introduire quelques bonnes nouvelles dans notre discussion, les gens contre qui nous nous battons sont des menteurs invétérés. Ils disent des mensonges, ils ne disent pas la vérité. Et leur problème est qu’ils finissent par être pris au piège par leurs propres mensonges. Je pense que c’est une grande partie ce qui a commencé à se produire.

Je peux vous donner un autre exemple, au Royaume-Uni, où nous constatons qu’il y a soudainement une certaine crainte émergente dans le système. L’agence britannique responsable de la sécurité et de la réglementation des médicaments s’appelle la MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency). C’est l’organisation qui a recueilli les données sur les effets indésirables des vaccins, et pour vous et tous ceux qui regardent ou écoutent, leurs derniers rapports indiquent qu’au Royaume-Uni, il y a eu 859 481 réactions indésirables…

Reiner Füllmich : Vous avez dit 850 000 !

Brian Gerrish : 859,481. Et 1 213 décès. Ces statistiques sont celles du gouvernement britannique ; elles ne viennent pas de moi, mais du système de carton jaune de la MHRA. Ce système de sécurité est le suivant : quiconque entre en contact avec une réaction indésirable à un vaccin — qu’il s’agisse d’une réaction que vous avez vécue vous-même ou dont vous avez été témoin en tant que membre de la famille ou ami, ou même si vous êtes membre de la profession médicale — doit déclarer la réaction indésirable due à un vaccin sous forme de carton jaune, et c’est la MHRA qui détient cette base de données.

Maintenant, dans la propre documentation de la MHRA, ils ont déclaré en 2018 qu’à leur connaissance, pour tout médicament, y compris les vaccins, moins de 10% des effets indésirables graves ont été enregistrés. Moins de 10 % ! Et pour les effets indésirables plus mineurs des vaccins, ils ont dit que le chiffre enregistré se situerait entre 2 % et 4 % [du total réel].

Si l’on compare cette déclaration aux 859 000 effets indésirables et aux 1 213 décès enregistrés, on peut considérer que 12 000 personnes sont mortes.

Dans UK Column, nous avons beaucoup parlé de ces données, et sur le site ukcolumn.org, mon collègue, Mike Robinson, a mis en place un moteur de recherche qui permet de consulter les données de la MHRA. Et c’est un fantastique outil, car, sur le site Web de la MHRA, vous ne pouvez pas rechercher dans les données, ce qui est très déroutant et trompeur pour le public.

La mise en garde selon laquelle seuls 10 % des effets graves ont été enregistrés est très importante. Au cours des deux dernières semaines, la MHRA a ajouté un nouveau paragraphe en rapport avec cette mise en garde concernant le faible taux de signalement des effets indésirables dans lequel ils déclarent : « Le chiffre de 10% par rapport au 2-4% ne s’applique pas aux rapports du système carton jaune sur les effets indésirables du vaccin Covid-19. »

Ainsi, dès que UK Column a commencé à attirer l’attention du public sur le fait que la MHRA avait déjà enregistré 859 000 effets indésirables et 1 200 décès, et que cela pourrait ne représenter qu’une très faible proportion du nombre total d’effets indésirables, la MHRA a tenté de tromper le public en affichant un avis disant que cette règle de 10 % ne s’appliquait pas aux effets indésirables résultant de la vaccination Covid-19.

Viviane Fischer : Mais est-ce que quelqu’un peut croire ça ?

Brian Gerrish : Eh bien, certaines personnes oui inévitablement, car les membres du public qui lisent ces informations sans avoir une compréhension plus complète sont toujours dans la posture psychologique de croire ce que le gouvernement leur dit, ce qui est une très grosse erreur, bien sûr.

En tant que médias, nous avons fortement contesté cette décision, puis quelque chose de très intéressant s’est produit : la MHRA a soudainement annoncé, ces derniers jours, qu’elle allait lancer une initiative spéciale pour l’information et la sécurité des patients. Et quand vous regardez les documents produits, vous réalisez vite qu’ils ne disent pas réellement ce qu’ils vont faire pour améliorer la sécurité des patients.

L’autre partie de l’histoire de ce qui se passe au Royaume-Uni est la suivante : la MHRA a la responsabilité générale de consigner les effets indésirables des vaccins, mais ce qu’elle ne fait pas, c’est enquêter pour produire la conclusion finale sur le fait qu’un effet a bien été créé par un vaccin ou non.

Viviane Fischer : C’est la même chose ici.

Brian Gerrish : Et si c’est la même chose en Allemagne, alors nous commençons à voir qu’il y a un modèle qui émerge. Cela ne peut pas être un accident, cela ne peut pas être une coïncidence.

Viviane Fischer : Et c’est étonnant : nous en avons discuté plus tôt dans cette session, ils ne font pas d’autopsies. Ils refusent vraiment : soit cela vient des procureurs de l’État, soit cela est entravé d’une manière ou d’une autre dans les coulisses, par des décisions politiques, peu importe. Ils ne pratiquent aucune autopsie sur les personnes qui ont été enregistrées ou qui ont déclaré par leurs proches qu’il pourrait y avoir un lien de causalité avec les vaccins. Ils ne l’examinent pas, et s’ils le font, ce sera une inspection mineure, superficielle, à l’issue de laquelle ils affirment : « Oh, il n’y a pas de lien, c’est impossible ». »

Brian Gerrish : Eh bien, cela se produit également au Royaume-Uni, où les autopsies ne sont pas effectuées. Nous avons même vu — c’est un fait, car nous avons interrogé la famille concernée — [un cas] où le père d’une famille est décédé d’une crise cardiaque très peu de temps après avoir reçu une injection, et l’hôpital n’a pas soumis de rapport de carton jaune, et plus tard, lorsque la famille a soumis ce carton jaune, rien ne s’est passé. Six semaines et demie se sont écoulées.

Ils se sont alors tournés vers la MHRA et ont demandé, « Que faites-vous pour enquêter sur la mort de notre proche ? ». Et la première chose que la MHRA leur a demandée, c’est : « Y a-t-il eu une autopsie ? ». Comme vous l’imaginez, la responsabilité de faire une autopsie incombe à l’équipe médicale, qui aurait dû décider que le décès pouvait être lié au vaccin, [et que] par conséquent, une autopsie était nécessaire. Mais lorsqu’il était trop tard, et après que la personne soit enterrée, la MHRA répond :  « eh bien, il n’y a pas eu d’autopsie ».

Il y a environ deux ans, une autre chose s’est produite au Royaume-Uni. À l’origine, les certificats de décès devaient être signés par deux médecins. Or, au cours de la « pandémie », cela a été changé pour qu’il n’y ait qu’une seule signature. Constamment, sur les certificats de décès, « Covid » était enregistré même lorsque les membres de la famille déclaraient : « Mais mon père, ma mère, mon frère sont morts du cancer ! » Mais comme ils avaient soi-disant été testés positifs au Covid-19, c’était en fait enregistré comme la cause du décès.

Il s’agit donc de la falsification officielle de statistiques, avec un impact direct sur la santé de la nation. C’est calculé. Et c’est pourquoi je reviens à l’affirmation que ce n’est pas de la folie ; si vous analysez très attentivement les décisions politiques, les politiques, les documents, ce que nous regardons est un génocide. C’est planifié. C’est prémédité.

Un haut responsable du National Health Service — qui nous a parlé en tant que dénonciateur — a même utilisé ce terme. Elle a dit : « Ce que j’ai vu se dérouler au sein des services de santé du Royaume-Uni est un génocide. »

Reiner Füllmich : Était-ce un membre de la communauté médicale ?

Brian Gerrish : C’était un membre du conseil d’administration d’un des conseils du NHS. Des infirmières viennent nous voir en employant le même terme « génocide ». J’ai des médecins qui utilisent aussi ce terme, mais ils ne l’utilisent pas à la légère. C’est un mot qui ressort lorsque vous les interrogez sur leurs expériences et ce qu’ils ont vu.

Viviane Fischer : Que pensez-vous de l’empressement à vacciner les enfants ? Le gouvernement [allemand] a déclaré qu’à partir du 7 juin, les enfants devaient être vaccinés, et que tout devait être terminé avant la prochaine année scolaire. Cela semble donc assez scandaleux ; de toute évidence, beaucoup de gens sont très mécontents de cette nouvelle mesure.

Ils disent que ce ne sera pas obligatoire, mais avec la pression des pairs, et avec le fait qu’ils disent que vous ne pouvez retourner à l’école qu’avec des tests ou la vaccination, il y a bien sûr une pression ; c’est fondamentalement obligatoire, ou ça va le devenir.

Je me demande si vous pensez qu’ils accélèrent le processus parce qu’ils voient que les effets secondaires des vaccins vont devenir de plus en plus évidents.

Peut-être que s’ils introduisaient cette mesure plus tard dans l’année, un certain nombre de parents pourraient hésiter à se faire vacciner, alors que maintenant, c’est encore entre deux, et peut-être qu’avec la possibilité de partir en vacances, c’est une bonne idée d’attirer les gens ou de les inciter à faire vacciner leurs enfants maintenant ? Qu’en pensez-vous ?

Brian Gerrish : Je suis tout à fait d’accord avec votre analyse. Il est très clair qu’il y a maintenant une urgence massive à vacciner les enfants, et nous pouvons le voir dans les déclarations ouvertes des politiciens. Un homme politique, [l’ancien ministre de la Santé] Jeremy Hunt, s’est levé à Westminster il y a quelques jours et a déclaré en substance qu’il était vital que nous commencions à vacciner les écoliers.

Nous pouvons donc voir des déclarations ouvertes, mais aussi d’autres documents qui circulent où, une fois de plus, il y a cette utilisation malveillante de la psychologie : on dit aux enseignants que s’ils rencontrent des parents qui sont réticents à faire vacciner leurs enfants, ces parents seront répertoriés comme extrémistes.

Nous voyons donc à nouveau apparaître ce clivage psychologique, qui vise à éloigner les gens de leurs enfants. Bien sûr, si vous éloignez les parents des enfants, alors le gouvernement peut faire ce qu’il veut des enfants.

Il y a vingt ans, je lisais un livre politique très instructif intitulé The European Union Collective : Enemy of its Member States [par Christopher Story], et dans ce livre il y avait un tableau qui prétendait être un tableau sur l’attaque psychologique contre les nations occidentales. Il s’agissait d’une période de démoralisation, d’une période de déstabilisation et, au bout de cinq ans, d’un chaos et d’un effondrement complet.

Et lorsque j’ai lu ce tableau — je n’avais pas encore quitté l’armée depuis longtemps — mon esprit s’est dit : « Certaines de ces choses se produisent ici et maintenant. J’ai plein d’exemples en tête ! » J’ai donc fait des conférences publiques sur l’idée — j’appellerai cela une « idée » — qu’une attaque psychologique, une attaque démoralisante, est en train d’être déclenchée sur nos nations respectives. Je crois que c’est le cas.

Et je crois que lorsque vous voyez comment la politique de cette escroquerie Covid, ce mensonge, se reflète au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, et dans tous les autres pays, alors nous pouvons voir que clairement, la base de pouvoir qui injecte cela n’a rien de démocratique. Elle nous est hostile.

J’ajouterai juste que Bill Gates a soutenu une organisation appelée CEPI : la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations. La Fondation Bill et Melinda Gates a versé plusieurs centaines de millions de dollars à cette organisation.

Eh bien, par « miracle », le CEPI a fini par financer le laboratoire de tests biologiques que la MHRA au Royaume-Uni allait utiliser, et utilise toujours, pour nous dire si les vaccins sont sûrs ! Donc Bill Gates a soutenu financièrement le CEPI, le laboratoire utilisé pour nous dire que les vaccins sont sûrs, alors qu’ils ont officiellement enregistré 860 000 effets secondaires !

Mais ils n’ont pas établi de corrélation pour savoir s’il existe un lien de causalité avec les vaccins eux-mêmes. Cette recherche n’a pas été faite.

Il est donc évident que vous avez un système qui a été mis en place pour tromper le public sur ce qui se passe réellement avec ces vaccins. Et je pense qu’ils veulent les enfants parce qu’ils sont maintenant assez effrayés de voir que les bonnes questions sont posées, et ils savent que s’ils veulent faire vacciner les enfants, ils doivent se dépêcher.

Viviane Fischer : J’ai encore une question. Nous examinons toutes les mesures : les masques, ces tests bizarres, maintenant la vaccination, et la distanciation sociale. Pensez-vous que ces mesures ont avant tout un aspect psychologique, le fait d’être victime d’un coup de force ou de devoir faire preuve d’obéissance ?

Pensez-vous que tous ces éléments technologiques, pharmacologiques ont le même but : vous rendre malade ?

Comme nous savons que les tests sont nocifs, les masques font que les gens soient infectés plus facilement par un virus ou la grippe, se pourrait-il que ce soit aussi élégamment orchestré sur une base médicale ?

Brian Gerrish : Oui. Je pense que ce que vous dites est correct. C’est difficile pour les gens [d’imaginer cela]. Si nous disons que nous sommes des gens raisonnables — nous, les personnes réunies ici aujourd’hui, ne sommes pas parfaits, mais nous sommes des gens raisonnables et nous nous préoccupons de notre prochain, homme ou femme ; c’est ce que nous avons dans la tête — lorsque vous avez cela dans la tête, il est très difficile pour vous de regarder quelqu’un qui déchaîne un plan totalement brutal sur les gens.

Si des dizaines de milliers de personnes âgées ont été délibérément tuées au Royaume-Uni (et je pense que les preuves en sont accablantes), alors les personnes qui ont pris la décision de tuer ces personnes âgées sont également capables de prendre la décision de tuer d’autres membres de la société qu’elles ne considèrent pas comme valables.

Pour en revenir à la psychologie et aux documents : je possède un document du National Health Service qui parle de la sécurité des patients, et qui dit :  « Si nous faisions ceci ou cela, nous pourrions peut-être sauver la vie de 160 personnes par an. Cela vaudrait 23 millions de livres sterling. »

Chaque fois que le document du NHS parle de la protection des êtres humains, il lui attribue une valeur financière. Et quand je vois ces phrases, je sais que la personne qui a écrit ce document ne pense pas de la manière dont nous pensons tous.

Ainsi, ce qu’ils font aux enfants avec les masques et la distanciation sociale — et en leur donnant des leçons sur « la dangerosité du virus » est une attaque psychologique sur leur esprit, et les personnes qui font cela savent très bien que cela va entraîner toutes sortes de problèmes de santé mentale chez les enfants.

Il y a un document très important qui s’appelle le tableau de coercition de Biderman. Il s’agit d’un document reconnu par l’Organisation mondiale de la santé sur les techniques de torture non physiques.

Avant ce direct avec vous, une dame très bien informée m’a envoyé un document où il est dit que désormais, au Royaume-Uni, si un bébé naît et que l’on soupçonne que cet enfant peut être testé positif au Covid, il ne faut pas qu’il ait de contact avec la peau.

Viviane Fischer : Cela devient vraiment incontrôlable. Pensez-vous que le fil conducteur de toute cette affaire est écrit en Angleterre ? Pensez-vous que [le Royaume-Uni] est vraiment l’araignée dans la toile ? Pourriez-vous découvrir [cela], avec les Français ? S’agit-il d’un scénario américain ? L’organisation doit être centralisée d’une manière ou d’une autre.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est bien sûr une question très intéressante, car lorsque j’ai parlé du tableau de déstabilisation [dans le livre de Christopher Story], cela faisait prétendument partie d’un plan communiste pour déstabiliser l’Occident.

Mais je pense que si nous adoptons une vision plus mature de la situation, si nous examinons la base du pouvoir (et pour l’instant, nous nous concentrons sur la base du pouvoir des entreprises pharmaceutiques), la base du pouvoir se trouve dans les réseaux de ces entreprises. Et, bien sûr, ces entreprises ne peuvent fonctionner qu’avec les personnes qui contrôlent leurs milliards de dollars de fonds de roulement et de bénéfices.

Donc, pour moi, il est très facile de dire que si vous voulez commencer à déterminer qui fait cela, alors vous devez regarder qui contrôle réellement l’argent.

Et cela peut être assez émouvant, selon la façon dont vous présentez cet argument, mais au Royaume-Uni, le gouvernement — qui n’a pas été capable de construire des hôpitaux, qui n’a pas les moyens de boucher les trous dans les routes, ne peut pas investir dans les écoles — annonce soudainement que nous avons 800 milliards de livres sterling qui sont apparues de nulle part afin de lutter contre la Covid. Eh bien, cela dévoile quelque chose de très important.

L’autre élément qui me semble important à l’heure actuelle est le suivant : on aurait pu penser il y a quelques années que si une telle pandémie se produisait, alors que l’économie est si durement touchée, on entendrait les banques se plaindre ; on entendrait les banques dire : « C’est désastreux, car l’économie britannique a diminué de 30 à 40 %. Les banques ne peuvent pas fonctionner. »

Mais en fait, les banques sont silencieuses. Et cela me dit que les banques sont heureuses. Elles doivent être heureuses, car elles sont silencieuses.

Reiner Füllmich : D’après ce que nous avons appris jusqu’à présent, ce sont les banques. C’est la haute finance qui profite de tout cela, à travers ses investissements dans l’industrie pharmaceutique et technologique.

Mais l’essentiel de tout cela, si c’est un programme (et je n’ai aucun doute que ce soit un programme, un effort calculé), c’est que le meurtre de la classe moyenne, des petites et moyennes entreprises que l’on pousse à la faillite, et le meurtre réel de personnes, n’est pas un dommage collatéral ; c’est un dommage voulu, n’est-ce pas ?

Brian Gerrish : C’est prévu, et il y a environ neuf mois (je ne peux pas l’étayer davantage, car il s’agit d’une dénonciation), un dénonciateur qui avait manifestement participé à des réunions de relativement haut niveau au sein du gouvernement britannique nous a dit qu’il était choqué qu’à un moment donné, ils aient discuté de la nécessité de détruire les petites et moyennes entreprises.

Il a dit qu’on en avait discuté d’une manière si froide que cela l’a vraiment troublé. Lorsqu’il est sorti de la réunion, il ne pouvait pas croire ce qu’il venait d’entendre.

Le précédent gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, a annoncé publiquement à plusieurs reprises que les entreprises qui n’adhéraient pas au nouveau programme vert relatif au « changement climatique » seraient punies. Elles seraient mises en faillite. Il a dit cela publiquement, et toute personne exploitant une petite entreprise aurait vraiment dû prêter attention à ce que cet homme disait.

Et, bien sûr, si vous empêchez les petites entreprises de travailler, vous empêchez les gens de gagner leur vie ; et lorsqu’ils ne peuvent pas gagner leur vie pour vivre, manger, vous augmentez également les problèmes de santé mentale.

Le mot anglais pour cela est « malevolent » : c’est un programme empoisonné, délibéré, parce que c’est discuté au Parlement et cela apparaît dans les documents qui sont publiés.

Viviane Fischer : Quel était le pseudo-argument utilisé par les membres du gouvernement lorsqu’ils parlaient de la nécessité de sortir les petites et moyennes entreprises ? Le changement climatique ?

Brian Gerrish : Eh bien, bien sûr, ils vendent au grand public qu’il y a un problème de changement climatique, et qu’il est désespérément important que nous prenions toutes les mesures pour traiter le problème climatique ; et si cela signifie que quelques centaines de milliers de petites entreprises vont être détruites, eh bien, c’est ce qui doit arriver.

Le facteur peur est donc constant : la psychologie est basée sur la peur et le contrôle. Nous devons avoir peur, car la fin du monde est imminente à cause du changement climatique. Nous devons avoir peur d’une pandémie. Nous devons avoir peur d’une guerre avec la Chine et la Russie. C’est de la psychologie délibérée et calculée.

Et, à mon avis, c’est pourquoi, si nous voulons lutter contre ce qui se passe avec la Covid et la vaccination, nous devons également aborder cette question. Lorsque nous pouvons prouver que nos gouvernements mentent et font de la propagande, il faut frapper aussi fort et dire au public : « Nous pouvons vous montrer que les vaccins sont dangereux, en raison des statistiques sur les réactions indésirables ». « Nous devons faire les deux choses simultanément. »

L’une des ironies est que le lockdown a été très bénéfique pour UK Column, car beaucoup, beaucoup plus de personnes viennent nous voir, et chaque semaine, nous recevons probablement six, sept, huit courriels de personnes qui nous disent : « Nous aimerions vous remercier de nous avoir permis de rester sains d’esprit. Vos informations, les faits que vous présentez, vos analyses nous ont aidés à rester sains d’esprit, car nous étions en détresse ; nous étions anxieux. »

Et c’est un énorme compliment pour nous, quelque chose de très spécial. Mais, bien sûr, ils nous parlent aussi de la puissance de l’effet sur l’esprit du public.

Viviane Fischer : J’ai une dernière question. Nous avons l’impression — et c’est peut-être lié à ce que vous avez dit sur la programmation neurolinguistique — que les gens sont sous une sorte de charme. Nous en avons discuté avec de nombreux psychologues.

Brian Gerrish : Eh bien, nous le croyons aussi. C’est la conclusion à laquelle nous sommes arrivés. Nous pouvons dire que les gens sont sous le charme, et la meilleure description, selon nous, est qu’ils ont été hypnotisés.

Viviane Fischer : Oui, hypnotisé. Mais comment pensez-vous que nous puissions briser ce charme ? Y a-t-il un moyen ?

Reiner Füllmich : L’information. Nous devons diffuser l’information, car la connaissance est ce qui tue l’illusion. La vraie connaissance tue l’illusion qu’ils ont créée.

Brian Gerrish : C’est vrai, mais nous devons aussi être réalistes : si vous regardez ce qui se passe lorsque vous essayez d’hypnotiser un groupe de personnes, vous obtenez une distribution en courbe en cloche. Certaines personnes y sont très sensibles et seront extrêmement hypnotisées ; d’autres peuvent être légèrement affectées ; et certaines personnes sont très difficiles à hypnotiser.

Donc, dans l’ensemble de la population, je crois qu’il faut y penser d’une manière un peu plus mesurée : vous allez avoir des gens que je pense, probablement, que nous ne pourrons pas atteindre. Ils sont partis. Ils ne peuvent pas penser par eux-mêmes. Et vous aurez d’autres personnes — vous en faites clairement partie et j’espère moi aussi — qui voient clair dans ce qui se passe. Peu importe ce qu’ils disent ou nous « montrent », nous pouvons voir la vérité.

Donc, en l’exposant et en diffusant nous-mêmes les informations correctes, nous brisons cette hypnose. Et, pour être positif, je pense que cela s’accélère. Le gouvernement britannique vient d’annoncer qu’il dépensait 1,6 milliard de livres pour l’interface avec les entreprises médiatiques ! 1,6 milliard de livres. Le budget de la BBC est de 5 milliards de livres à elle seule.

Ainsi, la BBC au budget de 5 milliards de livres [ce qui ne suffit manifestement pas] est la plus grande machine de propagande que le monde ait jamais vue. C’est l’organisation la plus dangereuse. Vous ne devriez pas croire ce que dit la BBC sans le vérifier auprès d’une autre source. Je pourrais vous parler pendant une heure de ce qu’est réellement la BBC.

Reiner Füllmich : Oui, eh bien, nous avons le même problème avec nos stations de radio et de télévision publiques nationales, je crois. Mais c’est peut-être pire en Grande-Bretagne, car je pense que votre histoire avec ce genre de propagande est beaucoup plus ancienne !

Brian Gerrish : Je suis désolé, je n’ai pas répondu complètement à la question de Viviane sur le fait de savoir si je pensais que le siège se trouvait au Royaume-Uni. Je suis très embarrassé de dire que je pense que oui, c’est au Royaume-Uni. Nous sommes face à une base de pouvoir qui est un mélange entre le pouvoir monétaire de la City de Londres, et ce qui est très clair dans la documentation, est que ce pouvoir monétaire travaille maintenant en symbiose avec les services de sécurité au sens large.

Cela fait partie de ce que l’on appelle au Royaume-Uni la Doctrine de la Fusion. C’est une autre discussion, mais en quelques mots, nous pouvons voir que la base du pouvoir monétaire contrôle maintenant à la fois les réseaux de renseignement, comme le GCHQ [équivalent du BND allemand], mais aussi les services secrets. Ils agissent de concert.

C’est un fait, je vous l’assure, car il a été annoncé publiquement (mais très discrètement !) que Google et le GCHQ, l’organisation britannique de renseignement et de cybersécurité, travaillent désormais au sein du National Health Service. C’est scandaleux.

Reiner Füllmich : Mais au fur et à mesure que le tableau se dessine, il devient de plus en plus clair pour un nombre croissant de personnes. C’est pourquoi ils poussent si fort, parce qu’ils comprennent que quelque chose est en train de dérailler.

Brian Gerrish : Oui, ils comprennent que les gens se réveillent, et nous le voyons. Je pense qu’il y a eu une grande… Les médias sociaux se sont stabilisés. Je pense qu’à de nombreux endroits sur les médias sociaux, on constate une énorme amélioration de la qualité et de la précision des informations qui sortent, et je ne pense pas qu’ils aient jamais réalisé que les gens utiliseraient les médias sociaux pour des analyses et des rapports professionnels, comme vous le faites aujourd’hui. Cela les effraie beaucoup.

Reiner Füllmich : Bien.

Brian Gerrish : Donc je pense que nous devons exposer ce qui se passe. L’autre chose que nous avons apprise en dix ans, c’est qu’il est toujours préférable de sous-estimer légèrement ce dont on parle.

Si vous le racontez raisonnablement en douceur, vous pouvez toujours revenir et recommencer ; mais si vous êtes trop agressif, si vous êtes trop énergique, si vous effrayez les gens, vous les perdez. Nous avons donc essayé de toujours parler de ce qui se passe très calmement, de manière mesurée, et nous ne couvrons pas non plus toutes les choses que nous observons.

Pour prendre un exemple, les gens parlent d’aimants qui se collent à vous après une injection. Je ne sais pas si c’est vrai ou non ; je suis intéressé de suivre ceci, mais je ne vais pas en parler, parce que jusqu’à ce que je puisse le prouver, je ne veux pas dire quelque chose qui pourrait saper ce dont nous parlons.

Je pense donc que l’approche consistant à ne pas être trop franc et agressif aide les gens à venir nous voir et à absorber les informations.

Si vous voulez terminer sur une note vraiment positive, j’ai décidé de mettre un peu de verdure derrière moi aujourd’hui, car j’ai pensé qu’un peu de soleil et un peu de verdure pourraient nous remonter le moral. Je crois que quelque chose de très intéressant s’est produit au cours des quatre ou cinq derniers mois : les professionnels commencent à poser les bonnes questions.

Je pense que la vitesse à laquelle cela se produit est à l’origine de toutes ces décisions étranges prises par l’establishment : le sacrifice de Fauci, l’empressement à faire vacciner les enfants alors même que le reste de la politique n’a pas encore été mis en œuvre — tout cela me semble indiquer qu’ils sont très effrayés.

La dernière chose dont j’aimerai parler — et je dois sourire en en parlant — c’est qu’il y avait un activiste à Chicago appelé Saul Alinsky, auteur d’un très bon livre intitulé Rules for Radicals. Dans ce livre, il parle essentiellement de techniques pour renverser le gouvernement, mais l’une d’elles est de « Toujours rendre l’argument personnel ».

Reiner Füllmich : C’est ce que nous faisons, oui.

Brian Gerrish : Et donc il ne suffit pas de parler de « la BBC » ; nous devons parler de Tim Davie, le directeur général de la BBC. Il ne me suffit pas de parler de « la MHRA » ; je dois parler du Dr June Raine, le directeur général de la MHRA.

L’autre petite chose que vous pourriez faire (ou vous en moquer, je ne vous en voudrai pas !) est qu’en écrivant à certains de ces fonctionnaires, vous mettiez leur photo dans la lettre ou l’e-mail que vous leur envoyez. En faisant cela, vous leur faites bien comprendre que ce n’est pas une communication sèche, mais que vous les considérez comme un individu.

Et donc, vous utilisez la psychologie appliquée. Si les mauvaises personnes l’utilisent sur nous, je pense que nous pouvons en utiliser un peu sur eux.

Reiner Füllmich : Eh bien, c’est ce que nous faisons, en fait. Nous en faisons une affaire personnelle. Nous nous attaquons à ces personnes personnellement, pas aux institutions. Brian, merci beaucoup, beaucoup.

C’était extrêmement intéressant et très important, et je pense que nous allons échanger davantage, parce que nous devons rester en contact maintenant que nous réalisons ce que nous soupçonnions depuis le début, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un effort international concerté par certaines personnes très, très malveillantes.

Brian Gerrish : Oui, et quelle merveilleuse opportunité cela représente, parce que quoi que ces gens fassent, ils opposent constamment les nations entre elles. Si nous prenons un peu de recul et que nous regardons les guerres et les problèmes, c’est ce type de personnes qui en sont la cause, et je pense que nous avons une merveilleuse opportunité ici et maintenant.

La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain, quelle que soit notre nationalité, notre religion ou la couleur de notre peau. Je pense que nous avons là une opportunité très excitante.

Reiner Füllmich : Nous sommes d’accord. C’est un réel plaisir, Brian. Merci beaucoup. À bientôt.

Originellement publié dans UK Column.




Êtes-vous des cobayes ou des robots ?

Source : Magazine N°35 « VOTRE SANTÉ » Août 2002

Par Sylvie SIMON

« Les Français sont des bœufs »

Charles De Gaulle

Surtout n’oubliez-pas de faire vacciner vos nounours ! Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique d’implanter dans le corps des cristaux liquides(([1] Voir : Un tout petit peu d’ADN suffit pour faire des cristaux liquides (2007) )) qui, comme la puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ?

La pression vaccinale des autorités est devenue telle qu’on est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination.

II y a quelques années, certains scientifiques avaient suggéré qu’on pourrait, un jour, mettre au point plusieurs vaccins combinés qu’on injecterait au nouveau-né. En même temps, on introduirait dans son corps une puce électronique qui permettrait un suivi très précis de sa santé. Lorsqu’ils ont fait cette proposition, avec le plus grand sérieux, on peut se demander si ces scientifiques étaient conscients que leur suggestion dépassait de très loin tout ce qu’avaient imaginé Aldous Huxley dans le Meilleur des mondes, ou George Orwell dans 1984, ou d’autres écrivains de science-fiction.

Une invasion de puces

Or, depuis quelque temps, la réalité dépasse la fiction. Nous avons ainsi appris par la télévision que l’on commence a injecter des puces à des enfants ou à des vieillards atteints de la maladie d’Alzheimer afin de pouvoir mieux les surveiller lorsqu’ils risquent de s’éloigner de la vue de leurs proches. Cette technique est également utilisée par la médecine vétérinaire pour identifier les animaux. Une multinationale, Texas Instruments, a mis au point des transpondeurs, c ‘est -à-dire des micro-ordinateurs qu’on a injectés à des milliers d’animaux à travers la planète. Jusqu’à présent, ces puces étaient utilisées pour retracer, contrôler et identifier toutes sortes d’animaux comme tous produits manufacturés. Le Dr de Brouwer (Vaccinations : erreur médicale du siècle, Louise Courteau, 1997) explique :

« Ces transpondeurs, à partir d ‘une influence magnétique extérieure, permettent d’agir à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire inconsciente, soit avec des émetteurs, soit des antennes télé, soit des satellites. Si de tels transpondeurs étaient injectés à des humains, il serait possible d’agir sur les gens avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience individuelle. »

Nous n’en sommes plus a l’heure de faire des suppositions mais à celle de nous inquiéter vivement pour une situation déjà établie et qui ne peut que s’aggraver dans le futur . De son côté, le Dr Jose Delgado, pionnier de la stimulation électronique du cerveau et auteur du Contrôle physique de la pensée, paru en 1969, déclarait dans son ouvrage :

« Les transmetteurs cérébraux peuvent demeurer dans le cerveau d’un sujet à vie. L’énergie qui actionne le transmetteur est transmise par des fréquences radio. […] L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles.« 

La réalité dépasse la fiction :

Les premiers implants étaient petits, mais encore visibles, tandis que les nouvelles versions à cristaux liquides peuvent être directement injectées dans le sang pour se loger dans certaines régions du cerveau et influencer le comportement d’un individu. Si l’ on se réfère à Tim Willard, éditeur du magazine américain Future Society, la technologie cachée derrière le nouveau Micro-Chip humain n ‘est pas très compliquée, et pourrait être appliquée dans une large variété d’activités humaines.

Dans le Belleville News Democrat du 28 décembre 1997, Rod Hafemeister signalait que des puces allaient être utilisées sur des soldats. En effet, pour les immuniser contre l’ anthrax avec les rappels nécessaires, il faut un suivi de plusieurs années.

« Le Pentagone estime qu’il faudra près de six ans pour immuniser tous ceux qui portent l’uniforme.[…]

Ce programme n’aurait pas été possible il y a quelques années, mais la mise sur ordinateur du suivi médical et la puce qui peut le contenir, portée par le soldat, devrait tout changer.  »

Dans le même article, le journaliste signale que Paul Sullivan, directeur exécutif du National Gulf War Resource Center, accuse le Pentagone d’utiliser les troupes sans leur consentement pour tester des médicaments qui n’avaient pas l’approbation définitive de la FDA :

« Le Pentagone a été sévèrement critiqué pour avoir commis la même faute en Bosnie« , ajoute-t-il. Ces tests ne comportent pas l’injection de puces, mais se réfèrent à la même volonté de pouvoir sur les citoyens, otages d’un système corrompu qui relève plus du nazisme que de la démocratie.

Big Brother est là!

Récemment, le Pr Kevin Warwick, de l’université de Reading, en Grande-Bretagne, s’est fait insérer sous l’épiderme un microprocesseur afin de démontrer les nombreux abus qui pourraient découler de l’utilisation de ce genre d’appareil capable d’allumer les lumières et de souhaiter la bienvenue d’une voix caverneuse. Introduit sous anesthésie locale, l’appareil contenait soixante-quatre informations sur le professeur de cybernétique que sa secrétaire pouvait ainsi suivre en permanence. « C’est vraiment Big Brother, ce n’est plus de la science-fiction…« , a-t-il déclaré (Libération du 29 août 1998). Ce genre de puce peut contenir toutes sortes d’informations des plus variées : numéro de sécurité sociale, groupe sanguin, carnet de santé, convictions religieuses, qualifications professionnelles. En effet, Big Brother évoqué par George Orwell est à notre porte. Kevin Warwick dénonce :

« L’être humain est menacé par l’ordinateur sapiens dont l’ intelligence ne tardera pas a dépasser celle de son créateur. »

(Le Monde, 25 septembre 1998.)

Carl W. Sanders est un ingénieur électronicien qui a passé plus de trente ans a mettre au point des puces électroniques pour IBM, General Electic, Honeywell et Teledyne, mais aussi pour diverses organisations gouvernementales. L’un des projets sur lequel il a travaillé s’appelait Phoenix et concernait les vétérans du Vietnam. Une puce électronique, appelée Rambo, permettait de faire monter leur taux d’adrénaline. Carl W. Sanders a déclaré au journal Nexus de juin-juillet 1994 que, lors des discussions sur le contrôle électronique avec la CIA auxquelles il a assisté, on parlait des citoyens comme d’un troupeau.

« Lorsque la discussion parvint au stade de l’identification par puce, ils précisèrent leurs objectifs : le nom et la photo, le numéro de sécurité sociale, l’empreinte digitale, la description physique, le contexte familial, le métier, les informations administratives, les impôts et le casier judiciaire. »

À cette époque, il avait alors assisté à dix-sept réunions de ce genre.

« Récemment, ils ont abordé le Health Care Program, un suivi du ventre maternel à la tombe« .

Des projets ont été soumis au Congrès afin de permettre d’injecter une puce à votre enfant dès la naissance.

Et, évidemment, les vaccins !!

En 1995, aux Etats-Unis,

Donna Shalala, responsable du DHHS (Départment of Health and Human Services) a suggéré de donner un numéro de sécurité sociale dès la naissance, afin d’y inscrire l’état vaccinal de chacun. En 1996, le HIP AA (Health Insurance Portability and Accountability) émit le projet d’un numéro d’identification de soins de santé qui pourrait remplacer le numéro de sécurité sociale et qui serait attribué dès la naissance à chaque citoyen, relié à un moniteur électronique qui enregistrerait au fur et à mesure les soins médicaux et les vaccinations. En 1998, le CDC a commencé a mettre en oeuvre un registre d’État des vaccinations qui serait un premier pas vers le développement d’enregistrements électroniques sous le prétexte de suivre la santé des individus. Ces enregistrements comprendraient le nom, l’adresse, le numéro de téléphone, le numéro de sécurité sociale, la date de naissance, le sexe, la race, la langue principale, le nom de la mère et son nom de jeune fille, le nom du père, et les numéros de sécurité sociale des deux parents (The Vaccine Reaction, publie par le NVIC, National Vaccine Information Center, numéro spécial de septembre 1998).

Dans l’État du Texas, Prove, une association de parents, conduite par Dawn Richardson, milite contre le fait que des enfants sont inscrits sur des registres de vaccination sans le consentement écrit de leurs parents. Sans doute font-ils partie d’une secte !

À la lecture de ces procédés dignes de l’Inquisition, il est permis de se demander s’il s’agit, dans ce pays, seulement de la santé publique ou d’une forme de mise en carte de tous les citoyens. Un journaliste canadien, Serge Monast, a mené une enquête sur les cristaux liquides, les vaccins et la médecine militaire expérimentale. En 1992, fut pratiquée au Québec une vaccination de masse contre la méningite, à la grande surprise des médecins qui savaient qu’aucune épidémie n’était en vue. Cette décision avait été prise par des fonctionnaires du gouvernement à l’encontre de l’avis de la plupart des membres du corps médical. Le Dr Christiane Laberge déclara alors aux médias que sa fille de cinq ans courait autant de risques d’attraper la méningite que de se faire heurter par un train. Le Dr Gilles Delage évoqua, lui aussi officiellement, les risques encourus par les nourrissons vaccinés à cause de la réduction appréciable de tolérance immunitaire chez ces enfants. Des spécialistes du monde médical firent connaitre leurs préoccupations à ce sujet dans un article paru dans le Journal de la presse du mardi 4 février 1992, mais le gouvernement passa outre. Serge Monast fit alors ressortir que, dans certaines régions, les vaccins étaient différents de celui que recevaient les enfants d’autres régions à la même époque.

Cristaux liquides :

Contrôle des individus

Dans une conférence débat du 10 février 1996, près de périgueux, qui réunissait des médecins et des biologistes remettant en question notre médecine de troupeau, le Dr Guy Londechamp, auteur de l’Homme vibratoire, paru en 1993 et réédité en 1998, attira l’attention, lui aussi, sur les cristaux liquides et posa la question :

« N’est-ce pas l’installation d’une antenne à l’intérieur de notre organisme, programmable de l’extérieur, malléable ? […] Ce peut-être de la science-fiction, à moins que la science-fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité !« 

Et, commentant la campagne de vaccination canadienne avec protocole particulier, il poursuivit :

« S’il s’agit d’une vaccination si anodine, pourquoi a-t-on demandé à ces centres d’avoir des conditions si rigoureuses, ces mesures de sécurité et d’observation exceptionnelles? Il faut signaler, par ailleurs, que l’on a vacciné de force contre l’hépatite B des populations entières au Nord Canada, sans explication, sans même l’autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi les enfants, mais on n’ a fourni aucune explication… Viols délibérés de la liberté individuelle, atteintes corporelles avec des décès, mais aucune justification des besoins ni explications. […] Alors, n est-on pas en train d’injecter aux gens – avec le vaccin contre l’hépatite B – non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d’autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d’ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l’extérieur, à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place… Le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences. Il est bien difficile de savoir exactement ce qu’il y a dans ces vaccins. »

Pure science-fiction ?

Certains, plus avertis des manipulations pseudo scientifiques dont nous sommes victimes et de tout ce que l’on nous cache, ne s’en étonnent pas. Les pressions vaccinales sur les populations sont devenues telles que nous sommes obligés de nous interroger sur les buts réels de la vaccination. S’il ne s’agissait que de santé, la contrainte n’aurait pas lieu d’être, la persécution des non-vaccinés serait dénoncée comme toute violation des droits fondamentaux, enfin les campagnes vaccinales systématiques apparaitraient comme une aberration. Plutôt que de santé, ne pourrait -il être question de contrôle mondial de la population ? L’identification des chiens et des chats grâce à ce procédé a été mise en place en France par un arrêté du 1er octobre 1997. Il semblerait qu’il soit désormais possible d’injecter, par le biais d’un vaccin, un implant électronique servant à l’ identification personnelle. Ce serait la normalisation à outrance des conduites par le truchement des vaccinations.

Sylvie SIMON




Ça ne fait pas plus mal qu’une « bine » — Le geste de Christian Dubé et ses acolytes est-il si innocent qu’on veut bien nous le faire croire ?

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : « bine » terme québécois pour « coup de poing »]

Par Guy Boulianne

Dans un article paru le 20 mai 2021, j’écrivais ceci : « J’aimerais bien savoir où se situe la frontière exacte entre le « complotisme » et le fait de se poser des questions légitimes vis-à-vis des événements qui se déroulent sous nos yeux. Il faut admettre que les personnes qui ont le droit au micro en cette société s’ingénient souvent à semer des doutes dans l’esprit de la population. Comme si tout cela était volontaire afin de maintenir la population dans la confusion la plus totale. N’est-ce pas là une manière de conserver le contrôle sur le mental des individus qui ne savent plus trop « à quel saint » se vouer pour faire le tri entre la vérité et le mensonge ? » Évidemment, je conserve toujours ce même point de vue aujourd’hui.

Le 4 mai dernier, le ministre de la Santé Christian Dubé a surpris les internautes avec la publication d’une publicité silencieuse invitant les Québécois(es) à se faire vacciner. On le voit faire un rond avec les doigts de sa main droite en fixant la caméra avec un sourire étrange. Un message suit en mentionnant : « Ça ne fait pas plus mal qu’une “bine”. Fais-toi vacciner. ». Ce signe des doigts, qui forme un « OK », ferait référence au circle game ou « jeu du rond », fort populaire auprès des adolescents. Si le regard d’autrui est porté vers le signe à la hauteur des hanches, le « perdant » peut recevoir une « bine ». On peut lire dans la publication du ministre : « Si t’as regardé, je t’en dois une », sous-entendant que le vaccin ne fait pas plus mal qu’une bine (je suis désolé, mais quiconque a déjà reçu une « bine » sur l’épaule, sait que cela fait plutôt mal). Le même jour, la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, et la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, ont toutes deux imité M. Dubé dans leur propre version de la vidéo. Chacune s’est fait reprocher de véhiculer un symbole des suprémacistes.

Les politiciens jouent les ignorants. Le premier ministre du Québec, François Legault, écrit sur sa page Facebook : « Vraiment pas sûr de comprendre de quoi on parle, mais comme le dit Christian, faites-vous vacciner! » Quant à elle, la co-porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, écrit sans gêne : « J’ai pas encore compris, mais si ça peut aider… », tandis que la cheffe du Parti libéral, Dominique Anglade, mentionne : « J’ai aussi regardé la vidéo, et ça ne fait pas plus mal qu’une « bine ». Fais-toi vacciner ! » Est-ce à dire que ces politiciens sont disposés à faire n’importe quoi — « en toute méconnaissance de cause » — avec l’argent des contribuables ? On dirait bien à la lueur de ce que l’on voit ici …


« Pour communiquer avec ses affiliés sans être compris des autres gens, il emploie des signes convenus d’avance » (Commentaires de « Bible annotée »)


S’agit-il d’un geste innocent ?

Signe, doigts, 666

Les médias “mainstream” prétendent que le geste posé par Christian Dubé et ses acolytes fait référence au « jeu du rond ». À l’origine, ce qu’on appelle le « jeu du rond » est généralement joué par les adolescents, et il consiste à faire regarder ce signe par une autre personne. Si on réussit, cela donne le droit de faire une « bine » à celui qui a regardé. Mais dans les commentaires sous les publications des politiciens, alors que certains s’interrogent sur le sens de la vidéo et du symbole, d’autres rappellent que le signe de rond fermé, quand il est montré dans les airs, est en fait un signe de la main récupéré par des groupes suprématistes.

En Grande-Bretagne, la Ligue de l’anti-diffamation l’a placé dans son document « Hate on Display » en l’an 2000. L’Anti-Defamation League tient à souligner que le plus souvent, le symbole signifie que tout va bien : « L’utilisation écrasante du geste de la main aujourd’hui est toujours son objectif traditionnel. » Personnellement, je ne crois pas que ces politiciens aient souhaité utiliser un symbole suprématiste. C’est la raison pour laquelle il faut savoir utiliser les symboles avec parcimonie, surtout venant de politiciens ayant une haute responsabilité sociale. Comme je l’écrivais le 29 avril dernier, on doit comprendre qu’il faut utiliser les symboles avec intelligence, car ceux-ci peuvent avoir une connotation insoupçonnée. Le symbole montre, réunit et enjoint. Selon l’encyclopédie Universalis :

« Le symbole, d’abord, montre ; il rend sensible ce qui ne l’est pas : valeurs abstraites, pouvoirs, vices, vertus, communautés. Il ne s’agit pas de la simple analogie, régie par la conjonction « comme ». « Laid comme un crapaud » ne signifie pas que le crapaud est le symbole de la laideur, privilège qu’il partagerait… avec les sept péchés capitaux ! On dit d’ailleurs aussi « laid comme un pou ». En d’autres termes, le symbole est exclusif. Le courage ne saurait être symbolisé que par le lion, lequel, d’ailleurs, n’accepte que difficilement de symboliser autre chose (l’orgueil est plutôt symbolisé par le paon). C’est qu’il faut que chacun puisse reconnaître le symbole comme tel, qu’il n’y ait pas de contestation quant à son contenu et son sens. On voit par là qu’il a une valeur pour le groupe, pour la communauté, pour la société, qu’il a pouvoir de rassemblement, de consensus, en d’autres termes que le symbole est social. »


guy.boulianne · Publicité de Christian Dubé : le message aura-t-elle la portée espérée chez les adolescents?

Le pasteur Paul Ballière écrivait en 2017 : « Depuis quelques années, un signe d’envergure mondiale, apparaît de plus en plus dans notre quotidien; si fréquent que l’on n’y prête pas attention. Ce signe, ou signal, est l’un des gestes des mains le plus couramment utilisé ces derniers temps. Il se réalise en connectant l’index et le pouce de la main, formant un cercle et en laissant les trois autres doigts étendus en l’air ; peu importe si c’est la main gauche ou droite. » En général, dans la partie occidentale du monde, il est interprété comme voulant dire « c’est bon », « approuvé » ou « apprécié ». Il convient de noter que cette interprétation a été promue et popularisée par l’influence subtile de la propagande des médias, ainsi que des magazines, et des centres commerciaux.

Comme beaucoup d’autres signes ou gestes, il a un sens beaucoup plus sombre et beaucoup plus profond dans les cercles occultes. Dans une large mesure, sa signification passe inaperçue parce que le système de la culture moderne est conçu de telle manière que ce genre de signe devient une mode ; sa signification originale, particulièrement sombre, est donc imperceptible. Comme le signe « des cornes », popularisé par des groupes de Heavy Metal, il semble que ce signe a été propagé, lui aussi, ces dernières années, par des groupes de rock, certains chanteurs et rappeurs, de nombreux artistes influents, et l’industrie populaire de la musique.

Dans ce contexte, quelle est la signification de ce signe ? L’Apocalypse évoque le nombre de la Bête (l’anti-Christ) : 

« C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence, calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » 

(Apocalypse 13:18)

Dans le satanisme, l’inclinaison des trois doigts en l’air, forme trois six, 666. En raison du contexte et de son utilisation, et souvent combiné avec d’autres symboles ou signes occultes, le signal « OK » prend un sens différent, avec une toute autre signification que : « c’est bon ». Dans la philosophie des illuminati, le signe « OK » devient une approbation et une annonciation de la venue du « Seigneur de la lumière », que nous connaissons comme l’Antéchrist, ou la Bête du livre de l’Apocalypse.

Quoi qu’on en pense, il demeure étrange que les publications récentes de Christian Dubé et ses acolytes rejoignent symboliquement les publicités de Urbania que le Gouvernement du Québec a soutenu il y a quelques temps. Voici ce que j’écrivais sur Facebook le 12 avril 2021 : « Le Gouvernement du Québec a apposé sa signature satanique dans les publicités de Urbania concernant ses projets d’électrification de la province, d’économie verte, d’énergies renouvelables et de villes intelligentes. C’est ce qui se prépare en douce pendant que la population est en confinement, dirigée avec une main de fer sous le couvert du couvre-feu. » Mon compte Facebook fut fermé quelques heures après cette publication.


« L’homme pervers, l’homme inique, Marche la fausseté dans la bouche; Il cligne des yeux, parle du pied, Fait des signes avec les doigts; La perversité est dans son coeur, Il médite le mal en tout temps, Il excite des querelles. »

(Proverbes 6:12-14)



RÉFÉRENCES :



Vacciner les enfants contre le covid serait « irresponsable, inutile et contraire à l’éthique »

Par Nicole et Gérard Delépine

DANGER : les enfants ne doivent pas être vaccinés par les pseudovaccins anticovid

À l’heure où l’épidémie est en voie de disparition en France, Europe et USA et que la divulgation des mails du DR Fauci montre qu’il a menti pour préparer le marché aux pseudo vaccins, il faut absolument faire échapper les petits à ces injections géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins, au sens classique du terme.(([1] Depuis Pasteur un vaccin se compose d’antigènes que l’on injecte pour stimuler la réponse immunitaire spécifique. Les pseudo vaccins actuels ne comportent pas d’antigène, mais un code génétique donnant des ordres à nos cellules.))

Les révélations scandaleuses qu’apporte la publication des mails de FAUCI arriveront-elles à temps à maturation pour stopper la folie vaccinale ? Ne vous étonnez pas en tous cas des gesticulations du pouvoir et des médias pour vous forcer à vous vacciner le plus vite possible, y compris les plus jeunes sous prétexte de passeport vaccinal ou autres mesures coercitives. Grâce à Macron, nous serons peut-être les derniers à l’abandonner, mais il disparaîtra en pratique, comme l’a prédit Eric Verhaeghe(([2] Pass sanitaire : Macron peut-il passer en force ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) dans un article récent du courrier des stratèges et nous même dès avril dernier,(([3] Delépine – Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée mondialisation.ca 9 avril 2021 https://www.mondialisation.ca/passeport-vaccinal-chronique-dune-mort-annoncee/5655350)) sa suppression début juin en Israël(([4] https://fr.businessam.be/trois-mois-apres-son-introduction-israel-na-deja-plus-besoin-du-passeport-vaccinal/)) et en bientôt en Grande-Bretagne(([5] https://jeminformetv.com/2021/06/01/le-pass-sanitaire-la-grande-bretagne-jette-leponge/)) le confirme.

Nous répétons depuis plus d’une année que les enfants et adolescents ne risquent rien du Covid(([6] Delépine – Les écoles doivent ouvrir comme prévu le 11 MAI 2020. Pas de danger, ni pour les enfants ni pour les adultes. Démonstration Agoravox 17/4/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ecoles-doivent-ouvrir-comme-223390))

La littérature internationale démontre unanimement que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes côtoyés. Les quelques articles qui essaient de faire croire le contraire ne s’appuient que sur des données théoriques de laboratoires ou des simulations mathématiques fausses et jamais sur des études épidémiologiques dans le monde réel, les enseignants n’étant pas plus à risque de covid que la population générale (contrairement au jeu pervers de leurs syndicats qui ont tenté de le faire croire).(([7] Institut Pasteur COVID-19 DANS LES ÉCOLES PRIMAIRES : PAS DE TRANSMISSION IMPORTANTE DU VIRUS ENTRE ENFANTS OU VERS LES ENSEIGNANTS
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/covid-19-ecoles-primaires-pas-transmission-importante-du-virus-entre-enfants-ou-enseignants))

Même ceux qui prônent en France la vaccination pour les plus jeunes, le reconnaissent et font intervenir des arguments aussi malhonnêtes les uns que les autres.

Le plus ridicule propose la vaccination comme antidépresseur ! « Vacciner les enfants les ferait rentrer dans le sort commun (!) et donc « aiderait à leur reconstruction psychologique » ! Message pervers qui a le mérite de reconnaître qu’en tant que protection contre le covid, il n’a aucun rôle.

Une couverture vaccinale très élevée peut-elle empêcher les contaminations ?

Des apôtres de la vaccination covid des enfants veulent l’imposer pour obtenir la couverture vaccinale la plus élevée possible(([8] dont on sait avec l’exemple de la rougeole qu’elle est incapable d’éradiquer le virus)) dans le but officiel de sauver les personnes âgées. Mais les pays qui ont les plus hauts taux mondiaux de couverture vaccinale comme le Bhoutan (96 %), Gibraltar (>100 %) ou les Seychelles (>70 %) ont été victimes de graves flambées épidémiques post vaccinales ainsi que le montrent les courbes suivantes publiées par l’OMS(([9] Sur son site officiel WHO Covid19 Dashboard)) commentées par nos soins en rouge.

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Une couverture vaccinale même très élevée paraît donc incapable de prévenir les contaminations.

Quant à la protection des anciens comme argument ? Ces mêmes personnes âgées auxquelles on a refusé les traitements précoces efficaces et donné facilement le Rivotril « pour les soulager » et, de fait, les euthanasier intéressaient-elles le pouvoir ? Pourtant, environ dix mille personnes(([10] France Soir Chronique N°52 — « La sur prescription des 3 benzodiazépines injectables Rivotril®, Valium® et Tranxène®, a coïncidé avec les pics de décès de résidents dans les EHPADs, ce qui interroge »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg52-la-surprescription-des-3-benzodiazepines-injectables-rivotrilr)) pourraient ainsi être décédées dans les EHPAD avec l’aide de ce « merveilleux » médicament interdit aux insuffisants respiratoires et donné larga manu grâce au décret de fin mars 2020 de Édouard Philipe-Véran renouvelé en octobre et récemment le 1er juin 2021…

Qu’en est-il ?(([11] 40+ Doctors Tell UK Drug Regulators: Vaccinating Kids for COVID is ‘Irresponsable, Unethical and Unnecessary’ • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

APPEL DE MÉDECINS À LEURS GOUVERNANTS AU ROYAUME-UNI

« vacciner les enfants contre covid est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » »

Dans une lettre ouverte adressée à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé,(([12] Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) executive agency of the Department of Health and Social Care in the United Kingdom which is responsible for ensuring that medicines and medical devices work and are acceptably safe.)) plus de 40 médecins, médecins et scientifiques au Royaume-Uni affirment que les enfants sont plus vulnérables aux effets potentiels à long terme des vaccins CONTRE LA COVID.

Le groupe a déclaré qu’aucune personne de moins de 18 ans ne devrait être vaccinée contre la COVID, car les preuves montrent que le virus ne présente aucun risque pour les enfants en bonne santé. Lettre écrite en réponse à des documents divulgués du service national de santé du Royaume-Uni détaillant comment les autorités sanitaires britanniques prévoient de vacciner les enfants de plus de 12 ans.

Selon les documents du service de santé, des enfants dès l’âge de 5 ans pourraient être vaccinés dès juillet 21 — une mesure qui, selon le gouvernement, « pourrait être nécessaire pour réduire les cas de COVID alors que les confinements se lèvent dans tout le pays ». Pourtant les enfants ne transmettent pas et l’épidémie européenne s’effondre.

De hauts responsables anglais viennent, de plus, d’avouer officiellement avoir truqué les chiffres et instrumentalisé la peur pour imposer les mesures dites sanitaires qui convenaient aux politiques. Vont-ils poursuivre leurs mensonges ?(([13] Covid: des scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la « peur » pour faciliter le contrôle de la population ! — Le Libre Penseur
« Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité (SPI-B) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique ‘’ et ‘’totalitaire ‘’ ».
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson))

Les auteurs de la lettre ont rappelé que le risque de décès par COVID chez les enfants en bonne santé est de 1 sur 1,25 million. Les pseudovaccins géniques contre la COVID sont responsables des accidents vasculaires cérébraux dus à des thromboses veineuses cérébrales chez les personnes de moins de 40 ans — conclusion qui « a conduit à la suspension de l’essai pour enfants Oxford-AstraZeneca », ont précisé les auteurs. Ils précisent :

« les enfants ont une vie devant eux, et leurs systèmes immunologique et neurologique sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes. »

Sommes-nous vraiment au temps des apprentis sorciers, des joueurs de roulette russe ou bien le mythe de Faust a -t-il hanté nos dirigeants, mais aussi les populations étrangement soumises à cette intoxication par injection d’une substance qui peut transformer notre ADN voire celui des générations suivantes. Nul ne sait et c’est bien le plus invraisemblable. Dans le monde qui a inscrit il y a peu le principe de précaution dans la Constitution, où les mots environnement, futur de la planète reviennent à toutes les sauces, où des arracheurs d’OGM purgent encore leur peine, ceux qui achètent bio et chassent l’OGM de leur savon ou de leur shampoing se font injecter le poison qui les transformera au minimum en humains OGM. Bravo les communicants ! Vous avez transformé nos écolos et leurs adeptes, une bonne partie de la population, en défenseur de l’Homme OGM… Vous êtes très forts.(([14] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut lire cette lettre in extenso : « Covid-19 Child Vaccination: Safety and Ethical Concerns — An Open Letter From UK Doctors to Dr. June Raine, Chief Executive, MHRA » :

« Nous souhaitons vous informer de nos graves préoccupations concernant toutes les propositions visant à administrer des vaccins contre la COVID-19 aux enfants. Des documents gouvernementaux récemment divulgués suggèrent qu’un déploiement du vaccin contre la COVID-19 chez les enfants de plus de 12 ans est déjà prévu pour septembre 2021, et la possibilité que des enfants d’à moins de 5 ans soient vaccinés en été dans le pire des scénarios ».

Nous avons été profondément troublés d’entendre plusieurs représentants du gouvernement et du SAGE(([15] Leur comité scientifique conseiller du gouvernement anglais :
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson)) appeler dans les médias à ce que le déploiement du vaccin contre la COVID-19 «se tourne vers les enfants aussi vite que possible ». Le Matériel pédagogique distribué aux écoles de Londrescontient des questions « chargées d’émotions et inexactitudes ».

Manipulation des responsables syndicaux enseignants qui eux-mêmes manipulent les enfants

Il y a eu un langage troublant utilisé par les dirigeants syndicaux enseignants, qui conduit à la coercition des enfants pour qu’ils acceptent les vaccins contre la COVID-19.

La pression des pairs dans les écoles devrait être encouragée selon les directives gouvernementales relayées par les syndicats. Pourtant la coercition visant à faire accepter un traitement médical est contraire aux lois et déclarations britanniques et internationales.(([16] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Passer par les enfants est particulièrement minable, méprisable et illégal. La pression sur les enfants ne peut pas être acceptée selon la charte des droits de l’enfant.

« Une telle rhétorique est irresponsable et contraire à l’éthique, et encourage le public à exiger la vaccination des mineurs avec un produit encore au stade de la recherche et dont aucun effet à moyen ou long terme n’est connu, contre une maladie qui ne présente aucun risque matériel pour eux. Un résumé de nos motifs est donné ci-dessous et une explication plus détaillée et entièrement référencée est disponible. » dit la lettre adressée aux instances médicales gouvernementales anglaises.

Les auteurs listent ensuite les risques et avantages dans les traitements médicaux. Citons quelques réflexions majeures.

NE PAS REPRODUIRE LES TRAGÉDIES PASSÉES AVEC D’AUTRES VACCINS COMMERCIALISÉS À LA HÂTE

«  Nous devons veiller à ce que les tragédies passées qui se sont produites ne se reproduisent pas, en particulier lorsque les vaccins sont mis sur le marché à la hâte.

Par exemple, le vaccin contre la grippe porcine Pandemrix, déployé à la suite de la pandémie de 2010, a entraîné plus d’un millier de cas de narcolepsie, lésion cérébrale dévastatrice, chez les enfants et les adolescents, avant d’être retiré.

Le Dengvaxia, vaccin contre la dengue, a également été déployé sur les enfants avant les résultats complets de l’essai, et 19 enfants sont morts d’une possible détérioration dépendante des anticorps (ADE) avant le retrait du vaccin.(([17] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen)) Une répétition de cette situation avec les vaccins contre la COVID-19, aurait non seulement un impact sur les enfants et les familles touchés, mais aurait également un effet extrêmement dommageable sur le taux de vaccination en général ».

En France aussi, des médecins pro-vaccination craignent l’impact négatif des effets dommageables de la pseudo vaccination anticovid quand l’étendue des effets délétères sera connue, car l’acceptation facilitée par la confusion entre vaccin habituel et « vaccin » covid se retournera dans l’autre sens. Il sera trop tard pour que les gens confiants et trompés admettent leur erreur (difficile à sortir d’une conviction même devant les preuves, car mentalement on se détruit intérieurement) et ils risquent de rejeter en bloc les vaccins.

« Aucune intervention médicale ne devrait être introduite sur une base « taille unique (…). Cette approche a été décrite en octobre dernier par la chef du Groupe de travail gouvernemental sur les vaccins, Kate Bingham ». Elle avait déclaré : « nous devons simplement vacciner toutes les personnes à risque. Il n’y aura pas de vaccination des moins de 18 ans. Il s’agit d’un vaccin réservé aux adultes, destiné aux personnes de plus de 50 ans, qui se concentre sur les travailleurs de la santé, les travailleurs des foyers de soins et les personnes vulnérables. Les enfants n’ont pas besoin d’être vaccinés pour leur propre protection ».

« L’immunité acquise naturellement donne une immunité plus large et plus durable que la vaccination. En effet, de nombreux enfants seront déjà immunisés. Les enfants à très haut risque peuvent déjà se faire vacciner pour des raisons humanitaires. Les enfants n’ont pas besoin de vaccination pour soutenir l’immunité collective ».

PRÉOCCUPATIONS À COURT TERME EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ DES « VACCINS » ANTICOVID

Selon la lettre adressée au MHRA (réf 12)

« Au 13 mai, le MHRA 22 avait reçu un total de 224 544 événements indésirables, dont 1 145 décès en lien avec les vaccins contre le SARS-CoV-2. Les rapports d’accidents vasculaires cérébraux dus à la thrombose veineuse cérébrale initialement en faible nombre, mais à mesure que la sensibilisation augmentait, de nombreux autres rapports ont conduit à la conclusion que le vaccin AstraZeneca ne devrait pas être utilisé pour les adultes de moins de 40 ans. Cette conclusion imprévue a également conduit à la suspension de l’essai pour enfants d’Oxford AstraZeneca.

Des événements similaires ont été notés avec les vaccins Pfizer & Moderna sur le système américain de déclaration des effets indésirables (VAERS) et il est probable qu’il s’agisse d’un effet lié à la production de protéine Spike. »

« Les nouvelles lignes directrices du Royaume-Uni sur la prise en charge de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT) incluent tous les vaccins contre la COVID-19 dans leurs préconisations. La possibilité d’autres problèmes de sécurité inattendus ne peut être exclue.

En Israël, où les vaccins ont été largement déployés auprès des jeunes et des adolescents, le vaccin de Pfizer a été associé à plusieurs cas de myocardite chez de jeunes hommes et des préoccupations ont été soulevées au sujet de rapports faisant état d’une altération des cycles menstruels et de saignements anormaux chez les jeunes femmes après le vaccin. »

Les décès signalés aux USA chez des enfants vaccinés inclus dans des essais inquiètent les médecins anglais

« il y a maintenant eu un certain nombre de décès associés à la vaccination signalés au VAERS aux États-Unis, bien que les vaccins ne soient administrés qu’aux enfants dans le cadre d’essais et d’un déploiement très récent aux 16-17 ans ».

PRÉOCCUPATIONS EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ À LONG TERME

« Tous les essais de phase 3 du vaccin contre la COVID-19 sont en cours et ne devraient pas se terminer avant la fin de 2022 ou le début de 2023. Les vaccins sont EXPÉRIMENTAUX et ne disposent que de données limitées à court terme et de données à un peu plus long terme sur l’innocuité pour les adultes. En outre, beaucoup utilisent une toute nouvelle technologie de vaccin à ARNm, qui n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation chez l’homme. L’ARNm est effectivement un promédicament et on ne sait pas combien de protéine Spike un individu produira.

Les effets potentiels d’apparition tardive peuvent prendre des mois ou des années pour devenir apparents. Les essais limités sur les enfants entrepris à ce jour sont totalement sous-renseignés pour éliminer les effets secondaires rares, mais graves ».

Insistons avec nos collègues anglais :

Les enfants ont la vie devant eux, leurs systèmes immunologiques et neurologiques sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes.

« Un certain nombre de préoccupations spécifiques ont déjà été soulevées, y compris les maladies auto-immunes et les effets possibles sur le placenta et la fertilité. Un article récemment publié a soulevé la possibilité que les vaccins contre la COVID-19 à ARNm puissent déclencher une maladie neurodégénérative à base de prions. Tous les risques, connus et inconnus, doivent être mis en balance avec les risques de COVID-19. »

Le serment d’Hippocrate dit : « d’abord ne pas nuire », devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

« Les données probantes actuelles et disponibles montrent clairement que le calcul du risque par rapport aux avantages ne soutient PAS l’administration de vaccins précipités et expérimentaux contre la COVID-19 aux enfants, qui n’ont pratiquement aucun risque de COVID-19, mais qui font face à des risques connus et inconnus liés aux vaccins ».

La Déclaration des droits de l’enfant dit :

« l’enfant, en raison de son immaturité physique et mentale, a besoin de garanties et de soins spéciaux, y compris d’une protection juridique appropriée ». En tant qu’adultes, nous avons le devoir de protéger les enfants contre des préjudices inutiles et prévisibles.

La fin des essais de phase 3 actuels devrait au moins être attendue ainsi que plusieurs années de données sur l’innocuité chez les adultes, afin d’exclure ou de quantifier tous les effets indésirables potentiels.

Les auteurs de la lettre au MHRA concluent :

« nous appelons nos gouvernements et les régulateurs à ne pas répéter les erreurs de l’histoire et à rejeter les appels à vacciner les enfants contre la COVID-19. Une extrême prudence a été exercée sur de nombreux aspects de la pandémie, mais c’est certainement le moment le plus important pour faire preuve d’une véritable prudence nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par la précipitation et la peur, inutiles, met en péril la santé des enfants. »

COMPLÉTONS CETTE ANALYSE ANGLAISE PAR LES RAPPORTS AMÉRICAINS SUR LES ESSAIS INFANTILES(([18] COVID Vaccine Injury Reports Among 12- to 17-Year-Old More Than Triple in 1 Week, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Regardons d’abord l’ensemble des signalements aux USA. Aux États-Unis, 281,6 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 21 mai 2021. Cela comprend 120 millions de doses du vaccin de Moderna, 152 millions de doses de Pfizer et 10 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 4 406 décès signalés en date du 21 mai, 23 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % dans les 24 heures et 38 % chez des personnes qui sont tombées malades dans les 48 heures suivant la vaccination.

Le nombre d’événements indésirables signalés à la suite de vaccins contre la COVID continue d’augmenter, selon les données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) au 21 mai. Les données proviennent directement des déclarations soumises au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS).(([19] Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables d’un vaccin aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’incidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de libération))

Les données montrent qu’entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables totaux ont été signalés au VAERS, dont 4 406 décès — une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 accidents graves, en hausse de 3 009 par rapport à la semaine dernière.

CHEZ LES JEUNES

Les rapports d’incidents et accidents liés au vaccin antiCovid chez les jeunes de 12 à 17 ans ont plus que triplé en 1 semaine, selon les données de VAERS au 28 MAI

Les données ont montré 3 449 événements indésirables au total, contre 943 rapports la semaine précédente, chez les jeunes de 12 à 17 ans. Les données de cette semaine comprenaient 58 déclarations d’événements indésirables graves dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans.

LES CDC ENQUÊTENT SUR LES PROBLÈMES CARDIAQUES CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES ADOLESCENTS APRÈS LE VACCIN CONTRE LA COVID

Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation des CDC a publié un avis le 17 mai avertissant les médecins des rapports de myocardite qui semble survenir principalement chez les adolescents et les jeunes adultes, plus souvent chez les hommes que chez les femmes, plus souvent après la deuxième dose et généralement dans les quatre jours suivant la vaccination avec les vaccins Pfizer ou Moderna. La plupart des cas semblaient « bénins » et un suivi est en cours. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort.

Comme l’a rapporté The Defender le 26 mai, le Connecticut a signalé 18 nouveaux cas de problèmes cardiaques chez les adolescents qui avaient reçu un vaccin COVID. Les 18 cas ont entraîné une hospitalisation, la grande majorité pendant quelques jours, tandis qu’une personne était toujours hospitalisée le 26 mai.

Une recherche dans VAERS a révélé 419 cas de péricardite et de myocardite, parmi tous les groupes d’âge, signalés aux États-Unis après la vaccination contre la COVID entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai. Sur les 288 cas signalés, 247 cas ont été attribués à Pfizer, 151 cas à Moderna et 20 cas au vaccin COVID de J&J.

COMMENT CONVAINCRE DE LA NÉCESSITÉ DU VACCIN CHEZ L’ENFANT ?
SURESTIMER LES HOSPITALISATIONS POUR COVID : CQFD

Une étude menée par des chercheurs de Stanford a révélé que le comptage des infections au SARS-CoV-2 chez les enfants hospitalisés surestimait l’impact de la COVID dans les populations pédiatriques, car les chiffres incluaient de nombreux patients asymptomatiques. Sur 117 admissions à l’hôpital, les auteurs ont conclu que 53 patients (45 %) ont été admis pour des raisons non liées au virus. L’étude a également révélé que 39,3 % (soit 46 patients) codés comme étant atteints du SARS-CoV-2 étaient en fait asymptomatiques (personne saine ayant seulement un test PCR positif).

« Si nous nous fions aux résultats positifs des tests de SRAS-CoV-2 des hôpitaux, nous gonflons environ deux fois le risque réel d’hospitalisation de la maladie chez les enfants. »

Alors, ne nous laissons pas manipuler, la vie actuelle et l’avenir de nos enfants est en jeu ! Prenons le temps d’attendre ce que deviendra l’épidémie actuellement terminée en Europe et aux USA et les résultats des traitements précoces dont l’autorisation est indispensable.

Cette épidémie disparaîtra peut-être définitivement comme celle du SRAS et du Mers. Et si ce n’est pas le cas, attendons les résultats des essais et des « vaccinations » sur des milliards d’individus qui ont été précipités dans la vaccination par une propagande inégalée. Qui vivra verra. Souhaitons leur bonne chance.