Pourquoi les élites accélèrent-elles leur agenda ?

[Source : TVL]

Trahison des institutions : la mort de l’État ?

« Les institutions françaises n’existent plus… l’État est mort ! »

Valérie Bugault

L’invitée de « Politique & Eco », Valérie Bugault, explique pourquoi l’État français a disparu avec la première loi d’urgence sanitaire du 23 mars 2020 et en quoi elle viole la Constitution de la Vème République. Dès cette date, l’exécutif s’est affranchi des règles institutionnelles françaises au profit d’entreprises mondialisées, en témoigne la réception par Emmanuel Macron du club du Dolder (Big Pharma), en août dernier, présidé par le PDG de Pfizer, Albert Bourla. Dans cet état de vide juridique, nous sommes désormais entrés dans une période de transition. Période débouchant le 1er janvier 2022 sur la présidence française de l’UE qui, selon Valérie Bugault, actera une liquidation de l’État français au profit d’une intégration de l’Europe fédérale, antichambre d’un gouvernement mondial. En attendant, Valérie Bugault appelle les Français à prendre conscience de la scission entre l’exécutif et les institutions dans le but d’imposer un projet alternatif.




Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le plus grand flou règne sur l’ampleur exacte des effets secondaires du vaccin. On doit à l’OMS et à sa base partagée par le centre d’Uppsala, la base VigiAccess, de donner quelques éléments d’informations un peu plus fiables que les éléments transmis par l’ANSM en France, et par quelques autres. On retiendra que cette base recense plus d’un million de cas d’effets secondaires pour la seule Europe, et pour la seule année 2021, du fait de la vaccination contre le COVID. Un chiffre qui sème le trouble sur la sincérité des chiffres en France.

Les effets secondaires du vaccin (ou des vaccins) contre le COVID constituent le grand tabou de la communication gouvernementale partout en Europe. Officiellement, le vaccin nous délivre de la maladie et se révèle parfaitement sûr. Sauf que les chiffres officiels, les quelques chiffres qui percent, ne disent pas exactement cela. 

Les effets secondaires selon l’OMS

On en veut pour preuve les chiffres globaux donnés par cette très dangereuse institution complotiste appelée l’OMS, sur la base VigiAccess opérée par l’Uppsala Monitoring Centre, tout ce qu’il y a de plus officiel donc. Nous reproduisons ci-dessus le nombre d’effets secondaires du vaccin comptabilisés par continent, tous vaccins confondus. 

On s’aperçoit que l’Europe est championne de l’effet secondaire, alors qu’elle compte environ 280 millions d’habitants vaccinés (on en compterait 380 millions aux Etats-Unis). Pour être exact, 1.074.200 effets secondaires étaient comptabilisés sur notre continent, soit un cas toutes les 560 millions d’injections environ, ou 1 cas pour 280 vaccinés. Ce n’est quand même pas rien.

Assez étonnamment, la proportion aux Etats-Unis est beaucoup moins importante. 

L’OMS contredit l’ANSM

En France, l’ANSM vient péniblement de reconnaître 90.000 cas d’effets secondaires (mais les autorités françaises sont avares sur les chiffres). 

On sait que la France a pratiqué environ 90 millions d’injections (nous nous contentons ici de cottes mal taillées, car tout recensement au jour le jour est impossible), soit un effet secondaire pour 1.000 injections. Autrement dit deux fois moins en France qu’en Europe. Mais c’est quand même bizarre.

Une fois de plus, ces incohérences dans les données officielles posent la question de la transparence sur les effets du vaccin. Et sur ce point, le débat est ouvert : la démocratie gagnerait à informer le public de façon transparente sur la réalité vaccinale. 

Quels effets secondaires des vaccins ?

Si les chiffres de l’OMS présentent l’inconvénient de ne pas décomposer plus précisément (notamment par vaccins) les effets secondaires, ils ont l’avantage de faire une synthèse chiffrées des différents types d’effets secondaires. 

Certains chiffres alertent. On constate ainsi plus de 100.000 problèmes cardiaques, plus de 115.000 problèmes vasculaires, 225.000 problèmes respiratoires, près de 300.000 problèmes dermatologiques, près de 650.000 problèmes musculosquelettiques… sans compter les 100.000 problèmes psychiatriques. 

On aimerait disposer en France d’un tableau clinique aussi précis. Cela aiderait au consentement libre et éclairé




La Lettre de la Médecine du Sens n°341

[Source : lessymboles.com]

« Je m’entête affreusement à adorer la liberté libre. »

Arthur Rimbaud

 « Ce n’est pas une crise, c’est un changement de monde. »

Michel Serres

« Pour un pervers narcissique, un mensonge réussi vaut une vérité. »

Paul-Claude Racamier

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Le 15 septembre restera le jour de la honte nationale. Le jour où des soignants qui se sont sacrifiés pour chaque français ont été mis au pilori, forcés, violés.

Et pourtant rien ne justifie tout cela.

Les 20 et 25 août le Conseil Scientifique de Macron a bien confirmé que le vaccin ne protégeait pas (à 50%) de la contamination et que les vaccinés transmettent autant le virus que les non vaccinés ce qui enlève tout intérêt au vaccin obligatoire et au pass sanitaire. Le CDC, la plus haute autorité sanitaire américaine, et faisant autorité dans le monde, confirme ces données. 

Le vaccin se retrouve à rester utile pour certaines franges de la population : les personnes âgées et/ou avec comorbidités.

[Ndlr : et encore, ceci reste à réellement démontrer.]

C’est donc uniquement une mesure politique et plus du tout sanitaire. Une épreuve de soumission, mais surtout une entreprise de numérisation des populations.

Ceux qui ont eu le Covid et qui ont donc une immunité bien supérieure aux doubles vaccinés sont donc priés de se vacciner !

Les chiffre d’Israël sont encore plus parlants.

Mais si le vaccin ne fonctionne pas et ne protège personne, la mortalité elle est en explosion. L’Australie pays super vaccinateur avoue dans ses chiffres officiels (lien France Soir : https://www.francesoir.fr/societe-sante/australie-trois-fois-plus-de-deces-rapportes-vaccins-vs-covid) que le vaccin tue 3 fois plus que le Covid (2,91). En Europe les chiffres de Eudra vigilance montrent plus de 25 000 morts et 2,5 millions d’effets secondaires dont plus de la moitié sont graves (handicap à vie).

En France, l’ANSM dans ses chiffres montre que pour 100 000 habitants il y a 5 morts du Covid et 7 morts du vaccin. Avec des jeunes qui ne devraient jamais mourir.

Un thanatopracteur raconte qu’il rencontre une super mortalité des jeunes qui n’auraient jamais du mourir depuis le vaccin (Voir plus bas la vidéo du CSI n° 22).

« Nous savons qu’ils mentent, ils savent aussi qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’il mentent, nous savons aussi qu’ils savent que nous savons, et pourtant ils continuent à mentir. » 

Alexandre Soljenitsyne

Cependant la résistance est bien là, bien que toute la propagande tente de démontrer le contraire.

Plus de 15 millions de Français refusent encore de se faire vacciner.

300 000 soignants dont 10 000 médecins, qui n’hésitent pas à prendre le risque de perdre leur travail. Ce sont de véridivs héros.

Un certain nombre de soignants se sont organisés en syndicat devant l’inaction des syndicats classiques et la gravité et l’urgence de la situation.

Le Syndicat Liberté Santé a été crée le 1er septembre

www.syndicat-liberte-sante.com

A ce jour il compte déjà plus de 4500 adhérents. Une formidable réponse à la situation actuelle.

Rejoignez-le massivement. Vous tous, qui en raison de votre travail dans le domaine de la santé et du soin, êtes soumis à l’obligation vaccinale par la loi du 5 août 2021. Médecins, paramédicaux, agents administratifs et pompiers.

Tout l’été l’équipe a travaillé sur les points juridiques pour fournir les meilleurs stratégies de défense. Le syndicat a regroupé sur toute la France un nombre important d’avocats pour que vous puissiez vous défendre, baisser le prix de procédures graves et grâce à la volonté des avocats d’aider à la justice.

Transmettez l’information à tous les soignants que vous connaissez.

Le gouvernement pensait en finir rapidement, mais un peu partout en France les soignants, les nouveaux héros résistent.

De très nombreux services hospitaliers et EPADH doivent fermer faute de personnel.

C’est tout un système de santé qui s’effondre contrairement à ce qu’avait pensé le gouvernement en orchestrant sa propagande.

Regardez le nombre impressionnant de services qui résistent en France et en Outremer.

Services et personnel qui résistent en France et en Outremer

Services et personnel qui résistent en France et en Outremer

De très nombreux services hospitaliers et EPADH doivent fermer faute de personnel.

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Regardez sur le site officiel Géodes

Le nombre de vaccinations par jour est en effondrement après un pic à la suite des déclarations du 12 juillet. En clair, ceux qui restent ne vont plus se faire vacciner d’où la pression et la désinformation du gouvernement.

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=vacsi_s.n_dose1&s=2021-09-15&t=a01&view=map2

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Macron et la vaccination ? C’est bidon !

 « Macron disait s’être fait vacciné le 31 mai (tweet).
Mais son certificat indique le 13 juillet.
« Erreur de transmission » pour l’Elysée.
Bref, on ne sait même pas s’il s’est fait vraiment fait vacciner. Faites ce que je dis, pas ce que je fais ?! « 
Source: Tweet de Florian Philippot-26/08/2021

Lien de l’article Mediapart : Imbroglio autour de la vaccination de Macron

https://www.mediapart.fr/journal/france/260821/imbroglio-autour-de-la-vaccination-de-macron

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Guadeloupe

Un juge du tribunal de Basse Terre ordonne la commande d’hydroxychloroquine et d’Ivermectine pour soigner les populations de la Guadeloupe.

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Des experts de la FDA révèlent que les vaccins Covid-19 tuent au moins 2 personnes pour 1 vie qu’ils sauvent

Ils votent contre l’approbation des injections de rappel

Lien (article en anglais): https://theexpose.uk/2021/09/18/fda-experts-reveal-the-covid-19-vaccines-are-killing-2-people-for-every-1-life-saved/

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Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination.

C’est confirmé.

En Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination

En Allemagne : 23 000 médecins abandonnent la campagne de vaccination

Parallèlement au retrait des médecins, les Länder envisagent déjà de mettre fin à leurs centres de vaccination.

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Vaccins : des effets secondaires terribles par milliers

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Des thanatopracteurs observent une surmortalité chez les jeunes

CSI n° 22 du 9 septembre 2021

VACCINATION : Des thanatopracteurs dans le monde observent une surmortalité chez des jeunes qui n’auraient jamais dû mourir.

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Ontario plus de 100 myocardites chez les jeunes avec vaccin ARN

Santé publique Ontario (SPO) a publié un rapport jusqu’à présent passé largement inaperçu regroupant les événements indésirables de la vaccination COVID-19  signalés dans la solution de gestion des cas et des contrats de santé publique. Pour la période du 13 décembre 2020 au 7 août 2021, SPO signale un groupe important d’activités d’innocuité des vaccins associées au programme COVID-19 en cours. Sur la base des vaccins associés à la fois à Pfizer-BioNTech et à Moderna, le rapport révèle qu’au 7 août, 106 cas de myocardite/péricardite ont été signalés chez des résidents de l’Ontario de moins de 25 ans, ce qui représente plus de cinquante pour cent du nombre total d’incidents. Segmentés par âge, 31 du total des cas ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, tandis que 75 du total appartenaient au groupe des 18 à 24 ans. En d’autres termes, 80 % du total des MAPI étaient des jeunes de 24 ans et moins.

Lien (article en anglais) : https://trialsitenews.com/public-health-ontario-reports-100-youth-hospitalizations-involving-heart-problems-post-covid-19-mrna-vaccination/?utm_source=Contextly&utm_medium=ChannelEmail&utm_campaign=COVID-19&utm_content=Notification

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Les vaccins présentent plus de risques que le virus

Nous reprenons et vous partageons cet article dans son entièreté car il a été censuré par Mediapart.

Les vaccins plus risqués que le virus selon les chiffres de l’ANSM

Les vaccins plus risqués que le virus selon les chiffres de l’ANSM

7 cas graves pour 100 000 vaccinés / mois, contre 5 décès de la COVID-19 pour 100 000 habitants / mois

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Décès d’un membre de leur famille à la suite de la vaccination : les Chinois réduits au silence

Décès d’un membre de leur famille à la suite de la vaccination : les Chinois réduits au silence

Les autorités ont depuis surveillé leurs proches et accusé une famille au franc-parler de divulguer des « secrets d’État ».

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Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Ces vaccins portent une partie de l’ARN du virus codant pour sa protéine de surface permettant sa fixation sur des cellules-cibles. Les fabricants de ces vaccins ont naïvement cru et fait croire que les organismes injectés allaient monter une forte réponse en anticorps neutralisant cette protéine de surface et ainsi empêcher la transmission du virus. Or les faits contredisent cet espoir : les vaccins Pfizer , Moderna, Astra Zeneca n’empêchent pas la transmission du virus de personne à personne et les vaccinés sont aussi transmetteurs que les non-vaccinés. Par conséquent l’espoir d’une « immunité collective » par une augmentation du nombre de vaccinés est totalement vain. L’explication de cet échec est simple : la haute capacité de mutation du virus liée à sa haute transmissibilité permettent la sélection de variants résistant aux vaccins.

Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Le professeur Montagnier explique l’inutilité de la “vaccination”

Sur la base de données encore expérimentales, ils ont permis et encouragé des campagnes d’inoculation massive de nouveaux types de vaccins.

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Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial

Vous ne pouvez plus dire…

Vous ne pouvez plus dire…

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

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Explications à la Chinoise

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Le ministre australien Victor Dominello paralysé du visage après une vaccination

Lien : https://lemediaen442.fr/le-ministre-australien-victor-dominello-paralyse-du-visage-apres-une-vaccination/

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Des anticorps renforçant l’infection ont été détectés dans les Covid-19 symptomatiques ;

or, l’augmentation des anticorps dépendant de l’infection (ADE) est une préoccupation potentielle pour les vaccins. Les anticorps renforçant l’infection reconnaissent à la fois la souche Wuhan et les variants delta, faisant de l’ADE un risque potentiel pour les vaccinés infectés par les variants delta (Journal of Infection, article en impression).

Lien (article en anglais) : https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(21)00392-3/fulltext#relatedArticles

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Ariane Bilherian : Chronique du totalitarisme – Hommage aux héros français du 15 septembre 2021 

Chroniques du totalitarisme

Chroniques du totalitarisme

Ce qui s’est passé en France ce 15 septembre 2021 est un scandale moral, éthique et déontologique qui place au rang de parias des catégories de citoyens.

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RADIO COURTOISIE : « La Tyrannie en marche »
avec Vincent Reliquet, Louis Fouché, Olivier Soulier…

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Inscrivez-vous plus que jamais aux collectifs ! Seuls remparts aujourd’hui contre la dictature.

BonSens, RéinfoCovid, Laissons les médecins prescrire, Réaction19, AIMSIB, Les tribunes de Laurent Mucchelli, Manifeste des Médecins pour une 4ème voix, Bas les masques

Vous retrouverez les liens de ces divers collectifs dans l’article : Le monde s’organise https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/

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HUMOUR

Une conséquence inattendue de la vaccination !

Augmentation du prix du sperme des non-vaccinés !

Augmentation du prix du sperme des non-vaccinés !

Ces clients sont-ils instruits sur la science ?

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Bonne semaine à toutes et à tous !




La promesse millénaire de la France

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Illustration : Le Baptême de Clovis à Reims le 25 décembre 496, par François-Louis Dejuinne.]

La France est quasiment née d’un miracle, il y a 1500 ans, la promesse d’un héritage civilisationnel bienveillant protégeant les individus de la barbarie. Son histoire parle à chacun d’entre nous, elle est le terreau d’une profonde unité. Elle inspire aussi bien le respect dans sa foi divine que dans sa culture et ses valeurs universelles. Des valeurs défendues depuis quinze siècles qui garantissent nos libertés individuelles et la dignité de chaque individu.

1500 ans après sa naissance, nous sommes aujourd’hui à une époque charnière, un moment où notre pays peut basculer d’une société libre et bienveillante à une société totalitaire.

Mais bien que la France traverse ce moment de crise, nous ne pouvons pas dire qu’il est trop tard.

Les Francs, libres et combattants

Il y a 1500 ans, un jeune roi barbare fait le choix d’un dieu bienveillant à ses anciens dieux barbares et son geste a fondé la civilisation française. « Pour moi, l’histoire de France commence avec Clovis, choisi comme roi de France par la tribu des Francs, qui donnèrent leur nom à la France », disait le général De Gaulle.

Ce roi est Clovis, et son peuple, les Francs.

Clovis recevant la fleur de lys, Heures de Bedford, XVe siècle.

Clovis succède à son père Childéric en 481 à l’âge de 15 ans. Les Francs sont alors des descendants de peuples indo-européens et du semi-mythique roi Mérovée. Ce dernier serait né de la rencontre de sa mère avec une ancienne créature marine semblable au Quinotaure. Ainsi aurait commencé la dynastie des Mérovingiens, première dynastie française.

L’origine communément admise du terme « Franc » est celle de « Francus » qui signifie « homme libre ». Dans l’antiquité tardive, le peuple franc voue un culte à Wotan (connu aussi sous le nom d’Odin), le père des dieux dans la mythologie nordique et une divinité de guerre et de sang. Le paradis des Francs est un paradis de héros guerriers, le Walhalla, où les dieux les accueillent, armes à la main, pour d’éternels festins et batailles célestes.

Francs. Hommes libres et intrépides guerriers. Les Francs sont des guerriers redoutés dans toute l’Europe occidentale. Ils sont les seuls au IVe siècle à chasser des marais d’Europe centrale la tribu barbare des Alains descendue des montagnes d’Iran et d’Arménie, que Rome n’arrivait pas à déloger. Plus tard, le père de Clovis aidera les Romains à arrêter Attila le « fléau de dieu » et les Vandales, lors de la bataille des champs Catalauniques en 451. Installés dans la Belgique actuelle, les Francs sont dès la fin du IIIe siècle les alliés de Rome pour garantir la sécurité et la liberté de la Gaulle romaine, la défendant des invasions barbares venant de l’est de Rhin.

Mais le Ve siècle sonne le déclin et la fin de l’empire romain en 476. L’église nicéenne (de Rome) devient la plus haute autorité spirituelle et voit dans le jeune Clovis la seule alternative pouvant les protéger de l’arianisme. Cette doctrine germanique, à ne pas confondre avec l’aryanisme, ne reconnait pas l’essence divine du Christ et est pour cela appréciée par les peuples barbares païens. Mais Clovis possède intrinsèquement en lui cette nature innée qui lui fera dire : « Que n’aurais-je été là pour empêcher cela » en apprenant le supplice de la passion de Jésus-Christ.

Un roi barbare sensible au faible et au sacré.

Ainsi, l’Église choisit la France pour perpétuer l’héritage civilisationnel de Rome et protéger la foi en un dieu bienveillant. Et c’est pour défendre cet héritage antique que la France n’a cessé de combattre ses ennemis de l’intérieur et de l’extérieur depuis 1500 ans.

Antoine-Jean Gros (1771-1835). « Clovis et Clotilde », esquisse.
Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Petit Palais.

L’unité face à la barbarie : la vocation de la France

Sous l’impulsion de l’évêque de Reims Saint Rémi – qui a l’oreille du jeune roi, Clovis rencontre Clotilde, une princesse burgonde pleurant le massacre de sa famille par les barbares Wisigoths. Entre les deux êtres, qu’un mariage de raison avait réuni, naît le premier miracle : un amour mutuel. C’est le mariage de Clovis avec Clotilde qui fait évoluer les conceptions du jeune souverain. Son épouse s’efforce de le convaincre de renoncer à ses coutumes barbares. Le respect de Clovis pour les croyances de son épouse, l’ouverture d’esprit pour ce qui le dépasse, font parties des pièces du puzzle qui ont construit l’histoire millénaire de la France.

C’est au cours de la difficile bataille de Tolbiac en 496 contre la tribu germanique des Alamans qu’a lieu le deuxième miracle. L’affrontement entre les deux armées barbares tourne vite au massacre et Clovis voit la victoire lui filer entre les doigts. Bien qu’il invoque plusieurs fois ses anciennes idoles nordiques, aucune ne répond. Il se rappelle alors les mots de Clotilde et s’adresse au ciel : « O toi, Dieu de Clotilde, je sollicite avec dévotion la gloire de ton assistance: si tu m’accordes la victoire sur ces ennemis, et si j’expérimente ta vertu miraculeuse je croirai en toi, et me ferai baptiser en ton nom. J’ai en effet invoqué mes dieux, et, comme j’en fais l’expérience, ils se sont abstenus de m’aider […]. C’est toi que j’invoque maintenant, je désire croire en toi ; pourvu que je sois arraché à mes adversaires ».

Aussitôt le chef Alaman est tué d’une francisque (une hache franque) et la victoire revient à Clovis. Le jeune roi n’oubliera pas cette promesse ni cette aide venue du ciel pour le secourir.

Joseph Blanc (Français, 1846-1904)- La bataille de Tolbiac,
toile marouflée, Panthéon de Paris, France.

Selon les historiens, Clovis se fera baptiser entre 496 et 508, un baptême qui aurait pu prendre plus de dix années de réflexion. Clovis hésite car une partie de son peuple voue encore un culte au dieu Wotan. La reine Clotilde demande l’appui de l’évêque Saint Rémi dont une amitié le lie au souverain franc. À la suite des grands miracles que ce dernier a vus à Tours sur le tombeau de Saint Martin, Clovis confirme son baptême ainsi que celui de trois mille de ses plus proches guerriers.

Il est baptisé un 25 décembre. Selon la légende, une colombe blanche serait descendue du ciel pour apporter une huile sacrée, une huile qui servira dès lors au sacre des rois de France. Cette colombe blanche symbolisera le Saint-Esprit apportant la paix aux hommes de bonne volonté.

« Adoucis-toi, fier Sicambre, et courbe la tête ; adore ce que tu as brûlé et brûle ce que tu as adoré », lui dit Saint Rémi.

«Je m’avance devant le bassin sacré : je déclare renoncer à Satan», dit Clovis.

« Relève les habitants de tes cités, soulage les affligés, accorde soutien aux veuves, nourriture aux orphelins puisqu’il est préférable que tu enseignes à tous à t’aimer et à te craindre », continua l’évêque de Reims.

La France naît de ce choix divin.

Clovis devient le protecteur du faible et du sacré et fait le vœu de combattre les tyrans.

La légende rémoise de la colombe est un emprunt direct aux Évangiles
avec le baptême du Christ dans le Jourdain
où le Saint-Esprit est apparu sous forme d’une colombe.

Clovis unifiera les différents royaumes barbares de la Gaule autour de l’héritage de Rome et de l’Église. « Tout lui réussissait, parce qu’il marchait le cœur droit devant Dieu », écrivait Grégoire de Tours dans L’Histoire des Francs. Et comme pour l’épisode du vase de Soissons – où le jeune roi trancha la tête d’un soldat récalcitrant ayant brisé le vase sacré de Soissons (le fameux « Souviens-toi du vase de Soissons ! »), Clovis n’hésitera pas à utiliser la force de son armée pour unifier le pays. Il défendra cette unité civilisationnelle qui garantit la sécurité et la liberté du peuple, la protection du faible et du sacré, et il s’opposera à la tyrannie.

Clovis meurt à l’âge de 45 ans en 511. Il a fait du royaume franc la première puissance de l’Europe occidentale et s’est imposé comme l’héritier de l’empire romain d’occident. Sainte Geneviève lui ouvrira les portes de Paris pour en faire sa capitale. Leurs tombeaux, ainsi que celui de la reine Sainte Clotilde, seront inhumés au sommet de la Montagne Sainte Geneviève, à côté de l’actuel Panthéon.

Retrouver la promesse de la France

Cette histoire de Clovis construit notre imaginaire national aussi bien qu’individuel. Il montre que dans les situations les plus difficiles, la France a su trouver un nouvel espoir en invoquant la confiance et le choix dans ce qui nous dépasse. Depuis 1500 ans, la France offre à ses citoyens la protection d’une société civilisée et des libertés parmi les plus importantes : la liberté de croire et de penser.

Ces valeurs universelles prennent naissance dans le choix de Clovis, un choix qui, 1500 ans plus tôt, a dépassé toutes les parties en présence. L’amour et le respect d’une femme, l’amitié d’un Saint et l’affinité du jeune roi pour le spirituel lui font abandonner ses croyances barbares pour la foi d’un dieu bienveillant. Clovis fait le choix de l’unité face à la barbarie, de la défense du sacré et du faible, l’opposition aux tyrans. C’est la promesse millénaire de la France.

Depuis lors et jusqu’à aujourd’hui, la France n’a cessé d’y puiser son inspiration. Elle a été la nation des plus grands progrès scientifiques et technologiques, de l’excellence en matière de transmission des connaissances et de formations des élites. La France a mené aussi des guerres dans le monde entier pour défendre les libertés face aux totalitarismes aussi bien du temps des rois, que de l’Empire et de la République.

Cette promesse est aujourd’hui menacée. Dans notre premier éditorial « Pourquoi Epoch Times veut défendre la France « , nous exposions le danger de l’infiltration du régime communiste chinois et des théories néo-progressistes en France. Aujourd’hui, dans notre société de plus en plus matérialiste, le lien avec le divin et les valeurs universelles de notre pays est presque détruit, les jeunes générations y sont de moins en moins sensibilisés, alors qu’il est à la base de notre histoire personnelle et collective. Même dans les plus hautes sphères de l’État, on dit qu’il «  n’y a pas de culture française «  et que l’histoire française doit être  » déconstruite « . Pourtant notre pays possède l’une des histoires les plus riches de notre civilisation humaine et celle qui a été le mieux préservée.

La culture et l’histoire françaises sont notre bien commun, elles font partie de l’âme française, c’est-à-dire de l’âme de chacun de ses citoyens. Elles nous inspirent et nous rappellent d’être courageux et loyal, de garder espoir face aux périodes les plus sombres de notre histoire. Elles montrent la grandeur et le destin de notre pays, incarnés par un homme ou par une femme, comme il pourrait l’être par chacun.

« Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont pour point de départ un respect profond du passé » disait le philosophe et historien Ernest Renan.

Avec « Défendre la France », Epoch Times veut rappeler aux Français les valeurs et la riche histoire de notre nation. Si les Français cherchent à mieux comprendre la profondeur de leur histoire, son lien millénaire avec ce qui nous dépasse, ils trouveront alors une alternative profonde à la confusion du moment.

[Voir aussi : La France revivra-t-elle?]

Nous espérons que nos lecteurs participeront à cet effort en faisant connaître nos publications à leurs amis et à leur famille. N’hésitez pas non plus à nous écrire sur redaction@epochtimes.fr pour nous dire, selon vous, quelles sont les valeurs et les épisodes de l’histoire de la France qui valent la peine d’être défendues.

Sources:

– L’histoire des Francs, Grégoire de Tours
– Le Mystère Clovis, Philippe de Villiers aux éditions Albin Michel
– Clovis et les Francs, HérodoteVidéo
– Les Premiers Rois Francs, ProGallia
– La conversion et le baptême de Clovis, Léon Levillain




« Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ?

[Source : Sott.net]

Par David Skripac — Global Research

Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire humaine. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont maintenant permis de modifier définitivement le génome humain — et de modifier à jamais la relation de l’humanité avec la Nature — au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale qui est faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons examiner attentivement les motifs et les actes qui sont en train de transformer l’humanité telle que nous la connaissons. Par ailleurs, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Afin d’étudier les multiples facteurs qui contribuent à accélérer la disparition de l’humanité et à compromettre notre rôle essentiel de protecteurs de la Terre et de ses milliards d’espèces végétales et animales, j’ai divisé cette étude en quatre parties principales, qui apparaîtront sous forme d’articles distincts.

Dans la première partie : Le microbiome et le virome, nous découvrirons que nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui ont joué un rôle essentiel pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et ce même flux d’information viromique est responsable de la construction de l’espèce humaine.

Dans la deuxième partie : Notre guerre contre la Nature, nous explorerons comment notre propre comportement imprudent détruit l’environnement, nous avançant ainsi vers la sixième extinction massive. J’entends par là que je couvrirai la véritable catastrophe environnementale, et non le canular financé par des milliardaires « réchauffement climatique/changement climatique » initié par le Club de Rome et promulgué par le Forum économique mondial (FEM).

Dans la troisième partie : Ce qui s’est passé en 2020, nous examinerons comment cette véritable dévastation environnementale a contribué à la « pandémie » qui a été déployée en 2020, qui a conduit à des injections expérimentales massives de substances inconnues dans des « sujets » humains en 2021, et qui n’a pas de fin prévisible. (J’ai mis « pandémie » entre guillemets en raison de son caractère frauduleux. En effet, il est décrit plus précisément et à juste titre comme une plandémie, une arnaque, une pseudo-pandémie ou tout autre terme indiquant une fausse pandémie.)

Dans la quatrième partie : Notre réponse, nous analyserons la réponse irresponsable et irrationnelle de la plupart des gens de la planète à cette soi-disant pandémie.


Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Le microbiome

Le microbiome (dérivé des mots grecs micro, qui signifie « petit », et biotikos, qui signifie « vivant ») est un écosystème massif composé de milliards de micro-organismes. Fait incroyable, quelque 40 000 espèces de bactéries, 300 000 espèces de parasites, 65 000 espèces de protozoaires et entre 3,5 millions et 5 millions d’espèces de champignons vivent dans l’environnement qui nous entoure et vivent dans ou sur le corps humain. Ce monde complexe de micro-organismes sécrète continuellement une mer de virus, qui servent de réseau de communication pour les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons. Et, comme nous le découvrirons bientôt, ces virus ont toujours été là pour nous aider, pas pour nous nuire. En d’autres termes, ils sont porteurs de vie, et non mort.

Voici un indice de la complexité, de l’incroyable diversité et de la taille infinitésimale du microbiome : Le nombre de gènes dans le règne fongique est d’au moins 125 milliards ! Le génome humain, à titre de comparaison, se compose de seulement 20 000 gènes. Une mouche à fruits a 13 000 gènes, une puce en a 31 000. Ainsi, en termes de complexité génétique, le génome humain ne possède qu’un minuscule fragment d’information génétique par rapport au vaste monde de l’information génomique contenue dans le microbiome.

Un aspect fascinant du microbiome est son réseau de communication symbiotique, qui permet la transmission d’informations protéiques d’un micro-organisme à l’autre. Par exemple, le réseau mycélien (une matrice de filaments blancs fins) chez les champignons permet aux champignons de communiquer entre eux sur des distances qui peuvent s’étendre jusqu’à plusieurs kilomètres. Ces structures mycéliennes sont capables de transférer des ressources minérales et protéiques à plus d’un kilomètre. Comment ? Ils utilisent l’énergie lumineuse et les électrons qui circulent à travers les voies présentes dans le système du sol. De cette façon, le microbiome aide les plantes et d’autres formes de vie multicellulaires à prospérer. Il n’est pas exagéré d’appeler le réseau mycélien dans le royaume fongique le « cerveau » littéral de la planète. Soit dit en passant, tous les petits organismes intelligents qui composent le microbiome sont alimentés par l’énergie biophotonique du Soleil.

Commentaire : Voir notre Focus La science relative à l’intelligence végétale prend racine

Aussi difficile à comprendre, au moins 1,4 quadrillion de bactéries et 10 quadrillions de champignons vivent à l’intérieur du corps humain. Rien que dans le côlon humain on trouve 3,8 x 1013 cellules bactériennes. Chaque organe du corps, y compris le cerveau, a son propre microbiome. Le but des bactéries et des champignons dans notre corps est de nourrir et d’entretenir nos cellules, en nous gardant en bonne santé et en équilibre avec le microbiome plus vaste qui nous entoure.

Le virome

Le virome est l’immense monde dans lequel les messagers de Dame Nature existent. Il est composé de milliards et de milliards de virus produits par les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons du microbiome susmentionné.

Le corps humain adulte moyen contient 1 x 1015 virus. En revanche, dans l’air qui enveloppe la Terre, il y a 1 x 1031virus ; dans le sol terrestre, il y a 2,5 x 1031 virus ; et dans les océans de la Terre, il y a 1,2 x 1030 virus. Pour donner une certaine perspective sur ces nombres impressionnants, 1 x 1031 est 10 millions de fois plus grand que le nombre d’étoiles connues dans l’Univers entier.

En termes simples, un virus est une information génomique, soit de l’ADN ou de l’ARN, enveloppée dans une enveloppe protéique. Les petits brins de protéines dépassant de la surface extérieure de l’enveloppe protéique d’un virus sont appelés protéines Spike. Les virus ne sont pas des organismes vivants. Ils ne produisent pas leur propre carburant. Ils n’ont pas de métabolisme pour produire de l’énergie. Et ils ne peuvent pas se reproduire.

Les virus voyagent à l’échelle mondiale, au-dessus de la couche limite atmosphérique, depuis des millions d’années, bien avant l’invention des machines de transport aérien. Leurs codes génétiques couvrent la Terre depuis des lustres, créant la biodiversité et permettant l’adaptation dans tout l’écosystème. Par adaptation, je veux dire que les virus cherchent toujours à adapter leurs codes génétiques dans le but de créer une santé résiliente dans toutes les formes de vie de la planète. Il est ridicule de suggérer que, pour voyager d’une région du globe à l’autre, un virus puisse sauter à bord d’un avion, comme la Division de la recherche sur la sécurité nationale de RAND voudrait nous le faire croire.

En outre, les virus — y compris les coronavirus — ne viennent pas par vagues pour disparaître ensuite sans laisser de trace, puis réapparaître miraculeusement plus tard au même endroit ou dans un autre. Au lieu de cela, les virus ne partent jamais, n’expirent jamais. Ils habitent tous les éléments de l’environnement qui nous entoure. En bref, ils sont omniprésents et toujours présents.

Notre relation avec des virus particuliers peut changer en raison de nos actions nocives envers la Nature. Chaque fois que les humains empoisonnent et polluent l’air, le sol et l’eau, ils créent un déséquilibre entre l’humanité et le virus — un déséquilibre qui peut nous amener à à être en déséquilibre avec un virus particulier.

Malheureusement, le régime de médecine allopathique, que les ploutocrates John D. Rockefeller et Andrew Carnegie ont imposé à la majeure partie du monde avec leur rapport Flexner de 1910, a encore une grande partie de la communauté scientifique qui croit que les bactéries, les champignons et les virus sont notre ennemi.

Le fondement du système de médecine allopathique de Rockefeller est la « théorie des germes » imparfaite de Louis Pasteur, qui affirme que des micro-organismes extérieurs tels que les bactéries et les virus attaquent, envahissent et infectent le corps, causant ainsi des maladies.

La plupart des pays occidentaux attribuent à Pasteur (1822-1895) un rôle fondamental dans l’établissement de ce que nous appelons la « médecine moderne » — un paradigme qui retrace l’origine de chaque maladie à un seul germe.

Sans la théorie de Pasteur, la plupart des médicaments modernes ne seraient jamais produits, promus ou prescrits — un fait qui explique pourquoi l’establishment médical d’aujourd’hui et son industrie pharmaceutique co-dépendante refusent de reconnaître leurs défauts ou d’admettre leur inefficacité.

En revanche, la « théorie du terrain », initiée par Claude Bernard (1813-1878) et plus tard construite par Antoine Béchamp (1816-1908), allègue que le terrain — c’est-à-dire l’environnement interne du corps — et non un germe externe détermine notre santé ou notre absence. Ce que Béchamp a appelé le « terrain » est très proche de ce que la médecine moderne a maintenant appelé le système immunitaire inné. Comme nous le verrons dans les paragraphes suivants, Béchamp était certainement sur la bonne voie pour découvrir comment le corps humain interagit vraiment avec l’environnement extérieur.

Commentaire : Pasteur ne s’est par contre pas promu tout seul… Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l’on reprend le contexte de l’époque où fleurissait aussi la théorie de l’évolution de Darwin, l’on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s’exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d’entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Voir aussi nos Focus :

Contrairement à Pasteur, Béchamp avait une formation universitaire en sciences. Il croyait que la maladie était le résultat biologique des changements qui se produisent dans le corps lorsque ses processus métaboliques deviennent déséquilibrés. Lorsque le corps est dans un état de déséquilibre, a allégué Béchamp, les germes deviennent des symptômes qui, à leur tour, stimulent plus de symptômes, ce qui conduit finalement à la maladie.

Bien que Béchamp aille dans la bonne direction avec sa théorie du terrain, la tyrannie pharmaceutique dépendante des germes de Rockefeller a prévalu, en grande partie en raison d’importantes infusions d’argent, que Rockefeller et Carnegie ont volontiers fournies sous forme de subventions aux universités, aux hôpitaux et aux installations de recherche médicale. Leur grande taille « philanthropique », qui dépassait facilement 100 millions de dollars, leur a permis d’influencer la politique de l’ensemble de l’établissement médical américain et, éventuellement, de la plupart des pays occidentaux, les dirigeant vers un régime allopathique exclusivement chimique.

Je démontre dans cet article que, contrairement à ce que la médecine Rockefeller nous enseigne depuis plus de cent ans, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ou nous nuire de quelque manière que ce soit.. Au contraire, l’information moléculaire génétique sur l’ADN et l’ARN contenue dans les virus constitue en fait les éléments fondamentaux de la vie sur terre. Pour utiliser une analogie moderne, nous pouvons considérer le flux d’information d’un virus comme une mise à jour logicielle transportant une intelligence moléculaire importante qui peut être téléchargée, au besoin, sur n’importe quelle cellule d’un organisme multicellulaire vivant, y compris l’une des 70 milliards de cellules contenues dans le corps humain. Nos cellules régulent de nouvelles informations génomiques qui sont reçues et d’autres informations qui ne sont pas reçues. Les virus cherchent simplement à s’adapter aux cellules dans le but de créer une santé humaine résiliente.

Commentaire : Voir notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 et particulièrement la section sur les virus.

Un mot ici sur le système immunitaire.

Il existe deux types d’immunité : innée et adaptative

Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour.

Le système immunitaire inné fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes, comme l’APOBec3A/3G et le CAS9Ces enzymes sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus.

Le système immunitaire adaptatif monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.

Pour comprendre la rapidité avec laquelle le corps humain s’adapte lorsqu’il est exposé au virome, envisagez un nourrisson de sept jours. Il a 1 x 108 particules virales dans seulement un gramme de matières fécales. Même si cet enfant n’a pas la capacité de développer des anticorps à un stade aussi précoce de sa vie, il s’adapte néanmoins instantanément à ces particules virales, restant parfaitement en bonne santé. Au lieu de développer une fièvre, il reste en équilibre stable — l’homéostasie — avec le virome, tant microbien que génétiquement. Ce seul fait prouve que nous n’interagissons pas avec le virome par notre système immunitaire adaptatifmais que nous interagissons plutôt avec lui par l’intermédiaire de notre système immunitaire inné.

Quel est le principal point à retenir de ces faits ? Selon moi, c’est que la décision du corps d’adopter l’information génétique est un processus biologique très complexe et contrôlé. Il existe de nombreuses façons dont notre corps reste en équilibre avec l’immense mer d’informations génétiques que nous inspirons et avec lesquelles nous entrons en contact à chaque instant de notre vie.

Puisqu’un virus n’est pas un organisme vivant, notre système immunitaire inné ne peut pas tuer les virus — et il ne voudrait pas le faire. Au lieu de cela, comme mentionné ci-dessus, le système immunitaire inné entre simplement en équilibre génétique avec un nouveau virus. Il le fait en reproduisant ou en recevant des mises à jour de ce virus — et en répondant immédiatement à ce nouveau téléchargement viral. Une fois l’équilibre génétique atteint, généralement 4 à 5 jours après l’exposition initiale au virus, notre système immunitaire inné refuse de recevoir d’autres mises à jour.

De ces faits, nous pouvons conclure que les humains ne peuvent pas empêcher une « épidémie » de se produire, ni changer la trajectoire d’une épidémie. En d’autres termes, il est inutile — en fait, pire qu’inutile : c’est nocif — d’essayer de contrôler un virus par ailleurs utile en déployant un dispositif expérimental non approuvé d’édition génétique conçu pour produire une réponse immunitaire (aussi connue sous le nom de réponse adaptative du système immunitaire induite par l’injection). Ce modèle scientifique obsolète est biologiquement illogique et ne pourra jamais fonctionner. Nous savons maintenant qu’il interfère avec notre système immunitaire inné magnifiquement conçu, qui est parfaitement capable de gérer tout virus avec lequel nous pourrions développer un déséquilibre temporaire. (La façon exacte dont nous développons un déséquilibre avec un virus particulier, comme le virus du VIH ou tout coronavirus, sera expliquée plus loin dans l’article).

De plus, contrairement au récit officiel propagé par les fabricants de vaccins et les organismes de santé des gouvernements du monde entier, notre système immunitaire conserve en mémoire des virus avec lesquels notre corps a interagi et des gènes qui ont été insérés naturellement — après avoir reçu une nouvelle mise à jour virale — dans nos cellules. Dans le système immunitaire inné, par exemple, l’enzyme Cas9, qui est responsable du clivage de l’excès d’ADN lorsqu’une trop grande quantité d’un transfert viral est présentée à une cellule, est la banque de données de mémoire naturelle qui se souviendra du modèle d’ADN qu’elle a rencontré.

En outre, les dossiers permanents tenus par un système immunitaire inné sont transmis aux générations futures d’humains, qui n’auront donc jamais de réaction inflammatoire à un virus particulier. Même dans le système immunitaire adaptatif, les lymphocytes B (la source d’anticorps) et les lymphocytes T (stimuli des lymphocytes B) fournissent une immunité durable.

Une étude à plusieurs volets des NIH présentée par le Center for Infectious Disease Research and Policy (CIDRAP) en 2008 a prouvé de manière concluante que l’immunité aux anticorps peut durer toute une vie. Dans cette étude, un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr. Eric Altschuler, a prélevé des échantillons de sang sur 32 survivants — âgés de 91 à 101 ans — de la pandémie de grippe espagnole de 1918. (En fait, le nom correct de cette pandémie est la grippe du Kansas — son lieu d’origine.) À leur grande surprise, les scientifiques ont découvert que, près d’un siècle plus tard, tous les participants à l’étude portaient encore les anticorps contre la même souche de grippe.

Commentaire : Et plus précisément en ce qui concerne cette grippe de 1918,

« La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe ni d’origine espagnole ?
[…]
La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe. La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas. Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.
[…]
Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier. »

Sur la base des conclusions de cette étude vieille de 21 ans, nous pouvons rejeter la propagande qui nous est imposée par les médias mainstream et les organisations médicalesIl n’est pas vrai que l’immunité naturelle au virus Sras-CoV-2 peut s’estomper six mois à un an après l’exposition initiale. Et il n’est pas vrai qu’une injection expérimentale est le seul moyen d’atteindre l’immunité. De telles allégations non fondées ne sont que des ruses inventées pour faire avancer l’agenda avide de l’industrie pharmaceutique et des autres technocrates opérant en coulisses.

En résumé : Le pouvoir de l’immunité naturelle surpassera toujours toute présumée immunité contre un virus censé résulter d’une injection, qu’elle soit expérimentale ou approuvée par le gouvernement.

Du point de vue biologique, toute la vie sur Terre est construite à partir des séquences génétiques moléculaires d’ARN et d’ADN contenues dans les virus. Ces virus sont des systèmes d’administration génétique de nature complexe, ils demeurent essentiels à l’épanouissement et au maintien de la vie sur Terre. En fait, plus de 50 % des 20 000 gènes hérités par les humains d’aujourd’hui ont été insérés il y a des millions d’années dans le génome des mammifères par ces minuscules merveilles de la Nature. Au moins 8 % de ces gènes ont été insérés par des rétrovirus à ARN similaires au rétrovirus du VIH. (Un rétrovirus est un virus à ARN qui insère une copie d’ADN de son génome dans la cellule hôte afin de se répliquer.) Tout aussi intrigant est le fait qu’il y a des millions d’années, les mises à jour rétrovirales ont joué un rôle clé dans l’émergence des mammifères placentaires.

Fait intéressant à noter, une étude publiée en 2017 par le National Institute of Health (NIH) démontre que beaucoup d’entre nous sont porteurs du rétrovirus du VIH sans même le savoir. Dans cette étude, les chercheurs « ont exploré des données de séquence non humaines provenant du séquençage du génome entier » du sang de 8 240 adultes vivant aux États-Unis et en Europe — dont aucun n’a été établi comme étant atteint d’une maladie infectieuse. Ils ont constaté qu’un total de 42 % des participants ont obtenu un résultat positif pour la présence de 94 virus connus. Ces virus comprenaient le VIH, le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C et le virus de la grippe.

Nous avons été formés par la communauté médicale et les médias sous la coupe des entreprises pour croire que le VIH devrait prédominer chez les personnes vivant en Afrique subsaharienne. Après tout, nous dit-on, 95 % de tous les cas « séropositifs pour le VIH » proviennent de cette région du globe. Si tel était le cas, nous devrions nous attendre à voir dans d’autres régions très peu de VIH et une prévalence beaucoup plus élevée, par exemple, de l’hépatite C ou de la grippe. Au contraire : c’est juste l’inverse ! En fait, l’étude de 2017 a révélé une prévalence cinq fois plus élevée du VIH que d’hépatite C et de grippe chez ces 8 240 Américains et Européens asymptomatiques. Étonnamment, chacun était complètement en harmonie avec le virus du VIH, même si aucun d’entre eux n’avait jamais voyagé en Afrique. Nous devons conclure à partir de cette étude que non seulement le monde a tout simplement mal compris la prévalence du virus du VIH dans toutes les régions du monde, mais que notre peur de celui-ci — et du virome en général — est tout à fait injustifiée.

Étant donné que de nombreuses organisations puissantes, publiques et privées, bénéficient des énormes subventions et dons qui perpétuent le mouvement sans fin contre le SIDA, il n’est pas surprenant qu’aucune étude scientifique évaluée par les pairs n’ait été réalisée pour fournir des preuves concluantes qu’un virus appelé VIH provoque une maladie appelée SIDA. Si une telle étude devait être entreprise, elle prouverait que l’hypothèse du VIH au SIDA est sans fondement et, plus précisément, frauduleuse.

La question sur laquelle les scientifiques devraient se concentrer est la suivante : qu’est-ce qui se passe en Afrique subsaharienne qui crée une relation aussi anormale entre les personnes vivant dans cette région et le rétrovirus du VIH, ce qui fait que 95 % d’entre elles sont séropositives ?

Pour répondre à cette question, nous devons examiner le terrain où résident les virus et rester en équilibre avec le corps humain. (Par « terrain », j’entends une zone géographique avec son écosystème associé. Je ne fais pas référence ici à la théorie du terrain Bernard/Béchamp susmentionnée.) Lorsqu’un terrain est perturbé par quelque chose d’innaturel — par exemple, l’empoisonnement de l’environnement par un comportement humain irresponsable — les virus deviennent surexprimés et l’équilibre du corps avec le virome est perdu.

Compte tenu du terrain, nous constatons que le facteur numéro un commun à toutes les épidémies ou pandémies dites de maladies infectieuses est la destruction de l’écosystème. En d’autres termes, le terrain naturel a été modifié par un comportement humain irresponsable à un point tel que notre adaptation innée à toute l’information génétique qui nous entoure est sapée.

Commentaire : Il est toutefois à noter qu’un environnement peut aussi, comme l’Histoire nous l’apprend, être en partie ou totalement détruit par des changements cosmico-terrestres : ouragans, tornades, volcans, séismes, inondations, grêle, passage rapproché de comète, astéroïdes, et autres boules de feu météoriques, etc.

Ce n’est pas tant que les virus causent une maladie. C’est plutôt qu’ils présentent simplement au corps une nouvelle option d’adaptation génétique. Le système immunitaire inné de l’organisme détermine ensuite la quantité de ces nouvelles informations qu’il absorbera. Si les cellules ont un besoin urgent de réparation — peut-être en raison de mauvais choix alimentaires, d’un mode de vie sédentaire ou d’une toxicité dans l’environnement — le virus créera un événement inflammatoire au fur et à mesure que le corps traverse son processus de régénération. Cela s’accompagne généralement d’une fièvre, d’une perte d’appétit et d’un nombre élevé de globules blancs. Un tel événement inflammatoire est ce que nous appelons communément « la grippe ».

Ce que nous appelons de manière désobligeante une réaction inflammatoire — en laissant entendre qu’il est mauvais pour le corps — fait en réalité partie du processus de guérison du corps. L’inflammation est nécessaire pour créer une régénération dans le corps. Il agit au nom de l’organisme [corps], pas contre lui. Mais si le microbiome du corps est riche au lieu d’être déficient, il n’aura pas besoin d’une mise à jour et, par conséquent, aucune inflammation ne se produira.

Dans le cas de l’Afrique subsaharienne, l’écosystème est en train de mourir. L’effondrement des systèmes de sol riches en nutriments, la mauvaise hygiène de l’eau, le manque d’assainissement de base, une population souffrant de sous-alimentation chronique et l’élimination complète de l’agriculture biologique traditionnelle — dépassée par la révolution verte oxymoronique, imposée aux pays en développement par l’agriculture industrielle — ont provoqué un déséquilibre entre leur système immunitaire inné et l’environnement. Le syndrome connu sous le nom de « SIDA » est l’expression de ce déséquilibre. Le virus du VIH, découvert pour la première fois par le virologue français Luc Montagnier, a été faussement accusé d’être le principal responsable du SIDA — une forme de culpabilité par association. En fait, le virus du VIH est bénin et n’essaie pas de prendre en charge la mécanique d’une cellule.

La véritable racine du problème est que le système immunitaire inné du peuple subsaharien a été dégradé par un manque de nutrition à un point tel qu’il est en proie à une myriade de maladies, qui ont été regroupées collectivement sous le seul titre « SIDA ». Cependant, au lieu de s’adapter à la réalité de ce que provoque la terrible catastrophe écologique, les « scientifiques » blâment le virus du VIH comme un prétexte pour cacher des décennies de crimes environnementaux et économiques gouvernementaux et commerciaux.

D’après les informations recueillies jusqu’à présent, nous pouvons à juste titre conclure qu’il est impossible pour les virus ou les agents pathogènes de créer des pandémies et des épidémies de maladies infectieuses — car il n’existe pas de maladie infectieuse au sens traditionnel du terme — par exemple « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » non fondées. Oui, la propagande pharmaceutique pousse le paradigme des maladies infectieuses dans le monde entier depuis des siècles. Mais la croyance que de telles maladies existent n’est qu’une conséquence de la théorie des germes démystifiées de Pasteur. Ce que nous appelons communément une épidémie ou une pandémie est simplement le résultat de la dégradation du système immunitaireinnéd’une partie de la population de la planète. Les raisons de cette dégradation peuvent inclure l’empoisonnement chimique par des herbicides, des pesticides ou des aliments génétiquement modifiés, que nous examinerons plus en détail dans la partie suivante.

Comme nous pouvons le voir par la description ci-dessus du virome, il n’est pas exagéré de dire que le virome est le langage de toute vie sur Terre. Nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui demeure essentielle pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et c’est ce même flux d’information viromique qui a permis de façonner l’espèce humaine.

Ainsi, les humains ne sont pas séparés du virome et du microbiome, mais ils font plutôt partie intégrante du vaste écosystème complexe du virome et du microbiome. Pourtant, nous nous sommes de plus en plus placés en opposition directe avec le système vivant même dont nous faisons partie intégrante : la Nature.

Commentaire : Nous pouvons sérieusement, comme le fait l’article, nous interroger sur la fonction exact des microbes/virus dans l’écologie planétaire, et déterminer s’ils ne seraient pas en fait nécessaires à l’évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd’hui religion.

Rappelons par ailleurs que dans l’approche matérialiste de Pasteur et de ses suiveurs (autoritaristes), notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l’organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l’intérieur », tout en stérilisant l’environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l’influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d’entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l’opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.

Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l’objet d’un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l’organisme, et qu’elle ne peut jamais, en rien, procéder d’un équilibre intérieur.

Cette vision est anti-vie.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source de l’article publié initialement en anglais le 15 août 2021 : Global Research
Traduction : Mondialisation.ca
Corrections : Sott.net


Note du traducteur 1 : La première partie de cet article a été publiée sur Sott.net et concernait l’analyse du microbiome et du virome : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome.

Nous publions ici les deuxième, troisième et quatrième parties réunies.

Deuxième partie — Notre guerre contre la Nature

L’espèce connue sous le nom d’Homo sapiens est la seule sur cette planète qui cherche activement à s’éradiquer elle-même tout autant qu’à éradiquer son habitat. Tous les systèmes de soutien de la vie sur Terre — le sol, l’eau et l’air — sont en déclin, conséquence directe de notre activité économique actuelle, qui vise à extraire le plus possible de la Terre sacrée sans se soucier des conséquences qui en découlent.

En adoptant un paradigme économique aussi intolérable, nous ne respectons pas les limites écologiques ni les limites éthiques. Notre modèle économique axé sur la consommation, que nous avons conçu et dont nous sommes aujourd’hui esclaves, est à l’origine de carences perpétuelles : épuisement des ressources, perte de biodiversité et contamination par des substances toxiques, autant de facteurs qui causent des ravages perpétuels à l’ensemble de l’écosystème et à son environnement. Les méga-corporations continuent de propager l’idéologie de la croissance économique illimitée, qu’elles entendent tirer d’une planète aux ressources limitées et dont elles sont les seules à tirer un bénéfice financier. Leurs objectifs égocentriques se heurtent aux motivations généreuses des masses, qui privilégient le concept d’égalité des chances, y compris le droit égal de tous les humains à vivre dans un environnement sain. La quête incessante de profits par l’ensemble des milliardaires, au détriment du bien-être social de chacun, alimente la concurrence mondiale pour les ressources et provoque un holocauste écologique. En bref, nous assistons à une nouvelle forme de colonialisme imposée par la classe des prédateurs [qui sont aussi des parasites – NdT] à l’ensemble de l’humanité, alors que nous entrons dans ce que l’on appelle communément la sixième extinction de masse.

Considérez ce que nous faisons à notre eau douce. La surface de notre planète est composée à 80 % d’eau, dont 97 % d’eau salée. Les 3 % restants de nos réserves d’eau potable ont été traités avec une telle insouciance qu’elles sont très pollués et s’épuisent rapidement. Sur ces 3 % d’eau douce, au moins 29 % sont siphonnés par les industries de la viande et du lait, grandes consommatrices d’eau. Les Nations unies estiment qu’au cours de la prochaine décennie, 2 milliards de personnes souffriront d’une extrême pénurie d’eau et que, d’ici la fin du siècle, la moitié de la population mondiale connaîtra une forme ou une autre de pénurie d’eau.

Note du traducteur 2 : Ou peut-être plus exactement d’un rationnement de l’eau décidé dans les hautes sphères, peu importe la quantité disponible. Par ailleurs, les événements météorologiques de ces dernières années, et plus particulièrement de ces derniers mois, laisse à entendre que les Nations Unies pourraient avoir tort : certaines parties pourraient en effet être affectées par un manque d’eau (en Amérique du Nord de l’Ouest) mais d’autres (comme l’Asie et l’Europe) pourraient bien en avoir beaucoup trop. Les Nations Unies se feraient-elles l’écho d’un Agenda 2030, aujourd’hui bien identifié par nos lecteurs ?

Les industries minière et pétrolière ne sont pas non plus des amis de l’environnement. Aux États-Unis, les sociétés minières ont abattu plus de 500 montagnes dans les Appalaches, provoquant une immense pollution des sols et des eaux de surface. Dans d’autres régions du pays, le forage pour le pétrole et le gaz de schiste, appelé fracturation hydraulique mais plus connu sous le nom de « fracking », pompe depuis le sol des substances cancérigènes et des toxines qui sont rejetées dans l’air, l’eau et le sol de surface, ce qui aggrave encore le problème de la pollution. Bien qu’elle soit présentée comme une solution à la dépendance des États-Unis vis-à-vis du pétrole étranger, la fracturation est en fait le dernier acte de stupidité d’un pétro-État.

Livre Toxic Waters

Les industries de la viande et du lait susmentionnées ne font pas que monopoliser l’eau. L’agriculture animale — qui englobe les énormes fermes industrielles et les petites exploitations familiales — est également la principale cause des gaz à effet de serre, de la déforestation, de l’extinction des espèces et des « zones mortes » des océans. L’élevage industriel intensif des animaux et de leurs cultures fourragères est en grande partie responsable du taux le plus élevé d’extinction massive d’espèces depuis 65 millions d’années [ça se discute – NdT].

En outre, aucune autre industrie sur la planète n’a besoin d’autant de surface que l’agriculture animale : elle accapare 45 % de toutes les terres libres de glace de la planète. Selon la World Animal Foundation, 70 % de la forêt amazonienne est détruite dans le seul but de cultiver du soja ou du maïs OGM pour nourrir le bétail en Amérique du Sud et en Europe. Entre 1970 et 2019, un total de 718 927 kilomètres carrés de la partie brésilienne de la forêt amazonienne a été déboisé.

Note du traducteur 3 : À noter toutefois que la même World Animal Foundation (WAF) nous encourage au véganisme et nous demande de « sauver la planète ».

Quelques faits supplémentaires à prendre en considération :

  • La moitié de l’approvisionnement mondial en céréales est destinée aux animaux de boucherie, alors qu’un milliard de personnes souffrent de la faim.
  • Aux États-Unis, 54 % de l’eau douce est détournée par l’agriculture animale, alors que 99,8 % de la zone géographique de la Californie connaît une sécheresse critique.
  • À l’échelle mondiale, l’industrie de l’agriculture animale, qui tue au moins 72 milliards d’animaux terrestres chaque année (200 millions par jour), est à l’origine de 51 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre, soit bien plus que les 13 % générés par tous les modes de transport réunis.

Note du traducteur 4 : C’est un fait, mais l’auteur ne fait pas mention de l’absurdité de nourrir des bovins et des ovins avec des céréales, ce qui n’est absolument pas leur régime naturelle. Ce n’est donc pas l’élevage animal en tant que tel qui devrait être soumis à la question, encore que l’aspect industriel et tout ce qui l’accompagne est à prendre en considération, mais bien la façon dont ils sont nourris qui est en soi contre-Nature. Par ailleurs, l’auteur omet aussi de faire mention des cultures agricoles destinés à alimenter les moteurs de voiture pour une consommation dite « verte » qui participe à la propagation des polluants dans l’air, voir plus bas à propos du glyphosate.

Le « fait » le plus surprenant concernant la dévastation causée par l’agriculture animale est que la quasi-totalité des prétendues organisations environnementales à but non lucratif sont silencieuses sur cette question.

La catastrophe environnementale est encore plus grave dans les océans du monde. L’industrie de la pêche commerciale détruit la vie océanique, y compris les fonds marins, à un rythme jamais vu dans l’Histoire. Aucune autre industrie ne tue plus d’animaux que ce commerce. Un rapport de Matthew Zampa pour Sentient Media observe qu’entre 37 et 120 milliards de poissons sont tués chaque année dans des fermes piscicoles commerciales créées par l’être humain et qu’au moins un autre trillion d’animaux aquatiques vivant dans des plans d’eau naturels sont tués pour chaque année pour les nourrir. Selon des recherches présentées sur le site Web d’Oceana, ce total stupéfiant ne comprend pas les 100 millions de requins et les 650 000 baleines, dauphins et phoques qui sont tués chaque année en tant que prises accessoires — les prises accessoires sont le nombre total d’animaux marins que les pêcheurs capturent involontairement dans leurs filets et tuent, soit en les rejetant en mer, soit en les ramenant au port.

Note du traducteur 5 : Les fermes piscicoles créées par l’être humain sont elles aussi contre-Nature et engendrent un nombre incalculable de maladies. Qui plus est, ces poissons sont nourris de farines, d’ingrédients douteux et de poissons qu’il faut bien prendre quelque par : et à part les étangs mentionnés par l’auteur, ils pourraient bien être prélevés dans ces mêmes bassins piscicoles…

En raison de cette extraction et de cette extermination, les populations mondiales de nombreuses espèces de vie aquatique sont en train de chuter à des niveaux proches de l’extinction. Une étude scientifique présentée dans le New York Times prévoit que si la pêche commerciale dans le monde se poursuit à son rythme actuel, les océans seront pratiquement vides en 2048.

Tout aussi inquiétant, les océans sont utilisés comme dépotoir pour les entreprises manufacturières et minières du monde entier. Il n’est donc pas surprenant que des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l’université de San Diego aient découvert que les populations de poissons [et de mammifères y compris terrestres, comme l’ours polaire – NdT] des océans sont contaminées par des métaux lourds comme le mercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organochlorés (DDT et CHL), les polybromodiphényléthers (PBDE), les composés plastiques et l’hexachlorobenzène.

Les fabricants de produits chimiques synthétiques, de pesticides, d’insecticides, d’herbicides et d’engrais comptent parmi les pires ennemis de la Terre. La menace la plus récente pour notre environnement provient des cultures industrielles génétiquement modifiées, connues sous le nom d’organismes génétiquement modifiés (OGMs). Avec l’introduction de ces nouvelles cultures, nous avons accéléré notre capacité à manipuler la Nature à un rythme inimaginable à une époque antérieure. Malheureusement, en conséquence de notre ingérence, nous assistons à une explosion des maladies chroniques.

Note du traducteur 6 : Des facteurs naturels et cycliques peuvent aussi entrer en ligne de compte, bien que ce qui précède puisse en accélérer le processus.

Voir Oubliez le réchauffement climatique, nous sommes au bord de l’extinction !

Comment notre discussion susmentionnée sur les microbiomes, les viromes et l’immunité s’inscrit-elle dans ce tableau de désolation environnementale ?

Tout d’abord, depuis l’introduction de l’agriculture chimique et l’utilisation des OGMs à l’échelle mondiale en 1996, nous avons modifié notre environnement naturel à un point tel que nous décimons notre système immunitaire inné. (N’oubliez pas cette date : 1996.) En conséquence, les maladies auto-immunes et autres maladies chroniques qui, à une époque, ne touchaient qu’un infime pourcentage de la population générale, connaissent aujourd’hui une explosion de leur prévalence. Le timing de cette explosion ne nous échappe pas : ces maladies ont commencé à toucher les humains de manière importante à partir de 1996. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’utilisation prodigue des OGMs est liée au déclin marqué de la santé humaine au cours des deux dernières décennies et demie.

Je vais citer quelques exemples :

Dans le monde, une personne sur quatre souffre désormais d’allergies ; en Amérique du Nord, une personne sur trois est obèse ; aux États-Unis, une femme sur deux et un homme sur trois développeront un cancer au cours de leur vie.

En outre, le trouble du développement appelé « trouble du spectre autistique » est passé de 1 enfant sur 5 000 en 1975 à 1 sur 36 en 2016. Si la tendance actuelle se poursuit, on peut s’attendre à ce qu’un enfant sur trois soit atteint d’autisme d’ici 2035. Pendant la même période, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire d’autres troubles du système immunitaire, tels que la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la maladie de Parkinson (chez les hommes), la maladie d’Alzheimer (chez les femmes), la démence et le diabète de type 1.

Note du traducteur 7 : Il faut aussi mentionner que la vaccination de masse avec un nombre délirant de vaccins inoculés dès les tout premiers jours de la vie concourt à considérablement affaiblir le système immunitaire inné et à désorganiser le système immunitaire adaptatif, lequel n’a techniquement aucune raison de s’activer, en général, tant que le premier est optimal. Le fait de développer des anticorps est déjà en soi le signe d’un système immunitaire inné affaibli.

Les cultures OGMs sont pulvérisées avec des herbicides, comme le Roundup de Bayer, qui contient l’ingrédient actif appelé glyphosate et qui est l’herbicide/antibiotique cancérigène le plus omniprésent de la planète. En 2014, plus de 747 millions de kg de glyphosate ont été utilisés dans le monde. Aujourd’hui, à peine sept ans plus tard, ce chiffre a plus que doublé, passant à 2 milliards de kg. Étant un composé soluble dans l’eau, le glyphosate contamine les eaux souterraines partout, de la Chine à l’Amérique du Nord. Comme si cela ne suffisait pas, le glyphosate contamine également l’air que nous respirons. Une étude de l’US Geological Survey réalisée en 2007 révèle que le Roundup (alias glyphosate) et son sous-produit toxique, l’acide aminométhylphosphonique (AMPA), ont été retrouvés dans plus de 75 % des échantillons d’air et de pluie testés dans le Mississippi en 2007.

Parallèlement, le plus long fleuve des États-Unis, le puissant Mississippi, et ses centaines d’affluents recueillent plus de 80 % du Roundup pulvérisé sur les cultures dans l’ensemble des États-Unis. Le fleuve Mississippi reçoit également des milliers d’autres polluants chimiques qui y sont déversés par les entreprises pétrochimiques. Il n’est pas surprenant que les personnes résidant le long des 140 derniers kilomètres du fleuve, qui traverse la Louisiane — plus précisément dans la région de Baton Rouge et de la Nouvelle-Orléans — aient l’un des taux de cancer les plus élevés au monde.

Note du traducteur 8 : Le glyphosate se retrouve dans l’atmosphère également en raison de l’usage de carburants dits « verts », qui sont issus de cultures OGMs traités au glyphosate et qui sortent des pots d’échappement de tous les véhicules, qui, pour « sauver la planète » contribuent à la polluer, elle, son environnement et toute la vie qui s’y développe.

Le brevet du Roundup, autrefois détenu par Monsanto (aujourd’hui Bayer), ayant expiré en 2000, la Chine est devenue le premier utilisateur et exportateur de glyphosate au monde. En 2017, la Chine a exporté dans le monde plus de 300 000 tonnes de glyphosate. Il s’avère que la province du Hubei, où siège la tristement célèbre Wuhan, est l’une des principales utilisatrices de glyphosate en Chine. Les effets toxiques combinés de la production porcine, de l’industrie lourde et de l’agriculture chimique dans la province de Hubei ont fait de cette région l’un des endroits les plus pollués de la planète. L’écosystème de Wuhan, autrefois diversifié et propre, a été complètement ravagé par les polluants d’origine humaine et l’utilisation massive de glyphosate dans l’agriculture industrielle.

Il existe un lien indiscutable entre le taux élevé de cancer actuel et l’utilisation massive de glyphosates. En une seule génération, le taux de cancer diagnostiqué chez les hommes a doublé. Parallèlement à cette augmentation, en 25 ans (environ une génération) entre 1990 et 2015, la toxicité de l’environnement a également doublé.

Les données statistiques compilées par Nancy L. Swanson et al. dans le Journal of Organic Systems fournissent des preuves accablantes d’une corrélation précise, de 1975 à 2010, entre l’utilisation du glyphosate et l’incidence de nombreux types de cancer, notamment le cancer de l’urine/de la vessie, le cancer du foie, le cancer de la thyroïde et la leucémie myéloïde. Les graphiques présentés dans l’étude de Swanson montrent que l’augmentation de la prévalence du cancer recoupe parfaitement l’augmentation de l’utilisation du glyphosate.

Un autre lien qui ne peut être ignoré est la baisse du nombre de spermatozoïdes masculins dans les pays occidentaux. Shanna Swan, épidémiologiste au Mount Sinai Medical Center de New York et éminente spécialiste de la santé génésique, prévoit que le nombre de spermatozoïdes de l’homme moyen sera nul d’ici 2045. Avec l’introduction des perturbateurs endocriniens, le nombre de spermatozoïdes masculins a chuté de 50 à 60 %, soit une moyenne de 1 à 2 % par an, entre 1973 et 2011. Il est vrai que les microplastiques perturbateurs endocriniens présents dans l’eau potable posent un problème, mais ce problème n’est rien en comparaison des effets néfastes de l’agriculture chimique et de l’utilisation du glyphosate, affirme le spécialiste de la médecine interne, de l’endocrinologie et du métabolisme, le Dr Zach Bush, sur son site web Global Health Education.

De plus, écrit le Dr. Bush,

« le glyphosate fonctionne comme un puissant agent chélateur, bloquant les nutriments dans les systèmes du sol, des plantes et de l’eau, de sorte que nous pouvons maintenant nous trouver dans un état biologique qui équivaut à une famine tout en étant confronté à l’excès calorique le plus extrême que l’humanité ait jamais produit. »

Note du traducteur 9 : Il est question ici de la population des États-Unis, en particulier. Cet « excès calorique » ne concerne évidemment pas les populations touchées par une famine à la fois nutritionnelle et calorique.

Les avertissements mondiaux d’autres scientifiques, médecins et environnementalistes abondent. Par exemple, le Dr Vandana Shiva, militante pour l’environnement et la souveraineté alimentaire et écoféministe basée à Delhi, en Inde, n’a cessé de mettre en garde, dans les livres et articles qu’elle écrit, et dans les discours et interviews qu’elle donne dans le monde entier, contre le fait que les OGMs ont ruiné la vie des sols et des plantes en inhibant leur capacité à stocker les micro-organismes et les minéraux, tels que le zinc, le fer et le magnésium, qui sont vitaux pour la réponse immunitaire des animaux et des humains. Dans son article d’opinion de 2012 intitulé « Mythes sur l’agriculture industrielle », le Dr Shiva cite une étude de 1995 selon laquelle l’agriculture industrielle (qui a commencé en 1965) est responsable de 75 % de l’érosion de la biodiversité de la Terre, de 75 % de la destruction de l’eau et de 40 % des gaz à effet de serre, alors qu’elle ne produit que 30 % de l’approvisionnement alimentaire des humains.

Note du traducteur 10 : Voir sur le sujet l’excellent ouvrage de Lierre KeithLe Mythe végétarien.

En 2013, Sott.net a publié un article qui présente l’ouvrage traduit cette année-là en français : Revue de livre – Le Mythe végétarien, nourriture, justice et pérennité.
Toujours en 2013, Sott.net a publié une interview exclusive avec l’auteur : Radio Interactive SOTT – Entretien avec Lierre Keith

En 2009, trois articles qui reprennent les Chapitres et 1 et 2 ont été traduits par Sott.net et également publiés :
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (1re partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (2e partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (3e partie)

Depuis le milieu des années 1990, l’agriculture industrielle/chimique a décimé le microbiome du sol à l’échelle mondiale. Pensez-y : en 2014, une haute fonctionnaire des Nations unies, Maria-Helena Semendo, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a expliqué à l’assemblée qu’à moins de développer de nouvelles approches de l’agriculture, la quantité mondiale de terres arables et productives par personne ne représentera en 2050 qu’un quart du niveau de 1960. À considérer également : dans une étude menée par l’université de Lancaster en septembre 2020, les chercheurs ont constaté que 90 % des sols cultivés de manière conventionnelle dans le monde s’amincissaient, et que 16 % d’entre eux avaient une durée de vie inférieure à un siècle.

En bref, la réduction susmentionnée du nombre de spermatozoïdes masculins, associée à la dégradation des sols dans le monde entier, sont les deux facteurs clés qui conduisent l’humanité vers l’extinction.

Chaque fois que nous pulvérisons du Roundup ou l’un des autres herbicides encore plus toxiques qui sont maintenant largement utilisés — comme le 2,4-D (le 2,4-dichlorophénoxyacétique est un ingrédient principal de l’herbicide de guerre chimique largement connu sous le nom d’Agent Orange) ou le dicamba (un herbicide 200 fois plus toxique que le glyphosate du Roundup) — nous détruisons le microbiome du sol, celui des mauvaises herbes, des plantes et des animaux ainsi que notre propre microbiome. Et, pour enfoncer le clou, le Roundup se disperse non seulement dans le sol mais aussi dans l’air. Tout comme ses produits concurrents.

Malheureusement, les herbicides ne sont pas la seule substance toxique présente dans l’air que nous respirons. De nombreux autres polluants — mercure, arsenic, soufre et cyanure, pour n’en citer que quatre — circulent également dans l’atmosphère. Ces toxines, qui sont produites par les secteurs du transport et de l’énergie, sont capables de se lier aux particules de carbone. Les particules fines de carbone, appelées PM2,5 (c’est-à-dire les particules inférieures à 2,5 microgrammes par mètre cube, soit 100 fois plus fines qu’un cheveu humain), sont un sous-produit de la combustion de carburant et des réactions chimiques. cette combustion est particulièrement préoccupante pour la santé humaine lorsque les niveaux de PM2,5 dans l’air sont élevés, comme le démontrent ces deux études de 2017 de la NIH National Library of Medicine et du The New England Journal of Medicine.

Il s’avère que les toxines ne sont pas les seules à se lier aux PM2,5 ; les virus aussi. Avant la révolution industrielle, les virus se dispersaient de manière [à peu près – NdT] égale dans l’atmosphère. Cependant, maintenant que les particules de carbone sont omniprésentes dans l’air, les virus se concentrent anormalement autour de cette substance. Plus la concentration de PM2,5 est élevée, plus la concentration de matériel viral est importante.

Chaque année, de la dernière semaine de septembre à la fin juin, la nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant cette période, les concentrations d’émissions de particules de carbone et de CO2 et d’autres polluants qui seraient normalement absorbées par les arbres, les plantes, les océans et le sol ne peuvent pas l’être. Il en résulte de très fortes concentrations de polluants qui se déplacent en direction de l’est avec les courants éoliens — Dans le même temps, des amas de virus à protéines Spike se sont accrochés aux particules de carbone. Les concentrations accrues de PM2,5 dans les zones où le sol a été dégradé au point que son microbiome vivant et doté d’une respiration aérobie a perdu la capacité d’absorber le carbone tout au long de l’année, quelle qu’en soit la saison, aggravent le problème et démontrent les effets néfastes de l’agriculture chimique.

Grâce à l’imagerie satellitaire de la NASA, nous pouvons voir, à partir de la mi-octobre de chaque année, un énorme panache de carbone qui flotte depuis les centres d’industrie lourde de Chine et d’autres régions industrielles du monde et se disperse dans un flux d’est à travers l’hémisphère nord. Au mois de mai, cette brume toxique recouvre l’hémisphère nord. Vous pouvez consulter le site IQAir pour une analyse en temps réel des données sur la toxicité des PM2,5 dans le monde.

De manière étrange, ce que nous appelons « la grippe saisonnière » coïncide parfaitement avec la période où la Nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant les mois que nous appelons « saison de la grippe », notre corps est plus susceptible de subir un événement inflammatoire — fièvre, congestion, toux et perte d’appétit. Ce phénomène se produit lorsque notre corps s’adapte et s’équilibre avec les toxines industriellesprésentes dans l’environnement. Lorsque l’été arrive, fin juin, la Nature reprend son cycle de régénération : les panaches de PM2,5 se dissipent lentement pour finalement se diluer, ce qui réduit notre risque de maladie respiratoire. C’est la raison pour laquelle nous ne souffrons que rarement, voire jamais, de grippe pendant les mois d’été dans l’hémisphère nord. Par conséquent, en suivant les flux de particules de carbone, nous pouvons en fait cartographier et prévoir exactement où se trouveront les points chauds des infections respiratoires, des « pandémies » et de la grippe saisonnière.

Note du traducteur 11 : Les toxines présentes dans l’environnement ne sont pas uniquement de nature industrielle, sinon l’ère pré-industrielle n’aurait pas eu son lot de « pandémies ». Toutefois, l’environnement qui est le nôtre aujourd’hui accentue certainement et de manière drastique ce qui était au départ un phénomène naturel et cyclique. Les éjections dues au volcanisme — et aux grands incendies — et les injections dues aux météores et autres phénomènes cosmiques font aussi partie du cycle naturel de la Terre et de son atmosphère, et l’augmentation ces dernières années de ces deux activités cycliques, en particulier, ajoute à la problématique. Le fait même de faire fi de leur existence et de leur impact sur notre environnement et sur la vie en général permet de ne focaliser que sur l’aspect humain des causes en question. Nous ne sommes pas séparés de ce qui constitue le système terrestre-atmosphérique, pas plus que la planète Terre n’est séparée de son système Solaire, pas plus que ce dernier n’est séparé de la Voie lactée, etc. Tout est lié.

Voir Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon

Troisième partie — Que s’est-il passé en 2020-21 ? La « pandémie »

Cette année marque un tournant décisif dans l’Histoire de l’humanité. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est en train d’être génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont rendu possible la modification permanente du génome humain — et la modification à jamais de la relation de l’humanité avec la Nature — par le biais d’une injection pharmaceutique expérimentale faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons jeter un regard sobre sur les motifs et les actes qui sont en train de bouleverser l’humanité telle que nous la connaissons. Simultanément, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Dans les mois qui ont précédé 2020, la Terre a connu une série d’incendies de forêt sans précédent, de l’Australie à l’Amazonie et de l’Indonésie à la Californie. Rien qu’en Californie, la saison des feux de forêt de 2019 a détruit plus de 100 000 hectares de terre, ainsi que 732 structures. Au total, les feux de friches en 2019 dans le monde ont envoyé 7,8 milliards de tonnes métriques de CO2 et de particules de carbone dans la stratosphère — le plus haut niveau de PM2,5 depuis 2002. Une fois dans la stratosphère, les particules de carbone ont pu parcourir des milliers de kilomètres depuis leur provenance d’origine. De nombreuses villes du monde entier, comme Canberra, Wuhan, New York et Milan, ont connu une qualité d’air extrêmement faible en raison de niveaux extrêmement élevés de PM2,5.

Il s’avère que l’une des substances les plus toxiques générées par la combustion de matières synthétiques telles que le plastique, le nylon, la laine et la soie — combustion provoquée par des feux de forêt ou par des réactions chimiques industrielles — est le cyanure. Plus précisément, le cyanure d’hydrogène gazeux. Le cyanure est un agent hautement toxique qui provoque une hypoxie vasculaire et même la mort s’il n’est pas traité correctement.

Ainsi, alors que dans la seconde moitié de 2019 et le début de 2020 nous entrions dans la « saison de la grippe », nous nous trouvions face à la tempête parfaite de toxicité alors en circulation sur le globe. Les niveaux anormalement élevés de PM2,5, associés à des niveaux élevés de sous-produits industriels tels que le soufre, le mercure, l’arsenic, le carbone, le glyphosate et le cyanure, ont créé des conditions idéales pour supprimer le système immunitaire inné, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, qui sont dans de nombreux cas déjà aux prises avec de graves conditions médicales sous-jacentes.

Pour aggraver les choses, la plupart des patients atteints de ces pathologies sous-jacentes — hypertension, diabète, obésité, maladie coronarienne et maladie rénale — prennent des médicaments couramment prescrits, notamment des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC) pour contrôler la tension artérielle et des statines pour réduire le cholestérol. Or, nous savons aujourd’hui, grâce à une étude publiée pour la première fois le 31 mars 2020 dans l’American Journal of Physiology Heart and Circulatory Physiology (volume 318, numéro 5), que les IEC et les statines régulent à la hausse le récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) par lequel le coronavirus pénètre dans l’organisme.

L’ACE2 est une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment l’intestin, les reins, l’utérus, les testicules, le cerveau, le cœur et, plus important encore pour notre sujet, les poumons et les muqueuses nasales et orales.

L’enzyme ACE2 joue un rôle important en aidant l’organisme à réguler la pression artérielle et en contribuant à la cicatrisation des plaies et des inflammations. En outre, les acides aminés de l’ACE2 aident à capturer et à hacher une protéine nocive appelée angiotensine II, qui fait monter la pression artérielle et endommage les tissus. C’est pourquoi les médecins du monde occidental prescrivent généralement de l’ACE-I afin de stimuler l’expression de l’ACE2 et de réduire ainsi le risque d’hypertension artérielle. De plus, lorsque l’enzyme ACE2 est régulée, elle peut très facilement capturer — ou accrocher — n’importe laquelle des nombreuses protéines Spike émanant de la surface d’un coronavirus.

Puisque nous parlons des protéines Spike, j’aimerais faire quelques commentaires, sous forme de questions-réponses, sur la recherche sur le gain de fonction dans ce domaine.

La recherche sur le gain de fonction vise à modifier les caractéristiques fonctionnelles d’un virus dans le but d’accroître sa capacité à infecter une espèce et à augmenter potentiellement son impact en tant que pathogène aérien. En rendant un virus plus « mortel », on pense qu’il pourrait ensuite être utilisé contre un ennemi potentiel comme arme de guerre biologique. Nous savons qu’il existe des laboratoires de recherches sur le gain de fonction à Wuhan, en Chine, et dans les installations de l’armée américaine à Fort-Detrick, dans le Maryland — En 2018, au moins 15 autres pays, outre les États-Unis et la Chine, dont le Canada, le Royaume-Uni, la France, Israël, l’Allemagne et la Russie, avaient des programmes documentés d’armes biologiques et des laboratoires de recherche sur les armes biologiques.

  1. Est-il possible que les deux laboratoires de Wuhan et de Fort-Detrick, ou l’un d’entre eux, aient manipulé l’une des protéines Spike d’un coronavirus qui le rendrait encore plus apte à se connecter au récepteur ACE2, comme le suggère ce document de l’Institut de microbiologie humaine de New York ? Absolument.
  2. Le Dr Anthony Fauci a-t-il des liens financiers profonds avec le laboratoire de Wuhan de par sa position de directeur, depuis 1984, du National Institute of Allergy and Infectious diseases (NIAID) ? Absolument.
  3. Par extension, le gouvernement des États-Unis est-il indirectement ou directement impliqué dans le financement de l’Institut de virologie de Wuhan ? Absolument.
  4. Le Dr Fauci et le spécialiste du gain de fonction de l’université de Caroline du Nord, Ralph Baric, ont-ils reçu des millions de dollars de subventions de recherche de plusieurs agences fédérales — NIH, DARPA et NIAID — pour étudier le gain de fonction dans les coronavirus, comme l’indique clairement ce dossier du Dr David Martin ?

Néanmoins, nous ne devons pas perdre de vue le fait que toute cette attention portée au gain de fonction pourrait être en fait une opération psychologique habilement déguisée destinée à nous distraire du fait que nous ne disposons d’aucune preuve scientifique validée par des pairs qu’un coronavirus est à l’origine du syndrome respiratoire connu sous le nom de Covid-19.

En outre, l’attention soudaine et intense que les médias portent au Dr Fauci et au lien avec Wuhan pourrait être une tactique destinée à faire porter le chapeau à la Chine pour avoir créé la « crise », tout en occultant habilement le fait que de nombreux acteurs issus de nombreuses nations et organisations, comme le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, travaillent de concert avec la Chine pour « asservir » l’ensemble de l’humanité dans « un cauchemar technocratique dystopique ».

Ou bien, est-il possible que les véritables armes biologiques à gain de fonction soient les injections expérimentales non approuvées (appelées « vaccins anti-Covid-19 ») qui sont actuellement déployées dans le monde entier ? L’avenir nous le dira.

Pour en revenir aux événements de 2020, nous pouvons voir qu’en régulant à la hausse le récepteur ACE2 qui se trouve à la surface des poumons et de la muqueuse nasale, nous avons facilité la tâche d’un coronavirus [des protéines Spike, en fait – NdT], en conjonction avec les particules PM2,5 qui transportent du cyanure et d’autres possibles polluants, pour qu’il s’accroche et soit attiré dans la voie respiratoire. Une fois dans les voies respiratoires, les toxines finissent par passer dans la circulation sanguine et entrer dans les globules rouges de l’organisme. Lorsqu’une toxine pénètre dans un globule rouge, elle modifie la forme de la protéine hémoglobine qui transporte l’oxygène dans le globule rouge et rend ce dernier incapable de transporter l’oxygène. Ce processus prive littéralement l’organisme d’oxygène. Par conséquent, avec cette combinaison de variables, le décor était planté dans la seconde moitié de 2019 pour produire le système de diffusion parfait permettant l’empoisonnement au cyanure.

L’empoisonnement au cyanure provoque un état connu sous le nom d’hypoxie histotoxique. Cet état comprend les symptômes suivants

  • Changement de la couleur de la peau (allant du bleu au rouge) ;
  • Désorientation ;
  • Toux ;
  • Fréquence cardiaque élevée ;
  • Respiration rapide ;
  • Essoufflement (dû à la perte de la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène) ;
  • Transpiration.

Par conséquent, à la fin de l’année 2019 et au début de l’année 2020, les professionnels de la santé de la province de Hubei, du nord de l’Italie, de la région métropolitaine de New York et d’ailleurs ont été confrontés à des patients présentant des symptômes d’empoisonnement au cyanure. Comme le souligne une étude du JAMAparue en avril 2020ces symptômes présentent toutes les caractéristiques d’une hypoxie histotoxique, mais aucun des symptômes d’une pneumonie ou d’une insuffisance respiratoire. En d’autres termes, ils n’avaient pas de fièvre (afébrile), pas d’accumulation de liquide dans les poumons et pas d’augmentation du nombre de globules blancs (que l’on s’attendrait à voir en cas d’infection).

Nous devons donc conclure que ces patients en détresse aiguë, dont beaucoup étaient âgés, devaient initialement souffrir d’hypoxie, etnonde pneumonie etpas non plusd’insuffisance respiratoire. La pneumonie et les micro-caillots de sang, qui ont fini par les tuer, sont survenus plusieurs jours ou semainesaprèsl’empoisonnement initial — et ce, uniquement parce que leur système immunitaire inné avait été tellement affaibli que leur organisme a succombé aux effets en cascade des infections secondaires.

Par ailleurs, toutes les personnes qui ont été touchées de manière aiguë par le Sras en 2002 et par le Mers en 2012 présentaient les mêmes symptômes d’hypoxie histotoxique, et non d’infection virale. En d’autres termes, leurs symptômes étaient identiques à ceux des cas aigus en 2020 de ce qui a été appelé à tort Covid-19.

Note du traducteur 14 : Le nom de Covid-19 peut tout aussi bien avoir été choisi à dessein, et non à tort : Cov ID 2019, ce qui pourrait indiquer une volonté programmée à l’avance d’utiliser ce nom et pas un autre ; le « lancement » en 2019 du programme de mise en place des identités numériques par le biais d’un coronavirus… peut-être.

En fin de compte, la plupart des patients hospitalisés en 2020 sont décédés des suites d’un événement toxicologique — qui a été baptisé à tort « Covid-19 » d’après ce qui a été appelé une nouvelle souche de coronavirus — et non de la maladie infectieuse ainsi nommée. Même au plus fort de la « pandémie », le prétendu Covid-19 ne représentait qu’un très faible pourcentage du total des décès en Italie et ailleurs.

Heureusement, le taux de mortalité global par infection signalé pour le syndrome Covid-19 n’est que légèrement supérieur à celui de la prétendue grippe saisonnière. Tout aussi heureusement (mais pas pour ses victimes), le syndrome n’a représenté un danger que pour un seul grand groupe de population : les personnes âgées atteintes d’au moins deux maladies chroniques majeures. La présence de comorbidités — maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux et cancer du poumon — est à l’origine de la grande majorité de leurs décès. Mais pour les personnes de moins de 70 ans sans ces comorbidités, le risque de mourir dans un accident de voiture est plus élevé que le risque de mourir de ce que l’on appelle la maladie Covid-19. En effet, les maladies graves et les décès dus au Covid-19 ne sont survenus que chez des personnes plus jeunes souffrant de troubles de l’immunodéficience — obésité, diabète, maladies auto-immunes et immunodéficiences héréditaires.

Néanmoins, ces décès, bien que tragiques, ne justifient en aucun cas qu’un gouvernement viole les droits naturels des citoyens. Ces droits incluent la liberté de…

  • de se déplacer — y compris de quitter son domicile à toute heure du jour ou de la nuit ;
  • voyager — y compris entre états, provinces, pays et continents ;
  • s’associer — c’est-à-dire se réunir en personne avec ses amis et sa famille ;
  • se réunir — pour protester pacifiquement contre des édits injustes, des pratiques corrompues et la censure ;
  • prier — y compris se réunir avec d’autres croyants ;
  • exprimer son individualité — y compris choisir de porter ou non un masque ;
  • jouir d’une autonomie corporelle — notamment ne pas être contraint psychologiquement ou physiquement à recevoir des injections expérimentales de quelque nature que ce soit ;
  • rester en activité — au lieu d’être considéré par des politiciens tyranniques et des bureaucrates de la santé publique comme « non essentiel », une étiquette qui a forcé des millions de petites entreprises à fermer leurs portes, souvent de façon permanente.

Le Dr Bush résume comme suit les cas de maladies respiratoires aiguës sévères qu’il a observés en 2020 :

« Malheureusement, nous n’avons pas abordé la question comme un empoisonnement, mais comme une infection. Nous avons continué à croire que ces personnes qui mouraient, mouraient d’une infection. Je pense qu’elles étaient très clairement surchargées de PM2,5 liées au cyanure transporté dans l’environnement pulmonaire et finalement dans la circulation sanguine par le virus. Le virus est naturellement conçu pour pénétrer dans l’organisme par les poumons, les tissus vasculaires et les tissus neuronaux, comme nos sinus nasaux. Nous observons toutes ces pertes de goût et d’odeur chez les personnes exposées à ce virus parce qu’il passe par le récepteur ACE2 à la surface de tous ces tissus. Le récepteur ACE2 se lie au coronavirus [à la protéine Spike du virus – NdT] et attire le cyanure directement dans le globule [rouge] et empoisonne le corps humain avec des quantités élevées de pollution atmosphérique qui n’ont pas été respirées mais qui ont été littéralement acheminées de manière ingénieuse dans la circulation sanguine à l’aide d’un virus présent dans notre environnement depuis très longtemps. »

D’après sa description détaillée, nous pouvons clairement constater que les gens mouraient de toxicité environnementale, et non d’une infection virale. C’est précisément la raison pour laquelle il n’existe pas d’étude scientifique, évaluée par des pairs, apportant la preuve concluante qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie mortelle appelée Covid-19. De telles preuves n’existent pas, car le coronavirus, soi-disant, ne cherche pas à nuire à qui que ce soit, mais présente simplement une mise à jour virale à ceux qui en ont besoin.

Note du traducteur 15 : Cette mise à jour virale constitue l’essence mêmes des virus et en l’occurrence des coronavirus. Toutefois, avec le Sras-CoV-2, nous n’avons pas à faire à un coronavirus naturel, mais à une arme biologique développée en laboratoire.

Voir la partie sur les virus et leur vraie nature dans cet article : Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

En résumé, deux scénarios différents se sont déroulés en 2020 :

Dans le premier scénario, nous avons vu des personnes présentant un événement inflammatoire marqué par de la fièvre, une congestion, une perte d’appétit, un nombre élevé de globules blancs et un malaise. Tous ces symptômes sont ceux auxquels on peut s’attendre lorsqu’un nouveau variant issu d’un coronavirus déclenche le système immunitaire inné — et éventuellement le système immunitaire adaptatif — lequel fait ce qu’il fait toujours pour nous ramener à l’équilibre après une nouvelle mise à jour génomique d’un virus. N’oubliez pas que les coronavirus nous donnent des informations génétiques qui régénèrent notre organisme ; ils œuvrent pour nous [et la vie en général – NdT] et ne nous infectent pas de maladies [sauf à ce que cet équilibre ne soit pas restauré et que les virus soient vus comme la cause des maladies – NdT].

Dans le second scénario, nous avons vu des personnes souffrant de comorbidités graves, parfois multiples, succomber finalement à un événement toxicologique, tel que décrit par le Dr Bush ci-dessus.

Certes, dans les deux scénarios, le coronavirus est présent, mais de façon bénigne. Comme je l’ai expliqué précédemment, un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. Il est simplement présent — un autre exemple de culpabilité par association, tout comme le faux lien entre le virus VIH et le Sida que j’ai décrit plus haut.

Note du traducteur 16 : « un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. » Un virus, non, mais un virus créé en laboratoire, sûrement.

À propos du VIH et du Sida, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

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[Voir aussi : Contestation du lien entre VIH et SIDA]
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Cependant, au lieu de faire la différence entre les deux scénarios, les responsables de la santé publique du monde entier, sous la direction de l’OMS totalement corrompue, les ont commodément regroupés dans une seule catégorie : Covid-19. Pour ce faire, ils ont utilisé le test RT-PCR, monstrueusement inapproprié et inexact, et son inventeur, Kary Mullis, a insisté (avant sa mort prématurée en août 2019) sur le fait qu’il n’était pas destiné à diagnostiquer une maladie mais simplement à vérifier la présence d’une charge virale.

Note du traducteur 17 : Kary Mullis a déclaré ce qui suit :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Un des individus à qui profite les ventes de tests PCR est Christian Drosten, un virologue allemand, qui en 2003 a co-découvert le Sras ; on reste en famille. Il est devenu dès janvier 2020 le conseiller « Covid » d’Angella Merkel, il est le « Tony Fauci » allemand.

En dépit de ses résultats faciles à falsifier et donc souvent falsifiés, le test PCR est toujours utilisé dans le monde entier pour remplacer les analyses cliniques. Pourquoi ? La seule réponse logique est que le dépistage du coronavirus est une forme de contrôle destinée à créer une hystérie publique. Ne comprenant pas que la plupart des résultats positifs sont frauduleux, que les mots effrayants « cas positif » ne signifient pas la présence d’une infection, et que les personnes asymptomatiques ne peuvent ni avoir ni propager la maladie, le public a été trompé en croyant qu’un dangereux pathogène tue un grand pourcentage de la population.

En attisant la peur, les gouvernements du monde entier ont pu justifier des mesures de confinement et des obligations de porter un masque qui sont nuisibles et totalement inefficaces, ainsi que des mesures de distanciations sociales absurdes. Mais pourquoi provoquer intentionnellement la panique et pourquoi sévir comme des dictateurs ? Les politiciens et les responsables de la santé publique doivent soit obéir à des ordres menaçants, soit accepter des pots-de-vin irrésistibles, soit simplement suivre les instructions de leurs supérieurs, en croyant naïvement qu’ils font « ce qui est le mieux » dans l’intérêt de la sécurité publique. Dans la plupart des cas, ils doivent être incités, par la ruse ou par l’astuce [ou la corruption – NdT], à persuader les citoyens de prendre part à la plus grande expérience médicale de l’Histoire — une campagne mondiale de « vaccination » de masse conçue dans le but d’injecter à tout humain qui s’y conforme une thérapie génique expérimentale non testée, non approuvée, appelée ARNm anti-Covid-19 — dans quelques endroits, comme l’Italie, l’Arabie saoudite et le Tadjikistan, même les non conformistes sont contraints de se soumettre à l’aiguille Covid-19.

Les parallèles entre l’« épidémie de Sida » et la « pandémie de Covid-19 » sont trop frappants pour être ignorés. Dans les deux cas, l’acteur central est un virus bénin qui peut être facilement accusé d’être la cause première d’une maladie déclarée, en dépit de l’absence de toute preuve scientifique réelle examinée par des pairs pour étayer cette affirmation.

Note du traducteur 18 : Répétons-le encore une fois ; le Sras-CoV-2 a été créé en laboratoire et ce n’est pas le virus en soi qui est dangereux, mais bien la protéine Spike, la même que celle qui a reçu l’ordre en laboratoire via les injections anti-Covid-19 de pousser le corps humain à en produire en quantité industrielle. Quant à l’épidémie de Sida, ou plutôt son effrayant battage médiatique, elle a très probablement amorcé et fait remonter à la surface — par programmation — la peur ancrée dans l’inconscient d’une future épidémie, quelle qu’elle soit. À force de jouer avec les Lois de la Nature sans les comprendre, on peut s’attendre à moyen terme à un vrai drame, une vraie épidémie.

De même, dans les deux cas, le virus peut être utilisé comme façade pour masquer des décennies de dégradation environnementale engendrée par des entités gouvernementales et des entreprises, dont les responsables ne paient jamais sous forme d’amendes ou de peines de prison pour leurs crimes.

Enfin, dans les deux cas, l’histoire du virus procure d’immenses profits à l’industrie pharmaceutique mondiale, qui n’est jamais tenue financièrement responsable pour des dommages et des décès causés par ses vaccins ou ses médicaments — pour ces derniers, c’est le cas tant qu’on ne découvre pas qu’ils sont la véritable cause du décès (pensez à l’AZT).

Quatrième partie — Notre réponse

Plutôt que d’accepter la façon dont nous détruisons notre habitat, plutôt que d’apprendre les leçons que la Nature a tenté de nous enseigner au cours des 18 derniers mois, nous avons continué d’ignoré les ravages et nous avons refusé d’en tirer des leçons. En fait, au cours de la pseudo-pandémie de l’année dernière, l’humanité n’a fait qu’intensifier sa guerre contre la Nature.

Par exemple, depuis janvier de l’année dernière, 129 milliards de masques de protection (pour la plupart en polypropylène) et 65 milliards de gants en latex ont été jetés chaque mois, selon une étude publiée par la revue Environmental Science & Technology de ACS Publications.

Une partie importante de ces déchets finira par se retrouver dans les océans du monde, où ils prendront la forme de microplastiques polluants. Il y a aussi les milliards et les milliards de récipients alimentaires en plastique et en papier qui ont été utilisés — et jetés — en raison de l’augmentation des commandes de plats à emporter provoquée par la pandémie, une fois les restaurants fermés aux clients.

Et ce n’est là qu’une partie des dommages environnementaux causés par la plus grande des escroqueries. Les gouvernements du monde entier — notamment en Chine et en Italie — pulvérisent des biocides cancérigènes dans l’atmosphère. Cet ultime acte de folie, qui vise à contenir ou à détruire le virus redouté de manière injustifiée, soumet les piétons à des produits chimiques encore plus nocifs. Ces désinfectants finiront par se retrouver dans l’eau du robinet de millions de foyers. En bref, nous n’avons aucune idée des conséquences que les biocides peuvent avoir sur le microbiome et sur notre santé à long terme [voire à court terme considérant l’empilement des problématiques – NdT].

Pendant ce temps, des centaines, voire des milliers de professionnels de la santé et de scientifiques du monde entier ont osé respecter leur serment de ne pas nuire et de suivre leur conscience en disant la vérité sur les conséquences dévastatrices de l’adhésion aux directives liées à la fausse pandémie.

Ces hommes et ces femmes courageux — qui sont tous médecins ou titulaires d’un doctorat et portent donc le titre de « Dr » ou de « Pr » — sont notamment :

  • Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN ;
  • Lawrence Palevsky, pédiatre ;
  • Vladimir Zelenko, médecin généraliste ;
  • Judy Mikovits, avocate et ancienne scientifique du NIAID ;
  • Simone Gold, médecin et fondatrice de America’s Frontline Doctors ;
  • Stephen Malthouse, médecin de famille ;
  • Sucharit Bhakdi, microbiologiste ;
  • Byram Bridle, professeur associé d’immunologie virale ;
  • Paul Thomas, pédiatre ;
  • Richard Fleming, cardiologue ;
  • Patrick Philips, urgentiste et médecin de famille ;
  • Roger Hodkinson, pathologiste ;
  • et Mike Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer… pour n’en citer que quelques-uns.

Chacun d’entre eux a exprimé de sérieuses inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels de ces « vaccins » jamais testés, approuvés ou utilisés pour soigner les êtres humains. Et, pour s’être exprimé, chacun d’entre eux est menacé, censuré et pire encore.

Collectivement, leurs appréhensions vont de

  1. Comment les nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent affecter le cerveau humain ;
  2. Comment l’utilisation du polyéthylène glycol (PEG) peut provoquer des réactions immunitaires anaphylactoïdes chez l’être humain;
  3. Comment les protéines Spike induites artificiellement qui se déplacent dans tout le corps humain peuvent produire des troubles de la coagulation du sang dans différentes parties du corps ;
  4. Comment ces protéines Spike en excès, qui constituent une toxine neurovasculaire pour le corps, peuvent être à l’origine de myocardites — inflammation du muscle cardiaque — chez les enfants et les jeunes adultes.

L’une des façons par lesquelles les praticiens de la médecine sont intimidés est le recours à la force des organismes qui les autorisent à exercer.
Par exemple, le Collège des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO) a publié une déclaration inquiétante fin avril 2020, menaçant de retirer l’autorisation d’exercer la médecine à tout médecin qui s’exprimerait publiquement — ou même poserait des questions — sur les effets secondaires nocifs des confinements et/ou des « vaccins » Covid-19 dont ils ont été témoins lorsqu’ils travaillaient en première ligne dans leurs hôpitaux et communautés locales. Aux États-Unis, la procédure de retrait de la licence d’un médecin est légèrement différente, mais le résultat final est le même.

Chaque État a son propre conseil médical qui peut suspendre temporairement une licence médicale sans audience si « le conseil estime que la conduite du titulaire de la licence a enfreint les normes de soins et a mis en danger la santé et la sécurité de plusieurs de ses patients ».

Note du traducteur 19 : La même chose s’est produite en France, et certainement aussi dans d’autres pays, notamment en Occident : Haro sur les médecins non alignés sur l’Agenda totalitaire des mondialistes implanté en France par son VRP Macron !
Rappelons aussi que les contrats signés entre les compagnies pharmaceutiques et les États stipulent que ces derniers doivent tout faire pour défendre le produit expérimental en question.

Voir PfizerLeak : Révélation sur les contrats Pfizer et leurs clauses « surprenantes »

Parmi les autres tentatives visant à empêcher les informations scientifiques vitales d’atteindre le public, citons le discrédit et la mise au silence des praticiens, médecins et scientifiques par les plateformes de médias sociaux grand public de Big Tech, comme YouTube de Google.

Cela ne devrait pas surprendre, puisque Google, qui a été créé par la CIA, entretient également des liens étroits avec des compagnies pharmaceutiques comme GlaxoSmithKline (GSK), enregistrée en Angleterre. Ces personnes sont également censurées de Facebook — une autre société privée créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et la CIA — ainsi que d’Instagram, Amazon Web Services (AWS), Linkedin et Twitter.

Pire encore, des médecins ont été soumis à une censure extrême pour avoir fourni des preuves qu’il existe effectivement des traitements viables, efficaces et peu coûteux pour traiter le Covid-19 — des traitements qui rendent inutile le recours à un « vaccin ».

Par exemple, tous les médecins mentionnés ci-dessus, ainsi que des centaines d’autres dans de nombreux pays, n’ont pas seulement fait l’éloge des antipaludéens chloroquine et hydroxychloroquine et d’autres remèdes comme l’Ivermectin, l’azithromycine, la doxycycline et le zinc, dans le traitement de leurs patients atteints de Covid-19, mais ils ont démontré à plusieurs reprises leur efficacité. Ils ont prouvé, par exemple, que la chloroquine et l’hydroxychloroquine, lorsqu’ils sont administrés à petites doses prescrites, exercent relativement peu ou pas d’effets indésirables. De nombreuses études menées en Corée du Sud, en Chine et en France en témoignent également.

Néanmoins, les agences gouvernementales de santé — la FDA, les NIH et les CDC aux États-Unis, la MHRA au Royaume-Uni et Santé Canada [tout comme l’HAS en France – NdT] — ainsi que l’OMS interdisent continuellement ces traitements peu coûteux, tentent de décourager les gens de les utiliser et, avec la complicité des médias grand public, font à leur sujet des déclarations manifestement fallacieuses.

Pour savoir pourquoi cette suppression de traitements efficaces a lieu, il suffit de consulter l’autorisation d’utilisation d’urgence de vaccins contre le Covid-19 de la FDA qui a été délivrée en octobre 2020. À la page six de ce document, à la section lll, « Critères et considérations pour la délivrance d’une autorisation d’utilisation d’urgence pour un vaccin contre le Covid-19, la dernière puce de la liste indique clairement que la FDA ne peut délivrer une telle autorisation que si elle a déterminé qu’« il n’existe pas d’alternative adéquate, approuvée et disponible au produit pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou la condition médicale. » Cette déclaration signifie que toute la prémisse de l’autorisation d’utilisation d’urgence est basée sur la présupposition qu’il existe aucune alternative disponible.

En réalité, il existe plusieurs produits hors brevet bon marché parmi lesquels choisir, comme nous l’avons cité plus haut — et comme la FDA le sait parfaitement. Cependant, si elle devait permettre à un produit bon marché et facilement disponible comme l’hydroxychloroquine de dominer le marché, l’industrie pharmaceutique — qui semble dicter sa politique à la FDA — risquerait de perdre des milliards de dollars provenant des ventes de « vaccins » anti-Covid-19.

La cupidité est-elle à l’origine de la suppression par Big Pharma des informations sur les produits alternatifs ? Très certainement. Et les relations étroites que Big Pharma entretient avec les responsables des agences gouvernementales et avec les médias — ces derniers étant largement tributaires de la publicité pharmaceutique pour leur existence — empêcheront-elles la majorité du public de prendre connaissance de l’existence de ces produits alternatifs ? Il semblerait que oui. En d’autres termes, l’autorisation d’utilisation d’urgence n’aurait pas été publiée si la vérité sur les produits alternatifs avait pu être largement partagée.

Mais puisque cette vérité a été dissimulée, les décès dus aux « vaccinx anti-Covid-19 » sont de plus en plus nombreux.

En août 2021, et selon les données recueillies par EudraVigilance, au moins 21 000 personnes dans les 27 pays de l’Union européenne sont mortes après avoir reçu une injection de ces dispositifs qui modifient les gènes. Aux États-Unis, et selon les données fournies au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), c’est plus de 13 000 personnes ont succombé à ces injections. Le chiffre des États-Unis est choquant : il signifie que ces injections expérimentales ont causé plus de décès en l’espace de 6 mois que la combinaison de 70 vaccins différents approuvés en circulation au cours des 30 dernières années. Comme si cela ne suffisait pas, une étude de Harvard a conclu que seulement 1 % des dommages et des décès dus à tous les vaccins aux États-Unis sont signalés au VAERS. Même si le taux de déclaration est de 10 %, ce dernier reste faible par rapport aux chiffres réels.

Et pourtant, les injections anti-Covid-19 qui modifient les gènes continuent de faire l’objet d’une promotion agressive de la part des propagandistes et de leurs théories non scientifiques et non prouvées, et ce malgré les preuves que la propagation asymptomatique n’est pas possible, que nous n’avons pas besoin de ces injections et qu’elles ne sont ni sans danger ni efficaces, que le Covid-19 est très loin d’être aussi dangereux pour la vie qu’on l’avait prédit et que les enfants n’ont pas besoin d’être protégés contre ce virus. De plus, malgré leur insistance, il n’existe aucune preuve que le Sras-CoV-2 cause le Covid-19.

Note du traducteur 20 : En effet, et comme nous l’avons précisé dans la Note du traducteur 12, ce n’est pas le virus du Sras-CoV-2 créé en laboratoire qui est dangereux, mais bien sa protéine Spike. Donc, prétendre que c’est le virus du Sras-CoV-2 qui déclenche la maladie appelée Covid-19, est à tout le moins faux, voire une mystification.

Les gouvernements du monde entier continuent de corrompre et de contraindre les citoyens à recevoir ces injections — en violation directe du Code de Nuremberg et sur la seule base d’un prétendu « intérêt de la santé publique ». Ceux d’entre nous qui ont fait des recherches et lu sur ce sujet depuis que tout a commencé savent qu’il n’a jamais été question de préserver la santé publique. Il a toujours été question des objectifs qui visent à mettre en œuvre un plan de biosécurité mondial et une grille de contrôle transhumaniste qui, si ces objectifs étaient amenés à se réaliser, signifieraient la fin de l’espèce humaine [telle que nous la connaissons – NdT].

Cette crise largement fabriquée a fourni la rampe de lancement parfaite pour que la convergence biodigitale prenne place. Pour ceux d’entre vous qui pensent que la notion qui consiste à combiner le corps humain avec des systèmes numériques est une hyperbole ou un fantasme, je me permets d’attirer votre attention sur le document « Exploring Biodigital Convergence » [Explorer la convergence biodigitale – NdT] publié le 11 février 2020 par Horizons politiques Canada. Ce document indique que le comité directeur de la politique canadienne a discuté du concept effrayant consistant à modifier l’évolution du corps humain par l’intégration de nanotechnologies biologiques et numériques. En effet, il s’avère que la large modification génétique de l’espèce humaine en cours d’élaboration par les injections expérimentales soi-disant anti-Covid-19 n’est que la première phase de cette convergence transhumaniste.

Note du traducteur 21 : Nous avons publié la traduction en français de ce document : La convergence bionumérique ou comment faire miroiter aux populations un avenir meilleur synonyme de prison, et en voici notre présentation :

« cette « présentation » a le mérite de nous informer de l’état de la « science » dans le domaine bionumérique en général et dans ses développements en particulier, dans tous les champs d’application qui y sont envisagés, ou presque… Il en dit long également sur l’état psychopathique des élites au pouvoir, affamées de contrôle absolu (mais illusoire) sur l’ensemble du vivant qui anime notre planète, dans une sorte de course contre la montre (désespérée) engagée contre la Nature, les forces cosmiques et leur énorme potentiel créatif — bien que ce processus puisse d’abord passer par une phase destructrice. À ce jeu, qui est le plus fort ? »

Comme si le document canadien n’était pas assez alarmant à lui tout seul, une menace encore plus grande pour l’humanité est en train de se déployer ailleurs. En mai 2021, le ministère britannique de la Défense a publié un document intitulé « Human Augmentation — The Dawn of a New Paradigm » [L’humain augmenté — L’aube d’un nouveau paradigme – NdT]. Ce document a été élaboré par le Centre de développement, de concept et de doctrine du Royaume-Uni, en partenariat avec le Bureau de planification de la défense de la Bundeswehr allemande [les forces armées allemandes – NdT]. Leur objectif est de

« comprendre les implications futures de l’humain augmenté, en préparant le terrain pour une recherche et un développement de défense plus précis. »

En intégrant les recherches de spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques, le projet du Centre de développement, de concept et de doctrine tente de mieux appréhender comment les technologies émergentes, telles que le génie génétique, les interfaces cerveau-ordinateur et la bioinformatique, peuvent renforcer les capacités de sécurité et de défense. Bien qu’elle soit présentée comme un outil stratégique à usage militaire, l’augmentation de l’humain sera sans aucun doute, à l’instar du développement de tant de programmes militaires au cours de l’histoire, finalement déployée pour être utilisée dans le secteur civil.

Je dois le dire sans ambages : les projets transhumanistes au Canada, au Royaume-Uni et en Europe, et probablement subrepticement dans d’autres pays, combinés à la destruction délibérée de l’écosystème, sont les deux plus grandes menaces existentielles auxquelles l’humanité est aujourd’hui confrontée. Peut-être même comme jamais auparavant.

Dernières remarques

Nous sommes bombardés sans relâche par une croyance qui fait d’un ancien virus — y compris ses variants — le seul coupable d’une crise sanitaire mondiale. Pourtant, il n’existe pas la moindre preuve que le virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Cette vision myope nous empêche de comprendre la véritable nature utile des virus, comme nous l’avons détaillé ci-dessus. En effet, les virus sont nos amis [ils font partie du système de la vie sur Terre, sans eux nous ne serions même pas là pour en parler – NdT].

En outre, cette vision nous empêche de voir le véritable désastre écologique qui se déroule autour de nous et que les virus tentent de nous aider à découvrir et à surmonter.

Non seulement l’humanité marche vers sa propre extinction, mais elle s’éloigne aussi rapidement de la science et s’étouffe au contraire dans le dogme technocratique anti-science [et anti-vie – NdT] — un dogme qui s’est transformé en une religion rigide dont les adeptes vénèrent de nombreuses divinités, dont l’un se nomme « Vaccin » et l’autre « Technologie ».

Note du traducteur 22 : Qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag, dans son ouvrage intitulé La Réforme du vrai, il déclare :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

Dans on ouvrage, l’auteur explore l’Histoire pour savoir si la science « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». Même si nos lecteurs ne l’ont pas lu, il suffit de contempler notre présent pour se rendre compte que ce n’est pas le cas, et c’est un euphémisme.

Comme je l’ai expliqué au début de cet article (première partie), nous vivons une époque sans précédent, où les humains peuvent être génétiquement modifiés à un point tel qu’ils seront méconnaissables et dans laquelle le monde naturel est ravagé de façon presque irrémédiable.

Pourtant, si ces menaces sont mortifères, il existe aussi des signes d’espoir. Il n’est pas trop tard pour envisager une autre voie possible — une voie qui ne nous condamne pas à l’échec, mais nous invite plutôt à accepter que l’humanité est faite, depuis le début, pour s’intégrer de manière intrinsèque à la Nature. Si nous tirons les leçons de nos erreurs, nous avons la possibilité de nous éloigner de l’abîme du transhumanisme et de l’extinction des espèces. Nous pouvons au contraire embrasser notre belle planète avec toute sa glorieuse biodiversité — une Terre grouillante d’une vie abondante qui offre un aperçu de l’Univers parfait créé par Dieu, l’Esprit, et qui est conférée à la Création spirituelle de la divinité.
Permettons à notre bonne Terre et à notre bonté innée de devenir manifestes au lieu d’être obscurcies et finalement annihilées.

La Terre et chaque homme, femme, enfant et créature qui l’habitent sont en fait des idées infinies, éternelles et divines créées par un Esprit infini, éternel et divin. Il est temps pour nous de reconnaître cette vérité — et de la manifester dans nos vies.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source des différentes parties initialement publiées en anglais :

Partie 2 – le 20 août 2021 : GlobalResearch
Partie 3 – le 15 septembre 2021 : GlobalResearch
Partie 4 – le 7 septembre 2021 : GlobalResearch

Note : La 3e partie a été publiée après la 4e.
Traduction : Sott.net




L’arnaque des « fact-checkers » : Pierre de « Décoder l’éco » répond aux attaques

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Pierre, animateur de la chaîne Décoder l’éco
©FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

TRIBUNE – Ce 17 septembre, pour la deuxième fois concernant mes travaux statistiques, un article s’est vanté d’avoir réussi à contredire mes arguments sur la situation de la Covid-19 en Israël. Il y a quelques mois, les décodeurs du journal le Monde s’étaient prêtés à l’exercice. Ils avaient sobrement repris la vignette de ma vidéo en écrivant « FAUX » par-dessus, sans apporter d’argument contredisant ma démonstration. J’y avais répondu sous forme d’une vidéo et d’un article. Aujourd’hui c’est un petit média internet qui se lance dans cette entreprise. On y voit cette fois-ci plutôt mon visage et ma bibliothèque avec la mention « DEBUNKED », et une petite phrase qui commence par le mot « non », histoire bien évidemment de montrer que mes propos sont un mensonge, mais « avec de vrais chiffres ». 

Le comportement parasitaire des « fact-checkers » 

Dans un pays qui se dit démocratique, défendant une « liberté de la presse », il paraît tout à fait normal d’encourager les débats contradictoires. Je « m’étonne » du traitement réservé depuis 18 mois à tous ceux qui refusent de soutenir la version officielle de la terreur légitimant la « nécessité » de la mise en retrait des « Libertés » pour le « bien commun ». Je pense par exemple à Laurent Mucchielli, autrefois porté aux nues par la presse dite « de gauche » et se trouvant aujourd’hui complètement ostracisé, catalogué complotiste d’extrême-droite, voire antisémite, aucun qualificatif n’étant oublié pour discréditer une personne auprès du lectorat visé. 

Il me semble qu’un comportement « humain » raisonnable, qui devrait servir de base au métier de journaliste, est de discuter des arguments avancés par les personnes qui publient. Je m’étonne qu’à aucun moment, aucun de leurs journalistes ne soit venu discuter de mes chiffres de façon à avancer dans la compréhension du sujet. Je lis tous les messages qui me sont adressés et répond à la quasi-totalité d’entre eux. Les personnes publiant des articles ou des vidéos sur Iinternet de façon publique sont nécessairement dans une posture d’échange. Jamais aucun « fact-checker » n’a souhaité dialoguer pour lancer un débat contradictoire. Leur but n’est pas de faire avancer la connaissance et de questionner, mais de défendre leur point de vue, leur groupe. 

Ces « fact-checkers » n’ont pas d’autre horizon que d’empêcher le débat en discréditant ceux qu’ils considèrent comme leurs « adversaires ». Leurs articles posent les barrières infranchissables de l’information. La publication de petits articles avec les mots « FAUX », « DEBUNKED » ou autre « FAKE NEWS », permettent d’éviter que leur lectorat ne « s’égare » en lisant une information contraire aux croyances du groupe. Le journalisme en est réduit au niveau de harceleurs de collège où certains groupes prennent le leadership de la classe en choisissant des cibles à exclure du groupe. 

Enfin, il me semble déplorable d’encourager un journalisme dont le rôle assumé est de ne rien produire, mais de passer son temps sur le derrière de personnes qui pensent différemment d’eux, pour essayer de les dénigrer. Leur rôle n’est pas de comprendre et synthétiser les informations à leur disposition, mais de suivre paresseusement leurs cibles en vivant au crochet de leurs travaux. Il est finalement peu étonnant que ce type de journalisme du niveau cours de récré sans aucune plus-value soit financé par les réseaux sociaux. L’ère de la médiocrité intellectuelle est à l’œuvre. 

Toujours la même méthode : l’attaque ad hominem 

La première attaque des « fact-checkers » est toujours la même : discréditer l’auteur. Cette première partie est toujours composée d’attaques ad hominem. Elle permet de conforter d’emblée le lectorat sur la lecture qui suit : le monsieur est un menteur, il ne faut pas l’écouter. Il y a quelques mois il ne fallait pas m’écouter parce que j’étais un inconnu, aujourd’hui c’est parce que je suis devenu une « égérie ». La fenêtre d’écoute raisonnable semble étroite. Au passage, j’apprends que l’égérie des complotistes et des désinformateurs, c’est moi. Désolé pour tous ceux qui étaient dans la course pour ce titre en 2021, la place est prise. 

En journalisme, on apprend que seul le début de l’article est lu. Il s’agit donc de mettre l’information la plus importante en premier car l’écrasante majorité des lecteurs s’arrêtera là. Nous savons donc que l’information majeure que ce journaliste souhaite apporter : c’est que je suis un « complotiste ». Cela suffit à ce que l’article soit partagé et retweeté sans avoir besoin d’aller plus loin. Vous trouverez quelques perles de ce genre en commentaire de ma vidéo ayant subi le « fact-checking » des « Décodeurs » : des personnes se vantant de n’avoir pas regardé la vidéo, mais venant quand même mettre un post pour dire qu’elle n’est qu’un amas de « mensonges complotistes ». Je découvre la nature humaine et le besoin pour certains d’une vérité absolue sans qu’aucune nuance ne soit tolérable. 

Les fameuses questions rhétoriques 

L’auteur de l’article fait semblant de se demander pourquoi j’affirme qu’il n’y a pas de surmortalité globale, alors qu’il y a une surmortalité vaccinale. Il s’agit bien évidemment de faire croire à une contradiction. J’explique précisément dans l’article que la surmortalité liée à la vaccination est faible (quelques personnes pour 100 000). Dès lors, elle est indétectable dans la population générale en période hivernale. La mortalité hivernale est bien plus élevée que ce phénomène pour les personnes âgées. Pour cette raison, la seule population sur laquelle cette surmortalité est mesurable est la population jeune, car elle n’est pas soumise à la hausse de mortalité hivernale. En faisant le calcul, je montre une surmortalité des jeunes de 60 personnes sur la totalité de la période vaccinale. Cela ne peut pas être visible dans la mortalité générale du pays. Rappelons qu’il meurt en Israël entre 3500 et 5000 personnes tous les mois

Les soi-disant données cachées (ou ce « cherry-picking » qui serait la marque des complotistes) 

L’auteur m’accuse de masquer une partie des données. C’est assez intéressant me concernant puisque je fais l’effort de mettre tous les liens de toutes mes sources avec mes vidéos, mais qu’en plus, je prépare des fichiers prêts à l’emploi, car je sais que beaucoup se découragent au moment de télécharger les fichiers. L’auteur m’accuse donc de masquer les données de la « pandémie », autrement dit les décès estampillés Covid-19. Cela fait maintenant 18 mois que le principal apport de tous mes travaux est de montrer que les comptages Covid n’ont absolument aucun sens et qu’il faut raisonner en mortalité toutes causes confondues. La « rigueur statistique », c’est de travailler sur des données sans biais. C’est bien l’objet de mon article sur Israël. Je signale à l’auteur que toute la deuxième partie de mon article est consacré à l’absurdité du comptage de « cas » de Covid-19 en Israël à l’aide de celui des résultats de tests. Alors, oubli volontaire ? 

Les morts post-vaccination seraient des morts Covid 

L’argument suivant de l’auteur concerne les graphiques permettant d’observer une corrélation parfaite entre vaccination et mortalité. Il se base sur deux points. Le premier est de dire que les hausses de mortalité observées ne sont pas dues à la vaccination, mais à la Covid-19. L’auteur répète d’ailleurs cet argument dans un paragraphe suivant. Il serait intéressant que l’auteur nous dise où il a bien pu lire que la Covid-19 entraîne une hausse de mortalité chez les jeunes. Je signale qu’aucun pays sur lequel nous disposons de données, ni en Israël, ni dans toute l’Europe (consultez l’étude que j’ai pu réaliser sur 33 pays européens) ne montre la moindre hausse de mortalité en période Covid chez les moins de 40 ans, à l’exception des pays ayant massivement vacciné ces tranches d’âges (notamment Hongrie et Israël). La mortalité toutes causes ne montre pas de quoi décèdent ces jeunes, mais, même en considérant que c’est la Covid, faut-il quand même vacciner les jeunes si on observe que le nombre de morts Covid des jeunes augmente à cette occasion ?  

Le deuxième point concerne une deuxième hausse de mortalité visible entre deux et trois mois après les injections de masses. L’auteur en déduit que cette deuxième hausse est une preuve que la première n’a pas de rapport avec la vaccination. Je le remercie de mordre à cet hameçon, même si j’espérais plutôt que cela vienne d’un chercheur curieux de l’étude des effets secondaires. On constate en effet une deuxième hausse dans quasiment toutes les tranches d’âges, sauf les plus âgées. Il est intéressant d’observer le biais cognitif de l’auteur qui, abreuvé de l’information que la vaccination est « nécessairement » sans risque, est incapable d’envisager que des effets secondaires puissent arriver. En effet, un décès causé par une injection ou une intervention dans les jours qui suivent est un effet primaire de l’évènement. Il s’agit d’une suite directe ce qui est subi. La corrélation parfaite que nous montrons à J+5 ne présage pas qu’il n’existe pas d’autres effets plus tardifs. Il s’agit d’ailleurs du principe des études de long terme de le déterminer. Ici nous observons une deuxième remontée après les injections. En trouver une avant aurait été un indice fort de non-causalité. En trouver une après va plutôt dans le sens de ce que nous montrons. Merci donc de la souligner. 

Par ailleurs, l’auteur soulève que cette bosse est surtout observable pour les plus jeunes, et de moins en moins pour les plus âgés. C’est un indice supplémentaire. Imaginez que vous distribuez un poison à toute une population. Les plus fragiles et les plus sensibles à ce poison vont décéder en nombre très vite. Les plus jeunes résisteront bien mieux et certains résisteront longtemps avant de succomber. Si on considère que la vaccination entraîne chez certains personnes la création de caillots sanguins, il est probable que les moins de 40 ans puissent en supporter bien plus et pendant plus longtemps que les plus de 80 ans. 

Les mauvaises fréquentations 

Afin d’enfoncer le clou sur mon compte et surtout « protéger » son lectorat des « méchants », l’auteur en profite pour rappeler que mon étude se base sur les mêmes observations que celle d’Alexandra Henrion-Caude et Steve Ohana. Nous arrivons ainsi aux mêmes conclusions. Ce procédé fonctionne comme un avertissement contre tous ceux qui souhaiteraient suivre le même chemin. Il avertit les journalistes, chercheurs, lecteurs, politiques, que toute personne surprise à oser lire, commenter ou pire, approuver le document d’une personne considérée « complotiste » rentrera immédiatement dans la même case. Un certain nombre de personnes (en accord ou désaccord avec mon point de vue) me font la remarque du « consensus » scientifique sur la gravité de la situation. 

Il n’y a pas et n’a jamais eu de consensus. Il y a une pression et un acharnement délétère envers tous ceux qui osent contredire ce qui est considéré médiatiquement comme « la vérité ». De nombreux chercheurs et auteurs français (Laurent Toubiana, Jean-François Toussaint, Vincent Pavan…) autrefois considérés comme parmi les meilleurs dans leurs domaines ont subit une destruction systématique de tous leurs travaux par les médias. Qui peut croire qu’autant de personnes reconnues auraient simultanément grillé un fusible ? J’ai pu observer en direct le rejet subi par certain d’entre eux par leurs propres collègues, instituts, laboratoires. Non pas à cause d’arguments contradictoires à leurs travaux, mais bien par souci des nombreux pervers narcissiques aspirant à de hautes destinées de préserver leur précieuse image. Ces exemples destructeurs ont évidemment servi à décourager tous ceux qui souhaiteraient encore se lancer dans ce type de travaux. Je témoigne d’ailleurs (en ayant des traces mails à l’appui) avoir vu deux études se faire censurer par les hébergeurs MedRxiv et SSRN, sans aucun motif. Cette censure a bien évidemment empêché toute relecture possible par des pairs et donc toute publication. Je gage que ces deux articles ne sont pas les seuls à avoir subi ce tri. La pseudo-uniformité des résultats est donc artificiellement créée. 

La stratégie de l’inversion : me faire dire ce que je ne dis pas 

Je précise dans toutes mes vidéos que corrélation n’est pas causalité. Il n’existe pas de preuve par la statistique. D’ailleurs c’est un résultat intéressant à garder en mémoire lorsque vous lisez une étude d’un laboratoire pharmaceutique vous vantant les résultats miraculeux de son produit miracle à l’aide d’une étude statistique, souvent en double aveugle. L’étude ne vous amène qu’une corrélation et il existe autant de façon de maîtriser cette corrélation que d’auteurs rémunérés directement par ces mêmes laboratoires. On note d’ailleurs qu’une fois de plus l’auteur ne remet jamais en question le principe de causalité pour les morts de la Covid-19. On note par exemple que parmi les personnes qui décèdent, certains sont positifs aux tests Covid-19. On en déduit simplement que ces personnes sont mortes de la Covid-19. La corrélation devient causalité sans faire lever le moindre sourcil à notre « fact-checker » anglo-latiniste. On lui fera remarquer que l’écrasante majorité des personnes avec un test positif n’a absolument rien. L’auteur les classera certainement dans la case « asymptomatique », puisqu’à notre époque, « Tout bien-portant est un malade qui s’ignore. »  De la même manière, à aucun moment je ne suppose que les jeunes meurent tous de la vaccination. Je note une surmortalité (donc pas tous les décès, mais seulement ceux au-dessus de la mortalité habituelle) après les campagnes d’injections de masse. Je dénombre cette surmortalité et je constate qu’elle est cohérente avec les travaux déjà réalisés sur la pharmacovigilance. L’objet de cette étude est donc d’alerter les pouvoirs publics sur des corrélations parfaites dans tous les pays ayant mis en place cette stratégie. 

Auteur(s): FranceSoir




Faina Savenkova – Dieu a créé le monde pour que nous vivions en paix, pas pour que nous nous battions

[Source : Donbass Insider (donbass-insider.com)]

Par Faina Savenkova

Sur notre petite planète, chaque jour, des enfants meurent de la guerre. Syrie, Afghanistan, Donbass, d’autres régions du monde… Malheureusement pour la plupart des politiciens, un autre enfant mort n’est qu’un nouveau chiffre dans le rapport. Mais pour moi, ce n’est pas le cas. Je vis à proximité de la guerre et je sais que beaucoup s’endorment en disant « Merci pour un autre jour vécu ». C’est le plus sincère des remerciements.

Nous n’aimons pas moins la vie que les autres, nous ne sommes pas différents des enfants ordinaires d’Europe ou d’Asie. C’est juste que notre « demain » dépend plus des adultes que de nous.

Aujourd’hui c’est la journée de la Paix. Et lorsque les oncles et les tantes exprimeront à nouveau leur « préoccupation » et feront de beaux discours alors qu’un autre enfant est tué par un bombardement, rien ne changera.

Parler doit mener à une sorte de décision et d’action. Sinon, on a l’impression que les politiciens divisent les enfants entre « les leurs » et « les autres », les uns étant à plaindre et les autres non. Le monde est fragile et indivisible. Et nous n’avons qu’un seul monde, il n’y en aura pas d’autre dans un avenir proche.

J’ai lu récemment les paroles d’une jeune Américaine, Samantha Smith :

« Dieu a créé le monde pour que nous vivions en paix, pas pour que nous nous battions » (« God made the world for us to live together in peace and not fight »). .

Et je suis d’accord avec elle.

Faina Savenkova

Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider




Nous Français et Occidentaux sommes les plus « intelligents »… raison pour laquelle une majorité d’entre nous restera dans l’ignorance et la soumission jusqu’à la lie

Par Alain Tortosa

Cela fait des siècles que nous sommes formatés à « l’intelligence ». Et encore plus le Français qui a « TOUT » inventé depuis la nuit des temps.

Les hommes politiques, les médias ne se privent pas de rappeler que les Français sont intelligents, qu’ils ont du bon sens, et qu’il suffit de leur expliquer pour qu’ils comprennent. Ils rajoutent même qu’il est « impossible » de les tromper et les prendre pour des imbéciles… ben oui, « on le verrait tout de suite ! ».

De bien entendu, nous sommes tous « Charlie », ouverts d’esprit, ouverts au débat, pour la liberté d’expression et bien entendu totalement « antiracistes », c’est bien connu.

Cela ne nous empêche pas de penser ou de dire en petit comité que l’Afrique en est encore à la préhistoire en cassant des noix de coco tandis que nous, les Occidentaux, envoyons des astronautes sur la Lune. (sourire).

Si on interroge le Français moyen, il regarde tous les jours la chaîne de TV Arte alors que si on analyse la réalité, le fait est que son émission préférée sera plus « touche pas à mon poste » animée par le grand Cyril Hanouna et des intervenants dont l’intelligence ferait rougir de honte un prix Nobel…

Nous sommes les plus « intelligents » alors même que le niveau scolaire ne fait que décroître d’année en année, que l’on formate les élèves à se gaver d’un savoir monolithique et que dans le même temps tout est fait pour leur interdire de penser et d’avoir un esprit critique.

L’enseignement officiel a pour objet de fabriquer des clones avec le minimum de libre arbitre… et bien entendu, c’est exactement le contraire qui est valorisé par les mots et certainement pas par les actes.

La dictature nous manipule en jouant sur notre « intelligence »

C’est un des plans machiavéliques utilisés par l’État profond pour endormir notre cerveau et notre esprit critique. Comment les êtres les plus intelligents du monde (les Occidentaux), et encore plus les Français, pourraient-ils être manipulés ?

À la rigueur mon voisin, qui par axiome, est totalement idiot, mais moi ??

Dès lors que les « intelligents » que nous sommes ont gobé au mois de mars 2020 que nous étions menacés par un « terrible virus » et que l’unique solution était de confiner la population mondiale, c’était gagné pour la dictature.

Il a suffi de balancer quelques fausses données dans tous les « médias » avec des prévisions apocalyptiques pour nous précipiter dans la fosse.

Rendez-vous compte que l’on a réussi à faire croire à une majorité de Français que le confinement de malades et de bien portants dans un même lieu était de nature à juguler une épidémie et sauver des vies.

On a même réussi à nous faire croire à nous, « les êtres les plus intelligents du système solaire », qu’il était « vital » d’enfermer les personnes en bonne santé pour endiguer une épidémie !

On a réussi à nous faire croire que si nous avions des symptômes, il ne fallait surtout PAS se rendre chez notre médecin, mais attendre l’article de la mort pour nous précipiter à l’hôpital et nous faire exploser les bronches avec de l’oxygène à haute pression pour mourir 5 jours plus tard !

Oui dès ce jour béni de l’obscurantisme scientifique et digne de l’inquisition, l’affaire était gagnée, la marche arrière devenait impossible !

Qui plus est sans heurter le moins du monde les plus grands défenseurs des droits de l’homme conscients que « la fin justifie les moyens ».

La pensée la plus présente chez les covidistes étant :

« Comment moi, une personne supérieurement intelligente, aurais pu être débile et manipulable au point de gober une histoire aussi énorme, aussi mal foutue, autant improvisée, autant créée de toutes pièces avec des bouts de ficelle. »

Nous avons été terrorisés par un virus télévisuel « aussi mortel que la peste » alors même que nous n’avions pas vu le moindre mort. (Et encore aujourd’hui qui connaît une personne en bonne santé et non en fin de vie ou avec de fortes comorbidités décédée réellement du Covid… et non avec le Covid.)

En fait, le mois de mars 2020 était un remake de « La Guerre des Mondes » diffusée en 1938 ayant provoqué la panique chez les auditeurs convaincus qu’une attaque extraterrestre était en cours.

Idem en mars 2020 où des millions de Français ont été convaincus de l’attaque d’un virus dont pas grand monde n’en a vu la couleur… Une sale grippe en 2019 serait passée inaperçue, mais un supposé (supposé, car nous n’avions aucun test à l’époque) sars-cov2 en 2020 à symptômes identiques, était du domaine de l’enfer.

Plus les mois ont passé, plus les mensonges ont grandi, plus les incohérences se sont multipliées et plus le piège se resserrait sur nous !

Comment ouvrir les yeux aujourd’hui ?

Comment accepter que l’on ait pu être idiot au point de gober un an et demi de mensonges aussi énormes et aussi anti-scientifiques les uns que les autres.

À ce point de mon récit, il est probable que j’ai déjà perdu une énorme partie du lectorat membre de l’église du coronavirus qui a autre chose à faire que lire des élucubrations complotistes…

C’est ainsi que notre cerveau est devenu le plus grand complice de cette supercherie à l’échelle mondiale !

Tel le syndrome de Stockholm, chaque Français est devenu complice de ses preneurs d’otages.

Il est devenu vital pour la santé mentale de chacun que cette pandémie soit à ce point terrible. Vital que les mesures prises fussent les « bonnes », compte tenu de la situation qui risquait de conduire à l’apocalypse et à l’anéantissement de l’espèce humaine.

LE point de non-retour a été franchi avec les injections et pour de très très nombreuses années.

Des parents ont injecté à leurs enfants des substances inutiles, expérimentales à l’inefficacité prouvée et à la dangerosité tout aussi prouvée, mais cachée par les médias menteurs !

Cette vérité statistique est TOTALEMENT inacceptable pour un parent.

C’est pour cela que tous les parents qui ont injecté leur enfant, sont condamnés à avoir l’intime conviction d’avoir agi, non pas pour le bien de la communauté dont tout le monde se moque éperdument, mais d’avoir agi directement ou indirectement pour le bien de leur enfant.

Imaginez qu’un vaccin sur le marché depuis 20 ans présente des contre-indications potentiellement mortelles même si elles sont rarissimes. Mais que dire d’une injection d’ARNm dont les premiers essais sur l’homme ont eu lieu au mois de mai 2020 ! Alors même si l’on tablait sur un risque de décès de 1 sur 1 million d’injections, cela veut dire que mathématiquement des enfants vont et sont déjà décédés de cette injection (ce qui est confirmé par les statistiques).

Mais à la différence d’un vaccin classique qui protège l’enfant d’une maladie potentiellement mortelle pour lui, la thérapie génique à ARN messager ne le protège en rien d’une maladie qui ne le concerne PAS s’il est en bonne santé… car le Covid n’est PAS une maladie infantile comme l’écrit régulièrement l’association française de pédiatrie.

Bref, le retour en arrière est donc désormais totalement impossible.

Les « convaincus » ne peuvent PAS ou PLUS croire que dès le mois de mars 2020 :

  • De nombreuses études sur la (non) dangerosité du virus étaient parues.
  • L’on savait quelles étaient les personnes à risque et donc les personnes non à risque comme les enfants.
  • Que les confinements d’une population générale étaient contre-productifs.
  • Que le confinement du mois de mars 2020 était un échec avant même de commencer, car il était déjà un échec en Italie. Mais par contre, la méthode sud-coréenne de tracing sans confinement fonctionnait parfaitement.
  • Que les masques en population générale étaient dangereux, inefficaces et contre-productifs.
  • Qu’un vaccin contre un coronavirus (qui ne fait que muter) était OBLIGATOIREMENT une impasse thérapeutique.
  • Que l’immunité vaccinale de masse était de fait un leurre.
  • Que l’HCQ (introduite et étudiée par les Chinois et non par Raoult) et certains antibiotiques étaient efficaces avant l’orage.
  • Que seule l’immunité naturelle pouvait nous sauver, car « adaptative ».
  • Que les tests PCR ne sont pas prédictifs
  • Que les gestes barrières relèvent de la pensée magique
  • Etc.

La propagande est même arrivée à leur faire croire que l’AstraZeneca, un adénovirus génétiquement modifié, était plus dangereux qu’un ARNm expérimental. ARN messager testé par le passé à petite échelle sur des malades en phase terminale. Qui plus est encore en phase III expérimentale et ARNm « bizarrement » jamais utilisé contre la grippe.

AUCUN parent qui a gobé toute cette mascarade macabre ne peut ouvrir les yeux aujourd’hui et se dire désormais :

« J’ai pris le risque de provoquer un cancer à 10 ans pour mon enfant, mis peut-être en péril sa capacité reproductive, alors même qu’il ne risque RIEN de cette maladie et que le vaccin ne protège pas de la contamination et qu’il n’a donc RIEN de solidaire. »

Une personne « intelligente » et manipulée depuis le début et qui aurait fait l’effort de lire mon texte jusqu’à cette ligne ne peut pas se poser sereinement la question et se dire :

« Et si ce qui est écrit là était véridique ? »

Il est alors naturel d’utiliser des mécanismes de défenses classiques, se poser des questions sur l’auteur et non sur le fond, botter en touche, ricaner, mais il est à parier que le lecteur ne prendra pas le risque de faire un travail de recherche qu’il n’a JAMAIS entrepris depuis le début de l’affaire.

Travail d’autant plus facile aujourd’hui qu’il a été prémâché par de si nombreux scientifiques ou lanceurs d’alertes qui facilitent l’accès aux informations et à leurs sources.

Dédouaner « l’être supérieur »

Le gouvernement, les médecins corrompus et les médias achetés ont fait un travail formidable de décrédibilisation de la parole dissidente.

Au point que de très nombreux manipulés CROIENT qu’il y a un quasi-consensus scientifique mondial et que les dissidents sont quasi inexistants et relèvent (tous ?) de la psychiatrie.

La Pravda a donc rabâché jour après jour que tous ceux qui avaient une parole dissidente étaient des « complotistes » dont la crédibilité était proche de ceux qui pensent que les extraterrestres ont remplacé les chefs d’État par des clones.

Ces « complotistes » sont, dans la bouche des médias, à la fois des psychopathes d’extrême droite et antisémites qui ont réussi à manipuler un flot de débiles profonds analphabètes, paumés et en perte de repères.

« Un être doué d’intelligence ne pouvant prêter foi à des théories qui vont à l’encontre de la pensée unique. »

La manipulation de la dictature a été à ce point intelligente et diabolique qu’elle a dit à tous les êtres intelligents et supérieurs que nous sommes qu’il ne fallait surtout pas discuter avec les « autres »  !

Ne surtout par argumenter parce que « les complotistes sont des pervers manipulateurs qui peuvent retourner votre honnête cerveau ». On nous a donc expliqué qu’il ne fallait pas nous fabriquer NOTRE propre opinion, car nous serions manipulés par ces malfaisants.

La parfaite illustration en fut le film documentaire « hold-up ».

Question à une personne « intelligente » : « Tu as vu hold-up ? » Réponse ; « Non c’est un ramassis de théories complotistes d’extrême droite avec des intervenants dissidents rejetés par leurs pairs. »

Rendez-vous compte que la « sagesse », la démarche « intelligente et scientifique » n’était plus de regarder hold-up, puis d’aller étudier et vérifier chacune des affirmations pour se faire sa propre opinion, mais d’obéir à la consigne officielle :

« Surtout, ne regarde pas, c’est une dangereuse perte de temps ! »

Nous étions dédouanés d’avoir une démarche scientifique, dédouanés de ne pas nous interroger grâce aux « décodeurs de l’information » qui l’avaient fait pour nous.

La pensée unique

Nous avons vécu et vivons encore une période où le révisionnisme est roi ! L’OMS a réécrit son site, des études sont venues dire le contraire de dizaines d’années de travail… pas de soucis. Le Lancet, quant à lui, a fait des faux ou censuré des études dans l’indifférence générale.

On a même inventé la vérification de l’information dans le but, toujours le même, d’empêcher les êtres « intelligents » que nous sommes, d’aller nous renseigner et étudier pour nous forger notre opinion.

Le principe de la « vérification de l’information » est très simple à mettre en œuvre.

  • Un « illuminé » affirme une pensée déviante.
  • Vous allez interroger un « spécialiste » qui est d’accord avec vous et la pensée unique qui répond « Non cette affirmation est fausse ! ».
  • Ainsi vous avez « démontré » que ces propos complotistes étaient ridicules !

Petit à petit les manipulés ont acquis l’intime conviction que le récit mondialiste était vrai parce que tous les médias traditionnels, ainsi que tous les « scientifiques » médiatiques (toujours les mêmes d’ailleurs) avaient le même discours parfois au mot près.

« S’ils disent tous la même chose, c’est bien que c’est vrai ! »

Nous aurions pu trouver étrange que la quasi-intégralité des médias se contente de reprendre les dépêches AFP sans rien vérifier, mais non !

Presse considérée « indépendante » alors que sa survie repose EXCLUSIVEMENT sur les aides de l’État !

Donc soit la masse s’est contentée de l’affirmation de tel ou tel média de « confiance », genre France Inter, BFM ou Cnews, soit elle a fait « un travail d’enquête » en lisant plusieurs journaux mainstream différents qui disaient tous la même chose !

D’innombrables « débats » ont eu lieu sur les chaînes d’info où des personnes d’accord entre elles débattaient pendant des heures. Ceci entrecoupé 5 minutes par semaine d’un invité (généralement invité qu’une seule fois) qui cherchait à se défendre face à plusieurs accusateurs médiatiques présents pour le lyncher.

Ainsi la recherche de la vérité, la recherche de sa propre opinion ne procédait plus en la lecture d’auteurs, d’études ou d’opinions diamétralement opposées, mais en la lecture d’informations concordantes appelées « consensus ».

La plupart des Charlie se réjouissaient que le temps d’antenne des complotistes soit le plus bref possible et que les réseaux sociaux censurent à tout va… L’apothéose étant de trouver normal qu’un président américain élu soit censuré par des entreprises privées !

Le CSA veillant scrupuleusement à l’absence de pluralisme et sanctionnant les rares émissions où un « ennemi du peuple » pouvait prendre la parole sans contradicteurs autres que le « journaliste » présent pour le descendre en flèche.

Comment survivre face à toutes les incohérences ?

On a beau être manipulé, on a beau se voiler la face et ne rien lier, les incohérences sont parfois trop énormes pour arriver à se les cacher.

  • Il est compliqué de trouver logique d’utiliser des drones ou des hélicoptères pour verbaliser des personnes seules sur une plage ou dans une montagne durant un confinement alors que dans le même temps on peut s’entasser dans un supermarché.
  • Compliqué que le masque soit inutile et dangereux le lundi puis obligatoire et vital le mardi.
  • Compliqué qu’il faille rester enfermé le mercredi et sortir le plus possible le jeudi.
  • Compliqué de voir que l’on diminue les budgets dans la santé, que l’on ferme des lits alors même que l’on dépense des millions pour recruter des vigiles.
  • Compliqué que l’on interdise de s’asseoir en terrasse, mais que l’on autorise d’être entassé sur le quai d’un RER.
  • Compliqué que l’on interdise les médecins de prescrire et qu’on les sanctionne s’ils le font.
  • Compliqué que l’on impose une troisième dose du même vaccin alors même que le virus a muté (comme si le vaccin pour la grippe était le même tous les ans).
  • Etc., etc.

Alors comme je suis un être « supérieurement intelligent », je décide que ceci n’est pas de la malveillance, de l’intention de nuire, mais de la bêtise humaine.

Le fait que ces « erreurs » soient répétées à l’infini ne me choque pas tant que ça… que les parlementaires guignols continuent à n’être que les membres d’une chambre d’enregistrement et que tout soit décidé par un conseil de défense totalement opaque, pas de soucis. Que les mêmes soient encore aux commandes comme le Ministre de la Santé malgré tous les échecs et mensonges, no problem !

L’indispensable amnésie et surtout ne rien lier

Pour ne pas faire exploser notre cerveau nous devons avoir la mémoire courte et ou-bli-er ! Oublier tous les scandales, les milliards de dollars d’amendes de Pfizer pour tromperie, corruption de médecins, etc. Oublier les lobbies en Europe qui pèsent un poids délirant ainsi que les chaises musicales, passage du privé au public et inversement. Ignorer que l’OMS, sans les fonds de Bill Gates et des laboratoires pharmaceutiques, mettrait la clef sous la porte. Ignorer que des personnalités politiques doivent leur poste grâce au soutien financier des dits laboratoires. Ignorer que des chercheurs ne pourraient plus conduire de recherches sans la participation financière des laboratoires.

AUCUN LIEN entre les sujets !

  • Un taux de suicide en explosion chez des enfants et des personnes âgées.
  • Une explosion de la violence intrafamiliale.
  • Une explosion de la dette.
  • Des maladies graves non diagnostiquées en temps et en heure.
  • Une précarité financière dramatique chez les étudiants, petits boulots…
  • Des pertes de QI chez les enfants.
  • La destruction du lien social et voir en autrui une menace.
  • La suppression des droits de l’homme et des libertés.

Mais aussi des reportages sur Arte sur la dépendance de l’OMS, la corruption mise en œuvre par l’industrie pharmaceutique et les lobbies, le rôle vital des virus pour notre santé, l’indispensable respiration d’un bon air… Tout ceci n’est JAMAIS mis en balance et corrélé avec les mesures dites « sanitaires »…

Les données ignorées

Sans compter les chiffres et la réalité qui sont totalement biaisés.

  • C’est la première fois au monde que l’on ne remet pas à zéro le compteur de décès annuels.
  • L’OMS qui oblige à comptabiliser les faux morts (ex cancer)
  • Le réseau Sentinel qui compte les malades remplacé par un décompte de positifs dix fois plus nombreux.
  • Une épidémie de positifs (nullement malades et statistiquement nullement contagieux).
  • Le nombre d’hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de personnes en réanimation « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de morts « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de patients vaccinés hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par la DRESS)
  • Les pays pauvres qui ont 5, 10 ou 100 fois moins de morts par habitant.
  • Un premier confinement qui n’a JAMAIS aplati la courbe et qui pourtant a été répété.
  • Une augmentation du nombre de cas d’autant plus que le masque devenait de plus en plus obligatoire.
  • Les pays qui ont massivement vacciné et qui ont eu une explosion du nombre de morts depuis la vaccination.
  • La situation catastrophique en Israël qui n’arrive pas à endiguer les décès même avec la 3e dose.
  • L’absence de corrélation en France métropolitaine et dans les DOM entre le taux de vaccination et le taux d’incidence (selon les données officielles, mais pas selon la propagande médiatique).
  • Des effets secondaires dramatiques de la vaccination qui sont minimisés ou ignorés en France.
  • Des membres de la FDA qui affirment que le vaccin tue plus qu’il ne sauve.
  • Des spécialistes qui osent affirmer une autre voie et qui sont ridiculisés et traînés dans la boue.
  • Des pays qui ont utilisé l’Ivermectine avec des résultats spectaculaires.
  • Des pays qui n’ont jamais confiné et pourtant avec largement moins de morts.
  • Des pays qui n’ont jamais imposé de masque et sans le moindre geste barrière.
  • Le Rivotril dans les maisons de retraite. L’année d’avant on soignait les malades de la grippe notamment avec des antibiotiques, en 2020 on les a achevés…
  • L’interdiction de prescrire de l’HCQ ou de l’Ivermectine.
  • La négation de l’efficacité des méthodes préventives pour booster son immunité.
  • Etc.

Ma liste est loin d’être exhaustive. Tous ces arguments sont ignorés, méprisés, balayés et surtout « non liés ».

Alors pour s’en sortir, pour ne pas avoir à reprogrammer son cerveau, on va dire soit « mensonges » avec la complicité active des « vérificateurs » et des médecins de plateau arrosés, soit dans le cas d’autres pays, on affirmera que « on ne peut pas comparer ».

En France on ne peut strictement jamais comparer d’ailleurs si on les écoute, en fait si on peut, mais uniquement quand c’est pire ailleurs.

Rien, rien, rien n’est jamais lié…

Par exemple, depuis juin 2020 on nous a promis des clusters après les grands rassemblements, clusters qui n’ont JAMAIS existé. Depuis le mois de juillet 2021, il y a des centaines de milliers de manifestants dans les rues toutes les semaines en France dans des centaines de villes. Pour la plupart les manifestants sont non vaccinés, sans masque, sans distanciation, sans le moindre geste barrière et de tout âge. On s’embrasse, on se serre la main, on se partage des bouteilles d’eau et ZÉRO cluster !

Et on continue à se foutre de nous et nous dire qu’il faut respecter les gestes barrières et porter des masques !

On continue de terroriser nos enfants, à leur dire qu’ils vont tuer papi et mamie alors même que papi et mamie seront bientôt vaccinés trois doses avec un vaccin présumé « efficace » selon la propagande.

Mais là aussi pas de lien… que l’on nous terrorise en nous disant que les non-vaccinés, non malades peuvent tuer des personnes qui sont injectées avec un « vaccin » dit « efficace » ne fait pas réagir…

Jamais le moindre lien, jamais la moindre réflexion de fond… et sans compter le régulier « on ignore encore tout de ce virus » dès que les données sont franchement contre vous !

Dans les fait, le sars-cov2 demeure un gentil virus qui ne fait qu’accompagner dans la mort des personnes en fin de vie, personnes privées volontairement de traitements dont l’efficacité n’est plus à démontrer, mais qui, hélas, ne coûtent rien.

Mais en parallèle les médias et médecins corrompus continuent à vous dire que la population en réa est de plus en plus jeune et que nul n’est à l’abri pour une maladie dont l’âge médian des décès est de 85 ans !

Depuis le début la crise, strictement aucune mesure n’a jamais été prise en direction des personnes à risque à la différence de la Corée du Sud (même niveau de vie, même pyramide des âges, même densité de population que la France). Corée du Sud qui déplore 47 morts par million d’habitants versus 1 700 pour la France soit 36 fois moins !

Avec une politique identique et en partant du chiffre mensonger de 100 000 morts en France par année de Covid, nous aurions eu 2 800 décès du Covid en France en mettant en œuvre la politique coréenne. Certains « spécialistes » osent dire que l’on n’aurait pas pu mettre en œuvre en France la politique sud-coréenne « anti-démocratique » de tracing alors même que nous sommes masqués, confinés, vaccinés de force et avons un pass sanitaire pour aller faire des courses au supermarché.

Mais on se moque de qui ? Pourquoi M. Veran est encore ministre, pourquoi M. Macron n’a pas démissionné ? Pourquoi l’opposition est-elle silencieuse ? Pourquoi les médias applaudissent-ils au lieu de crier au scandale ?

Cela interroge-t-il les aveuglés ? Absolument pas !

Les médias sont même allés jusqu’à dire qu’il serait injuste ou illégal de confiner les personnes à risque alors que l’on ne se prive pas de supprimer les droits de l’homme de la population en bonne santé. Toutes les mesures dictatoriales ont été uniquement ciblées en direction des personnes en bonne santé qui risquent plus d’être foudroyées que de mourir du Covid. Tout a été fait pour massacrer les défenses immunitaires des plus faibles et prescrire du paracétamol (contre-indiqué) et obtenir un maximum de morts… Nous aurions voulu faire pire qu’il eut été quasi impossible d’y parvenir…

Pour se rassurer, on énonce alors que notre politique Anti-Covid ne peut pas être si « mauvaise » quand quasi tous les pays européens et occidentaux ont pratiqué la même.

Afrique : 150 morts par million d’habitants. Asie : 235 morts par million d’habitants. Europe : 1600 morts par million d’habitants ! Vous ne pensez pas qu’il y a un ÉNORME problème ?

De la conviction prémâchée et prédigérée

« Si tous les médias le disent, c’est que c’est vrai »

« Les journalistes sont trop fiers pour se faire commander ! »

Nous sommes si « intelligents », si « supérieurs » aux peuples des pays sous-développés, que nous n’avons pas besoin de nous poser la moindre question ni regarder ce qu’il se passe à l’étranger.

La « vérité » des paniqués est ainsi considérée comme aussi légitime et valide que celles et ceux qui ont passé des milliers d’heures à étudier profondément le sujet depuis des mois.

Se sont-ils posées les mêmes questions, ont-ils lu les mêmes études, les mêmes stats, investi du temps pour se faire LEUR propre opinion, et non le pré-mâchage médiatique, puis arrivé à des conclusions diamétralement opposées à celles des « complotistes » ?

Bien sûr que non, à quoi bon perdre son temps face à des « allumés » qui racontent n’importe quoi quand une presse « indépendante » fait le travail pour vous !

Pas de coupables, pas de meurtres !

Le dernier argument qui permet de se dédouaner et de retourner se coucher est le suivant :

« OK d’accord tout serait faux, mais alors c’est organisé par qui et pour quoi ? »

Imaginons que vous disposez de toutes les preuves (facilement disponibles) que toute cette pandémie est un faux et que ce sars-cov2, probablement fabriqué, n’est pas plus méchant que les virus respiratoires habituels. Vous avez alors tous les éléments de preuve, mais, sous prétexte que les coupables ou complices ne sont pas identifiés, alors les preuves peuvent être discréditées et celui qui vous les a amenés devient un complotiste illuminé…

C’est comme si vous étiez policier… vous arrivez sur les lieux d’un crime et découvrez un cadavre. Vous posez alors la question :

« Vous connaissez le meurtrier et ses motivations ? »

Et si la réponse est « non » alors vous déduisez « bon ça doit être une erreur, on a imaginé le meurtre ! »

Personnellement, même si j’ai quelques éléments, quelques indices, je ne possède strictement aucune preuve quant aux commanditaires, complices, opportunistes, desseins…

Je croule juste sous les preuves que :

  • Bill Gates n’est pas clair.
  • L’OMS est corrompue.
  • Les laboratoires pharmaceutiques n’ont strictement aucune valeur morale.
  • Des politiques disposent d’informations, mais agissent contre l’intérêt commun.
  • Les lobbies et la corruption vont bon train.
  • Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts.
  • Ce virus est un gentil virus dont nous n’aurions JAMAIS entendu parler si les médecins avaient conservé le droit de soigner les malades et que les politiques et médias n’avaient pas monté l’affaire en épingle.
  • Les données sanitaires sont des faux.
  • Il existe des traitements.
  • Les prétendus « vaccins » sont inutiles, inefficaces et dangereux.
  • Etc.

Les « possédés » n’ouvriront pas les yeux

C’est lorsque l’autorité qui leur a dit « blanc » dira « noir » qu’ils acquiesceront et changeront d’avis, pardon… adhéreront à la nouvelle « vérité ».

Se poser les questions, chercher les réponses (bien entendu en dehors des médias classiques) ouvre une boîte de pandore trop violente.

« Comment moi, une personne si intelligente, ai-je pu tomber dans un piège qui, si on le regarde de l’extérieur, est extrêmement grossier ? »

C’est ce que se disent les personnes, pourtant intelligentes, qui sortent de secte…

Cette révélation est désormais d’autant plus difficile pour celles et ceux qui se sont injectés « volontairement » qui vont découvrir que la substance expérimentale est d’autant plus dangereuse que l’on s’injecte de doses, mais aussi qu’elle ne protège en rien de la contamination et de fait qu’elle n’aidera pas à mettre fin à la « pandémie ». Substance dont on ignore totalement les effets à long terme (une première mondiale à l’échelle de la planète). Et que dire de la violence de la révélation pour les parents qui ont injecté les thérapies géniques à leurs propres enfants et qui leur ont fait courir un risque (peut être minime, mais réel) pour RIEN ou pire… pour aller en vacances.

C’est donc grâce à notre « intelligence supérieure », grâce à l’impossibilité de se tromper (à ce point) qui nous est conférée par celle-ci (que les complotistes n’ont pas bien évidemment) que nous les Occidentaux et surtout les Français resterons dans l’ignorance… pour l’instant.

Pour l’instant, car si on regarde ce qu’il se passe à l’étranger, l’édifice commence à se fissurer de toutes parts… Et quand la vérité sortira, elle fera mal à tous les manipulés et complices malgré eux.

Personnellement j’ai dépensé suffisamment d’énergie pour les aider…

Merci Alain Tortosa.
20 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210920-intelligence-superieure-francais.pdf


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Voir aussi : Le défi de l’intelligence
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Le modèle Kubler-Ross et la grande fatigue des résistants au passe sanitaire

Par Nicolas Bonnal

Il y a quelques mois le Saker a énervé bien des opposants au système et à la tyrannie vaccinale en se moquant cruellement d’eux, présumés complotistes et débiles : il semble d’ailleurs qu’il était sur cette affaire comme sur d’autres plus royaliste que le roi (à force de défendre un camp présumé du bien et un gouvernement…). Je n’ai aucune envie de polémiquer avec lui : s’il ignore ce que Reset, Schwab, Gates, Yellen, Leyen (anagramme), Green Deal et Black Rock veulent dire, c’est son affaire.

Par contre il évoquait le modèle Kubler-Ross. Et alors que nous voyons la résistance à son étiage, le passe imposé partout, on peut se poser la question : ce modèle tant critiqué par des psychiatres aux ordres est-il d’actualité ? Il semblerait que oui. Car après l’emballement de cet été on voit que nos résistants commencent à être fatigués ; je ne vais pas les nommer. Les manifs systématiques et brouillonnes agonisent. Lucien Cerise disait récemment dans une interview :

 « Il faut sortir du spontanéisme révolutionnaire, qui est une forme d’analphabétisme politique. Les manifestations ne servent strictement à rien si elles n’ont pas un débouché institutionnel, par la conquête du pouvoir, c’est-à-dire la conquête de la bureaucratie et de la technocratie administrative d’État… »

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[Voir aussi : Sortir de la crise]
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Or à multiplier des manifs chaque samedi, Philippot et les siens fatiguent le monde et donc renforcent un pouvoir qui a été patient. Philippot ne cesse de vanter son succès alors que les troupes se délitent (contrairement à une idée reçue il faut faire les révolutions l’été, pas à la rentrée, voyez 1789 ou 1830). Je ne sais pas si Philippot, que j’ai soutenu faute de grives, est une opposition contrôlée : je ne crois pas à cette notion galvaudée (Eric Zemmour, opposition contrôlée !!!), je constate qu’il est impossible de s’opposer à ce système mondialiste-tyrannique qui s’écroulera ou triomphera totalement.

Hier Avic écrivait justement (et courageusement) ici même [Sur Réseau International] à propos des événements de Melbourne :

« Nous sommes loin des gentilles petites manifestations à la française bien balisées, bien réglementées, infiltrées par un réseau dense de policiers chargés de surveiller les faits et gestes de chaque participant, de sorte que le moindre éternuement non autorisé est aussitôt étouffé et le coupable maitrisé sans ménagement et escorté vers le camion de police le plus proche par deux ou trois individus sortis de nulle part.

Des décennies de défilés derrière des leaders syndicaux, dont le rôle est précisément de calmer et canaliser les colères, a fini par enfermer les Français dans cette façon soumise de protester. D’où la volonté des médias de masse et du gouvernement de vouloir absolument doter le mouvement des Gilets Jaunes de chefs fabriqués de toutes pièces dans leurs officines de communication. »

Mais comme me le disait Lucien cette manif australienne n’a pas débouché sur grand-chose non plus. Le Nouvel Ordre Mondial a de beaux jours devant lui jusqu’à son écroulement énergétique total (voyez mon livre collectif sur grand reset et grand effondrement vendu aussi à prix coûtant) et surtout prochain. Le fascisme vert et le Green Deal vont accélérer le grand effondrement occidental qui veut encore en plus faire la guerre à tout le monde (Chine, Russie, Iran, en attendant le reste).

Pour être sincère j’ai vécu une jeunesse entourée de manifs autrement fortes que nos petites manifs estivales, festives et coloriées, organisées par la CGT ou le PCF ; elles n’ont pas servi à grand-chose non plus. Davos s’est imposé partout avec ses oligarques et son totalitarisme étatique.

Ce qui nous guette, c’est le recul et la résignation ; voyons notre modèle Kubler-Ross :

Les cinq étapes du modèle sont :

Déni (denial). Exemple : « Ce n’est pas possible, ils ont dû se tromper. »

Colère (anger). Exemple : « Pourquoi moi et pas un autre ? Ce n’est pas juste ! »

Marchandage (bargaining). Exemple : « Laissez-moi vivre pour voir mes enfants être diplômés, se marier… », « Je ferai ce que vous voudrez, faites-moi vivre quelques années de plus. »

Dépression (depression). Exemple : « Je suis si triste, pourquoi se préoccuper de quoi que ce soit ? », « Je vais mourir… Et alors ? », « Je vais bientôt mourir, alors à quoi tout cela sert-il ? »

Acceptation (acceptance). Exemple : « Maintenant, je suis prêt, j’attends mon dernier souffle avec sérénité. », « Ça va aller. », « Je ne peux pas le combattre; je fais aussi bien de me préparer. »

Ce modèle est bon selon moi à rappeler pour la résistance : il s’agit de comprendre les reculades des uns, la lassitude des autres. De cette manière, on peut préparer une contre-attaque. Mais pas mal de mes lecteurs (ceux qui travaillent) me disent que tout le monde est vacciné autour d’eux, et que les terrasses sont pleines, comme disait déjà Ortega Y Gasset dans son livre sur la rébellion des masses.

Car on n’est pas encore sortis de l’auberge.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_K%C3%BCbler-Ross

https://www.zerohedge.com/economics/skyrocketing-energy-prices-could-cripple-europes-economy

https://www.dedefensa.org/article/ortega-y-gasset-et-la-montee-eschatologique-de-la-stupidite




Macron, Véran et consorts… ignorants ou comploteurs ? Une réponse claire en treize points essentiels

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Tous les citoyens conscients doivent se poser cette question à propos notamment des plus en vues des covidistes en France, Macron et Véran*.

Point 1, la quarantaine.

Depuis plusieurs siècles, on sait que la méthode la plus efficace pour stopper une épidémie est la quarantaine. Quarantaine, XII siècle, dérivé de quarante d’abord au sens de « espace de quarante jours » ; au XVII siècle, isolement de quarante jours des contaminés pour éviter la contagion des sujets sains. De nombreux pays dans le monde ont utilisé ce processus très simple avec un franc succès. Ils ont testé les malades (avec des tests fiables) et les ont immédiatement isolés de la population, cassant ainsi la chaîne de propagation du virus.

Commentaire : la quarantaine, même les ânes la connaissent.

Point 2, des tests sérologiques efficaces et sûrs.

Des tests sérologiques précis et rapides (30 min) existaient avant l’épidémie, ils furent utilisés depuis le début de la crise par plusieurs pays, au début en Asie, Japon, Corée du Sud, Hong-kong… puis en Europe, Luxembourg, Allemagne, Autriche… ils permirent de détecter rapidement les positifs et de les isoler pour éviter la contagion.
ASIE — ÉPIDÉMIE : Sortir du confinement par les tests sérologiques d’immunité au Covid 19

Commentaire : la France de Macron à la ramasse.

Point 3 : les frontières comme des passoires.

Le point de départ de l’épidémie a été très rapidement circonscrite à la région de Wuhan en Chine, c’était dans tous les médias, personne ne pouvait échapper à cette information, pourtant le gouvernement n’a pas hésité à faire rentrer pendant de nombreux jours tous les avions qui venaient de cette région et de Chine, avec eux les contaminés. Idem pour l’Italie, le premier foyer épidémique en Europe, qui s’était déclaré en Lombardie fut annoncé rapidement par les médias. Pourtant pendant plusieurs jours les autorités françaises n’ont pas cherché à freiner l’arrivée des personnes venant de ces régions. Elles ont même autorisé les supporters du PSG à aller voir un match de leur équipe favorite à Milan et bien sûr à revenir, certains avec le virus.

Commentaire : même les ânes auraient été plus prudents.

Point 4, les tests PCR imposés.

Article France Soir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux.

Les tests PCR n’isolent pas et ne détectent pas le covid-19 comme tel, ils montrent simplement que les testés ont toute une série de virus et de bactéries dans leur corps, ceux-ci n’ont peut-être aucun rapport avec le covid-19. Cependant, quand l’individu est déclaré positif (après un délai), il est déclaré systématiquement positif au covid-19 ce qui fausse et amplifie les cas.

Confirmé par plusieurs articles publiés par divers médias comme Paris-Match,
https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289 ou Businesstravel.fr, 
https://www.businesstravel.fr/les-tests-pcr-actuels-sont-peu-fiables-pour-detecter-une-infection-virale.html

Commentaire : malgré que les premières informations sur ce sujet furent publiées dès septembre/octobre 2020 le gouvernement a continué sans vergogne à les mettre en avant, curieux, non !

Point 5, un conseil scientifique créé par Macron avec plusieurs membres ayant des liens rémunérés avec l’industrie pharmaceutique

Un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont des liens avec des entreprises pharmaceutiques. Cette collusion a été dénoncée par le Pr Raoul lors de son audition par le Parlement, le 24 juin 2020. Malgré cette dénonciation faite il y a plusieurs mois déjà aux yeux de tous, ce Conseil Scientifique continue toujours de fonctionner en l’état comme si de rien n’était, en donnant son avis au gouvernement qui le suit.

Article de France Soir : Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique
ou de La Croix : Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêt

Conflit d’intérêt strictement interdit par la loi.(([1] Les documents officiels français : Légifrance

LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique (1)
Chapitre Ier : La prévention des conflits d’intérêts et la transparence dans la vie publique (Articles 1 à 24)
Article 1
Modifié par LOI n°2016-1691 du 9 décembre 2016 — art. 29 (V)

Les membres du Gouvernement, les personnes titulaires d’un mandat électif local ainsi que celles chargées d’une mission de service public exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité et veillent à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Les membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes exercent également leurs fonctions avec impartialité.

Section 1 : Obligations d’abstention (Articles 2 à 3)
Article 2
Modifié par LOI n°2017-1339 du 15 septembre 2017 — art. 6

))

Commentaire : Macron et son gouvernement prouvent par ce premier manquement très grave à la loi qui perdure depuis, son mépris des lois républicaines confirmé par la suite par de très nombreuses décisions illégales.(([2] Macron et sa Dictature en Marche, en trois preuves et quelques faits incontestables — Profession Gendarme))

Point 6, masques ou pas masques ?

Le gouvernement français, s’appuyant sur les recommandations du conseil scientifique, décide le confinement de l’ensemble de la population, avant le confinement le port du masque est déconseillé, après le confinement il est imposé !!!

De nombreuses études scientifiques de haut niveau ont été réalisées depuis le début de la crise sur l’utilité du port du masque par les adultes et les enfants selon le niveau de protection des masques et les circonstances de leurs utilisations. Aucune de ces études n’a été portée à la connaissance du grand public par le gouvernement et les médias subventionnés qui laissent ainsi la population dans l’ignorance. Aussi il faut que les citoyens se posent la question suivante : les masques sont-ils toujours vraiment utiles ou sont-ils devenus au fil du temps un signe de soumission à un pouvoir corrompu ?

Commentaire : une communauté d’ignorants, vraiment ?

Point 7, des vaccins  produits en un peu plus d’un an, recherches comprises, peuvent-ils être sûrs ?

Extrait de l’article  « Pourquoi je ne me ferai pas vacciner. » du Docteur italien S. R. Valli, diplômé en médecine et en chirurgie à La Sapienza à Rome, et spécialiste en médecine interne et en allergologie et immunologie cliniques, publié en septembre 2021 sur le site web Benoitetmoi.fr dans Mes pièces.

« En général, un médicament (mais aussi un vaccin) doit passer par plusieurs phases d’étude :

la phase préclinique sur les animaux, qui sert essentiellement à établir la toxicité éventuelle de la molécule sur un organisme vivant complexe, puis certains paramètres pharmacocinétiques : voie d’administration privilégiée, absorption, distribution, métabolisme et élimination ;

la phase 1, c’est-à-dire sur des volontaires sains, qui permet de s’assurer que les résultats obtenus chez l’animal sont confirmés chez l’homme ;

la phase 2, celle des volontaires “malades”, qui sert à vérifier l’efficacité thérapeutique du médicament, ou l’efficacité préventive du vaccin chez les sujets exposés à la contagion ;

la phase 3, la plus importante. Ici, les études sont multicentriques, c’est-à-dire réalisées dans différents hôpitaux, et doivent être en double aveugle et contrôlées par placebo. Dans cette phase, il est obligatoire d’obtenir le consentement éclairé, car le patient doit savoir qu’il est soumis à un essai clinique et qu’il peut donc recevoir soit le médicament actif, soit le placebo, sans que ni lui ni son médecin ne le sachent (c’est la signification du double aveugle). La phase 3 doit durer de 3 à 5 ans (et il se trouve que les vaccins contre le SARSCoV-2 sont testés jusqu’en décembre 2023 !)

La phase 4, ou pharmacovigilance, qui est la phase à laquelle sont soumis les médicaments une fois qu’ils sont mis sur le marché. La pharmacovigilance (ou surveillance) peut être active ou passive : elle est active lorsque le médecin visite périodiquement le patient qui a reçu le médicament et signale tout effet indésirable ; elle est passive lorsque le patient signale un événement indésirable au médecin, qui doit le signaler aux autorités sanitaires qui doivent en prendre note.

On estime que les événements indésirables signalés dans le cadre de la surveillance active sont 100 fois plus nombreux que ceux signalés dans le cadre de la surveillance passive. Ces vaccins font uniquement et exclusivement l’objet d’une surveillance passive et, d’après l’expérience directe, presque aucun des effets indésirables signalés par les patients n’est signalé ! Enfin, les effets à long terme : c’est là que réside la question la plus critique.

Nous (et Pfizer, Moderna, Astra Zeneca) ne savons absolument rien de ce que le vaccin pourrait provoquer dans un, deux, cinq ou dix ans. En effet, pour qu’une étude clinique soit fiable, deux critères fondamentaux doivent être respectés : la taille de l’échantillon et la durée d’observation. Une étude portant sur cinquante millions de personnes pendant un mois ne peut que nous dire que le médicament est sûr dans les situations aiguës, tandis qu’une étude sur une personne suivie pendant vingt ans ne nous donne aucune information, car tout peut être ramené à des variables individuelles.

Dans le cas de ces vaccins, le nombre de sujets ne dépasse pas 70 000 (contre 2,5 milliards de vaccinations effectuées !), et la période d’observation à ce jour ne dépasse pas un an. Je rappelle que des médicaments utilisés depuis plus de quarante ans comme antiulcéreux (ranitidine, cimétidine) ont été suspendus du marché, car on a découvert en 2018 qu’ils avaient un composant potentiellement cancérigène ! “ 

Commentaire : comment se fait-il que le conseil scientifique n’ait pas tenu compte de ce que tout médecin digne de ce nom a appris sur le ban de la fac ? N’est-ce pas docteur Véran !!!!

Point 8, des vaccins ne bénéficiant que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.  

Autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Début de l’article publié sur le site web de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé.)

‘Les Autorisations de mises sur le marché (AMM) seront délivrées par la Commission Européenne à l’issue de cette évaluation et seront valables dans tous les États membres de l’UE. Dans le contexte de la pandémie et de l’urgence de santé publique, les AMM seront dites conditionnelles.

En effet, une AMM conditionnelle permet l’autorisation de médicaments qui répondent à un besoin médical non satisfait avant que des données à long terme sur l’efficacité et la sécurité ne soient disponibles. Cela est possible uniquement si les bénéfices de la disponibilité immédiate du médicament l’emportent sur le risque inhérent au fait que toutes les données ne sont pas encore disponibles. L’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients.

Une fois qu’une AMM conditionnelle a été accordée, les laboratoires doivent fournir les données complémentaires provenant d’études nouvelles ou en cours dans des délais fixés par l’EMA pour confirmer le rapport bénéfice/risque positif.

Une AMM conditionnelle est accordée pour un an et peut être renouvelée. Lorsque les autorités européennes ont reçu et évalué toutes les données complémentaires exigées, l’AMM conditionnelle peut être convertie en une AMM standard.’

Commentaire : actuellement on ignore donc bien les effets sur le long terme de la vaccination.

Point 9, malgré ce qui précède, pour Macron et son gouvernement, la vaccination est l’unique solution contre le covid, c’est clair, c’est net

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/04/24/la-vaccination-seule-solution-face-a-la-covid-19

Pour tous les vaccins, les fioles contenant les injections ne comportent aucune mention, à part le nom du produit. Pour Macron ce n’est pas un problème.

Mais pour ceux qui ont reçu, par exemple le vaccin Pfizer, vous a-t-on montré ceci ?

Commentaire : faisant abstraction du principe de précaution, contre tout bon sens, Macron et son gouvernement proposent quasiment une vaccination obligatoire avec des produits pour le moins incertains. Avec les points précédents nous avons déjà vu une cascade d’inepties qui, trop nombreuses, paraissent très suspectes, mais à ce stade, on est en droit de se demander si Macron, le bon samaritain qui ne vous veut que du bien, et son gouvernement à sa botte, ne nous mène pas en bateau.

L’ENVERS DU DÉCOR

Macron et son théâtre d’ombres

Deux interventions de Macron que vous n’avez pas vues dans les médias.

Point 10, discours de Macron en ouverture du sommet des banques publiques de développement finance en commun, novembre 2020.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/11/12/discours-du-president-emmanuel-macron-en-ouverture-du-sommet-des-banques-publiques-de-developpement-finance-en-commun.

Commentaire : tranquillement et en douce il nous vend à ses collègues de la finance, n’oublions pas qu’il a travaillé plusieurs années à la banque Rothchild.

Point 11, intervention de Macron avec Klaus Schwab au Forum virtuel de Davos janvier 2021.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/01/26/intervention-du-president-emmanuel-macron-dans-le-cadre-de-lagenda-de-davos-organise-par-le-world-economic-forum

Commentaire : incontestablement ils se croient tout permis et ils décident pour nous.

+ Point 12, le parrain et un de ses hommes de main.

https://by-jipp.blogspot.com/2021/09/vers-une-gouvernance-medico-genocidaire.html

No comment.

Et pour finir, Point 13, un drôle de paroissien.

Pour ceux qui ne la connaisse pas voici l’œuvre de Shepard Fairey (Obey) que Macron a derrière son bureau de l’Élysée, une Marianne où est inclus MANIFESTEMENT un pentagramme noir :

De plus près :

No comment

Conclusion

Face à cette monstruosité, la destruction de l’intérieur de la Démocratie et de la République, très bien explicitée par le dialogue aux enfers de Macron et de Schwab, les Gilets Jaunes de la Victoire et tous les citoyens conscients, se lèvent et s’unissent pour dénoncer le projet démoniaque des mondialistes. Ce projet à déjà reçu un coup en partie mortel par Vladimir Poutine,(([3] C’est pour cette raison que Biden l’a qualifié de tueur.)) grâce son intervention percutante qui à remis les choses en perspectives — faite après celle de Macron et de Schwab — lors de ce même Forum de Davos. La voici :
https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/

Remarquez le Haut symbolisme de l’architecture et de la décoration de la salle du Kremlin où Poutine à fait son discours.

Quoiqu’ils fassent à l’avenir, Macron, Véran et consort, cela ne les dédouaneront pas de leurs responsabilités passées.

Grâce à l’union des forces populaires conscientes, nous vaincrons.


* et consort… seront prochainement nommés.




Le triste scoop du jour : épuisé, l’avocat Fabrice Di Vizio renonce

Par Nicole Delépine

Un triste scoop :  l’avocat Fabrice di Vizio renonce en ce jour symbolique de l’obligation vaccinale des soignants qui va achever le système de santé, déjà en déficit chronique de personnel bien avant la crise du Covid.

https://youtu.be/7yZ2eE5CQfM
Sa vidéo du 14 Septembre sur VA+

Tout d’abord, saluons son énergie, son dévouement sans limites au cours de ces longs mois de mascarade et de désastre sanitaire.

On peut imaginer que sa décision de stopper tout combat n’arrive pas sans causes profondes qu’il explique largement dans cette belle et longue vidéo que je conseille de regarder plutôt que les habituels tweets infondés et commentaires inadaptés.

Nous extrayons quelques phrases de cet échange qui ne remplacera pas l’écoute complète de son interview, mais qui, j’espère, vous en donnera l’envie.

Père et chrétien, il se demande si on mesure ce qui se passe dans ce pays. Le pass sanitaire n’est pas sanitaire — personne ne s’en cache — et traduit les restrictions des libertés publiques au nom de l’État. Il nous explique qu’il est avocat et n’a pas vocation à faire de la politique ni à être chef de guerre. Ce combat coûte cher, entraîne beaucoup de lassitude. Il subit des attaques de toutes parts, et n’est pas préparé à cela.

On va entrer dans une lutte des classes

Il choisit de pointer du doigt qu’on a changé l’État de droit, en un mois. Enfants pénalisés, ils ne pourront plus se payer le pass sanitaire, ne pourront pas payer ces tests et donc se feront vacciner. Et on ne peut pas en parler, en débattre. On n’a plus le droit de réfléchir ni de parler. On vous pourrit la vie.

Des gens renoncent aux soins. On induit une société de discrimination, il n’en veut pas. Il ne veut pas de cette société où il se balade avec des gardes du corps et ses enfants aussi. C’est insupportable.

À propos du Pape : Le pape parle sans savoir. L’église a renoncé d’emblée.

L’église est responsable d’une force de désespérance, seul péché qui ne soit pas pardonné (Saint Paul).

À propos des délires de Tweeter et des journalistes, ça suffit

Une collaboratrice, à la suite d’une scène tellement violente à l’aéroport, s’est fait vacciner. Alors oui cela l’a mis en colère, non pas qu’elle se vaccine, mais qu’elle le fasse sous la contrainte et je l’ai dit.

Un tweet suffit à enflammer la toile et un journal reprend. Comment vivre dans ce monde-là ?

« Je ne suis pas préparé à cela. Je n’ai pas vocation à prendre des coups dans le g. toute la journée. Je refuse de vivre dans un monde de caricature ».

Oui, ils auront sa démission ou sa radiation évidemment, mais il va partir avant.

À la suite de l’épisode Buzyn

J’ai fait ce que j’avais à faire. Le parisien a dit que j’étais mis en examen par la cour de justice de la république ! ils disent n’importe quoi et ne vérifient rien. Ce sont les ministres qui peuvent être mis en examen par la CJR !   Grotesque. De fait, il précise n’avoir commis qu’un seul crime, celui de proposer aux citoyens de porter plainte.

Comment ressent-il les attaques de la presse : il n’est pas préparé à cette violence majeure de la société.

On l’accuse dans la presse ou sur tweeter d’être un escroc avec ses plaintes à 2 €.

Or il a créé une association qui assure des permanences juridiques gratuites pendant les manifestations et répond à 500 mails par jour, a recruté des juristes à temps plein et n’a pas voulu faire payer des cotisations. On a encaissé en tout à l’association douze mille euros, soit un mois de salaire des juristes de l’association qui a 4 mois d’existence.

« On me reproche d’avoir saisi le tribunal. Pour ne pas devenir fou, il faut partir ! »

Leur seule volonté est de nous faire devenir fou. Je suis rationnel et accepte l’idée du débat, mais ce débat est interdit. Les plaintes de l’association coûtaient deux euros. Certains docteurs ont touché 750 EUROS de l’heure pour injecter les vaccins. Une consultation de 4 min pour recueillir un « consentement éclairé, et dont personne ne parle sauf le canard enchaîné. La presse ne s’y intéresse pas.   Les PCR ne seront pas remboursés parce qu’inutiles et les plus pauvres ne pourront pas se les offrir et se feront vacciner.

En 2020, il a emprunté 100 000 EUROS et on le présente comme quelqu’un de vénal : incroyable !

Il est un homme de débat, mais on n’est plus dans la rhétorique, il a découvert ce qu’est la méchanceté.   Il ne revendique rien, « arrêtez de m’applaudir ». Cette communauté hyène se déchire. Vous n’avez plus le droit d’avoir une opinion : 

« je ne suis pas fait pour vivre dans un monde d’animaux ».

Pass sanitaire et contraintes à dimension variable selon les milieux

Il est contre le pass sanitaire et en tire toutes les conséquences, ne va plus au restaurant. Oui, il ne triche pas.

Vie de paria ? Une vie sociale limitée, cela ne le dérange pas, mais ce qui lui fait mal, c’est une société avec la vie déjà à deux vitesses, comme pendant le confinement et les restaurants clandestins. Il n’est pas un révolutionnaire, mais n’accepte pas que la vaccination donne un privilège aux vaccinés alors qu’elle ne protège ni de la contamination ni des formes graves.

La société parallèle existe déjà, société des pass et société des passe-droits

Tout cela est un écran de fumée et la propagande a marché qui finalement s’attaque à autre chose ; l’industrie impose des champs lexicaux qui sont les mêmes dans les pays et mêmes attitudes. Et personne ne s’intéresse à Mac Kinsey et à ses deux millions d’euros par mois payés par nos impôts pour nous imposer cette communication :  « on assiste à une « coupe de monde » de l’industrie pharmaceutique ».

Où est l’opposition politique ?

Il ne s’attendait pas à cela : le but est de faire taire ceux qui dérangent la bonne conscience du monde, des confrères ont écrit qu’il occupe l’espace public !!

De la mise en examen de Mme Buzyn on retient qu’il a porté les plaintes.   La presse s’enfonce et creuse sa propre tombe. Elle espère sa mort. Ses enfants sont sous protection. Sa maison est un bunker. Il dit être menacé et certains prétendent qu’il est mytho, mais les docteurs qui seraient menacés ne le seraient pas.
De l’autre côté colère froide calculée, en Italie ils ont réussi à faire taire un docteur qui avait trouvé un traitement efficace, il s’est suicidé.

État de la France : hypnose, hallucination collective

Attention réveiller les gens sous hypnose sera difficile et probablement violent

MISE EN EXAMEN D’AGNÈS BUZYN

Il craint qu’elle ne soit que le bouc émissaire. Le droit des citoyens est de porter plainte et celui d’Agnès Buzyn de se défendre.

La Cour a préalablement rejeté toutes les plaintes de mise en danger de la vie d’autrui et A.B. a cependant été mise en examen sous ce chef d’accusation. Pourquoi ? La Cour de cassation cassera, car ce chef d’accusation ne tient pas si, comme elle l’a dit il y a longtemps, elle a averti le gouvernement dès janvier.

Pourquoi ne s’est-elle pas présentée le 18 juillet ? Pourquoi E Philippe et Veran ne sont-ils pas là ? Est-elle le dindon de l’histoire ?

L’ÉTAT DE DROIT EST MORT :  on a confiné sous la pression on a changé de civilisation en un an

Est-ce que la vaccination ne mérite pas une enquête pénale et idem pour le pass et les liens entre mac Kinsey et E.Macron ?

Il faut des idiots utiles et Agnès Buzyn en est une. Son avenir politique est nul et donc on peut l’utiliser. Agnès B est la faible de service. Parallélisme avec les attaques contre di Vizio ? On a l’impression d’un vent de panique.

Théâtre ? il ne sait pas.

Les fameuses 14 000 plaintes

lui sont reprochées, mais pas celles de Bruno Gaccio qui a fait un site pour plaintes en début de crise. Le seul droit qui vous reste est pourtant d’exercer votre droit devant les juges.

Une VIOLENCE INTRINSÈQUE

présente des deux côtes, vaccinés ou non vaccinés. Qui est le gardien de la violence légitime ? La justice préfère les plaintes aux rixes. Les jeunes, les salariés vaccinés par extorsion d’un consentement non éclairé ont le ressentiment qu’on va payer cher !!

Les agences font de la politique et les politiques du sanitaire

Il explique qu’à la suite de l’affaire du sang contaminé, on a voulu créer des agences indépendantes de l’état. Mais de fait les politiques se défaussent sur les agences, mais réunissent des conseils de défense secrets.

On avait oublié que si les agences sont indépendantes, il est plus facile pour l’industrie pharmaceutique de les infiltrer. L’industrie a infiltré les agences.

On a dit que la nicotine protège du covid : tous ceux qui ont dit cela sont tous en rapport avec l’industrie du tabac. Un ancien président de l’EMA a dit qu’il est génial de vivre en Europe, car le politique ne contrôle pas l’EMA. L’EMA est financée par les labos qui fabriquent les molécules.

L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE A PRIS LE POUVOIR : propagande monstrueuse !

Le rôle de mac Kinsey consiste à organiser les campagnes de communication par des messages simplistes en boucle. Le pass sanitaire, idée géniale, ne freine pas l’épidémie, mais sert à vous contraindre !

Le pass ne sert à rien puisque le vaccin ne protège pas de la contamination, mais le green pass en Italie : une dose suffit

Il n’y a plus rien à faire selon maître Di Vizio. L’avocat ne voit plus comment avancer avec ses armes juridiques d’où son retrait.

Il évoque les conséquences avec quelques exemples

Dans l’Hôpital de Montbéliard, on supprime des opérations ; des sociétés d’ambulance n’ont plus de personnel, même le Pr Juvin provax ne peut pas se passer des personnels réfractaires

LE BUT : satisfaire une partie du peuple

Intérêt économique : on a écoulé des vaccins ; le cours de l’action a explosé

Et si Karine Lacombe dit « qu’ils changent de métier », eh bien elle ira faire la toilette aux personnes âgées, ira prendre en charge les malades, faire l’anesthésie. Que va-t-il se passer ?

Quand on va se réveiller, cela va faire mal…

Fabrice Di Vizio va partir de France et de sa profession à très court terme, car il refuse de faire une profession réglementée comme les médecins et avocats et appartenir à un ordre qui a trop démérité

Il est à bout de nerfs, dans cette société violente, ne veut pas exposer sa famille à cela.

L’urgence est à former des gens comme on ne peut plus soigner, ni défendre  

On a laissé les gens chez eux sans soins : c’est la guerre ! Le taux de décès à domicile a explosé, comment certains médecins ont-ils pu accepter de refuser de recevoir un patient ? Ne serait-ce que pour le rassurer au minimum.

Les avocats ont laissé des gens en prison sans juge.

URGENCE À OUVRIR DES ÉCOLES, FORMER NOS ENFANTS À L’ESPRIT CRITIQUE

Alexis de Tocqueville a dit « l’état c’est la dictature du bonheur » : nous vivons dans un monde qui fait peur, mais même cela n’a plus le droit de le dire.

Beaucoup de soignants ont l’illusion de vivre dans un monde d’avant, mais quand on se soumet dans un monde qui n’a pas de sens… La Vaccination extorquée, c’est un viol. Il ne se soumet pas et refuse d’être violé par qui que ce soit.

Son crédo : La vérité rend libre. C’est aussi son Engagement de chrétien et là, on est dans un mensonge éhonté.

« Pourquoi une personne comme moi sans aucune aspiration politique fait aussi peur ? L’avenir le dira »

AINSI VOICI DES EXTRAITS DE SA VIDÉO.

Merci à Maître Di Vizio et à son équipe. Il a beaucoup donné.

Et aussi à Éric Zemmour autre combattant forcé de prendre du recul, car tel est le bon plaisir du monarque qui nous gouverne et de tous ses suppôts complices et soumis

Et à tous ceux qu’on tente de faire taire et dont la liberté d’expression est menacée.




Témoignages exclusifs sur les refus de soin par l’administration

Par Nicole Delépine

SOINS ANNULÉS PAR L’ADMINISTRATION POUR CAUSE DE PASSE DIT SANITAIRE

De nombreuses familles racontent des refus de soins à l’entrée de la clinique ou de l’hôpital public gardés par des vigiles. Pourtant ces derniers n’ont pas le droit de voir les papiers d’identité des demandeurs et donc la vérification du passe sanitaire n’est qu’une lutte d’influence, une manipulation.

Certains plus solides que d’autres arrivent avec un avocat ou un huissier, refusent de partir et demandent
 qu’un directeur ou en tous cas un responsable les rejoigne et montre les décrets ou circulaires qui justifieraient de refuser à Madame X. de venir faire sa chimiothérapie prévue (donc non urgente vue par un énarque) ou de venir accoucher sur rendezvous prévu… Tant pis pour les pertes des eaux précoces, le bébé attendra ou verra le jour dans la voiture du père ou de l’ambulancier.

Ceux venus accompagnés ont toujours eu gain de cause, car bien malin celui qui trouve le document administratif clair, à l’heure où la loi du 7 août n’aurait pas été suivie du décret la rendant utilisable. Les avis sont partagés sur ce point, mais j’imagine qu’un DRH ou un directeur de clinique aura du mal à affirmer ce qui est légal ou non et encore plus à le prouver…

D’autres, repoussés, contiennent leur colère et décident finalement de mettre en cause ces petits kapos qui pensent pouvoir imposer leur propre loi au nom de décisions indignes mettant en jeu la vie des patients parfois, leur confort et la qualité des soins toujours.

Tel ce monsieur qui nous fait partager sa lettre à la direction de la polyclinique du nord de la France où il devait conduire sa vieille maman, à 70 km de chez lui.

« Objet : À transmettre à la directrice Mme N pour mise en danger d’autrui pour rupture de continuité des soins, nous avons dû annuler par force nos rendez en ORL

Madame la Directrice N,

Aujourd’hui lundi 13/09/2021 nous avions rendez-vous, pour ma maman en ORL avec le DR G à 16 h 40, pour des suivis médicaux, j’ai téléphoné ce matin au secrétariat pour avertir que nous annulions nos rendez-vous, pour les raisons suivantes imposées par votre clinique.

Nous refusons le passe sanitaire illégal et discriminant et reposant sur des PCR qui donnent des données fausses.

Je rappelle que selon son fabricant, il n’est pas fait pour détecter les virus, mais détourné de sa fonction officielle et rien ne prouve scientifiquement que le faux virus covid 19 synthétique est encore là.

Les vigiles que vous avez mis aux entrées de votre établissement pour contrôler le passe sanitaire ne sont pas habilités à contrôler nos identités, et que seule la police judiciaire est habilitée à contrôler nos papiers et le passe sanitaire.

En conséquence, ma mère est privée de soins et j’ai l’intention de vous poursuivre pour mise en danger d’autrui par manque de soins, de suivi médical et de traitements, dans un but de nous contraindre à nous faire injecter des injections géniques, poison expérimental, avec des risques non négligeables de décès (près de 25 000 en UE) ou d’accidents de gravité variable (deux millions environ en UE dont la moitié reconnue comme graves par l’agence du médicament elle-même).

J’ai contacté mon avocat pour les démarches à suivre contre vous, l’ARS, et éventuellement les vigiles complices de ce détournement de la loi.

Sans modification des conditions anormales d’accueil, nous serons dans l’obligation d’annuler les RV suivants cardiologiques et pneumologiques.

Dans l’espoir que vous ferez votre possible pour améliorer l’accueil des patients, recevez mes salutations.

Un ancien employé des hôpitaux en tant que ASH.

  1. Cette plainte sera adressée au Procureur de la République à visée pénale avec des preuves, vidéos et documents à l’appui.

Il est bien triste que les patients soient conduits à en arriver là et que tout dialogue social soit interdit avec application des lois sans interprétation intelligente.

La vie d’exclu des non-vaccinés

D’autres témoignages du même genre nous parviennent et les plus inquiets sont évidemment les personnes déjà touchées dans leur passé par un cancer guéri, en rémission ou encore en traitement.

Et ils ont raison d’être inquiets, car s’ils refusent la voie de la tyrannie et de son passe sanitaire pour consulter ou pour recevoir des visites en cas d’hospitalisation ou même pendant l’accouchement (!), ils sont gravement discriminés et tous les défenseurs de l’égalité entre les humains auraient dû déjà se lever bruyamment…

L’enfer d’angoisse des vaccinés, l’épée de Damoclès

Ou bien ils acceptent cette injection génique et toutes ses inconnues, à court terme entre effets nocifs graves (voire décès) ou désagréables, et pire les effets inconnus à long terme sur leur fertilité, leurs défenses immunitaires et le risque de modifier le génome humain, tous risques possibles non calculés.

Les essais toujours en cours ne seront achevés au minimum dans un an pour les effets à court terme. Pour l’évaluation des effets à long terme, il faudra attendre et encore attendre.

Un antécédent sordide que racontent bien « les filles du Distilbène » exemplaire

Rappelez-vous que nous en sommes à la quatrième génération d’effets délétères pour le Distilbène, pilule toute bête donnée aux femmes enceintes pour limiter nausées et vomissements. Et après les effets sur la fertilité de la deuxième génération, les malformations utérines, etc., on découvre des troubles psychiques chez les petits-enfants des parturientes nauséeuses de 1948…

Imaginez-vous tout cela et le combat des « filles » et petites-filles de ces malheureuses ?

(([1] Le DES est l’abréviation du diéthylstilbestrol, un œstrogène de synthèse commercialisé dans les années 1940 aux États-Unis et en Europe sous plusieurs noms différents : par exemple Distilbène pour le laboratoire Ucepha (plus tard racheté par UCB Pharma) ou Stilbeostrol pour la firme Borne (aujourd’hui Novartis). À l’époque, ce médicament était prescrit pour prévenir les fausses couches chez les femmes confrontées à ce risque.

Pendant des années, le DES a fait figure de « pilule miracle » jusqu’à ce qu’au début des années 1970 aux États-Unis, quelques cas de cancers du vagin chez de jeunes filles attirent l’attention. Les spécialistes américains ont alors fait le lien entre ces cancers et une exposition de ces jeunes filles in utero au DES délivré à leurs mères enceintes.

En 1971, les autorités américaines ont recommandé aux médecins d’arrêter de prescrire du DES aux femmes enceintes. Une recommandation qui ne sera appliquée qu’en 1997 en France.

L’alerte venue des États-Unis était sérieuse, mais un certain nombre de médecins français n’y ont pas cru. Ils minimisaient le problème en disant qu’en France, les prescriptions étaient différentes et sans risque.

Cf. la croix 9 AVRIL 2009 la douloureuse histoire des filles du distilbène.

))

Comme nous dit un de ces professeurs omniprésents sur les plateaux, après trois mois, on ne voit plus d’effets secondaires nouveaux d’un vaccin qui n’est qu’un médicament… Il a oublié — entre autres — les narcolepsies du vaccin H1N1 (pourtant stoppé après 53 morts) qui handicapent à vie 2 500 personnes en Europe dont 800 en France (demande d’indemnisation toujours en cours pour une majorité des victimes(([2] Plusieurs ont néanmoins reçu des indemnisations atteignant plus de 600 000 euros et le tribunal administratif de Rennes a dédommagé la famille à hauteur de 1,39 million d’euros, au regard notamment des « conséquences métaboliques et cardiovasculaires tout cela à nos frais par l’Omniam.))) apparus plus de six mois plus tard…

Vaccin anticovid et cancer : une enquête à mener

Et parmi les vaccinés, au-delà des effets secondaires déjà amplement décrits en particulier sur les sites des agences comme l’EMA Eudravigilance pour l’Europe (UE), on voit apparaître d’autres « coïncidences » chez les cancéreux et anciens cancéreux guéris de longue date.

Et les effets du vax sur les pathologies antérieures ou dormantes ?

Par exemple ce généraliste, qui m’envoie un mail pour me demander ce que dit la littérature jusque-là bien silencieuse à propos des cancers et du vax, est très inquiet.

On le comprend, car chaque patient qui pose la question dans son centre s’entend répondre qu’évidemment, il y a aucun lien… Donc encore moins d’études sérieuses sur tous leurs patients vaccinés ou non.

Il raconte ses inquiétudes sur quelques patients récents. Cette jeune femme jeune encore de 45 ans chez laquelle on découvre un cancer du sein deux mois après son vaccin Pfizer et pourtant très « sérieuse » : elle ne manquait pas une mammographie et la dernière datait de trois mois… Coïncidence possible bien sûr, ces cancers de l’intervalle entre deux mammos sont connus.

Cet homme valide, âgé de 75 ans en pleine forme sportif. Mince musclé. Pas l’obèse caricatural des comorbidités devenues célèbres avec le covid qui culpabilisent le malade et exonèrent le médecin du décès sous ventilateur.

Non, un bel homme encore profitant de la vie de retraité bien méritée, comme on dit. Quelle idée saugrenue l’a-t-il pris de se faire injecter le fameux vax en février 21 ? La pression bienveillante de ses enfants ?

Qui feraient bien de s’occuper de leur santé et qui trop jeunes n’ont pas connu les affres de la désinformation habituelle en temps de guerre (même celle d’Algérie pour cette génération, ou du Vietnam, ou d’Irak avec les armes de destruction massive et les frappes chirurgicales sans victimes collatérales, et aussi les faux charniers de Timisoara).

Peut-être certains « vieux » ont-ils pu échapper, sauf en EHPAD où la piqûre à risque est le prix à payer pour ne pas être enfermé dans sa chambre, seul, même si PCR négatif. Punition du kapo obéissant aux ordres venus d’en haut, même si on ne sait pas pourquoi…

Mais les enfants insistent trop souvent pour leurs parents, leur fratrie, etc.

Pour jouer à la roulette russe, on rigole plus tous ensemble, ou bien est-ce l’espoir de l’héritage ?

Ne soyons pas méchants, ou la peur ou la jalousie de ne pas avoir de retraite, la guerre des générations voulue et réussie par le pouvoir ?

En tous cas, le nombre de transactions viagères est en hausse notable. Tout d’abord sous l’effet d’une offre plus abondante. La population est vieillissante. En France, un peu moins de 5 millions de personnes auraient dû avoir plus de 85 ans en 2050, plus de trois fois le chiffre actuel.

Or selon l’Insee, près des trois quarts des seniors sont propriétaires de leur résidence principale. Ajoutez à cela la baisse du pouvoir d’achat des retraites, et tous les ingrédients sont réunis pour stimuler l’offre en viager. La Covid-19 n’a fait qu’accélérer la tendance.

Bon nombre de seniors ont préféré continuer à vivre chez eux plutôt que de déménager dans un EHPAD où ils auraient été emprisonnés et menacés d’une injection de Rivotril à la moindre toux… Ils ont donc eu recours au viager pour rester chez eux et assurer leur train de vie. De l’autre, on peut suspecter que certains acquéreurs ont misé sur une hausse soudaine de la mortalité chez les personnes âgées. Belle époque…

Bref ce monsieur sportif de 75 ans, dès son retour de l’injection en février 2021 se plaint de sensation de malaise avec AVC probable : le médecin dit que ça ne peut pas être le vaccin. ÉVIDEMMENT ; il reçoit Saint Doliprane et… vieillit à toute allure.

« Il faisait 60 ans, il en fait 90 ».

Malgré tout, incroyable de la part du médecin, du patient et de la famille il reçoit le 2e vaccin et en quelques jours on constate une aggravation neurologique et psychique. Finalement il aura une IRM sur la pression de ses enfants qui découvre un glioblastome IV, 5 cm… Hasard bien sûr. Phase terminale. Personne ne peut exclure que cette tumeur se trouvait là, mais ne se manifeste-t-elle pas à l’occasion d’un déséquilibre induit par l’injection ?

C’est l’histoire récurrente d’une petite tumeur silencieuse qui brutalement explose. Nous en voudra-t-on d’évoquer des modifications immunitaires décisives à l’occasion du vaccin ? Complotiste ? En tous cas d’autres confrères signalent l’aggravation brutale d’une pathologie connue antérieurement à l’occasion du vax. Sclérose en plaques, leucémie, etc.

Ce généraliste a rencontré aussi dans les semaines récentes une patiente de 84 ans qu’il connaissait, guérie d’un cancer du corps de l’utérus sans aucune extension. Elle est obligée de se faire vacciner pour pouvoir être opérée en février 2021. QUI A INVENTÉ CETTE OBLIGATION INSENSÉE ? QUEL TEXTE ?  QUELLE RESPONSABILITÉ MÉDICOLÉGALE ?

Aucune démonstration scientifique ! Il n’y eu que le Pr Raoult à devoir démontrer l’absence de toxicité de la chloroquine sur le marché depuis 70 ans.

De fait pour une pathologie habituellement curable, la voici décédée en août 2021. Coïncidence ?

Enfin notre médecin inquiet se pose des questions sur la flambée rapide d’un homme stabilisé d’un cancer abdominal et qui a évolué très vite après la vaccination de son épouse. Lui a-t-elle cédé quelques protéines Spike ?

Des questions sans réponses, mais auxquelles on aurait dû répondre AVANT la généralisation du vaccin et AVANT toute obligation vaccinale.

Comme aurait dit Raoult, il n’est pas interdit d’être intelligent et surtout il ne devrait pas être interdit de se poser des questions ! Eh bien si ! Et c’est peut-être cela que voulait nous dire le patron de l’IHU en début de crise covid. Il avait compris que le pire fléau ne serait pas ce petit virus sensible aux traitements précoces, mais bien la perversité des gouvernants, et la crédulité d’une trop grande partie de la population à l’intoxication médiatique mondiale.

Bravo aux marcheurs du samedi qui tentent de faire cesser cette guerre !





Est-ce la fin de la médecine libre ?

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

[Également transmis par Christine Côte]

Par Jérôme (Fondation Hippocrate)

– Vous n’avez jamais tué quelqu’un, docteur ?
– Sans ordonnance, jamais !
Cet extrait d’un sketch de Raymond Devos m’a longtemps fait sourire.

Aujourd’hui, c’est la médecine intégrative que l’on tue. Et cela se fait par décret. Le gouvernement a pris la peine d’établir un arrêt de mort officiel.

L’apparence du droit et de la démocratie est respectée. Toutefois, le résultat est le même : à partir du 15 septembre 2021, des milliers de soignants et de médecins en France se trouvent bannis du système de santé.

Il leur est imposé une obligation vaccinale contre la covid 19 sans laquelle ils ne peuvent plus exercer. S’ils sont hospitaliers du public ou du privé, ils seront suspendus le temps de l’état d’urgence et de l’obligation vaccinale. Ils ne seront pas payés. (1)

S’ils pratiquent leur discipline en libéral en tant que médecin, ostéopathe ou kiné, leur cabinet peut être fermé à tout moment s’ils ne montrent pas la preuve de leur “passe sanitaire”.

Or, comme les tests PCR vont devenir payants et qu’ils doivent en faire un tous les trois jours, c’est une obligation vaccinale déguisée.

10% d’irréductibles !

Au mois d’août dernier, 9 médecins généralistes sur 10 auraient été vaccinés contre la covid 19. Il resterait donc 10% d’irréductibles. (2)

Cela pourrait représenter 10 000 médecins sur les un peu plus de 100 000 médecins généralistes qui exercent en France. (3)

Au niveau des hôpitaux, le chiffre serait de 13% sur les 1,1 millions de soignants. (4)

Cela fait tout de même plus de 100 000 soignants !

En tout, 300 000 thérapeutes et soignants pourraient refuser d’appliquer l’obligation vaccinale. (5)

L’obligation vaccinale imposée aux médecins et aux soignants est donc une mesure qui va toucher des millions de Français. Pour l’instant, ils ne se doutent de rien. La mesure a été peu commentée dans les médias. Elle est presque passée inaperçue. Pourtant, ces conséquences à court et à long termes devraient être considérables.

Cette décision pourrait aboutir à un véritable désastre sanitaire. Explications.

Le cadre juridique

Comment, un gouvernement, peut-il, en toute légalité, licencier 10% des effectifs d’un secteur économique entier ?

Cette décision a été prise au début du mois d’août, en quelques jours. Elle a été actée par un décret du 1er ministre du 7 août 2021. (1)

Il faut comprendre que de telles décisions sont possibles sans discussion parce que nous sommes en état d’urgence sanitaire. (6)

Cet état de droit d’exception a été institué une première fois par décret le 17 octobre 2020 à minuit. Il a été prolongé :

  • par une loi du 14 novembre 2020 jusqu’au 16 février 2021.
    par une loi du 15 février 2021 jusqu’au 1er juin.
    par une loi du du 31 mai 2021 jusqu’au 30 septembre 2021.
    par une loi du 5 août 2021 jusqu’au 15 novembre 2021.
    Nul doute que le 14 novembre 2021, nos députés voteront sagement une nouvelle loi pour étendre encore et toujours l’état d’urgence sanitaire…

En tout cas, ce cadre juridique permet au gouvernement d’agir vite et sans débat. En effet, lorsque les mesures ne sont pas discutées au Parlement, elles sont moins reprises par les médias. Cela fait moins de polémiques.

Un décret du 7 août 2021 a instauré le fameux “passe sanitaire”. (1)

Depuis le 15 août, ce document ou “QR code” est exigé de tous les majeurs pour accéder aux :

  • restaurants, bars et musées ;
    hôpitaux, Ephad et maisons de retraite ;
    transports publics longue distance (train, avion) mais pas aux métros ni aux bus urbains ;
    centres commerciaux supérieurs à 20 000 m2.
    événements de plus de 50 personnes.
    Il est exigible pour tous les majeurs. Il le sera pour les adolescents de plus de 12 ans à partir du 30 septembre 2021.

Celui qui ne présente pas son “passe sanitaire” s’expose à une amende de 135 euros. Les commerçants qui ne contrôlent pas les “passes sanitaires” risquent, eux, une amende de 1000 euros. (1)

Enfin, les soignants hospitaliers ou libéraux ont l’obligation de se vacciner avant le 15 septembre. S’ils ont déjà reçu une dose de vaccin, ils ont jusqu’au 15 octobre pour faire la deuxième.

Le refus des soignants libres et ses conséquences

Comprenez bien la situation. Les soignants fonctionnaires ne seront pas payés. Mais ils n’auront pas le droit non plus d’avoir une autre activité salariée en raison de leur statut, sauf illégalement. Ils risquent donc d’être à la rue.

Les salariés du privé pourront essayer de trouver un emploi ailleurs.

Les médecins ou les libéraux, habitués à une gestion plus souple de leur activité, la mettront entre parenthèses en espérant tenir sur leurs réserves ou prendront leur retraite pour ceux qui le peuvent.

Dans ces conditions, certains se feront vacciner et continueront à travailler avec beaucoup d’amertume. Vous serez soignés par des personnes qui détesteront les autorités, la société et peut-être même leurs patients.

D’autres partiront à l’étranger ou changeront de voie.

Personne ne sait aujourd’hui combien de thérapeutes, d’infirmiers, d’ostéopathes, etc. vont cesser de travailler.

Même s’il n’y en avait “que” 100 000, c’est énorme pour un système de santé exsangue où le “turn over” et les “burn out” sont déjà très élevés. (7,8)

Le départ de nombreux médecins libéraux va accentuer encore les déserts médicaux. De nombreux patients ne pourront plus se soigner

Pourquoi refusent-ils ?

Vous me direz mais pourquoi ces médecins et ces soignants refusent-ils l’obligation vaccinale contre la covid 19 ?

Pourquoi sont-ils prêts à tout perdre pour ne pas se soumettre aux obligations du gouvernement?

Il y a trois raisons essentielles à cela :

1/ Ils ne veulent pas des effets secondaires des vaccins. La covid 19 tue certaines personnes, c’est vrai. Néanmoins, les vaccins provoquent de nombreux effets secondaires et peuvent tuer également. (9)

Plusieurs milliers de personnes pourraient avoir trouvé la mort à cause du vaccin en Europe, même si ces chiffres font débat parce qu’il n’est pas toujours simple d’établir le lien entre une vaccination et un décès. (9)

C’est moins que la covid 19 mais ce n’est pas un détail non plus.

Par exemple, beaucoup de jeunes infirmières redoutent les effets secondaires douloureux des vaccins. Elles risquent de voir leurs cycles menstruels très perturbés, elles ne savent pas si le vaccin n’impacte pas leur fertilité alors qu’elles savent que la covid 19 ne représente pas un danger pour elles. (10)

Par ailleurs, elles font extrêmement attention aux gestes barrières et sont très prudentes avec leurs patients. Pour elles, le bénéfice du vaccin est vraiment discutable.

2/ Ils savent que les vaccins ne jouent pas ou peu sur l’épidémie. Ces soignants ont en tête la situation sanitaire dans des pays comme Israël ou l’Islande. Ces pays sont ultra vaccinés mais connaissent toujours des vagues épidémiques. Les contaminations y sont à la hausse ! (11,12)

Les vaccinés y sont autant hospitalisés que les non vaccinés et le virus tue autant les uns que les autres. Il est possible que chez les personnes à risque, ayant des comorbidités, le vaccin permet d’éviter les formes graves de la covid 19. Mais pour des soignants de moins de 60 ans en bonne santé, le risque mortel est faible.

3/ Ils savent que la covid 19 fait peu de victimes. Le taux de létalité du SARS- CoV-2 est faible. (13) La moyenne d’âge des morts est au-dessus de 80 ans. (14) La très grande majorité des morts avaient des comorbidités. On dit qu’ils sont morts de la covid 19 mais on aurait pu les compter dans les victimes du cancer, du diabète de type II, de l’obésité ou simplement de la grande vieillesse.

La vaccination obligatoire n’est pas une fatalité !

Les soignants dont nous parlons sont-ils égoïstes ? Prennent-ils le risque de contaminer leurs patients ?

Ce n’est pas le cas.

Ces soignants comme la majorité des thérapeutes ont choisi ce métier par vocation, par amour de leur prochain. C’est le désir d’aider les autres qui les a mis là où ils sont.

Il faut comprendre qu’ils refusent de se soumettre à une obligation vaccinale qui crée une situation absurde du point de vue sanitaire.

En effet, les vaccins Janssen et AstraZeneca ne fonctionnent pas ou peu. (15,16) Ils n’empêchent pas la transmissibilité du virus. Or ces vaccins ont beaucoup été utilisés pour les personnels hospitaliers. Les soignants concernés ne sont pas protégés et sont des vecteurs possibles de la maladie sans en avoir nécessairement conscience.

À l’inverse, ceux qui ne sont pas vaccinés le savent. Ils font donc très attention. Ils seraient disposés à faire deux tests PCR par semaine s’il le fallait, si ces derniers restaient gratuits.

En clair, il était possible de construire une politique sanitaire prudente fondée sur la confiance et le dialogue avec les patients. Ce n’est pas le choix qui a été fait. Le gouvernement passe en force.

Qui sont ces soignants ?

Parmi les médecins et les thérapeutes qui refusent la vaccination, beaucoup pratiquent des médecines intégratives.

Ils pratiquent l’homéopathie, l’acupuncture, la nutrition, l’hypnose, l’ostéopathie, toutes ces disciplines douces qui s’appuient sur le terrain du patient autant que sur le remède pour l’aider à guérir.

Pour eux, c’est la relation entre le patient et le médecin qui compte avant tout.

Ils refusent d’être les exécutants d’un système médico-technocratique qui ne fait plus qu’appliquer des protocoles de santé validés par l’industrie pharmaceutique et semble ne plus s’occuper des patients.

La perte pour les patients sera donc énorme à la fois au niveau du nombre de médecins mais aussi de la pluralité de l’offre médicale.

Il était déjà difficile de trouver un nutritionniste ou un phytothérapeute. Cela deviendra quasi impossible. Vous n’aurez plus que des médecins prescripteurs de paracétamol – potentiellement dangereux pour la Covid 19 (17) -, d’antibiotiques et de statines.

C’est la grande victoire de la médecine chimique et systématique !

Et c’est de fait, la mort programmée des médecines intégratives, faute de praticiens…

Un désastre sanitaire

Cette victoire toutefois sera de courte durée.

L’innovation dans la médecine vient de ceux qui pensent librement. Toute la recherche actuelle sur le microbiote est venue de gastro-entérologues et nutritionnistes courageux qui ont cherché à comprendre le rôle du monde bactérien dans la santé humaine.

Cela a permis de découvrir de nouvelles pathologies : l’intestin poreux, le SIBO ou l’intestin qui fermente, etc. (18)

Cela a surtout permis de développer de nouveaux traitements et thérapies pour de très nombreuses maladies : digestives mais aussi neurologiques et psychiques. L’importance du lien entre le cerveau et l’intestin n’est plus à démontrer !

La médecine y perd donc et les patients aussi.

Ces médecines intégratives permettent d’agir au niveau préventif. Elles proposent des solutions efficaces pour traiter le stress, les troubles divers, les douleurs multiples…

D’une manière ou d’une autre, donc, compte tenu de leur efficacité, ces médecins reviendront. Mais que de souffrances endurées ! Que de temps perdu !

Enfin, ce passe sanitaire, de manière plus générale, coûte cher aux patients.

Il y a le défaut de soignants, la complexité administrative, les oublis de passe sanitaire, les fraudes, la perte de confiance dans le système médical et la science plus généralement…

Comment chiffrer tout cela ?

Jusqu’où iront les injonctions sanitaires ?

Quand s’arrêtera la chasse aux sorcières contre les médecins alternatifs ?

Combien d’injections vaccinales faudra-t-il pour calmer la machine gouvernementale ?

Voilà les questions que se posent ces soignants libres, dont certains ont tout perdu depuis le 15 septembre 2021.

Jérôme
Responsable communication
Fondation Hippocrate

Références

  1. https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15084
  2. https://www.lesechos.fr/economie-france/social/covid-la-vaccination-des-soignants-a-fait-un-bond-en-quelques-semaines-1339505
  3. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  4. https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/13-des-soignants-non-vaccines-la-federation-hospitaliere-de-france-relativise-les-chiffres-a71b3bf2-10a2-11ec-9117-940091b907ce
  5. https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/les-infos-de-6h-obligation-vaccinale-des-soignants-c-est-abject-reagit-une-infirmiere-7900072410
  6. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  7. https://www.actusoins.com/344397/turnover-et-absenteisme-a-lhopital-une-hausse-sensible-et-constante.html
  8. https://www.caducee.net/actualite-medicale/15406/burn-out-dans-la-sante-98-des-soignants-reconnaissent-avoir-deja-ressenti-les-symptomes-de-l-epuisement-professionnel.html
  9. https://www.precisionvaccinations.com/european-agency-confirms-covid-19-vaccine-fatalities
  10. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/08/06/covid-19-vaccins-et-perturbation-des-regles-des-signaux-et-beaucoup-d-incertitudes_6090781_4355770.html
  11. https://www.la-croix.com/Monde/Record-contaminations-Israel-pays-continue-miser-vaccin-2021-09-02-1201173431
  12. https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-08-17/pourquoi-les-contaminations-au-covid-19-sont-en-hausse-en-islande-lun-des-pays-les-plus-vaccines-558ccfd9-594f-4f37-9919-c62a80a7a5e8
  13. https://fr.statista.com/themes/6050/le-coronavirus-covid-19/
  14. https://www.estrepublicain.fr/sante/2021/04/18/qui-sont-les-100-000-morts-francais-du-covid-19
  15. https://fr.sott.net/article/37419-Conclusion-d-un-rapport-du-centre-francais-d-evaluation-des-medicaments-la-vaccination-avec-les-produits-Pfizer-Moderna-AstraZeneca-et-Janssen-doit-etre-interrompue
  16. https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-contre-le-covid-19-sont-ils-tous-efficaces-contre-le-variant-delta-on-vous-repond-fc7b1bd8-d8e6-11eb-9333-fd7799748e3d
  17. https://www.20minutes.fr/sante/2900083-20201103-coronavirus-ibuprofene-reellement-dangereux-face-covid-19
  18. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sibo-symptomes-traitements-cette-infection



Où en sont les effets indésirables des « vax » anti-Covid ? MàJ

[Source : Centre for Research on Globalization]

[Mise à jour : ajout d’autres témoignages après l’article]

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

Par Brian Shilhavy

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires consécutifs aux injections de COVID signalés sur la base de données de l’Union Européenne sur les effets indésirables des médicaments.

La base de données de l’Union Européenne des déclarations d’effets indésirables des médicaments s’appelle EudraVigilance, et elle fait état de 24 526 décès et de 2 317 495 effets indésirables suite à des injections anti COVID-19.

Un abonné européen de Health Impact News nous a rappelé que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays européens faisant partie de l’Union européenne (UE), qui compte 27 pays. Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, soit environ 50. (Il existe quelques divergences d’opinion quant aux pays qui font techniquement partie de l’Europe).

Ainsi, aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel de personnes décédées ou atteintes d’effets secondaires à la suite des injections de COVID-19 en Europe serait bien plus élevé que celui que nous indiquons ici.

La base de données EudraVigilance indique que jusqu’au 11 septembre 2021, 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires ont été signalés suite à l’injection de quatre vaccins expérimentaux anti-COVID-19 :

COVID-19 MRNA VACCINE PFIZER-BIONTECH
LE VACCIN COVID-19 MRNA MODERNA (CX-024414)
VACCIN COVID-19 ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)
VACCIN COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S)

Sur le total des effets secondaires enregistrés, près de la moitié (1 126 869) sont des effets graves.

« La gravité fournit des informations sur l’effet indésirable suspecté ; il peut être classé comme « grave » s’il correspond à un événement médical qui entraîne la mort, met en danger la vie du patient, nécessite une hospitalisation, entraîne une autre affection médicalement importante ou la prolongation d’une hospitalisation existante, entraîne un handicap ou une incapacité persistante ou importante, ou constitue une anomalie congénitale/défaut de naissance. »

Un abonné de Health Impact News en Europe a regroupé les déclarations pour chacune des quatre injections anti-COVID-19 que nous incluons ici. C’est un travail considérable que d’établir un tableau de chaque réaction avec les effets indésirables et les décès, car il n’y a pas d’endroit sur le système EudraVigilance que nous avons trouvé pour établir un tableau de tous les résultats.

Depuis que nous avons commencé à publier ces données, d’autres personnes en Europe ont également calculé les chiffres et confirmé les totaux*.

[ Définition : syndrome médiastinal : envahissement de la plèvre par du pus, à la suite d’un abcès profond du poumon ou des ganglions lymphatiques médiastinaux ou de l’entrée de la poitrine (Gardin,Guide vétér.,1944, p.112). ]

Voici le résumé des données jusqu’au 11 septembre 2021

Total des réactions pour le vaccin

ARNm Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

11 711 décès et 980 474 effets secondaires jusqu’au 11/09/2021

26 6341 Troubles du sang et du système lymphatique dont 156 décès
26 940 Troubles cardiaques dont 1 745 décès
253 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 21 décès
13 005 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 9 décès
728 Troubles endocriniens dont 5 décès
15 314 Troubles oculaires dont 28 décès
87 239 Troubles gastro-intestinaux dont 489 décès
256 117 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 3 330 décès
1 098 Troubles hépato-biliaires dont 55 décès
10 351 Troubles du système immunitaire dont 64 décès
32 834 Infections et infestations dont 1 141 décès
12 714 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 179 décès
24 765 Investigations dont 368 décès
7 178 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 210 décès
130 077 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 149 décès
757 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 67 décès
173 079 Troubles du système nerveux dont 1.278 décès
1 211 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 36 décès
168 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
17 756 Troubles psychiatriques dont 156 décès
3 348 Troubles rénaux et urinaires dont 198 décès
19 084 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
43 232 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 1 376 décès
47 012 Troubles de la peau et du tissu sous-cutané dont 105 décès
1 805 Circonstances sociales dont 14 décès
887 Interventions chirurgicales et médicales dont 31 décès
26 888 Troubles vasculaires dont 497 décès

Total des réactions pour le vaccin ARNm mRNA-1273 (CX-024414) de Moderna

6 358 décès et 281 505 effets secondaires au 11/09/2021

113 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 2 décès
3 466 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
221 Troubles endocriniens dont 2 décès
4 302 Troubles oculaires dont 18 décès
24 595 Troubles gastro-intestinaux dont 237 décès
75 804 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 2 461 décès
458 Troubles hépato-biliaires dont 24 décès
2 485 Troubles du système immunitaire dont 11 décès
8 436 Infections et infestations dont 416 décès
6 013 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 121 décès
5 460 Investigations dont 120 décès
2 693 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 145 décès
35 728 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 129 décès
333 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 37 décès
49 722 Troubles du système nerveux dont 650 décès
538 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 6 décès
59 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
5 316 Troubles psychiatriques dont 110 décès
1 632 Troubles rénaux et urinaires dont 107 décès
3 558 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
12 150 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 614 décès
15 102 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 57 décès
1 188 Circonstances sociales dont 25 décès
905 Interventions chirurgicales et médicales dont 69 décès
7 399 Troubles vasculaires dont 246 décès

Total des réactions pour le vaccin AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/ AstraZeneca

5,254 décès et 980,909 effets secondaires au 11/09/2021

113 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 2 décès
3 466 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
221 Troubles endocriniens dont 2 décès
4 302 Troubles oculaires dont 18 décès
24 595 Troubles gastro-intestinaux dont 237 décès
75 804 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 2 461 décès
458 Troubles hépato-biliaires dont 24 décès
2 485 Troubles du système immunitaire dont 11 décès
8 436 Infections et infestations dont 416 décès
6 013 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 121 décès
5 460 Investigations dont 120 décès
2 693 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 145 décès
35 728 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 129 décès
333 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 37 décès
49 722 Troubles du système nerveux dont 650 décès
538 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 6 décès
59 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
5 316 Troubles psychiatriques dont 110 décès
1 632 Troubles rénaux et urinaires dont 107 décès
3 558 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
12 150 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 614 décès
15 102 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 57 décès
1 188 Circonstances sociales dont 25 décès
905 Interventions chirurgicales et médicales dont 69 décès
7 399 Troubles vasculaires dont 246 décès

Total des réactions pour le vaccin COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S) de Johnson & Johnson

1 203 décès et 74 607 effets secondaires au 11/09/2021

690 Troubles du sang et du système lymphatique dont 31 décès
1 201 Troubles cardiaques dont 120 décès
25 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques
560 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
42 Troubles endocriniens dont 1 décès
1 006 Troubles oculaires dont 5 décès
6 822 Troubles gastro-intestinaux dont 56 décès
19 539 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 303 décès
96 Troubles hépato-biliaires dont 9 décès
302 Troubles du système immunitaire dont 7 décès
1 679 Infections et infestations dont 66 décès
694 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 16 décès
3 861 Investigations dont 72 décès
431 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 26 décès
11 861 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 30 décès
31 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 2 décès
15 493 Troubles du système nerveux dont 142 décès
26 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 1 décès
20 Problèmes liés aux produits
988 Troubles psychiatriques dont 11 décès
280 Troubles rénaux et urinaires dont 11 décès
863 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 4 décès
2 629 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 136 décès
2 296 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 5 décès
212 Circonstances sociales dont 4 décès
546 Interventions chirurgicales et médicales dont 38 décès
2.414 Troubles vasculaires dont 106 décès

Témoignages

https://twitter.com/i/status/1438579909924954113

https://twitter.com/i/status/1437789784068534287

Royaume-Uni : proposition de loi pour l’indemnisation des effets secondaires vaccinaux (francesoir.fr) 



https://twitter.com/BBR_06/status/1438621506217693184?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1438621506217693184%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.medias-presse.info%2Fpetite-compilation-des-stars-mediatiques-decedees-des-injections-anti-covid%2F146711%2F
[Source : medias-presse.info]
https://twitter.com/GaumontRene/status/1438623061721460742?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1438623061721460742%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.medias-presse.info%2Fpetite-compilation-des-stars-mediatiques-decedees-des-injections-anti-covid%2F146711%2F
[Source : medias-presse.info]

Révolte contre l’obligation vaccinale

« Mais quelle démocratie fait ça ? » : des soignants manifestent contre l’obligation vaccinale – Aphadolie




Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la plandémie Covid. MàJ

[Source : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Gérard Delépine

[Mise à jour : ajout des diagrammes.]

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret(([1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.)) par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College,(([2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20)) cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER,(([3] Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on
Swedish healthcare capacity 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf)) a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

À ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études(([4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »)) rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland(([5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936)) de l’étude néo- zélandaise,(([6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.)) de l’étude anglaise,(([7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020
https://arxiv.org/abs/2005.02090)) des analyses indiennes(([8] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464))(([9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260)), des études allemandes,(([10] Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.
doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.))(([11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.org
DOI: 10.18335/region.v7i2.324l)) croate,(([12] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » 
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011)) des études des pays d’Europe occidentale[(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;)) et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés(([14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563))(([15] Joseph Stroberg
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28
https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/
[Les pages anglaises ont été supprimées du site il y plusieurs mois. Voici un lien fonctionnel pour la version française :
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains | (libreinfo.world)])) dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis.(([16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature,(([17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview)) dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique(([18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).)) prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres.(([19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »))

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.(([20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.))

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux(([21] Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020)) mais par des médecins qui traitent des malades !

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.





Pourquoi Macron a d’ores et déjà perdu la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le 12 juillet, à la faveur d’un improbable été pluvieux, Emmanuel Macron déclenchait la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants. L’histoire dira un jour quels ont été les tenants et aboutissants exacts de ce fabuleux cadeau aux laboratoires pharmaceutiques, renforcé par un passe sanitaire qui a tonné comme une mise sous contrainte de toute une population pour recevoir aveuglément l’injonction d’un produit sous autorisation conditionnelle. Mais enfin, c’est démangeant d’établir une corrélation entre ce coup de pouce aux profits et les immenses besoins de financement de la campagne électorale qui s’ouvre, même si aujourd’hui aucun élément factuel sérieux ne permet d’étayer ce soupçon. Les communiqués officiels sur l’issue de cette bataille sont évidemment triomphalistes sous la plume du gouvernement. En réalité, Macron a perdu la première manche, et il le sait.

Et voilà, nous sommes le 15 septembre, et le temps d’un premier bilan pour la bataille de l’obligation vaccinale lancée par Emmanuel Macron vient. Beaucoup de victimes de ce diktat sont encore dans un état de sidération et font régulièrement part de leur angoisse ou de leur conviction d’une résistance sans espoir face à l’évidente offensive internationale, commencée par la France, en faveur d’une vaccination. Nous avons commencé à expliquer (et c’est à suivre), les dessous de cette campagne, portée par de très puissants intérêts industriels qui trouvent dans la Commission Européenne une écoute très poreuse. Ces intérêts sont à la fois ceux des laboratoires pharmaceutiques, mais aussi ceux de l’industrie désormais spécialisée dans l’identité numérique

Deux mois après le lancement de cette campagne éclair par la caste mondialisée au pouvoir, quelle tendance globale pouvons-nous observer ? Je voudrais ici prendre le temps d’expliquer pour quelle raison, de mon point de vue, l’actualité doit nous rassurer sur l’avenir. 

La croyance naïve d’une victoire éclair de la caste

Nous l’avons exposé récemment, la caste vit dans une bulle dont la réalité n’est pas la même que la nôtre. Dans cette bulle-là, les Français sont des “veaux”, une sorte d’emballage de Babybel qu’on peut tourner dans les doigts pour lui donner la forme qu’on veut. Pourvu que les Français puissent prendre un pot en terrasse, tout leur irait, et toutes les libertés pourraient être abolies. Dans ce monde-là, les signaux faibles d’une opinion en colère ne comptent pas, et les craquements qui s’entendent de partout dans la structure architectonique de la maison France n’ont aucune importance. 

Forte de ces croyances naïves sur l’état d’une société, la caste a la conviction (comme l’état-major allemand en 1941 lorsqu’il a lancé l’opération Barbarossa) que l’obligation vaccinale serait une promenade de santé et que tous les Français finiraient bien, tôt ou tard, par s’y conformer. Certes, il y aurait des manifestations, des gens pas contents, mais, globalement, tout finirait par suivre et rentrer dans l’ordre. 

Les adversaires du passe sanitaire (ou en tout cas beaucoup d’entre eux) ont, d’une certaine façon, nourri une croyance assez proche. Dans leur esprit, la bataille durerait deux mois au maximum, et battre le pavé jusque-là chaque samedi devait suffire à faire reculer le gouvernement. D’où l’effet de désespoir qui tétanise de nombreux partisans des libertés, convaincus que, dans une démocratie libérale, un gouvernement ne peut pas se comporter comme ça. 

Et d’où leur sentiment d’avoir déjà perdu la guerre et de ne rien pouvoir face au coup de force contre la démocratie mené par la caste mondialisée

De notre point de vue, la réalité est très différente. Nous essayons de l’argumenter et de le documenter depuis plusieurs mois : la caste mondialisée s’est organisée depuis quelques années pour changer le cours de l’histoire en imposant unilatéralement un nouveau modèle de société où l’humanité sera dégradée au profit de la “nature”. Je renvoie sur ce point à mon livre sur le Great Reset. La bataille qui a commencé le 12 juillet n’est donc qu’un épisode dans une longue guerre qu’il va nous falloir mener avec nos armes face à un ennemi moins nombreux, mais beaucoup mieux équipé, et beaucoup plus structuré. 

Il n’y aura par conséquent aucune victoire-éclair, ni d’un coté ni de l’autre. Il y aura un long combat. Il faut s’y préparer. 

Le Great Reset et la dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé et désincarné

Poussée en cela par la presse subventionnée, l’opinion française a essentiellement réduit la question du vaccin et du passe sanitaire à un comportement de mauvais coucheurs “antivax” qui feraient preuve d’irresponsabilité en menaçant la vie des vaccinés. Cette fixation sur une logique de bouc-émissaire a permis d’occulter l’essentiel de la visée politique portée par le passe sanitaire : la mise en place d’un crédit social, où les citoyens les plus obéissants sont récompensés (le droit d’aller au restaurant, au concert, etc.), et où les dissidents sont dégradés (obstacles multiples pour être soignés, sociabilisés, etc.). Ce faisant, le gouvernement est parvenu à faire croire aux amis du passe sanitaire que devoir décliner son identité pour prendre un café était une récompense réservée aux bons élèves, alors qu’il s’agit d’une ahurissante bascule dans la surveillance de masse. 

Dans la durée, l’enjeu mondialisé du passe sanitaire est bien la projection de l’Occident dans une logique de crédit social à la chinoise, et dans une numérisation de l’identité couplée au contact tracking et à la surveillance généralisée. L’Etat veut désormais tout savoir de vous, de vos amis, de vos lieux préférés, de votre emploi du temps, sans que vous n’en preniez ombrage. Votre servitude doit devenir un motif de fierté. 

L’instrumentalisation de l’épidémie pour convaincre une bonne moitié de la société française que le passe sanitaire est un outil de liberté constitue, de ce point de vue et de la part d’Emmanuel Macron, un coup de maître. Le spectacle des bien pensants au sens large (on y mettra pêle-mêle Pascal Praud, Michel Onfray, et une quantité d’autres qui se laissent distraire par l’écran de fumée du vaccin) convaincus d’être très intelligents en plaidant en faveur de leur mise sous surveillance est de ce point de vue jubilatoire et d’une ironie absolue. 

Mais le programme du Great Reset ne s’arrête pas là. Nous avons déjà insisté sur l’importance du Big Government et sur le remplacement des Etats-Nations par des ensembles multilatéraux calqués sur l’Union Européenne. Mais la principale phase du Great Reset, son stade ultime, sera la révolution “écologique” où l’humanisme ne sera qu’un vieux souvenir, où l’humanité sera considérée comme un stade primitif dans un nouvel ordre naturel où la technologie permettra le dépassement de l’homme.

Autrement dit, le vieux noyau occidental qui conduit le monde depuis des siècles sera définitivement dilué, après des décennies de sape menée par George Soros et ses sbires de Black Lives Matter et autres mouvements racialistes. 

Grâce à Macron, le réveil de la volonté individuelle

Après des décennies de consumérisme aveugle, où le confort valait religion dans une sorte d’insouciance éternelle savamment cultivée comme l’a très bien montré Philippe Muray (aujourd’hui lâchement trahi par certains ou certaines de ses disciples), le réveil est douloureux. Bercés par la propagande unioniste selon laquelle l’Europe garantissait la paix et la victoire ultime des bisounours, beaucoup découvrent que la démocratie peut finir brutalement et se transformer en dystopie, lorsque sa conduite est abandonnée à une caste de petits marquis soudoyés par quelques grands possédants. Et beaucoup comprennent que la démocratie est comme une orchidée : elle est fragile, au fond, et demande une attention de tous les instants, quand on croyait qu’elle était immortelle. 

De ce point de vue, le discours du 12 juillet par Emmanuel Macron a constitué un premier et formidable révélateur. Si une majorité de Français l’a avalé dans le contentement, ou parfois dans la peur et le tremblement, il a pour un grand nombre de Français constitué un signal majeur. L’heure du réveil a sonné, particulièrement pour une masse colossale d’agents hospitaliers, d’aide-soignant(e)s, d’infirmiers ou d’infirmières qui ont dû choisir entre conserver leur emploi ou subir une injection dont ils ou elles ne voulaient pas. 

Pour tous ceux-là, le discours de Macron a constitué une ordalie, comme l’épreuve du feu dans le droit germanique au Moyen-Âge. Certains ont parfois, la mort dans l’âme, et pour des raisons que l’on peut comprendre, choisi d’être vaccinés. Mais leur amertume durera, et la caste le paiera cher tôt ou tard. D’autres, souvent après des nuits d’angoisse et d’incertitudes, après des tourments qu’ils n’imaginaient pas, ont laissé leur volonté de liberté s’affirmer malgré la pression collective. Ils assument d’être mis au ban de la société pour rester eux-mêmes.

Cette force-là, ce n’est pas en temps de paix, en temps de bonheur, qu’on la découvre en soi. Et il faut ici remercier Macron d’avoir permis à des millions de Français de découvrir qu’ils pouvaient aller loin, très loin, dans les ressources intérieures, dans la souffrance,  pour affirmer leur volonté et pour résister. 

Comment le Great Reset réveille la liberté

Ce 15 septembre au soir, nous subirons très probablement la propagande officielle, délivrée industriellement par des medias subventionnés (et détenus par les marionnettistes qui meuvent la classe politique), selon laquelle la mise en place de l’obligation vaccinale constitue une grande victoire des colonnes macroniennes. La réalité profonde est toute autre. 

D’abord parce que la saignée imposée dans les hôpitaux et dans la médecine de ville est terrible, même si elle sera de-ci de-là longue à montrer ses effets. Partout, des soignants ont démissionné, parfois par centaines (on parle de 300 démissions au CHU de Strasbourg), avant d’être suspendus. Les arrêts-maladie ont explosé. Les suspensions vont couronner cette situation de fragilité dangereuse. Partout, l’obligation vaccinale a clivé et traumatisé des équipes déjà fortement secouées par des mois de COVID. Et que dire des résidences pour personnes âgées, qui vivent un vrai désastre dont les familles ne tarderont pas à voir les effets ?

Ceux qui ont déclenché cette bataille méprisent le bien commun et prendront leur mépris en boomerang dans les mois qui viennent, lorsque les vaccinés seront à la recherche d’un médecin, d’un service hospitalier, capable de leur injecter leur quatrième dose, ou capable de soigner en urgence la thrombose créée par le vaccin, et qu’ils trouveront devant eux un système sanitaire dévasté par la folie macronienne. 

Surtout, l’électrochoc du 12 juillet a produit un formidable réveil de la volonté  – et la volonté est ce qui a toujours sauvé et sauvera à nouveau l’Occident. 

Organiser la sécession pour se protéger de la caste

Beaucoup (qui ignoraient que l’Histoire est tragique) me répondront que la meilleure volonté du monde ne peut rien contre un rouleau compresseur aussi puissant que le projet de Great Reset qui se met en place. C’est assez vrai, mais nous disposons en réalité d’une arme extrêmement puissante et destructrice pour contrer les visées de la caste. Il s’agit de la sécession, forme suprême de la désobéissance civile qu’il convient désormais de décliner sous toutes ses formes. 

Je vous propose que nous mettions les jours à venir au service de cette déclinaison, que nous pourrions partager collectivement. L’urgence est en réalité de procéder à une sécession psychique. Je vous expliquerai demain comment la pratiquer. 




Covid-19 : l’OMS ne compte plus sur le vaccin pour mettre fin à la pandémie

[Source : Boursorama]

[Photo : Hans Kluge à Moscou, en Russie, le 23 septembre 2020. ( SPUTNIK / ALEXANDER ASTAFYEV )]

« L’objectif essentiel de la vaccination est avant tout d’empêcher les formes graves de la maladie et la mortalité » a reconnu vendredi 10 septembre le directeur de l’OMS en Europe, Hans Kluge. Selon lui, l’émergence de variants plus contagieux a remis en question la possibilité de contrôler l’épidémie grâce au vaccin.

Il faut « anticiper pour adapter nos stratégies de vaccination », notamment sur la question des doses supplémentaires, selon lui, alors qu’il est probable que le covid-19 devienne une maladie saisonnière et ne puisse être éradiquée.

En mai, le responsable sanitaire onusien avait affirmé que « la pandémie sera(it) terminée lorsque nous aurons atteint une couverture vaccinale minimale de 70% » de la population mondiale. Interrogé sur le fait de savoir si cet objectif valait toujours ou s’il devait être relevé, Hans Kluge a souligné que les nouveaux variants plus contagieux, principalement Delta, avaient changé la donne.

Une immunité collective illusoire ?

À l’époque, même si le variant détecté initialement en Inde sévissait déjà, « il n’y avait pas une telle émergence des variants plus transmissible et plus viraux », a-t-il fait valoir. « Donc je crois que cela nous amène au point où l’objectif essentiel de la vaccination est avant tout d’empêcher les formes graves de la maladie et la mortalité » , a souligné Hans Kluge.

« Si on considère que le Covid va continuer à muter et rester avec nous , comme la grippe, alors nous devons anticiper comment adapter progressivement notre stratégie de vaccination à la transmission endémique, et acquérir un savoir très précieux sur l’impact des doses supplémentaires », a-t-il ajouté.

Selon des épidémiologistes, il semble désormais illusoire d’atteindre l’immunité collective uniquement grâce aux vaccins , mais ceux-ci restent tout de même cruciaux pour circonscrire la pandémie de Covid-19. Un niveau très élevé de vaccination reste aussi indispensable « pour réduire la pression sur nos systèmes de santé qui ont désespérément besoin de traiter les autres maladies que le Covid », a souligné Hans Kluge vendredi.

Désormais dominant, le variant Delta est jugé 60% plus transmissible que le précédent (Alpha) et deux fois plus que le virus historique. Or, plus un virus est contagieux, plus élevé est le seuil nécessaire à l’immunité collective, c’est-à-dire le seuil de personnes immunisées au-delà duquel l’épidémie cesse. Celle ci peut s’obtenir via les vaccins ou l’infection naturelle.




Éviction de Zemmour : Patrick Cohen est lui (parmi d’autres) « sorti du cadre » depuis longtemps

Par Lucien Samir Oulahbib

Sur quoi, tout d’abord, s’appuient tous nos prétentieux prétendants concernant maints sujets, dont C.19 ? Sur le même type d’arguments qu’ils avancent pour dénigrer les traitements précoces en disant que même s’ils marchent ici et là ils ne sont pas nécessaires.

Ainsi un placebo ou une aspirine suffirait pour « soigner » 98 % des gens touchés. Les médecins de plateau s’en délectent : c’est « bénin » pour la plupart de la population, dixit également Google(([1] Cf. ce lien (voir sous la carte mondiale des cas Covid-19) )) en se référant à l’OMS :

« La majorité des personnes atteintes de la Covid-19 ‎ne ressentiront que des symptômes bénins ou ‎modérés et guériront sans traitement particulier ».

Et comme les trois milliards de personnes qui se sont faites injectées vont bien (balayant d’un revers de main les effets secondaires et les morts de cette expérimentation mondiale), tout ce branle-bas de combat concernerait en fait seulement ces fameux « 2 % » qu’il faudrait à tout prix protéger en amont en empêchant de les infecter ou en les injectant massivement, alors que la contamination ne veut pas dire maladie et que la prise de traitements précoces montre empiriquement que celle-ci les protège bien plus que l’injection. D’innombrables exemples le prouvent, mais évidemment placés sous l’aune de la concomitance, comme ces EHPAD et monastères plus touchés mortellement depuis qu’ils ont fait l’injection qu’avant…

De plus, on peut fort bien renverser cet argument qui relativise la portée des traitements précoces. Pour la plupart des personnes en bonne santé, l’injection d’une partie du virus est sans doute immédiatement détruite par leur système immunitaire. Elle ne leur sert donc à rien (sauf à montrer patte blanche), mais s’avère nuisible à certains, au vu des effets secondaires et des morts, en particulier pour ceux qui, bien que jeunes, ont des malformations génétiques et/ou des comorbidités, du moins lorsqu’ils ont un système immunitaire déficient.

Quelle est alors la réaction d’ensemble d’un Patrick Cohen, déjà lorsqu’il s’en était pris à Raoult ? Précisément, le fait que ce dernier souligne ce caractère « bénin » (OMS, supra) nécessitant plutôt de tester, soigner, isoler les personnes malades et ce de façon précoce (afin d’éviter les séquelles) tout en avançant que les jeunes ont en effet bien plus de risques de mourir d’un accident de la route, y compris de « trottinette électrique » que de cette maladie « bénigne ». Ensuite, lorsque ce même Patrick Cohen (suffisant à souhait) critique dernièrement le dénommé Véran, c’est bien moins pour souligner les déficiences, de plus en plus criantes, de leur « thérapie génique » (exclusive) que de lui signifier robotiquement, à l’instar d’un responsable australien ou néo-zélandais (ou d’un démocrate US, ou d’un sénateur PS français) la « stagnation » du taux d’injection (car il l’avait félicité au contraire du niveau tout de même atteint au préalable). Il présuppose ainsi que ce serait là le facteur clé. D’où la hargne, rentrée, contre les supposés « antivax » qui seraient, eux, les principaux responsables de la persistance virale, bien sûr, ce qui reste évidemment faux au regard des chiffres réels (et où en sont les « clusters » ?). Sans parler de ce qui se passe à l’étranger (qui sont les « non-vaccinés en réa » en réalité ? Nul ne le sait hormis les effets d’opérette habituels : ici un jeune, là une femme enceinte, sans que l’on en sache plus sur leur cas, toujours singulier, mais, en Israël, les choses ne se précisent-elles pas un peu plus, oui ou non ?…).

S’agissant maintenant des autres sujets sur lesquels un Patrick Cohen (parmi mille [animateurs], tels Ruquier, Apathie, Salamé…) « sort du cadre » (expression qu’il a utilisée contre Zemmour) depuis longtemps, il s’agit (tout à l’avenant) de ces problèmes de taille qui sont systématiquement minorés ou mis sur le tapis, comme l’impossibilité de lire uniquement de manière démographique les entrées et sorties migratoires, les financements illégaux de lieux de culte islamique sous couvert de lieux culturels, le tout afin de continuer pour des fins clientélistes à placer sous cloche spirituelle des populations qui ont précisément fui les contrées régies par l’islam. Sans parler du caractère délétère de l’enseignement de ce dernier et du silence abyssal quant à sa propre colonisation en Afrique (du Nord), en Asie, en Inde, toutes choses que Zemmour critique et dénonce en tant qu’éditorialiste, une profession reconnue comme faisant partie du corps journalistique, semble-t-il, et que Patrick Cohen ne se prive pas, lui, d’utiliser pour brocarder un Trump, une Le Pen, etc.,etc. Un temps de parole qu’il faudrait décompter aussi, ou additionner, c’est selon (Zemmour n’étant toujours pas candidat, pourquoi une telle attaque préventive qui s’avère inconstitutionnelle ? Vous avez quatre heures [pour répondre]…).

Est-ce que pour autant et ce faisant Zemmour « sort du cadre républicain » ? Ce n’est pas à un Patrick Cohen de le juger, même s’il peut le dire, ce qui n’est pas la même chose. En tout cas Patrick Cohen sort du cadre français, lui, et en particulier du cadre voltairien. Ne remontons pas plus haut. L’Histoire n’est, semble-t-il, pas son fort.

Aussi, au final (et pour la route), quand une radio comme Europe 1 glougloute parce que Google aurait « démonétisé » FranceSoir, ce « site de désinformation » écrit-elle, on comprend pourquoi Patrick Cohen l’aura quitté lors de cette rentrée : il craignait qu’elle n’aille pas assez loin dans l’épuration, la désinfection des idées « nauséabondes ». C’est chose faite. Patrick Cohen peut donc y revenir tranquillement (en attendant à nouveau F.I, qui sait ?…).

Reste aussi la nécessité de brûler le(s) dernier(s) livre(s) de Zemmour en place de Grève. Les soumis Canadiens ont montré la voie.




Appel aux parents européens : exigez le retrait de l’autorisation des vaccins Covid de Pfizer pour les enfants de 12 ans et plus

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

Date limite : 15 septembre 2021
Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’UE du vaccin Pfizer/BioNtech pour les enfants âgés de 12 ans et plus. 
Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne 
Coûts : aucuns frais pour la demande
Détails de l’affaire et formulaire de demande : voir à la fin de cet article.

En Italie, à partir du 6 août, les enfants de plus de 12 ans devront être munis d’un « laissez-passer vert » ou d’un certificat Covid pour accéder aux restaurants, aux installations sportives et culturelles couvertes et même pour fréquenter l’école dès la rentrée.

La présente demande d’annulation découle du fait qu’en pratique, cette mesure introduit de facto une obligation vaccinale  pour les enfants et constitue un danger imminent pour leur santé.  Le recours est dirigé contre la Commission européenne, car elle a délivré une autorisation de mise sur le marché conditionnelle centralisée pour le vaccin, qui ne nécessite pas de décision supplémentaire de la part des États membres (en l’occurrence le gouvernement italien, mais c’est la même chose pour les autres états).

Les enfants en bonne santé ont un risque ZÉRO d’infection par le virus Sars-Cov-2.  Par conséquent, il ne peut y avoir de rapport risque-bénéfice positif pour les enfants, en particulier lorsqu’il s’agit d’injecter une substance basée sur une thérapie génique expérimentale

Les preuves scientifiques citées dans la plainte montrent également que :

Le Covid peut être traité
La transmission asymptomatique n’est pas réelle
Le vaccin Covid n’a aucune efficacité
Il n’y a pas de dosage spécifique du vaccin pour les enfants ; ils auront une injection plus puissante
La coagulation/coagulation sanguine liée à l’utilisation de la protéine spike a été observée comme un effet indésirable dangereux.
Contrairement aux affirmations de Pfizer, la substance injectée ne reste pas dans le bras mais se répand dans tout le corps et s’accumule dans des zones fragiles comme le cerveau, le cœur, les reins et les organes génitaux.

Renate Holzeisen a intenté cette action au nom de familles italiennes qui s’opposent aux autorisations de mise sur le marché qui ont été délivrées dans l’UE pour les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech). Bien que les plaignants dans cette affaire soient italiens, tout Européen ayant des enfants peut participer à cette action en justice en tant qu’intervenant. En termes juridiques, un intervenant est une personne qui n’est pas impliqué directement dans le procès en cours mais qui s’y associe en se joignant au plaignant ou en s’unissant au défendeur pour résister aux revendications du plaignant.

La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

Les personnes qui souhaitent devenir intervenants doivent fournir une copie de leur pièce d’identité et une preuve d’inscription dans leur profession à l’avocat coordinateur de leur pays – pour la France vous pouvez contacter la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations  (cliquer ici pour l’adresse concernant cette action) – qui remplira les documents fournis par Maître Holzeisen et enregistrera leur participation.

Pour plus d’informations, veuillez lire l’article ci-dessous. Les formulaires de demande sont disponibles en plusieurs langues sous l’article. Si vous avez besoin des documents dans une langue qui ne figure pas dans la liste, veuillez nous contacter.

La date limite de participation est le 15 septembre 2021.

Vous pouvez lire le texte intégral de l’action en justice ici et regarder une interview de l’avocate Renate Holzeisen ici.

Les parents participants peuvent demander à un avocat européen inscrit au Tribunal e-curia d’introduire une demande d’intervention au titre de l’article 142 du règlement de procédure du Tribunal.

Si la demande est acceptée, le Tribunal admettra le demandeur en tant qu’intervenant, ce qui lui permettra de soutenir l’action et d’assister à toute audience.

La demande doit être déposée en allemand – la langue du recours – dans les six semaines suivant la publication du recours au Journal officiel de l’Union européenne. L’avocat Holzeisen a préparé un projet de demande en allemand mais tous les documents sont également disponibles en plusieurs langues.   Les intervenants potentiels doivent remplir le formulaire et joindre une preuve de leur capacité professionnelle à un avocat national qui examinera les documents et déposera ensuite une demande en leur nom auprès du tribunal de l’UE. Les avocats peuvent demander une inscription temporaire au barreau européen, auquel cas ils auront un accès de 48h pour déposer les documents.

Les intervenants et les avocats ayant besoin d’une assistance supplémentaire peuvent contacter le bureau de l’avocat Holzeisen par courriel.

Historique des actions précédentes : Quatre actions, une pour chaque vaccin autorisé, ont déjà été intentées par l’avocate italienne Renate Holzeisen pour défendre les droits des travailleurs de la santé du nord de l’Italie.

Les travailleurs de la santé italiens ont demandé l’aide de l’avocate Holzeisen après que leur gouvernement leur a demandé d’accepter les vaccins expérimentaux du candidat Covid ou de quitter leur emploi. L’avocat Holzeisen conteste les licences accordées par la Commission européenne dans sa décision d’exécution du 21 décembre 2020 pour l’utilisation de ces produits au sein de l’UE.


DISPONIBLE pour le TÉLÉCHARGEMENT (cliquez sur la langue choisie pour télécharger le PDF) :

Recours en annulation pour le vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech) :
ANGLAIS / ALLEMAND / FRANÇAIS




Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

13 septembre 2021 / Commentaires ferméssur Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

Le 15 septembre prochain, le Dr Amine UMLIL, responsable de l’unité de pharmacovigilance du centre hospitalier (CH) de Cholet et plusieurs professionnels de la santé et autres professionnels risquent la suspension de leurs fonctions avec une interruption immédiate de leur rémunération, et sans possibilité d’exercer une autre activité rémunérée.

La lettre ouverte ci-dessous constitue le fondement d’une pétition nationale de soutien à l’excellent travail de vigilance pharmacologique du Dr Amine UMLIL, et de protestation contre la menace de suspension de ses fonctions. Elle vient en complément d’un dépôt d’une requête en Référé liberté au tribunal administratif de Nantes demandant notamment la suspension en urgence de l’obligation vaccinale (contre la Covid-19), avec une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) à titre subsidiaire et une question préjudicielle à titre encore plus subsidiaire. Elle fait également suite à la suppression abusive et scandaleuse de la page web du Centre Territorial d’Information et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP), jusqu’alors incluse dans le site du centre hospitalier de Cholet. Cet événement grave de par sa symbolique constitue le point d’orgue d’une campagne de harcèlement et d’intimidation contre la personne et le travail légitime de veille et d’information accompli par le Dr UMLIL au sein du CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Par ailleurs, cette lettre ponctue elle-même une série de lettres ouvertes du Dr UMLIL, qui pour la grande majorité sont restées sans réponses :

–    la première était adressée au Ministre des solidarités et de la santé, M. Olivier VERAN, et l’interpellait sur l’illégalité du projet de vaccination obligatoire, lettre restée sans réponse ;

–    la seconde invitait son contradicteur, le Dr Jean-Michel DEBARRE, à un débat télévisé public à une heure de grande écoute. Cette seconde est également restée sans réponse et n’a même pas, du reste, été relayée par le Courrier de l’Ouest, comme s’il y avait une volonté manifeste d’enterrer à tout prix le débat scientifique et de faire taire les voix dissidentes courageuses. En tout état de cause, il est certain qu‘un refus de débattre publiquement peut être interprété, comme l’écrit le Dr UMLIL, “comme une reconnaissance du bien-fondé de l’intégralité de [m]ses réflexions publiées” ;

–    la troisième lettre ouverte adressée à la direction du centre hospitalier de Cholet marquait une étape supplémentaire dans le combat du Dr UMLIL pour faire triompher la science, la raison et le droit contre la pseudoscience, la folie, les mensonges, les conflits d’intérêt et collusions entre les groupes pharmaceutiques, le monde politique et les organismes de santé publique. Il y révélait les jacasseries, puérilités et mesquineries d’un directeur d’hôpital davantage effrayé par les insinuations de “complotisme” d’un critique anonyme sur Twitter que par les avertissements d’un scientifique professionnel qualifié au sujet de l’illégalité de l’obligation vaccinale et des effets indésirables potentiels des vaccins. Il y révélait de savoureux détails sur des pratiques inimaginables dans un établissement hospitalier qui datent d’une époque révolue et montrent les dessous de la “science” officielle.

Dans cette lettre ouverte, nous présentons l’activité de vigilance pharmacologique et argumentons sur un de ses apports déterminants lorsqu’elle est exercée librement, c’est-à-dire dans un climat de confiance réciproque avec le système. Nous mettons ensuite en avant la contribution particulière du CTIAP avec à sa tête le serviteur exceptionnel de son métier en la personne du Dr Amine UMLIL. Les obstacles rencontrés lors de ce service de vigilance sont énumérés et étayés de façon à permettre au lecteur d’évaluer le niveau de déstabilisation et de sabotage subis. Finalement, un appel légitime au soutien du Dr Amine UMLIL est lancé, manifesté par la signature d’une pétition.

Sur la nature de la pharmacovigilance et ses apports (en exercice libre) : cas de la Covid-19

Le travail de vigilance pharmacologique est essentiel pour un fonctionnement sain du système pharmaceutique. D’après la définition indiquée sur le site du ministère français des solidarités et de la santé, il “a pour objet la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effet indésirable résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré. Elle constitue une garantie qui s’exerce tout au long de la vie d’un médicament”.

Cela est simple à comprendre. Par exemple, lorsque m’approchant d’une destination identifiée, je n’en sais pas le chemin sur le dernier kilomètre, je peux me faire aider par un passant. Si ce dernier m’indique la direction, je me mets ensuite en marche dans cette direction suivant un ordre du cerveau à mes muscles ; mais ce sont mes yeux ou à défaut un bâton qui m’aident à détecter et contourner les obstacles plus ou moins dangereux pendant ce parcours. De façon analogue, les terminaisons nerveuses de la peau vous permettent d’éviter de vous brûler au troisième degré, même si prendre et transporter la tasse de thé chaud sont bien les gestes que vous aviez décidé de faire. Les fonctions de contrôle et de régulation des systèmes, parties intégrantes même de l’organisme, sont donc nécessaires et même vitales. Le système pharmaceutique ne fait pas exception.

L’un des impacts majeurs de ce travail de pharmacovigilance est de générer la confiance des usagers dans le bon fonctionnement de l’écosystème pharmaceutique. Les tensions actuelles qui traversent notre nation illustrent intensément les menaces graves que fait peser l’étouffement ou le dysfonctionnement de tout mécanisme régulateur – générateur de confiance – sur l’équilibre sociétal. Voici un échange entre le Courrier de l’Ouest et le directeur du CH Cholet, datant de décembre 2020, rapporté par le Dr UMLIL et concernant la 7e réunion d’information indépendante destinée au public. Elle portait justement sur le sujet des vaccins contre la Covid-19. Cet échange expose la pertinence de l’activité du CTIAP comme instrument de vulgarisation dans le contexte actuel :

« Bonjour,

Nous avons pris connaissance de l’organisation d’une soirée d’information du CTIAP jeudi prochain autour des questions liées à la vaccination contre le Covid-19. Sujet qui intéresse évidemment nos lecteurs. Dans le doute, faute de communication officielle de l’hôpital, peut-on savoir si la direction de l’établissement cautionne sa tenue ? (…) »

Courrier de l’Ouest.

“À cette question du journal, vous le directeur avez répondu ceci :

« Monsieur [un journaliste du Courrier de l’Ouest],

La vaccination est un enjeu majeur pour limiter, voire supprimer l’impact de la COVID. Le Centre Hospitalier de CHOLET souhaite la réussite des opérations de vaccination qui seront menées dès que les autorisations sanitaires indépendantes en France et en Europe auront validé ces vaccins. La réussite de ces opérations suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui, passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue. (…) »

Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier (CH) de Cholet.

C’est certainement sur la confiance (légitime) en une information claire et transparente provenant de la pharmacovigilance que veut s’appuyer notre premier ministre, M. Jean CASTEX [JC, ci-dessous] lorsqu’il l’évoque dans cette interview :

– JC : Ce vaccin présente une certaine efficacité notamment pour les formes les plus graves de la maladie. Donc, nous avons un système qui s’appelle la pharmacovigilance où on suit cela de très près ; de façon extrêmement rigoureuse. Je peux vous assurer que si j’avais le moindre doute, si j’avais le moindre doute…

– Animateur : Vous demanderiez la suspension.

– JC : Absolument ! Parce que c’est mon devoir, c’est ma responsabilité. Mais à ce stade, il faut avoir confiance en ce vaccin.

Extrait à retrouver dans cette vidéo, à l’instant 17’15.

La question légitime que l’on serait naturellement porté à se poser est la suivante :

La pharmacovigilance française ou internationale a-t-elle à ce jour produit, agrégé et délivré une information claire et transparente relative aux solutions pharmaceutiques à la pandémie de Covid-19 ?

Nous croyons que les quelques éléments rapportés ci-dessous permettront au lecteur de pouvoir répondre sans ambiguïté à cette dernière question.

Rappelons, s’il en est besoin, que la résolution du volet sanitaire de la crise que nous vivons aujourd’hui se dessine à l’échelle mondiale autour d’une campagne quasi globale de vaccination, avec principalement des vaccins dits à ARN/ADN. Ces vaccins, divergeant du principe habituel de conception de vaccins, s’appuient sur l’émission de message ADN/ARN ordonnant à la machinerie de l’expression génique cellulaire de synthétiser massivement la protéine spike (qui caractérise le virus) ; une réponse immunitaire est ainsi forcée en réaction à cette apparition. Le principe habituel, consistant aussi à forcer une réponse immunitaire, la favorise par une injection d’un échantillon inoffensif du virus isolé, sans intrusion autoritaire dans la machinerie génique cellulaire.

Dans ce premier article, l’auteur(([1] Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire.) )) élabore une surveillance des vaccins ARN/ADN au travers de leurs impacts relatifs sur la propagation du virus qu’ils doivent combattre. Il s’appuie sur des données nationales issues de sources étatiques ou d’organisations internationales officielles (compilées et traitées par ourworldindata.org, voir au bas de la page Web), et portant sur le nombre de personnes testées positives à la Covid-19 et le nombre de personnes décédées de la Covid-19. Ces données couvrent la période allant de décembre 2020 au 16 juillet 2021 – correspondant à la campagne globale de vaccination. Pour les 15 pays les plus vaccinés, ces données permettent une conclusion que l’on peut considérer comme une connaissance certaine :

La vaccination n’a pas empêché l’émergence de nouveaux cas ni la contamination, puisque des phases épidémiques tardives ont été observées dans les 15 pays les plus vaccinés (> 50 % de moyenne) à la date du 16 juillet 2021.

Cette conclusion et toutes celles que l’on peut tirer de ces données-là ouvrent le champ de réflexion sur d’autres interrogations, dont la question principale suivante : quelle est la proportion de vaccinés/non-vaccinés parmi les nouveaux cas ? Nous y revenons plus bas.

Dans un séminaire donné à l’Institut Hospitalier Universitaire (IHU) Méditerranée tenu le 29 juin 2021, le Pr Peter McCullough, qui a « traité des personnes de plus de 90 ans à la maison qui ont été malades, mais sans être hospitalisées », a rassemblé les données de plusieurs dizaines d’études ayant élaboré une surveillance de la valeur thérapeutique de plusieurs traitements anti-Covid : ivermectine et hydroxychloroquine pour les plus connus, mais également infusions d’anticorps anti-protéine spike, favipiravir, corticostéroïdes, colchicine, anticoagulants. Les méta-études (résumés synthétiques des études) concernant en particulier l’ivermectine et l’hydroxychloroquine révèlent les données suivantes :

Phase/Type d’essais Nombre d’essais Amélioration en %
IVERMECTINE pour Covid-19 au 26 août 2021
63 essais, 613 scientifiques, 26 398 patients
Traitement prophylactique 14 86
Traitement précoce 27 72
Traitement tardif 22 40
Nombre de décès survenus 25 58
Essai randomisé 31 58
HYDROXYCHLOROQUINE pour Covid-19 au 26 août 21
279 essais, 4555 scientifiques, 398 331 patients
Traitement précoce 30 65
Traitement précoce RCT 7 48
Traitement tardif 190 21
Nombre de décès survenus après traitement précoce 13 75
Essai randomisé 43 23

Les données présentées ont conduit le Pr McCullough aux conclusions suivantes :

  • La période de maladie avant l’hospitalisation est LA période favorable d’intervention.
  • L’hospitalisation et le traitement tardif correspondent à une sûreté faible des médicaments avec une mortalité intolérablement haute.
  • Le traitement ambulatoire précoce, réalisé séquentiellement avec un panache de médicaments a un profil bénéfice-risque positif (risques réduits d’hospitalisation et de décès.)

Relativement à ces traitements, le docteur Harvey Risch de l’université de Yale a affirmé dans un article-témoignage que la clé pour vaincre la Covid-19 existe déjà : il y mentionne de nombreuses études sur des traitements avec zéro mort sur des quantités importantes de patients à haut risque atteints de la Covid-19, et provenant d’Israël, des États-Unis, du Brésil. Il rapporte aussi qu’en Suisse, autour de la période allant du 27 mai au 11 juin 2020, un pic de 400 % du nombre de morts de la Covid-19 s’est intercalé entre une interdiction gouvernementale de prescription libre d’hydroxychloroquine et la levée de cette interdiction.

Justement, le Pr McCullough a aussi présenté des indicateurs qui permettent d’évaluer très objectivement les effets indésirables des vaccins à ARN/ADN. Sachant que par exemple, en 1976, la surveillance avait conduit à l’arrêt du programme de vaccination contre la grippe porcine après (seulement) 25 morts enregistrés, il est rapporté par le Pr McCullough les données suivantes :

Au 11 juin 2021, le VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] – plateforme de collecte des événements adverses liés aux vaccins – affichait pour les seuls vaccins à ARN/ADN 5993 morts et 20 737 hospitalisations pour 358 379 signalements. En comparaison, le cumul de ces mêmes indicateurs avant les vaccins ARN/ADN produit une moyenne d’environ 158 morts par an pour 16 320 signalements annuels : ces dernières données portant sur un total de 70 vaccins différents et 500 millions d’injections. L’on peut donc observer, à part les hausses explosives des nombres absolus d’événements rapportés et de décès (2 200 % et 3 700 % respectivement), une hausse de 72 % de la proportion de décès parmi les événements rapportés.

Ces données ont conduit le professeur à la conclusion suivante :

Les vaccins à ARN/ADN ont un profil de sûreté défavorable, et ne peuvent dès lors pas être approuvés pour un usage clinique.

Cette conclusion est partagée par un très grand nombre de spécialistes de ce domaine, et s’appuie, comme mentionné précédemment, sur des dizaines d’études produites par des scientifiques du monde entier. Un article datant de mai 2021 présente les questions urgentes que posent 57 médecins et spécialistes de 17 pays différents, et met littéralement en demeure les régulateurs nationaux et internationaux de suspendre incessamment la campagne courante de vaccinations, afin de « commencer des évaluations critiques indépendantes » et un « dialogue pluraliste » portant sur des questions critiques nécessitant des réponses urgentes si l’on souhaite particulièrement « éviter une érosion à l’échelle mondiale de la confiance du public dans la science et dans la santé publique ». Et cette érosion ne menace pas seulement le grand public, mais s’attaque aux corps constituants du système médical et paramédical. À titre d’exemple, ce témoignage viral d’un sapeur-pompier lyonnais qui découvre avec beaucoup d’émotion que les nombreux AVC qu’il a observés récemment dans l’exercice de sa fonction « ont bien un lien avec » l’injection des vaccins à ARN/ADN, et qu’il n’y a « rien qui ne remonte » malgré le fait que les infirmières « alertent tout le monde »…

L’émergence de toutes ces données ainsi que les conclusions logiques qui en ont découlé ont conduit le Pr McCullough à entreprendre de les vulgariser largement, jusque devant une commission sénatoriale du Texas, aux États-Unis, dont la présidente a été directement impactée par le traitement et la guérison de son époux à domicile. Il s’est impliqué, avec des partenaires de l’Association des médecins et chirurgiens américains, dans l’édition – salutaire pour des milliers d’autres – du guide de traitement de la Covid-19 à domicile.

Sur les causes d’une pharmacovigilance qui dysfonctionne et ses graves conséquences

« La justice ne viendra pas à Athènes jusqu’à ce que ceux qui ne sont pas blessés soient aussi indignés que ceux qui sont blessés. »

Thucydides

En France, nous pourrions (presque) tous avoir oublié les récents et moins récents scandales sanitaires. Est-ce que l’on devrait attendre d’être soi-même victime directe ou indirecte dans l’un de ces scandales, avant de joindre sa voix à celles et ceux qui exigent les garanties d’un fonctionnement plus clair, transparent et sain des organes publics et des système médicaux et paramédicaux qu’ils sont censés surveiller ?

Dans un récent article intitulé « Médicaments, argent et faits trompeurs », la journaliste Laura Spinney réaffirme qu’il “est plus que jamais essentiel que la société puisse faire confiance aux entreprises pharmaceutiques qui cherchent à obtenir une approbation règlementaire”. Or, en citant dans son article les travaux du pédopsychiatre Jon Jureidini et du philosophe Leemon McHenry, elle rapporte que ceux-ci “contestent l’hypothèse selon laquelle tous les médicaments et appareils médicaux approuvés sont sûrs et efficaces. Ils avertissent que lorsque la science clinique s’accroche à la course aux profits de l’industrie pharmaceutique, la méthode scientifique est sapée par les effets de marketing et le tri sélectif des données. Ils proposent une solution inspirée par le philosophe des sciences Karl Popper : retirer les essais des médicaments des mains des fabricants”. Cette solution forte s’appuie sur le constat par les auteurs de “déformations volontaires de données de sécurité et d’efficacité” lors d’essais sur la paroxétine et le citalopram, respectivement objets des études 329 de GlaxoSmithKline et CIT-MD-18 de Forest Laboratories.

Peter C. Gotzche, dans son livre Remèdes mortels et crimes organisés, particulièrement étayé de preuves détaillées, constate que l’une des causes de cette atrophie de l’action de pharmacovigilance réside dans le fait que « les patients ont confiance (aveuglément ! NDLR) dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… » Avis bien résumé par lui par ces mots : “Tout ce que nous savons sur leur compte (c’est-à-dire sur les médicaments), c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins…”

Concernant les conséquences de ces actions, nous avons déjà mentionné l’effet dévastateur de la perte de confiance du public, et surtout – dans la crise actuelle – du personnel médical et paramédical. Le système, qui se veut vigilant et se dote d’organes consacrés, apparaît comme schizophrène puisqu’il s’emploie à asphyxier méthodiquement ces organes. En ce qui concerne la confiance, notamment dans les acteurs industriels de production et de vente de médicaments, il existe une liste de condamnations(([2] Les liens donnés plus bas apparaissant dans l’histoire fictive extraite des réseaux sociaux. Les sites sont en anglais.)) dont la longueur est tout simplement choquante ! En fait, la violence du choc est renforcée à la lecture des motifs de condamnation (falsifications volontaires, etc.) et surtout au constat de la forte proportion de récidive. Qualifieriez-vous de responsable une attitude qui consisterait à exiger des garanties claires et fortes face à une proposition d’injection d’un vaccin provenant de l’un de ces acteurs industriels, dont l’utilisation est frappée de surcroît d’une autorisation de mise sur le marché dite conditionnelle (AMM) ? Et comment qualifieriez-vous l’attitude d’un chef de famille qui n’exigerait pas ces garanties ? Une histoire – (probablement) fictive – publiée(([3] Pseudonyme Anna-Lyse sur Twitter.)) sur un réseau social illustre bien ce questionnement :

Suis-je une mère irresponsable ?
Pfizer…

15 sept. 1825. Une mère, 3 enfants. Accusée à tort d’irresponsabilité, elle a été éloignée, retenue loin de ceux-ci, dès lors en situation de grande détresse. Le plus âgé avait 15 ans.
AstraZeneca… 

Une lettre, dans laquelle elle rassure, et décrit comment ils vont pouvoir affronter l’année à venir sans elle (la cachette de la bourse, la tante à 3 j de charrette, etc.)
Johnson & Johnson…

Ce jour-là, la prison ne lui a proposé, comme messager de la lettre, nul autre qu’un abuseur récidiviste, sortant de prison du fait d’un aménagement de peine “opportun”.

Avec tout ça, Moderna devrait-elle garder son SM-102 secret ? 

Ils ont insisté, affirmant qu’ils n’avaient pas le choix…

Finalement, nous ne mentionnerons pas le nombre de décès et autres destructions physiologiques et psychologiques vécues par les victimes d’un consentement non éclairé à exposer leurs êtres à des substances ou des protocoles de traitement. L’absence de cette lumière éclairante étant fortement favorisée par l’absence d’exercice libre ou la défaillance orchestrée des systèmes de régulation, et particulièrement la pharmacovigilance. À ce sujet, des réseaux sociaux ont incompréhensiblement et, semble-t-il, abusivement censuré un groupe destiné à recenser les victimes d’effets indésirables en France. Mais sur d’autres plateformes plusieurs témoignages sont apparus ; et ceux-ci ne décrivent probablement qu’une partie émergée de l’iceberg, tant la censure sur les réseaux sociaux apparaît anormalement intense contre les témoignages de ce type. Quelques-uns, très emblématiques, apparaissent dans ce documentaire sur AstraZeneca.

Sur les obstacles à l’exercice libre de la pharmacovigilance et le rapport positif à la contradiction du Dr UMLIL

Si les huit (8) ans de « gestation administrative » du CTIAP – dont le projet était prêt dès le 10 décembre 2007 – pouvaient déjà interpeller, la litanie d’obstacles de toutes sortes qui se succèdent depuis les premières prises de positions critiques émanant de cet organisme dans la crise actuelle doit interpeller encore davantage le lecteur de cette lettre. Et ce au regard, d’une part, de la reconnaissance profonde, unanime et prolongée dans le temps de la qualité du travail accompli par le Dr UMLIL avant ces dites prises de position ; et d’autre part, du fait de la qualité de l’approche du CTIAP et de son directeur le Dr Amine UMLIL face aux objections exprimées sur le fond : cette approche consistait à ouvrir systématiquement une discussion publique à travers des lettres ouvertes, des droits de réponse au médias relais des opinions de ses contradicteurs, et même des débats télévisés censés présenter les preuves contradictoires. Dans ces différents courriers, il ne nous a pas été donné de trouver ni propos offensants sur la forme, ni arguments de fond qui n’aient été étayés par une preuve documentaire. De plus, il apparaît à notre lecture que les réponses et propositions du Dr UMLIL n’étaient que peu frappées de l’horizontalité stérile, de la plate – et souvent puérile – mise en défaut du contradicteur, mais tendaient toujours à viser la prise en compte de l’enjeu ultime de sa fonction, qui est de faire émerger et s’imposer le factuel et l’information utiles pour l’usager du système pharmaceutique, même à travers l’épreuve de la contradiction.

Les obstacles à l’exercice libre de pharmacovigilance opposés au CTIAP ainsi qu’au Dr UMLIL reproduisent les formes qu’il est possible d’observer concernant plusieurs chercheurs ou praticiens ayant exprimé des opinions divergentes : sources d’origines collégiale, institutionnelle et médiatique, telle une hydre à 3 têtes. Nous faisons remarquer qu’une quatrième tête judiciaire est malheureusement plutôt rare, sinon elle aurait eu la vertu de susciter un apport de preuves probantes de la part des deux parties, permettant ainsi à l’opinion de juger plus justement de la pertinence des positions respectives.

D’un point de vue collégial, le principal obstacle provient de l’attitude de la direction du centre hospitalier de Cholet, avec en tête son directeur Pierre VOLLOT. Ce sont principalement des dénis de compétences ou de légitimité injustifiés au regard des faits, tendant à décrédibiliser l’action ou la personne du Dr UMLIL. Or la conséquence logique principale de la décrédibilisation d’une action ou d’une personne est l’affaiblissement de son impact dans l’atteinte des objectifs de sa mission. L’on peut même se questionner sur la profondeur de ce que subit personnellement le Dr UMLIL en coulisse lorsque ce dernier révèle, preuve à l’appui, avoir été informé par sa direction de l’envoi d’une lettre adressée à un organe disciplinaire contre lui, au travers d’un recommandé avec accusé de réception “adressé alors que j’étais en congé”. Le chapelet des obstacles, manquements, et – il faut le dire – sabotages, est égrené par le docteur, dans sa réponse au directeur Pierre VOLLOT du 23 août 2021, et sa réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet du 10 avril 2021.

D’un point de vue institutionnel, c’est le docteur UMLIL qui a été personnellement visé par une lettre adressée au centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière (CNG), organe disciplinaire consacré. Dans cette lettre de dénonciation, à laquelle le Dr UMLIL a répondu par une lettre ouverte au CNG du 10 août 2021 (avec ampliation adressée à la tutelle), Pierre VOLLOT évoque un droit de réserve qu’il oppose à la diffusion d’avis critiques et d’analyses proposées par le Dr UMLIL à travers le canal du CTIAP.
Or, sur la forme, le recours à ce droit de réserve à l’encontre d’un pharmacien des hôpitaux s’évapore devant plusieurs dispositions du Code de santé publique qui enjoignent, par exemple, de ne « se soumettre à aucune contrainte financière, commerciale, technique ou morale, de quelque nature que ce soit, qui serait susceptible de porter atteinte à son indépendance dans l’exercice de sa profession » (R. 4235-18 du CSP). Sur le fond, et en cohérence avec ce que nous avons pu constater continuellement dans l’action du Dr UMLIL, sa réponse fut adressée via un avocat sous forme de « lettre – recommandée avec avis de réception – l’invitant [Pierre VOLLOT] à formuler, de façon précise, ses griefs à l’encontre des analyses proposées par le CTIAP et concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ».La réponse de Pierre VOLLOT ne contenait « aucun reproche envers les analyses publiées sur le site du CTIAP ».

Le dernier champ d’obstacles, de véhicule médiatique, nous apparaît revêtir une violence particulière, du fait de l’amplification par le nombre et les réseaux sociaux. Il nous est apparu comme constitué d’amalgames, d’omissions, d’enquêtes à charge omettant de consulter les sujets avant publication et ignorant les droits de réponse, et quelques fois de censures grossières et surtout injustifiées, au regard du principe d’équité.

Il s’y trouve en particulier l’évolution plutôt déroutante de la couverture du travail et de l’impact du CTIAP et du Dr UMLIL par le journal Le Courrier de l’Ouest. Toujours avec coupures de presses et autres preuves renseignées, le Dr UMLIL fait constater que :

« le Courrier de l’Ouest, ainsi qu’Ouest-France, avaient toujours relayé l’information selon laquelle les analyses du CTIAP sont « fiables ». Comme le montrent leurs anciens et nombreux articles tels que ceux d’octobre 2017 concernant l’« affaire LÉVOTHYROX® »… Ces anciens articles admettent notamment l’indépendance et la rigueur des analyses proposées.

[…]

Mais, brusquement, les analyses proposées concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, avec la même indépendance et la même rigueur, deviendraient celles d’un « antivax »« complotiste », pourvoyeur de « fausses informations »

Le positionnement initial était aligné sur celui de plusieurs confrères généralistes et spécialisés par lesquels les « réflexions et alertes ont été également relayées » : Le PointLe MondeLe NouvelObsLe Quotidien du PharmacienHospimedia, parmi d’autres.

Mais un article du 14 août dernier – publié sur le Web par Ouest France –  intitulé « Amine Umlil de nouveau en conflit avec l’hôpital », réunit dans son contenu un ensemble de déclarations tendancieuses et peu empreintes de la neutralité promue par la déclaration de Munich. Extrait :

« Le pharmacien est très actif sur son blog et sur les réseaux sociaux. Résolument opposé à la vaccination contre le Covid-19, le Choletais est cité en référence par de nombreux « antivax ». Il a aussi son rond de serviette sur le site internet FranceSoir.fr. Un média sans journaliste, relais de thèses complotistes et de fausses informations. »

De plus, ici encore, le professionnalisme et a minima la déontologie, sinon la probité du journal sont sérieusement défiés par un fait marquant. En effet, à la lecture de la fermeture de l’article :

« Contacté, Amine UMLIL n’était pas disponible, hier »,

La banalité que transporte cette mention n’aurait pas permis de découvrir, sinon de par la révélation par le Dr UMLIL des échanges constituant ce contact, que deux informations avaient été données par le journaliste : (i) seulement un « mot, bref » devait paraître le lendemain, en attendant (ii) d’être « contacté par un ou une de mes collègues » la semaine suivante ; réponses à valeur de promesses, que l’on peut considérer comme logiques, puisqu’à la sollicitation du journaliste le matin même pour l’après-midi (c’est-à-dire la veille de la publication), le Dr UMLIL avait répondu :

« Bonjour Monsieur [nom du journaliste],

Merci pour votre message.

Je ne peux pas cet après-midi.

La semaine prochaine, si vous pouvez.

Bien à vous,

(…) »

Un certain surplus d’honnêteté intellectuelle ou de devoir d’équité envers le Dr UMLIL, sachant le contenu – à charge – de ce qui était attendu comme « mot bref », aurait favorisé cette autre écriture de la fermeture de l’article, par exemple :

« Contacté hier, Amine UMLIL n’était pas disponible. »

Dans une publication dans laquelle le Dr UMLIL dénonce cet article et plusieurs autres meurtrissures publiques contre son image, l’on énumère plusieurs des procédés médiatiques subis par beaucoup trop de chercheurs, scientifiques et praticiens à travers le monde, qui sont passés de la reconnaissance élargie de leurs mérites vers la mise au banc et les injures du fait de l’expression légitime, raisonnée et lucide de questionnements légitimes et de divergences de points de vue.

Sur la reconnaissance de la qualité des contributions particulières du CTIAP et du Dr UMLIL et leur efficacité mesurable

D’abord comme responsable de la pharmacovigilance depuis son recrutement en septembre 2002, ayant mis en place la coordination des vigilances sanitaires en 2007 au centre hospitalier de Cholet, et enfin comme fondateur et acteur majeur du CTIAP dès 2015, le Dr UMLIL a réalisé un travail excellent et reconnu comme tel ; et ce, partant de ses collègues (éventuellement hiérarchiques) jusqu’aux médias locaux et nationaux, généraux ou spécialisés.

Le Point avait qualifié le CTIAP de « structure originale qui pourrait servir d’exemple », et le Quotidien du Pharmacien avait salué « la pédagogie d’un pharmacien ».

Un « Docteur en médecine »« psychiatre des hôpitaux »« praticien hospitalier au centre hospitalier de Cholet depuis 1980 », « ancien président de sa commission médicale d’établissement ». Ce médecin « atteste » ce qui suit :

« Je soussigné (…), atteste, en ce qui concerne mon collègue, Monsieur Amine UMLIL, pharmacien des hôpitaux,

1. Celui-ci apporte au centre hospitalier de Cholet un potentiel de connaissances, de compétences, d’exigences, nouvelles et de nature à constituer une contribution extrêmement positive au fonctionnement de l’hôpital ; il y a lieu de relever en particulier :

— des connaissances scientifiques et méthodologiques rares, une aptitude concrète à l’évaluation des produits et des procédures pharmaceutiques conformes aux exigences actuelles de la science, et surtout : cette évaluation indépendante des actions commerciales des firmes pharmaceutiques ;

— une connaissance précise, détaillée, actuelle de la réglementation relative à l’exercice de sa profession et, ce qui est encore plus important, un rapport positif à la loi et aux règlements ;

— une référence constante aux règles de métier de sa profession, en entendant par là non pas seulement les us-et-coutumes et les habitudes de celle-ci, mais les normes constitutives de l’excellence, d’où, chez mon collègue, un rapport spontanément sincère et sérieux, mais méthodique, aux procédures des démarches qualité ;

— une mise en œuvre effective, chaque fois qu’il n’y a pas été mis obstacle, de ces compétences en termes de performance, en particulier au service des patients grâce à sa disponibilité efficace et rapide auprès des médecins cliniciens, grâce à la qualité et à l’actualité de son information (et de la diffusion de cette information) relative aux risques liés à la pharmacothérapie fondée scientifiquement et non simple relais des messages commerciaux des firmes pharmaceutiques ;

— un respect de principe, sans doute excessif, parce que systématique, pour ses aînés et pour les détenteurs de l’autorité, de nature à lui rendre totalement inintelligible que ceux-ci ne s’illustrent pas par leur exemplarité en termes relationnels, professionnels, déontologiques et éthiques.  (…) ».

L’actuel directeur du centre hospitalier de Cholet, Pierre Vollot, attestait en 2017, auprès du ministère public d’Angers :
« […] Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines. »

D’autre part, quand le législateur mosaïque recommandait, dans une loi sociale du texte biblique, de ne pas craindre le service prophétique de l’individu dont les oracles ne s’accomplissent pas, il ne croyait peut-être pas si bien fournir un indicateur objectif de mesure pour tout service de vigilance. Ici, et en l’espèce, dans une lettre ouverte datant du 12 mars 2021, le Dr UMLIL avertissait déjà de la nécessité d’un « recueil de consentement libre et éclairé », dénonçant alors le « projet d’obligation vaccinale » comme contrevenant aux articles 7.3.1 et 7.3.2 de « la résolution 2361 » du Conseil de l’Europe « adoptée le 27 janvier 2021 – alors même que même la loi introduisant le pass sanitaire n’allait intervenir que deux mois plus tard. Propos conclus à l’époque en qualifiant ledit projet de « faute juridique, morale, éthique et politique notamment ». Si six mois plus tard l’atmosphère sociale est saturée de ces sujets-là précisément, c’est bien dire que depuis sa vigie – le CTIAP, la sentinelle UMLIL avait bien vu ! Sinon cela révèle tout au moins la fiabilité de ses sources et une fatale efficacité du travail de vigilance effectué à ce moment-là, qui consiste à (pré)voir et signaler les anormalités et menaces perçues.

Appel final à manifester son adhésion à la nécessité de l’exercice libre de la vigilance pharmacologique et son soutien au CTIAP et au Dr UMLIL

Sur la base de ce qui précède, nous, signataires rassemblés par le collectif Vigilance Pandémie, appelons à exprimer concrètement l’adhésion à l’exercice libre de la pharmacovigilance, fonction vitale de notre système de santé, et ce en signant la pétition de soutien à l’un de ses fleurons nationaux, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet, et au Dr Amine UMLIL son fondateur et dont il est une principale figure active. Ce dernier est particulièrement menacé aujourd’hui par la perte de son poste du fait d’une obligation vaccinale dont la teneur sanitaire et juridique a été l’objet de ses critiques ordonnées.

La toile, à travers plusieurs médias, des sites internet ainsi que les réseaux sociaux, révèle une multiplication d’obstacles et sabotages de plusieurs scientifiques et praticiens en médical, biomédical et paramédical. Mais nous nous sommes focalisés sur le cas du CTIAP et du Dr UMLIL du fait de la fonction stratégique qu’ils occupent en faveur de la santé de tout le système en France. C’est ce que nous nous sommes employés à démontrer et à étayer dans cette lettre. Le soutien au Dr UMLIL et à son travail va unir et cristalliser toutes nos affirmations individuelles de la nécessité d’une pharmacovigilance forte en France. C’est donc là une démarche d’engagement nécessaire et stratégique dans le processus d’assainissement du système pharmaceutique et sanitaire en France.

Engageons-nous donc résolument à signer cette pétition dès maintenant !

Signataires :

Dominique TASSOT,

Ancien directeur R&D d’un groupe pharmaceutique

Alexandra HENRION CAUDE,

Directrice de recherche, spécialiste de l’ARN

Edouard HUSSON,

Professeur des universités

Gérald PECH,

Ingénieur dans l’industrie, ancien chercheur

Didier MAGNE,

Directeur industriel chez Symbiose SE2D

Agnès D’AMILLY,

Directrice administrative et financière

Maître Virginie DE ARAUJO RECCHI,

Avocate au Barreau de Paris, membre de l’Institut Art & Droit et de l’American Bar Association

Nicole DELEPINE,

Cancérologue, ancienne chef de service d’oncologie pédiatrique


Notes




Crise-covid. Vous ne pouvez plus dire…

[Source : benoit-et-moi.fr]

Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial, exclue de son parti (qui est actuellement au sein de la coalition gouvernementale menée par le banquier Draghi) pour avoir tenu des propos hors des clous à propos de la gestion de la crise sanitaire: elle interpelle ses collègues lors d’un débat à la Chambre sur le « Green Pass ». Seule contre tous, dans un magnifique élan de courage. En conclusion, elle s’adresse directement au Pape. On attend vainement la même chose en France.

Original en italien trouvé sur ce non moins formidable site: 
www.korazym.org/64986/la-dichiarazione-di-voto-di-sara-cunial-alla-camera-durante-la-discussione-del-vergognoso-decreto-green-pass/

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

https://youtu.be/ttm3k0ws0Vo

Vous ne pouvez plus dire qu’il s’agit d’une urgence, car cela fait maintenant presque deux ans que cette gestion hystérique a commencé.

Vous ne pouvez plus dire que l’on ne sait rien du COVID, car il existe maintenant une littérature très solide, qui remonte même à avant la soi-disant pandémie.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de remèdes, car les remèdes sont connus depuis le printemps 2020, et maintenant l’EMA (Agence européenne de médicaments] a même commencé à approuver les premiers médicaments.

Vous ne pouvez plus dire que le plasma convalescent n’est pas une solution pour les cas qui ne nécessitent pas d’hospitalisation, car ceux qui l’ont démontré l’ont payé très cher [le principal promoteur de cette thérapie, le Prof. De Donno, chef de service à Mantoue, a très mal vécu le rejet dont elle a été l’objet, et il vient de se suicider, cf. blog du Dr Gulisano, ndt].

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin est la seule alternative, car il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’une thérapie génique expérimentale, et il est illégal de forcer indirectement les Italiens à être des cobayes dans cette expérience.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins ne sont pas expérimentaux, car même les tests du premier vaccin autorisé ne sont pas encore terminés.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont sûrs car vous ne savez même pas ce qu’ils contiennent. Au contraire, les nouvelles du monde entier sont claires : des millions de lots ont été confisqués dans de nombreux pays en raison de la présence de substances étrangères, dont certaines très dangereuses, qui n’ont pas été reconnues et ne sont pas indiquées sur l’étiquette.

Vous ne pouvez plus dire qu’il est impossible d’obtenir une immunité collective sans le vaccin, car il a été prouvé qu’une grande partie de la population est déjà immunisée sans ce sérum, raison pour laquelle vous ne voulez pas que soient diffusés les tests sérologiques correspondants.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont efficaces, car on a fait les comptes, et la diminution du risque est à peine supérieure à zéro.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de risque dans la vaccination, car les chiffres des réactions indésirables des bases de données en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Europe parlent d’eux-mêmes. Lisez-les !

Vous ne pouvez plus dire que votre stratégie est le vaccin volontaire, car vous contraignez lentement tout le monde à le faire indirectement, par le chantage social, la traque et le mobbing. Vous utilisez la pandémie comme excuse pour les réformes sociales, économiques et du travail « sang et larmes » que votre Recovery exige comme rançon.

Vous ne pouvez plus dire que toutes les mesures mises en place ne sont que pour l’urgence, car l’OMS a publié un document – financé par Bill Gates et Rockefeller – sur l’utilisation permanente du passeport vaccinal.

Vous ne pouvez plus dire « l’Europe nous le demande », car dans le règlement 2021/953 de l’UE, à l’article 36, il est écrit : « il est nécessaire d’éviter toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui choisissent de ne pas être vaccinées ». Une phrase qui, dans le SEUL CAS de la TRADUCTION ITALIENNE, a été habilement dissimulée par les petites mains des Palais [du gouvernement] pilotés par les voleurs de vérité qui aiment saboter les textes normatifs de référence. Le but du Pass Covid européen – qui n’est vert qu’en Italie (évidemment en accord avec les visions nucléaires du ministre Cingolani) – est de « faciliter l’exercice du DROIT DE LIBRE CIRCULATION par les détenteurs ». NOTEZ « LIBRE », et non « SOUS CHANTAGE ». L’article 3, paragraphe 6, du règlement stipule : « La possession des certificats visés au paragraphe 1 ne constitue pas une condition préalable à l’exercice de la liberté de circulation ».

Vous ne pouvez plus dire que vous respectez la priorité des sources normatives car en acceptant le compromis au rabais pour les [tests] salivaires, dont la mise en œuvre est réglementée par la fameuse Circulaire du Ministère de la Santé, vous établissez qu’avec un pizzino [ndt: du mot sicilien pizzinu signifiant «petit bout de papier». Utilisé pour désigner de petits bouts de papier échangés de la main à la main par la mafia sicilienne pour les communications sensibles. Mais aussi les papiers que les députés et les sénateurs échangent au Parlement] de Speranza [ministre de la santé] vous décidez de la vie ou de la mort sociale, professionnelle et économique des citoyens italiens et de ce pays. Je vous rappelle que les tests salivaires rapides ont la même efficacité et donc le même taux d’erreur que les [test] nasaux chinois de torture.

Vous ne pouvez plus raconter la fable de l’immunisation que les vendeurs de vaccins savent si bien raconter, même ici. Combien de collègues testés, ou pire, de collègues vaccinés, ici, peuvent prétendre être immunisés et donc jurer qu’ils ne sont pas infectés ou contaminés ? Puis-je me sentir en sécurité si j’entre en contact avec la collègue Lorenzin [Beatrice Lorenzin, députée PD, ex-ministre de la santé] plurivaccinée ou bien suis-je dans la même situation que les patients de l’hôpital S. Eugenio, fermé pour cause d’épidémie Covid avec des personnels de santé tous vaccinés ?

Vous ne pouvez plus dire que les vaccinés ne contaminent pas, maintenant les nouvelles de vaccinés infectés et contagieux sont de notoriété publique.

Vous ne pouvez plus dire que vous travaillez pour le peuple car les membres du CTS [comité techno-scientifique] ainsi que les experts de la télévision, sont TOUS – et je dis bien TOUS – payés par les compagnies pharmaceutiques.

Vous ne pouvez plus dire que vous avez un système de pharmacovigilance rigoureux parce que nous avons compris à partir de l’incohérence des données entre l’AIFA [Agence Italienne du médicament.] et l’ISS [Istituto Superiore di Sanità] que vous ne pouvez plus tenir le devant de la scène et que vous êtes donc obligés de saboter les différents systèmes informatiques de santé nationaux et régionaux.

Vous ne pouvez plus dire que c’est pour notre bien, car les Italiens n’ont jamais été aussi mal.

Vous ne pouvez plus dire que la situation est mondiale, car de plus en plus de pays annulent leurs mesures d’urgence.

Vous ne pouvez plus dire que nous sommes dans une démocratie, parce qu’avec vos paroles et vos actions, chaque droit et chaque liberté disparaît, et depuis trop longtemps maintenant, ceux qui exercent leurs libertés constitutionnelles et naturelles sont blâmés et humiliés.

Vous ne pouvez plus parler de l’utilité des masques, après vos belles photos sans masque lors de divers événements officiels et sociaux.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont bons car les rapports des autorités sanitaires mondiales que vous censurez nous disent que les cas d’effets indésirables augmentent chez les vaccinés, touchent tout le monde, surtout les jeunes : par exemple en Israël (où le taux de population vaccinée est parmi les plus élevés au monde) le rapport officiel des effets indésirables des vaccins Pfizer avril 2021, fait état d’une augmentation de la mortalité de 22%. Et je vous épargne le dernier parce que c’est un carnage. Dans la tranche d’âge 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité est dramatique ! Nous parlons de +32%, ce qui nous indique que le vaccin est beaucoup plus mortel pour les jeunes que pour les personnes âgées ! Il existe une étroite corrélation entre le nombre de personnes vaccinées chaque jour et le nombre de décès par jour dans chaque groupe d’âge. Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé qu’après la première. On observe une augmentation considérable – jusqu’à 26 % – de tous les problèmes cardiaques chez les personnes de moins de 40 ans (myocardite et péricardite). Et encore : forte prévalence des pertes menstruelles, atteintes neurologiques, squelettiques, cutanées… les cas de coagulopathie sont à l’ordre du jour, tout comme les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux, les fausses couches, l’interruption de la circulation sanguine dans les membres inférieurs et supérieurs, les embolies pulmonaires.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins préviennent les maladies car le chiffre officiel du ministère israélien de la santé du 13/08/2021 dit que 81% des cas graves à l’hôpital sont vaccinés avec 2 ou 3 doses !

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin améliore les vies car, en Grande-Bretagne, les décès des vaccinés sont plus de deux fois supérieurs à ceux des non-vaccinés ! Un document officiel intéressant de British Health, publié le 3 septembre 2021, indique que les cas de variant Delta mis à jour au 29 août 2021 indiquent 1798 décès, dont 536 n’étaient PAS vaccinés (30 % du total) et 1233 étaient vaccinés (69 % du total). DONC LE TAUX DE MORTALITÉ DES VACCINÉS EST PLUS DU DOUBLE DE CELUI DES NON VACCINÉS !

Vous ne pouvez plus dire que ceux qui critiquent la campagne de vaccination ont peur, car les données officielles rapportées ici concernent des pays qui ont fait une démonstration de vaccination dans le monde entier.

Vous ne pouvez plus dire que 1/3 des Italiens est soudainement devenu no-vax, ou penser que ceux qui sont critiques ont « peur » du vaccin parce que la peur ne provient pas des citoyens, la peur a été la clé de ceux qui ont géré et continuent de gérer une urgence très discutable et occupent indignement des postes au niveau du gouvernement.

Vous ne pouvez plus prétendre être intellectuellement honnêtes. Je ne m’adresse pas tant à la majorité, dont le parti dissident, en retirant des amendements et en votant contre des amendements visant à généraliser les tests salivaires et sérologiques rapides, a révélé les véritables positions, mais aussi à l’opposition. « Le certificat vert marque un premier pas vers la suppression définitive des obstacles à la libre circulation qui ont fait tant de mal à notre économie. Cet instrument doit être mis en œuvre le plus rapidement possible, afin qu’il soit effectif dès avant le début de la saison estivale. » C’est la déclaration officielle faite le 19 mars par la dirigeante de Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, qui a défendu la décision d’instaurer un laissez-passer vert car « l’adoption homogène de cette mesure dans toute l’Union européenne conduirait finalement à la suppression de toutes les restrictions ». INDIQUEZ CLAIREMENT POUR QUI VOUS TRAVAILLEZ. LES ITALIENS SONT FATIGUÉS DE CE MÉPRIS.

Vous ne pouvez plus dire que le Green pass améliorera nos vies parce qu’il est le moyen d’instaurer définitivement une dictature politique basée sur la peur et les éternelles urgences sanitaires justifiées par de fausses bases scientifiques, qui s’amuse à diviser la société en camps opposés, de bons et de mauvais, qui s’affrontent au lieu de combattre l’ennemi commun.

Vous ne pouvez plus dire que l’Italie est la meilleure parce qu’elle n’est que le laboratoire historique des expériences d’ingénierie sociale, et avec la France, elle est condamnée à devoir répondre aux folies des élites : d’un côté Draghi de matrice et de foi Goldman Sachs et de l’autre Macron, de marque Rothschild. Tout cela est dirigé par Soros et Gates qui, en jouant sur l’acquisition d’usines de tampons [tests], de terres agricoles et d’hôtels de luxe, sont les testimonial des fameux philanthropes de Davos amis d’Epstein

Vous ne pouvez plus envoyer le chef de cet État pour dire que nous devons renoncer à nos libertés et à la revendication de nos droits parce que l’État, c’est nous, les Italiens, et que nous sommes prêts à mourir pour les défendre !

Vous ne pouvez plus dire que se vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.




Pseudovaccin COVID : secret organisé pour les adolescents vis-à-vis de leurs parents par l’État

Par Nicole Delépine

Chaque jour apporte son décret ou sa circulaire, pire que les précédents, mais parfois on est encore surpris de leur perversité. Telle cette note de la DGS adressée à tous les personnels autorisés à injecter cette substance génique aux composants variés le 8 septembre 21.(([1] 08/09/2021 RÉFÉRENCE : DGS-URGENT N°2021-95
TITRE : VACCINATION DES MINEURS — RÈGLES DE BON REMPLISSAGE DE VACCIN COVID))

L’Essai thérapeutique à grande échelle violant le consentement éclairé explicite de la loi

Au passage, vous découvrirez que votre nutritionniste ou podologue ou orthoptiste(([2]
▪Chirurgien-dentiste
▪Audioprothésiste
▪Podo-Orthésiste
▪Ergothérapeute
▪Autre professionnel de santé
▪Sage-femme
▪Manipulateur ERM
▪Orthopédiste-Orthésiste
▪Diététicien
▪Médecin-autre spécialiste
▪Pédicure-Podologue
▪ Pharmacien
▪Infirmier
▪Opticien-Lunetier
▪Psychomotricien
▪Masseur Kinésithérapeute
▪Orthoptiste
▪Orthoprothésiste
▪Médecin généraliste
▪Orthophoniste
▪Technicien de laboratoire médical)) sont autorisés à vous faire ce geste médical aux conséquences possibles immédiates, à court et à long terme multiples, et à vous faire signer IMPLICITEMENT ce consentement éclairé sur tous les inconvénients possibles. Aucun problème de désert médical en France, chaque professionnel, de métier respectable par ailleurs, peut décider de participer à cet essai clinique à ciel ouvert sans en mesurer les conséquences possibles et parfois gravissimes.

Et les enseignements et lois, issus de la seconde guerre mondiale sur les essais thérapeutiques chez l’Homme, résumés dans le code de Nuremberg de 1947 sont enterrés. Pourtant les lois qui protègent l’humanité de la pratique sauvage des essais sont encore en vigueur, mais piétinées sans vergogne, telle la loi Kouchner de 2002 qui exige le libre consentement éclairé pour tout geste médical même non expérimental (information sur une coloscopie ou une intervention ou une prescription médicamenteuse, la loi Huriet 1988 sur les essais thérapeutiques et les multiples lois internationales qui priment sur le droit français.

Mais où est passé le respect du droit en France depuis quelques années ? Que les politiques à tous niveaux qui imposent ces lois, décrets, circulaires contraires au Droit et à tous ceux qui rivalisent de zèle pour plaire au Prince de l’Élysée pour les appliquer, ne s’étonnent pas de se retrouver un jour dans la désagréable position d’Agnès Buzyn en ce 10 septembre 2021, mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui ».

Et quoiqu’en disent beaucoup, même si à terme elle est lavée (responsable et pas coupable par exemple), ce qui est possible, cette expérience pour une ancienne ministre qui se croyait tout permis est bien difficile.

Jérôme Salomon pourtant dans le même bateau signe encore cette circulaire toxique pour les jeunes. Pourquoi ? Qu’on ne me dise pas qu’il soigne son dossier pénal (comme a dit E. Macron concernant Édouard Philippe). Est-ce de l’inconscience d’une petite caste vivant sur une autre planète ?

Voici les principaux éléments de cette circulaire de la Direction Générale de la Santé signée le 8 septembre par Jérôme Salomon,(([3] Et Bernard Celli, président de la Task Force de la vaccination)) grand prêtre de nos soirées du printemps 2020 annonçant le nombre de décès officiellement attribués au virus SARS-CoV-2 (dont on saura plus tard qu’ils ont été largement surestimés) et poursuivis à la cour de justice de la République comme Agnès Buzyn.

DEPUIS JUIN L’AUTORISATION D’UN SEUL PARENT SUFFIT

« Madame, Monsieur, La vaccination contre la COVID-19 est ouverte à tous les adolescents de 12 ans et plus depuis le 15 juin 2021. Jusqu’à présent, la signature des deux parents exerçant l’autorité parentale était exigée pour la vaccination d’un mineur. La loi du 5 août 2021 modifie doublement le cadre de l’autorisation parentale en vigueur. D’une part, seule l’autorisation de l’un ou l’autre des titulaires de l’autorité parentale est requise pour la réalisation d’une vaccination contre la COVID19 pour les adolescents de moins de 16 ans ».

Notons à ce propos le nombre croissant de drames familiaux engendré par cette décision illustrant parfaitement la technique du « diviser pour régner », utilisée partout par le gouvernement pour faire passer ses décisions iniques. Les parents se déchirent et les enfants impuissants assistent à ces scénarios tragiques non conçus pour leur bien — être manifestement. Les procès entre parents s’accumulent.

MAIS LE PIRE ARRIVE : PARENTS DÉCHUS DE L’AUTORITÉ PARENTALE POUR L’INJECTION GÉNIQUE

Les parents sont, à ma connaissance, responsables pénalement et civilement (financièrement) des dégâts causés par leurs enfants mineurs (moins de 18 ans) lors d’accidents, ou de dégradations volontaires. Cependant, concernant la mascarade covid dont on ne dira jamais assez qu’elle ne tue aucun enfant ou adulte jeune sans comorbidité, et que seulement 0,003 % français sont actuellement en réanimation pour covid (et pas morts° pour 67 millions d’habitants), les parents sont déchus de leur autorité parentale !

Un adolescent de plus de 16 ans qui le souhaite peut désormais se faire vacciner sans autorisation parentale.(([4] « Concernant l’enregistrement de la vaccination de l’adolescent dans Vaccin Covid, les modalités de remplissage de Vaccin Covid restent les mêmes et vous sont rappelées ci-dessous. Le respect des règles suivantes est particulièrement nécessaire (en centre de vaccination, en ville, en équipe mobile…) au moment où la vaccination de ces adolescents progresse rapidement. 1. Tous les adolescents de 12 ans et plus qui se présentent pour se faire vacciner doivent être en possession du NIR (Numéro de sécurité sociale) de l’un des deux parents, ou de leur propre NIR. Ce NIR doit être le même pour la 1re et la 2e injection »))

En pratique la circulaire précise pour les vaccinateurs :

« a. Si l’adolescent dispose du NIR (numéro de sécurité sociale) de l’un de ses deux parents, ce dernier est utilisé pour saisir la vaccination dans Vaccin Covid. L’adolescent est retrouvé sous le NIR du parent, en cliquant sur « rechercher les autres membres de la famille ».

« b. Dans le cas où l’adolescent dispose d’un NIR personnel, celui-ci peut désormais être utilisé pour rechercher l’adolescent et saisir la vaccination dans le logiciel. NB : dans un cas comme dans l’autre, les parents pourront avoir accès à son certificat incluant le QR-Code au travers du téléservice attestations »

évidemment si l’adolescent se cache de ses parents, il n’a pas forcément leur carte de sécurité sociale et donc le ministère ne s’embête pas pour si peu.

SE VACCINER CONTRE L’AVIS DE SES PARENTS !

2. Si et seulement si le NIR ne peut être communiqué, ou lorsque l’adolescent de 16 ans ou plus souhaite se faire vacciner contre l’avis de ses parents, ou dans toute autre situation rendant impossible l’utilisation du NIR de l’un des deux parents ou celui de l’adolescent : a. La procédure de saisie dite « NIR d’urgence » peut être utilisée.

La vaccination contre la Covid-19 prime, en dernier recours, sur l’exigence d’utiliser le NIR de l’un des deux parents. b. Dans ce cas de figure, il est impératif d’indiquer aux adolescents qui se font vacciner sous le NIR d’urgence de conserver très précieusement le code patient qui se présente sous la forme d’une série de trois fois trois lettres (XXX-YYY-ZZZ). Ce code figure sur la synthèse de vaccination, et non sur l’attestation certifiée de vaccination. Il est donc également impératif de remettre à l’adolescent cette synthèse en plus de son attestation certifiée. En cas de perte par l’adolescent ou d’oubli de remettre à l’adolescent la synthèse de sa vaccination par les personnels compétents, il sera difficile de retrouver le dossier de l’adolescent, sauf à passer par le tableau de bord de celui qui a réalisé la vaccination. »

LE MANTRA OFFICIEL COMME SEULE INFORMATION

Imaginez bien l’adolescent seul ou avec des copains du même âge, le plus souvent peu informé, et dont l’orthoptiste ou le podologue du centre de vaccination ne sauront que répéter le mantra officiel : aucun risque et tu seras libre enfin de sortir, d’aller au café, au cinéma ou au concert, de t’inscrire au sport, etc. Quid des discussions et informations à donner aux jeunes sur leurs risques éventuels, sur les effets secondaires déjà répertoriés dans les banques de données officielles, sur les risques de troubles des règles chez les jeunes filles et un point d’interrogation sur les dangers éventuels de stérilité. Personne ne leur dit rien et quand ils en parlent parfois avec des amis plus âgés qui informent sur l’existence de ces banques officielles, ils demandent pourquoi ils n’en sont pas informés.

Comme dit fort justement un correspondant, la pression est énorme :

« Tout ceci permettra d’injecter les ados « sur un coup de tête » lors d’une sortie scolaire dans un centre de vac’ par exemple. La pression psychologique est rude et sournoise »

Jean-Marc.
Et chacun connaît la fragilité des ados souvent en conflit avec leur famille à cette période de la vie, il n’est pas nécessaire de mesurer la perversité de cette mesure. Jérôme Salomon est-il papa ?

HEUREUSEMENT DE NOMBREUSES VOIX SE LÈVENT POUR TENTER DE PROTÉGER NOS JEUNES 

L’association Enfance & Libertés prépare des recours juridiques devant le Conseil d’État pour protéger les droits et la santé des enfants

N’hésitez pas à les rejoindre pour étendre la toile des recours sur l’ensemble de la France. En résumé voici ce que dit leur site(([5] Enfance & Libertés prépare des recours juridiques devant le Conseil d’État pour protéger les droits et la santé des enfants — Enfance et libertés (enfance-libertes.fr) )):

« La récente loi de gestion de la crise sanitaire met à risque les droits des enfants ainsi que leur santé émotionnelle, psychologique et physique. Elle constitue en outre une entorse au principe d’autorité parentale.
Aussi, Enfance & Libertés déposera très prochainement avec l’assistance de l’avocat Me David Guyon des recours devant le Conseil d’État, en particulier contre les dispositions suivantes :
• La possibilité pour un jeune de 16-18 ans de se faire vacciner sans consentement parental
• La possibilité pour un jeune de 12-15 ans de se faire vacciner avec le consentement parental d’un seul parent
• La discrimination induite par l’éviction des élèves non vaccinés lors de l’apparition d’un cas contact dans la classe
• La possible discrimination des non-vaccinés lors de sorties scolaires • L’extension du pass sanitaire aux enfants dès 12 ans à compter du 30 septembre 2021.

https://enfance-libertes.fr/enfance-libertes-prepare-des-recours-juridiques-devant-le-conseil-detat/ »

Insistons aussi sur les programmes de propagande à l’École imposés par le pouvoir

Un professeur d’espagnol au lycée Raymond Naves de Toulouse est suspendu à Toulouse: il est accusé de relayer des idées « complotistes » :

« concernant le vaccin anti-Covid après avoir montré une vidéo du site France Soir à une classe de seconde.
Signalé par ses supérieurs hiérarchiques, il était entendu ce jeudi matin au Rectorat qui a déclaré « qu’il n’est pas acceptable, qu’un professeur exprime ses opinions personnelles auprès de ses élèves, la décision a été de le suspendre par mesure conservatoire ».

https://www.ladepeche.fr/2021/09/09/toulouse-un-professeur-despagnol-du-lycee-raymond-naves-est-suspendu-pour-apologie-du-complotisme-9778798.php

Mais des parents conscients et courageux réagissent et vont discuter calmement avec les chefs d’établissement leur faisant toucher du doigt leur responsabilité pénale personnelle à la suite de leurs décisions. Contrairement à Big Pharma et aux dirigeants politiques couverts par les clauses des contrats ils ne sont pas à l’abri de poursuites. Écoutez par exemple ce père qui a constaté que la peur peut changer de camp :

Et voyez la lettre dont il propose un exemple :

Contenu de cette lettre RAR à l’attention de ……….

1. Lettre au responsable de l’établissement de la part des responsables et tuteurs légaux.
2. Annexe 1. Rappel à la Loi concernant le secret médical.
3. Annexe 2. Communiqué du Syndicat Action et Démocratie.
4. Annexe 3. Fiche dérogatoire à l’infirmerie : refus catégorique et intemporel de soins Covid.
5. Annexe 4. Non-autorisation de sortie scolaire dans tout centre de vaccination.

Nom et Prénom du/des Responsable(s) de l’enfant

Préciser l’adresse postale du domicile principal de l’enfant

Responsables et Tuteurs Légaux de …………………., élève de ……. à ………………………

À Monsieur/Madame …………………

Chef d’établissement du collège/lycée………..

À ………, le 30 août 2020

Madame/Monsieur,

Nous accusons réception de vos emails datant des … et … août 2021 nous encourageant à effectuer la démarche de « vaccination » de notre enfant « dès à présent ». Encouragement soutenu par le courrier officiel de votre Rectrice/Recteur d’Académie, Madame/Monsieur……………………..

Nous aimerions, tout d’abord, vous informer que l’« encouragement » très orienté dans vos courriels, lettres PDF et notice explicative du protocole de vaccination mis en place au sein du collège/lycée, portent atteinte à plusieurs titres, et d’un point de vue juridique, au secret médical de notre enfant, tel qu’établi par la Loi (Cf. Annexe 1. Rappel à la Loi). En effet, ce protocole que vous mettez en place interroge sur son statut médical, protégé par la Loi.

Nous considérons que cette démarche, qui viole le secret médical de notre fils est illicite, selon ce qui est du Droit.

De plus, et de façon évidente, ce protocole de vaccination mis en place par abus de pouvoir au sein du collège/lycée………………….. dont vous êtes le chef d’établissement par le ministère de l’éducation, et donc par extension directe de la voie hiérarchique mis en place par la rectrice et par vous-même au collège/lycée………………., n’a aucune portée ni validité juridique au regard de la Loi. Il n’a jamais été publié au Journal Officiel, et pour cause, aucun texte ne donne au ministre de l’Éducation de compétence en matière sanitaire et donc le droit de déroger à la loi. Il en va de même pour vous en tant que Principal/Proviseur. Vous n’avez donc par extension aucune compétence dans la mise en place et l’application d’un protocole de vaccination purement hors la loi. Ce protocole illégal engage les responsabilités civiles et pénales de ce qui y croient, le mettent en place par vulgaire publication sur le Web, et vont l’appliquer à l’école. Nul n’est censé ignorer la Loi. Comment comptez-vous informer de façon transparente et sans parti pris du fait de votre fonction l’ensemble des familles sur l’aspect illégal de ce protocole que vous avez déjà envoyé ? Comment comptez-vous faire la mise à jour de ces informations cruciales pour ne pas avoir à engager votre responsabilité civile et pénale et celle de vos enseignants qui participeront à ce protocole ?

Cet « encouragement » à la vaccination suscite de notre part de nombreuses interrogations, ce pour quoi nous avons donc souhaité vous rencontrer en personne ce lundi 30 août 2021. Et nous avons bien entendu que vous ne partagez pas nos questionnements par manque d’information. De par votre fonction, l’heure n’est pas au partage d’un avis personnel pour la vaccination des élèves, mais à la responsabilité civile et pénale de chacun dont la vôtre, face à une situation où le principe de précaution dans l’intérêt de nos enfants qui ne sont pas concernés par cette situation sanitaire doit prévaloir en tout temps.

Nous sommes en effet désireux de savoir, et dans l’attente de réponses écrites :

  • Sur quelle base légale fondez-vous votre « encouragement », sachant qu’il n’y a aucune loi qui exige cette incitation vaccinale pour les enfants qui ont plus de 12 ans ? Il n’existe donc, au jour où nous vous écrivons, aucune disposition légale susceptible de fonder une telle demande pour un chef d’établissement et un enseignant, ainsi qu’un établissement d’enseignement ayant pour seule mission la pédagogie.
  • Pour Pfizer BioNTech, période du 28/05 au 1/07/2021, 31 389 Effets indésirables, 8689 cas graves, dont 761 décès. (Page 8/57)
  • Pour Moderna, période du 28/05 au 1/07/2021, 5665 Effets indésirables, 1050 cas graves, dont 44 décès. (Page 6/30)

En tant que Chef d’établissement, comment envisagez-vous de rectifier cette notice explicative erronée et trompeuse afin d’informer pleinement et en toute transparence, sans parti pris, mais dans un principe de précaution, les parents de ces données officielles publiques ? Car non, les effets secondaires indésirables graves ne sont pas « extrêmement rares ». Les chiffres publics officiels ANSM sont bien là et sans mises à jour disponibles depuis ce 1er juillet 2021. 761 décès, 2551 mises en jeu du pronostic vital, 5384 cas non rétablis/non résolus (que sont-ils devenus ?), pour le seul Pfizer.

Cela étant posé, comment comptez-vous concilier votre protocole de vaccination avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques ? :

Et comment comptez-vous engager votre responsabilité civile et pénale au regard de ces mêmes textes ? :

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer, et de surcroît pour une catégorie d’âge non concernée comme l’attestent l’ensemble des données de santé.

  • Article L1111-4 du Code de la Santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041721056/) et l’article R4127-36 du Code de la santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000032973595) imposant de respecter le consentement de la personne concernée soumise à un traitement médical.
  • Notez par ailleurs qu’une protection toute particulière est instaurée au profit des mineurs en vertu de l’article R4127-42 du Code de la santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043588175/).
  • Au regard des données officielles nationales disponibles publiquement de l’ANSM, de la Haute Autorité de Santé, des données européennes d’EudraVigilance, et de l’ensemble des données au niveau international, il apparaît très clairement que les enfants de 12 à 17 ans ne sont absolument pas concernés par le SARS-CoV-2, autrement appelé Covid19. (https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), comment comptez-vous engager votre responsabilité civile et pénale, ainsi que celles de vos enseignants qui vont participer à cette incitation vaccinale ?
  • Si, après une éventuelle injection des produits expérimentaux, certain(e)s élèves du collège/lycée…… étaient amené(e)s à présenter des effets secondaires graves pouvant aller jusqu’au décès, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences d’un point de vue civil et pénal, et d’y engager par écrit votre responsabilité dès aujourd’hui ?

En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’incitation organisée par vos soins au sein de l’Institution Sévigné d’un produit en phase d’essai clinique expérimental pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques. Et ce d’autant plus en l’absence d’études précliniques de toxicité, de génotoxicité sur l’organisme humain et donc sur les enfants dont vous avez la charge.

Nous aimerions également vous rappeler que le protocole sanitaire des établissements scolaires n’a aucune valeur légale ni réglementaire (voir Annexe 2. Communiqué du Syndicat Action et Démocratie). Nous nous permettons de vous rappeler que :

  1. L’Article 225-1 du Code pénal : (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033461473 interdit toute discrimination ou distinction entre les personnes physiques notamment en fonction de leur état de santé, de leurs caractéristiques génétiques ou de leurs opinions. En vertu de
  2. L’article 225-2 du même Code pénal : (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033975382)

Ces discriminations sont punies de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende lorsqu’elles consistent notamment à refuser la fourniture d’un service (Art. 225-2-1°), à refuser d’embaucher ou à sanctionner ou licencier une personne (Art. 225-2-3°) ou à subordonner une offre d’emploi, une demande de stage ou une période de formation à une condition constituant une discrimination (Art. 225-2-6° du Code pénal).

  1. En résumé, selon le Code pénal, les collégiens et lycéens ne peuvent faire l’objet d’une discrimination fondée sur leur état de santé (art. 225-1). En outre, cette mesure porte atteinte à la dignité humaine que garantit le Conseil constitutionnel (déc. n°94-343/344 du 27 juillet 1994) et dont l’article 16 du Code civil affirme la protection.
  2. D’ailleurs, le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels du 16 décembre 1966, que la France a ratifié, affirme non seulement « le droit de toute personne à l’éducation », mais le fait qu’elle « doit viser au plein épanouissement de la dignité humaine et du sens de sa dignité » (art. 13). La convention internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 1989, également ratifiée par la France, prévoit que « le droit de l’enfant à l’éducation » s’exerce « sur la base de l’égalité des chances » (art. 28-1) et que « l’enfant doit être « effectivement protégé contre toutes formes de discrimination ou de sanction motivées par la situation juridique » (art. 2-2). Or, le statut vaccinal fondé sur la détention d’un document administratif est bien une « situation juridique » définie par une attestation.

Nous réservons le droit, en tant que Responsables et Tuteurs Légaux de notre enfant …………….., et selon ces lois citées ci-dessus, de saisir le Défenseur des Droits et d’agir selon ce qui est de droit au cas où notre enfant soit « évincé » (selon la déclaration publique de Monsieur Jean Michel Blanquer, Ministre de l’Éducation Nationale sur France Info le 28 juillet 2021) de votre établissement en fonction de son statut vaccinal.

Par la voie légale de cette lettre RAR, nous nous permettons de vous communiquer également en Annexe 3 la Lettre dérogatoire à destination de l’infirmerie de l’établissement, dans laquelle, exerçant notre autorité parentale en plein droit, nous vous informons de notre refus catégorique et intemporel de soins Covid (Test PCR, Test antigénique, Vaccins Covid) pour notre enfant ………………………………..

Au regard de tous ces éléments, nous vous informons de notre refus catégorique et intemporel de toute démarche visant à la vaccination sur notre enfant ………………………….

Nous refusons toute démarche de quelque personne physique et/ou morale que ce soit, d’incitation à la vaccination.

Nous refusons toute démarche d’intimidation, mise sous pression, manipulation par abus de pouvoir, par abus de faiblesse, par abus d’influence, toute discrimination à l’encontre de notre enfant.

Nous refusons, au regard de la « notice explicative — vaccination contre la Covid19 des collégiens et lycéens » de participer à toute démarche de recensement comme le précise le formulaire 1 que nous ne « devons » pas remplir. Nous ne transmettrons donc aucun document à l’infirmière sous pli cacheté, ni aucune fiche au professeur principal à venir de notre enfant, comme à toute autre personne physique et/ou morale.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer tous ces sujets ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politiques annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Finalement, nous vous invitons à prendre connaissance de l’Annexe 5. Non-autorisation de sortie scolaire. Par moyen de cette annexe, nous vous informons que nous n’autorisons pas notre fils à participer quelconque sortie scolaire que ce soit en centres de vaccination, que ce soit à l’extérieur comme à l’intérieur du collège/lycée……………………………

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées, préoccupées et déterminées.

Nul n’est censé ignorer la Loi. Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.

Pour faire valoir ce que de droit. Dans l’intérêt des enfants.

Nom parent 1 Nom parent 2

Signatures :

Merci à tous de diffuser ces informations, de ne pas rester passifs, soumis devant cette attaque en règle de nos enfants, de la génération future. On ne parle que de sauver la planète, eh bien oui sauvons nos enfants qui pourront alors s’occuper de la planète Bleue.





Sous-déclarations des effets secondaires liés à l’injection anticovid en Europe

Par Nicole Delépine

Comparaison des sous-déclarations des effets secondaires selon les pays européens proches des Pays-Bas

Le professeur belge Christophe de Brouwer(([1] https://mewe.com/i/christophedebrouwer)) ex-professeur à ULB (Université libre de Bruxelles) et ex-Président de l’École de Santé publique à ULB a publié sur son compte Facebook(([2] (20+) Christophe de Brouwer | Facebook)) une très intéressante étude comparant les déclarations d’effets indésirables des pseudovaccins anticovid selon les différents pays européens.

Nous savons tous – et tous les sites répertoriant les toxicités des médicaments le rappellent depuis toujours – que les rapports officiels sur les effets toxiques sont toujours très inférieurs à la réalité avec un facteur de sous-estimations de 10 (voire 100 selon les auteurs).

La dernière évaluation des décès en UE (27 pays sur les cinquante de l’Europe) selon l’EMA est de l’ordre de 23500, ce qui permet de craindre au moins 200 000 décès dans le mois suivant l’injection (pour environ 112 millions de vaccinés).

Pour environ deux millions d’accidents dont la moitié sont qualifiés de graves, cela ferait environ vingt millions de personnes malades transitoirement ou handicapées à vie. (Ces chiffres estimés en prenant la fourchette basse de dix fois plus d’incidents que déclarés.)

Malgré ces chiffres incertains, on peut remarquer que certains pays pour une population inférieure déclarent beaucoup plus d’ennuis, comme les Pays-Bas. Voyons les conclusions du Professeur belge.

Déclarations des effets secondaires liés aux vaccins Covid selon les pays européens entourant la Belgique.

Extrait de son post Facebook

Nous avons examiné les effets secondaires déclarés par le VAERS (USA) et EudraVigilance en début de semaine (sur FB, commentaires).

Pour l’Europe, nous savons que ce sont les Pays-Bas qui déclarent le plus d’effets secondaires (en termes de cas individuel).

Si nous considérons les Pays-Bas comme un idéal à atteindre, en sachant que probablement là aussi nous avons un certain degré de sous-déclarations :

Combien les autres pays qui entourent la Belgique auraient dû déclarer pour être au même niveau que les Pays-Bas ?

La réponse est édifiante. Je vous la mets en graphiques. (ci-dessus)

Pharmacovigilance en France(([3] Responsabilités au centre hospitalier de Cholet du Dr Umlil
CTIAP :  Unité de pharmacovigilance
Coordination des vigilances sanitaires))

Pour compléter les informations sur les effets secondaires des vaccins anticovid (et des médicaments en général ), il faut consulter le site de l’hôpital de Cholet et les publications du Dr Amine Umlil, dont sa présentation en août 2021 au conseil scientifique indépendant ( CSI) de Réinfocovid.(([4] Lien de causalité en pharmacovigilance et en justice entre un effet indésirable et un médicament suspect  22 août 2021  et  « effets indésirables » – la pharmacovigilance – des vaccins contre la Covid-19.))

Lors de ce CSI, une « analyse des données de la base de données de pharmacovigilance américaine (VAERS) » par Christine COTTON. Et quelques notions utiles et notamment celles relatives au « lien de causalité en pharmacovigilance et en justice entre un effet indésirable et un médicament suspect » – par Amine UMLIL.

L’intégralité de l’émission est disponible via ci-dessous et sur ce lien 

Reunion publique du CSI du 19 août 2021à 21h – CrowdBunker



Mais on doit regretter que la direction de l’hôpital de Cholet ait cru bon de supprimer le 27 juillet toute référence au Dr Umlil patron du centre de pharmacovigilance et auteur de très nombreux articles qui ont fait la réputation du centre.

En pleine discussion sur l’obligation vaccinale, est-ce normal d’instaurer la censure et de priver les citoyens de sources fiables d’information ?

Vous pouvez aussi témoigner sur le site Recensement des témoignages – Résistance (resistance-mondiale.com)




Prise de contrôle du mouvement anti-pass sanitaire français

[Source : voltairenet.org]

Les manifestations contre les « pass sanitaires » se multiplient en Europe. Il s’agit de s’opposer à une discrimination entre les citoyens selon leur état de santé.

À Paris, deux manifestations concurrentes auront lieu, ce 11 septembre 2021. L’une est organisée par Floriant Philippot, un républicain ayant débuté à gauche au Mouvement des citoyens de Jean-Pierre Chevènement puis étant passé à droite au Front national de Marine Le Pen. L’autre par Jérôme Rodriguez, un Gilet jaune qui fut éborgné en janvier 2019 par la police durant une manifestation et qui eut la chance d’être indemnisé le 11 mars dernier.

La première manifestation entend promouvoir la souveraineté française. La seconde ambitionne de réunir tous les opposants au président Emmanuel Macron.

Or, les affiches diffusées par Jérôme Rodriguez sont ornées d’un poing levé. Pas n’importe quel poing levé : le logo déposé de Black Lives Matter, l’organisation racialiste états-unienne. C’est aussi le logo de toutes révolution colorées organisées par la National Endowment for Democracy[1] et les hommes de Gene Sharp[2] depuis trente ans.

À n’en pas douter, le mouvement de Jérôme Rodriguez va bientôt dégénérer et emporter avec lui une partie des opposants au président Macron pour le plus grand bénéfice de ce dernier.


[1] « La NED, vitrine légale de la CIA », par Thierry Meyssan, Оdnako (Russie) , Réseau Voltaire, 6 octobre 2010.

[2] « L’Albert Einstein Institution : la non-violence version CIA », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 juin 2007.




Que pouvons-nous apprendre de l’Australie et de l’Afghanistan sur la tyrannie Covid ?

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Source alt-market

Les personnes despotiques ont tendance à télégraphier leurs actions futures tout comme les combattants inexpérimentés ont tendance à télégraphier leurs coups de poing ; ce n’est pas comme si les intentions des totalitaires étaient obscures ou difficiles à prévoir. Dans certains cas, ils peuvent même croire qu’ils peuvent être aussi transparents qu’ils le souhaitent, car ils supposent que personne ne tentera jamais de les arrêter. Ils détruisent des vies depuis si longtemps qu’ils adoptent un sentiment de supériorité, comme s’ils étaient intouchables.

Dans mon étude approfondie de la psychopathie, je constate que, malheureusement, le principal catalyseur de l’exploitation et de la victimisation de vastes populations est le fait que nombre d’entre elles ne parviennent pas à se faire à l’idée d’une conspiration organisée de monstres humains. Ils refusent de reconnaître l’existence du mal qui se trouve juste devant eux, ce qui permet au mal de rester sans opposition pendant de longues périodes. Il y a TOUJOURS un moment, cependant, où les psychopathes poussent les mauvaises personnes trop loin. Ils ne peuvent pas s’en empêcher, et c’est à ce moment-là qu’ils se retrouvent au bout d’un nœud coulant ou dans la ligne de mire du canon d’une arme.

Lorsqu’il s’agit d’organisations de psychopathes, le même moment finit par arriver, il faut simplement plus de temps pour que le public comprenne que c’est nécessaire.

En ce qui concerne l’agenda du « Grand Reset », la tyrannie médicale utilisant la Covid comme justification est clairement un ingrédient clé des objectifs futurs de l’élite du pouvoir. Au début des confinements pandémiques l’année dernière, j’ai fait plusieurs prédictions et émis des avertissements. J’ai dit que les obligations et les confinements pour la plupart des gens dans le monde ne disparaîtraient jamais, et j’ai appelé cela la « théorie des vagues » ; l’utilisation de moments intermittents de liberté limitée suivis de restrictions de plus en plus agressives.

Ce cycle est destiné à conditionner le public à l’idée que les gouvernements sont « autorisés » à microgérer notre vie quotidienne, que c’est « normal », que c’est pour notre bien et que nous devrions profiter des courts moments de liberté ou de normalité qu’ils nous laissent si gracieusement.

J’ai toujours prévenu que tous les gouvernements du monde finiraient par adopter des exigences en matière de preuve de vaccination pour que les gens puissent participer aux activités quotidiennes telles que se rendre dans des lieux publics, aller à l’école, faire des achats dans des magasins ou même trouver un emploi. L’année dernière, les médias grand public et les gouvernements n’ont cessé d’affirmer que les passeports vaccinaux « n’allaient pas exister » et que cette notion même était une théorie du complot. Aujourd’hui, les passeports vaccinaux sont mis en place dans de nombreux pays, y compris dans certaines régions des États-Unis, et toute personne qui s’y oppose est traitée de « théoricien de la conspiration ».

Vous voyez comment cela fonctionne ? Si vous exposez la vérité d’un complot autoritaire, l’establishment ment et vous traite de « théoricien du complot ». Une fois que l’establishment admet le complot et que vous refusez de vous y conformer, ces mêmes menteurs vous traitent de nouveau de théoricien du complot, ainsi que de « terroriste ».

Oui, cela a également été prédit par moi-même et d’autres au début de la pandémie. Nous avions dit que les personnes qui luttent contre la tyrannie du passeport vaccinal seraient rapidement qualifiées de traîtres et de terroristes « mettant les autres en danger » parce que nous sommes trop « égoïstes » pour nous incliner et prendre le vaccin expérimental ou nous soumettre aux confinements. C’est exactement ce qui s’est passé, le DHS ayant récemment annoncé que l’un des signes avant-coureurs d’un terroriste potentiel est l’opposition aux obligations Covid et aux vaccins.

J’ai également prédit que le but ultime de l’agenda Covid sera de créer des restrictions de voyage à l’intérieur du pays et des points de contrôle dans les États et les villes, sans parler des « camps » ou des prisons Covid pour les personnes non vaccinées. Aux États-Unis, le DHS admet qu’il envisage de limiter les déplacements entre les États et d’instaurer un système de « papiers s’il vous plaît » pour empêcher les Américains de se déplacer librement. L’État de New York a fait allusion à des camps Covid il y a plusieurs mois, mais le véritable plan est révélé à l’étranger, dans d’autres nations occidentales comme l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Et c’est ici que nous trouvons les coups de poing télégraphiés…

J’ai spécifiquement examiné les plans de tyrannie Covid accélérée de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande il y a un an dans mon article « L’avenir totalitaire que les globalistes veulent pour le monde entier est en train d’être révélé«  et j’ai noté que tout ce qui se passe dans ces pays ainsi que dans certains pays d’Europe va être essayé aux États-Unis à court terme. La principale différence est que ces mesures ne peuvent pas être mises en œuvre rapidement de la même manière aux États-Unis, car les Américains sont lourdement armés et ont la capacité d’enterrer l’establishment six pieds sous terre si nous nous organisons pour le faire.

C’est pourquoi les passeports vaccinaux ne sont encore qu’une mesure progressive aux États-Unis et ne sont pas mis en place dans la grande majorité du pays. C’est pourquoi, en dehors des grandes villes, la plupart des Américains ignorent complètement les obligations et ce, depuis de nombreux mois.

Dans ma région, je ne pense pas avoir vu plus de deux personnes par jour porter un masque, où que ce soit. La vue du masque est si bizarre qu’il se remarque presque immédiatement. Une fois, j’ai même vu une femme avec un masque (une touriste évidente) dans la file d’attente de l’épicerie regarder autour d’elle et réaliser que personne d’autre n’en portait. Elle a soudain commencé à trouver des excuses bizarres et très bruyantes pour son masque devant tous les gens dans la file, affirmant qu’elle « déteste l’odeur des détergents » et que c’était pour cela qu’elle le portait.

La différence entre les zones rurales libres et les villes dystopiques est frappante.

Franchement, je me fiche que quelqu’un porte un masque ou non. C’est un placebo qui ne fait rien pour arrêter la transmission du virus, mais si cela les fait se sentir mieux, alors tant mieux pour eux. Le problème est que ces personnes effrayées et pathétiques essaient de projeter leurs illusions sur tout le monde. Le taux de mortalité médian de 0,26% pour la Covid est si faible que je n’arrive pas à croire que tant de personnes dans les états et comtés bleus en soient terrifiées. Je ne pense pas qu’ils comprennent les statistiques de base de la situation – 99,7% de la population a peu à craindre de la Covid.

C’est ce que disent les CDC et des dizaines d’études médicales indépendantes, mais vous n’entendrez jamais ces chiffres dans les médias. Ils parleront du nombre d’infections et de décès, mais ils refusent de mettre les décès en perspective avec les statistiques. Pourquoi ? Parce qu’alors la peur du public disparaîtrait, et l’establishment a besoin d’augmenter la peur pour pouvoir continuer à nous priver de nos libertés au nom de la « sécurité ».

J’ai entendu récemment un argument plutôt naïf selon lequel des pays comme la France font honte aux Américains parce qu’ils sont dans les rues pour protester contre les confinements et les passeports. Ils disent que les Américains « ne se défendront jamais ». Ce que ces gens ne comprennent pas, c’est que dans la plupart des États-Unis, il n’y a PAS de confinements et il n’y a pas d’obligations. Le gouvernement les déclare, bien sûr, et nous les ignorons. Il n’y a que des poches de gauchistes dans certains états et comtés qui suivent et appliquent réellement ces règles. La population conservatrice est tout à fait prête à stopper net cet agenda lorsque le gouvernement essaiera de le faire respecter, et elle essaiera certainement.

C’est ici que nous devons comprendre les développements horribles en Australie et en Nouvelle-Zélande : Les confinements sont maintenant normalisés dans ces pays et les gouvernements n’ont pas besoin d’une réelle excuse pour les justifier. Ils annoncent simplement qu’il y a une poignée de cas de Covid et que les confinements doivent revenir. Les voyages sont étranglés et les droits et libertés fondamentaux sont inexistants. Le dernier discours du Premier ministre néo-zélandais sur les restrictions en dit long :

Le message principal étant que l’interaction sociale est interdite. Il suffit de rester dans sa bulle et de suivre les obligations sans poser de questions. Et, même si vous êtes vacciné, ces règles s’appliquent toujours à vous. La beauté des restrictions Covid est qu’elles sont une excuse parfaite pour un gouvernement tyrannique pour bloquer les rassemblements publics, ce qui permet d’empêcher l’organisation de la résistance.

Les globalistes ont besoin que les confinements durent éternellement. En Australie et en Nouvelle-Zélande, on affirme que toute personne qui enfreint ces restrictions sera la cible de sanctions pouvant aller jusqu’à l’enfermement dans un camp Covid géré par l’armée. Ce sont les mêmes mesures que Biden et les globalistes de l’establishment voudraient pour les États-Unis. Ce n’est pas une théorie du complot, c’est la réalité du complot.

Cela m’amène à la situation en Afghanistan, et certains pourraient suggérer qu’elle n’a rien à voir avec la tyrannie Covid, mais suivez-moi. Encore une fois, il s’agit de prédire les événements futurs en fonction de coups de poing télégraphiés ainsi que d’exemples historiques.

La question que j’entends le plus souvent lorsqu’il s’agit de l’Afghanistan est « comment est-il possible pour un groupe d’hommes des cavernes tribales de vaincre l’armée la plus avancée du monde ». Je pense que cette énigme doit être explorée lorsqu’il s’agit de la tyrannie Covid, car si la puissance épique de l’armée américaine n’a pas suffi à retenir les Talibans, comment les globalistes prévoient-ils de faire respecter les confinements Covid en Amérique ?

Soyons d’abord clairs : nombreux sont ceux qui affirment que l’armée américaine n’avait pas le droit de gagner en Afghanistan. Il s’agit d’une déformation de la réalité. Le fait est que gagner a TOUJOURS été IMPOSSIBLE en Afghanistan. L’establishment le savait il y a 20 ans lorsqu’il a envoyé les premières troupes américaines. Ils n’avaient pas besoin de saboter la mission américaine en Afghanistan, car perdre en Afghanistan était de toute façon inévitable.

L’occupation d’une nation entière afin de réduire une insurrection importante et d’imposer un changement culturel est un effort qui doit être accompli rapidement ou pas du tout. Le coût financier est écrasant, le coût humain est stupéfiant et la quantité de ressources nécessaires pour maintenir la subjugation est exponentielle. En vérité, plus une occupation se prolonge sans l’élimination totale de l’insurrection, moins elle a de chances de réussir. Le problème est que, pour éliminer complètement l’insurrection, il faudrait anéantir la majeure partie de la population en utilisant des tactiques grotesques, qui ne font qu’inspirer davantage d’insurrection.

Je vais répéter le message ici car je pense que certaines personnes ne le comprennent pas : La conspiration visant à piéger les États-Unis dans l’échec a été achevée il y a 20 ans, au moment où nous nous sommes engagés dans l’invasion de l’Afghanistan. À partir de là, tout s’est dégradé et il n’y avait aucun moyen de gagner.

J’ai également entendu dire qu’il n’est pas pratique de comparer une insurrection afghane à une rébellion américaine contre la tyrannie parce que les Talibans sont composés de combattants dont les capacités sont bien supérieures à celles des patriotes américains. En d’autres termes, certaines personnes pensent que les talibans sont des sortes de super soldats. C’est une vision idiote. Je pense que la vidéo suivante illustre bien mon propos :

Ces soldats ne sont pas les plus brillants de la bande et ne sont pas non plus des berserkers inarrêtables. Leur entraînement est médiocre et la majorité des incidents de combat avec les talibans font état de leur habitude de ne même pas regarder le viseur de leur fusil lorsqu’ils tirent. Cela nous amène à une question logique concernant le goulag Covid que les globalistes veulent transplanter aux États-Unis : si les combattants à bas prix des talibans peuvent repousser la puissance militaire moderne des États-Unis, comment diable les globalistes comptent-ils contrôler une insurrection américaine composée de vétérans entraînés au combat et de tireurs civils expérimentés utilisant des tactiques de guérilla ?

Qui vont-ils charger de cette tâche ? Qui est assez stupide pour exiger des papiers, faire respecter les points de contrôle et arrêter ceux qui ne s’y conforment pas dans des régions majoritairement conservatrices où il y a plus d’armes que de personnes et assez de munitions pour combattre au moins deux guerres mondiales ? Je soupçonne que des mercenaires coûteux payés par des entreprises privées seraient la seule réponse en dehors des forces étrangères, et même dans ce cas, je ne voudrais pas être à leur place lorsque le géant endormi de la rébellion américaine se réveillera.

Je suppose que la leçon que je tire de ces exemples est que les globalistes vont essayer d’appliquer l’agenda Covid et la tyrannie du passeport quoi qu’il arrive. Ils ne peuvent pas arrêter le processus qu’ils ont mis en marche. Les événements en Australie et en Nouvelle-Zélande montrent que leur addiction au totalitarisme est insatiable et qu’elle exige qu’ils poursuivent un contrôle croissant quel qu’en soit le coût. Ils nous disent exactement ce qu’ils sont sur le point de faire.

Les événements en Afghanistan montrent qu’un tel contrôle est presque impossible à maintenir sur une population armée et que, du moins aux États-Unis, ils finiront par perdre… gravement. Même s’ils utilisent des tactiques de terreur absolue, ils perdront toujours tant que les Américains continueront à se battre. Les lois de l’usure prévalent toujours, et la supériorité technologique ne signifie rien. Pour résumer, le combat est déjà gagné, mais la lutte ne fait que commencer.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Le meurtre en temps réel de la démocratie

Par Lucien-Samir Oulahbib

Les élites globalistes affairistes formant la Secte Scientiste-hygiéniste assassinent sous nos yeux (guère étonnés) l’approche universelle dite « progressiste » (mélioratif) au profit des monstruosités écologistes léninistes et islamiques.

Ainsi, au lieu de considérer que les droits humains — comme la liberté de penser et d’entreprendre, l’égalité hommes/femmes, la fraternité de tous contre toutes les formes d’injustice — sont des acquis qui améliorent la condition humaine et deviennent donc les pierres angulaires (des rhombes) de la civilisation humaniste dont la Hollande, la France la Grande-Bretagne les États-Unis ont été (et sont encore) les fleurons (bien plus que l’Allemagne et la Russie, du moins sur ce point précis), les monstres fabriqués par cette Secte de zombies aux yeux froids (sans âme) ont abandonné tout lien spirituel à l’islam et tout lien écologique aux néo-léninistes (à l’instar d’Heidegger, Sartre, Lefebvre, Lévy-Strauss, Althusser qui abandonnent l’analyse sociale historique du phénomène humain au marxisme-léninisme).

Ce ne sont pas des considérations hors sol.

Lorsque par exemple aujourd’hui une experte en relations internationales spécialisée sur l’Asie du Sud-Est (en l’occurrence l’analyse de l’ingérence du Pakistan en Afghanistan, Christine Fair) est censurée par la BBC parce qu’elle souligne comment les Talibans ont été et sont encore soutenus par la fraction de la Secte régissant le Pakistan, cela démontre seulement le poids grandissant de cette dernière dans tous les domaines, que l’on peut alors énumérer comme suit (il faudra bien sûr établir aussi un « profil » propre à chaque monstre comme indiqué précédemment) :

  • Ce n’est pas un hasard que Biden ait, bien plus à la suite d’Obama que de Trump, abandonné l’Afghanistan, toutes affaires cessantes, car pour lui et la Secte qui s’en sert de prothèse politique, les Talibans — en tant que secte clanique autoproclamée — leur ressemblent à tout point de vue, au-delà des apparences divergentes, tant le désir d’absolutisme frénétique (et jouissif) de domination brutale des plus forts sur les plus faibles prévaut, mais voilé, caché, masqué par toute une apparence ouatée, toute une moquette symbolique feutrée où l’on tue avec le sourire et un petit mot d’excuse professionnelle : « rien de personnel ». L’apparente volonté de détruire l’égalité hommes/femmes en la noyant dans la fusion des « genres », la lutte pour accroître le droit à l’avortement à neuf mois pour effacer les apports au niveau psychique de la différence père/mère (ladite méthode Ropa), toutes ces dérives barbares (au sens de sortir de l’idée même de civilisation) masquent en réalité le désir absolu de promouvoir peu à peu et en toute transparence ce qui en creux structure par exemple désormais la sexualité des élites qu’elles cherchent de plus en plus à déployer partout, à savoir le sadomasochisme, l’onanisme/voyeurisme, l’orgie généralisée (La familia grande) avec en point d’orgue la pédocriminalité. Aussi, la volonté opiniâtre actuelle de masquer littéralement les populations et de les purifier par l’onction d’injection dite « vaccinale » (qui rime avec « vaginale ») dévoile ce sadomasochisme bien plus matriarcal que patriarcal pensé désormais à voix haute et élargi au domaine politique comme l’espéraient les Foucault (apologie de Sade) et Deleuze (apologie de Masoch) malgré les réticences d’un Habermas et de quelques élèves d’Aron (atones).
  •  Le fait par exemple que tous les grands médias mondiaux fassent l’apologie d’un islam considéré comme ontologiquement supérieur à tout ce que les civilisations gréco-judéo-chrétiennes, mais aussi bouddhistes et taoïstes ont créé comme armature symbolique puissante expriment bien qu’en creux soit fanatiquement désiré le Retour intégral de l’inégalité fondamentale entre initiés et non-initiés qui structure également la société islamique depuis le début, le tout teinté d’orientalisme sensualiste et de ses « mille et une nuits » (alors que la plupart d’entre elles font partie de la Perse préislamique victorieuse des Assyriens, des Égyptiens et des Grecs).
  • Même Zemmour admet en creux cettedite supériorité civilisationnelle en avouant sa peur d’une « République islamique » installée en France, alors que cette appréhension reste infondée tant la « quantité ne fait pas la qualité » (erreur de lecture de Hegel faite par Engels et que reprend Zemmour) puisqu’il ne suffit pas d’agiter des ingrédients chimiques dans une fiole pour fabriquer une cellule vivante, alors que la civilisation issue de la pensée grecque et judéo-chrétienne vivifiée par le droit romain et l’esprit scientifique issue de la Renaissance, le tout nourri enrichi par la découverte (conflictuelle) avec d’autres civilisations, permet aujourd’hui, et a contrario, que tous les humains — y compris ceux encore sous influence islamique — s’aperçoivent de plus en plus de sa supériorité objective.
  • En effet, cette civilisation multiforme améliorant le lien interactif entre humanité et citoyenneté singulière s’avère bien plus nécessaire pour leur morphologie personnelle que la civilisation islamique qui perdure uniquement encore parce que d’une part le pétrole reste un élément essentiel de la production chimique et énergétique industrielle et parce que d’autre part les élites affairistes globalistes corrompues en ont besoin pour maintenir sous le joug tyrannique des populations entières (qui cependant tentent de fuir cette destruction de fait de tout espoir mélioratif).
  • La construction de mosquées en Europe par exemple en est l’un des indices majeurs en vue de maintenir, de geler, de cristalliser en une même forme transmissible ce sadomasochisme politique qui fait tant fantasmer des élites en fin de course et qui fabriquent désormais leur population en portions de viandes pornos que l’on injecte comme on le fait pour la viande animale avant abattoir.
  • La prolifération des mensonges en matière écologique en devient le pompon et la suite programmée de la syndémie actuelle tant la diabolisation du CO2 (essentiel pour les plantes et donc la reforestation) est devenue le symptôme d’une confusion totale entre la nécessité de lutter contre le gaspillage, la démesure des mégalopoles, la globalisation forcenée, la médicalisation quantitative de la santé et ce désir-là, aussi absolutiste, d’empêcher les humains de choisir leur moyen de locomotion et de santé.
  • Le scientisme généralisé que les faux écologistes soutiennent (ne parlons pas des néo-léninistes et des islamiques bien sûr) est lui aussi le syndrome d’un mal encore plus profond : celui du refus de concevoir que l’esprit scientifique n’est pas l’opposé du sens commun, mais ce qui lui permet de s’améliorer.

Mais ces assassins sont aussi des collectionneurs : ils adorent insérer dans d’énormes bocaux les civilisations qu’ils embaument sous formol, ou alors les maintenir sous serre(s), les cultiver, ainsi telles des variétés plastiques, de maintenir sous respirateur artificiel des formes spirituelles et politiques pétrifiées, autant de nouvelles cités Pompéi.




De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses

[Source : donde vamos via Sott.net]

Dans cet article, on va revenir un peu plus en détail sur certains points abordés lors de l’émission avec Ariane Bilheran et Akina. Pour commencer, un retour sur le début des travaux scientifiques autour du contrôle de la société et des individus, initié par un courant 100% eugéniste très en vogue dans les années 20, et rassemblé dans et autour de l’Institut Tavistock.

On va voir quelle est l’idéologie derrière tous ces travaux de recherche dont le caractère scientifique reste à démontrer. Une idéologie toujours présente en filigrane dans le discours ultra libéral, et plus que jamais d’actualité.

Note de Sott : A priori, l’émission avec Ariane Bilheran et Akina à laquelle l’auteur fait référence ci-dessus est la suivante :

https://youtu.be/6lyiufYzBRI

Nous mettons aussi à disposition de nos lecteurs la même vidéo sur Odysee au cas où YouTube censure la première :



La sociologie comme outil de gestion de la société

Le contrôle des masses et de l’esprit des individus n’est pas nouveau : les religions par exemple s’en sont fait une spécialité depuis des siècles et déjà Platon allait sur ce terrain. Mais la formalisation de ce qui est devenu une véritable discipline « scientifique » remonte à l’entre-deux guerres avec les travaux de la Tavistock Clinic, en Grande-Bretagne.

1921 : La Tavistock Clinic

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Avant les nazis, le concept de contrôle mental a été élaboré par la Tavistock Clinic créée en 1921. A cette époque de nombreuses cliniques spécialisées traitaient les adultes et les enfants, et la Clinique Tavistock (sous le nom de Tavistock Square Clinic for the Treatment of Functionnal Nerve Disorders ) s’est spécialisée dans le traitement précoce des enfants.

L’objectif était donc de traiter –et non soigner, un mot absent des études et rapports de l’époque- l’humain (enfant comme adulte mais avec des départements séparés) via la médecine, la psychologie, la sociologie en même temps. Une approche novatrice qui s’inscrivait dans le courant de pensée eugéniste, sur lequel on va revenir dans cet article.

Les premiers vice-présidents honoraires de la clinique étaient des gens aussi réputés que Sigmund Freud, qui était alors en Angleterre, HG Wells, Carl Jung[1], Cyril Burt, Julian Huxley et quelques autres.

La clinique Tavistock qui disait faire de la « nouvelle psychologie » issue principalement des théories de Karl Jung et Freud a été créée en 1921 par le psychiatre Hugh Crichton-Miller, qui a dirigé par exemple la Société Royale de Médecine ou la Société Britannique de Psychologie dans les années 30, et par Cyril Burt qui a été en contact avec les eugénistes dès ses études à Oxford et a notamment travaillé sur le caractère « héréditaire » du QI[2].

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Derrière le délire de Burt, l’objectif était de trouver des indicateurs pour assurer l’ordre social, et pour lui le QI était un paramètre important pour développer l’eugénisme, c’est-à-dire une sorte de sélection des individus les plus adaptés voire rentables pour l’ordre économique.

La Tavistock Clinic a aussi repris les thèses et l’idéologie de l’école de Francfort, issue de la création officielle en 1923 de l’Institut pour la recherche sociale, et qui était orientée vers les idées marxistes et « socialistes » en termes de gestion de la société.

Comme il y avait beaucoup de Juifs et –forcément- de marxistes dans ses effectifs, l’école a été très mal vue des nazis qui ont interdit à ses professeurs d’enseigner dès 1933. Elle s’est donc installée à New York en 1935, en association avec la New School financée par la Fondation Rockefeller, puis en Californie en 1940.

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 » Lord Bertrand Russell de l’école de Francfort était un défenseur de l’ingénierie sociale de masse clandestine. Dans son livre de 1951, ‘L’impact de la science sur la société’, il a écrit: « psychologie du cul. . . . Son importance a été considérablement accrue par le développement des méthodes modernes de propagande. Parmi ceux-ci, le plus influent est ce que l’on appelle « l’éducation ». La religion joue un rôle, quoique de moins en moins important ; la presse, le cinéma et la radio jouent un rôle croissant. . . . On peut espérer qu’avec le temps, n’importe qui pourra persuader n’importe qui de quoi que ce soit s’il parvient à attraper le patient jeune et qu’il est doté par l’État d’argent et de matériel.

Russell a poursuivi : « Le sujet fera de grands progrès lorsqu’il sera abordé par des scientifiques sous une dictature scientifique… Les psychologues sociaux du futur auront un certain nombre de classes d’écoliers sur lesquelles ils essaieront différentes méthodes pour produire une conviction inébranlable que la neige est noire« .

Theodore Adorno, passé par Oxford et proche de Horkheimer, était un des piliers de l’école de Francfort. Il voulait travailler sur la sociologie de la musique pour « programmer une culture de masse comme une forme de contrôle social extensif qui pourrait dégrader ceux qui la consomment ». Il a aussi travaillé sur les nouvelles technologies d’enregistrement et leur impact sur les auditeurs.

Il a écrit en en Allemand un bouquin publié en 1947 modestement intitulé « Dialectique des Lumières », expliquant à quel point la civilisation avait évolué depuis les âges des ténèbres à travers la « rationalité » mais que cela l’a éloigné de sa nature et l’amène à l’inhumanité.

statue Freud Tavistock

La Tavistock Clinic a aussi développé le concept d’hygiène sociale et celui d’hygiène mentale. Selon le Tavistock la folie, le crime ou l’inefficacité au travail sont liés à des troubles parfois mineurs déjà visibles dans l’enfance. En 1908 les tribunaux pour enfants ont été créés, et l’amalgame entre enfants en danger et enfants dangereux s’est renforcé. Les autorités envoyaient de partout à la clinique les enfants perturbés.

A l’origine, le Tavistock a surtout travaillé sur les mineurs et le développement de l’enfant. A ce moment un certain nombre de chercheurs se lançaient dans l’étude du psychisme des enfants, notamment des enfants traumatisés ou « difficiles », dont beaucoup sont passés par le Tavistock.

Par exemple le psychiatre John Bowlby a étudié dans les années 60 l’attachement de l’enfant à la figure parentale qui s’occupe de lui, et a estimé que les enfants ont besoin de cet attachement et de se sentir en sécurité pour se construire. Il a créé une unité spéciale au Tavistock pour cela.

Tavistock Clinic

Mais il y avait aussi d’autres objectifs, comme ceux poursuivis par un des financiers de la clinique, le duc de Bedford, le fondateur du parti fasciste anglais[3]:

« En 1921, le duc de Bedfordmarquis de Tavistock légua un bâtiment à l’Institut dans le but d’étudier les effets du traumatisme sur les soldats britanniques ayant survécu à la première guerre mondiale. Son but était d’établir le « point de rupture » d’hommes en état de stress, sous la direction du Bureau de l’armée britannique pour la guerre psychologique, dirigé par Sir John Rawlings-Reese. 
L’Institut Tavistock a son quartier général à Londres. Son prophète, Sigmund Freud, s’est installé à Maresfield Gardens quand il a déménagé pour l’Angleterre. La princesse Bonaparte lui fit cadeau de la demeure. Le travail de pionnier de Tavistock en sciences du comportement selon les directives freudiennes du « contrôle » des humains en a fait le centre mondial de fondement d’idéologies
« .

1921, année de la mise en service de la Tavistock Clinic, est une année importante pour les eugénistes. C’est l’année de la deuxième conférence internationale sur l’eugénisme à New-York, la première ayant eu lieu à Londres en 1912[4] sous la présidence de Léonard Darwin, biologiste fils de Charles.

eugenics affiche

Ces conférences visaient à inviter des décideurs politiques, des scientifiques, des organisations sociales, pour discuter de la manière dont ils pouvaient améliorer l’hérédité humaine et donc le niveau des humains qui composent la société.

C’est aussi en 1921 que Freud a publié « Psychologie des masses et analyse du moi » qui popularise la psychanalyse, sur la psychologie des individus dans des foules et était notamment inspiré de livres précurseurs en la matière : « Psychologie des foules » de Gustave Le Bon, paru en 1895[5] et des ouvrages de Gabriel Tarde.

En 1928 un neveu de Freud, Edward Bernays, publie « Propaganda : Comment manipuler l’opinion en démocratie« , dont Hitler s’est beaucoup inspiré.

Au tournant de la deuxième guerre mondiale, la Tavistock a été liée beaucoup plus étroitement au ministère de la Guerre, à l’armée et aux renseignements, orientant davantage ses travaux dans le contexte de la guerre, ce qui impliquait aussi de travailler sur les organisations et la gestion des humains.

psychologie des foules

En 1938, « Le personnel de la Clinique exprima son intention d’enquêter sur « les classes patronales et les cadres, car il était tout aussi important qu’ils soient harmonieusement équilibrés. » Ils voulaient appliquer le « traitement scientifique de la psychonévrose » aux problèmes à grande échelle d’efficacité professionnelle et aux dirigeants », et la sélection des officiers était un moyen potentiel d’y parvenir, résume Alice Victoria White en 2016 dans sa thèse « From the Science of Selection to Psychologising Civvy Street: The Tavistock Group, 1939-1948″

Un volet moins connu des travaux du Tavistock est celui sur les micro-ondes et leur potentiel en termes de contrôle des populations et des individus. Dès les années 50 des tests ont été menés sur des singes pour voir quand le singe dominait devenait soumis, et identifier les fréquences du cerveau correspondant à cet état de soumission.

Ce sont en effet les anglais qui ont marqué les plus grandes avancées sur les micro-ondes à partir des années 40, et c’est d’ailleurs en Angleterre qu’elles ont été testées à grande échelle sur des populations rétives au thatchérisme[6].

Parmi les domaines de recherches du Tavistock, il y a aussi l’identité sexuelle. Le Tavistock a été précurseur pour propager la théorie du genre et la banalisation de la transsexualité auprès des adolescents, quitte à produire des études peu sérieuses.

L’influence de Kurt Lewin

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Depuis 1921, le psychologue allemand Kurt Lewin, qui passe aujourd’hui pour l’un des fondateurs de la psychologie sociale devenue la psychologie du travail il y a quelques années, avait commencé ses travaux sur le comportement humain et la manipulation des individus dans des groupes c’est-à-dire la « dynamique de groupe ».

Des travaux qui ont beaucoup influencé la Tavistock Clinic, qu’il a dirigée en 1932, quand a été créé l’Institute for the Scientific Treatment of Delinquency (l’insititut pour le traitement scientifique de la délinquance).

Lewin a notamment étudié les groupes dans le cadre de l’entreprise, par exemple autour de « la résolution des conflits sociaux » ou l’ « accompagnement au changement » tant apprécié dans les cours de « management », et a participé à l’initiation de l’Association pour la psychologie expérimentale devenue l’Association Allemande de Sociologie.

usine angleterre

Lewin avait compris l’impact de son environnement sur l’individu et l’importance d’agir sur l’environnement pour modifier la personnalité des individus, bien au-delà des simples comportements. Il cherchait aussi à utiliser le trauma pour manipuler les individus, les « reprogrammer » sur le mode Ordo ab chaos, cette devise à la fois sataniste et franc-maçonne qui dit que l’ordre viendra du chaos.

Lewin s’est dit qu’appliquer ces méthodes à l’échelle de la société pouvait donner des résultats prodigieux en termes d’ordre social. Il a mis cela en application pour contribuer à faire entrer en guerre les US.

Lewin, qui était très proche de l’OSS puis de la CIA, expliquait par exemple en 1947 qu’ « il est préférable de conduire le changement en se focalisant sur la diminution des forces restrictives, plutôt que de chercher à augmenter les forces propulsives. Il est alors possible de changer en réduisant l’attachement des individus à la norme, soit en modifiant la norme elle-même« . Le processus de changement est composé de 3 étapes (cf. Cours de marketing en ligne) :

  • La phase de décristallisation des normes (phase 1), correspond à l’abandon des comportements et des attitudes habituelles et à la création d’une motivation à changer. Cette décristallisation est rendue possible par la discussion en groupe, favorisant la remise en cause des normes du groupe.
  • La phase de déplacement (phase 2), donne lieu à un changement par la réduction des forces de résistance que représente l’attachement aux normes. Il s’agit d’une phase de transition où l’on expérimente les nouvelles pratiques.
  • La phase de cristallisation (phase 3). Cette phase repose sur l’intégration de nouvelles habitudes.
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Une méthode qui a fait et fait hélas toujours ses preuves car elle consiste à briser les fondements des individus. L’affaire France Telecom, où des cabinets de conseils en manipulation et pressage de citron ont été grassement payés pour éjecter un maximum de fonctionnaires[7], de même que la pseudo gestion de crise covid qui a surtout pour but de nous amener à marche forcée dans le monde orwellien dont certains rêvent depuis plus d’un siècle, le montrent parfaitement.

En écrivant ce genre de chose, dont il savait que cela s’appliquerait à l’entreprise comme à la politique, Lewin trahissait le but des sciences sociales qui est d’identifier et permettre de résoudre les problèmes sociétaux, pas ceux du pouvoir capitalistique.

Etant Juif, Lewin a rapidement été interdit d’enseigner et a fui l’Allemagne nazie en 1933. Après un passage en Angleterre et à la Tavistock Clinic il est arrivé aux Etats-Unis en 1935, enseignant notamment la psychologie sociale et psychologie de l’enfant d’abord à Stanford puis à Cornell, dont on reparlera dans la partie sur MK-Ultra, et enfin à Harvard où a été créée la première chaire de psychologie sociale en 1917 en collaboration avec l’armée.

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A partir de de la fin des années 30 il s’est lancé dans l’étude du comportement des individus dans le milieu du travail et les mécanismes de défense face à l’ingérence de l’extérieur, et a fondé en 1945 avec le MIT (proche de l’armée US) le Research Center for Group Dynamics.

Lewin a beaucoup travaillé sur l’apaisement des relations de travail, pour améliorer la productivité et limiter les conflits. Comme chez les nazis la notion de bonheur a été intégrée à celle de travail. Et sur la notion de groupe, notamment dans l’industrie du charbon, pour dépasser les conflits sociaux.

Il a aussi travaillé sur les enfants aux Etats-Unis, notamment à l’Iowa Child Welfare Research Station (le pôle de recherche sur le bien-être de l’enfant) où il a mené des recherches entre 1935 et 1944.

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Après 1945, le Département Social de l’institut Tavistock a été créé pour poursuivre les travaux sociologiques, anthropologiques, psychologiques et psychiatriques entrepris pendant la guerre, et les appliquer à la vie sociale en temps de paix.

En 1946 quand la Tavistock Clinic a été intégrée au service national de la santé, elle a reçu un don de la Fondation Rockefeller pour mettre en place une organisation séparée et travailler sur des sujets « non acceptés dans le domaine de la santé mentale« [8]. Elle est alors devenue le Tavistock Institute of Human Relations, isntallé sur un terrain de l’université du Sussex. L’Institu Tavistock a obtenu le statut d’ONG auprès de l’ONU l’année suivante.

Des travaux sur les « systèmes socio-techniques », sur les dynamiques de groupe et l’organisation du travail ont été menés au cours des années 50 et 60 au Tavistock par différents chercheurs comme Eric Lansdown Trist, spécialiste de la psychologie sociale ou le psychologue australien Fred Emery.

A travers tous ces travaux, le Tavistock a institutionnalisé les idées de Lewin, devenues très populaires dans les années 70.

Les influences du Tavistock sur le programme MK-Ultra.

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Un des grands noms du Tavistock, injustement mis sous le tapis aujourd’hui, est un certain John Rawlings Rees, à la fois psychiatre et militaire, cofondateur et premier président de la World Federation for Mental Health créée avec la bénédiction des Nations Unies dès 1947.

Rees était déjà présent à la Tavistock Clinic à sa création en 1920, en avait été nommé directeur médical adjoint en 1926 puis directeur médical en 1933, et il était encore là pour l’inauguration de l’Institut Tavistock pour les Relations Humaines en 1947.

Avec lui, le « Tavi » est aussi devenu un centre de formation à la psychothérapie qui rayonnait dans une série de structures[9] dédiées de près ou de loin à la gestion de la société par la médecine psychiatrique, dont une bonne partie a été créée par Rees et ses amis. Ce microcosme, largement financé et promu sur le plan « scientifique », a ainsi diffusé une certaine vision de la psychiatrie.

Rees, engagé comme psychiatre consultant par l’armée anglaise à partir de 1939, a été un acteur majeur du développement du concept de guerre psychologique, initiée par les Français durant les guerres d’Indochine puis d’Algérie. Rees a alors développé la psychothérapie de groupe basée sur la psychanalyse, devenue une nouvelle méthode de travail. Pour l’armée Rees a aussi travaillé sur les moyens d’influencer le moral de l’ennemi, sur la gestion des hommes, sur l’autorité… Des travaux qui ont été repris pour travailler sur le conditionnement des salariés et la gestion des « ressources humaines » étudiés au Tavistock.

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Rees a compris que les humains étaient fortement conditionnés par leur culture, leurs valeurs, plus que par le lavage de cerveau tel qu’ils le pratiquaient sur les soldats. Il fallait donc agir sur la société dans son entièreté.

La « Méthode Rees »qui a été très appréciée dans les écoles de guerre mais pas seulement consiste en un contrôle fasciste de la société, adapté à la gestion de la société du futur. Rees prônait un contrôle des communautés locales par des « leadership groups » et la démocratie participative avec évidemment un contrôle strict de l’information.

On notera que Rees a fait partie de l’équipe qui s’est occupée de gérer Rudolf Hess, ce pilier du système Nazi et proche d’Hitler depuis les débuts du NSDAP, qui a pris l’avion pour l’Angleterre en 1941[10]. Rees l’a suivi jusqu’en 1945, quand Hess a été jugé, passant officiellement pour dérangé mentalement grâce à l’analyse de Rees et son équipe. Après la guerre il a évidemment été nommé dans l’équipe de psychiatres chargés d’examiner les quelques nazis renvoyés devant les juges à Nuremberg, soi-disant pour « étudier le nazisme ».

Les nombreux travaux de « JR » Rees pour l’armée et les renseignements militaires lui ont valu de nombreuses récompenses et conféré un statut de « medical statesman » (homme d’Etat médical).

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C’est donc avec les honneurs qu’il a quitté le Tavistock en 47, pour se consacrer à l’organisation du 1er congrès de la santé mentale à Londres en 1948 et à la création de la World Federation for Mental Health (WFMH) avec Montagu Norman (gouverneur de la Banque d’Angleterre de 1920 à 1944 et proche des industriels Allemands).

La première intervention à la conférence fondatrice (vice-présidée par Carl Jung) a été celle de Margaret Mead, anthropologue et occultiste qui a été présidente de la WFMH en 56-57. La WFMH a lancé le mouvement d’ « hygiène mentale » et a très vite travaillé avec l’OMS et l’UNESCO dont le 1er directeur était Julian Huxley.

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Plus inquiétant encore chez Rees était sa volonté d’estomper les limites entre le vrai et le faux, le bien et le mal, et même de faire disparaître ces concepts, s’inscrivant en cela parfaitement dans l’idéologie sataniste/luciférienne. Tout un courant de la psychiatrie suivait cette tendance dans les années 40-50.

En 1934 devant des militaires Rees a expliqué son plan :

« Si nous voulons infiltrer les activités professionnelles et sociales d’autrui, je pense que nous devons imiter les totalitarismes et organiser une sorte d’activité de cinquième colonne… Nous avons mené une attaque fructueuse contre un certain nombre de professions. Les deux plus faciles d’entre elles sont naturellement la profession d’enseignant et l’église, les deux plus difficiles sont le droit et la médecine… Ne parlons pas en termes d' »hygiène mentale » mais en termes de « santé mentale ». …Soyons donc tous très secrètement la cinquième colonne. La psychiatrie doit maintenant décider de ce que sera l’avenir immédiat de la race humaine. Personne d’autre ne le peut. C’est la responsabilité première de la psychiatrie ».

Au Tavistock, Rees a aussi travaillé avec un canadien dénommé Brock Chisholm, psychiatre qui fut à l’œuvre dans la création de l’OMS, dont il a été le premier directeur général de 1948 à 1953. Il s’était notamment fixé comme objectif de définir ce qu’était l’hygiène mentale à travers une masse de publications sur la psychiatrie, pour normaliser et cadrer ce domaine crucial pour la gestion de la société.

A la sortie d’une guerre traumatisante pour plus de la moitié de la population mondiale, le sujet était en effet d’actualité. Et la chimie faisait de grands progrès ces dernières années, d’abord en Allemagne puis aux Etats-Unis également.

C’est Chisholm qui aurait suggéré à son ami « JR » Rees de créer une « Organisation mondiale de la santé mentale » pour avoir une organisation soi-disant indépendante avec laquelle collaborer.

Chisholm aussi était un fan du « gouvernement mondial » et lui aussi était pour estomper les notions de bien et de mal ainsi que la foi religieuse car cela « produit des gens non civilisés, l’immoralité, la délinquance et le chaos social« . Et pour y parvenir, il n’y avait selon lui rien de mieux que l’éducation et la psychothérapie.

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Un des collègues de Rees qui a dirigé la World Federation for Mental Health, Franck Fremont-Smith, a créé en 1942 le « Cybernetics Group », lancé par une fondation vitrine de la CIA, la Josiah Macy Foundation où Fremont-Smith était directeur médical. Les financements du Cybernetics Group venaient d’un peu partout, notamment de la WFMH, et servaient à payer des travaux destinés à prévoir et contrôler le comportement humain[11].

Kurt Lewin était d’ailleurs présent à la conférence de lancement, au cours de laquelle un chercheur mexicain dénommé Arturo Rosenblueth a déclaré que le cerveau était juste une machine complexe avec des impulsions électriques et que le comportement humain pouvait être programmé au niveau individuel comme sociétal.

En 69 sur son lit de mort, ledit Rosenbleuth a expliqué que « La culture de la recherche scientifique dans les plus hautes institutions d’enseignement a […] un rôle central. Elle élève le niveau d’enseignement destiné à préparer des professionnels et des techniciens compétents. Elle fournit l’atmosphère intellectuelle nécessaire pour la formation d’enseignants distingués. Enfin, elle permet l’entrainement du reste de la recherche ». Le Cybernetic Group a cessé d’exister en 1953 suite à des bisbilles internes.

Autre psychiatre éminent du Tavistock qui a travaillé sur le programme MK-Ultra : William Sargant, proche du directeur du programme MK-Ultra, le chimiste Sidney Gottlieb. Nommé à la tête du département de psychologie de l’hôpital de Saint Thomas à Londres en 1948 après un séjour de quelques mois aux Etats-Unis, Sargant s’inscrivait totalement dans les vues de Lewin.

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En 1957 il a publié un livre intitulé « Battle for the mind – A psychology of coversion and brain-washing » (La bataille de l’esprit. Une psychologie de la conversion et du lavage de cerveau) dans lequel il parle de diverses expériences, notamment l’utilisation de drogues, de la lobotomie et des « traitements par chocs » électriques ou d’insuline. Il examine aussi les religions et l’endoctrinement, la torture et leurs possibilités en termes de lavage de cerveau.

Il explique que

« Beaucoup de croyances peuvent être implantées dans beaucoup de gens après que les fonctions cérébrales aient été suffisamment perturbées par une peur, une colère ou une excitation induite accidentellement ou délibérément. Un des résultats qu’entrainent ces perturbations, le plus commun est une faculté de jugement temporairement affaiblie et une suggestibilité renforcée ».

Il ajoute :

« Avant d’être capable de modifier le schéma comportemental des pensées et des actions dans le cerveau humain avec rapidité et efficacité, il est apparemment nécessaire dans la plupart des cas d’induire certaines formes de perturbations physiologiques du cerveau. Le sujet doit être effrayé, énervé, frustré ou dérangé émotionnellement d’une manière ou d’une autre, car de telles réactions sont à même de causer des altérations des fonctions du cerveau qui peuvent augmenter sa suggestibilité ou le rendre capable de dépasser ses conditions normales ».

Et la lobotomie ou les électrochocs semblent parfaitement adaptés pour cela. Au final, Sargant appelle à mener d’autres expérimentations.

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Sargant, ce fils d’une famille méthodiste et grand partouzeur en compagnie de médecins, magistrats et autres personnalités voulait faire entrer la psychiatrie dans une nouvelle ère, en utilisant plus particulièrement la lobotomie préfrontale, le coma hypoglycémique, et les chocs électriques. Il a mené ses expérimentations sur des cobayes pris dans les prisons et hôpitaux psychiatriques de l’armée (auxquels on mentait sur l’objectif réel des expériences) pour le MI5 et MI6, dans des bases militaires anglaises comme Maresfield ou Porton Down l’équivalent anglais de Fort Detrick[12].

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Des tests qui avaient parfois lieu sous la supervision de Sidney Gottlieb et Franck Olson, cet agent de la CIA passé par la fenêtre d’un immeuble alors qu’il avait été gavé de LSD par ses amis de la CIA, et les trois sont même devenus amis.

Sargant avait un rôle pivot dans le programme MK-Ultra, et assurait la liaison entre la fondation pour la recherche sur l’écologie humaine (Human Ecology Fund) et les centres de recherches militaires ou civils anglais impliqués dans le programme.

Sargant a aussi collaboré étroitement avec l’affreux Ewen Cameron, ce psychiatre canadien fils d’un pasteur Ecossais qui travaillait sur le psychic driving, la conduite psychique, et a mené des expériences (électrochocs, drogues, hypnose, privations sensorielles, lobotomies au niveau des parties du cerveau qui gèrent les émotions…) sur des dizaines de patients non volontaires dans des hôpitaux canadiens, dans le cadre de MK-Ultra.

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Cameron, qui était aussi financé par l’Human Ecology Fund et par la fondation Rockefeller, était très réputé. Il faisait le tour des colloques, toutes les publications « sérieuses » lui étaient ouvertes et il est même devenu président de l’American Psychiatric Association, l’asso de référence des psychiatres US, en 1952-1953 c’est-à-dire au moment du lancement officiel de MK-Uktra, puis de son homologue canadienne, et en 1962 il est devenu président de la World Psychiatric Association où est définie la doxa dans le domaine.

Cette collaboration entre Sargant et Cameron a été nouée très tôt, le premier reproduisant en Angleterre les expériences du second[13]. Ils avaient les mêmes vues, celles du Tavistock et des inventeurs de l’ingénierie sociale, sur la gestion de la société. Raciste, élitiste, eugéniste, Cameron a par exemple écrit : « La menace imminente d’une dégénération de la race, la perspective d’une batardisation nationale due au laxisme eugénique, la croissance de la délinquance et de l’immoralité – une approche radicale du traitement peut changer tout cela » au début de sa carrière de responsable d’un hôpital psychiatrique où on laissait littéralement au rebut de la société.

Sargant lui-même a fait un séjour en hôpital psychiatrique au début de sa carrière après une sorte de burn out consécutif à l’échec d’une de ses « thérapies ». Il ne reculait devant aucune technique, et a pu laisser des patients sans sommeil durant plusieurs mois d’affilée, ou à l’inverse les plonger dans un semi coma durant des semaines, a essayé d’en « traiter » d’autres avec le virus de la malaria, en plus des traditionnels délires drogues/médocs-électrochocs-hypnose…

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Apparemment, des mineurs de 16 voire 12 ans ont aussi été utilisés mais évidemment une partie des expériences est restée secrète.

Si les victimes sortaient de ces expériences dans un état pire qu’en arrivant, il attribuait cela à leur personnalité qui ne collait pas. Une actrice anglaise, Celia Imrie, a raconté son passage entre les mains de Sargant quand elle était adolescente. Ses parents l’avaient envoyée au St Thomas Hospital à 14 ans pour une crise d’anorexie.

« Les méthodes de Sargant étaient simples : un traitement par électrochocs et des comas induits par l’insuline conduisant à une narcose continue, ou une thérapie du sommeil profond, complétée par des ordres de « lavage de cerveau » diffusés aux patients sous leurs oreillers. Et dire que tout cela était gratuit avec le NHS [le système de santé anglais] ! », écrivait-elle en 2011.

« Je me souviens aussi de la célèbre salle de narcose, une salle où les patients étaient contraints pendant des jours à un sommeil induit par la drogue pendant que des cassettes leur diffusaient des instructions sous l’oreiller« .

Les gens y entraient drogués et en sortaient drogués, inconscients.

Elle y a été traitée à l’insuline pour la mettre en sommeil, avec un antipsychotique appelé le Largacil. Elle se rappelle d’une infirmière parlant de sa « dangereuse résistance » aux « médicaments », de Sargant disant que « chaque chien a son point de rupture, ça prend juste un peu plus de temps pour les excentriques« .

Les origines du contrôle social : l’eugénisme

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La Tavistock a été créée à l’université d’Oxford, avec le soutien du Royal Institute of International Affairs. Les milieux eugénistes y étaient très actifs.

Les anglais avaient construit les théories eugénistes depuis la fin du XIXe siècle. C’est par exemple à l’University College de Londres qu’ont été formalisés les délires qui ont amené les Nazis à concevoir leur « Solution Finale ».

Cet épicentre du mouvement eugéniste au tout début du XXe siècle, a financé des travaux de recherche sur l’eugénisme et l’hérédité dans son laboratoire de biométrie créé à l’initiative de Galton et dirigé par Karl Pearson, intégré ensuite dans le Francis Galton Laboratory for National Eugenics[14].

L’eugénisme, ou la peur du désordre social chez les classes favorisées

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Karl Pearson, formé en Allemagne à la sociologie, était le bras droit de Galton à l’University College, un parfait soldat de l’eugénisme. Pour lui, par exemple, « il n’y a aucun espoir de purification raciale dans un environnement qui n’implique pas la sélection des germes« .

L’idée dingue de créer « une race supérieure » n’est pas née dans le cerveau dérangé des Nazis mais dans celui d’un aristocrate et statisticien anglais, Sir Francis Galton, qui voulait mettre en place une « sélection » des meilleurs humains selon ses critères et créer une « nouvelle race supérieure ». Galton, pionnier de la biométrie, était aussi le cousin de Darwin dont les théories ont elles aussi largement alimenté le délire eugéniste.

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Par exemple, Darwin considérait que

« Tous ceux qui ne peuvent éviter à leurs enfants une horrible pauvreté devraient s’abstenir du mariage ; car la pauvreté n’est pas seulement un grand malheur, mais elle tend à s’accroître elle-même en conduisant à l’irresponsabilité dans le mariage. D’autre part, comme M. Galton l’a remarqué, si les prudents évitent le mariage alors que les irresponsables se marient, les membres inférieurs de la société tendent à supplanter les membres meilleurs » (dans « La Filiation de l’homme »). 

Il y a eu un long travail depuis les premiers écrits d’auteurs tels que William Rathbone Greg en 1868 ou Sir Fancis Galton en 1883 pour donner un aspect un peu sérieux à cette « discipline », à coup d’études et d’enquêtes qui lui ont progressivement donné une forme de légitimité[15].

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Galton, obsédé par la question de la transmission des qualités héréditaires et de la « dégénérescence » de la société, définit l’eugénique dont il voulait faire une « religion laïque », comme suit :

une « science de l’amélioration de la race, qui ne se borne nullement aux questions d’unions judicieuses, mais qui, particulièrement dans le cas de l’homme, s’occupe de toutes les influences susceptibles de donner aux races les mieux douées un plus grand nombre de chances de prévaloir sur les races les moins bonnes« .

Il voulait aussi combiner cela avec un système social de « méritocratie », que la France technocrate a parfaitement appliqué et dont nous payons fortement les conséquences. Il a aussi travaillé sur des jumeaux toujours pour identifier l’hérédité.

Galton voulait carrément créer un  « clergé scientifique » – qui n’est pas sans rappeler les individus qualifiés de « médecins » qui font la pluie et le beau temps à la télé comme dans tout le pays depuis 19 mois- pour imposer une démarche eugénique dans l’ensemble de la société. Le seul frein à tout cela était la morale de la société qui n’approuvait pas l’élimination brutale d’une partie des citoyens.

Ces théories ont beaucoup intéressé Nietzsche, ce grand philosophe qui entre deux coups de folie les a ramenées en Allemagne.

L’Eugenics Education Society a été crée en 1907 par Sybil Gotto, inspirée par les thèses de Galton.

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En 1911, un article économique intitulé « Les progrès de l’eugénisme » listait les nombreux domaines d’application de l’idéologie eugéniste, qualifiée de « science de la réforme sociale ». Car il fallait régler les problèmes de la société et permettre à cet « ordre social » auquel tient tant cette petite élite de perdurer indéfiniment.

En 1912 c’était le 1er congrès international d’eugénisme à Londres, avant les nazis. Puis en 1921 et 1932 à New York.

Et la création de l’International Federation of Eugenics Organizations par Charles Davenport, qui regroupait des organismes de différents pays, parmi lesquels l’Institut Kaiser Wilhelm d’anthropologie, hérédité humaine et d’eugénisme, le Cold Spring Harbour Carnegie Institution for Experimental Evolution, l’Eugenics Record Office.

Une grande partie de l’argent venait de la fondation Rockefeller, qui après la 1ère guerre a aussi financé la psychiatrie génétique en Allemagne, et la création du Kaiser Wilhelm Institute for Psychiatry à Munich (ex Institut Kraepelin[16]) dont on parlera dans le prochain article sur l’eugénisme version Allemande.

Dès 1913 le Mental Deficiency Act a séparé les handicapés mentaux de la société pour qu’ils n’aient pas d’enfants dans le cadre d’une idéologie eugéniste revendiquée au Parlement. Ce texte a été en vigueur durant une quarantaine d’années.

Concours de la famille eugénique dans le Kansas

Le fondateur du Tavistock, Cyril Blunt, avait travaillé pour la ville de Londres en tant qu’eugéniste / psychologue afin d’établir des tests de QI pour identifier les écoliers moins « intelligents » d’après ses critères basés sur un « ordre social » très hiérarchisé avec l’aristocratie anglaise et les riches tout en haut.

Un test a donc été imposé aux enfants de 11 ans en vue de les répartir dans des écoles de niveaux différents, en fonction du rôle social attendu des enfants.

Entre les deux guerres, l’eugénisme s’est répandu comme une traînée de poudre dans la société anglaise. Bien au-delà de la frange d’extrême-droite de l’aristocratie. Les eugénistes étaient présents dans l’éducation, dans la pédiatrie, dans les politiques familiales pour encourager les femmes de la classe moyenne à avoir plus d’enfants que les pauvres en les incitant par des aides financières tout en pénalisant les pauvres[17] en taxant fortement –comme c’est toujours le cas- les célibataires et couples sans enfants, dans la « médecine » ou assimilé, dans l’économie, matière conçue et standardisée par les anglais…

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En 1938, l’ « Euthanasia Society of America » a été créée pour défendre les vues eugénistes sur l’élimination des « indésirables » et réclamer la légalisation de ce procédé, d’abord évidemment pour des motifs médicaux (fin de vie, bébés mal-formés…).

Le psychiatre Juif Allemand Franz Kallmann a émigré aux USA en 1936. Il y a créé en 1948 l’American Society of Human Genetics qui a lancé plus tard le « Human Genome Project ». Kallmann a aussi été nommé à la tête de l’Institut Psychiatrique de l’État de New York, rattaché à l’université de Columbia qui était un des centres principaux des expériences MK Ultra.

Le directeur de l’Institut psychiatrique de New-York était le Dr Nolan D.C Lewis, élève de Freud et franc-maçon qui a travaillé avec la fondation Rockefeller pour promouvoir la « psychiatrie génétique » en 1934. Il a contribué avec Ewen Cameron et John Rawlings Rees à l’expertise psychiatrique de Rudolf Hess. Lewis utilisait aussi des drogues, notamment la mescaline, sur ses cobayes / patients.

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Les eugénistes étaient dangereux, car ils considéraient notamment, comme jupicrétin et ses amis, que les pauvres sont la cause de la totalité de leurs maux et même de ceux des classes supérieures. Greta Jones explique par exemple dans « Eugenics ans social policy between the wars » que « la mortalité infantile élevée et le taux de maladies parmi les enfants de la classe ouvrière était dû à la négligence et à l’ignorance –résultat d’une faiblesse  d’esprit héréditaire. Ainsi ce ne sont pas les salaires ouvriers qui sont insuffisants, mais le standard des soins maternels ». Il était même question d’ « inefficience maternelle ».

C’est tellement pratique, et on comprend pourquoi les milieux industriels et d’affaires étaient si intéressés par ce genre de théories. « En outre, une grande partie du retard de croissance, du rachitisme et d’autres les maladies de l’enfance parmi les segments de la classe ouvrière étaient dus, ont-ils suggéré, au fait que les types physiques pauvres gravitaient inévitablement dans la couche sociale inférieure« , ajoute Greta Jones. Rappelons qu’à l’époque les eugénistes étaient considérés comme des « scientifiques » puisqu’on n’avait pas encore mis leurs théories en application à fond comme l’ont fait les Nazis.

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En effet pour les eugénistes, le chômage, le crime et tous les maux de la société sont dus à la condition héréditaire des classes ouvrières ou carrément pauvres. Ils parlaient beaucoup de « groupe à problèmes sociaux » à cette époque, terme repris dans le rapport Wood de 1929 sur la déficience mentale et qui a renforcé la pression pour la stérilisation des handicapés mentaux.

Des articles étaient publiés jusque dans la si fameux British Medical Journal pour appeler à appliquer cette « solution » et à l’époque les braves citoyens de la classe moyenne craignaient vraiment une épidémie de pauvres complètement débiles qui menacerait toute la société.

En 1921, après le 2e congrès international eugéniste, l’American Eugenics Society (appelée aussi « Society for Biodemography and Social Biology ») a été créée pour pousser à la régulation raciale et la santé version eugénistes. Averell Harriman, grand patron de presse US très à droite pour ne pas dire carrément fasciste et fondateur du Time était à son conseil d’administration. Grâce à d’importants subsides de « philanthropes », la société s’est donnée à fond dans la propagande pour le contrôle des naissances.

Le terrain aux Etats-Unis était très propice pour les théories eugénistes, et des structures ont été créés dès la fin du XIXe, comme le laboratoire privé de Cold Spring Harbor pour la recherche en génétique et biologie, qui a abrité les travaux de Darwin notamment.

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Ce labo fondé en 1890 et dirigé par Charles Davenport[18], où l’on cherchait à identifier les traits génétiques parfaits dans les familles américaines et à populariser l’idéologie eugéniste, existe toujours. Il a abrité de 1910 à 1939 l’Eugenics Record Office (ERO) qui avait pour objectif d’étudier le comportement humain dans une perspective eugéniste.

Davenport a recruté pour diriger l’ERO un certain Harry H. Laughlin, spécialiste d’agriculture qui voulait sélectionner les humains comme les graines qui est devenu un des meneurs du mouvement eugéniste aux USA. Ce raciste et propagandiste forcené de l’eugénisme dont les travaux à l’ERO ont été financés par John D. Rockefeller dans les années 1910, a mené des enquêtes aussi nombreuses qu’hasardeuses dans ce sens.

Président de l’American Eugenics Society de 1927 à 1929, Laughlin était un militant de la stérilisation qui a défini les critères des personnes à stériliser appelées « socialement inaptes ». Ces critères ont servi à concevoir les lois de stérilisation ou permettant la stérilisation qui se sont propagées dans la moitié des États Américains entre 1907 (Indiana) et 1921.

Les cibles des stérilisations forcées et les procédures variaient selon les États, mais les « médecins » se couvraient toujours par une décision collégiale et en général les cibles étaient les natifs Américains, les malades mentaux, les délinquants, parfois les Noirs, les épileptiques, les aveugles, les sourds, même gens atteints de tuberculose ou syphilis, les « difformes » ou les « individus à charge » comme les orphelins, les sans-domicile etc.

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Hitler s’est directement inspiré des lois inspirées par Laughlin aux Etats-Unis pour sa loi de 1933 imposant la stérilisation massive des handicapés, et aussi pour son délire de gouvernement mondial. Laughlin a même été récompensé en 1936 par l’université d’Heidelberg pour la pertinence de ses travaux sur la « science du nettoyage racial ». Autre marotte de Laughlin : l’internationalisme et la création d’un gouvernement mondial eugéniste.

Les eugénistes se servaient de la « philanthropie » comme un moyen d’utiliser l’hygiène, l’éduction, l’environnement, pour la préservation de la race comme l’explique un texte du début du XXe siècle, « The Groundwork of Eugenics » de Karl Pearson.

L’eugénisme était aussi répandu en Suède où la loi sur la stérilisation de 1934 est passée comme une lettre à la poste, en France où une expérience a été menée près de Strasbourg à partir de 1924 avec de vraies familles[19], aux Etats-Unis à travers la Société Eugéniste et le développement du Planning Familial[20], en Allemagne Nazie bien-sûr où l’école de Francfort a repris les travaux en la matière…

De fait, Greta Jones souligne :

« Il y a des liens entre l’eugénisme et la philosophie du néo libéralisme et les héritiers de cette tradition peuvent trouver une compatibilité entre l’eugénisme et leurs vues sociales. C’était une déduction logique de leurs principes. Le néo-libéralisme a redéfini la citoyenneté non comme étant simplement un droit politique mais comme un idéal moral, social et même esthétique ».

La Fabian Society

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La société fabienne était officiellement de tendance socialiste et constituait le think-thank du parti travailliste, tout en intégrant totalement les vues eugénistes d’une société de castes. Elle a été créée en 1884 et avait pour ambition « la reconstruction de la société en accord avec les plus hautes perspectives morales » tout en critiquant les dérives du capitalisme ainsi que les mouvements de gauche. C’était le début du « socialisme », mené par des bourgeois dont l’objectif premier était de détourner les classes laborieuses de toute velléité révolutionnaire.

[Voir aussi : Guy Boulianne — « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués »]

Sidney Webb qui l’a présidée à la fin du XIXe était un ponte du mouvement socialiste et membre de la Société Eugéniste anglaise dès sa création. En 1904 Webb est devenu président du comité technique de l’Education, en charge de gérer l’enseignement secondaire et supérieur.

Pour les membres de la Fabian Society, l’Etat devait intervenir plus fortement au niveau social pour « améliorer » la société à travers l’éducation, la santé, les aides sociales, les lois du travail, et le repérage des enfants qui deviendraient des adultes problématiques. Tout cela devait être utilisé comme autant d’instruments de régulation des tensions sociales.

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Les « Fabiens » comme ils s’appelaient défendaient aussi un « gouvernement mondial ». Léonard Woolf (membre du parti travailliste, écrivain et mari de Virginia Woolf) qui avait rejoint la Fabian Society en 1913, a publié en 1916 un bouquin intitulé « International government » dans lequel il appelle à la mise en place d’un gouvernement mondial, un pouvoir supranational, cela bien évidemment au nom de la « paix », cet argument qui a servi à construire l’Europe du business et de la finance.

Les « écrivains » HG Wells ou George Bernard Shaw appartenaient à la Fabian Society, quant à Georges Orwell et Huxley ils gravitaient a minima dans son orbite. Le livre d’Huxley « Le Meilleur des mondes » comme 1984 d’Orwell ne sont pas de la science-fiction mais des programmes, des essais dans le cadre de leurs échanges sur le monde dont ils rêvaient.

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Huxley était un eugéniste revendiqué, il était pour le « contrôle des naissances » et même pour l’amélioration de l’humain par les moyens disponibles (donc le début du transhumanisme) mais il trouvait que ça ne suffisait pas pour assurer un réel contrôle social. C’était aussi un grand ami d’un des plus éminents psychiatres impliqués dans le programme MK-Ultra, Louis Jolyon West[21].

Wells quant à lui était évidemment raciste, voulait une société mondiale et prônait un « darwinisme social ». Il se félicitait de l’arrivée des médias de masse, en premier lieu la télé mais aussi les groupes de presse d’envergure mondiale, qui ouvraient de nouvelles perspectives en matière de stratégie politique. Il est devenu membre de la société eugéniste dès sa création en 1907 mais était plus pragmatique que Galton.

« Ses vues eugénistes paraissent cependant une transposition au niveau mondial des thèses des Webb, encore qu’il ait toujours insisté sur le fait qu’il parlait d’un état futur qui lui n’était pas encore réalisable aujourd’hui « , écrit Daniel Becquemont dans « Eugénisme et socialisme en Grande-Bretagne. 1890-1900 ».

Quand Galton a exposé à la Société de sociologie son idée de sélectionner les meilleurs de la société en les poussant à se reproduire, Wells lui a rétorqué que « C’est en recourant à la stérilisation d’éléments déficients de la société et non à la sélection des meilleurs qu’il sera possible d’améliorer la race humaine ».

Wells était le tuteur d’Huxley à Oxford, tout en étant responsable des renseignements anglais durant la Première Guerre mondiale, et a initié son élève au culte des Enfants du Soleil, un groupe de l’élite anglaise qui faisait des orgies « dionysiaques ». En 1937, Huxley a été diffuser sa vision du monde à Hollywood où il a travaillé sur des scénarios pour MGM, Warner Brothers er Walt Disney. Dans les années 50 depuis la Californie, il a aussi étudié les effets des drogues, notamment la mescaline, sur le psychisme.

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En Californie, Huxley a été un meneur de cette « contre-culture » développée par la CIA pour capter la jeunesse et la conditionner à coups de LSD et de groupes de rockers drogués. La bande de Charles Manson était d’ailleurs un parfait exemple de ces groupes de hippies borderline qui peuplaient la Californie à l’époque.

De 1960 à 1962 Huxley a contribué avec Timothy Leary et d’autres à une série d’expériences appelées « Harvard Psilocybin Project » sur les effets psychédéliques du LSD et de la mescaline notamment. C’est le Centre pour la recherche sur la personnalité d’Harvard qui hébergeait ces travaux, interrompus après le licenciement de Richard Alpert, qui co-dirigeait les travaux avec Leary.

Quant à Huxley qui était lui aussi membre de la Société Eugénique anglaise, son père « médecin » était déjà surnommé « le bulldog de Darwin » -et de ses théories de l’évolution et de la sélection naturelle. Son frère Julian, biologiste, est passé par l’Allemagne et les Etats-Unis au début des années 1910 avant de revenir en Angleterre pour enseigner notamment à Oxford, puis de travailler avec HG Wells sur le bouquin « La Science de la Vie ».

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Il était favorable à la stérilisation des inférieurs, ce qui ne l’empêchait pas de passer pour un « humaniste ». Cet internationaliste a d’ailleurs été à la manœuvre dans la création de l’UNESCO dont il a été le premier directeur général, en 1946.

Parmi les membres de la Fabian Society, il faut aussi citer Annie Besant, disciple de Blavatski et militante de la théosophie, dont va reparler dans le prochain épisode, ou encore William Clarke qui a édité les textes de l’occultiste et fondateur de la république Italienne Giuseppe Mazzini.

Le mouvement dit « comportementaliste » a repris de la vigueur grâce à la Fabian Society qui a permis de mieux diffuser ce concept dans les milieux politiques et académiques puis dans la société. De nombreuses institutions ont une filiation avec l’idéologie de la Fabian Society, comme la London School of Economics qui diffuse la pensée néo libérale.


Pour terminer cette première prtie sur l’eugénisme, il faut quand-même dire que cette idéologie revient au pas de charge, à mesure qu’avancent les technologies de sélection des embryons. La micronie a même été beaucoup plus loin, en autorisant l’ « avortement » jusqu’au dernier jour de grossesse pour simples raisons « psycho-sociales ». Décidée par qui ? Sur quels critères ?

« En 1998, Jeremy Rifkin, qui postule que « les techniques du génie génétique [genetic engineering technologies] sont, par nature, des outils eugéniques », considère ainsi que « la cartographie du génome humain, les progrès croissants des tests de dépistage des maladies génétiques, les nouvelles techniques de reproduction et les nouvelles méthodes de manipulation du génome humain (…), toutes ces innovations jettent les fondations technologiques d’une civilisation eugénique mercantile », rappelle Pierre-André Taguieff.

[Voir aussi :
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme]

Notes

[1] Selon David Livingston dans « Tanshumanism : the history of a dangerous idea », l’oncle du grand-père de Carl Jung, Johann Sigmund Jung, était membre des illuminés de Bavière. Son grand-père était franc-maçon, et un autre de ses ancêtres était rosicrucien. Jung a collaboré avec la CIA.

[2] Ce qui a débouché sur des pseudos tests d’ « intelligence » et de « QI ».

[3] Bedford, Hastings Russell aussi appelé « marquis de Tavistock », a créé le parti fasciste anglais, le British Peopole’s Party, en 1939. Cela, avec l’appui actif d’un autre fasciste devenu nazi, John Beckett. Il était aussi proche pendant la guerre de Barry Domvile, fondateur de The Link, une organisation dédiée au rapprochement anglo – allemand. C’est Hastings que Rudolf Hess cherchait à rencontrer lors de son escapade en Ecosse en 1941. Hess a probablement été aidé par le MI6 pour partir d’Allemagne, ainsi que par Aleister Crowley, son ami Ian Flemming et le duc d’Hamilton qui était son contact en Franc-Maçonnerie.

[4] Les International Eugenics Congress ont été mis en place par l’Eugenics Education Society, ou « Institut Galton » (Galton est décédé en 1911). Churchill est venu à la conférence de 1912 à Londres avec le diplomate lord Balfour (qui a mis un bazar sans nom au Moyen-Orient). Le troisième et dernier congrès a eu lieu en 1932 à New-York.

[5] Le Bon était une sorte d’intellectuel très proche des milieux politique, qui avait notamment organisé des déjeuners sur le mode des dîners du Siècle où traînaient par exemple Aristide Briand ou Raymond Poincarré, ainsi que des artistes. Ses travaux sur le déterminisme apparemment assez hasardeux ont malgré tout lancé la « psychologie sociale » en France.

[6] Les ondes ont été utilisées par Thatcher contre le mouvement de protestation de femmes pour la paix à Greenham Common, une base militaire. Beaucoup de militantes ont eu des cancers. Elles ont aussi été utilisées dans les quartiers de mineurs pour els rendra apathiques et qu’ils cessent les grèves et toute contestation sociale. Des ondes ELF (ultra basse fréquence) étaient diffusées par les antennes télé et téléphone.

[7] A l’époque toute réticence face au discours de dégraissage permanent était considéré comme une « résistance au changement » et signait la mort du salarié dans l’entreprise car il n’avait pas assez de « capacités d’adaptation ».

[8] Cf. « Kurt Lewin at the Tavistock Institute » de Jean E. Neumann, 2005.

[9] Cf. « Fifty Years of the Tavistock Clinic (Psychology Revivals) » de H.V. Dicks

[10] On ne connait toujours pas exactement les raisons de ce voyage hasardeux. Ce fidèle d’Hitler était le numéro 3 du parti derrière Hitler et Goering, et avait rejoint le NSDAP dès 1920. Il a atterri dans un champ en Ecosse. Apparemment il avait pour objectif de rencontrer le duc d’Hamilton qui était venu aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936 et avait rencontré les principaux dignitaires nazis, pour préparer une proposition de paix.

[11] Cf. « Transhumanism: The History of a Dangerous Idea » de David Livingstone.

[12] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[13] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[14] Créé en 1907, le Francis Galton Laboratory for National Eugenics était alors le principal centre anglais de recherches sur les questions d’eugénisme.

[15] Par exemple en 1869 Galton publie « Hereditary Genius, an inquiry into its laws and consequences », une enquête sur 300 familles d’hommes réputés : « Galton constate ainsi que 31 % des hommes éminents avaient eux-mêmes un père éminent et que 38 % ont un fils éminent. La conclusion qu’il tire de cette étude statistique est qu’il existe une loi de distribution des capacités dans les familles, c’est-à-dire que plus la parenté est proche, plus la proportion de génies est élevée ». Il a persévéré dans ses travaux pour déterminer la part d’inné et d’acquis sans jamais y parvenir.

[16] La création de l’Institut Kraepelin a été soutenue par James Loeb (famille Kuhn-Loeb) le beau-frère de Paul Warburg, et Gutav Krupp von Bohlen und Hallbach, leader de la famille Krupp. Nommé d’après Emil Kraepelin (1856-1926) qui est considéré comme le fondateur de la psychiatrie moderne, de la psychopharmacologie et de la psychiatrie génétique.

[17] Cf. « Eugenics ans social policy between the wars » de Greta Jones, Ulster Polytechnics.

[18] Diplômé d’Harvard où il a enseigné avant d’arriver à l’Université de Chicago. Davenport a ensuite persuadé l’épouse Harriman et John Harvey Kellogg puis la Carnegie Institution de Washington (appartenant à l’industriel Andrew Carnegie) de financer un labo pour « l’Etude expérimentale de l’évolution » à Cold Spring Harbor. C’est aussi lui qui a dirigé l’Eugenics Record Project de sa création en 1910 jusqu’à sa retraite en 1934.Davenport était pour le contrôle des naissances pour améliorer l’hérédité de toute la société.

[19] Un industriel local, Léon Ungemach a créé un quartier pavillonnaire idéal dans lequel il a sélectionné des familles idéales comme on jouerait aux poupées, via des annonces pourtant très claires sur lesquelles on pouvait lire que « Les jardins Ungemach augmentent dans la société de demain le nombre des éléments précieux et contribuent à guider l’évolution humaine vers une ascension plus rapide ». Sur le bail, les résidents signaient aussi pour avoir au moins 3 enfants et pour partir quand le dernier aurait 21 ans, sous peine d’expulsion. Ce parc à bétail humain volontaire a été créé avec l’aide d’une caution « scientifique », Adolphe Pinard, un des pionniers de la puériculture (si si !) qu’il définit comme « la science qui a pour but la recherche des connaissances relatives à la reproduction, à la conservation et l’amélioration de l’espèce humaine ».

[20] Margaret Sanger a lancé le concept de contrôle des naissances dans les année 1910 selon le slogan « Plus d’enfants chez les plus capables, moins d’enfants chez les inaptes », avec notamment la contraception, l’avortement et la stérilisation, qu’elle destinait aux populations qu’il fallait réduire telles que les Noirs, les pauvres et les handicapés mentaux. En 1921 elle a créé l’American Birth Control League devenue ensuite le Planning Familial pour implémenter son idée d’améliorer la race humaine. Dans « The Pivot of Civilization », elle écrit : « Les déficiences mentales constituent une menace permanente pour la race humaine. (…) De plus, lorsque nous réalisons que chaque déficient mental [feeble-minded person] est une source potentielle d’une progéniture atteinte de tares [defect], nous optons pour une politique de stérilisation immédiate pour être sûr que la maternité soit absolument interdite aux déficients mentaux » (cf. Pierre-André Taguieff dans la revue Raisons politiques 2007/2 n° 26)

[21] West était un grand adepte des drogues et de l’hypnose pour manipuler l’humain.




Un médecin qui ne se fera pas vacciner

[Source : benoit-et-moi.fr]

Une interview d’AM Valli. Les très convaincantes explications d’un médecin immunologue italien qui, depuis l’obligation faite au personnel médical de son pays de se faire vacciner a décidé de s’exiler… en Suisse. Par ailleurs nullement « novax », il donne toutes les raisons, parfaitement argumentées, cette fois, de refuser le vaccin anticovid. À lire absolument.

Voilà pourquoi moi, médecin immunologiste, je suis contre la vaccination généralisée et je conteste toute la stratégie anti-Covid

Je m’appelle S. R., j’ai 61 ans, je suis diplômé en médecine et en chirurgie à La Sapienza à Rome, et je suis spécialiste en médecine interne et en allergologie et immunologie cliniques.

J’ai passé la majeure partie de ma carrière dans les hôpitaux de Milan (Niguarda, San Raffaele, Sacco) et de Lugano.
Depuis une dizaine d’années, je travaille en tant qu’indépendant et je collabore avec plusieurs centres médicaux du nord de l’Italie.

J’ai également travaillé en France, en Allemagne et aux États-Unis. Jusqu’à l’été dernier, je me rendais également à Olbia environ une fois par mois. Depuis juin, date à laquelle la loi DL44 sur la vaccination obligatoire du personnel de santé est entrée en vigueur, je travaille en permanence à Lugano.

Pourquoi refusez-vous la vaccination ?

Tout d’abord, je tiens à souligner que, comme tout médecin, je suis absolument favorable à la vaccination, une pratique clinique qui a vu le jour il y a plus de mille ans en Extrême-Orient et qui a évolué depuis pour devenir probablement l’étape la plus importante de l’histoire de la médecine.

Si vous me demandez pourquoi je rejette cette vaccination, les raisons sont différentes.

D’un point de vue clinique, il est écrit dans tous les manuels universitaires de microbiologie (y compris Fauci !) et de maladies infectieuses qu’on ne vaccine jamais pendant une épidémie, en raison du risque très élevé de créer des mutations virales (les fameux variants) qui, bien que toujours aléatoires, sont en fait hyper-adaptatifs et permettent au virus lui-même de survivre et de se répliquer malgré le vaccin.

Ce phénomène est appelé résistance aux vaccins, qui a également été largement décrit dans les traités.
En outre, il est absurde de vacciner contre un virus extrêmement changeant tel qu’un coronavirus, à moins de disposer d’un vaccin qui soit progressivement mis à jour afin d’être toujours compétitif par rapport à l’évolution de l’agent infectieux : à la place, nous disposons de vaccins qui ont quasiment de deux ans « plus vieux » que le virus actuel, ce qui explique la résurgence de l’infection dans les pays où le pourcentage de vaccination est élevé, comme le Royaume-Uni, l’Islande et Israël.

Dans un premier temps, on a tenté de justifier ce phénomène par l’inefficacité du vaccin, et je me réfère spécifiquement à ce qui s’est passé au Chili avec le Sinovac chinois, et ensuite le Chili s’est doté du Pfizer et de l’Astra Zeneca.

Résultat : des unités de soins intensifs presque saturées et plus de décès qu’avant la vaccination. À San Francisco, ils ont fermé deux hôpitaux parce que le personnel était tombé malade alors qu’il avait été entièrement vacciné par Pfizer, et dans certains hôpitaux du Massachusetts, ils ont fait de même avec Moderna.
Un autre aspect concerne les phases d’essai. En général, un médicament (mais aussi un vaccin) doit passer par plusieurs phases d’étude :

  1. la phase préclinique sur les animaux, qui sert essentiellement à établir la toxicité éventuelle de la molécule sur un organisme vivant complexe, puis certains paramètres pharmacocinétiques : voie d’administration privilégiée, absorption, distribution, métabolisme et élimination ;
  2. la phase 1, c’est-à-dire sur des volontaires sains, qui permet de s’assurer que les résultats obtenus chez l’animal sont confirmés chez l’homme ;
  3. la phase 2, celle des volontaires « malades », qui sert à vérifier l’efficacité thérapeutique du médicament, ou l’efficacité préventive du vaccin chez les sujets exposés à la contagion ;
  4. la phase 3, la plus importante. Ici, les études sont multicentriques, c’est-à-dire réalisées dans différents hôpitaux, et doivent être en double aveugle et contrôlées par placebo. Dans cette phase, il est obligatoire d’obtenir le consentement éclairé, car le patient doit savoir qu’il est soumis à un essai clinique et qu’il peut donc recevoir soit le médicament actif, soit le placebo, sans que ni lui ni son médecin ne le sachent (c’est la signification du double aveugle). La phase 3 doit durer de 3 à 5 ans (et il se trouve que les vaccins contre le SARSCoV-2 sont testés jusqu’en décembre 2023 !)
  5. La phase 4, ou pharmacovigilance, qui est la phase à laquelle sont soumis les médicaments une fois qu’ils sont mis sur le marché. La pharmacovigilance (ou surveillance) peut être active ou passive : elle est active lorsque le médecin visite périodiquement le patient qui a reçu le médicament et signale tout effet indésirable ; elle est passive lorsque le patient signale un événement indésirable au médecin, qui doit le signaler aux autorités sanitaires qui doivent en prendre note.

On estime que les événements indésirables signalés dans le cadre de la surveillance active sont 100 fois plus nombreux que ceux signalés dans le cadre de la surveillance passive. Ces vaccins font uniquement et exclusivement l’objet d’une surveillance passive et, d’après l’expérience directe, presque aucun des effets indésirables signalés par les patients n’est signalé ! Enfin, les effets à long terme : c’est là que réside la question la plus critique.

Nous (et Pfizer, Moderna, Astra Zeneca) ne savons absolument rien de ce que le vaccin pourrait provoquer dans un, deux, cinq ou dix ans. En effet, pour qu’une étude clinique soit fiable, deux critères fondamentaux doivent être respectés : la taille de l’échantillon et la durée d’observation. Une étude portant sur cinquante millions de personnes pendant un mois ne peut que nous dire que le médicament est sûr dans les situations aiguës, tandis qu’une étude sur une personne suivie pendant vingt ans ne nous donne aucune information car tout peut être ramené à des variables individuelles.

Dans le cas de ces vaccins, le nombre de sujets ne dépasse pas 70 000 (contre 2,5 milliards de vaccinations effectuées !), et la période d’observation à ce jour ne dépasse pas un an. Je rappelle que des médicaments utilisés depuis plus de quarante ans comme antiulcéreux (ranitidine, cimétidine) ont été suspendus du marché car on a découvert en 2018 qu’ils avaient un composant potentiellement cancérigène !

Je voudrais ajouter un peu de mon expérience clinique : j’ai toujours vacciné les femmes avec la moitié de la dose recommandée pour les hommes, et ce parce que les femmes ont un système immunitaire beaucoup plus efficace, qui a malheureusement parfois tendance à exagérer, provoquant des maladies auto-immunes. Et en donnant une demi-dose de vaccin, j’obtenais un titre d’anticorps qui se superposait à celui des hommes.

Avec ces vaccins anti-Covid (et non anti-SarsCoV2), la même dose est donnée à tous, aucune distinction n’est faite en fonction de l’âge, du poids ou du sexe, et pourtant il suffit d’avoir étudié un peu d’immunologie !

D’un point de vue extra-clinique, outre la ridicule camionnette Algida qui a transporté le vaccin de Bruxelles à Rome, ce qui me dérange le plus, ce sont les obligations de vaccination pour certaines catégories de travailleurs, l’Italie étant le seul pays d’Europe (et peut-être à partir de septembre la France), en violation ouverte d’une douzaine de traités internationaux, depuis Nuremberg, qui interdisent drastiquement l’expérimentation médicale forcée sur les humains, et de certaines résolutions du Conseil de l’Europe, en particulier la 2361/2021.

L’obligation indirecte, avec le fameux Green pass, de vacciner les enfants, une population pratiquement immunisée contre le Covid, est consternante et va à l’encontre de toute logique, du bon sens et de l’éthique médicale, car le rapport risque-bénéfice doit toujours être évalué.

Enfin, trop de clauses de non-responsabilité pour les entreprises pharmaceutiques, de boucliers pénaux pour les vaccinateurs et, surtout, une véritable extorsion, ou plutôt double extorsion, de l’État à l’encontre de certains citoyens, comme les agents de santé : si vous ne vaccinez pas, vous perdez votre emploi (première extorsion), mais pour faire vacciner, vous êtes contraint de signer un consentement éclairé (deuxième extorsion) qui est par définition et par le droit international libre. Ensuite, ils n’ont même pas réussi à bien l’écrire, la loi :  » Mesures de prévention de la contagion du SarsCoV2 « , est rapportée dans le Journal Officiel, alors qu’aucun des vaccins disponibles n’a cette indication. En pratique, si l’on devait prendre au pied de la lettre à la fois la loi et la fiche technique du vaccin, il ne serait pas possible de respecter la loi. Aberrant.

Le récent décret gouvernemental prévoit la suspension du travail et une réduction de salaire pour ceux qui refusent la prophylaxie. Qu’allez-vous faire ? Allez-vous rentrer dans le rang? Allez-vous faire un procès ?

Immédiatement après l’adoption de la loi DL44 sur la vaccination obligatoire des travailleurs de la santé, je suis retourné à Lugano et j’ai dit à la direction que mon refus de vacciner me vaudrait probablement d’être suspendu de mon association médicale.

Ils ont lu la loi, m’ont presque ri au nez, m’ont tapé dans le dos et m’ont délivré une licence de deux ans (renouvelable), et je peux exercer sans problème dans toute la Suisse.

Et si jamais mon ordre des médecins me sanctionne ou me suspend pour cette raison (qui n’implique aucune violation du code de déontologie), les Suisses sont prêts à traîner devant les tribunaux internationaux non seulement mon ordre des médecins mais aussi toute la FNOMCEO italienne (Fédération nationale des ordres des médecins, chirurgiens et dentistes), véritable bras armé de cette dérive sanitaire.

Et ils ne plaisantent pas, et ils ne sont certainement pas aussi lents que le système judiciaire italien.
Quand ce cauchemar sera terminé, si j’en ai envie, je retournerai en Italie. D’un point de vue juridique, comme de nombreux autres médecins, nous sommes représentés par un pool d’avocats qui ont déposé des plaintes auprès de diverses autorités nationales et internationales.

Combien de personnes pensent comme vous ?

Nous sommes nombreux, plus nombreux qu’on le pense, même si cela me fait mal de voir que trop de médecins ont cédé.

Je vous dirai que les infirmières et les travailleurs sociaux sont beaucoup plus déterminés !

Prévoyez-vous des dangers pour ceux qui ont été vaccinés ? Y aura-t-il, comme le prétendent certains opposants, des modifications du code génétique ?

Je ne peux pas me prononcer sur les éventuels dangers à long terme pour les sujets vaccinés, car, comme je l’ai déjà dit, le temps ne suffit pas pour faire des évaluations objectives.

Ce qui est certain, c’est que si, par hypothèse, dans cinq ans, on observait une augmentation significative des maladies auto-immunes ou de la stérilité chez les sujets vaccinés par rapport aux non-vaccinés, alors la donne changerait…
Je ne pense pas que l’ARNm contenu dans Pfizer et Moderna soit capable de modifier notre ADN, qui possède des dispositifs de protection très efficaces. Il est également vrai qu’en médecine, de nombreuses choses considérées comme impossibles par le passé sont devenues improbables, puis probables, puis possibles et enfin certaines…

Pensez-vous que les données sur la pandémie, telles qu’elles nous ont été communiquées, contiennent des inexactitudes, voire des falsifications ? Par exemple : tous ceux qui sont morts du Covid ne sont pas réellement morts du virus ?

Pour faire court, il ne s’agit pas ici d’inexactitudes mais de falsifications pures et simples, des falsifications planifiées et coordonnées à plusieurs niveaux, notamment celui des médias. Des falsifications qui partent des prélèvements PCR (avec des cycles de multiplication qui en Italie ont atteint 51 alors que le maximum acceptable était de 24, d’où 60% de faux positifs) pour arriver au fameux et ridicule indice Rt jusqu’aux hospitalisations et aux décès : en pratique, toute la filière Covid.

De nombreux décès dans les hospices, où sont admis les patients en phase terminale, ont été attribués au Covid, nous avons environ cinq mille décès de moins par cancer du poumon en 2019 parce qu’ils ont été attribués au Covid, et de nombreux autres exemples. Enfin, deux expériences personnelles : une de mes connaissances a secouru une dame âgée qui a fait un arrêt cardiaque alors qu’elle promenait son petit chien et a été transportée à l’hôpital où elle est décédée. Morte du Covid ! Un collègue de la région des Marches, accompagné d’un ami, est tombé malade lors d’une sortie de pêche sous-marine et s’est noyé. Ils l’ont trouvé deux jours plus tard, positif au prélèvement, mort de Covid, bien sûr.

Si ce n’était pas dramatique, ce serait ridicule.

Niez-vous le virus, ou du moins son danger ? Et croyez-vous à la « dictaturesanitaire » ? Et si oui, pensez-vous que nous devrions nous rebeller ?

Non, je ne nie pas du tout le virus, qui est un simple coronavirus qui, dans 80 % des cas, provoque des rhumes, mais qui, parfois, se met en colère et provoque des maladies graves comme le SRAS et le MERS, et je ne nie pas que le Covid (bien qu’en termes absolus beaucoup moins mortel que le SRAS et le MERS) ait fait de nombreuses victimes.
Cependant, si l’on se rend sur le site de l’Institut supérieur de la santé (pas vraiment anti-gouvernemental !), on constate que l’âge moyen des décès dus au Covid est de 80 ans, et que 67% d’entre eux avaient trois maladies chroniques préexistantes ou plus. Je vous rappelle que l’espérance de vie moyenne en Italie est de 81 ans…
Je ne sais pas si le terme de « dictature sanitaire » est approprié, mais il est certain qu’à cause du ou grâce au covid, la liberté des gens a été sévèrement restreinte à tous égards.

Le covid a certainement servi à faire passer pour normales des choses grotesques, comme les bancs à roulettes, les masques chinois ou les primevères pour les vaccinations, ou un général bardé de médailles qui dit à la milanaise ghe pensi mi [j’y pense] parce que les autres ne savent rien faire, alors que dans le service public de santé il y a des cadres extrêmement compétents mais complètement marginalisés.

Je ne pense pas qu’il y ait la moindre possibilité de rébellion en Italie, car tout l’appareil politico-bureaucratique l’empêche. Et ceux qui devraient défendre les droits constitutionnels du citoyen, des tribunaux à la police (qui, je vous le rappelle, a juré fidélité à la nation et non à un gouvernement, et est tenue d’ignorer tout ordre qui va à l’encontre des intérêts du peuple italien) jusqu’au plus haut garant de la Constitution ne font absolument rien. J’espère donc une intervention supranationale, européenne, qui s’est déjà exprimée mais que le Parlement italien ignore lâchement.
En ce qui me concerne, le service juridique de l’hôpital de Lugano est prêt à attaquer mon ordre des médecins en justice, sans perdre de temps. Et mon association médicale, en la personne de celui qui signera éventuellement toute mesure disciplinaire à mon encontre, sait très bien qu’elle sera mise en pièces. Et l’efficacité et la détermination suisses me rassurent plus que toute initiative italienne.

Vous avez également étudié et travaillé à l’étranger. Pensez-vous qu’il existe des différences dans la gestion de l’épidémie entre les autres pays et le nôtre ?

Il y a certainement de grandes différences. Tout d’abord, en ce qui concerne le nombre de victimes : en Allemagne, il est beaucoup plus faible qu’en Italie, car pour que le Covid soit considéré comme cause du décès, il doit être absolument déterminant. En d’autres termes, une personne en bonne santé qui tombe malade du Covid et meurt, est morte du Covid. Et même un diabétique qui tombe malade avec le Covid et meurt, est mort du Covid.

En Italie, ils ont compté tout le monde, sans distinction, même les personnes en phase terminale d’autres causes, qui seraient mortes d’une simple indigestion. Je me souviens avoir lu le cas d’un jeune officier de la Guardia di Finanza qui est mort du Covid à l’âge de 25 ans. Intrigué, j’ai lu l’article en profondeur, et j’ai découvert que le jeune homme était dans un coma irréversible, sous respirateur depuis trois ans, parce qu’il avait été accidentellement touché par une balle en nettoyant son arme ! Et, à propos, cette exagération italienne des décès dus au Covid a été admise involontairement par le président de l’Istat [l’INSEE italien], avec un clip YouTube.

Que diriez-vous à une personne qui veut se faire vacciner et qui est absolument certaine de l’importance de le faire ?

La tâche du médecin n’est pas de convaincre le patient de faire ou de ne pas faire un certain choix : cela relève de ses droits. C’est différent si quelqu’un veut être informé, et alors je dois agir selon la science et la conscience, sans conditionnement d’aucune sorte.

Si une personne me demandait des informations sur les vaccins disponibles, je lui dirais ce que j’ai dit plus haut : le vaccin ne prévient pas la transmission (le fait que l’on dise que les personnes vaccinées ont une charge virale plus faible est un mensonge), donc le faire pour protéger les autres n’a pas de sens ; le vaccin prévient les formes graves de maladie, donc il est logique de le faire si vous êtes une personne à risque, mais clairement à risque, et dans ce cas le vaccin doit être considéré comme le masque, c’est-à-dire un équipement de protection individuelle (EPI).

Malheureusement, comme Israël nous l’apprend, même des personnes vaccinées finissent en soins intensifs. Le vaccin aura-t-il des conséquences à long terme ? Je ne sais vraiment pas. Mais trente-cinq ans d’immunologie clinique m’ont appris qu’il vaut mieux ne pas jouer avec le système immunitaire, surtout lorsqu’il est stimulé artificiellement par un ARNm et non par un agent infectieux normal.

En outre, j’informerais bien sur la possibilité de thérapies précoces à domicile, ce que les médecins ont toujours fait, avec d’excellents résultats. À cet égard, mais ce n’est que mon expérience, le Covid des patients non vaccinés répond mieux à la polypharmacothérapie indiquée que celui des patients vaccinés.




Il faut stopper la pub à la vaccination chez l’enfant innocent du SARS-CoV-2

Par Nicole Delépine

LES JEUNES NE SONT PAS CONCERNÉS PAR LE COVID : ZÉRO MORTS CHEZ LES ENFANTS SANS COMORBIDITÉ(([1] Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? (francesoir.fr) ))(([2] Faire vacciner les enfants, vraiment ? (francesoir.fr) ))

Le covid est une maladie extrêmement peu létale : taux de mortalité de ce coronavirus présenté comme la pandémie mondiale 0.035%, et 0,00 % chez les enfants non immunodéprimés et très peu chez les enfants à comorbidité : six enfants de 0 à 9 ans et 10 enfants de 10 à 19 ans sont décédés à l’hôpital en France depuis mars 2020 en ayant un test Covid positif. Cela ne signifie pas qu’ils sont morts du Covid, mais avec le Covid, car tous présentaient au moins une comorbidité susceptible d’entraîner la mort.

Il ne peut donc pas exister de bénéfice individuel.

Il n’existe pas non plus de bénéfice collectif.

Le 26 aout 21, le Pr Delfraissy avoue à nouveau que le « vaccin » n’empêche pas les contaminations par le vacciné, ni d’être soi meme contaminé.

Il défend son vaccin par la protection des formes graves, ce que O. Véran avait démenti dès mars 2021 dans son mémoire au conseil d’état, et qui semble faux au vu des résultats israéliens et anglais.(([3] Tous vaccinés, mais pas protégés ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Mais en ce qui concerne les enfants, chacun reconnait qu’ils ne font jamais de formes graves … Alors où est l’intérêt même collectif ?

Rappelons que toutes les études internationales publiées dans PubMed depuis mars 2020 ont démontré que les enfants, en plus du fait qu’ils ne font pas de covid cliniquement graves, ne transmettent pas la maladie.

Les enseignants sont beaucoup plus protégés quand ils travaillent à l’école qu’à la maison. De nombreux articles ont été consacrés à ce sujet ainsi que plusieurs synthèses de cette large bibliographie.(([4] Nexus septembre 2020))

L’étude publiée en juin 2020 par l’institut Pasteur aurait dû mettre fin aux polémiques :

« Cette étude confirme également que le plus souvent les jeunes enfants, lorsqu’ils sont infectés par ce nouveau coronavirus, ne développent pas de symptômes de la maladie ou présentent des symptômes mineurs qui peuvent ne pas conduire à évoquer le diagnostic. Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et la perte de l’odorat, n’ont jamais été observés chez les enfants de moins de 15 ans alors qu’ils ont été rapportés par la moitié des adultes » ajoute Bruno Hoen, dernier auteur de l’étude et directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur. »

« Toutes ces données laissent à penser que les enfants sont résistants au virus du Covid et ses variants, grâce à un système immunitaire efficace, et concourent de surcroît à l’atteinte de l’immunité collective, en faisant circuler le virus sans danger ».

Alors pourquoi ce revirement et cette volonté acharnée de vacciner tout le monde, même les petits ?

EST-IL ÉTHIQUE DE VACCINER LES JEUNES ET LES PETITS EN PARTICULIER ?

N’oublions pas qu’AMM conditionnelle ou pas, les pseudovaccins actuellement proposés en France sont en expérimentation.

Quels ont été les essais chez les enfants ?

Avant de se lancer dans cette campagne promotionnelle digne d’une vente de lessive genre OMO lave plus blanc, voici l’étude présentée par Pfizer à l’EMA sur la vaccination des enfants.

Une fiche d’information signée Pfizer, de 39 pages en téléchargement sur le site de la FDA américaine (Food and Drug Administration), indique que leur vaccin a été testé sur 1127 enfants de douze à quinze ans, dont 1097 ont reçu les deux doses.

Parmi eux, 866 enfants ont eu des effets secondaires, dont 393 modérés et 7 effets secondaires graves (0.64%). Donc dans cet essai, 78.94% des enfants ont eu au moins un effet secondaire. Les principaux effets secondaires observés sont : fièvre, fatigue, maux de tête, vomissements, diarrhées, douleurs diffuses.

La FDA (USA) et l’EMA (Europe) ont donné leur accord pour vacciner les enfants et adolescents sur la base de cette étude de deux mois seulement, en ayant parfaitement connaissance de la balance bénéfice/risque. Bénéfice = zéro, risques à court terme non négligeables et inconnus à long terme. Rappelons que la protéine spike que fait produire le pseudovaccin par l’organisme a une prédilection pour les ovaires, testicules, cœur, cerveau…

Les enfants ne sont pas une cible du Covid, le vaccin ne protège ni de la contamination, ni de la transmission. Alors pourquoi exposer nos jeunes à ces substances encore à l’essai en leur faisant prendre le risque d’effets secondaires graves ?

Il y a 15,5 millions d’enfants de 0 à 19 ans en France, si on les vaccinait tous sans exception99 200 auraient potentiellement des effets secondaires sévères (15,5 millions x 0.64%) d’après l’essai présenté par Pfizer.

EFFETS SECONDAIRES GLOBAUX RECENSÉS PAR LES BASES OFFICIELLES INTERNATIONALES

EUDRAVIGILANCE – EMA      

Au 14 août 2021, la base de données européenne de pharmacovigilance (EUDRAVIGILANCE) faisait état de 3822 signalements d’effets secondaires sur les moins de 18 ans dont 2144 pour le seul vaccin Pfizer sur les 12-17 ans.  Et en août, 5 décès ont été déclarés à Eudravigilance à la suite  de la vaccination de jeunes de 12 à 17 ans.(([5] @10121Ws  EUDRAVIGILANCE))

VAERS :  RECENSEMENT DES EFFETS SECONDAIRES DÉCLARÉS SPONTANÉMENT AUX USA

Aux États-Unis, le VAERS en lien avec le CDC, recense tous les effets secondaires déclarés par les citoyens, après les vaccins depuis 1991. Au 13 août 2021, 18 095 signalements d’effets secondaires après vaccination Covid-19 sur les moins de 18 ans étaient comptabilisés dans la base, dont 24 décès.

Une analyse fine des évènements secondaires aux vaccins au 23 Juillet est rapportée par une biostatisticienne dont nous signalons ici quelques conclusions, le détail étant disponible sur le PDF.(([6] vaers_data_analysis_report-2021-08-08.pdf analyse jusqu’au 23 Juillet par christine Cotton :
https://vaers.hhs.gov/docs/VAERSDataUseGuide_November2020.pdf))

398 277 ont été conservés pour analyse après élimination des erreurs manifestes (dates, vaccins mélangés, expirés, erreurs d’administration etc..). Elle étudie dans ce document les évènements 2020-2021 et souligne que plus de 98 % des effets signalés concernent le covid19.

Elle rappelle que le VAERS est coadministré par 1) la Food and Drug Administration (FDA) et 2) les Centers for Disease Control.

Sur les accidents décrits par le VAERS jusqu’au 23 07, 17 % concernent des personnes de moins de 30 ans et 50% de moins de 50 ans. Plus de 70% sont des femmes.

6 % des évènements indésirables ont conduit à l’hospitalisation et 47,1% sont encore hospitalisés lorsque le malade a été inscrit dans la base de données du CDC.

2,9% ont été déclarés covid malgré la vaccination. Plus de 34000 effets secondaires ont été considérés comme graves (près de 9%). Et 5471 décès ont été recensés selon le CDC et revus à 5 546 après revue des chiffres et tableaux. Les décès fœtaux n’ont pas été pris en compte dans le dernier calcul. L’âge moyen des décès est de 73 ans et 55 % d’hommes. 24 patients avaient moins de 18 ans. Et environ 10 % moins de 50 ans.

Parmi les 5546 décès, le temps moyen de survenue du décès est de 22 jours. 28% des décès sont survenus dans les trois jours suivant la vaccination. 40 % sont survenus dans les 21 jours suivant l’acte vaccinal.

Sur les 24 Décès de moins de 18 ans de cette liste établie au 23 juillet, on trouve deux suicides.

La prédominance d’accidents cardiaques est soulignée particulièrement chez les très jeunes de moins de 20 ans faisant écho aux constatations israéliennes.

Myocardites et péricardites : 1861 effets indésirables : 57 %des personnes présentant des symptômes de myocardites et péricardites ont moins de 30 ans. 73 % sont des hommes et 19 patients sont décédés.

MÊME AVANT LEUR NAISSANCE, LES ENFANTS PEUVENT ÊTRE VICTIMES DES PSEUDO VACCINS

Le document de Christine Cotton consacré aux évènements indésirables déclarés chez les femmes enceintes rapporte sur 2436 vaccinées, au moins 675 décès de fœtus ou embryons (28% avortements ou morts fœtales) et 4,1% de malformations congénitales.(([7] Supérieur à la moyenne habituelle admise de l’ordre de 3 %))

La moyenne d’âge des femmes enceintes présentant des problèmes de grossesse est de 34 ans (25 % ont moins de 30 ans).

28 % (11,8+16,6) des femmes enceintes ont présenté des troubles dans les 3 jours suivant la vaccination.  40 % au cours des 7 premiers jours et 65 % pendant les 21 jours suivant la vaccination.

QUE POUVONS NOUS FAIRE ?
RÉSISTER EN INFORMANT PARTOUT AUTOUR DE NOUS

Et pour conclure, citons cette lettre d’un sénateur américain adressé au peuple américain :

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter » – Le sénateur Rand Paul exhorte les Américains à « résister » à Pelosi et aux petits tyrans

Rédigé par Rand Paul, éditorial via Fox News, « They Can’t Arrest Us All » – Sen. Rand Paul Urges Americans To « Resist » Pelosi & The Petty Tyrans | ZeroHedge

Résister.

Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas garder tous vos enfants à la maison à la place de l’école. Ils ne peuvent pas garder tous les bâtiments gouvernementaux fermés – bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient.

Nous n’avons pas à accepter les obligations, les confinements et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates sans scrupules. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

A Mme la Vice-Présidente Nancy Pelosi — vous ne m’arrêterez pas et ne m’empêcherez pas, ni aucun membre de mon personnel, d’effectuer notre travail. Nous avons tous eu la COVID, nous avons eu le vaccin ou on nous a offert le vaccin. Nous ferons nos propres choix en matière de santé. Nous ne vous montrerons pas de passeport, nous ne porterons pas de masque, nous ne serons pas contraints à un dépistage et à des tests aléatoires afin que vous puissiez continuer votre ivresse de pouvoir contrôler le Capitole.

Au Président Biden – nous n’accepterons pas les obligations de vos agences ou vos mouvements signalés vers un confinement. Personne ne devrait suivre les obligations de masque antiscience du CDC. Et si vous voulez fermer à nouveau les agences fédérales – dont certaines ne sont même pas complètement remises au travail – j’empêcherai tous les projets de loi d’être présentés au Sénat avec un amendement visant à réduire leur financement s’ils ne viennent pas travailler.

Aux bureaucrates locaux et aux patrons syndicaux — nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants encore cette année. Les enfants ne sont pas plus exposés à la COVID qu’ils ne le sont pour la grippe saisonnière. Tous les adultes qui travaillent dans les écoles ont été vaccinés ou ont eu la possibilité de le faire. Il n’y a aucune raison pour les masques obligatoires, les écoles à temps partiel ou les mesures de confinement.

Les enfants prennent du retard à l’école et sont blessés physiquement et psychologiquement par les tactiques que vous avez utilisées pour les empêcher d’aller en classe l’année dernière. Nous ne le permettrons plus.

Si un système scolaire tente d’empêcher les enfants d’aller à l’école à temps plein en personne, je retarderai chaque projet de loi avec deux amendements. L’un pour les définancer et l’autre pour permettre aux parents de choisir où va l’argent pour l’éducation de leur enfant.

Est-ce que j’en ai marre pour vous ? C’est parce que j’en ai assez.

Je ne suis pas un politicien de carrière. Je pratique la médecine depuis 33 ans. Je suis diplômé de la Duke Medical School, j’ai travaillé dans les salles d’urgence, j’ai étudié l’immunologie et la virologie, et j’ai finalement choisi de devenir chirurgien.

Je dis à tout le monde depuis un an maintenant que le Dr Anthony Fauci et d’autres responsables de la santé publique ne suivaient PAS la science, et on m’a prouvé à maintes reprises que j’avais raison.

Mais je ne suis pas le seul à en avoir marre.

Je ne peux aller nulle part ces jours-ci – du travail aux événements, en passant par les aéroports et les Uber, les restaurants et les magasins, sans que les gens viennent me voir pour me remercier de les défendre. Pour avoir défendu la science réelle. Pour avoir défendu la liberté. Pour s’être opposé aux obligations, aux confinements et aux prises de pouvoir bureaucratiques.

Je pense que le vent a tourné et que de plus en plus de gens sont prêts à se lever. Je vois des histoires de parents qui tiennent tête aux syndicats d’enseignants et aux conseils scolaires de partout dans le pays.

Je vois des membres du Congrès refuser de se conformer au petit tyran Pelosi.

Nous sommes à un moment de vérité et à la croisée des chemins. Permettrons-nous à ces gens d’utiliser la peur et la propagande pour nuire davantage à notre société, à notre économie et à nos enfants ? Nous allons nous unir et dire, absolument pas. Pas cette fois. Je choisis la liberté.

En conclusion, quand nos sénateurs présenteront-ils un texte comparable ?

Les pseudo vaccins expérimentaux ne peuvent apporter aucun bénéfice personnel aux enfants et adolescents, adultes jeunes.

Ils les exposent à de nombreuses complications parfois même mortelles

Ils ne protègeraient pas les adultes à risque puisque les enfants ne constituent pas une source de contamination et que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions virales

Et que l’obtention d’une immunité collective par le vaccin est un mythe maintenant reconnu inatteignable par tous les experts

La « vaccination anti-covid » des enfants est une faute qui va bientôt devenir un scandale sanitaire d’ampleur inégalée.

Résistons pour nos enfants, notre Futur

Résistons par tous nos moyens aux publicités mensongères diffusées par les médias et aux pressions et chantages inadmissibles de nos gouvernants et leurs collabos.

IL FAUT STOPPER LA PUB À LA VACCINATION COVID CHEZ L’ENFANT





Tous vaccinés, mais pas protégés !

Par Nicole Delépine

Une propagande incessante affichée même sur les panneaux d’autoroute répète : « tous vaccinés, tous protégés ». Cette affirmation est totalement mensongère et contraire aux faits avérés.

Rappelons les faits établis et vérifiables.

La « vaccination » n’évite pas les hécatombes dans les maisons de retraite

23 prêtres retraités, français et étrangers, vivaient heureux en communauté dans les bâtiments historiques de la congrégation religieuse des Fils de Marie Immaculée de Chavagnes en Charentes. Malgré une vaccination Pfizer de 22 d’entre eux, une vague de Covid a frappé. Le prêtre non vacciné est resté négatif. Sur les 22 prêtres infectés, 21 sont tombés malades, et sept sont décédés dans les deux à trois semaines et demie après avoir été vaccinés.(([1] http://www.parolesdedieu.fr/21-vaccins-arnm-dans-une-communaute-religieuse-7-morts-14-malades-et-lomerta/))

On ne compte plus les Ehpads de France(([2] Covid-19 : un cluster malgré des vaccinations dans un Ehpad des Landes
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-un-cluster-malgre-des-vaccinations-dans-un-ehpad-des-landes_4373347.html))(([3] Covid : malgré la vaccination, deux clusters signalés dans des Ehpad de Haute-Garonne et du Lot
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-malgre-la-vaccination-deux-clusters-signales-dans-des-ehpad-de-haute-garonne-et-du-lot-2059636.html))(([4] Covid-19 : des résidents d’EHPAD positifs malgré leur vaccination
https://fr.news.yahoo.com/covid-19-residents-ehpad-positifs-malgre-vaccination-173345922.html))(([5] RTL Coronavirus : 47 résidents d’Ehpad contaminés malgré la vaccination
https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/les-infos-de-18h-coronavirus-47-residents-d-ehpad-contamines-malgre-la-vaccination-7900000887))(([6] pensionnaires
Covid-19 : des clusters détectés dans des Ehpad malgré la vaccination des résidents
https://www.midilibre.fr/2021/04/06/covid-19-des-clusters-detectes-dans-des-ehpad-malgre-la-vaccination-des-residents-9471406.php))(([7] P Gombert Loire-Atlantique. Covid 19 : le retour des clusters en Ehpad Ouest France 26/8/2021)) et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères malgré la « vaccination » de tous leurs résidents.

Certes ces victimes étaient âgées, certes elles étaient fragiles, mais n’est-ce pas le profil type des personnes auxquelles les pseudos vaccins anticovid sont censés éviter les complications ?

Dans la Navy la maladie se propage(([8] Jonathan Beale, Hazel Shearing HMS Queen Elizabeth : Covid outbreak on Navy flagshipvBBC News
Published 14 July)) chez des marins complètement vaccinés

Tous les marins de la Royal Navy (comme ceux de la Marine Nationale) ont été vaccinés afin d’éviter qu’une épidémie ne rendent leurs navires non opérationnels comme cela est arrivé sur des porte-avions américain et français.

Le groupe aéronaval du HMS Queen Elizabeth a été touché par une épidémie de Covid   avec plus de 100 cas confirmés après une escale, alors que tous les marins avaient reçu leurs deux doses depuis plus de quatre mois.

Les infectés sont tous jeunes, sans déficit immunitaire ; ils ont tous reçu leurs deux doses avec un délai suffisamment long pour que les injections Astra Zeneca agissent pleinement. Leur contamination prouve que ces injections sont très peu efficaces, bien au-dessous des 90% claironnés par le laboratoire et les avocats de cette pseudo vaccination.

Dans une mine d’or de Guyane française,(([9] Vignier N, Bérot V, Bonnave N, Peugny S, Ballet M, Jacoud E, et al. Breakthrough infections of SARS-CoV-2 gamma variant in fully vaccinated gold miners, French Guiana, 2021. Emerg Infect Dis. 2021 Oct [date cited]. https://doi.org/10.3201/eid2710.211427 [Breakthrough Infections of SARS-CoV-2 Gamma Variant in Fully Vaccinated Gold Miners, French Guiana, 2021 – PubMed (nih.gov)])) contamination de 60% des vaccinés

Un foyer épidémique de Sars-cov-2 variant Gamma est survenu parmi les 44 employés d’une mine d’or en Guyane française.

Aucun des 6 mineurs ayant été précédemment touchés par le Covid (3 non vaccinés et 3 ayant reçu une dose) n’a été touché.

Alors que 15 des 25 personnes vaccinées à deux doses ont développé la maladie Covid comme 3 des 4 employés non vaccinés et sans antécédents de Covid-19.

Ces faits vérifiés et publiés montrent que l’immunité naturelle acquise après guérison d’une poussée de Sars-Cov-2 est efficace à 100 % contre ce variant alors que la vaccination a été incapable d’éviter la maladie à plus de 40% des vaccinés.

Malte : une couverture vaccinale de 84% ne protège pas la population

Malte fait partie des champions européens des pseudo vaccins avec une couverture vaccinale de 84% et un recul de près de 4 mois. Dans ce petit pays de 500000 habitants près de 800000 doses ont été administrées. En vain : depuis début juillet l’épidémie est repartie et les formes graves (mortelles) augmentent forçant les autorités à reconnaître que la population n’est pas protégée et à imposer une quarantaine aux voyageurs non vaccinés.

Gibraltar : une couverture vaccinale à 115% ne protège pas de la maladie

Gibraltar (34000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que l’agence sanitaire recensait seulement 1040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 5 (passant à 5314) et celui des morts par 19. Atteignant 96, soit 2794 morts par million d’habitants ce chiffre constitue l’un des records européens de la mortalité. Mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal sans proposer une autre étiologie plausible. Et après une accalmie de quelques mois l’épidémie reprend confirmant que les vaccinés ne sont pas protégés.

La vaccination massive des Britanniques ne les a pas protégés

La Grande-Bretagne constitue le champion européen des injections Astra Zeneca. La campagne d’inoculation Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés, les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : “les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

La vaccination massive des Israéliens ne les a pas non plus protégés

Israël est le champion de l’injection Pfizer avec un taux de couverture proche de 70%. Les deux mois qui ont suivi la vaccination ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations et des morts journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Ces 2 mois post injection ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie. Cette évolution défavorable montre que le pseudo-vaccin Pfizer est incapable d’empêcher la transmission de la maladie.

L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie qui a abouti à une pause de l’épidémie. Mais depuis le 15 juin 2021, l’injection Pfizer se révèle incapable d’éviter une reprise exponentielle de l’épidémie et 40 % des nouvelles personnes contaminées sont vaccinées.

Et l’injection Pfizer est également incapable d’éviter les formes graves et les décès. Selon le ministère israélien, rapporté par le Jérusalem Post le 21 juillet, « sur les 143 hospitalisés, 58 % étaient totalement vaccinés, 3 % partiellement, 39 % non vaccinés. Sur les 64 patients graves du pays… le pourcentage de cas vaccinés était élevé. »  Sur Chanel 13 Dr Kobi Haviv précisait pour l’ensemble du mois : « 85-90 % des hospitalisations sont chez des personnes entièrement vaccinées. »

Conclusions

Ce tour du monde des évolutions observées après vaccination massive montre que les pseudo- vaccins actuels sont incapables d’éviter la maladie, ni les formes graves, ni les décès, ni la transmission de la maladie aux proches.

Le slogan « tous vaccinés, tous protégés » constitue donc une publicité mensongère.

Nicole Delépine




Obligation vaccinale des soignants, la lettre qu’il faut envoyer à tous les directeurs ARS de France

[Source : AIMSIB]

L’ensemble des soignants libéraux français « réfractaires » ayant reçu un courrier émanant des Agences Régionales de Santé (ARS) les menaçant de fermeture de leurs cabinets en cas de non vaccination anti-Covid-19 débutée au 15 septembre 2021, nous publions ici ce que chacun d’eux est en droit de répondre par LRAR à son expéditeur. Le fait de vacciner les soignants de force est une folie mais pas que, à ce jour c’est absolument illégal, pourquoi? Bon copié-collé pour les « menacés » et bonne lecture à tous.


Monsieur le Directeur,

Je prends acte de votre courrier du 19 août courant souhaitant m’informer qu’une obligation vaccinale anti-covid-19 m’est imposée au 15 Septembre 2021, au risque que mon cabinet ne ferme à cette date en cas de non-soumission de ma part.

Sur la forme, vous faites allusion à la Loi 2021-1040 du 5 août 2021 mais j’ai le regret de vous annoncer qu’à la date de ce jour celle-ci n’est pas applicable dans la mesure où le décret mentionné dans le point II de l’article 12 de celle-ci n’est toujours pas paru, celui-ci stipulant expressément :

· Article 12 Division II. –
Objet : « Un décret, pris après avis de la Haute Autorité de santé, détermine les conditions de vaccination contre la covid-19 des personnes mentionnées au I du présent article. Il précise les différents schémas vaccinaux et, pour chacun d’entre eux, le nombre de doses requises.
Ce décret fixe les éléments permettant d’établir un certificat de statut vaccinal pour les personnes mentionnées au même I et les modalités de présentation de ce certificat sous une forme ne permettant d’identifier que la nature de celui-ci et la satisfaction aux critères requis. Il détermine également les éléments permettant d’établir le résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et le certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19 ».

Vous comprendrez donc qu’en attendant que ce décret d’application ne survienne et soit porté à la connaissance des soignants, rien ne peut leur être imposé, aucun détail supplémentaire ne figurant dans le décret du 7 août.

Sur le fond de cette coercition absolument injustifiée je souhaite attirer votre attention sur quatre points :

D’abord sur le fait que comme vous le confirmera Me Teissedre dans le courrier ci-joint il semble que l’État éprouve le plus grand mal à démontrer que le renouvellement des AMM conditionnelles de tous les vaccins anti-Covid-19 ait été régulièrement enregistré aux dates légalement attendues. L’ANSM ne nous répondant pas alors l’AIMSIB, Bonsens.org et la LNPLV vont saisir le Conseil d’État d’un référé contre l’ANSM, le ministre de la Santé et la HAS tendant à ce que l’État :
– 1/ Produise les pièces que nous avons demandé à l’ANSM de produire ;
– 2/ A défaut, suspende l’utilisation des vaccins sur le fondement du règlement européen de 2004 jusqu’à l’obtention des informations requises.

Ensuite, il faut vous signaler que la composition réelle de ces produits se situe probablement à des années-lumière des descriptions données par les industriels, l’AIMSIB en a tiré un article (1) qui a été transmis à l’ANSM et au Conseil National de l’Ordre ; hélas celui-là non plus n’a, encore une fois, fait l’objet d’aucune réponse. Leurs défauts biochimiques sont si énormes qu’ils sont même parfois macroscopiquement visibles, ce qui a par exemple imposé d’interrompre toute délivrance du vaccin Moderna© jusqu’à nouvel ordre au Japon (2) après une série de décès encore plus suspects (3). Quel matériau aimanté ou aimantable est-il injecté dans ces vaccins que n’importe quel observateur peut facilement mettre en évidence avec une simple pièce de monnaie (4)? Cette anomalie flagrante et bien d’autre va faire l’objet d’une assignation en justice et cette affaire sera entendue le 21/10/2021 devant le tribunal judiciaire de Paris (5).

Je ne méconnais pas le rôle de chacun, il est évident que vous ne pourrez pas infléchir seul la politique insensée menée par notre gouvernement mais puisque vous m’écrivez que « cette obligation vaccinale constitue la mesure la plus efficace pour vous protéger et protéger vos patients », merci de prendre connaissance, ou en compte, ces six faits absolument indéniables :

1- Si la vaccination comme l’hépatite B est obligatoire, elle concerne des personnels soignants n’ayant jamais développé la maladie. Dans le cas du coronavirus, les soignants ont été très exposés et donc sont pour la plupart immunisés. L’immunité naturelle ayant toujours été supérieure à l’immunité vaccinale, il est difficile de comprendre sur quelles bases scientifiques suffisamment rigoureuses s’appuie l’obligation vaccinale des personnels soignants. En effet, la possibilité d’un schéma vaccinal en une seule injection au lieu de deux injections est évoquée sur la base d’une sérologie pré- vaccinale qui ne saurait être à elle-seule représentative de leur immunité humorale réelle et ne tient de plus aucunement compte de leur immunité cellulaire (6).

2- La vaccination n’interrompt pas une seconde la diffusion virale occasionnée par les vaccinés (7)(8), ces nouveaux porteurs sains sont intraçables en France puisque notre passe sanitaire exonère les vaccinés de toute évaluation en général, sauf par exemple quand on doit s’approcher du Président de la République (9) et le résultat est douloureux.

3- La vaccination anti-Covid-19 n’interrompt pas l’expansion de virus lié à la Covid-21, les diffusions planétaires des variants Delta et maintenant Mû dans les populations très vaccinées (Angleterre, Israël, Malte, Gibraltar, etc…) nous le prouvant tous les jours, l’hécatombe de cas survenus sur le navire militaire HMS Queen Elizabeth ne comportant que des marins jeunes, en parfaite santé et tous vaccinés à deux doses en fournit également un déplorable exemple (10).

4- La vaccination anti-Covid n’empêche nullement l’éclosion de cas graves chez les vaccinés et parfois semblent, par effet ADE (11), en aggraver les tableaux cliniques (12), certaines données transmises par les industriels eux-mêmes tendant à laisser penser que la vaccination n’influerait pas sur la mortalité (13).

5- Le nombre astronomiquement élevé d’effets indésirables graves (EIG) causés par ces vaccins anti-Covid imposerait dans toute démocratie indépendante du poids des lobbys industriels que cette campagne pseudo-sanitaire cesse immédiatement, on rappelle que selon Eudravigilance l’Europe déplore déjà 22.000 décès directement imputables aux intrants et plus de 2,2 millions d’EIG, le tout rapporté avec une sous-notification habituelle comprise entre un facteur x10 à x100 (14) : Le témoignage de notre Confrère T. Hertoghe se passe de commentaires (15).

6- La Covid se soigne avec une facilité remarquable dans sa forme initiale comme semi-récente et sans aucun effet secondaire par l’ivermectine, c’est si vrai que même le Conseil National de l’Ordre des Médecins Français a levé toute sanction disciplinaire à l’égard des médecins prescripteurs de la molécule (16). Il n’existe à ce jour plus aucun doute quant à l’efficacité remarquable de cette molécule dans le traitement de la Covid, quel que soit le variant en cause (17).

Au final et comme je viens de vous le décrire, dans la mesure où la vaccination anti Covid-19 demeure, comme attendu, parfaitement inefficace sur les souches 2021 et futures, que la Loi de coercition vaccinale n’est pas applicable en l’état, que ces vaccins sont éminemment dangereux, qu’ils ne revêtent aucune utilité chez les soignants quasiment tous déjà immunisés naturellement, qu’ils soient possiblement délivrés sans aucune AMM encore valable à ce jour, et enfin qu’il existe un traitement aussi peu onéreux que remarquablement bien toléré, vous comprendrez le refus qui m’anime s’agissant de me soumettre à cette obligation.

Je vous informe que cette lettre a été publiée le 05/09/2021 sur le site aimsib.org

En espérant que l’ensemble des arguments développés ici aient pu vous convaincre du bien-fondé de ma position, je vous prie de croire, Monsieur le Directeur, en l’expression de mon respect

La rédaction de l’AIMSIB
Septembre 2021

ANNEXE   Lettre du Cabinet Teissedre à l’ANSM

Notes et sources

[1] https://www.aimsib.org/2021/08/08/wacssyn-covid-lincroyable-scandale-arrive/
[2] https://asia.nikkei.com/Spotlight/Coronavirus/COVID-vaccines/1.6m-Moderna-doses-withdrawn-in-Japan-over-contamination
[3] https://guyboulianne.com/2021/09/01/un-corps-etranger-noir-a-ete-trouve-dans-un-nouveau-lot-suspect-de-vaccins-moderna-sur-le-site-dinoculation-de-kanagawa-au-japon/
[4] https://odysee.com/@Covidbel:5/Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-alerte:f
[5] https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2021/08/270821-Communique-de-presse-du-27-aout-2021-Assignation-en-refere-ANSM-CNOM-CNOP-et-Vidal.pdf
[6] https://www.nature.com/articles/s41586-021-03647-4
[7] https://reinfocovid.fr/science/les-vaccines-infectes-seraient-aussi-contagieux-que-les-autres/
[8] https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7031e2.htm?s_cid=mm7031e2_w
[9] https://www.lci.fr/politique/quatrieme-vague-variant-delta-doublement-vaccine-le-president-de-la-region-paca-renaud-muselier-positif-au-covid-19-2194979.html
[10] https://www.bbc.com/news/uk-57830617
[11] https://www.aimsib.org/2020/08/23/covid-graves-admettre-lexistence-des-anticorps-facilitateurs/
[12] https://docteur.nicoledelepine.fr/tous-vaccines-mais-pas-proteges/
[13] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.07.28.21261159v1.full.pdf
[14] https://www.adrreports.eu/fr/
[15] https://lemediaen442.fr/temoignage-du-dr-hertoghe-victime-du-vaccin-moderna-accident-vasculaire-cerebral-dans-le-cervelet/
[16] Ré à la hune, édition du 5 août 2021 n°228
[17] Bryant A, Lawrie TA, Dowswell T, Fordham EJ, Mitchell S, Hill SR, Tham TC. Ivermectin for Prevention and Treatment of COVID-19 Infection: A Systematic Review, Meta-analysis, and Trial Sequential Analysis to Inform Clinical Guidelines. Am J Ther. 2021 Jun 21;28(4):e434-e460. doi: 10.1097/MJT.0000000000001402. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34145166/




Covid – Le miracle africain

[Source : Covid faits et chiffres (covid-factuel.fr)]

Par Zola

Le continent africain, malgré des conditions sanitaires qui n’ont rien à voir avec les nôtres, semble très bien se sortir de la situation. Selon l’Université John Hopkins, depuis 18 mois, il y a 14,5 fois moins de cas déclarés en Afrique que dans l’Union Européenne, rapporté au nombre d’habitants. On ne peut malheureusement pas comparer comme cela, car les Africains testent moins, donc ont moins de “cas positifs”. Ces déclarations sont plus à rapprocher du nombre de vrais patients.

Si cette comparaison présente un biais trop important, qu’en est-il des décès, qui eux ne dépendent pas du nombre de tests ? Depuis 18 mois, toujours chiffres John Hopkins, l’Afrique a 12 fois moins de décès que l’Union Européenne, rapporté au nombre d’habitants. Là encore, la comparaison brute n’est pas possible. En effet, chez nous ce sont surtout des plus de 70 ans qui meurent, chez eux cette population est très faible. Leur population est bien plus jeune que la nôtre et les jeunes ne meurent pas du Covid. Ceci dit, il y a 6 fois moins de plus de 70 ans en Afrique, et 12 fois moins de décès, avec pourtant des patients graves peu ou pas soignés qui devraient aggraver cette mortalité.

Alors si on ne peut se comparer, comment étudier ce qui se passe en Afrique ? Pourquoi si peu de cas, si peu de décès ? Pourquoi n’a-t-on pas vu l’hécatombe projetée par l’OMS il y a 18 mois ? Pour le savoir, il faut comparer ce qui est comparable, c’est à dire les États Africains entre eux et non avec nous. C’est ce qui a été fait par Hisaya Taniokla, Sayaka Tanioka et Kimitaka Kaga, dans cette étude.

Les auteurs ont fait une analyse statistique de l’impact de l’Ivermectine, utilisée pour l’onchocercose, sur les taux de morbidité, de mortalité, de guérison et de létalité causés par le COVID-19, dans les 31 pays endémiques de l’onchocercose, utilisant le traitement. Ils ont comparé, pays par pays (voir leur étude détaillée), avec le taux de mortalité causé par le COVID-19 donné par l’OMS en Afrique.

Plus de 99% des cas d’onchocercose en Afrique ont lieu dans ces 31 pays ( Angola, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Afrique centrale, République du Congo, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo, Éthiopie, Gabon, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Kenya, Liberia, Malawi, Mali, Mozambique, Niger, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Soudan du Sud, Tchad, Togo, Ouganda, Tanzanie, soit 973 millions d’habitants), qui font l’objet d’une campagne massive de l’OMS avec l’Ivermectine, en vue d’éradiquer la maladie. Les 22 autres pays (« groupe placebo » de 357 Millions d’habitants) ne l’utilisent pas.

Leur résultat principal est bien résumé par un graphique publié par un média Autrichien que voici. Il se passe quasiment de légende, la différence entre pays sous Ivermectine pour l’Onchocercose, et ceux qui n’en ont pas, est éloquente : 8 fois moins de cas pour chacune des 3 vagues qu’a connu l’Afrique.

Leur conclusion : « la morbidité et la mortalité dans les pays endémiques de l’onchocercose sont inférieures à celles des pays non endémiques. Le traitement communautaire de l’onchocercose par l’ivermectine est l’explication la plus raisonnable de la diminution du taux de morbidité et de mortalité en Afrique. Dans les zones où l’ivermectine est distribuée et utilisée par l’ensemble de la population, elle entraîne une réduction significative de la mortalité. »

Les chiffres de l’étude sont du même ordre de grandeur que les chiffres de John Hopkins cités en début de billet., avec une comparaison des décès pour 100 000 habitants entre les groupes avec et sans ivermectine, qui montre une différence de 13,3 fois moins de décès. Intéressant, ils ont également comparé les taux de vaccination dans les deux groupes : 1,94% dans le groupe ivermectine, contre 12,4% dans le groupe sans.

Je mettrai un bémol : cette étude a été faite avec les pays utilisant l’ivermectine, il aurait été intéressant de la faire aussi avec ceux qui utilisent l’hydroxychloroquine, tout autant utilisée en Afrique, pour le paludisme. Les cartes géographiques doivent se superposer, et ces résultats ne sont peut-être pas à attribuer en totalité à l’ivermectine, mais à ces deux molécules utilisées « accidentellement » en prophylaxie contre la covid 19.

Ces résultats sont tout à fait cohérents avec l’étude d’Hector Carvallo en Argentine, étude en prophylaxie portant sur 1200 soignants au contact de patients covids dans 4 hôpitaux, affichant 100% d’efficacité dans le groupe de 800 traités, n’ayant constaté aucun cas après 2 mois et demi, alors qu’il y avait 56% de contaminés dans le groupe non traité.

Avec ce qui s’est passé en Inde, ces constatations grandeur nature, portent sur 2,7 milliards d’individus. Des faits et des chiffres, publiés par les autorités, tellement indiscutables que nos « autorités scientifiques » (qui ne le sont plus) refusent d’en discuter. Voici la courbe des décès covid par million d’habitants, pour l’Afrique, l’inde et l’Europe et les Etats Unis. Notons que l’Afrique a fait (inconsciemment) du préventif, et l’Inde du curatif.

Si il faut interpréter ces courbes en fonction du nombre de plus de 70 ans (6 fois moins en Afrique, 5 fois en Inde), ce n’est pas le cas pour la comparaison entre Etats Africains (8 fois moins de décès sous ivermectine).

Nos politiques, nos autorités sanitaires, notre presse, refusent de voir cela, opposant une seule étude in vitro alors que nous parlons de résultats in vivo, voire l’étude Medina où des patients du groupe placebo ont reçu de l’ivermectine, pour dire que cela ne marche pas et clore un débat gênant. Ce constat portant sur 2,7 milliards d’individu vaut toutes les études à 200 cas, faites par des individus payés par on ne sait qui, à la recherche d’on ne sait quelle notoriété ou carrière, et dont beaucoup n’ont jamais traité un seul patient covid.

Si en traitant à titre préventif l’Afrique n’a probablement pas acquis d’immunité collective, la population étant alors peu malade, ce n’est pas le cas de l’Inde. Selon une étude du Conseil indien de la recherche médicale (Indian Council of Medical Research, ICMR) faite sur un échantillon de 29 000 personnes après leur vague delta, 67,6% des indiens avaient des anticorps. Immunité collective acquise naturellement, par contamination, seulement 3% des indiens étant vaccinés à l’époque (par contre 13% dans l’étude, les vaccinations ayant augmenté après la troisième vague). Cette immunité est, de plus, bien plus durable que celle temporaire acquise par les vaccins. Sur ce blog, on a avancé ici que ce variant delta était peut-être une aubaine si on l’attrapait et si on le traitait, il semble que les 1,4 milliards d’indiens en ont fait la démonstration. Cette semaine l’Inde (l’ICMR cité ci-dessus) vient pas ailleurs de classer l’Ivermectine dans la liste des médicaments essentiels (Indian National List of Essential Medicines (NLEM).

Pour cacher ces résultats, le complot anti ivermectine continue. La semaine dernière, elle a été dénoncée comme produit vétérinaire et non humain, et potentiellement mortelle. C’est une reprise des perroquets de la presse, animal qui, on le sait, sait répéter mais pas réfléchir, suite à un communiqué du CDC américain (Centers for Disease Control & Prevention), lui-même suite à une vaste farce que personne n’est allé vérifier, pas même ce “Centre de Contrôle” des maladies, pourtant autorité sanitaire, sans doute composée des mêmes compétences que chez nous. En effet, un américain avait prétendu voir dans son hôpital défiler nombre d’intoxiqués graves à l’Ivermectine et encombrant tous les lits. L’hôpital en question vient de faire un communiqué pour signaler que cet individu ne fait plus partie de l’établissement depuis des mois, et surtout qu’il n’est pas possible d’avoir nombre de complications dues à l’ivermectine, celle-ci n’étant pas utilisée dans l’établissement. Ne comptons pas sur notre presse pour rétablir la vérité et conter cette histoire qu’ils ont largement repris.

En ce qui concerne l’innocuité de l’Ivermectine, rappelons que vigibase, base de donnée des effets indésirables de l’OMS, comptabilisait en 30 ans 16 décès (dont 15 d’un coup, plus que discutables, dans une Ehpad où les patients ont eu en même temps deux insecticides mortels), pour 4 milliards de prises. Au cours des 12 derniers mois, la base en signale 4 de plus, et près de 200 de plus pour le paracétamol (Doliprane). Rappelons aussi cette tentative de suicide infructueuse avec 100 fois la dose.




Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

[Source : Sott.net]

Par Ryan Matters — NewBraveWorld.org

Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l’auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n’auraient pas déjà fait l’objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu’il articule tous ces aspects d’une manière qui donne à voir l’image de l’agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l’être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l’auteur connecte les points.

Bonne lecture.

Le déploiement mondial des [soi-disant – NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d’un programme bien plus vaste qui englobe l’eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d’institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.

En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l’ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d’utilisation de l’ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l’article indique que :

« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l’ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l’ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l’administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l’utilisation de l’ARN comme médicament. »

L’un des chercheurs du Salk Institute cités dans l’article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses – NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream – NdT] pour avoir attiré l’attention sur les dangers possibles des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu’il n’existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d’ARNm que l’homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu’il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

[Voir aussi :
Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »]

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l’ARN dans les cellules humaines » à l’aide d’un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l’American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd’hui une participation dans le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s’il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l’ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s’exprimer sur les dangers des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n’est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l’industrie pharmaceutique. Se pencher sur l’institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s’avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d’après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd’hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d’éradiquer la polio, à l’époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l’eugénisme repose sur l’idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l’époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l’eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l’accouplement sélectif, l’insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l’euthanasie comme constituant des moyens importants d’éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l’État de l’Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l’État de l’Indiana :

« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l’État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l’État. »

Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l’épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu’en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d’avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d’esprit ».

En fait, l’importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu’elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l’adopter, de sorte qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d’eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s’est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L’émergence de la March of the Dimes en tant qu’acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l’association précoce de l’organisation avec l’Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l’American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l’American Eugenics Society, qui était l’assistant de Basil O’Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l’Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu’il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l’American Eugenics Society, de l’American Birth Control League et de l’American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de

« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »

Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l’Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d’édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s’est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d’avorter l’enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial – NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l’étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l’organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l’histoire de l’organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d’être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir

« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l’égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l’héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »

Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l’entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »

Note du traducteur : Ce qui veut dire qu’il est nécessaire que le nombre des naissances d’individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l’expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».

Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l’euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d’autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d’euthanasie nazis et en faisaient l’éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l’épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l’idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l’épidémie, est douteux et probablement totalement faux.

Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années 1950. L’introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s’est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d’être appelées « polio » [poliomyélite – NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d’autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d’une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d’enquête sur l’utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L’article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l’exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l’époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l’American Journal of Digestive Diseases soulignant que :

« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l’étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »

Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l’environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.

Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l’environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l’Ère de l’autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l’utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l’arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu’il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n’est pas synonyme de corrélation, surtout si l’on tient compte du fait qu’au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d’administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l’immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d’administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l’objectif principal consiste à réduire le nombre d’individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l’OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu’aucune corrélation ne peut être faite entre l’épidémie de polio et l’« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l’efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels – NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s’en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l’étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d’ARN transfecté pour développer l’immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l’ADN recombinant de l’Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l’approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d’ARNm chez l’homme.

Bien que l’ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s’alarmer à la lecture d’extraits tels que celui-ci, tiré d’un article sur l’histoire de l’ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :

« Le concept : En apportant des modifications précises à l’ARNm synthétique et en l’injectant aux gens, n’importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »

Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d’ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 – NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l’organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien – NdT],

« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l’information génétique des personnes traitées. »

Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L’ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c’est l’auteur qui souligne) :

« Contrairement aux vaccins à base d’ADN, le risque d’incorporation de séquences d’ARN dans le génome de l’hôte est faible. »

L’utilisation du mot « faible » semble indiquer qu’il peut au moins exister un certain danger d’intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.

Dans l’étude d’« opinion d’expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :

« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l’ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L’ARNm, comme l’ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »

Il est intéressant de noter que c’est uniquement en raison d’une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L’environnement réglementaire européen des vaccins à base d’ARN », qui stipule que :

« La définition d’un médicament de thérapie génique telle qu’elle figure à l’annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l’homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient, ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »

Comme on s’en doute, le simple fait d’appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d’approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l’EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d’approuver plus facilement les thérapies géniques à base d’ARNm prévues pour un usage humain.

Note du traducteur : Ce jeu de langage n’est pas fortuit, loin s’en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.

Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu’on l’aborde dans le contexte des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n’ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d’une utilisation d’urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l’année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d’obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d’essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d’obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d’une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ansL’approbation d’un vaccin après six mois de données est l’une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu’ils sont donc en cours – NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d’envisager l’approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner »Moderna a annoncé que

« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d’entre eux ont reçu le vaccin ».

Ce qui signifie que leur groupe placebo n’existe plus et qu’ils n’ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d’un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l’efficacité des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l’essai d’une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d’entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l’approbation de la FDA pour leurs [soi-disant – NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d’approbation » qui accompagne l’homologation complète et la possibilité de l’utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l’approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l’agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d’évaluation et d’approbation de ces [soi-disant – NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l’utilisation de tests d’anticorps pour évaluer l’immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu’une personne ait reçu une injection bien que l’autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l’origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorpsLes implications de ce revirement sont que l’autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant – NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l’idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d’une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d’une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.

Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l’inné et l’adaptatif. C’est l’adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n’est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :

« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»

Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Quoiqu’il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

Bill Gates, Moderna et l’eugénisme 2.0

L’un des fabricants de [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l’intermédiaire du National Institute of Health, s’avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant – NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :

« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »

Ceci est plus qu’alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d’améliorer l’efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L’intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant – NdT] vaccin alors qu’elle n’a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu’elle existe – NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d’une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l’argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l’un des nombreux nouveaux milliardaires de l’industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l’éclair – NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d’un [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d’intérêts. L’administration chargée de l’Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d’actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d’actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d’avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l’un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l’ingénierie tissulaire et l’administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l’objet d’un scandale après la découverte d’un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu’Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l’eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l’époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d’Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d’autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l’ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l’une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu’administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu’il n’était pas déjà au courant des dons d’Epstein.

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d’initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s’est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d’administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d’un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années – NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s’est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu’à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l’université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l’électronique à l’échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d’administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d’administrer plusieurs doses d’un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l’encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d’un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l’objectif à terme du projet est d’injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d’autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d’autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l’œuvre d’un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l’engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d’un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l’éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l’environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :

« Prenant exemple et s’inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »

Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c’est qu’en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l’occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l’eugénisme, qui s’est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l’on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d’eau potable, d’un approvisionnement en nourriture, d’équipements d’assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d’observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l’utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d’un an, cinq d’entre elles étaient décédées.Au cours d’une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées.The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :

« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l’empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n’avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n’ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »

Note du traducteur : Plus exactement, c’est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l’origine de cette expérimentation.

« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[…]
C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[…] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s’être efforcé d’y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l’avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l’étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l’utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l’augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » – NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires – NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d’un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l’a qualifié de « meilleur investissement qu’il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n’oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s’intéresser, puisqu’elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d’intérêts qui sembleraient remettre en question l’idée qu’il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d’intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d’intérêts ? », dans laquelle il affirme que :

« À titre d’exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l’augmentation rapide de l’obésité et du diabète dans les pays en développement. »

Il ajoute :

« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. […] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d’administration en tant qu’investisseurs de la Fondation. »

Les médias font rarement état de ces conflits d’intérêts inquiétants, ce qui n’est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d’information.

Qualifier l’injection imprudente et généralisée des [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d’initiative imprégnée de pensée eugéniste n’aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d’institutions impliquées dans la course au [soi-disant – NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant – NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd’hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l’eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d’investigation Whitney Webbdans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».

Lorsqu’il s’agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l’impact généralisé qu’auront ces [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d’une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.

Note du traducteur : En effet,

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021Rien de tout cela n’est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d’interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu’ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu’une réduction du risque absolu, lequel était d’environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n’a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d’essai précédentes de ces produits n’ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l’infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant – NdT] vaccins, qui savaient qu’ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l’augmentation spectaculaire des injections antigrippales n’a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journala remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d’essai, ainsi que la [soi-disant – NdT] objectivité des « Comités d’adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d’employés de Pfizer.

Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d’évaluation potentiels sont soumis à un panel d’experts indépendants pour être évalués en aveugle.

Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d’experts concernant le danger et l’efficacité du [soi-disant – NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d’un procès contestant l’autorisation par l’Union européenne de l’utilisation du [soi-disant – NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l’efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que

« Pfizer, l’Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d’essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d’effets indésirables. »

Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. »

Mais bien sûr, rien de tout cela n’est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l’apparition du Sida en 1984. Le fait qu’un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :

« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l’on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s’il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu’il occupe […] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »

Un futur transhumaniste

En plus d’être une thérapie génique, une technologie associée à l’eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm

« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »

Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d’un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.

Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19

En effet, puisque les vaccinologues parlent d’ores et déjà de « variants », d’injections de rappels et de [soi-disant – NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d’un nouveau type de carte d’identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order – NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d’activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l’élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d’une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l’élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c’est l’empressement à obtenir l’autorisation d’utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d’un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine,en dépit du fait que le « Covid-19 », si l’on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant – NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d’incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez leshommes jeunes.

L’empressement à intégrer ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n’a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l’avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l’organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s’interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d’hydrogel injectable, sauf qu’elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de

« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »

Bien qu’incroyablement inquiétant, ce n’est qu’un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d’établir une domination sur l’esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l’aide d’« armes génétiques » capables de

« saper l’esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.

La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d’induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l’utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, qu’ils soient actuels ou futurs.

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l’eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L’objectif officiel du programme est de [c’est le traducteur qui souligne]

« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »

Actuellement, l’initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l’ARN », qui — sachant qu’ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d’ARN (thérapies géniques à base d’ARNm) — vise à (c’est l’auteur qui souligne)

« créer un réseau autonome d’installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d’une future pandémie. »

Notez la certitude apparente d’une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours – NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d’intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l’utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d’investigation Whitney Webb écrit que :

« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que

« l’intérêt réside dans les améliorations d’une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d’une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l’ensemble de la population afin de produire l’impact le plus large. »

L’un des objectifs de ce projet n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l’élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d’instaurer « l’avenir des interfaces cérébrales » afin d’« étendre nos capacités ». Lors d’une interview, Musk a déclaré :

« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d’une utilisation par des personnes qui n’ont pas de handicap. »

Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n’est pas la seule société de biotechnologie à s’être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l’homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l’humain augmenté » — la fusion de l’homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030publié en 2012, indique que :

« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l’utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n’existaient pas auparavant. »

Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que

« contrairement à d’autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »

L’asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d’ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d’autres à diriger la société.

Le « héros » de l’épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l’eugénisme, tout comme l’institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l’ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein – NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu’elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l’édition de gènes et autres technologies imprégnées d’idéaux eugénistes donne l’image d’un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici 2030. L’actuelle [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu’Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d’entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l’éveil dans la conscience collective de l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net




L’Afghanistan en phase 5 – Stratégie de retrait des États-Unis

[Source : www.kla.tv]

Par Ivo Sasek

Selon le documentaire « Comment fonctionnent les guerres modernes ? ». (www.kla.tv/7681 en français), le retrait de l’armée américaine d’Afghanistan correspond à la phase 5 d’une stratégie de guerre moderne. Le fait que le retrait américain ait lieu peu de temps avant le 20e anniversaire du 11 septembre signifie que non seulement le mensonge taliban autour du 11 septembre est encore renforcé, mais que la phase 6 a démarré : La population mondiale est censée être avide de contrôle total. – L’Afghanistan n’est pas un pays pétrolier, mais il se trouve qu’il est hyper-riche en lithium, le « nouveau pétrole » pour toute la mobilité électrique… Mais qui va s`en emparer ? La Chine rouge ou les milliardaires de l’État profond issus du Green Deal et donc le marché de l`électricité ? Une chose est sûre : nous nous emparerons des réfugiés.




L’armée américaine se retire de l’Afghanistan peu avant le vingtième anniversaire du 11 septembre. Les redoutables et apparemment tout-puissants Talibans sont de retour au pouvoir. Quelle horreur ! Le monde entier est sous le choc. Qui est capable de battre deux fois la nation la plus forte du monde ? C’est la question qui se pose. Par coïncidence, juste à temps pour la Journée mondiale de l’aide humanitaire, l’appel des organisations humanitaires résonne maintenant dans le monde entier : Faites des dons à l’Afghanistan et ouvrez d’urgence toutes les frontières aux réfugiés. C’est l’appel lancé. L’Afghanistan a plus que jamais besoin d’aide. D’un côté cela est bien sûr compréhensible. Dans une obéissance presque anticipée, le ministère allemand des Affaires étrangères a annoncé une aide d’urgence de 100 millions d’euros. Les Allemands sont riches, n’est-ce pas !

Parmi les 17 organisations d’aide criant d’une même voix, on trouve bien sûr une fois de plus l’OMS avec sa frénésie de vaccination et le Fonds des Nations unies pour l’enfance. Comme nous le savons tous, les enfants sont certainement l’outil de propagande le plus efficace pour atteindre un objectif. Mais s’agit-il une fois de plus de propagande ? La question à poser : « Pouvons-nous croire encore les catastrophes » ? Avant de trouver la réponse, examinons les choses de plus près, un peu plus en détail :

En tout cas, selon notre film « Comment fonctionnent les guerres modernes ? » (en français www.kla.tv/7681), le retrait de l’armée américaine d’Afghanistan correspond exactement à la phase 5 de la stratégie de guerre moderne. Comprenez-vous cela ? Un retrait dont l’objectif stratégique est que le pays précédemment contrôlé tombe délibérément dans le chaos total. Le fait que le retrait américain ait eu lieu peu avant le vingtième anniversaire du 11 septembre a la conséquence impérieuse, que non seulement le mensonge taliban autour du 11 septembre est encore renforcé, mais également que la phase 6 a démarré. Et quel est le but de la phase 6 dans le film ?

La population mondiale est censée assister à ces nouveaux drames talibans – elle doit souffrir en accéléré les mêmes chocs de terreur subis le 11 septembre 2001 – et toutes les femmes du monde doivent craindre d’être bientôt enfermées dans des trous sombres, vêtues de robes longues jusqu’aux chevilles, la tête entourée d’un foulard noir. Vous comprenez ? On est en train d’attiser la peur et la panique. Jusqu’à ce que le monde entier crie : « Aidez-nous » ! Qui peut combattre cette bête ? Chrétiens, tendez l’oreille !

Après tout, les Talibans semblent presque invincibles, maintenant qu’ils ont mis à genoux pour la deuxième fois la plus grande puissance protectrice du monde. Avec cette situation ils sont mis sur le devant de la scène et ils se mettent eux-mêmes au premier plan. Donc, en d’autres termes, le monde aurait envie de contrôler totalement l’Afghanistan.

Pour une fois, l’Afghanistan n’est pas un pays pétrolier, comme c’est généralement le cas, mais comme par hasard il se trouve qu’il est extrêmement riche en lithium. Peut-être tu te demandes, qu’est-ce que le lithium ? Le lithium est, en quelque sorte, le « nouveau pétrole » pour tous les véhicules électriques. Tu sais, c’est là que tout devient vraiment passionnant, car la question se pose automatiquement : Qui va mettre la main sur tout l’ « or électrique » ou le « pétrole électrique », en quelque sorte, là-bas? Au moins, la Chine a déjà annoncé très clairement ses intérêts. Et la Chine est toujours profondément communiste, profondément rouge.

Comprenez-vous ? Mais avec une certitude absolue, tous les milliardaires de l’État profond ont également remarqué quelles ressources minérales se trouvent en Afghanistan. Après tout, c’est grâce aux requins du Pacte vert que nous avons appris en premier lieu que le commerce des voitures électriques, etc. dépendait du « carburant » appelé lithium. En tout cas, Elon Musk, le junkie de l’espace et constructeur des voitures électriques Tesla, est certainement au courant de cela, après tout, Il est un influenceur secret constant de la politique mondiale. C’est ainsi que nous le connaissons. Grâce à ses tactiques, M. Musk, comme vous le savez, a même pu augmenter sa fortune de 137,5 milliards de dollars supplémentaires en seulement douze mois de Covid, dès le début ! Cet homme connaît son métier. Est-ce que vous comprenez ce qui se passe ici ?

La question la plus passionnante à l’heure actuelle est la suivante : Les tireurs de ficelles de l’État profond maçonnique de la Chine ou leurs opposants, les multinationales de l’État profond américain, vont-ils s’emparer de l`abondance de lithium – ou vont-ils même se partager fraternellement le gâteau ?

En guise de conclusion partielle, une chose au moins est certaine : une fois de plus, notre part du gâteau total ne sera que les flux des réfugiés. En d’autres termes, la guerre hybride se poursuit, elle s’accélère à nouveau, et en particulier une fois de plus contre nous, les Européens. Dans l’ensemble du scénario de retrait de l’Afghanistan se présente d`ailleurs un parallèle remarquable avec la prétendue chute de l’URSS, ainsi que du communisme. Car il s’agissait d’une chute stratégique planifiée en commun par la haute finance et le marxisme. Nous devons comprendre cela.

En d’autres termes, les mouvements stratégiques de la haute finance en combinaison avec le marxisme ont eu lieu depuis que le communisme existe. Les personnes non informées objecteront bien sûr : La haute finance et le marxisme sont des ennemis, ce sont deux choses tout-à-fait différentes. Je vous le dis, non, ce n’est pas comme ça. S’il vous plaît, laissez-vous corriger sur ce point, vous tous qui pensez de cette façon.
Le marxisme est une création délibérée de la haute finance pour l’établissement stratégique d’un gouvernement mondial, les deux faces de la même médaille. Encore aujourd’hui, rien n’a changé.

  • Et voici à nouveau le parallèle avec l’Afghanistan : au début des années 1950, l’Union soviétique était complètement dévastée sur le plan économique.
  • Parce qu’elle était militairement inférieure à l’Occident et que la classe ouvrière occidentale ne croyait pas du tout à la lutte des classes, on a tout simplement développé la stratégie de la guerre non armée.
  • Le stratège chinois Sun Tsu avait déjà fourni les fondements stratégiques de cette guerre hybride il y a plusieurs siècles.
  • Dès le début, la guerre soviétique était basée sur la tromperie délibérée et la désintégration imperceptible de l’ennemi occidental. En d’autres termes, la guerre hybride.

L’objectif était clair et bien défini : un gouvernement mondial communiste. Comment cela est-il censé fonctionner, demande le profane. C’est très simple :

  • La stratégie qui devait conduire à cet objectif commençait par le simulacre de sa propre chute, de sa propre faiblesse. La chute du communisme comme stratégie, vous voyez ? Vous devez comprendre comment ça fonctionne. De quoi parlons-nous aujourd’hui ? Nous parlons de la chute stratégique par le retrait de la grande puissance américaine, en raison de l’apparente supériorité des Talibans. Revenons à la chute du communisme et à ses parallèles. Vous pouvez y voir des parallèles :
  • Dans le même temps, les stratégies communistes ciblées à long terme visant à infiltrer l’Occident et à le rééduquer étaient déjà en cours. C’est ce qui se cache derrière tout cela. Mais comment, demandez-vous encore. Par le biais de la propagande, bien sûr, comment faire autrement ?
  • Tout s’est passé de manière stratégique et de l’intérieur, non plus avec des armes de guerre traditionnelles, mais avec des armes idéologiques, qu’on pourrait appeler hybrides.
  • Mais au cas où ces dernières ne seraient pas suffisantes, ils ont naturellement toujours gardé les différents moyens de guerre classiques déjà « prêts dans la poche ». Mais cela n’était qu’un second choix, au cas où le coup d’État sournois ne réussirait pas.
  • L’Occident était totalement aveugle devant ce stratagème et cette stratégie de guerre, et l’est encore aujourd’hui. Et là encore, il se passe des choses très parallèles.
  • La nouvelle stratégie soviétique à long terme a ensuite été divisée en quatre étapes successives. Vous pouvez dire quatre étapes, mais il n’y a qu’un seul but : Un gouvernement mondial communiste ! C’était l’objectif.

La première étape a impliqué au début une période de détente. Cela a rendu l’Ouest réceptif à tout ce qui venait alors « en rouge ».

  • Nikita Khrouchtchev a commencé à prendre publiquement ses distances avec Staline et ses génocides en 1956
  • Après une décision du congrès du parti, tout a été cependant fait pour convaincre l’Occident de la quasi « faiblesse » du bloc de l’Est.
  • Il y avait de la coopération, du dialogue et du commerce, tout a été littéralement recréé, si vous voulez, au milieu de cette hypocrisie.
  • Le bloc de l’Est a commencé à feindre la faiblesse en claironnant partout la division interne du monde communiste.
  • De cette manière, l’Occident était censé perdre toute crainte du danger rouge, selon le slogan : Voyez comment l’URSS est tout à coup devenue docile.

Une opposition contrôlée a été délibérément mise en place pour y parvenir. Dans tous les États du bloc de l’Est, elle a fait rage contre les gouvernements en place.

  • Et pendant qu’avait lieu cette rébellion contre le Kremlin secrètement contrôlée dans le monde entier, pendant qu’elle était propagée, dans le même temps, toute force d’opposition anticommuniste vraiment authentique était supprimée par la force et éliminée, écartée.

Mais le sens et le but de cette opposition autodirigée étaient les suivants :

  • À savoir, ils n’ont exigé ni la fin immédiate ou absolue du communisme soviétique, ni l’autorisation de l’économie de marché telle que nous la connaissons ici.
  • De telles demandes sont venues des véritables opposants.
  • En revanche, l’opposition auto-installée ne demandait qu’une révision douce et la poursuite du développement du communisme, une version plus humaine du marxisme, pour ainsi dire, mais bien sûr pas sous ce nom.

Dans la deuxième étape, l’Occident a été déstabilisé.
Alors que l’opposition contrôlée a proclamé partout en Occident que l’URSS était faible et déchirée, ils ont commencé, en arrière-plan, la guerre hybride ciblée selon les directives de Lénine, Trotsky, c’est-à-dire du vieux Sun Tzu.

  • Autrement dit, la décomposition imperceptible a commencé, car cela a été instigué insidieusement à partir de l’intérieur.
  • Rééducation idéologique fondamentale, propagande sans fin.
  • Et tout cela selon le schéma de la désormais bien connue Grande Réinitialisation et de l’Agenda 2030, tel que nous l’avons déjà présenté sur Kla.TV.
  • Mais le fait que le Kremlin a toujours eu des amis puissants et des compagnons d’armes en Occident a été prouvé par les hommages décernés à Andrei Sakharov aux États-Unis et en Europe.
  • Des prix Nobel de la paix pour ceux qui ont promu la guerre hybride en secret, vous comprenez ?

Et puis vient l’étape 3. L’étape 3 consistait à simuler la disparition du communisme.
La chute, la simulation – c’est le sujet, c’est le parallèle aujourd’hui avec l’Afghanistan.
Vous simulez une chute, un déclin, une faiblesse.

Et puis, tel un messie, le secrétaire général du PCUS, Mikhaïl Gorbatchev, est entré sur la scène politique mondiale. Sa tâche consistait à libéraliser l’Union soviétique, à l’apprivoiser, pour ainsi dire, devant le monde entier :

  • Cependant, même pendant le tapage constant de la perestroïka, c’est le contraire de ce que la communauté mondiale croyait qui a été réalisé.
  • Le communisme n’a été ni aboli, ni apprivoisé, mais plutôt introduit sournoisement à l’Ouest, par la porte de derrière. C’est comme ça que ça marche, vous voyez, quand on feint la faiblesse.
  • Les communistes ont en fait caché leur secret de façon assez ouverte et assez insolente, car perestroïka ne signifie rien d’autre que transformation ou restructuration.
  • En d’autres termes, il ne s’agissait pas de mettre fin au marxisme, mais simplement de le polir un peu, de le restaurer.
  • L’image d’horreur qu’inspirait le communisme devait disparaître dans le monde entier, mais parallèlement, les concepts marxistes devaient être introduits clandestinement, bien sûr, en Occident et devenir la force dominante durable.
  • Ces concepts trompeurs de communisme sont mis en avant, surtout de nos jours, sous les termes que nous avons déjà appris à connaître, capitalisme actif, Great Reset, etc. Ils font, en quelque sorte, croire à l’âge d’or qui se profile avec sa solution à tous les problèmes sociaux.

Et c’est ainsi que la stratégie communiste se réalise:

  • Bien des années auparavant, ce n’est autre que le KGB qui a construit cette opposition ciblée.
  • Gorbatchev a alors défendu presque sans réserve ces dissidents, et leur a donné un accès direct aux radios d’État, etc.
  • Par ce biais, les opposants parrainés secrètement ont eu de nombreuses occasions de soulever des objections en public, qui ont ensuite été généreusement satisfaites.
  • C’est donc par le biais de ces dissidents que l’opinion occidentale a été délibérément façonnée et consolidée ; tout à fait dans l’esprit de Sun Tsu, mais aussi de Lénine & Cie. Je n’ai pas besoin de les énumérer tous.
  • Ensuite, après la fausse chute réussie du bloc de l’Est, l’Occident est, depuis 1991, un champ ouvert à toutes les formes d’infiltration, à toutes les formes d’influence et, bien sûr, à l’espionnage.
  • Voyez-vous, cette stratégie de guerre hybride des camps d’endoctrinement socialistes a insidieusement transformé notre société occidentale de sorte que les idéologies de Marx, Lénine, Engels, etc. sont aujourd’hui plus présentes, plus convoitées que jamais.
  • Mais plus sous les termes génériques mal compris de « communiste, léniniste ou marxiste » ; c’est précisément là que réside ce que je peux appeler la ruse troyenne.

Nous en sommes actuellement à l’étape 4, c’est-à-dire à l’introduction du communisme mondial. J’insiste à nouveau sur le fait que lorsque je parle de communisme mondial, il faut toujours voir un capitalisme et un communisme de haut degré.

En d’autres termes, de nos jours, la stratégie à long terme des Soviétiques commence également à porter ses fruits.

  • Le gouvernement mondial visé doit maintenant être pleinement installé par tous les moyens, qu’ils soient politiques ou, si nécessaire, militaires.
  • Dans la phase actuelle Il s’agit de faire croire que le système capitaliste a échoué, qu’il est en panne, ou mort. Si on compare avec l’Afghanistan : la grande puissance américaine a échoué, c’est-à-dire qu’elle arrive au bout. Vous pouvez apprendre de cela que si quelque chose est tellement martelé, c’est le contraire qui est la réalité.
  • Pour ce faire, la grave crise économique mondiale actuelle, avec le chômage de masse et la pauvreté, a été mise en scène, elle a été évoquée, pour ainsi dire. Tout cela se tient.
  • Grâce à l’effondrement insidieusement attisé de la classe moyenne, que nous expérimentons actuellement et avec elle une grande partie de la population, l’échec du capitalisme doit en quelque sorte être révélé et démontré. Vous voyez ces parallèles ?
  • Il s’agit ainsi d’imposer à notre monde occidental un système politique qui, à première vue, n’a pas particulièrement l’odeur du communisme soviétique que nous connaissons…
  • Celui-là ne serait guère accepté sans résistance.
  • C’est précisément la raison pour laquelle tous ces nouveaux termes nous tombent dessus comme par exemple : Capitalisme des parties prenantes, partenariats public-privé, New Deal, le Pacte Vert, grande réinitialisation, etc.
  • Dans l’embellissement de ce modèle néo-marxiste, la Chine et la Russie se voient soudain attribuer un rôle considérable, si on observe bien.
  • C’est aussi la raison de la participation active de ces deux grandes puissances au FEM de Davos avec sa grande réinitialisation, etc.

Pour résumer :

La stratégie à plusieurs niveaux de la guerre hybride que je viens de décrire était déjà construite stratégiquement dans les années 1950. En Afghanistan ça à commencer en 2001 et on peut voir tous les parallèles.

  • La stratégie de guerre hybride de l’époque était une stratégie commune entre la haute finance et le marxisme, je le souligne à nouveau, dont l’objectif est un gouvernement mondial absolu. La haute finance et le marxisme, je le répète, sont et était toujours les deux faces d’une même médaille. C’est pourquoi nous devons suspecter et reconnaître ces deux éléments dans cet acte de retrait d’Afghanistan.
  • Le communisme sous toutes ses formes, comme le marxisme, le léninisme, le maoïsme, etc., ont toujours dérivé de la haute finance. Cela il faut enfin le comprendre. Retenez bien cela.
  • La haute finance, en tant que tête secrète du communisme mondial, a toujours parfaitement su comment éliminer elle-même tous ses adversaires potentiels, et ce à travers les communistes de bonne foi. Il suffisait de leur faire comprendre que l’adversaire capitaliste était la classe moyenne, par exemple, le riche propriétaire d’usine, etc. dans leur région. Et ainsi ces prolétaires excités commençaient à serrer les poings et à se soulever contre leurs employeurs et à manifester.
  • De nos jours, avec la plandémie Covid-19 ciblée dans laquelle nous nous trouvons actuellement, les hyper capitalistes rusés tentent de donner le coup de grâce à toute la classe moyenne,
  • Tous les marxistes, communistes, verts, rouges, etc. bien intentionnés se rendront compte trop tard qu’ils ont été trompés par le grand capital pendant des siècles, qu’on a sournoisement abusé d’eux, qu’ils ont été instrumentalisés.
  • Ils mènent un combat absolument nécessaire contre le faux capitalisme, mais malheureusement sur un faux niveau, comme je viens de l’expliquer. Ainsi ils se sont donné le coup de grâce à eux-mêmes et à toute les classes moyennes.
  • En bref, dans la dernière ligne droite de cette stratégie déjà ancienne, l’Occident doit être complètement affamé et démonté au niveau politique et économique.
  • La Chine, en revanche, doit être construite avec le soutien de la Russie. C’est le plan qui se cache derrière. Et au-dessus de cela, comme je l’ai dit, se trouve le capitalisme de haut niveau. Ici, à l’arrière-plan, les Loges mondiales maçonniques divisées, que vous pouvez appeler Super Loges, se battent toujours pour la première place. Ça se passe en arrière-plan. Rappelez-vous bien ceci : l’État profond est profondément divisé – ce qui est une opportunité pour la communauté mondiale.
  • Par le biais de ces entités réunis, les décisions mondiales futures seront fondées sur les bases des puissances marxistes ancestrales.
  • Donc, tout ce parallèle entre la faiblesse prétendue de la grande puissance américaine en Afghanistan et de l’Union soviétique de l’époque m’apprend avant tout une chose, et maintenant j’arrive à la fin :
  • Je ne vois en fait qu’un seul moyen de faire face à ces forces insidieuses :

Je dis, apprenons tous à prier à nouveau. Prions pour que ces grandes puissances ne soient pas en mesure de nous envoyer une fois de plus dans leurs guerres, mais que leurs têtes, c’est-à-dire leurs dirigeants, s’achèvent les uns les autres – c’est leur travail, de s’éliminer les uns les autres – et que nous sortions vainqueurs de cette bataille finale des dirigeants sournois – oui, nous, le peuple !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 44 ans.