Les «complots de panurges», cancer de la résistance.

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Par Jean Pierre Aussant

Il y avait déjà le « prêt-à-penser ». Nous avons maintenant le « prêt-à-découvrir ».

Les faux complots que je qualifierais de complots «prêts-à-découvrir» comme le virus «fabriqué en Chine» (s’il est fabriqué en Chine, c’est qu’il existe…) ou encore l’efficacité de la chloroquine (si elle est efficace, c’est que là aussi, le virus existe, car rien n’est efficace contre rien…), sont souvent sinon créés par la dictature elle-même, au moins encouragés par elle, et ce dans le but d’entraîner la population (en lui donnant un peu d’avoine à ruminer) dans des réflexions «cul-de-sac» et sans danger pour elle. C’est qu’il s’agit avant tout d’empêcher le peuple de comprendre que le seul vrai complot à découvrir, est que le corona n’est que la « dramatisation sémantique » d’une simple grippe. Et rien d’autre…

En clair, les opposants à la dictature de l’hygiène ont le droit de tout dire, y compris que le virus a été balancé sur terre par les extra-terrestres, mais en revanche, ils n’ont pas le droit de nier son existence. Bref, tout dire sauf……la vérité. La dictature nous autorise pour ainsi dire à donner notre opinion, à condition toutefois de faire quelques concessions au mensonge. Elle nous dit : « accepte le mensonge, et après dis ce que tu veux ».

Force est de constater hélas, que l’immense majorité des « résistants » plus ou moins médiatisés qui pullulent désormais dans les réseaux sociaux (à coups de vidéos « regarde, c’est du lourd ») se vautrent tête première dans ce piège (et avec eux les revues en ligne de résistances plus ou moins catholiques comme….(ils se reconnaîtront). Ainsi, quand bien même sans le savoir et quand bien même en étant bien intentionnés, ces gens contribuent « en creux » à propager le mensonge de la dictature qu’ils essayent pourtant de combattre.

Dans cet esprit, je ne peux que réitérer ce que voici deux ans j’écrivais déjà dans mon essai «l’instrumentalisation du corona»: la condition sine qua non à toute résistance crédible est de manifester une tolérance zéro contre la plus grande fakenews de tous les temps. Toute autre approche ne pourra que générer à plus ou moins long terme encore plus de trouble et de confusion.

Jean Pierre Aussant


[Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
L’effondrement de l’hypothèse virale. Mise à jour]




Pétition pour la destitution du président Macron

[Source : leslignesbougent.org]

Pétition pour la destitution du président Macron

Nous,
citoyens français, demandons une motion de censure à l’Assemblée nationale en vue de la destitution du président Macron et de son gouvernement pour manquement grave à sa fonction présidentielle, maintient d’une population dans un état d’urgence sanitaire abusif, mensonge d’état, corruption, mauvaise gestion de crise, détournement d’argent public à des fins personnelles de campagne électorale, prise d’intérêt, mise en danger de la vie d’autrui, abus de pouvoir, népotisme, cloisonnement et discrimination d’une partie éclairée de la population, décohésion sociale, gouvernement par la peur et la répression, désorganisation de l’appareil constitutif et administratif de la France, accusations calomnieuses à l’égard des services sanitaires du pays, pillage en règle et en bande organisée des richesses de la nation, détournement des médias à des fins de propagande coercitive et nuisible au bien être physique et psychique de ses administrés, empoisonnement par abus et usure d’ustensiles non appropriés au bien-être de tous (masques inutiles et polluants), incitation à l’ostracisme et à la violence, tentative de génocide par obligation d’utilisation de produit non réglementés et dont la dangerosité est avérée (thérapie génique), mensonge par omission et manipulation de masse par des personnes détenant autorité, élitisme, bafouement de la constitution de la 5e république, promulgation par décrets de lois iniques en vue d’asservissement des citoyens, décrédibilisation et destruction du système de santé, utilisation des pouvoirs publics et des forces de l’ordre à des fins de répression, privation des citoyens de leurs libertés fondamentales d’expression, de pensée, de mouvement et d’épanouissement.

Nous demandons également la mise sous tutelle populaire du Sénat, du Conseil Constitutionnel et de l’Assemblée nationale pour prise d’intérêts ainsi que le Conseil de l’ordre médical, la faculté de médecine, la magistrature et les différentes académies qui se sont portés caution de ces agissements.

Nous demandons que ce président restitue les pouvoirs que le peuple lui a confiés au début de son mandant.

Qu’il soit saisi de tous ses biens et avoirs pour rembourser tout ou partie du préjudice susnommé.

De même une interdiction électorale et également une interdiction de pratiquer sur le territoire.

Qu’il soit également dessaisi de ses appointements de retraité de la haute fonction publique après son mandat.

L’abrogation et l’annulation pure et simple de tout son mandat y compris l’annulation des ventes des fleurons technologiques du pays à des puissances étrangères et soit poursuivit pour haute trahison.

Auteur : Luqy

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Mussolini, inspirateur de Macron ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Avi Morris

Vu d’Israël, ces polémiques sur la comparaison entre la politique vaccinale actuelle et le statut des juifs de Vichy à la suite du tweet du professeur de philosophie @rene_chiche ne manquent pas de surprendre. D’une part, la comparaison avec les débuts du nazisme fait également partie des éléments d’argumentation avancés par les opposants au passeport sanitaire en Israël – nous aurons l’occasion d’y revenir dans une prochaine contribution ; d’autre part, quand on sait la fascination qu’exerce le philosophe nazi Heidegger sur une partie de l’intelligentsia française, il est toujours amusant de constater les ravages de la bonne conscience à critiquer toute comparaison avec le nazisme.

Ce qui nous paraît nettement plus inquiétant que les tweets du professeur Chiche, c’est le discours des vœux du président Emmanuel Macron le 31 décembre 2021 que, bien évidemment, ceux qui attaquent ce professeur de philosophie, se gardent bien de relever. Comme l’a déclaré le président Macron :

« enfin, nous appuyer sur la responsabilité de chacun, principalement en se faisant vacciner, pour soi et pour les autres. Être un citoyen libre et toujours être un citoyen responsable pour soi et pour autrui ; les devoirs valent avant les droits ».

Cette phrase est très troublante. Pour citer Mussolini :

« Le concept de liberté n’est pas absolu car, dans la vie, il n’y a rien d’absolu. La liberté n’est pas un droit, mais un devoir. Ce n’est pas un cadeau : c’est une conquête ; ce n’est pas une égalité, c’est un privilège. Le concept de liberté change suivant le moment. Il y a une liberté en temps de paix, qui n’est plus la liberté en temps de guerre. Il y a une liberté en temps de richesse, qui ne peut être accordée en temps de misère ».

(Ve anniversaire de la fondation des Faisceaux, 24 mars 1924 ; dans Scritti e Discorsi, vol. IV : Il 1924, Milan, Hoepli, 1934, p. 63, reproduit dans B. Mussolini, La doctrine du fascisme, disponible sur internet).

Pour citer Charles Maurras :

« j’ai toujours cru que le privilège des droits représentait le privilège des devoirs ».

(C. Maurras, Mes idées politiques, Fayard, 1937, p. 125)

Nous avons déjà montré dans un précédent article dans le Courrier des stratèges les références douteuses du président Macron et le scandale que constitue sa déclaration lors de la remise de la légion d’honneur à Jesse Jackson :

« Les valeurs pour lesquelles vous vous êtes battu sont les mêmes que celles de la République française […] Vous êtes notre frère ».

Apparemment, pour 2022, le message est clair : nous n’avons pas encore tout vu dans le déploiement de la rhétorique du Président Macron : les non-vaccinés comme les Juifs en 1940 ne réussiront pas à passer à entre les gouttes. Pendant ce temps, les soutiens du Président préfèrent faire l’autruche et s’en prendre à un professeur de philosophie.




Appel à la résistance des députés, sénateurs, élus, citoyens contre une société orwellienne

Par Nicole Delépine

Bravo, Mme la Députée M Wonner en ce triste 3 janvier où le macronisme tente d’enterrer la démocratie et de transformer notre société en une terre orwellienne.

Elle a raison, cette courageuse députée.

Votre pass vaccinal arrive trop tard, car les Français ont bien compris que le variant omicron avec lequel vous vouliez nous affoler, en fait apporte une immunité naturelle qui va enterrer cette pandémie. On peut multiplier les cas, en imposant une folie de tests, mais cela ne multiplie pas les hospitalisés ni les morts qui seraient vraiment liés au covid.

et le commentaire du ministre est inadmissible :

Duval Philippe

« Que l’on soit d’accord ou pas avec Martine #Wonner, rien ne justifie les propos tenus par Olivier Véran

. En plein examen de la loi à l’Assemblée nationale, #Veran en réponse à l’intervention de la députée : “Madame Wonner, la chloroquine ne se fume pas” »

Et les Français clament leur refus de l’apartheid devant l’Assemblée nationale malgré le déluge.

Le groupe LFI pose une motion de rejet présenté par Jean-Luc Mélenchon :

https://twitter.com/i/broadcasts/1lPKqmDYVllKb

Député Dupont-Aignan

Le texte de loi du #passevaccinal débattu à partir de ce jour 3 janvier 2022

Je me battrai de toutes mes forces à l’Assemblée nationale pour faire tomber le passe vaccinal, qui est une arme de plus de destruction massive de notre devise Liberté, Égalité et Fraternité ! #DirectAN

Députée Mathilde Panot

En Macronie, l’individu est coupable. Coupable d’être chômeur, coupable d’être pauvre, ou encore, coupable d’être malade !

Bravo à ces députés qui tentent d’éveiller les collègues contre ce totalitarisme qui avance, même pas masqué…

Les citoyens doivent participer à cette information des députés, sénateurs, élus en leur écrivant leur propre lettre

Ou inspirée de lettres ouvertes déjà proposées :

Il faut agir tout de suite : adresser dès aujourd’hui une lettre aux députés et aux sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Joindre nos députés et leur faire comprendre l’importance de leur vote qui pourrait transformer notre société en apartheid et aboutir un jour ou l’autre à de la violence pour en sortir.

Dans l’immédiat, joignons-les dans leurs permanences ou par écrit ou téléphone, qu’ils sachent que nous savons l’horreur du projet, et que nous saurons leur prise de position.

Rodolphe Bacquet (rbacquet@mail1.alternatif-bien) a initié la pétition « non au pass vaccinal » qui atteint le million 200 000 signatures et qu’il faut continuer à transférer le plus possible — texte dans le lien ci-dessus)

[Pétition] NON AU PASS VACCINAL ! (leslignesbougent.org)

ou en transmettant des lettres ouvertes comme celle de J E Chabert :

De : Jacques-Elie Chabert <je.chabert@gmail.com>
Envoyé : vendredi 31 décembre 2021 12 h 35
À : undisclosed-recipients:
Objet : Fwd: votez NON AU PASS VACCINAL

Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,
Madame la Députée, Monsieur le Député,

Le projet du gouvernement de Jean Castex est d’instaurer un « Pass vaccinal » qui remplacerait le « Pass sanitaire ». Ces deux instruments de contrôle, « Pass vaccinal » et « Pass sanitaire », sont des atteintes à l’état de droit qu’aucune « crise » ne justifie.

À un point de bascule aussi crucial, votre responsabilité historique est engagée au moment même où la CNIL vient d’autoriser l’envoi à la CNAM et aux médecins de la liste de leurs patients non-vaccinés en prévoyant que l’on pourrait tordre le nez au règlement qui protège les données personnelles, la CNIL gesticule et feint de se battre pour résister à l’extorsion de nos données personnelles de santé par les multinationales américaines et en tout premier Microsoft [A].

Ces dispositions porteraient gravement atteinte à notre constitution et à nos lois, qui spécifient que tout acte médical doit être consenti de façon libre et éclairée. En fait, il a bien été établi qu’un acte médical imposé sous la contrainte — il en existe de toutes sortes — est condamné par les lois supranationales de Nuremberg qui furent conçues pour conjurer le retour à la barbarie des camps de concentration [B].

Ces dispositions violeraient la loi de l’Union Européenne encadrant l’instauration du « pass sanitaire », qui a expressément interdit qu’un tel document puisse aboutir à une discrimination entre vaccinés et non-vaccinés.

Ces dispositions méprisent les avertissements du Conseil Constitutionnel qui exigeait que le « pass sanitaire » soit temporaire. Si « temporaire » est maintenant synonyme de « en attendant de mettre en place pire » alors nous devons condamner et sanctionner le cynisme achevé de l’équipe qui prétend nous gouverner.

Facteur aggravant et constituant de cette protestation, ce « pass vaccinal » n’a pas de fondement scientifique. Le Pr Delfraissy a admis lors de sa dernière audition au Sénat que le « pass sanitaire » n’avait pas endigué l’épidémie de Covid, son but étant de contraindre les citoyens à la vaccination [C]. Le « pass sanitaire » n’a eu aucun effet sur la contagiosité virale et les hôpitaux accueillent maintenant de doubles et triples vaccinés. Ce vaccin ne « marche » pas et, contrairement à l’argument cent fois répété, il ne prévient pas la survenue des « formes graves ». Les effets adverses et les effets paradoxaux explosent [D].

En droit français et en droit international, il n’est pas possible d’imposer une obligation de traitement médical à une personne en bonne santé ne présentant aucun surcroît de risque pour son entourage, la vaccination COVID n’étant pas altruiste. La loi portée par M. Castex étant une véritable « obligation vaccinale » assortie d’un dispositif punitif, n’est pas légale. L’accepter serait une faute qui aurait pour conséquence une mise sous tutelle et un asservissement du peuple français tout entier qui, par son injustice, déclencherait un enchaînement de mesures toujours plus coercitives.  

• Si vous donnez votre feu vert au gouvernement sur le « pass vaccinal », vous posez les bases d’un modèle de société où le contrôle du statut médical conditionnera la vie sociale et facilitera la prédation de l’État américain sur l’ensemble de l’économie. Le principe « KYC » (Know Your Customer) qui soutend cette gigantesque opération et qui prétend tout connaître de nos entrailles n’est pas acceptable ;

• Votre approbation aurait pour conséquence d’opposer deux classes de citoyens à l’intérieur du même pays : vaccinés contre non-vaccinés et vous introduiriez une discrimination qui ne connaît que de sombres exemples dans l’histoire de notre pays et celles des peuples ;

• Votre approbation aurait pour conséquence de condamner la totalité des citoyens à un traitement expérimental appelé « vaccination », sans limite annoncée de durée, avec une dose supplémentaire tous les 3 mois. Alors que l’expérimentation de vaccination de masse aurait dû être stoppée, on a, comme pour les antibiotiques, toutes les raisons de redouter des conséquences à long terme de cette surconsommation.

C’est à peine concevable, mais il faut se rendre à l’évidence que les fabricants de médicaments exercent une telle pression sur les politiques et les médias que « protéger » devient synonyme de « condamner ». Il ne m’appartient pas de prodiguer un complément de culture sur la vaccination. À chacun de faire ses recherches en déjouant le grossier narratif officiel.

Je vous demande solennellement, vous, représentants du peuple français auxquels sera soumis ce projet de loi début janvier, de défendre la liberté républicaine, la justice sociale, notre intégrité et l’économie de la France en censurant ce projet de loi.

Veuillez recevoir, Mesdames et Messieurs les élus de l’Assemblée nationale et du Sénat, l’expression de ma très haute considération.

Jacques-Elie Chabert
je.chabert@gmail.com


[A]
https://www.dataprivacy.pro/le-contentieux-entre-microsoft-et-la-cnil/
https://www.msn.com/fr-fr/finance/economie/feu-vert-de-la-cnil-%C3%A0-lenvoi-aux-m%C3%A9decins-de-la-liste-de-leurs-patients-non-vaccin%C3%A9s/ar-AALS27Y
https://www.lemondedudroit.fr/decryptages/61993-nouvelles-exigences-cnil-transmission-donnees-partenaires-commerciaux-courtiers-donnees.html
https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_les-gouvernements-decident-en-opposition-au-citoyen-selon-la-presidente-de-la-ligue-des-droits-humains-invitee-a-jeudi-en-prime?id=10706245

[B]
http://www.revuedlf.com/droit-administratif/sur-la-liceite-dune-obligation-vaccinale-anti-covid/
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32021R0953&from=EN
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070721/LEGISCTA000006136059/#LEGISCTA000006136059

[C]
https://www.liberation.fr/checknews/jean-francois-delfraissy-a-t-il-dit-que-le-pass-sanitaire-ne-protege-pas-20211209_R7DTOX4XPVBJRPBNIFX42ZLDWQ/

[D]
Le système américain VAERS enregistre les rapports de blessures et de décès dus aux vaccins. Il a été bien documenté que la base de données ne contient que 1 % à 10 % des vrais chiffres, pour diverses raisons. En d’autres termes, les nombres réels peuvent être 10x à 100x plus que ceux dans la base de données. 46 dossiers VAERS d’enfants décédés à la suite d’un Pfizer : https://goodsciencing.com/covid/46-children-killed-by-covid-vaccines-in-us/ _ https://vaers.hhs.gov/ et https://www.adrreports.eu/fr/, les deux organes de pharmacovigilance — américain et européen — ressentent officiellement déjà, ensemble, pour l’Europe et les États-Unis, cent mille (100 000) morts et cinq millions (5 000 000) de personnes subissant les effets secondaires graves (AVC, myocardites, paralysies de Bell, Creutzfeldt-Jakob — y compris d’enfants, y compris de fœtus dans les mères enceintes), en conséquence directe de la vaccination COVID.

Et pour la morale de l’Histoire

Richard Ferrand, le président de l’Assemblée nationale ne pourra pas assister aux débats sur le pass vaccinal.

« Déclaré positif à la suite d’un test réalisé ce matin et doté d’un schéma vaccinal complet, le président reste à l’isolement, conformément aux directives sanitaires »

Richard Ferrand « continuera à distance à exercer ses responsabilités » et « a demandé au vice-président David Habib de présider la séance des questions au gouvernement ».




Lettre ouverte aux députés et sénateurs à propos du projet de loi sur le pass vaccinal

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs,

Cette présente lettre ouverte constitue notre cinquième lettre ouverte, après celles :

Certains d’entre vous ont pris des positions fermes contre l’obligation vaccinale ainsi que contre le pass sanitaire, et nous tenons à vous en remercier de tout cœur. Vous avez su discerner le projet de société liberticide et totalitaire qui se met en place sous prétexte de crise sanitaire.

D’autres n’ont simplement pas pris en compte les faits que nous avons rapportés et qui sont vérifiables par tout un chacun à condition de faire l’effort d’examiner les sources d’information – la plupart du temps censurées par nos grands médias –, notamment la littérature scientifique, les données officielles de pharmacovigilance et les nombreuses voix de lanceurs d’alerte courageux qui appellent à l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et dénoncent le climat délétère qui s’installe par la propagande d’État, la désinformation massive, la censure sur les réseaux sociaux, la suppression de la liberté d’expression, du débat scientifique contradictoire, et la promotion de la pensée unique.

D’autres encore continuent de balayer d’un revers de main rapide les arguments scientifiques développés et les craintes d’un totalitarisme sanitaire que nous avons exprimées, sans jamais interagir de manière sérieuse et scientifique aux faits que nous présentons, mais en se cramponnant à leur idéologie. Cette attitude dénote un mépris pour le peuple et une confiscation de la représentativité populaire que les parlementaires sont censés assurer.

Nous tenons, une fois de plus, à vous alerter sur le projet de loi mortifère et scandaleux de pass vaccinal sur lequel vous serez appelés à voter aujourd’hui, ce lundi 3 janvier 2022, et qui n’était en fin de compte que le véritable objectif du gouvernement.

En effet, mettant à profit les fêtes de fin d’année, le gouvernement a décidé d’adopter un projet de loi transformant le pass sanitaire en passe vaccinal dans les prochains jours.

De même qu’il avait fait adopter le pass sanitaire dans la torpeur de l’été, il réédite la même manœuvre en essayant de faire adopter un projet liberticide au moment même où les Français étaient occupés à fêter Noël puis le jour de l’An.

Ce projet de passe vaccinal retire à la parole publique ce qui lui restait de crédibilité, crédibilité qui était déjà anéantie par le flot incroyable de mensonges et de contre-vérités, tous plus graves les uns que les autres, que le gouvernement n’a cessé de proférer, en toute impunité.

Comme des millions de concitoyens, nous estimons que l’adoption de ce pass vaccinal serait une forfaiture en termes de libertés publiques. La pétition lancée par Rodolphe Bacquet contre le pass vaccinal juste après l’annonce du projet a été déjà signée par 1 174 779 citoyens au 3 janvier 2022 à 10h05, ce qui montre une mobilisation massive de l’opinion publique contre ce dispositif. Permettez-nous de vous rappeler quelques faits importants dont certains sont mis en avant dans le texte de cette pétition :

1Le pass vaccinal est l’aboutissement d’un an de mensonges successifs.

Depuis un an, le gouvernement fait “passer la pilule” à coup de promesses non tenues, et même de mensonges. 

  • Emmanuel Macron, il y a un an, annonçait ainsi que la vaccination ne deviendrait pas obligatoire :
  • L’on nous avait ensuite promis que le pass sanitaire serait provisoire :
  • Puis qu’il n’y aurait pas de pass vaccinal :



Et maintenant, voici ce qui s’est passé (depuis un an, avec une inflexion accélérée depuis six mois seulement) :

27 décembre 2020 : Emmanuel Macron réaffirme sur Twitter que le vaccin ne serait pas obligatoire ;

25 février 2021 : en marge d’un Conseil européen, le Chef de l’État garantissait qu’il «ne conditionnerait pas l’accès à certains lieux à la vaccination»,

31 mai 2021 : mise en place du pass sanitaire uniquement pour les «grands rassemblements» de plus de 1000 personnes ;

5 août 2021 : extension à de nombreux lieux publics du pass sanitaire jusqu’au 15 novembre 2021, date limite de son application, nous assurait Olivier Véran ;

15 octobre 2021 : fin de la gratuité des tests de dépistage ;

10 novembre 2021 : prolongation du pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022 ;

25 novembre 2021 : réduction du délai de validité des tests de dépistage de 72 heures à 24 heures ;

17 décembre 2021 : annonce de la mise en place du pass vaccinal.

Ces manipulations accumulées permettent au gouvernement d’aller toujours plus loin pour violer notre consentement !

Tous ces mensonges répétés à l’envie par l’exécutif destinés à faire accepter progressivement, par palier, des mesures dont l’objectif inavoué était de parvenir à instaurer un pass vaccinal généralisé sont l’expression et la preuve d’une manipulation de masse à visage découvert.

Nos dirigeants sont ainsi passés maîtres dans une technique appelée “le pied dans la porte”. Elle consiste à faire une demande peu coûteuse qui sera vraisemblablement acceptée, suivie d’une demande plus coûteuse. La deuxième demande a plus de chance d’être acceptée si elle a été précédée de l’acceptation de la première, qui crée une sorte de palier et un phénomène d’engagement.

Voilà comment : l’on a commencé par nous demander des choses “simples” comme porter un masque et faire une première dose de vaccin. La porte était ouverte vers une deuxième dose, puis une 3ème dose, avant une 4ème déjà annoncée par les experts pour le printemps.

2Le pass vaccinal exerce un chantage pour violer notre consentement, en complète violation de l’éthique médicale la plus élémentaire et des traités et conventions internationaux.

Maintenant que tous les verrous législatifs ont été levés, que l’opinion a été formatée pour accepter un narratif mensonger soutenu par la peur, le ministre de la santé, M. Olivier Véran, déclare, avoue sans la moindre honte et dans la plus complète impunité, que le « pass vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale ».

Ainsi, l’exécutif a fait désormais tomber le masque et a reconnu à de nombreuses reprises que le pass sanitaire n’était ni plus, ni moins qu’une extorsion de consentement pour contraindre à la vaccination. Il entend même aujourd’hui aller plus loin dans la violation de notre Constitution et souhaite imposer un pass vaccinal, qui n’a plus rien de sanitaire puisqu’un test négatif est plus efficace que le vaccin pour prévenir les contaminations.

Ces comportements vont à l’encontre de tous les textes internationaux sur le respect de la dignité humaine, le consentement éclairé et l’expérimentation médicale sur les êtres humains.

De tels propos montrent combien M. Véran sait tirer profit de sa position de ministre pour extorquer un consentement par la contrainte et la ruse. De tels propos et de tels actes, dans une véritable démocratie où la justice et les institutions fonctionneraient normalement et de manière impartiale auraient suscité une vague d’indignation appelant à sa démission et auraient déjà mené leurs auteurs devant les tribunaux, servant de pièces à conviction. Mais pourquoi n’en est-il rien ?

La France a ratifié le 13 décembre 2011 la convention d’Oviedo qui contient les principes du code de Nuremberg et qui est opposable à la France depuis le 1er avril 2012. Le décret n° 2012-855 correspondant a été publié le 5 juillet 2012.

Que dit cette convention ?

Ce traité part de l’idée que l’intérêt de l’être humain doit prévaloir sur l’intérêt de la science ou de la société.

Il énonce une série de principes et d’interdictions concernant la génétique, la recherche médicale, le consentement de la personne concernée, le droit au respect de la vie privée et le droit à l’information, la transplantation d’organes, l’organisation du débat public sur ces questions, etc.

Chapitre I

Chapitre II

Chapitre III

Chapitre V

Chapitre VIII

La France est liée par la signature de cette convention et ne peut pas faire ce qu’elle veut.

Le gouvernement le sait et fait tout pour nous extorquer notre consentement sans passer par l’obligation effective avec un produit expérimental non caractérisé correctement.

Le pass sanitaire ou vaccinal est un moyen de chantage, d’intimidation et d’extorsion du consentement. Cet outil porte une atteinte gravissime à nos droits fondamentaux humains inaliénables qui ne peuvent pas être subordonnés à des injections répétées imposées par le gouvernement.

Ces droits sont la liberté d’aller et venir, le droit à la vie privée, le droit au travail, le droit à l’éducation.

La discrimination et la haine érigées en mode de gouvernance par le Président Macron sont des atteintes graves à nos droits fondamentaux et relèvent du Code pénal.

3. Le pass vaccinal n’a aucun fondement scientifique et s’oppose à toute rationalité : la vaccination de masse, bien au contraire, conduira inéluctablement à un drame sanitaire.

La littérature scientifique révèle clairement que la vaccination n’est certainement pas la panacée qui nous est vantée à coups de slogans publicitaires simplistes qui s’apparentent aux envolées commerciales des marchands de tapis. Rappelons-ici quelques faits scientifiques indiscutables tels que les présente le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, qui dément dans un article récent du Lancet, chiffres à l’appui, cette affirmation selon laquelle l’on assisterait à une pandémie de non-vaccinés :

  • Les vaccinés ont un poids dans la transmission du virus non négligeable et qui ne cesse d’augmenter.
  • Les charges virales sont identiques chez les vaccinés et les non–vaccinés.
  • En Allemagne, 54 % des cas de Covid-19 frappent des personnes vaccinées.
  • Les vaccinés peuvent développer des formes graves de la Covid-19 et en mourir.
  • Les vaccinés peuvent transmettre la Covid-19 même à des individus vaccinés.

Face à ces faits vérifiables, en réalité, des centaines de professionnels de la santé dûment compétents sont parvenus à la conclusion opposée à celle du discours ambiant officiel martelé à longueur de journée, qualifiant l’utilisation de ces injections expérimentales Covid-19 d’« inutiles, inefficaces et de dangereuses » ; alors que plus de 59 000 scientifiques et praticiens médicaux ont affirmé qu’en raison du danger relativement faible de la Covid-19 pour la grande majorité de la population, « ceux qui courent un risque minimal » devraient être autorisés « à vivre leur vie normalement [et] à développer une immunité [collective] contre le virus » en dehors de tout vaccin ; et que plusieurs milliers d’autres ont qualifié d’ « irresponsable » le fait d’exposer la population à un vaccin insuffisamment testé pour contrer un virus aussi faible. En effet, dans « la grande majorité des cas (~ 99,8 % dans le monde), le SRAS-CoV-2 n’est pas mortel. Il s’agit généralement d’une maladie dont la gravité va du léger au modérément grave. Par conséquent, l’écrasante majorité des personnes ne sont pas à risque face à la Covid-19 et n’ont pas besoin d’être vaccinées » (source). La Covid-19 a un âge moyen de décès qui est plus élevé que celui de la population générale, ce qui démontre sa nature bénigne, et le taux de survie global est de 99,74 %.  Les taux de survie rapportés pour les personnes de moins de dix-huit ans sont de 99,998 %, pour celles de dix-huit à cinquante ans, de 99,95 %, de cinquante à soixante-cinq ans, de 99,4 %, et pour celles de plus de soixante-cinq ans, de 94 %, ce qui équivaut à des personnes de moins de 70 ans ayant une meilleure chance de mourir de la grippe que de la Covid-19 qui présente une menace globale comparable aux pandémies de grippe moyennes de 1936 et 1957. Il est nécessaire ici de préciser que même ces chiffres  constituent des statistiques de décès  considérablement gonflées, causées par des méthodes de comptage très défectueuses utilisées et promues par des agences de santé du gouvernement fédéral aux intérêts conflictuels. Des centaines de professionnels de la santé affirment qu’ « environ 99 % des gens sont déjà protégés contre la Covid-19 par des réponses anticorps de type mémoire » et que « la plupart des gens seront désormais immunisés en raison de leur exposition au SRAS-CoV-2 », de sorte que cette population ne « bénéficiera pas du tout de la vaccination ».

Au sujet du variant Omicron qui a servi à justifier le pass vaccinal, David Pujadas, sur LCI, a martelé le 31 décembre 2021 :

« Non, l’Apocalypse Omicron n’a pas lieu »,

et toute la panique générée par les médias tourne court, une fois les données scientifiques examinées calmement et consciencieusement.

La séquence de 1 mn 13 s extraite de la vidéo ci-dessus et dans laquelle le présentateur de télévision déconstruit le narratif apocalyptique peut également être visionnée ci-dessous :



Le Pr Jean-Michel Claverie, pour sa part, n’hésite pas à dénoncer le narratif covidien officiel comme une escroquerie profitant à quelques firmes pharmaceutiques, mais dénué de tout fondement scientifique.

https://www.youtube.com/embed/qELr4EplWGA

C’est également ce que clame l’épidémiologiste Laurent Toubiana de l’INSERM qui fait valoir que la Covid-19 est « l’un des plus gros mensonges de tous les temps », et est une « épidémie très banale » tant les chiffres réels sont anecdotiques :

  • 33-40 malades/100000 habitants/semaine,
  • très peu d’hospitalisés.

Il ne faut pas compter les « cas » dépistés, mais les personnes qui tombent vraiment malade.

https://www.youtube.com/embed/C3zJrBJkXmY

La généticienne Alexandra Henrion Caude, anciennement directrice de recherche à l’INSERM et spécialiste de l’ARN, nous explique, dans un langage simple et clair, pourquoi il ne faut pas prendre une troisième dose, puis une quatrième dose, etc. alors que le vaccin ne fonctionne pas. Il suffit d’avoir un peu de bon sens pour comprendre ce qui est expliqué dans la vidéo ci-dessous :



Ces faits réunis ont conduit le Dr Harvey Risch, épidémiologiste de l’Université de Yale, entre autres scientifiques compétents et de renommée mondiale, à qualifier la présente pandémie de « pandémie de peur » artificiellement créée.

Le vaccinologue belge Geert Vanden Bossche explique dans un entretien ses réticences sur la vaccination de masse pendant la pandémie. Dans une autre vidéo en anglais, de durée 15 mn 15 s, le vaccinologue adresse un appel solennel à l’OMS en suppliant l’organisation d’abandonner la vaccination de masse, notamment des enfants, avertissant du désastre sans précédent qu’elle provoquerait (et dont nous voyons déjà les tragiques prémices).

4. Le pass vaccinal exposerait nos concitoyens à des effets délétères ou mortels de thérapies géniques expérimentales, ce qui relève d’un acte criminel aggravé par son caractère intentionnel et prémédité.

Plus grave, le pass vaccinal contraindrait beaucoup de nos concitoyens à une vaccination génique expérimentale, qui a déjà tué l’équivalent d’une petite ville de plus de 35 000 habitants dans l’Union européenne d’après les statistiques officielles de l’organisme européen Eudravigilence, sans parler des effets graves non rémissibles qui se chiffrent en centaines de milliers (https://www.adrreports.eu/en/covid19_message.html). Ce « massacre » est inédit dans l’histoire de la vaccination. Notre prix Nobel de Médecine, le Professeur Luc Montagnier, et d’autres virologistes, épidémiologistes, spécialistes de biologie moléculaire de renommée internationale, dont l’un des inventeurs du vaccin à ARNm, le Dr Robert Malone, nous alertent régulièrement sur des effets délétères que nous ne faisons qu’entrevoir (maladies neuro-dégénératives, AVC, thromboses, myocardites…)  Comme le Pr Luc Montagnier, nous appelons à l’arrêt immédiat de cette folie vaccinale sous la contrainte.

Nous présentons ci-dessous les statistiques extraites de la base de données Eudravigilance pour les effets secondaires graves ou mortels des vaccins Moderna / Pfizer / Janssen / Astrazeneca dans l’Union européenne, qui est la partie émergée de l’iceberg vaccinal vers lequel fonce le Titanic occidental avec à son bord des passagers crédules, conditionnés par une propagandastaffel bien huilée ou bercés d’illusions scientistes : le Titanic ne peut pas couler ! Nous avons également tabulé ces statistiques dans ce fichier Excel.

Le nombre de doses administrées et de personnes vaccinées peut se trouver sur :

https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

Pfizer – Biontech (Tozinameran) Fatal
26/06/21
Sans rémission
26/06/21
Fatal
25/12/21
Sans rémission
25/12/21
Troubles du système sanguin et lymphatique 88 229 14976
Troubles cardiaques 1078 2338 2338 14061
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 9 30 43 157
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 5 2512 11 8996
Troubles endocriniens 2 104 5 697
Troubles oculaires 18 2352 36 8025
Troubles gastro-intestinaux 377 9922 745 29753
Troubles généraux et conditions du site d’injection 2412 32856 4537 95992
Troubles hépatobiliaires 31 114 83 399
Troubles du système immunitaire 36 577 85 2452
Infections et infestations 804 4115 1688 13865
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 116 771 290 2318
Enquêtes 292 2587 481 8524
Troubles du métabolisme et de la nutrition 152 917 266 2689
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 99 18641 200 53423
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 24 103 130 482
Troubles du système nerveux 843 23001 1719 71591
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 15 56 65 307
Problèmes liés aux produits 0 13 3 36
Troubles psychiatriques 113 2191 191 8055
Troubles rénaux et urinaires 126 418 252 1541
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 1263 5 27477
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 928 5431 1774 18800
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 70 6461 134 21407
Circonstances sociales 12 232 21 1125
Procédures chirurgicales et médicales 20 61 136 405
Troubles vasculaires 305 3212 705 10111
Total 7977 120278 16172 417664
Nombre de doses 177694000 177694000 525596153 525596153
% / nombre de dose 0,0044892 0,0676883 0,0030769 0,0794648
Moderna (spikevax)        
Troubles du système sanguin et lymphatique 31 958 109 3604
Troubles cardiaques 474 883 1028 4464
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 4 18 9 64
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 866 6 2836
Troubles endocriniens 1 42 6 202
Troubles oculaires 8 834 35 2590
Troubles gastro-intestinaux 148 2539 368 8988
Troubles généraux et conditions du site d’injection 1849 10969 3313 36579
Troubles hépatobiliaires 14 83 47 222
Troubles du système immunitaire 5 202 18 828
Infections et infestations 245 1305 937 4630
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 82 512 185 1418
Enquêtes 93 704 295 2817
Troubles du métabolisme et de la nutrition 87 385 239 1231
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 80 4791 202 16752
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 17 51 77 229
Troubles du système nerveux 438 6474 944 22464
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 2 48 6 138
Problèmes liés aux produits 0 1 4 9
Troubles psychiatriques 70 750 166 2593
Troubles rénaux et urinaires 60 223 192 729
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 241 8 4701
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 416 1736 1056 6373
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 30 2120 88 8035
Circonstances sociales 13 275 40 913
Procédures chirurgicales et médicales 41 90 164 467
Troubles vasculaires 146 1028 372 3252
Total 4356 38128 9914 137128
Nombre de doses 22057000 22057000 140715073 140715073
% / nombre de doses 0,0197488 0,1728612 0,0070454 0,0974508
Astrazeneca        
Troubles du système sanguin et lymphatique 150 3719 257 4946
Troubles cardiaques 431 2580 768 4599
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 3 37 6 75
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 3780 6 5678
Troubles endocriniens 3 116 4 278
Troubles oculaires 14 4784 30 6703
Troubles gastro-intestinaux 169 18037 385 22473
Troubles généraux et conditions du site d’injection 952 56700 1664 72315
Troubles hépatobiliaires 29 163 64 289
Troubles du système immunitaire 13 564 33 936
Infections et infestations 236 4819 492 7486
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 86 1840 186 2790
Enquêtes 85 3531 185 5221
Troubles du métabolisme et de la nutrition 51 2824 106 3436
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 47 37151 136 47802
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 8 95 32 216
Troubles du système nerveux 573 46270 1075 60663
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 4 35 17 78
Problèmes liés aux produits 0 47 1 70
Troubles psychiatriques 29 3986 64 5568
Troubles rénaux et urinaires 34 786 68 1153
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 2912 3 7987
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 414 8264 931 11609
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 23 10994 57 15114
Circonstances sociales 5 210 6 513
Procédures chirurgicales et médicales 16 196 28 328
Troubles vasculaires 258 4817 487 7484
Total 3633 219257 7091 295810
Nombre de doses 43198000 43198000 138153102 138153102
% / nombre de doses 0,0084101 0,5075628 0,0051327 0,2141175
Janssen        
Troubles du système sanguin et lymphatique 17 145 44 421
Troubles cardiaques 62 167 181 623
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 0 8 1 20
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 90 2 629
Troubles endocriniens 1 2 1 49
Troubles oculaires 3 195 8 686
Troubles gastro-intestinaux 24 829 85 2284
Troubles généraux et conditions du site d’injection 144 3847 586 9538
Troubles hépatobiliaires 4 15 13 46
Troubles du système immunitaire 0 23 10 130
Infections et infestations 14 166 171 791
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 8 120 22 289
Enquêtes 119 1938
Troubles du métabolisme et de la nutrition 11 70 52 224
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 17 2263 49 5539
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 0 10 8 31
Troubles du système nerveux 73 2574 228 6977
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 1 2 1 11
Problèmes liés aux produits 0 2 0 1
Troubles psychiatriques 5 124 20 524
Troubles rénaux et urinaires 8 50 28 164
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 57 6 1367
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 44 538 275 1554
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 2 344 10 1271
Circonstances sociales 3 34 4 186
Procédures chirurgicales et médicales 26 170 65 354
Troubles vasculaires 63 605 160 1317
Total 530 12450 2149 36964
Nombre de doses 3124000 3124000 48531244 48531244
% / nombre de doses 0,0169654 0,3985275 0,0044281 0,0761654
Total 16496 390113 35326 887566
Nombre de personnes complètement vaccinées dans l’UE     307391000 307391000
Nombre total de doses administrées 246073000 246073000 852995572 852995572
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre de personnes complètement vaccinées     0,0001149 0,0028874
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre total doses 6,7037E-05 1,5854E-3 4,1414E-05 0,00104053
Source: https://qap.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#distribution-tab
Eudravigilance: https://www.adrreports.eu/en/search_subst.html#
Nombre de morts (toutes classes d’âge confondues) / nombre cas déclarés en France 0,019547325 0,012904174
Nombre morts 0-59 ans / nombre cas déclarés en France 0,001954733 0,001290417
Sources :
https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france/
https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/dashboards/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6

Pourtant, une première brèche avait été ouverte dès le printemps dernier, elle continue à s’élargir, mais les officiers supérieurs, sans doute grisés par les appâts de quelque princesse vénéneuse de la pharmacie, n’osent pas entendre son grondement lugubre :

1) Sur 308 millions de vaccinés, il y a eu 35 000 morts et 900 000 affections graves sans rémission. Ceci est du jamais vu pour une campagne de vaccination. Le Pr Luc Montagnier parle, avec raison, de « folie vaccinatoire ».  Le Pr Christian Perronne, ancien vice-président du groupe « European advisory group of experts on immunisation », qui conseille la politique vaccinale européenne de l’Organisation mondiale de la santé, a la même analyse.

2) Le taux de mortalité de la Covid pour la classe d’âge 0-60 ans, qui représente environ 10 % des cas mortels en France, et de l’ordre de 1 mort pour 1000 malades déclarés, est trois fois inférieur à la probabilité de développer un effet secondaire grave non rémissible (toutes classes d’âge confondues) suite à l’administration des vaccins géniques mentionnés plus hauts. Où est le bénéfice ?

Il est encore possible d’affiner cette analyse de la nocivité des vaccins en examinant précisément la répartition des événements indésirables et létaux sur les différents lots. En réalité, tous les lots des vaccins anti-Covid19 ne se valent pas ! Il s’agit en fait d’une gigantesque loterie.

Le site http://howbad.info regroupe des tableaux sur les différents effets des vaccins Covid répartis par lots. Il s’agit d’une mise en forme des données officielles présentes sur le site gouvernement des Etats-Unis VAERS.

Les données au 23 décembre 2021 ont été compilées dans le tableau Excel ci-joint. Il ressort de ces données qu’un faible pourcentage de lots (5 % pour les Etats-Unis, 30 % en dehors des Etats-Unis) sont associés à 90 % des effets indésirables et à un nombre de décès jusqu’à 200 fois supérieur à celui associé au pourcentage des lots moins nocifs.

Toujours dans le registre des effets délétères des vaccins anti-Covid, il convient de noter qu’il y a eu une multiplication par 5 des morts subites d’origine cardiaque chez les joueurs de la FIFA en 2021.

Il ne s’agit pas de 24 athlètes, ni de 30, ni de 75 – non, depuis décembre 2021, ce sont 183 athlètes et entraîneurs professionnels qui se sont soudainement effondrés ! 108 d’entre eux sont morts ! Selon la littérature, le phénomène d’effondrement d’un athlète pour des raisons non liées à une blessure est rare. Alors, quelle est donc la cause de cette soudaine épidémie ?

Stephen Connolly et le Dr Yaffa Shir-Raz présentent leur analyse :

Dans plus de 80 des cas, comme les stars du football Sergio Aguero et Christian Eriksen, les athlètes se sont effondrés pendant le jeu, la course ou l’entraînement, ou immédiatement après. Dans la plupart des cas, il a été rapporté que la cause de l’effondrement est liée au cœur, notamment une myocardite, une péricardite, une crise cardiaque ou un arrêt cardiaque. La deuxième cause signalée est la coagulation.

Nous soulignons que la liste dont nous disposons est encore plus longue, mais par souci de prudence, des dizaines de cas ont été retirés de celle-ci, dont nous ne disposions pas de tous les détails, de sorte que seuls les cas rapportés en détail ont été inclus. En outre, nous avons supprimé les cas dans lesquels des facteurs de risque antérieurs étaient mentionnés, tels qu’une maladie cardiaque ou un diabète.

Pour obtenir une meilleure image des données par rapport aux années précédentes, nous n’avons examiné que les données relatives aux décès d’athlètes enregistrés auprès de la FIFA et avons comparé les données concernant le nombre de MCS (morts cardiaques subites)/DSI (morts subites inexpliquées) chez ces athlètes au cours des années précédentes au nombre de cas en 2021.

Pour savoir combien de décès se sont effectivement produits au cours des deux dernières décennies parmi les joueurs de la FIFA (2001-2020), nous avons utilisé Wikipedia – « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant ». Pour savoir combien de cas se sont produits en 2021, nous avons utilisé la liste collectée par nos soins dans « Real-Time News » (qui inclut les cas notés dans Wikipedia pour 2021).

Le Dr Josh Guetzkow, maître de conférences au département de sociologie et d’anthropologie et à l’Institut de criminologie de l’Université hébraïque, a analysé les données. « Un article publié dans le British Medical Journal montre que le risque de MCS est de un sur 50 000 (avec une fourchette de un sur 30 000 à un sur 80 000) », explique-t-il. « Selon les données de la FIFA, en 2000, il y avait 242 000 athlètes enregistrés dans l’association, et en 2006, 265 000 athlètes enregistrés. En supposant que la FIFA n’a pas changé de manière significative en vingt ans, l’on peut s’attendre à environ 5 décès par an ».

Selon Wikipédia, sous la rubrique « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant », entre 2001 et 2020, il y a eu en moyenne 4,2 décès par an attribués à des MCS ou à des DSI, la grande majorité étant des MCS. En revanche, en 2021, selon notre liste, il y a eu 21 cas de MCS/DSI parmi les joueurs de la FIFA. En d’autres termes, au lieu de 4 décès par an dus aux MCS/DSI (selon les données de Wikipédia), ou de 5 cas par an (calculés selon le BMJ) pendant la période 2001-2020, 21 joueurs sont décédés jusqu’à présent cette année.

C’est-à-dire environ 5 fois plus que la moyenne annuelle !

Ce chiffre s’avère statistiquement significatif. En fait, il n’y a pas eu d’autre année depuis 2001 où la différence entre le nombre de cas observés de MCS/DSI et le nombre attendu soit statistiquement significative. En 2021, elle est hautement significative sur le plan statistique et ne peut se produire par hasard qu’environ 2 fois sur 1 000.

Stephen Connolly et Dr Yaffa Shir-Raz, « 5-fold increase in sudden cardiac deaths of FIFA players in 2021« .

Face à tous ces chiffres accablants et effrayants que vous pourrez aisément vérifier, Mesdames et Messieurs les élus, notre ministre de la santé Olivier Véran ose affirmer, de manière effrontée, dans une fourberie qui le caractérise désormais, que les « rapports de l’ANSM qui sont publics et transparents ne déplorent à ce stade pas de cas avérés de décès imputables à la vaccination ».

Il semble assez évident que seule l’administration de ces substances à la protéine spicule aux personnes âgées ou « à risque » aurait encore un sens. Mais encore faut-il bien évaluer le bénéfice-risque de la potion. Notez que les sociétés pharmaceutiques Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson ont été condamnées à plusieurs reprises pour malversations :

  • depuis l’année 2000, Pfizer a été inculpé 74 fois d’infractions pénales et civiles et a payé plus de 4 milliards de dollars d’amendes, les principales infractions ayant été la commercialisation non approuvée de produits, la corruption, les fausses déclarations, les violations de sécurité ;
  • la société Johnson & Johnson a dû payer une amende de 8 milliards de dollars suite à la mise sur le marché de produits pharmaceutiques dangereux qui ont occasionné des milliers de morts et de séquelles ;
  • les mêmes sociétés pharmaceutiques sont sous le coup d’une amende de 25 milliards de dollars pour la commercialisation d’opioïdes qui ont occasionné 48 000 morts par an (commercialisation rendue possible par des malversations auprès de services de vérification et de personnels peu scrupuleux du corps médical),

et que dernièrement le scandale « PfizerGate » a encore ébranlé le narratif covidien officiel, sans que les médias en tirent les conclusions qui s’imposent. Le problème de fraude sur les données des essais cliniques du vaccin Pfizer avait été soulevé par le journal scientifique réputé The British Medical Journal (BJM) qui a été l’objet d’un « fact-checking » orienté de Facebook, ce qui montre à quel point les géants des réseaux sociaux et les GAFAM se livrent à une guerre de désinformation contre la science et les scientifiques intègres.

Le Dr Robert A. Malone, le Pr Luc Montagnier, le Dr Alexandra Henrion Caude, le Dr Geert Vanden Bossche, entre autres, ont alerté sur les effets à long-terme (cancers, destruction des défenses immunitaires, maladies neuro-dégénératives, etc.) des vaccins anti-Covid-19 qui se manifesteront au fil des mois prochains et au fil des « boosters ». La surmortalité anormale constatée pour les 15-44 ans pendant l’année 2021 est rapportée sur le site https://www.euromomo.eu/ et peut donc être suivie.

Concernant les femmes enceintes, en octobre 2021, le New England Journal of Medicine a finalement admis que l’étude originelle – publiée le 14 octobre 2021 par Shimabukuro et. al – ayant servi de caution à la campagne de vaccination Covid-19 du CDC et de la FDA, ciblant les femmes enceintes, était corrompue. L’étude correctrice est intitulée “Spontaneous Abortions and Policies on COVID-19 mRNA Vaccine Use During Pregnancy”.

Le Dr Joseph Mercola, sur son site aux Etats-Unis, récemment, a expliqué comment les auteurs de l’étude originelle avait intégralement truqué leurs conclusions.

L’étude portait sur 827 femmes enceintes et l’objectif en était d’évaluer le taux de fausses couches pour toutes les femmes vaccinées contre la Covid-19 durant les 20 premières semaines de la grossesse. C’est alors que deux médecins de Nouvelle-Zélande – les Dr Aleisha Brock et Simon Thornley – reprirent les données de cette étude, afin de mettre en exergue qu’il s’agissait en fait d’une catastrophe intégrale avec une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114).

« Une nouvelle analyse de ces données indique une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114) – à savoir de 7 à 8 fois plus que ce présentent les résultats originaux des auteurs de l’étude.»

En fait, selon ces deux médecins néo-zélandais : 

«une évaluation des 827 femmes dans le dénominateur de ce calcul révèle qu’entre 700 et 713 femmes enceintes furent exposées au vaccin après que le cadre temporel, pour l’analyse, a été dépassé – à savoir les 20 premières semaines de grossesse.»

Ainsi, Shimabukuro et. al avaient inclus, dans leurs analyses de ce groupe de 827 femmes, des femmes enceintes alors qu’elles n’avaient pas été vaccinées durant les 20 premières semaines (mais plus tard) et que, donc, elles ne pouvaient pas être à risque de fausse couche post-vaccinale suite à une injection reçue durant le premier trimestre. 

Parmi les 104 bébés perdus durant les 20 premières semaines, 96 moururent avant la fin des 13 premières semaines de grossesse, ce qui signifie que la vaccination Covid-19, durant cette première partie de la grossesse, signe, quasiment, l’arrêt de mort du fœtus. 

Entre autres effets collatéraux primaires, il faut, également, signaler 9,4 % de bébés prématurés.

Quant à la vaccination des enfants, là encore les mesures prises sont complètement absurdes. En effet, des médecins et scientifiques allemands ont rapporté récemment que pas un seul enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n’est mort de la Covid en Allemagne au cours des 15 premiers mois de l’épidémie. Même en incluant les enfants et les adolescents présentant des pathologies préexistantes, seuls six enfants de cette tranche d’âge sont morts, ont constaté les chercheurs. Les maladies graves étaient également extrêmement rares. Selon les chercheurs, la probabilité qu’un enfant en bonne santé âgé de 5 à 11 ans ait besoin de soins intensifs pour une infection par la Covid était d’environ 1 sur 50 000. Pour les enfants plus âgés et plus jeunes, les probabilités étaient un peu plus élevées, soit environ 1 sur 8 000. Environ 1,5 million d’enfants ou d’adolescents allemands ont été infectés par le Sars-Cov-2 entre mars 2020 et mai 2021, ont constaté les chercheurs.

Résultats : Le taux global d’hospitalisation associé à l’infection par le SARS-CoV-2 était de 35,9 pour 10 000 enfants, le taux d’admission en soins intensifs était de 1,7 pour 10 000 et le taux de létalité de 0,09 pour 10 000. On a constaté que les enfants sans comorbidités étaient nettement moins susceptibles de souffrir d’une évolution grave ou fatale de la maladie. Le risque le plus faible a été observé chez les enfants âgés de 5 à 11 ans sans comorbidité. Dans ce groupe, le taux d’admission en soins intensifs était de 0,2 pour 10 000 et la létalité n’a pas pu être calculée en raison de l’absence de cas. Le taux global du PIMS-TS était de 1 pour 4 000 infections par le SRAS-CoV-2, la majorité étant des enfants sans comorbidités.

Sorg, A. L. et al., « Risk of Hospitalization, severe disease, and mortality due to COVID-19 and PIMS-TS in children with
SARS-CoV-2 infection in Germany
« . Prépublication medRxiv, 30 novembre 2021.

Les chercheurs ont fait part de leurs conclusions dans un article de 17 pages publié sur le serveur de prépublication medrxiv récemment (cet article est également téléchargeable ici).

5. Le pass vaccinal signe l’enterrement définitif et irrémédiable de l’État de droit et l’entrée dans un totalitarisme sanitaire, une société orwellienne.

Cinq observations des plus pertinentes sur le projet de loi sur le pass vaccinal déposé par le gouvernement devant l’Assemblée Nationale ont été faites par le collectif de juristes DéjàVu :

  1. Le pouvoir exceptionnel réclamé par le gouvernement n’aurait plus pour objectif de “lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19”, mais de “lutter contre l’épidémie de Covid-19”. Pourquoi cet élargissement fait-il l’objet de la première disposition de ce projet de loi ? La nuance est subtile, mais interroge sur le but poursuivi et sur sa circonscription dans le temps, qui reste pourtant, en droit, la condition d’un régime d’exception.
     
  2. La large possibilité de prendre un transport longue distance sans pass sanitaire en cas d’urgence serait supprimée et remplacée par un très restreint “motif impérieux d’ordre familial ou de santé » lorsque le voyageur ne dispose pas de certificat d’injection, sous réserve d’avoir en plus un test négatif (sauf en cas d’urgence, en plus de l’impériosité du motif, ainsi que de son caractère familial ou sanitaire). Ce glissement sémantique trahit-il un glissement de régime ?
     
  3. L’interdiction de contrôler une identité par les personnes chargées de vérifier le pass (par exemple, un serveur dans un restaurant) est à nouveau remise en question par le gouvernement en ces termes : “Il [pourrait] être exigé, en cas de doute sur ces documents, la présentation d’un document officiel d’identité.
     
  4. Comme si le régime déjà en vigueur n’était pas déjà assez répressif, une peine d’amende de 1 500 € maximum serait distribuée aux personnes utilisant le pass d’un tiers ainsi qu’aux exploitants qui ne contrôleraient pas le pass à l’entrée de leur établissement.
     
  5. À l’article 2 du projet de loi, vous constaterez que le gouvernement tente encore d’aggraver les mesures d’isolement et de quarantaine et donne aux préfets la possibilité de “recevoir les données strictement nécessaires à l’exercice de leurs missions de suivi et de contrôle du placement en quarantaine ou à l’isolement”.

Et ce collectif de conclure :

Après avoir prétendu il y a un an que “la vaccination contre le coronavirus ne sera pas obligatoire” (source), le Président de la République, le Premier Ministre et le ministre de la santé démontrent leur capacité à gouverner par fausses promesses successives pour instaurer un régime répressif durable basé sur des motifs sanitaires.

En simple, comme l’a résumé le Ministre de la santé, ce projet de loi est pire qu’une obligation vaccinale sous peine d’amende : “Le pass vaccinal est une façon d’arriver à l’obligation vaccinale, mais moi, je pense que c’est plus efficace que de mettre une amende” (source).

C’est le député européen Les Républicains François-Xavier Ballamy qui, avec raison, exprime ses préoccupations de voir l’État de droit se déliter devant nos yeux :

Mais tout cela est en fait très logique ; car ce que révèle ce nouveau revirement, c’est que le passe vaccinal comme le passe sanitaire depuis le début ne sont pas des mesures sanitaires. Ce que nous disions dès juillet est aujourd’hui rendu incontestable par le fait que le gouvernement refuse désormais de prendre en compte un test négatif pour établir ce passe. Si l’objectif était de limiter la circulation du virus dans des lieux précis, un test négatif est pourtant bien plus efficace pour cela qu’une preuve de vaccination, puisque ni deux ni trois doses – ni même quatre ou cinq demain… – n’empêchent d’être contaminé et contagieux. Il est donc totalement irrationnel que le premier ministre ose accuser les Français non vaccinés de «non-assistance à personne en danger », comme si eux seuls diffusaient le virus… De fait, en réduisant le passe sanitaire au vaccin, le gouvernement ne réduit en rien le risque de contamination là où il est exigé ; il ne fait que contraindre les Français à une vaccination que la loi n’a pourtant jamais rendue obligatoire. Sur ce point, une mention spéciale doit d’ailleurs être réservée au Conseil d’État, qui a sombré dans l’indignité en se reniant lui-même avec une servilité littéralement pitoyable. En juillet, il avait admis le principe du passe sanitaire à la condition expresse qu’un test négatif permettrait son obtention – sans quoi, écrivait-il, il ne s’agirait plus d’une mesure de protection, mais d’une incitation vaccinale dissimulée. Ne pas délivrer ce passe à des personnes prouvant pourtant qu’elles sont indemnes du Covid constituerait, écrivaient les magistrats, «une atteinte disproportionnée à la liberté d’aller et venir, au droit au respect de la vie privée et familiale ». Quelques mois plus tard, les mêmes magistrats viennent d’approuver la mesure précise qu’ils interdisaient, et de bénir ainsi l’enterrement de ces principes fondamentaux…

Ce qui disparaît, c’est une règle essentielle pour l’État de droit, résumée ainsi par notre Constitution : «Nul ne peut être contraint de faire ce que la loi n’ordonne pas. » Avec le passe vaccinal, le gouvernement tombe dans une contradiction désastreuse pour les libertés publiques, l’égalité en droit et l’amitié civique. Il s’agit en effet de dire que la vaccination n’est pas obligatoire, mais que ceux qui ne s’y plient pas sont quand même coupables, et qu’il devient par conséquent légitime d’accuser, de blâmer, de brimer, de punir, de priver même de droits absolument fondamentaux des concitoyens qui ne se sont pourtant soustraits à aucune obligation légale. Le gouvernement pense-t-il pouvoir arrêter l’épidémie par la vaccination généralisée, en dépit des préconisations de l’OMS, des expériences acquises ailleurs dans le monde, et de la survenue de cette cinquième vague dans un pays déjà massivement vacciné ? S’il le pensait, il assumerait de rendre cette vaccination obligatoire par la loi. S’il ne le fait pas, c’est qu’il se contente de désigner des boucs émissaires pour justifier une crise hospitalière dont il est, en réalité, l’un des premiers responsables, avec ses prédécesseurs. La situation ne serait pas si dramatique pour les soignants héroïques qui affrontent cette épidémie si ce gouvernement n’avait pas fermé des lits et laissé l’hôpital perdre encore de nombreux personnels formés, au milieu même de la crise.

En attendant, la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal trahit la folie de la logique dans laquelle nous entrons, qui se vérifie à ses conséquences déjà manifestes sur notre droit : alors que le scrupule du droit à la vie privée justifiait jusque-là d’interdire aux policiers municipaux tout contrôle d’identité, le serveur d’un bistro demandera maintenant votre passeport pour vous servir une limonade… Le Parlement peut bien se plier, les autorités judiciaires se renier, l’opinion elle-même s’endormir, il faut maintenir ce principe, jusqu’à ce qu’ait lieu une prise de conscience désormais vitale. En démocratie, la souveraineté du peuple s’exprime par la loi qui oblige, non par la contrainte déguisée. Elle garantit que la liberté est la règle, non l’exception ; et elle reconnaît que les droits fondamentaux ne sont pas une concession de l’État attribuée pour bonne conduite. Vaccinés ou non, nous avons aujourd’hui tous le devoir de rappeler quelques évidences en danger.

François-Xavier Bellamy, «Le passe vaccinal ou la poursuite du délitement de l’État de droit». Le Figaro, 28 décembre 2021.

Jusqu’où ira le gouvernement ? Étant donné la virulence des mesures « sanitaires » qui sont imposées à une cadence effrénée suivant une logique liberticide préméditée et habilement conçue, et la turpitude de l’exécutif qui excelle dans les revirements, vérités en demi-teinte et mensonges les plus ahurissants et scandaleux, la question mérite d’être posée de la manière la plus grave.

https://www.youtube.com/embed/pVodZHnnvTQ

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, pouvez-vous, voulez-vous en toute conscience être complices de tels mensonges, de tels agissements frauduleux, de telles manipulations sournoises, d’une telle trahison de la démocratie, de telles violations de l’État de droit, d’un tel anéantissement de la dignité humaine ?

Même le Conseil constitutionnel, qui est la plus haute juridiction de notre démocratie et le dernier rempart contre l’arbitraire du pouvoir et qui est censé protéger les Français des abus de pouvoir de l’exécutif ou des parlementaires, des dispositions législatives qui vont à l’encontre de notre Constitution, ne respecte pas ses propres statuts, s’empêtre dans ses contradictions dans sa volonté manifeste d’entériner l’extension du pass sanitaire, trahit sa haute fonction de gardien de la Constitution et devient le chien de garde d’un pouvoir dévoyé dont les dérives éclatent en plein jour. C’est pourquoi nous réclamons la démission des membres du Conseil constitutionnel et vous demandons de vous associer à cette démarche.

Nous vous demandons de vous opposer par tous les moyens à l’adoption législative du pass vaccinal, qui est d’autant plus injustifié que la virulence de la Covid-19 semble s’atténuer, le virus Omicron se révélant beaucoup moins dangereux que ses prédécesseurs.

Le professeur Mattias Desmet, psychologue et statisticien belge, explique le comportement absurde et irrationnel que nous observons actuellement dans le monde entier en ce qui concerne la pandémie de Covid et ses contre-mesures. Il appelle ce phénomène « psychose de formation des masses ». Il s’agit une sorte d’hypnose des foules qui aboutit à faire tomber littéralement une grande partie de la population dans un état de psychose. La psychose de formation des masses explique comment les Allemands ont accepté les atrocités commises par le parti nazi dans les années 1930, et elle explique pourquoi tant de personnes dans le monde entier soutiennent aujourd’hui l’apartheid médical et la destruction des personnes non vaccinées. C’est tellement irrationnel et inhumain que beaucoup se sont demandés comment nous en sommes arrivés là. Il s’avère que la psychologie du totalitarisme a été étudiée depuis des décennies et que tout ceci peut être expliqué comme un phénomène psychiatrique qui apparaît lorsque certaines conditions existent dans une société. Ne pensez pas que cette crainte du fascisme soit révolue. Lorsqu’un Président de la République cherche à stigmatiser une partie de la population (les non-vaccinés), leur menant la vie dure, en ne leur permettant pas de vivre et allant jusqu’à les déposséder de leurs libertés et droits fondamentaux garantis par la Constitution et la Déclaration des droits de l’homme, il faut clairement sonner l’alerte. Toutes ces décisions seront suivies de décisions beaucoup plus graves, violentes, sanguinaires, si la spirale du mécanisme totalitaire n’est pas interrompue dès maintenant.

La normalienne Ariane Bilheran (docteur en psychopathologie, spécialiste de la psychologie du pouvoir, pouvoir déviant et abusif) a bien analysé l’idéologie sanitaire nazie et a largement cité un article universitaire qui effectue une reconstitution historique des faits qui ont conduit les Nazis à l’apogée de leur délire paranoïaque collectif, à savoir l’extermination de masse : l’idéologie nazie était, exactement comme aujourd’hui, de type sanitaire. Cette idéologie a orchestré le délire collectif et partant, a organisé le totalitarisme dans ses pulsions liberticides et mortifères.

Et le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, dans un article du Lancet, que nous mentionnions plus haut, lance également le même avertissement :

Historiquement, les États-Unis et l’Allemagne ont tous deux engendré dans l’histoire récente des expériences négatives, en stigmatisant une partie de la population pour leur couleur de peau ou leur religion.

Pr Gunter Kampf.

Stigmatiser les non-vaccinés comme le fait et y encourage le gouvernement n’est pas justifié et est le prélude certain à un fascisme rampant. Nous ne sommes déjà plus en démocratie.

Face à l’entêtement des autorités dans le monde entier, des plaintes pénales ont été déposées :

  • Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et Hannah Rose, avocate spécialisée dans les droits de l’homme ont déposé une plainte pénale historique adressée à la Cour pénale internationale contre des personnalités de premier plan dans le domaine de la santé publique, les accusant de génocide.
  • Une plainte pénale contre MM. les ministres Jean Castex, Olivier Véran et Michel Blanquer a été déposée par Me Virginie de Araujo Recchia devant la Cour de Justice de la République, accusés des chefs suivants :
    • abus fraduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (article 223-15-2 du Code pénal),
    • extorsion et tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal),
    • empoisonnement et tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal),
    • tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée (articles L441-1 et L454-1 du Code de la consommation et articles 132-71 du Code pénal),
    • escroquerie et tentative d’escroquerie commise en bande organisée (articles 313-1 et 132-71 du Code pénal),
    • génocide (article 211-1 du Code pénal).
  • Une plainte pénale a été déposée aux États-Unis contre Alex Azar (secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des États-Unis), le Dr Anthony Fauci (conseiller médical en chef du président des États-Unis), le Dr Peter Daszark (président de l’ONG basée à New York, EcoHealth Alliance), la FDA (Food and Drug Administration, l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments), les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies), le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases, ou Institut national des allergies et des maladies infectieuses), Moderna et Pfizer sur la base des huit chefs d’accusation suivants :
    • 18 U.S.C § 2331 §§ 802- Actes de terrorisme perpétré sur le territoire intérieur et ayant entraîné la mort de citoyens américains.
    • 18 U.S.C § 2339 – Complots en vue de commettre des actes de terrorisme.
    • 15 U.S.C §1-3 – Complots en vue de commettre une activité commerciale criminelle.
    • 18 U.S.C § 175 – Financement et création d’une arme biologique.
    • 15 U.S.C. §8 – Manipulation du marché et répartition.
    • 18 U.S.C § 1001 – Mensonges auprès du Congrès.
    • 15 U.S.C. §19 – Directions imbriquées.
    • 18 U.S.C § 2384 – Atteinte à la sureté de L’État.

Au vu de tous les éléments graves qui viennent d’être exposés et de la menace réelle et imminente de totalitarisme qui guette notre démocratie battue en brèche, considérant que plus de 2 300 professionnels de la santé et universitaires en France ont récemment élevé leur voix contre les mesures sanitaires Covid-19 du gouvernement et la nouvelle religion covidienne qui a pris le contrôle de la nation, et considérant, enfin, que plus de 5 000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle et revendiquent le respect du Serment d’Hippocrate, nous vous demandons instamment de lancer au plus vite la procédure de motion de censure du gouvernement.

Si par malheur le projet devait être adopté par les deux assemblées, et la censure rejetée, nous vous demandons de vous rassembler avec au moins 59 autres parlementaires pour déférer ce projet de loi au Conseil constitutionnel afin qu’il en prononce l’inconstitutionnalité.

Si ce texte devait malgré tout être voté et promulgué, et si nous constations que vous aviez participé à son adoption, nous serions obligés de conclure que le parlement français n’est qu’une chambre d’enregistrement de décisions prises dans les cénacles internationaux promouvant la « Grande Réinitialisation » si chère au Forum de Davos, associant « Big Pharma » et « Big Media » qui censure toute information contraire à la doxa d’une société orwellienne en gestation ; et nous vous assurons que vos noms ne seront pas oubliés de l’Histoire. Avec d’autres juristes compétents, nous mènerons un combat sans merci et sans relâche pour que la vérité éclate et que les responsables d’un crime contre l’humanité sans précédent soient jugés par une justice impartiale.

En espérant que vous comprendrez à quel point ce projet de loi marquerait l’avènement d’une société totalitaire qui n’est pas celle que nous voulons et qu’aucun être humain de bon sens ne désirerait pour lui-même, les siens et sa progéniture, nous vous prions, Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, d’agréer l’expression de nos sentiments distingués.

Aussi la loi n’a point de vie, la justice n’a point de force ; car le méchant triomphe du juste, et l’on rend des jugements iniques.

Habacuc 1:4.

Vigilance Pandémie, le 3 janvier 2022.




Italie : la mairie de Naples avait interdit aux habitants de tirer des feux d’artifice ; ils risquaient 500 euros d’amende… Mais…

[Source : Qactus]

La mairie de Naples avec son maire, Gaetano Manfredi, a décidé d’interdire les feux d’artifice et les pétards. Celui-ci avait interdit aux habitants de tirer des feux d’artifice le soir du 31 décembre dans le cadre du programme sécurité covid. Les habitants napolitains risquaient 500 euros d’amende…

Résultat ? La réponse de la ville a été magique : elle s’est embrasée comme jamais à minuit.

Bravo les Italiens ! 14 vrais blessés enfin à l’hôpital ?? Dommage pour eux bien sûr !! Mais au moins pas du COVID…







https://twitter.com/MichaelPSenger/status/1477349404365393920
https://twitter.com/CarolWood777/status/1477044541681188871



Luxembourg — Lettre ouverte contre l’obligation vaccinale

[Transmis par Christine Côte]

E F V V – European Forum for Vaccine Vigilance
Jean-Pierre EUDIER, Président,
7, Rue des Maximins
8247 MAMER

Commission Consultative Nationale d’Éthique
Madame la Présidente
Julie-Suzanne BAUSCH
18-20, Montée de la Pétrusse
L-2327 Luxembourg

LETTRE OUVERTE

Luxembourg, le 3 janvier 2022

Conc. : Votre rapport du 8 décembre 2021 sur l’obligation vaccinale des majeurs

Madame la Présidente,

Dans votre rapport du 8 décembre 2021, vous ouvrez la porte à la vaccination des enfants ainsi qu’à l’obligation vaccinale des majeurs.

La Commission semblait naguère hostile à la vaccination obligatoire, peut-être reviendra-t-elle de nouveau sur cette opinion dans six mois. Vous avez avec vous votre conscience, votre morale et votre responsabilité.

Vos considérations semblent préparer l’opinion publique à briser le tabou de l’inviolabilité du corps humain et du droit de la personne, de refuser, d’interrompre ou de s’abstenir d’un soin.

Tout comme les membres de la Commission, nous sommes des membres de la société civile, comptant parmi nous des juristes, des médecins, des fonctionnaires concernés par la vie de la cité.

Nous sommes tout d’abord au regret de devoir évoquer la question des liens éventuels de certains membres de la Commission avec les membres du Gouvernement et d’autres personnalités du monde politique.

En particulier, nous vous prions de nous confirmer que l’homonymie de votre patronyme avec Monsieur le vice premier Ministre François BAUSCH, n’est qu’une pure coïncidence.

Votre Commission étant un rouage de la démocratie, cette question doit pouvoir être évoquée en toute quiétude et objectivité.

Votre confirmation nous suffira.

Nous nous devons de combattre votre point de vue.

En laissant disparaître la pensée individuelle, le conformisme favorise les dérives d’un processus de négation des libertés individuelles et d’acceptation d’une politique de ségrégation.

Aussi, nous nous permettons de vous adresser la présente lettre ouverte en vous invitant à venir débattre sachant que le travail de la Commission doit obéir à l’exigence systématique de « recherches et débats pluralistes, objectifs qui tiennent compte de la complexité de l’horizon normatif de notre société. »

« À qui est persuadé détenir une vérité universelle, il est indécent d’oser demander des preuves. C’est le principe de l’intégrisme religieux. La peur de la maladie et de la mort nous rendent vulnérables face aux marchands d’espoir. La démarche scientifique n’échappe pas aux règles de la psyché humaine. La science nous a sorti de l’obscurantisme, veillons à ce qu’elle ne nous y replonge pas. Ce n’est pas au réel de se plier à nos croyances. »

Peut-être n’y prêterez-vous aucune attention.

Il nous importe aussi de laisser le témoignage que nous nous y sommes opposés, l’avenir jugera ensuite de l’opinion et de l’attitude de chacun.

Il s’agit encore de faire prendre conscience à nos concitoyens que l’oppression et le chantage à la vaccination ne sont pas des choses normales et de leur donner les arguments juridiques afin de s’y opposer.

Nous évoquons ici non seulement les mesures liberticides sous prétexte de la crise sanitaire mais aussi et surtout au regard de la stigmatisation et la pression exercées sur une partie de la population.

La science et la rationalité ont disparu faisant place à une idéologie politique assumée visant à vacciner à tout prix l’ensemble de la population.

Le passage du système 3G au système 2G dans les cinémas et les restaurants en est l’exemple le plus éloquent. Cette politique apparaît ici contre-productive, voire potentiellement favorable à la diffusion du virus.

L’avis du Collège médical du 8 décembre 2021 est particulièrement éloquent dans ce contexte :

« le collège médical constate avec satisfaction que le gouvernement se propose donc de suivre cet avis d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée (seuls les certificats de vaccination et de rétablissement 2G sont admis pour les activités et les établissements dits de loisirs) ».

Le Collège médical appelle ainsi à des « mesures coercitives renforcées » sur les récalcitrants à la vaccination.

Ces termes sont terribles car ils opèrent un glissement dans une logique qui justifie l’exercice de la violence sur la population.

Vous l’admettez d’ailleurs vous-même dans votre rapport en stigmatisant ceux qui n’ont « pas fait leur devoir de citoyen ».

Jusqu’où irons-nous ? Après les avoir privés de leurs moyens de subsistance, faut-il enfermer les réfractaires ? Faudra-t-il même les priver de l’autorité parentale ? De leurs comptes bancaires ? Faudra-t-il aller jusqu’à les condamner pour mise en danger de la vie d’autrui ?

Tout est possible dans cette logique qui veut qu’ils soient les responsables de la pandémie !

La minorité est déjà fortement marginalisée par des communications agressives de personnalités influentes du monde politique, n’hésitant pas à la décrire comme complotiste et inconsciente des risques qu’elle fait encourir aux autres.

Après avoir été stigmatisés, culpabilisés puis privés de leurs droits, les réfractaires à la vaccination seront désormais « hors la loi » avec l’obligation déjà programmée à la vaccination, à en croire votre rapport.

Toutes ces annonces accentuent la dangereuse dérive vers une stratégie de désignation d’un bouc émissaire. Quand on désigne un groupe de personnes comme coupable de tous les maux d’un pays, l’Histoire nous montre que c’est non seulement toujours faux et qu’ensuite cela finit toujours très mal.

Vous rétorquerez très certainement que tel est le jeu de la démocratie et que la majorité des citoyens approuvent la politique du gouvernement.

L’anomalie devient la norme.

Des bonnes fois sont abusées, des mauvaises fois abusent.

Les citoyens ont l’impression d’être les jouets d’un scénario absurde. L’école est désorganisée, le monde économique est sur les nerfs. La science, la rationalité et le droit ont disparu, place aux passions.

La politique de ségrégation du laissez-passer vaccinal est présentée comme la seule alternative au confinement.

Près de deux ans après la sidération du confinement, les citoyens constatent à présent que nous n’avons ni la liberté, ni la sécurité et que nos enfants en subissent en première ligne les conséquences.

Nous ne concevons pas la démocratie comme la tyrannie de la majorité.

Il y a lieu de respecter les institutions gardiennes de la démocratie et notamment la Constitution mais aussi les traités internationaux comme la Convention européenne des Droits de l’Homme.

Le justiciable doit, en outre, pouvoir faire usage d’un recours effectif de constitutionnalité et non pas plusieurs mois ou même années après lorsqu’il est exposé à la suspension de ses revenus.

Or, les pouvoirs publics semblent miser sur la durée des procès tout en prenant de court le justiciable en transférant de surcroît la responsabilité de l’application de la loi sur les opérateurs économiques.

Il n’est donc pas surprenant qu’en se coupant des conseils de sagesse et de pondération que la constitution luxembourgeoise et européenne lui permettrait de conserver, il s’insinue une forme très archaïque de pouvoir dans une vision unilatérale de l’ordre social arrêtée depuis le choix de l’état d’urgence sanitaire.

Le Grand-Duché du Luxembourg doit respecter les engagements dont il est signataire et notamment la résolution 2361 de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe votée le 27 janvier 2021 par tous les pays de la communauté laquelle prescrit une attitude respectueuse des libertés qu’elle énonce clairement dans les paragraphes suivant :

7.3.1 « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement; »

et 7.3.2 « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner; »

Les principes définis dans la résolution 2361 doivent être respectés.

Le respect de la parole donnée est une valeur essentielle qui fonde la confiance nécessaire à l’exercice du pouvoir.

Même sur le site Internet du Ministère de la Santé, à la question : est-ce que la vaccination contre la COVID-19 sera obligatoire, il est répondu : « Comme pour la plupart des vaccins dans notre pays, la vaccination contre la COVID-19 sera effectuée sur base volontaire »(https://covid19.public.lu/fr/vaccination.html).

Les citoyens se sentent trahis par l’application insidieuse du système « CovidCheck », d’abord sur une base volontaire, puis réservée aux manifestations nocturnes et à présent généralisée sous contrainte à une grande partie des activités sociales.

Un État qui ne respecte pas les obligations internationales qu’il a signées, pour imposer par la force un vaccin démontre qu’il remplace son devoir de convaincre par l’autoritarisme et rompt ainsi le contrat social.

Nous vous invitons également à la lecture de l’article 5 de la Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine signée le 4 avril 1997 à Oviedo (Espagne). Cette Convention est le seulinstrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme dans le domaine biomédical.

Elle reprend les principes développés par la Convention européenne des Droits de l’Homme dans le domaine de la biologie et de la médecine.

Ce texte est une Convention cadre visant à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.

Nous reproduisons ici son article 5 qui prévoit :

« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé.

Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques.

La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

Un vaccin ou une injection dite « vaccinale » est bien évidemment « une intervention dans le domaine de la santé » au sens de la Convention.

Par conséquent la convention d’Oviedo telle qu’interprétée par le Conseil de l’Europe, interdit aux États signataires, le vaccin obligatoire, la contrainte et la discrimination des personnes non vaccinées.

Plus généralement, la convention d’Oviedo prohibe implicitement la politique du laissez-passer vaccinal, beaucoup ayant été contraints à la vaccination pour pouvoir retrouver leur vie sociale ou simplement travailler.

Il est vrai que l’article 26-1 de la Convention d’Oviedo prévoit une exception :

« L’exercice des droits et les dispositions de protection contenues dans la présente Convention ne peuvent faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sûreté publique, à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé publique ou à la protection des droits et libertés d’autrui. »

Toutefois, celle-ci ne s’applique pas en l’espèce.

La recherche médicale ne peut cependant pas faire l’objet de restrictions au libre consentement, conformément à l’article 16 de la Convention :

« Les restrictions visées à l’alinéa précédent ne peuvent être appliquées aux articles 11, 13, 14, 16, 17, 19, 20 et 21. »

Article 16 : Protection des personnes se prêtant à une recherche

« Aucune recherche ne peut être entreprise sur une personne à moins que les conditions suivantes ne soient réunies :

i. il n’existe pas de méthode alternative à la recherche sur des êtres humains, d’efficacité comparable ;

ii. les risques qui peuvent être encourus par la personne ne sont pas disproportionnés par rapport aux bénéfices potentiels de la recherche ;

iii. le projet de recherche a été approuvé par l’instance compétente, après avoir fait l’objet d’un examen indépendant sur le plan de sa pertinence scientifique, y compris une évaluation de l’importance de l’objectif de la recherche, ainsi que d’un examen pluridisciplinaire de son acceptabilité sur le plan éthique ;

iv. la personne se prêtant à une recherche est informée de ses droits et des garanties prévues par la loi pour sa protection ;

v. le consentement visé à l’article 5 a été donné expressément, spécifiquement et est consigné par écrit. Ce consentement peut, à tout moment, être librement retiré. »

Les vaccins disponibles sont en phase 3 d’essais cliniques, jusqu’au 27 octobre 2022 pour MODERNA et au 2 mai 2023 pour PFIZER. Jusqu’à ces dates, il ne s’agit que de médicaments expérimentaux. Les termes utilisés pour le vaccin PFIZER est « Investigational medicinal product » (IMP) (médicament expérimental) ; Protocole Pfizer pp. 46,139 clinicaltrialsregister.eu

Il s’agit d’essais cliniques au sens de l’article 2 du règlement UE 536/2014 pour lesquels l’Agence européenne du médicament n’a délivré qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle au sens de l’article 4 du Règlement 507/2006.

L’application de ces normes interdit l’obligation ou la contrainte vaccinale car les vaccins ne sont pas définitivement agréés puisque les essais cliniques continuent.

Pour autant, même à supposer pour les besoins de notre raisonnement que les vaccins en question seraient définitivement agréés, les restrictions à l’article 5 de la Convention d’Oviedo doivent être proportionnelles et mesurées en tenant compte des droits fondamentaux.

Si suspendre les contrats de travail pourrait correspondre à un simple sentiment de protection de la santé publique liée à une épidémie qui fait plusieurs fois le tour du monde, laisser les travailleurs sans revenus de substitution, est un acte inhumain et dégradant.

La CEDH a constaté dans un arrêt de Grande Chambre que laisser des individus sans revenus pendant plusieurs mois, est bien un acte inhumain et dégradant au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

ARRÊT DE LA GRANDE CHAMBRE M.S.S contre Grèce et Belgique requête 30696/09 du 21 janvier 2011

« 263. Au vu de ce qui précède et compte tenu des obligations reposant sur les autorités grecques en vertu de la directive européenne « Accueil » (paragraphe 84 ci-dessus), la Cour est d’avis qu’elles n’ont pas dûment tenu compte de la vulnérabilité du requérant comme demandeur d’asile et doivent être tenues pour responsables, en raison de leur passivité, des conditions dans lesquelles il s’est trouvé pendant des mois, vivant dans la rue, sans ressources, sans accès à des sanitaires, ne disposant d’aucun moyen de subvenir à ses besoins essentiels. La Cour estime que le requérant a été victime d’un traitement humiliant témoignant d’un manque de respect pour sa dignité et que cette situation a, sans aucun doute, suscité chez lui des sentiments de peur, d’angoisse ou d’infériorité propres à conduire au désespoir. Elle considère que de telles conditions d’existence, combinées avec l’incertitudeprolongée dans laquelle il est resté et l’absence totale de perspective de voir sa situation s’améliorer, ont atteint le seuil de gravité requis par l’article 3 de la Convention.

Il s’ensuit que le requérant s’est retrouvé, par le fait des autorités, dans une situation contraire à l’article 3 de la Convention. Dès lors, il y a eu violation de cette disposition. »

Nous vous invitons à considérer encore le règlement (UE) 2021/953 du Parlement européen et du Conseil du 14 juin 2021 relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE).

Celui-ci interdit clairement la discrimination à l’encontre des personnes ne souhaitant pas se faire vacciner :

« la délivrance de certificat en vertu du paragraphe 1 du présent article ne peut entraîner de discrimination fondée sur la possession d’une catégorie spécifique de certificats visées à l’article 5, 6 et 7 »

Il prohibe implicitement mais nécessairement l’obligation vaccinale. Nous vous rendons attentif au considérant 36 dudit règlement :

« Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auxquelles le vaccin contre la Covid 19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. »

Pour revenir à la vaccination des enfants :

Votre Commission admet elle-même dans son rapport que le risque est « assez limité » pour l’enfant de tomber malade mais que la vaccination des plus petits « augmente en chiffres absolus le taux de vaccination de la population » (sic).

Tout d’abord, il faut avoir bien peu de cœur pour imputer la propagation du virus à des enfants.

C’est l’intérêt personnel de nos enfants qui nous importe et non pas les objectifs d’augmentation du taux de vaccination.

Suivant la Convention internationale des droits de l’enfant, c’est d’ailleurs sur le seul critère de l’intérêt supérieur de l’enfant que doit être prise toute décision qui concerne un mineur.

La même notion est reprise au terme de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne en son article 24 :

« dans tous les actes relatifs aux enfants, qu’ils soient accomplis par des autorités publiques ou des institutions privées, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale. »

Nous estimons que des enquêtes sérieuses devraient être lancées avant de continuer la campagne de vaccination, ou du moins qu’il est impératif d’informer de manière claire le public du risque significatif d’apparition d’effets secondaires, y compris de décès.

Nous nous permettons de vous rappeler la campagne de vaccination de sinistre mémoire contre le papillomavirus.

Un article du 27 mars 2008 du journal « Le Jeudi », bien moins complaisant avec les autorités, dénonçait le manquement au devoir d’information du Ministre quant à l’efficacité du vaccin et les effets secondaires :

« Ce que le ministre de la santé n’a pas dit. Le ministre de la santé a failli dans sa mission d’information. Les parents doivent être mis en garde sur le fait que les signataires de cette lettre ne leur ont pas tout dit et même que certaines de leurs affirmations deviennent fausses par omission. »

La Cour européenne des Droits de l’Homme s’est prononcée au sujet de la légitimité de l’obligation vaccinale des enfants aux termes d’un arrêt du 8 avril 2021 (VAVRICKA c/ REP. TCHÈQUE).

Si la Cour européennes des Droits de l’Homme n’a pas sanctionné l’obligation vaccinale tchèque pour la vaccination traditionnelle, il ne s’agit pour autant en aucun cas d’une légitimation juridique de la vaccination obligatoire contre la COVID.

La Cour rappelle que, selon sa jurisprudence, la vaccination obligatoire, en tant qu’intervention médicale non volontaire, constitue une ingérence dans l’exercice du droit au respect de la vie privée tirée de l’article 8 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La Cour européenne des Droits de l’Homme a donc rendu une décision in concreto en tenant compte de plusieurs éléments comme :

  • la vaccination existe depuis de nombreuses années,

    Ce n’est pas le cas du vaccin COVID élaboré dans un temps record et qui est encore en phase d’essai.

  • les maladies contre lesquelles le vaccin lutte sont graves,

    Dans l’immense majorité des cas de COVID-19, l’infection est bénigne. Les statistiques officielles ne montrent pas une surmortalité significative en 2020. Selon les statistiques officielles luxembourgeoise, 85 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 60 ans. Après plus de deux ans de lutte, nous savons donc quelle doit être la cible prioritaire des soins.

  • les effets secondaires sont connus et peu significatifs,

    En décidant de vacciner une population en bonne santé face à un virus qui ne la tuera pas, il est indispensable d’avoir un très haut niveau de qualité du vaccin, ce qui est contredit par les chiffres officiels du ministère de la santé et les suspensions et retraits de vaccin pourtant déjà administrés.

    Surtout, une méfiance existe compte tenu des suspensions et interdictions de vaccins en cours (Johnson&Johnson et Astra Zeneca). Des cas de thrombose ont été révélés et il convient de déterminer s’ils sont sans lien avec les vaccins réalisés.

    Les 11 décès reconnus à Luxembourg sur une période de moins d’un an de vaccination constituent un chiffre considérable qui ne peut être passé sous silence.

  • les conséquences de la non-vaccination sont temporaires et limitées,

    Les conséquences de la non-vaccination sont extrêmement violentes allant jusqu’à la suspension des moyens de subsistances et l’exclusion des activités sociales et de loisirs.

  • la vaccination obligatoire n’entraînait pas de contrainte physique.

    Ce n’est pas encore le cas mais nous ne pouvons pas exclure une telle dérive au train où vont les choses.

Une lecture mesurée et raisonnable de la motivation de l’arrêt VAVRICKA ne plaide guère pour la légalité de l’obligation vaccinale pour le cas de la COVID-19.

Le temps du droit n’est pas le temps des médias et de la politique, il est d’ailleurs possible qu’une initiative si téméraire soit tuée dans l’œuf avant même sa mise effective en application.

Nous oublions nos principes, les engagements politiques et nos traités au profit d’une idéologie politique assumée visant à vacciner l’ensemble de la population.

Au nom de quels principes ?

Est-ce au nom du « bien commun » de la mythique immunité collective ?

Au Grand-Duché de Luxembourg, malgré un taux de vaccination de près de 80 %, nous atteignons des records de contamination, à savoir un taux quasi équivalent à celui de l’année précédente lorsque nous ne disposions pas du vaccin.

On promettait la liberté au Danemark en septembre dernier avec des taux record de vaccination. En décembre 2021, le pays est de nouveau confiné…

Un confinement a été décrété pour les fêtes de Noël aux Pays-Bas, dont le taux de vaccination de la population avoisine les 80%.

Malgré un taux de vaccination de quelques 80%, l’Islande connaît depuis novembre 2021 un pic de contamination inouï, deux fois supérieur à l’année précédente lorsque la population ne disposait pas du vaccin.

Voici la définition du mot « vaccin » dans le dictionnaire LAROUSSE :

« Substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

Il est désormais clair que la vaccination n’empêche pas la transmission du virus, rendant illusoire la mythique immunité collective.

Le vaccin ne peut tout au plus constituer un traitement prophylactique potentiel contre des formes graves.

Les études scientifiques et notamment la référence « LANCET » dans un article de Günter KAMPF du 19 novembre 2021 intitulé « The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is increasing » et une multitude d’autres recherches de la même teneur démontrentclairement que la vaccination n’empêche pas la propagation du virus.

Nous citons l’article scientifique précité :

Many decision makers assume that the vaccinated can be excluded as a source of transmission. It appears to be grossly negligent to ignore the vaccinated population as a possible and relevant source of transmission when deciding about public health control measures”.

Il faudrait donc multiplier les « boosters » (quel mot horrible !) à l’apparition d’un nouveau variant, sous peine de se voir privé de vie sociale et professionnelle, toujours sans garantie quant à l’efficacité, ni quant au danger potentiel du vaccin.

A cette course absurde, mais fort lucrative pour l’industrie pharmaceutique, nous serons toujours en retard d’une bataille.

D’ailleurs, qui en décidera ?

Délèguerons-nous à l’industrie pharmaceutique le pouvoir de décider du nombre de doses à administrer ?

Au-delà de la question des primo-vaccinés, cette pression intolérable concerne l’ensemble de la population, vaccinée ou non.

Si deux vaccins ont déjà échoué, on aura besoin d’urgence d’une troisième dose, puis d’une quatrième et ainsi de suite.

Combien de doses faudra-t-il encore avant d’admettre que les vaccins n’ont pas l’efficacité voulue ?

Les sources officielles révèlent que Commission européenne a 4,6 milliards de doses de vaccins contre la COVID-19 et des négociations sont en cours pour obtenir des doses supplémentaires,soit quelques 10 doses par personnes, enfants compris, en tenant compte de la population totale de l’Union européenne.

Tout vacciné est un futur non-vacciné s’il décide de ne plus se soumettre aux différents rappels de vaccination programmés.

La création d’un laissez-passer vaccinal, voire l’obligation vaccinale ne sont pas des réponses sérieuses pour lutter contre la pandémie quand près de 80 % des luxembourgeois sont déjà vaccinés.

Il y a un manque de proportion évident entre la lutte contre la pandémie de la COVID-19 et les droits fondamentaux des citoyens qui vont vivre une « mort sociale », alors que les mutations du virus, rendent la multiplication des doses vaccinales moins efficaces.

D’ailleurs, de plus en plus de scientifiques, voire même de politiques, prennent leurs distances avec la politique du tout vaccinal.

En Angleterre, le comité de la Chambre des Lords s’est déclaré hostile à l’obligation vaccinale et fustige les essais :

« il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. »

Une information relayée par le « British Medical Journal » BMJ dont voici un extrait traduit :

« En tant que médecins et professionnels de la santé, dont beaucoup travaillent dans le NHS, nous tenons à exprimer notre opposition à ce que la vaccination anti-SRAS-CoV-2 soit obligatoire pour tout groupe de personnes, y compris les travailleurs de la santé et les soignants. Nous convenons avec le comité de la Chambre des Lords que les preuves sont insuffisantes pour justifier cette mesure, mais le gouvernement et le Parlement ne semblent pas être à l’écoute et les vaccins obligatoires pour lepersonnel du NHS devraient être promulgués cette semaine.

Nous ne contestons pas que le covid-19 peut être et a été une infection dangereuse, et nous convenons que les vaccins sont efficaces dans de nombreuses situations. Cependant, il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. Dans cette situation, il est impératif queles gens soient en mesure de faire un choix en toute connaissance de cause quant à l’opportunité de se faire vacciner ou non. »

Dans son rapport de surveillance du vaccin COVID-19 de la semaine 42, l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni admet à la page 23 que les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination :

« (…) recent observations from UK Health Security Agency (UKHSA) surveillance data that N antibody levels appear to be lower in individuals who acquire infection following 2 doses of vaccination. »

L’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni poursuit en expliquant que cette baisse d’anticorps est pratiquement permanente.

A l’opposé, près de 140 publications scientifiques attestent l’efficacité de l’immunité naturelle à long terme après l’infection COVID-19 :

L’immunité est apparemment étudiée non seulement sous l’aspect des anticorps mais également des T cells (immunité à plus long terme), car l’immunité existe même en l’absence d’anticorps.

Elle est bien supérieure à la protection vaccinale.

L’immunité naturelle est occultée au Luxembourg, si bien que des personnes présentant un taux élevé d’anticorps doivent se soumettre à la vaccination après une période qui n’est pas déterminée par une consultation médicale individuelle préalable.

Alors qu’elle est parfaitement ignorée au Luxembourg, l’immunité naturelle fait l’objet d’un projet de loi aux États-Unis dénommé « Natural Immunity is real Act » :

« The applicable agency shall acknowledge, accept, agree to truthfully present, and incorporate, the consideration of natural immunity as it pertains to COVID–19 with respect to the individuals subject to the applicable regulations. »

Est-ce au nom de la préservation du système hospitalier ?

Nous observons que des épisodes grippaux d’une ampleur supérieure à la crise actuelle étaient relativement banalisés par le passé.

Nous nous permettons de citer ici la réponse de Madame la Ministre de la santé à la question parlementaire numéro 2697 du 25 janvier 2017 de Monsieur le Député Halsdorf concernant l’épidémie de grippe :

« La grippe causée par le virus influenza survient le plus souvent au Luxembourg vers janvier et février. Cet épisode est d’une durée d’environ deux mois (…) Cette saison-ci, la grippe a débuté au Luxembourg fin décembre 2016 et a atteint son pic à la mi-janvier 2017. Le nombre de cas semble actuellement aller en diminution. En parallèle à cet épisode, on constate une augmentation du nombre de décès toutes pathologies confondues.

L’inspection sanitaire de la direction de la santé suit le nombre hebdomadaire de décès et a constaté que ce nombre est passé d’une moyenne hebdomadaire d’environ 80 décès à 120 décès par semaine à la mi-janvier 2017. Ce phénomène est constaté tous les ans lors de l’épisode grippal. Le surplus de décès survient principalement auprès de personnes ayant des problèmes de santé graves et qui se trouvent en fin de vie. Les décès ne sont souvent pas directement dus à la grippe elle-même mais la conséquence de l’infection virale aggravant les problèmes de santé préexistants (…) »

Permettez-nous de reprendre les données figurant dans un avis juridique du cabinet d’avocats

« FRANK, COHRS & BOCK » en date du 14 octobre 2021 : « selon la carte sanitaire de 2019 du Ministère de la Santé (sortie en 2021), le nombre de lits disponibles s’élève à un total de 2.644 lits (2.221 dans les

4 centres hospitaliers et 423 dans les établissements hospitaliers spécialisés). Il s’avère que moins d’un pour cent (1%) des lits disponible est pris par des patients hospitalisés à cause ou avec le COVID-19 ».

D’après les données officielles du site du Ministère de la Santé, 51 personnes se trouvaient hospitalisées pour raisons de COVID-19 en date du 20 décembre 2021, soit moins de 2% du total des lits disponibles.

Nous devons également reprendre une statistique encore moins réjouissante, celle du nombre de décès et d’effets secondaires liés à l’administration du vaccin.

La communication gouvernementale prétendant que les vaccins sont sûrs, efficaces et sans dangers apparaît en contradiction avec les clauses d’exonération des contrats relatifs aux vaccins, mais aussi des données de la pharmacovigilance.

Suivant le rapport officiel du 1er novembre 2021 émis par le Ministère de la Santé, on recense quelques 1.940 cas d’effets secondaires immédiats des vaccins dont 430 cas graves et 11 décès.

Parmi les 430 cas, on recense 286 cas médicalement significatifs, 115 cas de recours à une hospitalisation, 18 cas de mise en jeu du pronostic vital et 11 décès.

Si une entreprise avait tué 11 personnes avec son produit, nous tenterions de mettre les responsables en prison.

On ne sait strictement rien du contenu des seringues vendues par Pfizer mais il nous est demandé de faire confiance à cette firme qui s’est précisément distinguée par son passé de malfaiteur et de charlatan.

Outre les effets secondaires thrombo-emboliques décrits en début de campagne de vaccination, d’autres pathologies inflammatoires se sont manifestées.

L’exemple le plus connu est celui de la découverte récente des problèmes de myocardite et péricardite et l’inclusion de ces signaux de sûreté (quoique tardive) dans les rapports de l’Agence Européenne du Médicament, dont on ne citera que celui lié au myocardites et péricardites et qui peut être consulté en suivant le lien ci-après :

https://www.ema.europa.eu/en/documents/prac-recommendation/updated-signal-assessment-report-myocarditis-pericarditis-tozinameran-covid-19-mrna-vaccine_en.pdf

Pour reprendre juste quelque lignes de ce document, contrairement à ce que la presse voudrait faire croire, les effets indésirables de ces produits ne sont pas du tout anodins allant jusqu’aux séquelles permanentes et irréversibles, une mortalité précoce ou même à la mort immédiatement après l’injection :

« In 50% of cases, acute myocarditis resolves quickly within 2-4 weeks, however 25% may develop persistent cardiac dysfunction and 25% may deteriorate to end-stage dilated cardiomyopath (p. 4/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis withTozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) (…).

3.1.2.1. MYOCARDITIS As of 31 May 2021, in Eudravigilance were received 145 cases reporting myocarditis with Comirnaty vaccine in the EEA. In these 145 cases, 143 cases were assessed as serious for which the seriousness criteria was ticked 172 times as follows: 5 times‘Death’, 18 times Life-threatening, 104 times Hospitalization, 2 times Disablingand 43 times ‘Seriousness Other (p.34/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) »

De plus, ces mêmes documents montrent clairement que les problèmes relatifs au profil de sûreté de ces produits sont loin d’être résolus, même dans le cas de signaux déjà documentés et acceptés par l’Agence Européenne du Médicament:

« Comment PRAC Rapporteur: The MAH (Marketing Autorisation Holder, dans ce cas ci Pfizer Biontech) did not provide the requested age strata under 25 years of age: 12-15, 16-19, 20-24. This is not acceptable as the current signal is strongest in those age groups. Moreover, the same predominance within these age groups is consistent in several other O/E analysis conducted by Israel, USA, UK and the WHO. Question 2 is not resolved.” (p. 18/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY,) »

De nouveaux effets secondaires apparaissent régulièrement.

Les nanoparticules lipidiques des vaccins à ARN-messager ont été pointées du doigt dans le risque de développer des maladies auto-immunes et allergiques.

Il est impossible de prévoir exactement à ce jour quels types de désordres immunitaires pourraient émerger à l’avenir pour chaque type de vaccin mis sur le marché.

Pourtant la campagne de vaccination bat son plein sans que nous ne puissions poser la moindre question et, les mêmes causes produisant les mêmes effets, elle fera encore immanquablement des décès.

Qui en assumera la responsabilité morale et judiciaire ? Souvenons-nous du « responsable mais pas coupable » lors du procès qui a suivi l’affaire du sang contaminé chez nos voisins?

Quant à la responsabilité financière, qui l’assumera sinon le contribuable ?

Compte tenu des risques qu’elle fait peser sur la santé de la population, nous estimons qu’il est très grave d’imposer la vaccination tant que nous ne disposons pas d’une information loyale et objective, telle que décrite par de nombreuses sources indépendantes, de tous les effets secondaires potentiels réparables ou irréparables à court, moyen et long terme, avec certification que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits.

Il ressort de ce qui précède que l’obligation vaccinale générale de la population n’est pas juridiquement défendable.

Dans le cadre de la vaccination contre la COVID-19, aucun des critères de proportionnalité et d’efficacité visés aux termes des Traités et principes européens, par rapport à l’objectif de santé suivi, n’apparait rempli compte tenu de :

  • La connaissance relativement incomplète de la maladie,
  • La capacité de mutation du virus,
  • La circonstance que les personnes à risque sont majoritairement vaccinées,
  • La vaccination diminue en efficacité avec le temps,
  • La vaccination n’arrête pas la propagation ni la contamination par le virus,
  • Les effets secondaires existent et restent inconnus à long terme,
  • Nous sommes toujours en phase d’essais cliniques,
  • Le vaccin n’empêche pas de tomber parfois sévèrement malade à cause des variants,
  • Aucun objectif d’éradication ne peut être scientifiquement avancé par rapport à un virus qui a déjà fait plusieurs fois le tour du monde.

Nous sommes partisans du principe de la vaccination, sous réserve que celle-ci soit sûre, efficace et nécessaire et qu’elle tienne compte de l’identité biologique de chaque individu, paramètre dangereusement oublié par le principe de l’obligation.

Tous ceux qui souhaitent être vaccinés contre la COVID -19 doivent pouvoir le faire, y compris en choisissant le vaccin approprié, notamment le vaccin chinois SINOVAC réalisé avec un virus désactivé sur base de la méthode traditionnelle.

Nous ne comprenons pas pourquoi le principe de la liberté de choix du vaccin approprié est ignoré au mépris des pétitions publiques.

La pétition publique n°1827 demande la distribution au Luxembourg du vaccin russe Sputnik V contre la COVID-19.

La pétition publique n°2141 demande à repousser la date des mesures « CovidCheck » au travail jusqu’à la disponibilité du nouveau vaccin « NOVAVAX ».

La pétition publique n°1950 plaide pour ne pas rendre la vaccination COVID-19 obligatoire et de ne pas instaurer, avec le temps, de discriminations entre les personnes vaccinées et les personnes non-vaccinées.

Elle a recueilli la signature de 11.456 (mauvais ?) citoyens.

La pétition publique n°2078 demande l’égalisation des mesures « CovidCheck » à l’ensemble de la population afin de lever les contraintes et discriminations qui se mettent en place pour forcer les non-vaccinés à céder et se laisser vacciner.

Elle a été signée par 5.722 citoyens.

S’agit-il de mauvais citoyens car ils ont osé émettre des réserves quant à la politique du tout vaccinal ?

Nous sommes inquiets de la violence du discours à l’encontre de la population non-vaccinée ou qui décidera de ne plus se soumettre aux injections à venir.

Subissant déjà une forte pression sociale en raison d’un choix personnel, nous craignons d’être soumis à la vindicte populaire devant un discours de plus en plus agressif, haineux et radical jusque dans les termes de votre rapport.

Nous estimons que, le traitement par l’anathème, la peur et la contrainte visant à imposer à tout prix la vaccination au mépris des droits fondamentaux issus des engagements internationaux, par :

  1. la radicalisation du discours des pouvoirs publics contre les réfractaires,
  2. la multiplication progressive des restrictions serrant comme dans un étau les réfractaires,
  3. les mesures discriminatoires imposées afin « d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée »,
  4. La mise en œuvre du laissez-passer vaccinal sur le lieu de travail sous peine de suspension des moyens de subsistance au mépris notamment du droit au travail garanti par la Constitution aux termes de son article 11: « la loi garantit le droit au travail et l’État veille à assurer à chaque citoyen l’exercice de ce droit. La loi garantit les libertés syndicales et organise le droit de grève » et du respect du principe de « l’égalité de traitement en matière d’emploi et de travail » (article L-251.1 du Code du Travail).

CONSTITUENT un traitement INHUMAIN et DÉGRADANT au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La finalité idéologique des mesures visant à « augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée » (sic) n’est en aucun cas une justification sanitaire, tout au plus un grave abus de droit sanctionné par l’article 54 de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne :

« Aucune des dispositions de la présente Charte ne doit être interprétée comme impliquant un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Charte ou à des limitations plus amples des droits et libertés que celles qui sont prévues par la présente Charte. »

Nous comprenons certes la tentation accessoire d’instaurer un modèle de société de « la solidarité et de la responsabilité » en tirant les leçons de la crise COVID comme une « destruction créatrice » pour reprendre l’expression de Schumpeter.

Nous ne pouvons qu’être sceptiques face à ceux qui voient la crise sanitaire comme une « fenêtre d’opportunités » pour la transition vers la « société numérique », impliquant la numérisation de nos vies jusque dans notre for intime, la géolocalisation, l’inspection et, à terme, l’aliénation de l’individu et la servitude.

Beaucoup parmi nous sont issus des pays totalitaires de l’ancien bloc soviétique et sont légitimement hostiles aux modèles préfabriqués qui s’apparentent en réalité à une « construction destructrice ».

Les dispositions inédites dans l’histoire récente du Grand-Duché prennent des proportions totalitaires dans le sens premier et original du terme, à savoir une intrusion étatique sur la totalité des activités individuelles.

Certes, nous n’avons pas l’écho du bruit des bottes, mais les réfractaires à la vaccination verront leurs moyens de subsistance suspendus ou devront accepter un chantage à leur vie familiale et position sociale.

Beaucoup d’entre nous se sont battus pour leur liberté dans leur pays d’origine et ne sauraient à présent accepter de s’engouffrer vers un totalitarisme « soft » par confort ou par paresse.

Nous serions ravis d’échanger avec vous et nous vous montrerons que nous ne sommes nullement des irresponsables, des extrémistes « anti-vax » ou d’autres caricatures médiatiques, mais de simples citoyens.

Votre commission étant ouverte à l’échange et aux débats d’idées, nous nous permettons de vous inviter à débattre publiquement avec nous, avec nos juristes, avec nos médecins, nos comptables et nos fonctionnaires.

YES, WE CARE !

Nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, l’expression de nos sentiments très distingués.

Pour EFVV

Jean-Pierre Eudier

Président

Copie de ce courrier à :

  • Son Altesse Royale le Grand-Duc Henri
  • Xavier Bettel, Premier ministre, Ministre d‘Etat
  • Paulette Lenert, Ministre de la Santé
  • Fernand Etgen, Président de la Chambre des Députés

Copie de ce courrier par e-mail à :

  • Mesdames et Messieurs les Députés
  • Mesdames et Messieurs les Conseillers d’Etat
  • Représentants des organes de presse Grand-Ducale



Les vœux pour 2022 de Marcel D. et son équipe : « Il n’y aura pas de négociation, nous gagnerons ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D.

L’année s’annonce décisive et la détermination du pouvoir à écraser les Français devra se confronter à une partie du peuple tout aussi déterminé à ne pas se laisser écraser sous le poids des lois ségrégationnistes. 2022 risque d’être une année déterminante pour ceux qui veulent gouverner le monde, ce rouleau compresseur qui semble inarrêtable doit faire face aux récalcitrants, aux non-alignés, aux hommes libres.


C’est dans cette optique que des médecins, des psychologues, des avocats, des journalistes, les petites gens, le peuple dans son ensemble, ont décidé de dire NON. Non à ces médecins de plateau, à ces politiques au courage dans les chaussettes, à ces journalistes qui rampent dans le déshonneur comme des larves, à tous ces traîtres qui pensent échapper au courroux en exécutant des galipettes, en transformant en mensonge ce qui est vérité et en changeant en vérité ce qui est mensonge… La justice passera en son temps.

Dans ce monde cyclique, la raison reprendra toujours sa place. L’empire vacille et tente de reprendre la main avant sa chute et seule la violence lui fait croire qu’il y arrivera. Pourtant, la Putain de Babylone tombera, et ses sujets avec. La partie de poker qui se joue actuellement ne doit pas faire oublier que les gouvernements n’ont aucune carte, sauf celle du mensonge. Ils doivent bluffer. La libération d’Elie Domota face à la pression du peuple guadeloupéen rassemblé en masse devant le commissariat, montre où se trouve véritablement le pouvoir. La peur des élites est que les peuples en prennent conscience.

Dans cette course folle, la résistance des peuples est primordiale, de nouvelles structures émergent, de nouveaux médias font le travail de réinformation, le réveil des Français à chaque dose fait aussi son bout de chemin… Le temps ne joue pas en faveur de nos ennemis, d’où cette précipitation, cette violence, cet acharnement. La division est et sera l’une des plus précieuses armes du pouvoir. Comprenons bien une chose, Macron a un objectif et, pour y parvenir, il a aussi une cible sur laquelle il compte s’acharner : « Faire peser les contraintes sur les non-vaccinés reste notre boussole absolue » ces propos ont été tenus lundi 27 décembre, par Emmanuel Macron, quelques heures avant le Conseil de défense sanitaire, rapporte le Canard enchaîné. Les non-vaccinés sont donc une base sur laquelle nous devons nous appuyer car il font barrage au monde orwellien du crédit social à la chinoise dans lequel ces fous veulent nous précipiter. La lutte doit se verticaliser car le problème est bel et bien au gouvernement, celui qui joue aux chaises musicales avec le peuple, le fait danser assis puis debout avec ou sans masque, selon l’humeur du moment… Et pendant ce temps-là nos enfants déprimés se suicident, dans le vide ou au bout d’une corde, sans que le pouvoir daigne s’y intéresser. Soyons directs, ils crèvent dans l’indifférence totale. Dans ce Titanic, on sacrifie les enfants, la nouvelle devise : « Les hommes et les femmes d’abord ! » semble contenter les lâches apeurés par un virus Omicron aux effets gonflés par la propagande.

Mes amis, dans cet océan de merde, Le Média en 4-4-2 fera sa part pour servir la raison. Notre équipe vous donne chaque jour, 7 jours sur 7 et 365 jours par an une information de qualité. Nous sommes tous des bénévoles soucieux de voir nos enfants grandir dans un monde où le masque tombera. A vrai dire, le travail que nous fournissons n’en est pas vraiment un, c’est un devoir, une obligation et aussi un moyen de conjurer la dépression et aussi, je vous l’avoue sans honte, de se marrer quand nos ennemis voudraient nous voir pleurer et accepter par désespoir d’être des esclaves.

Sur ces bonnes paroles, nous vous souhaitons une excellente année, une année où les genoux ne fléchissent pas, bien au contraire. Soyez déterminés, il n’y aura pas de négociation, nous gagnerons, un point c’est tout !

Marcel D., président du Média en 4-4-2″




La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

[Source : cv19.fr (Recherches Covid-19)]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POST-SCRIPTUM
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

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Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]


[Voir aussi :
L’effondrement de l’hypothèse virale
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]


Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer de son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POST-SCRIPTUM

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

À propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

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Références

↑1 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2 Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3 Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4 “Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5 Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6 Ibid.
↑7 Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8 Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10 Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11 Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13 Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14 Ibid, 25:11
↑15 “Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16 Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17 Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18 James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19 Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20 Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21 Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22 John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23 Ibid., 287.
↑24 https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25 La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26 Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28 Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29 bid., 265-6, Methods page.
↑30 Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31 Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32 Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33 Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35 Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36 Ibid., 272.
↑37 Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38 Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40 Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41 Ibid., 728, 730-31.
↑42 Ibid., 728.
↑43 Ibid., 731.
↑44 Ibid.*
↑45 Ibid., 733. Emphasis added.
↑46 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47 Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48 Ibid., 461-62.
↑49 Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50 Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51 Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53 David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54 Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55 “Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57 ” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
↑58 Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
↑59 Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020
↑60 Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12.
↑61 James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): http://www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8
↑62 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)
↑63 “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20).
↑64 Ibid.**
↑65 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
↑66 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23.
↑67 William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): http://www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php
↑68 Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29.
↑69 “RT-PCR test kits and VirSNiP Mutation Assays for strain surveillance”, TIB Molbiol (accessed 6 May 20): https://www.tib-molbiol.de/covid-19
↑70 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021).
↑71 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel: For Emergency Use Only Instructions for Use Catalog # 2019-nCoVEUA-01 1000 reactions”, 40: https://www.fda.gov/media/134922/download
↑72 Jesús García Blanca, “The scam has been confirmed: PCR does not detect SARS-CoV-2”, D-Salud-Discovery, 242 (8 Nov 20): https://www.dsalud.com/reportajes/fraudes-y-falsedades-en-el-ambito-medico/ ; English trans.: http://philosophers-stone.info/wp-content/uploads/2020/11/The-scam-has-been-confirmed-Dsalud-
November-2020.pdf ; Jerry Fisayo-Bambi, “Tanzania: goat, paw paw, jackfruit test positive for coronavirus”, Morning Call (6 May 20): https://www.africanews.com/2020/05/06/tanzania-how-can-goat-papaya-pawpaw-test-positive-to-corona-morning-call/
↑73 David James, “PCR Inventor: “It doesn’t tell you that you are sick”, OffGuardian (5 Oct 20): https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/
↑74 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23.
↑75 “Austrian Court Rules PCR Test Not Suitable For COVID-19 Diagnosis And That Lockdowns Has No Legal Basis”, GreatGameIndia (8 Apr 21): https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/
↑76 “WHO COVID-19 Case definitions: Updated in Public health surveillance for COVID-19 | COVID-19: Surveillance, case investigation and epidemiological protocol” (16 Dec 20): https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-Surveillance_Case_Definition-2020.2
↑77 Ibid.***
↑78 Johns Hopkins University & Medicine Coronavirus Resource Center (accessed 25 Oct 21): https://coronavirus.jhu.edu/map.html
↑79 Neil M Ferguson et al., “Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID- 19 mortality and healthcare demand”, Imperial College London (16 Mar 20), 6, 7, 13: DOI: https://doi.org/10.25561/77482
↑80 Hannah Boland and Ellie Zolfagharifard, “Coding that led to lockdown was ‘totally unreliable’ and a ‘buggy mess’, say experts”, The Telegraph (16 May 20): https://www.telegraph.co.uk/technology/2020/05/16/coding-led- lockdown-totally-unreliable-buggy-mess-say-experts/ ; Ram Sagar, “The most devastating software mistake of all time. Why is the Imperial model under criticism?”, AIM (24 May 20): https://analyticsindiamag.com/the-most-devastating-software-mistake- of-all-time-why-is-the-imperial-model-under-criticism/
↑81 Neil M Ferguson et al., “Report 12: The Global Impact of COVID-19 and Strategies for Mitigation and Suppression “, Imperial College London (26 Mar 20), 1: https://doi.org/10.25561/77735
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↑83 Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus Press, 1971, first published 1964), 34; “Ventilators and ICU bed capacity”, Ministry of Health (11 May 20); Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501
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↑86 “Our Story”, Te Pūnaha Matatini: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/about-us/
↑87 Jaijus Pallippadan-Johny, John McDermott, Rodney Jones and Michael Duddin, “Monitoring and Forecasting the COVID-19 Pandemic in New Zealand Including the Successful Impact of the Lockdown”, Public Health Expert (22 May 20): https://blogs.otago.ac.nz/pubhealthexpert/tag/pandemic/
↑88 “Post-Cabinet press conference”, Beehive (23 Mar 20), 1-3; “Prime Minister: COVID-19 Alert Level increased”, Beehive (23 Mar 20); “Post-Cabinet Press Conference 23 March 2020 on COVID19”, YouTube (23 Mar 20), 10:55.
↑89 Ashley Bloomfield, “COVID-19 media update, 24 March”, Ministry of Health (24 Mar 20), 5:08: https://www.health.govt.nz/news-media/news-items/covid-19-media-update-24-march#vid
↑90 Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- depth/412744/the-man-modelling-nz-s-covid-19-spread-from-his-kitchen- table; Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501 ; Nikki Macdonald, “Coronavirus: Controls could cut Kiwi deaths from 60,000 to 10,000”, Stuff (22 March 20): https://www.stuff.co.nz/national/health/coronavirus/120455106/corona virus-controls-could-cut-kiwi-deaths-from-60000-to-10000
↑91 Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20).
↑92 Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4.
↑93 New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): https://community.scoop.co.nz/2021/10/why-is-sean-hendys-modelling-group-getting-6m-for-advice-treasury-is-paying-30k-for-elsewhere/
↑94 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑95 Ibid.****
↑96 Ibid..
↑97 Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020).
↑98 Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50.
↑99 Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
↑100 Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
↑101 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑102 Ibid.*****
↑103 Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by http://www.DeepL.com/Translator.
↑104 Ibid.******
↑105 bid., 27:45 on.
↑106 Ibid., 53:00
↑107 “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108 Ibid., 2.
↑109 Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110 Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑111 2:19:13.
↑112 Ibid.*******
↑113 Ibid…
↑114 Ibid., 2:34:30.
↑115 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116 Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117 Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s



Effondrement des empires et Résistance

[Extrait de yetiblog.org]








Le premier ministre canadien Justin Trudeau : « Les non-vaccinés sont des extrémistes racistes et misogynes »

[Source : anguillesousroche.com]

Dans une diatribe désordonnée, Trudeau a déclaré à une chaîne de télévision québécoise que, selon lui, les personnes non vaccinées ne devraient plus être tolérées.

« Nous allons mettre fin à cette pandémie en procédant à la vaccination », a déclaré Trudeau en français.

https://youtu.be/Ko3VqL5xLOo

« Nous connaissons tous des personnes qui sont en train de décider si elles sont prêtes ou non à se faire vacciner, et nous ferons tout notre possible pour essayer de les convaincre. Cependant, il existe toujours une partie de la population qui s’y oppose farouchement. »

« Ils ne croient pas en la science et au progrès et sont très souvent misogynes et racistes. C’est un tout petit groupe de personnes, mais cela n’empêche pas qu’ils prennent de la place. »

« Cela nous amène, en tant que dirigeant et en tant que pays, à faire un choix : Est-ce que nous tolérons ces gens-là ? Plus de 80% de la population du Québec a fait son devoir en se faisant vacciner. Ils ne sont évidemment pas le problème dans cette situation. »




Manifestation Gilets jaunes devant BFM à Paris, 29 décembre 2021

[Source : NTD Français]




Covid-19 — Un présentateur de CNews : « Les Français sont anesthésiés… On s’est fait laver le cerveau »

[Source : echelledejacob]






Psychologie des foules : le désir de croire plutôt que de savoir

[Source : contrepoints.org]

[Crédit photo : 1984 by Oscar Martinez Ciuro (CC BY-ND 2.0).]

Par Yannick Harrel

À la suite des analyses portant sur les techniques de manipulation des masses dans une démocratie libérale puis sur un antécédent historique de manipulation réussie de la foule, il est possible de déterminer quel est le ressort de celle-ci au regard de la crise actuelle. Sans guère de surprise, l’irrationalité peut se déverser sans retenue une fois les digues morales et légales levées ou effondrées.

Les libertés, premières victimes expiatoires de la psychologie des foules

Dans toute situation d’urgence la première victime ce sont les libertés : le réflexe est bien connu, et toujours employé par tous les régimes avec l’assentiment, voire l’appui, des populations administrées. C’est une première constante qui ne s’est jamais démentie au fil des épreuves passées et présentes. Comme si les libertés étaient, plus encore que la variable d’ajustement, la cause de tous les malheurs de ce monde. Cela révèle en sus la profondeur des convictions libérales des dirigeants occidentaux actuels. L’autre constante est la suspension souvent pérenne desdites libertés. Une fois la victoire obtenue (et l’on sait que celle-ci est souvent différée à dessein), les libertés sont rarement rendues ou si tel est le cas, elles sont d’office placées sous tutelle (administrative et/ou technologique). Comme si les libertés étaient l’arme de l’ennemi alors qu’elles sont précisément le révélateur de qui est notre ennemi.

Curieuse approche de régimes souvent prompts à invoquer des droits fondamentaux lorsque leur emprise commerciale et militaire est menacée en quelque point du monde mais bien plus lents à les restaurer ou à les étendre en leur propre domaine. Sur ce point, le principe mimétique semble particulièrement absent : telle pourrait être la parabole de la baïonnette (à l’extérieur des frontières) et du bâillon (à l’intérieur d’icelles).

L’autre limitation à ce retour des libertés ou à leur extension tient à la désagrégation de l’universalité de ces libertés au profit de libertés redistribuées sur des bases professionnelles, linguistiques, ethniques, confessionnelles, politiques, biologiques, médicales etc. Ce saucissonnage des libertés est matois car par pure stratégie politique, il crée une scission artificielle en rompant le contrat social tout en dissolvant la notion de droits fondamentaux. De la sorte, en situation d’urgence les libertés peuvent être réduites, suspendues ou augmentées à la carte selon le bon vouloir des autorités et le degré d’allégeance du groupe bénéficiaire.

C’est ce qui peut expliquer que dans le cas où les autorités publiques désignent un corps d’individus responsable de tous les maux, les libertés peuvent être levées à son encontre sans objection par les autres composantes de la population. Une fois la situation bien en main, l’hallali peut être sonné comme annonçant le rituel sacrificiel accepté par tous ceux n’étant pas concernés par la mise à mort (sociale dans un premier temps puis physique dans son aboutissement ultime). Mieux encore, la majorité de la population, travaillée par le processus de déshumanisation du groupe visé, est appelée à participer à cet élan purificateur.

Les individus, secondes victimes expiatoires de la psychologie des foules

C’est de la sorte que s’exprimait si bien le philosophe français René Girard (1923-2015) :

Les persécuteurs finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative.

Car lorsque par ses représentants, principaux ou secondaires, un régime conditionne des individus pour les manipuler en flattant leurs instincts les plus primaires et brutaux, aucune limite légale et morale à ses excès ne saurait dès lors exister. A fortiori lorsque les tenants de l’État ont déjà prévu de se déresponsabiliser des conséquences sur leurs servants fanatiques. Combien il est commode pour ce même régime de masquer, d’étouffer ou encore d’éradiquer les contestataires privés de représentativité et encore moins de dignité.

Dans une situation où l’ordre ordinaire est bouleversé, où le pire est préparé par ceux qui devraient nous en préserver, les quelques îlots d’intelligence et de sagesse sont peu de chose face à une folie d’essence mystique.

C’est ce qu’assène une fois encore le penseur français :

La foule tend toujours vers la persécution car les causes naturelles de ce qui la trouble, de ce qui la transforme en turba ne peuvent pas l’intéresser.

Car les individus ordinaires veulent croire plus que savoir. Il est nécessaire de répéter pour que ce point central soit bien assimilé par tout lecteur : les individus ordinaires veulent croire, non point savoir.

L’existence d’une société baignant dans la surabondance informationnelle est sans effet sur cet invariant de l’humanité : glissant de la vie au trépas sans y avoir eu quelque prise, le superfétatoire nourrit l’existence de l’individu ordinaire. Mais c’est aussi l’essence de la valeur du principe fondamental de liberté, celle du choix.

Être un libéral humaniste, c’est être conscient de cette réalité intemporelle et intangible aux fins de n’en louer que davantage les individus éclairés formant l’avant-garde d’une société reposant sur le libre arbitre et l’acceptation de la responsabilité de ses choix.

Or, l’Histoire nous apprend douloureusement que les sociétés humaines s’en remettent rarement à de tels hommes et femmes, et préfèrent confier leur destinée à des êtres vils, cupides et cruels mais parfaitement aptes à dompter la foule, quitte à la dresser contre une partie d’elle-même pour s’éviter un sort funeste. Ce sont souvent de très fins psychologues des foules.

Et qui mieux que Gustave Le Bon (1841-1931) pour disserter sur cette vérité faisant écho à des siècles de distance à Étienne de la Boétie (1530-1563) ?

Ce n’est pas le besoin de la liberté, mais celui de la servitude qui domine toujours dans l’âme des foules. Elles ont une telle soif d’obéir qu’elles se soumettent d’instinct à qui se déclare leur maître.

La double erreur des instruits

Les êtres instruits sont parfois aveuglés par des biais qui leur font omettre la réalité des affaires politiques. Une double erreur est généralement à l’œuvre dans leur cécité.

La première erreur est d’ordre juridique. Elle consiste pour les constitutionnalistes à affirmer qu’un carcan de règles puisse entraver cette réalité historique cyclique. Désapprenant qu’une démocratie libérale est tout autant corruptible que tout autre régime si ses éléments de vie, les électeurs en ce cas précis, sont démissionnaires ou pervertis dans leur rôle de sentinelles.

L’autre erreur est d’ordre technologique. Elle consiste à s’illusionner qu’une innovation ou un niveau technologique est à lui seul à même de garantir la prospérité et la stabilité d’une société. C’est par cette certitude d’une supériorité sur les invariants humains que les régimes même libéraux peuvent s’enfoncer précisément là où la technologie devait les en éloigner.

La logique des constitutionnalistes et des technophiles trouve précisément sa limite en ce point : l’absence du versant émotionnel dans le contrôle des foules comme déjà explicité en une analyse précédente.

Le contrôle des foules nécessite de procéder obligatoirement par le canal émotionnel, et non le canal rationnel. Ce dernier est entièrement inefficace pour disposer à sa guise d’une population, et encore moins pour les opposants de la modifier.

Croire plutôt que savoir, une fois encore.

C’est ce qu’énonçait en une formule lapidaire le romancier américain Charles Bukowski (1920-1994) :

Le problème avec ce monde c’est que les gens intelligents sont pleins de doutes alors que les imbéciles sont pleins de certitudes.

Dans les moments de crise agissant comme une loupe psychosociale, la médiocrité et la sublimité des individus est démultipliée.

Mieux qu’un esprit libre : une confédération d’esprits libres

La plus grande croyance de ce début de XXIe siècle est celle de se persuader que les démocraties libérales sont encore vivantes. Elles ne sont en réalité que des régimes zombies dont l’état de décomposition résulte moins de l’action des dirigeants qu’à l’impassibilité et la crédulité des populations et plus encore, à l’inaction des gens de bien comme l’énonçait avec grande justesse le penseur anglais John Stuart Mill (1806-1873).

Le plus dangereux dans ce type de situation est l’excitation des foules, lesquelles reporteront leurs frustrations diverses sur les cibles que l’on aura pris soin de leur présenter (par les titulaires de la puissance publique suppléés par le clergé médiatique). Dans un régime zombie, les garanties juridiques sont inexistantes, la parole publique sans valeur et les forces aux ordres sans pitié.

Le paradoxe est que si l’esprit libre répugne à manipuler les foules, il se met en danger par son isolement et sa position de victime toute désignée face à une foule excitée par des dirigeants sans scrupules. Chaque esprit libre doit se regrouper en confédération avec ses frères et ses sœurs, investir les citadelles du pouvoir et du savoir, questionner les individus pour instiller le doute dans la foule, rallier les forces intérieures et mobiliser les forces productives, en somme créer les conditions de sa survie dans un premier temps et du succès de la lutte dans un second.

La vulgate marxiste a longtemps fait accroire au rôle central et moteur du peuple dans les changements historiques majeurs. Pourtant même le révolutionnaire Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine (1870-1924), prônait le concept d’avant-garde menée par des professionnels de la révolution, ce qui en faisait, soit dit en passant, un féroce contempteur du gauchisme opposé à cette approche (il y dédia par ailleurs un ouvrage intitulé La maladie infantile du communisme).

En 1775 lorsque les Insurgents américains se dressèrent contre la puissante monarchie britannique, les notables, les manufacturiers, les savants et les artisans d’Amérique étaient soudés par l’esprit des Lumières, avec en toile de fond le désir de justice fiscale. Ce corpus philosophique joua énormément dans la solidité des liens et la résilience de ses membres face à un adversaire numériquement supérieur et entraîné professionnellement mais dont le seul objectif demeurait le rétablissement de l’ordre, fut-il le plus injuste possible. Quelle meilleure preuve que ces loyalistes marchant aux côtés des Britanniques, autrement bien plus nombreux que les rebelles à la couronne ? Ce qui ne les empêcha pas au sortir du conflit de déposer les armes aux pieds de ces volontaires levés au cri de « Liberté ».

Un homme animé par le désir de liberté pour lui, ses frères et ses sœurs, aura toujours l’ascendant sur celui qui ne lutte que pour garantir la stabilité d’un régime inique : le premier sait pourquoi il lutte, le second croit en celui ou ce pourquoi il lutte. Le sachant contre le croyant.

*
[Voir aussi :
Boris Cyrulnik : Pourquoi dire non — Langage totalitaire et résistance (conférence)
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
Conférence – les mensonges du COVID
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mécanismes des régimes totalitaires
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Comment on manipule pour avoir le consentement
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]
*




Jean-Luc Mélenchon dit la vérité : « L’Assemblée ne sert à rien…Ce que vous êtes en train de faire, suspendre les libertés ! Vous êtes un régime autoritaire et vous commencez à outre-passer vos droits…Vous allez de plus en plus loin dans l’autoritarisme !!! »

[Source : businessbourse.com]




Boris Cyrulnik : Pourquoi dire non — Langage totalitaire et résistance (conférence)

[Source : Université Clermont Auvergne]

Boris Cyrulnik, Docteur en médecine, Neuropsychiatre, Neurologue, auteur de nombreux livres grands publics et professionnels a animé le 21 octobre 2021 une conférence intitulée « Pourquoi dire non, langage totalitaire et résistance » dans les locaux de l’Université Clermont Auvergne.

Pourquoi lors de catastrophes (naturelles, sociales, ou dictature, etc.), certaines personnes ont le courage ou la force de dire non, alors que d’autres ont le plaisir de se soumettre ?

[Voir aussi Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
et lien annexes]




Lettre ouverte au Collectif des Maires Résistants

Par Geneviève Pagnard 

Sommaire :

1- Présentation de mon parcours

2- Lien entre la situation actuelle et la place de Big Pharma et des GAFA

3- Lien entre la manipulation destructrice et la situation actuelle

4- Solutions pour sortir de la dictature

5- Conclusion

Tout d’abord, je souhaite vous remercier pour votre remarquable et saine initiative de rassembler le maximum de maires pour revenir à la défense des droits du peuple.

L’objet de cette lettre est de mettre en lien différents domaines de la Société actuelle pour aboutir à des propositions pour la France de demain (c’est-à-dire 2022). Ces liens me sont permis par le parcours que j’ai suivi dans mon cursus universitaire et psychiatrique.

1- Présentation de mon parcours professionnel

Pour ma part, je suis médecin psychiatre victimologue, diplômée de Criminologie et Agressologie. J’ai rédigé ma thèse de Médecine sur «La pollution en Méditerranée par les insecticides et les agents bactério-virologiques». Cette thèse a été primée en 1985 par le Ministère de l’Environnement et l’Académie de Médecine. Elle a une implication dans les liens évoqués rapidement ci-dessus. 

Ce prix implique que depuis au moins 1985, les politiques sont au courant de la gravité des effets de la pollution sur l’environnement et sur la population, et, ils ont continué malgré tout dans le sens de ces graves pollutions….

Je précise n’avoir aucun conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, ni aucun autre lobby ou aucune administration. Je n’ai aucune appartenance politique ni religieuse.

Du fait de mon refus des injections covid, nos gouvernants et dans leur sillage, le Conseil de l’Ordre des Médecins, m’interdisent l’exercice de médecin psychiatre en tant que salariée, libérale, mais aussi, chose incompréhensible, sous la forme de téléconsultations, c’est-à-dire entre mon ordinateur et celui d’un patient qui peut résider dans un autre pays, voire à l’autre bout du monde… 

De ce fait, comme beaucoup de soignants, je suis mise au ban de la Société, mon dernier contrat de travail et mon salaire ayant été suspendus le 15 septembre 2021, comme beaucoup de mes confrères…

Je n’exerce donc plus en tant que médecin psychiatre, mais, par téléconsultation, en tant que psychothérapeute victimologue et c’est à ce titre que je m’exprime ici…

Pour mieux vous faire comprendre ma démarche, il me faut d’abord vous expliquer mon parcours et vous en comprendrez alors mieux les implications actuelles.

J’ai commencé la victimologie directement sur le terrain, lors des attentats du RER de Saint-Michel à Paris, puis j’ai été amenée à suivre d’innombrables victimes de traumatismes en tout genre : braquages de banques, agressions, viols, accidents de la route, etc., et très rapidement, je me suis rendu compte que les victimes voient leur vie basculer à la suite de ces traumatismes et que leur vie ne sera plus jamais la même par la suite. Mais plus encore, je me suis rendu compte que ces traumatismes sont des traumatismes ponctuels et qu’à côté de ces traumatismes, il y a des traumatismes répétitifs, beaucoup plus nombreux que sont les violences intrafamiliales comprenant les violences physiques, les violences psychologiques (seules ou souvent associées au violences physiques), les viols et les incestes, etc.

Pour avoir suivi des centaines de victimes de violences psychologiques, j’ai mis en évidence un processus totalement stéréotypé d’un cas sur l’autre qui est la manipulation destructrice (MD), exercée par un profil d’individus associant des traits de personnalité pervers (instrumentalisation de l’Autre, agressions masquées sous un air faussement bienveillant, se considèrent comme au-dessus des lois), paranoïaques (ils font la loi, sont psycho-rigides, ne se remettent jamais en question, estiment avoir toujours raison et sont donc totalement imperméables au dialogue), et psychopathiques (instabilité de l’humeur avec des colères brusques et sans fondement, une intolérance totale à la frustration, un chemin de vie privé et professionnel souvent instable). 

Les ravages provoqués par les MD sur les conjoints victimes et les enfants sont considérables et ont des implications qui se répercutent jusque dans les générations suivantes.

C’est pour tenter d’attirer l’attention des juges aux affaires familiales et des juges pour enfants, qui n’ont aucune formation psy (…) et particulièrement dans la reconnaissance de ce processus destructeur, mais aussi pour attirer aussi l’attention de tous les professionnels judiciaires qui interviennent dans le champ de la famille et passent la plupart du temps à côté de ce processus que j’ai écrit «Crimes impunis ou Néonta : histoire d’un amour manipulé», dans lequel je décris sous forme romancée, l’histoire d’une famille victime d’un MD, avec au fur et à mesure, un décryptage de ce processus de MD de manière à ce que, par une simple lecture de ce livre, tous ces professionnels judiciaires apprennent à repérer ce processus de manipulation destructrice tellement fréquent, insidieux et destructeur qui touche au bas mot 30 % de la population. La forme romancée leur permet de bien comprendre comment les victimes (pourtant souvent intelligentes…) tombent dans ce piège et à quel point la destruction quotidienne finit par les faire sombrer, et les enfants avec elles…

Et c’est ainsi que j’ai été auditionnée par M. Guy Geoffroy, Député et Madame Muguette Dini, Sénatrice, dans le cadre de la loi du 09/07/2010 sur les violences conjugales et les violences faites aux femmes, et qu’ils ont voulu décloisonner la Justice en introduisant un délit de harcèlement moral dans le couple et la famille, permettant aux Juges aux affaires familiales de sanctionner les agresseurs, et permettant d’éviter aux victimes de devoir se retrouver encore confrontées à leurs agresseurs devant un magistrat de correctionnelle.

J’ai pu admirer l’investissement profond de ces deux personnes, leur désir profond de faire avancer la défense des victimes et j’ai pu les retrouver ultérieurement tout aussi investies dans la défense des victimes d’agressions sexuelles.

2- Lien entre la situation actuelle et la place de Big Pharma et des GAFA

Ma thèse sur la pollution par les insecticides m’a permis de découvrir l’impact délétère de ces produits sur l’environnement à large échelle : le DDT qui a une rémanence de 30 ans dans l’environnement, fabriqué par Monsanto et interdit de fabrication en France dans les années 1967, mais qui est utilisé aux Antilles actuellement, Antilles qui sont pourtant françaises… 

Le chlordécone, interdit en France qui lui a une rémanence de…. 700 ans dans l’environnement et entraîne notamment des cancers de la prostate et qui est utilisé dans les bananeraies aux Antilles, Antilles pourtant françaises… Et où vont les bananes ensuite ??? En France métropolitaine, dans les assiettes de nos «chères petites têtes blondes»…

Ces pesticides qui comme les fertilisants, les additifs alimentaires, les perturbateurs endocriniens, etc., etc., tous ces produits des grands lobbies entraînent des maladies comme l’hypertension artérielle, le diabète, le cancer, l’obésité, les maladies auto-immunes (comme la thyroïdite d’Hashimoto, la polyarthrite rhumatoïde, etc.), etc. et détruisent parallèlement la flore et la faune terrestres et aquatiques, c’est-à-dire la planète entière (pollution environnementale à large échelle, merci les grands lobbies et les politiques qui les entretiennent dans ce sens, et merci ensuite de culpabiliser les Français d’être des pollueurs, et les Antillais de refuser la vaccination : «l’hôpital qui se fout de la charité» !!!…)

Ces comorbidités qui fragilisent de plus en plus les populations depuis l’après-guerre à l’insu de ces populations… et qui font que, leur système immunitaire étant trop sollicité, elles auront de plus en plus de mal à faire face à des maladies ou épidémies normalement bénignes…

Big Pharma, l’industrie pharmaceutique a pris ces dernières décennies, une place phénoménale (dans le formatage des médecins, mais aussi sur les gouvernants, obtenant notamment une loi qui les dégage de toute responsabilité des effets secondaires de leurs vaccins, notamment les… 11 vaccins imposés maintenant à nos bébés !!!…), Big Pharma qui soigne «généreusement» les patients victimes de toutes les comorbidités que tous ces produits toxiques entraînent, et «la boucle est bouclée» !!!…

De même les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon), qui ont aussi pris une place prépondérante sur nombre de gouvernements (comme l’indique le rapport N°673 du Sénat français du 03/06/2021, rapport louant la place prise par les GAFA et vantant le contrôle que le numérique va permettre sur la population…).

L’ensemble de ces énormes lobbies aboutit ainsi à la situation actuelle dans cette prétendue pandémie «grave» du covid, on constate que tout est lié aujourd’hui : les polluants des grands lobbies entraînent des comorbidités «soignées grâce à Big Pharma», comorbidités qui rendent les patients fragiles face à des maladies normalement bénignes, en mettant leur système immunitaire à mal, et Big Pharma, grâce aux politiques, veut baisser encore plus les défenses immunitaires de ces patients par leurs injections et faire flamber leurs comorbidités, mais aussi provoquer d’innombrables effets secondaires graves, voire mortels sur des personnes parfaitement saines… C’est CRIMINEL !!!…

Manifestement, tout le système est profondément corrompu.

3- Lien entre la manipulation destructrice et la situation actuelle

On voit depuis le début de cette histoire du covid, se mettre en place, très progressivement et insidieusement, tous les ingrédients de la manipulation destructrice (MD) :

  • un beau principe mis en avant : «il faut protéger les autres, mettre un masque, respecter le confinement, etc., l’état veut votre bien et vous protège par toutes ces mesures liberticides»
  • au passage, on culpabilise les Français (mais la mascarade covid actuelle est identique dans le monde entier et concerne tous les Terriens…) qui ne portent pas le masque, ne respectent pas les gestes barrières, et dernièrement, refusent de se faire injecter par Big Pharma.
  • des mensonges incessantsprésentés de façon très progressive, très insidieuse, comme savent si bien le faire les pervers, mensonges tous plus énormes les uns que les autres, sans prendre même soin de leur donner une apparence plausible, dans un mépris total du peuple, avec l’aide des médias et instituts de sondages, qui on le sait, sont la propriété des Bolloré, Lagardère et consorts, c’est-à-dire des journalistes en pleins conflits d’intérêts, payés pour entretenir la peur dans les populations par des pseudo variants «dangereux» pour forcer à la vaccination par un lavage de cerveau en règle et permanent, comme le font si bien les pervers !!!…..
  • une intolérance totale à la frustration, avec des mesures de plus en plus dictatoriales, paranoïaques et perverses sur les non vaccinés, mais également sur les vaccinés qui ont reçu une à deux doses, pour les obliger à passer à la vaccination «chronique», des mesures criminelles comme la suspension du contrat de travail et du salaire, l’obligation de se faire vacciner pour rendre visite à un proche hospitalisé (fût-il un enfant…), C’EST D’UNE CRUAUTÉ SANS NOM !!! Pire encore, il y a l’interdiction d’accès aux soins pour les non-vaccinés, notamment pour les insuffisants rénaux auxquels les dialyses, indispensables à leur survie, sont interdites s’ils ne se font pas vacciner !!! et qui sont face à un choix épouvantable qui est soit de mourir d’une insuffisance rénale, faute de dialyse, soit de se faire vacciner et de risquer de mourir par les effets secondaires d’une injection sur un terrain déjà extrêmement vulnérable, etc., etc.

C’EST D’UNE CRUAUTÉ SANS NOM ET CELA MÉRITE LES PIRES CHÂTIMENTS !!!…

L’unique but de toute cette vaste mascarade covid étant de FORCER A LA VACCINATION COÛT QUE COÛT, malgré les effets secondaires graves, voire mortels. C’est CRIMINEL…. Et, le tout allant dans le sens indiqué dans le rapport 673 du Sénat mentionné ci-dessus : avoir un contrôle strict de la population (sur son compte en banque, ses déplacements etc.etc.)

-un piétinement de toutes les lois nationales, européennes et internationales, dans l’illégalité la plus totale, les dirigeants se montrant au-dessus des lois et faisant les lois à la vitesse de l’éclair en fonction de leurs propres intérêts, mais toujours sous couvert pervers «de vouloir protéger le peuple de façon bienveillante»…

En conclusion, le système français, pyramidal, partant d’un président de la République avec, au plus bas échelon, le peuple, a fait ses preuves en matière de mesures liberticides, dictatoriales, antidémocratiques. Il est grand temps de passer à un autre système dans lequel le peuple retrouvera sa place…

4- Solutions pour sortir de la dictature

Aujourd’hui, pour sortir de cet épouvantable cauchemar, il faut rassembler des personnes authentiquement bienveillantes, qui ont fait leurs preuves de façon répétitive jusqu’au 29 décembre 2021. D’autres personnes mal intentionnées risqueraient en effet de «flairer le sens du vent» pour s’engouffrer dans le convoi et venir pervertir à nouveau le système.

Vous avez créé le Collectif des Maires Résistants, voulant rassembler tous les élus locaux, c’est-à-dire proches du peuple, et c’est un excellent point de départ, surtout si vous arrivez à fédérer tous les groupuscules créés à droite et à gauche pour en faire une organisation puissante par le nombre et la synergie.

[Voir aussi : https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/lappel-solennel-du-collectif-des-maires-resistants
ou ici]

Parmi les personnes bien intentionnées, j’ai relevé, dans le désordre :

  • Martine Wonner, psychiatre, député qui pourrait parfaitement, par sa double casquette, prendre en charge, sous forme collégiale bien sûr, le ministère de la Santé, aidée de ses confrères ci-dessous dans la gestion des épidémies.
  • Professeur Christian Perronne, infectiologue
  • Professeur Didier Raoult, infectiologue
  • Alexandra Henrion-Caude, généticienne
  • Christian Vélot, maître de conférence en génétique moléculaire
  • Valérie Bugault qui connaît à la perfection le droit et l’histoire du droit et pourrait être de grand conseil, de façon collégiale, pour la réorganisation de la gouvernance de la France. Elle prône en effet, comme le Collectif des Maires Résistants, de partir de la base et d’éviter le système pyramidal pervers.
  • Françoise Tulkens, ex-présidente de la CEDH qui peut aussi apporter son aide pour rétablir les lois telles qu’elles étaient avant le covid (et avant les obligations vaccinales, mais aussi avant la loi dédouanant Big Pharma de la responsabilité des effets secondaires de ses vaccins et celles qui dédouanent les politiques de leur responsabilité dans la gestion du covid…)
  • le CSAPE qui a déjà fait un énorme travail sur tous les textes de loi bafoués à l’échelon national, européen et international et a déposé en juin dernier une plainte près la CPI (Cour Pénale Internationale) pour crimes contre l’humanité, en dressant la liste des criminels présumés parmi les politiques français et leurs liens avec Big Pharma.

Il y a encore d’innombrables personnes qui se sont exprimées ces deux années (avant le 29 décembre 2021), notamment dans les deux hémicycles, et qui pourraient être associées à ce renouveau.

Apparemment (à vérifier en termes de personnalité pour être sûr…) :

Au parlement européen :

  • Virginie Joron
  • Raphaël Glucksmann

Au Sénat :

  • Stéphane Ravier
  • Alain Houpert
  • Loïc Hervé
  • Fabien Gay

À l’Assemblée nationale :

  • Eric coquerel
  • Jennifer DeTemmerman
  • José Evrard
  • Caroline Fiat
  • François Ruffin
  • Laurence Trastour-Isnart

Si leurs traits de personnalité sont sains, ils pourraient apporter leurs compétences dans des domaines qui leur sont propres, ce qui élargirait le champ des possibles.

Il y a aussi des personnes issues de collectifs, comme Profession gendarmesGendarmes libresPompiers libresFrance police, etc. qui semblent avoir compris qu’ils ont été instrumentalisés de façon très perverse par les dirigeants pour leur servir de bouclier protecteur contre le peuple, et que les dirigeants les ont armés comme des marionnettes exécutantes contre le peuple…

À chacun de nous de rassembler tous les noms des personnes qui ont (avant le 29 décembre 2021…) dénoncé la mascarade Covid sur les réseaux sociaux, etc..

Y compris le nom des journalistes et journaux qui ont sans relâche cherché à alerter la population avec de VRAIES informations, comme Richard BoutryFrance Soir, etc.. Ceux-là sont d’éthique !!…

De la même manière, que chacun rassemble les noms de personnes qui ont prôné la ségrégation et la persécution des non-vaccinés (dans les hémicycles, mais aussi sur les réseaux sociaux, en enregistrant leurs propos pour preuves…), qui ont mis à la porte des professionnels non vaccinés, etc., etc., etc. Cela servira le moment venu lorsque les procès débuteront…

Quoiqu’il en soit, attention de ne pas «faire entrer les loups dans la bergerie»… Une vigilance stricte est indispensable pour repérer les MD… et, dès lors qu’on a appris comment fonctionne la MD, et quel est le profil des MD, on les repère très vite…

En effet, la course effrénée à la présidence a toujours mis en évidence des MD toujours prêts à faire de «belles promesses» pour ensuite abuser du peuple, ne serait-ce que financièrement, l’argent étant un nerf de la guerre chez les MD… Nous avons pu en observer tous les agissements et toutes les répercussions, «à loisir», depuis le départ de De Gaulle…. au point même qu’on pourrait se demander si les dés n’étaient pas pipés bien avant le jour des élections….

France, pays «démocratique»…..

Aujourd’hui, comme à l’occasion de chaque élection présidentielle, nous voyons le panier de crabes s’agiter de plus en plus pour décrocher LA place de pouvoir et d’argent, mais pas pour œuvrer dans l’intérêt du peuple… Le système est à bannir maintenant !!!…

Guy Geoffroy, maire de Combs-la-Ville qui est un être profondément engagé dans des causes humaines et environnementales depuis toujours, qui est un homme d’éthique, honnête, bienveillant et qui devrait être notre futur président. Comme vous, il ne court pas après les honneurs et c’est un de ses points forts !!

N.B. : C’est ce que j’ai pu observer lors du travail que nous avons fait ensemble sur les victimes de violences conjugales et, en décrivant Monsieur Geoffroy ainsi, en l’évoquant comme futur président, je n’engage que moi, parce que je ne l’ai pas informé de cette idée que j’ai eue aujourd’hui en réfléchissant à la démarche du Collectif des Maires Résistants.

Il a travaillé, nous l’avons vu ci-dessus sur la loi du 09/07/2010 sur les violences conjugales, et sur les agressions sexuelles, mais, chose surprenante, aussi dans l’environnement, deux domaines que nous avons en commun !

Je vous mets ci-dessous quelques extraits de son riche parcours.

-Guy Geoffroy :

  • À étudié le droit constitutionnel, les relations internationales, le droit de la mer. DES de Droit public et en Sciences politiques. Engagé en faveur de l’enseignement professionnel.
  • Maire de Combs-la-Ville depuis 1995. En 2001, Combs-la-Ville reçoit le 1er prix national des «Eco-Maires» pour sa politique environnementale globale.
  • Il est élu président du SIVOM et des Eco-Maires de France en 2008, il est un des principaux artisans du projet de nouveau centre de traitement écologique des déchets ménagers par compostage et méthanisation qui fait déjà référence en France et en Europe.
  • Il est élu député de la 9e circonscription de Seine-et-Marne de 2002 à 2017.
  • Il est co-auteur, avec la Sénatrice Madame Muguette Dini, de la loi du 9/7/2010 sur les violences conjugales et les violences faites aux femmes.

5- En conclusion :

Une chose est sûre : quel que soit le nouveau président propulsé par le Collectif des Maires Résistants, il faudra le protéger, et protéger aussi toutes les personnes désignées pour prendre la cause du peuple en main, et protéger leurs familles. En effet, les grands lobbies évoqués ci-dessus auront peut-être l’idée de se montrer menaçants en voyant la prépondérance de leurs places s’effondrer…




Parlement européen : un député français s’élève contre la tyrannie Covid

[Source : Ninechat]




La Grande Imposture

[Source : General Martinez 2022 – Youtube]

Cette fin d’année 2021 marque le terme de deux années au cours desquelles la crise sanitaire liée au Covid-19 a complètement monopolisé le débat médiatique, occultant les dangers évoqués dans la tribune dite des généraux du printemps dernier et qui demeurent ceux qui menacent vraiment la France. Curieusement, le président de la République est resté et persiste à rester silencieux sur le constat présenté dans cette tribune pourtant approuvé par une large majorité de Français…




Un journaliste brise l’omerta sur la mafia d’État en France

[Source : BLAST, Le souffle de l’info]




« Il n’y a aucune discrimination juste… ! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

N’hésitez pas à envoyer ce texte à votre député, à votre sénateur, et à tous les mamamouchis dont vous avez l’adresse !

On voit dans ce pays les ravages dans la réflexion de 21 ans de loft story et des Marseillais en vacances… Niveau affligeant d’un pays où l’on rend volontairement nos masses totalement stupides pour mieux les diriger, les manipuler et les rendre dociles mêmes aux arguments les pires.

Cette dernière année nous a donné un spectacle effrayant et d’une violence inouïe où aucun contre-pouvoir n’a voulu ou su rétablir des valeurs essentielles dans l’exercice du pouvoir que sont la sagesse, la pondération, l’humilité ou encore la nuance.

Nous ne voyons que des choix binaires. La vaccination ou le confinement. Invariablement les choix binaires finissent toujours en jus de boudin et vous finissez avec la vaccination et le confinement. Comme disait Churchill « vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre. » C’est toujours cela les choix manichéens. La vie, la politique, sont toujours plus nuancées.

Nous ne voyons que haine qui transpire, appel à la haine et à la violence à l’égard de 6 millions qui ne sont pas vaccinés et qui doivent supporter et accepter d’être discriminés.

Le problème c’est que l’on ne transige jamais avec les grands principes.

Celui de liberté ou d’égalité par exemple.

On n’est pas un peu égaux ou un peu libre comme on n’est pas un peu enceinte. On l’est totalement ou pas.

Il n’y a pas de bonne discrimination et si vous en acceptez une, vous accepterez toutes les autres !

Ce qui se passe est une infinie gravité.

Tout d’abord, non, toutes les fins ne justifient pas tous les moyens et nombreux sont ceux qui devraient revenir à plus de raison avant qu’il ne soit trop tard.

Le Covid n’est pas Ebola ni la peste noire, il y a des morts, c’est malheureux, c’est regrettable, mais vivre c’est mourir, même si nous souhaitons tous que ce soit le plus tard possible.

Les gens ne meurent pas massivement dans les rues. Revenons à plus de nuances.

Mais au-delà des aspects médicaux et scientifiques parlons un peu de philosophie politique.

Si vous acceptez de discriminer les non-vaccinés du jour, qui sont désormais les plus de 65 ans avec seulement deux doses et nous avons 400 000 concitoyens qui ont basculé dans le camp du mal, celui des non-vaccinés alors qu’ils l’étaient, alors vous accepterez demain toutes, je dis bien toutes les discriminations.

Et vous le ferez.

Pourquoi ?

Parce que si les chaînes télés vous désignent en boucle un méchant et vous demandent d’abord de vous en méfier, puis de ne plus le fréquenter, puis vous font penser qu’il est dangereux pour vous, puis qu’on vous le déshumanise pour que vous le rejetiez, alors vous le ferez, parce que c’est la télé qui vous le demande. Pas forcément vous qui lisez ces lignes, mais votre frère, qui lui, regarde la télé et ses outrances mensongères.

Discriminer aujourd’hui le non-vacciné et justifier tous les tourments qu’une majorité pourrait se croire autorisée à imposer à une minorité, ce n’est justement plus la démocratie.

Si vous rentrez dans cette logique alors ce ne sera plus qu’une question de temps pour que toutes les limites explosent.

Vous vous autorisez à décider de ce qui est bien et de ce qui est mal.

C’est quand les hommes et les pouvoirs politiques font exactement cela que les plus grands drames de l’histoire peuvent arriver.

Nous sommes en train de créer les conditions de drames historiques.

Vous me direz que ce n’est pas la même chose parce que le vaccin va sauver des vies.

Mes amis. Sauver des vies n’autorise jamais, JAMAIS, de croire que l’on peut tout faire.

Lorsque l’on pense faire le bien des autres en les forçant à penser leur bien comme vous le concevez, alors c’est la définition de la dictature, du fascisme.

En URSS Staline savait mieux que vous ce qui était bien. Pol Pot aussi. Mao également.

Le bilan effroyable du communisme qui voulait faire le bien des peuples, c’est 95, millions de morts.

Les problèmes arrivent lorsque je veux expliquer à l’autre comment il devrait faire pour vivre, comme moi je voudrais qu’il vive parce que je considère que c’est moi qui ai raison, que l’autre à tort et que l’autre doit se soumettre.

Si l’un veut soumettre, si l’autre refuse, alors, il n’y a d’autre issue que celle de la guerre, de la violence, de l’affrontement.

Si vous acceptez une discrimination, alors vous accepterez toutes les autres. 

En fonction des intérêts du moment, on vous dira de haïr les schtroumpfs bleus ou les schtroumpfs noirs, schtroumpfs musulmans ou chrétiens, on vous demandera de discriminer les schtroumpfs à chapeaux pointus sur la tête parce qu’ils ont peur que le ciel leur tombe sur la tête ce qui est stupide n’est-ce pas. Alors pourquoi les laisser aller au cinéma.

Vous devez vous rendre compte que la propagande cathodique vous apprend à détester l’autre, quand bien même il est de votre propre famille.

C’est terrible.

Je vois cette haine instillée par des politiques devenus fous dans la société.

Dans mon pays.

C’est effroyable.

Je ne peux pas rester silencieux face à cela.

Il y a deux chemins.

Celui de la haine, de la violence et de l’affrontement.

Il y a celui de l’amour, de l’accueil, de la bienveillance de la main tendue.

J’entends dire qu’il faut vérifier, pour les secouristes, le statut vaccinal avant d’entamer une réanimation. J’entends certains dire puisque je suis rejeté je ne donnerai plus mon sang de non-vacciné.

J’entends tant de haines et de souffrances tellement évitables. Elles ne sont que les conséquences de décisions politiques abjectes.

Alors, en cette veille de Noël, ce sont les paroles de l’Abbé Pierre qui me reviennent en tête.

« Toi qui souffres, qui que tu sois, entre, dors, mange, reprends espoir, ici on t’aime. » 

Oui, toi, qui que tu sois schtroumpf bleu, noir, musulman ou chrétien, vacciné ou non, de ma famille ou de celle d’à côté, tu n’es pas mon ennemi.

A défaut de t’aimer, je peux au moins reconnaître en toi un être humain, qui a le droit de vivre, libre, sans que je te dise comment je veux que tu fasses.

Ce combat pour la liberté, l’égalité en droit, inaliénable, même en temps de pandémie, doit être mené.

Il n’y a pas plus beau combat que celui qui est mené pour la gloire. Pour des idées plus grandes que nous.

Le non-vacciné n’est pas un ennemi. Pas plus que le vacciné, même à triple doses !

N’oubliez jamais cela.

La guerre, les massacres, les pogroms et les génocides commencent toujours par la désignation d’un ennemi, par sa discrimination, puis, par sa déshumanisation. Enfin, on les massacre.

C’est vieux comme le monde.

En cette veille de Noël, érigez des ponts et de l’amour, pas de la haine et des rejets.

J’en profite pour vous dire à tous, à vous tous, toute ma gratitude, pour vos différences, vos commentaires, vos soutiens. Prenez grand soin de vous. Vous êtes tous importants, tous uniques. Tous précieux, quel que soit votre statut vaccinal, votre couleur de schtroumpfs, ou votre religion de salsepareille. Joyeux Noël pour ceux pour qui c’est important, belles fêtes de fin d’année pour tous les autres.

Pour la gloire de Dieu et le salut du monde.

On se retrouve l’année prochaine, sauf si l’actualité l’exige avant.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

(JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Nicole Delépine : « Le danger actuel n’est pas le virus mais bien le vaccin ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Le Dr Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques. Avec son mari, Gérard Delépine, elle a alerté, chiffres à l’appui, sur les dangers et l’inutilité du confinement et des vaccins expérimentaux. Le Conseil de l’Ordre et les médecins qui ne déclarent jamais leurs conflits d’intérêts occupent tous les écrans. Nicole Delépine n’est jamais invitée à donner son avis qui dérange les intérêts des laboratoires. Elle fait partie des « justes », comme le Pr Perronne — dont notre récente interview a été censurée par YouTube —, qui pensent que la médecine est faite pour soigner. Un avis qu’un certain Hippocrate aurait certainement partagé.

« Les appels à la vaccination des enfants qui fleurissent actuellement dans les médias sont criminels »

Le Média en 4-4-2 : Avant de commencer, on va vous poser la question que les médias devraient toujours soumettre à leurs invités médecins : avez-vous des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique ?

Nicole Delépine : Non, je n’ai aucun lien d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique et n’en ai jamais eu. Merci de poser la question, car la loi de 2011, suite au scandale du Mediator, impose aux médecins cette déclaration et aux médias, y compris les chaînes TV, de l’indiquer (en bandeau par exemple sur l’écran).

Le Média en 4-4-2 : Nous voyons que le gouvernement accélère sa campagne de communication pour pousser à la vaccination. Nous avons de nombreux témoignages de personnes ayant cédé à cette pression ou à celle de leurs proches en se faisant vacciner. Sans parler de ceux qui vont le faire pour « retrouver la vie d’avant »… Quels conseils et arguments clés pouvez-vous nous donner pour convaincre notre entourage de ne pas craquer ?

Nicole Delépine : Cette maladie ne nécessite pas de vaccin ! Le premier argument qui devrait venir à l’idée de tous est le très faible risque mortifère de ce Covid-19 (moins de 0,1 % de la population), très proche de celui d’une grippe sévère, et dont l’âge moyen de mortalité est de 84 ans (soit deux ans de plus que l’âge moyen de la mort dans la population française). Les enfants n’auraient jamais dû être embringués dans ce coronacircus puisqu’ils ne font quasiment jamais de maladie grave, ne contaminent jamais les autres, ni les enfants ni les adultes, et qu’ils acquièrent à cette occasion une immunité plus solide et plus durable que ce que pourraient leur donner les vaccins… Les appels à la vaccination des enfants, qui fleurissent actuellement dans les médias, sont criminels puisqu’ils aboutiraient à les exposer à des risques sans espoir de bénéfice personnel, ni d’ailleurs sociétal, puisque les vaccins n’empêchent pas la transmission de la maladie. Les jeunes adultes ne risquent pratiquement rien non plus et s’ils se contaminent ils constituent peu à peu le futur rempart qui protégera peu à peu la population âgée. Les personnes âgées sont à risque relatif, mais les vaccins qu’on leur injecte ne sont pas non plus dénués de risque, comme l’a alerté l’Agence de santé norvégienne, et ils sont trop peu efficaces. Une récente étude gouvernementale anglaise reconnaît que 70 % des morts attribuées au Covid-19 depuis la vaccination concernaient des personnes ayant reçu les deux doses de vaccins. Un exemple : la mort récente du prince Philip, vacciné en janvier pour la promotion vaccinale, et qui a souffert dix jours plus tard d’une aggravation de ses problèmes de santé qui l’a amené à la mort devrait faire réfléchir.

« Les tests PCR sont une arnaque inventée et imposée par le conseiller de Mme Merkel via l’OMS »

Le Média en 4-4-2 : Ceux qui n’ont comme source d’informations que les médias mainstream pensent qu’il n’existe aucun traitement contre le Covid. Vous nous confirmez que la réalité est tout autre ?

Nicole Delépine : Le Covid-19, comme les autres maladies, doit être traité tôt et il existe des traitements efficaces ! Pour les malades ayant contracté le Covid, et quel que soit leur âge, nous savons depuis février 2020 qu’il existe des traitements médicaux efficaces, à condition qu’ils soient précoces, dès les premiers symptômes de la maladie. Les médicaments efficaces sont nombreux et variés, y compris les plantes comme l’artémisine, un antipaludéen, qui ont permis d’éviter l’épidémie dans les pays africains qui les ont immédiatement utilisés. Plus les mois passent et plus le nombre de médicaments efficaces contre le Covid s’allonge, au-delà des antipaludéens et antibiotiques, des vitamines D et C et du zinc, et des antiagrégants plaquettaires. L’ivermectine prend actuellement la vedette, mais les antiallergiques et antiasthmatiques ont manifestement un rôle. Bref, sans refaire la liste exhaustive, on note que ce virus est largement sensible à de nombreux traitements que les médecins de première ligne devraient utiliser chez les patients présentant des signes cliniques à l’examen clinique.

Le Média en 4-4-2 : Les tests PCR auraient coûté à l’Assurance maladie plus de 4 milliards d’euros depuis leur lancement en juillet. Au-delà de ce coût stratosphérique, ont-ils une quelconque utilité ?

Nicole Delépine : Les tests PCR sont une arnaque inventée et imposée par le conseiller de Mme Merkel via l’OMS ! Le Covid-19, comme toute maladie, devrait être pris en charge par les médecins traitants. Le diagnostic doit être clinique et ne pas reposer sur la supercherie des tests PCR dont les faux positifs sont légion (plus de 97 % chez les asymptomatiques). Ces tests ne doivent en aucun cas être retenus comme critère diagnostique comme l’ont affirmé déjà de nombreuses juridictions, dont celle du Portugal de novembre 2020. D’autant que l’Académie de Médecine vient d’avertir sur les dangers des tests PCR sur prélèvement nasal. Il est temps. Quoi qu’il en soit, il faut que cesse cette tragi-comédie du test PCR à toutes les sauces : pour se rassurer après une sortie ou sur injonction d’un patron ou de la sécu qui ne peuvent légalement vous l’imposer.

« Si ce virus était si contagieux et justifiait le masque (ce qui n’est pas le cas) pourquoi le chercher si loin dans le nez ? »

Le Média en 4-4-2 : Beaucoup se demandent pourquoi ces tests PCR sont-ils enfoncés si loin dans le nez. Beaucoup d’hypothèse circulent… Quel est votre avis ?

Nicole Delépine : Il est clair qu’enfoncer un coton-tige aussi loin dans le nez, atteignant la proximité du cerveau, pour une maladie où l’on n’hésite pas à vous faire promener masqué y compris seul dans une forêt, relève d’une incohérence évidente. Si ce virus était si contagieux et justifiait le masque (ce qui n’est pas le cas), pourquoi le chercher si loin ? Le geste est évidemment à risque et traumatisant, avec danger de méningite. Même si l’accident est rare, pourquoi le courir pour un test non fiable ?

Le Média en 4-4-2 : On a d’ailleurs découvert avec ces tests PCR les « asymptomatiques » ! Quel est votre avis sur ceux-ci ?

Nicole Delépine : Les bien-portants dits asymptomatiques ne sont pas contagieux. Et dans votre tête, il faut être clair, les asymptomatiques appelés avant ce cirque bien portants ne sont pas contaminants ! Une étude sur dix millions de Chinois l’a encore démontrée récemment. Cette coronafolie que nous vivons depuis un an repose sur deux mystifications, la fiabilité du test PCR et la contagiosité potentielle des personnes sans symptômes (inventée aussi par C. Drosten). Faisons tomber ces deux mythes et le château de cartes s’effondre. C’est d’ailleurs ce que s’efforcent de faire l’avocat Reiner Fuellmich et ses collaborateurs. 

« Il n’existe aucune raison sanitaire à toutes les mesures prises depuis plus d’un an, qui sont politiques en vue de soumission des peuples et de réorganisation des sociétés »

Le Média en 4-4-2 : Le Pr Perronne se demande « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » On peut aussi se demander s’ils ne le font pas exprès…

Nicole Delépine : Il n’existe aucune raison sanitaire à toutes les mesures prises depuis plus d’un an, qui sont politiques en vue de soumission des peuples et de réorganisation des sociétés. Le vaccin qu’on veut nous imposer depuis mars 2020, niant les traitements précoces, est un vaste marché potentiel à une centaine de milliards d’euros, même avant leur mise sur le marché comme en témoignent les cours de la Bourse des différents labos. Son deuxième volet est la tentative de mise sous contrôle des populations à l’image de la dictature chinoise qui tente tellement nos gouvernements. Savoir à tout moment ce que fait le citoyen, où il déjeune, avec qui, etc. est un fantasme illustré par le passeport sanitaire et ses équivalents papier ou puce électronique. Mais les peuples occidentaux, pourtant conditionnés à la soumission depuis quelques décennies, n’en sont peut-être pas là, après des siècles imbibés de philosophie des Lumières et de Liberté. La bonne nouvelle est que les États-Unis l’ont déjà rejeté tant dans plusieurs États républicains, qu’au niveau fédéral. Quoique l’Union européenne et ses fidèles serviteurs des entreprises pharmaceutiques espèrent, il est difficile d’imaginer un passeport vaccinal sans les États-Unis ni la Russie…

« La mise sur le marché du vaccin a été obtenue en violant toutes les règles de sécurité »

Le Média en 4-4-2 : Nous sommes donc actuellement en pleine campagne de vaccination qui est, c’est le moins que l’on puisse dire, chaotique. Quel est votre point de vue sur ces « vaccins » ?

Nicole Delépine : Voici en pratique, que retenir sur les vaccins (OGM et thérapie génique) disponibles en France :

Ils sont tous EXPERIMENTAUX : les phases classiques des essais n’ont pas été réalisées et le site clinicaltrials.gov montre pour chaque vaccin que la phase 3 (qui doit traditionnellement être terminée avant commercialisation) ne se terminera pas avant 2023.

La mise sur le marché a été obtenue en violant toutes les règles de sécurité, sans recul aucun sur l’efficacité et les effets indésirables à craindre. Elle est dite « conditionnelle » sur le double mensonge de la gravité de la pandémie (pourtant comparable à celle des autres grippes) et de l’absence de traitement efficace (malgré le traitement Raoult et autres antipaludéens naturels, etc). Les campagnes actuelles de vaccination large réalisent de fait une « phase 3-4 » mais sans la surveillance habituelle des accidents et incidents par le laboratoire. Ce sont les malades qui doivent informer les agences sanitaires.

Ils n’ont démontré aucune efficacité sur l’absence de transmission du virus, sur la protection des vaccinés. C’est ce qu’affirme le ministre Véran répondant au conseil d’État à la suite d’une plainte d’un sujet vacciné réclamant sa libération des contraintes liberticides : « Les vaccinés sont au contraire plus susceptibles de faire des formes graves et d’en mourir, et en tout cas pas protégés à plus de quelques semaines d’autres formes de la maladie dites variants. » Tout ça pour cela, reste l’argent et le contrôle mais aucun rôle sanitaire.

Ils sont à l’origine de nombreux incidents immédiats qui ont poussé la Haute Autorité de santé à étaler les vaccinations des personnels pour éviter les absences bloquant les services. Pire, ils sont d’ores et déjà à l’origine de près de 6 000 décès (hors Grande-Bretagne) reconnus liés par l’Agence européenne depuis le début de la campagne de vaccination versus quelques centaines pour le vaccin H1N1 pourtant retiré du marché beaucoup plus rapidement (chiffres vérifiables sur le site de l’EMA).

De plus ils semblent bien à l’origine de rebonds de l’épidémie dans les pays lourdement vaccinés pendant les quelques semaines qui suivent les vaccinations intensives, épidémie qui se calme ensuite comme dans les autres pays vaccinés ou non. En bref, vous n’avez rien à attendre actuellement des vaccins en expérimentation, si vous n’aimez pas jouer à la roulette russe ou servir de cobaye.

Le Média en 4-4-2 : D’après les gouvernements et l’OMS, la sortie de crise passe donc UNIQUEMENT par le vaccin. D’après ce que vous nous dites, nous savons que ce n’est pas possible. Quelle est donc notre « sortie de crise » à nous ?

Nicole Delépine : Il semble bien que même le gouvernement et le conseil scientifique n’en soient plus là et commencent doucement à rétro-pédaler. La déclaration du ministre relativisant largement le rôle bénéfique des vaccins laisse augurer d’un changement de stratégie devenu indispensable devant les accidents y compris mortels des vaccins utilisés en Union européenne, et les résultats décevants, voire inquiétants, des pays phares de la vaccination. Les arguments d’Olivier Véran adressés au Conseil d’État méritent d’être rappelés :

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

Ces affirmations inattendues du ministre de la Santé sur l’incertitude de la capacité de prévention de la transmission du virus par les vaccins anti-Covid sont confirmées par la Haute autorité de Santé :

« Au vu des données limitées à ce jour sur l’impact de la vaccination avec le vaccin d’AstraZeneca sur le risque de transmission du SARS-CoV-2, la HAS insiste sur la nécessité de maintenir l’ensemble des gestes barrières et des mesures de distanciation sociale. »

Le Pr Delfraissy dans un papier au Lancet passé inaperçu avait dès février sonné le glas du confinement :

« Il est temps d’abandonner une politique de la peur centrée sur des confinements itératifs Leur impact a été dévastateur sur l’économie, le chômage, les dettes et la santé mentale, en particulier sur les jeunes, et le pire reste à venir. Continuer à confiner globalement n’est plus tenable même si cela reste attractif pour de nombreux politiques. »

Et même des vaccins :

« Des études suggèrent que l’émergence des variants est corrélée à une réponse immunitaire insuffisante après exposition naturelle ou après vaccination. Si cette évasion immunitaire se généralise, l’espoir de contrôler l’épidémie par les vaccins pourrait être indéfiniment retardée. »

Au total, l’avenir des vaccins anticovid semble bien ressembler à celui du H1N1 dont un bon nombre ont fini dans les poubelles. Il est évident qu’il convient de libérer rapidement la population de toute mesure anticovid partout, comme l’ont fait avec succès plusieurs États républicains ou la Suède d’emblée, et de traiter par les médicaments efficaces les malades qui pourraient consulter un médecin. Les informations des réseaux Sentinelle semblent très rassurants. L’abandon prévisible des vaccins anticovid à plus ou moins court terme est une bonne nouvelle, car il permettra d’enterrer de fait le passeport sanitaire déjà mal en point avec son refus aux États-Unis.

Le Média en 4-4-2 : Nous avons remarqué comme vous une corrélation entre les pays ayant fortement vacciné et l’apparition de variants (anglais, brésiliens, sud-africain…). Certains scientifiques appellent à stopper d’urgence la campagne de vaccination car ils s’inquiètent de voir apparaître un « super-variant » qui serait, lui, très dangereux. Ce risque existe-t-il selon vous ?

Nicole Delépine : Je ne suis pas prophète et ne peux pas prévoir l’avenir. Je ne peux parler que des faits établis. Oui, les virus à ARN mutent fréquemment. Oui, plusieurs études sérieuses ont montré que leur mutation semble favorisée, entre autres, par les vaccins (cinq membres du comité scientifique l’ont reconnu dans le Lancet). Rien ne permet de craindre qu’un futur variant soit plus dangereux. L’évolution naturelle se fait habituellement vers une plus grande contagiosité et une moindre dangerosité. Mais les mutations sont aussi synonymes d’inefficacité des vaccins utilisés (la grippe nécessite un vaccin différent chaque année). Cet échappement immunitaire explique que le vaccin ne sera pas la solution.

« Trop de médecins restent soumis au gouvernement et ont peur des menaces du Conseil de l’Ordre qui les sanctionne s’ils traitent efficacement leurs patients »

Le Média en 4-4-2 : Question très concrète pour tous ceux qui nous liront : demain je tombe malade, sans doute du Covid au vu des symptômes, que me conseillez-vous de faire ?

Nicole Delépine : La première chose à faire si on tombe malade (c’est-à-dire si on a des symptômes cliniques et pas un faux test PCR) est de voir un médecin qui vous examinera… Le trouver est maintenant difficile ! Regardez sur manifestedesmedecinsengagés pour avoir une liste par département. Difficile, car  trop de médecins restent soumis au gouvernement et ont peur des menaces du Conseil de l’Ordre qui les sanctionne s’ils traitent efficacement leurs patients.
En tout cas, si les symptômes se confirment (évitez le test qui ne prouve RIEN !), exigez un traitement efficace précoce soit par ivermectine, soit par hydroxychloroquine et azithromycine  et prenez en plus de la vitamine D et C, du zinc… Surtout ne paniquez pas : le traitement précoce est efficace ! En ce qui concerne les variants, pas de panique on n’en sait pas grand-chose pour les nouveaux mais le principe est le même : faire peur. On peut supposer que ce sera pareil que pour le variant anglais, plus contagieux et moins méchant, comme c’est la règle avec ce type de virus. Et il semble que, au Brésil comme ailleurs en Inde, les zones qui vont mal sont les non traitées. Toutes celles qui traitent précocement à l’ivermectine, par exemple, n’ont pas de mortalité élevée. Le danger actuel n’est pas le virus qui, si on le laisse circuler librement ne fait pas de catastrophe, mais bien le vaccin avec ses gros dangers ! Alors soyez prudents et ne jouez pas les cobayes.

Le Média en 4-4-2 : Vous vous battez sans relâche depuis plus d’un an pour dénoncer ce « coronacircus ». Comment faites-vous pour garder la forme et le moral face aux attaques ? Subissez-vous des pressions de l’Ordre des Médecins ou d’autres organisations ?

Nicole Delépine : Merci ! C’est le combat qui nous permet de tenir ! Et beaucoup de gens connus ou inconnus surtout nous disent que cela les aide aussi  et donc, en quelque sorte, nous poursuivons notre boulot de médecin… Evidemment, l’Ordre des Médecins fait ce qu’il peut  contre nous. Mon mari Gérard avait démissionné de l’Ordre dès sa retraite et donc, comme j’ai gardé une inscription pour autorisation limitée à la famille, je suis poursuivie devant le conseil national en bonne compagnie (Perronne, Raoult, Nicolas Zeller, un généraliste qui a eu le malheur de guérir ses patients avec azithromycine, Joyeux et une autre généraliste ). On verra ! Surtout ce combat est clair  quand on suit l’avocat Reiner Fuellmich par exemple et ses démonstrations percutantes. Ça nous beaucoup aidés aussi.

Retrouvez Nicolé Delépine sur :
☞ son blog [https://docteur.nicoledelepine.fr]
☞ son compte Twitter

Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Le « monde d’hier » est bien derrière « nous »…

Par Lucien Oulahbib(([1] : https://www.amazon.fr/Belle-truands-n%C3%A9onazisme-hygi%C3%A9niste-affairiste/dp/B09NS4SMFQ/ref=tmm_pap_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=1640428179&sr=1-9))

Ne « nous » leurrons pas (et le 27 décembre le confirmera), la Secte hygiéniste scientiste affairiste (la SHSA) aux manettes également en France (au sens de se constituer de plus en plus comme « race »globale purifiée) persiste et signe dans son néonazisme (tout en le niant). Eh oui, selon ses prothèses, il faut de plus en plus » travailler à distance », s’éloigner les uns des autres. Eh oui, il faut de plus en plus, et ce tous « les trois mois »détruire nos fonctions immunitaires naturelles, car elles sont un concurrent industriel de fait pour ce « Grand Reset » multiforme qui nous considère comme autant de particules malléables et corvéables à merci formant ces flux mondiaux dont les courbes montent et descendent en temps réel sur les grands écrans multicolores de la gestion globale, ces tableaux, côtés en Bourse grâce à la planche à billets des banques centrales, cet art « vivant » postmoderne ou plutôt « morbide » qu’il est si agréable d’observer dans son jacuzzi en écoutant entre deux ricanements fielleux les incohérences méticuleuses des zombies assignés à la Propagande, tandis qu’un Serviteur muselé sert le saladier de coke.

Car cette Secte est de plus en plus composée de zombies cooptés (il suffit donc de dire « oui ») comme « morts-vivants » en marche. C’est ce que Maurice Blanchot conseillait dans « L’espace littéraire » (1955) et qui a tant influencé Michel Foucault. Il ne s’agit plus en effet de « vivre » (cette « domination »), mais survivre (disait aussi Derrida), au sens de se rendre insensible à toute organisation, comme putréfié, pourri, mort. C’est que vie et mort, vérité et mensonge, entrent en équivalence, ce qui permet ainsi de surmonter le vivre et ses passions par la mort et ses destructions ou le comportement viral lui-même : devenir virus/parasite (et l’État est le fromage idéal pour ce faire) puis chercher (pour s’amuser) l’hôte par lequel l’on persistera à (se) détruire afin d’être artiste. Ainsi selon Blanchot (1955), Orphée doit se retourner afin qu’Eurydice devienne statue, et c’est le fait même de se retourner qui EST l’œuvre d’art à accomplir, la statue finale n’étant que sa matérialisation éphémère, un peu aussi comme Don Juan qui ayant aussitôt séduit va vers sa prochaine cible, et ce mouvement est le but même (la création) à atteindre. Pour le devenir « Créateur » (plus à la mode que « Dieu » qui est « mort », remember [rappelez-vous]).

Mais tout cela est maquillé bien sûr par un système sophistiqué de trompe-l’œil (comme toutes ces belles notes savantes de Foucault en bas de page : fresques et bas-reliefs d’une connaissance inutile) afin de ne plus voir le Réel, mais sa simulation Potemkine qui arrive même à tromper nombre de savants et d’esprits affûtés (rappelez-vous leur nombre considérable qui soutenait, avec verve, les totalitarismes précédents).

La preuve de ce rouleau compresseur du devenir rhinocéros façon Ionesco (les « masquocéros ») s’érige par exemple dans cette confusion absolue, méticuleusement assénée, entre « cas » et « malades » quand bien même ce dernier variant serait bien moins virulent, comme si aussi les millions de personnes infectées naguère par la grippe traditionnelle n’avaient jamais existé et que nous n’avions pas depuis ces deux ans passés appris comment s’en protéger par les traitements préventifs et précoces de plus en plus soigneusement écartés par ailleurs.

Le fait que cette Secte, désormais une monstruosité en roue libre, n’ait cure de ces distinctions de base (sans oublier sa volonté têtue, opiniâtre, de dissoudre méticuleusement la notion même de citoyenneté, d’identité, de sexe) est bien aussi la preuve même qu’elle continuera à détruire (elle en fait même sa philosophie) tant qu’elle ne sera pas mise hors d’état de nuire. À charge ensuite à une tératologie digne de ce nom d’en faire l’autopsie objective bien sûr.




Conférence – les mensonges du COVID

[Source : Agoratvnews]



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Démontage de la propagande pass-vaccinale en France

[Source : Vivre sainement]






L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »

[Source : etresouverain.com]

[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Cher peuple américain, chers amis, depuis deux ans maintenant, un coup d’état global est en cours dans le monde entier, planifié depuis un certain temps par une élite de conspirateurs asservis aux intérêts de la haute finance internationale.

Ce coup d’État a été rendu possible par une pandémie d’urgence fondée sur la prémisse d’un virus dont le taux de mortalité est presque analogue à celui de n’importe quel autre virus de la grippe saisonnière, sur la délégitimation et l’interdiction de traitements efficaces et sur la distribution d’un sérum génétique expérimental qui est manifestement inefficace et qui comporte aussi clairement le danger d’effets secondaires graves, voire mortels.

Nous savons tous à quel point les grands médias ont contribué à soutenir le récit insensé de la pandémie, les intérêts en jeu et les objectifs de ces groupes de pouvoir : réduire la population mondiale, faire de ceux qui survivent des malades chroniques et imposer des formes de contrôle qui violent les droits fondamentaux et les libertés naturelles des citoyens.

Et pourtant, deux ans après le début de cette farce grotesque, qui a fait plus de victimes qu’une guerre et a détruit le tissu social, les économies nationales et les fondements mêmes de l’État de droit, rien n’a changé dans les politiques des Nations et leur réponse à la soi-disant pandémie.

L’année dernière, alors que beaucoup n’avaient pas encore compris la gravité de la menace imminente, j’ai été parmi les premiers à dénoncer ce coup d’État, et j’ai été promptement montré du doigt comme un théoricien du complot.

Aujourd’hui, de plus en plus de gens ouvrent les yeux et commencent à comprendre que la pandémie d’urgence et l’« urgence écologique » font partie d’un plan criminel ourdi par le Forum économique mondial, l’ONU, l’OMS et une galaxie d’organisations et de fondations qui se caractérisent idéologiquement comme clairement anti-humaines et – il faut le dire clairement – anti-chrétiennes.

L’un des éléments qui confirme sans équivoque la nature criminelle du Great Reset est la parfaite synchronisation avec laquelle toutes les différentes Nations agissent, démontrant l’existence d’un scénario unique sous une direction unique.

Et il est déconcertant de voir comment l’absence de traitement, les traitements délibérément erronés qui ont été administrés afin de provoquer davantage de décès, la décision d’imposer des confinements et des masques, le silence conspirateur sur les effets indésirables des soi-disant « vaccins » qui sont en fait des sérums génétiques, et la répétition continue d’erreurs coupables ont tous été possibles grâce à la complicité des gouvernants et des institutions.

Les dirigeants politiques et religieux, les représentants du peuple, les scientifiques et les médecins, les journalistes et ceux qui travaillent dans les médias ont littéralement trahi leur peuple, leurs lois, leurs Constitutions et les principes éthiques les plus élémentaires.

La fraude électorale de l’élection présidentielle de 2020 contre le président Trump s’est révélée organique à cette opération globale, car pour imposer des restrictions illégitimes en violation des principes du droit, il fallait pouvoir se servir d’un président américain qui soutiendrait la psycho-pandémie et appuierait son récit.

Le Parti démocrate, qui fait partie de l’État profond, accomplit sa tâche en tant que complice du système, tout comme l’Église profonde trouve en Bergoglio son propre propagandiste.

Les récents arrêts de la Cour suprême et l’action autonome de certains États américains – où l’obligation de vaccination a été déclarée inconstitutionnelle – nous donnent l’espoir que ce plan criminel puisse s’effondrer et que les responsables soient identifiés et jugés : tant en Amérique que dans le monde entier.

Comment a-t-il été possible d’en arriver à une telle trahison ? Comment en sommes-nous arrivés à être considérés comme des ennemis par ceux qui nous gouvernent, non pas pour soutenir le bien commun, mais plutôt pour alimenter une machine infernale de mort et d’esclavage ?

La réponse est désormais claire : dans le monde entier, au nom d’une conception pervertie de la liberté, nous avons progressivement effacé Dieu de la société et des lois.

Nous avons nié l’existence d’un principe éternel et transcendant, valable pour tous les hommes de tous les temps, auquel les lois des États doivent se conformer.

Nous avons remplacé ce principe absolu par l’arbitraire des individus, par le principe selon lequel chacun est son propre législateur.

Au nom de cette liberté insensée – qui est licence et libertinage – nous avons permis de violer la loi de Dieu et la loi de la nature, en légitimant le meurtre des enfants dans le sein maternel, jusqu’au moment même de la naissance ; le meurtre des malades et des vieillards dans les services hospitaliers ; la destruction de la famille naturelle et du Mariage ; nous avons reconnu des droits au vice et au péché, en faisant passer les déviations des individus avant le bien de la société.

En bref, nous avons subverti tout l’ordre moral qui constitue la base indispensable des lois et de la vie sociale d’un peuple.

Déjà au quatrième siècle avant J.-C., Platon écrivait ces choses dans sa dernière œuvre, les Lois, et identifiait la cause de la crise politique athénienne précisément dans la rupture de l’ordre divin – le cosmos – entre ces principes éternels et les lois humaines.

Ces principes moraux naturels du monde gréco-romain ont trouvé leur accomplissement dans le christianisme, qui a construit la civilisation occidentale en leur donnant un élan surnaturel.

Le christianisme est la plus forte défense contre l’injustice, la plus forte garnison contre l’oppression des puissants sur les faibles, des violents sur les pacifiques et des méchants sur les bons, car la morale chrétienne rend chacun de nous responsable de ses actes devant Dieu et son prochain, en tant que citoyen et en tant que dirigeant.

Le Fils de Dieu, dont nous célébrerons la naissance dans quelques jours, s’est incarné dans le temps et dans l’histoire afin de guérir une ancienne blessure et de restaurer par la Grâce l’ordre brisé par la désobéissance.

Sa royauté sociale a été le principe générateur de l’ordo Christianus qui, depuis deux siècles, est farouchement combattu par la franc-maçonnerie : parce que la Révolution qu’elle promeut est le chaos, le désordre, la rébellion infernale contre l’ordre divin pour imposer la tyrannie de Satan.

Maintenant, en voyant ce qui se passe autour de nous, nous comprenons combien étaient mensongères les promesses de progrès et de liberté faites par ceux qui ont détruit la société chrétienne, et combien était trompeuse la perspective d’une nouvelle Tour de Babel, construite non seulement sans égard pour Dieu mais même en opposition directe avec Lui.

Le défi infernal de l’Ennemi se répète à travers les siècles sans changement, mais il est voué à un échec inexorable.

Derrière cette conspiration millénaire, l’adversaire est toujours le même, et la seule chose qui change, ce sont les individus particuliers qui coopèrent avec lui.

Chers frères et sœurs américains ! Chers patriotes, nous vivons un moment crucial pour l’avenir des États-Unis d’Amérique et de l’humanité entière.

Mais l’urgence pandémique, la farce du réchauffement climatique et de l’économie verte, et la crise économique délibérément induite par la Grande Reset avec la complicité de l’État profond, tout cela n’est que la conséquence d’un problème beaucoup plus grave, et il est essentiel de le comprendre en profondeur si nous voulons le vaincre.

Ce problème est essentiellement moral ; en fait, il est religieux.

Nous devons remettre Dieu à la première place non seulement dans notre vie personnelle, mais aussi dans la vie de notre société.

Il faut rendre à Notre Seigneur Jésus-Christ la couronne que la Révolution lui a arrachée, et pour cela il faut une véritable et profonde conversion des individus et de la société.

Car il est absolument impossible d’espérer la fin de cette tyrannie mondiale si nous continuons à écarter du Royaume du Christ les nations qui lui appartiennent et doivent lui appartenir.

C’est pourquoi le mouvement pour l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade acquiert également une signification très importante, car le respect du caractère sacré de la vie à naître doit être sanctionné par le droit positif pour être le miroir de la Loi éternelle.

Vous êtes animé d’un désir de justice, et c’est un désir légitime et bon.

« Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice », dit le Seigneur (Mt 5, 6).

Mais cette Justice doit être fondée sur la conscience qu’il s’agit d’une bataille spirituelle dans laquelle il faut prendre parti sans équivoque et sans compromis, en retenant des références transcendantes et éternelles que même les philosophes païens ont entrevues et qui ont trouvé leur accomplissement dans la Révélation du Fils de Dieu, le Divin Maître.

Mon appel à une Alliance anti-mondialiste – que je renouvelle aujourd’hui – vise précisément à constituer un mouvement de renaissance morale et spirituelle qui inspire l’action civile, sociale et politique de ceux qui ne veulent pas être asservis comme des esclaves au Nouvel Ordre Mondial.

Un mouvement qui, au niveau national et local, sera capable de trouver un moyen de s’opposer au Great Reset et qui coordonne la dénonciation du coup d’État en cours.

Parce que dans la conscience de qui est notre adversaire et quels sont ses objectifs et ses buts, nous pouvons perturber l’action criminelle qu’il entend poursuivre et le forcer à reculer.

En cela, l’opposition à la farce de la pandémie et à l’obligation vaccinale doit être déterminée et courageuse de la part de chacun d’entre vous.

La vôtre doit donc être une œuvre de vérité, mettant en lumière les mensonges et les tromperies du Nouvel Ordre Mondial et leur matrice anti-humaine et antichristique.

Et en cela, ce sont principalement les laïcs et toutes les personnes de bonne volonté – chacun dans le rôle professionnel et civil qu’il occupe – qui doivent se coordonner et s’organiser ensemble pour opposer une résistance ferme mais pacifique, afin de ne pas légitimer sa répression violente par ceux qui détiennent aujourd’hui le pouvoir.

Soyez fiers de votre identité de patriotes américains et de la Foi qui doit animer votre vie.

Ne permettez à personne de vous faire sentir inférieurs simplement parce que vous aimez votre patrie, parce que vous êtes honnêtes au travail, parce que vous voulez protéger votre famille et élever vos enfants avec des valeurs saines, parce que vous respectez les personnes âgées, parce que vous protégez la vie de la conception à sa fin naturelle.

Ne vous laissez pas intimider ou séduire par ceux qui propagent un monde dystopique dans lequel un pouvoir sans visage vous impose le mépris de la Loi de Dieu, présente le péché et le vice comme licites et désirables, méprise la droiture et la Morale, détruit la famille naturelle et promeut les pires perversions, planifie la mort de créatures sans défense et faibles, et exploite l’humanité pour son propre profit ou pour préserver le pouvoir.

Soyez les dignes héritiers du grand Archevêque Fulton Sheen, et ne suivez pas ceux de vos Pasteurs qui ont trahi le mandat qu’ils ont reçu de Notre Seigneur, qui vous imposent des ordres iniques ou qui restent silencieux devant l’évidence d’un crime inouï contre Dieu et l’humanité.

Que ce Saint Noël illumine vos esprits et enflamme vos cœurs devant l’Enfant Roi qui repose dans la crèche.

Et de même que les chœurs des Anges et l’hommage des Mages s’unissaient à la simple adoration des Bergers, de même aujourd’hui votre engagement pour la renaissance morale des Etats-Unis d’Amérique – une Nation sous Dieu – aura la bénédiction de Notre Seigneur et rassemblera autour de vous ceux qui vous gouvernent. Amen.

Que Dieu vous bénisse, et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique.

Carlo Maria Viganò, archevêque

Source




Une ville autrichienne cherche des « chasseurs de non-vaccinés »

[Source : Sputnik News]

[Ndlr : un pas de plus vers le totalitarisme du Nouvel Ordre Mondial.]

La mairie de la ville autrichienne de Linz cherche des employés qui seront chargés de sanctionner ceux qui refusent de se faire vacciner contre le nouveau coronavirus.

À la veille de l’imposition de la vaccination obligatoire en Autriche, les autorités de la ville de Linz ont publié une offre d’emploi pour le poste de « collecteur d’amendes » que devront payer les non-vaccinés.

Sauf exemption pour raisons de santé, tous les Autrichiens âgés de plus de 14 ans seront tenus à se faire vacciner contre le nouveau coronavirus dès le 1er février 2022. Bien que la vaccination ne puisse pas être imposée de force, une personne refusant de s’y plier devra payer une amende initiale de 600 euros qui pourra monter jusqu’à 3.600 euros en cas de non-paiement.

La mairie de Linz cherche ainsi des employés qui auront pour mission de dresser les amendes, d’examiner les appels et de préparer des sanctions pour ceux qui s’obstinent à ne pas payer les amendes prescrites.Les « collecteurs d’amendes » toucheront eux un salaire mensuel de 2.774 euros minimum.

Plus de 70% de la population vaccinés

L’obligation vaccinale est formellement rejetée par une partie de la population autrichienne. Plusieurs weekends de suite, des dizaines de milliers de manifestants se réunissent dans le centre de Vienne pour dénoncer la vaccination obligatoire et le confinement de ceux qui refusent toute injection.

Depuis le début de la pandémie, l’Autriche a enregistré plus de 1.250.000 cas de nouveau coronavirus, ainsi que plus de 13.500 décès liés au Covid-19. Pour le moment, plus de 71% de la population du pays sont complètement vaccinés contre le SARS-CoV-2.




Plainte auprès de la Cour pénale internationale contre Bill Gates, Klaus Schwab, le Dr Fauci, le président de la Fondation Rockefeller et quelques autres covidistes

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Un groupe de personnes, parmi lesquelles l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) au nom de citoyens britanniques contre Boris Johnson et des responsables britanniques, mais aussi et surtout contre différentes figures bien connues à l’échelmon mondial telles que Bill et Melinda Gates, ou encore le président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, pour crimes contre l’humanité.

La plainte vise aussi le Dr Anthony Fauci ; Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ; June Raine, directrice générale de l’agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ; Dr Radiv Shah, président de la Fondation Rockefeller ; et le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance, en tant que « responsable de nombreuses violations du Code de Nuremberg » au Royaume-Uni et dans d’autres pays.

Après des tentatives infructueuses répétées de soulever une affaire auprès du système judiciaire anglais, les requérants ont eu recours à un appel « de la plus haute urgence » pour que la CPI « arrête le déploiement des vaccinations anti-COVID, l’introduction de passeports de vaccination illégaux et tous les autres types de guerre… menée contre le peuple du Royaume-Uni.

Dans la plainte déposée le 6 décembre, les plaignants présentent des preuves que les « vaccins » contre le COVID-19 sont en fait des thérapies géniques expérimentales conçues avec la recherche de gain de fonction à partir de coronavirus de chauve-souris, arguant que ces « vaccins » ont causé massivement des morts et des effets secondaires et que le gouvernement britannique n’a pas enquêté sur ces décès et effets secondaires signalés ; que le nombre de cas et de décès de COVID a été artificiellement gonflé ; que les masques faciaux sont nocifs en raison de l’hypoxie, de l’hypercapnie et d’autres causes ; et que les tests PCR sont « peu fiables » et « contiennent de l’oxyde d’éthylène cancérigène ».

Les plaignants ont en outre fait valoir que les traitements efficaces contre le COVID-19, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, avaient été supprimés, entraînant un plus grand nombre de décès dus au COVID-19 que ce qui aurait dû se produire.

Ils font valoir que les politiques d’apartheid sanitaire ont été promulguées sous le prétexte d’infections artificiellement gonflées et de nombres de décès dus à un virus modifié.

Dommages et décès massifs à court terme, avec au moins 395 049 effets indésirables signalés aux « vaccins » anti-COVID au Royaume-Uni uniquement ; une forte augmentation des appels à ChildLine d’enfants perturbés pendant les confinements ; la « destruction de richesses et d’entreprises » par des confinements imposés ; » « une privation grave de liberté physique en violation des règles fondamentales du droit international », y compris des interdictions de voyager et de rassemblements, ainsi que la quarantaine et l’auto-isolement forcés ; l’apartheid en raison de la ségrégation par possession du passeport vaccinal ; et la « réduction attendue de la fertilité » après la « vaccination », entre autres effets physiques et psychologiques nocifs.

En outre, les requérants soutiennent que « la suppression de traitements alternatifs sûrs et efficaces contre le Covid-19 équivaut à un meurtre et justifie une enquête approfondie par le tribunal ». Ils ont noté qu’en plus de la censure des informations en ligne et de la promotion de ces traitements alternatifs, « certaines revues universitaires bloquent la publication d’études montrant l’efficacité de médicaments tels que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine ».

Les demandeurs ont également cité des survivants de l’Holocauste qui ont établi « des parallèles frappants entre les restrictions de Covid et le début de l’Holocauste ». Dans une lettre ouverte , ces survivants de l’Holocauste ont demandé aux autorités de réglementation médicale de « mettre immédiatement fin à cette expérience médicale impie sur l’humanité », qui, selon eux, viole le Code de Nuremberg.

Ils allèguent même qu’ »un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux ». Une survivante, Vera Sharav, a noté dans une interview citée dans la plainte :

« La dure leçon de l’Holocauste est que chaque fois que les médecins unissent leurs forces avec le gouvernement et s’écartent de leur engagement personnel, professionnel et clinique de ne pas nuire à l’individu, la médecine peut alors être détournée d’une profession humanitaire de guérison en un appareil meurtrier. »

« Ce qui distingue l’Holocauste de tous les autres génocides de masse, c’est le rôle central joué par l’establishment médical, l’ensemble de l’establishment médical. Chaque étape du processus meurtrier a été approuvée par l’établissement médical universitaire et professionnel. Les médecins et les sociétés et institutions médicales prestigieuses ont prêté le vernis de légitimité à l’infanticide, au meurtre de masse de civils.»

Selon les demandeurs, toutes les conséquences dommageables des « vaccins », du confinement et du virus répondent aux critères de génocide, de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre contre le peuple britannique, car les « membres coupables du gouvernement britannique et les dirigeants du monde ont à la fois des connaissances et des intentions concernant ces crimes présumés ».

Les plaignants soutiennent que les conséquences destructrices des « vaccins », des confinements et du virus artificiel sont des tentatives délibérées de dépeuplement et de déstabilisation de la société dans le cadre d’un plan coordonné à l’échelle mondiale pour consolider la richesse et le pouvoir entre les mains de quelques-uns.

Ils soutiennent que ces mesures ont également pour objectif de « démanteler tous les États-nations démocratiques, étape par étape », et de « détruire les petites et moyennes entreprises, en déplaçant les parts de marché vers les plus grandes entreprises », détenues par le ultra-riches, pour donner à cette « élite » mondialiste un plus grand contrôle politique et monétaire.




Canada : Justin Trudeau dit qu’ils ont une échappatoire pour enlever vos droits et qu’ils vont le faire…

[Source : qactus]



Justin Trudeau défie directement les Canadiens : 

« Indépendamment du fait que nous attaquons vos droits fondamentaux… ou que nous limitons vos droits fondamentaux, et que la Charte dit que c’est mal, nous allons quand même aller de l’avant et le faire. C’est essentiellement une échappatoire qui permet à une majorité d’outrepasser les droits fondamentaux d’une minorité… »

C’est comme dire : 

« Nous vous volons, nous savons que c’est mal et contraire à la loi, et nous allons continuer à vous voler ! »

Que feriez-vous si vos employés vous disaient cela ?

Je demande si nous sommes une minorité.

Le premier ministre du Canada admet que lui et son gouvernement « attaquent nos droits fondamentaux ». Et, en toute connaissance de cause, ils vont continuer sur cette voie sombre du mépris de notre Constitution, et de nos droits et libertés constitutionnels selon la Charte canadienne des droits et libertés.
Si ce n’est pas du mépris, je ne sais pas ce que c’est !

Qu’allez-vous faire, VOUS, Canadiens, hommes et femmes, à ce sujet ? Je sais ce que je vais faire à ce sujet. Et vous ?

Voyez le reportage ci-dessous et pourquoi il se vante autant :

« La Charte canadienne des droits n’est pas une loi et elle a été établie par Pierre Elliott Trudeau [Le père de « Juste un Trou d’eau » comme il est surnommé par certains Québécois]. La seule que nous, le peuple, devrions invoquer est la Déclaration des droits. C’est celle qu’ils ne veulent pas que vous connaissiez. »

Le sale secret de la Charte

[Cette vidéo mentionne qu’au Canada les lois doivent être agréées par la Reine (d’Angleterre) pour être valables. Or, la Charte canadienne des droits et libertés n’a jamais reçu son agrément, contrairement à la Déclarations des droits montrée plus bas.]

La Charte cache-t-elle des détails importants ? Devrions-nous même utiliser la Charte ? Ou serait-il préférable d’utiliser la Déclaration des droits ? laws-lois.justice.gc.ca

[Voir aussi : Pays les plus restrictifs en matière de mesures prétendument sanitaires]




Toi aussi, affame un non-vacciné pour retrouver ta vie d’avant

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Que faire du non-vacciné moyen qui résiste opiniâtrement à la propagande gouvernementale sur la énième dose de vaccin qui nous ramènera à la vie normale ? L’affamer bien entendu, faute de pouvoir le génocider directement. C’est l’idée proposée par le Président de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (FNMR), Jean-Philippe Masson, dans le cadre d’une boucle WhatsApp de l’Institut Santé créé par le vétérinaire Frédéric Bizard qui se proclame désormais économiste. Voilà une idée qui nous semble excellente : pour tuer le virus, empêchons les non-vaccinés de se nourrir. Olivier Véran et son passe vaccinal sont sur la bonne voie.

C’est vrai qu’ils sont usants tous ces non-vaccinés qui résistent encore et toujours aux progrès de la science. Et leur manie d’inventer des complots en imaginant que l’industrie pharmaceutique pourrait privilégier ses profits en sacrifiant la santé (par exemple en livrant des vaccins mal testés) est à la limite du supportable. 

Le non-vacciné, coupable du pire

Car comment expliquer, sinon du fait des non-vaccinés qui menacent toute la population, que nous ayons passé Noël 2020 sans vaccin et en dansant, alors que, un an plus tard, et avec 85% de vaccinés dans la population, il faut interdire les discothèques et les réveillons ?

Le non-vacciné porte en lui une sorte de résistance à toute épreuve : on a beau l’écarter de toute vie publique depuis six mois, en lui imposant un passe sanitaire, en l’obligeant à se tester toutes les 24 heures, il est encore capable de contaminer toute la société. C’est son côté blatte, ou cafard : il survit à tout et sa toxicité est en expansion permanente. 

Comme le déclarait Gilbert Deray, chef de service à l’hôpital Pitié-Salpêtrière à Clea Calcutt de Politico (selon la newsletter de cet organe), 

« il serait irresponsable, avec l’émergence du variant Omicron, de maintenir “un réservoir de millions de personnes [non-vaccinées] qui vont faire prospérer le virus” ».

Le “réservoir” de non-vaccinés est dangereux, et c’est en l’éliminant, ou en tout cas en le réduisant, que les hôpitaux vont se désengorger, puisque, c’est bien connu, seuls les non-vaccinés font circuler le virus, et eux seuls tombent malades. 

Certes, ceci ne doit en rien empêcher les autres de prendre une troisième dose, au cas où le vaccin serait moins sûr et moins efficace qu’on ne le dit… et au cas où les vaccinés pourraient être la cause de l’épidémie. Mais ceci ne doit pas être ébruité : on vous le répète, il faut avoir confiance dans le vaccin, dans les médecins, dans le gouvernement. 

Faire taire les complotistes coûte-que-coûte

C’est évidemment une faiblesse coupable d’Emmanuel Macron de ne pas faire taire une bonne fois pour toutes les ragots des complotistes qui sèment le trouble sur l’efficacité et l’innocuité du vaccin. 

Le bon sens est que tout le monde obéisse aux prescriptions des médecins sans contester leur expertise. Il faut écouter les nouvelles officielles sans douter, et arrêter de laisser le non-vacciné ordinaire croire qu’il est capable de comprendre quelque chose à sa santé. 

Il faudrait donc débrancher les accès aux réseaux sociaux et à Internet des non-vaccinés. Leur interdire de prendre la parole et de répandre le venin du doute dans les esprits. Leur interdire de s’exprimer. 

Car leurs progrès sont assez inquiétants, et même très inquiétants. Cette semaine, le gouvernement a désamorcé 400.000 passes sanitaires détenus par des personnes de plus de 65 ans qui ont refusé le 3è dose. Soit 12% de personnes éligibles de 80 ans et plus et 10% des 65/79 ans.

À ce rythme-là, les non-vaccinés pourraient être 10 millions, en février. Soit le double du nombre actuel. 

Bien entendu, Olivier Véran ne peut pas s’en vanter : les Français résistent à la troisième dose parce que les non-vaccinés leur bourrent le mou avec des délires complotistes.  

Il faut donc durcir le ton. 

Du passe vaccinal à l’élimination complète

Les discussions vont donc bon train entre pontes de la médecine pour éviter la progression du doute dans l’esprit de M. Dupont, et un recul conséquent de l’indispensable vaccination qui nous ramènera la vie d’avant. Sur ce point, les positions du bon docteur Jean-Philippe Masson, président de la FNMR (évoqué plus haut), fournissent sans doute les clés de la solution finale à adopter. 

Comme on le voit, dans cette conversation, Jean-Philippe Masson donnait la réplique au médecin Jean-Yves Le Goff. Leur proposition est simple : pour convaincre le non-vaccinés de recevoir la potion magique, il faut “demander le pass vaccinal partout”, affirme Jean-Yves Le Goff. 

Et à la question “Y compris dans les magasins d’alimentation ?”, le président Jean-Philippe Masson répond “bien sûr”. 

Bref, pour réduire le nombre de non-vaccinés, il suffit de les affamer ! Leur interdire enfin l’accès aux biens de première nécessité !

Comme le regrette Jean-Yves Le Goff, “le gouvernement ne le fera pas, habitué à la mollesse”. 

Alors, c’est qui les gros musclés qui ne se dégonflent pas devant le petit peuple des analphabètes complotistes et qui leur qui c’est le plus fort ?

Véran et Macron prisonniers des affameurs

Entourés de ces grands humanistes à côté de qui Himmler ressemble à un gentil organisateur du club Med (mais ne le dites surtout pas, Jean-Philippe Masson est médecin et président de sa fédération, donc supérieurement intelligent et éclairé), Olivier Véran n’a pas tortillé : il a proposé au Grand Timonier de transformer le passe sanitaire en passe vaccinal, c’est-à-dire de le réserver aux vaccinés. 

Interrogé sur le sens de son geste, Véran n’a pas tortillé :

Ah voilà ! le passe vaccinal, c’est une obligation vaccinale en mieux ! 

Au passage, Véran soulage le Conseil d’État de devoir expliquer régulièrement aux requérants que le passe sanitaire n’est pas une forme de vaccination obligatoire. Désormais les choses sont claires, dites, et de façon expéditive. 

Du passe vaccinal au génocide…

L’avantage, avec Jean-Philippe Masson comme avec Olivier Véran, c’est qu’on les reconnaît facilement car ils osent tout. Et sur ce point, il n’y a plus aucune ambiguïté sur la stratégie utilisée par le gouvernement : on n’est pas bien sûr que le vaccin, même injecté tous les trois mois, réduise d’une quelconque façon les contaminations et les hospitalisations. 

Mais on est sûr que le non-vacciné, complotiste et appartenant forcément à la fachosphère, est la cause de tous les maux. Pour le réduire à néant, on l’exclut de tout, pour l’instant, sauf des magasins de première nécessité. 

Prochainement, il est même question qu’il doive présenter un test avant d’aller travailler. 

L’étape suivante est déjà connue : on l’affamera. 

Alors, si toi aussi tu veux retrouver ta vie d’avant, aide le gouvernement. Affame un non-vacciné. 




Guadeloupe : « Nous préférons mourir du Covid que de nous faire vacciner avec un vaccin expérimental… Respectez notre choix ! Nous sommes 80 % à penser ainsi !!! »

[Source : businessbourse.com]




Covid : 2 heures de vérité après 2 ans de mensonges !

[Source : TVlibertés]

Élise Blaise reçoit quatre invités prestigieux, tous scientifiques : la généticienne Alexandra Henrion-Caude, spécialiste de l’ARN, le professeur Christian Perronne, infectiologue et ancien conseiller des gouvernements en matière de santé publique, Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur de l’IRSAN, et Laurent Montesino, médecin réanimateur, ainsi que la participation du généticien moléculaire, Christian Vélot et le témoignage de Marc Doyer, dont l’épouse, Mauricette, aurait contracté la maladie de Creutzfeld-Jakob après la deuxième injection du vaccin Pfizer.

Au fil de ces deux heures d’émission, la stratégie du gouvernement et ses effets sont passés au crible pour expliquer pourquoi un an après le lancement de la campagne de vaccination, les pouvoirs publics et médiatiques continuent de faire peur aux Français.

Manipulation des chiffres, prise en charge des patients malades du Covid, traitements interdits, vaccination massive et effets secondaires, conflits d’intérêts… tous les sujets que les médias refusent d’aborder avec honnêteté et sérieux sont traités ici, par des scientifiques et des praticiens de renom.






Note au sujet de mon absence

[Source : Arrêt sur Info]

Par Brandon Turbeville

Publié le 20 novembre 2021 sur Activistpost sous le titre A Note On My Absence


Cela fait presque deux ans que je n’ai rien écrit. Que je n’aie plus publié d’articles. Que je n’ai plus rédigé de nouveaux poèmes. Que je n’ai plus exercé mon métier de journaliste. Il se peut que j’aie écrit des commentaires sur les médias sociaux durant cette période, mais même de cela, je n’en suis pas sûr.

Il fut un temps où j’écrivais toute la journée. Je publiais plusieurs articles par jour, je travaillais assidûment sur mes livres et j’écrivais de la poésie jusqu’au matin. Pendant des années, c’était mon rituel quotidien et j’y travaillais jusque tard dans la nuit, même après une journée entière de travail. Mais ces deux dernières années ? Rien. J’ai tout simplement disparu des médias alternatifs.

J’ai le sentiment de ne pas pouvoir revenir à mon métier d’écrivain avec certitude sans au moins expliquer auparavant à mes lecteurs la raison de mon absence.

J’ai toujours été étonné qu’autant de personnes lisent religieusement, au fil des ans, les articles que j’ai écrit. Mais ce qui a commencé comme une nécessité de faire entendre ma voix à une époque où je croyais qu’il n’y avait pas assez de voix, s’est arrêté exactement dans les mêmes circonstances. Pour cela, je suppose que je dois des excuses à mes lecteurs. Les deux dernières années ont eu plus que jamais besoin d’entendre des voix et, pendant ce temps, la mienne est restée silencieuse.

Le plus étrange, c’est que je n’ai plus jamais eu envie d’écrire quoi que ce soit, du moins jusqu’à récemment. Alors comment quelqu’un dont l’identité entière était enveloppée dans le mot écrit, a-t-il soudainement arrêté d’écrire ? Pour moi, il y a eu un concours de circonstances.

D’abord, mes derniers articles ont été écrits au début de la prétendue « pandémie ». Au milieu de cette nouvelle hystérie, je me suis rendu compte que j’avais bouclé la boucle dans ma vie professionnelle et personnelle. La première fois que j’ai pris conscience de faits politiques, c’était à la suite du 11 septembre, un besoin de rechercher la vérité entourant cet événement et de préserver les libertés constitutionnelles mises à mal par une classe dirigeante qui avait prévu depuis longtemps d’enfoncer le dernier clou dans le cercueil des États-Unis tels que nous les connaissions. À l’époque, je me sentais, comme beaucoup d’autres, pris entre une oligarchie totalitaire et un public terrifié. M’élever contre la guerre, la destruction de la Déclaration des droits et l’État policier vêtu de noir m’a valu d’être surveillé par l’État profond et, plus malheureusement, de voir le public américain pousser des cris d’orfraie. Mais ce n’était qu’un début.

Cinq ans plus tard, après cinq années de massacres en Afghanistan, trois ans de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité en Irak, une surveillance active, la suspension de l’habeus corpus, la torture, une police militarisée, l’humiliation publique, et une définition élargie du « terrorisme », ceux d’entre nous qui ont réagi en 2001 ont trouvé des oreilles plus réceptives. Si seulement ces oreilles avaient été à l’écoute le 11 septembre, alors toutes les atrocités susmentionnées auraient pu être évitées.

En mars 2020, presque vingt ans plus tard, je me suis retrouvé dans la même situation. Cette fois, beaucoup de ceux qui avaient depuis suivi le programme, dénoncé le totalitarisme, les États policiers, les guerres, etc., s’en prenaient maintenant légitimement à ceux qui osaient remettre en question les gouvernements omniscients et (à leurs yeux) qui non seulement interdisaient les rassemblements, mais obligeaient les citoyens à se couvrir le visage en public, faisaient la guerre à leurs propres économies (en particulier les petites entreprises) et réglementaient même les funérailles, les services religieux et la possibilité pour des êtres humains souverains d’étreindre les membres de leur propre famille. Le gouvernement américain était mauvais, semblait-il, sauf dans les moments où il y avait un danger perçu de tomber malade. Au moment du COVID, ils en étaient tous venus à aimer Big Brother.

J’ai été particulièrement choqué par ceux d’entre ces « patriotes » qui avaient longtemps mis en garde contre « l’ennemi intérieur », eux-mêmes tellement imprégnés d’images religieuses prêchant constamment contre une société où le gouvernement réglementerait qui pourrait acheter et vendre en fonction du « crédit social » et de la conformité. Leur propre obsession de rester en vie à tout prix les a conduits à embrasser la chose même qu’ils avaient auparavant considérée comme un signe avant-coureur de la fin des temps et un péché impardonnable.

Néanmoins, au moment où la folie a commencé, j’ai écrit de nombreux articles s’opposant aux port de masques, aux « lockdowns », et aux attaques contre les libertés civiles et la liberté économique. J’ai été accueilli par des cris de « Vous voulez que les gens meurent ? » et d’autres questions tendancieuses qui étaient toujours sous-tendues par l’idée, propagandisée et psychiquement motivée, que ces politiques gouvernementales n’étaient pas l’affront à la vie et à la dignité humaines qu’elles sont en réalité.

Après avoir écrit pendant près de 20 ans, je me sentais plus découragé que je ne l’avais jamais été. Si un si grand nombre de mes lecteurs, qui avaient été à mes côtés dans la lutte pour mettre fin à la guerre en Syrie ainsi que dans de nombreuses autres batailles, étaient si facilement amenés non seulement à renoncer à leur propre liberté mais aussi à aider à la retirer par la force à leurs amis et aux membres de leur famille, alors je ne voyais pas l’intérêt de continuer à écrire des paroles qui, au mieux, seraient comprises correctement des années après les faits et, au pire, seraient utilisés pour me condamner en tant qu’indésirable devant le tribunal de l’opinion publique ou le tribunal gouvernemental.

Alors, j’ai tout simplement tout arrêté. J’ai complètement arrêté d’écrire. Peu après, j’ai cessé de lire les nouvelles. J’ai arrêté de débattre. J’ai cessé de parler des questions qui me tenaient tant à cœur autrefois. Je n’en ai même pas parlé. Je vous épargnerai tous les détails mais, au milieu de mon hiatus, ma vie personnelle s’est effondrée. Ma santé s’est dégradée. Les médias alternatifs ont perdu l’une de leurs voix les plus importantes lorsque mon ami, Alan Watt, est décédé subitement et j’ai remplacé la lecture des nouvelles que je dévorais par du whisky et de la vodka. J’ai décidé que la scène du film où ma bataille avec le système se déroulait publiquement était terminée et que je ne résisterais plus ouvertement.

Mais, pour une raison quelconque, je ne pouvais toujours pas céder. Ou plutôt, je n’en avais pas le droit. Je ne pouvais tout simplement pas retourner dans la matrice et me fondre dans la masse parce que la grande machine à manger s’est maintenant tournée pour se nourrir du peuple américain et, une fois de plus, il semble que je ne puisse pas éviter l’inévitable confrontation avec elle. Il reste à voir si moi ou la machine survivrons à cette confrontation mais, comme l’a dit Alexandre Soljenitsyne,

« Laissez le mensonge venir au monde, laissez-le même triompher. Mais pas à travers moi. »

Cher lecteur, nous ne pourrons peut-être pas empêcher ce qui vient, mais nous pouvons au moins entrer dans la prochaine vie avec la dignité de celui qui n’y a pas contribué, qui a refusé de se laisser consommer et coopter pour le servir. Qui a dit : « Tu peux dire tous les mensonges que tu veux, mais je ne les croirai pas et je ne les répéterai jamais. Vous pouvez me faire ce que vous voulez, mais vous ne pourrez jamais me forcer à le faire à quelqu’un d’autre. » ?

J’ai longtemps plaidé pour une résistance organisée. Je suppose que c’est encore le cas. Mais je ne me fais pas d’illusions sur le fait qu’une résistance massive est encore possible. C’est l’ère de l’individu. Car l’humanité choisira dans les prochains jours si oui ou non l’individu continuera à être habité par ce qui reste de notre culture. En fait, l’humanité décidera bientôt si l’individu continuera d’exister.

Nous avons atteint le point où la résistance individuelle est le seul espoir. Cette résistance ne viendra pas de la nécessité, mais de la détermination à vivre une vie de dignité et de liberté. Elle viendra lorsque nous aurons atteint le point où l’individu devra décider qu’il y a des choses pires que la mort et qu’il doit vivre en conséquence.

« Comme il suffisait de peu de choses pour lutter et vaincre – simplement ne pas s’accrocher à la vie ! Une vie qui était de toute façon déjà perdue », a écrit Soljenitsyne. Comme il avait raison.

Cela fait presque deux ans et sachez que je n’ai pas encore porté de masque. J’ai refusé à chaque fois qu’on me l’a demandé et surtout lorsqu’on a exigé que je le fasse. Dans certains cas, mon refus a déclenché une réaction en chaîne, d’autres autour de moi ont également enlevé le leur et bientôt la foule couverte de visages avait à nouveau des visages. D’autres fois, j’étais le seul.

J’ai refusé la « distance sociale », choisissant plutôt de rejoindre les foules de personnes non masquées au plus fort de l’hystérie, même lorsque le pouvoir gouvernemental déclarait qu’il était criminel de le faire.

Je n’ai jamais obéi aux ordres de « rester à la maison » et je n’ai jamais obéi aux « lockdowns ». Je ne me plierai tout simplement pas à cette tyrannie ni ne me soumettrai à la folie et à l’hystérie. Ni de la part de mon gouvernement, ni de la part de mes amis.

*
[Voir aussi : La clef de la libération]
*

La plupart d’entre nous ont toujours été très prudents dans les médias alternatifs. Nous avons toujours choisi nos mots pour exprimer les choses que nous voulions vraiment dire. Mais, au cours des deux dernières années, nous avons vu où mène le souci de sécurité et de prudence. Au lieu de cela, je vous encourage tous aujourd’hui à refuser de vous conformer à tous les niveaux.

Ne portez pas de masque. Ne prenez pas de distance sociale. Ne fermez pas votre entreprise. Ne prenez pas le vaccin. N’obéissez pas. Ne reculez pas devant votre gouvernement ou les membres de votre communauté qui veulent vous contraindre à la soumission. Résistez. L’existence de votre culture et de votre pays ne dépend pas de candidats présidentiels ou de leaders activistes. Votre existence même en tant qu’individu ne repose que sur vos épaules. Si vous ne préservez pas votre droit à vivre une vie librement individuelle, qui le fera ? Et qui devrait le faire ?

[Voir aussi :
Un message de Robert F. Kennedy, Jr. un an après le rassemblement historique de Berlin : « L’heure est à la désobéissance civile (pacifique) ! »
Appel à la désobéissance civile
Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir
Un Maire Français ose dire NON et rentre en désobéissance civile : il n’appliquera pas la fermeture]

« Et comme nous avons brûlé dans les camps plus tard, en pensant : Qu’en aurait-il été si chaque agent de la Sécurité, lorsqu’il sortait la nuit pour procéder à une arrestation, avait été incertain de revenir vivant et avait dû dire au revoir à sa famille ? Ou si, pendant les périodes d’arrestations massives, comme par exemple à Leningrad, quand ils ont arrêté un quart de la ville entière, les gens n’étaient pas simplement restés enfermés dans leurs retranchements, pâlissant de terreur à chaque claquement de la porte du rez-de-chaussée et à chaque marche de l’escalier, mais avaient compris qu’ils n’avaient plus rien à perdre et avaient hardiment installé dans le hall du rez-de-chaussée une embuscade d’une demi-douzaine de personnes avec des haches, des marteaux, des tisonniers, ou tout ce qui leur tombait sous la main ? … Les Orgues auraient très vite souffert d’un manque d’officiers et de transport et, malgré toute la soif de Staline, la maudite machine se serait arrêtée ! Si…si…nous n’aimions pas assez la liberté. Et même plus – nous n’avions aucune conscience de la situation réelle ! Nous avons purement et simplement mérité tout ce qui est arrivé par la suite ».

Soljenitsyne

Nous voici donc presque deux ans plus tard, et je tape à nouveau sur un clavier. J’écris.

Je ne me fais aucune illusion sur l’effet que peut avoir ce que j’écris. Je ne sais pas quand ni si j’écrirai un autre article. Vous ne devez plus vous attendre à des mises à jour quotidiennes sur la Syrie ou tout autre sujet. Il est possible que j’en écrive, mais rien n’est certain et je ne fais aucune promesse.

Le monde se dirige dans une voie très sombre. Les économies sont mises à mal. La liberté est écartelée. L’âme de l’humanité est en train d’être modifiée. Les lumières de l’humanité vacillent. Comme l’a dit Orwell « La morale à tirer de cette dangereuse situation est simple : ne laissez pas ce cauchemar se produire. Cela dépend de vous. »

J’ai passé deux semaines à essayer de rassembler la motivation et le courage nécessaires pour rédiger ce texte, tel qu’il est. Il s’agit peut-être du début d’une longue série d’articles ou d’un des rares articles que je suis en mesure d’écrire.

Je n’ai pas de but précis pour cet article, si ce n’est d’expliquer mon absence et d’encourager les quelques personnes qui restent proches à résister. Pour vous encourager tous à prononcer le mot le plus puissant dans toutes les langues qui existent dans ce monde… « Non. »

Brandon Turbeville


Brandon Turbeville – les archives de ses articles sont ici – est l’auteur de sept livres, Codex Alimentarius — The End of Health Freedom7 Real ConspiraciesFive Sense Solutions et Dispatches From a Dissident, volume 1 et volume 2The Road to Damascus: The Anglo-American Assault on Syria, et The Difference it Makes: 36 Reasons Why Hillary Clinton Should Never Be President. Turbeville a publié plus de 650 articles sur une grande variété de sujets dont la santé, l’économie, la corruption gouvernementale et les libertés civiles. L’émission de radio de Brandon Turbeville, Truth on The Tracks, peut être écoutée chaque lundi soir à 21h EST sur UCYTV. Son site est BrandonTurbeville.com 

Traduction Olinda/Arrêt sur info

Source : Activistpost




Mehdi Belhaj Kacem : « Un nouveau totalitarisme est en train de se mettre en place »

[Source : FranceSoir]

Philosophe autodidacte et reconnu, comme en témoignent ses publications dans les plus grandes maisons d’édition (Gallimard, Grasset, Fayard…), Mehdi Belhaj Kacem est venu nous accorder un « Entretien essentiel ».

[Voir aussi : Réponse du philosophe Mehdi Belhaj Kacem à la Lettre du maire de Turenne]



L’écrivain avait fait du bruit le mois dernier, en publiant un long texte de réponse à un édito pro-vaccin rédigé par le maire de sa commune. 

Au-delà de cette controverse, dont FranceSoir s’est fait le relais, ce libre penseur nous fait part de ses réflexions sur « le nouveau totalitarisme » en place, visant « sciemment à rendre les gens fous » et qui promeut le transhumanisme.

Pour autant, même s’il considère que nous vivons « la période la plus sombre de notre histoire », Mehdi Belhaj Kacem se dit optimiste, « car à long terme, ils ne peuvent pas gagner ».

Auteur(s): FranceSoir