Journal des bonnes nouvelles (au 4 août 2022) : le monde se réveille

Par Nicole et Gérard Delépine

Le combat paye, mais lentement. Contre la dictature des milliardaires, on ne livre pas une guerre éclair, mais une longue guerre d’usure pendant laquelle il ne faut pas se décourager. Ce petit journal rappelle les petits pas en avant que nous avons obtenus avec quelques références pour vous convaincre que la situation s’améliore doucement, mais sûrement. Pour remonter le moral de ceux qui commençaient à craquer.

Mais attention ce sont des signes du début de la fin, mais pas la fin. Il ne faut surtout pas baisser la garde ! Le Nouvel ordre mondial est richissime et a plus d’un tour dans son sac. Poursuivons à tous niveaux en particulier sur le plan juridique : plainte pour accidents de vax, plainte pour défendre les soignants suspendus, plainte contre abus de pouvoir des hôpitaux qui continuent à exiger le pass contre la loi, etc.. Nous commençons à marquer des points qui doivent nous encourager à poursuivre, mais ne surtout pas nous endormir. Comme l’a dit B. B. (Bertold Brecht) à propos du fascisme du dernier siècle : « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde ».

Les oppositions ont réussi à s’unir contre le renouvellement éternel de la loi d’urgence

France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
Avouez que l’on n’y croyait pas ou peu. Loi d’Urgence, encore un mot dévoyé pour nous voler nos libertés

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut le poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe qui est une maladie généralement bénigne (même si son aspect cutané n’est pas ragoûtant) en témoigne. Nous ne laisserons pas faire ce terroriste des épidémies et y reviendrons.

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître devant des juges

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice alléguant qu’ils ont collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice les accusant d’avoir incité et collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression

Les hauts responsables de l’administration Biden — dont le Dr Anthony Fauci — et cinq géants des médias sociaux ont 30 jours pour répondre aux citations à comparaître et aux demandes de communication de pièces dans le cadre d’une plainte accusant le gouvernement Biden d’entente avec les sociétés de médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression « sous couvert de lutte contre la désinformation. »

La présidente de la Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, qui est également l’avocate générale de la CHD, a salué la décision juridique d’instruire la plainte :

« La CHD salue l’annonce de cette décision révolutionnaire du juge Doughty du district occidental de la Louisiane, qui découvre si l’administration Biden a violé le premier amendement par la censure.

« Pendant deux ans, la CHD et de nombreux autres médias n’ont pas été en mesure de comprendre les mécanismes par lesquels nos principales plateformes médiatiques ont impitoyablement censuré, supprimé et déformé nos informations.

« Maintenant, grâce au processus de découverte que le juge a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mauvaise information”. C’est un nouveau jour. »

Fauci, les CDC, le secrétaire de presse de la Maison-Blanche et d’autres doivent remettre les documents demandés par les juges.

NorthShore University HealthSystem va indemniser les soignants vaccino prudents discriminés

Un règlement de 10,3 millions de dollars a été conclu dans le cadre du premier recours collectif contre le vaccin obligatoire COVID impliquant des travailleurs de la santé. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Pour clore le premier procès collectif intenté par des travailleurs de la santé discriminés pour leur refus de l’obligation vaccinale COVID, Liberty Counsel a accepté de régler, pour plus de 10,3 millions de dollars d’indemnisation.

Le règlement de l’action collective contre NorthShore University HealthSystem est au nom de plus de 500 travailleurs de la santé actuels et anciens qui ont été illégalement discriminés et se sont vus refuser des exemptions religieuses du mandat de vaccination COVID.

Le règlement convenu a été déposé aujourd’hui devant le tribunal fédéral du district nord de l’Illinois.

À la suite du règlement, NorthShore paiera 10 337 500 $ pour indemniser les 500 soignants (en moyenne 20 000 dollars par soignant) qui ont été punis pour leurs croyances religieuses contre la prise d’une injection associée à des cellules de fœtus avortés.

Il s’agit d’un règlement de recours collectif historique, le premier du genre, contre un employeur privé qui a illégalement refusé des centaines de demandes d’exemption religieuse pour les vaccins COVID-19. Le règlement doit être approuvé par le tribunal fédéral du district.

Espérons qu’il fera jurisprudence et qu’il sera suivi de beaucoup d’autres contre les employeurs américains abusifs

En Espagne : la justice donne 10 jours à l’État pour dévoiler tous les contrats signés avec Pfizer

Par Cheikh Dieng – 2 août 2022

La justice baléare a accordé à l’État espagnol un délai de dix (10) jours pour lui fournir tous les contrats signés avec Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca dont les vaccins anti-Covid ont été déployés sur le territoire espagnol durant la pandémie à Coronavirus. Une nouvelle qui déclenche l’immense joie de l’Association espagnole Liberum, laquelle n’a cessé d’exiger que ces contrats soient rendus publics par respect aux citoyens

« Un malheur ne vient jamais seul », dit l’adage. Et Pfizer semble l’avoir bien compris.

En tout cas, moins d’un mois seulement après la décision de la justice uruguayenne du 8 juillet 2022 d’obtenir des informations sur le contenu chimique du vaccin du labo américain,

mais Pfizer préfère ne pas distribuer son injection plutôt que de faire ce que la justice lui demande.

VOUS N’AVEZ PAS À PRÉSENTER DE TEST À L’ENTRÉE D’UN HÔPITAL OU D’UNE CLINIQUE

Fabrice Di Vizio alerte : « Ne faites plus de tests Covid-19 ! Cette histoire aussi c’est terminé ! » (Vidéo complète) — Dissident Officiel tweet du 2 aout 2022 Les hôpitaux n’ont plus le droit de demander de test Négatif ! C’est au surplus confirmé par une circulaire DGS 2022-69 que je mets sur le nouveau site de l’association qui sort demain matin dit Fabrice di Vizio

Voici le lien vers la circulaire (à imprimer et à présenter le cas échéant) :
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dgs-urgent_n2022_69_evolution_esms_fin_eus.pdf

Si difficultés ET ABUS DE POUVOIR faire acter le refus et le communiquer à l’association de Fabrice Di Vizio

juriste@jenesuispasundanger.com adresse correcte vérifiée

Les victimes des complications des vaccin COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier

COVID Vaccine Injuries Quietly Being Compensated Around the World, Are You Eligible? + More • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

Les morts, myocardites, accidents vasculaires et les autres complications causées par le vaccin contre la COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier, y êtes-vous admissible ?

En Australie plus de 10 000 victimes des vaccins vont être indemnisées selon le « COVID-19 Vaccine Claims Scheme »(([1] https://www.health.gov.au/initiatives-and-programs/covid-19-vaccine-claims-scheme)) pour les effets secondaires, rapporte le Sydney Morning Herald. Si chacune de ces demandes est approuvée par les autorités, le gouvernement se retrouverait ainsi avec une facture à payer de 50 millions de dollars australiens, soit environ 32 millions d’euros.(([2] https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-11-16/australia-faces-compensation-bill-for-vaccine-side-effects-smh))

La Nouvelle-Zélande vient de créer un schéma d’indemnisation semblable(([3] https://catalogue.data.govt.nz/dataset/vaccine-injury-compensation)) et un collectif de médecins — nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) — s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police.(([4] https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccin-contre-la-covid-19-des-medecins-neozelandais-sonnent-alerte))

Mais aussi l’Argentine.(([5] https://www.francesoir.fr/politique-monde/vaccination-covid-largentine-indemnise-victimes-effets-indesirables))

Mais aussi le Canada.(([6] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1887847/vaccin-covid-19-astra-zeneca-compensation-indemnisation-syndrome-guillain-barre))(([7] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1813105/compensations-reaction-vaccination-coronavirus))

Et en France ? Lorsque les victimes du vaccin Covid réaliseront, malgré le déni de nombreux médecins, la responsabilité des injections dans la genèse de leurs troubles, la note risque d’être élevée. Après avoir payé les vaccins, nos impôts devront indemniser les victimes, car Pfizer a obtenu par la Commission européenne de ne pas payer d’indemnisation aux victimes !

Une vraie bonne nouvelle : le nouveau livre de Robert F. Kennedy traduit en français — « Une lettre aux libéraux » possible en téléchargement.

L’ordre se réveille enfin et condamne des médecins de plateau qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts avec l’industrie

Par deux décisions rendues le 18 juillet 2022, la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins rappelle que le Code de Santé Publique doit être respecté, et notamment ses articles L 4113-13 et R 4113-110, le premier disposant que « les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et des établissements produisant ou exploitant des produits de santé (…) sont tenus de faire connaître ces liens au public lorsqu’ils s’expriment sur lesdits produits (…) dans la presse écrite ou audiovisuelle. »

Il sanctionne d’un avertissement le Professeur Robert COHEN et le Professeur Bruno LINA pour ne pas avoir fait état, lors d’interventions dans les médias sur les vaccins, de leurs liens d’intérêts avec certaines entreprises pharmaceutiques fabriquant ces produits.

L’association E3M a constaté 200 liens d’intérêts entre l’industrie et le Pr Cohen de 2012 à 2018 pour un montant total de 57 730 €, ainsi que 60 contrats sans montants déclarés. À cela, il convient d’ajouter l’existence de 58 déclarations de liens entre l’industrie et l’association ACTIV (association créée et dirigée par le Pr Cohen ayant pour objet la formation des professionnels de santé et la recherche, avec le soutien des laboratoires MSD, GSK, Pfizer, Sanofi, CGM) pour un montant total de 748 520 € (dont 601 920 € par Sanofi et 126 600 € par GSK) ainsi que 14 contrats sans montants déclarés.

Le Pr Lina, chef du laboratoire de virologie du CHU de Lyon, est quant à lui intervenu pour défendre le vaccin Gardasil, mis en cause dans la survenue de graves effets indésirables. Lui non plus n’a pas déclaré ses liens avec l’industrie pharmaceutique alors qu’il est depuis de nombreuses années Président du Conseil Scientifique du GEIG (Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe), « financé par les 4 laboratoires qui distribuent des vaccins contre la grippe sur le territoire français (Abbott Products SAS, GSK, Novartis Vaccines et Sanofi Pasteur MSD) ».

Comme l’Ordre ne se saisit pas spontanément de ces faits délictueux (alors qu’il pourrait parfaitement le faire), il faut espérer que de nouvelles plaintes portées contre d’autres « experts » des médias vont obliger l’ordre à condamner ces leaders d’opinion qui agissent dans les médias comme avocat de l’industrie pharmaceutique sans mentionner leurs liens d’intérêts comme ceux qui nous ont abreuvés depuis plus de deux ans d’une propagande provax covid sans limites. Si l’ordre faisait enfin respecter la loi « transparence santé », le public saurait qui est réellement l’expert qui s’exprime et quels sont ses liens avec le monde économique et notamment les fabricants des produits dont il fait la promotion.

Le retournement de veste en série des « officiels pivots de la stratégie tout vaccin :

https://pgibertie.com/2022/07/30/delfraissy-veut-laver-son-honneur-et-annonce-lechec-des-futures-injections-qui-dereglent-le-systeme-immunitaire/

Le bal des “morts de trouille” ouvert par Delfraissy — Riposte Laique

IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI” dit J F. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique

UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains. Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnable, les Français l’ont compris”.

@UPR_Asselineau

“LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure.” et aussi sur la variole du singe, etc..

Fischer Alain s’y met aussi : “le vaccin à la rigueur pour les vieux”. Alors qu’en juin 2022 il voulait vacciner tous les enfants…

En retournant leur veste, ils espèrent probablement se faire pardonner de leurs méfaits ou alléger leur conscience pour ne pas finir par se suicider comme l’a fait le docteur autrichien Lisa-Maria Kellermayr, avocate zélée des pseudo vaccins contre le coronavirus, qui n’a pas assumé la responsabilité des dégâts et des morts que sa propagande mensongère a occasionnés.

Et les soignants suspendus : le gouvernement va devoir craquer

L’obligation vaccinale comme condition d’engagement des soignants aux Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) a été supprimée depuis le début du mois de mai.

Pourquoi le gouvernement, l’académie de médecine et la HAS s’obstinent contre l’évidence scientifique que cette mesure ne sert à rien contre l’épidémie ?

Le 20 juillet 2022, Antoine Flahault, épidémiologiste très provax dans les médias depuis mars 2020, a appelé sur Twitter à la réintégration des soignants non vaccinés arguant que leur suspension n’est plus fondée scientifiquement,(([8] https://www.tf1info.fr/sante/coronavirus-7e-vague-de-covid-19-l-obligation-vaccinale-des-soignants-n-a-plus-grand-sens-estime-le-pr-antoine-flahault-2227)) car le vaccin ne réduit pas suffisamment les contaminations.

Le professeur Y. Freund, urgentiste à l’AP-HP s’est prononcé lui aussi pour la réintégration des soignants non vaccinés, car on ne peut pas poser de conditions éthiques à l’embauche d’un soignant.

À l’heure où les urgences ferment les unes après les autres par manque de soignants, où de nombreuses interventions chirurgicales sont reportées faute de chirurgiens, d’anesthésistes ou d’infirmières de bloc et où on ne parle même plus des autres services (comme le service de greffes à Caen) en voie de fermeture ou déjà fermés, la population et les décideurs politiques doivent bien se rappeler que 15 000 soignants au moins sont suspendus sans salaire, que 150 000 infirmiers formés ne travaillent plus comme soignant en raison de la maltraitance managériale depuis trente ans et que beaucoup de soignants en poste et injectés sont en burn-out, démissionnaires et/ou en arrêt de travail.

Il faut abolir cette obligation infondée d’injection expérimentale, réintégrer les soignants injustement suspendus, mais aussi modifier le management pour qu’il retrouve son but ultime le soin, payer correctement les professionnels du soin et cesser le cirque des missions flash ou autre grenelle de la santé. Quant aux contes de Ségur, on a déjà donné.(([9] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir))

Il serait bien que l’ensemble des soignants, médecins, infirmiers aide-soignant, secrétaires, etc. décident enfin de sauver l’honneur de la profession soignante au sens large, en décrétant une grève illimitée de tous les acteurs des hôpitaux privés comme publics, maisons de soin, dispensaires, etc. tant que les suspendus ne seront pas réengagés.

Ce serait le minimum pour faire un peu oublier leur silence coupable depuis de longs mois. En septembre 2021, lors de leur suspension tout le monde savait déjà que le vaccin ne protégeait ni de la maladie ni de la transmission. Les médias mensongers surfaient encore sur les formes graves pour faire piquer la totalité de la population, mais cela ne justifiait en rien d’injecter de force les soignants ou les pompiers et d’interdire aux autres de soigner. Aucune excuse, même pas la peur ! Alors c’est le moment de se racheter.

NE FAIBLISSEZ PAS ! BATTONS-NOUS POUR QUE LA VÉRITÉ TRIOMPHE ENFIN ET POUR RÉTABLIR L’INTÉGRALITÉ DE NOS LIBERTÉS CONFISQUÉES POUR LE SEUL BIEN d’UNE POIGNÉE DE MILLIARDAIRES.

Et ajoutons progressivement d’autres bonnes nouvelles à cette liste non exhaustive.





Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »

[Source : profidecatholica.com]

« Nous sommes gouvernés par les membres d’un lobby mondial de conspirateurs criminels qui nous disent directement que leur plan est de nous éliminer, et pendant tout ce temps, nous sommes assis ici à nous demander pourquoi nous devons porter des masques dans les bus et pas dans les restaurants ».

Monseigneur Carlo Maria Vigano.

(LifeSiteNews) – Note de l’éditeur : Ce qui suit est la transcription d’une interview vidéo que l’archevêque Carlo Maria Viganò a donnée à Armando Manocchia de Byoblu TV.

Armando Manocchia : Votre Excellence, [ici en Italie] nous sommes maintenant en faillite économique et financière, où la dette publique dépasse maintenant 2,7 milliards d’euros. À mon avis, le problème est la faillite morale et éthique non seulement de la classe dirigeante, mais aussi d’une partie importante de la population. Que pouvons-nous faire pour reconstruire un tissu social qui inclut un sens éthique et moral ?

Mgr Viganò : La faillite est le résultat inévitable de multiples facteurs. Le premier est le transfert de la souveraineté monétaire des nations individuelles à un organisme supranational tel que l’Union européenne. La Banque centrale européenne est une banque privée qui prête de l’argent à des taux d’intérêt aux États membres, les forçant à s’endetter perpétuellement. Je rappelle, en passant, que la Banque centrale européenne est officiellement détenue par les banques centrales des nations qui en font partie ; par conséquent, puisque les banques centrales sont contrôlées par des sociétés privées, la BCE elle-même est essentiellement une société privée, et agit comme telle.

Le deuxième facteur est le seigneuriage, c’est-à-dire le revenu que la Banque centrale tire de l’émission de monnaie pour le compte de l’État, qui emprunte auprès d’elle non pas pour le coût matériel de l’impression des billets, mais pour leur valeur nominale : un vol au détriment de la communauté, car l’argent appartient aux citoyens et non à un sujet privé composé de banques privées.

Le troisième facteur réside dans la politique économique et financière de l’Union européenne, qui impose des prêts à intérêt en octroyant les fonds que les différentes nations ont préalablement versés. L’Italie, qui est un contributeur net, se retrouve donc à devoir anticiper des milliards sur lesquels non seulement elle ne perçoit pas d’intérêts, mais qui lui sont rendus à usure comme s’ils n’étaient pas les siens.

Le quatrième facteur est dû aux politiques fiscales misérables des récentes administrations [italiennes], sur ordre péremptoire de la Troïka, à savoir le Fonds monétaire international, la Commission européenne et la Banque centrale européenne, qui sont les créanciers officiels des pays membres. L’importante exonération fiscale des grands groupes financiers et commerciaux et le harcèlement des petites entreprises sont à la base de l’appauvrissement progressif du pays et de l’échec de nombreuses activités, avec pour conséquence l’augmentation du chômage et la création d’une main-d’œuvre bon marché. Et n’oublions pas que c’est toujours l’Union européenne qui impose les soi-disant réformes, basées sur un faux récit — pensez au réchauffement climatique ou à la surpopulation — avec le chantage des prêts qu’elle a consentis aux pays membres : l’égalité des sexes et d’autres horreurs ont été introduites dans les législations nationales sans aucune consultation des citoyens, sachant même très bien qu’ils étaient contre.

Enfin, l’action subversive de l’Agenda 2030 de l’ONU — c’est-à-dire la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial — a pour objectif déclaré le transfert de la richesse des nations et des individus vers de grands fonds d’investissement gérés par la mafia mondialiste. Cette opération subversive doit être dénoncée et poursuivie par les magistrats, car elle constitue un véritable coup d’État silencieux contre la collectivité.

Je tiens cependant à préciser que l’aspect économique n’est qu’un moyen pour atteindre des objectifs bien plus inquiétants, comme le contrôle total de la population mondiale et son asservissement : si les citoyens sont privés de l’accès à la propriété ; si on les empêche d’avoir la liberté d’entreprendre ; si le chômage endémique est causé et augmenté par l’immigration incontrôlée et les urgences sanitaires, réduisant le coût du travail ; si les Italiens sont harcelés par des impôts exorbitants ; si on pénalise la famille traditionnelle en rendant pratiquement impossible à deux jeunes de se marier et d’avoir des enfants ; si l’on détruit l’éducation dès l’école primaire et que l’on crée un vide culturel en frustrant le talent des individus ; si l’on annule l’histoire de notre terre natale et que l’on nie le glorieux héritage qui a fait la grandeur de l’Italie au nom de l’inclusion et du renoncement à notre identité nationale, à quoi peut-on s’attendre, sinon à une société sans avenir, sans espoir, sans envie de se battre et de s’engager ?

Pour reconstruire le tissu social, il est d’abord essentiel d’avoir conscience du coup d’État en cours, réalisé avec la complicité des gouvernants et de toute la classe politique. Comprendre que nous avons été spoliés de nos droits inaliénables par une organisation criminelle internationale est le premier pas indispensable à faire. Une fois que cela sera compris, surtout par le côté sain des institutions et du pouvoir judiciaire, il sera possible de juger les traîtres qui ont rendu possible ce coup d’État silencieux, en les bannissant à jamais de la scène politique. Évidemment, l’Italie devra retrouver sa souveraineté, d’abord en quittant l’Union européenne.

A. Manocchia : Dans cette œuvre de reconstruction, dans laquelle l’Alliance antimondialiste que vous avez initiée jouera un rôle décisif, quelles seront les premières initiatives à lancer ?

Mgr Viganò : Il faudra mettre en œuvre un projet clairvoyant et de grande envergure, qui a pour but la formation intellectuelle, scientifique, culturelle, politique et même religieuse de la future classe dirigeante, en la dotant de la capacité de jugement critique et de solides références morales. Il faudra créer des écoles et des fondations d’où émergera une classe dirigeante de citoyens vertueux, de gouvernants honnêtes, d’entrepreneurs qui sauront concilier les exigences légitimes du profit avec les droits des travailleurs et la protection des consommateurs.

Ceux qui occupent des fonctions publiques, comme tout citoyen honnête, doivent être conscients qu’ils sont responsables devant Dieu de ce qu’ils font, et qu’ils doivent faire passer le bien commun avant l’intérêt personnel, s’ils veulent se sanctifier dans le rôle que le Seigneur leur a assigné et mériter le paradis. Nous devons éduquer les enfants et les jeunes à l’honnêteté, au sens du devoir et de la discipline, à la pratique des vertus cardinales comme conséquence cohérente des vertus théologales ; à la responsabilité de savoir que le bien et le mal existent, et que notre liberté consiste à nous mouvoir dans la sphère du Bien, parce que c’est ce que Dieu a voulu pour nous. Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande, a dit Notre Seigneur (Jn 15,14). Et cela vaut également pour les affaires publiques, où la moralité a été remplacée par la corruption, la recherche du profit personnel, l’abus des lois, la trahison des citoyens et le lâche asservissement à des puissances hostiles. Prenons un exemple de l’allégorie du bon gouvernement, représentée par Ambrogio Lorenzetti dans les salles du Palazzo Comunale de Sienne : nous y retrouverons cette simplicité de principes qui inspirait et guidait les pouvoirs publics dans les communes italiennes [Comuni] du XVe siècle.

A. Manocchia : En Italie, la culture apolitique des 50 dernières années a produit une classe dirigeante corrompue, et maintenant, peut-être précisément à cause de cela, nous avons un régime totalitaire. Notre cher et merveilleux pays subit les effets les plus négatifs de son histoire. Il ne semble plus faire partie de l’Europe ou de l’Occident. Les citoyens, les personnes individuelles, ne comptent plus pour rien. Les politiciens d’abord, puis les gouvernements, et maintenant des nations entières sont soumis aux diktats de l’agenda mondialiste du Nouvel Ordre Mondial. En plus de la corruption mentionnée ci-dessus, y a-t-il une corrélation avec le fait que l’Italie a été historiquement le berceau du christianisme et le centre de l’Église catholique ?

Mgr Viganò : Mais c’est évident ! La fureur mondialiste frappe surtout, de manière impitoyable et cruelle, les nations catholiques, contre lesquelles elle continue de sévir depuis des siècles pour effacer leur Foi, leur identité, leur culture et leurs traditions. Ce sont précisément les pays catholiques — l’Italie, l’Espagne, le Portugal, l’Irlande — qui ont le plus souffert de l’attaque de l’élite maçonnique, qui favorise en revanche les nations protestantes dans lesquelles la franc-maçonnerie a régné sans partage pendant des siècles. Avec la Révolution française, la monarchie capétienne a été détruite ; avec la Première Guerre mondiale, l’Empire austro-hongrois, également catholique, a été détruit, ainsi que l’Empire russe orthodoxe. La Seconde Guerre mondiale a détruit la monarchie de Savoie, qui a d’abord été complice du « Risorgimento », puis sa victime. Le changement de régime n’est pas une innovation récente, bien au contraire !

Il y a des pays qui ne tolèrent pas que des nations catholiques soient prospères et compétitives, indépendantes et en paix, parce que ce serait la preuve qu’il est possible d’être de bons chrétiens, d’avoir des lois bonnes et justes, des impôts équitables, des politiques pro-famille, la prospérité et la paix. Il ne doit y avoir aucun terme de comparaison. C’est pourquoi ils veulent non seulement la misère de la population, mais aussi sa corruption, la laideur des vices, l’égoïsme cynique du profit, l’asservissement aux passions les plus basses. Un peuple sain d’esprit et de corps, libre, indépendant et fier de son identité est redoutable, car il ne renonce pas facilement à ce qu’il est et ne se laisse pas subjuguer sans réagir. Un peuple qui honore le Christ comme son Roi sait que ses gouvernants se considèrent comme ses vicaires, et non comme des despotes obéissant à ceux qui les enrichissent ou leur donnent du pouvoir.

N’oublions pas que la Révolution française a arraché la couronne royale à Jésus-Christ, opposant les prétendus « droits de l’homme et du citoyen » aux droits souverains de Dieu. Des droits qui, libérés du respect de la loi morale naturelle, incluent aujourd’hui l’avortement, l’euthanasie (même des pauvres, comme c’est le cas aujourd’hui au Canada), le « mariage » avec des personnes du même sexe, le « mariage » avec des animaux, et même le « mariage » avec des choses inanimées (vous avez bien compris : il y a des propositions de lois approuvant ces choses faites par les 5 Stelle [parti politique italien]), la théorie du genre, l’idéologie LGBTQ et tout le pire qu’une société sans principes et sans foi peut revendiquer. La laïcité de l’État n’est pas une conquête de la civilisation, mais plutôt un choix délibéré de barbarisation du corps social, auquel on impose la prétendue neutralité du gouvernement par rapport à la religion, qui est en fait un choix religieux d’athéisme militant et anticatholique. Et lorsque la manipulation des masses ne parvient pas à les forcer à faire certaines « réformes », le chantage des fonds européens prend le relais : [fonds] accordés uniquement à ceux qui obéissent aux diktats de l’UE. En substance, ils détruisent d’abord l’économie et suppriment la souveraineté monétaire nationale et l’autonomie de décision en matière fiscale et économique, puis lient l’aide à l’acceptation d’un modèle de société corrompu et égoïste dans lequel aucune personne honnête ne voudrait vivre. « L’Europe nous demande de le faire ! » – c’est-à-dire un lobby de technocrates qui n’est élu par personne et qui s’inspire de principes totalement inconciliables avec le droit naturel et avec la foi catholique.

Mais si l’État profond a entrepris d’effacer la religion catholique de la vie publique des nations et de la vie privée des citoyens, il faut reconnaître que l’Église profonde a également apporté sa propre contribution à cette sécularisation, depuis le Concile Vatican II, au point de cautionner le sécularisme pourtant condamné par le Bienheureux Pie IX et de reléguer la doctrine de la royauté sociale du Christ à une dimension symbolique et eschatologique. Après soixante ans de dialogue avec la mentalité du monde, Jésus-Christ n’est plus Roi même de l’Église catholique, tandis que Bergoglio renonce également au titre de son Vicaire et préfère passer son temps à jouer avec la Pachamama à Saint-Pierre.

A. Manocchia : La psychopandémie créée avec art a produit des psychoses, des paniques, des terreurs et des souffrances physiques et mentales qui ont laissé une trace indélébile, de graves troubles sociaux, ce qui ne s’était jamais produit de cette manière dans l’histoire de l’humanité. Ils ont réduit l’homme à l’état de zombie. Quel est le message que l’on peut transmettre face à cette conformation et ce formatage imposés de la population ?

Mgr Viganò : Vous avez utilisé à juste titre le terme de « formatage » qui, dans un certain sens, rappelle précisément la Grande Réinitialisation inaugurée par la psycho-pandémie et qui se poursuit aujourd’hui avec la guerre et l’urgence énergétique. Nous devons nous demander ce qui a pu conduire des nations entières à apostasier leur Foi, à effacer leur identité sans remords, à oublier leurs traditions, en se laissant façonner sur le modèle de l’idée anglo-saxonne du melting pot. Cette question s’applique tout particulièrement à notre chère Italie, défigurée par des décennies de subordination idéologique, d’une part à la gauche française ou au communisme soviétique, d’autre part au libéralisme américain « néo-con ». Aujourd’hui, nous constatons que le communisme chinois et le libéralisme mondialiste ont fusionné au Forum économique mondial de Davos, menaçant le monde entier et notre pays en particulier.

Bien sûr, la Seconde Guerre mondiale a créé les conditions de la colonisation de l’Italie, selon un modèle consolidé que nous voyons encore aujourd’hui adopté par l’OTAN : détruire, bombarder et raser les dictatures réelles ou présumées, afin de les remplacer par des régimes fantoches au service d’intérêts étrangers. Redécouvrir la fierté d’affirmer son identité et sa souveraineté est une étape essentielle pour la rédemption de l’Italie et la reconstruction de tout ce qui a été détruit. C’est pourquoi je considère que le modèle de la multipolarité est une perspective intéressante pour combattre le Léviathan mondialiste qui nous menace aujourd’hui dans tous les aspects de la vie quotidienne.

La défaite de l’État profond par les forces saines au sein des États-Unis d’Amérique sera la prémisse d’une coexistence pacifique des nations, sans qu’il y ait une nation qui se considère supérieure et légitimée à soumettre les autres. C’est pourquoi Donald Trump a été évincé par fraude électorale de la présidence des États-Unis, en le remplaçant – encore un changement de régime – par un personnage si corrompu qu’il est incapable de gouverner sans être manœuvré.

A. Manocchia : Peut-on dire que l’Occident est en crise parce qu’il rejette Dieu et la loi naturelle, et surtout parce qu’il sous-estime la valeur de la vie et a commis une énorme erreur d’un point de vue moral, économique et social qui a conduit à la dérive éthique actuelle et au déclin moral ?

Mgr Viganò : Je ne pense pas que l’on puisse parler d’une « erreur » ; il s’agit plutôt d’une fraude, d’une trahison réalisée par ceux qui, en position de pouvoir, ont décidé, par culpabilité, de transformer l’Italie en une colonie en partie de l’Allemagne (en ce qui concerne l’économie), en partie de la France (en ce qui concerne la culture), en partie des États-Unis (en ce qui concerne la politique internationale) et en partie de toute l’Union européenne (en ce qui concerne la politique fiscale et les soi-disant réformes). Nous sommes toujours soumis à quelqu’un, alors que notre pays a montré à plusieurs reprises dans l’histoire – dans des périodes beaucoup plus difficiles et troublées – qu’il pouvait très bien rivaliser avec les grandes puissances étrangères.

Le problème fondamental est que les gouvernements que nous avons eus – depuis la monarchie savoyarde – ont été entièrement manœuvrés par la franc-maçonnerie, décidant des réformes, déclarant les guerres, traçant les frontières et stipulant les traités toujours et uniquement sur les ordres des Loges. Des parlementaires maçonniques notoires, des ministres francs-maçons, des professeurs d’université maçonniques, des francs-maçons primaires, des officiers supérieurs maçonniques, des éditeurs francs-maçons et des évêques francs-maçons ont obéi au serment d’allégeance à la Grande Loge et trahi les intérêts de la Nation italienne. Aujourd’hui, la franc-maçonnerie se sert de son « bras séculier », le Forum de Davos, qui établit l’ordre du jour des Nations unies, de l’Organisation mondiale de la santé, de l’Union européenne, des diverses fondations « philanthropiques », des partis politiques et de l’église bergoglienne.

Mais le fait que ce coup d’État soit si vaste et ramifié n’implique pas qu’il soit moins réel ; en effet, la situation actuelle est très grave précisément parce qu’elle implique des centaines de nations qui sont en fait gouvernées par une seule élite de conspirateurs criminels. D’autre part, il n’est pas nécessaire de parler de « théories de la conspiration » : il suffit d’écouter ce que le principal architecte du Grand Reset, Klaus Schwab, a déclaré le 23 mai alors qu’il s’exprimait au Forum de Davos : « L’avenir ne se construit pas tout seul : c’est nous [du Forum économique mondial] qui allons construire l’avenir. Nous avons les moyens d’imposer le monde que nous voulons. Et nous pouvons le faire en agissant comme une “partie prenante” dans les communautés et en collaborant les uns avec les autres ».

La crise ukrainienne fait également partie de ce plan : « Avec le bon récit, nous utiliserons la guerre pour vous rendre vert ». Le conseiller de Schwab, Yuval Noah Harari – qui résume tous les « talents » de l’intellectuel woke en tant qu’Israélien, homosexuel, militant végétalien des droits des animaux, anti-Poutine et anti-Russie, ainsi que farouchement contre Trump – est allé jusqu’à déclarer sans vergogne : « Dans dix ans, tout le monde aura un implant cérébral et une vie éternelle dans le domaine numérique… Google et Microsoft décideront quel livre nous devons lire, qui épouser, où travailler et pour qui voter… ». Harari est l’auteur de divers essais, dont « Sapiens », « Des animaux aux dieux », « Une brève histoire de l’humanité (2011) « Homo Deus », « Une brève histoire du futur » (2015). C’est le délire absurde de l’homme transhumain qui pense pouvoir vaincre la mort et se transformer en dieu.

L’escroquerie réalisée contre le peuple italien a été celle de lui faire croire, à partir du XIXe siècle, que c’était sa volonté de se libérer du joug de la tyrannie des différents États italiens pré-unification, sous l’égide des souverains piémontais obéissant à la franc-maçonnerie ; que c’était sa volonté de se rebeller contre l’autorité des Souverains légitimes au nom de la  » liberté « sans comprendre qu’il serait soumis à des corrompus bien pires ; que c’était leur volonté de se débarrasser de la monarchie savoyarde dans l’immédiat après-guerre pour mettre en place à sa place la République italienne ; que c’était leur volonté d’adhérer à l’Union européenne avec le mirage de l’Eldorado [qu’elle conduirait à la richesse et à la prospérité], pour découvrir ensuite quelle supercherie tout cela représentait. Et qui se cachait derrière ces revendications de liberté, de démocratie, de progrès ? Toujours et uniquement la franc-maçonnerie, avec ses serviteurs infiltrés partout.

Le moment est peut-être venu pour les Italiens de commencer à décider de leur avenir sans qu’il soit dicté par de véritables traîtres, et pour que les traîtres soient jugés pour ce qu’ils sont – des conspirateurs criminels – en les excluant à jamais de la politique et de toute possibilité d’interférer dans la vie du pays. Que les magistrats et les policiers se souviennent que très bientôt ceux qui ont soutenu ce régime dictatorial seront considérés comme des collaborateurs et condamnés comme tels. Un sursaut de dignité et d’honneur de leur part dès maintenant serait encore crédible.

A. Manocchia : Pourquoi l’Occident, si riche en histoire et en culture, ne considère-t-il pas les effets de cette attitude qui contredit et nie la loi naturelle ? Comment est-il possible à l’homme rationnel de la nier ?

Mgr Viganò : L’homme est rationnel, oui. Mais il est aussi soumis aux passions, à la concupiscence, aux séductions du monde. Ce n’est que dans la vie de la grâce surnaturelle que l’homme est aidé par Dieu pour se conserver dans l’amitié avec Dieu et être capable d’agir dans le bien. Mais que nous a appris le mouvement tant célébré du romantisme, sinon que la raison doit céder au sentiment et que la volonté ne peut pas gouverner les passions, que « le cœur ne se commande pas », alors que c’est le contraire qui est vrai ? Là aussi, nous voyons comment, avec les opérations de manipulation des masses relativement banales – à partir de Giuseppe Verdi, de tous les opéras et romans – la perception du devoir moral dans le peuple et dans la bourgeoisie a été effacée, pour la remplacer par l’asservissement à l’irrationnel et à la passion momentanée, avec tous les dégâts qui en ont découlé.

À l’origine de la négation de la loi naturelle, il y a le relativisme, considérant toutes les idées comme acceptables et légitimes, niant l’existence d’un principe transcendant inscrit dans l’homme par le Créateur. L’histoire, la culture et l’art deviennent alors des phénomènes à analyser dans une clé sociologique ou psychologique et ne sont plus ce qui constitue une civilisation. Mais attention : ceux qui nient Dieu comme Créateur et Rédempteur ne le font pas pour permettre à ceux qui ne sont pas chrétiens de pratiquer leur religion, mais plutôt pour empêcher ceux qui sont chrétiens de façonner la société selon les principes de la doctrine sociale et du bien commun. Derrière tout cela, il y a des gens qui détestent Notre Seigneur.

La question que vous me posez, Dr Manocchia, devrait alors être : « Pourquoi les serviteurs de Satan devraient-ils cesser de détester tout ce qui ressemble de près ou de loin au Christ, puisqu’ils l’ont toujours fait ? ». Penser que nous pouvons dialoguer avec un ennemi qui veut nous détruire est soit irresponsable, soit criminel : il y a des ennemis qui doivent être vaincus sans aucun scrupule puisqu’ils sont dévoués au mal.

La faute de l’Occident est d’avoir cru les mensonges de la Révolution – qui était aussi une Grande Réinitialisation – de s’être laissé entraîner dans un tourbillon de rébellion et d’apostasie, de violence et de mort. Mais n’est-ce pas finalement ce qui est arrivé à Adam et Eve lorsqu’ils se sont laissés tenter par le Serpent ? Déjà à l’époque, la promesse de Satan était manifestement fausse et mensongère, mais Adam et Eve ont succombé aux paroles du tentateur – Vous serez comme des dieux ! – et ils ont découvert qu’ils avaient été trompés.

Qu’est-ce que nous, Occidentaux, pensions pouvoir obtenir en coupant la tête des rois, des nobles et des prélats ? Que pensions-nous pouvoir améliorer, avec des personnages comme Fouchet, Danton, Robespierre et tout le fatras d’assassins corrompus qui était censé remplacer ceux qui étaient guillotinés ? L’un d’entre nous a-t-il vraiment pensé qu’autoriser le divorce était un progrès ? Ou que donner à la mère le droit de tuer l’enfant qu’elle porte dans son ventre était une conquête de la liberté ? Ou que le fait d’empoisonner les personnes âgées dans leur sommeil ou les malades ou les pauvres est un signe de civilisation ? Y a-t-il quelqu’un qui soit honnêtement convaincu que l’ostentation des vices les plus abominables est un droit fondamental, ou qu’une personne peut changer de sexe, modifiant de façon grotesque ce que la Nature a déjà décidé ? Ceux qui acceptent ces horreurs le font uniquement parce que ces horreurs sont imposées comme un modèle de « civilisation » et de « progrès », et ceux qui les acceptent veulent suivre la masse sans se distinguer.

Le problème est que l’homme contemporain est le fils de la Révolution, inconsciemment endoctriné au « politiquement correct », au relativisme, à l’idée qu’il n’y a pas de vérité objective et que toutes les idées sont également acceptables. Cette maladie de la pensée est la première cause du succès des adversaires, car beaucoup de gens s’allient à l’acceptation de leurs principes sans comprendre que ce sont précisément ces idées qui ont permis de transformer notre société [de manière si destructrice].

L’asservissement à l’Union européenne — et à son idéologie infernale — n’a été qu’une des dernières étapes par lesquelles l’Italie a reçu le coup de grâce. C’est pourquoi, lorsque j’entends des éloges de la Révolution, de la Déclaration des droits de l’homme, des Lumières, du Risorgimento et de l’Expédition des Mille [un moment patriotique légendaire dans l’histoire de la réunification italienne en 1860], je frémis : le mondialisme est la métastase de toutes les erreurs modernes, que seule l’Église — depuis ses débuts — a su condamner avec clairvoyance. Et en effet, si le mondialisme a connu une accélération, nous le devons précisément au fait que, depuis Vatican II, la hiérarchie s’est transformée d’ennemi juré de la conspiration maçonnique en son allié zélé.

A. Manocchia : L’Occident subit un déclin démographique constant et irrépressible, avec toutes les conséquences que cela implique. La « Vulgate » actuelle soutient qu’il s’agit d’un phénomène inquiétant pour l’Humanité, car il entraînera une plus grande pauvreté. Le déclin démographique serait-il la principale cause du déclin économique ? Ce phénomène ne semble pas préoccuper les gouvernements des pays occidentaux. Pourquoi en est-il ainsi, à votre avis ?

Mgr Viganò : Nous savons, de l’aveu explicite des mondialistes, que leur objectif principal est de réduire de façon drastique la population mondiale. Le ministre italien de la transition écologique Roberto Cingolani — qui, par coïncidence, vient de la société Leonardo [aérospatiale, défense et sécurité] — affirme que la planète est « conçue » pour pas plus de trois milliards de personnes. Qu’il ait la bonté de nous expliquer comment il propose d’éliminer la différence, et surtout qui ne l’a jamais autorisé — avec son gouvernement, l’Union européenne, l’ONU, l’OMS et toute la mafia mondialiste — à décider motu proprio de procéder dans cette direction avec l’avortement, l’euthanasie, les pandémies, les sérums expérimentaux, les guerres, les famines et l’homosexualité de masse. Qui les a nommés « cavaliers de l’Apocalypse » ? Qui a approuvé leur projet par un vote populaire, en supposant qu’un tel projet puisse jamais être proposé à l’approbation des citoyens d’une nation ?

Je ne suis donc pas surpris que les dirigeants occidentaux ne s’inquiètent pas de la baisse de la natalité, dont les données pour notre pays sont largement compensées par la présence de nombreux citoyens extracommunautaires, beaucoup plus prolifiques que les Italiens. La diminution de la population est le résultat des prémisses qui ont été fixées précisément dans ce but, tout comme les confinements ont servi à détruire l’économie déjà prostrée par la concurrence des multinationales et la fiscalité injuste. En bref, nous sommes gouvernés par les membres d’un lobby mondial de conspirateurs criminels qui nous disent directement que leur plan est de nous éliminer, et pendant tout ce temps nous sommes assis ici à nous demander pourquoi nous devons porter des masques dans les bus et pas dans les restaurants.

A. Manocchia : Ceux qui n’acceptent pas les théories nihilistes et néo-malthusiennes, peut-être parce qu’ils sont fidèles aux principes du christianisme, risquent-ils d’être écartés des postes de pouvoir ?

Mgr Viganò : Mais c’est évident : ceux qui ne soutiennent pas le récit psychopandémique, la théorie du genre, l’idéologie LGBTQ, le libéralisme collectiviste du Forum économique mondial, le Nouvel Ordre Mondial et la grande religion universelle sont ostracisés, délégitimés et passés pour des fous ou des criminels. Toute voix discordante est inconfortable lorsque le pouvoir est basé sur la violence psychologique et la manipulation de masse. Cela arrive au médecin qui n’accepte pas les protocoles de Speranza, à l’enseignant qui ne discrimine pas les non-vaccinés, au journaliste qui rapporte la vérité sur les néonazis ukrainiens, au curé qui ne veut pas se faire vacciner, au cardinal qui dénonce l’asservissement du Vatican à la dictature chinoise.

A. Manocchia : Parler de la vie et de la loi naturelle signifie aussi parler de la colonne vertébrale de la société, la famille. Outre la baisse de la natalité, quelles sont les conséquences de la crise économique sur la famille ?

Mgr Viganò : La famille est certainement au centre de l’attaque des mondialistes. La famille, c’est la tradition, l’identité, la foi, l’aide et le soutien mutuels, la transmission des principes et des valeurs. Famille signifie père et mère, chacun avec son rôle spécifique, irremplaçable et non interchangeable, aussi bien dans la relation mutuelle entre les époux que dans l’éducation des enfants, ainsi qu’envers la communauté. Famille signifie religion vécue, religion qui se communique à travers les petits gestes, les bonnes habitudes, la formation de la conscience et du sens moral.

Vous comprenez bien que frapper la famille conduit indéfectiblement à la dissolution du corps social, qui par nature est incapable de remplacer le rôle de la famille. C’est ainsi que nous avons : le divorce, l’avortement, le « mariage » homosexuel, l’adoption d’enfants par des célibataires ou des couples irréguliers, la déchéance de l’autorité parentale pour des raisons idéologiques, l’élimination des grands-parents et de la parenté de la vie domestique, les conditions de travail des mères qui ne leur permettent pas d’accomplir les tâches familiales, la pénalisation des femmes mariées ou ayant des enfants lorsqu’elles cherchent un emploi, l’endoctrinement des enfants dès l’école primaire. Dans ce domaine aussi, une action courageuse et déterminée est nécessaire pour la défense de la famille naturelle et pour la protection des droits des parents dans l’éducation de leurs enfants, qui ne sont pas la propriété de l’État.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque.

[Voir aussi :
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Life Site News : https://www.lifesitenews.com/opinion/abp-vigano-freemasonry-is-using-the-who-and-the-bergoglian-church-to-advance-its-global-coup/




Franck, pompier professionnel suspendu : « La soumission n’a jamais été et ne sera jamais la solution »

[Source : lemediaen442.fr]

Cinquième épisode de « Paroles de suspendus » avec Franck, pompier professionnel, qui préfère garder son anonymat. Cela fait un an que Emmanuel Macron a annoncé l’une des mesures les plus honteuses de ces dernières décennies : la vaccination obligatoire pour le personnel soignant. Surtout depuis que l’on sait, de source officielle, que le « vaccin » n’empêche pas la transmission du virus… En leur donnant la parole, nous avons décidé de rendre hommage à notre manière à ces citoyens qui refusent de s’injecter un traitement en phase expérimentale pour conserver leur emploi.


Le Média en 4-4-2 : Bonjour Franck, et merci d’avoir répondu à l’invitation du Média en 4-4-2. Pouvez-vous vous présenter en 4-4-2, c’est-à-dire de manière concise et efficace ?

Franck : Bonjour. OK, donc je me présente : je ne m’appelle pas Frank, c’est un pseudo. Je suis pompier depuis 1989, d’abord en tant que SPV (sapeur-pompier volontaire) et en 2001 en tant que SPP (sapeur-pompier professionnel).

Le Média en 4-4-2 : Cela fait un an, le 12 juillet 2021, que Macron a annoncé l’obligation vaccinale pour les soignants. Comment avez-vous appris cette nouvelle et quelle a été votre réaction ?

Franck : 
J’ai appris cette nouvelle par les réseaux sociaux (je n’ai pas la télé depuis au moins trente ans) et ma réaction a été un dégoût total et un torrent d’insultes envers Pinocchio Ier. Mais déjà que je ne portais pas ce gouvernement dans mon cœur, je me suis demandé très tôt pourquoi ils insistaient autant sur cette vaccination. J’ai donc tout de suite été sur la défensive…

Le Média en 4-4-2 : Le 15 septembre 2021, la « vaccination » a donc été rendue obligatoire pour votre profession. Et vous avez décidé de ne pas vous y soumettre. Comment cela s’est-il passé avec votre employeur ? Quand et comment avez-vous été suspendu ?

Franck : 
Comme je sentais le vent venir, j’ai anticipé. En août j’ai été voir un psychiatre qui figurait dans la liste « laissons les médecins prescrire », liste qui a disparu par la suite malheureusement. Il a compris mon état de détresse psychologique face à cette future agression sur notre liberté. Un mois après, il m’a arrêté et prescrit des médicaments : antidépresseurs, anxiolytiques, somnifère, la totale… le « kit » dépression dans laquelle je m’enfonçais jour après jour. Le 15 septembre a donc été effectif pour la suspension des soignants. Étant en maladie, ma hiérarchie m’a envoyé voir des experts (un docteur et un professeur en psychiatrie en quinze jours) et j’ai reçu par la suite des lettres m’indiquant que je n’étais pas à jour du « vaccin Covid ». À la deuxième lettre, je leur ai répondu que je n’étais pas en état de travailler, que cette injection est pour le personnel soignant actif et que je verrai lorsque je serai en état pour cette histoire de « vaccin ». À ce jour je ne suis donc pas suspendu, mais en arrêt maladie. Est-ce que c’est du cinéma ? Absolument pas ! J’estime que la soumission n’a jamais été la solution, que personne ne doit décider de ce que je dois faire de mon corps et je me fais énormément de soucis pour l’avenir, que ce soit pour les gosses mais aussi pour tous. Ce contexte de dictature sanitaire me donne envie de vomir.

Le Média en 4-4-2 : Cela fait donc presque un an que vous êtes suspendu : comment cela se passe-t-il au jour le jour, maintenant que vous n’avez plus de revenu et que vous ne pouvez pas travailler ailleurs ?

Franck : 
Étant en arrêt maladie, effectivement j’ai la moitié du salaire qui pour l’instant est versé par mon employeur. Pour être véritablement franc, je passe mes journées chez moi, le moral à zéro. Rien ne motive réellement ; j’aimais les randos, et quelques autres activités, mais je ne fais plus rien. Je suis aussi en deuil et tout cela réuni fait que j’ai l’impression d’être déjà mort. Mes opinions « antivax Covid » m’ont fait perdre beaucoup d’amis et mon moral dépressif fait battre de l’aile à mon couple. Je pense à ceux qui ont été suspendus sans salaire aucun, qui se suicident ; et tout cela pourquoi ? Parce que des gens corrompus jusqu’à l’os se permettent de décider de nos vies ; c’est inadmissible. En ce qui me concerne, trouver un autre travail, oui j’y ai pensé. Mais à vingt ans on peut trouver facilement et accepter d’être exploité plus qu’à cinquante et puis j’ai passé ma vie à faire des ambulances et des feux, je ne me vois pas servir des frites à Mac Do pour 1 000 euros par mois… Alors je me retrouve dans une impasse.

Le Média en 4-4-2 : Le gouvernement ne semble pas vouloir réintégrer les suspendus… Comment voyez-vous votre avenir, ainsi que celui de notre société ?

Franck : Nous avons vu qu’après avoir manifesté durant des mois, ce gouvernement de merde n’a pas réagi. Nous avons aussi vu que lorsque Pinocchio Ier a annoncé la dictature le 12 juillet, les gens au lieu de dire « non » se sont précipités sur Doctolib pour vite se faire injecter. Macron a également été réélu, cela me semble irréaliste. Élection truquée ou pas, de toute façon la solution ne viendra pas des politiques je pense. Faire un faux passe, comme certains ? On cautionne un système abject et on fausse les retours de cette injection : les faux injectés n’auront pas d’effets secondaires ! En ce qui concerne la suspension, je ne sais pas. Étant dans cette impasse, je me pose beaucoup de questions : « Et si je change de job et que deux mois après, ils rendent cette injection obligatoire pour tous ? j’aurais un salaire de misère avec un job de merde. » J’attends un miracle, mais je me dis que le réel rattrape le mensonge : les effets secondaires, même s’ils sont censurés, ils existent. Des gens sont handicapés à vie, ont de graves problèmes ou meurent à cause de cette injection : je me dis que tôt ou tard les morts parleront. Il arrivera un moment où trouver des excuses débiles ou nier ne sera plus suffisant. Mais même s’ils arrêtent cette suspension, restent quelques questions : suis je prêt à retravailler avec ceux qui sont resté sans rien faire, ces « collègues » qui étaient si virulents avant l’obligation et qui ont vite été se faire injecter ? Ai-je encore envie de porter assistance au peuple qui a permis la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui ?

Le Média en 4-4-2 : Merci Franck pour le temps que vous nous avez consacré ! Nous vous laissons le mot de la fin.

Franck : Merci à vous, vous faites du beau boulot ! Comme mot de la fin, je dirais que la soumission n’a jamais été et ne sera jamais la solution, que j’en veux beaucoup à ceux qui n’ont pas refusé ; si nous avions été nombreux à le faire, nous n’en serions pas là aujourd’hui. S’il n’y a pas une vraie prise de conscience, un avenir d’esclaves nous attend. Mais le bon sens est quand même resté chez quelques personnes lucides, il faut se raccrocher à cela. Merci au 4-4-2 !




Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy. Mise à jour

[Voir aussi sur : RL]

Par Gérard Delépine

Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique(([1] Conseil qui disparaît ce 31 juillet 22 en même temps que la loi d’urgence.)) devenu complotiste, serait-il inquiet ?

@codePS17 

« Le bal des morts de trouille !! 
Ah ça voulait piquer tout le monde de gré ou de force et maintenant ils ont le trouillomètre à zéro de peur de se retrouver derrière les barreaux pour très longtemps »

«  IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI », dit JF. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique.

« UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains.  Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnables, les Français l’ont compris ».

@UPR_Asselineau

« LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure. »

ET sur la variole du singe

@MaxDelvallee

DELFRAISSY sur la variole du singe : 

« Elle est beaucoup mise en avant parce que les médias ne veulent pas rater le début d’une éventuelle nouvelle crise (…). Je ne crois pas à la gravité et à l’existence d’une pandémie de ce type. (…) C’est une maladie peu sévère dans 99 % des cas. »

LE PARCOURS DÉPLORABLE DE JF. DELFRAISSY ET DU CONSEIL DIT SCIENTIFIQUE

Dès mars 2020 nous avons dénoncé les mesures prétendument sanitaires (confinement et autres privations de liberté), comme inefficaces car contraires à la vérité scientifique(([2] Delépine « Confinement, mesure sanitaire ou politique ? » Agoravox samedi 21 mars 2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478))(([3] Nicole Delépine, Gérard Delépine Autopsie d’un confinement aveugle Édition Fauves septembre 2020
https://docteur.nicoledelepine.fr/autopsie-dun-confinement-aveugle/))(([4]Delépine « Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » Agoravox »
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712))(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-cette-mesure-d-223105)), les tests PCR chez les asymptomatiques comme une arnaque sans intérêt médical uniquement destinée à faire croire à des poussées de l’épidémie(([6] Vers le faire-part de décès des tests PCR
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vers-le-faire-part-de-deces-des-tests-pcr)) et l’objectif officiel du zéro covid comme un mirage de la propagande marchande provax.

Depuis la mise sur le marché des pseudo-vaccins et la propagande forcenée que martèlent les médias pour nous les imposer, nous répétons que les injections anti-covid ne sont pas des vaccins mais des médicaments, qu’elles sont totalement expérimentales et issues d’une technique jusqu’alors jamais utilisée en infectiologie, qu’elles ne protègent ni de la maladie, ni des transmissions, ni des formes graves, ni de la mort.

Ces constatations scientifiques des faits publiés par l’OMS ont été constamment traitées de fake news par de pseudo- journalistes peu scrupuleux qui nous qualifient de complotistes(([7] Le  Collectif citoyen Quand la démocratie devient un complot
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/quand-la-democratie-devient-un-complot)) en suggérant même que nous serions d’extrême droite, voire antisémites pour nous diffamer. Malheureusement pour ces mercenaires de la désinformation, la vérité est têtue et ce que nous proclamons depuis près de deux ans et demi est progressivement confirmé et reconnu même par les anciens avocats des mesures sanitaires dès qu’ils quittent le monde imaginaire des simulations biaisées pour examiner le monde réel…

Un très bel exemple d’un retour très tardif au monde réel est celui de JF Delfraissy.(([8] Jean-François Delfraissy, né le 19 mai 1948 à Paris, est un médecin et professeur de médecine français, spécialisé dans l’immunologie.
Il est nommé président du Comité consultatif national d’éthique en 2016. Il prend en 2020 la présidence du Conseil scientifique covid-19, institué par le ministre Olivier Véran pour conseiller le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de covid-19.))

Confinement déclaré indispensable puis reconnu dévastateur

Début 2020 Jean-François Delfraissy avait prétendu que le confinement était indispensable malgré ses doutes qu’il a récemment confié au Parisien :

« Mais qu’est-ce qu’on a fait ?(([9] Capture BFM TV
« Mais qu’est-ce qu’on a fait ? » : Jean-François Delfraissy sans filtre sur la gestion de la covid-19))», avant de se rassurer rapidement : « Plusieurs autres membres du Conseil scientifique doutaient, eux aussi, et on s’est remonté le moral, se répétant qu’on n’avait pas d’autre choix. ». Attitude vraiment incroyable d’un prétendu scientifique censé analyser la balance avantage/risques d’une mesure avant de la conseiller.

Un an plus tard, malgré le bilan catastrophique avéré du premier confinement(([10] Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire)), il récidivait avec Denis Malvy et Karine Lacombe, plaidant pour une nouvelle astreinte à résidence de la population « e confinement apparaît vraiment irrémédiable. » !

Mais l’inefficacité sanitaire et les conséquences dramatiques des confinements ont depuis été largement démontrées par tous les scientifiques indépendants des gouvernements et des organismes qui les ont imposés.(([11] https://ripostelaique.com/il-faut-mettre-fin-immediatement-a-ce-confinement-mortifere-pour-le-pays.html))(([12] Surjit S BhallaLockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID WinsNov 1, 2020
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([14] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ONCOVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022
https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf))(([15] Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JPA. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. doi: 10.1111/eci.13484. Epub 2021 Feb 1. PMID: 33400268; PMCID: PMC7883103.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

En février 2021 dans une lettre au Lancet(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)), J. Delfraissy reconnaissait enfin, avec 5 autres membres du Conseil scientifique, que le confinement avait été nocif et qu’il fallait changer de politique :

« il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. » « Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Alors pourquoi a-t-il conseillé le premier confinement et persisté ensuite dans l’erreur plusieurs fois ?

Le scandale des passes inefficaces et discriminatoires

Le Conseil scientifique et son président ont présenté les passes comme des  mesures permettant de retrouver les libertés sans risque alors qu’ils ne constituaient que des chantages aux libertés pour forcer à l’injection les gens qui n’en avaient aucun besoin.

Lors de son audition au Sénat, à la question :

« Est-ce que le passe protège réellement ? »

La réponse de J. Delfraissy a été : 

« Non. »

Ce que confirme l’explosion des contaminations après leur instauration :

Alors pourquoi ont-ils menti aux Français en prétendant le contraire ? 

@dreslincourt   31 juil.

Dans le Parisien, le Pr Delfraissy reconnaît un traitement « inhumain » de nos anciens en Ehpad pendant le covid, et une mainmise des labos sur les stratégies vaccinales ! Quand nous informions les Français de ces choses, la presse nous qualifiait de « complotistes » ! Des excuses ? 

Le mirage du « Zéro Covid » reconnu un « échec total. »

Pendant près de deux ans le Conseil scientifique a fait croire que les mesures sanitaires et la vaccination allaient éradiquer le virus selon la stratégie du zéro covid inventée par les Chinois. Ils nous ont promis qu’on obtiendrait l’immunité collective après la vaccination de 60 % des Français, puis de 70 %, puis de 90 %. Mais tous les pays (sauf la Chine) qui nous avaient précédés dans cette stratégie ont reconnu qu’il s’agissait d’un mirage impossible à atteindre dans le monde réel.

Mais après deux ans d’atteintes majeures à nos libertés fondamentales cautionnées par son comité prétendument scientifique J. Delfraissy avoue :

« Le “Zéro Covid” est un échec total… Il faut vivre avec le virus ! »(([17] https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/mais-qu-est-ce-qu-on-a-fait-jean-fran%C3%A7ois-delfraissy-sans-filtre-sur-la-gestion-de-la-covid-19/ar-AA1086Uu))

Cette stratégie n’a jamais permis d’éradiquer une épidémie avec réservoir animalier connu comme l’est le covid. Alors pourquoi l’a-t-il conseillée sinon pour vendre des prétendus vaccins ?

Les  « vaccins sûrs et efficaces » devenus des « vax médicaments inefficaces »

Le Comité scientifique et son président ont validé tous les mensonges de Pfizer comme celui d’appeler vaccin un médicament expérimental ne contenant aucun antigène et celui « d’une efficacité de 95 % » pour inciter la population à se faire injecter. Plus tard, alors que l’échec contre la diffusion virale devenait évident, ils ont persisté :

 « Les vaccins sont efficaces contre le variant delta, si l’on a eu deux injections. Il faut se faire vacciner » 

Et quelques mois plus tard, ils ont persévéré en prétendant :

« le vaccin est toujours efficace contre le covid-19 (…) s’il a été administré trois fois ».

Encore plus choquantes ont été les déclarations de Delfraissy à Sciences-Po Lille conseillant la vaccination des plus jeunes qui ne risquent rien du covid et celle poussant à la vaccination des femmes enceintes, hérésie scientifique jusqu’ici toujours contre-indiquée.

Ce n’est qu’après la fin annoncée de son Comité anti-scientifique que J. Delfraissy avoue :

« Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion ».

Alors pourquoi ne s’excuse-t-il pas d’avoir menti pendant au moins dix-huit mois et des complications et des morts que ces médicaments expérimentaux ont causé ?

Le Pr. Delfraissy a été en pointe dans la propagande alarmiste et les décisions portant atteinte à nos libertés fondamentales en leur donnant un alibi scientifique mensonger. Il a bafoué et décrédibilisé la science en trompant les Français pour qu’ils supportent l’inacceptable.

Espère-t-il par ces aveux se faire pardonner ?

Faute avouée est à demi pardonnée dit-on. Mais JF Delfraissy n’a avoué que la moitié de ses fautes. En particulier il n’a dénoncé ni l’inefficacité ni la toxicité des masques ni l’absence de toute justification scientifique des obligations vaccinales imposées aux soignants et pompiers ni l’ignominie des mesures sociales qui ont été imposées aux vaccino- prudents. Espérons qu’il complétera bientôt sa confession.

@Phil_7338

« Il sera jugé. Je ne lui pardonnerai jamais, port du #masque obligatoire pour nos enfants petits enfants quasiment H24. Ni les #Confinement #CouvreFeu 21h 19h 18h…ni les #Attestations débiles ni les 1km,10km…#dérogations #tests gratuits, payants, 72h…24h #coronacircus »

@PascalBurlot1

« Et à propos des mails échangés avec Fauci pour supprimer le traitement précoce HCQ, belle réussite pourtant Pr Delfraissy ! Ces aveux sont pitoyables après avoir conseillé les inconcevables lock-down, masques, couvre-feux, suspensions et injections. »

@verity_france     

Covid-19 : Jean-François Delfraissy a des « regrets » dans la gestion de la pandémie qui n’est « pas terminée »/ si c’est un honnête homme il dira tout devant un juge pour expliquer les pressions, et détailler l’instrumentalisation dont il a fait l’objet

« SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME » (Pantagruel, RABELAIS)

Il reconnaît enfin que ce sont les compagnies pharmaceutiques qui ont tout pouvoir sur les décisions prétendument scientifiques en rapport à ces pseudo-vaccins. Mais pourquoi ne l’a-t-il pas dénoncé plus tôt et démissionné du Conseil scientifique comme l’a fait très rapidement le Pr D. Raoult ?

Le ministre proclame son désir de transparence. Pour nous en convaincre, il faudrait qu’il fasse lever  le secret défense ubuesque qui pèse sur les 300 réunions et les 80 avis ou notes rédigés en deux ans et quatre mois par ce Comité scientifique pour que chacun puisse en faire l’analyse.

À défaut, l’opposition parlementaire devrait l’exiger car qui peut croire que  la divulgation de ces  documents  jusqu’à présent classés secret défense(([18] Le secret défense a été créé pour protéger les informations militaires ou diplomatiques nécessaires à la sécurité militaire du pays. On ne comprend pas en quoi cela s’est appliqué à un virus, pas plus que le nouveau « commando » que veut mettre en place le ministre Braun.)) puisse  renforcer la virulence du Sars-CoV-2 ?

Les covidistes passent (tardivement) aux aveux !


Au passage, il pourrait rappeler qui nomme le collège des experts de la HAS soi-disant indépendante et qui maintient la suspension des soignants et pompiers non vaccinés ? les mêmes politiques trop proches de Big Pharma.

Quelques commentaires sur Twitter

Hélène Laporte 2 août

Après J-F #Delfraissy qui avoue que la stratégie « Zéro #COVID19 » est un échec total, c’est Alain #Fischer, « Monsieur Vaccin », qui ne recommande plus de rappel vaccinal… Visiblement les certitudes d’hier ne sont plus !

ladepeche.fr

EXCLUSIF. Covid-19 : le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale « arrête son travail »,…

Fin du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, nouveaux vaccins en cours d’élaboration pour lutter contre les variants, pas de généralisation de deuxième dose de rappel à toute la populati…

@Olivierfente 2 août

ALERTE GÉNÉRALE C’est la débandade complète pour les nofakemerdes Je pense que dans les mois ou les semaines à venir nous allons apprendre des choses complètement hallucinantes Delfraissy et Fischer ont ouvert le bal

L£ G£N£RAL 0fficiel©
@Le_General_0ff_ · 2 août

ALERTE INFO #Delfraissy  » Le Conseil scientifique avait réclamé la constitution d’un comité citoyen national, le Gvernement l’a refusé 3fois, c’est une vraie connerie une bêtise politique [..] On l’aurait pu le faire sur le vaccin  » #senat #NiOubliNiPardon #PassDeLaHonte #Raoult

@EdBernardelli  

« Il est plus facile de tromper les gens que de leur faire admettre qu’ils ont été trompés » M. Twain En ce 1er août, le passe et l’état d’urgence sont arrêtés. Stop aux manipulations ! Le combat continue pour réintégrer les soignants suspendus et éveiller les consciences !

@UnionPierre 31 O7 22

Des soignants Covid peuvent travailler alors que des soignants en bonne santé ne le peuvent pas, c’est tellement absurde! Nous demandons la réintégration immédiate avec des excuses! Soutenez notre collectif, suivez-nous   #JusticePourLesSuspendus #SoignantsSuspendus

@Sarah41659531  30 juil.

Le 1er août tous les Français pourront reprendre une vie normale sans PASSE à l’intérieur des frontières SAUF les soignants suspendus qui resteront  » punis  » (expression de @PatrickPelloux) et sans revenus pour se nourrir et nourrir leurs familles.  » Pays des droits de l’homme  »

@LucileFievet

26 juil.  Important et assez urgent Très Sérieux Pour les soignants et agents toujours suspendus au 1er août 2022

Selon l’avis de juristes, il est possible de considérer que l’obligation vaccinale prend fin au 31 juillet 2022, avec la fin de l’état d’urgence.

Piste à explorer d’urgence !

La démocratie nécessite une information impartiale relayant les faits et des commentaires honnêtes. Durant ces deux ans et demi, elle ne l’a pas jamais été. Le rôle particulièrement nocif des propagandistes de la désinformation, proclamés « fact-checkers », doit être souligné et on espère que les violations permanentes de l’éthique journalistique dont ils ont fait preuve en ne donnant jamais la parole aux personnes qu’ils accusaient ternira à jamais leur CV.

Nous avons gagné une grosse bataille avec la suppression du passe par le vote de l’assemblée (E. Macron avait prévu la prolongation de la loi d’urgence jusqu’en 2023), mais le combat doit se poursuivre par la suppression de l’obligation vaccinale des soignants et pompiers dans les faits, la suppression des tentatives de détournement de la loi votée par des arrêtes autorisant que l’Assistance Publique de Paris, des cliniques, pharmacies ou autres imposent le port du masque ou un passe alors qu’il est maintenant non seulement démontré par les faits établis, mais aussi reconnu par la quasi-totalité de leurs anciens avocats que ces mesures n’ont eu aucun effet démontré contre l’infection…

RÉAGISSONS PAR DES PLAINTES SUCCESSIVES À CES DÉTOURNEMENTS

@Steiner61421320   

Il est temps de remplacer les vigiles à l’entrée des hôpitaux par des soignants et en priorité les soignants suspendus (en les dédommageant) ! #JusticePourLesSuspendus #PassSanitaire

@DIVIZIO1

Ça commence : ce matin déjà des vigiles ont réclamé le passe à l’entrée d’une clinique ! Ça c’est cependant très bien passé en ce qu’alertés, ils ont appelé la direction qui leur a confirmé ne pas avoir à contrôler. Mais du coup : ils servent à quoi ? Ils sont payés pour quoi ?

1 août

Tiens j’y pense : le 27 septembre je vais être jugé par des avocats qui, pour parler de la crise et des libertés publiques ont invité en son temps : Alain Fischer et jean Paul Hamon ! On va devoir tout reprendre depuis le début hein! J’ai demandé la journée et la nuit





Taïwan préserve le legs de la Chine légitime et non le maoïsme fantoche

Par Lucien SA Oulahbib

[Illustration à partir de ©Google Earth]

Il ne faut pas laisser aux faux démocrates de la Secte qui s’arrogent (encore) les rênes de l’Occident s’arroger le droit de distribuer les bons et mauvais points en matière de liberté alors qu’ils imposent un régime technonumérique de plus en plus immonde aux remugles scientistes, hygiénistes, affairistes répugnants qui régissent aussi la Chine maoïsée. Car au lieu de se contenter d’un voyage provocateur pour détourner l’attention alors que la guerre fait rage à l’est de l’Europe depuis 2014, et ce, de leur fait, les USA de Biden (prononcez à la française) feraient mieux de se souvenir que Taïwan a été le refuge depuis maintenant plus de 75 ans du seul régime démocratique authentique issue de la glorieuse révolution de 1911 menée par Sun Yan-sen et que le soutenir maintenant alors qu’il aurait fallu le faire bien avant s’avère être de la plate hypocrisie cherchant à se redorer le blason « démocrate » à bon compte.

Certes, certains patriotes nationalistes français, comme Xavier Moreau et Éric Zemmour, rappellent sans cesse qu’il vaut mieux en revenir strictement au principe westphalien de non-intervention dans les affaires intérieures de nations souveraines, mais, dans ce cas précis, il faut déjà préciser que le régime maoïste n’a aucune légitimité autre que celle donnée, hâtivement, par Nixon et De Gaulle. Ensuite, la realpolitik n’empêche pas d’opérer aussi par « containment » (endiguement) comme d’ailleurs le régime maoïste l’a fait pour Taïwan et veut l’accentuer par son actuel encerclement maritime en représailles ascendantes (sauf qu’une invasion sera très coûteuse tant Taïwan est bien préparé ; n’oublions pas le sévère revers qu’avaient subi en 1979 les maoïstes par un Vietnam aguerri).

Il ne faut tout de même pas également oublier que ce régime sanguinaire est partie prenante de la « dictature codiviste » (selon la formule forgée par Philippot des Patriotes) du fait de sa collaboration avec les États profonds anglo-saxons et UE via les laboratoires dont le P4 de Wuhan de l’industrie pharmaceutique mondiale. Son hygiénisme forcené est certes critiqué, du moins en surface (sa politique dite de « zéro Covid » façon Nouvelle-Zélande) par l’OMS, mais celle-ci s’avère désireuse en réalité de ne pas passer pour un instrument officiel de cette dictature hygiéniste et affairiste globale (sachant aussi que les maoïstes font en fait une guerre du zèle sous le prétexte codiviste en fermant brutalement des ports afin de ralentir les velléités occidentales de la contrer au sein de l’OMC et dans diverses sous-traitances). Aussi l’OMS préfère-t-elle — surtout depuis que l’injection a globalement échoué et que la mer se retirant, les dégâts du « progrès » (les effets secondaires) apparaissent massivement — se refaire une virginité tout en misant ailleurs (telle l’actuelle variole du singe ou la « santé mentale » qu’elle aura pourtant contribué à aggraver par son alarmisme en 2020 et surtout sa vision purement physicaliste qui mise sur la médecine lourde des antidépresseurs et des opiacés, médecine bien plus dévastatrice, alors que des médecines et thérapies alternatives et séculaires apparaissent bien plus efficaces pour combattre une syndémie aux racines multiformes, tant l’hyperconsommation et le basculement dans le Métaverse de l’hyperréalité des séries vidéo queer n’est pas, déjà psychiquement, tenable).

Ne nous leurrons donc pas : le fait que le régime maoïste « soutienne » la Russie provient surtout du fait qu’il a besoin de gaz et de pétrole, et non pas parce qu’il voudrait lui aussi combattre la Secte dont il fait en réalité partie, même s’il a son autonomie en son sein. Certes, il existe aussi un État profond russe qui n’y va pas de main morte vis-à-vis de ses opposants, mais, cela reste sans aucune commune mesure avec ce que le régime maoïste fait, non seulement avec ses opposants, ses minorités, mais aussi le peuple chinois, tels ces épargnants qui ont investi dans l’immobilier et qui voient, de nouveau, devant eux, alors qu’ils vocifèrent à la porte des voleurs, des chars prêts à tirer.

Il ne s’agit donc pas de s’ingérer à la façon des néo-léninistes tiers-mondistes type BHL et Kouchner convertis dans l’interventionnisme aveugle à la manière de certains néoconservateurs US. D’ailleurs, et pour être précis sur ce dernier point, lorsque j’ai soutenu l’intervention US en Irak il s’agissait seulement de profiter de cette occasion pour soutenir les Kurdes gazés et massacrés par le faux laïc Saddam et casser les djihadistes payés par lui pour faire des attentats en Israël (et prendre en charge la famille du « martyr ») ; sans oublier que le parti Baas et ses deux mouvances (irakienne et syrienne) ont été partie prenante dès 1954 (à l’instar du parti nassérien, de la fabrication du FLN arabo-islamique en Algérie — éliminant les messalistes, puis les démocrates de ladite « Algérie plurielle » pour construire l’État raciste et affairiste actuel) et que son aura et ses financements continuaient à paralyser les forces démocratiques dans ce pays jusqu’à peu.

Ce soutien de ma part a été réaliste et non pas idéaliste (les ennemis de mes ennemis sont mes « amis ») ce qui ne signifie pas acquiescer aux errances stratégiques US allant de la dissolution de l’armée irakienne à la mise à l’écart du général en chef David Petraeus qui avait réussi à juguler les djihadistes en Irak et ensuite en Afghanistan (suivant la tactique de la « contre-insurrection » d’un stratège français, David Galula, qui pourrait être aussi appliquée désormais dans certaines enclaves en France même…) avant qu’il ne soit écarté par les adeptes US d’un « mauvais » universalisme, façon Bertrand Badie en France, tous ces néo-tiersmondistes globalistes croyant que l’époque des « tribus » était dépassée et qu’il fallait les remplacer par des « partis » transversaux. Alors que la structure sociale en Asie comme en Afrique s’appuie toujours sur une stratification clanique qui aura survécu aux divers colonialismes et que c’était sur elle qu’il aurait fallu s’appuyer pour progressivement construire une « démocratisation », mais ce plutôt à la façon des réformes grecques de Dracon, de Solon et surtout de Clisthène : afin en effet d’associer clans et affranchis citadins, les « vilains » (à l’instar de ce qui se passa dans les villes franches européennes à partir du XIIe siècle comme l’expliquent bien Pirenne et Weber). Ceci aurait sans doute évité l’échec afghan et l’enlisement centre-africain, ce que n’a toujours pas compris un Macron, par exemple au Mali, alors que l’autonomie Touareg aurait été la clé d’un compromis, du moins si l’Algérie n’avait pas empêché ce processus ainsi que certains centralistes à Bamako formés à Paris et plaquant sur leur pays une structure jacobine invivable. Le processus actuel existant au Soudan devrait d’ailleurs être étudié de près pour forger des solutions alternatives, du moins s’il existait encore une diplomatie française digne de ce nom.

En définitive, il faut empêcher la Secte de parler en notre « nom » lorsqu’elle s’oppose aux maoïstes, tout en sachant distinguer ceux-ci du peuple chinois dont les représentants légitimes sont en exil à Taïwan (voilà la réalité). Ceci implique cependant de procéder avec doigté… Déjà au niveau diplomatique (soft et smart power) en poussant l’ONU et surtout l’UNESCO à promouvoir des débats mondiaux, retransmis en direct, sur le concept de « démocratie » et aussi, peu à peu, sur les divers différents propres aux conflits actuels afin que les protagonistes acceptent déjà de se parler en public (ce qui n’est pas gagné), qu’il s’agisse du Yémen, du Haut Karabach, du Mali, de ce qui se passe entre Israël et les palestinistes, etc., le tout en vue de réellement progresser vers des échanges moins belliqueux entre civilisations, tout en sachant que oui, en effet, l’Occident, depuis la Révélation issue de la philosophie grecque et de la théologie judéo-chrétienne, a aussi permis à ce que l’esprit laïc dont la Science est issue, d’édifier un « bon » universalisme, c’est-à-dire, et en suivant ici (mais seulement ici) Nietzsche, le fait de s’appuyer sur des critères objectifs solides pour le développement effectif du Soi humain et citoyen, car « aller au-delà du bien et du mal ne veut pas dire aller au-delà du bon et du mauvais » (Généalogie de la morale). Il y a là toute une réflexion qu’il s’agit d’accentuer en stipulant par exemple que la conservation de puissance n’est pas incompatible avec son affinement, ce que suggère d’ailleurs le Christ lorsqu’il suggère de distinguer César et Dieu (et non pas de les séparer systématiquement) ou encore Dieu lui-même lorsqu’il permet la confrontation entre Gabriel et Jacob, lorsqu’il concède à Moïse le fait de ne pas détruire à nouveau le peuple impie comme au temps du Déluge ou de Sodome et Gomorrhe, ou comment œuvrer dans la formation d’un esprit libre à son « image »…

Ceci, loin d’être un hors sujet, est de plus en plus la clé de voûte dans le débat à tenir avec l’islam, les maoïstes et les néo-léninistes tiers-mondistes occidentaux dominant les médias et les universités. Mais il ne faut pas se leurrer, ils ne voudront pas de ce débat, tant le côté obscur de la Force les tient et les fascine, d’où la nécessaire confrontation pour s’en libérer.




L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple !

Par Nicole Delépine

Pourquoi ne se débarrassent-ils pas de la muselière ?

Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente !(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.

Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.

Plus grave encore qu’en première analyse :

« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique. 

Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime ».(([3] Coronavirus. Ceci n’est pas un masque ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Par Jean-Claude Paye et Tülay Umay, 13 avril 2021))

« L’obligation devient alors une loi suprême conditionnant notre “liberté” et instituant un rapport négatif avec soi et avec l’autre. Elle nous enjointde renoncer à notre vie d’humain. Le réel de la mort n’étant plus canalisé par la culture, il recouvre la totalité de l’existence.

Ainsi, le masque corona n’est pas l’articulation du symbolique et du réel. Il n’est donc pas un masque, car il n’est pas voilement. »(([4] « La pulsion de mort est la structure même de la pandémie. Générique et universelle, elle se « fonde sur une détresse physiologique et sur la rage impuissante » de l’infans, de celui qui ne peut parler. Elle empêche tout libre arbitre et induit une acceptation généralisée du port du masque. Cette pulsion devient la revendication d’un idéal qui est d’échapper à la condition humaine et ainsi l’acceptation d’un passage vers le transhumanisme. » CQFD))

« Quelque chose du Réel est capturé : le désir de relation. Dès lors, les gens qui mettent le masque ne portent pas la parole, mais le cri de celui qui est devenu personne. Ils exhibent à la fois le rejet de l’autre et ce qui en résulte, leur propre anéantissement ».

« Le port du masque corona produit une perte de “l’appétence symbolique”, de ce désir de relation se manifestant en dehors de la satisfaction des besoins élémentaires de la survie. La “rencontre primordiale avec l’autre” est une poussée pulsionnelle, celle de la pulsion de vie, essentielle dans la mise en place d’un lien avec l’extérieur. »

Ce désir naturel, cette pulsion de vie, est aujourd’hui attaqué par le port du masque et sa pérennisation après la suppression de la loi d’urgence et de tout danger de ce petit virus témoigne clairement de son instrumentalisation par le pouvoir mondialiste, eugéniste et transhumaniste. L’homme normal doit disparaître à leurs yeux et ils en utilisent leurs moyens.

« Le port du masque corona entraîne une indifférenciation du moi et du non-moi, du sujet et de l’objet. (…).  De cette indifférenciation, résulte une fusion avec les choses elles-mêmes. Le masque corona permet ainsi l’installation d’une structure schizophrénique, où l’individu s’identifie avec les objets du discours. Il devient son masque ». 

Ainsi le pouvoir médiatique des milliardaires prend prise sur l’Humain via l’outil MASQUE.

LE MASQUE, UN OUTIL DE POUVOIR SANITAIREMENT NUISIBLE(([5] Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation mise à jour de la bibliographie internationale fin juin 2022))

La parution d’arrêtés (d’une légalité discutable, les juristes approfondissent) autorisant un pharmacien, médecin ou établissement de santé à l’imposer, dès le vote de la loi française supprimant l’état d’urgence le 26 juillet 22, le même jour, démontre la volonté certaine en tant qu’OUTIL du pouvoir pour poursuivre la mise en condition des populations.

Ne doutons pas que des prétextes tels que la pollution, l’ozone ou le monstre du Lockness serviront aux dirigeants pour ne pas lâcher son très efficace collaborateur, la muselière.

Ce ne serait que moyennement grave, si ce bout de tissu infecté et infectant de divers miasmes ne maintenait pas la population globale dans la peur et donc dans la soumission aux instances dirigeantes. Malgré les nombreuses preuves mondiales de l’inefficacité du masque contre les virus et son danger de diffusion des bactéries et champignons (en particulier chez les personnes fragiles, cancéreuses, immunodéprimées primaires ou secondaires aux injections géniques, etc.), l’attraction du chiffon perdure pour des raisons que les psychiatres éclaireront en nous aidant à comprendre le fonctionnement.

« Le monde à travers un masque n’est pas le même. Il est inconfortable, étrange et en décalage avec notre normalité. »(([6] Le monde à travers un masque : l’impact psychologique — Nos Pensées (nospensees.fr) ))

Il peut être amusant et terrible à la fois de lire des réflexions de psychanalyste pendant le covid19 à propos du masque :

« Il se joue ainsi un étrange jeu autour du masque dans les cabinets et nous le savons le langage est aussi non verbal. Ce corps nous parle beaucoup avec l’objet masque ! Il y a ceux qui le portent facilement, ceux qui l’oublient, ceux qui ne viendront pas aussi et qui peut être prendront l’option de la ligne comme espace de liberté crée, ceux qui en parlent avec de la colère de se sentir enfermé, étouffé et objectivé et ceux qui le tordent dans tous les sens comme s’il voulait se l’arracher du visage comme si cette double peau les dérangeait. D’autres qui ne le voient plus.

Il y a aussi ceux qui, “par hasard” au moment d’ouvrir la porte du cabinet, viennent juste de casser leur masque en le mettant. Bel acte manqué non ?

C’était le cas de cette patiente, qui dans la vie, ne supportait plus le masque du simulacre. Devant la porte, son masque avait craqué. C’était donc une bonne chose et nous en avons parlé.

Et de cette autre qui réalise devant ma porte qu’elle “est partie sans”, lâchant prise pour la première fois sur tant d’interdits surmoïques.

Bravo ! Devant la porte du cabinet oui, les masques tombent comme les actes manqués se multiplient depuis toujours. Masqué(e) et démasqué(e) à la fois. »(([7] Masque et acte manqué — Psychologue.net))

La peur est incrustée après ces mois de manipulation et il est difficile d’en sortir comme le navrant spectacle de conducteurs masqués seuls dans leur voiture, de jeunes gens qui courent sur une plage, masque collé par la sueur et la canicule, et pire encore : Pelosi qui affronte les avions chinois pour atterrir à Taiwan et sort masquée sur le tarmac de l’aéroport. De sa part peur ou manipulation ? Quelle tristesse !

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID SÉRIEUX, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité. Informons voisins et amis encore dans la peur du risque pour eux-mêmes de ce chiffon infectant et déshumanisant. Ne prenons pas à la légère sa prolongation au-delà des infections dont les antibiotiques viendront à bout, les troubles induits vers la schizophrénie et la psychose ne doivent pas être sous-estimés. Nous en voyons déjà les dégâts chez certaines personnes normales avant tout covid et devenues très « spéciales » et sourdes à tout raisonnement.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID(([8] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([9] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/
L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) ))

« Les inconvénients et risques comprennent qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; étant donné l’environnement chaud et humide et la source constante, où les tissus pour la maison sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes ».(([10] Face Masks, Lies, Damn Lies, and Public Health Officinals: “A Growing Body of Evidence” | PDF | Randomized Controlled Trial | Infection (scribd.com) Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique : « Un nombre croissant de preuves »
Un nouveau mantra vil est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et de tous les politiciens de la campagne mondiale pour imposer un masquage universel au grand public :
« il y a un nombre croissant de preuves ».
Cette phrase propagandiste est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :
• Donner la fausse impression qu’un bilan des preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19 ;
• Assimiler à tort les commentaires faits dans des lieux scientifiques avec des « preuves » ;
• Masquer le fait qu’une décennie de preuves de niveau politique prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales ;
• Masquer le fait qu’il existe désormais une preuve d’observation directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’exhalation de nuages ​​de particules d’aérosol en suspension (dessus, dessous et à travers les masques) ;
• Détourner l’attention des méfaits et risques connus considérables dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières.))

L’expérience mondiale a confirmé cette affirmation du Pr Rancourt de décembre 2020.

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Les pays non masqués sont moins infectés

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes ».(([11] https://www.bbc.com/news/health-59895934))

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude prospective randomisée menée au Danemark auprès de 6 000 participants(([12] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/)) a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

L’OMS A TRAHI LA SCIENCE

Un « faire voir »

C’est bien dans le cadre d’un « faire voir » que l’OMS recommande de porter le masque, alors qu’en même temps, il reconnaît que ce dispositif ne permet pas d’arrêter le virus et de protéger celui qui le porte. L’avantage que l’organisation voit dans cette incitation réside dans la modification des comportements des populations, qui sont encouragées à fabriquer elles-mêmes leur propre masque et de prendre ainsi activement part à leur destruction ».(([1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

L’OMS,(([13] Attention l’OMS veut manipuler à nouveau le monde via le moneypox (monkeypox) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) dont le rôle pervers et toxique dans cette crise Covid est bien démontré, a annulé le 5 juin 2020 plus d’une décennie de décisions d’organismes de santé publique à travers le monde qui ne recommandait pas de masques pour la population en général.

L’OMS a fait sa recommandation 2020 sur l’intervention médicale préventive des masques faciaux pour l’ensemble de la population mondiale en reconnaissant :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte ».

L’OMS et les responsables locaux de la santé publique entravent le progrès scientifique, en promouvant des « études observationnelles » sans essais contrôlés, plutôt qu’en protégeant la santé publique. Il devrait être très préoccupant pour tous que le prétexte de l’OMS « d’un recueil croissant de données d’observation sur l’utilisation des masques par le grand public dans plusieurs pays » s’est transformé dans le mantra « un nombre croissant de preuves », qui se retrouve sur les lèvres de pratiquement tous les agents de santé publique et les maires des villes du pays. »

Ce mantra d’« un nombre croissant de preuves » est avancé comme la fausse justification miracle des lois de masquage draconiennes, dans des circonstances réelles dans lesquelles :

  • Il n’y a eu AUCUNE nouvelle étude randomisée soutenant le masquage
  • Toutes les nombreuses études randomisées passées ne soutiennent pas le masquage

Aucun des dommages connus du masquage n’a été étudié (application sur l’ensemble de la population générale).

C’est le contraire de la politique fondée sur la science.

Les politiciens et les responsables de la santé publique mettent en œuvre le pire modèle décision qui puisse être appliqué dans une société qui se prétend rationnelle et démocratique : des mesures préventives forcées sans fondement scientifique, tout en ignorant imprudemment les conséquences.

Denis Rancourt prouve dès 2020 qu’il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir le masquage forcé sur la population générale, et que toutes les études médicales de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

Rappelons en synthèse détaillée dans de nombreux articles que les obligations de masque facial pour toute la population provoquent :

  • – inconfort généralisé,
  • – troubles de la respiration,
  • – troubles de la vision (p. ex. buée sur les lunettes),
  • – communication altérée,
  • – distanciation sociale psychologique,
  • – irritation cutanée et infections,
  • – expression de soi altérée,
  • – exposition prolongée à des cultures bactériennes à proximité des yeux, du nez et de la bouche,
  • – la collecte et l’administration possibles d’agents pathogènes viraux qui, autrement, ne seraient pas inhalés, et
  • – amplification possible de la fraction granulométrique de l’aérosol expiré des particules infectieuses.

Le mantra « de plus en plus de preuves » est totalement mensonger(([14] revue de la littérature scientifique par Denis Rancourt concernant l’(in)efficacité mesurée des masques pour réduire le risque de transmission des maladies respiratoires virales, article publié le 11 avril 2020 chez ResearchGate, intitulé « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science pertinente à la politique sociale de COVID-19 ». lu quelque 400 000 fois sur ResearchGate, publié dans plusieurs lieux et objet de nombreux articles de commentaires et d’interviews. Ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.))

Le port du masque est particulièrement nuisible chez l’enfant à risque de troubles d’apprentissage. Restons vigilants dans la crainte de mauvaises idées à la rentrée dans l’enseignement(([15] Cavadini, T., Fort, M., Pascalis, O., & Gentaz, É. (2022). Quels sont les effets du port du masque sur la reconnaissance des visages et des émotions chez les enfants et les adultes ? Apports des recherches. A.N.A.E., 176, 113-125.))(([16] Discussions autour des effets du port du masque — Psychologie du Développement Sensori-Moteur, Affectif et Social — UNIGE))(([17] Impact of lip-reading on speech perception in French-speaking children at risk for reading failure assessed from age 5 to 7 | Cairn.info)). Protégeons-les de l’injection génique inutile et toxique, mais aussi du port du masque que voudraient possiblement nous imposer les enfermistes à la rentrée de septembre 2022.

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! | FranceSoir rappel d’un article d’août 2020. Ils savaient ! Il est très illogique et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres. C’est totalement aberrant de réclamer des masques pour les enfants en classe alors que, contrairement aux épidémies de grippe, l’école ne constitue aucunement un lieu de propagation du Covid19 (9) et qu’en cas de grippe qui se transmet fréquemment par les enfants à l’école jamais ceux-ci n’ont été soumis à pareille obligation ni d’ailleurs aux vaccins antigrippal.

Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par PubMed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.(([18] • Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
• Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2
• Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
• Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. • JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
• Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.
• Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
• Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)
• LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9
• Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
• Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
• Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.
• Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
• Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com))

Ces articles confirment tous, sans exception, que le Covid 19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité. TOUS CES ARTICLES ONT ÉTÉ CONFIRMÉS PAR L’EXPÉRIENCE MONDIALE.

N’oublions jamais : le masque est une technique d’enfermement

« Le traitement réservé actuellement à notre corps fait immédiatement penser à la technique d’enfermement utilisée au bagne de Guantanamo. Ce camp inaugure une nouvelle exhibition, non du corps, comme dans l’ancien régime ou dans la mise au travail du début du capitalisme, mais de son image, plus précisément une négation de l’image du corps.

Non seulement les yeux des prisonniers étaient masqués par des lunettes opaques, mais leur nez et leur bouche étaient recouverts par un masque chirurgical. Le corps du prisonnier est confisqué, non pas pour le soumettre, mais pour qu’il reste enfermé en lui-même. Rien ne doit détourner l’esprit du prisonnier d’un enfermement, devant être perçu comme n’ayant ni début et surtout ni fin ».

Par rapport à la réception, sans condamnation explicite, des images de Guantanamo, l’embrigadement dans la « guerre contre le coronavirus » est une étape supplémentaire dans le renoncement de notre humanité. (…)

Dans la « guerre contre le coronavirus » bien nommée par le président macron en mars 2020 et entérinée par le terme « commando » que devrait créer le nouveau ministre de la Santé, le langage militaire est omniprésent, et il n’y a plus de distinction intérieur/extérieur. Cette fusion d’ordre psychotique existe, non seulement au niveau individuel, mais aussi sociétal.

La fabrication de la psychose est depuis longtemps une préoccupation de nos dirigeants. Les techniques de privation sensorielles appliquées à Guantanamo permettaient de fabriquer des individus psychotiques en deux jours. Ces techniques étaient une application directe des recherches de psychologues comportementalistes, dont Donald O. Hebb de l’université McGill au Québec.(([19] in « Un taxi pour l’enfer », fim documentaire américain réalisé par Alex Gibney, 2007))

Démasquer la pulsion de mort

Le principe d’identité se loge essentiellement sur le visage, le port du masque se présente comme une donnée originaire, porteur d’un trouble obsessionnel compulsif empêchant toute inscription de l’autre.

Si le visage rend possible le lien social, le masque corona est un dévoilement qui dérobe les traits de son porteur. Il « lève le verrou du moi et laisse libre cours au jaillissement de la pulsion ».

Le port du masque corona, comme support de l’appareillage pulsionnel, est au cœur du dispositif « sanitaire ». Il a pour fonction la décomposition du corps symbolique, l’annihilation de ce qui fait de nous des êtres humains.

Le port du masque empêche toute rupture avec le discours du pouvoir et permet l’éternel retour du traumatisme. Il est un fétiche se substituant à toute symbolisation.

Or symboliser, c’est déjà établir une distance avec l’injonction surmoïque et exister comme un « nous », c’est refuser d’être « pris un par un » dans cette guerre contre le genre humain et ainsi contrer une « attaque du collectif à travers les individus » par Jean-Claude PayeTülay Umay dont il faut lire l’article in extenso.

En conclusion, l’usage du masque, au-delà des multiples inconvénients physiques, sociétaux, éducatifs, etc., que nous avons rapidement perçus comme maltraitance tant chez les enfants que chez les adultes est bien plus que cela.

Il est l’outil de la perversité consciente des dirigeants qui nous persécutent, veulent nous déshumaniser et le font en pleine conscience.

L’arrêté autorisant sa poursuite dans les hôpitaux, publié le même jour que la suppression de la loi d’urgence covid le 26 juillet 2022 en est une tragique démonstration. Ils savaient, ils savent et devraient rapidement comprendre que nous savons aussi, et que leurs regrets, voire remords, récents tels ceux de JF Delfraissy et d’A Fischer ne suffiront pas à les absoudre de leurs gravissimes décisions qui ont ruiné de trop nombreuses vies et en gâcheront encore tant les effets délétères de toutes leurs décisions liberticides vont s’étaler sur des décennies, tant par leurs conséquences psychologiques que par les complications à long terme des injections géniques.





L’ONU et le Forum économique mondial sont à l’origine de la « guerre contre les agriculteurs »

[Source : Aube digitale]

Selon des experts, les objectifs de développement de l’« Agenda 2030 » sont à l’origine de politiques de durabilité qui pourraient entraîner des pénuries alimentaires.

[Voir aussi :
De Bill Gates au « Grand Refus » : les agriculteurs en première ligne]

L’escalade des attaques réglementaires contre les producteurs agricoles, de la Hollande et des États-Unis au Sri Lanka et au-delà, est étroitement liée aux objectifs de développement durable de l' »Agenda 2030″ des Nations unies et aux partenaires de l’ONU au Forum économique mondial (FEM), ont déclaré de nombreux experts à The Epoch Times.

En effet, plusieurs des 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU sont directement impliqués dans les politiques qui mettent à mal les agriculteurs, les éleveurs et les réserves alimentaires dans le monde entier.

Des membres de haut niveau du Parti communiste chinois (PCC) au sein du système de l’ONU ont contribué à la création des ODD et aident actuellement à diriger la mise en œuvre du plan mondial par l’organisation, comme l’a précédemment documenté The Epoch Times.

Selon de nombreux experts, si l’on n’y prend garde, les politiques de durabilité soutenues par l’ONU en matière d’agriculture et de production alimentaire entraîneront une dévastation économique, des pénuries de biens essentiels, une famine généralisée et une perte dramatique des libertés individuelles.

Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (FEM), lors de l’ouverture de l’Agenda Davos du FEM à Cologny, en Suisse, le 17 janvier 2022.
(FABRICE COFFRINI/AFP via Getty Images)

Des millions de personnes dans le monde sont déjà confrontées à de dangereuses pénuries alimentaires, et les responsables du monde entier affirment que la situation va s’aggraver au fil de l’année.

Des experts ont déclaré à The Epoch Times qu’il y avait un programme derrière tout cela.

Même la propriété foncière privée est dans le collimateur, alors que la production alimentaire mondiale et l’économie mondiale sont transformées pour atteindre les objectifs mondiaux de durabilité, selon des documents de l’ONU examinés par The Epoch Times.

Comme l’explique l’ONU sur son site web consacré aux ODD, les objectifs adoptés en 2015 « reposent sur des décennies de travail des pays et de l’ONU. »

L’une des premières réunions définissant le programme de « durabilité » a été la Conférence des Nations unies sur les établissements humains, connue sous le nom d’Habitat I, qui a adopté la Déclaration de Vancouver.

Cet accord stipulait que « la terre ne peut être traitée comme un bien ordinaire contrôlé par des individus » et que la propriété privée des terres est « un instrument principal d’accumulation et de concentration des richesses, et contribue donc à l’injustice sociale. »

« Le contrôle public de l’utilisation des terres est donc indispensable », indique la déclaration de l’ONU, prélude à la désormais tristement célèbre « prédiction » du Forum économique mondial selon laquelle d’ici 2030, « vous ne posséderez plus rien. »

Depuis lors, de nombreuses agences et responsables de l’ONU ont exposé leur vision de la « durabilité », y compris des appels à des restrictions drastiques sur l’énergie, la consommation de viande, les voyages, l’espace vital et la prospérité matérielle.

Des experts interrogés par The Epoch Times affirment que certains des dirigeants d’entreprise les plus riches et les plus puissants du monde collaborent avec les communistes en Chine et ailleurs dans le but de centraliser le contrôle de la production alimentaire et d’écraser les agriculteurs et les éleveurs indépendants.

Des militaires chinois défilent sur la place Tiananmen à Pékin, le 28 avril 2020.
(Lintao Zhang/Getty Images)

Le FEM, un réseau de grandes entreprises multinationales qui collabore étroitement avec le PCC, est un « partenaire stratégique » des Nations unies pour l’Agenda 2030.

La réglementation croissante de la production alimentaire et même les efforts visant à fermer de nombreuses fermes et ranchs interviennent alors que des responsables du monde entier, comme le président américain Joe Biden et le chef du Programme alimentaire mondial de l’ONU David Beasley, mettent en garde contre les pénuries alimentaires imminentes dans le monde.

Mais au lieu d’assouplir les restrictions et d’encourager une plus grande production, les gouvernements occidentaux et de nombreux gouvernements dépendant de l’aide sont encore plus sévères.

Les agriculteurs néerlandais, déjà au point de rupture, ont réagi cet été par des protestations massives dans tout le pays. Ces manifestations ont suivi de violents troubles au Sri Lanka liés à des pénuries alimentaires causées par la politique du gouvernement.

Les gouvernements et les organisations internationales ont invoqué divers prétextes pour justifier ces politiques, allant de l’amélioration de la « durabilité » et de la protection de la faune et de la flore à la promotion de la « justice économique », en passant par la restitution des terres aux peuples autochtones.

Des tracteurs passent devant des policiers néerlandais qui montent la garde alors que la police ferme l’accès à Apeldoorn sur l’autoroute A1 pour empêcher les agriculteurs de manifester contre les plans du gouvernement néerlandais visant à réduire les émissions d’azote, le 29 juin 2022.
(JEROEN JUMELET/ANP/AFP via Getty Images)

Selon les détracteurs de ces politiques, l’objectif n’est pas du tout de préserver l’environnement ou de lutter contre le changement climatique. Au contraire, les experts avertissent que le récit de la « durabilité » et les autres justifications sont un outil pour prendre le contrôle de l’alimentation, de l’agriculture et des personnes.

« L’objectif final de ces efforts est de réduire la souveraineté des nations et des peuples », a déclaré Craig Rucker, président du Committee for a Constructive Tomorrow (CFACT), une organisation de politique publique spécialisée dans les questions d’environnement et de développement.

« L’intention de ceux qui poussent cet agenda n’est pas de sauver la planète, comme ils le prétendent, mais d’accroître le contrôle sur les gens », a-t-il déclaré à The Epoch Times, ajoutant que le but est de centraliser le pouvoir au niveau national et même international.

Objectifs de développement durable des Nations unies – Agenda 2030

Les objectifs de développement durable de l’ONU, souvent appelés Agenda 2030, ont été adoptés en 2015 par l’organisation et ses États membres comme un guide pour « transformer notre monde. » Salués comme un « plan directeur pour l’humanité » et une « déclaration d’interdépendance » mondiale par les hauts responsables de l’ONU, les 17 objectifs comprennent 169 cibles impliquant chaque facette de l’économie et de la vie.

« Tous les pays et toutes les parties prenantes, agissant dans le cadre d’un partenariat de collaboration, mettront en œuvre ce plan », déclare le préambule du document, en notant à plusieurs reprises que « personne ne sera laissé pour compte ».

Entre autres éléments, le plan des Nations unies appelle à une redistribution des richesses nationales et internationales dans l’objectif 10, ainsi qu’à des « changements fondamentaux dans la façon dont nos sociétés produisent et consomment les biens et les services. »

Vue d’ensemble de la session du Conseil des droits de l’homme pendant le discours de la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, aux Nations Unies à Genève, le 27 février 2020.
(Reuters/Denis Balibouse/File Photo)

L’utilisation du gouvernement pour transformer l’ensemble de l’activité économique est un élément essentiel des ODD, l’objectif 12 exigeant des « modes de consommation et de production durables ».

Parmi les cibles spécifiques décrites dans l’objectif 12, plusieurs sont directement liées aux politiques agricoles qui sapent la production alimentaire. Il s’agit notamment de « la gestion durable et l’utilisation efficace des ressources naturelles ».

Peut-être plus important encore, le document exige « une gestion écologiquement rationnelle des produits chimiques et de tous les déchets tout au long de leur cycle de vie, conformément aux cadres internationaux convenus. »

En conséquence, les personnes, et en particulier les agriculteurs, doivent « réduire considérablement leurs rejets dans l’air, l’eau et le sol afin de minimiser leurs effets néfastes sur la santé humaine et l’environnement. »

D’autres ODD sont directement liés à ce que les critiques ont appelé la « guerre contre les agriculteurs », notamment l’objectif 14, qui porte sur « la pollution marine de toutes sortes, en particulier celle due aux activités terrestres, y compris … la pollution par les nutriments. » Les Nations unies décrivent régulièrement l’agriculture et la production alimentaire comme une menace pour l’océan.

L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), dirigée par l’ancien vice-ministre de l’agriculture et des affaires rurales du PCC, Qu Dongyu, contribue à mener la charge.

Dans son rapport de 2014 intitulé « Elaborer une vision commune pour une alimentation et une agriculture durables : Principes et approches », l’agence onusienne appelle à des restrictions drastiques sur l’utilisation des engrais, des pesticides, des émissions et de l’eau dans le secteur agricole.

Pour illustrer la manière dont l’agriculture doit être réformée pour être considérée comme durable par l’ONU, le rapport de la FAO déclare que :

« l’utilisation excessive d’engrais azotés est une cause majeure de pollution de l’eau et d’émissions de gaz à effet de serre ».

La FAO, dont le siège est à Rome, n’a pas répondu à une demande de commentaire.

Le président français de l’époque, Nicolas Sarkozy (à gauche), prononce un discours lors d’un sommet de trois jours sur la sécurité alimentaire à l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), à Rome, le 3 juin 2008.
(CHRISTOPHE SIMON/AFP via Getty Images)

Un autre des 17 ODD ayant un impact direct sur l’agriculture et la production alimentaire est l’objectif 2, avec ses appels à une « agriculture durable » et à une « production alimentaire durable. »

L’objectif 6, quant à lui, appelle à la « gestion durable de l’eau », ce qui inclut diverses cibles impliquant l’utilisation de l’eau agricole et le ruissellement.

L’objectif 13 est également important, car les dirigeants des Nations unies considèrent que l’agriculture et la production alimentaire sont des facteurs clés de ce qu’ils appellent le changement climatique d’origine humaine. Il invite les gouvernements à « intégrer les mesures relatives au changement climatique dans les politiques, les stratégies et la planification nationales ».

L’objectif 15, qui traite de l’utilisation durable des écosystèmes terrestres, comporte également de multiples cibles qui touchent l’agriculture et la production alimentaire.

Dans le monde entier, les gouvernements nationaux et régionaux travaillent avec les agences des Nations unies pour mettre en œuvre ces objectifs de durabilité dans l’agriculture et d’autres secteurs.

Par exemple, en réponse aux accords de l’ONU sur la biodiversité, l’Union européenne a mis en œuvre divers programmes de biodiversité soutenus par l’ONU, tels que Natura 2000 et la stratégie de l’UE en matière de biodiversité pour 2030, qui ont été cités par le gouvernement néerlandais et d’autres dans leurs politiques agricoles.

L’ONU se vante également publiquement de son rôle dans l’imposition des ODD au Sri Lanka et dans d’autres nations souffrant de pénuries alimentaires et de calamités économiques liées à ces mêmes programmes de durabilité mondiale.

Dans le monde entier, presque tous les gouvernements nationaux affirment qu’ils intègrent les ODD dans leurs propres lois et règlements.

Le « partenariat » du Forum économique mondial

Aux côtés des Nations unies, diverses « parties prenantes » jouent un rôle essentiel dans la mise en œuvre des politiques de développement durable par le biais de « partenariats public-privé ».

Au cœur de cet effort se trouve le FEM, qui, depuis 2020, pousse à une transformation totale de la société connue sous le nom de « Grande réinitialisation. » En 2019, le FEM a signé un « partenariat stratégique » avec l’ONU pour faire avancer l’Agenda 2030 au sein de la communauté mondiale des affaires.

Logo du Forum économique mondial pris au Centre des congrès le 24 janvier 2007.
(JOEL SAGET/AFP via Getty Images)

L’accord officiel définit « des domaines de coopération pour approfondir l’engagement institutionnel et accélérer conjointement la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable ».

Bon nombre des principaux responsables de l’Agenda 2030, y compris des dirigeants de l’ONU comme l’actuel secrétaire général António Guterres – un socialiste autoproclamé – travaillent également avec le FEM depuis des décennies.

Entre-temps, le FEM a été explicite quant à ses objectifs. Il a récemment lancé une « Alliance pour l’action alimentaire » (FAA) qui reconnaît sur son site web que l’Agenda 2030 « informe l’ambition de la FAA de fournir une plateforme durable et à long terme pour une action multipartite sur les systèmes alimentaires afin d’atteindre les ODD ».

Parallèlement au « Sommet des systèmes alimentaires » de l’ONU en septembre 2021, la FAA du FEM a publié un rapport décrivant son propre « programme de leadership pour une collaboration multipartite visant à transformer les systèmes alimentaires. »

Parmi d’autres éléments, le document résume les idées de la FAA sur « le soutien aux partenariats de systèmes alimentaires transformateurs, et sa proposition de valeur au-delà du Sommet des systèmes alimentaires de l’ONU 2021 vers la réalisation des objectifs de développement durable de l’ONU ».

L’intérêt public du FEM pour la transformation de l’agriculture et de l’approvisionnement alimentaire remonte à plus d’une décennie, au moins.

En partenariat avec diverses entreprises, le FEM a publié en 2010 un rapport décrivant une « nouvelle vision de l’agriculture » qui comprenait une « feuille de route pour les parties prenantes ». Bon nombre des plus grandes entreprises alimentaires du monde, qui dominent le marché et possèdent d’innombrables marques populaires, sont impliquées.

Le site web du FEM regorge d’informations censées justifier une transformation totale de l’approvisionnement alimentaire par les « parties prenantes. »

« Les systèmes alimentaires mondiaux étant de plus en plus interconnectés, une coordination efficace entre un ensemble diversifié de parties prenantes sera nécessaire », indique le FEM sur sa plateforme « Strategic Intelligence », citant fréquemment la FAO comme source.

« Le potentiel d’élaborer de nouvelles approches systémiques des systèmes alimentaires qui incluent un ensemble diversifié de parties prenantes présente des opportunités pour aider à nourrir durablement le monde à l’avenir. »

Les références fréquentes de l’organisation aux « parties prenantes » font référence aux gouvernements, aux entreprises et aux organisations dites non gouvernementales qui sont souvent financées par ces mêmes entreprises et gouvernements. Ils travaillent tous ensemble sur cette question.

Par exemple, le FEM se targue d’avoir associé des géants du secteur tels que Coca-Cola et Unilever à la promotion d’un « avenir plus durable ».

La Fondation Rockefeller, qui a récemment publié un rapport sur la manière de « remettre la table » et de « transformer le système alimentaire américain », est également un acteur clé.

Les « Food Innovation Hubs » du FEM, répartis dans le monde entier, sont appelés à jouer un rôle majeur dans cette transformation globale.

S’adressant au Forum économique mondial sur le thème de la « transformation des systèmes alimentaires et de l’utilisation des terres » lors de la semaine de l’agenda de Davos l’année dernière, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a annoncé que les Pays-Bas accueilleraient le « Secrétariat de coordination mondiale des pôles d’innovation alimentaire du WEF ».

Ce secrétariat, a-t-il déclaré, « reliera tous les autres Food Innovation Hubs » afin de faciliter la création « des partenariats dont nous avons besoin. »

Ni le FEM ni la Fondation Rockefeller n’ont répondu aux demandes de commentaires sur leur rôle dans l’Agenda 2030 et sur les politiques agricoles menées dans le monde.

Parmi les autres organisations et entités impliquées dans ce mouvement figurent de puissantes fondations exonérées d’impôts, telles que la Fondation Gates, les gouvernements régionaux de type européen qui prolifèrent dans le monde, ainsi que divers groupes qu’ils financent.

Faire pression sur les agriculteurs et l’approvisionnement alimentaire

Partout dans le monde, les politiques gouvernementales alignées sur les ODD de l’ONU mettent à mal les agriculteurs, en particulier les petits producteurs indépendants incapables d’absorber les coûts supplémentaires d’une réglementation et d’un contrôle accrus.

Célébrant les idées de durabilité de l’ONU, le président sri-lankais Gotabaya Rajapaksa, récemment évincé, a annoncé lors du sommet climatique COP26 de l’ONU en 2021 que son gouvernement interdisait les engrais chimiques et les pesticides.

La police utilise des canons à eau pour disperser des agriculteurs participant à une manifestation anti-gouvernementale demandant la démission du président du Sri Lanka, Gotabaya Rajapaksa, en raison de la crise économique du pays, à Colombo, le 6 juillet 2022.
(-/AFP via Getty Images)

« Le Sri Lanka a récemment restreint les importations d’engrais chimiques, de pesticides et de désherbants en raison de préoccupations en matière de santé publique, de contamination de l’eau, de dégradation des sols et d’impact sur la biodiversité », a déclaré Rajapaksa aux dirigeants mondiaux, sous les acclamations générales.

« Bien qu’opposé par des lobbies retranchés, cela a créé des opportunités d’innovation et d’investissement dans l’agriculture biologique qui sera plus saine et plus durable à l’avenir. »

En réalité, même si elles ont été rapidement démantelées, ces politiques ont produit des pénuries alimentaires catastrophiques, une faim généralisée, et finalement une révolte populaire qui a chassé le président et son gouvernement.

En 2019, le gouvernement socialiste sri-lankais s’est également associé au Programme des Nations unies pour l’environnement pour mettre en place la campagne mondiale de l’ONU sur l’azote, qui promeut les politiques sur l’azote soutenues par l’ONU qui prolifèrent maintenant dans le monde entier.

Aux Pays-Bas, siège du secrétariat du « Food Innovation Hub » du FEM, les autorités imposent des politiques sur l’azote qui devraient décimer le secteur agricole très productif du pays. Les plans prévoient également l’expropriation généralisée des exploitations agricoles.

« Les plans d’expropriation du cabinet sont une véritable déclaration de guerre au secteur agricole », a déclaré le député néerlandais Gideon van Meijeren, du parti Forum pour la démocratie, cité par De Dagelijkse Standaard. « Sous de faux prétextes, les agriculteurs sont spoliés de leurs terres, des fermes séculaires sont démolies et les familles d’agriculteurs sont totalement détruites. »

Les experts ont mis en garde contre les conséquences dangereuses découlant de ces politiques de durabilité, notamment les pénuries alimentaires, la montée en flèche des prix, les troubles sociaux, etc.

« Vous pouvez entrevoir un avenir vert et durable en observant la Hollande et le Sri Lanka aujourd’hui », a déclaré Bonner Cohen, chercheur principal au National Center for Public Policy Research, à The Epoch Times.

Et pourtant, l’ordre du jour se répand rapidement. La semaine dernière, les autorités fédérales canadiennes ont annoncé des restrictions similaires sur les engrais et l’azote après la mise en place de restrictions sur la production d’énergie, suscitant l’indignation des responsables provinciaux et des agriculteurs.

En Irlande, au Royaume-Uni et dans d’autres pays européens, diverses entités gouvernementales s’efforcent également de réduire la production agricole dans le cadre de programmes de durabilité.

Entre-temps, outre la poursuite des politiques qui paient les agriculteurs pour qu’ils ne produisent pas de nourriture, l’administration Biden cherche à imposer aux entreprises des mesures et des rapports « environnementaux, sociaux et de gouvernance » soutenus par le FEM, par l’intermédiaire de la Commission des valeurs mobilières des États-Unis.

Les associations agricoles et plus de 100 membres du Congrès affirment que ce plan conduirait à la faillite des propriétaires de petites et moyennes exploitations agricoles incapables de se conformer aux exigences en matière de rapports sur le climat pour faire des affaires avec des entreprises publiques, alors même que le monde se dirige vers des pénuries alimentaires généralisées.

Selon les experts, l’insistance sur ce type de politiques s’explique en partie par le fait que ceux qui les imposent sont largement isolés des dommages qu’ils causent.

« Les élites mondiales, qu’il s’agisse des gouvernements, des organisations transnationales ou des conseils d’administration des entreprises – bien représentées au sein du FEM – sont tellement absorbées par le signal de vertu climatique, dont beaucoup espèrent tirer un bénéfice financier en investissant dans les énergies vertes, qu’elles sont lentes à remarquer qu’elles sont complètement détachées de la réalité », a déclaré M. Cohen, du National Center for Public Policy Research, spécialisé dans les questions environnementales.

« Peu de ceux qui imposent des réglementations aux agriculteurs ont jamais mis les pieds dans une ferme. En vertu du pouvoir et de la richesse dont ces personnes disposent déjà, elles sont à l’abri des conséquences des politiques malavisées qu’elles imposent au reste du monde. Ce fardeau est supporté par les gens ordinaires du monde entier, dont la foule de Davos et ses partenaires criminels ne savent rien. »

Les experts estiment que les petites exploitations agricoles indépendantes sont en danger

La catastrophe du Sri Lanka offre un avant-goût de ce qui arrivera aux États-Unis et à l’Europe si les décideurs politiques continuent à suivre le programme de développement durable des Nations unies, selon Sterling Burnett, titulaire d’un doctorat en éthique environnementale et dirigeant le Arthur B. Robinson Center on Climate and Environmental Policy de l’institut à but non lucratif Heartland.

« Ce n’est pas une guerre contre l’agriculture ; c’est une guerre contre les petites exploitations agricoles et les agriculteurs indépendants », a-t-il déclaré à The Epoch Times. « C’est une guerre en faveur de l’élite, des industries agricoles à grande échelle ».

Des agriculteurs se rassemblent avec leurs véhicules près d’un panneau indiquant la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas lors d’une manifestation sur l’autoroute A1, près de Rijssen, le 29 juin 2022, contre les plans du gouvernement néerlandais concernant l’azote.
(VINCENT JANNINK/ANP/AFP via Getty Images)

Même si les ODD de l’ONU parlent d’aider les « petits producteurs alimentaires », Burnett a fait valoir que les fermes et les ranchs indépendants sont dans le collimateur de l’ONU pour aider à consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire.

Les décideurs politiques sont « dans la poche » des grandes entreprises, dont Conagra, BlackRock, State Street, Vanguard et d’autres, a-t-il déclaré.

« Ils préféreraient que tous leurs petits concurrents fassent faillite », a-t-il ajouté, faisant écho aux préoccupations exprimées par de nombreux autres experts.

Le PDG de BlackRock, Larry Fink, dont la société gère plus d’argent que n’importe quelle autre entreprise dans le monde, « veut imposer ses valeurs aux entreprises qui utilisent l’argent des autres », a déclaré M. Burnett.

M. Fink, qui siège au conseil d’administration du puissant Council on Foreign Relations et travaille en étroite collaboration avec le FEM, est l’un des principaux architectes de la campagne visant à imposer des mesures « environnementales, sociales et de gouvernance » aux entreprises américaines.

« Ce sont les super-riches qui imposent leurs valeurs au reste d’entre nous », a déclaré M. Burnett, en désignant ceux qui, selon lui, sont heureux de travailler avec des communistes dans le cadre de cet effort.

« En ce qui concerne le Forum économique mondial, vous ne pouvez pas avoir une grande réinitialisation si vous ne réinitialisez pas l’approvisionnement alimentaire, car la nourriture est nécessaire à tout le monde », a-t-il déclaré. « Staline l’a reconnu : Celui qui contrôle la nourriture contrôle le peuple. C’est la même chose avec l’énergie. »

Alors que les prix s’envolent et que les agriculteurs font faillite, les grandes entreprises, de concert avec les gouvernements et les organisations internationales, ramasseront les morceaux.

En attendant, comme on l’a vu récemment au Sri Lanka, les personnes affamées poussées au bord du gouffre sont susceptibles de réagir.

« Les gens n’étaient pas affamés le 6 janvier », a déclaré Burnett, faisant référence à la manifestation et à la brèche du 6 janvier 2021 au Capitole des États-Unis. « La crise de la chaîne d’approvisionnement est en train de se produire, les rayons se vident déjà, et quand les gens ont faim, ils ne vont pas rester assis à ne rien faire. »

Le fondateur et président de l’American Policy Center, Tom DeWeese, un expert de premier plan et critique des notions de durabilité de l’ONU, a averti que la guerre contre les agriculteurs faisait partie d’un programme plus large visant à priver les gens de leur liberté.

« Toujours dans le passé, lorsque des forces tyranniques voulaient diriger le monde, elles construisaient des armées et envahissaient, brisaient des choses, tuaient des gens et imposaient la soumission », a déclaré DeWeese à The Epoch Times. « Nous avons maintenant affaire à une force diabolique qui a trouvé un moyen de nous faire renoncer volontairement à nos libertés et de les aider à nous subjuguer ».

« Quel pourrait être un outil aussi puissant ? La menace d’un Armageddon environnemental », a-t-il déclaré, en citant le discours sur le changement climatique comme principal exemple.

Citant de nombreux fonctionnaires et documents de l’ONU, DeWeese affirme que l’objectif n’est pas de sauver le climat, mais de transformer la planète et de centraliser le contrôle sur la population.

Outre l’ONU et le FEM, de grandes entreprises telles que Vanguard et BlackRock s’efforcent de prendre le contrôle de l’approvisionnement alimentaire, a-t-il ajouté.

Déjà, une poignée d’entreprises dont ces deux sociétés d’investissement sont les principaux actionnaires dominent l’industrie mondiale de l’alimentation et des boissons. En prenant le contrôle de l’agriculture, elles contrôleront tout.

« L’objectif est de contrôler totalement la production alimentaire », a-t-il déclaré, notant qu’ils cherchent à posséder toutes les semences et même à cultiver de la viande synthétique dans des installations déjà soutenues financièrement par Bill Gates et d’autres milliardaires.

Bill Gates lors d’un événement à New York, le 6 novembre 2019.
(Mike Cohen/Getty Images for The New York Times)

Les cultures génétiquement modifiées figurent également en bonne place sur l’agenda.

L’ONU, le FEM et d’autres organismes avancent également dans la promotion des insectes et des mauvaises herbes en tant qu’aliments. Dans tout le monde occidental, les installations de production de protéines d’insectes se multiplient rapidement.

Mais la situation est encore plus sombre, selon M. DeWeese.

« Si les gens sont affamés, il est beaucoup plus facile de les soumettre », dit-il, ajoutant que la dépopulation et le contrôle de l’humanité sont à l’ordre du jour des élites mondiales depuis des décennies.

La « guerre contre les agriculteurs » intervient également dans le cadre de ce que les critiques décrivent comme une « guerre contre l’énergie » soutenue par le gouvernement, qui affecte l’agriculture et pratiquement tous les autres secteurs.

Cela comprend la limitation de l’exploration énergétique, la fermeture de centrales électriques, la perception de droits et de taxes spéciales, ainsi que d’autres politiques qui ont entraîné une augmentation rapide des coûts dans le monde occidental, mais pas dans des pays comme la Chine.

Les experts interrogés par The Epoch Times ont exhorté les Américains à résister à la guerre contre les agriculteurs et aux politiques de développement durable soutenues par les Nations unies par divers moyens. Il s’agit notamment de s’engager politiquement, d’adopter de nouvelles habitudes d’achat, de trouver d’autres sources d’alimentation, comme les agriculteurs locaux, et d’autres mesures.

Les responsables de l’ONU n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




Loi contre les contenus « terroristes » en ligne, en marche vers une censure généralisée au sein de l’UE ?

[Source : FranceSoir]

[Photo :  AFP – Ugo Padovani / Hans Lucas]

La loi sur « la prévention de la diffusion de contenus à caractère terroriste » menace directement la liberté d’expression.


Par Wolf Wagner, journaliste indépendant

Sous couvert de lutter contre le terrorisme et de se conformer au droit européen, l’Assemblée nationale vient de voter une loi sur « la prévention de la diffusion de contenus à caractère terroriste ». Ce texte donne à présent le droit aux autorités de censurer, dans l’heure et sans aucune intervention de la justice, tout contenu publié sur internet dès lors que celui-ci peut être considéré comme « terroriste ».

Une loi qui menace directement la liberté d’expression. Explications.

Gérald Darmanin ne s’y trompe pas. Il s’est félicité sur Twitter que « ce texte important permet de contraindre éditeurs et hébergeurs web à retirer les contenus terroristes dans l’heure ».
Le ministre de l’Intérieur fait ici référence au texte adopté par l’Assemblée nationale le 27 juillet 2022.

Une loi qui vise à se conformer à la législation européenne entrée en vigueur le 7 juin dernier. Pour Caroline Cayeux, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales, qui était présente sur les bancs de l’assemblée pour défendre les positions du gouvernement, « il était indispensable que des autorités indépendantes chargées d’assurer et de contrôler la légalité du retrait des contenus soient désignés par chaque État-membre ».

L’autorité indépendante en question censée contrôler ces contenus est l’Arcom, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, le successeur du CSA. C’est-à-dire une instance dont les membres sont nommés par les présidents de la République, du Sénat et de l’Assemblée nationale, par le Conseil d’État et par la Cour de cassation.

Autrement dit : les membres d’une autorité à l’indépendance et à l’impartialité politique fortement contestable.

Et pour parvenir à ses fins, l’autorité indépendante entend s’appuyer sur sa plateforme Pharos, qui recense les signalements de contenus illicites réalisés par des internautes.

Être jugé coupable sans intervention judiciaire et sans possibilité de se défendre en amont de la sanction

Grâce à l’adoption de cette proposition de loi par l’assemblée, l’Arcom a donc bien à présent la possibilité de forcer tout site Internet, réseaux sociaux en tête, à supprimer dans l’heure un contenu qu’elle jugerait terroriste.

Contrairement à ce que permet habituellement le droit français, un plaignant pourrait ainsi se voir être injustement condamné avant d’avoir la possibilité de se défendre. En résumé, la sanction interviendra avant toute intervention de l’institution judiciaire, et donc avant tout procès.

Une situation inacceptable déjà dénoncée en avril 2021, depuis le Parlement européen, par l’eurodéputée EELV Gwendoline Delbos-Corfield :

« Bien entendu, il sera possible après d’attaquer cette décision en justice, et peut-être de se voir rendre justice, si c’était illégitime. Mais « après ». En attendant, l’UE aura créé l’opportunité d’une forme de censure préalable, ce qui va à l’encontre des éléments fondamentaux de la liberté d’expression. »

Sans oublier qu’en cas de censure subie, il est difficile d’imaginer que le Français, ou que l’Européen, moyen injustement condamné souhaitera s’engager dans une longue procédure judiciaire s’il n’obtenait pas rapidement gain de cause face à la censure de l’une de ses publications. Il est fort à parier que celui-ci préférera accepter sa sanction et passer à autre chose plutôt que d’entrer dans un long combat potentiellement perdu d’avance.

Et pour les entités plus puissantes, capables d’engager une procédure judiciaire contraignante, il est envisageable – notamment concernant la presse indépendante – que toute information publiée et censurée à tort par l’Arcom, perdra en valeur et en intérêt si elle ne devait réapparaître sur Internet que bien plus tard, une fois la procédure judiciaire terminée et remportée par l’accusé. Le mal aura dans tous les cas été fait, l’information aura été censurée au moment de sa diffusion.

Un contenu supprimable partout en Europe à la demande de n’importe quel ministère de l’Intérieur de l’UE ?

Beaucoup plus inquiétant, Gwendoline Delbos-Corfield alerte sur le fait que :

« demain, le ministère de l’Intérieur d’un pays va pouvoir faire supprimer en une heure un contenu qu’il aura décrété terroriste dans le pays voisin, en s’adressant directement à la plateforme qui l’héberge et sans qu’aucune autorité judiciaire, des deux côtés, n’ait jamais eu un regard dessus. »

À l’en croire, cette loi permettrait tout simplement une ingérence permanente entre États européens sur la manière de régulariser la liberté d’expression des citoyens de l’UE sur Internet. Un mode opératoire qui, s’il venait à véritablement voir le jour, soulèverait de nombreuses questions.

En effet, l’eurodéputée rappelle que :

« dans certains États de cette Union européenne, on peut être ciblé officiellement comme traître à la nation ou ennemi de l’État pour avoir simplement questionné une décision gouvernementale. Dans certains États de cette Union européenne, la constitution peut être interprétée comme jugeant acte terroriste le fait d’organiser un référendum. Dans certains États de cette Union européenne, des membres de gouvernements et des hauts fonctionnaires ont qualifié d’actes terroristes de mineures dégradations matérielles faits par des activistes environnementalistes ».

Une définition du « terrorisme » qui prête ainsi largement à interprétation selon l’eurodéputée et selon plusieurs ONG auxquelles Public Sénat faisait écho, le 13 juillet dernier, dans un article paru suite à l’adoption du texte par le Sénat :

« Ces publications « à caractère terroriste » regroupent, selon la définition prévue par les textes législatifs, toute incitation à la commission d’infractions terroristes, la sollicitation d’une personne ou d’un groupe pour commettre des actes terroristes, la fourniture d’instruction pour la fabrication ou l’utilisation d’armes ou d’explosifs. Cette définition large est critiquée par de nombreuses associations et Organisation Non Gouvernementales (ONG), qui y voient une menace pour la liberté d’expression ».  

Qu’est-ce qu’un terroriste ?

L’eurodéputée soulève ici une très bonne question : qu’est-ce concrètement qu’un terroriste ? Comment le différencier d’un déséquilibré ou d’un opposant politique violent ?

Un terroriste est-il forcément djihadiste ? Un terroriste doit-il obligatoirement proférer des attentats sur le territoire national pour être considéré comme tel ? Ou encore, un attentat terroriste doit-il obligatoirement toucher des personnes ou la seule atteinte aux biens suffit-elle ?

Autant de critères non définis qui laissent à terme la porte ouverte à une multitude d’interprétations possibles.

D’autant qu’il n’est pas nécessaire de remonter jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, quand les résistants de l’époque étaient appelés « terroristes » par le régime nazi et par celui de Vichy, pour trouver des analogies parfois hasardeuses, voire mensongères, au sujet d’individus qualifiés de terroristes.

En effet, pour Michel Wieviorka, sociologue et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, interrogé en 2021 par CNews au sujet de l’incendie d’un centre de vaccination à Urrugne dans les Pyrénées-Atlantiques, il s’agit « certainement de groupes tout à fait petits qui organisent ce genre de chosesOn est dans de l’action structurée, organisée, violente… j’ai envie de vous dire : la colère se refroidit et se transforme en quasi terrorisme ».

Le mot « terrorisme » a donc déjà été lâché par un éminent sociologue au sujet de l’incendie, plutôt léger, d’une simple tente abritant un centre de vaccination.

Une interrogation qui avait alors été reprise telle quelle par un influent site Internet de l’époque, celui de Jean-Marc Morandini, qui avait choisi de diffuser l’interview du sociologue et qui débute son article en se posant cette question : « La colère est-elle en train de se transformer en actes terroristes ? ».

D’un incendie d’une tente, nous avons donc rapidement basculé vers un discours où l’amalgame était permis entre opposants antivax et le terme de terroriste, généralement consacré aux individus animés de velléités meurtrières contre les intérêts français.

Il serait simple de se dire que ces mots n’engagent que le sociologue qui les a prononcés, mais, dans un pays où la novlangue est devenue reine et où la définition des mots peut parfois évoluer très rapidement, il convient de rester méfiant quant à l’interprétation que l’on peut faire d’un texte de loi de ce type à plus ou moins court terme.

Qui peut aujourd’hui dire ce que sera le sens du mot « terrorisme » dans deux ans ? Et qui sera alors susceptible de répéter les arguments autrefois défendus par Michel Wieviorka ? Nul ne peut le prédire, et c’est bien là tout le danger de ce texte.

Comment s’interdire d’imaginer que dans le cas où nous aurions à revivre une situation proche de celle rencontrée au cours des années 2020 et 2021, avec un pouvoir aussi vertical que strict, certains opposants, plus ou moins violents et hostiles à la politique du gouvernement, ne seraient pas de nouveau qualifiés de terroristes par une partie toujours plus importante de l’intelligentzia ?

Faut-il par exemple rappeler les différentes sorties médiatiques d’un Raphaël Enthoven pour s’en convaincre ? Comme lorsqu’il écrit que les antivax seraient revenus « à l’État de nature », c’est-à-dire qu’ils seraient en opposition avec le contrat social qui régit nos civilisations depuis le XVIIe siècle. En un mot, selon Enthoven, les antivax seraient des êtres sous-développés philosophiquement aux aspirations moyenâgeuses, pour ne pas dire animales.

Grâce à cette loi et à la lecture de ces différentes déclarations, serait-il possible dans le futur de supprimer toute prise de position publique de la part d’antivax ou d’antipass sur le simple prétexte qu’ils représenteraient un danger terroriste, ou a minima un danger pour la sécurité intérieure du pays ?

La démarcation entre terrorisme et sécurité intérieure est trop poreuse pour pouvoir affirmer qu’ils ne seraient pas victimes d’une chasse aux sorcières encore plus agressive.

Quoi qu’il en soit, le simple fait que cette question puisse être posée démontre de facto que la réponse est incertaine. Ce qui est déjà en soi, un sérieux problème démocratique.

Par ailleurs, un individu qui serait considéré comme terroriste en Hongrie ou en Allemagne, le serait-il obligatoirement aussi en France ?

Pas forcément.

En Allemagne, l’extrême droite considérée par les autorités comme plus dangereuse que le terrorisme djihadiste

En effet, récemment en Allemagne, un groupe qualifié « d’antivax proche de l’extrême droite » a été arrêté car il aurait projeté de réaliser des attentats sur le sol allemand.

Le 15 avril 2022, Le Parisien écrit à ce sujet :

« En Allemagne, à l’issue d’une enquête menée depuis octobre 2021, cinq Allemands appartenant à la mouvance anti-restrictions sanitaires et faisant partie d’un groupe de messagerie intitulé « Patriotes unis », ont été suspectés de planifier des attentats d’extrême droite. (…) Leur réseau, organisé sur la plate-forme Telegram, envisageait notamment des enlèvements de personnalités publiques comme le ministre de la Santé Karl Lauterbach, partisan des restrictions face au Covid-19. »

Le groupe rassemblait environ 70 personnes à travers le pays. Ils parlaient entre eux « d’un renversement de l’ordre démocratique, de la mise en place d’un nouveau gouvernement, jusqu’à des déclarations selon lesquelles (le président russe Vladimir) Poutine devrait aussi réussir ici en Allemagne pour permettre l’avènement d’un nouveau système », a résumé le ministre de l’Intérieur de Rhénanie-Palatinat, Roger Lewentz. ».

Pour Le Figaro qui relate également la nouvelle : « Les opérations policières visant la frange radicale de la mouvance anti-restrictions sanitaires se sont multipliées dans le pays qui a érigé la violence d’extrême droite au premier rang des menaces pour l’ordre public, avant le risque djihadiste. ».

Si les accusations portées à l’encontre de ces Allemands étaient par la suite confirmées par la justice d’outre-Rhin, ce groupe mériterait alors d’être condamné, mais l’information la plus importante divulguée ici par Le Figaro, c’est que l’Allemagne considère à présent la menace de l’extrême droite comme plus dangereuse que celle incarnée par le terrorisme djihadiste.

Ce qui est loin d’être le cas en France.

Preuve que les sensibilités politiques varient bel et bien d’un pays à l’autre.

D’autant que quelle que soit la réalité actuelle, en suivant la logique allemande et en tenant compte des propos de Gwendoline Delbos-Corfield, une nouvelle question se pose inéluctablement : que se passerait-il dans le cas où le ministre de l’Intérieur allemand en voyant une publication sur les réseaux sociaux d’antivax français – qu’il qualifierait, à juste titre ou non, de membres de l’extrême droite – décidait, en tant qu’autorité allemande et au nom de sa propre interprétation politique nationale, de demander au réseau social de supprimer la publication de cet internaute français ?

Au nom de l’Europe, si l’on en croit l’eurodéputée, il serait très certainement exaucé. Il deviendrait ainsi possible de voir des autorités étatiques étrangères avoir le droit d’intervenir administrativement pour faire sanctionner des citoyens d’autres nations.

Un mode opératoire qui semble néanmoins totalement inapplicable en l’état, tant les nations de l’UE ne possèdent pas les mêmes standards. Exemple concret avec la Hongrie et sa politique vis-à-vis de la communauté LGBT. Qui Facebook devra-t-il suivre si d’un côté les autorités hongroises considèrent comme terroriste, ou a minima comme dangereux, le militantisme LGBT, pendant que celui-ci serait au contraire défendu dans un pays tel que la France ?

Il y a là une contradiction évidente qui ne pourrait au final être levée qu’en cas de perte définitive des souverainetés nationales au profit de celle de l’UE.

Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage. Qui veut tuer un mouvement politique le qualifie d’extrême droite

Le souci avec les étiquettes politiques, que ce soit en Allemagne, en Hongrie ou en France, ce sont donc les critères choisis pour les définir.

Difficile par exemple d’un point de vue franco-français de pouvoir affirmer ou infirmer le bien-fondé du jugement allemand sur les individus récemment arrêtés et sur leur obédience politique réelle. Néanmoins, il suffit de faire le parallèle avec la France pour constater que, concernant ce sujet, certains jugements peuvent parfois être hâtifs, quand ils ne sont pas clairement mensongers.

En effet, y a-t-il déjà eu par le passé en France des cas de personnes injustement qualifiées d’extrémistes de droite dans le seul but de chercher à les discréditer aux yeux de l’opinion ?

La réponse est oui.

Il est par exemple aisé de se souvenir que de nombreuses voix, notamment à gauche, s’étaient élevées avant même le début du mouvement des Gilets Jaunes pour crier au complot d’extrême droite. Une appellation fallacieuse, largement documentée, mais qui avait par exemple vu la CGT – dont le communiqué a depuis été supprimé de son site Internet (sans intervention de l’Arcom) – écrire une petite vingtaine de jours avant la première mobilisation des Gilets Jaunes :

« L’appel lancé un samedi, sans réelle ambition de bloquer l’économie, s’appuie sur une colère légitime mais dont les ressorts sont obscurs et les solutions préconisées pour sortir de cet engrenage sur le long terme demeurent floues, voire dangereuses pour le monde du travail.

Plusieurs partis d’extrême droite semblent être à la manœuvre. »

Dans le même registre, trois ans plus tard, il y a aussi eu une tentative d’associer antipass et extrême droite (123) en tentant de mettre tous ceux qui étaient opposés aux restrictions sanitaires dans ce seul et même sac.

Pourtant, avec le recul et une fois posé, ce raisonnement ne tient pas.

Les soignants suspendus ne sont pas une assemblée de militants d’extrême droite. Les pompiers suspendus, idem. Et que dire des membres du collectif Où est mon cycle, à laquelle la presse dominante a décidé de s’intéresser dernièrement ? Ou encore ces 700 artistes qui ont conjointement appelé à refuser le passe vaccinal ? Ils seraient d’extrême droite ?

Bien évidemment, la réalité est tout autre, tant du côté des manifestants sortis dans les rues, que de celui de ces artistes aux militantismes politiques différents. Veronique Genest ou Alexandre Jardin, tous deux connus pour être idéologiquement de droite, côtoient au sein de cette tribune Bruno Gaccio, Yvan Le Bulloch ou encore Alain Damasio, dont les prises de position à gauche ne sont plus à démontrer.

Preuve que, contrairement au narratif assené à l’époque par une partie de la classe médiatique et politique, l’ensemble de ces personnalités, de ces collectifs, de ces personnels soignants ou, plus généralement, de ces anonymes qui se sont rassemblés dans la rue se sont en réalité retrouvés d’abord et avant tout derrière une volonté de s’opposer au passe vaccinal sans pour autant s’être préalablement entendus sur une idéologie politique et partisane commune.

Or, d’un côté en Allemagne, en érigeant l’extrême droite en menace supérieure de la nation, et de l’autre en France, en rattachant injustement toute une frange de la population à ce camp politique, comme ce fut le cas lors du mouvement des Gilets Jaunes ou lors de celui des antipass, il y a là avec l’application de cette loi, déjà tous les ingrédients nécessaires pour permettre à terme de justifier une future censure à l’encontre de ce type de mouvement, qu’il voit le jour en Allemagne ou en France.

Cette loi est bien plus dangereuse d’un point de vue démocratique qu’il n’y paraît.

Dans la continuité, avec un tel pouvoir d’action dénué de tout contrôle, combien des articles de FranceSoir publiés durant la crise sanitaire auraient pu être supprimés par l’Arcom grâce à cette nouvelle loi ? Combien de ces papiers auraient pu résister à l’accusation d’avoir diffusé des « fake news complotistes » mettant en danger la sécurité intérieure ?

Comme par exemple l’article qui révélait la probabilité que le virus puisse s’être échappé du laboratoire P4 de Wuhan et qui avait à l’époque vu un grand nombre de « fact-checkeurs » assurer à l’opinion publique que l’information était assurément fausse… avant de finalement se rétracter quelques mois plus tard pour expliquer que cette hypothèse était à présent privilégiée.

Combien de temps ce papier aurait-il pu survivre en ligne avec ce type de lois et avec cette définition si évasive du mot « terrorisme » ?

Là encore, impossible d’affirmer quoi que ce soit, mais au vu des années passées et compte tenu de la manière avec laquelle la macronie, et une bonne partie des pouvoirs européens, a su imposer avec force et virulence ses positions, il est plus qu’envisageable d’imaginer que cette loi puisse, in fine, permettre de pouvoir encore davantage « emmerder les non-vaccinés », ces « irresponsables qui ne sont plus des citoyens ».

Tour de passe-passe démocratique

Dernière particularité concernant le vote de cette loi : sa méthode.

En effet, comme le rapporte Public Sénat :

« Certains sénateurs se sont interrogés sur la méthode : utiliser une proposition de loi – c’est-à-dire un texte venu des parlementaires plutôt que du gouvernement – pour transposer dans la loi un règlement européen. Ainsi les sénateurs « Les Indépendants », pourtant soutiens de la majorité présidentielle, ont émis leurs « réserves » sur cette méthode qui prive les parlementaires de toute étude d’impact et d’un avis du conseil d’État.  ».

Pour Guy Benarroche, représentant le groupe écologiste du Sénat, dont les propos sont rapportés par Public Sénat, cette méthode est un « tour de passe-passe qui entache la sincérité du processus démocratique. ».

Avis partagé du côté des sénateurs communistes qui s’adressent au gouvernement avec « le sentiment que le règlement européen vous donne le prétexte de nous faire voter ce qui a déjà été supprimé – à raison- par ailleurs. ».

Les communistes font ici référence au Conseil Constitutionnel qui avait en grande partie retoqué la loi dite AVIA contre la haine en ligne et dont certains articles reprenaient la loi votée actuelle.

Un Conseil Constitutionnel qui représente aujourd’hui un bien faible dernier rempart pour retoquer un texte aux aspects des plus dangereux au vu de la menace anti-démocratique qu’il fait peser sur la liberté d’expression des citoyens français… et européens.




La fosse commune du Réel des mots : comment la dénoncer ?…

Par Lucien SA Oulahbib

Pour certains pourvoyeurs de fausse monnaie intellectuelle, de fond (comment penser, panser, etc.) ce qu’ils énoncent s’implante non seulement comme de la propagande à l’état chimiquement pur (ou quasiment…), mais aussi comme le seul réel possible. Ou le règne du performatif exponentialisé. Ainsi, et comme l’avait révélé l’Observatoire du Journalisme, « les attentats islamistes deviennent des faits divers ». Dire le contraire devient un blasphème et vous désigne alors comme cette cible « nauséabonde » (entendez « d’extrême droite ») à éliminer par les divers snipers made in Twitter et autres officines autodésignées vérificatrices (nettoyeuses).

Ces saboteurs, ces meurtriers du sens, tentent donc de « nous » faire prendre des vessies pour des lanternes, et si vous refusez d’admettre cette substitution de réel par un autre vous voilà devenu un ennemi affublé d’étiquettes diverses avant d’être éliminé, effacé plus subtilement ou la mort sociale. Trivial.

C’est une sorte de sadomasochisme pan textuel (au sens de toucher tous les signes, les pensées, y compris les plus intimes) qui force donc chacun d’entre nous, pour échapper au couperet, à jongler avec les synonymes plus ou moins feutrés selon l’interaction (ou « le travail pneumatologique dans l’interaction »). Un sadomasochisme (préconisé par Deleuze, Derrida et Foucault lisant Blanchot et Bataille) qui revivifie ainsi la culpabilisation permanente propre aux purifications spirituelles diverses, mais déviées par leurs dérivations sectaires lorsque certains de leurs fanatiques arrivent à l’imposer comme devant être la nouvelle normalité (eschatologique, téléologique, entéléchique…).

Comment contrecarrer cette nouvelle dictature spirituelle ?… Que répondre en effet à ce qui tient lieu d’accusation, lorsqu’ayant considéré que « non, les attentats islamistes ne sont pas des faits divers », ou encore plus strictement « oui, cet assassinat est un attentat islamique et non pas un fait divers (ou d’été) », il vous est vertement rétorqué : « mais vous êtes islamophobes alors ! » ? Ou alors sur d’autres thèmes : « mais vous êtes “antivax” », ou encore « négationnistes » (climat) ?…

La « riposte » (laïque, toujours… : tolérance et formation d’un esprit critique) peut tout d’abord se concevoir à la façon d’une feinte en escrime : » je ne sais pas si critiquer le fait de frapper les femmes lorsqu’elles désobéissent ou encore de tuer les homosexuels, ainsi que tous les « impies », en particulier les « idolâtres » et tous ceux qui chez les Juifs et les Chrétiens refusent la nouvelle « Direction en Grâce » qui aurait été révélée (définition large de Mohammed) et qu’il s’agirait d’imiter, soit une « phobie »…

N’est-ce pas tout simplement le refus d’admettre ces pratiques comme ne faisant non seulement pas partie de notre acquis civilisationnel, mais qu’aussi elles ne peuvent en aucun cas l’enrichir ?… En un mot : quel est l’apport, décisif, de l’islam pour « la paix dans le monde », dirait Miss France non encore sous burkini ?…

Cette réponse, feutrée, sera bien sûr mal reçue en soi ou alors opposée à maints versets sur la « paix » (salam) ou sur le fait de ne pas « tuer un innocent », car ce serait « tuer le genre humain » sauf que la « paix » est uniquement celle de l’islam (« soumission »), littéralement : « que la paix de l’islam vous enveloppe » (ce qui implique de ne pas l’offenser), tandis que le réel recouvrant le terme « innocent » reste assez vague, d’où les débats interminables entre « doctes » musulmans sur la « licéité » ou pas des attentats à l’aveugle…

Quant à l’accusation sur le « négationnisme » en matière climatique, répondez qu’il ne faut pas confondre climat et météo, la différence étant de stabiliser sur trente ans telle ou telle tendance, ou encore que le CO2 permet au Sahel de reverdir, et qu’il faut en tout cas laisser les spécialistes en parler (acquis civilisationnel), comme François Gervais et d’autres le font. Idem en matière de virus où il convient mieux d’écouter un « vrai » spécialiste ayant en plus une pratique de recherches permettant d’appuyer ses dires, qu’un médecin lambda « plateauicien » (et non pas platonicien), même s’il se targue sur les plateaux des médias de « grand chemin » d’être responsable de tel ou tel service…

Mais rien à faire ! Comment en effet convaincre un fanatique qui vous dit par exemple qu’il « faut croire en la Science » ? Impossible. Aussi vaut-il mieux selon les audiences et sa survie sociale opérer au fleuret (bistouri) moucheté comme ci-dessus, tout en répétant silencieusement le mot de Galilée « et pourtant elle tourne ».

On peut aussi opérer à la hache, façon Idriss Aberkane dans son entretien avec des journalistes de l’Ex-presse, un avantage certain qui fera rire la Galerie lorsque la partie adverse se ridiculise en se prenant le tapis dans les pieds, mais pour y arriver il faut avoir une certaine dextérité et aussi une telle surface médiatique que l’on devient « too big to fail », ce qui fait que chaque coup porté par la partie adverse loin d’affaiblir renforce…

N’est-ce pas le cas pour Poutine également ?… La volonté de l’effacer produit l’effet inverse, d’où d’ailleurs la nécessité d’ouvrir un front secondaire comme réactiver les dissensions au sein du Kosovo, chercher les noises à la Chine sur Taïwan, mais aussi effacer toute critique à l’égard de régimes ou de factions qui alimentent « la paix dans l’islam », au Yémen, au Nigéria, au Mali, en Centre-Afrique… En France, attaques au couteau (effacées en faits divers) tels celles existant en Arabie Saoudite, au Qatar, en Israël occupé par les palestinistes qui ont refusé « la paix des braves » au moins à deux reprises (1947 à l’ONU, et 2000 à Camp David sous Clinton) et qui continuent d’être financés par l’Occident (sadomasochisme), aidés en cela par les faux nationalistes qui n’ont toujours pas compris pourquoi Hitler a perdu : le « déclin de l’Occident » ne provient pas de la « faute » des Juifs, même Spengler a été obligé de l’admettre, et même s’il est toujours aisé de trouver un bouc émissaire ; pas étonnant qu’Hitler eut beaucoup d’admiration pour l’islam qui a toujours rejeté son incapacité à redevenir maître de son destin sur la présence juive.

La « droiche ou gaute » fait de même en trouvant dans le « capitalisme mondial » et son « libéralisme » repeint en « ultra » (Giscard) ou en « néo » (comme si le poids de « la » finance venait d’apparaître) la cause ultime de son incapacité à faire peuple (ce souverain) — ainsi Deleuze et Badiou, voire Onfray — alors qu’il lui suffirait de se demander pourquoi ses principaux organes de presse falsifient le réel ne serait-ce qu’en nommant « vaccin » une injection expérimentale (ce qui contribue plutôt à abattre le réel et l’enterrer dans une fosse commune au lieu de le défendre pied à pied — mot à mot — afin de reconstituer son sens réellement souverain c’est-à-dire permettant la réalisation effective de ce qui sied au développement effectif de la Nation au lieu de seulement déplorer son démantèlement sans en étudier les causes intrinsèques qui courent depuis au moins trois siècles)…

Mais l’orgueil, la vanité, disaient Smith, Hobbes et Rousseau, sont trop forts pour que ces gens puissent d’eux-mêmes accepter de reconnaître la nuisance de leur action. Il faudra donc les faire plier. En ce sens, le fleuret et la hache peuvent, à un certain moment, faire Un.




Totalitarisme occulte

[Source : off-guardian.org]

[Sur la photo : Klaus Schwab (au centre gauche) lors de la réunion fondatrice du WEF.]

Par Todd Hayen

Occulte (adjectif) : 1. surnaturel ou magique, 2. non compréhensible, 3. secret, 4. caché, 5. difficile à voir.

Ces cinq définitions pourraient toutes décrire le totalitarisme dont il est question dans cet article, mais je pensais que les définitions 4 et 5 étaient les plus précises… et peut-être un peu la 3, étant donné que l’une des caractéristiques de l’effort mondial massif en faveur d’un gouvernement central est le secret, car personne à la tête de cet effort n’admettra jamais qu’il s’agit d’un mouvement totalitaire.

Sa véritable intention est en effet cachée, et peut-être, pour la plupart, difficile à voir. Mais l’une des choses les plus étranges dans tout cela, c’est que si vous aviez ne serait-ce qu’un minimum d’intelligence, vous comprendriez très clairement ce qui se passe et quelles sont leurs intentions.

Je dois admettre qu’avant le fiasco du 11 septembre, je faisais partie de ceux dont le cerveau était très endormi. J’ai donc une certaine empathie pour les personnes qui ont passé la majeure partie de leur vie à dormir.

Les choses sont différentes maintenant ; il n’y a rien de plus évident que les efforts de ces gens pour s’emparer du monde, et il n’y a aucune excuse pour rester endormi. Sans blague.

Dans le passé, une prise de pouvoir totalitaire était tout sauf cachée. En général, il fallait qu’un tyran à la grande gueule comme Lénine, Staline ou Hitler se mette à débiter comment lui et sa vision idéologique allaient rendre le pays qu’il avait ciblé et tous ses habitants beaucoup, beaucoup mieux. « Suivez-moi, écoutez-moi, faites ce que je dis, haïssez ceux que je dis de haïr, croyez ce que je dis de croire… » – et ainsi de suite – très bruyamment et avec beaucoup d’insistance.

Alors, en quoi est-ce différent maintenant ?

Pas vraiment de différence, sauf peut-être dans le nom qu’ils lui donnent. Ils ne l’appellent pas une dictature, ou un état fasciste (enfin, ils n’utilisaient pas exactement ces mots à l’époque non plus). Maintenant, ils l’appellent généralement une démocratie, mais ce n’est que de nom. La partie « occulte » est démontrée en ne disant jamais aux gens que les restrictions qu’ils subissent et la perte de leurs libertés sont au profit de l’État ou de l’idéologie, mais plutôt au profit du peuple – pour la communauté, pour les autres.

La conformité est créée par des mensonges et des subterfuges.

Bien sûr, Hitler, Lénine et les autres ont dit des choses similaires au début, et peut-être qu’après un certain temps, nos « dirigeants » commenceront à adopter les mêmes tactiques que ces criminels de renommée mondiale à travers l’Histoire, mais je crois que le chemin actuel vers le pouvoir totalitaire n’est pas aussi évident et manifeste qu’il l’a été dans le passé. Il est plus subtil maintenant, plus déguisé pour la plupart des gens, comme la grenouille bouillante dont j’ai parlé sans cesse.

Voici ce que CJ Hopkins a à dire sur cette version moderne du régime totalitaire ; il l’appelle GlobalCap, consultez son livre étonnant, The Rise of the New Normal Reich [La montée du nouveau Reich de la normalité] :

Il n’y avait plus de doute à ce moment-là. GloboCap avait fini de jouer à l’attrape-couillons. Ils ne faisaient pas que réprimer une rébellion « populiste ». Ils devenaient totalitaires avec nous… et aussi totalitaires que le capitalisme mondial peut l’être. Il [GloboCap] ne peut pas devenir totalitaire comme au 20e siècle et commencer à se pavaner dans des uniformes militaires ridicules en criant victoire et en chantant des hymnes mondialistes, car (a) il n’a pas d’idéologie, ou plutôt, son idéologie est la « réalité », et (b) il doit maintenir la simulation de la démocratie, ou du moins un semblant de démocratie. Il nous fait donc le coup du pathologisme-totalitarisme ».

Comme Hopkins le cite dans cette citation, cette prise de pouvoir est mondiale et n’est pas centrée sur la nation ; elle est centrée sur le monde. Ce fait est tout à fait unique dans l’histoire et c’est ce qui se rapproche le plus d’une source de pouvoir central d’un groupe de fonctionnaires non élus dans diverses organisations mondiales telles que le WEF, l’OMS et même les Nations unies.

Ce qui se rapproche le plus du tyran à grande gueule des temps anciens, c’est Klaus Schwab du WEF, et il n’est pas du genre Hitler ou Staline, bien qu’il corresponde certainement à l’image personnelle et visuelle d’un méchant de James Bond avec ses étranges vêtements de science-fiction, ses étranges sbires qui l’entourent, et son accent et son style de discours plutôt déroutants.

Est-il le véritable leader de la secte qui tente de s’emparer du monde ?

Ou, comme certains l’ont suggéré, ce Grand Poobah est-il Satan lui-même ? (C’est ici que le mot descriptif « occulte » et sa première définition dans le dictionnaire, « surnaturel », peuvent être la description la plus appropriée de notre totalitarisme actuel).

Les tyrans de la littérature avaient de la concurrence – c’est un autre facteur de distinction entre aujourd’hui et alors, et c’est probablement la raison la plus convaincante pour laquelle la tentative actuelle de prise de contrôle du monde pourrait réussir – maintenant il n’y a aucune force opposée autre qu’une poignée de mégères en haillons, nous. Dans le passé, les forces des mégères étaient beaucoup plus convaincantes, comptant généralement des millions de personnes engagées avec une puissance militaire plutôt redoutable.

Qui sait ce qui se serait passé si les alliés n’avaient pas vaincu Hitler en 1945 (consultez le livre fascinant Fatherland pour des spéculations divertissantes, mais effrayantes, sur ce sujet). Cette « Grande Réinitialisation » actuelle peut suivre son cours sans entraves jusqu’à ce que les individus, en masse, se réveillent et l’arrêtent.

L’Union soviétique, depuis la révolution de 1917, s’est acharnée à convertir le reste du monde au marxisme. Elle s’est concentrée sur les syndicats du monde entier où elle pensait avoir le plus de chances d’amener une unification des travailleurs à l’échelle mondiale.

Ils ont eu quelques succès en cours de route, mais finalement l’histoire d’amour du monde avec la richesse personnelle et le consumérisme a vaincu l’idéologie « ouvrière » des communistes, qui était l’égalité et les salaires équitables sur le lieu de travail – vous savez : « de chacun selon ses capacités, pour chacun selon ses besoins ».

De toute évidence, la violence et l’agression militaire ont toujours été le courant dominant de l’impérialisme dans le monde entier. Bien que les Soviétiques aient eu leur part de prise de pouvoir par la force, ils se sont davantage appuyés sur le renversement des gouvernements et les changements de régime, ce qui a également été une méthode favorite de la CIA américaine.

Nous savons tous que les stratégies d’Hitler et des national-socialistes étaient essentiellement militaristes – les coups de pied arrêtés sur le terrain étaient les plus efficaces pour eux. Nous n’allons pas voir beaucoup de cette tactique dans cette prise de pouvoir particulière (derniers mots célèbres).

Comme nous l’avons déjà dit, la prise de pouvoir sera relativement subtile, bien qu’il y aura un moment, vers la « fin du jeu » (ou peut-être quelques incidents contemporains dispersés ici et là) où les dissidents pourront être tués à la manière de Staline – secrètement et discrètement (le fameux « acte de disparition ») ou emmenés dans des camps de concentration pour « endoctrinement » (la mort mystérieuse de Kary Mullis vous dit quelque chose ?).

Il faut leur reconnaître qu’ils ont été très malins avec cette histoire de virus et tout ce qui se passe autour. Les gens n’ont aucune idée de qui est le véritable ennemi. Leurs tactiques sont beaucoup plus psychologiques que même politiques ou idéologiques.

Bien que nous voyions l’idéologie s’insinuer avec ces changements majeurs dans la morale, les valeurs familiales, « ce que signifie être une bonne personne », la Cancel Culture, la Critical Race Theory [Théorie critique des races], BLM, la transphobie, etc. Ne vous y trompez pas, tout cela fait partie de l’agenda pour nous rendre tous fous, étourdis et confus, et ça marche.

Évidemment, je ne fais qu’effleurer la surface ici. Asseyez-vous et profitez du voyage si vous êtes trop vieux et fatigué pour prendre la fourche et descendre dans la rue.

Le Dr Frankenstein est en train de créer un nouveau monstre sur la colline, juste sous notre nez, et « nous, le peuple », sommes les seuls à pouvoir l’arrêter avant que le monstre ne nous arrête définitivement.

Todd Hayen est un psychothérapeute agréé exerçant à Toronto, Ontario, Canada. Il est titulaire d’un doctorat en psychothérapie des profondeurs et d’une maîtrise en études de la conscience. Il est spécialisé dans la psychologie jungienne et archétypale. Todd écrit également pour sa propre plateforme en ligne, que vous pouvez lire ici.




Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts

[Source : businessbourse.com]

Catherine Austin Fitts : « Nous sommes au milieu d’un coup d’État mondial où les banquiers centraux veulent mettre en place la MNBC(([1] Monnaie Numérique des Banques Centrales)) ! Avec, ils auront un contrôle absolu ils l’utiliseront de manière centralisée ! Ils prévoient de tous nous pucer !! »

Catherine Austin Fitts (CAF), éditrice du rapport Solari et ancienne secrétaire adjointe au Logement (Dans le gouvernement de George H. W. Bush — 41e président [des USA].), affirme que nous sommes en guerre contre les mondialistes de l’État profond qui ne veulent rien de moins qu’un contrôle total sur toute l’humanité. Les banquiers centraux veulent un système financier qui soit un syndicat de contrôle criminel anarchique où il devient légal pour eux de faire ce qu’ils veulent. C’est simplement un choix entre la tyrannie et la souveraineté, la liberté ou l’esclavage. Nous commençons par la pierre angulaire de la tyrannie, la monnaie numérique de banque centrale (CBDC) (La banque de France vous l’explique) que les banquiers mondiaux veulent mettre en place au sein du système financier. 

Voici ce que Catherine Austin Fitts explique : 

« Ce n’est pas une monnaie. C’est ce que vous devez comprendre. Ce dont nous parlons, c’est d’un système de contrôle qui va être mis en place lors d’un coup d’État mondial, et nous sommes au milieu d’un coup d’État mondial. C’est ce qui se passe en ce moment. En bref, si vous regardez les banquiers centraux, la BRI (Banque des règlements internationaux), eh bien tous les banquiers centraux essaient de créer un système où ils sont complètement libres et en dehors des lois des États-nations et des gouvernements. En d’autres termes, ils insèrent l’immunité souveraine de toutes les lois et essaient littéralement de créer une civilisation sous la loi où ils sont libres de faire ce qu’ils veulent, y compris, comme nous le savons, le génocide. »

Catherine Austin Fitts explique que pour se battre contre la monnaie numérique de banque centrale, il suffit d’utiliser l’argent liquide. Voici ce qu’elle explique : 

« Si vous allez sur Solari.com, vous verrez quelque chose qui dit : “Argent liquide chaque jour”. Cliquez sur la vidéo où il est écrit “Make Cash Great Again”. Si vous cliquez dessus, vous obtiendrez trois vidéos. Il y a deux vidéos que je veux vraiment que les gens regardent. L’une est une vidéo de 56 secondes du directeur général de la banque des règlements internationaux, Augustin Carstens en octobre 2020 expliquant qu’avec la MNBC ils auront un contrôle absolu et qu’ils l’utiliseront de manière centralisée. C’est la seule fois de ma vie que j’ai vu un banquier central être honnête à 100 %. La deuxième vidéo dit “Financial Rebellion”, cliquez dessus et vous obtiendrez une présentation de trois minutes de Richard Werner. Il est certainement le meilleur chercheur au monde sur les banques centrales… Richard explique que l’un des principaux banquiers centraux d’Europe lui a dit qu’ils prévoyaient de tous nous pucer.

Catherine Austin Fitts explique que les banquiers centraux ignoreront la Constitution américaine, voleront tous nos actifs comme l’argent et l’or, mais surtout la terre. Catherine Austin Fitts affirme qu’ils ne pourront pas le faire à moins qu’ils ne prennent nos armes et ne suppriment le deuxième amendement. Catherine Austin Fitts parle également de ce qu’elle pense qu’il se passera après le premier de cette année en matière d’inflation ou de déflation.

Catherine Austin Fitts : 

« Nous sommes en guerre et nous avons besoin d’une stratégie de guerre… La « Grande réinitialisation » deviendra la « Grande résistance ».

Source: usawatchdog




ATTENTION L’OMS VEUT MANIPULER À NOUVEAU LE MONDE VIA LE MONEYPOX (monkeypox)

Par Nicole Delépine

Une nouvelle fois le directeur général de l’OMS aux antécédents lourds(([1] En réponse à @jgalt485
«  Tedros, ancien Ministre de la Santé dans l’ancien Empire totalitaire de Libye, promu à l’OMS en passant devant 2 autres candidats Européens sur les injonctions de la Chine qui entretenait d’excellentes relations avec l’Empire Libyen en son temps ».))(([2] Senta Depuydt : quand le directeur de l’OMS appelait à « embrasser des Chinois dans la rue » – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) la journaliste est allée enquêter sur Tedros Ghebreyesus. Le personnage est particulièrement sulfureux. « Il a commencé sa carrière politique dans un groupe terroriste marxiste, le Front de libération du peuple du Tigray dans les années 1970 », découvre-t-elle. « Un groupe qui a fait des attaques à main armée, des enlèvements… », rapporte-t-elle. Un groupe qui aura pris le pouvoir en 1991 et « qui domine toujours depuis ». De plus, le directeur de l’OMS est « le premier à ne pas être médecin ». Il était surtout « le ministre de la Santé de 2005 à 2012 en Éthiopie ».))(([3] Tedros Adhanom Ghebreyesus : l’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? — Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) «  En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. Alors, qui est cet homme qui a soi-disant notre destin entre ses mains ? »)) veut imposer sa décision en accord avec Bill Gates et contre le vote de ses propres collègues sur le risque de la variole du singe et censure les voix contraires. Il veut rejouer le covid19. Serons-nous encore complices ?

@jgalt485 27 juil.

Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a demandé aux entreprises de médias sociaux du monde entier de lutter contre toute « désinformation » concernant le monkeypox.

En d’autres termes il veut censurer quiconque n’est pas d’accord avec sa folie du monkeypox.

« Comme nous l’avons vu avec le COVID-19, la mésinformation et la désinformation peuvent se propager rapidement en ligne. Nous appelons donc toutes les plateformes de médias sociaux, les entreprises technologiques et les organes de presse à travailler avec nous pour prévenir et contrer les informations nuisibles »,
a déclaré Adhanom le 26 juillet 2022.

Il y a quatre jours le chef de l’OMS a déclaré la variole du singe « urgence sanitaire internationale », annulant une décision de la majorité de membres du panel qui avaient voté contre une telle déclaration. Ces méthodes sont habituelles pour le directeur général de l’OMS vendu à Bill Gates et sa volonté de vacciner le monde entier.

Terrible aveu (non exprimé au début des essais covid) :

Les labos qui ont produit le vaccin anti monkeypox considèrent que la vaccination des populations constituera un test clinique en grandeur réelle.

@jgalt485 27 juil. L’INFODÉMIE !

C’est la même étape que l’OMS a franchie en 2020 et 2021 lorsque l’OMS a affirmé que toutes les informations allant à l’encontre du récit faisaient partie d’une « infodémie » plus large.

« Peu de temps après que le monde a commencé à s’habituer aux termes coronavirus et COVID-19, l’OMS a inventé un autre mot : » infodémie « — une surabondance d’informations et la propagation rapide de nouvelles, d’images et de vidéos trompeuses ou fabriquées. Comme le virus est très contagieux et se développe de façon exponentielle. Cela complique également les efforts de réponse à la pandémie de COVID-19 », lit-on dans un article de 2020 intitulé « Immuniser le public contre la désinformation ».

Au cours de la pandémie, l’OMS a commencé à s’associer à des pays pour lutter contre « l’infodémie », ce qui, le plus souvent, signifiait censurer les personnes en ligne qui avaient de véritables inquiétudes ou essayaient de faire proliférer la vérité sur les effets indésirables à la suite de piqûres d’ARNm.

De telles réactions indésirables sont maintenant connues pour être un fait, et les responsables de la santé du monde entier ont commencé à avertir les gens de risques comme la myocardite post-vaccinale, que l’OMS a toujours écartée comme une théorie du complot ».

Et dans la ligne française d’obéissance aveugle aux diktats du couple OMS-Gates le nouveau ministre de la Santé se précipite pour ouvrir environ 100 centres de vax anti monkeypox et déjà plus de 6000 personnes ont reçu cette nouvelle drogue expérimentale !(([4] IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo—Full Text View—ClinicalTrials.gov))(([5] Official Title: An Open-Label Prospective Cohort Study of IMVAMUNE® Smallpox Vaccine in Adult Healthcare Personnel at Risk for Monkeypox in the Democratic Republic of the Congo
Actual Study Start Date : February 23, 2017
Estimated Primary Completion Date : August 2022
Estimated Study Completion Date : August 2022
IMVAMUNE
Two doses of attenuated live virus smallpox vaccine (IMVAMUNE liquid formulation or lyophilized formulation) administered on days 0 and 28 via subcutaneous injection (deltoid) (1 x 108 Tissue Culture Infectious Dose 50 [TCID50] per 0.5 ml) Other Names: Modified Vaccinia Ankara (MVA) MVA-BN
JYNNEOS
IMVANEX))(([6] Petersen BW, Kabamba J, McCollum AM, Lushima RS, Wemakoy EO, Muyembe Tamfum JJ, Nguete B, Hughes CM, Monroe BP, Reynolds MG. Vaccinating against monkeypox in the Democratic Republic of the Congo. Antiviral Res. 2019 Feb;162:171-177. doi: 10.1016/j.antiviral.2018.11.004. Epub 2018 Nov 14. Review.))

@MouldeuxJean 25 juil.

« Je me demandais d’où sortent les 85 % d’efficacité selon DE “NOMBREUSE ÉTUDES” par l’OMS, Vidal, etc. Eh bien j’ai trouvé. D’une étude observationnelle menée en RD Congo en… 1988 avec un autre vax !
https://medium.com/microbial-instincts/effectiveness-of-monkeypox-vaccine-is-questionable-especially-when-the-virus-has-mutated-de6c9ad1c843 »

Les exploits de l’OMS en Afrique sont célèbres(([7] @RomanAude l’épidémie de polio survenue en Inde en 2007 2008 révèle selon les propres données de l’OMS que 77 % des gens touchés avaient reçu + de 7 doses de vaccin oral soi-disant le +efficace et 18 % avaient reçu 4 doses ou + ce qui porte le nbre de gens touchés pourtant archi vax à 95 %.)) mais ont rendu les africains méfiant alors l (OMS et Bil Gates ça continue tentent de poursuivre leurs expériences sur les Européens..

NOUVELLE TENTATIVE DE L’OMS EN JUILLET 2022 DE FAIRE ACCEPTER UN AGENDA MONDIAL QUI FERAIT DU DIRECTEUR DE L’OMS LE ROI DU MONDE

Au service des mondialistes de Davos

Présentation de l’avant-projet de l’OMS présenté actuellement à Genève
(du 18 au 22 juillet) destiné à renforcer l’influence de l’OMS.
Tout le monde est concerné !



PDF de la transcription de la vidéo mise en page et 2 extraits de l’avant-projet de l’OMS, avec tous les liens !

Sous-titrage en français de la vidéo originale qui se trouve ici : https://jamesroguski.substack.com/p/ten-things-everyone-needs-to-know

Un twittos fait remarquer justement :

« Leur stratégie est forte, ils attaquent au même moment sur plusieurs points éloignés de nos modèles de société, que si nous ne faisons pas les liens, on pourrait penser qu’il n’y a pas de relation dans la finalité de leurs monde, ils brisent mentalement plusieurs piliers… » 

Et curieusement le patron du conseil secret d’EM tente de reculer en douceur.

#Delfraissy « Le pouvoir sur le vaccin a été pris par les industriels » pour le prochain vaccin. Les #Big Pharma ont décidé une combinaison virus initial + Omicron « Je pense que sur le plan scientifique ce n’est pas une bonne chose »

« Delfraissy le prochain vaccin en octobre 2022 ne sera pas suffisant ! »

« Jean-François Delfraissy, se laisse aller à quelques confidences. Les “Big Pharma ont pris le pouvoir » . On sent que le médecin veut se refaire une virginité, il tourne doucement sa veste… »

MÊME SI LE COUP D’ÉTAT MONDIAL DE L’OMS NE SEMBLE PAS TRÈS BIEN PARTI, RESTONS EN ALERTE ROUGE

Les mondialistes internationaux ont décidé de rédiger un traité leur donnant essentiellement un pouvoir de loi martiale discrétionnaire partout.

https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf

Mais la résistance se développe. L’Équateur avait le premier refusé. L’archevêque Vigano, donneur d’alerte récurrent contre la maffia tentaculaire du « Nouvel Ordre Mondial », a dénoncé ce traité, haute trahison de la part des politiciens qui l’entérineraient.(([8] https://guyboulianne.com/2022/05/30/larcheveque-vigano-met-en-garde-les-nations-contre-la-prise-de-pouvoir-du-traite-pandemique-de-loms-ceder-a-la-souverainete-est-considere-comme-un-crime-de-haute-trahison/))(([9] https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/exclusive-yielding-sovereignty-considered-crime-high-treason-archbishop-vigano-nation-states-handing-sovereignty/))(([10] D’autres aussi :
https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte
https://www.onenation.org.au/australias-secretive-and-unaccountable)) De nombreux sites ont alerté sur cette tentative de prise de pouvoir mondiale par l’OMS. Nous avions relayé l’appel de R Kennedy et « stop the treaty »(([11] Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
#StopTheTreaty. World Freedom Declaration—Health Freedom Defense Fund
Déclaration d’opposition aux modifications apportées par l’OMS au Règlement sanitaire international — Health Freedom Defense Fund)). Sans surprise, le président français soutenait l’OMS et Gates.(([12] https://www.profession-gendarme.com/emmanuel-macron-donne-les-pleins-pouvoirs-a-loms-pour-la-sante-des-francais-lors-des-pandemies/comment-page-2/))

Dans un premier temps, nombre de pays avaient fait refuser le texte d’origine en l’état (notamment avec les amendements présentés par le résident américain).(([13] https://qactus.fr/2022/05/29/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://leve-toi.com/oms-120-pays-sur-179-auraient-refuse-le-texte-loms-a-retire-12-des-13-articles-mais-saccroche-au-dernier-qui-modifie-leur-constitution/
https://www.thegatewaypundit.com/2022/05/world-health-organization-temporarily-withdraws-bidens-public-health-emegency-amendments/)) Nombre de pays (47) manifestement refusent catégoriquement cette proposition maffieuse(([14] https://www.onenation.org.au/who-forced-into-humiliating-backdown)): Brésil, plusieurs nations africaines, la Russie, la Chine, l’Afrique du Sud, l’Iran, la Malaisie…

Le futur empereur mondial n’a pas apprécié.(([15] https://www.naturalnews.com/2022-05-27-schwab-threatens-bolsonaro-refusing-sign-pandemic-treaty.html)) Mais manifestement le gotha des milliardaires et des vedettes d’Hollywood semblent prendre de la distance.(([16] https://www.business-standard.com/article/international/davos-forum-is-back-after-2-yrs-with-less-billionaire-starpower-and-no-snow-122052300374_1.html))

FINANCEMENT DE L’OMS

Ceci explique cela. Les fondations donatrices (comme celle de Bill Gates) flèchent leurs dons qui doivent être utilisés selon leur volonté.

Dans la foulée de sa volonté de dominer le monde, Tedros a essayé de modifier le financement de l’OMS. Un peu plus d’indépendance vis-à-vis de Gates ou Schwab lui conviendrait probablement. Très près des Chinois, on sait ou on subodore que ces mondialistes eugénistes sont d’accord pour dominer la plèbe, mais se mangeraient bien entre eux…

L’OMS adopte une réforme historique de son financement(([17] Par Delphine Roucaute Publié le 24 mai 2022.))

L’Assemblée mondiale de la santé a adopté un texte prévoyant de faire passer la partie du budget financée par les États membres de 16 % à 50 % d’ici à 2028, afin de renforcer le leadership de l’organisation onusienne. 

« Il s’agit d’un tournant historique », a déclaré Tedros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. Le 24 mai 22, lors de l’Assemblée mondiale de la santé, les États membres de l’agence onusienne basée à Genève ont adopté une réforme du financement de l’organisation très attendue.

La partie du budget financée par les États membres devrait passer de 16 % à 50 % d’ici à 2028, ce qui devrait permettre à l’OMS de regagner une partie de son indépendance.

Cette réforme faisait partie des cinq priorités esquissées par Tedros « pour le monde et pour l’OMS » le 24 janvier : renforcer le rôle de l’OMS« au cœur de l’architecture de la santé mondiale », afin qu’elle devienne « plus efficace et efficiente ».

Depuis le mandat, entre 1998 et 2003, de Gro Harlem Brundtland à la tête de l’OMS, les fonds privés ont pris une place de plus en plus importante et déterminante dans le financement de l’agence.

Contributions volontaires

Résultat, seulement 16 % de l’exercice biennal 2022-2023 sont abondés par les contributions obligatoires des États membres, fixées d’année en année en fonction des ressources de chacun.

La réforme va permettre d’élever le niveau de ces contributions de 956,9 millions à 2,2 milliards de dollars d’ici à 2028. Le budget total actuel est de 6,1 milliards de dollars.

L’essentiel du budget (84 %) provient des contributions dites « volontaires ».Ces dernières peuvent venir d’États décidant de fournir plus d’argent que leurs contributions obligatoires ne les y obligent.

Le Royaume-Uni, notamment, fournissait 135 millions de contributions volontaires lors de l’exercice 2020-2021, en plus de sa contribution obligatoire de 49 millions, dépassant ainsi la participation chinoise. Ce supplément de cotisations permet de renforcer le jeu des influences au sein de l’organisation.

Parmi ces contributions volontaires, l’écrasante majorité (88 %) est issue de fonds privés strictement affectés à des programmes ou lieux géographiques spécifiques ; ils doivent également être dépensés dans un délai précis.

En 2020-2021, les programmes spéciaux, dont celui d’éradication de la poliomyélite financé par la Fondation Gates, totalisaient 757,6 millions de dollars, soit 13 % du budget total.

« Le recours excessif aux contributions volontaires (privées ou publiques) se traduit paruneincapacité à fixer des priorités en fonction des priorités mondialesdesanté publique, notait en janvier 2021 un article du South Centre,uneorganisation intergouvernementaledepays en développement basée à Genève.

Les États membres tententde fixer des priorités, mais les fonds sont destinés à des questions spécifiques, sélectionnées par un petit nombrede donateurs qui jouent un rôle décisif dans la décisiondel’organisation. »

Il s’agit donc bien de reconquérir un leadership affaibli par le poids des États à forte capacité d’investissement et par les intérêts privés des fondations qui abondent les comptes de l’OMS.

75 ONG, organisations philanthropiques et experts dans le domaine de la santé mondiale, dont Gavi, le Global Health Council ou encore Save the Children, ont publié une lettre appelant les États membres à saisir cette « occasion historique de renforcer et d’investir dans le rôle de l’OMS en tant que principale organisation intergouvernementale de la santé qui se consacre à la promotion de la santé et du bien-être de tous dans le monde ». 

Augmenter les contributions obligatoires marque donc un grand pas dans l’histoire de l’OMS, mais encore faut-il les payer. Au 31 décembre 2020, près de 300 millions de dollars n’avaient pas été versés au compte de l’OMS, selon un rapport publié le 5 janvier. Les résolutions de l’OMS n’étant pas contraignantes, des experts se demandent comment l’organisation pourra obliger les États membres à augmenter leurs cotisations d’année en année.

ATTENTION RESTONS EN ALERTE !

Lettre ouverte concernant le nouveau traité pandémique international de l’OMS

Lettre ouverte sur le nouveau traité pandémique international de l’OMS

À la population;
Aux gouvernements, Présidents et Ministres de la santé, Parlements, Conseil de l’Europe, Commission Européenne;
Aux médias;
Aux organisations de la santé, telles que Swissmedic, OFSP, Fédération Suisse des Patients;
À l’OMS, par l’Assemblée mondiale de la santé, Dr Tedros Adhanom Ghebreysus, Dr Soumya Swaminathan;
Aux Nations Unies, par Antonio Guterres, Liu Zhenmin, Elliott Harris, Maria-Francesca Spatolisano.

Nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, déclarons notre désaccord face au nouveau traité pandémique international proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui n’est autre qu’une mainmise sur les gouvernements et la population.

Cet accord mondial sur les futures pandémies octroierait à l’OMS des pouvoirs lui permettant de se substituer aux pouvoirs exécutifs des états membres, ceux-ci devenant de simples organes d’exécution.

Ce traité inutile constitue une menace pour la souveraineté des pays et les droits humains fondamentaux.

Il convient de relever que le Règlement Sanitaire International (RSI) fortement imprégné du respect des droits humains, adopté en 2005 par 196 pays, dont la Suisse, et entré en force en 2007 a justement pour objectif de répondre aux urgences pandémiques. Cependant ce dernier n’a pas été appliqué durant la crise covid, tout comme le plan pandémique établi par la Confédération Helvétique.

La définition d’une pandémie, selon l’OMS, a évolué ces dernières années, ainsi, jusqu’en 2009, elle était définie comme un événement caractérisé par une évolution grave de la maladie et une mortalité extrême. C’était donc la morbidité et la létalité qui conditionnaient une pandémie.

« Une pandémie survient lorsqu’un nouveau virus apparait pour lequel la population humaine n’a aucune immunité, résultant aussi en de nombreuses épidémies simultanées dans le monde, avec d’énormes nombres de décès et de malades. »

En mai 2009, la définition a été révisée de manière à ne plus dépendre de la gravité de la maladie ni de la mortalité, mais uniquement d’une propagation mondiale de « cas de la maladie ». La dernière définition suppose des vagues récurrentes et différentes phases. Ainsi, chaque vague annuelle de grippe peut être déclarée « pandémique ».

Avec ce traité l’OMS pourrait alors déclarer opportunément des pandémies, (déclaration qui active de surcroît, les contrats avec les fabricants de vaccins), imposer des mesures déshumanisantes telles que des confinements, des traitements coûteux, dangereux et/ou inefficaces, des programmes de vaccination obligatoire, des régimes de test, imposer des interventions médicales, dicter toutes les pratiques de santé publique contre la volonté de la population et ce, même contre l’avis des gouvernements, qui par la validation du traité en ont accepté la valeur contraignante.

Force est de constater que l’OMS ne doit pas être autorisée à contrôler l’agenda mondial de la santé, ni à imposer des mesures allant à l’encontre des droits fondamentaux, tels que les confinements qu’elle a recommandés durant le chapitre Covid-19, la suppression des traitements préventifs/précoces et l’encouragement à l’utilisation de produits expérimentaux en population large, ainsi que toutes les autres mesures qui ne se sont avérées ni sûres ni efficaces.

Les activités de l’OMS ne sont malheureusement pas effectuées en toute transparence et ceci est aggravé par l’existence des « comités d’urgence » secrets d’experts.

Pour rappel, l’OMS présente des conflits d’intérêts importants. Bien que bénéficiant de financements publics des états membres (impôts de la population…), elle reçoit également des fonds substantiels d’intérêts privés qui utilisent leurs contributions pour influencer et tirer profit des décisions et des mandats de l’OMS.

Ce nouveau traité pandémique menace gravement la souveraineté des Etats membres et les droits humains fondamentaux, c’est pourquoi nous, médecins, soignants, professionnels de la santé, citoyens, nous opposons avec force à la mise en œuvre d’un tel accord mondial.

Références:

EN CONCLUSION, NE LAISSONS PAS L’OMS NI DAVOS DIRIGER NOTRE MONDE

L’OMS et son directeur général voudraient être le bras armé des mondialistes de Davos, Schwab, Fauci, Gates et leurs affidés dont notre président, pour imposer sous des allures humanistes et désintéressées les terribles choix des eugénistes qui ont mis en musique le scénario covid. Ce dernier n’a pas réussi à 100 % et les dirigeants du monde voudraient compléter la mise au pas des peuples par de nouveaux films de peur, d’horreur et de moyens pervers comme des injections imposées via le crédit social.

Parallèlement Tedros tente-t-il comme Delfraissy de prendre ses distances avec Davos et cie, devant l’échec manifeste des injections géniques expérimentales anticovid et la rumeur de colère qui monte de partout dans le monde devant tant de drames et de morts liés à l’injection. Mais pourquoi vouloir recommencer avec le vaccin antivariole du singe, le nouveau Money pox ? Pris entre deux feux ? C’est la saison !

Ils ont oublié que nous sommes des Milliards, mais même s’ils sont très riches, ils ne sont seulement que quelques milliers.

Soit l’ONU redevient une instance internationale indépendante et refuse l’entrisme de quelques pays occidentaux, soit il faut supprimer cette organisation et surtout ne pas être dupe de ses décisions exceptionnellement médicales et allant quasiment toujours dans le sens d’une dictature supra nationale niant les peuples. Ce que de nombreux pays africains, asiatiques et américains du sud ont largement compris.

Informons, résistons pour sauver l’avenir de nos enfants.





France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire

Par Nicole et Gérard Delépine

La demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire votée le 26 juillet 2022(([1] « Le projet de loi de sécurité sanitaire prolonge les outils de surveillance concernant la circulation du virus et permet de mettre en place, si nécessaire, un test aux frontières. Le 26 juillet 2022, le Sénat a adopté définitivement le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 ».)). Restons en alerte
L’information et le combat sont efficaces. Poursuivons

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe en témoigne. Nous ne le laisserons pas faire et y reviendrons.

PREMIÈRE GRANDE VICTOIRE DEPUIS LE DÉBUT DU SCÉNARIO COVID

La loi sanitaire(([2] Projet de loi 2022 pass sanitaire aux frontières covid 19 | vie-publique.fr )) qui vient d’être votée le 26 juillet est une victoire importante, car elle officialise la fin de la loi d’urgence sanitaire qui instaurait la dictature sanitaire d’E. Macron de ces deux dernières années.

Le Parlement a définitivement adopté le 26 juillet le projet de loi mettant fin aux régimes d’exception créés pour lutter contre l’épidémie de Covid-19.

Ainsi, à compter du 1er août 2022, le pass sanitaire prend fin en France. Il ne pourra plus être exigé dans les lieux où il était encore en vigueur (les services et établissements de santé et médico-sociaux).(([3] Le pass sanitaire sera bien supprimé à l’entrée des hôpitaux et des EHPAD le 1er août 2022, la sénatrice Sylviane Noël demande la clarification et l’obtient ! – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Mais comme tous les compromis, c’est une demi-victoire, car elle autorise le gouvernement à décider par décret l’exigence d’un certificat aux frontières. En lieu et place de l’article 2 rejeté par les députés, les sénateurs ont voté « la possibilité de demander, en cas de nouveau variant, un test négatif aux personnes d’au moins 12 ans se déplaçant à destination du territoire national depuis l’étranger, mais aussi en provenance ou à destination des territoires ultramarins en cas de risque de saturation du système de santé de ces territoires ». Cette modification a été acceptée par les députés en deuxième lecture.(([4] Ce test aux frontières pourra être exigé jusqu’au 31 mars 2023 aux personnes de plus de 12 ans avant l’embarquement à destination du territoire français :
– Pour les voyageurs en provenance d’un pays étranger où circule un nouveau variant du Covid,
– Pour les voyages vers les collectivités ultramarines « en cas de risque de saturation » de leur système de santé (hôpitaux…). sur décret du premier ministre.)) Le projet de loi distingue deux cas de figure, pour lesquels le gouvernement pourra, jusqu’au 31 mars 2023, exiger des personnes de plus de 12 ans la présentation d’un test Covid négatif. Ce sera le seul justificatif accepté: ni certificat de vaccination ni justificatif de rétablissement ne seront valables.

Le texte maintient les systèmes d’information de crise (SI-DEP et Contact Covid) jusqu’au 30 juin 2023.(([5] Les fichiers SI-DEP et Contact Covid maintenus jusqu’au printemps 2023.
Les traitements informatiques SI-DEP et Contact Covid, autorisés par la loi du 11 mai 2020 et plusieurs fois prolongés, sont maintenus jusqu’au 31 mars 2023. Le fichier SI-DEP centralise les résultats des examens de dépistage du Covid-19, permet leur transmission ainsi que les certificats de rétablissement. Le fichier Contact Covid identifie, oriente et accompagne les malades et les cas contacts.
Le gouvernement devra adresser tous les trois mois au Parlement un rapport détaillé de l’utilisation de ces fichiers.))

Malheureusement le parlement n’a pas voulu trancher sur l’avenir des soignants suspendus et a botté en touche.

Ce sera à !a Haute Autorité de santé de décider de l’avenir des soignants vaccino prudents dont on a tellement besoin en ce moment.

Saluons l’abrogation des régimes d’exception qui ont permis l’instauration de restrictions des libertés (confinement, couvre-feu, pass sanitaire et vaccinal…)

Presque toutes ces prétendues mesures sanitaires inutiles qui nous ont été imposées ne pourront plus l’être sans l’accord du parlement ! Il est temps puisque même le Pr Delfraissy, président du conseil scientifique ( ad hoc et secret ), a avoué que confinement et « vaccin » (ce n’est pas un vaccin mais un vacmédicament a-t-il avoué, puis tout récemment « Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion) n’avaient pas été efficaces.

« En cas de réapparition de crise sanitaire, le gouvernement devra négocier une par une avec le Parlement les mesures sanitaires qu’il voudrait imposer », a affirmé le rapporteur LR Philippe Bas.

Maintenant que le bilan catastrophique de toutes ces mesures liberticides ubuesques commence à être connu, il est improbable que le parlement se laisse tromper à nouveau par les enfermistes et leurs prophéties catastrophes destinées à entretenir la peur. Espérons-le et faisons connaître à nos représentants nos choix par mail, rendez-vous, téléphone, etc. en restant en contact proche et répété avec eux pour ne pas compromettre l’avenir.

Les confinements qui nous ont été imposés pendant 128 jours (du 17 mars au 11 mai 2020, du 30 octobre au 15 décembre 2020, puis du 3 avril au 3 mai 2021) n’ont jamais ralenti l’épidémie contrairement aux nombreuses publications de propagande diffusées par les gouvernements et les organismes responsables de leur instauration. Ils n’ont sauvé aucune vie.(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([7] Joffe AR. COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink. Front Public Health. 2021 Feb 26;9:625778. doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. PMID: 33718322; PMCID: PMC7952324.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/))(([8] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evidentimpacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))

Les confinements ont été responsables d’innombrables victimes collatérales par défaut de soins, d’un tsunami psychiatrique(([9] Suicide Rise from Lockdowns to Kill More than Coronavirus
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8293233/Far-people-Australia-predicted-die-suicide-coronavirus-lockdown.htm)), d’un désastre des apprentissages et de l’enseignement, d’un appauvrissement dramatique des plus précaires, d’une perte de près de 10% de notre PIB, et le « quoi qu’il en coûte » a augmenté de 500 milliards notre dette nationale.

Pass sanitaire et vaccinal ont été instaurés pour forcer la population à se « vacciner » en créant une discrimination inadmissible entre Français dans la vie courante : « On va mettre en place un confinement de fait pour les personnes qui ne se sont pas fait vacciner en limitant l’accès à tout un tas d’endroits… Ça va être primauté aux vaccinés et vie de merde pour les non-vaccinés »(([10] « Un conseiller ministériel promet une “vie de merde pour les non-vaccinés” » [archive], sur valeursactuelles.com, 23 juillet 2021)) rappelant la pensée de Macron : « les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout(([11] https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/01/04/les-non-vaccines-j-ai-tres-envie-de-les-emmerder-declare-emmanuel-macron_6108205_823448.html)). C’est ça, la stratégie. ». La CNIL a souligné le manque de données communiquées par le gouvernement pour en évaluer l’efficacité. Mais les données de l’OMS concernant l’évolution des contaminations montrent qu’ils n’ont jamais été efficaces contre la diffusion de la maladie, car partout où ils ont été imposés, ils ont été suivis d’une recrudescence forte des cas.

Cet échec sanitaire massif des pass, dû à l’incapacité des pseudo vaccins(([12] https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2021/07/100721-L-injection-genique-anti-Covid-n-est-pas-un-vaccin-Dr-Nicole-Delepine.pdf)) à prévenir les contaminations, a motivé leur abandon dans tous les pays qui les ont imposés.

Le débat parlementaire a exposé l’ignorance des certains élus sur la réalité covid19

En particulier sur l’inefficacité réelle des pseudo vaccins pour protéger les populations : le centriste Philippe Bonnecarrère qui a déploré que le texte ne comporte « plus aucune référence à la vaccination, ce qui est une manière d’adresser une forme de contre-message à nos concitoyens ».

Ou pire encore Véronique Guillotin (RDSE). « Le débat laisse le champ libre aux antivax » qui, comme un ayatollah paraît ignorer que les injections anticovid sont des médicaments expérimentaux et non pas des vaccins, traite les vaccino prudents d’antivax et estime qu’il faut interdire tout débat sur la pseudo vaccination.

Nous lui adresserons les données de l’OMS montrant que les campagnes d’injection ont été suivies d’une forte augmentation des contagions partout dans le monde et sommes à sa disposition comme à celles de tous les élus pour compléter son information.

Et de la mortalité :

Espérons que la connaissance de ces faits avérés dans le monde réel les rende moins dogmatiques à l’avenir !

Mais le désir de compromis avec le pouvoir a fait accepter de fait la prolongation de la suspension des soignants vaccino prudents

Selon les termes de son rapporteur, le Sénat a voulu« créer un chemin vers la réintégration des personnels suspendus ».

Mais certains pro macron, comme la socialiste Marie-Pierre de La Gontrie, ont osé prétendre que « cette réintégration serait totalement choquante ».

Pour montrer son esprit de compromis, le Sénat a accepté de soumettre la décision à l’avis de la HAS en oubliant que cette dernière n’est que la marionnette du gouvernement Macron(([13] https://docteur.nicoledelepine.fr/honte-a-la-has-emanation-du-pouvoir-de-refuser-la-reintegration-des-soignants/))(([14] https://nouveau-monde.ca/les-pleins-pouvoirs-donnes-a-la-has-par-le-nouveau-parlement-temoin-de-son-incroyable-inconscience/)) qui en a nommé la directrice et lui a attribué un salaire exorbitant (>200 000 euros annuels !). Les autres membres du collège de la HAS sont également nommés par le pouvoir. Il n’y a donc aucune indépendance de cette agence. Ses antécédents ne plaident pas en son intégrité comme les affaires vioxx, médiator, dépakine l’ont malheureusement démontré.(([15] Dépakine: l’Etat jugé responsable et condamné à indemniser des fami… | Mediapart par exemple))

On se rappelle que la HAS a justifié toutes les décisions du gouvernement même les plus contraires à la science comme l’utilisation du Remdesevir contre le covid en prétendant « le service médical rendu par VEKLURY (remdesivir) est faible alors qu’elle aurait dû le qualifier de « dangereux » comme l’OMS en déconseillait l’usage(([16] https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients)) pour son inefficacité et sa toxicité.

C’est aussi l’HAS qui continue à prétendre contre l’évidence des chiffres de l’OMS que des pseudo vaccins covid seraient « sûrs et efficaces » et permettraient « la limitation de la diffusion de l’épidémie » confirmant qu’il n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir(([17] Comment nier en juillet 2022 l’inefficacité des injections géniques et leurs dangers ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([18] https://nouveau-monde.ca/100-tribunaux-saisis-au-penal-par-reaction19-contre-la-vaccination-covid/)). Les plaintes contre les injections en pénal leur feront-elles se poser des questions sur les faits avérés et leur propre responsabilité ?

Sans aucune justification scientifique, les soignants vaccino prudents restent donc ostracisés dans des conditions inhumaines au moment où leur absence entraîne la fermeture de nombreuses urgences (plus de 120)(([19] https://nouveau-monde.ca/pour-resoudre-le-probleme-des-urgences-francois-braun-veut-les-supprimer-la-nuit/)), et de maternité, la diminution d’au moins 20% des interventions chirurgicales programmées et aggrave le nombre de déserts médicaux.

Pendant le même temps, des soignants malades covid19 sont autorisés et même incités à poursuivre les soins auprès des patients. Cette décision est politique pour « punir » (selon l’aveu de Patrick Pelloux l’urgentiste ami du président Hollande) les résistants à l’ukase, et probablement aussi éviter qu’ils soient en contact avec les collègues dans le doute et les patients infantilisés. Bref qu’ils ne puissent pas parler.

Il faut espérer qu’un prochain débat parlementaire mette fin à cette discrimination scandaleuse qui n’existe que dans une infime minorité de pays comme la France et l’Italie. Cette mesure a été récemment condamnée en justice en France(([20] https://www.francesoir.fr/societe-sante/soignante-reintegree-sans-motif-de-conges-me-tarek-koraitem))(([21] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/soignante-reintegree-il-faut-attaquer-cette-loi-article-par-article-me-ludot)) et en Italie (par le tribunal de Milan le 16 septembre 2021 et plus récemment en Sicile).

Réintégrer les soignants vaccino prudents est urgent, car la persistance de leur discrimination risque de les convaincre de renoncer définitivement à toute activité de soins, éloigne d’autres soignants encore en poste et les incite à démissionner, ou à se mettre en disponibilité, voire abandonne les métiers du soin, et dissuade de nombreux étudiants à se diriger vers cette carrière jadis enthousiasmante.

Battons-nous par tous les moyens légaux pour qu’il leur soit enfin rendu justice.

« Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins covid. Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures de combat, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement. La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous leur en être très reconnaissants. »(([22] Le producteur de cinéma Del Bigtree : « Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années » – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Et informons nos élus de la réalité du terrain, de l’inefficacité démontrée des injections expérimentales, des effets secondaires lourds qui s’accumulent dans le monde injecté, contrastant avec le bon état des populations africaines ayant échappé à la folie de la piqûre et adopté les traitements précoces pour les vrais malades (et non les « cas »).(([23] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

ATTENTION À LA PROPAGANDE EN FAVEUR DES INJECTIONS SUR LES ONDES.

SENSIBILISONS AU RISQUE D’INJECTER LES ENFANTS À LA RENTRÉE

Il importe que les parlementaires soient véritablement informés pour éviter que nous retombions dans une folie vaccinale pour un pseudo covid, une bienvenue variole du singe, monkeypox ou plutôt moneypox,, ou tout autre virus utilisable pour faire grossir encore les bénéfices de Big Pharma et les possibilités de contrôle des populations par le pouvoir.

Le certificat européen(([24] Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) voté au parlement de l’UE et qui pourrait être adopté dans nos assemblées à la rentrée doit nous rendre vigilants. Nous devons rester en alerte.

Il faut absolument épargner nos enfants de ces injections expérimentales à ARNm qui mettent en jeu leur fertilité, leur immunité naturelle et les menacent de nombreuses maladies, cancers, maladies dégénératives, neurologiques, etc.(([25] Les vaccins contre Covid détériorent le système immunitaire et provoquent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’absence totale de recul sur ces injections expérimentales -dont les essais ne finiront qu’en 2023 y compris les nouveaux « vaxxins » qu’on fait miroiter pas encore sur le marché – doit faire interdire TOUTE INJECTION CHEZ LES JEUNES 

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID, ET NE LE TRANSMETTENT PAS. AUCUNE RAISON OBJECTIVE DE LES INJECTER

Informons, l’avenir de nos enfants et petits-enfants dépend de nous tous.





Les pleins pouvoirs donnés à la HAS par le nouveau parlement témoin de son incroyable inconscience

Par Nicole et Gérard Delépine

Faites-vous nommer présidente de la HAS vous serez payé 210 197 euros par an à condition de ne pas déplaire au président qui vous nomme.

Volet 2 suite de :
HONTE À LA HAS, ÉMANATION DU POUVOIR, DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) volet 1 par Gérard Delépine


À l’ouest, rien de nouveau. La libération totale viendra probablement de l’Italie ou de la Grande-Bretagne pendant que les Français continuent de se faire berner par les puissants et leurs experts pourris de conflits d’intérêts. Les concitoyens (occupés par les TV sur port de la cravate ou non) restent aveugles et sourds à la réalité du terrain, aux multiples raisons scientifiques réelles de refuser le pseudo vaccin et aux énormes raisons pragmatiques de laisser revenir sur le terrain sanitaire les soignants fidèles à Hippocrate, pour ceux qui voudront bien qui nous pardonner et ne sont pas encore partis à l’étranger ou dans des métiers extra sanitaires ou leurs qualités sont mieux reconnues.

Les RAISONS OBJECTIVES POUR LA RÉINTÉGRATION

L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le pseudovax n’a pas ralenti l’épidémie

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné depuis plus de cinq mois a été initialement observée au Royaume-Uni :

Mais elle a aussi été constatée en France :

Et pendant ce temps-là, ceux qui en ont besoin se plaignent de ne pas être reçus à l’hôpital ou en ville dans des délais qui les mettent en danger, et de la dégradation vertigineuse du système de soins et se voient encore obligés d’exhiber un pass et/ou un test (bidon)(([1] La mystification des tests PCR continue en France via le Sénat et ruine la sécurité sociale — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) et même un masque.(([2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Personne ne manifeste devant les hôpitaux ou les cliniques ni les EHPAD refusant les malades ou les visiteurs sans pass jusqu’à aujourd’hui alors que chacun devrait savoir s’il regarde les faits avérés, que ce vax ne protège de rien et que des soignants positifs, même symptomatiques sont autorisés à travailler dans ces mêmes établissements de soins. Mais un polémiste(([3] Patrick Pelloux qui commence à mesurer les désastres de la politique qu’il soutient depuis de longues années.)) a avoué qu’il s’agissait de les « punir » !

Enfin, grâce à la nouvelle loi sanitaire nous sortirons Le 1er août prochain de l’état d’urgence sanitaire et le gouvernement devra prendre en compte l’avis du Parlement pour toute nouvelle mesure restrictive de nos libertés qu’il souhaiterait prétextant l’apparition de nouveaux variants viraux ou toute autre excuse (moneypox et non monkeypox, etc..).

Malheureusement, la propagande de la peur, voire de la panique, se poursuit, et le gouvernement — via les mensonges répétés du Premier ministre, Mme Borne, celle qui vapote à l’assemblée, ou du nouveau ministre urgentiste et d’autres — continue à répéter comme un mantra que « les vaccins mêmes peu efficaces sont ce qu’il y a de mieux. » Oubliant une nouvelle fois les traitements précoces efficaces.

Les mondialistes voudraient tous nous injecter pour réussir leur dépopulation. « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Titre de notre livre paru en janvier 2022 chez Fauves éditions.)) sont dans le collimateur des puissants. C’est à nous tous de répéter les évidences démontrées maintes fois, les enfants ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus. En revanche ils sont exposés aux effets secondaires des injections géniques, quelles qu’elles soient, y compris les nouveaux pseudovax dont on vous fera croire qu’ils sont sans danger. Comme les Pfizer ou Moderna, ils sont en expérimentation et sans recul. Vigilance !

COMME TROP D’ALLEMANDS DURANT LE RÉGIME NAZI et TROP DE FRANÇAIS PENDANT L’OCCUPATION, TROP DE NOS CONCITOYENS SONT À LA FOIS VICTIMES ET BOURREAUX (PAR LEUR TOLÉRANCE À L’INTOLÉRABLE).

Le gouvernement et les agences mentent quand ils prétendent que les pseudo vaccins protègent des formes graves alors que les chiffres officiels et l’OMS prouvent qu’ils sont suivis d’une surmortalité importante.

Mais ne comprennent-ils pas que derrière les soignants vaccino prudents suspendus de l’ordre de 15 000 (transformés en dix fois moins par nos menteurs permanents) se greffent ceux qui n’en pouvant plus de cette gouvernance dictatoriale qui nie leur vocation sont partis à la retraite plus tôt que prévu, souffrent d’arrêts maladie à rallonge, se sont mis en disponibilité ou ont démissionné. Le monde dit médical est devenu invivable et plutôt qu’applaudir les soignants sur injonction du gouvernement au printemps 2020 il vaudrait mieux les défendre aujourd’hui vraiment par tous moyens, manifestations, lettres aux élus, et rendez-vous, pétitions monstres, etc.. Et si nos concitoyens ne font rien, qu’ils ne viennent pas se plaindre de l’absence de soins par absence de soignants. Ces courageux qui ont mis leur carrière, leur maison et parfois leur famille en jeu pour vous avertir par un signal fort du danger des injections expérimentales deviennent des Héros.(([5] Ils auraient pu tricher comme cela a été démontré pour des puissants espagnols, stars, politiques, etc. Ils ont choisi d’informer et c’est probablement la principale crainte du pouvoir s’il les réintégrait… Qu’ils parlent du vrai monde.))(([6] https://odysee.com/@FabienMoineExuvieTV:9/soignants-suspendus-alexandra-henrion:9))

On laisse brûler nos forêts et des pompiers sont interdits de travail, pour ne pas contaminer les arbres ? La canicule bloque-t-elle le bon sens ou son expression ?

La France, pays des scandales passés inaperçus ou tolérés… depuis tant d’années : Alstom, EDF, Uberfiles, McKinsey, Cap Gemini, etc. Peu importe, on continue… Bah, voyons…

Le Sénat pour ne pas déplaire à la Macronie donne les pleins pouvoirs à la HAS, oubliant les avis désastreux de la HAS dans tous les scandales sanitaires récents : Médiator, Dépakine, Vioxx, Levothyrox…

Publié le 24 juillet 2022 par pgibertie

La HAS a été créée par la loi du 13 août 2004 relative à l’Assurance maladie. Le premier président de la HAS a été le PR Laurent Degos, grand dirigeant tout puissant de l’hématologie de Saint Louis dans une APHP encore florissante, entre 2005 et 2010, puis son alter ego nantais Jean-Luc Harousseau.

Depuis plus de deux décennies, les liens sont forts entre ces professeurs de faculté à la tête de gros laboratoires pratiquant les PPP (partenariat public privé en toute légalité) et l’industrie du médicament. Mme la Professeur Le Guludec connaît bien le monde de la recherche, puisqu’elle est la sponsor principale via l’INSERM (dont on a démontré l’absence d’indépendance), d’essais thérapeutiques en collaboration avec Oncology Clinical Trials | AAA (adacap.com).(([7] As part of the development process, our investigational radioligand products are evaluated in clinical trials to find new and better ways to image and treat disease. These studies are sponsored by Advanced Accelerator Applications (AAA).))(([8] Assessment of Radiolabeled rhAnnexin V-128 in Infective Endocarditis—Full Text View—ClinicalTrials.gov par exemple.)) Ses conventions affichées sur transparence santé, le site du gouvernement, sont aussi légales sans qu’on en connaisse les détails, mais montrent ses liens avec Pfizer ce qui aurait dû la disqualifier comme juge arbitre des problèmes covid19.

Tout ceci est légal, mais témoigne pour le moins de l’absence d’indépendance et ce type de profil à la tête des agences médicales devraient être interdit pour qu’elles soient dirigées par de véritables indépendants, perle rare tant l’organisation actuelle de la médecine mise en place à la fin du siècle dernier a rendu très difficile l’indépendance des chercheurs et médecins.

Le président de la République avait nommé le Pr Agnès Buzyn(([9] Recasée à l’OMS en Suisse et protégée des plaintes contre elle par son statut diplomatique.)), membre et présidente du collège, pour remplacer le Professeur nantais, par décret du 5 mars 2016. Elle avait été renouvelée dans ses fonctions pour un mandat de six ans par le décret du 7 avril 2017. À la suite de sa nomination comme ministre des Solidarités et de la Santé, elle a été remplacée par Dominique Le Guludec à compter du 4 décembre 2017, proposé par E. Macron. Mme Buzyn avait clairement suggéré à sa prise de fonction à l’institut du cancer quelques années plutôt que « les médecins qui n’ont pas de liens directs et forts avec l’industrie sont probablement incompétents ». En tous cas, ils sont peu nombreux, ignorés des médias et de nos politiques et jamais appelés aux responsabilités de l’état.

TOUS NOMMÉS PAR LE POUVOIR : ET PRÉTENDUS INDÉPENDANTS !

LA HAS, APPENDICE DU POUVOIR POLITIQUE, A FAIT PREUVE DE SES DANGEREUX LIENS AVEC L’INDUSTRIE DU MÉDICAMENT

« Avec du recul, nous nous apercevons que les leçons du passé concernant les scandales sanitaires n’ont pas servi et que la société répète les mêmes situations sans que la population en prenne conscience pour provoquer une réaction beaucoup plus rapide.

Normalement, les instituts de veille sanitaire, les comités de pharmacovigilance et d’autres structures de surveillance de santé devraient permettre de réagir rapidement.

Or, en réalité et en étudiant depuis un peu plus d’un siècle la longue histoire des scandales sanitaires, on s’aperçoit que les structures prévues pour réagir ne font rien pour anticiper et réagir rapidement à des situations préoccupantes ».(([10] Nous avons traité dans la face cachée du médicament (ND Éditions Michalon 2011) à la suite du procès mediator la longue suite de drames liés à l’aveuglement du pouvoir face aux intérêts des labos. À commencer par la thalidomide et les enfants sans membres ou le Distilbène dont les victimes se comptent encore à la quatrième génération, etc..
La face cachée des médicaments — L’influx (linflux.com) ))

https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/220717/la-longue-histoire-des-scandales-sanitaires-en-france »

QUELQUES EXEMPLES :

HAS ET MÉDIATOR

La HAS a refusé de voir les dangers du Médiator : pas de dénonciation des effets secondaires mortels, simple refus de mieux le faire prendre en charge par la sécu, mais pas de déremboursement

HAS ET DEPAKINE et de nombreux handicapés à vie en laissant sur le marché le médicament pour les femmes enceintes alors qu’on savait depuis de nombreuses années sans que la HAS s’en préoccupe

HAS ET VIOXX

SCANDALE VIOXX CELEBREX/service médical rendu… Même aveuglement pour le Vioxx, une molécule anti-inflammatoire sur le marché entre 1999 et 2004 provoquant aux USA 27 785 décès impliquant le laboratoire Merck sans compter le monde entier ! Retiré du marché par le labo et jamais par nos instances chargées de notre sécurité sanitaire. D’ailleurs le Celebrex est toujours là en 2022 en France…

HAS ET CHANGEMENT DE LEVOTHYROX/AVIS FAVORABLE

Plusieurs milliers de patients traités avec la nouvelle formule du Levothyrox, indiqué pour troubles de la thyroïde, se sont plaints de lourds effets secondaires (maux de tête, vertiges, insomnies…) Ils ont porté plainte contre Merck en première instance, en mars 2019. Ils ont d’abord été diabolisés par les médecins incompétents ou complices, les habituels anticomplotistes qui les ont traités de tous les noms d’oiseaux… L’histoire se répète.

Nous avions cité dans le livre « La face cachée des médicaments »(([11] N Delepine 2011, Éd. Michalon.)) la thèse de doctorat de Louis-Adrien Delarue démontrant qu’au moins quatre recommandations de la HAS émises entre 2006 et 2008 sont erronées.

Il a étudié trois classes de médicaments utilisées pour soigner le diabète de type 2, la maladie d’Alzheimer et certains troubles articulaires. Ces pathologies fréquentes font l’objet de préconisations dans quatre guides de la HAS. « Les biais sont multiples », selon la thèse :

« Études scientifiques omises, présentations de données mal étayées ou connues pour être falsifiées, conclusions hâtives et mal argumentées. In fine, la HAS promeut des médicaments dont la balance bénéfice-risque est clairement défavorable et qui impactent les dépenses publiques à hauteur de centaines de millions d’euros par an. »

Et cerise sur le gâteau, c’est celui qui dénonce les conflits d’intérêt qui se fait rabrouer

« Symbole du tabou qui entoure ces conflits d’intérêts, le jury de thèse de Louis-Adrien Delarue lui a imposé d’occulter les noms des experts incriminés en les noircissant dans son texte ».

Quelques jours après la soutenance, la pharmacologue s’est inquiétée de voir la version originale de la thèse sur Internet. Dans un e-mail adressé à Louis-Adrien Delarue et copié à tous les centres de pharmacovigilance de France, elle a tenu à ne pas s’associer aux conclusions de la thèse devant ses confrères. Et a décrédibilisé la thèse sans préciser qu’elle avait obtenu la meilleure note et la mention « très honorable ».(([12] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20110923.RUE4315/les-revelations-qui-ebranlent-la-haute-autorite-de-sante.html))

Dans ce milieu la corruption est institutionnalisée et beaucoup d’experts sont pourris jusqu’à l’os,(([13] De nombreux livres dont ceux du PR Even et Debré ou sites comme celui du Formindep le démontrent.)) mais les Français ne veulent rien voir, avalent de « nouveaux » médicaments à 3000 euros le mois, inefficaces et toxiques, et ne bénéficient plus des traitements avérés qui guérissaient de nombreux cancéreux, entre autres. Ils se taisent, anesthésiés par la propagande. Le travail de sape de la cancérologie moderne par les ukases des plans cancer et des agences INCa, HAS et ARS qui imposent les traitements qui rapportent, est dénié par les patients qui ne font que regretter quelques années plus tard.(([14] Le cancer un fléau qui rapporte N Delépine Éditions Michalon 2013.))

Et les députés votent aveuglément la confiance à cette institution qui ne remplit pas sa mission envers la population, n’a donc aucune raison d’exister et coûte un « pognon de dingue ».

POUR FAIRE RÊVER LES SMICARDS ET LES AUTRES QUI DOIVENT CHOISIR ENTRE L’ESSENCE POUR ALLER AU TRAVAIL ET LEUR NOURRITURE, RAPPELONS LES SALAIRES À LA HAS :

Ces multiples agences, simples alibis scientifiques du pouvoir ruinent le budget santé pendant que beaucoup d’hôpitaux tombent en ruine.

Et consultez les salaires publiés par certains employés qui donnent de plus une idée du nombre de postes… alors qu’on manque de médecins, de secrétaires, de soignants dans les hôpitaux, les lieux qui soignent !

21 salaires chez Haute Autorité de Santé publiés par des employés | Glassdoor

HAS, ministère, CNOM… ce que gagnent les dirigeants des autorités de santé | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

210 197 euros pour le directeur de la HAS, 119 280 euros pour la ministre

À la tête de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui a laissé dire que le nuage de Tchernobyl s’arrêtait aux frontières, Bernard Doroszczuk touche 223 419 euros brut.

Dominique Le Guludec(([15] Dominique Le Guludec, 64 ans, est cardiologue et professeure de biophysique et médecine nucléaire, spécialiste en imagerie cardiovasculaire à l’APHP.
Elle était présidente du conseil d’administration de l’IRSN depuis 2013. IRSN institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) Créé par la loi du 9 mai 2001, il s’agit d’une agence française de sécurité sanitaire environnementale. Elle avait montré ses limites lors de la catastrophe de Tchernobyl en proclamant que la contamination avait épargné la France. …)), patronne de la HAS (Haute autorité de santé) 210 197 euros bruts.
Un beau chiffre qui justifie d’obéir aux injonctions du chef qui vous a mis en place !

Svoboda Vernut @SvobodaVernut 15 mai 2022 Entre l’has, l’ars et les salaires de l’assurance maladie, le peuple pourrait récupérer un pognon de dingue 👍

D’ITALIE VIENDRA LA RAISON


Comment les parlementaires ont-ils pu confier le sort des soignants vaccino prudents et des malades qui ont besoin de tous leurs docteurs à un organisme aussi peu indépendant du pouvoir, et autant lié aux scandales sanitaires récents et aux décisions covid, même les plus stupides du gouvernement ?





Marie-Estelle Dupont : « Je pense que les pompiers non vaccinés sont peu susceptibles de contaminer un arbre »

[Source : lesmoutonsrebelles.com]

Marie-Estelle Dupont a relevé le niveau du journaliste stagiaire de CNews qui aime rire aux éclats des insultes proférées par Céline Pina (PS) qui voit chez les soignants suspendus un « fond de cuve ». Heureusement que la psychologue vient apporter du bon sens et un peu d’humanité.

Notre psychologue est revenue sur l’interdiction des soignants suspendus :

« Les soignants non vaccinés sont devenus des parias du jour au lendemain alors que l’on sait que le vaccin n’arrête pas la transmission et que des soignants vaccinés sont positifs au covid, alors même qu’on laisse travailler des soignants positifs vaccinés. C’est indigne de tous nos principes républicains. »

Marie-Estelle poursuit :

« C’est comme les incendies. Je pense que les pompiers sont peu susceptibles de contaminer un arbre et qu’il serait souhaitable de les réintégrer. »

Que dire des soignants vaccinés et positifs au covid qui continuent de travailler ? Faut-il randomiser une étude en double aveugle pour se rendre compte que la logique gouvernementale est absurde ? On vous laisse juge :




SOIGNANTS SUSPENDUS : Alexandra Henrion-Caude et Fabien Moine en conférence de presse

[Source : Fabien Moine – Exuvie TV]

Les collectifs unis et Nexus magazine ont organisé une conférence de presse exceptionnelle pour faire le point sur la situation des soignants suspendus.

Le film « Suspendus… des soignants entre deux mondes » a été projeté, s’en est suivi deux interventions du réalisateur Fabien Moine et de Alexandra Henrion-Caude. Des témoignages de membres de collectifs de toute la France se sont succédés.

Toutes les informations sur cette journée et la conférence de presse en entier :
https://www.nexus.fr/actualite/news/soignants-conf-11-juillet/






Soignants et pompiers non vaccinés suspendus : un précédent terrible pour les salariés

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING



Pour Me Fabrice Di Vizio, les soignants suspendus pour cause de refus d’injection  de vaccins expérimentaux contre le covid n’ont plus que le choix de se reconvertir professionnellement ou de s’exiler. Ce qui s’entend : avec licenciement, paiement des salaires, des indemnités légales et indemnisation des préjudices subis ; dixit le professionnel du droit, fondateur de l’association « Je ne suis pas un danger » créée en décembre 2021, qui a pour objet la défense des droits des personnes non vaccinées et vaccinées sous la contrainte.

https://jenesuispasundanger.com/qui-sommes-nous/

À ce titre, il préconise aux personnes suspendues de s’inscrire pour un gigantesque recours collectif dont il trace les grands axes et les modalités. Il anticipe même le cas où, in fine, la Cour européenne des Droits de l’Homme (dont les critères actuels estiment illégales les suspensions de salaire) condamnerait la France. D’ores et déjà, il dit aux soignants : « vous serez alors à la ramasse et devrez faire vos propres actions individuelles pour réclamer réparation de vos préjudices, dans deux ans ou dans trois ans, alors que vous serez passés à autre chose. Alors, je vous propose premièrement de lancer un recours indemnitaire préalable au Premier ministre. Celle-ci refusera et nous saisirons alors le juge administratif d’un vaste recours…». Précision : « Je ne suis pas un danger » prendra en charge les frais de ses adhérents.

L’ombrageux avocat prévient aussi les personnels suspendus qu’ils n’ont rien à attendre de « l’opposition » RN et NUPES (bien qu’il ait voté pour ce dernier attelage !), mais Di Vizio n’en est pas à une loufoquerie près en politique.

« Le droit du Travail s’est écrit dans les larmes et le sang »

Dans une vidéo, intitulée « Personnel suspendu, mobilisons nous ! », le Divizionaire détaille le plan qu’il a mis au point pour « engager le plus grand combat terminal qui n’ait jamais été engagé dans cette crise ». 

Mais surtout, il alerte sur la dérive du droit du Travail qui permettra bientôt de suspendre sans indemnités telle ou telle catégorie de salariés jugés travailleurs non essentiels, sauf à s’astreindre à telles ou telles obligations. Il apporte la preuve de la réalité d’aujourd’hui sur ce que les soi-disant complotistes avaient prévu et dénoncé hier. 

Di Vizio : « le but n’est pas de licencier en appliquant le droit, mais de montrer qu’il y a des comportements qui sont inacceptables et qui peuvent vous conduire à la mort sociale. Il y a lieu de tuer socialement tous ceux qui auraient une doctrine dissidente. Et moi je dis aux syndicats qui ne s’en mêlent pas : vous êtes suicidaires et vous le paierez très cher parce que vous disparaîtrez ».

Passe sanitaire : grand procès contre l’État !

Info utile

De son côté et dans le même combat contre la dictature sanitaire, le non moins susceptible Me Carlo Alberto Brusa (président de Réaction19), a rédigé une plainte de 32 pages au pénal à télécharger, contre les agences du médicament et des produits de santé, de santé publique, les ordres des médecins et pharmaciens, pour mise en danger de la vie d’autrui et pratiques commerciales trompeuses.




Les vilains mensonges Covid

[Source : lewrockwell.com]

Par  Ron Paul, MD

Après deux ans de tyrannie gouvernementale sans précédent au nom de la lutte contre un virus, les principaux instigateurs de cette infamie se promènent en liberté, écrivent des livres et prétendent ouvertement qu’ils n’ont jamais dit les choses qu’ils ont clairement dites encore et encore.

Prenez par exemple la coordinatrice à la Maison-Blanche de la réponse de Trump contre la Covid, Deborah Birx. Elle était, comme le souligne Jeffrey Tucker du Brownstone Institute dans un article récent, l’architecte principale de la désastreuse politique de « verrouillage » qui a détruit plus de vies que la Covid elle-même. Mme Birx savait que le verrouillage d’un pays en réponse à un virus était une mesure radicale qui ne serait jamais approuvée. Alors, comme elle l’admet dans son nouveau livre, elle a menti à ce sujet.

Elle a fait miroiter à la Maison-Blanche l’idée farfelue de « quinze jours pour ralentir la propagation », tout en sachant qu’il n’y avait aucune preuve que cela aurait un tel effet. Comme elle l’écrit dans son nouveau livre, Silent Invasion, « Je n’avais pas encore les chiffres sous les yeux pour justifier une prolongation, mais j’avais deux semaines pour les obtenir ».

Elle jouait la carte du temps sans aucune preuve. Il s’avère qu’elle détruisait également la vie de millions d’Américains. L’hystérie qu’elle a créée a entraîné la destruction d’innombrables entreprises, d’innombrables suicides, des dépressions majeures, des dépendances à la drogue et à l’alcool. Elle a conduit à d’innombrables décès dus à des retards dans le traitement d’autres maladies. Elle pourrait s’avérer être l’erreur la plus meurtrière de l’histoire de la médecine.

Comme elle le révèle dans son livre, elle voulait en fait isoler chaque personne aux États-Unis ! Écrivant sur le nombre de personnes qui seraient autorisées à se rassembler, elle a déclaré : « Si j’avais insisté pour qu’il y en ait zéro (ce qui était en fait ce que je voulais et ce qui était requis), cela aurait été interprété comme un “verrouillage” — la perception que nous travaillions tous si dur à éviter. »

Elle voulait empêcher les rencontres même entre seulement deux personnes. Comment est-il possible qu’une personne comme celle-ci ait pu acquérir autant de pouvoir sur nos vies ? Un virus et nous devenons soudainement la Chine communiste ?

La semaine dernière, dans une interview à Fox News, elle a de nouveau révélé l’étendue de sa traîtrise. Après avoir passé des mois à exiger sans relâche que tous les Américains reçoivent les vaccins Covid, elle a révélé que les « vaccins » n’étaient pas du tout des vaccins !

« Je savais que ces vaccins n’allaient pas protéger contre les infections », a-t-elle déclaré à Fox. « Et je pense que nous avons exagéré l’importance des vaccins. Et cela a fait que les gens se sont ensuite inquiétés du fait que cela ne va pas protéger contre les maladies graves et les hospitalisations. »

Alors quand l’a-t-elle su ? Le savait-elle lorsqu’elle a déclaré à ABC, fin 2020, que « c’est l’un des vaccins les plus efficaces que nous ayons dans notre arsenal contre les maladies infectieuses ? Et c’est donc la raison pour laquelle je suis très enthousiaste à propos de ce vaccin » ?

Si elle savait depuis le début que les « vaccins » n’étaient pas des vaccins, pourquoi ne nous l’a-t-elle pas dit ? Parce que, comme elle l’admet dans son livre, elle pense qu’il est normal de mentir aux gens pour leur faire faire ce qu’elle veut.

Elle admet avoir employé un « subterfuge » contre son patron — le président Donald Trump — pour mettre en œuvre les politiques de Covid auxquelles il s’opposait. Il ne faut donc pas s’étonner qu’elle ait menti au peuple américain sur l’efficacité des piqûres antiCovid.

La grande question maintenant, après ce qui semble être un tsunami de blessures liées aux vaccins, est de savoir si quelqu’un sera forcé à payer pour les mensonges et le subterfuge. Quelqu’un sera-t-il tenu de rendre compte des vies perdues à cause de l’arrogance des Birx et des Faucis de ce monde ?




Multipolarité contre unipolarité, par une guerre proxy ukrainienne, pour une gouvernance mondiale ?

Par DJERRAD Amar

Cette campagne russe en Ukraine a été, en effet, surprenante et décisive surtout pour les atlantistes aveuglés par ce sentiment de supériorité et ankylosés par leurs suffisance et rassasiement. Le risque nucléaire est à poser aux atlantistes provocateurs de la Russie depuis au moins les 15 dernières années et non à la victime qui a le droit suprême inaliénable de se protéger ! Tout le problème vient bien des USA. 

Neutraliser la Russie et la Chine pour une gouvernance mondiale ? 

L’occasion de neutraliser la Russie, par une guerre hybride, a été planifiée en Ukraine. Planification erronée qui semble aboutir à un échec lamentable ! Il faudra bien que la Russie réponde par une stratégie pour se défendre d’une menace existentielle ! Si l’OTAN était certaine que c’était « gagnable », elle n’hésiterait pas à frapper directement, comme les USA l’avaient fait au Japon, assurés qu’il n’avait pas la même arme pour répliquer !

Si l’OTAN, avec ses 30 pays, se cache derrière un seul, l’Ukraine, contre la Russie, c’est que pour cette alliance il était très hasardeux, voire dangereux, de lui déclarer officiellement la guerre sachant qu’ils seront « vitrifiés » seulement avec les armes conventionnelles hors pair qu’ils ne possèdent pas !

Mobiliser l’Europe, dans l’hystérie (une trentaine de pays), pour faire la guerre à la Russie par proxy ukrainien, sans résultat tangible et oser gesticuler sur une capacité d’affronter aussi la Chine sur la question de Taiwan, ses projets économiques mondiaux et de sa « ceinture » et route, c’est funambulesque ! Faire deux guerres majeures en même temps ? C’est du bluff américain ! Nous recommandons, à l’occasion, deux livres collectifs, intéressants, intitulés « La Chine sans œillères » et « La Russie sans œillères » qui rétablissent la vérité, sur plusieurs sujets, concernant ces deux pays. Ils savent ce que cela coûtera et où cela mènera ! De plus, raisonnablement, il faut d’abord faire la liste des guerres gagnées (dans leurs objectifs et les pertes) directement contre des pays faibles ! Par des sanctions économiques aussi contre la Chine ? Trêve de plaisanterie ! Ce ne sera plus se tirer « une balle dans le pied », mais un « missile sur sa maison » ! « Qu’ils essaient », propose Sieur Poutine pour ce qui concerne son pays !

Leur néoconservatisme effréné et ravageur, en voulant ‘manger’ tout le monde pour assouvir les sales instincts avides de domination de ses géniteurs, se retrouve, par excès de cupidité, d’immoralité et de démesure, à se consumer graduellement, pris à revers par les contradictions de son propre système économique et idéologique à savoir le « mondialisme » qui vise à mettre en place une « gouvernance mondiale » selon une doctrine obligeant les autres états et peuples à ouvrir leurs marchés, leur commerce, à céder leurs matières premières, à bannir les barrières douanières et leur culture, suivant les « règles » édictées par le gouverneur autoproclamé à savoir les États-Unis !

Les USA savent qu’ils n’ont jamais gagné de guerres dans ses objectifs. Ils ont toujours surestimé leurs forces en négligeant avec dédain celle de leurs adversaires choisis toujours parmi les pays « faibles » les considérants inaptes à la réplique comme s’il s’agit une partie de chasse qui, en fin de compte, à chaque fois, s’avèrent être de redoutables défenseurs de leur patrie, réussissant à leur infliger des dégâts intenables et inattendus ! Cela rappelle une citation du Général de Gaulle : « La guerre, c’est comme la chasse, sauf qu’à la guerre les lapins tirent ». C’est parce qu’ils le savent qu’ils ont trouvé l’astuce des guerres par proxy afin de pouvoir s’en tirer à bon compte en cas d’ennuis.

Très souvent c’est parce qu’on est en manque d’une chose qu’on l’évoque de façon obsessionnelle contre un adversaire ou concurrent qui souvent nous dépasse dans cette chose ou la fait mieux que nous ! C’est le cas des prétextes « libertés », « démocratie », « droits de l’homme » que les Occidentaux évoquent cyniquement contre leurs rivaux pour cacher leurs tares et convoiter des intérêts illégitimes ou illicites. Réellement, ils souhaitent dans ces pays des dirigeants pantins, car les valeurs qu’ils prônent entravent leurs projets prédateurs. Ce sont des criminels qui s’habillent d’oripeaux élogieux pour mieux tromper les consciences, spolier et imposer leur diktat. Leurs prétentions les aveugles au point où ils perdent la raison.   

Imbus de leur personne, leur arrogance et leur sentiment d’infaillibilité et d’invincibilité — en voulant tout réguler, tout gagner, régenter le monde, tout changer en défaisant les autres, sans changer soi-même — ils se retrouvent poussés au-delà des limites du raisonnable au point qu’ils se permettent de décider d’abord, absurdement, d’actions ou de guerres, puis de réfléchir ensuite, mais une fois trop tard, lorsque les conséquences devenant irréversibles, les solutions caduques et l’échec certain ! « Les batailles perdues se résument en deux mots : trop tard. » dit Douglas MacArthur. Il reste toutefois, toujours, du temps pour décamper ! Kadyrov, le président de la Tchétchénie, pense que la réflexion avant l’action est « un luxe que certains dirigeants occidentaux ne peuvent pas se permettre » ; pour lui aucun « n’aurait pensé qu’un nombre sans précédent de sanctions contre la Russie ne ferait absolument rien ». Même à la 7e série de sanctions incluant notamment un embargo sur l’or russe, qui semble sans effet significatif, on a observé un relâchement sur certaines restrictions (transport, les denrées alimentaires, les engrais et même le pétrole et le gaz), car elles leur nuisaient dangereusement !

Multipolarité « dictatoriale » et unipolarité « démocratique »

L’heure des atlantistes ne paraît plus à la décence et au ridicule, mais à frapper perfidement « tout ce qui bouge » vers l’indépendance et le souverainisme, voies assurées par la multipolarité que soutient la Russie face à leur unipolarité (deux modes qu’ils présentent, curieusement, comme un affrontement entre « dictature » et « démocratie »). Comme si le multipartisme est une dictature et le parti unique une démocratie ! Le ridicule est même poussé au-delà du contre nature. Selon Sergueï Ryabkov (aux journalistes), les États-Unis auraient demandé à la Russie de reconnaître les mercenaires en Ukraine comme des « combattants au sens des Conventions de Genève » !

Les atlantistes, pris dans leur égoïsme, leur cupidité et leur démence, disent et font des choses et leurs contraires, menacent puis se rétractent, sanctionnent puis réajustent, lient amitié et désavouent, méprisent la charte de l’ONU et la revendiquent, aident et volent, engagent et renient, pratiquent l’injustice et le racisme tout en le condamnant, interdisent ce qu’ils s’autorisent, fomentent des « révolutions de couleurs » ; voir en particulier le livre du Dr Ahmed Bensaada « Arabesque américaine », etc., tout cela pour se garantir des intérêts exclusifs, quitte à menacer par leurs puissances militaires, économiques et financières !  

Une mentalité funeste et arrogante qui considère que la puissance militaire fait force de loi « internationale » (qui ne s’appliquent pas sur eux) qui peut rendre licite, l’illicite et vice versa, légal l’illégal et vice versa ; qui donne le droit de sanctionner arbitrairement quiconque, sans légitimité de riposte, qui donne aussi le droit de confisquer les biens des autres par la force, etc. ne peut conduire qu’à des conflits particulièrement violents et destructeurs ! Cela s’est vu contre des pays opprimés considérés « nains » militairement et économiquement, mais qui ont réussi à mettre ces « puissances » dans des situations d’échec insupportable ! Qu’en sera-t-il si une puissance opprimante et prédatrice se retrouve face à une autre puissance, sage et patiente, plusieurs fois humiliée, qui décide d’en découdre militairement au nom de la justice ? C’est le cas présentement des USA (avec leurs vassaux pseudo-puissances européennes) qui se retrouvent face à la puissance russe par Ukraine comme mandataire ! Sergueï Lavrov explique largement à Margarita Simonian (de Russia Today) l’opération militaire en Ukraine, la question des sanctions et de la crise énergétique ainsi que l’attitude des atlantistes dans une interview d’une heure environ. Nous recommandons aussi cette récente vidéo de Xavier Moreau qui fait sur ces évènements d’Ukraine, depuis le début, un travail remarquable d’information et d’analyse.

Leur crétinisme les pousse jusqu’à oser provoquer en même temps que la Russie, le mastodonte chinois tout en lançant des piques sur l’Inde ! Allez savoir quelle mouche les a piqués pour aller gratter les anus des ours ou des lions ! À ce jour, le courageux homme qui l’aurait fait n’est pas encore revenu pour nous raconter son aventure !

Dernière phase de l’impérialisme

En Ukraine, la Russie semble n’avoir donné qu’un grognement lointain et nous voyons les effets. Comme le fort honnête agit souvent raisonnablement, Poutine a bien prévenu les atlantistes en délire que « chacun doit savoir que nous n’avons pas encore commencé les choses sérieuses »… « qu’ils auraient dû comprendre qu’ils ont déjà perdu dès le début de notre opération militaire spéciale, car son début signifie le début d’une rupture radicale de l’ordre mondial à l’américaine… » suggérant ainsi que le monde impérialiste — avec son esclavagisme, son colonialisme et néo-colonialisme, ses actions prédatrices et ses génocides — est arrivé à la dernière phase de son évolution historique. Il ne nous semble pas qu’il s’agisse d’une « accélération de l’Histoire » avec cet évènement ukrainien ! Tous les Empires pillards, à travers l’Histoire, sont arrivés à cette fin par les contradictions qu’ils renferment. Celui de notre époque, avec ses absurdités et antagonismes, menées à leurs paroxysmes, ne fera pas exception ! C’est dans l’ordre de la nature où chaque cause entraîne un effet ! « Toutes les doctrines, toutes les écoles, toutes les révoltes n’ont qu’un temps. » selon le même De Gaulle. On peut ajouter « tous les empires ».

Si l’Ukraine, par son pantin de président, affiche un certain abattement et mécontentement chaque semaine et à chaque occasion en réclamant encore plus « d’aide », c’est que la demeure prend l’eau (ou feu), menaçant surtout par là qu’elle ne pourra plus faire jouer le patriotisme/nationalisme à ses formations armées engagées par « procuration » pour des intérêts qui sont loin d’être ukrainiens ! Cette attitude, ainsi que la réaction des USA, s’inscrit à notre sens plus dans l’objectif de tenir bon en attendant les effets attendus « dévastateurs » des sanctions sur la Russie que dans le but de gagner militairement, sachant que le temps joue indubitablement contre eux !

Au vu de l’évolution des choses sur le champ de bataille, on constate bien que l’armée russe avance sans empressement, délicatement avec méthode et modération sans pertes significatives tout en consolidant ses positions ! Ceci est bien reconnu par Scott Ritter (ancien officier du renseignement américain) dans une vidéo : « La Russie est en train de gagner sur tous les fronts… ». Entre-temps, elle paraît titiller l’OTAN en lui faisant apparemment préjuger une force/faiblesse de l’armée afin d’une part la dissuader d’aller trop loin et d’autre part l’inciter à dépenser davantage, à armer plus l’Ukraine, à concentrer plus d’armement et de troupes pour finalement sortir brièvement les armes furtives pour les détruire en quelques frappes avec un moindre coût, comparativement ! Comme c’est encore le cas de la frappe russe sur Odessa ayant détruit, entre autres, un navire de guerre ukrainien transportant des missiles antinavires fournis par l’OTAN. Le lien fait par la propagande Otanesque avec l’accord d’Istanbul concernant les exportations céréalières est un vulgaire mensonge. Et bis repetita ! À ce train, avec déjà 75 milliards de dollars de dépenses sans résultats probants (auxquels s’ajoutent les coûts colossaux du boomerang des sanctions), on se dirige droit vers un gouffre financier annonciateur d’un rétropédalage au risque d’une récession ruineuse économiquement et politiquement ! Si malgré tous les efforts les résultats pointent vers cet échec, alors les Ukrainiens seront discrètement autorisés à négocier, car ce sont les États-Unis les cobelligérants, les parrains, qui décident et financent tout depuis le début ; l’Ukraine n’étant qu’un faire-valoir. Dans ce cas, on verra qu’ils seront laissés à eux-mêmes et l’OTAN leur imputera l’échec tout en cherchant une autre voie !

A la réflexion, se peut-il que tout cela soit une stratégie russe élaborée (peut-être en concertation avec d’autres puissances) pour une guerre à un niveau bien plus élevé afin de mettre un terme définitivement à l’hégémonie funeste et insupportable, qui a trop durée, de la caste anglo-saxonne ? Possible, car des voix russes réclament cette option de guerre élargie aux décideurs !

Rupture, dernier souffle et situation kafkaïenne

Les atlantistes se retrouvent confrontés à quatre situations dont les effets sont plus ou moins pénibles : admettre l’échec, déclarer une guerre ouverte, poursuivre la même démarche ou fomenter des troubles internes à finalité séparatiste. Chacune supporte un coût qu’il leur appartient d’évaluer au vu d’un bilan sérieux et objectif de leurs actions passées. Ce qui est certain, c’est que chacune des quatre situations les place dans un affreux choix « bouillante d’un côté et brûlante de l’autre » (comme disent les Maghrébins). La corde tendue est à sa rupture !

 Au regard de la carte de l’opération spéciale des forces armées russes en Ukraine au 24.07.2022, le choix paraît évident : destruction de 16 aérodromes, 260 avions, 144 hélicoptères, 1 605 drones, 357 systèmes de missiles antiaériens, 763 systèmes de lance-roquettes multiples, 4 146 chars et autres véhicules blindés, 3 196 pièces d’artillerie de campagne et 4 457 unités de véhicules militaires spéciaux et ce, en 5 mois ! Pour remplacer ces engins militaires (et infrastructures), il faudra réunir des dizaines de milliards de dollars, les fabriquer, les acheminer et former les militaires, sans compter le fait qu’ils seront en grande partie détruits, lors de leur acheminement, par l’armée russe qui les guette, puisque le ministère russe de la Défense ne cesse d’avertir que « les dépôts d’armes deviendraient des cibles légitimes pour les forces aérospatiales » ! L’avertissement va encore plus loin si d’aventure l’Ukraine est destinataire d’armes à longue portée ! Dans ce cas les « objectifs géographiques de l’opération spéciale se déplaceront même plus loin de la ligne actuelle ».

Ils refusent, jusqu’au dernier souffle, d’admettre que le monde a totalement changé dans les relations politiques et économiques, dans les rapports de force, dans les alliances stratégiques à cause des crises, des contradictions, des spéculations et des injustices suscitant des conflits d’intérêts, voire d’existence. C’est donc sans compter, cette fois, sur le double défi russe et chinois soutenus par le BRICS que les menaces et complots en cours ou en préparation seront un coup d’épée dans l’eau et les changements irréversibles ! Leur dernier souffle paraît être qu’aujourd’hui, pour justifier leur déroute (militaire et sanctions) aux yeux de leurs peuples, voire au reste du monde, pour sauver leur face, ils s’emploient indignement à imputer à la Russie toutes les conséquences de leurs fourberies ; de l’inflation aux pénuries en passant par le gros risque d’instabilité sociale avec l’arrêt de leurs usines et l’accentuation du chômage ! Sur un autre volet, ils s’échinent, par leur mensonge et propagande, à l’accuser de « crimes de guerre » sur la base de mise en scène de scénarios montés de toute pièce comme les bombardements des quartiers résidentiels, etc. ! (« massacre » de Bucha, maternité de Marioupol, garnison de l’île aux serpents, missiles sur Donetsk et la gare de Kramatorsk, Supermarché de Krementchouk, etc.) et ce, paradoxalement, à des moments, où l’armée russe et en pause ou en position dominante ! En revanche, et en soutien à la Russie, la Chine demande des enquêtes sur les crimes de guerre et les violations des droits de l’homme commis par les États-Unis et le Royaume-Uni, au cours des 20 dernières années notamment en Afghanistan, l’Irak et la Syrie, faisant jusqu’à 48 000 morts civiles. Leur dernier souffle enfin est de montrer qu’ils ont encore la capacité et la marge de nuire à la Russie en décidant d’imposer, « comme ça », un prix d’achat plancher (égal ou inférieur au coût de production) au pétrole brut russe — qui représente 30 % du marché européen et 12 % du commerce mondial — uniquement pour ne pas l’enrichir sans se soucier du risque d’avoir une réponse économique simple : celle de ne pas vendre à ce prix aux pays qui l’imposent ! C’est bien la loi du marché !

Il faut rappeler que, globalement, les pays de l’UE ont acheté en 2021 à la Russie, 30% de pétrole brut, 15% de produits pétroliers et 45% du gaz naturel. Boycott ou pas, tous ces produits énergétiques ont déjà trouvé acheteurs ! Respectueuse des contrats signés (contrairement aux atlantistes), c’est plutôt l’Europe qui peut faire crouler sa propre économie si elle choisit de proscrire le pétrole et le gaz russe et non cette dernière qui pourrait décider « de couper l’approvisionnement » à l’Europe.

Vivre son destin avec un autre ordre mondial

Quelles que soient les intentions des Russes, ils sont dans leur droit de répondre comme ils l’entendent à une injustice ou à une provocation. Si les Européens trouvent, dans leur sens, légitime qu’ils « militarisent » les sanctions contre la Russie pour la priver d’argent, pourquoi s’offusquent-ils à l’idée (seulement) que la Russie pourrait, en réponse, « militariser » l’approvisionnement énergétique qu’ils jugent illégal dans l’autre sens ? Curieuse logique !

Au fil des développements, il est fortement prévisible que l’on s’attende à ce que l’UE se divise, l’OTAN de désagrège, parce que construites sur des bases irrationnelles et anachroniques, sans particularismes (pays baltes, région scandinave, zone d’Europe centrale, Hongrie, Turquie…)

En revanche, les états prônant le multilatéralisme et le souverainisme ont intérêt à ériger une alliance, hors Europe, fondée sur des valeurs plus sûres et plus sécurisantes. Ce processus semble en bonne voie ! C’est dans cette alliance décisive, exceptionnelle, historique et courageuse avec ce nouveau bloc souverainiste et multipolaire que sera assuré le nouvel ordre mondial basé sur d’autres règles plus équitables, d’autres principes, d’autres valeurs, d’autres ONG. C’est cela une « révolution » dans les relations internationales !

On ne peut s’empêcher de conclure en citant cet extrait de discours de Poutine devant les dirigeants de la Douma :

« … C’est le début de la transition de l’égocentrisme américain libéral-mondialiste vers un monde véritablement multipolaire — un monde fondé non pas sur des règles égoïstes inventées par quelqu’un pour lui-même, derrière lesquelles il n’y a que le désir d’hégémonie, non pas sur des doubles standards hypocrites, mais sur le droit international, sur la véritable souveraineté des peuples et des civilisations, sur leur volonté de vivre leur destin historique, leurs valeurs et leurs traditions et de construire une coopération sur la base de la démocratie, de la justice et de l’égalité. Et nous devons comprendre que ce processus ne peut plus être arrêté… »

Quel autre choix raisonnable reste-t-il ?

Amar Djerrad




Le producteur de cinéma Del Bigtree : « Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années »

[Source : lemediaen442.fr]

Del Bigtree, du média « The Highwire », lit la lettre d’une Australienne vaccinée qui admet qu’elle était gênée par le courage et les principes des non-vaccinés alors qu’ils tenaient bon face à la dictature sanitaire. 

Rappelons à nos lecteurs que le projet élyséen pour les non-vaccinés n’était pas un grand secret, puisque La Dépêche avait fait fuiter l’information : créer un système de QR-codes à scanner avant l’entrée dans les lieux publics pour identifier et suivre la personne. Le calcul politique est simple : les quelques récalcitrants, estimés à 20 % par la présidence, devront capituler de lassitude dans la guerre d’usure, sous peine d’être privés de restaurants, de vie culturelle, de vie sociale tout court.

« Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins covid. Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures de combat, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement. La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous en être très reconnaissants. »

Lettre en entier :

Si Covid était un champ de bataille, il serait encore chaud des corps des non-vaccinés. Heureusement, les contraintes se relâchent et les belligérants des eux côtés reviennent à une nouvelle normalité.

Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérimentation et de mettre en évidence la carence des vaccins Covid.

Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement, mais personne ne veut parler de ce que nous leur avons fait et de ce qu’ils ont obligé la science à dévoiler.

Nous savions que l’immunité décroissante des personnes entièrement vaccinées avait le même profil de risque que les autres membres de la société, comme la minorité des non-vaccinés, mais nous les avons ciblés pour une persécution spéciale.

Vous voyez, nous avons dit qu’ils n’avaient pas « fait ce qu’il fallait pour le bien de tous » en remettant leur corps et leur autonomie médicale à l’État.

De nombreux soi-disant experts de la santé et dirigeants politiques en Australie ont admis que l’objectif était de rendre la vie presque invivable aux non-vaccinés, ce qui a été multiplié plusieurs fois par la foule collective, avec un combat à mener dans les lieux de travail, les amitiés et les réunions de famille.

Aujourd’hui, la dure vérité est que rien de tout cela n’était justifié, alors que nous sommes passés rapidement de la droiture à la cruauté absolue. Nous pourrions rejeter la faute sur nos dirigeants et nos experts en santé pour cette incitation, mais chaque individu au sein de la société doit être tenu responsable d’être tombé dans le piège bien tendu.

Nous l’avons fait en sachant très bien que l’opposition de principe n’a pas de prix quand il s’agit de ce qui entre dans notre corps et nous nous sommes laissés tromper en croyant qu’entrer dans un autre verrouillage inefficace serait la faute des non-vaccinés et non la faute de la politique toxique de vaccins inefficaces.

Nous avons pris plaisir à faire des boucs émissaires des non-vaccinés parce qu’après des mois de confinements orchestrés par des dirigeants politiques aveuglés par le pouvoir, avoir quelqu’un à blâmer et à brûler sur le bûcher faisait du bien.

Nous pensions que nous avions la logique, l’amour et la vérité de notre côté, il était donc facile de souhaiter la mort aux non-vaccinés.

Ceux d’entre nous qui ont ridiculisé les non-conformistes et s’en sont moqués l’ont fait parce que nous étions gênés par leur courage et leurs principes et que nous ne pensions pas que les non-vaccinés s’en sortiraient indemnes et nous avons transformé les résistants en punching-balls. Bonnie Henry, Teresa Lam, Lori Wanamaker, Anthony Fauci, Trudeau et les autres centaines d’acteurs occupant des rôles de premier plan doivent être tenus responsables d’avoir vilipendé les non-vaccinés en public et d’avoir alimenté la colère des foules sur les réseaux sociaux.

Les foules, les nazis masqués et les disciples du vaccin ont été gênés de « parier contre » les non-vaccinés parce que les contraintes sanitaires n’avaient que le pouvoir que nous leur donnions.

Ce n’est pas le conformisme qui a mis fin à la domination des grandes sociétés pharmaceutiques, de Bill Gates et de ses nombreuses organisations, et du Forum économique mondial… C’est grâce aux personnes que nous avons essayé d’embarrasser, de ridiculiser, de moquer et de démolir.

Nous devrions tous essayer de trouver une certaine gratitude intérieure pour les non-vaccinés, car nous avons mordu à l’appât en les haïssant parce que leur persévérance et leur courage nous ont donné le temps de voir que nous avions tort.

Donc, si jamais les contraintes sanitaires réapparaissent lors du Covid ou de tout autre maladie ou virus, espérons-le, davantage d’entre nous seront éveillés et verront l’autoritarisme croissant qui ne se soucie pas de notre bien-être et est plus une question de pouvoir et de contrôle.

La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous en être très reconnaissants.




Variole du Singe : ce qu’ils mijotent vraiment !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Joe Rogan au sujet des Canadiens et de Trudeau : « Ils sont foutus. Ils doivent se débarrasser de ce gars-là »

[Source : quebecnouvelles.info]

Lors du 1844e épisode de son célèbre podcast, Joe Rogan, parlant à l’humoriste Tom Segura, s’est lancé dans une tirade assassine à l’encontre de Justin Trudeau et de ses actions illibérales dans la foulée de la crise sanitaire. Ce segment du populaire animateur — qui avait d’ailleurs fait les manchettes récemment en raison du boycott de Spotify par Neil Young — est devenu viral cette semaine dans tout le monde anglo-saxon.

D’entrée de jeu, Rogan y affirme que le Canada est devenu « communiste » sous l’emprise de Trudeau et que les Canadiens sont « foutus ». Il dit alors qu’il faut impérativement que ces derniers se débarrassent de ce Premier ministre.

Admettant leurs connaissances limitées du système électoral canadien, les deux Américains affirment alors que Trudeau semble être au pouvoir depuis assez longtemps… Et oublient probablement que les Canadiens l’ont en fait réélu il y a moins d’un an.

Rogan poursuit alors en admettant avoir été séduit par la figure de Trudeau dans ses premiers mandats, mais qu’il n’en revient pas de la tournure autoritaire du personnage depuis quelque temps. Sans mâcher ses mots, il dit :

[Trudeau] paraissait bien, était confiant et un bon orateur… Et puis pendant la pandémie, je suis comme, « Oh ! Tu es un putain de dictateur ! ».

Il enchaîne alors, expliquant son point de vue en référence à une phrase dite par Trudeau pendant les convois de la liberté :

« Tu essaies de faire taire la critique en disant que toutes les personnes qui te critiquent sont des misogynes et des racistes ».

Se moquant de la persistance de certaines mesures au Canada, Rogan se montre encore une fois très critique :

« Vous ne pouvez même pas aller au Canada si vous n’êtes pas vacciné… On est en 2022, pas en 2019… »

Pour écouter le segment en question :




Italie : Giorgia Meloni, une anti-islam bientôt présidente du Conseil?

[Source : ripostelaique.com]

Par Christian Navis

Giorgia Meloni, un nom à retenir

Depuis la fin de 2020, elle est la personnalité politique préférée des Italiens. Peut-être parce qu’elle est la seule à dénoncer sans détours l’islamisation de l’Europe, et à se prononcer pour la fermeture des ports afin d’empêcher les navires d’ONG financées par Soros et sa clique de débarquer des clandestins. Avec raccompagnement des intrus au large, à la limite des eaux territoriales, par des navires de guerre.

[Note de Joseph : cette approche favorise néanmoins la division sociale d’une nation, à la grande joie probable de ceux qui aiment diviser pour mieux régner. Puisque l’Islam leur pose des problèmes, il serait plus sage et constructif d’une part de renforcer la religion chrétienne qui représente encore le socle de la culture européenne, ceci en retournant à son essence d’il y a deux mille ans puisque c’est à ce niveau que se situe la sève parcourant les racines de la civilisation européenne, sève qui pourrait réveiller l’arbre au printemps d’une nouvelle ère. Et d’autre part, il vaut toujours mieux offrir un choix aux clandestins (si l’on souhaite notamment éviter d’en faire des ennemis) plutôt que de les expulser manu militari : s’intégrer à la civilisation italienne et accepter ses valeurs chrétiennes (sans pour autant se convertir) ; ou bien repartir dans leur pays d’origine, en leur fournissant au besoin des moyens pour pouvoir y vivre sans crever de faim et sans être bombardés par nos armes. Et afin de diminuer le facteur diviseur des ghettos religieux (musulmans ou autres) dans les villes qui en comptent, il serait bon d’adopter une politique de dispersion et d’accueil basée sur l’assimilation dans tous les autres quartiers ou villages.]

En août 2019, alors que les autres partis italiens papotaient sur le nombre d’envahisseurs qu’on pourrait laisser passer depuis l’intrusion des navires de l’ONG Proactiva Open, elle a proposé de créer un blocus naval autour des côtes Nord- Africaines qui empêcherait l’embarquement des migrants depuis la Libye ou la Tunisie.

Selon des sondages pourtant financés par les médias main stream, les deux tiers des Italiens approuvaient cette proposition.

Les pisse-copie en mal d’inspiration l’ont appelée « la Marine italienne ». Je changerais et intervertirais une voyelle. Pour que ça fasse « Marion ». Car à la différence de MLP, son éloquence et son sens de la répartie font merveille dans les médias et les débats. Elle ne se serait jamais aplatie devant un paltoquet inverti.

Les « pisse-copie » francarabiens atterrés la découvrent, depuis que son parti est en tête des sondages pour les prochaines législatives anticipées. Car cette fois, les Italiens ne veulent plus d’un technocrate non élu, imposé par l’Eurocrature, à la tête d’un gouvernement de figurants, de traîtres, de vendus et de profiteurs.

Brillante, courageuse, mais pas carriériste

Fille d’un communiste (!) elle crée à 15 ans la Coordination étudiante  de la Droite nationale, et milite au Front de la jeunesse du Mouvement social italien (MSI), que les pourritures gauchistes présentent comme les héritiers de Mussolini.

Un choix qu’elle ne reniera pas, bien que cette étiquette lui nuise par la suite dans sa carrière de journaliste.

À noter que, comme en France avec le FN, un « arc constitutionnel » fait copuler dans une joyeuse partouze tous les partis, des communistes aux monarchistes en passant par la démocratie chrétienne mafieuse, le parti socialiste corrompu et le parti libéral vendu au plus offrant, pour « en toutes circonstances exclure les élus du MSI de toute alliance électorale ou gouvernementale, à quelque niveau que ce soit. » Un ostracisme qui sera brisé par Berlusconi en 1994.

Députée, et plus jeune vice-présidente de la Chambre, puis ministre à 29 ans dans le premier gouvernement de Berlusconi, elle fonde en 2014 le parti national conservateur Fratelli d’Italia.  Rien à voir avec les frères trois points. Son emblème est une flamme semblable à celle du Front National, vert-blanc-rouge, conforme au drapeau de son pays.

En 2020, elle est élue présidente du parti des conservateurs européens. Et l’année suivante, elle évite de commettre l’erreur de Matteo Salvini en participant au gouvernement de l’imposteur Draghi, créature maléfique du mondialisme intrusif.

« On ne peut pas critiquer un gouvernement et en faire partie » dit-elle très justement.  La concurrence avec Matteo Salvini ne se joue pas sur le domaine des idées, très proches, mais sur le terrain du refus du compromis.

Elle sait qu’elle aura besoin des voix de « La Ligue du Nord » et de « Forza Italia » si elle veut constituer une majorité de patriotes, naturellement appelés à gouverner s’ils obtiennent une majorité à la Chambre.

Mais à la différence de ses alliés potentiels elle apparaît comme propre, honnête et désintéressée. Parce qu’elle n’est pas allée à la soupe. Malgré l’insistance du Président fantoche Matarella et les promesses de l’usurpateur Draghi, découvrant les mérites de l’unité nationale quand ça peut servir ses intérêts et ceux de ses sponsors du NWO.

Elle fait la course en tête et s’y maintient

Depuis plusieurs mois, cette femme de 45 ans, aussi affable qu’intraitable sur ses convictions, mère d’une petite fille de 5 ans, peut compter sur un socle électoral de l’ordre de 25 %, devant les berlusconistes à 22 % et la Ligue à 14 %. Mais le tout additionné, ça fait une belle majorité de 61 %. Surtout dans un pays où l’on vote à la proportionnelle pour les cinq huitièmes des circonscriptions et à l’uninominale à un seul tour pour les trois autres.

Fratelli d’Italia est perçu aujourd’hui comme le seul parti d’opposition réelle, sans compromissions, sur le plan politique et culturel.

Tous les partis se sont plus ou moins laissé tenter par des arrangements. Pas elle. Sa formation est la seule qui dézingue systématiquement toutes les décisions gouvernementales, au niveau économique, sanitaire et social. Les bien-pensants lui prédisaient l’échec et le rejet de ses méthodes. C’est le contraire qui se produit dans un pays qui, comme en France, a perdu toute confiance dans ses zélites traditionnelles.

Giorgia a parfaitement intégré les analyses du communiste Gramsci selon lesquelles la domination culturelle par la diffusion de nouvelles valeurs, antithèses de celles en vigueur, prépare l’accession au pouvoir.

Or dans une Italie déboussolée par l’invasion migratoire, la dictature sanitaire et une guerre contre la Russie dont la majorité ne veut pas, Giorgia apparaît comme le symbole le plus crédible de la révolte. Avec son parti et ses alliés, elle peut renverser la table, si on lui en donne les moyens.

La trouille des eurotocrates

Résumé du programme de Giorgia Meloni  : « Notre nation a un besoin désespéré de recouvrer sa conscience, sa fierté et sa liberté.»

Dommage qu’en France on n’ait pas une personnalité de ce calibre, aussi proche du pouvoir !

L’éventualité de sa victoire électorale contrarie vivement les gnomes de Bruxelles, les banksters cupides et la bande des parasites lobbyistes qui vampirisent les États.

Car sans prôner une sortie sèche de l’UE, ni jeter l’euro, Fratelli d’Italia propose une révision des traités et le remplacement de l’Eurocrature par une confédération d’États souverains. Grosso modo, retour à l’Europe des Nations d’antan.

Les distingués politologues, sondeurs et autres faiseurs d’opinion qui pontifient dans les médias étalent leur effarement parce qu’ils n’ont rien compris à l’électorat italien. Incapables d’interpréter le malaise de la population et de suggérer d’autres solutions que les faux-fuyants moisis des faux opposants tous d’accord pour ne rien changer.

Ils ont cru les Ritals soumis comme les Français devant les muselières, les restrictions de liberté et les faux vaccins. Terrorisés par les vaticinations des VRP de Pfizer & Co.

Ils les ont cru hébétés, tétanisés devant les hordes barbares qui déferlent chaque jour sur leurs côtes. Résignés au point d’accepter l’inacceptable. Se laisser dépouiller de leur patrie par des pouilleux, encouragés par des cafards collabos.

Ils se sont imaginés que les mouvement 5 étoiles fondé par le Coluche italien était d’extrême gauche. Alors qu’une majorité de ses électeurs ont des sympathies nationalistes. Surtout dans le Sud. Le concept d’anarchiste de droite est étranger à leurs structures mentales préformatées.

Que pourrait faire Giorgia Meloni au pouvoir ?

Salvini a raté son histoire d’amour avec le Sud car il a été trop critique envers les gens du Mezzogiorno qui ont la rancune tenace. Quant à la Ligue du Nord, comme son nom l’indique, le Sud ne l’intéresse guère. Pour Giorgia, la voie est libre. Et elle est aussi bien perçue au Nord que dans le centre de la botte.

Son principal atout : elle a les mains libres. Le clientélisme, les petits arrangements entre amis, les renvois d’ascenseur, ce n’est pas son truc. Même si on peut imaginer que les ordures mondialo-immigrationnistes doivent se creuser la tête pour lui coller des casseroles, elles ont peu de chances de produire des accusations crédibles.

Favorable au modèle familial traditionnel, elle milite contre le mariage homosexuel et l’adoption par des gays. Sans prétendre les interdire. Mais au moins mettre un frein à la publicité qui leur est faite auprès de la jeunesse. Et elle peut le dire sans être censurée ni condamnée. Car à la différence de la France, les médias et les juges ne sont pas tous la coupe de jaquettes flottantes islamo-gauchistes.

Quant aux mesures sociales, elle veut bien aider les plus défavorisés. À condition qu’ils soient Italiens. Fini l’assistanat et le logement pour les parasites exotiques !

Nobody is perfect

Le seul reproche que je lui ferai concerne son attitude face à la Russie. Après avoir tenu des propos louangeurs sur Poutine, déclarant que son pays « fait partie du système de valeurs européennes, défend l’identité chrétienne et combat le fondamentalisme islamique » elle a fini par approuver la livraison d’armes « uniquement défensives » au Zygomyr par Draghi.

Premier faux pas qu’on lui pardonnera. Car d’ici qu’elle exerce le pouvoir, on peut espérer que le Zygomyr et sa bande pourriront dans les poubelles de l’histoire.




Le dossier Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission européenne

[Source : Kla.tv]

Des parlementaires européens demandent la démission de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Motif : elle ferait partie d’une gigantesque fraude scientifique Covid-19 et d’une campagne de propagande. En raison de ses activités et des importants conflits d’intérêts, elle devrait démissionner. Kla.tv examine d’un peu plus près les activités d’Ursula von der Leyen et arrive à des conclusions qui devraient faire la une de tous les journaux !



Transcription

Ursula von der Leyen, mère de sept enfants, a mené une carrière ressemblant à un compte de fées. D’abord ministre de la famille, puis ministre de la défense, elle est devenue commissaire européenne en 2019. L’ensemble de son parcours politique a été aussi surprenant que ses fréquents scandales tombés à l’eau.

En février dernier, lors d’une conférence de presse, un groupe de parlementaires européens réunis autour du député roumain CristianTerheș a exigé la démission immédiate de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. La raison :

« Ursula von der Leyen fait partie d’une gigantesque fraude scientifique Covid-19 et d’une campagne de propagande qui a causé et continuera de causer une violation massive des droits de l’homme et des libertés. Il s’agit d’une menace pour la démocratie en Europe. En raison de ses activités et des conflits d’intérêts majeurs, elle devrait démissionner de son poste de présidente de la Commission. »

Fraude Covid ? Violation des droits de l’homme et de la liberté ? Menace pour la démocratie ? Conflits d’intérêts ? Les accusations sont lourdes. Kla.TV examine dans quelle mesure elles doivent être prises au sérieux.

1) Des affaires peu transparentes

Ursula von der Leyen est une farouche partisane des vaccins et dispose d’un excellent réseau dans l’industrie des vaccins. Elle entretient ainsi une relation de grande confiance avec le chef du géant pharmaceutique américain Pfizer – Albert Bourla. Il a parlé au « New York Times » d’une « relation étroite » avec la présidente de la Commission, qui s’est établie par des appels téléphoniques et des messages écrits. L’entreprise de Bourla a réalisé un chiffre d’affaires de 14,6 milliards de dollars rien qu’au troisième trimestre de l’année dernière dans le secteur des vaccins.
Cette sorte de diplomatie personnelle d’Ursula von der Leyen a culminé en avril 2021 avec la conclusion du plus grand contrat pharmaceutique de l’histoire de l’UE : la Communauté a commandé 1,8 milliard de doses de vaccins à Pfizer. Le volume estimé du contrat : 35 milliards d’euros, financés par l’argent des contribuables – le tout par téléphone portable, sans passer par le Parlement.

Le journaliste autrichien Alexander Fanta de Netzpolitik.org souhaite examiner de plus près ce méga-deal et a demandé à consulter les messages textuels. Fanta s’exprime ainsi :

« Ce qu’Ursula von der Leyen tape dans son téléphone n’est, franchement, pas une affaire privée. Nous avons besoin d’un contrôle public des petits messages de l’UE s’ils sont utilisés pour faire des affaires de vaccins qui se chiffrent en milliards. »

La Commission européenne rechigne : les données des téléphones portables ne seraient pas soumises aux règles de transparence de l’UE.

Ce n’est pas le premier scandale de marchés troubles. Déjà en 2019, lorsqu’elle était ministre de la Défense, son ministère, selon le Tagesspiegel, avait dépensé des centaines de millions d’euros pour des conseillers externes. Des entreprises externes auraient également obtenu directement, c’est-à-dire sans appel d’offres, des contrats de plusieurs millions pour l’armée allemande. Une violation claire de la loi. Là également, les contrats avaient été conclus par téléphone portable.

Une commission d’enquête a déclaré que les messages écrits constituaient des preuves. Peu de temps après, ils ont toutefois été complètement effacés. Ursula von der Leyen n’est au courant de rien. Des conséquences dans les deux deals ? Aucune jusqu’à présent.

Ce n’est pas une nouveauté dans sa biographie. D’autres scandales se sont également miraculeusement calmés après un bref tollé médiatique.

2) Des anomalités dans sa biographie

En 1987, Ursula von der Leyen a passé son examen d’État de médecin, suivi quatre ans plus tard par un doctorat. Celui-ci n’a toutefois pas passé l’examen du chasseur de plagiat Martin Heidingsfelder de Vroniplag. Le reproche : 27 pages de sa thèse de 62 pages au total correspondaient à des contenus sciemment copiés.

Heidingsfelder s’exprime ainsi :

« Elle était extrêmement paresseuse et a copié sans pitié. Pour cette raison, la faculté de médecine devrait lui retirer son titre. La science ne se rend pas service en protégeant des politiciens renommés ».

Le résultat ? 7 des 9 membres du sénat de la faculté de médecine de Hanovre ont voté contre le retrait de son titre en 2016.

Un deuxième reproche consiste en ce que von der Leyen aurait enjolivé son CV. Ainsi, selon ses propres dires, elle aurait été auditrice invitée à la prestigieuse université de Stanford à partir de 1993 et aurait même réalisé une analyse de marché pour le StanfordHealth Services Hospital Administration en 1995. Un atout important si l’on veut jouer dans la cour des grands.

L’université de Stanford n’était au courant de rien et s’est défendue contre l’utilisation abusive de son nom. Il n’existe pas de travail de Mme von der Leyen. Elle n’était pas inscrite à cette université et l’université ne lui avait pas délivré de certificats pour des séminaires.

Quelque temps plus tard, en 2015, l’université a soudainement retiré ses accusations contre Mme von der Leyen. Y avait-il des mécènes dans l’ombre qui destinaient von der Leyen à de plus hautes fonctions ? Un autre fait le laisse supposer.

3) Record du Bilderberg et bond en avant dans la carrière

Avant qu’Ursula von der Leyen ne devienne commissaire européenne, elle a officiellement participé à quatre conférences Bilderberg – un record absolu. La conférence Bilderberg est une réunion exclusive de dirigeants mondiaux. Depuis 1954, elle a lieu une fois par an à huis clos, afin de permettre des réunions à l’abri des regards, dans une totale opacité. Des participants jusqu’alors peu connus se retrouvent souvent à des postes élevés peu après avoir participé aux conférences Bilderberg.

Ursula von der Leyen a participé pour la première fois à la réunion Bilderberg en 2015, puis l’année suivante, en 2016, alors que les accusations de doctorat illégal et d’usurpation de nom de l’université de Stanford avaient soudainement cessé et n’étaient plus suivies par les médias. Mme Von der Leyen a participé à deux autres réunions en 2018 et 2019, juste avant sa nomination particulièrement inhabituelle en tant que commissaire européenne en 2019. Cela a donné lieu à une brève protestation dans les médias en raison d’un scandale solide : la « ZEIT » a écrit le 16 juillet 2019 :

« Ceux qui votaient aux élections européennes pensaient aux têtes de file […], mais certainement pas à la ministre allemande de la Défense de l’époque. La manière dont Ursula von der Leyen est passée en quelques jours de la position de chef du département allemand de la Défense à la fonction la plus élevée de l’UE est donc un scandale. »

L’UE a trompé ses citoyens.

On a l’impression que des cercles invisibles ont sorti Ursula von der Leyen du second plan pour la placer exactement là où ils voulaient la voir. Les scandales s’estompent et les accusateurs se taisent… Reste la question : qui sert-elle ? Pour le savoir, nous allons nous concentrer sur l’affaire de la vaccination Covid.

4) Interrelations

Point 1 : Liens familiaux

Le père d’Ursula von der Leyen, Ernst Albrecht, était déjà un homme politique de haut rang. Il avait ainsi occupé différents postes dans les organisations qui ont précédé l’UE – la Communauté du charbon et de l’acier et la Communauté européenne (CE) – et a ensuite été ministre-président de Basse-Saxe. On peut supposer que cela a favorisé la carrière fulgurante de Ursula von der Leyen et la bienveillance des médias.

Son mari Heiko von der Leyen est devenu en 2020 directeur médical du groupe biopharmaceutique américain Orgenesis Inc., une entreprise qui travaille sur des vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base de cellules, ce qui constitue un conflit d’intérêts évident.

Point 2 : Interdépendance avec les profiteurs des dons de vaccins pour l’Afrique

Fin 2021, le vaccin de Johnson & Johnson était critiqué dans le monde entier en raison de ses effets secondaires. Le marché du fabricant de vaccins s’effondre. C’est ce qu’avait titré le journal télévisé : Des experts américains déconseillent Johnson & Johnson. Le journal FrankfurterRundschau :

Vaccination Covid avec Johnson & Johnson : des effets secondaires graves responsables de plusieurs décès.

Pas de problème pour la Commission européenne. Presque simultanément, la soi-disant « Team Europe » a annoncé le don de 100 millions de doses du vaccin discrédité à l’Afrique.

Ursula von der Leyen :

« Team Europe fait avancer les efforts de solidarité mondiale contre le COVID-19. Ce lot de près de 100 millions de doses de Johnson & Johnson, livré via COVAX [COVAX se concentre sur l’accès mondial aux vaccins], fait partie de notre engagement à distribuer au moins 500 millions de doses de vaccins aux pays les plus vulnérables dans les mois à venir. »

Là encore, ce n’est que le début. D’autres engagements ont été pris par un certain nombre de chefs de gouvernement pour faire don de plus de 1,3 milliard de doses de vaccins.

Mais qui est exactement « Team Europe »? « Team Europe » s’engage prétendument pour un « accès équitable aux vaccins » des pays à faibles revenus. Ses soutiens : la Commission européenne, sous la houlette de la commissaire européenne Ursula von der Leyen, le fabricant de vaccins Johnson & Johnson et l’alliance pour la vaccination GAVI [en abrégé Alliance pour la vaccination].

La GAVI a été fondée en 2000 par la plateforme d’entreprises FEM [Forum Economique Mondial] et est sponsorisée par Bill Gates. Le Dr Seth Berkley, membre du conseil d’administration de l’Alliance pour la vaccination GAVI, se réjouit :

« Dès le début, nous avons travaillé main dans la main avec la présidente von der Leyen et son équipe, ainsi qu’avec la Banque européenne d’investissement et les États membres de l’UE, pour faire de COVAX un succès. »

COVAX a été créée en 2020 par l’OMS, la Commission européenne et la France, et vise à garantir l’accès universel aux vaccins. COVAX est étroitement liée aux fabricants de vaccins et à la Banque mondiale. Au cœur de l’action se trouve le Dr Seth Berkley – un proche allié de Mme von der Leyen. Selon le magazine Time de 2009, celui-ci fait partie des « 100 personnes les plus influentes du monde ». Par le passé, il a occupé, entre autres, de nombreux postes au sein de la Fondation Rockefeller.

Point 3 : Liens avec les « chuchoteurs politiques ».

Une analyse de réseau réalisée par un spécialiste informatique resté anonyme montre en détail l’énorme influence de la Fondation Bill & Melinda Gates et d’autres acteurs puissants. Une personne qui se distingue particulièrement est Peter Piot . Il exerce son influence par le biais de nombreux postes clés à des endroits décisifs tels que l’Institut Robert Koch, la Leopoldina [Académie nationale des sciences en Allemagne] et la Commission européenne, pour ne citer que quelques exemples. Piot est le conseiller personnel d’Ursula von der Leyen en ce qui concerne les événements Covid. Il occupe un poste de direction au sein de la fondation milliardaire Bill et Melinda Gates. Dans le cadre de son activité principale, Piot est directeur de la London School of Hygiene & Tropical Medicine. Celle-ci a reçu 185 millions de dollars de dons de la Fondation Bill et Melinda Gates au cours des dix dernières années. Peter Piot siège également, entre autres, à la fondation de l’entreprise pharmaceutique Novartis.

Point 4 : Liens avec les tireurs de ficelles mondialistes

Ursula von der Leyen est le premier point de contact en Europe pour le puissant tireur de ficelles David M. Rubenstein. Rubenstein est un grand investisseur dont la fortune se chiffre en milliards et qui est membre de la Commission trilatérale [réunion des élites d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie de l’Est], l’un des think tanks les plus puissants du monde. Celui-ci, tout comme le FEM, a été fondé par de grands banquiers comme Rothschild et Rockefeller. Rubenstein est étroitement lié à des personnalités économiques et politiques de haut rang dans le monde. Il est également à la tête des réunions du Council on Foreign Relations. Le Council est l’un des plus importants think tanks américains, fondé par des banquiers comme les Warburg.

D’autres liens avec l’élite mondialiste apparaîtront en novembre 2021 lors de la célébration des 60 ans de l’Atlantic Council, un autre groupe de réflexion très influent. Alors que dans de nombreux pays, on a attisé la panique des Covid et que le port du masque était obligatoire, l’Atlantic Council a fait la fête en grande pompe et s’est couvert de prix – sans masque ni distance. Les plus grands honneurs ont été décernés à Ursula von der Leyen ainsi qu’aux directeurs de Biontech et de Pfizer. L’Atlantic Council est une autre confédération mondialiste de super-riches. Bien qu’aucune de ces personnes n’ait été directement élue par le peuple, ils prétendent s’engager pour la démocratie. Les sponsors de cet événement sont One American Bank, Goldmann Sachs, Bank of America, et d’autres…

Que veulent exactement ces élites ?

5) Objectifs des réseaux mondialistes

Ursula Von der Leyen est étroitement liée à Klaus Schwab, membre du groupe Bilderberg et chef de file du Forum Economique Mondial [FEM]. Le FEM est une plate-forme de dirigeants d’entreprises et de stratèges mondiaux, fondée par l’élite financière comme la Dynastie Rothschild et Rockefeller. Le FEM souhaite mettre en place une société technocratique. Ursula von der Leyen se déclare favorable à ce que l’on appelle le Great Reset, que le FEM fait avancer rapidement en profitant de la crise Covid.

Le FEM a déclaré les objectifs suivants d’ici 2030 :

  • la création d’un gouvernement mondial unique
  • une monnaie mondiale contrôlée, sans argent liquide
  • la fin de toute souveraineté nationale
  • la fin de toute propriété privée
  • l’abolition des transports privés
  • un système mondial de crédit social
  • dépopulation, contrôle de la croissance démographique
  • identité numérique de chaque être humain (ID 2020)
  • une souveraineté absolue des médias par la censure des médias indépendants
  • la création d’un nouvel homme par la fusion de l’homme et de l’IA [Intelligence Artificielle], c’est-à-dire le transhumanisme
  • instauration d’une technocratie
  • le « Green Deal » pour imposer une économie planifiée centralisée, semblable à la gestion étatique de tous les domaines sous le socialisme ; le changement climatique ne sert que de prétexte.

Veuillez consulter les émissions très instructives qui s’affichent à l’écran. Les choses mentionnées y sont bien documentées et expliquées de manière compréhensible. Vous trouverez également les liens à ce sujet sous l’émission.

www.kla.tv/18200 Une initiative de l’élite financière
www.kla.tv/19023 L’Agenda 2030, un étiquetage frauduleux
www.kla.tv/18851 (pas en français) Klaus Schwab : A propos du Great Reset dans la dictature totale mondiale
www.kla.tv/20436 « Régime coercitif » – Le vrai visage du Nouvel Ordre Mondial

Dans le générique de fin, vous trouverez en outre des sources originales, par exemple du FEM, qui étayent ces déclarations insaisissables. N’hésitez pas à télécharger les textes des émissions et à vérifier vous-même les sources indiquées.

6) Conclusion

Les faits mentionnés ne sont que la pointe de l’iceberg. Il est évident qu’il existe des réseaux créés par les plus riches et les plus puissants et qu’ils sont étroitement liés à des personnages clés comme Ursula von der Leyen. Ces organisations et ces liens doivent être révélés au grand public. C’est la seule façon d’éveiller une nouvelle conscience chez les gens et de mettre un terme à la réalisation des fantasmes de toute-puissance de quelques-uns. Si vous êtes d’avis que ces liens doivent être connus de tous, diffusez cette émission à un grand nombre de vos connaissances par e-mail, via WhatsApp, Twitter, Vimeo ou publiez la vidéo sur Facebook. Nous afficherons le lien vers cette émission ! Merci de votre aide !

de ag./str.

Sources / Liens :

Rücktrittsforderung https://transition-news.org/eu-parlamentarier-fordern-sofortigen-rucktritt-von-
kommissionsprasidentin https://t.me/DieWahrheitundnurdieWahrheit/59571
https://philosophia-perennis.com/2022/02/20/leyen-pfizer-skandal-eu-abgeordnete-fordern-sofortigen-ruecktritt-von-der-leyens/
https://www.youtube.com/watch?v=qhe20QRG_Rw
Intransparente Deals https://reitschuster.de/post/ursula-von-der-leyen-immer-aerger-mit-den-handydaten/
https://www.tagesspiegel.de/politik/berateraffaere-um-von-der-leyen-handydaten-
geloescht-obwohl-sie-als-beweise-dienen-sollten/25431484.html https://www.tagesschau.de/inland/vonderleyen-handydaten-101.html
https://www.tagesspiegel.de/politik/berateraffaere-der-bundeswehr-wuetende-
offiziere-millionen-fuer-mckinsey-und-ein-unschuldslamm/25540248.html https://www.welt.de/politik/deutschland/plus183268400/Ursula-von-der-Leyen-Eine-
Ministerin-verstrickt-im-Netzwerk-der-Berater.html Auffälligkeiten in der Biografie https://vroniplag.fandom.com/de/wiki/Ugv
https://portal.dnb.de/opac/showFullRecord?currentResultId=%22120285169%22%26
any¤tPosition=0 https://www.zeit.de/studium/hochschule/2015-10/ursula-von-der-leyen-stanford-lebenslauf-betrugsverdacht?sort=desc&page=3
https://www.sueddeutsche.de/karriere/hochschule-als-marke-meine-zeit-in-stanford-1.2688843
https://taz.de/Kommentar-Von-der-Leyens-Doktortitel/!5285935/
https://www.tagesspiegel.de/wissen/neue-vorwuerfe-gegen-verteidigungsministerin-
us-uni-stanford-wirft-von-der-leyen-missbrauch-des-namens-vor/12435316.html https://www.tagesspiegel.de/wissen/lebenslauf-der-verteidigungsministerin-stanford-zieht-vorwurf-gegen-von-der-leyen-zurueck/12438318.html
https://www.t-online.de/nachrichten/panorama/menschen-schicksale/id_75743922/
von-der-leyen-am-pranger-us-elite-uni-spricht-von-namensmissbrauch.html https://www.sueddeutsche.de/bildung/doktorarbeit-von-ministerin-von-der-leyen-
sie-war-extrem-faul-1.2668077 https://www.sueddeutsche.de/politik/plagiatsvorwuerfe-gegen-von-der-leyen-es-ist-
ernst-1.2666546 Bilderberger-Rekord und Karrieresprung https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_von_Teilnehmern_an_Bilderberg-Konferenzen
https://www.cfr.org/event/conversation-president-ursula-von-der-leyen-european-commission
https://www.sueddeutsche.de/politik/von-der-leyen-eu-kritik-kommission-1.4509421
https://www.zeit.de/politik/ausland/2019-07/ursula-von-der-leyen-eu-kommissionspraesidentin-wahlsieg?utm_referrer=https%3A%2F%2Fwww.startpage.com%2F
Verflechtungen Familie Vater https://de.wikipedia.org/wiki/Ernst_Albrecht
Ehemann https://de.wikipedia.org/wiki/Ursula_von_der_Leyen
https://orgenesis.com/team
https://d-nb.info/972645632/04
www.reuters.com/article/brief-orgenesis-announces-cell-based-vac-idUSFWN2CV0M4
Impfstoffprofiteure Afrika https://www.gavi.org/news/media-room/team-europe-vaccine-sharing-almost-100-
million-j-j-doses-be-donated-end-2021-first https://www.gavi.org/news/media-room/world-leaders-unite-commit-global-equitable-access-covid-19-vaccines
Seth Berkley https://www.weforum.org/agenda/authors/seth-berkley
Peter Piot https://transition-news.org/wie-bill-gates-die-gesundheitsbehorden-gekapert-hat
https://www.corodok.de/wie-coronafolgen-leugnern/
https://www.gatesfoundation.org/ideas/media-center/press-releases/2009/01/dr-peter-piot-joins-foundation-as-a-senior-fellow
Thomas Röper: Inside Corona J.K. Fischer Verlag S. 55-64 https://ec.europa.eu/transparency/expert-groups-register/screen/expert-groups/consult?lang=en&groupId=3719&fromMeetings=true&meetingId=20410
https://ec.europa.eu/research-and-innovation/en/events/upcoming-events/research-innovation-days/speakers/peter-piot
https://cepi.net/about/whoweare/
https://www.leopoldina.org/mitgliederverzeichnis/mitglieder/member/Member/show/
peter-piot/ David Rubenstein https://de.wikipedia.org/wiki/David_Rubenstein
https://de.wikipedia.org/wiki/Carlyle_Group
https://www.cfr.org/event/conversation-president-ursula-von-der-leyen-european-commission
Preisverleihung Atlantic Council https://report24.news/bourla-sahin-von-der-leyen-pandemie-hintermaenner-ueberhaeufen-sich-mit-preisen/
Trilaterale Kommission, Atlantic Council, Council on Foreign Relation www.kla.tv/11585:
Fassadendemokratie: Vortrag von Hermann Ploppa www.kla.tv/19404:
Council on Foreign Relation – Geheime Weltregierung? Inhalt des Great Reset und Klaus Schwab www.kla.tv/18007:
The Great Reset – ein Schachzug der Finanzelite www.kla.tv/18739:
Etikettenschwindel Agenda 2030 www.kla.tv/18851:
Klaus Schwab: Über den Great Reset in die globale Total- Diktatur https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Bilderberg_participants#Germany
www.kla.tv/20291:
„Zwangsherrschaft“ – Das wahre Gesicht der Neuen Weltordnung www3.weforum.org/docs/WEF_The_Great_Reset_AM21_German.pdfhttps://dieunbestechlichen.com/2020/12/dystopischer-great-reset-nichts-besitzen-und-gluecklich-sein-mensch-sein-im-jahr-2030-video/ www.tagesschau.de/wirtschaft/das-wef-und-der-grosse-neustart-corona-krise-101.html
www.weforum.org/great-reset




LE MONDE SE RÉVOLTE : nous sommes des milliards contre quelques milliers ! courage !

Par Nicole Delépine

Manifestations dans le monde entier contre les mesures vaccinales et la fausse pandémie

Les chefs d’État partisans des sanctions contre la Russie tombent les uns après les autres, dont le symbolique et important banquier italien Mario Draghi.

  • ➡️27,06 Kiril Petkov Bulgarie
  • ➡️ 01.07 Naftali Bennett Israël
  • ➡️ 07.07 Boris Johnson Royaume-Uni
  • ➡️ 08.07 Kaya Kallas Estonie
  • ➡️ 09.07 R Wikremesinge SriLanka
  • ➡️ 14.07 Mario Draghi Italie

Dans la semaine du 11 au 17 juillet : Manifestations au Portugal, Chili, Canada, Australie, Autriche, France, Hollande, Allemagne, etc., sans compter les énormes manifestations italiennes qui ont abouti au départ du banquier non élu Mario Draghi ce 21 juillet à l’occasion du scandale Uberfiles après tant d’autres.

Informez vos amis, vos voisins, car ces très nombreuses manifestations pacifistes pour la levée de toutes les mesures sanitaires et des obligations vaccinales est occultée par les médias mainstream au service des milliardaires qui les possèdent.

Une énorme clameur monte du monde entier et singulièrement d’Allemagne dont les enfants et petits-enfants n’ont pas oublié le drame du nazisme et ne veulent absolument pas le revivre. Ils ont culpabilisé pendant des décennies alors qu’ils n’y étaient pour rien et les mondialistes voudraient les replonger dans l’horreur… Non merci.

« Remarquez surtout les raz de marée allemands ! »

Un ami belge médecin et historien de cette période m’envoie cette vidéo et ses réflexions réconfortantes à méditer.

« Dès le début de cette Troisième Guerre mondiale qui ne dit pas son nom, j’ai toujours eu l’intime conviction que l’Allemagne avait rendez-vous avec “son” Histoire !

Notez les slogans : la vérité, la liberté, mais aussi et surtout “Aus auf dem NATO” ! SORTIR DE L’OTAN.

C’est une vérité empirique depuis la (ré-) apparition dans le monde de “Pfizer”, petite-fille (…) de IG-Farben des Von der Leyen, Klaus Schwab et autres monstres apparentés : l’Allemagne nazie n’a jamais été totalement épurée en 1945. Il n’y a pas que l’élite militaro-industrielle (et pharmaceutique) nazie, sauvée par les Américains et les Russes qui a continué à prospérer : souvenez-vous des certificats dits “Persil” (qui lave plus blanc que blanc) de l’époque qui ont permis à des millions d’Allemands d’être absous de toute complicité avec le régime hitlérien à partir d’une déclaration sur l’honneur ».

Le plus rassurant et intéressant de son commentaire est la démonstration qu’à travers ces manifestations dans de très nombreuses villes et avec beaucoup de participants, les Allemands refusent de rentrer une nouvelle fois dans cette horreur du nazisme. Le réarmement prévu de l’Allemagne, qui d’après ses dirigeants actuels serait la plus importante de l’UE ne convient pas à la population qui changera bientôt ses puissants qui la trahissent. Comme les Italiens ont viré Draghi le banquier de la BCE et de Goldman Sachs.

« Les Allemands que nous voyons manifester passivement dans les rues aujourd’hui sont porteurs d’un message véritablement rédempteur. Un quitus à une période terrible de leur histoire en quelque sorte. Que leurs aïeux reposent en paix. C’est également rassurant de voir une telle masse humaine s’ériger en rempart contre les velléités belliqueuses de leurs dirigeants (?) souhaitant, par le biais de l’OTAN, remettre le couvert gravé aux initiales néonazies ».

B.

De nombreux articles témoignent de l’influence des anciens nazis dans l’Allemagne moderne et surtout dans la création de l’UE.(([1] Les racines de l’Union Européenne – AgoraVox le média citoyen))

« Des faits historiques vont également dans le sens du rapport. John J. McCloy : président de la Banque mondiale, de la Chase Manhattan Bank, président de la fondation Ford, administrateur de la fondation Rockfeller, président du Council on Foreign Relations, conseiller sous Kennedy, Johnson, Nixon, Carter, Reagan, et surtout Haut-commissaire de la zone occupée américaine de 1949 à 1952. En occupant cette fonction, il mena une campagne de pardon incluant quasiment tous les noms des industriels cités dans le rapport : Friedrich Flick, Alfried Krupp, IG Farben, … Juste avant la création de la CECA. »

Quand les nazis construisirent l’Union Européenne

« Dès 1944 des industriels nazis qui préparent l’après-guerre, qui évoquent le retour du Reich, et qui passent par des sociétés-écrans, et des banques suisses pour fuiter des capitaux, et qui blanchiront leur image après-guerre. Le futur empire allemand ne sera plus militaire, mais économique aux mains des industriels. »

« Il n’y eut pas seulement des ingénieurs, et des techniciens nazis qui continuèrent à sévir. Des politiciens, des industriels, et des économistes en firent tout autant. Et qu’il faut rester critique vis-à-vis de politiciens qui aujourd’hui veulent nous imposer un fédéralisme européen en nous menaçant avec la dette qu’ils ont créée. Je terminerai cet article par la citation du Dr Michael Pinto-Duschinsky, un conseiller de l’ancien parti ouvrier juif :

« Pour de nombreuses personnalités du monde industriel proche du régime nazi, l’Europe est devenue une sorte de couverture pour la poursuite des intérêts nationaux allemands après la défaite d’Hitler… La continuité entre l’économie de l’Allemagne et les économies européennes de l’après-guerre est frappante. Certaines des grandes figures de l’économie nazie sont devenues les principales bâtisseuses de l’Union européenne. »

Souvenons-nous de qui est Schwab le fondateur du forum économique et mondial.(([2] Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne, mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui espère infecter nos corps avec de la « Smart Dust » et dans laquelle la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux. Et lui et ses complices instrumentalisent la crise Covid-19 pour contourner la démocratie, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » ou le « Great Reset ».
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS — Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant.))

On comprend pourquoi les jeunes et moins jeunes Allemands nés largement après la fin de la Deuxième Guerre mondiale veulent absolument sortir de ce système et de cet héritage morbide. La remilitarisation de l’Allemagne prévue par l’UE doit leur sembler dangereuse et nauséabonde.

MERCI À EUX DE LEURS MANIFESTATIONS NOMBREUSES ET RÉPÉTÉES

Puissent leurs échos arriver aux oreilles de nos journalistes.



Prenez le temps de visualiser ces manifestations d’une seule semaine dans le monde contre la folie, le cinéma et le film d’Horreur Covid.(([3] STOPPEZ LES INJECTIONS INUTILES ET DANGEREUSES – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et aussi les manifestations géantes des dockers à Hambourg dont nos médias ne nous parlent pas non plus

ProRital
@Vatixan14
17 juil.

« Stopper le monstre de l’inflation » : manifestation géante des dockers à Hambourg en Allemagne. Depuis hier, des milliers de dockers sont en grève pour réclamer de meilleurs salaires et une compensation de l’inflation. De graves affrontements ont eu lieu avec la police..

Libertatem
@pasdhypocrisie
14 juil.

Impressionnant convoi d’agriculteurs allemands vers la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas pour soutenir la manifestation des agriculteurs néerlandais.

Frex
15 juil.

#BREAKING: Appel video à une manifestation pour les agriculteurs néerlandais. Prévue le 23 juillet, elle demande le soutien des agriculteurs, des pêcheurs, des camionneurs en Angleterre, aux US, en France, en Italie, en Allemagne, en Australie, au Canada et partout ailleurs.

À SUIVRE …





Protégeons les médecins poursuivis pour avoir soigné : Touche pas à mon doc

Nous relayons cet appel au bon sens et au partage de la pétition « Ne touche pas à mon doc »

Nicole Delépine

Citoyens comprenez bien que sans liberté de soigner, il n’y a pas de médecine. Vous le vivez au quotidien depuis deux ans et demi pour l’ensemble de la population.  Les petits et grands cancéreux ont été victimes depuis les années 2000 avec l’avènement des plans cancer des conséquences parfois dramatiques de la disparition du choix du traitement par le patient et par son médecin.  CETTE DICTATURE SANITAIRE DOIT CESSER. Nous cotisons tous à la sécurité sociale. Ce n’est pas pour enrichir big Pharma qui impose ses molécules chères et inefficaces à tous via les agences et les réunions multidisciplinaires. Si vous n’obéissez pas, votre structure n’aura plus le droit de soigner. Les « protocoles » sont le choix de la technostructure et non le meilleur traitement adapté à vous-même.

le même principe s’applique aux médecins de ville qui vous ont soigné et préféré les traitements précoces efficaces au non traitement via le 15, le doliprane toxique et le rivotril pour euthanasier les personnes âgées en EHPAD ou en hospitalisation à domicile.  Les vrais médecins fidèles à leur serment et à leurs patients sont poursuivis. Ils sont l’honneur de la médecine. Faites le savoir et sauvons-les ainsi que  les futurs patients.

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]

Dernièrement, les Directions régionales du Service médical (DRSM, service de la « sécu ») ont transmis au Conseil de l’Ordre des médecins la liste des médecins ayant prescrit des traitements ambulatoires dans le cadre de la Covid. Suite à ce signalement, l’Ordre convoque de nombreux médecins sur l’ensemble du territoire. Pour soutenir les « Docs » qui ont tenu bon au long de cette crise, qui ont gardé la tête sur les épaules, qui ont continué à nous informer, à nous soigner. Pour protéger une médecine individualisée, adaptée à chaque patient, adaptée à chaque histoire, où chaque médecin peut agir en conscience au service du patient qui le lui demande.

Si les médecins qui ont soignés sont attaqués, qui sera là pour nous à la prochaine épidémie ?

Bienvenue sur l’espace « Touche pas à mon Doc ». Sur cet espace, vous pourrez déposer, lire et partager des témoignages de patients ou de professionnels face à la crise.

Le site : https://tpmd.fr/

Canal Télégram : https://t.me/TpmdFr

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]

Leur Manifeste,

« Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM). En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.

À l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.

Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ». Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé. Nous avons appris à connaitre cette maladie. Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales. Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie. Nous avons fait de notre mieux, en conscience. Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.

Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades. Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis. Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15 ». Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant. Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné. Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison. Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine. Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.

Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ? Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée. »

Disons aujourd’hui fermement, TOUCHE PAS À MON DOC ! Pour signer le manifeste :

https://tpmd.fr/manifeste/

Manifeste

Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM).

En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.

À l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.

Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ».

Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé.

Nous avons appris à connaitre cette maladie.

Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales.

Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie.

Nous avons fait de notre mieux, en conscience.

Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.

Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades.

Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis.

Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15 ».

Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant.

Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné.

Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison.

Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine.

Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.

Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ?

Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée.

Nous disons aujourd’hui fermement :

TOUCHE PAS À MON DOC !




Macron est-il pétainiste ?

Par Lucien SA Oulahbib

Oui ou quasiment selon la porte-parole de LFI, qui s’empresse d’ajouter, d’additionner avec voracité les députés du RN dans la foulée, sous le prétexte que Macron aurait dit que durant la Première Guerre mondiale Pétain avait été un « grand soldat ». Ce que personne de sensé ne nie pourtant.

Ce lien fabriqué à la hâte par cette écervelée entre Macron, Pétain et le RN en dit cependant déjà long sur le degré de décomposition avancée d’une « gauche » au passé radsoc qui avait voté dans une écrasante majorité les pleins pouvoirs à Pétain, qui a collaboré dans sa version PCF avec l’occupant nazi (première mouture) jusqu’en 1941, qui a applaudi les massacres de Berlin en 1953, en 1956, en 1968 à Prague, tandis que ses opposants trotskistes dont est issue la LFI ont eux aussi soutenu le Cambodge de Pol Pot (avec la compréhension de Chomsky soutenant aujourd’hui l’actuelle politique prônant l’injection expérimentale…) ; bref, une « gauche », toutes tendances confondues, qui n’a absolument rien fait pour qu’il y ait enfin en France un Mémorial se souvenant de la « destruction » de millions de pourtant authentiques communistes durant les soixante-dix ans du règne sans partage de la dictature léniniste (dominant encore la scène en France).

Mais il y a plus qui expliquerait peut-être cette « sortie » sinistre (au pied gauche) : cette « gauche » qui s’évanouissait en 1986 devant l’apparition de quelques dizaines de députés FN tout en se promettant de faire tout pour que cela ne se reproduise plus (des bibliothèques entières sur le sujet des associations grassement payées pour lutter contre « le racisme et l’antisémitisme ») alors qu’elle en voit arriver presque quarante plus tard le triple. Sans se demander pourquoi. Non. Cette « gauche » va certes « analyser » quelques causes toujours quantitatives (SMIC pas assez haut, libéralisme ultra, néo, etc.), mais voyant que cela reste insuffisant pour ralentir le flux et l’érosion des gestes barrières anti « extrême droite », elle préfère se rallier « en dernière instance » à la tactique stalinienne de l’antifascisme, mettant dans le terme honni tout ce qui n’est pas estampillé « vraie gauche », une façon ultime d’appliquer à nouveau la dichotomie établie par Lénine (reprise par Schmitt) entre les amis de « la » Cause et ses ennemis.

Comme si aujourd’hui (et E. Macron s’y soumet aussi en contestant de façon gauche, plus que maladroite, des votes parlementaires) il était bien plus aisé de taxer le Réel d’extrême droite (parce qu’il ne correspond plus à l’Idée qu’ils s’en font) que de réellement prendre à bras-le-corps tous ces problèmes de plus en plus saillants de sécurité, de pouvoir d’achat, d’instruction scolaire (et non de propagande), de violences sociétales contre la civilisation judéo-chrétienne et gréco-romaine (pourtant en pleine évolution : nouveaux rôles des femmes, meilleure tolérance envers le désir des jeunes de vivre leur vie, du « métèque » lorsqu’il cherche à s’assimiler ; ce qui certes ne plaît cependant pas aux adeptes de l’ethnicité « pure »). (Ceci peut expliquer le ralliement du second Pétain à une partie des conceptions nazies comme désassimiler les juifs pourtant bien insérés mais suscitant l’envie…)

Toutes ces attaques contre notre civilisation de plus en plus aboutie associant ainsi innovation et tolérance seront niées ou mises sur le compte d’un refus abscons de « s’ouvrir », terme passe-partout qui se renverse dans son contraire puisque l’on pourra par exemple reprocher à certaines victimes (femmes, homosexuels, témoins d’injustices) de ne pas être assez compréhensives vis-à-vis des « déséquilibrés » (toujours) qui les attaquent, les violent, les tuent sans que l’on sache d’où viendrait cet « équilibre » qui empêcherait ces faits tout de suite classés de « divers » (ou étalés sur cinq cents ans) par cette même engeance prétendant aujourd’hui donner des leçons d’histoire et de morale politique.

Cet amalgame fait par cette politicienne LFI est au fond le long cri de désespoir d’une « gauche » en effet à l’agonie (comme l’explique bien Houellebecq) retranchée dans ses derniers bastions (médias, Université, fonction publique) et qui n’a comme seule issue que suivre platement la dérive nihiliste de la gauche anglo-saxonne qui n’a plus que la révolution permanente du changement de sexe à proposer : marchepied pour la transformation affairiste (et non pas « libérale » qui refuse toute « licence » chez Locke et Montesquieu mettant plutôt en avant la « vertu » mal comprise par Robespierre), celle du corps et de l’esprit humain manipulés en marchandises de plus en plus « gore », ceci toujours au nom d’un « progrès » qui ne veut plus rien dire sinon à admettre que la guillotine est plus maniable que la hache. Voilà, à peu près, l’apport de la gauche depuis 1789. Ceci est somme toute très peu. Dans la foulée de 1794 jusqu’à aujourd’hui, les privilèges sont revenus se répandre de manière indue, à l’instar de ces Légions d’honneur et autres subventions distribuées précisément par légions tandis que les libertés s’effacent peu à peu, surtout depuis la nuit du 5 août 2021…

Une gauche à la dérive, donc, qui tient en l’air uniquement parce qu’elle nie que le réel se soit dérobé sous ses pieds. Ceci fait l’affaire d’un E. Macron qui aura beau jeu de montrer qu’il est en effet l’anti-Pétain par excellence, puisqu’il a pour objet de détruire ce que précisément ce dernier prétendait accomplir (et qu’il n’a pas fait, voir Rhombe sur ce sujet), comme la défense de la famille et du peuple français.

Et sur ces deux questions, il y a bien de plus en plus une alliance non seulement objective, mais aussi subjective entre E. Macron (les LR) et la Nupes. Cependant, il leur reste peu de temps pour « finir le sale boulot » tant les exigences de plus en plus démentielles des responsables UE et US — en l’occurrence se servir de la guerre contre Poutine pour accomplir ce que le virus n’a pas su faire (propager la peur et la famine) — vont immanquablement créer des secousses salvatrices qui les balaieront. À moins que tout soit déjà joué et qu’il ne « nous » reste plus que les yeux pour pleurer devant un tel gâchis, alors qu’il y aurait tant à faire, du moins si le peuple français dans ses tréfonds savait qui sont ses réels amis au lieu de donner encore le pouvoir à ses ennemis affublés il est vrai de visages d’ange à l’instar de Dorian Gray.




Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales

[Source : mondialisation.ca]

Par Dr Gérard Delépine

Depuis le début de la crise covid, les gouvernements n’ont cessé de restreindre, par tous les moyens, la liberté de parole et de diffusion susceptible de démentir leurs propagandes omniprésentes.

La liberté d’expression

Fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrés depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« c’est la liberté la plus fondamentale car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».

Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. 

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

Les médias et leurs prétendus « anti-fake news » 

Depuis le début de la crise covid, les médias subventionnés par le gouvernement se sont transformés en agences de diffusion de la vérité gouvernementale en répétant sans cesse les mensonges d’état, en donnant sans limites la parole aux médecins les plus liés aux laboratoires pharmaceutiques,  en n’invitant jamais les spécialistes d’opinion divergente qu’ils discréditent systématiquement. Ils ont en permanence adopté une attitude sectaire anti-scientifique tout en prétendant se référer à la science !

Elles ont créé des cellules pompeusement intitulées de « vérification de l’information » dans lesquelles des non-médecins, et non-chercheurs, visiblement incapables de comprendre les articles scientifiques en anglais se sont arrogé le droit de décider si une information médicale était juste (= confortant le discours officiel) ou fausse (= complotiste). 

Dans cette activité de propagande mensongère l’agence France presse (le blog Making Of), France info (L’instant Détox), le Monde, Libération (Desintox) et le Parisien se sont particulièrement illustrés. La technique de base est presque toujours la même : après avoir qualifié une information de fausse ou trompeuse, l’auteur discrédite l’auteur de l’information en le qualifiant de « controversé, complotiste, antisémite », n’examine pas les faits avérés concernés, mais cite les opinions de prétendus experts qui confortent le message officiel. Les mercenaires qui se livrent à cette activité recevraient entre 800 et 1000 euros pour chaque pige (passe ?) et le média qui le publie un financement annuel de nos impôts(aide gouvernementale directe au Monde en 2016 : plus de 5M€) et de fonds privés dont ceux de Bill Gates. La confusion entre opinions et faits avérés se répand comme une traînée de poudre, y compris à l’Éducation nationale. 

La censure des Gafas, Tweeter, Facebook, Linkedin, Instagram,  Google

Tweeter a été l’un des premiers à limiter la liberté de parole en supprimant les comptes de ceux qui ne confortaient pas la doxa officielle. Nous en avons été victimes alors que nous ne faisions que diffuser des faits que nous avions nous-même soigneusement vérifiés. 

Facebook limite la diffusion des contenus prétendument « haineux ou contenant des fausses informations » sur le réseau en supprimant les ressources financières des sites qui les diffusent, en incitant les marques à retirer leurs publicités. Des organisations tierces autoproclamées détentrices de « La Vérité » vérifient les informations de nombreux sites et indiquent si celles-ci sont crédibles ou douteuses. Les prétendues « fake news » sont signalées à Facebook, qui bloque alors les publicités réalisées et les posts supposés déviants.

Facebook n’hésite pas à agir comme un intégriste religieux en proclamant fièrement ses injonctions :

et prétendent que l’hydroxy chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces sans même prendre en compte les excellents résultats avérés des pays qui les utilisent (en Afrique, en Algérie ou en Inde) :

Ou en Inde :

Google a structuré un partenariat avec de nombreux médias dans le monde afin de promouvoir un outil collaboratif de “fact-cheking”: “CrossCheck” et a étendu son dispositif aux recherches réalisées sur son propre moteur de recherche. Lors de l’affichage des résultats d’une requête, le moteur de recherche indiquera si les articles ont été vérifiés et à quel point ils « sont fiables ». Pour le moment, le système de fact-checking de Google repose sur l’opinion de sites américains spécialisés comme Politifact, Snopes, ou sur les équipes de fact-checking opérant dans des médias comme le Washington Post qui représentent un des pires créateurs de fausses nouvelles. 

Une des techniques utilisées pour empêcher les internautes de consulter les sites hétérodoxes consiste à leur faire peur en déclarant ces sites dangereux ou « peu surs ». Google a aussi désindexé plus de 55 000 articles, donc pratiquement en a interdit l’accès Internet, ce qui montre incontestablement cette volonté de détruire tout ce qui pourrait s’apparenter à une contestation des pouvoirs en place et de leurs décisions.

Les procès du Conseil de l’Ordre contre la liberté de parole des médecins

Les plaintes contre les professeurs Raoult et Perronne(([1] Covid-19 : le conseil de l’Ordre des médecins porte plainte contre les professeurs Perronne et Raoult (lefigaro.fr)  le CNOM a décidé le 10 décembre de porter plainte contre six médecins, dont plusieurs ont été très présents dans les médias depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Il s’agit des professeurs Raoult, Perronne et Joyeux, ainsi que des docteurs Delépine, Zeller et Rezeau-Frantz. )), les docteurs Nicole Delepine, Denis Agret(([2] INFO MIDI LIBRE Montpellier : trois ans d’interdiction d’exercer pour le médecin antivax Denis Agret – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) )) et de nombreux autres, ont été portées, non pas par des malades qui se seraient plaints de leurs traitements, bien au contraire, mais par les conseils régionaux ou le Conseil National de l’Ordre pour l’expression de vérités médicales démontrées par les faits avérés qui lui déplaisaient, telles que l’efficacité des traitements précoces ou l’inefficacité du port généralisé du masque, la nocivité des confinements…

Il est invraisemblable que ce Conseil s’arroge le droit de poursuivre des médecins pour des opinions de plus scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion(([3] https://nouveau-monde.ca/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion/ )) qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée Unique.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression des médecins

Une modification de l’Article R. 4127-19-1 du code de la santé publique décrétée par Jean Castex le 24 décembre 2020 (soit quelques jours après la plainte contre Raoult et Cie) interdit aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle(([4] https://www.francesoir.fr/amp/article/opinions-tribunes/delit-de-blaspheme-medical-sous-controle-inquisiteur-du-conseil-de-lordre-des?__twitter_impression=true )) rappelée par le conseil de l’ordre . Il stipule que le médecin qui s’exprime :

« formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées. III. – Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le Conseil national de l’ordre. »

Depuis lors, le médecin, ne devrait s’exprimer que s’il conforte les affirmations, même mensongères de l’Etat !

La création d’une commission de certification en juillet 2021

Apparemment inquiet des scrupules que pourraient avoir certains membres du Conseil de l’Ordre de sanctionner des praticiens pour s’être simplement exprimés, le gouvernement a créé par l’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 un nouvel organisme, « la commission de certification » ayant le pouvoir d’évaluer chaque médecin à tout moment de sa carrière, et de l’empêcher d’exercer s’il n’aligne pas ses propos et ses actes avec ceux que décidera le pouvoir politique. Cette mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance du pouvoir politique dans l’exercice de son art témoigne une fois de plus de la tyrannie qui s’installe. Ces décisions ne devraient pas faciliter l’attrait pour la profession de médecin ni résoudre le casse-tête des déserts médicaux,  car conduisant à de nombreuses démissions hospitalières et dépôt de plaques des libéraux.

La censure ultime : l’exclusion du travail des soignants vaccino prudents

L’exclusion des soignants non vaccinés n’a jamais eu pour but de protéger les malades ni l’hôpital puisqu’elle a été imposée alors qu’il était déjà parfaitement établi que les pseudo vaccins n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre. Actuellement des soignants testés positifs et même avec de légers symptômes sont autorisés à travailler dans certains services particulièrement déficitaires. Mais les non injectés restent conduits à la misère et pour certains au suicide.

Cette insupportable atteinte à la liberté de travailler traduit en réalité la volonté d’empêcher les soignants vaccino prudents d’exprimer leurs doutes et leurs craintes auprès de leurs patients. Initialement très favorables au vaccin dans l’ensemble contre ce « fléau » qu’on leur avait vendu, ils ont été les premiers injectés et victimes rapidement des effets secondaires. Cela en a évidemment refroidi beaucoup et l’interdiction d’en parler les a achevés dans la démoralisation. La plupart des soignants vaccinés (comme les pompiers ou militaires) sont des « malgré nous » contraints d’accepter l’ukase pour continuer à payer leur maison et nourrir leurs enfants. Les suspendus vivent des restaurants du cœur et des aides de l’entourage depuis dix mois.

Le manque de soignants ainsi créé a aggravé considérablement le naufrage de l’hôpital, en particulier celui des urgences et a augmenté le nombre des déserts médicaux. La surcharge de l’hôpital et le dégoût du management ont conduit à de nombreuses démissions et multiples arrêts de travail prolongés par burn-out, aggravant l’effet des suspensions imposées. De nombreux médecins de ville ont cessé leurs activités.

Mais pour les gouvernants, le contrôle de l’opinion vaut bien ces sacrifices.

Il n’y a plus que les médecins retraités qui peuvent dire des vérités et ne pas se soumettre. Dans un monde tyrannique où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de ceux qui se considèrent comme des élites.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression de ses citoyens

La création d’un ministère de la vérité (la commission Gérald Bronner).

En 2015, Gérald Bronner dans le numéro 449 de la revue Pour la science précisait sa définition du complotisme: «Par théorie du complot, il faut entendre simplement une interprétation des faits qui conteste la version officielle. » En nommant l’auteur d’une telle phrase à la tête d’une commission chargée de «formuler des propositions dans les champs de la prévention et de la judiciarisation des entrepreneurs de haine», l’Élysée a fait un choix révélateur. 

Comme l’est aussi la participation à cette commission du chirurgien Guy Valencien dont la probité est mise en doute par sa condamnation le 11 juin 2021 par l’Ordre des médecins pour usage de faux certificats médicaux(([5] https://www.marianne.net/societe/sante/le-pr-guy-vallancien-lurologue-des-stars-sanctionne-par-lordre-des-medecins )), l’accusation par Irène Frachon d’avoir été l’un des « fers de lance d’une nébuleuse composée de médecins, de professeurs et d’académiciens, qui, depuis des années tentent de minimiser, voire de nier la gravité du drame humain causé par le Mediator » et son rôle de directeur du Centre du don des corps de l’université Descartes, de 2004 à 2014, structure devenue un véritable charnier qui défraye actuellement la chronique(([6] Charnier de Descartes, révélations sur le business de l’innommable 7 juillet 2022
https://fr.news.yahoo.com/charnier-descartes-r%C3%A9v%C3%A9lations-business-linnommable-155237167.html ))».

La commission propose d’engager la responsabilité civile des internautes qui rediffuseraient de mauvaise foi une nouvelle déclarée fausse selon son avis.

Censure des citoyens européens à la demande de la commission

Suivant à la lettre la proposition d’Ursula Van der Leyen, la Présidente de la Commission européenne (contestée -entre autres- pour son rôle dans la commande de 1,3 milliard de doses de Pfizer et dans le scandale du Remdesivir de Gilead), le gouvernement français a décidé le 27 février 2022 de fermer les télévisions et radios russes RT France et Sputnik sans plus d’explication, ni de procès. Les médias qui ne s’autocensurent pas sont fermés par le gouvernement.

Mais Ursula Van der Leyen vient d’annoncer une nouvelle loi imposant des conditions plus dures aux plateformes numériques, sommées de priver les prétendues sources d» infox » de revenus publicitaires.

Le code précédent (de 2007) reposant sur l’autorégulation aurait donné des résultats insuffisants selon la Commission. L’adhésion au code reste volontaire, mais pour les « très grandes plateformes » (atteignant 45 millions d’utilisateurs dans l’UE), il permet de répondre aux obligations fixées par le règlement sur les services numériques (Digital Services Act, DSA).

La directive européenne, en voie d’adoption, contraint ces plateformes à déployer des efforts pour « réduire les risques » de désinformation et prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires mondial.

Plutôt que d’ouvrir un débat démocratique avec les opposants, la Commission européenne préfère leur interdire de s’exprimer « pour le bien de la démocratie ». Quand vont-ils brûler les livres déclarés conspirationnistes ?

Les menaces contre la démocratie

C’est la marque des régimes autoritaires d’imposer une pensée unique qu’il est interdit de commenter et encore plus de critiquer. Et les réactions comme celles de Twitter ou Facebook, qui ont osé suspendre le président des États-Unis et lui interdire toute expression sur leurs réseaux, montrent l’orientation que nos sociétés sont dangereusement en train de prendre, bien que tous nos gouvernants et les médias aux ordres nous répètent tous les jours que nous sommes encore en démocratie.

En instaurant la panique, la peur de la maladie, la peur de sortir, la peur de la guerre, la peur du réchauffement climatique, en favorisant la suppression des liens sociaux, en interdisant les échanges de point de vue, les critiques, les discussions, tout débat scientifique et en décrédibilisant ceux qui osent tenter de faire baisser cette peur, le gouvernement a mis quasiment les Français en état d’hypnose permettant leur soumission aux injonctions gouvernementales même manifestement ridicules (ne pas sortir seul en forêt ou sur la plage, ne pas faire du bateau en solitaire). Ils ont permis des violations injustifiées des droits des citoyens en limitant leurs libertés fondamentales, dont celles de circuler, de se réunir, de travailler, de s’exprimer, d’exercer son culte, de manifester, de voir sa famille, d’enterrer dignement ses morts.

Les libertés, la démocratie ne persistent que tant que nous les défendons. La crise du Covid révèle la fragilité de notre démocratie mise à bas sous le prétexte d’une menace sanitaire supposée sans qu’une opposition politique se soit clairement exprimée en France à l’exception de Florian Philippot et plus récemment de Nicolas Dupont Aignan et Francois Asselineau.

Pourtant dès le 21 avril 2020 l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde: « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir.

Rajat Khosla, d’Amnesty International a déclaré :

« Au fil de la pandémie, les gouvernements ont lancé une offensive sans précédent contre la liberté d’expression, restreignant fortement les droits des populations. Les moyens de communication sont pris pour cibles, les réseaux sociaux censurés et des médias fermés, ce qui a de graves répercussions sur la capacité des citoyens à accéder à des informations vitales sur la manière de réagir face au COVID-19. »

« Il est clair que les restrictions liées à la liberté d’expression ne sont pas seulement des mesures extraordinaires circonscrites dans le temps pour faire face à une crise ponctuelle. Elles s’inscrivent dans le cadre de l’offensive contre les droits humains que l’on voit à l’œuvre dans le monde depuis quelques années – les gouvernements ayant trouvé une nouvelle excuse pour intensifier leur attaque contre la société civile ».

Le 16 mars 2020 même l’ONU s’est inquiétée des menaces contre la démocratie dans un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme exhortant les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur a rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.  

« Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains ».

Des évêques nous donnent de l’espoir :

Nous sommes tous appelés à évaluer les faits actuels conformément à l’enseignement de l’Évangile. Cela implique de choisir son camp : avec le Christ, ou contre le Christ. Ne soyons pas intimidés ou effrayés par ceux qui nous font croire que nous sommes une minorité : le Bien est beaucoup plus répandu et puissant que ce que le monde veut nous faire croire. Nous nous trouvons en train de lutter contre un ennemi invisible, qui sépare les citoyens entre eux, les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, les fidèles de leurs pasteurs, les étudiants des enseignants, les clients des vendeurs. Ne permettons pas que des siècles de civilisation chrétienne soient anéantis sous le prétexte d’un virus, en laissant s’établir une tyrannie technologique haineuse dans laquelle des personnes anonymes et sans visage peuvent décider du sort du monde en nous confinant dans une réalité virtuelle. « Les portes des Enfers ne prévaudront pas »

(Mt 16, 18)

« Le ventre est encore fécond d’où naît la bête immonde » (Bertolt Brecht)

Cette idéologie totalitaire, qui limite drastiquement le droit d’expression et sépare les citoyens selon leur volonté de faire respecter l’intégrité de leur corps, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron et de l’UE avec les pass et les obligations vaccinales.

À la mi-juin 2022, alors que l’épidémie ne pose plus de problème sanitaire réel avec seulement 72 malades Covid pour 100000 habitants. 

7 944 patients hospitalisés avec Covid-19, 1027 personnes sont en réanimation ( le pic du 8 avril 2020 atteignait 7.019 )et un nombre de décès au plus bas.  Mais les médias recommencent  après les élections, avec le gouvernement et le nouveau ministre de la Santé à affoler la population sans diffuser l’information majeure : les traitements précoces sont efficaces et vos médecins habilités à les prescrire. 

Le nouveau projet de loi qui sera examiné à l’Assemblée nationale, puis au Sénat vise pourtant à prolonger la suppression de droits élémentaires des citoyens. « Réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules », ainsi que « l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage » avec le port du masque conseillé alors qu’aucune preuve scientifique de son utilité n’existe.

Et le fichage de la population qui n’a jamais permis de limiter l’épidémie risque de continuer si la loi est adoptée, avec le maintien des fichiers informatiques Si-DEP (les résultats des tests de dépistage) et Si-VAC (le schéma vaccinal) jusqu’au 31 mars 2023.

Un deuxième article donne la possibilité au gouvernement sans consulter le parlement (via un décret du Premier ministre Mme Borne ) de rétablir un pass sanitaire aux frontières, pour les déplacements entre l’hexagone, la Corse et les territoires d’outre-mer. Ce pass sanitaire concernerait tous les voyageurs de 12 ans et plus, ainsi que les personnels des services de transport concernés.

Or en France comme ailleurs les pass ont partout échoué à limiter l’infection

Les oppositions doivent jouer leur rôle de contrôle permanent de l’action gouvernementale en refusant cette loi qui les dépossède de leur rôle constitutionnel. Ne pas le faire serait trahir leurs électeurs.

Dr Gérard Delépine

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2022

Notes :




Entretien avec le Professeur Christian Perronne

[Source : https://lecourrierdesstrateges.fr]

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

[Voir aussi :
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/ils-m-attaquent-car-ils-ont-peur-pr-christian-perronne
et : https://planetes360.fr/exclu-360-le-professeur-perronne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/]

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pr Christian Perronne

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2ème, la 3ème, la 4ème et la 5ème vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.




Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections

[Source : les7duquebec.net]

Par Khider Mesloub. 

De vague en vague – de dose en dose

Curieusement, depuis la réapparition de la pandémie de Covid-19, au lendemain de chaque levée des restrictions, de chaque déconfinement, après quelques semaines de « Liberté » recouvrée, certains scientifiques, des charlatans et/ou des experts, médecins stipendiés par la grande pharmacopée interviennent dans les médias pour préparer psychologiquement la populace à une énième vague de contamination provoquée par le surgissement d’un nouveau variant (sic) contre lequel les vaccins de Big Pharma ne peuvent rien… et allons-y d’une nouvelle dose coûteuse et inutile selon Michèle Rivasi :

Vaccins Covid-19 | Ce matin, en commission COVI (de l’Union européenne) j’ai interpellé la commissaire européenne à la transparence sur la demande d’un groupe de pays.

Depuis quelques semaines, selon les médias, les pays occidentaux, en particulier européens, dont 80 % de la population adulte sont pourtant vaccinés, enregistreraient une augmentation des « cas » de contamination, preuve irréfutable que les vaccins ARN ne marchent pas.

Selon ces organes de presse «gouvernementalement» informés et généreusement subventionnés, donc contaminés par l’idéologie sécuritaire et belliciste dominante, on assisterait à une nouvelle flambée de contaminations, observée notamment au Portugal. En Allemagne. Et depuis peu, en France. La majorité des personnes contaminées est pourtant totalement vaccinée (!!!)

Certains de ces pays européens, outre l’injection d’une quatrième dose de l’inopérant vaccin ARN-messager, envisageraient de rétablir les mesures restrictives de «distanciation sociale» (sic) pour soi-disant «juguler la propagation du virus»… mesures qui depuis deux ans n’ont pourtant pas fonctionné. D’aucuns, comme au temps du début de la pandémie bidon ou comme en Chine actuellement, préconisent l’instauration d’un nouveau confinement (dément), mesure moyenâgeuse par excellence, comme la définit le professeur Didier Raoult.

Par suite, devant le rebond des contaminations, statistiquement fabriqué, les gouvernants s’apprêteraient, suivant les conseils pécuniairement avisés de Pfizer et Astra à ordonner, dans une fuite en avant vaccinale, la généralisation de la quatrième injection (dose). Et, rebelote, ces gouvernants lancent, en l’espace de 18 mois, la quatrième campagne de vaccination… coûteuse et inutile.

Visiblement dans ces pays atlantistes, malgré une couverture «vaccinale» de plus de 80% de la population adulte, sévirait toujours une flambée de «cas» que Big Pharma prendrait pour prétexte pour fourguer sa drogue vaccinale sans se préoccuper le moins du monde des effets secondaires de ces concoctions meurtrières comme le souligne la docteure Nicole Delépine :
Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé (Nicole Delépine) — les 7 du Québec.

Pourtant, on se souvient qu’au début de la pandémie on nous affirmait que, pour être immunisé contre la Covid-19 et « reprendre une vie normale », il suffirait que la majorité de la population ait obtenu ses deux doses. Puis ce fut trois doses… et aujourd’hui ce sont les quatre doses… ce qu’Israël et l’Islande ont pourtant expérimenté sans succès(([1] Islande, l’effondrement du narratif du Covid :
Des nouvelles révolutionnaires venant d’Islande : L’effondrement du narratif du Covid ? | #Politique | Kla.TV 
En Islande on en revient aux principes de l’immunisation naturelle.))

La « protection » fugace

On se rappelle également que les marchands pharmaceutiques affirmaient qu’avec l’administration de ces deux doses de vaccin la protection serait assurée à plus de 90 % pour une très longue durée. Après seulement quelques mois, on découvrait que leur efficacité était d’à peine 39 %. Pire : les deux doses ne protégeraient de la maladie qu’une petite fraction des vaccinés, et pour seulement quatre mois au plus. Malgré cet échec vaccinal, sans s’appuyer sur aucune étude clinique réévaluée, les marchands des laboratoires pharmaceutiques avaient recommandé l’injection d’une troisième dose… sans se préoccuper des effets secondaires mortels.(([2] voir : 
Risques spécifiques à l’âge et au sexe de myocardite et de péricardite à la suite de vaccins à ARN messager Covid-19 | Nature Communications 
et Canada : Surmortalité observée au New Brunswick (Canada) en fin 2021 : la ministre de la Santé s’inquiète | FranceSoir))

Actuellement, avec la nouvelle vague épidémique médiatiquement prophétisée, les autorités sanitaires préconisent, pour garantir une meilleure protection selon la terminologie propagandiste usitée, l’injection d’une quatrième dose… avant la cinquième…

Comment croire que cette quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ? Pour quel motif les gouvernants des pays atlantistes, notamment la France et le Canada, incitent-ils à ce rappel vaccinal sans aucun argument scientifique ni aucun essai clinique à l’appui?

Une chose est sûre, exhibée comme le remède miracle contre la Covid-19, aujourd’hui la vaccination à base ARN-m peut être considérée comme un échec médical cuisant. En effet, la vaccination contre le coronavirus était présentée comme le «nouveau Graal» de la médecine moderne, en lieu et place de la thérapeutique médicale curative et des traitements médicamenteux prophylactiques, décriés, considérés désormais comme des méthodes moyenâgeuses en matière de soins.

Des « fatwas gouvernementales » avaient même été édictées contre des médecins désireux, dans le respect de leur serment d’Hippocrate, de soigner scientifiquement leurs patients ou prescrire quelque traitement médicamenteux antiviral. Seule la « potion magique vaccinale » ARNm était censée guérir le malade atteint du Covid-19. Voire redonner des forces à l’économie malmenée par le virus, selon les imposteurs gouvernementaux, et non pas par les mesures politiques destructrices décrétées par les gouvernements. L’injection de deux doses d’ARN-messenger allait permettre aux « citoyens » de recouvrer leur liberté longtemps confinée, mise sous cloche despotique, et à la société de renouer avec son fonctionnement normalisé.

Aujourd’hui, après deux années d’expérimentation, malgré l’injection de trois doses, la vaccination n’a pas tenu ses promesses. Ni concrétisé ses prometteuses prouesses. Elle a laissé place à la méfiance, la défiance. À la controverse. À la répugnance.

« Ce que l’on observe, c’est que les cas qui sont hospitalisés sont plutôt les plus de 60 ans, notamment avec des facteurs de comorbidité, et surtout les plus de 80 ans », a déclaré à BFMTV Bruno Lina, virologue et membre du Conseil scientifique. Autrement dit, c’est au sein de la population la plus vaccinée que l’on enregistre le grand nombre d’hospitalisations. En dépit de cette flambée d’hospitalisation des vaccinés, les tenants des injections vaccinales à répétition recommandent l’administration de la quatrième dose. Selon plusieurs sources, les publics les plus âgés, pourtant multi-injectés, ont actuellement un taux d’incidence deux fois plus élevé que les mineurs, absolument pas vaccinés. Ainsi, la vaccination n’évite aucunement la contamination. Ni la transmission. Ni l’hospitalisation. Ni la mort.

Les cobayes humains

Quand les dissidents pointent du doigt l’inefficacité des vaccins ARN-m, les partisans de la vaccination rétorquent qu’ils protègent de la forme grave. Cet argument est discutable, pour ne pas dire fallacieux. Si la mortalité a certes baissé, elle est imputable à l’amenuisement de la virulence des virus et non à la vaccination (comme il survient chaque fois en pandémie virale). Comme chacun le sait, tous les virus (bactéries et autres parasites), dans tous les contextes épidémiques, au fil du temps, par suite de leurs multiples mutations, perdent de leur virulence en s’adaptant à leurs hôtes, tout comme ils finissent par aboutir à une atténuation de leur contagiosité et, par conséquent, de leur létalité. Aussi, les nouveaux variants sont, automatiquement, moins dangereux et moins infectieux que le virus d’origine.

Donc, dans le cas du Covid-19, la diminution de la mortalité ne peut être imputée à la vaccination. D’autant plus que les nouveaux vaccins mis sur le marché, élaborés à la hâte, sont toujours au stade de l’essai clinique, c’est-à-dire en phase expérimentale. En médecine, un essai clinique est une recherche biomédicale menée chez l’humain, avec pour objectif d’améliorer les connaissances et le traitement des maladies. En d’autres termes, avec les vaccins ARN-m, nous en sommes encore à la phase d’évaluation de l’efficacité et de la tolérance du produit sauf que cette fois… les cobayes expérimentaux sont quelques milliards d’humains sacrifiés par les gouvernements stipendiés.

Ainsi, la vaccination de la majorité de ces populations occidentales n’a permis ni de diminuer le rythme de la propagation du virus ni de réduire les formes graves nécessitant la réanimation. Sans aucun doute, les vaccins ARN-m ne protègent ni de la contamination, ni de l’hospitalisation, ni du décès. Ni de la transmission du virus.

Les dangereux vaccins

Assurément, les vaccins ARN-m semblent avoir une médiocre efficacité contre la Covid-19. Pire : ces produits commerciaux accéléreraient, selon certains experts, les mutations du virus. Et pour cause. Les vaccins ARN-m semblent avoir la particularité de sélectionner des mutations résistantes du fait qu’ils ne décodent que la seule protéine Spike (donc un unique site de reconnaissance), contrairement à un vaccin de type inactivé entier (élaboré notamment par le laboratoire Sinovac) capable de coder une multitude. Autrement dit, les vaccins à ARN-m favoriseraient, selon les spécialistes, l’apparition de mutations résistantes, c’est-à-dire la multiplication de variants. Comme le reconnaissait, dès l’année dernière, le chercheur de l’Institut Pasteur, Frédéric Tangy, spécialiste des vaccins : « Vacciner plus en plus de monde, dans le contexte présent, va faire naître d’autres variants résistant aux réponses immunitaires naturelles ».

À cet égard, le choix des gouvernements occidentaux, à l’instigation des laboratoires pharmaceutiques, d’acquérir exclusivement les nouveaux vaccins ARN-m, réputés pour leur spécificité de favoriser la création de mutants, interpelle. Par ce choix stratégique vaccinal ARN-m à l’efficacité médiocre, les gouvernements occidentaux entretiendraient-ils délibérément la pandémie par sa pérennisation opérée par la réapparition de nouveaux variants, nécessitant ainsi, au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, des campagnes de rappel de vaccination quasi semestrielles pour une longue période, afin d’enrichir les Big Pharma, mais également pour justifier l’instauration de la dictature sanitaire-sécuritaire, bouclier du programme du Grand Reset actuellement mis en œuvre ?(([3] Voir L’impérialisme, la phase finale du capitalisme mondialisé — les 7 du Québec.))

À la vérité, selon les médecins, l’actuel variant Omicron (et ses dérivés, déclinés sous les noms successifs BA.1, BA.2, BA.3, BA.4, BA.5) ne provoquerait qu’un gros rhume. Une chose est sûre, depuis l’année dernière la diminution du nombre de décès a été relevée dans tous les pays. Tout comme le nombre de contaminations virulentes.(([4] Voir à cet effet le dernier rapport statistique que nous avons publié : 
Rapport mensuel de situation Covid planétaire/ 2 juillet 2022 (Dominique Delawarde) — les 7 du Québec.))

Pour preuve de l’inefficacité des vaccins contre le coronavirus, la publication d’une étude israélienne dans Science et Magazine. Selon Science Magazine parue le 26 août 2021, relayant une étude effectuée en Israël, être contaminé par le Covid-19 confère une immunité plus grande qu’un vaccin. En effet, la protection immunitaire naturelle développée après l’infection par le Covid est 13 fois plus efficace contre le virus que l’administration du vaccin Pfizer. Autrement dit, le système immunitaire humain est plus puissant pour résister au virus, selon cette étude israélienne. « Les données récemment publiées montrent que les personnes qui ont déjà eu une infection par le SRAS-CoV-2 étaient beaucoup moins susceptibles que les personnes vaccinées et jamais infectées d’attraper Delta, d’en développer des symptômes ou d’être hospitalisées avec un Covid-19 grave», rapportait Science Magazine.

Selon le magazine, « Il s’agit de la plus grande étude d’observation dans le monde réel à ce jour pour comparer l’immunité naturelle et induite par le vaccin au SRAS-CoV-2». « Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante Delta », avaient déclaré les chercheurs israéliens.

Néanmoins, il convient de souligner que l’étude avait également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l’infection naturelle diminue au fil du temps, tout comme la protection induite par les vaccins. Tout comme les virus, au fil du temps, perdent leur virulence, c’est-à-dire leur contagiosité et leur létalité diminuent considérablement. Comme chacun le sait, un virus est toujours en mutation. C’est sa nature. C’est une loi de l’évolution. Qui plus est, le virus n’a pas intérêt à tuer son hôte, car en le tuant il disparaît également. En tout état de cause, l’homme est porteur d’anticorps, qui sont la réponse immunitaire aux antigènes des différentes souches d’un virus.

[Note de Joseph :
Cependant la théorie virale n’a jamais été démontrée selon une démarche véritablement scientifique et lorsqu’on l’aborde sous un tel angle, elle apparaît en fait fallacieuse.
Voir en particulier les articles suivants extraits du dossier Vaccins et virus :
Le mythe de la contamination épidémique
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
L’invention du SARS-CoV-2 (article très technique)
L’enterrement de la théorie virale
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
Ebola : briser les mensonges et la supercherie.
Ces articles concourent à largement démontrer la fausseté de la théorie virale.
Si un nombre plus important de médecins se penchaient sérieusement sur de tels articles et acceptaient de remettre en question ce qu’on leur a enseigné à l’université sous la large influence de Big Pharma, après l’enterrement de la théorie virale, viendrait celui de la vaccination et d’une bonne partie de la médecine allopathique actuelle, puis l’effondrement des mesures sanitaires partout dans le monde, pierre angulaire de l’édification du Nouvel Ordre Mondial. Et sans cette pierre angulaire, celui-ci s’effondrerait à son tour.]

Les vaccins — les variants — la contamination

Selon les spécialistes honnêtes, ce sont bien les vaccins ARN-m qui favoriseraient ces mutations, contrairement au discours gouvernemental accusant, hier, les non-vaccinés d’être responsables de la propagation de la pandémie dans les pays pourtant massivement vaccinés, et, aujourd’hui, les vaccinés eux-mêmes du fait de leur supposé relâchement en matière de protection. Paradoxalement, à chaque échec des campagnes de vaccination, illustrée par la résurgence des cas, les autorités incriminent systématiquement les « citoyens », accusés de faire preuve de négligence en matière de protection sanitaire, mais ne remettent jamais en cause les vaccins. Elles n’appellent ni à reconsidérer la politique vaccinale ni à réexaminer la gestion sécuritaire de la crise sanitaire. Et pour cause. La première permet un enrichissement faramineux des Big Pharma, la seconde offre une opportunité d’infléchissement autoritaire des pouvoirs publics.

Pour autant, d’après une étude japonaise, les injections répétées de vaccins à ARN-m multiplieraient les anticorps facilitants, conduisant inéluctablement à des infections de formes sévères. En effet, avec chaque nouvelle injection, en raison de la multiplication des anticorps facilitants, les copies du virus augmenteraient la charge virale des vaccinés, contrairement aux non-vaccinés.

De fait, la vaccination à rappels multiples favoriserait, elle-même, l’émergence de l’infection. En effet, comme ne cessent de le soutenir, depuis le début de la pandémie, les docteurs Nicole et Gérard Delépine, la généticienne Alexandra Henrion-Claude, le professeur Christian Perronne et le professeur Didier Raoult (tous anathématisés, calomniés), pour ne citer que les scientifiques célèbres, les injections multiples des vaccins anti-Covid-19 ne favorisent pas que la production d’anticorps neutralisants contre la protéine spike du virus SARS-CoV-2. Certains anticorps dirigés contre cette protéine spike peuvent être facilitants, c’est-à-dire qu’ils peuvent au contraire faciliter l’infection des personnes injectées/vaccinées, selon un phénomène appelé ADE (« antibody-dependent enhancement » ou facilitation de l’infection dépendante des anticorps).(([5] Voir : Résultats de recherche pour « delepine » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « perronne » — les 7 du Québec 
et Résultats de recherche pour « raoult » — les 7 du Québec.))

Par ailleurs, ces injections vaccinales multiples peuvent également provoquer une infection aggravée des personnes injectées/vaccinées (en cas d’infection ultérieure par un variant du SARS-CoV-2) via un phénomène plus large appelé ERD («enhanced respiratory diseases» ou facilitation des maladies respiratoires) qui ne dépend pas nécessairement de la production des anticorps facilitants.

Les récentes études montrent des signes cliniques plus marqués après infection que chez les personnes non vaccinées. La preuve par l’Allemagne. La revue « eugyppius » a publié une carte établie le 28 juin 2022 par l’Institut Robert-Koch (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) intitulée : «Omicron BA.5 préfère les Allemands de l’Ouest hyper vaccinés et masqués et évite l’ancienne RDA.» Dans cette carte, la revue dévoile l’existence, en matière de conduite politique et réceptivité psychologique, d’une démarcation prononcée entre l’ex-Allemagne de l’Est et l’ex-Allemagne de l’Ouest, héritage de la division territoriale, étatique et idéologique du pays entre 1945 et 1989 au cours de la guerre froide:  «Les Allemands de l’Est ont une expérience directe de la propagande gouvernementale et se sont montrés plus résistants à la campagne de vaccination que les Occidentaux. Leur récompense, après avoir été beaucoup dénigrés par les médias d’État, est maintenant un niveau plus élevé d’immunité naturelle et un taux plus faible d’infection par le BA.5, qui semble préférer les populations vaccinées.».

Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné. Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m serait devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire.

Au reste, du fait de la résistance des derniers variants (BA.4 et BA.5) aux anticorps neutralisants, et de l’émergence continue de nouveaux variants, la vaccination à rappels multiples engendrerait un risque sérieux d’atteinte à l’immunité naturelle des patients.

En effet, une vaccination contre la Covid-19 avec de nombreux rappels induirait, selon les scientifiques, notamment le défunt Luc Montagnier, un syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA (celui-ci est un syndrome immunitaire indépendant du VIH) chez les multi-injectés/ vaccinés. Par ailleurs, le dérèglement de l’immunité innée se traduirait également par un dérèglement de l’immunité adaptative/acquise, c’est-à-dire à un dérèglement généralisé du système immunitaire.(([6] Voir : Résultats de recherche pour « montagnier » — les 7 du Québec.))

En d’autres termes, les injections vaccinales répétées, dépassant le seuil critique, conduisent inévitablement à un dérèglement de l’immunité innée, et à l’apparition de potentiels troubles auto-immuns. Cette diminution des défenses immunitaires se traduit par une dangerosité accrue pour les vaccinés et un portage viral toujours plus fort.

De toute évidence, combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n’est pas une stratégie fiable ni viable. Aussi, comme le recommandent les experts honnêtes soucieux réellement de la santé publique, notamment japonais, dans l’attente de l’adaptation du vaccin au nouveau variant, autrement dit en attendant que la composition du vaccin soit mise à jour, pour éviter les mutations générées par les vaccinations à répétition, il serait plus prudent de favoriser une autre médication. Effectivement, comme le prouve l’expérience actuelle, la multiplication des injections avec des vaccins fondés sur la souche originelle du virus n’a aucune utilité médicale, sinon d’enrichir les laboratoires pharmaceutiques.(([7] Voir : Résultats de recherche pour « Izambert » — les 7 du Québec.))

Or, en dépit de l’échec de la vaccination et, surtout, des risques du dérèglement de l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques, au lieu d’adapter leur vaccin au variant Omicron (ou ses sous-variants), incitent les populations à l’injection d’une quatrième dose avec les mêmes vaccins élaborés pour la primitive souche du coronavirus apparue fin 2019. Car il faut écouler les stocks.

Le contexte pandémique sous le capitalisme

Quand la santé du capital prime celle de l’être humain, l’injection de manipulation scientifique, administrée à haute dose dans le corps social, devient la norme. Tel est le contexte pandémique actuel financièrement instrumentalisé par les multinationales du médicament. Alors que les vaccins ARN-m sont toujours en phase d’essai clinique, malgré leur l’échec patent à enrayer le virus, notamment contre le variant Omicron et ses dérivés, et les risques de dérèglement l’immunité naturelle, les laboratoires pharmaceutiques persévèrent dans leur politique de préconisation de l’injection d’une quatrième (cinquième dans certains pays abonnés aux vaccins ARN-m de Pfizer) dose.

Les profits sont au rendez-vous

Une chose est sûre, à ce stade expérimental, avec ces vaccins ARN-m, le seul effet bénéfique concrètement observé est d’ordre financier. Le chiffre d’affaires de l’entreprise américaine Pfizer a bondi de 95 % en 2021, atteignant 81,3 milliards de dollars, et dégageant 22 milliards de bénéfices. BioNTech : 19 milliards de chiffres d’affaires et 10 milliards de bénéfices. Moderna : 20 milliards de chiffres d’affaires et 12 milliards de bénéfices. À eux trois, ces trois groupes pharmaceutiques ont réalisé 65 000 dollars de bénéfices par minute. Avec l’augmentation du prix de vente décidée, la quatrième injection est assurée de croître de 50% les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques.

Le tiers monde est protégé-immunisé par sa pauvreté

Pour conclure. Comment expliquer qu’en Asie et en Afrique, sans mesures de restrictions, ni de protection sanitaire (masques, solutions et gels hydroalcooliques pour se désinfecter les mains, gestes barrières, etc.), ni aucune injection vaccinale, pour l’Afrique, la faiblesse du nombre de contaminations et de décès dans ces deux continents (qui représentent les 2/3 de l’Humanité) ? Par l’innocuité du coronavirus ? Comment interpréter la surmortalité liée au Covid-19 officiellement enregistrée par les États occidentaux et leurs pays satellites (qui totalisent 70% des 6 millions de décès dans monde) ? Par la surestimation du nombre de décès attribués au Covid-19, surtout quand on apprend que plus de 99% des morts liés au virus étaient atteints d’une autre maladie grave, de comorbidité ? Comment analyser cette disparité de la mortalité devant ce virus à géographie variable ? À croire que ce virus mute en fonction des États, flambe au gré des orientations politiques et économiques des dirigeants, tue statistiquement selon la volonté des gouvernements, ressuscite invariablement au rythme de la multiplication des vaccinations imposées dans les pays atlantistes ! En complémentaire : les Big Pharma fourguent leurs vaccins aux pays africains : Michèle Rivasi – Vaccins Covid-19 | Quelle est la vision… | Facebook 

Khider MESLOUB




Revue de Presse du 5 juillet 2022

Par MF

ÉDITO — Tchao Professeur et bonne retraite !

Notre « gaulois réfractaire » prend sa retraite et souhaite bonne chance à son successeur, tandis que la menace des injections pèse maintenant sur les tout petits de six mois à deux ans, que le passeport sanitaire est toujours d’actualité en Europe et en partie en France, que la mortalité toutes causes augmente tandis que la natalité s’effondre dans les pays les plus vaccinés, et que la résistance à l’hégémonie se poursuit en particulier au travers de films et vidéos.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Alençon, les soignants de l’hôpital en grève

https://actu.fr/normandie/alencon_61001/alencon-les-soignants-de-lhopital-en-greve-devant-les-urgences_51903931.html

Manque de moyens et problèmes d’organisation interne

Derrière la vaccination, trafics d’influence et phénomènes de cour

https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/derriere-lideologie-de-la-vaccination-integrale-trafics-dinfluence-et-phenomenes-de-cour-par-laurent-mucchielli/

« Trafic d’influence des industries pharmaceutiques en espèces sonnantes et trébuchantes, ou en discréditant les traitements précoces génériques pour mieux faire place aux très chers médicaments industriels brevetés, avec Prix et médailles pour les médecins de cour. Ces mécanismes font l’objet d’un déni en France et pour l’heure, c’est encore l’omerta qui règne. »

Neuromarketing gouvernemental, loto et vaccination un « jeu » qui se vaut ?

https://www.francesoir.fr/opinions-editos/et-si-tout-ceci-n-etait-que-le-fruit-d-un-neuro-marketing-gouvernemental

« Pour le loto, 100 % des gagnants “ont tenté leur chance”, pour les vaccins 95 % d’efficacité des vaccins. Et malheureusement, 100 % des personnes ayant des effets secondaires ont aussi tenté leur chance en se vaccinant. »

ÉTRANGER

Algérie : la suppression du passeport sanitaire ?

Il n’est jamais trop tard pour bien faire.

Autriche, fin de l’obligation vaccinale

Un peu de bon sens. Il faut vivre avec ce virus, comme avec quelques autres !

Chine, le PCC savait que le Covid était là lors des JO militaires de 2019

et personne n’a tenté de savoir si les jeux de Wuhan étaient, en fait, le premier événement international de propagation de la pandémie. De nombreux athlètes internationaux ont remarqué que quelque chose n’allait pas dans la ville de Wuhan. Certains l’ont décrit plus tard comme une « ville fantôme, » on dirait aujourd’hui CONFINÉE !

JUSTICE

Nouvelle action en justice après un décès

https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6806950/aix-vaccination-anti-covid-nouvelle-action-en-justice-apres-un-deces.html

Eva, 30 ans, aurait, selon ses proches, succombé à une primo-vaccination anti-Covid Pfizer

COVID

Faut-il encore l’appeler « SARS-Cov2 » ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-95-faut-il-encore-l-appeler-sars-cov-

« SARS » en anglais signifie « Severe Acute Respiratory Syndrome » et en français SDRA pour « Syndrome de détresse respiratoire aiguë ». Cela n’a rien à voir avec les rhumes ».

Les vaccins prolongent la contagiosité

https://www.covid-factuel.fr/2022/07/01/les-vaccins-anti-covid-prolongent-ils-la-contagiosite/

Conclusion, « Au lieu d’être suspendus, les soignants non vaccinés devraient être promus pour leur meilleure sécurité vis-à-vis des patients, et le message qu’il faudrait délivrer au public serait “Pour protéger les autres, ne vous faites pas vacciner contre le Covid-19 !” »

TRAITEMENTS

« Les autorités sélectionnent les études » sur l’ivermectine : Tess Lawrie

https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/tess-lawrie « Nous avons encore besoin de l’ivermectine »… y compris pour traiter certains effets secondaires des injections anti-covid

STOP au Pass

Inefficace, il est abandonné par Israël, la Grande-Bretagne, et une dizaine de pays européens, quand la France s’obstine à le maintenir dans les structures de soins et imposer la vaccination aux soignants.

Les masques ne sont QUE NUISIBLES !

https://www.aimsib.org/2022/06/30/brulez-vos-masques-ils-ne-sont-que-nuisibles/

https://www.aimsib.org/wp-content/uploads/2022/06/eric-loridan-aimsib-25-juin-2022.pdf

Conférence basée sur des études faites en bloc opératoire, ou lors de l’épidémie de H1N1, et lors du Covid. Conclusion, aucun intérêt ! MAIS, danger pour les soignants (baisse de la saturation en oxygène, maux de tête) et dans la population générale (atteintes dermatologiques, neurologiques, obstétriques, dentaires, élévation du taux de CO2 dans l’air inhalé.)

Et

INJECTIONS

Bilan avantages-risques des injections

Les contaminations et la mortalité sont plus élevées dans les pays les plus vaccinés.

L’injection du vaccin Pfizer chez les tout-petits, étude d’Hélène Banoun — CSI n° 60, 23/06/22

https://www.covid-factuel.fr/2022/06/24/vaccinons-nos-enfants/

et

https://www.covid-factuel.fr/wp-content/uploads/2022/06/FDA-approuve-6mois.pdf

Conclusion, ni sûr, ni efficace.

EFFETS INDÉSIRABLES

Vacciner les femmes enceintes est une folie absolue

https://lemediaen442.fr/alexandra-henrion-caude-docteur-en-genetique-alerte-sur-le-danger-de-la-4e-dose-pour-les-femmes-enceintes/

« Pfizer n’a pas testé son produit sur les femmes enceintes et n’a même pas fini les tests de phase 3 qui précèdent normalement la mise sur le marché./ Pfizer ne recommande pas la vaccination des femmes enceintes, au contraire de l’OMS, l’ANSM/ Les études sur des anomalies fœtales n’ont pas été faites et la FDA demande une étude à Pfizer pour 2025/

Pfizer reconnaît ne pas connaître les effets sur les femmes enceintes »

L’injection rendra-t-elle les enfants stériles ?



Effondrement des naissances dans les pays les plus vaccinés

https://pgibertie.com/2022/07/03/un-brutal-effondrement-des-naissances-dans-les-pays-les-plus-vacxx/

Augmentation de la mortalité toutes causes

https://nouveau-monde.ca/en-angleterre-la-vaccination-anti-covid-est-suivie-dune-augmentation-de-mortalite-toutes-causes-confondues-au-dela-de-6-mois-apres-linjection/#identifier_9_38711

« Cette tendance s’est aggravée progressivement depuis mai 2021 et reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancers »

Personnalités et politiciens souffrant de graves effets indésirables, voire décédés



ITALIE — Plus de 15 médecins morts en deux mois, chiffre sans précédent

https://www.eventiavversinews.it/corbelli-oltre-15-medici-morti-allimprovviso-negli-ultimi-due-mesi-un-dato-senza-precedenti-in-italia/

Tous vaccinés et non malades, les plus jeunes avaient 33 et 37 ans.

RÉSISTANCES

La dernière vidéo du Pr Raoult



Tchao Professeur, et bonne retraite !

La liberté de conscience au cœur de la résistance à la dictature sanitaire

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/22/pourquoi-la-liberte-de-conscience-est-au-coeur-de-la-resistance-a-la-dictature-sanitaire/

« Cette conscience morale nous rappelle qu’il est de notre devoir de désobéir aux lois injustes, dès lors qu’elles combattent nos droits naturels inaliénables »

L’objection de conscience vaccinale est une affaire essentielle pour l’affirmation de l’Humanité.

À peine innocenté des accusations de Médiapart, l’IHU de Raoult attaqué à nouveau

https://www.francesoir.fr/politique-france/accusations-ihu-raoult

Attaques sur une seule étude, et pour raisons administratives, l’acharnement se poursuit.

La fin de l’hégémonie ? Le Pr Raoult demande la réintégration des soignants suspendus

Un nouveau film « La loi, la liberté » du réalisateur belge Bernard Crutzen

L’International Covid Summit — découpage

https://crowdbunker.com/channel/FY2YHpTT

Le mythe de la contamination épidémique, épisode 5

Avec Pierre Chaillot, de Décoder l’éco

« Dans le premier épisode, nous avons vu qu’il n’y a eu aucune hécatombe nulle part en Europe, ni en 2020, ni en 2021 ; dans le deuxième, qu’il n’y a pas eu la saturation hospitalière annoncée ; dans le troisième épisode nous avons vu qu’il n’y a pas non plus eu un “déferlement” de malades. Il y a eu bien moins de malades comptabilisés que pendant les épisodes dits “grippaux” du passé. Nous vivons une épidémie de “cas” entretenue par les fameux “tests” qui n’ont pas de rapport avec la moindre maladie. Dans le quatrième épisode nous avons vu le moteur même de la fraude : l’utilisation de codes spécifiques par les hôpitaux de façon à produire les “bonnes” statistiques, et dans ce cinquième épisode nous découvrons le socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination. »




L’Histoire jugera les États-Unis et leurs alliés

[Source : les7duquebec.net]

Par John J. Mearsheimer

John Mearsheimer est professeur honoraire de science politique à l’École supérieure des relations internationales. Il est professeur de science politique R. Wendell Harrison à l’Université de Chicago. M. Mearsheimer est surtout connu pour avoir développé la théorie du réalisme offensif, qui décrit l’interaction entre les grandes puissances comme étant principalement motivée par un désir rationnel d’atteindre l’hégémonie régionale dans un système international anarchique.

Le discours suivant a été prononcé par John Mearsheimer à l’Université européenne (IUE) de Florence le 16 juin. Le politologue américain John Mearsheimer dans sa conférence internationale affirme que les États-Unis et l’OTAN portent toute la responsabilité de l’effusion de sang en Ukraine. Ici, ils essaient de vaincre la Russie et ne s’arrêteront pas avant l’escalade du conflit. « L’histoire condamnera sévèrement les États-Unis pour leur politique étonnamment folle envers l’Ukraine », conclut l’auteur.

La guerre en Ukraine est une catastrophe multiforme qui risque de s’aggraver dans un avenir prévisible. Lorsqu’une guerre réussit, peu d’attention est accordée à ses causes, mais lorsque son issue devient catastrophique, comprendre comment elle s’est produite devient primordial. Les gens veulent savoir: comment sommes-nous arrivés dans une situation aussi terrible?

J’ai été témoin de ce phénomène deux fois dans ma vie – d’abord pendant la guerre du Vietnam, puis pendant la guerre en Irak. Dans les deux cas, les Américains voulaient savoir comment leur pays avait pu mal calculer. Étant donné que les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN ont joué un rôle décisif dans les événements qui ont conduit au conflit militaire en Ukraine et jouent maintenant un rôle central dans cette guerre, il convient d’évaluer la responsabilité de l’Occident dans ce désastre colossal.

Aujourd’hui, je vais donner deux arguments principaux.

Premièrement, ce sont les États-Unis qui portent la responsabilité principale de l’émergence de la crise ukrainienne. Cela ne nie pas que Poutine a lancé une opération spéciale militaire en Ukraine, et il est également responsable des actions que l’armée russe y mène. Mais cela ne nie pas non plus que les alliés portent également une certaine part de responsabilité pour l’Ukraine, bien que dans la grande majorité d’entre eux, ils suivent simplement aveuglément l’Amérique dans ce conflit. Mon principal argument est que les États-Unis ont poursuivi et poursuivent une politique envers l’Ukraine que Poutine et d’autres dirigeants russes considèrent comme une menace existentielle pour la Russie. Et ils l’ont déclaré à plusieurs reprises au fil des ans. Je fais particulièrement référence à l’obsession de l’Amérique d’entraîner l’Ukraine dans l’OTAN et de la transformer en un bastion de l’Occident à la frontière avec la Russie. L’administration Biden ne voulait pas éliminer cette menace avec l’aide de la diplomatie et a en fait confirmé en 2021 l’engagement des États-Unis à accepter l’Ukraine dans l’OTAN. Poutine a répondu par une opération militaire spéciale en Ukraine, qui a commencé le 24 février de cette année.

Deuxièmement, l’administration Biden a réagi au début de l’opération spéciale en doublant pratiquement ses efforts anti-russes. Washington et ses alliés occidentaux sont déterminés à obtenir la défaite de la Russie en Ukraine et à appliquer toutes les sanctions possibles pour affaiblir considérablement la puissance russe. Les États-Unis ne sont pas sérieusement intéressés à trouver une solution diplomatique au conflit, ce qui signifie que la guerre risque de s’éterniser pendant des mois, voire des années. Dans le même temps, l’Ukraine, qui a déjà terriblement souffert, sera encore plus endommagée. En fait, les États-Unis aident l’Ukraine à suivre la fausse voie des « victoires » imaginaires, conduisant en fait le pays à l’effondrement complet. En outre, il existe également un risque d’escalade du conflit ukrainien, car l’OTAN pourrait y être impliquée et des armes nucléaires pourraient être utilisées pendant les hostilités. Nous vivons à une époque pleine de dangers mortels.

Permettez-moi maintenant d’exposer mon argument plus en détail, en commençant par une description des idées généralement acceptées sur les causes du conflit ukrainien.

Idées confuses de l’Occident

Il y a une forte croyance répandue en Occident que Poutine porte l’entière responsabilité de la crise en Ukraine et, bien sûr, des hostilités en cours sur le territoire de ce pays. Ils disent qu’il a des ambitions impériales, c’est-à-dire qu’il cherche à conquérir l’Ukraine et d’autres pays – et tout cela dans le but de créer une grande Russie qui ressemble quelque peu à l’ex-Union soviétique. En d’autres termes, l’Ukraine est le premier objectif de Poutine, mais pas son dernier. Comme l’a dit un scientifique, il « poursuit un objectif sinistre et de longue date : effacer l’Ukraine de la carte du monde ». Compte tenu de ces prétendus objectifs de Poutine, il est tout à fait logique que la Finlande et la Suède rejoignent l’OTAN et que l’alliance augmente le nombre de ses forces en Europe de l’Est. La Russie impériale, après tout, doit être contenue.

Cependant, il convient de noter que bien que ce récit soit répété encore et encore dans les médias occidentaux grand public et par pratiquement tous les dirigeants occidentaux, il n’y a aucune preuve à l’appui. Et lorsque les partisans de ce point de vue généralement accepté en Occident essaient de les représenter, il s’avère qu’ils n’ont pratiquement rien à voir avec les motivations de Poutine pour envoyer des troupes en Ukraine. Par exemple, certains soulignent les paroles répétées de Poutine selon lesquelles l’Ukraine est un « État artificiel » ou non un « État réel ». Cependant, de telles déclarations opaques de sa part ne disent rien sur la raison de sa campagne en Ukraine. On peut en dire autant de la déclaration de Poutine selon laquelle il considère les Russes et les Ukrainiens comme « un seul peuple » avec une histoire commune. D’autres notent qu’il a qualifié l’effondrement de l’Union soviétique de « plus grande catastrophe géopolitique du siècle ». Et que Poutine a également dit : « Celui qui ne se souvient pas de l’Union soviétique n’a pas de cœur. Celui qui veut qu’il revienne n’a pas de cerveau. » D’autres encore citent un discours dans lequel il a déclaré que « l’Ukraine moderne a été entièrement créée par la Russie ou, plus précisément, par la Russie bolchevique, communiste ». Mais dans le même discours, parlant de l’indépendance de l’Ukraine aujourd’hui, Poutine a déclaré :

« Bien sûr, nous ne pouvons pas changer les événements passés, mais nous devons au moins les reconnaître ouvertement et honnêtement. »

Pour prouver que Poutine cherche à conquérir toute l’Ukraine et à l’annexer à la Russie, il est nécessaire de fournir la preuve que, premièrement, il considère que c’est un objectif souhaitable, deuxièmement, qu’il le considère comme un objectif réalisable et, troisièmement, qu’il a l’intention de poursuivre cet objectif. Cependant, il n’y a aucune preuve dans les sources publiques que Poutine allait le faire, et encore plus avait l’intention de mettre fin à l’Ukraine en tant qu’État indépendant et de l’intégrer à la grande Russie lorsqu’il a lancé une opération spéciale en Ukraine le 24 février.

En fait, tout est tout le contraire. Il y a des preuves solides que Poutine reconnaît l’Ukraine comme un pays indépendant. Dans son article sur les relations russo-ukrainiennes daté du 12 juillet 2021, que les partisans de l’opinion populaire en Occident appellent souvent la preuve de ses ambitions impériales, il dit au peuple ukrainien : « Voulez-vous créer votre propre État ? Nous ne faisons que l’accueillir! ». Et quant à la façon dont la Russie devrait traiter l’Ukraine, il écrit : « Il n’y a qu’une seule réponse : avec respect. » Et Poutine termine ce long article par les mots suivants : « Et ce que sera l’Ukraine appartient à ses citoyens de décider. » Il est difficile de concilier ces déclarations avec les déclarations de l’Occident selon lesquelles il veut inclure l’Ukraine dans la « grande Russie ».

Dans le même article daté du 12 juillet 2021, et à nouveau dans un important discours prononcé par lui le 21 février de cette année, Poutine a souligné que la Russie accepte « la nouvelle réalité géopolitique qui s’est développée après l’effondrement de l’URSS ». Il l’a répété pour la troisième fois le 24 février, lorsqu’il a annoncé que la Russie lançait son opération militaire spéciale en Ukraine. En particulier, il a déclaré que « l’occupation du territoire ukrainien ne fait pas partie de nos plans » et a clairement indiqué qu’il respectait la souveraineté de l’Ukraine, mais seulement jusqu’à un certain point : « La Russie ne peut pas se sentir en sécurité, se développer et exister, étant constamment menacée par le territoire de l’Ukraine d’aujourd’hui ». En fait, cela suggère que Poutine n’est pas intéressé à ce que l’Ukraine fasse partie de la Russie. Il est intéressé à s’assurer que cela ne devienne pas un « tremplin » pour l’agression occidentale contre la Russie, dont je vous parlerai plus tard.

On pourrait soutenir que Poutine, disent-ils, ment sur ses motivations, qu’il essaie de dissimuler ses ambitions impériales. Il se trouve que j’ai écrit un jour un livre sur les mensonges en politique internationale – « Pourquoi les dirigeants mentent : la vérité sur les mensonges dans la politique internationale » – et il est clair pour moi que Poutine ne ment pas. Tout d’abord, l’une de mes principales conclusions est que les dirigeants ne se mentent pas souvent, ils mentent plus souvent à leur public. Quant à Poutine, peu importe ce que les gens pensent de lui, il n’y a aucune preuve dans l’histoire qu’il ait jamais menti à d’autres dirigeants. Bien que certains prétendent qu’il ment souvent et qu’on ne peut pas lui faire confiance, il y a peu de preuves qu’il ait menti à un public étranger. En outre, au cours des deux dernières années, il a exprimé publiquement à plusieurs reprises ses pensées sur l’Ukraine et a constamment souligné que sa principale préoccupation était les relations de l’Ukraine avec l’Occident, en particulier avec l’OTAN. Il n’a jamais laissé entendre qu’il voulait faire de l’Ukraine une partie de la Russie. Si un tel comportement fait partie d’une campagne de tromperie géante, alors il n’a pas de précédent dans l’histoire.

Peut-être que le meilleur indicateur que Poutine ne cherche pas à conquérir et à absorber l’Ukraine est la stratégie militaire que Moscou a utilisée dès le début de son opération spéciale. L’armée russe n’a pas essayé de conquérir toute l’Ukraine. Cela nécessiterait une stratégie classique de blitzkrieg visant à capturer rapidement l’ensemble du territoire du pays par des forces blindées avec le soutien de l’aviation tactique. Cette stratégie, cependant, n’était pas réalisable car l’armée russe, qui a lancé l’opération spéciale, ne comptait que 190 000 soldats, ce qui est trop petit pour occuper l’Ukraine, qui est non seulement le plus grand pays entre l’océan Atlantique et la Russie, mais qui compte également une population de plus de 40 millions de personnes. Sans surprise, les Russes ont poursuivi une stratégie d’objectifs limités qui se concentrait sur la création d’une menace pour capturer Kiev, mais principalement sur la conquête d’une partie importante du territoire à l’est et au sud de l’Ukraine. En bref, la Russie n’a pas eu l’occasion de subjuguer l’ensemble de l’Ukraine, sans parler des autres pays d’Europe de l’Est.

Comme l’a noté Ramzi Mardini (un politologue américain bien connu, chercheur principal à l’influent American Institute of Peace, professeur à l’Université de Chicago – Approx. Un autre indicateur des objectifs limités de Poutine est le manque de preuves que la Russie préparait un gouvernement fantoche pour l’Ukraine, nourrissait des dirigeants pro-russes à Kiev ou prenait des mesures politiques qui lui permettraient d’occuper tout le pays et, éventuellement, de l’intégrer à la Russie.

Si nous développons cet argument, il convient de noter que Poutine et d’autres dirigeants russes ont probablement compris, d’après l’expérience de la guerre froide, que l’occupation de pays à l’ère du nationalisme est invariablement une recette pour des problèmes sans fin. L’expérience soviétique en Afghanistan en est un exemple frappant, mais les relations de Moscou avec ses alliés en Europe de l’Est sont plus pertinentes pour cette question. L’Union soviétique a maintenu une énorme présence militaire dans la région et a été impliquée dans la politique de presque tous les pays qui s’y trouvaient. Cependant, ces alliés étaient souvent une épine dans le pied de Moscou. L’Union soviétique a réprimé un soulèvement majeur en Allemagne de l’Est en 1953, puis a envahi la Hongrie en 1956 et la Tchécoslovaquie en 1968 pour les maintenir dans son orbite. De graves problèmes surgissent en URSS et en Pologne : en 1956, 1970 et de nouveau en 1980-1981. Bien que les autorités polonaises aient résolu ces problèmes elles-mêmes, elles ont servi de rappel que l’intervention soviétique peut parfois être nécessaire. L’Albanie, la Roumanie et la Yougoslavie causaient généralement des problèmes à Moscou, mais les dirigeants soviétiques avaient tendance à supporter leur « mauvais » comportement parce que leur situation géographique les rendait moins importants pour dissuader l’OTAN.

Et qu’en est-il de l’Ukraine moderne ? D’après l’article de Poutine du 12 juillet 2021, il est clair qu’il a alors compris que le nationalisme ukrainien est une force puissante et que la guerre civile dans le Donbass, qui dure depuis 2014, a largement empoisonné les relations entre la Russie et l’Ukraine. Il savait, bien sûr, que l’armée russe ne serait pas accueillie à bras ouverts par les Ukrainiens et que ce serait une tâche « herculéenne » pour la Russie de soumettre l’Ukraine, même si elle avait les forces nécessaires pour conquérir tout le pays, ce que Moscou n’avait pas.

Enfin, il convient de noter que presque personne n’a prétendu que Poutine avait des ambitions impériales depuis le moment où il a pris les rênes du pouvoir en 2000 jusqu’à ce que la crise ukrainienne éclate le 22 février 2014. En outre, il convient de rappeler que le dirigeant russe était invité au sommet de l’OTAN en avril 2008 à Bucarest, où l’alliance a annoncé que l’Ukraine et la Géorgie deviendraient éventuellement ses membres. La critique de Poutine à l’égard de cette déclaration n’a eu presque aucun effet sur Washington, car la Russie était considérée comme trop faible pour arrêter la poursuite de l’expansion de l’OTAN, tout comme elle était trop faible pour arrêter les vagues d’expansion de l’alliance en 1999 et 2004.

À cet égard, il est important de noter que l’élargissement de l’OTAN jusqu’en février 2014 ne visait pas à dissuader la Russie. Compte tenu de l’état déplorable de la puissance militaire russe à cette époque, Moscou était incapable de poursuivre une politique « impériale » en Europe de l’Est. Fait révélateur, même l’ancien ambassadeur des États-Unis à Moscou, Michael McFaul, note que la saisie de la Crimée par Poutine n’était pas planifiée avant que la crise du « Maïdan » n’éclate en 2014. C’est la réaction impulsive de Poutine au coup d’État qui a renversé le dirigeant pro-russe de l’Ukraine. En bref, l’expansion de l’OTAN n’était pas encore destinée à contenir la menace russe, mais s’inscrivait dans une politique plus large d’extension de l’ordre international libéral à l’Europe de l’Est et de transformation de l’ensemble du continent en une Europe « occidentale ».

Ce n’est que lorsque la crise de Maïdan a éclaté en février 2014 que les États-Unis et leurs alliés ont soudainement commencé à qualifier Poutine de dirigeant dangereux avec des ambitions impériales, et la Russie d’une menace militaire sérieuse qui doit être contenue. Qu’est-ce qui a causé ce changement? Cette nouvelle rhétorique était destinée à servir un objectif important : permettre à l’Occident de blâmer Poutine pour avoir déclenché des troubles en Ukraine. Et maintenant que cette crise de longue date s’est transformée en une guerre à grande échelle, l’Occident doit s’assurer que Poutine seul est blâmé pour cette tournure catastrophique des événements. Ce « jeu du blâme » explique pourquoi Poutine est maintenant largement dépeint en Occident comme un « impérialiste », bien qu’il n’y ait pratiquement aucune preuve à l’appui de ce point de vue.

Permettez-moi maintenant d’aborder la véritable cause de la crise ukrainienne.

La véritable cause des problèmes

La principale racine de la crise actuelle en Ukraine est les efforts des États-Unis visant à transformer ce pays en un bastion de l’Occident aux frontières de la Russie. Cette stratégie comporte trois orientations : l’intégration de l’Ukraine dans l’UE, la transformation de l’Ukraine en une démocratie libérale pro-occidentale et, surtout, l’inclusion de l’Ukraine dans l’OTAN. La stratégie a été mise en œuvre lors du sommet annuel de l’OTAN à Bucarest en avril 2008, lorsque l’alliance a annoncé que l’Ukraine et la Géorgie « deviendraient ses membres ». Les dirigeants russes ont immédiatement réagi avec indignation, indiquant clairement qu’ils considéraient cette décision comme une menace existentielle et qu’ils n’avaient pas l’intention de permettre à un pays de rejoindre l’OTAN. Selon un journaliste russe respecté, Poutine « s’est mis en colère » et a averti que « si l’Ukraine rejoint l’OTAN, ce sera sans la Crimée et beaucoup de ses régions orientales. Ça va juste s’effondrer.

William Burns, qui est maintenant à la tête de la CIA et, pendant le sommet de l’OTAN à Bucarest, était l’ambassadeur des États-Unis à Moscou, a écrit une note à la secrétaire d’État de l’époque, Condoleezza Rice, dans laquelle il décrit succinctement les vues de la Russie sur cette question. Selon lui : « L’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN est la plus contrastée de toutes les lignes rouges pour l’élite russe (et pas seulement pour Poutine). En plus de deux ans et demi de conversations avec des acteurs russes clés, des patriotes dans les coins sombres du Kremlin aux critiques libéraux les plus durs de Poutine, je n’ai trouvé personne qui considérerait l’Ukraine dans l’OTAN comme autre chose qu’un défi direct. intérêts de la Russie ». Selon lui, l’OTAN « sera considérée… comme une structure militaire jetant un gant stratégique à Moscou. Et la Russie d’aujourd’hui réagira. Les relations russo-ukrainiennes vont tout simplement geler… Cela créera un terrain fertile pour l’ingérence russe dans les affaires de la Crimée et de l’est de l’Ukraine. »

Burns, bien sûr, n’était pas le seul politicien à comprendre que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN était pleine de dangers. En effet, lors du sommet de Bucarest, la chancelière allemande Angela Merkel et le président Français Nicolas Sarkozy se sont opposés à la promotion de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, car ils comprenaient que cela provoquerait l’inquiétude et la colère de la Russie. Merkel a récemment expliqué son désaccord à l’époque comme suit :

« J’étais absolument sûre… que Poutine ne le permettra tout simplement pas. De son point de vue, ce serait une déclaration de guerre. »

L’administration Bush, cependant, se souciait peu des « lignes rouges les plus contrastées » de Moscou et a fait pression sur les dirigeants de la France et de l’Allemagne pour qu’ils acceptent de faire une déclaration publique selon laquelle l’Ukraine et la Géorgie finiraient par rejoindre l’alliance.

Sans surprise, les efforts menés par les États-Unis pour intégrer la Géorgie dans l’OTAN ont conduit à une guerre entre la Géorgie et la Russie en août 2008 – quatre mois après le sommet de Bucarest. Néanmoins, les États-Unis et leurs alliés ont continué à faire avancer leurs plans pour transformer l’Ukraine en un bastion de l’Occident aux frontières de la Russie. Ces efforts ont finalement déclenché une crise majeure en février 2014, après qu’un coup d’État soutenu par les États-Unis à Kiev a forcé le président ukrainien pro-russe Viktor Ianoukovitch à fuir le pays. Il a été remplacé par le Premier ministre pro-américain Arseni Iatseniouk. En réponse, la Russie s’est emparée de la Crimée de l’Ukraine et a contribué à déclencher une guerre civile entre les séparatistes pro-russes et le gouvernement ukrainien dans le Donbass, dans l’est de l’Ukraine.

On peut souvent entendre l’argument selon lequel, au cours des huit années qui se sont écoulées entre le début de la crise en février 2014 et le début de la guerre en février 2022, les États-Unis et leurs alliés ont accordé peu d’attention à l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN. Ils disent que de facto cette question a été retirée de la discussion et, par conséquent, l’expansion de l’OTAN ne pouvait pas être une raison sérieuse de l’escalade de la crise en 2021 et du début ultérieur de l’opération spéciale russe au début de cette année. Cet argument est faux. En fait, la réaction de l’Occident aux événements de 2014 a été de redoubler d’efforts dans la stratégie actuelle et de rapprocher encore plus l’Ukraine de l’OTAN. L’Alliance a commencé à former l’armée ukrainienne en 2014, formant chaque année 10 000 militaires de l’AFU au cours des huit prochaines années. En décembre 2017, l’administration Trump a décidé de fournir à Kiev des « armes défensives ». Bientôt, d’autres pays de l’OTAN se sont joints à eux, fournissant à l’Ukraine encore plus d’armes.

L’armée ukrainienne a commencé à participer à des exercices militaires conjoints avec les forces de l’OTAN. En juillet 2021, Kiev et Washington ont mené conjointement l’opération Sea Breeze, un exercice naval en mer Noire auquel les forces navales de 31 pays ont participé et qui visaient directement la Russie. Deux mois plus tard, en septembre 2021, l’armée ukrainienne a dirigé des exercices Rapid Trident 21, que l’armée américaine a décrits comme des « exercices annuels visant à améliorer l’interopérabilité entre les pays alliés et partenaires pour démontrer la disponibilité des unités à répondre à toute crise ». Les efforts de l’OTAN pour armer et former les forces armées ukrainiennes expliquent en grande partie pourquoi les forces armées ukrainiennes ont opposé une résistance aussi forte aux forces armées russes aux premiers stades de l’opération spéciale. Comme le titre du Wall Street Journal lisait au début de l’opération spéciale: « Le secret du succès militaire de l’Ukraine: années d’entraînement à l’OTAN » (l’article est paru dans le WSJ le 13 avril 2022, le Wall Street Journal « Le secret du succès militaire de l’Ukraine: des années de formation de l’OTAN », suivi de la défaite écrasante des forces armées ukrainiennes à Marioupol, Kherson et Severodonetsk — Environ InoSMI).

Outre les efforts continus de l’OTAN pour transformer les forces armées ukrainiennes en une force de combat plus redoutable, la politique liée à l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et à son intégration à l’Occident a changé en 2021. Tant à Kiev qu’à Washington, l’enthousiasme pour la réalisation de ces objectifs a été ravivé. Le président Zelensky, qui n’a jamais fait preuve de beaucoup de zèle pour l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et a été élu en mars 2019 sur une plate-forme appelant à la coopération avec la Russie pour résoudre la crise en cours, a changé de cap au début de 2021 et a non seulement décidé d’élargir l’OTAN, mais a également adopté une position dure envers Moscou. Il a pris un certain nombre de mesures, notamment en fermant des chaînes de télévision pro-russes et en accusant un ami proche de Poutine de trahison, ce qui a dû irriter Moscou.

Le président Biden, qui a rejoint la Maison Blanche en janvier 2021, est depuis longtemps attaché à l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et s’est également montré très agressif envers la Russie. Il n’est pas surprenant que le 14 juin 2021, lors de son sommet annuel à Bruxelles, l’OTAN ait publié le communiqué suivant :

« Nous confirmons la décision prise au Sommet de Bucarest en 2008 selon laquelle l’Ukraine deviendra membre de l’Alliance avec le Plan d’action pour l’adhésion (MAP) en tant que partie intégrante du processus. Nous confirmons tous les éléments de cette décision, ainsi que les décisions ultérieures, y compris que chaque partenaire sera évalué sur ses propres mérites. Nous soutenons fermement le droit de l’Ukraine à déterminer de manière indépendante son avenir et le cours de sa politique étrangère sans ingérence extérieure. »

Le 1er septembre 2021, Zelensky s’est rendu à la Maison Blanche, où Biden a clairement indiqué que les États-Unis étaient « fermement engagés » dans les « aspirations euro-atlantiques » de l’Ukraine. Puis, le 10 novembre 2021, le secrétaire d’État Anthony Blinken et son homologue ukrainien Dmitry Kuleba ont signé un document important – la Charte de partenariat stratégique entre les États-Unis et l’Ukraine. L’objectif des deux parties, indique le document, est de « souligner… L’engagement de l’Ukraine à mener des réformes profondes et globales nécessaires à une intégration complète dans les institutions européennes et euro-atlantiques. Ce document est clairement basé non seulement sur les « engagements visant à renforcer les relations de partenariat stratégique entre l’Ukraine et les États-Unis, proclamés par les présidents Zelensky et Biden », mais confirme également l’engagement des États-Unis envers la « Déclaration du Sommet de Bucarest de 2008 ».

Bref, peu de gens doutent que depuis le début de l’année 2021, l’Ukraine a commencé à se rapprocher rapidement de l’OTAN. Néanmoins, certains défenseurs de cette politique soutiennent que Moscou n’aurait pas dû s’inquiéter, car « l’OTAN est une alliance défensive et ne constitue pas une menace pour la Russie ». Mais ce n’est pas ainsi que Poutine et d’autres dirigeants russes pensent de l’OTAN, et ce qui compte, c’est exactement ce qu’ils pensent. Il ne fait aucun doute que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN est restée pour Moscou « la ligne rouge la plus contrastée et la plus dangereuse ».

Pour contrer cette menace croissante, Poutine a déployé un nombre croissant de troupes russes à la frontière avec l’Ukraine entre février 2021 et février 2022. Son objectif était de forcer Biden et Zelensky à changer de cap et à arrêter leurs efforts pour intégrer l’Ukraine à l’Occident. Le 17 décembre 2021, Moscou a envoyé des lettres distinctes à l’administration Biden et à l’OTAN exigeant des garanties écrites que : 1) l’Ukraine ne rejoindra pas l’OTAN, 2) les armes offensives ne seront pas déployées près des frontières de la Russie, 3) les troupes et le matériel militaire de l’OTAN transférés en Europe de l’Est depuis 1997 seront retournés en Europe occidentale.

Au cours de cette période, Poutine a fait de nombreuses déclarations publiques qui ne laissaient aucun doute sur le fait qu’il considérait l’expansion de l’OTAN en Ukraine comme une menace existentielle. S’exprimant devant le conseil d’administration du ministère de la Défense le 21 décembre 2021, il a déclaré: « Ce qu’ils font, essaient ou prévoient de faire en Ukraine ne se produit pas à des milliers de kilomètres de notre frontière nationale. C’est ce qui se passe à notre porte. Ils doivent comprendre que nous n’avons tout simplement nulle part où nous retirer davantage. Pensent-ils vraiment que nous ne voyons pas ces menaces ? Ou pensent-ils que nous resterons les bras croisés à regarder les menaces croissantes qui pèsent sur la Russie ? » Deux mois plus tard, lors d’une conférence de presse le 22 février 2022, quelques jours seulement avant le début de l’opération spéciale, Poutine a déclaré : « Nous sommes catégoriquement contre l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, car cela représente une menace pour nous, et nous avons des arguments à l’appui de cela. Je l’ai dit à plusieurs reprises dans cette salle. » Ensuite, il a clairement indiqué qu’il pensait que l’Ukraine devenait déjà un membre de facto de l’OTAN. Selon Poutine, les États-Unis et leurs alliés « continuent de pomper les autorités actuelles de Kiev avec des types d’armes modernes ». Il a ajouté que si cela n’était pas arrêté, Moscou « se retrouvera seul avec un anti-Russie armé jusqu’aux dents ». C’est tout à fait inacceptable.

La logique de Poutine devrait être parfaitement claire pour les Américains, qui sont depuis longtemps attachés à la doctrine Monroe, selon laquelle aucune grande puissance, même lointaine, n’est autorisée à déployer l’une de ses forces armées dans l’hémisphère occidental.

Je pourrais souligner que dans toutes les déclarations publiques de Poutine au cours des mois précédant l’opération spéciale, il n’y a pas la moindre preuve qu’il allait s’emparer de l’Ukraine et l’intégrer à la Russie, sans parler d’attaquer d’autres pays d’Europe de l’Est. D’autres dirigeants russes, dont le ministre de la Défense, le ministre des Affaires étrangères, le vice-ministre des Affaires étrangères et l’ambassadeur de Russie à Washington, ont également souligné le rôle clé de l’expansion de l’OTAN dans l’émergence de la crise ukrainienne. Le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov l’a dit succinctement lors d’une conférence de presse le 14 janvier 2022, lorsqu’il a déclaré :

« La clé de tout est de garantir que l’OTAN ne s’étendra pas à l’Est. »

Néanmoins, les tentatives de Lavrov et de Poutine de forcer les États-Unis et leurs alliés à abandonner les tentatives de transformer l’Ukraine en un bastion de l’Occident à la frontière avec la Russie ont complètement échoué. Le secrétaire d’État Anthony Blinken a répondu aux demandes de la Russie à la mi-décembre en disant simplement : « Pas de changement. Il n’y aura pas de changements. Puis Poutine a lancé une opération spéciale en Ukraine pour éliminer la menace qu’il voyait de l’OTAN.

Où en sommes-nous aujourd’hui et où allons-nous?

Les opérations militaires en Ukraine font rage depuis près de quatre mois. Maintenant, je voudrais faire quelques observations sur ce qui s’est passé jusqu’à présent et où la guerre pourrait aller. Je me concentrerai sur trois questions spécifiques : 1) les conséquences de la guerre pour l’Ukraine, 2) les perspectives d’escalade – y compris l’escalade nucléaire, 3) les perspectives de fin de la guerre dans un avenir prévisible.

Cette guerre est une véritable catastrophe pour l’Ukraine. Comme je l’ai noté plus tôt, Poutine a clairement indiqué en 2008 que la Russie détruirait l’Ukraine pour l’empêcher de rejoindre l’OTAN. Il remplit cette promesse. Les troupes russes ont capturé 20% du territoire ukrainien et détruit ou gravement endommagé de nombreuses villes et villages ukrainiens. Plus de 6,5 millions d’Ukrainiens ont quitté le pays et plus de 8 millions sont devenus des personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays. Plusieurs milliers d’Ukrainiens, y compris des civils innocents, ont été tués ou grièvement blessés, et l’économie ukrainienne traverse une crise profonde. Selon les estimations de la Banque mondiale, l’économie ukrainienne se contractera de près de 50 % en 2022. Selon les experts, l’Ukraine a été endommagée d’environ 100 milliards de dollars, et il faudra environ un billion de dollars pour restaurer l’économie. pays. Maintenant, Kiev a besoin d’environ 5 milliards de dollars d’aide chaque mois juste pour que le gouvernement continue de fonctionner.

Il semble qu’il y ait peu d’espoir maintenant que l’Ukraine soit en mesure de rétablir l’utilisation des ports sur la mer d’Azov et la mer Noire dans un proche avenir. Avant la guerre, environ 70 % de toutes les exportations et importations ukrainiennes et 98 % des exportations de céréales passaient par ces ports. C’est la situation actuelle après moins de 4 mois de combats. Il est effrayant d’imaginer à quoi ressemblera l’Ukraine si cette guerre s’éternise pendant encore plusieurs années.

Alors, quelles sont les perspectives de conclure un accord de paix et de mettre fin à la guerre dans les prochains mois ? Malheureusement, personnellement, je ne vois pas la possibilité que cette guerre se termine dans un proche avenir. Et ce point de vue est partagé par d’éminents politiciens tels que le général Mark Milley, président des chefs d’état-major interarmées des États-Unis, et le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg. La principale raison de mon pessimisme est que la Russie et les États-Unis sont profondément attachés à l’objectif de gagner la guerre, et qu’il est impossible de parvenir à un accord dans lequel les deux parties gagneraient maintenant. Plus précisément, la clé du règlement du point de vue de la Russie est la transformation de l’Ukraine en un État neutre, ce qui mettra fin à la perspective de l’intégration de Kiev à l’Occident. Mais un tel résultat est inacceptable pour l’administration Biden et une partie importante de l’establishment de la politique étrangère américaine, car cela signifierait une victoire pour la Russie.

Les dirigeants ukrainiens, bien sûr, ont une certaine liberté d’action, et on peut espérer qu’ils pourront adopter la neutralité afin de sauver leur pays de nouvelles destructions. En effet, Zelensky a brièvement mentionné cette possibilité dans les premiers jours de l’opération spéciale, mais il n’a jamais développé sérieusement cette idée. Cependant, il est peu probable que Kiev soit en mesure d’accepter la neutralité, car les ultranationalistes en Ukraine, qui ont un pouvoir politique important, ne sont pas intéressés à céder au moins à une demande russe, en particulier celle qui dicte l’orientation politique de l’Ukraine dans les relations avec le monde extérieur. L’administration Biden et les pays du flanc est de l’OTAN, comme la Pologne et les États baltes, sont susceptibles de soutenir les ultranationalistes ukrainiens sur cette question.

La question de savoir quoi faire des vastes zones du territoire ukrainien que la Russie a conquises depuis le début de la guerre, ainsi que ce qu’il faut faire de la Crimée, complique considérablement la situation. Il est difficile d’imaginer que Moscou abandonnerait volontairement l’un des territoires ukrainiens qu’il occupe actuellement, et encore plus de toute la partie conquise de l’Ukraine, puisque les objectifs territoriaux actuels de Poutine sont probablement différents de ceux qu’il poursuivait avant le début de l’opération spéciale. Dans le même temps, il est tout aussi difficile d’imaginer qu’un dirigeant ukrainien accepterait un accord permettant à la Russie de conserver n’importe quel territoire ukrainien, à l’exception peut-être de la Crimée. J’espère me tromper, mais c’est précisément pour ces raisons que je ne vois pas la fin de ce conflit militaire destructeur.

Permettez-moi maintenant d’aborder la question de son éventuelle escalade. Il est largement reconnu parmi les chercheurs internationaux qu’il existe une forte tendance à intensifier les guerres prolongées. Au fil du temps, d’autres pays sont généralement impliqués dans la lutte et le niveau de violence augmente. La probabilité que cela se produise dans la guerre en Ukraine est réelle. Il y a un risque que les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN soient entraînés dans des hostilités, ce qu’ils ont jusqu’à présent réussi à éviter, bien qu’en fait ils mènent déjà une guerre indirecte par procuration contre la Russie. Il est également possible que des armes nucléaires soient utilisées en Ukraine, ce qui pourrait même conduire à un échange de frappes nucléaires entre la Russie et les États-Unis. La principale raison pour laquelle cela peut se produire est que les enjeux du conflit ukrainien dans sa réfraction mondiale se sont avérés si élevés pour les deux parties qu’aucune d’entre elles ne peut se permettre de perdre.

Comme je l’ai déjà souligné, Poutine et ses assistants estiment que l’adhésion de l’Ukraine à l’Occident représente une menace existentielle pour la Russie qui doit être éliminée. En pratique, cela signifie que la Russie doit gagner la guerre en Ukraine. La défaite est inacceptable pour Moscou. L’administration Biden, d’autre part, a souligné que son objectif n’est pas seulement d’infliger une défaite décisive à la Russie en Ukraine, mais aussi d’infliger d’énormes dommages à l’économie russe à l’aide de sanctions. Le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a souligné que l’objectif de l’Occident est d’affaiblir la Russie à un point tel qu’elle ne peut pas rentrer en Ukraine. En fait, l’administration Biden tente d’éliminer la Russie des grandes puissances. Le président Biden lui-même a qualifié la guerre de la Russie en Ukraine de « génocide » et a accusé Poutine d’être un « criminel de guerre » qui, après la guerre, devrait être jugé pour « crimes de guerre ». Une telle rhétorique n’est guère adaptée aux négociations sur la fin de la guerre. Après tout, comment négocier avec un État qui commet un génocide ?

La politique américaine a deux conséquences importantes. Premièrement, cela augmente considérablement la menace existentielle à laquelle Moscou est confrontée dans cette guerre et rend sa victoire en Ukraine plus importante que jamais. Dans le même temps, cette politique américaine signifie que les États-Unis sont profondément attachés à la perte de la Russie. L’administration Biden a maintenant tellement investi dans sa guerre par procuration en Ukraine – à la fois matériellement et rhétoriquement – qu’une victoire russe signifierait une défaite écrasante pour Washington.

De toute évidence, les deux parties ne peuvent pas gagner en même temps. De plus, il y a une forte possibilité que l’une des parties commence bientôt à perdre lourdement. Si la politique américaine réussit et que les Russes perdent face aux Ukrainiens sur le champ de bataille, Poutine pourrait recourir aux armes nucléaires pour sauver la situation. En mai, le directeur américain du renseignement national, Evril Haines, a déclaré à la commission des forces armées du Sénat que c’était l’une des deux situations qui pourraient conduire Poutine à utiliser des armes nucléaires en Ukraine. Pour ceux d’entre vous qui pensent que c’est peu probable, rappelez-vous que l’OTAN a prévu d’utiliser des armes nucléaires dans des circonstances similaires pendant la guerre froide. Il est impossible de prédire maintenant comment l’administration Biden réagirait si la Russie utilisait des armes nucléaires en Ukraine. Mais une chose est sûre : Washington sera soumis à une forte pression et tenté de rendre la pareille à la Russie, ce qui augmentera la probabilité d’une guerre nucléaire entre les deux grandes puissances. Il y a un paradoxe pervers ici : plus les États-Unis et leurs alliés réussissent à atteindre leurs objectifs, plus il est probable que la guerre devienne nucléaire.

Tournons la table de jeu et demandons ce qui se passe s’il s’avère que les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN se dirigent vers la défaite, que se passe-t-il si les Russes battent l’armée ukrainienne et que le gouvernement de Kiev négocie un accord de paix conçu pour sauver autant que possible la partie restante de l’Ukraine. Dans ce cas, les États-Unis et leurs alliés seront tentés de prendre une part encore plus active aux combats. C’est peu probable, mais il est tout à fait possible que des troupes américaines ou peut-être polonaises soient impliquées dans les hostilités, ce qui signifie que l’OTAN sera en guerre avec la Russie au sens littéral du terme. Selon Evril Haines, il s’agit d’un autre scénario dans lequel les Russes peuvent se tourner vers les armes nucléaires. Il est difficile de dire exactement comment les événements évolueront si ce scénario est mis en œuvre, mais il ne fait aucun doute qu’il existe un potentiel sérieux d’escalade, y compris une escalade nucléaire. La possibilité même d’un tel résultat devrait nous donner à tous la chair de poule.

Cette guerre risque d’avoir d’autres conséquences désastreuses, dont je ne peux pas discuter en détail par manque de temps. Par exemple, il y a des raisons de croire que la guerre conduira à une crise alimentaire mondiale dans laquelle plusieurs millions de personnes mourront. Le président de la Banque mondiale, David Malpass, affirme que si la guerre en Ukraine se poursuit, nous serons confrontés à une crise alimentaire mondiale qui deviendra une « catastrophe humanitaire ».

En outre, les relations entre la Russie et l’Occident sont si gravement empoisonnées qu’il faudra des années pour les rétablir. Et cette profonde hostilité alimentera l’instabilité dans le monde entier, mais surtout en Europe. Quelqu’un dira qu’il y a un côté positif : les relations entre les pays occidentaux se sont nettement améliorées en raison du conflit en Ukraine. Mais ce n’est vrai que pour le moment. Même maintenant, il y a de profondes fissures sous la surface de l’unité occidentale extérieure, et avec le temps, elles se déclareront de toute urgence et douloureusement. Par exemple, les relations entre les pays d’Europe de l’Est et de l’Ouest risquent de se détériorer à mesure que la guerre s’éternise, car leurs intérêts et leurs points de vue sur le conflit ne coïncident pas.

Enfin, le conflit cause déjà de graves dommages à l’économie mondiale et, avec le temps, cette situation risque de s’aggraver sérieusement. Jamie Diamond, PDG de JPMorgan Chase, a déclaré que nous devrions nous préparer à un « ouragan » économique. S’il a raison, alors la tourmente économique actuelle affectera la politique de tous les pays occidentaux, sapera la démocratie libérale et renforcera ses opposants à gauche et à droite. Les conséquences économiques du conflit ukrainien affecteront les pays de la planète entière, pas seulement l’Occident. Selon un rapport de l’ONU publié la semaine dernière :

« les conséquences du conflit étendront la souffrance humaine bien au-delà de ses frontières. La guerre sous tous ses aspects a exacerbé une crise mondiale sans précédent, du moins pour la génération actuelle, mettant en danger des vies, des moyens de subsistance et nos aspirations à un monde meilleur dans les années 2030. »

Conclusion

En termes simples, le conflit en cours en Ukraine est une catastrophe colossale qui, comme je l’ai noté au début de mon discours, obligera les gens du monde entier à chercher ses causes. Ceux qui croient aux faits et à la logique découvriront rapidement que les États-Unis et leurs alliés sont les principaux responsables de ce déraillement de notre train commun. La décision prise en avril 2008 sur l’adhésion de l’Ukraine et de la Géorgie à l’OTAN était destinée à conduire à un conflit avec la Russie. L’administration Bush a été le principal architecte de ce choix fatidique, mais les administrations Obama, Trump et Biden ont intensifié et aggravé cette politique à chaque tournant, et les alliés de l’Amérique ont docilement suivi Washington. Malgré le fait que les dirigeants russes aient clairement indiqué que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN signifierait franchir les « lignes rouges les plus contrastées » de la Russie, les États-Unis ont refusé de répondre aux profondes préoccupations de la Russie en matière de sécurité et ont plutôt agi sans relâche pour transformer l’Ukraine en un bastion occidental à la frontière avec la Russie.

La vérité tragique est que si l’Occident n’avait pas cherché à étendre l’OTAN en Ukraine, il est peu probable qu’une guerre aurait fait rage en Ukraine aujourd’hui, et la Crimée ferait très probablement encore partie de l’Ukraine. En fait, Washington a joué un rôle central en conduisant l’Ukraine sur la voie de la destruction. L’histoire condamnera sévèrement les États-Unis et leurs alliés pour leur politique étonnamment stupide envers l’Ukraine.

Merci.

EN SAVOIR PLUS SUR LE SUJET :




En Angleterre la vaccination anti-covid est suivie d’une augmentation de mortalité toutes causes confondues au-delà de 6 mois après l’injection

Par le Dr Gérard Delépine

Alors que nos politiques veulent renouveler le scénario connu des cas qui augmentent pour justifier des mesures coercitives inefficaces :

1)- il importe de rappeler qu’actuellement en France, il n’y a pas d’épidémie(([1] Même Cnews avec Pascal Praud l’avoue)).

La Propagande martèle « 50 000 nouveaux cas par jour ». Ce ne sont que des cas, des tests positifs qui ne signifient pas que les testés portent des virus, ni qu’ils seront malades, ni qu’ils peuvent transmettre le virus(([2] Rita Jaafar et al Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne par polymérase quantitative et des cultures cellulaires positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Maladies infectieuses cliniques, volume 72, numéro 11, 1er juin 2021
https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491))(([3] https://nouveau-monde.ca/le-test-covid-est-une-immense-arnaque/))(([4] https://nouveau-monde.ca/linventeur-du-test-pcr-avait-bien-dit-que-celui-ci-ne-permet-pas-de-savoir-si-vous-etes-malade/)) Chez une personne sans symptôme, un test positif est faux dans 97 % des cas ; cela a été démontré scientifiquement et reconnu par la justice portugaise(([5] https://crlisboa.org/wp/juris/processo-n-o1783-20-7t8pdl-l1-3/)). Pour suivre une épidémie, on ne doit se fier qu’au nombre des malades.

Or dans la semaine du 20 au 26 juin 2022 le réseau sentinelle ne recensait que 52 malades/100 000 habitants bien au-dessous du seuil d’alerte reconnu pour la grippe (173 cas pour 100 000 habitants) et celui de la diarrhée aiguë par gastro-entérite (194 cas pour 100 000 habitants). Il persiste une circulation de virus, mais pas d’épidémie !

2)- Il faut se souvenir que les confinements(([6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID–19: COVID WinsNov 1, 2020))(([7] Rabail Chaudhry a A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464))(([8] Thomas Meunier1Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf)), les couvre-feux, les masques(([9] https://ripostelaique.com/les-masques-sont-inutiles-et-dangereux-stop-aux-mensonges-mediatiques.html))(([10] Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. 2021 Mar;174(3):335-343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub 2020 Nov
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991)) et les autres privations de liberté — inefficaces contre le Covid — ont été responsables de nombreuses victimes collatérales par défaut de soins, d’une épidémie de troubles psychiatriques et d’une crise économique majeure qui ne fait que commencer ;

3)- que les pass sanitaires puis vaccinaux n’ont pas permis de ralentir le rythme des contaminations(([11] https://nouveau-monde.ca/stop-aux-pass-chantages-inefficaces-sur-la-maladie-et-sources-de-mefiance-contre-la-vaccination/)) et qu’ils ont été abandonnés pour cela par la quasi-totalité des pays qui les ont instaurés ;

4)- que les vaccins n’empêchent ni d’être contaminé, ni de transmettre le virus, ni de faire une forme grave(([12] https://nouveau-monde.ca/bilan-catastrophique-des-injections-anticovid-et-manipulation-mediatique/));

5)- que par ailleurs la vaccination est dangereuse. Et il faut impérativement convaincre les triples injectés de jeter leurs dés et donc de refuser cette aberrante quatrième dose, si vous voulez sauver, au moins pour un certain temps, vos proches injectés.

Les données officielles du gouvernement britannique (chiffres publiés par l’Office for National Statistics) montrent que la vaccination anti-COVID augmente le risque de décès de covid 19 et la mortalité hors covid au bout de cinq mois.(([13] New UK Gov. report confirms COVID Vaccination significantly increases the risk of Death and kills hundreds of thousands after five monthsBY THE EXPOSÉ ON JUNE 2, 2022
https://expose-news.com/2022/06/02/uk-gov-confirms-covid-vaccination-kills-thousands-after-5-months/))

Et pourtant Boris Johnson n’est pas devenu complotiste.

La première injection de Covid-19 a été administrée en Angleterre le 8 décembre 2020.

Après quelques mois il est apparu que les doubles vaccinés avaient davantage de risques d’attraper le Covid que les non-vaccinés :

plus de risques d’être hospitalisés :

Et aussi davantage exposés au risque de mourir de covid :

5 mois plus tard, les vaccinés ont commencé à souffrir d’une augmentation de mortalité toutes causes confondues. Cette tendance s’est aggravée progressivement depuis mai 2021.

Cette tendance est plus marquée chez ceux qui ont reçu les injections de Covid-19 en premier. (Les Anglais, les plus âgés).

En mai 2021, les vaccinés de 70-79, 80-89 et les 90 ans et plus avaient un taux de mortalité plus élevé que les non-vaccinés du même âge.

Le graphique suivant montre les taux de mortalité standardisés selon l’âge pour 100 000 années-personnes par statut vaccinal et groupe d’âge pour le mois de mai 2021 :

La tendance s’est poursuivie en juin 2021 avec les 60-69 ans vaccinés rejoignant le groupe du taux de mortalité le plus élevé :

Et encore en juillet avec les 50-59 ans rejoignant le club du taux de mortalité le plus élevé :

Ces données indiquent que les injections de Covid-19 prennent environ 5 mois pour augmenter la mortalité des vaccinés toutes causes confondues

Les plus récentes publications de l’ONS (juin 2022) confirment qu’en décembre 2021 et janvier 2022 la mortalité toutes causes confondues des vaccinés est supérieure à celle des non-vaccinés !

Cette augmentation de la mortalité hors covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancers.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)(([14] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html)), aux USA(([15] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines))(([16] https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html))(([17] Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021
https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/)) en Allemagne(([18] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/)).

Cette surmortalité apparaissant quelques mois après injection nécessite des analyses approfondies et en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid





Michel Onfray : « La Ve République devrait forcer Macron à démissionner »

[Source : Europe 1]