Éric Verhaeghe commente sa garde à vue. Mise à jour

[Source : E&R]

Éric Verhaeghe commente la tentative d’intimidation que le pouvoir réel a exercée sur lui suite à ses publications sur l’affaire Brigitte Macron. Mais l’ancien haut fonctionnaire a le cuir épais…


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À lire pour compléter : communiqué de Xavier Poussard
issu du numéro 507 de Faits & Documents (juillet 2022) :


Mise à jour :




Les décisions du procès de Nuremberg sont d’une brûlante actualité

Par Gérard Delépine

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les alliés, pour juger les criminels nazis, ont instauré une juridiction spéciale, le tribunal de Nuremberg, qui a défini le « crime contre l’humanité », posé les bases de l’éthique médicale moderne et les a utilisées pour la première fois en droit international. La ville de Nuremberg avait été symboliquement choisie, car elle représentait la capitale idéologique du troisième Reich et le lieu préféré de la glorification du nazisme.

Ce tribunal a jugé séparément les politiques et les médecins.

La nécessité d’un code international sur les expérimentations humaines a fait l’objet de deux réunions préparatoires dans les mois qui ont précédé l’ouverture du procès (9 décembre 1946) à Francfort (mai 1946) et à l’Institut Pasteur de Paris (31 juillet et 1er août 1946).

Le code est finalement élaboré par les deux experts du tribunal, surtout Leo Alexander (en) (1905-1985), et les quatre juges, surtout Harold Sebring (en) (1898-1968). Inscrit dans les attendus du jugement selon la common law, il comporte dix articles sur la légalité de l’expérimentation humaine ;

Ce code s’inspire de quatre sources historiques :

C’est un code légal JURIDIQUE de droits humains et pas seulement un code de déontologie médicale destinée uniquement à des médecins.

Le Procès des médecins à Nuremberg(([1] Trials of War Criminals Before the Nürnberg Military Tribunals Under Control Council Law No. 10. October 1946—April 1949, Vol. II, Chap. XII Judgment, pp. 181-184. The Library of Congress))(([2] Le procès s’est déroulé dans le cadre de l’Accord de Londres du 8 août 1945 instaurant une structure juridique, le Tribunal Militaire International qui juge les crimes « non localisables » (celui des hauts dignitaires nazis ou procès de Nuremberg). Cet accord délègue compétence et pouvoir aux quatre puissances des zones d’occupation pour les autres crimes (article 10 de l’Accord de Londres) 20, qui font l’objet d’autres procès dont ceux tenus à Nuremberg pour des professions ou des corps particuliers.
Code de Nuremberg — Wikipédia (wikipedia.org) ))

Les 3 membres du tribunal des médecins étaient qualifiés par leurs antécédents professionnels : Walter Beals (président de la Cour Suprême de l’État de Washington), Harold Sebring (juge à la Cour Suprême de Floride), Johnson Crawford (ancien juge d’un tribunal de district d’Oklahoma). L’accusation fut dirigée par le procureur James Mac Harney, assisté de deux conseils, Alexandre Hardy et Arnost Hochwald. Le long travail de documentation et d’interrogatoires requis pour la préparation du procès des médecins occupa plus de cent juristes. Chaque accusé fut représenté par un ou plusieurs avocats de son choix. Ainsi, il y eut 19 avocats de la défense, dont 13 avaient été membres du parti national-socialiste, et un également de la SS.

Le procès des 23 médecins a débuté le 21 novembre 1946 par la signification des actes d’accusation, puis se déroula du 9 décembre 1946 au 19 juillet 1947 dans la grande salle d’audience du palais de Justice de Nuremberg.

Les accusés et les recherches médicales inhumaines

En poste dans les camps de concentration du Reich, les prévenus avaient pratiqué sur des civils ou des militaires, et sans le consentement de ceux-ci, des expériences au cours desquelles ils avaient commis « meurtres, brutalités, cruautés, tortures, atrocités et autres actes inhumains d’une « cruauté indicible », d’après le réquisitoire du procureur général Telford Taylor.

Les recherches initiées par l’armée allemande visaient entre autres à mettre au point et à tester des médicaments et des méthodes de traitement de blessures et de maladies que les soldats allemands pouvaient subir ou contracter au combat.

La plupart avaient été planifiées lors de conférences réunissant de nombreux responsables des services de santé(([3] https://www.cairn.info/revue-revue-d-histoire-de-la-shoah1-1997-2-page-10.htm)). Si l’on se réfère aux pratiques scientifiques de l’époque, la principale différence était l’utilisation d’êtres humains à la place d’animaux. C’était une différence insignifiante pour les médecins nazis, puisque le cobaye était déshumanisé à leurs yeux par sa condition de détenu, son origine ou son statut social.

Beaucoup de ces essais, réalisés dans des bâtiments construits à cet effet, concernaient les maladies infectieuses et leurs traitements et en particulier les vaccins : expériences sur le paludisme conduites à Dachau de février 1942 à avril 1945, essai sur le typhus, réalisé à Buchenwald et à Natzwzeiler de décembre 1941 à février 1945, recherches sur la fièvre jaune, la variole, la typhoïde, le choléra et la diphtérie effectuées à Natzweiler, sur l’hépatite virale à Sachsenhausen et Natzweiler…

Comme ces essais étaient réalisés pour bénéficier aux soldats allemands, les victimes étaient habituellement sélectionnées pour être proches du « sang allemand » selon les critères raciaux nazis : droits communs, « asociaux » (homosexuels, opposants politiques tziganes), prisonniers de guerre. Seuls les expériences de stérilisations ou les assassinats pour récupérer les squelettes concernaient essentiellement les juifs.

Les arguments de la défense

La défense ne nia pas la réalité des expériences décrites dans l’acte d’accusation, mais prétendit qu’elles n’étaient pas si dangereuses que l’accusation l’affirmait, qu’elles étaient justifiées par la nécessité de trouver en urgence des solutions aux graves maladies étudiées et qu’elles n’étaient guère différentes d’essais en cours dans d’autres pays, dont les États-Unis.

Les hommes qui commirent ces crimes n’étaient pas des savants fous ou des SS fanatiques, mais les représentants d’une médecine allemande pervertie par l’idéologie nazie illustrant la banalité du mal décrite par Hannah Arendt(([4]Tous ces gens incriminés pour des crimes d’une gravité exemplaire étaient d’une banalité si confondante, que cela rendait la question du génocide encore plus terrifiante.
http://www.institut-ethique-contemporaine.org/article%2520ethique_arendt.htm)) (à l’occasion du procès Eichmann en 1961 et 62).

Durant la guerre, 70 % des médecins allemands étaient membres du parti nazi (et déjà de nombreux, dès les années 30). À partir de 1933, l’éthique médicale « s’était inversée, l’individu n’était rien. Le peuple était tout ». Ils croyaient comme une majorité des Allemands de l’époque les théories de l’hygiène raciale et ont saisi l’opportunité de les mettre en pratique.

La défense soutint aussi que ses clients n’étaient pas responsables puisqu’ils avaient obéi à des ordres auxquels ils ne pouvaient pas se soustraire et opéré dans les limites admises de l’expérimentation de l’époque.

Le jugement fut rendu les 20 et 21 août 1947 et le verdict prononcé le 21 août. Des 23 accusés, 15 furent jugés coupables et condamnés : 7 à la pendaison, 5 à l’emprisonnement à vie et 3 à des peines de prison.

La justice ne frappa que des exécutants, tandis que beaucoup d’autres médecins qui avaient participé aux essais incriminés parvinrent à préserver leur position sociale et leur influence. Car, tandis que le gouvernement militaire de la zone américaine d’occupation préparait la tenue d’autres procès contre des responsables nazis, d’autres organes de l’armée et du gouvernement américains récupéraient près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie dans le cadre de l’opération Paperclip(([5] Linda Hunt : L’affaire Paperclip — La Récupération des Scientifiques Nazis par les Américains, 1945-1990)) afin de les recruter et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich pour lutter contre l’URSS.

Définir l’éthique des expérimentations sur l’homme

Le procès de Nuremberg ne jugea pas seulement le nazisme et les médecins nazis, mais aussi les concepts qui inspirent l’art d’être médecin : la compassion devant la souffrance, la bonne utilisation des connaissances reçues, le respect de l’être humain, de sa pensée, de son corps, de sa santé et de sa vie.

Ce procès tranche l’éternel dilemme de la priorité de la science et de la nécessité médicale sur le respect de l’éthique. Les nazis prétextant l’urgence de la guerre choisirent de tout faire pour tenter de protéger le soldat allemand aux dépens du respect des droits de l’être humain.

Ce procès permit de rappeler les principes élémentaires qui régissent les rapports entre les hommes dans le monde démocratique, les droits fondamentaux qui avaient été gravement violés par les accusés.

Il ne s’agissait pas de discuter l’utilité éventuelle des expériences réalisées(([6] Les responsables américains de Paperclip se sont tout particulièrement intéressés aux expériences de l’Armée de l’Air allemande sur les hautes altitudes, le froid et l’eau de mer.)), mais de constater que des médecins qui ont juré d’apaiser la souffrance de leurs semblables les ont fait souffrir et ont entraîné la mort de beaucoup d’entre eux (plus de 7000).

Constatant que la soumission à l’autorité et au mirage de la science pouvait transformer en bourreau une personne jusqu’alors censée et douée de compassion, les juges estimèrent qu’il fallait fournir à tous les médecins un système de protection éthique solide et indiscutable afin de leur permettre de résister aux pressions éventuelles du pouvoir. Il était nécessaire de fixer des limites, et tout particulièrement celles de l’expérimentation sur l’Homme.

C’est pour ces raisons que les juges ont élaboré le Code de Nuremberg, ensemble des principes qui constituent les bases de la bioéthique moderne et de ce qui est tolérable en matière d’expérimentation sur l’homme.

Les 10 principes qui forment le code de Nuremberg

Tribunal militaire américain, Nuremberg, 1947(([7] Nicole Delepine — Le code de Nuremberg. 1947
Département d’Histoire et de Philosophie des sciences de la vie et de la Santé (D.H.V.S.). Conservation du Patrimoine et des Musées — 1947
Le code de Nuremberg. 1947))

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir, qu’elle doit être laissée libre de décider sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contrainte ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.

L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens ; elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions à l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus, l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et tout dommage physique ou mental non nécessaire.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui effectuent les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience s’il estime avoir atteint le seuil de résistance mentale ou physique au-delà duquel il ne peut aller.

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Ces dix principes réunis sous le nom de code de Nuremberg constituent la référence majeure des textes ultérieurs — éthiques et juridiques — en matière d’expérimentation médicale, comme la déclaration d’Helsinki de l’Association médicale Mondiale(([8] https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique/declaration-dhelsinki/)). Ils ont été repris par la convention d’Oviedo(([9] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention)), seul instrument international juridiquement contraignant sur la protection des droits de l’homme dans le domaine biomédical, que la France a signée et s’est engagé à respecter et qu’elle a transposée dans son droit national.(([10] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000026151968/))

Le code de Nuremberg visait à refonder le monde sur des valeurs opposées à celles qui ont conduit à la construction des États totalitaires. Esprit qui a présidé également à la fondation de l’ONU et à l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme le 10 décembre 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies.

Il représente un des piliers de la démocratie. Par ce seul code, Walter Beals, Harold Sebringet et J Johnson Crawford sont déjà rentrés dans l’histoire.(([11] https://guyboulianne.com/2019/09/11/le-code-de-nuremberg-et-le-consentement-eclaire-comme-prealable-absolu/))

Les violations du code de Nuremberg à l’occasion du covid

Les prétendus vaccins anti-covid étaient (et sont toujours expérimentaux), car leurs essais phase 3 ne sont toujours pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).

Toutes les stratégies sanitaires des gouvernements occidentaux visaient à obliger la population à se faire injecter ces traitements expérimentaux.

Les violations du premier principe du code (consentement libre et éclairé) sont multiples et majeures 

Fraude sur la nature réelle des produits injectés qui ne sont pas des vaccins, car ils ne contiennent ni antigène ni anatoxine, mais des médicaments préventifs à base d’ARN comme l’a d’ailleurs récemment reconnu le professeur Delfraissy.(([12] F Delfraissy « le vaccin est un peu un médicament. France info janvier 2022 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html))

Utilisation permanente de supercherie, de duperie sur l’efficacité des injections sur la prévention de la maladie (ils prétendaient 97 % !), de la transmission (ils affirmaient plus de 90 % !)(([13] Damien Mascret sur le plateau de France Info le vendredi 26 février 2021 prétendait. Les infections sont en effet réduites de 92 %. « Aujourd’hui, on en est à peu près sûr, pour plus de 90 % des cas, [une personne] ne transmettra pas, elle ne s’infectera pas
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-pfizer-protege-contre-la-transmission-du-virus_4312241.html)), et sur la protection contre les formes graves alors que depuis la vaccination la mortalité n’a pas diminué, mais au contraire fortement augmenté.

Utilisation de contraintes majeures contre certains professionnels (soignants, pompiers, ambulanciers, militaires, personnels du transport aérien, sportifs) ont été exclus de leur métier s’ils refusaient le traitement expérimental alors que les pseudo vaccins n’empêchent nullement les transmissions.

Contrainte et coercition largement répandues contre toute la population avec la création des pass sanitaires, puis vaccinaux pourtant totalement inefficace contre la maladie

Mensonge la durée des traitements que les gouvernants veulent sans cesse prolonger (une dose, puis deux, puis trois, puis quatre puis tous les six mois(([14] https://www.dailymail.co.uk/news/article-10264927/Britain-buys-114m-extra-vaccine-doses-battle-Covid-19.html))…)

Négation des risques encourus et les conséquences possibles pour sa santé même chez les femmes enceintes(([15] https://www.allodocteurs.fr/covid-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pendant-la-grossesse-33204.html))(([16] Covid-19 : les vaccins sont « sans danger » pour les femmes enceintes, selon cette vaste étude. Selon l’ANSM
https://www.huffingtonpost.fr/science/article/covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes-selon-cette-vaste-etude_206523.html)), même chez les allergiques(([17] https://www.santemagazine.fr/sante/maladies/allergies/allergie-peut-on-se-vacciner-sans-risque-contre-la-covid-19-895268)) alors que les injections anticovid sont suivies du plus grand nombre de complications recensées par le VAERS américain et Eudravigilance depuis leur création, que l’incidence des réactions anaphylactiques provoquées par les deux vaccins anti-covid est supérieure à celle qui est observée pour la plupart des autres vaccins (de l’ordre de 1,31 par million de doses)(([18] M.M. McNeil, E.S. Weintraub et coll. Risk of anaphylaxis after vaccination in children and adults. J Allergy Clin Immunol. 2016 Mar; 137(3): 868–878. doi: 10.1016/j.jaci.2015.07.048.)) et que de nombreux décès par réaction allergique ont été signalés.

Rappelons enfin que le code de Nuremberg stipule textuellement que l’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent au médecin qui travaille à cette campagne d’injection expérimentale.

Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à ce professionnel qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivi. Les vaccinateurs ont gravement contrevenu à leur obligation et encourent de ce fait des risques pénaux qu’ils sous-estiment largement.

Les violations majeures du code de Nuremberg qu’ont réalisées certains gouvernants pour imposer des traitements expérimentaux manifestement inefficaces ont fait courir des risques inutiles aux populations manipulées par une propagande totalitaire souvent élaborée par McKinsey.

Faisons respecter les fondements éthiques et juridiques qui définissent nos démocraties. Il faut juger et condamner ces apprentis sorciers dont les agissements n’ont respecté le code de Nuremberg ni nos droits fondamentaux en imposant une dictature prétendument sanitaire.





Se tenir debout face à la perversité

[Source : Jean-Dominique Michel]

Par Jean-Dominique Michel

J’offre une Master Class gratuite sur mon site jdmichel.com (renseignements et inscriptions :
https://www.jdmichel.com/master-class-free).
Elle comprends désormais huit modules consacrés aux thèmes suivants :

  1. Principes de la résilience et de la salutogenèse
  2. Déjouer le business de la peur
  3. Transformer le stress et la colère en énergie vitale
  4. Vivre pleinement
  5. Faire face à la dérive totalitaire
  6. Agir dès maintenant
  7. Comment prendre soin de notre santé ?
  8. Se tenir debout face à la perversité



Malcolm Roberts, sénateur australien, à propos de la pandémie Covid-19 : « Tout a été planifié. »

[Source : Ma France]



[Voir aussi :
L’enquête australienne Covid 2.0 pour un plus gros aperçu de l’enquête réalisée par une équipe d’Australiens autour du sénateur Malcolm Roberts
et Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales pour un large aperçu des enquêtes de l’équipe internationale d’avocats autour de Reiner Fuellmich, avec des heures de vidéo et quelques transcriptions écrites.]


Historique partiel d’événements probablement liés à la planification de la pandémie

Par Christophe M.

  • Le 31 janvier 2000, lors de la réunion annuelle du Forum économique mondiale (WEF), a été lancée l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunization ). Cette organisation «  aide à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre les maladies infectieuses mortelles et invalidantes ».
    https://www.gavi.org/fr
  • En 2004, création du Club Valdaï qui  est un forum international  promouvant les intérêts  de la Russie dans le monde. « More than 1,000 representatives of the international scholarly community from 85 countries have taken part in the Club’s activities. They include (…)  think tanks, including Harvard, Columbia,(…) Johns Hopkins University. 
    https://valdaiclub.com/about/valdai/
  • En mai 2016, l’organisation ID2020 est inaugurée,  sous l’égide de l’ONU.  Elle a pour objectif de promouvoir la digital identity right,  pour les plus pauvres du monde,  « 1.1 billion people ». Dans cette rubrique du site, il est précisé que l’identitification numérique est déjà une pratique courante  « From e-passports to digital wallets, online banking to social media accounts,…», mais peu fiable «  Most of the current tools are archaic, insecure, lack appropriate privacy protections and commoditize our data ». Sous l’impulsion de ID2020, ce problème va être résolu. « ID2020 is leading the charge.», sans doute par l’exploitation d’une technologie plus efficace.
    https://id2020.org/digital-identity#approach,
  • Le 15 mai 2018, s’est déroulé un autre exercice de simulation, sous la forme d’un jeu de rôle, organisé par le John Hopkins Center For Health Security.  Participent à cet exercice, baptisé du nom du  virus « Cladex »,  des personnalités américaines, ayant occupés des postes de haut rang, et qui jouent chacun le rôle d’un dirigeant du gouvernement américain. Le scénario commence par l’irruption d’une épidémie à deux endroits  « serious respiratory disease in Germany and Venezuela » pour se propager ensuite à travers le monde entier.  Cette épidémie s’avère être d’origine criminelle,  car revendiquée par un groupe extrémiste  « a fringe group » déterminé à réduire la population humaine  « bent on reducing the human population ». L’exercice de simulation a permis d’illustrer comment les autorités politiques du monde entier « the United States and the world » peuvent coordonner leurs actions et gérer une situation de crise sanitaire de grande ampleur. 
    https://www.centerforhealthsecurity.org/news/center-news/2018/2018-05-15_clade-x-policy-recommendations.html
    https://www.centerforhealthsecurity.org/
  • En 2019, il est noté sur Wikipédia qu’ « …ID2020 a lancé un nouveau programme d’identité numérique en collaboration avec le gouvernement du Bangladesh et l’alliance vaccinale Gavi ».  Il existerait donc une relation entre l’identité numérique et la vaccination. 
    https://fr.wikipedia.org/wiki/ID2020
  • Le 19 juin 2019,  s’est déroulé un exercice en ligne, dénommé Cyber Polygone,  portant sur la cybersécurité, et impliquant des sociétés russes et occidentales, provenant de 24 pays. «  The fight against cybercrime cannot be waged alone. The sooner the public and private sectors learn to cooperate, the faster we can build a safe and secure cyberspace. » 
    https://2019.cyberpolygon.com/
  • En septembre 2019, selon Le Monde, la Fondation Gates a lancé des enquêtes d’opinions au Malawi, au Kenya et Bangladesh, pour savoir si les populations étaient « prêtes » à se faire implanter des carnets   de vaccinations, sous la forme de  « ….minuscules boites quantiques »,  « les cartes de vaccination en papier [ étant ] erronées ou incomplètes ».  Ce carnet vaccinal serait implanté par « un patch de microaiguilles »  qui, une fois dissout sous la peau, laisserait un ensemble de points réagissant à un spectre lumineux proche de l’infrarouge. Un « android modifié »  pointé dessus, signalerait  si le patient a été vacciné. « La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l’outil exclusif ».
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/12/19/le-kenya-et-le-malawi-zones-test-pour-un-carnet-de-vaccination-injecte-sous-la-peau_6023461_3212.html
  • Le 18 octobre 2019,  Center For Health Security  organise en collaboration avec la Fondation Gates et le WEF un troisième exercice de simulation d’épidémie. Depuis plusieurs années, près de 200 épidémies apparaissent chaque année, mettant en péril le système économique globalisé. Une unième épidémie « Event 201 » pourrait être fatale.  Aussi des acteurs privées et publics se sont-ils réunis  pour face à ce danger. Le scénario commence par la transmission d’un coronavirus de la chauve souris au porc,  au Brésil …« a novel zoonotic coronavirus transmitted from bats to pigs ».
    https://www.centerforhealthsecurity.org/event201
    https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/scenario.html
    https://www.gatesfoundation.org/  
  • Diffusé le 3 juin 2020, le clip suivant  met en scène, de façon à la fois elliptique et métaphorique, un évènement grandiose survenant à l’échelle mondiale Le chaos ( sociale, climatique, pandémique…)  qui menace l’humanité s’accroit.  Et tout d’un coup, par un simple clic – touche reset –  sur l’ordinateur   » on rembobine la pellicule « ,  on revient en arrière pour éviter la catastrophe.  Symboliquement, le numérique apparait alors comme le recours ultime, sauvant le monde entier du déluge. Sous quelle forme précisément cet événement, le Great Reset, pourrait-il  avoir lieu ? 
    https://youtu.be/8rAiTDQ-NVY
  • 9 juillet 2020, deuxième session de l’exercice de cybersécurité, dont le thème central est une  « pandémie numérique ».  Interventions initiales « Welcome Remarks » du Premier ministre russe, Mikhail Mishustin, et du fondateur du WEF, Klaus Schwab. 29 pays prennent part à cet évènement. 
    https://2020.cyberpolygon.com/agenda/
  • (24 février 2022, début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.)



Suicide des professionnels de santé : continuerons-nous a faire la sourde oreille ?

Par Nicole Delépine

Suicide des professionnels de santé : face aux chiffres « démesurés », un film choc de l’association SPS pour que « ça bouge vraiment » | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr) sept 2022

Mes soignants sont tracassés et fracassés. Par une sélection ubuesque en 1re année, par un Externat où ils font plus de travail subalterne que de la vraie formation, par un internat trop tardif et pas assez encadré. Épuisés, le suicide ou l’abandon de ces métiers en sont la conséquence. « Les Blouses Blanches sont en colère noire »(([1] Lire le livre du chirurgien B Kron « les blouses blanches sont en colère noire », éditions Max Milo : « La Covid a mis au grand jour la ruine de notre système de santé. De numéro 1 mondial en 1970, il est tombé au 24e rang des pays de l’OCDE ! Pour la première fois depuis la Guerre, l’espérance de vie recule en France. Dans les hôpitaux, 30 000 patients décèdent d’accidents médicaux chaque année. Dans cet essai, Bernard Kron analyse les causes de cet échec. Il décortique les principales réformes (en particulier la diminution drastique du nombre de médecins et d’infirmières) qui ont mené à cette catastrophe. Pour sortir de cette impasse, l’auteur milite pour redonner le pouvoir aux médecins et plus largement aux soignants, qui sont en colère contre leur administration et les agences de santé ».))

Tel est le commentaire d’un médecin sur l’article du quotidien du médecin, journal qui semble s’étonner qu’après plus de trente ans de destruction de la vraie médecine et de la perte de sens de nos métiers au bénéfice du management bureaucratique à visée financière, les médecins et soignants disparaissent du paysage, par démission, par changement de voie ou malheureusement trop souvent par le suicide. (Bernard k • Médecin ou Interne • Le 30/08/2022 à 19:06)

Mais ce sujet brûlant n’est pas nouveau et est occulté depuis plus d’une trentaine d’années comme celui des agriculteurs et des policiers. Nous avions en 2013 appelé l’attention des citoyens(([2] https://atlantico.fr/article/decryptage/suicide-des-medecins–silence-mediatique-sur-un-massacre-programme-du-systeme-de-sante-nicole-delepine août 2013)) trop indifférents au sort réel du système de santé malgré de nombreux ouvrages d’alerte dès les années 2000 comme celui de B Debré et P Even dans « Avertissement aux malades, aux médecins et aux élus » en novembre 2002(([3] Éditions le Cherche Midi « Aux malades, ce livre raconte les risques et les maladies d’aujourd’hui et la vie des médecins et des infirmières qui les soignent. C’est alors un message de vérité et d’espoir. Aux médecins, il tente de faire comprendre la confusion incroyable d’un système qui les paralyse et pourquoi il ne fonctionne pas comme il devrait. C’est ici une invitation à la mobilisation et l’action. Aux élus, il dénonce la politique centralisée, menée depuis 25 ans, purement administrative et comptable, à courte vue, sans lucidité ni courage, en mêlant gaspillages insensés et restrictions injustifiées.

À tous, il rappelle que la médecine doit être sobre, humaine, fondée sur le cœur, le savoir, l’expérience et la raison et centrée sur chaque malade particulier et non pas une démarche technologique d’ingénieurs centrée sur les maladies en général ».)) toujours d’actualité.

Dans l’article d’Atlantico de 2013, nous insistions sur les raisons de la chute vertigineuse de notre système de santé dans un silence médiatique complet. Quelques extraits pour prouver que le sujet n’est pas nouveau et occulté par les médias et les citoyens sauf le jour où ils deviennent malades (ou un de leurs proches) et tombent des nues.

MISE À MORT : suicide des médecins : silence médiatique sur un massacre programmé du système de santé

« Alors que le système hospitalier français, et plus largement le système de la santé, connaît une réforme profonde, le nombre de suicides parmi les professionnels du secteur médical est en pleine explosion. La faute à un harcèlement bureaucratique et à un management d’entreprise qui a déjà fait des ravages, notamment chez France Télécom. »

Le harcèlement quotidien des personnels de santé s’est amplifié considérablement depuis le covid

Chaque jour, comme la suspension des soignants refusant l’injection toxique et inutile l’a démontré et le maintien scandaleux de cette obligation alors que la multiplication mondiale des effets secondaires (dont trop de décès) et l’inefficacité complète sur la transmission du virus a été démontrée et avouée même par le Pr Delfraissy qui dirigeait le conseil scientifique. Cette exclusion des soignants vaccino prudents n’a qu’un but : les empêcher de parler !

« Alertes répétées et à chaque fois silence ! Et le harcèlement des autorités contre le monde médical continue avec chaque jour son flot de mesures vexatoires, diffamatoires et dégradantes pour désespérer un peu plus l’ensemble de la profession.

La gravité du harcèlement subi par les médecins libéraux n’a d’égal que le harcèlement des personnels hospitaliers par les restructurations conçues en dehors de tout consensus et sans réflexions a priori sur conséquences prévisibles avec les personnels concernés et compétents. Les réunions dites de “concertation” ne sont que des simulacres de dialogue et ne consistent qu’à annoncer au personnel désespéré les nouvelles suppressions de postes, de lits et de service sans possibilité de refus ».

La médecine policière

« La bureaucratie représentée par les Agences régionales de santé (ARS) toutes puissantes décide de la vie ou de la mort de tel service ou institution via la délivrance ou non de l’accréditation, soit de l’autorisation de traiter telle ou telle pathologie après des enquêtes, audits et interrogatoires policiers sur vos pratiques, votre obéissance aux recommandations venues d’en haut, les travaux coûteux effectués pour correspondre de nouvelles normes à chaque fois modifiées, bref, du harcèlement administratif et autocrate.

Moralité : les suicides et tentatives se multiplient, s’ajoutant aux arrêts de travail pour dépression ou équivalents aggravant la déshumanisation, conséquence de la froideur dans laquelle les personnels victimes de burn-out (épuisement professionnel : on se brûle, on se consume littéralement) se réfugient avant la décompensation finale du suicide.

Le nombre de suicides des médecins trois fois supérieur à celui de la population générale a été dénoncé de nombreuses fois depuis plusieurs années. »

Le management à la France Télécom

En 2013, le désastre des restructurations hospitalières s’aggrave, les suicides se multiplient et toujours dans le même silence médiatique. Le patron de la pneumologie de Nevers s’est suicidé(([4] Le quotidien du médecin : « Suicide d’un pneumologue à l’hôpital de Nevers : l’Ordre dénonce le silence des tutelles », 15/05/2013)) le 23 avril 2013, et même le Conseil départemental de l’Ordre des médecins de la Nièvre s’est indigné « du silence des autorités locales, régionales, voire nationales, et des médias locaux ». Le président, le Dr Badoux, insiste dans un courrier d’alerte adressé à Marisol Touraine, au préfet, à l’ARS de Bourgogne et aux instances ordinales. Quelle fut leur réponse à part le bruit assourdissant du silence ? Si elle existe, elle n’a pas inondé les ondes. Le Dr Badoux a évoqué ce médecin « pilier de la pneumologie », « apprécié de toutes et tous pour sa technicité et sa gentillesse ». L’Ordre local « choqué » s’interroge : « Pourquoi une telle indifférence ? La vie des uns et des autres n’a-t-elle pas la même valeur ? Le suicide d’un médecin aurait-il moins d’importance que celui d’un employé de grandes entreprises nationales comme France Télécom ou Renault ? Ce chef de service est revenu à l’hôpital pour mettre sa blouse en cette matinée tragique avant de se taillader les veines et se sectionner la carotide. Qu’on ne nous dise pas qu’il n’y a aucun lien avec le travail quotidien. »

McKinsey rôde, agit, coupe, casse et récolte l’argent de nos impôts

Déjà en 2013 on découvre le rôle des agences de consulting qui deviendront tristement célèbres avec le scandale McKinsey et le covid, mais qui restent toutes puissantes, semble-t-il.

« La même agence de consulting chargée de restructurer FranceTélécom et EDF avec les conséquences que tout le monde connaît… s’occupe depuis les dernières années de restructurer la santé publique ».

Et l’épidémie chez les médecins se double de celles des paramédicaux chez lesquels les suicides devraient aussi faire la une du 20 heures. Mais, surprise, ils sont également ignorés comme ceux des agriculteurs pendus dans leurs granges victimes de la politique agricole commune (PAC).

Dans les six premiers mois de l’année en cours, l’APHP (Assistance publique hôpitaux de Paris), cette célèbre et fière institution d’Île-de-France, a égalé le nombre de suicides et tentatives de l’année 2012 :

« Depuis 2010, avec une accélération en 2012, nous totalisons le triste chiffre de plus de trente suicides ou tentatives de suicide*, toutes catégories confondues, avec sur une période de 5 mois un nombre équivalent à celui (déjà inacceptable) d’une année entière ! »(([5] Communiqué de presse USAP CGT))

« Je ne veux plus retourner à Robert Debré. Travail inhumain. Plus la force ». Voilà les quelques mots laissés par Françoise, auxiliaire de puériculture le 22 décembre dernier, avant de mettre fin à ses jours. Depuis, près d’une dizaine d’autres membres du personnel de l’Assistance publique ont imité son geste. Rien que pour 2013, ils sont 9, dont deux ont tenté de se suicider directement sur leur lieu de travail. Le 25 mai 2013, une salariée d’Henri Mondor, âgée de 42 ans, a décidé d’en finir.(([6] L’insupportable souffrance au travail : ça suffit !!!
Lundi 25 mai 2013 au soir, une de nos collègues d’Henri Mondor, proche de la CGT, jeune femme de 42 ans a choisi de se suicider.(…) L’USAP CGT par courrier dès décembre 2012 avait déjà alerté.))

L’USAP CGT avait interpellé la ministre en décembre 2012. À la date du communiqué le 29 mai 2013, « aucune réponse de la ministre, aucune mesure concrète nouvelle à l’APHP, bien que la Directrice Générale nous ait répondu favorablement.

De plus les médecins du travail sont de moins en moins nombreux ».

Est-ce que la mise en place d’une cellule de crise et de soutien psychologique peut effacer les harcèlements quotidiens auxquels sont soumis les personnels ? Ne faut-il pas reconsidérer, comme ce fut fait finalement à France Télécom, le management choisi dans les hôpitaux et la politique de santé actuelle ? Comme le dit si bien ce communiqué : « L’hôpital est devenu une usine de production de soins avec une gestion managériale d’entreprise à la clé. Nous n’avons plus un ministre de la Santé, mais un ministre à l’économie de la santé ! » et des intérêts de l’industrie pharmaceutique aurait-il pu ajouter.

C’est le but purement financier de la politique sanitaire que nos concitoyens ne veulent pas ou ne peuvent pas encore reconnaître. Comment s’avouer que son gouvernement ne travaille pas pour le peuple et seulement pour le peuple et qu’il néglige totalement notre sécurité sanitaire ? Comment comprendre quelques années que les médecins complices de l’injection génique toxique et inutile collaborent au scénario tragique du Great Reset et non plus à l’amélioration de votre santé ? C’est tout un travail de prise de conscience de ce qu’est le totalitarisme qui s’insinue insidieusement dans notre société occidentale malade qu’il faut développer grâce à l’aide de philosophes, sociologues, médecins, scientifiques qui décortiquent ce que nous vivons. Car mieux on comprend, mieux on se bat.(([7] Lire « le débat interdit » d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan, éditions Trédaniel : « un mathématicien et une psychologue — mettent en lumière le traitement de la langue et de la logique, mis en œuvre par les sphères politique et médiatique depuis mars 2020 en France.Forts de leurs connaissances spécifiques, ils étudient le fonctionnement d’une information et d’une communication détournées. En s’appuyant sur des arguments sourcés et chiffrés, ils mettent en lumière la déconstruction des “vérités” scientifiques avancées par le gouvernement pour justifier ses actions politiques. Ils proposent une analyse détaillée de la “nouvelle langue”, de la “nouvelle normalité” et des méthodes de contrainte psychique utilisées sur la population française ».))(([8] Lire aussi le blog de Jean Dominique Michel Anthropo-logiques (tdg.ch) et les nombreux articles qu’il écrit et/ou partage.)) et mieux on se porte

Les médecins infirmiers, ou aides-soignants, sont dans le même bateau ivre et victimes des mêmes souffrances, liés aux dysfonctionnements « organisés » dans le but de justifier restructurations de services, fusions d’hôpitaux, suppressions d’emplois utiles avec au passage casse des équipes soudées qui permettaient la joie de vivre malgré la maladie.

Pendant que prolifère la bureaucratie hospitalière, les effectifs soignants fondent au lit du patient conduisant l’encadrement à sacrifier leur quotidien au nom du service public. Est — ce que changer les plannings d’un jour à l’autre, annuler des congés prévus, installer la zizanie entre les professionnels améliore le service au patient ? Non, ce type de gestion trop répandu dans les établissements de soin et appris chez France Télécom le désintègre, entraînant le désarroi des soignants puis le syndrome d’épuisement professionnel (burn out), éloignant du patient et expliquant cette déshumanisation des hôpitaux. Enfin, dans un certain nombre de cas, sans l’aide de médecins du travail trop peu nombreux et pas toujours avertis, toujours absents pour les médecins (sûrement faits de chair et d’os différents des autres hommes), sans l’aide d’une famille attentive qui souvent rattrape le professionnel devenu patient, le pire arrive et l’on s’étonne, pas très longtemps.

Les médecins du travail eux-mêmes ne sont pas à l’abri : Marie-Magdeleine Gressé « a décidé d’en finir pour projeter ces questions taboues du suicide et du harcèlement sur le devant de la scène et dans le débat public ». Médecin du travail, elle travaillait depuis 25 ans à l’association « Alsace santé au travail » et était fortement impliquée dans l’Association d’aide aux victimes de violences psychologiques et de harcèlement moral dans la vie privée ou professionnelle (Avip).

Et ce n’est pas la réponse de l’APHP à la suite de l’appel au secours des personnels via leurs syndicats qui va améliorer les choses : « 522 000 euros donnés à Ipsos pour un questionnaire imbuvable, on s’aperçoit vraiment que l’on ne nous écoute pas. Des audits sont déjà faits régulièrement et cela coûte des fortunes. On ne voit pas bien ce qu’ils vont faire de ce baromètre. Ce n’est pas ça qui va régler le problème », juge la secrétaire du Comité d’hygiène et de sécurité central de l’Assistance publique.

Elle a raison, chacun comprend et connaît les raisons du désespoir que ne feront pas disparaître tous les outils éculés du management marchand qui nourrissent largement les collaborateurs de McKinsey et autres dont l’existence a choqué et entrouvert les yeux des Français endormis par la propagande covidiste. Se sont-ils rendormis, trop douloureux du totalitarisme encore mou, mais dont tous les ingrédients dont ce harcèlement sont en place.

« Trop dur, trop douloureux, symptôme d’une société tellement malade qu’elle tue ses professionnels de santé tant en ville qu’à l’hôpital et détruit ses hôpitaux. »

MAL TABOU

D’autres de temps à autre ont tiré la sonnette d’alarme, mais toujours dans l’indifférence générale. Citons cette vidéo de franceinfo « Le suicide des médecins, une réalité effrayante » le 27/02/2015

« C’est un mal tabou en France. Chaque année, une cinquantaine de médecins mettrait fin à ses jours. France 2 a mené une enquête glaçante. Le surmenage, la déprime… Autant de facteurs qui ont conduit au suicide du réputé et apprécié docteur Rémi Breuil, en octobre 2011, après 25 ans de carrière. Son épouse Claude n’a rien vu venir. » Ce n’était pas possible. Pas lui, quelqu’un qui aimait la vie, ses enfants, qui adorait son métier… », confie-t-elle à France 2.

Le docteur Breuil se serait peu à peu renfermé. Dans la lettre qu’il a laissée à sa femme, il se dit fatigué, usé. « Être médecin, pour lui, c’était une vocation. Il s’est laissé complètement envahir par ça », reprend sa veuve.

Une souffrance tabou

Le docteur Yves Léopold a posé un chiffre sur ce drame : les médecins se suicident en moyenne 2,5 fois plus que le reste de la population, victimes de ce qu’il appelle le « syndrome de toute-puissance ». Le médecin, qui donne et sauve des vies, ne supporterait pas de ne pouvoir sauver tout le monde, d’où sa souffrance.

En France, ce problème est frappé du tabou. Dans le plus grand anonymat, un hôpital du sud accueille des médecins en souffrance. Inquiets pour leur réputation, ces derniers n’acceptent leur hospitalisation que dans le plus grand secret. L’un d’eux confie : « Je crois que c’est une humiliation, d’être malade. Le comble du médecin… »

LE CARNAGE CONTINUE Y COMPRIS CHEZ LES PLUS JEUNES

Chez les étudiants en médecine, le tabou des suicides :

« Chaque année, une dizaine d’internes se donnent la mort. Des événements traumatisants pour l’ensemble d’une promotion, qui mettent en lumière les risques psychosociaux auxquels sont soumis ces étudiants ».(([9] Par Léa Iribarnegaray 12 janvier 2021 Chez les étudiants en médecine, le tabou des suicides (lemonde.fr) ))

ANNA WANDA GOGUSEY

« La métaphore revient comme un refrain : les étudiants et internes en médecine seraient des super héros. Invincibles et invulnérables. Connaissant l’intégralité de leurs cours sur le bout des doigts, enchaînant les gardes à l’hôpital, cultivant une vocation sans faille.

“Pour autant, il y en a plein qui se fracassent”, souffle Laurence Marbach, présidente de l’association la Ligue pour la santé des étudiants et internes en médecine (Lipseim). Sa fille, Élise, s’est écroulée à 24 ans. “Brillante, passionnée, empathique”, la jeune femme a mis fin à ses jours le 2 mai 2019.

En premier semestre d’hépato-gastro-entérologie à Lyon, l’interne travaillait autour de 80 heures par semaine. Avant son décès, Élise avait enchaîné trois week-ends sans répit : une astreinte pour assurer la continuité des soins, un colloque de spécialité à Paris, une formation à Clermont-Ferrand. Pour tenir, faute de cape de Zorro, elle s’était prescrit des bêtabloquants, essayant de cacher son stress et son épuisement professionnel.

Briser le mythe

Par peur de paraître “faibles”, “inaptes”, “nuls” ou “incompétents”, rares sont les futurs médecins qui osent alerter quand ça ne va pas. Pire, quand ils ont des idées noires.

Dans une culture hospitalière évoluant à huis clos, l’idée qu’il faut “apprendre dans la douleur” reste prégnante. “On est dans une forme de pression sociale, économique, intellectuelle”, relève Barbara Lantier, médecin généraliste qui, face au “mutisme collectif”, a choisi de soutenir sa thèse en 2019 sur le suicide des externes, internes et docteurs en médecine. “Certains étudiants sont dans le déni, alors qu’ils peuvent eux aussi avoir des limites physiques ou morales. Quand ils s’en rendent compte, ils risquent de tomber de très haut.” »

La prévalence de la dépression et des idées suicidaires chez les étudiants en médecine est largement supérieure à la population générale(([10] Pour plus d’infos et d’aides concrètes, voir l’association LIPSEIM fondée en 2020 par une maman blessée. Depuis la création de l’association en mai 2020, ils organisent des actions de prévention et de sensibilisation à destination des apprentis médecins, mais aussi des seniors et de l’administration hospitalière. « Les jeunes doivent entendre qu’ils sont parfois en danger », martèle Luc Marbach.))

ALERTE EN 2022 AVEC UNE VIDÉO CHOC(([11] Suicide des professionnels de santé : face aux chiffres « démesurés », un film choc de l’association SPS pour que « ça bouge vraiment » PAR LOAN TRANTHIMY — LE 30/08/2022 quotidien du médecin))(([12] https://youtu.be/38AhlGdiJtU le clip violent à ne pas montrer aux personnes fragiles et déjà touchées.))

Crédit photo : Capture Image YouTube

Fiction choc destinée à alerter et à prévenir le suicide des professionnels de santé.

« Réalisée par Marc Gibaja, réalisateur et scénariste français, la séquence d’une minute met en scène trois professionnels de santé autour d’une patiente. Au cours d’une banale scène de consultation autour d’une patiente âgée, médecin, infirmier et aide-soignant finissent par exprimer leur mal-être et passent à l’acte (par arme à feu, pendaison et défenestration). “Le suicide est un sujet tabou, on veut montrer que cela s’est installé dans le monde des soignants, souligne le Dr Éric Henry, médecin généraliste et président de l’association de Soins aux professionnels de santé (SPS), très mobilisée sur ce sujet.”

Le but du film est qu’il soit impactant et viral pour une prise de conscience de la population sur la souffrance des soignants ».

Trois suicides tous les deux jours

Son enquête de 2017 intitulée « Suicide et professionnels de santé » montrait que 25 % des personnes interrogées avaient déjà eu des « idées suicidaires au cours de leur carrière professionnelle ». Parmi eux, 25 % exerçaient en ville et 39 % en milieu rural.

Une autre étude menée en 2019 par l’Ordre, les syndicats et le collège national des sages-femmes a démontré que 31 % de ces professionnelles étaient affectées par le burn-out. « Deux suicides de sages-femmes ont été portés à ma connaissance ces deux derniers mois », témoigne Christine Chalut-Morin, sage-femme clinicienne, secrétaire générale adjointe de SPS.

En 2021, l’Intersyndicale nationale des internes (Isni) avait alerté sur la santé mentale dégradée des futurs médecins. Le taux de suicide chez les internes était évalué à un tous les 18 jours.

En juin 2022, l’étude Amadeus (améliorer l’adaptation à l’emploi pour limiter la souffrance des soignants) a révélé que 50 et 60 % des professionnels de la santé interrogés présentaient des signes d’épuisement professionnel et 30 % de dépression.

« Un interne en médecine a trois fois plus de risque de mourir par suicide qu’un jeune Français du même âge, je trouve cela terrible ! Ces jeunes qui s’engagent dans les soins où ils vont donner une grosse partie d’eux-mêmes, ce n’est pas normal qu’ils soient autant en souffrance », se désole la Dr Magali Briane, psychiatre addictologue à Lyon et vice-présidente de SPS.

« Certes, un numéro national de prévention du suicide — le 3114 — a été lancé en septembre dernier, s’adressant aux personnes en détresse, à leur famille, mais également aux professionnels de santé en contact avec des personnes en danger. Mais, selon SPS, en huit mois, cette plateforme a enregistré 92 000 appels avec “un taux de réponse de 72,3 %”

Bien loin des “100 % appels décrochés” de l’association SPS, revendique le Dr Éric Henry. Son numéro vert (0 805 23 23 36), mis en place depuis six ans, a reçu plus de 18 000 appels, dont près de 14 000 depuis la crise sanitaire. Près de 50 % des appels ont fait l’objet d’une réorientation, notamment vers un psychologue en face à face (20 %), le médecin traitant (10 %), le psychiatre (8 %) ou d’autres réseaux (Morphée, médecine du travail, médecine universitaire, associations, service social). Les appels de niveaux 3 à 5 — “épuisement professionnel”, “idéations suicidaires” et “risque de passage à l’acte imminent” — sont systématiquement réorientés vers un médecin généraliste et un psychiatre ».

L’association SPS entend démontrer à nouveau l’intérêt d’une plateforme d’écoute, d’orientation et d’accompagnement ciblée pour les soignants. « En tout cas, le film est un prétexte pour déclencher des réactions, insiste le Dr Henry. Est-ce qu’il faut que tous les soignants quittent l’hôpital, leur métier pour que cela bouge vraiment ? Le ministère va-t-il enfin bouger ? ». L’association espère pouvoir nouer prochainement un partenariat avec le numéro national 3114. (d’aucuns lui reprochent ce clip violent et pas forcément efficace, pour faire de la propagande pour son association)

Évidemment ces aides ponctuelles sont positives et à saluer, mais on n’en sortira pas sans une refonte complète du système de santé avec suppression des ARS et de leurs aberrants pouvoirs administratifs par des bureaucrates éloignés de la vraie médecine voulant nous imposer une « médecine collective et non individuelle(([13] La bureaucratie étouffe le système de santé. Agences sanitaires et liberté de soigner Volet 2 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) adaptée à chaque patient » croyant à la religion de l’intelligence artificielle qui ferait diagnostic et prescription sans besoin d’un intermédiaire médical ni même soignant.

La disparition de la chirurgie de plus en plus évidente et préoccupante dans les protocoles thérapeutiques imposés par les agences HAS, INCa, etc. en est la démonstration évidente. Des maladies curables par une chirurgie d’exérèse ou une radiothérapie de qualité sont maintenant soumises à de « nouvelles molécules » inefficaces et hors de prix qu’on change tous les six mois puisque cela n’a pas marché…(([14] En particulier par exemple dans des tumeurs bénignes comme le fibrome desmoide et surtout dans de nombreux cancers où la chirurgie disparaît du fameux « protocole » comme dans certains cancers des os alors que la place de la chirurgie est fondamentale pour obtenir de vraies guérisons.)) Mais comment les patients pourraient-ils s’en apercevoir ?

COMMENT EN SORTIR ?(([15] Nous avions abordé ce sujet dans « soigner ou obéir » dont les constats et solutions proposées sont toujours d’actualité avec une situation encore aggravée et un pouvoir bureaucratique par les ARS encore gonflé.))

Nos joyeux organisateurs ont tout cassé depuis les années 80. Ils ont transformé nos hôpitaux publics puis privés, et bientôt nos cabinets de ville (devenus « maisons de santé »), en usines, organisées sur le mode de la fabrication des voitures du début du XXe siècle.

Procédures, checklists, protocoles, audits externes et internes, réunionnites aiguës et chroniques, contrôles ARS et décisions unilatérales, le tout sorti d’ordinateurs coûteux, et souvent en panne, ont remplacé les relations humaines

pourtant, si importantes en milieu médical. Cette révolution, acculturation décidée par les « élites », en tous cas par les décideurs, éloigne les médecins et paramédicaux de leur raison d’être, le malade, être de chair et de sang, être pensant, dont la parole est là pour exprimer son désarroi ou sa philosophie, là pour être écouté, compris.

Mais ce rapport humain ne se chiffre pas, ne s’évalue pas, donc il n’a pas de prix, vous serez tous d’accord ! Il n’intéresse pas les financiers qui nous gouvernent.

Ce qui ne se compte pas ne compte pas, même s’il devrait se conter, se raconter. Donc à la trappe, le contact informel entre le médecin ou soignant et le patient. Des robots vont nous remplacer. On nous l’a prédit, et d’ailleurs, les prototypes sont exposés dans les salons « santé connectée », dont notre gouvernement est si fier. Encore une planète où « tout va bien », mais si loin du monde réel.

IL EST TEMPS D’INTERPELLER LES POLITIQUES ET D’EXIGER RÉPONSES ET ENGAGEMENTS

Il n’y aura pas de médecine de qualité, sans libération des médecins et paramédicaux du joug bureaucratique qui les étouffe.

La liberté thérapeutique des médecins accompagnée de leur liberté d’installation, de leur liberté financière et de leur affiliation libre ou non à une convention, est le préalable à une inversion de la chute dramatique du nombre de médecins installés, et même de nouvelles inscriptions à l’ordre et de la fuite à l’étranger des praticiens formés, comme des chirurgiens expérimentés.

Il importera évidemment que cette réforme majeure de l’exercice médical soit associée à la refonte de la recherche et de l’enseignement pour redonner à nos jeunes étudiants animés du désir de soigner une formation à la hauteur de leurs ambitions.

Ne plus les transformer en robots obéissants, mais donner à leur imagination, à leur sensibilité, à leur créativité, la possibilité de s’exprimer sans mépriser les acquis de leurs aînés, doit devenir un objectif obsessionnel des futurs responsables des universités.

Se libérer de la pensée unique en médecine

Après les trente Glorieuses et l’enthousiasme pour les avancées du CNR, vinrent les quarante Piteuses et le règne stérilisant du Tout Fric et les Affreuses actuelles de la déconstruction massive.

Comme nos aînés ont reconstruit les villes après-guerre, pierre après pierre, reconstruisons nos universités, nos écoles, nos hôpitaux. Nous en avons encore les moyens. IMPOSONS UN CHANGEMENT À 180 °.

Il ne faut plus perdre de temps. Soyons dignes de nos aïeux. Soyons fiers de reconquérir nos libertés et notre belle médecine. Seulement à ce prix, les suicides de médecins et soignants deviendront un vilain souvenir. Sans cette reprise en main de la médecine par les médecins, ils se multiplieront en même temps que les démissions. À nous tous de choisir.

Mais sans médecins et sans soignants, qui vous soignera ?





Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

Par Alain Tortosa

Wikipédia(([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_microbienne)) nous dit :

« Bien que très controversée lors de sa formulation initiale, cette théorie (des germes) a été validée à la fin du XIXe siècle et constitue désormais un élément fondamental de la médecine moderne et de la microbiologie clinique. »

(Je précise que cette théorie inclut les bactéries ET les virus.)

Le site précise qu’elle a été validée avant 1900 soit bien avant le premier microscope électronique fabriqué en 1930 permettant de « voir » des virus.

Rien sur cette page sur la découverte des virus, des preuves de leur existence, du moyen de les isoler, de la preuve de la contagion, rien…

Il existe pourtant d’autres théories qui arrivent à la conclusion inverse, que les virus n’existent pas (j’y reviendrai un peu plus loin).

Je vous invite à vous pencher sur les modèles de Béchamp vs Pasteur.(([2] http://www.ateliersante.ch/bechamp.htm#B%C3%A9champ))

« Les travaux de Béchamp.

Trente ans avant l’instauration de l’idée du monomorphisme, le microbiologiste Antoine Béchamp, docteur ès sciences, docteur en médecine, en chimie, et en pharmacie, découvrait, à la suite de travaux expérimentaux et d’observations minutieuses, que toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d’évoluer pour former des bactéries qui continuent à vivre après la mort de la cellule dont elles proviennent. Béchamp appela ces petits éléments autonomes, des “mycrozimas”.

Béchamp et Pasteur qui étaient contemporains s’opposèrent farouchement pour défendre leurs théories bactériennes devant les milieux scientifiques de l’époque.

Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse était causée par des micro-organismes invariables dans leur forme et provenant TOUJOURS de l’extérieur de l’organisme, le milieu intérieur de tous les organismes vivants étant stérile.

Béchamp voyait à la maladie une origine interne, et affirmait que toute matière organique est sujette à des modifications naturelles dues à des processus normaux de fermentation. Ces processus provoquent, dans des conditions pathologiques, le développement des mycrozomas et aboutissent à la formation de bactéries ayant des propriétés de putréfaction et de fermentation. »

Béchamp aurait déclaré(([3] http://www.meilleures-citations.com/auteurs/antoine_bechamp.html)):

« Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie. »

Wikipédia, garant de la doxa, comme nous pouvons le vérifier chaque jour, vient encore à notre secours pour parler du « déni de la théorie des germes(([4] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9ni_de_la_th%C3%A9orie_du_germe))».

Il est intéressant de voir que celle-ci n’est pas présentée comme une autre voie, un courant scientifique alternatif, mais comme un « déni » qui de fait relèverait du charlatanisme, de la foi ou de la psychiatrie, fin de non-recevoir :

« Le déni de la théorie du germe est une croyance pseudoscientifique qui prétend que les bactéries et virus ne causent pas de maladies.

Cette croyance est souvent rattachée à la théorie d’Antoine Béchamp, désormais réfutée par la science, qui affirmait que les tissus humains malades pouvaient produire des microbes, et donc que la présence de ceux-ci étaient une conséquence de la maladie et non l’inverse. Mais il a été démontré que les micro-organismes se transmettaient par contagion. »

Nous n’en saurons pas plus sur cette « démonstration ».

Il n’y a donc pas de sujet et seuls des illuminés ou des complotistes 4dan pourraient s’y intéresser.

Comme pour le Covid, il n’y a pas de débat possible sur l’efficacité du masque, des confinements, de l’existence de traitements, de l’efficacité ou de la dangerosité des « vaccins ».

Nous vivons dans un monde de « consensus scientifique » et « d’illuminés » qui gravitent autour.

Je vous rappelle que je ne m’interdis aucun sujet et que je me suis même interrogé sur la théorie de la Terre plate.(([5] https://nouveau-monde.ca/la-verite-revelee-la-terre-est-plate-et-jen-aurais-la-preuve/))

Si l’affirmation de la non-existence des virus est scientifiquement exacte ?

[Note de Joseph : ce qui est actuellement réfuté par des précurseurs tels que les Docteurs Lanka, Kaufman, Bailey et Kiseleva, c’est l’existence de virus « pathogènes », car ces derniers mentionnent qu’il existe bien des structures cellulaires d’apparence similaires à celle des supposés virus pathogènes, mais qu’elles ont été scientifiquement et rigoureusement démontrées comme étant produites par les cellules elles-mêmes sous forme d’« endosomes » (appelés « exosomes » lorsqu’ils sortent des cellules). Par contre, aucun des virus et rétrovirus supposés « pathogènes » (Ebola, HIV, Rougeole, Polio, etc.) n’a pu être correctement isolé et caractérisé du fait que la méthodologie utilisée depuis les années 1950 ne respecte aucunement la démarche scientifique et n’effectue aucune expérience de contrôle pour valider notamment les liens supposés de causalité.]

  • Il n’y a donc pas de sars-cov2.
  • Il n’y a donc pas de virus manipulé.
  • Il n’y a donc pas de gains de fonctions.
  • Il n’y a donc pas de virus volontairement répandu.
  • Il n’y a donc pas de Covid en tant que maladie nouvelle causée par un virus nouveau.
  • Il n’y a donc pas d’épidémie de Covid en tant que maladie nouvelle.
  • Il n’y a donc pas de variants.
  • Il n’y a donc pas de tests possibles.
  • Il n’y a donc pas de mesures préventives possibles axées sur ce virus.
  • Il n’y a donc pas de traitements spécifiques possibles contre ce virus.
  • Il n’y a donc pas aucun vaccin possible.
  • Il n’y a donc plus de dictature sanitaire possible.

[Note de Joseph : dans le cadre de la théorie alternative à la virale, il peut très bien exister des « virus » manipulés (en fait au mieux des « exosomes » ou autres composants cellulaires manipulés) et donc des supposés « gains de fonction » (dont il resterait cependant à vérifier la réalité par des contre-expériences adéquates qui n’ont pas davantage lieu que pour l’isolement supposé des virus).]

Le Covid serait de fait une épidémie médiatique s’appuyant sur les épidémies habituelles.

Revenons un peu sur l’hypothèse des virus qui n’existeraient pas :

Les virus seraient ainsi une théorie non prouvée.

Qui a vu un virus ?

Les représentations en couleur ou 3D [trois dimensions] que nous avons des virus sont des dessins ou des constructions informatiques directement issues de l’imaginaire des artistes.

On n’a donc jamais « vu » un virus en regardant par exemple un tissu pulmonaire d’un malade, jamais !

De plus nous n’avons jamais pu observer « en live » un virus « vivant », qui se déplace, qui rentre dans une cellule saine ou qui en sort après l’avoir tuée et utilisée comme usine de production.

Il n’existe que des « photos » au microscope électronique, donc des représentations statiques de « trucs » plutôt ronds que l’on a nommées « virus ».

Question : Qu’est-ce qui prouve que ces machins sont des virus et qu’ils ont les comportements qu’on leur prête ?

Croyez bien que sans ces représentations artistiques omniprésentes depuis notre naissance, notre regard sur le sujet en serait fortement bouleversé.

C’est du même ordre que les films ou documentaires dans lesquels nous voyons des dinosaures :

  • Se déplacer ou courir d’une certaine façon.
  • Avoir un type et une couleur de peau spécifique.
  • Se nourrir.
  • Émettre des sons ou même avoir une communication et un « langage ».
  • Se reproduire.
  • Etc.

Même si nous disposons de quelques maigres indices, nous n’avons strictement aucune idée de leur apparence et comportement réel.

Question : Pourquoi est-il impossible d’observer et photographier des virus dans le milieu dans lequel ils sont présumés se « reproduire » et tuer des cellules saines ?

(alors même que l’on peut observer des « bouts » de bactéries)

Une « isolation » du virus semble possible en ajoutant dans la mixture d’autres éléments vivants (avec leur propre patrimoine génétique comme des cellules de singe, des cellules fœtales ou autres), mais aussi des éléments chimiques comme des antibiotiques, conservateurs, poisons…

Brève histoire de la virologie

Pendant de nombreuses années, l’existence des virus était purement théorique, avant l’arrivée du microscope électronique.

Pour l’hépatite G(([6] https://books.google.fr/books?id=iizJZ0ZblGAC&pg=PA140&lpg=PA140&dq=%22culture+virale+in+vivo%22&source=bl&ots=WhDcg7NJBi
Les virus transmissibles de la mère à l’enfant.)):

« Diagnostic direct : La culture virale in vivo n’est pas réalisable en routine, et les tentatives d’isolement in vitro se sont soldées par des échecs.

À l’heure actuelle, bien qu’encore non standardisée, la technique de mise en évidence du génome par RT-PCR est la plus sûre et la plus pratiquée »

La raison (officielle ?) de l’échec in vivo serait qu’il y en aurait insuffisamment dans un prélèvement et… qu’une culture directe « se solde par un échec ».

Raison pour le moins étrange étant donné qu’ils seraient suffisamment présents pour contaminer une autre personne.

« L’interprétation (([7] RAPPORT DU CONTROLE DU MARCHE DES TESTS RAPIDES DE DIAGNOSTIC DE LA GRIPPE
(Avril 2013) )) et la comparaison des données fournies par les fabricants nécessiteraient de connaître la fourchette de charge virale retrouvée habituellement dans les échantillons de patients atteints exprimée avec chacune de ces unités. Or, il existe peu de données dans la littérature sur ce sujet (Cheng et al, 2010, Journal of Clinical Virology , Volume 47, Issue 2, February 2010, Pages 182–185 : Spécimens de patients avec charge virale exprimée en TCID50/ml, 103-107. Suess et al. PLoS One. 2012;7 (12) : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml=102 -105, Loeb et al., J Infect Dis. 2012 Oct 1;206 (7):1078-84 : spécimens exprimés en nombre de copies d’ARN viral/ml =102 -10»

Mais bon, pourquoi pas.

Dans « Apport de la biologie moléculaire dans l’identification de nouveaux virus(([8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7140284/))»:

« Les débuts de la virologie furent longs et difficiles, et le concept de virus lui-même n’a évolué que très progressivement entre la fin du 19e siècle et le milieu du 20e siècle. Près de soixante ans ont été nécessaires… La principale difficulté résidait dans le fait de concevoir des êtres vivants submicroscopiques, en les définissant principalement sur des critères d’exclusion (trop petits pour être vus, non-cultivables), à un moment où la bactériologie pouvait, chaque jour, faire état de succès bien tangibles. Les progrès réalisés grâce à la biochimie, la microscopie électronique ainsi que la maîtrise des techniques de culture cellulaire ont conduit à la certitude que les virus étaient des agents infectieux entièrement originaux. »

« Les progrès dans le domaine de la virologie seront plus lents pour deux raisons au moins : les virus ne sont pas visibles en microscopie optique, et ils ne sont pas cultivables en laboratoire sur les milieux usuels. »

Tour ceci confirme qu’il semble impossible de cultiver et voir un virus dans son milieu.

Question : Pourquoi cette culture est-elle impossible alors même qu’il se reproduit précisément dans ledit milieu et pourquoi ce fait ne semble-t-il pas être de nature à perturber les chercheurs et la médecine ?

« Pour étudier un virus, il faut donc 2 éléments essentiels : le virus et sa cellule cible. Cette découverte confirme que la virologie humaine est dépendante d’un autre champ de recherche, celui de la culture en laboratoire des cellules animales. Sans cellule permissive au virus, impossible d’isoler le virus en laboratoire, et donc d’en faire une analyse poussée. »

On a donc « trouvé » et « observé » l’effet cytopathique(([9] https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_cytopathique)) ou « cytopathogène » pour les « cultiver ».

Le principe consiste à prélever des cellules de singe ou autres (selon le virus à étudier), les affamer sans les tuer, ajouter des tissus fœtaux de bovin (ou autres) pour ralentir le processus, ajouter des antibiotiques, de l’antigel, etc., mais surtout le prélèvement supposé infecté d’une personne malade afin d’assister en quelques jours à la « cytopathie ».

Il est alors possible « d’observer » au microscope électronique des cellules mourir “à cause [supposément] du virus” et voir apparaître les fameux petits machins ronds que l’on appelle « virus ».

L’effet cythopatique dans l’étude de Enders sur la découverte du « virus » de la rougeole représenterait l’étalon OR prouvant l’existence des virus et le moyen de les cultiver et les isoler.

C’est ce principe qui est utilisé depuis des dizaines d’années par tous les chercheurs et virologues qui observent des virus. Principe qui n’est nullement remis en cause par la communauté scientifique au pouvoir.

Pour autant l’auteur(([10] https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.3181/00379727-86-21073
Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles.
John F. Enders)) lui-même n’était pas si affirmatif :

« Les résultats qui viennent d’être résumés appuient la présomption que ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole. »

Ces « virus » seraient la cause de la mort des cellules saines.

Question : Pourquoi affirmer que ces observations sont des virus alors même que l’on pourrait émettre l’hypothèse qu’ils ne seraient que des déchets de cellules mortes affamées ou empoisonnées par les divers produits ou les antibiotiques ?

L’effet cytopathique ou cytopathogène(([11] http://unt-ori2.crihan.fr/unspf/2010_Lille_Goffard_Virologie/co/06_diagnostic_direct.html)) ne se produit pas pour tous les « virus ».

« Certains virus ne donnent pas d’effet cythogénique au cours de leur réplication en culture cellulaire : virus grippaux…

Certains virus ne se répliquent pas en culture cellulaire : virus des hépatites, rubéole, etc., etc. »

Ils ne peuvent donc pas être cultivés ou n’ont pas d’effet cythopatique.

Question : Pourquoi le fait que l’effet cytopathogène ne fonctionne pas avec tous les virus n’est pas de nature à interroger sur la réalité du phénomène sinon de l’existence des virus ?

Quid de l’expérience témoin ?

Il est vital de savoir si la destruction des cellules et l’apparition des « virus » durant ces expériences sont dues au virus observé ou si nous assistons au film de la mort d’une cellule (empoisonnée) et que ces « virus » vus au microscope électronique ne seraient que des déchets de cellules mortes.

Enders lui-même semble apporter une réponse à cette question.

Il aurait constaté ce même effet cytopathique alors même qu’il n’avait pas ajouté de matériel génétique (exemple : crachat) « contaminé par un virus ».

Je le cite :

« Ce faisant, il faut cependant garder à l’esprit que des effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant de l’infection par les agents de la rougeole peuvent éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe ou par facteurs inconnus. »

Question : Pourquoi Enders (et donc tous les successeurs), au lieu de déduire que les « machins ronds » (statiques, car microscope électronique) obtenus ne seraient peut-être pas des virus, mais des débris de cellules mortes, car on les trouve aussi sans ajouter un support présumé contaminé, a émit l’hypothèse que d’autres virus pouvaient être déjà présents dans les cellules du singe et donc que l’effet cytopathique était une réalité ?

N’importe quel imbécile se dirait que son essai ne prouve strictement rien !

Il a aussi précisé que cette observation « in vitro » n’était peut-être pas le processus qui se déroule dans la vraie vie c’est-à-dire « in vivo »

Question : Pourquoi tous les doutes et interrogations d’Enders ont-ils été balayés ?

Comprenez que toute la théorie virale moderne, et les vaccins qui en découlent ne reposent que sur cette expérience (puis les tests PCR), qui lui a valu un prix Nobel.

Les antigènes ou « protéines virales »

Ainsi pour « prouver » l’existence de certains virus que l’on n’a JAMAIS pu observer (incroyable, mais vrai) on va alors utiliser la méthode de l’antigène pour les détecter et confirmer leur existence supposée être à l’origine d’une maladie.

Question : Pourquoi la communauté scientifique ne semble-t-elle nullement traumatisée à l’idée qu’il existerait de façon « certaine » des entités que l’on appelle « virus » alors même que l’on n’a jamais pu les observer ?

La théorie est simple.

Si des personnes avec des symptômes grippaux ont dans leur sang un certain type d’antigène, alors cela constitue la « preuve » que le patient a contracté le virus de la grippe qui aurait induit la production de ces antigènes.

C’est ainsi que l’on a pu « prouver » l’existence de virus que l’on n’a jamais pu voir (comme, par exemple, le HIV).

Question : La présence d’un couteau ensanglanté sur les lieux d’un présumé crime est-elle la preuve qu’il y a eu meurtre et la preuve que le couteau est l’arme du crime ?

Les antigènes sont-ils la preuve d’une attaque virale présente ou ancienne ou ne seraient que la conséquence d’un autre phénomène ou des débris issus du processus de guérison, désintox du corps et ne prouveraient en rien la présence de tel ou tel virus ?

Il est couramment admis que l’on puisse être porteur d’un virus non détectable (Hépatite B, C, VIH…)

Selon le Dr Henri Agut(([12] https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2638471-virus-definition-mode-d-action-comment-le-combattre-adn-arn/)), médecin virologue à Paris :

« Un virus ne peut survivre très longtemps à l’état de particule virale libre dans le milieu ambiant. Il doit donc trouver rapidement une cellule à infecter. C’est essentiellement sous la forme de cellules infectées, des « usines » à fabriquer des virus, qu’il existe dans la biosphère. »

Question : Comment pourrait-on être un porteur sain ou porteur d’un virus non détectable dès lors que la survie du virus dépend de sa capacité à prendre le contrôle de cellules saines pour se reproduire et que cette prise de contrôle se traduira obligatoirement par la destruction de ces cellules saines, par la destruction d’autres cellules saines et donc de la production de déchets ou de mécanismes de défense (antigènes ?).

Question : Comment une diffusion à bas bruit dans les tropiques peut-elle exister alors même qu’un virus ne peut pas survivre sans attaquer des cellules saines et donc se multiplier ?

La biologie moléculaire (le RT-PCR)

« Les outils de la biologie moléculaire ont permis l’amélioration du diagnostic des infections virales et la découverte de nouveaux virus. En effet, grâce à des outils tels que la (RT — ) PCR ou le séquençage, on peut maintenant faire face à des situations de diagnostiques nouvelles.

On peut :

Mettre en évidence la présence de génomes de virus indétectables par d’autres méthodes :

Recherche des papillomavirus humains (HPV) responsables de cancers du col utérin

Détection des virus des hépatites(([13] http://unt-ori2.crihan.fr/unspf/2010_Lille_Goffard_Virologie/co/06_diagnostic_direct.html))»

« Cependant, il existe de nombreux inconvénients :

La mise en évidence d’un génome viral dans un échantillon ne signifie pas que les particules virales infectieuses complètes soient présentes…

La grande sensibilité de ces techniques les rend très sensibles aux contaminations par des acides nucléiques extérieurs à l’échantillon initial, »

On est donc peut-être en train de faire la PCR d’un moustique ou d’un pollen avalé par inadvertance.

Question : Comment la « science » a-t-elle la « preuve » de l’existence de virus qu’il est impossible de voir in vivo, qu’il est parfois impossible de voir dans la soupe cytopathogénique, qu’il est impossible de détecter par la présence d’antigènes et dont la « preuve » de l’existence repose sur un RT-PCR (douteux) sur quelques séquences issues de la soupe contenant un nombre impressionnant de matériaux génétiques (ou organismes divers dans l’échantillon prélevé) ?

La causalité

Trouver un « virus » n’est pas suffisant, il faut ensuite s’assurer que celui-ci est bien la cause de la maladie.

Pour se faire il faut que le « virus » ainsi trouvé soit bien le « coupable » de ladite maladie et donc l’inoculer à un porteur sain.

Il faut donc isoler le virus dans la soupe ou dans l’échantillon (en effet, les autres substances ou organismes présents dans celle-ci pourraient aussi causer des maladies).

Ici se pose un grand problème, car la soupe de Enders contient des cellules de singe (ou autre animal), des cellules fœtales de bovin et l’échantillon prélevé sur le malade (qui peut aussi contenir d’autres « virus », bactéries, mais aussi du matériel génétique comme des pollens, des insectes inspirés par le malade, etc.)

Sans compter toutes les toxines comme des antibiotiques et autres substances chimiques présentes dans cette soupe.

Ajoutons le fait que toutes ces substances biologiques et chimiques se sont peut-être mélangées et qu’il devient alors impossible de les filtrer ou les séparer pour ne prélever que le virus incriminé.

Question : Étant donné qu’il semble impossible d’isoler de façon certaine des virus dans un prélèvement in vivo,
comment serait-il possible d’infecter un porteur sain en ayant la preuve que l’infection transmise est UNIQUEMENT causée par cet agent pathogène dit virus et ce afin de s’assurer qu’il provoque bien la même maladie chez celui-ci ?

La Contagion

Une fois le virus « isolé », il faut contaminer le porteur sain avec une méthode compatible avec la vie réelle.

Par exemple s’il est admis que le virus étudié se transmet aéroporté alors il ne s’agira pas d’injecter directement le supposé virus dans le cerveau d’un cobaye ou par intraveineuse pour voir si le sujet tombe malade.

À ce stade, si le sujet sain « contaminé » par la soupe bactériologico-virale développe une maladie, il faudra s’assurer que c’est bien de la même maladie avec les mêmes symptômes et les mêmes marqueurs biologiques comme indiqué précédemment.

Question : Est-ce le virus qui va entraîner la maladie de la personne en bonne santé ou les produits chimiques et autres tissus en décomposition utilisés dans la soupe pour « isoler » le virus ou d’autres bactéries présentes dans le prélèvement du patient, voir même un effet placebo ou d’autres actions que nous ne comprenons pas ?

Le problème est que les rares expériences qui ont été menées pour prouver le principe de la contamination et de la contagion se sont soldées par des échecs comme celle de 1918 menée par Rosenau.(([14] Rosenau MJ: I. Series of experiments at Boston, November and December, 1918. Hygienic Laboratory U.S.P.H.S. Bulletin 1921
https://virologyj.biomedcentral.com/articles/10.1186/1743-422X-5-29))

L’objet était d’infecter par la grippe espagnole réputée extrêmement dangereuse par 100 « volontaires » sains et sans symptômes, fournis par la Navy :

« Ensuite, nous avons procédé au transfert du virus obtenu à partir de malades ; c’est-à-dire que nous avons recueilli les sécrétions matérielles et muqueuses de la bouche, du nez et des bronches de 19 malades et les avons transférées à nos volontaires. Nous avons toujours prélevé le matériau de la manière suivante : le patient fiévreux, au lit, a devant lui un grand aménagement peu profond en forme de plateau, et nous avons lavé une narine avec une solution saline stérile, en utilisant peut-être 5 cc, qui est autorisé à couler dans ce plateau ; et cette narine est soufflée vigoureusement dans le plateau. Cela est répété avec l’autre narine. Le patient se gargarise ensuite avec la solution. Ensuite, nous obtenons du mucus bronchique en toussant, puis nous tamponnons la surface muqueuse de chaque narine et aussi les muqueuses de la gorge. »

Ensuite, ils ont mélangé tous les « trucs » ensemble et ont pulvérisé 1 cc du mélange dans chacune des narines de 10 volontaires, et « dans la gorge, tout en inspirant, et sur l’œil » et ont attendu 10 jours pour que les volontaires tombent malades. Cependant, « aucun d’entre eux n’est tombé malade de quelque manière que ce soit ». »

Dans son livre, Eleanor McBean « l’aiguille empoisonnée(([15] THE POISONED NEEDLE Suppressed Facts About Vaccination By Eleanor McBean 1957
http://whale.to/a/mcbean.html#BIBLIOGRAPHY))»
nous rapporte :

« Au cours de l’une des plus grandes épidémies de poliomyélite (1949), “la contraction de la poliomyélite par contact précis avec d’autres victimes de la maladie n’a pas été établie dans une étude élaborée réalisée par le Département de la santé de l’État de New York. Le service de santé publique des États-Unis, dans ses études, a également trouvé la même réponse négative lors des épidémies successives de poliomyélite. Bref, ils ont appris que la maladie n’était pas contagieuse.” TIME Magazine a commenté cette révélation inattendue de ces enquêtes en remarquant que “quand et où les gens attrapent la poliomyélite reste un mystère”.

La supposition que les virus pénétraient par la bouche et le nez a conduit les expérimentateurs à faire des tests exhaustifs aussi bien sur des animaux que sur des êtres humains, pour la plupart des détenus et des orphelins en institution. Ils ont été exposés (par association étroite) à des patients atteints de poliomyélite et leur gorge et leurs voies nasales ont été fréquemment tamponnées avec de la matière (provenant des patients) censée contenir des virus. Aucune poliomyélite n’a été produite de cette manière et le seul effet secondaire notable était que les sujets des expériences avaient perdu leur sens du goût et de l’odorat en raison des effets néfastes des poisons contenus dans le sérum utilisé sur les écouvillons. »

Le site cv19(([16] https://cv19.fr/2022/02/20/quelques-etudes-ayant-tente-de-prouver-la-contagion-interhumaine/)) liste un ensemble d’expériences de tentatives de contamination soldées par un échec pour prouver la théorie de la contagion :

  • En 1919, Rosenau et Keegan sur la grippe.
  • En 1919, Wahl et al sur la grippe.
  • En 1920, Schmidt et al sur la grippe et le rhume.
  • En 1921, Williams et al sur la grippe et le rhume.
  • En 1924, Robertson & Groves sur la grippe.
  • En 1930, Dochez et al sur le rhume.
  • En 1940, Burnet et Foley sur la grippe.

Remarquez que si les expériences pour prouver le principe de la contagion étaient nombreuses dans la première moitié du 20e siècle, celles-ci se sont raréfiées tandis que Big Pharma prenait le pouvoir en imposant la médecine basée sur le pétrole.

En 2018 des chercheurs analysent l’état de la science sur les modes de transmission des virus(([17] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1879625717301773?via%3Dihub
Transmission routes of respiratory viruses among humans)) pourtant censés être démontrés depuis fort longtemps et « nullement source de questionnement » selon Wikipédia ou la communauté scientifique au pouvoir.

Voici leurs conclusions :

  • « La plupart des études sur les voies de transmission interhumaines ne sont pas concluantes. »
  • « L’importance relative des voies de transmission des virus respiratoires n’est pas connue. »
  • « Les méthodes de détection modernes peuvent faire progresser les expériences de transmission. »

En 2018 aucune étude n’était donc en capacité de démontrer les modes de transmission alors même que c’est cette théorie virale qui conduit aux masques, aux confinements, aux gestes barrières et surtout à la vaccination !

Pierre Lécot de Décoder l’éco(([18] https://www.youtube.com/watch?v=xq2h2onD7tk)) nous livre des éléments statistiques pour le moins troublants

Sur ce graphique des décès nous pouvons voir que les épidémies se produisent chaque année au même moment dans divers pays dont la France, la Suède ou le Portugal.

À noter qu’il en est de même si l’on observe les hospitalisations.

Si les épidémies se propageaient par contagion c’est-à-dire de patients vers patients alors il serait logique de constater un décalage dans le temps entre le Portugal et la Suède quand bien même il existe des avions… Or elles se produisent en même temps !

C’est donc une preuve que le phénomène d’épidémie (réel) n’est absolument pas lié à la transmission interhumaine.

[Note de Joseph : sans compter que les analyses statistiques de Pierre Lécot démontrent que l’hypothèse de contamination exponentielle ne tient pas du tout. Ceci, car la « dérivée » devrait être elle-même exponentielle, mais se révèle plate !]

Question : Si le processus de contagion est le fruit d’une transmission virale d’un porteur A vers un porteur B, puis d’un porteur B vers un porteur C, comment le porteur A (ou patient 0) a-t-il pu être contaminé et par qui ?
Nous touchons à la théologie ou au Big bang… Il y avait quoi avant rien ?

Il est important d’être conscient que les médecins sont comme les maraîchers, ils ont leurs saisons !

Saison de la grippe, saison de la gastro, saison de l’angine, saison des rhumes des foins…

Ils ont ainsi une forte propension à donner le même nom aux pathologies qui se présentent à un instant donné.

Et ce d’autant plus qu’ils reçoivent les données du réseau Sentinelle qui leur fournit les dernières tendances.

Cette information obligatoirement différée dans le temps, car fournissant les données de la semaine précédente, sont certainement de nature à induire un décalage dans le temps et ainsi montrer une courbe d’évolution qui pourrait ressembler à un phénomène de « contagion ».

(L’information est aussi véhiculée par les médias qui, s’ils disent qu’il y a une épidémie de grippe, vous feront penser que vos symptômes respiratoires relèvent plus de celle-ci que d’une angine.)

Cela a été largement vérifié pour le Covid.

Plus de grippes, plus de pneumo, plus d’angines, plus de gastros, etc. plus rien sauf le Covid !

Point tout aussi intéressant Pierre Lécot a corrélé les décès au climat (à la température).

Il se trouve que plus vous êtes âgé et plus vous décédez lors des périodes de froid et plus vous êtes jeune et en bonne santé et moins vous décédez.

C’est ce qui expliquerait pourquoi les décès se produiraient au même moment dans des zones géographiques au climat équivalent pour une population à la santé équivalente ??!!

Il est à noter que ce constat apporte plus de questions que de réponses.

Le climat n’étant pas le même dans le sud de l’Espagne qu’en Suède ou dans les Alpes. Les saisons froides étant décalées de même que l’ensoleillement, l’enseignement principal serait d’affirmer que nous ne savons pas grand-chose.

En tous les cas les épidémies ne peuvent s’expliquer par le principe de la contagion (virale) interhumaine.

Où est le virus de la grippe en été ?

Science et Vie(([19] https://www.science-et-vie.com/corps-et-sante/que-devient-le-virus-de-la-grippe-en-ete-59085.html)) a posé cette question à un chercheur de l’Institut Pasteur (ils ont évidemment toutes les réponses sur les virus) :

« C’est simple : il déménage sous des cieux plus favorables à sa propagation, c’est-à-dire froids et humides.

« Le virus de la grippe est toujours quelque part en un point du globe », confirme Jean-Claude Manuguerra, de l’Institut Pasteur. Dans l’hémisphère Nord, il provoque des épidémies entre octobre et mars, tandis qu’il s’épanouit dans l’hémisphère Sud entre avril et septembre. C’est le « basculement hémisphérique » de l’hiver septentrional à l’hiver austral. » »

Question : Il est où au printemps qui correspond à l’automne dans l’hémisphère sud, saisons non favorables à son épanouissement ?

La diffusion virale à bas bruit (et ce n’est pas un extrait du journal de Mickey)

Nul point dans le globe me semble froid et humide à cette période (les pôles étant plutôt très secs)

Que nenni, le chercheur a sa réponse !

« Dans la ceinture intertropicale, le virus circule toute l’année, mais à bas bruit, avec des pics à la saison des pluies »

Cette région serait donc la zone d’échange entre le nord et le sud pour l’alternance de la grippe.

Question : C’est quoi une circulation virale à bas bruit ?

Tout le monde se le passe, mais il ne nous rend pas malade ?

Question : Comment fait le virus de la grippe pour se transmettre sans rendre malade ses hôtes ?

  • Un virus est un organisme à la fois vivant et mort qui ne peut QUE se reproduire et survivre en infectant des cellules saines de son hôte et en les tuant pour se multiplier !

Question : Comment peut-il se transmettre à « bas bruit » et comment puis-je contaminer mon voisin sans avoir moi-même une charge virale suffisante ?

  • Si j’ai une importante charge virale alors elle me rendra symptomatique et malade pour le lui transmettre en éternuant sur lui !
  • Si je n’ai que 2 ou 3 virus, je ne pourrais pas contaminer mon voisin, car je serai asymptomatique et donc dans l’incapacité de transmettre mes virus d’un hémisphère vers un autre.

Question : Si ma charge virale est faible, mon organisme va l’éliminer et comment pourrais-je ici encore le transmettre ?

Si en revanche j’ai une charge virale importante, je vais être malade, et si je suis malade ce n’est plus une diffusion « à bas bruit ».

L’article nous « éclaire » un peu plus :

« A contrario, si un Australien contaminé vient passer ses vacances en France au mois d’août, le virus ne s’y implantera pas, car les conditions “environnementales et comportementales” ne sont pas réunies. »

Alors là ça devient compliqué.

Si vous recevez votre correspond australien qui a attrapé la grippe pendant son hiver et vient vous voir pendant votre été alors :

Le gars est malade comme un chien, il vous crache dessus, il crache ses virus dans la soupe, il vous embrasse et pourtant vous n’aurez quasi aucune chance de l’attraper parce que vous êtes en été !

Et ce alors même que la température de votre corps est de 37 degrés aussi bien en été comme hiver.

Nous pouvons donc supposer que son arrivée en Europe va lui permettre de guérir quasi instantanément.

[Note de Joseph :
extrait de Le pour et le contre

— Pourquoi le gars isolé dans sa cabane au Nunavut ou en Alaska attrape-t-il tout d’un coup la grippe un certain hiver alors qu’il n’a rencontré personne depuis plus d’un mois ?

— Euh ! Bin le virus dormait dans son corps.

— Mais le système immunitaire n’est-il pas censé tuer les virus ? Pourquoi est-il assez sympa pour en maintenir en vie quelques exemplaires pour la saison prochaine ?

— Euh ! Il faut demander aux virologues. Ils doivent bien avoir une explication. Il y a bien des « porteurs asymptomatiques » pour la covid-19, d’après eux, alors pour la grippe, ça doit bien être pareil.

— Des porteurs asymptomatiques ? Des gens dont le système immunitaire est assez gentil pour laisser traîner quelques poignées de virus ici et là, le temps qu’ils récupèrent avant de pouvoir mener une prochaine invasion tranquillement ? Et pendant ce temps, ils ne sont pas malade ?

— Eh bien, ils ne sont malades que si suffisamment de virus les envahissent ?

— Combien ? 1 million ? 1 milliard ?

— Ça dépend.

— De quoi ?

— De la maladie et de l’état de santé de la personne.

— Et si la personne est en bonne santé, y a-t-il besoin de plus de virus ?

— Peut-être bien que oui.

— Mais un virus n’est pourtant pas un être vivant, puisque notamment il ne sait pas se multiplier tout seul ?

— Parce qu’il utilise le code génétique d’une cellule pour s’y multiplier.

— Et pourquoi celle-ci se laisse-t-elle couillonner ?

— Bin pas toujours ! C’est là que le système immunitaire intervient. Il empêche le virus de rentrer dans la cellule en supprimant son enveloppe qui possède la clef. Et là le virus est bien mort.

— Mais ce n’est déjà pas un être vivant. Tout ce qu’il est censé faire, c’est se faire multiplier dans une cellule. Ce n’est qu’un genre de grosse molécule qui demande d’être dupliquée. Pourquoi cette molécule rendrait-elle malade par ailleurs ?

— Bin, parce qu’elle se multiplie.

— Mais même des milliards de virus, ça n’occupe pas beaucoup de place. Pourquoi ça rendrait malade ?

— Peut-être parce qu’en plus cette molécule est mauvaise pour l’organisme.

— Admettons. Maintenant, pourquoi le fait d’avoir la Covid-19 empêcherait-il d’avoir la Grippe ?

— Les virologues disent qu’en quelque sorte ça bloque l’entrée pour les autres virus.

— Ah bon ? Pourtant, les deux ont une clef d’entrée et peuvent entrer n’importe où sur la paroi cellulaire, tellement il y a de serrures. Et je doute fort que tous les emplacements soient occupés en même temps par une seule variété de virus, sachant que ces virus ne sont pas censés traîner à la porte d’entrée, mais se précipiter à l’intérieur.

— Je ne sais pas. Il faudrait demander à un virologue.

— Ouais, admettons qu’il ait une réponse logique et satisfaisante, et pas une nouvelle rustine à leur théorie qui me paraît de plus en plus foireuse. En attendant, c’est quand même une étrange coïncidence que depuis la covid-19, presque plus personne ne meure de la Grippe, comme si celle-ci avait été rebaptisée.]

Notre système immunitaire va dire « là mon gars c’est pas la saison, alors le virus tu repasseras en hiver ! »

Les milliards de microbes que nous allons nous prendre ne pourront donc pas attaquer nos cellules ni se reproduire pendant l’été, période de vacances des virus !

(Sauf pour le coronavirus qui aurait provoqué la 4e vague en juillet, août 2021, sacré corona !)

Question : Au lieu de prétendre savoir, la communauté scientifique ne pourrait-elle pas avoir la modestie ou l’honnêteté de dire qu’elle n’a aucune idée sur l’existence réelle des virus, sur le processus de contamination (s’il existe) et pourquoi et comment on tombe malade ?

La théorie virale ne repose que sur des théories, sur un effet cythogénique douteux (notamment parce qu’il ne peut être reproduit pour tous les virus) et sur des tests RT-PCR encore plus douteux (cf. les propos de son inventeur dans la suite de ce texte).

Sujet sans intérêt ?

Si vous regardez la fiche Wikipédia de John Enders(([20] https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Enders)), vous y trouverez… rien… juste quelques phrases.

Cela n’est-il pas étrange pour un prix Nobel de médecine pour lequel les travaux sont la référence historique et méthodologique pour détecter les nouveaux virus ?

On trouve plus d’informations sur Casimir(([21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Casimir_(personnage) ))!

Le vide sidéral est tout aussi présent concernant l’effet cytopathique(([22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_cytopathique)) alors qu’il ne saurait exister de détection ou visualisation de virus sans celui-ci.

Le mot cythogénique, quant à lui, n’est pas trouvé.

Si vous voulez en savoir plus sur Rosenau et ses expériences visant à identifier les modes de contamination de la grippe, vous pouvez aussi demander à Wikipédia qui vous dira que :

« Rosenau est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin »

Strictement rien sur ce chercheur !

Nous vivons dans un monde de virus mortels, avec 11 vaccins obligatoires, le Covid, des couvre-feux, des passe-sanitaires et le sujet semble être sans intérêt ou disons plutôt « blasphématoire ».

Sources documentaires

Je vous invite à vous documenter pour vous faire votre propre opinion.

[Note de Joseph : voir aussi les articles du dossier Vaccins et virus.]

Intéressons-nous maintenant au « virus » provoquant le « Covid ».

Comme pour les autres virus, celui-ci n’a donc jamais pu être vu dans des « humeurs » de malades (directement au microscope) et il n’y aurait aucune preuve que ce « Sars-cov2 » provoquerait les symptômes du Covid.

Le séquençage du virus…

Il n’existerait aucun séquençage réel complet de celui-ci, comme pour les autres virus.

En même temps si les virus n’existent pas ce serait plutôt logique.

Pour autant, un séquençage de la soupe virale est créé à partir de la soupe cytopathique.

On recherche quelques nucléotides supposés être présents via test PCR puis on assemble les morceaux qui semblent aller de pair et on fabrique informatiquement un génome totalement théorique et supposé probable.

Les séquences qui auraient servi à la fabrication des tests PCR, mais aussi du vaccin seraient ainsi à plus de 90 % imaginaires.

La pilule rouge(([28] Cf. Matrix.)) est bien entendu difficile à avaler.

Quand nous voyons le simple fait d’émettre l’hypothèse que les « vaccins » anticovid auraient des effets secondaires, imaginez-vous dire à un croyant que les virus et donc les vaccins ne seraient qu’une chimère ou une escroquerie !

Il est évident que le débat est totalement impossible.

L’histoire du Covid

Comment pourrait-on raconter l’histoire du Covid si les virus n’existent pas ?

Tout ceci se présente assez mal…

Fauci a avoué avoir investi dans le laboratoire P4 de Wuhan sur les gains de fonctions est-ce une escroquerie de plus qui vise à répandre la peur ?

Le Dr Cowan a déclaré(([29] https://odysee.com/@Johnny_Cirucci:4/Terrain%E2%80%94The-Film:4
1h14)):

« Ils ont inventé l’histoire du virus créé en laboratoire ou du “virus artificiel” pour donner à la communauté anti-vaxx quelque chose d’existant : “ils ont attrapé les méchants en flagrant délit”. Les méchants sont plus intelligents qu’eux et ils ont poussé à promouvoir l’histoire “Oh mon Dieu, il y a un virus artificiel mortel qui circule”. Ça maintient l’histoire du virus et effraie encore plus les gens. Ils sont les grands maîtres des échecs, la plupart des gens jouent aux dames ou ignorent l’existence d’un jeu. »

Il semble évident que si nous ne sommes pas en capacité de séquencer l’intégralité d’un virus, comment serait-il possible d’obtenir des gains de fonction ?

(Alors que ce serait possible sur des bactéries.)

Il est vrai que toute cette histoire de Covid est une vaste escroquerie, celle-ci pourrait-elle aller jusqu’au fait que les Bill et autres « bienfaiteurs » de ce monde sauraient que les virus n’existent pas et que l’objectif serait uniquement d’empoisonner les peuples avec des vaccins inutiles et dangereux ou une simple source de profits délirants ?

Le Covid une nouvelle maladie ?

Une méta étude publiée en 2020 dans Cochrane(([30] Signs and symptoms to determine if a patient presenting in primary care or hospital outpatient settings has COVID-19 disease
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32633856/ Cochrane Database Syst Rev. 2020 Jul 7)) nous apporte des éléments troublants :

« Nous avons identifié 16 études portant sur 7 706 participants au total. La prévalence de la maladie COVID-19 variait de 5 % à 38 %.

Nous avons trouvé des données sur 27 signes et symptômes, qui se répartissent en quatre catégories différentes : systémiques, respiratoires, gastro-intestinaux et cardiovasculaires.

Sur la base des données actuellement disponibles, ni l’absence ni la présence de signes ou de symptômes ne sont suffisamment précises pour confirmer ou infirmer la maladie. »

16 études, 7700 participants et impossible de conclure à l’existence d’une nouvelle maladie !

C’est le grand truc de Big Pharma, changer le nom de maladies existantes pour créer de nouveaux marchés et de nouvelles peurs.

Cette non-spécificité et donc cette non-existence du Covid sont indirectement confirmées par l’OMS pour la classification de la maladie(([31] Lignes directrices internationales pour la certification et la classification (codage) des décès dus a la COVID-19, 20 avril 2020
https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-20200423_FR.pdf)):

« Définition des décès dus à la Covid-19.

Est considéré comme UN « DÉCÈS DU À LA COVID-19 » UN DÉCÈS RÉSULTANT D’UNE MALADIE CLINIQUEMENT COMPATIBLE, CHEZ UN CAS PROBABLE OU CONFIRMÉ DE LA COVID.

UN DÉCÈS DÛ À LA COVID-19 NE PEUT PAS ÊTRE IMPUTÉ À UNE AUTRE MALADIE (PAR EXEMPLE, À UN CANCER) ET DOIT ÊTRE COMPTABILISÉ INDÉPENDAMMENT DES AFFECTIONS PRÉEXISTANTES qui sont soupçonnées d’avoir déclenché une évolution grave de la COVID-19. »

Les médecins et les hôpitaux ont d’autant plus suivi cette règle que leur rémunération a été fortement accrue en codifiant « Covid » toute maladie respiratoire.

Il ne saurait y avoir de différences de rémunération pour des maladies à symptômes ou gravité comparable sauf à vouloir fausser les statistiques et donc la réalité.

Ce seul fait (parmi d’autres) constitue une preuve de la volonté de créer une fausse épidémie à partir de rien.

Nous avons assisté à une disparition magique de toutes les autres pathologies comme le confirme Pierre Lécot(([32] La bureaucratie sanitaire au centre de la fraude
https://www.youtube.com/watch?v=ceG8dd80JJU)):

Qui peut raisonnablement croire que le virus de la grippe (ou les autres virus respiratoires) n’a pas frappé en 2020 où il aurait entraîné 72 morts(([33] https://www.ladepeche.fr/2020/03/05/avec-72-morts-la-grippe-a-beaucoup-moins-tue-cet-hiver-en-france,8777067.php
Avec 72 morts, la grippe a beaucoup moins tué cet hiver en France.)) officiels ?

Le virus de la grippe qui ne travaille que 3 mois par an prend déjà des vacances bien méritées (Où ? Nul ne le sait), mais avec le Covid il s’est accordé plus de 3 ans de vacances et va peut-être revenir cet année frais et dispo pour reprendre son carnage annuel !

Va-t-on dire qu’il « circulait à bas bruit » ?

Le Covid identifiable par PCR ?

L’inventeur du RT-PCR Kary Mullis, prix Nobel de chimie disait(([34] https://odysee.com/@Johnny_Cirucci:4/Terrain%E2%80%94The-Film:4 1h24))

« S’ils ont pu trouver ce virus en vous, avec le PCR, si vous le faites bien vous pouvez trouver quasi n’importe quoi chez n’importe qui.

Ça vous fait croire à une sorte de notion bouddhiste que tout est dans tout.

Parce que si vous pouvez amplifier une seule molécule jusqu’à quelque chose qu’on peut vraiment mesurer, ce que la PCR peut faire, alors il y a très peu de molécules que l’on n’a pas dans son corps au moins une fois »

Cet homme n’a cessé de répéter de son vivant que son procédé était un outil de recherche et certainement pas de diagnostic.

Cela n’a pas empêché le journal Le Monde de déclarer(([35] https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2019/08/18/mort-de-kary-mullis-prix-nobel-de-chimie-1993_5500473_3382.html)):

« On peut être Nobel, avoir révolutionné la science et soutenir des thèses scientifiquement infondées. Les exemples ne sont pas légion, mais celui de l’Américain Kary Mullis, Prix Nobel de chimie 1993 pour l’invention de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) qui a bouleversé la génétique, est particulièrement éclatant. »

La démonstration soutenant la validité du test PCR et la « folie » de son inventeur reposent sur le fait qu’il est utilisé partout sur la planète, ce qui de fait apporte donc la « preuve irréfutable » de sa fiabilité.

C’est un peu comme la saignée, elle était utilisée partout jusqu’à ce que l’on découvre son inutilité et sa dangerosité (sauf pathologies spécifiques).

Le PCR est tellement « efficace » que Le Monde a précisé :

« la PCR est aussi la technique qui permet de ressusciter les dinosaures dans Jurassic Park… »

Même l’OMS(([36] https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05)) (non indépendante et corrompue) précise qu’il ne saurait constituer un outil de diagnostic à lui tout seul :

« La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques. »

Nous savons que des millions de tests ont été pratiqués sans consultation médicale préalable.

La quasi-intégralité des testés étant asymptomatiques (donc non malades) et ce à seule fin de rendre réelle une épidémie dont nous ignorerions encore l’existence sans les médias ou les masques.

Quand bien même le Sars-cov2 existerait, le RT-PCR ne serait pas en mesure de le détecter sans une marge d’erreur délirante !

Que les virus existent ou pas, que le sars-cov2 existe ou pas, que celui-ci soit naturel ou manipulé, cela ne change pas le fait que le génome de ce prétendu virus est une construction artificielle imaginaire sur la base d’un génome de Sars-cov1 (tout aussi imaginaire) et que les tests PCR ne permettent pas d’identifier catégoriquement la présence de la globalité de cette séquence imaginaire.

C’est aussi ce qui expliquerait pourquoi on a pu détecter du HIV (dont le génome est tout aussi imaginaire/inventé) dans le génome du Sars-cov2.

Question : Quelle est la probabilité pour qu’un individu ait dans son corps une séquence complète d’un génome qui n’existe pas et qui n’est qu’une construction humaine ?!

Dès lors que les personnes sont conscientes des réalités objectives suivantes :

  • Rien ne permet de caractériser le Covid 19 comme une nouvelle maladie.
  • Le Covid 19 est le nouveau nom donné à toutes les maladies respiratoires des précédentes années.
  • Le test PCR ne vaut strictement RIEN !

Alors le château de cartes s’effondre…

Toutes les mesures spécifiques de distanciation, de masque, de confinement n’ont strictement aucune justification.

Je vous invite à lire les dizaines d’études qui prouvent l’inutilité de ces mesures.

Si de plus nous intégrons cette donnée complotiste 4dan que les virus n’existent pas, qu’ils ne sont qu’une théorie jamais prouvée, que les expériences cherchant à contaminer des porteurs sains (grippe, rougeole, polio…) se sont soldées par des échecs (ou que le groupe témoin était plus malade que le groupe à infecter) alors cela enterre définitivement toutes ces mesures.

Je vous rappelle qu’aucun virus prélevé sur un malade n’a pu être directement observé in vivo ! (Comme, par exemple, le virus du sida).

De fait, si la contagion virale n’existe pas, pourquoi et comment s’en protéger ?

Sans compter le nombre d’études qui s’accumulent et que l’on prend bien soin de cacher au public assoiffé de volonté d’ignorer la vérité sur les confinements, distanciation, masques, couvre-feu qui n’ont aucune incidence positive sur l’épidémie.

Interdiction de soigner une « nouvelle » maladie « mortelle » ?

Cela devient « croustillant » lorsque l’on aborde le sujet du traitement et du vaccin.

Ne trouvez-vous pas « étrange » que les médecins aient été interdits de traitement lors de la première vague (la seule vague avec des malades) ?

On a forcé les malades à prendre du Paracétamol qui est reconnu pour sa dangerosité.

Question ; Qui peut être aussi stupide pour croire qu’en cas de nouvelle maladie la marche à suivre est “restez chez vous sans traitement et attendez d’aller très très mal pour aller (mourir) à l’hôpital” et de ne SURTOUT PAS utiliser les traitements et solutions habituelles ?

Au contraire on a attendu que les patients aient des poumons en très mauvais état pour les mettre sous respirateur avec une pression d’oxygène telle que cela faisait exploser leurs bronches et donc les achevait…

Et que dire des vieux dans les maisons de retraite interdits de soin non pas sur des critères de santé et de pronostic, mais uniquement d’âge ?

Ils ont été interdits d’hôpital, interdits de traitement (inexistant comme il se doit) et « terminés » au Rivotril !

Les médecins qui ont bravé les interdits, qui ont osé (et ils ont été punis pour cela) soigner leurs patients ont eu des résultats remarquables et n’ont pas constaté plus de décès que les années précédentes.

L’inversion des valeurs !

Question : L’interdiction de soin (et l’opération visant à fausser les statistiques) pour rendre réelle une maladie indétectable autrement que par un test PCR non fiable n’est-elle pas un point « étrange » de plus  ?

Le malade asymptomatique

Sans compter cette merveilleuse invention du patient contagieux asymptomatique, une première mondiale soulignant le mystère de la contagion !

Je vous rappelle que l’on n’a jamais observé le virus in vivo dans le crachat d’un malade, qu’il fallait obligatoirement aller chercher le « virus tueur » on fond de la gorge [ou du nez] et non dans la salive.

Qu’il fallait procéder à au moins 30 cycles d’amplification du RT-PCR pour détecter ce que l’on nommait magiquement sars-cov2.

Un peu de bon sens !

Nous avions donc des « positifs asymptomatiques » qui de fait ne toussaient pas et ne crachaient pas, asymptomatiques voulant dire « sans le moindre symptôme d’une quelconque maladie ».

On prétendait qu’un prélèvement salivaire ne permettait pas de détecter le virus.

Virus dont la présence était uniquement révélée par un PCR suite à un prélèvement au fond de la gorge.

Et il nous a été répété que cette personne sans symptômes pouvait transmettre ce virus, virus indétectable dans la salive !

Question : Comment des millions de Français continuent-ils à gober ce délire ?

Le « vaccin »

Vaccin dont les fabricants reconnaissent qu’il leur a fallu quelques heures pour le mettre au point.

On nous répète depuis des mois que celui-ci a été fabriqué sur la séquence du virus de Wuhan.

Je vous rappelle que ce génome est un génome imaginaire supposé être le génome du « vrai » sars-cov2.

Génome construit avec des briques du supposé sars-cov1 elles-mêmes tout aussi imaginaires et issues d’un autre génome imaginaire.

Si les virus existaient et si les vaccins permettaient de faire des défenses immunitaires pour ne pas tomber malade alors n’importe quel idiot concepteur de ce « vaccin » eut été conscient du peu de probabilité de l’efficacité de son usine à produire des toxines.

Le fabricant n’eût pu ignorer que la probabilité d’efficacité eut été extrêmement faible au regard du génome imaginaire utilisé.

Ce qui ne l’a pas empêché de dire qu’il était efficace à plus de 90 %.

Question : Alors même que l’on nous inonde de nouveaux variants. Alors même qu’il est reconnu que « l’efficacité » des vaccins diminue avec les mutations [tout aussi supposées]. Alors même qu’il a fallu quelques heures pour programmer le premier vaccin :
Pourquoi la première mise à jour est annoncée pour l’automne, soit 3 ans après l’émergence de la première souche ?

Si maintenant les virus n’existent pas alors il n’est plus question de parler d’efficacité vaccinale.

Vaccins dont la fabrication requiert de nombreux poisons et dont le rapport bénéfice vs risque ne peut qu’être catastrophique.

Consentement vaccinal

Je note aussi que c’est la première épidémie pour laquelle le consentement à vaccination n’a pas été basé sur les craintes et les convictions des personnes éligibles, mais à la mise en œuvre d’un crédit social.

À part quelques paniqués manipulés, les patients ne se sont pas injectés pour échapper à la mort (et ne me faites pas marrer en parlant d’altruisme), mais pour pouvoir aller au restaurant, au club de sport ou retrouver « une vie normale ».

C’est dire à quel point le peuple n’a pas gobé la supercherie du virus mortel et que cette épidémie était médiatique.

Je ne connais directement ou indirectement personne en bonne santé et jeune qui serait décédé de ce prétendu virus.

Donc la question qui demeure n’est pas de savoir si l’épidémie de Covid est une escroquerie, mais à quel point elle est une escroquerie (ainsi que les autres épidémies).

Si les virus n’existent pas…

Celles et ceux qui avaient mon « savoir » récent vont avoir du mal à avaler cette pilule rouge grande comme un porte-avions.

Une chose est certaine :

  • Si la science existait.
  • Si elle n’était pas dans les mains des industries pharmaceutiques et autres Blackrock.

Il serait indispensable de mettre des millions de dollars dans des études indépendantes et sans conflit d’intérêts afin de déterminer si nous vivons dans un monde de virus menaçants ou si nous sommes l’héritage d’une escroquerie majeure de Pasteur et autres acolytes.

Il n’est pas possible de rester dans cette incertitude !

Vérité impossible ?

Celui qui serait en capacité de prouver l’escroquerie et ouvrir les yeux du public ferait bien de prendre une bonne assurance vie.

Menacer à la fois des milliards de bénéfices annuels, mais aussi le maintien dans la peur du peuple ne peut se faire sans risques majeurs.

Je dis cela, mais je suis certain que les maîtres du monde et Big Pharma ont déjà prévu cette transition.

En septembre 2021 j’avais écrit un texte à ce sujet, « vous avez tué le principe de la vaccination(([37] https://7milliards.fr/tortosa20210926-deces-de-la-vaccination.pdf))»

Un nouveau marché émergeant

Il semblerait que la menace soit en train de se déplacer.

Poutine n’est qu’une diversion, un interlude entre 2 maux pour nous appauvrir un peu plus.

La variole du singe est un bide, elle ne prend pas, le scénario est trop identique, un mauvais remake.

En revanche le changement climatique est un franc succès avec une belle dictature mondiale à la clef.

Je constate autour de moi que celles et ceux qui ont gobé la fiction Covid gobent totalement le « changement climatique qui va annihiler toute forme de vie si nous ne prenons pas le taureau par les cornes » (synonyme de « si nous ne mettons pas en place une dictature climatique drastique »).

Les Français accepteront sans se révolter d’utiliser leur véhicule uniquement pour se rendre au travail.

Véhicule qui sera de fait interdit pour les loisirs et les vacances (sauf payer une taxe délirante ou être membre de la caste des demi-dieux).

Les importants pourront continuer à utiliser leur jet privé, mais attention « intégralement compensé CO2 ».

Quid de l’industrie pharmaceutique dans un monde où la vaccination est morte ?

Il faudra toujours des médicaments pour nous « soigner », des médicaments eux-mêmes et des produits chimiques répandus dans l’atmosphère ou dans la nourriture et qui nous rendent malades, mais quid des vaccins ?

Si le peuple reconnaît qu’il n’y a pas de virus, que toute cette mascarade mortifère est une escroquerie alors il n’y aura plus aucun vaccin !

Il en est de même s’il ouvre les yeux sur ce poison vaccin volontairement répandu.

Est-ce pour autant la mort définitive des vaccins ?

J’imagine qu’il leur suffira de changer de nom. Delfraissy les nomme d’ailleurs « vaccins médicaments »

Les médicaments préventifs de demain seront donc les vaccins d’hier.

Le changement climatique sera une source merveilleuse de peurs et de décès

Il suffira de faire officiellement mourir des millions de personnes à cause du CO2 et du réchauffement climatique puis de rendre obligatoire « l’injection de la survie », celle qui permet de ne pas mourir à cause des changements !

Le plus complexe sera sans doute les premiers mois de la mise en œuvre du plan.

En effet il faut que le peuple benêt et apeuré croie que des gens meurent à cause du changement climatique, mais surtout que chacun peut y passer, y compris ses enfants.

Car je vous rappelle une règle principale, si c’est le voisin ou l’Africain qui crève, on n’en a strictement rien à foutre !

Le génie de ces enculés, nommons-les tels qu’ils sont, est sans limites.

Si les effets secondaires des injections de « vaccin » Covid se poursuivent ou s’amplifient alors le fonds de commerce sera bien présent.

Ils ont commencé à le faire… aucune de ces morts subites des adultes, de ces AVC, fausses couches, cancers et autres ne sont imputables aux injections expérimentales à ARNm !

De nombreuses études financées par Big Pharma vont pouvoir sortir « prouvant » que ces décès ont été provoqués par le changement de la composition de l’air due au « réchauffement climatique ».

Vous n’ignorez pas que l’injection de la survie sera efficace à 99,99 % pour se protéger du fléau mortel.

Puis une petite étude « honnête » permettra ensuite de « prouver » que les non injectés, recracheront des gaz dangereux, voire mortels pour la santé des injectés, activement protégés par leur injection récurrente salvatrice.

Les non-injectés seront, comme pour le Covid, les assassins des injectés protégés (vous connaissez le processus maintenant).

« La liberté c’est l’interdit, elle consiste à ne pas nuire à son prochain ».

Mon cul !

Car c’est bien la capacité donnée à autrui de me pourrir la vie avec sa tondeuse le dimanche matin qui garantit MES libertés.

Cette dangerosité des non-injectés pour la planète, le climat et les injectés justifiera totalement le pass climatique qui interdira « enfin » aux non-injectés de fréquenter les lieux publics, travailler ou partir en vacances.

Puis l’injection miracle prendra le relais des décès dus aux injections anticovid, elle fera son œuvre en provoquant des décès et des maladies inédites grâce aux poisons intelligemment inclus dans la mixture « tous anti CO2 ».

Décès et maladies qui seront, comme pour le Covid, imputés uniquement au changement climatique et non à l’injection elle-même, et ce avec le soutien de tous nos grands médias indépendants qui salueront le consensus scientifique corrompu.

« Tous injectés, tous protégés du changement climatique » qui deviendra par la suite « l’injection protège des formes graves de changement climatique »

À force, ils vont bien réussir à dépeupler totalement l’occident…

Les fameux variants (tout aussi imaginaires) ne seront plus le fruit d’un virus imaginaire qui mute, mais issus de « la composition de l’atmosphère qui continuera à se dégrader du fait des non injectés ».

Car plus on sera en dictature, plus on diminuera les consommations des gueux et plus la situation ira en se dégradant comme il se doit.

Espérons que les Chemtrails existent vraiment et qu’ils permettent de contrôler localement la météo, afin de pouvoir provoquer ici et là des épisodes de canicule ou des inondations meurtrières bien anxiogènes.

Ainsi le public voyant visiblement les dégâts terribles causés par les variations climatiques (surtout chez les enfants, c’est plus vendeur) sera bien conscient de la nécessité de s’injecter la pilule pour lutter contre les nouveaux polluants invisibles, mais mortels.

Et je ne vous parle pas du masque qui permettra de filtrer plus de 90 % des gaz mortels dus au dérèglement climatique et de protéger le voisin, auquel nous tenons tant et qui respire nos gaz toxiques.

Vous voyez, l’industrie pharmaceutique peut mettre à mort les vaccins et les remplacer par des injections mensuelles à vie tout aussi rémunératrices et toxiques…

Celles et ceux qui penseraient que je pourrais donner des idées aux enculés qui nous exploitent et nous gouvernent, ne vous inquiétez pas, ils y ont déjà pensé bien avant moi.

Et aux incrédules je dis de garder soigneusement ce texte et de le ressortir dans quelques années.

Car à moins qu’il y ait enfin le grand réveil, ceci n’est pas de la fiction, mais un documentaire.

En même temps, comme dirait l’autre, ils n’ont pas ouvert les yeux sur l’escroquerie de Covid, alors que tout ce que nous avions annoncé s’est concrétisé.

Du moment qu’il nous reste suffisamment d’électricité pour regarder la télé et utiliser notre smartphone, à quoi bon se plaindre ?

J’en terminerais par cette question sur les virus qui n’est pas ou plus :

  • « Les virus existent-ils ? »

Mais

  • « Croyez-vous en l’existence des virus ? »

Une entité :

  • Que l’on ne peut voir in vivo !
  • Que l’on n’a jamais vue entrer dans une cellule saine, se reproduire, et la détruire en sortant !
  • Donc l’effet cythogénique n’a jamais été prouvé, sujet à caution et n’est pas reproductible avec certains virus !
  • Dont nul ne sait si les antigènes, parfois absent alors que le virus est présent, seraient la preuve d’une contamination ou le processus normal d’une maladie non virale.
  • Dont le test RT-PCR qui permettrait d’établir leur génome puis de les détecter relève de la construction humaine, de la magie ou de l’escroquerie.

merci

Alain Tortosa

31 août 2022
http://7milliards.fr/tortosa20220831-covid-virus-escroquerie-scientifique-foi.pdf





Affaire Cohen et Lina, l’association E3M cherche plutôt des vrais journalistes

[Source : aimsib.org]

Dans ce déferlement d’anti-démocratie qui écrase tout l’occident depuis bientôt trois ans, on comprend que rien n’aurait été possible si le journalisme libre avait tenu le cap de la liberté des opinions ainsi que du respect des Lois. Hélas, notre presse européenne s’est largement et immédiatement laissée bâillonner sans la moindre velléité de résistance, c’est ainsi. Didier Lambert, Président de l’Association E3M(([1] https://www.asso-e3m.fr/)), vous en donne un étonnant exemple ici : quand des médecins se font prendre la main dans le sac de la corruption/compromission par leurs instances ordinales et qu’ils sont condamnés pour leurs actions répréhensibles, comment réagit la presse nationale française ? Bonne lecture.  


Par Didier Lambert

Une société est-elle en danger lorsque ses experts sont sous influence de l’industrie, et la majorité de ses médias muets sur le lobbying ou la corruption en cours ? C’est tout l’enjeu de cette affaire révélée par les sanctions infligées à deux personnalités du monde de la santé.

Deux leaders d’opinion sanctionnés par la justice – Les faits

Deux éminents leaders d’opinion dans le domaine de la vaccination, Robert Cohen (en haut) et Bruno Lina (en bas) viennent de recevoir un avertissement de la Chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins.

Ils sont intervenus dans plusieurs médias pour défendre la présence d’aluminium dans les vaccins, mais sans mentionner leurs liens d’intérêts, très importants, avec l’industrie pharmaceutique liée aux vaccins (avec aluminium bien sûr). Or, la loi les oblige à cette transparence (voir le communiqué E3M(([2] Nous avions demandé que les Pr Lina et Cohen soient condamnés non seulement pour leurs liens d’intérêts non déclarés, mais aussi pour « manque de prudence dans leurs propos » (ce que prévoit la loi), dans la mesure où ils exonèrent l’adjuvant aluminium, ainsi que les vaccins contre le papillomavirus, de tout effet indésirable grave. La Chambre disciplinaire n’y fait pas référence pour le Pr Cohen, et blanchit le Pr Lina sur ce point. Le fait que la Chambre, bien que présidée par un juge du Conseil d’Etat, soit composée de médecins élus par le Conseil de l’Ordre, n’est sans doute pas étranger à cette décision.)) du 20 juillet 2022).

Les faits se sont déroulés début 2017 et cette date n’est pas anodine.

En 2016, se tenait la concertation citoyenne sur la vaccination, pilotée par le Pr Fischer. Cette concertation fut un simulacre de démocratie.

Les jurys citoyens et professionnels de santé, mis en place pour exprimer la volonté populaire, ont voté contre l’élargissement de l’obligation vaccinale (à 75%) et demandé à l’unanimité la mise à disposition de vaccins sans aluminium. De plus, ils n’ont pas voulu encourager la vaccination contre le papillomavirus (HPV), objet de nombreuses critiques. Le « comité Fischer » est passé outre l’avis des jurys, préconisant dans son rapport du 30 novembre 2016 l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 pathologies et l’extension de la vaccination HPV aux jeunes garçons, sans remettre en cause la présence d’adjuvants à base de sels d’aluminium.

(Lire le rapport E3M, publié en février 2017, intitulé Concertation nationale sur la vaccination : un échec dangereux pour la santé publique et la démocratie.)

Au cours de l’année 2017, certains leaders d’opinion, et particulièrement les Pr Cohen et Lina, se sont répandus dans les médias, encourageant la ministre de la Santé à appliquer le rapport du Pr Fischer. E3M n’a ciblé que 3 interviews dans sa plainte, parmi de nombreuses autres. Leurs interventions médiatiques répétées ont bien évidemment eu une influence dans l’appréhension des risques par les médias, qui ont pu ensuite « rassurer » l’opinion publique…

Le 5 juillet 2017, la ministre Agnès Buzyn annonçait qu’elle proposerait à la représentation nationale d’élargir l’obligation vaccinale à 11 pathologies. Le projet de loi fut débattu début novembre 2017. Pour emporter l’adhésion des parlementaires, la ministre, soutenue par le rapporteur de la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée Nationale, Olivier Véran, s’appuya sur les résultats de la « concertation citoyenne ».

En outre, elle n’hésita pas à diffuser plusieurs fausses informations, ce qu’E3M dénonça dans un communiqué, malheureusement très peu relayé dans la presse alors même qu’il s’agissait d’une manipulation de l’opinion.

L’Assemblée Nationale, puis le Sénat, votaient ensuite ces mesures, et le 1er janvier 2018 se mettait en place l’obligation vaccinale contre 11 pathologies, avec des vaccins contenant pour la plupart des sels d’aluminium. En 2020, la vaccination contre le HPV des garçons âgés de 11 à 14 ans intégrait le calendrier vaccinal, le Gardasil et le Cervarix contenant un adjuvant aluminique…

Ce rappel du déroulé des événements met en évidence le fait que la présence médiatique des leaders d’opinion Cohen et Lina répondait à un objectif clair : soutenir la politique vaccinale définie par le Pr Fischer et promue par la ministre de la Santé Agnès Buzyn. Seul problème : ces « experts » avaient caché leurs liens (très importants) avec l’industrie pharmaceutique. Nous les avons exposés à la lumière dans notre communiqué du 29 juillet 2022.

Conflits d’intérêts = danger pour la santé et pour la démocratie

« Savoir qui parle, pour permettre de distinguer les vessies de la communication des lanternes de l’information, n’est pas un point de détail en matière d’information et particulièrement d’information de santé » 

(Formindep(([3] Formindep = association de lutte contre les conflits d’intérêts dans le monde médical)) – 2009).

Rappelons en effet que tout lien d’intérêt, même minime, génère une relation de subordination ou tout au moins de connivence entre l’entreprise et le bénéficiaire des versements.

Le président de l’Ordre des médecins lui-même précise en outre que « plus le nombre de liens spécifiques établis avec un industriel dans le cadre d’actions concordantes sera important, plus la question de l’indépendance du praticien se posera avec acuité »

(Patrick Bouet – 2016).

« Les études montrent que les leaders d’opinion jouent un rôle majeur en crédibilisant les messages des laboratoires (…). Cela s’inscrit dans une « stratégie globale d’influence » de la part de l’industrie pharmaceutique, comme l’indique l’IGAS dans un rapport de 2007 »

(Prescrire – 2008).

Cela est d’autant plus important que « les leaders d’opinion des firmes pharmaceutiques irriguent et contrôlent, sous la dénomination d’experts, l’ensemble du milieu sanitaire, la formation des étudiants, la formation continue des professionnels, l’expression médiatique vers le public et les usagers de soins, les décisions et la direction des agences sanitaires, les cabinets ministériels, etc. »

(Formindep – 2011).

« Ces liens d’argent savamment entretenus par les laboratoires pharmaceutiques avec le monde de la médecine sont à l’origine de conflits d’intérêts qui entachent la plupart des scandales sanitaires », rappelle Stéphane Horel

(Le Monde, 2020).

La confession, tardive mais lucide, du PDG de Lilly

« J’ai vendu mon âme au diable », reconnaît John Virapen, ancien PDG du laboratoire Lilly en Suède, dans son livre traduit, préfacé et commenté par le Pr Philippe Even en 2014(([4] John Virapen – Médicaments effets secondaires : la mort – Editions du Cherche-Midi, 2014.)). Quelques extraits illustrent ce terrible aveu qui ne peut nous laisser indifférent :

« Les leaders d’opinion ne s’appuient pas nécessairement sur des preuves irréfutables et vont parfois jusqu’à en fabriquer ou en sélectionner de fausses. Les soi-disant leaders d’opinion (…) sont payés pour donner et diffuser un avis favorable sur les médicaments, d’abord oralement, à la tribune des congrès organisés et financés pour cela par l’industrie pharmaceutique, et surtout par écrit dans les journaux scientifiques largement commandités par l’industrie (aucun ne peut survivre sans elle).»

« Savez-vous qu’il y a sur le marché des médicaments dont l’autorisation n’a été obtenue que par la corruption financière des experts ? J’ai aussi corrompu des décideurs politiques ou de la haute administration de santé. Les autorités sont corruptibles, les experts sont corruptibles et les médecins aussi. Et comme ils sont corruptibles, quelques-uns, qui se trouvent à un moment donné dans une position décisionnelle clé, sont corrompus ».

« Ces médecins étaient de ceux qu’on appelle les leaders d’opinion, choisis et financés par nous en raison de leur complaisance pour diffuser les avis les plus favorables sur nos nouvelles molécules, donc évidemment pas en les convainquant de leurs qualités, mais tout simplement en les payant. Très cher. »

« Ne croyez pas une seconde que les compagnies pour lesquelles j’ai travaillé soient des cas isolés et je ne suis pas moi-même un cas isolé. Tout le système fonctionne de cette façon et les bénéficiaires de ces enveloppes ne sont pas non plus, et très loin de là, des cas isolés. C’est une pratique quotidienne dans l’industrie pharmaceutique. Une pratique de marketing normale. »

Des médias bien silencieux

Aucun journaliste digne de ce nom ne peut ignorer la pratique du lobbying par l’industrie pharmaceutique. Les journalistes spécialisés en santé et les journalistes d’investigation connaissent les actes de corruption dévoilés par John Virapen, mais aussi la « fabrique du mensonge »(([5] Voir le livre éponyme de Stéphane Foucart paru en avril 2014 aux éditions Gallimard Folio.)), une pratique de l’industrie visant à contrer une science qui pourrait les empêcher de poursuivre leurs activités.

Le communiqué de presse que nous avons diffusé le 29 juillet 2022 a été repris par la presse spécialisée (APMnews, Quotidien du Médecin, JIM, Hospimedia), avec relai par des médias Lyonnais du fait de la notoriété du Pr Lina dans sa région (Fr3, Lyon capitale, Tribune de Lyon). Nous nous en réjouissons, même si le contenu de certains articles nécessiterait une réponse, voire un débat.

Mais aucun média généraliste national ne s’en est fait l’écho, à notre connaissance. Aucun article de fond n’a été publié. N’est-il pourtant pas question de transparence, d’information « libre et non faussée » des citoyens, des sujets de la plus haute importance en démocratie ? N’est-il pas important d’informer le public que, pour la première fois, une sanction a été appliquée en application de l’article L 4113-13 du Code de Santé Publique, qui vise justement à protéger les citoyens de l’influence de l’industrie pharmaceutique ?

Nous pourrions imaginer que les rédactions soient toutes en vacances… Mais sans doute est-il plus juste de l’écrire au singulier :

Il y a une vacance totale du journalisme sur le sujet de la vaccination et nous le constatons depuis 2018.

Auparavant, les communiqués d’E3M étaient régulièrement repris dans la presse écrite, E3M ou les chercheurs spécialisés sur le sujet étaient invités dans des émissions radios ou sur des plateaux de télévision. Bref, le sujet « aluminium vaccinal » était un sujet de société, ce qui est logique dans la mesure où toute la population est concernée par cet acte de santé publique !

Depuis 5 ans, les portes de quasiment tous les médias se sont refermées.

https://www.sciencedirect.com/
science/article/abs/pii/S1568997219301090?via%3Dihub

Et pourtant, le dernier article scientifique de l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier et de la Dr Crépeaux, publié en 2019 dans une revue à comité de lecture, présente « des preuves épidémiologiques, cliniques et expérimentales comme quoi l’EM/SFC [Encéphalomyélite Myalgique / Syndrome de Fatigue Chronique] constitue un type majeur d’effet indésirable des vaccins, en particulier ceux contenant des adjuvants aluminiques particulaires peu dégradables » (Version originale – Version française). Parmi les adhérents d’E3M malades d’EM/SFC, 96% sont en invalidité, dont les ¾ en invalidité totale. De plus, d’autres pathologies pourraient être induites par les adjuvants aluminiques, sous réserve d’études complémentaires (scléroses en plaques, scléroses latérales amyotrophiques, troubles du neurodéveloppement…). Un sujet secondaire qui ne justifie pas une information large du public ?

De l’aluminium vaccinal à la crise de la Covid

Ce silence des médias recouvre maintenant la crise du Covid.

  • Comment la plupart des journalistes ont-ils pu accepter sans sourciller, sans questionner, sans enquêter que le gouvernement interdise aux médecins généralistes de prendre en charge leurs patients avec des traitements de première intention,
  • Comment admettre qu’il impose des mesures de confinement de toute la population,
  • Comment accepter qu’il rende obligatoire (ne jouons pas sur les mots) l’injection de vaccins expérimentaux dont on ne connaissait rien notamment sur les effets indésirables à moyen et long terme, comme nous l’avons écrit à plusieurs reprises (rappel de la position d’E3M), et ceci sans débat parlementaire ?
  • Comment ont-ils pu ne pas analyser d’un œil critique les essais menés par les fabricants avant la mise sur le marché ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas réclamé la composition précise de ces vaccins, alors que des effets indésirables graves et nombreux leur sont imputables, nécessitant que soient compris au plus vite les processus physiologiques qui pourraient les expliquer, notamment pour soigner les malades ?
  • Pourquoi n’ont-ils pas interrogé la décision du gouvernement de suspendre des personnels non-vaccinés et de les laisser sans aucun revenu ?
  • Comment ont-ils pu se taire face aux actes de censure menés tant par les pouvoirs publics (vis-à-vis de scientifiques et professionnels de santé) que par les GAFAM (fermeture de comptes, blocage de vidéos, etc.) ?

Nous-mêmes sommes aussi visés par cette censure, puisque Youtube a bloqué notre documentaire L’aluminium, les vaccins et les deux lapins…, ainsi que des interviews de chercheurs dont le Pr Christopher Exley, spécialiste international de la toxicité de l’aluminium.

Silence total de la presse, aucun média n’a relayé notre communiqué. Tout ceci est littéralement inconcevable… Il y a 50 ans, on entendait Il est interdit d’interdire. Le retour de balancier est brutal !

Le réveil des journalistes est urgent, il en va de notre démocratie

E3M serait-elle devenue complotiste et anti-vaccinale ? Non, simplement et comme toujours, elle utilise son bon sens, s’appuie sur l’analyse des faits, notamment scientifiques, et reste habitée par une volonté profonde de justice.

Il est indispensable de connaître les éventuels liens d’intérêts de ceux qui passent par les médias pour nous convaincre de la justesse de leur analyse, de leur position, de façon à ne pas prendre « des vessies pour des lanternes ». Nous demanderons à l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) qu’elle fasse respecter la loi et veille à ce que les journalistes interrogent leurs invités sur leurs éventuels liens d’intérêts.

Dans le domaine qui est le nôtre (adjuvant aluminique), nous resterons vigilants à ces déclarations préalables à toute intervention médiatique et nous n’hésiterons pas à engager (avec le soutien de tous ceux qui veulent être à nos côtés) de nouvelles procédures.

Mais les médias doivent réagir sans tarder. L’argent qu’ils reçoivent de l’État les oblige à une éthique irréprochable et ils se doivent de respecter la Charte de déontologie de Munich. C’est leur rôle, lorsqu’ils reçoivent un expert, d’éclairer les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs sur son degré d’indépendance vis-à-vis des lobbies ! Sinon, ils sont complices de désinformation. Ils doivent en outre diffuser et expliquer les analyses de TOUTES les parties prenantes, y compris bien évidemment celles qui expriment une analyse critique de l’action gouvernementale ou institutionnelle.

Nous interpellons les journalistes : vous devez retrouver au plus vite votre liberté de pensée et de parole, imposer dans vos rédactions la prise en compte des opinions minoritaires, favoriser la pluralité du débat, vérifier les sources de vos interlocuteurs. Et si quelqu’un cherche à vous en empêcher, les citoyens seront à vos côtés.

Il en va de notre démocratie. Tout simplement.

Didier Lambert
Président E3M
Membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance ANSM de septembre 2019 à juin 2021
Août 2022

Pour soutenir l’action d’E3M : https://www.vaccinssansaluminium.org/faire-un-don/

Notes et sources




La culture WOKE : l’arbre qui cache la forêt

[Source : @Kairospresse]

Débarqué dans le sillage des mouvements MeToo et Black Lives Matter, le mouvement Woke (de l’anglais « To wake », s’éveiller) s’attaque à toutes celles et ceux qui ne respecteraient pas les codes de l’antiracisme et de l’antisexisme. De l’écriture inclusive à l’installation de toilettes transgenres, de l’élimination de certains mots trop « connotés » à la révision de pans entiers de l’ histoire, rien n’échappe à la vigilance de ce mouvement qui se drape dans les meilleures intentions du monde : la lutte contre les discriminations en tous genres et l’antiracisme. Mais que se cache-t-il exactement derrière cette nouvelle mode idéologique ? 



[Voir aussi :
L’Internationale woke s’en prend aux enfants
Déconstruction : les dessous de l’attaque des « Woke » contre la science
L’idéologie woke saborde l’identité culturelle du Canada
Sept signes d’alerte indiquant que quelqu’un que vous connaissez est en train de devenir « woke »
La star hollywoodienne Kirstie Alley dit qu’elle croit que les démocrates et la foule « woke » sont déterminés à normaliser la pédophilie auprès des masses
Le wokisme est plus une idéologie religieuse que politique]




États-Unis — Un raid de la police fédérale contre des fermiers amish accusés de ne pas passer par les circuits traditionnels de distribution

[Source : breizh-info.com]

Aux États-Unis également, l’État fédéral cherche à contrôler toujours plus sa population. Récemment, la ferme biologique de M. Miller à Bird-in-Hand, en Pennsylvanie, a été perquisitionnée par des agents fédéraux armés. Ils ont exigé que la ferme, tenue par des membres de la communauté amish, cesse ses activités et les autorités ont décidé de paralyser économiquement l’entreprise en lui infligeant plus de 300 000 dollars d’amendes.

Le gouvernement indique que la ferme ne respecterait pas les exigences réglementaires fédérales en matière d’alimentation. Pourtant, comme l’indique le responsable de la ferme, tous les animaux de la ferme ont une alimentation entièrement biologique et ne mangent que des plantes sauvages, des fleurs et des insectes dans leurs pâturages.

Une petite ferme Amish contre le gouvernement fédéral

La ferme, située dans un village amish isolé de Bird-in-Hand, en Pennsylvanie, existe depuis près de 30 ans. Elle fonctionne selon des pratiques agricoles vieilles de plusieurs siècles. Sa ferme n’utilise pas d’électricité, pas de tracteurs, pas de diesel, pas d’essence, et produit des rendements exceptionnels entièrement naturels que les gens sont prêts à payer le prix fort pour acheter.

Cependant, un juge fédéral a statué que malgré son marché fermé réservé à ses membres, il doit avoir des inspecteurs de l’USDA pour ses processus d’abattage de bœuf et de bovins. Miller ne veut pas utiliser les antibiotiques pharmaceutiques réglementés et obligatoires, ni les autres processus réglementaires exigés par l’USDA. Le patron de la ferme avait attiré l’attention des autorités fédérales pour la première fois en 2016, lorsque la Food and Drug Administration a déclaré avoir identifié la Listeria dans des échantillons du lait cru de Miller ; l’agence a constaté que la Listeria était génétiquement similaire à la bactérie trouvée chez deux personnes qui ont développé une listériose — dont l’une est décédée — après avoir consommé du lait cru.

Les avocats du gouvernement affirment que Miller fait preuve d’une « volonté singulière et historique de bafouer les lois fédérales d’application générale sur la sécurité alimentaire adoptées démocratiquement “. Plus précisément, il s’est opposé au droit de regard des services d’inspection et de sécurité alimentaire de l’USDA, qui doivent s’assurer que la viande et la volaille vendues dans le commerce sont sûres, saines et correctement étiquetées et emballées.

M. Miller avait auparavant accepté de faire appel à un abattoir inspecté par le gouvernement fédéral pour traiter sa viande, mais il a cessé de le faire parce qu’il s’opposait à l’utilisation d’acide citrique antimicrobien. Miller affirme que les réglementations et les inspections rendent les aliments moins sûrs, et non plus sûrs.

Michael Yoder, journaliste et client de longue date de la ferme d’Amos Miller et a suivi de près l’affaire pour un journal local. ‘Je pense qu’ils veulent utiliser Amos comme un exemple’, a déclaré Yoder.

Il explique que le gouvernement veut s’assurer que d’autres agriculteurs ne tentent pas de reproduire ce que la ferme de Miller a réussi à faire.


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« Miller vend sa viande et ses produits laitiers directement au consommateur, sans que le gouvernement ne joue le rôle d’intermédiaire. Le gouvernement n’a pas autant de contrôle sur ce type d’opération », explique Yoder « Amos Miller m’a expliqué que parce que sa ferme n’utilise pas d’engrais chimiques, d’herbicides ou de semences brevetées, qui sont principalement fabriqués par des géants de l’industrie ayant des liens étroits avec le gouvernement, ces derniers utilisent le pouvoir du gouvernement pour le faire fermer ».

« Les entreprises américaines prennent le pouvoir et placent des gens au sein de notre gouvernement… Elles ont le gouvernement de leur côté et font en sorte qu’il soit plus difficile pour les agriculteurs d’être des agriculteurs », a déclaré Amos Miller.

M. Miller fait valoir que parce qu’il vend à ce qu’il appelle un « club alimentaire privé » et non au marché libre, certaines règles et réglementations du gouvernement fédéral ne s’appliquent pas à lui. Les clients achètent de la viande et des produits laitiers de sa ferme explicitement parce que sa nourriture n’est pas traitée et fabriquée dans des installations industrielles géantes, mais qu’elle est cultivée, nourrie et traitée ici même, sur la terre.

« Certains viennent de Floride, de Californie, de Caroline du Nord, en fait de tout le pays parce qu’ils recherchent des aliments à forte densité nutritionnelle comme la viande crue et le lait de bufflonne cru… et ils nous font confiance parce que nous gardons nos animaux dans les pâturages et qu’ils peuvent voir la couleur de la graisse du bœuf et la couleur distincte du lait… cette couleur provient de la densité nutritionnelle des animaux qui se nourrissent d’herbe« , a expliqué Miller à Rebel News.

M. Miller, qui prépare les aliments comme Dieu l’a voulu selon lui, fournit tout, du bœuf et du fromage nourris à l’herbe au lait cru et aux œufs biologiques, à un club alimentaire privé comptant près de 4 000 membres. Il risque désormais, en plus de l’amende colossale, une peine de prison potentielle pour avoir simplement exercé sa liberté religieuse de cultiver des aliments conformément à ses croyances.

Amos, bien qu’il ait été perquisitionné par des marshals américains armés et qu’il risque des centaines de milliers de dollars d’amendes, a expliqué que les agriculteurs doivent rester forts. « Nous, les agriculteurs, devons rester unis et forts, et nous ne pouvons pas nous contenter de suivre les règles et règlements du gouvernement« , a-t-il ajouté.

Une pétition a été lancée pour soutenir la ferme et la solidarité entre Amish mais aussi entre fermiers alternatifs s’organise.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




L’histoire fasciste de l’OTAN

[Source : histoireetsociete.com]

Ce n’est pas un hasard si la refascisation de l’Europe projet consciemment mené au nom de l’OTAN et de l’UE décrit ici est passé par une négation de l’histoire qui s’est menée non seulement dans la presse mais dans les manuels de nos écoliers. Il s’est agi non seulement de créer l’équation Staline, Mao égale Hitler mais d’inculquer la perte des repères concernant les conflits impérialistes. La notion conceptuellement inopérante de totalitarisme a recouvert cette opération négationniste. Les “élites” sur lesquelles s’appuyer pour une telle opération ont été sélectionnées pour leur passé personnel ou familial proche de l’Allemagne nazie le tout aboutissant à ce qui est à l’œuvre aujourd’hui : un impérialisme de pillage des ressources qui avance avec une idéologie néocoloniale suprématiste occidentale qui en font l’alpha et l’oméga du bien contre le mal avec ses deux nouveaux ennemis le terrorisme et l’autoritarisme destiné à masquer toute action contre le droit souverain des Etats et ce qui rend un nouveau monde possible, l’existence d’Etats socialistes avec un parti communiste à leur tête. Partout en France comme ailleurs, la destruction des Partis communistes s’est opérée par une forme de liquidation historique appuyant ce qui se faisait au niveau de l’OTAN.

(note de Danielle Bleitrach)

Source : L’histoire fasciste de l’OTAN | Al Mayadeen Français

Par Tim Anderson

Ces dernières années, l’OTAN – essentiellement les États-Unis et l’Europe occidentale – a mis à nu ses racines fascistes par de multiples interventions sur quatre continents.

L’histoire fasciste de l’OTAN

Ces dernières années, l’OTAN – essentiellement les États-Unis et l’Europe occidentale – a mis à nu ses racines fascistes par de multiples interventions sur quatre continents. Les États de l’OTAN ont soutenu des coups d’État fascistes au Venezuela, au Honduras et en Bolivie, imposé des blocus à des dizaines de pays, fomenté le terrorisme sectaire Al-Qaïda/ISIS/Boko Haram pour déstabiliser la Libye, l’Irak, la Syrie et le Nigeria, et arment maintenant des gens ouvertement néonazis en Ukraine.

Tout cela semble en contradiction avec l’image de soi fortement promue par les États de l’OTAN: en tant que modèles de libéralisme et de valeurs démocratiques, allant même jusqu’à donner des conseils à d’autres pays sur ce thème. Ils prétendent avoir combattu à la fois le fascisme et le communisme. Pourtant, c’est l’impérialisme et le colonialisme européens et nord-américains qui ont jeté les bases du fascisme du 20e siècle.

Depuis la Seconde Guerre mondiale – un conflit de masse qui a coûté la vie à plus de 70 millions de personnes – Washington et les Européens de l’Ouest ont fait de grands efforts pour cacher les contributions et les sacrifices de l’Union soviétique (principalement la Russie) et de la Chine, des nations qui ont perdu plus de vies pendant la 2e guerre mondiale que toute autre.

En effet, en 2019, le Parlement européen est allé jusqu’à blâmer à la fois l’URSS sous Joseph Staline, aux côtés de l’Allemagne nazie sous Adolf Hitler, comme étant conjointement responsable de la 2e guerre mondiale. Cette résolution affirmait que « la Seconde Guerre mondiale […] a été lancé à la suite immédiate du tristement célèbre traité nazi-soviétique sur la non-agression du 23 août 1939.

Si ce n’était pas entièrement cynique, c’était une auto-tromperie extraordinaire, et le point culminant d’une longue campagne où les dirigeants socialistes Staline et Mao Zedong ont été présentés, pendant des décennies, comme des équivalents moraux du fasciste d’Europe occidentale Adolf Hitler.

Cette tromperie a utilisé de fausses affirmations selon lesquelles Staline et Mao avaient provoqué des famines qui ont tué des millions de personnes. En fait, les famines en Ukraine et en Chine étaient les dernières d’un long cycle de famines de l’ère présocialiste. L’historien américain Grover Furr a démystifié le mythe selon lequel la famine ukrainienne de l’Holodomor était un acte délibéré de Staline.

De même, l’affirmation selon laquelle la 2e guerre mondiale était le « résultat immédiat » du « pacte de non-agression » germano-soviétique est un mensonge total. Il y avait un certain nombre d’accords européens similaires avec l’Allemagne nazie avant cela, et plusieurs étaient plus substantiels.

L’accord naval anglo-allemand de 1935, par exemple, a aidé l’Allemagne à reconstruire sa flotte, tandis que la Grande-Bretagne, la France et l’Italie ont concédé la revendication de Berlin sur une partie de la Tchécoslovaquie, dans le Pacte de Munich de 1938. Ensuite, il y a eu les collaborations fascistes actives entre l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie, y compris le Pacte d’acier italo-allemand.

Une grande partie de la collaboration fasciste de l’Europe a fusionné sous un pacte anti-Komintern créé par l’Allemagne nazie et le Japon en 1936 pour s’opposer aux États communistes. Ce pacte a ensuite attiré le soutien de l’Italie, de la Hongrie, de l’Espagne et, pendant la guerre, de la Bulgarie, de la Croatie, du Danemark, de la Finlande, de la Roumanie et de la Slovaquie. Le fascisme s’est enflammé dans toute l’Europe dans les années 1930 et 1940. Les principaux accords européens avec l’Allemagne nazie sont présentés ci-dessous, dans le tableau 1.

Tableau 1 : Principaux accords européens avec l’Allemagne nazie

1933, 20 juillet
Concordat avec le Vatican
Reconnaissance mutuelle et non-ingérence
https://www.concordatwatch.eu/reichskonkordat-1933-full-text–k1211 

1933, 25 août
Accord haavara avec les sionistes juifs
allemands Accord pour transférer le capital et le peuple en Palestine
https://www.jewishvirtuallibrary.org/haavara 

1934, 26 January
German-Polish Non-Aggression Pact
To ensure that Poland did not sign a military alliance with France.
https://avalon.law.yale.edu/wwii/blbk01.asp 

1935, 18 June
Anglo-German Naval Agreement
Britain agreed to Germany expanding its navy to 35% the size of the British.
https://carolynyeager.net/anglo-german-naval-agreement-june-18-1935  

1936, July
Nazi Germany aids fascists in Spain
Hitler sent air and armored units to assist General Franco.
https://spartacuseducational.com/SPgermany.htm 

1936
Rome-Berlin Axis agreement
Italian – German fascist and anti-communist alliance.
https://www.globalsecurity.org/military/world/int/axis.htm 

1936, Oct-Nov
Anti-Comintern Pact
Anti-communist treaty, initiated by Nazi Germany and Japan in 1936 and which later drew in 9 European states: Italy, Hungary, Spain, Bulgaria, Croatia, Denmark, Finland, Romania and Slovakia

1938, 30 September 
Munich Pact
Britain, France, and Italy concede Germany’s Sudetenland (Czech) claims.
https://www.britannica.com/event/Munich-Agreement 

1939, 22 May
Pact of Steel
Consolidates the 1936 Italian German agreement.
https://ww2db.com/battle_spec.php?battle_id=228  

1939, 7 June 
German–Latvian Non-Aggression Pact
Sought peace with Nazi Germany.
https://www.jstor.org/stable/43211534 

1939, 24 July
German–Estonian Non-Aggression Pact
Sought peace with Nazi Germany.
https://www.jstor.org/stable/43211534 

1939, 23 août
URSS (Molotov-Ribbentrop) Pacte
de non-agression Recherché la paix avec l’Allemagne nazie, protocole défini des sphères d’influence.
https://universalium.en-academic.com/239707/German-Soviet_Nonaggression_Pact 
 

Qu’est-ce que le fascisme ? Le terme est utilisé beaucoup trop fréquemment, mais il a un sens réel. Nous ne pouvons pas être piégés par des histoires particulières du fascisme du 20ème siècle – des éléments conceptuels doivent être identifiés.

Le fascisme est un régime colonial fortement militarisé, antidémocratique et raciste qui s’engage avec une oligarchie capitaliste privée. Alors que le fascisme primaire est un projet impérial, il y a aussi un fascisme subordonné dans les anciennes colonies comme le Brésil et le Chili, qui s’intègre au pouvoir impérial de l’époque. Les régimes fascistes sont particulièrement hostiles aux États et aux peuples socialistes et indépendants. Ils ne diffèrent des régimes d’extrême droite qu’en écrasant ouvertement tout semblant de démocratie sociale et politique. Les cultures et les interventions impériales, qui nient toujours et partout la possibilité d’une démocratie locale ou d’une responsabilité, sont intrinsèquement fascistes et restent à l’origine du fascisme contemporain.

Le fascisme de l’OTAN a été construit par l’histoire impériale et coloniale de nombreux États européens (mais pas tous), où l’écrasement des communautés et des nations locales était justifié par des théories fabriquées de toutes pièces sur la race et la supériorité raciale. Le déni de cette histoire colonialo-fasciste a conduit à suggérer que, comme l’a dit un documentaire russe, la montée d’Hitler était « quelque chose d’atypique des démocraties européennes ; la doctrine du Führer des races supérieures et inférieures est plutôt apparue de nulle part en Europe en raison d’une tournure malheureuse des événements.

En fait, le fascisme de l’Allemagne nazie avait des racines profondes dans l’histoire et la culture coloniales européennes. Comme le souligne le livre de Gerwin Strobl « L’île germanique », Adolf Hitler lui-même était un grand admirateur de la « cruauté » de l’Empire britannique et rêvait de telles réalisations. Pour leur part, les États-Unis ont construit des mythes de « liberté » tout en dirigeant la plus grande économie esclavagiste de l’histoire de l’humanité. Comme l’a dit le grand chef de la résistance latino-américaine Simon Bolivar il y a deux siècles : « Les États-Unis semblent être destinés par la Providence à tourmenter l’Amérique de misère au nom de la liberté. »

Au-delà de « l’apaisement » européen de l’Allemagne nazie, il y avait une collaboration active entre l’Europe et l’Amérique du Nord et les fascistes avant, pendant et après la 2e guerre mondiale.

Tout d’abord, l’accord naval anglo-allemand de 1935 a aidé à réarmer l’Allemagne nazie, rompant avec les limites du traité de Versailles de 1919 sur les navires et les sous-marins allemands, mais prétendant garder la marine allemande une fraction des Britanniques. Ensuite, plusieurs entreprises nord-américaines, notamment General Motors, Ford et IBM, ont investi directement dans l’économie, l’infrastructure et l’armée du régime nazi. Il y avait beaucoup d’admirateurs nord-américains et britanniques influents des nazis. À l’approche de la 2e guerre mondiale, les banquiers britanniques ont acheminé de l’or tiers (tchèque) dans les banques contrôlées par les nazis.

Ford a aidé la machine de guerre nazie avant et pendant la 2e guerre mondiale par le biais de ses usines de véhicules automobiles en Allemagne et de la France occupée de Vichy. Elle a utilisé le travail forcé allemand des camps de concentration nazis, bien que l’entreprise se soit plainte plus tard qu’elle n’avait aucun contrôle sur ces régimes de travail. Alors que la société Ford luttait pour échapper à ces allégations, les responsables polonais et les anciens détenus ont nommé Ford comme « l’une des 500 entreprises qui avaient des liens avec [le travail forcé du camp de la mort nazi] Auschwitz ». IBM, une société du « New Deal » proche de l’administration Roosevelt, a également investi dans l’Allemagne nazie dans les années 1930 et dans les premières années de la guerre, aidant à construire des systèmes d’information nazis.

Les Suisses ont vendu des millions d’armes aux nazis, avant et pendant la 2e guerre mondiale. Malgré des prétentions de neutralité, entre 1940 et 1944, « 84% des exportations suisses de munitions sont allées vers les pays de l’Axe ». Pourtant, selon le chercheur Bradford Snell, « General Motors était beaucoup plus important pour la machine de guerre nazie que la Suisse. GM faisait partie intégrante de l’effort de guerre allemand ».

Les investissements nord-américains et européens dans les nazis et la collaboration avec eux se sont poursuivis pendant la 2e guerre mondiale. L’un de ces aspects était le désir de participer à ce qui était, entre 1940 et 1942, « un boom spectaculaire de l’investissement, principalement orienté vers l’élargissement de la base industrielle pour la guerre ». Sans doute cela a-t-il encouragé Ford et GM à continuer à collaborer avec Hitler.

Après 1939-40, lorsque l’Allemagne nazie avait envahi une grande partie de l’Europe occidentale, Berlin comptait sur le soutien de nombreux États fascistes et collaborationnistes européens, ainsi que de volontaires civils. Parallèlement à son alliance avec l’Italie fasciste, l’Allemagne nazie pouvait compter sur le soutien de l’Espagne fasciste, malgré la prétendue politique de neutralité du général Franco.

Ensuite, il y a eu les États pro-fascistes mis en place par les nazis, la France de Vichy et le régime de Quisling en Norvège. Les Allemands ont créé plusieurs divisions SS, avec des dizaines de milliers de volontaires pro-fascistes volontaires, aux Pays-Bas, en Croatie et en Albanie. La France de Vichy sous le héros de la Première Guerre mondiale, le maréchal Pétain, a promulgué une loi raciste anti-juive (Statut des Juifs) qui a fait des Juifs des citoyens de seconde classe en France et donc plus facilement soumis aux prédations nazies. Le régime fasciste de Vidkun Quisling a également encouragé la participation aux divisions SS locales, aidé à déporter le peuple juif et exécuté des patriotes norvégiens.

Le roi danois Christian X a peut-être été amical avec la communauté juive, mais il ne s’est pas opposé aux nazis. Il est souvent affirmé à tort que le roi Christian “a revêtu l’étoile de David par solidarité avec les Juifs danois”. C’est tout à fait faux. En réalité, le régime danois s’est opposé aux activités de résistance et a partagé des renseignements avec les nazis. L’un des facteurs de cette collaboration était que le Danemark était “techniquement un allié de l’Allemagne”. Sous la pression, ils avaient signé le pacte anti-cominternes. Malgré de grands efforts pour aseptiser cette histoire, en 2005, le Premier ministre danois Rasmussen a présenté des excuses au nom du Danemark pour l’extradition de minorités et de figures de la résistance vers l’Allemagne nazie, dont beaucoup ont été envoyés à la mort.

Une collaboration nazie substantielle a eu lieu dans tous les États baltes: la Lettonie, la Lituanie et l’Estonie avaient toutes des divisions Waffen SS. Avec des collaborateurs nazis ultranationalistes en Ukraine, ils ont joué un rôle clé dans les massacres locaux de communistes, de Juifs et de Tsiganes. 

Entre 1941 et 1944, des centaines de milliers de personnes ont été massacrées en Ukraine, souvent par des collaborateurs nazis ultra-nationalistes locaux, comme Stepan Bandera. L’historien russe Lev Simkin affirme que “dans la pratique, l’holocauste des Juifs a commencé en Ukraine”, avec l’invasion de l’Union soviétique en juin 1941. Les massacres sont liés à la vision paranoïaque qu’avait Hitler des dangereux Juifs bolcheviques. Les massacres de Juifs à Kiev, Lvov, Kherson et dans d’autres régions d’Ukraine ont été bien répertoriés. Ce sont quelques-uns des sites où se déroulent actuellement les combats entre la Russie et les néonazis ukrainiens. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la majeure partie de la population juive de l’Ukraine, qui comptait environ 1,5 million de personnes avant la guerre, a été “anéantie”. 

Des études universitaires ont montré une « participation massive de ressortissants baltes au meurtre de Juifs dans l’Holocauste ». Plusieurs dizaines de milliers de Juifs ont été tués en Lettonie, en Lituanie et en Estonie, en grande partie par des mains locales. Il y a eu une forte réaction à la révélation de cette horrible histoire de collaboration fasciste. La Lituanie, par exemple, voudrait cacher sa « vilaine histoire de collaboration nazie » en accusant les partisans juifs de crimes de guerre.

Dans toute l’Europe, il y a eu une participation à grande échelle au massacre fasciste. En Hongrie, le dirigeant nazi Adolf Eichmann aurait « dépendu de la collaboration des autorités hongroises » pour expulser plus de 400 000 Juifs hongrois vers les camps de la mort.

Tout cela souligne le fait que la 2e guerre mondiale, du côté européen et nord-américain, n’était pas fondamentalement une lutte contre le fascisme, même si ces États ont combattu un « Axe » fasciste. La guerre était plus une compétition entre blocs impériaux, avec la coalition dirigée par Hitler déterminée à coloniser « l’espace vital » (lebensraum) à l’est. La lutte des patriotes en Europe de l’Est et en Russie, ainsi qu’une grande partie de la résistance occidentale, était certainement antifasciste. Ceux qui dirigeaient les États occidentaux, cependant, n’étaient pas des idéalistes.

Après la 2e guerre mondiale, les États-Unis ont immédiatement cherché à tirer parti de la science et de la technologie nazies dans leur « guerre froide » ultérieure contre le bloc socialiste émergent. Les puissances alliées ont écrasé les forces antifascistes en Grèce et occupé militairement l’Allemagne de l’Ouest. L’Union soviétique, pour sa part, s’assurait de dominer ces voisins proches, qui avaient été les plus profondément ancrés dans ses ennemis fascistes: en particulier les États baltes, l’Ukraine et l’Allemagne de l’Est.

Les États-Unis ont commencé un projet de recrutement secret de scientifiques nazis pour leur machine de guerre. L’utilisation nord-américaine du spécialiste allemand des fusées Werner Von Braun est souvent citée en référence au projet spatial pacifique Apollo. Cependant, Von Braun était un officier SS qui avait trié sur le volet le travail forcé dans les camps de concentration. L’armée américaine le voulait pour son expertise en matière de fusées et de missiles. Dans le cadre de l’opération secrète mais désormais notoire « Paperclip », des milliers de scientifiques nazis ont été recrutés et ont trouvé refuge aux États-Unis, pour leur valeur dans la construction de l’armée américaine. Le Pentagone s’intéressait particulièrement au développement nazi de « tout un arsenal d’agents neurotoxiques » et au travail d’Hitler vers « une arme bubonique contre la peste ».

Malgré toutes leurs plaintes ultérieures concernant d’autres États possédant des armes de destruction massive (ADM), l’armée américaine voulait tous les types d’armes de destruction massive à sa disposition. Et ils étaient prêts à les utiliser contre les populations civiles, comme l’ont montré leurs attaques biologiques et chimiques en Corée et au Vietnam, et comme l’ont démontré les attaques gratuites et horribles de « démonstration » nucléaire contre les villes civiles japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki. Maîtres du double langage, et avec une doctrine de « déni plausible », les responsables américains cachent leurs propres atrocités autant que possible.

Émergeant comme la puissance dominante après la 2e guerre mondiale, Washington, qui avait utilisé des tactiques fascistes – invasions, coups d’État, guerres sales – pour intervenir dans la plupart des autres pays des Amériques, a commencé à employer ces mêmes méthodes sur d’autres continents. Ainsi, la terrible guerre en Corée a conduit à une occupation militaire américaine permanente dans le sud de la péninsule, le gouvernement démocratique de l’Iran a été renversé et remplacé par une dictature en 1953 et la prochaine terrible guerre « anticommuniste » américaine contre le peuple vietnamien a échoué, seulement après que des millions de personnes aient été massacrées.

Au 21ème siècle, Washington a soutenu de multiples tentatives de coup d’État contre le Venezuela, le plus grand producteur de pétrole des Amériques et historiquement important pour alimenter la machine de guerre américaine. En 2002, les putschistes soutenus par les États-Unis et l’Espagne qui ont enlevé le président élu Hugo Chavez, ont faussement prétendu qu’il avait démissionné, déchiré la constitution, destitué l’Assemblée nationale élue et annoncé le chef de la Chambre de commerce Pedro Carmona, comme président. Carmona n’a duré que deux jours, mais plusieurs tentatives de coup d’État ont suivi. C’était du pur fascisme. Le Venezuela a décidé qu’un État fort, avec une grande milice civile, était nécessaire pour se défendre contre le fascisme implacable soutenu par les États-Unis.

Dans le même temps, craignant la perte de son rôle dominant dans le monde, Washington a lancé de multiples guerres au Moyen-Orient, dans des tentatives futiles de contenir l’influence croissante de l’Iran, de la Russie post-soviétique et de la Chine. Les guerres contre la Palestine, l’Afghanistan, l’Irak, le Liban, la Libye, la Syrie et le Yémen ne font pas l’objet de cet article. Cependant, nous devrions observer l’utilisation par les États-Unis et l’OTAN d’armées massives par procuration, de style Al-Qaïda et ISIS, imprégnées d’idéologie saoudienne sectaire, dans toute la région de l’Asie occidentale et en Afrique, sous la forme de « Boko Haram ».

Dans la guerre de représailles de la Russie contre l’Ukraine en 2022 – provoquée par une guerre post-2014 contre la population russophone de l’est de l’Ukraine et par un renforcement militaire de l’OTAN, destiné à déstabiliser et à affaiblir la Russie – nous voyons une combinaison de la méthode fasciste américaine et de la mentalité coloniale européenne plus ancienne. Les États-Unis maintiennent leur double langage sur la « liberté », tandis que les Européens parlent de classes humaines inférieures. En Ukraine, les ultra-nationalistes comme Azov et Right Sektor se décrivent comme des nazis qui veulent tuer des Russes, des Juifs et des Polonais. L’OTAN et ses médias intégrés tentent de cacher cette horrible réalité.

Florence Gaub, responsable allemande et de l’Union européenne, par exemple, utilise une rhétorique raciste pour déshumaniser le peuple russe : « Même si les Russes ont l’air européens, ils ne sont pas européens, au sens culturel du terme. Ils pensent différemment de la violence ou de la mort. Ils n’ont aucun concept d’une vie libérale, post-moderne, un concept de vie que chaque individu peut choisir. Au lieu de cela, la vie peut simplement se terminer tôt avec la mort. » Les critiques ont appelé cela un retour très allemand au concept nazi de « Untermenschen » ou de races inférieures.

Le fascisme du 21ème siècle est apparu dans de nouvelles circonstances, mais porte les éléments clés du projet du 20ème siècle: un régime impérial, fortement militarisé, profondément antidémocratique et raciste-colonial intégré dans une oligarchie capitaliste privée. Il engendre un fascisme subordonné, tout aussi venimeux que son parent : un projet impérial mondial qui reste l’ennemi principal de tous les peuples démocratiques.Les opinions mentionnées dans cet article ne reflètent pas nécessairement l’opinion d’Al Mayadeen, mais expriment plutôt l’opinion de son auteur exclusivement.




Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion

[Source : Civitas]

[Voir aussi :
UDT Civitas 2022 : transcription de la conférence de Mgr Viganò et de ses réponses aux questions des participants]

[Voir aussi :
Une emprise sur l’Humanité
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




Cyber-naufrage (le djihad du néant)

[Source : LHK]

« La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps.
La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression.

Supprimer le mot “mademoiselle” est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien.

Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilités d’élaborer une pensée.

Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions.

Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée, rendue impossible.

Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe.

L’histoire est riche d’exemples et les écrits sont nombreux de Georges Orwell dans 1984 à Ray Bradbury dans Fahrenheit 451 qui ont relaté comment les dictatures de toutes obédiences entravaient la pensée en réduisant et tordant le nombre et le sens des mots.

Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots.

Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants : faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants.

Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté. Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses “défauts”, abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. Il n’est pas de liberté sans exigences. Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté ».

Christophe Clavé

Cyber-naufrage (le djihad du néant)

Par Slobodan Despot

Nous raisonnons, nous analysons, nous « cherchons », mais nous ne pensons plus. Une science du contrôle et de la communication a transformé le réel en un ensemble de séquences narratives dont il est défendu de s’écarter. D’où ce sentiment que nous avons parfois d’être embarqués à bord d’un train fou.

«Nous n’avons jamais été aussi peu préparés à une catastrophe évidente comme une montagne ; c’est parce que les gens qui sont aux manettes l’ont fait advenir par des actes combinés de malice et de stupidité.»

James Howard Kunstler

Liliane Held-Khawam a récemment eu l’excellente idée de présenter et de republier une réflexion dévastatrice sur la nature de la cybernétique comme science et comme idéologie.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/31/la-guerre-livree-a-lhumanite-la-cybernetique-article-de-stephane-zagdansk/

Un essai de Stéphane Zagdanski, paru en novembre 2021, est tiré du Séminaire sur «La Gestion génocidaire du Globe». «La Cybernétique à l’assaut de l’Homme» est une mise en garde d’une extrême violence contre une religion scientifique qui rêve de se substituer à Dieu et qui manifeste une haine absolue de tout ce qui est vivant, «animal», inquantifiable. Zagdanski souligne — comme nous le faisions en 2020 — que «la crise pandémique contemporaine et sa réaction idéologique qu’est le sanitarisme même sont impensables sans la Cybernétique».
Comme les autres phénomènes de la société industrielle avancée:

« Définie par son fondateur Norbert Wiener en 1948, dans son essai éponyme, comme : “Contrôle et communication dans l’animal et la machine”, la Cybernétique s’est déployée de manière si hégémonique qu’il n’est plus aujourd’hui un domaine intellectuel, social, politique, économique, scientifique, technologique ou idéologique qui n’y soit asservi. »

Stéphane Zagdanski

HAINE DU VIVANT

Je ne vais pas reproduire ici le texte de Zagdanski in extenso, mais il faut le lire. Il n’est pas une phrase, dans cette description d’un «assaut» concerté contre l’être humain, qui ne perturbe les idées reçues et qui ne provoque la réflexion.

«Le mot “cybernétique” est de la même étymologie grecque que “gouvernail“ et “gouverner“ : kubernetikè. La Domination planétaire tire ainsi le plus imparable parti de la Cybernétique, qui n’est pas tant la science des ordinateurs que la modalité moderne, mathématiquement assistée, de ce que Heidegger nomme la Führung, c’est-à-dire la direction impulsée par les «chefs» (les Führers), et de sa doublure d’animosité et d’annihilation à l’encontre de l’animal.»

Stéphane Zagdanski

Pourquoi ce désir d’annihilation?

À cause de la supériorité physique de l’animal sur l’homme, témoignant d’une perfection échappant à tout contrôle et à tout simulacre. Par extension, la part naturelle (ou divine) de l’homme doit elle aussi être annihilée.

«L’irrégulier, l’incertain, le miracle et l’imprévisible sont ses pires ennemis. Et ce que cette science qui se veut exacte vise à son insu, c’est d’emblée ni plus ni moins ce qu’il y a de plus imprévisible au monde: l’inspiration, soit la vraie pensée créatrice qui n’a rien à voir avec l’intelligence, artificielle ou pas.»

Stéphane Zagdanski

(…)

Nous retombons sur le diagnostic à l’emporte-pièce du Dr Peterson : nous sommes dérangés et (littéralement) dégénérés.

Mis en demeure de réfléchir pour de bon, l’homme cybernétique produit des raisonnements d’un simplisme infantile, s’immerge dans la dérive émotionnelle et bafoue les lois élémentaires de la logique et de l’argumentation. Il n’est pas programmé pour ça. Sa pensée vivante a été laissée en jachère. Et l’ironie suprême, c’est que les plus estropiés, souvent, sont justement les mieux «instruits», comme le relève Zagdanski:

«Le point aveugle de ces maniaques, c’est leur concept de base, ce qu’ils appellent “l’intelligence”. Car leur conception de l’“intelligence” n’est jamais remise en question par les promoteurs de l’IA, qui proviennent tous toujours du même sérail mathématico-scientifique (le MIT principalement), capable de bien des choses (ils envoient des hommes sur la lune et des drones sur Mars), mais de penser créativement, jamais. (…) C’est de la caboche de ces centaines d’intelligents utiles du MIT qu’est issue l’immonde figure du monde dans lequel nous sommes engeôlés aujourd’hui.»

Stéphane Zagdanski

[Voir aussi :
Une emprise sur l’Humanité]

À BROUTER DU FOIN

Il y a quelques années encore, ou même en 2020 lorsque nous essayions de comprendre l’avalanche de bêtise engendrée par le Covid à la lumière de la révolution technologique, ce texte eût semblé partial et excessif. Mais aujourd’hui, l’«immonde figure du monde» où nous sommes «engeôlés» nous impose sa grimace de quelque côté que nous tournions le regard — et si nous ne la voyons pas à l’heure qu’il est, c’est que nous ne sommes déjà plus du côté des spectateurs, mais du spectacle. Les illustrations abondent ces derniers temps, notamment dans les propositions d’économie d’énergie pour «faire la nique à Poutine» (comme celle consistant à favoriser la transition vers l’automobile électrique par la taxe carbone sans se demander d’où vient le courant !). Mais nous nous contenterons de deux cas exemplaires de cette semaine.

Le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach (celui qui ressemble à une autruche hystérique ayant avalé une seringue de travers), déclare en substance que la vaccination protège du Covid d’autant mieux qu’elle ne marche pas! L’argument est que les personnes piquées développent rapidement des symptômes et restent à la maison, tandis que les personnes non piquées développent des symptômes plus lentement — bref, elles sont plus résistantes.
Ensuite, la perle de la semaine, du mois et peut-être du siècle. La désormais légendaire Liz Truss, favorite à la succession de Boris Johnson, était interrogée par un journaliste :

«Confronté à cette tâche (recourir aux armes nucléaires), je me sentirais physiquement malade. Et vous,qu’est-ce que cela vous fait?» «L’air plutôt impassible», rapporte la presse, Liz Truss répond: «Je crois que c’est une tâche importante du Premier ministre et j’y suis prête.»

Le journaliste, un peu choqué, insistant pour avoir son sentiment, elle répète, mécaniquement: «Je suis prête.» Dans la vidéo de l’entretien, on entend l’audience applaudir… Qu’y a-t-il de commun entre ces deux déclarations, outre leur tonitruante bêtise et leur sidéral déni de réalité?

L’insensibilité à la situation concrète en premier lieu. La conclusion logique au sujet des vaccins, qui sauterait aux yeux de n’importe quelle personne dotée de bon sens, est écartée a priori par le «compétent» Lauterbach.
Des esprits suspicieux vous diront que tout cela n’est que comédie, que ces gens savent très bien ce qu’ils font et qu’ils vous prennent pour des bourriques, que de toute façon ils ne sont que des acteurs sans aucun pouvoir chargés d’amuser la galerie. Je ne le pense pas, à l’exception éventuelle de ce dernier point. En effet, ces maniaques du contrôle ne contrôlent rien à l’échelon stratégique qui est le leur, d’où leur obsession, calamiteuse, du micromanagement jusqu’à l’absurde. Pour le reste, hélas, je crains qu’ils ne croient vraiment à leurs calembredaines. Ces gens sont souvent bardés de diplômes prestigieux, ont passé la moitié de leur vie à «étudier», ou plutôt à prouver leur conformité aux canons idéologiques en place, mais ils sont irrémédiablement stupides. Stupides «à brouter du foin», comme l’on dit chez les paysans du Valais.

  • • Notule. Ayant travaillé dans une période de ma vie dans le milieu politique, j’ai pu m’en assurer de première main. J’y ai croisé des armées d’apparatchiks rusés, habiles, éloquents, capables de machinations balzaciennes, mais des esprits qui pensent, très rarement. Leur trajectoire en politique est généralement météorique et conflictuelle, car elle perturbe gravement le système. De manière générale, il me semble que les derniers politiques capables de penser par leur propre tête ont quitté la scène au tournant des années 2000. Ils avaient reçu une éducation humaniste dans une civilisation précybernétique.

Ceci nous amène au second exemple, le cas Liz Truss. Je suis convaincu que si l’on avait posé la
même question à une serveuse de restaurant ou à un mécanicien automobile, ces personnes auraient refusé de répondre ou au moins exigé des précisions: «dans quelle situation?»

De fait, l’usage de l’arme nucléaire est extrêmement codifié et la réponse à la question du journaliste ne peut se résumer à oui-non. Un État doté d’une force de dissuasion doit faire savoir qu’il ripostera immanquablement, si, et seulement si, il fait face à une menace existentielle. Envisager d’agir en «première frappe», en revanche, est un jeu dangereux qui peut très mal se terminer. C’est pourquoi le contexte est essentiel. Il y a quelques mois, les Britanniques avaient été pris d’hystérie lorsqu’une télévision russe a montré l’effet d’un missile «Sarmat» (hypersonique et inarrêtable) sur leur île: en quelques minutes, elle disparaîtrait de la surface de la Terre. Au lieu de les faire réfléchir, de telles mises en garde n’ont conduit qu’à… Liz Truss!

Avec sa déclaration, elle a fait savoir au monde que le Royaume-Uni allait probablement être gouverné par une idiote irresponsable. Et le plus préoccupant, avec ce dérapage, est qu’il a été applaudi par l’assemblée!

COMME SUR DES RAILS

Ces bouffons à grelots ne sont pas des cas marginaux, ce sont des ministres et des représentants typiques de l’élite dirigeante — et nous n’irons pas égrener le bestiaire étasunien, ce serait une encyclopédie. Que leur pouvoir soit réel ou non, ils occupent le haut du panier, avec voitures et avions de fonction, présence médiatique continue, secrétariats pléthoriques, honneurs et prébendes. Pourtant, leur dogmatisme répétitif et buté fait penser à l’obstination d’une tondeuse robotique confrontée à un obstacle imprévu (encore que certaines tondeuses «savent» le contourner). Par mimétisme social, toute la pyramide descendante règle son comportement sur eux, même si elle n’en pense pas moins: quand le pacha zézaye, le sous-fifre s’invente un défaut de prononciation, on le sait depuis Molière et Gogol. Ces cas spectaculaires ne sont que les symptômes irréfutables d’une société devenant incommensurablement stupide, travaillant contre la raison, contre l’humain et contre elle-même. En l’occurrence, il s’agit d’une stupidité non pas spontanée, mais apprise, donc enseignée. La lecture des maniaques cybernéticiens, ou celle des observateurs aigus comme Roszak ou Zinoviev, nous permet de pointer, parmi bien d’autres facteurs, une colossale erreur système, inscrite dans la «science» même qui organise la société de l’information.

Lorsque Lauterbach invente son justificatif ubuesque pour les vaccins, lorsque Truss balance son «je suis prête!» sans avoir vraiment entendu la question, ces gens réagissent en réalité comme des machines cybernétiques: contrôle et communication! Chacun s’aligne sur un «narratif», autrement dit un scénario mécanique inspiré par le consensus général et mis au point par des équipes de communicants. Ici, le salut sans alternative par les vaccins, là, le scénario imposé par Boris Johnson et ses maîtres néoconservateurs d’une guerre à outrance et sans alternative contre la Russie.

À l’intérieur de ce canevas, des adaptations tactiques sont possibles, mais la ligne générale est immuable, quoi qu’il arrive. Ce ne sont plus des êtres pensants, ce sont des bolides lancés sur des rails, sans frein, sans voie de dégagement et sans marche arrière. Là où règne la communication, là où le message crée la réalité, là où les spin doctors sont les ventriloques des élus, la raison n’est plus aux commandes. Elle cède le pas au volontarisme inflexible et aveugle de la cybernétique.

Slobodan Despot, Antipresse

Infos complémentaires//AJOUTS LHK

États-Unis : La députée Jackie Walorski travaillait
avec Anne Heche pour mettre fin au trafic sexuel d’enfants.
Walorski a été tuée dans un accident de voiture
la semaine précédant celle Anne Heche (11.08.22)
qui s’était récemment exprimée
sur « l’épidémie » de trafic sexuel d’enfants à Hollywood.



Emmanuel Macron ANNONCE le pass énergétique

[Source : DIVIZIONAIR]

https://youtu.be/POwme9OUOxM



Le rétropédalage de Pfizer, en vue des procès ?

Par Nicole Delépine

Conscience du peuple : Pfizer publie un message sur son site qui contredit les propos de la Santé publique du Québec et du Canada (conscience-du-peuple.blogspot.com)

« Les vaccins ne sont pas indiqués pour traiter l’infection 👉ni pour réduire les complications ».

Le message selon lequel le vaccin diminuerait les « formes graves », sans cesse martelé par la Santé publique du Canada et du Québec et par Santé Publique France est FAUX.

Sur le site de Pfizer Canada, ce communiqué pourrait ressembler à une notice légale en vue de se protéger contre d’éventuelles poursuites… TROP TARD !

https://www.pfizerbiontechvaccine.ca/fr/?cmp_SEM_2022_FR :

Néanmoins le site continue à désinformer sur les effets secondaires qui seraient « rares et jamais graves » :

Doit-on leur donner les adresses des sites VAERS, MHRA, EUDRAVIGILANCE, ETC. ? Peut-on les poursuivre en justice pour désinformation grave mettant en danger la vie d’autrui… ?

PERTE DE LIBERTÉ D’EXPRESSION CHEZ LES MÉDECINS, les CHERCHEURS, les ENSEIGNANTS, etc.

Et pendant ce temps-là, le Président de Réinfo Liberté, Vincent Pavan est sanctionné par son université d’un an de suspension et de la privation de la moitié de ses traitements. « C’est angoissant pour l’honneur de l’université française », répond-il.(([1] https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/il-fallait-faire-un-exemple-vincent-pavan
Lisez absolument « le débat interdit » publié par Vincent Pavan et Ariane Bilheran.))

Cette décision vient conclure une procédure disciplinaire lancée en 2020, relative au refus de porter le masque. Elle intervient alors même que Vincent Pavan se trouve dans l’œil d’un cyclone médiatique : les panneaux jugés « antivaccins » à Toulouse, dont il est auteur avec Réinfo Covid.

COMBIEN D’ARTICLES MONTRANT NON SEULEMENT L’INUTILITÉ DU MASQUE, MAIS SA NOCIVITÉ SUR DE NOMBREUX PLANS.(([2] L’imposture du masque, outil d’enfermement — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et des centaines de médecins sont poursuivis devant l’ordre des médecins pour avoir soigné et sauvé des patients condamnés à la mort par défaut de soins ou par euthanasie au Rivotril pour les plus âgés en EHPAD, selon les ordres du pouvoir criminel.

Jusqu’à quand les Français se laisseront-ils installer dans le nouveau fascisme de Davos et de l’OMS ?

Vera Sharav nous a bien expliqué que le génocide d’Hitler avait été précédé de neuf ans de mise en condition progressive(([3] Vera Sharav : « À moins que nous ne résistions tous, “plus jamais ça”, c’est maintenant. » — Discours — Nuremberg, le 20 Août 2022 | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)):

« L’Holocauste n’a pas commencé dans les chambres à gaz d’Auschwitz et de Treblinka. L’Holocauste a été précédé de 9 ans de restrictions progressives de la liberté individuelle et de la suspension des droits légaux et des droits civils. »

Le décor du totalitarisme criminel a été planté par une propagande nazie alarmiste et haineuse.

« Une série d’édits gouvernementaux discriminatoires et humiliants ont diabolisé les Juifs en les qualifiant de “propagateurs de maladies” et leur ont dénié leur humanité. Nous étions comparés à des poux ». (..)

La véritable maladie mentale qui a infecté l’Allemagne nazie est l’eugénisme – L’eugénisme est l’idéologie élitiste à l’origine de la plupart des génocides.

À quoi sont comparés les non-vax aujourd’hui ou ceux qui refusent d’éternels rappels, qu’il faudrait pour certains enfermés, parqués dans des caves, etc. ?

L’EFFROYABLE CATASTROPHE DES COMPLICATIONS LIÉES AU VAXX ARN

Allons-nous continuer à fermer les yeux sur nos voisins, amis et relations morts d’un AVC ou d’un cancer foudroyant, les turbo cancers qu’on n’avait jamais vus ? Hasard, coïncidence, il va falloir élargir notre vocabulaire pour nier l’évidence.. Plus on laissera faire, plus les soldats (involontaires de fait) du covidisme tomberont, victimes de leur naïveté et de leur soumission…

marco nius ⁦@NiusMarco⁩‬‬‬

Depuis le 1 er aout 3 nouveaux décès 3-11 ans déclarés par Pfizer sur Eudravigilance
1 myocardite (pas grave donc selon les covidistes, juste un décès)
1 thrombocytopénie
1 malaises divers et décès cause inconnue
Total 3-11 ans 31 décès déclarés

MÊME L’OMS LE PUBLIE. SACHONS LIRE

https://t.me/c/1509019656/5128

Et chaque jour de nouvelles victimes, du cycliste champion de VTT en Écosse mort dans son lit deux jours après son exploit au chanteur de rock britannique ZION :

« L’enquête conclut que la lésion cérébrale mortelle du chanteur de rock a été causée par le vaccin d’AstraZeneca.

Le vaccin contre la COVID-19 d’AstraZeneca a causé la “lésion cérébrale catastrophique” qui a entraîné la mort d’un chanteur de rock britannique de 48 ans deux semaines après qu’il ait reçu le vaccin, a conclu une enquête ».

Zion est mort le 19 mai 2021, malgré une intervention chirurgicale d’urgence pour tenter de traiter sa « thrombocytopénie immunitaire thrombotique induite par le vaccin », qui provoque des gonflements et des saignements dans le cerveau.

Après sa mort, sa fiancée, Vikki Spit, 39 ans, a déclaré qu’elle n’avait passé qu’une seule nuit sans lui en 21 ans de vie commune et que sa vie avait été « brisée en mille morceaux » par sa mort, selon le Daily Mail.

Mme Spit est la première personne au Royaume-Uni à recevoir une indemnisation pour un décès dû au vaccin contre la COVID-19.

IL SUFFIT !

Aidons Mary Holland et tous les combattants pour la liberté et le respect du code de Nuremberg si chèrement acquis

Mary Holland :

« Ceux qui ont violé le code de Nuremberg doivent être poursuivis pour crimes contre l’humanité

Au cours des deux dernières années et demie, nous avons tragiquement assisté à une attaque mondiale contre le code de Nuremberg, selon la présidente de la Children’s Health Defense, Mary Holland. Nous pouvons restaurer ce fondement de l’éthique médicale… mais seulement si nous nous unissons. »(([4] Mary Holland : Ceux qui ont violé le code de Nuremberg doivent être poursuivis pour crimes contre l’humanité | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

« Depuis plus de 75 ans, le code de Nuremberg est un phare — toutes les normes médicales et juridiques sont fondées sur lui depuis 1947.

Le code de Nuremberg est le fondement de l’éthique médicale moderne.

Le code a été intégré dans le droit fédéral et le droit des États des États-Unis, et les tribunaux américains ont reconnu le code de Nuremberg comme une norme juridique universelle et internationale — à l’instar des normes interdisant l’esclavage et la piraterie.

Le code de Nuremberg existe et est applicable même si un pays, une institution ou un individu nie sa validité.

Le consentement de l’individu est absolument essentiel dans toute expérimentation médicale. Il n’y a pas d’exception.

Tragiquement, au cours des deux dernières années et demie, nous avons assisté à une attaque mondiale contre le code de Nuremberg.

Les gouvernements, les établissements médicaux, les universités et les médias ont violé le tout premier principe et tous les autres principes des 10 points du code.

Ils ont forcé des gens à devenir des cobayes humains.

Ils ont forcé des personnes, sous peine de perdre leurs moyens de subsistance, leur identité, leur santé, leurs amitiés — et même leurs relations familiales — à prendre des injections inadéquates, expérimentales et modifiant les gènes, ainsi que des tests et des dispositifs médicaux expérimentaux.

Ceux qui ont intentionnellement, sciemment et malicieusement violé les principes du code de Nuremberg doivent être punis.

Ils doivent être dénoncés, poursuivis et punis pour crimes contre l’humanité. C’est l’une de nos tâches essentielles.

Nous devons arrêter cela. Et nous devons veiller à ce que cela ne se reproduise pas.

Le résultat de l’expérimentation de masse avec les injections contre la COVID-19 est maintenant tragiquement clair : ceux qui ont été séduits ou forcés à devenir des sujets expérimentaux courent maintenant le plus grand risque de maladie, d’hospitalisation et de mort ».

« Nous devons exiger que nous ne soyons pas soumis à des expériences. Il n’est pas trop tard — en Europe ou ailleurs.

Il est en notre pouvoir de dire : “C’est fini ! Respectez et faites respecter ce code”.

Et n’oublions pas — nous sommes en train de gagner.

Le récit selon lequel ces injections fonctionnent est terminé.

Le récit selon lequel nous devons nous confiner est terminé.

Le discours selon lequel nous devons tester les personnes asymptomatiques est terminé.

Le récit selon lequel nos “dirigeants” savent ce qu’ils font est terminé.

Laissons cela nous pénétrer — #WeAreWinning !

Pourquoi ? Parce que :

• La morale est de notre côté.
• La science est de notre côté.
• La loi est de notre côté.
• Et le code historique de Nuremberg — qui incarne la morale, la science et le droit — est de notre côté.

Nous sommes en train de gagner !

Mais la victoire finale n’est pas encore assurée. Et cela dépend de nous.

Nous avons tous des amis et des proches qui ne comprennent pas ce à quoi nous sommes confrontés. Ils ne comprennent pas où ce chemin nous mène.

Nous devons être courageux et partager nos connaissances, même si nos amis et nos proches sont réticents au début.

Le courage est contagieux. Si nous pouvons repousser les mensonges et la coercition, ils le peuvent aussi. Soyez courageux !

Si nous restons fermes, d’autres se joindront à nous. Cela se produit tous les jours.

Le rétablissement d’un monde fondé sur le code de Nuremberg est à notre portée… mais nous devons nous rassembler, comme nous le faisons aujourd’hui.

Et nous devons nous assurer que toutes les institutions honorent et appliquent le code de Nuremberg.

Nous pouvons y arriver !

S’il vous plaît, joignez-vous à moi pour dire trois fois en allemand :

Wir kriegen das hin. Wir kriegen das hin. Wir kriegen das hin.

(Traduction : Nous pouvons y arriver.) »

(([5] Note de l’éditeur : Les remarques suivantes ont été faites par Mary Holland, présidente et avocate générale de la Children’s Health Defense, le 20 août à Nuremberg, en Allemagne, lors d’un événement organisé par Action Alliance, un groupe d’activistes allemands, pour commémorer le 75e anniversaire du code de Nuremberg.))

TOUS EN FRANCE NOUS DEVONS CONVAINCRE QUE NOUS POUVONS Y ARRIVER.

STOP AUX INJECTIONS EN PARTICULIER AUX ENFANTS !




« Il fallait faire un exemple » : le président de Réinfo Liberté suspendu par son Université

[Source : francesoir.fr]

La sanction est tombée. L’Université Aix-Marseille punit le président de l’association Réinfo Liberté, Vincent Pavan : un an de suspension assorti de la privation de la moitié de son traitement.

Cette décision vient conclure une procédure disciplinaire lancée en 2020, relative au refus de porter le masque. Cela étant, elle intervient alors même que Vincent Pavan se trouve dans l’œil d’un cyclone médiatique depuis plus d’une semaine : les panneaux jugés « anti-vaccins » à Toulouse, dont il est auteur avec Réinfo Covid. L’enseignant-chercheur doit donc gérer deux problèmes apparemment distincts, et nous a livré ses premières réactions :



Avec cette perte de salaire, pour un père de famille avec deux enfants sous crédit, la situation devient compliquée. Depuis près de deux ans, l’Université dans laquelle il donne cours lui reprochait ses prises de positions sur la gestion de la crise sanitaire. Dès 2020, il s’est intéressé aux mesures adoptées et à leur légitimité scientifique. Ses analyses l’ont mené à évaluer de manière objective une incohérence scientifique. En conséquence, et en vertu de son statut d’enseignant-chercheur, qui lui confère une liberté d’expression garantie par la Constitution (article L952-2 du Code de l’éducation), il s’est opposé à l’obligation du port du masque.

Lire aussi : Chronique N°90 : Les masques FFP2 ne profitent qu’aux virus et aux marchands du temple

Le président de Réinfo Liberté est revenu sur la confiance que lui accordaient ses étudiants, ses pairs, ainsi que la direction de l’Université. Auparavant, ses états de service étaient appréciés de l’Université, qui n’hésitait pas à lui confier des heures supplémentaires de cours magistraux. Selon le maître de conférence, cette décision de le suspendre semble avoir été rapidement prise pour pouvoir l’annoncer avant la rentrée : « Il fallait faire un exemple ».

Exemple ou un martyr ? Il rejoint en tout cas la liste des professionnels à qui les institutions mettent des bâtons dans les roues, après avoir apprécié leurs services pendant de nombreuses années.

Voir aussi : « Toutes mes alertes finissent par être vérifiées » Amine Umlil




Avec quelles techniques de marketing Macron nous vend-il la guerre contre la Russie ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La guerre contre la Russie est en marche. Elle est amenée par une propagande habile, qui utilise les mêmes techniques de marketing que la promotion du vaccin contre le coronavirus. C’est le propre des systèmes oligarchiques que de remplacer la délibération politique rationnelle par des techniques de persuasion à destination du petit peuple qui reposent sur une manipulation des esprits en bonne et due forme. Le discours de Bormes-les-Mimosas, prononcé il y a quatre jours, en a donné une nouvelle démonstration. On le décrypte pour vous.

Les techniques de marketing qui ont permis de vendre massivement le vaccin (et sur lesquelles nous nous attarderons prochainement) sont à nouveau de sortie, cette fois pour nous vendre la guerre contre la Russie. Je reviendrai plus longuement dans les semaines qui viennent sur les ficelles qui sont tirées et actionnées pour transformer notre participation à ce conflit suicidaire et impérialiste en un combat du bien et de la liberté contre le mal et l’oppression. 

Je voulais simplement aujourd’hui reprendre le discours d’Emmanuel Macron prononcé à Bormes-les-Mimosas afin de montrer par quels procédés grossiers le politique travestit la réalité pour susciter des comportements d’obéissance au sein de la population.

Le cartel de la presse subventionnée se mobilise

Premier point, sans surprise, et archiconnu (mais c’est bon de pointer du doigt chaque utilisation du même système), la propagande et son marketing à la Mc Kinsey ne fonctionneraient pas si le pouvoir ne disposait pas de l’armée culturelle appelée « médias », entièrement à sa botte. 

Je me suis appesanti, cet été, sur le concept en vogue dans la caste : la militarisation de l’information (weaponization of information). Cette militarisation s’appuie sur des troupes : les légions de journalistes stipendiés pour diffuser la version officielle des faits, celle qui sert le pouvoir et sa vision. 

Cette armée de métier est entretenue avec soin par une poignée de milliardaires dont les affaires sont protégées par le pouvoir en place…

La preuve ? J’ai fait le choix de reproduire ici la totalité du discours de Macron. Il dure 20 minutes. Le cartel des médias en a unanimement diffusé un seul extrait : celui qui appelle les Français à « payer le prix de la liberté » en menant la guerre contre la Russie (soit une seule minute parmi les vingt du discours). On ne pouvait trouver meilleure preuve de l’orchestration de la propagande. 

Si les médias de la caste n’étaient pas téléguidés pour nous vendre la guerre avec des arguments tout préparés, d’autres extraits du discours auraient été repris… Mais la diversité de la presse appartient à un autre temps. 

Macron a caricaturé la militarisation de l’information

Pourtant, l’ensemble du discours de Macron a constitué un remarquable exercice de militarisation de l’information. Prononcé pour célébrer le débarquement de Provence en 1944, donc pour exalter la guerre patriotique, il a mélangé dans un même mouvement et un même souffle épique la peur du prétendu réchauffement climatique et la peur de la Russie. On ne pouvait mieux illustrer la profonde unité du feuilleton dont le premier épisode s’est appelé “COVID”, dont l’épisode suivant s’appelle “Ukraine”, et dont le prochain épisode s’appellera “sauver la planète”. 

Ces narratifs, comme il est convenu de dire désormais, tous bâtis sur les mêmes ressorts (la guerre de survie face à un ennemi imminent), ne sont au fond, on le comprend peu à peu, qu’une propagande orchestrée pour “découpler” le monde, c’est-à-dire pour faire tomber un nouveau rideau de fer (à nos risques et périls) entre l’Occident et un bloc sino-soviétique aux contours encore flous. L’enjeu est que, parmi les Occidentaux, l’opinion publique soutienne la guerre qui se profile et son nouvel ordre international subséquent, de la façon la plus fluide possible, comme ce fut le cas pour la guerre en Irak ou en Syrie. 

Mais il y a une différence de taille, cette fois : la guerre aura lieu sur le sol européen, et le tribut à payer sera bien plus lourd que le simple soutien à des mouvements terroristes comme al-Nosrah, soudain devenus amis, ou comme le simple envoi de troupes de métier à la périphérie du conflit. Cette différence n’est pas neutre, et risque de changer quelque peu la donne pour les gouvernements européens qui vont s’y essayer. 

Marketing tous azimuts pour préparer la guerre

Compte tenu de ces risques, la propagande à la Mc Kinsey donne donc la garde et l’arrière-garde pour emporter le morceau. 

La plus grosse ficelle repose sur un “narratif” binaire totalement enfantin qui s’impose grâce à des “biais cognitifs”.

Officiellement, la méchante Russie dirigée par le cruel Poutine a ignominieusement et lâchement attaqué le vaillant petit peuple ukrainien, dirigé par le courageux Zelenski, élu démocratiquement. Cette guerre en Ukraine menacerait directement notre territoire, et nous devrions donc préparer un nouveau débarquement. Pas en Provence, bien sûr (pas tout de suite en tout cas), mais en Ukraine. C’est “le prix de la liberté”, que nos anciens ont payé, et que nous devrons payer à notre tour. Nous voguons entre le conte de Perrault et l’Odyssée. 

On voit ici comment Macron franchit allègrement un point Godwin, aussi appelé “reductio ad Hitlerum” : Poutine, c’est Hitler. L’Ukraine, c’est la France occupée. 

Pour que cette trame puérile fonctionne, il faut évidemment mobiliser les techniques de manipulation dérivées du marketing. C’est d’autant plus indispensable que cette forgerie historique s’adresse en priorité aux catégories socioprofessionnelles supérieures, dont on pourrait croire qu’elles sont intellectuellement armées pour ne pas être dupes de ce type de propagande binaire. 

L’orchestration des biais cognitifs

D’un point de vue rationnel, la théorie selon laquelle Poutine serait monolithiquement le méchant et Zelenski monolithiquement le gentil ne convaincrait aucun enfant de plus de douze ans. Pour que ce scénario fonctionne, il faut donc faire entrer les cerveaux au chausse-pied dans les godillots préparés par la caste. 

Pour ce faire, le cartel de la presse subventionnée a truffé l’information de “biais cognitifs”, c’est-à-dire de freins à la connaissance, c’est-à-dire de désinformation systématique. 

Schématiquement, la presse subventionnée diffuse aujourd’hui trois types de désinformations. 

Dans la catégorie la plus subtile, on classera les mensonges par omission. “On” oublie de rappeler que, pendant plusieurs mois, le gouvernement russe a expliqué publiquement que la nucléarisation d’une Ukraine membre de l’OTAN serait un casus belli, et que, malgré ces avertissements, les Américains sont passés outre et ont autorisé Zelenski à annoncer l’installation d’armes nucléaires américaines sur son sol. 

Cet oubli n’est pas le moindre, mais il y en a bien d’autres, au jour le jour, trop longs pour être signalés ici.

Un deuxième type de désinformation consiste à servir des carabistouilles fabriquées par la CIA et ses sbires. Ainsi, Bruno Le Maire avait annoncé que la Russie s’effondrerait en quelques jours grâce aux sanctions économiques. Nous en sommes au septième paquet de sanctions, et nous ne voyons toujours rien venir. La propagande de la CIA avait aussi annoncé que Poutine avait un cancer, que l’armée russe était au bord du gouffre, que Zelenski allait lancer une contre-attaque foudroyante, que le peuple russe allait se révolter contre son dictateur et bourreau. Tout cela était en réalité du pipi de chat. 

Un troisième type de désinformation appartient à la catégorie des mensonges éhontés déjà utilisés il y a vingt ans pour nous faire croire aux armes de destruction massive en Irak. C’est l’effroyable mise en scène de Bucha, où les vrais cadavres étaient probablement ceux laissés par les régiments nazis de la garde ukrainienne, qui ont puni des habitants accusés d’avoir collaboré. Ce sont les images bidon, comme celle d’une cheminée sur un toit, présentée comme un missile russe non explosé. On en passe, et des meilleures. 

Ces techniques permettent de maintenir le citoyen moyen qui n’a pas le temps de s’informer dans l’ignorance de la réalité, de l’enfermer dans la matrice officielle où il tient le rôle du gentil face aux méchants.

Utilisation systématique de trolls et d’algorithmes

Pour maintenir le citoyen moyen sous le dôme de la bêtise et du biais cognitif, les services secrets, comme nous l’avons déjà montré cet été, utilisent un arsenal d’armes numériques secrètes qui bloquent toute forme d’information alternative. 

Parmi ces armes, les algorithmes des réseaux sociaux permettent d’éviter la propagation des informations publiées par les comptes dissidents. Certains comptes sont fermés. 

Lorsque ces armes ne suffisent pas, une armée de trolls pollue les fils d’information qui déplaisent. Je consacrerai prochainement un article à ces techniques. 

Leur objectif est simple : empêcher l’information libre de circuler, et discréditer ses auteurs, notamment en les privant de ce que les marketeurs appellent la “preuve sociale”. Pour faire simple, il s’agit de dégrader l’image de ceux qui contestent les versions officielles, pour les rendre inaudibles. 

À mon tour de franchir un point Godwin : les nazis pratiquaient déjà cette méthode en appelant les résistants des “terroristes”. 

Orchestrer l’incertitude collective avec des pénuries

Mais les maîtres de la propagande occidentale ont retenu une grande leçon vérifiée à de nombreuses reprises dans l’histoire, et qui est pour tout dire une constante de l’âme humaine : l’incertitude collective est la clé de toutes les dictatures. Pas de renoncement simple aux libertés en phase de prospérité. Pas de renoncement simple à l’autorité fascisante d’un chef en phase d’incertitude. 

Donc, plus l’univers est incertain et chaotique, plus le peuple accepte l’autorité excessive d’un seul homme. 

La brève histoire du COVID l’a montré : ceux qui ont perdu leurs repères rationnels après deux mois de confinement, et croyaient mourir à chaque éternuement de leur voisin de palier, étaient prêts à toutes les aventures autoritaires pour survivre et prendre des cafés aux terrasses des boulevards. 

C’est, de mon point de vue, de cette façon qu’il faut comprendre l’orchestration des pénuries actuelles et à venir. L’huile de tournesol a disparu des rayons. On annonce désormais un hiver sans électricité et sans gaz, tout cela à cause du méchant Vladimir Poutine. 

Bien entendu, la Russie continue à nous fournir du gaz et de l’électricité. Mais on fait croire le contraire pour obtenir deux résultats majeurs dans les comportements collectifs. 

Le premier résultat attendu est cette fameuse incertitude collective qui fait, tant que le chef n’est pas complètement déceptif, le lit de la dictature. C’est mécanique : quand les gens ne savent pas, ils se tournent sans réfléchir vers ceux qui savent. Les plonger artificiellement dans l’incertitude permet donc de les avoir avec soi. 

Le deuxième résultat est celui de “l’effort supplémentaire”. Les gouvernements occidentaux ont déjà utilisé la technique avec les vaccins : au début, il n’y en avait pas pour tout le monde. Il y avait une rupture de stock. Il fallait souffrir pour les avoir. 

La mécanique est la même : il n’y en aura pas pour tout le monde ! il faudra souffrir ! les choses qui comptent le plus sont celles qu’on obtient avec le plus d’efforts ! Donc, pour rester libre, il faudra faire la guerre à Poutine, donc se priver de gaz et d’électricité. 

Je ne donne pas trois mois pour voir fleurir, un peu partout, des groupes de volontaires pour se priver de chauffage cet hiver. Bien entendu, ces groupes seront stipendiés par le pouvoir pour donner l’exemple et transformer la privation en fierté, comme ceux que l’on bizute à l’université, et qui se taisent pour montrer « qu’ils en sont ». 

Là encore, la ficelle marketing est bien connue, et analysée de longue date par les sociologues. 

Encore une fois, la technique des petits pas

On le voit, les techniques de manipulation vont très loin, et je tiens pour acquis que les rumeurs alarmistes sur les coupures de gaz et d’électricité sont faites pour nourrir un désir de guerre et ne susciteront pas son rejet. 

Cet ensemble s’inscrit dans une logique de petits pas déjà éprouvée avec le COVID. Car l’annonce par Macron de la guerre avec la Russie date d’il y a plusieurs semaines. Macron sait, en bon marketeur, qu’il faut procéder par petits pas pour imprégner les esprits sans susciter de réticence bloquante. 

La même technique était utilisée par les communistes chinois, dans les années 50, avec les prisonniers américains de la guerre de Corée. Pour les « retourner », la propagande était quotidienne et « emmenait » peu à peu les prisonniers dans une dénonciation en bonne et due forme du capitalisme. 

La CIA a retenu la leçon. Elle nous emmène désormais dans l’obéissance à ses règles par petites touches, sans que nous ne nous en rendions compte.




Celui qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens


[Source : www.kla.tv]

« Celui qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; celui qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; celui qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Transcription

La réalisation de cette citation d’Henry Kissinger(([1] NDLR La citation exacte serait la suivante :
« Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays, mais si vous contrôlez les semences, vous contrôlez l’alimentation. Et celui qui contrôle l’alimentation tient la population en son pouvoir. » d’après citations.ouest-france.fr)) se déroule sous nos yeux. Pourtant, la majorité de l’humanité n’y prête guère attention. Les mondialistes s’emploient activement à mettre la main sur l’approvisionnement alimentaire et à mettre en place un nouveau système alimentaire qui permettra de contrôler l’approvisionnement alimentaire mondial. Ce système est de plus en plus rendu opérationnel par des manipulations génétiques et la numérisation, de sorte que l’humanité peut être de plus en plus contrôlée au moyen d’un numéro d’identification numérique, appelé ID, qui permet d’identifier chaque personne et chaque chose. En juillet 2021, la FDA l’autorité sanitaire américaine chargée d’autoriser les médicaments et les vaccins, a publié sa « Nouvelle ère de la sécurité alimentaire intelligente ». La traçabilité de chaque aliment, de chaque dépense financière et de chaque comportement du consommateur au moyen de systèmes alimentaires basés sur la technologie est ainsi rendue possible. Des victoires d’étape ont déjà été obtenues, comme on peut le constater avec le carnet de vaccination numérique. Il est permis de penser que pour achever le système alimentaire souhaité, il faudra finalement se faire implanter une puce. Car le passage à des données biométriques installées dans le corps rend tout plus simple, plus confortable et également plus contrôlable.

Comment le contrôle et l’approvisionnement en denrées alimentaires prévus seront-ils mis en œuvre ?

  1. Depuis des décennies, les éleveurs et les agriculteurs sont harcelés par des restrictions, des réglementations et des contrôles irréalistes. De ce fait, de nombreux agriculteurs ne peuvent plus se maintenir à flot et doivent vendre leurs terres. Aux États-Unis, plus de 35,2 millions d’hectares de terres agricoles ont déjà été vendus à des investisseurs nationaux et étrangers. L’un de ces investisseurs est une fois de plus Bill Gates, qui a acheté des centaines de milliers d’hectares de terres agricoles. Dès que Gates a acheté des terres agricoles, l’argent a afflué dans le nouvel avenir de l’alimentation : l’agriculture intérieure verticale urbaine, vers laquelle, selon Gates, tous les hommes migreront un jour.

Qu’est-ce que l’agriculture intérieure verticale?

  1. L’Indoor Vertical Farming se spécialise dans la production de plantes à l’aide de systèmes de culture multicouches disposés verticalement dans une structure de bâtiment fermée, comme par exemple des conteneurs géants, des entrepôts, etc. L’énergie lumineuse nécessaire à la croissance des plantes est fournie par des systèmes d’éclairage artificiel tels que des modules LED. De la température à l’humidité de l’air, du temps et de l’intensité d’exposition, du spectre lumineux à l’arrosage, tout peut être réglé de manière ciblée par commande. Des capteurs et des systèmes de caméras contrôlent la croissance et le développement des plantes en temps réel. Les fermes collaborent avec des universités sur les modifications génétiques des semences et des aliments. Par exemple, un vaccin à ARNm à base de plantes est en cours de développement dans l’espoir de cultiver, pour le vaccin Covid19, des têtes de salade comestibles.

D’énormes sommes d’argent sont injectées dans ce projet. Rien qu’aux États-Unis, 5,5 milliards de dollars y étaient déjà consacrés en 2020, pour atteindre 20 milliards de dollars d’ici 2026.
Deux des plus grands fournisseurs de semences au monde, Bayer et BASF, sont tous deux impliqués dans l’industrie agricole verticale. Bill Gates, les fondations Rockefeller et Ford ainsi que la Banque mondiale contrôlent 10 % des germoplasmes [plasma des cellules germinales contenant l’ensemble du matériel génétique] dans le monde. C’est là qu’on retombe sur l’affirmation de Kissinger : « Celui qui contrôle les semences contrôle aussi les aliments, et celui qui contrôle les aliments… » … est capable d’utiliser l’identifiant numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture.
Pour rendre plausible la monopolisation de la loi sur l’alimentation, Gates accuse maintenant le changement climatique, comme le montre clairement sa prophétie :
« Les sécheresses et le changement climatique vont détruire notre capacité à pratiquer l’agriculture ! »

En parlant de détruire et de prophétiser :

  1. Il est naturel de se pencher sur des événements récents et mystérieux. Depuis le début de l’année 2022, en Arizona, en Californie, au Texas, à Washington et dans de nombreux autres États, plus d’une douzaine de grandes usines de transformation alimentaire et d’engrais ont subi des incendies, des explosions ou d’autres sinistres. De plus, en février 2022, un incendie s’est déclaré dans une usine d’engrais à Winston-Salem, brûlant plusieurs centaines de tonnes de nitrate d’ammonium, à une époque où les agriculteurs s’inquiétaient déjà pour leurs engrais en raison de l’inflation et des ruptures de la chaîne d’approvisionnement. Ces mystérieux incidents et incendies sont extrêmement inquiétants, car ne contribuent-ils pas à la réalisation des plans préétablis des mondialistes et de la prophétie de Gates ? On doit de toute urgence se questionner sur ces incidents.

Le nouveau système alimentaire contrôlé est déjà en place et il semble que rien n’est épargné pour étendre le contrôle prévu sur l’approvisionnement alimentaire mondial.
L’USDA [ministère américain de l’agriculture] et la FDA [agence américaine pour l’alimentation et les médicaments] ont déjà approuvé le bétail et la viande génétiquement modifiés en laboratoire. De même, ils financent la recherche et le développement de l’agriculture cellulaire, les cultivateurs d’intérieur et les entreprises de génétique. Dans le même temps, ces autorités assouplissent successivement les réglementations relatives aux produits génétiquement modifiés. Le fait est que des mesures drastiques ont déjà été prises pour mettre en place une industrie alimentaire révolutionnaire. La plupart des gens ne se rendent pas compte que l’industrie alimentaire est déjà monopolisée par 10 entreprises. Les principaux actionnaires de ces entreprises sont généralement Vanguard et BlackRock. Pour Gates, l’avenir consiste à changer le comportement de la population, à l’attirer dans les grandes villes et à la rendre totalement dépendante de l’agriculture verticale intérieure. Si cela se produit, on peut se demander pourquoi il a acquis 242 000 hectares de terres agricoles au cours des dix dernières années, tout en investissant massivement dans l’agriculture verticale et l’immobilier ?

Qui sera donc assis à la table d’une nourriture saine servie par Gates, alors que le reste de la communauté mondiale est contraint de manger des produits génétiquement modifiés provenant d’installations fermées ? Que se passera-t-il si toutes les semences, les fruits et légumes et la viande sont contrôlés ? Qu’adviendra-t-il de nous, les êtres humains, si tous ces produits sont cultivés dans des installations sécurisées, génétiquement modifiés dans une boîte de Pétri, tandis que les terres agricoles sont mises en jachère en raison de réglementations excessives, d’un manque d’approvisionnement et d’une inflation fabriquée ?

La déresponsabilisation de l’humanité, la dépendance totale et le contrôle total !
Cela ne laisse pas seulement supposer un asservissement mondial, mais confirme ce dont Klaus Schwab, le défenseur de la Grande Réinitialisation (Great Reset), s’efforce de persuader l’humanité que le bonheur, c’est de ne plus rien posséder ! L’effet supplémentaire évident de ce nouveau système d’approvisionnement alimentaire, qui est introduit en secret, pourrait bien entraîner une réduction insidieuse de la population mondiale.
Il peut donc être d’autant plus urgent de prendre des contre-mesures précoces, de déjouer le plan des mondialistes et des grandes entreprises et de boycotter ces produits qui arrivent sur le marché. Il pourrait être très bénéfique pour le corps et la vie de reprendre soi-même la bêche et d’apprendre, chaque fois que c’est possible, à se débrouiller seul, même à petite échelle.

de wou/abu/avr

Sources / Liens :




Le harcèlement des opposants ne passera pas !

[Source : anthropo-logiques.org]

« À l’avenir, les dissidents seront à l’Ouest », aurait prophétisé Alexandre Solejnitsyne. Si le propos n’est pas apocryphe, le prix Nobel avait vu juste : le totalitarisme qui a colonisé les esprits dans nos contrées l’a fait avec la facilité de l’invasion allemande contournant tranquillement la ligne Maginot pour déferler sans opposition sur Paris.

La débâcle intellectuelle, politique, philosophique et éthique est poignante : l’Occident n’est déjà plus qu’un champ de ruines en plein suicide de ses valeurs, de son identité et forcément de son histoire. Comme de sa capacité de relation avec le réel.

Le propre du déferlement totalitaire, c’est justement que l’idéologie prime la réalité. Peu importent les faits, le discours délirant des élites se suffit à lui-même. Elles peuvent dire tout et son contraire, tordre le bras autant qu’elles veulent aux données et aux faits, affirmer en rafales des mensonges éhontés, who cares ? La beauté du délire est qu’il anéantit notre humaine condition et donc précisément notre soumission au réel !

Le fait est tout sauf anodin : dans ses fonctions de ministre de la Santé, Olivier Véran avait ainsi multiplié les mensonges et les expressions honteuses sans la moindre vergogne et avec les encouragements sonores de la petite frappe qui lui tient lieu de chef (« Tiens bon, on les aura ces connards ! »).

Tout le monde se souviendra pareillement de son affirmation péremptoire devant les caméras de télévision selon laquelle dire que les injections géniques étaient en phase expérimentales était faux, « la phase III est terminée depuis longtemps », avait-il même ajouté. Ceci alors que ladite phase III vient d’être prolongée en ce qui concerne les injections Pfizer jusqu’au mois de juin 2024…

Or non seulement le gredin n’a jamais fait amende honorable (pas même n’a-t-il pris la peine de corriger son propos), il a été nommé dans la foulée « porte-parole du gouvernement ».

Quand la parole publique devient à ce point « parole de putes » (je m’excuse auprès des travailleuses du sexe, très majoritairement honnêtes, pour cette comparaison) au moins sait-on à qui nous avons à faire et donc à quoi nous en tenir.

La fureur totalitaire ne se contente pas de délirer à tout va : elle se doit d’éliminer toute opposition. Le propre de la démocratie et de la science, c’est l’importance du débat d’idées  de bonne foi et donc de la contradiction. Alors que le totalitarisme abhorre les opposants et s’acharne à les détruire.

Il commence bien sûr « subtilement » par les diaboliser. Les opposants ne sont pas ici des opposants dans le sens où l’on parlait traditionnellement de l’opposition en politique : ce sont forcément des êtres douteux, fourbes, dangereux, dont il faut se méfier au point de les priver de parole de peur qu’ils ne nous ensorcellent avec leurs arguments fallacieux !

Alors même que les élites médiatico-politiques déploient une véritable hypnose toxique depuis bientôt trois ans, c’est à les entendre de la parole de ceux qui cherchent à réinjecter du principe de réalité, des données vérifiables et du bon sens, bref de l’honnêteté qu’il faut se méfier comme de la peste. Fussent-ils accessoirement les meilleurs et les plus compétents dans leurs domaines : l’idéologie paranoïaque n’en a cure puisque le réel la contrarie.

On invente donc des experts (comme les pathétiques Rudy Reichstadt, Tristant Mendès-France, Sébastien Diéguez, Karine Lacombe ou Gilbert Deray) et peu importe qu’ils soient le ban et l’arrière-ban de la médiocrité ou de la malhonnêteté intellectuelle, ce sont évidemment à l’inverse les compétents et ceux qui ont gardé leur éthique que l’on désigne comme des « trompeurs » et des « charlatans ».

Avec toujours les mêmes étiquette fétichistes imbéciles et délétères, les favoris de la dérive en cours étant « complotiste », « d’extrême droite » et « antisémite ».

Voici un exemple de logorrhée totalitaire, scandée d’une manière propre à induire une transe dissociative chez l’auditeur, éructée en l’occurrence au micro de France-Inter par Tristan Mendès-France au sujet de l’initiative du Doctothon (un exercice pour les sceptiques est de compter le nombre de fois où il utilise -scande devrait-on dire- chacune des expressions en question) :

https://www.youtube.com/embed/yy80YHLh-2Y

Le système totalitaire doit donc impérativement désigner des ennemis (et même en inventer au besoin). Il a en effet besoin de ce danger extérieur pour entretenir la panique et justifier sa violence. Il n’y a ici pas besoin d’aller chercher bien loin. Qualifier par exemple d’ « antivax » des personnes ayant des doutes sur l’innocuité, l’efficacité et/ou la sécurité des injections géniques expérimentales est un cas d’école. C’est un tour évidemment imbécile, abusif, malhonnête et manipulatoire.

Le doute, l’esprit critique et le scepticisme sont les pierres angulaires de la démarche scientifique, l’occasion n’en est que plus belle pour les larrons : on stigmatise par cette appellation tous ceux qui restent intègres par rapport à la méthode et à l’éthique scientifique ! Dès lors le champ est libre, la haine devient un ressort banalisé et donc rendu acceptable sous les encouragements des corrompus, comme l’exemple suivant l’illustre :

https://www.youtube.com/embed/6PEZgAmX0IU

Tout ceci est d’une gravité extrême. Le rouleau compresseur paranoïaque s’attaque en effet à toute voix divergente et a fortiori salutaire, puisqu’engagée à rappeler les contours du réel et les valeurs qui doivent fonder notre vivre ensemble.

Tous les zélés complices de la dérive s’en donnent à cœur joie : la presse en premier, qui colle les étiquettes infamantes à tire-larigot, exonérée de toute déontologie comme de sa responsabilité collective. Au point de se réclamer de son inconduite et de faire porter le chapeau de ses transgressions aux opposants, comme les lamentables journaleux de l’Express s’y sont employés après s’être fait démasquer dans leur malhonnêteté et leur médiocrité par un Idriss Aberkane magistral…

https://www.youtube.com/embed/0Bi_1-BzY88

La réponse des fâcheux ne s’est donc pas fait attendre…

  • Pour lire « Affaire Aberkane : la Charte de Munich, nouveau totem des complotistes contre les médias » dans l’Ex-presse : cliquer ici.

Les attaques subies par les valeureux sont ainsi d’une brutalité inouïe, avec la complicité lâche des corps constitués soumis à la dérive totalitaire, nous l’avons souligné hier.

Voici encore pour exposer publiquement la réalité de cette ignominie un communiqué collectif auquel je m’associe, qui en révèle les procédés.

Suivi de la réponse adressée par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, psychologue et docteur en psychopathologie, à un obscur article intitulé « Annuaire du complotisme », sur le non moins obscur site dit de « débunkage » appelé « Bibliothèque Vigilante ». Lequel présente toutes les caractéristiques d’une énième émanation des cercles mafieux qui engagent avec force moyens des trolls et des faux experts pour leur sale besogne, jusque dans les rédactions de la presse subventionnée…

Tout ceci est certes bien nauséabond, mais il importe d’exposer sans hésitation cette boue ordurière et ceux qui la mettent en œuvre…


Le harcèlement des opposants ne passera pas !

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le Covid.

Cet article collectif est destiné à alerter la population et les responsables politiques sur un processus larvé de répression, mené par l’État français contre de nombreux lanceurs d’alerte critiques du narratif officiel sur le covid.

Au-delà de la répression de masse devenue banale dans ce pays (traque des citoyens pendant les rétentions de masse, censure, « suspensions » abusives, violences contre les manifestants…), nous assistons de plus en plus à une répression ciblée qui repose sur les moyens de l’État, ceux des contribuables, pour harceler des citoyens qui dérangent.

Les citoyens visés peuvent être des universitaires lanceurs d’alerte, ou des citoyens militants : des parents membres d’associations de défense des enfants contre les maltraitances institutionnelles établies au prétexte du covid sont convoqués par les services sociaux à la demande de plusieurs départements, à la suite d’obscurs « signalements », des chercheurs qui ont osé interroger les annonces officielles se retrouvent menacés sur le plan professionnel, on observe également des contrôles fiscaux aussi intempestifs que sévères, des sanctions financières, des pressions sur l’entourage, des calomnies publiques trop organisées en réseau pour ne pas être organisées… Cela, en France, pays décrit comme un “état de droit” par certains observateurs.

La méthode utilisée combine la censure par tous les moyens afin que l’opinion publique ne puisse pas les entendre, la calomnie, les menaces et le harcèlement administratif. Parce que les lois, le droit sont du côté des lanceurs d’alerte, l’État répressif utilise des moyens détournés, déjà utilisés par le passé contre d’autres lanceurs d’alerte, mais employés cette fois de manière beaucoup plus systématique.

Car dans ce qu’on appelle une « démocratie », les citoyens ont le droit de critiquer, ils ont même le droit à la satire, à la caricature, à l’ironie. En clair, ils ont le droit à la « liberté d’expression ». Ils ont le droit de penser et de dire des choses qui sortent du cadre de la propagande et les citoyens ont le droit d’être informés.

Des représailles touchent pourtant plusieurs personnes qui émettent un autre discours sur la crise qui nous occupe en dénonçant notamment la corruption, dont Vincent Pavan, Ariane Bilheran, Virginie de Araujo Recchia, Emmanuelle d’Arles, Olivier soulier, etc. Certains par pudeur ne souhaitent pas exprimer publiquement leur situation personnelle mais nous constatons entre autres :

Calomnies, harcèlement privé par insultes et menaces, contrôles fiscaux sévères et harcèlement fiscal, pertes de salaire, clôture arbitraire et inopinée des comptes bancaires, perte d’accès à la sécurité sociale pour soi et ses proches, suspensions, etc.

Prenons le cas de Vincent Pavan : l’universitaire subit des sanctions professionnelles y compris sur le plan des rémunérations, avec interdiction d’enseigner.

Ariane Bilheran comme son entourage subissent régulièrement des pressions (ex. : menaces de mort au moment de sa dénonciation des textes de l’OMS), qui se sont fortement accentuées depuis le covid avec par exemple l’intervention des services fiscaux ou le fichage mensonger sur des sites calomnieux.

Emmanuelle Darles fait face à deux procédures disciplinaires en cours à l’Université, doublées d’atteintes à la vie privée, le tout dans un contexte délétère.

Maître Virginie De Araujo Recchia est aussi victime de harcèlement administratif, ce qui a été jusqu’à une garde à vue avec saisie de matériel.

Pourquoi est-il aujourd’hui nécessaire de dénoncer ? Il ne s’agit pas de cas personnels, mais d’attaques contre la société dans son ensemble : si seule la parole du pouvoir compte et que plus personne n’ose poser de questions sur la place publique ni critiquer ou débattre, qu’adviendra-t-il de ceux qui n’osent pas parler ? Qui posera des limites quand les foudres d’un pouvoir à la dérive s’abattront sur eux ? Ce qui finira par arriver au rythme où vont les choses.

Cette répression mesquine n’en est pas moins extrêmement violente et elle se pare de la légitimité de l’État, celui qui est censé nous protéger tous. Elle est un problème majeur pour nous tous, car elle montre que nous sommes en train de nous enfoncer dans l’obscurantisme comme dans des sables mouvants.

Ce glissement progressif vers le totalitarisme n’est pas terminé, mais il avance : aujourd’hui l’exécutif se soucie-t-il des lois ? De la constitution ? Des principes généraux du droit ? De la réalité ?

Les attaques personnelles contre les lanceurs d’alerte, de manière à les éliminer du paysage social, préfigurent toujours une répression généralisée contre toute dissidence puis contre le peuple tout entier de façon arbitraire, et même bien souvent une guerre classique, de ces guerres sales qui pourrissent un pays pendant des générations. On l’a vu avec les dictatures en Amérique latine, les nazis, l’URSS, les Khmers rouges, le Rwanda, la Syrie…


Lettre d’Ariane Bilheran à « Bibliothèque Vigilante »

À l’attention de :

Clair Roger, Responsable de publication « Bibliothèque Vigilante »

Envoyée à :

bibliovigi@protonmail.com

Objet :

Ma fiche « Ariane Bilheran » dans votre « Index du Complotisme », https://bibliotheque-vigilante.info/index/

Pièces Jointes :

Attestation d’enseignements universitaires

Doctorat de psychopathologie clinique

Lettre publiée sur mon site

http://www.arianebilheran.com et relayée avec mon autorisation sur le site
http://www.coroinfo.wordpress.com et le blog https://anthropo-logiques.org

Cali (Colombie), le 24 août 2022

Madame, Monsieur,

Je vous écris afin de rectifier vos déclarations me concernant sur votre site, qui sont, pour leur très grande majorité, erronées. Vous pourrez ainsi vérifier mes dires, et rétablir la vérité selon les faits, puisque nous partageons ce souci commun.

Je rends également cette lettre accessible à tous sur mon site, afin que cesse la propagation de mensonges qui pourraient s’apparenter à des calomnies publiques et des diffamations contre ma personne.

Tout d’abord, vous évoquez que « je me présente comme psychologue et psychothérapeute (doctoresse en psychologie) », laissant sous-entendre que je ne le serais pas. Je suis psychologue clinicienne, et par voie de conséquence psychothérapeute, car le titre de psychologue clinicien est un diplôme professionnel d’État donnant de droit accès au titre de psychothérapeute. J’ai donc un numéro Adéli, qui garantit la détention de ce titre.

Pour votre information, en psychologie clinique et psychopathologie, j’ai deux masters, un Master Recherche, soutenu à l’Université Denis Diderot en 2004 à Paris, et un Master Professionnalisant, soutenu à l’Université d’Aix-Marseille en 2007, celui qui me donne précisément droit à exercer en tant que psychologue clinicienne et psychothérapeute.

J’ai également un Doctorat de psychologie clinique et psychopathologie (et non pas un doctorat de psychanalyse, ce qui n’existe pas en France), soutenu à l’Université Lumière Lyon II en 2007, sous la direction du Professeur Albert Ciccone (Wikipédia diffuse un nom de directeur de thèse qui est erroné : je n’ai jamais rencontré le Professeur Mohamed Lahlou… Je vous envoie le document source, pour vos archives). J’ai également enseigné à l’Université durant plusieurs années (cf. attestation jointe, si vous souhaitez rajouter cette information qui me paraît importante à faire connaître).

Pour mémoire, une majeure partie du corpus de la psychopathologie, qui soutient la psychiatrie traditionnelle, émane de la psychanalyse, laquelle est très loin de se réduire à des psychanalystes fous et incompétents, ou à Freud et Lacan, ou encore, aux calomnies dont elle est l’objet depuis des années. Par exemple, des notions passées dans la langue commune proviennent de recherches en psychanalyse sur le psychisme individuel ou celui des foules, telles que psychose, perversion, traumatisme, névrose de guerre, névrose d’abandon, refoulement, acte manqué, déni, etc.

Ensuite, vous reprenez le qualificatif de « complotiste », j’ose vous demander aimablement votre définition de ce terme.

Vous me présentez comme « proche du mouvement soralien ». Je ne suis pas « proche du mouvement soralien ». Je n’ai jamais rien eu à voir avec Alain Soral. J’ai publié un petit livre L’Internationale nazie(([1] https://www.bookelis.com/politique/52258-L-Internationale-nazie.html)), où vous pourrez vous rendre compte par vous-même de mes réflexions personnelles. J’ai donné la parole en France à Vera Sharav, dont les prises de position sont, il me semble, aux antipodes d’idées d’extrême droite.(([2] https://crowdbunker.com/v/994y7qwygL))

Vous me présentez également comme « amie du professeur Henri Joyeux ». Pour votre gouverne, je n’ai eu qu’un seul échange avec le Professeur Joyeux, concernant une newsletter dans laquelle M. Joyeux me demandait la permission de citer l’un de mes livres il y a quelques années. Je n’ai jamais eu d’autres échanges privés ou publics avec le Professeur Joyeux.

Vous me présentez ensuite comme « amie du pédopsychiatre Maurice Berger ». J’ai appartenu dans le passé à une association de psychologues de l’enfance et pédopsychiatres il y a des années, au sein de laquelle intervenait également le Professeur Maurice Berger, qui est une référence universitaire et professionnelle en matière de psychologie de l’enfance et de pédopsychiatrie. Cela ne fait pas de moi son « amie », mais tout au plus une collègue, d’autant que je n’ai plus aucun contact avec M. Berger depuis des années.

Vous parlez de « réseaux extrémistes » comme RéinfoCovid, auquel je n’appartiens pas non plus (cf. l’avertissement sur mon site(([3] https://www.arianebilheran.com/avertissement)) que je vous remercie d’avoir cité, afin que les gens se fassent une idée par eux-mêmes de vos propos à mon égard).

Vous me qualifiez de « spécialiste en manipulation », et c’est juste, vous auriez pu citer mon livre Manipulation. La repérer, s’en protéger, paru aux éditions universitaires Dunod en mars 2013. Vous voyez que ma spécialisation ne date pas d’hier mais que, contrairement à vos insinuations, je décrypte la manipulation pour aider les gens à la repérer et s’en protéger, donc à s’en libérer, et non pas dans l’intention de les manipuler.

Vous indiquez que je suis « à l’origine d’un mouvement de désinformation né en août 2018 », j’aimerais connaître sur quels fondements vous vous appuyez pour dire cela, car de mon côté, j’ai publié un livre en 2017, L’Imposture des droits sexuels, qui en est à sa cinquième édition aujourd’hui(([4] https://www.bookelis.com/sciences-humaines/51301-L-imposture-des-droits-sexuels.html)), et qui porte sur les textes de l’OMS, dans lequel j’étudie lesdits textes, et m’interroge sur le bien-fondé des références scientifiques invoquées. Je ne suis pas la seule professionnelle de santé à le faire, par exemple le pédiatre et pédopsychiatre Régis Brunod s’en est également alarmé, dans un livre intitulé Préserver l’innocence de l’enfant(([5] https://www.decitre.fr/livres/preserver-l-innocence-des-enfants-9782855541563.html)). En tant que professionnels de santé, nous sommes très inquiets de la nature de ces textes. Ce n’est pas parce que beaucoup de nos collègues choisissent de ne pas s’exprimer publiquement pour le moment qu’ils ne partagent pas nos vues, et je reçois assez de remerciements aujourd’hui pour savoir que nous sommes loin d’être isolés.

Vous notez que sur mon site personnel je partage de « fausses informations et des rumeurs complotistes », que je véhicule « mensonges et désinformation », sans rien en sourcer, j’aimerais bien que vous puissiez donner des exemples et m’indiquer en quoi il s’agit de fausses informations qui ne seraient pas sérieusement sourcées, dans ce cas je me ferai un devoir de les rectifier. Car lorsqu’il s’agit de faits (par exemple, de textes et de références promues par l’OMS), c’est aisément vérifiable. Vous citez alors Mme Marion Sigaut, en prenant le titre d’une de ses conférences pour me faire dire des propos qui sont les siens, c’est assez curieux comme procédé pour vous qui semblez si sensible à l’attribution correcte des sources. Mon approche des « droits sexuels et reproductifs » vise la protection de l’enfance, depuis une perspective professionnelle de psychologue clinicienne formée en psychologie de l’enfance et dans le développement psychique infantile.

Vous m’attribuez ensuite une citation, mais je n’ai jamais accusé l’Éducation Nationale de « pervertir nos enfants pour en faire de la chair fraîche pour les pédophiles ». J’ai au contraire toujours soutenu que ces programmes n’émanaient pas de l’Éducation Nationale, mais du ministère de la Santé, sous l’égide de l’OMS, bien qu’ils puissent se déployer au sein de l’institution scolaire, à la faveur d’un partenariat avec le ministère de la Santé lui donnant les autorisations d’accès. Avec un peu de recherche sur mon site, vous devriez pouvoir trouver à de nombreuses reprises mes déclarations sourcées.

Je n’ai pas été « exclue par mes pairs », au contraire, je reçois aujourd’hui énormément de soutiens et de reconnaissance pour mes prises de position en faveur de la protection psychique des individus, de la part de professionnels de la santé mentale, qui ont désormais bien identifié les grossiers mécanismes de manipulation mentale à l’œuvre depuis le champ politique et médiatique sur la population.

Ensuite, vous vous permettez un diagnostic sauvage sur ma personne, en indiquant que j’aurais des « travers paranoïaques ». Je vous renvoie à mon livre sur Psychopathologie de la paranoïa(([6] https://www.dunod.com/sciences-humaines-et-sociales/psychopathologie-paranoia-0)), paru chez l’éditeur universitaire Dunod, et qui en est à sa deuxième édition. Cela vous permettra peut-être de mieux maîtriser ces notions. D’autre part, s’improviser psy, comme vous le faites, pour pratiquer des diagnostics sauvages de psychose renvoie aux pires heures de la psychiatrisation des opposants de certains régimes, ce qui est un élément supplémentaire de validation de mon hypothèse concernant la dérive totalitaire en cours.

Concernant le livre Le débat interdit(([7] https://www.editions-tredaniel.com/le-debat-interdit-p-10270.html)), vous devriez le lire pour vous instruire : j’aimerais savoir d’où vous tirez l’expression du « complot de la science contre le vivant », et quelle était la contextualisation de cette phrase. Nous y déployons un raisonnement d’épistémologie systématiquement argumenté et exemplifié. Vous n’ignorez pas que j’ai une formation en philosophie morale et politique, validée en 2004 par un Master en Sorbonne, sous la direction à l’époque du Professeur Éric Blondel, ainsi qu’une solide formation en philosophie reçue à l’École Normale Supérieure Ulm, que j’ai intégrée en section Lettres en 1999.

Vous indiquez enfin que je relaie « de nombreux sites peu fiables, articles antisémites et les tribunes de quelques extrémistes comme Sputnik News ou Pravda ». J’aimerais que vous puissiez me dire où vous avez trouvé ces éléments, surtout pour ce qui concerne l’antisémitisme !! Vous dites aussi que je relaie Gilad Atzmon, que je ne connais pas, donc j’aimerais savoir quelles sont vos sources fiables. Car reprendre des mensonges émis par quelqu’un d’autre ne fait pas de l’information une information sourcée, et encore moins véridique.

En revanche, il est tout à fait exact que je publie à l’occasion des articles dans la revue L’Antipresse de Slobodan Despot, que j’apprécie pour son ouverture d’esprit, sa grande culture, sa rationalité, son intelligence et sa connaissance du phénomène totalitaire.

En conclusion, je me permets de reprendre à votre compte votre conseil : « Si possible, remontez à l’origine de l’information ! ». Je constate que vous ne m’avez pas contactée pour vérifier les données et que, ce faisant, vous avez manqué de la déontologie la plus élémentaire. Vous n’avez manifestement pas non plus recoupé les informations, ni interrogé vos sources et leur fiabilité. Je vous saurais donc gré de rectifier les informations me calomniant sur votre site, et de publier ma lettre, ce que vous ne manquerez pas de faire, puisque vous avez à cœur de lutter contre la désinformation, « pour un accès universel à une information exacte, transparente et de qualité »(([8] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/methode/)), et « analyser, comprendre, démystifier »(([9] Source : https://bibliotheque-vigilante.info/la-redaction/)), au mieux.

Respectueusement,

Ariane Bilheran.

PS : « rationalité » s’écrit avec un seul « n ».

Il faut donc corriger votre titre « Méthode & rationnalité ».

Sources :

https://bibliotheque-vigilante.info/methode/

https://dictionnaire.lerobert.com/definition/rationalite

PS2 : je recevrai votre éventuelle réponse par retour de courrier électronique ou via le formulaire contact sur mon site http://www.arianebilheran.com/





Principes (méta) physiques de la guerre « sale »

Par Lucien SA Oulahbib

Il faut bombarder sa propre population avec de la mitraille physique et métaphysique. Puis accuser les Russes, les complotistes, les non-injectés, les « climato-sceptiques », les « islamo/trans/phobes », etc.

Ainsi les premiers bombarderaient aux dernières nouvelles une station de train (plus émotionnelle qu’une centrale nucléaire, même si c’est moins sensationnel au nombre de photos quoique « erronées » de cheminées répertoriées présentées comme missiles russes…). Les seconds dénonceraient le « Grand Reset » alors qu’il s’agissait de « grande bascule ». Ou encore, ils accusent le ministre français de la Justice qu’il était au courant pour le karting de la prison de Fresnes alors qu’il n’en est rien étant là juste en effet pour la façade (il ne gère rien sinon sans doute quelques dossiers délicats). Les non-injectés, eux, insistent pour ne pas l’être (code Nuremberg) alors qu’ils seraient la cause même de la persistance pandémique aux dires de certains propagandistes, ce qui semble alambiqué, mais cela se comprend : l’injection « protège » si bien qu’il faut même en reprendre quatre à cinq fois par an… d’où la recherche d’un bouc émissaire ou la suppression du groupe témoin (mais c’est « conspi » de penser cela).

Quant aux climatosceptiques (alors qu’ils sont climatoréalistes) tant pis également si plus d’un millier de personnes compétentes en la matière tirent la sirène d’alarme sur l’argent dépensé inutilement tant il s’agit de cycles plus ou moins acérés et que le CO2 est indispensable pour la végétation et l’agriculture. Enfin, concernant la supposée « phobie » s’agissant de l’islam (religion politique) et de l’idéologie « trans » (pensée comme « révolution permanente » par les néo-léninistes n’ayant plus que ça à se mettre sous la dent), il s’agit moins de « peur » que de pensées critiques. Celles-ci refusent que soit employé le sortilège pourtant si vieillot de la malédiction sous-jacente à ce terme, de même que le second sortilège, si « phobie » ne suffit pas, celui d’« extrême droite » étant bien sûr accolé (par exemple à Gorgia Meloni) afin de paralyser, soumettre les peuples, peu importe si ceux qui sont ainsi affublés défendent seulement les principes de base de la citoyenneté en démocratie : respect des frontières et des droits liés à la citoyenneté incluant les libertés de penser et d’entreprendre dans un cadre constitutionnel et politico-juridique donné discuté au sein d’un parlement pluriel.

Mais comme nous sommes (revenus) à l’ère de la guerre « sale » propre aux hors la loi bandits et idéologues faisant cause commune au service de puissants réseaux nihilistes d’affranchis sans foi ni loi, il va de soi que l’échange argumenté propre aux démocraties d’origine « grecque » (la fameuse Agora) fait place à la destruction non seulement métaphysique de toute possibilité de « dialogue » en jetant ainsi des sorts via des anathèmes maudits (« sorcière », « hérétique » a été remplacé par « réactionnaire » puis maintenant « extrême droite »), mais aussi à la destruction physique, telle qu’elle : assassinats d’opposants chez l’ennemi lointain, mort sociale et médiatique chez l’ennemi proche.

Il faut bien se rendre compte que nous ne sommes même plus dans l’atmosphère des années 30 ou 70 lorsque l’on s’affrontait à coup de barres de fer avant de se retrouver dix ans après chez le même éditeur, tout en s’esclaffant autour d’une bonne bière vingt ans après avec l’animateur dédié qui permet de s’en souvenir. Aujourd’hui, il s’agit d’assassiner sans même y faire attention comme le préconisait Maurice Blanchot (mentor du néo-léninisme aujourd’hui corps franc de la Secte SHA) dans son Espace littéraire (p.86 et suivantes) : ne pas chercher à mourir ou faire mourir puisque l’on est déjà mort (comme le mafieux qui tue toute humanité en lui et le démontre en tuant froidement la cible indiquée lors de son adoubement) tandis que lorsque l’on « fait mourir » c’est de « l’art » (contemporain) qu’il s’agit : ainsi Orphée doit se retourner sur Eurydice afin de la transformer en statue…

L’on doit vous affubler de “phobie” et des mots sortilèges « extrême droite », « complotiste », « conspirationniste », « antivax », etc., afin de vous transformer en “œuvres”, ce qui permet au préposé d’être coopté comme “artiste” (sniper) au sein de la Secte. Il ne s’agit donc plus de politologie seulement, mais de criminologie avec une spécialité déjà énoncée ici : la tératologie politique. 

Car lorsque l’on est capable de commanditer d’assassiner (et non pas « tuer ») une toute jeune fille comme Daria Douguine, de bombarder des cibles civiles en accusant la partie ennemie, de « suspendre » des milliers de soignants et pompiers pour un virus évanescent — qu’ils ne peuvent transmettre sans être malades et fortement (et dans ce cas ils restent chez eux et se soignent), alors c’est que nous avons affaire à des monstres, mais qui comme dans la série V s’affublent de visages « humains » et même font de la prose poétique comme l’actuel président français ainsi que ses ministres, semblables à Néron jouant de la lyre devant l’incendie de Rome qu’il a lui-même fomenté, accusant les Russes, phobes, et non-injectés de l’époque de l’avoir allumé…




Le climat, le covid et l’Ukraine : les piliers de la drôle de guerre de Macron

Le climat, le covid(([1] L’ONU a recruté plus de 100 000 « agents numériques de première intervention » pour promouvoir le récit de la théorie du COVID. — Resistance (resistance-mondiale.com) )) et l’Ukraine : les piliers de la drôle de guerre de E. Macron

Le climat de la Terre a varié depuis que la planète existe, avec des périodes naturelles froides et chaudes.

Par Nicole et Gérard Delépine

1200 scientifiques et universitaires de renom signent la Déclaration mondiale sur le climat et affirment « qu’il n’y a pas d’urgence climatique » – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

Le Pr Ivar Giaver(([2] lauréat du prix Nobel de physique (1973) )) Norway dirige un groupe de 1 200 scientifiques et universitaires de renom qui a signé la Déclaration mondiale sur le climat (WCD).(([3] WCD-version-06272215121.pdf (clintel.org) ))

Rédigée et discutée par Climate Intelligence, une organisation créée en 2019 par le professeur de géophysique Guus Berkhout et le journaliste scientifique Marcel Crok.

Le principal message mentionné dans ce document est le suivant : « il n’y a pas d’urgence climatique ».

[Voir aussi :
Contre toute logique scientifique, pourquoi le CO2 est-il devenu l’ennemi public numéro 1 ?,
Nous notons depuis une vingtaine d’années une augmentation des phénomènes climatiques. Info ou intox ?
et les articles du dossier Climat.]

Pseudo science du climat basée sur « des croyances personnelles et des agendas politiques » et non sur des faits scientifiques.

Déclaration du 27 juin 2022 : les signataires ont lancé un avertissement aux dirigeants du monde.

L’un des auteurs de la déclaration, le physicien de l’atmosphère Richard Lindzen, a même qualifié les prédictions actuelles sur le réchauffement climatique « d’absurdes » sur le site britannique The Daily Sceptic.

La science du climat « devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. »

Coût exorbitant de mesures sans fondement scientifique

« Les politiciens doivent en revanche penser aux coûts générés par l’application de leurs mesures politiques.

La semaine dernière par exemple, le président américain Joe Biden a signé une loi adoptée par le Congrès nommée Inflation Reduction Act. Elle implique notamment de soutenir le développement des énergies vertes en vue de réduire les émissions de CO2 de 40 % d’ici 2030. Ce projet de loi va coûter 368 milliards de dollars aux contribuables ».

« En 2009, Biden lui-même a annoncé une garantie de prêt de 535 millions de dollars pour l’entreprise de panneaux solaires Solyndra, ainsi qu’un financement de 700 millions de dollars en capital-risque. Les équipements produits devraient alimenter plus d’un demi-million de foyers en électricité. Malheureusement, l’entreprise a déposé le bilan deux ans plus tard. »

La compréhension du changement climatique imposée par les médias au service des milliardaires qui en profitent est erronée.

Le climat de la Terre varie, avec des périodes froides et chaudes, depuis que la planète existe

« Il n’est “pas surprenant que nous connaissions une période de réchauffement”. »

Selon les signataires, le réchauffement climatique n’intensifie pas les sécheresses, les catastrophes naturelles.

Il n’existe aucune preuve statistique « que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et les catastrophes naturelles de ce type, ou les rende plus fréquents… Il n’y a pas d’urgence climatique. »

« Le dioxyde de carbone n’est pas un polluant ».

Au contraire, c’est un gaz bénéfique pour la nature et l’agriculture. Le dioxyde de carbone est un élément « essentiel à toute vie sur terre », il nourrit les plantes.

Le CO2 n’est pas un polluant », dit-il. « Il est essentiel à toute vie sur Terre. La photosynthèse est une bénédiction. Plus de CO2 est bénéfique pour la nature, verdissant la Terre ; le CO2 supplémentaire dans l’air a favorisé la croissance de la biomasse végétale mondiale. C’est aussi bon pour l’agriculture, augmentant le rendement net des cultures dans le monde entier. »

En conséquence les mesures politiques visant à diminuer le taux de CO2 sont injustifiées et toxiques pour la planète défigurée par les éoliennes encore prévues près de Fécamp, pour tous les Français auxquels on interdira de se chauffer cet hiver, sous prétexte de réduction de la consommation vertueuse et de guerre absurde contre la Russie et évidemment pour la finance des gueux du monde occidental enfermés dans le joug de Davos.

LA DICTATURE DU RÉCHAUFFEMENT DOIT FAIRE PEUR AU PEUPLE ET LE RENDRE OBÉISSANT COMME LES MESURES ANTICOVID

Alors pourquoi tout ce cinéma et surtout l’absence de débat contradictoire et la diffamation et dénonciation calomnieuse des scientifiques qui ont le malheur de penser autrement et pire encore, de le dire ?

LES OPINIONS FIDÈLES AUX ORDRES DU MAÎTRE DES HORLOGES REMPLACENT LES FAITS AVÉRÉS

Comme en médecine — et vous l’avez vu ou découvert depuis deux ans — la véritable science basée sur des faits et analyses a été remplacée par les « opinions » conformes à la politique décidée par le forum économique et social, devenu véritable gouvernement mondial via l’OMS.

« Discussion basée sur des croyances, et non sur une science autocritique solide. »

L’ampleur de l’opposition à la science climatique « établie » moderne est remarquable, étant donné à quel point il est difficile dans le milieu universitaire d’obtenir des subventions pour toute recherche sur le climat qui s’écarte de l’orthodoxie politique. (Une liste complète des signataires est disponible ici.)

Un autre auteur principal de la déclaration, le professeur Richard Lindzen, a qualifié le récit climatique actuel d’’absurde », mais a reconnu que des milliards de dollars et la propagande incessante des universitaires et de l’agenda dépendant des subventions — les journalistes motivés disent actuellement que ce n’est pas absurde.

Une colère particulière dans la WCD est réservée aux modèles climatiques. Croire au résultat d’un modèle climatique, c’est croire ce que les modélisateurs y ont mis. Les modèles climatiques sont désormais au cœur des discussions sur le climat d’aujourd’hui et les scientifiques y voient un problème. « Nous devons nous libérer de la croyance naïve en des modèles climatiques immatures », déclare la WCD. « À l’avenir, la recherche sur le climat devra accorder beaucoup plus d’importance à la science empirique. »

Depuis la sortie du « petit âge glaciaire » vers 1850, le monde s’est réchauffé nettement moins que prévu par le GIEC sur la base des influences humaines modélisées.

« Le fossé entre le monde réel et le monde modélisé nous indique que nous sommes loin de comprendre le changement climatique », note la WCD.(([4] 1 200 scientifiques et professionnels déclarent : « Il n’y a pas d’urgence climatique » — Resistance (resistance-mondiale.com)
Source : https://dailysceptic.org/2022/08/18/1200-scientists-and-professionals-declare-there-is-no-climate-emergency/))

En Italie, le découvreur de l’antimatière nucléaire, le professeur émérite Antonino Zichichi, a conduit 48 professeurs de sciences locaux à déclarer que « la responsabilité humaine dans le changement climatique est “exagérée de manière injustifiée” et que les prévisions catastrophiques ne sont pas réalistes. »

Selon eux, « les variations naturelles expliquent une part substantielle du réchauffement climatique observé depuis 1850. »

« Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas plausibles à distance en tant qu’outils de politique mondiale. Ils amplifient l’effet des gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone, mais ignorent tout effet bénéfique. »

« Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles, ou les rend plus fréquents. Il n’y a pas d’urgence climatique », poursuit la Déclaration. « Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO2 proposée pour 2050. L’objectif de la politique mondiale devrait être “la prospérité pour tous” en fournissant une énergie fiable et abordable à tout moment. Dans une société prospère, les hommes et les femmes sont bien éduqués, les taux de natalité sont faibles et les gens se soucient de leur environnement ».

Le fantasme « établi » entourant la science du changement climatique s’effondre rapidement. L’année dernière, Steven Koonin, sous-secrétaire aux sciences de l’administration Obama, a publié un livre intitulé Unsettled dans lequel il notait que « la science est insuffisante pour faire des projections utiles sur la façon dont le climat va changer au cours des prochaines décennies, et encore moins quelles seront nos actions. »

PRENEZ LE TEMPS DE LIRE « APOCALYPSE NEVER »

En 2020, Michael Shellenberger a écrit un livre intitulé Apocalypse Never dans lequel il a dit qu’il croyait que la conversation sur le changement climatique et l’environnement avait au cours des dernières années« échappé à tout contrôle ». Une grande partie de ce qu’on dit aux gens sur l’environnement, y compris le climat, est fausse, a-t-il écrit.

Alors sortons du mythe du changement climatique lié à l’Homme (pour qui nous prenons-nous ?) cessons d’alimenter la peur qui tue par désespoir, suicides, comportements délirants, plus que les inondations, même si elles sont graves. Et cessons de bétonner, ce sera toujours un plus dans la lutte contre ces inondations par exemple.

N’acceptons plus de sacrifice pour soi-disant « vaincre le réchauffement climatique, le covid ou défendre l’Ukraine » dans une guerre qui n’est pas la nôtre.

Ne croyons plus les mensonges permanents qu’ils nous assènent. Nos vies, celles de nos enfants tout particulièrement aujourd’hui et demain sont plus importantes que leurs fausses simulations trompeuses d’un futur de propagande terrorisante.





La France sous le véto des « princes » qui la pilotent

Georges Ibrahim Abdallah, otage des américano-sionistes.
La France sous le véto des « princes » qui la pilotent !

Par DJERRAD Amar

C’est ce qui se déroule en France ! Nous sommes à une époque où le puissant dicte sa loi dans ce qu’il croit être la jungle, où l’immoralité devient morale et vice-versa, où l’agresseur se dit victime, où les dérives de la raison font des droits des citoyens des faveurs, leurs devoirs de la soumission, le respect compris comme de la peur, la loi servant d’instrument pour subjuguer !

Plus on s’efforce de consoler nos sentiments avec l’idée que cela va changer, que les choses vont s’apaiser, plus les diables, s’imposant dirigeants du Monde, affinent leur délire ravageur ! Ils se croient tout permis, même l’absurdité.

Le monde est bâti sur les droits et les devoirs, la justice et l’humanité, selon des règles admises et convenues ; y déroger ne suscite que des antagonismes et des conflits.

Même cette France de De Gaule — avilie par des gouvernances proxy équivoques et antidémocratiques — n’est plus qu’une pâle République, décrépie, sans soubassement, sans attrait, sans aura, qui a perdu toute considération.

Quand un pays comme le Mali ose la chasser de ses terres (après l’y avoir invitée), tout en l’accusant de servir en armant les terrorismes qu’elle prétend venir combattre — en saisissant l’ONU —, c’est non seulement que le curseur de l’égard est au plus bas, mais c’est le comble de l’humiliation qui remet en cause tous ses fondements historiques ! Tout montre que les Maliens possèdent des preuves tangibles et irréfutables qui vont mettre les gouvernants français dans une éprouvante position. Dos au mur !

La France est devenue un pays franchouillard, souvent xénophobe, au même degré que les sionistes qui la dominent au sein même de ses propres Institutions. Elle n’agit, inévitablement, que dans les sens qui satisfont les USA et Israël. Ses lois sont érigées sur ce principe cardinal au risque d’être accusée « d’antisémite » ; un néologisme construit de manière délibérément ambiguë, érigé en loi imposée par les lobbys, qui permet de dompter les adversaires et de rendre silencieux le critique le plus patriote.

Comment un Israël, petit pays factice créé par l’occident de toute pièce, au sein d’un pays qui n’est pas le sien, arrive à dicter au monde des puissants ses desiderata et même à faire changer leurs lois ?! Comment depuis 1948, Israël qui spolie les terres palestiniennes, les bombarde, les assassine par milliers (vieillards, femmes et enfants), qui mène une guerre illégale de conquête, défiant les résolutions de l’ONU, et personne en Occident, en particulier la France, ne trouve rien à dire, que des sermons, sûrement « autorisés », sur le bout des lèvres ?

Que peut bien opposer cette France rendue impure face à une injustice des plus crasse, piétinant dans la crotte ses fondements moraux humanistes, face à ce prisonnier atypique qui purge la perpétuité et qui est à sa trente-huitième année (38) de détention ! Georges Ibrahim Abdallah est l’archétype du prisonnier rebelle, révolutionnaire et patriote à subir, en France, une injustice sans équivalent.

Condamné en 1984 à deux et plus tard à quatre années de prison pour détention d’armes, puis écope en 1987 de la réclusion à perpétuité pour complicité dans les assassinats à Paris d’un agent du Mossad israélien et d’un attaché militaire américain agent de la CIA, crimes qu’il a toujours niés. Libérable en 1999, il se voit refuser sa dizaine de demandes, sauf deux. Malgré ces deux avis favorables, la France laisse injustement dépérir dans ses prisons ce militant libanais, chantre de la cause palestinienne et ennemi acharné de l’impérialisme. Ces refus réitérés confirment que la justice française, loin d’être indépendante, se heurte au diktat américano-sioniste derrière cette décision illégale de priver de liberté le détenu le plus embarrassant.

Aucune des hautes personnalités politiques et judiciaires françaises (y compris le Président) ne s’est autorisée, jusque-là, à évoquer son cas et l’injustice dont il est victime, oubliant qu’« une injustice faite à un seul est une menace faite à tous » (Montesquieu). Aucun homme sensé et raisonnable ne peut assister sans réagir à une iniquité, sinon ce serait de l’aliénation mentale ! Abdallah est bien un « otage » détenu éternellement par la France, sans droit à sa liberté pourtant reconnu, afin de ne pas désobliger les tuteurs qui auraient certainement souhaité qu’il soit mort.

Il faut reconnaître toutefois que des milieux français patriotes s’évertuent depuis des années à rappeler son cas en osant interpeller leurs dirigeants sur cette grave injustice aberrante. À qui s’adressent-ils ? À une race plus préoccupée par leur « nouvel ordre mondial », leurs intérêts personnels, leur objectif de transhumaniser le monde suivant leurs règles dans un système unipolaire gouverné par eux. En fait, par les Anglo-saxons et les sionistes ; l’Europe, dont la France, n’étant qu’un faire-valoir !

Pauvre France ! Ses officiels et ses institutions supposées « indépendantes » sont incapables d’appliquer en toute souveraineté leurs propres lois sans un quitus des lobbys qui la dominent, en particulier sionistes et/ou américains, au risque de se voir mise au banc des renégats ! Leur liberté d’action est soumise au veto des « princes » qui la pilotent !

Avec toutes leurs compromissions dans des affaires douteuses, dans leurs mensonges et manipulations, dans leurs pratiques et méthodes les plus viles et dangereuses, dignes des bandits – qui viendraient d’un atavisme colonial pas si lointain – ces scélérats de dirigeants osent encore le culot, comme si de rien n’était, de donner des leçons sur les droits de l’homme et les libertés au reste de la planète en se considérant hautainement comme référence universelle en la matière, pendant que le peuple français subit la censure, le refoulement, la coercition, voire la répression !

L’affaire Georges Ibrahim Abdallah restera, malgré toutes les cachotteries et diversions, un caillou dans le soulier des dirigeants français. Même mort en prison, l’injustice dont il aura fait l’objet l’agrandira, stimulera ses partisans et soutiens en attendant que les auteurs paient leurs actes barbares tôt ou tard !




Défense juridique des médecins convoqués pour avoir soigné. Entretien avec Me Joseph

[Source : edition.francesoir.fr]

[Illustration :  ©Me Joseph / AFP]

Par Xavier Azalbert, en collaboration avec Jean-Luc Duhamel et Héloïse Bocchio, et en partenariat avec les associations Bonsens.org, AIMSIB et le collectif Santé Justice France

Comme nous l’avait annoncé le Dr Grégory Pamart, le 14 juillet dernier, l’Ordre des médecins lance une « vaste campagne nationale », convoquant « des centaines de médecins pour avoir soigné, en conscience, des patients du Covid ». Les faits le confirment, et bien que le chiffre exact soit encore difficile à évaluer, de médecins sont convoqués devant les ordres départementaux pour s’expliquer quant au contenu de leurs prescriptions pour soigner leurs patients du Covid-19. Maître Jean-Pierre Joseph, avocat au barreau de Grenoble, nous explique la situation et livre des éléments de défense à destination des médecins convoqués.


Interview de Maître Joseph, par Xavier Azalbert, en collaboration avec Jean-Luc Duhamel et Héloïse Bocchio, et en partenariat avec les associations Bonsens.org, AIMSIB et le collectif Santé Justice France.

Qu’en est-il aujourd’hui du principe de liberté de prescrire des médecins ?

Jean-Pierre Joseph (ci-après JPJ) : Le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique.

Heureusement, car si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la Santé et/ou de l’industrie pharmaceutique.

Comme l’ont écrit de nombreux auteurs depuis des années, il semblerait qu’il existe aujourd’hui une volonté de faire disparaitre la médecine de ville. J’ai déjà expliqué dans « Les radis de la colère » (Ed. Louise Courteau 1999) pourquoi les indépendants gênent la mondialisation, et que l’objectif des grands de ce monde, était d’en  faire des salariés de la grande distribution (médecins, agriculteurs, commerçants et artisans, avocats, etc.)

Ce qu’il convient de rappeler avec force est que les médecins sont toujours libres de leurs prescription et que cela, en dépit de ce qu’avait voulu nous faire croire le ministre de la santé, Olivier Véran, est resté vrai pendant toute la soi-disant crise sanitaire, soit depuis 2020. Il s’agissait de ce que l’on a pu qualifier « d’interdiction de fait », mais en aucun cas d’une interdiction légale. En effet, la liberté de prescrire est un principe fondamental reconnu par la loi.

Pouvez-vous revenir un instant sur les faits et la liberté de prescrire ?

JPJ : Tout d’abord, la liberté de prescrire a été reconnue, en 1998, par le Conseil d’État comme principe général du droit, c’est-à-dire comme un principe placé au sommet de l’ordonnancement juridique que seuls supplantent les traités internationaux et la Constitution. En d’autres termes, il a une importance particulière dans notre droit et seule la loi peut y porter atteinte, et non un simple acte réglementaire d’un ministre (décret, arrêté).

Ensuite, la liberté de prescrire est clairement reconnue par le Code de la santé publique, dans sa partie législative comme dans sa partie réglementaire. Le principe est aussi repris dans le Code de la sécurité sociale. Bien sûr, la liberté de prescrire figure parmi les premiers articles du Code de déontologie médicale. Le texte du Code de déontologie médicale est extrêmement clair, puisqu’il prévoit ce qui suit : « Dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance. Il doit, sans négliger son devoir d’assistance morale, limiter ses prescriptions et ses actes à ce qui est nécessaire à la qualité, à la sécurité et à l’efficacité des soins. Il doit tenir compte des avantages, des inconvénients et des conséquences des différentes investigations et thérapeutiques possibles ».

Ce qu’il faut également comprendre de ce texte est que la mission première du médecin, et c’est à cela que sert la liberté de prescrire, est de tout mettre en œuvre pour soigner, et idéalement guérir, son patient. Cet engagement se retrouve aussi bien dans le Serment d’Hippocrate que dans la Déclaration de Genève de l’Association médicale mondiale. Le Serment d’Hippocrate, qui constitue selon l’Ordre des médecins lui-même, « l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale », est tout à fait explicite. « Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux », y est-il écrit dès les première lignes.

Enfin, aucune loi n’étant, à ce jour, revenu dessus, le principe de la liberté de prescrire est toujours en vigueur et l’a été pendant toute la durée de la « crise » sanitaire, comme l’a confirmée le Conseil d’État, dans une ordonnance du 22 avril 2020, soit au plus fort de la « crise » sanitaire. Ainsi, selon le Conseil d’État, les recommandations du ministre de la santé (qui tentait d’interdire la prescription du Plaquénil) : « Ne font en rien obstacle (à) une prescription beaucoup plus large, sur le fondement de l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, de l’hydroxychloroquine aux patients atteints de covid-19 ». Le confrère qui avait obtenu cette importante décision, Maître Krikorian, s’en était d’ailleurs longuement expliqué dans vos colonnes comme dans un communiqué de presse et ce thème avait donné lieu à un très intéressant débat entre ce dernier, le Dr Soussi et le Dr Délépine.

Le Conseil d’État a réitéré sa position dans un arrêt du 28 janvier 2021 qui rappelle, toujours à propos du Plaquénil, que : « Son administration, si elle peut être le fait de médecins de ville, suppose ainsi non seulement le respect de précautions particulières mais également un suivi spécifique des patients, notamment sur le plan cardiaque ». Bien entendu, cela ne vaut pas que pour le Plaquénil, cela vaut pour tous les médicaments.

Dès lors, on comprend mal pourquoi réprimer des médecins qui ont prescrit des traitements dont on ne peut plus sérieusement nier aujourd’hui qu’il guérissent les patients atteints du Covid-19, c’est-à-dire des médecins qui ont répondu à la lettre à l’engagement qu’ils ont pris en prêtant serment !

Qu’en est-il pour un médecin qui refuse de prescrire ?

JPJ : On ajoutera que, pour un médecin, refuser de prescrire, outre un refus de soin, peut constituer le crime de « délaissement d’une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son état physique ou psychique », une infraction prévue aux articles 223-3 et 223-4 du Code pénal. Puisque les thérapeutiques que le ministre de la Santé a tenté d’interdire sont efficaces, celui-ci et les médecins complices se rendent potentiellement coupable de délaissement ou de complicité de délaissement. Le délaissement est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende ou, s’il entraîné une mutilation ou une infirmité permanente, de quinze ans de réclusion criminelle et, s’il a provoqué la mort, de vingt ans de réclusion criminelle.

D’ailleurs, une plainte a été déposée par des médecins contre le président de l’Ordre national des médecins pour avoir empêché les médecins de prescrire les traitements reconnus comme efficaces contre le Covid-19. Un juge d’instruction est saisi.

Avez-vous des exemples qui vous permettent d’apporter un éclairage sur les dérives ?

JPJ : Pour mémoire, le scientisme dogmatique a montré ses limites par le passé, notamment après les scandales de la Thalidomide, du Distilbène, de l’amiante, du sang contaminé, du Vioxx, du Médiator, des statines, de la Dépakine, du Lévothyrox, et d’autres. Or, à chaque fois, on n’a écouté qu’une minorité de « scientifiques » croulant sous les liens d’intérêt et se prétendant détenteurs de LA Science, alors même que des milliers de médecins de terrain étaient en désaccord avec eux et on a abouti à des catastrophes sanitaires.

Nous sommes aujourd’hui dans le même cas de figure, où, alors que l’ANSM rapporte 175 000 déclarations d’effets indésirables du « vaccin », dont 42 000 classés comme « graves », les mêmes « scientifiques » répètent comme des perroquets que le lien de causalité n’est pas avéré (sans surtout rien vérifier eux-mêmes). Espérons que l’un d’entre eux ne reçoive pas, un jour, de la part d’une victime ou de l’un de ses proches, excédé par autant de mauvaise foi, un coup de poing dans la figure, accompagné d’un « coup de gueule » : « Vous avez mal ? Je n’y suis pour rien, car le lien de causalité n’est pas avéré… »

Qu’en est-il de la prescription hors autorisation de mise sur le marché ? Le traitement recommandé par les médecins de terrain pour lutter contre le Covid-19 supposait-il de les utiliser en dehors de cette indication ?

JPJ : La première précision importante est que la prescription d’une spécialité pharmaceutique en dehors des indications de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) qui lui a été délivrée par les services de l’État n’est pas illégale. Elle est simplement encadrée par le Code de la santé publique.

C’est ce que prévoit son article L. 5121-12-1. Cela a été confirmé le Conseil d’État par l’arrêt déjà cité du 28 janvier 2021 au sujet du Plaquénil. Selon le Conseil d’État, en l’absence de recommandation temporaire d’utilisation et d’alternative médicamenteuse appropriée ayant une AMM ou une ATU, le Plaquénil pouvait être prescrit pour une autre indication que celles de son AMM, à la double condition de l’absence de toute recommandation temporaire d’utilisation et de l’absence d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une autorisation de mise sur le marché ou d’une autorisation temporaire d’utilisation, qu’en l’état des données acquises de la science, le prescripteur juge indispensable le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. Cela vaut, bien sûr, pour tout médicament.

Ainsi, si l’on veut résumer le régime de la prescription hors AMM, on retiendra plusieurs éléments fondamentaux.

  • Premièrement, une prescription hors AMM n’est pas, en soi, illégale et elle ne peut pas caractériser, à elle seule, une faute disciplinaire du médecin prescripteur. Cela ressort d’un arrêt du 19 juillet 2011 du Conseil d’État. Le juge y précise que : « Les prescriptions de médicaments hors du champ des indications figurant dans une autorisation de mise sur le marché n’étant pas par elles-mêmes interdites, la section des assurances sociales ne pouvait, sans commettre une erreur de droit, se borner à retenir cette circonstance pour la qualifier de faute, abus et fraude au sens de l’article L. 145-1 du code de la sécurité sociale ». Ceci est essentiel à comprendre pour les médecins que l’Ordre prétend aujourd’hui sanctionner pour avoir prescrit des traitements hors AMM qui ont, de surcroît, guéri leurs patients.
  • Deuxièmement, et le Code de la santé publique est tout à fait explicite sur ce point : en l’absence d’autorisation ou de cadre de prescription compassionnelle dans l’indication considérée, la prescription hors AMM est licite à la double condition qu’il n’existe pas d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une AMM ou d’une autorisation d’accès précoce et que prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. Dans ce cas, l’ordonnance doit porter la mention « Prescription hors autorisation de mise sur le marché  », ce qui implique d’informer le patient que le médicament est prescrit hors AMM et de lui exposer les risques encourus, les contraintes et les bénéfices attendus du médicament.
  • Troisièmement et ce point est également crucial pour la défense des médecins aujourd’hui mis en cause, la charge de la preuve pèse sur la juridiction ordinale (chambres disciplinaires des conseils régionaux et du conseil ordre national de l’Ordre des médecins). En d’autres termes, c’est à elle de démontrer que la thérapeutique employée fait effectivement courir un risque injustifié au patient. Là encore, c’est l’enseignement d’un important arrêt du 4 septembre 2000 du Conseil d’État. On observera, à ce propos, que l’initiative des convocations des médecins ayant prescrits provient de l’administration qui a saisi les ordres médicaux, mais jamais, à ma connaissance des patients…

Comment se fait-il que les Ordres départementaux, qui convoquent aujourd’hui les médecins ayant prescrit, aient pu avoir accès à leurs prescriptions, permettant la poursuite ou l’intimidation ?

JPJ : C’est une bonne question. La chose est en effet surprenante. L’explication pourrait néanmoins être assez simple, quoique hautement critiquable.

Il semblerait, au vu des courriers de convocation que j’ai pu consulter, que les Ordres départementaux des médecins, qui exercent en principe un contrôle déontologique en premier ressort sur les médecins de leur département et sont dotés du pouvoir de saisir les chambres disciplinaires régionales, se soient appuyés sur les signalements que leur ont faits les directeurs des caisses d’assurance maladie, qui exercent aussi un contrôle mais d’ordre administratif sur les médecins.

En d’autres termes, contrôle déontologique et contrôle administratif ont été savamment mêlés pour créer une confusion et laisser croire que les Ordres pouvaient, soudain, contrôler le contenu des prescriptions des médecins !

En effet, l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale, invoqué par nombre de courriers de convocation, est relatif au pouvoir de contrôle des médecins par les directeurs de caisses d’assurance maladie. Plus précisément, cet article autorise les directeurs de caisses à transmettre aux Ordres médicaux les « faits susceptibles de constituer des manquements à la déontologie ». Cependant, et c’est là le point-clef, ce texte ne permet aux directeurs de caisses de signaler à l’Ordre des médecins que des faits susceptibles de constituer des manquements à la déontologie et aucun autre.

Cette analyse a d’ailleurs été confirmée, à propos de la transmission aux Ordres médicaux par les directeurs de caisses de données à caractère personnel, par la Commission informatique et libertés (CNIL), dans une déclaration du 16 août 2022 relative à la « Lutte contre les fautes, abus et fraudes par l’assurance maladie obligatoire ». Il en ressort que le droit de transmettre des données personnelles aux ordres de médecins n’est octroyé aux directeurs de caisses que pour des motifs de fraude interne et les fautes, abus et fraudes, aucun autre motif de transmission n’étant recevable. Selon la CNIL : « Les organismes gestionnaires des régimes obligatoires de base de l’assurance maladie sont autorisés à mettre en œuvre des traitements de données à caractère personnel dont la finalité est la lutte contre la fraude interne et les fautes, abus et fraudes (…). UTILISATION(S) EXCLUE(S) DU CHAMP DE LA NORME : Toute autre finalité ».

Au demeurant, l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale, qui n’a que rarement été mis en œuvre, ne l’a été, à ce jour, que pour des questions de dépassements d’honoraires ou de refus de soin (arrêté du 22 septembre 2011 portant approbation de la convention nationale des médecins généralistes et spécialistes).

On en déduit que le pouvoir de signalement, donc de transmission d’informations, des directeurs de caisses est strictement limité aux manquements déontologiques et, s’agissant des données à caractère personnel, aux fraudes internes, fautes, abus et fraudes entrant dans la définition du manquement déontologique. Or, eu égard au principe de liberté de prescrire, le contenu de la prescription hors AMM par le médecin ne constitue pas une faute déontologique.

En somme, le fait pour un médecin de choisir et de prescrire des médicaments hors AMM pour soigner le covid-19 n’est ni une faute, ni un abus, ni une fraude, pas plus qu’il ne constitue un manquement déontologique. Si c’était le cas, les médecins se retrouveraient aux ordres des gestionnaires des régimes obligatoires, du ministre de la Santé et de l’industrie pharmaceutique.

Par conséquent, les convocations de médecins sur le fondement de l’article L. 162-1-19 du Code de la sécurité sociale peuvent être, sous réserve de l’appréciation du juge, qualifiées d’illégales d’un point de vue procédural.

Dans le contexte actuel, il reste une question essentielle. Les médecins ainsi convoqués peuvent-ils compter sur l’impartialité de leur Ordre ?

JPJ : La vraie question, à laquelle le droit apporte une réponse très claire, est celle de l’impartialité des formations disciplinaires des Ordres, c’est-à-dire celles qui ont le pouvoir d’infliger des sanctions disciplinaires aux médecins (chambres disciplinaires des conseils régionaux et du conseil ordre national de l’Ordre des médecins). En effet, les membres de ces formations sont soumis au principe d’impartialité, qui est explicité par la maxime : « Nul ne peut être juge et partie ». C’est un principe à valeur constitutionnelle (article 16, Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen). L’impartialité doit être, à la fois, personnelle (ne pas avoir de préjugés personnels) et fonctionnelle (ne pas être en situation de conflit d’intérêt).

L’obligation d’impartialité des membres des juridictions ordinales a été très clairement reconnue par la Cour européenne des droits de l’Homme. Ainsi, dans une décision du 20 mai 1998, affaire Gautrin c. France, la Cour décide, à propos d’un litige opposant SOS Médecins et d’autres associations intervenants dans le même domaine, que les juridictions ordinales compétentes ne pouvaient pas être qualifiées d’impartiales. Selon la Cour, « dans cette région, interviennent dans le même domaine des associations auxquelles participent certains syndicats médicaux et conseils départementaux de l’ordre (…).  (Ce) litige dépassait le strict domaine du respect de la déontologie puisqu’il s’inscrivait dans le contexte d’une concurrence entre SOS Médecins et les autres associations d’urgentistes susmentionnées. Or la Cour observe que les membres du conseil régional ainsi que trente-deux des trente-huit membres du conseil national – lequel élit en son sein la section disciplinaire – sont des praticiens désignés directement par les conseillers départementaux (…). Ces deux organes avaient de ce fait un lien troublant avec lesdites « concurrentes » de SOS Médecins et il est compréhensible que les requérants aient suspecté leurs juges de partialité ». Il s’ensuit que « ni le conseil régional de l’Ordre des médecins d’Île-de-France ni la section disciplinaire du conseil national du même Ordre ne furent un tribunal « impartial » au sens de l’article 6 § 1 ». Bref, il y a eu violation de cette disposition.

Le Conseil d’État ne dit pas autre chose. Il relève, par exemple, dans un arrêt du 22 décembre 2017 que le fait qu’un médecin ait, au titre de ses fonctions au sein de l’ARS, été antérieurement saisi par le conseil départemental de l’Ordre des médecins des faits reprochés à l’intéressé et avait alors préconisé une inspection sur place, en en informant le conseil départemental, « est susceptible de porter atteinte à l’équité du procès et au principe d’impartialité rappelés par les stipulations de l’article 6 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales ».

Le principe d’impartialité connaît de multiples applications, parmi lesquelles, comme il a été dit, l’interdiction des conflits d’intérêts, par exemple entre un médecin, un laboratoire pharmaceutique et le litige que ce médecin aurait à connaître au titre de membre d’une juridiction ordinale. Plusieurs outils permettent aux médecins convoqués pour avoir prescrits des traitements contre le covid-19 de s’assurer que les juges ordinaux qui ont à connaître de leur affaire sont dépourvus de conflits d’intérêts : la base de données « Transparence-santé » du ministère de la Santé, la base des « Déclarations publiques d’intérêts » du ministère en charge de la santé ou encore la base « Euro for docs », qui est une base privée.

L’actualité est d’ailleurs riche en enseignements en matière de conflits d’intérêts des médecins. Ainsi, dans un domaine proche, celui de la déclaration de leurs liens d’intérêt par des médecins avant une prise de parole dans les médias, que le prévoit l’article L. 4113-13 du Code de la santé publique, le Pr Bruno Lina et le Pr Robert Cohen ont été récemment sanctionnés par la Chambre nationale du Conseil de l’Ordre des médecins pour n’avoir pas déclarés de tels liens.


À destination des médecins convoqués, Me Jean-Pierre Joseph a rédigé une note d’information juridique qu’il intitule :
« Arguments à faire valoir en cas de convocation par l’Ordre des médecins pour avoir prescrit ».




L’écume, la vague et la lame de fond. Dans quelle guerre sommes-nous ?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




Coronavirus et campagne forcenée pour le marquage du bétail humain

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

On sait aujourd’hui que le décompte des « morts du Covid » doit être radicalement remis en cause. On sait aujourd’hui que les « vaccins anti-covid » ont provoqué de graves effets secondaires… ainsi que des morts par milliers ! On se souvient que ceux qui osaient donner ces informations, il y a quelques mois à peine, étaient aussitôt traités « d’irresponsables » ou de « complotistes » !

Chacun doit se demander en conscience : qui sont donc ces gens qui ont pu se permettre de traiter les veilleurs, les lanceurs d’alertes, les informateurs responsables, des experts dans ces questions de santé, « d’irresponsables et de complotistes » ? Qui sont ces personnes arrogantes, habitées par le mensonge et méprisant à ce point l’humanité par leurs motivations égocentriques donnant raison à leurs conflits d’intérêts placés de ce fait bien au-dessus de toute conscience morale de base ?

En réalité, l’humanité a toujours produit ce genre « d’anomalie  » qu’elle a régulièrement été obligée de corriger, afin d’empêcher qu’elle ne conduise les humains à leur fin prématurée… C’est difficile à entendre mais c’est la réalité !

La revue scientifique Nature et cette autre revue, The Lancet, qui veut sans doute se refaire une virginité, ont décidé toutes les deux de traiter objectivement les questions du décompte des morts de la Covid-19 et des myocardites provoquées à la chaîne par les injections dites anti-Covid.

Selon ces deux revues et les scientifiques qui s’y prononcent, il y a 40 % d’erreur dans le décompte des décès de la Covid-19. Ce décompte n’a servi qu’à fomenter la terreur de la mort et à préparer le terrain de la propagande pour la campagne de « vaccination », en réalité cette injection de nanotechnologie pour « le piratage des animaux humains » comme l’ont si bien formulé les pervers amis de Klaus Schwab du Forum Économique Mondial de Davos. 

Pour que ce marquage puisse fonctionner et donc pour que le « piratage des animaux humains » soit possible, il faut sans doute une quantité de graphène suffisante injectée dans le corps ; cela expliquerait la stratégie des « vaccinations » répétitives organisées dans le mensonge absolu (une dizaine de prévues, compte tenu des stocks achetés par l’UE) et d’où viendraient la colère et la volonté de Macron « d’emmerder » « affectueusement », dixit le « Young Global leader » de l’Élysée, tous ceux qui refusent de se faire marquer comme de vulgaires animaux domestiques du troupeau des nouveaux « esclaves » !

Selon Harari, un grand ami de Klaus Schwab, la technologie du cloud, comme la plate-forme d’IBM ou celle de Bill Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution. 

« Les humains (qui continuent de croire au mensonge) sont désormais des animaux piratables ». « Toute idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne peut savoir ce qui se passe en chacun, quoi qu’il choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, ce libre arbitre est fini. » 

« Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé. » 

« En cette période de crise, vous devez suivre la science ». « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID-19] était l’occasion de faire les bonnes réformes, qu’en temps normal, les gens n’auraient jamais acceptées. Mais en temps de crise, c’est une fenêtre d’opportunité ! »

« Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années », disent triomphalement les « élites » du FEM de Davos. « Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer… »

« Mais, poursuit Harari, notre conception intelligente et la conception intelligente de nos clouds, le cloud d’IBM, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. » 

« Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente », ajoute le complice de Klaus Schwab. 

Comme si la vie organique n’avait pas été façonnée par la conception intelligente de la nature. Au lieu d’avoir une sélection naturelle, nous aurons maintenant une sélection artificielle !

Ces hommes arrogants prétendent donc être plus intelligents que la nature et d’être désormais capables de façonner une vie qui sera supérieure à tout ce qui est vivant dans le monde ! Ce sont des gens pareils qui ont pris le pouvoir et qui nous imposent cet abominable transhumanisme dans lequel il n’y a plus trace de ce qu’est la beauté de la conscience et de la liberté qui est une manifestation de la conscience ! (Source : anguillesousroche.com)

Selon les scientifiques de ces deux revues spécialisées, Nature et The Lancet, les « injections » à ARN messager n’avaient pas du tout une finalité sanitaire, comme on le dit déjà depuis le début de cette comédie pathétique…

Le 9 juin, Nature révèle dans le détail comment les experts de l’OMS ont pu compter 40 % en trop dans le simple calcul de l’excès de mortalité causé par l’épidémie de la Covid-19. (Cf.,  Van Noorden, Richard. « COVID death tolls: scientists acknowledge errors in WHO estimates », Nature, 1er juin 2022, vol. 606,7913 (2022) : 242-244. Doi : 10.1038/d41586-022-01526-0, https ://www.nature.com/articles/d41586-022-01526-0)

C’est la méthodologie utilisée à dessein par les experts de l’OMS, qui a permis aisément cette falsification. Les « modélisateurs » mathématiques qui ont été utilisés étaient défaillants et cela se savait depuis le début.

À son tour, The Lancet publiait le 11 juin quelque chose d’encore plus sidérant : une étude rétrospective pour comparer les risques cardiaques (péricardites et myocardites) suite aux injections des produits à ARNm de Pfizer et de Moderna. 

Pour les deux substances injectées, le risque était le même, c’est-à-dire, bien plus élevé que ce qui a été constaté habituellement chez les 18-25 ans, sachant que les données récoltées par la pharmacovigilance ont été largement insuffisantes du fait de la résistance des médecins à déclarer ce qu’ils constataient et compte tenu de la pression scandaleuse qui s’est exercée sur eux, les menaçant de suspension ou de radiation de l’Ordre des Médecins…

(Cf., Hui-Lee Wong, Mao Hu, Cindy Ke Zhou, Patricia C Lloyd, Kandace L Amend, Daniel C Beachler et al, « Risk of myocarditis and pericarditis after the COVID-19 mRNA vaccination in the USA : a cohort study in claims database », The Lancet, 11 juin 2022, https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(22)00791-7/fulltext)

Les doses dites de « rappel » augmentaient ce risque et les médecins de ville, généralistes, constataient cette hausse inexpliquée des troubles cardiaques chez les jeunes. Le ministre de la santé allemand a admis, le 12 juin dernier, que la campagne d’injections dite « anti-Covid », avait eu pour effet principal, un affaiblissement du système immunitaire de ses concitoyens, ce qui expliquait désormais qu’ils étaient devenus plus vulnérables aux autres virus toujours existants !

Du coup, ce même ministre recommandait la poursuite intensive des « vaccinations », car le mal étant fait, il n’y avait plus d’autres solutions que celle de s’enfoncer davantage dans cette erreur ! (Cf., David Berger, «Lauterbach gibt zu: Coronamaßnahmen haben Immunsystem schwer geschädigt», Philosophia Perennis, 6 juin 2022 (en allemand), https://philosophia-perennis.com/2022/06/06/lauterbach-gibt-zu-coronmassnahmen-haben-immunsystem-schwer-geschaedigt/).

Selon les derniers chiffres officiels, 65 629 décès sont dus aux injections anti-Covid-19 et 10 439 642 blessures ont été signalées au 24 février 2022 pour l’ensemble des pays de l’Union Européenne, des USA, du Royaume-Uni… (cf., The European Medicines Agency (EMA) ; The Medicines And Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA); The United States Food And Drug Administration (FDA); The Centers For Disease Control And Prevention (CDC)-)

Les médias aux mains des milliardaires, qui se sont entendus pour soutenir la campagne de propagande à la demande des responsables du FEM de Davos voulant exploiter « la fenêtre d’opportunité » qu’offrait cette fausse pandémie, se sont livrés corps et âme à la cause du « transhumanisme » qui se cachait derrière toutes ces aberrations que l’OMS elle-même avait répétitivement été obligée de démentir en se contredisant de multiples fois. Le Pr Perronne, ancien expert de l’OMS, nous expliquait dans une interview que la fondation Bill Gates avait le contrôle total de l’OMS, puisqu’elle est la sponsor principale, majoritaire des fonds attribués à l’OMS. (cf., « Les Incorrectibles » GETTR, du 16 janvier 2022, animée par Éric Morillot.)

Tout ce qu’a publié le Professeur Perronne durant ces deux dernières années, est fondé, prouvé, démontré scientifiquement. Il est inattaquable sur le plan scientifique. C’est pourquoi personne ne veut un débat scientifique avec lui ; les ordures qui nous gouvernent préfèrent radoter que Perronne « affirme des contre-vérités sur la Covid-19 », « qu’il ne sait plus ce qu’il dit », que c’est un « charlatan », sans rien démontrer, sans jamais rien argumenter. Les pervers aux commandes se contentent de dénigrer, d’humilier, de détruire par le mensonge et la diffamation, la réputation de tous ceux qui s’opposent à leur agenda mondialiste et à leur « croyance obscurantiste sur la Covid- 19 ». 

À l’heure actuelle, le wokisme, le covidisme, le « vaccinalisme » et l’Ukraine ont fait de nos Talibans médiatiques des références doctrinales incontournables pour le triomphe de la vérité révélée par le dieu du Nouvel Ordre Mondial : les véritables scientifiques sont harcelés par la terreur de ces charlatans au service du système.

Prochainement nous aurons un sérieux nettoyage à planifier au sein de la société humaine : la colonie pénitentiaire de Kafka ou le monde orwellien, faisant partie de l’épisode obscurantiste des talibans médiatiques…

Rappel : En France au pic le plus élevé de la crise de la Covid-19, il y avait 140 malades par semaine pour 100 000 habitants ; pour une grippe normale, c’est entre 500 et 600 malades par semaine pour 100 000 habitants, sachant que le chiffre de 140 n’a jamais été dépassé depuis deux ans et demi (chiffre qu’il faut encore revoir à la baisse, compte tenu des falsifications relevées récemment dans les statistiques rapportées par les organismes officiels !) 

Depuis que les théoriques « vaccins » ont été reconnus comme inutiles (ils ne protègent pas de l’infection par le SARS-Cov-2 et n’empêchent pas d’infecter ses contacts), le chef de la stratégie vaccinale de « l’Agence Européenne du Médicament » a déclaré en début d’année : 

« Si nous avons une stratégie dans laquelle nous donnons des rappels tous les quatre mois, nous finirons par avoir potentiellement des problèmes de réponse immunitaire ». (cf. AEM de janvier 2022)

(Cf., Sommet mondial sur le Covid: 17 000 scientifiques appellent à mettre fin à l’état d’urgence sanitaire, France Soir, 26 mai 2022. Covid-19 : un déficit immunologique responsable de près d’un quart des formes sévères chez les vaccinés, TF1 Info, 15 juin 2022.)

 Les travaux les plus avancés semblent être ceux de L’Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Techniques OPECST : 

« Un vacciné sur 340 consulte un médecin après sa vaccination, pour grande fatigue, fièvre, maux de tête, de ventre, musculaires, rougeurs sur sa peau, paralysie partielle, troubles cérébraux ou cardiaques… Un sur 1434 a quelque chose de très grave qui peut se terminer en handicap permanent et enfin un sur 28 000 en meurt. » 

Au printemps 2022, les chiffres des contaminations deviennent franchement catastrophiques pour les défenseurs de ces « vaccins » : les « vaccinés » ont désormais plus de risques d’être infectés que les non-vaccinés !

(Cf., site officiel « Vax Impact », pour les 60 à 79 ans : la proportion d’infection parmi les vaccinés (2 ou 3 doses) est systématiquement supérieure à celle observée chez les non-vaccinés, à partir du mois de mars 2022. https://covidtracker.fr/vaximpact/)

Résultat : les Britanniques cessent brutalement de publier le taux d’infection selon le statut vaccinal. En France, on ne communique plus sur les chiffres officiels de la DREES. 

En mai 2022, un Bill Gates abattu reconnaît hypocritement, sur la scène du Forum économique mondial, que « ces vaccins ne sont pas bons pour bloquer l’infection ».

https://www.youtube.com/watch?v=jEmy9PeuRLU

Il en tire même la conclusion que les passeports vaccinaux n’ont aucun sens, dès lors qu’on peut être vacciné et infecté ! Pour se moquer du monde, personne ne fait mieux !

Cerise sur le gâteau, le Laboratoire Pfizer déclare : « aucun des effets secondaires ou graves survenus chez les personnes après le « vaccin » anti-Covid, n’est lié au « vaccin » ! Les cas de problèmes graves sont tellement nombreux que le laboratoire faisait cette déclaration en vue de se protéger face au déluge de plaintes qui allaient inévitablement lui tomber sur la tête. 

Pfizer refuse catégoriquement d’admettre que l’un des effets très néfastes tels que la mort ou des lésions neurologiques est dû à son vaccin.

https://southfront.org

Mais, qu’à cela ne tienne, les Macron et leurs équipes de pervers veulent à tout prix continuer et renforcer la campagne de « vaccination » en la généralisant aux enfants eux-mêmes ! Ils continuent de dépenser l’argent public dans l’achat de ces substances mortelles ou dangereuses pour la santé physique et mentale, sans parler des objectifs réels poursuivis par ces injections …

CONCLUSION

Dans cette histoire de la « pandémie Coronavirus » tout est faux de A à Z ; tout est manipulé ; tout a été acheté, et ce qui ne pouvait pas l’être a été menacé de « mise à pied », de « suspension », de « radiation », de sanction, de répression judiciaire, policière, fiscale… Les scientifiques qui ne pouvaient pas être achetés ont été purement et simplement menacés dans leur existence ou pour l’avenir de leur carrière. 

Les médecins eux-mêmes ont été obligés de se taire et de tenir le discours du narratif officiel mensonger, sous peine de radiation de l’Ordre des médecins ou d’une condamnation pour « faute professionnelle » ou rébellion…

Tout a été martyrisé, persécuté, menacé, sanctionné sans pitié et sans scrupules… L’argent de la trahison a coulé à flots, bien plus que les trente deniers symboliques de la tradition judéo-chrétienne paulinienne !

Les salauds, les ordures et les pervers ont proliféré soudain sous nos yeux ébahis, faisant ouvertement de la vérité un mensonge et du mensonge la vérité, nous traitant de « complotistes », de « terroristes », d’extrême droite, de « populistes »… 

Lorsque nous affirmions que c’était « la Terre qui tournait autour du soleil et non pas le soleil autour de la Terre », ces chiens de garde de la trahison de l’humanité aboyaient en meutes nous renvoyant à « l’évidence du contraire », nous condamnant au bûcher pour avoir osé critiquer la doxa du narratif des mondialistes au pouvoir, eux qui savaient contrairement aux pauvres rebelles que nous étions et qui n’étaient « qu’ignorance et inutilité » depuis notre naissance ! Nous devions « croire » que c’est le soleil qui tourne autour de la Terre, cela étant une « évidence » que seuls les « complotistes » refusaient de voir !

Les « inutiles » devaient être éliminés, les « substituables » devaient être transformés par le transhumanisme en machines à servir les Maîtres absolus de la vie piratée !

Plus que jamais, nous avons le devoir de nous battre en résistant, en refusant de nous soumettre à cette tyrannie déguisée de bons “prétextes sanitaires”, de “responsabilité morale”, de “devoir”…

L’humanité a été conduite à l’échafaud. Des vies ont été ruinées. Les récalcitrants sont encore maltraités. Les vieux ont été achevés à coups de Rivotril. Les enfants sont muselés et piqués aux produits toxiques remplis d’oxyde de graphène et d’autres substances dangereuses pour la santé physique et mentale. 

La chute fatidique du Capitalisme ultra libéral devait être camouflée par le triomphe des plus riches, la ruine de l’économie, le chômage de masse, les faillites tragiques en très grand nombre, le passage forcé au tout numérique, la disparition de l’argent liquide et le passage au contrôle par le passe vaccinal dont le QR code permettra une identification numérique reliant tout à tout ce qui regarde une personne : ses dossiers de santé, son activité bancaire, ses loisirs, ses fréquentations, ses centres d’intérêt, ses affaires privées, ses idées, sa sexualité…, etc.

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’un “État policier mondial”, contrôlé par la finance. C’est de cette manière que la gouvernance mondiale se mettra en place, grâce à la marque du chiffre dont chacun devra être porteur sous peine d’exclusion et d’élimination du champ contrôlé de la vie.

Jean-Yves Jézéquel

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Crise des soignants suspendus et solutions

[Source : Fabien Moine – Exuvie TV]

Avec Louis Fouché, Laurent Gounelle, Fabien Moine…




Comment les services secrets ont traqué les résistants sur Internet

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

On a jusqu’ici cru que la traque aux résistants — notamment les censures ou les fermetures abusives de compte étaient le seul fait des réseaux sociaux eux-mêmes. On commence à comprendre qu’il s’agissait en réalité d’opérations communes entre ces réseaux et nos services secrets chargés de traquer les résistants de tous poils. Nous n’en sommes encore qu’au début de nos découvertes, mais une chose est sûre : le COVID a donné lieu à une véritable militarisation de l’information en Occident, au nom de la lutte contre la propagande russe.

Les nombreuses fermetures abusives de comptes sur les réseaux sociaux, durant la campagne de vaccination, ont irrémédiablement posé la question de l’embrigadement des GAFAM dans la folie totalitaire de la caste. Mais ce qu’on commence à comprendre aujourd’hui, c’est que cette campagne de « nettoyage » des réseaux sociaux pour empêcher les résistants de s’exprimer n’a pas été menée par les réseaux sociaux seuls. Les services secrets britanniques reconnaissent avoir été à la manœuvre pour « retirer » les résistants hors des réseaux sociaux, selon un procédé qui s’éclaire progressivement. 

Le rôle du GHCQ britannique

C’est en consultant le 2e rapport de l’Hybrid CoE Research que l’on comprend comment, en Grande-Bretagne, la traque aux résistants a été menée sur Internet. Selon cet organisme qui se consacre à l’étude des méthodes de contre-influence dans les guerres hybrides (c’est-à-dire les guerres de l’information) les services britanniques ont en effet mené une campagne d’élimination systématique des résistants au vaccin sur Internet. 

Selon ce rapport (on consultera tout spécialement les pages 20 et 21), le Département du Numérique, de la Culture, des Médias et du Sport (DNCMS) a entre autres utilisé les services du GCHQ pour collaborer étroitement avec les plates-formes numériques afin de supprimer les contenus contraires à la doctrine officielle :

The unit works closely with social media platforms to help them identify and take action to remove incorrect claims about the coronavirus, in line with their terms and conditions.

(L’unité travaille étroitement avec les réseaux sociaux pour les aider à identifier et agir pour retirer des contenus incorrects sur le coronavirus, en lien avec leurs conditions générales.)

On pensait jusqu’ici que les Facebook, Twitter et Google avaient agi de leur propre chef. On comprend désormais que les GAFAM collaborent étroitement avec les services secrets, en leur livrant au jour le jour leurs données personnelles et en prenant directement leurs ordres en matière de suppression de contenus auprès de ces services. 

Jusqu’où est allée la manipulation de l’information ?

Si les services de renseignement demeurent intentionnellement discrets sur les méthodes qu’ils utilisent pour contrer l’influence des résistants sur Internet, le rapport que nous citons donne un indice révélateur sur la face cachée de l’information :

This DCMS unit has been working closely with the Communications team of the Department of Health and Social Care on vaccine campaigns to promote information and advice and increase uptake, particularly amongst certain groups within the population. They have regular meetings and share insights on narratives that we have seen
emerging which may drive hesitancy that might affect vulnerable groups in particular.

(Cette unité du DCMS a oeuvré en étroite collaboration avec l’équipe Communications du Département de la Santé et de l’Aide Sociale sur les campagnes de vaccination, afin de promouvoir une information et des conseils et afin d’augmenter le taux de vaccination, particulièrement parmi certains groupes de la population. Ils tiennent des réunions régulières et partagent des slogans sur les narratifs émergents qui pourraient semer le doute auprès de certains groupes vulnérables dans la population.)

On retiendra la formulation qui nous intéresse ici : “share insights on narratives”. Autrement dit, les services d’espionnage numérique ne se contentent pas de supprimer des contenus gênants et de clôturer les comptes des dissidents. Ils diffusent aussi des informations “correctes” dans certains groupes de la population. 

Les techniques utilisées pour ce faire ne sont pas explicitées officiellement, mais on peut se demander légitimement si elles passent ou non par de faux comptes ou par des trolls. 

Le rôle officiel des services secrets

Dans cette opération menée en Grande-Bretagne, c’est la très officielle agence Reuters qui a dévoilé, en novembre 2020 (citant un article du Times de Londres), le rôle joué par les services de propagande antiterroriste utilisés en leur temps contre Daesh, le GHCQ :

“GCHQ has been told to take out antivaxxers online and on social media,” the Times said, citing a source.

(“Le GHCQ a reçu l’ordre de retirer les antivax d’Internet et des réseaux sociaux” dit le Times, selon une source”)

On comprend ici que les ministères officiels se sont appuyés sur les services secrets pour mener la campagne favorable au vaccin, s’autorisant à bâillonner tous les opposants sans autre forme de procès, dans une collaboration active avec les réseaux. 

Le fantasme de la propagande russe

Cette violation allègre de la liberté d’expression a évidemment trouvé sa justification officielle : la lutte contre la propagande russe, toute réticence contre le vaccin étant forcément inspirée par Moscou, voire par Vladimir Poutine lui-même. 

Comme le précise Reuters :

This latest move by GCHQ, which gathers communications from around the world to identify and disrupt threats to Britain, is an attempt to counter disinformation activities linked to Russia, the report said.

(Cette action récente du GHCQ, qui collecte des informations à travers le monde entier pour identifier et contrer les menaces qui pèsent sur la Grande-Bretagne, est une tentative pour contrer les activités de désinformation liées à la Russie, selon le rapport officiel.)

Dans la pratique, on comprend comment le “narratif” s’est construit pour militariser la propagande du COVID : toute forme de scepticisme sur la question du coronavirus et du vaccin a été automatiquement classée comme activité pro-russe, ce qui autorisait toutes les opérations de sécurité nationale. 

Une opération de propagande occidentale

On notera que Reuters souligne le caractère très international de cette opération de “nettoyage” d’Internet. 

GCHQ is Britain’s main eavesdropping agency and has a close relationship with the U.S. National Security Agency, as well as the eavesdropping agencies of Australia, Canada and New Zealand in an intelligence alliance known as the “Five Eyes”.

(Le GCHQ est la principale agence d’écoute de Grande-Bretagne et entretient des relations étroites avec l’Agence de sécurité nationale des États-Unis, ainsi qu’avec les agences d’écoute d’Australie, du Canada et de Nouvelle-Zélande au sein d’une alliance de renseignement connue sous le nom de “Five Eyes”.)

On peut penser que cette opération de nettoyage d’Internet a obéi aux mêmes procédures dans différents pays occidentaux. On découvre au passage que les écoutes et la surveillance numérique sont d’ores et déjà cartellisées dans les pays occidentaux…

Et en France ?

Pour l’instant, aucune information claire n’a percé sur les pratiques françaises durant le COVID. L’agence Viginum n’a par ailleurs été créée qu’en juillet 2021. 

Cela signifie-t-il que la France est restée inactive sur les réseaux sociaux pendant la campagne du COVID ? Certainement pas, comme le souligne le rédacteur du rapport que nous avons cité plus haut, en l’espèce Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, français, directeur de l’Institut de Recherches Stratégiques (IRSEM). Dès 2018, un réseau d’action s’est mis en place. 

Les modalités opératoires de ces réseaux sont encore secrètes. Mais peu à peu, l’histoire s’écrit. Tout laisse à penser, en tout cas, que les services de renseignement ont été, en France aussi, directement à la manoeuvre pendant la campagne du COVID. 




Enfin un prêtre qui ose dire tout haut les vérités !

[Source : Profession Gendarme]

Père Michel Viot






Profitez du Moment clé : arrêtez MAINTENANT le carnet de vaccination numérique !

[Source : Kla.tv]

Le film « Le moment clé » commence par ces mots : « Nous savons tous que nous vivons une époque difficile et inquiétante. » L’introduction mondiale prévue des carnets de vaccination numériques n’a rien à voir avec notre santé. Les carnets de vaccination numériques sont un cheval de Troie qui sera utilisé pour créer un tout nouveau type de société contrôlée et surveillée, dans laquelle la liberté dont nous jouissons aujourd’hui ne sera plus qu’un lointain souvenir. Il est donc temps de mettre un terme à ce projet.

Le Moment clé
(This Pivotal Moment)

Nous savons tous que nous vivons des temps difficiles et inquiétants. Nous sommes toujours confrontés à une pandémie. Celle-ci est assombrie par la guerre en Ukraine. Ces deux événements entraînent des morts, le chaos économique, l’inflation, l’augmentation du prix des matières premières, la pénurie et la peur. Le tout est encadré par la crise climatique. La situation exceptionnelle devient permanente.

La censure et la polarisation semblent être la nouvelle norme. Les débats nuancés et le respect mutuel sont remplacés par une mentalité pro/anti, qui a un effet dissuasif et profondément clivant sur nos sociétés auparavant ouvertes et tolérantes. Mais ce qui est encore plus inquiétant, c’est que nous sommes à l’aube d’un changement de civilisation si vaste dans ses conséquences et si profond dans ses effets que peu de gens sont capables de percevoir l’imminence du danger et de comprendre pleinement l’irréversibilité du monde dystopique qui nous attend.

Vous vous demandez comment ce changement fondamental va être mis en place ? Par des tours de passe-passe, en induisant en erreur et en introduisant un carnet de vaccination apparemment inoffensif ! Une telle affirmation semble extraordinaire à première vue et je peux comprendre que vous soyez sceptique.

Mais permettez-moi de m’expliquer davantage : la plupart d’entre nous, qui vivons aujourd’hui dans des sociétés démocratiques, sont nés dans cette liberté. En d’autres termes, nous ne connaissons rien d’autre. Les sociétés libérales-démocratiques ne sont certainement pas parfaites ! Mais nous avons fondamentalement la liberté de mener la vie que nous voulons, d’aller où nous voulons et de nous comporter comme nous le voulons ! Sauf si ces actes sont expressément interdits par la loi, comme le vol, les actes de violence ou le meurtre d’un autre être humain. Cependant ces libertés dont nous avons bénéficié jusqu’à présent, nous ne les avons pas acquises nous-mêmes. Elles nous ont été transmises par des personnes des générations précédentes qui se sont engagées et ont lutté et qui les ont arrachées des mains de monarques et de tyrans ; des personnes qui sont mortes pour que nous puissions vivre de manière autonome.

Aujourd’hui, nous sommes sur le point de nous faire voler ces libertés inestimables, durement acquises, alors que nous regardons ailleurs, alors que nous les abandonnons sans résistance ni discussion. Tout cela parce qu’on nous dit que si nous voulons retrouver notre vie d’avant, nous n’avons pas d’autre choix que d’accepter les carnets de vaccination.

Au premier abord, l’introduction des carnets de vaccination peut sembler n’être qu’un changement mineur. Après tout, beaucoup d’entre nous ont déjà pris l’habitude de devoir scanner des codes QR pour entrer dans des restaurants et des magasins. Mais ne vous y trompez pas : la mise en place généralisée des carnets de vaccination n’est pas un petit changement anodin. Il ne s’agit de rien de moins que d’un renversement fondamental de ce qu’on entend par liberté dans les sociétés démocratiques et il permettra une restructuration radicale de notre civilisation. Votre liberté personnelle ne sera plus aussi étendue qu’auparavant.

Elle ne sera plus, comme aujourd’hui, limitée partiellement et uniquement par des lois éprouvées et convenues d’un commun accord. Au lieu de cela, ce qui restera de votre liberté sera limité aux choses pour lesquelles vous aurez reçu une autorisation explicite d’un pouvoir algorithmique invisible. Votre liberté sera alors une coche verte après l’autre sur votre smartphone.

Permettez-moi de le répéter, car il est essentiel de le comprendre. Actuellement, nous pouvons fondamentalement faire tout ce que nous voulons. Sauf si nos actions sont interdites par la loi. Mais avec l’introduction des carnets de vaccination, cette notion de liberté appartiendra au passé et sera remplacée par un tout nouveau système, dans lequel vous ne pourrez faire que les choses pour lesquelles vous aurez reçu une autorisation explicite. C’est ce que je veux dire par une inversion fondamentale de la liberté. Presque du jour au lendemain, nos libertés autrefois ancrées et protégées deviennent de simples privilèges qui nous sont accordés temporairement en échange d’un respect docile des règles et d’une bonne conduite. Puis-je aller à tel restaurant, à tel concert, à telle manifestation sportive ? Puis-je monter dans ce bus, cet avion ou ce taxi ? Ai-je le droit d’entrer dans ce magasin, dans ce cabinet médical ou même sur mon lieu de travail ? La participation à des activités quotidiennes aussi banales dépendra à l’avenir d’autorisations qui nous seront délivrées via notre smartphone et qui pourront d’ailleurs changer d’un jour à l’autre. Et n’allez pas croire maintenant que tout cela ne s’applique pas à vous parce que vous avez déjà eu vaccin et rappel !

L’Australie, un pays d’environ 26 millions d’habitants, a signé des contrats pour l’achat de 195 millions de doses de vaccin supplémentaires — en plus des millions de doses déjà achetées ! Cela correspond à une vaccination de rappel tous les six mois pour les quatre prochaines années.

La situation est similaire en Allemagne, en Autriche et en Suisse. Ainsi, si vous avez deux jours de retard pour vous faire vacciner contre le dernier variant du Covid, vous pouvez oublier l’idée de dîner avec des amis dans votre restaurant préféré ! Car ce genre de privilèges vous sera alors automatiquement retiré. Et ça ne s’arrêtera pas là, car les carnets de vaccination sont comme un cheval de Troie : derrière une façade fonctionnelle apparemment inoffensive se cache un système d’identité et de carte d’identité numérique basé sur une plateforme logicielle qui devrait s’étendre au fil du temps. Aujourd’hui, il ne s’agit peut-être que d’une petite coche verte ou d’une croix rouge numérique qui indique si vous pouvez entrer ou si vous devez rester dehors, mais demain, c’est toute votre vie qui sera évaluée. Des points vous seront attribués si votre comportement profite aux grandes entreprises et aux gouvernements, et des points vous seront retirés si vous vous écartez des normes exigées.

Combien de fois avez-vous enfreint par inadvertance la règle de distanciation de 1,5 mètre aujourd’hui ? Ou qu’en est-il de votre contribution légèrement critique sur les médias sociaux à propos d’une certaine politique gouvernementale ? Qu’en est-il de cette vidéo que vous avez partagée avec un ami et qui pose des questions légitimes sur le récit actuellement accepté ? Vous pouvez alors assister à la chute de la valeur de votre crédit social. Vous perdrez alors un privilège après l’autre et n’aurez plus accès aux services essentiels à votre vie quotidienne.

Cela peut paraître exagéré, mais en Chine, ce système de crédit social est déjà une réalité. Là-bas, les gens ne peuvent même plus monter dans un train si leur note de crédit social est trop basse. Et soyez sûr que tout cela va arriver, et bientôt dans le monde entier – introduit de manière cachée via un cheval de Troie, le carnet de vaccination. Un tel monde peut nous sembler inimaginable. Mais si nous nous arrêtons un petit moment pour y réfléchir, il devient évident que le Covid-19 nous a déjà donné un avant-goût d’un monde dans lequel ce qui est permis et donc les limites de notre liberté changent chaque jour. Notre sevrage de liberté a déjà commencé.

Qu’en est-il de cette vidéo que vous avez partagée avec un ami qui pose des questions légitimes sur le récit actuellement accepté

Bien que cette vision de l’avenir soit suffisamment choquante, la véritable force dystopique d’un tel plan ne devient évidente que lorsque nous considérons les deux nouvelles plateformes que sont le carnet de vaccination et l’identité numérique dans le contexte du monde hautement technologique et fortement surveillé dans lequel nous vivons déjà. Ce n’est un secret pour personne que les géants mondiaux de la technologie surveillent et enregistrent chacune de nos actions en ligne : chaque post que nous aimons, chaque article que nous partageons, chaque publicité sur laquelle nous cliquons et chaque vidéo que nous regardons sont utilisés pour créer des profils détaillés de nous-mêmes. Ces profils psychographiques créés à l’aide de Big Data ne sont pas seulement utilisés pour savoir quels produits nous pourrions vouloir acheter. Plus effrayant encore, ils s’intéressent à nos préférences politiques, à nos opinions, à nos attitudes et à nos croyances, et même à nos motivations et à nos peurs les plus intimes.

On peut vraiment le dire ainsi : avec leur intelligence artificielle, leur Big Data et leur puissance de calcul quasi illimitée, Google, Facebook et Amazon nous connaissent mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. Depuis les révélations d’Edward Snowden sur les programmes de surveillance illégaux et omniprésents de la NSA aux États-Unis, qui travaille main dans la main avec ses partenaires Five Eyes en Grande-Bretagne, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande, la plupart des personnes raisonnablement informées savent que les gouvernements collectent et stockent également d’énormes quantités de données sur tous leurs citoyens – y compris presque toutes les conversations téléphoniques, les SMS et les e-mails. Les appareils de sécurité nationaux des États et les grandes entreprises internationales à but lucratif établissent des profils sur nous, surveillent et analysent chaque aspect de notre vie.

Jusqu’à présent, le pacte faustien que nous avons conclu avec Big Data ne semble pas avoir beaucoup plus d’effets qu’un léger coup de pouce ici ou là d’une publicité en ligne ou une recommandation d’Amazon étrangement précise qui nous incite à acheter une chose dont nous ne savions même pas nous-mêmes que nous la voulions.

Mais tout cela va changer — et pour toujours — si nous autorisons l’introduction des carnets de vaccination. Pourquoi ? Parce que le carnet de vaccination, et le système de crédit social qu’il deviendra rapidement, est la dernière pièce manquante d’une architecture automatisée de surveillance totale et de contrôle social. George Orwell nous a tous familiarisés avec de nombreux aspects de la surveillance et nous savons tous intuitivement que le fait d’être surveillé exerce une certaine pression sur nous – et que nous sommes alors plus enclins à respecter certaines règles et normes. Pensez aux radars sur les routes et aux caméras de surveillance dans les magasins et les centres-villes.

Mais il y a un autre aspect de la surveillance que peu d’entre nous connaissent, à l’exception des amendes occasionnelles pour excès de vitesse – et c’est l’aspect disciplinaire de la surveillance, qui se trouve à la fin de toute structure de surveillance : la punition après les infractions. Jusqu’à présent, cette pièce du puzzle manquait, mais avec le carnet de vaccination, chaque contrevenant portera désormais dans sa poche le mécanisme de sa sanction automatique.

Dans le débat académique sur la surveillance, on utilise le terme de « totalitarisme clé en main ». L’idée est que l’infrastructure de surveillance d’un système totalitaire a déjà été construite autour de nous – mais n’est pas encore en fonction. La machine est prête, mais la clé n’a pas encore été tournée. Les carnets de vaccination sont le dernier élément de cette infrastructure, le dernier rouage de l’engrenage. Ils sont le fer de lance disciplinaire du système totalitaire de surveillance et de contrôle.

Dès que nous permettrons la mise en œuvre de cette dernière partie critique de l’infrastructure, dès que nous l’accepterons comme une partie normale de notre vie quotidienne, la clé sera tournée, le Rubicon sera franchi – et il n’y aura plus de retour en arrière possible. Il n’y aura alors plus de place pour le désaccord, plus d’occasions de discuter et plus de place pour les écarts par rapport aux normes ou aux comportements prescrits. Et au fur et à mesure que disparaît l’espace si important de la confrontation, de la différence et de l’inadaptation, disparaît également pour les gens normaux la possibilité de déterminer ensemble la direction dans laquelle notre société doit évoluer. La machine sera en fonction, observera sans cesse et automatiquement, établira des profils et les évaluera, dirigera notre comportement et nous punira si nécessaire. Nous serons à jamais à la merci de nos dirigeants, des dirigeants qui détiennent la clé de la machine ; qui comptent nos points, qui établissent toutes les règles ; qui décident si nous recevons une coche verte ou une coche rouge. Ce sont eux qui décident si nous sommes intégrés dans la société ou si nous sommes repoussés dans les dangereuses marges de l’existence.

Si nous laissons faire ça, ça signifie – comme l’a dit Aldous Huxley – la dernière révolution. Il n’y aura plus de retour en arrière possible. La liberté telle que nous, et des générations avant nous, l’avons connue toute notre vie sera effacée à jamais, sauf pour les quelques privilégiés au sommet de la pyramide. Avec le temps, peut-être dans une ou deux générations, nous serons tellement conditionnés par la surveillance constante et les récompenses et punitions qui y sont automatiquement associées que nous nous contrôlerons tout simplement nous-mêmes, nous nous surveillerons nous-mêmes, nous nous autocensurerons et nous nous soumettrons. La liberté dont nous jouissons aujourd’hui, et même l’idée de liberté telle que nous la concevons aujourd’hui, deviendront presque impensables pour nos enfants et toutes les générations à venir. On dit que le totalitarisme est avant tout la focalisation extrême de la surveillance pour atteindre des objectifs politiques. En grande partie sans débat, discussion ou consentement éclairé, nous laissons se développer, sous le couvert de la pandémie Covid-19, un nouveau monde totalitaire de surveillance totale, de contrôle et de conformité, qui est même salué par beaucoup parce qu’ils veulent faire leur part dans la lutte contre le virus. Il est tentant de penser que nous, qui vivons aujourd’hui dans notre monde hautement technologique et saturé de médias, sommes bien trop informés et bien trop intelligents pour être dupés par un tel stratagème. Oui, les gens sont peut-être tombés sous le charme du fascisme et du totalitarisme par le passé, mais nous sommes tout simplement bien trop éduqués pour tomber dans un tel piège.

Mais est-ce vraiment le cas, en êtes-vous sûr ? Regardez autour de vous, regardez combien peu d’écarts par rapport au récit approuvé sont autorisés dans les médias grand public. Regardez comment la peur est utilisée pour nous intimider et nous contrôler. Regardez comment nous nous disputons à propos des masques, des confinements et des vaccins obligatoires. Regardez comment nous commençons à penser en deux groupes. Le groupe de ceux qui en font partie et le groupe de ceux qui en sont exclus. Pouvez-vous voir le chemin parcouru en si peu de temps ? Si chacun utilise son esprit critique, la propagande et l’influence ne deviennent que trop évidentes. Le véritable objectif est déjà visible pour tous ceux qui veulent le voir. Étant donné la gravité de la situation, je vous demande de vous arrêter un instant et de réfléchir à ce qui suit.

Pendant des siècles, peut-être des millénaires, le flambeau de la liberté a été transmis de génération en génération, souvent au prix du sang, et la flamme de ce flambeau a été maintenue en vie avec les mains par lesquelles il a été transmis. Ceux d’entre nous qui vivent aujourd’hui et qui ont la chance de vivre dans des sociétés démocratiques sont désormais porteurs de ces flambeaux. Imaginez maintenant que vous regardez dans les yeux de vos parents, de vos grands-parents et de toutes les générations qui vous ont précédés à travers le temps. Regardez tous ceux qui ont donné leur vie pour que nous puissions vivre libres, qui se sont battus, qui se sont engagés, qui ont protesté et qui ont affronté des despotes pour que la liberté individuelle puisse être garantie pour eux et leurs descendants. Êtes-vous prêt à regarder ces personnes dans les yeux et à leur dire que vous avez laissé cette torche s’éteindre pour toujours à cause d’un virus ? Que vous avez laissé la flamme s’éteindre parce que vous étiez trop peureux, trop apathique, trop confiant ou trop facilement manipulable ? Imaginez maintenant que vous vous projetez dans l’avenir et que vous pensez à tous vos descendants, à vos enfants et petits-enfants, qu’ils soient déjà en vie ou à naître, et à toutes les générations qui viendront après nous. Regardez ces personnes dans les yeux et dites-leur que la liberté nous a été donnée, mais que nous avons permis qu’elle nous soit retirée, et donc à eux aussi, parce que nous n’avons pas reconnu le tour de passe-passe ou – si nous l’avons reconnu – que nous n’avons rien fait pour l’empêcher. Ressentez-vous le poids de la responsabilité ?

Nous pouvons être en désaccord sur de nombreux points, mais nous sommes certainement d’accord sur ce point. Que la liberté dont nous jouissons aujourd’hui est le plus précieux de tous les cadeaux qui nous ont été légués et que la liberté doit être choyée, entretenue et défendue à tout prix pour les générations futures. Il devrait être clair maintenant que le certificat de vaccination, le passeport Covid, le passeport vert ou quel que soit le nom qu’ils veulent lui donner, n’a absolument rien à voir avec notre santé. Et malgré la manière dont il nous est présenté, son introduction mondiale ne nous permettra pas de retrouver notre vie d’avant.

En fait, c’est exactement le contraire qui se passe. Le certificat de vaccination est la porte parfaitement construite pour créer un tout nouveau type de société contrôlée et surveillée, comme nous n’en avons jamais vu auparavant. C’est pourquoi nous ne devons en aucun cas, quelles que soient les pressions exercées sur nous, permettre l’introduction de certificats de vaccination. Ne vous y trompez pas. Il s’agit d’un moment clé de notre histoire, comme l’ont vécu les Spartiates lors de la bataille des Thermopyles ou les jeunes hommes sur les plages de Normandie. L’ampleur réelle de ce qui est en jeu ne sera jamais surestimée. Nous sommes nés sur cette belle terre en tant qu’êtres libres et souverains.

Nous sommes tous frères et sœurs. Nous sommes une famille humaine, indépendamment de notre couleur de peau, de nos croyances ou de notre nationalité. Il n’est pas nécessaire de forger des armes, de prendre d’assaut des murs ou de raser des bâtiments. Nous devons simplement nous lever, nous unir et dire que trop c’est trop. Nous avons compris les manigances, nous voyons maintenant clairement le plan et nous ne laisserons pas notre liberté nous être volée. Le flambeau de la liberté ne s’éteindra pas. Ni maintenant, ni à l’avenir, et surtout pas sous notre contrôle. Notre moment est venu de défendre ce flambeau pour toutes les générations futures. De raviver sa flamme et de la transmettre intacte et renforcée à toutes les générations futures. D’une seule voix, nous devons promettre à nos descendants :

Nous ne vous laisserons pas tomber ! Si vous vous sentez concerné par ce message, je vous invite à le partager avec votre famille et vos amis. Car c’est maintenant qu’il faut agir !




Qu’est-ce que le « Conseil pour le capitalisme inclusif » ? C’est le Nouvel Ordre Mondial

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith − Le 14 juillet 2022 − Source Alt-Market

L’idée qu’il existe un programme de gouvernement mondial parmi les élites financières et politiques du monde a longtemps été qualifiée de « théorie du complot » au sein des médias grand public et de l’establishment. Et malheureusement, même lorsque vous parvenez à convaincre les gens de regarder et d’accepter les preuves que les institutions bancaires et certains politiciens travaillent ensemble à leurs propres fins, beaucoup de gens ne veulent TOUJOURS pas envisager l’idée que l’objectif ultime de ces seigneurs du pouvoir est un empire mondial unique. Ils ne peuvent tout simplement pas se faire à l’idée d’une telle chose.

Les gens diront que l’establishment n’est guidé que par la cupidité et que leurs associations sont fragiles et basées uniquement sur l’intérêt individuel. Ils diront que les événements de crise et les changements dans les tendances sociales et politiques sont aléatoires, et non le produit d’une ingénierie délibérée. Ils diront que les élitistes ne seront jamais capables de travailler ensemble parce qu’ils sont trop narcissiques, etc.

Tous ces arguments sont un mécanisme d’adaptation permettant au public de faire face à des preuves qu’il ne peut réfuter autrement. Lorsque les faits deviendront concrets et que les pouvoirs en place admettront ouvertement leurs manigances, certaines personnes reviendront à un déni confus. Ils ne veulent pas croire que le mal organisé à une telle échelle puisse réellement exister. Si c’était le cas, alors tout ce qu’ils pensaient savoir sur le monde pourrait être faux.

Pendant de nombreuses années, le programme de gouvernance mondiale n’a fait l’objet que de chuchotements au sein des cercles élitistes, mais de temps à autre, l’un d’entre eux en parlait à voix haute en public. Peut-être par arrogance ou peut-être parce qu’ils estimaient que le moment était venu de faire accepter cette possibilité à la population. Chaque fois qu’ils l’ont mentionné, ils l’ont appelé le « Nouvel Ordre Mondial ». Les dirigeants mondiaux, de George HW Bush à Barack Obama, en passant par Joe Biden, Gordon Brown, Tony Blair et bien d’autres, ont tous prononcé des discours sur le « nouvel ordre mondial ». L’argent et les élites politiques comme George Soros et Henry Kissinger ont mentionné le NWO sans cesse au fil des ans.

L’une des citations les plus révélatrices de l’agenda provient du secrétaire d’État adjoint de l’administration Clinton, Strobe Talbot, qui a déclaré en 1992 dans le magazine Time que :

Au siècle prochain, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une autorité unique et mondiale… La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout.

Il ajoute dans le même article une citation moins connue :

… Le monde libre a formé des institutions financières multilatérales qui dépendent de la volonté des États membres de renoncer à un certain degré de souveraineté. Le Fonds monétaire international peut pratiquement dicter les politiques fiscales, y compris le montant des impôts qu’un gouvernement doit prélever sur ses citoyens. L’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce réglemente le montant des droits de douane qu’une nation peut prélever sur les importations. Ces organisations peuvent être considérées comme les protoministères du commerce, de la finance et du développement pour un monde uni.

Pour comprendre le fonctionnement de l’agenda, je vous propose une citation du globaliste et membre du Council on Foreign Relations, Richard Gardner, dans un article paru dans le magazine Foreign Affairs en 1974, intitulé « Le chemin difficile vers l’ordre mondial » :

En bref, la « maison de l’ordre mondial » devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande « confusion bouillonnante et bourdonnante », pour reprendre la célèbre description de la réalité faite par William James, mais en contournant la souveraineté nationale, en l’érodant morceau par morceau, on obtiendra bien plus que par l’attaque frontale à l’ancienne.

Le « NWO » a depuis changé de nom plusieurs fois, le public étant de plus en plus averti de la conspiration. On l’a appelé l’ordre mondial multilatéral, la quatrième révolution industrielle, la « grande réinitialisation », etc. Les noms changent mais la signification est toujours la même.

Au cours des deux dernières années, face à des événements de crise mondiale de grande ampleur, le « nouvel ordre » dont parlaient les globalistes de l’establishment est arrivé, sans presque aucune fanfare ni mention dans les médias grand public. Les prémices d’un gouvernement mondial existent déjà, et il s’appelle le « Conseil pour un capitalisme inclusif« .

Ces derniers temps, de nombreux analystes, dont je fais partie, se sont concentrés sur le Forum économique mondial et son rôle dans l’agenda du gouvernement mondial. Principalement parce que le chef du WEF, Klaus Schwab, est une telle grande gueule et qu’il ne peut s’empêcher de parler des futurs plans de centralisation.

Comme je l’ai noté dans des articles précédents, les élites du WEF ont été beaucoup trop excitées par la pandémie de Covid, pensant qu’elles avaient la crise parfaite pour mettre en œuvre de nombreuses politiques globalistes sous la forme d’une grande réinitialisation. Il s’est avéré que la Covid-19 était loin d’être aussi mortel qu’ils l’avaient initialement prédit lors de l’événement 201, et que le public n’était pas aussi soumis et docile qu’ils l’avaient espéré. Le WEF a vendu la mèche trop tôt.

Ainsi, nous continuons, crise après crise, comme des dominos qui tombent, jusqu’à ce que nous arrivions à l’événement qui, selon eux, poussera les masses à accepter la gouvernance globale. Et alors que le WEF est régulièrement fréquenté par des globalistes de haut niveau, il s’agit plutôt d’un groupe de réflexion de haut niveau, le Conseil pour un capitalisme inclusif semble s’intéresser à la mise en œuvre plutôt qu’à la théorie.

Le fondateur du groupe est Lynn Forester de Rothschild, membre de la tristement célèbre dynastie Rothschild qui, depuis des générations, s’emploie financièrement à influencer les gouvernements. Le pape François et le Vatican se sont publiquement alignés sur le conseil en 2020, et l’un des principaux récits du CIC est que toutes les religions doivent s’unir aux dirigeants du capital pour construire une société et une économie qui soit « juste pour tous ».

Cette déclaration de mission est plutôt familière, car elle fait écho aux objectifs du WEF et à son concept d’« économie partagée«  : Un système dans lequel vous ne posséderez rien, n’aurez aucune vie privée, emprunterez tout, serez complètement dépendant du gouvernement pour votre survie et vous « aimerez ça ».

En d’autres termes, le but du « capitalisme inclusif » est de tromper les masses pour qu’elles acceptent une version relookée du communisme. La promesse sera que vous n’aurez plus à vous soucier de votre avenir économique, mais le prix à payer sera votre liberté.

Le CIC est dirigé par un groupe de leaders mondiaux qu’ils appellent « les gardiens » (non, je ne plaisante pas, c’est réel).

Parmi les membres du CIC figurent : Mastercard, Allianz, Dupont, les Nations unies, la Teachers Insurance and Annuity Association of America (TIAA), CalPERS, BP, Bank of America, Johnson & Johnson, Visa, la Fondation Rockefeller, la Fondation Ford, Mark Carney, le trésorier de l’État de Californie et de nombreuses autres entreprises dans le monde. La liste est longue, mais ce qu’elle représente, c’est une sorte de gouvernement dirigé par les entreprises, avec un congrès de représentants d’entreprises mêlés à des dirigeants politiques souples.

L’une des principales missions du CIC a été de modifier nos modèles économiques afin de « promouvoir l’équité et l’inclusion ». De façon hilarante, les partisans du CIC affirment que « trop de richesses ont été accumulées entre les mains de trop peu de personnes » et que cela prouve que le capitalisme existant ne fonctionne pas, alors qu’ils sont ceux-là mêmes qui ont truqué le système pour centraliser ces richesses entre leurs mains. Ce ne sont pas des « capitalistes », c’est une aristocratie. Pensez-vous vraiment que ces gens vont construire un tout nouveau système qui ne continue pas à leur profiter ?

Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi le Pape a poussé l’idéologie Woke, l’alarmisme climatique et la rhétorique de la religion unique mondiale en conflit avec la doctrine chrétienne traditionnelle, voici pourquoi – Il suit les dictats du CIC.

Une autre mission du CIC est d’imposer des contrôles et des taxes sur le carbone au nom du « changement climatique » dans le but d’atteindre des émissions « nettes zéro« . Comme nous le savons tous, le zéro carbone net sera impossible sans un bouleversement complet de notre économie et de notre industrie, avec la mort de milliards de personnes dans le processus. C’est un scénario irréalisable, c’est pourquoi il est parfait pour les globalistes. Les humains sont les ennemis de la Terre, affirment-ils, et nous devons donc laisser les élites contrôler chacun de nos actes pour nous assurer que nous ne détruisons pas la planète et nous-mêmes, et le processus ne s’arrêtera jamais car il y aura toujours des émissions de carbone à gérer.

Les membres du CIC, dont le directeur de la Bank of America, suggèrent ouvertement qu’ils n’ont pas vraiment besoin de la coopération des gouvernements pour atteindre leurs objectifs. Ils affirment que les entreprises peuvent mettre en œuvre la plupart des mesures d’ingénierie sociale sans aide politique. En d’autres termes, c’est la définition même du « gouvernement de l’ombre » – une cabale massive d’entreprises qui travaillent en tandem pour mettre en œuvre des changements sociaux sans aucune surveillance. Comme indiqué, nous avons déjà vu cela avec la propagation de l’idéologie Woke par des centaines, voire des milliers de sociétés travaillant comme une ruche.

Le CIC est-il la forme finale du gouvernement mondial ? Non, probablement pas. Mais il en est le début ; un gouvernement par les entreprises et les élites financières pour les entreprises et les élites financières. Il contourne toute représentation politique, tout contrôle et équilibre et toute participation des électeurs. Ce sont les conglomérats et leurs partenaires qui prennent les décisions pour notre société de manière unilatérale et centralisée. Et, puisque les grandes entreprises agissent comme si elles étaient séparées du gouvernement plutôt que partenaires du gouvernement, elles peuvent prétendre qu’elles sont autorisées à faire ce qui leur plaît.

Cependant, les entreprises et les globalistes montrant de plus en plus leur vrai visage et agissant comme s’ils devaient être aux commandes, le public doit leur demander des comptes comme s’ils faisaient partie du gouvernement. Et s’il s’avère qu’ils sont autoritaires et corrompus, ils doivent être renversés comme toute autre dictature politique.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




INCENDIES : réintégrons en urgence nos pompiers suspendus

Par Nicole et Gérard Delépine

Les incendies se multiplient. Les 5000 pompiers français suspendus manquent tellement que nous acceptons des pompiers étrangers non vaccinés !

Le président Macron a élevé les pompiers (comme les soignants) au rang de « héros ». Mais en France il ne fait pas bon d’être un héros en période de folie covid. Les héros sont fatigués et sont exclus de leur activité s’ils ne se plient pas aux ukases du président, telle l’injection anticovid expérimentale.

Environ 5000 pompiers professionnels ont ainsi été exclus ou ont fui la profession et de nombreux sapeurs-pompiers volontaires en formation se sont dirigés vers d’autres professions.

Et ces pompiers manquent cruellement sur le front des incendies, comme les soignants eux aussi soumis à l’obligation d’injection manquent aux urgences et dans les blocs opératoires.

Car si nos gouvernants ont été incapables de consolider les services publics de sécurité intérieure (pompiers, hôpitaux, police), ils ont été très performants pour les démotiver en refusant de les écouter et en leur imposant des obligations inutiles et dangereuses.

Pour combler le déficit d’effectifs, le gouvernement mendie des pompiers étrangers non vaccinés d’Allemagne, d’Espagne, d’Autriche, de Pologne et de Roumanie ! Et nos voisins européens, considérant l’inefficacité des injections à empêcher les contaminations et les transmissions, n’ont pas émis d’obligation inutile et ne souffrent pas de pénurie de personnel comparable à la nôtre !

Reprenons la proposition de loi des sénateurs éclairés enregistrée à la Présidence du Sénat le 16 juin 2022.

PROPOSITION DE LOI visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

PRÉSENTÉE par :

Mmes Sylviane NOËL, Sabine DREXLER, Claudine THOMAS, M. Alain JOYANDET, Mmes Annick PETRUS, Laurence MULLER-BRONN, MM. Daniel LAURENT, Alain HOUPERT, Laurent DUPLOMB, Mme Kristina PLUCHET, M. Sébastien MEURANT, Mmes Sylvie GOY-CHAVENT, Christine BONFANTI-DOSSAT, MM. Jean-François LONGEOT, Cyril PELLEVAT et Mme Christine HERZOG, Sénatrices et Sénateurs

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs, il y a un peu plus de deux ans, l’épidémie de Covid-19 submergeait brutalement nos hôpitaux. Du jour au lendemain, les soignants ont dû faire preuve d’adaptabilité pour tenter de contrer cette vague épidémique sans précédent dans l’histoire de notre pays. Nos soignants, avec une grande conscience professionnelle, ont pendant cette période enchaîné les journées harassantes, renoncé à leurs congés et jours de repos, tout cela dans des conditions dignes du tiers-monde, sans sourciller. Parce que nous étions « en guerre » contre l’épidémie, ils ont dû faire face avec beaucoup d’ingéniosité et d’abnégation, au péril de leur propre santé. Sans gants, sans masques, ils ont été réduits à recourir au système D : en se fabriquant des blouses avec des sacs poubelles et en réutilisant, encore et encore, des masques usagés, faute de stocks suffisants. Un dévouement sans peu d’égal, qui avait ému les Français, qui chaque soir, étaient réunis à leurs fenêtres à 20 heures pour applaudir ces héros. Puis brutalement, le sort réservé aux soignants a changé : les héros d’hier sont devenus les parias d’aujourd’hui. Alors que l’obligation vaccinale a été rejetée par le Parlement français, laissant à chacun la liberté toute relative face à un pass sanitaire puis vaccinal très discriminant de recourir à la vaccination, les soignants et assimilés (pompiers par exemple) n’ont pas eu ce choix. Ordre leur a été donné d’obtenir un schéma vaccinal initial complet avant le 15 octobre 2021, faute de quoi ils seraient suspendus, sans revenu, sans statut. À compter du 30 janvier 2022, la dose de rappel a été intégrée dans l’obligation vaccinale pour tous les professionnels afin qu’ils puissent continuer à exercer leur activité. Alors que de multiples études montrent que la vaccination n’a que très peu d’incidence sur le portage et la transmission du virus, alors que l’immense majorité des pays ont abandonné cette obligation vaccinale, des milliers de soignants et de pompiers français ont été suspendus parce qu’ils ont choisi d’exercer, comme tous les autres français, leur libre choix à l’égard de ce vaccin. Des dizaines de milliers de héros du quotidien qui font cruellement défaut à notre hôpital déjà exsangue, ainsi qu’à notre chaîne de secours déjà éprouvée par deux années de crise sanitaire. Ainsi, le gouvernement s’est lui-même contraint à rappeler des soignants vaccinés, mais malades du Covid (positifs, donc) au lieu de faire appel à des personnels non vaccinés, mais négatifs et prêts à se faire tester chaque jour si nécessaire. Kafka en rêvait, le gouvernement l’a fait !

Alors que la saison estivale n’a même pas encore débuté et que la plupart des régions vont connaître un afflux de population touristique très important, l’ensemble de nos structures de santé, publiques comme privées, se trouvent aujourd’hui déjà dans une situation extrêmement critique en raison de cette pénurie de personnels soignants. Le maintien de cette mesure discriminatoire portera un coup fatal et irréversible à notre système de santé déjà terriblement éprouvé si nous ne réagissons pas très vite. Chaque jour, faute de personnel disponible, des établissements de santé déprogramment des interventions chirurgicales, des EHPAD gèlent des lits, des centres médico-psychologiques renvoient des patients lourdement handicapés dans leurs familles, des maires déplorent la multiplication des déserts médicaux, des services d’urgence ferment leur porte… Les situations de ce type se comptent par milliers, et plongent des malades et des familles entières dans la détresse. Bon nombre de ces soignants suspendus sans perspective ont d’ores et déjà opté pour une reconversion dans d’autres secteurs d’activité. Dans certaines régions frontalières comme la Haute-Savoie, ces personnels ont choisi d’aller exercer leur activité dans les pays voisins comme la Suisse, où cette obligation vaccinale n’est pas requise. En outre, les récentes mesures adoptées pour favoriser l’attractivité des métiers de la santé ne porteront leur fruit que dans plusieurs années. En attendant, il est absolument vital de ne pas fragiliser encore davantage les effectifs de notre personnel de santé. Cette crise a mis en lumière le malaise de nos soignants, les dysfonctionnements d’un hôpital sur-administré et sous-doté, les défaillances dans les chaînes de décisions.

Alors que nous avons désormais tous repris une vie quasiment normale face à ce virus, il est grand temps de tirer toutes les leçons de cette période moribonde et de remuscler sans tarder notre système de santé. Certains facteurs nécessiteront malheureusement du temps pour être corrigés : le déficit de personnel en fait partie. Il est donc absolument indispensable de supprimer le plus vite possible cette obligation vaccinale pour les soignants, de réhabiliter sans perdre une minute ces milliers d’hommes et de femmes indignement traités par l’État français et de leur accorder, enfin, respect et reconnaissance. Tel est l’objet de la présente proposition de loi qui propose dans son article 1er d’abroger les dispositions de l’article 12 de la loi du 5 août 2021 relative à l’obligation vaccinale des personnels soignants, en les réintégrant aux effectifs des établissements concernés, et dans son article 2 de permette aux agents du service public concernés de conserver l’état d’avancement d’échelon et de grade qu’ils possédaient avant leur suspension.

Proposition de loi visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

Article 1er

La loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire est ainsi modifiée : 1° Le I de l’article 12 est abrogé ; 2° Les articles 13 à 19 sont abrogés.

Article 2

Les agents du service public mentionnés au I de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 précitée conservent l’état d’avancement qu’ils possédaient avant leur suspension.

Article 3

Les éventuelles pertes de recettes résultant pour l’État de l’application de la présente loi sont compensées, à due concurrence, par une taxe additionnelle, l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Merci à ces sénateurs courageux dont la clairvoyance se reflète dans un exposé clair et concis. Et regrettons que ce projet de loi soit resté lettre morte pour l’instant.

Alain Houpert

En 2020 les sénateurs ont alerté le gouvernement sur l’état alarmant du matériel aérien de lutte contre les incendies. Deux ans plus tard, rien n’a été fait.

Harold Bernat @bernathoustra

Si je comprends bien, n’hésitez pas à éclairer ma lanterne, on devrait se taper le cul par terre parce que 300 pompiers hors France viennent en renfort quand 5000 pompiers français sont suspendus simplement pour mater sans aucune raison sanitaire à l’été 2022.

#Invendies #Gironde

@EnModeMacaron

Le vaccin ne protège pas de l’infection et de la contamination, mais Macron ne réintègre pas les pompiers suspendus ! 😡 La sénatrice Sylviane Noël veut la réintégration des pompiers suspendus alors que la France brûle ! RT si tu soutiens cette demande !

@DIVIZIO

La France fait venir des pompiers d’ailleurs ! Dont acte ! La presse a donné les pays d’où viennent ces soldats du feu. Du coup demain, méthodiquement, @AssoJNSPUD

va examiner le statut de l’obligation vaccinale dans ceux-ci et si un seul n’est pas soumis à vaccination obligatoire

je ferai immédiatement un recours pour enjoindre au ministre de justifier que seuls des sapeurs-pompiers étrangers vaccinés sont au feu ! Au besoin j’enverrai un huissier directement au lieu où sont les pompiers et leur commandement pour avoir l’info et en tirer les conséquences.

@AssoJNSPU

Vous pouvez commencer : les pompiers allemands NON INJECTÉS… de quoi bien humilier nos pompiers suspendus encore un peu. COMMENT LEURS COLLÈGUES PEUVENT-ILS ACCEPTER ÇA ! ET LEUR SYNDICAT, IL SERT À QUOI à part encaisser le chèque !

@NiusMarco

Les pompiers allemands non vaccinés vont pouvoir éteindre les feux en France. Pas les Français #reintegrezlesPompiersSuspendus

En Pologne, la vaccination covid a été recommandée, mais non obligatoire pour les pompiers.

organic_lover1976

En Espagne la vaccination n’est obligatoire pour personne

ET LES MOYENS ?

Titiart

lorsqu’un #Canadair coûte environ 60 millions d’€, la France en a commandé 2 supplémentaires On est donc incapable de payer 10 ou 15 avions de plus Pendant ce temps les actionnaires du CAC40 se sont partagé 70 milliards d’€ en 2021 ET, SI, ÇA A TOUT À VOIR !

Il faut supprimer l’obligation des pseudo vaccins expérimentaux qui ne sert à rien et réintégrer le plus vite possible pompiers et soignants vaccino-prudents.




L’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés est aussi un acte de censure dissimulée

Par Nicole et Gérard Delépine

Les soignants vaccino prudents ainsi que les pompiers, premiers témoins des désastres vaccinaux, ont été exclus du milieu médical, puis ostracisés parce que le ministre ne voulait pas qu’ils parlent, racontent leurs constatations, ni qu’ils servent d’exemple !

Maintenant les hôpitaux, les cliniques obstétricales ferment tandis que les déserts médicaux se multiplient aux dépens des malades.

Il n’y avait aucune raison sanitaire d’exclure les soignants vaccino prudents

Avant la mise sur le marché des vaccins, lors de la première vague, aucune étude n’a prouvé que les soignants constituaient une source notable de dissémination de la maladie. Les 300 covids nosocomiaux répertoriés en France sont dus aux conditions d’attente aux urgences et à l’absence de ventilation efficace des services.

Au moment où le gouvernement a imposé cette obligation, il reconnaissait lui-même que les pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre donc que les injections des soignants ne pouvaient pas protéger les malades au vu des courbes d’évolution de l’épidémie mondiale publiées par l’OMS.

On pouvait s’en douter depuis plus d’un an, au vu de la flambée épidémique dans les pays précocement et massivement vaccinés, Islande, Royaume-Uni, Gibraltar, Israël alors que l’Afrique et Madagascar peu vaccinés ont beaucoup moins souffert.

Les vaccinés sont aussi dangereux pour les personnes qu’ils approchent que les non-vaccinés. 

Les données sur le mois de juin 2022 de la Direction de la recherche, des études, évaluations et statistiques du ministère de la Santé laisseraient même envisager que la vaccination avec rappel augmente le risque d’infection. La proportion de tests positifs se révèle plus faible chez les non-vaccinés que chez les vaccinés avec rappel (788/100 000 vs 846) dans la catégorie des 40-59 ans, comme dans celle des 60-79 ans (584 vs 757).

Le gouvernement se réfugiait derrière la prétendue protection des formes graves qui s’est depuis elle aussi révélée fausse et qui ne pouvait en aucune manière constituer un argument d’obligation vaccinale.

Alors pourquoi le gouvernement a-t-il imposé cette obligation ?

Il n’y a aucune raison sanitaire de maintenir l’exclusion des soignants vaccino prudents

L’académie de médecine s’est opposée à une éventuelle réintégration des soignants non vaccinés sans aucun argument scientifique. Lorsqu’elle prétend qu’un « revirement mettrait en péril les malades fragiles », elle est incapable d’apporter la moindre étude clinique à l’appui de son affirmation infondée. Et son affirmation est d’autant moins crédible qu’elle a accepté que les soignants covid positifs continuent leur activité auprès de ces malades fragiles…

Elle se réfugie derrière des motifs psychologiques en prétendant croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister entre soignants », alors que ceux qui travaillent encore n’attendent que d’être renforcés par leurs collègues et amis.

Elle fait aussi semblant de croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister avec les patients » alors que ceux-ci préfèrent avoir des soignants expérimentés plutôt que des vigiles à l’entrée des hôpitaux et que la peur qui en paralyse encore beaucoup n’est pas la conséquence d’un danger réel, mais seulement de la propagande terrorisante qui se poursuit et qu’elle pourrait contribuer à calmer.

Lorsque les vieux retraités de la médecine qui constitue la majorité de l’académie prétendent que « la réintégration ne résoudrait pas les difficultés de l’hôpital », ils paraissent ignorer la réalité du terrain rappelée par les médecins en activité comme Gérald Kierzek(([1] émission Points de vue du 13 juillet 2022.
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-reintegrer-les-soignants-non-vaccines-gerald-kierzek-pousse-un-coup-de-gueule_498050)), Jean-François Cibien, (président de l’intersyndicale Action Praticien Hôpital)(([2]« Ils ne sont pas des parias », s’insurge-t-il.
https://www.midilibre.fr/2022/06/24/crise-a-lhopital-face-a-la-penurie-de-soignants-faut-il-reintegrer-le-personnel-non-vaccine-contre-le-covid-10394277.php)), Yannick Neuder, Patrick Pelloux(([3] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-5-medecins-repondent-sans-langue-de-bois)), Antoine Flahault(([4] https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168)) pourtant infatigable provax, le professeur Yonathan Freund, urgentiste à l’AP-HP…

« Outre la pénurie de soignants, il est dommage de se priver de compétences et de personnes qui ont donné parfois 20 ou 25 ans à leur métier. Aucune quantité n’est négligeable aujourd’hui. Dans une équipe à flux tendu, quand on enlève une ou deux personnes, c’est très compliqué… On a besoin de tout le monde pour assurer la qualité et la sécurité des soins. »

Quant à la HAS, on comprend mal la base scientifique de son avis, dont la conclusion est en contradiction avec l’exposé. Pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale, les experts de la HAS prétendent en effet que « la protection vaccinale se situe entre 45 % et 55 % contre les infections symptomatiques dans les trois mois suivant l’injection » mais se contredisent plus loin en reconnaissant que « le niveau d’efficacité contre les infections après trois mois n’est pas précisément connu à ce jour ». L’absence d’indépendance de la HAS dont tous les membres sont nommés par les politiques a été démontrée ailleurs et fait peser bien des doutes sur la fiabilité de leurs avis.(([5] HONTE A LA HAS EMANATION DU POUVOIR DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

En réalité l’exclusion visait à empêcher que ces soignants et pompiers n’informent les patients avec des informations directes du vécu du terrain (qualifiées de complotistes)

La censure des médecins vaccino prudents, et leur diabolisation, ont commencé très tôt dans les médias excluants systématiquement ceux qui contredisaient les mensonges officiels (tels que l’utilité du confinement et d’autres mesures prétendument sanitaires telles que le masque ou la distanciation des écoliers [!], la qualification « vaccin » attribuée à des médicaments sans antigène ni anatoxine, la nature expérimentale des injections jusqu’en 2023, leur efficacité proclamée de 95 %, leur intérêt chez les enfants…).(([6] AUTOPSIE D’UN CONFINEMENT AVEUGLE, G ET N DELEPINE, ÉDITIONS FAUVES SEPT 2020)) Très vite après les premières injections, les ambulanciers, urgentistes, pompiers ont été frappés par les « accidents » type AVC, crise cardiaque qu’ils étaient amenés à prendre en charge. Et très rapidement ils ont été soumis au SILENCE imposé par leur hiérarchie sous peine de sanctions, voire de licenciement.

Les témoignages personnels et par les réseaux sociaux sont légion de ces personnes soumises à des pressions fortes et déstabilisatrices et dont l’état psychologique est aujourd’hui gravement perturbé, ajoutant à la peur vécue, un sentiment de culpabilité. Ils ont su tôt et n’ont rien dit, en dehors des plus « forts » qui ont osé refuser l’injection et se laisser suspendre et vilipender.

Cette censure des professionnels a été avouée et officialisée par la modification du code de la santé publique obligeant les médecins qui s’expriment à se conformer dorénavant à la propagande gouvernementale.(([7] Le décret du 24 décembre 2020 modifiant l’Article R. 4127 — 19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle))

Elle a été renforcée par le conseil de l’ordre qui a rétabli le délit d’opinion(([8] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion)), poursuivi les médecins, et en a condamné pour la simple expression de vérités dérangeantes. Récemment une nouvelle charrette de médecins poursuivis est dénoncée d’autant qu’il s’agit de médecins ayant eu l’extrême audace de soigner et guérir leurs malades au nom du serment d’Hippocrate et contre l’interdiction du ministre Véran d’utiliser l’hydroxychloroquine et les antibiotiques contre ce petit virus (qui a l’outrecuidance de passer à travers les pores des masques imposés).

L’exclusion des soignants vaccino prudents et des pompiers est en réalité essentiellement un acte de censure visant à empêcher les professionnels du soin et de leur accompagnement, conscients de l’inefficacité et surtout des complications des injections rapidement apparues et constatées dans leur pratique quotidienne, d’en informer les patients. Les autres, demeurés dans le système, ont été soumis à la règle du silence absolu et du pseudo devoir de réserve. Demandez-leur !

Cette exclusion fait partie du plan de propagande pro vaccin mis au point avec un cabinet de conseil (McKinsey ?) utilisant la vieille technique des sociétés communistes d’exclure les opposants politiques de leur profession. Ont-ils pris des leçons auprès du PCC(([9] Parti communiste chinois. N’oublions pas que notre gouvernement a suivi à la lettre les règles aberrantes de confinement appliquées en Chine, avant toute épidémie avérée et dangereuse démontrée en France. E. Macron nous expliquait, quelques jours avant d’imposer le confinement strict, qu’il fallait aller au théâtre, vivre normalement. Qui l’a fait changer d’avis en quelques jours ?)) ?

Cette haine contre les opposants à sa dictature sanitaire explique seule leur exclusion du chômage et de toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Seule cette haine contre les résistants peut justifier la persistance de l’obligation en France et en Italie alors que la quasi-totalité des pays européens voisins n’y a pas eu recours ou l’a supprimée

Traiter les soignants vaccino prudents d’antivax est une diffamation

Les soignants qui ont refusé les pseudo vaccins ne sont pas des anti vax : jusqu’à la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales ils étaient à jour de leurs vaccinations et n’avaient jamais rechigné à administrer à leurs patients de vrais vaccins.

Les traiter d’antivax comme le font couramment ministère et médias constitue donc un mensonge et une injure destinés à les discréditer aux yeux de la population.

Les pouvoirs publics les ont désignés comme de dangereux irresponsables, des antisciences, un comble pour des médecins et infirmiers. L’équivalent, prétendaient-ils, « de matheux contestant les théorèmes les plus solides » alors qu’ils avaient scientifiquement raison.

Avec des vaccins qui empêchent mal la transmission contre Omicron, le refus de la réintégration des soignants vaccino prudents ne constitue donc pas une protection des patients contre le virus, mais une mesure de censure féroce contre la diffusion d’un prétendu « complotisme » dans les hôpitaux. Cette décision aggrave évidemment le vide hospitalier et l’incompréhension des équipes de plus en plus conscientes de la bêtise de cette exclusion sans argument scientifique, relevant d’un totalitarisme qu’ils devinent et ne voudraient pas voir.

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale plaide pour l’apaisement :

« On est dans une société fragilisée, fracturée. On a besoin de retrouver de la cohésion, du lien social, du respect réciproque, de la responsabilisation, et je ne pense pas que cela se fasse en jetant le discrédit et l’anathème sur des personnes qui, au tout début de la crise, sont allées sur le terrain, dans les EHPAD, dans les services hospitaliers sans le moindre soutien, sans les moindres moyens. “Ces soignants ont été souvent considérés comme des héros. Et du jour au lendemain, les répudier d’une manière aussi rapide et brutale me pose problème”.

La réintégration des soignants non vaccinés, ainsi que d’ailleurs des pompiers réfractaires, qui seraient bien utiles sur le front des incendies de forêt, se révèle donc nécessaire. Le pragmatisme y rejoindrait la morale. Toutefois, pour calmer les craintes des patients ayant succombé à sa campagne de communication, il faudrait que les pouvoirs publics admettent avoir cloué au pilori pour rien de nombreux professionnels. Voire, via le pass sanitaire puis vaccinal, commis un chantage à l’emploi et à la vie sociale sur des millions de jeunes et piétiné allègrement leurs droits et libertés au prétexte de les empêcher de contaminer les personnes à risques… sans raison médicale valable ».

Il faut réintégrer immédiatement les soignants et les pompiers scandaleusement ostracisés et supprimer toutes les censures qui empêchent tout débat démocratique depuis plus de deux ans.

Heureusement des voix s’élèvent pour la réintégration des non-vaccinés y compris à l’Assemblée nationale !

La sénatrice Laurence Muller-Bronn prend la défense des soignants suspendus non vaccinés sur France Soir : « On les traite comme… — (les-republicains.net)


Quelques témoignages





Les autorités britanniques se comportent comme des gangsters face au journaliste indépendant Graham Phillips !

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Nous devons tous prendre la défense de Graham Phillips !

Par The Saker – Le 8 août 2022 – Source The Saker’s Blog

Chers amis, Après avoir vu puis posté cette vidéo de Graham Phillips, j’ai été tellement dégoûté par ce que lui faisaient subir les autorités britanniques que j’ai décidé de le contacter et de lui poser quelques questions très simples sur sa situation, dans l’espoir de le présenter à un public plus large, de donner de la visibilité à son cas et d’essayer de lui offrir autant de soutien que possible. J’ai donc envoyé un courriel à Graham qui a très gentiment pris le temps de répondre à mes questions. Voici l’intégralité de notre échange ci-dessous.

Je demande à tous ceux qui utilisent les médias sociaux de diffuser toutes les informations qu’ils peuvent sur Graham et les actions scandaleuses des autorités britanniques à son encontre. Graham lui-même a déclaré :

« Le soutien moral est une bonne chose, mais s’il vous plaît, contactez un politicien ou une personne publique pour attirer leur attention. Il s’agit d’une cause commune, d’un combat commun, et non seulement nous pouvons le gagner, mais nous devons le gagner ».

Je suis absolument d’accord avec lui et je demande à notre merveilleuse communauté Saker de défendre aussi fort que possible Graham et les valeurs fondamentales de liberté d’expression et d’État de droit que l’Occident a maintenant complètement abandonnées. Graham a raison, c’est une cause commune et nous devons l’emporter. Aidez-le autant que vous le pouvez !

Bien à vous

Andrei


Andrei : Pour ceux qui ne connaissent pas votre travail, pouvez-vous expliquer comment et pourquoi vous avez fini par faire des reportages dans le Donbass ?

Graham : Eh bien, pour être bref, j’ai déménagé à Kiev à l’approche de l’Euro 2012, en tant que fan de football, mais aussi pour relancer ma carrière de journaliste. J’ai travaillé là-bas, à Kiev, pour le magazine What’s On, j’ai écrit des articles en freelance pour plusieurs publications occidentales également, et j’ai généralement passé de bons moments. Mais, je remarquais aussi la montée de l’ultra-nationalisme en Ukraine, à Kiev en particulier, et je ne le supportais pas. J’ai donc quitté Kiev pour Odessa début 2013. Donc, quand tout a commencé, en novembre 2013, j’étais à Odessa. J’ai immédiatement dénoncé le Maidan, alors j’ai été mis sur la liste noire des médias occidentaux. J’ai donc commencé à écrire des blogs sur ce thème, l’un d’eux a attiré l’attention de Russia TodayRT, qui m’a demandé de faire une interview, ce que j’ai fait. Parti de là, j’ai développé une relation avec RT, au fil des mois, en faisant des interviews, etc. Puis, quand ils ne pouvaient plus envoyer leurs correspondants dans le Donbass, l’Ukraine ne laissant plus les Russes traverser la frontière, en avril 2014, ils m’ont contacté à Odessa, m’ont dit d’être devant la caméra à Donetsk le jour suivant, et d’y rester pour une semaine de travail. J’ai donc pris ma voiture, fait les 750 km de route, suis arrivé à Donetsk tôt le matin du 8 avril 2014. Pendant quelques mois, j’ai continué avec RT, en freelance, puis notre relation s’est terminée après ma deuxième déportation, à la mi-2014. En fait, j’ai le sentiment qu’ils m’ont mal traité à cette époque. J’ai été déporté d’Ukraine par le SBU, après 3 jours assez infernaux de captivité aux mains des forces ukrainiennes à l’aéroport de Donetsk, jeté à la frontière de la Pologne, interdit d’Ukraine pendant 3 ans. J’avais pratiquement tout perdu, y compris mon appartement à Odessa, et RT m’a également abandonné dans les rues de Pologne à cette époque, fin juillet/début août 2014. En fait, RT m’a dit à ce moment-là que j’avais « atteint mon objectif ». Je n’étais pas d’accord, j’ai continué, et j’ai continué pendant plus de 8 ans, à faire ce que j’aime, du reportage, de l’endroit que j’aime, le Donbass.

Andrei : Vous êtes maintenant clairement persécuté par les autorités britanniques, avez-vous envisagé d’intenter une action en justice au Royaume-Uni ou pensez-vous que les tribunaux britanniques sont sans espoir (comme le suggère le cas d’Assange) ?

Graham : Eh bien, les autorités britanniques ont essentiellement aboli la loi britannique pour me punir. En d’autres termes, elles ont créé un précédent selon lequel si le gouvernement n’aime pas votre travail, il peut vous punir comme un criminel. Ne vous méprenez pas, les sanctions sont une punition criminelle quand elles sont appliquées à vos propres citoyens – je suis dans le Donbass en ce moment, mais dites-moi, que faire quand je rentre au Royaume-Uni sans avoir accès à aucun de mes comptes bancaires, à rien ? Comment acheter de la nourriture ? Comment me défendre au tribunal contre toutes les dettes que je n’ai pas pu payer parce que mes comptes ont été gelés ? Comment me rendre au tribunal ? C’est le gouvernement britannique qui supprime tous les principes de la Magna Carta de 1215, selon lesquels chaque sujet britannique a le droit d’être jugé avant d’être puni et est présumé innocent jusqu’à preuve du contraire. Ils viennent de me dire que je suis coupable de… faire des reportages qu’ils n’aiment pas, et pour cela, ils tentent de me démunir, de me détruire. En outre, ma désignation officielle comme « ennemi d’État » a suscité d’innombrables menaces de mort contre moi-même et ma famille.

En ce moment, mon appel contre ces sanctions illégales est en cours. Je recevrai bientôt la décision à ce sujet, et nous partirons de là, en étant sûrs que, quelle que soit cette décision, ce ne sera pas la fin. Je me sens comme n’importe qui lorsque quelqu’un, quelque chose, essaye de détruire sa vie, lance toutes les machinations d’une machine étatique totalitaire contre vous, pour essayer de vous détruire. Mais ils n’y sont pas parvenus, et les prochaines actions, en accord avec la loi britannique, seront les miennes.

Andrei : Et la Cour européenne des droits de l’homme ?  Est-ce une option que vous envisageriez ?

Graham : Sois sûr, mon ami, que je suis ouvert à toutes les options légales pour faire face aux actions illégales et totalitaires de l’État britannique. Et ce n’est pas tout, je m’occuperai également de toute la presse qui a publié des calomnies contre moi, pendant ce temps. Il faut peut-être s’attendre à ce que la presse britannique ne prenne pas en compte le fait que ce qui m’est arrivé crée un nouveau et dangereux précédent pour toute personne britannique – une punition sans procès, sans même de charges. Cependant, la russophobie de l’establishment et de la presse britannique signifie qu’ils sont trop aveuglés par cela pour voir les choses clairement, et de manière pertinente, pour le reste d’entre nous. Ils préfèrent soutenir les actions totalitaires de l’État britannique, sans comprendre que si un jour ils font quelque chose que l’État britannique n’aime pas, cela pourrait être eux [les prochains à subir ce type d’actions illégales et totalitaires]. Mais, ce n’est pas grave, je n’ai jamais rien attendu de la presse britannique, et comme je l’ai dit, ceux qui ont franchi la ligne de la diffamation, je m’en occuperai, toujours en accord avec la loi britannique.

Andrei : Pour finir, comment nos lecteurs peuvent-ils vous aider au mieux ?

Graham : Pour figurer sur ma liste de diffusion, envoyez-moi un courriel à cette adresse. Je ne collecte pas d’argent ou quoi que ce soit d’autre pour le moment parce que je n’ai tout simplement aucun moyen d’accéder à quoi que ce soit à partir de mon compte bancaire britannique, ni à des sites occidentaux tels que Patreon / Paypal. Donc, le soutien moral est suffisant. S’il vous plaît, contactez un politicien ou une personne publique pour attirer leur attention sur ce sujet. Il s’agit d’une cause commune, d’un combat commun, et non seulement nous pouvons le gagner, mais nous devons le gagner.

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.




Selon le Docteur Tess Lawrie, l’OMS n’est pas nécessaire, mais est une menace pour la souveraineté nationale

[Source : alcyonpleiades]






Idriss Aberkane, la science peut-elle être humaine ?

Par Alain Tortosa

Cher monsieur Aberkane, le battage sur les réseaux sociaux à propos de votre interview accordée à l’Express(([1] ExpressGate : l’entretien d’Idriss Aberkane avec l’Express en exclusivité sur FranceSoir
https://www.youtube.com/watch?v=0Bi_1-BzY88)) a excité ma curiosité et conduit à regarder(([2] Pour être honnête, je n’en ai regardé que 55 minutes, ce qui me semblait suffisant pour me forger une opinion.)) ce fameux entretien que vous avez eu avec deux de leurs journalistes.

Mon propos, monsieur Aberkane, s’articulera en deux temps, un premier sur la forme et un second sur le fond.

En préambule, vous ne me connaissez pas bien sûr, monsieur Aberkane (bon j’arrête le M. Aberkane dont vous avez largement usé pour déstabiliser les journalistes), mais si vous prenez le temps de lire quelques-uns de mes écrits(([3] Https://7milliards.fr)), vous constaterez que je ne suis certainement pas du côté de la caste journalistique.

Vous (je suppose) et moi savons que dans leur immense majorité ceux-ci sont des lâches qui préfèrent leur paye à leur dignité, des corrompus qui ont vendu leur âme au diable ou des débiles qui croient être des génies de l’Olympe.
Ceci pour préciser que je ne les porte pas dans mon cœur et ainsi ne pas me faire de procès d’intention.
Je précise aussi ne pas avoir lu l’article de l’Express.

La forme

Ce serait vous faire affront que de vous considérer naïf.
Nous connaissons le « travail » de l’Express depuis des années et encore plus depuis la crise Covid.

Faisant le reproche aux journalistes de ne pas avoir fait un minimum de recherches sur Google pour connaître leur sujet, il me semble évident que vous, à la différence, avez fait ce travail les concernant.

Alors une première question se pose :

« Pourquoi avoir accepté cette interview ? »

J’estime que ce serait vous faire offense de penser que vous auriez pu imaginer bénéficier d’un travail neutre, objectif ne trahissant aucune de vos pensées ou de vos travaux.

Qui pourrait imaginer un travail honnête et sérieux de leur part (je souligne une fois de plus, le mépris que j’ai à leur encontre).

Dès lors, accepter leur proposition d’interview indique un objectif « autre ».

D’entrée de jeux vous procédez à la mise en scène… je pourrais dire la scène du crime.

  • Vous savez que vous êtes largement plus intelligent que vos interlocuteurs.
  • Vous savez que leur bagage scientifique est plus que léger.
  • Vous savez qu’ils travaillent mal et se croient en mission.

Afin de les « détendre », vous leur expliquez que :

« Tout ce que vous allez dire sera utilisé contre vous. »

Ainsi que :

« Vous allez être enregistrés ET diffusés. »

Notons qu’à ce stade je ne comprends pas pourquoi les journalistes acceptent ou plutôt si, je comprends, ils sont idiots et inconscients du piège qui va se refermer sur eux.

Et ce que vous aviez certainement planifié se produit, un jeu de massacre…

D’aucuns pourraient y voir narcissisme, méchanceté, « vengeance » (ils l’ont bien mérité).
Nombre de vos propos sont d’une extrême violence à leur encontre, quand bien même ils ne sont que vérité objective.
J’ai été mal à l’aise à de très nombreuses reprises et ressenti une méchanceté gratuite.

Je pourrais vous imaginer alors « légitimement » narcissique, mais je pense que votre démarche était uniquement « scientifique ».
De la science, de la logique froide et sans émotions…

J’ai pu assister à une démonstration (facile), prouvant, si cela était encore nécessaire, que les journalistes étaient incompétents, de mauvaise foi, imbus d’eux-mêmes et surtout du côté du « bien ».
De fait je ne comprends pas vraiment l’intérêt de piétiner des fourmis.
Si d’aventure cette action avait un fond émotionnel alors la victoire n’eût pas été auréolée de gloire.

J’imagine mal Novak Djokovic se réjouir d’une victoire contre un enfant handicapé de 5 ans.

D’autre part, si l’objectif était une démonstration purement scientifique sans état d’âme alors ici aussi, il m’est difficile d’y voir autre chose qu’une banalité…
OK, l’eau chaude ça brûle, OK les glaçons sont froids, mais quel intérêt de le redémontrer ?

En fait il faut attendre la fin de l’interview pour que vous annonciez que vous faites une enquête sur l’Express et qu’effectivement ces journalistes en sont les cobayes.

Cette interview semble de fait un acte politique.

Mais le problème des débats politiques est qu’aucun des camps ne change d’opinion lors d’un débat.

  • Les « pour » Idris pourront se réjouir d’une mise à mort qui ne serait que « justice » au regard du mal qu’ils nous font. Une preuve de plus de leur malhonnêteté et absence de dignité.
  • Les « contre » verront en Idris un être froid narcissique qui fait des attaques personnelles gratuites pour « masquer son incompétence » (je vous rappelle que je n’ai pas lu la publication de l’Express qui ne m’apporterait rien).

Je reste sur ma faim, pourquoi vouloir enfoncer une porte ouverte ?

Le fond

La science serait au service de l’homme.

Comment ne pas bondir de sa chaise face à de tels propos ?
L’histoire du monde regorge d’exemples où la science est au service de la destruction, de la souffrance, de la suppression des libertés, du mal, et j’en passe…

Rappelez-moi….

  • C’est bien les scientifiques qui ont inventé des armes de plus en plus létales du lance-pierres à la bombe atomique ?
  • C’est bien les scientifiques qui ont dessiné les plans des chambres à gaz et mis au point le zyklon b dans les camps ou l’agent orange au Vietnam ?

Je pourrais bien évidemment en écrire des pages et des pages.

Aujourd’hui c’est la science, la 5G, la miniaturisation qui permet le contrôle facial, les QR codes et demain la dictature climatique.

Vous auriez beau jeu de me rappeler que sans la science, il n’y aurait pas de scanner ou d’IRM pour diagnostiquer des cancers…
Cancers fabriqués par la science avec la pollution, les additifs chimiques, la suppression des cycles naturels et l’enfermement des fourmis dans des gratte-ciel sans nature ?

Je serais personnellement plus modeste sur l’apport de la science à l’homme.

Oui la science m’apporte un confort matériel, je ne suis pas dans la savane à manger des baies ou chercher à tuer un mammouth.
Mais ce « confort » est-il un apport en termes de liberté et de bien-être ?

Je suis un esclave de la technologie, un esclave d’internet, du téléphone, de la télé, de l’ordinateur, de la voiture, de l’électricité, de l’eau chaude, des normes, des lois, etc.

Les monstres qui dominent ce monde ont bien compris qu’ils nous tenaient par les c… avec le crédit, l’endettement à vie, mais surtout la peur de perdre ce confort uniquement matérialiste et sans âme.

Dieu a été remplacé par Satan !

Selon vous un domaine de la neuroscience serait valide au prétexte que l’U.S. Air Force aurait dépensé un demi-milliard en recherche et développement pour des casques vendus 400 000 dollars l’unité.

En premier lieu, je vous sais gré d’avoir reconnu que si ce casque était efficace pour le pilote il l’était aussi contre les humains qu’il aide à tuer.
De ce fait, j’en reviens encore sur « la science est-elle bonne pour l’homme » ?

En second lieu, vous semblez déduire que ce casque bourré de neuroscience serait « bon » pour le pilote.

Ce raccourci me semble tout du moins audacieux.
Au mieux, il retarde l’insupportable.
Si grâce à celui-ci le pilote peut accomplir des actions ou des missions autrefois impossibles ou tenir deux heures au lieu d’une, je ne vois pas le bénéfice personnel.
En l’occurrence, le pilote n’est qu’une interface (à ce jour encore utile) et rien de plus.
Bref, ce casque est au service du Pentagone, des politiques, des va-t-en-guerre et certainement pas du pilote.

La démonstration affirmant que si l’on dépense des milliards dans un domaine c’est qu’il est efficace me semble fort étrange.

Rappelons une blague racontée par M Attali (cf. mon ouvrage(([4] 7 milliards d’esclaves et demain ?))) dans laquelle des juifs achètent puis revendent des pantalons à une jambe. Un catholique fait remarquer le problème en affirmant que ces pantalons sont invendables. Et le juif de répondre que ces pantalons ne sont pas faits pour être portés, mais pour être achetés et vendus.

Plus récemment on pourrait se référer aux injections contre le Covid pour lesquelles les fabricants savaient, avant même de commencer, qu’un vaccin à ARN messager sur un virus qui ne fait que muter, qui plus est avec une vaccination durant l’épidémie, ne pourrait qu’augmenter les mutations et rendre le produit inefficace.
Cela ne les a pas empêchés d’écouler des milliards de doses d’un produit inefficace et dangereux.

Les exemples ne manquent pas comme l’escroquerie freudienne ou pasteurienne.

Je m’étonne donc de cette affirmation :

« Si c’est étudié et vendu, c’est que ça marche ».

  • Le fabricant de casques n’en a que faire, il voit un marché fort juteux.
  • Les militaires qui soutiennent le projet y voient une étoile de plus sur leur uniforme.
  • Les politiques sont des héros pour protéger les Américains.
  • La corruption permet de soudoyer des scientifiques pour affirmer l’efficacité.

Ceci peut durer jusqu’à (concernant ce casque je n’ai pas d’infos) jusqu’à la mise au grand jour du scandale.
Non, le succès d’une méthode n’apporte en rien la preuve de son efficacité, la vérité ne se mesure pas en quantité.

Les neurosciences pourraient soulager au quotidien.

Selon le site techno-science(([5] https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Neurosciences.html)):

« Les neurosciences correspondent à l’ensemble de toutes les disciplines biologiques et médicales qui étudient tous les aspects, tant normaux que pathologiques, des neurones et du système nerveux.

Les neurosciences étudient le développement, la structure et le fonctionnement du système nerveux, du niveau moléculaire au niveau psychologique, avec les méthodes et les moyens des sciences biologiques (biologie, biochimie, pharmacologie, anatomie et physiologie) et sciences médicales (neurologie, neuropsychologie et psychiatrie) et des sciences psychologiques (psychologie cognitive). »

Nous voyons ici que le champ est très large.

Personnellement quand j’entends neuroscience, coaching, développement personnel, j’entends aussi manipulation des pensées et des cerveaux.

Le terme de « développement personnel » est fort étrange… pourquoi faudrait-il que les humains bénéficient d’un enseignement de développement personnel induit par autrui ?

Pourquoi faudrait-il que nous soyons plus « performants » ?

Vous avez cité un exemple concret (si j’ai bien compris) d’une personne ayant des difficultés à se lever le matin et se motiver pour aller au travail.
Personnellement si quelqu’un me dit ça j’en déduis qu’il n’est pas heureux, pas rempli dans sa vie et que ce travail factuellement nourricier ne nourrit pas son âme.

Mes propos suivants illustrent peut-être mon ignorance, mon incompréhension totale des neurosciences, mais je pense que nombreux sont ceux qui pourraient être dans mon cas.

J’ai compris, déduit, que les neurosciences pouvaient aider cette brave personne à trouver une motivation et peut-être même un plaisir à se lever le matin pour aller au travail.

Dans ce cas de figure, la neuroscience ne serait pas une forme de « guérison », mais un « antidouleur »…
« Tu as mal à la tête ? Prends une aspirine ! »

Pire encore si cette personne malheureuse au travail devenait heureuse alors la neuroscience serait vraiment de la manipulation mentale.

La douleur de cette personne au quotidien n’est-elle pas bonne pour lui ?
N’est-elle pas un signal émotionnel envoyé par son cerveau pour lui dire qu’il ne peut pas rester ainsi ?
A-t-il besoin d’un coaching pour accepter l’inacceptable ou d’une thérapie (qui relève aussi des neurosciences) pour se trouver lui-même et enfin partir faire bûcheron au Canada ?
Encore faut-il que ce désir de devenir bûcheron et de passage à l’acte ne soit pas induit par le thérapeute.

Attention, je ne nie pas l’existence de souffrances et de biais cognitifs. Une personne en relation avec un manipulateur sera moins encline à en être victime si elle a connaissance de leur existence, la capacité de les détecter et un amour propre/narcissisme suffisamment développé pour s’en protéger.

La société ne veut pas d’hommes libres, mais uniquement des esclaves dociles.
De fait, elle ne peut que valoriser des méthodes de manipulation mentale visant à les maintenir à l’état de moutons dociles et certainement pas de développement personnel.

D’autre part, a-t-on le droit moral de modifier le cerveau d’un individu quand bien même cette modification se traduirait par une diminution ou une suppression de ses souffrances ?

La neuroscience serait-elle l’héritage high-tech des électrochocs barbares du 20e siècle ?

Ici encore il est légitime de se reposer la question quant à savoir si la science est bonne pour l’homme ou pas.

C’est bien les neurosciences qui ont converti en mouton la population au point qu’elle demande à porter un masque, à être confinée, à réclamer un passeport pour aller au restaurant ou s’injecter une substance expérimentale douteuse y compris aux enfants et aux femmes enceintes !

Il est intéressant de voir à quel point la science a été enterrée, anéantie durant cette crise au profit de « neurosciences » et d’outils toujours plus performants de manipulation mentale des individus.

Cette destruction de l’humain n’eut pas été possible sans le concours de « scientifiques » délirants, mégalomanes ou corrompus.

Celui qui pense, qui doute, qui se pose des questions est devenu le « complotiste », le « fou », le « dangereux » et même « l’antisémite » que l’on sort de son chapeau comme le véhicule prioritaire au Mille-Bornes.

On est arrivé à faire croire au peuple en semaine n qu’il ne fallait surtout pas s’asseoir sur une plage au risque de répandre la mort et en semaine n+1 qu’il ne fallait surtout pas bouger sur une plage et rester statique.
Le drame est que des forces de l’ordre sont là pour obéir comme les soldats qui faisaient monter des juifs dans des trains.
Aujourd’hui encore les soignants sont suspendus sous prétexte qu’ils n’ont pas fait de faux pass comme leurs collègues alors même que preuve est faite depuis longtemps que l’injection vaccinale n’empêche pas les contaminations.

Le peuple est-il debout pour dire « non » alors même que l’on ferme des services faute de soignants ?
Les collègues prétendument vaccinés sont-ils debout pour réclamer leur réintégration ?
Bien sûr que non !

Peut-on oser parler de progrès de l’humanité grâce à la science ?

Ah, il est toujours possible de sortir le couplet sur « ce n’est pas l’outil qui est bon ou mauvais, mais son usage ».

Je suis bien d’accord qu’une puce RFID (ou mieux) implantée sur chaque humain pourrait rendre l’enlèvement d’enfants impossible et nous permettrait de ne plus perdre nos clefs.

Et encore, je suis bien naïf, les plus grands pédophiles de notre planète auront la possibilité de débrancher les liaisons vers les serveurs grâce à d’autres complices pédophiles et dans un silence assourdissant des médias.

Nos « bons » médias comme l’Express sont là pour nous rappeler que l’ennemi est le Covid, la variole du singe, Poutine ou le fameux réchauffement climatique causé par le méchant CO2 !
La suppression définitive de nos droits nous sauvera de l’apocalypse, amen !

Tout le reste n’est que délire, il ne faut surtout pas réveiller les moutons qui ne demandent qu’une chose, ne pas avaler la pilule rouge(([6] Cf. Matrix))!

Mais dans les faits, cette puce a pour unique vocation de nous espionner, nous tracer, nous contrôler et réduire encore plus nos libertés.
Il en est de même de la suppression de l’argent liquide si pratique au quotidien et si pratique pour nous contrôler.
Le scientifique ne peut pas se réfugier derrière « je ne suis pas responsable de l’usage liberticide de mon invention » de même que l’enseignant en neurosciences ne peut se dédouaner de l’usage qu’en fera un psychopathe qu’il aura formé.

Le narcissisme, la soif de pouvoir, la corruption mènent le monde et les scientifiques seront toujours les pions des forces du mal.
Il y aura toujours un scientifique corrompu, narcissique ou naïf pour concevoir le plus immonde et un enculé pour l’utiliser.

Les progrès de la science rendent l’homme de plus en plus « inutile » et les pourritures en sont bien conscientes.
Qu’elles sont les inventions qui auraient été créées si chaque scientifique s’était posé la question
« Est-ce bon pour l’humanité ou cette invention peut-elle (et donc va-t-elle) être utilisée contre l’homme ? »

Je crains qu’il ne fût pas resté grand-chose…

Demain l’intelligence artificielle sonnera-t-elle la fin de l’humanité ?
C’est plus que probable si elle n’est pas purement et simplement interdite et condamnée.

Je vous rappelle que les lois de la robotique d’Asimov qui devaient nous protéger ont été bafouées depuis bien longtemps par les militaires qui utilisent des robots avec une composante décisionnelle autonome pour tuer des humains !

Alors personnellement je veux croire en l’humain plus qu’en la science qui doit être sévèrement contrôlée et limitée.
La science est froide, logique, elle n’a pas d’états d’âme, pas d’émotions, ni conscience.

Cette mise à mort des journalistes dans l’interview me fait penser au personnage de Spock dans Star Trek.
Il est ultra intelligent (comme vous, en tous les cas largement plus que moi), il a une logique scientifique sans faille (probablement comme vous).

Mais Spock est double, sa partie vulcaine est dénuée d’émotions, purement logique, purement scientifique.
Pour autant l’intérêt du personnage est dans son humanité, son illogisme et les émotions qu’il ressent.
C’est cette part humaine qui lui permet de ne pas être un monstre (et parfois inversement en cas de troubles émotionnels).

Toutes les saloperies du monde commises avec la complicité des scientifiques ne sont possibles que par leur sang vulcain…
Si l’empathie était de ce monde, s’ils avaient accès à l’ensemble des émotions humaines, alors le monde serait moins pourri.

Merci.

Alain Tortosa

7 août 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220807-idriss-la-science-a-t-elle-une-ame.pdf