Daniel Balavoine en 1983 à propos de la guerre : « j’emmerde tous les pouvoirs »




Ça pourrait finir ainsi




« J’ai vu ce qu’était un pays en guerre… La guerre, c’est sérieux, on ne la fait pas du fond de son fauteuil »

[Source : France Soir]

Par Xavier Azalbert

Dans ce débriefing, Olivier Frot, ancien militaire et docteur en droit, nous parle du récent traité franco-ukrainien et des dernières déclarations du président Macron qui n’exclut pas d’envoyer des troupes françaises en Ukraine. Un pas de plus vers une guerre que les décideurs et journalistes commentent :

« Je trouve que c’est léger de la part de personnes qui sont très jeunes. La guerre c’est sérieux, ce n’est pas ce que l’on fait du fond de son fauteuil ».



Olivier Frot salue le courage du sénateur Houpert qui a décidé de saisir le Conseil d’État pour demander au Président de soumettre l’accord franco-ukrainien au Parlement en vertu de l’article 53 de notre Constitution. Le Président ne fait une nouvelle fois que de la communication en informant qu’il soumettait cet accord en invoquant l’article 50-1 de cette même Constitution. Article qui n’engage pas la responsabilité du gouvernement.

Dans la seconde partie de ce débriefing, Olivier Frot évoque les affaires de contrats sur les vaccins Covid ainsi que l’organisme HERA, l’autorité européenne de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire, mis en place par l’UE (avec un budget de 30 milliards d’euros…) pour leur achat. Une hérésie, selon l’analyse (fine) d’Olivier Frot, l’UE n’ayant selon lui aucune compétence en matière sanitaire. 


Chers députés, chers sénateurs,

L’heure est grave entre « l’accord bilatéral Macron Ukraine qui doit être discuté à l’Assemblée » et les déclarations « assumées » et « réfléchies » de Mr Macron sur « rien n’est exclu » concernant « l’envoi de troupes au sol ».

Non il n’a pas fait d’erreur, non il n’est pas fou, il sait très bien ce qu’il dit.
Et l’a dit pour enclencher « une petite musique » dans l’esprit des Français
et cette folie médiatique guerrière et organisée qui depuis se déchaîne sur les écrans.

NOUS, PEUPLE FRANÇAIS, DISONS NON À L’ACCORD BILATÉRAL DE MACRON signé avec Zelinsky.
NON à 10 ans d’accord de livraisons d’armes, avec des missiles à longue portée, puis de troupes au sol.
Rien que les missiles à longue portée peuvent déclencher le conflit NUCLÉAIRE entre la Russie et l’Europe.
L’Allemagne a refusé d’en envoyer, pour une bonne raison !

C’est NON à la « toute puissance » auto-attribuée de macron qui décide contre le peuple français une aide par l’UE, l’OTAN expansionniste et ses bases, et des va-t-en-guerre irresponsables à la TV.

OUI à une paix durable en Europe, paix qui doit tenir compte de la Russie, et OUI à des négociations de PAIX entre Ukraine et Russie.

Sinon cet accord bilatéral nous conduira inévitablement à l’escalade, et enfin à la Guerre directe avec la Russie avec des armes NUCLÉAIRES.
Ce sera la fin de la France et peut être du monde.

Est-ce que vous en avez conscience ?

Tous les mensonges à présent sont répétés au peuple ignorant en boucle, à dessein, pour l’habituer, le formater, le lobotomiser encore un peu plus.

S’il reste une once de Démocratie dans notre pays, prouvez que vous en faites partie.
Pour nous, pour vous, pour nos enfants pour vos enfants et l’avenir existentiel de la France.

Merci

VIDÉO : 100 % d’accord avec NDA :

CDT

Bonne journée




Aujourd’hui Gaza, demain le monde ?

Mise à jour, pour rappel :

[Source : lemediaen442.fr]

Le très proche conseiller de Klaus Schwab, Yuval Harari, compare les territoires palestiniens occupés par Israël à un laboratoire de 2,5 millions de cobayes :

« Pirater les gens signifie connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes… Et nous arrivons déjà à l’émergence des régimes de surveillance totale comme dans mon pays en Israël où nous avons un grand laboratoire de surveillance appelé « les territoires occupés » où il y a 2,5 millions de cobayes, qui montre comment surveiller et contrôler complètement une population avec très peu de soldats. »






À propos de notre participation aux guerres en cours

[Source : profession-gendarme.com]

Par Emilie Mugabo

Aujourd’hui j’ai envie de secouer le cocotier en vous soumettant une question qui mérite d’après
moi réflexion et débats. Elle part de mon propre positionnement, incompréhensible, voire suspect
pour certaines personnes qui me suivent. Pourquoi je ne parle jamais des guerres en cours ?

C’est d’abord un choix que j’ai fait, comme de ne pas non plus aborder le thème de la politique en
France et ne presque plus m’exprimer dans le champ géopolitique, considérant depuis longtemps
que ce n’est que théâtre, diversion et fumisteries vu que l’enjeu et le siège réel du pouvoir est au-delà, sous la face cachée de l’iceberg. La majorité de la population l’a d’ailleurs compris désormais.

Concernant les guerres de ce monde, et notamment celle qui se déroule en Ukraine vu qu’on m’en
parlait hier sur le réseau VK, autant j’ai défendu et dénoncé dès 2014 ce que subissaient les gens
du Donbass et souhaité que les Russes mettent fin aux massacres, autant lorsque cette guerre a
éclaté, je suis sortie du « jeu », désabusée et écœurée.

Des guerres qui ne massacrent que les populations et ne visent jamais directement les donneurs
d’ordre, leurs palais ou leurs entreprises voire tout bonnement ces personnes, j’appelle ça une
partie du scénario
, comme le covid ou ceux qui se laissent dérober leur élection puis nous font le
coup de la victimisation dans le cadre d’un « storytelling » partie intégrante du plan. Et je refuse
d’y prendre part en commentant et choisissant un camp ou l’autre tellement c’est grossièrement
pipé.

Qu’on se pose objectivement la question. Ceux qui arment les deux camps (et la France est dans le
top 3 en vente directe ou indirecte) dépensent un pognon de malade (le nôtre, de façon là aussi
directe ou indirecte) pour finalement ne pas cibler ceux qui ont provoqué ces guerres ou refusent
d’y mettre un terme ? Et constatant ce fait, on devrait néanmoins encourager tel ou tel camp et
prendre part à ces combats, physiquement ou par l’attention et toute l’énergie qu’on y porte ?

Je suis née à Pau (64) d’un père influent, jésuite, haut-grade de la maçonnerie et rwandais,
quoiqu’apatride à ma naissance. Offerte dès ma naissance au « réseau » dans un bastion
opérationnel national et historiquement infesté de jésuites sans la moindre odeur ou aura de
sainteté. Mais aussi et évidemment de Khazars et grandes lignées de la noblesse noire
internationale œuvrant, via la franc-maçonnerie et l’allégeance de gré ou de force au satanisme, à
la fabrique de ces guerres et ces coups d’état en Françafrique et autres contrées, souvent
opportunément remplies de gaz ou pétrole. Le siège stratégique d’Elf puis Total a d’ailleurs
toujours été installé à Pau, comme les régiments de paras et de barbouzes dédiés aux opérations
« spéciales » de l’époque pour les intérêts de la caste et son arrière-cour discrète et friquée du
Bordelais, autour de grandes familles comme les Rothschild et dynasties esclavagistes et collabos
nazis notables.

Un bastion se chargeant aussi de la fabrique des récits et des fausses oppositions, y compris le FN
et ses corollaires « autonomes » toujours très actifs dans la Résistance comme d’autres dissidents
enfantés et promus. Je le réalise actuellement suite à divers événements et ces recoupements me
touchent donc personnellement parce qu’ils réactivent mon passé de survivante et toutes les
capacités et compréhensions qu’il m’a fallu mobiliser pour échapper à leurs filets et autres
« grands projets » pour moi. Ces postes et avantages que tant d’autres ont acceptés sans y voir le
mal ou ne voyant avant tout que leur intérêt.

On en revient toujours à la moralité de nos choix et conformismes passés. Ce à quoi on a bien
voulu (ou pas) participer. Qui nous a formé et formaté, également. Regardez combien de
personnalités de premier plan sont passées par des lycées jésuites ou de grandes facultés anglo-
saxonnes et leurs fraternités étudiantes soi-disant « humanistes », y compris dans la Résistance,
comme Richard Boutry, « Campagnol » ou le frère de Karl Zéro (au lycée parisien de Saint-Louis de
Gonzague où le Macron a lui-même achevé de perdre son innocence et toute intégrité anale).

Le poids de leurs conditionnements et attaches nouées à cette époque-là est-il anecdotique ou
partie intégrante du système d’encadrement et d’emprise servant le contrôle de l’humanité ? Nous
naissons libres, mais cessons de l’être si vite qu’il nous faut vraiment rester humbles face à ce qui
peut agir à travers nous et à notre insu ou non. Et surtout vigilants.

Parler d’opposition « sous contrôle » plutôt que « contrôlée » me semble bien plus pertinent, en
dehors des vrais agents infiltrés directement rémunérés par des officines et agences. Cela permet
aussi de s’extirper des combats de personnes en se polarisant plutôt et surtout plus
constructivement sur ce qui fait de nous des marionnettes plus ou moins nocives et utiles au plan.

Un exemple, pour démonstration : si on m’empêche de proférer des mensonges qui servent le plan
et me montre que j’agis par conditionnement voire par loyauté mal placée, cela m’aide à ne pas
nuire à l’humanité et rester intègre dans la cause que je défends sincèrement. Et si je n’étais pas
sincère, mais abîmée ou psychopathe au point de réellement me réjouir que les ténèbres
progressent autant, peut-être que la honte de me voir conchiée et traitée de marionnette me
culpabilisera assez pour réfléchir à ce que je veux réellement et ai fait. Où demeure mon vrai
intérêt, naturel et originel, comme mon besoin universel d’être aimé.

En bref, dénoncer c’est aussi aider. Chaque petit soldat, kapo ou général qu’on fait passer dans le
camp de l’humanité en lui secouant le cocotier est une victoire pour l’avenir. L’ennemi, ce n’est pas
Nous. Il est juste en nous et en attente qu’on l’en extirpe enfin, car tel est l’implacable ET salutaire
ordre naturel des choses.

Alors quand je m’exprime, ce n’est pas depuis « le néant » ni pour me sentir exister ou me faire ma
place dans la Résistance. Ni d’ailleurs compenser une vie d’isolement et de précarité qui n’a en rien
changé depuis que j’agis publiquement, vu la rancune et les attaques de « mon » réseau, jusqu’à
encore tout récemment, pour dissuader Ariane Bilheran et Céri de DondeVamos de travailler avec
moi et risquer ainsi que je dénonce « trop » de choses. Je fais cette précision pour les trolls et les
aigris toxiques qui s’empressent toujours de réduire chaque vrai débat à des attaques personnelles
ou pinaillages sur quelques mots, et nous empêchent ainsi d’élever le niveau : ne vous mentez pas
sur ce dont vous faites activement le jeu en vous abaissant de la sorte. Ayez honte et on vous
pardonnera.

Je parle parce que je suis excédée de voir les gens tomber toujours dans les mêmes pièges et
réactions alors que dans le même temps, jamais je n’ai eu le bonheur de voir autant de personnes
qu’actuellement se réveiller et aider par leurs publications sur divers réseaux à comprendre ce qui
se joue réellement. A fortiori quand avoir vécu la mort plusieurs fois (EMI) et en être revenue m’a
permis comme bien d’autres d’accéder à cette énergie d’amour qui est à la source de tout.

Prenons le bon, le beau, le vrai. Au lieu de nous diviser sur le laid. Il y a tant de belles voix qui
s’élèvent, accélérons le mouvement !

Et pour en revenir aux guerres dont trop peu analysent encore les vrais tenants publiquement,
forcément, je suis incapable de raisonner comme beaucoup le font encore et pour cause : les
méthodes employées depuis des lustres pour conditionner les masses sont tellement insidieuses
qu’à moins d’avoir du apprendre à les reconnaître tôt pour simplement sauver sa peau et ne pas se
laisser enrôler par la caste, il est dur d’éviter les pièges et j’y tombe encore moi aussi malgré tout
ce que j’ai compris, sachant qu’on ne m’a jamais initiée et en un sens, heureusement, vu le
formatage évité.

Alors ce n’est pas un jugement que j’exprime ici, mais une invitation à davantage de réflexion,
individuelle et collective, sur nos façons de participer à ces guerres et ces plans eugénistes en
restant sans s’en rendre compte des marionnettes du scénario. Parce que de mon point de vue, il
ne peut y avoir de Résistance sans pleine conscience ni d’ailleurs de pédagogie et d’indulgence
pour ceux qui ne comprennent pas encore qu’ils font ce que l’on attend d’eux. Mais l’indulgence
n’implique pas de les laisser faire. La critique doit construire notre avenir et nous aider, pas nous
détruire.

Pour rappel, il n’y a de guerres que s’il y a des humains pour les provoquer, les alimenter, les
regarder passivement et bien évidemment les faire. Nous générons nous-même notre réalité. Alors,
choisir son camp ? Désigner les boucs émissaires que nous propose le système ? Non merci, pas
pour moi. Je suis du côté de l’humanité et ceux qui orchestrent ces mascarades et génocides si
perfidement consentis ne seront jamais mes alliés. Juste des personnes à secouer et guérir parce
qu’on est tous du même camp, à l’origine, il est temps de se le rappeler.

Et vous, où en êtes-vous ?

Emilie Mugabo

[Voir aussi :
L’enjeu de notre intégrité morale
et
Acceptons-nous de devenir des objets connectés ?]




Le ministre de l’Économie visé par une enquête préliminaire pour faux en écriture publique, et autres nouvelles d’une France en décomposition

[Source : Louis de Dreslincourt]

Autoroutes : B. Le Maire, accusé de faux en écriture ! Dilaté comme jamais pour couvrir Macron ?

Macron le chaos en marche, les analyses des entretiens enfin reprises par l’opposition.

Pourquoi Macron a-t-il précipité son annonce d’envois de soldats en Ukraine ?

Analyse de Tremolet de Villers sur Macron, enfin de l’information ?

Olaf en fureur !

Pustula et Klaus en soutien de Macron ?

La polémique Attal-Le Pen, le complotisme comme seule défense ?

Macron et son regard, enfin un débat !

Bruno Lemaire et le scandale inouï des autoroutes ! Des faux en écriture ?

Salon de l’agriculture, la ligne rouge !

Florian au salon.

Rubrique humour : Béchu et le PMU !

Mary Poppins effacée !




Macron accélère l’avènement du mal absolu … et on laisse faire collectivement ?

[Source : Bertrand SCHOLLER]

Par Bertrand Scholler

JFK aurait été tué pat un fou isolé, sans lien avec La CIA, qui a déjoué tout et son contraire, mais a été tue sans avoir pu parler.

La Lune en 1969, c’était facile, y compris avec une jeep pour aller y faire des drifts en direct… mais depuis on y pose à peine des boîtes de conserve, et on ne sait pas la faire revenir.

Le 11/09 c’est un mec dans des grottes en Afghanistan sous dialyse qui a piloté l’attaque terroriste la plus incroyable du monde, défiant toutes les lois de la physique, de la chimie et de la logique… mais il faut y croire.

Ne pas oublier les armes de destructions massives en Irak et les couveuses au Koweït, on cherche encore les deux, mais plus d’un million de civils irakiens sont morts, mais le pétrole n’est pas perdu pour tout le Monde.

Les Casques Blancs en Syrie étaient les meilleurs amis de Fabius, le nouveau pote de Macron, ils étaient toujours les premiers sur les sites d’attaques chimiques… dont on attend toujours les preuves.

S’ils étaient plongeurs, eux auraient peut-être trouvé les coupables de Nord Stream, contrairement aux Danois et Suédois, qui se sont déclarés bredouilles. Les Allemands en récession ont arrêté l’enquête faute de budget.

Maidan… c’était évidemment un moment populaire, une histoire de petits pains et de madeleines Allbright…

Biden a été le Président le mieux élu de l’histoire des USA, mais il ne s’en souvient plus, son fils non plus ; il pense justement être le votre président de quelqu’un, mais on ignore de qui. Il n’est pas le seul à être diminué là-bas, par l’âge, et chez nous en Europe par l’incompétence, la bêtise et la fatuité.

Le Covid, vous savez ce truc qui a provoqué l’arrêt de la planète, c’est un pangolin, le vaccin devait sauver, car c’était un acte d’amour… et le PCR, ce truc si intrusif, c’était pour chercher à la base du cerveau, un virus ou sa trace, alors qu’une seule goutte (dans la salive) pourrait tuer un cluster entier (oups le mot anglais que tout le Monde a appris… mieux que Love) comme, par exemple, les passagers de tout un paquebot… au large du Japon.

La Russie est désignée pour avoir commencé une guerre en févr. 2022, car tout le Monde a oublié les accords de Minsk, car des civils russophones au Donbass y étaient sous les bombes depuis 2014.

Que dire de Butcha… c’était évidement les Russes et leur esprit illogique à se tirer une balle dans la paix qu’ils recherchaient depuis si longtemps et croyaient avoir trouvé enfin, eux si content et naïf, d’avoir signer un accord avec annexes, avec les Ukrainiens… c’était compter sans Macron qui voulait cette guerre longue et que les Russes passent pour des bouchers.

Et aussi… le 7/10 ce sont des centaines de mecs en sandales et parapentes qui ont déjoué la sécurité du pays le mieux protégé du monde, en sortant armes de canifs et de Kalashnikov (de collection) de leur ghetto sous blocus et surveillé par des drones, des espions et des informateurs… pour aller couper des bébés et les cuire dans des fours, mais aussi je ne sais pas quoi encore//évidement ça rappelle le 11/09 et tout le monde l’a dit et répète… le 7/10 c’est le nouveau 11/09 (les Égyptiens n’ont qu’à bien se tenir… Netanyahu fera l’enquête après avoir fini ce que la CIJ rappelle un génocide).

Puis dans le complot… on a monté d’un cran avec Navalny… qui cette fois a vraiment été tiré, mais comme la mort a eu lieu ça ne peut pas être les Russes ; ils ratent à chaque fois avec les poisons… Si c’était… une grande compagnie pharma, la CIA et une future veuve éplorée à Munich qui devient l’alliée numéro 1 de l’Ukraine de Zelensky et d’Israël de Netanyahu (l’un, car on repense à lui… et l’autre, car on l’oublie) ?

Que penser de ce qu’a démontré #AaronBushnell, qui en s’immolant a prouvé que tout est mensonges et manipulations, doubles langages et doubles standards… Que n’était-il pas un LGBT+ iranien réfugié en France et qui s’immole devant l’embrassade d’Iran ou un trans ukrainien qui fait de même devant l’ambassade russe à Paris ?

AARON BUSHNELL a montré que ce ne sont que faux semblants et inversions accusatoires.
LES MORTS NE SE VALENT PAS.
LES MARTYRS NON PLUS.
Mais à Gaza ils l’ont compris dans leur chair.

Et la liste est plus longue… car ces gens qui dirigent l’empire du mensonge et du $ sont fous.
Et Macron est leur antéchrist.

Et tout commence avec les sorciers de Babylone.
Les Khazars puis… bientôt dans une capsule.




« Si la France avait fait son travail il n’y aurait pas eu de guerre ! »

[Source : Les Incorrectibles]

Éric Morillot est rejoint par Jacques Baud pour discuter de son nouveau livre, « L’art de la guerre russe ». Ils se penchent sur le conflit ukrainien, décortiquant la stratégie militaire russe, l’influence des médias et le défi d’un reportage objectif. L’épisode se termine par une analyse des conséquences politiques du conflit.

  • 0:00 Introduction et présentation de l’invité, Jacques Baud
  • 6:54 Discussion sur le processus de recherche pour le livre « L’art de la guerre russe »
  • 11:11 Analyse de la situation actuelle en Ukraine et la réalité du terrain
  • 20:12 Analyse de la philosophie et des principes de la guerre russe
  • 29:02 Influence des militaires et des journalistes sur la perception des conflits
  • 35:22 La réflexion holistique russe : un regard sur la guerre et la société
  • 45:40 L’importance de la mobilité et la rapidité dans la stratégie de guerre russe
  • 54:07 La sécurisation de l’Europe par l’entente entre les nations
  • 1:00:21 Analyse de l’opération spéciale russe et de la situation en Ukraine après Biden
  • 1:14:11 Bilan de l’opération spéciale en Ukraine et conséquences politiques du conflit



Pourquoi la guerre à tout prix ?

https://twitter.com/RicardoMinute/status/1762878169290289589



Chronique d’une descente aux enfers annoncée

[Source : place-armes.fr]

Par le Général Antoine MARTINEZ

Devant l’évolution funeste de notre pays dans tous les domaines qui s’accélère élection après élection et plonge dorénavant les Français dans la souffrance et la désespérance, la question qui se pose aujourd’hui n’est plus de savoir si la rupture du lien entre les dirigeants politiques et le peuple peut se produire — c’est manifestement déjà fait — mais si ce dernier pourra longtemps accepter sa descente aux enfers. Car il est impensable en démocratie de refuser indéfiniment, comme c’est le cas depuis notamment la fin de l’année 2018, d’entendre ce que dit le peuple souverain ignoré, méprisé et malmené. On ne gouverne pas ainsi, en effet, impunément contre lui. Alors, comment en est-on arrivé là ? Comment la classe politique peut-elle dans sa grande majorité cautionner de voir sombrer notre pays un peu plus chaque jour ?

Dans un premier temps, il est important de rappeler comment notre Constitution qui représente le socle de notre démocratie est bafouée et instrumentalisée depuis longtemps du fait de la conception très personnelle de l’exercice du pouvoir que se font les présidents de la République successifs. Les dernières modifications de la Constitution sont probablement, au moins en partie, à l’origine de cette dérive. En effet, depuis l’instauration du quinquennat, le dévoiement de l’esprit, voire de la lettre de notre Constitution dans son application par le président de la République, censé pourtant être le garant des institutions, s’est imposé par étapes successives. Ce dernier, en décidant d’être en permanence à la manœuvre dans tous les domaines et occuper ainsi l’espace médiatique, a oublié le rôle qui est le sien. De ce fait, le président ne préside plus avec la hauteur de vue qui convient, mais gouverne ce qui est le rôle du Premier ministre qui détermine et conduit la politique de la nation en dirigeant l’action du gouvernement selon les articles 20 et 21 de la Constitution. C’est la raison pour laquelle d’ailleurs, dans cette conception très particulière de l’exercice du pouvoir, le Premier ministre, n’étant plus qu’un exécutant, ne peut logiquement être considéré comme un fusible en cas de crise. Le véritable Premier ministre et seul responsable, c’est désormais le président. M. Sarkozy l’avait bien compris ainsi en maintenant son Premier ministre pendant tout son mandat. Sur ce point, il était cohérent. En revanche, cette cohérence assumée ne caractérise certainement pas ses deux successeurs, M. Hollande ayant nommé trois Premiers ministres et M. Macron deux, au cours de son premier mandat, et deux après deux ans de son second mandat, ce qui permet d’éventuelles autres nominations avant 2027. Cette absence de cohérence avec leur conception de l’exercice du pouvoir révèle, en fait, le refus d’assumer personnellement leurs responsabilités lors de la survenance de crises qu’ils ont eux-mêmes créées. Dans ces circonstances et particulièrement aujourd’hui, le changement de Premier ministre, simple paravent protecteur, n’est qu’une supercherie dont le but n’est que de relancer le président affaibli et contesté et d’occuper l’espace médiatique pour occulter les vrais problèmes. Cette transgression de l’esprit de notre Constitution est dangereuse, car elle engendre d’autres dérives. S’étant emparé des attributions du Premier ministre, le président de la République se comporte comme tel, c’est-à-dire comme chef de la majorité parlementaire et non plus comme président de tous les Français.

Dans un deuxième temps, il faut insister sur les conséquences de ces dérives de l’exercice d’un pouvoir trop personnel sans lien avec les aspirations du peuple qui conduisent progressivement le pays vers des drames.

En 2005 par exemple, les Français ont rejeté par référendum le projet de traité constitutionnel sur l’Europe à près de 55 %. Les Néerlandais en faisaient de même à plus de 60 %. Pourtant, trois ans plus tard, M. Sarkozy décidait de ratifier par la voie parlementaire le traité de Lisbonne qui reprenait l’essentiel du texte rejeté par le peuple français ! Moralement et juridiquement cette faute est condamnable et impardonnable. Comment qualifier cette atteinte à la volonté du peuple souverain sinon de forfaiture ? Quant aux parlementaires, censés être les représentants du peuple et qui se sont prêtés à cette mascarade, ne se sont-ils pas déshonorés ? Dans une vraie démocratie, cette offense infligée à nos institutions et au droit du fait du simple bon vouloir du prince ne doit pas se produire. Malheureusement, les conséquences d’une telle forfaiture deviennent, une quinzaine d’années après, insupportables avec une submersion migratoire non combattue et le terrorisme islamiste qui en découle, une révolte du monde paysan, une guerre en Ukraine et la crise énergétique provoquée par les sanctions sur la Russie avec une Union européenne (UE) devenue despotique et corrompue. Le résultat est accablant !

De son côté, M. Hollande, « président normal », a également manqué aux devoirs les plus élémentaires attachés à sa fonction avec en particulier son renoncement et le non-respect de son devoir de discrétion révélés par ses confessions accordées à deux journalistes du journal Le Monde qui ont publié, en octobre 2016, un ouvrage qui a suscité une immense polémique. S’agissant de l’immigration, après avoir avancé qu’on ne pouvait « continuer à avoir des migrants qui arrivent sans contrôle et qu’il y a trop d’arrivées, d’immigration qui ne devrait pas être là », il évoque lui-même la sécession des territoires. « Comment éviter la partition ? Car c’est quand même cela qui est en train de se produire, la partition. » Mais qu’a-t-il entrepris pour enrayer cette évolution mortifère et prévisible depuis des années pour l’avenir de la nation puisqu’il en était conscient ? Rien ! Par ailleurs, il a également dévoilé dans ses confessions aux deux journalistes non habilités des dossiers classés secret-défense sur notamment des opérations aériennes projetées sur la Syrie et sur des assassinats ciblés dans ce pays. Cette infraction est normalement punie de 7 ans de prison et 100 000 € d’amende (art. 413-10 du Code pénal). Mais le président bénéficie dans l’exercice de sa fonction d’une immunité judiciaire totale ! Une proposition de destitution avait été signée par 79 parlementaires, mais rejetée par le bureau de l’Assemblée nationale. Les drames successifs (Charlie Hebdo, Hypercasher, Bataclan, Nice…), sans oublier l’invasion migratoire de l’Europe déclenchée par l’État islamique à l’été 2015 et qui se poursuit aujourd’hui, n’ont en rien modifié le renoncement du président d’affronter les réalités malgré l’évidence de la menace exercée sur l’unité et la sécurité de la nation par cette immigration hostile à notre pays. Les conséquences sont aujourd’hui catastrophiques. Le résultat est désastreux !

Quant à M. Macron, le la était donné avant même son élection lors d’un déplacement en Algérie avec sa déclaration infamante accusant la France de crime contre l’humanité en évoquant la colonisation. Il ignore, en réalité, qu’en débarquant sur les côtes nord-africaines en 1830, la France a mis fin à l’esclavagisme, ce crime contre l’humanité pratiqué depuis plus de trois siècles par les barbaresques mahométans de la régence turque d’Alger. Il renchérissait peu après en affirmant qu’il n’existe pas de culture française. Chacun se souvient, ensuite, des conditions de son élection en 2017 acquise après un hold-up démocratique fomenté par des officines liées au pouvoir et épaulées par certains médias pour priver de sa victoire le candidat de la droite donné gagnant. Cela dit, ses sept ans de présidence témoignent d’une volonté froide d’exercer le pouvoir de manière autoritaire sans tenir compte des aspirations du peuple qu’il n’aime pas et pour ne servir qu’un programme européiste qui sacrifie les intérêts de la France et du peuple français et qui s’inscrit dans un projet davocratique prônant un ordre mondial nouveau. Lorsqu’on est attaché au principe que l’État doit viser le bien commun et rechercher continuellement l’intérêt de la nation, on ne peut pas comprendre cette volonté affichée de diviser pour mieux réaliser des objectifs peu conformes avec l’intérêt et les aspirations des Français. La méthode cynique et machiavélique utilisée pour obtenir la promulgation de la loi sur l’immigration n’est-elle pas révélatrice d’un exercice pervers du pouvoir ? On feint de passer un accord avec la droite qu’on piège en acceptant ses amendements, on force sa majorité à voter la loi pour qu’elle soit adoptée pour mieux la détruire ensuite en saisissant le Conseil constitutionnel. Le président peut ainsi poursuivre son projet immigrationniste funeste d’autant plus que l’appel à ne pas signer le Pacte de Marrakech (2018) et celui lancé dans la lettre à nos gouvernants présentée comme la tribune des généraux (2021) ont été totalement ignorés. Que dire, par ailleurs, des décisions prises dans le conflit entre l’Ukraine et la Russie qui aurait pu être évité et que l’Europe n’a aucun intérêt à alimenter ? En 1962, en pleine guerre froide, la crise des fusées de Cuba déployées par l’ex-URSS provoqua un risque de guerre nucléaire, car il s’agissait d’une question existentielle évidente pour les Etats-Unis, soutenus fort justement par la France. L’ex-URSS céda. Avec l’Ukraine, le problème posé aujourd’hui est le même : il s’agit d’une question existentielle non moins évidente, cette fois pour la Russie, et la France n’a choisi ni la voie de la raison ni celle de ses propres intérêts. « Être prêts à agir, défendre et appuyer l’Ukraine, peu importe ce qui se passera », est-ce bien raisonnable et les Français sont-ils prêts à mourir pour Kiev ? C’est peu probable. En tout cas, les conséquences économiques pour les peuples européens sont désastreuses. Par ailleurs, pourquoi le Parlement n’est-il pas consulté depuis le début de ce conflit sur les livraisons d’armes et surtout sur l’accord de sécurité récemment signé avec l’Ukraine qui lie la France et engage ses finances pour dix ans ? N’est-ce pas, parmi les différentes dérives évoquées, l’exemple même d’une violation de notre Constitution ? Enfin, il ne faut pas oublier le deux poids, deux mesures utilisé dans l’emploi de la violence légitime de l’État selon le principe ignoble du fort au faible et du faible au fort. La différence de traitement des Gilets jaunes et des émeutes ethniques de juin 2023 en est l’illustration. Il ne faut pas oublier non plus le Benallagate ni la gestion criminelle de la crise sanitaire (covid) construite sur une stratégie de la peur, sans oublier le McKinseygate qui a mis en évidence l’intrusion d’agences privées étrangères au cœur même du fonctionnement de l’État avec la mise en danger des intérêts fondamentaux de la nation. Le pays sombre un peu plus chaque jour. Le résultat est tragique !

Alors, dans un troisième temps, on le constate, les conséquences des dérives et des décisions contraires aux intérêts de la France et des Français évoquées ne font qu’aggraver la situation et ne peuvent que mener le pays au naufrage par des dirigeants qui, maniant indifféremment, selon le besoin, l’abus de pouvoir ou le renoncement, veulent surtout dessaisir le peuple de sa souveraineté pour l’exercer à sa place et ainsi mieux la déléguer à l’UE. Cela dit, non seulement cette UE ne protège pas les intérêts des peuples européens, mais elle les trahit pour participer à la construction d’un ordre mondial nouveau dirigé par l’oligarchie financière peu soucieuse du sort des peuples, dans une optique purement économique et visant logiquement la destruction des nations peu compatibles avec cette vision d’un monde nouveau sans frontières. Dans cette perspective, avoir accepté de signer le Pacte de Marrakech, en 2018, a permis à l’UE d’établir en cohérence avec ce dernier son propre pacte migratoire qu’elle veut imposer aux Européens sans leur consentement. Ces quatre derniers quinquennats auront donc progressivement conduit, par l’exercice d’un pouvoir personnel de plus en plus coupé du peuple et de ses aspirations contraires au projet de la Davocratie, au déclassement, au délitement de la France et à la mise en danger des Français. Ce désastre incontestable sur tous les plans trouve en grande partie sa source dans les ravages — au mieux ignorés, au pire acceptés par idéologie immigrationniste, par des dirigeants politiques irresponsables dans les deux cas — d’une immigration de peuplement subie depuis plus de quatre décennies et complétée, depuis 2015, par une invasion migratoire organisée auxquelles s’ajoute aujourd’hui le risque d’entraînement dans une guerre qui n’est pas celle de la France. L’instauration du quinquennat, en laissant s’établir un régime « présidentiel », a donné au Chef de l’État les clés de la toute-puissance exercée aujourd’hui en marginalisant le gouvernement et le Parlement, ce dernier n’exerçant plus vraiment son rôle de contrôle de l’exécutif, l’Assemblée nationale étant devenue une chambre d’enregistrement, et en ignorant totalement le peuple. De plus, on l’a constaté dernièrement, une fois de plus, le « gouvernement des juges » a défait la loi votée par les parlementaires et s’est opposé ainsi, lui aussi, comme le président de la République, à la volonté exprimée par le peuple par l’intermédiaire de ses représentants dans un domaine qui le concerne directement, car il touche à l’âme même de la France, à son identité et à son droit légitime à la continuité historique. Dans ce domaine précis, est-il dans les attributions du président de décider seul contre la volonté du peuple souverain en l’empêchant de s’exprimer ? En tout cas, il n’a pas été élu pour cela. Au contraire, un chef d’État doit défendre son peuple et non pas accepter, voire participer à son effacement progressif. C’est le devoir de tout responsable politique d’oser le lui dire. Le général de Gaulle aurait-il permis une telle invasion par des populations de culture incompatible et hostile à la nôtre ? Aurait-il interdit au peuple français de résister à une invasion qui se traduit en réalité, aujourd’hui, par une véritable colonisation ? Que deviendrait d’ailleurs dans ces circonstances notre outil militaire avec des effectifs qui refuseraient, pour une partie d’entre eux, d’être loyaux à la France en cas de guerre ? C’est, en fait, de la survie de la nation qu’il s’agit ! Alors, où en sera la France en 2027, au terme du présent quinquennat ?

Dans ce contexte alarmant et angoissant, les Français sont sérieusement affectés par le déclassement et le délitement de la France. Ils sont notamment meurtris et tourmentés par d’une part, la colonisation de notre pays qui constitue LE sujet majeur, car existentiel par nature et que le pouvoir politique ne pourra pas éviter très longtemps, d’autre part par le risque d’entraînement dans une guerre en Ukraine qui n’est pas la nôtre, enfin par le risque d’une atteinte à la liberté d’expression par des mesures illibérales édictées par l’UE ou par nos gouvernants pour étouffer les voix discordantes, car conscients de la révolte qui gronde. La souffrance et la colère manifestées violemment par les agriculteurs à l’ouverture du salon de l’agriculture témoignent de cette révolte qui monte. S’agissant de la colonisation de notre pays, la situation de Mayotte préfigure celle que pourrait connaître la France si nos dirigeants ne prennent pas sérieusement et rapidement la mesure de la menace. La suppression du droit du sol, contrairement à la préconisation du gouvernement, ne doit pas être territorialisée avec ce seul département d’outre-mer, mais instaurée et appliquée sur tout le territoire national. Il faut redonner la parole au peuple et un référendum dans ce sens devrait être organisé pour lui permettre de s’exprimer clairement, première étape pour engager une reprise en main de son destin confisqué, le référendum permettant d’empêcher l’action du « gouvernement des juges ». Aux Français de se manifester résolument et massivement pour l’obtenir. Quant au risque d’entraînement de la France dans la guerre, le silence de la grande majorité des parlementaires est assourdissant alors que les décisions successives prises par l’exécutif depuis le début et couronnées par l’accord de sécurité signé pour dix ans avec l’Ukraine pourraient nous entraîner dans un engrenage incontrôlable. Il faut cependant saluer et soutenir l’initiative du sénateur Alain Houpert et du député Nicolas Dupont-Aignan qui ont saisi en référé le Conseil d’État sur la foi de l’article 53 de notre Constitution pour que le Parlement, qui doit prendre ses responsabilités, ratifie ou pas l’accord de sécurité signé. Rappelons que dans cette guerre par procuration qui aurait pu être évitée, la Russie est une puissance nucléaire de premier plan et qu’il s’agit pour elle dans ce conflit d’une question existentielle. Elle ne peut donc pas perdre cette guerre. C’est une simple question de bon sens. Alors, sommes-nous prêts à déclencher l’apocalypse ?

Dans cette descente aux enfers annoncée, devant le cavalier seul du pouvoir négligeant le Parlement et ignorant totalement les aspirations des citoyens, le sursaut ne pourra donc venir que du peuple lui-même et de personne d’autre. Il peut, en effet, reprendre en main son destin s’il refuse d’accepter de plonger dans la résignation et le désespoir. « La plus haute forme de l’espérance est le désespoir surmonté. » (Georges Bernanos)

Le 25 février 2024 Général (2 s) Antoine MARTINEZ

Place d’armes vous invite à envoyer une lettre au président, au palais de l’Élysée, 55 Rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris (l’affranchissement du courrier n’est pas nécessaire), pour exiger un référendum sur la suppression du droit du sol et une initiative de la France pour la mise en œuvre de négociations de paix pour le conflit Ukraine-Russie.




Macron cherche la guerre

[Source : Chaîne officielle TVL]

[NDLR Le dangereux cas Macron est évoqué dans les 8 premières minutes de la vidéo suivante :]




L’OTAN et les rouages de l’État profond

[Source : Brochu TV]

Marc Legrand, Écrivain et historien (Histoire militaire, Défense, Sécurité, Renseignement). Auteur de « Histoire des SERVICES SECRETS » (2019) & « L’État invisible » (2022).

[Voir aussi, évoquée en début de vidéo, l’interview de Benz par Carlson :
L’État de sécurité nationale et l’inversion de la démocratie aux USA]

[NDLR La vidéo a une coupure de près de 3 minutes à partir de 24:53. Reprise à partir de 27:46]




La réalité de la dévastation en Ukraine

[Source : MariaMateiciuc via henrymakow.com]
Par Maria Mateiciuc

Je viens de rentrer d’Ukraine, où j’ai rendu visite à des amis.

Tout ce que nous avons entendu sur ce qui se passe en Ukraine est un mensonge.

La réalité est plus sombre, plus noire, et sans équivoque, sans espoir. L’Ukraine ne peut pas « gagner » cette guerre.

— Selon leurs estimations, ils ont perdu plus d’un million de leurs fils, pères et maris ; une génération entière a disparu.

— Même dans le sud-ouest, où le sentiment anti-russe est ancien, les citoyens hésitent ou ont carrément peur de critiquer publiquement Zelensky, sous peine d’aller en prison.

— Dans chaque village et chaque ville, les rues, les magasins et les restaurants sont pour la plupart dépourvus d’hommes.

— Les quelques hommes qui restent sont terrifiés à l’idée de quitter leur domicile, de peur d’être enlevés pour être enrôlés. Certains en sont venus à supplier des amis de leur casser les jambes pour éviter le service.

— Les opérations de recherche de l’armée ont lieu tôt le matin, lorsque les hommes quittent leur domicile pour se rendre au travail. Ils leur tendent une embuscade et les enlèvent dans la rue. Dans les trois ou quatre heures qui suivent, ils sont inscrits sur la liste de l’armée et emmenés directement sur les lignes de front, avec une formation minimale, voire inexistante ; c’est une « condamnation à mort ».

— La situation empire de jour en jour. Là où je logeais, un dentiste venait d’être enlevé par les forces de sécurité alors qu’il se rendait à son travail, laissant derrière lui deux enfants en bas âge. Chaque jour, 3 à 5 cadavres arrivent des lignes de front.

— Les mères et les épouses se battent bec et ongles avec les forces armées, supplient et implorent qu’on ne leur enlève pas leurs hommes. Elles essaient de soudoyer, ce qui fonctionne parfois, mais la plupart du temps, elles sont confrontées à la violence physique et aux menaces de mort.

— Le territoire célébré comme ayant été « repris » à la Russie a été réduit en ruines et est inhabitable. Quoi qu’il en soit, il n’y a plus personne pour y vivre et les familles déplacées n’y reviendront probablement jamais.

— Ils voient la façon dont la guerre a été rapportée, dans leur pays et à l’étranger. C’est une « blague » et de la « propagande ». Ils disent : « Regardez autour de vous : est-ce que c’est une victoire ? »

— Pire encore, certains ont été trompés en croyant qu’une fois les forces ukrainiennes épuisées, les soldats américains viendraient les remplacer et « gagneraient la guerre ».

Il n’y a aucune ambiguïté chez ces personnes. La guerre n’a servi à rien, c’est une parodie. L’issue a toujours été, et est toujours, claire. Les gens sont désespérés, complètement détruits et vivent un cauchemar sans fin.

Ils implorent une fin, n’importe quelle fin — très probablement la même « paix » qui aurait pu être obtenue il y a deux ans. Dans leur esprit, elles ont déjà perdu, car leurs fils, leurs pères et leurs maris sont morts et leur pays a été détruit. Aucune « victoire » ne pourra changer cela.

Ne vous y trompez pas, ils sont en colère contre Poutine. Mais ils sont également en colère contre Zelensky et l’Occident. Ils ont tout perdu, surtout l’espoir et la foi, et ne comprennent pas pourquoi Zelenky souhaite poursuivre la trajectoire actuelle, celle de la dévastation humaine.

Je n’ai pas été témoin de la guerre, mais ce que j’ai vu m’a brisé le cœur.

Honte aux personnes, quelles que soient leurs intentions, qui ont soutenu cette guerre. Et honte aux médias qui continuent de mentir à ce sujet.




L’OTAN dans la tourmente

[Source : Brochu TV]

La mort d’Alexeï Navalny (devenu opposant professionnel après avoir été escroc) est intervenue justement le premier jour de la Conférence de Munich, alors qu’il était incarcéré dans une colonie pénitentiaire de la région de Yamalo-Nénétsie, dans le nord de l’Oural. Son poids politique ne cessait de baisser en Russie, bien avant son interpellation. L’Occident a ainsi obtenu — et au bon moment — sa victime sacrificielle. Pourtant, Navalny n’est pas l’Archiduc, sa mort ne produira aucune onde de choc en Russie et elle ne sortira pas les pays atlantistes de leur impasse face à la Russie. Ce n’est, au-delà du décès d’un être humain, qu’un événement médiatique et non politique.




La Cour Pénale Internationale : une profanation de la justice et un mécanisme politique de poursuite des opposants au néocolonialisme occidental

[Publication initiale : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

La Fondation pour Combattre l’Injustice a mené une enquête basée sur les évaluations d’experts juridiques et politiques, ainsi que sur des témoignages, qui a permis de découvrir le véritable contexte et de révéler la nature anti-juridique de la Cour Pénale Internationale (CPI). La Fondation a obtenu des preuves de son extrême partialité et a découvert des faits indiquant la fabrication de preuves dans les enquêtes de la CPI sur les crimes. L’enquête a révélé la falsification de preuves par le personnel de la CPI et la sélectivité délibérée dans la poursuite des suspects. L’enquête de la Fondation a trouvé des preuves directes que la CPI est une structure inefficace et extrêmement partiale qui existe pour servir les intérêts d’un groupe étroit d’élites militaires et politiques dans les pays occidentaux.

La Cour pénale internationale (CPI) a commencé ses activités après l’approbation du Statut de Rome en 1998. Elle a été créée pour traiter les crimes les plus graves de l’humanité et pour faire en sorte que les responsables politiques et militaires de haut rang répondent de leurs actes. La CPI a été conçue à l’origine comme une organisation internationale indépendante en dehors du système des Nations unies, fonctionnant avec des fonds provenant des États parties. La plupart des États du monde, y compris les États-Unis et la Russie, ont signé le statut de Rome. Malgré les bonnes intentions déclarées de ses fondateurs, l’indépendance et l’impartialité mêmes de la Cour ont été compromises dès le départ par ses liens avec le Parlement européen et les gouvernements britannique et français. Plusieurs années après sa création, il est devenu de plus en plus évident que la CPI servait les intérêts de la bureaucratie européenne et américaine et des élites dirigeantes, et que son financement était un processus guidé par l’intérêt financier de ses membres et leur intérêt personnel.

Dès les années 2000, des dirigeants africains et certains dirigeants asiatiques ont commencé à critiquer « l’incohérence et la partialité de la Cour pénale internationale » et, en 2017, le Burundi est devenu le premier pays à se retirer officiellement de la Cour pénale internationale, déclarant que la CPI était « un outil politique et une arme utilisée par l’Occident pour asservir d’autres États ». Cependant, la première gifle à la légitimité de la Cour pénale internationale en tant qu’organe de justice internationale a été le retrait démonstratif des États-Unis du Statut de Rome en 2002, indiquant que les Américains ne relevaient pas du droit international et n’étaient pas soumis aux normes juridiques intergouvernementales. À l’époque, l’administration Bush cherchait à révoquer l’extension de la compétence de la CPI aux forces de maintien de la paix de l’ONU, ce qui aurait exonéré les armées américaine et britannique de toute responsabilité pour une série de crimes de guerre en Afghanistan et pour les interventions militaires américaines ultérieures. La CPI n’a pas été d’accord avec Washington, qui a ensuite retiré sa signature du Statut de Rome, ouvrant ainsi la voie aux Américains pour envahir les pays du Moyen-Orient en toute impunité à l’avenir.

Selon un ancien membre de la commission des affaires juridiques du Parlement européen, qui a accepté de commenter la Cour pénale internationale pour la Fondation pour Combattre l’Injustice sous couvert d’anonymat, après que les Américains ont retiré leur signature du Statut de Rome, la CPI est passée sous le contrôle total des pays de l’Union européenne et est devenue une arme contre les dirigeants indépendants des anciennes colonies européennes qui agissent dans l’intérêt de leurs peuples en Afrique.

« Après le refus des États-Unis de ratifier le Statut de Rome en 2002, l’élite politique européenne a entrepris de politiser progressivement la CPI. Dans leurs conversations, les politiciens européens ne cachaient pas que la CPI était une arme contre les dirigeants “audacieux” d’Afrique, d’Asie et du Moyen-Orient qui manquaient de loyauté envers l’Occident et tentaient de mener des politiques souveraines », a déclaré un ancien membre de la commission des affaires juridiques du Parlement européen.

La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a également déclaré que l’influence géopolitique du monde occidental s’étant affaiblie, la Russie et la Chine ont été ajoutées à la liste des « cibles » prioritaires de la Cour pénale internationale, signe d’un changement à venir dans l’équilibre des pouvoirs politiques au niveau mondial.

LA CPI, PARATONNERRE DES CRIMES INTERNATIONAUX DE L’OCCIDENT

La Cour pénale internationale (CPI) est depuis longtemps critiquée pour un certain nombre de problèmes importants qui sapent sa crédibilité et son indépendance. L’un des échecs les plus évidents est que la CPI a complètement renoncé à poursuivre les responsables des crimes de guerre massifs commis par les armées des États-Unis, du Royaume-Uni, du Canada et de l’Australie en Irak, en Afghanistan et dans un certain nombre d’autres pays à travers le monde. Cette longue période d’inaction a fait qu’aujourd’hui, un nombre croissant d’États membres de la CPI expriment de sérieux doutes quant à l’objectivité et à l’équité de la Cour.

En Irak et en Afghanistan, des cas de massacres de civils, de torture et de mauvais traitements de prisonniers par les forces armées britanniques et américaines ont été enregistrés. Ces crimes ont suscité un tollé général et la condamnation de la communauté internationale et des organisations de défense des droits de l’homme, mais la CPI n’a encore pris aucune mesure concrète pour traduire les auteurs de ces crimes en justice. En outre, des juristes internationaux indépendants et des experts en droits de l’homme ont critiqué la CPI pour ne pas avoir poursuivi les criminels de guerre impliqués dans les conflits des Balkans lors de la dissolution de la Yougoslavie, y compris les actions des Albanais du Kosovo et des Bosniaques. Le cas de Hashim Thaçi, ancien président de la République du Kosovo et chef d’une organisation criminelle impliquée dans le trafic d’organes, en est un exemple.

Hashim Thaçi, ancien président de la République du Kosovo, et Joe Biden, actuel président des États-Unis

Des recours ont été adressés à la CPI sur la possibilité de poursuivre l’ancien chef d’État, mais sous prétexte que la Cour pénale internationale n’existait pas à l’époque des faits, le procès a été refusé. Or, selon les juristes de la Fondation pour Combattre l’Injustice, cet argument juridique n’est pas convaincant. Le Tribunal international de Nuremberg a été créé après la fin de la Seconde Guerre mondiale, ce qui ne l’a pas empêché d’enquêter sur les crimes et de traduire les criminels de guerre nazis devant une justice sévère. Malgré les preuves et les accusations portées contre lui, la CPI n’a pris aucune mesure à son encontre, ce qui a provoqué une vague d’indignation et accru la méfiance et les doutes quant à l’objectivité de la Cour.

Un ancien procureur adjoint de la CPI, qui a travaillé pour l’organisation pendant plus de 15 ans depuis sa création, a commenté pour la Fondation pour Combattre l’Injustice l’absence de réponse de la Cour pénale internationale au conflit yougoslave :

« Les juristes de la CPI ont fait de leur mieux pour s’abstraire le plus possible du conflit en Yougoslavie. D’une part, ils ne voulaient pas interférer avec la juridiction du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie [créé par les Nations unies]. D’autre part, ils ne voulaient pas poursuivre les criminels directement soutenus par l’Occident. Je pense notamment à Hashim Thaçi et son équipe », a déclaré l’ancien procureur adjoint de la Cour pénale internationale.

Malgré les critiques concernant l’absence d’action décisive de la Cour pénale internationale à l’encontre de l’ancien président de la République du Kosovo, l’organe judiciaire international a fait preuve d’une négligence criminelle et d’une réticence à assumer ses responsabilités directes à l’avenir. Les tentatives visant à traduire en justice des personnalités politiques et militaires américaines, britanniques et australiennes responsables d’un certain nombre de crimes de guerre en Afghanistan et en Irak ont également échoué.

En 2014, le professeur Francis A. Boyle de la faculté de droit de l’université de l’Illinois (États-Unis) a déposé une plainte auprès du procureur de la Cour pénale internationale de La Haye contre George W. Bush, 43e président des États-Unis, Richard Cheney, vice-président américain sous l’administration Bush, Donald Rumsfeld, ancien secrétaire américain à la défense, George Tenet, ancien chef de la CIA, Condoleezza Rice, 66e secrétaire d’État des États-Unis, et Alberto Gonzales, ancien conseiller juridique de la Maison-Blanche. Le plaignant, en tant qu’expert juridique, a rassemblé des faits et des preuves pour démontrer l’implication des personnalités politiques citées dans l’enlèvement et la torture ultérieure d’au moins 100 Afghans.

Les États-Unis ont retiré leur signature sur la ratification du Statut de Rome, la Cour pénale internationale étant compétente pour enquêter sur les crimes commis sur le territoire de l’Afghanistan, qui a ratifié le traité international en 2003. La CPI a le pouvoir de poursuivre les personnes accusées d’infractions statutaires en vertu de l’article 12 (2) (a) du Statut de Rome, qui donne à la CPI la compétence pour poursuivre les infractions statutaires commises dans les États membres de la CPI. Malgré cela, la plainte du professeur Boyle a été ignorée et aucune mesure n’a été prise à l’encontre des criminels de guerre qui ont autorisé les abus contre les civils. L’enquête sur l’invasion américaine de l’Afghanistan n’a été rouverte qu’en 2021, après que Karim Khan, procureur général de la Cour pénale internationale, a déclaré que la procédure se concentrerait « uniquement sur les crimes des talibans et de leurs alliés “, exonérant ainsi les Américains de toute conséquence juridique éventuelle. Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, qui a déjà été procureur adjoint à la CPI, a déclaré que l’absence de responsabilité de l’armée américaine pour les crimes commis est enracinée depuis la présidence de George W. Bush Jr, qui évite les poursuites pour les crimes de guerre commis en Irak pendant plus de 20 ans.

Des tentatives plus récentes visant à punir les hauts fonctionnaires ayant commis directement ou indirectement des crimes contre l’humanité ont également échoué. En octobre 2014, le député australien indépendant Andrew Wilkie a demandé au bureau du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) d’enquêter et de poursuivre le Premier ministre Tony Abbott et 19 membres de son cabinet pour les mauvais traitements infligés aux demandeurs d’asile. L’homme politique a cité des preuves d’une violation directe du droit international, à savoir la fourniture de preuves d’une pratique sanctionnée par le gouvernement australien consistant à porter gravement atteinte à la santé mentale et physique de dizaines de milliers de réfugiés, y compris d’enfants mineurs. L’Australie est partie au Statut de Rome et a déclaré son engagement envers les objectifs de la CPI, et les chefs de gouvernement et autres fonctionnaires ne sont pas exemptés de poursuites de la part de par la CPI. Cependant, comme c’est devenu la coutume, une grave violation du droit international a été ignorée par la Cour pénale internationale.

Face à l’augmentation du nombre de plaintes pour crimes de guerre déposées auprès de la CPI par l’Union européenne et les États-Unis, la Cour pénale internationale a délibérément rendu plus difficile le dépôt de plaintes. Selon un journaliste d’investigation néerlandais qui a donné un commentaire exclusif à la Fondation pour Combattre l’Injustice sous couvert d’anonymat, toute tentative de la part d’avocats indépendants d’Europe, d’Afrique et du Moyen-Orient de tenir les dirigeants et les militaires occidentaux responsables, par le biais des structures de la CPI, du bombardement de la Libye et de la Somalie, de la terreur militaire massive en Irak et de l’extermination de civils en Afghanistan, a été délibérément contrariée au niveau embryonnaire. Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, toutes les procédures juridiques liées aux procès contre des politiciens et des officiers occidentaux sont bloquées à la racine par la CPI, malgré la base étendue des crimes de guerre et leur composition très claire.

Pour prouver son point de vue, le journaliste néerlandais s’est référé au mandat présidentiel du 44e dirigeant de la nation américaine, Barack Obama. Durant son administration, il a autorisé pas moins de 563 frappes de drones à l’explosif sur des zones peuplées du Moyen-Orient, tuant au moins 3 797 personnes. Pour la seule année 2016, l’armée américaine a largué 26 171 bombes sur la Syrie, l’Irak, l’Afghanistan, la Libye, le Yémen, la Somalie et le Pakistan avec l’approbation directe d’Obama, ce qui fait de lui l’un des criminels de guerre les plus sanglants de l’histoire des États-Unis. Mais malgré l’abondance de preuves et de témoignages de victimes directes des bombardements américains, la Cour pénale internationale n’a pas enregistré une seule poursuite accusant Obama d’avoir commis des crimes de guerre.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a suggéré que la partialité de la Cour pénale internationale pourrait également être liée à la corruption au sein de l’organisation :

” Je me souviens qu’il y a eu 50 tentatives légalement valables de traduire en justice des membres de l’administration de George W. Bush Jr., de Barack Obama et de l’armée américaine devant la CPI. Une quinzaine de ces initiatives émanaient de divers groupes politiques du Moyen-Orient. Toutes ont été purement et simplement rejetées au stade initial de l’examen par la CPI. À mon avis, il y a soit une corruption directe, soit une pression puissante sur la Cour », a commenté un journaliste néerlandais à propos de l’immunité des politiciens occidentaux devant la CPI.

Politiciens américains et australiens qui ont échappé aux poursuites pour crimes
contre l’humanité engagées par la CPI et aux accusations portées contre eux

LA CPI, MÉCANISME RÉPRESSIF NÉOCOLONIAL DE L’OCCIDENT ET CITADELLE DE LA CORRUPTION

En 2002, Robin Cook, ancien député britannique, a déclaré que la création de la Cour pénale internationale et la signature du Statut de Rome « n’affecteront pas le Royaume-Uni » parce que l’organe juridique international a été créé « non pas pour responsabiliser les hommes politiques du Royaume-Uni ou de tout autre État occidental ». En février 2024, la Cour pénale internationale aura inculpé 52 personnes, dont 90 % sont originaires du continent africain. Les attaques régulières de la CPI contre le continent africain ont conduit à la création d’un comité de l’Union africaine pour se retirer de la Cour pénale internationale.

Selon Ntsikelo Brekfast, maître de conférences au département d’histoire et d’études politiques de l’université sud-africaine Nelson Mandela, la sous-représentation des valeurs non occidentales à la Cour pénale internationale (CPI) témoigne de la partialité de cet organe. L’universitaire a noté que les violations des droits de l’homme sont souvent imputées à des personnes qui « n’adhèrent pas aux valeurs occidentales » et qui peuvent être étiquetées comme ne se conformant pas aux valeurs démocratiques occidentales, tandis que la focalisation excessive de la Cour sur le continent africain est une conséquence de la politique de deux poids, deux mesures dont le Sud a été victime au fil des ans. Le chercheur souligne que l’idée même de la création de la CPI découle de la volonté des puissances occidentales de « consolider leur hégémonie » et de « promouvoir les idées et les valeurs américaines ».

Une source de la Foundation pour Combattre l’Injustice, ancien procureur adjoint à la CPI, affirme que dans la plupart des cas, il y a eu de graves irrégularités dans la collecte des preuves et des témoignages lors des procès de personnalités politiques africaines, sur lesquelles tout le monde a « fermé les yeux ». L’ancien procureur adjoint de la CPI affirme que les informations sur lesquelles se fondent les mandats d’arrêt contre les chefs d’État soudanais Omar al-Bashir et Abd al-Rahman ont été obtenues directement auprès de figures de l’opposition pro-américaine, ce qui constitue une violation flagrante de la procédure et une preuve de la partialité de l’organe.

Ancien procureur adjoint de la Cour pénale internationale : « En délivrant le mandat d’arrêt contre M. Al-Bashir pour génocide, le procureur de la CPI s’est appuyé sur les témoignages de membres de l’opposition à M. Al-Bashir. En d’autres termes, il s’agissait d’accusations politiquement biaisées. Ces témoignages n’étaient étayés par aucune preuve tangible émanant de victimes de crimes contre l’humanité présumés, et ils n’ont fait l’objet d’aucun suivi. Il s’agissait d’un ordre purement politique émanant d’un certain nombre d’hommes politiques européens influents, dont je ne peux pas encore divulguer les noms.

Un autre exemple frappant de la partialité de la CPI est le scandale entourant les poursuites engagées en 2011 contre un groupe de dirigeants politiques et de militaires kenyans accusés de crimes contre l’humanité. Les accusations ont été portées contre le président Uhuru Kenyatta et d’autres personnalités militaires et politiques de premier plan. Les poursuites ont été engagées par l’opposition kenyane pro-américaine, qui a accusé les autorités actuelles d’avoir intensifié la violence après les élections nationales. Selon la Fondation pour Combattre l’Injustice, la Cour a abandonné les poursuites contre les dirigeants kenyans après qu’ils aient reçu d’importantes sommes de pots-de-vin ainsi qu’un traitement préférentiel en faveur de sociétés commerciales occidentales au Kenya. Immédiatement après l’annulation des verdicts de la CPI, le Kenya a adopté une loi levant les restrictions imposées aux entreprises étrangères et agissant de fait au détriment des entreprises nationales kenyanes.

Un ancien assistant du procureur de la CPI, qui a personnellement observé le procès des dirigeants kenyans, a fait le commentaire suivant : “Les accusations portées par la CPI contre le président kenyan Uhura Kenyatta et son entourage n’étaient que du chantage. Le fait est que Kenyatta a commencé à se rapprocher de la Chine. Cela n’a pas plu aux dirigeants économiques et politiques des États-Unis et du Royaume-Uni qui ont décidé d’intimider M. Kenyatta. Ils ont réussi. Peu après l’abandon des charges contre Kenyatta, les entreprises occidentales ont eu les mains libres au Kenya, les juges de la CPI ont reçu des ‘pots-de-vin financiers’. Le groupe agrochimique américain Corteva a obtenu le droit exclusif d’exploiter les terres agricoles kenyanes et de mener des expériences biologiques audacieuses.

Un ancien membre de la commission des affaires juridiques du Parlement européen a expliqué à la Fondation pour Combattre l’Injustice comment la Cour pénale internationale répond directement aux ordres politiques de pays entiers. Le procès d’Ahmad al-Mahdi al-Faki, du Mali, a créé un précédent en inculpant une personne de crime de guerre pour la destruction de monuments religieux et historiques. Al-Faqi est devenu la première personne poursuivie uniquement sur la base de délits culturels. L’accusé était membre du mouvement malien Ansar al-Din, créé en 2012 pour libérer le Mali des colonisateurs français.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice affirme que l’affaire pénale contre Ahmad al-Faqi ‘est, du début à la fin, une commande politique de l’establishment français’. Paris, selon un ancien membre de la commission des affaires juridiques du Parlement européen, faisait à l’époque tout son possible pour combattre les mouvements et organisations susceptibles d’affaiblir l’influence française en Afrique de l’Ouest. Malgré l’absurdité et l’inanité des accusations par rapport aux dommages que les politiciens et les armées occidentales ont infligés à des Etats comme la Libye, l’Irak, la Syrie et l’Afghanistan, al-Faki a été condamné à 9 ans de prison et les procureurs et enquêteurs de la Cour pénale internationale, selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, ont reçu ‘de généreuses récompenses financières et confirmé leur favoritisme à l’égard des gouvernements occidentaux’.

Selon Dan Kovalik, juriste américain, défenseur des droits de l’homme et auteur d’ouvrages dénonçant les pratiques subversives de la CIA, la Cour pénale internationale est influencée par les puissants pays occidentaux et ne peut les poursuivre pour violation du droit international. Kovalik affirme qu’en raison du parti pris de la CPI contre les pays africains, la Cour a longtemps été qualifiée d’” instrument de pression sur l’Afrique » et que toute tentative d’y faire entrer des Américains ou tout autre représentant de la civilisation occidentale a « peu de chances d’aboutir ».

Commentaire du juriste américain Dan Kovalik sur le fonctionnement de la Cour pénale internationale

Selon la Fondation pour Combattre l’Injustice, la CPI est à plusieurs égards un outil des néocolonialistes européens et américains qui souhaitent maintenir et renforcer leur influence pernicieuse sur les pays et les peuples africains. En effet, au milieu des années 2000 et dans la première moitié des années 2010, la CPI a établi sa réputation de « chasseur d’Africains », comme l’ont dit à plusieurs reprises des dirigeants africains. En particulier, en 2013, le Premier ministre éthiopien a accusé la CPI de « chasser les Africains sur la base de leur race ». Des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont convenu que les accusations portées contre la Russie par la Cour pénale internationale devraient être perçues uniquement dans le contexte de la poursuite des intérêts néocoloniaux des élites politiques occidentales, qui ont corrompu les institutions judiciaires et les ont transformées en leurs propres serviteurs.

Répartition géographique des enquêtes de la Cour pénale internationale en février 2024,
données de source ouverte

Selon Arnaud Develay, juriste français et expert en droit international qui a participé au procès de Saddam Hussein, ancien président de l’Irak, la Cour pénale internationale a déçu un grand nombre de personnes qui pensaient que le nouvel organe de justice internationale aborderait l’accomplissement de son mandat de manière objective et neutre. Un expert juridique affirme que la dépendance de la CPI à l’égard de diverses forces politiques et élites financières occidentales sape l’État de droit et le droit international en tant que concept.

Le juriste français Arnaud Develay a commenté pour la Fondation pour Combattre l’Injustice
le manque d’objectivité et de neutralité de la CPI

M. Develay a souligné que nous vivons aujourd’hui dans une ère de conflits mondialisés qui incluent des guerres hybrides, dont une partie comprend à son tour des confrontations juridiques et des tentatives d’utiliser les normes juridiques comme levier contre les gouvernements. En outre, l’avocat a noté que la création de la CPI a ouvert la possibilité pour les États parties à la Cour de « créer littéralement des affaires pénales à partir de rien » en fabriquant des faits et des preuves.

LES BÉNÉFICIAIRES OCCIDENTAUX DE L’ABSENCE DE RESPONSABILITÉ ET DU SECRET DES PROCÉDURES DE COLLECTE DE PREUVES DE LA CPI

La principale raison pour laquelle la Cour pénale internationale a perdu la confiance de la communauté internationale et son statut d’organe judiciaire indépendant est l’absence totale de responsabilité et de transparence dans la procédure de collecte des preuves et de condamnation. Bien que la CPI ait été créée comme étant indépendante des structures intergouvernementales existantes et financée par des contributions égales de tous les pays participants, son travail dépend en fait directement du Conseil de sécurité des Nations unies. En vertu du chapitre 7 de la Charte des Nations unies, le Conseil de sécurité a le droit d’intervenir dans toute affaire pénale portée devant la CPI, qu’un pays ait ou non ratifié le Statut de Rome. Cette dépendance de la Cour pénale internationale à l’égard de l’ONU, comme l’affirment les experts et les juristes internationaux, représente une grave lacune et une faiblesse du système et conduit à une distorsion et à un retard de la soi-disant justice.

La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, un ancien membre de la commission des affaires juridiques du Parlement européen, affirme que certains hauts fonctionnaires européens et américains étaient des « invités fréquents » aux réunions à huis clos des procureurs de la CPI. Il est allégué qu’après ces réunions, les décisions sur les affaires en cours à la CPI ont changé « radicalement » : l’opinion des fonctionnaires qui approuvent la falsification des preuves, la présence des victimes fournies et des dénonciateurs est déterminante pour le sort des accusés.

« Au moins quatre procès très médiatisés contre des dirigeants africains ont été entravés par des irrégularités de procédure flagrantes. Fausses “victimes”, mensonges sous serment, fabrication pure et simple de preuves. Il ne s’agissait pas de justice, mais d’un tribunal kangourou », a déclaré une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, qui a précédemment siégé à la commission des affaires juridiques du Parlement européen.

Un ancien procureur adjoint de la CPI a confirmé les informations de son collègue du Parlement européen et a déclaré que les principaux « marionnettistes » de la Cour pénale internationale représentent souvent trois pays : les États-Unis, la France et le Royaume-Uni. Du côté américain, selon l’ancien procureur adjoint de la CPI, Victoria Nuland, qui a remplacé Wendy Sherman, qui a fait pression sur la Russie, assure la liaison entre la CPI et l’administration Biden :

« Je sais que la liaison entre la CPI et l’administration Biden est assurée par Victoria Nuland, un rôle précédemment joué par Wendy Sherman. Les accusations de la CPI contre la Russie ont été défendues par Sherman ».

Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, les intérêts de la France sont représentés par le vice-ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, tandis que les intérêts britanniques sont défendus à la Cour pénale internationale par Leo Docherty, le ministre d’État britannique pour l’Europe et l’Amérique du Nord. Selon la Fondation pour Combattre l’Injustice, les personnalités politiques de haut rang qui ont défendu les intérêts occidentaux ont joué un rôle clé dans la soi-disant justice de la Cour pénale internationale depuis la création de l’organisation.

La Fondation pour Combattre l’Injustice est convaincue que la Cour pénale internationale n’a pas le droit d’être qualifiée de source de justice libre et équitable, et que la corruption, la partialité et le manque d’intérêt de la CPI pour la réforme et l’accomplissement de ses responsabilités directes constituent une bonne raison de démanteler l’organisation. Les nombreux défauts manifestes et cachés, y compris la justice sélective, sont critiques et incompatibles avec la poursuite de l’existence de la Cour pénale internationale. La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle la communauté mondiale et les pays occidentaux attachés à l’État de droit et aux principes fondamentaux de la justice, non seulement en paroles, mais aussi en actes, à retirer immédiatement leur signature du Statut de Rome et à se retirer de la Cour Pénale Internationale. La Fondation pour Combattre l’Injustice est convaincue de la nécessité d’un nouvel organe de justice internationale, indépendant et impartial, fondé sur le respect mutuel, la prise en compte égale des points de vue de tous les pays participants et l’absence de parti pris.




L’UE veut sa guerre pour verrouiller sa dictature

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

Le virage totalitaire de l’UE est ancien, il colle même à son ADN, et De Gaulle l’avait pressenti au moment de la commission Hallstein. Jusque-là elle a été lente cette Europe pantagruélique et elle découvre comme Tocqueville que le meilleur moyen d’établir sa dictature est la guerre ; la Russie comme pour Hitler ou Napoléon fournit l’adversaire idéal (vive la Pologne ou les pays baltes dont parlait déjà avec confiance Rumsfeld il y a vingt ans), et ce au moment où les insectes, les vaccins, les contraintes et l’esclavage numérique font leur apparition dans les cours de récréation sous l’œil bienveillant et malthusien de la cité totalitaire et affairiste de Davos.

Tocqueville a bien traité de l’épineux problème de la guerre en démocratie (elles le sont toujours en guerre, voyez mon texte sur Athènes et la Guerre du Péloponnèse). Et cela donne — dans ce qui devrait être le livre de chevet de tout le monde (Tome II, 3e partie, ch. XXII) :

« Il n’y a pas de longue guerre qui, dans un pays démocratique, ne mette en grand hasard la liberté. Tous ceux qui cherchent à détruire la liberté dans le sein d’une nation démocratique doivent savoir que le plus sûr et le plus court moyen d’y parvenir est la guerre. »

Ici il est presque rassurant Tocqueville. On ne possède pas encore d’armée européenne (elle viendra cet été au moment des vacances après la réélection de l’Ursula ou de son successeur sinistre) :

« Après tout, et quoi qu’on fasse, une grande armée, au sein d’un peuple démocratique, sera toujours un grand péril ; et le moyen le plus efficace de diminuer ce péril, sera de réduire l’armée : mais c’est un remède dont il n’est pas donné à tous les peuples de pouvoir user. »

La clé de la guerre c’est la centralisation et l’accroissement du pouvoir civil ; Jouvenel reprendra cette argumentation dans son chapitre sur la guerre et le pouvoir (la démocratie s’adapte mieux à la guerre que les tyrannies ou les trop civilisées monarchies) :

« Le péril est d’une autre sorte. La guerre ne livre pas toujours les peuples démocratiques au gouvernement militaire ; mais elle ne peut manquer d’accroître immensément, chez ces peuples, les attributions du gouvernement civil ; elle centralise presque forcément dans les mains de celui-ci la direction de tous les hommes et l’usage de toutes les choses. Si elle ne conduit pas tout à coup au despotisme par la violence, elle y amène doucement par les habitudes. »

Stoltenberg et consorts nous ont promis une guerre ad absurdum, une guerre définitive (la population de l’Europe est déjà vieille et pauvre, et pas très équipée ou motivée) et éternelle, qui va durer trente ans alors que ni les conditions démographiques ou économiques, industrielles ou militaires, ne sont réunies. Mais le but est clair :

« Tous ceux qui cherchent à détruire la liberté dans le sein d’une nation démocratique doivent savoir que le plus sûr et le plus court moyen d’y parvenir est la guerre. C’est là le premier axiome de la science. Un remède semble s’offrir de lui-même, lorsque l’ambition des officiers et des soldats devient à craindre, c’est d’accroître le nombre des places à donner, en augmentant l’armée. Ceci soulage le mal présent, mais engage d’autant plus l’avenir. Augmenter l’armée peut produire un effet durable dans une société aristocratique, parce que, dans ces sociétés, l’ambition militaire est limitée à une seule espèce d’hommes, et s’arrête, pour chaque homme, à une certaine borne ; de telle sorte qu’on peut arriver à contenter à peu près tous ceux qui la ressentent. »

La cour des ambitieux se précipite. On voit à la télé française (je ne l’ai pas, on m’en parle) que les militaires, les journalistes et les politiciens adorent cette guerre contre la Russie comme ils adoraient celles contre l’Allemagne. Ce n’est pas pour rien : on va en profiter de cette guerre en haut lieu (voyez l’Ukraine) pour se remplir les poches et se doter « des pleins pouvoirs républicains » :

« Mais chez un peuple démocratique on ne gagne rien à accroître l’armée, parce que le nombre des ambitieux s’y accroît toujours exactement dans le même rapport que l’armée elle-même. Ceux dont vous avez exaucé les vœux en créant de nouveaux emplois sont aussitôt remplacés par une foule nouvelle que vous ne pouvez satisfaire, et les premiers eux-mêmes recommencent bientôt à se plaindre ; car la même agitation d’esprit qui règne parmi les citoyens d’une démocratie se fait voir dans l’armée ; ce qu’on y veut, ce n’est pas de gagner un certain grade, mais d’avancer toujours. Si les désirs ne sont pas très-vastes, ils renaissent sans cesse. Un peuple démocratique qui augmente son armée ne fait donc qu’adoucir, pour un moment, l’ambition des gens de guerre ; mais bientôt elle devient plus redoutable, parce que ceux qui la ressentent sont plus nombreux. »

On répète quand même :

« Tous ceux qui cherchent à détruire la liberté dans le sein d’une nation démocratique doivent savoir que le plus sûr et le plus court moyen d’y parvenir est la guerre. »

Nous avons une guerre interminable contre le terrorisme et ce, alors que les USA sont les protecteurs de l’islam intégriste ; et nous avons cette guerre mortelle contre la Russie qui, avec le coup de la Grèce, prend un air de choc des civilisations dirigé contre l’orthodoxie.

Espérons qu’il y ait un Dieu pour les chrétiens que nous ne sommes plus. Mais je ne sens rien dans cette situation que nous n’ayons déjà vécu dans le passé.




« Plus le conflit dure, plus l’échec de l’Ukraine sera marqué »

[Source : investigaction.net]

Par Grégoire Lalieu

Voilà deux ans que la guerre est ouverte entre la Russie d’une part, et l’Ukraine ainsi que les pays occidentaux qui la soutiennent d’autre part. Va-t-on repartir pour deux années de plus ? Des pays européens viennent en tout cas de signer des accords de sécurité avec Kiev pour entériner leur aide. Mais selon Jacques Baud, pas de quoi changer la situation sur le champ de bataille qui, de l’aveu même des Ukrainiens, est mauvaise. Ancien colonel des renseignements pour la Suisse et l’OTAN, il analyse pourquoi l’Europe s’entête à poursuivre une guerre qui ne peut être remportée, quel pourrait être l’impact des élections aux États-Unis, les tensions qui traversent le camp ukrainien ou encore les visées de l’armée russe.

Après le Royaume-Uni en janvier, la France et l’Allemagne viennent de signer avec l’Ukraine des accords de sécurité pour les dix prochaines années. Qu’est-ce que cela implique concrètement ?

Ces accords ont plus une portée politique que concrète. Ils visent à figer le conflit. Après des revers successifs dont l’échec de la contre-offensive ukrainienne ou plus récemment la chute d’Avdiivka, un nombre croissant de pays occidentaux ne voient plus vraiment où cette guerre va conduire, ils s’interrogent sur la pertinence de l’aide. De manière générale, la situation sur le front est mauvaise, de l’aveu même des Ukrainiens. Nous avons beau essayer de nous convaincre nous-mêmes que la Russie va perdre et que l’Ukraine va gagner, en réalité, personne ne voit vraiment comment l’aide occidentale pourrait conduire à un succès.

Pour l’heure, les Européens affichent encore haut et fort leur soutien à l’Ukraine. Mais aux États-Unis, les interrogations sont plus marquées. L’enveloppe de 60 milliards de dollars promise par Joe Biden reste bloquée au Congrès.

Les Américains ont un comportement beaucoup plus mercantile, ils veulent un retour sur investissement. Or, ils constatent qu’ils versent de l’argent dans un trou noir. Ils ne sont pas une organisation de bienfaisance. Selon le général Lloyd Austin, secrétaire à la Défense, ils ont deux objectifs : restaurer la souveraineté de l’Ukraine dans ses frontières de 1991 et affaiblir la Russie. Depuis l’été 2023, on constate que le premier est clairement hors de portée et on est obligé de reconnaître que cette crise n’a fait que renforcer la Russie. Autrement dit, la finalité de l’aide occidentale n’est pas en cohérence avec la réalité du terrain. Les Occidentaux constatent en 2024 ce que j’avais démontré dans mes ouvrages en 2022 déjà : vous pouvez imaginer le nombre de vies humaines que nous aurions pu épargner…

Mais alors quel bénéfice l’Ukraine peut-elle retirer de cette aide ?

Littéralement aucun. Nous ne faisons qu’enfermer l’Ukraine dans une situation désespérée. De plus, plus le conflit dure, plus l’échec de l’Ukraine sera marqué. C’est d’ailleurs l’aspect le plus surprenant de ces nouvelles promesses de soutien à l’Ukraine. Manifestement, elles ne vont pas permettre d’inverser la tendance, elles serviront tout au plus à prolonger le conflit. Ce qui ne joue pas en faveur de l’Ukraine. Si on voulait humilier les Ukrainiens, on ne ferait pas mieux. C’est assez tragique.

Si nous avions vraiment voulu aider l’Ukraine, nous l’aurions poussée et aidée à mettre en œuvre les solutions politiques existantes, notamment les Accords de Minsk de 2015, la proposition de Zelensky en mars 2022 ou le dialogue entre les deux pays proposé en août 2022. Chaque fois la Russie a été d’accord et chaque fois les Européens sont intervenus pour empêcher la solution.

Le conflit pourrait-il être figé de manière durable ? L’an dernier, des analystes US évoquaient ouvertement un scénario à la Coréenne.

Il y a deux manières de faire durer le conflit. Figer la ligne de front et faire durer la guerre ad aeternam en est une. Mais les Russes ne veulent pas d’un conflit gelé, ils veulent une solution. Évidemment, nous ne savons pas quelles seront les modalités. Elles dépendront des négociations. Une chose est sûre : les Occidentaux ne peuvent déterminer seuls l’issue d’événements qui impliquent différentes parties. C’est pourtant ce que nous essayons de faire à chaque fois, en répondant à la place d’un acteur tout en faisant le jeu de l’autre. Et ça ne fonctionne pas. Ça ne fonctionne pas en Palestine depuis 75 ans. Ça ne fonctionne pas en Ukraine depuis plus de 20 ans. Nous avons voulu déterminer unilatéralement les règles du jeu et le vainqueur. Mais les faits le démontrent, ce qui se passe n’est pas forcément ce que nous avons décidé.

L’autre façon de faire durer le conflit ?

Continuer à faire parler les armes comme nous le faisons. Mais nous savons depuis l’année passée que cela joue en défaveur de l’Ukraine. Nous avons tiré des plans sur la comète sans passer par une véritable analyse stratégique. Nous avons ainsi cherché à nous convaincre que la contre-offensive allait retourner le jeu alors que nous savions qu’elle ne pouvait pas réussir. Je l’avais naturellement écrit dans mes livres, mais même les Américains doutaient de son succès. Et ça s’est confirmé. Au-delà de petits succès tactiques, notre soutien n’a pas eu d’effets sur le déroulement de la guerre en général.

Certains profitent-ils de la situation malgré tout en Occident ?

On peut penser à l’industrie de l’armement qui en tire certainement un bénéfice. Mais ce n’est pas le moteur du problème. D’ailleurs si tout avait fonctionné comme se l’étaient imaginé nos décideurs, il n’y aurait pratiquement pas eu de guerre sur le terrain. Rappelez-vous que Bruno Le Maire, le ministre français de l’Économie annonçait l’effondrement de la Russie en quelques semaines par des moyens économiques,

Les seuls qui pourraient profiter de cette situation sont les Américains. Et leurs véritables raisons sont strictement géostratégiques. Les Américains partent du principe suivant : tant que la Russie est en guerre, elle est affaiblie. Et ils pensent qu’en affaiblissant la Russie, ils affaibliront la Chine, qui est leur véritable cible.

Stratégie payante ?

Non, ce sont à nouveau des calculs de bureaucrates. Non seulement cela ne s’est pas produit. Mais de plus, en voulant isoler la Russie, nous l’avons rapprochée de la Chine. Si bien que le bloc asiatique est renforcé et relativement compact, malgré toutes les projections occidentales sur les mauvaises relations entre Pékin et Moscou. On a notamment prétendu que la Chine méprisait la Russie et la considérait comme une quantité négligeable. Mais contrairement aux Occidentaux qui trient les peuples des plus forts aux plus faibles et qui évaluent l’importance d’un allié en fonction de son PIB, les Chinois voient les choses avec beaucoup de pragmatisme. La Russie est leur alliée et on voit aujourd’hui que leurs diplomaties sont très complémentaires, sans chercher à savoir laquelle est la meilleure ou la plus forte. Ce sont deux pays qui travaillent ensemble, tout simplement.

Si l’Occident est incapable de pousser l’Ukraine vers la victoire ni même d’affaiblir la Russie et à travers elle, le bloc asiatique, pourquoi s’obstiner à poursuivre le conflit ?

Il y a deux choses : d’une part nos dirigeants restent persuadés que la Russie est de facto plus faible si elle est en guerre ; d’autre part, ils pensent que cette guerre deviendra de moins en moins populaire si bien qu’elle pourrait constituer une source de mécontentement conduisant à un changement de pouvoir en Russie.

À ceci s’ajoute une troisième raison : nous sommes incapables de reconnaître que nous avons fait un mauvais calcul. Il s’agit à présent de nous protéger nous-mêmes, de sauver notre narratif en poussant l’Ukraine à rattraper les choses. En fait, nous jouons avec le sang des Ukrainiens. Et ils commencent à s’en apercevoir, un peu tard. Certains restent fidèles à la ligne du gouvernement Zelensky et continueront à se battre. D’autres commencent à réfléchir et prennent conscience qu’ils ont été manipulés par notre désinformation. La question est de savoir ce qu’ils vont faire dans les prochaines semaines ou prochains mois. En politique intérieure, c’est un enjeu majeur pour Zelensky.

Ces tensions internes expliquent-elles le limogeage, début février, du général Zaloujny qui était à la tête des forces armées ukrainiennes et qui semblait vouloir négocier la fin du conflit avec les Russes ?

Je ne suis pas sûr de cette accusation de collusion possible entre Zaloujny et la Russie. Je pense qu’il s’agit plutôt d’une tactique pour couvrir des problèmes plus profonds dans la conduite ukrainienne de la guerre. Comme je l’avais déjà écrit dans mes ouvrages dès 2022, depuis la bataille de Bakhmout, Zelensky est en conflit avec une partie de sa hiérarchie militaire. Zelensky voit sa popularité baisser tandis que celle de ses généraux augmente. Or, quand une armée devient plus populaire que le pouvoir politique, ça peut poser un certain nombre de problèmes.

Ceux qui suivent la situation en Ukraine savaient que le conflit entre Zelensky et Zaloujny couvait depuis un certain temps. En début d’année, le général avait même refusé l’ordre de quitter ses fonctions, alors que Zelensky est le commandant en chef d’après la Constitution ! Les tensions ont perduré jusqu’au renvoi de Zaloujny en février. Si l’on ajoute à cela que Zaloujny est généralement considéré comme « l’homme de Washington », cela donne une mesure de l’importance des antagonismes entre les différents blocs politiques au sein de l’Ukraine. Ils sont plus forts que ce qu’on imagine.

La situation reste donc compliquée pour Zelensky ?

Il sait qu’il ne peut pas gagner la guerre. Mais d’un autre côté, il doit continuer à se battre pour avoir le soutien des Occidentaux. En fait, Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen ou Annalena Baerbock… Tous ces dirigeants occidentaux tiennent Zelensky en otage. Leur but est d’affaiblir la Russie. Et Zelensky est leur exécutant. Mais ce faisant, non seulement il n’a pas de succès sur le terrain, mais il constate qu’il perd des vies et que sa popularité en pâtit. Son intérêt serait d’arrêter. Or, s’il arrête, les Occidentaux ne le soutiendront plus. Il ne risque pas seulement sa place. À tort ou à raison, il doit penser que s’il changeait d’orientation à l’égard de la Russie, il se ferait éliminer. C’est ce que lui avait promis Dmytro Yarosh, dirigeant d’extrême droite en Ukraine(([1] Лилия Рагуцкая, « Ярош: если Зеленский предаст Украину — потеряет не должность, а жизнь », Obozrevatel, 27 mai 2019, (https://incident.obozrevatel.com/crime/dmitrij-yarosh-esli-zelenskij-predast-ukrainu-poteryaet-ne-dolzhnost-a-zhizn.htm))) et que nos médias soutiennent(([2] En 2019, Dmytro Iaroch, fondateur du mouvement Pravy Sektor, confie dans une interview que si Zelensky applique les accords de Minsk pour mettre fin à la guerre du Donbass, il serait pendu à un arbre de Khreshchatyk, la principale allée de Kiev. [NDLR] )). Aujourd’hui Zelensky est donc assis entre deux chaises.

L’intérêt des États-Unis à poursuivre la guerre est d’affaiblir la Russie et à travers elle, la Chine. Quel est l’intérêt des Européens ?

Ils n’ont aucun intérêt dans ce conflit. Ni avant ni maintenant. L’Union européenne aurait dû écouter les Russes et les gouvernements ukrainiens de l’époque qui proposaient en 2012 une solution tripartite. L’économie ukrainienne aurait été renforcée, la Russie en aurait profité aussi et l’UE n’aurait pas eu besoin de dépenser des milliards dans une guerre qu’elle perd de toute façon — ne parlons même pas des vies ukrainiennes sacrifiées. Alors à la tête de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a refusé, bien que le seul bon sens aurait voulu que nous acceptions cette solution. Aujourd’hui, nous glissons lentement vers une situation où l’Ukraine pourrait disparaître en tant qu’État et où l’investissement européen se trouverait réduit à néant.

Si cette solution avait été acceptée, l’UE aurait en outre toujours accès au gaz russe bon marché plutôt que d’importer massivement du gaz liquéfié américain…

Évidemment. Plutôt que d’établir des relations win-win [gagnant-gagnant], nous faisons du loose-loose[perdant-perdant]. Nos dirigeants n’ont toujours pas compris que l’Europe n’est pas dépendante de la Russie, mais de l’énergie.

Alors que l’aide US est bloquée au Congrès et pourrait ne jamais arriver, les Européens se retrouvent à dépenser des sommes astronomiques pour une guerre qui n’est pas dans leur intérêt, mais celui des États-Unis ? C’est une situation folle.

Les Européens font ça depuis le début. Ils sont même parfois allés plus loin que les Américains dans les sanctions contre la Russie. Pourquoi ? En réalité, comme l’avait déjà fait en 2003 Donald Rumsfeld, l’ancien secrétaire d’État US à la Défense, il faut distinguer la vieille de la nouvelle Europe. La nouvelle, pour des raisons que nous n’allons pas développer ici, est fanatisée. Elle est très antirusse. Lorsque les pays qui la composent ont obtenu leur indépendance avec la chute de l’Union soviétique, ils n’ont pas franchi le pas vers quelque chose de nouveau. Ils ont simplement mis un label sur la haine qu’ils entretenaient depuis 1939 plutôt que de laisser les conséquences de la Deuxième Guerre mondiale derrière eux. Leur mentalité n’a pas évolué. Et parce qu’ils bénéficient d’un fort appui des Américains, ils exercent une forte influence au sein de l’Union européenne.

Quid de la vieille Europe ?

Je pense à la France, l’Allemagne, l’Italie ou encore le Benelux… Ces pays sont gouvernés par des amateurs qui manquent d’expérience en politique. Ils sont certainement très fort en politique politicienne pour savoir quel pot-de-vin ils vont toucher afin de construire des latrines sur la place du village. Mais ces gens sont incapables de comprendre la complexité du monde politique. On le voit très bien dans leurs réactions avec la Russie, la Chine, la Palestine ou encore le terrorisme. Ces dirigeants créent plus de problèmes qu’ils n’en résolvent, simplement parce qu’ils n’ont pas la capacité de gérer les pays pour lesquels un mandat leur a été confié. C’est assez symptomatique de voir l’indigence intellectuelle de dirigeants allemands comme Scholz ou Baerbock. Ou même Macron en France — ne parlons même pas de Melloni et compagnie. Ce sont des premiers de classe, ils ont su cocher toutes les bonnes cases au QCM, mais ils ne sont pas intelligents, ils n’ont pas la capacité de prendre du recul par rapport aux événements pour les analyser. Ils n’ont pas de culture historique ou politique. Leur capacité à conduire le pays est littéralement navrante.

Les Américains ont une volonté de suprématie, ils ne tolèrent aucun compétiteur. Ils appliquent de manière assez systématique la doctrine Wolfowitz, écrite au lendemain de la première guerre du Golfe (1991) et qui préconise de combattre toutes les puissances qui pourraient « challenger » leur suprématie. Il leur faut combattre la Chine et donc combattre la Russie pour l’affaiblir. Le problème de cette doctrine est qu’elle les a conduits à vouloir abaisser les autres au lieu de s’élever eux-mêmes.

On peut discuter de cette approche, mais au moins il y a une logique. Les Européens n’en ont même pas. Ils suivent bêtement les Américains sans même savoir pourquoi et au détriment de leurs propres intérêts. Ils se sont enfermés dans leur soutien à l’Ukraine. Et les Américains qui pensent à en sortir leur disent : « Vous l’avez voulu, vous l’avez eu. C’est votre problème maintenant. »

En quoi les élections présidentielles qui se tiendront en novembre aux États-Unis peuvent-elles influencer l’évolution du conflit en Ukraine ? Trump a déclaré que s’il était élu, il lui faudrait 24 heures pour régler le problème…

C’est ce qu’il dit. Mais comme Zelensky lui a fait remarquer, il aurait pu empêcher la guerre lorsqu’il était président. Cela étant dit, Trump reflète une position que de plus en plus d’Américains partagent, car ils ne voient plus l’intérêt de financer une stratégie qui n’atteint pas ses objectifs.

Mais on lui reproche d’être trop proche du Kremlin…

C’est pourtant l’un des présidents américains qui a voté le plus de sanctions contre la Russie. Comme de nombreux républicains et démocrates, Trump est avant tout contre la Chine. La question est de savoir : comment aborder la Russie par rapport à la Chine. Deux écoles s’affrontent sur cette question. Selon la première, il faut affaiblir la Russie pour impacter l’ensemble du bloc asiatique. La seconde école préconise de se rapprocher de la Russie, pas parce qu’on l’aime, mais pour l’éloigner de la Chine.

La deuxième école rappelle, dans le sens inverse, ce que Nixon et Kissinger avaient fait durant la guerre froide. Pour empêcher que les relations se développent entre les communistes de Moscou et ceux de Pékin, ils s’étaient rapprochés de la Chine de Mao.

Tout à fait. Nous sommes dans une relation tripartite. L’Union soviétique était le principal rival à l’époque alors que la Chine était un pays en voie de développement. Et on se posait déjà la question de savoir s’il fallait se rapprocher de la Chine ou chercher à la détruire.

La situation est symétriquement inverse aujourd’hui, l’Union soviétique s’étant effondrée et la Chine étant devenue le principal rival. Mais les débats sont toujours les mêmes. Et on les retrouve jusqu’au sein de l’administration Biden. S’il y a des tenants d’un effondrement de la fédération russe comme Antony Blinken ou Victoria Nulland, on trouve aussi à l’intérieur du département d’État des avocats d’un rapprochement avec Moscou. Si Trump est réélu, cette stratégie pourrait être privilégiée, non par sympathie pour Moscou, mais par haine de Pékin.

Est-elle plus viable ?

La Russie ne sera jamais considérée comme un allié à part entière de toute façon. De plus, les dégâts sont tellement importants à présent que la liberté d’action de Trump serait limitée. Enfin, les Russes ne sont pas nés de la dernière pluie. Ils ont bien compris quel était le jeu possible de Washington. Poutine a même dit qu’il préférerait que Biden reste au pouvoir !

On peut aussi imaginer qu’aujourd’hui, il serait plus difficile de détricoter les liens entre la Russie et la Chine.

Tout à fait. On ne va plus changer ça. On est pratiquement arrivé à un point de non-rupture. Poutine a d’ailleurs déclaré à plusieurs reprises qu’il laissait toujours la porte ouverte, mais qu’il ne prévoyait pas de se rapprocher de l’Occident. Il considère que la page est tournée.

Dans la préface du livre « Ukraine : La guerre des images », vous écriviez qu’il était nécessaire de « rééquilibrer notre lecture des problèmes afin d’y trouver des solutions durables » et que le « narratif occidental était le principal obstacle à un processus de paix ». Deux ans après le lancement de l’invasion russe, avez-vous le sentiment que la perception du conflit a évolué ?

Bien sûr. Les Occidentaux, et les Européens en particulier, ne réalisent pas de véritable analyse stratégique au-delà des digressions vociférantes des uns ou des autres. Le narratif est l’élément central de leur politique contre la Russie. Or, ils ont reconnu à plusieurs reprises qu’il perdait cette bataille également. Josep Borell déclarait d’ailleurs il y a quelques jours que le narratif global soufflait contre l’Occident, en Ukraine comme au Moyen-Orient. Il soulignait le besoin pour l’Union européenne de remporter cette bataille des narratifs au risque de voir le monde se diviser sous la forme du « rest against the West », c’est-à-dire le reste du monde contre l’Occident.

Le narratif occidental a vendu à l’opinion publique une guerre des méchants Russes contre les gentils Ukrainiens. Nous n’allons pas revenir ici sur toute la genèse du conflit qui a commencé bien avant le 24 février 2022, mais nous savons que l’histoire est un peu plus complexe. Le narratif occidental ne tient plus selon vous ?

Comme je l’avais souligné dans mes précédents ouvrages — « Opération Z » et « Poutine, maître du jeu » — il ne suffit pas de dire que la Russie va perdre pour qu’elle perde. Évidemment, je me suis fait traiter de conspirationniste à l’époque. Mais nous remarquons aujourd’hui que les faits rattrapent le narratif européen. Bien avant 2022, nous avons voulu voir une Russie faible. On a même interdit tout débat contradictoire sur cette simplification extrême. Résultat des courses, nous avons commis la pire faute en matière de stratégie : sous-estimer l’adversaire. Aujourd’hui, des agriculteurs manifestent dans nos rues, bon nombre de ménages souffrent de l’inflation, la Commission européenne revoit à la baisse les prévisions de croissance dans la zone euro et l’Allemagne est même en récession. À côté de ça, selon les chiffres du FMI, l’économie russe a connu une croissance plus rapide que celle de l’ensemble du G7 l’an dernier et connaîtra une nouvelle croissance en 2024.

Le narratif occidental a beau être battu en brèche par la réalité des faits, les dirigeants européens s’obstinent encore et toujours. Qu’est-ce qui pourrait renverser la vapeur ?

On ne va pas renverser la vapeur. Si les dirigeants occidentaux ne voulaient pas cette guerre, ils auraient fait en sorte que les accords de Minsk soient respectés. Or, ils ont provoqué une situation qui ne pouvait conduire qu’à un conflit. Faire machine arrière reviendrait à perdre la face. Pourquoi le feraient-ils alors que ce ne sont « que » des Ukrainiens qui meurent. C’est toujours plus facile de faire la guerre avec le sang des autres. Cela démontre la lâcheté des gouvernements occidentaux.

Certains pays pourraient changer leur fusil d’épaule s’ils se trouvent acculés par d’importants troubles sociaux. Mais rien n’indique que ce soit le cas. D’ailleurs, c’est un peu l’inconvénient de nos démocraties, si j’ose dire. Si nos dirigeants devaient soudainement faire marche arrière, ils devraient expliquer pourquoi ils ne l’ont pas fait plus tôt, ce qui aurait permis d’épargner des vies et des dépenses inutiles. Faire marche arrière reviendrait à reconnaître qu’ils ont été de mauvais dirigeants. Or, ils tiennent à être réélus. Il leur faut donc surenchérir : si on ne soutient pas l’Ukraine, la Russie s’attaquera ensuite aux pays baltes, puis à la Pologne et ce sera enfin notre tour. Cette surenchère verbale permet de donner corps à leur incapacité à diriger les choses et à se remettre en question.

Les réactions à la mort de Navalny s’inscrivent-elles dans cette surenchère ? On passera les insultes — « salopard cinglé » — de Joe Biden à l’encontre de Poutine. La ministre belge des Affaires étrangères a été plus claire sur la réponse à apporter. Hadja Lhabib a déclaré que le soutien à Navalny passait par le soutien à l’Ukraine. Et que « si l’Ukraine est envahie, si la Russie parvient à s’étendre, c’est une dictature qui va se rapprocher un peu plus encore de l’Union européenne. »

Nous sommes dans la sottise la plus totale. Voilà quelqu’un qui connaît manifestement très mal le dossier. Aujourd’hui c’est Navalny, hier c’était Nord Stream : la Russie avait immédiatement été accusée d’avoir saboté les gazoducs, mais on nous dit aujourd’hui que des Ukrainiens ont fait le coup. En fait, ce sont exactement ces réactions dogmatiques de nos dirigeants qui témoignent de l’incapacité intellectuelle, morale et politique à assumer les tâches que nous leur avons confiées. Tant dans les rédactions des médias que dans les états-majors de la Défense ou des services de renseignements, on ne semble plus en mesure de sortir des préjugés et de prendre du recul par rapport aux événements pour les analyser. Plus on avance, plus on se rend compte qu’ils se sont trompés sur tout : l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, le terrorisme, l’Ukraine… C’était pourtant parfaitement prévisible, nous disposions de toutes les indications nécessaires pour anticiper la tournure des événements. Plus inquiétant encore pour nos démocraties : afin de justifier leurs mauvaises décisions, nos dirigeants développent des narratifs dont ils criminalisent toute remise en question. Si vous êtes critique de leur propagande, vous serez accusé de complotisme, d’apologie du terrorisme ou que sais-je.

S’il ne faut pas compter sur les Occidentaux pour parvenir à un accord de paix, l’issue pourrait-elle venir d’autres acteurs internationaux ? La Chine avait notamment formulé des propositions…

Comme en Palestine d’ailleurs, il faudrait imposer un genre de sanctions : si vous n’acceptez de négocier un accord de paix, on ne vous livrera plus ceci ou cela. Mais aucun pays n’a les leviers nécessaires pour faire pression de la sorte sur les Européens. La Chine est sans doute la seule puissance qui pourrait éventuellement le faire. Mais ce n’est pas du tout dans sa mentalité ni dans sa tradition politique d’exercer ce type de pressions pour arriver à un accord de paix.

Deux ans de guerre ouverte entre la Russie et l’Ukraine. Est-on reparti pour deux ans de plus ?

La grande inconnue vient de la situation en Ukraine même. Jusqu’à la fin de l’année passée, elle restait relativement prévisible. Ce n’est plus le cas en raison des fortes tensions au sein de l’appareil d’État, mais aussi entre la population et les autorités. Les médias n’en parlent pas, mais un mouvement de guérilla est en train de se développer avec des Ukrainiens qui se battent à l’intérieur de l’Ukraine contre les autorités ukrainiennes. Ce facteur d’incertitude supplémentaire complique l’évaluation de l’issue du conflit.

Les Russes dans tout ça ?

Les capacités militaires de la Russie ne vont pas faiblir et devraient même augmenter. Si bien que les Russes vont mener d’autres batailles dans le but de mettre la pression sur Kiev et imposer des négociations ou un changement politique. Il y aura sans doute des attentats en Russie ou d’autres types d’attaques. Mais pas de nature à renverser la tendance. La pression sera donc accentuée sur Kiev qui subit déjà d’importantes tensions sur le plan militaire. Notamment à cause du manque de soldats. Il faut les recruter de force, mais si vous les prenez quelque part, c’est au détriment d’autre chose, comme des entreprises qui doivent tourner. Lentement, l’Ukraine se retrouve comme un serpent qui se mord la queue. L’Occident peut apporter des aides financières, matérielles et militaires. Mais il ne peut pas remplacer le capital humain.

Or on sait que le facteur démographique est un grand problème pour l’Ukraine depuis un certain temps déjà…

Oui, et ça se traduit par des tensions politiques. Va-t-on arriver à une partition de l’Ukraine, à une dislocation, à des négociations… Pour l’heure, ce sont les Russes qui tiennent le couteau par le manche. Lors des négociations court-circuitées à plusieurs reprises en 2022, Moscou se disait prête à restituer des territoires. Ce ne sera probablement plus le cas, le train est passé. Les Russes pourront sans doute prendre encore quelques villes, mais ils laisseront le reste, l’enjeu territorial n’étant pas le plus important. En revanche, ils ne transigeront pas sur la neutralité de l’Ukraine. Cet objectif avait été fixé le 24 février 2022 et les Russes continueront tant qu’ils ne l’atteindront pas.

Donc, même si les Européens veulent poursuivre le conflit, cela va devenir de plus en plus compliqué pour l’Ukraine de résister à la pression russe ?

Tout à fait. Nous voyons clairement ce que font les Européens : sacrifier les Ukrainiens pour leur hubris.


Source : Investig’Action


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Notes




L’axe de l’asymétrie s’attaque à l’ordre fondé sur des règles

[Source : thecradle.co]

Par Pepe Escobar

La troisième guerre mondiale est là, se jouant de manière asymétrique sur les champs de bataille militaires, financiers et institutionnels, et le combat est existentiel. L’hégémon occidental, en vérité, est en guerre contre le droit international, et seule une « action militaire cinétique » peut le mettre au pas.

L’axe de l’asymétrie bat son plein. Il s’agit des acteurs étatiques et non étatiques qui utilisent des mouvements asymétriques sur l’échiquier mondial pour mettre sur la touche l’ordre occidental fondé sur des règles et dirigé par les États-Unis. Son avant-garde est le mouvement de résistance yéménite Ansarallah.

Ansarallah est absolument implacable. Il a abattu un drone MQ-9 Reaper de 30 millions de dollars avec un seul missile local de 10 000 dollars.

Il est le premier pays du Sud à utiliser des missiles balistiques antinavires contre des navires commerciaux et des navires de la marine américaine à destination d’Israël et/ou destinés à les protéger.
À toutes fins utiles, Ansarallah est en guerre contre la marine américaine.

Ansarallah s’est emparé de l’un des véhicules sous-marins autonomes (AUV) ultra-sophistiqués de la marine américaine, le Remus 600, un drone sous-marin en forme de torpille capable de transporter une charge massive de capteurs, dont le prix s’élève à 1,3 million de dollars.

Prochaine étape : la rétro-ingénierie en Iran ? Le Sud global attend avec impatience, prêt à payer dans des monnaies qui ne dépendent pas du dollar américain.

Tout ce qui précède — un remix maritime du 21e siècle de la piste Ho Chi Minh pendant la guerre du Viêt Nam — montre que l’hégémon n’est peut-être même pas un tigre de papier, mais plutôt une sangsue de papier.

Lula raconte la situation telle que le Sud la voit

Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, véritable leader du Sud, s’est penché sur la question du génocide perpétré sans relâche par Israël dans la bande de Gaza.

Lula a parlé au nom du Brésil, de l’Amérique latine, de l’Afrique, des BRICS 10 et de l’écrasante majorité des pays du Sud lorsqu’il est allé droit au but et a défini la tragédie de Gaza pour ce qu’elle est : un génocide. Il n’est pas étonnant que les tentacules sionistes à travers le Nord mondial — et ses vassaux du Sud mondial — soient devenus fous.

Les génocidaires de Tel-Aviv ont déclaré Lula persona non grata en Israël. Pourtant, Lula n’a pas assassiné plus de 29 000 Palestiniens, dont une écrasante majorité de femmes et d’enfants.

L’histoire ne pardonnera pas : ce sont les génocidaires qui seront finalement jugés comme personae non grata par l’ensemble de l’humanité.

Ce que Lula a dit représente les BRICS 10 en action : cela a évidemment été clarifié auparavant avec Moscou, Pékin, Téhéran et, bien sûr, l’Union africaine. Lula s’est exprimé à Addis-Abeba, et l’Éthiopie est désormais membre des BRICS 10.

Le président brésilien a fait preuve d’une grande intelligence en programmant la vérification des faits de Gaza de manière à ce qu’elle soit sur la table lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G20 à Rio. Bien au-delà des BRICS 10, ce qui se passe à Gaza fait l’objet d’un consensus parmi les partenaires non occidentaux du G20, qui sont en fait majoritaires. Cependant, personne ne doit s’attendre à un suivi sérieux au sein d’un G20 divisé. Le cœur du problème réside dans les faits sur le terrain.

La lutte du Yémen pour « notre peuple » à Gaza est une question de solidarité humaniste, morale et religieuse — ce sont les principes fondamentaux des puissances « civilisationnelles » orientales montantes, tant sur le plan intérieur que dans les affaires internationales. Cette convergence de principes a désormais créé un lien direct — extrapolant aux sphères morales et spirituelles — entre l’Axe de la Résistance en Asie occidentale et l’Axe de la Résistance slave dans le Donbass.

Il convient d’être extrêmement attentif au calendrier. Les forces de la République populaire de Donetsk (RPD) et la Russie ont passé deux années de lutte acharnée en Novorossia pour arriver au stade où il devient clair — sur la base du champ de bataille et des faits cumulés sur le terrain — que les « négociations » ne signifient que les conditions de la capitulation de Kiev.

En revanche, le travail de l’axe de la résistance en Asie occidentale n’a même pas commencé. On peut dire que sa force et son implication souveraine totale n’ont pas encore été déployées (pensez au Hezbollah et à l’Iran).

Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avec sa subtilité proverbiale, a laissé entendre qu’il n’y avait en fait rien à négocier sur la Palestine. Et s’il devait y avoir un retour à des frontières, ce serait celles de 1948. L’Axe de la Résistance comprend que l’ensemble du projet sioniste est illégal et immoral. Mais la question reste de savoir comment le jeter, en pratique, dans les poubelles de l’Histoire ?

Parmi les scénarios possibles — ouvertement optimistes — qui se profilent à l’horizon, le Hezbollah prendrait possession de la Galilée, étape vers la reprise éventuelle du Golan occupé par Israël. Il n’en reste pas moins que même une Palestine unie n’a pas la capacité militaire de reconquérir les terres palestiniennes volées.

Les questions posées par l’écrasante majorité des pays du Sud qui soutiennent Lula sont donc les suivantes : qui d’autre, en dehors d’Ansarallah et d’autres groupes de pression, peut faire la différence ? Qui d’autre qu’Ansarallah, Hezbollah, Hashd al-Shaabi, rejoindra l’axe de l’asymétrie dans la lutte pour la Palestine ? Qui serait prêt à venir mourir en Terre sainte (après tout, dans le Donbass, seuls les Russes et les russophones meurent pour des terres historiquement russes) ?

Et cela nous amène à la voie vers la fin de la partie : seule une opération militaire spéciale (OMS) en Asie occidentale, jusqu’à la fin amère, réglera la tragédie palestinienne. Une traduction de ce qui se passe à travers l’axe slave de la résistance : « Ceux qui refusent de négocier avec Lavrov, traitent avec Shoigu ».

Le menu, la table et les invités

Le secrétaire d’État Tony Blinken, néoconservateur à ses heures, a vendu la mèche en définissant l’« ordre international fondé sur des règles » qu’il chérit tant : « Si vous n’êtes pas sur la table, vous êtes sur le menu ».

En suivant sa propre logique hégémonique, il est clair que la Russie et les États-Unis/OTAN sont sur la table tandis que l’Ukraine est au menu. Qu’en est-il de la mer Rouge ? Les Houthis qui défendent la Palestine contre les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël sont clairement sur la table, tandis que les vassaux occidentaux qui soutiennent Israël par voie maritime sont clairement au menu.

Et c’est bien là le problème : l’hégémon — ou, dans la terminologie savante chinoise, « les croisés » — a perdu le pouvoir de mettre les cartes nominatives sur la table. La principale raison de cet effondrement de l’autorité est l’accumulation de réunions internationales sérieuses parrainées par le partenariat stratégique Russie-Chine au cours des deux dernières années, depuis le début de l’OMS. Il s’agit de planification séquentielle, avec des objectifs à long terme clairement définis.

Seuls les États civilisationnels peuvent le faire, pas les casinos néolibéraux ploutocratiques.

Négocier avec l’hégémon est impossible parce que l’hégémon lui-même empêche les négociations (voir le blocage en série des résolutions de cessez-le-feu à l’ONU). En outre, l’hégémon excelle dans l’instrumentalisation de ses élites clientes à travers le Sud par le biais de menaces ou de documents compromettants : voir la réaction hystérique des grands médias brésiliens au verdict de Lula sur Gaza.

Ce que la Russie montre au Sud, deux ans après le début de l’OMS, c’est que le seul moyen de donner une leçon à l’hégémon doit être cinétique, ou « militaro-technique ».

Le problème est qu’aucun État-nation ne peut se comparer à la superpuissance nucléaire/hypersonique/militaire qu’est la Russie, dont 7,5 % du budget gouvernemental est consacré à la production militaire. La Russie est et restera sur un pied de guerre permanent jusqu’à ce que les élites de l’Hégémon reviennent à la raison — ce qui n’arrivera peut-être jamais.

Pendant ce temps, l’axe de résistance de l’Asie occidentale observe et apprend, jour après jour. Il est toujours essentiel de garder à l’esprit que pour tous les mouvements de résistance à travers le Sud global — et cela inclut aussi, par exemple, les Africains de l’Ouest contre le néocolonialisme français — les lignes de faille géopolitiques ne pourraient pas être plus nettes.

Il s’agit de l’Occident collectif contre l’Islam, de l’Occident collectif contre la Russie et, tôt ou tard, d’une grande partie de l’Occident, même à contrecœur, contre la Chine.

Le fait est que nous sommes déjà plongés dans une guerre mondiale qui est à la fois existentielle et civilisationnelle. À la croisée des chemins, nous nous trouvons face à une bifurcation : soit une escalade vers une « action militaire cinétique » ouverte, soit une multiplication des guerres hybrides sous plusieurs latitudes.

C’est donc à l’Axe de l’asymétrie, calme et posé, de forger les couloirs, passages et sentiers souterrains capables de saper et de subvertir l’ordre international unipolaire et fondé sur des règles, dirigé par les États-Unis.




Braquage des actifs russes en Europe : attention au retour de bâton !

[Source : France Soir]

[Illustration :
Après le gel des avoirs russes, on parle maintenant de confiscation. Comme si l’on cherchait la guerre…
 Natalia Kolesnikova / AFP]

Par Xavier Azalbert

ÉDITO —Je vous l’ai annoncé à l’avance, il y a un mois, dans un édito précédent, et, hélas, c’est désormais effectif : les dirigeants européens sont passés à l’acte et ont, le 12 février 2024, adopté une loi visant à utiliser les intérêts générés par les actifs russes en Europe, pour financer l’aide de l’Union européenne à l’Ukraine. Une aide économique et militaire ruineuse pour la collectivité, et mise en place sans que les peuples aient donné leur accord, par référendum par exemple.

Les avoirs russes en Europe ont été gelés au début du conflit ukrainien. Les Russes ne peuvent pas les vendre, et nul ne peut les acheter. C’est, là encore, une décision intervenue sans que les peuples européens aient été consultés. Et surtout, c’est une décision qui méconnaît un des principes fondamentaux les plus essentiels du droit international : la souveraineté financière des États. Du coup, cette décision s’apparente pleinement à une déclaration de guerre.

Heureusement pour nous, les Russes semblent être capables de faire preuve d’une grande mansuétude à l’égard des populations européennes dirigées par des va-t-en-guerre. Du moins tant que l’intégrité de leur territoire n’est pas victime d’une attaque étrangère…

Néanmoins, cette décision prise de s’approprier illégalement (c’est-à-dire par « soustraction frauduleuse », définition du vol en droit pénal français) les bénéfices générés par les avoirs russes en Europe, nos dirigeants ont poussé le bouchon vraiment très loin.

Ils semblent tout faire pour que les Russes finissent par se décider à nous rayer de la carte. Ou nous livrer une guerre. Et faire du territoire de l’Union européenne un immense brasier et le cimetière de sa population.

Les Russes s’y connaissent sans doute très peu en pétanque (quand on pousse le bouchon un peu loin), mais, pour ce qui de faire la guerre, ils ne sont pas manchots. Petit rappel historique : ce ne sont pas les troupes alliées qui ont libéré l’Europe du nazisme en 1945, mais l’Armée rouge. Et les Russes, eux, ne furent pas confrontés à 40 divisions de panzers (tanks allemands), comme les alliés, durant leur avancée. Mais 400. Alors que les alliés progressaient depuis la Sicile, la Provence ou la Normandie pour atteindre Berlin, les Russes, eux, durent traverser toute l’Europe orientale envahie les Allemands…

Le montant des bénéfices générés par les avoirs russes en Europe en 2023 dépasse les trois milliards d’euros. Un tel magot, c’est trop tentant. « Ils » ne peuvent pas laisser passer ça. « Ils », ce sont ces individus qui tirent les ficelles dans l’ombre, ces personnes à qui les dirigeants européens obéissent quand ils prennent des décisions contraires aux intérêts des peuples.

Parce que pour ces individus, je vous en ai fait part dans un édito précédent, un conflit qui réduirait l’Europe occidentale à la ruine serait sans doute une bénédiction.

Telle est leur stratégie au travers de menaces, sanctions et autres autoritarismes : semer le chaos puis tout reconstruire. Pour leur bénéfice pécuniaire exclusif, et un contrôle politique accru. Stratégie « en marche » depuis la guerre de 1914-1918, au déclenchement de laquelle ils ont œuvré.

C’est pour cette raison qu’au cas où la confiscation des bénéfices des avoirs russes en Europe ne suffirait pas à ce que le Kremlin se décide à nous livrer cette guerre, qui, immanquablement, conduirait à une catastrophe pour les peuples européens et le peu de souveraineté qu’il leur reste, voici ce que de vils marionnettistes ont prévu de faire faire par leurs marionnettes.

Dirigeants américains et européens en ont d’ores et déjà fait état : ils sont favorables à l’idée de confisquer complètement ces avoirs russes.

L’Estonie a, par exemple, adopté une loi en ce sens, et elle en prépare une seconde pour le mois de mars. Et, au Royaume-Uni, le ministre des Affaires étrangères, David Cameron, a affirmé qu’il existe une voie légale pour le faire. Ah ? Laquelle ?

Cependant, des difficultés juridiques et financières, subsistent, le risque notamment de détourner vers l’Asie les investisseurs étrangers qui stockent leurs actifs en Europe.

Par la voix de la Commission européenne, les dirigeants du Vieux Continent s’étaient engagés à rendre ces actifs à la Russie, à la condition que ses troupes se retirent d’Ukraine et qu’elle s’engage à supporter le coût de la reconstruction du pays. Hypothèse jugée plus qu’improbable.

En conséquence, la veille de l’arrivée de Volodymyr Zelensky à Paris (c’était le 14 février 2024), les députés Benjamin Haddad (Renaissance) et Julien Bayou (LFI), respectivement président et vice-président du groupe d’amitié France-Ukraine à l’Assemblée nationale, ont annoncé qu’ils allaient présenter une résolution permettant de tout bonnement confisquer les avoirs russes gelés en Europe et les affecter au soutien de l’Ukraine. Rien que cela !

Cette proposition de braquage de ces deux individus, malheureusement irresponsables, tant au niveau psychiatrique (visiblement) que juridique (les députés bénéficiant d’une immunité pénale pour les propos qu’ils tiennent dans l’exercice de leurs fonctions), a été justifié ainsi par les deux intéressés :

  • Benjamin Haddad :

« Il n’y a pas de raison de faire peser sur le contribuable européen le coût de l’agression de la Russie sur l’Ukraine. On le voit avec le débat au Congrès américain : se pose la question de notre endurance en faveur de l’Ukraine. »

  • Julien Bayou :

« Depuis le début de la guerre, nous avons souvent accédé aux demandes des Ukrainiens avec retard. Or, cela fait partie de leurs demandes insistantes : cela répond à un principe éthique, car il y a une atteinte majeure au droit international, ce sera un précédent utile en matière de dissuasion et il y aura directement de l’argent frais. »

« Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les r’connaît », lance Lino Ventura, alias Fernand Naudin dans Les Tontons flingueurs !

Invoquer un principe éthique et une atteinte majeure au droit international, lorsqu’on s’affiche, comme ces deux individus, en tant que commanditaires d’un braquage de banque opéré en violation de tous les principes édictés par le droit international, au premier rang desquels l’éthique entre les États, c’est un peu comme si, lors du procès de Nuremberg, Hermann Göring et Rudolf Hess s’étaient érigés en procureurs, en porte-parole des déportés juifs dans les camps nazis.

L’initiative de nos deux pieds nickelés du Palais Bourbon a pour objet de pousser la France, puis les autres pays de l’UE, à trouver un cadre juridique à cette confiscation. Preuve, qu’en réalité, cette confiscation est illégale. Et pour se défaire du caractère totalement illégal de cette confiscation, nos deux loustics en bordée évoquent l’idée d’utiliser les avoirs russes ainsi confisqués en tant que collatéraux d’un emprunt pour soutenir l’Ukraine. Décidément, j’aimerais bien qu’on m’explique ce que, pour eux, veut dire l’expression : « Respecter l’État de droit ».

Il faut donc saluer le dernier des Mohicans, ou le premier des courageux de la représentation nationale, le sénateur Alain Houpert qui a saisi le Conseil d’État le 21 février 2024  : « Sur la foi de l’article 53 de la Constitution, j’ai pris la décision de saisir le Conseil d’État en référé concernant l’accord de coopération France-Ukraine doté de 3 milliards d’euros pour exiger sa ratification par le Parlement. Sur de tels engagements en période d’austérité, la représentation nationale doit être consultée. »

Quant au député Nicolas Dupont-Aignan, député et président de Debout la France, il a annoncé avoir fait une intervention volontaire dans cette procédure évoquée dans une vidéo :

En attendant la réponse du Conseil d’État, sur la recevabilité de cette saisine, on ne peut que se poser la question : où est passée l’opposition institutionnelle ? 




Quelle France, quel système de valeurs, quels peuples demain?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




L’État de sécurité nationale et l’inversion de la démocratie aux USA

[Source : Quantum Leap Traduction]

L’État de sécurité nationale est le principal moteur de la censure et de l’ingérence électorale aux États-Unis.
Mike Benz :

« Ce que je décris est un régime militaire. C’est l’inversion de la démocratie. »






Rothschild : les maîtres de la finance mondiale

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE via lesmoutonsenrages.fr]

[Note de Joseph :
comme rappelé en début de la vidéo, Mayer Amschel Rothschild est né le 23 février 1744. Et pour ceux qui s’intéressent à la numérologie, son chemin de vie est 23/5 (23+2+1744=1769 ; 1+7+6+9 = 23).
Ce chemin de vie particulier s’appelle l’étoile royale du Lion :

~ Étoile Royale du Lion – Gardienne de la Terre ~ L’Étoile Royale du Lion est l’une des 4 Étoiles Royales de la Terre, également appelées les 4 Gardiennes du Ciel. L’Étoile Royale du Lion est l’étoile Régulus (qui signifie Petit Roi). Cette étoile est le cœur du Lion dans la constellation du Lion. L’étoile royale du Lion est le gardien du Nord et est associée à l’archange guérisseur Raphaël. On dit que les 4 étoiles royales de la Terre étaient utilisées comme calendrier céleste pour marquer les saisons, et qu’elles marquaient également les 4 directions.

En termes de numérologie, les nombres de l’Étoile Royale du Lion sont 23/5. Les personnes nées avec ce but de vie portent le nombre 23/5. « Nombre 23 — L’Étoile Royale du Lion — C’est un nombre de récompense karmique. Le 23 accorde non seulement une promesse de succès dans les efforts personnels et professionnels, mais il garantit l’aide des supérieurs et la protection de ceux qui sont haut placés. C’est un nombre très chanceux, qui bénit avec une grâce abondante la personne qu’il représente. Comme toujours, le 23 doit être considéré avec les autres nombres clés simples et composés qui composent l’analyse numérologique complète, qui peuvent ne pas être tout à fait aussi chanceux. Mais les autres nombres n’ont pas beaucoup de chance d’apporter de sérieux problèmes lorsque l’Étoile Royale du Lion est présente pendant les périodes difficiles. Aucun nombre ne peut défier la force du Lion et l’emporter ».

(Source ou sa capture PDF)

Si cela a, semble-t-il, merveilleusement bien fonctionné sur le plan matériel pour Mayer Amschel Rothschild qui est considéré comme « père de la finance internationale » (Wikipédia), il se trouve que j’ai exactement le même chemin de vie, étant né le 23 février 1960 (23+2+1960=1985 ; 1+9+8+5=23), à exactement 216 ans d’écart, et que je n’ai manifestement pas ce type de destinée, faisant même plutôt partie des pauvres de ce monde et que ma vie serait facilement considérée comme matériellement ratée. En passant, 216 = 6x6x6 ou 6 à la puissance 3.

Bien entendu, il a existé un grand nombre de personnes nées le 23 février 1744, de même qu’il en existe un grand nombre encore vivantes et nées le 23 février 1960.]




La vérité sur la guerre en Ukraine




Paris — Secrets d’espions

[Source : La Fouine du net]

Depuis la fin du XIXe siècle, Paris serait la capitale mondiale de l’espionnage, abritant entre 10 000 et 15 000 agents secrets.

Les espions russes, chinois, américains et israéliens, mais aussi turcs, s’y sentent à l’aise pour mener leurs opérations sans trop de risques d’être dérangés.

Ils sont les acteurs offensifs de la guerre de l’ombre qui se joue dans les institutions internationales, les ambassades, les palaces et les lieux les plus inattendus. Intimidation, corruption, séduction et parfois « terminaison avec extrême préjudice » : tous les moyens sont bons.

C’est une vraie infiltration d’un service secret, bien faite, bien organisée. On a eu la signature du rôle des Turcs. Des services turcs. Parce quand Omer Güney a été placé en garde à vue, comme vous savez on lui demande s’il veut un médecin, un avocat… Et on lui demande s’il veut que les policiers informent quelqu’un et il dit : « Oui, le consulat turc. » Et là, au cas où on aurait encore des doutes, ils étaient définitivement levés. Quel Kurde ou proche des Kurdes va demander lors de son arrestation qu’on informe les Turcs ?

Antoine Comte, avocat des familles des victimes à propos des meurtres commis sur trois militantes du PKK (parti des travailleurs du Kurdistan) en janvier 2013 à Paris par l’auteur présumé Omer Güney

L’espionnage dans la capitale française

« On l’oublie souvent, mais Paris est la ville qui accueille le plus de stations de métro au monde, rappelle Jérôme Poirot, avec des sorties multiples.

Et puis, il y a beaucoup de passage. Donc Paris offre des facilités pour les services de renseignement. »

Lui qui fut l’adjoint du coordonnateur national du renseignement à la présidence de la République de 2009 à 2015 sait qu’avec le dédale de ses rues, ses voies navigables, l’étendue de ses transports en commun et ses aéroports limitrophes, Paris est la place idéale pour exercer ses talents d’espionnage.

On peut se donner rendez-vous dans une église, une brasserie ou un square pour échanger des informations ultra-secrètes sans éveiller les soupçons. Du moins ceux des néophytes. Un professionnel sera plus enclin à déceler l’étrangeté de la situation et à imaginer le pire.

Mais ne vaut-il pas mieux ne rien savoir que d’être tenu au silence pour en avoir trop vu ?

Qu’est-ce que c’est, des illégaux ? Ce sont des hommes et des femmes qui ont été préparés, mais qui ont pour destination de se fondre dans la société sous une fausse identité, une activité de couverture sans avoir le moindre contact officiel avec l’ambassade ni les officiers des services spéciaux.

Jean-Pierre Pochon, directeur du renseignement à la DGSE de 2000 à 2002
Le jeu du chat et de la souris

N’allez pas croire que ce métier s’improvise. Certaines dispositions semblent primordiales pour passer de simple quidam à agent secret : aimer le risque, se sentir apte à s’inventer un passé, à vivre sous une fausse identité, à mentir avec assurance (et pourquoi pas légèreté) et être prêt à tuer ou mourir si la situation l’exige. Au jeu du chat et de la souris, sait-on vraiment qui dupe qui ? Chacun s’observant, se toisant, se narguant.

Si le nombre exact d’agents officiels et d’illégaux est difficilement quantifiable, ils seraient plus de dix mille à Paris.

Depuis le début de la guerre en Ukraine, combien d’écoutes plus ou moins légales, de filatures ou d’approches ont été ordonnées ? Les services de renseignement sont-ils plus que jamais sur le qui-vive ? Et quel rôle joueront-ils dans les prochaines semaines ? Si ces questions resteront encore longtemps sans réponse, leur place sur l’échiquier politique et économique international n’est pas près de disparaître.

Paris, secrets d’espions

Peu de gens le savent, mais Paris est depuis toujours le terrain de jeu caché des espions du monde entier. Elle serait même, depuis la fin du XIXe siècle, la capitale mondiale de l’espionnage, abritant entre dix mille et quinze mille agents secrets. Les espions russes, chinois, américains et israéliens, mais aussi turcs s’y sentent à l’aise pour mener leurs opérations sans trop de risques d’être dérangés.

Explication du reportage :

  • 5 h 39 —Le documentaire suit Sergei Jirnov qui nous montre les locaux des services secrets russes « KGB ».
  • 22 h 38 — Le reportage nous montre les services secrets juifs « MOSSAD »
  • 46:45 — Les espions américains « CIA » essaient d’infiltrer le KGB.
  • 01:11:55 — Sergei Jirnov nous parle de sont rôle d’espion pendant ses années de service au KGB.



Ex-agent de la DGSE, il a été otage des islamistes

[Source : Les Bâtisseurs]

Pierre Martinet est un ancien agent du Service action de la DGSE et du 3e RPIMa. Pierre partage son expérience unique, de son temps passé dans les rangs de l’élite militaire française à son rôle crucial dans le renseignement. Il nous emmène dans les coulisses du renseignement français, révélant les défis et les triomphes de son travail au sein de la DGSE. Mais c’est son récit de survie en tant qu’otage en Libye qui vous tiendra en haleine. Il raconte comment il a utilisé sa formation et son expérience pour survivre à cette épreuve, un témoignage rare et précieux sur la réalité du terrain.

[En relation avec un des sujets traités dans la vidéo, voir aussi :
Le projet des Frères musulmans]

Son livre

https://www.babelio.com/livres/Martinet-Pris-en-otage-un-agent-du-service-action-raconte/1464789

« J’ai été un otage, j’ai vécu des heures sombres enfermé dans les geôles d’une Katiba islamiste. Je m’étais fait une promesse : si je survis, je témoignerai de ce que j’ai vécu. Une telle perspective m’a aidé à ne pas sombrer dans le désespoir ou la folie. Je suis un militaire, un homme de terrain, un ancien membre du Service Action de la DGSE. Toute ma vie, j’ai choisi le danger, les missions périlleuses, le combat. J’ai survécu mais cette épreuve m’a changé à jamais. Quand on a envisagé chaque jour comme le dernier, peut-on s’estimer sauvé d’avoir retrouvé la liberté ? »

Dans ce récit d’une grande force, Pierre Martinet revient pour la première fois sur les jours terribles de détention qu’il a vécus en Libye lors du printemps arabe. Il raconte comment il a réussi à tenir en s’évadant mentalement grâce à son passé d’instructeur commando et à la formation particulière qu’il a suivie au Service Action. Un livre qui nous plonge, comme aucun autre, dans la psychologie d’un soldat d’élite.




Guerre économique mondiale — La place du dollar dans le chaos

[Source : birchgold.com]

[Illustration : Toa Heftiba]

Par Brandon Smith

Dans une récente déclaration publiée sur les médias sociaux, Tucker Carlson a expliqué succinctement les nombreuses raisons qui l’ont poussé à se rendre en Russie pour interviewer le président Vladimir Poutine. Sa décision, qui a suscité une avalanche d’indignations de la part des médias de gauche et d’une multitude de politiciens occidentaux, a été inspirée par l’inquiétude de M. Carlson quant au fait que les Américains ont été mal orientés par la propagande des médias d’entreprise, laissant le public complètement ignorant de la guerre en Ukraine.

Il est essentiel de comprendre ce que les tensions avec l’Est pourraient provoquer.

Cela vaut la peine d’être vu :

[Version française : Interview de Poutine : Tucker Carlson pourrait-il être sanctionné en Europe ?]

Voici quelques citations clés :

Cette guerre a complètement remodelé les alliances militaires et commerciales mondiales, de même que les sanctions qui ont suivi, et au total, elles ont bouleversé l’ordre économique de l’après-Seconde Guerre mondiale. Le système qui a garanti la prospérité de l’Occident pendant plus de 80 ans est en train de s’effondrer très rapidement, et avec lui la domination du dollar américain.

Je suis d’accord.

En fait, je ne pense pas que la majorité des Américains aient la moindre idée des conséquences réelles d’une guerre mondiale avec la Russie et ses alliés.

Même si le conflit n’aboutissait jamais à des coups de feu et restait confiné au domaine de la guerre économique, les États-Unis et la majeure partie de l’Europe seraient dévastés.

M. Carlson a notamment évoqué les dangers qui pèsent sur le statut du dollar américain.

Je pense que ce commentaire a probablement mystifié un grand nombre de personnes. La plupart des gens ne peuvent pas concevoir l’idée d’une implosion du dollar américain déclenchée par un dumping étranger du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale.

Ils croient vraiment que le dollar est invincible.

Les personnes les plus délirantes sont, malheureusement, celles qui appartiennent aux cercles économiques dominants. Ils ne parviennent pas à comprendre que l’Occident subit déjà un effondrement financier au ralenti.

La guerre accélérerait les dégâts économiques à des niveaux jamais atteints depuis la Grande Dépression.

Ce que l’histoire nous apprend sur les monnaies de réserve mondiales

Le dollar américain a remplacé la livre sterling comme monnaie de réserve mondiale en 1944. La livre sterling a régné en maître pendant quelque 200 ans, puis sa valeur s’est effondrée après que le Royaume-Uni se soit mis en faillite en combattant les deux guerres mondiales.

Avant cela, le franc français a été la monnaie préférée du monde pendant un siècle — avant que la nation ne se ruine en expérimentant le papier-monnaie non garanti (de façon spectaculaire lors de l’escroquerie de la bulle du Mississippi). La dévastation économique qui en a résulté a conduit directement à la Révolution française.

Le franc français a remplacé le florin néerlandais, qui a servi de monnaie de réserve mondiale pendant près d’un siècle avant que les Pays-Bas ne fassent faillite au cours de la guerre de Quatre-vingts ans.

Auparavant, le dollar espagnol en argent était la monnaie de réserve mondiale, en partie grâce aux mines espagnoles fantastiquement productives dans le Nouveau Monde. Mais peu importe les tonnes d’argent que les galions espagnols transportaient à travers l’Atlantique, le gouvernement en dépensait encore plus… D’abord en faisant défaut sur les dettes de la nation, puis en dévalorisant la monnaie pour continuer à lutter contre les Anglais et les Néerlandais, le dollar d’argent espagnol s’est effacé de l’histoire.

Je pourrais continuer à remonter le temps pour trouver d’autres exemples…

Voici ce qu’il faut savoir :

Toutes les monnaies de réserve mondiales de l’histoire ont été remplacées.

Chacune d’entre elles.

Le gouvernement émetteur dépense plus d’argent qu’il n’en a (généralement en temps de guerre), ce qui a pour effet de déprécier la monnaie et, parfois, de faire défaut sur les dettes, brisant ainsi la confiance nécessaire à la survie de toute monnaie.

La chute du dollar américain est inévitable

Cela fait de nombreuses années que je mets en garde contre cette issue. Je pense avoir clairement exprimé ma position dans le passé ; je soupçonne que le conflit entre l’Est et l’Ouest a été soigneusement élaboré au cours d’une décennie ou plus, et la Russie n’est pas innocente dans cette affaire.

La Russie a toujours collaboré avec les institutions mondialistes, y compris le FMI, dans le but de créer un nouveau « système de monnaie de réserve mondiale ». Comme je l’ai noté en 2014 dans mon article False East/West Paradigm Hides Rise Of Global Currency [Le faux paradigme Est/Ouest cache la montée en puissance d’une monnaie mondiale] en référence à la guerre naissante avec l’Ukraine.

Je rappelle aux partisans de Poutine que Poutine et le Kremlin ont d’abord poussé le FMI à prendre le contrôle de l’économie ukrainienne, et que le FMI exige maintenant que l’Ukraine combatte la Russie en échange d’un soutien financier. Cela peut sembler ironique pour les observateurs les plus téméraires, mais pour ceux qui sont conscients du faux paradigme Est/Ouest, tout cela fait partie d’un plan plus vaste de consolidation du pouvoir.

Dès la destitution du président ukrainien Viktor Ianoukovitch (dont beaucoup affirment qu’elle a eu lieu avec l’aide des agences de renseignement occidentales), l’agenda de la Troisième Guerre mondiale a été mis en branle. Les deux parties semblent avoir créé les circonstances qui ont rendu la conflagration inévitable.

La Russie, étrangement, a soutenu l’intervention du FMI pour sécuriser l’économie ukrainienne. Le FMI a ensuite exigé que l’Ukraine se batte contre la Russie pour garder le contrôle du Donbass, sous peine de perdre l’aide financière qui maintenait le pays en vie. Est-ce de l’ironie, ou y a-t-il autre chose qui se passe ici ?

L’OTAN a commencé à armer l’Ukraine, qui a utilisé ces armes pour massacrer des civils dans le Donbass. La population de l’Est voulait rejoindre la Russie, et l’Ukraine n’avait pas l’intention de le permettre (le financement du FMI était en jeu). Pendant ce temps, le gouvernement négociait ouvertement l’inclusion officielle de l’Ukraine dans l’OTAN. La Russie a alors envahi le pays et s’est emparée du Donbass.

Aujourd’hui, toute la région est un baril de poudre et les deux parties sont prêtes à allumer la mèche.

Si je devais choisir un camp dont la position est « plus juste », ce serait la Russie. Imaginez que la Chine travaille à la création d’une alliance militaire avec le Mexique, avec la possibilité pour l’armée chinoise d’installer des armes et des soldats à notre frontière méridionale. Imaginez le chaos que cela provoquerait aux États-Unis. C’est ce à quoi la Russie a été confrontée avec l’Ukraine.

N’oubliez pas que l’Amérique a failli déclencher une guerre nucléaire mondiale lorsque la Russie soviétique a installé des missiles à Cuba en 1962. Les opérations militaires menées si près des frontières des grandes puissances nationales ne sont pas une plaisanterie.

Je ne fais certainement pas confiance à Poutine, mais cela n’enlève rien au comportement orwellien des dirigeants politiques européens et américains. Il se passe ici quelque chose qui va au-delà des mécanismes typiques de la politique de la corde raide géopolitique. La guerre ne profite qu’à un groupe restreint de mondialistes, et je soupçonne les deux parties de servir sciemment ou involontairement les intérêts mondialistes.

Elle est indéniable. C’est une réalité vérifiable : nos gouvernements et nos institutions élitistes sont corrompus au-delà de tout entendement. Ils recherchent une réforme autoritaire, une « grande réinitialisation économique » et déclenchent de multiples conflits dans le monde. Nous avons vu le masque tomber pendant la Covid. Ces gens ne sont pas simplement malavisés ; ce sont des monstres, et ils ont faim. Ils n’hésiteront pas à provoquer une crise mondiale et à sacrifier l’Occident comme une chèvre sur l’autel pour obtenir la centralisation qu’ils souhaitent.

Le paradigme Est/Ouest s’inscrit parfaitement dans ce plan. Les nations des BRICS sont prêtes à abandonner complètement le dollar ; certaines l’ont déjà fait dans le cadre d’échanges bilatéraux.

Ne vous y trompez pas, si le conflit en Ukraine (et dans d’autres régions du monde comme la Syrie ou l’Iran) continue de s’aggraver, la Chine se débarrassera de ses avoirs en dollars. En tant que premier importateur/exportateur mondial, de nombreux pays suivront l’exemple de la Chine et abandonneront le dollar pour le commerce international.

Qu’est-ce que cela signifie ?

Des milliers de milliards de reconnaissances de dettes encaissées en une seule fois

Le dollar, qui a été hyperinflaté pendant plus d’une décennie de planche à billets de la Réserve fédérale, est resté stable uniquement parce qu’il est la réserve mondiale et la pétromonnaie. C’est précisément pour cette raison que les banques étrangères détiennent des milliers de milliards de dollars dans leurs coffres. Avec la perte du statut de réserve, un flux ininterrompu de dollars reviendra aux États-Unis à mesure que les investisseurs étrangers se détourneront des billets de la Fed.

Résultat ? Un effondrement inflationniste massif.

Voilà ce qui est en jeu.

C’est ce à quoi Tucker Carlson faisait probablement référence, et beaucoup trop d’Américains ne le comprennent tout simplement pas. Les mondialistes en profitent parce que c’est ce à quoi ils travaillent depuis des décennies — la déconstruction de la société et de l’économie américaines, afin que l’« ancien ordre mondial » puisse être remplacé par leur « nouvel ordre mondial » de monnaies numériques des banques centrales, un panier de monnaies du FMI et une foule d’autres changements socialistes très désagréables.

Et le meilleur pour eux, c’est qu’ils seront considérés comme les « héros » lorsque tout sera terminé. Ils ont passé la majeure partie du siècle dernier à préparer l’Amérique à l’échec économique en dévaluant le dollar et en créant un piège de la dette nationale. Le système allait s’effondrer de toute façon, mais ils peuvent maintenant rejeter toute la responsabilité sur la guerre et « l’arrogance des États-nations », puis venir à la rescousse avec leur monnaie numérique dystopique.

Un conflit Est/Ouest ouvre la porte à la Grande Réinitialisation. À l’heure actuelle, la seule chose qui freine la marée est le refus général du public de se battre. Personne n’a envie d’aller mourir à l’étranger dans une bataille insignifiante pour l’Ukraine (Zelensky se fait vraiment des illusions s’il pense que les Américains vont verser du sang dans ses tranchées — même un appel sous les drapeaux serait un échec total). Personne n’est intéressé par le déclenchement d’une troisième guerre mondiale, qu’elle soit nucléaire ou simplement économique.

Si les trois dernières années ne nous ont rien appris d’autre, tous ceux qui ont des yeux dans la tête savent que le dollar américain n’est plus une réserve de valeur. Le gouvernement fédéral semble déterminé à ramener sa valeur à zéro et le reste du monde ne reste pas les bras croisés… C’est pourquoi il est absolument crucial de diversifier votre épargne en remplaçant les dollars par des actifs qui ont fait leurs preuves dans l’histoire en tant que réserve de valeur : les métaux précieux physiques.

Je pense que l’indignation de l’establishment à propos de l’interview de Poutine par Tucker Carlson est fondée sur la crainte que le public occidental ne voie un autre aspect de la guerre et ne soit encore moins intéressé par le combat.

Toutefois, cela n’empêche pas l’OTAN ou la Russie d’étendre la guerre au-delà de l’Ukraine, dans d’autres régions, ou de recourir à des subterfuges financiers (là encore, gardez les yeux rivés sur la Syrie et l’Iran). En fin de compte, ils veulent que nous choisissions un camp, mais seulement à partir de la liste des camps qu’ils approuvent. Les groupes occidentaux soucieux de liberté doivent choisir leur PROPRE camp et se battre pour leurs propres intérêts. Il ne s’agit pas d’opposer l’OTAN à la Russie, mais les peuples libres aux mondialistes. C’est la seule façon de mettre fin à ces catastrophes.

Brandon Smith est un analyste économique et géopolitique alternatif depuis 2006 et le fondateur de Alt-Market.com.




La guerre des mondes et la chute de l’empire occidental

[Source : Chaîne officielle TVL]

Charles d’Anjou, président d’Omerta affirme dans l’éditorial du nouveau numéro d’Omerta (n° 4 : La guerre des mondes) : « Qu’on s’en félicite ou qu’on le déplore, le 24 février 2022, date du déclenchement du conflit russo-ukrainien, est un séisme comparable à celui du 11 septembre 2001 ». Le directeur de la rédaction du magazine, Régis Le Sommier, invité de TVL précise : « Nous assistons à une nouvelle guerre des mondes, entre progressistes et traditionalistes, entre démocraties et autocraties, entre nostalgiques de la pax americana et zélateurs du non-alignement ». Et le grand reporter d’ajouter : « Nous assistons à la chute de l’empire occidental, à la disparition de la position dominante de l’Occident. En observant nos actions dans le monde et les conflits que nous avons déclenchés… nous avons fini par nous aliéner les trois quarts de la planète ». Cette nouvelle guerre des mondes est largement explorée par tous les acteurs et commentateurs de ce quatrième numéro d’Omerta, en vente dans les kiosques et les marchands de journaux.




Hindi : pourquoi les sionistes infiltrent les souverainistes européens

[Source : Le Courrier des Stratèges]

Interview essentielle de Youssef Hindi sur l’infiltration des milieux souverainistes européens par les néoconservateurs américains et les milieux pro-sionistes. Cette explication sur les stratégies de contre-influence est essentielle pour comprendre le débat public en France aujourd’hui.




Tucker Carlson explique pourquoi il interviewe Poutine

[Source : aubedigitale.com]

« La plupart des Américains ne sont pas informés… Nous sommes ici parce que nous aimons les États-Unis. »

Alors que la gauche s’affole de la prochaine interview du président russe Vladimir Poutine par Tucker Carlson, l’ancien animateur de Fox News (que l’on peut désormais trouver sur le site tuckercarlson.com) a publié un texte explicatif sur les raisons pour lesquelles il interviewe Poutine, qui se résume à un manque de curiosité de la part des médias occidentaux, avec pour conséquence un public mal informé.

« Voici pourquoi nous le faisons. Tout d’abord, parce que c’est notre travail. Nous faisons du journalisme. Notre devoir est d’informer les gens. Deux ans après le début d’une guerre qui bouleverse le monde entier, la plupart des Américains ne sont pas informés. Ils n’ont aucune idée de ce qui se passe dans cette région, ici en Russie ou à 1000 km de là en Ukraine. Ils devraient pourtant savoir qu’ils en paient le prix d’une manière qu’ils ne perçoivent peut-être pas encore tout à fait. La guerre en Ukraine est une catastrophe humaine. Elle a fait des centaines de milliers de morts. Une génération entière de jeunes Ukrainiens. Elle a dépeuplé le plus grand pays d’Europe. Mais les effets à long terme sont encore plus profonds ».

Carlson note que l’Ukraine a « complètement remodelé les alliances militaires et commerciales mondiales » et « bouleversé l’économie mondiale ».

Il évoque également l’état désastreux de l’ordre économique de l’après-Seconde Guerre mondiale (Bretton Woods), notant qu’il « s’effondre très rapidement », de même que « la domination du dollar américain ».

Les échecs des médias d’entreprise

Carlson note que le président ukrainien Volodomyr Zelensky a bénéficié d’interviews occidentales de type « softball », qu’il qualifie de « séances de préparation ».

« Ce n’est pas du journalisme. C’est de la propagande gouvernementale », a déclaré Carlson.

« Alors que nos hommes politiques et nos médias font la promotion d’un dirigeant étranger comme s’il s’agissait d’une nouvelle marque de consommation, pas un seul journaliste occidental n’a pris la peine d’interviewer le président de l’autre pays impliqué dans ce conflit, Vladimir Poutine. La plupart des Américains n’ont aucune idée des raisons qui ont poussé Poutine à envahir l’Ukraine, ni de ses objectifs actuels. Ils n’ont jamais entendu sa voix. C’est une erreur. Les Américains ont le droit de savoir tout ce qu’ils peuvent sur une guerre dans laquelle ils sont impliqués, et nous avons le droit de leur en parler parce que nous sommes aussi des Américains ».

Tucker a précédemment raconté qu’il avait essayé d’organiser une interview avec Poutine, jusqu’à ce qu’une source de Washington, DC, l’informe de la manière dont la NSA l’avait espionné :

« La NSA s’est introduite dans mon compte signal, ce que je ne savais pas qu’elle pouvait faire », a-t-il déclaré précédemment.

« J’ai reçu un appel de quelqu’un à Washington. Cette personne m’a dit :Allez-vous bientôt venir à Washington ?” Oui. En fait, j’y serai dans une semaine, rendez-vous dimanche matin. »

« J’y vais, et cette personne me dit : “Vous prévoyez un voyage pour aller voir Poutine ?” J’ai répondu :Comment pouvez-vous savoir ça ? Je n’en ai parlé à personne. Je veux dire à personne. Pas à mon frère. Pas ma femme, personne.” »

« Comment le savez-vous ? Parce que la NSA a sorti votre texto avec cette autre personne à qui vous envoyiez un texto. »

Carlson explique qu’il fait cette interview « parce que nous aimons les États-Unis. Et nous voulons qu’ils restent prospères et libres ».

Regardez :

En Français :




La venue imminente du Machiah en Israël : que disent les sages de la Torah ces jours-ci ?

[Source : Rav Ron Chaya – Myleava via Conscience du peuple]

Pour ceux qui s’intéressent à l’eschatologie, étude des événements des temps de la fin, voici une vidéo d’un enseignant de la Torah (très controversé) qui expose les plus récentes révélations de rabbins juifs concernant la venue de Machia’h, de la 3e guerre mondiale (Gog Magog) et de la reconstruction du Temple.

Ceci ne doit pas être considéré comme parole d’évangile, mais ça reste intéressant et instructif de connaître la séquence prophétique du point de vue juif.

Isabelle

Le Machiah est une notion essentielle de la Torah. Mais pendant 2000 années d’exil, les Sages de chaque génération se sont axés sur la préservation du peuple juif face aux menaces de toutes sortes. Depuis une trentaine d’années, le sujet de la délivrance finale refait surface avec des Rabbanim particulièrement prolixes sur ce sujet. Mais depuis le 7 octobre, depuis Simhat Torah, depuis le pogrom terrible perpétré par nos cruels ennemis, tous les rabbins, peu importe leur courant de pensée et peu importe leur localisation, tous ces éminents Sages de la Torah annoncent que le compte à rebours est lancé. Qui sont-ils ? Quels sont leurs arguments ? Revue de détail avec le Rav Chaya.




PLAN DE MARQUAGE DE L’HUMANITÉ

[Source : michelledastier.com]

Voici un article de Serge Monast dévoilant le projet des dirigeants de ce monde d’offrir tous les hommes et femmes de la planète à Lucifer au travers d’un système de contrôle que la Bible appelle « La marque de la bête ». Ce texte écrit au début des années 90 quand la puce électronique était quasi-inconnue, est d’actualité aujourd’hui. En moins de 30 années seulement, ce qui semblait être de la science-fiction est devenue réalité.

Dévoilement du complot relatif au plan de marquage de l’humanité

Par Serge Monast

Serge Monast, Journaliste d’investigation avait révélé dès 1993, le projet secret des Illuminati-Reptiliens de pucer le monde. Comme tous les gens qui disent la vérité, il a été assassiné !

Révélations de M. Monast (Un des derniers documents présentés par l’auteur avant son assassinat)

« Le 15 décembre 1993, à Montréal, Serge Monast, de l’Agence Internationale de la Presse Libre, dont les activités étaient uniquement axées sur le journalisme d’enquête internationale aux niveaux économique, politique, militaire et médical, dévoilait des informations si stupéfiantes qu’elles lui coûtèrent la vie. Neuf ans après, ses informations se confirment les unes après les autres. Il est vrai qu’il était informé par des politiciens repentis, des agents des services secrets écœurés ; il recevait également des documents classifiés, ultra confidentiels, souvent anonymement ou transmis par des confrères situés aux quatre coins du monde »

(Jacques Delacroix,Naufrage d’un système,Tome 1, Collection L.I.E.S.I., Éditions Delacroix, B.P. 18, 35430 Châteauneuf, 2003, page 70.)

Introduction

Depuis plusieurs années il existe des projets sérieux visant le marquage des individus par laser, sur le front ou sur le poignet. Mais aujourd’hui les tireurs de ficelles du Nouvel Ordre Mondial sont allés plus loin : Ils sont à même de réaliser leur rêve de contrôle complet du cheptel humain. Comment ? Par l’injection d’une puce électronique à chaque être vivant. Tout est quasiment au point ! Ce sera l’objet de la première partie de ce document. Ensuite, nous verrons pourquoi nos écoles ont produit une jeunesse qui, dans sa grande majorité, est — malgré elle — : pourrie, viciée, sans Foi, sans valeurs morales, sans esprit de discernement, sans vie intérieure, ayant pour unique perspective celle de servir le Système selon une morale Antichrétienne et Humaniste.

Nous nous pencherons ainsi sur les formes policières et militaires constituées par les cadres du Gouvernement Mondial. Cadres choisis parmi les brillants promus des écoles sans Dieu. Des jeunes formés selon une idéologie particulière. Ce Gouvernement Mondial au service de l’Enfer doit asseoir le fils de perdition — l’Antéchrist. Il a besoin d’une force d’action multinationale omniprésente. Elle ne peut se constituer qu’à partir d’éléments nationaux !

Concept de monnaie électronique avant le marquage de l’humanité. Une condition préliminaire :

L’instauration de la monnaie unique.

Depuis une trentaine d’années, les dirigeants des banques américaines et mondiales commencent à envisager un autre échange monétaire que celui du chèque. Le premier vice-président de la FED déclarait en 1975 : « Il faut absolument développer un nouveau système électronique d’échange sous peine de voir le système bancaire des États-Unis s’étouffer sous une avalanche de chèques ».

On mit alors en route un transfert électronique de fonds au niveau international, la SWIFT — Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications, — établit à Bruxelles et comptant, enjanvier 1975 déjà 246 banques pourvues d’un système privé de communications pour la transmission de paiements et d’autres messages associés aux transactions bancaires internationales.

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

« Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System…Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80, on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi-totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires. On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »… À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution… Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, son prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot, le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé — comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné ou s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini. Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose. Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.

Plusieurs individus travaillant en solitaire pour la divulgation de la vérité sur des sujets variés, inconnus du public, dangereux, ont décidé de se réunir et d’organiser à l’échelle nationale et internationale un réseau parallèle d’informations et d’échanges de tout ordre. Ce, afin de freiner l’anéantissement des valeurs occidentales et de témoigner du complot qui s’abat contre notre monde chrétien.

Dangereux, parce que les informations vérifiables à l’Agence Internationale de la Presse libre, démontrent la perspective pas très lointaine de notre condamnation et d’une volonté des ennemis de Jésus-Christ Fils de Dieu, de nous pourchasser pour notre foi, notre refus de la société antéchristique actuelle, et finalement du désir de marquer du signe de la Bête tous les individus de la planète comme vous le verrez par la suite.

Les activités de l’Agence Internationale de la Presse libre au Canada sont accès uniquement sur le journalisme d’enquête internationale au niveau économique, politique, militaire, médical, et vérifiables. Leurs dirigeants ne peuvent pour l’instant pas être contactés pour des raisons que chacun devine. D’où la décision prise de diffuser ce que vous allez connaître. Même les informations qui seront portées à votre connaissance ont été obtenues avec beaucoup de difficultés de la part de certains journalistes [néanmoins la cohérence de ces informations rend celles-ci fort vraisemblables, pour ne pas dire certaines, compte tenu de ce qui s’est déjà réalisé]. Plusieurs ont risqué leur emploi, leur sécurité et pour quelques-uns, leur vie.

Partie I
MARQUAGE DE L’HUMANITÉ
Le microchip biologique d’identification internationale

Depuis l’apparition des Codabars en 1977 — approuvé par l’ONU dès 1972 — il y a une accélération foudroyante du Plan de la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, II, 9] prophétisé par l’Apocalypse aux chapitres XIII, versets 8 et 15 à 18 :

« La Bête réussit à leur faire mettre à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une empreinte sur la main ou sur le front ; et elle fit en sorte que nul ne pût acheter ou vendre, qu’il n’eût l’empreinte, le nom de la Bête ou le nombre de son Nom. Ici réside la Sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la Bête. C’est un nombre d’homme. Ce nombre est Six cent Soixante-Six »
[www = 666].

Ces Codabars de type « Ean » intégraient le nombre « 666 » au moyen de trois groupes de deux barres plus longues que les autres (au début, au milieu et à la fin). Chacun des groupes est lu au laser comme un « 6 ». Ainsi obtient-on le chiffre « 666 » qui se surimpose sur chaque code-barres. Ces trois chiffres identiques s’ajoutent aux treize chiffres fonctionnels (le choix de ce nombre fut volontaire afin de dévoiler la réalisation de l’Apocalypse, précisément son chapitre XIII !).

Le code de treize chiffres s’explique ainsi : 3 pour le pays et la région d’origine, 5 pour les producteurs (usine, atelier, etc.), et 5 pour le produit (prix, date, etc.). Chaque chiffre est lui-même réalisé par une juxtaposition de 7 modules blancs ou noirs. Comme le nombre d’arrangements de 7 modules est très supérieur à 10, ce procédé permet d’utiliser simultanément 3 codes dits A, B et C.

B est identique à A, mais à l’envers. C s’obtient en inversant les couleurs de A. Le code A n’est utilisé que pour les 6 premiers chiffres de chaque étiquetage, ce qui permet de déchiffrer le code, quel que soit le sens dans lequel les caissières des supermarchés présentent les paquets devant l’appareil de lecture optique. Afin d’éviter les « doubles », tous ces codes sont attribués, dans chaque pays par un diffuseur unique qui a fait du secret sa règle d’or : « Gen Code », filiale du diffuseur américain.

En 1988, la ville de Singapour — en Malaisie — a testé ce système de marquage sur une population de dix mille personnes. Pendant trois mois on a testé dans cette mégapole le remplacement des cartes de paiement par un Code-Barres individuel lisible au laser. Le code était gravé pour moitié sur le poignet et pour moitié sur le front !

Ron Steele démontrera que la technologie pour marquer, enregistrer et surveiller des gens existe par exemple aux États-Unis avec des prisonniers et même certaines prostituées séropositives.

Le sujet que je développe à ce jour est basé sur des informations fournies essentiellement par Ladite Agence ; il est très important. Même les journalistes initiés ne pouvaient pas penser que l’information qui fait l’objet de cet article puisse exister. Il s’agit de quelque chose d’excessivement sérieux, qui, du jour au lendemain, non seulement permettrait l’instauration d’un Gouvernement mondial, d’un ORDRE MONDIAL, mais rend possible le contrôle individuel, direct, de chaque individu sur la planète.

Cette information concerne le microchip biologique d’identification internationale. Dans la nouvelle technologie de pointe qui va être utilisée et l’est déjà pour arriver à un contrôle absolu de toutes les populations de la planète, les architectes du Nouvel Ordre Mondial ont admis dans des réunions privées que sans l’avènement de l’ordinateur et de la haute technologie, la réalisation d’un Gouvernement Mondial n’aurait jamais pu être si proche. Parmi ces nouvelles technologies les plus effrayantes qui soient, il y a le microchip biologique d’identification internationale.

Qu’est-ce que c’est ? Des confrères américains [et non français] ont réussi à obtenir des informations vérifiables grâce à des documents audio, des photographies, un dossier de presse complet provenant de publications produites par des journaux officiels et religieux depuis 1990. Ces informations démontrent l’existence d’un contrôle électronique direct de tous les individus sur toute la planète.

On pourrait croire avoir affaire à de la science-fiction, mais la présence de documents écrits, de références à ces documents et des documents vidéo provenant des compagnies qui ont mission de fabriquer ce produit-là, ne laissent aucune alternative quant aux conclusions.

Selon Terry L. Cook — journaliste chrétien d’investigation sur la côte ouest américaine, — celui-ci se référant à Tem Wellord, la technologie cachée derrière le nouveau MICRO CHIP n’est pas très compliquée. Avec un peu de raffinement, il pourrait faire l’objet d’une grande variété d’applications humaines.

D’une manière plus que concevable, un numéro pourra être assigné à chacun dès la naissance et faire partie de la vie intégrante de celui-ci jusqu’à sa mort.

Vraisemblablement cette puce électronique pourra être implantée sur le revers de la main, et celle-ci pourrait servir de carte d’identification universelle, ce qui remplacerait les cartes de crédit, les passeports, les permis de conduire, etc.

À la fin de l’année 1993, une compagnie américaine : la Destron Idi Colorado, fabrique et annonce ces puces électroniques d’identification IDI CHIP globalement via « Infopet » et d’autres distributeurs américains et internationaux.

Pour l’instant, ces puces sont utilisées pour retracer, contrôler et identifier les animaux de ferme, les animaux domestiques, les oiseaux, les poissons et tous produits manufacturés. Actuellement ce nouveau système se répand à la vitesse de l’éclair sur toute la planète. Un exemple : celui de l’implantation du MICRO CHIP sur les grands oiseaux coureurs d’Australie.

Autruches, émeus et nandous sont l’objet d’un élevage commercial aux États-Unis. Zoan Parker, un spécialiste des ratistes ou oiseaux coureurs du Penn State Cooperative Extension à Lancaster, déclare que l’élevage de ces oiseaux reflète aujourd’hui les mêmes tendances que l’élevage du bétail dans les années 1800, qui commença également comme un marché limité à quelques éleveurs. Ces premiers fermiers savaient que les voleurs de bétail étaient un véritable problème. Plutôt que de marquer le bétail au fer chaud, ce stock d’oiseaux vivants est muni d’un MICRO CHIP individuel d’identification qui émet un signal. Zoan Parker dit que « c’est comme un numéro de sécurité sociale ».

Cet article est la 2e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Ce MICRO CHIP est si petit qu’il peut être facilement introduit dans une aiguille hypodermique ! Il s’agit d’un minuscule tube de verre, microprocesseur passif, de 2 mm de diamètre, et dont la taille mesure entre 10 et 12 mm.

Peu après la naissance de l’oiseau, le MICRO CHIP est injecté dans les tissus adipeux ou musclés de l’animal, « ne causant aucun mal ou inconvénient à l’animal », selon Parker. L’oiseau peut alors être identifié par un lecteur de MICRO CHIP portable.

Parker ajoute : « Chaque oiseau doit être muni d’un MICRO CHIP pour être transporté à travers les frontières des États, ou être assurés. Il vous faudrait littéralement déchirer l’oiseau en morceaux pour arriver à ôter le MICRO CHIP ».

En 1995, comme la plupart des gens le savent, le numéro d’assurance sociale se compose d’une série de neuf chiffres. Selon d’autres informations reçues tout récemment à l’Agence, ce système sera tout prochainement remplacé avec l’aide de nouveaux ordinateurs, par une série internationale de dix-huit chiffres numériques, à cristaux liquides, connus sous le nom de MESH-BLOCK. Une configuration internationale qui permettra d’identifier n’importe qui sur la planète. Cette nouvelle série de dix-huit chiffres sera divisée en trois parties, c’est-à-dire trois séries de six chiffres chacun.

Tout début 1994, ces implants de puces électroniques aussi appelés TRANSPONDER ont été partout répandus sur la planète pour le contrôle de l’industrie animale. Afin d’identifier l’animal (numéro précis attribué à chacun, comportant le nom et l’adresse des propriétaires) un lecteur manuel envoie une impulsion radio de 125 kHz (signal). Le transponder implanté renvoie le numéro attribué par retour (réponse en écho), au lecteur (scanner). Le scanner affiche aussitôt le nombre digital sur son écran à cristaux liquides.

Un TRANSPONDER, c’est un récepteur-émetteur radio ou radar, activé pour la transmission, par la réception d’un signal prédéterminé qui peut provenir d’un lecteur au laser ou d’un équipement sophistiqué : émetteur ordinateur ou même par satellite. Selon le journaliste L. Cook (« Implantable Biochip Tenchnology 666 ») le nom complet de ce « grain de riz » est : Destron Idi Transponder TX 1400 LX. Dans son livre il nous apprend que le coût d’un de ces « grains de riz » est d’environ $4,5(US). Il cite dans cet ouvrage un article de « San Diego Union » du 9 novembre 1991 dans lequel un journaliste révèle que la ville de Los Angeles aurait voté un crédit de $ 123 000 par an, pour fabriquer des « implants » sur les animaux familiers et inciter les propriétaires à en faire autant. L’objectif consisterait à réduire par ce système le nombre des animaux perdus, qui coûtent cher aux villes…

Dans un autre article, tiré du « Arizona Republic » du 20 juillet 1989, on apprend qu’un certain Jack Dunlap proposerait d’implanter des puces électroniques aux… jeunes enfants afin que leurs parents puissent les retrouver en toute occasion, par l’intermédiaire des ordinateurs de la police ! … [Et le pas est franchi, car l’escalade coulait logiquement et inéluctablement de source.]

Ce journaliste américain précise : « La technologie cachée derrière ce nouveau “microchip” n’est pas très compliquée et, avec un peu de raffinement, pourrait être utilisée dans une grande variété d’applications pour les humains » [bien sûr, c’était cousu de fil blanc]. À cet effet, en 1995, une nouvelle version est en phase d’expérimentation sur l’être humain. Vraisemblablement cette puce d’identification a de grandes chances de devenir le marquage électronique attendu puisqu’elle pourrait être implantée sur le front ou le revers de la main et de venir la « carte d’identité universelle ». Par exemple, dans les magasins, il suffirait de passer le poignet au-dessus ou dans un « scanner » pour effectuer ainsi un débit direct sur un compte bancaire… [et le tour est joué !].

Selon la C.E. Ouranos « des expériences ont été faites aux États-Unis pour graver sous forme de tatouage invisible à l’œil, le code-barres sur la main de certaines personnes. Une nouvelle carte identité infalsifiable comportant une puce électronique permettra, une fois passée dans un lecteur, de connaître tous les renseignements sur la personne. Elle fera office de carte universelle d’ici l’an 2000. Déjà la nouvelle forme de pointage électronique remplaçant le ticket de métro et de bus dans certaines villes préfigure le nouveau système de contrôle magnétique infalsifiable qui sera utilisé d’une manière universelle ».

On sait que de tels projets sont testés en ce moment même dans les « bureaux d’études » constitués et financés par la « Synagogue de Satan » [Apocalypse, 2:9] (Haute Finance internationale). Cela paraît peut-être invraisemblable, mais il est aujourd’hui possible « techniquement » de contrôler directement et individuellement chaque individu sur la planète. Chacun d’entre nous, avec ce système, serait enregistré. Et d’après les documents reçus, il est évident que ceux qui comptent l’implanter d’une manière obligatoire au niveau des populations sont en train de structurer les nouveaux paramètres internationaux, la nouvelle télémétrie économique, de manière à ce que tout individu qui n’aurait pas cet implant électronique ne puisse ni acheter ni vendre quoi que ce soit sur toute l’étendue de la planète.

Pour mieux comprendre ce que peut être le microchip biologique d’identification internationale on peut chercher une définition d’après les compagnies qui ont reçu mission de la créer [terme impropre : Dieu seul crée].

Après avoir évoqué la Destron Idi Colorado on pourrait aussi citer la multinationale Texas Instrument, la Tarovan, qui est la compagnie du système d’identification électronique aux États-Unis, mais aussi la compagnie Avidqui fabrique un « tag », c’est-à-dire une espèce de médaille d’identité qui est remplacée par la puce électronique et fait partie des sociétés construisant des appareils d’identification pour le monde vétérinaire aux États-Unis.

La définition transmise par ces sociétés est la suivante : l’implant microchip d’identification est un appareil d’indiscrétion, d’abus de la vie privée, inséré avec une unité — un module — dans une petite région de la peau au moyen d’air comprimé.

En d’autres termes, cette puce électronique — pas plus grosse qu’un grain de riz — doit être injectée à l’aide d’une seringue à air comprimé. L’inclinaison de cet appareil d’implantation est comme une aiguille hypodermique, n’ayant qu’une pénétration limitée, et elle ne pourrait aucunement opérer si l’angle ou la quantité de peau n’était pas approprié. Cette unité émet un signal qui est digital et qui consiste en des jaillissements de 85 datas Bits.

Cette puce produit donc un signal digital à des intervalles spécifiques. C’est un signal de localisation. La technologie de cet appareil est hautement sophistiquée, classifiée (donc c’est une information technologique non publiée), et elle n’est pas soumise aux transmissions digitales normales et analogues. Cet appareil fournit des informations vitales, de même qu’il sert de moyen de localisation ; c’est-à-dire que l’appareil peut être codé, programmé, pour fournir des informations complètes avec un numéro d’identification. De plus il permet aux individus qui le manipulent de vous repérer où que vous soyez par un service de détection. Il y a ainsi, par l’implantation du MICRO CHIP sous la peau, possibilité de localiser tout individu grâce à l’émission du signal émis par la puce, et capté par des satellites. Ces derniers retransmettraient l’information à un écran d’ordinateur aux quartiers généraux des corps de police au service de ce Gouvernement Mondial [peut-on imaginer la puissance d’un tel Gouvernement ?] (Nous verrons plus loin que ces corps de police existent déjà).

Une carte géographique intégrée dans le programme de l’ordinateur permettrait alors de localiser immédiatement l’individu recherché et de programmer une opération pour le trouver.

C’est essentiellement dans cette perspective que sont lancés à foison les satellites aujourd’hui.

Penchons-nous précisément sur la question des satellites au regard d’autres informations reçues par la Commission d’Études Ouranos. L’objectif s’intitule : « Une autoroute de données par satellites ».

Il y a chez les mondialistes de l’ONU et les financiers de l’Ordre Mondial [car, dans cet ordre-là, rien ne peut être réalisé sans argent], une volonté délibérée de faire de la planète un grand « village ». Il est pour eux un impératif que les endroits les plus reculés du monde soient reliés à une infrastructure mondiale, grâce à un gigantesque réseau de 840 satellites. Ce projet est proposé par Bill Gates [Monsieur Gates, attention au boomerang !], le fondateur de Microsoft, et par Craig Mc Caw, le roi du téléphone cellulaire (tous ces téléphones ont déjà une puce intégrée qui permet de suivre à la trace leur possesseur, d’où une publicité effrénée pour leur diffusion).

On sait que l’américain Loral Corp et neuf partenaires étrangers, dont le puissant groupe français Alcatel Alstom, viennent de donner le coup d’envoi d’un système mondial de téléphonie et de radiolocalisation par satellite Globalstar, qui s’associera avec Bill Gates. Pour découvrir 98 % de la population mondiale, la « constellation Globalstar » comprendra 48 satellites sur six plans orbitaux à l’altitude de 2390 km.

Bill Gates prévoit ainsi un réseau gigantesque de 840 satellites gravitant sur 21 orbites différentes, à une altitude de 700 km, de manière à couvrir 95 % de la planète.

On relèvera outre le projet « Globalstar », plusieurs « concourrents » dont le projet « Irridium », fondé sur 66 satellites, pour 1988. Projet qui présente la particularité d’être en avance sur les autres dans la réalisation technologique.

D’après les documents en possession de certains journalistes canadiens et américains [les journalistes français s’étant éclipsés] et fournis à l’Agence Internationale de la Presse libre, le MICRO CHIP a déjà été expérimenté et implanté dans des organismes de bébés, de militaires, de messagers du gouvernement et sur du personnel travaillant à la Maison-Blanche dans des sections de haute sécurité. On rapporte aussi qu’il fut autorisé pendant la guerre du Golfe et fut montré publiquement à l’émission très connue de « Twani and Twani » aux États-Unis, en août 1991 [en France, on se couche, comme le disait déjà l’extraordinaire Mélanie de la Salette, Sœur Marie de la Croix, la sainte Bergère].

Relevons parmi les projets diaboliques celui d’implanter dans le corps de nouveau-nés une « puce électronique » devant faire de cet individu un robot soumis au pouvoir de l’ordinateur avec lequel il sera branché. « Bonum Certanem » de l’abbé Mouraux dévoile que « le malheureux contrôlé jour et nuit deviendra un esclave électronique. Commandé électroniquement cet esclave pourra sur l’ordre de ses maîtres, commettre tous les crimes qu’on lui imposera ».

Il apparaît donc qu’à l’heure actuelle, avec une technologie de cette trempe, on arrive à une possibilité du contrôle complet des individus sur la planète, qui permet l’instauration d’un Gouvernement Mondial sous l’égide des Nations-Unis.

Mais il y a pire… On sait aujourd’hui que des personnes travaillent au remplacement, dans la prochaine décade, du MICRO CHIP par un BIO CHIP : une puce fabriquée à partir de protéines vivantes. À l’heure actuelle, le projet est déjà en stade d’expérimentation. Cette puce sera infiniment plus petite que le MICRO CHIP : elle aura la capacité de renfermer une foule d’informations. Elle aurait le potentiel de pouvoir agir sur la mémoire ou la pensée d’un individu. D’où le spectre du contrôle mental.

Est-il possible aujourd’hui d’agir sur l’être humain à son insu par la manipulation des états de conscience ? On peut facilement à cette question en se référant aux états de haute suggestibilité sur le conscient qui permet l’action de l’hypnose sur l’inconscient. À titre d’exemple, la télévision devient un outil efficace pour ce genre de manipulation au moyen du sublimal. D’ailleurs la CIA qui travaille actuellement à l’installation de son propre « canal de télé » aura la capacité de transmettre — à partir de transmetteurs aériens puissants — pour interrompre toute programmation dans n’importe quel pays. Nous avons là la réalisation matérielle de ce verset biblique : la Bête aura le pouvoir de « faire parler les images » (Apocalypse, 13:15).

Pour les initiés qui financent des chercheurs sur des projets aussi macabres, une telle puce présente d’autres avantages : tout pourrait y être inclus. Cette puce d’identification électronique humaine pourrait rendre réalisable une centralisation globale par un ordinateur central. D’où possibilité de ne jamais perdre la trace d’un individu et de remplacer le système monétaire actuel. L’argent ne serait alors plus nécessaire : plus besoin de chèque, de cartes de crédit, etc. Tout fonctionnerait à partir de cet implant électronique sur l’individu. Ce serait un moyen fantastique de réduire les dépenses de l’État, des banques et de neutraliser une fois pour toutes l’ensemble des marchés de la mafia, du marché noir, le marché de la drogue, et toutes formes de transferts illégaux d’argent.

Or à la conférence annuelle du Groupe Bilderberg de 1992, à Évian, en France (peu de temps après les émeutes de Los Angeles) Henry Kissinger a déclaré :

« Aujourd’hui les Américains seraient scandalisés de voir des troupes de l’ONU rentrer dans les rues de Los Angeles afin de restaurer l’ordre. Demain, ces mêmes populations vont nous remercier à genoux pour un tel acte. Il est spécialement vrai que si l’on dit aux populations : “écoutez, il y a un danger extérieur énorme qui existe”, et que l’on vote des lois en fonction de ce danger : que ce danger soit réel ou non, on sera capable de faire passer n’importe quoi, et les gens l’accepteront pour le bien-être de leur sécurité. »

De la même façon, d’autres politiciens américains ont imaginé qu’à partir du moment où il y aurait un scandale sans précédent d’argent, ou une terrible crise économique fabriquée de pures pièces qui jetterait toutes les valeurs monétaires à terre, le meilleur système de remplacement du système actuel et la meilleure parade pour empêcher un autre chaos, serait l’utilisation d’une puce électronique d’identification. Selon eux, par cette puce passeraient toutes les formes de transactions, d’échanges nationaux et internationaux, entre les individus.

Des informations récentes confidentielles, vérifiées par un ex-officier de la CIA, dévoilent différentes données que le TRANSPONDER pourrait fournir si cette puce électronique était implantée dans la peau : le nom et la photo de la personne, le numéro d’assurance sociale internationale composé de trois séries de 6 chiffres — chacun pour un numéro international de dix-huit chiffres, — des données au niveau des empreintes digitales, la description physique de la personne, l’adresse, l’histoire familiale (arbre généalogique) [cf. les Mormons], des informations relatives au travail et aux revenus de la personne, des informations concernant l’impôt et un éventuel casier judiciaire. Cette technologie déjà utilisée sur la planète dévoile une volonté d’exercer une dictature sur tous les individus.

Il y a là une perspective de totalitarisme dont entend faire montre le futur Gouvernement Mondial à travers l’Ordre Mondial actuellement en cours.

Il existe d’autres informations dans un rapport spécial sur la nouvelle technologie pour la surveillance par satellites. La sophistication, le raffinement des satellites est tel qu’il permet de repérer des imperfections souterraines, même de voir des verres sous le gazon. En utilisant des tours cellulaires et des satellites, l’animal domestique doté d’un MICRO CHIP ou l’individu qui en a reçu un peut être repéré par satellite au moins à dix pieds de l’endroit où il se trouve.

Par ordinateur et un système de scanner, la police de l’Ordre Mondial — qui est déjà la police actuelle — sera, grâce à un tel équipement, capable de retracer un individu sur toute la planète.

On devine qu’un individu catholique, par sa seule Foi au Christ, constitue un obstacle aux idées antéchristiques de l’Ordre Mondial : il sera « classé » comme un dangereux terroriste par l’ONU. Cet individu-là n’aura aucun moyen de se cacher sur toute l’étendue de la planète. Voilà pourquoi les Saintes Écritures nous préviennent de refuser le marquage. Par des renseignements complémentaires, on sait que les hommes au service de l’Ordre Mondial peuvent suivre par satellite un milliard d’animaux domestiques à qui on a injecté la puce. Qui, d’après vous, seront les suivants sinon nous, les hommes ?

Fin 1993, il y avait vingt-quatre « navstar » satellites pouvant repérer n’importe quoi de l’ordre d’un centimètre dans un rayon d’un kilomètre. Vous pourrez trouver ces informations dans le magazine Forbes du mois d’octobre 1991. Mais le document ne développe qu’une parcelle de tout ce qu’ilssont capables de faire à ce jour avec une technologie secrète, financée par des investissements de multinationales ou de banques centrales. (Vous comprenez ici l’objectif de Jean Conrad du « Complot contre l’homme ».)

Parmi les dossiers constitués à partir de fuites ou de révélations privées, on sait qu’un contrôle accru de l’humanité s’effectue au moyen de : la surveillance au laser, les nouveaux permis de conduire, la nouvelle carte d’assurance maladie aux États-Unis et au Québec, le nouvel espionnage électronique par le téléphone, le téléphone sans fil, les dossiers d’appel téléphonique, le micro clandestin, les répondeurs téléphoniques et les boîtes vocales, le système électronique pour porte de garage, les enquêtes sondages téléphoniques, les disquettes d’ordinateur, les services des postes, les caméras vidéo, les dossiers d’impôts, dossiers scolaires, dossiers médicaux et de service social.

Par une crise économique, ils sont en train d’engendrer une crise sociale qui oblige déjà les gens à se diriger malgré eux, vers une aide sociale. C’est un moyen légal qui ne paraît pas [un prétexte] pour aller chercher une information complète sur tous les individus.

Ce n’est pas tout. Citons le contrôle technologique du cerveau à distance, champ électromagnétique, terminaux de vidéo et jeux vidéo, micro-onde, désinformation militaire et civile, le contrôle par micro-onde basse intensité et complication biologique, les nouvelles armes électromagnétiques.

Des informations ont été obtenues sur la Banque Mondiale de la Conservation de l’Énergie. David Rockfeller et d’autres ont établi, au cours d’une réunion du 13 septembre 1987, le découpage géographique du Canada au profit du Nouvel Ordre Mondial avec carte géographique du plan mondial. Il y a aussi le plan technologique pour la chute de l’économie mondiale et l’anéantissement des fortunes individuelles ; le nouveau papier-monnaie avec barres magnétiques invisibles, la disparition des classes moyennes et la nouvelle télématique internationale au niveau du contrôle de l’économie mondiale. On vient d’ailleurs de finaliser en décembre 1993 les accords qui permettront d’arriver à un contrôle semblable.

Cet article est la 3e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

On pourrait aussi parler de la nouvelle surveillance électronique automobile qui s’installe sur les autoroutes et qui fait que les nouvelles voitures renferment des systèmes de repérage électronique de détection, sans que les acheteurs en soient conscients. Si bien qu’un système militaire se met lentement en place et rend possible tout repérage de véhicules et d’individus par rapprochement avec le fichier central détenu par la police au quartier général où repose l’ordinateur.

Les systèmes de détection sont si précis que l’on peut même savoir qui conduisait telle voiture à une heure précise, en tel lieu. Il y avait, fin 1993, des mises en pratique sur certaines autoroutes en Californie.

On met donc, à l’heure actuelle, sur l’ensemble de la planète, un des réseaux les plus sophistiqués de détection qui permettra un système de surveillance sans précédent de tous ceux qui auront reçu ce nouvel implant technologique, mais également de distinguer parmi les populations ceux qui l’ont refusé.

Avec ce nouveau micro chip biologique d’identification internationale il sera possible d’imposer un Nouvel Ordre Mondial à l’intérieur duquel tous ceux qui n’auront pas reçu, ou auront refusé cette marque d’identité, n’auront aucun droit ni d’acheter ni de vendre [cf. Apocalypse, 13:16-17], c’est-à-dire aucune possibilité de travailler, de recevoir un salaire, d’acheter un appartement ou de vivre comme locataire, de vendre des biens, etc.

Qui va accepter d’échanger des biens dans un régime de peur où tous les moyens d’échange seront bannis ? Voilà pourquoi il a été décidé de rendre public ce genre d’information. Parce que le plan est si avancé que se taire c’est être coupable comme les hommes politiques qui eux-mêmes sont au courant. N’oubliez pas que ces hommes politiques dépendent des prébendes des multinationales, lesquelles financent les programmes d’investissement de recherche qui ont abouti à la création de cette technologie de mort !

Pourquoi ne disent-ils rien ? Parce qu’ils n’ont plus de formation chrétienne et « croient » (je suis gentil !) que ce système est pour le bien des populations.

A été mis au point un MICRO CHIP de traduction. Il s’agit d’une puce électronique qui permettra la traduction instantanée et simultanée d’une langue dans toute autre langue. Soit, au moins dans soixante et une autres langues et dialectes qui, par satellite, pourront être diffusés partout sur la planète en même temps. Ainsi un dictateur mondial pourra s’adresser à toute l’humanité en même temps par le biais de ce nouveau produit de la technologie au service du Nouvel Ordre Mondial.

Pour ceux qui se souviennent de certains textes remontant il y a fort longtemps, vous trouverez des correspondances avec l’anti-Babel ! La Babel antéchristique du Nouvel Ordre Mondial entend suppléer aux conséquences de la première Babel [et parodier la Pentecôte ou le Saint-Esprit – cf. Genèse, 11:1-9; Actes des Apôtres, 2:1-12].

Il existe aussi un autre système de contrôle de la population : la surveillance au laser. Un nouveau laser d’écoute électronique a été vérifié et mis au point comme outil très spécial par les départements enclins à la surveillance : la CIA, le FBI et le Revenu de l’Impôt aux États-Unis. Ces nouveaux dispositifs peuvent, en utilisant une fenêtre comme diaphragme (comme un écran de télévision), suivre et enregistrer toute conversation à plus de vingt mille de distance.

Au niveau biologique, le D.N.A. est utilisé comme mémoire pour les ordinateurs et les implants de mémorisation. Ceci devient de la biotechnologie. Or la source de cette nouvelle biotechnologie — nous sommes rendus là dans les développements actuels, — provient du tissu de bébés avortés.

Ces tissus et les protéines de mémoire sont des systèmes majeurs pour l’intelligence artificielle dans le marché actuel des ordinateurs.

Voici ce qui est rapporté par le Winache World du 26 juillet 1991 :

« Le gouvernement finance à l’heure actuelle des expérimentations sur des bébés morts ou vivants. Les bébés avortés dans le troisième trimestre, âgés entre six et neuf mois, survivent habituellement au processus d’avortement. Ceci est d’autant plus important que les tissus utilisés pour les expérimentations doivent provenir de bébés vivants. » Voici quelques moyens utilisés lors de ces expériences. On peut trouver cela dans un article du Docteur Bernard Nathasen, publié dans l’édition du New York Garden de novembre 1991 : « En Suède, une procédure a été suivie par laquelle une femme enceinte est placée dans un état de sommeil. Le bébé localisé est amené jusqu’à l’utérus afin de permettre au docteur de percer le crâne du bébé vivant [c’est atroce !] et y aspirer du cerveau des tissus devant servir au système de maladie de Parkinson. Cette même procédure est pratiquée sur des bébés vivants pour leur pancréas, leur peau devant servir aux victimes qu’on appelle les grands brûlés. Ces bébés sont écorchés vivants. L’industrie de la recherche sur les tissus de bébés est une industrie mondiale générant des revenus de l’ordre de huit milliards de dollars. »
[Et nos hommes politiques osent parler d’humanisme !]

On sait aussi que depuis mi-1993, la clinique Sansun de Santa Barbara, en Californie, est sur le point d’importer de larges quantités de tissus fœtaux. La peau des bébés avortés [assassinés] provenant de Russie où les femmes avortent en grand nombre quand le fœtus est arrivé au stade de sept à neuf mois !

Ces fœtus sont ceux qui aujourd’hui fournissent le plus de tissus humains…

Les experts nous assurent que ces tissus sont utilisés pour traiter les diabétiques.

De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du microchip biologique d’identification internationale ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant lesnations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unies.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également unancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte :

« Les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du Sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait : “Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire-trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant : ‘Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique. Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue : ‘L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale’. En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen…). On oblige (ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminati.

En effet, ce programme extrait d’une revue financière rejoint l’article 4 du code des Illuminati :

«… afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminati il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminati disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales — actions, valeurs, fonds mutuels, rentes — sur lesquels des fortunes encore plus grandes — celles des masses — vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU — les plus grands banquiers de la planète, l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un microchip biologique d’identification internationale, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts remboursés [cf. Charles Gave, ‘Des lions menés par des ânes’, chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront — avant l’implosion — qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplieront et augmenteront la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures au niveau social. S’ensuivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

Les élus nationaux devront admettre l’ouverture de leurs frontières à l’immigration, la mobilité de la main-d’œuvre. Ce sera l’aboutissement des conséquences du libre-échange à tous les niveaux : la disparition des frontières nationales !

L’objectif étant, bien sûr ! D’augmenter les tensions intérieures entre les différentes ethnies et religions, de sorte que les pays en viennent à perdre le contrôle de leur sécurité intérieure. L’exemple chirurgical récemment dévoilé par l’ONU en Yougoslavie accrédite la réalisation de ce scénario dans quelques pays qui soient.

Finalement les populations se retourneront vers l’ONU. Elles supplieront de faire quelque chose au niveau international. D’ailleurs, tout a été fait au cours des dernières années pour inciter les gens à reconnaître que l’intervention de l’ONU évitait aux nations d’entrer elles-mêmes dans des guerres terribles. La fabrication de toutes pièces de conflits en augmentant les tensions sociales, a rendu les gens serviles à ce genre de démarches et d’aveuglement sur les intentions réelles des tireurs de ficelles de la secte onusienne. Cela fait partie d’une stratégie dialectique développée par des philosophes au XVIIIsiècle.

Il y a là aussi une autre démarche visant à affranchir les États encore christianisés sur le plan de leur sécurité intérieure.

En effet, pendant que les États sont affaiblis économiquement, socialement et sur le plan ethnique, les conflits créés géostratégiquement [sic] en différents points du globe — mais toujours loin des pays occidentaux, — ont permis à l’ONU d’envoyer des forces multinationales composées des soldats appartenant aux pays visés selon le plan exposé plus haut.

L’avancée du plan est d’ailleurs effectuée en parallèle avec la multiplication des conflits exigeant l’envoi de troupes multinationales. Vous remarquerez ainsi que la situation sociale se désagrège en France alors que nos troupes d’élite sont envoyées en Somalie, au Rwanda, en Yougoslavie…

Évoquant la Somalie, on relèvera que la situation a été rendue explosive maintenant grâce à la complicité des organisations supranationales, telle l’OMS. Depuis la guerre du Golfe, les conflits éclatent les uns après les autres, requérant la présence de troupes sans cesse renouvelées, tandis que le plan suit son cours et que les pays occidentaux sont vidés de leurs forces militaires… C’est pourquoi j’avais employé l’expression d’” Étincelle » dans mon premier ouvrage.

Il est aussi à remarquer que les forces américaines sont dispersées un peu partout dans le monde, faisant partie de la nouvelle force de police planétaire sous le contrôle de l’ONU.

Les grandes lignes de ce transfert des forces militaires américaines et européennes se trouvent dans le programme « Freedom from War » qui démontre ce qui se passe.

Le programme des États-Unis pour un désarmement complet et général dans un monde pacifique établi par le président Kennedy — publication 72/77 du Département d’État qui devait s’effectuer en trois phases — propose en phase deux : « La force de paix de l’ONU sera établie et renforcée progressivement à partir du matériel militaire américain ».

Cette phase deux est précisément le stade où nous nous trouvions en 1994. C’est-à-dire sans que personne s’en rende compte, la majeure partie des forces militaires et des installations militaires américaines sont en train de passer lentement sous le contrôle des Nations Unies au niveau international — comme des bases militaires, — et non plus comme c’était le cas auparavant au profit d’une seule nation qui était les États-Unis. Soyez assurés que le désarmement militaire progressif contrôlé continuera jusqu’au point où aucun État — incluant les États-Unis — ne possédera la force militaire nécessaire pour s’opposer et défier l’autorité progressivement renforcée de l’ONU. Au train actuel, c’est un fait que les forces militaires placées sous le contrôle de l’ONU — même les États-Unis en tant que nation — n’auront plus de force militaire propre pour s’opposer à l’ONU. Le résultat est que chaque pays subira et exécutera les ukases de l’ONU par crainte des forces multinationales. La dispersion planifiée des forces américaines aux quatre coins du monde et les coupures dans le budget de la défense rendant ce plan quasiment achevé.

En même temps qu’est organisée internationalement la chute de l’économie, on constitue une nouvelle force de police nationale à travers l’Amérique et une nouvelle force de police militaire internationale.

Cet article est la 4e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

Partie II
LA POLICE DU NEW AGE

Dans un tel scénario, il est programmé que les forces policières seront impuissantes à résoudre les violences provoquées par une immigration massive et une crise sociale. Elles feront appel à une force militaire… décimée pour les raisons qui viennent d’être évoquées. On devra bien faire appel à des formes multinationales sous l’égide de l’ONU, afin d’établir la paix et la sécurité dans les nations en guerre civile. Toutes les nations se dirigent à ce jour vers un éclatement intérieur.

C’est précisément dans une perspective de troubles sociaux mondiaux qu’a été mis au point par le président Clinton, sur ordre de supérieurs « inconnus », une force de police de cent mille hommes pour s’attaquer à la criminalité : la nouvelle force de police nationale de l’Amérique du Nord. Cette force est en train de se mettre sur pied à la vitesse de l’éclair. L’intervention de cette police dans le drame de la secte de Wacco a été une expérience menée pour constituer un exercice. Le choix de cette secte religieuse fut fait par hasard, dans l’objectif de contraindre des groupes religieux plus importants à accepter un nouvel ordre et… un nouveau chef spirituel !

Le vrai but de ce raid raté était de permettre à l’Establishment de présenter cette force de police comme quelque chose de bien. L’objectif était de faire accepter un tel élément aux yeux du public comme efficace pour la sécurité.

En réalité cette nouvelle force de police nationale aux États-Unis est une consolidation d’agents de la CIA, du FBI, du DEA et autres agences policières et gouvernementales.

D’après un officier des services secrets de l’armée américaine que nous appellerons Mark, ces forces sont maintenant appelées « la police MJTF ». C’est le détachement spécial multijuridictionnel de l’ONU. D’après Mark et un rapport complet fourni à l’Agence Internationale de la Presse Libre, leur mission est : d’effectuer des fouilles et des saisies maison par maison ; la séparation et le tri des hommes, femmes et enfants en grand nombre ; le tri et le transfert dans des centres de détention ; et le bon fonctionnement de tels établissements.

Il existe dans cette même veine d’informations un rapport qui touche au programme pour l’établissement des camps de concentration aux États-Unis. Ces camps n’ont rien à voir avec ceux de la Seconde Guerre mondiale. Un rapport de cinquante pages existe à l’Agence avec les emplacements géographiques des camps en question, destinés à recevoir les ennemis du futur ordre mondial.

Sous le président Reagan on avait déjà commencé à mettre en place onze centres de détentions fédéraux en Floride, en Virginie, en Georgie, dans l’État de New York, dans l’Arkansas, dans l’Arizona, en Californie. Mark expliqua aussi comment le MJTF travaille en conjonction avec le FENC (Federal Emergency National Center) qui est le nouveau stade de force de police de l’ONU. L’une des particularités des membres du FENC est que tous leurs uniformes sont noirs avec aucun signe extérieur d’identification. Les jeeps, les hélicoptères, les camions militaires sont noirs.

Le FENC est composé de polices militaires et secrètes dont le nombre se chiffre à trois cent mille aux États-Unis. Leur uniforme est l’habit de combat classique noir. Ils portent une armure anti-balles noire et un casque spécial en noir. Un suivi des événements du drame de Wacco aura permis de remarquer que les forces du MJTF ont été épaulées pour finalement être remplacées par les forces du FENC.

En novembre 1990, le président Bush a signé un ordre exécutif qui transférait un tiers des véhicules de la réserve aérienne stratégique des États-Unis au FENC, à un coût de 12,8 milliards de dollars pour le contribuable américain. Ils ont été peints en noir et ne portent aucune identification.

D’après cet officier appelé Mark, le niveau final des forces militaires qui a été structuré en 1993, sont les groupes de combat de l’ONU à l’intérieur des États-Unis.

Ces troupes sont situées à la frontière de la Californie et de la Virginie. Ils ont des groupes de combat équivalent à trente-quatre mille hommes. Dans la région de Sacramento se trouve une autre force de quarante mille hommes. Au sud de Los Angeles, un contingent de vingt-deux mille soldats de l’ONU. Mark ajoute que du Montana jusque dans le territoire canadien, existe un groupe de combat de trente-sept mille hommes qui est divisé en deux brigades d’infanterie mécanique EEC, deux brigades d’infanterie mécanisée standard, la première division d’armée canadienne et une brigade de sécurité légère japonaise.

La présence des troupes de l’ONU russes, yougoslaves, roumaines et coréennes sur le sol américain et canadien a été rapportée par plusieurs sources. Où garde-t-on ces troupes ? Dans les bases militaires qui sont supposément [sic] en train de fermer !

Par exemple, avant de quitter la présidence, alors qu’il était à l’ONU, le président Bush transféra la gare de Fort Dix aux autorités de l’ONU pour servir de camp d’entraînement.

Voyons maintenant quelle est l’idéologie qui forme ces nouveaux corps d’élite internationale, mais aussi les membres des services secrets.

Autrement dit : qu’y a-t-il derrière l’émergence d’un Nouvel Ordre Mondial, d’un nouveau corps de policiers ?

Un policier travaillant depuis vingt ans dans la police américaine a — sous un pseudonyme — fait parvenir le texte complet d’une conférence de très haut niveau, prononcée dans les années 90 pour la formation des cadres du Gouvernement Mondial de l’Amérique du Nord.

Le policier fait également part de son expérience personnelle afin de sensibiliser l’opinion — par l’intermédiaire des journalistes d’investigation — sur l’Ordre Mondial ; de ce qui est imperceptible à l’œil nu à moins de faire partie de ces différents corps-là.

La question que pose ce policier qui a volontairement changé son nom pour des raisons de sécurité personnelle est tout d’abord celle-ci : Y a-t-il des juges, des procureurs et des policiers qui aujourd’hui commettent des actes malhonnêtes pour incarcérer des individus ? À cette question, il dit : « Je réponds sans équivoque que oui ». Puis il explique pourquoi. Toutefois il écrit : « … mais il est permis d’espérer que ce n’est pas fait sans une juste cause. La véritable immoralité existe quand la cause n’est pas juste » [faux ! Cf. Romains, 3 : 8]. Afin de mieux comprendre les réponses qu’ilapportera, rappelons que jusqu’ici le droit, l’organisation des États en Occident étaient basés sur une idéologie chrétienne.

Au nom de cette idéologie [disons plutôt doctrine] chrétienne, on faisait passer le bien et la protection de l’État en priorité. Cette idéologie qui s’est transformée à l’heure actuelle sans que les populations s’en aperçoivent. La nouvelle idéologie qui justifie le Nouvel Ordre Mondial [bien retenir ce grand principe de SPARTACUS WEISHAUPT, le fondateur de l’Illuminisme : « Tout ce qui est utile est un acte de vertu. »] doit passer avant n’importe quoi. Au nom de cette idéologie, n’importe qui faisant partie du pouvoir judiciaire et militaire peut perpétuer quelque acte criminel que ce soit parce que le but visé est juste [et à plus forte raison s’il est injuste !].

« Après plus de vingt ans de service auprès de mes compatriotes américains, j’ai réalisé ce qui était la réalité. La vérité est qu’aujourd’hui plusieurs juges, avocats et officiers de police sont des dévots de la religion de l’humanisme séculier. »

Or la base idéologique de tout ce qui va composer le Nouvel Ordre Mondial est justement assise sur un humanisme centré sur le culte de l’homme [cf. S. Matthieu, 4:10]. C’est la déification de l’homme en tant que centre de l’univers, placé au-dessus de toute loi. C’est la philosophie de base de l’humanisme séculier.

Le texte de la conférence faite en privé en 1990 et adressée par le policier précise :

« … certains de nos membres, la plupart à cause de la peur, n’admettront pas que ce nouvel humanisme est une religion. Ils ont peur d’être traités comme ces soi-disant chrétiens le furent sous la doctrine de la séparation de l’Église et de l’État. Une telle peur eût été fondée si nous étions en 1970. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. La raison étant que les membres des corps policiers et militaires sont pour la plupart sous le contrôle des agences et organisations principales. »

Il y a quinze ou vingt ans, l’idéologie chrétienne aux États-Unis était dominante. Ceux qui contrôlaient les différents postes du gouvernement, du militaire, du judiciaire, de la police, des différents ministères gouvernementaux, avaient une formation chrétienne. Aujourd’hui les choses ont changé : l’humanisme triomphe et les postes cités précédemment sont occupés par des membres du New Âge et du Nouvel Ordre.

Le conférencier continue et dévoile la suffisance des ténors officieux de cette secte humaniste :

« Mon sentiment est qu’en ce moment, nous les bergers, nous devons ouvrir les yeux de nos troupeaux et choisir plus en profondeur ceux que nous pouvons amener au XXIsiècle. »

« Tous ceux qui nieraient que notre religion n’est pas une religion valide devraient retourner voir leurs devoirs. La Cour suprême des États-Unis a décidé que c’était une religion. Il y a quelques années, dans des causes célèbres, la Cour a statué que la croyance en l’humanisme, le rejet de l’idéologie chrétienne était aussi une religion acceptable. La croyance fait référence à une certaine vision universelle de la vie, du monde et de l’humanité. Dans son ensemble la Cour suprême des États-Unis a décidé qu’une religion peut être n’importe quelle vision du monde avec ou sans référence à Dieu… J’espère que ceci aidera les autres à comprendre notre foi. »

« Néanmoins, ceci n’est, bien sûr, pas le point principal de ma conférence. Je souhaite traiter des abus auxquels font face les policiers qui souscrivent consciemment ou non aux tenants moraux de notre religion ; de ce qui a trait à l’éthique ou à la morale. Partout dans notre société, nos dévots endurent d’horribles discriminations de la part de chrétiens constituant aujourd’hui une faction très petite de la société. Cette discrimination contre nous, humanistes, survient quand nous exerçons notre pratique religieuse et appliquons notre morale dans notre activité professionnelle. Pourtant des autres le font sans aucune discrimination, parce qu’ils sont chrétiens. »

« Heureusement, notre religion humaniste affiche le plus haut taux de croissance dans toute l’histoire, et la nouvelle génération à l’intérieur du système judiciaire, incluant les policiers qui souscrivent à de saints principes, sont maintenant à des postes administratifs, ce qui profite à tous. Ceci nous donne du pouvoir, même s’il existe beaucoup trop de discrimination contre un principe les plus importants de notre religion : l’éthique de situation. »

L’éthique est en principe un code de morale, de valeurs chrétiennes délimitant des frontières à ne pas dépasser. Avec la formation de cette nouvelle idéologie qui pénètre toutes les couches sociales des États-Unis, mais surtout aux postes décisionnels de chaque corps de métier, qu’entendent-ils par ce principe d’éthique de situation ? La suite de la conférence nous éclaire :

« … Le principe de l’éthique de situation ou de morale permet à l’individu de se concentrer correctement sur le but qu’il veut atteindre. Moralement parlant, peu ou pas d’importance ne doit être accordée à la méthode et aux moyens puisque rien ne surpasse le but en importance. »

C’est en d’autres mots l’application du principe connu : la fin justifie les moyens !

« Je pense que le principe de la morale de situation est le mieux décrit en examinant la définition légale de la morale et de l’éthique telle que donnée par nos compatriotes communistes. »

On entrevoit le lien ténu entre les idéologies communistes, maçonniques du XVIIIsiècle, et celle de l’Allemagne hitlérienne. Il s’agit d’une même idéologie présentée de trois manières différentes.

Le même personnage qui occupa un poste très important dans l’administration gouvernementale américaine poursuit :

« Nous pouvons apprendre beaucoup de la dévotion des communistes. Les marxistes ont par nécessité pragmatique épuré plus de 90 millions de gens dans la poursuite de la mission la plus noble de l’homme : la paix mondiale. »

Quand on entend cela enseigné à l’élite des corps de la police et de l’armée multinationale, on imagine jusqu’où ces gens sont capables d’aller pour imposer le Nouvel Ordre Mondial !

« Quelle personne intelligente pourrait appeler “immoral” quelque moyen utilisé pour parvenir au plus important des buts. Il n’y a rien d’immoral d’éliminer des gens si on le fait au nom d’une paix mondiale. »

« Dans nos grands manifestes humanistes signés en 1963 et 1973, nous appliquons nos principes moraux qui sont les mêmes que les principes marxistes, mais mis de l’avant de manière beaucoup plus concrète. Voici un bref sommaire de nos croyances sur l’éthique et la vérité. L’éthique, les valeurs morales, tirent leur source de l’expérience humaine. L’éthique est autonome et situationnelle [sic], ne nécessitant aucune sanction idéologique ou théologique. Nier ceci équivaut à nier la base même de la vie. »

Ce sont exactement les mêmes définitions que l’on trouve dans les textes de Weishaupt de 1740 — fondateur des Illuminés de Bavière — ainsi que dans les revues du Grand Orient de France.

« Nous vivons une bonne vie et maintenant.

Autorité et vérité : Nous rejetons les caractéristiques de la morale religieuse traditionnelle qui nie aux êtres humains la totale appréciation de leur potentiel et responsabilité.

Les religions traditionnelles offrent souvent du réconfort aux humains, mais souvent elles les empêchent de s’aider eux-mêmes ou de vivre leur plein potentiel.

Nous ne pouvons découvrir aucun but divin ni aucune Providence pour l’existence humaine. Les humains sont responsables de ce que nous sommes et de ce que nous allons devenir. Aucun Dieu ne va nous sauver, nous devons nous sauver nous-mêmes. »

On comprend pourquoi les Initiés ont choisi les États-Unis. C’était la nation la mieux structurée, la plus apte à imposer l’Ordre Mondial à l’humanité.

« Ceux d’entre vous qui pratiquent le christianisme sélectif sont plus près de notre foi que des superstitions des secoueurs de Bible d’Antan. Le christianisme sélectif sont ceux qui étant catholique choisissent les bonnes paroles avec lesquelles nous sommes d’accord et rejettent celles qui condamnent le plaisir terrestre et les enseignements [traditionnels] de l’Église catholique. Ne croyez-vous pas que sous cet aspect nous sommes identiques ? Votre foi est basée sur ce qui est bien selon le désir de l’homme.

La foi est valable, la religion chrétienne est valable, si vous croyez à votre système que nous vous imposons depuis vingt ans. Si vous ne nous combattez pas, c’est que vous croyez à nos valeurs parce qu’il n’existe aucun milieu !

Nous humanistes, admettons qu’il n’y apas de Dieu, que seuls lesdésirsde l’homme sont importants. Vous, dirigeants de ces chrétiens sélectifs, prêchez que votre foi est basée sur certaines parties de la Foi de Dieu, mais en réalité la majorité de votre foi est basée sur ce qui estagréableou faitvotre affaire. Finalement, en intégrant ce que nous, humanistes, voulions réaliser depuis dix-huit siècles, vous êtes arrivés à vous fabriquer une nouvelle religion centrée sur les désirs de l’homme. Vos chefs religieux prêchent les droits de l’homme et par là même cautionnent notre Ordre Mondial !

Il est évident que le gouvernement américain fonctionne selon les principes dirigeants de l’humanisme. Quels sont ces principes ? La ruse, le mensonge, la tricherie, le vol, le meurtre, l’hypocrisie, les tournures de pensée. Tous ces moyens sont moraux s’ils nous permettent d’atteindre nos buts essentiels. Voilà la vraie vertu. »

Quel est le but essentiel ? L’établissement du Gouvernement Mondial !

« Un récent exemple a été donné dans la guerre de l’Irak contre le Koweït. Plus de 250.000 individus ont déjà perdu leur vie et plus encore meurent chaque jour afin d’atteindre un but supérieur. Le but de tous les grands leaders humanistes est la paix mondiale à travers le Gouvernement Mondial.

On peut éliminer des nations, des peuples entiers si c’est le bien de tous selon nos vues. Cet enseignement du Nouvel Âge est la raison pour laquelle par exemple, il est possible qu’un officier de police d’allégeance humaniste risque sa vie pour sauver un membre de la société un jour, et que le jour suivant, le même policier mente lors d’un procès afin de remporter une affaire importante. Ceci ne doit pas être considéré comme immoral étant donné les standards éthiques sur lesquels le policier base sa moralité en ce que la fin justifie les moyens. Bien des gens ne comprennent pas que c’est la raison pour laquelle les présidents et leur état-major, les membres du Congrès et autres tenants des postes leadership mentent et trichent pour le plus grand bien de la société et donc du système. »

D’après cet initié ceux qui sont à la tête des gouvernements mentent d’une façon ouverte et concertée aux populations en vue de faire passer le bien suprême du système à venir du Gouvernement Mondial, mais aussi en vue d’excuser la disparition de dissidents ou de groupes radicaux ! Il existe en effet une différence entre les nouvelles données par les médias et ce qui se passe réellement dans les coulisses. Les versions rapportées officiellement ont été pensées, structurées, afin de nous donner une apparence de la réalité qui n’est jamais la réalité. Par une manipulation aussi ouverte de l’information nationale et internationale, on réussit à justifier la disparition d’un individu ou d’un groupe d’individus en les faisant passer pour des radicaux, des terroristes, alors que très souvent le seul danger que représentent ces personnes est uniquement en fonction de leur impact sur les populations par rapport à ce que ces gens veulent imposer comme Nouvel Ordre Mondial.

Cet article est la 5e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

« Vous êtes conscients que la grande majorité des Américains ne cherche que la paix et la sécurité. Ils ne se rendent même pas compte qu’ils ont virtuellement fait de leur gouvernement un nouveau Dieu vers qui ils se tournent pour subvenir à leurs besoins. Nos leaders du Nouvel Âge et nous leurs soldats, leurs bras et jambes — c’est-à-dire les policiers et les militaires, — se tiennent prêts à donner aux masses ce pour quoi ils prient.

Notre rôle à l’intérieur du système judiciaire d’aujourd’hui est de protéger le plan du système de la mise sur pied du Gouvernement Mondial, et de punir ceux que nos leaders identifient comme les ennemis du système. »

Ainsi a-t-on transformé le droit et la culpabilité. L’homme qui combattra pour la vérité sera considéré comme un ennemi à détruire. La conspiration de l’Âge du Verseau et du Gouvernement Mondial apparaît comme l’établissement d’une dictature à l’échelle mondiale dont l’idéologie est basée sur l’humanisme.

Dans une dictature semblable, l’individu qui, au nom de ses principes religieux, de sa conscience ou de sa foi, s’opposerait au complot contre l’homme et Dieu sera considéré et identifié comme étant un criminel. On retrouve là ce qui se passait il y a deux mille ans sous l’Empire romain. C’est le même schéma : est criminel celui qui s’élève contre l’idéologie gouvernementale établie pour la majorité des gens. Qui étaient ces criminels il y a deux mille ans ? C’étaient les chrétiens. Qui étaient les ennemis sous le régime communiste ? Les chrétiens. Cette fois-ci, le cadre change et devient international.

« Tout comme nos collègues soviétiques, sous l’éthique de situation de notre Nouvel Ordre humaniste, nous ne sommes pas limités dans les méthodes que nous pouvons appliquer pour gagner.

Nous pouvons procéder à pacifier et sécuriser les masses, donc se débarrasser de tous ceux qui vont représenter un danger pour l’instauration de ce Nouvel Ordre.

Si certains d’entre vous sont encore surpris par ceci, c’est que vous n’avez pas encore compris ce que j’essaie d’expliquer. Vous n’avez pas non plus compris ce que vos enfants ont si bien appris à travers vingt ans de système d’éducation de notre gouvernement. “Nous vivons l’ère où les hommes ont placé leur conscience dans le gouvernement au lieu de quelques superstitions appelées divin ou Dieu. Ce sont les anciennes morales religieuses qui ont causé tous nos problèmes [c’est ce que pense actuellement la quasi-totalité du monde moderne déjà prêt à accepter le Gouvernement Mondial]. Un Nouvel Âge appelle un nouveau système de croyances, un nouveau code moral, une nouvelle religion. Il est agréable de voir presque toutes les religions du monde se regrouper gentiment et unies en se préparant à servir le Nouvel Ordre Mondial.”

Je voudrai vous présenter le Docteur Sidney Saymon. Un homme très efficace, qui mérite une grande reconnaissance pour son travail de rééducation de l’humanité. Il parle simplement et ce qu’il dit est sans équivoque. Il explique aux éducateurs d’enfants à qui il s’adresse que la clarification des valeurs est une méthode pour les professeurs dechanger les valeurs de leurs élèves sans se faire prendre. Cela veut dire que sous des nouveaux déguisements, sous un nouveaudialogue, on enseigne de nouvelles valeurs sans que les enfants et les parents s’en rendent compte, et sans que les éducateurs puissent être accusés de quoi que ce soit [on parle des valeurs en général sans en préciser la nature]. Le résultat est garanti : un affrontement entre les enfants et les parents. Donc la clarification des valeurs est un autre terme pour éthique de situation. L’enseignement doit faire comprendre que l’important n’est pas les valeurs que l’on choisit, mais de les choisir librement par vous-même [leur nature est sans importance], sans pression des parents, prêtres, amis, ou société religieuse.

Les architectes du programme d’enseignement du nouvel humanisme dans les écoles du gouvernement doivent être remerciés pour avoir remodelé les valeurs de ces futures générations. Quand la loi nationale des garderies sera adoptée, ce sera un grand jour pour les humanistes et les proposants [sic] de la paix mondiale. Nous pourrons accomplir notre objectif une fois pour toutes lorsque nous aurons l’attention des enfants en âge préscolaire de six à neuf heures par jour. Regardez ce que nous avons entrepris avec les groupes plus âgés de la jeunesse américaine.

Ces garderies auront pour mission de préparer la jeunesse intérieurement à l’acceptation du Gouvernement Mondial.

C’est ainsi que les émissions dites populaires et niaiseries, de jeux basés sur l’argent, sont appréciées d’un public conditionné qui apprécie l’émission en fonction des nouvelles valeurs antichrétiennes et humanistes auxquelles il adhère inconsciemment [la télévision française, quant à elle, avec sa publicité impudique, primaire et stupide, offre des émissions qui constituent une incitation permanente aux mauvaises mœurs et à la violence sous toutes ses formes].

Les gens ainsi conditionnés fuiront la réalité et la vérité ; ils auront peur. Nous aboutirons à une armée de schizophrènes !

Il va de soi qu’une telle société exigera une nouvelle forme de police.

Un de nos éducateurs de l’humanité m’a dit il y a quelques semaines, que les religieux américains d’antan n’en croiraient pas de leurs yeux de voir les changements que nous nous sommes permis. Cette personne avait raison parce que nous avons mis le futur non pas sur le gouvernement, mais sur la capacité de tous et chacun de nous gouverner nous-mêmes, de nous soutenir nous-mêmes et ainsi de suite. C’est pourquoi le Gouvernement Mondial est bon pour tous.

Les Américains ne désirent plus assumer les responsabilités de ce gouvernement actuel. Heureusement pour eux, il y a une toute nouvelle génération de leaders et de gens au gouvernement, soucieux de s’occuper d’eux malgré leur consentement.

S’agissant de la main-d’œuvre policière : comme les citoyens abandonnent par peur de plus en plus de leurs droits, de plus en plus de policiers sont nécessaires afin de superviser les activités de cette population afin qu’elle demeure en sécurité [en cage !].

La construction de l’État Providence engendre des troubles dans la société, d’où un renforcement des membres de la police.

Qui aurait pensé il y a cent ans que l’intégration de la peur de tout serait la réponse à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.

Le mérite de ces innovations revient aux libres penseurs de la dernière génération d’avoir réussi le coup de maître de faire en sorte que la peur serve de mécanisme de base pour permettre n’importe quoi au plan des populations.

La vieille génération n’aurait pas accepté ce nouvel ordre des choses, ces nouvelles valeurs. Heureusement cela n’a pas posé trop de problèmes parce qu’ils sont rapidement remplacés par la mort ou la retraite. Il n’en restera plus aucun d’ici sept à huit ans, soit 1997/98. Nous avons l’assurance que tous ceux qui avaient des valeurs morales chrétiennes n’auront plus aucun poste clé dans le gouvernement dans les domaines exécutif, judiciaire et militaire.

Donc à ce moment-là, l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial ne trouvera plus aucun obstacle. Au même moment, les agences de police essaient par nécessité de filtrer les individus qui croient aux anciennes valeurs traditionnelles et de ne pas les engager.

C’est pourquoi on a changé les valeurs du système d’éducation. Afin que les jeunes qui entrent dans la vie active soient imbus de principes humanistes et aient rejeté toutes les valeurs et superstitions chrétiennes. Ceci doit être fait parce que nous savons que les religieux ne feront pas les choses qui leur seront demandées sous le nouveau système. Pour ceux qui restent attachés au fondamentalisme religieux de l’ancien monde, ils sont tranquillement mis de côté sous toute forme de prétexte de la part des nouveaux dirigeants.

Certains des officiers de l’ancien temps se plaignent et font valoir que ce type de discrimination est anticonstitutionnel et immoral. Mais nous savons qu’ils ont tort. Sous l’éthique de situation, toutes les choses sont morales du moment qu’elles avancent vers Le but. Ainsi ces officiers ne sont pas retirés pour une cause diabolique mais parce qu’ils sont jugés non fonctionnels pour accomplir les tâches qui seront exigées d’eux.

L’ancien monde avait compris que c’était le plus grand des péchés que de mentir à leur Dieu. Les générations de dévots qui vont rentrer dans le Nouvel Ordre Mondial doivent comprendre que le plus grave des péchés est de mentir à leur nouveau Dieu, le Gouvernement. L’individu n’existe pas ! Seul compte l’intérêt du Gouvernement Mondial.

Toute déloyauté de la sorte viendrait à l’encontre de la marche vers le progrès engagé par ceux qui mènent la gloire du Nouvel Ordre Mondial. Nous ne sommes pas préoccupés avec quelques résistances au Nouvel Ordre, car par nécessité pratique leur destin a déjà été simplement établi dans le Plan.

Nous avons parlé de ce Plan en développant le Micro Chip et le programme des camps de concentration mis sur pied en Amérique du Nord avec une technologie extrêmement avancée.

Ce qui nous préoccupe le plus en ce moment est que les masses obéissantes comprennent qu’il est néfaste pour le progrès de suggérer que leurs superviseurs — les membres des gouvernements, des Nations Unis — se complaisent sous la pression et la futilité de ces superstitions d’ordre et morale désuète.

Il y aura des changements difficiles pour ceux qui auront à faire face et entrent dans cette nouvelle société. Sur ce sujet nous pouvons assurer aux peuples qu’il n’y aura aucun compromis.

Merci de m’avoir écouté. Que la bénédiction du Nouvel Ordre vienne rapidement sur vous. »

Cette entité que l’on appelle l’Ordre Mondial, la Force, le Grand Architecte, etc. s’appelle l’Antéchrist !

Conclusion : Il est évident que les architectes de l’Ordre Mondial entendent nous imposer un Gouvernement Mondial par la force pour l’été 1999.

L’article 1 des Illuminati dit ceci : « Notre mot d’ordre est : forcez et faire semblant. Seule la force triomphe en matière politique, spécialement si elle est cachée dans les talents des hommes d’État. La violence doit être le principe ; la ruse et le faire semblant, la règle pour les gouvernements ».

En d’autres termes, on revient aux mêmes lignes de conduite utilisées en 1917 pour instaurer le communisme.

À propos de l’avenir de la Russie et de Jirinovski dont l’ascension politique est fulgurante, on a pu remarquer qu’au cours de ses déplacements en Europe fin 1993, il portait des roses et des fleurs rouges à la main gauche. C’est un symbole de reconnaissance internationale connu que de certains initiés. Fidel Castro en portait, le président Mitterrand également. Les grands hommes politiques identifiés aux groupes internationalistes se sont servis de ce symbole de reconnaissance une fois qu’ils ont été portés au pouvoir.

Ici on peut donc entrevoir l’avenir qui attend la Russie.

Cette force nationale soumis à l’ONU se constitue au même moment où apparaissent les conséquences d’une crise économique sans précédent. Les problèmes sociaux vont augmenter. Les coupes budgétaires vont étrangler les peuples. Les gouvernements vont se voir dans l’incapacité d’apporter la moindre solution parce que celles-ci sont rejetées par le FMI.

Les sociétés vont se retrouver dans un état de crise politique, sociale, et les avoirs des peuples vont disparaître dans une crise financière terrible qui commencera au Japon — peut-être par un tremblement de terre aux conséquences incalculables.

Dans un tel contexte, il est prévu que les peuples se tournent vers les Nations-Unis. Cet appel serait le prétexte pour établir le Gouvernement Mondial ! C’est précisément à ce moment propice où les peuples seront mis à genoux malgré eux que tout le mécanisme de la haute technologie et du microchip biologique d’identification internationale serait imposé.

Avant, tout doit être prêt de manière à ce que les gens l’acceptent pour la sécurité, la stabilité et pour la paix : d’où le chaos qui prend forme…

Mais l’homme exerce sa liberté dans la liberté de Dieu ! Aussi, cher lecteur, ayez l’assurance que ce système APPAREMMENT parfait ne se réalisera pas aux dates prévues. L’étude relative aux prophéties y répondra…

Nous vivons déjà visiblement les manipulations du Pouvoir Occulte. Elles aboutiront aux guerres civiles, à la Troisième Guerre mondiale selon le plan que je vous ai exposé. Mais Dieu interviendra souverainement et les hérauts de l’Ordre Mondial seront châtiés, même s’ils se sont réfugiés en Australie, persuadés d’être à l’abri du conflit qu’ils ont allumé depuis 1991 au Golfe Persique.

La Micro-Puce et la « Marque de la Bête »

Par le Dr Carl W. Sanders

Voici la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue NEXUS (P.O. Box, Mapleton, Queensland, 4560, Australie). C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micropuce électronique. Le Dr Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn.

J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micropuces dans le domaine biomédical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc.

C’était un projet qui nous emballait tous. Il y avait cent personnes d’impliquées, et j’étais le principal ingénieur en charge du projet. Le projet aboutit à la micropuce dont nous parlons maintenant — une micropuce que je crois être la « Marque de la Bête ».

Cette micropuce est rechargée par les changements de température du corps humain. Évidemment, vous ne pouvez pas aller à l’intérieur de votre corps et changer vos piles de temps en temps ; alors la micropuce a un circuit de rechargement qui fonctionne selon les changements de température du corps. Plus d’un million et demi de dollars furent dépensés pour trouver les deux endroits sur le corps humain où la température change le plus rapidement : le front (premier choix), tout juste en bas de la naissance des cheveux, et le revers de la main (position de rechange) (1).

Travaillant sur cette micropuce, nous n’avions aucune idée qu’elle deviendrait un moyen d’identifier les gens. Nous considérions ce projet comme étant une chose très humanitaire. Notre équipe était composée de gens provenant de l’Université de San Jose, des compagnies Motorola, General Electric, du Centre Médical de Boston ; en fait, c’était tout un groupe de compétences…

Comme le projet de micropuce commençait à évoluer vint un temps où on nous dit que les pontages à la colonne vertébrale étaient une chose qui ne rapportait pas assez financièrement pour qu’on s’en occupe, et qu’on devait donc considérer d’autres utilisations pour cette puce. Nous avions remarqué que la fréquence de la micropuce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micropuce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micropuce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micropuce.

Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam. Nous avions une micropuce que nous appelions la « micropuce Rambo ». Cette micropuce pouvait causer un flux supplémentaire d’adrénaline…

Il y a 250.000 pièces dans la micropuce, y compris une petite pile au lithium. Je me suis battu contre l’usage du lithium en tant que source d’énergie pour ces piles dans le corps humain, mais la NASA se servait beaucoup de lithium en ce temps-là ; c’était la chose en vogue. J’ai demandé à un docteur du Centre Médical quel effet cette concentration de lithium dans le corps humain pouvait avoir si la micropuce se brisait. Il me répondit que cela produirait une grave plaie, douloureuse et remplie de pus.

J’étais présent à une réunion où la question suivante fut posée : « Comment pouvez-vous contrôler un peuple si vous ne pouvez pas les identifier ? » Des gens comme Henry Kissinger et des personnes dela CIA assistaient à ces réunions.

Comme nous développions la micropuce, et que la question principale était de se servir de cette micropuce comme « carte d’identité », ou moyen d’établir l’identité des gens, plusieurs choses nous furent demandées. On voulait que soit compris sur la micropuce le nom et le visage de la personne, son numéro de sécurité sociale (incluant les codes internationaux), ses empreintes digitales, sa description physique, la généalogie de sa famille, son adresse, son occupation, des informations concernant ses rapports d’impôt, et son dossier criminel (2)

Cet article est la 6e partie d’une série de six. Veuillez lire les 5 autres parties.

J’ai assisté à dix-sept réunions à travers le monde, à Bruxelles, au Luxembourg, etc., où ces sujets furent discutés, dans l’esprit d’un gouvernement mondial, et d’une monnaie mondiale. Il existe présentement des projets de loi devant le Congrès américain qui permettront d’injecter la micropuce à votre enfant dès sa naissance, pour des fins d’identification.

Le Président des États-Unis, selon l’article 100 de la loi sur le contrôle de l’émigration de 1986, a le pouvoir de décider toute forme d’identification qu’il juge nécessaire — que ce soit une marque invisible tatouée, ou une micropuce insérée sous la peau. Alors je pense que vous devez regarder les faits en face, les amis : cette micropuce ou la « Marque de la Bête » n’est pas quelque chose qui vient d’apparaître tout d’un coup. Ça fait des années que c’est en préparation !

1) Apocalypse, XIII, 15-17 :

« La Bête qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne put acheter ou vendre, s’il n’avait pas la marque du nom de la Bête ou le nombre de son nom [666]. »

2) Nous ne sommes donc pas très loin du carnet de santé à puce.

L’HEURE APPROCHE…
Des gesticulations qui annoncent l’imminence d’un conflit mondial !

par Jacques Delacroix (Éditions Delacroix)

« Si le veilleur voit venir l’épée contre le pays, il sonne de la trompette avertit le peuple. »

Ézéchiel 33:3, 6

L’exécution d’un plan

L’étude des menées souterraines des sociétés secrètes à travers l’Histoire montre que notre société est dirigée par une petite clique d’individus au service de Satan.

Ces derniers travaillent à la damnation des âmes (1) et arrivent au terme de leur complot puisqu’ils sont parvenus, suite à l’infiltration des structures ecclésiales, « jusqu’au plus haut sommet » de l’Église — La Salette — (cf. « L’Église Éclipsée ! »)

Leur mainmise sur le monde peut être prouvée. Citons le commentaire que fit l’officier W. Carr, après qu’il eut copié un document de la British Museum Library à Londres : la lettre écrite en 1871 par l’Illuminati (2) Albert Pike, fondateur du rite palladique luciférien, Mazzini (chef révolutionnaire de la Haute-Vente, branche armée de la Maçonnerie).

«… La Première Guerre mondiale devait être livrée afin de permettre aux Illuminés de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de faire de ce pays une forteresse du Communisme athée. Les divergences suscitées par “l’agentur” (médias des Illuminés) entre les Empires britannique et allemand devaient servir à fomenter cette guerre. À la fin, le Communisme devait être édifié et utilisé pour détruire les autres gouvernements et pour affaiblir les religions.

La Seconde Guerre mondiale devait être fomentée en profitant des divergences entre les Fascistes et les Sionistes politiques. Cette guerre devait être livrée de telle sorte que le Nazisme soit détruit et que le Sionisme politique soit assez fort pour instaurer l’État souverain d’Israël en Palestine. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Internationale Communiste devait devenir assez forte pour équilibrer la Chrétienté. Elle serait alors contenue et tenue en échec jusqu’au moment où l’on aurait recours à elle pour le cataclysme social final (3).

La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en profitant des divergences suscitées par “L’agentur” des “Illuminés” entre les Sionistes politiques et les dirigeants du Monde Islamique. Elle doit être menée de telle manière que l’islam (le Monde arabe musulman) et le Sionisme politique se détruisent mutuellement (4). Tandis que les autres nations, une fois de plus divisées sur cette affaire seront contraintes à se combattre jusqu’à complet épuisement physique, moral, spirituel et économique. »

Le 15 août 1871, Albert Pike dit à Mazzini qu’à la fin de la Troisième Guerre mondiale ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes (empruntés à sa lettre de la British Museum Library à Londres) :

« Nous allons lâcher les Nihilistes et les Athées et provoquer un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Alors, tous les citoyens, obligés de se défendre contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation et les masses déçues par le Christianisme, dont l’esprit déiste, laissé à partir de ce moment sans boussole à la recherche d’une idéologie, sans savoir vers qui tourner son adoration, recevra la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer (au Sinaï n. d. r.) (5), enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme, simultanément soumis et détruits. »

À la lecture de ces lignes, un constat s’impose : reste l’exécution de la phase finale du plan ; à savoir une guerre mondiale et une révolution universelle dont les prémices sont visibles ! En effet l’examen du comportement des « maîtres du monde », architectes des conflits majeurs de ce siècle, confirme l’imminence d’un conflit universel.

Partie III
Troisième conflagration mondiale en vue !
Les élites financières quittent le territoire américain

Voici sous forme de communiqué l’avertissement adressé par Marcel Renoulet, directeur de l’Homme Libre :

« La rédaction de L’Homme Libre a reçu dernièrement d’un ami correspondant possédant une grande connaissance des puissances d’argent et des oligarchies financières maîtresses de la planète, l’avertissement suivant : “J’ignore si la guerre va éclater. Un fait m’inquiète beaucoup. C’est que Rockefeller et une dizaine des plus grands milliardaires américains ont acheté un territoire aussi grand que la Belgique en plein centre du désert d’Australie et s’y font construire des palaces de survie en majeure partie enterrés. Le territoire est cerné de barbelés et surveillé par une armée privée. Très mauvais ; très mauvais signe… ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident” »

(10.11.1994).

« Ces Messieurs connaissent l’avenir… vu que ce sont eux qui le décident »

Qui sont ces gens ? Les mêmes qui ont mis en œuvre la guerre de 1914/18 après avoir créé la Réserve Fédérale (banque centrale américaine de droit PRIVE) ; les mêmes qui ont permis la guerre de 1939/45 en finançant Hitler et son parti, le NSDAP.

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, cette petite clique d’individus (6) a dessiné les contours de la future géopolitique européenne dans la perspective du « plan Pike » programmant les trois guerres mondiales.

C’est ainsi que la guerre de Yougoslavie sera la conséquence directe du découpage chirurgical d’après-guerre. Pourquoi avoir en effet donné la totalité de l’armée fédérale aux communistes serbes ?

Qu’y a-t-il entre la Russie et la France ? La Roumanie et… précisément la Yougoslavie !

Ces manipulations touchent également la géopolitique russe. Gorbatchev n’a-t-il pas permis la création d’un gouvernement secret russe en Occident à la tête d’une fortune de plus de huit cents milliards de dollars! Demandez des explications à monsieur Elstine (7) ; sa chute est sans appel à cause du terrain volontairement miné par son prédécesseur dont les rentes sont payées par les mêmes milliardaires — via différentes fondations — évoqués plus haut.

Jusqu’ici les « maîtres du monde » avaient choisi le territoire américain pour s’y protéger et y accumuler des fortunes. En effet, en 1914, en 1939, ces milliardaires se sont repliés aux États-Unis. Ils se savaient y être en sécurité ! Architectes des deux Guerres mondiales ils connaissaient les espaces géographiques qui seraient concernés par celles-ci.

Aujourd’hui, ils quittent les États-Unis… et l’opération qui les voit « déménager » a été appelée « Operation Arche de Noe » (8). Ce départ ne signifie-t-il pas que le monde entier va être touché, y compris les États-Unis ?

Le fait de se protéger dans le désert australien confirme donc, non seulement l’existence d’un Plan, mais encore l’achèvement de ce plan pour nos temps !

L’Opération Arche de Noé (9)

Suite à l’information diffusée par « L’Homme Libre », M. Jacques Monnot a adressé les lignes suivantes :

« II n’est pas étonnant que des milliardaires américains se fassent bâtir des abris au centre de l’Australie. » En 1978, Stan Deyo écrivait : « The Cosmic Conspiracy », publié en français en 1988 sous le titre « La conspiration cosmique », par Louise Courteau, Montréal, Québec. L’auteur explique que les États-Unis financent des bases ultra-secrètes, dont l’une des trois plus importantes serait en Australie, « Pine Gap », près du mont Liebig, à 23° 48’S et 133°43’E. Les principaux entrepreneurs auraient été Collins radio et Ling Pemco-Vought (Texas), Mac Mahon Constructeur et IBM. Stan Deyo s’interroge :

« Se pourrait-il que Pine Gap soit aussi ce qu’il est convenu d’appeler un abri destiné à recevoir le personnel clé des États-Unis en cas de catastrophe météorologique naturelle ou d’attaque nucléaire à l’échelle mondiale, dont le nom de code serait “Noah’s Ark” (Arche de Noé) ? » (p. 44).

U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), 1400 Wilson Boulevard, Arlington, Virginie 22209, Architect Building, serait le responsable de Pine Gap, créée en 1966. La base est installée sur un puits d’eau foré jusqu’à au moins 8535 m. et, au fond du puits, reposeraient des super systèmes informatiques IBM, sur une plateforme. Ce puits pourrait servir d’antenne souterraine pour la diffusion d’électricité à très basse fréquence (TBF).

« Il est probable que l’antenne du puits serve à synthoniser un énorme champ d’ondes stationnaires autour de la planète ! Un système de ce genre pourrait être synthonisé sur des fréquences allant de 9.000 à 14.336 cycles par seconde, soit suffisamment pour produire un champ de résonance électrique à une altitude de 400 km ». (P. 43).

Ces ondes à Très Basse Fréquence (Extremely ou Extra Low Frequence, 1 à 100 Hertz, ou Very Low Frequency, 10 à 30 kilohertz) ont un autre émetteur-récepteur près de la baie d’Exmouth, au nord du Cap Nord-Ouest (West Cape, 22°23’S,114°07E).

Le ministère des Transports enregistre Pine Gap comme R 233 sur les cartes de navigation. R233 est un espace aérien limité, réservé à la recherche spatiale. Il constitue un cercle de 5 milles marins, dont le centre est Pine Gap. Les États-Unis y mènent des recherches sur la propulsion électromagnétique, qui est celle des « soucoupes volantes » (10). La base possède des accélérateurs à plasma à haute tension et à haute énergie, utilisés probablement pour de nouvelles méthodes de production d’énergie, et un canon à plasma.

Dans un livre intitulé « Les gens les plus heureux de la terre », Demos Shakarian raconte comment, au début du siècle, quelques familles arméniennes pentecôtistes du village de Kara Kala, au pied du mont Ararat, quittèrent leur pays pour la côte ouest des États-Unis, à la suite d’une révélation privée faite à un « enfant prophète » de onze ans, d’origine russe, en 1853. Ces Arméniens échappèrent ainsi au génocide perpétré par les Turcs de 1915 à 1922 ! Le nom de l’enfant était Efim Gerasimovitch Klubniken. Dans le même ouvrage, Demos Shakarian raconte comment, au cours d’une réunion des « Hommes d’affaires du plein Évangile », quelqu’un avait annoncé qu’une grande persécution contre les chrétiens allait avoir bientôt lieu dans de nombreuses parties du monde, y compris les États-Unis d’Amérique (p. 17, diffusion Librairie chrétienne, 48, rue de Lille, Paris 7).

Ceci correspond aux prophéties de La Fraudais, de Marie-Julie Jahenny (11).

Se pourrait-il que ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie (12) ? (L’Homme Libre 10.11.1994)

Monsieur Monnot écrit :

« Ces milliardaires américains préparent à la fois une guerre civile antichrétienne et leurs refuges en Australie ».

Mais quel était donc le plan dévoilé par le grand prêtreluciférien Albert Pike en 1871, sinon une guerre civile antichrétienne ?

Partie IV
La collusion entre la Haute Finance et les cercles satanistes

Australie… que s’y passait-il au dernier trimestre 1993 ?

Un projet d’offensive satanique, préparé depuis longtemps, fut dévoilé à des religieuses australiennes qui s’occupent d’anciens satanistes.

Ces personnes qui ont décidé de fuir l’église de Satan ont révélé que « l’élite de Satan se réunit en ce moment en Australie ».

Il y eut en effet un « Grand rassemblement des Esprits » du 21 octobre au 9 novembre 1993 à Wollongong sur la côte orientale d’Australie, près de Sidney. Les témoignages d’ex-satanistes ont révélé que l’élite des chefs de culte satanique du monde entier était déjà sur place. Leur nombre se comptait par centaines et ils ont tout fait pour mobiliser leurs adeptes à aider aux préparatifs et à prendre part eux-mêmes à cette rencontre.

Cette rencontre projetée depuis plusieurs années s’est tenue dans les montagnes au-dessus de la ville, dans la brousse épaisse. Là, de nombreux rituels ont été pratiqués. La préparation de leur rencontre comprenait aussi bien la « programmation » de leurs adeptes que des sévices sadiques, sexuels et corporels. Ils invoquent des esprits démoniaques et les esprits de morts pour recevoir d’eux la puissance ; ils n’hésitent même pas à faire des sacrifices humains pour amplifier par là leur pouvoir. Le but de ce rassemblement à Wollongong était de faire participer tous les adeptes à « l’anéantissement de l’ange de la mort ». Qui est ce personnage ? À leurs yeux il s’agit d’’une personnalité chrétienne que Dieu a appelé pour les combattre ».

Cette réunion d’une importance mondiale et décisive pour ses architectes a pu se réaliser grâce à un noyautage d’adeptes installés dans la ville de Wollongong depuis une centaine d’années.

Des groupes de religieux offrent une assistance constante à toute personne désirant sortir de ces cercles sataniques. Grâce aux transfuges on a pu connaître ces informations. Parmi les personnes protégées une femme révéla dans une interview que « dès la naissance elle avait été préparée à devenir reine des sorcières et qu’elle aurait dû maintenant être intronisée par un rituel de sang ». Elle a demandé la protection de la police pour son mari et ses enfants, car les satanistes voulaient récupérer toute la famille et ils ne lui laissaient qu’un choix : « Reviens ou meurs ! »

Pourquoi les architectes de la Secte sataniste ont-ils choisi la ville de Wollongong ? La réponse fut donnée par un « transfuge » à la Directrice de la Communauté Évangélique des Sœurs de Marie :

« parce qu’ici siègent de fortes armées des ténèbres ! »

Où se trouve la ville de Wollongong ? Pas bien loin d’une grande zone désertique… Dans la perspective de la guerre antichrétienne enclenchée, la collusion entre la Haute Finance maçonnique luciférienne et les cercles sataniques est établie. (Informations données par un lecteur australien)

Pourquoi ce choix de l’Australie par les maîtres du monde ?

Outre des considérations géopolitiques naturelles, motivées par un conflit nucléaire, l’une des raisons qui justifieraient ce « refuge » des « maîtres du monde » en Australie pourrait avoir un rapport avec l’approche d’une comète gigantesque (13).

Comme par hasard, la Nasa s’intéresse de plus en plus au moyen de détourner la trajectoire d’éventuelles comètes. Le sous-sol du désert australien constitue-t-il un lieu de refuge privilégié ?

Et pourtant ?

Voici un communiqué de presse diffusé au début du mois de juillet 1994 dans le journal Ouest France :

« La chute d’une météorite a provoqué un tremblement de terre près de Broken Hill, dans l’ouest des Nouvelles Galles du Sud, en Australie. Il était 20h45, heure locale, quand plusieurs centaines d’habitants ont aperçu une énorme traînée de lumière laiteuse glissant vers la terre et senti leur maison trembler. »

Le bouclage de la région

Pour résider sur son territoire, le gouvernement de Nouvelle-Zélande exige une caution de deux millions et demi de francs ainsi que l’obligation de trouver un emploi dans les six mois.

La Nouvelle-Zélande est formée de deux grandes îles montagneuses, à deux mille kilomètres au sud-est de l’Australie !




Big Brother surveille les agriculteurs

Big Brother et Big Tech

Rien n’est réglé

https://twitter.com/linfononstop/status/1753460306381099303

L’Ukraine favorisée

Le combat continue partout

L’Irlande se joint à la révolte

L’Allemagne bloquée

En Belgique, des flics au service de l’UE, mais contre les agriculteurs qui pourtant les nourrissent

Pas de fermiers
Pas de nourriture

En France, des flics comprennent les agriculteurs

L’illusion de l’UE

[Note de Joseph : Orbán ne comprend pas que l’UE représente la mort de l’agriculture traditionnelle,
mais l’expansion de l’agrobusiness (ou bien il représente une fausse opposition).
Les prochaines élections européennes n’y changeront rien.]

Soutenir les agriculteurs

« Tu as vu mes mains… Regarde mes mains ».

Ce cri… ce geste du vieux paysan devant le gendarme

(Gravez cette vidéo dans votre mémoire)

Elle résume tout

Un peuple d’une incroyable dignité qui ne veut pas mourir… juste être reconnu et vivre de son travail.

Ce peuple de la terre est notre socle notre racine… l’âme du chant des terroirs de notre pays.

S’il se tait… les ténèbres d’un monde informatisé, robotisé, mondialisé vont recouvrir et stériliser notre humanité.

Cela évoque cet épisode fondateur de notre civilisation occidentale… et ce cantique si connu :
« quand j’ai vu tes mains… »

Ces deux semaines écoulées ne pourront éteindre ces cris… Passons vite après la pub à autre chose…

Des temps difficiles nous attendent.
Du pain et des jeux… olympiques… Non !

Notre civilisation en pleins bouleversements et conflits, résistance des peuples.

C’est un combat immense. On le voit dans toute l’Europe pour les paysans, bientôt pour d’autres classes professionnelles en grandes difficultés.

Et dans ce contexte mondial de guerres multiples, crises économiques, monétaires… d’intelligence artificielle ou transhumaniste.

On voit des mains qui sorties d’un rideau de fumée agitent notre planète. Celles du mal.

« Regarde mes mains »… celle de ton frère en humanité.

On les serre très fort.
Courage !
On vous aime,
Vous êtes notre humanité.

Allez on va prendre beurre tartine un bon café à l’auberge… Tes mains me donnent mon pain quotidien…




Selon une étude américaine, les élites estiment que le peuple est trop libre

[Source : quebecnouvelles.info]

Par J.D. Tuccille (publié le 31 janvier 2024 sur le site du National Post).

Le face-à-face entre le populisme et les élites s’est mondialisé et les suspects habituels s’interrogent sur les causes et les conséquences potentielles de ce phénomène. Au milieu des poncifs sur le ressentiment, la colère et la perte de confiance, que se passerait-il si le cœur du problème résidait dans le fait que la classe dirigeante autoproclamée a des opinions très différentes de celles des personnes qu’elle cherche à gouverner ? Et si, par exemple, l’élite des États-Unis pensait que nous sommes tous trop libres, alors que le public s’irrite des restrictions imposées par le gouvernement ?

C’est ce qui ressort d’un rapport récemment publié par le Committee to Unleash Prosperity, un groupe conservateur représenté par Steve Forbes, célèbre pour son magazine Forbes, et par l’éminent économiste Arthur Laffer, qui a été conseiller dans l’administration Reagan.

Le rapport, intitulé « Them vs. U.S. », s’appuie sur des sondages Rasmussen distincts réalisés en 2023 auprès des électeurs inscrits en général et des personnes ayant au moins un diplôme d’études supérieures, gagnant au moins 150 000 dollars par an et vivant dans des zones densément peuplées (« élites »). Parmi les élites, le rapport distingue un sous-ensemble de personnes ayant fréquenté l’Ivy League ou d’autres universités privées d’élite (« diplômés de l’Ivy League »).

La disparité des opinions entre ces groupes est très éclairante si l’on cherche à comprendre les divisions politiques actuelles aux États-Unis.

Parmi les électeurs inscrits, seuls 16 % estiment qu’il y a « trop de liberté individuelle » aux États-Unis ; 57 % disent qu’il y a « trop de contrôle gouvernemental ». Parmi les élites, 47 % déclarent qu’il y a trop de liberté et 21 % qu’il y a trop de contrôle. Parmi les diplômés de l’Ivy League, 55 % estiment qu’il y a trop de liberté et seulement 15 % qu’il y a trop de contrôle.

Ces chiffres relativisent de nombreux conflits et suggèrent que plusieurs politologues sautent une étape dans leurs analyses de la polarisation politique. Lorsque les sondeurs de Pew Research s’inquiètent de la perte de confiance des Américains dans les scientifiques, les experts en santé publique et les élus, et lorsque les chercheurs de l’UCLA avertissent que le populisme est en hausse en raison de la colère croissante du public et d’autres émotions négatives, ils ne comprennent pas le pourquoi. Pourquoi les Américains sont-ils si en colère et si méfiants à l’égard des experts ?

Il se pourrait bien que des perceptions très différentes du monde poussent des experts prospères et accrédités, qui considèrent la liberté comme un problème, à favoriser des politiques que la plupart des gens jugent beaucoup trop autoritaires.

Par exemple, lorsqu’on leur demande si, pour lutter contre le changement climatique, ils seraient « favorables ou opposés à un rationnement strict du gaz, de la viande et de l’électricité », 77 % des élites sont favorables à cette idée (22 % y sont opposés), de même que 89 % des diplômés de l’Ivy League (10 % y sont opposés). En revanche, seuls 28 % des électeurs inscrits sur les listes électorales sont d’accord avec cette idée (63 % y sont opposés).

Toujours au nom de la lutte contre le changement climatique, entre 53 % et 72 % des élites sont favorables à l’interdiction de certains aspects de la vie courante, tels que les cuisinières à gaz, les voitures à essence, les déplacements non essentiels, les véhicules utilitaires sport et l’air conditionné privé. Entre 68 et 81 % des diplômés de l’Ivy League sont d’accord. Mais pas plus de 25 % des électeurs inscrits en général ne sont favorables à de telles interdictions.

On a demandé aux personnes interrogées si elles préféraient un candidat politique « qui dit que les enseignants et autres professionnels de l’éducation doivent décider de ce qui est enseigné aux élèves » ou « un candidat qui dit que les parents doivent avoir plus de contrôle sur ce qui est enseigné à leurs enfants ». Soixante-sept pour cent des élites préfèrent donner plus de pouvoir aux enseignants et aux autres professionnels ; 71 % des diplômés de l’Ivy League sont de cet avis ; mais seulement 38 % des électeurs inscrits sont de cet avis, 45 % étant en faveur d’une plus grande autorité des parents.

Le rapport et les sondages sur lesquels il s’appuie sont trop récents pour refléter les préoccupations de l’époque de la pandémie. Mais il est facile d’imaginer que les frictions et les protestations qui en ont résulté étaient inévitables lorsque des fonctionnaires de la santé publique, bardés de diplômes et occupant des emplois bien rémunérés, ont imposé des politiques restrictives pour lutter contre le COVID-19 à des personnes qui estimaient que leurs libertés étaient déjà trop restreintes.

[…]

Bien entendu, le rapport révèle que « 70 % des élites font confiance au gouvernement pour faire ce qu’il faut la plupart du temps, soit plus du double de la moyenne nationale. Parmi les membres les plus actifs de l’élite sur le plan politique, ce chiffre atteint le chiffre stupéfiant de 89 % ».

[…]

« Le développement continu du parti démocrate en tant que parti non pas des travailleurs, mais des élites socio-économiques, et le développement continu du parti républicain en tant que parti non pas des entreprises, mais des conservateurs sociaux de la classe ouvrière représentent un développement politique américain majeur, peut-être le plus important du 21e siècle », selon un article publié en 2023 par Eitan Hersh de l’université Tufts et Sarang Shah de l’université de Californie à Berkeley.

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale




Commencement d’année : tristesse ou espoir ?

Par Christian Darlot

Tandis que les massacres sont filmés en direct sans que les spectateurs horrifiés puissent rien faire pour les atténuer, sans que même la Cour de Justice Internationale puisse les arrêter, pendant que les Israéliens génocident les habitants de Gaza pour agrandir le lebensraum et coloniser entièrement la Palestine devenue palästinienrein, la France sombre dans le vaudeville. L’Élysée-spectacle présente sa nouvelle attraction de début d’année, mix de Fellini et de Cage aux folles. On regretterait presque la féerie précédente, avec Babette en meneuse de revue, bas résille, tronche en biais et rideau de fumée vapotante. Vaporisée par les 23 coups de 49-3 tirés pour imposer des réformes (entendez : régressions) abjectes, la vapoteuse est virée. Et quand la Borne est virée, il n’y a plus de limite. La nouvelle escouade n’est pas un gouvernement, c’est une gay-pride, dont seuls les participants en marche tirent fierté, ravis de ne pas tirer le Diable par la queue et d’avoir tiré leur coup politique en public. Ceux qui ne sont pas déjà connus — entendons « connus de la Justice » quand elle fonctionne encore un peu — sont d’obscurs comparses de sombres malversations, dont il est seulement clair qu’ils vendraient leur cul pour conserver leur siège. Le Conseil des ministres joue au petit train ou à la couronne. L’hymne qu’ils entonnent n’est pas La Marseillaise, mais « C’est la chenille qui commence… ! ».

Born (stein) remplacée par Attal (i) c’est bonnet noir et noir bonnet, avec toutefois une nuance de noir : une apparatchike marchant à la vapeur, au cœur sec, acariâtre et soumise, mais connaissant, sinon le monde, du moins l’administration qu’elle savait mettre au service du capitalisme de connivence, cède la place à un giton ignorant, vaniteux, sans scrupules et sans nulle expérience de rien, chargé de commettre de nouvelles ignominies : imposer l’euthanasie dont la décision échappera bientôt aux victimes — comme pendant la tragique pantalonnade covidingue — et tenter le transfert de la souveraineté nationale à la tyrannie européiste. Excellent pour faire disparaître définitivement la France, besogne prescrite depuis six ans aux équipes successives amalgamées autour du détritus.

Significativement, quoique le Premier ministre ait été remplacé, la presse ne parle pas de nouveau gouvernement, mais de remaniement, tant il est évident que le gouverneur de province placé à l’Élysée applique les ordres reçus et n’emploie le PM que comme figurant à usage domestique. Depuis le coup d’État de 2005, lors de l’AVC de Chirac et du retour de l’agent de la CIA Sarközy, la France est réduite à un protectorat de l’empire financier zanglo-zélu, dont les fondés de pouvoir sont tenus par le chantage et imposés au peuple par une propagande intense et l’absence d’alternative réelle. Le déchet accomplit la mission assignée par ses maîtres : humilier la France et accabler les Français, pour préparer le coup de force européiste annoncé, supprimant le peu de démocratie résiduelle et vassalisant les États à un pouvoir étranger, non élu et atlantiste. D’où le choix de politichiens grotesques. Peut-on confier un armement atomique et un siège permanent au Conseil de sécurité de l’ONU à une telle bande de branquignols ? Certes pas. La sûreté du monde sera donc mieux garantie par le sérieux germanique de la Commission européenne, sous contrôle anglo-saxon et financier !

Outre la préparation du carnaval, le char à voile et à vapeur où s’est juché le ramassis de pantins qui se croient ministres a un autre rôle dont ces bateleurs ne sont sans doute même pas conscients : accélérer l’instauration du totalitarisme mondial. En effet, le tempo de la covidinguerie a été plus lent qu’escompté, cette peste d’entrée de gamme n’a pas causé autant de morts qu’espéré, ni assez abattu les courages. Hâte maladroite dans la mise en œuvre, excès de propagande, résistance passive ou active inattendue, doute se répandant dans la population : l’affaire est à demi ratée. La résistance se raidit, et, voyant leurs proches succomber à des maux foudroyants, même les naïfs, pikouzés comme des veaux en batterie, commencent à comprendre qu’ils ont été trompés. En même temps, la guerre contre la Russie déçoit les matamores, quoiqu’elle réussisse à faire s’entretuer deux peuples très proches, au vrai deux rameaux d’un même peuple, et à les saigner convenablement.

Nul plan n’est parfait, et les conseillers de l’oligarchie ont prévu des variantes pour atteindre le but final d’asservir une population mondiale assez réduite pour être contrôlable. Il faut donc passer à un plus grand braquet. Et si cela ne marche pas ce coup-ci, on y reviendra plus tard. L’oligarchie n’est jamais arrêtée par un scrupule et ne renonce jamais.

Pour les dirigeants de l’empire financier, la France était à envoyer par le fond. C’est fait. Le bateau coule normalement. Même si un gouvernement patriote pouvait être constitué, il faudrait longtemps pour pomper et remettre à flot, dans un monde ayant beaucoup changé.

Pour le gouvernement d’un petit État côtier du Proche-Orient, la France doit rester la base arrière. Dans la partie ouest de la Palestine, des affiches interrogent les dirigeants de plusieurs pays sur leur réaction si leur conjoint était retenu en otage. Macronescu est ainsi interpellé sur ce qu’il ferait si tel était le sort de Jean-Michel. Chantage d’État, à prendre au sérieux tant est longue la liste des coups fourrés commis par des gens au caractère maussade. Rappel du risque de vouloir s’émanciper, ces affiches sont moins adressées à la marionnette qu’à ses animateurs. Elles révèlent une divergence d’intérêts entre deux factions : les mondialistes, et les suprémacistes qui tiennent ce petit État côtier. Pour ne pas compromettre leur buzyn-esse, les mondialistes ne se commettent pas avec les criminels, et les critiquent à demi-mots. Donc les criminels rétorquent en menaçant de révéler une partie du secret de Polichinelle. Passe d’armes restant toutefois dans les limites du partage du pouvoir. Forts de leurs bombes H et de leurs comparses partout infiltrés, les assassins s’efforcent d’étendre leurs ravages.

Comment ils tiennent le minus ? Tafiote avérée maquée à un travelo, acteur et menteur professionnel, fourbe par instinct, mais peu apte à penser, insolent comme un valet de comédie, méprisant le peuple, mais obséquieux envers les maîtres qui l’ont fabriqué (rappelez-vous le changement de classement à l’ENA), le microbe obéit chaque jour aux injonctions transmises via un collaborateur demi-zélu et malfrat intégral. Pour rappel, tout est factice dans ce suppôt de McKinsey et laquais de la maison Blasonrouge, dont il porte la livrée. Sa fulgurante carrière dans la maison suggère qu’il est de la famille par quelque main gauche. On ne sait rien de son origine, si ce n’est qu’il n’est ni le fils de ses parents ni le frère de son frère, mais ressemble comme deux gouttes d’eau à un prétendu cousin de sa supposée « femme », femelle improbable dont le passé réel est tout aussi occulté. Ressemblance n’est pas preuve, mais le portrait de feue Liliane Blasonrouge a circulé comme celui d’une aïeule possible. Vrai ou faux ? Par son visage banal, le rebut paraît apparenté à la moitié de l’Europe. Mais peut-être des fouinards facétieux ont-ils remonté la trace généalogique, ou ont-ils suivi la piste des millions obtenus par la grâce de trois opérations financières, et évaporés depuis. Ce traître d’opéra-bouffe — nuisible cependant très efficace — joue admirablement le rôle du bâtard de grande famille, utilisable pourvu qu’on le paye et qu’un mirage miroite, mais destituable pourvu qu’une sinécure lui soit octroyée afin de ne pas décourager d’autres créatures. Aiguillonner cet animau est l’enfance de l’art pour des professionnels. Ils le feraient sauter à travers un cerceau enflammé.

Incidemment, le bruit a couru que Sainte Greta, désormais à la retraite, aurait été reconnue par la famille Blasonrouge, authentiquement authentifiée, estampillée, tamponnée comme une carcasse de génisse par un vétérinaire. Ainsi on aurait pu dire que rien n’avait été caché. Mais, grande déception, ce serait une fausse nouvelle, une fabulation infondée. Selon une autre rumeur, la famille serait représentée par la madame qui cornaque l’héroïne. Mystère. On prête facilement aux riches banquiers.

Quoiqu’il en soit, chacun peut constater qu’en France et aux E-U l’oligarchie a nommé aux postes décisifs des zélus, côté paternel ou maternel, ou les deux. Sur ce point, mondialistes et suprémacistes s’accordent. C’est bien commode : toute critique peut être taxée d’antisémitisme. Les petites mains couvertes de cambouis sont souvent celles de femmes, africaines si possible : ouh, les vilains misogynes racistes ! Les Français accablés paraissent d’autant plus résignés à être soumis à des intérêts étrangers qu’il est impossible de dire en public ce que tout le monde se dit en privé. Situation malsaine.

Depuis huit décennies, l’oligarchie agite le souvenir de l’affreuse persécution nazie, dont elle était à l’abri et qu’elle ne chercha pas sérieusement à empêcher. Prétexte à faire taire toute contestation de son pouvoir, elle en use et abuse sans retenue depuis qu’ont disparu les témoins de cette horrible réalité, à présent amplifiée jusqu’au dogme religieux. Outrage scandaleux à la mémoire des victimes. Insulte aussi aux petits zélus, maintenus dans la peur pour qu’ils marchent dans la combine. Le mythe les persuade de se croire plus proches de leurs coreligionnaires que de leurs voisins. Ils ne comprennent pas qu’en cas de bourrasque les grands les laisseraient tomber, comme ils ont laissé les fourreurs et les bottiers de Pologne être exterminés, prétexte à ouvrir leur succursale au Proche-Orient.

Or les abus des grands font lever l’orage.

Tout cela tournera mal.

Hélas, on voit que de tout temps/les petits ont pâti des sottises des grands.

La Fontaine (Les deux taureaux et les grenouilles).

L’espoir doit-il cependant disparaître ?

Les gouvernements des États du continent européen se comportent de plus en plus en bureaux de gérance provinciaux, assujettis à la structure englobante, engluante, l’Union européenne pilotée de Washington et de la Cité de Londres. Le prévôt mandaté, l’Allemagne, est un pays soumis, occupé militairement, dont les veules dirigeants ont confirmé leur servilité en acceptant sans protester la destruction du gazoduc et les allégations rocambolesques sur les fauteurs du sabotage. Ces va-t-en-guerre flasques grugent leurs concitoyens. Toutefois, après les Néerlandais, les Allemands manifestent. Le peuple allemand regimbe enfin, plutôt que d’obéir comme toujours à ses dictateurs. Réjouissons-nous ! Les agriculteurs français se rebiffent à leur tour, et pourraient être rejoints par tous ceux que le libre-échange appauvrit depuis des décennies. Cette effervescence sera-t-elle efficace ? À court terme peut-être pas, mais les peuples d’Europe finiront par se soulever : à temps ou trop tard ? Les Étasuniens sont-ils moins inhibés ? Puisque le peuple est plus exposé à tomber dans la misère aux États-Unis qu’en Europe, une véritable révolte pourrait éclater.

Dans tous les pays soumis à l’empire du mensonge, le peuple pourrait bientôt contraindre l’oligarchie à mettre à l’eau des radeaux de la Méduse. Tâchons d’aider à scier les planches.

Gardarem lo moral !