Le HMS Queen Elizabeth a rejoint deux porte-avions américains près de Taïwan, où la Chine accentue sa pression militaire

[Source : opex360.com]

PAR LAURENT LAGNEAU

En 2020, Taïwan fit état de 380 incursions de la composante aérienne de l’Armée populaire de libération [APL] dans sa zone d’identification de défense aérienne [ADIZ], ce qui constituait un record depuis la troisième crise du détroit de Formose, en 1995-96. Cette année, plus de 500 incursions aériennes chinoises ont d’ores et déjà été constatées par Taipei… Ce qui met ses forces aériennes à rude épreuve.

Depuis quelques moins, il n’est plus question pour l’APL d’envoyer une patrouille de seulement quelques appareils dans l’ADIZ de Taïwan. Les formations qu’elle y envoient sont toujours plus imposantes et virent à la démonstration de force. Le but? Tester la défense taïwanaise, user son potentiel et faire passer le message que Taipei ne pourra pas s’opposer à la puissance chinoise, même en multipliant les achats d’équipements militaires, principalement [voire exclusivement] auprès des États-Unis.

En janvier, la plus importante formation chinoise repérée dans les environs de Taïwan en une seule journée comptait une quinzaine d’appareils. Puis une vingtaine en mars et près d’une trentaine en juin. Le 1er octobre, jour anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine, ce sont pas moins de 38 appareils, en deux vagues, qui ont été envoyés dans l’ADIZ taïwanaise. Un record. Mais on en était qu’au début…

Le lendemain, en deux fois, 39 avions de l’APL ont patrouillé dans l’ADIZ de Taïwan, plus précisément dans une zone située dans le sud-ouest de l’île considérée comme « rebelle » par Pékin. À la différence de la veille, aucun bombardier stratégique H-6, à capacité nucléaire, n’a été répéré. Même chose durant la journée du 3 octobre, où « seulement » 16 avions chinois ont une nouvelle fois été envoyés en mission dans les environs de taïwan.

Ce jour-là, les États-Unis ont fini par réagir à cette intense activité de l’APL, en se disant « très inquiets ». Et le porte-parole de la diplomatie américaine Ned Price, a dénoncé des « provocations militaires » considérées comme « déstabilisatrices » pour la « paix et la stabilité régionales ».

« Nous exhortons Pékin à cesser ses pressions militaires, diplomatique et économique, et sa coercition contre Taïwan », a déclaré M. Price, avant de réaffirmer « l’engagement indéfectible » des États-Unis auprès de Taïwan.

Mais cette déclaration n’a eu aucun effet… puisque, ce 4 octobre, l’APL a envoyé pas moins de 52 avions dans l’ADIZ taïwanaise en une seule vague, dont 36 chasseurs [34 J-16 et 2 Su-30], 2 appareils de patrouille maritime Y-8 ASW, 2 KJ-500 pour le guet aérien et, surtout 12 bombardiers stratégiques H6. Ce qui, sauf erreur, n’avait jamais été vu jusqu’à présent.

Dérivé du Tupolev Tu-16 soviétique, le H-6 a constamment été modernisé par l’APL. S’il a une capacité nucléaire, ce bombardier peut emporter jusqu’à 9’000 kg de bombes et/ou de missiles air-mer et air-sol. Certains modèles ont été modifiés pour tirer des armes hypersoniques.

Durant ces quatre derniers jours, les appareils de l’APL – 145 au total – ne se sont aventurés qu’une seule fois vers la partie orientale de Taïwan, là où sont situées deux bases stratégiques pour la défense de l’île.

Toutes les autres incursions ont concerné les îles Pratas qui, placées sous la juridiction de Taipei, ne manquent pas d’intérêt pour la Chine dans la mesure où leur contrôle lui permettrait de surveiller les mouvements des navires et des avions – américains – se dirigeant vers la mer de Chine méridionale depuis l’océan Pacifique, tout en tenant à l’oeil le canal de Bashi qui, en plus d’être un passage important pour les opérations militaires, est primortal pour les réseaux de communications au regard du nombre de câbles sous-marins qui y ont été installés, au point d’en faire l’un des principaux point de défaillance potentiel d’Internet.

D’ailleurs, non loin de là, trois groupes aéronavals – deux américains et un britannique – constitués autour des porte-avions USS Ronald Reagan, USS Carl Vinson et HMS Queen Elizabeth, ainsi que plusieurs navires venus du Japon, du Canada et de Nouvelle Zélande, ont effectué un exercice conjoint au cours de ces derniers jours.

Pour rappel, le HMS Queen Elizabeth compte 18 avions F-35B à son bord [dont dix de l’US Marine Corps] tandis que le groupe aérien embarqué de l’USS Carl Vinson est le premier à compter des F-35C parmi ses aéronefs. D’ailleurs, celui-ci a des capacités qui sortent de l’ordinaire dans la mesure où l’accent a été mis sur la guerre électronique, avec sept avions de guerre électronique E/A-18 Growler [au lieu de cinq habituellement] et cinq appareils de guet aérien E-2D Hawkeye [contre quatre].

Photos : Ministère japonais de la Défense




Scandale de la crise covid-19 : un panorama des liens et possibles conflits d’intérêt

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pixabay FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Une enquête en immersion dans la « fricosphère »

La bulle science est-elle bien couverte ? Pure et sans tache, exempte d’éléments matériels froids, métalliques, pouvant la salir ? Debout ! Tournez donc le dos aux conflits d’intérêt nuisant à l’intérêt du patient ! Au garde-à-vous devant la Vertu ! Les médecins auraient-ils étudié la médecine seulement pour l’argent, ou plutôt, nous l’espérons, pour soigner nos semblables ?

Trois panoramas ont déjà été publiés évoquant tour à tour :

  • le panorama de l’escroquerie (diagnostic, traitement et vaccin) – le Pr Buzyn et le Pr Karine Lacombe ont été mises en examen quelques jours après.
  • celui du harcèlement organisé contre l’IHU et le Professeur Raoult – que le Pr Raoult n’a pas hésité à dénoncer comme de la « délinquance antiélitisme ». Des plaintes ont été constituées ou vont l’être.
  • Et pour finir celui autour de RéInfoCovid, le collectif créé par le Dr Fouché et plus particulièrement de l’association RéInfo Liberté – pour lequel l’avocat Me Heringuez a dû se fendre d’un courrier de mise en demeure au journal « le Monde » pour avoir enfreint le code de déontologie journalistique à plusieurs reprises.

Quelques pépites dans ces enquêtes. Voici aujourd’hui, la suite sur les conflits d’intérêts et comment se plonger dans l’analyse et leur identification. Remontant la chaine des liens éventuels à partir d’ exemples concrets. « Qui est le jouet des apparences se laisse séduire par des mensonges ». écrivait Anatole France en 1901 . 

Avant-propos

Inutile de revenir en longueur sur ce qu’a déjà mis en lumière FranceSoir quant aux conflits d’intérêts de l’OMS ou aux conflits d’intérêt financiers des médecins plateaux TV parmi lesquels le Professeur Lacombe reléguée au pied du podium – un petit rappel suffit :

Pas plus qu’il n’est utile de revenir sur les essais cliniques randomisés que le chercheur Valère Lounnas décrivait comme « la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques ».

Voici un petit exemple pratique autour d’un article scientifique pouvant mettre le lecteur sur la voie et faire comprendre comment un article peut être entaché de liens d’intérêts modifiant ses conclusions. Et faire taire ceux qui se mettent à hurler sur les réseaux sociaux dès que leurs turpitudes sont mises à jour. L’inélégance du hérisson urticant (@Sonic_Urticant identifié dans la harcelosphère contre l’IHU) ou le spécialiste du publireportage Pokemon @Willvs (alias William Audureau du Monde).

Le commencement passe par une analyse méthodique. Pour cela nous ferons appel à la méthode des « no Fake med » (groupe s’étant violement opposé à la recherche de l’IHU du Pr Didier Raoult pour des raisons de faiblesses méthodologiques !). Deux groupes sont nécessaire.

  • Un contrôle et
  • un soumis au dictat des intérêts matériels.

Le groupe contrôle

Pour commencer nous prenons l’étude italienne sur 3500 patients qui concluait à un bénéfice significatif du traitement des patients hospitalisés covid-19 avec l’hydroxychloroquine. Résultat : une baisse significative statistiquement de la mortalité de 30%.

Ce résultat correspond à celui observé à l’IHU du Pr Raoult sur la cohorte de 2000 patients hospitalisés (30% de baisse du risque de décès).

La réplicabilité des résultats est retrouvée dans deux autres études avec des cohortes similaires. En Italie, l’étude Di Castelnuovo sur 4000 patients – avec un bénéfice confirmé chez les patients à risque faible avant traitement. Cateau et al en Belgique reproduit aussi le bénéfice pour l’hydroxychloroquine. Autant pour les « no fake med » qui disent que le consensus scientifique conclut que l’hydroxychloroquine ne marche pas.

Le groupe à analyser

En continuant le parallèle, il est important de regarder le groupe à analyser. En l’occurrence les études ne reproduisant pas les résultats ci-dessus. Sands et al 2021 montre qu’il n’y a pas de bénéfice clinique chez les patients hospitalisés. Essayons de comprendre pourquoi ?

Le premier réflexe est de chercher les différences dans les conditions expérimentales ou des biais systématiques – suspecter un conflit d’intérêt.

Pourquoi tant de discordance et un effet diamétralement opposé ?

D’un côté un effet bénéfique prouvé dans de nombreux articles et de l’autre un effet délétère ? Ceci défie toute logique, y compris celle affectée des No Fake med.

Analysons ! Quels sont les biais ? Recherchons les conflits d’intérêt. A première vue, tout va bien, les auteurs ne déclarant pas de conflit d’intérêt.

Analysons plus en détail. Y aurait t-il (ô subtilité !) un lien d’intérêt ? Oui, la recherche a été financée par « HCA health system ». C’est le second réflexe à avoir – demander qui paie la recherche et les auteurs ?

Dans le cas présent, bien que les auteurs n’aient pas été payés directement par HCA health system, ceci constitue sans aucun doute un paramètre à prendre en compte. Il faut aussi bien regarder les affiliations des auteurs.
Et, oui les auteurs, employés HCA health system, doivent leur poste et leur travail à qui les emploie.

Les auteurs sont payés par le financeur de la recherche exposée dans l’article.

Cependant il faut chercher plus loin pour comprendre. A commencer par la taille des enjeux financiers. Oui, le pouvoir et l’argent mènent ce monde étranger à ses origines, depuis la chute des valeurs ou perte de bien des repères.

Qui est HCA health system ?

Le plus grand groupe hospitalier privé au monde avec 50 milliards de dollars de chiffres d’affaire en 2020. Le réflexe 2 est donc d’analyser la taille des enjeux financiers. 50 milliards ce n’est pas une paille.

Comprenons que HCA health system a une vocation lucrative et non pas humaniste et académique. Le bien-être du patient ne serait ainsi pas, pour cette corporation, une priorité !

Continuons par paraphraser Monsieur Philippe de Villiers, nous dirons que nous avons tiré sur le fil du conflit d’intérêt et tout est venu.

Le réflexe 4 est donc de clarifier les financeurs du financeur de la recherche. Regardons les actionnaires de la société HCA. Vanguard, un financier américain, truste sept des quinze premières places en terme d’actionnariat.

Continuons à tirer sur le fil de la pelote en remontant les actionnaires. Les médias mainstream diraient-ils que nous complotons?

Non, nous enquêtons – Vanguard Blackrock serait un financeur majeur en lien avec HCA health system.

Et nous associons et synthétisons nos découvertes.

Nous découvrons, ô hasard, que Vanguard Blackrock est un financeur indirect d’Elsevier, la maison d’édition du fameux (fake) article concluant en la nocivité de l’hydroxychloroquine.

Et nous tombons aussitôt sur les liens unissant SPILF – ELSEVIER- et le Dr Nathan Peiffer Smadja qui a été un des « négationnistes de l’efficacité de l’hydroxychloroquine » et un « promoteur du Remdesivir » (section plus bas dans l’article). A commencer par sa fameuse méta-analyse qu’il n’a sans doute pas écrite (contrairement à ce qu’il a affirmé par écrit sur l’article) car il n’était pas auteur dans la prépublication, et par des colloques SPILF.

https://www.elsevier.com/fr-fr/clinical-solutions/evenements/serie-infectio-le-point-sur

Parallèlement le Professeur Karine Lacombe tente de faire la promotion de ce traitement sur des critères intermédiaires (durée d’hospitalisation diminuée grâce à ce traitement, sans jamais mentionner les effets indésirables ni l’absence d’impact sur la mortalité).

Parallèlement, nous remarquons que le journal dans lequel est paru l’article incriminé est celui d’une société savante « International Society for Infectious disease (ISID) »… financée par… Pfizer.

Tirons la pelote. Les « No fake med » opposants affichés à l’IHU vont-ils apprécier ? Ils devraient puisqu’ils sont les champions du monde de l’intégrité !

Tirons la pelote et apparaît encore Vanguard Blackrock, financeur de Pfizer.

Patience, tirons encore un peu sur le fil ! Soyez attentifs, lecteurs, journalistes et médecins des plateaux TV !

Il ne reste plus qu’à reconstituer le puzzle et regarder tous ces liens pouvant entacher l’intégrité scientifique.

Pfizer et le vaccin d’un côté, Gilead et le Remdesivir de l’autre

Rappelons le LIEN d’intérêt unissant le jeune Docteur Nathan Peiffer Smadja avec la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), et son mentor le Professeur Yasdan Yasdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. L’association savante des infectiologues français a des liens si étroits avec Gilead que le laboratoire américain sponsorise les badges de leur colloque annuel

Rappelons (nous l’avions mentionné en début d’article) que François-Xavier Lescure de Paris – Bichat (qui a reçu de l’argent de Gilead) est l’adjoint du Pr Yazdan Yazdanpanah. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine.

Peut-être est ce pour cette raison que le jeune Nathan a recommandé le Remdesivir dans un « élan fougueux ». Cela a déjà été écrit mais rappelons les faits : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-diagnostic-traitements-vaccin-panorama-dune-escroquerie

Son thread fait croire que le HCSP a recommandé, en mars 2020, des thérapies cliniques alors que ce n’est pas sa mission. L’avis disait à Mr Véran de prendre un arrêté pour usage compassionnel du #remdesivir, ce qu’il n’a pas fait.

Attention, les conséquences sont concrètes ; cet article relate la toxicité de ce médicament utilisé à l’hôpital Bichât chez François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah (et donc chez le Dr Nathan Peiffer-Smadja).

Sur cinq patients, quatre effets indésirables hépatiques et/ou rénaux, dont deux patients en dialyse !

Mais, intérêt oblige le délire continue ! https://twitter.com/VirusWar/status/1439159792921190405?s=20

Autorisation en décembre 2020

Autorisation en juin 2021 !

Et pourtant une nouvelle étude parue dans le Lancet confirme l’absence d’intérêt du Remdesivir :

Attention, concernant la malhonnêteté, il y a des cas particuliers…

Il ne reste plus qu’à finir l’analyse par une bonne méthodologie pour faire plaisir aux « No Fake Med » que certains n’hésitent pas à décrire comme des « scientistes étroits ». Le « cas contrôle » n’avait pas de liens financiers pouvant influencer ses conclusions.

Pour conclure, quand vous lisez un article scientifique, n’hésitez pas à remonter le fil des financements et des liens d’intérêt; reconstituez vous-même le puzzle !

Rappelons que certains avocats ont déjà déposé des plaintes à la Cour pénale internationale et n’hésitent plus à le comparer au procès dit de Nuremberg.

Si vous êtes arrivés jusqu’ici, ne croyez pas un mot de ce qui est écrit, vérifiez par vous-même.

Enquête réalisée par la rédaction de FranceSoir avec le Collectif Citoyen.

Auteur(s): FranceSoir




Connaissez-vous le Dolder Club ?

[Source : economiedistributive.fr via Geopolintel]

Le « DOLDER Club »

par B. BLAVETTE

Le Dolder Grand est un hôtel cinq étoiles situé dans la forêt, sur les hauteurs entourant la ville de Zurich. Avec ses tours, ses tourelles, ses colombages, le bâtiment semble sorti d’un film d’aventures ou d’espionnage.

C’est en ce lieu, à la fois ultra luxueux et discret, qu’en 1970 une trentaine de hauts dirigeants de l’industrie pharmaceutique mondiale choisissent de se réunir pour la première fois. Depuis cette date, la rencontre se déroule une ou deux fois par an dans divers pays du monde et a adopté en toute modestie le terme de « Dolder Club » qui dans divers patois allemands et en alsacien désigne « la cime la plus haute, qui domine toutes les autres ».

C’est tout à fait par hasard que j’ai appris, il y a quelques semaines, l’existence du Dolder Club par l’intermédiaire d’un site faisant la promotion de la santé naturelle par les plantes.(([1] Il s’agit de « La lettre directe santé ». Attention, la fiabilité générale de ce site me semble par ailleurs incertaine du fait de ses attaques sans nuance à l’encontre de la médecine allopathique.)) Car, plus encore que le « Groupe de Bidelberg », cette réunion est ultra confidentielle. Le Dolder Club ne possède pas de site internet, nulle mention n’en est faite sur le site de la Fédération Internationale des Fabricants Pharmaceutiques (IFPMA pour Inter­national Federation of Pharmaceutical Manufacturers) qui en est pourtant l’organisatrice, nulle mention non plus dans les agendas des divers participants.

La dernière réunion du Dolder Club s’est tenue à Paris les 7-8-9 juillet 2018. Mais cette fois l’anonymat intégral avait été brisé par une dépêche de l’AFP, reprise par différents organes de presse (La Croix, Le Point, Le Monde…), qui relate succinctement la rencontre et précise que le groupe a été reçu le 9 juillet au soir par Emmanuel Macron bien que ne figurant pas sur l’agenda officiel du Président. Le site internet de l’Elysée ne comporte pas non plus de compte rendu de ces discussions. L’AFP a pu se procurer la liste des participants au Dolder Clu : sans surprise on rencontre Jaquin Duato, le dirigeant de Johnson and Johnson, N°1 mondial (USA), Kenneth Frazier, PDG de Merck and Co (USA), Lars Fruergaard Jorgensen du laboratoire Navo Nordisk (Danemark), Pascal Soriot PDG de AstraZeneca (GB/Suède), Christophe Weber le directeur français de Tadeka (Japon)… La réunion est présidée par une vieille connaissance, Serge Weinberg, Président du Conseil d’Administration de Sanofi. Ce personnage s’est particulièrement illustré par son intransigeance dans le cadre du scandale de la Dépakine, cet anti épileptique produit par Sanofi qui, administré aux femmes enceintes, engendre des enfants mentalement handicapés. Selon un rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) du 22/6/2018, entre 16.600 et 30.400 enfants exposés à la Dépakine avant la naissance seraient atteints de troubles du comportement. Mais le pire c’est que tout porte à croire que Sanofi connaissait les effets délétères de la Dépakine depuis au moins le milieu des années 80 grâce à un rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS).(([2] Voir l’excellent article du magazine Capital du 22/10/2018.)) Pourtant l’affaire de la Dépakine ne s’arrête pas ici. Le lundi 9 juillet 2018 l’association France Nature Environnement publiait une étude montrant que l’usine Sanofi de Mourenx dans les Pyrénées Atlantiques (qui fabrique notamment la Dépakine) procédait régulièrement et depuis plusieurs dizaines d’années à des rejets toxiques dans l’atmosphère dépassant… 90.000 à 190.000 fois, suivant les cas, les normes admises. À la suite de ces révélations l’usine a été fermée pendant deux mois, le temps pour Sanofi de procéder à « quelques ajustements ». Puis la production a repris, « business as usual ». France Nature Environ­nement a déposé une plainte qui, comme d’habitude, n’est pas suspensive… Il est vrai que l’année précédente (le 7/10/2017) Christophe Castaner avait déclaré lors d’une visite du site de Sanofi à Sisteron « On ne doit pas critiquer des entreprises qui réussissent comme Sanofi » et Édouard Philippe avait renchéri (le 17/10/2017) devant l’Assemblée Natio­nale à propos de Sanofi : « Il ne faut pas dénigrer une entreprise française qui fonctionne bien ». Le cynisme, allié à la bêtise, de ces deux perroquets atteint ici des sommets. Il faut ajouter aussi que Serge Weinberg doit se penser intouchable, lui qui est un ami proche d’Emmanuel Macron, lui qui a largement contribué à son élection. En effet les deux hommes se sont rencontrés dans le cadre de la « Commission Attali pour la libération de la croissance » mise en place par Nicolas Sarkozy et ont rapidement sympathisé. Serge Weinberg était alors Président du Conseil d’Administration du groupe Accor et PDG du fond d’Investissement Weinberg Capital Partner et Emmanuel Macron, Inspecteur des Finances et Rapporteur général adjoint de la Commission. Par la suite Weinberg introduira Macron dans la Banque Rothschild et le soutiendra pendant toute la campagne électorale. Selon le député de la France Insoumise François Ruffin, lors de la réception donnée à l’Elysées à la suite de son élection, Macron fendra la foule de manière très remarquée pour donner l’accolade à son ami Serge…

Il n’est guère étonnant dans ces conditions qu’Emmanuel Macron « soigne les industriels du médicament » comme le déclare France-Info du 10/7/2018.(([3] Remarquons que suivant Le Canard Enchaîné du 7/6/2017 et Wikipédia, l’actuelle Ministre de la santé, Agnès Buzyn, a tissé tout au long de sa carrière dans des organismes publics des liens très étroits avec plusieurs grands laboratoires pharmaceutiques, ce qui a donné lieu à de multiples conflits d’intérêts. Agnés Buzyn a notamment effectué de nombreuses missions rémunérées pour Novartis, Bristol-Myers Squibb et, entre 1998 et 2011, le laboratoire Genzyme, filiale étasunienne de… Sanofi !)) En fait, selon RFI, la date de la réunion ne doit rien au hasard, elle permet aux membres du Dolder Club de participer au Conseil Stratégique des Industries de Santé (CSIS) qui s’est tenu le 10 juillet à l’Hôtel Matignon sous l’égide du Premier Ministre. Cette rencontre, qui se déroule tous les deux ans depuis 2004, est sensée établir un dialogue qui peut apparaître utile entre l’État et l’industrie pharmaceutique. Cependant, au fil des années, le CSIS s’est transformé en opération de lobbying permettant aux grands groupes pharmaceutiques de présenter, on pourrait même dire imposer, leurs revendications. Et ces revendications sont nombreuses.

À l’issue de la réunion, Édouard Philippe a annoncé deux mesures phares auxquelles l’industrie pharmaceutique est très attachée :

  • La réduction à 180 jours des autorisations de mise sur le marché des nouveaux produits, au lieu de 300 jours actuellement. Ceci en dépit des multiples scandales qui secouent actuellement le secteur pharmaceutique : Médiator, Lévo­thy­rox, Dépakine, implants mammaires….
  • Un nouveau système de régulation du prix des médicaments : une garantie minimale annuelle de 0,5% de croissance du chiffre d’affaire pendant les trois ans à venir, garantie pouvant aller jusqu’à 3% pour les médicaments dits “innovants”. Mais qui décidera qu’une molécule est réellement innovante ? Mais comment est-il possible qu’une entreprise privée puisse se voir offrir par la collectivité une garantie de croissance ?

Parmi les revendications que les laboratoires espèrent pouvoir faire aboutir dans un futur rapproché on citera notamment l’obligation de la vaccination contre la grippe pour les plus de 65 ans (tout comme les fournisseurs d’eau, l’industrie pharmaceutique adore les consommateurs captifs), le déremboursement, voire, dans certains cas, l’interdiction des médecines alternatives : homéopathie, utilisation des huiles essentielles…

Le marché mondial du médicament avoisine les 830 milliards d’euros annuels, ce qui donne à ses acteurs une formidable force de frappe.

On peut considérer qu’aujourd’hui l’industrie du médicament est hors de tout contrôle, qu’elle impose sa loi aux États ainsi qu’aux instances internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) par une généralisation de la corruption et du conflit d’intérêts. Il s’agit là d’une atteinte supplémentaire à nos processus démocratiques.

Ajoutons qu’il m’a été impossible de connaître le lieu et la date de la prochaine réunion du Dolder Club en 2019.

Ainsi une fois de plus notre avenir collectif se décide dans des instances illégitimes, dans la plus parfaite clandestinité, dans l’indifférence générale…

Note de la rédaction :

Nous aurions aimé, par une photo, faire admirer à nos lecteurs cet hôtel absolument extraordinaire. Il aurait fallu pour cela payer à cet hôtel des droits d’auteur, ce dont nous pensons qu’il n’a pas besoin.

Mais sur internet, à l’adresse : The Dodler Grand,
vous pouvez admirer l’hôtel et son site par une foule de très belles photos… et même retenir une chambre pour vos vacances, (entre 600 et 900 € la nuit).





Comment la peur court-circuite le raisonnement

[Source : Nexus via reseauinternational.net]

Détournement de l’amygdale du cerveau : tous hackés par le narratif de la peur ?

Avec la crise du Covid-19, nombre de Français ne comprennent plus certaines réactions de leurs proches face à la réalité. Nous avons constaté ces derniers mois qu’il est de plus en plus difficile de discuter de certains aspects de la gestion sanitaire avec des collègues, des amis, voire la famille. Le clivage, le jugement ou le déni, semblent être devenus la nouvelle normalité dans la société et l’amygdale de notre cerveau n’y est certainement pas pour rien…

Face à l’évocation de certains faits qualifiés de « fake news » par les médias mainstream, aussitôt se met en place une stratégie d’évitement, voire de conflictualité. La peur de voir la réalité dans son ensemble s’est-elle emparée du raisonnement dans la société depuis notre amygdale ? Il s’avère que cette partie de notre cerveau joue un rôle déterminant dans le rapport à la réalité et à la manipulation de la population.

◆ L’amygdale du cerveau, la gardienne des souvenirs émotionnels

Nous savons tous que nous avons des amygdales au fond de la gorge, mais le « complexe amygdalien » du cerveau est quant à lui peu connu, il est aussi appelé amygdale. C’est un groupe de cellules en forme d’amende situé derrière l’os temporal, au niveau des tempes. L’amygdale du cerveau sert au décodage et à la régulation des émotions. En elle, les souvenirs de joie, de tristesse, de bonheur se trouvent conservés et associés à des émotions. On parle alors de souvenirs émotionnels dont l’amygdale du cerveau est la gardienne. Elle fait partie du système limbique du cerveau, aussi appelé cerveau émotionnel qui conditionne les réponses émotionnelles et comportementales d’une personne.

◆ L’amygdale du cerveau, le système d’alarme organique

Dans notre cerveau, le complexe amygdalien est en charge de la sécurité de l’intégrité physique et psychique de son hôte. Elle a une fonction d’alarme« dédiée aux situations pouvant constituer un danger ou une menace ».

Les émotions telles que le stress, la peur, l’anxiété, l’agression et la colère peuvent l’activer. Combattre ou fuir, c’est l’amygdale du cerveau qui décide pour l’être humain, de manière autonome, sans lui demander son avis. Lorsque le complexe amygdalien détecte un danger, il signale à votre cerveau de pomper des hormones de stress, préparant votre corps à lutter pour survivre, ou à fuir pour se mettre en sécurité.

 ◆ Le lobe frontal et le raisonnement

Le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision et la planification, sans mode alerte à la différence de l’amygdale. Selon l’Institut du Cerveau, 

« Le lobe frontal est une région du cerveau responsable de la coordination motrice volontaire et du langage. Il contient notamment les aires qui contrôlent la coordination musculaire, et les mouvements de la tête et du cou comme la mastication et la déglutition. Il renferme également les centres de la mémoire, de la prise de décision, de la créativité et du raisonnement par analogie. »

Si le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision, l’amygdale peut « hacker » son système, c’est-à-dire littéralement le court-circuiter.

◆ Quand l’amygdale du cerveau détourne le lobe frontal

Le Dr Karin Gepp est une psychologue clinicienne expérimentée dans une grande variété de domaines, notamment les difficultés liées à l’humeur, l’anxiété, la psychose, les traumatismes, les dépendances, les troubles de la personnalité, les problèmes d’adaptation, la gestion de la colère et les sujets médico-légaux. Sur le site healthline.com, elle écrit ceci :

« Le détournement de l’amygdale se produit lorsque votre amygdale réagit au stress et désactive vos lobes frontaux. Cela active la réaction de lutte ou de fuite et désactive les réponses rationnelles et raisonnées. En d’autres termes, l’amygdale “détourne” le contrôle de votre cerveau et de vos réponses. »

Le Dr Karin Gepp cite également Daniel Goleman qui est un psychologue américain, docteur en psychologie clinique et développement personnel, devenu journaliste au New York Times, où il suit particulièrement les sciences du comportement. Dans son livre de 1995 intitulé « Emotional Intelligence : Why It Can Matter More Than IQ »il a baptisé cette réaction émotionnelle excessive au stress « détournement de l’amygdale ». Voici une vidéo dans laquelle il explique le processus.

◆ Le narratif de la peur vous menace de mort et de sanction

Le Directeur Général de la Santé, tous les jours, début 2020, nous annonçait les morts dues au coronavirus. Dans la mémoire émotionnelle de beaucoup de citoyens, le terme Covid-19 n’est-il pas égal à « mort systématique » ? Encore aujourd’hui, les titres des médias de masse nous annoncent sans cesse le retour de flambées épidémiques et des chiffres inquiétants. « Le Covid-19 a tué plus d’Américains que la grippe espagnole », titrait par exemple Le Parisien le 21 septembre 2021. Au Royaume-Uni, l’utilisation exacerbée de la stratégie de la peur a été récemment admise au plus haut niveau de l’État.

La musique du générique du JT de TF1 elle-même est anxiogène. Serge Llado, chroniqueur dans « On va s’gêner », l’émission de Laurent Ruquier sur Europe 1 expliquait en 2006 que ce générique semblait être construit sur l’un des thèmes de la bande originale du film d’horreur « Les Dents de la mer ».

Le citoyen ne semble plus avoir d’autre choix que d’avoir peur, se faire vacciner, et être dénigré ou menacé  jusque dans les médias s’il ne le fait pas.  À titre d’exemples, citons les propos d’Emmanuel Lechypre qui a déclaré vouloir aller chercher les non-vaccinés avec des menottes pour les faire vacciner de force, ou encore ceux du Professeur Gilbert Deray, qui a accusé les leaders antivax d’être des « criminels » sur RMC en juillet 2021.

◆ Vers un nouvel Ordre dépressif ? 

Les menaces psychologiques et le narratif mainstream permanent de la menace de mort ou de sanction peuvent déclencher la réaction de l’amygdale et des mécanismes de défense psychotiques. Notre rationalité par rapport au réel peut être en quelque sorte hackée. Avec la menace permanente de mourir et la culpabilisation, comment rester calme, rationnel, devant tant d’informations anxiogènes ? Quels stimuli ces narratifs mainstream envoient-ils à nos amygdales ? Nous conduit-on vers une dépression mondialisée ?

Sur le site neuroplasticite.com, on peut lire : « Siège de nos émotions les plus primitives, l’amygdale reçoit des afférences directes de différentes modalités sensorielles et se projette sur de nombreuses régions cérébrales, comme l’hippocampe ou l’hypothalamus. L’action amygdalienne a donc un rôle de survie car c’est elle qui nous fait réagir en une fraction de seconde à la suite d’un stimulus menaçant. L’amygdale a également un rôle important dans la reconnaissance des émotions. Les patients victimes de lésions bilatérales de l’amygdale souffrent d’une véritable anesthésie des émotions et ne connaissent plus ni l’angoisse ni le plaisir. »

D’après Serban Ionescu, psychiatre et psychologue, professeur émérite de psychopathologie à l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis : 

« Les mécanismes de défense sont des processus psychiques inconscients visant à réduire ou à annuler les effets désagréables des dangers réels ou imaginaires, en remaniant les réalités internes et/ou externes et dont les manifestations – comportements, idées ou affects – peuvent être inconscientes ou conscientes ».

Les auteurs de cette violence psychologique (en infraction à l’article 222-14-3 du Code Pénal) peuvent ainsi contrôler leurs victimes par les émotions. Selon Passeportsante.net, dans un article consacré à la manipulation mentale,

« La manipulation mentale consiste à mettre en place une emprise sur la conscience d’autrui pour pouvoir la contrôler de façon à lui faire adopter des comportements qui ne sont pas dans son intérêt. »

◆ Clivage et déni des citoyens incités par la presse

Les citoyens déclenchent ces mécanismes de défense de façon inconsciente. Ceux qui cherchent en dehors de ce qui est communément admis se voient marginalisés, ce sont des « anti-ceci », des « anti-cela », des « complotistes », etc.  Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau de façon majeure en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Trop stressés par les mantras de menace de mort et de culpabilisation, beaucoup de citoyens utilisent désormais des mécanismes de défense pour clore tout débat rationnel sur la situation Covid-19. Ces mécanismes sont essentiellement le clivage et le déni, dont ils n’ont pas conscience.

D’après le site cairn.info, dans un article intitulé  L’étude des mécanismes de défense psychotiques ; un outil pour la recherche en psychothérapie psychanalytique, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux IV de 1994 énonce que 

« les individus n’ont généralement pas conscience de ces processus lorsqu’ils sont à l’œuvre. Les mécanismes de défense opèrent une médiation entre la réaction de l’individu aux conflits émotionnels et les facteurs de stress internes ou externes. Les mécanismes de défense sont divisés conceptuellement et empiriquement en différents groupes qui se rapportent aux niveaux de fonctionnement défensif ».

Il ne faut pas oublier que les médias français sont détenus pour la très grande majorité par des groupes privés, lesquels ont besoin de vendre. Les médias à grande diffusion ne respectent pas toujours la Charte de Munich qui concerne la déontologie du journalisme, composée de 10 devoirs et de 5 droits qui tiennent sur une page. Parmi ces devoirs, on trouve celui de « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité », et celui de « Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. » Ce devoir d’information et de vérité peut manquer dans les gros titres, car le sensationnel fait vendre…

◆ Garder la tête froide et connaître les lois pour qualifier les violences psychologiques

Pour Alexandre Boisson, ex-policier garde du corps de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy et expert en sécurité systémique, le citoyen peut sortir de l’emprise de la peur et éviter de se faire hacker par l’amygdale du cerveau.

« C’est juste un entraînement à faire sur d’autres parties du cerveau. Pour sortir de ce piège, il faut rester factuel, poser des questions, s’intéresser à la loi, observer le réel au-delà de ce que raconte le communément admis et rationaliser les événements. Le citoyen doit observer, par exemple, toutes les unes des médias à grande diffusion depuis le début de la crise. Il doit les relire et les comparer au réel. Est-ce que tous les Suédois sont morts ? Que disait la presse mainstream française de tous ces réfractaires Suédois aux mesures sanitaires de confinement qu’on imposait aux Français ? Face à de telles pressions psychologiques exercées par les médias mainstream et la doxa, pressions psychologiques pouvant entrainer un état de sujétion mentale, il est important de poser des maux sur les mots. Avec Légifrance, le service public de la diffusion du droit, les citoyens disposent d’un très bon outil pour qualifier, les violences psychologiques dont ils sont victimes. Ils peuvent ainsi qualifier au regard du code pénal : les menaces d’exclusion, les pressions psychologiques, les chantages, les discriminations et autres extorsions de consentement. »

Images par Gerd Altmann et RENE RAUSCHENBERGER de Pixabay




Australie : du mirage du « zéro Covid » au cauchemar totalitaire

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Depuis maintenant plus d’un an et demi que dure la pandémie, les différents pays du globe ont adopté plusieurs stratégies, qu’elles soient d’éradication, de jugulation, de blocage ou de régulation, afin de lutter contre le SARS-CoV-2. Certains ont changé de méthode en cours de route, cherchant à s’ajuster dans l’espoir de revenir à un certain équilibre entre les mesures et leurs impacts sur le bien-être de leur population ; d’autres au contraire, ont gardé le cap depuis mars 2020 et « quoiqu’il en coûte », restent fidèles à leur objectif et peu importe les conséquences.

Parmi les stratégies utilisées par les dirigeants de la planète, la plus « ambitieuse » est à n’en point douter, celle que l’on nomme « Zéro Covid ».

Les partisans de cette stratégie « 0 » sont principalement la Chine, le Japon, la Corée du Sud, le Viet Nam, Singapour, l’Islande, la Nouvelle-Zélande et l’Australie. On peut remarquer dès lors que ce sont ; soit des pays asiatiques dont les populations sont culturellement plus enclines à accepter les restrictions sanitaires (ainsi que des restrictions de liberté pratiquées bien avant la pandémie) ; soit des îles qui permettent de faciliter contrôle des flux aériens et des entrées.

Même si l’Australie est une île, contrôler la circulation d’un virus d’un territoire grand comme neuf fois la France n’est pas chose aisée. Elle devient pourtant le symbole de cette stratégie aux yeux du monde. Si l’on se penche sur l’histoire récente de ce pays appartenant au Commonwealth, on s’aperçoit qu’il a une relation particulière avec la liberté individuelle, les restrictions, le sanitaire voire l’hygiénisme ; le sport est roi et où le corps fait l’objet d’un culte.

Par exemple, les taxes sur les cigarettes sont très élevées. Le prix moyen est aujourd’hui aux alentours de 20 AUD, soit le double qu’en France. Il y est très compliqué de fumer y compris dans un lieu public extérieur, avec en prime une interdiction formelle de jeter son mégot par terre sous peine d’amende onéreuse. Et le moins que l’on puisse dire est que cette politique installée depuis plus de dix ans fait effet, avec un taux de fumeurs d’à peine 15%, essentiellement concentré sur les classes sociales les plus précaires. (1)

Le prix de l’alcool est lui aussi fort élevé. Celui des « Spirits » a grimpé en flèche ces 15 dernières années. Il est même requis dans les bars ou dans les discothèques que les boissons soient servies à l’aide d’un doseur afin de limiter la quantité d’alcool versé. Ce changement dans la liberté individuelle de pouvoir consommer arrive après 2005 et les émeutes de Cronulla. Des conflits avaient éclaté entre deux communautés (libanaise et maori) et cela avait dégénéré en raison d’un groupe très alcoolisé. Des jours de protestation avaient suivi. (2)

Une autre conséquence est l’intolérance des policiers australiens. Depuis ces émeutes, ils ne discutent et parlementent que très rarement, ne font guère de compromis et appliquent la loi à la lettre. Le symbole marquant étant les « cages à poule » derrière les véhicules servant à transporter des individus.
 

Forts de cette histoire récente empreinte de décisions protectrices envers son peuple, afin de se donner les moyens de réussir, les dirigeants de l’ile décident en premier lieu (fin mars 2020) d’une fermeture totale des frontières – au contraire de la France, notre président pariant sur le fait que « le virus n’a pas de passeport » (sic). Fermeture toujours d’actualité et envisagée jusqu’à fin 2022. Il est quasiment impossible de rentrer dans le pays, excepté pour quelques catégories de citoyens comme les diplomates, les détenteurs de Visa business, les personnes de nationalité australienne ou résidents permanents.

Concernant les deux dernières catégories, cela dépend du pays de provenance : il était par exemple interdit de venir d’Inde pendant l’émergence du variant Delta sous peine de poursuites judiciaires (50 000 AUD + 5 ans d’emprisonnement) (3). Une quarantaine de deux semaines est aussi imposée pour chaque entrant.

En effectuant cette manœuvre dès le début de la pandémie, associé à un confinement national rigoureux (même si décidé au niveau fédéral), la premièe vague est très bien contenue. Le pic des cas est inférieur à 400 et un maximum de quatre décès journaliers est enregistré. Pour un pays de 26 millions d’habitants, la réussite est totale et renforce la conviction du gouvernement dans les bienfaits de cette approche.

Le premier confinement de mars 2020 consiste comme tous les autres à rester à la maison : en empêchant les rencontres sociales, on empêchera la circulation du virus. Interdiction de se trouver dehors de 23 heures à 5 heures. Il est cependant toléré de se rendre à son travail si le télétravail impossible : idem pour les étudiants. Les rassemblements sont limités à deux personnes, cinq pour les mariages et dix pour les funérailles. Seuls les lieux essentiels tels que les commerces de première nécessité restent ouverts, avec jauge limitée. Les récalcitrants écopant d’une amende salée de AUD 1500 : il va sans dire que les mesures sont globalement bien respectées (4).

« Fermeture des frontières + confinement strict » serait donc l’antidote au niveau de la gestion sanitaire car l’épidémie de Wuhan aura été brève et peu importante en s’éteignant début mai.

Par prudence, disent les autorités, est décidé un déconfinement progressif en trois étapes avec réouverture des bars et des restaurants, puis les cinémas et salles de sport pour enfin autoriser les rassemblements de plus de cent personnes, sous réserve que l’épidémie ne reparte pas entre-temps. (5)

Malheureusement, à l’arrivée de l’hiver austral, elle repart du coté de la ville de Melbourne dans un hôtel réquisitionné pour quarantaine et se propage dans le Victoria. La vague réside essentiellement dans cet État, elle est néanmoins plus longue et plus mortelle, s’étendant jusque mi-septembre et atteignant un pic de décès cinq fois plus élevé que le premier épisode.

Un confinement similaire est alors décidé pour cet État avec fermetures des frontières fédérales. À la différence que celui-ci va durer près de quatre mois pour s’arrêter fin octobre (6). Confinement qui use à petit feu ses habitants. Ils sont néanmoins évités pour les autres contrées, au prix d’un traçage et d’une isolation des positifs poussés à l’extrême, alliant parfois le « snaplockdown » dès le ou les premiers cas.

Si cette vague fait plus de dégâts sur tous les plans, c’est encore une fois un succès sur le plan strictement sanitaire et beaucoup d’experts internationaux, particulièrement en France (Karine Lacombe, Gilbert Deray, Rémi Salomon, Antoine Flahault), saluent la performance en demandant de copier ce modèle. Ces félicitations prennent-elles en compte l’usure du peuple ?

Galvanisée par cette réussite, ainsi que les retours positifs à l’international, l’Australie continue sa gestion à base de restrictions, snaplockdowns (7) et couvres-feux , et ce de manière continue. On se rappelle celui décidé par le maire de Melbourne en plein Open d’Australie de tennis en janvier dernier (8). Convaincus, les résultats parlent en effet pour eux. Aucun départ épidémique n’est à constater du mois de septembre 2020 à juillet 2021, ce qui constitue une performance remarquable sur le plan mondial. Mais à quel prix ?

Dans la lignée de sa récente histoire et légitimées par l’efficacité, les actions entreprises sont de plus en plus radicales : drones détecteurs de virus, fouilles complètes à l’aéroport, obstruction bétonnée de SkateParks, asymptomatique en fuite déclaré ennemi public n°1, ou bien violences policières pour un masque. Ajoutons à cela l’interdiction de quitter l’île voire l’État, et donc de pouvoir visiter ses proches. Quand on voit la faible létalité, une telle rigidité est-elle nécessaire ?

Le « zéro Covid » devient une croyance et tous les moyens sont bons pour y parvenir. Et peu importe si elles sont insensées scientifiquement, le but affiché est assumé. Avec des mesures si contraignantes le virus n’aura aucune chance de se propager.

Mais il finit à nouveau par se propager. Encore une fois durant l’hiver austral suivant : il ressurgit en juillet de cette année et explose de manière exponentielle durant le mois d’août. Ce variant venu d’Inde : le Delta, apparait être plus fort que le système de défense sanitaire et devient rapidement incontrôlable. Il atteint un pic de 1770 cas mi-septembre, soit plus de trois fois le pic de l’hiver 2020.

Certains spécialistes attribuent cette recrudescence à la contagiosité du Delta, d’autres à de l’échappement vaccinal comme on a pu le voir dans d’autres régions du globe ; probablement une conjugaison des deux. Il en résulte une forte circulation jamais vue jusqu’alors malgré le reconfinement dès le 30 juin de la région de Sydney, puis début août de celle de Melbourne.

En total contraste, les décès sont deux fois moindres que la vague précédente, ce qui lui donne une létalité négligeable. Le « zéro Covid » et ses confinements court puis longue durée sont malgré tout toujours appliqués, quoiqu’il en coute.

Des promesses d’allègement des mesures sont alors émises en septembre si la population est vaccinée à 70% (9), s’empêtrant toujours un peu plus dans les dérives autoritaires, mais devant bien reconnaitre qu’il faudra vivre avec le virus et que le « zéro Covid » était trop ambitieux. Car, paraît-il, si le virus a pu repartir si vite, c’est parce que le pays a raté sa campagne vaccinale. La stratégie évolue donc et se transforme peu à peu en « vaccins pour tous = déconfinement ». La liberté ne serait plus désormais soumise à la circulation virale mais plutôt à la couverture vaccinale… laquelle n’agit que peu sur la circulation.

De deux choses l’une, pour avoir un taux de létalité si faible ; ou bien il est très contagieux mais peu virulent et dans ce cas, la réussite vaccinale mondiale vantée par tous est une belle entourloupe, ou bien le fait d’avoir vacciné en premier lieu les plus de 65 ans (ce sont les plus vaccinés) et de se concentrer sur les populations à risque est suffisant pour contenir la mortalité, et couvrir toute la population devient de fait absurde.

La vaccination par la contrainte est peut-être ce qui a enfin réveillé le peuple australien. Il était temps. Faire miroiter de retrouver certaines libertés selon le taux d’injection pour un virus tuant 1100 personnes au total, pourrait être la goutte d’eau qui a fini par lui faire perdre patience. Il est acquis que le virus circule et circulera, mais s’il ne tue pas pourquoi imposer cela ?

Qu’est-ce qui pousse alors le gouvernement à ce nouveau coup de force ? Si le « zéro Covid » ne marche pas mais qu’il n’y a pas (ou très peu) de morts, où est le problème ? Pourquoi ne réajustent-ils pas leur approche ? Alors que même en France Antoine Flahaut et Gilbert Deray ont fait machine arrière ?

Se révoltant d’abord contre les confinements répétitifs, les mouvements de protestation démarrent dès juillet à Sydney, allant crescendo en nombre et virulence, que ce soient les manifestants ou les forces de l’ordre. Mais ce qu’il se passe à Melbourne en plein sixième confinement depuis quelques jours est le signe que le peuple dit enfin stop. Le conflit démarre avec les ouvriers du bâtiment qui protestent contre la vaccination obligatoire pour leur corps de métier ; ils décident alors de bloquer les grands axes puis le lendemain l’autoroute principale de la ville dans les deux sens. (10)

Les manifestations sont journalières, et violentes. La réponse policière l’est tout autant. Ils sont nombreux et désespérés ; ils seront bientôt au chômage car ils refusent de se faire vacciner contre une maladie au taux de mortalité de 0.000044%. Il est possible que la protestation gagne toutes les classes sociales.

Il est tout de même surprenant qu’il ait fallu en arriver là avant d’avoir une vraie contestation ; comme s’il fallait être au pied du mur pour sa survie ou une injection pour enfin réagir aux abus subis. La dystopie n’est plus une fiction. Elle a engendré du chômage, de la précarité, des dépressions, de l’anxiété, de la tristesse, sans parler de l’économie en chute libre.

Pour l’heure, ils n’ont pas l’intention de desserrer l’étreinte. Obligation vaccinale pour certains corps de métier, contraintes extrêmes pour les non-vaccinés dans la fréquentation des lieux de vie, utilisation de balles en caoutchouc et jets d’eau pour repousser les manifestants. L’Australie bascule peu à peu dans le totalitarisme aux yeux de tous.



Ce gouvernement, par ses dérives, se met beaucoup de compatriotes à dos. Car après avoir reconnu que le zéro Covid était inatteignable, il continue ses restrictions liberticides malgré l’absence de surmortalité. Ce véritable acharnement doit faire réfléchir à ce que sont les véritables desseins de ces dirigeants. On se rappelle alors ce ministre faisant une paralysie de Bell en direct mais qui quelques jours après affiche fièrement son certificat de vaccination avec un œil de pirate (11).  

On ne peut qu’être confondu devant cette surenchère techno-sanitariste, qui a des relents sectaires. 

Le mouvement de ce beau pays sera à suivre, maintenant qu’il semble se rebeller. Composé d’habitants aux origines irlandaises, serbes, croates, libanaises, maoris ou encore aborigènes, ils savent ce que représente la liberté et ce qu’il en coûte pour la préserver. Peut-être le « no » australien naissant deviendra-t-il le berceau de la révolte des peuples à travers le monde ? La vague humaine de contestation qui est partie de Melbourne entraînera-t-elle un tsunami sur tous les océans ? Car si les restrictions atteignent des sommets dans le Pacifique, bon nombre de libertés ont été retirées partout. Les consciences vont-elles cesser d’être « down under » ?


Sources :

[1] https://kowala.fr/fumer-en-australie/
[2] https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2005/12/12/quand-la-haine-raciale-inonde-la-plage
[3] https://www.politico.com/amp/news/2021/05/03/australia-covid-lockdown-485255?fbclid=IwAR1251lyGUqv_y5sY1x9Yia6-6Vq-PS4BO7XAHzWexNw3BIoC0q7U0m1oaI
[4] 
https://www.millsoakley.com.au/thinking/nsw-under-official-lockdown-full-details-of-new-government-directions-now-published/
[5] https://www.google.com/amp/s/www.challenges.fr/monde/coronavirus-l-australie-opte-pour-un-deconfinement-en-trois-etapes_709324.amp
[6] https://www.bbc.com/news/world-australia-54654646
[7] https://www.keypointlaw.com.au/keynotes/snap-lockdowns-and-what-it-means-for-employers-and-employees/
[8] https://www.france24.com/en/live-news/20210212-melbourne-orders-snap-covid-lockdown-during-australian-open-tennis
[9] https://www.theguardian.com/australia-news/2021/sep/22/victoria-covid-restrictions-melbourne-lockdown-curfew-and-regional-vic-coronavirus-rules-explained
[10] https://www.businessbourse.com/2021/09/21/australie-enorme-les-ouvriers-du-batiment-bloquent-lautoroute-de-melbourne-dans-les-deux-sens-de-circulation-pour-protester-contre-lobligation-vaccinale-et-plusieurs-chantiers-de-la-ville-sont/australie-blocage-autoroute/
[11] https://www.sudinfo.be/id412122/article/2021-08-20/des-telespectateurs-sinquietent-de-loeil-tremblant-dun-ministre-australien-il

Auteur(s): FranceSoir




Covid : la quatrième vague meurtrière programmée à partir d’octobre prochain

Par Diane Vincero

Voici un texte du Sénat (texte n° 811 – 2020-2021) sur « les motifs de la proposition de loi sur la vaccination obligatoire contre le Covid » qui doit être étudié le 13/10/2021 et qui vise à ajouter aux 11 vaccins déjà obligatoires, un 12e ** : celui du Covid.

Les termes du texte en sont intéressants.

Voici d’abord le texte, puis le décryptage qui s’impose.

Texte n° 811 (2020-2021) de MM. Patrick KANNERBernard JOMIER, Mmes Marie-Pierre de LA GONTRIEMonique LUBIN et plusieurs de leurs collègues, déposé au Sénat le 31 août 2021 —

proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (exposé des motifs) (senat.fr)

« EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Dès juillet dernier, les parlementaires socialistes ont prôné l’obligation progressive d’une vaccination universelle, de toutes et tous (sauf contre-indication médicale), dans une démarche de santé publique visant à obtenir une protection collective, seule à même de garantir un retour à une vie quotidienne normale pour tous du fait des différents variants en circulation.

L’objectif de cette protection collective de toute la société, en l’état de nos connaissances scientifiques et médicales, peut être atteint par une obligation vaccinale généralisée (sauf contre-indication médicale).

Nous croyons en la science, en la recherche, et au progrès médical et social, qui bénéficient à toutes et tous.

Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes.

L’obligation vaccinale a été édictée en France pour la première fois en 1902 et a permis d’éradiquer nombre de maladies et protéger nombre de nos enfants. L’obligation vaccinale est la pierre angulaire de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. Elle faisait reposer la politique de santé sur des principes clairs, transparents, démocratiques et qui s’appliquaient à tout le monde.

La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. Elle permettra de lancer enfin une grande campagne d’information et de sensibilisation pour aller vers les Français non vaccinés. C’est également un geste de responsabilité et de solidarité vis-à-vis de nos soignants, engagés de toutes leurs forces dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout et de soutien vis-à-vis de nos acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires.

Nous notons surtout que plusieurs institutions du champ scientifique et médical se sont d’ores et déjà prononcées en faveur de l’obligation vaccinale généralisée. C’est le cas notamment de l’Académie nationale de médecine, le 19 juillet dernier, jour de présentation en conseil des ministres de la loi n° 2021-1040 du 5 aout 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Rappelons d’ailleurs que l’Académie s’était prononcée publiquement pour le port du masque dès avril 2020, quand le Gouvernement soutenait encore que le masque était inutile pour la protection de la population générale.

Ainsi, face à l’augmentation rapide de l’incidence des infections dues aux différents variants, l’Académie nationale de médecine recommandait :

“- d’amplifier l’information sur le principe de l’isolement volontaire et sur les capacités d’hébergement des personnes ne pouvant s’isoler à domicile ;

– d’inciter toutes les personnes dépistées positives à s’auto-isoler pendant 10 jours en leur rappelant le risque de contamination auquel elles exposent leur entourage ;

– de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus”.

Depuis, les Antilles ont payé un lourd tribut à la pandémie du fait du faible taux de vaccination des populations. La Guadeloupe et la Martinique ont d’ailleurs été contraintes au reconfinement et aux couvre-feux. Les services hospitaliers de Polynésie sont toujours saturés et le nombre des hospitalisations continue d’y progresser.

C’est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le Covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :

–   Protège sa propre santé et liberté, mais aussi celles des autres ;

– Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;

–   Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l’État d’aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;

–  Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;

–  Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.

La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d’une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le pass sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.

L’absence d’application du III de l’article 76 vise simplement à rendre la proposition de loi recevable financièrement et n’a pas pour objectif de diminuer la prise en charge de cet acte médical par la Sécurité Sociale. »


En voici maintenant le décryptage proposé

Le texte met en avant « la nécessité d’une protection collective contre les variants du Covid afin de garantir un retour à une vie quotidienne normale, de limiter les restrictions et les privations de libertés, de mettre fin aux craintes pour nos familles, nos emplois, et la scolarité de nos jeunes », éternelle tactique de la carotte (en attendant le prochain bâton), sachant par ailleurs que les scientifiques indépendants de Big Pharma sont tous d’accord pour dire que pendant une pandémie, la vaccination collective est contre-indiquée, qu’elle laisse la place à des variants potentiellement plus graves et qu’enfin, la contagion reste effective même après la vaccination.

« La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. » qu’on peut traduire par « la seule solution de rentabilité financière maximale ».

Au passage, le texte refait l’éloge des soignants « engagés dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout », sachant que tous les soignants qui ont refusé la vaccination ont été jetés dehors depuis le 15 septembre dernier, sans salaire… Le texte évoque aussi les « acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires ». Mais qui a fermé les restaurants, les cinémas, les théâtres, les magasins de vêtements, etc. des centres commerciaux, pendant que les grandes surfaces qui vendaient les mêmes articles ont pu continuer à fonctionner ?

Les Sénateurs se réfugient derrière l’Académie de Médecine pour justifier de leur proposition, sachant que celle-ci, tout comme eux-mêmes est en lien étroit avec Big Pharma.

En effet, ils s’abritent derrière le fait que l’Académie de Médecine prônait l’usage du masque, alors que le masque laisse passer le coronavirus. Comment l’Académie de Médecine peut-elle ignorer que le SARS-CoV2 mesure entre 0,06 et 0,14 µm et que les masques laissent passer les particules jusqu’à 0,6 µm, et donc que le coronavirus est bien plus petit que les mailles des masques ?

Dans le fond, quelle peut être la réelle utilité du masque si ce n’est de nous rappeler sans arrêt qu’il existe une prétendue épidémie ?

De la même manière, les sénateurs s’abritent derrière l’Académie de Médecine pour l’obligation vaccinale pour tous, mais, comment l’Académie de Médecine peut-elle prôner

« de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ».

Il est en effet étonnant de constater que cette « éminente instance », pourtant censée abriter des médecins, puisse ignorer les principes énoncés ci-dessus sur la contre-indication de la vaccination généralisée en cas de pandémie.

La situation évoquée par les sénateurs concernant les Antilles ne reflète pas les réalités du terrain, d’une part sur le vrai pourcentage de patients hospitalisés et/ou décédés, et le vrai pourcentage parmi eux de personnes vaccinées ou non, et enfin, la résultante, en période de pandémie, des comorbidités (hypertension artérielle, diabète, cancer, maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, la thyroïdite d’Hashimoto, etc.), comorbidités aux Antilles liées aux OGM et aux pesticides utilisés largement (tels que le chlordécone dans les bananeraies, pourtant interdit en France métropolitaine, et le DDT pourtant interdit en France depuis 1962)…

Quand très noblement, nos sénateurs écrivent que la vaccination de tous « Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne, et dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public. », on ne peut alors que s’interroger sur le pourquoi de ce nouveau formulaire de dénonciation de faits et de personnes ne respectant pas les ordres sur le covid, formulaire destiné aux procureurs de la République, et le pourquoi de la plateforme du service de répression des fraudes du Ministère de l’Économie et des Finances qui recueille les mêmes éléments…

« La vaccination est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme ». Phrase d’un apparent altruisme magnifique, mais qui ne tient plus lorsqu’on connaît l’ampleur des conflits d’intérêts entre ces politiciens et Big Pharma… 

Dans le fond, ce texte nous révèle, outre les « beaux principes » et les « belles promesses » (la carotte) mis ostensiblement en avant pour faire avaler la couleuvre, « beaux principes » que sont le fait de « vouloir protéger le peuple », que « chacun pense aux autres », « qu’il faut que tout le monde ait la chance d’avoir le vaccin », avec la culpabilisation systématique du peuple à chaque occasion, et l’aspect financier colossal qui apparaît avec Big Pharma, ce texte donc, nous révèle également la difficulté qu’ont nos dirigeants à arriver à ces fins financières, et à trouver pour ce faire, les arguments convaincants et incontournables.

On peut simplement penser que, si la pandémie était réelle, elle n’aurait besoin d’aucun argument pour imposer une marche à suivre. La transparence évoquée dans le texte du sénat serait effective, honnête et les faits se seraient enchaînés sans contre-vérités à répétition, sans revirements incessants, sans données tronquées ou complètement erronées et sans autoritarisme…

Mais qui, le 13 octobre prochain sera présent au Sénat pour apporter la réalité des faits, avant que ce 12ème vaccin ne soit rendu obligatoire ??


30 % DES DOSES DE « VACCINS » ADMINISTRÉES SONT DES ÉQUIVALENTS PLACEBO                                                

En résumé, ce texte explique que, comme dans les études cliniques sur les effets des médicaments, les patients sont divisés en 2 groupes pour les « vaccins anti-covid » : l’un qui reçoit, sans le savoir, un placebo, et l’autre qui reçoit réellement le médicament.

Ici, 30 % des doses injectées, ne contiennent pas les ingrédients « anti-covid », mais probablement seulement du sérum physiologique, et constituent l’équivalent placebo des études cliniques ci-dessus.

Étant donnée la réalité des faits qui se déroulent depuis début 2020, étant donnée l’ampleur de la manipulation des peuples autour d’une pseudo-pandémie de covid, étant donné ce que contiennent ces pseudo vaccins,  on peut penser qu’il s’agit là, d’une manipulation supplémentaire, hautement perverse, à savoir que comme 30 % des doses sont inoffensives, les personnes qui la reçoivent ne développent aucun symptôme et vont donc se croire plus fortes de nature, ou, n’envisageront pas un seul instant être l’objet d’une stratégie « vaccinale »… Elles croiront que ceux qui sonnent l’alarme sont de simples complotistes et inciteront les autres à se faire vacciner « puisqu’il ne se passe en réalité rien de grave »…

De cette manière, ces personnes vont elles-mêmes se revacciner, jusqu’au jour où elles recevront un vrai vaccin « anti-covid » et développeront à leur tout un effet secondaire grave, MAIS IL SERA TROP TARD…


** Proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (senat.fr)

1.— Le 1 de l’article L.3111-2 du code de la santé publique est complété par un 12° ainsi rédigé :

« 12° contre le SARS-CoV-2. »

Article L3111-2 — Code de la santé publique — Légifrance.gouv.fr : 

Version en vigueur depuis le 01 janvier 2018                                  Modifié par LOI n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 — art. 49 (V)

I.-Les vaccinations suivantes sont obligatoires, sauf contre-indication médicale reconnue, dans des conditions d’âge déterminées par décret en Conseil d’État, pris après avis de la Haute Autorité de santé
1° Antidiphtérique ;
2° Antitétanique ;
3° Antipoliomyélitique ;
4° Contre la coqueluche ;
5° Contre les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ;
6° Contre le virus de l’hépatite B ;
7° Contre les infections invasives à pneumocoque ;
8° Contre le méningocoque de sérogroupe C ;
9° Contre la rougeole ;
10° Contre les oreillons ;
11° Contre la rubéole.

II.— Les personnes titulaires de l’autorité parentale ou qui assurent la tutelle des mineurs sont tenues personnellement responsables de l’exécution de l’obligation prévue au I. La preuve que cette obligation a été exécutée doit être fournie, selon des modalités définies par décret, pour l’admission ou le maintien dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.




Faina Savenkova – Dieu a créé le monde pour que nous vivions en paix, pas pour que nous nous battions

[Source : Donbass Insider (donbass-insider.com)]

Par Faina Savenkova

Sur notre petite planète, chaque jour, des enfants meurent de la guerre. Syrie, Afghanistan, Donbass, d’autres régions du monde… Malheureusement pour la plupart des politiciens, un autre enfant mort n’est qu’un nouveau chiffre dans le rapport. Mais pour moi, ce n’est pas le cas. Je vis à proximité de la guerre et je sais que beaucoup s’endorment en disant « Merci pour un autre jour vécu ». C’est le plus sincère des remerciements.

Nous n’aimons pas moins la vie que les autres, nous ne sommes pas différents des enfants ordinaires d’Europe ou d’Asie. C’est juste que notre « demain » dépend plus des adultes que de nous.

Aujourd’hui c’est la journée de la Paix. Et lorsque les oncles et les tantes exprimeront à nouveau leur « préoccupation » et feront de beaux discours alors qu’un autre enfant est tué par un bombardement, rien ne changera.

Parler doit mener à une sorte de décision et d’action. Sinon, on a l’impression que les politiciens divisent les enfants entre « les leurs » et « les autres », les uns étant à plaindre et les autres non. Le monde est fragile et indivisible. Et nous n’avons qu’un seul monde, il n’y en aura pas d’autre dans un avenir proche.

J’ai lu récemment les paroles d’une jeune Américaine, Samantha Smith :

« Dieu a créé le monde pour que nous vivions en paix, pas pour que nous nous battions » (« God made the world for us to live together in peace and not fight »). .

Et je suis d’accord avec elle.

Faina Savenkova

Traduction par Christelle Néant pour Donbass Insider




Nous Français et Occidentaux sommes les plus « intelligents »… raison pour laquelle une majorité d’entre nous restera dans l’ignorance et la soumission jusqu’à la lie

Par Alain Tortosa

Cela fait des siècles que nous sommes formatés à « l’intelligence ». Et encore plus le Français qui a « TOUT » inventé depuis la nuit des temps.

Les hommes politiques, les médias ne se privent pas de rappeler que les Français sont intelligents, qu’ils ont du bon sens, et qu’il suffit de leur expliquer pour qu’ils comprennent. Ils rajoutent même qu’il est « impossible » de les tromper et les prendre pour des imbéciles… ben oui, « on le verrait tout de suite ! ».

De bien entendu, nous sommes tous « Charlie », ouverts d’esprit, ouverts au débat, pour la liberté d’expression et bien entendu totalement « antiracistes », c’est bien connu.

Cela ne nous empêche pas de penser ou de dire en petit comité que l’Afrique en est encore à la préhistoire en cassant des noix de coco tandis que nous, les Occidentaux, envoyons des astronautes sur la Lune. (sourire).

Si on interroge le Français moyen, il regarde tous les jours la chaîne de TV Arte alors que si on analyse la réalité, le fait est que son émission préférée sera plus « touche pas à mon poste » animée par le grand Cyril Hanouna et des intervenants dont l’intelligence ferait rougir de honte un prix Nobel…

Nous sommes les plus « intelligents » alors même que le niveau scolaire ne fait que décroître d’année en année, que l’on formate les élèves à se gaver d’un savoir monolithique et que dans le même temps tout est fait pour leur interdire de penser et d’avoir un esprit critique.

L’enseignement officiel a pour objet de fabriquer des clones avec le minimum de libre arbitre… et bien entendu, c’est exactement le contraire qui est valorisé par les mots et certainement pas par les actes.

La dictature nous manipule en jouant sur notre « intelligence »

C’est un des plans machiavéliques utilisés par l’État profond pour endormir notre cerveau et notre esprit critique. Comment les êtres les plus intelligents du monde (les Occidentaux), et encore plus les Français, pourraient-ils être manipulés ?

À la rigueur mon voisin, qui par axiome, est totalement idiot, mais moi ??

Dès lors que les « intelligents » que nous sommes ont gobé au mois de mars 2020 que nous étions menacés par un « terrible virus » et que l’unique solution était de confiner la population mondiale, c’était gagné pour la dictature.

Il a suffi de balancer quelques fausses données dans tous les « médias » avec des prévisions apocalyptiques pour nous précipiter dans la fosse.

Rendez-vous compte que l’on a réussi à faire croire à une majorité de Français que le confinement de malades et de bien portants dans un même lieu était de nature à juguler une épidémie et sauver des vies.

On a même réussi à nous faire croire à nous, « les êtres les plus intelligents du système solaire », qu’il était « vital » d’enfermer les personnes en bonne santé pour endiguer une épidémie !

On a réussi à nous faire croire que si nous avions des symptômes, il ne fallait surtout PAS se rendre chez notre médecin, mais attendre l’article de la mort pour nous précipiter à l’hôpital et nous faire exploser les bronches avec de l’oxygène à haute pression pour mourir 5 jours plus tard !

Oui dès ce jour béni de l’obscurantisme scientifique et digne de l’inquisition, l’affaire était gagnée, la marche arrière devenait impossible !

Qui plus est sans heurter le moins du monde les plus grands défenseurs des droits de l’homme conscients que « la fin justifie les moyens ».

La pensée la plus présente chez les covidistes étant :

« Comment moi, une personne supérieurement intelligente, aurais pu être débile et manipulable au point de gober une histoire aussi énorme, aussi mal foutue, autant improvisée, autant créée de toutes pièces avec des bouts de ficelle. »

Nous avons été terrorisés par un virus télévisuel « aussi mortel que la peste » alors même que nous n’avions pas vu le moindre mort. (Et encore aujourd’hui qui connaît une personne en bonne santé et non en fin de vie ou avec de fortes comorbidités décédée réellement du Covid… et non avec le Covid.)

En fait, le mois de mars 2020 était un remake de « La Guerre des Mondes » diffusée en 1938 ayant provoqué la panique chez les auditeurs convaincus qu’une attaque extraterrestre était en cours.

Idem en mars 2020 où des millions de Français ont été convaincus de l’attaque d’un virus dont pas grand monde n’en a vu la couleur… Une sale grippe en 2019 serait passée inaperçue, mais un supposé (supposé, car nous n’avions aucun test à l’époque) sars-cov2 en 2020 à symptômes identiques, était du domaine de l’enfer.

Plus les mois ont passé, plus les mensonges ont grandi, plus les incohérences se sont multipliées et plus le piège se resserrait sur nous !

Comment ouvrir les yeux aujourd’hui ?

Comment accepter que l’on ait pu être idiot au point de gober un an et demi de mensonges aussi énormes et aussi anti-scientifiques les uns que les autres.

À ce point de mon récit, il est probable que j’ai déjà perdu une énorme partie du lectorat membre de l’église du coronavirus qui a autre chose à faire que lire des élucubrations complotistes…

C’est ainsi que notre cerveau est devenu le plus grand complice de cette supercherie à l’échelle mondiale !

Tel le syndrome de Stockholm, chaque Français est devenu complice de ses preneurs d’otages.

Il est devenu vital pour la santé mentale de chacun que cette pandémie soit à ce point terrible. Vital que les mesures prises fussent les « bonnes », compte tenu de la situation qui risquait de conduire à l’apocalypse et à l’anéantissement de l’espèce humaine.

LE point de non-retour a été franchi avec les injections et pour de très très nombreuses années.

Des parents ont injecté à leurs enfants des substances inutiles, expérimentales à l’inefficacité prouvée et à la dangerosité tout aussi prouvée, mais cachée par les médias menteurs !

Cette vérité statistique est TOTALEMENT inacceptable pour un parent.

C’est pour cela que tous les parents qui ont injecté leur enfant, sont condamnés à avoir l’intime conviction d’avoir agi, non pas pour le bien de la communauté dont tout le monde se moque éperdument, mais d’avoir agi directement ou indirectement pour le bien de leur enfant.

Imaginez qu’un vaccin sur le marché depuis 20 ans présente des contre-indications potentiellement mortelles même si elles sont rarissimes. Mais que dire d’une injection d’ARNm dont les premiers essais sur l’homme ont eu lieu au mois de mai 2020 ! Alors même si l’on tablait sur un risque de décès de 1 sur 1 million d’injections, cela veut dire que mathématiquement des enfants vont et sont déjà décédés de cette injection (ce qui est confirmé par les statistiques).

Mais à la différence d’un vaccin classique qui protège l’enfant d’une maladie potentiellement mortelle pour lui, la thérapie génique à ARN messager ne le protège en rien d’une maladie qui ne le concerne PAS s’il est en bonne santé… car le Covid n’est PAS une maladie infantile comme l’écrit régulièrement l’association française de pédiatrie.

Bref, le retour en arrière est donc désormais totalement impossible.

Les « convaincus » ne peuvent PAS ou PLUS croire que dès le mois de mars 2020 :

  • De nombreuses études sur la (non) dangerosité du virus étaient parues.
  • L’on savait quelles étaient les personnes à risque et donc les personnes non à risque comme les enfants.
  • Que les confinements d’une population générale étaient contre-productifs.
  • Que le confinement du mois de mars 2020 était un échec avant même de commencer, car il était déjà un échec en Italie. Mais par contre, la méthode sud-coréenne de tracing sans confinement fonctionnait parfaitement.
  • Que les masques en population générale étaient dangereux, inefficaces et contre-productifs.
  • Qu’un vaccin contre un coronavirus (qui ne fait que muter) était OBLIGATOIREMENT une impasse thérapeutique.
  • Que l’immunité vaccinale de masse était de fait un leurre.
  • Que l’HCQ (introduite et étudiée par les Chinois et non par Raoult) et certains antibiotiques étaient efficaces avant l’orage.
  • Que seule l’immunité naturelle pouvait nous sauver, car « adaptative ».
  • Que les tests PCR ne sont pas prédictifs
  • Que les gestes barrières relèvent de la pensée magique
  • Etc.

La propagande est même arrivée à leur faire croire que l’AstraZeneca, un adénovirus génétiquement modifié, était plus dangereux qu’un ARNm expérimental. ARN messager testé par le passé à petite échelle sur des malades en phase terminale. Qui plus est encore en phase III expérimentale et ARNm « bizarrement » jamais utilisé contre la grippe.

AUCUN parent qui a gobé toute cette mascarade macabre ne peut ouvrir les yeux aujourd’hui et se dire désormais :

« J’ai pris le risque de provoquer un cancer à 10 ans pour mon enfant, mis peut-être en péril sa capacité reproductive, alors même qu’il ne risque RIEN de cette maladie et que le vaccin ne protège pas de la contamination et qu’il n’a donc RIEN de solidaire. »

Une personne « intelligente » et manipulée depuis le début et qui aurait fait l’effort de lire mon texte jusqu’à cette ligne ne peut pas se poser sereinement la question et se dire :

« Et si ce qui est écrit là était véridique ? »

Il est alors naturel d’utiliser des mécanismes de défenses classiques, se poser des questions sur l’auteur et non sur le fond, botter en touche, ricaner, mais il est à parier que le lecteur ne prendra pas le risque de faire un travail de recherche qu’il n’a JAMAIS entrepris depuis le début de l’affaire.

Travail d’autant plus facile aujourd’hui qu’il a été prémâché par de si nombreux scientifiques ou lanceurs d’alertes qui facilitent l’accès aux informations et à leurs sources.

Dédouaner « l’être supérieur »

Le gouvernement, les médecins corrompus et les médias achetés ont fait un travail formidable de décrédibilisation de la parole dissidente.

Au point que de très nombreux manipulés CROIENT qu’il y a un quasi-consensus scientifique mondial et que les dissidents sont quasi inexistants et relèvent (tous ?) de la psychiatrie.

La Pravda a donc rabâché jour après jour que tous ceux qui avaient une parole dissidente étaient des « complotistes » dont la crédibilité était proche de ceux qui pensent que les extraterrestres ont remplacé les chefs d’État par des clones.

Ces « complotistes » sont, dans la bouche des médias, à la fois des psychopathes d’extrême droite et antisémites qui ont réussi à manipuler un flot de débiles profonds analphabètes, paumés et en perte de repères.

« Un être doué d’intelligence ne pouvant prêter foi à des théories qui vont à l’encontre de la pensée unique. »

La manipulation de la dictature a été à ce point intelligente et diabolique qu’elle a dit à tous les êtres intelligents et supérieurs que nous sommes qu’il ne fallait surtout pas discuter avec les « autres »  !

Ne surtout par argumenter parce que « les complotistes sont des pervers manipulateurs qui peuvent retourner votre honnête cerveau ». On nous a donc expliqué qu’il ne fallait pas nous fabriquer NOTRE propre opinion, car nous serions manipulés par ces malfaisants.

La parfaite illustration en fut le film documentaire « hold-up ».

Question à une personne « intelligente » : « Tu as vu hold-up ? » Réponse ; « Non c’est un ramassis de théories complotistes d’extrême droite avec des intervenants dissidents rejetés par leurs pairs. »

Rendez-vous compte que la « sagesse », la démarche « intelligente et scientifique » n’était plus de regarder hold-up, puis d’aller étudier et vérifier chacune des affirmations pour se faire sa propre opinion, mais d’obéir à la consigne officielle :

« Surtout, ne regarde pas, c’est une dangereuse perte de temps ! »

Nous étions dédouanés d’avoir une démarche scientifique, dédouanés de ne pas nous interroger grâce aux « décodeurs de l’information » qui l’avaient fait pour nous.

La pensée unique

Nous avons vécu et vivons encore une période où le révisionnisme est roi ! L’OMS a réécrit son site, des études sont venues dire le contraire de dizaines d’années de travail… pas de soucis. Le Lancet, quant à lui, a fait des faux ou censuré des études dans l’indifférence générale.

On a même inventé la vérification de l’information dans le but, toujours le même, d’empêcher les êtres « intelligents » que nous sommes, d’aller nous renseigner et étudier pour nous forger notre opinion.

Le principe de la « vérification de l’information » est très simple à mettre en œuvre.

  • Un « illuminé » affirme une pensée déviante.
  • Vous allez interroger un « spécialiste » qui est d’accord avec vous et la pensée unique qui répond « Non cette affirmation est fausse ! ».
  • Ainsi vous avez « démontré » que ces propos complotistes étaient ridicules !

Petit à petit les manipulés ont acquis l’intime conviction que le récit mondialiste était vrai parce que tous les médias traditionnels, ainsi que tous les « scientifiques » médiatiques (toujours les mêmes d’ailleurs) avaient le même discours parfois au mot près.

« S’ils disent tous la même chose, c’est bien que c’est vrai ! »

Nous aurions pu trouver étrange que la quasi-intégralité des médias se contente de reprendre les dépêches AFP sans rien vérifier, mais non !

Presse considérée « indépendante » alors que sa survie repose EXCLUSIVEMENT sur les aides de l’État !

Donc soit la masse s’est contentée de l’affirmation de tel ou tel média de « confiance », genre France Inter, BFM ou Cnews, soit elle a fait « un travail d’enquête » en lisant plusieurs journaux mainstream différents qui disaient tous la même chose !

D’innombrables « débats » ont eu lieu sur les chaînes d’info où des personnes d’accord entre elles débattaient pendant des heures. Ceci entrecoupé 5 minutes par semaine d’un invité (généralement invité qu’une seule fois) qui cherchait à se défendre face à plusieurs accusateurs médiatiques présents pour le lyncher.

Ainsi la recherche de la vérité, la recherche de sa propre opinion ne procédait plus en la lecture d’auteurs, d’études ou d’opinions diamétralement opposées, mais en la lecture d’informations concordantes appelées « consensus ».

La plupart des Charlie se réjouissaient que le temps d’antenne des complotistes soit le plus bref possible et que les réseaux sociaux censurent à tout va… L’apothéose étant de trouver normal qu’un président américain élu soit censuré par des entreprises privées !

Le CSA veillant scrupuleusement à l’absence de pluralisme et sanctionnant les rares émissions où un « ennemi du peuple » pouvait prendre la parole sans contradicteurs autres que le « journaliste » présent pour le descendre en flèche.

Comment survivre face à toutes les incohérences ?

On a beau être manipulé, on a beau se voiler la face et ne rien lier, les incohérences sont parfois trop énormes pour arriver à se les cacher.

  • Il est compliqué de trouver logique d’utiliser des drones ou des hélicoptères pour verbaliser des personnes seules sur une plage ou dans une montagne durant un confinement alors que dans le même temps on peut s’entasser dans un supermarché.
  • Compliqué que le masque soit inutile et dangereux le lundi puis obligatoire et vital le mardi.
  • Compliqué qu’il faille rester enfermé le mercredi et sortir le plus possible le jeudi.
  • Compliqué de voir que l’on diminue les budgets dans la santé, que l’on ferme des lits alors même que l’on dépense des millions pour recruter des vigiles.
  • Compliqué que l’on interdise de s’asseoir en terrasse, mais que l’on autorise d’être entassé sur le quai d’un RER.
  • Compliqué que l’on interdise les médecins de prescrire et qu’on les sanctionne s’ils le font.
  • Compliqué que l’on impose une troisième dose du même vaccin alors même que le virus a muté (comme si le vaccin pour la grippe était le même tous les ans).
  • Etc., etc.

Alors comme je suis un être « supérieurement intelligent », je décide que ceci n’est pas de la malveillance, de l’intention de nuire, mais de la bêtise humaine.

Le fait que ces « erreurs » soient répétées à l’infini ne me choque pas tant que ça… que les parlementaires guignols continuent à n’être que les membres d’une chambre d’enregistrement et que tout soit décidé par un conseil de défense totalement opaque, pas de soucis. Que les mêmes soient encore aux commandes comme le Ministre de la Santé malgré tous les échecs et mensonges, no problem !

L’indispensable amnésie et surtout ne rien lier

Pour ne pas faire exploser notre cerveau nous devons avoir la mémoire courte et ou-bli-er ! Oublier tous les scandales, les milliards de dollars d’amendes de Pfizer pour tromperie, corruption de médecins, etc. Oublier les lobbies en Europe qui pèsent un poids délirant ainsi que les chaises musicales, passage du privé au public et inversement. Ignorer que l’OMS, sans les fonds de Bill Gates et des laboratoires pharmaceutiques, mettrait la clef sous la porte. Ignorer que des personnalités politiques doivent leur poste grâce au soutien financier des dits laboratoires. Ignorer que des chercheurs ne pourraient plus conduire de recherches sans la participation financière des laboratoires.

AUCUN LIEN entre les sujets !

  • Un taux de suicide en explosion chez des enfants et des personnes âgées.
  • Une explosion de la violence intrafamiliale.
  • Une explosion de la dette.
  • Des maladies graves non diagnostiquées en temps et en heure.
  • Une précarité financière dramatique chez les étudiants, petits boulots…
  • Des pertes de QI chez les enfants.
  • La destruction du lien social et voir en autrui une menace.
  • La suppression des droits de l’homme et des libertés.

Mais aussi des reportages sur Arte sur la dépendance de l’OMS, la corruption mise en œuvre par l’industrie pharmaceutique et les lobbies, le rôle vital des virus pour notre santé, l’indispensable respiration d’un bon air… Tout ceci n’est JAMAIS mis en balance et corrélé avec les mesures dites « sanitaires »…

Les données ignorées

Sans compter les chiffres et la réalité qui sont totalement biaisés.

  • C’est la première fois au monde que l’on ne remet pas à zéro le compteur de décès annuels.
  • L’OMS qui oblige à comptabiliser les faux morts (ex cancer)
  • Le réseau Sentinel qui compte les malades remplacé par un décompte de positifs dix fois plus nombreux.
  • Une épidémie de positifs (nullement malades et statistiquement nullement contagieux).
  • Le nombre d’hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de personnes en réanimation « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de morts « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de patients vaccinés hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par la DRESS)
  • Les pays pauvres qui ont 5, 10 ou 100 fois moins de morts par habitant.
  • Un premier confinement qui n’a JAMAIS aplati la courbe et qui pourtant a été répété.
  • Une augmentation du nombre de cas d’autant plus que le masque devenait de plus en plus obligatoire.
  • Les pays qui ont massivement vacciné et qui ont eu une explosion du nombre de morts depuis la vaccination.
  • La situation catastrophique en Israël qui n’arrive pas à endiguer les décès même avec la 3e dose.
  • L’absence de corrélation en France métropolitaine et dans les DOM entre le taux de vaccination et le taux d’incidence (selon les données officielles, mais pas selon la propagande médiatique).
  • Des effets secondaires dramatiques de la vaccination qui sont minimisés ou ignorés en France.
  • Des membres de la FDA qui affirment que le vaccin tue plus qu’il ne sauve.
  • Des spécialistes qui osent affirmer une autre voie et qui sont ridiculisés et traînés dans la boue.
  • Des pays qui ont utilisé l’Ivermectine avec des résultats spectaculaires.
  • Des pays qui n’ont jamais confiné et pourtant avec largement moins de morts.
  • Des pays qui n’ont jamais imposé de masque et sans le moindre geste barrière.
  • Le Rivotril dans les maisons de retraite. L’année d’avant on soignait les malades de la grippe notamment avec des antibiotiques, en 2020 on les a achevés…
  • L’interdiction de prescrire de l’HCQ ou de l’Ivermectine.
  • La négation de l’efficacité des méthodes préventives pour booster son immunité.
  • Etc.

Ma liste est loin d’être exhaustive. Tous ces arguments sont ignorés, méprisés, balayés et surtout « non liés ».

Alors pour s’en sortir, pour ne pas avoir à reprogrammer son cerveau, on va dire soit « mensonges » avec la complicité active des « vérificateurs » et des médecins de plateau arrosés, soit dans le cas d’autres pays, on affirmera que « on ne peut pas comparer ».

En France on ne peut strictement jamais comparer d’ailleurs si on les écoute, en fait si on peut, mais uniquement quand c’est pire ailleurs.

Rien, rien, rien n’est jamais lié…

Par exemple, depuis juin 2020 on nous a promis des clusters après les grands rassemblements, clusters qui n’ont JAMAIS existé. Depuis le mois de juillet 2021, il y a des centaines de milliers de manifestants dans les rues toutes les semaines en France dans des centaines de villes. Pour la plupart les manifestants sont non vaccinés, sans masque, sans distanciation, sans le moindre geste barrière et de tout âge. On s’embrasse, on se serre la main, on se partage des bouteilles d’eau et ZÉRO cluster !

Et on continue à se foutre de nous et nous dire qu’il faut respecter les gestes barrières et porter des masques !

On continue de terroriser nos enfants, à leur dire qu’ils vont tuer papi et mamie alors même que papi et mamie seront bientôt vaccinés trois doses avec un vaccin présumé « efficace » selon la propagande.

Mais là aussi pas de lien… que l’on nous terrorise en nous disant que les non-vaccinés, non malades peuvent tuer des personnes qui sont injectées avec un « vaccin » dit « efficace » ne fait pas réagir…

Jamais le moindre lien, jamais la moindre réflexion de fond… et sans compter le régulier « on ignore encore tout de ce virus » dès que les données sont franchement contre vous !

Dans les fait, le sars-cov2 demeure un gentil virus qui ne fait qu’accompagner dans la mort des personnes en fin de vie, personnes privées volontairement de traitements dont l’efficacité n’est plus à démontrer, mais qui, hélas, ne coûtent rien.

Mais en parallèle les médias et médecins corrompus continuent à vous dire que la population en réa est de plus en plus jeune et que nul n’est à l’abri pour une maladie dont l’âge médian des décès est de 85 ans !

Depuis le début la crise, strictement aucune mesure n’a jamais été prise en direction des personnes à risque à la différence de la Corée du Sud (même niveau de vie, même pyramide des âges, même densité de population que la France). Corée du Sud qui déplore 47 morts par million d’habitants versus 1 700 pour la France soit 36 fois moins !

Avec une politique identique et en partant du chiffre mensonger de 100 000 morts en France par année de Covid, nous aurions eu 2 800 décès du Covid en France en mettant en œuvre la politique coréenne. Certains « spécialistes » osent dire que l’on n’aurait pas pu mettre en œuvre en France la politique sud-coréenne « anti-démocratique » de tracing alors même que nous sommes masqués, confinés, vaccinés de force et avons un pass sanitaire pour aller faire des courses au supermarché.

Mais on se moque de qui ? Pourquoi M. Veran est encore ministre, pourquoi M. Macron n’a pas démissionné ? Pourquoi l’opposition est-elle silencieuse ? Pourquoi les médias applaudissent-ils au lieu de crier au scandale ?

Cela interroge-t-il les aveuglés ? Absolument pas !

Les médias sont même allés jusqu’à dire qu’il serait injuste ou illégal de confiner les personnes à risque alors que l’on ne se prive pas de supprimer les droits de l’homme de la population en bonne santé. Toutes les mesures dictatoriales ont été uniquement ciblées en direction des personnes en bonne santé qui risquent plus d’être foudroyées que de mourir du Covid. Tout a été fait pour massacrer les défenses immunitaires des plus faibles et prescrire du paracétamol (contre-indiqué) et obtenir un maximum de morts… Nous aurions voulu faire pire qu’il eut été quasi impossible d’y parvenir…

Pour se rassurer, on énonce alors que notre politique Anti-Covid ne peut pas être si « mauvaise » quand quasi tous les pays européens et occidentaux ont pratiqué la même.

Afrique : 150 morts par million d’habitants. Asie : 235 morts par million d’habitants. Europe : 1600 morts par million d’habitants ! Vous ne pensez pas qu’il y a un ÉNORME problème ?

De la conviction prémâchée et prédigérée

« Si tous les médias le disent, c’est que c’est vrai »

« Les journalistes sont trop fiers pour se faire commander ! »

Nous sommes si « intelligents », si « supérieurs » aux peuples des pays sous-développés, que nous n’avons pas besoin de nous poser la moindre question ni regarder ce qu’il se passe à l’étranger.

La « vérité » des paniqués est ainsi considérée comme aussi légitime et valide que celles et ceux qui ont passé des milliers d’heures à étudier profondément le sujet depuis des mois.

Se sont-ils posées les mêmes questions, ont-ils lu les mêmes études, les mêmes stats, investi du temps pour se faire LEUR propre opinion, et non le pré-mâchage médiatique, puis arrivé à des conclusions diamétralement opposées à celles des « complotistes » ?

Bien sûr que non, à quoi bon perdre son temps face à des « allumés » qui racontent n’importe quoi quand une presse « indépendante » fait le travail pour vous !

Pas de coupables, pas de meurtres !

Le dernier argument qui permet de se dédouaner et de retourner se coucher est le suivant :

« OK d’accord tout serait faux, mais alors c’est organisé par qui et pour quoi ? »

Imaginons que vous disposez de toutes les preuves (facilement disponibles) que toute cette pandémie est un faux et que ce sars-cov2, probablement fabriqué, n’est pas plus méchant que les virus respiratoires habituels. Vous avez alors tous les éléments de preuve, mais, sous prétexte que les coupables ou complices ne sont pas identifiés, alors les preuves peuvent être discréditées et celui qui vous les a amenés devient un complotiste illuminé…

C’est comme si vous étiez policier… vous arrivez sur les lieux d’un crime et découvrez un cadavre. Vous posez alors la question :

« Vous connaissez le meurtrier et ses motivations ? »

Et si la réponse est « non » alors vous déduisez « bon ça doit être une erreur, on a imaginé le meurtre ! »

Personnellement, même si j’ai quelques éléments, quelques indices, je ne possède strictement aucune preuve quant aux commanditaires, complices, opportunistes, desseins…

Je croule juste sous les preuves que :

  • Bill Gates n’est pas clair.
  • L’OMS est corrompue.
  • Les laboratoires pharmaceutiques n’ont strictement aucune valeur morale.
  • Des politiques disposent d’informations, mais agissent contre l’intérêt commun.
  • Les lobbies et la corruption vont bon train.
  • Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts.
  • Ce virus est un gentil virus dont nous n’aurions JAMAIS entendu parler si les médecins avaient conservé le droit de soigner les malades et que les politiques et médias n’avaient pas monté l’affaire en épingle.
  • Les données sanitaires sont des faux.
  • Il existe des traitements.
  • Les prétendus « vaccins » sont inutiles, inefficaces et dangereux.
  • Etc.

Les « possédés » n’ouvriront pas les yeux

C’est lorsque l’autorité qui leur a dit « blanc » dira « noir » qu’ils acquiesceront et changeront d’avis, pardon… adhéreront à la nouvelle « vérité ».

Se poser les questions, chercher les réponses (bien entendu en dehors des médias classiques) ouvre une boîte de pandore trop violente.

« Comment moi, une personne si intelligente, ai-je pu tomber dans un piège qui, si on le regarde de l’extérieur, est extrêmement grossier ? »

C’est ce que se disent les personnes, pourtant intelligentes, qui sortent de secte…

Cette révélation est désormais d’autant plus difficile pour celles et ceux qui se sont injectés « volontairement » qui vont découvrir que la substance expérimentale est d’autant plus dangereuse que l’on s’injecte de doses, mais aussi qu’elle ne protège en rien de la contamination et de fait qu’elle n’aidera pas à mettre fin à la « pandémie ». Substance dont on ignore totalement les effets à long terme (une première mondiale à l’échelle de la planète). Et que dire de la violence de la révélation pour les parents qui ont injecté les thérapies géniques à leurs propres enfants et qui leur ont fait courir un risque (peut être minime, mais réel) pour RIEN ou pire… pour aller en vacances.

C’est donc grâce à notre « intelligence supérieure », grâce à l’impossibilité de se tromper (à ce point) qui nous est conférée par celle-ci (que les complotistes n’ont pas bien évidemment) que nous les Occidentaux et surtout les Français resterons dans l’ignorance… pour l’instant.

Pour l’instant, car si on regarde ce qu’il se passe à l’étranger, l’édifice commence à se fissurer de toutes parts… Et quand la vérité sortira, elle fera mal à tous les manipulés et complices malgré eux.

Personnellement j’ai dépensé suffisamment d’énergie pour les aider…

Merci Alain Tortosa.
20 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210920-intelligence-superieure-francais.pdf


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Voir aussi : Le défi de l’intelligence
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Pas de suspension des personnels non vaccinés en Guadeloupe

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Exemption d’application de la loi en Guadeloupe. Pourquoi pas ailleurs ?  

« En Santé Publique, le vaccin est un moyen de prévention, de protection et de traitement contre une maladie infectieuse potentielle, le vaccin ne peut être une arme de guerre, de soumission, de contrôle et d’asservissement des peuples. »

Nous avons appris avec joie que le directeur du CHU de Guadeloupe, Gérard Cotellon, était enfin pragmatique et privilégiait peut-être le sort des patients à l’application irréfléchie et inhumaine de la loi aberrante votée début août par quelques députés et dont le décret d’application (valable ou non ?) fait beaucoup jaser.

Pourtant ce directeur, ancien infirmier général et longtemps bras droit de Martin Hirsch patron de l’APHP, avait l’habitude des guerres hospitalières sans état d’âme contre le personnel et les patients à l’APHP de Paris.(([1] En particulier lors de la fermeture de l’unité d’oncologie pédiatrique de Garches en 2014))

Que s’est-il passé ? Aura-t-il su faire preuve d’humanité cette fois-ci ? Les miracles existeraient-ils au soleil de Guadeloupe ?

De fait, depuis le début de la “plandémie”, les autorités en Guadeloupe se heurtent à une très forte opposition à la gestion de la crise sanitaire. Le syndicat Union générale des travailleurs de Guadeloupe et le collectif LKP (Lyannaj Konrt Pwofitasyion), qui militent contre l’obligation vaccinale, ont déposé mardi une nouvelle plainte contre X, mettant en avant, entre autres, « l’afflux de visiteurs » pendant les vacances d’été et l’état du système hospitalier en Guadeloupe.

Et le 5 février  précédent, on pouvait  déjà lire de la part des « sentinelles Guadeloupe » :

Message à Gérard Cotellon, Directeur du CHU de Guadeloupe, ainsi qu’aux chargés de la “vaccination” au sein de l’établissement.

Arété fè sa zôt ka fè-la…

Parents qui avez des proches âgés hospitalisés, ne les laissez pas à la merci des “distributeurs” de “vaccins”.

Assurez-vous des conditions d’obtentions de leurs accords pour être “vaccinés”.

Sentinelles Guadeloupe(([2] (20+) Sentinelles Guadeloupe – Publications | Facebook))


Selon l’AFP :

« Le directeur du CHU de Guadeloupe a décidé de ne pas appliquer la loi sur l’obligation vaccinale et fait travailler des soignants non vaccinés. Tous les directeurs peuvent décider de le faire en le motivant par la continuité du service public.(([3] Par J.Cl. avec AFP Le 17 septembre 2021 à 10h19))

« Si la vague épidémiologique reflue, les services hospitaliers sont toujours remplis de malades. Suspendre les personnes non vaccinées les empêcherait de fonctionner. »

Trop c’est trop.

Faire fonctionner un hôpital sans soignants dont il est issu, c’est impossible et c’est sa responsabilité médico-légale personnelle de surcroît. Il a bien des raisons, ce directeur, d’être humain (?), et/ou prudent…

Nous dirons finalement qu’il est prudent quand on lit les lettres des syndicats locaux démontrant la souffrance des personnels, le manque de moyens etc.

« Monsieur Le Directeur Général,(([4] L’UTS-UGTG a écrit à Gérard Cotellon

andre-jean VIDAL Guadeloupe , Santé , Social 14 septembre 2021))

 Permettez, qu’une fois de plus, nous vous interpellions sur ce que ne nous pouvons désormais qualifier que de “scandale de la Gestion des Ressources Humaines au CHU.”

 Vous interpeller également sur ses manifestations des plus visibles, la maltraitance et le harcèlement, que vous soutenez, encouragez et pratiquez depuis tantôt et avec violence depuis la crise du Covid-19.

En effet, par différentes notes de service à caractère propagandiste en faveur de la vaccination, vous distillez la peur, la soumission, la culpabilisation des personnels et la stigmatisation des 80 % d’agents non vaccinés. Ainsi, d’abord, après des mois de service sous tension, ceux qui ont voulu prendre des vacances, vous les avez sommés, sous menace de sanctions, de reprendre leur travail et les avez traités de déserteurs, au motif du déclenchement du Plan Blanc/CHU.

Ensuite, à ceux qui ont voulu se mobiliser, tous ces derniers mois, pour obtenir le paiement de leurs heures supplémentaires, et les primes spécifiques liées à leur fonction, leur intégration sur les postes vacants qu’ils occupent depuis des années, ou qui ont dénoncé le manque de médicament, de draps, de scopes, de respirateurs, de climatisation et de traitement d’air, vous avez opposé le déficit annuel de 40 millions d’euros du CHU, établi selon vous par les 14 millions de recettes de fonctionnement mensuel et par les 17 millions de charges de fonctionnement mensuel, notamment des charges en personnel.

Ainsi, selon vous, l’équilibre financier du CHU devrait passer par la suppression de centaines de postes, la dénonciation d’accords locaux sur la gestion, l’organisation et la durée du temps de travail, le passage généralisé en 12 heures, et bien évidemment la corvéabilité permanente des agents.

 Et par conséquent, le droit à la qualité de la vie au travail, le droit à des conditions d’hygiène, de sécurité au poste de travail, le droit à évoluer dans un environnement sain, le droit à la formation, à la promotion promotionnelle, à une carrière dynamique, le droit au respect des prérogatives des instances de représentation du personnel, et singulièrement des alertes du CHSCT et de ces experts comme INDIGO, tout ceci devrait être possible, puisque réglementaire, mais ne peut être envisagé dans le contexte économique, financier et sanitaire actuel et futur.

 Et maintenant, depuis le 12 juillet 2021, jour de l’oukase du Président Macron instituant l’obligation du passe sanitaire et de la vaccination, comme sésame pour la sortie de la crise sanitaire en France, et ensuite les lois et décrets respectivement des 5 août et 07 août 2021, vous semblez être heureux d’avoir désormais l’équipement qui vous manquait pour montrer moun ki moun ki dirèktè à CHU.

Vraiment, jusqu’à votre lettre du 30 août 2021 où vous nous avez déclaré de manière péremptoire que désormais vous alliez appliquer des mesures RH de manière stricte, et ce en réponse à la suspension de notre participation aux négociations de l’Agenda social, nous étions persuadés que comme nous, syndicats et représentants du personnel, pour vous, les femmes et les hommes, les soignants, techniciens, ouvriers, et administratifs, corps hospitalier s’il en est, étaient la principale richesse du CHU ; que cette richesse devait être soutenue, valorisée pour obtenir sa pleine disposition à assurer le service public de santé au CHU Jodilà, et au CHU de Perrin Dèmen ; et que jamais vous n’auriez participé à cet hallali contre nous, soignants, soldats de la première heure pour crime de désobéissance, de refus de piki fosé…

 Non, nous n’en sommes pas surpris de votre allégeance à votre fonction, nous sommes déroutés par la revendication de cette allégeance. …/… Parce qu’en plus, vous le savez, Monsieur le Directeur Général du CHU, le Centre Hospitalier Universitaire de Guadeloupe, le système hospitalier de santé en Guadeloupe, l’organisation et l’effectivité de l’accès du bénéfice et de la qualité des soins, en Guadeloupe, est énigmatique.

 Avec une Agence Régionale de Santé qui coupe, qui hache et qui finance les projets de santé qu’elle seule a choisi, un privé qui accapare la quasi-totalité des Activités MCO et SSR, un Projet Régional de Santé et un Projet Médical de Territoire catalogues de bonnes intentions, et quelques portes ouvertes sur le cancer de la prostate, les addictions et les robots, ni la maladie, ni les malades, ni les soignants et ni la santé ne sont entendus, ni les précarités, ni les comorbidités, ni la maladie mentale qui constituent le terreau de l’actuel Covid 19, ne sont évoquées, encore moins invoquées.

En conséquence, la surmortalité due au Covid et les dégâts familiaux, psychiques, les kô krazé é tèt pété post Covid, sans le deuil de parents et d’amis, et sans le deuil de la vie d’avant-guerre, relèvent pour nous d’une programmation, voire d’une modélisation.

 Vous comprendrez pourquoi, pour nous, le Directeur Général du CHU de Guadeloupe et ses autorités médicales internes devraient s’inquiéter autrement de la place et du rôle du CHU, établissement de premier recours et de référence, en bout de la chaîne de soins, mais hélas aujourd’hui confronté en aval à un torrent d’incompétences et de conflits d’intérêts, et toutouni parce sans soutien politique, sans soutien administratif, incertain budgétairement, financièrement et sans dynamisme institutionnel.

 Et quand en plus, malgré près de 10 mois de propagande, de matraquage sur les bienfaits des vaccins, sur la surmortalité des non-vaccinés, personnes âgées et des comorbides, plus de 80 % de vos agents médicaux et non médicaux se tâtent, s’interrogent, s’inquiètent, persistent et refusent toutes obligations non fondées, tout mépris à leur intelligence, tout chantage à leur emploi, vous soutenez être déterminé à suspendre leur emploi et leur rémunération pour mieux les contraindre, nonobstant les déclarations politiques de suspension des obligations de votre patron Véran. C’en est trop !

 Vraiment nous attendions de vous une prise de distance, un peu plus discrétion et plus circonspection, plus de solidarité, plus de respect pour notre équilibre physique et mental, parce que vous le savez comme nous, la gestion de la pandémie du Covid-19 pue la finance et la politique mais pas l’aspirine, ni la Bétadine, ni l’Ivermectine, ni le zèb a pik.

 Enfin, quand le CHU de Guadeloupe sort plus de 300 morts de ses lits en 1 mois, la responsabilité et la faute ne peuvent venir que de ses organisations et désorganisations, que de ses manques d’équipements, de ses choix de traitement et de non traitements, de ses manques de matériels, de médicaments, d’effectifs soignants et de son environnement propice aux infections nosocomiales, etc…

 Désigner les soignants et les non vaccinés comme les propagateurs du virus et de ses petits, est vil et indigne d’un Cadre de Direction de votre rang. En Santé Publique, le vaccin est un moyen de prévention, de protection et de traitement contre une maladie infectieuse potentielle, le vaccin ne peut être une arme de guerre, de soumission, de contrôle et d’asservissement des peuples.

 NON, nous Agents du CHU paka maché ni avè gòj, ni avè gojèt… Nou péké pwan piki ni pa fòs, ni pa la pè !! Recevez, Monsieur le Directeur Général, nos salutations distinguées. Pointe-à-Pitre, le 14 Septembre 2021 Le Secrétaire de Section G.CLAVIE »

 Finalement, et bien lui en a pris, le directeur du chu a décidé de ne pas suspendre les personnels non vaccinés  (près de 80 % ). Il est clair que reste mystérieuse la façon dont il aurait pu faire fonctionner son hôpital.

 À SUIVRE !

 Selon le directeur de l’hôpital, 74,19 % du personnel n’a pas encore entamé de parcours vaccinal. (Illustration) AFP/Carla Bernhardt

Le directeur général du CHU de Guadeloupe a reconnu jeudi être « dans l’impossibilité » d’appliquer la loi sur l’obligation vaccinale, entrée en vigueur mercredi.

Selon Gérard Cotellon, 74,19 % du personnel n’a pas encore entamé de parcours vaccinal. Les 26 % vaccinés sont en majorité des médecins et des internes. Ce qui signifie que les personnels du CHU sont moins vaccinés que la population où la proportion de personnes ayant reçu au moins une injection atteint 38,5 %. « Faire tourner l’hôpital, malgré la loi ».

 « Je prends donc sur moi cette responsabilité de faire tourner l’hôpital, malgré la loi », a-t-il déploré. 


https://twitter.com/LE__GENERAL_0FF/status/1437731900521689092




Macron, Véran et consorts… ignorants ou comploteurs ? Une réponse claire en treize points essentiels

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Tous les citoyens conscients doivent se poser cette question à propos notamment des plus en vues des covidistes en France, Macron et Véran*.

Point 1, la quarantaine.

Depuis plusieurs siècles, on sait que la méthode la plus efficace pour stopper une épidémie est la quarantaine. Quarantaine, XII siècle, dérivé de quarante d’abord au sens de « espace de quarante jours » ; au XVII siècle, isolement de quarante jours des contaminés pour éviter la contagion des sujets sains. De nombreux pays dans le monde ont utilisé ce processus très simple avec un franc succès. Ils ont testé les malades (avec des tests fiables) et les ont immédiatement isolés de la population, cassant ainsi la chaîne de propagation du virus.

Commentaire : la quarantaine, même les ânes la connaissent.

Point 2, des tests sérologiques efficaces et sûrs.

Des tests sérologiques précis et rapides (30 min) existaient avant l’épidémie, ils furent utilisés depuis le début de la crise par plusieurs pays, au début en Asie, Japon, Corée du Sud, Hong-kong… puis en Europe, Luxembourg, Allemagne, Autriche… ils permirent de détecter rapidement les positifs et de les isoler pour éviter la contagion.
ASIE — ÉPIDÉMIE : Sortir du confinement par les tests sérologiques d’immunité au Covid 19

Commentaire : la France de Macron à la ramasse.

Point 3 : les frontières comme des passoires.

Le point de départ de l’épidémie a été très rapidement circonscrite à la région de Wuhan en Chine, c’était dans tous les médias, personne ne pouvait échapper à cette information, pourtant le gouvernement n’a pas hésité à faire rentrer pendant de nombreux jours tous les avions qui venaient de cette région et de Chine, avec eux les contaminés. Idem pour l’Italie, le premier foyer épidémique en Europe, qui s’était déclaré en Lombardie fut annoncé rapidement par les médias. Pourtant pendant plusieurs jours les autorités françaises n’ont pas cherché à freiner l’arrivée des personnes venant de ces régions. Elles ont même autorisé les supporters du PSG à aller voir un match de leur équipe favorite à Milan et bien sûr à revenir, certains avec le virus.

Commentaire : même les ânes auraient été plus prudents.

Point 4, les tests PCR imposés.

Article France Soir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux.

Les tests PCR n’isolent pas et ne détectent pas le covid-19 comme tel, ils montrent simplement que les testés ont toute une série de virus et de bactéries dans leur corps, ceux-ci n’ont peut-être aucun rapport avec le covid-19. Cependant, quand l’individu est déclaré positif (après un délai), il est déclaré systématiquement positif au covid-19 ce qui fausse et amplifie les cas.

Confirmé par plusieurs articles publiés par divers médias comme Paris-Match,
https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289 ou Businesstravel.fr, 
https://www.businesstravel.fr/les-tests-pcr-actuels-sont-peu-fiables-pour-detecter-une-infection-virale.html

Commentaire : malgré que les premières informations sur ce sujet furent publiées dès septembre/octobre 2020 le gouvernement a continué sans vergogne à les mettre en avant, curieux, non !

Point 5, un conseil scientifique créé par Macron avec plusieurs membres ayant des liens rémunérés avec l’industrie pharmaceutique

Un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont des liens avec des entreprises pharmaceutiques. Cette collusion a été dénoncée par le Pr Raoul lors de son audition par le Parlement, le 24 juin 2020. Malgré cette dénonciation faite il y a plusieurs mois déjà aux yeux de tous, ce Conseil Scientifique continue toujours de fonctionner en l’état comme si de rien n’était, en donnant son avis au gouvernement qui le suit.

Article de France Soir : Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique
ou de La Croix : Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêt

Conflit d’intérêt strictement interdit par la loi.(([1] Les documents officiels français : Légifrance

LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique (1)
Chapitre Ier : La prévention des conflits d’intérêts et la transparence dans la vie publique (Articles 1 à 24)
Article 1
Modifié par LOI n°2016-1691 du 9 décembre 2016 — art. 29 (V)

Les membres du Gouvernement, les personnes titulaires d’un mandat électif local ainsi que celles chargées d’une mission de service public exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité et veillent à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Les membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes exercent également leurs fonctions avec impartialité.

Section 1 : Obligations d’abstention (Articles 2 à 3)
Article 2
Modifié par LOI n°2017-1339 du 15 septembre 2017 — art. 6

))

Commentaire : Macron et son gouvernement prouvent par ce premier manquement très grave à la loi qui perdure depuis, son mépris des lois républicaines confirmé par la suite par de très nombreuses décisions illégales.(([2] Macron et sa Dictature en Marche, en trois preuves et quelques faits incontestables — Profession Gendarme))

Point 6, masques ou pas masques ?

Le gouvernement français, s’appuyant sur les recommandations du conseil scientifique, décide le confinement de l’ensemble de la population, avant le confinement le port du masque est déconseillé, après le confinement il est imposé !!!

De nombreuses études scientifiques de haut niveau ont été réalisées depuis le début de la crise sur l’utilité du port du masque par les adultes et les enfants selon le niveau de protection des masques et les circonstances de leurs utilisations. Aucune de ces études n’a été portée à la connaissance du grand public par le gouvernement et les médias subventionnés qui laissent ainsi la population dans l’ignorance. Aussi il faut que les citoyens se posent la question suivante : les masques sont-ils toujours vraiment utiles ou sont-ils devenus au fil du temps un signe de soumission à un pouvoir corrompu ?

Commentaire : une communauté d’ignorants, vraiment ?

Point 7, des vaccins  produits en un peu plus d’un an, recherches comprises, peuvent-ils être sûrs ?

Extrait de l’article  « Pourquoi je ne me ferai pas vacciner. » du Docteur italien S. R. Valli, diplômé en médecine et en chirurgie à La Sapienza à Rome, et spécialiste en médecine interne et en allergologie et immunologie cliniques, publié en septembre 2021 sur le site web Benoitetmoi.fr dans Mes pièces.

« En général, un médicament (mais aussi un vaccin) doit passer par plusieurs phases d’étude :

la phase préclinique sur les animaux, qui sert essentiellement à établir la toxicité éventuelle de la molécule sur un organisme vivant complexe, puis certains paramètres pharmacocinétiques : voie d’administration privilégiée, absorption, distribution, métabolisme et élimination ;

la phase 1, c’est-à-dire sur des volontaires sains, qui permet de s’assurer que les résultats obtenus chez l’animal sont confirmés chez l’homme ;

la phase 2, celle des volontaires “malades”, qui sert à vérifier l’efficacité thérapeutique du médicament, ou l’efficacité préventive du vaccin chez les sujets exposés à la contagion ;

la phase 3, la plus importante. Ici, les études sont multicentriques, c’est-à-dire réalisées dans différents hôpitaux, et doivent être en double aveugle et contrôlées par placebo. Dans cette phase, il est obligatoire d’obtenir le consentement éclairé, car le patient doit savoir qu’il est soumis à un essai clinique et qu’il peut donc recevoir soit le médicament actif, soit le placebo, sans que ni lui ni son médecin ne le sachent (c’est la signification du double aveugle). La phase 3 doit durer de 3 à 5 ans (et il se trouve que les vaccins contre le SARSCoV-2 sont testés jusqu’en décembre 2023 !)

La phase 4, ou pharmacovigilance, qui est la phase à laquelle sont soumis les médicaments une fois qu’ils sont mis sur le marché. La pharmacovigilance (ou surveillance) peut être active ou passive : elle est active lorsque le médecin visite périodiquement le patient qui a reçu le médicament et signale tout effet indésirable ; elle est passive lorsque le patient signale un événement indésirable au médecin, qui doit le signaler aux autorités sanitaires qui doivent en prendre note.

On estime que les événements indésirables signalés dans le cadre de la surveillance active sont 100 fois plus nombreux que ceux signalés dans le cadre de la surveillance passive. Ces vaccins font uniquement et exclusivement l’objet d’une surveillance passive et, d’après l’expérience directe, presque aucun des effets indésirables signalés par les patients n’est signalé ! Enfin, les effets à long terme : c’est là que réside la question la plus critique.

Nous (et Pfizer, Moderna, Astra Zeneca) ne savons absolument rien de ce que le vaccin pourrait provoquer dans un, deux, cinq ou dix ans. En effet, pour qu’une étude clinique soit fiable, deux critères fondamentaux doivent être respectés : la taille de l’échantillon et la durée d’observation. Une étude portant sur cinquante millions de personnes pendant un mois ne peut que nous dire que le médicament est sûr dans les situations aiguës, tandis qu’une étude sur une personne suivie pendant vingt ans ne nous donne aucune information, car tout peut être ramené à des variables individuelles.

Dans le cas de ces vaccins, le nombre de sujets ne dépasse pas 70 000 (contre 2,5 milliards de vaccinations effectuées !), et la période d’observation à ce jour ne dépasse pas un an. Je rappelle que des médicaments utilisés depuis plus de quarante ans comme antiulcéreux (ranitidine, cimétidine) ont été suspendus du marché, car on a découvert en 2018 qu’ils avaient un composant potentiellement cancérigène ! “ 

Commentaire : comment se fait-il que le conseil scientifique n’ait pas tenu compte de ce que tout médecin digne de ce nom a appris sur le ban de la fac ? N’est-ce pas docteur Véran !!!!

Point 8, des vaccins ne bénéficiant que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.  

Autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Début de l’article publié sur le site web de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé.)

‘Les Autorisations de mises sur le marché (AMM) seront délivrées par la Commission Européenne à l’issue de cette évaluation et seront valables dans tous les États membres de l’UE. Dans le contexte de la pandémie et de l’urgence de santé publique, les AMM seront dites conditionnelles.

En effet, une AMM conditionnelle permet l’autorisation de médicaments qui répondent à un besoin médical non satisfait avant que des données à long terme sur l’efficacité et la sécurité ne soient disponibles. Cela est possible uniquement si les bénéfices de la disponibilité immédiate du médicament l’emportent sur le risque inhérent au fait que toutes les données ne sont pas encore disponibles. L’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients.

Une fois qu’une AMM conditionnelle a été accordée, les laboratoires doivent fournir les données complémentaires provenant d’études nouvelles ou en cours dans des délais fixés par l’EMA pour confirmer le rapport bénéfice/risque positif.

Une AMM conditionnelle est accordée pour un an et peut être renouvelée. Lorsque les autorités européennes ont reçu et évalué toutes les données complémentaires exigées, l’AMM conditionnelle peut être convertie en une AMM standard.’

Commentaire : actuellement on ignore donc bien les effets sur le long terme de la vaccination.

Point 9, malgré ce qui précède, pour Macron et son gouvernement, la vaccination est l’unique solution contre le covid, c’est clair, c’est net

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/04/24/la-vaccination-seule-solution-face-a-la-covid-19

Pour tous les vaccins, les fioles contenant les injections ne comportent aucune mention, à part le nom du produit. Pour Macron ce n’est pas un problème.

Mais pour ceux qui ont reçu, par exemple le vaccin Pfizer, vous a-t-on montré ceci ?

Commentaire : faisant abstraction du principe de précaution, contre tout bon sens, Macron et son gouvernement proposent quasiment une vaccination obligatoire avec des produits pour le moins incertains. Avec les points précédents nous avons déjà vu une cascade d’inepties qui, trop nombreuses, paraissent très suspectes, mais à ce stade, on est en droit de se demander si Macron, le bon samaritain qui ne vous veut que du bien, et son gouvernement à sa botte, ne nous mène pas en bateau.

L’ENVERS DU DÉCOR

Macron et son théâtre d’ombres

Deux interventions de Macron que vous n’avez pas vues dans les médias.

Point 10, discours de Macron en ouverture du sommet des banques publiques de développement finance en commun, novembre 2020.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/11/12/discours-du-president-emmanuel-macron-en-ouverture-du-sommet-des-banques-publiques-de-developpement-finance-en-commun.

Commentaire : tranquillement et en douce il nous vend à ses collègues de la finance, n’oublions pas qu’il a travaillé plusieurs années à la banque Rothchild.

Point 11, intervention de Macron avec Klaus Schwab au Forum virtuel de Davos janvier 2021.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/01/26/intervention-du-president-emmanuel-macron-dans-le-cadre-de-lagenda-de-davos-organise-par-le-world-economic-forum

Commentaire : incontestablement ils se croient tout permis et ils décident pour nous.

+ Point 12, le parrain et un de ses hommes de main.

https://by-jipp.blogspot.com/2021/09/vers-une-gouvernance-medico-genocidaire.html

No comment.

Et pour finir, Point 13, un drôle de paroissien.

Pour ceux qui ne la connaisse pas voici l’œuvre de Shepard Fairey (Obey) que Macron a derrière son bureau de l’Élysée, une Marianne où est inclus MANIFESTEMENT un pentagramme noir :

De plus près :

No comment

Conclusion

Face à cette monstruosité, la destruction de l’intérieur de la Démocratie et de la République, très bien explicitée par le dialogue aux enfers de Macron et de Schwab, les Gilets Jaunes de la Victoire et tous les citoyens conscients, se lèvent et s’unissent pour dénoncer le projet démoniaque des mondialistes. Ce projet à déjà reçu un coup en partie mortel par Vladimir Poutine,(([3] C’est pour cette raison que Biden l’a qualifié de tueur.)) grâce son intervention percutante qui à remis les choses en perspectives — faite après celle de Macron et de Schwab — lors de ce même Forum de Davos. La voici :
https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/

Remarquez le Haut symbolisme de l’architecture et de la décoration de la salle du Kremlin où Poutine à fait son discours.

Quoiqu’ils fassent à l’avenir, Macron, Véran et consort, cela ne les dédouaneront pas de leurs responsabilités passées.

Grâce à l’union des forces populaires conscientes, nous vaincrons.


* et consort… seront prochainement nommés.




« Il ne s’agit pas de guérison. » Le point de vue d’une ancienne représentante pharmaceutique

[Source : Kla.TV]



Regardez maintenant une interview de Juliane Alt avec l’ancienne représentante pharmaceutique Elisabeth Linder. « Filmgeschichten.com » nous a aimablement donné les droits de diffusion.

Intro : Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique ». Et là j’ai vu clairement qu’il ne s’agit pas du tout du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd’hui. Je crois toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque chose, c’est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l’autre. C’est pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch (RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C’est juste cruel, ce qui s’est passé là…

Elisabeth Linder : Je m’appelle Elisabeth Linder. J’ai travaillé en pharmacie pendant de nombreuses années, dans le domaine des vaccins. J’y suis venue parce que j’étais mère célibataire et que je devais simplement gagner de l’argent, et c’est grâce à une de mes amies qui travaillait en pharmacie, que je suis arrivée là. En 1980 j’ai suivi une formation de représentant pharmaceutique, puis j’ai commencé à travailler pour une grande entreprise, la première société de vaccins sur le marché mondial. Au début déjà je n’étais pas d’accord avec ce qui se passait. Mais comme je devais nourrir mon enfant et que nous devions aussi nous loger, je me suis dit, – Ok, c’est l’opportunité où je peux le mieux gérer mon temps, où je peux gagner assez d’argent pour subvenir à nos besoins à tous les deux.
Et oui, au début, il n’y avait que quelques vaccins, je pouvais vivre avec ça. L’hépatite B et le tétanos, la diphtérie, la polio et ainsi de suite, et puis au fil des années, il y en a eu de plus en plus. J’ai toujours cru ce qu’on nous disait, que les vaccins sont si important et que nous en avons besoin, et c’est ainsi que les maladies infectieuses déclineront. Je croyais tout ça à l’époque, j’étais complètement nouvelle. Et au fil des années et des cours de formation, et de ce que nous avons entendu, j’ai eu peu à peu le sentiment que ce que je faisais n’était peut-être pas aussi bien après tout. Que ce n’est pas quelque chose qui aide vraiment l’humanité. La première fois que la polio a été injectée, ce sentiment s’est cristallisé de plus en plus lorsque le vaccin a été disponible. Ce n’était pas parce que tant de personnes mouraient lorsqu’il était administré par voie orale, mais parce qu’il était plus cher, dans les 45 marks de l’époque. Puis quand le vaccin suivant est arrivée, ça m’a fait beaucoup réfléchir. C’était à l’époque où il y avait le vaccin contre la varicelle. Et lors d’un événement, il a été dit littéralement : « Nous créons des marchés. » Il ne s’agit pas des enfants, c’est ce qui m’a immédiatement traversé l’esprit. Il ne s’agit pas de protéger les enfants. Je l’ai calculé très vite. Il s’agissait du fait que c’était un problème économique et cela m’a choquée. Déjà à l’époque toute la Commission permanente des vaccinations (en abrégé STIKO) était là, avec leur slogan « Nous créons des marchés. »- : Nous créons des marchés signifie qu’il n’y a en fait aucun marché pour cela. Aussi brutal que cela puisse paraître. J’ai eu une boule dans l’estomac parce que j’ai pensé : « Qu’est-ce que vous voulez dire, par – Nous créons des marchés ? » Et puis nous avons dû aller voir les médecins et leur vendre le vaccin….; et ensuite beaucoup d’enfants sont morts à cause de cela. Aucun pédiatre n’a eu d’enfants qui sont morts de la varicelle.
Finalement, c’est une question d’argent, oui !

Filmgeschichten.com : Et ensuite, comment ça s’est passé pour toi ?

Elisabeth Linder : Ça, c’était l’histoire du vaccin contre la varicelle. Qu’est-ce qui s’est passé ensuite ? Ah oui, ensuite il y a eu le tétanos, puis le vaccin quadruple : tétanos, diphtérie, polio et coqueluche ; puis le quintuple et enfin le vaccin sextuple avec l’hépatite B ; avec l’argument que les mères n’emmèneraient plus leurs enfants se faire vacciner par la suite, car aucun bébé ne contracte l’hépatite B s’il n’a pas une mère infectée. Bien sûr, cela se transmet ensuite au bébé, mais les bébés n’ont aucun, comment dire, aucun risque de tomber malade d’une hépatite B. Oui, et puis il s’est avéré que quand je l’ai présenté aux pédiatres, alors que je n’étais plus du tout d’accord, il y a eu les premiers effets secondaires graves. Et bien sûr, je l’ai signalé. Puisque c’est obligatoire. Ça n’a jamais abouti à rien. Il y a eu les premiers décès à l’époque déjà. Et alors, après que cela ne pouvait plus être balayé sous le tapis, ils ont dit : « Une étude doit donc être faite », à Munich à l’époque. « Tous les enfants qui décèdent d’une mort subite du nourrisson doivent être autopsiés. Et il faut voir quelle en était la cause ». Cette étude n’a jamais été publiée. Oui, avec les connaissances que j’ai aujourd’hui, tout est clair pour moi. Et c’était un point important pour moi, j’avais le moins de ventes avec ça, mais je m’en fichais. Et quand un pédiatre me demandait ce que je ressentais à ce sujet ou ce que je pensais, je disais toujours que je ne le ferais pas. Et bien sûr, quand mon premier petit-enfant est venu au monde et que ma belle-fille m’a demandé, j’ai juste dit : « Pour l’amour de Dieu, surtout pas de vaccin sextuple. » Donc mes inquiétudes, mes doutes, mon intuition… m’ont de plus en plus montré que ce n’est pas un travail en accord avec mon opinion. Ça devenait de plus en plus évident.

Filmgeschichten.com : Et combien d’années as-tu travaillé là-bas ?

Elisabeth Linder : 28 ans. Quand j’ai réalisé tout ca, je pense que j’y étais déjà depuis 8 ou 9 ans. Et tu peux calculer toi-même, les années restantes ont été dures pour moi, mais j’avais besoin de cet argent. C’est comme être dépendant de drogues. On était bien payé, et avec ça j’avais une bonne qualité de vie. Oui, et avec mon enfant… c’est ce cercle vicieux. Avec le recul, je ne referais plus jamais ça. C’est ce cercle vicieux ! Puis mon enfant a dû aller à l’école, où il était pris en charge toute la journée, et cette école était très chère. Oui, j’aurais pu tout avoir autrement. Mais c’est passé. Actuellement, je l’ai fait, je suis allée jusqu’au bout jusqu’à ma retraite, parce que j’ai pensé que je ne m’arrêterais pas quatre ou cinq ans avant. C’était vraiment très difficile pour moi. Puis il y a eu le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Et il y a eu une année, je ne sais pas si tu t’en souviens. Un an auparavant, le sujet du cancer du col de l’utérus était omniprésent dans toutes les émissions de radio et de télévision. C’était affreux pour les femmes… et elles ont été interviewées. Et ça a vraiment duré une année, et ça s’appelle le pré-marketing. Et puis j’ai dit à mes collègues de l’époque : « Dites-moi, ne remarquez-vous pas ce qui se passe ici ? » Nous recevons le vaccin dans un an et maintenant toutes les émissions ne parle que du cancer du col de l’utérus. Ça me rappelle…, et je ne sais pas pourquoi j’ai fais cette association d’idée, cela m’a rappelé la Thalidomide. Et c’est ce que j’ai dit : « Ça me fait penser à la Thalidomide. Il se passe quelque chose, personne ne dit rien, personne ne l’arrête. » Et ensuite j’ai principalement rendu visite à des pédiatres et des gynécologues, un gynécologue ne m’a pas reçue à Starnberg.
Ça, je n’oublierai jamais – je n’ai pas compris pourquoi il disait qu’il ne reçoit personne de mon entreprise. Mais moi aussi je suis têtue et j’ai dit que je voulais simplement qu’il me reçoive, parce qu’il ne savait pas quelle était mon opinion. Oui, c’est ce que j’ai dit à sa secrétaire, et ensuite il m’a en effet proposé une conversation, et c’était très intéressant, parce qu’il m’a raconté comment les études étaient faites dans les pays dits du tiers monde. Et à l’époque ça m’a vraiment coupé l’herbe sous les pieds. Parce que je me suis dit : « Qu’est ce qui se passe ici ? Qu’est-ce que je fais, où est-ce que je travaille ? Et je dois vendre ça aux médecins comme si c’était une bonne chose. »

Dans les pays dits « du tiers monde », comme on le dit toujours, je trouve cela tellement méprisant d’ailleurs, les vierges, c’est-à-dire des enfants qui n’avaient pas encore leurs règles, des jeunes filles qui n’avaient pas encore eu leurs règles, étaient vaccinées avec ce vaccin, alors que nous savons, ce que fait ce vaccin et que ça n’a absolument aucun sens et c’est ça qui est pervers.
Sur 47 souches de vaccin, il y en avait trois qui pouvaient éventuellement offrir une protection. Les gynécologues m’ont aussi informée que grâce à l‘amélioration des examens et la sensibilisation des femmes pour le test Papillomavirus, il n’y a presque plus de cancer du col de l’utérus, ou plus dans la même mesure. Et ce n’est pas du tout prouvé que ce vaccin soit efficace.
Mais ils ont accepté, la probabilité de mourir, qui existait déjà à l’époque, et qui est bien sûr beaucoup, beaucoup, beaucoup plus probable aujourd’hui. Et puis on a fait des projections : combien d’enfants sont vierges, combien de petites filles avons-nous ? Et puis ils ont fait des calculs. La triple vaccination coûtait déjà alors 500 € au total ; et ensuite vous pouvez calculer vous-même l’ampleur de ce marché.
Et puis les filles ne leur ont pas suffi. Ils ont voulu aussi les garçons, parce que ceux –ci pouvaient être transmetteurs. Et je suis arrivée au point où j’ai dit : « ça, je ne peux plus le faire. »
Si j’imaginais que j’aurais pu le faire – c’est-à-dire avec conviction – cela aurait été un tel mensonge, et tout en moi a crié : « Ce n’est pas bien, ce qui se passe. » Cela ne va absolument pas. » Et pour couronner le tout, ils ont également embarqué les garçons. Avec ce vaccin la ligne rouge a été franchie.
Et quand j’ai eu plus d’informations par des médecins critiques, j’ai dit… Alors j’ai souvent dit à mes collègues : « Vous ne vous rendez pas compte de ce qui se passe ici ? » Non, ils ne s’en sont pas rendu compte.

Filmgeschichten.com : Tu étais donc la seule ?

Elisabeth Linder : oui ! J’étais en fait la seule dans un groupe de dix personnes.

Filmgeschichten.com : Es-tu toujours en contact avec certains d’entre eux ?

Elisabeth Linder : Oui, même avec ma chef de l’époque, mais plus maintenant. Ils savaient également que je consultais des médecins homéopathes en privé depuis de très nombreuses années et que je pensais différemment.
Mais je dirais qu’il y a certaines choses que je pouvais encore vendre, parce que – encore une fois – je n’avais pas les connaissances d’aujourd’hui non plus. Mais cela n’incluait pas le vaccin à 6 doses, ni le vaccin contre la varicelle, ni enfin le vaccin contre le VPH [papillomavirus humain]. C’est là que j’ai arrêté.
C’est un crime. C’est un crime contre les jeunes. Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique ». Et là j’ai vu clairement qu’il ne s’agit pas du tout du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd’hui. Je crois toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque chose, c’est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l’autre. C’est pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch (RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C’est juste cruel, ce qui s’est passé là.
Je n’étais pas au courant. Je ne me suis pas – comment dire – informée davantage à l’époque. Juste ce que j’ai entendu par bribes – et c’était une telle catastrophe pour moi d’y être impliquée. Et quand j’ai entendu un enfant crier, et que le médecin a dit : « Regardez, c’est votre vaccin. » C’était comme si on m’arrachait le cœur.
Je me suis dit : « Comment vais-je traverser les prochaines années ? »

Filmgeschichten.com : On peut dire que les trois dernières années de ta carrière ont été particulièrement difficiles.

Elisabeth Linder : Oui, c’était le cas lorsqu’il y a eu le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. C’est à ce moment là, que la ligne rouge a été franchie pour moi. Je ne pouvais pas faire ça.
Je n’ai tout simplement pas parlé de ce vaccin dans les cabinets. J’ai pris cette liberté d’agir ainsi et quand ma chef m’accompagnait, – car elle est souvent venue avec moi – j’ai dit que j’aimerais qu‘elle fasse l’entretien afin de voir comment elle amenait ces choses auprès du médecin
Je n’ai pas fait ça. Je ne pouvais donc plus faire semblant. Et c’était pour moi les trois dernières années, – j’ai prié tous les jours :
Mon Dieu, fais que je traverse ce temps maintenant, que j’en arrive à la fin car cette chose me tue – c’est à la limite d’un meurtre – rien qu’en pensant à ces jeunes filles
C’était mon lot : je ne pouvais pas le faire. Oui, nous avons été formés par l’entreprise. Nous avons eu des entretiens de vente. C’était lors des conférences et toutes les 2 semaines, c’était de nouveau répété. Il y avait toujours des études présentées, qui étaient bien sûr farfelues, comme je le sais aujourd’hui. Et en fait – nous recevions constamment de nouveaux documents – c’était là où je disais souvent : Qu’est-ce que je dois faire avec ça ? Ce n’est pas juste du tout. Et ce qui me frappe, c’est que les médecins le croyaient. En fait oui, je peux faire le lien par rapport à aujourd’hui…En fait c’est vraiment ce que nous avons aujourd’hui : les médecins le croient.
Et ça me choque. ; parce que je suis une simple représentante médicale, et parce que je suis de la Firme Untel, et parce que je lui montre des études, ils le croient. Rien n’est remis en question.
Il y a très peu de médecins qui ont un avis critique en ce qui concerne les cadeaux publicitaires, il y en a très peu qui disent qu’ils ne veulent pas de cela, qu’ils ne se font pas acheter -. Donc un très petit pourcentage.
J‘ai donc démontré ces choses en espérant que le médecin commanderait mon vaccin à la pharmacie. Il ne pouvait pas commander un vaccin chez moi, il devait le commander à la pharmacie. Et la pharmacie a ensuite transmis les commandes à la société. Et donc on pouvait calculer si j’avais un bon chiffre d’affaires ou pas.

Filmgeschichten.com : ça veut dire que tu l’as découvert par…

Elisabeth Linder : … par les pharmacies.

Filmgeschichten.com : OK.

Elisabeth Linder : Exactement. La seule exception, et là on en vient à parler de la situation actuelle. La seule exception était le vaccin contre la grippe. Nous avons dû les vendre à l’avance. Donc, j’avais un bloc-notes et j’ai dit : Quels patients avez-vous eu l’année dernière qui ont pris le vaccin ? Et puis oui, vous ne voulez pas en commander d’autres cette année ? – C’était horrible pour moi. Et puis il a commandé directement. Et alors je suis allée à la pharmacie avec la commande. Ils l’ont signée. Et là, j’ai su avec certitude qu’il avait commandé tant et tant de vaccins contre la grippe, chez moi. Mais c’était la seule exception.

Les souches ont été cultivées sur des œufs de poule, pour ainsi dire. Et ensuite, le vaccin a été fabriqué à partir de cela. Mais je ne connais plus le processus exact. C’était l’argument, car il change encore et encore. C’est pourquoi il fallait le commander à l’avance.

Ces dernières années, les conversations ne portaient plus sur les vaccins, sauf si quelqu’un me le demandait. Mais je connaissais chaque médecin, je connaissais le nom de chaque secrétaire. Je connaissais les dates d’anniversaires. Pour moi, c’était – c’était le bon côté de mon métier. Je dis toujours que j’étais en fait une psychothérapeute. Combien de choses m’ont été racontées – par les médecins aussi. Ils ont utilisé le temps et m’ont parlé de leur vie. Et c’était mon point fort. C’est mon point fort en général, je peux écouter parce que je suis vraiment intéressée. Et parce que je suis honnête. Quand ils m’ont demandé ce que j’en pensais, j’ai honnêtement donné mon avis. Avec ce que je leur disait, ils auraient pu téléphoner l’entreprise et dire, « Mais qu’est ce qu’elle raconte, Mme Linder ? Elle travaille bien pour vous ? »
Je m’en fichais.

Filmgeschichten.com : À quoi ressemblait ta journée de travail normale en tant que représentant pharmaceutique ?

Elisabeth Linder : Je ne suis jamais partie avant 9 heures. Je préparais ma tournée le soir, je savais où je voulais aller. Je n’ai pas pris de rendez-vous. J’ai refusé. Puis je me suis rendue aux cabinets et j’ai été relativement bien accueillie, car je travaillais dans la région depuis de nombreuses années, et je faisais mes entretiens. Puis je rentrais chez moi l’après-midi. Je travaillais aussi parfois le vendredi après-midi. Je devais me rendre chaque jour chez neuf médecins – entre neuf et dix médecins – et encore dans des pharmacies.

Et quand je rentrais chez moi, je dînais le soir et puis mon travail continuait. Parce que nous devions noter qui je visitais, de quoi nous avions parlé et ce que j’avais laissé comme échantillons ; à l’époque il y avait déjà l’ordinateur portable, nous avons eu un ordinateur portable très tôt, Ensuite, les commandes. À l’époque, il y avait encore beaucoup, beaucoup de cadeaux promotionnels. Je recevais parfois vingt ou trente paquets d’articles promotionnels. Et comme je l’ai dit, j’ai dû organiser moi-même de nombreuses formations avec des intervenants. J’ai commencé à chercher des conférenciers, en fonction du sujet, qu’il s’agisse de vaccins pour enfants ou pour adultes. Ou dans le cabinet du pédiatre, nous avons également organisé des séminaires d’urgence. C’était donc intéressant. Même s’il y avait des formations continues, « des formations continues… » – dans ces beaux hôtels, avec les conjoints, avec tout. Nous avons dû tout organiser.

J’ai donc vu beaucoup de choses du monde entier. C’était beaucoup. J’étais en plus, en quelque sorte une agence de voyage. Tout cela était encore possible à l’époque. Et en fait, je ne quittais pas mon bureau avant neuf heures, neuf heures et demie du soir. La journée était donc longue. Même si tout le monde disait : « Oh, les représentants pharmaceutiques, ont la belle vie. Ils visitent quelques médecins et puis c’est fini. » Eh bien, ce n’était pas comme ça pour moi. J’ai vraiment eu beaucoup de temps de préparation et je travaillais aussi avec des fiches, ça les faisait tous rire. J’écrivais tout : Les anniversaires, les enfants, – parce que pour moi c’est du respect que je porte pour mon vis à vis, – parce que je voulais m’adresser à eux par leur nom. Et c’était ma force, bien sûr.

Oui, la journée était longue. Ce qui était bien, c’est que j’étais indépendante.
Personne, du moins dans ce domaine, ne m’a dit ce qu’il fallait faire, quand le faire et ce qu’il fallait faire ou ne pas faire. …Et je gagnais 4 500 € et des primes en plus. Et en plus une voiture de fonction !
La voiture plus l’essence, c’était déjà lucratif. J’ai toujours dit quand quelqu’un me disait « Oui, c’est génial ce que vous faites. Vous avez de la chance avec ce que vous faites. » Je répondais : « Allez-y, faites-le. Je paie un prix élevé pour ça. » C’est vrai, c’est beaucoup d’argent, la voiture était gratuite. L’essence était gratuite, en plus les primes et beaucoup de voyages. Les voyages j’aurais aussi pu m’en passer. Mais d’un point de vue financier, vous êtes dans une bonne position. Oui, ils le savent, ils le savent très bien. C’est comme ça qu’ils vous tiennent. Et c’est pourquoi il y a cette pression pour vendre. Je n’ai pas fait mes ventes parce que j’ai parlé des vaccins, mais simplement d’un point de vue humain, les médecins ont commandé mes vaccins, même si j’ai parfois dit : « Au fait je ne veux pas tout ça , car je ne suis pas d’accord avec tout ça. »

Filmgeschichten.com : Quelles conséquences physiques et émotionnelles ce dilemme a produites sur toi?

Elisabeth Linder : Une douleur totale. D’un point de vue actuel et de ce que j’ai vécu dans les dernières années, au fond cela n’a pas arrêté, c’était de devoir s’ajuster constamment.

C’était une tension constante. J’étais tout le temps comme une patate chaude, et je me demandais aussi pourquoi je n’avais pas arrêté plus tôt. Entre temps, j’ai essayé de trouver un autre emploi, mais… j’ai essayé ça à 48 ans, je crois. Ils m’ont dit que j’étais trop vieille. J’ai trouvé ça drôle à l’époque. Mais oui, mon père nous disait toujours : « Les enfants, si vous n’êtes plus heureux dans votre travail, alors vous devez chercher autre chose ». Malheureusement, il est mort beaucoup trop tôt. J’étais encore très jeune à l’époque, 13 ans. Mais j’ai toujours eu mauvaise conscience. Tu n’y es pas arrivée. Tu n’as pas lutté et cherché un autre emploi. C’était grave. En rétrospective, les deux choses : premièrement , en vendant un produit que je n’approuvais pas. C’est-à-dire que je ne l’ai pas vraiment vendu à l’époque.
Mais j’ai aussi dû me rendre à l’évidence que je n’ai pas arrêté, que j’ai continué à le faire. Juste par amour de l’argent. Sans aucun doute.

Filmgeschichten.com : Vous connaissez le secteur, vous y avez travaillé pendant longtemps. Comment décririez-vous l’industrie pharmaceutique ? Est-ce une industrie qui veut vraiment guérir ?

Elisabeth Linder : Ils sont si loin de la guérison – je ne sais pas, quel est le plus loin, quel corps céleste est le plus loin ? C’est la distance qui les sépare. Il ne s’agit pas du tout de guérison. Zéro, zéro, zéro. Et cela, – quand vous avez compris, – alors c’est en fait aussi clair que n’importe quoi d’autre, vous ne vaccinez certainement plus un seul enfant, un seul être vivant. Cette histoire de vaccination… parce que je ne savais pas tout ça non plus. Cela remonte – si ce n’est pas à des centaines d’années, – mais au moins à partir de 1800 – Cela a déjà commencé avec la grippe espagnole – c’était quand, la grippe espagnole ?
C’est incroyable. Ils ne sont pas morts de la grippe. Ils sont morts à cause du vaccin. Et c’est ce que j’ai encore entendu au cours de l’année ou de l’année et demie qui vient de s’écouler….. Tu sais. Le pire, c’est que je fais immédiatement le rapprochement et que je ne me demande même pas une seconde si c’est vrai ou non, je sais que c’est la vérité. Toutes les cruautés, les crimes sont vrais. Mais je dois me prendre par la peau du cou, je ne me suis pas posé de questions non plus. J’ai posé des questions, mais bien trop peu, bien trop tard. D’accord, je le fais maintenant. Mais ce que nous, les humains, faisons avec les vaccins, ou les animaux d’ailleurs, c‘est la même chose. Les crimes qui sont commis sont fondamentalement insupportables. Mes animaux n’ont pas été vaccinés depuis que je les ai eus. Quand les gens disent : « Oui, tu veux partir en voyage. » Eh bien, je ne voyage pas. Mais je n’envisagerais pas de vacciner un chien, un chat ou autre. C’est là que ça commence. Les chevaux sont vaccinés jusqu’à la mort. Ensuite, ils disent que s’ils vont à une course… Ce qu’on nous dit toujours, c’est le pire. Pourquoi cela devrait se produire ? Ce n’est pas vrai du tout. Et les animaux ne peuvent pas se défendre, tout comme les enfants ne peuvent pas se défendre.

Et c’est une torture de voir des enfants – pour moi, c’était un viol – quand des enfants sont assis là, criant, et qui se font piquer et qu’on leurs injecte quelque chose qui n’est pas du tout bon pour eux.

Toutes les maladies qui ont suivi, c’était il y a longtemps, c’était au tout début, c’était il y a 38 ans maintenant, ou même il y a plus longtemps, quand lorsqu’on a dit qu’il existe un lien entre l’hépatite B et l’autisme, bien sûr nous, les représentants pharmaceutiques, nous avons dit « quelle absurdité ! »,
Non. C’était la vérité. De nos jours ça a été prouvé. Et toutes ces choses ont simplement été passées sous silence. Mais je répète il y a le côté de ceux qui diffusent quelque chose qui en fait partie, et le médecin qui ne se pose pas de questions en fait également partie.
Car le commerce des vaccins rapporte beaucoup d’argent!

Filmgeschichten.com: Et les clients, ils en font également partie.

Elisabeth Linder: Ils en font également partie. Oui, en fait, ce sont les moins bien lotis, voire les plus pauvres, car ils font confiance aux médecins. Les médecins font peur aux jeunes mères: Vous savez, si vous ne faites pas cela, votre enfant ne sera pas protégé ». C’est ainsi que l’on procède encore aujourd’hui , toujours par la peur. Et ce sont en fait les intermédiaires qui sont aussi les moins informés. Mais après l’industrie pharmaceutique, les pires sont le corps médical qui ne se lève pas pour dire : « Mais qu’est-ce qui se passe?“ Mhmh.

Filmgeschichten.com: Quand t’en es-tu rendu compte ? Est-ce que tu le savais déjà avant, lorsque tout a commencé et que ce virus est soudain apparu ?

Elisabeth Linder: Eh bien pour moi le réveil s’est fait assez tôt. En fait, dès les trois ou quatre premières semaines j’ai pensé que quelque chose n’allait pas. Leur narratif ne collait pas. Pourquoi ce danger soudain, alors qu’on ne parlait pas encore de pandémie ? Et s’il est une chose sur laquelle je peux vraiment compter, quand tout à coup quelque chose me perturbe, c’est bien ma voix intérieure. .
Alors j’ai pensé que quelque chose n’allait pas. Ensuite c’est allé très vite. Je ne sais plus comment ça s’est produit, ni par quelles voies je suis parvenue jusqu’à ces médias.
Mais c’est vraiment arrivé, j’ai été guidée jusque là et j’en remercie le bon Dieu.

Filmgeschichten.com: Tu veux dire que pendant toutes ces années tu t’es informée en consultant des médias classiques, dits de qualité ?

Elisabeth Linder: Je sais, c’est affreux.
Je ne connaissais pas Rubikon, (ndlr. Magazine pour lecteurs ayant conservé leur sens critique) je ne savais pas qui était KenFM (ndlr. chaine internet de tv alternative), je ne savais pas qui était Reitschuster.
(ndlr. Journaliste indépendant spécialiste de la Russie).

Tous les médias libres m’étaient inconnus. Aujourd’hui, je pourrais remettre à chacun d’eux un prix Nobel de la paix. J’ignorais tout ça .

Et c’est ce qui me choque encore chaque jour , enfin plus maintenant, : avoir cru en tout cela. ARD, ZDF – bon, Bayern 3 n’a jamais été ma chaîne préférée – mais ARD, – j’adorais leurs « Questions d’actualité » et je les regardais tous les soirs.

Je n’aimais pas certains d’entre eux, comme Slomka, qui était toujours très subjective. On pouvait deviner quelle était son opinion, mais je la croyais. Que quelqu’un puisse être si perfide, si fourbe, si cruel, mentir comme ça et manipuler les gens, les masses de cette façon, c’était pour moi… je ne pouvais tout simplement pas l’imaginer. Je ne peux toujours pas aujourd’hui, mais maintenant nous sommes au courant..

Filmgeschichten.com: Peux-tu imaginer… ?
…encore cette question, car j’ai également travaillé pendant de nombreuses années pour une station ARD, que ces journalistes sont aussi dans leur bulle ou penses-tu qu’en réalité ils en savent plus?

Elisabeth Linder: Eh bien je pense, c’est un chiffre qui me vient spontanément, qu’ils sont peut-être 30 % à en savoir plus.
Et il y en a peut-être trente autres pour cent qui se doutent de quelque chose, et le reste ne savent vraiment pas grand-chose, étant aussi ingénus que moi à l’époque: ils ne se posent pas de questions, ne font pas de recherches, ne regardent pas dans les coins. Voilà ce qu’il en est, ce que je peux en dire spontanément. Et ceux qui savent sont, pour moi, les prochains criminels après Drosten (ndlr. Inventeur du test pcr allemand à 45 cycles) , Spahn (homme politique accusé de mauvaise gestion de la pandémie et de conflits d’intérets dans un marché d’achat de masques FFP2), peu importe leurs noms.. Parce que s’ils n’agissaient pas ainsi, les gens seraient informés. Je l’entends dire encore et encore, que ce soit par des voisins ou des connaissances: « Oui, mais ils l’ont dit aux infos et c’est clair, c’est exact.“
Alors je me dis toujours, oui, c’est vrai, vous l’avez entendu. Et cela me rend un peu plus douce envers les gens, parce que je me dis à moi-même « Elisabeth, arrête. Avant tu y croyais aussi , toi non plus tu ne te remettais pas en question. »

Et pour moi ce que ces journalistes font, ce n’est pas criminel, c’est pire que criminel.
Encore une fois, il y a certainement des gens, comme moi, qui ont des familles, qui essaient juste de s’en sortir, mais qui se sentent mal à l’aise à cause de ça. Il serait temps pour eux de se lever.

Filmgeschichten.com : La normalité ne sera possible, selon notre chancelière, que lorsque tout le monde aura été vacciné.

Elisabeth Linder : Exactement, et j’ai ri très fort, mais tellement fort que j’ai failli m’étrangler. Parce que j’ai pensé, c’est exactement ça.

Filmgeschichten.com : Qu’est-ce qui t’est passé par la tête ? Je dirai, c’était…

Elisabeth Linder : Oui, j’aurais pu crier. Tout est passé par moi, toutes les années de l’industrie pharmaceutique me sont passées comme un film dans ma tête, où je… C’est aussi cette impuissance. J’étais plantée là et j’ai pensé : Et les gens croient ça. À quel point faut-il être stupide ? C’était tellement évident. C’est ce qui m’a le plus rappelé la vaccination du col de l’utérus, parce qu’à l’époque aussi ils ont extrapolé. Et puis, ce qui est encore pire dans ce cas actuel, ils veulent vraiment décimer la population. Mais l’autre vaccin n’est pas mieux. Les jeunes filles ou les garçons sont décimés de la même manière… Seulement, ce n’est pas aussi grave que maintenant avec ce vaccin. Mais j’ai vraiment ri très fort devant la télé. J’ai pensé… ça je n’y crois pas. J’étais désespérée. Ça m’est passé comme un film, j’aurais vraiment pu crier. Puis j’ai toujours pensé : « Les gens, réveillez-vous ! ». Vous devez réaliser que ça ne peut pas être vrai. Mais, bon… et puis c’est arrivé très vite : les manifestations, le fait d’être exclue. J’ai perdu la plupart de mes amis. Mais en fait, je n’ai pas vraiment perdu d’amis. Si je suis honnête, ce n’étaient pas mes amis proches avant, car sinon ils m’auraient au moins demandée comment j’en arrive à penser telle chose.

de nm.

Sources / Liens :
https://vimeo.com/582624672
https://www.filmgeschichten.com/#start




Guide pratique pour éviter la suspension sans salaire

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Est-il possible d’éviter la suspension de salaire à partir de demain pour les salariés et les fonctionnaires soumis à l’obligation d’un passe sanitaire, à partir du 15 septembre pour les salariés et les fonctionnaires soumis à l’obligation vaccinale ? La réponse est oui. Nous avons synthétisé ici les grands points à connaître (avant d’approfondir ou de prendre un avocat) pour sauver la mise au milieu de la tempête.

Oui, il est possible d’éviter la suspension de salaire à partir de demain pour tous les salariés et fonctionnaires qui doivent en principe présenter un passe sanitaire et qui n’en disposent pas, ou à partir du 15 septembre pour ceux qui sont soumis à l’obligation vaccinale. Nous vous rappelons ici comment faire, tout en soulignant que le mieux, pour vous, est d’être accompagné d’un avocat spécialisé en droit du travail (la facturation moyenne d’un avocat se situe entre 1.500 et 2.000€). 

Dans quelle catégorie êtes-vous ?

Pour bien vous repérer, il faut que vous sachiez à laquelle de ces 4 catégories vous appartenez :

  • salarié du secteur privé soumis à l’obligation d’avoir un passe sanitaire
  • fonctionnaire soumis à l’obligation d’avoir un passe sanitaire
  • salarié du secteur privé soumis à l’obligation de se vacciner
  • fonctionnaire soumis à l’obligation de se vacciner

Ces distinctions sont importantes, car il ne faut jamais oublier que les salariés du secteur privé ont un contrat qui relève du code du travail, alors que les fonctionnaires sont soumis au statut de la fonction publique. Ces deux “ordres” fonctionnent de façon relevant différente. Les salariés peuvent par exemple faire un recours devant les prudhommes, alors que les fonctionnaires doivent saisir le tribunal administratif compétent pour leur domicile. 

Dans les “fonctionnaires”, nous regroupons ici tous les agents publics, c’est-à-dire ceux qui sont titulaires d’un emploi permanent et ceux qui ont signé un contrat relevant du décret sur les contractuels de la fonction publique. 

La suspension en droit public et en droit privé

Vous êtes désormais exposé au risque d’une suspension avec interruption de salaire. Il faut bien comprendre, pour déterminer votre stratégie, ce qu’est une suspension selon votre statut public ou privé. 

Une suspension, sur le fond, n’est pas une rupture définitive de contrat ou de nomination comme fonctionnaire, mais une interruption temporaire de ses effets. Il s’agit donc d’une position bâtarde, que la loi du 5 août 2021 n’a pas pris soin “d’encadrer”. Ce flou ouvre la voie à de nombreuses innovations jurisprudentielles qui devraient profiter aux salariés, beaucoup plus qu’aux employeurs. 

Dans le secteur privé, il n’y aucune ambiguïté : la suspension est une sanction disciplinaire. Elle ne peut donc intervenir que dans le respect des “garanties disciplinaires” habituelles (entretien préalable, etc.)

Dans le secteur public, la suspension n’est pas une sanction, mais l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 prévoit qu’elle n’entraîne pas l’interruption du traitement. En imposant le contraire sans aucune explication, la loi du 5 août 2021 a pris beaucoup de risques, notamment celui de faire basculer la suspension du fonctionnaire dans le champ de la sanction disciplinaire, comme dans le Code du Travail. 

La suspension du fonctionnaire : une chance !

S’agissant de la suspension dans la fonction publique, nous restons sur notre avis et nos conseils déjà publiés, la jurisprudence devrait être favorable aux fonctionnaires qui demanderont leur maintien de salaire à l’occasion d’un référé devant le juge administratif. La loi du 5 août 2021 prévoit en effet la pire des sanctions disciplinaires (l’interruption immédiate sans indemnité du salaire) en soutenant qu’il ne s’agit pas d’une sanction, donc qu’elle est décidée unilatéralement sans que le fonctionnaire ne puisse exposer ses arguments. 

C’est une invention baroque qui n’a pas de sens. Elle ouvre la voie à des décisions d’application massive du droit ordinaire :
la suspension avec maintien du traitement. Nous avons publié des recours-types pour l’obtenir

Les risques pour l’employeur

Globalement, et avant d’examiner les situations au cas par cas, un point important doit être rappelé, martelé et au besoin écrit à votre employeur. La loi n’a pas prévu de sanction pour en employeur qui ne vérifie pas le passe sanitaire de ses salariés, et elle a prévu des sanctions modestes pour l’employeur qui ne vérifie pas le respect de l’obligation vaccinale. Elle a en revanche prévu des sanctions lourdes en cas de demande abusive d’un employeur à ses salariés (un an de prison et 45.000€ d’amende). 

Mathématiquement, un employeur a donc tout intérêt à ne pas jouer les auxiliaires du gouvernement en faisant respecter une loi dont il ne tirera aucun profit, et qui risque de lui coûter très cher s’il se trompe… ce qui sera très souvent le cas. 

Le cas des salariés soumis à l’obligation du passe sanitaire

Si vous êtes salarié du secteur privé non soumis à l’obligation vaccinale, mais en apparence soumis au passe sanitaire, nous vous conseillons de collectionner les demandes écrites de votre employeur, et d’attendre sagement votre suspension pour l’attaquer devant les prudhommes. Comme nous l’avons indiqué, il faut invoquer la discrimination en raison de votre état de sante et la violation du secret médical.
Il faut par ailleurs vérifier que votre activité est effectivement soumise à l’obligation du passe sanitaire

Surtout, n’oubliez pas la différence entre le passe sanitaire et la vaccination obligatoire. Vous pouvez obtenir un passe sanitaire sans vaccin…

Le cas des fonctionnaires soumis à l’obligation du passe sanitaire

Si vous êtes fonctionnaire et que votre employeur vous demande de présenter un passe sanitaire, commencez par vérifier que vous êtes réellement concerné par cette obligation.
Nous avons par exemple cité le cas d’un adjoint technique de ménage qui n’est pas concerné par le sujet, mais à qui le maire demande un passe sanitaire

Si vous ne pouvez échapper à ce passe sanitaire, attendez la notification de votre suspension sans traitement
pour demander, en référé, le rétablissement de votre traitement au juge administratif

Le cas des salariés soumis à l’obligation vaccinale

Si vous appartenez aux catégories socio-professionnelles concernées par l’obligation vaccinale (essentiellement les soignants de l’hospitalisation privée et les para-médicaux), n’oubliez pas que la suspension est une sanction disciplinaire. Il vous faut agir comme pour les salariés soumis au passe sanitaire, en invoquant la discrimination en raison de votre état de santé et la violation du secret médical.
N’oubliez pas que l’employeur doit vous proposer un entretien pour évoquer votre reclassement

Le cas des fonctionnaires soumis à l’obligation vaccinale

Pour ces cas où la pression est forte, nous le savons, il faut là aussi saisir le juge administratif en référé pour demander le maintien du salaire pendant la période de suspension. 

Écrivez-nous vos difficultés

Nous recevons déjà énormément de courrier, qui nous instruit sur la réalité des pratiques dans les entreprises. Continuez à nous écrire sur les difficultés pratiques et les comportements de vos employeurs. Ces informations sont indispensables pour ne pas donner de conseil déconnecté du réel.

Notre adresse est : lecourrierdesstrateges@gmail.com

Merci à tous. 


GRATUIT : le référé-type des fonctionnaires contre la suspension imposée par l’employeur

Par Éric Verhaeghe

Il y a quelques jours, je vous ai exposé ma conviction selon laquelle la suspension du fonctionnaire sans traitement et sans garanties disciplinaires n’était ni constitutionnelle ni « conventionnelle ». Autrement dit, suspendre un fonctionnaire et son traitement sans l’avis d’une commission de discipline viole à la fois la Constitution et la Convention Européenne des Droits de l’Homme (et son droit au procès équitable prévu par l’article 6). Je vous avais promis un modèle de référé à introduire. Le voici ! Mais surtout lisez bien les conseils qui le précèdent…

Le référé que vous introduisez obéit à une mécanique simple que vous devez bien comprendre. Il ne concerne que les fonctionnaires exposés à la suspension sans traitement, et pas les salariés de droit privé. 

Rappelons qu’on entend par “fonctionnaire” tous les agents de droit public, qu’ils soient titulaires d’un concours de la fonction publique ou bénéficiaire d’un contrat avec une collectivité publique. Mais ce dispositif ne concerne pas les salariés de droit privé. 

Dans la pratique, le raisonnement est simple :

  1. en droit français, toute sanction disciplinaire infligée à un fonctionnaire suppose un passage devant un conseil de discipline (ce qu’on appelle les “garanties disciplinaires”)
  2. suspendre un fonctionnaire n’est pas une sanction lorsque la suspension se fait avec maintien du traitement
  3. la suspension devient une sanction lorsqu’elle s’accompagne d’un arrêt du traitement (c’est-à-dire de la paie)
  4. suspendre un fonctionnaire et son traitement sans garanties disciplinaires est donc inconstitutionnel (et contraire à la Convention Européenne des Droits de l’Homme). 

Comme la suspension du traitement est une mesure d’urgence, elle vous ouvre droit à un référé devant le tribunal administratif compétent pour votre lieu de travail. Dans ce référé, vous demandez le rétablissement de votre traitement pendant votre suspension. 

Bien comprendre la procédure administrative

Pour bien comprendre les opérations, il faut avoir en tête que l’intervention d’un avocat n’est pas obligatoire devant le tribunal administratif de première instance. Je vous recommande toutefois d’en choisir un qui connaisse un peu le droit administratif. 

En outre, le droit administratif n’est pas plaidé, mais écrit, ce qui signifie qu’il se passe essentiellement sur dossier. 

Pour que votre dossier soit complètement carré, il faut qu’il soit précédé :

  • d’un recours dit “hiérarchique” contre la décision prise,
  • d’un recours ordinaire devant le tribunal administratif

Ces documents doivent être cités dans votre référé.

ASTUCE : multipliez les écrits. Souvent, les gestionnaires de personnel dans le service public sont des burnes finies qui ne connaissent pas les textes. Faites-les écrire le plus possible, ils commettront rapidement des fautes qui vous serviront (je vous en donnerai quelques exemples au fil de l’eau).

Commençons par le recours hiérarchique

Cette étape consiste à écrire à celui qui a un pouvoir de nomination sur vous. Dans la plupart des cas, il s’agit du président du conseil d’administration de l’hôpital où vous travaillez (on part de ce cas-type, hein). 

Une fois que votre suspension vous est notifiée, vous lui écrivez ceci :

XXX, le 15 septembre 2021

Albert Dupond, Infirmier à l’hôpital XXXX

à

M. le Directeur de l’Hôpital de…

OBJET : recours hiérarchique contre ma suspension sans traitement

M. le Directeur, par arrêté en date du XXX, vous avez procédé à ma suspension sans traitement, en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021. J’ai l’honneur de solliciter de votre haute bienveillance le retrait grâcieux de cette mesure que je considère comme contraire à la Constitution et aux traités dont la France est signataire. 

S’il entre en effet dans vos prérogatives de procéder à ma suspension, l’interruption de mon traitement est une sanction disciplinaire qui ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires prévues par la Constitution, telles que le Conseil Constitutionnel les a rappelées dans sa décision du 10 mai 2019. 

En outre, ce procédé viole le droit à un procès équitable prévu par l’article 6 (§1) de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme. 

Par conséquent, je vous serais par avance reconnaissant de bien vouloir respecter les règles de l’Etat de droit et, par conséquent, de rétablir mon traitement sans délai. 

Pour votre information, je saisis ce jour-même le tribunal administratif d’un référé en ce sens. 

FORMULE DE POLITESSE

Un grand rappel : surtout on ne polémique pas dans ce genre de courrier, et on s’en tient aux faits. 

Ce courrier doit être envoyé en recommandé avec accusé de réception. 

Continuons par le recours au principal

Ce qu’on appelle le recours au principal est le dossier de fond que vous montez contre l’employeur qui vous a suspendu. Il est obligatoire de déposer un premier recours sur le fond pour ouvrir droit à un référé, qui est une procédure d’urgence, mais provisoire. 

Le recours au principal est gratuit et ne suppose pas forcément l’intervention d’un avocat, même si (j’insiste) mieux vaut en avoir un qui ne soit pas une bille complète en droit administratif. Dans la pratique, le tribunal administratif ne prendra aucune décision sur le fond avant plusieurs mois. Vous aurez tout le temps d’améliorer votre dossier, qui ne dira pas grand chose d’autre que votre référé. 

Voici comment vous pouvez le libeller :

XXX, le 15 septembre 2021,

M. le Président du Tribunal Administratif de…

OBJET : recours pour excès de pouvoir contre une suspension d’un fonctionnaire avec interruption de traitement

POUR : M. Albert Dupont, infirmier hors classe à l’hôpital de…

Ici, vous présentez rapidement votre situation administrative, votre adresse personnelle, etc.

CONTRE : l’arrêté de suspension sans traitement en date du 15 septembre 2021 pris par M. le directeur de l’hôpital de… en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021 créant une obligation vaccinale pour certaines catégories de personnel. 

FAITS : le 15 septembre 2021, le directeur de l’hôpital de XXX a suspendu sans traitement Albert Dupont, infirmier, pour défaut de présentation d’un schéma vaccinal complet, en application des articles 12 et 14 de la loi du 5 août 2021 sur le passe sanitaire. 

M. Dupont a été recruté le 5 septembre 1986 et bénéficie d’un excellent dossier administratif. Sa manière de servir a toujours été exemplaire. Il est employé dans le service de réanimation de l’hôpital depuis le… Il a toujours manifesté son grand attachement au service public. Il est père de trois enfants, etc.

(sur tous ces points, mentionner le maximum d’annexes qui taillent un portrait flatteur de vous). 

DISCUSSION :

  • sur la légalité externe de la décision attaquée :

La décision de suspension sans traitement est prise en application de la loi du 5 août 2021. Dans la mesure où elle crée le grief d’une interruption de traitement, elle constitue indéniablement une sanction disciplinaire grave et lourde. 

Pour mémoire, l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 rappelle que, durant la suspension : “Le fonctionnaire suspendu conserve son traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires. Sa situation doit être définitivement réglée dans le délai de quatre mois.” La loi de 1983 a entendu exclure la suspension du champ de la santion disciplinaire dans la mesure où elle s’accompagne d’un maintien du salaire. 

Dès lors que la suspension entraîne une interruption du traitement, elle constitue donc forcément un grief entraînant un dommage financier évident pour le fonctionnaire suspendu. Ce dommage est caractéristique d’une sanction disciplinaire. 

Or, il est de jurisprudence constitutionnelle et conventionnelle constante qu’une sanction disciplinaire ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires d’usage : communication du dossier, respect du principe du contradictoire, convocation d’un conseil de discipline en bonne et due forme. 

  • rappel du principe constitutionnel des garanties disciplinaires

L’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen stipule que : “Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.” Il est de jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel d’interpréter cette disposition comme une cause de nullité sans qu’il soit besoin d’examiner d’autres motifs pour toute sanction disciplinaire qui serait prise sans le respect des garanties disciplinaires.

Ce principe général du droit a été rappelé dans la décision 2019-781 QPC : “En application de l’article 3 de l’ordonnance du 6 août 1958, peut être sanctionné disciplinairement l’agent des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire qui prend part à une cessation concertée du service ou à tout acte collectif d’indiscipline caractérisée, lorsque ces faits sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public. Toutefois, en prévoyant que cette sanction peut être prononcée « en dehors des garanties disciplinaires », le législateur a méconnu le principe du contradictoire.” 

Il est donc constant que le Conseil Constitutionnel annule toute disposition prévoyant une sanction disciplinaire sans respect du principe du contradictoire. 

  • sur les effets de sa décision du 5 août 2021 

Dans sa décision sur la loi de gestion de la crise sanitaire, le Conseil Constitutionnel a pris soin de préciser (considérant 125) : “Le Conseil constitutionnel n’a soulevé d’office aucune question de conformité à la Constitution et ne s’est donc pas prononcé sur la constitutionnalité des autres dispositions que celles examinées dans la présente décision.” Autrement dit, n’ayant pas été saisi sur la légalité de la suspension sans garantie disciplinaire, le Conseil Constitutionnel a laissé libre le champ jurisprudentiel sur cette question. 

Selon sa jurisprudence classique, il ne peut en aucun cas valider une différence de traitement entre le droit privé où la suspension du contrat de travail avec interruption de traitement est sans ambiguïté considérée comme une sanction disciplinaire, et le droit public où l’analyse inverse serait faite. 

  •  sur le respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme

L’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme prévoit le droit à un procès équitable. Il est de jurisprudence constante que ce droit est entendu, s’agissant des fonctionnaires, comme incluant les conflits professionnels. Dans son arrêt Vilho Eskelinen et autres c. Finlande [GC], 2007, §§ 50-62, la Cour a conclu qu’il y a présomption
que l’article 6 trouve à s’appliquer, et il appartiendra à l’État défendeur de démontrer,
premièrement, que d’après le droit interne un requérant fonctionnaire n’a pas le droit d’accéder à
un tribunal, et, deuxièmement, que l’exclusion des droits garantis à l’article 6 est fondée s’agissant
de ce fonctionnaire.

Au titre de cet arrêt, il est donc manifeste qu’un conflit du travail, dans le cadre de la fonction publique, conduisant à suspendre unilatéralement un traitement, ne peut être mené sans respect du contradictoire. 

  • sur le rétablissement du salaire

Compte tenu de l’inconstitutionnalité et de l’inconventionnalité d’une suspension sans traitement décidée sans respect du principe du contradictoire, il est évident que la mesure de suspension ne peut intervenir qu’en application de l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983, c’est-à-dire avec maintien de salaire. Sans qu’il soit besoin d’examiner d’autre motif, il vous est donc demandé de procéder à cette mesure sans délai. 

PAR CES MOTIFS et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin d’office,
l’exposant conclue qu’il plaise à Monsieur le Président du Tribunal administratif de XXXX

– Ordonner la suspension de la décision attaquée;

– Rétablir le versement du traitement de M. Albert Dupont

– Condamner le directeur de l’hôpital de… à verser à l’exposant la somme de 5.000 euros en
application de l’article L.761-1 du code de justice administrative;
le tout sous astreinte de 100 euros par jour de retard
dans un délai de 8 jours  à compter de la notification de l’ordonnance à intervenir.

SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES ELEMENTS DE DROIT OU DE FAIT A PRODUIRE ULTERIEUREMENT PAR MEMOIRES COMPLEMENTAIRES, ET SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES RECOURS

Vous devez déposer ce recours par lettre recommandée au tribunal administratif. Vous pouvez l’envoyer le même jour que votre référé, dont voici le texte. 

Venons-en au référé que vous envoyez

Dans ce référé, qui est une procédure urgente et provisoire, qui vous permet d’obtenir une décision rapide du tribunal administratif, vous devez mettre en copie et en annexe :

– l’arrêté de suspension dont vous faites l’objet

– votre recours hiérarchique

– votre recours au principal

– tout autre document que vous jugez utile (bien numéroter ces pièces à la fin de votre recours)

Voici comment vous devez libeller votre référé :

XXX, le 15 septembre 2021,

M. le Président du Tribunal Administratif de…

OBJET : référé contre une suspension d’un fonctionnaire avec interruption de traitement

POUR : M. Albert Dupont, infirmier hors classe à l’hôpital de…

Ici, vous présentez rapidement votre situation administrative, votre adresse personnelle, etc.

CONTRE : l’arrêté de suspension sans traitement en date du 15 septembre 2021 pris par M. le directeur de l’hôpital de… en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021 créant une obligation vaccinale pour certaines catégories de personnel. 

FAITS : le 15 septembre 2021, le directeur de l’hôpital de XXX a suspendu sans traitement Albert Dupont, infirmier, pour défaut de présentation d’un schéma vaccinal complet, en application des articles 12 et 14 de la loi du 5 août 2021 sur le passe sanitaire. 

M. Dupont a été recruté le 5 septembre 1986 et bénéficie d’un excellent dossier administratif. Sa manière de servir a toujours été exemplaire. Il est employé dans le service de réanimation de l’hôpital depuis le… Il a toujours manifesté son grand attachement au service public. Il est père de trois enfants, etc.

(sur tous ces points, mentionner le maximum d’annexes qui taillent un portrait flatteur de vous). 

DISCUSSION :

– sur le bien-fondé du référé :

L’alinéa ler de l’article L.521.1 du code de justice administrative prévoit que « quand une décision administrative, même de rejet, fait l’objet d’une requête en annulation ou en réformation, le juge des référés, saisi d’une demande en ce sens, peut ordonner la suspension de l’exécution de cette décision, ou de certains de ses effets, lorsque l’urgence le justifie et qu’il est fait état d’un moyen propre à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux quant à la légalité de la décision ».
Il ressort de ces dispositions procédurales législatives que le prononcé du référé est subordonné à la réunion de deux conditions :
– d’une part, une condition d’urgence;
– d’autre part une condition tenant à l’existence d’un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée.

En l’espèce, ces deux conditions sont à l’évidence réunies.

Concernant l’urgence, l’arrêté du directeur de l’hôpital de… prive M. Albert Dupont de son traitement. Conformément à l’Ordonnance du juge des référés (Mme Aubin), du 22 juin 2001, 234434, mentionné aux tables du recueil Lebon, le Conseil d’Etat reconnaît qu’il s’agit d’une situation d’urgence. 

S’agissant du doute sérieux concernant la légalité de la décision attaquée, cette condition est satisfaite pour les raisons suivantes. 

La décision de suspension sans traitement est prise en application de la loi du 5 août 2021. Dans la mesure où elle crée le grief d’une interruption de traitement, elle constitue indéniablement une sanction disciplinaire grave et lourde. 

Pour mémoire, l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 rappelle que, durant la suspension : “Le fonctionnaire suspendu conserve son traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires. Sa situation doit être définitivement réglée dans le délai de quatre mois.” La loi de 1983 a entendu exclure la suspension du champ de la santion disciplinaire dans la mesure où elle s’accompagne d’un maintien du salaire. 

Dès lors que la suspension entraîne une interruption du traitement, elle constitue donc forcément un grief entraînant un dommage financier évident pour le fonctionnaire suspendu. Ce dommage est caractéristique d’une sanction disciplinaire. 

Or, il est de jurisprudence constitutionnelle et conventionnelle constante qu’une sanction disciplinaire ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires d’usage : communication du dossier, respect du principe du contradictoire, convocation d’un conseil de discipline en bonne et due forme. 

  • rappel du principe constitutionnel des garanties disciplinaires

L’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen stipule que : “Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.” Il est de jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel d’interpréter cette disposition comme une cause de nullité sans qu’il soit besoin d’examiner d’autres motifs pour toute sanction disciplinaire qui serait prise sans le respect des garanties disciplinaires.

Ce principe général du droit a été rappelé dans la décision 2019-781 QPC : “En application de l’article 3 de l’ordonnance du 6 août 1958, peut être sanctionné disciplinairement l’agent des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire qui prend part à une cessation concertée du service ou à tout acte collectif d’indiscipline caractérisée, lorsque ces faits sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public. Toutefois, en prévoyant que cette sanction peut être prononcée « en dehors des garanties disciplinaires », le législateur a méconnu le principe du contradictoire.” 

Il est donc constant que le Conseil Constitutionnel annule toute disposition prévoyant une sanction disciplinaire sans respect du principe du contradictoire. 

  • sur les effets de sa décision du 5 août 2021 

Dans sa décision sur la loi de gestion de la crise sanitaire, le Conseil Constitutionnel a pris soin de préciser (considérant 125) : “Le Conseil constitutionnel n’a soulevé d’office aucune question de conformité à la Constitution et ne s’est donc pas prononcé sur la constitutionnalité des autres dispositions que celles examinées dans la présente décision.” Autrement dit, n’ayant pas été saisi sur la légalité de la suspension sans garantie disciplinaire, le Conseil Constitutionnel a laissé libre le champ jurisprudentiel sur cette question. 

Selon sa jurisprudence classique, il ne peut en aucun cas valider une différence de traitement entre le droit privé où la suspension du contrat de travail avec interruption de traitement est sans ambiguïté considérée comme une sanction disciplinaire, et le droit public où l’analyse inverse serait faite. 

  •  sur le respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme

L’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme prévoit le droit à un procès équitable. Il est de jurisprudence constante que ce droit est entendu, s’agissant des fonctionnaires, comme incluant les conflits professionnels. Dans son arrêt Vilho Eskelinen et autres c. Finlande [GC], 2007, §§ 50-62, la Cour a conclu qu’il y a présomption
que l’article 6 trouve à s’appliquer, et il appartiendra à l’État défendeur de démontrer,
premièrement, que d’après le droit interne un requérant fonctionnaire n’a pas le droit d’accéder à
un tribunal, et, deuxièmement, que l’exclusion des droits garantis à l’article 6 est fondée s’agissant
de ce fonctionnaire.

Au titre de cet arrêt, il est donc manifeste qu’un conflit du travail, dans le cadre de la fonction publique, conduisant à suspendre unilatéralement un traitement, ne peut être mené sans respect du contradictoire. 

  • sur le rétablissement du salaire

Compte tenu de l’inconstitutionnalité et de l’inconventionnalité d’une suspension sans traitement décidée sans respect du principe du contradictoire, il est évident que la mesure de suspension ne peut intervenir qu’en application de l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983, c’est-à-dire avec maintien de salaire. Sans qu’il soit besoin d’examiner d’autre motif, il vous est donc demandé de procéder à cette mesure sans délai. 

PAR CES MOTIFS et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin d’office,
l’exposant conclue qu’il plaise à Monsieur le Président du Tribunal administratif de XXXX

Vu l’article L.521.1 du code de justice administrative :

– Ordonner la suspension de la décision attaquée;

– Rétablir le versement du traitement de M. Albert Dupont

– Condamner le directeur de l’hôpital de… à verser à l’exposant la somme de 5.000 euros en
application de l’article L.761-1 du code de justice administrative;
le tout sous astreinte de 100 euros par jour de retard
dans un délai de 8 jours  à compter de la notification de l’ordonnance à intervenir.

SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES ELEMENTS DE DROIT OU DE FAIT A PRODUIRE ULTERIEUREMENT PAR MEMOIRES COMPLEMENTAIRES, ET SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES RECOURS

Bien entendu, il s’agit ici d’une trame “développée” mais que vous pouvez enrichir (ou martyriser, ma contribution est gratuite, solidaire, et sans amour-propre… faites-en juste profiter les autres), de préférence avec un bon avocat si vous en connaissez. 

Tenez-moi au courant !

Dans tous les cas, souvenez-vous qu’un acte administratif ne peut faire l’objet d’un recours que dans les deux mois suivant son édiction. Ne traînez surtout pas !


Première victoire des anti-passe sanitaire au tribunal administratif contre un maire abusif

Par Éric Verhaeghe

Depuis plusieurs semaines, nous vous incitons à introduire des référés devant le tribunal administratif de votre domicile pour faire annuler soit certaines dispositions de la loi du 5 août 2021, soit des applications abusives qui en sont faites notamment par certains employeurs. La décision que nous publions ci-dessous, obtenue par la CGT des fonctionnaires territoriaux du Gard, illustre le bien-fondé de cette démarche. Le juge de Nîmes vient en effet d’annuler le passe sanitaire dans les services municipaux de Saint-Laurent-d’Aigouze, demandé illégalement par le maire.

Le tribunal administratif peut parfois réserver de très belles surprises. La preuve en est fournie par cette ordonnance en référé rendue par le tribunal administratif de Nîmes annulant l’obligation du passe sanitaire imposée par circulaire à tous les fonctionnaires municipaux de Saint-Laurent-Aigouze, dans le Gard. Le juge du référé n’a pas hésité à suspendre cette demande abusive d’un maire (parmi tant d’autres, nous avons reçu de nombreux témoignages à ce sujet) de voir tout le monde présenter un passe sanitaire alors même que la loi ne le prévoit pas. 

Les arguments du tribunal administratif

Pour suspendre le passe sanitaire dans les services municipaux de cette ville, le juge administratif a considéré, de façon très prévisible, qu’un maire n’était pas habilité à ajouter des critères restrictifs à la loi. L’extension du passe sanitaire décidée par le maire constitue donc une “atteinte grave et manifestement illégale au droit des intéressés, au respect de leur vie privée et à leur droit au travail”. 

Ces motivations sont importantes, car elles pourront être retenues dans d’autres jurisprudences. Nous rappelons ici que le tribunal administratif est compétent pour annuler des décisions administratives (des circulaires, mais aussi des arrêtés de suspension…) qui ne seraient pas conformes à la loi ou à la constitution (ou aux traités). 

Une campagne de référés contre la suspension

Nous avons beaucoup souligné, au mois d’août, l’importance de saisir les tribunaux de première instance (tribunal administratif, prudhommes, notamment) contre les applications abusives du passe sanitaire. Nous avons aussi proposé un guide complet de référé administratif contre la suspension dans le cadre de l’obligation vaccinale

Démonstration est désormais faite de l’utilité de ces propositions… N’hésitez pas à vous en emparer. 




Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

13 septembre 2021 / Commentaires ferméssur Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

Le 15 septembre prochain, le Dr Amine UMLIL, responsable de l’unité de pharmacovigilance du centre hospitalier (CH) de Cholet et plusieurs professionnels de la santé et autres professionnels risquent la suspension de leurs fonctions avec une interruption immédiate de leur rémunération, et sans possibilité d’exercer une autre activité rémunérée.

La lettre ouverte ci-dessous constitue le fondement d’une pétition nationale de soutien à l’excellent travail de vigilance pharmacologique du Dr Amine UMLIL, et de protestation contre la menace de suspension de ses fonctions. Elle vient en complément d’un dépôt d’une requête en Référé liberté au tribunal administratif de Nantes demandant notamment la suspension en urgence de l’obligation vaccinale (contre la Covid-19), avec une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) à titre subsidiaire et une question préjudicielle à titre encore plus subsidiaire. Elle fait également suite à la suppression abusive et scandaleuse de la page web du Centre Territorial d’Information et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP), jusqu’alors incluse dans le site du centre hospitalier de Cholet. Cet événement grave de par sa symbolique constitue le point d’orgue d’une campagne de harcèlement et d’intimidation contre la personne et le travail légitime de veille et d’information accompli par le Dr UMLIL au sein du CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Par ailleurs, cette lettre ponctue elle-même une série de lettres ouvertes du Dr UMLIL, qui pour la grande majorité sont restées sans réponses :

–    la première était adressée au Ministre des solidarités et de la santé, M. Olivier VERAN, et l’interpellait sur l’illégalité du projet de vaccination obligatoire, lettre restée sans réponse ;

–    la seconde invitait son contradicteur, le Dr Jean-Michel DEBARRE, à un débat télévisé public à une heure de grande écoute. Cette seconde est également restée sans réponse et n’a même pas, du reste, été relayée par le Courrier de l’Ouest, comme s’il y avait une volonté manifeste d’enterrer à tout prix le débat scientifique et de faire taire les voix dissidentes courageuses. En tout état de cause, il est certain qu‘un refus de débattre publiquement peut être interprété, comme l’écrit le Dr UMLIL, “comme une reconnaissance du bien-fondé de l’intégralité de [m]ses réflexions publiées” ;

–    la troisième lettre ouverte adressée à la direction du centre hospitalier de Cholet marquait une étape supplémentaire dans le combat du Dr UMLIL pour faire triompher la science, la raison et le droit contre la pseudoscience, la folie, les mensonges, les conflits d’intérêt et collusions entre les groupes pharmaceutiques, le monde politique et les organismes de santé publique. Il y révélait les jacasseries, puérilités et mesquineries d’un directeur d’hôpital davantage effrayé par les insinuations de “complotisme” d’un critique anonyme sur Twitter que par les avertissements d’un scientifique professionnel qualifié au sujet de l’illégalité de l’obligation vaccinale et des effets indésirables potentiels des vaccins. Il y révélait de savoureux détails sur des pratiques inimaginables dans un établissement hospitalier qui datent d’une époque révolue et montrent les dessous de la “science” officielle.

Dans cette lettre ouverte, nous présentons l’activité de vigilance pharmacologique et argumentons sur un de ses apports déterminants lorsqu’elle est exercée librement, c’est-à-dire dans un climat de confiance réciproque avec le système. Nous mettons ensuite en avant la contribution particulière du CTIAP avec à sa tête le serviteur exceptionnel de son métier en la personne du Dr Amine UMLIL. Les obstacles rencontrés lors de ce service de vigilance sont énumérés et étayés de façon à permettre au lecteur d’évaluer le niveau de déstabilisation et de sabotage subis. Finalement, un appel légitime au soutien du Dr Amine UMLIL est lancé, manifesté par la signature d’une pétition.

Sur la nature de la pharmacovigilance et ses apports (en exercice libre) : cas de la Covid-19

Le travail de vigilance pharmacologique est essentiel pour un fonctionnement sain du système pharmaceutique. D’après la définition indiquée sur le site du ministère français des solidarités et de la santé, il “a pour objet la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effet indésirable résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré. Elle constitue une garantie qui s’exerce tout au long de la vie d’un médicament”.

Cela est simple à comprendre. Par exemple, lorsque m’approchant d’une destination identifiée, je n’en sais pas le chemin sur le dernier kilomètre, je peux me faire aider par un passant. Si ce dernier m’indique la direction, je me mets ensuite en marche dans cette direction suivant un ordre du cerveau à mes muscles ; mais ce sont mes yeux ou à défaut un bâton qui m’aident à détecter et contourner les obstacles plus ou moins dangereux pendant ce parcours. De façon analogue, les terminaisons nerveuses de la peau vous permettent d’éviter de vous brûler au troisième degré, même si prendre et transporter la tasse de thé chaud sont bien les gestes que vous aviez décidé de faire. Les fonctions de contrôle et de régulation des systèmes, parties intégrantes même de l’organisme, sont donc nécessaires et même vitales. Le système pharmaceutique ne fait pas exception.

L’un des impacts majeurs de ce travail de pharmacovigilance est de générer la confiance des usagers dans le bon fonctionnement de l’écosystème pharmaceutique. Les tensions actuelles qui traversent notre nation illustrent intensément les menaces graves que fait peser l’étouffement ou le dysfonctionnement de tout mécanisme régulateur – générateur de confiance – sur l’équilibre sociétal. Voici un échange entre le Courrier de l’Ouest et le directeur du CH Cholet, datant de décembre 2020, rapporté par le Dr UMLIL et concernant la 7e réunion d’information indépendante destinée au public. Elle portait justement sur le sujet des vaccins contre la Covid-19. Cet échange expose la pertinence de l’activité du CTIAP comme instrument de vulgarisation dans le contexte actuel :

« Bonjour,

Nous avons pris connaissance de l’organisation d’une soirée d’information du CTIAP jeudi prochain autour des questions liées à la vaccination contre le Covid-19. Sujet qui intéresse évidemment nos lecteurs. Dans le doute, faute de communication officielle de l’hôpital, peut-on savoir si la direction de l’établissement cautionne sa tenue ? (…) »

Courrier de l’Ouest.

“À cette question du journal, vous le directeur avez répondu ceci :

« Monsieur [un journaliste du Courrier de l’Ouest],

La vaccination est un enjeu majeur pour limiter, voire supprimer l’impact de la COVID. Le Centre Hospitalier de CHOLET souhaite la réussite des opérations de vaccination qui seront menées dès que les autorisations sanitaires indépendantes en France et en Europe auront validé ces vaccins. La réussite de ces opérations suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui, passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue. (…) »

Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier (CH) de Cholet.

C’est certainement sur la confiance (légitime) en une information claire et transparente provenant de la pharmacovigilance que veut s’appuyer notre premier ministre, M. Jean CASTEX [JC, ci-dessous] lorsqu’il l’évoque dans cette interview :

– JC : Ce vaccin présente une certaine efficacité notamment pour les formes les plus graves de la maladie. Donc, nous avons un système qui s’appelle la pharmacovigilance où on suit cela de très près ; de façon extrêmement rigoureuse. Je peux vous assurer que si j’avais le moindre doute, si j’avais le moindre doute…

– Animateur : Vous demanderiez la suspension.

– JC : Absolument ! Parce que c’est mon devoir, c’est ma responsabilité. Mais à ce stade, il faut avoir confiance en ce vaccin.

Extrait à retrouver dans cette vidéo, à l’instant 17’15.

La question légitime que l’on serait naturellement porté à se poser est la suivante :

La pharmacovigilance française ou internationale a-t-elle à ce jour produit, agrégé et délivré une information claire et transparente relative aux solutions pharmaceutiques à la pandémie de Covid-19 ?

Nous croyons que les quelques éléments rapportés ci-dessous permettront au lecteur de pouvoir répondre sans ambiguïté à cette dernière question.

Rappelons, s’il en est besoin, que la résolution du volet sanitaire de la crise que nous vivons aujourd’hui se dessine à l’échelle mondiale autour d’une campagne quasi globale de vaccination, avec principalement des vaccins dits à ARN/ADN. Ces vaccins, divergeant du principe habituel de conception de vaccins, s’appuient sur l’émission de message ADN/ARN ordonnant à la machinerie de l’expression génique cellulaire de synthétiser massivement la protéine spike (qui caractérise le virus) ; une réponse immunitaire est ainsi forcée en réaction à cette apparition. Le principe habituel, consistant aussi à forcer une réponse immunitaire, la favorise par une injection d’un échantillon inoffensif du virus isolé, sans intrusion autoritaire dans la machinerie génique cellulaire.

Dans ce premier article, l’auteur(([1] Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire.) )) élabore une surveillance des vaccins ARN/ADN au travers de leurs impacts relatifs sur la propagation du virus qu’ils doivent combattre. Il s’appuie sur des données nationales issues de sources étatiques ou d’organisations internationales officielles (compilées et traitées par ourworldindata.org, voir au bas de la page Web), et portant sur le nombre de personnes testées positives à la Covid-19 et le nombre de personnes décédées de la Covid-19. Ces données couvrent la période allant de décembre 2020 au 16 juillet 2021 – correspondant à la campagne globale de vaccination. Pour les 15 pays les plus vaccinés, ces données permettent une conclusion que l’on peut considérer comme une connaissance certaine :

La vaccination n’a pas empêché l’émergence de nouveaux cas ni la contamination, puisque des phases épidémiques tardives ont été observées dans les 15 pays les plus vaccinés (> 50 % de moyenne) à la date du 16 juillet 2021.

Cette conclusion et toutes celles que l’on peut tirer de ces données-là ouvrent le champ de réflexion sur d’autres interrogations, dont la question principale suivante : quelle est la proportion de vaccinés/non-vaccinés parmi les nouveaux cas ? Nous y revenons plus bas.

Dans un séminaire donné à l’Institut Hospitalier Universitaire (IHU) Méditerranée tenu le 29 juin 2021, le Pr Peter McCullough, qui a « traité des personnes de plus de 90 ans à la maison qui ont été malades, mais sans être hospitalisées », a rassemblé les données de plusieurs dizaines d’études ayant élaboré une surveillance de la valeur thérapeutique de plusieurs traitements anti-Covid : ivermectine et hydroxychloroquine pour les plus connus, mais également infusions d’anticorps anti-protéine spike, favipiravir, corticostéroïdes, colchicine, anticoagulants. Les méta-études (résumés synthétiques des études) concernant en particulier l’ivermectine et l’hydroxychloroquine révèlent les données suivantes :

Phase/Type d’essais Nombre d’essais Amélioration en %
IVERMECTINE pour Covid-19 au 26 août 2021
63 essais, 613 scientifiques, 26 398 patients
Traitement prophylactique 14 86
Traitement précoce 27 72
Traitement tardif 22 40
Nombre de décès survenus 25 58
Essai randomisé 31 58
HYDROXYCHLOROQUINE pour Covid-19 au 26 août 21
279 essais, 4555 scientifiques, 398 331 patients
Traitement précoce 30 65
Traitement précoce RCT 7 48
Traitement tardif 190 21
Nombre de décès survenus après traitement précoce 13 75
Essai randomisé 43 23

Les données présentées ont conduit le Pr McCullough aux conclusions suivantes :

  • La période de maladie avant l’hospitalisation est LA période favorable d’intervention.
  • L’hospitalisation et le traitement tardif correspondent à une sûreté faible des médicaments avec une mortalité intolérablement haute.
  • Le traitement ambulatoire précoce, réalisé séquentiellement avec un panache de médicaments a un profil bénéfice-risque positif (risques réduits d’hospitalisation et de décès.)

Relativement à ces traitements, le docteur Harvey Risch de l’université de Yale a affirmé dans un article-témoignage que la clé pour vaincre la Covid-19 existe déjà : il y mentionne de nombreuses études sur des traitements avec zéro mort sur des quantités importantes de patients à haut risque atteints de la Covid-19, et provenant d’Israël, des États-Unis, du Brésil. Il rapporte aussi qu’en Suisse, autour de la période allant du 27 mai au 11 juin 2020, un pic de 400 % du nombre de morts de la Covid-19 s’est intercalé entre une interdiction gouvernementale de prescription libre d’hydroxychloroquine et la levée de cette interdiction.

Justement, le Pr McCullough a aussi présenté des indicateurs qui permettent d’évaluer très objectivement les effets indésirables des vaccins à ARN/ADN. Sachant que par exemple, en 1976, la surveillance avait conduit à l’arrêt du programme de vaccination contre la grippe porcine après (seulement) 25 morts enregistrés, il est rapporté par le Pr McCullough les données suivantes :

Au 11 juin 2021, le VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] – plateforme de collecte des événements adverses liés aux vaccins – affichait pour les seuls vaccins à ARN/ADN 5993 morts et 20 737 hospitalisations pour 358 379 signalements. En comparaison, le cumul de ces mêmes indicateurs avant les vaccins ARN/ADN produit une moyenne d’environ 158 morts par an pour 16 320 signalements annuels : ces dernières données portant sur un total de 70 vaccins différents et 500 millions d’injections. L’on peut donc observer, à part les hausses explosives des nombres absolus d’événements rapportés et de décès (2 200 % et 3 700 % respectivement), une hausse de 72 % de la proportion de décès parmi les événements rapportés.

Ces données ont conduit le professeur à la conclusion suivante :

Les vaccins à ARN/ADN ont un profil de sûreté défavorable, et ne peuvent dès lors pas être approuvés pour un usage clinique.

Cette conclusion est partagée par un très grand nombre de spécialistes de ce domaine, et s’appuie, comme mentionné précédemment, sur des dizaines d’études produites par des scientifiques du monde entier. Un article datant de mai 2021 présente les questions urgentes que posent 57 médecins et spécialistes de 17 pays différents, et met littéralement en demeure les régulateurs nationaux et internationaux de suspendre incessamment la campagne courante de vaccinations, afin de « commencer des évaluations critiques indépendantes » et un « dialogue pluraliste » portant sur des questions critiques nécessitant des réponses urgentes si l’on souhaite particulièrement « éviter une érosion à l’échelle mondiale de la confiance du public dans la science et dans la santé publique ». Et cette érosion ne menace pas seulement le grand public, mais s’attaque aux corps constituants du système médical et paramédical. À titre d’exemple, ce témoignage viral d’un sapeur-pompier lyonnais qui découvre avec beaucoup d’émotion que les nombreux AVC qu’il a observés récemment dans l’exercice de sa fonction « ont bien un lien avec » l’injection des vaccins à ARN/ADN, et qu’il n’y a « rien qui ne remonte » malgré le fait que les infirmières « alertent tout le monde »…

L’émergence de toutes ces données ainsi que les conclusions logiques qui en ont découlé ont conduit le Pr McCullough à entreprendre de les vulgariser largement, jusque devant une commission sénatoriale du Texas, aux États-Unis, dont la présidente a été directement impactée par le traitement et la guérison de son époux à domicile. Il s’est impliqué, avec des partenaires de l’Association des médecins et chirurgiens américains, dans l’édition – salutaire pour des milliers d’autres – du guide de traitement de la Covid-19 à domicile.

Sur les causes d’une pharmacovigilance qui dysfonctionne et ses graves conséquences

« La justice ne viendra pas à Athènes jusqu’à ce que ceux qui ne sont pas blessés soient aussi indignés que ceux qui sont blessés. »

Thucydides

En France, nous pourrions (presque) tous avoir oublié les récents et moins récents scandales sanitaires. Est-ce que l’on devrait attendre d’être soi-même victime directe ou indirecte dans l’un de ces scandales, avant de joindre sa voix à celles et ceux qui exigent les garanties d’un fonctionnement plus clair, transparent et sain des organes publics et des système médicaux et paramédicaux qu’ils sont censés surveiller ?

Dans un récent article intitulé « Médicaments, argent et faits trompeurs », la journaliste Laura Spinney réaffirme qu’il “est plus que jamais essentiel que la société puisse faire confiance aux entreprises pharmaceutiques qui cherchent à obtenir une approbation règlementaire”. Or, en citant dans son article les travaux du pédopsychiatre Jon Jureidini et du philosophe Leemon McHenry, elle rapporte que ceux-ci “contestent l’hypothèse selon laquelle tous les médicaments et appareils médicaux approuvés sont sûrs et efficaces. Ils avertissent que lorsque la science clinique s’accroche à la course aux profits de l’industrie pharmaceutique, la méthode scientifique est sapée par les effets de marketing et le tri sélectif des données. Ils proposent une solution inspirée par le philosophe des sciences Karl Popper : retirer les essais des médicaments des mains des fabricants”. Cette solution forte s’appuie sur le constat par les auteurs de “déformations volontaires de données de sécurité et d’efficacité” lors d’essais sur la paroxétine et le citalopram, respectivement objets des études 329 de GlaxoSmithKline et CIT-MD-18 de Forest Laboratories.

Peter C. Gotzche, dans son livre Remèdes mortels et crimes organisés, particulièrement étayé de preuves détaillées, constate que l’une des causes de cette atrophie de l’action de pharmacovigilance réside dans le fait que « les patients ont confiance (aveuglément ! NDLR) dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… » Avis bien résumé par lui par ces mots : “Tout ce que nous savons sur leur compte (c’est-à-dire sur les médicaments), c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins…”

Concernant les conséquences de ces actions, nous avons déjà mentionné l’effet dévastateur de la perte de confiance du public, et surtout – dans la crise actuelle – du personnel médical et paramédical. Le système, qui se veut vigilant et se dote d’organes consacrés, apparaît comme schizophrène puisqu’il s’emploie à asphyxier méthodiquement ces organes. En ce qui concerne la confiance, notamment dans les acteurs industriels de production et de vente de médicaments, il existe une liste de condamnations(([2] Les liens donnés plus bas apparaissant dans l’histoire fictive extraite des réseaux sociaux. Les sites sont en anglais.)) dont la longueur est tout simplement choquante ! En fait, la violence du choc est renforcée à la lecture des motifs de condamnation (falsifications volontaires, etc.) et surtout au constat de la forte proportion de récidive. Qualifieriez-vous de responsable une attitude qui consisterait à exiger des garanties claires et fortes face à une proposition d’injection d’un vaccin provenant de l’un de ces acteurs industriels, dont l’utilisation est frappée de surcroît d’une autorisation de mise sur le marché dite conditionnelle (AMM) ? Et comment qualifieriez-vous l’attitude d’un chef de famille qui n’exigerait pas ces garanties ? Une histoire – (probablement) fictive – publiée(([3] Pseudonyme Anna-Lyse sur Twitter.)) sur un réseau social illustre bien ce questionnement :

Suis-je une mère irresponsable ?
Pfizer…

15 sept. 1825. Une mère, 3 enfants. Accusée à tort d’irresponsabilité, elle a été éloignée, retenue loin de ceux-ci, dès lors en situation de grande détresse. Le plus âgé avait 15 ans.
AstraZeneca… 

Une lettre, dans laquelle elle rassure, et décrit comment ils vont pouvoir affronter l’année à venir sans elle (la cachette de la bourse, la tante à 3 j de charrette, etc.)
Johnson & Johnson…

Ce jour-là, la prison ne lui a proposé, comme messager de la lettre, nul autre qu’un abuseur récidiviste, sortant de prison du fait d’un aménagement de peine “opportun”.

Avec tout ça, Moderna devrait-elle garder son SM-102 secret ? 

Ils ont insisté, affirmant qu’ils n’avaient pas le choix…

Finalement, nous ne mentionnerons pas le nombre de décès et autres destructions physiologiques et psychologiques vécues par les victimes d’un consentement non éclairé à exposer leurs êtres à des substances ou des protocoles de traitement. L’absence de cette lumière éclairante étant fortement favorisée par l’absence d’exercice libre ou la défaillance orchestrée des systèmes de régulation, et particulièrement la pharmacovigilance. À ce sujet, des réseaux sociaux ont incompréhensiblement et, semble-t-il, abusivement censuré un groupe destiné à recenser les victimes d’effets indésirables en France. Mais sur d’autres plateformes plusieurs témoignages sont apparus ; et ceux-ci ne décrivent probablement qu’une partie émergée de l’iceberg, tant la censure sur les réseaux sociaux apparaît anormalement intense contre les témoignages de ce type. Quelques-uns, très emblématiques, apparaissent dans ce documentaire sur AstraZeneca.

Sur les obstacles à l’exercice libre de la pharmacovigilance et le rapport positif à la contradiction du Dr UMLIL

Si les huit (8) ans de « gestation administrative » du CTIAP – dont le projet était prêt dès le 10 décembre 2007 – pouvaient déjà interpeller, la litanie d’obstacles de toutes sortes qui se succèdent depuis les premières prises de positions critiques émanant de cet organisme dans la crise actuelle doit interpeller encore davantage le lecteur de cette lettre. Et ce au regard, d’une part, de la reconnaissance profonde, unanime et prolongée dans le temps de la qualité du travail accompli par le Dr UMLIL avant ces dites prises de position ; et d’autre part, du fait de la qualité de l’approche du CTIAP et de son directeur le Dr Amine UMLIL face aux objections exprimées sur le fond : cette approche consistait à ouvrir systématiquement une discussion publique à travers des lettres ouvertes, des droits de réponse au médias relais des opinions de ses contradicteurs, et même des débats télévisés censés présenter les preuves contradictoires. Dans ces différents courriers, il ne nous a pas été donné de trouver ni propos offensants sur la forme, ni arguments de fond qui n’aient été étayés par une preuve documentaire. De plus, il apparaît à notre lecture que les réponses et propositions du Dr UMLIL n’étaient que peu frappées de l’horizontalité stérile, de la plate – et souvent puérile – mise en défaut du contradicteur, mais tendaient toujours à viser la prise en compte de l’enjeu ultime de sa fonction, qui est de faire émerger et s’imposer le factuel et l’information utiles pour l’usager du système pharmaceutique, même à travers l’épreuve de la contradiction.

Les obstacles à l’exercice libre de pharmacovigilance opposés au CTIAP ainsi qu’au Dr UMLIL reproduisent les formes qu’il est possible d’observer concernant plusieurs chercheurs ou praticiens ayant exprimé des opinions divergentes : sources d’origines collégiale, institutionnelle et médiatique, telle une hydre à 3 têtes. Nous faisons remarquer qu’une quatrième tête judiciaire est malheureusement plutôt rare, sinon elle aurait eu la vertu de susciter un apport de preuves probantes de la part des deux parties, permettant ainsi à l’opinion de juger plus justement de la pertinence des positions respectives.

D’un point de vue collégial, le principal obstacle provient de l’attitude de la direction du centre hospitalier de Cholet, avec en tête son directeur Pierre VOLLOT. Ce sont principalement des dénis de compétences ou de légitimité injustifiés au regard des faits, tendant à décrédibiliser l’action ou la personne du Dr UMLIL. Or la conséquence logique principale de la décrédibilisation d’une action ou d’une personne est l’affaiblissement de son impact dans l’atteinte des objectifs de sa mission. L’on peut même se questionner sur la profondeur de ce que subit personnellement le Dr UMLIL en coulisse lorsque ce dernier révèle, preuve à l’appui, avoir été informé par sa direction de l’envoi d’une lettre adressée à un organe disciplinaire contre lui, au travers d’un recommandé avec accusé de réception “adressé alors que j’étais en congé”. Le chapelet des obstacles, manquements, et – il faut le dire – sabotages, est égrené par le docteur, dans sa réponse au directeur Pierre VOLLOT du 23 août 2021, et sa réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet du 10 avril 2021.

D’un point de vue institutionnel, c’est le docteur UMLIL qui a été personnellement visé par une lettre adressée au centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière (CNG), organe disciplinaire consacré. Dans cette lettre de dénonciation, à laquelle le Dr UMLIL a répondu par une lettre ouverte au CNG du 10 août 2021 (avec ampliation adressée à la tutelle), Pierre VOLLOT évoque un droit de réserve qu’il oppose à la diffusion d’avis critiques et d’analyses proposées par le Dr UMLIL à travers le canal du CTIAP.
Or, sur la forme, le recours à ce droit de réserve à l’encontre d’un pharmacien des hôpitaux s’évapore devant plusieurs dispositions du Code de santé publique qui enjoignent, par exemple, de ne « se soumettre à aucune contrainte financière, commerciale, technique ou morale, de quelque nature que ce soit, qui serait susceptible de porter atteinte à son indépendance dans l’exercice de sa profession » (R. 4235-18 du CSP). Sur le fond, et en cohérence avec ce que nous avons pu constater continuellement dans l’action du Dr UMLIL, sa réponse fut adressée via un avocat sous forme de « lettre – recommandée avec avis de réception – l’invitant [Pierre VOLLOT] à formuler, de façon précise, ses griefs à l’encontre des analyses proposées par le CTIAP et concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ».La réponse de Pierre VOLLOT ne contenait « aucun reproche envers les analyses publiées sur le site du CTIAP ».

Le dernier champ d’obstacles, de véhicule médiatique, nous apparaît revêtir une violence particulière, du fait de l’amplification par le nombre et les réseaux sociaux. Il nous est apparu comme constitué d’amalgames, d’omissions, d’enquêtes à charge omettant de consulter les sujets avant publication et ignorant les droits de réponse, et quelques fois de censures grossières et surtout injustifiées, au regard du principe d’équité.

Il s’y trouve en particulier l’évolution plutôt déroutante de la couverture du travail et de l’impact du CTIAP et du Dr UMLIL par le journal Le Courrier de l’Ouest. Toujours avec coupures de presses et autres preuves renseignées, le Dr UMLIL fait constater que :

« le Courrier de l’Ouest, ainsi qu’Ouest-France, avaient toujours relayé l’information selon laquelle les analyses du CTIAP sont « fiables ». Comme le montrent leurs anciens et nombreux articles tels que ceux d’octobre 2017 concernant l’« affaire LÉVOTHYROX® »… Ces anciens articles admettent notamment l’indépendance et la rigueur des analyses proposées.

[…]

Mais, brusquement, les analyses proposées concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, avec la même indépendance et la même rigueur, deviendraient celles d’un « antivax »« complotiste », pourvoyeur de « fausses informations »

Le positionnement initial était aligné sur celui de plusieurs confrères généralistes et spécialisés par lesquels les « réflexions et alertes ont été également relayées » : Le PointLe MondeLe NouvelObsLe Quotidien du PharmacienHospimedia, parmi d’autres.

Mais un article du 14 août dernier – publié sur le Web par Ouest France –  intitulé « Amine Umlil de nouveau en conflit avec l’hôpital », réunit dans son contenu un ensemble de déclarations tendancieuses et peu empreintes de la neutralité promue par la déclaration de Munich. Extrait :

« Le pharmacien est très actif sur son blog et sur les réseaux sociaux. Résolument opposé à la vaccination contre le Covid-19, le Choletais est cité en référence par de nombreux « antivax ». Il a aussi son rond de serviette sur le site internet FranceSoir.fr. Un média sans journaliste, relais de thèses complotistes et de fausses informations. »

De plus, ici encore, le professionnalisme et a minima la déontologie, sinon la probité du journal sont sérieusement défiés par un fait marquant. En effet, à la lecture de la fermeture de l’article :

« Contacté, Amine UMLIL n’était pas disponible, hier »,

La banalité que transporte cette mention n’aurait pas permis de découvrir, sinon de par la révélation par le Dr UMLIL des échanges constituant ce contact, que deux informations avaient été données par le journaliste : (i) seulement un « mot, bref » devait paraître le lendemain, en attendant (ii) d’être « contacté par un ou une de mes collègues » la semaine suivante ; réponses à valeur de promesses, que l’on peut considérer comme logiques, puisqu’à la sollicitation du journaliste le matin même pour l’après-midi (c’est-à-dire la veille de la publication), le Dr UMLIL avait répondu :

« Bonjour Monsieur [nom du journaliste],

Merci pour votre message.

Je ne peux pas cet après-midi.

La semaine prochaine, si vous pouvez.

Bien à vous,

(…) »

Un certain surplus d’honnêteté intellectuelle ou de devoir d’équité envers le Dr UMLIL, sachant le contenu – à charge – de ce qui était attendu comme « mot bref », aurait favorisé cette autre écriture de la fermeture de l’article, par exemple :

« Contacté hier, Amine UMLIL n’était pas disponible. »

Dans une publication dans laquelle le Dr UMLIL dénonce cet article et plusieurs autres meurtrissures publiques contre son image, l’on énumère plusieurs des procédés médiatiques subis par beaucoup trop de chercheurs, scientifiques et praticiens à travers le monde, qui sont passés de la reconnaissance élargie de leurs mérites vers la mise au banc et les injures du fait de l’expression légitime, raisonnée et lucide de questionnements légitimes et de divergences de points de vue.

Sur la reconnaissance de la qualité des contributions particulières du CTIAP et du Dr UMLIL et leur efficacité mesurable

D’abord comme responsable de la pharmacovigilance depuis son recrutement en septembre 2002, ayant mis en place la coordination des vigilances sanitaires en 2007 au centre hospitalier de Cholet, et enfin comme fondateur et acteur majeur du CTIAP dès 2015, le Dr UMLIL a réalisé un travail excellent et reconnu comme tel ; et ce, partant de ses collègues (éventuellement hiérarchiques) jusqu’aux médias locaux et nationaux, généraux ou spécialisés.

Le Point avait qualifié le CTIAP de « structure originale qui pourrait servir d’exemple », et le Quotidien du Pharmacien avait salué « la pédagogie d’un pharmacien ».

Un « Docteur en médecine »« psychiatre des hôpitaux »« praticien hospitalier au centre hospitalier de Cholet depuis 1980 », « ancien président de sa commission médicale d’établissement ». Ce médecin « atteste » ce qui suit :

« Je soussigné (…), atteste, en ce qui concerne mon collègue, Monsieur Amine UMLIL, pharmacien des hôpitaux,

1. Celui-ci apporte au centre hospitalier de Cholet un potentiel de connaissances, de compétences, d’exigences, nouvelles et de nature à constituer une contribution extrêmement positive au fonctionnement de l’hôpital ; il y a lieu de relever en particulier :

— des connaissances scientifiques et méthodologiques rares, une aptitude concrète à l’évaluation des produits et des procédures pharmaceutiques conformes aux exigences actuelles de la science, et surtout : cette évaluation indépendante des actions commerciales des firmes pharmaceutiques ;

— une connaissance précise, détaillée, actuelle de la réglementation relative à l’exercice de sa profession et, ce qui est encore plus important, un rapport positif à la loi et aux règlements ;

— une référence constante aux règles de métier de sa profession, en entendant par là non pas seulement les us-et-coutumes et les habitudes de celle-ci, mais les normes constitutives de l’excellence, d’où, chez mon collègue, un rapport spontanément sincère et sérieux, mais méthodique, aux procédures des démarches qualité ;

— une mise en œuvre effective, chaque fois qu’il n’y a pas été mis obstacle, de ces compétences en termes de performance, en particulier au service des patients grâce à sa disponibilité efficace et rapide auprès des médecins cliniciens, grâce à la qualité et à l’actualité de son information (et de la diffusion de cette information) relative aux risques liés à la pharmacothérapie fondée scientifiquement et non simple relais des messages commerciaux des firmes pharmaceutiques ;

— un respect de principe, sans doute excessif, parce que systématique, pour ses aînés et pour les détenteurs de l’autorité, de nature à lui rendre totalement inintelligible que ceux-ci ne s’illustrent pas par leur exemplarité en termes relationnels, professionnels, déontologiques et éthiques.  (…) ».

L’actuel directeur du centre hospitalier de Cholet, Pierre Vollot, attestait en 2017, auprès du ministère public d’Angers :
« […] Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines. »

D’autre part, quand le législateur mosaïque recommandait, dans une loi sociale du texte biblique, de ne pas craindre le service prophétique de l’individu dont les oracles ne s’accomplissent pas, il ne croyait peut-être pas si bien fournir un indicateur objectif de mesure pour tout service de vigilance. Ici, et en l’espèce, dans une lettre ouverte datant du 12 mars 2021, le Dr UMLIL avertissait déjà de la nécessité d’un « recueil de consentement libre et éclairé », dénonçant alors le « projet d’obligation vaccinale » comme contrevenant aux articles 7.3.1 et 7.3.2 de « la résolution 2361 » du Conseil de l’Europe « adoptée le 27 janvier 2021 – alors même que même la loi introduisant le pass sanitaire n’allait intervenir que deux mois plus tard. Propos conclus à l’époque en qualifiant ledit projet de « faute juridique, morale, éthique et politique notamment ». Si six mois plus tard l’atmosphère sociale est saturée de ces sujets-là précisément, c’est bien dire que depuis sa vigie – le CTIAP, la sentinelle UMLIL avait bien vu ! Sinon cela révèle tout au moins la fiabilité de ses sources et une fatale efficacité du travail de vigilance effectué à ce moment-là, qui consiste à (pré)voir et signaler les anormalités et menaces perçues.

Appel final à manifester son adhésion à la nécessité de l’exercice libre de la vigilance pharmacologique et son soutien au CTIAP et au Dr UMLIL

Sur la base de ce qui précède, nous, signataires rassemblés par le collectif Vigilance Pandémie, appelons à exprimer concrètement l’adhésion à l’exercice libre de la pharmacovigilance, fonction vitale de notre système de santé, et ce en signant la pétition de soutien à l’un de ses fleurons nationaux, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet, et au Dr Amine UMLIL son fondateur et dont il est une principale figure active. Ce dernier est particulièrement menacé aujourd’hui par la perte de son poste du fait d’une obligation vaccinale dont la teneur sanitaire et juridique a été l’objet de ses critiques ordonnées.

La toile, à travers plusieurs médias, des sites internet ainsi que les réseaux sociaux, révèle une multiplication d’obstacles et sabotages de plusieurs scientifiques et praticiens en médical, biomédical et paramédical. Mais nous nous sommes focalisés sur le cas du CTIAP et du Dr UMLIL du fait de la fonction stratégique qu’ils occupent en faveur de la santé de tout le système en France. C’est ce que nous nous sommes employés à démontrer et à étayer dans cette lettre. Le soutien au Dr UMLIL et à son travail va unir et cristalliser toutes nos affirmations individuelles de la nécessité d’une pharmacovigilance forte en France. C’est donc là une démarche d’engagement nécessaire et stratégique dans le processus d’assainissement du système pharmaceutique et sanitaire en France.

Engageons-nous donc résolument à signer cette pétition dès maintenant !

Signataires :

Dominique TASSOT,

Ancien directeur R&D d’un groupe pharmaceutique

Alexandra HENRION CAUDE,

Directrice de recherche, spécialiste de l’ARN

Edouard HUSSON,

Professeur des universités

Gérald PECH,

Ingénieur dans l’industrie, ancien chercheur

Didier MAGNE,

Directeur industriel chez Symbiose SE2D

Agnès D’AMILLY,

Directrice administrative et financière

Maître Virginie DE ARAUJO RECCHI,

Avocate au Barreau de Paris, membre de l’Institut Art & Droit et de l’American Bar Association

Nicole DELEPINE,

Cancérologue, ancienne chef de service d’oncologie pédiatrique


Notes




Vers une gouvernance médico-génocidaire mondiale planifiée ?

[Source : ripostelaique.com]

Par Philippe Rossi

Au niveau national

Depuis plus d’une décennie, nous avançons à marche forcée vers une gestion médico-vaccinale autoritaire de notre société dont le but n’est clairement plus la recherche de la santé et de l’intégrité physique des populations.

Ainsi, tous les représentants nationaux de la « santé » sous prétexte d’un dogmatisme pasteurien surfait voire mensonger, n’ont eu de cesse d’alourdir (légalement ?) la charge « vaccinale » obligatoire de la population : la fausse bonhomie de Bachelot (et son plan vaccinal avorté de 2009), l’autoritarisme de Touraine (avec son « la vaccination, ça ne se discute pas »), le cynisme de Buzyn (avec ses 11 vaccins obligatoires délétères pour l’immunité des enfants) et la tyrannie mafieuse de Véran (avec son interdiction persistante faite aux médecins de soigner et son chantage à l’emploi envers les soignants, jadis encensés).

Le piétinement de la vérité et l’utilisation du mensonge ont atteint le sommet de l’ignominie avec le gouvernement Macron : l’inutilité, l’utilité puis l’imposition des masques (criminelle pour les enfants et adolescents), les confinements, les couvre-feux, l’attestation de déplacement dérogatoire préparant le futur passeport « vaccinal » qui ne devait jamais se mettre en place mais quand même à l’œuvre aujourd’hui (grâce à Mr Breton, Fabius, Juppé… !), une vaccination non obligatoire promise mais quand même imposée avec la perspective de son extension à toute la population annoncée par Macron dans son discours brutal, ségrégationniste et psychotique du 12 juillet 2021 qui scelle ainsi la dislocation du contrat social dont le premier représentant de l’État est censé être le garant.

Après avoir neutralisé le débat démocratique, Macron, le représentant d’une gouvernance mondiale sanitaire autoritaire en marche veut, avec le soutien de médecins gavés de conflits d’intérêt, d’hommes politiques corrompus et/ou aveuglés et des médias menteurs, légaliser une « vaccination » perpétuelle criminelle tout en ignorant une bonne dizaine de textes nationaux et/ou internationaux protégeant l’intégrité physique des individus de l’abus de l’interventionnisme médical. Une obligation encouragée aujourd’hui par une bande de sénateurs socialo-félons !

Va-t-il être le fossoyeur terminal de la souveraineté nationale française et réussir à vendre définitivement la souveraineté corporelle de ses administrés aux puissances financières et pharmaceutiques au mépris de leur intégrité physique ?

Son agenda mondialiste avec l’appui de sociétés puissantes de gestion d’actifs comme Blackrock semble de plus en plus clair : refonte du paradigme économique au prétexte d’une crise sanitaire en vue de la mise en place du triptyque poursuivi depuis des décennies : asservissement, surveillance et dépopulation. Le problème du chômage et des retraites pourrait être ainsi réglé de manière radicale !

La firme pharmaceutique Pfizer qui engrange des bénéfices insensés et qui est aujourd’hui leader européen des injections expérimentales nocives, l’est-elle par hasard ?

D’une part, cette firme a réussi à vendre confortablement sa filiale nutrition infantile au groupe suisse Nestlé grâce à l’intervention de Macron de 2008 à 2011, travaillant pour le compte de la banque Rothschild.

https://www.swissinfo.ch/fre/election-pr%C3%A9sidentielle-fran%C3%A7aise_macron-le-banquier-de-nestl%C3%A9-%C3%A0-l-elys%C3%A9e/43153142

D’autre part et curieusement, n’était-elle pas prête à inonder le marché européen avec sa potion injectable dès novembre 2009, avant la déclaration officielle de la pseudo-pandémie ?

Pourquoi cette commande de 1 600 000 000 flacons à vaccins aussi spécifiques ?

Au plan international

Les objectifs de Bill Gates, premier investisseur de L’OMS qui oriente la politique sanitaire mondiale sont très clairs : vaccinations perpétuelles, identité numérique intra-corporelle, dépopulation !

https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

En juillet 2021, Gates, le pourvoyeur de vaccins, s’est associé au pourvoyeur de migrants, Soros, pour acquérir l’entreprise « Mologic » spécialiste britannique de la fabrication de tests de dépistage.

https://www.ft.com/content/6cec5334-265b-4de7-b176-9d854cce4d86

https://www.fr24news.com/fr/a/2021/07/bill-gates-et-george-soros-rejoignent-le-rachat-de-la-societe-britannique-de-tests-covid.html

https://thepressfree.com/soros-et-gates-soutiennent-le-rachat-du-groupe-britannique-de-technologie-de-diagnostic/

L’association de ces puissances financières privées diaboliques préfigure l’avenir chaotique médico-dictatorial et immigrationniste dans lequel nous sommes en train de plonger, si un sursaut vital et national n’a pas rapidement lieu.

Qui ? Pour arrêter cette marche inexorable vers l’abîme mondialiste, déculturé, décivilisé, transhumaniste, ségrégationniste, génocidaire…

Au vu des forces financières et économiques impliquées dans le processus mortifère en cours, seule une coalition de responsables politiques souverainistes pourra sortir notre pays de l’étau cauchemardesque mondialiste qui est en train de se refermer sur nos vies.

Les leaders des différentes forces souverainistes doivent impérativement oublier leur ego et proposer à la nation un projet de refonte nationale basé très clairement sur l’abandon de l’ignoble passeport ségrégationniste et l’inscription dans la constitution de l’absolue liberté vaccinale des individus afin de protéger leur intégrité physique du cannibalisme financier des firmes pharmaceutiques qui camouflent leurs vils intérêts commerciaux dans un discours et des pratiques faussement scientifiques.

Philippe Rossi




LE PROCÈS DU SIÈCLE

Par Diane Vincero

Le « procès du siècle s’ouvre actuellement en France concernant les 130 victimes tuées et les 400 blessés lors de l’attentat du Bataclan du 13 novembre 2015.

Près de 1800 parties civiles, 542 tomes de dossier.

La plus grande audience criminelle jamais organisée en France.

Un procès qui va durer 9 mois (jusqu’en mai 2022), filmé (exceptionnellement) pour des raisons historiques.

TOUTE LA PRESSE EN PARLE…

***

Cela n’est pas s’ans faire penser au procès du Médiator des laboratoires Servier qui a commencé en janvier 2020 et qui lui, concernait, excusez du peu… 500 à 2000 morts.

Ce procès s’est ouvert, excusez du peu là aussi, pour les chefs de :

  • tromperie sur : les qualités substantielles, la composition, l’aptitude à l’emploi du produit,
  • pour tromperie aggravée par la mise en danger de l’homme,
  • pour prise illégale d’intérêts, participation illégale d’un fonctionnaire dans une entreprise contrôlée,
  • escroquerie,
  • destruction de preuves,
  • trafic d’influence et
  • corruption.
  • Un autre volet enfin, concerne les homicides et les blessures involontaires

à l’égard de Servier, grand criminel bien français et qui a arrosé le monde entier avec deux médicaments de la honte.

En effet, Servier est à l’origine de la commercialisation du Médiator (Benfluorex) et de l’Isoméride (Dexfenfluramine), qui ont le même métabolite (la Norfenfluramine) et les mêmes effets secondaires graves : valvulopathies cardiaques et hypertension artérielle pulmonaire.

Déjà, on peut se demander pourquoi les dirigeants politiques et ceux de la SS ont accepté de rembourser le même médicament, aux mêmes indications et aux mêmes effets secondaires graves, sous deux appellations différentes ??

Le rapport d’expertise judiciaire sur le Mediator présenté par le parquet de Paris en avril 2013 conclut en effet que 220 à 300 morts à court terme sont imputables à une valvulopathie, et 1300 et 1800 à long terme. 

En 1995, le Médiator est interdit dans les préparations magistrales (les gélules réalisées à la demande dans les pharmacies) en raison de ses effets secondaires graves. Mais, ce n’est pourtant qu’en novembre 2009, qu’il est retiré totalement de la vente.

Pire encore, en septembre 1997, l’Agence du médicament a suspendu l’autorisation de mise sur le marché de l’Isoméride pour les mêmes effets secondaires graves que le Médiator.

Big pharma prenait déjà une belle place en 1995 et plus encore en 1997…

Qui a entendu parler de l’issu du procès du Médiator ? Le procès du Médiator s’est tenu dans un silence assourdissant…

Qui a entendu parler du scandale et d’un procès à large échelle de l’Isoméride ?

Et qui a entendu parler du scandale d’interdire l’Isoméride, tout en continuant à commercialiser le Médiator encore pendant 12 ans, TOUT EN SACHANT LES EFFETS MORTELS DE CETTE MOLÉCULE !!! 

Combien de patients, y compris de jeunes patients, ont été proposés à des transplantations CARDIO-PULMONAIRES (gravissime opération…) après avoir été traités par de l’Isoméride et n’ont évidemment pas survécu à une opération d’une telle ampleur….

Le nombre de victimes de l’Isoméride n’a jamais été révélé et est gardé sous silence…

Les victimes et les familles des victimes de ces deux médicaments de chez Servier (le Médiator et l’Isoméride), ont pu apprécier à quel point leur sort a laissé indifférents, les dirigeants de la SS, les dirigeants politiques et Servier… Elles n’ont jamais eu droit à La Justice…

En réalité, toutes proportions gardées, en termes de nombre d’homicides “involontaires”, mais aussi en termes de conflits d’intérêts (déjà à cette époque) entre Big pharma et les institutions nationales, etc. (cf. tous les chefs d’accusation ci-dessus), c’est bien le Médiator et l’Isoméride qui auraient dû avoir leur “procès du siècle”

LE VRAI PROCÈS DU SIÈCLE QUI N’A JAMAIS EU LIEU… 

Et tous les criminels concernés de courir toujours, y compris Servier dans sa tombe qui aura vécu impunément jusqu’à son dernier souffle… Et tous les politiques qui flirtaient (déjà à cette époque…) avec l’industrie pharmaceutique…

Il est vrai que 2020, début du procès du Médiator, n’était pas une année de campagne électorale… 

Il est vrai aussi qu’il faut impérativement détourner l’attention des peuples de ce qui est en train de se développer aujourd’hui contre eux par cette mascarade du covid…

En résumé, on pourrait déplorer que LE PROCÈS DU SIÈCLE sur les attentats du Bataclan constitue en réalité un sombre effet de prestidigitation, un procès d’envergure totalement disproportionnée et instrumentalisée pour faire croire que nos dirigeants prennent la vie du peuple en considération, pour faire campagne en vue des élections de 2022, pour cacher l’ampleur des dégâts orchestrés par cette pseudo-pandémie de covid… Indécrottables, ces dirigeants manipulateurs !

Étant donnée l’importance pharaonique qu’on donne au procès des attentats du Bataclan aujourd’hui, on peut imaginer l’ampleur (à l’échelle de l’Univers tout entier…) que devra prendre le Procès “covid” le moment venu.

En effet, le temps viendra du procès des grands lobbies pharmaceutiques du covid que sont Moderna, Pfizer, Astra Zeneca et Johnson and Johnson, mais aussi, celui de tous les dirigeants politiques concernés qui ont détruit et vont détruire la vie de millions de familles, en amenant à la mort certains de leurs membres, en en transformant d’autres en handicapés, en exerçant pendant plus d’un an et demi, un harcèlement de plus en plus violent sur les peuples, en les obligeant à porter en permanence des masques inutiles, en les emprisonnant chez eux par les confinements et les couvre-feux successifs, en les privant de loisirs (restaurants, cinéma, tourisme, etc.), puis en les obligeant à se faire vacciner par un moyen de coercition hors norme qui est la suspension de leurs contrats de travail, et pire encore, de leurs salaires, c’est-à-dire de leurs moyens essentiels de vivre, tout en chantant “qu’il faut que les centres commerciaux restent ouverts pour permettre l’achat de produits essentiels”, ou plus exactement pour que ces magasins continuent à s’enrichir sous le nez de leurs homologues plus petits qui coulent…

Ce procès sera :

LE PLUS GRAND PROCÈS DE L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ ! On peut espérer qu’il mettra fin à un système de corruption de grande ampleur qui s’est développé depuis des décennies…




De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses

[Source : donde vamos via Sott.net]

Dans cet article, on va revenir un peu plus en détail sur certains points abordés lors de l’émission avec Ariane Bilheran et Akina. Pour commencer, un retour sur le début des travaux scientifiques autour du contrôle de la société et des individus, initié par un courant 100% eugéniste très en vogue dans les années 20, et rassemblé dans et autour de l’Institut Tavistock.

On va voir quelle est l’idéologie derrière tous ces travaux de recherche dont le caractère scientifique reste à démontrer. Une idéologie toujours présente en filigrane dans le discours ultra libéral, et plus que jamais d’actualité.

Note de Sott : A priori, l’émission avec Ariane Bilheran et Akina à laquelle l’auteur fait référence ci-dessus est la suivante :

https://youtu.be/6lyiufYzBRI

Nous mettons aussi à disposition de nos lecteurs la même vidéo sur Odysee au cas où YouTube censure la première :



La sociologie comme outil de gestion de la société

Le contrôle des masses et de l’esprit des individus n’est pas nouveau : les religions par exemple s’en sont fait une spécialité depuis des siècles et déjà Platon allait sur ce terrain. Mais la formalisation de ce qui est devenu une véritable discipline « scientifique » remonte à l’entre-deux guerres avec les travaux de la Tavistock Clinic, en Grande-Bretagne.

1921 : La Tavistock Clinic

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Avant les nazis, le concept de contrôle mental a été élaboré par la Tavistock Clinic créée en 1921. A cette époque de nombreuses cliniques spécialisées traitaient les adultes et les enfants, et la Clinique Tavistock (sous le nom de Tavistock Square Clinic for the Treatment of Functionnal Nerve Disorders ) s’est spécialisée dans le traitement précoce des enfants.

L’objectif était donc de traiter –et non soigner, un mot absent des études et rapports de l’époque- l’humain (enfant comme adulte mais avec des départements séparés) via la médecine, la psychologie, la sociologie en même temps. Une approche novatrice qui s’inscrivait dans le courant de pensée eugéniste, sur lequel on va revenir dans cet article.

Les premiers vice-présidents honoraires de la clinique étaient des gens aussi réputés que Sigmund Freud, qui était alors en Angleterre, HG Wells, Carl Jung[1], Cyril Burt, Julian Huxley et quelques autres.

La clinique Tavistock qui disait faire de la « nouvelle psychologie » issue principalement des théories de Karl Jung et Freud a été créée en 1921 par le psychiatre Hugh Crichton-Miller, qui a dirigé par exemple la Société Royale de Médecine ou la Société Britannique de Psychologie dans les années 30, et par Cyril Burt qui a été en contact avec les eugénistes dès ses études à Oxford et a notamment travaillé sur le caractère « héréditaire » du QI[2].

freud

Derrière le délire de Burt, l’objectif était de trouver des indicateurs pour assurer l’ordre social, et pour lui le QI était un paramètre important pour développer l’eugénisme, c’est-à-dire une sorte de sélection des individus les plus adaptés voire rentables pour l’ordre économique.

La Tavistock Clinic a aussi repris les thèses et l’idéologie de l’école de Francfort, issue de la création officielle en 1923 de l’Institut pour la recherche sociale, et qui était orientée vers les idées marxistes et « socialistes » en termes de gestion de la société.

Comme il y avait beaucoup de Juifs et –forcément- de marxistes dans ses effectifs, l’école a été très mal vue des nazis qui ont interdit à ses professeurs d’enseigner dès 1933. Elle s’est donc installée à New York en 1935, en association avec la New School financée par la Fondation Rockefeller, puis en Californie en 1940.

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 » Lord Bertrand Russell de l’école de Francfort était un défenseur de l’ingénierie sociale de masse clandestine. Dans son livre de 1951, ‘L’impact de la science sur la société’, il a écrit: « psychologie du cul. . . . Son importance a été considérablement accrue par le développement des méthodes modernes de propagande. Parmi ceux-ci, le plus influent est ce que l’on appelle « l’éducation ». La religion joue un rôle, quoique de moins en moins important ; la presse, le cinéma et la radio jouent un rôle croissant. . . . On peut espérer qu’avec le temps, n’importe qui pourra persuader n’importe qui de quoi que ce soit s’il parvient à attraper le patient jeune et qu’il est doté par l’État d’argent et de matériel.

Russell a poursuivi : « Le sujet fera de grands progrès lorsqu’il sera abordé par des scientifiques sous une dictature scientifique… Les psychologues sociaux du futur auront un certain nombre de classes d’écoliers sur lesquelles ils essaieront différentes méthodes pour produire une conviction inébranlable que la neige est noire« .

Theodore Adorno, passé par Oxford et proche de Horkheimer, était un des piliers de l’école de Francfort. Il voulait travailler sur la sociologie de la musique pour « programmer une culture de masse comme une forme de contrôle social extensif qui pourrait dégrader ceux qui la consomment ». Il a aussi travaillé sur les nouvelles technologies d’enregistrement et leur impact sur les auditeurs.

Il a écrit en en Allemand un bouquin publié en 1947 modestement intitulé « Dialectique des Lumières », expliquant à quel point la civilisation avait évolué depuis les âges des ténèbres à travers la « rationalité » mais que cela l’a éloigné de sa nature et l’amène à l’inhumanité.

statue Freud Tavistock

La Tavistock Clinic a aussi développé le concept d’hygiène sociale et celui d’hygiène mentale. Selon le Tavistock la folie, le crime ou l’inefficacité au travail sont liés à des troubles parfois mineurs déjà visibles dans l’enfance. En 1908 les tribunaux pour enfants ont été créés, et l’amalgame entre enfants en danger et enfants dangereux s’est renforcé. Les autorités envoyaient de partout à la clinique les enfants perturbés.

A l’origine, le Tavistock a surtout travaillé sur les mineurs et le développement de l’enfant. A ce moment un certain nombre de chercheurs se lançaient dans l’étude du psychisme des enfants, notamment des enfants traumatisés ou « difficiles », dont beaucoup sont passés par le Tavistock.

Par exemple le psychiatre John Bowlby a étudié dans les années 60 l’attachement de l’enfant à la figure parentale qui s’occupe de lui, et a estimé que les enfants ont besoin de cet attachement et de se sentir en sécurité pour se construire. Il a créé une unité spéciale au Tavistock pour cela.

Tavistock Clinic

Mais il y avait aussi d’autres objectifs, comme ceux poursuivis par un des financiers de la clinique, le duc de Bedford, le fondateur du parti fasciste anglais[3]:

« En 1921, le duc de Bedfordmarquis de Tavistock légua un bâtiment à l’Institut dans le but d’étudier les effets du traumatisme sur les soldats britanniques ayant survécu à la première guerre mondiale. Son but était d’établir le « point de rupture » d’hommes en état de stress, sous la direction du Bureau de l’armée britannique pour la guerre psychologique, dirigé par Sir John Rawlings-Reese. 
L’Institut Tavistock a son quartier général à Londres. Son prophète, Sigmund Freud, s’est installé à Maresfield Gardens quand il a déménagé pour l’Angleterre. La princesse Bonaparte lui fit cadeau de la demeure. Le travail de pionnier de Tavistock en sciences du comportement selon les directives freudiennes du « contrôle » des humains en a fait le centre mondial de fondement d’idéologies
« .

1921, année de la mise en service de la Tavistock Clinic, est une année importante pour les eugénistes. C’est l’année de la deuxième conférence internationale sur l’eugénisme à New-York, la première ayant eu lieu à Londres en 1912[4] sous la présidence de Léonard Darwin, biologiste fils de Charles.

eugenics affiche

Ces conférences visaient à inviter des décideurs politiques, des scientifiques, des organisations sociales, pour discuter de la manière dont ils pouvaient améliorer l’hérédité humaine et donc le niveau des humains qui composent la société.

C’est aussi en 1921 que Freud a publié « Psychologie des masses et analyse du moi » qui popularise la psychanalyse, sur la psychologie des individus dans des foules et était notamment inspiré de livres précurseurs en la matière : « Psychologie des foules » de Gustave Le Bon, paru en 1895[5] et des ouvrages de Gabriel Tarde.

En 1928 un neveu de Freud, Edward Bernays, publie « Propaganda : Comment manipuler l’opinion en démocratie« , dont Hitler s’est beaucoup inspiré.

Au tournant de la deuxième guerre mondiale, la Tavistock a été liée beaucoup plus étroitement au ministère de la Guerre, à l’armée et aux renseignements, orientant davantage ses travaux dans le contexte de la guerre, ce qui impliquait aussi de travailler sur les organisations et la gestion des humains.

psychologie des foules

En 1938, « Le personnel de la Clinique exprima son intention d’enquêter sur « les classes patronales et les cadres, car il était tout aussi important qu’ils soient harmonieusement équilibrés. » Ils voulaient appliquer le « traitement scientifique de la psychonévrose » aux problèmes à grande échelle d’efficacité professionnelle et aux dirigeants », et la sélection des officiers était un moyen potentiel d’y parvenir, résume Alice Victoria White en 2016 dans sa thèse « From the Science of Selection to Psychologising Civvy Street: The Tavistock Group, 1939-1948″

Un volet moins connu des travaux du Tavistock est celui sur les micro-ondes et leur potentiel en termes de contrôle des populations et des individus. Dès les années 50 des tests ont été menés sur des singes pour voir quand le singe dominait devenait soumis, et identifier les fréquences du cerveau correspondant à cet état de soumission.

Ce sont en effet les anglais qui ont marqué les plus grandes avancées sur les micro-ondes à partir des années 40, et c’est d’ailleurs en Angleterre qu’elles ont été testées à grande échelle sur des populations rétives au thatchérisme[6].

Parmi les domaines de recherches du Tavistock, il y a aussi l’identité sexuelle. Le Tavistock a été précurseur pour propager la théorie du genre et la banalisation de la transsexualité auprès des adolescents, quitte à produire des études peu sérieuses.

L’influence de Kurt Lewin

lewin

Depuis 1921, le psychologue allemand Kurt Lewin, qui passe aujourd’hui pour l’un des fondateurs de la psychologie sociale devenue la psychologie du travail il y a quelques années, avait commencé ses travaux sur le comportement humain et la manipulation des individus dans des groupes c’est-à-dire la « dynamique de groupe ».

Des travaux qui ont beaucoup influencé la Tavistock Clinic, qu’il a dirigée en 1932, quand a été créé l’Institute for the Scientific Treatment of Delinquency (l’insititut pour le traitement scientifique de la délinquance).

Lewin a notamment étudié les groupes dans le cadre de l’entreprise, par exemple autour de « la résolution des conflits sociaux » ou l’ « accompagnement au changement » tant apprécié dans les cours de « management », et a participé à l’initiation de l’Association pour la psychologie expérimentale devenue l’Association Allemande de Sociologie.

usine angleterre

Lewin avait compris l’impact de son environnement sur l’individu et l’importance d’agir sur l’environnement pour modifier la personnalité des individus, bien au-delà des simples comportements. Il cherchait aussi à utiliser le trauma pour manipuler les individus, les « reprogrammer » sur le mode Ordo ab chaos, cette devise à la fois sataniste et franc-maçonne qui dit que l’ordre viendra du chaos.

Lewin s’est dit qu’appliquer ces méthodes à l’échelle de la société pouvait donner des résultats prodigieux en termes d’ordre social. Il a mis cela en application pour contribuer à faire entrer en guerre les US.

Lewin, qui était très proche de l’OSS puis de la CIA, expliquait par exemple en 1947 qu’ « il est préférable de conduire le changement en se focalisant sur la diminution des forces restrictives, plutôt que de chercher à augmenter les forces propulsives. Il est alors possible de changer en réduisant l’attachement des individus à la norme, soit en modifiant la norme elle-même« . Le processus de changement est composé de 3 étapes (cf. Cours de marketing en ligne) :

  • La phase de décristallisation des normes (phase 1), correspond à l’abandon des comportements et des attitudes habituelles et à la création d’une motivation à changer. Cette décristallisation est rendue possible par la discussion en groupe, favorisant la remise en cause des normes du groupe.
  • La phase de déplacement (phase 2), donne lieu à un changement par la réduction des forces de résistance que représente l’attachement aux normes. Il s’agit d’une phase de transition où l’on expérimente les nouvelles pratiques.
  • La phase de cristallisation (phase 3). Cette phase repose sur l’intégration de nouvelles habitudes.
cerveau mind control

Une méthode qui a fait et fait hélas toujours ses preuves car elle consiste à briser les fondements des individus. L’affaire France Telecom, où des cabinets de conseils en manipulation et pressage de citron ont été grassement payés pour éjecter un maximum de fonctionnaires[7], de même que la pseudo gestion de crise covid qui a surtout pour but de nous amener à marche forcée dans le monde orwellien dont certains rêvent depuis plus d’un siècle, le montrent parfaitement.

En écrivant ce genre de chose, dont il savait que cela s’appliquerait à l’entreprise comme à la politique, Lewin trahissait le but des sciences sociales qui est d’identifier et permettre de résoudre les problèmes sociétaux, pas ceux du pouvoir capitalistique.

Etant Juif, Lewin a rapidement été interdit d’enseigner et a fui l’Allemagne nazie en 1933. Après un passage en Angleterre et à la Tavistock Clinic il est arrivé aux Etats-Unis en 1935, enseignant notamment la psychologie sociale et psychologie de l’enfant d’abord à Stanford puis à Cornell, dont on reparlera dans la partie sur MK-Ultra, et enfin à Harvard où a été créée la première chaire de psychologie sociale en 1917 en collaboration avec l’armée.

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A partir de de la fin des années 30 il s’est lancé dans l’étude du comportement des individus dans le milieu du travail et les mécanismes de défense face à l’ingérence de l’extérieur, et a fondé en 1945 avec le MIT (proche de l’armée US) le Research Center for Group Dynamics.

Lewin a beaucoup travaillé sur l’apaisement des relations de travail, pour améliorer la productivité et limiter les conflits. Comme chez les nazis la notion de bonheur a été intégrée à celle de travail. Et sur la notion de groupe, notamment dans l’industrie du charbon, pour dépasser les conflits sociaux.

Il a aussi travaillé sur les enfants aux Etats-Unis, notamment à l’Iowa Child Welfare Research Station (le pôle de recherche sur le bien-être de l’enfant) où il a mené des recherches entre 1935 et 1944.

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Après 1945, le Département Social de l’institut Tavistock a été créé pour poursuivre les travaux sociologiques, anthropologiques, psychologiques et psychiatriques entrepris pendant la guerre, et les appliquer à la vie sociale en temps de paix.

En 1946 quand la Tavistock Clinic a été intégrée au service national de la santé, elle a reçu un don de la Fondation Rockefeller pour mettre en place une organisation séparée et travailler sur des sujets « non acceptés dans le domaine de la santé mentale« [8]. Elle est alors devenue le Tavistock Institute of Human Relations, isntallé sur un terrain de l’université du Sussex. L’Institu Tavistock a obtenu le statut d’ONG auprès de l’ONU l’année suivante.

Des travaux sur les « systèmes socio-techniques », sur les dynamiques de groupe et l’organisation du travail ont été menés au cours des années 50 et 60 au Tavistock par différents chercheurs comme Eric Lansdown Trist, spécialiste de la psychologie sociale ou le psychologue australien Fred Emery.

A travers tous ces travaux, le Tavistock a institutionnalisé les idées de Lewin, devenues très populaires dans les années 70.

Les influences du Tavistock sur le programme MK-Ultra.

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Un des grands noms du Tavistock, injustement mis sous le tapis aujourd’hui, est un certain John Rawlings Rees, à la fois psychiatre et militaire, cofondateur et premier président de la World Federation for Mental Health créée avec la bénédiction des Nations Unies dès 1947.

Rees était déjà présent à la Tavistock Clinic à sa création en 1920, en avait été nommé directeur médical adjoint en 1926 puis directeur médical en 1933, et il était encore là pour l’inauguration de l’Institut Tavistock pour les Relations Humaines en 1947.

Avec lui, le « Tavi » est aussi devenu un centre de formation à la psychothérapie qui rayonnait dans une série de structures[9] dédiées de près ou de loin à la gestion de la société par la médecine psychiatrique, dont une bonne partie a été créée par Rees et ses amis. Ce microcosme, largement financé et promu sur le plan « scientifique », a ainsi diffusé une certaine vision de la psychiatrie.

Rees, engagé comme psychiatre consultant par l’armée anglaise à partir de 1939, a été un acteur majeur du développement du concept de guerre psychologique, initiée par les Français durant les guerres d’Indochine puis d’Algérie. Rees a alors développé la psychothérapie de groupe basée sur la psychanalyse, devenue une nouvelle méthode de travail. Pour l’armée Rees a aussi travaillé sur les moyens d’influencer le moral de l’ennemi, sur la gestion des hommes, sur l’autorité… Des travaux qui ont été repris pour travailler sur le conditionnement des salariés et la gestion des « ressources humaines » étudiés au Tavistock.

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Rees a compris que les humains étaient fortement conditionnés par leur culture, leurs valeurs, plus que par le lavage de cerveau tel qu’ils le pratiquaient sur les soldats. Il fallait donc agir sur la société dans son entièreté.

La « Méthode Rees »qui a été très appréciée dans les écoles de guerre mais pas seulement consiste en un contrôle fasciste de la société, adapté à la gestion de la société du futur. Rees prônait un contrôle des communautés locales par des « leadership groups » et la démocratie participative avec évidemment un contrôle strict de l’information.

On notera que Rees a fait partie de l’équipe qui s’est occupée de gérer Rudolf Hess, ce pilier du système Nazi et proche d’Hitler depuis les débuts du NSDAP, qui a pris l’avion pour l’Angleterre en 1941[10]. Rees l’a suivi jusqu’en 1945, quand Hess a été jugé, passant officiellement pour dérangé mentalement grâce à l’analyse de Rees et son équipe. Après la guerre il a évidemment été nommé dans l’équipe de psychiatres chargés d’examiner les quelques nazis renvoyés devant les juges à Nuremberg, soi-disant pour « étudier le nazisme ».

Les nombreux travaux de « JR » Rees pour l’armée et les renseignements militaires lui ont valu de nombreuses récompenses et conféré un statut de « medical statesman » (homme d’Etat médical).

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C’est donc avec les honneurs qu’il a quitté le Tavistock en 47, pour se consacrer à l’organisation du 1er congrès de la santé mentale à Londres en 1948 et à la création de la World Federation for Mental Health (WFMH) avec Montagu Norman (gouverneur de la Banque d’Angleterre de 1920 à 1944 et proche des industriels Allemands).

La première intervention à la conférence fondatrice (vice-présidée par Carl Jung) a été celle de Margaret Mead, anthropologue et occultiste qui a été présidente de la WFMH en 56-57. La WFMH a lancé le mouvement d’ « hygiène mentale » et a très vite travaillé avec l’OMS et l’UNESCO dont le 1er directeur était Julian Huxley.

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Plus inquiétant encore chez Rees était sa volonté d’estomper les limites entre le vrai et le faux, le bien et le mal, et même de faire disparaître ces concepts, s’inscrivant en cela parfaitement dans l’idéologie sataniste/luciférienne. Tout un courant de la psychiatrie suivait cette tendance dans les années 40-50.

En 1934 devant des militaires Rees a expliqué son plan :

« Si nous voulons infiltrer les activités professionnelles et sociales d’autrui, je pense que nous devons imiter les totalitarismes et organiser une sorte d’activité de cinquième colonne… Nous avons mené une attaque fructueuse contre un certain nombre de professions. Les deux plus faciles d’entre elles sont naturellement la profession d’enseignant et l’église, les deux plus difficiles sont le droit et la médecine… Ne parlons pas en termes d' »hygiène mentale » mais en termes de « santé mentale ». …Soyons donc tous très secrètement la cinquième colonne. La psychiatrie doit maintenant décider de ce que sera l’avenir immédiat de la race humaine. Personne d’autre ne le peut. C’est la responsabilité première de la psychiatrie ».

Au Tavistock, Rees a aussi travaillé avec un canadien dénommé Brock Chisholm, psychiatre qui fut à l’œuvre dans la création de l’OMS, dont il a été le premier directeur général de 1948 à 1953. Il s’était notamment fixé comme objectif de définir ce qu’était l’hygiène mentale à travers une masse de publications sur la psychiatrie, pour normaliser et cadrer ce domaine crucial pour la gestion de la société.

A la sortie d’une guerre traumatisante pour plus de la moitié de la population mondiale, le sujet était en effet d’actualité. Et la chimie faisait de grands progrès ces dernières années, d’abord en Allemagne puis aux Etats-Unis également.

C’est Chisholm qui aurait suggéré à son ami « JR » Rees de créer une « Organisation mondiale de la santé mentale » pour avoir une organisation soi-disant indépendante avec laquelle collaborer.

Chisholm aussi était un fan du « gouvernement mondial » et lui aussi était pour estomper les notions de bien et de mal ainsi que la foi religieuse car cela « produit des gens non civilisés, l’immoralité, la délinquance et le chaos social« . Et pour y parvenir, il n’y avait selon lui rien de mieux que l’éducation et la psychothérapie.

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Un des collègues de Rees qui a dirigé la World Federation for Mental Health, Franck Fremont-Smith, a créé en 1942 le « Cybernetics Group », lancé par une fondation vitrine de la CIA, la Josiah Macy Foundation où Fremont-Smith était directeur médical. Les financements du Cybernetics Group venaient d’un peu partout, notamment de la WFMH, et servaient à payer des travaux destinés à prévoir et contrôler le comportement humain[11].

Kurt Lewin était d’ailleurs présent à la conférence de lancement, au cours de laquelle un chercheur mexicain dénommé Arturo Rosenblueth a déclaré que le cerveau était juste une machine complexe avec des impulsions électriques et que le comportement humain pouvait être programmé au niveau individuel comme sociétal.

En 69 sur son lit de mort, ledit Rosenbleuth a expliqué que « La culture de la recherche scientifique dans les plus hautes institutions d’enseignement a […] un rôle central. Elle élève le niveau d’enseignement destiné à préparer des professionnels et des techniciens compétents. Elle fournit l’atmosphère intellectuelle nécessaire pour la formation d’enseignants distingués. Enfin, elle permet l’entrainement du reste de la recherche ». Le Cybernetic Group a cessé d’exister en 1953 suite à des bisbilles internes.

Autre psychiatre éminent du Tavistock qui a travaillé sur le programme MK-Ultra : William Sargant, proche du directeur du programme MK-Ultra, le chimiste Sidney Gottlieb. Nommé à la tête du département de psychologie de l’hôpital de Saint Thomas à Londres en 1948 après un séjour de quelques mois aux Etats-Unis, Sargant s’inscrivait totalement dans les vues de Lewin.

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En 1957 il a publié un livre intitulé « Battle for the mind – A psychology of coversion and brain-washing » (La bataille de l’esprit. Une psychologie de la conversion et du lavage de cerveau) dans lequel il parle de diverses expériences, notamment l’utilisation de drogues, de la lobotomie et des « traitements par chocs » électriques ou d’insuline. Il examine aussi les religions et l’endoctrinement, la torture et leurs possibilités en termes de lavage de cerveau.

Il explique que

« Beaucoup de croyances peuvent être implantées dans beaucoup de gens après que les fonctions cérébrales aient été suffisamment perturbées par une peur, une colère ou une excitation induite accidentellement ou délibérément. Un des résultats qu’entrainent ces perturbations, le plus commun est une faculté de jugement temporairement affaiblie et une suggestibilité renforcée ».

Il ajoute :

« Avant d’être capable de modifier le schéma comportemental des pensées et des actions dans le cerveau humain avec rapidité et efficacité, il est apparemment nécessaire dans la plupart des cas d’induire certaines formes de perturbations physiologiques du cerveau. Le sujet doit être effrayé, énervé, frustré ou dérangé émotionnellement d’une manière ou d’une autre, car de telles réactions sont à même de causer des altérations des fonctions du cerveau qui peuvent augmenter sa suggestibilité ou le rendre capable de dépasser ses conditions normales ».

Et la lobotomie ou les électrochocs semblent parfaitement adaptés pour cela. Au final, Sargant appelle à mener d’autres expérimentations.

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Sargant, ce fils d’une famille méthodiste et grand partouzeur en compagnie de médecins, magistrats et autres personnalités voulait faire entrer la psychiatrie dans une nouvelle ère, en utilisant plus particulièrement la lobotomie préfrontale, le coma hypoglycémique, et les chocs électriques. Il a mené ses expérimentations sur des cobayes pris dans les prisons et hôpitaux psychiatriques de l’armée (auxquels on mentait sur l’objectif réel des expériences) pour le MI5 et MI6, dans des bases militaires anglaises comme Maresfield ou Porton Down l’équivalent anglais de Fort Detrick[12].

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Des tests qui avaient parfois lieu sous la supervision de Sidney Gottlieb et Franck Olson, cet agent de la CIA passé par la fenêtre d’un immeuble alors qu’il avait été gavé de LSD par ses amis de la CIA, et les trois sont même devenus amis.

Sargant avait un rôle pivot dans le programme MK-Ultra, et assurait la liaison entre la fondation pour la recherche sur l’écologie humaine (Human Ecology Fund) et les centres de recherches militaires ou civils anglais impliqués dans le programme.

Sargant a aussi collaboré étroitement avec l’affreux Ewen Cameron, ce psychiatre canadien fils d’un pasteur Ecossais qui travaillait sur le psychic driving, la conduite psychique, et a mené des expériences (électrochocs, drogues, hypnose, privations sensorielles, lobotomies au niveau des parties du cerveau qui gèrent les émotions…) sur des dizaines de patients non volontaires dans des hôpitaux canadiens, dans le cadre de MK-Ultra.

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Cameron, qui était aussi financé par l’Human Ecology Fund et par la fondation Rockefeller, était très réputé. Il faisait le tour des colloques, toutes les publications « sérieuses » lui étaient ouvertes et il est même devenu président de l’American Psychiatric Association, l’asso de référence des psychiatres US, en 1952-1953 c’est-à-dire au moment du lancement officiel de MK-Uktra, puis de son homologue canadienne, et en 1962 il est devenu président de la World Psychiatric Association où est définie la doxa dans le domaine.

Cette collaboration entre Sargant et Cameron a été nouée très tôt, le premier reproduisant en Angleterre les expériences du second[13]. Ils avaient les mêmes vues, celles du Tavistock et des inventeurs de l’ingénierie sociale, sur la gestion de la société. Raciste, élitiste, eugéniste, Cameron a par exemple écrit : « La menace imminente d’une dégénération de la race, la perspective d’une batardisation nationale due au laxisme eugénique, la croissance de la délinquance et de l’immoralité – une approche radicale du traitement peut changer tout cela » au début de sa carrière de responsable d’un hôpital psychiatrique où on laissait littéralement au rebut de la société.

Sargant lui-même a fait un séjour en hôpital psychiatrique au début de sa carrière après une sorte de burn out consécutif à l’échec d’une de ses « thérapies ». Il ne reculait devant aucune technique, et a pu laisser des patients sans sommeil durant plusieurs mois d’affilée, ou à l’inverse les plonger dans un semi coma durant des semaines, a essayé d’en « traiter » d’autres avec le virus de la malaria, en plus des traditionnels délires drogues/médocs-électrochocs-hypnose…

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Apparemment, des mineurs de 16 voire 12 ans ont aussi été utilisés mais évidemment une partie des expériences est restée secrète.

Si les victimes sortaient de ces expériences dans un état pire qu’en arrivant, il attribuait cela à leur personnalité qui ne collait pas. Une actrice anglaise, Celia Imrie, a raconté son passage entre les mains de Sargant quand elle était adolescente. Ses parents l’avaient envoyée au St Thomas Hospital à 14 ans pour une crise d’anorexie.

« Les méthodes de Sargant étaient simples : un traitement par électrochocs et des comas induits par l’insuline conduisant à une narcose continue, ou une thérapie du sommeil profond, complétée par des ordres de « lavage de cerveau » diffusés aux patients sous leurs oreillers. Et dire que tout cela était gratuit avec le NHS [le système de santé anglais] ! », écrivait-elle en 2011.

« Je me souviens aussi de la célèbre salle de narcose, une salle où les patients étaient contraints pendant des jours à un sommeil induit par la drogue pendant que des cassettes leur diffusaient des instructions sous l’oreiller« .

Les gens y entraient drogués et en sortaient drogués, inconscients.

Elle y a été traitée à l’insuline pour la mettre en sommeil, avec un antipsychotique appelé le Largacil. Elle se rappelle d’une infirmière parlant de sa « dangereuse résistance » aux « médicaments », de Sargant disant que « chaque chien a son point de rupture, ça prend juste un peu plus de temps pour les excentriques« .

Les origines du contrôle social : l’eugénisme

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La Tavistock a été créée à l’université d’Oxford, avec le soutien du Royal Institute of International Affairs. Les milieux eugénistes y étaient très actifs.

Les anglais avaient construit les théories eugénistes depuis la fin du XIXe siècle. C’est par exemple à l’University College de Londres qu’ont été formalisés les délires qui ont amené les Nazis à concevoir leur « Solution Finale ».

Cet épicentre du mouvement eugéniste au tout début du XXe siècle, a financé des travaux de recherche sur l’eugénisme et l’hérédité dans son laboratoire de biométrie créé à l’initiative de Galton et dirigé par Karl Pearson, intégré ensuite dans le Francis Galton Laboratory for National Eugenics[14].

L’eugénisme, ou la peur du désordre social chez les classes favorisées

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Karl Pearson, formé en Allemagne à la sociologie, était le bras droit de Galton à l’University College, un parfait soldat de l’eugénisme. Pour lui, par exemple, « il n’y a aucun espoir de purification raciale dans un environnement qui n’implique pas la sélection des germes« .

L’idée dingue de créer « une race supérieure » n’est pas née dans le cerveau dérangé des Nazis mais dans celui d’un aristocrate et statisticien anglais, Sir Francis Galton, qui voulait mettre en place une « sélection » des meilleurs humains selon ses critères et créer une « nouvelle race supérieure ». Galton, pionnier de la biométrie, était aussi le cousin de Darwin dont les théories ont elles aussi largement alimenté le délire eugéniste.

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Par exemple, Darwin considérait que

« Tous ceux qui ne peuvent éviter à leurs enfants une horrible pauvreté devraient s’abstenir du mariage ; car la pauvreté n’est pas seulement un grand malheur, mais elle tend à s’accroître elle-même en conduisant à l’irresponsabilité dans le mariage. D’autre part, comme M. Galton l’a remarqué, si les prudents évitent le mariage alors que les irresponsables se marient, les membres inférieurs de la société tendent à supplanter les membres meilleurs » (dans « La Filiation de l’homme »). 

Il y a eu un long travail depuis les premiers écrits d’auteurs tels que William Rathbone Greg en 1868 ou Sir Fancis Galton en 1883 pour donner un aspect un peu sérieux à cette « discipline », à coup d’études et d’enquêtes qui lui ont progressivement donné une forme de légitimité[15].

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Galton, obsédé par la question de la transmission des qualités héréditaires et de la « dégénérescence » de la société, définit l’eugénique dont il voulait faire une « religion laïque », comme suit :

une « science de l’amélioration de la race, qui ne se borne nullement aux questions d’unions judicieuses, mais qui, particulièrement dans le cas de l’homme, s’occupe de toutes les influences susceptibles de donner aux races les mieux douées un plus grand nombre de chances de prévaloir sur les races les moins bonnes« .

Il voulait aussi combiner cela avec un système social de « méritocratie », que la France technocrate a parfaitement appliqué et dont nous payons fortement les conséquences. Il a aussi travaillé sur des jumeaux toujours pour identifier l’hérédité.

Galton voulait carrément créer un  « clergé scientifique » – qui n’est pas sans rappeler les individus qualifiés de « médecins » qui font la pluie et le beau temps à la télé comme dans tout le pays depuis 19 mois- pour imposer une démarche eugénique dans l’ensemble de la société. Le seul frein à tout cela était la morale de la société qui n’approuvait pas l’élimination brutale d’une partie des citoyens.

Ces théories ont beaucoup intéressé Nietzsche, ce grand philosophe qui entre deux coups de folie les a ramenées en Allemagne.

L’Eugenics Education Society a été crée en 1907 par Sybil Gotto, inspirée par les thèses de Galton.

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En 1911, un article économique intitulé « Les progrès de l’eugénisme » listait les nombreux domaines d’application de l’idéologie eugéniste, qualifiée de « science de la réforme sociale ». Car il fallait régler les problèmes de la société et permettre à cet « ordre social » auquel tient tant cette petite élite de perdurer indéfiniment.

En 1912 c’était le 1er congrès international d’eugénisme à Londres, avant les nazis. Puis en 1921 et 1932 à New York.

Et la création de l’International Federation of Eugenics Organizations par Charles Davenport, qui regroupait des organismes de différents pays, parmi lesquels l’Institut Kaiser Wilhelm d’anthropologie, hérédité humaine et d’eugénisme, le Cold Spring Harbour Carnegie Institution for Experimental Evolution, l’Eugenics Record Office.

Une grande partie de l’argent venait de la fondation Rockefeller, qui après la 1ère guerre a aussi financé la psychiatrie génétique en Allemagne, et la création du Kaiser Wilhelm Institute for Psychiatry à Munich (ex Institut Kraepelin[16]) dont on parlera dans le prochain article sur l’eugénisme version Allemande.

Dès 1913 le Mental Deficiency Act a séparé les handicapés mentaux de la société pour qu’ils n’aient pas d’enfants dans le cadre d’une idéologie eugéniste revendiquée au Parlement. Ce texte a été en vigueur durant une quarantaine d’années.

Concours de la famille eugénique dans le Kansas

Le fondateur du Tavistock, Cyril Blunt, avait travaillé pour la ville de Londres en tant qu’eugéniste / psychologue afin d’établir des tests de QI pour identifier les écoliers moins « intelligents » d’après ses critères basés sur un « ordre social » très hiérarchisé avec l’aristocratie anglaise et les riches tout en haut.

Un test a donc été imposé aux enfants de 11 ans en vue de les répartir dans des écoles de niveaux différents, en fonction du rôle social attendu des enfants.

Entre les deux guerres, l’eugénisme s’est répandu comme une traînée de poudre dans la société anglaise. Bien au-delà de la frange d’extrême-droite de l’aristocratie. Les eugénistes étaient présents dans l’éducation, dans la pédiatrie, dans les politiques familiales pour encourager les femmes de la classe moyenne à avoir plus d’enfants que les pauvres en les incitant par des aides financières tout en pénalisant les pauvres[17] en taxant fortement –comme c’est toujours le cas- les célibataires et couples sans enfants, dans la « médecine » ou assimilé, dans l’économie, matière conçue et standardisée par les anglais…

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En 1938, l’ « Euthanasia Society of America » a été créée pour défendre les vues eugénistes sur l’élimination des « indésirables » et réclamer la légalisation de ce procédé, d’abord évidemment pour des motifs médicaux (fin de vie, bébés mal-formés…).

Le psychiatre Juif Allemand Franz Kallmann a émigré aux USA en 1936. Il y a créé en 1948 l’American Society of Human Genetics qui a lancé plus tard le « Human Genome Project ». Kallmann a aussi été nommé à la tête de l’Institut Psychiatrique de l’État de New York, rattaché à l’université de Columbia qui était un des centres principaux des expériences MK Ultra.

Le directeur de l’Institut psychiatrique de New-York était le Dr Nolan D.C Lewis, élève de Freud et franc-maçon qui a travaillé avec la fondation Rockefeller pour promouvoir la « psychiatrie génétique » en 1934. Il a contribué avec Ewen Cameron et John Rawlings Rees à l’expertise psychiatrique de Rudolf Hess. Lewis utilisait aussi des drogues, notamment la mescaline, sur ses cobayes / patients.

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Les eugénistes étaient dangereux, car ils considéraient notamment, comme jupicrétin et ses amis, que les pauvres sont la cause de la totalité de leurs maux et même de ceux des classes supérieures. Greta Jones explique par exemple dans « Eugenics ans social policy between the wars » que « la mortalité infantile élevée et le taux de maladies parmi les enfants de la classe ouvrière était dû à la négligence et à l’ignorance –résultat d’une faiblesse  d’esprit héréditaire. Ainsi ce ne sont pas les salaires ouvriers qui sont insuffisants, mais le standard des soins maternels ». Il était même question d’ « inefficience maternelle ».

C’est tellement pratique, et on comprend pourquoi les milieux industriels et d’affaires étaient si intéressés par ce genre de théories. « En outre, une grande partie du retard de croissance, du rachitisme et d’autres les maladies de l’enfance parmi les segments de la classe ouvrière étaient dus, ont-ils suggéré, au fait que les types physiques pauvres gravitaient inévitablement dans la couche sociale inférieure« , ajoute Greta Jones. Rappelons qu’à l’époque les eugénistes étaient considérés comme des « scientifiques » puisqu’on n’avait pas encore mis leurs théories en application à fond comme l’ont fait les Nazis.

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En effet pour les eugénistes, le chômage, le crime et tous les maux de la société sont dus à la condition héréditaire des classes ouvrières ou carrément pauvres. Ils parlaient beaucoup de « groupe à problèmes sociaux » à cette époque, terme repris dans le rapport Wood de 1929 sur la déficience mentale et qui a renforcé la pression pour la stérilisation des handicapés mentaux.

Des articles étaient publiés jusque dans la si fameux British Medical Journal pour appeler à appliquer cette « solution » et à l’époque les braves citoyens de la classe moyenne craignaient vraiment une épidémie de pauvres complètement débiles qui menacerait toute la société.

En 1921, après le 2e congrès international eugéniste, l’American Eugenics Society (appelée aussi « Society for Biodemography and Social Biology ») a été créée pour pousser à la régulation raciale et la santé version eugénistes. Averell Harriman, grand patron de presse US très à droite pour ne pas dire carrément fasciste et fondateur du Time était à son conseil d’administration. Grâce à d’importants subsides de « philanthropes », la société s’est donnée à fond dans la propagande pour le contrôle des naissances.

Le terrain aux Etats-Unis était très propice pour les théories eugénistes, et des structures ont été créés dès la fin du XIXe, comme le laboratoire privé de Cold Spring Harbor pour la recherche en génétique et biologie, qui a abrité les travaux de Darwin notamment.

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Ce labo fondé en 1890 et dirigé par Charles Davenport[18], où l’on cherchait à identifier les traits génétiques parfaits dans les familles américaines et à populariser l’idéologie eugéniste, existe toujours. Il a abrité de 1910 à 1939 l’Eugenics Record Office (ERO) qui avait pour objectif d’étudier le comportement humain dans une perspective eugéniste.

Davenport a recruté pour diriger l’ERO un certain Harry H. Laughlin, spécialiste d’agriculture qui voulait sélectionner les humains comme les graines qui est devenu un des meneurs du mouvement eugéniste aux USA. Ce raciste et propagandiste forcené de l’eugénisme dont les travaux à l’ERO ont été financés par John D. Rockefeller dans les années 1910, a mené des enquêtes aussi nombreuses qu’hasardeuses dans ce sens.

Président de l’American Eugenics Society de 1927 à 1929, Laughlin était un militant de la stérilisation qui a défini les critères des personnes à stériliser appelées « socialement inaptes ». Ces critères ont servi à concevoir les lois de stérilisation ou permettant la stérilisation qui se sont propagées dans la moitié des États Américains entre 1907 (Indiana) et 1921.

Les cibles des stérilisations forcées et les procédures variaient selon les États, mais les « médecins » se couvraient toujours par une décision collégiale et en général les cibles étaient les natifs Américains, les malades mentaux, les délinquants, parfois les Noirs, les épileptiques, les aveugles, les sourds, même gens atteints de tuberculose ou syphilis, les « difformes » ou les « individus à charge » comme les orphelins, les sans-domicile etc.

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Hitler s’est directement inspiré des lois inspirées par Laughlin aux Etats-Unis pour sa loi de 1933 imposant la stérilisation massive des handicapés, et aussi pour son délire de gouvernement mondial. Laughlin a même été récompensé en 1936 par l’université d’Heidelberg pour la pertinence de ses travaux sur la « science du nettoyage racial ». Autre marotte de Laughlin : l’internationalisme et la création d’un gouvernement mondial eugéniste.

Les eugénistes se servaient de la « philanthropie » comme un moyen d’utiliser l’hygiène, l’éduction, l’environnement, pour la préservation de la race comme l’explique un texte du début du XXe siècle, « The Groundwork of Eugenics » de Karl Pearson.

L’eugénisme était aussi répandu en Suède où la loi sur la stérilisation de 1934 est passée comme une lettre à la poste, en France où une expérience a été menée près de Strasbourg à partir de 1924 avec de vraies familles[19], aux Etats-Unis à travers la Société Eugéniste et le développement du Planning Familial[20], en Allemagne Nazie bien-sûr où l’école de Francfort a repris les travaux en la matière…

De fait, Greta Jones souligne :

« Il y a des liens entre l’eugénisme et la philosophie du néo libéralisme et les héritiers de cette tradition peuvent trouver une compatibilité entre l’eugénisme et leurs vues sociales. C’était une déduction logique de leurs principes. Le néo-libéralisme a redéfini la citoyenneté non comme étant simplement un droit politique mais comme un idéal moral, social et même esthétique ».

La Fabian Society

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La société fabienne était officiellement de tendance socialiste et constituait le think-thank du parti travailliste, tout en intégrant totalement les vues eugénistes d’une société de castes. Elle a été créée en 1884 et avait pour ambition « la reconstruction de la société en accord avec les plus hautes perspectives morales » tout en critiquant les dérives du capitalisme ainsi que les mouvements de gauche. C’était le début du « socialisme », mené par des bourgeois dont l’objectif premier était de détourner les classes laborieuses de toute velléité révolutionnaire.

[Voir aussi : Guy Boulianne — « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués »]

Sidney Webb qui l’a présidée à la fin du XIXe était un ponte du mouvement socialiste et membre de la Société Eugéniste anglaise dès sa création. En 1904 Webb est devenu président du comité technique de l’Education, en charge de gérer l’enseignement secondaire et supérieur.

Pour les membres de la Fabian Society, l’Etat devait intervenir plus fortement au niveau social pour « améliorer » la société à travers l’éducation, la santé, les aides sociales, les lois du travail, et le repérage des enfants qui deviendraient des adultes problématiques. Tout cela devait être utilisé comme autant d’instruments de régulation des tensions sociales.

Woolf analyse International government

Les « Fabiens » comme ils s’appelaient défendaient aussi un « gouvernement mondial ». Léonard Woolf (membre du parti travailliste, écrivain et mari de Virginia Woolf) qui avait rejoint la Fabian Society en 1913, a publié en 1916 un bouquin intitulé « International government » dans lequel il appelle à la mise en place d’un gouvernement mondial, un pouvoir supranational, cela bien évidemment au nom de la « paix », cet argument qui a servi à construire l’Europe du business et de la finance.

Les « écrivains » HG Wells ou George Bernard Shaw appartenaient à la Fabian Society, quant à Georges Orwell et Huxley ils gravitaient a minima dans son orbite. Le livre d’Huxley « Le Meilleur des mondes » comme 1984 d’Orwell ne sont pas de la science-fiction mais des programmes, des essais dans le cadre de leurs échanges sur le monde dont ils rêvaient.

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Huxley était un eugéniste revendiqué, il était pour le « contrôle des naissances » et même pour l’amélioration de l’humain par les moyens disponibles (donc le début du transhumanisme) mais il trouvait que ça ne suffisait pas pour assurer un réel contrôle social. C’était aussi un grand ami d’un des plus éminents psychiatres impliqués dans le programme MK-Ultra, Louis Jolyon West[21].

Wells quant à lui était évidemment raciste, voulait une société mondiale et prônait un « darwinisme social ». Il se félicitait de l’arrivée des médias de masse, en premier lieu la télé mais aussi les groupes de presse d’envergure mondiale, qui ouvraient de nouvelles perspectives en matière de stratégie politique. Il est devenu membre de la société eugéniste dès sa création en 1907 mais était plus pragmatique que Galton.

« Ses vues eugénistes paraissent cependant une transposition au niveau mondial des thèses des Webb, encore qu’il ait toujours insisté sur le fait qu’il parlait d’un état futur qui lui n’était pas encore réalisable aujourd’hui « , écrit Daniel Becquemont dans « Eugénisme et socialisme en Grande-Bretagne. 1890-1900 ».

Quand Galton a exposé à la Société de sociologie son idée de sélectionner les meilleurs de la société en les poussant à se reproduire, Wells lui a rétorqué que « C’est en recourant à la stérilisation d’éléments déficients de la société et non à la sélection des meilleurs qu’il sera possible d’améliorer la race humaine ».

Wells était le tuteur d’Huxley à Oxford, tout en étant responsable des renseignements anglais durant la Première Guerre mondiale, et a initié son élève au culte des Enfants du Soleil, un groupe de l’élite anglaise qui faisait des orgies « dionysiaques ». En 1937, Huxley a été diffuser sa vision du monde à Hollywood où il a travaillé sur des scénarios pour MGM, Warner Brothers er Walt Disney. Dans les années 50 depuis la Californie, il a aussi étudié les effets des drogues, notamment la mescaline, sur le psychisme.

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En Californie, Huxley a été un meneur de cette « contre-culture » développée par la CIA pour capter la jeunesse et la conditionner à coups de LSD et de groupes de rockers drogués. La bande de Charles Manson était d’ailleurs un parfait exemple de ces groupes de hippies borderline qui peuplaient la Californie à l’époque.

De 1960 à 1962 Huxley a contribué avec Timothy Leary et d’autres à une série d’expériences appelées « Harvard Psilocybin Project » sur les effets psychédéliques du LSD et de la mescaline notamment. C’est le Centre pour la recherche sur la personnalité d’Harvard qui hébergeait ces travaux, interrompus après le licenciement de Richard Alpert, qui co-dirigeait les travaux avec Leary.

Quant à Huxley qui était lui aussi membre de la Société Eugénique anglaise, son père « médecin » était déjà surnommé « le bulldog de Darwin » -et de ses théories de l’évolution et de la sélection naturelle. Son frère Julian, biologiste, est passé par l’Allemagne et les Etats-Unis au début des années 1910 avant de revenir en Angleterre pour enseigner notamment à Oxford, puis de travailler avec HG Wells sur le bouquin « La Science de la Vie ».

julian huxley

Il était favorable à la stérilisation des inférieurs, ce qui ne l’empêchait pas de passer pour un « humaniste ». Cet internationaliste a d’ailleurs été à la manœuvre dans la création de l’UNESCO dont il a été le premier directeur général, en 1946.

Parmi les membres de la Fabian Society, il faut aussi citer Annie Besant, disciple de Blavatski et militante de la théosophie, dont va reparler dans le prochain épisode, ou encore William Clarke qui a édité les textes de l’occultiste et fondateur de la république Italienne Giuseppe Mazzini.

Le mouvement dit « comportementaliste » a repris de la vigueur grâce à la Fabian Society qui a permis de mieux diffuser ce concept dans les milieux politiques et académiques puis dans la société. De nombreuses institutions ont une filiation avec l’idéologie de la Fabian Society, comme la London School of Economics qui diffuse la pensée néo libérale.


Pour terminer cette première prtie sur l’eugénisme, il faut quand-même dire que cette idéologie revient au pas de charge, à mesure qu’avancent les technologies de sélection des embryons. La micronie a même été beaucoup plus loin, en autorisant l’ « avortement » jusqu’au dernier jour de grossesse pour simples raisons « psycho-sociales ». Décidée par qui ? Sur quels critères ?

« En 1998, Jeremy Rifkin, qui postule que « les techniques du génie génétique [genetic engineering technologies] sont, par nature, des outils eugéniques », considère ainsi que « la cartographie du génome humain, les progrès croissants des tests de dépistage des maladies génétiques, les nouvelles techniques de reproduction et les nouvelles méthodes de manipulation du génome humain (…), toutes ces innovations jettent les fondations technologiques d’une civilisation eugénique mercantile », rappelle Pierre-André Taguieff.

[Voir aussi :
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme]

Notes

[1] Selon David Livingston dans « Tanshumanism : the history of a dangerous idea », l’oncle du grand-père de Carl Jung, Johann Sigmund Jung, était membre des illuminés de Bavière. Son grand-père était franc-maçon, et un autre de ses ancêtres était rosicrucien. Jung a collaboré avec la CIA.

[2] Ce qui a débouché sur des pseudos tests d’ « intelligence » et de « QI ».

[3] Bedford, Hastings Russell aussi appelé « marquis de Tavistock », a créé le parti fasciste anglais, le British Peopole’s Party, en 1939. Cela, avec l’appui actif d’un autre fasciste devenu nazi, John Beckett. Il était aussi proche pendant la guerre de Barry Domvile, fondateur de The Link, une organisation dédiée au rapprochement anglo – allemand. C’est Hastings que Rudolf Hess cherchait à rencontrer lors de son escapade en Ecosse en 1941. Hess a probablement été aidé par le MI6 pour partir d’Allemagne, ainsi que par Aleister Crowley, son ami Ian Flemming et le duc d’Hamilton qui était son contact en Franc-Maçonnerie.

[4] Les International Eugenics Congress ont été mis en place par l’Eugenics Education Society, ou « Institut Galton » (Galton est décédé en 1911). Churchill est venu à la conférence de 1912 à Londres avec le diplomate lord Balfour (qui a mis un bazar sans nom au Moyen-Orient). Le troisième et dernier congrès a eu lieu en 1932 à New-York.

[5] Le Bon était une sorte d’intellectuel très proche des milieux politique, qui avait notamment organisé des déjeuners sur le mode des dîners du Siècle où traînaient par exemple Aristide Briand ou Raymond Poincarré, ainsi que des artistes. Ses travaux sur le déterminisme apparemment assez hasardeux ont malgré tout lancé la « psychologie sociale » en France.

[6] Les ondes ont été utilisées par Thatcher contre le mouvement de protestation de femmes pour la paix à Greenham Common, une base militaire. Beaucoup de militantes ont eu des cancers. Elles ont aussi été utilisées dans les quartiers de mineurs pour els rendra apathiques et qu’ils cessent les grèves et toute contestation sociale. Des ondes ELF (ultra basse fréquence) étaient diffusées par les antennes télé et téléphone.

[7] A l’époque toute réticence face au discours de dégraissage permanent était considéré comme une « résistance au changement » et signait la mort du salarié dans l’entreprise car il n’avait pas assez de « capacités d’adaptation ».

[8] Cf. « Kurt Lewin at the Tavistock Institute » de Jean E. Neumann, 2005.

[9] Cf. « Fifty Years of the Tavistock Clinic (Psychology Revivals) » de H.V. Dicks

[10] On ne connait toujours pas exactement les raisons de ce voyage hasardeux. Ce fidèle d’Hitler était le numéro 3 du parti derrière Hitler et Goering, et avait rejoint le NSDAP dès 1920. Il a atterri dans un champ en Ecosse. Apparemment il avait pour objectif de rencontrer le duc d’Hamilton qui était venu aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936 et avait rencontré les principaux dignitaires nazis, pour préparer une proposition de paix.

[11] Cf. « Transhumanism: The History of a Dangerous Idea » de David Livingstone.

[12] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[13] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[14] Créé en 1907, le Francis Galton Laboratory for National Eugenics était alors le principal centre anglais de recherches sur les questions d’eugénisme.

[15] Par exemple en 1869 Galton publie « Hereditary Genius, an inquiry into its laws and consequences », une enquête sur 300 familles d’hommes réputés : « Galton constate ainsi que 31 % des hommes éminents avaient eux-mêmes un père éminent et que 38 % ont un fils éminent. La conclusion qu’il tire de cette étude statistique est qu’il existe une loi de distribution des capacités dans les familles, c’est-à-dire que plus la parenté est proche, plus la proportion de génies est élevée ». Il a persévéré dans ses travaux pour déterminer la part d’inné et d’acquis sans jamais y parvenir.

[16] La création de l’Institut Kraepelin a été soutenue par James Loeb (famille Kuhn-Loeb) le beau-frère de Paul Warburg, et Gutav Krupp von Bohlen und Hallbach, leader de la famille Krupp. Nommé d’après Emil Kraepelin (1856-1926) qui est considéré comme le fondateur de la psychiatrie moderne, de la psychopharmacologie et de la psychiatrie génétique.

[17] Cf. « Eugenics ans social policy between the wars » de Greta Jones, Ulster Polytechnics.

[18] Diplômé d’Harvard où il a enseigné avant d’arriver à l’Université de Chicago. Davenport a ensuite persuadé l’épouse Harriman et John Harvey Kellogg puis la Carnegie Institution de Washington (appartenant à l’industriel Andrew Carnegie) de financer un labo pour « l’Etude expérimentale de l’évolution » à Cold Spring Harbor. C’est aussi lui qui a dirigé l’Eugenics Record Project de sa création en 1910 jusqu’à sa retraite en 1934.Davenport était pour le contrôle des naissances pour améliorer l’hérédité de toute la société.

[19] Un industriel local, Léon Ungemach a créé un quartier pavillonnaire idéal dans lequel il a sélectionné des familles idéales comme on jouerait aux poupées, via des annonces pourtant très claires sur lesquelles on pouvait lire que « Les jardins Ungemach augmentent dans la société de demain le nombre des éléments précieux et contribuent à guider l’évolution humaine vers une ascension plus rapide ». Sur le bail, les résidents signaient aussi pour avoir au moins 3 enfants et pour partir quand le dernier aurait 21 ans, sous peine d’expulsion. Ce parc à bétail humain volontaire a été créé avec l’aide d’une caution « scientifique », Adolphe Pinard, un des pionniers de la puériculture (si si !) qu’il définit comme « la science qui a pour but la recherche des connaissances relatives à la reproduction, à la conservation et l’amélioration de l’espèce humaine ».

[20] Margaret Sanger a lancé le concept de contrôle des naissances dans les année 1910 selon le slogan « Plus d’enfants chez les plus capables, moins d’enfants chez les inaptes », avec notamment la contraception, l’avortement et la stérilisation, qu’elle destinait aux populations qu’il fallait réduire telles que les Noirs, les pauvres et les handicapés mentaux. En 1921 elle a créé l’American Birth Control League devenue ensuite le Planning Familial pour implémenter son idée d’améliorer la race humaine. Dans « The Pivot of Civilization », elle écrit : « Les déficiences mentales constituent une menace permanente pour la race humaine. (…) De plus, lorsque nous réalisons que chaque déficient mental [feeble-minded person] est une source potentielle d’une progéniture atteinte de tares [defect], nous optons pour une politique de stérilisation immédiate pour être sûr que la maternité soit absolument interdite aux déficients mentaux » (cf. Pierre-André Taguieff dans la revue Raisons politiques 2007/2 n° 26)

[21] West était un grand adepte des drogues et de l’hypnose pour manipuler l’humain.




Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

[Source : Sott.net]

Par Ryan Matters — NewBraveWorld.org

Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l’auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n’auraient pas déjà fait l’objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu’il articule tous ces aspects d’une manière qui donne à voir l’image de l’agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l’être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l’auteur connecte les points.

Bonne lecture.

Le déploiement mondial des [soi-disant – NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d’un programme bien plus vaste qui englobe l’eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d’institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.

En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l’ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d’utilisation de l’ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l’article indique que :

« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l’ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l’ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l’administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l’utilisation de l’ARN comme médicament. »

L’un des chercheurs du Salk Institute cités dans l’article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses – NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream – NdT] pour avoir attiré l’attention sur les dangers possibles des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu’il n’existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d’ARNm que l’homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu’il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

[Voir aussi :
Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »]

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l’ARN dans les cellules humaines » à l’aide d’un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l’American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd’hui une participation dans le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s’il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l’ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s’exprimer sur les dangers des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n’est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l’industrie pharmaceutique. Se pencher sur l’institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s’avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d’après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd’hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d’éradiquer la polio, à l’époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l’eugénisme repose sur l’idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l’époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l’eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l’accouplement sélectif, l’insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l’euthanasie comme constituant des moyens importants d’éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l’État de l’Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l’État de l’Indiana :

« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l’État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l’État. »

Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l’épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu’en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d’avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d’esprit ».

En fait, l’importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu’elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l’adopter, de sorte qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d’eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s’est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L’émergence de la March of the Dimes en tant qu’acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l’association précoce de l’organisation avec l’Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l’American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l’American Eugenics Society, qui était l’assistant de Basil O’Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l’Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu’il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l’American Eugenics Society, de l’American Birth Control League et de l’American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de

« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »

Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l’Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d’édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s’est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d’avorter l’enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial – NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l’étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l’organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l’histoire de l’organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d’être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir

« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l’égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l’héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »

Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l’entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »

Note du traducteur : Ce qui veut dire qu’il est nécessaire que le nombre des naissances d’individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l’expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».

Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l’euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d’autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d’euthanasie nazis et en faisaient l’éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l’épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l’idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l’épidémie, est douteux et probablement totalement faux.

Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années 1950. L’introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s’est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d’être appelées « polio » [poliomyélite – NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d’autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d’une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d’enquête sur l’utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L’article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l’exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l’époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l’American Journal of Digestive Diseases soulignant que :

« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l’étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »

Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l’environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.

Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l’environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l’Ère de l’autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l’utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l’arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu’il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n’est pas synonyme de corrélation, surtout si l’on tient compte du fait qu’au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d’administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l’immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d’administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l’objectif principal consiste à réduire le nombre d’individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l’OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu’aucune corrélation ne peut être faite entre l’épidémie de polio et l’« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l’efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels – NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s’en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l’étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d’ARN transfecté pour développer l’immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l’ADN recombinant de l’Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l’approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d’ARNm chez l’homme.

Bien que l’ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s’alarmer à la lecture d’extraits tels que celui-ci, tiré d’un article sur l’histoire de l’ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :

« Le concept : En apportant des modifications précises à l’ARNm synthétique et en l’injectant aux gens, n’importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »

Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d’ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 – NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l’organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien – NdT],

« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l’information génétique des personnes traitées. »

Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L’ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c’est l’auteur qui souligne) :

« Contrairement aux vaccins à base d’ADN, le risque d’incorporation de séquences d’ARN dans le génome de l’hôte est faible. »

L’utilisation du mot « faible » semble indiquer qu’il peut au moins exister un certain danger d’intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.

Dans l’étude d’« opinion d’expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :

« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l’ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L’ARNm, comme l’ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »

Il est intéressant de noter que c’est uniquement en raison d’une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L’environnement réglementaire européen des vaccins à base d’ARN », qui stipule que :

« La définition d’un médicament de thérapie génique telle qu’elle figure à l’annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l’homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient, ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »

Comme on s’en doute, le simple fait d’appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d’approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l’EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d’approuver plus facilement les thérapies géniques à base d’ARNm prévues pour un usage humain.

Note du traducteur : Ce jeu de langage n’est pas fortuit, loin s’en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.

Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu’on l’aborde dans le contexte des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n’ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d’une utilisation d’urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l’année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d’obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d’essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d’obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d’une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ansL’approbation d’un vaccin après six mois de données est l’une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu’ils sont donc en cours – NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d’envisager l’approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner »Moderna a annoncé que

« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d’entre eux ont reçu le vaccin ».

Ce qui signifie que leur groupe placebo n’existe plus et qu’ils n’ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d’un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l’efficacité des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l’essai d’une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d’entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l’approbation de la FDA pour leurs [soi-disant – NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d’approbation » qui accompagne l’homologation complète et la possibilité de l’utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l’approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l’agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d’évaluation et d’approbation de ces [soi-disant – NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l’utilisation de tests d’anticorps pour évaluer l’immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu’une personne ait reçu une injection bien que l’autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l’origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorpsLes implications de ce revirement sont que l’autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant – NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l’idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d’une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d’une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.

Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l’inné et l’adaptatif. C’est l’adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n’est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :

« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»

Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Quoiqu’il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

Bill Gates, Moderna et l’eugénisme 2.0

L’un des fabricants de [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l’intermédiaire du National Institute of Health, s’avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant – NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :

« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »

Ceci est plus qu’alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d’améliorer l’efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L’intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant – NdT] vaccin alors qu’elle n’a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu’elle existe – NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d’une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l’argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l’un des nombreux nouveaux milliardaires de l’industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l’éclair – NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d’un [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d’intérêts. L’administration chargée de l’Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d’actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d’actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d’avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l’un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l’ingénierie tissulaire et l’administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l’objet d’un scandale après la découverte d’un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu’Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l’eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l’époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d’Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d’autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l’ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l’une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu’administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu’il n’était pas déjà au courant des dons d’Epstein.

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d’initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s’est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d’administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d’un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années – NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s’est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu’à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l’université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l’électronique à l’échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d’administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d’administrer plusieurs doses d’un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l’encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d’un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l’objectif à terme du projet est d’injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d’autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d’autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l’œuvre d’un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l’engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d’un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l’éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l’environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :

« Prenant exemple et s’inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »

Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c’est qu’en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l’occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l’eugénisme, qui s’est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l’on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d’eau potable, d’un approvisionnement en nourriture, d’équipements d’assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d’observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l’utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d’un an, cinq d’entre elles étaient décédées.Au cours d’une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées.The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :

« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l’empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n’avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n’ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »

Note du traducteur : Plus exactement, c’est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l’origine de cette expérimentation.

« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[…]
C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[…] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s’être efforcé d’y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l’avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l’étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l’utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l’augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » – NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires – NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d’un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l’a qualifié de « meilleur investissement qu’il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n’oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s’intéresser, puisqu’elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d’intérêts qui sembleraient remettre en question l’idée qu’il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d’intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d’intérêts ? », dans laquelle il affirme que :

« À titre d’exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l’augmentation rapide de l’obésité et du diabète dans les pays en développement. »

Il ajoute :

« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. […] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d’administration en tant qu’investisseurs de la Fondation. »

Les médias font rarement état de ces conflits d’intérêts inquiétants, ce qui n’est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d’information.

Qualifier l’injection imprudente et généralisée des [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d’initiative imprégnée de pensée eugéniste n’aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d’institutions impliquées dans la course au [soi-disant – NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant – NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd’hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l’eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d’investigation Whitney Webbdans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».

Lorsqu’il s’agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l’impact généralisé qu’auront ces [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d’une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.

Note du traducteur : En effet,

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021Rien de tout cela n’est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d’interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu’ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu’une réduction du risque absolu, lequel était d’environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n’a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d’essai précédentes de ces produits n’ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l’infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant – NdT] vaccins, qui savaient qu’ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l’augmentation spectaculaire des injections antigrippales n’a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journala remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d’essai, ainsi que la [soi-disant – NdT] objectivité des « Comités d’adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d’employés de Pfizer.

Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d’évaluation potentiels sont soumis à un panel d’experts indépendants pour être évalués en aveugle.

Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d’experts concernant le danger et l’efficacité du [soi-disant – NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d’un procès contestant l’autorisation par l’Union européenne de l’utilisation du [soi-disant – NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l’efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que

« Pfizer, l’Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d’essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d’effets indésirables. »

Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. »

Mais bien sûr, rien de tout cela n’est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l’apparition du Sida en 1984. Le fait qu’un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :

« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l’on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s’il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu’il occupe […] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »

Un futur transhumaniste

En plus d’être une thérapie génique, une technologie associée à l’eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm

« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »

Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d’un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.

Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19

En effet, puisque les vaccinologues parlent d’ores et déjà de « variants », d’injections de rappels et de [soi-disant – NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d’un nouveau type de carte d’identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order – NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d’activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l’élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d’une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l’élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c’est l’empressement à obtenir l’autorisation d’utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d’un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine,en dépit du fait que le « Covid-19 », si l’on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant – NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d’incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez leshommes jeunes.

L’empressement à intégrer ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n’a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l’avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l’organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s’interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d’hydrogel injectable, sauf qu’elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de

« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »

Bien qu’incroyablement inquiétant, ce n’est qu’un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d’établir une domination sur l’esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l’aide d’« armes génétiques » capables de

« saper l’esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.

La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d’induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l’utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, qu’ils soient actuels ou futurs.

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l’eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L’objectif officiel du programme est de [c’est le traducteur qui souligne]

« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »

Actuellement, l’initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l’ARN », qui — sachant qu’ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d’ARN (thérapies géniques à base d’ARNm) — vise à (c’est l’auteur qui souligne)

« créer un réseau autonome d’installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d’une future pandémie. »

Notez la certitude apparente d’une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours – NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d’intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l’utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d’investigation Whitney Webb écrit que :

« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que

« l’intérêt réside dans les améliorations d’une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d’une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l’ensemble de la population afin de produire l’impact le plus large. »

L’un des objectifs de ce projet n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l’élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d’instaurer « l’avenir des interfaces cérébrales » afin d’« étendre nos capacités ». Lors d’une interview, Musk a déclaré :

« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d’une utilisation par des personnes qui n’ont pas de handicap. »

Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n’est pas la seule société de biotechnologie à s’être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l’homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l’humain augmenté » — la fusion de l’homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030publié en 2012, indique que :

« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l’utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n’existaient pas auparavant. »

Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que

« contrairement à d’autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »

L’asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d’ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d’autres à diriger la société.

Le « héros » de l’épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l’eugénisme, tout comme l’institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l’ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein – NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu’elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l’édition de gènes et autres technologies imprégnées d’idéaux eugénistes donne l’image d’un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici 2030. L’actuelle [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu’Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d’entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l’éveil dans la conscience collective de l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net




« Ils » trouvent ça normal — ou quand la folie des hommes devient « naturelle »

Par Alain Tortosa

Je n’en suis pas à mon premier écrit pour transmettre mon désarroi et mon incompréhension en regardant la majorité écrasante de mes compatriotes.

Nous sommes jeudi matin et j’arrive devant le collège pour la prérentrée.

Il est toujours intéressant de voir tous ces parents amener leurs enfants le premier jour puis disparaître pour le reste de l’année…
Peut-être veulent-ils s’assurer que leur enfant ne s’évade pas et rejoigne sagement la prison…

Me voici donc une fois de plus comme un extra-terrestre visitant une planète de toute évidence hostile à l’humanité.

Environ 98 % des parents portent la muselière (masque) et la portent parfaitement !

Le plus choquant et traumatisant pour moi est que leurs enfants aussi la portent parfaitement alors qu’ils pourraient très bien profiter de leurs derniers instants de « liberté respiratoire » pour goutter à l’oxygène qui va leur faire défaut dans les prochaines heures.

Mais non, ils sont là, ils vivent, semblent être heureux et semblent rire, même si je ne vois pas leur visage.

Le pire, encore que parler de « pire » dans notre monde délirant n’a plus de sens, tant nous baignons dans la folie…
Le pire, dis-je, est lorsque je les vois, adultes et enfants, se dire bonjour poing contre poing…

Je ne détecte en eux strictement aucune interrogation, questionnement et encore moins critique.

Un crétin psychopathe leur a dit qu’il ne fallait plus se serrer la main pour ne pas devenir des serial killers et ils ont adopté la mesure sans sourciller.

Aucun ne semble se dire que c’est sanitairement totalement ridicule… comme si le virus dont vous seriez porteur ne se déposait que sur la partie intérieure de vos doigts, mais pas sur l’extérieur.
Mais à quoi bon réfléchir ou se poser la moindre question si une autorité « au-delà de tout soupçon » et « vierge de conflits d’intérêt » le leur dit et répète.

Après tout, nous sommes face à un « fléau » qui rend la 1re guerre mondiale anodine face aux décès qui nous frappent dans nos familles.
Ce virus mortel qui « n’épargne personne » nous permet quand même de nous agglutiner par centaines devant un collège, mais… avec un masque et sans se serrer la main !

De toute évidence ils ne sont plus dans une obéissance à une autorité supérieure qui pourrait leur demander de mettre une plume dans le cul,(([1] Voir mon texte à ce sujet.)) plume dans le cul qu’ils mettraient sans sourciller…

Non, ils sont dans une posture na-tu-relle…

Balayé le serrage des mains ou la bise que nous pratiquons dans le sud, aussi bien pour les hommes que les femmes sans que cela mette en péril notre taux de testostérone.

C’est la nouvelle norme, le nouvel ordre, la nouvelle science et tout est pour le mieux dans les meilleurs des mondes possibles…

Je pensais avoir tout vu, comme tous les jours depuis des mois, mais qu’elle ne fut pas ma surprise à la sortie du collège.

Alors que j’étais en train de calculer le pourcentage d’enfants qui portaient mal le masque juste avant de passer la grille de la prison… de l’ordre de 20 %, chiffre qui pourrait réjouir, mais aussi désespérer en voyant que 80 % continuent à « bien » le porter alors qu’ils ne sont plus obligés par la dictature.

Voilà qu’un enfant sort avec son masque un tout petit peu baissé, juste au-dessous du nez et…
… au moment où il s’approche de sa mère, le premier réflexe de celle-ci fut non pas de lui demander comment s’était passé sa première journée de collège, mais de lui remettre bien au-dessus du nez.

Et c’est là que je me suis demandé ce que je foutais là, pourquoi je me battais pour la science, les droits de l’homme et pour l’humain ?

Qu’attendre de cette « humanité » qui n’a pas le moindre point commun avec moi et qui ne désire qu’une chose, être un esclave décérébré en « sécurité », mais surtout irresponsable…

Comme je l’écris depuis des mois, je suis ainsi de plus en plus pour un apartheid…

Que les paniqués restent et vivent chez eux, qu’ils portent des tenues antiradiations intégrales, qu’ils restent confinés, qu’ils se piquent tous les mois avec des substances expérimentales et qu’ils me laissent vivre, me rouler dans la boue, embrasser des inconnus, manger un repas à même le sol en Afrique et me foutent la paix…

J’en suis désolé, mais je ne peux plus être empathique avec ces zombis qui refusent catégoriquement d’ouvrir les yeux… et qui sont complices de l’enfer que nous vivons.

Merci

Alain Tortosa

4 septembre 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210904-ils-trouvent-ca-naturel.pdf




Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul !

Par Alain Tortosa

Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul ! L’heure n’est plus à la frilosité, mettons une plume dans le cul à nos enfants !

Dès septembre 2020 je suggérais que nous luttions efficacement comme le « Fléau » en nous mettant une plume dans le cul… Hélas, les autorités qui ont toujours une longueur de retard face à ce virus « diabolique », comme le disait si justement le professeur Delfraissy, ne prennent pas les bonnes décisions en temps et en heure.

Et cela se confirme avec cette explosion de tests effectués pour lutter contre le variant Delta, qui, selon les dernières données officielles du réseau sentinelle, se traduit par un taux d’incidence de 19 malades pour 100 000 habitants.

Rendez-vous compte que si nous avions 10 fois plus de cas, nous pourrions vivre une épidémie de Covid !

Ceci sans compter sur le fait que 2221 personnes sont comptabilisées en soin critique en France au 4 septembre (données geodes).

Nous sommes au bord de la saturation ! Les personnes positives au variant Delta, qu’elles soient en soin critique pour des raisons de Covid ou autres pathologies, occupent officiellement désormais un peu plus de 11 %, rendez-vous compte, 11 % des lits de soins critiques disponibles en France, c’est dire l’urgence de la situation.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de faire référence aux « excellents journalistes » de Libération qui ont eu une analyse extrêmement fine, intelligente et honnête de la situation. Ils nous ont brillamment expliqué que plus il y aura de vaccinés et plus, mathématiquement, il y aura de personnes vaccinées hospitalisées pour Covid… Et c’est logique, car plus il y a de personnes protégées et plus il y a d’hospitalisations de vaccinés pour Covid et d’autant plus que le vaccin est efficace à 90 %, non ?

Il faudrait vraiment être stupide et de mauvaise foi pour ne pas comprendre que plus on augmente le nombre de vaccinés, plus les non-vaccinés menacent les vaccinés dont le vaccin est efficace.

C’est ce que vit Israël, le vaccin est tellement « efficace », le nombre de vaccinés est tellement important que la proportion et le nombre absolu de vaccinés à l’hôpital ne fait que croître !

Je dois avouer humblement que je n’ai pas leur intelligence et je n’aurais pas eu l’idée lumineuse de me dire :

« Les gars, vous voyez bien que plus nous vaccinons et plus nous avons de malades, nous allons donc imposer une 3e dose ! »

Et là où ça touche au génie, c’est que c’est le même vaccin que pour les deux premières doses !

C’est comme si les spécialistes du vaccin contre la grippe annonçaient :

« Nous avons un nouveau variant qui arrive pour la prochaine saison de grippe, nous allons donc resservir le vaccin de l’année dernière, mais en augmentant les tarifs de 20 % pour frais d’adaptation que nous n’avons pas fait. »

Voilà je voulais donc profiter de mon texte pour remercier Libé qui nous éclaire chaque jour…

J’ai bien compris que si demain 100 % de la population était vaccinée, alors « nos hôpitaux seraient saturés de malades Covid protégés par un vaccin efficace à 90 % ».  Tous les spécialistes médiatiques et au-delà de tout soupçon de conflits d’intérêts et qui nous avaient vendu le vaccin comme le « retour à la vie normale » sont unanimement d’accord pour dire qu’il faut plus que jamais appliquer les gestes barrières et bien sûr porter le masque dont nous ne pouvons pas douter de « l’efficacité ».

Il suffit pour cela de regarder l’historique de l’obligation de port du masque en France pour constater que plus il a été obligatoire et plus les contaminations se sont mises à croître, preuve de « l’efficacité » dont nous ne pourrions pas douter !

Donc l’heure est grave mes amis ! Nous ne sommes plus là à rigoler ! Nous devons prendre le taureau par les cornes !

Certains d’entre-vous, naïfs, avaient souri, voire s’étaient moqué de moi, lorsque l’année dernière j’avais suggéré que l’on impose le port de la plume dans le cul pour faire reculer l’épidémie.

Ah ! vous rigolez moins maintenant que la situation est devenue d’autant plus catastrophique que la vaccination a massivement progressé !

Voici donc un rappel de mon texte de septembre 2020

Plusieurs études suggèrent qu’il pourrait y avoir une transmission fécale du Covid et même qu’elle serait possible par les flatulences… (voir sources).

Des études suggèrent que l’électricité statique pourrait jouer un rôle dans l’efficacité de filtration des virus (voir sources).

Nous savons tous que les plumes, lorsqu’elles sont agitées, génèrent de l’électricité statique… (voir sources).

« On estime qu’un être humain produit entre 10 et 25 flatulences, soit 0,5 à 1,5 litre de gaz par jour. Il s’agit d’une estimation moyenne »

Source allodocteur.

Je veux apporter ma pierre à l’édifice. Je veux participer à cette noble lutte contre ce virus qui ne tue que les personnes ayant des pathologies très graves ou à l’espérance de vie de quelques mois à qui l’on refuse tout traitement…

Je comprends bien qu’il serait ridicule de prendre des mesures pour protéger les personnes à risque et qu’il est totalement logique de faire porter le masque aux personnes en bonne santé et limiter au maximum leurs libertés, les injecter et tuer l’économie et les droits de l’homme…

Il faudrait être sacrément stupide pour imaginer une politique inverse…

Vous imaginez une politique dans laquelle :

  • Les personnes qui ne sont pas à risque sont invitées à faire circuler le virus, ne doivent surtout pas porter de masque, doivent vivre normalement et sauver l’économie et les droits de l’homme ?
  • Et dans le même temps, tester, isoler, protéger, faire des campagnes de prévention, soigner, les personnes à risque ?

RI-DI-CU-LE…

J’ai donc eu l’idée d’étudier d’un point de vue scientifique le dispositif suivant pour lutter contre cet odieux virus pour lequel, rappelons-le « il n’existe AUCUN traitement » (Si, si, les « vrais » experts le disent).

Certains internautes avaient d’instinct imaginé que la plume dans le cul pouvait être une solution et j’ai donc « creusé » l’idée d’un point de vue scientifique.

Je pense qu’il faudrait étudier puis imposer dès 6 ans la plume dans le cul avec, pour les plus de 11 ans, obligation en plus de la faire bouger afin de générer un maximum d’électricité statique.

Cette électricité statistique agirait selon le même principe que la filtration des masques qui ont des trous béants et attirerait donc les particules virales issues de nos flatulences, qui représentent plus d’un litre de gaz mortel par jour.

Il suffirait ensuite de jeter sa plume ou de la laver avec son linge de maison afin de la réutiliser.

À quoi bon porter un masque dans un lieu clos si dans le même temps nous répandons le virus par nos flatulences comme le suggèrent les études ?

Bien entendu il faudrait respecter un protocole strict lors du remplacement de la plume et la changer toutes les 4 heures.

Mais je pense comme certains médecins très « compétents » l’affirment pour le masque « même mal mis, même souillé, même ramassé dans une poubelle, le masque c’est mieux que rien » (ils n’ont pas écrit dans une poubelle, mais c’est l’esprit).

Donc même mal mise, même si on l’échange avec son voisin et qu’on la porte à la bouche, la plume dans le cul devrait, selon exactement la même logique, protéger !

Dans ces temps d’incertitude et de risque d’extinction totale de l’espèce humaine, face à cet odieux virus dons nous ne savons toujours RIEN (dixit les « experts »), je pense qu’il serait criminel de passer à côté d’une mesure qui pourrait sauver des millions de vie…

Ainsi j’apporterais ma contribution afin d’ajouter aux politiques généreuses mises en place par les experts. Experts au-delà de tout soupçon (sourire) et à l’intelligence supérieure (si,si) qui nous disent que nous sommes dans une nouvelle vague d’un virus au moins aussi mortel.

Mais ceux-ci sont plus malins que le virus !

Ils développent des trésors d’ingéniosité pour nous aider en nous disant :

  • Il a été « prouvé » que le virus s’attaque aux foules qui font la fête, mais pas dans un métro bondé.
  • De même il n’est pas capable de contaminer dans des manifestations uniquement si elles sont contre le racisme, mais c’est une catastrophe sur les plages en septembre après 20 h.
  • En Suède il est blasé, il y a de moins en moins de cas alors que presque personne ne porte de masque alors qu’en France il aime bien les compétitions « même avec un masque je vais les contaminer ».
  • Il circule fortement dans certaines rues françaises, mais pas d’autres où il s’arrête net à l’entrée.
  • Dans certains départements, c’est l’enfer, mais dans d’autres, limitrophes… rien…
  • Il a ses heures durant lesquelles il est dehors ou pas.
  • Il s’attaque à nous lorsque nous entrons dans un restaurant, mais cesse d’attaquer quand nous nous asseyons.
  • Il attaque les enfants assis dans une classe, mais pas au réfectoire.
  • Les enfants qui pratiquent la lutte pendant le sport (véridique) peuvent le faire sans masque, le virus n’aime pas la violence.
  • À Cagnes-sur-Mer par exemple si vous couriez le virus ne vous attrapait pas, mais dès que vous vous arrêtiez il vous sautait dessus (voir arrêté préfectoral). En revanche comme certains chiens il déteste les vélos et n’hésitera pas à vous attraper en vélo.
  • Il est beaucoup plus dangereux en septembre quand les touristes sont partis.
  • En région toulonnaise, en revanche, le virus déteste les moyens de transport individuels. En vélo, skate, trottinette, rollers,… vous ne craignez rien, le virus n’ose pas vous attaquer sauf si vous êtes dans un marché de plein air où là, la trottinette ne vous sera d’aucun secours et le virus sera impitoyable.
  • Dans certaines villes si vous fumez, grignotez en marchant, le virus vous épargnera, mais en revanche il sera impitoyable dans d’autres villes.
  • Dans certains endroits il est un peu sourd, vous devez chuchoter et ne surtout pas chanter si vous tenez à la vie. Bref, il est malin ce virus…

La plume dans le cul, ne serait pas LA solution, soyons raisonnables, mais serait un plus à ajouter aux gestes barrières dont nul ne peut douter qu’ils sont efficaces, à moins d’être un crétin complotiste.

Passer à côté d’un dispositif efficace « sans aucune contre-indication » (comme le masque) et qui ne pourrait QUE sauver des vies supplémentaires serait criminel, non ?

Non au coronavirus ! Oui à la plume dans le cul !

Rejoignez-moi dans la lutte contre le virus, militez pour la plume dans le cul.

Réclamons une étude randomisée sur l’efficacité de la plume dans le cul dans la population générale !

L’heure n’est plus à la rigolade, des experts nous disent qu’il faut siffler la fin de la récréation. Je suis d’accord avec eux.

Et entre nous, on va quand même pas faire des histoires pour une plume dans cul.. ce n’est pas si grave, on s’y fait très bien, c’est une question d’habitude.

Tout de suite les grands mots, « atteinte à ma liberté », « droits de l’homme », tout ça pour une simple petite plume dans le cul sans la moindre contre-indication… ridicule…

Je n’ai strictement aucun doute que si la mesure était bien expliquée et qu’il y avait le même « consensus » scientifique que sur le port du masque, les Français adhéreraient majoritairement à cette mesure qui ne relève que du bon sens !

Flyer pour la promotion de la plume dans le cul

Pour se protéger du virus, n’oublions pas le masque, les gestes barrières, mais SURTOUT la plume dans le cul.
Ludique, esthétique, efficace, la plume dans le cul nous protège du virus et comme pour le masque, sans la moindre contre-indication.

La plume dans le cul s’ajoute à l’ensemble des gestes barrières. Elle est un symbole fort de solidarité envers nos anciens qui n’ont plus la souplesse pour se la mettre.

La plume dans le cul existe en différentes couleurs pour être en harmonie avec ses différents habits, elle permet aussi d’afficher son émotion du jour.

Soyons solidaires organisons des distributions gratuites de plumes dans le cul pour aider les plus démunis.

« je pense aux autres, je suis solidaire, j’ai une plume dans le cul »

Mise en garde : Des irresponsables, complotistes, révisionnistes, néonazis, adorateurs de Satan, ou faisant du Yoga, font circuler de fausses informations sans fondement laissant entendre que la plume dans le cul ne protégerait pas et qu’elle pourrait entraîner certains effets secondaires.

Tout ceci n’est que fakenews, vous pouvez être rassurés, les mêmes experts qui ont étudié le port du masque et la sécurité des vaccins ont évalué l’efficacité de la plume dans le cul.

Merci.

Alain Tortosa.

PS Attention la plume dans le cul est un dispositif médical, demandez son avis à votre médecin. Tenir hors de portée des enfants de moins de 3 ans.

5 septembre 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210904-plume-dans-le-cul.pdf


Sources

J Med Virol 2020 Apr « Fecal transmission in COVID-19: A potential shedding route »

Acta Biomed 2020 Sep « Possible modes of transmission of Novel coronavirus SARS-CoV-2: a review » « Besides, some of the other possible modes of transmission are being explored by the researchers, with some studies suggesting the viral spread through fecal-oral, conjunctival secretions, flatulence (farts)… »

ACS Nano 2020 May « Aerosol Filtration Efficiency of Common Fabrics Used in Respiratory Cloth Masks » « We speculate that the enhanced performance of the hybrids is likely due to the combined effect of mechanical and electrostatic-based filtration. Cotton, the most widely used material for cloth masks… »

teslabel.be « Lorsqu’une plume est agitée dans l’air, elle se charge d’électricité statique, pourvu que des porteurs de charge soient présents dans l’air. »




Nos bourreaux ne se cachent même plus !

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

Je n’ai pas de mots assez forts pour dire ma colère et mon dégoût ! 

Toutes nos institutions sont prises en otages et vérolées ! Nous sommes cernés par ces menteurs corrompus que ce soit l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil d’État, le Conseil Constitutionnel ! Jamais la France n’aura connu une telle situation.

Une mafia qui mène à son terme une destruction totale de notre pays et de son peuple ! Plus aucune liberté, plus de soins, plus de possibilité de sortir de chez nous, de travailler, de bouger si nous n’acceptons pas cette injection qui à terme nous tuera ! Toutes nos lois, nos protections sont démolies, effacées. Ceux qui se sont battus pour nous, doivent se retourner dans leurs tombes !

Peuple de France lève toi !!! Ils ont décidé de mener à son terme ce projet immonde d’anéantissement. Ils sont déterminés à nous anéantir, à nous supprimer et ils ne reculeront pas !

https://ripostelaique.com/le-massacre-continue-20-595-deces-dans-lue-et-toujours-ce-silence.html

Un peu d’histoire pour comprendre qui sont ces dingues meurtriers

Les sociétés secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Prieuré de SionSkull and Bones, le Bohemian Club et bien d’autres, ont été infiltrées par des gens malveillants, dangereux et démoniaques, certaines de ces sociétés secrètes ont aussi été fondées dans le seul but d’amener le monde à un gouvernement mondial.

Si vous pensez que la franc-maçonnerie est « clean » et qu’elle n’a rien à voir avec cet agenda occulte, vous vous trompez. La franc-maçonnerie est responsable de cet agenda ésotérique. Les francs-maçons sont en grande majorité ignorants et incapables de penser par eux-mêmes, ils sont manipulés par un groupe occulte supérieur qui réside dans la franc-maçonnerie sans que les maçons des loges bleues n’en sachent quoi que se soit. Ils sont même convaincus qu’il n’existe pas de chef dans la franc-maçonnerie et que tous les complots sont des mythes.

Leur Nouvel Ordre Mondial n’est pas seulement une guerre physique, c’est une guerre psychique, c’est ce que David Icke appelle « un coup d’état sur l’âme humaine« , ces attentats terroristes sont réels…

Bien sur, ils existent dans le monde en trois dimensions (3D), mais ils existent aussi pour vous choquer spirituellement, pour arriver à l’état où vous pouvez regarder ces atrocités, guerres, génocides, problèmes mondiaux tout en mangeant à 8h du soir, avec votre famille devant la télévision.

Le Nouvel Ordre Mondial a pour but de lobotomiser la population mondiale, de l’exploiter, et de traiter n’importe quel individu comme un vulgaire animal, ce qui est déjà le cas.

Il s’agit de centraliser les populations dans les villes, d’où le but de détruire l’environnement, c’est aussi à propos de vous faire manger des OGMs, de se brosser les dents avec du dentifrice au fluor et de boire de l’eau contenant de la fluorine.

C’est simplement de l’esclavage moderne déguisé en démocratie. Et bien sur, pour arriver à un tel niveau, il faut des guerres, des crimes, de la violence, du chaos et du désordre.

Pourquoi est-ce que les informations en France, aux USA et partout dans le monde de l’Ouest sont si déprimantes, négatives, toujours axées sur les guerres ? C’est pour que vous soyez mentalement effrayé, c’est simplement pour contrôler votre esprit, parce que la vraie réalité n’existe pas dans ce monde que vous voyez en 3D ! La réalité existe dans votre esprit, et ils comptent sur vous pour ne pas utiliser votre esprit et votre potentiel d’intelligence. Ils attendent de vous que vous écoutiez tout ce qu’ils ont à vous dire via les merdias mainstream, et ils espèrent que vous allez gober tous ces mensonges, ce qui est le plus souvent le cas.

C’est aussi l’installation de milliers de caméras de surveillance partout dans vos villes. C’est aussi l’instauration de la loi martiale partout sur la planète pour soi-disant « se protéger contre le terrorisme« , ou n’importe quelle autre force utilisée et manipulée afin d’avoir des guerres, des menaces et des conflits sans fin !

C’est aussi pouvoir vous embaucher et vous renvoyer sans préavis, c’est aussi vous faire payer très cher pour obtenir un appartement ou un logement médiocre dans une banlieue médiocre. C’est instaurer des taxes sur tout et n’importe quoi, même sur l’eau, la nourriture, et même notre protection…

C’est surtout vous contrôler vous et votre âme.

Mais qui sont-ils et d’où viennent-ils ? Pyramide Illuminatis, franc maçonne !

Gouvernement dans le gouvernement qui n’a qu’un seul but, amener le monde à un gouvernement mondial.

Les Illuminati sont une « élite dans l’élite« .

C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des « Maîtres du Monde« . La plupart de ces organisations ont un siège social et des membres dont on connaît l’identité. Mais les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s’agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor, ou les Rockefeller, notamment l’incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR (Council of Foreign Relations).

Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. (J’ai eu l’occasion de corriger des textes anciens de Weishaupt,  il y a trois ans en tant que correctrice et croyez-moi je sais de quoi je parle !!)

À cette époque, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient la légalisation de l’usure, le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des États-Unis auraient été des résultats de leur stratégie.

Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

Leur création marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir à une domination totale sur le monde.

La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Contrairement aux autres organisations des Maitres du Monde, les Illuminati ne sont pas un simple « club de réflexion » ou « réseau d’influence« . Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est ésotérique ou « occulte ».

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l’humanité. Les Illuminati sont la forme moderne d’une société secrète très ancienne, la « Fraternité du Serpent » (ou « Confrérie du Serpent« ), dont l’origine remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.

La civilisation qui domine le monde aujourd’hui est en effet la prolongation de la civilisation Sumérienne, qui a inventé tout ce qui caractérise la civilisation occidentale : l’administration d’état, l’argent, le commerce, les taxes et les impôts, l’esclavage, les armées organisées, et une expansion fondée sur des guerres perpétuelles et l’asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation à détruire son environnement. Pratiquant une agriculture intensive après avoir inventé l’irrigation, les civilisations Sumérienne et Babylonienne ont transformé des prairies verdoyantes en un désert qui est aujourd’hui l’Irak.

Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s’est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les « écoles de mystère » égyptiennes et grecques, l’église chrétienne de Rome (utilisée comme « véhicule » par la « Fraternité » pour s’implanter en Europe), les Mérovingiens (d’où le personnage « Mérovingien » dans le film « Matrix »), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications – Franc- Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jérusalem, Ordre de Malte…), et enfin les « Illuminati » et les organisations qui y sont rattachées.

Le symbole des Illuminati est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l’Elite) est éclairé par l’oeil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).

Changer notre monde commence ici. (Jacques Desrosiers)   

Le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M ou N.W.O pour New World Order en anglais) est officiellement un terme qui est employé pour parler de la mondialisation, mais pas la mondialisation économique du style OMC, pas la mondialisation de la sécurité mondiale du genre ONU, ou la mondialisation de la force genre OTAN, mais bien une mondialisation politique, religieuse, avec des caractères économiques et culturels, c’est ça le Nouvel Ordre Mondial.

Mais c’est aussi un plan, que les sociétés secrètes tentent de mettre en application depuis des millénaires (depuis Babylone).

Le Nouvel Ordre Mondial est la mise en place d’une dictature internationale de type communiste déguisée sous le mot « humanisme« , où les peuples seront sommés d’obéir à la loi internationale de force sous peine d’être nettoyés.

Pour ce faire, ils ont : La « solution finale »

Une guerre d’élimination contre la population mondiale a donc commencé.

Les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, mais en leur supprimant progressivement l’accès à l’espace vital, à la nourriture, à la santé, à l’éducation, à l’information, et à l’énergie.

L’envolée des prix alimentaires, la suppression ou la réduction de l’allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d’éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l’électricité, sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens. Ils appellent cela leur arme silencieuse : un type d’arme biologique. Elle attaque la vitalité, les options, et la mobilité des individus d’une société, en connaissant, comprenant, manipulant, et attaquant leurs sources d’énergie sociales et naturelles, ainsi que leur forces et faiblesses physiques, mentales, et émotionnelles.

Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.

Le 5 mai 2009, un groupe de milliardaires s’était réuni dans la maison de Sir Paul Nurse, un biochimiste britannique Prix Nobel et Président de l’Université privée Rockefeller, à Manhattan.

Ils étaient invités par Warren Buffet et Bill Gates.

Les échanges de vues portaient sur la façon d’optimiser les dons de bienfaisance au cours d’une période de bouleversements financiers. Ultimement, 

« ils sont arrivés à un consensus selon lequel ils cautionneraient une stratégie où la croissance de la population serait taxée de potentielle menace environnementale, sociale et industrielle désastreuse… ils doivent être indépendants des agences gouvernementales, lesquelles sont incapables de contrer le désastre imminent [qu’ils] voient tous« .

Quelle est la philosophie qui sous-tend leurs engagements ?

Bien que des reportages sur de telles réunions ne puissent être vérifiés, les sources du journaliste d’investigation Daniel Estulin, ainsi que celles de Jim Tucker, traqueur vétéran du Groupe Bilderberg, ont fait preuve d’une extrême justesse par le passé.

Le journal Times du Royaume-Uni rapportait que ces

« éminents milliardaires se sont rencontrés en secret pour envisager la façon dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale [et qu’ils] avaient parlé de joindre leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement« . En outre, « on a alloué 15 minutes à chacun des milliardaires afin qu’ils présentent leur cause favorite. Pendant le dîner, ils ont discuté de la manière dont ils pourraient choisir une “cause ombrelle“ pouvant servir leurs intérêts. » Ils ont « convenu que la surpopulation était une priorité ».

Un des invités a déclaré qu’

« ils désiraient discuter de riche à riche sans craindre que ce qu’ils disent se retrouve dans les journaux, les dépeignant comme un gouvernement mondial de rechange« .

La population en excès est maintenant éliminée par des épidémies à répétition !!

Depuis quelques années ils ont décidé d’accélérer l’attaque. C’est là leur dernière carte : Covid19, élaboré et planifié depuis  déjà quelques années pour finir leur sale boulot !

Réduire cette population mondiale et contrôler la planète !

L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétrer de la sorte !!! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, à se battre pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.

Il s’agit là de leur fameuse guerre contre les peuples annoncée par Warren Buffet : Le milliardaire américain Warren Buffet a déclaré il y a quelques années, non sans humour, qu’il existait

« bel et bien une guerre des classes mais c’est ma classe, la classe des riches qui fait la guerre et c’est nous qui gagnons ».

Ils l’ont ont méticuleusement préparée et mise en œuvre pour nous éliminer et pour soumettre les survivants, leurs futurs esclaves.

Aux Armes citoyens !

La guerre est l’acte par lequel le peuple résiste à l’injustice au prix de son sang ! 

(Henri Lacordaire)

[Note de Joseph : Cependant, s’il s’agit bien d’une guerre, elle est avant tout d’essence spirituelle et doit se maintenir sur ce plan, car la faire descendre sur le plan physique ne ferait que satisfaire ces élites autoproclamées en accélérant la mise en œuvre de leur plan.]

Christine Deviers-Joncour
Source : MédiaZone


[Voir aussi :
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
La guerre du Bien contre le Mal
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…]




Qui Gouverne la France ?

[Source : zonefr.com via reseauinternational.net]

Par Jean Valmont-Decker

Si vous effectuez une simple recherche sur le Web, avec deux mots-clés : (Attali et PDF), vous vous retrouvez avec plusieurs dizaines de documents traitant de la politique, l’économie ou la géopolitique englobant, les organisations occultes, le mondialisme, le libéralisme, la finance… Un PDF (non signé) a attiré notre attention. Le titre « Qui Gouverne la France ? » est plutôt symptomatique de la cacophonie qui règne dans l’Hexagone depuis quelques décennies. Autrement dit, la France n’est plus un pays souverain, elle obéit à un pouvoir extérieur. Un panier de crabes décide pour le sort de 67 millions d’individus, une poignée d’un millier de personnes pille les richesses et asservit tout un peuple. Quant à leurs maîtres autoproclamés, ils manœuvrent depuis un moment pour instaurer un gouvernement mondial, présenté comme le résultat d’une « hyper-démocratie », sous le contrôle d’une oligarchie financière internationalisée.

Nous reproduisons, ci-dessous, l’intégralité du document :

Qui Gouverne la France ?

Qui vous gouverne ? Des énarques, certes, mais peu savent que tous ou presque sont membres de deux clubs sulfureux, le « Siècle » et la « French American Foundation », deux clubs parmi les plus discrets mais les plus influents de France.  Le Siècle est une filiale du club de BilderbergLa French American Foundation est de son côté une filiale du Council on Foreign Relations, dont le programme 2008-2013 est connu sous le nom de « Nouvel Ordre Mondial ». 

Le Siècle

Le club Le Siècle existe depuis 1945, il a été fondé par un franc-maçon, Georges Bérard-Quelin, mais seulement de 20 à 30% des membres sont actuellement connus comme étant francs-maçons. Il espérait rester anonyme, son existence a été révélée pour la première fois en 1977 par un article de l’Humanité. La liste de ses membres a été publiée contre sa volonté en 2011.

L’adhésion coûte 150€/an. Il y a 15 administrateurs et environ 800 membres, appelés « invités » ce qui leur permet de mentir effrontément en niant leur appartenance au club comme membres à part entière puisqu’ils y sont seulement « invités ». Seulement pour devenir « invité », il faut faire acte de candidature et être recruté par cooptation au sein du conseil d’administration, sur proposition d’un membre (invité) plus l’un des quinze administrateurs.

Le Siècle se réunit une fois par mois, dix fois par an, le dernier mercredi du mois, pour un souper au Crillon place de la Concorde, dans les luxueux salons de l’Automobile Club.

En 2011, un dîner a eu lieu le mercredi 25 avril entre les deux tours de la présidentielle, c’est là qu’il aurait été décidé que la présidence devait passer de Sarkozy à Hollande, ce qui expliquerait la petite phrase de Sarko sur son retour dans le civil et le peu de vitalité manifesté par l’état-major de l’UMP pour le soutenir à partir de ce jour-là.

Plusieurs des membres du Siècle sont, comme Valls et Jospin, également membres du club de Bilderberg. Ce sont ceux-là qui auraient fait passer le message qu’il était nécessaire de pousser Hollande à la présidence, un Hollande plus docile aux suggestions du Bilderberg que Sarkozy, trop « électron libre » et trop proche d’Angela Merkel.

Or, le Bilderberg ne veut pas d’une co-gestion franco-allemande de l’Europe, mais d’une co-gestion américano-européenne de monde occidental. Sur ce point il rejoint l’objectif de la French American Foundation.

Jospin, à la fois membre du Bilderberg et du Siècle, et qui avait déclaré ne plus vouloir faire de politique, fut si présent pendant la campagne présidentielle car il était là pour surveiller que les instructions du directoire du Bilderberg serait bien respectée par tous.

Le Siècle a aussi un objectif plus concret : placer le maximum de ses membres au gouvernement, peu importe qu’ils soient PS ou UMP. C’est la raison pour laquelle Sarkozy qui en est membre avait fait « l’ouverture » avec d’autres membres du club comme Attali.

Vous comprendrez mieux la collusion des énarques de tous bords politiques en voyant la liste des « invités » ci-dessous:

  • Président depuis janvier 2011 : Nicole Notat, l’ancienne syndicaliste CFDT ;
  • Vice-présidents : Olivier Duhamel, journaliste politologue qui écrit dans  Valeurs Actuelles (et le frère d’Alain) et Henry Loirette, président du musée du Louvre ;
  • Trésorier : Marc Tessier, ancien président de France Télévision
  • Secrétaire général : Étienne Lacour, directeur de la rédaction de la Société Générale de Presse.

Quelques « invités », membres du Siècle, sont issus de la finance et des affaires. Presque tous les Inspecteurs généraux des finances (énarques) en activité (114 sur 120 en 2009) appartiennent au Club…

Thierry Breton (ancien ministre des Finances) ; Alain Lamassoure (ancien ministre du Budget) ; Pascal Lamy (ancien inspecteur général des finances, directeur de l’Organisation Mondiale du Commerce) ; Alain Minc (ancien inspecteur général des finances, essayiste, président de SANEF) ; Christian Noyer (ancien directeur du Trésor, Gouverneur de la Banque de France) ; Dominique Strauss-Kahn (ancien directeur général du FMI, ex-Bilderberg) ; Jean-Claude Trichet (ancien directeur du Trésor, ancien Gouverneur de la Banque de France, ancien président de la Banque Centrale Européenne) ; Jacques Attali (conseiller d’État, président de PlaNet Finance) ; Claude Bébéar (ancien président d’AXA, président de l’Institut Montaigne) ; Antoine Bernheim (dirigeant associé de la banque Lazard) ; Daniel Bouton (ancien directeur du Budget, ancien président de la Société Générale) ; Jean-Yves Haberer (ancien PDG du Crédit Lyonnais) ; Michel Pébereau (ancien président de la BNP Paribas) ; Jean Peyrelevade (dirigeant des banques Suez, Stern, Crédit Lyonnais) ; Édouard de Rothschild (banquier et homme d’affaires, Bilderberg) ; Jean-Paul Agon (directeur général de L’Oréal) ; Delphine Arnault (administratrice de sociétés et fille de Bernard Arnault) ; Bernard Bigot (patron du CEA) ; Bernard Boulito (Heinz et Asics) ; Stéphane Courbit ; Serge Dassault ; Étienne Davignon ; Louis Gallois ; Guillaume Pepy ; Antoine Guichard (ancien PDG du Groupe Casino) ; Philippe Jaffré (ELF Aquitaine, Zebank, Alstom) ; Louis Schweitzer (ancien président de Renault, ancien président de la HALDE) (La  liste n’est pas limitative, et ne comporte que les plus connus).

On y compte aussi évidemment bon nombre de journalistes et éditeurs de presse…

Arlette Chabot ; Jean-Marie Colombani (journaliste, ancien président de Le Monde) ; Anne-Marie Couderc (Groupe Hachette Filipacchi Médias) ; Michèle Cotta (journaliste, ancienne directrice de France 2) ; Teresa Cremisi (présidente des éditions Flammarion) ; Alain Duhamel (politologue, chroniqueur à RTL) ; Michel Field (journaliste sur Europe 1) ; Franz-Olivier Giesbert ; Claude Imbert (journaliste au Point) ; Odile Jacob (éditrice) ; Denis Jeambar (ancien directeur des éditions du Seuil) ; Laurent Mouchard-Joffrin (journaliste et directeur de publication du Nouvel Observateur) ; Serge July (ancien PDG de Libération) ; Julien Kouchner (directeur général de l’Agence CAPA) ; Étienne Lacour (secrétaire général du Siècle) ; Maurice Lévy (PDG de Publicis) ; Serge Moati (journaliste sur France 5) ; Denis Olivennes (directeur d’Europe 1) ; Sylvie Pierre-Brossolette ; Bernard Pivot ; Patrick Poivre d’Arvor (journaliste et ancien présentateur télévisé à TF1) ; Alain de Pouzilhac (ancien PDG du groupe Havas) ; David Pujadas (journaliste et présentateur télévisé, France 2) ; Alain-Gérard Slama (journaliste au Figaro et à France Culture) ; Anne Sinclair ; Marc Tessier (ancien président de France Télévisions).

Sans oublier les personnalités politiques…

Martine Aubry PS, Michel Barnier UMP, Jacques Barrot Centriste-UMP, François Bayrou Modem, Éric Besson PS – UMP, Jeannette Bougrab UMP, Hervé de Charette Centriste, Jean-Pierre Chevènement PS, Jean-François Copé UMP, Laurent Fabius PS, Luc Ferry UMP, Aurélie Filipetti PS, François Fillon UMP, Élisabeth Guigou PS, Adeline Hazan PS, Martin Hirsch PS, François Hollande PS, Nicolas Sarkozy UMP, Jean-Paul Huchon PS, Anne-Marie Idrac PS, Lionel Jospin PS et Bilderberg, Alain Juppé UMP, Bernard Kouchner PS, Jack Lang PS, Noëlle Lenoir ?, Corinne Lepage centriste, Charles Millon droite, Pierre Moscovici PS, Jean-Pierre Raffarin UMP, Manuel Valls PS, Jacques Toubon UMP, Michel Vauzelle PS, Henri Weber PS, Hubert Védrine PS, Rama Yade UMP, Marisol Touraine PS, Fadela Amara PS, Rachida Dati UMP, …

Et enfin, la liste ne serait pas complète sans les syndicalistes…

Jean-Christophe Le Duigou (ancien dirigeant de la CGT du corps des finances, puis receveur général des hypothèques) ; Nicole Notat (présidente de Le Siècle, ex-CFDT, puis présidente de Vigeo) ; Laurence Parisot (présidente du MEDEF) ; Ernest-Antoine Seillière (ancien président du MEDEF).

Si vous doutez encore qu’il y ait une formidable collusion entre presse, finance, banques, affaires, syndicats et politiques, lisez et regardez :

Au cœur du pouvoir : enquête sur le club le plus puissant de France Emmanuel Ratier « Les Nouveaux Chiens de garde », film sorti en 2012 de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat dans lequel ils dénoncent le Siècle comme un lieu de collusion entre politiques et journalistes.

Depuis novembre 2010, des moyens considérables de sécurité sont mis à disposition tous les dernier mercredi du mois le soir, sur la place de la Concorde et dans le quartier alentour, sur ordre de Michel Gaudin, préfet de police de Paris, également membre du club afin d’assurer la protection de tous ces joyeux drilles, majoritairement énarques et Sciences Po, qui soupent ensemble et préparent les mauvais coups qu’ils vous destinent tout en faisant semblant de se battre au petit écran et dans la presse.

L’important dans une bande de copains, n’est-il pas de se repasser les bons coups et les affaires juteuses pour que tout le monde y gagne ? Enfin, sauf les cochons de payants.

La French American Foundation (FAF)

La French American Foundation (FAF) a été fondée en 1976 par trois membres du Council on Foreign Relations (CFR) américain et, dans sa version française, conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing pour cornaquer les plus éminents des jeunes dirigeants français.

Le Council on Foreign Relations est un think tank (club de réflexion ou « laboratoire d’idées ») non partisan, américain, ayant pour but officiel d’analyser la politique étrangère américaine et la situation politique mondiale.

Le CFR souhaite que ses membres reflètent la diversité de la société américaine et entend développer l’expérience de la génération montante de leaders en proposant des programmes qui incluent des rencontres et des discussions avec les officiels du gouvernement, des leaders mondiaux et des membres éminents de la communauté des affaires étrangères.

Le cœur de son think tank est le David Rockefeller Studies Program, composé d’environ cinquante « adjoints » (pendants des « invités » du Siècle), tant démocrates que républicains. Cette noble assemblée se méfie des partis politiques, qu’elle range en bloc aux côtés des « factions » de tout acabit et considère comme un grave danger pour la République américaine.

Pensant que l’architecture de gouvernance mondiale reflétait trop le monde tel qu’il existait en 1945 et n’était plus adapté au monde actuel, le CFR a lancé en 2008 un programme de cinq ans intitulé « International Institutions and Global Governance, World Order in the 21st Century ». Connu en France sous le nom « Nouvel Ordre Mondial ».

Le programme du CFR se focalise sur quatre grands défis :

  • Contrer les menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme,
  • Promouvoir la sécurité énergétique,
  • Gérer l’économie mondiale,
  • Prévenir et répondre à des conflits violents.

Quand on parle de la French American Foundation, filiale du CFR, évoquer le principe d’un « club cultivant l’amitié entre les peuples américain et français » comme le prétendent ses statuts est une aimable plaisanterie.

À la lecture des noms composant le groupe des généreux donateurs et dirigeants, on peut se dire que des raisons bien matérielles et idéologiques doivent agiter les esprits de la FAF.

Franck Carlucci

En effet sans tous les nommer, on y trouve Franck Carlucci du groupe Carlyle ; David Rockfeller, ancien président du CFR et fondateur de la Trilatérale ou encore Ernest-Antoine Sellière, ancien président du patronat français et européen et président du groupe de Wendel.

À ce niveau, la philanthropie n’existe pas.

L’objectif de la FAF est d’intégrer des personnes appartenant à l’élite politique, économique, militaire et journalistique afin de véritablement quadriller le terrain.

C’est le professeur de science politique et membre du CFR, Ezra Suleiman, qui fut pendant des années le seul habilité à accepter les recrues françaises de la FAF désignées par le terme de « Young Leaders ».

« Depuis son lancement (en France) en 1981, le programme des Young Leaders aspire à sélectionner chaque année les candidats français susceptibles d’occuper des postes à haute responsabilité ».

Côté américain, nous pouvons relever le président Bill Clinton ; Hillary Clinton ministre des Affaires étrangères d’Obama et l’ex-patron de l’OTAN en Europe, le général Wesley Clark. Côté français, nous trouvons de nombreux journalistes comme Christine Ockrent, JeanMarie Colombani (Le Monde), Emmanuel Chain, Jérôme Clément (président d’ARTE) ; mais aussi de nombreux élus socialistes, François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, etc. ; et de l’UMP, Alain Juppé, Valérie Pécresse, Jacques Toubon, Éric Raoult, etc. et aussi Nicolas Dupont-Aignan. 

L’énarchie française s’est ralliée depuis longtemps au dogme du mondialisme.

Cependant, il est utile pour le système de maintenir une opposition artificielle entre UMP et PS alors qu’en fait, nous vivons dans le régime du parti unique.

En jouant l’alternance droite-gauche, on fait croire au peuple qu’il y a une autre politique possible.

En fait, les dirigeants énarques de l’UMP et du PS mènent le pays vers la même direction : l’intégration à un bloc euro-atlantique, à direction unique.

Pourquoi pas, si cela se traduisait par une gouvernance vraiment efficace et l’amélioration des conditions de vie de la population dans la liberté, notamment celle de penser ?

L’ennui, c’est que ce n’est pas le cas, on va plutôt vers Le meilleur des mondes ou 1984 de Orwell.

Le cas de Nicolas Dupont-Aignan est intéressant. Officiellement, il défend avec passion la souveraineté française mâtinée de gaullisme. En fait, c’est un leurre. Son appartenance à la FAF, depuis 2001, le prouve. Si Dupont-Aignan a été accepté au sein de la French American Foundation, cela signifie qu’il a dû présenter obligatoirement des gages prouvant sa bonne foi. On ne trompe pas facilement les élites mondialistes de la FAF. Ce politicien est utile au système parce qu’il est un dérivatif.

Nicolas Dupont-Aignan

Dans le cas de Dupont-Aignan, il s’agit de contrôler un mouvement en faveur de la cause nationale, défendue par le FN, pour ensuite arrondir les angles et empêcher que les « patriotes » puissent diffuser de véritables informations sur les origines du mondialisme. « Quand on ne peut pas arrêter une tendance, en particulier la rébellion de nombreux Français en faveur du retour à la souveraineté, il est préférable d’accompagner le mouvement pour l’étouffer par la suite. C’est la mission de NDA. Ce dernier ne doit pas jouer la comédie de l’homme qui n’est pas au courant des objectifs de la French American Foundation compte tenu des conditions de sélection pour y adhérer. Quand on fait partie de la FAF dont le but ultime est de réaliser un bloc euro-atlantique complet, on ne peut pas en même temps être gaulliste et se présenter comme un ardent défenseur d’une France souveraine. Dans le cadre de la course à la présidentielle NDA a mobilisé des espoirs pour récolter cinq cents signatures. Comme par hasard, il a ensuite échoué au grand dam des Français fidèles à la cause gaulliste. N’est-ce pas là un bon exemple de stérilisation des bonnes énergies ?

C’est le cas de François Hollande, le patron du PS. Il suffit aussi de voir la longue liste des politiques membres du Parti socialiste et de l’UMP appartenant à la FAF. Peu importe l’équipe au pouvoir, la FAF aura ses hommes et ses femmes au pouvoir en France au service de l’Atlantisme. Il ne faut pas oublier aussi la présence de nombreux membres de la FAF au sein des grandes entreprises et du milieu journalistique. D’une certaine manière, tout est verrouillé » ~ Pierre Hilliard, Revue-républicaine.fr

Sur les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, six sont dans son gouvernement. François Hollande et Pierre Moscovici sont FAF depuis 1996, Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des « Young Leaders ».

Tous ont été minutieusement sélectionnés et « formés » par ce très élitiste réseau, une forme de secte politique inconnue du grand public, sponsorisée entre autres, et ce n’est pas par hasard, par la banque franco-américaine Lazard dont le directeur est le très socialiste Mathieu Pigasse qui leur ouvre des comptes protégés à Lazard Frères Gestion à Genève.

En d’autres termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre le programme phare mis en place par la FAF, la French American Fondation.

La FAF est elle-même un organisme à cheval sur Paris et New York. À noter qu’entre 1997 et 2001, c’est John Negroponte qui présida la FAF, avant de devenir entre 2005 et 2007, sous Georges Bush, le premier directeur coordonnant tous les services secrets américains (Direction of National Intelligence), et dirigeant l’US States Intelligence Community qui regroupe une quinzaine de membres, dont le FBI et la CIA.

Un président et cinq ministres en France : beau tir groupé, comme s’en enorgueillit à juste titre le site américain de la FAF : « La French American Foundation est fière de compter cinq Young Leader dans le cabinet du président François Hollande, lui-même Young Leader en 1996 », tandis que son site français n’en dit pas un mot. C’est beau la discrétion, la transparence et la morale républicaine !

« Pourquoi est-ce que les journalistes ne nous parlent pas de ça, à propos de François Hollande, au lieu de nous parler de son séjour d’étudiant et de son goût pour les cheeseburgers dont on n’a rien à faire ? ».

Qu’ils demandent donc la réponse aux journalistes qui ont l’art de nous servir ces hamburgers, préparés par les communicants, en prenant leurs lecteurs pour des cornichons !

Qu’ils la demandent en particulier aux Young Leaders des médias, aujourd’hui actionnaires ou directeurs des principales rédactions, ces copains de promo de certains de nos nouveaux ministres pour certains d’entre eux : de Laurent Mouchard-Joffrin (Nouvel Observateur) à Denis Olivennes (Europe 1Paris Match et JDD), en passant par Matthieu Pigasse (Banque Lazard et Inrockuptibles), Louis Dreyfus et Erik Izraelewicz (Le Monde) … Et la liste des hommes de médias Young Leaders est longue, comme on peut la lire plus intégralement dans l’enquête « Ils ont acheté la presse ». (Benjamin Dormann, cité par Atlantico).

À New York, la venue de François Hollande et de sa nouvelle équipe était attendue sereinement. Vu de la FAF, « Welcome à la Hollande team » ; on reste en terrain connu, tout est sous contrôle, on est même fier d’avoir autant de ses poulains dans la place, nous l’avons vu.




Bill Gates et le hold-up vaccinal

[Source : mercola.com]

Dans la vidéo ci-dessus, Russell Brand discute du livre de Judy K. Brown, « Perversion of Justice : The Jeffrey Epstein Story » [Perversion de la justice : L’histoire de Jeffrey Epstein], qui détaille la conspiration du silence entourant le plus grand pédophile présumé et magnat du trafic sexuel de notre époque, Jeffrey Epstein.

Le refus des médias de creuser l’histoire d’Epstein, dit Brand, suggère que les médias font partie d’un establishment corrompu qui protège les riches et les puissants, quoi qu’il arrive. Une personne riche et puissante qui bénéficie de la protection des médias traditionnels est Bill Gates.

Gates et Epstein

Brand cite un article du Daily Beast1, selon lequel Gates a eu des dizaines de réunions avec Epstein rien qu’entre 2011 et 2014, généralement au domicile d’Epstein à Manhattan. Lorsque la nouvelle de la relation de Gates avec Epstein a émergé en 2019, Melinda Gates aurait contacté un avocat spécialisé dans le divorce.

Selon The Daily Beast, Gates « a encouragé Epstein à réhabiliter son image dans les médias. » Si cela est vrai, cela suggère que Gates pourrait en effet avoir été plus proche d’Epstein qu’il ne l’a laissé entendre. Une source anonyme qui prétend avoir été présente à plusieurs des réunions a déclaré que les deux étaient « très proches ».

Le Daily Beast affirme également que « des personnes au courant de l’affaire ont déclaré que Gates trouvait la liberté dans le repaire d’Epstein, où il rencontrait un groupe tournant de noms importants et discutait de problèmes mondiaux entre des séries de blagues et de ragots — une atmosphère de ‘club d’hommes’ qui irritait Melinda ».

Lors d’un entretien avec Anderson Cooper, présentateur de CNN, Gates a expliqué que sa relation avec le célèbre trafiquant sexuel de mineurs n’était rien d’autre qu’une tentative naïve d’obtenir des fonds pour ses efforts en matière de santé publique.

Si l’on considère que l’intérêt d’Epstein pour la santé publique semble avoir été une obsession pour l’idée de créer sa propre race de super humains en faisant accoucher ses bébés par des esclaves sexuelles2, cette excuse semble au mieux fragile. Epstein a également fait des dons à la Worldwide Transhumanist Association3.

Gates essaie maintenant de sortir de l’ombre d’Epstein, qualifiant leurs rencontres d’« erreur ». Cependant, Brand a peut-être raison lorsqu’il affirme que l’histoire de la relation entre Gates et Epstein met réellement en évidence l’importance de conserver notre autonomie et de ne pas suivre aveuglément les personnes qui prétendent être supérieures à nous.
Gates est aussi imparfait que n’importe qui d’autre, et peut-être même plus, car la richesse et le pouvoir engendrent la corruption et permettent aux gens de poursuivre des intérêts qui ne seraient pas ou ne pourraient pas être poursuivis à moins d’avoir l’argent et l’influence nécessaires pour garantir le secret.

Gates finance des organismes de santé publique britanniques et américains

Si nous avons appris quelque chose au cours de l’année et demie écoulée, c’est que la corruption est endémique dans nos agences de santé publique et nos organisations médicales. Comme le rapporte Armstrong Economics, la Fondation Bill & Melinda Gates finance — et exerce donc une influence considérable sur — les organismes de santé publique aux États-Unis et au Royaume-Uni :4

« La [Food and Drug Administration américaine] a donné son plein accord aux vaccins de Gates parce qu’elle a subi d’énormes pressions politiques pour le faire. Même CNBC a rapporté que « les responsables fédéraux de la santé avaient subi une pression croissante de la part de la communauté scientifique et des groupes de défense pour approuver pleinement le vaccin de Pfizer et BioNTech… ».

Pendant ce temps, à Londres, une enquête a révélé que la Fondation Bill et Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé, tout comme elle l’est de la FDA aux États-Unis.

La SEC n’a absolument RIEN fait au sujet des informations privilégiées puisque Gates est également un actionnaire MAJEUR de Pfizer / BioNTech mRNA. Des organisations médicales fiables s’opposent à ces vaccins malgré l’approbation de deux organismes de réglementation qui reçoivent de l’argent de Gates, ce qui ne fait qu’introduire des conflits d’intérêts et une corruption potentielle…

La FDA n’a JAMAIS approuvé un type de médicament complètement nouveau en moins d’un an, ce qui soulève de sérieuses questions sur la corruption. Le délai moyen pour obtenir une approbation de la FDA est de 12 ans ! »

L’enquête londonienne à laquelle ils font référence a été publiée dans The Daily Expose le 20 août 2021.5 La MHRA, la version britannique de la FDA américaine, reçoit en fait la majeure partie de son financement de la Fondation Gates, selon l’enquête.

Le 4 juin 2021, la MHRA a étendu son autorisation d’utilisation d’urgence de la piqûre de Pfizer aux enfants âgés de 12 à 15 ans, malgré les risques connus d’inflammation cardiaque. Le Daily Expose écrit :6

« À l’époque, la directrice générale de la MHRA, le Dr June Raine, a déclaré que la MHRA avait « examiné attentivement les données des essais cliniques chez les enfants âgés de 12 à 15 ans et a conclu que le vaccin Pfizer est sûr et efficace dans ce groupe d’âge et que les avantages l’emportent sur tout risque. »

Nous nous demandons si le Dr June Raine et la MHRA ont même lu les résultats de cette étude extrêmement courte et réduite.7 S’ils l’avaient fait, ils auraient vu que 86% des enfants participant à l’étude ont souffert d’un effet indésirable allant de léger à extrêmement grave.8

Seuls 1 127 enfants ont pris part à l’essai, mais seuls 1 097 enfants ont terminé l’essai, 30 d’entre eux n’ayant pas participé après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer. Les résultats ne précisent pas pourquoi ces 30 enfants n’ont pas terminé l’essai… Peut-on vraiment faire confiance à la MHRA pour rester impartiale alors que son principal bailleur de fonds est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui détient également des parts dans Pfizer et BioNTech ? Nous ne le pensons pas. »

Gates est lourdement investi dans les entreprises pharmaceutiques

La Fondation Gates possède également des « parts importantes » dans Pfizer et BioNTech, qui ont développé conjointement une injection de COVID qui, le 23 août 2021, a été pleinement approuvée9 par la FDA pour être utilisée chez les personnes âgées de 16 ans et plus.

La Fondation Gates a commencé à orienter ses investissements vers les produits pharmaceutiques en 2002. Cette année-là, Gates a investi 205 millions de dollars dans neuf grandes entreprises pharmaceutiques, dont Pfizer et Johnson & Johnson. « La décision de prendre des participations dans des entreprises individuelles semble être un changement de stratégie et, pour la première fois, aligne les intérêts de l’organisation caritative sur ceux des entreprises pharmaceutiques », rapportait le Guardian à l’époque10.

Selon The Motley Fool11, Gates a initialement investi dans Pfizer « avec l’intention déclarée d’élargir l’accès au contraceptif injectable tout-en-un de la société pharmaceutique ». Lorsque la pandémie de COVID-19 a éclaté, Gates a prédit très tôt que Pfizer serait le premier à obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence.

La Fondation Gates ne s’est pas emparée des actions de BioNTech avant septembre 2019, soit trois mois seulement avant l’apparition de la pandémie de COVID, lorsqu’elle a acheté pour 55 millions de dollars d’actions.

Les prévisions financées par la Fondation Gates ont conduit à la condamnation à mort des maisons de retraite

La Fondation Gates a également versé des centaines de millions de dollars à l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), qui était responsable de la modélisation imprécise qui a conduit plusieurs gouverneurs à « condamner à mort les maisons de retraite ». La Strategic Culture Foundation écrit :12

« Ça chauffe enfin pour le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, à cause de ses politiques de réponse au coronavirus bâclées et criminellement négligentes, pourtant personne ne semble se demander pourquoi Cuomo et certains gouverneurs ont pris les décisions fatidiques qui ont conduit à la surmortalité…

En mars et début avril, les politiciens ont été informés par les « experts » en modélisation de l’IHME, financé par Gates, que leurs hôpitaux étaient sur le point d’être complètement envahis par des patients atteints de coronavirus.

Les modélisateurs de l’IHME ont affirmé que cet afflux massif amènerait les hôpitaux à manquer d’équipements de survie en quelques jours, et non en quelques semaines ou mois. Le temps était compté, et il était temps de prendre des décisions rapides, ont affirmé les modélisateurs. Lors de deux conférences de presse distinctes, le 1er et le 2 avril, M. Cuomo a clairement indiqué que ses décisions politiques étaient fondées sur le modèle de l’IHME ».

Dans l’une de ces conférences de presse, Cuomo a remercié la Fondation Gates « pour le service national qu’elle a rendu ». Le département de la santé de Pennsylvanie a également utilisé les modèles de l’IHME pour orienter sa réponse. Même des bureaucrates fédéraux comme le Dr Anthony Fauci et le Dr Deborah Birx, qui ont tous deux des liens personnels avec Gates, se sont appuyés sur les prévisions de l’IHME pour justifier les fermetures d’établissements, les fermetures d’entreprises et les couvre-feux.

En fin de compte, les modèles de l’IHME n’ont pas fonctionné. Ils n’étaient même pas proches [de la réalité]. « Par exemple, l’IHME a utilisé un taux de mortalité de plus de 3 % alors que le chiffre réel provenant de COVID-19 n’est que d’environ 0,1 % », écrit la Strategic Culture Foundation, qui ajoute13 :

« La responsabilité incombe effectivement aux dirigeants élus qui ont pris les décisions fatidiques d’envoyer les patients malades du COVID dans des maisons de retraite, de verrouiller leurs États et de masquer leurs citoyens à perpétuité, mais ce n’est que la moitié de l’histoire.

Les mauvaises données qu’ils ont utilisées proviennent presque exclusivement du réseau Gates, qui s’est livré à un trafic de pseudo-science et a fait preuve d’une incompétence totale et de prévisions imprudentes depuis le début de l’année dernière. »

Il n’est pas surprenant que Gates soit resté muet sur les échecs flagrants de l’IHME. Comme le note la Strategic Culture Foundation14, il s’est « parfaitement lavé les mains de la manie COVID et est passé à l’exigence que le monde occidental se sacrifie au nom de la dernière « crise » qu’est le changement climatique. »

COVID-19 – Une rampe de lancement pour la grande réinitialisation

Bien sûr, les plans « verts » de Gates vont également accroître sa propre richesse, tout comme la pandémie de COVID l’a fait. En effet, la soi-disant « crise du changement climatique » n’est rien d’autre qu’un autre outil pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation, qui modifiera à jamais le visage de la société et du commerce, en transférant pratiquement toutes les richesses et la propriété à quelques technocrates au sommet, laissant les gens ordinaires sans richesse ni liberté.

Compte tenu de la position de Gates au sein de l’élite technocratique, il n’est pas surprenant que ses empreintes digitales se retrouvent sur toutes les pièces nécessaires de cette partie d’échecs mondiale. Comme vous vous en souvenez peut-être, la Fondation Gates a coparrainé la simulation de préparation à la pandémie d’un « nouveau coronavirus », connue sous le nom d’événement 201, en octobre 2019, avec le Forum économique mondial et le Johns Hopkins Center for Health Security.

L’événement a sinistrement prédit ce qui allait se passer à peine 10 semaines plus tard, lorsque le COVID-19 est apparu. La Fondation Gates et le Forum économique mondial sont également associés15 aux Nations unies qui, tout en gardant un profil relativement bas, semblent être au cœur du programme de prise de contrôle mondialiste.

« Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre de l’agenda de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. »

Le Forum économique mondial, bien qu’il s’agisse d’une organisation privée, fonctionne comme la branche économique et sociale de l’ONU et constitue une force motrice essentielle de la technocratie moderne et du programme de la Grande Réinitialisation. Son fondateur et président, Klaus Schwab, a déclaré publiquement la nécessité d’une « réinitialisation » mondiale pour rétablir l’ordre en juin 202016.

La règle technocratique, qui est ce que la Grande Réinitialisation apportera, s’articule autour de l’utilisation de la technologie — en particulier l’intelligence artificielle, la surveillance numérique et la collecte de Big Data (ce à quoi sert la 5G) — et la numérisation de l’industrie, de la banque et du gouvernement, qui permet à son tour l’automatisation de l’ingénierie sociale et de la règle sociale (bien que cette partie ne soit jamais expressément énoncée).

Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre du programme de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. La Grande Réinitialisation, parfois appelée le plan « reconstruire en mieux », appelle spécifiquement toutes les nations à mettre en œuvre des réglementations « vertes » et des « objectifs de développement durable  »17,18 dans le cadre de l’effort de redressement post-COVID.

Mais l’objectif final est loin de ce que la personne typique envisage lorsqu’elle entend ces plans. L’objectif final est de nous transformer en serfs sans droit à la vie privée, à la propriété privée ou à quoi que ce soit d’autre. En bref, la pandémie est utilisée pour détruire les économies locales dans le monde entier, ce qui permettra ensuite au Forum économique mondial d’intervenir et de « sauver » les pays criblés de dettes. Le prix de ce sauvetage est votre liberté.

La grande réinitialisation

La Grande Réinitialisation n’est pas une théorie de la conspiration, mais un programme rendu public qui va de l’avant, que nous le voulions ou non.

De nombreux dirigeants mondiaux en ont parlé à titre officiel, et en juin 2020, Zia Khan, vice-président senior de l’innovation à la Fondation Rockefeller, a rédigé l’article19 « Rebuilding Toward the Great Reset : Crisis, COVID-19, and the Sustainable Development Goals » [Reconstruire en vue de la Grande Réinitialisation : Crise, COVID-19, et les objectifs de développement durable], qui passe en revue la « crise sociale » nécessitant l’acceptation par le monde d’un Nouvel Ordre Mondial.

L’article a été co-écrit avec John McArthur, membre senior du Brookings Institute, qui est l’un des nombreux groupes de réflexion technocratiques. En gardant à l’esprit ce que je viens de dire sur ce qu’est réellement la Grande Réinitialisation, et les justifications utilisées pour mettre en œuvre le vol des richesses et de la liberté, lisez comment ils présentent ces changements comme étant dans votre meilleur intérêt :

« Le bouleversement peut apporter une nouvelle compréhension et de nouvelles opportunités. Les normes désuètes ou injustes peuvent succomber au besoin pressant de la société pour de meilleures approches. Par exemple, la nécessité d’une intervention gouvernementale massive et urgente a attiré une attention nouvelle sur les filets de sécurité sociale et sur la possibilité d’améliorer considérablement les politiques.

Les conséquences tragiques de la discrimination raciale ont catapulté la prise de conscience des problèmes systémiques et déclenché des perspectives de réformes sociales indispensables. Les améliorations rapides de l’environnement liées à la fermeture de l’économie ont ravivé la conscience des interconnexions profondes entre les écosystèmes, les économies et les sociétés …

Plutôt que de laisser passivement les normes évoluer par inertie ou par hasard, nous pouvons tous mener des actions pour la Réponse et, bientôt, la Récupération d’une manière qui améliore les chances d’une Réinitialisation vers de meilleurs résultats à long terme.

Heureusement, nous avons déjà un point de départ solide pour ce que devraient être les résultats économiques, sociaux et environnementaux du monde. Il y a cinq ans, en 2015, les 193 États membres de l’ONU se sont mis d’accord sur les Objectifs de développement durable (ODD) comme un ensemble commun de priorités à atteindre dans tous les pays d’ici 2030. »

Je crois que la seule façon de l’arrêter est de réagir collectivement aux différents morceaux et parties du plan qui sont déployés. Ils veulent vous faire croire qu’aucune des choses introduites n’a de rapport avec les autres, mais en fait, ce sont toutes des pièces du même puzzle.

Ce serait une erreur tragique de faire confiance à Gates ou à l’un des autres acteurs qui nous sont présentés comme les sauveurs du jour. Ce sont tous des loups déguisés en moutons. La grande réinitialisation est à notre porte, et votre liberté, ainsi que celle des générations futures, dépend de votre combat pour la conserver20.

Notre meilleure chance est de nous impliquer dans la gouvernance locale, qu’il s’agisse de la commission scolaire de votre enfant ou du gouvernement local, et de nous engager dans une désobéissance civile pacifique.

Gates peut être présenté comme un génie omniscient dont la mission est de nous garder en bonne santé et en sécurité, mais ses activités sont incompatibles et ne correspondent pas à son personnage soigneusement fabriqué. À maintes reprises, Gates a exercé son influence dans des affaires où des mensonges ont été proférés et où la santé publique et les droits de l’homme ont été décimés pour le profit.

 Sources et références




DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò. MàJ

[Source : medias-presse.info]

Traduction de ©Francesca de Villasmundo pour MPI

Source : Mgr Viganò pour MPI – Traduction – de l’original italien – autorisée et vérifiée par l’auteur


Depuis plus d’un an et demi, nous assistons impuissants à la succession d’événements incongrus auxquels la plupart d’entre nous n’est pas en mesure de donner une justification plausible. L’urgence pandémique a mis en évidence les contradictions et l’illogisme des mesures visant nominalement à limiter les contagions –confinement, couvre-feu, fermetures d’activités commerciales, limitations des services publics et des cours, suspension des droits des citoyens– mais qui sont quotidiennement désavouées par des rumeurs discordantes, des preuves évidentes d’inefficacité, des contradictions de la part des autorités sanitaires elles-mêmes. Inutile d’énumérer les mesures que presque tous les gouvernements du monde ont prises sans obtenir les résultats promis. Si nous nous limitons aux avantages supposés que le sérum génétique expérimental aurait dû apporter à la communauté – en premier lieu l’immunité contre le virus et la liberté de mouvement retrouvée – nous constatons qu’une étude de l’Université d’Oxford publiée dans  The  Lancet  (ici) a déclaré que la charge virale des vaccinés à double dose est 251 fois supérieure aux premières souches du virus (ici), en dépit des proclamations des dirigeants mondiaux, à commencer par le Premier ministre italien Mario Draghi, selon lequel « ceux qui se font vacciner vivent, ceux qui ne se font pas vacciner meurent ». Les effets secondaires du sérum génétique, habilement dissimulés ou délibérément non enregistrés par les autorités sanitaires nationales, semblent confirmer le danger de son administration et les inconnues inquiétantes pour la santé des citoyens auxquelles nous devrons bientôt faire face.

De la science au scientisme

L’art médical – qui n’est pas de la science, mais l’application de principes scientifiques à des cas différents, sur une base expérientielle et expérimentale – semble avoir renoncé à sa prudence, au nom d’une urgence qui l’a mise au rang de sacerdoce d’une religion – la science, précisément – qui, pour être telle s’est voilée d’un dogmatisme à la limite de la superstition. Les ministres de ce culte se sont constitués en une caste d’intouchables, exempts de toute critique, même lorsque leurs affirmations sont réfutées par l’évidence des faits. Les principes de la médecine, jugés universellement valables jusqu’en février 2020, ont succombé à l’improvisation, au point de nous entendre recommander la vaccination en pleine pandémie, l’obligation de masques déclarés inutiles, le recours à des distanciations alambiquées, l’interdiction de traitements médicamenteux efficaces et l’imposition de thérapies géniques expérimentales qui dérogent aux protocoles de sécurité normaux. Et comme il y a de nouveaux prêtres du Covid, il y a aussi de nouveaux hérétiques, c’est-à-dire ceux qui rejettent la nouvelle religionpandémique et veulent rester fidèles au serment d’Hippocrate. Il n’est pas rare que l’aura d’infaillibilité entourant les virologues et autres scientifiques plus ou moins titrés ne soit pas remise en cause par leurs conflits d’intérêts ni par les prébendes considérables des sociétés pharmaceutiques, ce qui, dans des conditions normales, seraitscandaleuse et criminelle.

Ce que beaucoup ne comprennent pas, c’est l’incongruité entre les objectifs déclarés et les moyens qui sont adoptés à l’occasion pour les obtenir. Si, en Suède, l’absence de confinement et de masques n’a pas entraîné de contagion supérieure à celle des pays où les gens se sont confinés chez eux ou là où les masques ont également été obligatoires dans les écoles primaires, cet élément n’est pas considéré comme la preuve de l’inefficacité des mesures. Si, en Israël ou en Grande-Bretagne, la vaccination de masse a accru les infections et les a rendues plus virulentes, leur exemple n’amène pas les dirigeants d’autres pays à faire preuve de prudence dans la campagne de vaccination, mais les incite à évaluer l’obligation l’administrer. Si l’ivermectine ou le plasma hyperimunne s’avèrent des traitements valables, cela ne suffit pas à les autoriser et encore moins à les recommander. Et quiconque se demande la raison de cette irrationalité déconcertante finit par suspendre le jugement, acceptant avec une sorte d’adhésion fidéiste les déclarations des prêtres du Covid, ou vice versa en considérant les médecins comme des sorciers peu fiables.

Un seul scénario sous une seule direction

Comme je l’ai déjà dit, nous sommes confrontés à une tromperie colossale, fondée sur le mensonge et la fraude. Cette tromperie part du principe que les justifications invoquées par l’autorité à l’appui de son action à notre égard sont sincères. Plus simplement, l’erreur consiste à considérer les dirigeants comme honnêtes et à supposer qu’ils ne nous mentent pas. Nous nous obstinons donc à trouver des justifications plus ou moins plausibles, dans le seul but de ne pas reconnaître que nous faisons l’objet d’une conjoncture planifiée dans les moindres détails. Et tandis que nous essayons d’expliquer rationnellement des comportements irrationnels ; alors que nous attribuons une logique à l’action illogique de ceux qui nous gouvernent, la dissonance cognitive nous amène à fermer les yeux sur la réalité et à croire aux mensonges les plus éhontés.

Nous aurions dû comprendre – je l’écrivais dans le passé – que le plan du Great Reset [de la Grande Réinitialisation] n’était pas le fruit des divagations de quelques  « complotistes », mais la preuve brute d’un dessein criminel, conçu depuis des décennies et visant à l’instauration d’une dictature universelle dans laquelle une minorité de personnes incommensurablement riches et puissantes entend asservir et soumettre toute l’humanité à l’idéologie mondialiste. Parce que l’accusation de « conspirationnisme » pouvait peut-être avoir un sens alors que la conspiration n’était pas encore évidente, alors qu’aujourd’hui nier ce que l’élite a conçu depuis les années cinquante est injustifiable. Ce que Kalergi, les Rothschild, les Rockefeller, Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates ont dit après la guerre a été publié dans des livres et des journaux, commenté et repris par des organismes et fondations internationaux, réalisé précisément par des partis et des majorités gouvernementales. Les États-Unis d’Europe, l’immigration incontrôlée, la réduction des salaires, l’annulation des garanties syndicales, la renonciation à la souveraineté nationale, la monnaie unique, le contrôle des citoyens sous prétexte d’une pandémie, la réduction de la population par l’utilisation de vaccins avec de nouvelles technologies ne sont pas des inventions récentes, mais le fruit d’une action planifiée, organisée, coordonnée. Une action qui de toute évidence colle parfaitement à un seul scénario sous une seule direction.

La mentalité criminelle

Une fois qu’il a été compris que les événements présents ont été voulus pour obtenir certains résultats – et donc pour poursuivre certains intérêts d’une partie minoritaire de l’humanité, avec un préjudice incalculable pour la majorité – nous devons également avoir l’honnêteté de reconnaître la mentalité criminelle des auteurs de ce plan. Ce dessein criminel nous fait aussi comprendre la malveillance de l’autorité en présentant certaines mesures comme une réponse inéluctable à des événements imprévisibles, lorsque les événements ont été habilement créés  et grossis dans le seul but de légitimer une révolution  –  que Schwab identifie comme une quatrième révolution industrielle – voulue par l’élite au détriment de toute l’humanité. L’asservissement de l’autorité est d’ailleurs le résultat d’un processus entamé encore plus tôt, avec la Révolution française, et qui a rendu la classe politique servante non pas de Dieu (dont elle méprise dédaigneusement la Seigneurie) ni du peuple souverain (qu’elle méprise et utilise uniquement pour se légitimer), mais des potentats économiques et financiers, de l’oligarchie internationale des banquiers et des usuriers, des multinationales et des sociétés pharmaceutiques. En réalité, à y regarder de plus près, tous ces sujets relèvent d’un petit nombre de familles très riches bien connues.

Un même asservissement est également évident dans l’information : les journalistes ont accepté – sans aucun scrupule de conscience – de se prostituer au puissant, allant même jusqu’à censurer la vérité et à diffuser des mensonges éhontés sans même essayer de leur donner un semblant de crédibilité. Si, jusqu’à l’année dernière, les journalistes comptaient le nombre de « victimes » du Covid en présentant les positifs comme des malades en phase terminale, aujourd’hui, ceux qui meurent après le vaccin ne sont que saisis d’un « malaise » et, avant même les examens post mortem, ils décident d’office qu’il n’y a aucune corrélation avec l’administration du sérum génétique. Ils subvertissent la vérité en toute impunité, quand celle-ci ne confirme pas le récit,  la pliant à leurs fins.

Ce qui se passe depuis un an et demi avait été largement annoncé, dans les moindres détails, par les artisans du Great Reset eux-mêmes ; tout comme on nous avait annoncé les mesures qui auraient dû être prises. Le 17 février 1950, devant le Sénat des États-Unis, le célèbre banquier James Warburg a déclaré : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non. La seule question qui se pose est de savoir si ce gouvernement mondial sera établi par consensus ou par la force. » Quatre ans plus tard, le groupe Bilderberg est né, qui compte parmi ses membres des personnalités telles que Gianni Agnelli, Henry Kissinger, Mario Monti et Mario Draghi, l’actuel Premier ministre italien. En 1991, David Rockefeller écrivait : « Le monde est prêt pour parvenir à un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » Il a ajouté : « Nous sommes au bord d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la « juste » crise mondiale et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. » Nous pouvons affirmer, aujourd’hui, que cette « bonne » crise  coïncide avec l’urgence pandémique et avec le Lock step décrit depuis 2010 par le document de la Fondation Rockefeller, Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international, qui prévoyait tous les événements auxquels nous assistons  (ici).

En bref, ils ont créé un faux problème pour pouvoir imposer comme solution apparente les mesures de contrôle de la population, supprimer avec les confinements et le green pass la petite et moyenne entreprise au profit de quelques groupes internationaux, supprimer l’enseignement par l’enseignement à distance, réduire le coût de la main d’œuvre et du travail salarié grâce au smart working [travail intelligent]privatiser la santé publique au profit de Big Pharma, permettre aux gouvernements d’utiliser l’état d’urgence pour légiférer par dérogation au droit et imposer des vaccins à l’ensemble de la population, en rendant les citoyens  traçables dans tous leurs mouvements, malades chroniques ou stériles.

Tout ce que l’élite voulait faire, elle l’a fait. Et ce qui est incompréhensible, c’est que face à la preuve de la préméditation de ce grand crime contre l’humanité, qui voit les dirigeants de presque le monde entier complices et traîtres, il n’y a pas un seul magistrat qui ouvre un dossier contre eux pour découvrir la vérité et condamner les coupables et les complices. Le dissident n’est pas seulement censuré, mais désigné comme un ennemi public, comme un propagateur, comme une non-personne à qui aucun droit ne doit être reconnu.

Deep state [État profond] et deep church [église profonde]

Maintenant, face à un plan criminel, il serait au moins logique de le dénoncer et de le faire connaître, pour pouvoir ensuite l’éviter et juger les coupables. La liste des traîtres devrait commencer par les chefs de gouvernement, les  ministres et les députés, puis se poursuivre avec les virologues et les médecins corrompus, avec les fonctionnaires complices, avec les hauts gradés des forces armées  incapables de s’opposer à la violation de la Constitution, avec les journalistes vendus, avec les magistrats lâches et avec les syndicats courtisans. Dans cette longue liste qui sera peut-être un jour dressée, il faudrait également énumérer les hauts dirigeants de l’Église catholique, à commencer par Bergoglio, et de nombreux évêques, zélés exécuteurs de la volonté du prince contre le mandat reçu par le Christ. Certes, dans cette liste, on aurait connaissance de l’extension du complot et du nombre des comploteurs, confirmant la crise de l’autorité et la perversion du pouvoir civil et religieux. Bref, on comprendrait que la partie corrompue de l’autorité civile – l’État profond – et de l’autorité ecclésiastique – l’église profonde – sont les deux faces d’une même médaille, toutes les deux instruments de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.

Mais pour comprendre cette alliance entre le pouvoir civil et le pouvoir religieux, il faut reconnaître la dimension spirituelle et eschatologique du conflit présent, en l’encadrant dans la guerre que Lucifer, depuis sa chute, a déclenchée contre Dieu. Cette guerre, dont les conséquences sont décidées ab aeterno avec la défaite inexorable de Satan et de l’Antéchrist et la victoire écrasante de la Femme entourée d’étoiles, s’approche désormais de l’épilogue : c’est pourquoi les forces des ténèbres sont si déchainées, si impatientes d’effacer le nom de Notre Seigneur de la terre, de détruire non seulement la présence tangible dans nos villes en démolissant les églises, en abattant les croix, en supprimant les fêtes chrétiennes ; mais aussi en en supprimant le souvenir, en effaçant la civilisation chrétienne, en en falsifiant l’enseignement, en dégradant son culte. Et pour ce faire, la présence d’une hiérarchie fidèle et courageuse, disposée au martyre pour défendre la foi et la morale chrétienne, est certainement une entrave. C’est pourquoi, dès le début du plan mondialiste, il était indispensable de corrompre la hiérarchie dans la morale et la doctrine, de l’infiltrer avec des cinquièmes colonnes et des cellules dormantes, de la priver de tout désir surnaturel, de la rendre vulnérable au chantage par des scandales financiers et sexuels ; en vue de l’exclure et de l’éliminer une fois son but atteint, selon la pratique en cours.

La fin des années cinquante, lorsque le projet du Nouvel Ordre prenait forme, signa cette opération d’infiltration qui a commencé la propre œuvre de subversion quelques années plus tard, avec le Concile œcuménique Vatican II, par rapport à laquelle l’élection de Roncalli et l’éviction du papable Siri, « dauphin » de Pacelli, ont représenté une raison d’enthousiasme tant pour la composante progressiste et moderniste interne à l’Église que pour la composante communiste, libérale et maçonnique du monde civil. Vatican II représentait au sein du corps ecclésiastique ce que le serment du Jeu de Paume était pour la société civile : le début de la Révolution. Et si j’ai voulu à plusieurs reprises souligner le caractère subversif du Concile, je crois qu’aujourd’hui une analyse historique se rend nécessaire, grâce à laquelle des faits apparemment déconnectés acquièrent une signification inquiétante et expliquent beaucoup de choses.

Liaisons dangereuses

Comme Michael J. Matt l’a rapporté dans une vidéo récente sur The Remnant (ici), aujourd’hui nous commençons à assembler tous les carreaux de la mosaïque et à découvrir – de l’aveu même de l’un des protagonistes – que Mgr Hélder Câmara, archevêque d’Olinda et Recife au Brésil, a rencontré le jeune Klaus Schwab, fondateur du  Forum économique mondial et théoricien de la Grande Réinitialisation. Schwab, ayant connu le Prélat pour son opposition à l’Église traditionnelle et ses thèses révolutionnaires et paupéristes, l’a invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement importante en vue du projet du Nouvel Ordre. Nous savons qu’Hélder Câmara faisait partie des organisateurs du Pacte des Catacombes qui, quelques jours avant la clôture du Concile, le 16 novembre 1965, fut signé par une quarantaine d’évêques ultraprogressistes. Parmi les thèses hérétiques de ce document, il y a aussi la collaboration à l’instauration d’un « autre ordre social, nouveau » (ici, n°9) fondé sur la justice et l’égalité. Et nous ne sommes pas surpris d’apprendre que, parmi les signataires, il y avait aussi Mgr Enrique Angelelli, auxiliaire de Cordoue en Argentine, « point de référence pour celui qui était à l’époque, Jorge Mario Bergoglio » (ici).  Bergoglio lui-même a déclaré, dès le début du Pontificat, qu’il partageait les instances du Pacte des Catacombes. Le 20 octobre 2019, à l’occasion du Synode pour l’Amazonie, a été reproduite la célébration du pacte parmi les conjurés aux catacombes de Santa Domitilla, confirmant que le plan lancé au Concile avait trouvé son accomplissement précisément dans Jorge Mario Bergoglio. Loin de prendre ses distances avec les ultra-progressistes qui le soutiennent et qui ont décidé de son élection au dernier Conclave, il ne manque pas de donner la preuve d’une parfaite cohérence avec le plan du Nouvel Ordre Mondial, à commencer par la collaboration d’organismes et de dicastères du Vatican avec l’environnementalisme de matrice malthusienne et par la participation au Council For Inclusive Capitalism, une alliance globale avec Rothschild, la Fondation Rockefeller et les grandes banques.  Ainsi, d’une part, David Rockefeller avec la Commission trilatérale et, d’autre part, Klaus Schwab, lié aux Rothschild (ici), au Forum économique mondial, se retrouvent bras dessus bras dessous avec le chef de l’Église catholique pour établir le Nouvel Ordre par le biais de la Grande Réinitialisation, comme prévu depuis les années 50.

Le plan mondial de dépopulation

Dans ce pactum sceleris,  il faut également compter quelques représentants de l’Académie Pontificale pour la Vie, récemment bouleversée dans son organigramme précisément par Bergoglio, qui en a éloigné les membres les plus fidèles au Magistère en les remplaçant par des théoriciens de la dépopulation, de la contraception et de l’avortement. Rien d’étonnant donc au soutien du Saint-Siège aux vaccins : le Sovereign Independent de juin 2011 reportait en Une : « Dépopulation par vaccination forcée : la solution du zéro dioxyde de carbone » (ici). A côté du titre, une photo de Bill Gates était accompagnée de ce commentaire : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Cela portera à 9 milliards. Si nous faisons un travail vraiment bien fait avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductrice [c’est-à-dire l’avortement et la contraception], nous pouvons réduire la population de 10 ou 15 %. » Il y a onze ans, Bill Gates, qui fait aujourd’hui partie des actionnaires du groupe Black Rock qui finance les sociétés pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins, faisait partie des principaux commanditaires de l’OMS et d’une myriade d’organismes publics et privés liés à la santé. À ses côtés, curieusement, nous trouvons George Soros, le « philanthrope » de l’Open Society qui, avec la Fondation Bill et Melinda Gates, a récemment investi dans une société britannique qui fabrique des tampons pour révéler le Covid (ici). Et comme nous parlons de questions économiques, je voudrais rappeler que le Saint-Siège a détenu des actions d’une valeur d’environ 20 millions d’euros dans deux industries pharmaceutiques qui fabriquaient un médicament contraceptif (ici) et, plus récemment, a investi dans un fonds qui garantissait des bénéfices très élevés en cas de crise géopolitique ou pandémique grâce à la spéculation sur les monnaies internationales, le Geo-Risk géré par la banque d’affaires Merril Lynch, qui après les premiers mois de pandémie avec des rendements qui sont montés en flèche, a dû le fermer (ici). D’autres capitaux, provenant de l’Obole de Saint Pierre, avaient servi à financer diverses initiatives, y compris en collaboration avec Lapo Elkann, dont le film autobiographique Rocketman d’Elton John. Sans évoquer la spéculation immobilière et l’achat du manoir de Londres, au numéro 60 Sloane Avenue, dont la chronique nous a largement informés, qui, d’une source sûre, je sais a été décidé par Bergoglio lui-même. Encore : toujours au nom de la cohérence et de l’ « Église pauvre pour les pauvres » si chère à Bergoglio, il y a ceux qui pensent que l’accord avec la Chine préparé par les jésuites et l’ex-cardinal McCarrick a rapporté un financement important du régime communiste de Pékin, en échange du silence du Vatican sur la persécution des catholiques et la violation des droits de l’homme (ici).

Ce n’est pas bien différent pour le racket de l’immigration : parmi ceux qui profitent de l’accueil, il y a, outre les coopératives de gauche, les organismes du Vatican et les Conférences épiscopales, auxquels les États donnent des financements importants pour l’accueil des clandestins. L’horrible monument avec le bateau en bronze érigé par Bergoglio sur la Place Saint Pierre est la représentation plastique d’une hypocrisie qui est la  marque de ce pontificat. Lors d’une récente audience du mercredi, nous avons pu entendre ces mots : « L’hypocrite est une personne qui simule, flatte et trompe parce qu’elle vit avec un masque sur le visage, et n’a pas le courage de faire face à la vérité.  […] L’hypocrisie dans l’Église est particulièrement détestable. Malheureusement, l’hypocrisie existe dans l’Église : il y a tant de chrétiens et de ministres hypocrites » (ici). Il me semble qu’il n’y a pas lieu de commenter.

Interférences de l’État profond

Les interférences de l’État profond sur la vie de l’Église catholique ont été multiples. Nous ne pouvons pas oublier les mails de John Podesta à Hillary Clinton, qui montrent son intention d’évincer Benoît XVI de la papauté et de commencer ainsi un nouveau « printemps de l’Église », progressiste et mondialiste, puis réalisé avec la démission de Benoît XVI et l’élection de l’Argentin. Nous ne pouvons pas non plus laisser de côté les ingérences d’organismes et d’institutions loin d’être proches de la religion, comme par exemple le B’nai B’rith, dictant la ligne du « renouvellement » de l’Eglise après Vatican II et massivement sous ce pontificat. Enfin, il convient de rappeler, d’une part, les refus dédaigneux d’audience à des personnalités politiques et institutionnelles d’orientation conservatrice et, d’autre part, les rencontres passionnées souriantes avec des représentants de la gauche et du progressisme, ainsi que les expressions de satisfaction enthousiaste lors de leur élection. Beaucoup d’entre eux doivent leur succès à avoir fréquenté des universités dirigées par la Compagnie de Jésus ou des milieux du catholicisme que l’on pourrait qualifier en Italie de « dossettiens » [1], où le réseau de relations sociales et politiques constitue une sorte de franc-maçonnerie progressiste et assure des carrières fulgurantes aux soi-disant « catholiques adultes », c’est-à-dire à ceux  qui se vantent du nom chrétien sans se comporter au service de la chose publique conformément à la foi et à la morale : Joe Biden et Nanci Pelosi ; Romano Prodi, Mario Monti, Giuseppe Conte et Mario Draghi pour ne citer qu’eux. Comme on le voit, la coopération entre l’État profond  et  l’église profonde est de longue date et a donné les résultats souhaités par ses partisans, au détriment très grave de l’État et de la Religion.

La fermeture des églises au début de 2020, avant même que les autorités civiles n’imposent des confinements ; l’interdiction de la célébration des messes et de l’administration des sacrements pendant l’urgence pandémique ; la performance grotesque du 27 mars sur la place Saint-Pierre (ici) ; l’insistance sur les vaccins et leur promotion comme moralement licites bien qu’ils soient produits avec des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ; les déclarations de Bergoglio selon lesquelles le sérum génétique représenterait un « devoir moral» pour tout chrétien ; l’introduction du passeport sanitaire au Vatican et plus récemment dans les écoles catholiques et dans certains séminaires ; l’interdiction faite par le Saint-Siège aux évêques de se prononcer contre l’obligation de vaccination, rapidement exécutée par certaines Conférences épiscopales, sont autant d’éléments qui démontrent la subordination de l’église profonde  aux ordres de l’État profond et l’organicité de l’Église bergoglienne au plan mondialiste. Si l’on y associe le culte idolâtre de la  pachamama  sous les voûtes de saint Pierre ; l’insistance sur l’œcuménisme irénique, le pacifisme, le paupérisme ; la morale de la situation et la légitimité substantielle de l’adultère et du concubinage  d’Amoris lætitia ; la déclaration d’illégalité de la peine de mort ; l’appui  aux hommes politiques de gauche, aux dirigeants révolutionnaires, aux avorteurs convaincus ; les mots de compréhension pour les instances LGBT, les homosexuels et les transsexuels ; les silences sur la légitimité des unions homosexuelles et ceux encore plus déconcertants sur la bénédiction des couples sodomites par les évêques et prêtres allemands ; l’interdiction de la messe tridentine avec l’abolition du Motu Proprio  Summorum Pontificum de Benoît XVI, nous nous rendons compte que Jorge Mario Bergoglio est en train de mener la mission qui lui est confiée par l’élite mondialiste, qui le voit en liquidateur de l’Église catholique et en fondateur d’une secte philanthropique et œcuménique d’inspiration maçonnique qui devrait constituer la Religion universelle à l’appui du Nouvel Ordre. Que cette action soit menée avec pleine conscience, par peur ou sous chantage, n’enlève rien à la gravité de ce qui se passe, ni à la responsabilité morale de ceux qui en sont les promoteurs.

La matrice luciférienne du Nouvel Ordre Mondial

À ce stade, il faut préciser ce que l’on entend par Nouvel Ordre Mondial, ou plutôt ce que ses artisans entendent, indépendamment de ce qu’ils affirment publiquement. Comme il est vrai, d’une part, qu’il y a un projet, celui qui l’a conçu et celui qui est chargé de l’exécuter, d’autre part, il est vrai que les principes inspirants de ce projet ne sont pas toujours avouables, ou du moins qu’en étroite relation avec ce qui se passe aujourd’hui ils ne peuvent être énoncés ouvertement, puisque cet aveu susciterait une opposition même chez les plus pacifiques et modérés. C’est en effet une chose d’imposer le green pass sous prétexte de pandémie ; une autre de reconnaître que le but du passeport sanitaire est de s’habituer à être tracés ; une autre de dire que ce contrôle total est la « marque de la Bête » dont parle l’Apocalypse (Ap 13, 16-18). Le lecteur me pardonnera si, pour argumenter mes affirmations, je devrais recourir à des citations d’une telle gravité et d’une telle méchanceté, au point de susciter la perplexité et l’horreur : il est nécessaire de comprendre quelles sont les intentions des artisans de ce complot, et quelle est la bataille historique qu’ils lancent contre le Christ et son Église.

Pour comprendre les racines ésotériques de la pensée qui sous-tend les Nations Unies déjà évoquées par Giuseppe Mazzini, nous devons prendre en considération des personnages comme Albert Pike, Eliphas Levi, Helena Blavatsky, Alice Ann Bailey ou d’autres adeptes des sectes lucifériennes. Leurs écrits, publiés depuis la fin du XIXe siècle, sont largement révélateurs.

Albert Pike, ami de Mazzini et comme lui franc-maçon, dans un discours prononcé en France en 1889 aux plus hauts degrés de la franc-maçonnerie, puis repris le 19 janvier 1935 par le magazine anglais The Freemason, affirma :

« Ce que nous devons dire aux foules, c’est que nous adorons un dieu, mais c’est le dieu qui s’adore sans superstition […]. La Religion maçonnique doit être maintenue, par nous tous initiés de haut degrés, dans la pureté de la doctrine luciférienne. Si Lucifer n’était pas Dieu, Adonaï [le Dieu des chrétiens] dont les actions prouvent sa cruauté, sa perfidie, sa haine de l’homme, sa barbarie et sa révulsion pour la science, l’aurait-il calomnié avec ses prêtres ? Oui, Lucifer est dieu et malheureusement Adonaï est Dieu aussi. Pour la loi éternelle, de sorte qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blanc sans noir, l’absolu ne peut exister que comme deux divinités : l’obscurité étant nécessaire à la lumière pour lui servir de contraste, comme le piédestal est nécessaire à la statue et le frein à la locomotive… la doctrine du Satanisme est une hérésie ; et la vraie et pure religion philosophique est la foi en Lucifer, l’égal d’Adonaï ; mais Lucifer, dieu de lumière et dieu du bien, lutte pour l’humanité contre Adonaï, le  Dieu des ténèbres et du démon. »

Cette profession de foi en la divinité de Satan n’est pas seulement un aveu de qui est le vrai Grand Architecte qu’adore la franc-maçonnerie, mais un projet politique blasphématoire qui passe par l’œcuménisme conciliaire, dont la franc-maçonnerie est le premier théoricien : « Le Chrétien, le Juif, le Musulman, le Bouddhiste, le disciple de Confucius et de Zoroastre peuvent s’unir en tant que frères et s’unir dans la prière au seul  dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » (cf.  Albert Pike, Morals and Dogma, ed. Bastogi, Foggia 1984, vol. VI, p. 153). Et qui est le « seul dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » nous a été bien expliqué dans la citation précédente.

Et encore :

« Nous déclencherons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui montrera clairement, dans toute son horreur, aux nations, l’effet de l’athéisme absolu, origine de la barbarie et de la subversion sanguinaire. Alors, partout, les citoyens, obligés de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière par la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée à la vue du public ; manifestation à laquelle suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme conquis et écrasés en même temps ! » (cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum de Londres).

Il n’échappera pas que la « grande hérésie de la séparation » sonne curieusement en résonance avec l’œcuménisme condamné par Pie XI dans l’Encyclique  Mortalium animos, réalisée précisément par la déclaration conciliaire  Dignitatis humanæ  et récemment intégrée dans la doctrine de l’ « inclusivité » formulée par ceux qui ont permis qu’il soit rendu un culte idolâtre à la pachamama dans Saint-Pierre. Et il est clair qu’avec séparation on veut désigner avec une clé d’interprétation négative la consciencieuse séparation du bien du mal, du vrai du faux, du juste de l’injuste, qui constitue le critère de jugement moral du comportement humain. Elle s’oppose à l’inclusivité, c’est-à-dire à se laisser délibérément contaminer par le mal pour adultérer le bien, à assimiler le vrai et le faux pour corrompre le premier et donner une légitimité au second.

Les racines idéologiques communes de l’œcuménisme

Si l’on ne comprend pas que les racines idéologiques de l’œcuménisme sont intrinsèquement liées à l’ésotérisme luciférien maçonnique, on ne peut pas saisir le lien qui lie les déviations doctrinales de Vatican II au plan du Nouvel Ordre Mondial. La révolution de Soixante-huit fut le triste exemple de ces velléités pacifistes et œcuménistes, dans lequel l’ère du Verseau fut célébrée en musique par les Hair in Aquarius (1969) puis par John Lennon avec Imagine  (1971).

« Imaginez qu’il n’y ait pas de paradis. Si vous essayez, c’est facile. Pas d’enfer en dessous de nous. Au-dessus de nous, seul le ciel, imaginez tous les gens qui ne vivent que pour aujourd’hui. Imaginez qu’il n’y ait pas de patries. Ce n’est pas difficile. Rien pour quoi tuer ou mourir et même pas de religion. Imaginez tous les gens qui vivent en paix. On pourrait dire que je suis un rêveur, mais je ne suis pas le seul. J’espère qu’un jour vous vous joindrez à nous et que le monde sera une seule entité. Imaginez qu’il n’y ait pas de propriété. Je me demande si vous pouvez : pas besoin de cupidité ou de convoitise, une fraternité d’hommes. Imaginez que tous les gens partagent le monde entier. » 

Ce manifeste du nihilisme maçonnique peut être considéré comme l’hymne du mondialisme et de la nouvelle religion universelle. Une âme non égarée ne peut que ressentir de l’horreur face à ces paroles blasphématoires. Ainsi que pour celles non moins blasphématoires de God (1970) :  « Dieu est un concept avec lequel nous mesurons notre douleur. […] Je ne crois qu’en moi. »

Je comprends qu’il soit affligeant pour beaucoup d’accepter que la hiérarchie catholique se soit laissée tromper par ses ennemis, faisant siennes leurs revendications sur des questions touchant l’âme même de l’Église. Certes, il y avait des prélats maçons qui ont réussi à introduire leurs idées au Concile en les dissimulant, mais en sachant qu’elles conduiraient inexorablement à la réalisation de cette démolition de la Religion qui est la prémisse de l’instauration de la Nouvelle Ère – l’Age du Verseau – dans laquelle Notre Seigneur est banni de la société pour y accueillir l’Antéchrist. On comprend alors cette indulgence bienveillante de tant de personnalités ecclésiastiques – je pense aux cardinaux Martini et Ravasi, parmi tant d’autres – à l’égard de la franc-maçonnerie, et leur opposition aux excommunications que les papes ont renouvelées contre la secte. On comprend aussi la raison de l’enthousiasme des Loges à l’élection de Bergoglio, et vice versa leur haine mal dissimulée à l’égard de Benoît XVI, considéré comme le kathèkon à éliminer.

Il faut cependant rappeler, avec un certain embarras, que certaines affirmations de Ratzinger font penser à une tentative de « christianiser » le projet mondialiste, sans le condamner comme anti-christique et anti-chrétien :  « Laisse-toi prendre par la main de l’Enfant de Bethléem, ne crains pas, fais-lui  confiance, la force vivifiante de Sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un Nouvel Ordre Mondial » (ici). Ces mots confirment malheureusement l’erreur de la pensée hégélienne, qui a influencé le professeur de Tübingen jusqu’au Seuil. Certes, cette non-prise de position du Pontife a permis de le considérer d’une manière ou d’une autre comme un allié du plan mondialiste, si le président de la République italienne Giorgio Napolitano a pu affirmer, dans son discours de fin d’année 2006  aux Italiens : « Il  y a une harmonie entre moi et le pape Benoît XVI dans le soutien au Nouvel Ordre Mondial » (31 décembre 2006). D’autre part, le processus hégélien de la thèse-antithèse-synthèse fait écho à la devise Solve et coagula de l’alchimie, adoptée par la franc-maçonnerie et l’ésotérisme luciférien. Devise apparaissant sur les bras de Baphomet, idole infernale adorée par les hauts dirigeants de la secte de l’aveu même de ses membres les plus autorisés. Philip Jones, dans son essai Lucifer rising, précisa que la dialectique hégélienne « combine une forme de christianisme comme thèse avec un spiritualisme païen comme antithèse, avec le résultat d’une synthèse très similaire aux religions à mystères babyloniennes ». 

Le panthéisme mondialiste de Teilhard de Chardin

L’œcuménisme est l’un des thèmes clés de la pensée mondialiste. C’est ce que confirme Robert Muller, qui fut assistant du secrétaire des Nations Unies : « Nous devons aller le plus vite possible vers un gouvernement mondial unique, une religion mondiale unique et un leader mondial unique. » Avant lui, l’un des promoteurs de la Société des Nations, Arthur Balfour, a créé la Syntethic Society, qui avait pour but de créer la « religion unique mondiale ».  Pierre Teilhard de Chardin s.j. lui-même, jésuite hérétique, condamné par le Saint Office et aujourd’hui célèbre théologien du progressisme, considérait les Nations Unies comme  « l’incarnation institutionnelle progressiste de sa philosophie », souhaitant « une convergence générale des religions sur un Christ universel qui les satisfasse toutes… Il me semble que c’est la seule conversion possible du monde, et la seule forme sous laquelle une religion de l’avenir peut être conçue» pour « réduire le fossé entre le panthéisme et le christianisme en faisant ressortir ce que l’on pourrait appeler l’âme chrétienne du panthéisme ou l’aspect panthéiste du christianisme ». Il n’échappera pas que la pachamama et l’attribution de connotations mariales à la Terre-Mère concrétisent de façon inquiétante ces concepts de Teilhard de Chardin. Mais cela ne suffit pas : Robert Muller, théoricien du gouvernement mondial et adepte de la théosophe Alice A. Bailey, déclara : « Teilhard de Chardin a influencé son compagnon [le jésuite Emmanuel Saguez de Breuvery, qui a occupé d’importantes fonctions à l’ONU], lequel inspira ses collègues, qui ont commencé un riche processus de pensée globale et à long terme au sein des Nations Unies, qui a concerné de nombreuses nations et personnes à travers le monde. J’ai été profondément influencé par Teilhard. » Dans The future man, Teilhard écrit : « Même si sa forme n’est pas encore visible, demain l’humanité se réveillera dans un monde pan-organisé. » Muller a été fondateur du World Core Curriculum, qui visait à « orienter nos enfants vers la citoyenneté mondiale, les croyances centrées sur la terre, les valeurs socialistes et la mentalité collective, qui deviennent une condition préalable à la main d’œuvre du XXIe siècle. » (New Man Magazine). Et s’il revendique fièrement parmi ses propres inspirations Alice A. Bailey, nous découvrons que la théosophe était une disciple du Mouvement théosophique fondé par Helena Blavatsky, ouvertement luciférienne. Juste pour encadrer le personnage, voici quelques citations de Blavatsky : « Lucifer représente la Vie, la Pensée, le Progrès, la Civilisation, la Liberté, l’Indépendance… Lucifer est le Logos, le Serpent, le Sauveur. » Et, anticipant presque la pachamama : « La Vierge céleste  devient ainsi, en même temps, la Mère des Dieux et des Démons, car elle est la Divinité bénéfique toujours aimante… mais dans l’antiquité et dans la réalité Lucifer est le nom. Lucifer est Lumière divine et terrestre, l’Esprit Saint et Satan en même temps. » Pour finir par : « C’est Satan qui est le dieu de notre planète et l’unique dieu. » Bailey fonda la Lucifer publishing company, maintenant connue sous le nom de Lucis publishing company, étroitement liée au Lucis Trust, anciennement Lucifer Trust, reconnu comme ONG par les Nations Unies. Si l’on ajoute à cet ensemble de divagations infernales les paroles de David Spangler, directeur du projet Planetary Initiative des Nations Unies, nous nous rendons compte à quel point la menace qui pèse sur nous tous est terrible : « Personne ne fera partie du Nouvel Ordre Mondial tant qu’il n’aura pas accompli un acte de culte à Lucifer. Personne n’entrera dans la Nouvelle Ère tant qu’il n’aura pas reçu l’initiation luciférienne. » (Reflections on the Christ, Findhorn, 1978).

Alice A. Bailey écrit à propos du New Age : « Les acquis de la science, les conquêtes des nations et les conquêtes du territoire sont tous révélateurs de la méthode de l’ère des poissons [l’ère du Christ], avec son idéalisme, son militantisme et sa séparation dans tous les domaines – religieux, politiques et économiques. Mais l’âge de la synthèse, de l’inclusivité et de la compréhension est au-dessus de nous, et la nouvelle éducation de l’ère du Verseau [l’ère de l’Antéchrist] doit commencer très doucement à pénétrer dans l’aura humaine. » Aujourd’hui, nous voyons comment les méthodes d’enseignement théorisées par Muller dans le programme d’études de base sont adoptées par presque tous les États, avec l’idéologie LGBT, la théorie du genre et toutes les autres formes d’endoctrinement. L’ancien directeur de l’OMS, le Docteur Brook Chisolm, nous le confirme en expliquant ce que la politique éducative des Nations Unies voudrait réaliser : « Pour parvenir à un gouvernement mondial, il faut retirer de l’esprit des hommes leur individualisme, leur fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme national et leurs dogmes religieux. » (cf. Christian World Report, Mars 1991, Vol. 3).

Voici encore le fil rouge qui lie non seulement Klaus Schwab à Hélder Câmara, mais aussi Robert Muller et Alice A. Bailey à Pierre Teilhard de Chardin et Emmanuel Saguez de Breuvery, toujours dans une ligne mondialiste et sous l’inspiration perverse de la pensée luciférienne. Une analyse approfondie de ces aspects troublants permettra de faire la lumière sur la vérité et de révéler les complicités et les trahisons de nombreux hommes d’Église asservis à l’ennemi.

Notre réponse face à la crise de l’autorité

La corruption de l’autorité est telle qu’il est très difficile, du moins en termes humains, d’imaginer une issue pacifique. Au cours de l’histoire, les régimes totalitaires ont été abattus de force. Il est difficile de penser que la dictature sanitaire qui s’installe ces derniers mois peut être combattue différemment, puisque tous les pouvoirs de l’État, tous les médias, toutes les institutions internationales publiques et privées, tous les potentats économiques et financiers sont complices de ce crime.

Face à ce sombre scénario de corruption et de conflit d’intérêts, il est indispensable que tous ceux qui ne sont pas asservis au plan mondialiste s’unissent dans un front compact et cohésif, pour défendre les droits naturels et religieux, leur santé et celle de leurs proches, leur liberté, leurs biens. Lorsque l’autorité manque à ses devoirs, et trahit au contraire le but pour lequel elle est constituée, la désobéissance n’est pas seulement légale, mais aussi un devoir. Désobéissance non violente, du moins pour l’instant, mais déterminée et courageuse. Désobéissance aux diktats illégitimes et tyranniques de l’autorité civile, et opposition farouche aux diktats de l’autorité ecclésiastique, là elle se montre complice du plan infernal du Nouvel Ordre Mondial.

Conclusion

Permettez-moi de conclure cette réflexion par une brève pensée spirituelle. Tout ce que nous savons, que nous découvrons et que nous comprenons du complot global en cours nous montre une réalité énorme mais à la fois nette et claire : il y a deux camps, celui de Dieu et celui de Satan, celui des enfants de la Lumière et celui des enfants des ténèbres. Il n’est pas possible de se réconcilier avec l’Ennemi, et on ne peut pas servir deux maîtres (Mt 6, 24). Les paroles de Notre Seigneur doivent être gravées dans notre esprit : « Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi ; et ceux qui ne ramassent pas avec moi dispersent. » (Mt 12, 30). Espérer construire un gouvernement mondial dans lequel la royauté divine de Jésus-Christ est interdite est fou et blasphématoire, et personne qui a un tel projet ne réussira jamais. Là où règne le Christ, règne la paix, la concorde, la justice ; où le Christ ne règne pas, Satan est tyran. Réfléchissons bien, quand au nom d’une coexistence pacifique, nous devons choisir de nous réconcilier avec l’adversaire ! Et qu’ils y pensent aussi ces prélats et ces dirigeants qui pensent que leur complicité ne touche qu’aux questions économiques ou de santé, prétendant ne pas savoir ce qu’il y a derrière tout cela.

Revenons au Christ, au Christ Roi des cœurs, des familles, des sociétés et des nations. Proclamons-Le notre Roi, et Marie très Sainte notre Reine. Ce n’est qu’ainsi que ce projet infâme du Nouvel Ordre Mondial pourra être vaincu. Ce n’est qu’ainsi que la Sainte Église pourra se purifier des traîtres et des renégats. Et que Dieu écoute notre prière.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

28 août 2021 – S. Augustini Episcopi et Confessoris et Ecclesiae Doctoris 

Note de bas de page :

[1] Le père Giuseppe Dossetti (1913-1996) est considéré comme le fondateur de « l’école de Bologne » et le père du « catholicisme progressiste ». Il a servi de peritus à Vatican II au cardinal Giacomo Lercaro, archevêque de Bologne, et a été très influent dans le contrôle des procédures du Concile]


[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




À tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

Par Reza Moghaddassi

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du Covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister.

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de nous encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important, ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
Vous avez raison, le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.
Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine, puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien.

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital
C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long termes.
C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du Covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.
C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du Covid une majorité de gens morts avec le Covid.
C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.
C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
  • Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
  • Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
  • Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
  • Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.
  • Que si une personne âgée meurt en ayant le Covid, elle meurt du Covid, mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
  • Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels, mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre

  • Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
  • Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.
  • Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième doses et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe, mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
  • Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
  • Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants, mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
  • Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.
  • Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
  • Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
  • Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

  • La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.
  • L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.
  • Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.
  • Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
  • Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
  • Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.
Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.

Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021.


À propos de l’auteur

Reza Moghaddassi

Jeune agrégé de philosophie – matière qu’il enseigne au Gymnase Jean-Sturm à Strasbourg –, Reza Moghaddassi est d’origine franco-iranienne. Né d’un père musulman et d’une mère catholique, il a embrassé le bouddhisme pendant dix ans. Ces trois traditions spirituelles nourrissent en profondeur sa vie intérieure, animée par une quête d’absolu qu’il a évoquée dans son premier ouvrage, La Soif de l’essentiel (Marabout, 2018).

Son dernier livre, Les murs qui séparent les hommes ne montent pas jusqu’au ciel (Marabout), interroge notre rapport à la vérité dans une période où les convictions s’entrechoquent. « On ne possède pas la vérité, on est tout au plus possédé par elle », souligne le philosophe, qui cherche à sortir de l’opposition des contraires. Selon lui, si chacun détient la vérité, il n’y a plus de vérité. « Le chaos naît de l’incapacité, comme dirait Héraclite, de faire du jeu des contraires l’équilibre qui rend possible la splendeur du monde. » [Le Monde.] Vigilance Pandémie ne partage pas ses convictions au sujet de la vérité.




Invité dans l’émission Bourdin Direct sur BFM TV, Gilles Pialoux a tenu à répondre aux fake news voulant remettre en question l’efficacité du vaccin contre la Covid-19. Mais, qui est Gilles Pialoux ?

[Source : LE BLOG DU DOCTEUR JO (jesuismalade.org)]

Par Docteur Alain Joseph

Ci-dessous le lien de l’interview de Gilles Pialoux par Bourdin :

HTTPS://WWW.GALA.FR/L_ACTU/NEWS_DE_STARS/GILLES-PIALOUX-TORD-LE-COU-AUX-FAKE-NEWS-IL-RETABLIT-UNE-VERITE-SUR-LE-VACCIN_475210

[Lien direct : Gilles Pialouxface à Jean-Jacques Bourdin en direct – 25/08 (bfmtv.com)]

Ci-dessous les liens d’intérêts du sieur Pialoux qui officiellement ne touche pas de rémunérations cachées des nombreux laboratoires qui l’utilisent :

HTTPS://CNS.SANTE.FR/WP-CONTENT/UPLOADS/2016/10/DPI2016_PIALOUX_GILLES.PDF


Vous pouvez remarquer que Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Tenon, travaille gratuitement (sauf les frais de déplacement – ce qui est normal) comme investigateur principal, investigateur coordinateur ou co-investigateur (parfois les 3 ensemble) pour les laboratoires suivants :
Gilead, Pfizer, GSK, Janssen (vous les connaissez, ces quatre là – pour leurs magnifiques, splendides, superbes, (sauveurs de l’humanité en la réduisant), vaccins et tout le saint glin glin… mais aussi BMS, Iatec, MSD, Tibotec, InnaVirVax, Abbvie, Abbott Bristol Meyer Squibb, Imea… n’en jetez plus, et je ne mentionne pas tout.

Il faut Mr Pialoux, annoncer vos conflits d’intérêts avant de prendre la parole. C’est une obligation légale que vous enfreignez. Un peu d’honnêteté monsieur le professeur. C’est vous le porteur de fake news.

Les vaccins contre la covid 19 sont non seulement inefficaces mais sont dangereux. Vous même Mr Pialoux n’êtes pas vacciné même si vous prétendez le contraire car vous avez peur de ces vaccins et je suis très bien renseigné à ce sujet. Tout se sait Mr Pialoux même ce que vous croyiez secret. Quand vous vous êtes inscrit en médecine, pensiez vous en arriver à dire haut et fort des choses dont vous connaissez pertinemment la fausseté ? Est-ce que vous pensez que votre titre vous mets à l’abri du mensonge et que vous pouvez pérorer ainsi tel un valet ? Réfléchissez un tantinet devant la mousse à raser le matin avant de vous rendre dans votre service. Ce que vous faites, et ce que vous dites à Bourdin – qui aurait dû vous demander vos liens et conflits d’intérêts – ne correspond nullement à l’image que le public se fait d’un chef de service hospitalier. Ressaisissez vous professeur Pialoux, un peu de panache que diable !

Arrêtez de dénoncer des fakes news qui correspondent à la Vérité par d’autres fakes news; le système est éculé et vieux comme Hérode. Personne ne vous empêche de faire vos petits arrangements mais svp ne venez plus vous ridiculiser à la télévision. Restez chez vous, vous n’êtes pas crédible.




Hommage au Pr Raoult et à tous les combattants de la Liberté

par Nicole Delépine

21 AOÛT

De magnifiques et énormes manifestations dans plusieurs villes et de plus en plus de petites villes et de villages qui participent avec quelques milliers et centaines de milliers de manifestants, qui au total s’accumulent… On nous avait promis le déclin avec les retours de vacances, il n’en fut rien, des villes comme TOULON ou PARIS entre autres décrivent des cortèges très longs. Plein de vidéos sur anonyme citoyen, sur Telegram convaincront les plus pessimistes.

Mais en tant que collègue médecin, je voudrais poster une mention spéciale pour les hommages au Pr Raoult et les milliers et centaines de milliers de personnes à PARIS MARSEILLE et probablement dans beaucoup d’autres endroits qui ont scandé son nom pendant de longues minutes.

Quelle émotion pour nous tous médecins honnis de la dictature des puissants, d’entendre les peuples reconnaitre celui qui est le symbole du traitement précoce depuis mars 2020, celui qui a sauvé beaucoup de patients considérés comme perdus et refoulés des hôpitaux en particulier parisiens et sont arrivés à l’IHU après quelques heures de voiture ou de train et ont été pris en charge d’emblée sans discrimination.

Il semble même que la belle-fille du président soit arrivée en hélicoptère et fut soignée là-même où un directeur ami du chef suprême veut rayer la science, la vraie, pas celles des serviteurs de big pharma de notre pauvre France.

Semaine après semaine, et sans tenir compte des rumeurs politiciennes sur la taille de sa coupe de cheveux ou son look, le professeur Raoult a informé les Français par une vidéo émanant de l’institut sur les faits constatés sur ses patients et rien que les faits.

Ceux qui ont suivi ses vidéos ainsi que d’autres de ses brillants adjoints menacés également par la machine à détruire du pouvoir, ont compris au fur et à mesure l’intérêt des traitements précoces, l’arnaque du Remdésivir pourtant soutenu par tous les médecins de plateaux financés par GILEAD, le caractère plus que discutable de l’intérêt du pseudovaccin, même si le professeur Raoult a tenté de calmer le jeu par une vidéo conciliante. Rien n’y a fait, le copain du président nommé à la tête des hôpitaux de Marseille a déjà dégommé le Dr Fouché réanimateur pour délit d’opinion, et le Pr Raoult.

Ne doutons pas que les autres suivent si la colère populaire globale n’est pas suffisamment forte pour faire reculer la dictature qui s’installe.

Remarquons au passage les conflits d’intérêt entre ce directeur et les labos pharmaceutiques

En attendant, remontons-nous le moral en pensant à l’émotion qu’a dû ressentir le Pr Raoult de ces hommages populaires devant son IHU et partout ailleurs. Comme dit un internaute, Véran peut en être vert de jalousie, car il ne peut imaginer que son nom ne soit scandé dans la rue que pour demander sa démission, au minimum, d’autres parlent de prison…

Notons qu’en plus d’avoir popularisé les traitements précoces dans le monde qui en a profité largement pour des milliards d’individu disposant de ces médicaments peu chers si besoin.

“Le Mali avec 0,4% de vaccinés, qui traite avec le protocole du Professeur Raoult, comptabilise 26 morts par million d’habitants, avec des infrastructures sanitaires à des années-lumière de celles de la France…. qui a, elle, 1728 morts par million d’habitants ? Mais en France on fait l’autruche ?”-

Raoult

« a dépisté quand personne ne dépistait, a soigné avec des anticoagulants et de l’oxygène en ambulatoire avant tout le monde, a travaillé avec l’administration et les marins pompiers pour sauver les EHPAD… Bref la méthode que tous ont fini par adopter ».

MAIS BIEN PIRE ENCORE le Pr Raoult dénonce de plus en plus ouvertement les conflits d’intérêt :

« Les conflits d’intérêt ont atteint un niveau de toxicité qu’il va falloir résoudre. Vous ne pouvez pas laisser des gens qui manient des milliards avoir une liberté totale dans leurs relations avec le monde de la santé »

vidéo du PR RAOULT

« Une foule impressionnante scande #Raoult Raoult devant l’IHU Marseille à envoyer à BFMTV svp #Manifs21aout » et puis Liberté Liberté et la MARSEILLAISE

La magnifique manifestation de Florian Philippot, ses soutiens et de nombreux autres à Paris a dû également réchauffer le cœur de notre professeur classé internationalement comme le meilleur ou un des meilleurs virologues au monde, mais méprisé par nos décideurs et par tant d’éditorialistes incompétents et imbus de leurs nouvelles fonctions de médecins ou mercenaires de plateaux.
Elle nous a tous réchauffés prouvant que des centaines de milliers de Français et probablement plus font encore la différence entre véritable science, médecine fidèle à Hippocrate et rien que pour eux nous pouvons et devons poursuivre ensemble ce combat. Ce dernier devient de plus en plus grotesque quand on voit des personnalités comme le pr Montagnier – qu’ils n’ont pas réussi à corrompre – et ont dû se contenter de leur traiter de gâteux, poursuivi par le Conseil de l’Ordre…

QUI sont-ils pour se permettre l’attaque de Raoult, Perronne, Montagnier et tant d’autres coupables d’avoir guéri leurs patients avec les traitements précoces, peu chers, de leur avoir évité la réanimation et les essais thérapeutiques par Remdésivir ou autre imposés par l’AP-HP et affidés
Le Conseil de l’Ordre fait tout ce qu’il peut pour rappeler ses honteuses origines de Vichy et la dénonciation par des médecins collabos des résistants et des médecins juifs…

Voici la belle prestation parisienne :

« Dans le cortège parisien, des dizaines de personnes ont agité des pancartes “Touche pas à Raoult”. En tête de cortège, l’avocat Fabrice Di Vizio et Florian Philippot. Le chef de file des Patriotes ironise sur le remplacement de Didier Raoult :

“C’est normal, c’est la promotion des médiocres, de l’environnement qui entoure Monsieur Macron, des gens serviles. Il faut les mettre à la place des vrais qui savent, des vrais qui travaillent depuis 40 ans sur le sujet, c’est honteux. Il (le Pr Raoult) a créé l’IHU en 2011, il le dirige, il peut encore le diriger, il l’a demandé. C’est quoi son péché mortel ? C’est d’avoir soigné les gens, c’est d’avoir dépisté avant les autres, c’est d’avoir dit avant les autres qu’il y avait des variants, c’est d’avoir dénoncé les conflits d’intérêt et la corruption ? C’est ça, son péché mortel ? Sûrement.”



Et celui qui tente d’évincer Raoult, François Crémieux, nouveau patron de l’APHM, qui a viré Raoult, proche de Macron est aussi au comité stratégique d’un labo, associé à Pfizer effectuant des recherches sur un traitement COVID.

Nicole Delépine




Le rapport de Graphika : soft power et guerre de 4e génération contre l’Algérie

[Source : ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

Contrairement au hard power qui est basé sur la force coercitive classique, le soft power utilise l’attraction positive et la persuasion pour atteindre des objectifs de politique étrangère. Il s’agit donc d’une capacité d’influence susceptible d’imposer, en douceur, un comportement ou une façon de penser identiques ou similaires à celles de celui qui utilise cette technique. Son succès repose donc sur l’impression de ne pas y avoir pas été contraint. Ainsi, le soft power n’atteint ses objectifs que s’il n’est pas perçu comme de la manipulation ou de la propagande.

Selon son concepteur, le très influent Joseph Nye, le soft power est soutenu par trois piliers : les valeurs politiques, la culture et la politique étrangère. Commentant cette théorie, le professeur G. John Ikenberry donne les précisions suivantes dans la célèbre revue Foreign Affairs:

« Les États-Unis peuvent dominer les autres, mais ils ont également excellé dans la projection du soft power, avec l’aide de leurs entreprises, fondations, universités, églises et autres institutions de la société civile; la culture, les idéaux et les valeurs des États-Unis ont été extrêmement importants pour aider Washington à attirer des partenaires et des partisans ».

L’exportation de la démocratie, qui est un champ établi et prépondérant de la politique étrangère américaine, utilise évidemment le soft power. Dans son article traitant du soft power américain dans les révolutions colorées, l’anthropologue Boris Pétric mentionne que des « ONG américaines sont les principaux acteurs de cette promotion de la démocratie, des droits de l’homme et de la liberté […] ».

Cette relation entre les ONG et le soft power est très bien explicitée par Susan Liautaud dans son article « Soft Power of NGOs: Hard Responsibility, Hard Strategy, and Hard Accountability » dans lequel elle note que « les ONG et les autres acteurs du secteur à but non lucratif sont tenus d’utiliser le soft power de façon responsable et de rendre compte des conséquences induites par cette utilisation »

Il a été aussi montré que ces mêmes ONG américaines, étatiques ou non, ont joué le même rôle dans ce qui est abusivement appelé le « printemps » arabe. La printanisation de certains pays arabes ciblés à l’aide du soft power américain a été réalisé par l’intermédiaire de la formation et du réseautage de cyberactivistes « autochtones », c’est-à-dire provenant des pays visés. Ces révoltes qui ont été présentées et vendues comme une « belle saison » se sont avérées n’être que des « regime change » accompagnés de chaos, de destruction et de désolation.

Une décennie plus tard, ces ONG sont encore actives, tout particulièrement dans le Hirak algérien.

Tel que noté par Albert A. Nofi, le soft power est une des ressources sur lesquelles s’appuient la guerre de 4e génération (G4G), cette guerre moderne qui, d’après François-Bernard Huyghe, « correspondrait à la révolution de l’information » tout en précisant qu’elle « mobiliserait des populations entières en un antagonisme gagnant tous les domaines politique, économique, social, culturel ».

En ce qui concerne l’utilisation militaire de l’information, Christina M. Knopf et Eric J. Ziegelmayer nous expliquent que :

« l’information est un produit qui se prête à l’arsenalisation et l’environnement informationnel est devenu vital pour le succès des opérations militaires. Le domaine de l’information, l’Internet en particulier, est aujourd’hui un terrain crucial à saisir pour exercer une influence économique et diplomatique dominante.  C’est la raison pour laquelle les États-Unis ont officiellement incorporé à leur doctrine […] la « guerre des communications » ».

Cette « arsenalisation » de l’information a été rendue efficace grâce à l’essor fulgurant de l’Internet et des médias sociaux. À ce sujet, Waseem Ahmad Qureshi donne quelques précisions :

« Les progrès technologiques actuels (accès plus facile aux blogs médiatiques et à Internet) rendent la propagande et la manipulation des faits plus facilement accessibles tout en élargissant les conséquences des opérations de guerre de l’information en provoquant des effets dommageables massifs »

La recherche qui sera exposée dans cet article montre de manière explicite que l’Algérie fait actuellement l’objet d’une G4G qui a profité des remous du Hirak pour se déployer insidieusement.

Hirak, soft power et guerre de 4e génération

Un livre et de très nombreux articles ont été consacrés au rôle des organismes américains d’exportation de la démocratie et leurs relations avec le Hirak et ses « ténors ». Cet aspect du soft power ne sera pas traité dans ce travail, mais les lecteurs intéressés sont invités à consulter les liens suggérés.

Il faut cependant préciser que le soft power utilisé dans les G4G possède d’autres techniques aussi efficaces les unes que les autres.

Il a été fait mention d’une de ces techniques dans un de mes articles datant de décembre 2019. Il s’agit de mandater un universitaire crédible pour écrire, dans une revue crédible, un texte complétement fallacieux afin de suggérer un comportement donné et le présenter comme étant juste et approprié alors que, dans la réalité, il est complétement déraisonnable. Un exemple typique est celui du professeur Robert Zaretsky, professeur d’histoire de France à l’université de Houston qui s’est fait remarquer par un texte abracadabrantesque dans Foreign Affairs. En effet, le 26 novembre 2019, c’est-à-dire à peine deux semaines avant l’élection présidentielle algérienne, le professeur écrivait: « An Election’s Failure Will Be a Democratic Success » (L’échec de l’élection sera un succès démocratique).

Hallucinant! D’après ce professeur vivant dans un pays supposé être démocratique « ne pas voter est un acte démocratique »! Mais quel genre de démocratie désire exporter ce professeur loufoque?

L’histoire retiendra néanmoins l’odieuse campagne d’intimidation des électeurs lors de ce scrutin, ignominie qui a dû tellement faire plaisir à M. Zaretsky, certainement commandité pour nuire à l’Algérie.

Plus récemment, c’est dans un petit encadré publié par le journal français Le Figaro en date du 31 juillet 2021 qu’apparut une nouvelle technique encore plus insidieuse que celle de notre professeur de Houston. Celle-ci est destinée à persuader le public que l’État algérien utilise des cybermanipulations malhonnêtes « pour défendre les intérêts du président algérien », tout en parrainant des « campagnes de harcèlement » contre des opposants politiques.

Le Figaro précise que ces informations proviennent d’un rapport élaboré par une société américaine nommée Graphika, « spécialisée dans les nouvelles technologies et l’analyse des réseaux sociaux ». Personne n’est dupe. Cette mention cherche évidemment à donner de la crédibilité à cette compagnie et, par conséquent, conférer de la véracité à son rapport.

Encore un organisme américain qui s’attaque à l’État algérien en général et aux institutions présidentielle et militaire en particulier! Décidément, ils ne lâcheront jamais ces Américains!

Mais qui est donc Graphika? Qui est derrière ce joli nom, quels sont ses champs d’intérêts et qui la finance?

Contrairement à Émilien Hertement, le journaliste du Figaro qui a bêtement rapporté la nouvelle, nous allons nous intéresser, dans un premier temps, à cette société pour comprendre ses motivations et nous enquérir de son sérieux. Ensuite, nous étudierons en détail son rapport cité par Le Figaro.

Graphika et ses connexions sulfureuses

D’après les informations figurant sur son site officiel, Graphika est

« une société d’analyse de réseau, fondée en 2013 par le Dr. John Kelly qui a étudié, dans sa thèse, l’essor fulgurant des conversations sur Internet en utilisant l’analyse de réseau des relations entre les auteurs en ligne, et pas seulement le contenu de leurs messages ».

Toujours selon son site, Graphika est financé par la DARPA, la « Minerva Initiative », l’« US Senate Select Committee on Intelligence » et la « Knight Foundation ».

DARPA est l’acronyme de la « Defense Advanced Research Projects Agency » (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) qui est une agence du ministère de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et du développement des nouvelles technologies destinées à l’usage militaire.

La « Minerva Initiative » est une initiative de recherche universitaire en sciences sociales parrainée par le ministère de la Défense des États-Unis axée sur des domaines d’importance stratégique pour la politique de sécurité nationale des États-Unis. Lancée en 2008 par Robert Gates, le secrétaire à la Défense de l’époque, elle a pour objectif d’améliorer la compréhension de base du ministère de la Défense en ce qui concerne les forces sociales, culturelles, comportementales et politiques qui façonnent les régions du monde d’importance stratégique pour les États-Unis. Dès le début, le programme s’est focalisé , entre autres, sur les recherches universitaires traitant de la Chine, de l’Irak, du terrorisme et de l’islam radical. À son lancement, le projet a reçu 50 millions de dollars du ministère de la Défense des États-Unis pour financer ces recherches.

Les subventions de recherche sont supervisées par des gestionnaires de programme affiliés à deux organisations militaires de recherche fondamentale : le Bureau de la recherche scientifique de l’Armée de l’air (AFOSR) et le Bureau de la recherche navale (ONR).

L’«US Senate Select Committee on Intelligence » (SSCI) est un comité créé par le Sénat américain en 1976 pour superviser et faire des études continues sur les activités et programmes de renseignement du gouvernement des États-Unis.

La « Knight Foundation » se présente comme une fondation nationale américaine qui investit dans le journalisme et les arts et dont l’objectif est de favoriser des communautés informées et engagées qu’elle croit essentielles à une démocratie saine. Cette fondation collabore cependant activement avec l’Open Society de George Soros, la National Endowment for DemocracyFreedom House et l’USAID.

Ces quatre organisations forment la colonne vertébrale du dispositif américain pour l’exportation de la démocratie dont il a été question précédemment.

Et ce n’est pas tout. Graphika déclare être associé avec des groupes de défense des Droits de l’homme du monde entier « pour surveiller les menaces numériques ciblant les utilisateurs vulnérables ».

En fait, il s’agit de Human Rights Watch (HRW), Amnesty International (AI) et « The Syria Campaign ». Il est de notoriété publique que les deux premières organisations (HRW et AI) sont largement financées par l’Open Society.  Et il ne faut surtout pas oublier qu’elles ont été toutes deux (avec d’autres entités droitdelhommistes) derrière la résolution du Parlement européen contre l’Algérie, juste quelques jours après le référendum sur la nouvelle Constitution algérienne. Drôle de coïncidence, n’est-ce pas? Comme la coïncidence de l’article de notre pitoyable professeur Zaretsky, un an plus tôt.

L’association de Graphika avec « The Syria campaign » est très révélatrice du rôle de désinformation, de propagande et d’étroite collaboration de cette société avec les gouvernements américains et britanniques.

« The Syria campaign » qui se dit « organisation à but non lucratif enregistrée au Royaume-Uni » est étroitement lié aux « White Helmets » (casques blancs), organisme de protection civile syrien qui a défrayé la chronique en 2016 (lire mon article sur ce sujet, rédigé à l’époque).

En fait, ces « secouristes » présentés comme des héros en occident, sont financés par l’USAID (United States Agency for International Development), le plus important des organismes américains d’« exportation » de la démocratie. Un document de l’USAID datant de 2018 précise qu’une subvention de 6,25 millions de dollars a été octroyée aux « White Helmets », en plus des 33 millions de dollars qui leur ont été versés depuis 2013. Ces « casques blancs » ont aussi été très largement financés par la Grande-Bretagne via le « Foreign and Commonwealth Office ». En date du 31 mars 2018, le montant total du financement que le gouvernement britannique leur a fourni s’élevait à 38 425 591,23 £. Ce qui fit dire à Julie Hyland, journaliste et militante britannique :

« Financés par le « Conflict, Stability and Security Fund » du gouvernement britannique et le programme USAID du gouvernement américain, ils [les « White Helmets »] font partie d’un réseau de forces djihadistes soutenues par l’Occident pour organiser un changement de régime ».

The White Helmets: The greatest scandal to hit Syria

Selon Vanessa Beeley, journaliste indépendante qui a beaucoup travaillé sur le terrain en Syrie et dans de nombreux autres pays de la région, les « White Helmets » « étaient liés financièrement à Londres et à Washington (entre autres), principaux belligérants occidentaux sans mandat en Syrie […] et que des membres des Casques blancs entretenaient des liens avec des groupes djihadistes rebelles, tels que Fatah Al-Cham, résultat de la fusion d’Al-Nosra et de Ahrar Al-Cham ».

Le mythe des « casques blancs » a été démoli par un grand nombre de journalistes et chercheurs de renom dont Eva BartlettJohn PilgerGareth Porter,Phillip GiraldiCraig Murrayet l’ancien inspecteur des armements de l’ONU Scott Ritter.

Graphika et ses figures publiques

Parmi les figures publiques de Graphika, on retrouve les noms de l’anglais Ben Nimmo (directeur des recherches) et de la française Camille François (directrice de l’innovation).

Ben Nimmo a rejoint Graphika en 2019, pourtant, rien ne le prédestinait à ce poste. Son parcours singulier a été décrit dans un article détaillé du New York Times (NYT).

En effet, il a étudié la littérature à l’Université de Cambridge, a travaillé comme instructeur de plongée sous-marine en Égypte, ainsi qu’écrivain et journaliste de voyage en Europe. En 2011, il a été recruté par l’OTAN comme attaché de presse principal sur la Russie et l’Ukraine jusqu’en 2014. Ensuite, il est devenu chercheur indépendant et a commencé à travailler sur la Russie sous contrat pour des think tanks pro-démocratie comme l’« Institute for Statecraft » qui pilote un projet  financé par le « Foreign and Commonwealth Office » nommé « The integrity initiative ». Créé en 2015, ce programme avait pour objectifs de contrer et sensibiliser à la désinformation provenant de pays comme la Russie et la Chine ainsi que de groupes extrémistes comme Daech. Comme par hasard, il s’agit de pays et ou organismes ciblés aussi par la « Minerva Initiative ».

Au cours de la campagne électorale américaine de 2016, M. Nimmo a collaboré avec l’Atlantic Council, le think tank non officiel de l’OTAN.

Pour se faire une idée de l’importance de ce « groupe de réflexion », il n’y a qu’à consulter l’impressionnante liste des membres de son Conseil d’administration. On y trouve, entre autres, Henry Kissinger, Joseph Nye (le concepteur du soft power), le général David H. Petraeus (commandant de la coalition militaire sous Bush fils et chef des troupes de l’OTAN ainsi que Directeur de la CIA sous Obama), Stephen Hadley (conseiller à la sécurité nationale de Bush fils), Robert Gates (cité précédemment – Directeur de la CIA sous Bush père et Secrétaire à la défense sous Bush fils et Obama). On y trouve aussi James Baker, Léon Panetta, Colin Powell, James Woosley, Peter Ackerman et j’en passe car la liste donne le tournis (le lecteur est invité à consulter ces pages pour plus de détails: lien 1 et lien 2). Pour la petite histoire, James Woosley a été directeur de la CIA sous Bill Clinton et a dirigé Freedom House . De son côté, Peter Ackerman a aidé à la création de l’Albert Einstein Institution dirigé par son professeur, l’illustre Gene Sharp, le théoricien de la « lutte non-violente » qui a été utilisée dans les révolutions colorées et le « printemps » arabe. Sa théorie a été développée dans de nombreux livres et tout particulièrement dans « De la dictature à la démocratie », ouvrage qui est devenu le livre de chevet de tous les révolutionnaires en herbe à travers le monde.

Revenons maintenant à Ben Nimmo. Il a aidé à fonder le Digital Forensic Research Lab (DFRLab) de l’Atlantic Council, un groupe basé à Washington qui étudie la désinformation en ligne.

En 2018, Facebook a annoncé un partenariat avec DFRLab pour « identifier, exposer et expliquer la désinformation lors des élections dans le monde », accordant à l’Atlantic Council et à Nimmo l’accès aux données privées de milliards d’utilisateurs de Facebook.

Facebook a fait de lui et du laboratoire les premiers étrangers autorisés à étudier les réseaux de désinformation sur son site avant que l’entreprise ne ferme les réseaux.

À la fin de son article, le NYT précise que Graphika et DFRLab ont tous deux reçu un financement de Facebook.

Le 5 février dernier, Ben Nimmo annonçait son départ de Graphika pour rejoindre Facebook où il aiderait « à diriger la stratégie mondiale de renseignement sur les menaces contre les opérations d’influence ». Sans oublier, bien sûr, de faire « coucou » à sa collègue et collaboratrice, Camille François.

Cette nouvelle n’est pas passée inaperçue, bien au contraire. Sur The Grayzone, par exemple, on pouvait lire un article intitulé « Facebook hires ex-NATO press officer and social media censor Ben Nimmo as intel strategist » (Facebook embauche Ben Nimmo, ancien attaché de presse de l’OTAN et censeur des médias sociaux, en tant que stratège du renseignement), alors que Mint Press News titrait « Facebook partners with Hawkish Atlantic Council, a NATO lobby group, to “protect democracy” » (Facebook s’associe au belliciste Atlantic Council, un groupe de pression de l’OTAN, pour « protéger la démocratie »).

Passons maintenant à la seconde figure publique de Graphika qui se nomme Camille François. Diplômée de Sciences-Po et boursière Fulbright, elle a été membre de la « New America’s Cybersecurity Initiative » (NACI), chercheure principale chez Jigsaw, a dirigé des projets de recherche sur la cybersécurité et les droits de l’homme pour la « Defence Advanced Research Projects Agency », et a travaillé pour l’équipe « Market Insights » de Google (consulter ce lien).

La « New America’s Cybersecurity Initiative » est un organisme financé (entre autres) par le Département d’état américain, la Knight Foundation, Open Society, Google, Microsoft, Apple et Facebook.

Jigsaw (anciennement Google Ideas) est un groupe de réflexion et un incubateur technologique au sein de Google/Alphabet dirigé par Jared Cohen. Ce dernier a travaillé au Département d’État américain comme membre du comité de planification des politiques du département d’État américain, puis a été très proche conseiller des secrétaires d’État Condoleezza Rice et Hillary Clinton. C’est, par exemple, lui qui avait personnellement contacté le cofondateur et président de Twitter, Jack Dorsey, pour lui demander de reporter les travaux de maintenance des serveurs de Twitter afin de ne pas perturber les activités des cyberactivistes iraniens lors de leurs manifestations antigouvernementales en 2009.

Mais ce qui attire le plus l’attention, c’est son rôle dans la formation des cyberactivistes arabes en préparation du « printemps » arabe. En effet, Jared Cohen fut un des fondateurs de AYM « Alliance of Youth Movements » (rebaptisée Movements.org) qui se définit comme une organisation américaine à but non lucratif (d’après leur site) qui affiche clairement sa mission : i) identifier des cyberactivistes dans des régions d’intérêt ; ii) les mettre en contact entre eux, avec des experts et des membres de la société civile ; et iii) les soutenir en les formant, en les conseillant et en leur procurant une plateforme pour initier les contacts et les développer dans le temps (pour plus de détails, consulter mon article sur le sujet).

Comme expliqué précédemment, la « Defence Advanced Research Projects Agency » (DARPA) est l’agence du ministère de la Défense des États-Unis qui finance Graphika. Comme le monde est petit!

D’après ce qui est mentionné sur son CV, Camille François a été aussi recrutée par Google, dans l’équipe de « Market Insights ». Directrice de recherche associée, elle s’est spécialisée dans la recherche en ligne sur les PME françaises et a géré les trackers de marque et de confidentialité de Google pour la perception parmi le public et les faiseurs d’opinion clés.

Pour boucler la boucle, Mme François s’est formée, en 2014, à l’École de l’OTAN d’Oberammergau (Allemagne) sur les « cyber-opérations » tel que précisé également sur son CV.

Graphika, la main dans le sac

La société Graphika a été impliquée dans de nombreuses controverses en relation avec i) le « repérage » d’un type particulier et ciblé de désinformation sur les médias sociaux et ii) son rôle de « chien truffier » dressé pour servir des commanditaires militaristes, atlantistes et occidentalistes.

Pour clarifier ce point, nous allons citer deux exemples pédagogiques.

1- L’affaire Jeremy Corbyn

La très large élection de Jeremy Corbyn à la tête du parti travailliste britannique avec près de 60% des voix en 2015 a été suivie par une campagne médiatique « mainstream » ayant pour but de diaboliser sa personne et de lui ôter toute légitimité politique de premier plan.

Tout d’abord, ses positions pro-palestiniennes lui ont valu des attaques du lobby sioniste pour des allégations d’antisémitisme après son succès électoral. Quelques années plus tard, à l’approche des élections législatives de 2019, les accusations sont montées d’un cran, devenant plus incisives. Il n’était pas question qu’un socialiste « antisémite » soit logé au 10, Downing Street.

En plus de ces accusations fallacieuses, une autre affaire a été planifiée pour porter le coup de grâce à la possibilité que Corbyn puisse, un jour, occuper le fauteuil de Premier ministre britannique : sa « collusion » avec la Russie. Cette accusation, mêlée avec ce « sport » occidental communément appelé « Russia Bashing », allaient être, ni plus ni moins, un coup de grâce à ce projet.

À ce sujet, les journalistes d’investigation Ben Norton et Max Blumenthal écrivaient le 8 décembre 2019:

« À quelques jours des élections nationales britanniques du 12 décembre, les agences de renseignement britanniques et les organisations soutenues par le gouvernement américain ont intensifié leurs attaques contre Corbyn, empruntant des tactiques à l’hystérie américaine du Russiagate et faisant de grands efforts pour le présenter – sans aucune preuve substantielle – comme une supposée marionnette de l’ignoble Kremlin ».

Le journaliste Matt Kennard a, quant à lui, publié une enquête détaillée au titre très explicite : « Comment l’establishment militaire et du renseignement britannique s’efforce d’empêcher Jeremy Corbyn de devenir Premier ministre ».

Il y mentionna que des responsables de l’armée et du renseignement britanniques ont été à l’origine d’au moins 34 reportages majeurs publiés dans les médias nationaux présentant Jeremy Corbyn comme un danger pour la sécurité britannique.

Le 27 novembre 2019, en pleine campagne électorale, l’équipe de Jeremy Corbyn présenta un imposant dossier traitant de négociations secrètes entre le gouvernement conservateur de Boris Johnson et l’administration américaine dans le but de privatiser le National Health Service (NHS) britannique, démentant ainsi les promesses de son rival conservateur.

Moins d’une semaine plus tard, l’artillerie lourde fut sortie pour faire face à l’accusation.

Ben Wallace, le Secrétaire d’État à la Défense britannique, déclara que 

« Jeremy Corbyn a joué le rôle d' »idiot utile » pour le Kremlin en minant l’OTAN pendant des décennies et cela le rend inapte à être Premier ministre ».

Comme pour confirmer ses dires, le journal pro-conservateur The Daily Telegraph titrait à la Une « Le dossier de Corbyn pointe du doigt les Russes ».

The Guardian emboîta le pas en précisant que les documents de Corbyn ont été « mis en ligne par des affiches utilisant des méthodes russes ». D’autres médias comme The Daily Beast, la BBC ou le Washington Post reprirent également la nouvelle.

Ce n’est pas le « clonage » de cette information qui attire l’attention mais le fait que tous les médias se sont basés sur une et une seule source : Graphika et son directeur des recherches, Ben Nimmo. Tiens donc!

Extrait de l’article du Guardian :

« Ben Nimmo, le chef des enquêtes chez Graphika, a déclaré : « Ce que nous disons, c’est que les efforts initiaux pour amplifier la fuite du NHS ressemblent beaucoup aux techniques utilisées par Secondary Infektion dans le passé, une opération russe connue. Mais nous n’avons pas toutes les données qui nous permettent de prendre une décision finale dans cette affaire » ».

Une accusation aussi grave, reprise par des médias lourds et influents, basée sur une seule source et…du vent.

Ce qui fit dire à Norton et Blumenthal :

« Pas un seul article couvrant l’histoire n’a pris la peine d’informer les lecteurs qui était Nimmo, ni n’a offert de détails sur les puissantes forces étatiques derrière Graphika ».

Et d’ajouter :

« En fait, Nimmo n’est pas un expert en données ou un journaliste, mais un ancien attaché de presse de l’OTAN qui a précédemment travaillé pour l’usine de propagande secrète « Integrity Initiative », qui était financée par le ministère britannique des Affaires étrangères et dédiée à engendrer des conflits avec la Russie ».

La suite de l’histoire vous la devinez certainement : Jeremy Corbyn a évidemment perdu les élections du 12 décembre 2019.

2- Le Russiagate

Le Russiagate est l’affaire politico-judiciaire qui a été invoquée pour qualifier les allégations d’ingérence de la Russie dans les élections présidentielles américaines de 2016. Un branle-bas de combat médiatique a été orchestré afin de démontrer que la défaite de Hillary Clinton n’était due qu’à une collusion entre l’équipe de Donald Trump et le Kremlin via une armée de trolls russes écumant les médias sociaux, en particulier Facebook et Twitter.

Comme on peut s’y attendre, la démonstration a été confiée à une équipe de l’Université d’Oxford et …la société Graphika. Cette dernière était représentée par son fondateur, John Kelly, et Camille François.

Le rapport, commandité en 2018 par l’«US Senate Select Committee on Intelligence » (SSCI) dont il a été question auparavant, confirme évidemment les allégations. On peut y lire :

« L’Agence russe de recherche Internet (IRA) a lancé une attaque prolongée contre les États-Unis en utilisant une propagande informatique pour désinformer et polariser les électeurs américains ».

« Les données sur l’IRA fournies au SSCI par les plateformes américaines de médias sociaux et Internet démontrent un effort soutenu pour manipuler le public américain et saper la démocratie. Avec des années d’expérience dans la manipulation de l’opinion publique en Russie, l’IRA a utilisé les principales plateformes de médias sociaux, notamment Facebook, Instagram et Twitter, pour cibler les électeurs américains et polariser les utilisateurs des médias sociaux américains ».

Une année plus tard, le rapport du procureur Robert Mueller, procureur spécial chargé d’enquêter sur les ingérences russes dans les élections présidentielles de 2016, était publié. La principale conclusion stipulait qu’il n’y a pas eu d’entente entre les membres de l’équipe de Trump et la Russie.

Le Monde diplomatique qualifia le Russiagate de « débâcle » et commenta le rapport ainsi :

« Les premiers éléments connus du Rapport Mueller représentent une défaite pour la fraction la plus modérée du parti démocrate, pour le parti de la guerre à la Russie, pour les médias. […] Enfin, ce rapport constitue une gifle spectaculaire pour la quasi-totalité des grands médias américains qui, depuis deux ans, avaient fait du « Russiagate » leur commerce à plein temps ».

Une gifle aussi à Graphika et ses « experts ».

La chasse aux sorcières s’est poursuivie jusqu’aux élections présidentielles américaines de 2020. Graphika produisit un autre rapport en septembre 2020 signé par, entre autres, Ben Nimmo et Camille François ciblant un site nommé PeaceData supposément financé par l’Agence russe de recherche Internet (IRA).

À ce sujet, le New York Times écrivit :

« Le groupe russe qui s’est immiscé dans l’élection présidentielle de 2016 est de retour, utilisant un réseau de faux comptes et un site Web conçu pour ressembler à un site d’information de gauche, ont déclaré mardi Facebook et Twitter. La campagne de désinformation menée par le groupe soutenu par le Kremlin, connu sous le nom d’Internet Research Agency, est la première preuve publique que l’agence essaie de répéter ses efforts d’il y a quatre ans et d’éloigner les électeurs du candidat démocrate à la présidentielle, Joseph R. Biden Jr., pour aider le président Trump ».

PeaceData a vivement réagi à ces accusations les qualifiant de calomnies et de mensonges.

En effet, certains observateurs perspicaces notèrent que, contrairement à ce qui était dit par Graphika et NYT, le site web PeaceData avait publié plusieurs articles critiquant durement Trump, dont un qui l’a qualifié de « instable et déséquilibré ». D’autre part, Graphika ne donna aucune preuve du financement du site par l’IRA dans son rapport.

Les comptes Facebook et Twitter de PeaceData ont évidemment été fermés sur la base du rapport de Graphika et de ses « experts », Ben Nimmo et Camille François.

Graphika et l’Algérie

Après avoir passé en revue l’imposant réseau de connexions politico-militaires dont dispose Graphika et ses « experts » ainsi que les « missions » de haut niveau dont ils ont été chargés, plusieurs questions viennent à l’esprit : Pourquoi l’Algérie? Pourquoi maintenant? Quel est le but recherché? Qui a commandé l’étude? Qui l’a financée? Et qui a collaboré avec eux pour leur fournir les détails nécessaires?

Tout d’abord, il faut reconnaître que si Graphika s’est intéressée à l’Algérie, c’est que ce pays représente un enjeu géostratégique important pour les États-Unis. Cela confirme ce qui a été avancé dans mes nombreux articles et mes récents livres sur le sujet.

Le timing est lui aussi important. En effet, comme le Hirak « frelaté » bat de l’aile, cette évidente ingérence dans la politique intérieure de l’Algérie cherche à créer une nouvelle agitation malsaine dans la vie politique du pays.  En plus, il est quand même étrange que sa publication intervienne juste après le scandale Pegasus qui a ciblé l’Algérie. De victime, l’Algérie est présentée comme coupable par Graphika.

Pour tenter de répondre plus amplement aux questions, revenons au rapport de Graphika sur l’Algérie.

Le résumé du rapport donne le ton :

« Facebook a partagé un ensemble de comptes, de pages et de groupes avec Graphika pour une analyse plus approfondie avant de les supprimer de ses plateformes. Notre enquête a révélé un effort multiplateforme sur plusieurs années pour faire avancer les intérêts du président algérien Abdelmadjid Tebboune, depuis sa candidature à la présidentielle de 2019, jusqu’à un référendum constitutionnel l’année dernière et des élections législatives largement boycottées en juin. Cette activité s’est entrelacée avec une campagne soutenue de harcèlement et d’intimidation visant le mouvement de protestation du Hirak en Algérie, qui, au cours des deux dernières années, a rassemblé des milliers de personnes dans les rues du pays pour demander que l’élite dirigeante soit chassée et la fin de la corruption. Ces tentatives combinées pour manipuler, déformer et polariser la conversation politique en ligne en Algérie doivent être considérées dans le contexte de la répression signalée par le gouvernement contre les voix de l’opposition et de l’impact de la pandémie de Covid-19 qui a contraint de nombreux Algériens à déplacer leurs manifestations en ligne ».

On en tire les conclusions suivantes :

  • Comme expliqué précédemment, Facebook travaille avec Graphika;
  • Les sites jugés « indésirables » sont supprimés sur recommandation de Graphika;
  • Graphika fait de la politique et non de l’analyse de réseaux;
  • La démarche constitutionnelle adoptée par l’État algérien pour sortir de l’impasse ne plait pas à Graphika;
  • Graphika supporte la politique du « Yetnahaw Gaa » prônée en particulier par les ongistes (formés et financés par les organismes américains d’« exportation » de la démocratie), les islamawistes « offshore » et les makistes séparatistes;
  • Graphika se positionne contre les institutions de l’État algérien et soutient les groupes cités précédemment, dont deux sont considérés comme des organisations terroristes;
  • L’État algérien manipule l’information, mais aucun mot sur l’incommensurable manipulation des trois groupes cités;
  • Facebook (et les autres médias sociaux) autorise (encourage?) les manifestations en ligne pour ceux qui militent pour la phase de transition, mais ferme les comptes de ceux qui soutiennent la démarche constitutionnelle.

Passons maintenant à ce que Graphika appelle des preuves à ses allégations. Le rapport commence avec un article concernant Noureddine Boukrouh qui est commenté comme suit :

« Dans l’ensemble, les comptes et les pages identifiés par Facebook ont montré des signes clairs de coordination, ainsi que l’utilisation de fausses identités et d’autres pratiques trompeuses pour induire les utilisateurs en erreur. Dans une illustration particulièrement frappante en juin de cette année, 42 des pages identifiées ont publié la même photo avec des légendes identiques attaquant des opposants au gouvernement algérien. Beaucoup de ces pages se sont présentées comme des groupes pro-démocratie ou des médias indépendants »

Quel niveau d’analyse! Hercule Poirot en aurait perdu sa moustache!

Mensonge et inversion des rôles:

1- Graphika prétend que Noureddine Boukrouh a été qualifié de « fou » alors que c’est lui qui a traité le Président de la république algérienne de la sorte.

2- En plus, Graphika affirme qu’il s’agit d’une « attaque coordonnée contre un opposant » alors qu’il s’agit d’un de mes articles, publié sur mon site, en réponse au sien.

Il s’avère qu’il s’agit de MON article intitulé « Un goujat nommé Boukrouh » qui a été publié sur mon site avec la même photo, mais qui a aussi été repris par d’autres sites (site 1site 2site 3, etc.). Il est donc normal que des pages Facebook le reprennent comme c’est le cas de tous mes articles. Mon récent poème en hommage à Djamel Bensmaïl, par exemple, a été repris intégralement par des dizaines de pages. Où est le problème? Les réseaux sociaux ne servent-ils pas à cela? Ou alors c’est halal pour certains et haram pour d’autres?

Au-delà de cet aspect, ce qui attire l’attention, c’est la légende :

« Captures d’écran montrant la publication coordonnée d’une attaque décrivant la figure de l’opposition Noureddine Boukrouh comme « folle » peu de temps après avoir critiqué Tebboune ».

Il s’agit d’un pur mensonge! C’est M. Boukrouh qui a traité le président Abdelmadjid Tebboune de fou dans un post sur Facebook! En toute lettre dans le titre!

Question pour Graphika et Facebook : accuser fallacieusement un président en exercice de folie ne mérite pas la fermeture du compte de M. le « sain d’esprit »?

En plus de l’institution présidentielle, c’est l’institution militaire algérienne qui a été dénigrée, comme si ces mêmes institutions, aux États-Unis ou en Occident n’avaient pas le droit de s’exprimer sur l’état de la Nation. Comme tous les pays du monde, l’Algérie a ses institutions étatiques et s’exprime dans les médias qu’elles jugent adéquat à son message.

Aussi bizarre que cela puisse paraître, le rapport de Graphika critique le droit à l’institution militaire de faire des reportages sur les « fake news » et de dénoncer les agissements de certains groupes qui menacent la sécurité et la souveraineté de l’Algérie.

Le rapport cite nommément « Karim Tabbou » (cité 3 fois), « Amir DZ » (cité 4 fois), « Rachad » (cité 4 fois), « Mohamed Larbi Zitout » (cité 5 fois) et Mourad Dhina.

« Les cibles clés depuis 2019 comprenaient : Karim Tabou – une figure de l’opposition qui a été arrêtée par la police algérienne en 2020 et 2021 ; Amir Boukhors (« Amir DZ »), un dissident anti-régime en France ; et deux co-fondateurs du groupe politique « Rachad » – Mohamed Larbi Zitout, qui vit en exil à Londres, et Mourad Dhina, qui vit en Suisse. En mars 2021, un tribunal algérien aurait émis des mandats d’arrêt contre Boukhors et Zitout pour « terrorisme » ».

Les « ténors autoproclamés du Hirak », en l’occurrence Mostefa Bouchachi, Zoubida Assoul et Karim Tabbou, sont aussi présentés comme des « critiques du régime algérien ».

Comme par hasard, toutes les personnes citées, sans aucune exception, collaborent ensemble tel qu’expliqué dans mon livre sur le Hirak et sont, bien évidemment, toutes pour la phase de transition.

Décidément, la vision de Graphika (et de ses commanditaires) est dichotomique :  il y a des bons et des mauvais. Les bons sont ceux qu’elle nomme « les figures de l’opposition » et les mauvais sont les institutions étatiques, présidentielle et militaire.

Par contre, aucun mot n’est prononcé sur le nombre incalculable de comptes Facebook qui sont, directement ou indirectement, liés à ces « figures » et qui, nuit et jour, dénigrent ces mêmes institutions.

Pour plus de détails et pour comprendre le rôle de ces groupes qui ont surfé sur le Hirak algérien, le lecteur est invité à consulter mon interview sur le sujet.

Il faut dire que certains passages du rapport Graphika frôlent la dérision. Jugez-en.

« Les pages et les comptes du réseau ont constamment fait l’éloge de l’Armée nationale populaire algérienne (الجيش الوطني الشعبي الجزائري). Le réseau a amplifié des images d’exercices d’entraînement et d’autres événements, ainsi que des mèmes et des dessins animés pro-militaires, présentant tous l’armée algérienne comme des protecteurs forts et bien équipés du peuple algérien ».

Est-il donc interdit de faire l’éloge de l’armée de son pays? N’en déplaise à Graphika, l’institution militaire protège non seulement le peuple algérien, mais aussi l’intégrité et la souveraineté de son pays.

Encore une ineptie racontée dans le rapport : Graphika reproche à certaines pages d’avoir fait la promotion des élections législatives du 12 juin 2021.  Mais qu’y a-t-il de mal à vouloir encourager les citoyens à accomplir leur devoir électoral? Pourquoi alors n’avoir rien dit sur ces « grands démocrates », vulgaires factotums de ces « figures de l’opposition » qui, à l’étranger, empêchaient violemment les personnes de voter? Il est clair que les informateurs « autochtones » ne leur ont pas raconté toute l’histoire aux « experts » de Graphika. Ou alors est-ce cette dernière qui a filtré les informations pour diaboliser les institutions étatiques algériennes et sanctifier cette « opposition » qui travaille à la destruction du pays avec la bénédiction de l’Oncle Sam et de l’OTAN?

Il faut le dire clairement : un travail scientifique crédible doit nécessairement analyser les activités des deux protagonistes et non faire preuve de cécité sélective en faveur de celui qu’on veut soutenir. Le rapport de Graphika montre une faiblesse méthodologique si flagrante que son soi-disant travail « scientifique » n’est en réalité que de la propagande pour un camp choisi, le même qui a été sélectionné par les organismes américains d’« exportation » de la démocratie dans le but de réaliser un « regime change » en Algérie par le biais du soft power.

Graphika ne s’arrête pas là. Elle va jusqu’à consacrer une section sur le Maroc et la France intitulée « Maroc malveillant, France traîtresse ».

Elle y prétend que les médias de ces deux pays sont des bisounours et que l’Algérie les calomnie. Alors qu’elle attaque les chaines de télévision étatiques algériennes, Graphika présente France 24 comme une chaine inoffensive, ne précisant pas qu’il s’agit d’une des chaines étatiques françaises qui travaille directement avec le Quai d’Orsay  et dont le rôle dans le Hirak a été très partial (pour ne pas dire hostile à l’Algérie) comme expliqué dans un de mes articles publié en 2019. Ce n’est d’ailleurs pas par hasard que son accréditation en Algérie lui a été retirée en juin 2021.

Quant au Maroc, son action belliqueuse et agressive sur les réseaux sociaux contre l’Algérie est passée, elle aussi, sous silence. Il faudrait peut-être rappeler à Graphika l’affaire Pegasus dont elle n’a, bien sûr, pas soufflé mot. Le Maroc n’a-t-il pas espionné 6000 personnes en Algérie, ou est-ce encore une « fake News » des institutions présidentielle ou militaire?

Il fallait s’y attendre. Mohamed Larbi Zitout, un des membres du mouvent Rachad cité dans le rapport Graphika, en a fait ses choux gras dans une de ses interminables logorrhées cyberspatiales.

Ce qui répond tout naturellement à l’importante question : Cui Bono?

Conclusion

Cette étude nous permet de tirer les conclusions suivantes :

  • La société Graphika est financée par des entités directement ou indirectement reliées à l’administration américaine, à l’administration britannique, à l’OTAN et à des organismes américains d’« exportation » de la démocratie;
  • La société Graphika ne fait pas d’études pour informer les citoyens. Elle ne s’intéresse qu’aux médias sociaux de pays ciblés par les États-Unis ou par certains pays membres de l’OTAN comme la Grande-Bretagne;
  • Ces dernières années, les principaux pays ciblés par les études de la société Graphika sont la Russie, la Chine et l’Iran.
  • Les études sur la Russie sont très nombreuses et très agressives, ce qui confirme l’influence de l’Atlantic Council, le think tank non officiel de l’OTAN;
  • La société Graphika possède des relations avec certains géants du Web, soit directement, soit à travers ses « experts »;
  • La société Graphika collabore directement avec Facebook et lui fournit la liste des pages à supprimer;
  • Ce faisant, Facebook n’est pas indépendante, mais se comporte comme une entreprise impliquée dans la mise en œuvre de la politique étrangère étasunienne et de l’OTAN (Ceci n’est pas nouveau : la collusion entre certains géants du Web et l’administration américaine a été longuement discutée dans mon livre « Arabesque$ » et certains de mes articles);
  • La société Graphika n’a pas étudié les médias sociaux algériens fortuitement. Le timing, le parti pris et les attaques frontales contre les institutions fondamentales de l’État algérien indiquent que cette étude a été commanditée par des groupes ou des états qui favorisent un « regime change » en Algérie et qui y travaillent;
  • Ce dernier point est évident à la lecture du rapport qui présente négativement les institutions étatiques algériennes et positivement ce qu’il appelle « les figures de l’opposition »;
  • Aucune étude n’a par contre été réalisée sur l’utilisation des médias sociaux par « les figures de l’opposition », ce qui enlève toute scientificité au rapport et en fait, par voie de conséquence, un pur outil de propagande contre l’Algérie;
  • Les relations entre certaines « figures de l’opposition » et l’administration américaine (explicitées dans mon livre sur la question) ayant été complètement occultées dans le rapport, on en déduit que Graphika joue un rôle analogue et complémentaire aux organismes américains d’« exportation » de la démocratie;
  • Ces trois derniers points indiquent que Graphika, ainsi que les diverses institutions (étatiques ou non) avec lesquelles elle collabore, supportent et soutiennent activement « les figures de l’opposition » contre l’État algérien;
  • Tout cela nous amène à conclure que Graphika est un outil de plus dans l’arsenal du soft power américain, spécialisé dans un nouveau « champ de bataille » qui n’est autre que le monde virtuel des médias sociaux.
  • Les actions menées de manière agressive par les organismes américains d’« exportation » de la démocratie, combinées à celles des ONG droitdelhommistes ainsi que les attaques de la société Graphika montrent, de manière non équivoque, que l’Algérie est actuellement sous le feu nourri d’une guerre de quatrième génération.



Kaboul: un tournant dans l’Histoire

[Source : investigaction.net]

Afghanistan : 20 ans de désinformation massive, et ça continue aujourd’hui. Pourquoi les USA se fichent du sort des femmes. Et de Ben Laden aussi. L’invasion de l’Afghanistan n’avait rien à voir avec le 11/9. Ce que nous apprennent Brzezinski et Kissinger et quelques autres stratèges US. Liens cachés entre les États-Unis et le terrorisme. Le déclin, voir la chute, de l’empire américain (et français aussi), une bonne chose ? Panorama des rapports de force en Asie, Afrique, Amérique latine et au Moyen-Orient. Ce qui se passe au tiers monde aura-t-il des conséquences sur l’économique et le social en Europe ? Comment chacun peut-il jouer un rôle important dans la bataille contre la désinformation ? Pourquoi les livres sont indispensables…




Le Pacte Secret

Par Christine Côte

Chers amis,

Je tombe juste là-dessus [21 Octobre 2020]. Il n’y a pas de hasard. Certains ne seront pas encore mûrs pour comprendre et accepter, cependant, parmi nous beaucoup le seront, car les consciences, grâce à l’information, s’élèvent et croissent.

Je vous en prie, ne dites pas « je n’aime pas la source », « je n’y crois pas », « ce sont des fake news » : lisez simplement et vous verrez. La vérité c’est la liberté, le mensonge, c’est la prison.

En lisant cela, l’on ne peut avoir aucun doute sur la sinistre réalité de ce plan en pleine réalisation. Je vous recommande de faire suivre cela à tous ceux et celles, parmi votre entourage, susceptibles de se réveiller.

C’est plus facile pour ceux qui savent depuis longtemps, mais rien n’empêche de prendre le train en marche…

Il est déjà presque impossible de nous libérer, cependant, si une grande quantité de gens se réveillaient, ce serait encore possible, car leur arme véritable, ce sont les victimes de la télé et des mass medias qu’ils incitent sciemment à la haine. Puisqu’il est marqué que le peuple ne doive jamais en avoir connaissance, la meilleure solution est de diffuser et de publier très largement. Montrez-le sur vos vidéos.

Bien à vous,

Christine


[Source : http://projectavalon.net/lang/fr/Le_pacte_secret_fr.html]

Le Pacte secret

C’est un texte à la résonance inhabituelle que nous vous proposons aujourd’hui [en 2011]. Il est apparu sur Internet il y a 9 ans, un certain 21 juin 2002, jour du solstice d’été, détail qui est loin d’être anodin quand on connaît la passion des Illuminati pour la symbolique et les rituels. Son auteur en est inconnu, mais une chose est sûre : en choisissant cette date, il avait bien l’intention de « leur » gâcher la fête. Nous vous en offrons ici la traduction française.

Ce qui y est décrit pourra paraître excessif à certains et presque dépassé à d’autres et pourtant, force est de constater que les points qui y sont évoqués font écho aux interviews des lanceurs d’alerte publiées sur Project Avalon et ailleurs [Comme Les Protocoles de Toronto du journaliste Serge Monast, mort en 1996]. On verra également que le « Menu » exposé semble chaque jour se concrétiser davantage… au rythme du conte de la grenouille d’Olivier Clerc qui ne savait pas qu’elle était déjà cuite.
Pour notre part, nous ne sommes certes pas encore « cuits », mais ça chauffe… et c’est la raison pour laquelle nous avons décidé consensuellement à Avalon de vous faire partager ce document.
Est-il authentique — soit l’œuvre d’un véritable « insider illuminati » qui se serait désolidarisé de ses maîtres — ou non ? À vrai dire, cela importe peu. Ce qui compte en échange c’est qu’il nous invite à ouvrir les yeux et à nous poser les questions qui s’imposent face aux immenses dérives dont nous sommes tous les jours spectateurs, voire davantage. C’est donc à point nommé que ce texte est arrivé jusqu’à nous.

À titre d’exemple, tout récemment (16/5/2011), le journaliste et historien américain Webster Tarpley (auteur entre autres choses de la « Biographie non autorisée de George W. Bush ») révélait le contenu des écrits de John P. Holdren, l’actuel conseiller scientifique de la Maison-Blanche, et la « recommandation » de l’élite en vue d’une population mondiale optimale d’un milliard d’habitants… des chiffres écrits noir sur blanc.


Le Pacte secret Anonyme, 21 juin 2002 Traduction française : Mai 2011

• L’illusion créée par notre pacte sera si énorme, si vaste, qu’elle échappera à leur perception.

Ceux qui la verront passeront pour fous.

• Nous créerons des fronts séparés pour les empêcher de voir les liens qui existent entre nous. Nous nous comporterons comme si nous n’étions pas connectés pour garder l’illusion bien vivante. Nous distillerons nos objectifs au goutte-à-goutte pour ne pas éveiller les soupçons. Ceci les empêchera également de distinguer les changements à mesure qu’ils se produisent.

• Nous nous placerons toujours au-dessus du champ relatif de leur expérience parce que nous connaissons les secrets de l’absolu.

• Nous travaillerons toujours ensemble et demeurerons liés par le sang et le secret. La mort viendra à celui qui parlera.

• Nous ferons en sorte que leur espérance de vie soit brève et leur intellect faible tout en prétendant faire le contraire.

• Nous utiliserons notre connaissance de la science et de la technologie de manière subtile afin qu’ils ne se rendent jamais compte de rien.

• Nous utiliserons les métaux, accélérateurs de vieillissement et des sédatifs dans leur nourriture et leur eau ainsi que dans l’air.

Ils seront entourés de poison de toutes parts.

• Les métaux occasionneront leur dégénérescence intellectuelle. Nous promettrons de trouver des traitements en nous mobilisant sur tous les fronts, mais nous les empoisonnerons toujours plus.

Lesdits poisons seront absorbés par la peau, par la bouche, et détruiront leur esprit et leur système de reproduction.

Pour toutes ces raisons, leurs enfants seront mort-nés, et nous occulterons cette information.
• Les poisons seront dissimulés dans tout ce qui les entoure, dans ce qu’ils boivent, ingèrent, respirent et dans les vêtements qu’ils portent.

• Nous devons nous montrer ingénieux à cet égard, car ils ont la capacité de voir loin.

Nous leur enseignerons que les poisons sont bons en diffusant des images amusantes et des tonalités musicales.
• Ceux qu’ils respectent nous aideront, car nous les enrôlerons pour faire progresser nos poisons.

Ils verront nos produits utilisés dans des films et s’y accoutumeront sans jamais connaître leurs effets véritables.
Dès la naissance, leurs enfants recevront des injections de poison dans le sang et nous les convaincrons que c’est pour leur bien.

• Nous commencerons quand les enfants sont tout petits, que leur esprit est jeune et nous les ciblerons avec ce que les enfants préfèrent, les sucreries.

• Lorsque leurs dents commenceront à se détériorer, nous les remplirons de métaux, ce qui détruira leur mental et anéantira leur avenir.

• Une fois leur capacité d’apprendre affectée, nous créerons des médicaments qui les rendront plus malades encore et causeront d’autres pathologies pour lesquelles nous inventerons d’autres remèdes.
• Nous les rendrons faibles et dociles par la force de notre pouvoir.

Ils deviendront dépressifs, attardés et obèses et, quand ils viendront solliciter notre aide, nous leur donnerons toujours plus de poison.
Nous les focaliserons sur l’argent et les biens matériels pour qu’ils ne puissent jamais se relier à leur Soi intérieur. Nous les distrairons par la fornication, les plaisirs et les jeux extérieurs pour que jamais ils ne deviennent un avec le Tout.

• Leurs esprits nous appartiendront et ils feront ce que nous leur dirons. S’ils s’y refusent, nous trouverons le moyen d’implanter des technologies susceptibles d’affecter leurs perceptions.

• Nous utiliserons la peur comme une arme.

• Nous établirons leurs gouvernements ainsi que les partis d’opposition. Les deux côtés nous appartiendront.

• Nous dissimulerons toujours nos objectifs, mais notre Plan sera mené à son terme.

Ils travailleront à notre place, mais nous en récolterons les fruits.
Nos familles ne se mélangeront pas aux leurs, notre sang doit toujours demeurer pur, car là est la formule.
Nous les ferons s’entretuer quand cela nous conviendra.
• Nous les maintiendrons éloignés de l’Unité par le dogme et la religion.

• Nous contrôlerons tous les aspects de leurs vies et leur dirons ce qu’ils doivent penser.
• Nous les guiderons gentiment et délicatement en leur laissant croire que cela vient d’eux.
• À travers nos factions, nous fomenterons l’animosité entre eux.
Quand une lumière brillera au milieu d’eux, nous la ferons s’éteindre par le ridicule ou par la mort, ce qui nous conviendra le mieux.

Nous les pousserons à déchirer le cœur de leurs conjoints et à tuer leurs propres enfants.

• Pour cela, notre alliée sera la haine et la colère notre amie. La haine les aveuglera totalement et ils ne se rendront jamais compte que leurs conflits font de nous leurs dirigeants. Ils seront bien trop occupés à s’entretuer.

• Ils baigneront dans leur propre sang et tueront leurs voisins jusqu’au moment que nous considérerons propice à notre assaut.

• Nous en tirerons le plus grand bénéfice, car ils ne nous verront pas, car ils ne peuvent pas nous voir.

• Leurs guerres et leurs morts nous permettront de prospérer toujours plus.

• Nous recommencerons, encore et encore jusqu’à l’accomplissement de notre but ultime.

Nous continuerons à les faire vivre dans la peur et la colère par la diffusion d’images et de sons. Nous utiliserons tous les outils dont nous disposons pour arriver à nos fins.

• Les outils nous seront fournis par leur travail.

Nous ferons en sorte qu’ils se détestent eux-mêmes et leurs voisins.

Nous leur cacherons toujours la vérité divine, le fait que NOUS SOMMES TOUS UN, ça, ils ne doivent jamais le savoir !

• Ils ne doivent jamais découvrir que la couleur de peau n’est qu’une illusion, ils doivent toujours penser qu’ils ne sont pas égaux.

• Pas à pas, insensiblement, nous ferons avancer notre objectif.

Nous prendrons leurs terres, leurs ressources et leurs biens, leur santé, pour exercer sur eux un contrôle total.
• Nous les abuserons en les incitant à accepter des lois qui les priveront du peu de liberté qui leur reste encore.

Nous établirons un système monétaire qui les emprisonnera à tout jamais et les endettera, eux ainsi que leurs enfants.

• Quand ils réussiront à unir leurs forces pour s’opposer à nous, nous les accuserons de crimes et présenterons au monde une histoire différente, car alors tous les médias nous appartiendront.

Nous utiliserons la presse et son sentiment en notre faveur pour contrôler le flux de l’information.

Quand ils se soulèveront contre nous, nous les écraserons comme des insectes, car ils sont encore moins que ça.
• Ils seront dans l’incapacité de faire quoi que ce soit, car ils n’auront pas d’armes.
Nous recruterons certains d’entre eux pour exécuter nos plans, nous leur promettrons la vie éternelle, mais de vie éternelle ils n’auront jamais, car ils ne sont pas des nôtres.
• Les recrues se feront appeler « initiés » et elles seront endoctrinées pour croire en de faux rituels, de faux rites de passage vers de plus hautes sphères. Des membres de ces groupes penseront qu’ils sont un avec nous, mais ne connaîtront jamais la vérité. Ils ne doivent jamais connaître cette vérité ou bien ils se retourneraient contre nous.

• Ils seront récompensés pour leur travail avec des biens terrestres et des titres honorifiques, mais jamais ils ne deviendront immortels ni ne nous rejoindront. Jamais ils ne recevront la Lumière ni ne voyageront vers les étoiles.

• Ils n’atteindront jamais les Sphères supérieures, car les crimes commis contre des membres de leur propre espèce les empêcheront de passer au royaume de l’Illumination. Ça, ils ne le sauront jamais.

• La vérité, bien que sous leurs yeux, leur sera cachée. Elle sera si proche d’eux qu’ils ne pourront pas se focaliser sur elle et que quand ils seront enfin en mesure de la voir, il sera trop tard.

• Oh oui, la grande illusion de la liberté sera si grande, que jamais ils ne sauront qu’ils sont nos esclaves.

• Une fois que tout sera en place, la réalité que nous aurons créée pour eux les possédera. Cette réalité sera leur prison. Ils vivront dans le déni et le refus de voir.

• Quand notre objectif sera atteint, commencera une Nouvelle Ère de Domination.

• Leurs esprits seront entravés par leurs croyances, ces croyances que nous avons établies depuis la nuit des temps.

• Mais, si jamais ils parviennent à découvrir qu’ils sont nos égaux, alors nous périrons. ILS NE DOIVENT JAMAIS SAVOIR CELA. Si jamais, ils découvrent qu’ensemble ils peuvent nous vaincre, ils agiront.

• Ils ne doivent jamais, jamais découvrir ce que nous avons fait, car autrement, nous n’aurons nulle part où nous cacher. Une fois le voile tombé, il leur sera facile de voir qui nous sommes. Nos actions auront révélé qui nous sommes, ils nous traqueront et personne ne nous viendra en aide.

• Ceci est le pacte secret par lequel nous vivrons pour le reste de nos vies présentes et futures, car cette réalité transcendera de nombreuses générations et espérances de vie.

• Le pacte est scellé dans le sang, notre sang. Nous sommes ceux qui sont venus du Ciel sur la Terre.

• L’existence de ce pacte ne doit JAMAIS, JAMAIS être révélée. Il ne devra JAMAIS, JAMAIS être rédigé ou commenté, car cela engendrerait une prise de conscience telle qu’elle attirerait sur nous la fureur du GRAND CRÉATEUR et nous serions renvoyés aux profondeurs dont nous venons pour y rester jusqu’à la fin des temps, pour l’éternité elle-même.

Auteur : Inconnu (Évidemment. il n’allait pas dire son nom, il n’aurait pas survécu 48 h).


Et pour que personne ne perde son temps en partant à la chasse aux fact checkers : voici l’original de la citation de Juncker.

https://www.spiegel.de/politik/die-bruesseler-republik-a-3d75c854-0002-0001-0000-000015317086

Quant « aux cimetières de soldats » les injections corona s’en chargeront bientôt.

Le cynisme de Jean-Claude Juncker, président de la Commission Européenne.
( Citation.) | Librinfo74

(9 mai 2021)

Voilà, près de 7 mois plus tard, tout le monde aura compris que c’est malheureusement vrai…

[Ndlr : source anglaise à trouver]

Ainsi la citation de Kissinger prend tout son sens. (J’ai eu rapport d’un destinataire de l’une de nos compagnes d’Armes, qui se serait précipité sur un fact checker. N’en tenez AUCUN compte. Ces gens-là agissent ainsi pour se « prouver » à eux-mêmes qu’ils ont raison de soutenir le gouvernement, ou bien que ce n’est « pas si terrible que ça ». Ces gens-là ont encore bien du chemin à faire, et leur réveil n’en sera que plus dur.

(…) Malheureusement en janvier 2020… tout le monde préférait écouter la télé.

(…) Les gens ne croient les choses que lorsqu’elles sont déjà arrivées, donc bien trop tard.

Bien à vous,

Christine




Quand le Dr Tess Lawrie en appelle au sursaut de tous les médecins du monde

[Source : AIMSIB]

par Nicolas Moreux

Son message résonne comme celui d’une résistante qui a décidé le 25 avril 2021 que la tyrannie galopante, imposée par l’industrie pharmaceutique et soutenue par tout un système, a assez duré.  Que d’émotion, de colère, de tristesse mais aussi d’espoir, en voici la traduction française. L’AIMSIB accueille officiellement Nicolas Moreux, passionné par l’éthique et curieux de ce qui se fait dans le monde y compris chez l’Oncle Sam, au sein de ses rédacteurs. Médecins de tous les pays, chercheurs, journalistes généralistes ou spécialisés, politiciens, membres d’organisations de santé locales et internationales, salariés de l’industrie pharmaceutique et des réseaux sociaux, avocats et juristes, citoyens : le moment d’agir arrive. Cet article arrive pile à l’heure pour réjouir le Dr Antony Fauci puisque l’ivermectine répond parfaitement au cahier des charges qu’il détaillait le 5 août… Bonne lecture.

L’appel de Tess Lawrie

Quelques réflexions sur l’Evidence Based Medicine – EBM

Traduit de l’anglais par NM

« Avant que nous ne terminions cette journée, je souhaitais partager avec vous quelques réflexions sur l’Ivermectine et l’état de la situation concernant l’Evidence Based Medicine.
En tant que scientifique dont la mission était de fournir les preuves basées sur les principes de l’Evidence Based Medicine, j’ai constaté que l’approche hiérarchique, avec les revues systématiques et les méta-analyses positionnées au sommet de la pyramide et les opinions d’experts et de scientifiques tout en bas n’est plus appropriée. Cela est dû en partie au fait que l’intégrité des revues systématiques et des méta-analyses ont été dégradées petit à petit par les exigences associées aux essais randomisés considérés comme l’étalon or [les présumés « Gold-Standard » qui seraient les seuls valides] des études cliniques.

Ces fameux Grands Essais Cliniques Randomisés en Double Aveugle favorisent l’industrie pharmaceutique. Ils sont devenus si consommateurs en ressources que la production d’un dossier de 70 pages intégrant protocole et synthèse de la recherche requiert des mois de travail d’experts capables de passer toutes les subtilités indispensables en termes de processus et de d’habilitations. Sans compter que chaque essai coûte plusieurs millions de dollars ([souvent plus de 20 millions de dollars]). Toutes ces subtilités dans les éléments attendus jouent le jeu de l’industrie pharmaceutique qui est la seule qui peut financer de telles études.

Les Grands Essais Cliniques pour les médicaments génériques et les traitements non pharmaceutiques qui mériteraient d’être évalués pour un grand nombre de conditions virales et de traitements contre certains cancers sont très rares. En effet, pour être transparent, il n’y a pas d’argent à gagner sur ces derniers et il n’y a pas de financement disponible.

Dans mon expérience de chercheuse sur les nouveaux traitements contre le cancer, il est très fréquent que les découvertes réalisées dans les premières études montrant des bénéfices et ayant conduit à l’Approbation de Mise sur le Marché (AMM) soient contredits par des études complémentaires montrant qu’il n’y a en fait aucun bénéfice.

Cependant, à ce moment-là le médicament dispose déjà de son AMM et la société pharmaceutique a déjà engrangé des milliards.

Pour cette raison, je mets en garde contre le fait de prendre pour argent comptant sans remise en question les données fournies par les sociétés proposant ces nouveaux traitements. Et je suggère très fortement qu’il y ait une évaluation indépendante de ces données.

Cette évaluation ne doit pas être faite par des chercheurs financés avec des moyens quasi-illimités – financements et bourses – de l’industrie pharmaceutique et leurs acolytes parmi les associations financées par des philanthropes ou d’autres formes d’organisations caritatives. Les chercheurs en charge de ces évaluations doivent être indépendants et sans conflits d’intérêts.

Il est temps que nous reconnaissions et questionnions le rôle de l’industrie pharmaceutique et des institutions qui étaient par le passé reconnues pour leur intégrité scientifique, tout comme le rôle des soit-disant Partenariats Public Privé avec ces organisations.

Ils ont facilité la corruption de la science et de notre profession. Ceux qui définissent les protocoles des essais et contrôlent les données contrôlent aussi les résultats. Ainsi, ce système et le rôle de l’industrie – les essais cliniques conduits par l’industrie – doit prendre fin.

Les données des études en cours et futures concernant les traitements du COVID doivent être traitées et analysées de manière indépendante. On ne peut se fier à aucun résultat qui ne serait pas complètement transparent.

Pour ce qui concerne la pyramide de l’Evidence Based Medicine, il est nécessaire de mettre en place une nouvelle approche, une approche intégrée qui remplacera l’approche actuelle hiérarchique.

La pyramide doit, à mon avis, être remplacée par une figure plus appropriée : le cercle. Au centre l’intégralité des données disponibles issues de différentes sources : méta-analyse et analyse systématique des études randomisées représenteraient certaines des sources tout comme les études observationnelles, les données pragmatiques recueillies sur le terrain, les données qualitatives relatant les points de vue et expériences tout comme les opinions des docteurs experts. Ainsi, les décisions cliniques pourraient être prises sur une base bien plus holistique.

Toutes ces données différentes sont critiques pour obtenir une vue d’ensemble et leur intégration a été complètement oubliée dans l’évaluation de toutes les interventions proposées au public au cours de l’année passée. Au lieu de cela, les autorités ont pris ça et là dans la science et identifié des scientifiques pour appuyer leurs processus de décisions. »

Tess Lawrie continue, dans la foulée, sur l’exemple de l’ivermectine

« L’histoire de l’ivermectine a mis en évidence le fait que nous sommes à un point de bascule de l’histoire médicale où la preuve scientifique rigoureuse, notre formation et notre expérience, les outils que nous utilisons pour soigner et nos connexions avec nos patients sont systématiquement discrédités par une désinformation constante et sans pitié alimentée par la cupidité de certaines sociétés.

L’histoire de l’ivermectine montre que nous, le peuple, nous avons eu tort d’avoir une confiance aveugle dans nos institutions et avons sous-estimé le niveau de corruption imposé par l’argent et le pouvoir.

Il semblerait que si nous avions utilisé l’ivermectine en 2020, quand nos collègues médecins à travers le monde ont d’abord alerté les autorités de son efficacité, des millions de vies auraient potentiellement pu être épargnées et cette pandémie avec toutes ses souffrances et dégâts collatéraux aurait été freinée plus rapidement.

Depuis, des centaines de millions de personnes ont été impliquées dans la plus grande expérience médicale jamais réalisée par l’industrie : vaccination de masse avec une thérapie nouvelle et non éprouvée. Des centaines de milliards seront empochés par l’industrie pharmaceutique payés par nous le peuple.

Avec les politiciens et les autres non-médecins qui nous dictent quoi prescrire aux malades, nous, médecins, avons été mis dans une situation telle que notre capacité à respecter notre serment d’Hippocrate est assiégée. A ce point de bascule, nous devons donc choisir si nous devons rester les otages d’organisations corrompues, d’autorités de santé, de l’industrie pharmaceutique tout comme de ces milliardaires sociopathes. Ou bien réussirons nous à tenir notre engagement moral de commencer par ne pas nuire en faisant toujours le mieux pour ceux qui nous confient leur santé.

Cette deuxième option nécessite que nous contactions de manière absolument urgente tous nos collègues à travers le monde pour décider quels sont les médicaments éprouvés et sûrs de la pharmacopée qui peuvent être utilisés contre le COVID en tenant des forums comme celui-ci, libre de tout conflit d’intérêt, et en nous organisant tous ensemble pour résister à la tyrannie médicale qui nous a été imposée tout comme au public depuis un an.

Pour cela, je suggère que nous formions une nouvelle Organisation Mondiale de la Santé, une Organisation de Santé qui représente l’intérêt et la santé du peuple non ceux des entreprises et des milliardaires. Une organisation centrée sur l’optimisation de la santé des humains et de leur potentiel et non sur la contraception et le contrôle de la population. Une organisation centrée sur l’humain.

Et notre rôle de médecin n’a jamais été aussi important parce que jamais par le passé nous n’avons été complices d’engendrer autant de souffrances. J’appelle tous les médecins ici, à regarder leur cœur et à se rappeler leur serment pour que nous puissions avancer unis et avec le plus grand courage pour protéger ceux que nous soignons.

– Merci »

(1 – document en anglais traduit ci-dessus in extenso par NM)

« Qui est Tess Lawrie ? » me direz-vous…

Si ce message se passe de commentaires, vous retrouverez ci-dessous quelques éléments précisant qui est Tess Lawrie et qui vous permettront de mieux comprendre sa démarche, de suivre ses conférences et interventions. Mais Tess Lawrie n’est pas seule. Elle est désormais très investie dans BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et est une intervenante régulière des réunions du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3) dont vous trouverez les activités ci-dessous. Vous trouverez aussi des liens additionnels, des références pour aller plus loin sur les problématiques de la corruption systémique.

Et bien, le mieux est de jeter un œil à son parcours, ses interviews récentes et ses publications :

Titulaire d’un doctorat en médecine, Tess Lawrie a grandi, étudié la médecine et a obtenu son doctorat en Afrique du Sud, où elle a pratiqué la médecine clinique et la chirurgie. Elle est fondatrice et directrice de la société Evidence Based Medical Consultancy (E-Bmc) à Bath, au Royaume-Uni (4). Cette société indépendante travaille au niveau mondial (OMS) et national (NHS au Royaume Uni) pour les assister dans les différentes tâches associées aux études cliniques.

Vous découvrirez particulièrement ses positions et publications via :

  • Son message vidéo accompagnant la lettre ouverte au Premier Ministre du Royaume Uni, Boris Johnson dans lequel elle demande que l’ivermectine puisse être utilisée. (5 – document en anglais, non traduit)
  • Les interviews réalisées récemment pour
    • Réinfo-Covid (6) cette référence semble censurée,
    • France Soir (7 – interview traduite en français),
  • Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast dans laquelle elle détaille la méta-analyse qui vient d’être publiée sur l’ivermectine en prophylaxie et en traitement. Elle s’y indigne aussi de la différence de traitement scientifique, médiatique et politique entre les vaccins contre le COVID et l’ivermectine. Vous retrouverez en particulier (min 18 de l’interview) le moment où elle reprend en direct la méta-analyse est fait la simulation d’exclure l’étude égyptienne controversée… et montre que même en excluant cette étude les résultats de la méta-analyse restent très robustes en faveur de l’utilisation de l’ivermectine (8 – interview en anglais)
  • et ses apparitions régulières dans les réunions hebdomadaires du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (9 – conférences en anglais, non traduites).
  • Sa lettre ouverte à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency, dans laquelle elle demande l’arrêt de la vaccination au Royaume Uni et la mise en place de mesures sanitaires pour soutenir les personnes vaccinées présentant des Effets Indésirables Graves (10 – lettre en anglais).
  • Et bien entendu, sa contribution majeure à la méta-analyse sur l’ivermectine publiée très récemment (11 – traduite en français)
  • Vous pouvez bien sûr suivre l’actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et tout particulièrement l’intégralité des vidéos des séminaires en accès gratuit (12 – conférences en anglais). La diversité des intervenants (médecins cliniciens, chercheurs, analystes de données) donne un éclairage sur chaque aspect de la science qui est passé sous silence par la majeure partie des autres médias et de la communauté scientifique.

Pour rappel ou précision pour les plus informés, le samedi 24 juillet était la journée de l’ivermecine. En avez-vous entendu parler ?

« Scoop : Olivier Véran pense que l’ivermectine peut avoir un effet »

Gérard Maudrux, dans son post du 23 juillet 2021, nous fait une synthèse des derniers rebondissements concernant l’ivermectine en France (13).

« Olivier Véran pense que l’ivermectine a une présomption d’efficacité, mais il ne peut le dire. En tous cas, il refuse de dire le contraire.

En mai 2021, 1500 médecins ont fait un recours gracieux auprès du ministre de la Santé, conformément à l’article L.5322-2 du Code de la Santé Publique, pour faire réétudier la décision de l’ANSM, concernant le refus d’une RTU pour l’ivermectine.

Dans ce recours, une question simple et directe était posée au ministre, mais aussi au médecin, interpellé par ses confrères :

« En votre âme et conscience, pensez-vous honnêtement et sincèrement qu’il n’y a aucune présomption d’efficacité comme le prétend l’ANSM ?  Nous souhaitons une réponse claire à cette question. »

Le Ministre a « botté en touche », ce qui est clairement un aveu : il a refusé d’écrire au-dessus de sa signature qu’il n’y avait pas de présomption d’efficacité de l’ivermectine. S’il le pensait, il lui aurait été très facile de nous envoyer promener, s’appuyant sur les conclusions de ses services, ce qu’il n’a pas fait. Face à l’évidence des faits, il ne pouvait le faire. En ne reprenant pas à son compte ce refus, ses motifs, c’est aussi quelque part clairement un désaveu de la position de l’ANSM, que nous critiquons et qu’il n’a pas repris. »

Pour rappel, le « recours gracieux » vaut, à lui seul, une lecture détaillée des références utilisées par l’ANSM au regard des études disponibles. (14)

Mais, y-a-t-il des exemples de manque de transparence en lien avec l’ivermectine ?

Vous avez découvert le FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3). Parmi les docteurs les plus impliqués dans cette organisation, notons particulièrement les docteurs Paul Marick (le chercheur que l’on voit peu) (15), Pierre Kory (le « diplomate », comme on dirait chez Reinfo-Covid, et qui est venu soutenir la cause de l’ivermectine au Sénat Américain) (16) et Joseph Varon (le « Chasseur de Covid » – « Covid Hunter ») (17).

Le rôle des médias mainstream

Le cas de Joseph Varon est passionnant, il a été interviewé par toutes les chaines américaines locales et nationales de tous les bords politiques (CNN, MSSBC, Fox News,…) mais aussi mondiales : l’avantage avec ce médecin est qu’il parle 9 langues. Il tient son surnom de « Chasseur de Covid » du fait qu’il a travaillé sans relâche 407 jours consécutifs dans son hôpital United Memorial Medical Center de Houston Texas donnant à la date de l’interview qu’il donne ici à Ivory Hecker (18 – en anglais) 1 640 interviews à travers le monde, ayant traité 1 293 patients hospitalisés dont seulement 86 sont décédés soit une mortalité de 6,7%. A chaque interview, il a pu détailler les protocoles pour les patients hospitalisés – MATH+ (19) et en traitement préventif (prophylaxie) – I-MASK (20) (intégrant entre autres l’Ivermectine) développés au sein du groupe du FLCCC qu’il a implémentés et contribué à faire évoluer au fur et à mesure de l’évolution de ses connaissances liées au COVID.

Et pourtant, jamais aucune référence n’a été faite au sujet de ces protocoles dans les 1 640 reportages à l’issue du montage et des coupures éditoriales. Etonnant donc d’encenser un médecin, de le présenter comme un héros sans jamais oser donner la recette de ses résultats : son implication sans relâche bien sûr mais aussi les protocoles de traitement et de prévention.

Ivory Hecker, journaliste de Fox News, a quitté ses fonctions après avoir expliqué comment elle a été « interdite de parole » sur le sujet de l’ivermectine en particulier dans cette courte vidéo (18 – en anglais). La qualité du son est parfois dégradée mais l’interview et les vidéos complémentaires d’Ivory Hecker sont nécessaires car elle fait partie des rares journalistes qui ont osé s’insurger contre l’omerta imposée par les rédactions mondiales. Elle a osé privilégier l’information des citoyens quitte à abandonner le salaire et la situation qui étaient les siens au sein de sa rédaction.

Et en France, quels sont les journaux Mainstream qui sortent de la doxa dont parle Laurent Muchielli (21 – en français) pour donner un éclairage différent ? Combien de « Fact checkers » nous ont ouvert les yeux sur l’origine du Covid avant que Brice Perrier dans son livre « Aux origines du mal » (22) n’apporte des éléments tangibles montrant que le virus se serait peut-être échappé d’un laboratoire ?

Et bien ce sont les mêmes qui, inlassablement, vont apporter les preuves que l’ivermectine n’est pas le remède que l’on veut croire. Une simple revue de presse de la situation en Inde, de son évolution et de la situation actuelle, comparée à l’analyse des données faite par Juan Chamier (23 – en anglais) dans son article de TrialSite News (24 – traduite en français) nous éclaire sur le biais de conformité de la majeure partie des médias.

Pour ce qui est de la France, il est intéressant de voir que les journaux réputés d’opposition, ceux qui sont restés vent debout quand il s’agissait de religion, de terrorisme, ces mêmes journaux sont cruellement absents aujourd’hui. Heureusement quelques aiguillons tentent de réveiller les journalistes par trop apathiques. C’est dur d’être vacciné par des cons… (25) En référence à la Une de Charlie Hebdo du 28 juillet 2021 titrant « Hitler débordé par les antivax » et figurant Hitler à la plage dans une bouée licorne et disant « C’est dur d’être cité par des cons ! ». Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale et de ses positions réductionnistes vis à vis des opposants au sésame sanitaire par Jean-Paul Bourdineaud • 29 juillet 2021

Notons, pour la France toujours, que le Club de Mediapart s’est illustré il y a deux semaines en décidant de supprimer le dernier billet de blog de Laurent Muchielli publié au sujet de la pharmaco-vigilance des vaccins COVID et dans lequel l’auteur s’appuyait exclusivement sur les données officielles de pharmaco-vigilance européenne. Le CNRS, au sein duquel travaille le sociologue, a lui aussi pris ses distances avec Laurent Mucchielli à la suite de la publication de ce billet polémique précisant que l’auteur s’exprimait à titre personnel et non en sa qualité de chercheur au CNRS. Cette histoire fait d’ailleurs échos à ce qui est arrivé à notre ami Amine Umlil (fondateur et CTIAP au sein de l’hôpital de Cholet où il est le responsable de la pharmaco-vigilance (26) avec le directeur de l’hôpital de Cholet.

La censure rencontrée dans les médias mainstream se propage ainsi même sur des médias qui permettaient jusqu’à récemment de proposer des points de vue divergents de la pensée monolithique.

Vous retrouverez ici la synthèse de cet article diffusé lors du Conseil Scientifique Indépendant (27), les raisons officielles proposées par la direction de Médiapart (28) ainsi que la réponse de Laurent Muchielli et l’article de Laurent Muchielli republié sur France Soir (29).

Saluons, en tout cas, ceux qui ouvrent la voie et jouent leur rôle d’informer les citoyens.

Le rôle des politiques

Pierre Kory est intervenu devant le Sénat américain le 8 décembre 2020 (30 – interview en anglais) pour faire état des connaissances et pratiques en matière de repositionnement de médicaments et en particulier de l’ivermectine en prévention et en traitement. Après son intervention, et depuis 9 mois désormais, peu de politiciens des Etats Unis ou d’Europe de l’ouest ont soutenu sa démarche. Peu ont contribué à faire connaître et appliquer les traitements précoces et la prévention recommandée.

Il faut aller chercher les hommes et femmes politiques courageux et résolument engagés dans d’autres régions du monde.

Dans de nombreux cas, il aura suffit qu’une figure de proue s’empare du sujet, fasse un discours intégrant l’ivermectine pour que les réactions en chaine se produisent, que les recherches en ligne sur l’ivermectine augmentent, que les ventes d’ivermectine augmentent et que les résultats se fassent sentir dans la chute des nombres de cas, des hospitalisations puis de la baisse de la mortalité.

  • Jorge Ivan Ospina, le maire de Cali en Colombie : son annonce de début juillet 2020 a vu l’opposition du ministre de la santé, de l’organisme de santé Colombien et même du président du pays et bien entendu de l’OMS. Mais ses apparitions répétées dans les médias ont déclenché un pic des ventes d’ivermectine dans de nombreux états du pays, les cas ont atteint un plateau puis ont décliné. L’étude de Juan Chamie sur le sujet montre que la baisse de la mortalité liée au COVID est très significativement corrélée à l’utilisation de l’ivermectine (p-values très proches de 0). (23 – en anglais)
  • Olivia Lopez, la Secrétaire à la Santé pour la ville de Mexico annonce que la ville de Mexico a utilisé l’ivermectine depuis décembre 2020. Le même scénario qu’en Colombie se reproduit à l’identique (23 – en anglais).
  • Gérard Maudrux, dans son billet de blog dur 28 mai 2021 nous décrivait comment les politiciens des Etats indiens de l’Uttar Pradesh, de Uttarakhand et de Dehli ont contribué à faire reculer le Covid par leur volonté politique et malgré l’opposition de l’OMS (31 –  en français). Il est nécessaire de prendre le recul pour mieux comprendre la complexité de la situation, les différences entre Etats, les pressions des organisations de santé nationales et internationales pour aborder le sujet de l’Inde :  c’est ce qui est fait dans cet article de TrialSite News (24 – traduit en français).
  • Au Bangladesh, chercheurs, médecins et politiques, manquant de moyens ont eux aussi opté pour l’ivermectine.
  • En Europe, il faut aller chercher la Slovaquie et la République Tchèque pour trouver des politiques engagés allant à contre-courant de la seule solution vaccinale (23 – en anglais).

Le rôle des médecins

Bien entendu, chaque médecin, chacun d’entre nous a un rôle à jouer dans cette crise. Il ne faut pas attendre la venue d’un messie et de ses apôtres qui, à eux seuls apporteraient la solution. Chaque médecin, qu’il soit membre de l’AIMSIB, du Conseil Scientifique Indépendant, de Réinfocovid, du CTIAP ou de toute autre organisation, ou bien qu’il soit totalement indépendant,… chaque médecin a un rôle à jouer. Il n’est pas trop tard, chers et chères confrères soignants. Manifestez votre engagement, comme ce médecin généraliste qui prend la parole ouvertement en préambule de la manifestation de samedi 14 août 2021 à La Rochelle (32) ou comme d’autres médecins, infirmières et soignants qui, soutenus par la population et les politiques locaux, osent défier les contraintes et parler publiquement.

Médecins, ne laissons pas nos 10 confrères menacés par l’Ordre National des Médecins sans rien faire. Médecins, ne laissons pas nos patients sans traitement. Médecins, ne laissons pas quelque autorité que ce soit nous dicter ce que nous devons prescrire ou non. Soyons les gouttes d’eau qui feront déborder ce vase bien trop plein, Manifestons-nous, élevons la voix, montrons, nous-aussi, la voie à ceux qui préfèrent, pour l’instant encore, rester dans l’anonymat. Publions nos témoignages sur les réseaux sociaux, contactons les médias locaux et nationaux, mobilisons nos confrères.

Les thèmes qui auraient aussi mérité d’être détaillés ici…

Il faudrait aussi ici se poser les questions sur les rôles des scientifiques, des organisations de santé nationales et internationales et tout particulièrement du rôle central de l’Organisation Mondiale de la Santé et des revues scientifiques ce qui fera l’objet d’études complémentaires.

Docteur Fauci, une bonne nouvelle pour vous

Le Docteur Fauci (33) est, depuis 1984, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé et surtout nommé à la Cellule de Crise de l’administration Trump (et prolongé dans ses fonctions sous l’administration Biden) sur le coronavirus (White House Coronavirus Task Force), jouant un rôle de premier plan tant en termes de communication sur le virus qu’en termes de stratégie et de conseil pour le combattre. Il passait un appel sous forme de cahier des charges synthétique pour une molécule permettant la prévention et le traitement précoce du Covid.

L’équipe du FLCCC s’est directement emparée du sujet répondant mot à mot à cet appel montrant point à point que l’Ivermectine est la réponse aux demandes du Docteur Fauci. La vidéo humoristique mérite de faire le tour du monde même pour les non-anglophones. (34 – vidéo en anglais)

Corruption Systémique

Vous trouverez, pour poursuivre la réflexion, trois références sur les problématiques de la corruption systémique dans le domaine de la médecine.

Peter Goetzsche « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé »

Peter Goetzsche faisait un état des lieux dans son livre « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé » de 2013.

Il y aborde, entre autres, les chapitres suivants pour ce qui concerne la corruption et convoque des experts pour mettre en lumière chacun des points :

  • Le crime organisé, modèle d’affaires des grosses compagnies pharmaceutiques
  • 4 Très peu de patients tirent avantages des médicaments qu’ils consomment
  • Les essais cliniques, la rupture du contrat social avec les patients
  • 6 Les conflits d’intérêts dans les périodiques médicaux
  • 7 L’influence corruptrice de l’argent facile
  • 8 A quoi donc s’affairent les milliers de médecins à la solde de l’industrie ?
  • 9 Vendre sous pression
  • 10 L’impuissance de la régulation des médicaments
  • 11 L’accès public aux données des agences du médicament
  • 19 Intimidation, menaces et violences pour protéger les ventes
  • 20 Démolir les mythes de l’industrie
  • 21 La faillite générale du système commande : une révolution

Jean-Dominique Michel

Jean-Dominique Michel et en particulier son intervention du 21 mai 2021 au sein de l’IHU Méditerranée Infection (35 – en français).

Jean-Dominique Michel est aussi un intervenant régulier du Conseil Scientifique indépendant où il aborde fréquement les problèmes d’étique et de corruption systémique.

Les conflits d’intérêts en médecine : le programme de l’IHU

et abordé récemment encore lors des jeudis de l’IHU (36 – en français)

Merci à tous ceux qui seront arrivés jusque là. Rappelez-vous que désormais, c’est vous qui avez un devoir moral. Celui de vous engager concrètement ici et maintenant, celui d’agir, celui de témoigner, celui d’être un membre actif de la société civile, celui de soigner vos patients.

Notes et sources :

(1 – vidéo en anglais) L’appel de Tess Lawrie ; Conclusion du 25 avril 2021 – Deuxième jour de la Première Conférence Internationale de l’ivermectine contre le COVIDhttps://www.palmerfoundation.com.au/dr-tess-lawries-powerful-closing-address-at-the-international-ivermectin-for-covid-conference%E2%80%8B/(2) Actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment)https://bird-group.org/(3) Site du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care)https://covid19criticalcare.com(4) E-mbc : le site de la société créée et dirigée par Tess Lawriehttps://ebmcsquared.org/(5 – en anglais) Sa demande de commencer à sauver des vies avec l’ivermectine au Premier Ministre du Royaume Uni Boris Johnsonhttps://www.healthrising.org/forums/threads/a-letter-to-mr-boris-johnson-from-uk-scientist-dr-tess-lawrie-calling-on-him-to-start-saving-lives-with-ivermectin.6481/(6) Son interview par Jennifer Hibberd pour RéinfoCovidhttps://reinfocovid.fr/base_documentaire/interview-de-la-dr-tess-lawrie-par-la-dr-jennifer-hibberd-sur-livermectine/(7 – en français) France Soir

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-scandale-de-livermectine-tess-lawrie-le-retour
(8 – vidéo en anglais) Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast
https://odysee.com/@BretWeinstein:f/TessLawrie:0
(9 – vidéo en anglais) Tess Lawrie lors de l’une de ses interventions pour le FLCCC
https://covid19criticalcare.com/videos-and-press/
(10) Royaume Uni du 9 juin : lettre à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2acdef3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf
(11) Méta-analyse Ivermectine
https://journals.lww.com/americantherapeutics/abstract/9000/ivermectin_for_prevention_and_treatment_of.98040.aspx
(12 – vidéo en anglais) Les vidéos du premier séminaire mondial sur l’ivermectine
https://bird-group.org/conference-post-event/
(13) Blog de Gérard Maudrux du 23 juillet 2021
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/23/scoop-olivier-veran-pense-que-livermectine-peut-avoir-un-effet/
(14) Blog de Gérard Maudrux du 12 mai 2021 : recours gracieux auprès du ministre
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/
(15) Paul Marik
https://covid19criticalcare.com/?s=marik
(16) Pierre Kory
https://covid19criticalcare.com/?s=Pierre+Kory
(17) Joseph Varon
https://covid19criticalcare.com/?s=varon+joseph
(18 – vidéo en anglais) Ivory Hecker, ancienne journaliste de Fox News, interviewe le « Chasseur de Covid » Joseph Varon
https://www.youtube.com/watch?v=frwkkeH6mwM
(19) MATH+ protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/math-plus-protocol/
(20) I-MASK protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/i-mask-plus-protocol/
(21) Blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog
(22) Brice Perrier interviewé sur Thinker View
https://www.youtube.com/watch?v=1wul4z8pmzU
(23 – vidéo en anglais) Juan Chamie – Analyste de données pour BIRD
https://www.youtube.com/watch?v=jBjULEZWl6c&t=677s
(24) Etat des lieux sur la situation en Inde par Trial Site News
https://trialsitenews.com/the-outbreak-in-india-initial-review-of-the-data/
(25) C’est dur d’être vacciné par des cons

https://criigen.org/lettre-a-charlie-cest-dur-detre-vaccine-par-des-cons/

(26) Lettre ouverte de Amine Umlil CTIAP
http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/08/lettre-ouverte-au-cng-information.html
(27) Laurent Muchielli sur la Pharmaco-vigilance des vaccins COVID lors du CSI de 29 juillet – à partir de la minute 6
https://odysee.com/@ludovicgarcia7500:c/CSI-16-R%C3%A9union-publique-du-Conseil-scientifique-ind%C3%A9pendant:2?
(28) La justification de la Rédaction de Médiapart sur la suppression du billet de blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/la-redaction-de-mediapart/blog/040821/notre-sante-face-au-covid-vrais-debats-et-fausses-sciences
(29) Le droit de réponse de Laurent Muchielli et l’article supprimé
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vaccination-covid-lepreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite
(30 – vidéo en anglais) Pierre Kory intervient au sénat américain le 8 décembre 2020 (vidéo à partir de 28 minutes)
https://www.youtube.com/watch?v=k8RyV3VEDKI
(31) Gérard Maudrux dans son blog du 28 mai 2021 fait un état des lieux des 3 principaux états Indiens où l’ivermectine a été utilisée
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/28/inde-covid-et-ivermectine-suite/
(32) Intervention publique de ce médecin de La Rochelle

(33) Que dit wikipédia du Docteur Fauci ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Fauci
(34 – vidéo en anglais) Paul Marick et Pierre Kory ont de quoi rendre le Docteur Fauci heureux : l’ivermectine répond à toutes ses demandes  https://bird-group.org/making-dr-fauci-happy/
(35) Jean-Dominique Michel : La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid
https://www.youtube.com/watch?v=WUkcsSnVzl0&t=1773s
(36) Les Jeudis de l’IHU – Conflits d’intérêts
https://www.youtube.com/watch?v=ZeSHT87hzC4




Afghanistan : la cécité occidentale

Par Lucien Samir Oulahbib

L’islam n’a rien à faire lui non plus en Afghanistan dans ce cas, à ceux qui relativisent (et le retour des Talibans ne résoudra rien, permettant seulement à l’État islamique financé par les wahhabites de diverses obédiences — Pakistan compris — de supplanter « La Base » tout en tuant le plus de chiites possible). N’est-il pas un cruel conquérant colonisateur (voir également son action effroyable en Inde), alors que cette terre ne lui appartient pas, comme le montrent bien ces images des années 70 qui signifient moins une « domination occidentale » que l’évolution d’échanges civilisationnels (immémoriaux) qui font que les humains adoptent des coutumes autres lorsqu’elles semblent s’insérer au mieux à des désirs d’épanouissement morphologique (au même titre que l’enfouissement des égouts, l’électricité, l’eau courante, la mécanisation des tâches pénibles) ?

Il en est de même pour l’idée de « nation » qui s’avère s’être perfectionnée au fil du temps, comme l’indique Liah Greenfeld au sens où le citoyen n’est plus seulement membre d’une Cité comme en Grèce antique (n’oublions pas que Sparte avait fait financer sa flotte par la Perse contre Athènes lors de la guerre du Péloponnèse), mais aussi d’une entité politique avec des frontières civilisationnelles et physiques (le Limès romain exprime bien l’intrication de ces deux notions) censée mieux développer les aspirations du « citoyen » à ne plus être dépendant de ses origines sociales stratifiées dans des « Ordres », mais pouvant progresser de façon « méritocratique ». Tel est (toujours) l’acquis morphologique fondamental très récent (quelques siècles) dilapidé aujourd’hui par les actuels réductionnistes globalistes (affairistes hygiénistes, néo-eugénistes au fond) ne voyant plus en l’humain que son aspect animal (à modifier — modéliser — et marquer de plus en plus à la façon d’un bétail « javélisé »).

Il s’avère qu’en Afghanistan tout comme en Afrique (Égypte, Algérie par exemple) ce stade d’évolution progressive vers cette liberté d’ascension méritocratique qu’est la nation a été peu à peu tué dans l’œuf. Ce « printemps des peuples », disait-on en 1848, a été mal compris par Marx (puis Lénine) qui n’y voyaient que le conflit, éternel, entre « classes » (cf. Machiavel à ce sujet, dans Les Discours sur la seconde décade de Tite-Live), alors qu’il s’agit d’une lutte bien plus spirituelle entre imaginaires singuliers : un Français n’est pas un Anglais ni un Allemand ; un Hongrois ne veut plus être associé à un Autrichien, pas plus qu’un Serbe ; un Amazigh n’est pas un Arabe ; un Touareg n’est pas un « Malien » ; un Marseillais n’est certes pas un Parisien (on le voit bien aujourd’hui), mais c’est d’une autre nature (qu’il faudra cependant un jour analyser, en particulier le rôle — sous-estimé — de Marseille lors de la première phase du changement de Régime en 1789), car ils se sentent tous deux également « français » (à peaufiner en permanence cependant, comme on le voit visiblement aujourd’hui tant la recette pour y arriver peut se perdre…).

Cette avancée (en termes de Technè) vers la nation a été fragilisée dans les pays fraîchement élevés par l’idée « nationale », du fait d’une corruption accélérée au sein d’un désengagement hâtif des puissances dominantes ne prenant pas en compte toutes les forces en présence (comme en Algérie, au Vietnam…) avec par voie de conséquences le retour aux conflits intertribaux via des différents religieux : les tribus en tant que phénomène politique global (donc également spirituel) étant en effet toujours présentes, quoique en sourdine, au creux des liens familiaux et non pas le produit d’un « État failli » (comme le prétend un Bertrand Badie), puisque cet « État » au sens national (État-nation) n’a jamais été réellement construit dans sa profondeur morphologique (et non pas seulement juridique)…
Ce qui signifie (sommairement) que l’idée nationale transcende en effet la notion d’« État de droit » (sur ce point Zemmour a raison), en ce sens où il ne suffit pas de construire des institutions en soi, mais celles-là mêmes qui correspondent à l’état d’avancée donnée de la société civile (ainsi édifier en Afrique des « partis », ces nouveaux types de « tribus » travestissant les tribus canal historique fut une illusion). Par exemple, en Algérie il aurait mieux valu réunir toutes les forces en présence et leur imposer la constitution d’un compromis, ce qui implique aussi d’écraser les réticents : le FLN algérien était par exemple militairement et spirituellement vaincu en 1958 — voir le débat Soustelle/Aron sur ce point, ce que n’a pas compris de Gaulle qui pensait que les démocrates algériens francophones étaient de fait cristallisés pour toujours dans « l’essence » musulmane, ce qui était faux, même chez les arabophones (voir mon livre Le monde arabe existe-t-il ?), mais éliminer ce dernier en sautant sur Paris au lieu de seulement occuper Alger fut aussi une erreur fondamentale du « quarteron ».

De même, écraser les djihadistes comme l’a fait Petraeus en Irak et en Afghanistan avec son « Surge » (avant d’être évincé par Obama et les Républicains n’ayant jamais digéré un Reagan, ce Trump avant l’heure…) était essentiel pour asseoir le processus constitutif de l’idée nationale au sens indiqué ci-dessus de liberté en acte du processus méritocratique entouré des institutions du moment considéré (l’Irak n’existant pas en réalité, pas plus que l’Algérie), alors qu’un Saddam Hussein pas plus qu’un Nasser ou un Boumediene ne pouvaient l’incarner (ce que ne saisit pas Zemmour, ne parlons pas d’Onfray là aussi dans les choux à l’instar d’un Mélenchon également…) ; mais il aurait fallu poursuivre en lien avec les Kurdes du moins débarrassé de leur tutelle du PKK qui empêche leur réelle avancée en Turquie comme en Iran, ce que n’ont pas fait les Républicains tendance Cheney et Rumsfeld… Et donc soutenir durablement en Afghanistan toutes les forces réellement modernes (comme Abdullah Abdullah successeur de Massoud, mais affaibli par des élections truquées) au sens méritocratique et laïque (non pas athéisme, mais ouverture d’esprit) au lieu de chercher des compromis tordus avec les djihadistes de diverses obédiences qui n’auraient pas de poids réel (à la différence des chefs de tribus) s’ils n’avaient pas été soutenus par les wahhabites et les khomeynistes avec la complicité tacite des services secrets occidentaux jouant à ces Talleyrand/Chamberlain aux petits pieds que vilipendait tant Churchill, d’où la situation présente tout de même…

En tout cas, dire, « nous n’avons rien à faire là-bas » revient non seulement à revivre Saïgon et Evian, mais surtout à réitérer la position des Verts allemands avec leur « mieux vaut être rouge que mort » dans l’affaire des Pershing. Et puis dans cet état d’esprit jamais Reagan n’aurait entamé la Guerre des étoiles qui aura fait plier l’URSS… De même aujourd’hui soutenir Taïwan reste un casus belli (mais pour cela il faudrait renforcer nos forces armées, déjà en arrêtant le cirque corona actuel à la létalité égale à une grippe sévère qu’il faut certes soigner adéquatement avec des traitements précoces, mais sans sacrifier le pays)…

« Si tu veux la paix prépare la guerre » selon l’adage. Aussi si chute de Kaboul il y a, cela ne présagera rien de bon sinon renforcer les relativistes de tous bords (« c’est un pays musulman, que voulez-vous », ce qui est déjà faux) acceptant de fait des « londonistan » partout ou bases avancées qu’il n’est de plus en plus toujours pas possible d’admettre du point de vue non seulement géostratégique, mais civilisationnel au sens également morphologique du terme.




La dictature sanitaire aura une fin

[Source : Kernews via nicolasbonnal.com]

Connu sur le plan international pour ses nombreuses vidéos diffusées sur Internet avec ses cours sur la Torah, le Rav Dynovisz aborde à nouveau la question de l’autodestruction de l’Occident, le mondialisme, la stratégie du chaos et la volonté de domination des peuples dans le cadre de cette crise sanitaire. Le Rav Dynovisz, maître de la Torah, nous accorde un entretien exceptionnel dans lequel il livre des clés essentielles pour appréhender le monde qui se prépare.




Climat et GIEC : la crosse de hockey frappe encore

[Source : Contrepoints]

[Photo par Jarosław Kwoczała sur Unsplash — Jarosław Kwoczała]

Par Michel Negynas.

Nous avons vu dans une série d’articles, via le prisme de la saga des moyennes mondiales des températures, combien l’affolement devant une éventuelle « catastrophe climatique » a des fondements scientifiques discutables.

LE GIEC, UNE INSTITUTION INDESTRUCTIBLE

La courbe de l’évolution des températures mondiales fait partie de tous les scandales dont le GIEC est entaché sans que cela n’ait le moins du monde remis en cause sa domination scientifico-politico-idéologique sur la science. On nous affirme encore «  the science is settled » (la science est établie) alors que tous les éléments prédictifs contenus dans les 5 précédents rapports sont démentis par les faits.

Il ne s‘agit pas ici de contester la théorie de l’effet de serre lui-même (bien que cette dénomination soit trompeuse) : il rend notre planète habitable. Il s’agit de mettre en garde sur notre insuffisance de connaissances et de données pour pouvoir prédire notre avenir d’ici à la fin du siècle. Nous avons encore à beaucoup travailler pour en être capable, si tant est que ce soit possible.

Les modèles climatiques sont des outils de recherche, ils ne sont pas des boules de cristal. À ce titre, ils n’auraient jamais du sortir des laboratoires. Ce sont les démocrates américains, lors des élections de 1988, qui ont ouvert la boîte de Pandore et le reste a suivi : conflits d’intérêt, alliance du business et de l’écologie radicale, action amplificatrice des media dans des démocraties d’opinion…

L’hystérie a conduit à la fondation du GIEC, qui fut très vite noyauté par un petit nombre de scientifiques extrémistes, fondant par là même une nouvelle science, la « climatologie », qui n’existait pas jusqu’alors. Les climatologues se distinguent de leurs collègues, qui étudient les sciences de la Terre depuis toujours, par le fait qu’ils font essentiellement du retraitement de données existantes et du moulinage de ces données dans des modèles informatiques. Dès le début, les scientifiques « modérés » et rationnels, comme Pierre Morel, qui fonda le laboratoire français de modélisation du climat, furent éjectés.

Conflits d’intérêt, non vérification des articles, erreurs typographiques sur des sujets primordiaux, procédures contraires à l’éthique scientifique, et même scandale sexuel… N’importe quel organisme n’aurait pas survécu à cette avalanche de dysfonctionnements. Pas le GIEC. En 2010, il a subi un audit de l’Inter Academy Council, l’organisme adéquat de l’ONU. Ses recommandations dévoilent, en creux, toutes les insuffisances. Mais rien n’a été changé depuis dans son fonctionnement.

LA CROSSE DE HOCKEY

Un des scandales révélés en 2009 concerne la courbe d’évolution des températures mondiales depuis 2000 ans. Retracer cette courbe est important pour décider de la crédibilité des études en cours. Si on montre que le réchauffement actuel est unique dans l’histoire, la probabilité que nos émissions en soient l’origine est grande. Dans le cas contraire, le réchauffement peut être la somme de l’effet de nos émissions et de phénomènes naturels, dans des proportions à définir, mais cela relativise notre « culpabilité ».

En 1998, un scientifique a publié une nouvelle reconstruction de température effrayante : elle était plate jusqu’en 1960, et montait presque verticalement ensuite.

Cette courbe a été très vite invalidée, y compris par une commission d’experts officielle, mandatée par le Sénat américain. En outre, nous avons en Occident et en Chine des centaines de références, littéraires, artistiques et techniques, pour savoir que le climat a varié au cours des siècles précédents. Devant l’évidence, le GIEC a fini par ne plus la publier dans son rapport AR5 d’ici il y a quelques années.

RAPPORT DU GIEC : LA CROSSE DE HOCKEY RÉAPPARAÎT

Mais ô surprise, la voilà qui réapparaît dans le sixième rapport, celui qui vient de sortir !

On remarquera d’abord la « performance » scientifique : connaître avec moins de +/- 0,25 degré d’incertitude la température moyenne mondiale il y a 2000 ans, c’est d’autant plus méritoire que même maintenant, nos stations météo ne font guère mieux de +/- 1 degré d’incertitude !

Évidemment, le statisticien qui avait en son temps dévoilé la supercherie de la première courbe a tenté de comprendre d’où vient celle-ci.

D’abord, malgré son habitude des rapports du GIEC, il ne l’a trouvée que dans le « résumé pour décideur », la partie notoirement politique du rapport, pas dans la partie scientifique.

Ensuite, il démontre que la courbe a été obtenue en choisissant soigneusement les études à moyenner, « celles qui vont bien ». Or, il existe des milliers d’études, dans le monde entier, qui disent le contraire… Pour approfondir le sujet, très technique, il faut aller ici.

En outre, les données ne sont en général pas disponibles, ou même, on ne connaît pas d’où viennent les études…

UN SIXIÈME RAPPORT EXTRÉMISTE

Cet épisode est représentatif d’une fuite en avant du GIEC devant les difficultés qu’il rencontre :

  • Toutes les prévisions antérieures sont invalidées, les modèles « chauffent » trop.
  • Les nouveaux résultats issus de modèles encore plus sophistiqués, « chauffent » encore plus, même leurs auteurs le reconnaissent.
  • Il s’avère évident que les scenarios d’émission de CO2 à long terme sont pour la plupart irréalistes.
  • Si on s’en tient aux scenarios « plausibles », l’élévation de température, même avec ces nouveaux modèles, n’est pas catastrophique.

Il fallait donc trouver des leviers nouveaux pour conforter la terreur. Le GIEC insiste maintenant davantage sur la fréquence des évènements exceptionnels cataclysmiques que sur les températures. Et réinvente la crosse de hockey.

Premières réactions au nouveau rapport ici.

Mais gageons que le rapport occasionnera encore beaucoup d’articles sur Contrepoints.




Je suis Djamel

Par Ahmed Bensaada

#Je_Suis_Djamel*

La foule était là, tapie dans la forêt, en feu
La foule était là, avec sa queue et ses cornes
La foule était là avec ses sabots et son odeur de soufre
La foule était là, attendant sa proie, avide de sang et de miasmes

Lui est venu pour aider, guitare en bandoulière
Lui était guilleret, troubadour des temps modernes
Lui était heureux, le cœur au bout des doigts
Lui était la bonté, un ange au milieu des ténèbres

Lui était joyeux, la foule était lugubre
Lui chantait, la foule hululait
Lui riait, la foule éructait
Lui était gracieux, la foule était laide

La foule a bondi, agrippé, trainé, tabassé
La foule l’a piétiné, lynché, brulé, égorgé
La foule s’est rassasiée de chair brulée
La foule s’est repue de son sang, de son âme, de son utopie

Lui c’est la beauté portée par son nom
La foule c’est la laideur des arbres calcinés
Lui est au paradis, la foule est en enfer
Et moi, moi, pauvre moi, #Je_Suis_Djamel

Ahmed Bensaada

12/08/2021
https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=567%3Ajesuisdjamel&catid=46%3Aqprintemps-arabeq&Itemid=119&fbclid=IwAR0WD99qXe4GB57XSfbjd92L3ys99shVVktKVwzs0HQ61JXrjUQvG3haoQU


Citoyen lynché et brulé vif à Larbaa Nath Irathen : le parquet ordonne l’ouverture d’une enquête

Le procureur de la République, près le tribunal de Larbaa Nath Irathen (Cour de Tizi Ouzou), a ordonné jeudi l’ouverture d’une enquête sur les circonstances de décès d’un citoyen lynché et brulé vif dans la région de Larbaa Nath Irathen, suite aux soupçons sur son implication dans les feux de forêts qui ont ravagé la région.

« Suite aux vidéos relayées, mercredi 11 août 2021 sur les réseaux sociaux, montrant l’assassinat d’un citoyen (mortellement brûlé et lynché), le procureur de la République près le Tribunal de Larbaâ Nath Irathen informe l’opinion publique, conformément à l’article 11 du code de procédure pénale, de ce qui suit : Un groupe de citoyens a arrêté trois personnes qui se trouvaient à bord d’une voiture, suite à leurs soupçons d’être impliqués dans les feux de forêts qui se sont déclarés dans la région de Larbaâ Nath Irathen.

Après les avoir agressés, les services de police sont intervenus pour les secourir et les ont transférés au commissariat », lit-on dans le communiqué du procureur de la République près le tribunal de Larbaa Nath Irathen « Cependant, le même groupe a continué à attaquer le siège de la police avec violence, et a réussi à faire sortir l’un des trois individus du commissariat et à le traîner à l’extérieur, le battant et le brûlant, ce qui a conduit à sa mort.

Les policiers qui sont intervenus pour protéger la victime et la secourir ont également subi des blessures », a ajouté la même source.

« Le Parquet a ordonné à la police judiciaire d’ouvrir une enquête sur les circonstances de cette affaire, et ce, dans l’objectif d’identifier les auteurs et de les traduire devant la justice, pour qu’ils soient sévèrement punis, conformément à la loi, et ce afin que ce crime odieux ne reste pas impuni. L’opinion publique sera informée des résultats de l’enquête », a conclu la même source.