Fake News de la BBC sur la 5G décodés : Impacts sur la santé niés malgré des preuves scientifiques accablantes

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Claire Edwards

[Écouté sur] BBC radio : Under the Radar Episode 4 – 5G Friend or Foe? (La 5G : Ami ou ennemi ?, juillet 2019)


Lettre ouverte au producteur du programme « Under the Radar » de la BBC

J’espérais pouvoir laisser à d’autres le soin de réfuter les dernières fausses nouvelles sur la 5G publiées par la BBC, mais je me sens obligée d’intervenir avec les preuves puisque la BBC ne les fournit pas, étant peut-être corrompue comme d’autres par sa collaboration avec diverses sociétés de télécommunications selon une rumeur récente qui circule (Transparency International : Investigating Corruption in the Media and Telecoms Industries (Enquête sur la Corruption dans les Industries des médias et des télécommunications)).

Bien que je salue vos efforts pour attirer l’attention du public sur les questions concernant le déploiement de la 5G sans un seul test préalable pour vérifier ses implications pour la santé ou la sécurité, et votre succès à convaincre la BBC d’aborder finalement au moins certaines de ces questions, même si c’est à travers d’une émission de radio peu connue et brève plutôt que de rendre justice à cette urgence planétaire sans précédente en la traitant à travers d’un programme de télévision complet, vous semblez inconscient du biais évident dans la production du programme.

Examinons comment ce programme donne l’impression que ceux qui s’opposent à la 5G sont en quelque sorte des porteurs de chapeau en papier aluminium ignorants et stupides au lieu de ce qu’ils sont réellement : des personnes pleinement informées et intelligentes, qualifiées et expérimentées dans le domaine des champs électromagnétiques (CEM), vivement alarmées par les faits concernant la 5G et ses conséquences très réelles extrapolées de la science sur les conséquences désastreuses des générations sans-fil 14.

Tout d’abord, le présentateur nous informe que 230 scientifiques sont préoccupés par la mise en œuvre du programme 5G, alors qu’en fait, des milliers de scientifiques et de médecins ont exprimé leurs préoccupations jusqu’ici dans au moins 60 appels : Doctors & Scientists Appeals For Stronger Electromagnetic Radiation Regulations ; Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace – 134 458 signataires dans 198 pays (2 août 2019). Le présentateur dénigre délibérément les 230 scientifiques mentionnés en employant la phrase vernaculaire « Qu’est-ce qu’ils ont à rouspéter ? » de préférence à la phrase plus formelle et respectueuse « Pourquoi s’inquiètent-ils ? »

La Dr Erica Mallery-Blythe nous dit que les ondes millimétriques de la 5G interfèrent avec la biologie, que la recherche est incomplète et qu’il n’y a pas eu de consultation publique ni de tests de santé et de sécurité adéquats pour la 5G.

La science sur les rayonnements électromagnétiques

Il est à noter – bien que cela ne soit évidemment pas mentionné dans le programme – que les constatations de la Dr Mallery-Blythe sont étayées par l’étendue de la science qui a irréfutablement établi les effets biologiques des rayonnements électromagnétiques
(Irradié: Une compilation et une analyse complètes de la littérature sur les champs de radiofréquences et les impacts biologiques négatifs des champs électromagnétiques non ionisants (en particulier les champs de radiofréquences) sur les organismes biologiques (416 pages) ;
le portail CEM de l’Université d’Aachen avec plus de 28.000 études.
Il fut un temps où même la BBC était prête à remettre en question la sécurité du WiFi – oups ! – vous croyiez que nous avions oublié ? (BBC Panorama, 2007 : WiFi Warning Signal (Signal d’alarme sur le sans-fil), mais c’était probablement avant que la BBC elle-même s’est mise à s’acoquiner avec l’industrie des télécommunications, tout comme le New York Times (Who has NY Times in their pocket? (Qui a le NY Times dans sa poche ?) ; et NY Times 5G ties uncovered (Les liens 5G du NY Times découverts)).

Les informations de la Dr Mallery-Blythe sont immédiatement minées par le segment suivant, qui se déroule sur un circuit de course, où nous entendons, dans des tons enthousiastes qui rappellent les mecs du programme Top Gear (A vitesse supérieure), comment ils testent la capacité de la 5G de se connecter aux voitures à très haute vitesse. Cette recherche porte sur le développement de véhicules autonomes, mais nous n’en sommes pas informés.

Peter Claydon, directeur du projet AutoAir, nous dit que « l’organisation internationale » ICNIRP (Comité international des rayonnements non ionisants) remonte aux années 1960 et se compose d’un groupe d’experts médicaux et que le Royaume-Uni fonde les lignes directrices sur l’installation de la technologie sans-fil sur les recommandations de l’ICNIRP.

ICNIRP : statut réel et littérature abondante sur la corruption de l’ICNIRP

Le présentateur ne conteste pas Claydon sur l’inexactitude de ses affirmations. L’ICNIRP est en fait une ONG de droit allemand sans statut juridique international. Elle nomme ses propres membres, dont aucun n’est médecin, opère sans aucune transparence et n’a de comptes à rendre à personne. Elle décline toute responsabilité sur son site Web pour toute information qu’il contient, y compris ses propres lignes directrices, qui sont basées sur une science sélectionnée et qui est antérieure à l’avènement des téléphones portables. L’ICNIRP a été accusée de corruption par d’innombrables personnes pendant de nombreuses années, et plus récemment par
(1) Investigate Europe : The 5G Mass Experiment (L’expérience de masse 5G) and The ICNIRP Cartel: Who’s Who in the EMF Research World (Le cartel ICNIRP : Qui est qui dans le monde de la recherche sur les CEM) ;
(2) Dariusz Leszczynski, PhD : Is ICNIRP Reliable Enough to Dictate Meaning of Science to the Governmental Risk Regulators? (L’ ICNIRP est-elle suffisamment fiable pour dicter le sens de la science aux organismes gouvernementaux de réglementation des risques ? ;
(3) Joel M. Moskowitz, PhD : The ICNIRP Cartel and the 5G Mass Experiment  (Le cartel ICNIRP et l’expérience de masse 5G) ;
et (4) Professor Emérite Martin Pall, Response to 2018 ICNIRP Draft Guidelines and Appendices on Limiting Exposure to Time-Varying Electric, Magnetic and Electromagnetic Fields (100 kHz to 300 GHz) (Réponse au projet de lignes directrices et appendices visant à limiter l’exposition aux champs électrique, magnétique et électromagnétique variant dans le temps (de 100 kHz à 300 GHz) et Eight Repeatedly Documented Findings Each Show that EMF Safety Guidelines Do Not Predict Biological Effects and Are Therefore Fraudulent (Huit constatations étayées à maintes reprises montrent chacune que les lignes directrices en matière de sécurité ne prédisent pas des effets biologiques et sont donc frauduleuses).

Le présentateur invite Claydon, qui est clairement une personne purement techniquement qualifiée et ni scientifique des CEM ni médecin, à « rassurer fondamentalement ceux qui craignent que [la 5G] puisse affecter la santé humaine que vous ne pensez pas qu’elle le fera », bien que Claydon ne soit pas qualifié pour fournir un avis scientifique ou médical. Claydon répond avec obligeance : « Non… les recherches qui ont été faites depuis des décennies s’appliquent aussi bien à la 5G qu’à toute autre technologie sans fil dans le passé. »

Les conséquences dévastatrices sur la santé d’utilisation du téléphone portable pendant 20 ans

Fait significatif, Claydon ne fournit aucune assurance que la 5G est sûre. En fait, toute la technologie sans fil est dangereuse, et les résultats sur la santé qui se dégagent des 20 dernières années d’utilisation intensive des téléphones portables révèlent des effets dévastateurs sur la santé, notamment l’autisme, le TDAH, la baisse catastrophique de la fertilité, la démence précoce et une augmentation phénoménale des suicides (voir, par exemple, le rapport de l’Association américaine des compagnies d’assurance de personnes Blue Cross Blue Shield d’avril 2019, intitulé » The Health of Millennials » (Santé de la génération du Millénaire) et Are rises in Electro-Magnetic Field in the human environment, interacting with multiple environmental pollutions, the tripping point for increases in neurological deaths in the Western World? (Les augmentations des champs électromagnétiques dans l’environnement humain interagissant avec de multiples pollutions environnementales, sont-elles le point de basculement où des augmentations de décès neurologiques dans le monde occidental se produisent ?) dans Medical Hypotheses. Extrait :

Nous émettons l’hypothèse que la brusque montée relative de la morbidité neurologique dans le monde occidental (1989-2015) est due à l’augmentation des CEM de fond qui est devenue le point de basculement… Les taux de mortalité neurologique sans précédente, qui se sont produits tous en seulement 25 ans, exigent un réexamen de la sécurité à long terme des CEM par rapport [à l’impact] des augmentations dans les CEM de fond sur la santé humaine. Nous ne voulons pas « arrêter le monde moderne », seulement le rendre plus sûr.

Paul Brodeur, dans son livre intitulé The Zapping of America (Les Etats Unis Zappés), constate :

Le rayonnement micro-ondes peut vous aveugler, modifier votre comportement, causer des dommages génétiques et même vous tuer. Les risques vous ont été cachés par le Pentagone, le Département d’Etat et l’industrie électronique. Avec ce livre, la dissimulation des micro-ondes est terminée.

Ensuite, nous entendons très brièvement quelqu’un qui est décrit de
façon désobligeante comme « un soi-disant réfugié WiFi », qui n’est
alloué que quelques secondes pour nous parler de sa douleur cardiaque et
de ses maux de tête causés par la technologie sans fil.

Vient ensuite un segment plus long dans lequel nous entendons le
sénateur Richard Blumenthal établir, lors d’une audience du Sénat
américain en février 2019, que l’industrie des télécommunications a investi zéro dollar dans les tests de santé et de sécurité de la 5G, de sorte que Blumenthal conclut : « Nous avançons donc à l’aveuglette en matière de santé et de sécurité ».

Une fois de plus, les faits sont rapidement minés par le présentateur
qui nous assure avec insistance que Marc Allera, PDG de la grande
société de télécommunications EE (et donc très peu susceptible de donner
une opinion impartiale), « est convaincu que le nouveau service est
sûr ». Marc Allera est un homme d’affaires et non médecin, et son
assurance est évidemment intéressé et n’a aucun poids scientifique.
Allera parle des « rumeurs extrêmes… dont aucune n’est vraie. Nous
travaillons depuis plus de 30 ans avec des organismes comme l’OMS qui
créent des normes… ».

La corruption à l’Organisation mondiale de la santé (OMS)

L’Organisation mondiale de la santé a commodément oublié qu’elle a co-organisé en 1973 un symposium intitulé « The Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation » (Les effets biologiques et les risques pour la santé du rayonnement micro-ondes). Elle n’a pas la prérogative d’approuver unilatéralement les lignes directrices produites par une ONG louche dans des circonstances non transparentes. L’OMS et son projet CEM – au sujet duquel Mike Repacholi, fondateur de l’ICNIRP et ancien directeur du projet CEM de l’OMS, a révélé que jusqu’à la moitié du financement du projet provenait de groupes industriels des services sans fil et électriques – a également été accusé à plusieurs reprises de corruption et de cooptation par l’industrie (Conseil des droits de l’homme de l’ONU, 22 février 2019 : 5G est traitement cruel, inhumain et dégradant selon la Résolution 39/46 ; La dissimulation de l’OMS qui nous coûtera la vie sur Terre ; WHO Watch : Mike Repacholi and the EMF Charade (Mike Repacholi et la Charade des CEM), Microwave News, 2005.

Donnant l’impression que les faits relatifs à la sécurité de la 5G ont maintenant été définitivement établis – par des déclarations péremptoires, erronées et non étayées – le présentateur s’émerveille d’un ton désobligeant : « Malgré les assurances de l’industrie que la 5G est aussi sûre que la 3G, la 4G et la technologie qui la précède, Dr Erica Mallery-Blythe n’est pas convaincue ». Le ton condescendant implique qu’elle ne peut pas être tout à fait saine d’esprit d’insister sur le fait que la 5G n’est pas sûre, bien qu’elle ait entendu les assurances de personnes [ne] possédant [en fait] aucune qualification médicales dans les CEM et préoccupées de leurs propres intérêts.

Le présentateur se met alors à parler très rapidement lorsqu’il admet « qu’aucun test spécifique sur les effets de la 5G sur la santé humaine ne semble avoir été effectué… ». Les qualificatifs « spécifique » et « semble » employés sont trompeurs et inexacts, car en fait aucun test sur les effets de la 5G sur la santé humaine n’a été effectué avant son déploiement sur Terre, dans l’espace et dans la stratosphère.

Avec un « Mais » rapide pour insinuer que cette absence totale des tests de santé et de sécurité de la 5G exigés par la loi est une question négligeable qui ne devrait pas nous préoccuper, il se précipite ensuite à introduire d’un ton confiant un sceptique américain qui ressemble au biologiste britannique Richard Dawkins (qui est systématiquement invité dans les médias britanniques pour débusquer les scientifiques de n’importe quel domaine scientifique dont les preuves contredisent l’orthodoxie des entreprises et leur réduisent les bénéfices). Le présentateur entend bien nous faire comprendre que cet « expert » réglera définitivement la question. Le Dr Steve Novella, professeur adjoint de neurologie à l’Université de Yale, nous informe de la manière suivante, qui fait autorité, comme point culminant du programme :

Le danger potentiel de la 5G est en fait très, très faible. C’est
un champ électromagnétique, mais c’est un rayonnement non ionisant
il n’est pas assez fort pour briser les liaisons chimiques, endommager l’ADN, par exemple [1].
Il y a beaucoup de recherches sur les effets biologiques de la
radiofréquence, les ondes électromagnétiques et le seul effet
reproductible qui en résulte est un léger réchauffement des tissus
[2].

Voilà tout. Il n’y a donc pas vraiment de raison de penser que l’exposition à la 5G par notre technologie est dangereuse. Il n’y a aucune preuve qu’il y ait un risque, qu’il cause un préjudice réel [3].

Quand on y pense, on est baigné par le soleil avec des radiations
électromagnétiques plus intenses et plus fréquentes tous les jours que
ce à quoi vous allez être exposé à travers le 5G !
[4]

Novella a tort à 100% : Voici d’innombrables raisons de penser que l’exposition à la 5G par la technologie sans fil est extrêmement dangereuse

1. « C’est un rayonnement non ionisant. Il n’est pas assez fort
pour briser les liaisons chimiques, endommager l’ADN, par exemple. »

Portail EMF de l’Université d’Aachen, exemple de recherche documentaire sur les « dommages à l’ADN » : 623 articles ont été trouvés
; l’opérateur Swisscom a déposé en 2004 un brevet sur une méthode et un
système de réduction de l’électrosmog dans les réseaux locaux sans fil
qui constate clairement que le WiFi endommage l’ADN.

2. « Il y a beaucoup de recherches sur les effets biologiques des
radiofréquences, des ondes électromagnétiques et le seul effet
reproductible qui en résulte est un léger réchauffement des tissus. »

Irradié
: Une compilation et une analyse complètes de la littérature sur les
champs de radiofréquences et les impacts biologiques négatifs des champs
électromagnétiques non ionisants (en particulier les champs de
radiofréquences) sur les organismes biologiques (416 pages) ; le portail CEM de l’Université d’Aachen avec plus de 28.000 études. Même l’ICNIRP corrompue admet dans ses lignes directrices de 1998
que « par rapport au rayonnement à ondes continues (CW), les champs de
micro-ondes pulsées avec le même taux moyen de dépôt d’énergie dans les
tissus sont généralement plus efficaces pour produire une réponse
biologique, surtout lorsqu’il existe un seuil bien défini qui doit être
dépassé pour obtenir l’effet (ICNIRP, 1996).

3. « Il n’y a aucune preuve qu’il y ait un risque, qu’elle cause un préjudice réel. »

Portail EMF de l’Université d’Aachen : Le cœur du portail CEM est une vaste base de données bibliographiques avec un inventaire de 28.841 publications et 6.390 résumés d’études scientifiques individuelles sur les effets des champs électromagnétiques.

4. « On est baigné par le soleil avec des radiations
électromagnétiques plus intenses et plus fréquentes chaque jour que ce à
quoi vous allez être exposé à travers la 5G ! »

Selon le professeur Olle Johansson, récemment retraité de l’Institut Karolinska en Suède, l’exposition
actuelle du public au rayonnement sans fil (avant l’ajout de la 5G) est
environ un quintillion de fois (1 000 000 000 000 000 000 ou 18 zéros)
supérieure au rayonnement naturel
.

Le rayonnement de fond naturel n’est ni pulsé ni modulé, comme l’explique Arthur Firstenberg, scientifique et co-auteur de l’Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace

Le dommage n’a rien à voir avec les niveaux de puissance. C’est ce que personne ne comprend. Le niveau de puissance n’est pertinent que pour un seul type d’effet : le chauffage. Pour tous les autres effets, il est complètement hors de propos. Il y a des effets à puissance proche de zéro, et pour certains effets, il y a une relation de puissance inverse, c’est-à-dire que plus la puissance est faible, plus le dommage est grave. Le DAS [débit d’absorption spécifique, utilisé pour exprimer la puissance absorbée par masse de tissu] n’est absolument pas pertinent pour les effets non thermiques.

Ce n’est pas la puissance qui fait le mal. C’est le degré de cohérence, le type et la profondeur de la modulation, la longueur d’onde, le nombre de fréquences, le nombre de signaux, la largeur de bande, la forme des ondes, la hauteur et la largeur des impulsions, le temps de montée et de descente, et les autres propriétés du rayonnement. Le peu d’importance des niveaux de puissance pour les effets autres que la chaleur a été démontré à maintes reprises. Dans les études de Salford, ce sont les niveaux de puissance les plus faibles qui ont causé le plus de fuites dans la barrière hémato-encéphalique. Blackman, Bawin, Dutta, Schwartz et Kunjilwar, tous dans des laboratoires différents, ont constaté que le flux de calcium provenant des cellules neurales et cardiaques se produisait à des fréquences et à des niveaux d’exposition spécifiques et n’augmentait pas avec la puissance. Dans l’étude de Dutta, une diminution de 3 000 fois de la puissance a causé une augmentation de 4 fois du flux de calcium. Sadchikova et ses collègues soviétiques ont constaté que les employés exposés aux niveaux de puissance les plus bas souffraient plus souvent du mal des ondes radio. Belyaev a constaté que les effets génétiques se produisaient à des fréquences spécifiques et que l’ampleur de l’effet ne changeait pas avec un niveau de puissance supérieur à 16 ordres de grandeur. L’hypothèse selon laquelle la technologie sans fil peut être rendue sûre en réduisant la puissance a été démentie.

Le présentateur résume les conclusions du programme :

J’ai vu pourquoi les gens sont si enthousiastes à l’idée du
déploiement mondial de la 5G… Mais si beaucoup de gens pensent que la 5G
est la meilleure chose depuis le pain tranché, il y a encore ceux qui
croient que si la technologie continue à être déployée sans les tests
qu’ils exigent, nous pourrions bientôt tous être grillés !

Une distorsion sonore est appliquée derrière ces mots, à laquelle
s’ajoute la banalisation de « nous pourrions bientôt être grillés » et
l’intonation qui implique le ridicule de l’idée que les gens peuvent
vraiment être si mesquins qu’ils exigent le respect des lois nationales
et internationales exigeant des tests préalables, des études d’impact
sur l’environnement et l’application du principe de précaution.

Et voilà! Ce programme de la BBC admet en fait qu’aucun test de santé
ou de sécurité n’a été effectué sur la 5G, tout en omettant d’informer
le public que cela est en fait illégal en vertu du droit communautaire
et international et du code de Nuremberg et ignore complètement le
principe de précaution, qui est approuvé par l’UE dans sa résolution 1815 de 2011. Un avis juridique donné par un
cabinet d’avocats danois indique que le déploiement de la technologie
5G est illégal en vertu du droit communautaire et international
(75 pages) :

La conclusion de cet avis juridique est que l’établissement et l’activation d’un réseau 5G, tel qu’il est actuellement décrit, serait en contradiction avec les lois actuelles sur l’homme et l’environnement garantis par la Convention européenne des droits de l’homme, la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant, les réglementations européennes et les Conventions de Berne et de Bonn. … Cela s’applique également lorsque le rayonnement reste dans les limites recommandées par l’ICNIRP et actuellement utilisées au Danemark ainsi que dans l’ensemble de l’UE.

Les contributeurs au programme qui sont effectivement qualifiés et
justifiés d’exiger des tests de santé et de sécurité de la technologie
5G avant son déploiement en vertu (a) d’une qualification médicale et de
connaissances dans ce domaine de la médecine, (b) d’une expérience
personnelle des effets délétères de la technologie sans fil, et (c) de
connaissances juridiques, sont dépeints comme déraisonnables, insensés,
mesquins et extrêmes. Ils seront sans doute bientôt qualifiés de
terroristes – affaire [BBC] à suivre… !

En revanche, les intervenants pro-5G, qui possèdent des
qualifications techniques mais ni médicales dans le domaine des CEM ni
scientifiques, sont vivement encouragés à exposer leurs opinions vides
et sans valeur sur la sécurité de la 5G. Chacun parle après chaque
intervenant anti-5G afin de saper ce qu’il ou elle a dit, et ensemble on
leur accorde le double du temps accordé aux intervenants anti-5G. Des
indices subtils tels que le choix du registre de la langue, les phrases
vernaculaires, la banalisation et l’intonation désobligeante sont
également utilisés pour miner les intervenants anti-5G.

Comme l’a dit Gandhi : « D’abord ils vous ignorent, ensuite ils vous
raillent, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez. »  Les fake news
sur la 5G émanant des médias corrompus financées ou cooptés par
l’industrie des télécommunications sont exposées pour ce qu’elles sont :
une tentative maladroite, pitoyable et tardive d’une industrie des
télécommunications avide – qui pensait pouvoir lancer la 5G sur un
public peu méfiant sans se faire épinglée – d’accroître leur mépris pour
le public en le trompant une fois de plus à coup de mensonges et de
manipulation. Je vous préviens : ce génie ne rentrera pas dans la
bouteille.

Peu importe le nombre de fois que vous invitez vos contributeurs
sceptiques à réfuter les nombreuses preuves indiquant les conséquences
catastrophiques probables du déploiement de la 5G sur Terre, dans la
stratosphère et dans l’espace afin d’irradier chaque centimètre carré de
la planète sans que personne ne puisse s’échapper, quel que soit son
âge ou son état de santé, y compris les fœtus pas encore nés – un plan
qualifié par le Professeur Emérite Martin Pall en tant que « l’idée la
plus stupide de l’histoire de l’humanité » – et pour affirmer que cet
ensemble écrasant de preuves n’est pas « réel », « prouvé », « valide »,
« solide », « convaincant », « décisif » ou « établi », le public ne
vous croira pas.

Vous pouvez continuer à imputer le rejet absolu de la 5G par un
public consterné et indigné à la désinformation russe pour détourner
l’attention publique des criminels qui ont planifié son déploiement et
qui sont donc vraiment responsables de ce fiasco technologique
irréfléchi, mais vous foncez tout droit vers l’échec.

Les dirigeants, le personnel et les invités de la BBC devraient
bientôt commencer à respecter la loi et à dire la vérité, sinon ils
pourraient bientôt être tenus responsables d’un complot délibéré,
calculé et malveillant visant à aider et à encourager le génocide et
l’écocide. Des nazis de haut rang ont été pendus pour crimes contre
l’humanité après la tentative de génocide de la deuxième guerre
mondiale. À ma connaissance, personne n’a encore été jugé pour
conspiration en vue de commettre un omnicide. Espérons que vous cesserez
immédiatement de faire preuve d’arrogance et de l’orgueil insondable
dans votre détermination à être parmi les premiers.

Claire Edwards

Article original en anglais :

BBC Fake News on 5G Decoded: Health Impacts Denied Despite Overwhelming Scientific Evidence, publié le 25 août 2019

Traductrices : Dossano Elizabeth et Edwards Claire




Implantation de puces RFID : la presse du système lance une offensive majeure

[Source : kla.tv via Les moutons enragés]

« Maintenant viennent les porteurs de puce ! » titrait le journal Swiss BLICK sur la page d’accueil de son site web le 14 mai 2018. Les trois premières pages du journal ressemblaient à une campagne publicitaire pour des puces RFID implantées :

« Une petite puce pour lui – une grande mise à jour pour l’humanité »

« Quiconque a peur d’une mauvaise utilisation des données doit se méfier de Facebook et de l’assistante vocale Alexa d’Amazon et non de ces puces. »

Les soi-disant spécialistes disent :

« Les implants à micro puce ne nous donnent pas moins de sécurité numérique, mais beaucoup plus. »

« C’est ce qu’on ressent quand on devient cyborg »

a publié RedBull dans une campagne publicitaire.

« Un implant de biopuce fait de vous plus qu’un humain. On va vous montrer comment ça marche. »

« Le seul moyen pour les humains de suivre les machines est de les intégrer en nous. »

Les reporters grand public se font implanter des puces radio devant la caméra et en public, par exemple Tim Kuchenbecker dans l’émission ARD Tagesschau. Kuchenbecker a le mandat d’une agence médiatique pour être l’exposant lors du salon CeBIT. Le journaliste de presse voit de nombreux avantages à être pucé.

« Je crois vraiment que c’est l’avenir. J’en suis convaincu »

Une jeune journaliste de youFM :

« Là-dedans se trouve une puce NFC minuscule. Plus ou moins de la taille d’un grain de riz. J’espère que je vais pouvoir ouvrir des portes, envoyer des données à des smartphones… Et maintenant cette puce est ici dans ma main. »

« Oh Alléluia. Ah, je suis si contente ! »

Jonas Jansen, rédacteur du journal Allemand FAZ :

« Ça ne fait pas mal du tout, c’est comme une prise de sang par exemple, une petite piqûre… »

« Et maintenant tu peux mettre toutes sortes de données dessus. »

Ceux qui prédisaient il y a quelques années que dans un avenir proche nous serions implantés sous la peau avec une puce radio ont été qualifiés de conspirationnistes. Aujourd’hui, la presse du système fait la promotion de l’implantation de puces radio RFID de manière ciblée et coordonnée. De telles campagnes publicitaires conduisent au génocide de groupes nationaux, raciaux ou religieux et doivent être stoppées par le peuple ! Comment faire ?!

Un tel génocide se déroule de manière sournoise et suit son cours de nos jours avec l’abolition de l’argent liquide. Si vous refusiez avec véhémence tout paiement sans numéraire, de nos jours vous ne pourriez exister que de façon très restreinte et bientôt plus du tout. En effet, votre employeur ne verse votre salaire mensuel plus que sur un compte bancaire. Votre propriétaire demande le loyer mensuel par virement bancaire. Vous ne pouvez réserver votre voyage d’affaires sur Internet que sans argent liquide. Aimeriez-vous payer en liquide pour une nouvelle voiture ? En France, avec un plafond de 1 000 € en espèces, vous ne pourriez acheter qu’un tas de ferraille sur roues.

La restriction de votre liberté personnelle se fait de manière insidieuse et prétendument à votre avantage. Mais sans moyens de paiement tracé, vous n’existeriez bientôt plus. Nous expérimenterons le même processus avec l’implantation des puces RFID :

La première génération d’implants rendra les clés superflues et permettra de mettre en réseau les appareils de la maison. La nouvelle génération remplace votre portefeuille, votre carte de crédit, votre carte d’assurance, etc. et fait de vous un citoyen totalement transparent. Au plus tard à la troisième génération de puces, vous pourrez être localisé et contrôlé partout dans le monde. Ceux qui, pour des raisons religieuses, éthiques ou autres, ne veulent pas se faire implanter une puce seront tôt ou tard exclus de la société et ne pourront plus participer à la vie publique. Appelez ça aussi aujourd’hui une théorie de conspiration. Ce sera une conspiration si on ne l’arrête pas !

STOP RFID – cela conduit au génocide !

Dans ce contexte, étudiez également nos émissions Kla.TV bien documentées sous les liens qui s’affichent et protestez contre toute nouvelle avancée de cette technologie anti-humaine :

www.kla.tv/338 // RFID – Quoi de neuf ?

www.kla.tv/10824 // Le développement d’implants à puce présente un énorme potentiel d’utilisation abusive

www.kla.tv/1804 /// Stop RFID

Sources / Liens :




Crime vaccinal – Ils accusent un Prix Nobel de mauvaise science !

[Source : Stop Mensonges]

Comment le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, est-il devenu
l’Ennemi Public N°1 en France ? C’est ce qu’explique l’article que je
vous fais suivre.

Il a été écrit par Pierre Lance, dont j’aime beaucoup le style.

Régalez-vous !

Eric Müller

PS : Cet article vient de la revue Alternatif Bien-Être et était au départ réservé à ses abonnés. Mais le sujet est tellement important que son rédacteur en chef a décidé de le rendre public. N’hésitez donc pas à le transférer à votre entourage.


LUC MONTAGNIER : L’HOMME À ABATTRE ! par Pierre Lance

Comme tous les gens bien informés le
savent, le complexe pharmaco-industriel mondial (que j’ai surnommé dans
mes ouvrages « le tyrannosaure ») est une véritable mafia qui a mis
toute l’humanité en coupe réglée et qui fait la pluie et le beau temps
au sein de toutes les «Autorités de santé» de dizaines de nations
réputées indépendantes.

Or, en ce qui concerne la santé, ou plus exactement la maladie, aucun
État n’est véritablement libre de ses choix, car la grande majorité de
ses «experts» sont en conflit d’intérêts avec les grands laboratoires,
dont ils sont salariés ou actionnaires. Aussi est-il de plus en plus
urgent que les démocraties, à commencer par la France, veillent à ce que
les décideurs des divers organismes de santé soient totalement
indépendants de l’industrie pharmaceutique, faute de quoi il n’existera
bientôt plus aucune liberté du citoyen en ce qui concerne sa santé et
celle de sa famille. Sous prétexte de le «protéger», des décisions
bafouant délibérément ses droits les plus élémentaires lui seront
imposées.

Un prix Nobel face au tyrannosaure

L’une des plus grandes victoires (que
j’espère provisoire) du « tyrannosaure » a été remportée récemment en
France et en Italie par l’obligation de 11 vaccins infligés à nos bébés,
alors que rien ne pouvait justifier une telle mesure, qui est une
atteinte caractérisée à nos droits constitutionnels. Faut-il que le «
tyrannosaure » soit puissant pour qu’il soit parvenu à circonvenir le
Président Emmanuel Macron, qui fut pourtant élu dans le but de réformer
et fortifier la démocratie française. Toutefois, la guerre des vaccins
n’est pas terminée, et l’on voit de nombreux David saisir leur fronde
afin de terrasser le monstrueux Goliath, empereur des seringues.

Le Pr Luc Montagnier lors d’un congrès à Lindau, en Allemagne

Parmi ces David figure désormais le Professeur Luc Montagnier, Prix
Nobel de physiologie ou médecine, ancien professeur émérite à l’Institut
Pasteur, directeur émérite de recherche au CNRS, ancien professeur à
l’Université de New-York et membre des Académies des sciences et de
médecine. Mais Luc Montagnier étant un esprit libre, qui a toujours
refusé de se plier aux ukases des mandarins conformistes, il a poursuivi
de nombreuses recherches personnelles en sortant des sentiers battus,
ce qui lui a valu de féroces inimitiés. D’autant qu’il a pris fait et
cause pour deux de mes « savants maudits », Mirko Beljanki et Jacques
Benveniste.

Il a même annoncé en 2010 qu’il fuyait le «climat de terreur
intellectuelle» qui sévit en France et il a pris la direction d’un
institut de recherche à l’Université Jiaotong de Shangaï. Mais c’est en
novembre 2017 qu’il a mis le comble à la fureur du « tyrannosaure » en
alertant l’opinion sur les risques liés aux vaccins et en prenant
nettement position, en compagnie du Pr Henri Joyeux, chirurgien
cancérologue, contre la nouvelle loi infligeant aux nouveau-nés 11
vaccins obligatoires.

La presse complice

Dès lors, Luc Montagnier est devenu le
nouvel « homme à abattre » et la mafia médico-pharmaceutique a mobilisé
le ban et l’arrière-ban des mercenaires de la presse conformiste pour
tenter de discréditer Luc Montagnier dans l’opinion publique. La
dernière en date des attaques en règle contre ce grand scientifique est
parue dans « Le Point » (N° 2386 – 24 mai 2018). J’avoue que, jusqu’ici,
je considérais « Le Point » comme un journal sérieux. Depuis ce 24 mai,
il a beaucoup baissé dans mon estime, car il a ouvert ses colonnes à un
article qui déshonore les journalistes qui l’ont commis.

Sous le titre « Mais qu’arrive-t-il au Pr Montagnier ?», deux
folliculaires nommés Thomas Mahler et Violaine de Montclos, à
l’évidence dûment chapitrés par le « tyrannosaure », et dont les
connaissances médicales doivent être proches de zéro, se sont permis
d’aligner un ramassis de moqueries, de rumeurs, de ragots assaisonnés
par une pétition « anti-Montagnier » signée à l’aveuglette par les
moutons de Panurge du corps médical. Les rédacteurs de ce galimatias
nous disent, dès les premières lignes, avoir assisté à la conférence
Montagnier/Joyeux, qu’ils nous présentent ainsi : « Sur la scène du Théâtre Michel, ce 7 novembre 2017, deux personnages donnent (…) une drôle de farce. » 

Ainsi, d’entrée de jeu, le ton est donné : ces deux grands médecins
sont des farceurs, tenez-vous le pour dit. Et ils poursuivent : « Devant un public nombreux qui leur est tout acquis, que prophétisent les deux compères (sic) opposés tous les deux à la vaccination obligatoire ? Un « empoisonnement » général de la populationune «tempête de cytokines» dans le cerveau de nos enfants… (Je
précise que les cytokines sont des substances solubles de signalisation
cellulaire agissant à distance pour réguler l’activité et la fonction
d’autres cellules. Donc, Montagnier et Joyeux ont parfaitement raison :
Il est logique et probable qu’une injection massive de plusieurs vaccins
déclenche un « affolement » des cytokines aux conséquences
imprévisibles.) …et des « corrélations temporelles sérieuses » entre la mort subite du nourrisson et l’injection de vaccins avec adjuvants à base d’aluminium.»

Une interview truffée d’arrière-pensées…

Nos deux plumitifs ont tout de même été
rendre visite à leur victime avant de la flinguer sans sommation et nous
annoncent ainsi l’entrevue : «…Un Luc Montagnier on ne peut plus
sûr de lui nous reçoit dans les bureaux fantomatiques de sa Fondation
mondiale prévention et recherche sida, abritée par le siège parisien de
l’Unesco.» 
J’ignorais que des bureaux pouvaient être «
fantomatiques » et je constate que nos deux rédacteurs du « Point » ont
une approche de la langue française pour le moins approximative.

Ils nous parlent ensuite d’une pétition signée par « plus d’une centaine de membres des Académies des sciences et de médecine » et qui proclame : «
Nous ne pouvons accepter de l’un de nos confrères qu’il utilise son
prix Nobel pour diffuser, hors du champ de ses compétences, des messages
dangereux pour la santé, au mépris de l’éthique qui doit présider à la
science et à la médecine. » 

Or, je précise que l’Académie des sciences compte 262 membres et
l’Académie de médecine 290 (sans compter les membres étrangers). Soit au
total 552 membres, ce qui réduit les signataires de la pétition à la
proportion de moins d’un cinquième des académiciens. Je présume que tous
les autres, qui ont certainement été sollicités, ont refusé d’attaquer
un de leurs pairs sans raison crédible. Mais en outre, le texte de cette
pétition est totalement grotesque. D’abord parce qu’il est absurde de
prétendre que Luc Montagnier « utilise » son prix Nobel dans quelque but
que ce soit. Il est Prix Nobel, point barre, et ne peut avoir aucune
influence sur toutes les personnes qui jugent bon d’en faire état. Quant
aux ahuris qui ont signé ce torchon, on se demande de quel droit ils se
permettent d’interférer dans l’action d’un de leurs confrères qui dit
ce qu’il croit juste et qui parle en s’appuyant sur ses recherches et
ses connaissances, auxquelles ses censeurs n’ont pas accès.

Mais voici que nos deux rédacteurs téléguidés adoptent un autre angle d’attaque et nous disent : « Dans
les années 2000, déjà, il (Montagnier) repêche l’embarrassante théorie
de la mémoire de l’eau popularisée par Jacques Benveniste, que le
découvreur du sida voit comme un «Galilée des temps modernes». En 1988,
cet immunologiste de l’Inserm publiait une découverte qui, d’après Le
Monde, pouvait «bouleverser les fondements de la physique
 ». Après
les annonces sensationnalistes, l’expérience, non reproductible, fait
vite pschitt, et si les milieux complotistes et ésotériques les
encensent, les travaux de Benveniste sont balayés par la communauté
scientifique
. » Là, j’avoue que je reste pantois devant l’ignorance
crasse et la vanité redondante de nos deux gratte-papiers du «Point»,
qui, de toute évidence, n’ont pas la moindre idée de ce dont ils parlent
et se contentent de faire chorus avec tous les pense-petit, les
pisse-vinaigre et les va-d’la-gueule de la prétendue «communauté
scientifique».

Avoir raison ne donne pas bonne presse

Personnellement, je connais très bien
les travaux de Jacques Benveniste, dont les expériences étaient
parfaitement reproductibles (à condition évidemment qu’on veuille bien
se donner la peine d’essayer de les reproduire). Non seulement
Benveniste parvint à établir que l’eau conservait la trace de tout ce
qui la traversait, mais il réussit même à enregistrer ces traces et à
les transmettre par Internet à très longue distance. Seulement voilà,
comme ses travaux donnaient l’explication fondamentale de l’efficacité
de l’homéopathie malgré la disparition de toute substance matérielle (et
donc par un effet de « mémorisation »), il devenait aussitôt « l’homme à
abattre » pour le cartel de la pharmaco-chimie dont l’allopathie
demeure l’irremplaçable vache-à-lait. (Je rappelle que pas un médecin
homéopathe n’est membre de l’Académie de médecine, et que lorsque
celle-ci affecte de mépriser cette thérapie, dont l’efficacité a été
mille fois prouvée, elle se permet de juger une discipline qu’elle n’a
jamais étudiée et à laquelle ses membres ne connaissent rien).

Bref, Jacques Benveniste fut licencié de l’INSERM et privé de tout
soutien et de toute ressource jusqu’à ce que mort s’ensuive. Aussi
doit-on féliciter hautement Luc Montagnier d’avoir le courage de
réhabiliter Jacques Benveniste, car il devient ainsi lui-même la cible
privilégiée des mercenaires du « tyrannosaure ». Son nom vient donc
allonger la liste des excommuniés de l’Eglise du caducée, qui compte
déjà bien des scientifiques célèbres.

Nos deux frelons du «Point», se ridiculisant eux-mêmes sans s’en
rendre compte, ne se privent d’ailleurs pas d’en égratigner quelques-uns
au passage, faisant écho à une prétendue « maladie du Nobel »
diagnostiquée par un pourfendeur américain des « pseudo-sciences » (les
cloportes de la «communauté scientifique» nomment ainsi les sciences
qu’ils ne comprennent pas), notamment Linus Pauling, dont ils n’ont
évidemment pas lu le moindre texte, et qu’ils maltraitent sans vergogne
par ces lignes assassines : «Ainsi Linus Pauling, légende de la physique quantique et double Nobel, qui se fourvoya dans des travaux sur la vitamine C…». 

Or, non seulement Linus Pauling, génie incontestable, ne s’est
nullement fourvoyé, mais c’est grâce à ses expériences que le monde
entier connaît les vertus de la vitamine C (ou acide ascorbique),
substance indispensable aux performances de notre système immunitaire.
Toutefois, la vitamine C (présente dans tous les fruits et légumes et
principalement dans les agrumes) est affligée d’un inconvénient majeur :
elle ne coûte presque rien et ne peut permettre à aucun laboratoire de
faire fortune. C’est pourquoi les spadassins de la mafia pharmaceutique
entreprirent de ridiculiser Linus Pauling et y parvinrent pour une
grande part, grâce à la complicité de journalistes bigleux dont l’esprit
critique était tombé dans les chaussettes. (Toutefois, je suis obligé
de me demander si quelques enveloppes rebondies ne circulent pas dans
les salles de rédaction, afin d’encourager parfois la «bien-pensance».)

Je vous ferai grâce de toutes les autres balivernes qui émaillent ces
trois pages du «Point», dont le seul but est de jeter le discrédit sur
l’un de nos plus brillants chercheurs. On nous dit, et je trouve ça très
amusant, que certaines hypothèses médicales de Luc Montagnier sont «
très controversées ». Parbleu ! Comme si les travaux de tous les
pionniers qui s’aventurent dans les forêts vierges de la connaissance en
traçant leur propre chemin pouvaient ne pas être « controversés » par
la piétaille des conformistes et des médiocres qui ne savent circuler
que sur les autoroutes bien balisées du «scientifiquement correct».
Quoiqu’il en soit, Luc Montagnier et Henri Joyeux viennent d’adresser
une requête au Président Macron pour demander que soit inscrit dans la
Constitution le principe de précaution en matière de santé. Si cette
requête était satisfaite, l’obligation vaccinale généralisée aurait du
plomb dans l’aile, car le moins qu’on puisse dire est qu’elle foule aux
pieds toute précaution envers les enfants fragiles et nos libertés
essentielles du même coup.

Cela dit, je ne veux pas mettre en doute la bonne foi de M. Mahler et de Mme de Montclos, même s’ils se sont laissés trop aisément manipuler par quelques mandarins. Mais je me vois contraint de leur faire un reproche majeur : Leur conscience professionnelle de journalistes aurait dû les inciter, au minimum, à prendre connaissance de tous les arguments scientifiques et médicaux qui ont été développés par les médecins contestataires de l’obligation vaccinale, et notamment ceux du Dr Dominique Rueff, diplômé universitaire de cancérologie, publiée le 15 juillet 2017 (https://www.lettre-docteur-rueff.fr/vaccinations-obligatoires-jai-choisi-camp/).

Enfin je me permettrai d’inciter M. Sébastien Le Fol, directeur de la
rédaction du «Point» et M. Etienne Gernelle, directeur de publication,
dont j’apprécie grandement les éditoriaux, de bien vouloir rappeler à
leurs rédacteurs qu’ils ont un devoir d’objectivité et de loyauté et que
leur travail ne consiste pas à «servir la soupe» à quelque coterie que
ce soit ni à être des «snipers» médiatiques à la solde des ennemis
déclarés de l’un des plus éminents esprits libres de la science
française.

Pierre Lance

Pierre Lance est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages et notamment de la série Savants maudits, chercheurs exclus (4 tomes, 2002 à 2010 – Guy Trédaniel Editeur) qui regroupe les biographies résumées de 48 chercheurs de génie qui furent méconnus, occultés, voire persécutés par la « nomenklatura » scientifique et médicale.

[Voir aussi :




Selon un conseiller du Premier ministre australien, le changement climatique est une « ruse dirigée par l’ONU pour établir un nouvel ordre mondial » (article du Telegraph de mai 2015)

[Source pour la traduction partielle : Conscience du peuple]

Selon un conseiller du Premier ministre australien, le changement climatique est une « ruse dirigée par l’ONU pour établir un nouvel ordre mondial » (article du Telegraph de mai 2015)

« Pour la première fois, l’humanité instaure un véritable instrument de gouvernance mondiale [faisant référence au protocole de Kyoto], qui devrait trouver sa place dans le monde. L’Organisation pour l’environnement que la France et l’Union européenne souhaiteraient voir instaurer. » 

Jacques Chirac, ancien Président de la République française

Maurice Newman

Le changement climatique est un canular développé dans le cadre d’un complot secret des Nations Unies visant à saper les démocraties et à conquérir le monde, a mis en garde un des principaux conseillers de Tony Abbott, le Premier ministre australien.
Maurice Newman, conseiller principal du Premier ministre pour les entreprises, a déclaré que les liens entre l’activité humaine et le réchauffement climatique étaient fallacieux et que la science était utilisée comme un «hameçon» par l’ONU pour étendre son contrôle mondial.
«Ce n’est pas une question de faits ou de logique. Il s’agit d’un nouvel ordre mondial sous le contrôle de l’ONU », a-t-il écrit dans The Australian.
(…)
« C’est un secret bien gardé, mais 95% des modèles climatiques dont on nous dit qu’ils prouvent le lien entre les émissions de CO2 de l’homme et le réchauffement catastrophique de la planète se sont révélés erronés », a-t-il écrit.
« Le véritable agenda est une autorité politique concentrée. Le réchauffement climatique est le prétexte. Les éco-catastrophistes […] ont pris d’assaut l’ONU et sont extrêmement bien financés. Ils ont un allié extrêmement puissant à la Maison Blanche ».
Des groupes environnementaux et des scientifiques ont décrit M. Newman comme un théoricien du complot «fou» et certains lui ont demandé de démissionner [évidemment!].

Article traduit partiellement: https://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/australiaandthepacific/australia/11591193/Australia-PM-advisor-says-climate-change-a-UN-led-ruse.html




L’avènement de la technologie qui détruit la vérité

[Source : Réseau International]

par Paul Craig Roberts

Tyler Durden sur Zero Hedge
rapporte que la capacité à falsifier la réalité augmente à pas de géant.
Les geeks insouciants ont maintenant développé une technologie qui rend
la fausse réalité impossible à distinguer de la vraie réalité :

« Je ne pense pas que nous soyons bien préparés du tout. Et je ne pense pas que le public soit au courant de ce qui arrive« , a déclaré le président du Comité du Renseignement de la Chambre des Représentants.

Il discutait des
progrès rapides de la technologie de synthèse. Cette nouvelle capacité
de l’Intelligence Artificielle permet aux programmeurs compétents de
créer de l’audio et de la vidéo de n’importe qui disant absolument
n’importe quoi.

Les créations sont
appelées « deepfakes » et aussi scandaleuses soient-elles, elles sont
pratiquement impossibles à distinguer de la réalité.

A peine nous
étions-nous adaptés à un monde où notre réalité semblait fausse, que les
choses qui sont fausses sont devenues notre réalité.

« Nous sommes dépassés« , a déclaré un expert en criminalistique numérique de l’Université de Berkeley, « le
nombre de personnes travaillant actuellement sur la vidéo-synthèse est
100 fois supérieur à celui des personnes travaillant sur la détection
des deepfakes
« …

Déjà deux tiers des
Américains disent que les images et les vidéos altérées sont devenues un
problème majeur pour comprendre les évènements fondamentaux de
l’actualité.

Les chercheurs en
désinformation mettent en garde contre une « apathie croissante de la
réalité », où il faut tellement d’efforts pour distinguer le réel du
faux qu’il suffit d’abandonner et de se fier à ses instincts de base,
ses préjugés tribaux et ses impulsions. Immergés dans les tromperies de
nos leaders, nous en arrivons à ne croire en rien. Deux pétroliers
s’enflamment, de la fumée s’échappe.

À l’image, un bateau
suspect des Gardiens de la Révolution Iranienne est apparu sur une
vidéo granuleuse. Les images virales ont inondé les neuf milliards
d’écrans de la Terre. Chaque partie a raconté une histoire différente.
Personne ne savait à qui faire confiance. Les théories du complot ont
comblé le vide, chacun s’accrochant à ce qu’il veut croire le plus.

https://www.zerohedge.com/news/2019-06-16/hedge-fund-cio-i-dont-think-public-aware-whats-coming

Pourquoi les geeks de la technologie
sont-ils fiers de développer une technologie qui rend la vérité encore
plus difficile à trouver ? Qu’est-ce qui ne va pas avec leur nature en
tant qu’humains pour qu’ils créent des méthodes qui détruisent la
capacité de connaître la vérité ? En quoi est-ce différent de libérer
une substance indétectable dans l’air qui anéantit la vie ?

La seule utilisation de cette
technologie est de permettre à la police d’État un contrôle total. Il
est maintenant possible de mettre les paroles et les actes dans la
bouche et les actions de quiconque et d’utiliser les fausses preuves
pour les condamner pour le crime simulé.

Sans vérité, il n’y a pas de liberté, pas de liberté, pas de pensée indépendante, pas de conscience. Il n’y a que La Matrice.

Comment l’Amérique a pu autant se perdre
que des entreprises, des investisseurs et des scientifiques sont
motivés à développer une technologie qui détruit la vérité ? Ces idiots
sans cervelle ne sont-ils pas nos vrais ennemis ?

La chose la plus difficile dans le monde
d’aujourd’hui est d’établir la vérité. C’est ce que j’essaie de faire
pour les lecteurs. Ceux qui dépendent de ce site Web devraient le
soutenir. Ce site a des supporters très fidèles, c’est pourquoi il
existe. Mais il a beaucoup plus d’utilisateurs que de partisans.
L’attitude cavalière de tant de lecteurs envers la vérité n’encourage
pas la survie de la vérité.

Source : The Advent of Truth-Destroying Technology

traduit par Réseau International




Nord-américains, Européens : Réveillez-vous bon sang !

[Source : Réseau International]

par Andre Vltchek

Année après année, mois après mois, je vois deux côtés du monde, deux extrêmes qui se déconnectent de plus en plus.

Je vois de grandes villes comme Homs en
Syrie, réduites en horrifiantes ruines. Je vois Kaboul et Jalalabad en
Afghanistan, fragmentées par d’énormes murs de béton destinés à protéger
les armées d’occupation de l’OTAN et leurs pantins locaux. Je vois des
dévastations environnementales monstrueuses dans des endroits tels que
Bornéo en Indonésie, les villes aurifères péruviennes ou les îles
presque inhabitables d’Océanie : Tuvalu, Kiribati ou les îles Marshall.

Je vois des bidonvilles, un manque de
sanitaires et d’eau potable, où les bottes des empires occidentaux ont
écrasé les cultures locales, réduit les gens en esclavage et pillé les
ressources naturelles.

Je travaille sur tous les continents. Je
n’arrête jamais, même quand l’épuisement essaie de m’écraser contre le
mur, même quand je n’ai presque plus de réserves. Je ne peux pas
m’arrêter ; je n’ai pas le droit de m’arrêter, parce que je peux enfin
voir le schéma ; la façon dont ce monde fonctionne, la façon dont
l’Occident a réussi à usurper, endoctriner et asservir la plupart des
pays de ce monde. J’associe mes connaissances et je les publie comme un
« avertissement au monde ».

J’écris des livres sur ce « schéma ». Mon plus complet, jusqu’à présent, étant « Exposer les mensonges de l’Empire« , qui fait 1000 pages.

Ensuite, je vois l’Occident lui-même.

Je viens « parler », au Canada et aux
États-Unis, ainsi qu’en Europe. De temps en temps, je suis aussi invité à
m’adresser au public australien.

L’Occident est si outrageusement riche,
comparé aux continents ruinés et pillés, qu’il apparaît souvent qu’il
n’appartient pas à la planète Terre.

Une promenade paresseuse le dimanche
après-midi à la Villa Borghese à Rome, et une promenade d’horreur dans
le bidonville de Mathare à Nairobi pourraient facilement exister dans
deux réalités distinctes, ou dans deux galaxies différentes.

Même maintenant, après avoir légèrement
mal orthographié « Villa Borghese », mon Mac a immédiatement proposé une
correction. C’est parce que Villa Borghese existe. Par contre,
« Mathare », que j’ai épelé correctement, était souligné en rouge.
Mathare « est une erreur ». Parce qu’il n’existe pas. Il n’existe pas,
bien qu’environ un million d’hommes, de femmes et d’enfants y vivent. Il
n’est pas reconnu par mon MacBook Pro, ni par la grande majorité de mes
lecteurs relativement bien éduqués en Occident.

En fait, la quasi-totalité du monde
semble être une grosse erreur, une non-entité, si on l’observe depuis
New York, Berlin ou Paris.

La Villa Borghese à Rome (à gauche), Mathare : les bidonvilles de Nairobi (à droite)

Je viens parler devant le public occidental. Oui, je le fais de temps en temps, mais de moins en moins souvent.

Franchement, faire face aux foules européennes ou nord-américaines est déprimant, voire humiliant.

Voici comment cela se passe : vous êtes
invités à « dire la vérité », à présenter ce dont vous êtes témoins dans
le monde entier.

Vous vous tenez là, face à des hommes et
des femmes qui viennent d’arriver dans leur voiture confortable, après
avoir bien dîné dans leur maison bien chauffée ou climatisée. Vous êtes
peut-être un écrivain et un cinéaste célèbre, mais vous vous sentez
comme un mendiant. Parce que vous êtes venus parler au nom des
« mendiants ».

Tout est bien poli et chorégraphié. On
s’attend à ce que vous ne montriez rien de « gore ». Que vous ne juriez
pas, que vous ne vous saouliez pas sur scène, que vous ne commenciez pas
à insulter tout le monde en vue.

Ce à quoi vous faites habituellement face est une foule assez dure, ou du moins « endurcie ».

Récemment, dans le sud de la Californie,
lorsqu’un collègue philosophe et ami m’a demandé de m’adresser à un
petit groupe de ses collègues, j’ai vu des gens tapoter sur leur
téléphone portable pendant que je décrivais la situation sur la ligne de
front syrienne, près d’Idlib. J’avais le sentiment que mon récit
n’était rien d’autre qu’une « musique de fond, une musique d’ascenseur »
pour la plupart d’entre eux. Au moins, lorsque je m’adresse à des
millions de personnes dans mes entrevues télévisées, je n’ai pas besoin
de voir le public.

Lorsque vous « parlez » en Occident,
vous vous adressez en fait aux hommes et aux femmes qui sont
responsables, du moins partiellement, des massacres et des génocides
commis par leurs pays. Des hommes et des femmes dont le niveau de vie
est outrageusement élevé, parce que les Autres se font voler, humilier
et souvent violer. Mais leur regard n’est pas humble ; ils vous fixent
avec insistance, attendant que vous commettiez une erreur, pour pouvoir
conclure : « C’est une fausse nouvelle ». Pour eux, vous n’êtes pas un
pont entre ceux qui « existent » et ceux qui « n’existent pas ». Pour
eux, vous êtes un amuseur, un showman, ou le plus souvent : une
nuisance.

Apprendre à connaître la guerre, la
terreur que l’Occident répand, c’est, pour beaucoup de gens dans mon
auditoire, encore un autre type de divertissement de luxe, de haut
niveau, un peu comme un opéra ou un concert symphonique. Si nécessaire,
ils peuvent même payer, bien que la plupart du temps, ils préfèrent ne
pas le faire. Après une expérience titillante, c’est le retour à la
routine, à une vie protégée et élégante. Pendant que vous, le lendemain,
vous prenez souvent l’avion pour retourner à la réalité des Autres, à
la ligne de front, à la poussière et à la misère.

Ils, votre public (mais aussi la plupart
de vos lecteurs) sont venus montrer à quel point ils sont « ouverts
d’esprit ». Ils sont venus « pour apprendre » de vous, « pour
s’instruire », tout en gardant leur mode de vie intact. La plupart
d’entre eux pensent qu’ils savent tout, même sans votre expérience de
première main, ils vous rendent service en vous invitant et en se
traînant jusqu’à une université ou un théâtre ou à n’importe quel
endroit où ils peuvent se retrouver en face de vous. Ils ne sont pas
venus vous soutenir dans votre lutte. Ils ne font partie d’aucune lutte.
Ce sont des gens bons, pacifiques et travailleurs, c’est tout.

Vous savez, comme ces Allemands, à la
fin des années 1930, des gens vertueux et travailleurs. La plupart
d’entre eux aiment leurs animaux de compagnie et recyclent leurs
déchets. Et nettoient même derrière eux au Starbucks.

Il y a quelques jours, nous avons arrêté
le coup d’État au Venezuela. Je dis nous, parce que, bien qu’au fin
fond de l’île dévastée de Bornéo, j’avais donné des interviews à Russia Today, Press TV,
m’adressant à des millions de personnes. Même ici, je n’ai jamais cessé
d’écrire, de tweeter, toujours prêt à tout laisser tomber, juste
prendre l’avion pour Caracas, si on avait besoin de moi là-bas.

Défendre le Venezuela, y défendre la
Révolution, c’est essentiel. Comme il est essentiel de défendre la
Syrie, Cuba, la Russie, la Chine, la Corée du Nord, l’Iran, la Bolivie,
l’Afrique du Sud et les autres nations révolutionnaires et courageuses
qui refusent de se rendre au diktat occidental.

Alors que la bataille idéologique pour
Caracas faisait rage, je me demandais : y a-t-il quelque chose qui
pourrait encore faire bouger l’opinion publique occidentale ?

Sont-ils – Européens et Nord-Américains –
devenus totalement indifférents à leurs propres crimes ? Ont-ils
développé une sorte d’immunité émotionnelle ? Leur état est-il
idéologique ou simplement clinique ?

Nous étions là, au milieu d’un coup
d’État absolument flagrant ; une tentative de l’Occident de renverser
l’un des pays les plus démocratiques de notre planète. Et ils n’ont
presque rien fait pour arrêter le terrorisme perpétré par leurs régimes à
Washington ou à Madrid ! Au moins en Indonésie en 1965 ou au Chili en
1973, le régime occidental a tenté de se cacher derrière de minces
feuilles de figuier. Au moins, tout en détruisant l’Afghanistan
socialiste et l’Union Soviétique communiste en créant les moudjahidin,
l’Occident a utilisé le Pakistan comme mandataire, essayant de
dissimuler, au moins partiellement, son véritable rôle. Au moins, en
tuant plus d’un million de personnes en Irak, il y a eu cette mascarade
et un tas de mensonges sur les « armes de destruction massive ». Au
moins, au moins….

Maintenant, tout est transparent. En Syrie, au Venezuela ; et contre la Corée du Nord, Cuba, l’Iran, la Chine, la Russie.

Comme si la propagande n’était même plus
nécessaire, c’est comme si l’opinion publique occidentale était devenue
totalement obéissante, ne représentant aucune menace aux plans du
régime occidental.

Ou plus précisément, la propagande
occidentale, autrefois très élaborée, est devenue extrêmement simple :
elle répète maintenant des mensonges et la grande majorité des citoyens
occidentaux ne se donnent même pas la peine de se demander ce que leurs
gouvernements infligent au monde. La seule chose qui compte, ce sont les
« questions intérieures », c’est-à-dire les salaires et les avantages
sociaux des Occidentaux.

Il n’y a pas d’émeutes comme pendant la
guerre du Vietnam. Aujourd’hui, les manifestations ne visent qu’à
améliorer le bien-être des travailleurs européens. Personne en Occident
ne se bat pour mettre fin au pillage à l’étranger ou aux attaques
terroristes lancées par l’OTAN contre des pays non occidentaux, ou
contre ces innombrables bases militaires de l’OTAN, contre les invasions
et les coups d’État orchestrés.

Patrouille des forces américaines près de Manbij, Syrie

Je veux connaître les limites de la folie occidentale.

Qu’il y ait folie est indiscutable, mais à quel point est-elle répandue ?

Je comprends, j’ai maintenant accepté le
fait monstrueux que les Français, les Yankees, les Canadiens, les
Britanniques ou les Allemands se fichent du nombre de millions
d’innocents qu’ils tuent au Moyen-Orient, en Asie du Sud-Est, en Afrique
ou dans des « endroits comme ça ». J’accepte qu’ils ne sachent presque
rien de leur histoire coloniale, et qu’ils ne veuillent rien savoir,
tant qu’ils ont du football, beaucoup de viande et 6 semaines de
vacances sur des plages exotiques. Je sais que même beaucoup de ceux qui
peuvent voir les crimes monstrueux commis par l’Occident, veulent tout
mettre sur le dos de Rothschild et de la « conspiration sioniste », mais
jamais sur eux-mêmes, jamais sur leur culture qui s’exprime à travers
les siècles de pillage.

Mais qu’en est-il de la survie de notre planète et de l’humanité ?

J’imagine les yeux de ceux qui assistent
à mes « présentations de combat ». Je leur dis la vérité. Je dis tout
ce que j’ai à dire. Je ne me retiens jamais, je ne fais jamais de
compromis. Je leur montre des images des guerres qu’ils ont déclenchées.
Oui, eux, parce que les citoyens sont responsables de leurs propres
gouvernements, et parce qu’il y a clairement ce qu’on appelle la
culpabilité collective et la responsabilité collective !

Ces yeux, ces visages…. Je vais vous
dire ce que je lis en eux : ils n’agiront jamais. Ils n’essaieront
jamais de renverser leur régime. Tant qu’ils vivent leur vie
privilégiée. Tant qu’ils pensent que le système dans lequel ils sont les
élites, a au moins une chance de survivre dans sa forme actuelle. Ils
jouent sur les deux tableaux, certains luttent verbalement, ils sont
outrés par l’OTAN, par l’impérialisme occidental et le capitalisme
sauvage. En pratique, ils ne font rien de concret pour lutter contre le
système.

Quelle est donc la conclusion ? S’ils n’agissent pas, les autres doivent le faire. Et j’en suis convaincu : ils le feront.

Depuis plus de 500 ans, le monde entier
est en flammes, pillé et assassiné par un petit groupe de nations
occidentales extrêmement agressives. Cela s’est passé pratiquement sans
interruption.

Plus personne ne trouve ça drôle. Là où
je travaille, dans les endroits qui me tiennent à cœur, personne ne veut
de ce genre de monde.

Regardez ces pays qui essaient
maintenant de détruire le Venezuela. Regardez attentivement ! Il s’agit
des États-Unis, du Canada, de la majorité de l’Europe, et surtout des
États sud-américains où les descendants des colonialistes européens
forment la majorité !

Voulons-nous encore 500 ans de cela ?

Les Nord-Américains et les Européens
doivent se réveiller. Même dans l’Allemagne nazie, il y avait des
soldats qui étaient tellement dégoûtés par Hitler qu’ils voulaient le
jeter aux chiens. Aujourd’hui, en Occident, il n’y a pas un seul parti
politique puissant qui pense que 500 ans de pillage colonialiste
occidental sont plus que suffisants ; que la torture dans le monde
devrait cesser, et cesser immédiatement.

Si l’impérialisme occidental, qui est le
plus important et peut-être la seule menace majeure à laquelle notre
planète est actuellement confrontée, n’est pas démantelé de manière
décisive et rapide par ses propres citoyens, il devra être combattu et
dissuadé par des forces extérieures. C’est-à-dire : par ses victimes
anciennes et actuelles.

Source : North American, European Public: Finally Wake Up, Damn It!

traduit par Réseau International




Un camouflet de douze millions

[Source : Michel Onfray]

UN CAMOUFLET DE DOUZE MILLIONS

Le
Grand Débat de Macron, qui a duré six mois, a coûté 12 millions
d’euros. Il avait été précédé par une annonce pour une fois tenue: ce
débat aura lieu, avait-il été dit, mais le cap ne changera pas. Pour une
fois qu’un président de la République honore sa parole, saluons son
honnêteté. Ce prétendu débat avec des interlocuteurs choisis et triés
sur le volet par les préfectures a bien eu lieu; il a généré des
dizaines d’heures de monologues que les chaines d’informations ont
diffusé et commenté avec gourmandise, idem avec les quotidiens et les
magazines qui s’en sont repu; aucune instance de régulation genre
Conseil Supérieur de l’Audiovisuel n’a imaginé une seule seconde que ce
temps de parole devrait entrer dans le décompte du temps alloué aux
partis lors de la campagne pour les élections européennes. Ce président
qui avait stigmatisé les présidence bavardes de ses prédécesseurs est en
train de les enfoncer comme jamais.

Tout ce barnum qui a éloigné
le président de la République de son bureau de travail pendant de
longues semaines a eu lieu et, après deux longues heures d’un
interminable monologue narcissique présenté comme une conférence de
presse à même de faire un bilan de ces six mois, nous en avons désormais
bien la certitude: rien ne va changer, la direction est la bonne, il
faut continuer dans ce sens, et même accélérer le rythme. Le principe
étant que, si l’Europe (mot tabou pendant ces deux heures: normal, c’est
le mot du seul enjeu véritable…) déçoit c’est parce qu’il n’y a pas
assez d’Europe, dès lors il faut plus d’Europe encore. C’est aussi malin
qu’un cancérologue qui dirait à son patient souffrant de sa maladie
qu’il lui faudrait plus de cancer encore pour aller mieux…

J’ai
annoncé la chose et je l’ai écrite plusieurs fois, c’était facile de
savoir que les choses se passeraient ainsi. Tout le monde peut désormais
le savoir: le Grand (sic) Débat était une affaire d’enfumage pour
calmer ceux des gilets-jaunes qui ont cru à cette opération de
communication. Je le répète: dans le cadre étroit de l’Etat
maastrichtien, Macron n’a pas d’autre choix que de maintenir le cap. Il
le maintient. Junker peut lui envoyer des roses rouges.

Cette
conférence de presse, c’était en fait le chef de la France d’en haut qui
parlait aux domestiques de la France d’en haut pour leur dire que cette
même France d’en haut n’avait rien à craindre: le cap maastrichtien
allait être maintenu. Les gilets_jaunes disent-ils depuis des semaines
que pareille direction conduit aux vortex marins? Leur cas est vite
expédié par le jeune homme: « ce ne sera pas une réponse aux
gilets-jaunes, mais à tous les Français » -ce qui donne, traduit dans la
langue qui pourrait être celle de la meuf Ndiaye propulsée porte parole
du gouvernement, probablement pour son style fleuri  et son art de la
synthèse: « Virez moi ces gueux, je n’ai rien à dire à ces connards,
passons aux choses sérieuses. » Le plus honnête eut été de s’exprimer
ainsi.

En effet, dès les premières minutes, les gilets-jaunes
ont été habillés par le président de la République avec ses crachats
habituels: homophobes, racistes, antisémites, complotistes, etc. Les
médias ont abondamment délayé ces vomissures depuis une demie année, on
connaît désormais très bien ces insultes qui passent pour un
argumentaire -c’est ainsi que cet homme à la pensée complexe se repose
de trop penser et de penser trop haut.

Moins de cinq minutes
après le début de cette sotie -la sotie est une « farce satirique et
allégorique du Moyen Âge, jouée par des acteurs en costume de bouffon »- ,
les gilets-jaunes pouvaient éteindre leur télévision, cette soirée ne
serait pas la leur. Pendant des semaines ils ont demandé un orage
civique; Macron leur a offert une rosée médiatique et ce fut un pissat
de colibri.

« Nous sommes avant tout les enfants des Lumières »,
a-t-il asséné, probablement après avoir pompé dans le Lagarde &
Michard -lui ou la Meuf. A l’écouter, rien n’était moins sûr… Tout dans
son intervention était brumeux et fumeux, fuligineux et vaporeux, en un
mot: ennuyeux. Rien de la drôlerie ironique de Voltaire, rien de la
profonde légèreté de Diderot, rien de la radicalité de Rousseau, rien de
la pensée élégante de Montesquieu, rien de l’espièglerie de La Mettrie,
rien de la profonde humanité d’Helvétius, rien de la puissance de
d’Holbach. De Lumières, il n’y en eut point, juste une veilleuse de nuit
au pied du lit. Un colibri vous dis-je. Lui qui, après avoir professé
jadis que la culture française n’existait pas, a changé de bord, et ça
n’est pas la première fois, en parlant de « cet art un peu particulier
d’être français ». Pour le coup, ce soir-là comme tant d’autres, il n’a
pas été un bien grand Français!

Il se peut qu’armé de cette
loupiotte il n’ait pas vu grand chose pendant son marathon dans la
France rurale. Mais il fit bonne figure et eut toutefois un air inspiré,
comme madame Trogneux le lui a probablement appris en jouant « Les
Fourberies de Scapin » au lycée des jésuites d’Amiens, un air profond,
comme il est dit dans les didascalies des pièces de théâtre du genre:
« Ici on aura l’air grave. » Après avoir ménagé un silence pendant lequel
il devait compter mentalement les secondes « une, deux, trois -il a
repris la parole et confessé ces propos d’un converti : il a vu
« l’épaisseur de la vie des gens ». Tudieu! Le bougre est devenu président
de la République alors qu’il ignorait tout de l’épaisseur de la vie des
gens! Quel talent ce Scapin qui a eu besoin d’un tour de France à douze
millions d’euros pour apprendre ce qu’il aurait dû savoir depuis bien
plus longtemps que ça -disons: juste après son stage de l’ENA…

Après
la conversion de Claudel derrière un pilier de Notre-Dame, il faut
désormais compter avec la conversion de Macron aux pieds d’un pommier de
Bourguignotte en Normandie! Il a vu « la France profonde » comme l’auteur
du « Partage de minuit » avait vu dieu. Même si cette apparition parait
plus modeste, elle mérite d’être marquée d’une pierre blanche. Gageons
qu’il en sortira une purification existentielle -c’est du moins ce qui a
été annoncé par l’impétrant.

Mais, dans ce tour de France par un
seul enfant, Emmanuel Macron n’a pas vu de gilets-jaunes. S’il ne les a
pas vus, il ne les a pas entendus non plus -il n’entend que les propos
racistes, les propos homophobes, les propos antisémites, etc, que lui
rapportent, au choix, le philosophe Castaner, ou le ministre de
l’Intérieur BHL, sinon le comédien Luc Ferry ou le penseur François
Berléand. Mais ce peut-être aussi Alain Sloterdijk ou Peter Badiou, je
ne sais plus, les ennemis des gilets-jaunes ne manquent pas…

Macron
n’entend pas les gilets-jaunes, mais il leur répond quand même: vous
vouliez le référendum d’initiative citoyenne? Vous ne l’aurez pas bandes
de paltoquets! A la place, (il y a des mois que j’annonce que la chose
sera ainsi notifiée…), vous aurez l’élargissement du référendum
d’initiative partagée. Quèsaco? Un référendum par lequel on demande aux
parlementaires, dont les gilets-jaunes veulent faire l’économie, qu’ils
en envisagent la pertinence, la validité, la justesse, l’opportunité,
puis de décider, ou pas, de l’examiner au parlement, avant de le jeter à
la poubelle! Le tout est de savoir s’il sera envoyé à la déchetterie
avant ou après l’examen au parlement. Avec ce genre de dispositif, pas
de crainte: aucun sujet de société ne sera confié aux gueux, seuls leurs
représentants pourront continuer à les trahir. Peine de mort,
avortement, contraception, immigration: laissez tout ça aux gens sérieux
bande de crétins. 

Vous vouliez la démocratie directe? Vous ne
l’aurez pas bande de foutriquets! Et Macron de flatter les élus dans le
sens du poil en leur disant qu’une nouvelle décentralisation leur
donnerait plus de pouvoir. On a vu il y a peu que le chef de l’Etat a
décidé de faire servir des petits déjeuners à un euro dans les écoles de
certaines communes tout en laissant aux maires le soin de payer la plus
grosse part, après qu’il leur ait supprimé les rentrées d’argent comme
les taxes d’habitation. Voilà le genre de pouvoir qu’on va donner aux
élus qui vont s’amuser en campagne à trouver de l’argent pour payer les
réformes décidées à Paris par Macron, le tout avec une caisse qu’il a
pris soin de vider au préalable! Vous en vouliez de la démocratie
directe? En voilà…

Vous vouliez la reconnaissance du vote blanc?
Vous ne l’aurez pas bande de freluquets! Voter c’est élire monsieur
Machin ou madame Bidule pour agir en votre nom et place, pas « monsieur
Blanc » a dit le président de la République qui a dû pour ce bon mot
récolter le jus de cervelle d’une cinquantaine d’énarques mis à la tâche
pendant six mois pour obtenir ce seul petit effet.

Vous vouliez
le vote obligatoire? Vous ne l’aurez pas bandes de demeurés! Pour la
bonne et simple raison que c’est impossible de faire payer une amende à
ceux qui ne se déplaceraient pas, qui seraient si nombreux, et qui
trouveraient ainsi une occasion facile de passer pour des rebelles.

Vous
vouliez la retraite à soixante ans? Vous ne l’aurez pas bande
d’attardés! Ce fut un sommet de rouerie politicienne, de sophistique et
de rhétorique où il fut dit par Macron qu’il ne toucherait pas aux 35
heures ni à l’âge légal du départ à la retraite, mais, mais, mais: que
ceux qui s’évertueraient à partir à soixante ans tout de même n’auraient
pas une retraite pleine, c’est-à-dire n’auraient quasi rien. A quoi il a
ajouté qu’il faudrait travailler plus pour gagner plus, le tout à
négocier par branche dans les entreprises. Ce qui donnait immédiatement
cette contre-vérité dans un bandeau passant de BFMTV: « Emmanuel Macron
ne veut pas revenir sur les 35 heures, ni sur l’âge légal du départ à la
retraite »- pour être juste, une suite aurait du préciser: « mais vous
travaillerez quand même plus longtemps ». Des millions de français sont
au chômage, mais la solution pour lutter contre c’est de faire
travailler plus longtemps ceux qui travaillent affirme le Président:
« c’est du bon sens » a-t-il même dit! Il me semble que le bons sens
serait de partager le travail pour alléger ceux qui en ont trop et
souffrent de maladies professionnelles, en même temps que de pourvoir
ceux qui n’en ont pas et souffrent de leur inexistence sociale.

Vous
vouliez restaurer l’impôt sur la fortune? Vous ne l’aurez pas bande de
gougnafiers! Cet impôt fait fuir les riches et appauvrit le pays! « On a
besoin de riches, sinon qui exploitera les pauvres », aurait presque pu
dire le président de la République s’il avait décidé de nous livrer le
fond de sa pensée ce soir-là. Que dit d’autre sa foireuse théorie du
ruissellement?

Vous vouliez un système de retraite solidaire
socialisé? Vous ne l’aurez pas bandes d’argoulets! Bien au contraire,
vous allez vous la payer avec un système de points, par capitalisation.
Si vous n’en avez pas les moyens, vous n’en aurez pas, c’est tout
simple. C’est une version en marche du fameux « salaud de pauvres! ».

Vous
vouliez la proportionnelle intégrale? Vous ne l’aurez pas bande de
tarés! Vous en aurez un peu, suffisamment, mais pas trop, assez pour
vous leurrer, mais pas trop pour nous empêcher de vous gruger. La chose
est voulue par le président de la République et, comme il faut bien
paraître gaullien de temps en temps, en vertu du principe que le
président préside et que le gouvernement gouverne -Macron confie en
passant qu’il a relu Michel Debré, quelle conscience professionnelle!-,
le Premier ministre verra pour l’intendance… Les ciseaux du ministre de
l’Intérieur reprendront du service et les circonscriptions seront
taillées pour bien partager le gâteau entre maastrichtiens de droite et
maastrichtiens de gauche. 

Vous vouliez une Constituante? Vous ne
l’aurez pas bande de paumés! En lieu et place d’une autre assemblée, on
garde la même et on la dégraisse un peu en réduisant le nombre d’élus.
De combien demandera une journaliste? Le chef évacuera la question de
l’impertinente en disant que sa valetaille gouvernementale verrait ces
choses-là plus tard et en son temps.

Vous vouliez la fin de
l’ENA? Vous ne l’aurez pas bande de décérébrés! Mais, on annonce quand
même que vous l’aurez pour mieux la maintenir: en gros, on garde les
locaux, on garde le personnel, donc les enseignants, dès lors je vois
mal dès lors comment ils pourraient y enseigner autre chose et autrement
que ce qui s’y trouve déjà enseigné, mais l’ENA changera de nom parce
qu’on va la refonder!  Abracadabra…

Pour le reste des
revendications des gilets-jaunes, il n’en fut pas du tout question!
Rappelons en quelques unes: loger les SDF; modifier l’impôt; y
assujettir les GAFA; augmenter le SMIC; mener une politique en faveur
des petits commerces en ville ou dans les bourgs; supprimer les taxes
sur les carburants; interdire les délocalisations pour protéger
l’industrie française; en finir avec le travail détaché; lisser les
systèmes de sécurité sociale; limiter le nombre des contrats à durée
déterminée et augmenter le nombre des contrats à durée indéterminée;
activer une réelle politique d’intégration des immigrés; mettre fin aux
politiques d’austérité indexées sur le remboursement de la dette;
limiter le salaire maximum; encadrer les prix des loyers; interdire la
vente des biens nationaux; accorder des moyens à la police, à la
gendarmerie, à l’armée, à la justice;  payer ou récupérer les heures
supplémentaires effectuées par les forces de l’ordre;  réinstaurer un
prix public convenable du gaz et de l’électricité; maintenir les
services publics en activité; couper les indemnités présidentielles à
vie – toutes choses auxquelles je souscris. Le silence du chef de l’Etat
sur ces questions dit tout: vous n’aurez rien!

Quand fut venu le
temps des questions, alors qu’on lui demandait si cette conférence de
presse annonçait un nouvel acte dans sa politique, il a vrillé de la
bouche, frisé des yeux, on a bien vu qu’il a retenu son une idée parce
probablement trop provocatrice; il s’est contenté de récuser le mot
-qu’il utilisera quand même plus tard…-, avant de dire qu’il était
préempté par les gilets-jaunes dans leur « gymnastique »- coup de pied de
l’âne…

Ensuite, dernière allusion aux gilets-jaunes, il fit
savoir qu’ils pouvaient bien continuer à brandir des pancartes
« longtemps » et que ça ne l’émouvait pas -on avait bien compris…

Puis,
conclusion dans la conclusion, la métaphore de la cathédrale détruite
et à rebâtir fut convoquée. La Meuf a dû  trouver que rameuter
l’incendie,  c’était bon pour l’image. Pour un peu, Macron nous aurait
dit que, via Notre-Dame de Paris, la vierge Marie elle-même irait voter
pour sa liste aux prochaines élections européennes. Son staff n’a pas
osé aller jusque là, mais il s’en est fallu de peu…

Ce fut donc
un très grand discours de campagne pour un candidat qui aspire à devenir
président de la République. Mais il faudrait peut-être que quelqu’un
dise à ce jeune homme -la Meuf peut-être?- que, président de la
République, il l’est déjà depuis deux ans et qu’il serait temps qu’il
s’en aperçoive. Le temps est passé du verbe, des mots, des paroles, de
la rhétorique, de la logorrhée, de la verbigération. Six mois de
monologues avec les moyens pharaoniques de la République pour un coût de
12 millions d’euros, c’est un camouflet pour les gilets-jaunes qui aura
décidément coûté bien cher. Or, les camouflets restent rarement sans
réponses. Leçon élémentaire d’éthologie. 

Michel Onfray




Géoingénierie : Un expert révèle que les Chemtrails sont bien réels




Un remède pour le cancer supprimé depuis 80 ans : Ils finissent par admettre que Royal Rife avait raison

[Source : Prepare for Change]

(La crainte de germes de maladies détruits par Rays, affirmation d’un scientifique S.D.)

Une personne n’entend pas le son seulement par les oreilles; elle entend le son à travers tous les pores de son corps. Il imprègne tout l’être, et selon son influence particulière, il ralentit ou accélère le rythme de la circulation sanguine, il réveille ou apaise le système nerveux. Il éveille une personne à de plus grandes passions ou il l’apaise en lui apportant la paix. Selon le son et son influence, un certain effet est produit. Le son devient visible sous forme de rayonnement. Cela montre que la même énergie qui va sous forme de son avant d’être visible est absorbée par le corps physique. De cette façon, le corps physique récupère et se charge d’un nouveau magnétisme.

– Musicien soufi, mystique et guérisseur, Hazrat Inayat Khan

TOUT VIBRE. ABSOLUMENT TOUT.

Notre
réalité est telle que les fréquences ont sur nous un effet beaucoup
plus profond qu’on ne l’avait cru auparavant. Cette réalité ne peut plus
être ignorée.

(Sous-titres disponibles en français : Cliquez SS; si ce n’est pas en français : allez dans Paramètres et cliquez Sous-titres et pour changer la langue cliquez Généré automatiquement, vous aurez un vaste choix de langue)

Bien que l’on nous dise constamment que nous sommes à la fine pointe de la technologie, il y en a qui viennent d’être présentées au public comme étant “nouvelles” alors qu’elles ne sont pas du tout. Elles sont simplement réprimées depuis des décennies. Des choses comme les “nouveaux” bandeaux de Neuro numériques qui envoient des fréquences électromagnétiques spécifiques dans la tête d’une personne pour le “changement” de son humeur, par exemple.

Ces
dernières années, il est également apparu que les fréquences peuvent
guérir des maladies y compris le cancer. Le professeur et chercheur
Anthony Holland a même donné une conférence Tedx sur “Briser le cancer
avec des fréquences résonantes” il y a quelques années, discutant de la
capacité à détruire les cellules cancéreuses et les super bugs mortels
comme le SARM avec des champs électriques oscillants pulsés… non pas que
vous en ayez entendu parler aux nouvelles du soir ou quoi que ce soit
d’autre.

(Sous-titres disponibles en français : Cliquez SS; si ce n’est pas en français : allez dans Paramètres et cliquez Sous-titres et pour changer la langue cliquez Généré automatiquement, vous aurez un vaste choix de langue)

Comme
quelqu’un l’a fait remarquer dans les commentaires, des phrases comme
“Ils n’avaient rien vu de tel. Il semble qu’il s’agisse d’un phénomène
nouveau”, a fait en sorte que ceux qui connaissent la suppression
organisée de ces technologies depuis au moins les années 1930 veulent se
cogner la tête contre un mur.


VOICI LE DR ROYAL RAYMOND RIFE.

Dr.
Rife a été présenté, par ceux qui l’ont personnellement connu et ont
travaillé avec lui, comme d’un génie. Scientifique et inventeur à partir
des années 1920, Rife a commencé à construire un microscope grand et
complexe capable d’agrandir des objets 31 000 fois (contre peut-être
1700 fois sur des microscopes standard dans les années 1930 et 1940). En
1940, Rife avait un appareil de deux pieds de haut pesant 200 livres
qui comprenait quelque 5 682 pièces qui lui permettait de voir les virus
et les bactéries d’une façon qu’aucun autre scientifique n’avait.

Grâce
à ce travail, Rife compris que tous les êtres vivants, y compris les
bactéries et les virus, ont leur propre fréquence ou oscillation. Tout
comme une note musicale spécifique peut briser un verre de vin si elle
est chantée à la fréquence de résonance du verre, on a découvert que les
fréquences pourraient également être utilisées pour détruire les agents
pathogènes.

Alors qu’il continuait d’isoler les virus et les
bactéries et de localiser leurs fréquences de destruction, Rife affirma
qu’il avait découvert le virus responsable du cancer.

En utilisant la résonance, ou ce qu’il appela le “taux d’oscillation mortelle” du virus, il le tua. Encore et encore et encore.

Rife
effectua des centaines d’expériences sur des tumeurs chez des rats
délibérément infectés par ce virus cancéreux isolé avant même d’utiliser
ses fréquences cancérigènes mortelles chez les humains. En 1934, il
testa son appareil sur 16 patients atteints d’un cancer en phase
terminale. Sur 16, tous, sauf deux, ont été considérés comme
officiellement guéris en seulement trois mois. De son traitement, Rife
écrira plus tard :

“Avec le traitement par
instrument de fréquence, aucun tissu n’est détruit, aucune douleur
n’est ressentie, aucun bruit n’est audible et aucune sensation n’est
perçue. Un tube s’allume et 3 minutes plus tard, le traitement est
terminé. Le virus ou les bactéries sont détruits et le corps se rétablit
alors naturellement de l’effet toxique du virus ou des bactéries.
Plusieurs maladies peuvent être traitées simultanément.”

Un article du LA Times décrit la méthode pour le public en juin 1940.

(MERVEILLE TECHNOLOGIQUE – Raymond Rife avec son tout nouveau développé microscope

Un microscope géant pourrait révéler les secrets du monde des bactéries

Des scientifiques de San Diego ont mis au point un instrument complexe permettant de magnifier les objets 31 000 fois.

San
Diego, le 23 juin – Les virus, dit-il, survenant dans le cancer; grâce
au microscope géant et complexe, Rife insiste, il les désintègre; il
invente et construit de telles ondes radios.)

“Pour
les organismes trop petits pour être tachés, un ingénieux système
d’éclairage est utilisé. Ce système utilise la théorie de Rife selon
laquelle les organismes réagissent à certaines longueurs d’onde, une
théorie qu’il mène à son terme en bombardant les germes de la maladie
avec des ondes radio qui sont “accordées” à ces tueurs d’hommes minute.
Et le virus qui apparaît pour les cancers s’est désintégré sous ces
ondes radio.”

Rife a été salué dans les
communautés scientifique et médicale pour ses découvertes. En 1937, Rife
avait fondé avec plusieurs collègues une entreprise appelée Beam Ray et
14 de ses machines furent fabriquées.

Que s’est-il passé ?
Pourquoi ces machines ne se trouvent-elles pas dans tous les hôpitaux et
centres de traitement du cancer dans le monde d’aujourd’hui ?

En termes simples, le seul cancer que Rife ne pouvait pas sembler tuer était l’avidité.

COMMENT LE REMÈDE DU CANCER A ÉTÉ SUPPRIMÉ

Morris Fishbein

Une
opposition puissante contre les intérêts directs dans la médecine
allopathique (pharmaceutique et chirurgicale), le “traitement” du cancer
encore infantile appelé chimiothérapie et des professionnels de la
santé liés à la Fondation Rockefeller (avec son programme de contrôle de
la population basé sur l’eugénisme profondément enraciné) s’assuraient
que les machines de Rife ne soient jamais disponibles au grand public.

Morris Fishbein, directeur de l’Association Médicale Américaine (AMA) est décrit par Bob Wallace sur LewRockwell.com comme un “artiste ébranlé” déterminé à détruire les inventeurs en médecine naturopathique qu’il ne pouvait pas racheter :

“Fishbein
a envoyé un avocat pour tenter de racheter Rife. Rife a refusé. Bien
que personne ne connaisse les termes exacts de l’offre, elle était
probablement semblable à celle faite à Harry Hoxsey pour son remède contre le cancer de la peau (Fishbein, en cour, a dû admettre avoir travaillé sur le cancer de la peau).

Fishbein
et ses associés recevraient tous les profits pendant neuf ans et Hoxsey
ne recevrait rien. Puis, s’ils étaient convaincus que cela
fonctionnait, Hoxsey commencerait à recevoir 10% des profits. Lorsque
Hoxsey refusa, Fishbein se servi de ses relations politiques pour faire
arrêter Hoxsey 125 fois en 16 mois. Les accusations (basées sur la
pratique sans permis) ont toujours été rejetées hors cour mais Fishbein
harcela Hoxsey pendant 25 ans. La seule bonne nouvelle, c’est que le
scandale forca Fishbein à démissionner.

Fishbein offrit ensuite à
Phil Hoyland, un investisseur dans Beam Ray et un ingénieur électricien
qui avait aidé à construire les instruments de fréquence, une assistance
juridique pour tenter de voler l’entreprise à Rife et aux autres
investisseurs. Un procès suivit.”

Ce procès était le
début de la fin de Rife et de ses machines. Incapable de résister aux
attaques contre son personnage et l’œuvre de sa vie au tribunal, Rife
s’écroule et se tourne vers l’alcoolisme (malgré le fait qu’il finit par
gagner sa cause). Les frais de justice l’ont ruiné et sa société Beam
Ray fit faillite.

Fishbein continua d’exercer le pouvoir de l’AMA
pour empêcher toute autre enquête scientifique appropriée sur les
revendications de Rife ou de sa machine. Les médecins qui avaient
précédemment soutenu Rife et son travail furent soudainement silencieux.
Arthur Kendall, l’un des associés de Rife, se retira soudainement au
Mexique avec un “don” d’un quart de million de dollars. D’autres
médecins reçurent des subventions importantes et les honneurs de l’AMA
leur permirent de fermer la bouche et de recommencer à prescrire des
produits pharmaceutiques. D’importantes revues médicales, principalement
financées par les recettes publicitaires de la Grande Pharma,
refusèrent de publier les travaux de quiconque impliquant les théories
de Rife ou ses machines.

Le laboratoire de Rife a également été
cambriolé et la documentation de son travail, y compris des
photographies et même des morceaux de ses microscopes, fut volée et
vandalisée. Puis, dans ce qui était trop de coïncidence pour un film
hollywoodien, le laboratoire Burnett Lab de plusieurs millions de
dollars fut incendié et détruit au moment même où ses scientifiques
étaient sur le point de corroborer les conclusions de Rife.

Le laboratoire Burnett brûlé

La
police confisqua illégalement le reste des recherches de Rife… et c’est
tout. Fishbein entrerait dans l’histoire avec une prestigieuse carrière
médicale sur le thème de “l’exposition de charlatans” (ou,
alternativement, d’ennemis financiers du modèle de médecine chimique et
chirurgicale de Big Pharma).

Ce n’était pas seulement Fishbein. Il
y eu un effort coordonné pour s’assurer que les autres médecins
n’essayaient pas de suivre les traces de Rife.

Le Dr Cornelius P.
Rhoads, oncologue, ancien de l’Institut Rockefeller et chef du service
de guerre chimique au cours des deux dernières années de la Seconde
Guerre mondiale, passa deux décennies de 1939 à 1959 à la tête du
Memorial Sloan Kettering – le principal défenseur de la chimiothérapie
au pays – où Rhoads contribua à façonner le nouveau “traitement” du
cancer par chimiothérapie. Il empêcha également d’autres médecins
d’essayer même de reproduire le travail de Rife, tirant des ficelles
pour obtenir le financement de la recherche annulé pour ceux qui
essayèrent.

Rhoads empêcha non seulement  le Dr Irene Diller
d’annoncer la découverte du micro-organisme cancéreux à l’Académie des
sciences de New York en 1950 mais, rendit Dr Caspe avec une mauvaise
enquête de l’IRS et ses fonds de laboratoire furent annulé après qu’elle
ait annoncé une découverte similaire à Rome trois ans plus tard.

Les Rhoads, il faut le souligner, entreraient aussi dans l’histoire comme meurtriers potentiels.

Dans
les années 1930, alors que Rhoads était à Porto Rico pour la
Rockefeller’s Anemia Commission, après une nuit d’ivresse où il retrouva
sa voiture vandalisée, il écrivit
une confession raciste et dégoûtante à un collègue à propos de deux
meurtres et tentatives de meurtre pour injection de cancer sur des
personnes :

“Ils [les Portoricains] sont sans aucun doute la race
d’hommes la plus sale, la plus paresseuse, la plus dégénérée et la plus
espiègle qui ait jamais habité cette sphère. Ça vous rend malade
d’habiter la même île avec eux. Ils sont encore plus bas que les
Italiens. Ce dont l’île a besoin, ce n’est pas d’un travail de santé
publique mais d’un raz-de-marée ou de quelque chose pour exterminer
totalement la population. Elle pourrait alors être habitable. J’ai fait
de mon mieux pour faire avancer le processus d’extermination en tuant 8
personnes et en transplantant le cancer dans plusieurs autres. La
question de la prise en compte du bien-être des patients ne joue aucun
rôle ici – en fait, tous les médecins se réjouissent des abus et de la
torture des sujets malheureux.”

Au moins 13 personnes sont mortes sous les “soins” de Rhoads à Porto Rico.

Le
cabinet de relations publiques Rockefeller est sorti plus tard pour
dire que Rhoads écrivat simplement une lettre “fantastique et ludique”
pour son propre plaisir, une pièce satirique. Token investigations, y
compris une initiée par le Rockefeller Institute, affirma qu’il n’y
avait aucune preuve que Rhoads ait abusé ou négligé ses patients.
Formulation intéressante.

En ce qui concerne l’histoire, vous
pouvez croire que la lettre de Rhoads n’a pas été mise en évidence dans
sa biographie autrement illustre comme pionnier de la chimiothérapie.

ET AUJOURD’HUI ?

Combien de personnes sont mortes inutilement d’un
cancer qui aurait pu être guéri rapidement, sans douleur et à peu de
frais par la technologie Rife dans les années qui se sont écoulées
depuis que ses recherches ont été supprimées ? C’est une pensée
horrible.

Ma mère a failli mourir d’un cancer. Ils lui ont
administré des traitements de chimiothérapie éprouvants ainsi qu’un
traitement dont elle a découvert par la suite qu’il ne correspondait
même pas au type de cancer dont elle avait été diagnostiquée. En fin de
compte, son système immunitaire a été complètement détruit mais son
cancer est en rémission. Les médecins lui ont dit qu’il reviendrait
probablement dans cinq à dix ans.

CE. N’EST PAS. UN REMEDE.

La
raison pour laquelle la personne moyenne croit encore qu’une
chimiothérapie dangereuse et toxique “guérit” le cancer aujourd’hui est
liée à la même force cupide derrière la raison pour laquelle la majorité
des gens continuent de faire le plein d’essence dans leur voiture
malgré le fait que des solutions de rechange beaucoup plus efficaces,
peu coûteuses et respectueuses de l’environnement existent depuis des
décennies, mais ont été supprimées jusqu’à récemment.

La cupidité,
cependant, ne peut pas garder la vérité cachée de l’humanité pour
toujours… surtout ces vérités qui sont si fondamentalement évidentes.

On
est en 2017. Depuis combien d’années les gens donnent-ils de l’argent à
la recherche sur le cancer et font-ils de la “course pour la guérison”
sans même un coup d’œil au système de médecine allopathique sur la cause
?

Bien que discrètement, nous avons maintenant des chercheurs qui
sortent du bois pour vérifier le pouvoir des fréquences de résonance
pour tuer les virus et les bactéries et même guérir des maladies
potentiellement mortelles dont le cancer. Deux médecins en 2014 ont
publié un article dans Global Advances in Health and Medicine (Avancées
mondiales dans la santé et la médecine) intitulé “Le rythme de vie
en tant que symphonie de motifs oscillatoires : l’énergie
électromagnétique et la vibration sonore modulent l’expression génique
pour la signalisation biologique et la guérison
“. Ils y ont conclu :

Par
conséquent, non seulement les produits chimiques mais aussi les
énergies physiques comme les CEM et les vibrations sonores, nos
émotions, nos pensées, nos croyances et la façon dont nous développons
nos intentions et nos rythmes de vie peuvent transformer en profondeur
notre expression génique au niveau cellulaire. Cette découverte peut
révéler des chances inattendues de développer des processus
d’auto-guérison basés sur une utilisation accrue de ce potentiel humain
remarquable…

Le paradigme qui émerge ici passe d’un
point de vue purement biochimique basé uniquement sur les concepts
physiques de transfert d’énergie et de momentum et leurs implications
dans un paradigme holistique basé sur l’information. Bien qu’un murmure
puisse être plus grave que des mots criés, la science peut maintenant
découvrir les principes de base d’une biologie informationnelle plus
subtile dans laquelle des comportements de signalisation spécifiques
peuvent apporter le pouvoir de guérison.

Le pouvoir de guérison.

Après
plus de 70 ans, nous savons tous à quel point le modèle Big Pharma qui
consiste à nous remplir de produits chimiques et à arracher nos organes
vitaux, nous a bien servis… Ce ne sont pas des “remèdes”. Ce système ne
guérit pas.

Ce n’est qu’une question de temps avant que les
milieux médicaux et scientifiques ne soient forcés d’admettre que Rife
avait raison ou qu’ils ne perdent les derniers morceaux de crédibilité
qu’ils ont dans un monde où il est devenu trop évident que nous avons
été délibérément pris en otage dans une bulle technologique… à notre
détriment.

Sources et Ressources :

http://wakingtimesmedia.com/cancer-cure-suppressed-80-years-theyre-finally-admitting-royal-rife-right/?utm_source=Waking+Times+Newsletter&utm_campaign=cf8800589f-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_25f1e048c1-cf8800589f-54394837

Traduction Lucy Pitt.