Algérie : les tribulations tartarinesques de Marie-George Buffet

[Source ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

[Ndlr : le titre fait allusion à Tartarin de Tarascon d’Alphonse Daudet]

Le rôle des syndicats dans les « regime change »

Voici donc la « Tartarine » du palais Bourbon, alias Marie-George Buffet, qui organise, le 15 octobre 2021, un colloque sur l’Algérie, au sein même de l’Assemblée nationale française (sic!).

Était-ce pour commémorer le 17 octobre 1961, date du massacre et de la noyade de centaines de manifestants algériens pacifiques?

Était-ce à l’occasion du 67e anniversaire de la révolution algérienne qui a été déclenchée un certain 1er novembre 1954?

Mais non, pas du tout.

Pourtant ces dates étaient si proches et la grande majorité des invités au colloque étaient Algériens.

Que nenni! Bien au contraire!

La « Tartarine » a réuni un aréopage de droitdelhommistes douteux, de sécessionnistes véreux, de syndicalistes fantoches et autres adeptes d’un Hirak frelaté pour… « renverser un pouvoir autoritaire » en Algérie!

Post de Marie-George Buffet

Rien que ça! Même pas peur, la « Tartarine » va-t-en-guerre, en mal de conquêtes coloniales et encadrée par ses sbires!

Par souci d’honnêteté intellectuelle, il a fallu – hélas – me soumettre au supplice de l’écoute de ces deux heures et quelques de parlotte insipide ponctuée de lieux communs, de poncifs et d’accusations puériles. Et tout ça dans une langue française si torturée qu’elle aurait fait pâlir d’envie Chalghoumi en personne.

Et si on se demandait pourquoi le Parti communiste n’en finit pas de péricliter, on a maintenant la réponse. Au lieu de s’occuper des vrais problèmes des Français, madame la députée discutaille avec des estafiers – dont elle ne connait certainement pas les accointances et qu’elle présente comme le « peuple algérien » – pour s’ingérer dans les affaires d’autres pays que le sien. D’ailleurs, n’est-ce pas elle qui a battu le record du plus mauvais score du parti communiste dans une élection présidentielle?

Évolution des résultats du PCF aux élections présidentielles de 1969 à 2007

S’est-elle au moins rendu compte que l’évènement a été filmé en direct par la chaine de télévision islamawiste « Al Magharibia » qui appartient au fils du fondateur du Front islamique du Salut (FIS), ce parti qui a été à l’origine de la décennie noire et qui a causé la mort de plus de 200 000 personnes? Sait-elle au moins que ce média collabore directement avec les trois composantes majeures du Hirak frelaté qui militent pour le « regime change » en Algérie, à savoir les « ONGistes droitdelhommistes », les « makistes séparatistes » et les « islamawistes offshore »? Ou veut-elle les utiliser pour mener à bien son projet de renversement de pouvoir?

Le colloque de Marie-George Buffet a été filmé et retransmis en direct par la chaine islamawiste Al Maghribia

Dans ce qui suit, nous allons tenter d’aider la « Tartarine » à faire connaissance avec quelques-uns de ses convives.

A- Les ONGistes droitdelhommistes

Commençons par le maitre de cérémonie, M. Ali Ait Djoudi, président de l’ONG « Riposte Internationale » qui distribuait la parole à tout le monde, même à la députée communiste qui les avait invités (!).

Comme on peut le constater dans l’image qui suit, le logo de cette « ONG » présente des similitudes de couleur qui ne font aucun doute sur son affiliation identitaire.

Comparaison entre le drapeau de Bessaoud-Bénet et le logo de « Riposte internationale »

On remarque donc que les quatre couleurs (en comptant celle des lettres du milieu) présentes dans le drapeau identitaire (kabyle et/ou amazigh) de Bessaoud-Bénet ont été reprises dans le logo de l’ONG, pour affirmer le supposé séparatisme ethnique et politique avec le reste de la population algérienne.

Une question évidente se pose : est-ce que cette « ONG » accepte en son sein des militants autres que des Kabyles/Amazighs « pure laine »?

Si oui, pourquoi ces couleurs. Si non pourquoi ce racisme.

Mais cela n’est pas étonnant si on tient compte du fait que Ali Ait Djoudi est un militant vétéran du Mouvement culturel berbère (MCB) tout comme son ami Ferhat Mehenni, le chef des sécessionnistes kabyles, président du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK).

Ferhat Mehenni et Ait Ali Djoudi

D’autre part, lorsque « Riposte Internationale » a déposé un « rapport sur les violations des libertés en Algérie » auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme à Genève, le 15 septembre 2020, les militants n’arboraient ni le drapeau algérien, ni la banderole de l’ONG, mais bel et bien le drapeau de Bessaoud-Bénet.

Seul le drapeau de Bessaoud-Bénet est brandi par « Riposte Internationale »

Les noms de « Riposte internationale » et de « Ait Ali Djoudi » se retrouvent dans une multitude de pétitions droitdelhommistes internationales ou contre l’État algérien. Ils ont appuyé (et probablement initié) la résolution du Parlement européen contre l’Algérie du 25 novembre 2020 (lire mon article sur le sujet).  On les retrouve aussi dans cette déclaration hostile à l’Algérie parrainée par « Project on Middle East Democracy » (POMED) qui date du 28 juin 2021.

Il est intéressant de savoir que POMED fait partie de l’arsenal d’organisations américaines dédiées à l’« exportation » de la démocratie comme la National Endowment for Democracy (NED), l’International Republican Institute (IRI), le National Democratic Institute for International Affairs (NDI), Freedom House (FH), la United States for International Development (USAID) ou l’Open Society Foundations (OSF) du milliardaire américain, George Soros. Il a été montré que ces organisations ont été impliquées dans les révolutions colorées et le mal nommé « printemps » arabe (pour plus de détails, lire mon livre « Arabesque$ »).

Il est aisé de vérifier que le POMED travaille de concert avec Freedom House et est financièrement soutenu par l’OSF. En 2016, par exemple, POMED a reçu une subvention de 550 000$ de la Fondation Open Society. POMED est également financé par la NED. (Pour plus d’informations sur POMED, le lecteur est invité à lire mon article sur le sujet).

Rappelons toutefois que POMED s’intéresse fortement à la « démocratisation » de l’Algérie. Elle a déjà organisé deux évènements spécialement dédiés au Hirak algérien les 15 avril et 19 juin 2019.

Sur les deux documents cités précédemment (Parlement européen et POMED), on retrouve « Riposte internationale » parmi les signataires, de concert avec divers organismes algériens dont la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA), le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) et la Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie (CGATA). Les deux premiers sont financés par la NED et il sera plus longuement question du SNAPAP et de la CGATA dans la prochaine section de cet article.

On retrouve aussi parmi les signataires des ONG internationales comme « Article 19 », CIVICUS, Human Right Watch (HRW), Reporters sans Frontières (RSF), la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) ou Amnesty International.

Ces ONG sont toutes financés par l’OSF de Soros. En plus, RSF et Article 19 sont aussi financés par la NED; Article 19 reçoit également des subventions de Freedom House, de l’USAID et du Département d’État américain.

Lorsque le directeur d’une ONG égyptienne (financée par la NED) fut condamné par contumace en août 2020 par un tribunal égyptien dédié aux « affaires terroristes », un appel à la solidarité a été émis par la FIDH. Il a été signé par toutes les ONG citées précédemment. Les noms de Ali Ait Djoudi (Riposte Internationale), Nacera Dutour (CFDA) et Rachid Malaoui (SNAPAP et CGATA) figuraient dans la même liste que d’« illustres » personnalités du monde de la « démocratisation made in USA » : Issandr Amrani, directeur régional du programme MENA de l’OSF, Carl Gershman, président de la NED, Jeffrey Feltman, ancien sous-secrétaire d’État américain pour les affaires du Proche-Orient ou Tamara Cofman Wittes, ancienne sous-secrétaire d’État adjointe au Département d’État, récemment nommée par le Président Joe Biden au poste d’administrateur adjoint pour le Moyen-Orient de l’USAID.

On pouvait aussi lire les noms de quelques sinistres rescapés du Conseil National Syrien (CNS) comme Bassma Kodmani, Burhan Ghalioun ou Radwan Ziadeh, bien connus de la NED et du Département d’État.

À propos de ces ONG, notons la présence, parmi les invités au palais Bourbon, de M. Madjid Bencheikh, professeur de droit et, accessoirement, ancien président d’Amnesty International Algérie.

Ali Ait Djoudi n’a pas raté l’occasion d’inviter son ami Hacène Hirèche, un de ses anciens collègues du MCB, militant berbériste de la première heure et formateur des makistes.

Un autre convive « de marque », l’avocat Salah Debouz, était présent à ce consistoire de boutefeux. Ce trublion en robe noire, qui s’est illustré par la défense des militants sécessionistes de la région du M’zab, a été président la LADDH (une de ses trois ailes).

Salah Debouz (à gauche) et Ferhat Mehenni (au centre) : le bras du second serrant l’épaule du premier!

La solidarité sécessionniste kabylo-mozabite n’est pas qu’une vue de l’esprit : Debouz-Mehenni, khawa-khawa (frères, frères)!

Nacera Dutour a aussi été invitée par la Tartarine. Comme expliqué dans un précédent article, la présidente du CFDA est probablement la personne qui a reçu le plus de financement de la NED.

Janvier 2015 : Nacera Dutour reçoit le prix Matoub Lounes (avec, en prime, le drapeau Bessaoud-Bénet!)

N’oublions pas de préciser que la plupart des personnes citées auparavant est abonnée aux plateaux de la chaine islamawiste Al Magharibia, celle qui a filmé ce colloque.

B- Les syndicalistes fantoches

En plus de ces ONGistes droitdelhommistes, enrubannés dans des étendards tricolores mêlant les couleurs de Marianne et de Bessaoud-Bénet, on remarque la curieuse présence de syndicalistes français appartenant à l’union syndicale « Solidaires ».

Stéphane Enjalran (« Solidaires ») et Rachid Malaoui

Mais que diable viennent-ils faire dans cette réunion qui n’a de colloque que le nom? Certes, ils accompagnaient le « syndicaliste en chef » Rachid Malaoui question de lui donner un peu plus d’assurance, mais quand même. Délaisser les graves problèmes des « Gilets jaunes » et de toute la classe ouvrière française pour venir palabrer sur le « renversement du pouvoir autoritaire » en Algérie a quelque chose d’insolite. Mais comme le hasard n’existe pas en politique, c’est en grattant un peu qu’on arrive à démêler l’écheveau de la conspiration.

Le financement du SNAPAP

Commençons par le commencement.

Rachid Malaoui, président du SNAPAP et de la CGATA, a d’étroites relations avec l’« American Federation of Labor and Congress of Industrial Organizations » (AFL–CIO) , la plus grande fédération de syndicats des États-Unis et tout particulièrement avec sa branche internationale, le « Solidarity Center ». Pour illustrer cette connexion, citons une anecdote qui est loin d’être anodine.

En 2011, le SNAPAP a été membre la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) qui a orchestré l’embryon de « printemps » algérien. Certainement briefée par le SNAPAP, la directrice du Département international du l’AFL-CIO, Cathy Feingold, écrivit deux lettres au Président Abdelaziz Bouteflika dans le but d’épauler Malaoui. Dans celle du 4 mars 2011, elle lui a fait part de son inquiétude concernant la violence policière contre les « manifestants pacifiques » en Algérie en précisant que « nous notons avec une vive préoccupation que, parmi les personnes blessées récemment, figurait le dirigeant syndical M. Rachid Malaoui président du secteur public de l’union syndicale nationale autonome du personnel d’administration publique (SNAPAP) ». Dans la seconde, datée du 14 octobre 2011, le nom de M. Malaoui « militant CNCD de premier plan », y est cité trois fois. Et madame Feingold semblait connaitre moult détails sur l’activisme politique algérien (Cliquez sur ce lien pour lire ces deux lettres).

Cathy Feingold, directrice du Département international du l’AFL-CIO

De nombreuses publications ont dévoilé la collaboration active de l’AFL-CIO avec la CIA et le Département d’État américain. Selon Kim Scipes, professeur d’histoire à Purdue University Northwest :

« Tout au long de son histoire, l’AFL-CIO a mené un programme de travail réactionnaire dans le monde entier. Il a été établi sans équivoque que l’AFL-CIO a travaillé pour renverser des gouvernements démocratiquement élus, collaboré avec des dictateurs contre les mouvements ouvriers progressistes et soutenu les mouvements ouvriers réactionnaires contre les gouvernements progressistes ».

Viscéralement anticommuniste, l’AFL-CIO s’est tellement acoquinée avec la CIA que cela lui a valu le surnom on ne peut explicite de « AFL-CIA ».

Comme expliqué dans de nombreux articles, le Solidarity Center est un des quatre satellites de la NED avec le NDI, l’IRI et le « Center for International Private Enterprise (CIPE) ».

Les quatre satellites de la NED

Malaoui a toujours nié recevoir (ou avoir reçu) une quelconque aide financière du Solidarity Center.  Dans sa remarquable thèse de doctorat intitulée « Les syndicats autonomes en Algérie », Karim Maïche rapporte les propos de Malaoui: « Nous sommes autofinancés, nos membres contribuent chacun à hauteur de 80 DA par an ».

Maïche mena son enquête sur le financement du SNAPAP en interviewant Selim Mecheri, un de ses activistes de longue date. Sa réponse était explicite :

« Ah, les pays étrangers. Pour nous, il était nécessaire d’obtenir de l’aide du Solidarity Center parce que sinon nous n’aurions pas eu la chance de sortir [d’Algérie]. Par exemple, je n’ai pas les moyens de sortir sans invitation de ces organisations internationales. Je ne veux pas cacher le fait que mon salaire ne suffit pas, ni non plus les ressources financières de mon organisation […] ».

La collaboration du SNAPAP avec le Solidarity Center n’est pas uniquement financière, comme on peut le constater, par exemple, dans le rapport annuel 2013 de l’organisme américain :

« L’année dernière en Algérie, le Solidarity Center et le Syndicat national autonome des travailleurs du secteur public (SNAPAP) ont entrainé un réseau de 32 militantes et formé le Réseau régional algérien d’autonomisation juridique des femmes (RAWLEN). Les femmes ont mené des cercles d’étude sur la peur, l’exploitation et les droits juridiques et humains des femmes dans 12 provinces, touchant plus de 600 femmes marginalisées et vulnérables ».

Par ailleurs, le nom de Rachid Malaoui est cité dans plusieurs câbles Wikileaks. Dans celui intitulé « Algeria and MEPI – Moving forward » daté du 26 avril 2009 et portant la référence 09Algiers415_a, on peut lire :

« En outre, nous avons demandé un financement au MEPI [The U.S. –Middle East Partnership Initiative] pour un projet du Solidarity Center travaillant avec les syndicats algériens, ainsi qu’une petite subvention pour le SNAPAP, le plus grand syndicat algérien autonome (c’est-à-dire non affilié au gouvernement). Le Solidarity Center est actuellement le meilleur véhicule pour un engagement soutenu avec les syndicats autonomes, mais l’exercice de petites subventions SNAPAP est un effort pour renforcer la capacité organisationnelle et de collecte de fonds d’un syndicat avec peu ou pas d’expérience dans l’un ou l’autre domaine. En cas de succès, la subvention SNAPAP pourrait conduire à un engagement direct plus important, bien que dans un avenir lointain, sans un responsable de la mise en œuvre de MEPI comme intermédiaire ».

Le câble 08ALGIERS661_a du 5 juin 2008, montre que Malaoui avait (a toujours?) ses entrées à l’ambassade des États-Unis à Alger. En effet, le document mentionne des discussions directes avec les diplomates américains sur la situation sociale et politique en Algérie :

« Le leader syndicaliste Rachid Malaoui du syndicat autonome SNAPAP nous a dit le 28 mai que le mécontentement vis-à-vis des performances des équipes de football n’était qu’une excuse pour déclencher une émeute. Les bases sous-jacentes des émeutes, a-t-il dit, étaient les frustrations refoulées de la société algérienne […]. Alors que les émeutes semblent avoir été déclenchées spontanément, il pense que les individus attendaient une occasion d’exprimer leur frustration élevée face à la vie en Algérie ».

Un troisième câble daté du 20 mars 2008 et portant la référence 08ALGIERS332_a est exclusivement consacré aux « syndicats libres ». Le nom de Malaoui y est cité sept fois et SNAPAP 6 fois. On peut y lire :

« Lors d’une réunion le 19 février, Rachid Malaoui, président de l’une des deux versions du Syndicat national autonome des employés de l’administration publique (SNAPAP), nous a dit que le gouvernement algérien prônait un « faux nationalisme » afin de détourner l’attention de ses échecs ».

Le reste est très instructif mais serait top long à discuter dans le cadre de cet article. Il montre cependant, de manière non équivoque, que Malaoui et son syndicat – tout comme les ONGistes algériens – discutaient allégrement, entre autres, des affaires politiques et sociales de l’Algérie avec les diplomates étasuniens au sein même de l’ambassade des États-Unis à Alger.

Outre le Solidarity Center, l’ouvrage de Karim Maïche mentionne les relations du SNAPAP avec différentes organisations internationales dont l’union syndicale « Solidaires », ce qui explique donc leur présence à un colloque organisé en France par une élue française. D’ailleurs, est-ce par pur hasard si les deux représentants de « Solidaires », Boualem Hamadache et Stephane Enjalran, étaient assis à côté de Rachid Malaoui lors de cet évènement?

Les syndicalistes invités par M.G. Buffet : Boualem Hamadache, Stéphane Enjalran et Rachid Malaoui

« Solidaires » et « quituquistes »

Il faut reconnaitre que « Solidaires » a été très actif contre l’Algérie non seulement pendant le Hirak, mais aussi bien avant comme nous allons le démontrer.

Ainsi, on peut lire dans une de leurs déclarations « pro-Hirak » publiée le 22 février 2021 (2e anniversaire du soulèvement populaire) :

« Il y a deux ans, la population manifestait contre la cinquième candidature à la présidence du très vieillissant Bouteflika, homme de paille des généraux qui ont pris le pouvoir dans les années 90. Les clans qui se partagent le pouvoir avaient été contraints de renoncer à cette candidature, mais les précédentes élections ont été une mascarade en termes de participation et de candidats (des clans militaires) ».

Le style et la terminologie utilisés dans ce communiqué officiel n’est pas sans nous rappeler l’empreinte des « islamawistes offshore » et des « ONGistes droitdelhommistes », adeptes de la « phase de transition » et du « Yetnahaw gaâ » (ils doivent tous partir). Cela est à des années-lumière du langage syndical coutumier, celui qui défend les intérêts des ouvriers et qui se bat pour ses acquis sociaux.

Mais ce qui attire le plus l’attention c’est cette allusion aux années 90, c’est-à-dire la décennie noire, le « quituquisme » et son corollaire l’absolution des djihadistes de leurs crimes terroristes.

Mais cela n’est pas nouveau pour « Solidaires », bien au contraire. Cette union syndicale a des relations très étroites avec les théoriciens du « quituquisme » et ses adeptes les plus teigneux.

En effet, dans le supplément à sa revue « Expression Solidaire » d’octobre 2015 de 128 pages exclusivement consacrées à l’Algérie (sic!), la parole est donnée à une dizaine de personnes dont François Gèze, Omar Benderra, Salima Mellah et Stéphane Enjalran.

Les trois premiers, François Gèze, Omar Benderra, et Salima Mellah sont membres de l’association « Algeria-Watch » fondée dans les années 90 par des journalistes algériens exilés en Allemagne.

Sur le site de l’association, on obtient un peu plus d’information :

« Algeria-Watch est une association de défense des droits humains en Algérie. Créée en 1997 en Allemagne, elle a rapidement dépassé le cadre germanophone et développé des activités en langue française. Depuis janvier 2002, elle existe également en France, où elle a constitué une association (loi de 1901) du même nom ».

Le recensement d’Algeria-Watch par le « Courrier international » précise qu’il s’agit d’un « webzine » qui « rassemble d’une manière générale des tendances hostiles au pouvoir en place à Alger, des islamistes modérés aux démocrates convaincus ».

Courrier International : description d’Algeria-Watch

Ainsi, pour figurer sur le site de cette association, il suffit juste d’être hostile au pouvoir algérien. Et cela dure depuis les années 90!

Aucune place à tous ceux qui défendent l’État-Nation, même pendant les moments difficiles que vit l’Algérie. Non, il faut juste être hostile, comme ceux qui vocifèrent « madaniya, machi aaskaria » (civil et non militaire) et surtout pas ceux qui scandent « djeich chaab, khawa khawa » (armée peuple, frères frères)!

C’est pour cette raison que mes écrits et mes livres ne sont jamais repris par ce site, malgré mes dizaines d’articles sur le sujet, lus et traduits en plusieurs langues. Par contre, tous ceux qui me tombent dessus à bras raccourcis sont les bienvenus et y ont bien entendu une place de choix.

Algeria-Watch, qui se targue d’être « une association de défense des droits humains », oublie que la liberté d’expression et d’opinion fait partie intégrante des droits humains.

« Algeria Watch », « Al Karama », « Rachad » et le djihadisme international

La description du « Courrier international » parle d’ouverture vers « des islamistes modérés ». La réalité est toute autre.

Regardons cela de près. Sur le site du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, on peut encore trouver un document qui a pour titre « Observations d’Al Karama for Human Rights et Algeria-Watch sur le troisième Rapport périodique de l’Algérie au Comité des droits de l’homme de l’ONU – Audience du 23 juillet 2007 ».

Ce document montre un travail synergique entre la Fondation « Al Karama » et « Algeria-Watch» qui a pour but le dénigrement systématique de l’Algérie auprès des instances internationales ou des pays étrangers. Une recherche rapide sur le site d’Al Karama révèle des dizaines d’occurrences sur cette collaboration dont plusieurs d’entre elles traitent de la défense d’anciens dirigeants du FIS (Front Islamique du Salut).

Selon les documents publiés sur son site (en 2016), les membres fondateurs de la Fondation « Al Karama » sont Abderrahman Al Nuaimi, Rachid Mesli et Abbas Aroua. Mourad Dhina, son directeur exécutif, à rejoint la fondation en 2007.

Discuter de la fondation « Al Karama » nécessiterait certainement plusieurs articles. Ce qu’il faut retenir c’est que cet organisme fraye avec la nébuleuse djihadiste internationale. Son fondateur, Abderrahman Al Nuaimi, a été accusé en 2013 « de financer Al Qaida » et tous ses avoirs ont été gelés par les États-Unis.

Le communiqué de presse du Département du Trésor américain mentionne que :

« Nuaimi est un financier et facilitateur terroriste basé au Qatar qui a fourni de l’argent et un soutien matériel et a transmis des communications à al-Qaida et à ses affiliés en Syrie, en Irak, en Somalie et au Yémen pendant plus d’une décennie. Il était considéré comme l’un des partisans qatariens les plus en vue des extrémistes sunnites irakiens ».

Dans un article de 2018 du journal suisse « Le Temps » consacré aux islamistes pro-Qatar dont fait partie Al Nuaimi, on peut aussi lire :

« On ne parle pas ici de djihadistes de bas étage ou de jeunes fanatisés devant leur ordinateur. Mais d’intellectuels de l’islamisme radical, bien connectés à l’international, y compris en direction de groupes armés ».

C’est d’ailleurs cette même année que la fondation « Al Karama » et son président-fondateur Al Nuaimi ont été placé sur la liste qatarie du terrorisme.

Pour revenir au Hirak frelaté et une de ses composantes majeures, les « islamawistes offshore », il est facile d’établir la relation entre la fondation « Al Karama » et le mouvement « Rachad ». En effet, les membres fondateurs d’Al Karama (excepté Abderrahman Al Nuaimi) sont aussi membres fondateurs de « Rachad ».

Pour compléter la liste, on peut se fier au document publié sur le site officiel de « Rachad » :

Liste des membres fondateurs de « Rachad »

On remarque donc que ces deux entités possèdent des portes tournantes entre elles et, donc, travaillent de concert.

Il existe aussi des relations directes entre « Algeria Watch » et « Rachad » comme on peut le constater lors des rencontres conjointes, comme, par exemple, dans ces vidéos de Omar Benderra avec Mourad Dhina (sur Rachad TV) ou avec un autre membre de « Rachad », Yahia Mekhiouba (vidéo publiée sur « Algeria Watch »).

Accusé par l’Algérie « d’enrôlement dans un groupe terroriste armé actif à l’étranger », Mourad Dhina fut arrêté à Paris en 2012 en vue d’une éventuelle extradition vers l’Algérie. Un « comité de soutien pour la libération de Dr. Mourad Dhina » composé de 20 membres fut constitué. Parmi les noms de ces personnes, on retrouve ceux de Abderrahman Al Nuaimi, François Gèze, Habid Souaidia (dont il sera question ultérieurement) et Hakim Mutairi (aussi orthographié Hakem Al Mutairi) qui est un activiste salafiste, membre fondateur et chef du parti koweitien « hizb al-umma » (Parti de la communauté des croyants).

Selon l’opposant turc Abdallah Bozkurt, Al Mutairi « est un prédicateur salafiste et radical dont les opinions sont similaires à celles d’Al Qaïda et de l’État islamique en Irak et en Syrie (ISIS). Il a été accusé d’avoir canalisé des ressources financières vers des djihadistes en Syrie, d’abord vers Ahrar Al Cham et plus tard vers le Jabhat Al Nosra ».

C’est d’ailleurs pour ses activités délictueuses qu’Al Mutairi a été surnommé le « parrain de l’extrémisme dans le Golfe arabe »

Pour la gouverne de la « Tartarine », c’est ce même prédicateur qui a applaudi et justifié l’horrible décapitation de feu Samuel Paty. Intéressant, non?

En avril dernier, le tribunal pénal du Koweït a condamné Al Mutairi à une peine de prison à vie pour un complot visant à déstabiliser la sécurité dans la région du Golfe.

À la parution de mon livre « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak? », les premiers à avoir réagi de manière violente et sordide ce sont les « adeptes » de Rachad. Non satisfaits de leurs sempiternelles logorrhées fétides, ils ont décidé de répondre à mon ouvrage en réunissant un groupe de piètres « experts » avec, à leur tête, Moncef Marzouki, le « tartour (pantin) de Carthage » en personne. Cette réponse, qui s’est plus attaquée à ma personne qu’au contenu de mon livre, s’est avérée d’une navrante médiocrité. Néanmoins, à force d’écrire pour ne rien dire et de griffonner des inepties, on finit toujours par faire des révélations intéressantes pour autrui. Ainsi, on apprend dans ce livre collectif (p. 308) que « Rachad » avait eu des contacts directs avec Rachid Maloui – tout comme avec « Algeria Watch » – et ce, bien avant le Hirak.

Mensonges, manipulations et diffamations

Né à Casablanca (Maroc) et militant d’extrême gauche, le nom de François Gèze est surtout relié aux Éditions La Découverte dont il a été directeur et qu’il a utilisé comme « machine à laver » pour « blanchir » les crimes des djihadistes algériens et les mettre sur le dos de l’institution militaire algérienne.

Cela a commencé en 2000 avec la publication de « Qui a tué à Bentalha » par Nesroulah Yous, avec la collaboration de Salima Mellah (tiens, tiens…).

(Petite remarque : Nesroulah Yous était invité à la grand-messe de la Tartarine au palais Bourbon).

Nesroulah Yous invité au colloque de M.G. Buffet organisé à l’Assemblée nationale française

En 2001, c’est au tour de « La sale guerre » de Habib Souaïdia, un ex-miliaire algérien, de se prêter à l’entreprise de blanchissage – salissage orchestrée par François Gèze. Un vrai succès de librairie : 72 000 exemplaires vendus et plusieurs éditions en d’autres langues.

Sauf que ce brûlot a révélé les dessous d’une entreprise professionnelle de désinformation nommée le « quituquisme ».

Vu les compétences d’écriture limitées de l’ex-militaire, un coauteur a été recruté. Il s’agit du journaliste Mohamed Sifaoui qui, malheureusement pour eux, n’a pas voulu marcher dans les combines de la « machine à laver ».

Après avoir remis sa copie, Sifaoui s’est rendu compte que Gèze avait par la suite manipulé son texte. Il déclara alors :

« On a tordu mon texte en occultant certains passages, en en rajoutant d’autres. En mettant toujours au conditionnel certains faits exacts – toujours des exactions commises par les islamistes – et en faisant passer pour des affirmations ce qui ne constitue que des hypothèses (la responsabilité de l’armée dans des massacres de civils) ».

Il a aussi accusé l’éditeur « d’avoir systématiquement supprimé les passages du manuscrit qui allaient « dédouaner les islamistes et occulter leurs crimes » au nom d’un « parti-pris idéologique » », tout en qualifiant Habib Saouaïdia, de « mythomane venu en France pour régler des comptes avec sa hiérarchie ».

Ébranlé par toutes ces accusations qui remettaient en cause sa stratégie, Gèze portant plainte contre Sifaoui pour « diffamation ».

Il fut platement débouté par le tribunal qui jugea que :

« les éléments produits aux débats permettent de démontrer que Habib Souaïdia, au printemps 2000, a livré à ses interlocuteurs des versions différentes, que de nombreuses modifications ont affecté le manuscrit livré par Mohamed Sifaoui à l’éditeur, et surtout que ces modifications ont eu pour résultat d’atténuer la responsabilité des groupes islamistes pour aggraver celle des militaires »

Et en ce qui concerne les responsabilités, le tribunal a été très clair :

« François Gèze et les Éditions La Découverte sont accusés d’avoir manipulé Habib Souaïdia et Mohammed Sifaoui, en intervenant sur le témoignage du premier et le manuscrit du second, pour réaliser un ouvrage partisan, volontairement défavorable pour l’armée et exonérant les islamistes ».

Malgré la mise en évidence de ces manipulations et de ces mensonges, le livre de Souaïdia est encore régulièrement cité par les adeptes de « Rachad » qui ne se lassent pas de le brandir comme la preuve par 9 du « quituquisme ».

Dans le volet « mensonges, manipulations et diffamations », François Gèze n’est pas le seul à y exceller. Stéphane Enjalran, le quatrième contributeur de la revue « Expression Solidaire » de 2015, n’a rien à lui envier.

Stéphane Enjalran, syndicaliste « Solidaires »

Tout d’abord, ce syndicaliste est lui aussi un « quituquiste » comme on peut s’en rendre compte en parcourant un de ses deux articles figurants dans la revue.

« On se rappelle aussi de l’assassinat des moines de Tibhirine en 1996 et du fait que les médias français commencent seulement à prendre au sérieux l’hypothèse de la responsabilité de l’armée algérienne dans ce drame, responsabilité pourtant hautement probable mais jusque-là étouffée ou évoquée à demi-mot, l’événement étant au mieux présenté comme un « accident » ».

Et à propos de l’Algérie, notre syndicaliste n’y va pas de main morte :

« Ce qu’il faut appeler par son nom, une dictature. « Dictature » : le mot peut sembler exagéré, voire dévoyé, tant l’ignorance est grande dans nos pays de la situation réelle en Algérie, encore présentée comme le modèle de « résistance au terrorisme » et donc comme un rempart contre ce fléau, qu’il soit réel ou fantasmé ».

Un vrai clone de François Gèze!

Mais ce n’est pas tout. Ce syndicaliste fantoche, qui prétend défendre la veuve et l’orphelin, montre son vrai visage digne de la Stasi.

En citant mon livre « Arabesque américaine », édité à Montréal en 2011, il se permet de dire :

Supplément à Expression Solidaires, journal édité par l’Union syndicale Solidaires, octobre 2015, page 48 (Extrait)

Soit Enjalran fait preuve d’une ignorance crasse, soit il est malhonnête. En ce qui me concerne, je pense que les deux qualificatifs s’appliquent admirablement bien à cet individu. Voilà pourquoi :

  • 1-     La NED et le Solidarity Center n’appartiennent pas « à l’oligarque israélo-américain d’origine hongroise, George Soros », mais au gouvernement américain.
  • 2-    La relation entre le SNAPAP et le Solidarity Center a été clairement établie au début de cette section.
  • 3-    Les mots « juif », « hébreu », « sémite » et « antisémite » n’ont jamais été écrit dans mon livre « Arabesque américaine ».
  • 4-   Le mot « Israël » a été écrit 2 fois dans le cadre de ses relations avec l’Égypte.
  • 5-    George Soros y est présenté comme « milliardaire américain » et non comme « israélo-américain ».

Cela prouve juste que, comme la majorité de ceux qui me critiquent, Enjalran n’a jamais lu mon livre. Pour défendre Rachid Malaoui, il aurait dû critiquer le contenu de mon ouvrage et faire un effort intellectuel. Mais non! Il est plus facile de me coller une étiquette « antisémite ». La « Reductio ad Hitlerum » dans sa plus simple expression : c’est plus facile et ça peut rapporter gros.

En fait, on se rend compte que cet article est, à une phrase près, le copié-collé d’un autre publié en 2013 :

« Algérie 2013 : la poursuite des violations des libertés syndicales par le pouvoir » (Extrait du Rapport CISA 2013)

En comparant les deux versions, on remarque en effet un petit ajout dans celle de 2015 : l’allusion à l’antisémitisme. La Stasi dans ses œuvres!

En ce qui concerne l’ingérence étrangère, il ne faut pas aller très loin pour la prouver. Enjalran lui-même étant un étranger, que vient-il faire dans les affaires de l’Algérie? N’a-t-il pas assez d’ouvrage avec les problèmes abyssaux de la classe ouvrière française? Ou rêve-t-il encore du « temps béni des colonies »? D’autre part, s’est-il posé la question pourquoi avoir organiser un colloque sur l’Algérie en France, au sein même de l’Assemblée nationale française? Ça s’appelle comment ce truc, M. Enjalran?

Un syndicaliste qui ne connait pas le rôle néfaste du Solidarity Center et de l’AFL-CIO dans plusieurs régions du monde, en particulier en Amérique du Sud, en Pologne, à Hong Kong et même en France ne mérite pas d’appartenir à un quelconque syndicat.

Une petite suggestion, monsieur le syndicaliste fantoche : pourquoi ne pas vous informer auprès de votre ami Dan Gallin (voir plus bas dans ce texte), lui qui a eu maille à partir avec l’AFL-CIO et qui connait si bien George Soros?

SNAPAP, CGATA et les confédérations syndicales internationales

Selon Karim Maïche,

« le SNAPAP travaille en étroite collaboration avec d’autres syndicats autonomes et organisations de la société civile telles que la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA) et SOS Disparus (SOS Disparus) ».

Comme expliqué auparavant, ces organismes « autochtones » algériens sont tous financés par la NED. Cela explique aussi la présence de certaines personnes comme Nacera Dutour ou Salah Debouz à ce colloque

Concernant les organisations syndicales étrangères, Malaoui a déclaré qu’il n’avait aucune difficulté à s’en rapprocher :

« […] Les étrangers ne sont pas dupes. […] Ils savent reconnaître les vrais syndicats de faux. Quand tu es crédible, tu adhères facilement »

En fait, Malaoui fait semblant de ne pas comprendre que certains organismes internationaux ont des agendas précis pour l’Algérie et qu’en politique, la philanthropie n’existe pas. Chaque dollar investi doit rapporter gros et, comme le dit le dicton, c’est celui qui paie l’orchestre qui choisit la musique.

En ce qui concerne leurs relations avec les confédérations internationales, le SNAPAP est affilié à l’UITA (Union Internationale des travailleurs de l’alimentation, de l’agriculture, de l’hôtellerie, de la restauration, du tabac et des branches connexes) et le CGATA avec la CSI (Confédération syndicale internationale) .

Il faut savoir qu’il s’agit de mastodontes : l’UITA revendique 10 millions de membres provenant de 130 pays, alors que la CSI en compte quelques 168 millions répartis dans 155 pays. Il faut aussi préciser que l’UITA ainsi que l’AFL-CIO sont membres de la CSI.

Le « Courrier fédéral » de la Fédération nationale des industries chimiques (FNIC) de la CGT (n°580 du 30 novembre 2018) donne des informations très intéressantes au sujet du CSI.

Le CSI est né en 2006 de la fusion de la CISL (Confédération Internationale des Syndicats Libres) et de la CMT (Confédération Mondiale du Travail). Dès son origine la CISL était par principe anticommuniste et antisoviétique.

« Les grandes sociétés multinationales, les gouvernements des pays occidentaux américains et européens, les services d’intelligence comme la CIA ou le MI5 britannique, contribuèrent matériellement et financièrement au développement de la CISL ».

On y apprend aussi que la CSI/CISL a soutenu l’écrasement et la destruction de la Libye ainsi que l’intervention étrangère en Syrie et qu’elle reste dirigée par les syndicats des pays riches tout en entretenant des relations étroites avec les entreprises et les institutions financières.

« Outre la continuité qu’elle incarne avec la CISL, la CSI défend des positions identiques sur le plan syndical et les piliers de son organisation sont rigoureusement les mêmes ».

Pour abonder dans le même sens que cette revue syndicale, sachez que Cathy Feingold, la directrice du Département international du l’AFL-CIO, (celle qui avait pris la défense de Rachid Malaoui en écrivant deux lettres au Président Bouteflika en 2011) a été nommée Présidente adjointe du CSI (ITUC en anglais), en décembre 2018.

Cathy Feingold, présidente adjointe du CSI

Rachid Malaoui est décidément entre de bonnes mains, que ce soit à l’AFL-CIO ou au CSI.

« Solidaires », Dan Gallin et George Soros

Dan Gallin est un militant trotskyste dont la vie est un vrai roman d’aventure. Fils d’un diplomate roumain en poste à Berlin durant la 2e guerre mondiale, il obtint une bourse en 1949 pour étudier aux États-Unis. Contraint de quitter le pays à cause de ses activités politiques, il s’installa en Suisse où il y termina ses études universitaires. Après de nombreuses expériences politiques, il décida de s’impliquer dans le syndicalisme qu’il décrit comme « la première et peut-être la dernière ligne de résistance ouvrière ».

Gallin a été secrétaire général de l’UITA de 1968 à 1997, soit près de trois décennies, battant tous les records de longévité à ce poste.

Après cette longue carrière, il créa le « Global Labour Institute (GLI) », une fondation qui a pour objectif « de promouvoir la solidarité internationale entre les organisations syndicales et entre celles-ci et d’autres organisations et mouvements de la société civile dans le but de parvenir à une société mondiale démocratique et durable, fondée sur les principes de justice sociale, de liberté et d’État de droit ».

D’après le « Courrier fédéral » cité précédemment, cette fondation « est liée, entre autres, à l’Open Society du milliardaire George Soros ».

Peut-être doit-on conseiller à Stéphane Enjalran, ce syndicaliste qui se fait passer pour un bisounours, de consulter ses « collègues » de la CGT pour lui expliquer ce que veut dire être financé par Soros?

On peut se rendre compte de la proximité entre Gallin et Soros en lisant l’article que le premier a écrit pour défendre le second.  Intitulé « La sale guerre contre George Soros », il a été publié en 2018 sur le site du GLI.

Le texte est une vraie déclaration d’amour pour George Soros, son concept de « société ouverte » (Open Society), sa générosité démesurée et son combat contre « les ennemis de la démocratie ».

Il en profita pour écorcher tous ceux qui osent tenir tête au milliardaire américain, tout en évoquant le sempiternel argument d’antisémitisme. (Tiens, ça nous rappelle Stéphane Enjalran).

Gallin a tenté de faire passer Soros pour mère Thérèsa, tout en excellant dans le Russia-bashing et le China-bashing. Il a justifié le coup d’état de l’Euromaïdan (Ukraine 2013-2014) et a reproché au président Vladimir Poutine d’avoir sauvé « une autocratie meurtrière en Syrie en prolongeant une guerre civile qui jette des millions de réfugiés sur la route de l’exil […] ».

Mais aucun mot sur les néo-nazis qui ont fait la sale besogne en Ukraine, ni sur ces pays occidentaux qui ont financé le djihadisme et la destruction systématique de la Syrie.

On aurait cru entendre un des pires faucons « neocons » américains!

Et dire que ce type prétend avoir défendu, pendant 29 ans, les intérêts de millions d’ouvriers à travers le monde contre des patrons capitalistes de la trempe de Soros! On aura tout vu.

Cette histoire me fait penser à certains de nos trotskystes algériens tels que Hocine (Patrick) Belalloufi ou Ihsane El Kadi. On jurerait qu’ils ont été formés par le trotskyste en chef, Dan Gallin en personne.

Mais, vous allez me dire, que vient faire Dan Gallin dans notre sujet?

D’après certains observateurs avertis de la scène syndicale française, l’union syndicale « Solidaires » collabore fortement avec le GLI de Dan Gallin. On peut s’en rendre compte lors d’évènement organisés conjointement comme, par exemple, cette « Université d’automne francophone » (2017) ou cette « International Labour University » (2019).

Comme on peut le constater, Dan Gallin et Stéphane Enjalran ont participé à ces deux rencontres.

Si le GLI s’occupe de la formation des syndicalistes de « Solidaires », on doit s’attendre à ce que ces derniers partagent les idées développées par Dan Gallin dans sa lettre « d’amour » à Soros. On comprend alors l’acharnement maladif de Stéphane Enjalran et de ses « collègues » contre l’Algérie, tantôt en soutenant Rachid Malaoui, tantôt en recyclant la clique des « quituquistes ».

La photo ci-dessous montre Dan Gallin et Annick Coupé lors de l’Université d’automne francophone de 2017.

Dan Gallin et Annick Coupé, Université d’automne francophone (2017)

Annick Coupé est une militante syndicale qui a été porte-parole de « Solidaires » de 2001 à 2014.

Dans le supplément de la revue « Expression Solidaire » évoquée précédemment, Rachid Malaoui exprime ses remerciements à « Solidaires » et à Annick Coupé:

« Solidaires est à nos côtés depuis longtemps et j’espère bien pouvoir un jour exprimer de vive voix à Annick Coupé nos remerciements pour son soutien inconditionnel ».

Et la boucle vient d’être bouclée.

Avant de clore cette investigation, il est important de mentionner un détail révélateur concernant Dan Gallin. Dans une longue interview, il reconnait sa préférence durant la guerre d’indépendance de l’Algérie :

« En 1954, la guerre d’Algérie éclate et la plupart de mes reportages portent sur cette guerre. Maposition, qui est devenue la position de l’ISL (Ligue socialiste indépendante), était bien sûr pour le mouvementindépendantiste, mais pas pour le camp des vainqueurs. J’ai soutenu le Mouvement nationalalgérien (MNA) dirigé par Messali Hadj. J’avais rencontré Messali, et j’avais été impressionnépar la dignité modeste du fondateur du mouvement indépendantiste algérien, mais mesprincipaux contacts étaient les syndicalistes de l’Union messaliste des travailleurs algériens(USTA), fondée en février 1956, et j’ai reconnu en eux la détermination révolutionnaire,l’internationalisme et l’esprit d’indépendance qui est toujours ce qu’il y a de mieux dans lemouvement ouvrier. Ce sont les qualités qui ont assuré leur destruction ».

Dan Gallin était donc « messaliste » et ne portait pas le FLN dans son cœur si on en croit la virulence des termes utilisés pour le qualifier dans le reste de l’entrevue.

Il est quand même décevant d’être, une vie durant, immanquablement dans tous les mauvais camps!

Organigramme des groupes présents au colloque de M.G. Buffet et de leurs accointances politico-financières

C- Conclusion

Le colloque organisé par Marie-George Buffet, députée et ancienne ministre, au sein même de l’Assemblée nationale française n’est pas un évènement banal, bien au contraire.

1-     Tout d’abord, le lieu choisi marque l’implication d’une institution politique majeure du Parlement français. Et, vu les récentes sorties médiatiques belliqueuses du président Macron et de quelques-uns de ses ministres, il ne serait pas étonnant que cette réunion ait reçu l’aval du gouvernement français.

2-    Le timing choisi (2 jours avant la commémoration des évènements sanglants du 17 octobre 1961) reflète la volonté de passer sous silence un des crimes d’états français les plus abjects contre des manifestants pacifiques algériens.

3-    Les personnes invitées à ce « colloque » ne sont pas les « acteurs et les actrices du mouvement du peuple algérien pour la démocratie » tel que mentionné dans le post de la députée communiste. Ce sont les représentants de groupes spécifiques qui dirigent le Hirak frelaté, à savoir des « makistes séparatistes », des « ONGistes droitdelhommistes » et des « syndicalistes fantoches » ayant des liens solides avec les « islamawistes offshore ». Ces groupes travaillent de concert pour la division et la « printanisation » de l’Algérie.

Qu’aurait pensé Mme Buffet (et le gouvernement français) si un député algérien avait réuni à l’Assemblée populaire nationale algérienne (APN) des représentants du mouvement séparatiste corse ou des membres de l’ « Opération Azur » qui ont fomenté un coup d’État en France?

4-   Certains invités sont des militants ou sympathisants « makistes séparatistes » qui œuvre à la partition de l’Algérie, sur le modèle du projet du « Grand Moyen-Orient ».

5-    La plupart des invités et les organismes auxquels ils appartiennent ont applaudi la destruction de la Libye et de la Syrie et travaillent d’arrache-pied pour la destruction de l’Algérie.

6-   Les syndicalistes invités travaillent de concert avec des confédérations de travailleurs ouvertement et historiquement anticommunistes. Qu’en pense la militante communiste, celle qui a représenté le PCF à l’élection présidentielle?

7-    Ces syndicalistes font la promotion du « quituquisme » et collaborent avec des groupes qui en ont fait un fonds de commerce lucratif.

8-   Ces syndicalistes et les « ONGistes droitdelhommistes » sont financés et/ou ont des liens étroits avec des organismes américains spécialisés dans la déstabilisation et la destruction de pays ciblés. Cela n’a absolument rien à voir avec la démocratie.

9-   Ces « quituquistes » coopèrent activement avec des prédicateurs ou des entités directement et notoirement impliquées dans le djihadisme international.

Le colloque a eu au moins un côté positif. Il a, en effet, permis de révéler la collusion entre des personnes et des organisations qui se sont liguées contre l’Algérie lors des différents moments difficiles de sa jeune histoire. Elles ont œuvré à la destruction de l’idée de l’État-Nation lors de la guerre de libération et l’ont combattu jusqu’au Hirak, en passant par la décennie noire.

Pour éviter d’en faire partie, Marie-George Buffet réussira-t-elle à se débarrasser de son ridicule costume de la « Tartarine » du palais Bourbon pour celui de la députée française? Elle pourra ainsi s’occuper de ce pourquoi elle a été élue, c’est-à-dire des problèmes du peuple français et non de ceux des autres peuples.




En Autriche, le président de l’Ordre des Médecins veut attacher les gens pour les vacciner de force

[Source : wochenblick.at]

Par Christoph Uhlmann

Traduction par Christine côte

[Photo : Thomas Szekeres, président de l’Ordre des Médecins, à la Pressestunde, ORF, le 14 novembre 2021]

Complètement fou, Szekeres dépeint le scénario d’horreur de la vaccination forcée

« La question se pose de savoir si l’on doit attacher quelqu’un et lui faire l’injection ».

L’Ordre des Médecins va encore plus loin ! En Autriche, le président de l’Ordre des Médecins, Thomas Szekeres, s’est exprimé sur la vaccination obligatoire à l’heure de presse sur ORF, dimanche. Il fallait réfléchir à « comment l’appliquer », a-t-il expliqué, en disant : « Je veux dire, la question se pose déjà de savoir si vous attachez quelqu’un et si vous lui donnez ensuite la piqûre. » Le vice-président, Harald Mayer, s’emploie lui aussi à semer la panique face à la quatrième vague qui serait en train d’arriver, en se moquant des politiciens trop lâches pour imposer la vaccination obligatoire pour tous. Néanmoins, il envisage une vaccination obligatoire ainsi qu’un confinement pour tous avant Noël. Le ministre de la Santé Mückstein a déjà annoncé ce confinement. Et l’association des médecins de l’assurance maladie obligatoire du Bade-Wurtemberg recommande à ses membres de tenir des heures de consultation de 7 h à 7 h 10 pour les patients qui ne présentent pas de preuve de la 3G. Cela équivaut à un non-traitement ! Quant au corps médical, il perd actuellement toute éthique et toute morale et siffle inconsciemment le serment d’Hippocrate. Ils ont peut-être fait des études de médecine, mais ce ne sont pas des médecins. Parce que les médecins doivent avant tout ne pas faire de mal…

  • Le Président de l’Ordre des Médecibns (ÄK) pour la vaccination obligatoire générale
  • Préparation propagandiste des présidents de chambre pour ce qui est à venir : « Si vous attachez quelqu’un et lui donnez ensuite la piqûre ».
  • Le vice-président de l’Ordre des Médecins (ÄK) pour le confinement et la vaccination obligatoire générale avant Noël
  • Le ministre de la Santé, Wolfgang Mückstein (Verts), annonce le confinement de tous les établissements.
  • L’Association des médecins de l’assurance maladie obligatoire du Bade-Wurtemberg recommande une plage horaire de 10 minutes en tout pour les consultations de TOUS les patients sans preuve 3G

La dictature Corona est sur le déclin. Les acteurs et les sbires du régime en sont conscients. Une dernière bataille ? Ceci est reconnaissable au fait que les déclarations deviennent de plus en plus extrêmes. Le président de l’Ordre des Médecins, Thomas Szekeres, est particulièrement en vue à cet égard et ne manque pas une occasion de prouver qu’il fait partie de ceux qui ont étudié la médecine, mais ne peuvent absolument pas être qualifiés de médecins. Car le premier principe éthique de base de l’action médicale stipule que le médecin ne doit pas, ou ne devrait pas, avant tout, causer un préjudice au patient.

Szekeres parle d’attacher les gens et d’injections de force

Il a été prouvé que les confinements entraînent des dommages psychologiques et physiques importants. Comme le rapporte le Wochenblick, le « groupe vulnérable » des maisons de retraite, dont on parle tant, est particulièrement touché par cette mesure. Cela n’intéresse pas Szekeres. Il voulait déjà enfermer TOUS les Autrichiens en avril : « Enfermez toute l’Autriche. Et enfin, achetez des vaccins », fulminait-il à l’époque. Avec les injections expérimentales de génie génétique, des dommages massifs dus à des effets secondaires et à des effets tardifs ne peuvent être exclus. Mais cela ne concerne pas le médecin à la tête de l’Ordre des Médecins. Lors de l’heure de presse de dimanche, il s’est une nouvelle fois distingué comme un propagandiste modèle. En ce qui concerne la vaccination obligatoire, il a déclaré que son introduction était une décision politique, mais qu’elle avait un sens médical afin de « réduire le nombre d’infections ». Il a déclaré qu’il faudrait évaluer « la réaction de la population, la manière de mettre en œuvre et d’appliquer ces mesures ». « Je veux dire, c’est alors déjà la question de savoir si on attache quelqu’un et si on lui fait ensuite l’injection », un tableau sorti d’un film d’horreur. Il ajoute qu’il ne peut pas l’imaginer. Il se prononce explicitement en faveur du « fait que les personnes non vaccinées soient massivement désavantagées, même au travail ».

Mückstein annonce le confinement pour tous

Le vice-président de l’ÄK, Harald Mayer, est également favorable à l’obligation générale de vaccination et voit aussi la nécessité d’un confinement pour tous avant Noël. Il a fantasmé auprès d’un quotidien : « Si la politique autrichienne continue à être trop lâche pour décréter la vaccination obligatoire pour tous, alors elle entraînera toute l’Autriche dans un nouveau confinement, puis la quatrième vague nous dépassera. » Apparemment, le ministre vert Mückstein, qui est censé être responsable de la santé, l’a entendu. Car Mückstein a déjà annoncé un confinement général, qui doit être décidé mercredi, comme le rapporte le Wochenblick.

Une stratégie de propagande perfide

Le Wochenblick n’a fait état de cette forme de stratégie de propagande que récemment. Le Dr Roman Braun, expert en communication et maître formateur en PNL, explique dans une interview AUF1 avec Elsa Mittmannsgruber, rédactrice en chef du Wochenblick, que les intentions impopulaires sont diffusées à l’avance de telle sorte qu’elles soient mentionnées, mais avec distance. Ce pré-enseignement pourrait alors ressembler à ceci : « Il n’y aura pas de vaccination obligatoire », « Il n’y aura pas de nouveau confinement »… Il s’agit donc d’une stratégie perfide visant à préparer les gens à quelque chose qui a été prévu pour l’avenir…..

AUF1 rapporte bien à propos une citation explosive de Jean-Claude Juncker datant de décembre 1999 :

Escalade totale — aucun traitement sans 3G

En Allemagne, la « Kassenärztliche Vereinigung Baden-Württemberg » (Association des médecins de l’assurance maladie obligatoire du Bade-Wurtemberg) se moque également de l’éthique médicale. Selon une circulaire adressée à ses membres, l’association considère que « le refus de la vaccination est impudent et socialement inacceptable ». « Au plus tard lorsqu’on met en danger autrui, Corona et la vaccination ne sont plus une affaire privée », indique la circulaire. Loin de toute éthique médicale, il préconise des règles 2G/3G pour les visites des médecins et recommande aux médecins de tenir leurs consultations pour les patients qui ne respectent pas les règles 3G de 7h00 à 7h10 — soit 10 minutes seulement ! Ce que l’avocate Beate Bahner, active depuis longtemps dans la résistance aux mesures, en pense, vous pouvez le voir dans sa vidéo partagée sur Facebook. [Pour la vidéo de Maître Beate Bahner, ouvrir le lien principal ci-dessus c.c.]

Voici la circulaire :
https://www.wochenblick.at/wp-content/uploads/2021/11/Schreiben_der_KV_BW_v_11_11_2021_10_Minuten_Sondersprechstunde_fuer.pdf

Voici à quoi pourrait ressembler à l’avenir la salle d’attente pour les patients qui ne fournissent pas de preuve de la 3G, s’ils sont traités :

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Le peuple palestinien face aux équivoques du « monde libre » et à la félonie du « monde arabo-monarchique »

Par DJERRAD Amar

À la veille de la conférence de la « Ligue arabe » qui est programmée en Algérie, un article initialement publié en 2012(([1] sur les sites suivants :
https://libnanews.com/hy/le-peuple-palestinien-face-aux-equivoques-du-monde-libre-et-a-la-felonie-du-monde-arabo-monarchique-par-djerrad-amar/
http://www.lequotidien-oran.com/?archive_date=2012-12-10&news=5176416
https://www.legrandsoir.info/le-peuple-palestinien-face-aux-equivoques-du-monde-libre-et-a-la-felonie-du-monde-arabo-monarchique.html)), mais qui n’a pas perdu de son actualité.


Par cette agression sanglante et incessante, sur Gaza, contre les Palestiniens, un peuple spolié de sa terre par un « Israël » factice encrassé par une idéologie colonialiste et fasciste que soutient par allégeance et ressemblance un Occident à histoire jalonnée de contradictions, surtout de déshumanisation, on doit retenir la résurgence sinon la persistance des idéologies extrémises et nihilistes entraînant de récurrentes ruptures d’équilibre qui se manifestent par des souffrances et des incertitudes.

Ce qui se déroule dans le monde arabe, avec cette tempête controuvée baptisée « Printemps arabe », ne saurait être dissocié des crises économiques cycliques du Grand capital et de ses conséquences sociales, politiques et institutionnelles. La solution de ce Capital, pour surmonter ses crises, a toujours été, au travers de son évolution historique, de conquérir encore plus d’espaces économiques par la force des armes, sinon par des artifices de plus en plus subtils. Ainsi, il est passé de l’esclavagisme au colonialisme, puis au néo-colonialisme pour aboutir au chemin inverse dans une tentative de recolonisation et Dieu seul connaît la suite. Comme le monde a changé grâce à la Science et la Technologie, leurs stratégies, leurs tactiques, leurs moyens et leurs procédés ont également changé, mais pour les mêmes buts et les mêmes objectifs issus d’idéaux, qui eux n’ont pas changés, même dissimulés dans de grossiers sophismes.

Dans ce jeu de partage et de domination du monde, on a imposé un « État » factice, un corps étranger, là où les richesses pétrolières sont abondantes, presque simultanément avec la création d’« États arabes » liges sous forme d’oligarchies héréditaires où la puissance de l’argent est prépondérante ; de grandes ploutocraties rigides et féroces : un « État d’Israël » sans foi ni loi jouant le rôle de gendarme du Moyen-Orient et des Émirats/roitelets — liges dévoués à leurs protecteurs qui leur assurent la pérennité de leurs dynasties.

Depuis les accords secrets de Sykes-Picot de 1916 et la Déclaration Balfour de 1917 — qui aboutit à la partition de la Palestine en « deux États juif et arabe » en 1947 — le monde, en particulier le Moyen-Orient, n’a cessé de connaître l’instabilité. L’ensemble des peuples arabes et musulmans refusent à ce jour cette injustice, d’inspiration opportuniste sioniste, décidée dans le sillage du démantèlement de l’Empire ottoman suite à sa capitulation.

La question palestinienne reste, depuis, la pomme de discorde entre un monde occidental, pro-Israélien et pro-sioniste, à histoire sulfureuse jalonnée d’immoralité, qui ne s’est pas guéri de ses velléités colonialistes et un monde anticolonialiste et anti-impérialiste, dont les Arabes, qui refusent cette hégémonie inhumaine contraire à la morale et à la raison. « Les splendeurs et les horreurs de demain résident dans les décisions ou éclairées ou malavisées d’aujourd’hui. » (Yves Breton)

l’Organisation de la Conférence islamique (OCI), créée en 1969, devenue « de la coopération » en juin 2011 (certainement pour accabler la Syrie qu’elle suspend d’ailleurs 1 mois et demi après) avec 57 États membres regroupant plus de 2,5 milliards des musulmans à travers le monde (dont un des buts est de « soutenir la lutte du peuple palestinien et l’aider à retrouver ses droits et à obtenir, par la diplomatie, les territoires revendiqués comme leurs ») avec aussi sa soixantaine Conférences islamiques au Sommet et sa quarantaine de Conseil des Ministres des ministres des AE [Affaires Étrangères], ainsi que la Ligue dite des « États arabes », créée en 1945 regroupant 22 États arabes (dont l’objectif est d’« d’unifier la “nation arabe”, de défendre les intérêts des États membres, de faire face à toute ingérence des puissances dans la région ») avec sa trentaine de sommets, dont 12 en « urgence » concernant la Palestine, n’ont toujours pas réglé le problème de colonisation de la Palestine. 60 années de tergiversations pour aboutir à l’effet inverse avec plus de colonies, plus de morts, plus d’instabilité, plus de divisions, plus de domination. L’Occident « des lumières » qui a imposé la « liberté » et « l’égalité » ne veut pas voir chez les autres peuples les mêmes injustices qu’il a subies. Il y trouve, par contre, un prétexte pour plus d’iniquité et de supériorité. Nietzsche y voyait déjà, dans « Le Déclin de l’Occident » une décadence par une crise d’une civilisation malade. « On veut la liberté aussi longtemps qu’on n’a pas la puissance ; mais si on a la puissance, on veut la suprématie », affirme-t-il.

Les Arabes qui voulaient l’Union pour imposer « une force de proposition et d’impulsion » se sont avérés, avec le temps, profondément divisés, incapables d’une quelconque initiative, même de paix. Plus grave, ils se servent désormais de leurs propres « Organisations » pour nuire à leurs membres au profit de ceux qu’ils prétendent combattre ! La limite de la perversion. Deux visions politiques antinomiques s’affrontent. L’une « pro-occidentale » que mène l’axe monarchique, l’autre plus « indépendantiste » que mène l’axe républicain. D’où leur putréfaction et leur neutralisation.

Dès lors, la question palestinienne ne saurait, désormais, être réglée par les Arabes. Il devient impossible, voire dangereux pour eux, qu’ils prennent en charge le problème de colonisation de la Palestine ; du moins dans leur configuration politique actuelle basée sur la félonie. Seuls les Palestiniens, unis, sont à même de trouver la solution à leurs tourments selon leurs intérêts exclusifs. Se voir dicter les choses par certains États arabes, spéculateurs, opportunistes et corrompus, pour de l’argent, est une tactique perdante qui mène à la faillite. La preuve, 60 ans déjà sans arriver à un semblant de paix ! Même le projet d’une reconnaissance pourtant « partielle » s’était vu « torpiller » par des actions d’apparences pour la « cause », mais qui en fait va dans le sens d’une dilution de la Palestine et de son peuple, du moins d’envoyer la « question » aux calendes grecques en attendant, peut-être, le fait accompli, c’est-à — dire quand tout sera fini.

Plusieurs régimes arabes vivent et se maintiennent grâce à ce statu quo sur la Palestine. Ils useront de tous les artifices, dont financiers et politico-socio-religieux, pour que leur problème ne se règle pas. Bien plus, ils s’emploient à neutraliser tous les États arabes et autres de l’axe de la résistance au sionisme en leur fomentant des « révolutions » dites « printemps arabe » sur des principes aux antipodes des fondements de leur régime ! Les pétromonarchies du Golfe, en particulier l’Arabie Saoudite et le Qatar sont la cause des désespoirs du monde arabe, de leur impuissance pour leur félonie, leur corruption et leur illégitimité.

La puissance d’un pays se constate plus par la faiblesse de l’adversaire. C’est le cas d’Israël, une entité de 7 millions d’habitants (avec un PIB de 245 milliards de dollars), face à un monde arabe composé de 24 pays regroupant 400 millions de personnes (avec un PIB de 2,4 billions de dollars) ! Un « monde arabe » — factice, car plein de contradictions, d’adversités et de disparités — inconciliable. Un simple exemple économique : le PIB de l’Arabie Saoudite est de 560 milliards de dollars (2011), Mauritanie 4 milliards. Le Qatari jongle avec un PIB par tête de 76 000 dollars pendant que le Palestinien se débat avec 1000 dollars et sans perspective.

Il est étrange d’observer que, subitement, un « printemps arabe » se déclenche presque simultanément, en l’espace de moins de 2 ans dans plusieurs pays arabes. Les « vraies » révoltes, pour dégager les régimes vassaux à l’occident, vite confisquées ou contenues, ont été accompagnées des révoltes « fabriqués » dans les États à régimes hostiles à Israël et à l’hégémonie occidentale créant ainsi, avec l’accaparement des médias lourds du monde, la plus grande diversion, confusion et manipulation ! Les pétromonarchies du Golfe ont été les pourvoyeuses de fonds, de chair à canon et les guides dans l’endoctrinement, par la religion, pour imposer l’idéologie rétrograde wahabo-salafiste. La Palestine n’est, pour eux, rien d’autre qu’un faire-valoir, un paravent qui assure la pérennité de leur dynastie.

La dernière agression contre Gaza en est un des exemples, sinon l’exemple le plus significatif qui montre, le vrai visage, la putréfaction de ce « monde arabe ». Les occidentaux soutiendront encore et toujours Israël tant qu’il est utile aux dictatures arabes qui s’en servent pour détourner l’attention de leur peuple dans le sens qu’ils le souhaitent, tant que le tourment des palestiniens leur reste imputable à cause de leur division et ce, quelle que soit la justesse de leur cause et quelle que soit aussi la barbarie des israéliens. Les 3 morts israéliens comptent plus que la centaine de morts et le millier de blessés palestiniens. Pendant que l’on assassine des enfants, que l’on tue des femmes, la presse française titre « Israël tire sur des bureaux du Hamas ». Quelle déchéance ! À chaque fois qu’il y a poussé de violence par Israël cela se termine par 1, 2, 3 morts israéliens contre des centaines de morts palestiniens et c’est toujours ces derniers qui sont fautifs avec cet occident dépravé ! De quel côté et la terreur et le terroriste ? Ils n’oseront pas dire la vérité de crainte des lobbies sionistes.

Sitôt que les israéliens se trouvent en difficultés ou embourbés par leurs provocations, ils demandent vite à leurs protégés occidentaux, en particulier les États-Unis, le Royaume uni, la France, l’Allemagne, de les sortir. Mais les choses ont évolué en pire puisque ce sont maintenant les Arabes — par lâcheté, déshonneur, indignité et absence de solidarité — qui sont chargés maintenant de mettre fin aux risques d’enlisement des sionistes d’Israël. Surtout après qu’ils ont eu la surprise d’une riposte par missiles sur leurs colonies, jusqu’à Tel-Aviv, créant la panique générale ! Une équation nouvelle s’impose donc.

Des informations, rapportées par Al Manar font état que c’est Israël qui aurait demandé au félon Qatari de charger le frère musulman Morsi de faire pression sur son équivalent le Hamas pour une trêve. Mais lors de la visite du ministre Qandil les différents groupes de la résistance palestinienne auraient refusé. Ceci montre que le Hamas n’est pas le seul sur la scène. En assassinant un leader militaire d’importance (Al Djaabari) qui fera escalader les choses vers un conflit armé — dont ils ont programmé qu’il aboutirait à l’anéantissement, à jamais, de la cause palestinienne — les stratèges sionistes en ont eu pour leurs frais ! C’est les habitants israéliens aussi, dont Netanyahou lui-même, qui passent la nuit dans les abris ; c’est les bâtiments officiels qui sont touchés par les missiles, c’est un F16 qui se fait abattre et les pilotes disparus, par une résistance pourtant sous embargo, même alimentaire, depuis une décennie.

Ce seraient donc nos bienfaisants pourvoyeurs de fonds et de logistiques, pour les rebelles qui détruisent la Syrie, qui se seraient précipités au Caire pour faire pression sur Hamas afin d’arrêter les tirs de missiles, et ce, selon certains analystes, pour éviter des déclarations qui offusqueraient leur maître d’une part et pour donner à leur ami israélien une carte favorable à sa campagne électorale d’autre part notamment l’acceptation par le Hamas d’une trêve « sans conditions » qui « craindrait une opération terrestre après l’anéantissement de ses bases de lancement de missiles ».

Si une dizaine de simples missiles « fadjr 5 » ont créé l’affolement en Israël, que dire si des centaines de ces redoutables missiles iraniens, de haute technologie, s’abattent sur les Israéliens ?

Incontestablement, le « Dôme de fer » n’est plus désormais qu’une imposture, qu’un « couscoussier » et l’entité sioniste sera dorénavant à la portée de tous les missiles de la résistance ; un colosse aux pieds d’argile. Et dire que ces bandits sionistes veulent attaquer ce pays qui peut en faire une bouchée y compris les roitelets du golfe !

Même si la réaction limitée de la résistance palestinienne ne peut ébranler un régime fasciste surarmé que soutient tout l’occident, il demeure que les sionistes ont été surpris par la réaction farouche qui a mis à néant la fable de leur invincibilité. D’où cette diversion par la « fausse victoire du Hamas ». Passons !

En fait, ce qui a été obtenu de l’accord du Caire est d’abord un droit basique inaliénable qui ne devrait pas constituer un élément de négociation. Où est donc cette victoire quand vous obtenez le droit de manger, de boire, etc. après vous en avoir privé par un embargo illégal et inhumain ? C’est une des tactiques ignobles des sionistes qui n’ont d’humain que l’apparence. Ils trompent le monde en montrant qu’ils sont vertueux alors qu’ils ne font que restituer, par la pression, un droit. Comme si on vous autorisait à mettre un pantalon après vous avoir mis nu ! Un commentateur éclairé compare cet « accord » du Caire à cette histoire de Jeha (personnage légendaire de contes et anecdotes populaires au Maghreb) : à chaque assemblée des gens d’un douar, un villageois ne cesse de perturber les débats avec ses sempiternelles lamentations sur ses conditions de vie en particulier l’exiguïté de son gourbi. Il avait âne, un bouc, 2 chèvres et 2 moutons. Jeha connu pour sa sagesse et ses capacités à résoudre les problèmes intervient en lui promettant de résoudre son problème en 5 jours à condition qu’il respecte à la lettre ses recommandations. La 1re du 1er jour est qu’il doit mettre, dans son gourbi, tous ses animaux. Le paysan s’exécuta. Le lendemain il s’en plaint pour avoir vécu un « enfer » surtout à cause de l’âne. Jeha l’autorise au 2e jour de sortir l’âne. Le lendemain il s’en plaint de l’odeur du bouc, mais il est « mieux qu’hier ». Jeha le débarrasse du Bouc. Le 3e jour il déclare « commencer à respirer » et ce jusqu’à le débarrasser de tous les animaux. Au dernier jour le paysan annonce, avec soulagement, avoir « passé la nuit la plus paisible de ma vie » ! Conclusion du commentateur : « croire qu’une réunion de 2 jours entre les représentants des spoliateurs sionistes et des hypocrites puissent apporter un rayon de lumière aux Palestiniens est une vue de l’esprit ».

Au-delà du gain politique et stratégique, les palestiniens savent mieux que quiconque qu’ils n’ont encore rien obtenu de leurs droits fondamentaux légitimes qui leur terre, leur droit au retour. Le combat demeure entier face à la réalité et les leçons à tirer après chaque action et épreuve.

La réalité et que les Palestiniens pouvaient régler leur problème avec Israël si leurs congénères arabes, du golfe en particulier, avaient cette volonté. La même volonté et promptitude qui a permis, par leur « Ligue », de se réunir plusieurs fois en quelques mois, dont 2 fois en 24 heures, pour décider d’une série de sanctions contre la Syrie pour faire tomber son régime qui se trouve être le nœud gordien politique des sionistes sur la Palestine avec l’Iran et le Hezbollah. Contre Israël, il suffit de se réunir une seule fois prendre des mesures radicales, comme menacer l’occident par l’arme du pétrole (proposition de l’Irak), pour voir, par enchantement, le problème réglé définitivement ! Ce n’est pas dans leurs intérêts… « stratégiques ».

Serait bien naïf celui qui attend des organisations dites « arabes » ou « islamiques » une quelconque prise de position contre Israël et ceux qui les soutiennent tant que des États perfides œuvrent pour leurs intérêts personnels ; qui pour accaparer le pouvoir (les frères musulmans), qui pour perpétuer leur dynastie (les ploutocraties du golfe) qui, tel un Cheval de Troie, rêve en « Otanien », de devenir le nouvel Ottoman des Arabes !

Tous sont d’accord avec ce projet « Nouveau Moyen-Orient » américano-sioniste qui devait ôter toute puissance aux Arabes en les pulvérisant en petits États sur des bases religieuses, sectaires et ethniques pour en faire des peuplades amorphes et obéissantes. La Palestine étant la question nodale qui unie, il fallait donc anéantir toute forme de résistance à son sujet.

Il faut comprendre la visite, autorisée par Israël, du cheikh qatari plus comme une tentative alléchante de corrompre la résistance armée, en espèce et en nature, pour l’emmener à abandonner le combat de leurs ascendants qu’un acte de bienfaisance visant à soutenir une cause et à rebâtir une ville martyre. N’est-il pas bizarre que ce soit au lendemain de cette visite qu’Israël assassine un important responsable de la résistance, « récalcitrant » ?

La leçon est que rien ne vaut la lutte armée contre un colonisateur en comptant sur ses propres forces, unies, avec les aides d’amis sûrs. C’est pénible, coûteux, long, mais l’issue est certaine. Les exemples dans le monde ne manquent pas. Il reste, cependant, ces deux pétromonarchies perfides qui constituent l’obstacle majeur des arabo-musulmans qu’il faudra, par tous les moyens réduire, car ne cessant pas d’affaiblir la large coalition anti-sioniste en la simplifiant à une coalition « sunnite » inopérante pour enterrer, définitivement, la lutte d’un peuple pour un État viable.

Des palestiniens, victimes permanentes des exactions d’un « Israël » — englué dans les contradictions d’une idéologie colonialiste et fasciste — avec la bénédiction de l’Occident et de certains états arabes sans que l’on reconnaisse leur droit à se défendre, les voilà défier par eux-mêmes et par les armes leur bourreau en mettant à nu, irrémédiablement, sa vulnérabilité. Pour le faire, ils n’avaient pas eu besoin de l’aval de la « Ligue arabe » ou de son soutien. Ils avaient compté sur leurs propres forces soutenues par leurs amis… non arabes. Il ne reste donc aux Arabes, encore fidèles, aux musulmans sensés et aux pays épris de paix et de liberté qu’à accabler ces scélérats pour les neutraliser, à jamais, avec leur funeste idéologie.

Il faut croire que le sionisme est arrivé au point nodal de son évolution historique dont il est impératif d’exploiter la situation pour en faire un moment de rupture. Le monde est assez convaincu qu’il est face à un gouvernement israélien hypocrite, paranoïaque et usurpateur que pilotent des bandits sans origines et sans vertus, sous tutelle de lobbies influents dotés de moyens redoutables et immoraux.

L’offensive doit être engagée, à notre avis, sur trois directions : économique, politique, médiatique.

• Lier les intérêts économiques des Américano-sionistes et de certains pays européens au règlement définitif et juste du problème palestinien. Lier toute adversité par des conséquences économiques. L’arme la plus décisive est celle du pétrole/gaz qui a donné ses preuves par le passé.

• L’action politique doit passer par la refondation des institutions arabes, les regroupements régionaux d’intérêts communs en intégrant sans attendre l’Iran, l’offensive diplomatique doit viser la réorganisation des instances et organisations internationales qui se caractérisent par leur partialité tout en améliorer les politiques intérieures afin d’enlever tout prétexte sur la question des droits de l’homme.

• L’action médiatique et fondamentale pour contrer leur propagande. Elle doit se faire en anglais, espagnol, français et viser à démystifier le sionisme en dévoilant son vrai visage, c’est-à — dire une idéologie coloniale inhumaine qui ne survie que par l’agression et le mensonge. Elle doit toucher les opinions occidentales qui influent sur les décisions politiques.

Toute chose a ses limites. Les limites de l’adversité et du chantage des États sont leurs intérêts qui peuvent être compromis par les excès de celui qu’ils sont censés protéger.

La Palestine vient d’être admise à l’ONU, comme État observateur non membre, avec 138 voix pour, 9 voix contre et 41 abstentions (dont 4 pays africains). Une autre victoire d’importance. Un cauchemar pour les sionistes d’Israël et d’Amérique. Quelques jours avant, il était inimaginable que des missiles palestiniens s’abattent aux portes de Tel-Aviv, montrant que désormais aucune ville ne sera à l’abri en cas d’agression. La Syrie, le Hezbollah et l’Iran (ainsi que d’autres) restent, en le réaffirmant à toutes les occasions, leurs soutiens puissants et inconditionnels. Les États du golfe, surtout les pétromonarchies saoudiennes et du Qatar restent les seuls États à l’origine du malheur arabe, par leur félonie, qui empêche toute évolution et émancipation. Les délégués du Qatar et de l’Arabie Saoudite qui ont montré leur « indignation » devant les crimes de l’armée israélienne lors de la dernière réunion des ministres des Affaires étrangères de la « Ligue arabe » est de la pure comédie. C’est lors de la réunion du 13 novembre 2012 au Caire que le Ministre des AE Tunisien, et non moins gendre de Ghannouchi, réplique à son homologue algérien ainsi — alors qu’il s’adressait au Ministre Qatari auquel il demandait des « solutions concrètes dans le soutien à Gaza » — comme un ignorant et un « brosseur » : « En cinquante ans, qu’a-t-elle donc fait l’Algérie pour la cause palestinienne ? ». Mal lui en a pris, il a reçu la foudroyante réponse suivante : « À ceux qui s’interrogent où était l’Algérie, je répondrai que nous n’avions pas à renvoyer un ambassadeur sioniste qui ne rêve même pas de mettre les pieds chez nous. Devons-nous par exemple cesser d’exporter notre gaz à l’État sioniste ? Devons-nous expulser les bases américaines et celles de l’OTAN de nos territoires dont nous avons juré qu’ils n’y mettront jamais les pieds ? Dites-nous ce que nous devons faire, partir au djihad contre Israël ? C’est ce qu’il y a de plus facile pour un algérien libre, mais garantissez nous votre non-trahison, assurez nous que vous ne nous poignarderiez pas dans le dos comme à chaque fois… garantissez nous l’ouverture de vos frontières et nous… Nous avons été éduqués dans la haine du sionisme et vous avez été éduqué dans la trahison ».

La levée complète du blocus sur Gaza est une exigence non négociable et indiscutable ! qu’est-ce que c’est ce monde qui ferme les yeux sur une immoralité et une illégalité imposée par un ramassis des voyous, colonialistes, sans origines et mercenaires, sur un peuple chez lui, qui ne fait que défendre sa terre et sa dignité ? Sinon, il faut dissoudre toutes ces institutions dites « internationales » en se retirant au plus vite, car complice d’une idéologie qui sème le désordre et la désolation là où elle s’y introduit !

Il appartient, impérativement, au Monde de l’équité et de la liberté de riposter pour extirper, sans appréhensions, cet « abcès purulent », de la planète, que condamnent la raison et l’histoire. Ils l’avaient fait pour les systèmes et idéologies qui visent la domination et l’avilissement de l’homme, pourquoi pas pour le sionisme qu’il faut en urgence mettre au rebut de l’Histoire !

Djerrad Amar




Évolution sanitaire des pays les plus vaccinés au 14 novembre 21 — Faits avérés d’après les chiffres OMS

Par Gérard Delépine

Depuis plus de 18 mois, nos gouvernants et les médias complices nous rabâchent :

« le retour à la vie normale sera possible grâce au vaccin »,
« vous retrouverez vos libertés quand vous serez vaccinés »
« les non-vaccinés sont responsables de la poursuite de l’épidémie ».

Mais aucune étude dans le monde réel n’a apporté le moindre début de preuve à l’appui de cette propagande marchande pro injection anti-covid.

Et l’analyse des données officielles de l’OMS (consultable à OMS covid dashboard) est très inquiétante. Aucun des champions de la vaccination n’est parvenu à éliminer le virus, ni à éviter de fortes reprises de l’épidémie et très peu ont totalement libéré leur peuple vacciné des mesures liberticides prétendument sanitaires imposées sans preuve scientifique de leur efficacité.

La Grande-Bretagne est le champion de l’injection Astra Zeneca

Mais son haut niveau de « vaccination » ne l’a pas protégée d’une forte reprise de l’épidémie qui persiste depuis quatre mois, avec une moyenne de 40000 cas quotidiens.

Le 10 août 21, témoignant devant les députés anglais, le professeur Sir Andrew Pollard chef de l’Oxford Vaccine Group a déclaré « le fait que les vaccins n’arrêtent pas la propagation de Covid signifiait que l’atteinte du seuil d’immunité globale dans la population était “mythique”. », ajoutant « avec la variante Delta actuelle, ce n’est pas possible »

Israël est le champion de l’injection Pfizer

Au printemps 2021, avant l’émergence du variant Delta, Israël avait été le premier pays au monde à croire avoir atteint l’immunité collective grâce à l’injection Pfizer.

Mais son très haut taux d’injection ne lui a pas permis d’éviter une nouvelle vague avec l’établissement d’un nouveau record absolu de contaminations quotidiennes (11000/J soit l’équivalent pour la France de 70000 cas/J). Et la mortalité quotidienne a suivi malgré les troisièmes injections. Cette résurgence de la maladie a fait reconnaître au ministre de la Santé que le taux d’efficacité de l’injection ne dépassait pas 39 % et qu’elle ne durait que quelques mois.

S’adressant à Channel 13 TV News le 5 août 2021, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a précisé que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées » et « 95 % des patients sévères sont vaccinés. » détruisant ainsi la propagande vaccinale prétendant que le vaccin protégerait des formes graves.

Les Pays-Bas ont plus de 75 % de leur population vaccinée,

mais ce grand succès de vente de pseudo vaccin est actuellement marqué par un record absolu des contaminations quotidiennes (12000/J soit l’équivalent français de 50000 cas/J) qui fait envisager de nouvelles mesures restrictives.

Là aussi la vaccination s’est révélée incapable de protéger la population.

Le 13 novembre le docteur Kuipers, spécialiste des soins intensifs a déclaré(([1] https://www.curacaochronicle.com/post/main/nl-forget-it-acute-care-expert-says-about-covid-herd-immunity/))

« La suggestion a été faite de l’immunité collective. Oubliez ça ! ».
« Nous travaillons maintenant avec plusieurs scénarios. L’un est le suivant : il y aura toujours un grand nombre de patients corona. Avec un nombre substantiel de patients, nous devons vraiment organiser les soins différemment à long terme. Augmenter la capacité hospitalière pour accueillir tous les patients atteints de Covid-19 et de soins réguliers ».

Singapour est le champion asiatique de la pseudo vaccination anti-Covid avec environ 90 % de la population injectée

Mais ce succès du nombre des injections ne l’a pas empêché de subir un véritable tsunami de contaminations avec un nombre 4 fois supérieur au pic d’avant injection.

Le jeudi 19 août 2021, lors d’un multi- conférence du groupe de travail du ministère, le ministre des Finances Lawrence Wong a averti :

« Singapour n’atteindra pas l’immunité collective pendant la pandémie malgré son taux élevé de vaccination contre le COVID-19(([2] : Lawrence Wong Singapour n’atteindra pas l’immunité collective contre le COVID
https://www.bworldonline.com/95-herd-immunity-vs-delta-is-a-myth-says-infectious-disease-expert/))»
« Le chemin pour devenir une nation résiliente au COVID sera une tâche longue et difficile. Même avec des taux de vaccination très élevés, nous n’allons pas atteindre l’immunité collective ».

Le 8 septembre 21, Tikki E. Pangestu, expert en maladies infectieuses et professeur invité à la NUS Yong Loo Lin School of Médecine à Singapour a déclaré :

« Atteindre 95 % d’immunité collective contre le Delta est un mythe. La variante Delta étant désormais dominante dans la plupart des pays, la cible devrait plutôt être l’immunité aux maladies ou la prévention des maladies graves et des décès dus au virus ».

La Corée du Sud dépasse un taux de vaccination de 80 %

En juin les médias coréens se réjouissaient que l’immunité de groupe était à portée de main.(([3] La Corée du Sud est en passe de créer une immunité collective après avoir vacciné 20 millions de personnes
https://en.yna.co.kr/view/AEN20210803004500320))(([4] https://koreajoongangdaily.joins.com/2020/07/09/national/socialAffairs/herd-immunity-covid-antibody/20200709190007649.html))

Ils prétendaient même « qu’elle serait atteinte dès novembre(([5] https://www.nationthailand.com/international/40004280))». Le porte-parole du ministère de la Santé, Son Young-rae, prévenait que :

« même après que l’immunité collective sera atteinte en novembre, les masques faciaux et d’autres mesures de sécurité resteront nécessaires ».

Mais, depuis octobre leur mirage s’évanouit, l’épidémie explose et la mortalité également :

En octobre, le nombre quotidien de contaminations s’est élevé à 2,5 fois celui du pic de l’épidémie avant la vaccination (2600 vs 1000) et la mortalité a suivi.

démontrant que les vaccins ne résolvent pas le problème Covid ni celui des restrictions sanitaires.

L’Allemagne a injecté 70 % de sa population

Mais ce succès des ventes de pseudo vaccins n’a pas évité une forte reprise de l’épidémie en juillet avec croissance exponentielle depuis septembre avec un nombre de contaminations quotidiennes (36000) dépassant largement les records d’avant « vaccination ».

Les habitants du quartier gouvernemental de Berlin font un adieu lent et silencieux, sans déclaration, sans communiqué de presse, l’adieu à une illusion, à l’objectif que les politiques poursuivent depuis le début de l’année : l’immunité collective.

« Je peux malheureusement difficilement imaginer à ce stade que nous atteindrons l’immunité collective », a déclaré K. Lauterbach(([6] Milena Hassenkamp, Christoph Hickmann, Armin Himmelrath, Martin Knobbe, Timo Lehmann, Martin U. Müller, Miriam Olbrisch, Gabriel Rinaldi et Christoph Schult L’immunité collective est impossible. Maintenant quoi ? Der Spiegel 21/7/2021
https://www.spiegel.de/international/germany/herd-immunity-is-impossible-now-what-a-35335ea0-5ab2-4e3d-95e5-f2672b817056-amp)) expert en santé des sociaux-démocrates de centre gauche (SPD).

L’euphorie vaccinale a apparemment cédé la place à la lassitude vaccinale, et une partie de la population ne veut toujours pas se faire vacciner, sachant que la protection vaccinale est beaucoup plus faible et plus courte qu’annoncée et les accidents post vaccinaux plus nombreux. Le pays apprend progressivement à vivre avec la pandémie, mais il peine, en partie parce que toutes les conséquences ne sont pas avouées et restent imprévisibles.

La population danoise est vaccinée à plus de 75 %,

mais ce haut taux de « vaccination » a été incapable de lui éviter une reprise brutale de l’épidémie et une menace de nouveau confinement.

L’agence danoise des maladies infectieuses SSI a déclaré qu’elle ne pensait plus qu’il serait possible d’obtenir une immunité collective dans le pays grâce à la vaccination,(([7] Ritzau/Le local news@thelocal.dk @thelocaldenmark 6 août 2021
https://www.thelocal.dk/20210806/explained-why-has-denmark-given-up-on-achieving-herd-immunity-via-vaccines/)) ce qui signifie que sars CoV 2 pourrait continuer à circuler pendant des années.

« Si les vaccins étaient efficaces à 100 % contre les variantes actuellement en jeu et si nous avions une couverture vaccinale à 100 % chez les personnes de 12 ans et plus, alors nous pourrions parler de l’obtention d’une véritable immunité collective contre la variante delta », a déclaré Krause. « Mais malheureusement ce n’est pas la réalité, nous ne pouvons pas y parvenir. »

« Cela signifie qu’il est désormais logique de traiter Covid-19 de la même manière que nous traitons la grippe saisonnière, et de ne pas répondre aux vagues d’infection avec des restrictions strictes ». « Cela rappellera plus la grippe qu’avant », a-t-elle ajouté.

L’Islande est le pays européen le plus vacciné

Malheureusement, cette couverture vaccinale ne lui a pas évité une récidive majeure de l’épidémie.

En juin 2021 Þórólfur Guðnason l’épidémiologiste en chef de l’Islande déclarait que l’immunité vaccinale progressait bien.(([8] https://grapevine.is/news/2021/06/11/icelands-herd-immunity-is-progressing-well/))

Mais depuis la nouvelle vague, il a dû déchanter et reconnaître dans une interview à la radio publique que :

« la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts espéraient et qu’en réalité l’immunité collective ne pouvait pas être obtenue par la vaccination. »(([9] https://www.organiclifestylemagazine.com/iceland-says-herd-immunity-must-be-reached-through-transmission))

Faute de mieux, il tente une dernière fois de l’atteindre en incitant à un rappel (3e dose).(([10] https://icelandmonitor.mbl.is/news/news/2021/11/08/hopes_booster_shot_will_create_herd_immunity/))

L’Irlande est également très vaccinée (plus de 75 % de la population totalement vaccinée)

En juin le Dr Vellinga déclarait(([11] https://www.rte.ie/news/primetime/2021/0608/1226962-covid-19-ireland-herd-immunity/)):

« avec les vaccins, si nous continuons comme nous le faisons, d’ici la fin de l’année, nous devrions avoir une situation assez normale ».

Mais une rechute majeure des contaminations est survenue début juillet 2021 qui s’amplifie encore depuis un mois.

La ville de Waterford a l’un des taux de vaccination les plus élevés d’Irlande contre Covid-19, avec 99,7 % des adultes de plus de 18 ans entièrement vaccinés, mais est devenue l’endroit avec le taux d’infection Covid-19 le plus élevé du pays.

Le taux d’incidence sur 14 jours atteint 1 486 cas pour 100 000 habitants, soit trois fois la moyenne nationale qui s’élève à 493 infections pour 100 000 habitants. La zone électorale adjacente de Tramore-Waterford City West a un taux sur 14 jours de 1 121 pour 100 000, selon les derniers chiffres hebdomadaires publiés par le Health Service Executive’s Health Protection Surveillance Centre.

Que penser de « l’immunité de troupeau » érigée en Graal par nos dirigeants ?

Thierry Breton, le commissaire européen en charge des vaccins, avait jugé possible une immunité collective le 14 juillet 2021 dans l’Union européenne. Devant le sénat, il exposait ainsi le principe du certificat vaccinal :

« Rien ne sera obligatoire ! ».
« On n’utilisera jamais le mot passeport. Ça donne le sentiment d’être obligatoire. Il ne le sera pas. Ce sera volontaire ».

Comment pourrait-on encore le croire ?

L’OMS avait d’emblée prévenu :

« jamais, dans l’histoire de la santé publique, l’immunité collective n’a été utilisée comme stratégie pour répondre à une épidémie ».(([12] Allocution liminaire du Directeur général de l’OMS lors du point de ‎presse sur la COVID-19 — 12 octobre 2020‎
https://www.who.int/fr/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—12-october-2020))

Le 12/11/2021 le Dr Jefferson Jones, médecin du groupe de travail sur l’épidémiologie COVID-19 du CDC concluait lors de la réunion :

« penser que nous serons en mesure d’atteindre une sorte de seuil où il n’y aura plus de transmission d’infections peut ne pas être possible. » 

Depuis lors, le CDC détourne son attention d’un objectif de vaccination spécifique qui, une fois atteint, présagerait la fin de la pandémie. 

L’immunité de groupe ne pourrait être espérée par le vaccin que si celui-ci protégeait totalement les individus vaccinés suffisamment longtemps et les empêchait de transmettre la maladie. C’est le cas des vaccins contre la variole ou contre la fièvre jaune.

Or les faits avérés montrent qu’aucune de ces deux conditions n’est remplie par les pseudo vaccins anti-Covid. Les vaccinés ne sont protégés qu’à 40 % et guère plus de quelques mois, en cas d’infection leur charge virale est égale à celle des non-vaccinés infectés et ils peuvent transmettre parfaitement la maladie. Cela explique que l’immunité collective est irréalisable par la pseudo vaccination actuelle.

Conclusions

Ce panorama de l’évolution de l’épidémie dans ces pays champions de la vaccination, telle qu’elle est décrite par les données de l’OMS et les courbes de l’Université John Hopkins démontre :

  • Que les pseudo vaccins Covid ne protègent pas les populations des récidives de l’épidémie
  • Que les agences sanitaires abandonnent l’espoir d’une immunité collective par la vaccination maintenant qualifiée de mythe par la quasi-totalité des agences qui y croyaient
  • Que cet échec est la conséquence de l’efficacité insuffisante et de la durée beaucoup trop courte(([13] 4 à 6 mois alors que L’immunité naturelle dure beaucoup plus longtemps)) des pseudo vaccins actuels qui n’empêchent ni d’être malade ni de transmettre la maladie
  • Que beaucoup d’experts pensent qu’il est temps d’apprendre à vivre avec le covid comme avec la grippe saisonnière.

Il est grand temps que notre ministre de la Santé considère
les faits avérés et les conclusions des agences étrangères
et cesse la quête infructueuse d’un Graal vaccinal illusoire et dangereux.

L’échec maintenant patent des pseudo vaccins est d’autant plus criant que les traitements précoces bon marché ont fait leurs preuves d’innocuité et d’efficacité en Inde comme en Afrique (Nigéria, Madagascar) lorsqu’on regarde leurs données publiées par l’OMS.

L’inde a privilégié les traitements précoces et préventifs par hydroxychloroquine et Ivermectine avec succès.

Le Nigéria a bénéficié des traitements quotidiens par les antipaludéens

Madagascar est le champion victorieux de l’Artémisine





Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation

[Source : reseauinternational.net]

Par Mike Whitney

« Je pense qu’il est très probable que la prochaine phase impliquera des décès à une échelle qui éclipsera les allégations de “décès par Covid-19” »

Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer


Question : Pourquoi la mortalité en Écosse est-elle plus élevée en 2021 qu’en 2020 ?

Réponse : Parce que plus de gens meurent. Et la raison pour laquelle plus de gens meurent est que plus de gens ont été vaccinés. En d’autres termes, il y a un lien entre la hausse de la mortalité et le vaccin contre le Covid-19.

Q : Vous ne pouvez pas le prouver.

R : Vous avez raison, je ne peux pas. Les preuves sont toutes circonstancielles. Mais elles sont tout de même convaincantes. Par exemple, l’augmentation de la mortalité ne se produit pas seulement en Écosse. Elle se produit dans de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination de masse plus tôt dans l’année. Ils constatent tous une hausse significative de la mortalité toutes causes confondues. Pourquoi cela ? Que font-ils différemment en 2021 de ce qu’ils faisaient les années précédentes ?

Q : Je vois où vous voulez en venir, mais je ne pense toujours pas que vous ayez suffisamment de preuves pour étayer vos arguments.

R : Ok, alors dites-moi : Pourquoi y a-t-il plus de gens qui meurent en 2021 qu’en 2020 ? Et n’oubliez pas que la mortalité toutes causes confondues n’est pas seulement en légère hausse, mais qu’elle dépasse largement la moyenne des cinq dernières années. Regardez ce récent article d’Alex Berenson sur Substack :

« L’Écosse compte 87% d’adultes vaccinés ; le nombre de décès hebdomadaires est désormais supérieur de 30% à la normale.

14 octobre : Ceci est extrait du tableau de bord quotidien Covid-19 de Public Health Scotland :

“Les 315 décès excédentaires enregistrés la semaine dernière représentent une augmentation de 30% par rapport à la moyenne pré-pandémique sur cinq ans pour cette période de l’année. C’est la 20ème semaine consécutive où le nombre de décès excédentaires est supérieur à la moyenne quinquennale et la plus élevée depuis la semaine se terminant le 10 janvier 2021”.

Même en excluant les décès dus au Covid, ils étaient près de 20% au-dessus de la normale pour la semaine la plus récente, et la tendance est à la hausse »1.

Q : Mais comment pouvez-vous construire un dossier sur les données d’un seul pays ? C’est ridicule.

R : Mais il ne s’agit pas seulement de l’Écosse. La même règle s’applique à de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination plus tôt dans l’année. Voici plus d’informations de Berenson :

« Ajoutez l’Allemagne – la nation la plus peuplée d’Europe – aux pays qui connaissent une mortalité anormalement élevée, toutes causes confondues, qui n’est PAS liée au Covid.

En septembre, l’Allemagne a signalé près de 78 000 décès, soit plus de 10% de plus que le chiffre attendu, ont déclaré les démographes du gouvernement allemand en début de semaine.

Presse : “Chiffres de mortalité (en Allemagne) en septembre 2021 : 10% au-dessus de la moyenne des années précédentes” »2.

Et puis il y a ceci, tiré du compte Twitter de Data Analyst (regardez les graphiques) :

Data Analysis @Data_is_Louder

26 octobre – Mystère COVID, Le Danemark, la Finlande et la Norvège enregistrent une surmortalité plus importante que lors de leur pic épidémique du Covid. Ces mystérieux excès de décès se sont produits en même temps que le déploiement de la vaccination.

Danemark – « 5 mois d’affilée, 2021 a battu le record de 10 ans de décès de personnes, toutes causes confondues… décès covid proches de zéro au cours de la même période ».

Il en va de même en Irlande, au Royaume-Uni et en Israël. Jetez un coup d’œil à l’Angleterre (de 10 à 59 ans).

« Ce qui est si inquiétant dans ce graphique, c’est qu’il montre comment les vaccins ciblent les jeunes. “Alors que le bilan des décès dus au COVID a été largement confiné aux personnes âgées… ce sont les jeunes qui supportent le poids des blessures dues aux vaccins. Selon VigiAccess, la base de données des événements indésirables de l’Organisation mondiale de la Santé, 41% des plus de 2,4 millions de lésions vaccinales signalées à ce jour concernent les moins de 44 ans, et seulement 6% les plus de 75 ans” »3.

C’est quelque chose que vous ne lirez pas dans les médias, et pour une bonne raison. Parce que cela saperait leur objectif mortel de continuer à vanter les mérites du vaccin.

Joel Smalley, analyste quantitatif, nous en dit plus :

« Mise à jour hebdomadaire des décès par les CDC. “Malgré” une vaccination complète à plus de 80%, depuis le 24 juillet, les décès de personnes âgées de plus de 65 ans en Floride ont augmenté de 14% par rapport à la même période l’année dernière. “Malgré” une vaccination complète à au moins 50% chez les moins de 65 ans, les décès sont en hausse de 46% et continueront d’augmenter au fur et à mesure du rattrapage des déclarations ».

Les exemples sont partout sur Internet. Il n’est pas nécessaire de chercher bien loin. Partout où des vaccinations de masse ont eu lieu, là aussi, la mortalité a augmenté. Et, une fois de plus, il ne s’agit pas de décès dus au Covid. Il s’agit principalement de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de caillots sanguins, de maladies circulatoires et de problèmes neurologiques ; les mêmes affections induites par les vaccins contre lesquelles les médecins et les scientifiques qui nous disent la vérité depuis le début nous ont mis en garde. Il s’avère qu’ils avaient raison après tout.

En clair, les vaccins augmentent le nombre de décès, au lieu de le réduire. Ils aggravent les choses au lieu de les améliorer. Ils perpétuent la crise au lieu d’y mettre fin. Et c’est pourquoi la ligne rouge du graphique est orientée vers le haut. Elle indique que le nombre de décès continuera à augmenter tant que nous continuerons à faire ce que nous faisons actuellement, en inoculant à des millions de personnes un agent pathogène cytotoxique qui déclenche la formation de caillots sanguins, l’inflammation et l’auto-immunité. Voici un autre graphique de l’Écosse avec un bref commentaire du Daily Skeptic :

« … la présence d’une épidémie de Covid n’a pas été constatée à l’été 2020, mais l’est à l’été 2021. Qu’est-ce qui diffère entre ces deux années ? La réponse la plus évidente est le déploiement de la vaccination contre le COVID-19. Il n’y avait pas de programme de vaccination COVID-19 en 2020, mais il y a eu un déploiement des vaccinations contre le Covid de manière séquentielle à des groupes d’âge de plus en plus jeunes en 2021, un modèle que nous voyons dans la manifestation de la surmortalité. … Le système de notification des événements indésirables Yellow Card, […] a déjà enregistré plus de 1700 décès dans la population britannique associés aux vaccins anti-covid. Il y a donc de bonnes raisons de penser que la vaccination contre le COVID-19 est un facteur contribuant à l’augmentation spectaculaire de la surmortalité estivale en Écosse en 2021 »4.

Avez-vous remarqué comment les médias tentent de dissimuler la soudaine augmentation de la mortalité ? Voici un bon exemple tiré d’un article du UK Telegraph :

« Alors que l’attention reste fixée sur le Covid-19, une deuxième crise sanitaire émerge discrètement en Grande-Bretagne. Depuis le début du mois de juillet, il y a eu des milliers de décès supplémentaires qui n’ont pas été causés par le coronavirus. Selon les experts de la santé, cette situation est tout à fait inhabituelle pour l’été. Bien que l’on s’attende à une surmortalité pendant les mois d’hiver, lorsque le froid et les infections saisonnières se combinent pour mettre la pression sur le NHS, l’été connaît généralement une accalmie.

Cette année est une exception inquiétante.

Selon l’Office for National Statistics (ONS), depuis le 2 juillet, il y a eu 9619 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles, dont 48% (4635) n’ont pas été causés par le Covid-19.

Donc, si toutes ces personnes supplémentaires ne meurent pas du coronavirus, qu’est-ce qui les tue ?

Les données de Public Health England (PHE) montrent qu’au cours de cette période, 2103 décès supplémentaires ont été enregistrés pour des cardiopathies ischémiques, 1552 pour des insuffisances cardiaques, ainsi que 760 décès supplémentaires pour des maladies cérébrovasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux et les anévrismes, et 3915 pour d’autres maladies circulatoires »5.

Donc, selon l’article, il y a eu :

  • 24% de décès par insuffisance cardiaque de plus que la base de référence
  • 19% de cardiopathies ischémiques
  • 16% de maladies cérébrovasculaires (accidents vasculaires cérébraux)
  • 18% d’autres maladies circulatoires

Toutes ces affections cérébro-vasculaires, cardiaques et circulatoires ne sont pas tombées du ciel en 2021. Ce sont des lésions générées par les vaccins. Vous ne voyez pas ?

Et elles sont toutes liées à la protéine spike qui est le « mécanisme d’action biologique » qui « endommage les vaisseaux sanguins, les organes, et provoque des caillots sanguins, et qui peut tuer un être humain ? ». (Citation : Dr Peter McCullough)

Vous êtes-vous demandé pourquoi plus de personnes sont mortes cette année du Covid que durant toute l’année 2020 ? Selon Johns Hopkins, le Covid a tué 353 000 personnes aux États-Unis en 2020. Mais en seulement 10 mois en 2021, 390 000 personnes sont mortes. Comment cela est-il possible ? Après tout :

  1. Beaucoup de personnes extrêmement vulnérables sont déjà mortes.
  2. Selon les experts, la variant Delta n’est pas aussi mortel que l’infection originale de Wuhan.
  3. 100 millions de personnes (selon le CDC) ont déjà survécu au Covid et possèdent désormais une immunité naturelle.
  4. Et 190 millions de personnes ont été doublement vaccinées.

Ce sont quatre raisons pour lesquelles les décès devraient diminuer. Mais ils ne diminuent pas, ils augmentent.

Pourquoi ?

Le vaccin, voilà pourquoi.

Et pourquoi les pays ayant les taux de mortalité les plus élevés pour le Covid-19 sont aussi les pays les plus vaccinés ?

C’est parce qu’« il y a une corrélation positive importante entre le pourcentage de vaccination et les décès ».

Mais ne me croyez pas sur parole. Vérifiez par vous-même. Faites vos propres recherches.

Tout récemment, le professeur Norman Fenton de l’Université Queen Mary de Londres a passé au crible les statistiques du gouvernement (ONS) pour voir s’il pouvait « déterminer le risque-bénéfice global des vaccins contre le Covid-19 » en comparant « les taux de mortalité toutes causes confondues entre les vaccinés et les non-vaccinés dans chaque catégorie d’âge ».

Sa pensée sur la question était simple :

« Si le Covid est aussi dangereux qu’on le prétend – et si le vaccin est aussi efficace qu’on le prétend – nous devrions à ce jour avoir constaté beaucoup plus de décès liés au Covid chez les non-vaccinés que chez les vaccinés…(et) Si le vaccin est aussi sûr qu’on le prétend, alors il devrait y avoir un peu plus de décès de causes non liées au Covid chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (dans chaque groupe d’âge). Ainsi, le nombre de décès, toutes causes confondues, devrait être plus élevé chez les non-vaccinés que chez les vaccinés (dans chaque groupe d’âge), ce qui confirmerait que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques »6.

Simple, non ? En d’autres termes, si le vaccin est si génial, les données devraient le montrer clairement. Mais ce n’est pas ce que Fenton a trouvé. Ce qu’il a trouvé est le contraire. Il a constaté que la mortalité toutes causes confondues est plus élevée chez les personnes vaccinées que chez les personnes non vaccinées. (Fenton espérait que son analyse aurait un impact sur le débat concernant le programme de vaccination en cours, mais au lieu de cela, il a été vicieusement dénoncé comme un extrémiste de droite, ce qui est ce qui arrive à tous ceux qui osent remettre en question le récit officiel. Voici plus d’informations de NPR :

« Dans le service des urgences de l’hôpital Sparrow de Lansing, dans le Michigan, les membres du personnel s’efforcent de soigner des patients qui se présentent beaucoup plus malades qu’ils ne l’ont jamais été. Tiffani Dusang, directrice des soins infirmiers du service des urgences, vibre pratiquement d’anxiété refoulée en regardant tous les patients allongés sur une longue file de brancards poussés contre les murs beiges des couloirs de l’hôpital. “C’est dur à regarder”, dit-elle dans sa voix chaude de Texane.

Mais il n’y a rien qu’elle puisse faire. Les 72 chambres des urgences sont déjà remplies.

“Je me sens toujours très, très mal quand je marche dans le couloir et que je vois que les gens souffrent ou ont besoin de dormir ou de calme”.

Même dans les régions du pays où le COVID-19 ne submerge pas le système de santé, les patients se présentent aux urgences plus malades qu’avant la pandémie, leurs maladies étant plus avancées et nécessitant des soins plus complexes.

Les mois de retard dans les traitements ont exacerbé les maladies chroniques et aggravé les symptômes. Selon les médecins et les infirmières, la gravité des maladies est très variable et comprend, entre autres, des douleurs abdominales, des problèmes respiratoires, des caillots sanguins, des problèmes cardiaques et des tentatives de suicide »7.

Je répète : « douleurs abdominales, problèmes respiratoires, caillots sanguins, problèmes cardiaques ». En d’autres termes, l’engorgement des salles d’urgence pourrait aussi bien être lié à des blessures induites par le vaccin qu’à des « traitements retardés ». Et remarquez que l’auteur semble sincèrement préoccupé par la multiplication des salles d’urgence, mais ne mentionne jamais l’éléphant dans la pièce : le vaccin. S’agit-il d’une simple erreur de sa part ou avait-il vraiment l’intention d’embobiner ses lecteurs dès le départ ?

Ensuite, il y a cette perle du New York Post qui tente de préparer le public à l’assaut de troubles « thromboemboliques » auquel nous serons confrontés dans un avenir très proche. L’article est judicieusement intitulé « La crise cardiaque peu connue qui frappe les femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans ». Voici un extrait de l’article :

« Quand on pense à une crise cardiaque, on imagine immédiatement quelqu’un de plus âgé et qui pourrait déjà avoir des problèmes de santé sous-jacents. Mais les experts ont averti que des femmes de 22 ans seulement pouvaient être frappées par une maladie peu connue.

La dissection spontanée de l’artère coronaire (SCAD) se produit lorsqu’une déchirure se forme dans un vaisseau sanguin du cœur, rapporte le New York Post. Elle peut ralentir ou bloquer le flux sanguin vers le cœur, provoquant une crise cardiaque, des anomalies du rythme cardiaque ou une mort subite, selon les experts de la Mayo Clinic.

En général, il s’agit d’une affection peu fréquente, mais les médecins exhortent les femmes à demander un diagnostic et des soins lorsqu’elles présentent des symptômes. Cette affection est plus fréquente chez les femmes âgées de 30 à 60 ans, mais les experts ont signalé qu’elle touche des femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans »8.

C’est compris ? Donc, selon le Post, il est parfaitement normal qu’une jeune femme de 22 ans en bonne santé soit frappée par une crise cardiaque. Pensez-vous que l’auteur essaie peut-être d’adoucir les attitudes à l’égard des blessures causées par les vaccins avant qu’elles ne nous frappent comme une tonne de briques ? En effet, c’est le cas, tout comme l’article du Times of India sur la superstar des célébrités et fou de fitness, Puneeth Rajkumar, décédé il y a quelques jours d’un arrêt cardiaque. Il avait 46 ans. Selon le Times of India :

« La mort soudaine de Rajkumar a une fois de plus mis en évidence les dangers auxquels sont confrontés de nombreux trentenaires et quadragénaires aujourd’hui, à savoir le risque croissant de maladies cardiaques et d’arrêts cardiaques. […] (Rajkumar) a été victime d’un malaise cardiaque massif alors qu’il faisait de l’exercice dans un gymnase. Connu pour être ouvertement en forme et en bonne santé, Rajkumar avait l’habitude de s’entraîner souvent…

On observe une augmentation choquante du nombre d’arrêts cardiaques chez les jeunes, voire les jeunes de 20 ans. Alors que les maladies cardiaques et les arrêts cardiaques étaient généralement considérés comme des « problèmes de personnes âgées », ce n’est plus le cas et c’est désormais un signe d’alerte auquel les médecins invitent les gens à faire attention. […]

En raison de la pandémie, les médecins ont également souligné que la préoccupation pour les questions liées à la santé cardiaque a été repoussée, et il est maintenant plus probable qu’avant que les gens souffrent de crises cardiaques et d’arrêts cardiaques silencieux »9.

A-t-on l’impression que les médias ont accepté leur rôle de complice d’une extermination de masse ou est-ce une exagération ?

Quoi qu’il en soit, nous pouvons nous attendre à voir un déluge d’articles similaires surgir partout dans un avenir proche. Des articles comme celui-ci :

« L’activité physique peut augmenter le risque de crise cardiaque, selon une étude – Les nouvelles conclusions ne l’emportent pas sur les bienfaits de l’exercice, soulignent les chercheurs », The Irish Times.

Ou ceci :

« Les crises cardiaques chez les jeunes sont en augmentation », The Hindu

Ou encore ceci :

« Le nombre de crises cardiaques a augmenté en 2021, l’âge n’étant pas une barrière ; voici ce qui en est à l’origine », cnbctv18.

Vous voyez ce qui se passe ? Ces articles à l’emporte-pièce ont tous été concoctés dans le même but : faire croire au public que la vague extraordinaire de décès chez les jeunes en bonne santé est tout à fait normale. (« Rien à voir ici. Circulez ») Mais, bien sûr, rien de tout cela n’est normal. Tout est effroyablement bizarre et choquant, et c’est pourquoi nous nous concentrons tant sur les décès excessifs et la mortalité toutes causes confondues. Car nous pensons qu’ils fourniront les preuves dont nous avons besoin pour démontrer que le vaccin est un élément essentiel du programme de dépopulation de l’élite visant à réduire la population mondiale de milliards de personnes. Nous croyons toujours que c’est ce qui se passe réellement. Les grands argentiers ont décidé d’éradiquer quelques milliards d’entre nous, les cafards, pour avoir plus de place pour garer leurs Learjets. Il se trouve qu’ils ont opté pour le vaccin comme alternative « moins salissante » que de nous faucher dans les rues avec des mitrailleuses. Non pas qu’ils perdent le sommeil à cause de ça.

Alors, comment se passe le plan, vous demandez ? Regardez ça :

« Selon les statistiques de mortalité toutes causes confondues, le nombre d’Américains décédés entre janvier 2021 et août 2021 est supérieur de 18% au taux de mortalité moyen entre 2015 et 2019 ».

Et voici un extrait d’un article qui a extrait ses données d’une recherche plus diversifiée. Jetez-y un coup d’œil :

« La piqûre COVID est-elle responsable de la surmortalité ?…

Matthew Crawford, de la lettre d’information Rounding the Earth, a examiné les statistiques de mortalité avant et après le déploiement des piqûres de COVID… Crawford poursuit en examinant les données de pays où l’adoption du vaccin est importante tout en ayant simultanément des taux très faibles de COVID-19. De cette manière, il est possible de se faire une meilleure idée de la question de savoir si les injections anti-covid pourraient être responsables de la surmortalité, par opposition à l’infection elle-même.

Il a identifié 23 pays qui répondent à ce critère, représentant 1,88 milliard d’individus, soit environ un quart de la population mondiale […] Crawford procède à un certain nombre d’ajustements afin d’éliminer les valeurs aberrantes susceptibles de fausser les ensembles de données, (mais) après avoir éliminé les nations dont le nombre de décès dus au COVID était supérieur à 100 par million avant leur programme de vaccination, il est parvenu à 13 pays représentant une population combinée de 354 millions d’habitants […]

Il est remarquable de constater que le nombre de décès dus au COVID dans ces 13 pays est 11,61 fois plus élevé après la vaccination qu’avant le déploiement des vaccins. Dans cinq de ces 13 pays, 90% des décès dus au COVID-19 ont été enregistrés après le début des campagnes de vaccination.

“À première vue, ces résultats renforcent l’idée que les vaccins expérimentaux tuent des gens”, écrit Crawford. “À tout le moins, il s’agit d’un signal de sécurité dramatique de plus qui devrait inciter les autorités qui se soucient de notre santé à se réunir pour discuter de la manière d’affiner les données qu’elles n’analysent pas, à la connaissance de tous…” »10.

Intéressant, non ? Donc, si vous prenez les pays où il n’y a pas beaucoup de virus, et que vous inoculez quand même une tonne de personnes, alors vous pouvez vraiment voir combien de personnes sont tuées par le vaccin. Au moins 10 fois plus !

En revanche, dans les pays où la propagation virale est importante, les effets néfastes du vaccin sont beaucoup moins visibles. Mais quelle que soit la manière dont on la décrit, la protéine spike érode l’infrastructure vitale du corps, affaiblissant le système vasculaire, tuant les cellules saines et les mitochondries, épuisant les lymphocytes tueurs et court-circuitant le système immunitaire. Les répercussions de cette attaque féroce peuvent prendre la forme d’une myriade d’affections qui se développent inévitablement à partir d’un système circulatoire ravagé par un agent pathogène : arrêt cardiaque, accident vasculaire cérébral, embolie pulmonaire, auto-immunité, etc. À l’heure actuelle, les crises cardiaques semblent être en tête de liste. Consultez ce bref article du Dr Peter McCullough :

« Le monde est maintenant témoin d’une pandémie de crises cardiaques N-STEMI causées par des caillots sanguins.

Un certain type de crise cardiaque est en augmentation dans le monde entier. En Écosse, les professionnels de la santé ont constaté une forte augmentation d’un type de crise cardiaque potentiellement mortel appelé crise N-STEMI. Cette affection résulte de l’obstruction partielle d’une artère qui coupe l’approvisionnement en sang du cœur. Elle présente moins de lésions tissulaires qu’une crise STEMI classique, mais peut être tout aussi fatale […] Les cas de crise STEMI sont restés stables pendant des années, (mais) ils ont récemment augmenté… Au cours de l’été, l’hôpital a dû augmenter son nombre de lits de cardiologie de 44%, car les travailleurs de la santé de première ligne ont dû faire face à une demande accrue de patients victimes de crises cardiaques ».

Une pandémie de crises cardiaques provoquée par une injection cytotoxique qui inflige des dommages à ses victimes, qu’elles meurent ou non. Est-ce là un résumé exact du vaccin contre le Covid-19 ?

Oui. Voici plus d’informations de The Expose :

« Les données disponibles auprès du Centre de Contrôle des Maladies aux États-Unis montrent que depuis le lancement du programme de vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis, les décès dus à des “résultats cliniques anormaux non classés ailleurs” ont augmenté de manière exponentielle par rapport aux niveaux de vaccination antérieurs au Covid-19 […]

Les décès de cette catégorie comprennent les cas pour lesquels aucun diagnostic plus spécifique n’a pu être posé… ou les symptômes étaient difficiles à déterminer… ou les cas ont été référés ailleurs.

[…] le nombre de décès dus à des résultats cliniques anormaux […] a maintenu une moyenne stable d’un peu plus de 1000 par semaine depuis février 2020, et était également à ces niveaux avant que la prétendue pandémie ne frappe les États-Unis. Cependant, vers la fin du mois de mars et le début du mois d’avril 2021, le nombre de décès anormaux enregistrés par semaine a soudainement augmenté… pour atteindre plus de 7000 par semaine à la mi-septembre, ce qui représente une augmentation de 600% par rapport à la moyenne observée chaque semaine avant le début du déploiement de la vaccination Covid-19.

La question est bien sûr : pourquoi ?

[…] La seule chose que des millions de personnes ont en commun depuis que les décès anormaux ont commencé à augmenter par rapport à la moyenne attendue, c’est que des millions de personnes ont reçu une injection expérimentale, pour laquelle il n’existe aucune donnée de sécurité à long terme permettant de savoir quelles en seront les conséquences.

Les données officielles du CDC suggèrent que les conséquences d’un déploiement expérimental massif de la vaccination sont une augmentation choquante et brutale du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées »11

Cet article est cohérent avec les nombreuses histoires que nous avons entendues de la part d’infirmières rapportant des patients présentant des symptômes inhabituels qui échappent au diagnostic traditionnel. Cela ne devrait pas être surprenant étant donné les propriétés uniques de la protéine spike dont l’attaque furtive du système vasculaire a déjà déclenché un tsunami de maladies cardiovasculaires, neurologiques et immunologiques comme on n’en a jamais vu auparavant. Tous ces décès peuvent être attribués à un « poison mortel » qui augmente sans cesse la mortalité toutes causes confondues tout en tuant des personnes de plus en plus jeunes. Si vous en doutez, jetez un coup d’œil au nombre d’athlètes qui meurent peu après avoir reçu une injection. C’est une histoire qui ne peut que déprimer tout être humain normal.

Voir ici : « Une vague de sportifs dans le monde souffrant de problèmes de santé inhabituelles », Not The Beeb.com.

Regardez également cette vidéo éclairante de 2 minutes qui traite de l’arrêt cardiaque et de notre système bidon de notification des blessures dues aux vaccins. (VAERS)

Le Dr Mike Yeadon a résumé les récents développements dans un commentaire qu’il a posté sur le Morningstar Channel la semaine dernière. Il a déclaré :

« Il n’y a pas de fin logique … si ce n’est la tyrannie totalitaire … et la dépopulation massive … Certains collègues sont d’accord avec la partie tyrannie, mais rechignent sur la partie dépopulation. (Mais) Les preuves l’indiquent fermement ».

En effet.

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International


[Références]

  1. « L’Écosse compte 87% d’adultes vaccinés ; les décès hebdomadaires sont maintenant 30% au-dessus de la normale », Alex Berenson Substack
  2. « Il n’y a pas que le Royaume-Uni ; les décès, toutes causes confondues, sont également bien supérieurs à la normale en Allemagne (80% des adultes sont entièrement vaccinés », Alex Berenson Substack
  3. « La véritable pandémie vient de commencer, et il s’agit des crises cardiaques provoquées par les vaccins anti-covid chez les jeunes », Lifesite News
  4. « Les vaccins sont-ils à l’origine des décès excessifs en Écosse, demande un professeur de biologie », The Daily Skeptic
  5. « Des milliers de personnes de plus que d’habitude meurent… mais ce n’est pas à cause du Covid », Telegraph
  6. « Des divergences et des incohérences dans les ensembles de données du gouvernement britannique compromettent l’exactitude des comparaisons des taux de mortalité entre les vaccinés et les non-vaccinés »
  7. « Les urgences sont maintenant submergées de patients gravement malades – mais beaucoup n’ont même pas le COVID », NPR
  8. « La crise cardiaque peu connue qui frappe les femmes en bonne santé dès l’âge de 22 ans », New York Post
  9. « L’acteur kannada Puneeth Rajkumar meurt à 46 ans, il a souffert d’un grave arrêt cardiaque alors qu’il faisait de l’exercice », Times of India
  10. « Les vaccins COVID sont-ils responsables de la hausse de la mortalité ? », Mercola.com
  11. « Investigation : Les données officielles du CDC montrent une augmentation choquante du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées depuis le début des vaccinations Covid-19 », The Expose



Le nazisme d’aujourd’hui et ses trois nouvelles branches (néo-léninisme, djihadisme, scientisme hygiéniste)

Par Lucien Samir Oulahbib

Contrairement aux idées reçues, le nazisme originel reprochait moins au marxisme et au bolchevisme leur critique acerbe du capitalisme et du libéralisme, mais le fait qu’ils oubliaient d’en dénoncer le caractère essentiellement « juif » (abordé tout de même par Marx dans sa « Question juive ») ; d’où la dénonciation du « judéo-bolchevisme » qui aurait détourné, trahi en quelque sorte les idéaux communs antilibéraux au sens d’assujettir l’individu à l’État « national » prolétarien que devient aussi d’un certain côté l’URSS de Staline (« socialisme dans un seul pays »), d’où les accointances entre ce dernier et Hitler. Staline avait d’ailleurs permis à ce que secrètement les forces spéciales allemandes s’entraînent sur le sol russe, tout en faisant de plus en plus la chasse aux juifs (quitte à leur reconnaître le droit d’avoir un « État » en 1947, tout en aboutissant, en 53, au dit « complot des blouses blanches »).

Aujourd’hui, le fait que de plus en plus les individus soient classés et attaqués, y compris violemment, en fonction de leur couleur de peau, de leur position critique vis-à-vis de l’islam (islamophobie), du climat (« négationnisme »), de la santé (complotisme et conspirationnisme) relève finalement d’une idéologie globale. On peut caractériser dorénavant et également celle-ci de (néo)nazie au sens non pas dudit « point Godwin », mais du fait qu’elle ne regroupe pas seulement des suprématistes « blancs ». Cependant, elle représente aussi tout courant qui met en avant une couleur de peau et une « conception du monde » aux préceptes sacralisés et dont la critique nécessite une répression sévère, voire annihilante, comme le réclame de plus en plus ce qu’il est possible de nommer désormais (puisqu’elle abat ses cartes) la néonazie-sphère française dont par exemple un Patrick Cohen, un Christian Barbier, un certain « Tonneau » (percé), une Annie Hidalgo et tant d’autres (tels ces remugles staliniens sortis d’un Jurassic Park « déconstruit ») en sont de plus en plus les chantres aux propos violents et de plus en plus exterminateurs.

Cette néonazie-sphère encourage par exemple le fait d’attaquer violemment des réunions qu’elles soient liés à une rencontre autour du climat comme récemment en Allemagne, autour de la liberté de critiquer l’islam (comme l’indique Didier Lemaire), sans oublier bien sûr les attaques incessantes à l’encontre des réunions de Zemmour (encouragées par Hidalgo), de Marine Le Pen (mais aussi naguère à l’encontre des déplacements de Sarkozy lorsqu’il tenait des propos fermes sur ces sujets). Elle encourage aussi la diabolisation accentuée envers tous ceux qui critiquent la montée en puissance du scientisme hygiéniste symbolisée par la mise à l’Index des professeurs de médecine Perronne et Raoult et la manipulation statistique à marche forcée à l’encontre des traitements précoces et des chiffres réels sur LA maladie, et les effets secondaires liés aux injections expérimentales actuelles (Médiapart en tchékiste patenté par exemple).

Ces exemples montrent de plus en plus plusieurs choses : d’une part une méconnaissance globale (vu le niveau intellectuel de plus en plus faible des « élites » animant cette néonazie-sphère) des idéologies de leurs racines et leur manifestation, d’autre part le fait que ces dernières évoluent, se transforment et passent dans leur contraire supposé.

Ainsi droite, extrême droite, fascisme, nazisme ne sont pas divers points s’accentuant d’un même continuum contrairement à ce que la vulgate stalinienne et sartrienne a pu ébaucher dans les années 30-60. Schématiquement énoncé, la droite en ses diverses composantes s’appuie également et en premier lieu sur la notion de liberté plus ou moins « ouverte » ou « mixte » (au sens aristotélicien) selon les tendances. Alors que ladite extrême droite rompt totalement avec cette idée d’ouverture, préfère plutôt la fermeture en la justifiant par les notions de tradition non plus évolutive, mais rigide, débouchant sur la préservation impérieuse du socle ethnique « originel », le tout en tentant de dépasser les césures élite/peuple, gauche/droite dans une conception du « social » bien plus étatiste que nationaliste en réalité. En effet, ce qui a pu donner le fascisme, le nazisme et le pétainisme (ces trois branches ayant chacune leur spécificité) se rassemble autour de deux idées fortes : extirper l’idée de liberté au sein du « social » afin de mieux protéger l’ethnie, collectiviser peu à peu toute la société civile en plaçant à sa tête des éléments sûrs afin de renforcer l’ethnie, et, pour ce faire, éliminer tout élément étranger au socle ethnique fondamental en particulier les juifs pour le nazisme et dans une certaine mesure pour le fascisme et le pétainisme, car si ces derniers avaient pour objet d’écarter les juifs y compris « nationaux » des affaires de l’État, ils ne voulaient pas les liquider comme le firent les nazis (et les staliniens d’un certain côté), même si à la toute fin du régime de Vichy le poids grandissant de la Milice fait que Laval se fait directement complice de l’extermination, rompant dans ce cas avec les courants maurrassiens anti-germains qui préférèrent peu à peu s’agréger à la mouvance gaullienne.

Le néo-léninisme, le djihadisme et le scientisme hygiéniste ressuscitent en quelque sorte, avec des nuances bien sûr, le socle fondamental du nazisme basé sur le remplacement (des juifs par les Aryens), l’épuration (mise à l’écart des écrits jugés contraires à l’enseignement officiel), l’assainissement (mise à l’écart de populations susceptibles de contaminer celles qui sont déclarées « saines » et qu’il faut protéger).

Ces trois branches agrégées désormais au néonazisme vont en effet appuyer le remplacement des autochtones par des « indigénistes » qui ainsi se vengent du supposé mal « absolu » des premiers. Elles vont également réclamer, exiger et finalement obtenir peu à peu l’effacement de tout ce qui peut rappeler un passé glorieux puisqu’il est censé avoir été établi uniquement par la domination et la servitude. Et d’autre part, ces trois branches vont, dans la foulée, réclamer, exiger et finalement obtenir de plus en plus l’épuration des administrations et des institutions de la « société civile », en particulier de tout élément hostile à leur idéologie globale basée de plus en plus sur la couleur de peau, le catastrophisme multiforme, et l’hygiénisme scientiste, ce triptyque fondamental du nazisme canal historique :

« (…)il existe entre nous et les bolchevistes plus de points communs que de divergences, et tout d’abord le véritable esprit révolutionnaire que l’on trouve en Russie comme chez nous, partout du moins où les marxistes juifs ne mènent pas le jeu. J’ai toujours tenu compte de cette vérité et c’est pourquoi j’ai donné l’ordre d’accepter immédiatement dans le parti tous les ex-communistes. Les petits-bourgeois sociaux-démocrates et les bonzes des syndicats ne pourront jamais devenir de véritables nationaux-socialistes ; les communistes toujours. » (Hermann Rauschning, Hitler m’a dit, Paris, éditions Pluriel, 1979, pp. 190-191).

Traduit aujourd’hui, cela implique la convergence effective de ces trois branches (néo-léninisme, djihadisme hygiénisme, scientiste affairiste), ne serait-ce le fait qu’aucune exaction djihadiste n’est formellement non pas « condamnée », mais expliquée dans ses profondeurs (sinon par le « déséquilibre » et la « mauvaise » lecture de l’islam dans le texte), y compris lorsque des délits et crimes mériteraient bien plus que des propositions de circonstance (« agrandir les trottoirs », « leur laisser le temps d’apprendre nos codes »). Idem pour le catastrophisme dit « écologiste » censé être l’apanage du seul « Occident », alors que le président du régime maoïste, premier pollueur de la planète, n’était même pas présent à leur cérémonie annuelle et que les chiffres sont tout autant truqués qu’exagérés. Et même chose pour l’hygiénisme scientiste qui aujourd’hui cherche également à masquer son affairisme exacerbé par des menaces supplémentaires de ségrégation et d’internement, bref, de purification biologique, et ce malgré les scandales à répétition (caviardage, truquage, expérimentations sauvages ou à la va-vite à l’instar du Pfizergate). Le tout permet d’écarter tout élément qui refuse d’appartenir à cette nouvelle race métaphysique néonazie dont le néo-léninisme et le catastrophisme sont les branches actives et qui peuvent même afficher des visages d’ange alors que par exemple les « violences faites aux femmes » dénoncées par ces derniers ne désignent jamais leurs alliés objectifs du djihadisme qui, comme le dit Didier Lemaire, pousse pourtant ses victimes à s’exclure, à fuir dans une sorte d’émigration intérieure si elles ne veulent pas être violentées ou poussées au suicide (comme pour Mila encore actuellement).

Aussi faut-il être de plus en plus sans concession : si l’on vous traite de « facho » rétorquez « néonazi » — tendance djihadiste, hygiéniste, néo-léniniste — c’est selon, tout dépend de la prothèse milicienne qui viendra perturber votre geste de citoyen français, celui de débattre, de critiquer, d’applaudir qui bon vous semble. Ne vous laissez surtout pas intimider par des créatures qui certes vont vous rétorquer qu’il n’y a ni Goulag ni Shoah, sauf que d’une part ces horreurs n’apparaissent ni en 17 ni en 33, et que les assassinats djihadistes atteignent désormais plus de cent mille tués au niveau mondial, et d’autre part la forme d’extermination que peut prendre ce néonazisme peut être plus subtile basée par exemple sur l’implosion, la soumission, le démembrement, l’autodestruction, l’expérimentation queer et autres injections le tout sur plusieurs années voire décennies…




Ubérisation de la politique et grand effondrement

[Source : Le Saker Francophone]

[Illustration : Infographie : l’ubérisation en 15 secteurs | Observatoire Uberisation et Economie Collaborative]

Par Nicolas Bonnal

Nicolas Bonnal

Zemmour, Macron, LREM, RN, LR, LFI… Nous nous approchons de ces élections dérisoires et nous découvrons de nouveaux partis politiques, vite créés, bâclés et usagés. La destruction en règle de la France depuis Chirac-Sarkozy-Lagarde concerne aussi les partis politiques. Elle gagne les services publics, l’hôpital et tout le reste et reflète notre vie ordinaire : nous sombrons dans le modèle Blade runner décrit par Ridley Scott il y a quarante ans (voyez mon livre), soit la misère et la précarité pendant qu’au sommet s’édifient des fortunes colossales qui ne se basent sur rien mais organisent notre dystopie parce qu’elles contrôlent notre mental (voyez le livre de ma femme sur Dick). Tesla devient la première marque vendue en Europe.

Rappelons ce que notre encyclopédie polyvalente et elle-même ubérisée (Wikipédia donc) nous dit de l’ubérisation :

L’ubérisation (du nom de l’entreprise Uber), ou la plateformisation, est un phénomène récent dans le domaine de l’économie consistant en l’utilisation de services permettant aux professionnels et aux clients de se mettre en contact direct, de manière quasi instantanée, grâce à l’utilisation des nouvelles technologies.

Toute cette technologie américaine réorganise le monde et nos sociétés, se vante Wikipédia :

La mutualisation de la gestion administrative et des infrastructures lourdes permet notamment de réduire le coût de revient de ce type de service ainsi que les poids des formalités pour les usagers. Les moyens technologiques permettant l’ubérisation sont la généralisation du haut débit, de l’internet mobile, des smartphones et de la géolocalisation.

C’est la fin du modèle des Trente Glorieuses, se vante  notre encyclopédie :

Ce modèle d’organisation du travail repose sur le travail à la tâche et s’oppose de fait à celui reconnu depuis des générations, et particulièrement depuis les Trente Glorieuses, c’est-à-dire le monde fixe et réglementé du salariat. L’ubérisation s’inscrit de manière plus large dans le cadre d’une branche intégrée au marché de l’économie à la tâche.

Le mot « ubérisation » vient du grand patron de Publicis qui soumit la presse dans les années 80 :

Le terme « ubérisation » est un néologisme, popularisé en francophonie par Maurice Lévy après un entretien accordé au Financial Times en décembre 2014. Le terme provient de l’entreprise Uber qui a généralisé à l’échelle planétaire un service de voiture de tourisme avec chauffeur entrant directement en concurrence avec les taxis.

La blague fut de nous faire croire que le taxi Uber est moins cher que nos taxis de la Marne ou leurs successeurs disparus. La fin de tout professionnalisme et de toute compétence est la clé du système : d’où la nullité des personnels politiques, diplomatiques et même militaires. Mais quand on rêve de grand effondrement…

Les caractéristiques de ce service sont en premier lieu les gains financiers importants liés à l’évitement des contraintes réglementaires et législatives de la concurrence classique (l’acquisition d’une licence de taxi dans le cadre d’Uber), mais aussi la quasi-instantanéité, la mutualisation de ressources et la faible part d’infrastructure lourde (bureaux, services supports, etc.) dans le coût du service, ainsi que la maîtrise des outils numériques.

On voit aussi ce que donne la fin des infrastructures lourdes chères à ces imbéciles : l’effondrement de l’infrastructure dans tous les pays occidentaux (USA, France, Allemagne).

[Note de Joseph Stroberg : si certaines élites semblent apprécier de passer par le chaos pour achever la construction de leur Nouvel Ordre Mondial, le résultat pourrait être bien différent de celui de leurs attentes, surtout si cet ordre lui-même subit un violent choc en retour. Au lieu d’asservir l’Homme et d’enchaîner l’Humanité à la machine, cela pourrait en fait aboutir à la libération de la Créativité et à la floraison de la Conscience : un nouveau ciel et une nouvelle terre pour une Humanité rénovée, souveraine depuis l’individu jusqu’à sa totalité, en conformité cette fois avec le dessein cosmique.]

Le Petit Larousse est lui-même euphorique sur le sujet :

Le terme « ubérisation » fait son apparition dans le dictionnaire Le Petit Larousse 2017, qui le définit comme : la « remise en cause du modèle économique d’une entreprise ou d’un secteur d’activité par l’arrivée d’un nouvel acteur proposant les mêmes services à des prix moindres, effectués par des indépendants plutôt que des salariés, le plus souvent via des plates-formes de réservation sur Internet.

Encore plus euphorique le Figaro (la presse aussi a été ubérisée, et depuis longtemps encore). Au sujet de l’ubérisation, Guillaume Sarlat explique dans Le Figaro :

L’ubérisation, tout le monde en parle aujourd’hui : tous les business models des grands groupes seraient sur le point d’être disruptés, ubérisés, désintermédiés, commoditisés, en un mot pulvérisés par une multitude de startups beaucoup plus agiles et innovantes.

Retenons le mot de pulvériser. Pour le reste le petit mange-merde du Figaro pulvérise la langue de Malherbe et de Chateaubriand. L’ubérisation amorce le bref règne des pignoufs qui veulent nous amener à un âge technocratique de ténèbres sauce Davos.

On a parlé d’économie à la tâche, alors expliquons :

L’économie à la tâche (de l’anglais gig economy, gig signifiant le concert, on a souvent payé les musiciens d’une soirée une fois le bal terminé) On la désigne aussi sous le nom d’économie à la demande ou économie des petits boulots. C’est un système basé sur des emplois flexibles, temporaires ou indépendants.

La politique est devenue un petit boulot. Chacun opinera et/ou appréciera.
L’optimisme médiatique ajoute :

En 2021, livraison de repas à domicile, voitures avec chauffeur, participation rémunérée à des sondages, micro-tâches d’assistance aux algorithmes, aux réseaux sociaux, aux corrections de données, « l’économie des petits boulots » génère un chiffre d’affaires mondial de 5 000 milliards de dollars.

Un petit bémol :

En 2025, 500 millions de personnes pourraient dépendre pour vivre des petits boulots associés à l’économie à la tâche. La liberté et la simplicité d’accès qui font le succès des plates-formes reposent aujourd’hui sur l’exploitation de ces travailleurs.

Les travailleurs ne sont pas les seuls exploités : les clients et les consommateurs aussi. L’ubérisation de la culture et de l’enseignement ont préparé les jeunes générations à accepter leur condition d’ilote. Le bobo d’aujourd’hui (et sa descendance ruineuse et efflanquée) a la sous-culture média de sa femme de ménage ubérisée.

Cette dégradation du matériel humain préparée depuis quarante ans (voyez ma Lettre ouverte à la vieille race blanche) était la condition sine qua non et le préalable du démantèlement terminal de notre société et de notre patrie. Le mécontentement étant lui-même ubérisé politiquement, la caste de Blade runner a peu de soucis à se faire.

Nicolas Bonnal 




Myocardites et pseudovaccin antiCovid : un risque à ne pas courir

Par Nicole Delépine

Laisserons-nous les enfants courir le risque d’atteinte cardiaque post pseudovaccin Covid pour sauver une sortie au resto ?

Ou même une inscription dans un club de foot ?

Laissez-les jouer devant l’immeuble avec les copains ou courir les champs si vous êtes à la campagne. Rien ne vaut la santé, et on a vécu sans salle de gym avec équipements lourds pour COURIR, sans club payant !

Un adulte sympathique aidait les gosses dehors à faire des passes … La coronafolie va bien se terminer et d’autant plus vite que nous ne céderons pas.

Ne risquez pas l’avenir de votre petit, pour quelques mois de vie « différente » et pas « anormale », car finalement courir sur un tapis fixe est -il plus normal qu’une balade dans les bois ? Ce sera l’occasion de leur expliquer la vie d’autrefois, et la gabegie actuelle plutôt que des grands cinémas pro-planète… Les bobos parisiens ont-ils renoncé à leur SUV pour se promener et à leurs clubs de sport consommateurs d’énergie ? En tous cas les milliardaires n’ont pas renoncé à leurs jets privés pour se montrer et faire croire qu’ils veulent sauver la planète, mais c’est un autre sujet (apparemment).

DES ALERTES MULTIPLES (sauf en France, comme pour Tchernobyl ?)

Info : une nouvelle catastrophe

F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a été diagnostiqué d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer(([1] https://theCovidworld.com/florian-dagoury-world-record-holder-in-static-breath-hold-freediving-diagnosed-with-myopericarditis-after-pfizer-vaccine-possible-end-of-career/))

L’agence de presse allemande dresse une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés.(([2] A partir de 13 ans! Longue liste d’athlètes « soudainement » décédés ou gravement malades (report24.news) ))

« Nous avons pris beaucoup de temps pour cette recherche, en choisissant chaque cas individuellement. Y a-t-il eu un nombre évident de décès « soudains et inattendus » dans le sport et le sport d’élite seulement à la mi-2021 ? Une accumulation possible depuis le début des vaccinations géniques peut (et ne veut pas) être expliquée par n’importe qui du côté officiel. Selon la lecture des médias et de la politique, peut-être victimes de chantage et de pots-de-vin, ce sont des coïncidences malheureuses – bien que même les jeunes de 13 ans souffrant de problèmes cardiaques tombent sur le terrain. »

L’agence de presse poursuit, par objectivité :

« Nous voudrions commencer ce rapport par les arguments de l’autre partie, car il est toujours important d’écouter toutes les parties. Nous voudrions également recommander ce principe à la presse judiciaire et au système, même s’il n’y a pas d’importantes subventions d’État à utiliser pour cela.

En 2016, le média français Futura Santé s’est plaint de « nombreux » décès cardiaques dans le football. Elle toucherait 2 athlètes sur 100 000 par an en France, soit un total de 1 000 à 1 500 personnes. Le « New Statesman » parle de 12 jeunes qui meurent de mort subite d’origine cardiaque en courant – chaque semaine. L’article a été publié en novembre 2018 en Angleterre. En février 2019, le journal autrichien der Standard a demandé pourquoi la mort cardiaque survient « si fréquemment » dans le sport.

« ll n’existe pas de statistiques fiables à des fins de comparaison. Mais dans Wikipédia, il y a des listes d’athlètes qui sont morts pendant le jeu. Cette liste remonte à 1889 et est longue à première vue – mais en fin de compte, il s’avère que même dans les « années de catastrophe », environ 5 à 8 décès de ce type ont été enregistrés ».

 Y a-t-il plus de gens qui meurent actuellement « soudainement et de manière inattendue » dans le sport, surtout lorsqu’il s’agit de professionnels et d’athlètes de haut niveau ? Et est-ce à cause de la vaccination ? ou bien avons-nous cauchemardé ?

Plus de 75 cas connus au cours des 5 derniers mois(([3] Veuillez signaler d’autres cas ou erreurs: redaktion@report24.news))

Etc.. Suite sur l’article de référence :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-

Peut-on vraiment croire au hasard et discuter doctement de l’imputabilité alors que des familles sont endeuillées et des enfants sacrifiés au nom de la soumission aux directives dites sanitaires. Jusqu’à quel degré l’aveuglement aide-t-il à vivre ?

Les atteintes cardiaques chez l’enfant sont rares

Contrairement à ce qu’essaient de vous faire croire les médias, les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu (les années 60) grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque, en l’absence de comorbidité comme des maladies auto-immunes ou des lésions post médicamenteuses (chimiothérapie anticancéreuse par exemple).

L’incidence des myocardites chez l’enfant, estimée entre 2007-2016 aux USA est de 1/100 000.(([4] R Vasudeva, P Bhatt, C Lilje Tendances des hospitalisations pédiatriques liées à la myocardite aiguë aux États-Unis, 2007-2016 AM J Cardiology . 15 juin 2021; 149:95-102 doi: 10.1016/j.amjcard.2021.03.019. Publication en ligne du 20 mars 2021.))

Même les maladies cardiaques congénitales s’étaient raréfiées dans nos contrées via le dépistage anténatal (et beaucoup d’avortements à la moindre communication interauriculaire) et via les interventions précoces pour les enfants nés avec des anomalies acceptées par la famille. Bref le concept de « maladie bleue » par exemple ne vous était plus familier et tant mieux.

Actuellement, les myocardites et péricardites peuvent se rencontrer dans le cadre de maladies virales, mais sont alors le plus souvent bénignes et de courte durée et plus fréquemment chez des sujets fragiles, voire immunodéprimés.

Plus exceptionnellement se rencontre en pédiatrie une myocardite grave et menaçante à l’occasion d’un diagnostic difficile qui débouche sur une maladie congénitale exceptionnelle.

Nous sommes alors dans le cadre de maladies rares, dites orphelines(([5] Définition del’OMS maladie orpheline si incidence = ou < à 6 /100 000 habitants)) et non de pathologies habituelles comme on aimerait vous le faire croire pour minimiser la tragédie actuelle, conséquence de pseudo vaccination inutile et dangereuse.

Donc une nouvelle fois, le récit médiatique démarre par d’énormes mensonges.

Non, les crises cardiaques qui tombent du ciel ne sont pas habituelles chez les jeunes qui jouent au foot dans la cour.

Vous avez tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Revenez sur terre et cessez de croire aux balivernes tragiques des journalistes corrompus ou devenus complètement fous via la coronafolie.

Qu’est-ce au fond qu’une myocardite ?

Les myocardites et les péricardites sont des inflammations du muscle cardiaque (myocardites) ou de son enveloppe, le péricarde (péricardites). Classiquement elles se révèlent par une fatigue croissante, des douleurs thoraciques, des difficultés de plus en plus importantes à respirer, une accélération du rythme cardiaque, une baisse de la pression artérielle, et parfois des douleurs dans les membres. La maladie est parfois accompagnée de fièvre, car une infection virale ou bactérienne peut être à l’origine de l’atteinte cardiaque. Ce n’est pas le tableau le plus courant actuellement.

Elles peuvent passer inaperçues et ne se révéler brutalement que par un énorme malaise, voire une mort subite, à l’occasion d’un effort. Ce sont les jeunes sportifs qui paient actuellement un lourd tribut. Et les médecins belges recommandent depuis plusieurs mois de ne pas faire d’efforts au moins dans la semaine suivant l’injection.

L’évolution de la myocardite peut être très variable. Elle ne provoque souvent que des symptômes mineurs, mais elle peut aussi entraîner un arrêt cardiaque brutal ou guérir en laissant des séquelles permanentes responsable dans 20% des cas de mort dans les 5 ans qui suivent pour les myocardites habituelles.

Il est évident que les notions générales évolutives citées ici sont liées aux myocardites infectieuses ou congénitales connues et que personne ne peut prédire les conséquences de l’atteinte cardiaque par la protéine spike créée via l’injection génique nouvelle. Combien de temps le vacciné produit-il de protéines spike susceptibles d’aggraver la maladie et/ou de se compléter par d’autres lésions sur d’autres organes ? Aucune réponse claire possible sans recul.

Les prédictions de guérison possibles basées sur l’évolution des myocardites d’autres origines n’ont aucune valeur. Il serait honnête d’avouer que l’on ne sait pas ! Ce qui est certain est qu’un énorme doute existe sur l’avenir de ces patients.

ATTENTION AU BÉNÉFICE/RISQUE

Les marchands de vaccin aimeraient nous faire croire et l’écrivent sans remords, que le Covid donne plus de risque de myocardite que le vax. Ils inventent et/ou manipulent les données, oubliant que les jeunes ne meurent pas de Covid, alors que les jeunes vaccinés meurent de crise cardiaque. Regardons les données.

Quels sont les risques de myocardite après infection Covid chez les jeunes 

La myocardite (ou péricardite ou myopéricardite) résultant d’une infection primaire à la Covid19 s’est produite à un taux de 450 par million chez les jeunes hommes malades du Covid. Les jeunes hommes infectés par le virus sont plus susceptibles de développer une myocardite que ceux qui ont reçu le vaccin nous dit-on.(([6] Risk of Myocarditis from Covid-19 Infection in People Under Age 20: A Population-Based Analysis (nih.gov) ))

Mais ce pourcentage omet de préciser que la maladie clinique du Covid est exceptionnelle chez le jeune de moins de 20 ans et que ces atteintes cardiaques sont bénignes et d’évolution favorable rapide.

Il serait honnête d’avouer que le Covid chez le jeune ne tue pas alors que la myocardite post-vaccinale d’un sujet sain non malade tue parfois et confisque l’avenir du jeune en tous les cas. Comparaison purement chiffrée n’est pas raison.

La myocardite du vaccin antiCovid

L’histoire médiatique de l’atteinte cardiaque post vaccination remonte à quelques mois après le début des injections intensives vers mai 2021.

Fin mai 2021, le comité de sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une déclaration d’intérêt concernant les cas signalés d’inflammation myocardique et/ou péricardique survenant chez des patients après vaccination avec des vaccins à ARNm Covid-19. Cela faisait suite à un petit nombre de cas signalés en Israël et aux États-Unis.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans. Les cas semblaient être principalement chez les hommes et se développer peu de temps après l’administration de la 2e dose.

Démonstration de l’imputabilité de l’atteinte cardiaque à la vaccination

Les Canadiens ont vérifié chez l’adulte, sur deux mois de juin à fin juillet 2021 la survenue de myocardites après injection, ce qui a permis d’établir clairement(([7] https://resistance-mondiale.com/vaccination-contre-larnm-Covid-19-et-developpement-de-la-myopericardite-confirmee-par-cmr)) la temporalité entre l’apparition de la myocardite et la vaccination.

Les symptômes constatés chez les cardiaques canadiens sont résumés dans le tableau tiré de leur article.

Il s’agit de la plus grande série de la littérature à établir clairement la relation temporelle entre la vaccination par l’ARNm Covid, les symptômes cliniques de la myocardite et les résultats de l’IRM.

Chez la plupart des patients, l’apparition des symptômes a commencé dans les premiers jours suivants la vaccination avec des anomalies correspondantes des biomarqueurs et de l’ECG. L’IRM cardiaque a confirmé des modifications myocardiques et péricardiques aiguës avec la présence d’un œdème démontré à la fois par la cartographie des tissus et le rehaussement tardif du gadolinium. Les symptômes se sont résorbés rapidement avec le traitement standard et les patients ont pu sortir en quelques jours.

Si la cohorte canadienne avait capturé tous les cas dans la région d’Ottawa, l’incidence de la myocardite serait de 0,1 % de toutes les doses de vaccin (32 cas/32 379 doses x 100), ou 10 cas de myocardite pour 10 000 doses de vaccin. Cette étude concerne des adultes, mais est intéressante pour notre sujet, car elle confirme le lien entre atteinte cardiaque et injection génique.

L’une des cohortes les plus importantes à ce jour a décrit la nécessité d’un traitement de l’insuffisance cardiaque chez 40 % de ses patients atteints de myocardite (malgré l’absence d’épisodes d’insuffisance cardiaque antérieurs) et de soins intensifs chez 10 %. Mais l’étude concerne les adultes et la maladie cardiaque post vaccinale paraît d’autant plus grave que le sujet est plus jeune.

L’inflammation péricardique est un épiphénomène d’inflammation myocardique ; cela a également été démontré dans la série de cas de Starekova et al. La véritable péricardite diffuse isolée est rare dans la littérature.

La myocardite a été décrite comme complication de vaccins classiques, mais dans des proportions beaucoup plus faibles qu’avec les pseudovax antiCovid

La myopéricardite est une complication reconnue associée à quelques vaccins, aux États-Unis représentant 0,1% de tous les effets indésirables collectés par le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS).(([8] Le CDC, Centre for Disease Control, organisme officiel américain qui surveille les maladies aux USA. Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) système officiel de pharmacovigilance américain.)) Ces rapports, recueillis entre 1990 et 2018, révèlent que 79 % des cas concernaient des hommes et sont survenus principalement dans les 2 semaines suivant la vaccination.

Myocardites associées aux injections antiCovid aux USA selon les données du VAERS

Les évènements indésirables cardiaques sont nettement plus fréquents chez les jeunes garçons d’autant plus qu’ils sont plus jeunes et qu’ils ont reçu deux doses de vaccin. Les signes cliniques apparaissent dans les jours suivant l’injection. Relevons la fréquence considérablement augmentée chez les jeunes garçons par rapport à la population générale : 23 % de plus entre 12 et 15 ans, 40 fois plus entre 16 et 17 ans.(([9] CDC Awardee Covid-19 Vaccination Planning Meeting))

Une autre étude dite stratifiée a été réalisée sur les myocardites chez les adolescents et leurs liens avec les vaccins à ARNm à partir des données du VAERS  pour comparer le danger respectif de la maladie Covid et du vaccin.(([10] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1 « SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »))

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même

Le CDC rapporte qu’il y a 94 à 96% d’hospitalisation des myocardites/péricardites post-vaccinales.

Les garçons de 12 à 15 ans sont 12 fois plus sujets à des effets indésirables cardiaques que les filles du même âge, et cela principalement après la seconde injection du vaccin.

Pour les garçons de 12 à 15 ans, ont été enregistrés 162,2 cas d’effets indésirables cardiaques par million d’injections de vaccins anti-Covid, contre 94 cas / million chez les 15-17 ans, évènements ayant nécessité une hospitalisation.

Cette étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.(([11] SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children
Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis »
https://medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1.full.pdf))(([12] Vaccination plus risquée que la Covid-19 pour les 12-17 ans – REINFOCovid))

Comparaison de la fréquence générale des myocardites avant et après vax antiCovid

Une étude récente(([13] Forty hospitals in Washington, Oregon, Montana, and Los Angeles County, California, that were part of the Providence health care system and used the same electronic medical record (EMR) were included)) chez l’adulte a comparé le taux de myocardites dans les périodes prévaccination et post vax(([14] George A. Diaz, MD1; Guilford T. Parsons, MD, MS2; Sara K. Gering, BS, BSN3; et al Audrey R. Meier, MPH4; Ian V. Hutchinson, PhD, DSc5; Ari Robicsek, MD2 Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 JAMA2021 Sep 28;326(12):1210-1212.doi: 10.1001/jama.2021.13443
Myocarditis and Pericarditis After Vaccination for Covid-19 – PubMed (nih.gov) )) Jan 2019–Jan 2021) et pendant la période de vaccination Covid-19 vaccination (Fevrier-Mai 2021) au sein d’un large système de santé américain

Le nombre mensuel moyen de cas de myocardites ou de myo-péricardites pendant la période pré vaccinale était de 16.9 pour 100000 (95% CI, 15.3-18.6) vs 27.3 (95% CI, 22.4-32.9) durant la période vaccinale (P < .001).

Le nombre moyen de péricardites était pendant les mêmes périodes de 49.1 (95% CI, 46.4-51.9) et 78.8 (95% CI, 70.3-87.9), respectivement (P < .001).

Les myocardites se développent rapidement chez les patients les plus jeunes et surtout après la seconde dose. Les péricardites affectent surtout les patients plus âgés et soit après la première, soit après la seconde.

Fréquence en fonction de l’âge et du sexe – grand pic chez les garçons entre 12 et 20 ans

Les CDC américains (centres officiels : Centers for Disease Control and Prevention) ont rapporté l’association entre Covid-19 mRNA vaccins and myocardite surtout chez les garçons les plus jeunes dans les quelques jours suivant la deuxième injection.

Sur la base des données du Vaccine Adverse Events Reporting System, le CDC a estimé que l’incidence de la myocardite après toute vaccination Covid-19 est de 0,48 cas pour 100 000 au total et de 1,2 cas pour 100 000 parmi les vaccinés âgés de 18 à 29 ans.

Un rapport de la campagne de vaccination de l’armée américaine contre le Covid-19 a noté une incidence de 8,2 cas de myocardite pour 100 000 hommes militaires (un total de 23 cas). Les enquêteurs de l’étude militaire ont identifié un dysfonctionnement ventriculaire gauche chez 17% des hommes (tous les cas étant légers ou légers à modérés). 

Myocardites en UE selon le site officiel de l’EMA : Eudravigilance

Myocardites des 12-17 sur Eudravigilance et vaccination des 12-17 ans en France

Du 1er avril au 15 juin, 3 myocardites ont été déclarées sur Eudravigilance chez les 12-17 ans. Puis le « vaccin » est arrivé pour les enfants, et le nombre de myocardites a explosé ! Alors, pure coïncidence ?(([15] Yoann 3 oct sur tweeter))

Eudravigilance (2.10.2021).

À ce jour, + de 28 000 décès liés aux « vaccins » déclarés dans les pays membres de l’UE.
Sur 12-17 ans, plus de 500 myocardites imputables aux Vaccins antiCovid.

Les Effets secondaires globaux dits pudiquement « indésirables » s’approchent des 3 millions.. Et l’on sait tous que les remontées d’informations sont inférieures à 5 %. Qu’en est -il de la réalité ?

Resituons les atteintes cardiaques dans les atteintes globales en UE (sur 27 pays hors G-B)

Les études israéliennes

Un premier rapport d’Israël en avril 2021 a mis en évidence une relation séquentielle apparente entre la réception du vaccin à ARNm Covid-19 et la myocardite, la plupart survenant chez des jeunes hommes auparavant en bonne santé et avec une incidence 5 à 25 fois supérieure au taux de fond habituel.

Le mécanisme précis reste obscur et les théories incluent un effet trophique direct du virus (bien qu’il n’y ait aucun rapport d’isolats viraux provenant d’une biopsie endomyocardique), et une réponse immunitaire exagérée de l’hôte invoquant les cellules T cytotoxiques en tandem avec la tempête de cytokines

En conséquence, la Food and Drug Administration aux États-Unis et l’Agence de la santé publique du Canada ont décidé d’ajouter des étiquettes de mise en garde aux vaccins à ARNm Pfizer et Moderna soulignant le risque de maladie cardiaque inflammatoire. Cela a été signalé secondairement par l’EMA et il a été demandé aux médecins de signaler ce risque … tout en ne dissuadant pas de faire l’injection…

Le rapport initial d’Israël note une incidence
de 1 sur 3000 à 1 sur 6000 myocardites
suite à la vaccination chez les jeunes adultes.

Les médecins israéliens ont été les premiers à sonner l’alarme dans un silence assourdissant dans les premières semaines.(([16] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21))

Ils ont évalué l’incidence de la myocardite après vaccin à ARNm BNT162b2 (Pfizer) dans une seule organisation de soins de santé (HCO) en Israël et décrit l’évolution clinique et la gravité de la maladie à partir d’un examen des dossiers des patients.

Les estimations du VAERS américain sont inférieures à celles israéliennes, probablement en raison des différentes méthodes utilisées pour identifier les cas (déclaration passive au CDC vs dossiers de santé électroniques en Israël ). 

Dans l’étude israélienne de Barda et al.la vaccination a entraîné un excès de 2,7 cas de myocardite pour 100 000 personnes vaccinées. 

Dans cette étude de cohorte rétrospective portant sur des personnes âgées de 16 ans ou plus dans un grand système de santé israélien, l’incidence estimée de la myocardite dans les 42 jours suivant l’injection (d’au moins une dose du vaccin à ARNm BNT162b2) était de 2,13 cas pour 100 000 vaccinés et 10,69 cas pour 100 000 chez les hommes âgés de 16 à 29 ans

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([17] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))(([18] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))(([19] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées, et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins… (comme en France ou en Belgique et en suisse.)

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.[15]

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre[16] selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades (présentent des signes de maladies) du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). Ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites.

Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant

ET si vous voulez revenir au concret, chez de vrais enfants et non des statistiques

Je terminerai par le récit fictif d’Alain Tortosa à propos d’un enfant sain de six ans brutalement décédé futur astronaute qui rejoindra plus vite que prévu les étoiles. Si des larmes ne vous montent pas aux yeux, demandez-vous ce que les mesures antiCovid ont fait de vous…(([20] Je m’appelais Albert, j’avais 6 ans et demi… – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

J’avais une petite sœur Annie, un papa et une maman, des papis et des mamies et tout plein de cousins.

À l’école j’adorais jouer au super héros masqué avec les copains…
J’étais fier d’être enfin dans la grande école et je leur disais que j’avais 6 ans et demi quand on me posait la question.
Mais c’était un petit mensonge, car j’avais que 6 ans et 4 mois.

Papa et maman répétaient souvent que nous avions la chance de vivre dans une démo-cra-tie, ils disaient des mots que je comprenais pas très bien comme « nous sommes nés libres et égaux en droit »

Toute la famille était heureuse… mais ça, c’était avant et j’ai peur qu’ils soient plus jamais heureux.

Quand je serais grand, je voulais être astronaute et je savais pas que j’irais si vite dans le ciel au milieu des étoiles… à 6 ans.

Papa et maman, ils regardaient beaucoup la télé au repas du soir.
Cette méchante télé qui racontait tous les jours qu’on va tous mourir du méchant virus.
Ils étaient très content il y a quelques mois de se faire la piqûre pour battre le méchant virus Covid qui peut tuer tout le monde, même les petits enfants comme moi comme ils disent à la télé.
Moi je comprenais pas comment on peut être content quand le docteur il vous fait une piqûre.

Il y a quelques semaines à la télé, ils ont dit que les petits enfants aussi ils pouvaient maintenant être vaccinés.
Que le vaccin il marche très très bien et qu’il fait même pas mal.

Le président de l’Amérique, il a dit pour la vaccination des enfants de 5 ans :

« Un tournant dans notre bataille contre le Covid-19. »

et

« Cela permettra aux parents de mettre fin à des mois d’inquiétudes pour leurs enfants et réduira la proportion avec laquelle les enfants transmettent le virus aux autres.[1]»

Papa et maman m’ont dit que ce serait bien si moi aussi j’avais le vaccin comme les grands.
Mais moi je voulais pas parce que j’avais peur des piqûres.
Ils ont voulu me rassurer, « c’est rien, c’est comme une piqûre de moustique ».
Mais comme j’avais encore peur, ils m’ont dit que si je le faisais, je serais un super héros qui protège papi et mamie du super vilain méchant virus.

Je trouvais ça un peu bizarre parce que papi et mamie ils ont déjà le vaccin, la super méga armure pour se protéger du méchant virus comme ils m’avaient dit.
Et que en plus ils allaient encore recommencer pour être encore plus super protégés !
Papa et maman m’avaient répondu que j’étais trop petit pour comprendre et que j’aurais un diplôme de tueur de méchant virus.

Le jour du rendez-vous, j’avais quand même un peu peur, même si je faisais semblant pour pas rendre triste papa et maman.
Quand je suis arrivé au centre, tout le monde était gentil avec moi.
Ils trouvaient que j’étais super fort alors je gonflais mon corps pour leur montrer.
Avant la piqûre, on a vu un docteur qui a posé des questions à papa et maman.
Est-ce que j’avais des maladies, est-ce que mon petit cœur marchait bien, si il y avait des maladies dans la famille.
Papa et maman ont répondu et ont dit que j’étais un petit garçon super en forme sans maladies, que j’étais super sportif aussi.
J’aimais pas quand ils disaient que j’étais un petit garçon parce que maintenant j’étais grand.

J’ai dit au docteur que j’avais un peu peur.
Il m’a rassuré et il m’a dit que c’était rien que ça pouvait faire un peu mal après à l’endroit de la piqûre, mais c’est tout, et que ça pouvait pas faire peur à un grand garçon costaud comme moi.

Alors j’ai dit « d’accord je vais faire la piqûre pour tuer le virus et protéger papi et mamie »
J’ai vu que papa et maman ils étaient super fiers de moi et ça m’a encouragé.

Ça m’a fait presque même pas mal et après l’infirmière, elle m’a mis un pansement Spiderman.
Pour fêter ça, on est allés manger le soir au Macdo avec ma sœur et papi et mamie…
J’étais le héros de la soirée.
J’ai passé une super nuit à rêver d’étoiles.

Le matin, après un bon petit dej, papa m’a amené au foot comme tous les mercredis.
J’ai montré aux copains mon pansement Spiderman et ils ont trouvé que j’étais un super héros.
Mon copain Marcel m’a dit que j’avais de la chance d’avoir été vacciné, mais que ses parents ils voulaient pas, ils disaient que c’était dangereux.
Moi j’ai dit à Marcel que c’était des « complotistes » et des « chochottes ».

Le match a commencé, j’étais un peu fatigué, un peu comme si je venais de me réveiller,..
Mais je me suis donné à fond, le match était presque terminé…
Jean m’a fait une passe, j’allais marquer un super but et, au moment de tirer, j’ai senti mon corps m’abandonner, devenir tout mou et je suis tombé.

Je me sentais bien, j’avais pas mal et je comprenais pas pourquoi tout le monde courait vers moi.
D’abord les copains, puis l’entraîneur, puis papa !
Au bout d’un certain temps, je sais pas si c’est longtemps ou pas, une ambulance est arrivée avec des docteurs.
Ils avaient l’air super inquiets et je comprenais pas pourquoi…
J’ai eu comme un choc dans ma poitrine puis mes yeux se sont fermés, comme pour se coucher.

J’entendais les adultes crier, les copains pleurer, puis il y a eu un grand silence dans lequel on n’entendait plus que le bruit des oiseaux.
C’était comme si ils voulaient pas faire de bruit pour pas me réveiller.

C’est à ce moment que je suis sorti de mon petit corps.
J’avais l’air si bien, si détendu, si paisible, si innocent…
Papa était sur moi, il pleurait et je comprenais pas pourquoi il pleurait autant.
Je lui disais que tout va bien, mais il m’entendait pas…
C’est alors que maman est arrivée en hurlant, elle a tellement secoué mon corps que j’ai eu peur qu’elle me casse.
Les docteurs ont repoussé doucement maman, ils ont mis mon corps sur un lit à roulettes avec un drap blanc sur la tête et dans l’ambulance des pompiers.

À l’hôpital papa et maman, plutôt papa, parce que maman elle continuait à pleurer sans s’arrêter.
Papa a demandé ce qu’il s’était passé…
Les docteurs ont dit que mon petit cœur avait lâché d’un coup, que j’avais fait un inf, un infac, non un « infractus » si j’ai bien compris…
Papa avait l’air en colère et il a demandé pourquoi et le docteur il a dit que c’est très très rare, mais ça arrivait des fois, « un risque sur un million » qu’il a dit….

Papa a répété que j’allais bien, que j’avais jamais jamais eu des problèmes de cœur, que j’étais en bonne santé, que j’aurais pu vivre jusqu’à 100 ans et même plus !
Et le docteur il a redit que ça arrivait des fois, encore la semaine d’avant dans un autre club de foot, un jeune de 20 ans était mort comme moi sur le terrain sans qu’on sache pourquoi.

Papa il alors dit qu’il voulait savoir et il a demandé une « opopsie »… je crois que ça sert à regarder à l’intérieur du corps, ce qui a fait pleurer encore plus maman.

J’aurais tellement voulu faire un câlin à maman, mais j’avais plus de corps pour la serrer dans mes bras. J’étais très triste que elle pleurait sans s’arrêter comme si elle allait mourir aussi, mais de chagrin.

Plus tard, quand le résultat de « l’opopsie » est arrivé, le docteur il a dit à papa que j’avais fait une « miographie[2]» je crois, et que mon petit cœur avait pas supporté les efforts.

Je me rappelle maintenant que j’avais entendu une très vieille madame « ile » à la télé, une grande savante qui disait avec le sourire que c’est sûr que des enfants vaccinés feraient des « miographies », mais qu’en l’entendant c’était pas grave…
Que grâce à la vaccination de tous les jeunes enfants, le méchant virus il circulerait moins vite.
Et les journalistes et les docteurs de la télé ils étaient tous d’accord avec elle et contents !

D’ailleurs pour les docteurs de la télé, je suis comme ils disent une « statistique ».
Je suis un nombre si petit qu’on peut dire que c’est rien.

C’est bizarre, mais quand je regardais les yeux de papa et maman à l’église, devant mon petit cercueil blanc, j’avais pas l’impression que c’est rien pour eux et que j’étais une « statistique ».

Voilà, c’est l’heure, je dois partir, je voulais être un astronaute, je voulais aller dans les étoiles et c’est fait…
Je vais rejoindre les autres enfants, les autres « statistiques » qui sont maintenant au ciel.
Grâce à eux, leurs papis et mamies sont protégés du méchant virus et mon papi et ma mamie aussi.

J’espère qu’ils sont fiers de moi, que maintenant ils peuvent vivre à l’abri du virus.

Alain Tortosa[3]

5 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211105-je-m-appelais-albert-j-avais-6-ans.pdf

  1. [1] https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20211103-Covid-19-aux-%C3%A9tats-unis-la-campagne-de-vaccination-des-enfants-de-5-%C3%A0-11-ans-lanc%C3%A9e
  2. [2] https://sfcardio.fr/actualite/risque-de-pericardite-ou-de-myocardite-apres-vaccin-arnm-contre-la-covid-19
  3. [3] « À tous les enculés qui participent sciemment et froidement au crime d’enfants. »

Alors avant de croire des recommandations mercantiles prônant l’injection anti Covid à vos enfants souvenez-vous des faits indiscutablement établis.





Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org via profession-gendarme.com]

[Voir Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français ! pour le rapport complet]

Extrait du rapport du Pr Zelenko déjà publié en entier sur PG [Profession Gendarme] ; cette partie concerne les maîtres du monde et les différentes organisations qui leur permettent de tout contrôler dans leurs seuls intérêts.
Pour ceux (trolls ou autres) qui sur le site accablent les juifs ils devraient comprendre en raison de la personnalité d’un des auteurs, le médecin, que les juifs comme les autres populations sont victimes de criminels qu’on croit juifs comme les Rothschild mais qui sont membres d’une mafia khazars qui ont pris le nom du blason corporatiste de leur boutique en Allemagne, le bouclier rouge.

Profession Gendarme

[Voir L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Qui sont ces criminels ?

Découvrez les familles obscures qui gouvernent le monde

Qui sont exactement ces criminels ? Avons-nous certains de leurs noms et où ils se trouvent ? Comment opèrent-ils et comment peut-on faire pour les arrêter ? Une partie importante de la réponse est donnée par le magnifique documentaire Monopoly, qui peut être visionné sur StopWorldControl.com.

MONOPOLY révèle en détail, avec toutes les preuves à l’écran, comment pratiquement tout dans notre monde appartient aux mêmes personnes. Cela montre qui ils sont et ce qu’ils prévoient pour l’humanité. À voir pour tout le monde !

[Voir aussi Les projets des Maîtres du Monde]

Parce que ces entités super riches possèdent tout, c’est un jeu d’enfant pour elles de contrôler le monde. Ils possèdent Apple, Facebook, Twitter, Google, Facebook et le reste de Big Tech, tous les principaux médias d’information, toute l’industrie du voyage, toute l’industrie alimentaire, les banques, l’industrie du vêtement, etc.

En achetant stratégiquement tout, ils ont acquis un monopole sans égal dans le monde entier. Quelque chose dont Jules César ne pouvait que rêver…

Ils possèdent également l’ensemble du secteur de la santé, ce qui leur permet de dire aux hôpitaux du monde entier ce qu’il faut faire et ne pas faire.

Ils ont positionné leurs marionnettes politiques dans les gouvernements du monde entier par la fraude électorale, la corruption et le chantage. Une fois que nous comprenons cela, nous pouvons voir comment ils sont capables d’imposer la tyrannie partout dans le monde.

Cela me mènerait trop loin de nommer toutes les entités individuelles impliquées, mais je vais en révéler quelques-unes, qui sont au cœur de ce réseau. En Italie, il existe par exemple 13 familles ou lignées italiennes, appelées la «noblesse noire». Je les appelle « la mafia sous stéroïdes ». Ces familles, ainsi que d’autres dynasties similaires d’autres régions de la terre, se considèrent supérieures au reste de l’humanité. Ils considèrent les gens ordinaires comme des « insectes », des « bovins » et des « chiens ». C’est littéralement comment ils écrivent sur vous et moi dans leur littérature.

Ils croient que c’est leur destin de régner sur l’humanité, qui doit devenir leurs esclaves.

Jeff Bezos, Bill Gates, Georges Soros

Ces familles sont organisées selon une hiérarchie pyramidale, où finalement tout le monde répond aux mêmes marionnettistes au sommet.

La clé de leur pouvoir est le secret, donc personne ne peut les toucher.

C’est pourquoi les vrais leaders restent toujours dans l’ombre.

La population mondiale ne voit que des marionnettes qui opèrent sur le devant de la scène mondiale, comme des politiciens contrôlés, des célébrités hollywoodiennes, des dirigeants industriels, des personnalités des médias, etc.

Certaines marionnettes plus connues sont Klaus Schwab, Bill Gates, George Soros, les Clinton, la famille Bush, etc.

Bien qu’ils soient tous individuellement très riches et puissants, ils sont soumis à des entités plus haut placées dans la hiérarchie, mais qui s’assurent de rester hors de vueLe secret est leur force.

L’une de leurs stratégies consiste à mettre en place des organisations publiques « mondiales », qui sont leurs plates-formes visibles pour élaborer leur agenda. L’un d’eux est devenu très important pendant cette pandémie organisée et s’appelle l’Organisation mondiale de la santé, qui est principalement financée par Bill Gates, une marionnette clé de ce réseau criminel. L’OMS dicte à toute l’humanité – pensez-y ! – ce que nous pouvons ou ne pouvons pas faire en matière de santé. Personne n’a élu l’Organisation mondiale de la santé et personne ne veut qu’ils soient là pour intimider chaque médecin, infirmière et praticien de la santé dans une obéissance aveugle.

L’OMS force le monde entier à se soumettre inconditionnellement à ses « directives » tyranniques, qui sont plus souvent anti-scientifiques que fondées sur une science appropriée.

L’OMS a par exemple dit au monde entier d’utiliser le test PCR pour découvrir les cas de covid, alors que ce test ne peut pas discerner les différents types d’agents pathogènes, et produit jusqu’à 93% de faux positifs. Ce test défectueux est le principal outil pour dire au monde qu’il y a une pandémie, alors qu’aucun dispositif médical dans l’histoire n’a jamais été aussi peu fiable. Pourtant, ce protocole anti-scientifique est imposé au monde entier, pour favoriser l’illusion d’une pandémie mondiale, qui repose principalement sur des faux positifs. Les centaines de millions de soi-disant « cas de covid » ne sont que des faux positifs, résultant d’un test fatalement défectueux. Le virus Sars-Cov-2 n’a jamais été isolé et purifié, il est donc impossible de le tester. C’est une arnaque aux proportions astronomiques.

C’est un exemple de la façon dont une « organisation mondiale » est utilisée pour déployer le programme de soumission de l’humanité à la tyrannie, au nom de la « protection de votre santé ».

Une organisation similaire est l’Organisation des Nations Unies, qui se présente comme le soi-disant « gardien de la paix » de ce monde. Leur agenda est cependant de soumettre toute l’humanité à un gouvernement mondial. L’ONU travaille en étroite collaboration avec l’Union européenne et l’OTAN, qui sont des outils similaires pour les familles criminelles pour anéantir l’indépendance des nations et mettre en place un gouvernement mondial.

Un autre acteur public est le Forum économique mondial, fondé par Klaus Schwab.

[Voir aussi :
Les valeurs familiales de Schwab
et
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Forum économique mondial se présente comme un groupe de réflexion pour les riches et les puissants du monde, où ils « cherchent des solutions aux problèmes du monde ».

Leur mot magique est « développement durable » qui prétend assurer un avenir meilleur à notre monde. En collaboration avec l’ONU, ils ont développé le soi-disant Agenda21, qui prétend offrir la solution ultime pour un monde plus durable.

En réalité, cela signifie rien de moins que de s’emparer de tous les droits, libertés et propriétés de l’ensemble de la population mondiale et de tout mettre entre les mains des super-riches.

Ensuite, il y a l’empire bancaire, qui contrôle tout l’argent du monde. Leur travail consiste à créer une société sans argent liquide où seuls ceux qui sont connectés numériquement au système de surveillance et d’esclavage, auront toujours accès aux finances. Le gouvernement nigérian a été généreusement payé par eux, pour réserver les services bancaires strictement aux vaccinés, un exemple qui sera bientôt suivi par d’autres pays.

Une entité de premier plan dans l’empire bancaire est la célèbre famille Rothschild. Ils possèdent les banques centrales de 165 pays, contrôlant ainsi les flux monétaires dans la plupart des pays. Depuis les temps anciens, cette famille s’est consacrée au culte de la plus sombre de toutes les forces. Une autre famille bien connue est celle des Rockefeller. Ils ont publié le « Scénario du futur » en 2010.

[Voir aussi :
Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation
et
La synagogue de Satan]

Des entités comme le Rockefeller Institute se présentent comme des protecteurs de l’humanité, mais derrière ce masque humanitaire se cache un visage macabre de soif de pouvoir.

J’ai déjà mentionné la noblesse noire d’Italie. Leur stratégie la plus efficace a été de se cacher derrière le beau visage du christianisme, lorsqu’ils ont établi le Vatican à Rome, en tant que « centre du catholicisme romain ».

Derrière l’architecture monumentale des cathédrales majestueuses, se cache pourtant un monde si sombre et pervers, qu’aucun être humain normal ne pourrait jamais le comprendre. L’exposition récente d’abus organisés et systématiques d’enfants dans ce bastion religieux n’est que la plus petite pointe d’un iceberg si profond qu’il traumatiserait la plupart d’entre nous, si nous savions ce qui s’y passe.

Ne vous y trompez pas : il y a aussi de bonnes personnes religieuses au Vatican, qui n’ont tout simplement aucune idée de ce qui se passe dans les coulisses.

[Voir aussi :
La Bête de la Mer: l’Église Catholique Romaine dans la Prophétie
Ndlr : le mot « Église » signifie originellement « Assemblée de fidèles » et l’Église guidée par Simon était une assemblée de chrétiens, d’essence spirituelle. Le Catholicisme Romain s’est lui construit sur des pierres.]

C’est tout un immense théâtre de marionnettes, où la majorité des gens – même la plupart de ceux qui sont complices – n’ont pas la moindre idée de ce qui se passe et de la façon dont tout le monde est trompé.

Le Vatican est situé à l’intérieur de la Cité du Vatican, qui est un État souverain indépendant de l’Italie, où aucune loi italienne n’a d’autorité. Parce qu’ils ne sont soumis aux lois d’aucun pays, pas même de l’Italie qui les entoure, ils peuvent commettre tous les crimes qu’ils veulent.

Des États souverains similaires à l’intérieur des nations sont « La Cité de Londres » (un État indépendant au sein de Londres qui échappe à toutes les lois britanniques mais contrôle le gouvernement britannique), « Washington DC » (ou le District de Columbia, qui est un État souverain à l’intérieur des États-Unis États, qui règne sur le peuple américain). Les familles criminelles ont mis en place ces « États au sein des nations » intouchables à partir desquels elles opèrent.

La Cité du Vatican est la plus importante de toutes, et c’est ici que les plus hauts marionnettistes ont leur siège.

Nous connaissons tous le Pape Blanc, un rôle qui est actuellement joué par le Pape François. Son travail consiste à contrôler la communauté de foi catholique romaine dans le monde entier et à l’orienter vers le Nouvel Ordre Mondial. Dans plusieurs messages publics, il appelle tous les croyants à se faire vacciner112, et continue à proclamer le Nouvel Ordre Mondial comme la seule solution aux problèmes du monde. Voici quelques-unes de ses déclarations :113

« Nous pouvons guérir l’injustice en construisant un nouvel ordre mondial … Le chemin du salut de l’humanité passe par la création de un nouveau modèle de développement … prendre soin de la Terre, avec des choix personnels et politiques radicaux, … sans pour autant une vision globale il n’y aura pas d’avenir … nous devons mettre un terme au nationalisme qui n’a pas de vision d’avenir … »

Outre le pape blanc, il existe également un pape noir moins connu qui a beaucoup plus de pouvoir, mais qui travaille davantage dans les coulisses.

Le Pape Noir est cependant toujours soumis à celui qui siège sur un trône plus élevé : le Pape Gris. Ce marionnettiste suprême opère entièrement dans l’ombre, d’où il détient un énorme pouvoir sur le monde.

Si vous voulez comprendre comment tout cela est né historiquement, vous devez rechercher les sombres origines spirituelles des jésuites. Je vais le laisser ici, pour l’instant, car ce sujet peut facilement nous conduire trop loin.

Nous devons comprendre que ce réseau criminel est de nature hautement spirituelle et que tous ceux qui sont au sommet sont impliqués dans de sombres pratiques spirituelles anciennes.

Pour parler franchement, ce sont des satanistes, aussi appelés lucifériens. Leur stratégie est cependant de toujours se cacher derrière de magnifiques masques, qui montrent le contraire de qui ils sont.

[Voir aussi : Quelle est la différence entre le diable, Lucifer et Satan? Religion la maison de l’esprit – Jecoco.com]

Nous le voyons avec Klaus Schwab, qui utilise une rhétorique éloquente pour ensorceler l’esprit de son public mondial et le convaincre que la plus noble de toutes les causes est de s’assurer que chaque humain sur terre pensera et ressentira exactement la même chose. « Elevez l’humanité dans une conscience collective ».

La façon dont il présente ce plan fou et délirant est cependant si rusée que la plupart des gens lui feraient une ovation debout, après avoir entendu son discours. La même chose que nous voyons avec le Pape Blanc, qui parle magnifiquement de prendre soin des pauvres, de mettre fin à l’injustice, de sauver la Terre et d’autres nobles causes, alors qu’en fait il dit simplement : « Le monde entier doit être asservi à un gouvernement mondial unique. , où personne n’aura de voix, de droits, de libertés, de biens, d’identité ou de vie privée. » C‘est le même genre d’hypnose qu’ils utilisent pour imposer les vaccins : « Le monde est attaqué par une maladie mortelle, mais nous avons une solution merveilleuse : des vaccins qui sauvent des vies. Hourra! » Que ces merveilleux vaccins contiennent des créatures vivantes avec des tentacules, des nanoparticules qui s’auto-assemblent, des substances hautement toxiques, et qu’elles en tuent des millions, n’est évidemment pas mentionné.

Il s’agit d’hypnotiser l’humanité en utilisant des formes raffinées d’hypocrisie et de tromperie.

Une autre façon pour ces criminels d’opérer est de s’organiser en soi-disant sociétés secrètes, pour établir leur influence cachée dans chaque nation.

En dehors des sociétés complètement cachées, il existe aussi des cultes plus publics, comme la franc-maçonnerie.

C’est l’une des organisations spirituelles les plus connues, utilisée pour influencer les autorités locales dans pratiquement chaque ville de chaque nation.

Ils attirent des personnes en position d’autorité, prétendant être une organisation innocente qui veut aider l’humanité.

Ce n’est que lorsque les membres grimpent aux niveaux supérieurs de la franc-maçonnerie, qu’ils découvrent que c’est du satanisme.

La franc-maçonnerie vise à faire des personnes influentes de chaque communauté leurs membres, afin qu’elles puissent les utiliser pour la réalisation de leurs plans.

Le lanceur d’alerte de Google Zach Vorhies109 m’a dit dans une conversation personnelle qu’en 2016, Google a présenté ses plans pour programmer l’humanité dans un endroit révélateur : le siège de la franc-maçonnerie de San Francisco. Là, Google a informé son personnel de la stratégie de l’entreprise : façonner l’esprit de l’humanité. Cela illustre comment la franc-maçonnerie joue un rôle central dans cet agenda mondial.

Les nombreuses sociétés secrètes travaillent en étroite collaboration avec les services secrets des nations, comme par exemple la CIA et le FBI en Amérique. Des entités qui, en apparence, combattent le crime, mais sont en réalité parmi les pires de toutes les organisations criminelles.

Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte, qui a été assassiné pour ses aveux, a admis il y a quelques années que les journalistes du monde entier sont payés par les services secrets, les sociétés secrètes, les agences gouvernementales, les milliardaires, etc. pour toujours mentir et ne jamais dire la vérité à le public.

[Voir Les relations troubles entre les journalistes et la CIA]

Son témoignage important peut être vu dans le documentaire BUSTED sur StopWorldControl.com. C’est à cause des aveux de ce brave journaliste – qui fut rédacteur en chef d’un des plus grands journaux d’Europe – qu’un grand réveil est en train de se produire en Allemagne. Son livre a ouvert les yeux de la population allemande, qui est désormais une force majeure contre le Nouvel Ordre Mondial.

Bien que la Cité du Vatican, Washington DC et la ville de Londres soient le siège des familles criminelles, bon nombre de leurs opérations logistiques ont été transférées vers des pays asiatiques, car ils prévoient d’utiliser la Chine pour renverser le reste du monde. Le régime communiste oppressif d’esclavage total et de contrôle qu’ils ont installé en Chine, doit maintenant être étendu au reste du monde.

Notre ennemi n’est cependant pas le Parti communiste chinois, puisqu’ils sont aussi de simples marionnettes. Ceux qui tirent les ficelles sont toujours assis dans la Cité du Vatican.

La bonne nouvelle est qu’il y a eu beaucoup de luttes intestines dans ce réseau criminel, ce qui l’a fait s’effondrer dans plusieurs camps, qui se disputent tous la domination mondiale. Puisse cette confusion parmi eux augmenter, alors qu’ils tombent dans leurs propres fosses et que leurs plans échouent lamentablement.

On peut en dire beaucoup plus sur tout cela, car de nombreux livres ont été écrits sur ce réseau criminel, par des chercheurs qui ont souvent consacré leur vie entière à les exposer. Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez trouver une mine d’informations de qualité compilées par d’excellents chercheurs sur le site Web néerlandais Ellaster.nl. Utilisez Google Translate pour lire les articles :
https://www.ellaster.nl/category/val-vancabal/cabal

Vous pouvez également regarder la série documentaire « La chute de la Cabale » sur StopWorldControl.com, un chef-d’œuvre du journalisme qui explique beaucoup de choses sur cette « cabale » mondiale. (Traduction en français de cette série de vidéos « La chute de la cabale », ici :
https://infovf.com/video/les-origines-cabale-part-the-sequel-the-fall-the-cabal-janet-ossebaard–1746.html )

Source : The vaccine death report par Valdimir Zelenko et David John Sörensen pages 37 à 42.

Traduction : par https://la-verite-vous-rendra-libres.org/




La technique répétitive de la peur basée sur du vent… sans épidémie réelle

Par Gérard Delépine

N’ayez plus peur : il n’y a plus d’épidémie en France ni dans les pays voisins

Nos gouvernants et les médias complices tentent par tous les moyens(([1] Une modélisation-prophétie catastrophe de plus de l’institut Pasteur : P Bosetti, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet, D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France, HAL Pasteur (Septembre 2021)
https://hal-pasteur.archives-ouvertes.fr/pasteur-03272638 v2))(([2] O. Veran La cinquième vague du Covid-19 imminente ? La mise en garde. La dépêche
mar. 2 novembre 2021))(([3] Dans son bilan épidémiologique hebdomadaire publié jeudi 4 novembre 2021, Santé publique France prévient, une nouvelle fois :
« la reprise épidémique (du Covid, ndlr) se confirme sur le territoire métropolitain, avec un taux d’incidence en augmentation pour la troisième semaine consécutive »)) de nous terroriser à nouveau pour prolonger le plus longtemps possible la sidération du peuple, prolonger l’état d’urgence et instaurer le contrôle de la population par le passe, le QR code, la reconnaissance faciale généralisée, et peut-être des élections tranquilles avec pass… Vive le crédit social chinois, pensent-ils, mais nous ne sommes pas des Chinois…

Mais l’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels publiés par l’OMS qu’il faut communiquer largement à notre Président et à notre Premier ministre, comme nous avons interpellé les députés et sénateurs, avec une certaine écoute.

Voici les éléments factuels à leur communiquer.

Jean Castex veut nous effrayer en parlant de « cas » sans donner de chiffres bruts

Depuis que la mortalité a presque disparu, la propagande de la terreur n’égrène plus le nombre de morts quotidiens, ni celui des hospitalisés, mais seulement celui des tests PCR positifs, dont un grand nombre sont des faux positifs, ne démontrant pas qu’il s’agit de malades, ni de porteurs de virus, ni de possibles contaminateurs, ni de futurs malades. Rappelons que le caractère non fiable du test PCR a été dénoncé par des tribunaux dès octobre 2020 et également par l’OMS courant 2021.

Et quand un média cite les « décès du jour » comme le 5 novembre par exemple sur CNews, il omet de relativiser le chiffre par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts attribués au covid versus mortalité journalière habituelle en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux… Le cancer ne paie plus pour faire pleurer les foules ? Les morts imputés au pseudovaccin seraient importants à connaître également.

De plus, il parle « d’augmentation forte de cas », mais n’en donne pas les chiffres bruts et ne compare pas notre situation à celles des pays voisins. Nous réparerons ces « oublis » en citant les derniers chiffres de l’OMS et les courbes de OurWorldinData.

En France, le nombre de cas est globalement bas et stable

Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.

Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,000 9. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20 000 cas) ou anglais (40 000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) et qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité, comme nous le verrons ci-après.

La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles(([4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique (lemediaen442.fr) )) d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, nécessitent des soins et qui parfois meurent de maladie.

Les chiffres du réseau Sentinelles montrent que l’épidémie est terminée

D’après le réseau Sentinelles,(([5] Le réseau Sentinelles officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population.
La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le laboratoire de virologie de l’Université de Corse.)) l’incidence est inférieure à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100 000 habitants en 2016)

Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas aux infections liées au covid, mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aiguës — taux fixé plus bas qu’avant 2020 —, pour mieux inquiéter la population.

En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021 :

Publié le 03/11/2021

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).

« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les enfants entre 0 et 4 ans.

D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter :
une circulation des rhinovirus (hRV),
virus respiratoire syncytial (VRS),
métapneumovirus (hMPV)
la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en Île-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau Sentinelles.

Les chiffres de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France

Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2 % de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.

En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’Institut Pasteur, toujours démenties par les faits qui ne constituent que des arguments de propagande terrorisante.

Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021

Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid tracées d’après les données de l’OMS.

Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial

Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère. C’est le cas du variant delta dont la forte propagation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.

Prévoir l’avenir est difficile

Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.

Même si le covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.

N’ayez plus peur.

N’écoutez plus les désinformations officielles qui ne visent qu’à prolonger une terreur irrationnelle qui empêche de réfléchir.

Regardez les faits, seulement les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens. Vous constaterez que l’épidémie est terminée.

Analysez les données de l’OMS sur l’Afrique qui souffre de paludisme en les comparant aux pays africains qui n’ont pas utilisé d’antipaludéens et vous verrez que les antipaludéens sont très efficaces.

Analysez les données de l’OMS sur l’Inde et vous serez convaincu de l’efficacité de l’Ivermectine.

N’ayez plus peur, mais prenez vos précautions en achetant dès maintenant Nivaquine et Ivermectine qui ne coûtent rien et se conservent plusieurs années pendant qu’ils sont autorisés, car il est à craindre qu’ils ne soient plus disponibles quand ils seraient nécessaires.





La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Imaginez que l’humanité déciderait un jour – très bientôt – d’arrêter de porter des masques. À l’unisson : pas [de masques] dans la rue, pas dans les restaurants, pas dans les magasins, pas dans les événements sportifs – tout simplement nulle part. Contre tous les ordres d’une bonne partie des 193 gouvernements membres de l’ONU, ou du moins des gouvernements occidentaux. Et, en effet, contre l’ensemble du système des Nations Unies – contre les ordres de M. Antonio Guterres, lui-même. Oui, en effet. Beaucoup d’agences des Nations Unies, pas encore toutes, ont commencé à rendre obligatoire l’injection pour leur personnel… ou autres.

Comment se fait-il que tout le monde n’ait pas encore pensé que quelque chose ne va pas ? Qui va très mal. Se peut-il qu’il s’agisse simplement de la dissonance cognitive ? Vous savez qu’il y a quelque chose qui ne va pas du tout, mais le confort de votre maison ne vous permet pas de l’admettre ? C’était le cas dans le Troisième Reich, cela a mis en avant la tyrannie d’Hitler. Le reste appartient à l’histoire.

L’alternative à envisager serait que tous ceux qui ont décidé de ne pas se faire injecter s’en tiennent à leur décision et la rendent publique. Ils défient les ordres totalement illégaux et inconstitutionnels du gouvernement, le système de l’ONU qui reçoit leurs ordres de l’obscur culte invisible menaçant de mort ceux qui refusent d’obéir.

Il faut s’imaginer que personne n’écouterait ces ordres absurdes et anticonstitutionnels, pas même la police, ni l’armée – les deux institutions chargées d’appliquer la loi se rangeraient du côté du peuple – ce même peuple dont ils ont juré de défendre les droits.

En fait, cela s’est produit plus d’une fois dans le monde, là où la brutalité policière était particulièrement importante, un groupe de policiers de première ligne a soudainement enlevé leur casque et marché avec le peuple – en France, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Suisse et ailleurs. Dernièrement, une situation similaire s’est probablement manifestée dans l’État de Victoria, en Australie, où les habitants de Melbourne sont littéralement confinés depuis des mois.

Une policière a démissionné et s’est présentée sur le devant de la scène en donnant des entrevues et en révélant que la majorité de ses collègues pensent de la même façon, mais ils ont peur de perdre leur emploi et / ou d’être punis par le gouverneur tyrannique de Victoria. C’est un bon début. Regardez ce reportage.

Cela doit se produire à l’unisson. Dans la solidarité. Dans la plupart des pays européens, vous n’êtes pas le droit d’aller au restaurant ou à tout événement public à moins que vous ne puissiez présenter le votre preuve de vaccination anti-Covid (certificat vaxx) – un infâme code QR sur votre téléphone portable, qui sera lu par un autre téléphone portable, programmé pour lire votre QR-code.

Photo : Manifestation à Montréal, le 30 octobre 2021, par Micheline Ladouceur

Vous n’avez aucune idée de ce qui est ou de ce qui sera éventuellement mis sur ce code QR. L’objectif est d’obtenir tous vos renseignements personnels, votre dossier médial complet, votre casier judiciaire, en passant par vos comptes bancaires – tout sur vous en fait. Mais cela sans que vous soyez au courant. Vous ne pouvez pas lire ce qui se trouve sur le code QR. « Eux », « ils » le peuvent, car il est programmé de cette façon.

En fait, l’objectif est d’implanter ce code QR dans votre corps. C’est à peu près ce que Klaus Schwab a fièrement dit dans un bref entretien (environ 2 minutes de vidéo ci-dessous) avec la télévision suisse française en 2016. Il présente les choses comme suit :  : les humains deviendront des « transhumains ».

Vidéo : Vers la tyrannie numérique avec Peter Koenig



La vidéo a depuis été « vérifiée » (“fact-checked”) sur Internet. M. Microsoft, Bill Gates, a en fait parlé d’un système d’exploitation (Operating System) implanté dans le corps humain. Ainsi, nous, les humains, devons avoir un corps capable de répondre aux ondes électromagnétiques, en d’autres termes, notre corps doit être transformé en champs électromagnétiques (CEM). Cela se fait, par l’ARNm- « vaccin » (« vaxx)  qui est injecté dans les tissus de notre corps.

Avez-vous remarqué que Pfizer et Moderna, les deux sociétés pionnières  de l’ARNm – qui n’est absolument pas un vaccin, vous feriez mieux de le croire – sont-elles les seules compagnies à avoir obtenu l’autorisation en Occident ? Ils ont maintenant ajouté AstraZeneca et Johnson & Johnson – ces « vaccins » ne sont différents que dans la mesure où leur mécanisme de « mise à mort » est différent.

Ces « vaccins » produisent également des caillots sanguins et des protéines de pointe (protéine Spike). Les premiers peuvent entraîner des blocages respiratoires allant jusqu’aux embolies du poumon, du cerveau, voire du cœur. La protéine de pointe se propage à toutes vos cellules. Ils finissent par attaquer votre système de défense immunitaire, vous rendant beaucoup plus vulnérable à tout type de maladie, en particulier aux cancers. Pourquoi n’autorisent-ils pas le Spoutnik V russe ou l’un des vaccins chinois, tous deux basés sur des méthodes de vaccination traditionnelles ?

Les Russes et les Chinois ne travaillent pas pour le programme de réduction de la population.

Voyez cette histoire / vidéo d’horreur bien documentée par le Dr Madej : Dr. Carrie Madej: First U.S. Lab Examines “Vaccine” Vials, Horrific Findings Revealed (Dr Carrie Madej : Premier États-Unis Le laboratoire examine les flacons « vaccins », des résultats horribles révélés). Non, ce n’est pas pour effrayer qui que ce soit. C’est pour apporter la réalité dans le confort de votre maison et, espérons-le, vous jeter hors de votre confort dans un monde auquel vous et tout le monde devez participer à la résistance.

Savez-vous que les vaccins d’ARNm vous injectent du graphène, un fluide hautement toxique, qui crée dans tout votre corps un champ électromagnétique (CEM), réceptif aux ondes courtes ultra-courtes 5G et bientôt 6G qui pourront éventuellement manipuler votre cerveau et toutes vos informations, maintenant progressivement stockées sur votre QR-code personnalisé, vous transformant, humain, en – selon les mots de Klaus Schwab, un « transhumain » – qui n’est plus en possession de sa propre volonté ou de son compte bancaire ?

Votre argent, soit dit en passant, si vous ne l’avez pas déjà remarqué, ne sera bientôt plus de l’argent physique que vous pourrez toucher et remettre à un caissier ou à un fournisseur, mais il s’agira de toute l’argent électronique et numérique, sur lequel vous pouvez toujours avoir le contrôle, parce qu’ils vous le permettent. Mais une fois qu’ils auront décidé que vous devez abandonner le contrôle, il disparaîtra.

Avez-vous remarqué à quelle vitesse les distributeurs automatiques disparaissent ? Comment les caissiers dans les banques disparaissent? Ils ne seront bientôt plus nécessaires, car vous ne contrôlez plus l’argent liquide. Il y a des pays d’Europe du Nord qui en sont presque là : la numérisation complète. Dans certains pays, dont la Suède, certaines personnes ont déjà volontairement laissé implanter une nanopuce sous la peau de leur poignet. La puce fonctionne comme un compte bancaire intégré. Les jeunes adorent ça. C’est tellement cool. Vous balayez votre main, même plus de carte et le paiement est effectué. Sauf que ces personnes n’ont aucune idée de la façon dont cela se déroulera dans le futur.

Attention, cela ne s’applique qu’aux personnes qui survivent à la fausse vaccination – ou plutôt à la campagne d’inoculation. Parce que, savez-vous, que beaucoup plus de personnes sont mortes et meurent encore en recevant le vaccin-ARNm toxique que de la covid elle-même ? – Non, bien sûr que non. Le gouvernement et les grands médias ne vous en parleront pas. Les HARSAH reçoivent des milliards de dollars des gouvernements pour vous mentir.

Donc, tout ce qui précède ne s’applique qu’aux personnes qui survivent aux inoculations à long terme. Parce qu’il y a de fortes chances que vous ne surviviez pas. Du faux vaccin, pas du covid. Voir la vidéo en anglais : A Final Warning to Humanity from Former Pfizer Chief Scientist Michael Yeadon (Vidéo : Un dernier avertissement à l’humanité de l’ancien scientifique en chef de Pfizer Michael Yeadon).

Revenons au port du masque. C’était la première étape – dans la phase du verrouillage (Lockstep) – souvenez-vous du rapport Rockefeller 2010 – où les auteurs décrivent la « phase Lockstep« , ce qui signifie que les 193 pays membres de l’ONU les 193 pays membres de l’ONU font la même chose au même moment, le verrouillage (en « lockstep ») ? – Eh bien, nous avons déjà dépassé cette phase.

Cette phase Lockstep permet à chaque gouvernement du monde d’ordonner à son peuple de porter des masques, partout. La science (non corrompue) a prouvé depuis longtemps que le port du masque ne prévient ni le covid ni aucune maladie virale, mais cela cause d’énormes dommages en réduisant l’apport en oxygène de 20 à 50 %, selon le type de masque. Au lieu de cela, vous respirez votre propre CO2.

Mais ce n’est pas tout, les séquelles psychologiques causés par le port forcé d’un masque sont énormes. C’est une humiliation pure et simple; c’est une expérience pouvant mener à la dépression. Vous parlez aux gens, mais vous ne pouvez pas les reconnaître dans de nombreux cas, les voix sont étouffées, souvent difficiles à comprendre – et l’expression faciale qui en dit tant dans une conversation a disparu. Les dépressions ont explosé, tout comme les suicides. Mais les gouvernements et les grands média, bien rémunérés, ainsi que la « science corrompue » (bought science), ne parlent pas de ces effets désastreux.

À propos de la « science corrompue » : Beaucoup de gens ne peuvent tout simplement pas imaginer le monde corrompu que nous sommes devenus en l’espace de seulement deux décennies.

Mettons le début du compte à rebours au 11 septembre.

C’est à ce moment-là que les grands mensonges officiels ont commencé, et que la coercition des diseurs de vérité s’est installée. La plupart des scientifiques, de la police ou d’autres témoins de première main ont des familles, une carrière, un revenu stable. Ils ne veulent pas de « ennuis ». Et les ennuis peuvent aller du harcèlement à la perte d’emploi en passant par la mort. Ce n’est pas une blague. C’est ainsi que fonctionne le « système » aujourd’hui. Soit vous êtes dans la matrice et vivez une vie d’un certain confort, soit vous prenez la pilule rouge – et vous êtes seul.

Dernièrement,  le système a franchi une étape supplémentaire : l’internet, « la mine d’or » de toutes les informations, est soumis à une censure sévère.

Toutes les informations gênantes sont soit complètement supprimées, soit « vérifiées par les faits ». Si vous vérifiez qui est derrière les vérificateurs de faits (“fact-checked’), ce que la plupart des gens ne font pas, vous voyez qu’il s’agit de grands groupes d’intérêt, dans le cas du covid, principalement des produits pharmaceutiques, aidés par Bill Gates et compagnie. Il est donc de plus en plus difficile de trouver des informations crédibles.

Youtube vient de déclarer que toute information, aussi scientifiquement prouvée soit-elle, qui va à l’encontre du « récit officiel du changement climatique » sera supprimée. C’est si simple. Nous sommes ainsi contrôlés alors que la VÉRITÉ est dominé et manipulé par des intérêts privés.

Oui, le monde a besoin d’une Grande réinitialisation (Great Reset), mais non pas à la façon Klaus Schwab, pas non plus selon le FEM (Forum économique mondial) mais selon une conception issuet du peuple. C’est pourquoi la solidarité, et non la soumission, est si importante. Quand prendrons-nous conscience de cette réalité ?

Il y a néanmoins d’importantes exceptions. Aux États-Unis, au moins au Texas et en Floride et dans d’autres, États, principalement les États républicains, ne suivent pas le mot d’ordre de port du masque, ni toutes les conséquences qui l’accompagnent, comme les tests. Les gens sont libres de porter ou de ne pas porter le masque. La plupart ne le portent pas. Et le taux de contamination covid est en fait moins élevé que dans d’autres États, comme la Californie, où cette règle absurde est strictement appliquée. Peut-être que cette « moins grande incidence du covid », comme au Texas, va de pair, avec le nombre de personnes qui n’optent pas de se faire injecter. De plus, les rapports du gouvernement de l’État sont plus honnêtes que dans les États qui imposent le port du masque et injection.

C’est quelque chose à prendre en considération.

Pour augmenter la cadence de la peur – Bill Gates a déjà déclaré en 2018 qu’une maladie bien plus mortelle que le covid attend peut-être l’humanité, une épidémie de Marburg-R. Regardez ça.

C’est une fièvre hémorragique qui a été décrite pour la première fois en 1967, avec une brève épidémie qui a tué 376 personnes. Il est décrit comme étant à peu près aussi mortel qu’Ebola. Dans la vidéo ci-dessous se trouve un message de Kieran Morrisey – directeur de l’hôpital universitaire, Dublin, Irlande. Voir aussi ça de plus près.

Vrai ou faux ? Peu importe. Il est d’abord conçu pour inculquer la peur, et la peur, nous le savons maintenant, abaisse notre système de défense et nous rend vulnérables à obéir aux ordres – exactement ce que nous, en tant qu’humanité, devrions cesser de faire et de redevenir nous-mêmes : des êtres humains souverains.



L’étape suivante est la numérisation complète. La vaccination imaginaire qui est contrainte par quelque moyen que ce soit par l’administration Biden, qui est un excellent exemple pour de nombreux pays européens, et le QR-code progressent rapidement, sans même que les gens ne s’en rendent compte.

N’oubliez pas que l’Agenda ID2020 – également une invention de Bill Gates – bat son plein. Voyez ceci.

Il est maintenant testé en Afrique de l’Ouest, où des personnes se sont portées « volontaires » pour participer à un exercice dans lequel elles n’ont accès à leur argent que par le biais d’un « compte bancaire » implanté dans leur corps. Ce compte peut être et est contrôlé de l’extérieur. C’est une partie de ce qui nous attend en Occident lorsque la Grande réinitialisation se mettra en place. Voir aussi ceci (dernier tiers de la même vidéo que ci-dessus) Dr. Carrie Madej : Le premier laboratoire américain examine les fioles de « vaccins », des résultats horribles sont révélés (en anglais).

Dans une certaine mesure, ce système est également testé par certaines personnes en Suède qui ont volontairement implanté sous leur peau une puce. Peut-être plus encore, mais ils ne le savent pas.

C’est la future codification QR du monde.

Il faut donc être conscient de ce à quoi les codes QR sont réellement destinés, de ce qu’ils peuvent faire et feront à l’avenir, si nous ne les arrêtons pas. C’est toujours la même question. Nous devons être pleinement conscients de ce qui arrive – et nous devons nous libérer de la peur, nous devons devenir désobéissants et redevenir nous-mêmes. Nous devons revenir à ce que nous sommes depuis la naissance, des êtres humains souverains.

Nous n’avons pas de temps à perdre. Nous devons réagir rapidement.

Peter Koenig


Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation

Lien vers l’article original :

The Final Solution. Full Digitization. “The QR Codification of the World”
By Peter Koenig, le 22 octobre 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation

Image en vedette : Image du domaine public de la page COVID-Protest de Wiki.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Quelques députés européens s’élèvent contre les mesures discriminatoires covidiennes

[Source : Quadrillage Traduction]

Les députés européens se positionnent contre le pass vert sanitaire — Conférence de presse du 28 octobre 2021 à Bruxelles



Transcription et traduction par Quadrillage Traduction

Cristian TERHES — Roumanie

Déjà en ligne. Tout va bien. Cool. Eh bien, merci beaucoup d’être à nouveau ici avec nous. Une semaine s’est écoulée depuis la dernière conférence que nous avons tenue à Strasbourg, où nous avons fait part de nos profondes inquiétudes quant à ce qui était prévu au Parlement, en particulier la décision du Bureau des dirigeants du Parlement de priver pratiquement tout le personnel, nos assistants et nous-mêmes en tant qu’élus directs par les citoyens européens, toutes ces personnes vont être privées de leurs droits fondamentaux, le droit de travailler, le droit de décider ce qu’elles veulent faire de leur propre corps. Et néanmoins, dans notre cas, le droit que nous avons et les immunités parlementaires que nous avons en tant qu’élus par le peuple de ne pas être influencés de quelque manière que ce soit lorsque nous accomplissons notre mandat. Donc chacun d’entre nous qui sommes présents ici et beaucoup d’entre nous sont à la maison pour nous soutenir, nous avons cette situation de pandémie, beaucoup d’entre nous à cause de toutes ces mesures sont à la maison, mais ils sont tous derrière nous. Nous sommes donc à nouveau ici aujourd’hui pour exprimer exactement ce qui s’est passé. Chacun d’entre nous va présenter de son point de vue ce qui s’est passé au cours de cette semaine au Parlement, et quel est le plan en cours. J’ai à ma gauche, ma collègue d’Italie, Francesca Donato, ma collègue d’Allemagne, Christine Anderson, une autre collègue du groupe similaire. Et à ma droite, j’ai mon collègue de Croatie, Ivan SINCIC. Et une autre collègue de Croatie, KOULOKTSIC;. Est-ce correct ? Oui, en fait c’est Mislav KOLAKUSIC;. Je sais que c’est difficile avec tous ces noms, mais ce qui est amusant c’est que nous sommes du même côté, venant de pays différents, et nous soutenons exactement la même chose, le respect des droits fondamentaux de chaque personne travaillant pour le Parlement et de chaque citoyen européen. Donc, sans plus attendre, j’aimerais que ma collègue Christine Anderson prenne la parole.

Christine Anderson — Allemagne

Oui, bonjour. Tout d’abord, merci beaucoup à tous ceux d’entre vous qui se sont donné beaucoup de mal pour nous exprimer leur soutien dans une quantité écrasante de courriels. Merci beaucoup. Nous faisons cela pour vous. Dans toute l’Europe, les gouvernements ont fait des efforts considérables pour que les gens soient vaccinés. On nous a promis que les vaccinations allaient changer la donne et restaurer notre liberté. Il s’avère que rien de tout cela n’était vrai. Le vaccin ne vous rend pas immunisé. Vous pouvez toujours contracter le virus et vous pouvez toujours être contagieux. La seule chose que ce vaccin a faite à coup sûr, c’est de déverser des milliards et des milliards de dollars dans les poches des entreprises pharmaceutiques. J’ai voté contre le certificat vert numérique en avril dernier. Malheureusement, il a été adopté malgré tout, ce qui montre bien qu’il n’y a qu’une minorité de députés européens qui défendent vraiment les valeurs européennes. La majorité des députés européens, pour des raisons que je ne connais pas, soutiennent manifestement l’oppression du peuple tout en prétendant sans vergogne le faire pour le bien du peuple. Mais ce n’est pas le but qui rend un système oppressif, ce sont toujours les méthodes par lesquelles le but est poursuivi. Chaque fois qu’un gouvernement prétend avoir à cœur l’intérêt du peuple, il faut y réfléchir à deux fois. Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. Qu’est-ce qui nous fait croire que c’est différent aujourd’hui ? Si le siècle des Lumières a apporté quelque chose, c’est certainement ceci : ne prenez jamais pour argent comptant ce qu’un gouvernement vous dit. Remettez toujours en question tout ce qu’un gouvernement fait, ou ne fait pas. Cherchez toujours les arrière-pensées et demandez toujours Cui Bono à qui cela profite. Lorsqu’une élite politique fait pression à ce point et recourt à l’extorsion et à la manipulation pour arriver à ses fins, vous pouvez presque toujours être sûr que votre intérêt n’est certainement pas celui qu’elle avait à cœur. En ce qui me concerne, je ne me ferai pas vacciner avec quoi que ce soit qui n’a pas été correctement examiné et testé et qui n’a pas montré de preuves scientifiques solides que les avantages l’emportent sur la maladie elle-même ni sur les effets secondaires à long terme dont nous ne savons rien à ce jour. Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental. Et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, il me donnera la liberté. Soyons clairs sur un point : PERSONNE NE M’ACCORDE LA LIBERTÉ puisque JE SUIS UNE PERSONNE LIBRE. J’ose donc prendre le risque que la Commission européenne et le gouvernement allemand me jettent en prison, m’enferment et jettent la clé si ça leur chante. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si le citoyen libre que je suis choisit de ne pas se faire vacciner. Enfin, je voudrais que vous réfléchissiez à cette question. L’utilisation obligatoire du certificat vert numérique porte atteinte à tout ce que les Européens défendent. Elle viole les droits fondamentaux garantis par la Constitution et constitue le premier pas vers l’insupportable système de crédit social chinois. Je ne tolérerai jamais cela. Je ne supporterai jamais cela. Merci.

Francesca DONATO — Italie

Merci.

Merci, Christine. Je suis d’accord avec presque tout ce que vous avez dit, mais ce que je veux ajouter ici, c’est que ce dont nous discutons aujourd’hui et ce qui devrait nous inquiéter n’est pas une question d’être pour ou contre les vaccins Covid. La question aujourd’hui est de savoir si nous sommes censés laisser les citoyens européens sans la sauvegarde de leurs droits fondamentaux et précisément le droit d’avoir un emploi, d’être traité de manière égale par les institutions sans aucune discrimination et le droit de protéger l’intégrité de leur corps en choisissant une liberté complète, celle d’accepter ou non un traitement sanitaire. Tous les citoyens doivent être libres de choisir les risques qu’ils veulent courir pour leur propre santé et ceux qu’ils ne sont pas prêts à affronter. L’obligation de faire fonctionner les certificats Covid n’est qu’une extorsion du consentement à un choix personnel sur son propre corps et viole les droits de l’homme tels qu’ils sont inscrits dans la charte européenne et dans de nombreuses lois de l’UE. Nous sommes ici pour appeler au respect des valeurs fondamentales européennes et de la liberté, à la non-discrimination, et à la dignité humaine. Si nous acceptons le mandat d’un certificat numérique pour l’exercice de nos droits fondamentaux, nous ne bénéficierons plus de ces droits en tant qu’êtres humains, mais nous serons soumis à l’autorisation de certaines autorités pour vivre notre vie en liberté. Est-ce là le modèle de société dans lequel nous voulons vivre ? Est-ce là l’Europe que nous avons été élus pour représenter ? Les droits de l’homme sont-ils facultatifs selon nos valeurs fondamentales ? Ma réponse est NON, NON, NON ! !! Nous avons reçu notre mandat directement des citoyens européens et nous leur devons un respect total avant tout autre sujet privé ou public. Personne, aucune instance n’est légitimée à nous empêcher d’exercer notre mandat sauf si nous commettons un crime et que le Parlement tout entier décide de révoquer l’immunité diplomatique que les traités nous accordent. Le Bureau du Parlement ne peut pas violer les garanties de nos députés pour quelque raison que ce soit, et il ne peut pas non plus restreindre les droits des travailleurs européens. Nous défendrons nos droits et vos droits par tous les moyens, qu’ils soient juridiques, politiques ou physiques. L’heure n’est plus à la peur et à l’hésitation. Aujourd’hui, il est grand temps d’être courageux et unis. C’est ce que nous sommes. Merci,

Ivan SINCIC — Croatie

Merci beaucoup, mes chers collègues. Cette semaine encore, nous sommes ici pour dire non à la discrimination et non à la ségrégation. Nous sommes ici pour défendre les droits fondamentaux et les droits de l’homme. Je vais le répéter. Le certificat vert numérique est illogique, il n’est pas scientifique et il est inutile pour résoudre cette crise. Au contraire, il donne aux personnes qui le portent un faux sentiment de sécurité, qu’elles ne peuvent pas être infectées elles-mêmes ou infecter les autres. De plus en plus de données scientifiques et d’expériences quotidiennes le confirment. La DGC ne concerne pas ici notre santé. Il s’agit de politique. Il s’agit de droits. Partout en Europe, des politiques ont été mises en place qui ont volé la vie normale des gens. Les gouvernements font de plus en plus de chantage aux citoyens. Le gouvernement croate admet ouvertement que les DGC ne sont qu’une pression supplémentaire sur ceux qui ne veulent pas se faire vacciner pour une raison quelconque. Vous ne pouvez pas avoir une vie normale si vous n’avez pas de DGC. Vous ne pouvez pas avoir vos libertés si vous n’avez pas de DGC. D’un autre côté, les personnes en bonne santé sont privées de leurs libertés et de leurs droits constitutionnels. Ils ne vont pas arrêter, mes amis. Il faut les arrêter. Cela ne va pas s’arrêter tout seul. Cela va s’étendre. Cela viendra à votre porte. Il fera chanter votre vie, chaque partie de votre vie. C’est pourquoi nous disons continuellement non. Nous avons nos droits inaliénables. Cela signifie que personne ne peut nous les enlever. Nous avons des documents internationaux tels que la Convention d’Oviedo, le Code de Nuremberg, les résolutions des Conseils de l’Europe, ou divers types, les conventions de bioéthique, etc. Ces documents ne signifient-ils plus rien ? N’ont-ils pas été, au moins pour certains d’entre eux, ratifiés par notre Parlement ? N’ont-ils pas été un standard immuable ? Depuis des décennies ? Bien sûr que si. Et les constitutions nationales ? N’ont-elles pas plus de valeurs ? Si, elles en ont. Et nous avons même des décisions de cours constitutionnelles en Europe qui montrent que tout cela est mauvais et que les libertés ne peuvent pas être supprimées et que les amendes qui ont été imposées aux citoyens qui voulaient simplement être libérés de la nature obligatoire de tout cela, que ces amendes doivent être supprimées et que l’argent doit être rendu à ces citoyens.

Ces documents et normes que j’ai mentionnés sont toujours en vigueur. Ils n’ont pas été retirés du pouvoir simplement parce qu’un gouvernement a fait pression avec une politique différente. Ils sont toujours en vigueur et ils le seront toujours. Et nous nous battrons pour ces normes et documents, et nous les invoquons. Une autre norme que nous avons est que les citoyens européens ont le droit de choisir leur propre thérapie pour n’importe quelle maladie, y compris le Covid 19. Ils ont le droit, en consultation avec leur médecin, avec leur médecin de famille, de faire les meilleurs choix pour leur santé. Qu’il s’agisse d’un vaccin ou d’un traitement, ou de tout ce qui sera inventé. C’est votre propre choix en tant que patient. Aucun gouvernement ne peut vous contraindre à choisir un certain type de produit médical. Le certificat vert numérique est un problème européen. Ce n’est pas seulement un problème de l’Italie ou de la Lituanie ou du Parlement européen maintenant, le bâtiment du Parlement européen. C’est un problème européen. C’est un problème commun. Ce n’est pas le problème d’un seul pays européen. C’est un problème qui nous concerne tous. Cela ne sera pas limité, comme je l’ai dit, à un seul pays, cela viendra à votre porte. Et plus tôt nous dirons non, plus fort sera le message que nous enverrons. J’appelle tous les peuples libres d’Europe à résister à la DGC partout où ils le peuvent. Luttez pour vos droits.

Merci ;

Cristian TERHES

Nous avons été élus par le peuple. C’est ce que dit le Traité. Mais nous ne devons pas oublier que nous sommes élus ici POUR les gens. Nous devons avoir à l’esprit le meilleur intérêt des gens, parce que c’est la raison pour laquelle ils nous ont élus ici au Parlement européen. Tous ces dirigeants du Parlement européen aiment se féliciter eux-mêmes, chaque fois qu’ils vont en conférence de presse pour dire que c’est l’institution la plus démocratique de l’Union européenne. La question qu’il faut leur poser est la suivante : est-ce vraiment le cas ? Avez-vous dit à ces personnes au Parlement européen quand vous avez décidé de supprimer leurs droits fondamentaux, pourquoi vous l’avez fait ? Vous voyez, nous avons tous ces traités, comme l’a dit mon collègue, selon lesquels aucun traitement médical ne doit vous être imposé à moins que vous n’en décidiez librement et en connaissance de cause. Maintenant, il est clair que ce qu’ils font maintenant pour conditionner les acteurs du Parlement, pour avoir ce certificat vert, viole la liberté des gens de choisir avec quoi ils veulent être vaccinés ou testés ? Mais il y a l’autre aspect, et la question que j’ai adressée non seulement à vous, au Parlement, mais à chaque citoyen européen, de demander à votre propre gouvernement. Avez-vous été correctement informés de ce qui se passe ? Parce que nous avons eu beaucoup de débats au début de cette année au Parlement où nous avons demandé un accès complet au contrat signé entre ces sociétés qui produisent les vaccins et l’Union européenne. Et je cite un article d’EUROACTIV qui dit ce qui suit, article du 22 janvier 2021 qui dit ce qui suit :  « le contrat signé entre l’entreprise pharmaceutique et la Commission européenne en novembre 2020 a été mis à disposition mardi dans un format rédigé après que l’entreprise ait accepté d’ouvrir le contrat à l’examen ». Quoi ? Quoi ? Vous imposez donc un produit médical aux citoyens européens. Nous avons découvert qu’ils savaient ce qu’il y a dans ce contrat, pas seulement eux, mais nous, nous ne le savons pas. Donc après beaucoup de pression au Parlement, comme le dit l’article, ces contrats ont été divulgués à nous et au public. Et je veux vous montrer certaines de ces pages. Et vous me direz s’il est acceptable que les citoyens européens soient exposés à cette situation où ils ne peuvent pas venir travailler, où ils ne peuvent pas entrer dans un magasin, où ils ne peuvent pas aller à l’école avec leurs enfants, où ils ne peuvent pas se déplacer librement d’un pays à l’autre à moins d’être vaccinés avec l’un de ces produits. Voilà donc les contrats qui ont été divulgués par la Commission avec l’approbation de l’entreprise. C’est du jamais vu. Et je vais juste vous montrer les pages. Ce sont les pages, vous voyez. (Les articles des pages sont entièrement noircies, NDLR).

Rires du public.

Ils appellent ça la transparence de nos jours…

C’est donc le principe fondamental de la démocratie. Je vous demande, les gars, est-ce de la transparence ? Est-ce que vous voyez quelque chose ? Parce que nous ne voyons rien ! L’argent des citoyens européens a été donné par Ursula von Der Leyen à ces entreprises. Que s’est-il passé avec cet argent ? Où est-il ? Pourquoi ne sont-ils pas disponibles pour le peuple et totalement transparents ? Pour que nous sachions tous ce qui se passe. La différence entre la tyrannie et la démocratie est très simple : lorsque le gouvernement sait tout sur vous, c’est la tyrannie. Je sais ce que c’est que de vivre dans la tyrannie. Quand vous savez tout sur votre gouvernement, c’est la démocratie. C’est pourquoi nous sommes en train de faire l’éloge de cette institution. C’est l’institution la plus démocratique de l’Union européenne et même nous, les députés, élus directement par le peuple, pour le peuple, nous n’avons pas été en mesure de voir dans ce contrat. Donc comme nous l’avons dit la semaine dernière, nous sommes là pour vous et nous nous battrons pour vous. Je sais que beaucoup d’entre vous luttent dans toute l’Europe et que beaucoup d’entre vous travaillant pour les institutions européennes luttent en ce moment. Mais un ancien président américain a dit que la liberté était à une génération de l’extinction. Nous vivons ce genre de moment maintenant, et c’est notre devoir et notre appel à combattre la liberté. Merci.

Eamonn KELLY — République d’Irlande

Mon nom est Eamonn Kelly. Je suis l’attaché de presse pour aujourd’hui. Je demande à tous les journalistes ici présents, et seulement aux journalistes, s’il vous plaît, car c’est une conférence de presse, de lever la main. Dites-moi votre nom, votre organisation médiatique, et je prendrai une question. Donc tous les journalistes présents ici, pouvez-vous s’il vous plaît lever la main ? De la bonne volonté, s’il vous plaît.

Journaliste 1

(Présentation inaudible). Il est clair qu’autour du passeport vert dans toute l’Europe, d’accord, il est clair que vous n’en voulez pas. Avez-vous une idée d’une alternative que vous voulez proposer, ou pensez-vous que nous devrions juste faire comme si rien ne se passait et vivre notre vie normalement et en ce qui concerne l’obligation de vaccination, le pass vert est aussi un test pour être testé. Vous n’êtes pas obligé de vous faire vacciner. Vous pouvez vous faire tester, notamment au Parlement européen où vous avez le privilège d’avoir des tests gratuits, ce que d’autres personnes n’ont pas, ne pensez-vous pas que ce serait une alternative pour vous de passer un test ? Merci.

Francesca DONATO

Merci. Eh bien, le fait est qu’il n’est pas vrai que dans toute l’Europe nous avons des certificats Covid exigés pour exercer notre liberté. Le certificat Covid a été introduit par ce Parlement juste pour favoriser la libre circulation entre les Etats membres au moment où les frontières étaient fermées à cause de la propagation de la pandémie. Et c’est la raison pour laquelle le Parlement a voté cette mesure avec la garantie de ne permettre aucune discrimination entre les citoyens et surtout pour les citoyens non vaccinés. Ce que nous voyons aujourd’hui est un abus de ce certificat, une distorsion de son objectif initial. Et l’alternative est de laisser les gens libres d’exercer leurs droits, leurs droits à la libre circulation, le droit au travail, le droit de vivre une vie pleine et entière dans la dignité, parce que les tests sont un traitement médical et nous ne pouvons pas être forcés même à faire des tests toutes les 48 heures, parce qu’imposer des tests seulement aux personnes non vaccinées est juste une discrimination parce que cela introduit une sorte de présomption, une présomption absolue d’être infectieux pour les personnes qui ne sont pas vaccinées, ce qui est totalement infondé du point de vue scientifique, parce que les personnes non vaccinées sont très souvent immunisées contre le Covid pour la guérison ou en tout cas, sont des personnes saines, parfaitement saines. Et le risque d’être infecté n’est pas lié au fait d’être vacciné ou non. Donc il n’y a aucune base légale ou scientifique pour cette mesure.

Eamonn KELLY

Merci beaucoup. Puis-je avoir d’autres journalistes ici avec des questions, s’il vous plaît ? Eh bien, puis-je demander au journaliste en ligne là-bas de l’ANSA de lever la main et de poser une question.

Cristian TERHES

Oui, je vois qu’il y a une question de Laura ZORMOZA. Je vais lire la question à haute voix. « Je me demandais si les intervenants prévoient une action contre le Parlement européen ou quelles sont les prochaines étapes pour ce groupe ? »

Nous avons déjà eu deux conférences de presse et je dirais que ce n’est que le début de ce qui va arriver. Et comme nous l’avons dit aujourd’hui, nous utiliserons tous les outils démocratiques disponibles pour lutter pour les droits de chacun. Néanmoins, nous ne devons jamais oublier que nous sommes censés vivre dans une Union européenne où la liberté doit être considérée comme un droit fondamental et inaliénable. Personne ne devrait négocier sur nos libertés. Et nous en sommes à un point où même dans cette maison, au Parlement européen, un petit groupe de personnes a décidé unilatéralement que les députés, nos assistants et les employés du Parlement, beaucoup d’entre eux travaillent pour ces institutions, pour ces institutions depuis des décennies. Mais malheureusement, beaucoup d’entre eux ont des problèmes de santé. Et je veux lire ce qu’une personne travaillant pour le Parlement m’a envoyé, et je pense que beaucoup d’Européens peuvent ressentir la douleur de cette personne. Cette personne nous a écrit et nous a dit : « Je vous écris parce qu’on m’a reconnu une grave maladie neurodégénérative. Pour cela, j’ai évité de me faire vacciner. Je ne souhaite pas que ma maladie s’aggrave et que je perde mon fragile équilibre de santé que j’ai à peine atteint jusqu’à présent. Selon la communication du Secrétaire Général du Parlement européen envoyée hier, je devrais être testé une à deux fois par semaine avec toutes les conséquences liées à la détresse. Ont-ils pensé au fait que des personnes comme moi, désireuses de travailler, d’être actives, se découragent et s’épuisent devant les complications d’un laissez-passer vert ? “Nous passons toutes ces résolutions en plénière où nous reconnaissons tous les droits des personnes qui sont malades, qui ont différents handicaps. Beaucoup d’entre eux travaillent pour cette maison. Ils veulent servir les citoyens. Donc ce qui a été imposé hier ici, cela affecte leur droit fondamental. Donc, pour répéter ce que j’ai dit, nous ferons TOUT ce qu’il faut pour nous battre pour la liberté de chaque citoyen européen.

Eamonn KELLY

Merci beaucoup. Je voudrais demander à Pietro de l’ANSA, l’agence italienne. Vous avez la main levée. Si vous pouvez essayer de faire fonctionner votre micro, nous serons heureux d’entendre votre accent transalpin. Essayez juste ce micro…

Pouvez-vous appuyer sur le bouton ‘parler’ et ne soyez pas timide.

Pietro (Journaliste 2)

Vous m’entendez maintenant ? OK. Bonjour à tous. Une question très rapide. Vous avez parlé du personnel du Parlement européen, et je me demandais si vous avez un contact direct avec l’une des organisations ou l’Union et si vous avez une idée des personnes qui pourraient être affectées par cette décision ?

Cristian TERHES

Je peux répondre rapidement à cette question. Oui. Nous avons été contactés par de nombreux syndicats du personnel, et il y a de nombreuses discussions entre les membres du personnel, et nous verrons comment cela va évoluer. Mais je dois vous dire que les gens sont très inquiets, les personnes en bonne santé ou celles qui ont certains problèmes de santé sont toutes inquiètes parce que ce mandat conditionne leur droit fondamental au travail. Ils réalisent, OK, nous acceptons cela maintenant. Mais où cela va-t-il s’arrêter ? Que vont-ils nous imposer ensuite ? Nous venons de recevoir un message de quelqu’un qui a dit que même les grands-parents et les parents ne pourront pas amener leurs enfants dans un jardin d’enfants que nous avons ici près de chez nous, à moins qu’ils n’aient un certificat vert. Ainsi, même dans le cadre de la loi belge, ces règles ne sont pas appliquées pour une raison ou une autre. Le Parlement européen veut donner l’exemple d’une institution totalitaire à ses employés.

(inaudible)

Exactement.

Eamonn Kelly

Bien. Y a-t-il d’autres journalistes présents ici ? D’autres questions en ligne, s’il vous plaît ?

OK. Merci beaucoup à tous d’être venus. Juste un dernier commentaire de la part de Madame…

Christine ANDERSON

J’aimerais également faire un commentaire sur la question du collègue italien. Vous vous posiez la question à savoir si les tests n’étaient pas un problème, si nous pouvions le faire. Je m’oppose fermement à cette idée, car vous devez certainement reconnaître que le fait de tester les personnes non vaccinées n’est qu’un moyen de faire pression sur ces personnes pour qu’elles se fassent finalement vacciner. Cela n’a aucun sens, puisque, comme je l’ai souligné, même les personnes vaccinées seront infectieuses. Donc, si vous êtes vraiment soucieux d’arrêter la propagation de ce virus, alors vous devez tester toutes les personnes, point final. C’est pourquoi les tests sont inacceptables. Merci.

Eamonn KELLY

Désolé. D’autres questions ? Eh bien, c’est seulement pour les journalistes, s’il vous plaît. Donc je suis désolé pour ça. Il n’y a personne d’autre en ligne. Et je voudrais remercier tout le monde d’être venu, tous les journalistes qui sont venus et nos courageux députés européens qui ont pris position, qui veulent être des gens libres dans un pays libre. Merci beaucoup à tous. Et bonne continuation.




Zemmour et la “révolution de couleur” ?

[Source : Dedefensa.org]

Par Philippe Grasset

Z et la “révolution de couleur” ?

27 octobre 2021 – L’événement-Zemmour étant ce qu’il est, on est autorisé, sans craindre le ridicule, à faire quelques hypothèses, jusques et y compris l’extrême de la chose, en cas de deuxième tour victorieux. Puisque nous sommes à la fois dans la réalité et dans la perspective plausible, je vais m’employer à faire une hypothèse de projection sur une possibilité fort peu abordée. Il est de fait qu’avec Zemmour, on ne parle guère de politique extérieure et que j’entends ici combler ce vide.

… Il est également vrai qu’il ne nous a pas communiqué son programme en détails, mais lors de son déplacement à Rouen le 23 octobre (voyez autour des 18’00”-20’00” de la vidéo), il a consacré son intervention à ce domaine qui est, dans son cas, absolument fondamental. Sans surprise, on a trouvé confirmés les principaux thèmes des conceptions d’un Z animé d’un gaullisme extrême, conceptions constituant une sorte de copié-collé de la politique du président de Gaulle en 1964-1966.

Je fais vite, car tout cela est connu, mais en mettant l’accent sur ce qui est essentiel de mon point de vue, et qui fait un considérable changement par rapport à l’étrange comportement de la bizarre “politique étrangère” macronienne, entre le “en même temps” qui implique finalement de n’être nulle part sinon dans le sillage des simulacres euroatlantiques, et la leçon de moraline globalement dispensée qui fait prendre pour du comptant les illusions de la communication affectiviste… Il est donc question, de la part de Z, de ceci qui suffit amplement à notre bouleversement :

  • une politique de sécurité selon le principe affirmé et affiché de l’indépendance nationale, assortie d’une immense méfiance pour les divers projets européens de coopération, notamment avec l’Allemagne de laquelle il importe de prendre ses distances ;
  • la sortie du commandement intégré de l’OTAN qui nous ferait revenir à la situation de 1966-1996 ;
  • l’établissement de solides relations avec la Russie s’accompagnant d’une certaine défiance de ce qu’il y a de trop serré et de trop dépendant dans les relations avec les USA jusqu’aux pires aventures (référence à la décision française de 2003 de refuser de suivre les USA en Irak).

Je ne vois rien là-dedans, on s’en doute, qui soit objectivement déraisonnable ni stupidement risqué. Pourtant, dans ce monde qui semble tenir la déraison pour la vertu centrale, l’esquive du risque stupide se mesure à l’aune de la soumission aux commandements des forces qui instituent la contrainte du Système, soit les USA devenus fous avec l’OTAN devenue gâteuse en bandouillère.

Mais j’arrête là mon constat de logique et de bonne mesure et je me retrempe dans les temps étranges que nous vivons pour annoncer une perspective : c’est ici le docteur qui parle et se risque à vous livrer son diagnostic prévisionnel, dans l’hypothèse où il apparaîtrait très sérieusement, et chronologiquement possible, que Zemmour puisse l’emporter, – et plus encore bien entendu s’il l’emporte mais cela ne serait qu’une suite d’une réaction déjà affirmée et dont les effets seraient déjà imprévisibles…

(De façon très intuitive et assez arbitraire je le confesse, je sépare dans le chef des réactions supposées du Système, essentiellement des USA, le cas Zemmour de celui “des” Le Pen. Je crois les jugements américanistes habitués aux tours de piste des Le Pen père et fille, – qu’ils auraient pu soupçonner des mêmes intentions horribles de Zemmour. Ils ont pris l’habitude de les mettre dans un système français dont ils n’ont aujourd’hui rien à craindre, et ce n’est qu’en 2017 [2002 étant hors-jeu] qu’il y eut un deuxième tour sérieux, alors que le RN était perçu comme complètement institutionnalisé. Zemmour, c’est une autre affaire, on le sait dans le brouhaha terrible de la communication qui le perçoit hors de ce même “système français”. C’est un facteur complètement inconnu, quelque chose qu’on suppose de tous les possibles jusqu’à l’impossible. Il correspond à cette époque terrible que nous connaissons depuis le début 2020.) 

Dans cette hypothèse d’une possibilité d’une cavalcade-Zemmour, donc, j’avance en assumant le risque de de la spéculation qu’une folie extraordinaire, un délire paranoïaque s’installera dans toutes les officines d’influence et de décision du monde anglo-saxon avec tous ses relais euroatlantiques. Cela est d’autant plus probable, sinon inévitable, que ces pays, et notamment les USA depuis 2015-2016, se trouvent dans des humeurs de folie extraordinairement exacerbées, avec l’illusion évidente que perdure dans sa chute sa surpuissance qui ordonne la soumission du monde à ses simulacre fantasmés, avec une autorité centrale en constante dégradation, avec le wokenisme qui instruit les esprits d’une position de grande supériorité morale… Voilà donc le champ ouvert pour des organismes bien connus, – la CIA, le MI6, la constellation d’auxiliaires privés, notamment dans les ONG type-Soros, – pour des actions destinées à bloquer la sorte d’évolution qu’un Zemmour voudrait imprimer à la politique extérieure de la France.

Vous comprenez alors aisément que j’en vienne à envisager l’hypothèse d’une version française de la fameuse recette de la “révolution de couleur”. Si les organisateurs de cette sorte de festivités ont de l’humour cultivé, ils pourraient nommer cela “la révolution du lys” ; cela serait-il en souvenir homophonique du héros de Homère, ou bien plutôt sinon certainement en souvenir du lys royal qui ne déplaît pas à Zemmour, mais aussi pour faire un rapprochement d’armurerie avec le glaive de ‘Gladio’, puisque de Gaulle disait fameusement :

« La France fut faite à coups d’épée. La fleur de lys, symbole d’unité nationale n’est que l’image d’un javelot à trois lances. » (Et l’on voit qu’ainsi le travail de déconstruction est en cours, et l’humour persifleur de l’inversion idem, le lys devenant dans ce cas d’une “révolution de couleur” le projet d’un “symbole de désunion nationale”.)

C’est dire si je crois qu’on peut envisager l’hypothèse d’événements dramatiques dans la période des élections présidentielles, et que ce qu’on désigne comme une “guerre civile” en France pourrait survenir d’une manière bien inattendue. Je ne peux imaginer ni concevoir que le Système, notamment dans sa représentation US, dans l’état d’exacerbation où il se trouve, dans la démence sénile que lui propose son grand chef, puisse accepter qu’une politique comme celle qu’envisage Zemmour se trouve dans une posture qui l’autoriserait à croire à la possibilité ne serait-ce que d’approcher les marches du pouvoir. Il y aurait évidemment bien des scénarios possibles, avec des masses de manœuvres évidentes. Ce n’est pas pour rien que les divers “services” US ont beaucoup “travaillé” les banlieues, – ce n’est jamais pour rien que la CIA et le département d’État font leur travail…

Il faut dire que les choses se présentent bien. Quoi qu’on en dise, – et même si on en dit tellement qu’il faut s’en méfier, – je croirais volontiers que Zemmour n’est pas le genre de type à avoir fait des ‘trips’ du genre ‘Young Leaders’ où ils croient pouvoir piéger les futurs cadres des pays soumis mais en conquête permanente ; ce n’est pas le genre de type qui leur plaît, un peu trop “en-dehors” dans sa carrière ; c’est donc le genre de type dont il se méfient et se défient affreusement.

(D’ailleurs, on notera qu’ils se trompent aussi souvent, et même très souvent… Moi-même, j’ai fait partie d’un de ces groupes, ce devait être une sorte de ‘Future NATO Leaders’, il y avait même Pierre Lellouche et Giesbert dans le groupe, pour quelques jours passés à la RAND Corp., à Santa Monica ; cela devait être autour de 1983-1984 : et voyez ce que je suis devenu, comment j’ai si mal tourné malgré bien des embuches à venir suivant la tournée des embauches ; mais bon, toute cette expérience signalée dans les références [URL] qui précèdent, me permettant d’avoir une certaine capacité intuitive de jugement dans cette sorte d’affaire.)

Comment verrais-je la chose, d’ici avril 2022, au cas d’un Zemmour bien en course ? D’abord, eux, ils n’y verront même pas “que du feu”, ils ne verront rien parce qu’ils ne regardent pas, complètement indifférents aux bruits à venir. Il y aura bien quinze-vingt mémos et rapports de leur chef de station à Paris. A Washington, à Langley, ils s’en foutent. (Un de mes amis dans le SR belge avait recueilli dans les années1980, pourtant brûlantes, les doléances du chef de station de la CIA de Bruxelles, sur le désintérêt total de Langley pour ses analyses et ses commentaires. Isolement intellectuel complet : tout ce qui n’est pas à D.C. même, Washington ou Langley, est soit suspect mais menu fretin, soit sans intérêt par rapport à ce qu’on sait sur place, sur l’Olympe, à D.C.

Puis un jour, quelque part fin mars ou en avril 2022, si Zemmour se confirme bien en course pour le second tour, tout d’un coup, yeux brusquement écarquillés, exclamations stupéfaites : qui c’est, ce type, avec sa sortie de l’OTAN et ses “bonnes relations avec la Russie” ? Si Zemmour passe au second tour, panique complète ! Alerte générale, mobilisation, “mais qu’est-ce qu’ils foutent à Paris, c’est bien la peine d’avoir une station” ! Zemmour, aussitôt catalogué agent du FSB, marionnette de Poutine, les preuves s’accumulent, les témoignages, les “fuites” dans tous les coins, même réseau que Trump, – d’ailleurs, Macron confirme…

Je crois alors que ce serait dans cette sorte d’atmosphère irréelle, de pertes de contrôle et de leurs nerfs au cours de réunions secrètes d’urgence, que le principe d’une “colour revolution” serait adopté à l’unanimité et de toute urgence, comme seule porte de sortie concevable d’une situation qu’ils percevraient comme insaisissable. Peut-être bien que Soros serait déjà là avec son petit plan-B aux petits oignons tandis que les premières manifs éclateraient dans les banlieues… Bien entendu, les “chances” sont immenses, avec eux c’est la coutume, d’un fiasco partiel jusqu’à être complet, d’un désordre en boule de neige, roulant de barnum en médrano, de pandémonium en chambardement, sous les auspices attentifs du chaos.

Je dois dire qu’à y penser et repenser je crois beaucoup plus à cette sorte de “sortie de crise” se transformant en pseudo-“guerre civile” qu’à une “guerre civile” classique, comme celle qu’on envisage en général. C’est-à-dire que, d’une façon générale, et d’ailleurs quoi qu’il en soit de l’éventuel vainqueur, j’ai beaucoup de peine à croire que cette élection de 2022 se passera sans péripéties très graves, avec d’intenses pressions extérieures qui sortiraient le psychodrame franco-français de ses plateaux de talk-show que les Français consacrent à eux-mêmes, où “les Français parlent aux Français” en quelque sorte..

Alors, la France, stupéfaite et secrètement ravie, pourra mesurer combien, finalement, elle tient une place importante dans l’équilibre de ce que Paul McCulley nomme “stabilité du déséquilibre”. Peut-être tiendra-t-elle même une place d’honneur dans le déferlement de la dernière phase de la Grande Crise, en en devenant pour la cause l’une des principales déclencheuses.

(Bien entendu, on peut toujours opposer à ce diagnostic prospectif les arguments des sachants-comploteurs : Zemmour comme pion du (S)ystème, comme agent d’Israël et ainsi de suite. Je veux bien : alors, c’est peut-être lui qui lancerait sa “révolution de couleur” contre lui-même.)




Ils sont désespérés devant la flambée épidémique dans les pays les plus vaccinés (Singapour, Allemagne, Autriche…)

[Source : pgibertie.com]

par Patrice Gibertie.

Heureusement Le Monde se veut rassurant devant le désastre de Singapour : 100% de vaccinés et 100% des décédés sont… non vaccinés. Véran fait des émules avec ses stats pipotées.

Les autorités américaines de la FDA reconnaissent que la vaccination des 5 à 11 ans entrainera autant d’hospitalisations pour myocardie que cela en évitera pour Covid…

• fda.gov/153447/download

• Flahau, Caumes, ils sont désespérés devant la flambée épidémique dans les pays les plus vaccinés : Singapour, Allemagne, Autriche…
• Le terrible aveu d’échec du Professeur Flahau

« Il est trompeur de laisser croire que la seule mise en place de la vaccination aurait dû réduire immédiatement la mortalité partout dans le monde ».

La consternation – Tous ces pays très vaccinés avec pass et tout et tout

Une vague de contaminations de COVID-19 est largement amorcée en Europe de l’Ouest (par ex. Allemagne, Autriche, Pays-Bas, Belgique) : déjà quasi aussi forte que les précédentes. Combien de temps les digues vaccinales les protègeront-elles des hospitalisations et des décès.

Le désespoir : 80, 90% de vaccinés… ça ne protègera pas…

Combien de temps, les pays du sud de l’Europe de l’Ouest conserveront-ils leur faible circulation de SARS-CoV-2 ? Le pass sanitaire suffira-t-il à protéger la France et l’Italie d’une nouvelle vague ? L’Espagne et le Portugal seront-ils protégés par leur couv vacc (>80%) ?

• Antoine FLAHAULT admet que des pays très vaccinés comme le Chili soient très touchés – @FLAHAULT

9/9 – Amérique latine Chili = 1.13 (86.9% 1 dose) ; Uruguay = 1.19 (79.7%) ; Colombie = 1.11 ; Dom Rep = 1.02 ont quitté leurs zones de sécurité COVID-19. Belize = 0,93 : atterrissage lent, mortalité très élevée ; Brésil = 0,97 : plateau, mortalité moyenne. Mexique ; Argentine ; Pérou : sûr

Il reconnait sans la citer que les pays soignés à l’ivermectine maitrisent la pandémie : Pérou depuis peu, Mexique.

La carte du Professeur :

Il reconnait le succès de l’Indonésie, l’échec du Vietnam et de la Malaisie :

L’échec de Singapour :

Caumes est sorti de l’hôpital psychiatrique et il est plus méchant que jamais :

https://twitter.com/alainparib/status/1455092242172022784?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1455092242172022784%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fpgibertie.com%2F2021%2F11%2F01%2Fils-sont-desesperes-devant-la-flambee-epidemique-dans-les-pays-les-plus-vaccines-singapour-allemagne-autriche%2F

Ces pays sont extraordinaires : Ils ont vacciné massivement pour faire exploser l’épidémie. Singapour, le modèle absolu des politiciens français, le Bouthan, le Chili et les autres.

Singapour c’est le modèle absolu pour notre classe politique ; tous vaccinés tous fliqués

Singapour, la dictature sanitaire s’est plantée

La dictature sanitaire de Singapour aurait 99% des plus de 70 ans vaccinés, depuis la troisième dose les décès flambent, l’équivalent de 200 par jour en France. Rassurez-vous, 100% de vaccinés et 100% des décès sont non vaccinés (Le Monde). Ils font comment ? Ils doivent importer leurs morts …

Le Monde explique que c’est parce qu’ils ont laissé circuler le virus… Mais ils sont tous vaccinés, il devrait pas circuler…

Lisez ce rapport admiratif de notre Sénat ;

« Singapour est, surtout, le premier pays au monde à avoir déployé, mi-mars 2020, une application de contact tracing, appelée Trace Together, fonctionnant grâce à la technologie Bluetooth. Les enjeux du contact tracing seront abordés plus en détails dans la suite du présent rapport. À ce stade, on peut toutefois signaler deux grandes spécificités.

D’une part, l’usage de TraceTogether est obligatoire pour certaines catégories de population, comme les travailleurs migrants, et dans certains lieux, notamment les écoles, bureaux, restaurants, cinémas ou centres commerciaux. Si le nombre de téléchargements a été dans un premier temps moindre qu’attendu (un million au bout d’un mois, pour une population de 6 millions d’habitants), elle est aujourd’hui utilisée par près de 80% de la population – même si son efficacité, comme ailleurs dans le monde, est très incertaine.

D’autre part, dans le cas particulier de Singapour, l’usage d’une telle application n’est pas sans risques pour la vie privée et les droits et libertés des citoyens. TraceTogether est en effet construite sur une architecture dite « centralisée » (cf. infra), également retenue par TousAntiCovid en France, mais très minoritaire dans le monde. Dans ce modèle, les données relatives aux interactions sociales des individus sont traitées par un serveur central, géré par l’administration. En principe, celles-ci ne doivent en aucun cas être utilisées pour d’autres finalités que celles qui ont justifié leur collecte, c’est-à-dire la lutte contre l’épidémie de Covid-19. Le gouvernement de Singapour avait, naturellement, pris des engagements formels en ce sens, assurant que seules les autorités sanitaires auraient accès aux données.

Toutefois, en janvier 2021, le gouvernement a reconnu devant le parlement que la police avait eu accès aux données de contact tracing du serveur central ».

Le Chili relance la Covid en fin de printemps en lançant la 3ème dose…

Les dernières études sur l’efficacité des vaccins :

• pgibertie.com/2021/10/31/la-protection-contre-les-formes-graves-n-a-jamais-ete-de-95-mais-au-mieux-de-60-et-6-mois-apres-de-20-hors-effets-secondaires




Les soupçons de crime vaccinal anti-Covid se confirment

[Source : Kla.TV]

Des composants suspects dans les vaccins Covid, affaiblissement du système immunitaire, augmentation de la croissance des cancers ou formations de caillots sanguins en tant que réaction de l’organisme e à la vaccination Covid : voilà ce que révèlent les résultats des enquêtes menées par des pathologistes et des médecins du monde entier. Lors d’une conférence de presse tenue le 20 septembre 2021 à Reutlingen, des images et des faits impressionnants ont été présentés au public. Ces vaccinations par ARNm sont un crime contre l’humanité. Les avocats demandent donc un arrêt immédiat de la vaccination et ils réclament que la Cour pénale internationale de La Haye agisse.

« Mortalité due à la vaccination, aux composants non déclarés des vaccins Covid-19 », tel était le titre de la conférence de presse donnée par des pathologistes, médecins, scientifiques et avocats renommés, le 20 septembre 2021 à Reutlingen. Dans une présentation en direct de plus de trois heures, ils ont mis en évidence les dommages causés par la vaccination.

Leur conclusion est la suivante :

Il faut immédiatement arrêter les vaccinations Covid19 au lieu de les administrer maintenant aux enfants. Selon les avocats présents, le soupçon qu’il s’agit d’un crime a été confirmé.

Un spécialiste de la gestion de la qualité et des risques, le Prof. Werner Bergholz, a analysé les statistiques de la crise du COVID et a déjà présenté ses conclusions à deux reprises à la commission de la santé du Bundestag. Il a dit à la conférence de presse:

« On a un problème. »

« Entre 2000 à 2020, il y a eu à peu près 40 millions de vaccinations par an et environ 20 personnes sont décédées dans un laps de temps très court suite à la vaccination. Cette année, jusqu’au 31 juillet inclus,1 230 personnes sont décédées. »… « Il ne s’agit donc pas d’une légère augmentation. C’est une augmentation dramatique. »

[Ndlr : 20 morts en 20 ans pour 40 millions de vaccinations représentait un mort par an pour 2 millions de vaccinations classiques.
En comparaison, pour les pseudo vaccins anti-Covid, sur environ 18 mois et 240 millions de vaccinés, il y a eu plus de 15 000 décès signalés, ce qui correspond cette fois à 10 000 décès par an pour 160 millions de pseudo vaccinations, soit 125 morts pour 2 millions de personnes et donc environ 125 fois plus de morts avec ces pseudo vaccins anti-Covid qu’avec les vaccins classiques.]

Ce sont les chiffres pour l’Allemagne. En Europe, selon la base de données de l’EMA, on dénombre déjà plus de 14 000 morts en rapport avec la vaccination contre le Covid.

Le médecin légiste Prof. Schirmacher a publié dans le journal médical (Ärzteblatt), qu’il avait autopsié 40 cadavres dans les 14 jours suivant la vaccination contre le Covid.
Dans 30 à 40 % des cas, il a confirmé un lien avec cette vaccination.

Selon le rapport de sécurité de l’Institut Paul Ehrlich, on dénombre en Allemagne 200 effets secondaires graves chez les enfants après la vaccination ainsi qu’un décès.

« L’Agence européenne des médicaments déclare 2 000 enfants gravement blessés et 39 décès en Europe. Toutes ces raisons justifient une évaluation des risques pour les vaccinations contre le Covid », affirme le Prof. Bergholz.
À cet égard, les autopsies ont un rôle important pour déterminer s’il existe un lien entre les décès et la vaccination.

En 1997, l’Institut Robert Koch a également perçu cet impératif et a exigé :

« Les morts subites, vraisemblablement causées par une infection, devraient en tout cas être clarifiées au moyen d’une autopsie. En 2020, la situation s’est inversée: Les autopsies des décédés dus au covid ont été évitées. »

Les pathologistes Prof. Burkhardt et Prof. Lang ont évalué 10 cas d’autopsies après la vaccination contre le Covid et ont conclu qu’il y a un « déchaînement lymphocytaire » en réaction de l’organisme à cette vaccination. Il s’agit d’une attaque massive de lymphocytes, en particulier sur les poumons et le cœur, mais aussi sur tous les autres organes, ce qui entraîne des inflammations et des défaillances d‘organes.
Ces résultats et ces faits inquiétants sont sans équivoque.

Ils indiquent que la vaccination contre le Covid peut avoir des effets secondaires entraînant la mort tels que :

  • Les maladies auto-immunes
  • L’affaiblissement de la réponse immunitaire
  • L’augmentation du cancer
  • Des dommages vasculaires
  • L’agglutinement des globules rouges

Les images provenant de médecins d’un réseau international sont inquiétantes. Ils ont examiné les résidus de vaccins au microscope et des dizaines d’images montrent des particules inorganiques de formes et de tailles diverses que les fabricants n’ont pas encore déclarées.
Certaines de ces particules ont des bords tranchants, souvent triangulaires, d’autres sont longues en forme de chaîne, parfois elles ont une structure interne uniforme ou sont transparentes.

Beaucoup d’entre elles se déplacent toutes seules. Une fois la préparation séchée, certaines ressemblent à une puce informatique.

En outre, des adjuvants et des substances complémentaires ont été trouvés dans les inoculations, tels que l’oxyde de graphène, l’aluminium, le chrome, le nickel et le formaldéhyde, dont certains sont connus pour être cancérigènes. Et là aussi, des questions se posent sur le sens et la finalité de ces substances dans un prétendu vaccin.

Pour des raisons éthiques, scientifiques et constitutionnelles, l’avocat Elmar Becker estime qu’il est indispensable que le lien entre la vaccination et les personnes décédées fasse l’objet de recherches.

« Je n’accepte pas que l’État reste inactif. »

Le professeur Bergholz estime que l’État, l’Institut Paul Ehrlich, l’institut national de contrôle des matériaux et les fabricants de vaccins doivent répondre à ces questions.

Holger Fischer lance un avertissement pressant à tous les responsables :

« Toute personne qui continue à agir ainsi alors qu’elle sait ce dont nous avons discuté ici aujourd’hui est passible de poursuites. Elle ne pourra pas dire qu’elle n’a pas agi intentionnellement ou du moins dans une mesure limitée délibérée, et ce que nous vivons ici s’appelle un crime contre l’humanité : “Extermination” ; « Les gens sont exterminés ». »

Il exige que La Haye fasse une enquête. Les médecins traitants sont appelés à témoigner à la Haye sur les souffrances de leurs patients après les vaccinations.

« Notre gouvernement et les membres de ce gouvernement, ceux de l‘Institut Paul Ehrlich et de l’EMA, s’exposent à des poursuites auxquelles ils n’échapperont pas ».

Les témoignages des médecins doivent être envoyés à :
kontakt@corona-ausschuss.de

Pour regarder l’intégralité de la conférence de presse en allemand, veuillez cliquer ici :
https://odysee.com/@truth-search:42/undeclared-ingredients-of-COVID19-vaccines-pathology-conference:2

Les médias du système refusent catégoriquement de faire leur devoir de contre-voix !
Mais le temps de l’impuissance est révolu: Vetopedia – l’encyclopédie libre des voix dissidentes! Les calomnies médiatiques sont révélées. Sur Vétopédia, la personne incriminée peut rétablir la vérité. Les contre-déclarations non censurées y sont diffusées. Maintenant sur www.vetopedia.org.




Gigantesque recrutement à l’échelle mondiale ? Sommes-nous en train de subir des tests d’embauche ?

Par Alain Tortosa

Tout être pensant sait qu’il n’y a pas eu de crise sanitaire.
Les statistiques INSEE prouvent que le nombre de décès est totalement classique.

De plus dans une crise sanitaire :

  • On n’investit pas des milliards pour contrôler les populations.
  • On investit les milliards dans la recherche, la prévention et l’hôpital.
  • On n’empêche pas les médecins de prescrire.
  • On n’interdit pas la vente de molécules inoffensives qui, au pire, ne fonctionnent pas.
  • On ne fait pas tout pour massacrer les défenses immunitaires des citoyens.
  • On ne commercialise pas un pseudo vaccin qui cible la protéine spike du sars-cov-2 qui est un virus ARN dont le métier est de muter et dont la spike est la plus à même de muter.

Mais surtout :

  • On stoppe les injections dès l’émergence des preuves de leur inefficacité et de leur dangerosité.
  • On ne se met pas à injecter en masse des enfants de plus en plus jeunes au péril de leur vie.

Bref nous savons qu’il n’y a pas de pandémie et nous savons que l’intention est de nuire.
En revanche, même si j’ai des indices, je ne sais pas pourquoi…

Il serait une erreur de désigner LE coupable, car dans l’affaire il est probable, pour ne pas dire certain, que des alliances de circonstance « contre nature » aient vu le jour :

  • Les « satanistes ».
  • Les fervents de la diminution de la population mondiale.
  • Les fervents de l’importation de la dictature chinoise et du contrôle des populations.
  • Les fervents de l’ultralibéralisme, du fric pour du fric.
  • Etc.

Ils ont tous des intérêts et il serait de fait logique qu’ils travaillent temporairement main dans la main.

Je me pose néanmoins la question suivante.
La stratégie mise en œuvre cible principalement les populations des pays riches, pourquoi ?

La thèse de l’extermination de la population par un virus expérimental

Échec

Cette thèse présente l’avantage de cibler tout le monde, pays riches et pays pauvres.
Répandu volontairement ou accidentellement ? Les preuves manquent.
Si ce virus a été mis au point pour tuer, le résultat est très décevant et même un échec cuisant !
Ils ont fabriqué au final un « tueur » moins méchant que la grippe saisonnière.
Pour valider la thèse du virus exterminateur d’une partie non négligeable de la population, il faut aussi partir du principe que ces pourritures disposaient d’un VRAI vaccin (qui n’a pas été commercialisé).

[Note de Joseph Stroberg :
L’Event 201 prévoyait la mort de 65 millions d’individus dans leur simulation préalable à la pandémie. Cela n’a pas fonctionné comme prévu, car les virus ne sont probablement pas du tout ce que la plupart des virologues et autres experts ont cru toute leur vie sur la base de leur formation universitaire. Si un virus à ARN est en fait créé par la cellule pour expulser sous forme de déchet un brin d’ARN qui a fini son travail, alors modifier génétiquement un tel virus revient à modifier un déchet pour le réintroduire dans l’organisme, un peu comme si nous modifions chimiquement notre urine avant de la reboire. Au mieux, ça n’aurait pas bon goût et pourrait être plus ou moins nocif pour notre santé. Au pire, ça deviendrait un poison non naturel même si on y ajoutait une saveur de fraise. L’élément particulièrement dommageable dans leur tentative de réinjection du déchet (qu’eux pensaient être un méchant virus capable de se répliquer à l’intérieur d’une cellule) est la protéine spike que la chaîne d’ARN encapsulée parvient apparemment à commander au corps de produire, au moins chez certaines personnes et qui tend en particulier à se relier aux récepteurs ACE2 et à provoquer ainsi de sales dommages aux tissus cellulaires.

Lorsque les virologues croient isoler un virus, ils commencent en fait par chercher à en produire en quantité suffisante en les cultivant à partir d’un tissu biologique supposé infecté dans une soupe contenant des cellules de singe vero (ou quelque chose d’équivalent) et divers produits chimiques dont des antibiotiques pour tuer les bactéries. Ils observent alors la production par les cellules de ces supposés virus fils qui selon eux proviendrait de la multiplication du virus infectant initial. Pourtant, avant cette tentative de multiplication virale dans l’espoir de pouvoir observer ensuite en quantité suffisante celui qui est ciblé, ils n’en trouvaient généralement pas suffisamment d’exemplaires sur le matériel infecté, alors qu’un malade de maladie virale est supposé en être envahi.

L’explication alternative beaucoup plus logique est la suivante : la préparation effectuée pour prétendument permettre la multiplication du virus tend en fait à tuer rapidement les cellules du tissu biologique et lors de leur mort, elles se désagrègent progressivement en produisant de nombreux brins d’ADN et d’ARN qu’elles expulsent au départ avec une enveloppe lipidique sous forme d’exosome ou de virus.
Les cellules meurent pour les deux raisons suivantes :
– elles sont empoisonnées par les substances introduites dans la préparation ;
– elles ne sont plus alimentées par le corps en nutriments, puisqu’elles en sont désormais séparées.
Les millions de cellules du tissu supposément infecté produisent chacune un certain nombre de déchets viraux provenant des brins d’ADN endommagés et des brins d’ARN divers participants à la vie cellulaire, ceci jusqu’à ce que la cellule finisse par mourir.

Dans une telle préparation, au lieu de multiplier un prétendu virus infectant, on créée en fait des millions de virus à ARN et d’autres à ADN différents en multiples exemplaires.

Ensuite, les virologues prennent cette soupe résultante et la passent à la centrifugeuse dans le but de séparer les couches de déchets génétiques selon leur densité et donc selon leur taille supposée. Ils isolent celle correspondant supposément au virus infectant qui selon eux doit avoir une composition génétique spécifique, une chaîne de nucléotides particulière. Parmi les millions de déchets viraux, ils auront en général d’assez fortes chances d’en trouver de très proches du matériel génétique ciblé.

Enfin, ils effectuent le « séquençage » génétique du matériel biologique récupéré dans la couche isolée et qui contient un grand nombre de bouts d’ARN et d’ADN. Ceci est la reconstitution logicielle d’un puzzle pour tenter de reconstituer la chaîne génétique intégrale du virus recherché. Ce faisant, ils doivent se baser sur le modèle génétique (également supposé) de ce dernier. Mais dans la pratique, il manque toujours des zones non remplies et d’autres qui ne cadrent pas sont éliminées. Le virus n’est quasiment jamais reconstitué ainsi à 100 %.

(Voir notamment : Déclaration sur l’isolement des virus)

Pour un scientifique pur tel qu’un physicien, cet ensemble d’opérations ne prouve rien, mais relève de « bullshit » (foutaise, conneries), d’escroquerie intellectuelle, ceci d’autant plus qu’elles sont accompagnées d’un grand nombre de suppositions qui n’ont finalement jamais été réellement démontrées dans selon une méthode scientifique rigoureuse qui doit inclure obligatoirement des contre-expériences. À aucun moment le supposé virus n’a réellement été isolé en entier et observé simultanément au microscope électronique. Changez le modèle viral recherché et dans toute la soupe génétique récupérée par l’opération, il y a de fortes chances que vous le trouviez aussi, surtout avec une méthode d’amplification telle que celle utilisée pour les tests PCR qui introduisent potentiellement des erreurs lors de chaque cycle d’amplification.

Pour finir, le virologue Stefan Lanka a gagné un procès en cours suprême d’Allemagne pour démontrer la non-existence du virus de la rougeole. Pour ce faire, il a réalisé une contre-expérience à celle supposée démontrer la présence de virus dans la préparation partant d’un tissu supposément infecté par la rougeole. Il a fait la même chose dans une préparation parallèle, mais avec un tissu sain supposément non infecté. Eh bien celui-ci a produit les mêmes virus (déchets) que l’autre, car les conditions de mort cellulaires sont les mêmes dans les deux préparations : empoisonnement chimique et absence de nutriment. Les « virus » se sont multipliés pareillement dans les deux alors que dans l’une il n’y avait pas de virus de rougeole présent.

(Voir notamment Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
et Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
avec les liens inclus)

Pour résumer : le virus trafiqué génétiquement a été mis au point pour tuer massivement, mais comme les virus ne sont pas ce que les virologues croient, ça n’a pas donné les résultats escomptés.

Qu’à cela ne tienne, les vaccins prennent le relais.
Les poisons sont cette fois directement injectés dans le corps.]

Cet échec aurait pu inciter à changer de plan et se focaliser finalement sur les « vaccins ».

La thèse de l’extermination massive de la population par l’injection

Échec

Si vous voulez exterminer une partie de la population mondiale pourquoi ne pas cibler principalement les Africains ou les Indiens ? (Les Chinois ce n’est pas possible, c’est leur dictature qui gère.)
Ces populations sont bien des « inutiles » pour reprendre le vocabulaire de ce cher Dr Alexandre.

[Note de Joseph Stroberg :
Pour ne pas être accusés d’extermination, les commanditaires et les agents de la procédure doivent éviter que ce soit trop visible. En conséquence, le génocide doit être lent, rendre stérile une partie de la population, et cibler en priorité les nations « éduquées » et « informées » pour s’occuper tranquillement ensuite, sans plus aucun gêneur, des nations « arriérées ».]

De plus, d’un point de vue capitalistique, les pauvres produisent et les classes moyennes consomment.
Les richesses colossales acquises par les entreprises tentaculaires le sont par la surconsommation des classes moyennes de biens produits par les pauvres.
Tuer la classe moyenne revient à tuer le consommateur sans tuer le producteur (les pauvres) et donc la poule aux œufs d’or.
En plus, les occidentaux ne se reproduisent plus alors que plus vous êtes pauvre et plus vous faites d’enfants, ce n’est donc pas logique si vous voulez lutter contre la surpopulation.
J’ai toujours dit que si vous vouliez diminuer la population mondiale, il suffit de donner un capital, un crédit et une voiture à tous les pauvres et ils cesseront de faire des enfants ou la grève.

[Note de Joseph Stroberg : les ressources minérales et énergétiques sont insuffisantes pour généraliser le mode de vie occidental à l’ensemble de la planète.]

Je ne suis donc pas séduit par la stratégie de l’injection de masse pour supprimer la majeure partie de la population occidentale mondiale.
J’aurais personnellement commencé par tuer un milliard d’Africains et d’Asiatiques avant de me retourner vers les classes moyennes occidentales.
J’aurais donc plus tendance à penser que les morts provoquées par les injections seraient plus une cerise sur le cadeau, un lot de consolation pour les exterminateurs, un bénéfice secondaire non quantifié… qu’un plan mûrement réfléchi. Les injections ne tuent pas (encore ?) assez et pas assez vite…

[Note de Joseph Stroberg :
La grande majorité des êtres humains, lorsqu’ils combattent, tendent à rechercher et viser le point faible de l’adversaire.
Les élites mondiales qui relèvent de pensée satanique visent au contraire le point fort. Lorsque la tête tombe, le corps ne survit pas longtemps. Alors qu’avec l’approche du point faible, l’adversaire peut encore résister. On peut continuer à combattre même avec un bras en moins.
(De manière allégorique).]

La thèse de l’injection purement capitalistique

Succès

Dans ce cas, « vacciner » des riches et non des pauvres a un sens.
Produire des injections inefficaces et qui plus est, favorisant des variants, a aussi un sens.
Cela expliquerait sans doute pourquoi les injections mises à jour ne sont pas présentes sur le marché.
Économies, attente de variants et on ne sortira les mises à jour que lorsqu’il ne sera plus possible de camoufler la totale inefficacité des injections.
Et avec un peu de chance, un nouveau variant un peu méchant arrivera, ce qui permettra de bien relancer le marché des « vaccins ».
Bien entendu il y aurait le risque de faire émerger un variant vraiment mortel, mais ça, l’industrie n’en a que faire. On peut bien prendre le risque de détruire l’espèce humaine si on peut en tirer 50 dollars.

Cette thèse présente néanmoins des contradictions.
Si le nombre de 80 % de vaccinés en France est réel, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les 20 % restants au lieu de se focaliser sur les 3e, 4e… 10e dose qui sont des rentes à vie ?
Vacciner dès la naissance, ça c’est bien, même si quelques enfants meurent on s’en tape…
Mais pourquoi se focaliser sur les irréductibles alors même qu’ils sont irréductibles et qu’ils pourraient finir par vraiment se fâcher ?
Ou alors c’est encore une fois l’appât du gain… j’ai 80 % du marché, j’aurai les 100 % !

[Note de Joseph : Bill Gates veut vacciner 7 milliards d’êtres humains et non pas 7,5 ni 8 milliards que l’Humanité est en passe d’atteindre. Et c’est lui qui est derrière toute cette plandémie par le biais notamment de l’OMS dont il est le principal donateur privé et de la GAVI qu’il contrôle aussi, sachant qu’il a aussi financé la plupart des fabricants de vaccins à ARN ou à adénovirus. Son but n’est pas l’extermination de l’Humanité, mais son contrôle (son asservissement), même si cela doit passer par l’extermination d’une partie de cette humanité.]

Le crédit social

Succès

Quand bien même l’objectif initial eut été d’éliminer une partie non négligeable de la population, l’opération est un succès sans précédent du point de vue de son contrôle.

Dans la vie, il y a souvent des galères, mais parfois de très bonnes surprises.
Qui aurait pu croire qu’il était si facile de se foutre de la gueule des gens et leur faire gober n’importe quoi ?
Au point qu’ils acceptent TOUT, sans limites !

  • Se confiner ? No problem.
  • Porter une muselière et la mettre à ses enfants ? No problem.
  • S’injecter des substances expérimentales dangereuses ? No problem.
  • Présenter un passeport vaccinal pour se rendre au cinéma ? No problem.

Si la dictature sanitaire était une mise en bouche pour la dictature climatique alors c’est un succès total.
Nous savons désormais qu’il suffit de faire croire en une menace mortelle imaginaire pour obtenir une obéissance sans limites.
Il y en a qui vont prendre leur pied et bien se marrer en nous regardant avec la nouvelle dictature climatique.
Dictature qui présente l’avantage d’être sans fin pour « sauver la planète » avec le concours d’une autiste au QI d’un singe qu’on exhibe comme au cirque et à qui l’on donne le prix Nobel sous les applaudissements des moutons terrorisés.

[Note de Joseph : Prise de conscience et autisme.]

Une campagne de recrutement à l’échelle mondiale ?

Pas impossible

Et si cette campagne de « vaccination » ciblée principalement dans les pays riches n’était qu’une campagne de recrutement ? Un test d’embauche ?
Des centaines de millions de personnes sont ainsi pucées. Pour l’instant avec leur smartphone, peut-être avec un système d’identification qui serait dans l’injection, mais qu’importe…
Et si les confinements, les masques, les injections, les pass sanitaires n’étaient que des épreuves de sélection ?
Avec ces tests à grande échelle, la dictature mondiale est en capacité de différencier précisément ceux qui acceptent tout et ceux qui refusent, ceux qui gobent et ceux qui réfléchissent !
Je ne doute pas que parmi ces maîtres du monde il y a de grands tarés qui ont des visions plus sataniques que chrétiennes.
Mais il y a aussi certainement des personnes sincères qui ont peur de la surpopulation, de l’évolution de la planète, de la destruction des écosystèmes, etc.

Les plus pessimistes (réalistes ?) d’entre nous pensent que les résistants termineront leur vie dans des camps et qu’ils seront exterminés petit à petit… On est idéaliste ou on ne l’est pas (sourire).

Mais si c’était le contraire ?
Et si nous étions en train de vivre une campagne de recrutement ?
Nous serions alors les recrutés sur des critères de volonté, d’indépendance, de réflexion, d’esprit critique, de curiosité, et donc d’intelligence instinctive.
Ceci pourrait aussi expliquer pourquoi l’Afrique n’est pas dans le plan, nous les Occidentaux étant si « supérieurs ».

Parce que si l’on se ramène au modèle des tarés qui veulent des surhommes, pensez-vous qu’ils vont les sélectionner parmi les moutons hypnotisés qui ont dit oui à tout ou parmi nous ?

[Note de Joseph Stroberg : pour l’instant, ceux qui mènent le jeu sont dans le camp génocidaire et de recherche de contrôle par coercition de Bill Gates. Eux ne recrutent que parmi les gens de leur caste et même de leur lignée sanguine. Si parmi le peuple certains les rejoignent à un relativement haut niveau, ce n’est alors qu’en tant que subalternes et parce qu’ils auront pu les contrôler d’une manière ou d’une autre. Le président actuel de l’OMS, un Africain, est là pour démontrer qu’ils ne s’occupent pas de la provenance, mettant tout le monde externe à leur caste dans le même paquet. Une condition presque indispensable pour travailler avec eux est d’être psychopathe.

S’il y a sélection d’êtres humains à l’échelle de l’Humanité, elle est d’un autre ordre, plus élevé.
Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie.]

Parce que je vous rappelle que tous les « grands » de ce monde n’ont respecté aucun confinement, qu’ils ne portaient pas de masque et ne les portent que devant les caméras. Qu’ils ne respectent les gestes barrières que face aux gueux, qu’ils ont fait semblant de s’injecter et ont des faux pass sanitaires !
Mis à part les faux pass (qui sont certainement légion dans le milieu médical), nous avons fait comme eux.
Ils sont libres et nous aussi !

Réfléchissez avant de jeter aux oubliettes ma théorie.
Nous sommes peut-être dans une campagne de recrutement et c’est nous qui serons embauchés dans ce nouveau monde.
(Ne me faites pas dire que nous allons accepter et ne pas leur cracher à la gueule.)
Là aussi, il y aurait prise de risque de leur part, car si nous n’adhérons pas à leur projet, nous serons debout pour décider du monde que nous voulons et il n’est pas dit qu’ils soient de la partie.

Merci.

Alain Tortosa.

29 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211029-dictarure-mondiale-cherche-cadres.pdf




Le crime organisé : COVID-19 et ANTHRAX-01 — Interview avec Heiko Schöning

[Source : Kla.TV]

Le médecin et officier de réserve Heiko Schöning prouve dans son nouveau livre « GAME OVER » les machinations criminelles autour du COVID-19. Comme dans un copier-coller, dix-huit ans plus tôt, les auteurs d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax. Les détails criminels et le pouvoir de déduction de Heiko Schöning l’ont conduit à la conclusion suivante : les mêmes entreprises et clans sont encore et toujours impliqués dans ce jeu diabolique. Même l’ex-Président Trump y joue un rôle… Dans son interview exclusive avec Kla.TV, Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives.



Transcription :

Heiko Schöning :

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où il y avait déjà des mensonges de guerre qui ont mené des millions de personnes à la mort, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia ! Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »

Présentatrice :

Heiko Schöning, fondateur de la Commission d’enquête de l’affaire Covid et vice-président de la « World Freedom Alliance », vient de publier un nouveau livre. Le titre est « Game Over ». Fidèle aux détails tout en étant compréhensible, il prouve sur environ 500 pages que le COVID-19 est un crime planifié. Dix-huit ans plus tôt, les auteurs du crime d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax (ANTRAX-01), comme s’il s’agissait d’un copié-collé.

Kla.TV a fait une émission au sujet de l’attaque à l’anthrax (en français :/www.kla.tv/16694). En 2001 également, la panique a été attisée, des lois d’urgence ont été promulguées et des vaccinations de masse ont été effectuées. Le suicide étrange de l’unique coupable désigné, le Dr Bruce Ivins, et son lien avec le fabricant du vaccin contre l’anthrax, Emergent BioSolutions, ont attiré l’attention du médecin Schöning. Cela l’a incité à mener des années de recherches discrètes. Les connaissances qu’il en a tirées lui ont permis de prédire publiquement en septembre 2019 qu’une autre panique liée aux agents pathogènes était à prévoir pour 2020 – quelques mois avant le COVID-19.

Les détails criminels et son pouvoir de déduction l’ont conduit à la conclusion suivante : Emergent BioSolutions et ses décideurs préparent des choses bien plus grandes. Mais le crime organisé joue le tout pour le tout et perdra la partie lorsque les criminels seront dévoilés, ce sera « Game Over » pour eux !
Dans son interview exclusif avec Kla.TV, M. Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives. Aidez-nous à faire connaître les criminels qui se cachent dans l’ombre, en diffusant cette interview brûlante d’actualité !

Intervieweur :

M. Schöning, bonjour !
Je suis heureux que nous puissions faire aujourd’hui cette interview ensemble. Il sera question aujourd’hui de votre nouveau livre, qui s’appelle « Game Over ». Un livre qui cite les auteurs et les actes, c’est ainsi que vous l’avez décrit et vous avez dit au préalable que vous donneriez des indications pour que les gens puissent savoir de quoi il s’agit.
Mais tout d’abord, faisons un peu connaissance avec M. Heiko Schöning. Vous n’êtes pas seulement un auteur mais aussi un médecin et donc du côté gagnant du système actuel. En termes de réputation et d’avantages financiers, vous avez donc les bonnes cartes en main.
Qu’est-ce qui pousse une personne comme vous à se dire maintenant c’est « Game Over » et il y a peut-être eu un événement clé qui vous a conduit à suivre ce chemin, qui n’est pas facile ?

Heiko Schöning :

Oui, merci beaucoup ! Eh bien, nous sommes en septembre 2021 et ma motivation de base n’est pas seulement la profession de médecin, mais c’est aussi le fait que je suis un père, donc que j’ai la responsabilité de mes enfants, et en plus de cela, je suis aussi un officier de réserve dans les forces armées allemandes et j’ai aussi prêté serment à un moment donné pour protéger les gens. Nous devons simplement savoir que ce que ce qui se passe est un crime organisé mondial.

Intervieweur :

Et pour en revenir à cet événement clé, est-ce qu’il y a quelque chose qui vous a préoccupé, où vous avez déduit que quelque chose ne colle pas ?

Heiko Schöning :

Oui exactement, Je vais vous dire simplement, comment j’en suis arrivé à cette constatation. J’ai moi-même travaillé sur trois continents au cours de ma formation. J’ai étudié à la Charité de Berlin, ainsi qu’en Australie et en Angleterre. J’ai traité des suicides au paracétamol sur trois continents, c’est-à-dire des personnes qui ont délibérément pris une surdose de l’analgésique paracétamol. Et en 2008, il y a eu un suicide présumé d’un assassin qui se serait tué avec du paracétamol et c’était le criminel de l’arme biologique anthrax, de septembre 2001. Et pour faire court, j’ai suivi cette affaire parce que je me suis dit : « Attends une minute, un tel microbiologiste se tuerait avec du paracétamol ? » C’est comme si un pilote de Formule 1 tel que Sebastian Vettel, prenait un vélo pour foncer contre un arbre avec l’intention de se tuer. J’ai alors fait des recherches plus approfondie et j’ai vu que ce suicide n’en était en fait pas un, et ainsi j’ai découvert une chose après l’autre.

Intervieweur :

Donc c’est quelque chose où vous avez dit que d’une certaine façon ça ne peut pas être, ce n’est pas plausible, le paracétamol n’est pas une drogue particulièrement puissante pour se tuer. Avec l’exemple du vélo, c’est facile à comprendre, et au cours de votre carrière de conférencier, il est également arrivé qu’on vous a empêché de parler.
J’ai appris qu’en septembre 2020, vous avez été interrompu et arrêté à Hyde Park à Londres, au célèbre Speakers Corner, alors que vous vouliez faire un discours. Il s’agit d’un endroit, comme nous l’avons appris en cours d’anglais, où depuis 900 ans, même les plus grands dissidents et critiques du gouvernement ont pu dire ce qu’ils voulaient sans en être empêchés. Est-ce un signe d’une société et d’un gouvernement hyper nerveux ?

Heiko Schöning :

C’est malheureusement le signe d’un crime mondial et vous avez raison, cette bonne tradition de 900 ans de liberté d’expression au Royaume-Uni, à Londres, à Speakers Corner, a pris fin le 26 septembre 2020 lorsque j’ai été arrêté, emmené avec des menottes parce que j’ai parlé, sur un banc, tout à fait pacifiquement, devant des gens, au sujet du Covid-19, donc sur le Coronavirus. Et ces images ont fait le tour du monde. Et ce que j’ai dit là c’étaient des informations importantes, c’étaient des preuves qu’il n’y a pas de virus mortel. Il s’agit plutôt d’une grippe saisonnière normale et toutes les mesures qui existent, là-derrière se cache un crime organisé mondial.

J’ai dit cela aussi là-bas et j’ai été arrêté, en toute illégalité. Cela a fait le tour du monde, mais bien sûr, le contenu est beaucoup plus important, et comme je viens de le dire, une fois j’ai résolu un suicide, l’affaire du meurtrier de l’anthrax de 2001 qui se serait soi-disant tué avec du paracétamol et qui a ensuite été stigmatisé comme seul coupable, alors j’ai rassemblé les preuves pour dire : Premièrement, cet homme ne s’est pas suicidé, et deuxième, il n’est pas le seul responsable.

Il était employé d’Emergent BioSolutions, une entreprise américaine de vaccins qui avait le monopole du vaccin contre l’anthrax, 20 ans auparavant.
Ces attaques qui ont tué des gens ont déclenché une telle panique ! Comme aujourd’hui c’est le Covid, Covid, Covid, à l’époque c’était l’anthrax, l’anthrax, l’anthrax.

Et quel est le lien maintenant ? Le lien est qu’aujourd’hui, la plupart des vaccins sont également produits à nouveau – comme je peux le prouver – par cette société criminelle Emergent BioSolutions. Nous connaissons donc les marques AstraZeneca, Johnson & Johnson, Janssen, Novavax et autres. Et pour toutes ces marques, c’est la société Emergent BioSolutions des États-Unis qui produit le vaccin pour eux.

Et le Dr. Bruce Ivins était un employé direct d’Emergent BioSolutions de 2000 à 2002, au moment du crime. Cette société a gagné des milliards de dollars avec ça et aujourd’hui à nouveau avec le Covid-19. C’est juste un bref résumé. C’est ce que j’avais essayé de dire à Londres. J’ai été invité à prendre la parole devant des dizaines de milliers de personnes à Trafalgar Square, à Londres. Au milieu de cette manifestation pacifique, la police l’a interrompue alors que j’avais le micro et quelques heures plus tard – comme vous l’avez déjà dit – j’étais encore une fois arrêté à Speakers Corner.

Intervieweur :

Et c’est peut-être cet événement qui vous a motivé à continuer à travailler sur votre livre. C’est de cela que nous voulons parler. Nous en arrivons au livre « Game Over ». Dans votre interview avec la chaine « Auf1 », vous avez dit que vous avez été empêché de parler à plusieurs reprises lors de manifestations dans toutes sortes d’endroits, et pas seulement à Speakers Corner. Finalement, votre livre comprend 500 pages – presque 500 pages. Et puis je lis ici que c’est le premier volume. Donc, de votre point de vue, il y a encore beaucoup de choses qui doivent être dites, même si on ne veut pas les entendre. Parlez-nous en.

Heiko Schöning :

Je ne peux que dire très sérieusement une chose : c’est que ce nous vivons actuellement – le Covid – est une supercherie, une illusion. Et cela dans le monde entier. C’est très sérieux. Et de nombreuses personnes sont déjà mortes à cause de ces mesures. Avec les mesures de confinement, des gens meurent en Inde et aussi en Afrique parce qu’ils sont affamés. Nous voyons ici aussi, bien sûr, les mesures répressives, notamment en matière d’économie. Et c’est, pour ainsi dire, l’objectif principal, c’est-à-dire l’économie de taille moyenne, qui est détruite, par un crack économique délibérément provoqué. Et quel est le prétexte, le stratagème ? C’est un virus, qui a été épandu – j’avais déjà averti en septembre 2019 lors d’une longue interview – virus déversé en septembre 2019. Et à ce moment-là j’ai pu prédire que des criminels planifiaient pour 2020 une grande panique avec des agents pathogènes. C’était 4 mois avant le début de la crise du Covid.

Intervieweur :

C’est intéressant, donc ça veut dire que vous étiez capable de prédire quelque chose qui s’est réellement produit ? Quel genre de preuve circonstancielle aviez-vous pour pouvoir dire ça ?

Heiko Schöning :

Oui, cette interview de septembre 2019, qui avait alors été diffusée, est également incluse dans le livre. Le livre comporte aussi deux DVD, ce qui signifie que la vidéo originale s’y trouve également. À l’époque, j’enquêtais sur les attaques à l’anthrax de septembre 2001 et je pouvais déjà affirmer que certains des mêmes auteurs planifiaient une panique pathogène majeure pour 2020 et qu’elle est à nouveau liée à la société Ermergent BioSolutions. Parce qu’ils ont aussi dit, par exemple, qu’ils allaient doubler leur chiffre d’affaires en deux ans. Et oui, ils ont plus que réalisé cela.

Intervieweur :

Maintenant peut-être que beaucoup de gens se demandent : « Comment pouvez-vous appeler cela un crime organisé international ? » De nombreuses personnes s’intéressent maintenant aux virus, aux protéines spike, à toutes sortes de choses et c’est comme ça que, comme il y a une grande confusion, les gens pensent : « Pour l’amour de Dieu, nous allons tous mourir ». Et d’autres pensent : « Ça ne peut pas être vrai, ils sont fous ».
Et on prétend dans de nombreux endroits – comme vous pouvez le lire dans les médias – que c’est ainsi, que tout est déjà correct. Cela signifie que vous devez expliquer de manière concluante pourquoi vous pensez qu’il s’agit d’un crime et non d’une pandémie mondiale, comme on dit.

HeikoSchöning :

Oui, exactement. Et c’est exactement ce qui a été fait. Nous avons créé une commission d’enquête extraparlementaire sur l’affaire du coronavirus lorsque celle-ci a éclaté, et ce livre « Game Over » présente le rapport final, pour ainsi dire, avec deux DVD, qui contiennent également les faits médicaux, où vous pouvez écouter les auditions d’experts avec des professeurs et des médecins de renommée internationale, c’est-à-dire que toute l’histoire de ce qui s’est passé y est inclus.

Vous pouvez entendre cela de la bouche des experts. Mais il est bien plus important de comprendre que nous avons affaire à des criminels. Des criminels dont on peut clairement prouver qu’ils ont commis des crimes il y a 20 ans. C’est ce que démontre le livre et le lien à faire c’est de dire : « Si nous savons déjà que c’est un quasi Al Capone de Chicago ou le Dr Josef Mengele qui a commis des crimes terribles pendant la Seconde Guerre mondiale, on ne fera plus confiance à ces personnes. » Et ce sont exactement les mêmes auteurs qui sont à nouveau actifs aujourd’hui autour du Covid-19.

Et tous les liens entre les personnes de cette organisation criminelle sont décrits dans le livre. Et ce qui est bien, c’est que ce n’est pas seulement du texte, mais aussi plus d’une centaine d’infographies, de sorte que vous pouvez aussi comprendre visuellement comment l’ensemble est relié.

Intervieweur :

Et maintenant voici encore ce jeu de cartes sur la table. C’est une autre approche que j’ai trouvée spéciale. Vous pourriez peut-être en dire plus à ce sujet.

Heiko Schöning :

C’est rendu très confus, bien sûr. Quand il y a un crime, les gens essaient toujours de le camoufler et de tromper. C’est similaire dans l’armée, camoufler et tromper. C’est pourquoi c’est relativement compliqué. Pour représenter quelque chose, il faut ensuite le placer dans un ordre déjà connu. Et un jeu de cartes, ici avec 52 cartes, c’est connu. Vous pouvez y jouer au skat, au poker et à bien d’autres jeux. Et là, les 52 personnages principaux, notamment les auteurs, sont représentés, et vous comprenez l’ordre. Vous avez le cœur, le pique, le trèfle, le carreau, vous comprenez l’ordre, tout comme si vous avez l’as ou le sept ou la reine et le roi. Et j’ai également placé ces mafiosi individuels dans cet ordre afin que vous puissiez comprendre quels sont les différents clans à l’œuvre ici.

En plus du livre nous avons également inclus ce jeu de cartes en allemand et en anglais, afin que vous puissiez vous faire une image de ces personnes. Car lorsque vous entendez un nom, il est bien plus facile de s’en souvenir, si vous avez un visage correspondant. Et c’est ce que tout ce jeu de carte peut faire.
Dans le livre également, ces criminels sont toujours représentés, dessinés. C’est ce qui est important et ce qui est nouveau. Ce livre ose non seulement appeler les auteurs par leur nom, mais aussi montrer les visages et les liens criminels.

Intervieweur :

Si nous avons maintenant affaire à une mafia, comme vous le dites, ne prenez-vous pas un grand risque ?

Heiko Schöning :

On me l’a déjà demandé en septembre 2019, car le projet de livre « Game Over » était déjà sur la table il y a deux ans, et j’ai pu brandir quelques preuves devant la caméra et j’ai également mentionné les connexions. Beaucoup de gens qui l’ont vu ont été choqués. Cette vidéo a ensuite été également censurée, elle a été supprimée de YouTube et bien d’autres choses encore. Et comme vous l’avez dit au début, j’ai souvent été empêché de parler, pas seulement à Londres, mais aussi à Berlin, le 1er août 2020, il y avait plus d’un million de personnes dans les rues, six heures de manifestation pacifique, et ensuite, nous, les médecins, étions censés parler sur scène. Et puis la police a pris la scène d’assaut. Le 1er août 2020 à Berlin.
Et oui, malheureusement, encore plein d’autres choses que nous voyons : la censure règne ici.

Intervieweur :

Bien, ce livre est disponible dès maintenant, si j’ai bien compris, ou est-il encore en phase de planification ?

Heiko Schöning :

Non, le livre est terminé maintenant. Beaucoup d’autres choses ont encore été intégrées en plus. Au lieu de le publier immédiatement, auquel cas il aurait principalement fait référence à l’anthrax de 2001, j’ai décidé de dire que les nouveaux crimes, qui sont beaucoup plus importants maintenant, qui sont beaucoup plus grands comme le Covid-19, doivent être inclus afin de montrer que ce sont les mêmes criminels qui l’ont planifié. Et la préconnaissance criminelle est la clé pour prouver que le Covid-19 est une fraude.

Et ce livre prouve simplement que certains des principaux responsables avaient une préconnaissance criminelle du Covid-19. Ce n’était pas une surprise, tout était prévu. Et nous voyons aussi que tout est orchestré, au niveau mondial !

Intervieweur :

Nous parlons du monde entier. Ainsi, en tant qu’observateur, on se demande, par exemple, l’Australie a mis en place l’une des stratégies anti-covid les plus rigides : « Zéro Covid » – extrêmement rapide, extrêmement dur dans les confinements et on se demande : Pourquoi l’Australie ?

Heiko Schöning :

Oui, il faut comprendre, enfin, j’ai dit, dans le jeu de cartes, les différents clans mafieux sont rassemblés, pour ainsi dire. Et il y a un clan mafieux qui est maintenant nouveau, que j’ai appelé la mafia techno. Et il faut bien voir que les entreprises qui se cachent derrière ont une grande connaissance du comportement des gens grâce aux stratégies publicitaires et autres. Et vous devez penser au Covid-19 comme à un produit. Ce sera comme un lancement d’un nouveau produit.

Et cela ne se fait pas partout et soudainement de façon égale à 100%, mais des zones tests sont d’abord créées. Et malheureusement, l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont des marchés tests occidentaux pour ces criminels, pour tester jusqu’où ils peuvent aller avec ces mesures, avec ce confinement, avec ces mesures répressives. Et maintenant, l’armée est également utilisée contre le peuple pour faire appliquer les mesures coercitives. Et c’est exactement ce qui nous attend en Europe et aux États-Unis.

Intervieweur :

C’était ma prochaine question : Vous dites que si les choses continuent comme ça, il y aura des scènes comme celle que nous voyons actuellement en Australie.

Heiko Schöning :

Absolument. Nous l’avons vu au préalable, et c’est évident. Et c’est ce que j’ai également dit au début de l’année 2020. Et cette fois-ci aussi à Berlin le 29 août 2020, lors de cette grande manifestation de millions de personnes, où j’ai pu parler devant plus d’un million de personnes. Dans ce discours à Berlin, j’ai dit :
En Australie la phase de confinement est comme une démonstration de ce déroulement. Et exactement ces mesures seront appliquées en Europe. Et ces mesures sont effectivement arrivées. Comme je l’ai déjà clairement dit dans des interviews, nous sommes confrontés à une loi martiale médicale .Et c’est ce que nous vivons ici.

Intervieweur :

Eh bien, la question est : Que peut-on faire maintenant ? C’est une question qui préoccupe de nombreuses personnes. Il y avait et il y a des gens qui, sur la base de discussions sur Internet, avaient de très grands espoirs dans les États-Unis, dans le président Trump, et finalement rien n’en est sorti.
On peut donc dire que finalement l’attentisme n’est plus de mise. Alors, que conseillez-vous aux gens et comment peuvent-ils vous soutenir, par exemple ?

Heiko Schöning :

D’une part, je dois dire que tous ceux qui ont réellement mis leur espoir dans le président Trump ont été trompés. Parce que c’est un coup monté. M. Trump est également l’un des criminels, l’un des membres d’un petit clan mafieux. La vieille mafia de Reagan est derrière tout ça, les « Reaganites ». Et ils sont en concurrence avec un grand clan mafieux, appelé « l’establishment », que vous pouvez consulter en détail. Mais aussi dans ce livre il est clairement déclaré que Donald Trump est en contact avec l’un des principaux criminels, et son nom est Edwin Meese, qui a reçu une médaille en octobre 2019 dans le Bureau ovale de Donald Trump. Et c’est l’un des principaux criminels. En bref, Donald Trump est aussi l’un d’entre eux.

Et nous devons également nous rendre compte que nous, les humains, nous sommes en train d’être divisés en deux camps : les vaccinés et les non-vaccinés. Et les États-Unis risquent aussi maintenant de ne plus être les États-Unis, mais de devenir les États-non-unis. Il est donc très, très important que nous restions pacifiques, que nous restions dans un dialogue, que nous vainquons la censure et que nous ne nous laissions pas divisés. Parce que c’est précisément ça leur calcul. Parce que : « Quand deux se disputent, le troisième est content ».

Edwin Meese, en tant que bras droit de Ronald Reagan, a également fourni des armes aux deux camps : L’Iran contre des affaires, par exemple, est l’un de ses principaux crimes. Et l’Iran et l’Irak, les deux côtés, ont été livrés en armes pendant huit ans, massacrés et, à la fin, les sociétés américaines ont pris le contrôle d’un Irak affaibli. Et l’Iran sera confronté à une situation similaire.

Je ne peux que dire que c’est un coup monté. Et ce livre montre également les grandes structures, les structures historiques, comment on en est arrivé là. C’est pourquoi il est si important de comprendre ce qui se passe au début. C’est la raison pour laquelle le livre est structuré de cette manière ; pour passer de l’actualité et de la simplification à l’intemporel et à l’approfondissement. Cela vaut donc vraiment la peine d’avoir le courage de lire ce livre. Il contient de nombreuses illustrations originales, de nombreuses sources et vous pouvez également le vérifier par vous-même.

Intervieweur :

Oui, c’est également très important. Il y aura certainement une personne ou une autre qui fera des recherches. Mais vous avez dit que c’est un jeu orchestré, c’est international. C’est pourquoi nous allons peut-être retourner au niveau international. Il est certainement avantageux de ne pas continuer à réinventer la roue, mais de regrouper les initiatives et associations existantes, d’apprendre et de profiter les unes des autres. Vous êtes membre et vice-président de la « World Doctors Alliance » (« Alliance mondiale des médecins »), puis de l’« ACU 2020 » et de la « World Freedom Alliance » (« Alliance mondiale pour la paix »). Ce sont toutes des organisations que vous soutenez ou que vous avez fondées. Parlez-nous de l’importance de ces réseaux internationaux.

Heiko Schöning :

Une chose est la connaissance. En fait, je dis que nous devons faire cinq actions.
La première : nous devons montrer qu’ils sont des criminels – et c’est ce que ce livre montre, que ce sont des criminels et que c’est aussi le crime organisé et maintenant la question est aussi : Que faisons-nous – comment entrons-nous en action ? Et là il est important que nous nous réunissions ; nous, ensemble et que nous prenions des mesures contre tout ça. Et à cet égard, j’avais déjà créé la « Commission extraparlementaire d’enquête Covid19 » en mai 2020 et en juin nous avons déjà eu la première réunion de lancement avec les premières auditions. C’est aussi sur les DVD ici, donc là les preuves sont aussi intégrées pour qu’on puisse les consulter. Et en peu de temps, nous avons également rassemblé plus de 1 000 médecins en Allemagne, qui ont également affiché ouvertement leur nom sur le site web, afin de dire :

« Les mesures qui sont prises ici, sont absolument exagérées ! ». Et en fait, encore plus – nous le disons aussi avec la « World Freedom Alliance », c’est-à-dire l’organisation faîtière des mouvements de liberté mondiaux qu’il s’agit d’un crime orchestré, mondial, et nous allons même au-delà pour offrir une meilleure alternative. Car il ne s’agit pas seulement de présenter les problèmes, mais aussi la solution en même temps. Et là, j’ai eu l’honneur, comme vous l’avez dit très justement, de devenir également le vice-président de cette association médicale mondiale et aussi… de cette fédération du mouvement pour la liberté « The World Freedom Alliance.org ».

Intervieweur :

M. Schöning – merci beaucoup d’avoir pu discuter de votre livre aujourd’hui !
Je vous souhaite beaucoup de succès, que le plus grand nombre de personnes possible le lise, que ce soit quelque chose qui fasse avancer les gens, qui les rassemble. Je ne peux que souscrire à ces propos. Nous ne résoudrons le problème qu’ensemble, ou pas du tout.
C’est la chance du siècle. Vous l’avez également dit dans le discours préliminaire, c’est quelque chose qui donne de l’espoir, que nous voulons aussi transmettre aux gens.
Y a-t-il encore quelque chose que vous aimeriez dire au téléspectateurs, en conclusion ?

Heiko Schöning :

Oui, absolument ! Parce que vous avez tout à fait raison. Il est vrai que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système. Ce système criminel dans lequel nous vivons et de ne pas simplement accepter cette « nouvelle normalité » criminelle et oligarchique, mais de créer une « meilleure normalité ». C’est ce que défend l’Alliance mondiale pour la liberté et c’est aussi ce que défend le programme économique « Wirkraft » – « wirkraft.org ».

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où les mensonges de guerre qui existaient déjà, ont entrainé la mort de millions de personnes, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia !

Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »
Par conséquent, unissons-nous maintenant ! Transmettez les preuves, elles sont résumées, dans le rapport final de la commission d’enquête Covid-19. Transmettez-le ! Merci beaucoup.

Intervieweur :

Oui, merci beaucoup. Kla.tv vous remercie pour cette journée ! Au revoir.

de s.l.

Sources / Liens

Livre de Heiko Schöning:
„GAME OVER. COVID-19 I ANTHRAX-01“, Septembre 2021.




La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)

Par Arthur Firstenberg

Auteur de The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life
[L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

[Voir :
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)]

Il n’y a pas de réponse à la dose pour le rayonnement des micro-ondes

La vente des téléphones portables est, et a toujours été, basée sur des mensonges et des tromperies. Le plus gros mensonge est que ce sont des appareils de « faible puissance » et que cela les rend sûrs. C’est un double mensonge. C’est un mensonge parce qu’ils ne sont pas de faible puissance. Si vous mettez un téléphone portable — n’importe lequel — dans votre main ou à côté de votre corps, vous êtes bombardé par plus de micro-ondes provenant de votre téléphone que vous n’en recevez de n’importe quelle tour de téléphonie cellulaire, et par dix milliards de fois plus de micro-ondes que vous en recevez du soleil, de la Voie lactée ou de toute autre source naturelle. Les directives d’exposition établies par la Federal Communications Commission reflètent cette réalité : les tours de téléphonie cellulaire sont autorisées à exposer votre corps à un taux d’absorption spécifique de 0,08 watt par kilogramme, tandis que les téléphones cellulaires sont autorisés à exposer votre cerveau à un taux d’absorption spécifique de 1,6 watt par kilogramme, soit vingt fois plus.

Et c’est un mensonge, car les appareils de faible puissance ne sont pas plus sûrs que les appareils de forte puissance. La raison en est que les champs électromagnétiques ne sont pas des toxines au sens ordinaire du terme, et que la règle de toxicologie selon laquelle une dose plus faible est une dose plus sûre ne s’applique pas aux micro-ondes. Comme l’a écrit Allan Frey en 1990 :

« Les champs électromagnétiques ne sont pas une substance étrangère aux êtres vivants comme le plomb ou le cyanure. Avec les substances étrangères, plus la dose est grande, plus l’effet est grand – une relation dose-réponse. Les êtres vivants sont plutôt des systèmes électrochimiques qui utilisent les CEM de basse fréquence dans tous les domaines, du repliement des protéines au fonctionnement du système nerveux, en passant par la communication cellulaire. Pour modéliser la façon dont les CEM affectent les êtres vivants, on peut les comparer à la radio que nous utilisons pour écouter de la musique… Si l’on impose à la radio un CEM ou une harmonique convenablement accordée, même s’il est très faible, il perturbera la musique. De même, si nous imposons un signal CEM très faible à un être vivant, il a la possibilité d’interférer avec une fonction normale s’il est correctement accordé. C’est le modèle que de nombreuses données et théories biologiques nous disent d’utiliser, et non un modèle toxicologique. »

L’étude la plus approfondie de l’effet de la barrière hématoencéphalique, découvert par Frey en 1975, a été menée à l’université de Lund, en Suède, à partir de la fin des années 1980, avec diverses sources de rayonnement micro-ondes et, plus tard, dans les années 1990 et 2000, avec de véritables téléphones portables. Ils ont découvert que non seulement il n’y a pas de relation dose-réponse, mais qu’il existe une relation dose-réponse inverse pour ce type de lésion. Ils ont exposé des rats de laboratoire à ce qu’on appelle aujourd’hui le rayonnement des téléphones cellulaires 2G, puis ils ont réduit le niveau de puissance du rayonnement de dix fois, cent fois, mille fois et dix mille fois. Et ils ont constaté, à leur grande surprise, que les dommages les plus importants à la barrière hématoencéphalique ne se produisaient pas chez les rats exposés à la puissance maximale, mais chez les rats exposés à des téléphones dont le rayonnement avait été réduit par un facteur de dix mille ! Cela équivaut à tenir un téléphone portable à plus d’un mètre de distance de son corps. Le chef de l’équipe de recherche, le neurochirurgien Leif Salford, a averti que les non-utilisateurs de téléphones cellulaires subissaient les dommages causés par les téléphones cellulaires de leurs voisins, et que cette technologie était « la plus grande expérience biologique jamais réalisée dans le monde. »

Dans une autre série d’expériences, publiée en 2003, l’équipe de Salford a exposé de jeunes rats à ce qu’on appelle aujourd’hui un téléphone cellulaire 2G, une seule fois pendant deux heures, soit à pleine puissance, soit à deux niveaux différents de puissance réduite, et les a sacrifiés 50 jours plus tard pour examiner leur cerveau. Ils ont constaté qu’une seule exposition à un téléphone cellulaire ordinaire fonctionnant à la puissance normale avait détruit de façon permanente jusqu’à 2 % de presque tous les rats. Les neurones endommagés dominaient l’image dans certaines zones de leur cerveau. Lorsque la puissance du téléphone a été divisée par dix, elle a provoqué des lésions cérébrales chez tous les rats. Lorsque la puissance du téléphone a été divisée par cent, ce type de lésions cérébrales permanentes a été observé chez la moitié des animaux exposés.

Dans des expériences encore plus poussées, publiées en 2008, les chercheurs ont exposé des rats à un téléphone portable pendant deux heures une fois par semaine pendant un an, en utilisant toujours ce qu’on appelle aujourd’hui un téléphone portable 2G. Les rats exposés souffraient de troubles de la mémoire, qu’ils aient été exposés à un niveau de DAS de 60 milliwatts par kilogramme ou de 0,6 milliwatt par kilogramme. En d’autres termes, la réduction du niveau de puissance par un facteur de cent n’a pas rendu le téléphone portable moins dangereux.

L’absence de relation dose-effet a été signalée à maintes reprises. Le physicien Carl Blackman a passé une grande partie de sa carrière à l’Agence pour la protection de l’environnement à déterminer pourquoi non seulement des fréquences particulières, mais aussi des niveaux de puissance particuliers des rayonnements de radiofréquences provoquent l’écoulement du calcium hors des cellules du cerveau. Ross Adey, de l’UCLA, Jean-Louis Schwartz, du Conseil national de recherches du Canada, et Jitendra Behari, de l’université Jawaharlal en Inde, ont fait le même constat. Le généticien Sisir Dutta, qui a étudié le même phénomène à l’université Howard en 1986, a constaté des pics de flux de calcium à des niveaux de DAS de 2 W/kg et 1 W/kg, ainsi qu’à 0,05, 0,002 8, 0,001, 0,000 7 et 0,000 5 W/kg, avec un certain effet jusqu’à 0,000 1 W/kg. L’effet à 0,000 7 W/kg de DAS était quadruple de l’effet à 2,0 W/kg, en d’autres termes, une réduction de 3 000 fois du niveau de puissance a entraîné une augmentation de 4 fois de la perturbation calcique. La fréquence était de 915 MHz, la même que celle qui sera utilisée plus tard pour les téléphones portables.

Dans les années 1960 et 1970, Maria Sadchikova et ses collègues soviétiques ont examiné des centaines de travailleurs exposés à des micro-ondes sur leur lieu de travail et ont systématiquement constaté que les travailleurs les plus malades étaient ceux qui étaient exposés aux niveaux de puissance les plus faibles et non les plus élevés.

Igor Belyaev, de l’université de Stockholm, a constaté que les effets génétiques se produisaient à des fréquences spécifiques et que l’ampleur de l’effet ne changeait pas avec le niveau de puissance sur 16 ordres de grandeur, jusqu’à 0,000 000 000 000 000 001 watt par centimètre carré, un niveau qui est un quadrillion de fois inférieur à ce qu’un téléphone portable envoie au cerveau.

Dimitris Panagopoulos, de l’université d’Athènes, a constaté que les mouches des fruits exposées à un téléphone portable pendant une minute par jour pendant cinq jours avaient une progéniture 36 % moins nombreuse que les mouches qui n’étaient pas exposées du tout. Lorsqu’il les a exposées au téléphone pendant six minutes par jour pendant cinq jours, le nombre de leur progéniture a diminué de 50 à 60 %. Et l’effet maximal s’est produit lorsque le téléphone cellulaire se trouvait à environ 30 cm des mouches, et non lorsqu’il touchait la fiole dans laquelle se trouvaient les mouches. Dans des recherches plus poussées, il a montré que l’effet était dû aux dommages causés à l’ADN et à la mort consécutive des cellules par le rayonnement.

Dans une autre expérience, le collègue de Panagopoulos, Lukas Margaritis, a exposé des mouches à fruits à diverses fréquences de rayonnement RF à des niveaux d’exposition allant de 0,000 1 watt par kilogramme à 0,04 watt par kilogramme, et a constaté que même une seule exposition à l’une de ces fréquences, à l’un de ces niveaux de puissance, pendant seulement 6 minutes, entraînait la mort d’un nombre important de cellules ovariennes.

Dans le cadre d’une autre étude, l’équipe de Margaritis a exposé des mouches à fruits à un téléphone portable pendant 6 minutes, 12 minutes, 6 minutes par jour pendant 3 jours ou 12 minutes par jour pendant 3 jours. Dans chaque cas, le téléphone a triplé ou sextuplé le nombre de cellules ovariennes mortes. L’équipe a ensuite testé d’autres sources de micro-ondes pendant 10 à 30 minutes par jour, pendant 9 jours au maximum, et a constaté que chacune d’entre elles réduisait le nombre de descendants de 11 à 32 %. Le téléphone cellulaire et le téléphone sans fil ont eu l’effet le plus important, mais le WiFi, le babyphone, le Bluetooth et le four à micro-ondes ont également réduit considérablement la fécondité des mouches.

Les effets sur les insectes sont si évidents que même un lycéen peut facilement les démontrer. En 2004, Alexander Chan, élève de deuxième année au lycée Benjamin Cardozo de Queens (New York), a exposé quotidiennement des larves de drosophiles à un haut-parleur, un écran d’ordinateur et un téléphone portable dans le cadre d’un projet scientifique et a observé leur développement. Les mouches qui ont été exposées au téléphone portable n’ont pas développé d’ailes.

Que faisons-nous à la nature ?

Nous perturbons et désorientons non seulement les oiseaux, mais aussi, comme on le découvre actuellement, les insectes. Il semble que toutes les petites créatures dotées d’antennes les utilisent pour envoyer et recevoir des communications électroniques — des communications qui sont perturbées et noyées par les communications beaucoup plus puissantes de nos appareils sans fil.

Lorsque les abeilles domestiques exécutent leur danse de l’agitation pour s’informer mutuellement de l’emplacement des sources de nourriture, il ne s’agit pas seulement d’une danse visuelle, mais aussi d’une danse électromagnétique. Pendant la danse, elles génèrent des signaux électromagnétiques avec une fréquence de modulation comprise entre 180 et 250 Hz. Ils envoient également un autre type de signal, appelé signal « stop », d’une durée pouvant atteindre 100 millisecondes, à une fréquence de 320 Hz. Le signal d’arrêt est utilisé lorsque la colonie a déjà trop de nourriture, et il amène les danseurs à s’arrêter de danser et à quitter la piste. Uwe Greggers, de la Freie Universität Berlin, a découvert que les abeilles se mettent à marcher et à bouger activement leurs antennes en réponse à des champs électromagnétiques générés artificiellement qui imitent ces signaux naturels, même en l’absence de tout repère visuel ou auditif. Les abeilles dont il avait retiré les antennes ou qu’il avait enduites de cire ne répondaient pas à ces signaux.

La pollinisation dépend également de la communication électromagnétique — entre les abeilles et les fleurs. Les abeilles portent une charge positive sur leur corps du fait qu’elles volent dans le champ électrique atmosphérique global, tandis que les fleurs, étant reliées à la terre, portent une charge négative. Dominic Clarke, de l’université de Bristol, a prouvé que cela facilite non seulement le transfert du pollen des fleurs aux abeilles, mais aussi que les abeilles sentent et sont attirées non seulement par les couleurs des fleurs, mais aussi par les modèles distincts de leurs champs électriques. Le champ électrique d’une fleur diminue immédiatement après avoir été visitée par une abeille, et les autres abeilles « voient » cela et ne visitent que les fleurs dont le champ électrique est robuste. Alors que les abeilles mellifères voient les champs avec leurs antennes, les bourdons les voient plutôt avec les poils qui recouvrent leur corps et qui font d’eux des créatures si particulières, mais qui fonctionnent aussi comme une sorte d’antenne.

En 2007, le biologiste allemand Ulrich Warnke a publié une importante brochure en anglais et en allemand intitulée Bees, Birds and Mankind : Destroying Nature by “Elektrosmog” (Bienen, Vögel und Menschen : Die Zerstörung der Natur durch ‘Elektrosmog’). Il y rappelle qu’il n’y a que deux forces à longue portée — la gravité et l’électromagnétisme — qui façonnent tout dans l’univers, y compris nos corps, et que nous ignorons ce fait à nos risques et périls. L’électricité est le fondement de la vie, a-t-il averti, et « cette destruction du fondement de la vie a déjà anéanti à jamais de nombreuses espèces. » Nous ne pouvons pas immerger notre monde, a-t-il dit, dans une mer de rayonnements électromagnétiques jusqu’à 10 000 000 000 fois plus puissants que les rayonnements naturels avec lesquels nous avons évolué sans détruire toute la vie. Il a résumé les recherches que lui et d’autres ont effectuées sur les abeilles à miel. Il n’est pas étonnant, écrit Warnke, que les abeilles disparaissent partout dans le monde.

Elles ont commencé à disparaître à l’aube de l’ère de la radio. Sur la petite île située au large de la côte sud de l’Angleterre, où Guglielmo Marconi a envoyé la première transmission radio longue distance au monde en 1901, les abeilles ont commencé à disparaître. En 1906, l’île, qui accueillait alors la plus grande densité de transmissions radio au monde, était presque vide d’abeilles. Des milliers d’entre elles, incapables de voler, ont été retrouvées rampantes et mourantes sur le sol à l’extérieur de leurs ruches. Des abeilles saines importées du continent ont commencé à mourir dans la semaine suivant leur arrivée. Au cours des décennies suivantes, la maladie de l’île de Wight s’est répandue, en même temps que la radio, dans le reste de la Grande-Bretagne, ainsi qu’en Italie, en France, en Suisse, en Allemagne, au Brésil, en Australie, au Canada, en Afrique du Sud et aux États-Unis. Dans les années 1960 et 1970, son nom est devenu « maladie de la disparition ». Elle est devenue urgente à la fin des années 1990, avec la révolution du sans-fil, et est devenue une urgence mondiale en 2006, lorsqu’elle a été rebaptisée « syndrome d’effondrement des colonies ». Aujourd’hui, non seulement les abeilles domestiques, mais aussi toutes les abeilles sauvages sont en danger d’extinction.

Non seulement les amphibiens disparaissent, mais un grand nombre d’espèces d’amphibiens se sont déjà éteintes, même dans les régions les plus éloignées et les plus vierges du monde — vierges, bien sûr, à l’exception des tours de communication et des stations radars émettant des micro-ondes. Les amphibiens sont les plus vulnérables de toutes les catégories d’animaux de la planète aux rayonnements électromagnétiques, et leur nombre diminue et s’éteint depuis les années 1980. Lorsque j’ai étudié la question en 1996, toutes les espèces de grenouilles et de crapauds du parc national de Yosemite étaient en train de disparaître. Dans la réserve de la forêt nuageuse de Monteverde, au Costa Rica, le célèbre crapaud doré, très protégé, s’était éteint. Huit des treize espèces de grenouilles d’une réserve de forêt tropicale brésilienne avaient disparu. La célèbre grenouille gastro-intestinale d’Australie a disparu. Soixante-quinze espèces de grenouilles arlequin colorées qui ornaient autrefois les cours d’eau des régions tropicales de l’hémisphère occidental ont disparu. Aujourd’hui, plus de la moitié des espèces connues de grenouilles, salamandres et caeciliens (amphibiens ressemblant à des serpents), soit 4 300 espèces, ont disparu ou sont menacées d’extinction.

En 1996, lorsque les tours de téléphonie mobile ont envahi les régions reculées des États-Unis, des grenouilles mutantes ont commencé à apparaître par milliers dans les lacs, les cours d’eau et les forêts du Midwest américain. Leurs pattes déformées, leurs pattes supplémentaires, leurs yeux manquants, leurs yeux mal placés et autres erreurs génétiques effrayaient les écoliers en excursion.

En 2009, Alfonso Balmori, biologiste de la faune sauvage, a réalisé une expérience simple et évidente sur le balcon d’un appartement de Valladolid, en Espagne, non loin d’une antenne relais, une expérience qui a permis de prouver ce qui se passait : il a élevé des têtards dans deux réservoirs identiques, sauf qu’il a drapé sur l’un d’eux une fine couche de tissu tissé de fibres métalliques, qui laissait passer l’air et la lumière, mais empêchait les ondes radio. Les résultats ont choqué même Balmori : en l’espace de deux mois, 90 % des têtards dans le réservoir sans blindage étaient morts, contre seulement 4 % dans le réservoir blindé.

Des expériences similaires de blindage ont confirmé, à la pelle, ce qui arrive aux oiseaux et à nos forêts.

Des scientifiques de l’université d’Oldenburg, en Allemagne, ont été choqués de constater, à partir de 2004, que les oiseaux chanteurs migrateurs qu’ils avaient étudiés n’étaient plus capables de s’orienter vers le nord au printemps et vers le sud-ouest en automne. Soupçonnant que la pollution électromagnétique pouvait en être responsable, ils ont fait pour leurs oiseaux ce que Balmori a fait pour ses têtards quelques années plus tard : ils ont protégé la volière des ondes radio pendant l’hiver avec des feuilles d’aluminium. « L’effet sur les capacités d’orientation des oiseaux a été profond », ont écrit les scientifiques. Au printemps suivant, les oiseaux se sont tous orientés vers le nord.

En 2007, dans un laboratoire d’arrière-cour situé au pied des montagnes Rocheuses du Colorado, Katie Haggerty a décidé de réaliser la même expérience avec des plants de tremble. Elle voulait savoir si les ondes radio étaient responsables du déclin des trembles dans tout le Colorado, qui avait commencé en 2004. Elle a fait pousser 27 peupliers : neuf sans aucun écran, neuf avec un écran de fenêtre en aluminium autour de leurs pots qui empêchait les ondes radio, et neuf avec un écran en fibre de verre qui empêchait autant de lumière, mais laissait entrer toutes les ondes radio. Deux mois plus tard, les nouvelles pousses des trembles protégés par un écran radio étaient 74 % plus longues et leurs feuilles 60 % plus grandes que celles des trembles protégés par un écran factice ou sans écran. Et à l’automne, les arbres protégés avaient de grandes feuilles saines aux couleurs d’automne brillantes pour lesquelles les trembles sont célèbres : orange vif, jaune, vert, rouge foncé et noir. Les arbres sans bouclier et avec bouclier factice avaient de petites feuilles d’un jaune et d’un vert ternes, couvertes de zones grises et brunes de pourriture. La seule chose qui avait changé dans les montagnes Rocheuses du Colorado en 2004 était l’installation d’un nouveau système de communication d’urgence appelé Digital Trunked Radio System, composé de 203 tours radio dont les transmissions couvraient chaque centimètre carré de l’État.

(à suivre) 




La Belle et les truands (partie III)

Par Lucien Oulahbib

[Voir La belle et les truands
et La belle et les truands (Partie 2)]

Le déplacement à Drancy lui sembla bien instructif, alors que la voiture filait tant bien que mal entre les 30 et 50 à l’heure le long de murs gris laissés à l’abandon, avec de temps à temps une « griffe », mais plutôt des tags épars, suintant la crasse, mais aussi comme gardant en creux les souffrances humaines transportées dans cette patine sombre tant il lui semblait entendre encore (comme Proust le décrit si bien dans « À l’ombre des jeunes filles en fleurs ») leurs « murmures » enfouis en atomes de son implantés ainsi par les passants, en particulier lorsqu’il s’agissait de ces murs d’anciennes usines que tous ces travailleurs avaient croisés en 3/8 ; illusions perdues…

Aujourd’hui, leurs représentants ayant échoué à construire ne serait-ce qu’une contre-société tant les individus étaient de plus en plus « seuls » dans leur « existé » (disait Lévinas), tentaient encore de se rattraper aux branches du clientélisme le plus rance en fomentant l’idée par exemple qu’il était plus juste d’aider financièrement et de fournir un logement à une famille étrangère fraîchement débarquée qu’à un jeune couple de Français attendant depuis plusieurs années une même aide pour pouvoir s’installer et procréer. Certes, cette famille étrangère avait pu arracher une sorte de permis de séjour provisoire le temps d’étudier son dossier, mais tout le monde savait bien qu’il suffisait de placer ses enfants à l’école et d’en fabriquer un dans la foulée pour que cette famille ne soit plus expulsable. Or l’on mélangeait deux choses : le droit humanitaire qui doit relever d’instances communautaires mondiales (comme en bénéficient lesdits réfugiés palestiniens) et le droit national qui ne peut être réservé qu’aux citoyens et aux personnes ayant de réels permis de séjour.

L’appartement était douillet et silencieux, et alors qu’il mangeait sur le pouce, Z en profita pour se lover au coin du feu dans le fauteuil qu’il affectionnait pour feuilleter un ouvrage « collectif » (avec Éric Fassin en maître d’œuvre) que venait de lui conseiller un ami, et qui exprimait parfaitement cet esprit-là rencontré à Drancy imprégnant de plus en plus fortement les élites dites françaises, à savoir cette confusion des genres (entre problèmes internationaux — qui relèvent strictement de la solidarité internationale — et problèmes nationaux) présupposant dans ce cas à terme la suppression effective de la distinction juridique puis politique et donc électorale entre nationaux et non-nationaux.

Tandis qu’il prenait donc ce livre (intitulé « Cette France-là », 01 07 2008/30 06 2009 volume 2, diffusion la Librairie la Découverte, 2010), il apprit au même moment que le Groupe Sud Ouest avait décidé de ne plus faire état de sondages dans ses journaux, et que la gauche et l’extrême gauche avaient donné le feu vert au nom de la « lutte contre les violences d’extrême droite » à diverses milices Black bloc et autres Antifa afin de semer la terreur néo-léniniste façon année 30 lorsque les milices communistes staliniennes allemandes faisaient quasiment cause commune avec les milices nationales-socialistes pour aller casser sinon ensemble du moins parallèlement les meetings sociaux-démocrates considérés depuis 14 comme des sociaux-traîtres, voire comme pire que les nazis ; comme si aujourd’hui les patriotes nationalistes français étaient considérés bien plus dangereux que les djihadistes, ceux-ci étant au fond méprisés ou alors évalués de manière condescendante comme étant manipulés par le « sionisme » international provenant soit du « Mossad », soit du « néo-libéralisme ». C’était d’ailleurs la parfaite jonction entre les vieux courants drumontistes et maurrassistes — plutôt que maurrassiens — n’ayant d’un côté jamais rien compris à la chute de la Monarchie française, et de l’autre des histrions genre Vieille Taupe ramassis d’anarchistes se réclament à la fois de Proudhon et de Bakounine façon CNT espagnole bien implantée à nouveau parmi Sud et autres « Solidaires ». Tout ce beau monde formait ce remugle hérétique d’antijuifs congénitaux entremêlant des éléments illuministes christiques luttant contre les francs-maçons et le peuple « déicide » et tout un fatras « alter » post tiers-mondistes recyclé dans la « deep ecology » et supportant la matrice des ZAD et « intersectionnalistes » néo-léninistes (adeptes de l’écriture inclusive forçant à signifier masculin et féminin alors que la théorie queer du genre insistait à les effacer), chair à canon des affairistes, djihadistes et mélenchonistes en chambre (eux-mêmes idiots utiles des deux premiers).

À la page 4 de l’ouvrage, il est fait état d’une question écrite (dans un langage diplomatique et soumise au Premier Ministre de l’époque — fin 2009 — François Fillon) qui exprimait le souci suivant (suite à la crise de 2008 dite des « subprimes ») : » 

C’est ainsi que nous écrivions :

« (…) si la crise fait ressurgir le spectre d’un protectionnisme digne des années 1930, ceux qui s’en inquiètent aujourd’hui auraient tort d’oublier comment la xénophobie le suivait alors comme son ombre ; il serait donc illusoire de prétendre conjurer le premier en s’accommodant de la seconde. »

Dans un courrier reçu le 20 mars (2009) le Premier ministre nous répondait avec courtoisie : « vous affichez dans cet ouvrage l’intention de soumettre la politique de l’immigration conduite par le gouvernement à un examen argumenté. J’en prends acte et m’en remets à l’objectivité de votre travail. Je salue le caractère méthodique et l’ambition du premier volume paru. » Son courrier dépassait toutefois les exigences de la politesse, puisque François Fillon entreprenait de conjurer nos inquiétudes en s’y associant. « Quant aux craintes que votre lettre exprime, je peux vous assurer que j’en partage les principes et qu’aucun effort ne sera ménagé pour en écarter la menace : la République ne tolérera pas que la crise serve de prétexte au rejet, à la discrimination ou à la haine raciale. Le gouvernement que je dirige condamne avec une entière fermeté toute démarche visant à faire des immigrés, légaux ou illégaux, des boucs émissaires de difficultés économiques dont ils sont souvent les premières victimes. » (…) Un an plus tard, qu’en est-il ? Si les propos du Premier ministre se voulaient rassurants, l’action menée par son nouveau ministre de l’Immigration est au moins de nature à jeter le trouble. (…) Éric Besson n’hésite pas à aller plus loin que son prédécesseur (Brice Hortefeux) par exemple avec le « démantèlement de la jungle » de Calais ou l’expulsion d’étrangers vers des pays en guerre comme l’Afghanistan. (…) Ainsi parler de « mariages gris » ou de « supermarché de l’asile », c’est s’en prendre, en pratique, aux couples binationaux ainsi qu’aux réfugiés. (…) Avec la crise, le nationalisme et la xénophobie ne reviennent-ils pas en force, dans la société comme dans le monde politique, ainsi qu’on a pu le constater dans les dérapages qu’a encouragés le débat sur l’identité nationale et comme me montrerait l’acharnement de l’État français à l’encontre des étrangers ? (…) » 

(pages 4 et 5).

Tout y est dit pensa Z en fermant l’ouvrage. Et alors que son chat sautait sur ses genoux, il prit un grog, regardant les flammes éternelles dévorer la nouvelle bûche, et songea aux dégâts incommensurables exprimés par ce qu’il venait de lire. D’un côté, l’aveuglement tenace du pouvoir en place à l’époque qui n’a pas réussi à hisser le débat au niveau adéquat, à savoir cette confusion des genres entre un problème mondial, celui des flux migratoires liés pour une grande part à la faillite idéologique de la gauche, et la droite dite progressiste. À croire que la division internationale du travail et les fameux « avantages comparatifs » étaient la solution à tout, y compris aux corruptions locales (Wilson en 14 avait fait la même erreur avec l’Allemagne en forçant la France à ne pas faire en sorte que la première paye rubis sur l’ongle les dégâts de la guerre). Et de l’autre côté, la pression idéologique immense d’une gauche et d’une extrême gauche qui ne s’avouaient pas vaincue à faire de telles injonctions confusionnistes, alors que par ailleurs tous leurs modèles de « société socialiste » avaient échoué soit dans la misère, soit dans les massacres, soit dans la combinaison des deux, sans que pour autant il n’y ait eu de procès international pour juger ces millions d’assassinés aux divers Goulag staliniens et maoïstes, ces luttes internes qui ont vu des liquidations par dizaines de milliers comme en Algérie, à Cuba, au Venezuela, au Mozambique, actuellement en Afrique du Sud, voire des millions comme au Cambodge…

Sans que pour autant également ces gens ne se remettent en cause en tentant de se demander ce qui a pu échoué dans leur analyse, un peu comme Marx qui après avoir publié le premier tome du Capital, hésita à publier les deux autres tomes (sur la paupérisation généralisée et l’accélération de la baisse tendancielle du taux de profit liées à la mécanisation, ce qui était déjà faux comme Marx le pressentait), les confiant à son ami Engels qui les remit ensuite à Bebel et puis Kautsky (ennemi déclaré de Lénine, celui-ci n’ayant par ailleurs rien compris à l’attachement affectif à la notion de Nation). Or ces gens qui avaient écrit ce livre « Cette France-là » persistaient dans cette même engeance pédante des post-jacobins, celle de croire que si les Russes, les Chinois, les Vietnamiens, les Cubains, les Algériens avaient échoué c’est qu’ils avaient mal lu les textes, mais qu’eux, révolutionnaires « républicains » tendance remugle sauraient mieux réaliser. Sans oublier le fait que les centrales à charbon tournent au maximum en Chine et en Allemagne, mais que guère d’opposants viennent assombrir la quiétude de leurs ambassades feutrées nichées dans les quartiers cossus des grandes capitales occidentales.

Z toussa. Le chat maugréa et sauta vers le canapé à côté. À vrai dire, il réfléchit encore à cette lancinante tension à Drancy, celle de personnes se satisfaisant de cette espèce de no man’s land ambiant (tels ces vociférations quasi guerrières permanentes de femmes et ces « sale juif » relatés par Christine Kelly de C News) dans lequel le délitement se fait pratiquement par effet d’usure et superposition d’actions volontaires et involontaires. Ainsi cette vieille association d’habitants de Drancy aussi dépassée que les « patronages » pour occuper une génération biberonnée aux jeux vidéo et aux clips affriolants des raps à l’ambiance gangestérisée, sans oublier ces élus venus le toiser avec moult chiffres sur les retraites des étrangers et leur taux de chômage, ou même cette dame et son fichu fichu qui expliquait qu’elle paye ses impôts alors qu’il ne s’agit pas du tout de cela, mais d’abord de savoir si l’on partage un « être ensemble » et non seulement « un vivre ensemble ». Il ne s’agit pas seulement d’une cohabitation, mais aussi d’un « être » fait d’attributs divers. Ceci signifie que l’on a du bonheur à être là, définition même de la Cité selon Aristote et de la République pour Platon qui se traduit par Politeia et non pas Res publica (qui n’en est qu’un aspect) ou la distinction entre Le Politique (l’être singulier d’un Peuple ou Nation : ainsi la Nation cheyenne) et La Politique (les institutions permettant de gérer un régime nécessairement mixte dirait Aristote, car absorbant les conflits permanents et nécessaires entre l’Élite et le Peuple comme l’avait théorisé Machiavel).

Z soupira. Toutes ces choses n’étaient plus apprises à SciencePo. Bien au contraire. Au loin une sirène retentit. Il reconnut celle d’un camion de pompier et se rappela ce mot d’enfant qui dit tout de l’ambiance d’une époque : « tu vois Papa, quand c’est un camion de pompiers, la sirène veut dire “tiens bon, tiens bon”, mais quand c’est celle d’une ambulance elle veut dire “t’es foutu t’es foutu”. Il eut les larmes aux yeux : les camions de pompiers se faisaient plus fréquemment caillasser qu’admirer, sans oublier maintenant leur mise à l’index s’ils ne se faisaient pas injecter… Z se gratta la tête à cette idée. Il fallait bien pourtant dire quelque chose bientôt dessus tant cette hystérie sanitaire se doublait d’une frénésie à la fois affairiste et sécuritaire, une drôle d’atmosphère de plus en plus dilatée entre d’un côté le monde feutré des médias et des institutions qui vivaient dans une bulle semblable à celle des stations orbitales ou des nouveaux bordels échangistes dans lesquels amis et ennemis se croisaient et toisaient un moment, et de l’autre, le monde de la troisième étape des moments insurrectionnels lorsque la guérilla d’usure se superpose à la formation d’îlots fonctionnant sinon en enclaves du moins en isolats

Le temps était compté. Mais de plus en plus très mal conté. L’horloge sonna avec ce carillon de la cathédrale de Reims qu’il affectionnait. Quoique celui de Big Ben n’était pas mal non plus…

À suivre.

[Voir aussi L’immigration]




Choc : un médecin critique de Corona de la première heure, se suicide tragiquement

Par Christine Côte

[Illustration : Bild: Dr. Jens Bengen; Hintergrund: freepic @Dragana_Gordic]

J’ai traduit cet article en français, surtout pour un parent allopathe (et vaXXinator) qui s’est méchamment réjoui l’année dernière du suicide d’un homéopathe de sa région, qui avait été harcelé et traîné dans la boue par les merdias après avoir perdu UN patient échoué chez lui en phase terminale. (En France, que je sache, tous les médecins homéopathes sont obligés de faire les études allopathiques et font donc les études d’homéopathie, EN PLUS.

L’on sait qu’à peine 10% des victimes de la chimio”thérapie” survivent. Selon le Dr. Coldwell, ce ne seraient que 2%. 

Je pense donc que cette nouvelle lui fera grand plaisir également.

Après une répression brutale, un médecin critique s’est donné la mort.

Les enfants se suicident, les médecins honnêtes se suicident, les artistes, les pères de famille, les mères, les petits entrepreneurs, les policiers, les infirmières se suicident, les personnes âgées se laissent mourir… et ils prétendent « se préoccuper pour notre santé » ? 

Merci Dr Bengen pour votre engagement et votre courage, et nous espérons que vous n’êtes pas mort en vain…


https://report24.news/schock-corona-kritscher-arzt-der-ersten-stunde-beging-tragisch-selbstmord/

Le Dr Jens Bengen a été l’un des premiers médecins à critiquer le battage médiatique autour de Corona. Il est allé au fond des choses et les a expliquées à un large public via sa chaîne « Sword of Truth ». Le 26 mai, Bengen ne voit plus d’issue pour lui-même, ou peut-être pour l’ensemble de la société. Il choisit le suicide, laissant derrière lui un grand trou sombre. Les Résistants sont choqués, horrifiés et exhortent les responsables à réaliser enfin ce qu’ils font par leurs actions.

Le Dr Bengen est arrivé très tôt à la conclusion qu’il s’agissait d’une fausse pandémie. Les histoires officielles ne collaient pas, les hôpitaux étaient vides. Il a adopté le point de vue bien documenté selon lequel les masques faciaux n’offraient aucune protection contre un virus qui n’était de toute façon pas plus dangereux que la grippe annuelle. Bengen a tenté sans relâche d’éduquer le public et a produit de nombreuses vidéos, notamment sur la chaîne YouTube « Sword of Truth » (L’épé de la vérité). 

Les médias du système avec leur harcèlement incessant, sont indiscutablement complices. De nombreux médias grand public se sont acharnés sur le médecin résistant et ont contribué à son désespoir ultime par leur constante incitation à la haine. On ne peut même pas s’attendre  à ce qu’un seul des journalistes fidèles au système ait honte de ce qu’il ait fait. 

HNA.de : Le médecin de Trendelburg est une star pour les sceptiques de la couronne et les “complotistes”.




La Russie paye-t-elle l’abandon de la chloroquine et l’inefficacité du vaccin ?

Par Gérard Delépine

Depuis quelques semaines, les médias décrivent de façon apocalyptique la reprise de l’épidémie en Russie, mais aucun n’essaie ou ne veut en comprendre les possibles raisons. Pourtant cette récidive est apparue après l’arrêt de la recommandation officielle du traitement par l’hydroxychloroquine, comme cela avait été déjà observé en Suisse ou en Allemagne, lorsque les prescriptions de chloroquine ont brutalement chuté après l’article truqué du Lancet Gate de mai 2020 et les mises en garde injustifiées de l’OMS.

Russie : Évolution de l’épidémie d’après les chiffres officiels de l’OMS

Au début de l’épidémie, les autorités sanitaires russes ont officiellement conseillé l’usage des traitements précoces et en particulier de l’hydroxychloroquine. Durant cette période, le nombre de cas et de décès quotidiens s’élevait alors à environ la moitié de ceux de la France où les instructions gouvernementales étaient de se limiter au Doliprane et éventuellement au Rivotril.

Mais le 7 mai 2021, pour des raisons à éclaircir, les nouvelles recommandations sanitaires officielles ont supprimé l’hydroxychloroquine et tout misé sur le vaccin Spoutnik. Un mois plus tard, le nombre de nouveaux cas quotidiens explosait.

Cette forte reprise de l’épidémie a été bientôt suivie par une augmentation de la mortalité quotidienne avec un rattrapage progressif de la mortalité cumulée par rapport à la France.

Cette corrélation statistiquement significative entre l’arrêt de l’HCQ et la hausse des cas et la mortalité en l’absence d’autres causes connues suggère fortement un lien de causalité. D’autant que des corrélations temporelles semblables ont été observées en Allemagne.

Allemagne : Évolution de l’épidémie d’après les chiffres officiels de l’OMS

Au début de l’épidémie (premier trimestre 2020), les médecins allemands ont considérablement prescrit de la chloroquine comme traitement du Covid, car par rapport à l’année 2019, un surplus de près de 2 millions de boîtes de ce médicament a été prescrit.

Durant cette période, la mortalité est restée faible comparée à celle de la France

Mais après l’article truqué du Lancet Gate et les recommandations consécutives de l’OMS, les médecins allemands ont cessé de prescrire l’HCQ et l’épidémie est repartie de plus belle.

La situation préoccupante observée actuellement en Russie est donc vraisemblablement la conséquence de l’arrêt des traitements précoces. Espérons que les autorités sanitaires de ce grand pays en prennent rapidement conscience et qu’elles suivent l’exemple de l’Inde en recommandant HCQ et Ivermectine dès les premiers signes cliniques.




La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)

Par Arthur Firstenberg,

auteur de The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life
[L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

[Voir :
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)]


En 1995, l’industrie des télécommunications se préparait à introduire un nouveau produit dangereux aux États-Unis : le téléphone cellulaire numérique. Les téléphones cellulaires existants étaient analogiques et coûteux. Ils appartenaient surtout à des personnes fortunées et n’étaient utilisés que quelques minutes à la fois. Nombre d’entre eux étaient des téléphones de voiture dont les antennes se trouvaient à l’extérieur de la voiture, pas dans la main ni à côté du cerveau. Les téléphones cellulaires ne fonctionnaient que dans les grandes villes ou à proximité. Les quelques tours cellulaires qui existaient se trouvaient pour la plupart au sommet de collines, de montagnes ou de gratte-ciel, et non à proximité des habitations.

Le problème pour l’industrie des télécommunications en 1995 était la responsabilité. Les rayonnements micro-ondes sont nocifs. Les téléphones cellulaires allaient endommager le cerveau de tout le monde, rendre les gens obèses et donner à des millions de personnes le cancer, des maladies cardiaques et le diabète. Et les tours de téléphonie cellulaire allaient endommager les forêts, anéantir les insectes, torturer et tuer les oiseaux et la faune.

Tout cela était connu. Des recherches approfondies avaient déjà été menées aux États-Unis, au Canada, en Union soviétique, en Europe de l’Est et ailleurs. Le biologiste Allan Frey, sous contrat avec la marine américaine, était tellement alarmé par les résultats de ses études sur les animaux qu’il refusait de faire des expériences sur les humains. « J’en ai trop vu », a-t-il déclaré à ses collègues lors d’un symposium en 1969. « J’évite très soigneusement de m’exposer moi-même, et ce depuis un certain temps déjà. Je n’ai pas l’impression de pouvoir emmener des gens dans ces champs et les exposer et, en toute honnêteté, leur indiquer qu’ils entrent dans quelque chose de sûr. »

M. Frey a découvert que les micro-ondes endommagent la barrière hématoencéphalique — la barrière protectrice qui empêche les bactéries, les virus et les produits chimiques toxiques d’entrer dans le cerveau et maintient l’intérieur de la tête à une pression constante, empêchant ainsi les accidents vasculaires cérébraux. Il a découvert que les personnes et les animaux peuvent entendre les micro-ondes. Il a découvert qu’il pouvait arrêter le cœur d’une grenouille en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque. Le niveau de puissance qu’il a utilisé pour cette expérience n’était que de 0,6 microwatt par centimètre carré, soit des milliers de fois moins que le rayonnement des téléphones portables actuels.

L’ophtalmologiste Milton Zaret, qui avait des contrats avec l’armée, la marine et l’armée de l’air américaines, ainsi qu’avec la Central Intelligence Agency, a découvert dans les années 1960 que les micro-ondes de faible niveau provoquent des cataractes. En 1973, il a témoigné devant le Comité du commerce du Sénat des États-Unis. « Il existe un danger clair, présent et toujours croissant », a-t-il déclaré aux sénateurs, « pour l’ensemble de la population de notre pays en raison de l’exposition à toute la partie non ionisante du spectre électromagnétique. Les dangers ne peuvent être surestimés… » Zaret a parlé au comité de patients qui avaient non seulement des cataractes causées par l’exposition aux micro-ondes, mais aussi des tumeurs malignes, des maladies cardiovasculaires, des déséquilibres hormonaux, de l’arthrite et des maladies mentales, ainsi que des problèmes neurologiques chez leurs enfants. Ces patients allaient du personnel militaire exposé au radar aux ménagères exposées à leur four à micro-ondes.

« La norme de fuite des fours à micro-ondes fixée par le Bureau de la santé radiologique », a-t-il déclaré au comité, « est environ 1 milliard de fois supérieure à la totalité du spectre des micro-ondes émis par le Soleil. Il est consternant que ces fours soient autorisés à fuir, et encore plus que les publicités pour les fours encouragent nos enfants à s’amuser en apprenant à cuisiner avec eux ! » La norme de fuite des fours à micro-ondes, aujourd’hui en 2021, est la même qu’en 1973 : 5 milliwatts par centimètre carré à une distance de 5 centimètres. Et les niveaux d’exposition du cerveau aux micro-ondes de tous les téléphones portables utilisés aujourd’hui sont plus élevés que cela.

À l’époque, la marine exposait les soldats à des micro-ondes de faible intensité dans le cadre de recherches menées à Pensacola, en Floride. Faisant écho à Frey, Zaret a déclaré que ces expériences étaient contraires à l’éthique. « Je ne crois pas qu’il soit possible », a-t-il déclaré à la commission sénatoriale, « d’obtenir le consentement éclairé et sans réserve d’un jeune adulte qui accepte d’être exposé à une irradiation dont on ne sait pas exactement quel sera le résultat final… De plus, les enfants qu’il aura un jour pourront souffrir de cette irradiation ». Il a souligné à nouveau les problèmes éthiques que pose cette recherche : « Je pense que si on leur expliquait tout cela et qu’ils se portaient quand même volontaires pour ce projet, on s’interrogerait d’emblée sur leur capacité mentale. »

Les scientifiques qui faisaient des expériences sur les oiseaux étaient tout aussi alarmés par leurs résultats et ont émis des avertissements sur les effets environnementaux des radiations que notre société déversait sur le monde, qui étaient tout aussi terribles que les avertissements lancés au Congrès par Milton Zaret et les avertissements lancés à la marine par Allan Frey.

À la fin des années 1960 et tout au long des années 1970, John Tanner et ses collègues du Conseil national de la recherche du Canada ont exposé des poulets, des pigeons et des mouettes aux micro-ondes et ont constaté des effets effrayants à tous les niveaux d’exposition. Les poulets exposés à des doses comprises entre 0,19 et 360 microwatts par centimètre carré pendant neuf mois ont développé des tumeurs du système nerveux central et une leucose aviaire — également un type de tumeur — des ovaires, des intestins et d’autres organes qui, chez certains oiseaux, ont atteint des « proportions massives », à une « échelle jamais vue auparavant par les vétérinaires expérimentés dans les maladies aviaires ». La mortalité était élevée chez les oiseaux irradiés. Tous les oiseaux exposés, à tous les niveaux de puissance, avaient un plumage détérioré, avec des plumes perdues, cassées ou avec des tiges tordues et cassantes.

Dans d’autres expériences, au cours desquelles ces chercheurs ont irradié des oiseaux à une puissance plus élevée, les oiseaux se sont effondrés de douleur en quelques secondes. Cela se produisait non seulement lorsque l’oiseau entier était irradié, mais aussi lorsque seules les plumes de la queue étaient irradiées et que le reste de l’oiseau était soigneusement protégé. Au cours d’autres expériences, ils ont prouvé que les plumes des oiseaux constituaient d’excellentes antennes de réception pour les micro-ondes et ont émis l’hypothèse que les oiseaux migrateurs pouvaient utiliser leurs plumes pour obtenir des informations directionnelles. Ces scientifiques ont averti que l’augmentation des niveaux de micro-ondes ambiantes causerait de la détresse aux oiseaux sauvages et pourrait interférer avec leur navigation.

Maria Sadchikova, qui travaillait à Moscou, Václav Bartoniček et Eliska Klimková-Deutshová, qui travaillaient en Tchécoslovaquie, et Valentina Nikitina, qui a examiné des officiers de la marine russe, ont constaté, dès 1960, que la majorité des personnes exposées aux micro-ondes dans le cadre de leur travail — même celles qui avaient cessé de le faire cinq à dix ans auparavant — avaient un taux de sucre élevé dans le sang ou dans l’urine.

Les expériences sur les animaux ont montré que les rayonnements interfèrent directement avec le métabolisme et qu’ils le font rapidement. En 1962, V.A. Syngayevskaya, à Leningrad, a exposé des lapins à des ondes radio de faible intensité et a constaté que la glycémie des animaux avait augmenté d’un tiers en moins d’une heure. En 1982, Vasily Belokrinitskiy, à Kiev, a signalé que la quantité de sucre dans l’urine était directement proportionnelle à la dose de rayonnement et au nombre de fois où l’animal était exposé. Mikhail Navakitikian et Lyudmila Tomashevskaya ont rapporté en 1994 que le taux d’insuline diminuait de 15 % chez les rats exposés pendant une demi-heure seulement, et de 50 % chez les rats exposés pendant douze heures à un rayonnement pulsé d’une puissance de 100 microwatts par centimètre carré. Ce niveau est comparable au rayonnement qu’une personne reçoit aujourd’hui en s’asseyant directement devant un ordinateur sans fil, et nettement inférieur à ce que le cerveau d’une personne reçoit d’un téléphone portable.

Ce ne sont là que quelques-unes des milliers d’études menées dans le monde entier à l’époque, qui ont révélé les effets profonds des micro-ondes sur tous les organes humains, ainsi que sur le fonctionnement et la reproduction de toutes les plantes et de tous les animaux. Le lieutenant Zory Glaser, chargé par la marine américaine en 1971 de répertorier la littérature mondiale sur les effets des micro-ondes et des radiofréquences sur la santé, a rassemblé 5 083 études, manuels et actes de conférence en 1981. Il a réussi à trouver environ la moitié de la littérature existant à cette époque. Ainsi, environ 10 000 études avaient prouvé que les micro-ondes et les radiofréquences étaient dangereuses pour toute forme de vie, et ce dès avant 1981.

Cuire votre ADN et griller vos nerfs

Au début des années 1980, Mays Swicord, qui travaillait au National Center for Devices and Radiological Health de la Food and Drug Administration, a décidé de vérifier son hypothèse selon laquelle l’ADN absorbe de manière résonante les micro-ondes et que même un très faible niveau de rayonnement, bien que ne produisant aucune chaleur mesurable dans le corps humain dans son ensemble, peut néanmoins chauffer votre ADN. Il a exposé une solution contenant une petite quantité d’ADN à un rayonnement micro-ondes et a constaté que l’ADN lui-même absorbait 400 fois plus de rayonnement que la solution dans laquelle il se trouvait, et que les différentes longueurs de brins d’ADN absorbent par résonance différentes fréquences de rayonnement micro-ondes. Ainsi, même si la température globale de vos cellules n’est pas augmentée à un degré détectable par le rayonnement, l’ADN à l’intérieur de vos cellules peut être énormément chauffé. Les recherches ultérieures de Swicord ont confirmé que cela endommageait l’ADN, provoquant des cassures d’ADN à simple et double brin.

Le professeur Charles Polk, de l’université de Rhode Island, a fait un rapport similaire lors de la vingt-deuxième réunion annuelle de la Bioelectromagnetics Society en juin 2000 à Munich, en Allemagne. Des mesures directes ont récemment montré que l’ADN est beaucoup plus conducteur d’électricité qu’on ne le soupçonnait : il a une conductivité d’au moins 105 siemens par mètre, soit environ 1/10 de la conductivité du mercure ! Un téléphone portable tenu à la tête peut irradier le cerveau à un débit d’absorption spécifique (DAS) d’environ 1 watt par kilogramme, ce qui produit un faible réchauffement global. Polk a cependant calculé que ce niveau de rayonnement augmenterait la température à l’intérieur de votre ADN de 60 degrés Celsius par seconde ! Il a déclaré que les tissus ne peuvent pas dissiper la chaleur aussi rapidement et qu’un tel échauffement romprait les liens entre les brins complémentaires d’ADN, ce qui expliquerait les ruptures d’ADN signalées dans diverses études.

En 2006, Markus Antonietti, de l’Institut Max Planck en Allemagne, s’est demandé si un type similaire d’absorption résonante se produisait dans les synapses de nos nerfs. Les téléphones portables sont conçus de manière à ce que les rayonnements qu’ils émettent ne chauffent pas votre cerveau de plus d’un degré Celsius. Mais que se passe-t-il dans le minuscule environnement d’une synapse, où des ions chargés électriquement participent à la transmission de l’influx nerveux d’un neurone à l’autre ? Antonietti et ses collègues ont simulé les conditions régnant dans les synapses nerveuses avec de minuscules gouttelettes de graisse dans de l’eau salée et ont exposé les émulsions à un rayonnement micro-ondes à des fréquences comprises entre 10 MHz et 4 GHz. Comme prévu, les fréquences d’absorption résonantes dépendaient de la taille des gouttelettes et d’autres propriétés de la solution. Mais c’est la taille des pics d’absorption qui a choqué Antonietti.

« Et maintenant vient la tragédie », a déclaré Antonietti. « Exactement là où nous sommes les plus proches des conditions du cerveau, nous voyons le plus fort réchauffement. Il y a cent fois plus d’énergie absorbée que ce que l’on pensait auparavant. C’est une horreur. »

Les efforts de l’EPA pour protéger les Américains

Face à un barrage de résultats scientifiques alarmants, l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) a créé son propre laboratoire de recherche sur les rayonnements micro-ondes qui a fonctionné de 1971 à 1985 avec jusqu’à 30 employés à temps plein exposant des chiens, des singes, des rats et d’autres animaux aux micro-ondes. L’EPA a été tellement troublée par les résultats de ses expériences qu’elle a proposé, dès 1978, d’élaborer des lignes directrices sur l’exposition humaine aux micro-ondes afin qu’elles soient adoptées et appliquées par d’autres agences fédérales dont les activités contribuaient à l’épaississement rapide du brouillard de pollution électromagnétique dans notre pays. Mais ces agences se sont montrées réticentes.

La Food and Drug Administration ne voulait pas que les limites d’exposition proposées s’appliquent aux fours à micro-ondes ou aux écrans d’ordinateur. La Federal Aviation Administration ne voulait pas avoir à protéger le public des radars de contrôle du trafic aérien et des radars météorologiques. Le ministère de la Défense ne voulait pas que les limites s’appliquent aux radars militaires. La CIA, la NASA, le ministère de l’Énergie, les garde-côtes et Voice of America ne voulaient pas avoir à limiter l’exposition du public à leurs propres sources de rayonnement.

Enfin, en juin 1995, alors que l’industrie des télécommunications prévoyait de mettre des appareils à rayonnement micro-ondes dans les mains et à côté du cerveau de chaque homme, femme et enfant, et d’ériger des millions de tours et d’antennes cellulaires dans les villes, villages, forêts, réserves naturelles et parcs nationaux de tout le pays afin de faire fonctionner ces appareils, l’EPA a annoncé qu’elle allait publier la phase I de ses directives d’exposition au début de 1996. La Commission fédérale des communications aurait été tenue d’appliquer ces directives, les téléphones cellulaires et les tours cellulaires auraient été illégaux, et même s’ils n’avaient pas été illégaux, les entreprises de télécommunications auraient été exposées à une responsabilité illimitée pour toutes les souffrances, les maladies et la mortalité qu’elles étaient sur le point de causer.

Mais il n’en a rien été. L’Electromagnetic Energy Association, un groupe de pression de l’industrie, a réussi à empêcher la publication des directives d’exposition de l’EPA. Le 13 septembre 1995, le Comité sénatorial des crédits a supprimé les 350 000 $ qui avaient été budgétés pour le travail de l’EPA sur ses directives d’exposition et a écrit dans son rapport : « Le Comité estime que l’EPA ne devrait pas s’engager dans des activités liées aux CEM. »

La Personal Communications Industry Association (CTIA), un autre groupe industriel, a également fait pression sur le Congrès, qui était en train de rédiger un projet de loi appelé Telecommunications Act, et une disposition a été ajoutée à la loi interdisant aux États et aux gouvernements locaux de réglementer les « installations de services sans fil personnels » sur la base de leurs « effets environnementaux ». Cette disposition a protégé l’industrie des télécommunications de toute responsabilité pour les blessures causées par les tours et les téléphones cellulaires et a permis à cette industrie de vendre au public américain la technologie la plus dangereuse jamais inventée. Les gens n’étaient plus autorisés à parler de leurs blessures à leurs élus lors d’audiences publiques. Les scientifiques n’étaient plus autorisés à témoigner devant les tribunaux sur les dangers de cette technologie. Tous les moyens permettant au public de découvrir que la technologie sans fil les tuait ont été soudainement interdits.

L’industrie des télécommunications a tellement bien réussi à vendre cette technologie qu’aujourd’hui, le foyer américain moyen contient 25 appareils différents qui émettent des micro-ondes et l’Américain moyen passe cinq heures par jour sur son téléphone portable, l’a dans sa poche à côté de son corps le reste de la journée et dort avec toute la nuit dans ou à côté de son lit. Aujourd’hui, presque tous les hommes, femmes et enfants tiennent un appareil à micro-ondes dans leur main ou contre leur cerveau ou leur corps toute la journée, sans se rendre compte de ce qu’ils font à eux-mêmes, à leur famille, à leurs animaux domestiques, à leurs amis, à leurs voisins, aux oiseaux dans leur cour, à leur écosystème et à leur planète. Ceux qui sont même conscients qu’il y a un problème ne voient que les tours comme une menace, et leur téléphone comme un ami.

(à suivre) 


[Voir aussi : dossier
5G et ondes pulsées]




L’église évangélique sous les restrictions ?

Par Paul Gosselin

Depuis le début de la crise du covid, les restrictions cognent fort au niveau de la vie des individus, de la vie sociale, mais aussi dans le vécu des églises. Eh oui, ces circonstances nous forcent à réfléchir sérieusement au rapport entre l’Église et l’État. Examinez un moment la citation de Patrick Poole, décrivant les circonstances de la montée du nazisme en Allemagne et réfléchissons aux parallèles avec notre époque, autant pour la société en générale que pour l’Église.

Alors que le parti nazi allemand gagnait en puissance au cours des années 1930, il s’est nourri de l’idéologie anti-chrétienne qui avait fleuri en Europe au cours du XIXe siècle. La domination politique des nazis en Allemagne et le règne personnel d’Adolf Hitler étaient le résultat direct des idées qui n’avaient cessé de croître dans le sol de la pensée allemande moderne. Les philosophies d’Emmanuel Kant, George Hegel, Ludwig Feuerbach, Karl Marx et Frédéric Nietzsche ont ouvert la voie au régime nazi en érodant la vision chrétienne du monde qui avait soutenu la culture allemande pendant des siècles. Mais cette révolution ne s’arrêta pas à la philosophie ; elle se refléta dans la musique, le cinéma et les arts ; elle s’exprima dans le système éducatif qui produisait désormais des légions de jeunes Allemands acquis aux principes du nazisme ; elle supprima l’Église chrétienne, la contraignant à la clandestinité ou la corrompant et la mettant au service du Troisième Reich ; et elle opprima tous les groupes ethniques et sociaux qui ne satisfaisaient aient pas aux critères de la race maîtresse aryenne de Hitler. Cette hégémonie culturelle était appliquée par les troupes de choc idéologiques du nazisme, les chemises brunes SA, qui exerçaient une violence sur tous ceux qui n’acceptaient pas le joug de l’idéologie nazie.

Traduction de
POOLE, Patrick (2006) Christian Worldview and Changing Culture. pp. 4-13 Christianity & Society – Vol. xvi, no. 1 (page 5)
https://static1.squarespace.com/static/54257f24e4b070e908068067/t/58383dd9d1758eee1e732aa3/1480080863631/Volume+16+No+1.pdf

En effet on voit dans notre époque la même intolérance qui s’installe en Occident (ce qu’on appelait « le monde civilisé »), le même refus de dialogue, refus qui conduit aux menaces et diverses formes d’intimidation (sans exclure la violence) à l’égard de ceux qui ne partagent pas l’idéologie officielle… particulièrement à l’égard de ceux qui oserait la critiquer.

Et après avoir digéré ces parallèles entre 2021 et les années 1930 en Allemagne, prenez le temps de digérer ce sondage (proposé par Caldron Pool, un site évangélique néo-zélandais) qui examine la réaction des églises en Australie (et ailleurs…) aux restrictions liées au Covid :

Report and Commentary: Church and COVID Vaccination Survey: « Our survey shows that many people will subject themselves to a medical treatment that they consider potentially unsafe, in order to win back political freedom. This ought to send chills down the spine of anybody who cherishes the ideals of liberal democracy. » (Caldron Pool – 19/10/2021)
https://caldronpool.com/report-and-commentary-church-and-covid-vaccination-survey/

Et pour une traduction sommaire Ggl :

https://caldronpool-com.translate.goog/report-and-commentary-church-and-covid-vaccination-survey/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui


Mon nom est Paul Gosselin. Je vis au Québec. Puisque je refuse de me convertir à la religion Covidiste, on m’interdit de manger dans les restaurants, de voyager en avion et en train, d’assister aux événements culturels et généralement de participer à la vie sociale. Je ne peux même pas sortir du pays ou visiter mes vieux parents dans un foyer. Bientôt on va m’interdire d’assister aux cérémonies religieuses et me coller une étoile jaune ?? Mais, même si on me réduit au statut de citoyen de seconde classe, sans doute on ne va pas hésiter à continuer de me taxer à 100 %…

Site :
https://www.samizdat.qc.ca




La réalité tressaille comme dans un vieux film s’effilochant

Par Lucien Samir Oulahbib

Drôle de situation à voir cette réalité officielle tissée par les médias mondiaux. Rouge à lèvres, habillée en silhouettes sveltes et souriantes, poches débordantes de liasses innocentes, elle se désembobine, s’effiloche comme un mauvais bas noir de propagande bas de gamme découvrant dans sa déchirure au creux du matin froid sur la banquette arrière du taxi postmoderne une autre réalité bien moins grivoise, comme un levé de rideau précipité au temps du cinéma muet : cela craquelle en accéléré ou la décomposition en temps réel de visages poupins s’effondrant sous nos yeux-écrans (et caméras) en tas de poussières même plus nucléaires, mais d’éoliennes sans vent. « C’est comment qu’on freine ? » Chantait feu Bashung ; encore faudrait-il déjà avoir des freins…

Mais comme nous sommes maintenant enfouis vivants, à l’instar de déchets médiatiques sans conséquences (car guère radioactifs, tant le Pouvoir en a neutralisé les noyaux actifs), même cette fenêtre d’opportunité de ce craquèlement historique à la sismique de plus en plus généralisée nous échappe, glisse entre nos mains cybernétiques, à l’instar de ces enfants qui voient bien qui attaque Guignol dans son dos, mais celui-ci n’entend pas, ou alors ces paralytiques qui sont tombés de leur fauteuil appellent à l’aide, mais personne ne vient…

Le film de la réalité ainsi tressaille jusqu’à faire apparaître la cassure de la bobine, puis le « noir » sur fond « blanc », non parce que ce serait « fini », mais plutôt parce que le projectionniste s’est enfui.

Fini le temps où le capitaine coulait avec son bateau. Aujourd’hui il est parti avec la caisse et l’ouvreuse (les médias). Et sur la scène, des figurants tentent de mimer le film (des poètes) disparu.

Mais peu importe, peut-être. Après tout, ce n’était qu’une fiction. Pourquoi s’accrocher à des lambeaux de rêves éveillés alors que cette histoire d’un monde « postmoderne » s’est effondrée?  Ce monde gentil permettant que tout cohabite, puisque l’étalon-vérité aurait été effacé : des images sans scénario pouvaient ainsi émerger, nous promettait-on, puis disparaître sans dommage malgré les mondes des Big Brother, Big Pharma, Big Gafam qui pointaient à l’horizon.

Il s’avère pourtant que sous nos yeux, dans les profondeurs des vitalités cruciales, un sursaut surgit, venu de nulle part, et submerge tout sans coup férir, comme si les cisaillements et coupures de ce film de la réalité officielle s’avèrent être des césures et fissures inédites d’une tectonique des plaques symbolique qui aujourd’hui se rassemblent et se fracassent en tremblements de Terre de plus en plus sourds (ceux qu’Henri Heine avait décrits dans De l’Allemagne annonçant les totalitarismes du 20e siècle), eux-mêmes préludes aux tsunamis immenses qui émergent déjà et dont l’énergie tellurique ainsi charriée s’avère si énorme qu’il n’est pas rare de retrouver des fossiles de poissons au plus haut des montagnes éternelles : toutes ces théories se prétendant scientifiques, ces arts et lettres, tout cela s’effiloche à vitesse grand V. Comment pouvoir les lire, même les entendre ? Ou la sentence d’Adorno réorientée : Auschwitz, mais aussi le Goulag n’ont certes toujours pas été pensés, et ce surtout comme issu(e)s du scientisme hygiéniste (élimination radicale de ce qui est nommé « virus ») qui n’a cependant rien à voir avec Descartes et sa volonté de mieux maîtriser le monde (afin de mieux nous connaître et non pas dominer en général). Or il s’avère que leur suite présente reste toujours en friche, et ceux qui veulent apporter quelques remèdes efficaces restent évincés ou étiquetés complices objectifs des « virus » ainsi désignés…

Qu’en conclure ? Peut-être ceci : la complexité vitale de la réalité humaine semble se gausser de ces prétentions statistiques visant à la réduire en courbes alors que celles-ci ne sont que des illustrations, de l’art figuratif qui prétend être cette réalité humaine, au même titre que la Carte énonçant qu’elle Est le Territoire et que donc celui-ci, ainsi remplacé (en « grand »…) peut disparaître sans coup férir. Ceci se révèle cependant toujours faux : le Territoire en effet peut se venger (sauf génocide) jusqu’à échapper à la Carte qui ne représente plus alors qu’elle-même ; ou le temps de la révolution néomoderne au sens d’affiner la notion de Nation vers plus de citoyenneté horizontale (referendums) et verticale (participations).

Encore faut-il voir ce processus : la Carte donc ne représente plus qu’elle-même (exemple BHL, Macron, Biden…). Le Territoire s’échappe (dans l’abstention, l’aspiration à voter pour des candidats « disruptifs »…), mais la Carte des trois B (Big Brother, Big Pharma, Big Gafam) tente de le retenir par diverses interdictions « légales » et également mentales, comme ces diverses impositions dites sanitaires visant à nous isoler comme des « particules élémentaires » incapables ainsi de se couler dans la non-séparabilité de fonctions d’ondes à même, elles, de soulever des montagnes… Sans cependant se transformer en foules de rhinocéros (ce que n’a pas vu Sartre ni son lecteur July : le groupe en fusion a toujours besoin d’un poisson-pilote, mais qui ne doit pas s’y substituer comme le croyait Lénine… César et Dieu, « l’État c’est moi » de Louis XIV restant encore impensé, sauf à bien comprendre Bodin…), car sans direction et respect scrupuleux de la liberté d’être, l’énergie dégagée risque de « dévorer ses propres enfants » selon l’adage… Du moins dans des limites à définir (afin de ne pas substituer aux factions des fractions).

En tout cas, le bombardement incessant provenant de la Carte, avec cette chimio-politique relativiste transplantée médiatiquement dans la chair citoyenne du Territoire humain veut rendre ce dernier si malléable que se fabriquent désormais industriellement des créatures façon Frankenstein, gardes-chiourmes féroces afin d’empêcher que le Territoire, celui de la Nation, se rebelle puis se libère.

D’ailleurs, dans la devise Liberté, égalité, fraternité, la première de ces trois notions ne suit pas l’ordre alphabétique, gageons que la Carte voudra aussi rectifier ce Territoire… À nous de l’en empêcher. Qui « nous » ? Tous ceux épris de ce Territoire  de ce Sol là, d’où l’impossibilité de le remettre en cause… C’est un acquis civilisationnel… Mais qui peut être amendé si des factions émergent pour le fractionner…




Lettre ouverte aux députés et sénateurs français appelés à voter le 19 octobre 2021 la prolongation injustifiée de « l’état d’urgence »

Par Nicole et Gérard Delépine

INJUSTIFIÉE, car épidémie terminée

« Le gouvernement présentera un texte de loi au Parlement le 19 octobre pour “maintenir pendant plusieurs mois encore, jusqu’à l’été, la possibilité de recourir” au pass sanitaire, a précisé Gabriel Attal, au cas où la situation sanitaire venait à se dégrader. Il sera débattu à l’Assemblée nationale mercredi 19 octobre sous l’intitulé Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire. “On demande au Parlement de nous laisser la possibilité de déclencher tout ou une partie des mesures de freinage” a expliqué le ministre de la Santé Olivier Véran mercredi matin, interrogé sur France Info. Ainsi, le recours au confinement, au couvre-feu et autres mesures de restrictions serait également possible jusqu’au 31 juillet 2022. »(([1] L’internaute.com Sarah Ponchin, Mis à jour le 15/10/21 PASS SANITAIRE. Une troisième dose de rappel du vaccin Covid-19 sera-t-elle bientôt obligatoire pour tout le monde afin d’avoir un pass sanitaire valide ? Le gouvernement pourrait l’envisager à long terme.))

Dans ce texte, le porte-parole reconnaît lui-même que l’épidémie est terminée.

Pourquoi une procédure accélérée alors que l’épidémie est terminée dans notre pays ?

À vous, nos représentants élus, nous demandons solennellement de nous rendre nos libertés fondamentales et à ne pas céder à l’autoritarisme de l’exécutif.

Vous avez pu constater que la France livrée aux décisions arbitraires du gouvernement reposant sur un conseil de défense sortant de la limite constitutionnelle, n’a eu que des résultats très décevants, parmi les plus mauvais mondialement, y compris en Europe. La Suède tant décriée pendant de longs mois par nos médias a conservé l’essentiel des libertés avec finalement un taux de décès inférieur au nôtre de 20 % (1478/Million d’habitants contre 1760/M), sans confinement, sans fermeture des écoles, de la vie, sans masque, sans vaccination obligatoire, sans victimes collatérales et sans perte majeure de son PIB (-2,5 % contre 8,5 % en France) etc.

Il est temps que les décisions législatives vous reviennent et que les propositions de loi puissent être discutées avec le temps nécessaire sur des dossiers étayés de données avérées.

Comme beaucoup de professionnels de santé, nous sommes d’ailleurs à votre disposition pour toute information objective basée sur les chiffres de l’OMS et des agences sanitaires nationales. Nous nous permettons de vous apporter ici quelques précisions quant à l’absence de justification médicale de ce pass qui aggrave la situation sanitaire, là où il est encore imposé.

LE PASSE DIT SANITAIRE, LIBERTICIDE, N’A AUCUNE JUSTIFICATION MÉDICALE, CAR LE PASS AUGMENTE LES CONTAMINATIONS

Les données avérées internationales prouvent que le pass est médicalement nocif

Quelques pays européens ont imposé le pass à leur population depuis plus de trois mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que le pass, loin de ralentir les contaminations, entraîne une augmentation de celles-ci. Les courbes actualisées en ce 15 octobre 2021 le démontrent une nouvelle fois.

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22.

La Grèce a imposé le passe en espérant ainsi rassurer les touristes et sauver sa saison touristique.

Malheureusement l’obligation du pass a été suivie par la multiplication par 4,5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %).

Mais aussi la population, car depuis le pass la mortalité a été multipliée par 2.

La Tchéquie a instauré le pass début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

En Roumanie le pass a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Cette envolée des contaminations a été suivie quelques jours plus tard de l’explosion de la mortalité quotidienne alors qu’elle est proche de zéro dans les pays sans passe comme le Suède, la Biélorussie, la Croatie, la Belgique…

Au Danemark la mise en route du pass a été suivie par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.) Depuis lors, le Danemark a supprimé le pass.

Ainsi dans tous les pays champions du pass, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations et souvent de la mortalité quotidienne.

L’échec du pass a été également constaté dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un pass.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur pass sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters d’apparaître. Malgré le pass sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs avérés du pass partout où il est utilisé ?

Le concept du passe repose sur l’hypothèse que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de pass, victimes de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec pass aux Pays-Bas comme en Catalogne. Cette pratique favorise les infections, en s’opposant par ailleurs à l’immunité collective acquise pendant la vie « normale » comme le démontre l’absence de contaminations des pays libres comme le Texas. Les matches avec grande foule n’y déclenchent aucun cluster, comme les énormes manifestations en Europe où les peuples se libèrent du pass et du masque le plus souvent, retrouvant un écosystème normal.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le pass, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie, de la Croatie et leur situation sanitaire actuelle est bonne.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne entraînant d’énormes réactions populaires comme en Italie dans de nombreuses villes, et le blocage des ports italiens.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le pass l’accélère et la pérennise et donc qu’il est donc urgent, ne serait-ce que pour des raisons sanitaires, de le supprimer.

POURSUIVRE LA SURVEILLANCE PAR LE PASS EST UNE DÉCISION EXCLUSIVEMENT POLITIQUE ET LIBERTICIDE

L’épidémie est terminée comme en atteste quotidiennement et depuis des mois le réseau sentinelle. Il n’y a plus d’épidémie ! G. Attal l’a confirmé !

 Comme l’a établi Laurent Toubiana, l’épidémie est terminée depuis fin novembre 2020 Depuis cette date, le taux d’incidence, le seul fiable, celui du Réseau sentinelles a été sans discontinuer ridiculement bas. Cette semaine, il est de 3 cas/100 000 h :

« Surveillance de la Covid-19 :

la semaine 40 (2021s40), le taux d’incidence des cas d’IRA(([2] IRA : insuffisance respiratoire aiguë, non spécifique du Covid)) dus au SARS-CoV-2 (Covid-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants, ce qui représente 2 181 nouveaux cas de Covid-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s39 : 3 [2 ; 5], soit 2 247 [1 425 ; 3 069] nouveaux cas d’IRA dus à la Covid-19 vus en médecine générale). »(([3] https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/)) Ce taux est établi à partir d’examens cliniques, non faussé à partir des tests PCR non fiables.

LA DISCUSSION DE L’OPPORTUNITÉ DE LA PROLONGATION DE L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE EST PUREMENT POLITIQUE

Et la liberté du gouvernement de légiférer via décrets en toute impunité et sans contrôle parlementaire, comprenant la poursuite de l’exigence du pass, ne relève en aucun cas de santé, de sanitaire, mais exclusivement de politique, avec privations de liberté.

Ces sujets ont déjà largement été débattus : le pass conduit à une discrimination en matière de droit à la liberté de mouvement, jouissance d’autres droits et libertés fondamentaux, tels que, le droit au respect de la vie privée et familiale ou encore le droit à la liberté de réunion.(([4] Pass sanitaire : l’équilibre délicat entre libertés et protection de la santé publique | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen :

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6). 

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Ne doutons pas que les tribunaux soient déjà inondés de plaintes pour discrimination et en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique, dite vaccin, encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes. Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’état, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Le droit international érigeant un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose donc à ce droit reconnu par la France. L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

Le Défenseur des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21. Fondamentalement, il remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté

dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ».

Cette question soulevait de nombreuses questions de respect des droits de l’homme et devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

Cette position trouve un écho dans sa résolution 2351 « Vaccins contre le Covid-19 : considérations éthiques, juridiques et pratiques », qui présentait comme élément permettant de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins le fait « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ».

Cette mesure liberticide, présentée par le gouvernement comme libératrice a des relents orwelliens suscite une opposition grandissante semaine après semaine. Comme le dit l’économiste Éric Verhaeghe :

« la mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’État donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. »(([5] Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

À quoi correspond cette volonté du gouvernement de prolongation du pass en l’absence d’épidémie comme le prouve le réseau sentinelle, sinon à une extorsion de consentement à la pseudo vaccination et à la troisième dose et les suivantes ?

« le gouvernement s’occupe de contraindre les personnes encore non vaccinées de le faire : ce vendredi 15 octobre a marqué la fin du remboursement des tests PCR et antigéniques de confort. “Les tests ne seront payants que pour les personnes qui ne sont pas du tout vaccinées et qui n’ont pas d’ordonnance”, a expliqué Olivier Véran sur France Info le 13 octobre. De plus, les autotests négatifs réalisés sous supervision médicale ne sont plus reconnus comme preuve d’obtention du pass sanitaire. »(([6] Pass sanitaire : bientôt une troisième dose pour tous ? (internaute.com) ))

UNE EXTORSION DE CONSENTEMENT AUX PLUS FAIBLES

Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse. La transparence sur les contaminations post vaccinales et l’existence niée de formes graves chez les vaccinés ainsi que les effets secondaires relatés par les agences paraît indispensable auprès de vous, nos représentants. Est-ce le cas ? Et que justifie une nouvelle fois une « procédure accélérée » alors que le gouvernement lui-même reconnaît « la baisse de la circulation du virus » ?(([7] De l’aveu même du porte-parole de l’Elysée, l’épidémie est terminée et toutes ces mesures existeraient, car : « Gabriel Attal a martelé qu’il existait toujours un “risque non négligeable de reprise de l’épidémie”. Actuellement c’est plutôt une épidémie de tuberculose qui se profile pourtant…))

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles. Il semble que la commission des lois aille dans ce sens et nous félicitons ses membres.

« Pass Sanitaire : Les Députés Desserrent Momentanément Le Dispositif En Commission Des Lois » C.M. avec AFP Le 15/10/2021

Le projet de loi « vigilance sanitaire » sera-t-il rétabli à sa version initiale le 19 octobre lors de son passage en séance à l’Assemblée ?

« Momentanément, les députés ont allégé vendredi les conditions de mise en œuvre du controversé pass sanitaire, prenant ainsi le gouvernement à rebrousse-poil, avant le passage du projet de loi “vigilance sanitaire” dans l’Hémicycle, mardi » Contre toute attente, les députés, qui examinaient cet énième texte sur l’état d’urgence sanitaire en commission des Lois, ont adopté un amendement du député La République en marche (LREM) Pacôme Rupin, opposant de longue date à cet outil qu’il juge « dangereux » pour les libertés publiques. »

L’amendement de Pacôme Rupin, adopté de justesse par 8 voix contre 7, prévoit de circonscrire l’utilisation du pass sanitaire géographiquement et en fonction de l’évolution de l’épidémie de Covid. Il propose que le recours au pass soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

« Il est important de mettre des critères. On ne peut pas laisser une totale faculté au gouvernement d’utiliser cet outil sans un minimum de règles. Je pense qu’on peut avancer, peut-être pas sur celui-là (son amendement adopté, NDLR) mais sur un encadrement un peu plus strict », a déclaré Pacôme Rupin.(([8] https://www.bfmtv.com/politique/parlement/pass-sanitaire-les-deputes-desserrent-momentanement-le-dispositif-en-commission-des-lois))

Ceci est déjà un premier pas, mais bien sûr nous espérons, de vous, nos élus, une récupération totale de nos libertés, la suppression de la loi d’urgence qui comme le montre la disparition de l’épidémie, n’a plus aucune légitimité sanitaire.

Merci de votre écoute.

Avec nos respects.





En attendant la crise financière internationale de 2022…

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Nathalie Souvorov-Robert, pour FranceSoir

Naissance et propagation, la chute d’un système financier né à la fin des accords de Bretton Woods

50 ans après la fin officieuse des accords Bretton Woods avec la suspension de la convertibilité du dollar US en or, le système financier international apparaît menacé suite aux diverses crises traversées en ce début de XXIème siècle et à la pensée économique unique qui semble se propager au sein de l’élite occidentale. 

I – La crise financière de 2008, les racines de la crise à venir

Les causes de la crise financière internationale de 2008 ont largement été masquées à la population. Derrière la faillite de Lehman Brothers et la crise des subprimes des intérêts bien moins avouables semblent avoir été dissimulés, intérêts qui ont pu en toute impunité continuer leurs activités nocives, mais ont fait également des adeptes, ce qui constitue un risque systémique majeur pour le système financier mondial quatorze ans plus tard.

II – « Quantitative easing » et gestion de la crise du Covid-19 : les remèdes pires que le mal

Les politiques monétaires et budgétaires menées ces dernières années en Occident pour faire face aux crises de ce début du XXIème siècle ont engendré d’énormes bulles spéculatives (immobilier et bourse notamment) et un endettement abyssal aussi bien privé que public.
Ces gigantesques déséquilibres ne pourront être corrigés que par une crise financière brutale sans précédent à l’échelle mondiale.

1. Les bulles spéculatives et faiblesse de la productivité

En injectant des milliards d’euros / dollars US de liquidités dans le système financier mondial sans création de valeur en face, les banquiers centraux occidentaux ont créé des bulles financières à travers le monde. Les valeurs actuelles de nombreux actifs sont ainsi déconnectées de la réalité.
De plus, si les acteurs du marché peuvent investir à coût quasi-nul aussi bien en actifs financiers qu’en actifs physiques, ils courent le risque d’acquérir des actifs qui ne rapportent rien. On a alors des équilibres non optimaux tels qu’ils ont été décrits par la théorie des jeux, où les parties ne choisissent pas les options qui sont les meilleures pour l’ensemble. D’après certains courants de pensée, cette politique de non-discrimination par les prix serait même à l’origine de la faiblesse de la productivité.

2. L’endettement privé

L’encours de dette des sociétés non financières a bondi laissant craindre un surendettement des entreprises, hausse en grande partie imputable aux Prêts Garantis par l’État en France.
Le remboursement des prêts garantis par l’État (PGE) pourrait être problématique pour nombre d’entreprises. En août 2021, 15% à 25% des entreprises ayant souscrit un PGE seraient dans l’incapacité de rembourser une annuité correspondant à 20% du montant de ce prêt. Un remboursement de la première annuité n’est toutefois pas prévu avant le printemps 2022. A fin juillet 2021, on notait déjà plus de 20 milliards de dettes restructurés depuis le début de la crise sanitaire en France (Vallourec, AccorInvest,…) sur un total de 118 milliards d’euros pour toute l’Europe et de 503 milliards d’euros dans le monde.

Un rebond des défaillances d’entreprise par effet de rattrapage est également inévitable compte tenu que les aides d’état ont permis de « maintenir à flot » des entreprises non viables. Les aides gouvernementales auraient dû se concentrer sur les entreprises prometteuses afin de traverser la crise du Covid-19 sereinement.

Aux États-Unis, selon Janet Yellen, le gonflement de la dette des entreprises les expose à un risque de « banqueroute » en cas de fort ralentissement économique.

On note également que les émissions d’obligations adossées à des prêts hypothécaires réalisées aux USA par des banques et des acteurs immobiliers ont explosé au deuxième trimestre 2021 atteignant 42 milliards de dollars, l’un des montants les plus élevés depuis la crise des subprimes.

À cet endettement des entreprises s’ajoute notamment, aux États-Unis, l’endettement des ménages et des étudiants.

3. L’endettement public

La pandémie a coûté, sur 2020 et 2021, en tout entre 170 et 200 milliards à l’État français entre les dépenses exceptionnelles et les pertes de recettes. En 2021, pour la deuxième année consécutive, le déficit de la France dépassera les 9 % du PIB, déficit qui finance malheureusement, comme dans bien des pays occidentaux, des dépenses courantes.
Les taux d’endettement public des pays de l’OCDE sont extrêmement élevés en 2021 : 117 % en France, 141 % aux États-Unis, 157 % en Italie, 245 % au Japon, 72 % en Allemagne.
Les États-Unis font face à un plafond de la dette atteint et qui a été relevé in extrémis repoussant de quelques mois la crise financière historique qui pourrait résulter d’un défaut de paiement US (flambée des taux d’intérêt, chute brutale du cours des actions et autres troubles financiers à attendre).
 

III – Développement de la culture de la pensée unique occidentale

Du fait de l’interaction des marchés boursiers internationaux, les politiques de la Réserve Fédérale des États-Unis (FED) et de la Banque Centrale Européenne (BCE) s’alignent l’une sur l’autre répétant chacune les erreurs de l’autre. Leur indépendance et les objectifs qui leur sont fixés ne répondent pas à l’optimisation du « bien-être » des populations concernées à long terme. Les courants libéraux déstabilisés par l’épidémie du Covid-19 semblent s’être noyés dans un océan de dettes et des politiques du « quoi qu’il en coûte » à l’opposé de leur doctrine, appliquant ainsi des schémas qu’ils ne maîtrisent pas. 

Conclusion

Bien que la crise financière mondiale à venir soit prévisible d’un point de vue strictement économique et financier, les banques centrales et gouvernements occidentaux refusent de voir l’évidence et préfèrent la méthode « Coué », ou pire se rêvent en « Candide » de Voltaire. Les seules issues aux jours troubles qui se préparent semblent être de bonnes connaissances des rouages macro et microéconomiques, une refonte du système financier actuel, le sang-froid, l’empathie et le courage.

Sources : Les Echos (Karl Eychenne, Nathalie Silbert, Guillaume Benoit, Anne Drif, Patrick Artus)

Auteur(s): Nathalie Souvorov-Robert, pour FranceSoir




Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison ?…

Par Alain Tortosa

Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison…
Et si je me faisais des idées, et si je m’étais pris à mon propre piège.
Et si nous vivions en démocratie, et si nos gouvernants et l’industrie étaient « bons ».
Et si les médias étaient ce qu’ils disent :
compétents, intègres, intelligents, professionnels et indépendants ?

Liberté ?

Hier j’étais encore une fois de plus en train de manifester aux cris de « liberté » et de « dictature ». Nous étions bien entendu peu nombreux au regard de la population.

Je n’avais pas l’impression que ceux qui nous dévisageaient avaient le sentiment de ne pas être libres. Ni même ceux que nous pouvons croiser (pas moi, je n’y mets plus les pieds) dans un supermarché avec un masque jusqu’au front et trois doses de « vaccin ».

Dictature ?

Voilà un mot que nous devrions bannir ou manier avec précaution comme ne manque pas de nous le rappeler les « journalistes » tous les jours. Ceci n’étant « qu’une simple marque de respect à l’égard des peuples opprimés » qui eux, vivent « vraiment » dans une dictature !

Si j’interroge nom voisin en évoquant les mots de « dictature sanitaire », il va me regarder avec des yeux exorbités comme si je lui avais annoncé avoir vu une soucoupe volante débarquer dans mon jardin.

La masse, le peuple français, ne vit pas en dictature… mais pourquoi moi oui ?

Histoire d’enfoncer encore plus le clou, j’ajouterais que je vivais déjà en dictature avant même la crise du Covid, c’est dire si je dois être complètement « allumé » aux yeux de certains.

Afin de tenter de mettre un peu d’objectivité, je vais d’abord me référer à la définition du dictionnaire.

Si l’on en croit Le Larousse, une dictature c’est un :

« Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire »

Tout être « raisonnable » ou « journaliste » confirmera que nous vivons bien dans une « démocratie ». Et oui, où avais-je la tête… nous avons un président élu, un gouvernement, un parlement élu, des institutions, des contre-pouvoirs, des juges « indépendants », une presse « libre » et surtout des « élections libres »… Comment pourrions-nous vivre en dic-ta-tu-re ?

Mais j’y pense, Hitler est bien arrivé au pouvoir par des élections, Pétain a bien obtenu les pleins pouvoirs par les députés, il y a aussi un parlement en Corée du Nord où le dictateur a été élu ! En fait, si on y regarde bien, quasi tous les régimes totalitaires ont des élections et un parlement, non ?

Et voilà, emporté par ma crise délirante, je me mets à oser comparer la France à la Corée du Nord ! Tout être de raison sera bien conscient que mes propos sont outranciers et frisent le ridicule…

Vous dites « Un parlement » ?

Pour autant, une démocratie existe principalement par la liberté d’expression et ses contre-pouvoirs.

Or, depuis le début de la crise, le Conseil d’État et même le Conseil Constitutionnel approuvent des lois d’exception que ledit conseil reconnaît non-constitutionnelles, mais « acceptables » au motif que nous vivons un état d’urgence, une crise « exceptionnelle » et que ces lois sont « temporaires ».

Je vous rappelle pour exemple que le « temporaire » du passe sanitaire qui est censé prendre fin le 15 novembre sera probablement reconduit jusqu’à l’été prochain « pour notre sécurité »…

Depuis le début de la prétendue crise sanitaire, les décisions sont prises en dehors de toute transparence, de tout contre-pouvoir et par un « conseil de défense ». Les lois d’urgence sont votées par un parlement qui, lorsque les décisions ne sont pas en accord avec le gouvernement, sont revotées le plus « légalement » du monde… dans l’indifférence quasi générale.

Cette « démocratie » a pour le moins un fonctionnement bien étrange. Elle donne le sentiment que TOUS les pouvoirs sont dans les mains d’un seul homme, le Président de la République, président dont nous ne savons pas précisément de qui il tient les siens.

Tout ceci serait votre définition d’une démocratie ?

L’indice de bonheur et le totalitarisme ?

Les Français semblent globalement heureux. Je ne perçois pas le moindre désespoir chez tous ces masqués, vaccinés, passe-sanités… Ils sont confinés, privés de liberté de mouvement, privés de loisirs, contraints à porter une muselière, contraints de se vacciner pour avoir le droit de vivre, mais… heureux. Nous pouvons supposer que si nous vivions en dictature ils seraient écrasés par tout ceci ?!

Et bien non !

« Le bonheur ne se mesure pas non plus à la liberté.

Je ne pense pas qu’il y avait de sondages, mais le peuple allemand semblait heureux en Allemagne pendant la période nazie (avant 1944).

Ils avaient leur ennemi commun, de quoi manger, du travail… et ils croyaient en leur leader charismatique qui allait les sauver et leur rendre leur honneur.

Un article publié par Forbes en 2008 “Chasing Happiness” (à la poursuite du bonheur), indique : “Les données révèlent que le bonheur n’est pas proportionnel au revenu moyen, au type de gouvernement — démocratie contre dictature…” »(([1] Extrait « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))

Nous voyons donc que celui qui vit dans une dictature, mais qui n’est pas ciblé par cette même dictature pourra être aussi heureux que dans une démocratie.

Mais pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ? Les droits de l’homme sont pour moi une donnée non négociable alors qu’ils semblent totalement annexes pour des millions de Français.

Démocratie, liberté d’expression et censure ?

Nous vivons à ce point une période « merveilleuse » qu’il n’existe aucune censure en France. Non, non, ne riez pas ! Je ne fais que rapporter le sentiment de la masse.

Une majorité de Français adhère à la propagande et regrette que les réseaux sociaux soient si laxistes. D’aucuns pensent même que les médias classiques font une part trop belle aux « complotistes ».
Et oui !
Il n’y a de fait aucune « censure » en France, mais uniquement une chasse à la « désinformation ».

Une preuve de plus que nous vivons donc bien en démocratie pour la majorité des Français qui approuvent la suppression des « informations mensongères ». C’est d’autant plus intéressant que cette même majorité, totalement servile, se dit à la fois « Charlie » et pour la « liberté d’expression ».

Rappelons que celui qui ne suit pas la Doxa est un « ennemi du peuple », un « assassin » en puissance. Allons bon, ne pas adhérer, discuter, critiquer toutes les mesures mises en œuvre « pour notre bien » ne peut qu’être « objectivement » criminel.

Par exemple, celui qui ne met pas de masque (comme votre serviteur) et qui affirme que celui-ci est inefficace, contre-productif et dangereux va, de fait, automatiquement mettre en danger les personnes qui sont autour de lui. Il n’y a donc pas « censure » en le muselant, mais « suppression de propos dangereux ».

Le monde est à ce point délirant que l’on applaudit l’interdiction de publier sur Facebook ou Twitter à un président des États-Unis en exercice et démocratiquement élu…

Démocratie qui définit donc ce qui est vrai ou pas, acceptable ou pas, dangereux ou pas. Tout français est ainsi totalement libre de dire ce qui est autorisé par le Ministère de la Vérité.

Nous ne serions donc pas dans une « dictature qui censure la liberté d’expression », mais dans une « démocratie qui protège son peuple de personnes dangereuses ».

Et moi, naïf, qui m’obstine à nommer un tel régime une dictature. L’idée de l’État « grand frère » et bienveillant qui me protège choque profondément mes valeurs.
Éduquer, oui, mettre en garde oui, interdire non !

Les confinements ?

Étant indécrottable, je n’ai toujours pas digéré le fait d’avoir été assigné à résidence en l’absence d’accusation, de procès et de jugement. Procédé qui me semble plus présent dans un régime dictatorial qu’en démocratie…

Pour être honnête, le confinement a été plutôt agréable pour ma famille. Notre dictateur bienfaiteur a acheté notre silence (que nous devrons rembourser avec intérêts)… Et puis nous avions la chance de sortir sans les nuisances des voitures, les enfants étaient heureux de ne pas aller à l’école… Je confesse que cette période était pour moi à la fois viscéralement inacceptable et dans le même temps plutôt agréable.

Ici encore mon émoi n’était pas celui de la majorité des Français.

« Mais n’as-tu pas compris qu’à virus exceptionnel, solution exceptionnelle ? »

Ben non, quand bien même, la fin ne justifie pas les moyens !

Petit rappel des déclarations du président du conseil scientifique en juin 2020 :

« Nous assumons le fait d’avoir proposé le confinement durant les trois journées très difficiles des 12, 13 et 14  mars. Ce n’était pas notre décision, car elle appartient au politique.

Ce n’était pas une bonne décision, mais la moins mauvaise, étant donné les outils que nous avions. » 

Une autorité a dit aux Français, en dehors de toute preuve scientifique, qu’il fallait confiner ensemble malades et bien portants pour éviter le pire. Puis cette autorité leur a dit que ce confinement a sauvé des dizaines de milliers de vies. Et enfin nombreux sont celles et ceux qui croient encore à ce joli conte pour enfants.

Les catastrophes économiques, sur la santé mentale, sur la violence conjugale, sur les retards de soin ? Cela n’interpelle que les Français concernés. Pour les autres, c’était plutôt des vacances payées. Et si vous leur dites que les pays qui n’ont pas confiné ont eu moins de morts par habitant que nous, ils ne peuvent l’entendre, grâce au soutien actif de la propagande.

Alors ?

  • Si je ne m’obstinais pas à vouloir me rappeler le « liberté égalité fraternité » sur le fronton de toutes les mairies…
  • Si j’oubliais que je pouvais me prendre 135 euros d’amende juste pour être sorti de mon domicile…
  • Qu’il y avait des haut-parleurs dans la ville répétant les consignes…
  • Que des drones tournaient sur la plage au cas où un promeneur en plein hiver contaminait une mouette…
  • Ceci tandis que l’on pouvait s’entasser devant des supermarchés bondés…

Alors j’aurais peut-être pu me convaincre que nous étions en démocratie et que le confinement des personnes non malades était une « bonne » chose.

  • Aussi « bonne » que de dire aux malades de rester chez eux et de ne surtout pas se rendre chez leur médecin de famille avant d’être à l’article de la mort ?
  • Aussi « bonne » que d’interdire les médecins de prescrire ?
  • Aussi « bonne » que de « finir » les vieux au Rivotril ?

Les masques ?

Et que dire de ces « appendices naturels » ? Encore aujourd’hui je croise des centaines de personnes qui ne semblent souffrir en rien avec leur accessoire sur le nez. Après tout, ce n’est qu’un bout de tissu ou du plastique devant la bouche. Elles semblent ne présenter aucune souffrance, même si je ne peux voir leur visage.

Pire encore, elles continuent de le porter et je vois encore des cours d’école pleines d’enfants masqués alors même que le seigneur du département (préfet) a supprimé son arrêté l’obligeant à l’extérieur. Je ne supporte pas de les voir, cela me retourne les tripes à en avoir physiquement mal.

Suis-je juste un crétin d’égoïste (comme le disent les autorités ou les masqués que je croise) ? Le plus drôle avec l’affaire du masque est qu’elle a eu des débuts rocambolesques. Sans doute le seul épisode de la crise qui a débuté par une vérité « le masque ne sert à rien et est dangereux » Pour terminer en « le masque est vital pour ne pas assister à la fin du monde », masque qui demeure indispensable pour protéger les vaccinés d’un « vaccin efficace à 90 % ». L’affaire est à ce point comique que le français manipulé croit que c’est la première annonce qui était un mensonge et la deuxième une vérité.

Ici encore mon problème est que je sais lire et que je ne me contente pas d’écouter la Pravda.

  • Que dois-je faire de toutes les études publiées avant la crise, y compris des écrits de l’OMS, qui affirmaient que ce masque en population générale ne sert strictement à rien, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur ?
  • Que dois-je penser des pays qui n’ont pas masqué leur population et qui n’ont pas plus de décès ?
  • Que dois-je faire du nombre de cas qui n’a cessé d’augmenter au fil de la généralisation du port du masque ?
  • Que dois-je faire de la dangerosité du produit et du faux sentiment de sécurité qui était aussi affirmé par l’OMS ?
  • Que dois-je faire de ce nid à bactéries, de cet appendice qui augmente votre taux de CO2 et diminue votre oxygène ?
  • Que dois-je faire des troubles psychiques induits chez les bébés, les enfants et même les adultes ?
  • Que dois-je faire d’une société qui fait d’une personne en bonne santé une menace pour la vie d’autrui et dont on doit se méfier ?

De toute évidence, aucune de ces pensées ne traverse l’esprit de celles et ceux qui le portent toute la journée y compris seuls dans une voiture.

Une autorité qu’ils ne peuvent penser malveillante leur a dit qu’il fallait le porter et ils arrêteront de le porter temporairement uniquement le jour où cette même autorité leur dira qu’il n’est plus nécessaire.

Autorités qui nous ont dit que le confinement nous sauverait, puis que la distanciation nous sauverait, puis que les tests PCR nous sauveraient, puis que le masque nous sauverait, puis que le vaccin nous sauverait, puis que le passe sanitaire nous sauverait… et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on vous dit que la suppression en tous lieux du masque n’est pas à l’ordre du jour et que ce serait même irresponsable, alors même que 90 % des personnes à risque seraient injectées… Cela gêne-t-il ou questionne-t-il ces mêmes Français qui le portent sans colère ni révolte ?
Non, absolument pas… « C’est comme ça et c’est pas bien grave ».

Je m’aperçois de l’échec qui se dessine au fil de mon écriture… comment pourrais-je raisonnablement adhérer à la doxa et me dire que je me fourvoie depuis le début de la crise ?

Le vaccin et le passe sanitaire ?

C’est peut-être ma dernière chance de « pouvoir me réveiller, de sortir de mes délires complotistes et enfin revenir vers le bon sens ». Comment douter de la vérité sanitaire quand 100 % des politiques, médecins médiatiques, journalistes vous répètent depuis des mois que les « vaccins » sont efficaces et sans danger ? Après tout, je ne vois pas les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’ils sont presque tout injectés. OK, mais je n’ai pas vu les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’il y avait cette fameuse terrible pandémie !

Pourquoi des personnes en bonne santé, et encore plus des enfants, se feraient-elles injecter ces produits expérimentaux pour lesquels nous n’avons que quelques mois de recul ? Même la majorité des médecins corrompus reconnaît que le Covid ne touche que les personnes en mauvaise santé, aux défenses immunitaires défaillantes.

Je suis décidément sur une très mauvaise pente et je sens déjà les portes de l’enfer se refermer sur moi. Mais j’ai encore une petite chance de pouvoir revenir dans le bon chemin. Tel un éclair d’espoir, une lumière vient d’apparaître… Une étude « indépendante » vient d’être publiée en France sur l’efficacité des vaccins. Réjouissons-nous mes frères, les vaccins sont bien efficaces à plus de 90 % comme on le pensait, pour réduire les hospitalisations ! C’est une étude « indépendante » (si, si, c’est écrit sur leur site) conduite par « epi-phare », une émanation de l’ANSM (qui évalue la sécurité des médicaments pour le ministère). Je vais enfin pouvoir cesser de regarder les courbes épidémiques des pays qui ont massivement vacciné et pour lesquels nous assistons à une explosion des cas et des décès.. Et puis pourquoi irais-je chercher la petite bête comme le fait que l’étude s’arrête juste avant la remontée des décès de la 4e vague ? Ou quelle compare 3,6 millions de vaccinés à 3,6 millions de non vaccinés de plus de 75 ans alors même que plus de 75 % des personnes dans la tranche d’âge étaient vaccinés vers la fin de l’étude et que de fait il n’y avait plus suffisamment de non-vaccinés pour en trouver autant que de vaccinés. Le plus rigolo est qu’il semble que l’étude portait sur 7,5 millions de plus de 75 ans alors que la France en compterait un million de moins !
Et voilà, mes délires me reprennent, je vais chercher la petite bête au lieu de me contenter de cette simple affirmation d’efficacité.

Quand bien même le risque de s’injecter et d’avoir des séquelles graves ou de mourir ne serait que d’un sur un million, pourquoi le prendre ? Comment pourrais-je survivre à la mort de mon enfant en pleine santé si d’aventure il décédait d’une injection expérimentale ?

Vient alors le mythe de la vaccination solidaire et altruiste. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que le français de 2020 et 2021 est devenu so-li-dai-re !
Ça va rentrer oui ?

Je dois absolument m’empêcher de penser que même les autorités sanitaires reconnaissent et insistent sur le fait que les vaccinés sont contaminants, qu’ils doivent continuer à porter le masque et qu’ils doivent désormais prendre une troisième dose d’un produit « efficace » pour le rendre « efficace ».

Effacer de ma mémoire les pays qui ont eu un recours massif à l’injection et dont la situation est catastrophique.

Pendant ce temps, tout ce petit monde de « vaccinés » vit comme si tout ceci n’était que mythe ! Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait vrai, la plupart ignorent totalement les faits que j’ai relatés, n’ayant qu’une unique source « d’informations ».

Mais revenons au fameux « vaccin solidaire » qui vise à injecter tous les enfants pour (officiellement) empêcher de vieux grabataires de mourir…

Qui peut croire qu’un humain s’injecterait ces poisons ou qu’il l’injecterait à ses enfants pour protéger quiconque s’il avait le sentiment que ces produits sont potentiellement dangereux ou mortels ?

Seule la publicité peut nous faire gober un truc pareil. Les injections sont purement égoïstes. POINT.

Nous avons eu dans un premier temps une petite frange de la population paniquée qui s’est vaccinée « volontairement » pour se protéger du « méchant virus ». Puis le gros de la troupe s’est fait injecter pour aller en vacances, au cinéma ou au restaurant. Croyez-vous que ces millions de Français auraient fait ces injections s’ils avaient pensé qu’il y avait un risque, même infinitésimal, pour leur propre vie ou celle de leurs enfants ? Non, ils sont à ce point crédules (j’avais ajouté « et con », mais je suis désormais politiquement correct) pour gober les mensonges de la dictature et croire ce que les médias vomissent à longueur de journée :

« Une injection expérimentale de masse inédite d’ARNm sur des sujets sains et jeunes ne présente aucun danger ni à court ni à long terme ! »

Ce monde est merveilleux.

À noter que par le passé, l’alcool, le tabac, les rayonnements ionisants, le mercure, l’amiante et j’en passe… ne présentaient aucun danger pour la santé et, qui plus est, étaient considérés pour certains comme bénéfiques, alors pourquoi pas de l’ARN messager ?!

Donc ici aussi je ne peux pas… Je suis dans l’incapacité de croire que cette injection d’ARNm sur tous les habitants de la planète permettra d’éradiquer un virus qu’ils croient dangereux et que cet acte ne présente strictement aucun danger pour la santé.

Nous, les complotistes dissidents, disposons de milliers de témoignages d’effets secondaires graves, nous disposons de centaines de témoignages sur la planète de médecins qui signalent des effets secondaires et des décès à court terme chez des enfants. Nous disposons aussi de témoignages sur les soignants menacés et interdits de faire remonter ces informations. Tous ces soignants respectés hier seraient-ils devenus soudainement fous ou menteurs ?

Mais quand bien même toutes mes objections ne seraient que délire complotiste… Pourquoi prendre le risque d’un cancer à 20 ou 30 ans pour une maladie somme toute bénigne qui ne menace que des personnes à risques spécifiques et pour laquelle il est désormais prouvé que l’injection massive n’amènera pas une immunité de masse ?

Qui est le fou, l’irresponsable ou le criminel comme certains aiment à l’affirmer ? Celui qui critique comme moi ou celui qui injecte ses propres enfants ?

Alors ?

Et moi dans tout ça ?
Je ne suis pas comme tous ces Français absents, je vis les débuts d’une vraie dictature dans laquelle la censure est « juste », dans laquelle il n’y a plus de parlement, ni même de gouvernement et encore moins de juges, mais un « conseil de défense ».
Je suis victime de discrimination, interdit de commerces, de restaurants, de cinémas, de vacances, de voyages et bientôt de travail au nom de la « sécurité ».

Je souffre, je hurle, je pleure… souffrance d’autant plus grande que je ne vois pas les endormis souffrir.
Je suis bien sûr interdit de communication avec toutes ces personnes « heureuses », les médias ne cessant de les mettre en garde contre moi le non-malade, mais pour autant potentiellement contaminateur d’idées. Je possède non pas des indices, mais des centaines de preuves que mes pensées ne sortent pas d’un chapeau, mais toute discussion est vaine et interdite. Tous ces masqués, confinés, vaccinés ne veulent surtout pas savoir… alors je suis leur con et la réciproque l’est tout autant. Ces pourritures de vérificateurs qui pleuvent sur tous les médias de toutes les grandes chaînes rient en parlant de nous les « complotistes ». Ils font de nous des débiles, des naïfs, des analphabètes ou de dangereux psychopathes d’extrême droite de la fachosphère et donc bien sûr antisémites comme il se doit. Ceci afin de bien dédouaner les « bons » Français de discuter avec nous, les « pervers manipulateurs ».

J’ai passé et je passe encore des milliers d’heures à étudier la maladie, les symptômes, les publics touchés, les traitements, les statistiques, l’efficacité de telle ou telle mesure, les « vaccins » ou les études scientifiques publiées avant ou depuis la crise.

Et pourtant ma parole a moins de crédit à leurs yeux qu’un « médecin » médiatique :

  • Qui passe sa vie sur un plateau TV.
  • Qui est allé jusqu’à approuver l’interdiction de prescrire.
  • Dont la « vérité » se résume à la vérité médiatique.
  • Qui de fait n’a pas lu la moindre étude.
  • Et, qui plus est, croule sous les conflits d’intérêts.

Dans notre monde qui a perdu toutes ses valeurs, un tel gars corrompu est crédible, car il passe dans les grands médias et a un diplôme.

Au-delà de l’injustice, au-delà de ce procès en sorcellerie, au-delà de cette interdiction qui m’est faite de discuter, d’argumenter, de prouver mon absence de folie…

Ces autorités, ces médias et ces moutons (comment les appeler autrement ?) m’ont fait un mal terrible.

ILS ont tué (ou tout du moins blessé mortellement) mon empathie ! Je confesse n’en avoir plus rien à faire de leur sort. Je suis usé, lessivé…

Ils veulent continuer à porter leur muselière jusqu’à la fin de leurs jours, vivre comme des moutons et diminuer leurs défenses immunitaires… je n’en ai plus que faire. Ils veulent prendre le risque d’avoir des effets secondaires graves à court, moyen ou long terme ou même mourir de ces injections expérimentales… Grand bien leur fasse ! Pire encore, ils ont pris la décision d’injecter leurs propres enfants dont certains sont déjà ou vont décéder pour qu’ils puissent jouer au foot… Eh bien, cela ne me fait plus rien.

J’ai fait ma part. J’ai écrit des dizaines d’articles sur la dangerosité et la totale inutilité de ces poisons. Ils veulent croire la propagande ? Ils veulent croire l’industrie pharmaceutique alors qu’elle est la plus pourrie de toutes les industries qui de plus prétend agir pour nous ?

Grand bien leur fasse !… Ils m’ont à ce point déçu. Ils ont à ce point cette volonté de mettre la tête dans le sable, de ne pas vouloir savoir… que je ne peux plus RIEN pour eux.

Je les vois tel un banc de sardines. Leur survie est purement statistique comme la survie d’une sardine l’est aussi. D’un côté nous avons (pour peu que les sardines et la masse des Français pensent) « avec de la chance, je vais survivre à l’attaque des requins » et de l’autre « avec de la chance, je vais survivre au vaccin ». Ils ne comptent que sur le faible pourcentage de risques, à leurs yeux inexistants, tout en croyant à la dangerosité de ce virus… statistiquement anodin.

C’est trop tard. Je ne peux plus être empathique. J’ai acquis la conviction que si on leur disait de marcher à quatre pattes ou qu’on les faisait monter dans des trains pour aller dans des camps « afin de se mettre à l’abri du virus », ils le feraient sans la moindre réaction.

Ma survie n’est plus que pur égoïsme pour moi et pour les miens. Tous les résistants, les personnes qui réfléchissent et doutent, nous allons finir par faire tomber cette dictature immonde qui se drape sous ses airs de « bienveillance ». Mais personnellement, et même s’ils en tireront aussi les bénéfices, je ne le fais plus du tout pour eux.
Ils ont tué cette lumière en moi et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

Alain Tortosa

12 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211012-et-si-ils-avaient-raison.pdf




Laboratoires pharmaceutiques, psychiatrie et oligarchie apatride mondiale ! Le cocktail mortifère

Par Claude Janvier

Laboratoires pharmaceutiques, psychiatrie et oligarchie apatride mondiale ! Le cocktail mortifère.

28 septembre 2021 : Emmanuel Macron a reçu un œuf sur l’épaule. Immédiatement, le lanceur a été placé en garde à vue, puis interné en hôpital psychiatrique. (1) Depuis, il y est toujours. Ça ne rigole pas dans notre beau pays. Un lancé d’œuf peut vous conduire direct en HP. Et là, vous n’êtes plus rien. Un psychiatre peut conclure à l’abolition de votre discernement et hop ! Bouclé, drogué, voire électrochoqué. — pardon sismochoqué, le terme est plus soft, voire plus chic qu’un électrochoc —, mais le résultat sera le même. Tout est une question de langage diplomatique et démagogique.

Hospitalisation d’office :

Depuis quelque temps, les hospitalisations d’office en hôpital psychiatrique d’opposants ou supposés gênants à la doxa gouvernementale sont à la mode.

— 10 décembre 2020 : le professeur Jean-Bernard Fourtillan, professeur émérite connu notamment pour ses travaux de recherche sur la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, a été interné dans un hôpital psychiatrique. Il a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes après son interpellation. Trois jours plus tard, un médecin a considéré que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique et le préfet a suivi ces recommandations. (2)

— Décembre 2020 : maître Bernard Ripert, ténor du barreau grenoblois, a été placé en garde à vue à Grenoble dans le cadre d’une procédure ouverte à la suite d’un incident survenu avec un magistrat. Puis, à cause d’une tension élevée, il a été hospitalisé, a reçu une expertise psychiatrique et a été interné sous contrainte. (3) (4)

— 14 juin 2021 : le professeur Éric Caumes, chef de service à l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière, docteur en pathologie infectieuse et tropicale, clinique et biologique a été hospitalisé pour « décompensation psychiatrique ». Les sources proches du dossier déclarent qu’il est arrêté pour trois mois à ce jour. (5)

Quid de la facilité de faire interner quelqu’un ? Que dit la loi ?

« Comment se déroule l’hospitalisation sous contrainte ?

La personne hospitalisée sous contrainte est d’abord placée en observation, dans le cadre d’une hospitalisation complète. Dans les premières 24 heures, un médecin réalise un examen complet de la personne, et un psychiatre établit un certificat médical (article L 3211-2-2 du Code de la santé publique). Le certificat médical doit comporter le constat de l’état mental de la personne, et confirmer (ou infirmer) la nécessité de maintenir les soins psychiatriques. Puis, dans les 72 heures qui suivent l’admission, un nouveau certificat médical doit être établi. Si les deux certificats médicaux confirment la nécessité de maintenir les soins psychiatriques, le psychiatre propose alors un parcours de soins et de prise en charge du malade. Avant toute décision, précise la loi, la personne concernée “doit être informée et doit aussi être mise en mesure d’émettre un avis”.

La personne hospitalisée peut-elle contester ?

Depuis le 1er septembre 2014, la légalité de cet acte administratif individuel doit être examinée par le juge des libertés et de la détention dans un délai maximal de douze jours à compter de l’admission, ou à compter du retour en hospitalisation complète. Le tribunal judiciaire se prononce donc dans les douze jours sur la légalité et le bien-fondé de cet acte privatif de liberté pris par une autorité administrative (le Préfet ou un directeur d’établissement).

Donc, pendant 12 jours, vous pouvez être, sans votre consentement, bourré de psychotropes et/ou subir une “sismothérapie”. »

Qui peut lever l’hospitalisation sous contrainte ?

« Plusieurs personnes peuvent en décider.

Le psychiatre : il doit alors certifier que les conditions de l’hospitalisation sur demande d’un tiers ne sont plus réunies. Un certificat circonstancié doit mentionner l’évolution ou la disparition des troubles ayant justifié l’hospitalisation. Dans les vingt-quatre heures qui suivent la fin de cette mesure d’hospitalisation, le directeur de l’établissement en informe le représentant de l’État dans le département, le procureur de la République, et la personne qui a demandé l’hospitalisation.

Le juge peut aussi en décider. L’article L. 3211-12-1 — III du Code de la santé publique précise que “lorsque le juge ordonne une mainlevée, il peut, au vu des éléments du dossier et par décision motivée, décider que la mainlevée prend effet dans un délai maximal de vingt-quatre heures, afin qu’un programme de soins puisse, le cas échéant, être établi en application du II de l’article L. 3211-2-1. Dès l’établissement de ce programme ou à l’issue du délai [de 24 heures], la mesure d’hospitalisation complète prend fin”.

Le représentant de l’État dans le département (généralement le préfet) peut également ordonner la levée immédiate d’une hospitalisation à la demande d’un tiers lorsque les conditions de l’hospitalisation ne sont plus réunies. (6)

Le 19 juin 2020, le Conseil constitutionnel a ordonné au législateur de prendre des mesures pour que le maintien à l’isolement ou en contention en psychiatrie d’une personne hospitalisée sans son consentement soit contrôlé par un juge. En 2017, on estimait que 92 000 patients étaient enfermés en psychiatrie contre leur gré, parfois quelques jours, parfois plusieurs semaines (étude de la démographe Magali Coldefy). » (7) (8) (9)

Un médecin ou un psychiatre et un Préfet peuvent donc vous embastiller et vous pouvez vous retrouver sans le vouloir, drogué, voire plus grave électrochoqué. Et vu que dans un hôpital psychiatrique, vos droits sont réduits pratiquement à zéro, tout peut se faire sans votre consentement.

Vous pensez que j’exagère ? Vu l’historique de la psychiatrie, on peut légitimement se poser la question du bien-fondé de cette « science ».

Psychiatrie : une science vraiment ?

En essence, ce mot signifie médecine de l’âme. La psychiatrie s’est donc, dès le début, perdue en chemin. Si vous pensez guérir d’un passage à vide en allant voir un psychiatre, oubliez. Au mieux, vous tomberez sur un praticien qui vous écoutera et vous fera un peu de bien, mais en général, vous ressortirez avec une ordonnance vous prescrivant un ou plusieurs neuroleptiques.

La psychiatrie a son origine dans les traitements médicaux les plus inhumains. Les neurologues portugais Egas Moniz et Almeida Lima de l’Université de Lisbonne ont reçu un Prix Nobel en 1949 — incroyable, mais vrai ! — pour l’invention et la formalisation de la lobotomie en 1935. En gros, la lobotomie était un trifouillage de votre cerveau se faisant découper ou sectionner par un « boucher chirurgien ».

Vous êtes bien assis ? Prenez un petit cognac, car ce que vous allez lire n’est pas de la science-fiction.

Lobotomie : une horreur absolue

En 1936, le Dr Egas Moniz, neurologue, inventa la lobotomie au « pic à glace ». La technique constitue à enfoncer un pic à glace au coin de l’œil pour atteindre le cerveau, et plus particulièrement le lobe frontal. Cette partie gère, soi-disant les émotions. Le but était donc de créer une lésion au cerveau pour toutes les pathologies, qui à l’époque, relevaient d’un trouble de l’émotion : dépression lourde, schizophrénie, homosexualité et bien d’autres états…

Un de ses disciples, le docteur Walter Freeman, entre 1945 et 1954, parcourut les États-Unis dans sa « Lobotomobile » — véridique — et lobotomisa à peu près 4 000 personnes en enfonçant un pic à glace après avoir soulevé une paupière. Le plus souvent sans anesthésie. À peu près 100 000 personnes furent lobotomisées dans le monde à l’époque. Il faudra attendre 1960 pour que cette abomination soit rayée du menu des « soins » psychiatriques.

À noter qu’en 1941, Freeman opéra la plus célèbre de ses patientes, Rosemary Kennedy, sœur du futur président, âgée de 23 ans. Souffrant, selon ses parents et la thèse officielle, d’un léger retard mental et de trouble de l’humeur, elle subit l’opération, en resta incontinente et passe le reste de sa vie dans un état quasiment végétatif. La lobotomie n’est plus en application heureusement, mais l’électrochoc est toujours réalisé. (10) et (11)

L’Électrochoc : une thérapie ?

Mode d’emploi : le psychiatre envoie un courant électrique dans votre cerveau afin de créer une crise convulsive. Contrairement aux débuts de « l’électrothérapie » le patient est aujourd’hui mis sous anesthésie générale courte (5 à 10 minutes) — ouf, nous voici rassurés, quoique… Car le produit injecté est du curare — oui vous lisez bien —, une substance provoquant une paralysie des muscles, afin de prévenir les convulsions musculaires et éviter qu’il ne se blesse — . Toujours partant pour essayer ?

En bref, cette pratique barbare n’a aucun intérêt, sauf de vous cramer les neurones. Malgré le fait que ce procédé ne soigne pas, la médecine traditionnelle vous en vante toujours les mérites, sous le nom plus chic, mais toujours aussi choc, de sismothérapie. En revanche, la petite cure de « sismo » risque fort de faire de vous un légume au fil des années.

Au final, ce court-jus cervical peut s’avérer bien pratique afin de museler des opposants politiques, ou des gens en petite ou grande détresse mentale. D’ailleurs, les effets secondaires sont significatifs : maux de tête, nausées, et pertes de mémoire à court, moyen ou long terme. Sympa !

Ajoutez à une petite « sismo », un cocktail de neuroleptiques, plus communément appelé « camisole chimique » et vous obtenez un lavage de cerveau très efficace. Vous devenez branché ou à la masse — c’est peut-être là l’origine des deux expressions —. Plus aucune résistance. Tout passe par le bon vouloir du psychiatre qui, suivant son humeur, peut vous délivrer de cet enfer ou vous y maintenir.

Ce qui est incroyable sont les tonnes de louanges figurant dans des sites médicaux, tel que « Passeport santé » (12) par exemple sur ce genre de pratiques et autres.

Louanges que vous avez certainement déjà lues concernant par exemple des médicaments néfastes et des affaires scandaleuses tel que le Médiator, le Distilibène, l’Isoméride, la Dépakine, le Vioxx, les vaccins H1N1, le Lévothyrox et de bien d’autres comme l’histoire ubuesque du Remdesivir dont l’Union européenne a acheté pour plus 1 milliard d’euros de doses juste avant que l’OMS le déconseille contre la Covid-19…

À ce propos, les vaccins Covid-19 qui malgré le fait qu’ils soient toujours en essais cliniques, sont injectés à grand renfort de publicité à quasiment toute la population, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires. — Union européenne – dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid, appelée EudraVigilance, 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE, et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens —(13)

Mais à écouter la presse mainstream, le gouvernement et la haute caste médicale, les nouveaux vaccins sont si « merveilleux » ! Donc, ceux qui croient encore que les laboratoires pharmaceutiques œuvrent afin d’améliorer votre santé feraient bien de réviser leur copie. Rares sont les médicaments chimiques efficaces vous menant à une guérison complète. En revanche, les bénéfices sont énormes pour les labos et leurs actionnaires.

Bénéfices ultra juteux :

La psychiatrie et l’industrie pharmaceutique ont compris que si chaque comportement pouvait être redéfini comme une maladie mentale, il serait alors possible de vendre des quantités considérables de psychotropes censés modifier les comportements. C’est ainsi que l’on a vu se multiplier le nombre de « troubles mentaux ». Ces derniers sont répertoriés depuis 1952 dans le DSM, Diagnostic Statistical Manual, un ouvrage publié par l’Association Américaine de Psychiatrie, véritable bible mondiale de la psychiatrie.

En 1952, la première version du DSM recensait 112 troubles. En 1968, une nouvelle édition comptait 182 troubles. Aujourd’hui, nous en sommes à la quatrième édition et à 374 troubles mentaux recensés.

Ainsi, par exemple, la timidité est devenue le trouble d’anxiété sociale et il existe bien sûr un antidépresseur supposé le traiter. En 2012, est sortie la cinquième édition du DSM. De nouveaux troubles sont apparus. Ainsi, le trouble de l’acheteur compulsif, le syndrome d’aliénation parentale, le trouble explosif intermittent (colère), le trouble d’alimentation excessive et le trouble relationnel devraient tous faire partie des maladies mentales à traiter. La stupidité et la cupidité ne sont toujours pas traitées… Dommage.

Quelques chiffres :

En 2012, il s’est vendu 131 millions de boîtes de médicaments psychotropes en France. Soit deux boîtes par habitant. À quatre euros le prix moyen d’une boîte de psychotropes, cela fait 524 millions d’euros par an de CA. Bien loin d’être neutre.

À noter qu’en 2018, le chiffre d’affaires des médicaments en France s’élevait à environ 29 milliards d’euros. Chiffre d’affaires mondial en 2020 des médicaments : 1 046 milliards de dollars. (14) et (15)

Edouard Zarifian, un rare psychiatre honnête

« Dans son rapport, publié en 1996, concernant la prescription et l’utilisation de médicaments en France, le regretté Édouard Zarifian, psychiatre hospitalier universitaire à Caen avait écrit : “La France consomme plus de médicaments que les pays de niveau économique comparable. Les psychotropes, en particulier, sont trois fois moins utilisés en Allemagne ou en Grande-Bretagne. En France, ‘l’évolution totale de la classe de psychotropes est due à l’augmentation des ventes d’antidépresseurs. Cette classe thérapeutique a connu une augmentation de 5,63 % par an en moyenne de 1990 à 1994’, soit une hausse en dépenses de 10 % par an. ‘Si le taux de croissance de la Grande-Bretagne paraît plus élevé que celui de la France dans la période 1990-1994, il faut noter que le volume de prescriptions [d’antidépresseurs] en France en 1990 était de 40 % supérieur à celui de la Grande-Bretagne à la même époque. […]»

Les femmes en consomment plus que les hommes. 22,7 % de femmes contre 12,9 % pour les hommes, et plus elles avancent en âge, plus la consommation augmente jusqu’à 75 ans. Les adolescents ne sont pas épargnés et comme pour les adultes, ce sont les adolescentes qui en prennent le plus : 23,4 % contre 13,8 %. Et dans un tiers des cas, ce ne sont pas les médecins qui prescrivent en première intention ces psychotropes, mais leurs parents qui prennent sur leur bonnet de leur en donner, car leurs médecins leur ont fait une ordonnance !

Il n’existe actuellement aucune réflexion dans le milieu médical, et en particulier dans le milieu psychiatrique académique, sur l’éthique de la prescription de médicaments psychotropes. Les leaders d’opinion restent muets face à l’abaissement de la limite entre le normal et le pathologique, ouvrant de nouveaux marchés à la prescription ; […] ils acceptent la banalisation de l’utilisation des psychotropes pour lesquels il n’existe nulle part de pharmacovigilance spécifique de leurs possibles effets psychiques indésirables. […] Il existe une intentionnalité claire de fournir exclusivement aux médecins généralistes ou aux spécialistes, par la voie de discours académiques, une représentation monolithique réduite aux seuls symptômes accessibles aux seuls médicaments.” Alors que “pratiquement toutes les études cliniques, épidémiologiques, médico-économiques, sont suscitées, financées et exploitées au plan statistique de manière autonome par l’industrie ou par des sous-traitants qu’elle rémunère.” » (16)

Après cet exposé clair et concis, revenons aux « pilules magiques » qu’une majorité de gens avalent comme des boules de gomme.

Pilules et vaccins magiques : une relation ?

« La collectivité débourse environ un milliard d’euros chaque année pour ses petites pilules du bonheur quand la moitié voire les deux tiers pourrait être facilement économisé. Ajoutons à cela, le prix des dizaines de milliers de journées d’hospitalisations liées aux effets secondaires. Mais surtout, la facture est très lourde sur le plan humain. On a tendance à l’oublier, mais les psychotropes agissent en modifiant la chimie de nos neurones. Mal prescrits, mal utilisés, ils peuvent mettre le feu dans le cerveau et être à l’origine de détérioration cérébrale (troubles de mémoire, voire Alzheimer), modifications du comportement (agitation, confusion mentale, désinhibition…), malformations du fœtus, accidents de toute sorte (voitures, chutes notamment des personnes âgées) et jusqu’à des actes de violence de type infanticides, homicides, suicides. »

Nous avons donc une population sur-gavée de neuroleptiques, donc droguée et de facto avec une réflexion amoindrie. Corollaire : l’acceptation aussi rapide par une majorité de gens d’un liquide expérimental appelé trompeusement vaccin ne peut se faire qu’avec une réflexion amoindrie, ce qui expliquerait en partie cette ruée inexplicable. Bien que chaque personne, droguée ou non, peut toujours conserver un certain pourcentage de lucidité et ne pas être en accord. Mais le désir de voyager, de manger au resto et d’aller siroter sur une terrasse son verre de Spritz avec son bol de pop-corn vaut bien une piquouse… Vendre son âme pour un shoot… Pathétique et affligeant. (17)

Le Prozac est à la mode et se vend sans ordonnance sur Internet.

Hé oui, vous pouvez vous droguer tranquille.

Extrait de « Santé Féminine » : — le titre de ce canard serait-il trompeur ? — .

« Pourquoi faut-il prendre le Prozac ?

Le Prozac est un médicament de la famille des inhibiteurs sélectifs du re captage de la sérotonine, on l’utilise dans le traitement de la dépression où il aide à améliorer l’humeur. Nombreuses sont les personnes qui font usage de cet antidépresseur efficace aux effets secondaires réduits. La substance active contenue dans le Prozac est la Fluoxétine qui est un psychotrope de type inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS). La Fluoxétine a été développée par la firme Eli Lilly en 1974 et mise sur le marché pharmaceutique sous le nom commercial de Prozac en 1986. La Fluoxétine va agir au niveau de certaines parties du cerveau en augmentant le niveau de la sérotonine qui est un neurotransmetteur. Les bienfaits du Prozac sont souvent visibles au bout de quelques semaines après le début du traitement. Il sera donc possible d’attendre quelques semaines avant que l’effet de la Fluoxétine n’atteigne son seuil maximal. En plus de traiter la dépression, le Prozac permet également de réduire ou d’éliminer les symptômes du trouble obsessionnel compulsif et pour traiter la boulimie, un trouble de l’alimentation. En effet, la FDA qui est l’équivalent de l’Agence européenne des médicaments (AEM) aux États-Unis a approuvé l’utilisation du Prozac 60 mg par jour pour le traitement de la boulimie. De façon simple, vous pouvez utiliser le Prozac pour la perte de poids, mais ceci sous le contrôle d’un spécialiste. Le Prozac peut donc être prescrit pour : épisodes dépressifs majeurs. Troubles obsessionnels compulsifs. Boulimie, trouble dysphorique prémenstruel.

Prozac en France :

En France, le médicament Prozac est très demandé, il est d’ailleurs le troisième meilleur médicament le plus vendu. Les chiffres parlent d’eux-mêmes avec près de 11,2 millions de boîtes achetées et 1 million de Français par an à prendre du Prozac. Les avis des Français sont divergents : beaucoup le trouvent génial, et à ce titre, il a d’ailleurs reçu le petit nom de pilule du bonheur ou pilule de tous les fantasmes, celle qui fait jouir. Suite à l’expiration du brevet Prozac détenue par Eli Lilly d’autres laboratoires ont également développé et commercialisé la Fluoxétine, ainsi, on trouve plusieurs génériques Prozac en vente en France. Le Prozac générique est également en vente sous le nom de Sarafem.

Prozac sevrage : ça se gâte.

Un arrêt brutal du traitement Prozac peut entraîner des symptômes de sevrage. Le risque de symptômes de sevrage dépend de plusieurs paramètres comme : posologie, durée du traitement, rythme de diminution de la posologie. Les réactions les plus fréquentes rapportées étaient les suivantes : sensations vertigineuses, troubles sensoriels, troubles du sommeil, asthénie, agitation ou anxiété, nausées, tremblements, céphalées. L’arrêt du traitement Prozac doit se faire de façon progressive en diminuant la dose.

Prozac effets secondaires :

Les effets indésirables du Prozac fréquemment rapportés sont : céphalées, nausées, insomnie, fatigue, diarrhée. Les effets indésirables peuvent diminuer en intensité et en fréquence lors de la poursuite du traitement sans toutefois que l’arrêt du traitement ne soit nécessaire. » (18)

Et vous faites toujours confiance aux labos ?

La drogue du violeur

Un benzodiazépine hypnotique, le Zolpidem reste la principale « drogue du violeur »

La soumission chimique, en vue d’agression sexuelle, de vol ou de maltraitance, est liée dans les trois-quarts des cas à la prise d’un médicament, benzodiazépine en tête.

« La soumission chimique consiste en l’administration à des fins criminelles ou délictuelles (agression sexuelle, vol, maltraitance) de substances psychoactives à l’insu de la victime ou sous la menace. En 2017, ces méfaits, qui touchent principalement les femmes, sont en augmentation de 36 % par rapport à 2016, avec 462 cas de soumission chimique rapportés, selon une enquête publiée le 13 mars par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Dans les trois-quarts des cas, un médicament est impliqué : 4 fois sur 10, il s’agit de benzodiazépines ou apparentés.

Le produit le plus utilisé reste le Zolpidem. Il est suivi du Diazépam, puis du Bromazépam et de la Zopiclone. “L’utilisation du Zolpidem a toutefois amorcé une baisse, alors que le recours au Diazépam et à la Zopiclone a bien progressé. Quant au Clonazépam, il persiste encore, mais en faible proportion”, indiquent les auteurs de l’enquête. On retrouve également des sédatifs divers, avec sur le podium la Cyamémazine, les antipsychotiques puis l’Hydroxyzine. Enfin, parmi les substances non médicamenteuses utilisées, le MDMA se maintient en tête et voit son chiffre doubler par rapport à 2016, et le GHB a été détecté dans 3 cas. » (19)

Donc, la drogue du violeur est un médicament chimique inventé par des labos. Pas belle la vie ?

Et vous faites toujours confiance aux labos ? Oui, je sais, je me répète, mais c’est au cas où…

Oligarchie mondiale financière apatride :

Les liens entre les laboratoires pharmaceutiques, la psychiatrie, et l’oligarchie mondiale financière sont évidents. Tout ce « beau linge » marche ensemble, engrange des bénéfices indécents, tout en regardant la majorité de la population planétaire obtempérer sans résistance. Droguez-vous en paix, dormez en paix, moutonnez en paix braves gens, nous veillons sur vous… Continuez à ne vous préoccuper que de futilités, nous nous occupons du reste. Désolé, si certains n’apprécient pas mes propos, mais le fait est que, si la majorité de gens refusait que des lois liberticides soient votées et appliquées, nous n’en serions pas là.

Ajoutez à cela la facilité avec laquelle la majorité a accepté le port du masque généralisé, a accepté sans broncher l’injection d’un liquide expérimental, — encore sous essais cliniques, a accepté le passe sanitaire de la honte, et enfin accepte de continuer à se bourrer de médicaments nocifs à la santé, nous n’en serions toujours pas là. C’est bien normal de s’occuper de sa vie, de sa famille, de sa petite auto et de ses vacances, mais c’est très loin d’être complet. La vie embrasse beaucoup de domaines, à commencer par la vie en société, la politique, les relations avec les autres, les animaux, la planète et la spiritualité.

À noter que les vaccins Covid-19 n’ont bénéficié à leur lancement que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en raison du fait que les expérimentations, normalement réalisées d’abord avec des animaux infectés, puis avec des patients infectés afin d’observer le degré de succès du médicament sont insuffisantes pour en garantir l’efficacité et la sûreté. C’est également la raison pour laquelle les fabricants de produits à ARNm ont demandé à être déchargés de leurs responsabilités quant aux effets secondaires pouvant survenir. De ce fait, leur injection viole l’article 32 de la Convention de Genève de 1949. Cet article stipule que « les mutilations et les expériences médicales ou scientifiques non nécessaires au traitement médical d’une personne protégée » sont interdites.

Au-delà de quelques familles connues — Rothschild, Rockefeller, Warburg — pour leur fortune et leurs implications dans l’organisation et l’établissement d’un gouvernement occulte mondial, il est nécessaire de souligner que depuis quelques années, l’oligarchie mondiale financière apatride a pris l’aspect de groupes financiers mondiaux tentaculaires, dirigé au sommet par la City de Londres et possédant des actions dans presque toutes les sociétés mondiales. Leurs valets obéissants et ultra-friqués tels que Bill Gates, George Soros, et les GAFAM — Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft — s’assurent de la propagande, du noyautage des états et de la censure. (20)

Tout ce beau monde ultra protégé par une armée de mercenaires et de gardes du corps, s’assure d’emmagasiner toujours plus d’argent tout en se faisant construire, en Nouvelle-Zélande par exemple, une villa bunker tout confort — piscine intérieure, jacuzzi, lumière artificielle, etc. –

Un exemple :

« Le milliardaire Peter Thiel, fondateur de PayPal et de Palantir, a lancé le mouvement en 2015, en achetant pour près de 12 millions d’euros une ferme et près de 200 hectares de terrain sur les rives du lac Wanaka, dans le sud de la Nouvelle-Zélande. Il y a fait construire une pièce ultra sécurisée. Avec quatre autres entrepreneurs de la Silicon Valley, dont Sam Altman, patron de Y Combinator, il garde toujours un avion prêt à s’envoler et à traverser 7 000 kilomètres au-dessus du Pacifique au moindre signe d’apocalypse ou de révolte sociale. L’un d’entre eux avoue même conserver dans son garage de San Francisco une moto et des armes, pour rejoindre au plus vite l’avion privé. » (21)

Parano les cocos. Altération mentale en vue, mauvais signe ! Un petit Prozac ? Il parait que ça détend…

Vanguard, BlackRock, State Street sont les nouveaux empires financiers tentaculaires. Time Warner, Comcats, Disney, News Corp appartiennent aux deux premiers, contrôlant ainsi plus de 90 % des médias américains. À eux trois, ils détiennent des participations dans 1600 entreprises américaines avec des revenus combinés en 2015 s’élevant à 9 100 milliards de dollars. Bagatelle !

Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenus par ces quelques investisseurs. Ils sont tous propriétaires interactifs. Des marques concurrentes comme Coca-Cola et Pepsi ne le sont pas, puisque leurs actions sont détenues par ces conglomérats. La mondialisation financière dans toute sa splendeur. Un rapport de Bloomberg indique que ces deux sociétés, en 2028, auront ensemble des investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderont presque tout.

Vanguard, le principal actionnaire de BlackRock depuis mars 2021, n’est pas coté en bourse. Ceux qui possèdent Vanguard n’aiment apparemment pas être sous les feux de la rampe : Rothschild Investment Corp et Edmond De Rothschild Holding en font partie, tout comme la famille italienne Orsini, la famille américaine Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller, etc. Toujours les mêmes !

BlackRock et Vanguard possèdent Big Pharma. En février 2020, BlackRock et Vanguard étaient les deux plus grands actionnaires de GlaxoSmithKline, avec respectivement 7 % et 3,5 % des actions. Chez Pfizer, la propriété est inversée, Vanguard étant le premier investisseur et BlackRock le deuxième plus grand actionnaire.

Vous n’y croyez toujours pas ? Un exemple : Merckgroup.

Page de pub du site de Merck : « C’est une équipe vibrante de spécialistes dans les domaines de la Santé, des Sciences de la vie et des Matériaux de haute performance. Chez Merck, nous partageons le même amour de la science et la même passion pour la technologie. » (22)

Oh, que c’est beau ! Sauf que le premier actionnaire de Merck est The Vanguard Group, Inc., qui détient par ailleurs aussi des parts dans des grandes sociétés comme Michelin, Amazon, American Express, Pernod-Ricard, Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical ou encore Foxconn (liste non-exhaustive). N’en jetez plus… Les grandes sociétés françaises du CAC -40 sont aussi gangrenées. J’avais presque oublié que Vanguard est également le principal actionnaire de Microsoft, Facebook, Google, Apple — en gros, les Big Techs — et de Goldman Sachs.

Blackrock Inc., est n° 1 mondial de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards de dollars d’actifs sous gestion au début de 2020.

Vertigineux. Dans l’absolu, on pourrait penser qu’un gouvernement mondial serait une bonne solution, car il éviterait les querelles et guerres inutiles entre pays et qu’au final, tous les citoyens de cette planète bénéficieraient de la bienveillance de ces « bons samaritains oligarchiques ». Sauf que ce n’est pas le cas. Leurs âmes sont noires et leurs desseins sont tout, sauf altruistes.

La meilleure preuve en est qu’avec autant d’argent empilés dans des actions, des comptes bancaires numérotés et des stocks options, la misère, la faim, l’illettrisme et la pauvreté n’ont toujours pas disparu de la planète et sont même plutôt en augmentation. Donc, bémol, il y a, et bémol, il y aura si nous leur laissons le champ libre.

Claude Janvier


Ecrivain polémiste.
https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/




Obligation vaccinale et totalitarisme : pas de clivage gauche-droite

Par Nicole et Gérard Delépine(([1] t.me/DrDelepine))

Obligation vaccinale et totalitarisme : pourquoi ce projet de loi ne clive-t-il plus gauche et droite ?

Peut -être parce que la gauche et la droite se sont noyées dans la pensée unique, système totalitaire développée depuis quarante ans et qui contribue à passer dans la vie réelle les délires de certaines minorités que les autres appuient en silence de peur d’être marginalisés.

Les exemples foisonnent avec la destruction de statues d’hommes célèbres ou le licenciement de musiciens accomplis dans les conservatoires anglais pour insuffisance de diversité. Ne voient-ils pas qu’ils reconstruisent des ghettos ?

La commission des lois a rejeté l’amendement de B. Jomier (ses liens avec les associations anti-sida et Gilead sont-ils trop connus ?).(([2] Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Mais le risque est entier pour le 13 octobre. Les citoyens doivent donc continuer à envoyer des mails, des courriers par poste et des demandes de rendez-vous aux sénateurs qui auront l’énorme responsabilité de rendre le totalitarisme visible, s’ils se laissaient aller à voter, ou laisser passer cet amendement par absence de l’hémicycle.(([3] joignez nos représentants !
sénateurs : 
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
Des 4 Agences de presse :  
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse
et pour plus d’infos voir :
https://t.me/recensementeffetsecondaire/40101
Alice (Lili Liberté), [Oct 6, 2021 at 12 :54]
ANNUAIRE))

L’obligation vaccinale n’est absolument pas un sujet clivant droite/gauche
Monstrueuse pensée unique

Les totalitaires de l’obligation se retrouvent tragiquement autant à droite qu’à gauche (exemples : Yannick Jadot, Gérard Larcher, Valérie Rabault, Olivier Faure, Christian Estrosi, Fabien Roussel, Michel Onfray, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Ségolène Royale, Robert Ménard, JC Lagarde, F Bayrou, … liste malheureusement non exhaustive) Comment en sommes-nous arrivés là ?

La menace totalitaire portée par B. Jomier est tellement mortifère que les politiques qui refusent de prendre position contre les obligations vaccinales sont largement complices de ceux qui les réclament. Leur silence est pesant, inacceptable, inexplicable, insupportable.

Il faut exiger le rejet sans condition du principe de l’obligation. Toute autre position est purement et simplement criminelle, tant les menaces sur les droits fondamentaux et la santé sont lourdes.

Si le principe de l’obligation d’un médicament expérimental est accepté, on ouvre la boîte de pandore de la médicalisation obligatoire de la population, toujours sous prétexte de prévention, comme expliqué par Marc Girard (par exemple dans cet article à lire absolument dans sa totalité tant il est d’actualité bien que paru en 2017 et que nous rappelle justement Ben Lyo.

On peut lire sur le blog du Dr Marc Girard en mars 2020 et en rappel de l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 vaccins des nourrissons, la remarque suivante tellement d’actualité.

https://www.rolandsimion.org/elargissement-obligations-vaccinales-lanceurs-dalerte/

« On s’interroge sur la modération des réactions qui ont accueilli le récent projet gouvernemental d’élargir – et considérablement – les obligations vaccinales en vigueur dans notre pays, malgré les risques d’un tel élargissement et la perspective qu’il ne cesse ensuite de se voir accentué par d’autres obligations encore moins justifiables d’un point de vue médico-scientifique ou économique.

On s’interroge d’autant plus qu’aucun des « lanceurs d’alerte » médiatiquement patentés n’avait éprouvé le besoin de la moindre mise en garde relativement à un coup de force pourtant aussi prévisible. »

« Un rapide inventaire des contributions mises en ligne sur le présent site permet de recenser, depuis janvier 2010, pas moins de 45 articles évoquant comme très préoccupante la menace d’un tel élargissement des obligations vaccinales, et désignant répétitivement la mystification Médiator comme micro-scandale destiné à détourner l’attention des citoyens en attendant que l’administration sanitaire ne passe à l’acte sur ce projet dont les bénéficiaires ne sont ni les bébés, ni les enfants, ni les contribuables de notre pays.

On termine en examinant les principaux facteurs pouvant expliquer l’aveuglement du public par rapport à la stratégie pourtant grossière qui ouvre désormais aux prédateurs du complexe médico-pharmaceutique un boulevard pour réaliser leurs rêves les plus fous. »

Et combien avait-il raison, notre ami Marc Girard en prévoyant les catastrophes successives que le silence (relatif) sur l’obligation vaccinale des tous petits allait permettre à l’avenir :
Étrange épidémie de mutité chez les lanceurs d’alerte

« On ne peut pas dire que la décision d’élargir les obligations vaccinales, annoncée depuis le 26/06/2017, soulève des réactions proportionnées à son potentiel pourtant vertigineux d’inconvénients facilement prévisibles, auquel il convient d’ajouter le risque non moins évident d’un renforcement de plus en plus contraignant une fois testée la capacité de résistance citoyenne à ce coup de force1.

Exactement comme avec l’évolution – scientifiquement injustifiable – du calendrier vaccinal, mais cette fois avec l’appui de loi et de la force publique, il est facile d’anticiper qu’une fois rassurés sur l’acceptabilité de leur connivence avec la pègre médico-pharmaceutique, nos responsables politiques n’auront aucune inhibition à charger la barque : on verra bientôt l’obligation de se vacciner contre la grippe ou contre les HPV, pour ne point parler de l’élargissement desdites obligations à la population adulte – pourquoi se gêner ?… Et pourquoi limiter les obligations aux vaccins, quand – des échographies obstétricales aux mammographies et autres dépistages foireux, en passant par l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle – il existe tant d’autres médicalisations qui n’attendent qu’un claquement de doigts de nos dirigeants pour se voir imposées au bon peuple 2? »

(…) De la sorte, la médecine se trouvera la première activité humaine à avoir accompli le rêve ultime du capitalisme sauvage : réduire les gens au statut de fourmis tout juste bonnes à travailler jusqu’à l’épuisement pour payer du fruit de leur misérable salaire des biens qui n’auront d’autre utilité que remplir les poches de ceux qui les fabriquent.

(…)

Enfin réalisé sous l’impulsion de Big Pharma, ce rêve ultime du capitalisme passera forcément par l’officialisation d’une novlangue confondant santé et thérapeutique, rançon et bénéfice, solidarité et esclavage.

Depuis G. Orwell, on sait que l’avènement d’une telle novlangue implique forcément le contrôle d’une Police de la pensée : il est tristement évident que mes confrères, dans leur immense majorité, ne se feront pas prier pour jouer ce rôle20.

Ils ont déjà commencé, d’ailleurs : pensez au mois “rose” qui s’annonce…En attendant la prochaine alerte grippale…”

Mais en ce domaine comme en d’autres 42, le capitalisme international sera redevable à la patrie de Robespierre de la French touch consistant, cette fois, à carrément inscrire dans le marbre de la Loi que les citoyens sont désormais forcés d’acheter des biens dont ils n’ont nul besoin et dont la dangerosité devrait aller de soi43 . »

Nos ancêtres s’interrogeaient sur l’au-delà, sur ce que l’on doit à autrui, sur l’instruction des pauvres, sur la possession des moyens de production et sur le partage de la valeur ajoutée : Narcisse contemporain se demande avec anxiété s’il fera caca demain à la bonne heure, si ce sera dur ou liquide – tandis qu’assis sur la cuvette des chiottes, il feuillettera avec passion toute revue afin d’y trouver le dernier produit-miracle susceptible de régulariser son transit intestinal (ou d’apaiser son côlon irritable)32. »

Une médicalisation peut parfaitement être assimilée à une torture si elle est réalisée sans le consentement éclairé de celui qui la subit. 

Le politique doit protéger les citoyens des prédateurs, pas accompagner leur business.

De nombreuses lois ont été édictées depuis le procès de Nuremberg qui aboutit au code de Nuremberg traduit en normes éthiques internationales par l’association médicale mondiale qui se réunit environ tous les trois ans pour empêcher de traiter les individus contre leur volonté. Après la déclaration d’Helsinki, la convention d’Oviedo est un texte international opposable aux pays signataires dont la France. Depuis la crise du covid, on piétine les lois nationales (loi Kouchner, loi Huriet, etc.) et internationales. Pour combien de temps sans réaction majeure ?

Ces lois existent parce que des régimes politiques ont commis des horreurs, en s’appuyant sur des lois dictatoriales, sur les forces armées (des récits terribles parviennent actuellement de l’Australie à ce sujet).

Ne transigeons jamais sur le principe abominable de l’obligation vaccinale, qui n’est rien d’autre qu’une folie criminelle imprescriptible et illimitée.  Dans la hiérarchie des crimes, la vaccination obligatoire, de surcroit par des produits expérimentaux figure au niveau le plus élevé.

Et pourtant, cette obligation n’a évidemment rien de sanitaire  

le Journal Europeen d’épidémiologie publie une étude de Harvard qui démontre qu il n’y a aucun lien entre le taux de vaccination et l’évolution de la pandémie.

Non, la vaccination n’a pas fait reculer l’épidémie !  Dirigée par SV Subramanian à la Harvard TH Chan School of Public Health, cette étude a collecté et analysé des données jusqu’au 3 septembre 2021. Elle démonte les dires des plateaux télés.

Non les vaccins n’ont pas fait reculer la pandémie qui est cyclique.

Sa disparition interviendra si des variants moins virulents apparaissent et si une part suffisante de la population a été en contact avec le virus.

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

Les vaccins sont actuellement la principale stratégie pour lutter contre le COVID-19 dans le monde occidental.  le récit lié à la recrudescence continue de nouveaux cas aux États-Unis  serait expliqué par les zones à faible taux de vaccination [ 1 ].

 Un récit similaire a également été observé dans des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni [ 2 ]. 

Dans le même temps, Israël, salué pour ses taux de vaccination rapides et élevés, a également connu une résurgence substantielle des cas de COVID-19 [ 3 ]. 

Nous avons étudié la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés aux États-Unis.

Pour ces pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19

En fait, la ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de COVID-19 plus élevés pour 1 million de personnes

Notamment, Israël, avec plus de 60 % de sa population entièrement vaccinée, a enregistré les cas de COVID-19 les plus élevés pour 1 million de personnes. 

L’absence d’association significative entre le pourcentage de population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est encore illustrée, par exemple, par l’exemple de l’Islande, mais aussi Chypre, Malte, Singapour}

Ces pays ont plus de 75 % de leur population entièrement vaccinée et ont plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10 % de leur population entièrement vaccinée.

Cette étude confirme celle de Juan Chamie 

LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES PLUS DE 60 ANS N’A AUCUN IMPACT SUR LA MORTALITE

90% ou 100% de plus de 60 ans vaccinés : pratiquement aucun impact sur la mortalité, c’est ce qui est constaté à partir de l’observation de dizaines de comtés américains.

L’étude mathématique de l’institut Pasteur est donc mise à mal ; 40% ou 90% de vaccinés, il y a une petite différence mais aucune dans ce qui peut être espéré d’une vaccination obligatoire Ajoutons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte….

Jadis les soviétiques disposaient de la meilleure école de mathématiciens du monde, ils obtenaient des prévisions totalement fausses à partir de constructions mathématiques merveilleusement justes

Un analyste observe des données justes et il explique, il ne s’agit pas de prévisions mais d’observations, c’est toute la différence !

Juan Chamie, Senior Data Analyst at FLCCC à Cambridge (USA) vient de publier une étude sur l’impact du pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans sur le taux de mortalité covid.

 Il observe des centaines de comtés américains du même état ou d’état voisins avec donc des données structurelles comparables. Dans certains le pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans est élevé, dans d’autre au même moment, il plus faible.

L’augmentation du nombre de vaccinés se traduit-elle par une baisse des décès covid ?

 entre des comtés dans lesquels 70% des personnes à risques sont vaccinées et d’autres dans lesquels on dépasse les 90%, il n’y a pas de différence significative.

Réduire de 10 à 0% le nombre de non vaccinés parmi les plus de 60 ans n’aurait aucun effet significatif sur leur mortalité

Et le monde se réveille

Grève nationale contre la vaccination en Israël – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nombreuses autres manifestations partout dans le monde y compris à Genève dont ce n’est pas l’habitude.

Manifestation contre le pass sanitaire ce samedi à Genève
© Fabrice COFFRINI / AFP

Et surtout les citoyens interpellent leurs élus sur la gravité d’instaurer une pseudo vaccination obligatoire chez les bébés pour une thérapie génique expérimentale non testée et dont les résultats chez les enfants plus âgés sont déjà très inquiétants. Gardez-vous bien chers élus de vous engager dans ce piège qui ne vous a probablement pas été explicité en totalité.

Et vous, candidats à la gestion du pays, ne laissez pas ce sujet majeur de côté, les Français ne comprennent pas.

Et signez la pétition

https://petitions.senat.fr/initiatives/i-629

DROITS DE L’ENFANT

« Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.

Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.

Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.

Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.

Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection. »

Pour ceux qui veulent leur écrire(([4] https://www.lejdd.fr/Politique/lappel-de-38-parlementaires-socialistes-oui-a-la-vaccination-obligatoire-contre-le-covid-19-4061142?fbclid=IwAR2I2AdzuqYoHVciRnm1upc4uYmgbcIsBauUY0kEniueViHT663xx9JO-Ic
2021.08.31. PROPOSITION DE LOI
Instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2    Enregistré à la Présidence du Sénat le 31 août 2021
http://www.senat.fr/leg/ppl20-811.html)):

Députés

Sénateurs




Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers

[Extraits de : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : voir les détails et références sur
Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Voir aussi :
Spartacus : « Au diable l’enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre nouvel ordre mondial » — La lettre anonyme contre la COVID est devenue virale – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Guy Boulianne Par Guy Boulianne

« Voici des faits et des sources clés sur la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020 et à éclairer tous vos amis qui pourraient être encore piégés dans le brouillard de la nouvelle normalité. »

OffGuardian le 22 septembre dernier


PARTIE I : « DÉCÈS DUS AU COVID » & MORTALITÉ

1. Le taux de survie de « Covid » est supérieur à 99%. 

Les experts médicaux du gouvernement se sont donné beaucoup de mal pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est en aucun cas en danger face au Covid.

2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. 

La presse a qualifié 2020 d’« année la plus meurtrière du Royaume-Uni depuis la Seconde Guerre mondiale », mais cela est trompeur car elle ignore l’augmentation massive de la population depuis cette époque. (…)

Par cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année de mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seulement 9 ans ont été meilleurs que 2020.

3. Le nombre de « morts de Covid » est artificiellement gonflé. 

Des pays du monde entier ont défini un « décès de Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

4. La grande majorité des décès par covid ont des comorbidités graves. 

En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid» présentaient au moins une comorbidité grave. Ceux-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50 % d’entre eux avaient au moins trois affections préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une demande FOIA d’octobre 2020 à l’ONS du Royaume-Uni a révélé que moins de 10 % du nombre officiel de « décès par Covid » à cette époque avait la Covid comme seule cause de décès.

5. L’âge moyen du « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. 

L’âge moyen d’un « décès de Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, c’est 86. Allemagne, 83. Suisse, 86. Canada, 86. Les États-Unis, 78, Australie, 82. Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

En tant que telle, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » a eu peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. Comparez cela avec la grippe espagnole, qui a entraîné une baisse de 28 % de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]

6. La mortalité due à la Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle.

Des études statistiques du Royaume-Uni et de l’Inde ont montré que la courbe de « décès de Covid » suit presque exactement la courbe de mortalité attendue :

OffGuardian -03
OffGuardian -04

Le risque de décès « de la Covid » suit, presque exactement, votre risque de décès de fond en général.

La faible augmentation pour certains des groupes d’âge plus âgés peut s’expliquer par d’autres facteurs. [faits 7, 9 et 19]

7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». 

Les chiens de garde et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordres de non-réanimation (DNR) au cours des vingt derniers mois. Aux États-Unis, les hôpitaux considéraient comme des « DNR universels » pour tout patient testé positif pour la Covid, et les infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait été abusé à New York.


PARTIE II : VERROUILLAGES

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. 

Il y a peu ou pas de preuves que les verrouillages ont un impact sur la limitation des « décès de Covid ». Si vous comparez des régions verrouillées à des régions qui ne l’ont pas fait, vous ne pouvez voir aucune tendance.

9. Les confinements tuent des gens. 

Il existe des preuves solides que les blocages – par le biais de dommages sociaux, économiques et autres pour la santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la Covid-19, a qualifié les fermetures de « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

Nous, à l’Organisation Mondiale de la Santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle du virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une terrible et horrible catastrophe mondiale.

10. Les hôpitaux n’ont jamais été anormalement surchargés. 

Le principal argument utilisé pour défendre les blocages est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été sur le point de s’effondrer.


PARTIE III : TESTS PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer une maladie. 

Le test Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme le « Standard Or » pour le diagnostic de Covid. Mais l’inventeur du procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a déclaré publiquement :

La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vous faire du mal ou quelque chose comme ça.

12. Les tests PCR ont toujours été inexacts et peu fiables. 

Les tests PCR « Standard Or » pour Covid sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. 

Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : 

« Si vous devez faire plus de 40 cycles[…] il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec votre PCR. »

14. Les tests PCR admis par l’Organisation mondiale de la santé ont produit des faux positifs. 

En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées provoquant des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

15. La base scientifique des tests Covid est discutable. 

Le génome du virus Sars-Cov-2 aurait été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé le génome pour créer des tests pour les tests PCR.


PARTIE IV : « INFECTION ASYMPTOMATIQUE »

16. La majorité des infections à Covid sont « asymptomatiques ». 

Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

17. Il existe très peu de preuves étayant le prétendu danger de « transmission asymptomatique ». 

En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité maladies émergentes et zoonoses de l’OMS, a déclaré :

D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette réellement à un individu secondaire.

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chance d’infecter les personnes au sein de leur foyer


PARTIE V : VENTILATEURS

18. La ventilation n’est PAS un traitement contre les virus respiratoires. 

La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires de quelque nature que ce soit. Au début de la pandémie, de nombreux médecins se sont manifestés pour remettre en cause l’utilisation de ventilateurs pour traiter le « Covid ».

19. Les ventilateurs ont tué des gens. 

Mettre sous respirateur quelqu’un qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique ou de toute autre affection qui restreint la respiration ou affecte les poumons, n’atténuera aucun de ces symptômes. En fait, cela aggravera presque certainement la situation et en tuera beaucoup.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à un ventilateur », qui, selon des études, affecte jusqu’à 28 % de toutes les personnes sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie et même entraîner la mort.


PARTIE VI : MASQUES

20. Les masques ne fonctionnent pas. 

Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux ». Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ». Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [ 1 ][ 2 ][ 3 ][ 4 ][ 5 ][ 6 ][ 7 ][ 8 ][ 9 ][ 10 ] Ou lire un résumé par SPR ici.

Alors que certaines études ont été réalisées en prétendant montrer que les masques fonctionnent pour la Covid, elles sont toutes sérieusement imparfaites. L’une s’est appuyé sur des enquêtes autodéclarées comme données. Une autre a été si mal conçue qu’un panel d’experts demande qu’il soit retiré. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient avérées totalement inexactes.

21. Les masques sont mauvais pour la santé. 

Le port d’un masque pendant de longues périodes, le port du même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour votre santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port du masque a été récemment publiée par l’ International Journal of Environmental Research and Public Health.

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain .

22. Les masques sont mauvais pour la planète.

Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés par mois depuis plus d’un an. Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques faciaux.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) obstrueront les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des effets néfastes sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les humains et la faune.


PARTIE VII : VACCINS

23. Les « vaccins » contre la Covid sont totalement inédits. 

Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain  n’avait jamais été développé. Depuis, nous en aurions fabriqué 20 en 18 mois.

Les scientifiques tentent de développer un vaccin contre le SRAS et le MERS depuis des années avec peu de succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie « plus gravement » que les souris non vaccinées. Une autre tentative a causé des dommages au foie chez les furets.

Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant le corps à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins à ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur de vos cellules et encourage votre corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’avait jamais été approuvé.

24. Les vaccins ne confèrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. 

Il est volontiers admis que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et ne vous empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les études sur les vaccins n’étaient même pas conçues pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lors de la sortie des thérapies géniques à base d’ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la  « réduction de la gravité des symptômes ».

25. Les vaccins ont été précipités et ont des effets à long terme inconnus. 

Le développement d’un vaccin est un processus lent et laborieux. Habituellement, du développement aux tests et finalement à l’approbation pour un usage public, il faut de nombreuses années. Les différents vaccins contre la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. De toute évidence, il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques qui ont moins d’un an.

26. Les fabricants de vaccins ont obtenu une indemnité légale en cas de préjudice. 

La Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde l’immunité jusqu’en 2024 au moins. La loi de l’UE sur les licences de produits fait de même, et il existe des rapports de clauses de responsabilité confidentielle dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vaccins.


PARTIE VIII : TROMPERIE ET PRESCIENCE

27. L’UE préparait des « passeports pour les vaccins » au moins un AN avant le début de la pandémie. 

Les contre-mesures COVID proposées, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, le « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vaccination à l’échelle de l’UE. Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route vaccinale » 2019 qui a établi (entre autres) une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux pour commencer en 2019 et se terminer en 2021 :

28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son début. 

En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice a été parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance vaccinale GAVI.

L’exercice a publié ses conclusions et recommandations en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine enregistre son premier cas de « Covid ».

29. Depuis le début de 2020, la grippe a « disparu ». 

Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient diminué de plus de 98 %.

30. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. 

Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches sont devenues considérablement plus riches. Forbes a rapporté que 40 nouveaux milliardaires ont été créés « pour lutter contre le coronavirus », dont 9 sont des fabricants de vaccins.

Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-billion de dollars » en octobre 2020. Il est clair que ce nombre sera encore plus grand maintenant.


Ce sont les faits vitaux de la pandémie, présentés ici comme une ressource pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers. Merci à tous les chercheurs qui ont rassemblé et collecté ces informations au cours des vingt derniers mois, en particulier Swiss Policy Research.



Des médecins allemands établissent un lien de causalité élevé entre vaccins anti-covid et décès de patients

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Lalaina Andriamparany

Outre les effets secondaires parfois graves, des cas de décès ont été répertoriés après une vaccination. Et, en Allemagne, il est possible de passer de la constatation de corrélations à l’établissement d’une causalité. La conférence de presse qui s’est tenue le 20 septembre 2021 avec le professeur Dr. Arne Burkhardt et le Professeur Dr. Walter Lang à Reutlingen fait grand bruit outre-Rhin. Lors de cette séance, ces deux scientifiques ont validé le rapport se focalisant sur les liens entre les décès et la vaccination anti-covid, appuyé par des autopsies et établi par l’un des médecins allemands les plus respectés, le Professeur Peter Schirmacher.

Décès en lien avec les injections selon les autopsies

À Heidelberg, le Prof. Dr. Peter Schirmacher a récemment mis en exergue une corrélation entre les vaccins contre le Covid-19 et 40 % des décès qui sont apparus dans les 14 jours suivant la vaccination.  

Lors des autopsies, les scientifiques ont pris l’option de mobiliser des matériels à la pointe de la nouvelle technologie pour arriver à établir un lien entre la vaccination et les décès de plusieurs vaccinés. Les résultats ont ainsi révélé que les injections engendrent une « crise de folie des lymphocytes (Lymphozyten-Amok)». Pour se mettre dans le contexte, on rappellera que les lymphocytes forment une sous-catégorie de globules blancs qui sont responsables des réactions immunitaires.

Cette crise est essentiellement due à : une surproduction de lymphocytes ou hyperplasie, un déstockage des organes lymphatiques qui contribue à la réduction des facultés immunitaires externes, un réflexe immunitaire abusif capable d’engendrer des maladies auto-immunes et l’apparition inattendue de ganglions lymphatiques au niveau de quelques organes à l’instar des poumons, de l’utérus, des glandes salivaires …

Face à ces effets secondaires, force est de constater que cette conférence de presse a eu l’effet d’une bombe à retardement.

Des phénomènes jusqu’alors inconnus

Les autopsies ont également fait sortir les deux médecins légistes de leur zone de confort, surpris de découvrir pour la première fois de leur carrière de nouveaux profils de maladie.

Le Prof. Dr. Burkhard n’a pas manqué de déclarer que  « Parmi ce que je vous montre, il y a beaucoup de choses que j’ai vues pour la première fois. Je ne peux pas encore vous nommer certaines choses, car je cherche toujours des noms pour les désigner» et dans la même foulée, il ajoute “Des effets graves sont probablement diagnostiqués à tort comme des crises cardiaques par de nombreux pathologistes. On trouve des accumulations de lymphocytes partout”.

Dans le Courrier des Stratèges, nous avons déjà évoqué le fait que l’Agence Européenne du Médicament (EMA) a élargi la liste des effets secondaires des vaccins anti-covidLa HAS exprime même ses craintes sur le vaccin et son impact sur les défenses immunitaires.

Des maladies auto-immunes d’une grande rareté

Des autopsies découlent trois différentes maladies rares qui relèvent toutes du domaine de l’auto-immunité : la vasculite leucoclasmique de la peau, le syndrome de Sjögren ainsi que la maladie de Hashimoto.

En Allemagne, seuls 20 décès ont été reconnus comme étant provoqués par la vaccination. Toutefois, de janvier à juillet 2021, période correspondant au lancement de la campagne de vaccination, on compte  1 230 décès post-vaccinaux déclarés. Selon certains spécialistes, seuls 10% de ces cas sont déclarés. Et si seulement 40% des décès post-vaccinaux, déclarés et non-déclarés, étaient réellement dûs aux vaccins anti-Covid, il faudrait constater plusieurs milliers de décès directement causés par le vaccin.  




PCB : Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

[Photo : Le Pape écoute une question lors de la conférence de presse sur le vol Bratislava-Rome, le 15 septembre 2021.  (Vatican Media)]

Le journaliste Bohumil Petrik (Denník Štandard) :

« La vaccination a divisé les chrétiens, également en Slovaquie. Vous dites que se faire vacciner est un acte d’amour. … Il y a différentes approches dans les différents diocèses sur ce point. Alors, on aimerait tous savoir comment s’entendre, comment se réconcilier sur cette question. »

Citation de François :

« … l’incertitude concernant la réputation de certains vaccins qui ne sont rien d’autre que de l’eau distillée. Cela a apeuré les gens. Puis, d’autres qui disent que c’est un danger, car avec le vaccin, vous êtes infecté… Je ne sais pas bien l’expliquer : certains disent que les vaccins ne sont pas suffisamment testés. Au Vatican, tout le monde est vacciné, sauf un petit groupe… »

Commentaire : Bergoglio admet qu’il ne sait pas bien l’expliquer, mais malgré cela, il utilise l’autorité papale afin de promouvoir des slogans tels que « le vaccin pour tous », « cela doit être fait », « se faire vacciner est un acte d’amour ». La réalité, aujourd’hui, c’est que le fabricant, le gouvernement ou le professionnel de la santé qui vous injecte le vaccin refusent d’assumer la responsabilité de ce vaccin, mais si vous refusez de vous faire vacciner, vous êtes étiqueté comme étant un(e) irresponsable ! Et Bergoglio ajoute que vous n’avez pas non plus d’amour !

Que disent les meilleurs scientifiques et experts ? En plus de beaucoup d’autres, mentionnons juste un récent avertissement urgent du professeur S. Bhakdi d’Allemagne, qui a de nombreuses années d’expérience dans la recherche en tant que microbiologiste et virologue. Il parle de la fraude mondiale au Covid, et d’une fraude encore plus grande concernant la vaccination mondiale contre le Covid. Il met en garde :

« Ne permettez à personne de vous faire de la propagande afin que vous obteniez la deuxième dose ! Si vous avez déjà reçu la première injection et que tout va bien pour vous, remerciez Dieu pour cela. Mais assurez-vous de ne pas obtenir la seconde injection, car alors le danger est vraiment grand. Les lymphocytes tueurs attaquent le corps et peuvent bloquer les vaisseaux sanguins… ce qui peut conduire à une maladie auto-immune, où le corps commence à s’attaquer lui-même ».

Les médecins allemands sont choqués par l’apparence du sang après la vaccination contre le covid-19, et déclarent n’avoir rien vu de tel en 30 à 40 ans de pratique. (https://odysee.com/videoghj:1)

Seule l’immunité innée — immunité « générale » à large spectre — peut mettre fin à cette soi-disant pandémie. Les vaccins ne peuvent jamais arrêter la mutation, l’infectiosité ou la transmission du covid-19, pour la simple raison que ces vaccins ne perçoivent jamais l’avenir, et même le CDC admet qu’ils ne peuvent pas empêcher l’infection ou la transmission. Actuellement, 2,4 milliards de personnes dans le monde sont vaccinées. Même si la vaccination prenait fin maintenant, un milliard de personnes dans le monde pourraient en mourir dans les trois prochaines années.

Ce sont des faits disponibles auprès des experts aujourd’hui. Dans ce contexte, il est choquant que si quelqu’un en Slovaquie souhaite assister à une célébration religieuse avec Bergoglio, la condition était qu’il devienne un rat de laboratoire et reçoive deux doses de vaccin expérimental. Le Code de Nuremberg inclut les expériences effectuées sur les êtres humains parmi les crimes contre l’humanité. Bergoglio ne le sait-il pas ? N’a-t-il pas pitié de ces gens ? Sera-t-il responsable des conséquences, qu’il s’agisse de mutilations ou de décès prématurés chez les jeunes ?

Un vrai berger est obligé de mettre en garde radicalement contre ces dangereux vaccins sur base d’informations véridiques provenant d’experts incorruptibles. Faire appel à ou prendre ses sources à partir des arguments provenant des médias mainstream ou de politiciens corrompus, constitue une trahison du service pastoral. C’est ce que Bergoglio, qui est un faux berger, fait.

Journaliste Gerard O’Connell (America Magazine) :

« … Comme vous le savez, aux États-Unis, après les dernières élections, il y a eu une discussion parmi les évêques concernant le fait de donner la communion aux politiciens qui ont soutenu les lois pro-avortement. Il y a des évêques qui veulent refuser la communion au président et à d’autres. Que pensez-vous de cette réalité, et que recommandez-vous aux évêques ? ».

Citation de François :

« Celui qui pratique un avortement tue. À la troisième semaine de conception, tous les organes sont déjà là. Tous. Même l’ADN. … C’est une vie humaine. Cette vie humaine doit être respectée. Ce principe est si clair. … Est-il juste, est-ce juste, de tuer une vie humaine pour résoudre un problème ? Est-il juste d’engager un tueur à gages pour résoudre un problème ? … C’est pourquoi l’Église est si stricte sur cette question, car accepter cela, c’est un peu comme accepter un meurtre quotidien ».

Commentaire : Ici, Bergoglio dit la pure vérité, exactement comme l’Église l’a toujours prêché. Mais quel paradoxe qu’en même temps, il promeuve cyniquement un vaccin qui contient des tissus arrachés à un bébé à naître, avant que ce bébé ne soit tué ! Il impose avec véhémence ce vaccin à tout le monde, et dit de manière manipulatrice que c’est un acte d’amour !

Il ne répond pas du tout à la question de savoir si la position des évêques américains qui veulent refuser la communion aux partisans publics de l’avortement, c’est-à-dire du meurtre, est correcte ou non. Il est de son devoir d’avertir et d’admonester les politiciens catholiques aux États-Unis et, en outre, non seulement de leur refuser la communion, mais même de les expulser publiquement de l’Église s’ils continuent à promouvoir le meurtre d’enfants à naître et refusent de se repentir. Bergoglio élude cependant cette question et soutient publiquement ces politiciens, même au cours de la campagne électorale.

On sait également que Bergoglio a fait l’éloge d’un avorteur notoire en Italie, responsable de plus de dix mille avortements ! De plus, il l’a béni pour la suite du « travail ». Selon l’enseignement de l’Église, non seulement ceux qui ont avorté sont accusés de meurtre, mais aussi ceux qui y ont participé. Bergoglio bénit les meurtres de masse, appelle le meurtre « travail » et lui donne une décoration papale. C’est pourquoi il est également passible d’une peine pour le meurtre d’enfants à naître. De plus, il est de son devoir d’avertir les politiciens, et s’il ne le fait pas, les paroles de saint Basile s’appliquent à lui :

« Celui qui a le devoir de réprimander dans l’Église et ne le fait pas sera puni comme un meurtrier ».

Citation de Bergoglio :

« Vous souvenez-vous de la tempête provoquée par Amoris Laetitia ? “Hérésie, hérésie !” Dieu merci, il y avait le cardinal Schönborn, un grand théologien qui a clarifié les choses… »

Commentaire : L’exhortation Amoris Laetitia contient-elle des hérésies, ou est-elle orthodoxe ? Pourquoi François, depuis plusieurs années, n’a-t-il pas du tout répondu aux doutes de quatre cardinaux ? Pourquoi n’a-t-il pas répondu à la Correction Filiale émise par les intellectuels et théologiens catholiques ? Au lieu de cela, il fait appel au théologien hérétique Schönborn. Schönborn est connu pour promouvoir l’homosexualité, et a maintenant transformé la cathédrale de Vienne en centre de vaccination.

Journaliste Stefano Maria Paci (télévision italienne Sky TG24) :

« La question concerne la famille : vous en avez parlé avec les autorités hongroises, et hier est arrivée la nouvelle d’une résolution au Parlement européen, résolution qui invite les États membres à reconnaître les mariages homosexuels. Que pensez-vous de ceci ? »

Citation de François :

« Ce sont des lois qui essaient d’améliorer la situation de nombreuses personnes d’orientations sexuelles différentes. Et c’est important… Les États ont la possibilité de les soutenir civilement, de donner une sécurité par l’héritage [l’assurance] santé… »

Commentaire : L’année dernière, dans un documentaire intitulé « François », le pseudo-pape a publiquement soutenu, pour la première fois, la légalisation du mariage homosexuel et de l’adoption d’enfants par les homosexuels. Comme il y avait beaucoup de bruit à ce sujet, on a rapidement soutenu qu’il ne s’agissait que d’un film. Mais Bergoglio ne se défendit pas, il se tut. Et à présent, dans l’avion, au moment où le Parlement européen a publié une résolution, il (François) soutient ouvertement le mariage civil entre personnes du même sexe.

L’enseignement de l’Église est qu’un catholique qui est enclin à l’homosexualité doit combattre cette concupiscence pécheresse, et éviter la prochaine occasion de pécher parce que le salut de son âme immortelle est en jeu. Le mariage homosexuel signifie légaliser l’obstination dans le péché, et rejeter la repentance salvatrice. Si Bergoglio dit qu’ils sont des enfants de Dieu qui n’ont pas besoin de se repentir, et que l’Église doit les accompagner, alors nous demandons : pour aller où ? Vers l’abîme de l’enfer ?

Bergoglio est coupable d’un plus grand péché que les homosexuels, parce qu’il abuse de la plus haute autorité ecclésiastique afin de légaliser le péché.

La sodomie fait tomber une malédiction et l’Écriture met en garde contre elle, parlant du feu temporel et éternel (Jud 1:7 ; 2P 2:6).

De plus, l’homosexualité est désormais associée à une anti-législation décadente, qui promeut l’idéologie du genre, la chirurgie de conversion sexuelle et le vol d’enfants par les services sociaux.

Il est gênant que la plus haute autorité ecclésiastique utilise l’héritage ou l’assurance-maladie comme argument en matière de mariage homosexuel, ferme les yeux sur les dégâts moraux pour les individus et la société, et boycotte la chose la plus importante, qui est le salut de l’âme.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Le 16 septembre 2021

Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

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Aucun lien entre le taux de vaccination et l’évolution de l’épidémie d’après Harvard

[Source : LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

LE JOURNAL EUROPÉEN D’ÉPIDÉMIOLOGIE publie une étude de Harvard qui DÉMONTRE QU IL N Y A AUCUN LIEN ENTRE LE TAUX DE VACCINATION et l’évolution de la pandémie. Nous nous en doutions en comparant les courbes de 2021 et de 2020, mais cent fois par jour la rengaine : la vaccination a fait reculer l’épidémie !

Dirigée par SV Subramanian à la Harvard TH Chan School of Public Health, cette étude, collectant et analysant des données jusqu’au 3 septembre 2021 démonte les dires des plateaux télé.

Non les vaccins n’ont pas reculer la pandémie qui est cyclique. Sa disparition interviendra si des variants moins virulents apparaissent et si une part suffisante de la population a été en contact avec le virus

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

Les vaccins sont actuellement la principale stratégie pour lutter contre le Covid-19 dans le monde. Le récit lié à la recrudescence continue de nouveaux cas aux États-Unis (É.-U.) serait expliqué par les zones à faible taux de vaccination.(([1] Vaccinations CDC. CDC COVID data tracker. Centers for Disease Control and Prevention. 2021. 
https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#vaccinations.)) Un récit similaire a également été observé dans des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni.(([2] Nicolas E. Germany mulls restrictions for unvaccinated as cases soar. EUobserver; 2021. 
https://euobserver.com/coronavirus/152534.)) Dans le même temps, Israël, salué pour ses taux de vaccination rapides et élevés, a également connu une résurgence substantielle des cas de Covid-19.(([3] Estrin D. Highly vaccinated Israel is seeing a dramatic surge in New COVID cases. Here’s why. NPR; 2021. 
https://www.npr.org/sections/goatsandsoda/2021/08/20/1029628471/highly-vaccinated-israel-is-seeing-a-dramatic-surge-in-new-covid-cases-heres-why.)) Nous étudions la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés aux États-Unis.

Pour les pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19. En fait, la ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de Covid-19 plus élevés pour 1 million de personnes.

Notamment, Israël, avec plus de 60 % de sa population entièrement vaccinée, a enregistré les cas de Covid-19 les plus élevés pour 1 million de personnes.

L’absence d’association significative entre le pourcentage de population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19 est encore illustrée, par exemple, par la comparaison de l’Islande et du Portugal. Les deux pays ont plus de 75 % de leur population entièrement vaccinée et ont plus de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10 % de leur population entièrement vaccinée.

En résumé, même si des efforts doivent être faits pour encourager les populations à se faire vacciner, cela doit être fait avec humilité et respect. La stigmatisation des populations peut faire plus de mal que de bien.

Cette étude confirme celle de Juan Chamie :

LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES PLUS DE 60 ANS N’A AUCUN IMPACT SUR LA MORTALITÉ

90 % ou 100 % de plus de 60 ans vaccinés : pratiquement aucun impact sur la mortalité. C’est ce qui est constaté à partir de l’observation de dizaines de comtés américains. L’étude mathématique de l’Institut Pasteur mise à mal.

40 % ou 90 % de vaccinés, il y a une petite différence, mais aucune dans ce qui peut être espéré d’une vaccination obligatoire Ajoutons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte….

Que se passe-t-il quand les plus vulnérables sont presque tous vaccinés ? Selon les médecins de plateaux télé et de Pasteur (les mêmes), la mortalité s’effondre, car les mathématiques l’ont démontré !!!

Jadis les Soviétiques disposaient de la meilleure école de mathématiciens du monde, ils obtenaient des prévisions totalement fausses à partir de constructions mathématiques merveilleusement justes

Un bon data analyste observe des données justes et il explique, il ne s’agit pas de prévisions, mais d’observations, c’est toute la différence !

Juan Chamie est Senior Data Analyst at FLCCC à Cambridge (USA) il vient de publier une étude sur l’impact du pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans sur le taux de mortalité Covid. Il observe des centaines de comtés américains du même état ou d’états voisins avec donc des données structurelles comparables. Dans certains, le pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans est élevé. Dans d’autres au même moment, il plus faible.

L’augmentation du nombre de vaccinés se traduit elle par une baisse des décès Covid ?

La vérification ne va pas vraiment dans le sens attendu, entre des comtés dans lesquels 70 % des personnes à risques sont vaccinées et d’autres dans lesquels on dépasse les 90 % il n’y a pas de différence significative

Réduire de 10 à 0 % le nombre de non vaccinés parmi les plus de 60 ans n’aurait aucun effet significatif sur leur mortalité





« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :